[{"role": "user",     "content":"Chalon-Dijon : prêt pour le derby bourguignon ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Demain, à 18h30 sur SFR Sport 2, c’est le derby bourguignon, Chalon-Dijon. Un match a priori disproportionné puisque l’Elan (12 victoires et 4 défaites) carbure à plein régime alors que la JDA (5-11) s’est enfoncée en bas de tableau.\\n\\nA la veille de ce derby, Le Journal de Saône-et-Loire a consulté les deux capitaines, John Roberson et Marc Judith.\\n\\n« Cette saison, c’est vraiment notre défense », répond l’Américain quand lui est demandé le point fort de son équipe. C’est en points encaissés la cinquième de Pro A. « Les extérieurs mettent la pression. Et nos contreurs ferment l’accès au panier. C’est la grosse différence avec la saison dernière. On sait que l’on n’a plus la meilleure attaque de Pro A, mais on bouge bien et partage bien le ballon. On est capable aussi de scorer parfois. »\\n\\nSur le sujet, John Roberson est modeste puisque l’Elan possède tout de même la deuxième attaque (80,4 pts) du championnat derrière Monaco (82,4). Le meneur américain apporte d’ailleurs à son équipe la plus forte contribution à égalité avec Cameron Clark : 16,3 pts. Et effectivement les Chalonnais sont dominateurs aux contres puisqu’ils en totalisent 4 par match. Il est vrai qu’avoir dans ses rangs Moustapha Fall (2,75 par match, soit plus du double que son dauphin Bangaly Fofana, 1,31), ça aide.\\n\\n\\n2-0 pour John Roberson\\n\\nA l’inverse, l’attaque de Dijon n’est pas très efficace (71,6 pts) et surtout la défense n’est plus aussi hermétique que lors d’un passé récent (73,1 pts).\\n\\n« Il faut qu’on retrouve des valeurs défensives qu’on a perdues », reconnaît d’ailleurs Marc Judith. « On s’est laissé emporter par le fait qu’on ne scorait pas beaucoup à une période, et ça ne nous a pas du tout aidés. On pensait qu’on allait gagner des matches offensivement, alors que la base ici à Dijon, ça a toujours été la défense. »\\n\\nLes deux capitaines sont d’accord pour dire qu’un derby a une saveur spéciale et que la hiérarchie n’est pas un facteur déterminant. John Roberson a déjà été vacciné :\\n\\n« Je me souviens surtout du match aller à Dijon (82-98). C’était fou ! On avait été derrière presque tout le match. Et puis on avait tout cassé dans le 4e quart-temps (remporté 32 à 8 par Chalon). Et en plus, moi, j’étais sur le banc pour regarder ce money-time dans une atmosphère incroyable, sachant que le match se déroulait plus tôt (à 18h). Quant au match retour à Chalon, c’était plus fermé. On avait gagné aussi sur la fin (85-81). »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Hervé Touré refait surface en 2e division italienne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Disparu des radars après sa pige en Iran (Chemidor Téhéran) en 2015/16, Herve Toure vient de retrouver du boulot puisque Sportando rapporte qu’il s’est engagé avec l’UCC Assigeco Piacenza, club de deuxième division italienne basé à Plaisance.\\n\\nIl avait rejoint l’équipe à l’entraînement il y a quelques jours et cet essai s’est finalement converti en contrat pour le natif de Lyon qui va pallier l’absence de Bobby Jones blessé.\\n\\nL’Assigeco Piacenza pointe actuellement à la 5e place de la conférence Est de Serie A2 avec 10 victoires pour 7 défaites.\\n\\nDéjà passé par l’Italie, l’ancien villeurbannais a déjà joué 178 matchs de Serie A, entre Avellino, Orlandina, Milan, Cantu, Rome et Brindisi, pour des moyennes de 9,4 points et 5,8 rebonds par rencontre.\\n\\nPhoto : Karen Mandau / Paris-Levallois"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nanterre : Plus de peur que de mal pour Spencer Butterfield"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nanterre respire. Alors que le club des Hauts-de-Seine craignait une longue absence de son joueur Spencer Butterfield suite à un coup de coude reçu mercredi soir lors du match de Coupe d’Europe face aux Israéliens d’Herzliya, l’arrière américain s’en tire finalement avec un simple gros hématome.\\n\\nUne bonne nouvelle pour son entraîneur Pascal Donnadieu qui avait cependant activé ses réseaux en cas de longue indisponibilité de son shooteur.\\n\\nSamedi soir, Nanterre 92 accueille Cholet pour le compte de la dix septième journée de Pro A. Une rencontre qui pourrait se disputer sans Spencer Butterfield précise le Parisien. Sa participation étant incertaine.\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Soutenir ou non Donald Trump ? L’avis de Micah Downs (Orléans)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Aujourd’hui, Donald Trump va devenir officiellement le 45e président des Etats-Unis.\\n\\nAutant son prédécesseur Barack Obama était devenu une icône dans la communauté des basketteurs américains –et pas seulement parce qu’il adore ce jeu qu’il a pratiqué avec aisance durant ses huit ans de mandat à La Maison Blanche-, autant Donald Trump compte des légions de détracteurs en NBA et dans d’autres ligues, LeBron James étant le plus médiatisé.\\n\\nLa Rep à Orléans a eu la bonne idée de demander à Micah Downs, 30 ans, l’un des ressortissants américains de l’OLB, qui a participé au dernier concours de dunks du All-Star Game, de s’épancher sur le sujet.\\n\\nPrécision : Micah Downs n’était pas non plus fan de la candidate démocrate, Hillary Clinton.\\n\\n« Quand j’ai vu les deux candidats qu’il restait, je me suis dit, merde, qu’est-ce que je vais faire ? Pour qui voter ? Pour moi, Hillary a trahi les États-Unis avec l’histoire des e-mails. Elle a laissé mourir des soldats à Benghazi. On ne peut pas avoir Hillary comme président. Et on ne peut pas avoir non plus une personne raciste et intolérante comme Trump. Vous avez deux pommes pourries et il faut en choisir une. Donc, je n’ai pas voté. »\\n\\nCependant, fidèle à la tradition de son pays, Micah Downs veut maintenant resserrer les rangs en soutenant malgré tout le milliardaire et espérer qu’il sera efficace notamment sur le plan économique même si ses travers sont visibles à l’œil nu. D’ailleurs, la popularité de Donald Trump est tombée à 40% avant même son investiture, le plus bas chiffre depuis que ce type de sondage existe.\\n\\n« Je voudrais juste que plus de gens le soutiennent parce que nous sommes des Américains. C’est une situation compliquée. On dit qu’il est raciste et moi je suis blanc donc si je le soutiens, ça renvoie une mauvaise image de moi, forcément. Et je ne suis pas raciste. Au contraire. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mathias Lessort confirme son potentiel à Nanterre et rêve de NBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"\\nDans une intéressante interview donnée au site de la ligue nationale, Mathias Lessort (2,05m, 21 ans), éclaire sa vie en Martinique, indiquant qu’il est originaire d’un petit village, Morne-Vert, où il a suivi la trace de ses deux frères aînés, Gregory (31 ans), pivot à Vichy-Clermont et Gary (bientôt 34 ans), qui est basketteur amateur et préparateur physique-coach sportif.\\n\\n« Le club le plus proche de chez moi était à 30 kilomètres et 30 kilomètres en Martinique ce n’est pas comme en métropole. J’allais souvent jouer sur les playgrounds avec mon frère Gary. J’y ai beaucoup appris en termes de dureté. Je faisais partie des plus jeunes. Je devais respecter les règles des anciens. »\\n\\nPassé par le centre de formation de Chalon qui a déjà sorti pas mal de joueurs de calibre supérieur (Thabo Sefolosha, Clint Capela, Joffrey Lauvergne, Nicolas Lang, Billy Ouattara, David Michineau...), le Martiniquais a bifurqué cette saison par Nanterre où sa puissance fait des dégâts : 10,5 pts et 7,0 rbds pour 14 d’évaluation dans une équipe quatrième en Pro A et qui pour l’instant est au-dessus du panier en FIBA Europe Cup.\\n\\nMathias a comme objectif principal d’améliorer son jeu extérieur, surtout son shoot. Une corde à accrocher absolument à son arc s’il veut atteindre le Graal, la NBA.\\n\\n« Quand on voit tous les Français qui ont été draftés l’année dernière, c’est encourageant pour moi. Il reste encore cinq mois avant la draft. Beaucoup de choses peuvent encore se passer. Après si une équipe me drafte et me demande de rester une année ou deux en Europe ou en D-League, je le ferai. Et quand mon heure viendra, je serai prêt à saisir ma chance. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 20 janvier 2017"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nNeuvième invité de notre rubrique de pronostics Luc Aubry nous livre ses prédictions pour la 21e ...\\n\\n– Neuvième invité de notre rubrique de pronostics Luc Aubry nous livre ses prédictions pour la 21e journée de Ligue 1... Lire la suite.\\n\\n\\nLe SLUC se méfie du phénomène DJ Cooper\\n\\n– Il est largement en tête des sondages pour devenir MVP du championnat. L’Américano-bosnien DJ Cooper fait briller sur les parquets de Pro A sa science... Lire la suite.\\n\\n\\nSy, fin de pénitence\\n\\n– Confiné sur le banc depuis le 5 novembre, Pape Sy (28 ans) a mis du temps à répondre aux exigences de Vincent Collet. Mais l’ailier de la SIG a... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLyon, le match de tous les d’Angers !\\n\\n– C’est un déplacement qui va compter dans la saison des Lyonnaises. Ce soir, à Angers, les Lionnes vont défier un adversaire qui, comme elles, semble... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nAndrézieux n’y arrive plus\\n\\n– Il y a des épisodes auxquels on peut accorder des circonstances atténuantes, passer à côté de son match une fois, ça peut arriver aux meilleurs. Mais... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFerraton : « Retrouver la Pré-Nationale »\\n\\n– Leader incontesté et seule équipe de Régional encore invaincue, La Ricamarie reçoit la CTC Centre Loire Forez dimanche. Et compte bien poursuivre son... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg en veut encore plus\\n\\n– Les Bressans sont invaincus depuis le 3 décembre et comptent bien le rester, au moins à domicile. Pour signer un 7e succès consécutif ... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond : la victoire ou la crise\\n\\n– Bon dernier, le SCB doit impérativement battre Rouen, qui compte le même le même nombre de succès. Une défaite mettrait l’équipe en danger... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBleu de chauffe obligatoire\\n\\n– Les Choraliens ont un défi à relever à Nantes en attendant Sambou Traoré. Mettre fin à la série de défaites, jouer assez « dur » pour que son attaque... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRoberson : « On a bossé dur pour en arriver là cette saison »\\n\\n– À l’approche du derby bourguignon, programmé demain au Colisée (18h30), le Chalonnais John Roberson estime que le travail de son équipe a payé tandis... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBASKET Ligue du Centre\\n\\n– Le projet de rapprochement du comité du Loiret dans les locaux de la ligue du Centre-Val de Loire, à Saran, devrait être bien vu par le président de la Fédération qui le souhaite ardemment... Lire la suite.\\n\\n\\nPRÉNATIONAUX\\n\\n– Le PLLL doute\u2009! Et ce match contre Saint-Pierre inquiète Saheed Mouti\u2009: « On n’a pas encore gagné un derby cette saison. Il faut relever la tête... Lire la suite.\\n\\n\\nLe Réveil veut poursuivre sa série victorieuse\\n\\n– Heureuses puisque victorieuses de l’ex-leader du championnat (59-54 contre Cournon-d’Auvergne), les Bressuirais se rassurent un peu plus dans la course au maintien... Lire la suite.\\n\\n\\nLa réserve du PB ne peut pas se cacher\\n\\n– Larges vainqueurs du leader, Horsarrieu, samedi dernier (71-47), les protégés d’Andy Thornton-Jones sont désormais premiers. Mais pour la formation la plus jeune de la poule qui ... Lire la suite.\\n\\n\\nLe PB défie le patron\\n\\n– Fos – Poitiers Une semaine après s’être montrés convaincants contre Nantes, les Poitevins vont tenter d’enchaîner chez le leader jusqu’ici invaincu chez lui... Lire la suite.\\n\\n\\nÇa se corse dans le Nord\\n\\n– Les Blésois s’attaquent à un gros morceaux, ce soir à Lille. L’équipe d’Asceric apparaît comme une des plus athlétiques de Pro B... Lire la suite.\\n\\n\\nLes 8es de finale encore possibles\\n\\n– Troisième du groupe D et assurée de participer aux 16es de finale de la BCL, la SIG a encore une toute petite chance de finir à l’une des trois... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBerrwiller-Staffelfelden : un faux pas à effacer\\n\\n– L’équipe de Patrick Mercier compte bien effacer son premier faux pas à domicile en déplacement dans l’Aube. Dernier match aller et un de chute à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nHausser le ton\\n\\n– Encore un week-end de tous les dangers pour les équipes fanion de la SSCO. Ce samedi à 20 h 30, la « une » masculine accueille la coriace formation... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nABC Lutterbach\\n\\n– Samedi (20 h 30), les joueurs locaux recevront Rixheim II, qui occupe la sixième place du groupe avec trois défaites, comme Lutterbach, mais avec un... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nWittenheim sur ses gardes\\n\\n– Malgré une entame et un déroulement de match difficiles, les Wittenheimoises ont finalement remporté le match face à la SIG II le week-end passé. Les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDessenheim à la relance\\n\\n– Battus à la dernière seconde à Rixheim, les hommes de Laurent Minnig tenteront de retrouver le sourire face à Poligny, la lanterne rouge qu’ils... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Panthères Mulhouse n’ont pas droit à l’erreur\\n\\n– Les joueurs de Pierre Bilbeau démarrent le cycle retour demain (17 h) chez les espoirs des Flammes Carolo... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Une sortie compliquée »\\n\\n– Le CSSL Rixheim, troisième de la poule J, est sur ses gardes au moment de se déplacer à Mirecourt, le deuxième, samedi (20 h), comme le confie son... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSélestat accueille le leader\\n\\n– Le SBC qui occupe la 12e place des 14 équipes du championnat s’attaque au plus gros morceau de la Prénationale, le leader Kaysersberg, samedi à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nKaysersberg II dans un fauteuil\\n\\n– Après avoir écrasé leur dauphin Souffelweyersheim II, les doublures de Kaysersberg se rendent à Sélestat, samedi soir... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa CTC ANGB-ALPA doit réagir\\n\\n– Régionale 1 (9e journée) Garonne ASPTT (9e-11 pts) – Luy Adour (6e-13 pts).- A l’aller, Luy Adour avait emporté la première manche (61-54) et avait ensuite réussi à s’imposer deux fois ... Lire la suite.\\n\\n\\nL’avis du coach. L’avis du coach. L’avis des coaches\\n\\n– Puymirol (3e-20 pts) – Layrac-Astaffort (10e-17 pts).- Les Puymirolais n’ont pas démérité à Gaujacq. Malgré un arbitrage sévère et trop de balles perdues, ils ont fait preuve d’une belle ... Lire la suite.\\n\\n\\nBASKET Le SQBB espère une éclaircie\\n\\n– Votre actualité quotidienne locale, régionale et nationale... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vichy-Clermont : La JAVCM fait davantage recette à Vichy qu’à Clermont-Ferrand"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Club de Pro B, la JA Vichy-Clermont Métropole joue ses matchs à domicile dans deux salles différentes depuis la saison dernière. Alternant entre la Maison des Sports de Clermont-Ferrand (5300 places) et le Palais des Sports Pierre Coulon (3200 places), le club métropolitain fait donc voyager ses supporteurs entre le Puy-de-Dôme et l’Allier.\\n\\nEn ce début d’année civile 2017, le journal La Montagne dresse un long bilan sur la fréquentation des deux salles.\\n\\nTrois matchs ce sont disputés à la Maison des Sports de Clermont-Ferrand (Boulazac, Fos Provence et Denain). Le résultat a toujours été le même avec trois défaites au compteur et une affluence moyenne de 1.458 spectateurs.\\n\\nAu Palais des Sports Pierre Coulon de Vichy, le club javostadiste à évolué à quatre reprises (Aix-Maurienne, Bourg-en-Bresse, Saint-Chamond, Boulogne-sur-Mer). Il a remporté trois victoires et ses matchs se sont joués devant une moyenne de 1.768 personnes.\\n\\nDepuis l’ouverture de la saison en octobre dernier, la salle vichyssoise attire donc 310 spectateurs de plus à chaque match que l’enceinte clermontoise. Un chiffre qui donne à réfléchir du coté des dirigeants du club auvergnat.\\n\\n« Il y a bien sûr l’ogre ASM, mais, le contexte économique est aussi plus difficile. Même le Clermont Foot peine au niveau des affluences avance le Président de la JAVCM Yann Le Diouris. On essaie de trouver les explications. Est-on allé un peu trop vite dans notre volonté d’équilibrer le nombre de matches ? Peut-être doit-on programmer moins d’affiches à Clermont, mais mieux les vendre, le temps que la mayonnaise prenne ? Il faudra se poser les bonnes questions avec les élus »\\n\\nBastion historique du basket français, Vichy fait donc davantage recette que le « voisin » clermontois cette année.\\n\\nUn constat à bien prendre en compte puisque la saison dernière c’était l’inverse. Pour sa première année d’existence la nouvelle entité auvergnate faisait un meilleur score à la Maison des Sports (1963 spectateurs) qu’au Pierre Coulon (1879 spectateurs).\\n\\nPour cet exercice 2016/17, huit matchs se joueront à Clermont et neuf à Vichy. Une balance qui pourrait éventuellement changer la saison prochaine avec davantage de matchs dans le bassin vichyssois. Affaire à suivre."
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Jermaine Anderson quitte le CCRB pour le Mornar Bar"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était dans les tuyaux et le Mornar Bar vient d’officialiser la nouvelle sur sa page Facebook, Jermaine Anderson quitte Châlons-Reims et retrouve le Monténégro.\\n\\nAprès 12 matchs de Pro A, le natif de Toronto qui compilait 3,4 points à 27,5% de réussite aux tirs, 1,9 rebonds et 3,9 passes pour 5,4 d’évaluation en 18 minutes quitte donc la France.\\n\\nIl va connaître sa deuxième expérience au Monténégro après avoir été champion avec le Buducnost Podgorica lors de la saison 2011/12."
}, 
{"role": "user",     "content":"Nenad Krstic vers le Partizan Belgrade"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Sportando, Nenad Krstic (2,13m) est proche de signer avec le Partizan Belgrade.\\n\\nLe Serbe fut l’un des meilleurs intérieurs européens de sa génération et il a fréquenté sept saisons la NBA pour 479 matches à 10,0 pts et 5,4 rbds en moyenne. Il a ensuite porté les maillots du CSKA Moscou et d’Anadolou Efes Istanbul jusqu’à la saison dernière.\\n\\nMais au soir de sa carrière, à 33 ans, il a souffert d’une blessure au genou qui l’a amenée à ne pas honorer à la rentrée sa signature avec Galatasaray.\\n\\nLe Partizan Belgrade est le club de ses débuts en pro."
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie : Ufuk Sarica nouveau sélectionneur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La fédération turque de basketball vient d’annoncer la nomination d’Ufuk Sarica au poste de sélectionneur de l’équipe de Turquie masculine.\\n\\nEn prenant ces fonctions, il succède à l’actuel entraîneur du Galatasaray, Ergin Ataman.\\n\\nChampion de Turquie en 2015 et vainqueur de la Coupe du Turquie en 2014 avec Izmir, Sarica est actuellement à la tête du Besiktas qui pointe à la 3e place de BSL avec 11 victoires et 3 défaites.\\n\\n\\n\\n\\nA Milli Erkek Takımımızın Başantrenörü Ufuk Sarıca oldu! Hoşgeldin @UfukSarica15 👏👏🏀🇹🇷 pic.twitter.com/8eztajOdPw\\n\\n\\n— TBF (@TBF) January 19, 2017"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Claude Bergeaud : « L’image du jeu dégagée dans notre ligue n’intéresse pas trop les managers étrangers »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Six ans comme adjoint, puis coach principal en succession de Jacques Monclar en 1997, directeur général après une escapade à Villeurbanne, un deuxième retour comme coach à la suite d’un passage à Bordeaux, la carrière de Claude Bergeaud a longtemps été liée à l’Elan Béarnais. Mais l’aventure paloise s’est (provisoirement ?) terminée à l’issue de la saison 2014-15.\\n\\nCelui qui fut aussi le coach de l’équipe de France (2003 à 2007) médaillée de bronze à l’Euro de 2005 et cinquième au Mondial de 2006, s’est retrouvé alors sans job... Mais toujours médiatique en devenant consultant pour Ma Chaîne Sport puis SFR Sport 2.\\n\\nSurprise : avec un tel pedigree, l’Ariégeois réapparaît dans l’univers professionnel en Pro B, au Boulazac Basket Dordogne avec qui il a signé un contrat jusqu’à la fin de la présente saison. Un club rural mais certainement pas un petit poucet.\\n\\nInterview en deux parties.\\n\\nComment un ancien coach de l’équipe de France et d’Euroleague a pu se retrouver aussi longtemps sans job ?\\n\\nJe me suis posé la même question et je n’avais pas trop d’explications. Commençons par le commencement : on ne peut avoir du travail que s’il y a des places libres. La première année, lorsqu’on s’est entendu avec l’Elan pour ne pas continuer ensemble, c’était un peu tard. Je me suis alors ouvert sur l’étranger et à ma grande surprise, en passant un an pour essayer d’y parvenir avec les gens qui travaillent pour moi, il n’y a pas eu de contacts sérieux, d’intérêts. J’en ai discuté avec Vincent Collet qui lui non plus n’avait pas grand chose de sérieux provenant de l’étranger. Je crois qu’il avait un contact qui n’était pas envisageable pour lui de concrétiser. J’ai aussi fait ma petite enquête et on m’a dit que les coaches français ne s’exportent pas, non pas parce qu’ils ne veulent pas, mais parce qu’on ne les sollicite pas. J’ai des coaches référents en Espagne, en Italie et en Turquie et je les ai appelés pour qu’ils me disent en toute honnêteté pourquoi. Il y a deux problèmes. L’image du jeu dégagée dans notre ligue, le tout athlétique, le tout physique, n’intéresse pas trop les managers étrangers car ça camouflerait un manque de travail technique, stratégique. La deuxième chose, c’est que les étrangers estimeraient que l’on ne travaille pas beaucoup et que l’on ne compte que sur les qualités individuelles des joueurs. Donc, qui que tu sois, quand tu te pointes sur le marché, on te met dans la catégorie des coaches français labellisés à une ligue qui peut-être ne peut pas exporter des compétences techniques.\\n\\nVous avez quand même eux des contacts ?\\n\\nJe ne cache pas que j’ai été à l’inter saison en contact avec Strasbourg et s’il n’y avait pas eu la filière étrangère qu’ils ont pisté, il y aurait peut-être eu une possibilité (NDLR : la SIG a fait signer le Finlandais Henrik Dettmann). J’ai fait aussi des choix personnels car certains clubs avaient un fonctionnement qui ne m’intéressait pas trop.\\n\\nEn début de saison, sur les dix-huit clubs de Pro A, trois avaient fait confiance à des coaches étrangers. Il y en a aussi quatre autres qui sont d’origine étrangère, Kyle Milling, Erman Kunter, Nikola Antic et J.D. Jackson. Est-ce un phénomène qui inquiète le milieu des coaches français, le syndicat ?\\n\\nJe ne sais pas trop... Aujourd’hui, il ne faut plus avoir une dimension franco-française. Il y a une ouverture sur l’Europe et ces gens-là sont principalement des Européens. Ce qui serait gênant, c’est d’avoir un gars d’Océanie, un autre des Etats-Unis ou d’Amérique du Sud. Ça serait peut-être des choix incongrus. Erman est un Européen, J.D. est un Français, il est dans notre culture, c’est beaucoup plus cohérent. C’est pour ça que de mon côté, je me suis mis sur le marché européen.\\n\\n« Je croquais dix matches par semaine de Pro A, Pro B, de l’Euroleague et de FIBA Eurocup »\\n\\nDepuis votre arrêt à Pau, vous n’êtes pas resté inactif en étant notamment consultant sur Ma Chaîne Sport et SFR Sport 2. C’est quelque chose dont vous rêviez ? Aviez vous déjà eu beaucoup d’expériences télévisuelles ?\\n\\nNon. J’avais commenté de l’Euroleague au moment de l’équipe nationale, par ci, par là. Je suis même allé le faire pour des matches à l’étranger. Mais je n’avais pas un suivi, ce qui est une autre activité. Quand on fait ça toutes les semaines, il faut tenir une ligne rédactionnelle, c’est un travail d’équipe. J’ai pris énormément de plaisir à découvrir le monde des médias télévisuels. C’est un vrai boulot très pointu pour sortir de la qualité. Et puis, de façon très égoïste, ça m’a permis de rester au contact de mes collègues, avec la caravane, de voir des entraînements à droite et à gauche. Je restais chez mes collègues, on échangeait toute la nuit.\\n\\nA la Leaders Cup, vous m’aviez dit « je ne suis pas un consultant professionnel, je veux coacher ». Ça veut dire que vous aviez peur d’être catalogué consultant ?\\n\\nC’est exactement ça et c’est ce qui s’est passé. Je faisais ça pour être en connexion avec l’évolution des choses, le recrutement, savoir quel type de joueur on a maintenant. Si tu décroches un peu, il y a des joueurs qui passent, tu ne les connais même pas, tu les retrouves face à toi, c’est du temps de perdu. Je croquais dix matches par semaine de Pro A, Pro B, de l’Euroleague et de FIBA Eurocup. Il y a des matches tous les jours et je les regardais par des canaux européens. L’année dernière, par exemple, je me suis fait tous les matches du Real Madrid pendant trois mois.\\n\\nOn a vu aux commentaires de Pau-Limoges et faire l’interview de Gheorghe Muresan, ça veut dire que vous continuerez à faire des piges ?\\n\\nJe ne pourrai pas être permanent sur l’émission du mardi et sur les week-ends ou parfois j’ai doublé mais François Pesanti (NDLR : Directeur Général de SFR Sport) m’a demandé de continuer.\\n\\nVous étiez aux premières loges pour voir le clasico Pau-Limoges. Cela faisait combien de temps que le palais des sports n’avait pas connu une telle atmosphère ?\\n\\nJe ne sais pas si ça ne date pas de la remontée en Pro A. En Pro A, même sur les clasicos où ça été plein, il n’y avait pas cette atmosphère qui a été catalysée par « c’est la 100e», deux joueurs vont être élus « joueurs du siècle », etc. Tout l’habillage a fait qu’il y a eu émotion palpable avant le match à travers les médias. C’était vraiment exceptionnel.\\n\\nN’est-ce pas aussi un aveu de faiblesse de la Pro A actuelle de constater que ce sont les joutes des années 80 et 90 qui ont dû être rappelé à la surface pour faire monter la mayonnaise en amont de cette 100e édition du clasico ?\\n\\nVa t-on se rendre compte de la richesse des autres pays ? Depuis toujours dans ces pays il y a des clubs leaders qui sont dominants depuis la nuit des temps. A un moment donné, nous avons, je ne sais pas pourquoi, tué les gros clubs. On disait « il y en a marre de Pau-Orthez ! Il y en a marre de Villeurbanne ! » Un changement de règlements a fait aussi que l’on a tout noyé et la conséquence, à mon avis, c’est que nous sommes descendus. Cela faisait longtemps qu’on ne pouvait plus jouer le top-16 mais maintenant, on ne participe même plus à l’Euroleague ni à l’Eurocup. S’apercevant finalement que le reste n’est pas si vendable que ça, on rappelle des histoires passées pour faire vivre cette activité. Le Real Madrid, le Barça, Olympiacos, le Panathinaikos, le Maccabi, Efes Pilsen, tous ces clubs sont là depuis toujours. Quand Limoges fait cette prestation contre Pau, je suis le dernier à être content. J’aimerais que Limoges, qui a d’énormes moyens, que Strasbourg, Villeurbanne, Pau-Orthez soient en haut. C’est le basket qui en a besoin pour le tirer vers le haut.\\n\\n« Pour Pau, se stabiliser à ce niveau, oui, allez plus haut, c’est très compliqué »\\n\\nA propos de Pau-Orthez. A votre avis, le phénomène sportif et populaire peut-il se pérenniser ?\\n\\nSe stabiliser à ce niveau, oui, allez plus haut, c’est très compliqué. Pour aller au-dessus de la C4 (Fiba Europe Cup), il faudra plus de moyens et il se trouve que Pau est dans un secteur concurrentiel avec une équipe, la Section Paloise, qui draine du monde et du partenariat, des investisseurs et des collectivités. Pas très loin, il y a des clubs de Pro D2 qui attirent énormément aussi. C’est vrai que pour l’instant le basket des grandes villes n’accroche pas comme pour le football et le rugby. A mon avis, le basket des villes moyennes a été et sera et Pau peut y être mais, comme je le disais, il doit faire face à la concurrence sur place. A l’inverse, ici à Boulazac, il n’y a pas de grosses concurrences des autres sports en vis à vis.\\n\\nDurant ces derniers mois, vous avez aussi mené des conférences, et avez-vous visité des clubs à l’étranger ?\\n\\nNon, ça s’est ce que j’avais prévu de faire mais je n’ai pas eu le temps. C’est un regret car, comme je l’avais fait quand j’étais entraîneur national, passé quatre jours à Malaga avec Sergio Scariolo, c’est une expérience incroyable. J’ai fait de la formation de cadres en Roumanie, Maroc et Tunisie avec les entraîneurs nationaux et les équipes de jeunes. Par ailleurs, j’ai fait des conférences en entreprise comme le font Claude Onesta et beaucoup d’autres entraîneurs comme Philippe Hervé. On rapporte en entreprise des expériences de coaching-management et la résolution de problématiques très pointus.\\n\\nComment cherche t-on un employeur dans le basket ? En donnant carte blanche à son agent ? En faisant de la représentation ? En téléphonant soit même aux présidents ?\\n\\nJ’avais dit au départ que je ne souhaitais pas être proposé à tous les supermarchés. Dès l’instant où il pouvait y avoir un intérêt sportif avec un club sain, là je pourrais candidater. On m’a dit par exemple « ça t’intéresse d’aller à tel endroit ? » « Non, non, ça ne m’intéresse pas. » Je ne me suis pas proposé partout. Ensuite, il y a eu un petit malentendu vis à vis d’un club et c’est moi qui ai fait une lettre à la demande de son président. Ce club là pensait que j’étais consultant et que pour moi le basket était fini. J’ai donc fait cette lettre pour prouver que c’était une candidature sérieuse.\\n\\nA suivre.\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nando de Colo participera au All Star Game de la VTB League"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il y aura un Français qui participera au All Star Game de la VTB League. Joueur du CSKA Moscou, Nando De Colo a été sélectionné pour le match des Étoiles de la compétition réunissant les meilleures équipes de Russie, de Lettonie, du Kazakhstan, de la Biélorussie et d’Estonie.\\n\\nLa rencontre aura lien en Russie à Sotchi au sein de la Bolshoi Sports Arena le 11 février prochain. Elle opposera une équipe All Star russe face à une équipe All Star étrangère.\\n\\nVoici la composition des équipes:\\n\\nRussian Stars: Dmitry Khvostov (Lokomotiv-Kuban), Ivan Strebkov (Nizhny Novgorod), Sergey Bykov (Avtodor), Evgeny Voronov (UNICS), Evgeny Kolesnikov (Avtodor), Alexey Shved (Khimki), Sergey Karasev (Zenit), Sergey Monia (Khimki), Viktor Khryapa, Andrei Vorontsevich (both CSKA), Andrei Zubkov (Lokomotiv-Kuban), Petr Gubanov (Nizhny Novgorod).\\n\\nReserve (13th player)*: Anton Ponkrashov (UNICS)\\n\\nWorld Stars: Stefan Markovic (Zenit), Taylor Rochestie (Lokomotiv-Kuban), Milos Teodosic, Nando De Colo ( CSKA Moscow), Janis Blums (VEF), Keith Langford (UNICS), Ryan Broekhoff (Lokomotiv-Kuban), DeAndre Kane (Nizhny Novgorod), Janis Timma (Zenit), Nick Minnerath (Avtodor), Frank Elegar (Enisey), Artsim Parakhouski (UNICS).\\n\\nReserve (13th player)*: Danilo Andjusic (Parma)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Châlons-Reims : Direction le Montenegro pour Jermaine Anderson ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sous contrat jusqu’à la fin de la saison avec Châlons-Reims, Jermaine Anderson (1,88 m, 33 ans) va-t-il prochainement quitter la Marne ?\\n\\nSelon le site Vijesti, le meneur de jeu canadien serait proche de rejoindre le Montenegro où il renforcerai la formation de Mornar Bar.\\n\\nDécevant pour sa découverte de la Pro A, son entraineur Nikola Antic ne cachait pas qu’il était insatisfait du rendement de son meneur au point de signer un autre poste 1 il y a tout juste un mois avec l’arrivée du Britannique Andrew Lawrence (3,5 d’évaluation en 19 minutes).\\n\\nVu à 12 reprises cette saison, le natif de Toronto valait 3,4 points à 27,5% de réussite aux tirs, 1,9 rebonds et 3,9 passes pour 5,4 d’évaluation en 18 minutes sur 12 matchs de championnat. Sa dernière apparition sur le parquet remonte au 9 décembre dernier lors de la 12e journée durant laquelle le CCRB s’était incliné de deux points pour la réception de Gravelines-Dunkerque.\\n\\nAncien international canadien, passé par l’Allemagne, la Pologne, la Croatie, la Russie, la Grèce et l’Espagne, il a déjà joué durant une saison au Montenegro. Vu en 2011-12, le Canadien avait été champion national avec le Buducnost Podgorica.\\n\\nPhoto : CCRB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Côte fracturée pour Spencer Butterfield (Nanterre) ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors du match de FIBA Europe Cup de hier soir contre Herzliya, gagné largement par son équipe de Nanterre 92 (109-71), l’arrière américain Spencer Butterfield (1,91m, 24 ans) est resté sur le parquet après un choc, immobile et hagard, et a été emmené ensuite à l’hôpital. Après le match, son coach Pascal Donnadieu était inquiet craignant un fracture :\\n\\n« Sans la blessure de Spencer, cela aurait été une soirée parfaite. Vu notre calendrier (Cholet puis à Minsk, au Mans et à Villeurbanne) et vu le marché, son absence serait très embêtante ».\\n\\nDe fait, l’ancien joueur du championnat lituanien –Juventus- est l’une des révélations de la Pro A, ce qui l’a amené à participer au dernier All-Star Game.\\n\\nEn championnat, il tourne à 12,5 pts avec un superbe taux de réussite à trois-points de 44,6% (29/65)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Samedi, Marine Johannès revient à Mondeville pour ses 22 ans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Marine Johannès est née le 21 janvier 1995. Elle fêtera donc ses 22 ans samedi. Où ça ? A Mondeville, le club qui l’a formée, puisque sa nouvelle équipe de Bourges s’y rend pour le compte de la 15e journée de championnat.\\n\\nPour Ouest France et la Normandie, c’est un événement. Le quotidien en a profité pour demander à son ancien coach mondevillais de se souvenir des débuts de la jeune prodige. Romain L’Hermitte est toujours louangeur quand on évoque la native de Lisieux.\\n\\n« Lors de mon premier entraînement à Mondeville, il y avait 25 filles dans le gymnase. Et je n’ai quasiment vu qu’elle. Ce qui m’a impressionné ? Son adresse, sa façon de manier le ballon, sa faculté à tout gagner, tout le temps. En minimes, elle a mis 34 points contre Tours lors de son premier match. Sur le banc, je passais mon temps à me dire : « c’est pas possible... ».\\n\\nPourtant, visiblement, la route de la gloire n’était pas tracé dès les premiers dribbles comme le rapporte son ancien coach :\\n\\n« Au centre de formation de Mondeville, peu de personnes croyaient en Marine au tout début. À tel point qu’elle n’avait pas été prise au centre, que ses parents se posaient des questions. Les premières semaines, elle dormait chez une amie de ma mère... »\\n\\nQuant à sa grande copine Lysa Millavet, de la même promo et qui est demeurée à Mondeville, elle corrige quelque peu -en souriant- l’impression générale que laisse Marine Johannès aux observateurs.\\n\\n« Au premier abord, on a l’impression que Marine est réservée, timide. En fait, pas du tout. C’est une chieuse qui passe son temps à titiller tout le monde. Elle chambre tout le temps. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Pourchot (2,22m) s’adapte à la N2"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tout va bien pour Vincent Pourchot et ses 222cm qui est depuis fin novembre le point culminant de Besançon, le BesAC, en Nationale 2. Comme le rapporte L’Est Républicain, il faut à ses équipiers un peu de temps pour s’adapter à un joueur de cette taille.\\n\\n« En fait, tu crois que c’est simple, qu’il n’y a qu’à lui mettre un ballon en l’air mais c’est beaucoup plus compliqué que ça », sourit David Weber. Et le meneur bisontin d’ajouter : « On est encore en phase d’adaptation. Mais je pense que si dans quatre ans, on joue encore ensemble, on sera toujours en phase d’adaptation. Tu apprends tous les jours. Mais Vincent est super intelligent, il a l’habitude de s’habituer ».\\n\\nVincent Pourchot a déjà été déterminant face à Pont-de-Chéruy (21 points dont 12 à 100 % de réussite en prolongation), très utile contre Bourg-en-Bresse (10 points en 25 minutes) et il tourne en moyenne à 9,8 pts.\\n\\n« Je pense que c’est du bonheur d’avoir un mec de 2,22 m dans la raquette en N2. Offensivement, il a une capacité à voir le jeu, il ne force pas grand-chose. C’est embêtant de défendre sur lui. Et défensivement, avec sa taille, il change quelques trajectoires de tir. C’est un apport considérable », commente son coach Nicolas Faure."
}, 
{"role": "user",     "content":"EuroLeague féminine: le triplé des clubs français"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les équipes féminines françaises d’EuroLeague ont réalisé le triplé hier soir.\\n\\nBourges s’est imposé à Polkowice (65-59) avec un apport consistant de sa meneuse serbe, Miljana Bojovic, 13 points, 5 rebonds, 5 passes, 2 interceptions.\\n\\nPendant ce temps, à domicile, Lattes-Montpellier réalisait une belle perf en matant Fernerbahçe (58-56), le deuxième de la poule. Elodie Godin a rayonné avec 25 d’évaluation pour 15 points (7/8 aux shoots), 6 rebonds, 3 passes et 3 interceptions, soit sensiblement mieux que Sandrine Gruda en face, qui s’est contentée de 10 points (4/10 aux shoots), 6 rebonds et... autant de balles perdues.\\n\\nAprès leur prestation jugée médiocre face à Tarbes en championnat (victoire 76-68 tout de même), les filles de Fred Dusart ont renversé au Palacium les Russes de Nadezhda, leaders du groupe, 83-71 ! Individuellement, Mame Sy-Diop (16 pts, 5 rbds), Virginie Brémont (15 pts, 5 pds) et Valériane Ayayi (15 pts, 6 rbds) ont été dans la lumière portée par une ambiance... nordiste.\\n\\n« Elles ont parfois leurs ratés. Janvier leur impose un calendrier démentiel (9 matchs et pas des moindres), et quand il faut se parler on se parle. Ce fut le cas après le match contre Tarbes. Mais ces filles ne sont ni des divas, comme je l’ai lu, ni des tricheuses, elles ne « lâchent » pas certains matchs », a commenté pour le site de l’ESBVA le président Carmelo Scarna.\\n\\nVoici qui permet à chacun d’avoir meilleure figure au classement. Lattes-Montpellier est quatrième du groupe A (6 victoires, 3 défaites), alors que Bourges et Villeneuve d’Ascq sont à la même hauteur à la troisième place (5 victoires, 4 défaites) dans le groupe B."
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Le Mans se fait surprendre par le Maccabi Rishon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le cadre de la 13e journée de Champions League, le MSB se déplaçait en Israël pour y affronter le Maccabi Rishon. Devant à la pause (44-32), les Manceaux se sont finalement inclinés 73-65 face aux hommes d’Arik Shivek. Mais comme dans le même temps, Venise s’est lourdement incliné à Saratov (67-102), le MSB est certain de terminer à la première place du groupe synonyme de qualification directe pour les huitièmes de finale.\\n\\nMeilleur joueur du Mans, Wilfried Yeguete a inscrit 8 points, capté 6 rebonds et délivré 2 passes décisives pour une évaluation de 15 dans ce match.\\n\\nSuite à cette rencontre, Erman Kunter, l’entraîneur du MSB s’est exprimé en conférence de presse d’après match.\\n\\n« Nous essayons de gagner et de finir à la première place du groupe. La deuxième mi-temps était vraiment mauvaise pour nous. La balle ne circulait pas, nous n’étions pas en place défensivement, nous avons perdu beaucoup de ballons, nous avions des problèmes sur la défense en transition et ils ont, de leur côté, fait du très bon travail. C’est une compétition européenne, si vous faites des erreurs vous les payez cash. Nous leur avons laissé beaucoup de cartouches pour remporter ce match. Maintenant il n’y a plus rien à faire, il faut tourner la page, nous avons un match important qui arrive samedi pour la qualification pour la Leaders Cup. »\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Strasbourg tout en maîtrise face au Cibona Zagreb"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la 13e journée de Champions League, la SIG recevait au Rhénus le Cibona Zagreb et les hommes de Vincent Collet s’imposent 71-56 face aux Croates.\\n\\nLes Strasbourgeois ont pu compter sur leur Finlandais Erik Murphy qui a compilé 13 points (4/4 à 2pts, 1/1 à 3pts et 2/2 aux lancers francs), 3 rebonds et 2 passes décisives pour une évaluation de 19. La boxscore est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nAprès la rencontre, l’entraîneur de la SIG est revenu sur cette victoire qui maintient Strasbourg à la 3e place du groupe D (8v-5d).\\n\\n« Je suis globalement content de cette victoire et surtout de la manière. J’attendais mes joueurs à ce tournant-là. Les entraînements ont été bons et je trouve que l’on a été dans la continuité de ce que l’on a fait depuis lundi matin, notamment dans l’engagement. On avait besoin de ce type de match, c’est le match que j’attendais pour redémarrer. C’est bien de ne pas avoir été récompensés trop vite des efforts fournis, cela nous a permis de garder le cap et de rester concentrés jusqu’au bout. »\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 19 janvier 2017"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nBasket-ball : Yohan Benfatah (BesAC) est passé par l’hôpital de Bourg-en-Bresse...\\n\\n– Yohan Benfatah n’a eu droit qu’à une dizaine de minutes de temps de jeu samedi sur le parquet de Bourg-en-Bresse. L’arcade ouverte suite à un choc en... Lire la suite.\\n\\n\\nBasket-ball (N2 M) : Arrivé au BesAC fin novembre, Vincent Pourchot a réussi son intégration\\n\\n– Du haut de ses 222 centimètres, Vincent Pourchot, qui sort de trois saisons en Pro B à Lille puis Charleville, est un apport de choix pour le BesAC... Lire la suite.\\n\\n\\nLe portrait chinois de Caroline Ziegler Joueuse de l’ASPTT Nancy/Tomblaine\\n\\n– C’est dur d’en ressortir un, tous m’ont apporté quelque chose. Quand j’étais jeune, Stanislas Hacquard et Bertrand Ternard sont tout de même ceux qui... Lire la suite.\\n\\n\\nDans l’optique du maintien, le SLUC en bagarre avec un quatuor\\n\\n– Alors que la mi-saison sera sifflée ce week-end, le SLUC compte deux succès de retard sur Antibes et Dijon, et trois sur Cholet et Orléans. Même si le... Lire la suite.\\n\\n\\nUn sursaut bienvenu\\n\\n– Battue à trois reprises, pour commencer 2017, la SIG a su s’épargner une petite crise de confiance, hier, en gonflant les pectoraux face au Cibona... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Quand la passion est là »\\n\\n– « Je suis assez admiratif de ce qu’a pu faire Yvan. Quand je suis parti, on était en Pré-Nationale. Après il y a eu des montées en N3, N2 puis N1 avec... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Asvel exemptée du premier tour des play offs!\\n\\n– Après les résultats enregistrés hier, l’Asvel terminera en tête de sa poule si elle s’impose mardi prochain en Turquie, ou en cas d’égalité avec... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRetour aux affaires pour Bourg-en-Bresse\\n\\n– Seulement deux victoires séparent désormais le club bressan du leader Fos-sur-Mer à trois journées du terme de la phase aller... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSambou Traoré pour muscler la Chorale\\n\\n– 18 ans de carrière professionnelle, le Franco-Malien Sambou Traoré (2m, 37 ans), vieux routier du basket français, est arrivé pour étoffer le club... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFeurs reprend bien\\n\\n– Emmené par Zaka Alao (15 pts), Feurs a repris du bon pied le championnat de N2 en dominant nettement le derby face au Puy (94-65). Ce cinquième succès... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe point à la mi-championnat\\n\\n– Les positions sont désormais claires, même si elles ne sont pas définitives. La LF2 est désormais clairement divisée en deux : six équipes vont se... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSoirée cauchemardesque pour l’ALS\\n\\n– Après un départ catastrophique, Andrézieux n’a jamais pu reprendre la rencontre à sa main. Seule une tentative de réaction dans le dernier quart-temps... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn match important pour les deux\\n\\n– 8v-6d pour Nantes et 6v-8d pour la Chorale ! L’occasion est belle pour les Choraliens de revenir à une victoire et pour les Nantais de creuser un... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRouen veut stopper sa descente aux enfers\\n\\n– Relégué de Pro A, Rouen vit une première moitié de saison difficile qui lui vaut de disputer à Saint-Chamond un match capital dans la lutte pour le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe comité du Rhône fête ses 70 ans\\n\\n– Président du « comité du Rhône Métropole de Lyon », Pierre Depetris fait le point au moment de souffler les 70 bougies du troisième comité de France... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« J’avais besoin de retrouver la vitesse »\\n\\n– Garrett Sim n’avait pas joué depuis six mois quand il a débarqué à Bourg. Le meneur américain, qui avait fait ses preuves à Boulogne, a passé un cap... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne formalité de moins\\n\\n– Face à un adversaire d’une extrême faiblesse, l’Elan Chalon a préservé son invincibilité et disputera la 1re place mercredi à Gaziantep, la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’ASPTT Poitiers veut rattraper le retard\\n\\n– Les Poitevins avaient très mal démarré la saison avec quatre défaites de rang, toutes de plus dix points qui plus est. Mais l’équipe a sorti la tête de l’eau depuis avec un bilan de trois ... Lire la suite.\\n\\n\\nFos, l’étoffe d’un patron\\n\\n– Fos – Poitiers Ayant fait le choix de la stabilité après un exercice réussi, les Provençaux ont réalisé un départ canon et s’affirment en prétendant à la montée... Lire la suite.\\n\\n\\nLe BCM s’impose mais est éliminé\\n\\n– Cette seconde phase avait de toute façon été trop mal abordée pour espérer filer en huitièmes (3 défaites d’entrée). Malgré ça, les partenaires d’un Solomon excellent (22 points) ont fait... Lire la suite.\\n\\n\\nFrédéric Dusart: «Il n’est pas excessif de parler de match historique!»\\n\\n– Les Guerrières ont-elles retrouvé leur surnom? Et comment! Pour la première fois de la saison sur la totalité d’un match (on les a déjà vu brillantes par séquences mais pas assez... Lire la suite.\\n\\n\\nDépartementaux : des podiums en jeu\\n\\n– Moment clé dans la saison ce samedi (20 h 30) pour les joueuses de Nord Sundgau, troisièmes de Division 1 avec huit victoires en neuf matches, qui se... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa belle série se poursuit pour les filles de Nord Sundgau\\n\\n– En s’imposant face à Rumersheim le week-end dernier (58-48), les joueuses de Nord Sundgau ont signé une 10e victoire en 11 matches de Prénationale, et... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nNord Sundgau doit faire bloc\\n\\n– S’il dispose de la 5e meilleure attaque de la poule J de Nationale 3, Nord Sundgau a aussi la pire défense, avec 897 points encaissés en 11 matches... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne bonne chose de faite\\n\\n– La SIG a mis fin à une série de trois défaites de suite toutes compétitions confondues en s’imposant, hier soir au Rhénus, face au Cibona Zagreb... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nAvec les joueurs d’Ibos\\n\\nSeniors Ce week-end, peu d’équipes iboscéennes furent sur les terrains. Les prénationale ont pris la route direction Castres pour affronter les 1er du classement. Légèrement affaiblies ... Lire la suite.\\n\\n\\nL’Union et le TUB jouent ensemble\\n\\nOn ne savait plus qui étaient les pros et qui étaient les enfants, tellement tout le monde s’amusait sur le parquet, à l’occasion de cette rencontre entre les joueurs de l’Union et ceux de ... Lire la suite.\\n\\n\\nBASKET Hernst Laroche le mal-aimé\\n\\n– Votre actualité quotidienne locale, régionale et nationale... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du Monde 3X3 : Les 10 joueurs convoqués pour le stage à Voiron"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans l’optique de la Coupe du Monde 3X3 qui se déroulera en France, à Nantes du 17 au 21 juin prochain, la Fédération Française de Basketball vient de dévoiler la liste des 10 joueurs qui ont été convoqués par l’entraîneur Richard Billant pour le stage de préparation qui se déroulera à Voiron du 17 au 19 février prochain.\\n\\nPour ce premier rassemblement des Bleus voici donc la liste des 10 noms qui se retrouveront en Isère:\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\nNom\\nNaissance\\nClub\\n\\n\\nArvin\\nBaal\\n05/01/1997\\nJSF Nanterre\\n\\n\\nCharles-Henri\\nBronchard\\n15/11/1982\\nVichy-Clermont\\n\\n\\nTeddy\\nCheremond\\n20/07/1996\\nJSF Nanterre\\n\\n\\nAnthony\\nChristophe\\n04/03/1983\\nHyères Toulon Bar Basket\\n\\n\\nMaxime\\nCourby\\n23/11/1990\\nJL Bourg\\n\\n\\nRaphaël\\nDesroses\\n18/10/1980\\nFos Provence Basket\\n\\n\\nPaul\\nDjoko\\n02/07/1998\\nChalons-Reims\\n\\n\\nLucas\\nDussoulier\\n27/07/1996\\nCharleville-Mézières\\n\\n\\nSébastien\\nMichineau\\n03/04/1991\\n\\n\\n\\nCharly\\nPontens\\n13/07/1995\\nADA Blois\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Keith Langford se lache sur l’arbitrage en VTB League"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Joueur de l’Unics Kazan depuis 2014, Keith Langford n’a pas caché son mécontentement quant à l’arbitrage après la défaite lundi soir de Kazan face au CSKA Moscou (105-91) en VTB League dans laquelle il a notamment été sanctionné de trois fautes dans le seul premier quart-temps. Ce qui ne l’aura quand même pas empêché de passer 36 minutes sur le terrain avant de logiquement sortir pour cinq fautes.\\n\\nComme le rapporte Sportando, l’ancien milanais n’a pas été tendre avec les arbitres du championnat russe et il annonce même qu’il quittera la Russie si rien ne change.\\n\\n« Ca fait pas mal d’années que je joue au basket et je n’ai jamais obtenu trois fautes dans le premier quart-temps. Je ne sais pas quelle est la différence entre l’Euroleague et la VTB League et je ne veux même pas le savoir. Je travaille dur et je respecte ce championnat mais ce sera ma dernière saison en VTB League si rien ne change. »\\n\\nCette saison avec Kazan, le Texan compile en moyenne 19 points, 2,9 rebonds et 3,3 passes décisives en VTB League et 24 points, 4,3 rebonds et 4 assists en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Roanne : Sambou Traoré arrive en renfort"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A la peine en championnat Pro B avec une décevante neuvième place au classement (6V/8D) et actuellement dans une mauvaise passe avec six revers sur ces sept derniers matchs, la Chorale de Roanne a décidé de renforcer son effectif.\\n\\nCe mercredi la formation de la Loire annonce le recrutement de l’intérieur Sambou Traoré (2 m, 37 ans). Sous réserve des résultats de la visite médicale il est engagé jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nJoueur expérimenté avec 4 saisons de Pro A au compteur (Clermont, Limoges et Dijon) et 9 saisons en Pro B (Châlons-en-Champagne, Evreux, Boulazac, Clermont, Antibes, Limoges, Rouen, Provence Basket et Nantes), le Parisien de naissance était sans club en ce début d’exercice 2016/17.\\n\\nVu la saison dernière sous les couleurs de l’Hermine, il compilait 5,2 points, 3,8 rebonds et 1,3 passe pour 6,7 d’évaluation en 17 minutes sur 29 matchs de championnat Pro B.\\n\\nL’international malien pourrait faire ses premiers pas sous ses nouvelles couleurs mardi prochain à la Halle André-Vacheresse pour la réception de Saint-Quentin précise le site officiel roannais.\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Milos Teodosic veut jouer en NBA, mais pas forcément la saison prochaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Considéré avec son équipier Nando De Colo comme le meilleur joueur positionné sur le sol européen, le meneur serbe Milos Teodosic (1,95m) arrive en juin en fin de contrat avec le CSKA Moscou. Teodosic vient d’annoncer qu’il jouera certainement un jour en NBA mais sans avoir une échéance en tête.\\n\\n« 2016 a été ma meilleure année », at-il déclaré à Mozzartsport faisant référence à des triomphes en Euroleague et VTB League et une médaille d’argent aux JO de Rio. « J’irai en NBA, c’est certain, mais je ne sais pas encore quand, dans quel club, et avec quel contrat.. Nous verrons. Le CSKA Moscou a certainement un avantage dans les négociations d’un nouveau contrat. Des offres des Grizzlies, des Jazz, des Spurs ou des Rockets ? Je n’ai rien reçu d’eux. Je ne sais pas qui raconte ça. »\\n\\nLe Serbe, qui aura trente ans en mars, a ajouté qu’il était hors de question pour lui de franchir l’Atlantique pour se retrouver scotcher sur un banc."
}, 
{"role": "user",     "content":"Championnats nationaux : le Top 10 de la semaine (14 janvier)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque saison depuis maintenant cinq ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCette semaine, c’est Hugo Dumortier (BCO Orchies, NM1) qui pointe à la première place du classement grâce à un énorme shoot qui donne la victoire à son équipe au buzzer.\\n\\n\\n\\nTop 10 CourtCuts FFBB du 14 Janvier 2017 par FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Vitoria engage Nicolas Laprovittola"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Coupé par les San Antonio Spurs le 27 décembre dernier, Nicolas Laprovittola vient de retrouver du boulot et rejoint le Baskonia pour le reste de la saison, comme l’annonce le club sur son site.\\n\\nAprès un court passage en NBA, l’international argentin retrouve donc le championnat espagnol qu’il avait quitté en fin de saison dernière avant de tenter sa chance outre-Atlantique.\\n\\nLa saison dernière entre le Lietuvos Rytas et l’Estudiantes, le meneur de jeu compilait en moyenne 12,1 points, 2,9 rebonds et 4,4 assists. En 18 matchs avec les Spurs cette saison, il tournait en moyenne 3,3 points et 1,6 passe décisive en 10 minutes de jeu par rencontre.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Barcelone libère Joey Dorsey"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Annoncé sur le départ il y a quelques jours, Joey Dorsey vient bel et bien d’être libéré de son contrat, comme indiqué sur le site du club.\\n\\nToutefois, la raison de son départ n’est pas celle pressentie. Mécontent du rendement de son joueur, l’entraîneur Georgios Bartzokas voulait s’en séparer parce que ses statistiques n’étaient pas à la hauteur des attentes du club. Mais la formation catalane révèle que l’ancien joueur du Galatasaray a finalement été écarté de l’équipe pour des raisons disciplinaires.\\n\\nDans un post sur son compte Instagram, Joey Dorsey a récemment remis en cause le travail du staff médical du club. Touché à la cheville la saison dernière, les médecins du Barca avaient jugé cette blessure sans gravité, relançant ainsi l’intérieur de 125kg dans la compétition mais pas pour longtemps puisque cette blessure était finalement bien plus sérieuse et Dorsey avait dû être contraint de prématurément mettre un terme à sa saison suite à ce mauvais diagnostic.\\n\\nCette saison avec Barcelone, l’ancien pivot des Houston Rockets compilait en moyenne 3,6 points et 5,4 rebonds en ACB et 5,4 points et 6,2 rebonds en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"ASVEL : Charles Kahudi espère reprendre dans les 15 jours"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Opéré de la cheville le 5 septembre, Charles Kahudi avait plusieurs fois différé son retour sur les parquets pour finalement se lancer le 10 décembre contre Chalon. Il y passa 16 minutes puis 20 contre EWE Baskets en Champions League et encore 10 la semaine suivante face à Cholet. Fin de la tentative. Rechute. Sa cheville gonflait exagérément. Retour aux soins et à la musculation.\\n\\nInterrogé dans Buzzer, sur SFR Sport 2, le kiné indique qu’il s’agit « d’une inflammation articulaire qui pouvait peut-être évoquer un défaut de cicatrisation. »\\n\\nDepuis l’international se rend tous les jours à la salle pour se fortifier la cheville, distille aux temps-morts quelques conseils à ses équipiers, s’occupe davantage de sa famille, bref prend son mal en patience.\\n\\n« C’est long, très long et je ne pensais pas que j’allais le gérer comme ça. On apprend à être patient. Si je suis arrivé à cet état là c’est quelque part que je ne me suis pas beaucoup écouté dans le passé. J’en tire des leçons. C’est bien, ça me permet d’avancer. »\\n\\nDans le reportage, L’Homme se hasarde à un pronostic :\\n\\n« J’espère reprendre à peu près d’ici deux semaines.»\\n\\nEchaudé, son coach J.D. Jackson fait preuve de la plus grande prudence :\\n\\n« Son retour sera le bienvenu mais on ne va pas se précipiter. On a essayé ça une fois et c’était trop tôt. Là, il faut vraiment laisser le temps pour qu’il revienne en ayant toute sa pleine mesure. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans sans Amagou en Israël"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Soir d’Europe pour Le Mans. Ce mercredi, le MSB joue en Israël pour défier le Maccabi Rishon dans le cadre de la 13 journée de la Basketball Champions League.\\n\\nPremier de son groupe B (9V/3D), le club de la Sarthe serait assuré de conserver sa place de leader en cas de victoire face aux Israéliens et ainsi filer directement en huitième de finale sans passer par les seizièmes. Une bonne chose pour alléger le calendrier.\\n\\nPour cette rencontre face au septième (5V/7D), Erman Kunter sera privé de l’international ivoirien Pape-Philippe Amagou (1,85 m, 31 ans).\\n\\nLe Maine Libre nous apprend que le Capitaine est blessé aux adducteurs et forfait.\\n\\nPHOTO: PQR/NICE MATIN"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jean-Pierre Siutat sur le conflit FIBA-Euroleague : « C’est la commission européenne qui tranchera »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Populaire publie ce matin une interview de Jean-Pierre Siutat, président de la fédération française, et le fait notamment revenir sur le conflit entre la FIBA et l’Euroleague. Le quotidien de la Haute-Vienne lui demande quelle est exactement la position française à ce sujet :\\n\\n« On a toujours souhaité que nos clubs participent à l’Euroleague et l’Eurocup du moment où il existe un système pyramidal : le champion de France en Euroleague et les meilleurs clubs en Eurocup. Aujourd’hui, ce n’est pas le cas. ECA, la structure gérant ces deux compétitions, réunit 30 à 40 clubs sans tenir compte des critères sportifs. Considérant que les choses n’étaient pas claires, la FIBA (Fédération Internationale) a décidé d’organiser la Ligue des Champions qui n’est, pour moi, pas la troisième compétition européenne. »\\n\\nL’Allemagne, l’Espagne et d’autres pays sont curieusement présents dans les trois compétitions majeures (Euroleague, Eurocup et FIBA Champions League), alors que la ligue française est la seule à être absente des deux premières, aussi Le Populaire demande si la situation pourrait évoluer à court et moyen terme :\\n\\n« On ne leur a rien interdit. On avait la possibilité d’intégrer la SIG à l’Euroleague s’ils avaient gagné l’Eurocup. [] On n’est pas décideur de l’avenir. Ni l’Euroleague ni la FIBA. C’est la commission européenne qui tranchera*. L’Euroleague doit se développer en respectant les équipes nationales et les fenêtres internationales, les fédérations et les ligues nationales. Si le modèle sportif américain est choisi, je respecterai. Mais en tant que président d’une fédération de délégation de service public, en charge d’animer le territoire et de préparer les équipes nationales, je ne suis pas là pour ça. »\\n\\n*L’ECA a porté plainte contre la FIBA Europe pour « abus de position dominante » et vice-versa."
}, 
{"role": "user",     "content":"Document : les premières secondes de Pau Gasol (18 ans) en Liga ACB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est la vidéo qui circule depuis hier sur les réseaux sociaux espagnols. On y voit les grands débuts de Pau Gasol dans la ligue ACB.\\n\\nNous sommes le 17 janvier 1999. Celui qui deviendra l’un des meilleurs basketteurs européens de tous les temps –sinon le meilleur- a 18 ans, 6 mois et 13 jours. Il porte le maillot du FC Barcelone qui ce jour-là perd assez largement face à Caceres, 78-92.\\n\\nPau passe exactement 19 secondes sur le terrain, sans rien faire de particulier à part étirer sa grande carcasse de 215 cm et effectuer une remise en jeu. Mais comme le disent les medias, cela fait partie de « la historia del baloncesto español ».\\n\\nCette saison-là, l’aîné des Gasol entrera trois fois en jeu avec l’équipe première azulgrana et fera ses gammes le reste du temps dans l’équipe réserve, en EBA. L’été qui suivra, il remportera la médaille d’or au championnat du monde juniors avec los ninõs de oro. La légende était en marche."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 18 janvier 2017"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\n« Que chacun se regarde »\\n\\n– Du haut de ses 32 ans, il fait figure de vétéran à la SIG. Malgré la série négative de son équipe, Romeo Travis ne s’affole pas. L’intérieur américain... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne question d’orgueil\\n\\n– Toujours sevrée de victoire en 2017, la SIG n’a, par bonheur, pas encore hypothéqué ses chances d’atteindre ses objectifs cette saison. Le premier... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFeurs seul leader\\n\\n– Après un périple de 1 000 km, on pouvait craindre les Foréziens un peu fatigués du voyage... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe trophée club affaires pour Arthur Rozenfeld\\n\\n– Pourtant arrivé en tête des votes des partenaires, médias et de la direction sportive du club, Joe Burton ne pouvait cumuler un second trophée Club... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBasket en bref\\n\\n– Intempéries.- Avec les conditions météo difficiles et l’alerte orange en vigueur dans notre département, le Comité a donné la possibilité aux clubs... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCeyzériat fait la course en tête\\n\\n– Les équipes de l’Ain continuent de bien figurer pour cette saison 2016-2017 tant chez les jeunes que chez les séniors, avec 5 équipes en position de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne rencontre déjà décisive\\n\\n– En recevant les Vauclusiens ce soir, il faudra impérativement stopper la spirale de la défaite sous peine de jouer cette 2e partie de championnat avec... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nEntre ambitions et raison\\n\\n– Promue en élite régionale, la CTC Dombes ne peut pas baisser le rythme si elle veut obtenir son maintien... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Asvel fait le métier mais en veut plus\\n\\n– Facile vainqueur de la lanterne rouge polonaise, le champion de France va terminer dans les deux premiers de sa poule. Mais vise la tête... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn œil tourné vers Gaziantep\\n\\n– Alors que se profilent les réceptions de Södertälje (ce soir) et de Dijon (samedi), l’Elan pense déjà à son périlleux déplacement en Turquie, mercredi... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn devoir à accomplir\\n\\n– Toujours invaincu dans cette 2e phase de poule de Fiba Europe Cup, Chalon doit assurer l’essentiel ce soir face aux Suédois de Södertälje, déjà... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nEt de trois pour le « KGB »\\n\\n– La troisième édition du « Kids Game Basket », tournoi international réservé aux moins de 13 et de 15 ans, aura lieu les 17, 18 et 19 février à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRetrouver la victoire\\n\\n– Après trois défaites de suite toutes compétitions confondues, la SIG va chercher à décrocher son premier succès de l’année 2017, ce soir (20 h 30) au... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nHeureusement l’Union !\\n\\nForce est de constater que notre basket bigourdan ne se porte pas très bien, même si quelques équipes de jeunes du TGB, de Laloubère et d’Ossun laissent présager un avenir plus... Lire la suite.\\n\\n\\nLe BC Ossun maître à domicile\\n\\nL’équipe de Jean-Marc Lesponne se devait de retrouver la victoire sur son parquet mais pour cela, il fallait battre une solide équipe de Condom qui occupait certes la dernière place... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Si les GM de l’Euroleague pouvaient signer le joueur de leur choix, ils prendraient Nando De Colo"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les généraux managers des 16 équipes ont été sondés à mi-saison pour déterminer qui sera élu MVP de l’Euroleague pour 2016-17.\\n\\nA ce petit jeu des pronostics c’est le Serbe Milos Teodosic (62,5% des voix) qui devance son équipier français du CSKA Moscou Nando De Colo (18,7%), suivent l’Espagnol du Real Madrid Sergio Lull (12,5%) et l’Américain du Fernerbahçe Ekpe Udoh (6,2%).\\n\\nMais, importante compensation et choix un tantinet contradictoire, si les GM avaient le choix de signer un joueur, ils prendraient le Français à 31,2% plutôt que le Serbe à 18,7%.\\n\\nDu côté des Américains, c’est Keith Langford (Kazan, 43,7%) qui devance Anthony Randolph (Real Madrid, 18,7%) et Brad Wanamaker (Darussafaka, 12,5%).\\n\\nAnthony Randolph est jugé comme le plus spectaculaire, Ekpe Udoh comme le meilleur défenseur, le Slovène Luka Doncic (Real Madrid) à 87,5% (!) comme le meilleur espoir, Vassilis Spanoulis (Olympiakos) comme le meilleur leader et Milos Teodosic comme celui qui possède le plus gros QI basket.\\n\\nL’ensemble des résultats est à découvrir ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Quand les supporters de Gravelines et du Portel se réunissent pour chanter L’hymne à Cô-Pinard"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme en atteste cette vidéo du Phare Dunkerquois, les Loups de Mers, les supporters du BCM Gravelines ont rejoint hier soir à la fin du match le Kop du ESSM Le Portel et ensemble ils ont chanté L’hymne à Cô-Pinard qui clôture traditionnellement les rencontres des deux équipes nordistes.\\n\\nSalut à Cô-Pinard\\n\\nSalut à ta mémoire\\n\\nLà-haut tout près d’JeanBart\\n\\nC’est ta gloire...\\n\\nC’est bien la preuve que cette première édition de l’Opalico fut totalement festive. On n’imagine pas pareille union après un Partizan-Etoile Rouge, un Olympiakos-Panathinaikos, ni même un Pau-Limoges...\\n\\n\\n\\n\\nSûrement le derby le plus beau de #ProA. Les 2 publics communient. Magnifique ! @BCMBasket @EssmPortel @LNBofficiel pic.twitter.com/NhCtCbpweo\\n\\n\\n— Le Phare Dunkerquois (@pharedk) January 16, 2017"
}, 
{"role": "user",     "content":"Champions League : un tirage au sort pour les 16e de finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Une fois que les 24 équipes qualifiées pour la suite de la FIBA Champions League seront connues, un tirage au sort se tiendra à Mies, siège de la fédération internationale, le vendredi 27 janvier à 15h.\\n\\nRappelons qu’un tour supplémentaire de playoffs est prévu les 7-8 et 21-22 février avant les 16e de finales programmées les 28 février et 1er mars et les 7-8 mars.\\n\\nLes équipes, premières de leur groupe initial, seront exemptées de ce premier tour de playoffs ainsi que les trois meilleurs deuxièmes. A deux journées de la fin, Monaco (groupe A), Le Mans (B) et Villeurbanne (C) sont ainsi en tête de leur groupe alors que Strasbourg (D) est troisième derrière Tenerife et Avellino.\\n\\nSe positionner à la première place est donc fondamental pour éviter le risque d’une élimination prématurée et pour être tête de série pour ce tirage au sort.\\n\\nLa cérémonie sera diffusée en direct sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter et YouTube)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Renée Taylor (Montpellier) ou la difficulté de s’intégrer"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Malgré un sursaut en fin de match, qui aurait pu les amener à commettre un hold-up, les Montpelliéraines se sont inclinées ce week-end à Mont-de-Marsan contre Basket Landes (47-52) laissant ainsi le leadership de la Ligue Féminine aux seules Flammes Carolos de Charleville-Mézières.\\n\\nCette sortie a permis à la meneuse Renée Taylor, une Américaine de petit format (1,65m) de faire ses grands débuts dans la ligue et de soulager un effectif de qualité mais un peu juste pour être sur deux fronts. L’Américaine était arrivée des Etats-Unis le lundi précédent. A 31 ans, elle a déjà fait le tour des clubs européens : Israël, Espagne, Suisse et Pologne.\\n\\n« Je me suis renseignée lorsque j’ai eu la proposition », a t-elle confié au Midi Libre. « J’ai appris le palmarès récemment et vu que le club était régulièrement dans les mieux classés du championnat ces dernières saisons. Par contre, pour être tout à fait honnête, je ne connaissais pas le nom d’une seule joueuse. »\\n\\nRenée Taylor n’a pas eu d’impact (3 points) lors de ce match au sommet et son coach Valéry Demory a dû constater que son intégration ne passe pas comme une lettre à la poste :\\n\\n« Notre nouvelle américaine était perdue dans les systèmes, du coup on a manqué de rythme, on a passé notre temps à se chercher. Il y a eu trop de déchets »\\n\\nLe problème, c’est que Renée Taylor va demeurer spectatrice en EuroLeague car les règlements ne permettent d’aligner que deux joueuses hors CEE et les places sont déjà prises par Géraldine Robert et Kristen Mann. L’Américaine ne pourra donc pas être active demain pour la venue dans l’Hérault de Fenerbahçe, le deuxième de la poule auquel le BLMA avait si bien résisté en Turquie (63-69). Et jouer un match sur deux ne va pas faciliter son intégration."
}, 
{"role": "user",     "content":"Elton Brown aimerait terminer sa carrière en France ... mais pas tout de suite"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nancy attend beaucoup de lui. Tout juste engagé en pleine opération maintien, Elton Brown (2,06 m, 33 ans) devrait faire ses premiers pas sous le maillot du SLUC samedi prochain pour la réception de Pau-Lacq-Orthez.\\n\\nSans club en ce début d’exercice 2016/17, l’Américain disputera à cette occasion son premier match officiel de la saison.\\n\\nInterrogé par l’Est Républicain le costaud intérieur explique son bonheur de retrouver la France et où il se verrait bien finir sa carrière ... mais pas pour tout de suite.\\n\\n« Moi, je voulais vraiment revenir en France. J’ai eu des offres en CBA (ligue mineure nord-américaine), au Japon, en Italie... En France aussi, mais il y a des clubs qui pensaient que ça ne collerait pas au niveau salaire, sans même savoir... C’est là (en France) que j’aimerais terminer ma carrière. Mais pas à la fin de saison, dans trois ou quatre ans ! »\\n\\nIntéressant au Paris-Levallois en 2013/14.(11,3 points à 58% de réussite aux tirs, 4,7 rebonds et 3,6 fautes provoquées pour 10,8 d’évaluation en 22 minutes) avant de confirmer la saison dernière au Havre (10,6 points à 55,9% de réussite aux tirs et 7 rebonds pour 11,5 d’évaluation en 24 minutes), l’ancien étudiant de l’Université de Virginie, seizième et dernier contrat du club lorrain (soit le maximum autorisés par la Ligue Nationale de Basket sur une saison), compte bien donné le meilleur de lui même avant de raccrocher les basket.\\n\\nLa retraite oui mais pas pour tout de suite.\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"SLUC Nancy : chronique d’une chute annoncée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Grandeur et décadence. Après dix ans au sommet, Nancy poursuit sa dégringolade. Comment en est-il arrivé là ?\\n\\nLe SLUC ne va pas fort. Après avoir rayonné, il plonge depuis deux saisons, désespère ses plus fidèles supporters et se demande de quoi demain sera fait ? Comment un club qui s’est maintenu dix ans au sommet : deux titres de champion de France, cinq finales, une Semaine des AS, se retrouve là, aux portes de la Pro B ? La clé de l’histoire est cachée dans le fonctionnement du SLUC. En regardant au plus profond des choses apparaissent un certain nombre de causes qui expliquent le déclin : bisbilles entre les membres du directoire qui ont abouti à la démission de l’emblématique président Christian Fra, fortes divergences entre le même Christian Fra et le coach Alain Weisz, remercié depuis, finances fragiles en dépit du soutien de la métropole du Grand Nancy, absence de stratégie à long terme, incapacité, même au temps de la splendeur, à faire du SLUC une marque à laquelle un grand partenaire désire associer durablement son nom.\\n\\nPourtant à Nancy il y a tout pour réussir : la salle, les soirées VIP d’après-match, le public, une vraie culture basket et de gros CV parmi les joueurs qui ont porté les couleurs du SLUC : Nicolas Batum (durant le lock-out de la NBA), Tarik Kiksay, Ricardo Greer, Cyril Julian, Tremmell Darden, Marcus Slaughter, John Linehan, Akin Akimbala, Randal Falker, Florent Pietrus etc.\\n\\n« Tout va pour le mieux jusqu’à la saison 2012-2013, la dernière avec Jean-Luc Monschau sur le banc, où le club évite la relégation d’extrême justesse »\\n\\n\\nLa première rupture\\n\\nLorsqu’il arrive à la présidence où il succède à Jean-Jacques Eisenbach, un fou de basket qui avait le SLUC au cœur, Christian Fra recrute Jean-Luc Monschau au poste d’entraîneur. Immédiatement la confiance est totale, le tandem incarne la complémentarité et opère avec l’aval des autres membres du directoire dont l’actuel président Marc Barbé.\\n\\nLes résultats qui propulsent aussitôt le SLUC parmi les grands, valident ce mode fonctionnement. Tout va pour le mieux jusqu’à la saison 2012-2013, la dernière avec Jean-Luc Monschau sur le banc, où le club évite la relégation d’extrême justesse. Pourtant Christian Fra souhaite reconduire son coach qui arrive en fin contrat, mais ni le reste de la cellule dirigeante ni le conseil de surveillance présidé par André Weber, ne veulent de cette solution. De là naît une première rupture au sein du directoire. C’est aussi le moment où les finances déjà fragiles et maintes fois consolidées par l’apport personnel de Christian Fra inquiètent. Le SLUC qui n’a pas anticipé les complications, même lorsque son budget était boosté par ses deux participations à l’Euroligue, se voit contraint de réduire son train de vie. A priori inimaginable et pourtant...\\n\\nLors des belles années le SLUC fonçait tout schuss sans trop se préoccuper des lendemains. Le palmarès se meublait, le club faisait partie des premiers de cordées de la Pro A, le projet était de se rapprocher des étoiles, pas de se préparer à d’éventuelles périodes de vaches maigres, c’est-à-dire se situer dans la prospective de lendemains moins florissants et d’en supporter le choc. Faut-il ou non s’appuyer sur le centre de formation ? Comment fédérer les acteurs économiques de la Lorraine mais aussi du Luxembourg, autour du SLUC ? Il y a bien le Club Affaires et un solide portefeuille de partenaires mais cela ne suffit pas pour jouer les locomotives budgétaires. Alors il faut bien prendre les enjeux à bras-le-corps et se résoudre à mettre en place une politique de rigueur. Résultat : le SLUC passe d’un modèle de conquistador à celui des économies à tout prix.\\n\\nQuand il arrive à Nancy durant l’été 2013, Alain Weisz sait qu’il ne disposera pas d’une fortune pour effectuer le recrutement mais il s’en accommode et constitue un groupe où il incorpore des revanchards : Austin Nichols qu’il connaît bien, Randal Falker pas fâché de quitter la Turquie, de belles trouvailles comme Paul Harris et Clevin Hannah et, gros coup, Florent Pietrus fraîchement auréolé de son titre de champion d’Europe avec les Bleus. Alain Weisz  fait aussi venir Devin Booker dont il se séparera au bout de quelques mois. C’est ce qui s’appelle passer à côté d’un énorme potentiel... Mais l’affaire passe d’autant plus inaperçue que le SLUC se qualifie pour la Leaders Cup, qu’il dispute la finale de la coupe de France (perdue contre Nanterre) et les demi-finales du championnat. Une série contre Strasbourg où il laisse passer sa chance après avoir gagné le premier match à Strasbourg.\\n\\n« Il y a des frictions, des cassures et finalement des ruptures qui ne sont jamais la bonne réponse aux difficultés »\\n\\n\\nLa démission de Christian Fra\\n\\nAu terme de cette saison réussie les dirigeants oublient que l’assainissement des paramètres est toujours d’actualité. Si on marche sur des œufs en surveillant la masse salariale, il n’y a toujours pas de plan pour éviter le trou d’air. Florent Pietrus et Randal Falker sont encore là. Vaughn Duggins, Sergiy Gladyr et Bandja Sy les rejoignent ainsi qu’un meneur gros bouffeur de ballons mais à l’immense talent : Darius Adams qui partira dès la fin de l’année 2014 à Vitoria. La venue de Kekey Clark compense cette défection et le SLUC, une nouvelle fois, se qualifie pour les demi-finales qu’il perd contre Limoges avec une phalange décimée par une avalanche de blessures : Duggins, Pietrus, et Falker sont à l’infirmerie. Une hécatombe que la venue d’Elmedin Kikanovic, dont le recrutement a pu s’effectuer grâce à Christian Fra et André Weber qui assurent le coût de l’opération, ne suffit pas à contrebalancer.\\n\\nC’est la dernière rémission avant l’agonie. La saison 2015-2016, est un long calvaire. Falker mal remis d’une intervention au genou (il a occulté la phase de rééducation à l’intersaison) est out durant semaines, les pépins physiques s’enchaînent, le recrutement est raté. Bref le SLUC est au bord du précipice et s’il n’y plonge pas c’est parce que Le Havre et Rouen sont plus mal que lui.\\n\\nA la sortie de ce tunnel où ils ont frôlé le pire, les membres du directoire auraient dû se serrer les coudes, se regrouper sous la même organisation et une vision similaire des problèmes à résoudre. Au lieu de cela il y a des frictions, des cassures et finalement des ruptures qui ne sont jamais la bonne réponse aux difficultés. Des deux côtés on accorde peu de poids aux arguments de l’autre, il n’y a pas de stratégie (de volonté ?) de co-création. Les uns demandent des innovations et du changement pour faire germer les bonnes idées, Christian Fra se sent trahi, la chaîne des valeurs communes et des amitiés anciennes se rompt : il démissionne. Marc Barbé, vice-président depuis la saison 2004-2005 lui succède. Son objectif : rencontrer un maximum de futurs partenaires susceptible de l’appuyer dans un projet de stabilisation puis de développement. Sauf que pour favoriser les échanges et les rapprochements, il faut que les résultats sportifs suivent. Ils sont hélas catastrophiques.\\n\\n« Le président Marc Barbé a prévu de présenter à la fin du mois de janvier un projet sportif et économique »\\n\\n\\nUnion sacrée ?\\n\\nLa suite on la connaît, la salle de Gentilly jadis citadelle imprenable est ouverte à tous les vents de la défaite, Alain Weisz qui a choisi son effectif en fonction d’une masse salariale encadrée, est démis de ses fonctions après un dernier match calamiteux à Strasbourg, Gregor Beugnot lui succède et s’embarque dans une belle galère en récupérant le SLUC scotché à la dernière place. Avec une équipe fortement revue et corrigée (départs de Gregory Vargas, Taddeus Mc Fadden et Dominique Sutton, blessure de Gary Florimont out pour la saison, arrivées de Jonathan Jeanne, Demond Mallet, Brion Rush, Abdoulaye Mbaye, Elton Brown), il va tenter d’éviter le naufrage. Pari impossible ? On sera très vite fixé mais il y a urgence car la descente en Pro B dans une ville où l’AS Nancy Lorraine possède un fort coefficient d’attractivité, aurait des conséquences catastrophiques.\\n\\nLe président Marc Barbé a prévu de présenter à la fin du mois de janvier un projet sportif et économique. L’objectif est louable mais comment bâtir un schéma alors que le SLUC ne sait pas à quel niveau il opérera la saison prochaine ? On a beau croire au sursaut salvateur, il faut bien prévoir un plan B. Bel exercice d’équilibrisme où il faut mixer les risques, les opportunités et dégager des tendances sans disposer d’aucune certitude.\\n\\nPour s’en sortir il n’y a pas pléthore de solutions. D’abord il faut en appeler à l’union sacrée, oublier les querelles, unir les forces. Ensuite retrouver les fondamentaux sportifs sans lesquels l’économique ne suivra pas surtout dans un contexte où les collectivités locales sont contraintes de serrer les dépenses. En somme retrouver de la stabilité à tous les niveaux et recommencer à gagner. Où sont passées les victoires d’antan ?"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Trente engage Devyn Marble"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après le recrutement de l’ancien nancéien Dominique Sutton, l’Aquila Basket Trento vient de mettre la main sur l’ancien joueur du Magic d’Orlando Devyn Marble, comme indiqué sur le site du club.\\n\\nAvec l’Aris Salonique depuis le début de saison, le natif de Southfiled va donc connaître sa première expérience en Italie après avoir passé quelques mois en Grèce. Pour sa première saison loin des Etats-unis, l’ancien pensionnaire d’Iowa State compilait 7,6 points et 3,7 rebonds en première division grecque et 10,6 points et 3,2 rebonds en Champions League avec l’Aris.\\n\\nMaurizio Buscaglia, l’entraîneur de la formation transalpine s’est exprimé sur cette arrivée.\\n\\n« Nous souhaitons la bienvenue à Devyn qui est un garçon motivé à poursuivre son expérience européenne après avoir conclu sa première aventure avec l’Aris Salonique. Il possède une grande mobilité et de la vitesse. Il peut jouer à plusieurs postes, sait être utile des deux côtés du terrain et il nous aidera à renforcer notre capacité à mettre la pression en défense. Sa capacité à attaquer le panier va également être un plus, il sait prendre ses responsabilités et mettre en confiance ses coéquipiers. »\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"MVP de l’Opalico, Kyle Gibson (Gravelines) est au sommet de sa forme"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« Le coach attend que je sois un leader vocal et que j’aiguille mes partenaires en défense. Je dois aussi être en mesure de marquer quand il le faut. »\\n\\nCe sont les propos tenus dans Le Phare Dunkerquois par Kyle Gibson (1,96m, 29 ans) juste avant l’Opalico, Gravelines-Le Portel. Un derby du Nord largement dominé par le BCM (89-71) qui a fait le grand écart dans le troisième quart-temps avec un 16-3 en cinq minutes qui a entraîné une avance de 14 points (56-42).\\n\\nDans une ambiance de feu où les deux kops se sont livrés à une joute festive sans merci, c’est bien Kyle Gibson qui a su marquer quand il le faut et beaucoup. A cette occasion, l’ancien ancien étudiant de Louisiana State a battu son record de points de la saison : 28 avec quelques missiles longues distances très impressionnants pour un 5/11 final à trois-points.\\n\\n\\nN°1 des marqueurs de la Pro A\\n\\nL’Américain est pourtant scouté par les équipes averses puisqu’il est le scoreur numéro 1 de la Pro A (19,5 pts) et sa marque d’hier soir ne fait que creuser l’écart avec son suivant, le Parisien Jason Rich (17,4).\\n\\nLe plus remarquable, c’est que Kyle Gibson est d’une grande régularité dans les tirs bonifiés et s’il n’apparaît qu’à la 5e place à l’adresse (46,1%), c’est qu’il en prend beaucoup plus que la concurrence. Il ne gâche rien non plus aux lancers-francs (45/52).\\n\\nSes qualités, Kyle Gibson les avaient déjà démontrées auparavant à Pistoia (14,5 pts), à Rome (14,2 pts) et à Ostende la saison précédente (12,9 pts, 45% à trois-points) mais –comme on le voit- dans des proportions inférieures.\\n\\nD’ailleurs, le Gravelinois est véritablement actuellement sur un pic de forme puisque sur les 7 derniers matches, il tourne à 23,8 pts avec une aiguille de l’adresse qui se maintient tout en haut du cadran, 48,2%.\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 17 janvier 2017"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nElton Brown, nouveau pivot du SLUC : « L’état d’esprit, c’est la clé »\\n\\n– Ravi de retrouver la France et Gregor Beugnot, qui le fit venir en Pro A en 2013, Elton Brown espère que le SLUC réussira son opération maintien. Et... Lire la suite.\\n\\n\\nVibrant hommage à Pape Badiane\\n\\n– Quelle émotion pour le public de voir, avant le match contre Vichy/Clermont, Julie, l’épouse de Pape Badiane, entourée de ses deux anciens présidents,... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’AL Lons est redevenu humain\\n\\n– Il y a des claques qui font mal. Et d’autres qui font réfléchir. À Lons-le-Saunier, on espère que celle reçue à Marzy fasse office de rappel à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nGroggy, Poligny ne veut pas rester au sol\\n\\n– Dernier ex aequo de sa poule, Poligny s’attend à vivre des semaines difficiles. Mais l’entraîneur Michael Nachon refuse la fatalité... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDragovic : « Gommer nos trous d’air »\\n\\n– Le Serbo-monténégrin, très en vue depuis un mois, attend de son équipe qu’elle soit plus constante pour franchir un palier... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Ce n’est pas une victoire pour moi, c’est une victoire pour le club et pour l’équipe. »\\n\\n– Pour sa première sur le banc de Boulazac, Claude Bergeaud a remporté un précieux succès sur le parquet de Saint-Quentin(65-71)mais préférait souligner l’investissement de ... Lire la suite.\\n\\n\\nVichy-Clermont\\n\\n– Si la fin d’année avait été difficile (1v, 3d), Vichy-Clermont a bien débuté 2017 en allant remporter le derby à Roanne (94-96). Les joueurs de Stéphane Dao se sont imposés en ... Lire la suite.\\n\\n\\nFos-sur-Mer\\n\\n– Après 11 victoires consécutives, les joueurs de Rémi Giuitta marquent le pas. La Normandie ne leur réussit pas, puisqu’après s’être inclinés à Evreux lors de la 12e journée (77-73), ils ... Lire la suite.\\n\\n\\nBourg revient très fort\\n\\n– Avec les défaites du premier Fos-sur-Mer (70-64 au Havre) et du deuxième Charleville-Mézières (86-88 contre Denain), la quatorzième journée de Pro B a fait les affaires de la JL Bourg... Lire la suite.\\n\\n\\n» Oui, on est inquiet «\\n\\n– L’annonce du trou de 150.000\u2009€ à la Berrichonne Basket ravive le spectre d’une mort possible du club. Mais son président ne rend pas les armes... Lire la suite.\\n\\n\\nLe Portel laisse filer le derby contre Gravelines dans une ambiance exceptionnelle\\n\\n– Des frissons. La chair de poule. Du bonheur à l’état pur. Les spectateurs de ce premier Opalico de Pro A ne sont pas près d’oublier leur lundi soir. Après une soirée basket magique... Lire la suite.\\n\\n\\nManque de lucidité\\n\\n– Carton plein au SBC pour les équipes seniors à l’exception de la « une » masculine qui s’incline à Molsheim. Tout avait bien commencé bien pour les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’ASCO Mulhouse échoue d’un rien\\n\\n– L’ASCO Mulhouse a disputé son premier match de l’année 2017 à Strasbourg contre l’ASHPA 2 avec l’ambition de faire mieux qu’au match aller, à l’issue... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn 20e « triple double » cette saison (trois catégories de statistiques à dix unités et plus) et une ...\\n\\n– Un 20e « triple double » cette saison (trois catégories de statistiques à dix unités et plus) et une victoire d’Oklahoma City à Sacramento (122-118) :... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Union se stabilise en milieu de tableau\\n\\nClassement. La victoire contre le leader souffelois ne change pas la position de l’Union, qui reste 9e du classement. La faute, notamment, à la victoire surprise d’Orchies à Quimper (87-... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Rodrigue Beaubois en feu pour le derby basque"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Seize joueurs pour neuf pays, le contingent tricolore a bien regonflé ses troupes pendant l’intersaison. De la Lituanie à l’Espagne, de l’Allemagne à la Grèce en passant par la Russie et la Chine (!), Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n\\nRodrigue Beaubois ultra efficace\\n\\nEn ce début d’année, les ligues célèbrent leurs meilleurs joueurs avec leur All Star Weekend, comme en Allemagne ou en Turquie par exemple. Thomas Heurtel était convié à la grande fête stambouliote et il finit à 16 points et 9 passes.\\n\\nDans les matchs qui ne comptent pas pour du beurre, Rodrigue Beaubois (21 points) et Edwin Jackson (20 points) se sont encore bien tirés la bourre en Liga ACB. Très adroit (7/9), Beaubois a mené Vitoria à la victoire face à Bilbao tandis que Jackson n’a pas pu empêcher une nouvelle défaite d’Estudiantes face à son pote Antoine Diot (4 points, 4 passes) et Valence. De son côté, Andrew Albicy (1 point, 9 passes) a fait tourner la boutique dans un succès facile d’Andorre face à Séville.\\n\\n\\nGuerschon Yabusele monstrueux\\n\\nAprès son match des étoiles réussi, Guerschon Yabusele avait carrément les coudées franches avec Shanghaï ce weekend, car il jouait sans Jimmer Fredette, leur meilleur scoreur. Yabusele en a bien profité avec un match de mammouth : 33 points, 16 rebonds et 6 passes en 47 minutes !\\n\\nPar ailleurs, on notera la superbe performance de Nando De Colo en Russie. L’arrière du CSKA Moscou réalise un double double en 31 minutes avec 17 points, 11 passes et 4 interceptions. Encore du très propre pour Nando qui s’est même permis une petite fantaisie avec une passe sublime dans le dos pour James Augustine. Enfin, Léo Westermann (12 points, 5 rebonds) a lui aussi été très efficace en Lituanie dans une nouvelle victoire du Zalgiris.\\n\\n\\nAllemagne\\n\\nFabien Causeur (Bamberg) : All Star Weekend\\n\\n\\nChine\\n\\nGuerschon Yabusele (Shanghaï) : 33 points (12/21 aux tirs), 16 rebonds, 6 passes, 1 interception mais 4 balles perdues en 47 minutes (victoire 97-92 face à Taiyuan)\\n\\n\\nEspagne\\n\\nRodrigue Beaubois (Vitoria) : 21 points (7/9 aux tirs), 3 rebonds, 3 passes en 28 minutes (victoire 84-63 face à Bilbao)\\n\\nEdwin Jackson (Estudiantes) : 20 points (8/16 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds en 29 minutes (défaite 93-85 face à Valence)\\n\\nKim Tillie (Vitoria) : 5 points (2/3 aux tirs), 2 passes en 11 minutes (victoire 84-63 face à Bilbao)\\n\\nAli Traore (Estudiantes) : 4 points (2/3 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 1 interception en 17 minutes (défaite 93-85 face à Valence)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : 4 points (2/4 aux tirs), 4 passes, 1 rebond, 1 interception en 21 minutes (victoire 93-85 face à Estudiantes)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 1 point (0/7 aux tirs), 1 rebond, 9 passes, 3 interceptions en 23 minutes (victoire 95-69 face à Séville)\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAngelo Tsagarakis (Trikala) : pas de match\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Brindisi) : pas de match\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLeo Westermann (Kaunas) : 12 points (4/5 aux tirs), 5 rebonds, 2 interceptions, 1 passe en 26 minutes (victoire 63-56 face à Pasvalys)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA) : 17 points (6/9 aux tirs), 11 passes, 4 interceptions, 2 rebonds en 31 minutes (victoire 105-91 face à Kazan)\\n\\nNobel Boungou-Colo (Khimki) : 6 points (2/7 aux tirs), 3 rebonds en 16 minutes (victoire 83-66 face à Astana)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAlpha Kaba (Mega Leks) : 7 points (3/7 aux tirs), 8 rebonds en 18 minutes (défaite 89-85 face à Zagreb)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nThomas Heurtel (Efes Istanbul) : 16 points, 9 passes (All Star Weekend)\\n\\nAdrien Moerman (Darussafaka Istanbul) : All Star Weekend\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Amath M’Baye cartonne encore"
}, 
{"role": "user",     "content":"Allemagne : vers une nouvelle salle financée par Red Bull à Munich"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Sportando, Uli Hoeness, le président du Bayern Munich et Dietrich Mateschitz, le fondateur de Red Bull seraient tombés d’accord pour un contrat de partenariat dans le but de voir naître une toute nouvelle Arena multisports à Munich.\\n\\nCette arena qui devrait voir le jour pour 2019 pourra accueillir 10 000 personnes et elle sera d’abord dédiée aux matchs de basket du Bayern Munich ainsi qu’aux matchs du EHC Red Bull Munich, l’équipe de hockey sponsorisée par la célèbre boisson énergisante.\\n\\nCe projet a pour but de rénover l’ancien Radstadion qui a justement été détruit en 2015 pour laisser la place à une nouvelle infrastructure. Et pour ce faire, Red Bull a décidé d’investir pas moins de 100 millions de dollars. Une somme qui devrait être rentabilisée grâce aux revenus générés par la location de la salle.\\n\\nC’est une belle opportunité pour le Bayern Munich qui pointe actuellement à la 3e place du classement de Bundesliga (14v-3d) et qui est également à 2 victoires pour aucune défaite dans le Top 16 de l’Eurocup.\\n\\nPhoto : Bayern Munich"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Barcelone engage Vitor Faverani"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A la recherche de renfort dans son secteur intérieur, le FC Barcelone vient de mettre la main sur Vitor Faverani qui arrive en provenance de Murcie.\\n\\nPassé par la NBA et les Boston Celtics lors de la saison 2013/14 (4,4 points et 3,4 rebonds en 13mn de jeu), le natif de Porto Alegre connaît très bien la Liga Endesa pour y avoir passé pratiquement l’intégralité de sa carrière entre Saragosse, Malaga, Valence et Murcie. Avec Barcelone il connaîtra donc une cinquième formation espagnole et sa troisième expérience en Euroleague après Malaga en 2008/09 et le Maccabi Tel-Aviv en 2015.\\n\\nCette saison avec l’UCAM, ce pivot de 28 ans compilait en moyenne 9,7 points et 4,5 rebonds (11,3 d’évaluation) en ACB et 11 points et 4 rebonds en Eurocup.\\n\\n\\n\\n\\nEl @FCBbasket Lassa añadió a Vitor Faverani a su juego interior. #LigaEndesa pic.twitter.com/DgdBFLxATQ\\n\\n\\n— Liga Endesa (@LigaEndesa) January 16, 2017\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Fos Provence : Fin de contrat pour Théo Leon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fin de parcours pour Théo Leon (1,80 m, 24 ans) avec Fos Provence Basket. Arrivé au mois de novembre dernier afin de pallier l’absence de Xavier Gaillou, le meneur de jeu français vient de terminer son contrat au sein de l’équipe provençal. Celui-ci vient de prendre fin le 13 janvier dernier.\\n\\nAperçu le temps de matchs de championnat Pro B, le natif de Chambéry a compilé 3 points, 1,4 rebonds et 2,8 passes pour 3,6 d’évaluation en 16 minutes de temps de jeu.\\n\\nAvec lui Fos, actuel leader de la division, s’est imposé à 7 reprises.\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Internationales, joueuses d’Euroleague et étudiantes à... Sciences Po"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Diandra Tchatchouang (1,86m, 25 ans) et Aby Gaye (1,95m, 21 ans) sont internationales, se font les stages de préparation y compris en pleine saison, disputent l’Euroleague l’une avec Bourges et l’autre avec Villeneuve d’Ascq, et bien sûr le championnat national et la Coupe de France et, en plus, elles prennent le temps d’étudier, et pas n’importe où, à Sciences Po, dans le cadre d’un cursus pour les sportifs de haut niveau. C’est ce que nous apprend le site de la Ligue Féminine.\\n\\n« Plusieurs diplômes sont proposés », raconte Aby Gaye. « Pour ma part, je passe le certificat préparatoire ce qui équivaut à une Licence. Ca se fait sur plus ou moins trois ans en fonction de la façon dont on suit les cours, sur place ou à distance. A la suite de ce diplôme, je pourrais passer le concours d’entrée pour un Master à Sciences Po. »\\n\\nAprès avoir envisagé d’entreprendre des études de journalisme –elle a d’ailleurs toujours l’idée dans un coin de sa tête- Diandra Tchatchouang a donc décidé de prendre la même filière et visiblement, la Berruyère ne se plaint pas de son emploi du temps :\\n\\n« Je viens de commencer la formation donc je ne suis pas aussi organisée qu’Aby. Je bosse dans l’avion ou le bus, au lieu d’écouter de la musique ou de me relaxer, parfois à la place de la sieste. Mais ça fait partie de mon quotidien, ce n’est pas contraignant. J’ai aussi demandé quelques conseils à Aby sur le rythme à avoir. Elle est un exemple pour moi. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Isaiah Austin a fait ses grands débuts avec le FMP en Ligue Adriatique"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Déclaré inapte à la pratique du basket de haut niveau il y a presque trois ans, Isaiah Austin a finalement obtenu le feu vert des médecins et a rejoint Belgrade il y a quelques jours.\\n\\nEngagé en Ligue Adriatique, le FMP recevait Mornar samedi soir à l’occasion de la 18e journée de la compétition, et le club serbe s’est imposé 92-85.\\n\\nPour cette première dans le monde professionnel, l’ancien étudiant de Baylor a été plutôt efficace puisque dans la victoire de son équipe il a compilé 9 points et 4 rebonds en 12 minutes.\\n\\n\\nPhoto : ABA League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Yakhouba Diawara confirmé à Caserte"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme il l’a indiqué lui-même sur les réseaux sociaux, Yakhouba Diawara (2,00m, 34 ans) a signé jusqu’à la fin de la saison à Juve Caserte, en Serie A italienne.\\n\\nL’ex-international connaît déjà très bien le championnat italien pour avoir porté avec efficacité les maillots de Fortitudo Bologne, Brindisi, Venise et Varese. Il a aussi 187 matches en NBA à son actif.\\n\\nLa saison dernière, il a effectué une saison très décevante au Limoges CSP: 5,6 pts à 34,1% aux shoots et 3,1 rbds.\\n\\n\\n\\n\\nIo Sono bianconero El pistolero 🔫🏀Juve Caserta .forza\\n\\n\\n— Yakhouba Diawara (@TheKoobs) January 16, 2017"
}, 
{"role": "user",     "content":"Meilleur joueur européen 2016 : Teodosic préféré à De Colo !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour la première fois depuis 2000, ce n’est pas un joueur de NBA qui a remporté le trophée reconnu de Joueur Européen de l’Année organisé par le quotidien sportif italien Gazzetta Dello Sport auprès de joueurs, coaches et journalistes de quatorze pays.\\n\\nEt... deuxième surprise, ce n’est pas Nando De Colo qui arrive en tête des voix mais son équipier au CSKA Moscou, Milos Teodosic (1,95m, 29 ans) qui a pour lui d’avoir gagné en plus de l’Euroligue, une médaille d’argent aux JO de Rio avec la Serbie.\\n\\nLe Français est tout de même classé en deuxième position devant l’Espagnol Pau Gasol lauréat en 2015."
}, 
{"role": "user",     "content":"Double hommage à Pape Badiane"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Samedi, face à Nantes, c’est la première fois que le Poitiers Basket 86 jouait à domicile depuis le décès accidentel, dans la nuit du 23 au 24 décembre, de Pape Badiane. Le club a évidemment rendu un vibrant hommage à celui qui a porté son maillot durant quatre saisons.\\n\\nJoueurs, dirigeants et employés ont revêtu un tee-shirt où le logo du Poitiers Basket était détourné en « Pape Badiane » et les joueurs ont joué avec un bandeau noir sur leur maillot où était inscrit le prénom de leur ancien coéquipier.\\n\\nUn portrait de Pape Badiane a été accroché sur l’un des murs de la salle Saint-Éloi, et les supporters ont déployé une banderole avec la mention « RIP Papounet ». De plus, comme le rapporte La Nouvelle République, le speaker du club a lu un texte émouvant.\\n\\n« J’ai eu la chance d’être l’un des speakers de ce joueur. Bien plus qu’un talentueux basketteur, c’est par sa gentillesse et sa simplicité que cet homme aura marqué le club poitevin et plus largement le basket français. »\\n\\nAu même moment, à Roanne, club avec lequel Pape Badiane fut champion de France et joua l’Euroleague, son maillot était retiré en la présence de sa femme Julie, et de ses filles Miyana et Namily."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : le Top 10 du mois de Décembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il y en a eu du spectacle sur les parquets de Pro A durant le mois de décembre. Voici les plus belles actions des joueurs de l’élite française avec en tête d’affiche le Chalonnais Jérémy Nzeulie auteur d’une superbe poster dunk sur le Strasbourgeois Paul Lacombe."
}, 
{"role": "user",     "content":"Boulogne-sur-Mer : Tyreek Duren de retour cette semaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bloqué aux Etats-Unis depuis la fin d’année civile 2016 où il était reparti pour son visa de travail, Tyreek Duren (1,83 m, 25 ans) devrait faire son retour à Boulogne-sur-Mer cette semaine.\\n\\nLe SOMB indique que son meneur de jeu américain devrait être de la partie pour le déplacement à Bourg-en-Bresse le 20 janvier prochain.\\n\\nAbsent pour la reprise, le natif de Philadelphie avait grandement manqué au collectif somiste samedi soir lors de la défaite 63-71 face à Lille.\\n\\nDeuxième évaluation du groupe, il tourne à 12,3 points, 3,3 rebonds et 7 passes pour 14 d’évaluation en 28 minutes sur 8 matchs de championnat Pro B."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Français Matt Gamberoni trouve refuge au Portugal"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vu au Danemark le temps de 3 matchs (1, -11 et 1 d’évaluation) en début de saison avec Stevnsgade avant d’être libéré par les dirigeants danois au mois d’octobre 2016, Matt Gamberoni (2,07m, 25 ans) a trouvé un nouveau club en ce début d’année civile.\\n\\nL’Alsacien met le cap sur le Portugal et renforce Maia Basket Club, actuel onzième et avant-dernier de la LPB portugaise (la première division).\\n\\nNé dans l’Est de la France à Mulhouse puis vu au FCM, à Orléans, à Limoges et Caceres en Espagne, il s’était ensuite envolé en 2012 pour poursuivre sa formation aux Etats-Unis. Passé par un JUCO (Kilgore JC) puis Barry en NCAA II, il avait après rejoint l’université de Trevecca Nazarene en NCAA II entre 2014 et 2016 (12 points à 58% aux tirs, 7,2 rebonds et 1,2 passe décisive lors de sa dernière année).\\n\\nAprès une courte expérience au Danemark, le costaud intérieur (117 kg) tentera de faire mieux au Portugal pour ce qui est sa première saison professionnelle.\\n\\nPhoto : Maia Basket Club"
}, 
{"role": "user",     "content":"Florent Pietrus de retour pour l’Opalico"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Florent Pietrus est arrivé à Gravelines-Dunkerque le 13 octobre dernier pour remplacer Fernando Raposo, touché au dos, et dont le club pouvait craindre qu’il soit hors de service pour une longue durée.\\n\\nSeulement victime d’une déchirure de l’adducteur lors d’un match de FIBA Cup contre Limbourg, l’ancien international n’a pour l’instant joué que 7 matches pour 4,4 pts et 3,8 rbds. Après six semaines d’arrêt, Pietrus effectuera son retour ce soir pour ce qui a été astucieusement baptisé l’Opalico, le derby BCM-ESSM Le Portel.\\n\\nOutre que l’enjeu prestigieux de la première édition de ce derby, le BCM a besoin de victoire dans l’optique de décrocher une place en Leaders Cup, sachant que lors de la dernière journée aller il effectuera un voyage périlleux au Mans.\\n\\nFlorent Pietrus a une autre bonne raison de gagner : jeudi, c’est son anniversaire. Il fêtera ses 36 ans."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse 16 janvier 2017"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nUn redémarrage en côte pour le SLUC\\n\\n– Avec son équipe remodelée, le SLUC Nancy a commencé l’année comme il avait fini la dernière, par une défaite. En reconstruction, l’équipe doit encore... Lire la suite.\\n\\n\\nBasket-ball : les réactions après Pau – Limoges\\n\\n– L’Elan s’est largement imposé, au Palais des sports, face à Limoges, dans le 100e clasico... Lire la suite.\\n\\n\\nJura Salins bat Montmorot sur le fil\\n\\n– Dans le derby jurassien de la deuxième journée des matches retour, qui a opposé à Montmorot à Jura Salins, les Catharues ont laissé passer leur... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Lédoniennes passent la troisième pour s’imposer\\n\\n– Grâce à un gros temps fort dans le troisième quart-temps, les Lédoniennes ont parfaitement lancé leur année 2017... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTarare déroule face à Clermont\\n\\n– Après une grosse entame tararienne et une belle avance (29-12, 10e), les Auvergnats ont su retrouver leur jeu dans le second acte et largement dominer... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nOzon au bout du suspense\\n\\n– Grâce à un shoot à 3 points inscrit à deux secondes du buzzer, Ozon est venu à bout de Vaulx-en-Velin... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nVilleurbanne empoche le derby\\n\\n– Quoi de mieux qu’un bon derby avec toute la passion qui l’accompagne pour commencer la nouvelle année. Dans ce combat où Ozon a proposé pendant 40... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBeaujolais Basket voyage bien\\n\\n– Avec un effectif réduit et trop diminué, Montbrison a subi la loi d’une formation bien armée dans tous les compartiments du jeu, Pour l’occasion... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nChassieu-Décines a réglé la mire\\n\\n– En difficultés à l’allumage, Chassieu-Décines a dû montrer son sérieux pour s’imposer face au Clar et revenir à trois points du leader... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’addition est salée pour Lyon SO\\n\\n– Le public s’est déplacé en nombre pour voir ce combat pour la première place, où il est question aussi de suprématie régionale... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFrance élite jeunes : double peine\\n\\n– La CTC Bresse a manqué son retour en compétition face à Nice. La troupe de Damien Fontaine n’a pu contenir Ilona Hattab qui a inscrit tous les points... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne remise en question est impérative\\n\\n– Quatre défaites de rang pour Andrézieux. Le bilan est lourd à assumer même si certaines circonstances atténuantes peuvent être mises en avant. Une... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’AL Lons chute et porte réclamation\\n\\n– L’AL Lons a subi sa première défaite de la saison samedi à Marzy au terme d’un match pourtant à sa portée. Mais Sylvain Sacco a émis une réserve... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe dérapage incontrôlé du SCB\\n\\n– Le nouveau départ tant espéré s’est terminé dans le fossé blésois. Pris dans la tempête, le SCB a patiné, donnant quelques coups de volant lorsqu’il... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRoanne toujours sans défense\\n\\n– La Chorale a la volonté mais pas l’efficacité défensive. Le coup de sifflet au buzzer n’explique pas tout. C’est la sixième défaite en sept matches... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPoligny voit déjà rouge\\n\\n– Avant dernier de sa poule avant la rencontre, Poligny s’est incliné en fin de match dans les Vosges et démarre mal la nouvelle année... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTout est possible lors de la phase retour\\n\\n– Défait à Arras, le BCMF demeure à la 9ème place. Le déplacement à Aulnoye de la semaine prochaine est capital en vue du maintien... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nNicolas Lang : « Il faut qu’on se calme ! »\\n\\n– Le Mulhousien regrette que son équipe perde parfois sa lucidité après avoir creusé un écart et encaissé une série de son adversaire... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSan Antonio se fait encore surprendre\\n\\n– Washington – Philadelphie 109-93 Utah – Orlando 114-107 Phoenix – San Antonio 108-105 Chicago – La Nouvelle-Orléans 107-99 LA Clippers – LA Lakers... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCourte défaite face au leader\\n\\n– Les Panthères Mulhouse ont perdu d’un rien samedi soir à Dijon en raison d’une entame de match ratée (61-58)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nKaysersberg a eu chaud\\n\\n– L’équipe de Fabien Drago s’est fait peur mais a fini par avoir le dernier mot, samedi soir à Bruay Labuissière (75-77)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nNord Sundgau perd gros\\n\\n– En s’inclinant samedi soir à Geispolsheim, Nord Sundgau a raté l’occasion de quitter la dernière place de la poule (89-84)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBerrwiller/Staffelfelden trop court\\n\\n– Les protégées de Jérémy Mercier ont cédé en fin de rencontre hier après-midi face à Valentigney (54-56)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne reprise réussie\\n\\n– L’US Wittenheim a réussi son retour à la compétition en s’imposant de justesse hier après-midi face à une équipe de la SIG II accrocheuse (65-64)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRixheim in extremis\\n\\n– Les joueurs de Cédric Garnier ont dû batailler ferme, hier après-midi à la Cité des sports de Rixheim, face à une équipe de Dessenheim qui leur a mené... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe FCM humilié\\n\\n– L’équipe mulhousienne n’a jamais eu voix au chapitre samedi soir dans le fief d’Ouest Lyonnais (93-70)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPfastatt ne s’arrête plus\\n\\n– Les joueurs de Jean-Luc Monschau ont infligé à Prissé-Mâcon sa première défaite à domicile de la saison (72-84), samedi soir à la salle des sports de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’ESB déjoue les pronostics\\n\\n– L’Espoir Chalosse ne mena que quelques minutes (9-5, 3e). Jouve avec deux lancers et Rey (2 primés) mirent l’ESB en tête (5e). Kunata de près, Verri et Bottin scorèrent à leur tour et ... Lire la suite.\\n\\n\\nL’USP a bien résisté aux coleaders\\n\\n– C’est privés d’Adrien Boué out pour la saison (rupture des ligaments) que les Puymiroalis affrontaient les Cadets de Chalosse. D’entrée, l’équipe de Nicolas Bourgade était menée 8-0 ... Lire la suite.\\n\\n\\nLa JIL inaugure 2017\\n\\n– Un début de match très équilibré où Pokora s’est mis particulièrement en valeur avec ses 8 points, dans le 1er quart atteint par une égalité parfaite (14-14). Le 2e acte fut plus compliqué ... Lire la suite.\\n\\n\\nUn succès porteur d’espoir\\n\\n– Pour ce dernier match de la phase aller, les Villeneuvois devaient l’emporter pour rejoindre le ventre mou du classement. Après quelques minutes de round d’observation, la troupe de ... Lire la suite.\\n\\n\\nSérieux coup de froid au Stadium\\n\\n– La meilleure défense du championnat jusqu’alors (à la moyenne de 66 points concédés) a littéralement explosé samedi en 1ère mi-temps en raison de sa trop grande permissivité face ... Lire la suite.\\n\\n\\nSuperbe performance de l’UBVP en Aveyron\\n\\n– En se rendant à Rodez, les protégés de Cyril Marboutin espéraient tirer les bénéfices d’une trêve des confiseurs très studieuse. Derrière un Ismaël Condé impérial, samedi soir, les ... Lire la suite.\\n\\n\\nMerci qui ? Merci Kader..\\n\\n– Le chronomètre indiquait 39 minutes 59 secondes et le final fut fertile en émotions entre Layracais et Chalossais très souvent au coude à coude. Le BCLA menait, dans la dernière ... Lire la suite.\\n\\n\\nLa passe de deux pour L’Union\\n\\nAlex Casimiri, coach de l’Union : «ça se joue sur un rien mais ce succès, on ne l’a pas volé, non plus ; le match, ça aurait été triste de l’avoir perdu. Certains joueurs, dans les vestiaires, ... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau a retrouvé sa splendeur, Limoges a perdu son honneur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il faut puiser dans sa mémoire pour se souvenir d’un si bel emballage avec rétros, célébration de Freddy Hufnagel et Gheorghe Muresan, près de 8 000 spectateurs dont plusieurs autres figures historiques, huées pour accueillir les Limougeauds à leur entrée sur le parquet, diffusion du match sur Facebook, tifos, chants et tout le tralala mais... rien à l’intérieur. Une coquille vide. Sur le terrain, la 100e édition du clasico Pau-Limoges fut carrément barbante car son sort s’est scellé dès les deux premiers quart-temps (23-14, 51-33) et le reste fut un long, un très long garbage time.\\n\\n89-57 au final, +32, c’est le troisième plus gros éclat des 100 matches.\\n\\nLes coupables, ce sont les joueurs limougeauds, indignes de l’événement, indignes de la tradition, indignes de trente-neuf ans d’histoire. On ne plaisante pas avec ça à Limoges car un CSP-Elan Béarnais, c’est comme un OM-PSG, un Olympiakos-Panathinaikos et si on meurt à la fin, c’est au minimum les armes à la main. Ce matin la ville se réveille avec la gueule de bois et en veut terriblement à ceux qui devaient être ses ambassadeurs.\\n\\n« CSP : le centième clasico de la honte » titre Le Populaire, ajoutant : « sans fierté face à de remarquables palois les Limougeauds ont été archi dominés et ont fait honte à leurs supporters »\\n\\n\\nUne équipe de Limoges rafistolée\\n\\nDe fait, quel décalage entre les orgueilleux fans de basket limougeauds, volontiers chambreurs, et cette équipe incolore et et sans saveur. Jamais peut-être on s’est rendu compte à ce point que ce Limoges manque dramatiquement d’ancrage français sachant que Fréjus Zerbo n’est qu’un fruste rôle player alors que Mathieu Wojciechowski n’a pas pour l’instant le niveau requis. Seul Ousmane Camara, encore 15 points et 10 rebonds hier soir, est digne de ce maillot. On est si loin de ces équipes gavées d’internationaux des années 80 et 90 qui ont fait la publicité de ce clasico toute la semaine, développant une atmosphère de nostalgie.\\n\\nQuant aux cinq Américains présents sur le parquet ils contribuent largement à donner l’impression que c’est une équipe limougeaude rafistolée sans âme et sans perspective. La comptabilité de leurs tirs, 9/40, vaut toutes les analyses. Le CSP a fait montre d’une totale impuissance.\\n\\nLe coach Vule Vujosevic continue de formuler ses consignes en serbo-croate et son interprète de les traduire en anglais et le tout donne une impression de malaise. Son conflit avec le président Frédéric Forte qui a éclaté au grand jour à la fin décembre n’est évidemment pas bon pour la sérénité ambiante. Ce sont ses succès au Partizan qui lui donnent jusqu’ici une certaine immunité mais pour combien de temps encore ?\\n\\n« Je reconnais que j’ai ma part de responsabilité dans cette défaite. Pour un match comme ça, les joueurs ne devraient pas avoir besoin qu’on les motive. On a été mauvais dans tous les compartiments du jeu. Face à une équipe aussi motivée que Pau, c’était compliqué », rapporte ce matin Le Popu.\\n\\n\\nAlain Koffi a retrouvé ses jambes de 20 ans\\n\\nParallèlement, la côte du discret Eric Bartecheky, à qui tout réussi depuis trois saisons –rappel : il a fini 6e avec le Havre il y a deux ans avant de rouvrir les portes des playoffs à Pau-, monte au firmament ... Comme avec Juice Thomson précédemment, le coach palois s’appuie sur un meneur américain de grand classe, un véritable homme orchestre qui lui était ultra motivé, D.J. Cooper, qui a encore frôlé le triple double : 15 points, 13 rebonds, 8 passes. L’Américain a donné le vertige aux Limougeauds et les observateurs sont de plus en plus incrédules se demandant pourquoi il ne joue pas dans une ligue supérieure.\\n\\nL’autre symbole palois, c’est Alain Koffi (26 d’évaluation avec 17 points, 8/9 aux shoots, 6 rebonds et 3 contres) sublimé par son meneur mais surtout qui a retrouvé à 33 ans toutes son intégrité physique après quatre saisons de galère au Mans suite à une blessure et deux autres de remise à niveau à Rouen. En 2009, Alain Koffi avait été élu MVP français de Pro A et aujourd’hui il est un de nos rares compatriotes à pouvoir se mêler à la lutte avec les étrangers pour décrocher le trophée qui ne fait plus de distinction entre les nationalités.\\n\\nTous les Palois ont joué avec une extrême confiance et Eric Bartecheky a pu offrir 15 minutes à Léopold Cavaliere (20 ans) et 13 à Elie Okobo (19 ans), lui aussi gaucher qui a planté deux trois-points sur le modèle de D.J. Cooper. Pendant ce temps là, le Limougeaud Vincent Fauché, dominateur en espoir, reste invariablement sur le banc alors que son coach est sensé favoriser le sort des jeunes.\\n\\n« On fait un match plutôt abouti et pratiquement référence », souriait Eric Bartecheky « Il faut féliciter les joueurs, tout le monde a été bon. On perd 8 balles et on fait 26 passes décisives, c’était un vrai plaisir. On s’attendait à un match plus serré mais on a fait preuve de détermination et on a développé tout ce qui avait été décidé. »\\n\\nLe Limoges CSP a tout perdu hier soir : la possibilité de décrocher une place en Leaders Cup et surtout l’honneur. Dans une mise en scène digne d’une centième, l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez, toujours invaincu au Palais, a lui apporté au monde du basket français la preuve ultime que l’interminable temps de la purge est terminé. L’Elan est revenu en haut de l’affiche.\\n\\nA découvrir ici et ici les superbes albums photos de la République des Pyrénées et du Populaire du Centre."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les articles de la semaine du 9 janvier 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque dimanche, Basket Europe vous propose une sélection des meilleurs articles de la semaine afin de connaître l’essentiel de l’actualité :\\n\\n 1.  Orthez – Limoges : le jour où Pierre Seillant attrapa Clarence Kea par les c...\\n 2.  Equipe de France : Vincent Collet et Patrick Beesley ont vu Nicolas Batum et appellent à la mobilisation\\n 3.  La vérité sur les finances des clubs pros en France\\n 4.  Pablo Prigioni prend sa retraite\\n 5.  Vidéo : Une lycéenne de 15 ans dunke en plein match !\\n 6.  [replay] L’explosion de joie du public de Belgrade après le contre de la gagne d’Ognjen Kuzmic\\n 7.  Les stats 2.0 pour résumer les dix ans de carrière de Nando de Colo\\n 8.  Le clasico Pau-Limoges diffusé en direct sur Facebook !\\n 9.  Faut-il avoir peur de jouer en Turquie ?\\n 10. Alain Béral (LNB): « L’Euroleague ne peut pas se passer de notre économie »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie : Tyler Honeycutt dunke par-dessus cinq joueurs !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors du All-Star Game turc, un traditionnel concours de dunks a été organisé, et c’est l’Américain d’Anadolu Efes Tyler Honeycutt qui l’a remporté en volant par-dessus cinq joueurs.\\n\\nAncien Bruin d’UCLA, Tyler Honeycutt (2,03m, 26 ans) a joué 24 matches aux Sacramento Kings et aussi deux saisons au Khimki Moscou."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les clubs italiens décident de retourner en Eurocup"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les clubs italiens vont retourner en Eurocup la saison prochaine. La nouvelle a été confirmée par le président de la Legabasket Egidio Bianchi dans une interview à la Gazzetta dello Sport.\\n\\n« J’ai parlé avec (Jordi) Bertomeu (le directeur de la société qui gère l’Euroleague). Nous aurons un spot en Euroleague (Olimpa Milano) et deux en Eurocup. Nous discutons pour en avoir un autre par l’intermédiaire des wild cards », a annoncé Egidio Bianchi.\\n\\nL’Italie avait déjà a priori trois places réservées cette saison en Eurocup plus une wild card mais les équipes s’étaient désistées sous la pression de la FIBA et de la fédération italienne qui les menaçaient de les exclure de la Serie A.\\n\\nOn attend maintenant la réaction de la Fédération Internationale dans cette pitoyable guerre d’usure.\\n\\nPar ailleurs, la ligue italienne a pris la décision de changer son règlement à propos des étrangers. Son objectif est de permettre la présence par équipe de sept étrangers, peu importe le passeport, et de cinq Italiens avec des primes pour les équipes qui font appel davantage à ceux-ci."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pierre Seillant (ex-président de Pau): «je prends toujours plaisir à voir Limoges perdre»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec tous les interviews réalisées des anciens protagonistes, La République des Pyrénées a pu constituer un best of des punchlines concernant les Pau-Limoges dont la 100e édition est programmée ce dimanche à 18h30.\\n\\nVoici trois échantillons.\\n\\nDu Palois Freddy Fauthoux, aujourd’hui coach du Paris-Levallois :\\n\\n« Le titre de 1998, c’est un de mes plus gros souvenirs de joueur. La remise du trophée sous la bronca de Beaublanc c’était vraiment jouissif, presque une marque de respect, je les en remercie encore ! »\\n\\nDu Limougeaud Yann Bonato, aujourd’hui propriétaire de magasins d’optique à Limoges :\\n\\n« Avec les frères Gadou ou Fauthoux, tu n’étais jamais à l’abri. Ils étaient habités. Plus tard, cela a été pareil avec Flo Pietrus. Lui, il était dangereux. Bien fâché, il pouvait vous faire mal. Il a été bercé par cette rivalité et a suivi la tradition. »\\n\\nEt enfin, du Président orthézien et palois Pierre Seillant, champion du genre, aujourd’hui retraité :\\n\\n« Je prends toujours plaisir à voir Limoges perdre, que ce soit en Pro-A ou en Coupe d’Europe quand ils y étaient. Ils m’ont tellement maltraité, tellement insulté, hué, craché dessus... Je ne peux être qu’heureux quand ils perdent. Ad vitam eternam. C’est comme ça. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les highlights de la victoire surprise de Châlons-Reims sur Chalon-sur-Saône"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Châlons-Reims a obtenu hier un succès (74-69) qui fera date tant son adversaire Chalon, deuxième de Pro A, apparaissait d’une pointure supérieure et volait de succès en succès.\\n\\nL’ailier Alex Young (1,98m, 27 ans, 18pts et 11rbds) a été le grand bonhomme du match avec un bon apport de son compatriote américain, l’intérieur Steven Smith (22pts).\\n\\nIl est à remarquer que la différence à l’évaluation est beaucoup plus flagrante qu’au score (93-64) et du côté visiteurs seuls John Roberson (23 d’éval) et Cameron Clark (25 points, 26 d’éval) sont dans leurs standards habituels. Les 2,18m de Moustapha Fall ont ainsi été moins pesants que d’habitude (6 pts et 8 rbds).\\n\\nAprès Le Mans et Villeurbanne, le CCRB s’offre ainsi un autre caïd à son tableau de chasse et, comme Hyères-Toulon, marque des points dans la lutte pour le maintien.\\n\\nAutre conséquence: les hommes de Jean-Denys Choulet sont maintenant (définitivement?) décramponnés par Monaco qui compte trois victoires de plus.\\n\\nLa TV du club champenois offre à chaque fois des highlights soignés avec des angles originaux."
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet : Philippe Hervé présente ses excuses au club"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« Avant toute chose, on doit présenter nos excuses au club, qui avait travaillé pour qu’on ait cette salle pleine, et pour le public. Ce match-là ne ressemble pas à ce qu’on doit donner », a commenté le coach Philippe Hervé après la débâcle de ses troupes contre Hyères-Toulon (66-86).\\n\\nAu retour de la mi-temps, CB a marqué un seul point en 7 minutes pour en encaisser 18 et l’écart (44-63, 27′) était définitif. Maurice Acker, Ferdinand Prénom (17 d’évaluation), David Michineau, William Howard (14 points, 7 rebonds) et Akeem Williams (20 d’évaluation) étaient passés par là. En face, seul Jerry Boutsiele (12 pts, 7 rbds) a vraiment surnagé ; il s’agit avant tout d’un bouillon collectif.\\n\\n« On ne peut pas ne pas se questionner après un match comme ça. Est-ce qu’on met trop d’intensité en préparation ? Car rien ne laissait présager au quotidien qu’on allait faire un match comme celui-là. Et certains comportements, marqués par la frustration, m’ont déplu. »\\n\\nSelon Ouest-France, c’est Isaiah Swan qui est visé dans les propos du coach, l’Américain étant resté scotché sur le banc dans le quatrième quart-temps.\\n\\nSimple incident de parcours ou gros malaise inquiétant pour la deuxième partie de saison ? Cholet Basket le saura bientôt."
}, 
{"role": "user",     "content":"En France, il y a d’autres derbies, d’autres clasicos..."
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le clasico Pau-Limoges vole la vedette à un autre match qui se jouera dans une atmosphère passionnée : le derby entre Gravelines et Le Portel, lundi à 20h30 sur SFR Sport 2. Les deux villes sont distantes de 66 km.\\n\\n« On attend ce match avec impatience. Malheureusement il y a deux ans quand on a joué le derby à Sportica contre le SOMB, Boulogne était déjà officiellement relégué. Ça n’avait pas été la même fête que ça le sera avec Le Portel. En terme d’affluence et d’impact on n’a plus connu ça depuis la finale de championnat face à Pau en 2004 », analyse le directeur exécutif Hervé Beddeleem sur le site du club.\\n\\nAlors que sa capacité officielle est de 3 043 places, 3 700 personnes devraient prendre place dans Sportica dont 600 supporters du Portel. Pour leur faire face le BCM a imprimé 2 500 tee-shirts oranges.\\n\\n« Les derbys précédents remontent au temps de Saint-Quentin et Berck il y a plus de 30 ans. Il y aura cette odeur particulière car l’ESSM est dans la dynamique que l’on a connu il y a 30 ans quand on est monté en Pro A. C’est un club qui a les mêmes valeurs que nous. Ils ont même repris nos chants avec les musiques du carnaval, l’hymne à Cô Pinard... »\\n\\n\\nVilleurbanne et ses clasicos\\n\\nIl existe d’autres derbies actuellement en Pro A : Nancy-Strasbourg (159km) avec la rivalité entre la Lorraine et l’Alsace, celui des Pays-de-Loire Le Mans-Cholet (158 km), celui de la Bourgogne Chalon-Dijon (70km), celui de la Côte d’Azur Antibes-Monaco (44km), et –le plus court en terme de distance, si l’on prend comme référence la salle Marcel-Cerdan et le palais des sports Maurice-Thorez-, Paris-Levallois-Nanterre (8km).\\n\\nQuant au clasico, celui qui concerne Limoges et Pau est le plus prestigieux, le plus médiatisé car à une époque les deux clubs étaient rivaux au plus haut niveau et les supporters s’exécraient, mais en fait le label de l’ancienneté est détenu à la fois par... Villeurbanne-Monaco puisque sa première édition eut lieu dès la première saison de la Nationale 1 (l’ancien nom donné à la Pro A), en 1949-50, et Villeurbanne-Le Mans, qui a pris son envol en 1962-63 et qui n’a connu que trois années d’interruption –lorsque le SC Moderne descendit en Pro B-, ce qui fait 104 éditions rien qu’en saison régulière.\\n\\nIl y a incontestablement des clubs qui savent mieux valoriser leur histoire et leurs rivalités régionales que d’autres."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 15 janvier 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\n“Le général” a été impérial\\n\\n– Il a massé les épaules de Paul Lacombe à l’issue de la conférence de presse. Avant le coup d’envoi, Louis Campbell avait aussi échangé quelques... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa tornade blonde\\n\\n– Paul Lacombe a encore été irréprochable avant-hier, à Levallois, mais la SIG n’a pas coupé à une nouvelle défaite. Ses coéquipiers gagneraient à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDenain récidive face à Charleville mais s’impose sur le fil\\n\\n– La trêve aura donc été bénéfique aux Dragons qui avaient certes bouclé 2016 par un succès contre Saint-Quentin (73-65) mais après avoir été en déliquescence en décembre en subissant quatre défaites en cinq journées. Le manque de compétition se faisait sérieusement sentir en début de match des deux côtés. Même si Hermannsson n’avait pas son aisance habituelle, Koné, Brown et But... Lire la suite.\\n\\n\\nL’ABBR fait le boulot face à Juvisy\\n\\n– La reprise du championnat a été de belle facture pour l’ABBR qui n’a pas été piégé par des Juvisiens solides à domicile et parfois à la limite de l’agressivité en s’imposant très logiquement, portant à 5 son nombre de succès consécutifs. La troupe de Pascal Jullien attaquait la rencontre en y mettant les ingrédients pour rapidement prendre son envol (0-5; 2-7, 2e). Sauf qu’aussitôt, Juvisy réus... Lire la suite.\\n\\n\\nUne première qui a du chien pour le Hainaut qui s’impose au buzzer à Nice\\n\\n– Et Mbuyamba-Tshimanga s’est effondré en larmes (de joie s’entend) après avoir inscrit le panier de la victoire (77-75) sur le buzzer des Amandinoises. Et le tout Hainaut a sauté de joie après avoir enfin ouvert le compteur en déplacement. Les Nordistes ont une sacrée force morale Malgré les absences des deux intérieure... Lire la suite.\\n\\n\\nMalgré le changement de coach, Boulogne reste dans les profondeurs du classement\\n\\n– Le coup de sifflet final vient de retentir. Les Boulonnais viennent d’enregistrer une nouvelle défaite à domicile. « Germain-Germain! » scande une bonne partie des supporters somistes. Les purs et durs. Ceux qui ne digèrent pas l’éviction de Germain Castano: pour eux, et pour une bonne partie des «silencieux», cette nouvelle déconvenue renforce l’idée que le limogeage du coa... Lire la suite.\\n\\n\\nLaborieusement, les filles de Frédéric Dusart sont parvenues à se dépêtrer du relégable tarbais\\n\\n– Se présentant comme un vulgaire «sparring-partner» avant de se rendre sur le parquet de Villeneuve-d’Ascq, François Gomez, le coach tarbais, avait sûrement omis de préciser qu’en face il fallait un combattant. Les guerrières, surnom qui colle aux basques des joueuses de l’ESBVA, semblent remisées au placard depuis quelques jours. Et sans une Alina Iagupova en mode canonnière hi... Lire la suite.\\n\\n\\nMaubeuge se fait humilier par la lanterne rouge\\n\\n– Face à la lanterne rouge, qui n’avait que 2 victoires en 11 rencontres, la défaite semblait improbable. Mais la «leçon d’envie» qu’ont donnée les Messins a suffi à renverser un colosse aux pieds d’argile. Dès l’entame, après avoir concédé un 0-6, après seulement deux minutes de jeu, Maubeuge montrait des signes de faiblesse. La suite, du même acabit, allait confirmer un sentiment d’impuissance... Lire la suite.\\n\\n\\nLa Pontoise étrille le leader\\n\\n– Au terme d’un match maîtrisé de bout en bout par l’équipe locale, la Pontoise relance complètement la seconde partie du championnat en surpassant... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« L’état d’esprit était bon »\\n\\n– « Il est difficile à sept joueuses de résister à une formation du calibre de Charleville. J’ai senti de la fatigue dans le dernier quart-temps où nous... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Espoirs de la Chorale avec autorité\\n\\n– Les Espoirs choraliens ont eu des sensations fortes face à des Lentinois entreprenants, à l’image de Cazalon (18 pts) et Ramseyer (26 pts). Malmenés... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond domine Caluire\\n\\n– Saint-Chamond a repris du bon pied le championnat de N2F en dominant le derby face à Caluire, 69 à 51, samedi soir, à la halle Boulloche. Ce cinquième... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Une faute qui n’existe pas »\\n\\n– « J’ai parlé à l’arbitre Matthieu Roux qui est le premier désolé. Il va chercher une faute qui n’existe pas. On avait quand même une prolongation à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« On n’a jamais existé »\\n\\n– « Quand Blois gagne à la maison, ils mettent plus de 90 points. On est parti dans ces eaux-là. On a fait un peu illusion à trois points en début de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDiminué, le BCM s’incline\\n\\n– Avec un effectif réduit et trop diminué, le BCM a subi la loi d’une formation bien armée dans tous les compartiments du jeu, Pour l’occasion Guillaume... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa neige plus forte que la balle orange\\n\\n– « Une équipe de jeunes de Salins devait se rendre à Dole. Ils ne sont pas venus à cause du mauvais état des routes. Nous n’avons pas voulu mettre en... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes cadets Bressans pour continuer de grandir\\n\\n– Les cadets de la JL Bourg doivent continuer à progresser durant la deuxième phase du championnat... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’OLB ne fait pas dans la demi-mesure\\n\\n– Voila du travail bien fait ! Après deux écueils enregistrés face à Aubenas et le leader Oullins Sainte-Foy, l’Ouest Lyonnais Basket a rectifié le tir... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Verts ont broyé Le Puy\\n\\n– Feurs peut déguster la galette étant bien les rois hier soir... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nMontbrison s’incline de peu en Artois\\n\\n– Les filles du BCM auront tenu tête à Arras jusqu’au bout. Mais cela n’a pas suffi. Elles s’inclinent de trois petits points. Rageant... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRoanne respire mieux\\n\\n– En dépit de la pollution et du mauvais temps, les Roannaises ont pris un bon bol d’oxygène à Paris avec un succès qui met un terme à une terrible... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCette fois, Andrézieux inquiète vraiment\\n\\n– Totalement surclassés, les hommes de Jérémy Beaufort ont concédé leur plus lourde défaite de la saison, samedi en Normandie. Il faudra réagir... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond en totale déroute\\n\\n– Après avoir compté jusqu’à 30 points de retard, Saint-Chamond s’est lancé dans une course-poursuite effrénée aussi tardive que vaine... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLyon perd McGivern... et le tie-break !\\n\\n– Entre la blessure d’un de ses joueurs clés McGivern et la défaite, l’Asul a perdu gros lors de cette rencontre... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDouble peine pour la Chorale\\n\\n– Le derby s’est terminé dans la confusion avec une faute d’Hollins sifflée sur Ware... au buzzer. Mais Vichy mérite largement sa victoire... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nIl a manqué un peu d’essence\\n\\n– Les Lyonnaises, revenues à égalité à l’entame du dernier quart-temps, n’ont cédé que dans les dix dernières minutes face au leader Charleville... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Asvel à quarante minutes de chez Mickey\\n\\n– Logique vainqueur d’un Sluc en chantier, le champion de France disputera la Leaders cup s’il s’impose à Orléans samedi prochain... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTemps au beau fixe pour Monaco\\n\\n– Monaco, tranquille leader de la ProA, a remporté sa 14e victoire de la saison après avoir contrôlé de bout en bout la rencontre face à Nanterre... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBasket: Monaco tranquille en ProA, suspense total pour les dernières place en Leaders Cup\\n\\n– Monaco, tranquille leader de la ProA, a remporté sa 14e victoire de la saison après avoir contrôlé de bout en bout la rencontre face à Nanterre (84-70), samedi lors de la 16e journée... Lire la suite.\\n\\n\\n« On a pu voir ce soir que les joueurs ont répondu de la bonne manière. »\\n\\n– L’entraîneur blésois Mickaël Hay pouvait être satisfait hier soir après la large victoire de ses joueurs sur Saint-Chamond. Il attendait une réaction après le faux pas à Rouen. Et ce, après une belle série de trois victoires en décembre. Il a été servi. « On a pu voir ce soir que les joueurs ont répondu de la bonne manière, confiai... Lire la suite.\\n\\n\\nRéla : » Je ne pensais pas qu’on était aussi bas ! «\\n\\n– Jimmy Réla (entraîneur de la Berrichonne)\u2009: « On est dans une situation où l’on doit faire zéro erreur pour espérer l’emporter. Or, là, il y a déjà seize points donnés à l’adversaire à la mi-temps à cause d’erreurs diverses et variées. Les joueurs avaient réalisé deux très bonnes semaines d’entraînement, mais cela ne s’est pas répe... Lire la suite.\\n\\n\\nMer sans surprise\\n\\n– Mer\u2009: 8 Déols (2)\u2009: 2 Les réservistes déolois se sont logiquement inclinés à Mer sur le score de 2-8. Face au grand favori pour l’accession en N2, les équipiers de Sylvain Meurgue n’ont cependant pas démérité. A l’image de Jonathan Pelmard (18) qui a poussé le leader mérois Lézin (n° 316) dans ses derniers retranchements. « Jonatha... Lire la suite.\\n\\n\\nVibrant hommage à Pape Badiane\\n\\n– au rebond Juste avant le coup d’envoi, un vibrant hommage a été rendu à Pape Badiane, tragiquement disparu dans un accident de la circulation le 23 décembre dernier. Speaker emblématique de la folle ascension du basket poitevin, Vincent Royet a lu un texte chargé d’émotion revenant sur le parcours de l’ex international, au PB 86 de 200... Lire la suite.\\n\\n\\nLe CAN 79 défait dans les Landes\\n\\n– n3m Très diminués par les blessures, les Niortais se déplaçaient dans les Landes chez une équipe qui annonçait dans la semaine son objectif de terminer cette phase aller par une victoire pour rester aux abords du podium. Laurent Hay\u2009; le coach niortais ne disposait que de 8 joueurs dont Sinae Amosie qui a repris tout juste et de Ribar Baikoua po... Lire la suite.\\n\\n\\nBressuire s’offre un leader pâlichon\\n\\n– Réveil bressuirais\u2009: 59 Cournon\u2009: 54 Face au leader de la poule, les Bressuiraises font un départ timide. Mais leur adversaire n’est guère mieux et il faut attendre près de trois minutes pour que ça se décante avec Delorme qui score facilement dans la raquette. Les pertes de balles s’accumulent pour les Bocaines qui jouent à l’envers et ne trou... Lire la suite.\\n\\n\\nWilson : » Il faut continuer sur ce chemin «\\n\\n– Lamayn Wilson (joueur de l’ADA Blois)\u2009: « C’est une très belle victoire. On voulait bien commencer l’année. Nous sommes entrés dans le match avec beaucoup d’intensité, de l’agressivité, on a mis nos tirs, c’était une belle première mi-temps collective. Après, on a un peu oublié notre basket pendant quelques minutes en deuxième mi-temps. L... Lire la suite.\\n\\n\\nLes Poinçonnoises repartent du bon pied\\n\\n– Boudy/Villeneuve : 54 Le Poinçonnet : 79 Entre Le Poinçonnet, classé premier de la poule et l’Union Boudy/Villeneuve/ Pujols, classée dernière, on s’attendait à une rencontre plutôt déséquilibrée même si le déplacement lointain des filles de l’Indre en Lot et Garonne pouvait laisser des traces dans les organismes de ces demoiselles. Du côté des... Lire la suite.\\n\\n\\nVineuil cède dans les dix dernières minutes\\n\\n– UTBM\u2009: 71 Vineuil\u2009: 62 Après plus d’un mois d’arrêt, les deux équipes ont eu du mal à se remettre dans la compétition. Elles ont rendu une copie un bien fade avec, dans tous les compartiments du jeu, un bon nombre d’approximations. Tout avait mal démarré pour Vineuil puisqu’à l’échauffement, Brochard se reblessait à la cuisse. Il fallait attend... Lire la suite.\\n\\n\\nThouars coule à Rezé\\n\\n– BCSP Rezé-Thouars\u2009: 85-67 En déplacement à Rezé, leader actuel du championnat, les Thouarsaises ont craqué physiquement malgré de bons débuts... Lire la suite.\\n\\n\\nLe PB hausse le ton\\n\\n– Poitiers – Nantes\u2009: 68-56 Solides en défense, les Poitevins ont dominé avec la manière le quatrième du championnat. Bon pour le moral... Lire la suite.\\n\\n\\nMonaco toujours injouable\\n\\n– Chez eux, les Monégasques, leaders de Pro A, n’ont laissé aucune chance à Nanterre, le troisième... Lire la suite.\\n\\n\\nCoulés pour de bon\\n\\n– Berrichonne – Ré : 55-74 Le retour de Réla n’a rien changé à la donne : les Castelroussins, malgré un mieux dans l’envie, n’ont pas le niveau... Lire la suite.\\n\\n\\nReprise en fanfare\\n\\n– ADA Blois – Saint-Chamond\u2009: 89-\u200972 Partage du ballon, rythme et adresse auront été les maîtres mots de l’ADA hier soir face à Saint-Chamond... Lire la suite.\\n\\n\\nUne référence défensive\\n\\n– UTBM – Pays de Fougères\u2009: 69-59 Grâce à une défense collective efficace et une grosse intensité, Tours a bien débuté l’année 2017 hier soir... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Quand Freddy Hufnagel, icône d’Orthez, raconte les virées d’après-match"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans une interview commune à la République des Pyrénées et au Populaire du Centre, Freddy Hufnagel, 56 ans, icône d’Orthez, qui va être honoré demain lors du clasico, en même temps que le géant roumain Gheorghe Muresan, révèle quelques secrets sur une époque aujourd’hui disparue.\\n\\nCelle des années 80 quand le basket n’était pas encore tout à fait professionnel, que les troisièmes mi-temps étaient aussi animées et beaucoup plus longues que les deux premières, et que les rapports avec les journalistes s’effectuaient sans attachés de presse, sans communicants, pour le moins à la bonne franquette.\\n\\nAttention : cet entretien est candidat à l’oscar de meilleure interview de la saison mais il est sans filtre et il peut choquer les moins de 50 ans !\\n\\n« Avec le recul, on a du mal à le croire, mais à l’époque, tu pouvais être bourré et rentrer en bagnole chez toi. Les gens voyaient les joueurs, c’était simple de boire un coup avec nous. Nous, on pouvait boire des coups, fumer une clope ou un pétard devant les journalistes, personne n’était choqué. Aujourd’hui, c’est différent, les mecs ils prennent leur plat en photo au resto?! On est devenu les paparazzis de notre propre vie, comme s’il fallait avoir une reconnaissance visuelle du moment où tu es bourré. Nous, ce n’est pas un film qu’on aurait fait, mais la Saga de Star Wars?! Rentré démâté à 6 heures du mat’ faisait parti du folklore. »\\n\\nTout ceci est certifié authentique."
}, 
{"role": "user",     "content":"J.K. Edwards (Pau) connaît ses classiques"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A lire ce matin, l’interview dans Le Populaire de JK Edwards (2,02m, 34 ans) avec comme thème, le clasico, évidemment.\\n\\nL’Américain a la particularité d’avoir porté le maillot de Limoges (2013-14) avant celui de Pau depuis la saison dernière. Il connaît parfaitement la dimension historique de cette 100e édition.\\n\\n« Quand j’étais à Limoges, on était plusieurs à jouer Pau pour la première fois. On nous avait montré des documentaires dans la semaine précédent le match. C’était dingue. Pendant deux semaines on ne parlait plus de rien d’autre ! Bref, je sais à quel point ça compte pour les deux clubs et ce que ça fait de le perdre. »\\n\\nEt si on lui demande s’il a déjà vécu des oppositions de ce style, JK fait référence au derby du Finistère.\\n\\n« Des comme ça ? (Long silence) Bonne question... Pourtant j’en ai jouées. Il y aurait peut-être dans mes premières années en France, un Quimper – Brest. Ils se détestent tellement en étant si proches ! Il fallait rajouter des sièges dans la petite salle, les gens étaient fous aussi. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vitré (NM1) : Crétaux blessé, Ron Mvouika arrive en renfort"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Simon Crétaux, blessé (fracture de l’index) et écarté des terrains pour une durée de six à sept semaines, l’Aurore Vitré Basket vient de dénicher son remplaçant.\\n\\nSur sa page Facebook, la formation de Nationale 1 indique que Ron Mvouika (1,96 m, 25 ans) renforce le groupe.\\n\\nFormé aux Etats-Unis avec des passages à Missouri State pendant deux saisons puis à l’université de Saint John (8,5 points et 4 rebonds sur 32 matchs en 2015/16), le swingman vivra sous les ordres de Zoran Durdevic sa première expérience professionnelle en France.\\n\\nAncien espoir de la Chorale de Roanne, il devrait être qualifié pour le match contre Saint-Vallier le 21 janvier prochain."
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie : Bobby Dixon prolonge au Fenerbahce jusqu’en 2019"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bobby Dixon arrivant en fin de contrat, le Fenerbahce ne s’est pas fait prier pour prolonger son meneur de jeu jusqu’en 2019, comme indiqué sur le site du club.\\n\\nCette saison avec le Fener, le natif de Chicago compile en moyenne 11,4 points, 2,4 rebonds et 3,2 passes décisives (10,6 d’évaluation) en Euroleague et 10,9 points, 2,7 rebonds et 2,7 assists en première division turque.\\n\\nA Istanbul depuis la saison 2015/16, l’ancien villeurbannais voit donc son bail se prolonger pour deux saisons supplémentaires avec le club qui est actuellement 6e d’Euroleague (10v-7d) et 1er de BSL (12v-2d).\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Caserte sur le point de proposer un contrat à Yakhouba Diawara"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mis a l’essai par le club italien il y a quelques jours, Yakhouba Diawara aurait convaincu les dirigeants de Caserte puisque selon Sportando ce n’est qu’une question de temps avant de voir cet essai se transformer en contrat pour le reste de la saison.\\n\\nSans club depuis la fin de saison dernière, l’ancien limougeaud est déjà bien connu en Italie pour y avoir effectué une pige en 2006 (Bologne) ainsi que pour y avoir passé quatre saisons complètes entre Brindisi (2010/11), Varese (2011/12 et 2014/15) et Venise (2012/13).\\n\\nAvec la Juvecaserta (10e de Lega avec 7 victoires pour 8 défaites), l’ancien joueur du Miami Heat est donc sur le point de connaître sa cinquième équipe transalpine.\\n\\nLa saison dernière en Pro A, « Le Yak » compilait en moyenne 5,6 points et 3,1 rebonds pour une évaluation de 4,6 par match."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Nando De Colo et le CSKA atomisent Milan"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"25 points, c’est le total de points marqués par Milan... à la mi-temps ! Soit même pas autant que le CSKA dans le seul premier quart-temps (27). Vous l’aurez compris : ce match entre le CSKA et Milan n’aura pas duré bien longtemps ! Moscou s’impose très largement (101-64) et reprend la main tout en haut du classement.\\n\\nEn total contrôle de la partie dès les premières minutes, Nando De Colo (22 points en 24 minutes) et ses coéquipiers ont complètement écrasé les milanais, à l’image de ce contre de Dmitry Kulagin sur Miroslav Raduljica qui finira par un coast-to-coast à peine contesté par la défense lombarde. Milos Teodosic finira quant à lui à 10 points, 7 passes et 4 rebonds.\\n\\nL’Efes Istanbul a déchanté face au Panathinaikos. Thomas Heurtel (15 points, 5 rebonds mais 5 balles perdues) et son équipe pensaient bien avoir fait le plus dur en menant de 3 points à 7 secondes de la fin. Mais une faute à trois points sur Mike James a permis aux locaux d’arracher la prolongation. Avant de s’imposer aux forceps (92-81). Un véritable crève-coeur pour les turcs...\\n\\nPlus tôt dans la soirée, Léo Westermann (10 points, 8 passes, 4 rebonds) n’a pas été plus veinard avec le Zalgiris. Kaunas a été battu face à Galatasaray (87-79). Le méconnu meneur uruguayen, Bruno Fitipaldo (21 points) a tout simplement réalisé le match de sa jeune carrière.\\n\\nLe classement après la 17e journée"
}, 
{"role": "user",     "content":"Orléans a mis la tête de Dijon sous l’eau"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On s’est tellement habitué à ce que la JDA Dijon fasse nettement mieux que ce qu’affirmaient les prévisions, que ce soit du temps de Jean-Louis Borg comme avec son successeur Laurent Legname – 9e la saison dernière-, que l’on est surpris de la voir aujourd’hui dans la zone rouge.\\n\\nCette équipe très américanisée, au point d’avoir un élément de trop dans son effectif –hier, c’est LaQuinton Ross qui est demeuré en civil- a complètement failli face à Orléans notamment défensivement dans le premier quart-temps. Emmenée par un Micah Downs euphorique (16 de ses 24 points en 10 minutes, à 100% de réussite), l’OLB s’est retrouvée menant 24-12 puis même 31-14 à la 17e minute.\\n\\nMalgré tous ses efforts, jamais la JDA n’a réussi à refaire totalement ce retard initial et d’après Le Bien Public, la sortie temporaire d’Isaiah Miles, blessé à la cheville, et une faute technique au détriment de Johan Passave-Ducteil ont brisé son élan. Rapporté par le quotidien bourguignon, Axel Julien a fait acte de contrition lors de la conférence de presse :\\n\\n« C’est un cauchemar. Aujourd’hui (hier), j’ai honte de ce qu’on a produit. En défense, on a complètement failli par rapport à notre identité, contre une équipe pourtant affaiblie avec trois de ses joueurs majeurs absents. On a complètement fait l’inverse de ce qu’il fallait, et au basket, ça ne pardonne pas. Ensuite, on s’est remis dedans mais on les a laissés en confiance, on n’a pas réussi à mettre un shoot. On n’a respecté personne ce (vendredi) soir. »\\n\\n\\nDomination totale au rebond\\n\\nCet échec à domicile est d’autant plus dommageable que c’était l’un de ces fameux matches qui comptent double. Incontestablement, Dijon peut douter et Orléans reprendre espoir. C’est aussi une victoire personnelle pour Thomas Drouot, qui succède à Pierre Vincent au coaching, quand on se souvient qu’il a soldé sa première expérience en Pro A avec un terrible 4 victoires/30 défaites la saison passée au Havre.\\n\\nPlus encore qu’une réussite aux tirs supérieure (55,2% contre 40,6%), c’est la façon dont les Orléanais ont mangé les Dijonnais au rebond (46 à 22) qui prouve qu’ils ont faim. Avec les retours d’Antoine Eito, Marcellus Sommerville et Kyle McAlarney, l’année 2017 pourrait être sportivement -à voir si elle le sera aussi au niveau du management du club- plus sereine que le trimestre précédent très agité que l’OLB vient de vivre."
}, 
{"role": "user",     "content":"Erman Kunter (Le Mans) : «On perd beaucoup d’énergie en Coupe d’Europe»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Semaine chargée pour Le Mans qui devait s’imposer deux fois, face aux Turcs de Karsiyaka à Antarès, pour conserver la première place de son groupe de Basketball Champions League et ensuite à Antibes, afin de faire un pas décisif vers la qualification à la Leaders Cup.\\n\\nSeulement, les intempéries en Turquie ont contraint, fait rare, à décaler d’une journée le match de Coupe d’Europe et le coach Erman Kunter ne pouvait que le déplorer comme l’indique le site des Sharks :\\n\\n« Mardi matin nous avons fait notre shooting d’avant-match, notre séance vidéo, notre préparation de match, et à 14h on apprend que le match est décalé au lendemain. Mentalement, ça a usé les joueurs. On a donc joué le match mercredi soir, jeudi nous avons fait le trajet jusqu’à Antibes et 48h plus tard on jouait notre deuxième match de la semaine. »\\n\\nLa qualité des équipes de la BCL n’est évidemment pas celle de l’Euroleague mais avec huit par poule, le programme est copieux avec des déplacements au long cours, en Russie, en Ukraine ou encore en Israël.\\n\\n« La Coupe d’Europe laisse beaucoup de traces car on y perd beaucoup d’énergie, notamment avec le grand nombre de déplacements. Si on arrive à gagner un match sur deux (Ndlr: Rishon le Zion ou Saratov) on se qualifiera pour la deuxième phase à la première place de notre groupe. Je trouve que les joueurs sont fatigués, surtout mentalement. En plus on ne peut pas travailler. On ne peut pas corriger nos erreurs par manque de temps. Nos déplacements en Coupe d’Europe sont très longs cette année, cette année on a à chaque match au minimum 2h45 de vol si le vol est direct. Mardi, nous prenons la direction de Tel-Aviv, on en aura encore pour 3h30 de vol aller et 3h30 de vol retour avant de jouer Gravelines trois jours après. Ce n’est pas facile pour les joueurs. Lorsque la première phase de la Coupe d’Europe sera terminée, on pourra avoir deux ou trois jours par semaine plus spécifiquement sur des points précis. »\\n\\nAu final, le contrat a été doublement rempli. Le MSB a repoussé les assauts des Turcs (65-61) et il a fait la différence face aux Antibois, privés de leur meneur Will Solomon, là aussi dans les derniers instants du match (58-54). Son coach déplore le manque d’intensité mais accorde des circonstances atténuantes à ses joueurs :\\n\\n« La victoire était importante ce soir. Avec l’enchaînements des matchs de Pro A et de Coupe d’Europe, on ne peut pas jouer intensément pendant 40 minutes, c’est impossible. Mais entre 15 et 20 minutes c’est normalement suffisant, aujourd’hui on a joué intensément 3 minutes. Si on avait été en rythme en début de match, on aurait dû faire un écart de dix points car Antibes a raté beaucoup de tirs. On fait encore beaucoup d’erreurs des deux côtés du terrain mais on n’a pas beaucoup de temps pour les corriger. J’espère qu’on finira premiers de notre groupe en Coupe d’Europe, comme ça on aura un mois de trêve et ça pourra nous aider. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet : «Ce n’est pas le Strasbourg des années précédentes»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La qualification de Strasbourg à la Leaders Cup est toujours en suspens. La SIG jouera sa carte ultime le week-end prochain en recevant Châlons-Reims.\\n\\nHier soir les quadruples finalistes des playoffs ont plié comme beaucoup face au Paris-Levallois (65-75) où Jason Rich (22 pts) a encore fait preuve de ses talents de scoreur et l’ancien Strasbourgeois Louis Campbell de son don d’ubiquité (9 pts, 8 rbds, 8pds).\\n\\n« Le match de mercredi a laissé des traces. C’était un match dur, avec un aller-retour à Belgrade qui n’était pas neutre », estime le coach Vincent Collet, propos rapportés par les DNA. « Mais on sent surtout qu’on est une équipe dans le doute. Quand tu n’es pas très bien, il y a deux choix qui s’offrent à toi. Soit tu attends que ça revienne, car ça va revenir, mais tu peux attendre très longtemps. Soit tu te rebelles et tu fais appel aux fondamentaux. »\\n\\nHier soir la SIG n’a pas été tractée par ses Américains. 3 d’évaluation pour Erik Murphy, 6 pour Romeo Travis, 5 points pour A.J. Slaugher, 3 rebonds pour Matt Howard, 4/11 aux shoots pour Erving Walker...\\n\\nOn a crû un moment que le retour du coach des Bleus à bord avait solutionné tous les problèmes et que la SIG était reparti –comme si rien ne s’était passé durant son absence- à la conquête de la France et de l’Europe. Ce n’est pas aussi évident que ça et Vincent Collet est le premier à en convenir :\\n\\n« On n’est pas une grosse équipe, c’est clair maintenant. On a joué Monaco, Chalon, on voit à chaque fois qu’on est limités. Ce n’est pas le Strasbourg des années précédentes, il faut se le mettre dans la tête, et ça, ça le montre un peu plus. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 14 janvier 2017"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nLe film du match\\n\\n– Jaiteh inscrit les deux premiers paniers strasbourgeois (0-4, 1re ), mais le PL a été tout proche d’intercepter par deux fois la “gonfle” sur l’action... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDouble peine...\\n\\n– Giflée par Mega Leks mercredi en Ligue des champions, la SIG a tendu l’autre joue hier à Levallois (75-65). Les Strasbourgeois ont raté leur semaine... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn derby crucial pour Saint-Chamond\\n\\n– La reprise du championnat marque la fin de la phase aller pour Saint-Chamond qui accueille Caluire. En quête de maintien, à la huitième place de la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBCM – Beaujolais : malheur au vaincu\\n\\n– Retour aux affaires ce soir à 20 heures à la salle Cherblanc pour les Bécémistes avides de disputer un match qui se présente déjà comme déterminant... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFeurs – Le Puy : un derby déterminant\\n\\n– « Samedi, se sera le match le plus important de la saison. » Julien Cortey... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPlace aux derniers matches aller\\n\\n– Quatre des cinq équipes du bas de tableau s’affrontent, ce soir, pour l’ultime journée de la phase aller. Une seule aura l’opportunité de sortir de la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPoligny s’attend à souffrir dans les Vosges\\n\\n– Difficile déplacement pour le PJBC qui se déplace chez le 2ème de la poule avec la ferme intention de bien figurer... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes espoirs de la JL Bourg n’ont pas de temps à perdre\\n\\n– Les espoirs de la JL doivent renouer avec le succès pour lancer au mieux la deuxième partie de saison... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn voyage périlleux en terre normande\\n\\n– La tâche sera difficile face à une équipe qui joue le haut du tableau. Une raison en plus pour évoluer sans retenue et pourquoi pas réaliser un... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nMontbrison devra sortir un grand match\\n\\n– Déplacement difficile pour les Foréziennes en terre nordiste. Arras-Pays d’Artois est quatrième et ne perd presque jamais à domicile. Seul le CFBB... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg en démonstration\\n\\n– En s’imposant à Évreux sans jamais trembler, la JL Bourg a remporté un probant 6e succès consécutif. Dominateurs de deux côtés du terrain, les hommes... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFranck Bornerand : « Le maintien ? Pas une priorité »\\n\\n– Lanterne rouge de sa poule, Saint-Paulien ne fait pas du maintien en RF3 une obsession mais voit plus large... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSacco : « On doit éviter de se relâcher »\\n\\n– État des lieux du leader lédonien de la poule K avec l’entraîneur Sylvain Sacco... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCe week-end : Championnat prérégional\\n\\n– Ce week-end les athlètes des comités de l’Ain, de la Drôme-Ardèche, de l’Isère, du Rhône, et des deux Savoie se retrouvent à la Halle Diagana de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe Mans et Paris-Levallois recollent\\n\\n– En s’imposant sur le parquet d’Antibes (54-58), Le Mans reste cinquième au classement, mais toujours loin du quatuor de tête... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe tirage au sort des 16 es de finale du trophée Coupe de France a-t-il été favorable à l’UTBM ?\\n\\n– Pas vraiment puisque Tours (N2) aura la lourde tâche de se déplacer le 18 février à Brissac (N2), où l’UTBM a perdu cette saison en championnat. En cas de succès, les ... Lire la suite.\\n\\n\\nLe match\\n\\n– Après un mois de décembre délicat (2v, 4d) le PB compte débuter l’année d’une tout autre manière. « Nous sortons d’une période très difficile, il faut que l’on relève la tête en ... Lire la suite.\\n\\n\\nBASKET Le week-end des régionaux\\n\\n– Prénationale masculine. Après être passée tout près d’un premier succès à Montargis le week-end dernier, ce sera mission quasi impossible pour la réserve de la Berri face au ... Lire la suite.\\n\\n\\nFougères promu séduisant\\n\\n– Avec une dernière année sans-faute en N3, le Pays de Fougères a logiquement retrouvé la N2 cette saison. Pour assurer le maintien et jouer un rôle à ce niveau, l’entraîneur ... Lire la suite.\\n\\n\\nLes Chauraisiennes au repos Bressuire pour confirmer\\n\\n– En déplacement dans la salle de Pouzioux, équipe avec laquelle les Chauraisiennes étaient à la lutte pour la première place, elles n’en sont pas sorties vainqueurs (56-49) et sont ... Lire la suite.\\n\\n\\nPour bien débuter l’année\\n\\n– MASCULINS UTBM 2 (4e) Vineuil (7e) L’UTBM a quitté 2016 avec un succès étriqué (78-77) contre le dernier du championnat. Pour ce premier rendez-vous 2017, ultime match de la ... Lire la suite.\\n\\n\\nLes Vinoliens débutent 2017 par un déplacement à Tours\\n\\n– Tours (4e, 17 pts) Vineuil (7e, 15 pts) Le dernier match des Vinoliens remonte au 10 décembre 2016. A se demander s’il y avait encore une équipe à vineuil\u2009! Mais oui, pas d’inquiétude. Et ... Lire la suite.\\n\\n\\nSe refaire une santé à la maison\\n\\n– UTBM – Pays de Fougères Tours (8 e ) débute sa série de trois matchs à domicile par la réception de Fougères (7 e ), avec l’espoir d’amorcer une série victorieuse... Lire la suite.\\n\\n\\nUne nouvelle ère débute\\n\\n– L’ADA sera pour la première fois dans sa configuration originelle, ce soir face à Saint-Chamond, même si Maxime Roos n’a pas encore retrouvé toute sa forme... Lire la suite.\\n\\n\\nThreatt a hâte d’y être\\n\\n– Poitiers – Nantes Le nouveau meneur US du PB est impatient de disputer son premier match avec Poitiers et compte aider le club à se relancer... Lire la suite.\\n\\n\\nLa possibilité d’une île\\n\\n– Berrichonne – Ré Nouvelle année, nouveau coach\u2009: la lanterne rouge peut-elle retrouver la flamme face à une équipe rétaise mal classée\u2009?... Lire la suite.\\n\\n\\nPfastatt à Fondettes\\n\\n– L’ASSM Pfastatt disputera les 16es et 8es de finale du Trophée Coupe de France sous forme d’un plateau composé de quatre équipes le samedi 18 et le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nParis-Levallois 75 SIG 65\\n\\n– LEVALLOIS. Salle Marcel-Cerdan. Les quarts-temps : 20-16, 16-14, 20-18, 19-17. Arbitres : MM. Thepenier, Dubois et Bretagne. Spectateurs : 2200... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa SIG à bout de souffle\\n\\n– Jamais dans le bon tempo et sans doute rendue amorphe par la répétition des efforts, Strasbourg a lâché du lest hier soir au Paris Levallois (75-65)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPro B : victoire précieuse pour Aix-Maurienne contre Rouen (95-84)\\n\\nAprès un départ canon (18-4, 5e), avec un Karim Atamna (22 points) haut de gamme et un collectif bien huilé, Aix-Maurienne Savoie Basket a repris victorieusement son championnat ... Lire la suite.\\n\\n\\nChoc des ABC pour une reprise musclée à Agen\\n\\n– Agen BC (3e-17 pts) – Auch (5e-16 pts).- La première manche du duel des ABC se jouera au Stadium où les hommes de Christophe Pautot ne baissèrent pavillon qu’une seule fois en ... Lire la suite.\\n\\n\\nLe TBC devra se méfier\\n\\n– En NM2, le Toulouse BC, deuxième, à deux journées de la fin de la phase aller, avec un bilan provisoire de huit victoires et trois défaites, accueille Beyssac Beaupuy Marmande qu’il est ... Lire la suite.\\n\\n\\nL’Union s’impose d’un souffle..\\n\\nDeux absents de marque ce soir, Ludovic Vaty à Tarbes/Lourdes victime d’une petite déchirure à la cuisse et Fabien Ateba à Souffelweyersheim, toujours à l’infirmerie. Pas de temps ... Lire la suite.\\n\\n\\nBASKET-BALL Deuxième départ pour Polynice\\n\\n– Votre actualité quotidienne locale, régionale et nationale... Lire la suite.\\n\\n\\nProA: Paris-Levallois et Le Mans aux portes de la Leaders Cup\\n\\n– Votre actualité quotidienne locale, régionale et nationale... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ancien palois Marko Simonovic s’éclate avec l’Etoile Rouge de Belgrade"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En provenance de l’Etoile Rouge de Belgrade, Marko Simonovic avait rejoint l’Elan Béarnais en 2014 et avait passé une saison en Pro A avant de faire le chemin inverse pour retrouver le club serbe à l’intersaison 2015.\\n\\nCette saison en Serbie, l’ailier de 30 ans joue tout simplement le meilleur basket de sa carrière. Alors que la formation serbe réalise une très belle saison en étant 7e du classement en Euroleague (9v-8d), dont de prestigieuses victoires face au Real Madrid, au Fenerbahce ou encore face au CSKA Moscou, Simonovic s’illustre comme étant une pièce maîtresse de son équipe avec ses 25 minutes de jeu par match. Le tout en compilant 12,9 points (60% à 2pts et 44,6% à 3pts) et 3,3 rebonds (11,6 d’évaluation) en moyenne en sortie de banc.\\n\\nNon content d’être un élément important de la rotation de son coach Dejan Radonjic, l’ancien joueur de l’Alba Berlin a battu ses records de points (23 face à Milan), d’évaluation (24 face au Galatasaray), de rebonds offensifs (3 face à Barcelone) et défensifs (6 face au Fenerbahce), et de contres (2 face à Bamberg) cette saison en C1.\\n\\nEgalement engagée en Ligue Adriatique, l’Etoile Rouge de Belgrade réalise une saison tout bonnement parfaite avec 17 victoires pour aucune défaite. Dans cette compétition, Marko Simonovic enregistre 11,2 points (75% à 2pts et 40,4% à 3pts) et 1,9 rebond de moyenne avec un match référence à 27 points, 2 passes et 2 interceptions pour une évaluation de 30 face au Cedevita Zagreb.\\n\\nLors de son passage en France, le natif de Pristina, au Kosovo, tournait à 13,4 points et 3 rebonds pour une évaluation de 8,5 par match.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Dimanche à Pau : Gheorghe Muresan (2,31m), l’Everest du sport mondial"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dimanche, Gheorghe Muresan sera l’invité du classico Pau-Limoges. Avec ses 2,31m, le géant Roumain est le plus grand joueur de tous les temps, à la fois de la Pro A et de la NBA. Il fit aussi plusieurs aller-retours antre le Béarn et les Etats-Unis.\\n\\nPremier coup de projecteur durant l’été 1990, au championnat d’Europe juniors disputé cette année-là aux Pays-Bas. Gheorghe Muresan profite de la blessure d’un autre géant roumain, Constantin Popa (2,20 m), pour prendre les rebonds à la louche face à l’URSS (13) et convertir 7 tirs sur 12.\\n\\nLa légende est en marche. On apprend que Ghita (prononcer Gidza) a quitté son bled de Triteni de Joos, en Transylvanie, à 15 ans, pour aller se faire soigner à Cluj (500 000 habitants) d’un genou qui gonflait et de dents qui lui faisaient mal. Ghita souffrait évidemment de gigantisme. Il se fit alors repérer par un dentiste, arbitre dans le championnat roumain et licencié au club local. Jusque-là, il n’avait jamais touché une balle orange.\\n\\nLa taille de Muresan fait bien sûr fantasmer. 2,20 m ?, 2,25 m ?, 2,28 m ? Davantage ? Pour en avoir le coeur net, l’envoyé spécial de Maxi-Basket le mesurera, quelques années plus tard, à Washington. Verdict : 2,291⁄2 m pieds nus et 2,31 m avec des chaussures.\\n\\nQualifiée pour le Mondial, l’équipe roumaine se classe 5e à Edmonton au Canada et Muresan se fait définitivement un nom en se tricotant des stats de luxe : 23,4 pts à 54% de réussite et 11,4 rbds.\\n\\nEn juin 92, la Roumanie dispute le Tournoi Pré-Olympique à Murcie, en Espagne. Pierre Seillant est venu observer le pivot qu’il vient d’embaucher et qui, quelques mois plus tôt, a passé 73 points en deux matches à Pau lors d’un tour de Coupe des Coupes.\\n\\nLa première interview a lieu dans les salons d’un hôtel de la ville. « Je chausse du 58. A Cluj, il existe une importante fabrique de chaussures roumaines. C’est là que je les commande ».\\n\\nGhita pose sur le perron avec un drapeau roumain et rejoint sa chambre par l’ascenseur, de profil et en courbant l’échine. Terriblement impressionnant.\\n\\n\\n« Il ne savait même pas marcher... »\\n\\nMessagero Roma s’était mis sur les rangs, mais demandait à Muresan de faire un apprentissage d’une saison en équipe réserve. Hors de question. Ghita rejoint donc le Béarn et devient forcément une attraction. Il fait la couverture de Maxi-Basket, à la rentrée de septembre, posant aux côtés d’une figurine en carton représentant Michael Jordan en taille réelle. Il lui mange la soupe sur la tête.\\n\\nGitha a emmené avec lui un pote de Cluj qui partage le même appartement et qui lui sert d’interprète. Il est vite adopté par toute la ville qui s’amuse en voyant le géant conduire sa R25 quasiment assis sur la banquette arrière. Plus tard, Ghita avouera que sa conduite approximative a provoqué trois accidents.\\n\\nA l’entraînement, le Roumain ne rigole pas. « On voulait faire courir Muresan, il ne savait même pas marcher », dira le coach Michel Gomez. « On a tout repris à zéro. Equilibre, proprioception, dextérité, on a tout recommencé... Côté muscu, il n’était même pas capable de se tracter sur ses bras. Aujourd’hui, il arrive à faire 7 – 8 pompes ».\\n\\nCe travail de fond, Ghita le fait dans la joie et la bonne humeur. Et ça paye. Gheorghe Muresan est classé 4e du référendum annuel de Maxi-Basket des « joueurs étrangers de la saison » et Pau, en playoffs, en lâche le morceau qu’en finale face à Limoges qui vient d’être sacré champion d’Europe.\\n\\nGhita est dans la ligne de mire de la NBA. Lors du match Pau-Real de Madrid, pas moins de sept scouts avaient annoncé leur venue au Palais des Sports pour voir deux géants s’affronter, Arvidas Sabonis et Gheorghe Muresan.\\n\\n\\nPivot titulaire à Washington\\n\\nL’inter-saison est soucieuse pour notre gentil géant. Il s’est avéré qu’il avait une tumeur non cancéreuse à l’hypophyse. Ghita devait signer au FC Barcelone pour trois saisons, mais le Barça recule devant la période de convalescence prévisible. C’est début juillet que Muresan se fait opérer à Bordeaux. Il devra, pendant six mois, se faire injecter des piqûres d’une hormone de synthèse pour bloquer la sécrétion des hormones de croissance.\\n\\nL’AEK Athènes lui fait miroiter 450 000 dollars annuels, mais Ghita vient d’être drafté par les Washington Bullets au 2e tour (30e choix) et décide de partir à la conquête de la NBA. Il va devenir le joueur le plus grand de tous les temps.\\n\\nUn rêve, oui. Mais aussi, au début, une sorte de cauchemar. « Au moins dix fois, en rentrant à la maison, j’ai dû dire à ma femme que c’était terminé, que l’on rentrait en Europe ». Le roumain constate que le job d’un super-géant, c’est parfois monotone. « En NBA, on m’apprend à répéter chaque jour les mêmes gestes et je ne m’aventure pas à tenter autre chose en matches. En attaque, je tire beaucoup de bras roulé, m’occupe du rebond offensif pour des claquettes. Et en défense, j’intimide ».\\n\\nEt là encore, les progrès sont spectaculaires. Il gagne en force, en agilité, en temps de réaction. Il décroche, à la fois un contrat de 5,4 millions de dollars sur 4 ans et le titre de « joueur ayant le plus progressé » en 1996. Il aura tourné à 14,5 pts, 58,4% de réussite et 9,6 rbds.\\n\\nJuste avant le démarrage de cette saison de luxe, Ghita est revenu faire un tour à Pau. La NBA est victime du lockout, et, désoeuvré, le Roumain en a profité pour faire une pige amicale avec l’Elan Béarnais. Il participe à 4 matches de championnat et aide Antoine Rigaudeau and Co à assurer leur qualification à la poule finale du championnat d’Europe des clubs. Hués par les 4 000 supporters de Ljubljana, Muresan se fend d’un « coast to coast » ponctué d’un dunk fracassant !\\n\\nUn reporter du célèbre hebdo américain Sports Illustrated vient à Pau l’interviewer. Muresan évoque son enfance sous la dictature de Ceausescu : « Il n’y avait pas de chauffage, pas d’eau chaude, pas d’électricité. Chacun avait chaque jour un demi-pain pour vivre et un kilo de viande pour la semaine. Il y avait des légumes en été, mais pas en hiver. Jamais de bananes, d’oranges. Du poisson ? Le vendredi ».\\n\\nQuelques mois plus tard, le président Seillant, son fidèle bras droit Gérard Bouscarel, et l’agent Kenny Grant basé à Orthez, vont à Washington rendre visite à leur ami Ghita.\\n\\n\\nBlessures à répétition\\n\\nLes blessures sont le lot de chaque athlète, mais plus spécialement pour quelqu’un de 2,31 m et 137 kg, dont les articulations doivent supporter une pression énorme.\\n\\nDepuis trois ans, Ghita cumule les pépins. Pendant le tournage de My Giant, il est hors d’état de jouer à cause d’une blessure au tendon d’Achille. Il va souffrir de la cheville, du dos et du genou. Il en perd l’espoir de prolonger son contrat avec Washington (on parlait un moment de 50 millions de dollars sur 7 ans). Il ne participe en fait qu’à un seul match en deux saisons (97-99), sous les couleurs des New Jersey Nets où il a signé comme free agent. La saison dernière, il tient bon 30 matches et aligne 3,5 pts, 45,6% et 2,3 rbds. On est loin de ses scores passés et les Nets lui indiquent la porte de sortie.\\n\\nGhita revient à Pau. Pour retrouver la forme, au milieu de gens qu’il aime et qui ont su prendre soin de lui quand il n’était qu’un gosse de Roumanie. Il s’entraîne avec l’Elan. Il donne, le 19 novembre, le coup d’envoi du match Pau-Cholet. On rêve d’un nouveau retour. C’est la réalité : le lundi 27 novembre, un communiqué du club annonce qu’il signe pour l’Elan Béarnais pour le reste de la saison, avec une clause lui permettant à tout moment de repartir en NBA. Et le 3 décembre, pour sa rentrée face à Gravelines, Ghita bat une sorte de record : 12 points en... 6 minutes.\\n\\nClic-clac. Ghita fait pour la troisième fois la couverture de Maxi, aux côtés de Shawnta Rogers. 70 centimètres séparent les deux géants du basket !\\n\\nSeulement le Roumain n’est plus très en forme. Il ne joue que 14 minutes par match et au bout de 15 sorties, à 30 ans, il rend définitivement son tablier.\\n\\n\\nQuand Requin a joué dans My Giant\\n\\nGhita, à l’aise dans son corps surdimensionné, est devenu une véritable figure de la capitale fédérale américaine. Il possède son propre fan’s club, le « Big Gheorghe Fan Club », géré par le staff des Bullets. Un poster grandeur nature a été imprimé. Il nous confie alors : « Là-bas, quand je sors au restaurant avec ma femme, et que des enfants me demandent des autographes, je leur demande à chaque fois pourquoi. Et à chaque fois, ils me répondent que c’est parce qu’ils supposent que je suis un basketteur ou c’est parce qu’ils savent que je joue aux Bullets. En Europe, je suis d’abord un géant. Les gens ne me respectent pas, se retournent sur mon passage, parlent à voix basse ».\\n\\nLe Roumain profite de sa popularité et de son indéniable sens de l’humour. Ses affaires sont entre les mains de Bill Sweek, ancien coach du CUC, du Mans, de Monaco et de Limoges, et désormais basé à Washington, Muresan tourne tout d’abord deux spots de pub pour la chaîne de sport ESPN, puis un autre pour la barre de chocolat Snikers.\\n\\nGheorghe Muresan que l’on surnomme parfois « Jaws », en référence à « Requin », le géant aux mâchoires d’acier, rôle tenu par Richard Kiel dans deux James Bond, est ensuite le héros d’un long métrage, My Giant.\\n\\nC’est l’acteur Billy Crystal, fan de Los Angeles Clippers, qui est à l’origine du projet. Crystal avait remarqué le Roumain lors de la cérémonie de la draft et avait souri en le voyant prononcer, à la télé, la seule phrase en anglais qu’il connaissait, le slogan de la NBA, « I love this game ! ». Il lui propose de tenir le rôle d’un croque-mort roumain qui se plaît à citer Shakespeare, qui est découvert par un agent hollywoodien (Crystal), lequel le persuade de venir en Californie pour y chercher gloire, fortune et un amour perdu. Le film est tourné en République Tchèque, à Los Angeles, New York et Las Vegas et sort en salles en 1998. On attend depuis la suite de la carrière d’acteur de Ghita... Quoiqu’il a prévenu : « Je préfère jouer au basket 24 heures sur 24. Le basket est très important pour moi. C’est ce que j’aime ».\\n\\nArticle paru dans Maxi-Basket en 2000"
}, 
{"role": "user",     "content":"LNB : Pro A/Pro B, les nouvelles qualifications"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Ligue Nationale de Basket vient de publier la liste des nouveaux joueurs qualifiés en Pro A et Pro B.\\n\\n * Pro A :\\n\\nCholet : Ivan Almeida est engagé comme nouveau contrat professionnel jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nDijon : LaQuiton Ross est engagé comme nouveau contrat professionnel jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nNancy : Abdoulaye Mbaye et Demond Mallet sont engagés comme nouveaux contrats professionnels jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nGravelines-Dunkerque : Florent Pietrus, remplaçant de Fernando Raposo blessé, voit son contrat transformer en contrat professionnel jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nAntibes : Max Kouguere , remplaçant de Chester Sommons blessé, voit son contrat transformer en contrat professionnel jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nLe Portel : Alex Barraud est engagé comme nouveau contrat aspirant jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nLimoges : Bernard James et J.R. Bremer sont qualifiés jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nOrléans : Thomas Drouot, entraîneur Assistant, voit son contrat transformer en entraîneur de l’équipe professionnelle jusqu’à la fin de la saison.\\n\\n * Pro B :\\n\\nAix-Maurienne : Rayvonte Rice est engagé comme nouveau contrat professionnel jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nCharleville-Mézières : Séraphin Saumont est engagé comme nouveau contrat professionnel jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nEvreux : Aloysius Anagonye est prolongé comme remplaçant de Ricmonds Vilde jusqu’au 24 janvier 2017.\\n\\nLille : Junior Mbida est engagé comme nouveau contrat professionnel jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nNantes : Rihards Kukskis est engagé comme nouveau contrat professionnel jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nPoitiers : Jay Threatt est engagé comme nouveau contrat professionnel jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nSaint-Chamond : Khyle Marshall est engagé comme nouveau contrat professionnel jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nBoulogne-sur-Mer : Olivier Bourgain engagé comme nouvel entraîneur de l’équipe professionnelle jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nBoulazac : Claude Bergeaud est engagé comme nouvel entraîneur de l’équipe professionnelle jusqu’à la fin de la saison."
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges : J.R. Bremer et Bernard James qualifiés pour le Clasico"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En déplacement dimanche à 18h30 à Pau pour la seizième journée de Pro A, Limoges pourra compter sur ses deux nouvelles recrues.\\n\\nJ.R. Bremer et Bernard James sont qualifiés par la Ligue Nationale de Basket et pourront faire partie de l’effectif limougeaud pour le 100ème « Clasico » entre les deux équipes.\\n\\nPour rappel la rencontre sera diffusée sur SFR Sport 2 et également sur Facebook.\\n\\nPhoto : Limoges CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Antibes : Will Solomon absent pour six semaines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le site du club indique que Will Solomon (1,88m, 38 ans), le meneur américain des Sharks d’Antibes sera absent des parquets pour les six prochaines semaines à cause d’une tendinopathie chronique au genou. Les Antibois seront donc lourdement handicapés ce soir pour la réception du Mans.\\n\\nAncien joueur de NBA et de clubs européens réputés, Will Solomon tourne à 10,7 points, 2,8 rebonds et 4,4 passes décisives pour 10,8 d’évaluation en 28 minutes par match et est connu pour être un clutch player."
}, 
{"role": "user",     "content":"Quand la presse régionale fait mousser le clasico Pau-Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On peut mesurer le poids d’un sport dans une ville, un département, à son impact dans le quotidien local.\\n\\nUn chiffre résume tout ce matin : Le Populaire du Centre offre à ses lecteurs un cahier spécial de 12 pages sur la 100e édition du clasico Limoges-Pau de dimanche. C’est d’autant plus remarquable que le match ne se tiendra pas à Beaublanc mais au sein du palais palois et qu’un édito de Jean-Christophe Bourdin regrette que le clasico à la mode 2017 ne soit plus aussi brûlant que ceux d’autant. « Sans saveur ni relief, le basket français s’est aseptisé. A son détriment. »\\n\\nRéalisé en collaboration avec La République des Pyrénées, le contenu est copieux et original avec une présentation générale, une interview des deux présidents légendaires, Xavier Popelier du CSP et Pierre Seillant de l’Elan Béarnais, et aussi de Jean-Claude Biojout, l’homme de l’ombre du CSP, puis des joueurs emblématiques, Richard Dacoury et Didier Gadou, de Frank Butter et Valéry Demory qui ont porté les deux maillots, de Didier Dobbels et Michel Gomez qui ont coaché les deux clubs, des meilleurs ennemis Claude Bergeaud et Freddy Fauthoux, de Stéphane Ostrowski, Christian Ortega, de l’arbitre Philippe Mailhabiau... Il y a aussi forcément un retour sur la fameuse bagarre de 1987 et tous les marqueurs des 99 premières éditions.\\n\\n\\nXavier Popelier et Pierre Seillant n’ont toujours pas la langue dans leur poche\\n\\nVoici un florilège emprunt de nostalgie :\\n\\nStéphane Ostrowski, meilleur joueur français des années quatre-vingts, aujourd’hui directeur du marketing et de la communication du CSP :\\n\\n« Kaba, Bisseni et Henderson mettaient des coups en douce mais ça restait du basket. En fait, le problème, c’est qu’ils ont toujours mal vécu qu’on soit plus titré qu’eux. Alors ils cherchaient des artifices... »\\n\\nLa fameuse bagarre de 1987 a exacerbé les passions comme le confirme Freddy Fauthoux, la crème des hommes mais qui était une sorte de Docteur Jekyll et Mister Hide une fois sur le terrain.\\n\\n« Et moi, j’avais une cassette VHS. C’était celle de la bagarre de la finale de 87. Dans le bus nous amenant à Limoges, je sortais alors la cassette et je la mettais. Pour expliquer à ceux qui ne le savaient pas – ou pas assez – l’histoire de ce match. Pour qu’ils la comprennent. Pour les conditionner. Pour leur dire que ces mecs-là sont forts à Limoges, mais que nous on est supers ! (rires). »\\n\\nLa rivalité, elle a vraiment pris corps dans les propos des deux présidents de l’époque et trente-cinq ans plus tard, les deux patriarches sont encore prêts à guerroyer... avec les mots :\\n\\nXavier Popelier : « Quand il (Pierre Seillant) dit avoir attrapé Clarence Kea par les parties intimes, c’est juste de la vantardise. Il a tendance à embellir les choses. »\\n\\nPierre Seillant: « Je ne retournerai plus jamais à Limoges. Jamais. Si je remonte la rue centrale à pied, je ne suis pas certain d’arriver entier ! Je me suis fait cracher dessus à Beaublanc. Contre eux, j’étais tout le temps au pressing ! Ils nous traitaient de ploucs et de paysans. Limoges voulait briller dans le paraître ».\\n\\nTout cela est d’une autre époque et Didier Gadou, le directeur général de l’Elan Béarnais, qui n’était pas avare avec son frère Thierry, de coups en douce, le résume parfaitement en trois phrases :\\n\\n« J’ai vu Mathieu Bisseni étrangler un arbitre, des envahissements de terrain avec des bagarres générales et l’intervention des gendarmes. J’ai aussi vu Pierre Seillant faire un crochepied aux arbitres... C’était un autre monde, sans ralenti ni réseaux sociaux ».\\n\\nCe spécial clasico est à télécharger ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"[replay] L’explosion de joie du public de Belgrade après le contre de la gagne d’Ognjen Kuzmic"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Boban Marjanovic nous en parlait la semaine passée, lui qui a écrasé la concurrence en Europe sous le maillot de l’Etoile Rouge : le public de Belgrade est fou amoureux de la balle orange !\\n\\nUne nouvelle preuve en a été donnée hier soir dans la fin de match très serrée qui a opposé les locaux à l’ogre du Fenerbahçe Istanbul. Devant au tableau d’affichage à moins de 10 secondes de la fin, l’équipe serbe a réussi à tenir son mince avantage de deux points grâce à un ultime geste défensif de son pivot.\\n\\nL’explosion de joie du public après le contre d’Ognjen Kuzmic est un pur bonheur...\\n\\n\\n\\n\\nCrowd in Belgrade goes crazy as @ognjenkuzmic1 plays the block on defense for the win.#7DAYSMagicMoment #CZVFNB pic.twitter.com/X5odO6eeaK\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) January 12, 2017\\n\\nLe récap complet du match :"
}, 
{"role": "user",     "content":"Dairis Bertans explose son record personnel face à Vitoria"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dairis Bertans aurait-il été motivé par le record en carrière de son petit frère Davis, rookie NBA chez les Spurs, samedi dernier ? En tout état de cause, l’arrière letton du Darussafaka a lui aussi lâché son meilleur match en carrière en Euroleage face à Vitoria.\\n\\nAvec 29 points et 5 passes, le tout à 7/9 aux tirs dont 3/4 à trois points pour 31 d’évaluation, Bertans a complètement explosé son précédent record (15 points) ! Il a été le grand artisan de la victoire de son équipe contre Vitoria qui restait pourtant sur deux victoires à plus de 25 points d’écart...\\n\\nPour ne rien gâcher, il a aussi réussi un magnifique dunk en pénétration ! La fratrie Bertans est décidément très en forme en ce début d’année 2017 !\\n\\nA ses côtés, Adrien Moerman (15 points, 9 rebonds, 3 passes) a flirté avec le double double alors que les deux tricolores de Vitoria, Kim Tillie (10 points) et Rodrigue Beaubois (8 points) ont été plus en difficulté."
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du Monde 3X3 2017 : Les 40 équipes qualifiées sont connues"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la Grèce, la Russie et la Chine., c’est au tour de la France d’accueillir la quatrième édition de la Coupe du Monde 3X3. Du 17 au 21 juin 2017 tous les yeux seront braqués à Nantes pour suivre la compétition.Pour cette grande fête du basket, pas moins de 40 équipes de 36 pays différents seront au rendez-vous.La FIBA relayé par la FFBB a dévoilé la liste des 40 équipes qualifiées pour cet événement.\\n\\n * Hommes: Andorre, Egypte, République du Salvador, Estonie, France, Indonésie, Pays-Bas, Nouvelle Zélande, Philippines, Pologne, Porto Rico, Qatar, Roumanie, Russie, Serbie, Slovénie, Corée du Sud, Sri Lanka, Ukraine et Etats-Unis.\\n\\n * Femmes : Argentine, Australie, Bahreïn, Cameroun, Chine, République Tchèque, France, Allemagne, Hongrie, Italie, Japon, Kazakhstan, Kirghizistan, Pays-Bas, Russie, Espagne, Suisse, Turkménistan, Ukraine et Vénézuela."
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France : Vincent Collet et Patrick Beesley ont vu Nicolas Batum et appellent à la mobilisation"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cela s’est fait dans la plus grande discrétion : l’entraîneur des Bleus, Vincent Collet, et le Directeur Technique National, Patrick Beesley se sont rendus aux Etats-Unis, du 27 au 30 décembre.\\n\\nOn sait qu’entre la non-sélection d’Evan Fournier aux JO, les états d’âme de Nicolas Batum, le refus de rejoindre le groupe de Ian Mahinmi, évidemment la retraite de Tony Parker, et l’amorce d’un nouveau cycle olympique, il y a quelques dossiers à régler avec comme échéance immédiate l’Euro en Finlande et Turquie à la fin août, début septembre, et aussi les qualifications pour la Coupe du Monde 2019 qui débuteront en novembre, sans les joueurs NBA mais probablement tout de même avec ceux de l’Euroleague.\\n\\nL’Equipe informe que les deux hommes ont rendu visite au seul Nicolas Batum, à l’occasion du match Charlotte Hornets-Miami Heat, pour une discussion de deux heures et demie.\\n\\n« Avec Nico, on s’est bien expliqué. On est revenus sur ses déclarations de façon franche et directe. On a pris le temps de parler. C’était tout à fait convivial, » assure Patrick Beesley.\\n\\n\\nDiaw, Gobert, Lauvergne et De Colo, les prochains sur la liste\\n\\nLe prochain voyage aux Etats-Unis de la paire Beesley-Collet est programmé du 26 janvier au 1er février avec des rendez-vous avec Boris Diaw et Rudy Gobert (Utah Jazz) et Joffrey Lauvergne (Oklahoma Thunder). Des déplacements en Europe sont également au menu pour le DTN et Nando De Colo (CSKA Moscou) est le premier sur la liste.\\n\\nComme le fait remarquer le quotidien sportif, seul Kevin Séraphin (Indiana Pacers) dont la dernière apparition en bleu remonte aux JO de Londres, a déclaré pour l’instant être d’ores et déjà sur le pied de guerre.\\n\\n« A l’heure actuelle, je ne sais pas vers quelle tendance on va. Nous, on a affiché dès le début le souhait d’avoir tout le monde. Il ne peut pas y avoir d’impasse en 2017, vu qu’il n’y a rien en 2018. On ne peut pas dire qu’on ne ne va pas retrouver l’équipe de France qu’en 2019 surtout les leaders. Nous appelons à la mobilisation pour l’Euro 2017. Si les joueurs ont besoin d’un break, ce doit être en 2018 », juge Patrick Beesley."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 13 janvier 2017"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nLouis Campbell\\n\\n– Il a porté, durant quatre saisons et avec bonheur, le maillot de la SIG. Poussé vers la sortie l’été dernier et au Paris-Levallois désormais, “le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRachat exigé\\n\\n– Humiliée mercredi par Mega Leks, la SIG enchaîne ce soir à Paris-Levallois, en championnat. Aux Strasbourgeois d’afficher un tout autre visage s’ils... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nAgostina Burani intègre l’équipe de Roanne\\n\\n– Agostina Burani, internationale argentine, est arrivée en terres roannaises, ce jeudi, avec la ferme intention de faire ses preuves. Elle qui vit sa... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Deux équipes à caractère offensif »\\n\\n– Arrivé en lieu et place de Fabien Romeyer, Stéphane Dao a vite pris la mesure de sa nouvelle équipe. Explications... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBlois marche dans les pas de Saint-Chamond\\n\\n– En se déplaçant à Blois samedi, pour la reprise du championnat de Pro B, le Saint-Chamond basket vallée du Gier va retrouver une vieille connaissance... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg veut garder le cap\\n\\n– La trêve de Noël est terminée. Jusqu’à début février, les clubs vont déjà en finir avec les matches aller. Pour la JL, ça commence à Évreux ce soir... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe basket pro français positive\\n\\n– Grâce à un doublement de ses revenus en cinq ans, la LNB va mieux financièrement. Reste à ses clubs à le montrer sur le terrain... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Rambert-en-Bugey – La CTC Bugey Basket organisera les demi-finales départementales jeunes\\n\\n– Lors de la réunion du comité de l’Ain du 25 novembre, il a été décidé que la CTC Bugey (coopération territoriale de clubs) sera le théâtre des demies finales départementales les 20... Lire la suite.\\n\\n\\nPrénationaux\\n\\n– MASCULINS St-Pierre – Barjouville. Filipe da Silva sera de nouveau aux commandes. « On est conscient de la valeur de Barjouville. On veut profiter de cette opposition pour préparer... Lire la suite.\\n\\n\\nLes Thouarsaises chez le leader\\n\\n– Les Thouarsaises s’en vont défier demain soir les leaders rezéennes à l’occasion du dernier match de la phase aller. Face à une formation de Loire-Atlantique qui n’a ... Lire la suite.\\n\\n\\nLa petite bête qui monte\\n\\n– Poitiers – Nantes Bien mieux armée financièrement et sportivement, l’Hermine a changé de statut et s’affirme comme un gros bras du championnat... Lire la suite.\\n\\n\\nLe CAN 79 très diminué\\n\\n– Le groupe niortais sera amputé d’un tiers pour le déplacement à Montgaillard, un prétendant à la montée. Pas facile d’être optimiste dans ces conditions... Lire la suite.\\n\\n\\nCTC Thur-Doller : la reprise\\n\\n– Après le repos des fêtes de fin d’année, les basketteurs de la CTC Thur-Doller ont repris les entraînements en douceur la semaine dernière... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUSW : attention danger\\n\\n– Les joueuses de l’US Wittenheim reprennent le championnat dimanche (15 h 30) à domicile face à une équipe de la SIG II qui pourrait bénéficier de l’un... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBerrwiller-Staffelfelden en lice\\n\\n– Tout monde sur le pont ou presque puisque 17 des 20 équipes du BCBS seront sous les panneaux ce week-end... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSur leur dynamique\\n\\n– Après avoir gagné les deux matches en retard pour remonter à la deuxième place du classement, les féminines I veulent continuer sur leur lancée en... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nReprise délicate pour les Panthères\\n\\n– Les Mulhousiennes (NF2) effectueront un déplacement périlleux dans le fief du leader, Dijon, samedi soir (20 h)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe SBC veut confirmer\\n\\n– Après avoir renoué avec la victoire, les Sélestadiens veulent enchaîner à Molsheim face à un adversaire qui occupe la même place au classement de la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRixheim avec méfiance\\n\\n– Le CSSL Rixheim, 3e de sa poule de NM3, accueille Dessenheim, dimanche (17 h) à la Cité des sports... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDu lourd pour Pfastatt\\n\\n– L’ASSM Pfastatt reprend le chemin du championnat par un déplacement à Prissé-Mâcon, samedi soir (20 h), pour le compte de la 12e journée... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nNe pas gâcher à Bruay\\n\\n– En déplacement dans le Nord, demain à l’occasion de la reprise de la nationale 2, Kaysersberg n’a pas le droit à l’erreur, avant de recevoir tous les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa bataille des chefs\\n\\n– Le sommet de la pré nationale hommes se disputera dimanche à la salle Faller de Kaysersberg où les doublures du KABCA reçoivent leurs homologues de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Les joueurs sont en progrès »\\n\\n– Les Mulhousiens, 12es de la poule D de NM2, retrouvent le championnat, samedi (20 h) à Ouest Lyonnais, après cinq semaines sans compétition. Aladin... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBasket-ball\\n\\n– Dessenheim en déplacement à Rixheim, dimanche à 17 h. C’est un court déplacement que les Hardtois vont effectuer Dessenheim à l’occasion du dernier... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRevoir Mickey est à ce prix\\n\\n– La SIG doit oublier sa contre-performance de mercredi à Mega Leks en Champions League pour se concentrer sur le match le plus important de la semaine,... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFoulayronnes : à l’attaque !\\n\\n– Régionale 1 (9e journée) Garonne ASPTT (9e-10 pts) – Périgueux BC (8e-10 pts).- L’occasion est belle pour le GAB d’inverser la donne, à une seule condition : battre Périgueux BC par le... Lire la suite.\\n\\n\\nL’avis des coaches. L’avis du dirigeant. L’avis du coprésident. L’avis du coach\\n\\n– Layrac-Astaffort (10e-15 pts) – Tursan Chalosse (7e-16 pts).- La nouvelle année sera-t-elle meilleure que 2016 pour les inconstants layracais qui flirtent avec la zone de relégation ? Il est ... Lire la suite.\\n\\n\\nTarbes/Lourdes veut sa revanche\\n\\nCe soir, au Palais des sports de Lourdes, l’Union accueille le leader alsacien qui présente, à l’issue de la phase aller, un bilan de 14 victoires contre 3 défaites. Des défaites concédées à ... Lire la suite.\\n\\n\\nParents référents de l’UAL au top !\\n\\nPour faciliter la communication au sein même de chaque équipe, l’UA Laloubère basket a mis en place, depuis la saison dernière, un système de parents référents bénévoles et ... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie : le Fenerbahce met la main sur Anthony Bennett !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tout juste coupé par les Brooklyn Nets, Anthony Bennett aurait déjà retrouvé un employeur, mais cette fois-ci en Europe.\\n\\nSelon David Pick, le premier choix de la Draft NBA 2013 aurait donné son accord au Fenerbahce et rejoindrait ainsi la raquette du Fener déjà composée de Pero Antic, Jan Vesely et Ekpe Udoh, tous les trois passés par la case NBA.\\n\\n\\n\\n\\nFormer No. 1 draft pick Anthony Bennett has signed with Euroleague power-club Fenerbahce, according to source.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) 12 janvier 2017\\n\\nUne information renforcée par un mystérieux tweet posté par le célèbre agent Misko Raznatovic dans lequel il fait d’abord référence à Andrea Bargnani (premier choix de la Draft 2006) en parlant du Pays Basque -l’Italien ayant rejoint Vitoria cette saison- avant de citer le Bosphore, détroit qui sépare en deux la province d’Istanbul et qui devrait donc accueillir Anthony Bennett.\\n\\nEn 25 rencontres avec les Nets cette saison, le natif de Toronto compilait en moyenne 5 points et 3,4 rebonds en 11 minutes de jeu. En s’envolant pour la Turquie, l’ailier fort au 151 matchs NBA en carrière (4,3 points et 3,1 rebonds) connaîtra sa première expérience sur le Vieux Continent.\\n\\n\\n\\n\\nOne of the former NBA draft picks no. 1 liked Basque country, but another prefers Bosphorus! #BeoBasket\\n\\n\\n— Misko4Raznatovic (@MiskoRaznatovic) 12 janvier 2017"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Saint-Quentin tangue financièrement"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La ville de Saint-Quentin a réalisé un audit sur le SQBB, le club de Pro B dont la situation financière est préoccupante puisqu’il a cumulé au terme de l’exercice précédent un résultat d’exploitation négatif de 184 000 euros.\\n\\nL’Aisne Nouvelle annonce que son président Patrick Dupuy a rendez-vous dans une semaine avec les services administratifs de la ville, en compagnie de son expert-comptable, son directeur financier et son vice-président.\\n\\n« Ce déficit est dû à la baisse des subventions des collectivités (environ -70 000 euros du Département et -50 000 euros de l’ex-Région Picardie), mais aussi au départ d’un sponsor (-20 000 euros), à la baisse des recettes billetterie (-12 000 euros) et buvette (-9 000 euros), et aux huit loges non remplies à l’année (-25 000 euros) », explique t-il, assurant que le club est toutefois sur la voie du redressement.\\n\\nSQBB est devenue une citadelle du basket français à la fin des années quatre-vingts, à l’époque où son coach était Chris Singleton mais suite à un trou financier, il avait été relégué jusqu’en Nationale 4 avant de remonter la pente."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le clasico Pau-Limoges diffusé en direct sur Facebook !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La 100e édition du clasico Pau-Limoges sera diffusée sur SFR Sport 2 dimanche à 18h30 mais la chaîne vient d’annoncer que le match sera également visible gratuitement sur Facebook. Une grande première en France.\\n\\nA voir ici.\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/819599387181678596"
}, 
{"role": "user",     "content":"Chris Kramer réalise le premier triple-double de l’histoire de la Basketball Champions League"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Joueur d’Oldenbourg, Chris Kramer (1,91 m, 28 ans) a réalisé une incroyable performance le 10 janvier dernier. Face à l’équipe turque de Muratbey Usak Sportif, l’Américain a accompli le premier triple-double de l’histoire de la Basketball Champions League. En 36 minutes de temps de jeu, l’ancien étudiant de l’Université de Purdue a compilé 16 points à 7/9 aux tirs, 10 rebonds et 13 passes décisives pour 36 d’évaluation et son équipe s’est largement imposée 106 à 77.\\n\\nDe quoi rentrer dans l’histoire de la toute jeune compétition européenne.\\n\\n« C’est la première fois de ma carrière et probablement la dernière que je réalise ce genre d’exploit » à commenté avec une pointe d’humour l’intéressé.\\n\\nPasseur, marqueur, rebondeur, le shooteur -élu logiquement MVP de la semaine en BCL- a tout fait sur le terrain réalisant par la même occasion son meilleur match sous le maillot allemand cette saison.\\n\\nFidèle à Oldenbourg depuis 2012, le natif d’Huntington (Indiana) tourne à 10 points, 5,4 rebonds et 7,1 passes pour 14 d’évaluation en 35 minutes en BBL où il est le troisième passeur de la division.\\n\\nVoici la vidéo de son exploit.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grand espoir du basket allemand, Kostja Mushidi s’est rappelé au bon souvenir de la SIG"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"15 points, 3 rebonds, 3 passes, 3 interceptions... Et aussi 4/11 aux shoots et 4 balles perdues. Kostja Mushidi (1,95m, 18 ans) s’est rappelé au bon souvenir de Strasbourg lors de la victoire, hier soir, en Basketball Champions League de l’équipe serbe de Mega Leks (86-82), qui a longtemps maîtrisé le match avant de sentir le souffle de la SIG dans son dos dans le dernier quart-temps.\\n\\nNé en Belgique, comme Frank Ntilikina avec qui il est ami, Kostja Mushidi possède la nationalité allemande. Plus grand espoir du basket dans son pays, il avait rejoint Ntilikina au centre de formation de la SIG à l’été 2015 et l’histoire retiendra qu’il est entré une fois en jeu en Pro A, six minutes face à Dijon. Sur le conseil de son agent Pedja Materic, l’Allemand a donc ensuite rejoint la couveuse serbe de Beobasket (21 ans de moyenne d’âge).\\n\\nProfitant de ce déplacement pour le compte de la BCL, les DNA sont allées prendre le pouls du jeune phénomène en rappelant qu’il avait fait quelques écarts de conduite au centre de formation strasbourgeois ce qui lui avaient valu une suspension d’un mois.\\n\\n« C’est aussi pour me calmer que je suis parti à Belgrade », reconnaît le joueur. « La réputation des Serbes est fondée, ils sont stricts, mais cela m’aide énormément pour le futur. J’ai grandi et je sais que si je fais des bêtises, cela va retomber sur l’équipe. Je veux éviter cela. »\\n\\nKostja Mushidi a eu plaisir à se retrouver face à face avec Frank Ntilikina et au quotidien, c’est avec un autre de nos compatriotes qu’il apprend le métier, Alpha Kaba (2,08m, 20 ans). Lequel Kaba a également montré son savoir-faire face à la SIG : 10 pts (4/5 aux shoots) et 6 rebonds.\\n\\n« On parle tous les deux français, on a le même but d’aller en NBA, on bosse tous les jours ensemble, forcément cela rapproche »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le clasico Pau-Limoges à guichets fermés"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est officiel : le Palais des Sports de Pau sera à guichets fermés pour le clasico Elan Béarnais-Limoges CSP, dimanche à 18h30. Sa capacité est de 7 707 places.\\n\\nSuite à un sondage organisé auprès des supporters, Gheorghe Muresan pour les étrangers et Freddy Hufnagel pour les Français ont été désignés « MVPs du siècle » et seront mis à l’honneur sitôt après la traditionnelle présentation des équipes.\\n\\nLe club promet également un tifo géant réalisé par les Peones –le club de supporters- et qui sera mis en place à trois minutes du coup d’envoi.\\n\\n« Une semaine de pliage a été nécessaire pour la confection du tifo et le groupe de supporters palois se retrouve tous les soirs de la semaine pour la mise en place sur les sièges du Palais des Sports », indique le site du club.\\n\\nUn drapeau souvenir sera également offert à chaque spectateur et l’harmonie de Pomarez sera bien sûr au grand complet pour assurer l’ambiance avec le DJ local."
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ancien manceau Brandon Bowman casse son contrat en Belgique pour rallier Israël"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Initialement lié au Spirou Charleroi jusqu’au 7 février prochain en tant que joker médical, Brandon Bowman n’ira pas au bout de son contrat avec le club belge. L’intérieur américain a décidé de mettre fin unilatéralement et anticipativement à son contrat de travail . Une lourde perte pour le Spirou tant le natif de Beverly Hills était précieux au sein du collectif carolo avec ses 16,7 points, 4,7 rebonds et 1,8 passe sur 12 matchs de championnat et 12,9 points, 4,5 rebonds et 1,2 passe en 12 rencontres de Champions League cette saison.\\n\\nAfin d’obtenir un dédommagement, le Spirou lui a réclamé une indemnité de transfert que celui-ci a payé. Sitôt réglée, le joueur de 32 ans et 2,04 m a rallier Israël où il vient de s’engager avec le Maccabi Kiryat Gat dernier de la Winner League annonce son nouveau club sur sa page Facebook.\\n\\nGlobe trotter devant l’éternel, l’ancien pensionnaire de l’Université de Georgetown University -professionnel depuis 2006- est passé dans une dizaine de pays tout au long de carrière (USA, Italie, Allemagne, Turquie, Bulgarie, Serbie, Corée du Sud, Nouvelle-Zélande, Porto-rico, Chypre, Qatar, Belgique, Israël, France ..)\\n\\nVu au Mans en 2010/2011, il a joué 5 matchs en Pro A pour des moyennes de 4,2 points, 2 rebonds et 1 passe décisive en 11 minutes de temps de jeu.\\n\\nPhoto : Spirou Charleroi"
}, 
{"role": "user",     "content":"Faut-il avoir peur de jouer en Turquie ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Inutile de rappeler que les attentats en Turquie se sont multipliés ces derniers mois. Le dernier en date dans une boîte de nuit d’Istanbul, la Reina, a fait 39 morts et des joueuses de WNBA présentes juste à côté ont échappé de peu à cette tuerie. Une tentative de coup d’Etat à la mi-juillet a par ailleurs fait chanceler le pouvoir dictatorial du président Recep Erdogan qui a ensuite multiplié les arrestations.\\n\\nLe basket européen s’accommode de cette situation. Quatre équipes d’Istanbul participent à l’EuroLeague, soit un quart du contingent. L’Euro U18 a eu pour site en décembre Samsun, une ville de la Mer Noire. Mais voici que se profilent à l’horizon deux compétitions majeures et quelques voix inquiètes commencent à se faite entendre.\\n\\nLe Final Four de l’Euroleague se tiendra à Istanbul du 19 au 21 mai et le patron de l’organisation, Jordi Bertomeu, est plusieurs fois monté au créneau pour tenter de rassurer les esprits :\\n\\n« Nous sommes inquiets, bien sûr », a t-il déclaré récemment au journal espagnol El Mundo. « Statistiquement, la Turquie recense un nombre élevé d’attaques terroristes mais cela arrive aussi dans d’autres pays. Nous ne laisserons pas tomber Istanbul, nous ne pouvons pas revenir sur notre décision. Si nous le faisions, nous les (terroristes) laisserions gagner. Nous avons des garanties au niveau de la sécurité car le gouvernement a plus d’intérêt que nous à ce que rien n’arrive au cours d’un événement international. La réponse des fans qui ont acheté tous les billets en moins de deux heures est le message le plus puissant que nous pouvons envoyer. »\\n\\n\\nDes étrangères sont déjà parties de Turquie\\n\\nDeuxième événement majeur, l’EuroBasket dont une partie de la première phase puis la phase finale se dérouleront en Turquie, du 31 août au 17 septembre prochains.\\n\\nCette fois, c’est l’international italien Daniel Hackett de l’Olympiacos, blessé jusqu’à la fin de la saison, mais qui compte être rétabli pour le rassemblement d’équipes nationales, qui se fait en quelque sorte le porte-parole des joueurs sur le site Sportando.\\n\\n« Je suis inquiet qu’Istanbul soit la ville hôte. J’en ai récemment parlé avec Austin Daye (ailier de Galatasaray) qui devait aller au Reina le jour de l’An. Beaucoup de joueurs discutent de ça. Je pense que c’est normal que les joueurs donnent leur opinion à la FIBA. »\\n\\nIl y a quelques jours, Sandrine Gruda, qui joue à Fenerbahçe, était interrogée par L’Equipe sur ce même sujet et si elle disait ne pas avoir l’intention de quitter le pays car elle s’y sent en sécurité, elle informait que ce n’est pas le cas de tout le monde :\\n\\n« C’est vrai qu’autour de moi les filles en parlent. Beaucoup d’étrangères évoluant dans le championnat turc sont déjà parties. Mais pour l’instant, à Fenerbahçe, ce n’est pas le cas. Il faudrait que je sois témoin de quelque chose, que ce soit un choc. Dans ce cas, oui, je pourrais reconsidérer les choses. »\\n\\nJusqu’à présent, la sécurité très renforcée qui entoure les grands événements sportifs internationaux, y compris l’Euro de foot en France, a empêché tout carnage. Il y a quand même eu, le 19 décembre, dans une galerie d’art d’Istanbul, l’assassinat de l’ambassadeur de Russie par un policier qui a pris en défaut le dispositif, simplement en montrant son badge alors qu’il n’était pas de service. Cela peut faire réfléchir."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les stats 2.0 pour résumer les dix ans de carrière de Nando de Colo"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comment résumer la première décennie professionnelle de Nando de Colo, devenu le meilleur joueur d’Europe en 2016 ? C’est la question que nous nous sommes posés pour réaliser cette infographie réalisée par Andy Hyeans, consultant en ingénierie du sport et auteur de Sport Data Revolution.\\n\\nPouvez-vous nous expliquer votre démarche pour analyser les performances de Nando ?\\n\\nAndy Hyeans : J’ai souhaité exposer de la manière la plus synthétique possible mais aussi la plus précise les 10 premières années de carrière professionnelle de Nando De Colo, pour moi le meilleur extérieur français actuel.\\n\\nPour se faire, j’ai construit un Dataset de 10 saisons, de 2006 à 2016. J’ai analysé les données de ces 10 saisons pour obtenir les Win Score de chaque saison ainsi que les COTT-EFF(j) que j’ai nommé efficience par match.\\n\\nRésultats\\n\\nLe Win Score, ou indice de performance individuelle (voir plus bas) de Nando a été multiplié par 5.3 entre 2006 et 2016 ! Certes il joue deux fois plus de matchs, mais on peut constater à quel point il a explosé au CSKA après une période délicate en NBA.\\n\\nLe Win Score ne prend pas en compte les spécificités de l’équipe et donc du championnat du joueur. J’ai donc calculé son efficience par match, afin d’affiner l’analyse de l’évolution du joueur durant ses 10 premières saisons. Le résultat parle de lui-même, l’efficience par match de Nando a été multipliée par 2.3 entre 2006 et 2016 !\\n\\nConclusion\\n\\nLa performance de Nando De Colo a beaucoup évolué durant ces 10 premières années de carrière professionnelle, et elle a plus que quintuplé ! Ce qui fait de Nando un joueur aussi exceptionnel, ce n’est pas tant sa progression individuelle, c’est surtout la manière dont sa progression individuelle a autant impacté les résultats de son équipe, puisqu’il est aujourd’hui 2 fois plus déterminant au CSKA Moscou qu’il ne l’était à Cholet il y a 10 ans. Et des joueurs avec un tel impact sur le classement de leur équipe, il n’y en a pas beaucoup !\\n\\n\\nComprendre les analyses réalisées\\n\\nTraditionnellement, l’évaluation des joueurs au basket-ball permet de comparer leurs performances entre eux. C’est un des indicateurs de la valeur des joueuses et joueurs professionnels en vue d’un recrutement ou d’une sélection.\\n\\nL’évaluation la plus utilisée consiste à additionner et soustraire des variables de performance des joueurs : les points marqués, les rebonds, les passes décisives, les interceptions, les contres, la différence entre les tirs à deux points et trois points tentés et ceux réussis, la différence entre les lancers-francs tentés et réussis ainsi que les balles perdues.\\n\\nCette évaluation traditionnelle privilégie les joueurs complets et les scoreurs car elle donne la même importance à chacune des variables, qu’elles soient très ou peu significatives, autrement dit qu’elles permettent ou pas de faire la différence entre les joueurs.\\n\\nL’évaluation NBA, ou efficiency (EFF), utilise elle aussi une formule mathématique multifactorielle simple, mais qui sanctionne davantage les erreurs : balles perdues, maladresse aux tirs.\\n\\nEFF = [ (( PTS+REB+PD+INT+BLOC )) + (( TT-TM ) + ( LFT-LFM ) – BP )) ] / MJ\\n\\nPTS : total de points marqués dans une compétition\\n\\nREB : total de rebonds pris dans une compétition\\n\\nPD ( AST ) : nombre de passes décisives dans une compétition\\n\\nINT ( STL ) : total d’interceptions dans une compétition\\n\\nBLOC ( BLK ) : total de contres dans une compétition\\n\\nTT ( FGA ) : nombre de tirs tentés dans une compétition\\n\\nTM ( FGM ) : total de tirs ratés dans une compétition\\n\\nLFT ( FTA ) : total de lancers tentés dans une compétition\\n\\nLFM ( FTM ) : total de lancers ratés dans une compétition\\n\\nBP ( TO ) : total de balles perdues dans une compétition\\n\\nMJ ( G ) : nombre de matches joués dans une compétition\\n\\nCependant l’évaluation NBA ne prend pas en compte le caractère plus ou moins significatif des variables.\\n\\nDavid Berri a proposé en 2007 (modifié en 2011) une évaluation qui prend en compte la caractère plus ou moins significatif des variables : le Win Score.\\n\\nLe Win Score donne un poids différents selon les variables et l’importance qu’elles peuvent avoir sur l’issue d’un match. David Berri a déterminé ce poids après avoir étudié plusieurs saisons NBA.\\n\\nWS = (PTS)+(REB)+(STL) +0.5*(AST)+0.5*(BLK)-(FGA)-(TO)-0.5*(FTA)-0.5*(PF)\\n\\nLe Win Score est surtout intéressant pour évaluer un même joueur au fil du temps. Cependant le caractère déterminé des pondérations, des poids attribués aux différentes variables, laisse à désirer pour déterminer la valeur d’un joueur par rapport à un autre.\\n\\nD’où la géniale idée de Gilles Celeux et Valérie Robert, que je présente dans Sport Data Revolution, et qui ont proposé en 2015 une évaluation de la performance qui prend en compte le classement de l’équipe dans laquelle évolue le joueur. Une évaluation qui s’applique aussi bien au championnat de France de ProA qu’à la NBA. Cette évaluation, COTT-EFF(j), ou cotation de l’efficience du joueur, pondère 15 variables selon des poids spécifiques relatifs aux variables elles-mêmes mais aussi selon des poids spécifiques relatifs à l’équipe du joueur. Elle me semble mieux traduire la performance du joueur car elle prend en compte son environnement de jeu. Tout le monde est d’accord pour affirmer l’importance de cet environnement dans la performance, mais personne n’avait jusque là réussi à le traduire mathématiquement.\\n\\nCommentez l’article pour choisir le prochain joueur (hors NBA) à passer au crible de Andy Hyeans !\\n\\nDécouvrez également le livre « Sport Data Revolution » :\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Evreux : Fin de suspension pour Rémi Dibo"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Voila une bonne nouvelle pour Evreux. L’ALM indique à travers un communiqué le retour à la compétition de son joueur Rémi Dibo (2,01 m, 25 ans).\\n\\nSuspendu pour s’en être pris au corps arbitral lors de la défaite face à Lille le 9 décembre dernier, l’ancien manceau avait fait l’objet d’un rapport qui avait entraîné une suspension de quatre matchs de championnat.\\n\\nAvant cela, le Parisien de naissance tournait à 12,4 points, 7,3 points et 1,4 passe pour 14,4 d’évaluation en 32 minutes sur 9 rencontres de Pro B.\\n\\nSon entraineur Laurent Sciarra pourra donc compter sur lui pour la réception de Bourg-en-Bresse vendredi soir.\\n\\nPhoto : ALM Evreux"
}, 
{"role": "user",     "content":"Orléans : Mendy de retour pour le déplacement à Dijon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est la reprise pour l’Orléans Loiret Basket. La formation du 45 se déplace en Bourgogne défier Dijon. Un match ô combien important pour les deux équipes dans la course au maintien. Orléans est dix-septième et la JDA quinzième.\\n\\nCette rencontre marquera le retour à la compétition de l’ailier Antoine Mendy (1,98 m, 33 ans). Blessé au genou, l’international sénégalais n’avait plus été vu sur les parquets depuis la huitième journée de Pro A.\\n\\nAbsent depuis deux mois, son retour fera du bien au groupe orléanais lui qui compilait 4 points et 1,7 rebond et 10 minutes du temps de jeu.\\n\\nL’OLB précise également sur sa page Facebook que le meneur de jeu Antoine EITO et l’intérieur américain Marcellus SOMMERVILLE sont actuellement en convalescence et que le capitaine Kyle MCALARNEY victime d’une pubalgie réalise des examens médicaux complémentaires.\\n\\nPhoto : Orléans"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau – Limoges : les chiffres du clasico"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Grâce à une animation, Le Populaire du Centre nous offre les chiffres fondamentaux du clasico Pau-Limoges, à suivre dimanche à 18h30 sur SFR Sport 2.\\n\\nDepuis 1978, sur les 99 éditions précédentes, toutes en compétitions officielles, 84 se sont tenus pour le compte du championnat de Pro A appelé auparavant Nationale 1, 5 en Coupe de France, 4 au feu Tournoi de la Fédération, 3 au Tournoi des As –qui pris le nom de Semaine des As puis de Leaders Cup-, et 3 en Pro B.\\n\\nC’est le CSP qui devance pour l’instant l’Elan d’une courte tête : 50 victoires pour 48 défaites et 1 nul. La moyenne de points du premier s’établit à 82,26 alors que celle du second est à 81,98.\\n\\nLe plus gros écart sur un match est à l’inverse en faveur des Béarnais : + 43, soit 110-67, en 2003.\\n\\nPar ailleurs, Le Populaire s’est associé à La République des Pyrénées afin de déterminer les cinq majeurs de tous les temps des deux équipes. Voici les résultats :\\n\\nPau : Freddy Hufnagel (meneur, 1979-90, 95), Howard Carter (arrière, 1985-89 et 1991-95), Didier Gadou (ailier, 1982-2002), Paul Henderson (intérieur, 1979-91) et Gheorghe Mureșan (pivot, 1993, 1996, 2001). Coach : George Fisher (1979-89).\\n\\nLimoges : Jean-Michel Sénégal (meneur, 1981-86), Don Collins (ailier, 1987-90), Richard Dacoury (ailier, 1978-96), Stéphane Ostrowski (intérieur, 1985-92) et Apollo Faye (pivot, 1977-85). Coach : Bozidar Maljkovic (1992-95)\\n\\nA signaler que Didier Gadou comptabilise un record de 64 clasicos."
}, 
{"role": "user",     "content":"Justin Reynolds (ex Vichy) à la découverte du Portugal"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ancien joueur de la JA Vichy lors de la saison 2012/13 (12,3 points et 5,9 rebonds), Justin Reynolds (2,06 m, 28 ans) finira l’exercice 2016/17 au Portugal. L’intérieur américain vient de s’engager avec le club d’Oliveirense en première division. C’est un retour en Europe pour l’ancien vichyssois puisque son ancien contrat l’avait emmené à l’autre bout du monde, en Indonésie sous les couleurs du club de Garuda Kukar Bandung.\\n\\nProfessionnel depuis 2011, le Texan de Pearland a joué en Macédoine, en D-League et au Japon par le passé."
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Monaco s’impose de justesse face à Banvit"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le cadre de la 12e journée de Champions League, l’AS Monaco « écrase » les Turcs de Banvit de deux petits points (65-63)\\n\\nNommé MVP du match, Dee Bost a compilé 14 points, 5 rebonds, 2 interceptions et 2 passes décisives pour une évaluation de 15. La boxscore est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nA noter que la Roca Team affichait enfin complet avec les retours de Yakuba Ouattara et Brandon Davies.\\n\\nAprès cette courte victoire, Zvezdan Mitrovic s’est exprimé en conférence de presse d’après match.\\n\\n« C’était le match que nous attendions. Je pense que Banvit est vraiment l’une des meilleures équipes en Champions League en plus d’être une des meilleures équipes du championnat turc (NDLR, Banvit est 4e de BSL), et vous avez vu pourquoi. Ces mecs jouent un basket très dur, c’est vraiment une bonne équipe. De notre côté nous avons peut-être joué un peu trop nerveusement, nous avons fait quelques erreurs. Nous avions les moyens de plier le match à deux ou trois minutes de la fin mais ils ont pu profiter de nos erreurs pour rester au contact. »\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : la SIG s’incline face à Alpha Kaba"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le cadre de la 12e journée de Champions League, Strasbourg se déplaçait en Serbie pour y affronter Mega Leks. Après 40 minutes, les SIGmen se sont finalement inclinés 86-82.\\n\\nNotamment face au Français Alpha Kaba (10 points et 6 rebonds pour 13 d’évaluation) et à l’ancien Strasbourgeois Kostja Mushidi (15 points, 3 rebonds et 3 assists pour 13 d’évaluation), les 19 points d’Erving Walker et les 18 unités de Romeo Travis n’auront pas suffi. La boxscore est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nAvec 7 victoires pour 5 défaites, Strasbourg rétrograde à la 3e place du groupe D, derrière Tenerife (10v-2d) et Avellino (8v-4d).\\n\\nSuite à cette défaite, Vincent Collet s’est exprimé en conférence de presse d’après match.\\n\\n« Ils nous ont dominés grâce à leur agressivité. Je pense que mis à part les 5 dernières minutes, ils nous ont dominés avec cette agressivité. Ils nous ont mis la pression tout au long du match. Je pense que nous avons plutôt bien commencé mais nous les avons laissés reprendre l’avantage très rapidement avec par exemple trois pertes de balle consécutives. Nous avons également été dominé dans le rebond et ça se voit simplement au fait qu’ils terminent avec plus de rebonds offensifs que nous avons de rebonds défensifs et c’est l’une des clés du match. »\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 12 janvier 2017"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nElton Brown retrouve Gregor Beugnot\\n\\n– Pivot du Havre la saison dernière, Elton Brown arrive au SLUC comme cinquième américain et dernier joueur pour la suite de la saison. Il retrouve Greg... Lire la suite.\\n\\n\\nLe film du match\\n\\n– Préféré à Walker dans le cinq de départ, Ntilikina répond au primé de Mushidi par un floater , avant de rentrer ses deux lancers-francs : la SIG... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nMega Leks, dura lex\\n\\n– Du talent à revendre, mais aussi de récurrents problèmes de discipline : Kostja Mushidi a laissé un souvenir contrasté de son passage au centre de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nÇa jette un froid...\\n\\n– Défaite, hier soir, à Sremska Mitrovica sur le parquet de Mega Leks, la SIG a dit adieu à la qualification directe pour les 8es de finale de la Ligue... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTahar Assed-Liegeon à la tête du Centre Fédéral\\n\\n– Entraîneur des récents champions d’Europe U18, Tahar Assed-Liegeon va accéder à de nouvelles fonctions. Le Lédonien a été nommé directeur du Centre... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’antichambre retrouve la compétition\\n\\n– A quatre journées du terme de la phase aller et après une coupure de quinze jours, la saison régulière reprend ce week-end... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nVraiment un tout petit sourire\\n\\n– Les Lionnes ont renoué avec le succès en se qualifiant pour les quarts de finale de la Coupe de France mais sans véritablement se rassurer... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nJay Threatt remplace McWhorter au PB 86\\n\\n– Alors que Steve McWhorter a quitté le Poitiers Basket 86 il y a une semaine pour le club néerlandais de Den Bosch, le PB a officialisé l’arrivée de son remplaçant hier matin... Lire la suite.\\n\\n\\nMontamisé a bien voyagé\\n\\n– Les voyages forment la jeunesse, dit-on. Et de ce côté, les féminines de Montamisé ont été servies. Les joueuses de Frédéric Bouchard n’ont en effet disputé pour l’instant que... Lire la suite.\\n\\n\\nLa classe biberon réunie à Saint-Ouen\\n\\n– C’est dans la joie et la bonne humeur que le club de basket de l’AL Saint-Ouen accueillait enfants et parents ce week-end au gymnase Maryse-Bastié pour l’habituel « plateau basket »... Lire la suite.\\n\\n\\nL’Est Tourangeau s’organise\\n\\n– C’est bien connu, l’union fait la force. Un adage retenu par les clubs de Montlouis, Saint-Avertin et La Ville-aux-Dames qui se sont associés pour offrir à leurs jeunes licenciés une ... Lire la suite.\\n\\n\\nFin de l’aventure pour les Amandinoises qui s’inclinent à Lyon\\n\\n– Même en position délicate en championnat, Lyon et Saint-Amand Hainaut avaient en fait à cœur de passer ce tour. La formation de Fabrice Fernandes, battue de 30 points chez ces... Lire la suite.\\n\\n\\nLes Aulnésiennes ont subi la loi des joueuses de Charleville\\n\\n– La tête au championnat, sans aucun doute. Bruno Rivart, le président de l’ASA l’avait annoncé avant le match. Ce 1/8e de finale de Coupe de France n’était pas vraiment la priorité du... Lire la suite.\\n\\n\\nVilleneuve-d’Ascq cherche adresse pour concrétiser les efforts consentis\\n\\n– Dans quelle ambiance s’est disputé ce combat franco-français? Une ambiance bon enfant, beaucoup de jeunes ayant été invités pour l’occasion. Mais ce qu’il a manqué hier soir pour... Lire la suite.\\n\\n\\nDépartementaux : Moernach titré en Coupe du Crédit mutuel\\n\\n– Ils ont eu chaud mais ils l’ont fait ! Opposés à Rosenau en finale de la première phase de Coupe du Crédit mutuel (district sud), les Moernachois se... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPrénationale : les joueuses de Nord Sundgau seules en tête\\n\\n– Profitant de leur match avancé face à la SIG III (victoire 56-43), les joueuses de Nord Sundgau ont pris les commandes du championnat de Prénationale,... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nNord Sundgau : bien démarrer l’année\\n\\n– Pour leur premier match de l’année 2017, les basketteurs de Nord Sundgau effectuent déjà un déplacement très important dans l’optique du maintien en... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne défaite qui fait mal\\n\\n– En s’inclinant, hier soir en Serbie, sur le parquet de Mega Leks (86-82), la SIG a vu s’éloigner la possibilité de se qualifier directement pour les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCadets, minimes et benjamins sur le pavois\\n\\n– Benjamins région : victoire 58-49 Nos jeunes Tarbais recevaient Muret, second du championnat régional. Ils ont fait la bonne opération du week-end car, avec cette victoire, ils montent... Lire la suite.\\n\\n\\nBASKET Le SQBB dans le dur financièrement\\n\\n– Votre actualité quotidienne locale, régionale et nationale... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Le Mans en tête du groupe B"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Reporté à cause des conditions météorologiques qui avaient bloqué les Turcs à l’aéroport d’Istanbul, le match entre le MSB et Izmir s’est finalement joué avec 24 heures de retard. Après 40 minutes, les Manceaux se sont imposés 65-61.\\n\\nMVP du match, Wilfried Yeguete a compilé 10 points et 7 rebonds pour une évaluation de 14. Mike Green, l’ancien meneur du Paris-Levallois qui évolue cette saison au Pinar Karsiyaka a de son côté enregistré 13 points, 4 rebonds, 2 interceptions et 8 assists (17 d’éval). La boxscore est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nAprès la rencontre, l’entraîneur manceau, Erman Kunter s’est exprimé sur cette victoire.\\n\\n« C’était un match important. Avec cette victoire nous sommes assurés d’être dans le top 2 du groupe B. Bien sur si nous remportons nos deux prochains matchs nous nous assurerons la première place et c’est notre objectif et ceci depuis le début de la compétition. Nous étions à domicile mais je pense qu’ils étaient plus motivés que nous parce qu’avec cette victoire ils auraient pu intégrer le top 2 du groupe. Ils ont fait un long voyage et c’est ce qui a fait la différence à la fin du match je pense, ils étaient fatigués. Nous n’avons pas fait d’erreurs et nous avons remporté ce match. »\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges, Champion de France sur Facebook"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Au fil des années, les réseaux sociaux et en particulier Facebook sont devenus un moyen de communication incontournable pour les clubs de basket français. Tous les clubs de Pro A possèdent d’ailleurs leur page afin de communiquer et d’échanger avec leurs fans.\\n\\nEn ce début d’année 2017, nous avons voulu savoir quel club possède le plus de « J’aime » sur leur page.\\n\\n * Antibes Sharks : 9 678\\n * Chalon-sur-Saône : 20 983\\n * Châlons-Reims : 7 083\\n * Cholet : 32 125\\n * Dijon : 23 951\\n * Gravelines-Dunkerque : 29 492\\n * Hyères-Toulon : 8 319\\n * Le Mans : 26 163\\n * Le Portel : 6603\\n * Limoges : 73 616\\n * Lyon-Villeurbanne : 61 705\\n * Monaco : 7 766\\n * Nancy : 18 465\\n * Nanterre : 16 164\\n * Orléans : 14 592\\n * Paris-Levallois : 9 217\\n * Pau-Lacq-Orthez : 21 838\\n * Strasbourg : 44 045\\n\\nClassement :\\n\\n 1.  Limoges 73 616\\n 2.  Lyon-Villeurbanne 61 705\\n 3.  Strasbourg 44 045\\n 4.  Cholet 32 125\\n 5.  Gravelines-Dunkerque 29 492\\n 6.  Le Mans 26 163\\n 7.  Dijon 23 951\\n 8.  Pau-Lacq-Orthez 21 838\\n 9.  Chalon-sur-Saône 20 983\\n 10. Nancy 18 465\\n 11. Nanterre 16 164\\n 12. Orléans 14 592\\n 13. Antibes 9 678\\n 14. Paris-Levallois 9 217\\n 15. Hyères-Toulon 8 319\\n 16. Monaco 7 766\\n 17. Châlons-Reims 7 083\\n 18. Le Portel 6603\\n\\nSur les 18 clubs qui évoluent en première division française on peut constater par exemple que:\\n\\n * C’est Limoges qui compte le plus de fans devant Lyon-Villeurbanne et Strasbourg.\\n * Inversement, c’est Monaco, Châlons-Reims et Le Portel qui ferment la marche.\\n * 6 clubs sont en dessous de la barre des 10 000 « J’aime » (Antibes, Paris-Levallois, Hyères-Toulon, Monaco, Châlons-Reims et Le Portel).\\n * Avec 431 805 « J’aime » pour l’ensemble des clubs de la Pro A, la moyenne est de 23 989.\\n * 6 clubs sont au dessus de cette moyenne (Limoges, Lyon-Villeurbanne, Strasbourg, Cholet, Gravelines-Dunkerque et Le Mans).\\n\\nSi on quitte la France pour faire un tour en Europe, l’Etoile Rouge de Belgrade, qui possède les fans les plus bruyants de l’EuroLeague est forte de 460 418 Likes, le CSKA Moscow de Nando De Colo comptabilise 90 967 Likes, le puissant Real Madrid est poussé par une armée de 16 329 470 Likes, l’Olympiacos, poids lourd du basket grec enregistre 386 491 Likes et Fenerbahçe est adulé par 1 230 784 Likes.\\n\\nDans le reste du monde, Nagoya Diamond Dolphins, l’ancien club japonnais d’Amath Mbaye totalise 4725 Likes, Leones de Ponce, club phare du championnat porto-ricain possède 74933 Likes et l’équipe australienne de Melbourne United du champion de France David Andersen compte 47583 Likes.\\n\\nPour la NBA : les New-York Knicks 6 172 760 Likes, les Chicago Bulls 18 894 199 Likes, les Los Angeles Lakers 21 884 184 ... sont définitivement un autre monde ...\\n\\nEt pour finir il y a Basket Europe et ses 12 623 « J’aime », merci à vous d’être toujours plus nombreux ...\\n\\nPhoto : limogescsp.com"
}, 
{"role": "user",     "content":"Antibes : Kouguere prolongé jusqu’à la fin de la saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Remplaçant d’Isaïa Cordinier puis de Tre Simmons durant plusieurs semaines sur la première partie de saison, Max Kouguere (1.98m – 29 ans) arrivait en ce début d’année civile à la fin de son bail avec Antibes.\\n\\nMais ce mercredi le club antibois indique à travers un communiqué que l’ailier finira finalement la saison sous les couleurs des Sharks. L’international Centrafricain est prolongé jusqu’à la fin de l’exercice 2016/17 pour pallier à l’absence sur blessure de l’Américain Tre Simmons toujours touché au genou.\\n\\nVu à 9 reprises avec le club azuréen cette année, le natif de Brazzaville compile 6,2 points à 34% aux tirs, 4,3 rebonds et 0,8 passe pour 7,4 d’évaluation en 26 minutes de temps de jeu. Soit sa deuxième meilleure moyenne en sept saisons l’élite française après ses 11,2 au Havre en 2012/13.\\n\\nEn course pour le maintien, Antibes est actuellement seizième en championnat Pro A.\\n\\nPhoto : Sharks Antibes"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : Elton Brown en renfort à Nancy"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Abdoulaye M’Baye et Demon Mallet, le SLUC boucle son recrutement aujourd’hui en annonçant sur sa page Facebook la signature d’Elton Brown jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nSans club depuis son départ du Havre en fin de saison dernière, ce pivot américain rebondit à Nancy où il retrouvera son ancien entraîneur Greg Beugnot qu’il a connu au Paris-Levallois lors de la saison 2013/14.\\n\\nAperçu le temps d’un match au BCM Gravelines-Dunkerque en 2015, l’ancien pensionnaire de l’université de Virginia est un habitué de l’Europe et a notamment évolué sous les couleurs du Maccabi Tel-Aviv (2008/09), de Bamberg (2009/10), du Trabzonspor (2011/12) ou encore de l’Etoile Rouge de Belgrade (2012/13).\\n\\nEn LNB, Elton Brown compile en moyenne 10,8 points et 5,7 rebonds pour une évaluation de 10,9 par match.\\n\\nPhoto : SLUC Nancy"
}, 
{"role": "user",     "content":"Championnats nationaux : le Top 10 de la semaine (7 janvier)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque saison depuis maintenant cinq ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCette semaine et pour le premier Top 10 de 2017, ce sont Kevin Mondesir au contre et Dwight Burke au dunk (UJAP Quimper, NM1) qui pointent à la première place du classement.\\n\\n\\n\\nTop 10 CourtCuts du 7 Janvier 2017 par FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Dominique Sutton rejoint Trento"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme annoncé il y a quelques jours, Dominique Sutton fera bien son retour à l’Aquila Basket Trento où il évoluait durant la saison dernière. Le club italien vient d’officialiser l’information ce mercredi.\\n\\nVu au SLUC en fin d’année civile avant d’être libéré pour rejoindre l’Italie, l’Américain tournait en moyenne à 10,3 points, 6,2 rebonds et 1 passe pour 9,7 d’évaluation de moyenne sur 6 matchs de championnat Pro A.\\n\\nPhoto : Trento"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le président du contrôle de gestion confiant sur la pérennité du Portel"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Président de la Direction Nationale de Conseil et de Contrôle de Gestion, Cyrille Muller s’est exprimé sur le cas de l’ESSM Le Portel qui a fait un appel aux dons pour renflouer ses caisses, précisant quels sont en amont les leviers dont dispose la DNCCG.\\n\\nCyrille Muller à propos des possibilités de restrictions de recrutement infligés aux clubs\\n\\n« Il existe trois cas. 1) Un engagement sans réserves permet de dépasser la masse salariale indiquée au budget de 150 000 euros pour la Pro A et de 45 000 euros pour la Pro B. Pour cette saison 15 clubs sont engagés sans réserves. 11 en Pro A et 4 en Pro B. 2) L’encadrement de la masse salariale au montant budgété. 18 clubs font l’objet de cet encadrement. 6 en Pro A et 12 en Pro B. 3) L’encadrement de la masse salariale fixé par le Conseil Supérieur de Gestion qui a donc baissé la masse salariale présentée par le club au budget. 3 clubs dont 1 en Pro A font partie de cet encadrement. Il faut noter qu’un club ne peut accéder au championnat supérieur ou intégrer le secteur professionnel si sa situation nette n’est pas au minimum à l’équilibre. »\\n\\nCyrille Muller à propos du Portel\\n\\n« Le Portel est le seul club en Pro A qui a fait l’objet d’une baisse de la masse salariale. Ils avaient essentiellement basé leur augmentation sur le fait qu’ils avaient une nouvelle salle, qui leur permettrait d’avoir un public plus important et aussi de développer le côté marketing par la fidélisation des partenaires. Personnellement je trouve l’intervention du président du Portel maladroite car il a voulu profiter d’une série de bons résultats pour essayer de réveiller un peu les partenaires. Il annonce un déficit de 300 000 euros... Je n’ai personnellement pas de craintes sur la survie du Portel. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Clasico Pau – Limoges : le jour où Thierry Gadou a baptisé Frédéric Weis"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dimanche à 18h30 sur SFR Sport 2, c’est clasico avec la traditionnelle opposition entre Pau et Limoges. Mardi, l’émission Buzzer est revenue sur l’histoire de cette rivalité à grand renfort d’images. On y voit notamment Freddy Hufnagel glisser dans la défense limougeaude et obtenir deux lancers qui donneront à Orthez le titre national en 1987.\\n\\n« Ce que je sais, c’est que j’ai bien fait de les marquer. Je n’ose pas imaginer si je les avais ratés. J’aurais été obligé de changer de contrée. »\\n\\nMais le grand moment de l’émission ce sont les retrouvailles entre Frédéric Weis (2,17m), ancien pivot du CSP et désormais consultant sur SFR Sport 2, et Thierry Gadou (2,04m), ancien ailier de Pau-Orthez.\\n\\nFred Weis raconte que rookie, il est entré sur le terrain et que d’entrée le frère de Thierry, Didier –actuellement directeur général du club-, lui a donné un coup sur le nez.\\n\\n« J’ai perdu la vue et je suis sorti directement. Il m’a donné volontairement un coup et il m’a dit, ici c’est Pau-Limoges ! »\\n\\nEt dans un grand sourire, Thierry de préciser qu’il se souvient parfaitement de ce geste mais que ce n’était pas son frère qui l’avait donné mais... lui-même !\\n\\nLe reportage et la séquence sont à voir ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Russie : le duel de pistoleros russes entre Sergey Karasev et Alexey Shved"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tous deux revenus au pays après des expériences NBA peu concluantes, Sergey Karasev et Alexey Shved ont semble-t-il fait le bon choix. Le premier évolue désormais au sein du Zénit Saint Pétersbourg, coaché par son père Vasiliy tandis que le second est revenu à Moscou, mais cette fois au Khimki.\\n\\nEt ce week-end, les deux scoreurs russes se sont livré un duel sans merci, Karasev finissant à 35 points et la victoire quand Shved a cumulé 29 points (record de saison). Intenables dans leurs un-contre-un respectifs, Karasev et Shved ont déployé la panoplie intégrale.\\n\\nKarasev bat au passage son record en carrière, qu’il avait établi plus tôt dans la saison à 34 unités face à Avtodor. Il finit à 12/17 aux tirs dont un très bon 7/10 à trois points pour 40 d’évaluation (là aussi record en carrière).\\n\\nCrédits photo : EuroCup"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : quand les Helios Suns se prennent pour les Spurs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le cadre de la 12e journée de Champions League, les Helios Suns de Domzale se sont inclinés 69-60 face aux Israéliens de Nahariya, mais en fin de 3e quart-temps, les joueurs de Jaksa Vulic nous ont offert une sublime action collective qui n’est pas sans rappeler celles des San Antonio Spurs.\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Poitiers a trouvé son nouveau meneur de jeu"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Steve McWhorter libéré et parti aux Pays-Bas, Poitiers se devait de trouver un nouveau meneur de jeu. Ce mercredi c’est chose faite. La formation de Pro B vient d’annoncer le renfort de Jay Threatt (1,80 m, 27 ans).\\n\\n\\n\\n\\nLe @pb86officiel est heureux de vous annoncer l’arrivée de son nouveau meneur Jay Threatt en provenance de Hongrie #PB86\\n\\n\\n— Poitiers Basket 86 (@pb86officiel) 11 janvier 2017\\n\\nVu en Hongrie durant cette première partie de saison 2016/17, l’Américain défendait les couleurs de Sopron avec qui il a disputé le championnat national de première division hongrois (14,8 points, 4,2 rebonds et 6,2 passes pour 19,9 d’évaluation en 32 minutes sur 9 matchs) et la FIBA Europe Cup (10,3 points, 3,7 rebonds et 5,2 passes pour 10,7 d’évaluation en 30 minutes sur 6 matchs). Capable de gros cartons, le natif de Richmond a atteint à deux reprises la barre des 30 d’évaluation cette saison. et était le cinquième meilleur passeur de la première division hongroise cette année.\\n\\nProfessionnel depuis 2012 après avoir été formé entre George Mason (2007–2008) et Delaware State (2009–2012), le futur meneur de jeu du PB86 a joué en Islande, en Allemagne, en Finlande et en Roumanie entre 2012 et 2016.\\n\\nSous les ordres de Ruddy Nelhomme il vivra sa première expérience en France.\\n\\nPhoto : Zsombor Tóth"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ancien Champion de France, LaQuan Prowell poursuit son tour des clubs en Argentine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion de France en 2012 avec Chalon-sur-Saône où il avait été vu le temps des playoffs (4,3 points de moyenne en 6 matchs), LaQuan Prowell (2,03m, 103 kg) est toujours dans le circuit cinq ans après. A 32 ans, le natif de Montgomery (Alabama) joue encore et c’est en Amérique du Sud qu’on le retrouve. Évoluant depuis 2015 dans le championnat argentin, l’ancien chalonnais va connaitre son troisième club en Argentine après Villa Angela Basket et La Union Formosa puisqu’il vient de s’engager avec Salta Basket.\\n\\nBien connu en France pour avoir évolué sur les différents parquets de LNB entre 2009 et 2012, l’ailier était une valeur sûre de la Pro B (16,4 d’évaluation en 33 matchs sous les maillots d’Evreux et de Saint-Vallier) mais avait eu plus de mal à confirmer à l’étage au dessus sous les couleurs du Paris-Levallois et d’Orléans (8,9 d’évaluation en 33 matchs de saison régulière).\\n\\nFormé à Auburn University (NCAA I), passé par la Turquie pour son premier contrat professionnel en Europe (Ted Kolejiler Ankara) il a aussi été vu en Grèce, en Allemagne, en Italie et en D-League."
}, 
{"role": "user",     "content":"Marketing : la LNB va organiser un voyage aux Etats-Unis pour les présidents de club"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lundi, lors d’une conférence de presse, la Ligue Nationale de Basket a rendu publiques ses finances et celles de ses clubs. Son président Alain Béral a commenté les informations annonçant notamment qu’un voyage aux Etats-Unis, pour visiter les clubs NBA, sera organisé dans les prochains mois pour les présidents des clubs de Pro A et Pro B et aussi que des investisseurs étrangers sont prêts à entrer dans le capital de certains clubs français.\\n\\nAlain Béral à propos de contacts avec des investisseurs étrangers et d’un voyage aux Etats-Unis\\n\\n« On est en train de travailler sur les salles car on a un retard structurel très important et aussi sur des investisseurs qui veulent investir dans le basket français, des étrangers souvent. La ligue a la capacité d’aller discuter avec ces gens qui veulent investir notamment pour conquérir des places européennes. La ligue fait aussi de la formation en marketing notamment par les outils de CRM car c’est une façon de développer les recettes. On va organiser un voyage aux Etats-Unis dans les prochains mois avec les présidents de club qui veulent bien venir pour savoir comment fonctionne une salle aux là-bas et quelle est l’économie autour du basket. Ce qui produit le plus de revenus c’est ce qu’il y a autour des matches plutôt que les places. »\\n\\nAlain Béral à propos des reversements aux clubs\\n\\n« Comme participation au championnat, les clubs versent à la ligue 3 391 000 euros soit 25% de plus qu’en 2011-12. Et de l’autre côté la ligue fait des versements aux clubs et c’est significatif puisqu’on est passé de 2 à 6 millions. Soit une augmentation de 25% d’un côté et de 188% de l’autre sur la durée du mandat et on est assez fier de ça. Les droits de télévision et de marketing ont fortement poussé à partir de 2014, tout comme la prime sportive. Un champion de France en 2011 touchait 50 000 euros alors qu’aujourd’hui il touche, en primes uniquement, 400 000 euros. S’ajoutent à cela des reversements fixes. La ligue incite à la professionnalisation par l’intermédiaire des labels. Chaque année les clubs sont amenés à proposer à la ligue un projet avec un aspect sportif mais aussi tout le reste, gouvernance, marketing. Selon la qualité de ce projet un jury détermine une cotation or, argent ou bronze, qui amène à une réversion de la ligue qui peut aller jusqu’à 100 000 euros pour les clubs or. Il n’y a eu qu’un l’an dernier, l’ASVEL. De plus en plus de clubs s’approchent de l’or et ce qui est intéressant, et de plus en plus de clubs de Pro B s’approchent du bronze et de l’argent, ce qui veut dire que ça marche. »\\n\\n« On sent le moment où l’on pourra participer aux meilleurs compétitions européennes et surtout gagner et aussi conserver les joueurs français. »\\n\\nAlain Béral à propos de la solidité financière de la LNB et de ses clubs\\n\\n« L’objectif est que les reversements de la ligue aux meilleurs clubs puissent permettent de recruter un joueur et demi, deux joueurs, en fonction du marketing, du label et du classement dans le championnat national.\\n\\nAujourd’hui un club qui participe à la Champions League touche 200 000 euros de la ligue et ceux qui participent à la FIBA Cup 60 000 euros. Aucune ligue ne donne autant. Derrière nous c’est Israël, 140 000. Ça n’existe pas ailleurs. Et je rappelle que si l’Euroleague verse de l’argent aux clubs, ça coûte de l’argent de participer à l’Eurocup.\\n\\nOn n’est pas encore satisfait des montants, on espère les faire avancer. On est aussi, comme je le disais, en marche pour avoir de grandes salles et probablement des investisseurs étrangers. On sent le moment où l’on pourra participer aux meilleurs compétitions européennes et surtout gagner et aussi conserver les joueurs français. On le fera sur une économie saine, et je connais bien les autres ligues, je connais leurs présidents, ils ont peur de la défection de leurs mécènes. Quand on voit les conditions actuelles géopolitiques -et vous voyez de quels pays je parle- les conditions économiques, des clubs peuvent être du jour au lendemain rayés de la carte. Rappelez vous de Sienne, de Bologne. Ce sont des choses qui vont arriver de nouveau dans les mois à venir. Nous, on marche à notre rythme qui est plus sûr pour l’avenir même si quelquefois on peut être énervé de ne pas aller plus vite ou aussi vite que les autres. »\\n\\nAlain Béral à propos des collectivités des clubs de Pro B\\n\\n« Pour en discuter avec eux, je sais que les collectivités n’ont pas l’intention de lâcher leurs clubs de Pro B car c’est pour eux le seul moyen d’exister médiatiquement. La salle, c’est le lieu de vie de la ville, là où tout se passe, tout le monde se rencontre, c’est là où le maire voit ses élus, ses électeurs. C’est pour ça qu’il y a même des maires qui sont prêts à aller encore plus loin. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 11 janvier 2017"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nLe SLUC mise sur Demond Mallet\\n\\n– En s’attachant les services de Demond Mallet (38 ans), le SLUC Nancy a joué la carte de l’expérience. Mais si l’Américain a une très belle carte de... Lire la suite.\\n\\n\\nLe match aller (pourtant remporté 68-59 par la SIG, ndlr) restera comme une belle purge\\n\\n– « Le match aller (pourtant remporté 68-59 par la SIG, ndlr) restera comme une belle purge. On peut remercier, d’ailleurs, les spectateurs qui étaient... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Tout gagner, voilà le plan ! »\\n\\n– Il a mis à profit la courte trêve pour rendre visite à son frère à Boston. L’ailier-fort Erik Murphy aborde la seconde partie de la saison avec... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nObjectif : carton plein\\n\\n– Si la première place du groupe leur est désormais inaccessible, les Strasbourgeois vont s’employer à remporter leurs trois derniers matches pour... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBasket echos LF2\\n\\n– En raison d’un problème d’avion, Agostina Burani, l’internationale argentine, n’arrivera que jeudi matin à Paris... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLyon veut prendre une coupe pour retrouver le sourire\\n\\n– Restant sur sept défaites consécutives en championnat les Lyonnaises entendent profiter d’un tirage clément pour se relancer... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nVentspils – Asvel 77 – 72 : l’Asvel perd, mais garde la main\\n\\n– L’Asvel terminera en tête si elle s’impose face à Radom et à Usak, déjà éliminés... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nQuel délai a le Poitiers Basket pour qualifier un joueur avant la venue de Nantes, samedi ?\\n\\n– Après le départ de Steve McWhorter, le PB est à la recherche d’un meneur et espère le qualifier pour la réception de Nantes, samedi. « Le dossier doit être complet 72 heures... Lire la suite.\\n\\n\\nSaint-Sulpice fait front\\n\\n– En sous-effectif, encaissant de larges défaites tous les week-ends, l’équipe féminine de Saint-Sulpice ne veut rien lâcher en attendant la fin de la tempête... Lire la suite.\\n\\n\\nEuroligue : Bourges dévoile des faiblesses, à l’ESBVA-LM d’en profiter !\\n\\n– « Si tu perds chez toi, au Prado, qui plus est face à Villeneuve-d’Ascq, l’équipe qui n’a jamais (ou presque: 57matchs depuis 2000, 52défaites) trouvé la solution, alors oui cela... Lire la suite.\\n\\n\\nDu show et des points\\n\\n– Il n’y a pas que les salaires qui explosent à un niveau sans précédent en NBA : les statistiques aussi s’envolent, notamment en termes de points... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCastano va prendre son temps\\n\\n– L’ancien joueur du FC Mulhouse et assistant de Charlie Auffray a été limogé de Boulogne-sur-Mer (Pro B), où il a passé les huit dernières saisons. À... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRelancer la machine\\n\\n– Après une trêve de cinq jours, la SIG doit rapidement retrouver le rythme. L’objectif strasbourgeois est de gagner les trois derniers matches du... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Sondage Euroleague : l’équipe la plus fun, la plus belle salle, la plus forte ambiance..."
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur le modèle de la NBA, les general managers des clubs d’Euroleague ont été sondés afin de déterminer les valeurs sportives mais également différents éléments en dehors du terrain. Où l’on apprend par exemple que si Zalgiris Kaunas possède la plus belle salle (Zalgirio Arena, 15 688 places), rien ne vaut les fans de l’Etoile Rouge de Belgrade en terme d’ambiance. Et puis, visiblement, les general managers adorent l’Espagne...\\n\\nQuelles équipes feront le Final Four ?\\n\\n100% Real Madrid\\n\\n100% CSKA Moscou\\n\\n93,3% Fenerbahçe\\n\\n53,3% Olympiacos\\n\\nQui est le meilleur coach ?\\n\\n31,2% Zeljko Obradovic (Fenerbahçe Istanbul)\\n\\n25,0% Dimitris Itoudis (CSKA Moscou)\\n\\n18,7% Sito Alonso (Baskonia Vitoria)\\n\\n12,5% David Blatt (Darussafaka Istanbul)\\n\\n6,2% Andrea Trincheri (Brose Bamberg)\\n\\n6,2% Pablo Laso (Real Madrid)\\n\\nQuelle est l’équipe la plus fun à regarder ?\\n\\n25,0% Baskonia Vitoria\\n\\n18,7% Real Madrid\\n\\n18,7% CSKA Moscou\\n\\n12,5% Darussafaka Istanbul\\n\\n12,5% Maccabi Tel-Aviv\\n\\n12,5% Une autre\\n\\nQuelle est la meilleure salle ?\\n\\n56,2% Zalgiris Kaunas\\n\\n18,7% Fenerbahçe Istanbul\\n\\n25,0 % Une autre\\n\\nQui est le plus dur adversaire ?\\n\\n43,7% CSKA Moscou\\n\\n18,7% Olympiacos Le Pirée\\n\\n12,5% Brose Bamberg\\n\\n25,0% Un autre\\n\\nQui a les fans les plus bruyants ?\\n\\n56,2% Etoile Rouge de Belgrade\\n\\n12,5% Fenerbahçe Istanbul\\n\\n12,5% Galatasaray Istanbul\\n\\n18,7% Un autre\\n\\nQuelle est la ville que vous préférez visiter en déplacement ?\\n\\n50,0% Barcelone\\n\\n18,7% Madrid\\n\\n12,5% Milan\\n\\n12,5% Istanbul\\n\\nLes fans de l’Etoile Rouge à leur meilleur...\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=0128crRNAGs"
}, 
{"role": "user",     "content":"Stéphane Ostrowski refuse le poste de Directeur Sportif du Limoges CSP"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Stéphane Ostrowski, 54 ans, a décidé de ne pas répondre à la sollicitation de son président Frédéric Forte qui souhaitait qu’il devienne Directeur Sportif du Limoges CSP, poste en création.\\n\\nL’ancien international (193 sélections), qui a joué en Pro A à Antibes jusqu’à 43 ans, demeure donc le directeur du Marketing et de la Communication du club.\\n\\n\\n\\n\\nStephane Ostrowski a décidé de ne pas répondre favorablement à la proposition du club de devenir Directeur Sportif 1/2\\n\\n\\n— Limoges CSP (@limogescsp) January 11, 2017\\n\\nLe communiqué de Stéphane Ostrowski:\\n\\n« Comme l’ensemble des salariés et des dirigeants du club, j’ai participé activement à la création du projet #CSP3.0 et je souhaite vivement contribuer à la réussite de celui-ci. Je remercie les dirigeants de m’avoir témoigné de leur confiance en me proposant le poste de Directeur Sportif.\\n\\nSi je veux continuer à évoluer sur le poste de Responsable Marketing c’est avant tout parce que j’aime les fonctions qui me sont confiées, lesquelles contribuent au développement du club ainsi qu’à mon épanouissement personnel au travers d’un partenariat que je souhaite chaque jour voir évoluer un peu plus.\\n\\nC’est une fonction qui est difficile mais exaltante, qui demande d’y consacrer beaucoup de temps et que je souhaite poursuivre.\\n\\nLa cellule marketing du Limoges CSP dont j’ai la charge a la volonté permanente d’apporter satisfactions, plaisirs, émotions aux entreprises partenaires et de répondre à leurs attentes.\\n\\nJ’aime le club, j’ai envie qu’il réussisse et je souhaite continuer à m’y investir pleinement. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : l’ASVEL chute à Ventspils"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En tête pendant trois quart-temps (58-56 après 30 minutes), les Villeurbannais ont craqué dans la dernière période (21-14) pour finalement s’incliner 77 à 72 à l’occasion de la 12e journée.\\n\\nMalgré les 17 points et 5 rebonds de Nikola Dragovic (17 d’évaluation), les hommes de J.D Jackson n’ont pas résisté aux 16 points et 6 rebonds d’Edgaras Zelionis. La boxscore est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nKlaipeda s’étant également incliné (82-73 face au PAOK), Lyon-Villeurbanne conserve la première place du groupe C avec 9 victoires pour 4 défaites.\\n\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : John Roberson élu joueur du mois de décembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"John Roberson avait affolé les compteurs pour conclure 2016, et avec 55% des voix, le meneur de l’Elan Chalon a logiquement décroché le Trophée du Joueur du Mois LNB.\\n\\nJohn Roberson a réalisé un très bon mois de décembre en compilant en moyenne 19,8 points, 4,4 rebonds et 6 passes décisives. Elu MVP du match des étoiles, le natif de Kansas City y avait compilé 17 points (5/9 à 3pts), 3 rebonds et 4 passes décisives (20 d’évaluation) lors de la victoire de la sélection étrangère 130 à 129.\\n\\nEn feu lors de la 12e journée de championnat, l’ancien pensionnaire de Texas Tech avait aussi inscrit 34 points (11/15 aux tirs dont 7/10 à 3pts), capté 7 rebonds et délivré 6 passes décisives pour une magnifique évaluation de 42 dans la victoire de Chalon face à l’ASVEL (98-68) !\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Amath M’Baye cartonne encore en Italie !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Seize joueurs pour neuf pays, le contingent tricolore a bien regonflé ses troupes pendant l’intersaison. De la Lituanie à l’Espagne, de l’Allemagne à la Grèce en passant par la Russie et la Chine (!), Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n\\nAndrew Albicy a fait trembler le Real\\n\\nCette semaine, Amath M’Baye a encore réalisé un immense match pour Brindisi. Avec 33 points à 12/17 aux tirs, il établit son nouveau record personnel et échoue à une unité du meilleur score historique du club, propriété de l’actuel joueur des Mavs, Jonathan Gibson. Mais ses efforts ont été en vain, son équipe a craqué dans le finish. Prochaine échéance, le Final Eight, l’équivalent transalpin de la Leaders Cup. Brindisi affrontera Milan dès le premier tour...\\n\\nEn Espagne, les Français ont également brillé avec un double double d’Andrew Albicy (14 points, 10 passes) face au Real Madrid. Le meneur tricolore d’Andorre a même fait trembler le géant madrilène en inscrivant le panier qui arrache la prolongation pour son équipe. Malheureusement, la maison blanche va finir par s’imposer à domicile.\\n\\n\\n\\n\\n¿Te molestan los silbidos? A Albicy todo lo contrario. Se la jugó y empató el choque para @morabancandorra. #LigaEndesa pic.twitter.com/aWXmsnbDay\\n\\n\\n— Basket en Movistar Plus+ (@MovistarBasket) January 8, 2017\\n\\n\\nDe Colo et Boungou-colo sortent du lot !\\n\\nEdwin Jackson a également fait des siennes ce weekend avec 26 points... et un tir de furieux au buzzer, depuis le milieu de terrain ! La plus fine lame de la Liga ACB a prouvé avec ce tir venu d’ailleurs que c’est définitivement sa saison. Par ailleurs, victoires de Vitoria et Valence en haut du classement.\\n\\n\\n\\n\\nSomeone say range ?!!! pic.twitter.com/4UtmfVOPXb\\n\\n\\n— edwin jackson (@edjacks) January 8, 2017\\n\\nEn Russie, les deux Français engagés ont également abattu leur lot avec 21 points en 18 minutes pour Nando De Colo et 18 points pour Nobel Boungou-colo. Le premier a profité de la démonstration du CSKA pour retrouver définitivement ses jambes tandis que le second a été très adroit (6/7) dans une défaite sur le fil du rasoir face à au Zénit St Pétersbourg.\\n\\nEn Turquie finalement, on relèvera les 20 points de Thomas Heurtel qui a bien aidé l’Efes Istanbul à passer l’obstacle Galatasaray en sortie de banc. De son côté, Adrien Moerman était absent de la feuille de match dans une nouvelle victoire du Darussafaka.\\n\\n\\nAllemagne\\n\\nFabien Causeur (Bamberg) : 7 points (3/6 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds, 1 interception en 22 minutes (victoire 85-70 face à Bonn)\\n\\n\\nChine\\n\\nGuerschon Yabusele (Shanghaï) : 26 points et 9 rebonds au All Star Game\\n\\n\\nEspagne\\n\\nEdwin Jackson (Estudiantes) : 26 points (9/17 aux tirs), 4 rebonds, 3 passes en 28 minutes (victoire 94-78 face à Saragosse)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 14 points (5/12 aux tirs), 10 passes, 2 rebonds, 1 interception mais 4 balles perdues en 36 minutes (défaite 96-92 ap face au Real Madrid)\\n\\nKim Tillie (Vitoria) : 9 points (3/7 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 1 contre en 24 minutes (victoire 77-69 face à Fuenlabrada)\\n\\nAli Traore (Estudiantes) : 6 points (3/4 aux tirs), 3 rebonds en 9 minutes (victoire 94-78 face à Saragosse)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : 4 points (1/8 aux tirs), 5 passes, 3 rebonds, 1 interception mais 3 balles perdues en 27 minutes (victoire 78-75 face à Murcie)\\n\\nRodrigue Beaubois (Vitoria) : n’a pas joué – petite entorse à la cheville (victoire 77-69 face à Fuenlabrada)\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAngelo Tsagarakis (Trikala) : 9 points (3/10 aux tirs), 5 rebonds, 3 passes mais 5 balles perdues en 36 minutes (victoire 74-67 face à Rhodes)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Brindisi) : 33 points (12/17 aux tirs), 6 rebonds, 1 passe en 41 minutes (défaite 108-106 face à Venise)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLeo Westermann (Kaunas) : 9 points (2/9 aux tirs), 7 passes, 5 rebonds en 24 minutes (victoire 76-65 face à Panevezys)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA) : 21 points (7/10 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds – et 8 fautes provoquées – en 18 minutes (victoire 100-63 face à Minsk)\\n\\nNobel Boungou-Colo (Khimki) : 18 points (6/7 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 2 interceptions en 27 minutes (défaite 114-110 face à St Petersbourg)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAlpha Kaba (Mega Leks) : 10 points (2/7 aux tirs), 4 rebonds, 4 interceptions, 3 contres en 30 minutes (défaite 81-69 face à l’Etoile Rouge)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nThomas Heurtel (Efes Istanbul) : 16 points (7/14 aux tirs), 1 rebond, 1 passe en 20 minutes (victoire 80-77 face à Galatasaray)\\n\\nAdrien Moerman (Darussafaka Istanbul) : n’a pas joué – (victoire 97-75 face à Buyukcekmece)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Kim Tillie se signale face au Real"
}, 
{"role": "user",     "content":"La vérité sur les finances des clubs pros en France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque année le basket professionnel français fait un remarquable exercice de transparence qui a certainement peu d’équivalents ailleurs en Europe. La DNCCG (Direction Nationale du Conseil et du Contrôle de Gestion) composée de membres indépendants a joué au fil des saisons dans ce domaine un rôle majeur, et voici les chiffres les plus significatifs, disponibles dans un dossier de presse dévoilé lundi à Paris lors d’une conférence de presse.\\n\\nA la fin de la saison 2015-2016, la situation nette cumulée de la Pro A était positive pour la huitième année d’affilée avec un total de 4,8 millions d’euros. Un chiffre à comparer à la perte de 5,8 millions lors de la saison 2001-2002, saison précédant la création de cette DNCCG. La situation nette cumulée de la Pro B suit le même chemin pour la cinquième année de suite.\\n\\n\\nLe contrat TV représente 64% des revenus 2016-17\\n\\n*Le budget de la LNB est de 15 556 895 euros. Il a doublé vis à vis de la saison 2011-12 (7 701 781€) qui fut celle du début de la mandature d’Alain Béral, son président. Ce sont les droits TV qui ont permis principalement de booster ce budget puisque SFR apporte annuellement 10 000 000 euros bruts contre 6 200 000 euros auparavant pour Canal+. Ce contrat TV représente 64% des revenus 2016-17.\\n\\n*La LNB reverse 39% de ses revenus à ses clubs. Soit 6 114 800 euros contre 2 122 000 euros en 2011-12. Parallèlement, dans le sens inverse, le versement des clubs à la LNB –principalement en droits d’accès aux championnats- sont seulement passés de 2 719 420 euros à 3 391 302 euros.\\n\\n*Pour la saison 2015-16, les produits d’exploitation cumulés des clubs de la Pro A ont augmenté de près de 5% vis à vis de la saison précédente. Cette croissance est principalement portée –comme les saisons passées- par le sponsoring (+8,5% sur la saison) et notamment le sponsoring privé (+9,5%). Parallèlement le total des charges d’exploitation n’a augmenté que de 2% avec une masse salariale stagnante (+1%). C’est ainsi que le résultat d’exploitation est excédentaire et le résultat net proche de l’équilibre.\\n\\n\\nLe CSP, numéro 1 à la masse salariale\\n\\n*Le fonctionnement de l’AS Monaco Basket, qui ne bénéficie pas de subventions publiques, est très éloigné de celui des autres clubs de Pro A avec un poids du sponsoring dans le total des produits d’exploitation s’établissant à 92% ! Plus crûment, l’AS Monaco est en fait totalement dépendante de son président-mécène, l’Ukrainien Sergueï Dyadechko.\\n\\n*La masse salariale allouée aux joueurs et entraîneurs de l’effectif professionnel de Pro A représentait la saison dernière 60% des charges d’exploitation, mais après avoir connu une augmentation significative sur les deux saisons précédentes (6% puis 8%), elle a affiché un recul de 1%.\\n\\n*Au cumulé « sportifs » et « administratifs », c’est Limoges qui possédait la saison dernière la masse salariale la plus importante devant Strasbourg, Villeurbanne, Gravelines, Le Mans, Monaco et Paris. Le Havre et Antibes avaient la plus faible.\\n\\n\\nAucun club avec un budget inférieur à 5,7 millions d’euros ne s’est qualifié pour le plus haut niveau européen\\n\\n* La situation nette du Limoges CSP a bondi d’une saison à l’autre de 18% et le club limougeaud représente à lui seul un quart de la situation nette cumulée de la Pro A contre 20% l’an dernier.\\n\\n*C’est la loi de l’argent : tous les clubs relégués sur ces trois dernières saisons avaient un budget inférieur à 4 millions d’euros et aucun club avec un budget inférieur à 5,7 millions d’euros ne s’est qualifié pour le plus haut niveau européen (Euroleague à l’issue des saisons 2013-2014 et 2014-2015, FIBA Basketball Champions League à l’issue de la saison 2015-2016).\\n\\n*Le budget moyen en Pro A est de 4,984M€ contre 1,946M€ en Pro B.\\n\\n\\nAffluences en baisse en Pro A\\n\\n*Depuis trois saisons, l’affluence moyenne par match diminue en Pro A. Ainsi, pour la saison 2015-2016, elle était de 3 541 spectateurs, soit 2% de moins que la saison précédente. Toutefois, l’affluence totale sur la saison régulière avait progressé (1 110 370 spectateurs sur 2014-2015 contre 931 542 la saison précédente) en raison du passage de 16 à 18 clubs. Le taux de remplissage des salles est tombé de 81 à 76%.\\n\\n*A l’inverse, les recettes des matchs constituées des recettes billetterie, incluant les achats de places de la part des collectivités, ainsi que des recettes annexes liées aux buvettes, boutiques et programmes de matchs, ont légèrement augmenté entre les deux saisons : +0,5%.\\n\\n\\n+6,3% de spectateurs en Pro B par rapport à la saison 2014-2015\\n\\n*L’affluence moyenne par match en Pro B a augmenté par rapport à la saison précédente et passe pour la première fois la barre des deux milliers de spectateurs : 2 054 spectateurs, soit +6,3% par rapport à la saison 2014-2015.\\n\\n*En Pro B, la JL Bourg Basket affichait la saison dernière une masse salariale proche de 2 millions d’euros, soit plus élevée que certains clubs de PRO A -où la moyenne est établie aux alentours de 2,7 millions d’euros-. Le club a creusé l’écart avec ses poursuivants puisque le deuxième, le Boulazac Basket Dordogne, ne dépasse pas la barre du 1,5 million d’euros. La JL n’a pas réussi pour autant à monter en Pro A.\\n\\n*En Pro B, le poids du sponsoring à la Chorale de Roanne était de 70% contre... 8% à Fos Provence Basket.\\n\\n*La masse salariale dédiée au personnel administratif en Pro B a augmenté de 24% entre les saisons 2014-2015 et 2015-2016. Cette évolution confirme le constat établi la saison dernière, au cours de laquelle ce poste avait déjà fait l’objet d’une hausse de près de 10%.\\n\\n*En moyenne, un club de Pro A a joué 47 matches sur la saison dont 22 à domicile.\\n\\n*Pour la saison 2015-16, 243 contrats de joueurs professionnels ont été signés en Pro A et 217 en Pro B. Soit pour la Pro A, 46% de Joueurs Formés Localement –très essentiellement des Français- et 54% de Joueurs Non Formés Localement. Plus 68 espoirs/aspirants en Pro A et 37 en Pro B. Plus 40 entraîneurs et assistants en Pro A et 38 en Pro B.\\n\\n*La saison dernière, six clubs de Pro B n’avaient pas de centre de formation agréé : Charleville, Denain, Orchies, Saint-Chamond, Souffelweyersheim, Vichy-Clermont."
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie : Thomas Heurtel sélectionné au All-Star game"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour la deuxième année consécutive, Thomas Heurtel fera partie du cinq de départ du All Star Game turc.\\n\\nMeilleur passeur du championnat, l’international français qui compile en moyenne 12 points, 2,4 rebonds et 7,6 passes décisives, participera logiquement à cette grande fête du basket turc.\\n\\nA ses côtés dans le cinq majeur de cette sélection « Européenne »* figurent Sinan Guler (Galatasaray), Will Clyburn (Darussafaka), Cedi Osman (Anadolu Efes) et Vladimir Stimac (Besiktas).\\n\\nSur le banc seront également présents Bradley Wanamaker (Darussafaka), Semih Erden (Darussafaka), Bryant Dunston (Andaolu Efes), Earl Clark (Besiktas), Austin Daye (Galatasaray), Jaka Klobucar (Buyuksehir Belediyesi) et Kenny Hayes (Buyukcekmece). Le tout coaché par Velimir Perasovic (Anadolu Efes).\\n\\nIls seront opposés au cinq majeur composé de Jordan Theodore (Banvit), Bogdan Bogdanovic (Fenerbahce), Kostas Sloukas (Fenerbahce), Ekpe Udoh (Fenerbahce) et DaJuan Summers (Izmir).\\n\\nSur le banc seront également présents Baris Ermis (Tofas Bursa), Mateusz Ponitka (Izmir), Furkman Korkmaz (Banvit), Shaq McKissic (Usak), Julian Wright (Trabzonspor), Okben Ulubay (Yesilgiresun Belediyespor) et Davon Jefferson (Gaziantep). Le tout coaché par Orhun Ene (Tofas Bursa).\\n\\n*le All Star Game turc se divise en deux sélections à l’image de la NBA, avec une sélection composée des équipes se trouvant du côté européen de la Turquie face à une sélection composée des équipes se trouvant du côté asiatique de la Turquie.\\n\\nPhoto : BSL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Alain Béral (LNB): «L’Euroleague ne peut pas se passer de notre économie»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lundi, la Ligue Nationale de Basket a tenu une conférence de presse pour présenter les données financières du basket professionnel français. Son président Alain Béral en a profité pour faire un point sur le positionnement de la LNB vis à vis de l’Euroleague.\\n\\nRappelons qu’alors que celle-ci a été réduite de 24 à 16 clubs, la LNB sous la pression de la fédération a imposé à ses clubs de s’engager uniquement en Basketball Champions League et en FIBA Cup. La LNB est ainsi la seule ligue majeure en Europe à ne pas participer à l’Euroleague et à l’Eurocup. Mais d’un autre côté, financièrement et structurellement, aucun club français n’a aujourd’hui la puissance pour rivaliser avec les moins huppés des 16 clubs de l’Euroleague 2017.\\n\\nEntre les lignes, on comprend que pour la LNB l’objectif est de faire son retour en Euroleague pour la saison 2018-2019. Mais dans ce dossier aux rebondissements perpétuels, tout reste possible...\\n\\nVoici le verbatim:\\n\\n« Ce n’est pas normal de se passer d’un marché comme la France alors qu’il y a ici des amateurs de basket qui sont prêts à regarder, à payer »\\n\\n« On ne peut pas nous éviter. Pour plusieurs raisons. L’Euroleague, c’est une entreprise commerciale, c’est le meilleur championnat du monde après la NBA. Alors, même si on n’était pas prêt à y être sportivement, même si on était en retard par rapport à l’ensemble du mouvement européen du sport, on avait gagné le droit d’avoir deux clubs (NDLR : en 2015-16 avec Limoges et Strasbourg).\\n\\nAujourd’hui, on est considéré comme étant mieux au niveau financier. Mieux que certains qui sont aujourd’hui en Euroleague... La France est au milieu de l’Europe avec 66 millions d’habitants, soit autant de prospects pour l’Euroleague qui a besoin de vendre son produit partout dans le monde, en Afrique, en Asie, aux Etats-Unis, en Amérique du Sud ET aussi en France. Et c’est quand même anachronique alors qu’ils sont déjà obligés de se passer de l’Angleterre parce qu’il n’y a pas là-bas de basket, de se passer d’un pays où il y en a avec une ligue qui a un budget de 15 millions, ce qui était le budget de l’Euroleague il y a quatre ans. C’est très au-dessus de ce qu’il y a ailleurs sinon en Espagne et en Allemagne.\\n\\nCe n’est pas normal de se passer d’un marché comme ça alors qu’il y a ici des amateurs de basket qui sont prêts à regarder, à payer. La preuve c’est que la télévision donne 10 millions à la ligue pour diffuser son basket (NDLR : groupe SFR pour SFR Sport 2). Par ailleurs, la Basketball Champions League, qui est considérée comme la deuxième ligue après l’Euroleague aux côtés de l’Eurocup, a négocié un contrat avec la télévision (NDLR : groupe Canal+ pour Canal+ Sport) alors que l’Eurocup n’a jamais réussi à le faire. Ça l’Euroleague l’a tout de suite vu. Ils ne peuvent pas se passer de cette économie là. Les chaînes de télévision en France seront encore plus intéressés par l’Euroleague s’il y a des clubs français (NDLR: c’est BeIN Sport qui a actuellement les droits sur l’Euroleague en France). »\\n\\n« Prendre des branlées toute la saison, ce n’est pas très efficace pour ensuite le championnat national »\\n\\n« Je me bats depuis toujours pour que le champion de France puisse accéder à l’Euroleague. Mais en face, l’Euroleague est devenue fermée. Onze clubs ont une garantie quasiment à vie même s’ils ne sont pas champions. Derrière ça, il y a quelques spots qui sont aussi réservés pour arriver aux seize notamment pour le vainqueur de l’Eurocup.\\n\\nPas la saison prochaine mais la suivante, l’Euroleague va s’élargir. Comme c’est devenu un championnat avec matchs allers et retours, ça va poser un problème de calendrier. Ce n’est pas très efficace pour le championnat national. Mais je pense, et je voudrais en être sûr, que le champion de France ne peut pas ne pas y être. Ou alors un club qui n’est pas champion mais qui a un projet qui l’amènerait à être pérenne en Euroleague.\\n\\nJe comprends que l’on soit impatient sur le sujet mais avant, aller en Euroleague à un tour préliminaire et puis au top-16, c’était une chose que l’on pouvait se permettre. Si on n’y parvenait pas, on était reversé en Eurocup et ça nous a pas mal réussi puisque Strasbourg est parvenu jusqu’en finale (NDLR : la saison passée contre Galatasaray). Aujourd’hui, avec des matches allers et retours, prendre des branlées toute la saison, ce n’est pas très efficace pour ensuite le championnat national car on est blessé et les blessures au cerveau ça peut faire aussi mal que les fractures sur le corps ! »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Barcelone : vers un départ de Joey Dorsey ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Fullbasket.es, le FC Barcelone serait sur le point de se séparer de Joey Dorsey.\\n\\nMécontent de son rendement, l’entraîneur Georgios Bartzokas aurait demandé au General Manager Rodrigo de la Fuente de faire appel à un nouvel intérieur. Un départ qui coïnciderait avec l’interêt du Barca pour Julian Wright.\\n\\nCette saison avec Barcelone, l’ancien pivot des Houston Rockets compile en moyenne 3,8 points et 5,4 rebonds en ACB et 5,4 points et 6,2 rebonds en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Basketball Champions League : Le Mans vs Karsiyaka décalé à mercredi"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Initialement prévu ce mardi soir, la rencontre européenne de Champions League entre Le Mans et Karsiyaka sera finalement jouée demain soir à 20h30. La Fédération européenne de basket-ball a confirmé l’information.\\nBloquée par une tempête de neige à Istanbul, l’équipe turque n’a pu prendre l’avion en direction de la France que ce mardi midi.\\n\\n\\n\\n\\n#PınarKarşıyaka 9. rötar sonrası hala Atatürk Havalimanında bekletiliyor. #KSKlive pic.twitter.com/YXkgg6dkvG\\n\\n\\n— Pınar Karşıyaka (@KSKBasket) 10 janvier 2017\\n\\nUne situation qui ne fait pas vraiment les affaires du MSB puisque les Manceaux doivent se déplacer vendredi soir sur la Cote d’Azur pour affronter Antibes dans le cadre de la seizième journée de Pro A."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Julian Wright vers Barcelone ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sélectionné à la 13e position de la Draft NBA 2007, ancien joueur des Toronto Raptors et des New Orleans Hornets, Julian Wright évolue cette saison au Trabzonspor, en Turquie. Selon Eurohoops, le natif de Chicago serait sur les tablettes du FC Barcelone.\\n\\nPassé par l’Israel (Maccabi Rishon en 2012/13 et Bnei Herzliya en 2015), la Russie (BC Krasnye Krylia en 2015), la Grèce (Panathinaïkos en 2014) ou encore Porto Rico (Cangrejeros de Santurce en 2015), Wright était la saison dernière en Italie à Trento où il enregistrait des moyennes de 14,4 points, 7,3 rebonds et 2 passes décisives pour une évaluation de 17.\\n\\nEn rejoignant le Barça, le pivot américain connaîtrait sa première expérience en Espagne.\\n\\nCette saison en première division turque, l’ancien pensionnaire de Kansas compile en moyenne 13,7 points, 7,8 rebonds et 3,1 assists.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Demond Mallet, un meneur d’expérience pour sauver Nancy"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Retiré du basket et installé à Badalone en Espagne où il a achevé sa carrière l’été passé, Demond Mallet (1,88 m, 38 ans) sort de sa retraite et débarque en France relaye le site Sportando. Expérimenté meneur de jeu américain, il renforce Nancy engagé en pleine opération maintien en Pro A.\\n\\nProfessionnel depuis 2001, le natif de Leesville en Louisiane est une figure du Vieux Continent. Cadre de la la première division allemande qu’il a fréquenté au début de sa carrière entre 2001 et 2007 (Phantoms Braunschweig, Bamberg Cologne) et où il a enchainé les distinctions individuelles (All Star en 2002/04/05/07, vainqueur de la BBL en 2004/05, MVP de la finale en 2005 ...), il a ensuite monnayé son talent en Espagne, à la Joventut Badalone pendant deux ans avant de rejoindre le puissant championnat turc (Turk Telecom en 2009/10).\\n\\nEn 2010 il découvre la Belgique en signant au Spirou Charleroi avec l’étiquette du joueur le mieux payé de l’histoire du championnat belge. Signataire d’un contrat de deux ans, il ne restera finalement que quelques mois, le temps de devenir MVP de l’Ethias League en 2010/11 avant de s’envoler chez le renommé Maccabi Tel-Aviv et devenir en 2011/12 l’un des meilleurs meneurs de jeu du Vieux Continent sous le maillot du club nation. Barré la saison suivante dans l’effectif cinq étoiles du club israélien, il retourne au Spirou pour finir l’exercice 2011/12 et jouera ensuite en Allemagne (Artland Dragon 2012/13), fera un retour en Belgique au Spirou (2013/14) avant de revenir une nouvelle fois sous la tunique de la Joventut entre 2014 et 2016.\\n\\nDisposant d’un CV long comme le bras, habitué du très haut niveau (12 saisons à disputé l’EuroLeague et l’Eurocup), leader dans l’âme et reconnu par ses pairs comme l’un des Tops Poste 1 de ses dernières années en Europe, Demond Mallet va devoir faire face à un défi à la hauteur de sa réputation, maintenir le SLUC actuel denier de Pro A dans l’élite. Un sacré défi pour le cousin de Shaquille O’Neal.\\n\\nPhoto : Spirou\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : Le webdocu sur les féminines d’Aulnoye est sorti"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nous vous parlions, il y a quelques jours, d’un webdocu réalisé par WeBasket TV sur le club d’Aulnoye de Ligue 2 féminine. Il vient de sortir et nous vous le proposons dans son intégralité.\\n\\n« Quand j’ai repris le club en 95, on était au plus bas niveau régional », informe l’entraîneur Agnès Denys. « Je me suis dit : il y a quelque chose à faire dans ce territoire. Pourquoi l’agglomération d’Aulnoye-Aymeries ne pourrait pas accéder au haut niveau et montrer aux jeunes de ce territoire que même s’il y a de la pauvreté, ils peuvent eux aussi exceller dans le sport. La ligue 2, je ne l’avais pas encore en tête mais côtoyer la Nationale 2, la Nationale 1, c’était déjà un de mes buts premiers. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Saint-Chamond : Un intérieur américain à l’essai"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’intérieur bahaméen Bennet Davis libéré, Saint-Chamond vient de mettre un joueur à l’essai. Le Progrès indique que l’Américain disposant d’un passeport de Sainte-Lucie Khyle Marshall (2 m, 24 ans) débarque dans la Loire.\\n\\nFormé à l’Université de Butler entre 2010 et 2014, il a ensuite pas mal bougé. Passé par le Japon, la D-League, la République dominicaine, la deuxième division espagnole et Porto-rico, c’est en Estonie qu’il avait débuté l’exercice 2016/17.\\n\\nMembre d’Ulikool/Kalev, un club phare du pays basé dans la capitale Tallinn, l’intérieur s’est montré plutot à son avantage dans le championnat estonien (14,3 points, 6,5 rebonds et 1 passe pour 13,8 d’évaluation en 25 minutes sur 4 matchs) et a aussi disputé un match de FIBA Europe Cup (11 points à 3/12 aux tirs, 7 rebonds pour 4 d’évaluation en 29 minutes lors de la défaite face aux Roumains de Targu Mures 70-58 le 19 octobre dernier).\\n\\nArrivant ce mardi en France, Khyle Marshall a un mois pour convaincre Alain Thinet et son staff de l’engager jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nPhoto : TLU/Kalev"
}, 
{"role": "user",     "content":"Orléans : Thomas Drouot devrait finir la saison sur le banc"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Michel Martin et Laurent Lhomme, respectivement président du conseil de surveillance et président du directoire de l’OLB, ont tenu hier une conférence de presse à propos de la mise à pied du coach Pierre Vincent et de la démission du vice-président Nicolas Raimbault. Il en est ressorti quelques précisions mais pas de nouvelles informations comme le rapporte la République du Centre.\\n\\n« Le constat qui a été fait il y a un mois au sein de l’équipe dirigeante, c’est qu’il y avait une difficulté au niveau de la charnière sportive. Au regard des résultats, il fallait réagir. L’entraîneur est mis à pied parce qu’il y a des questions de comportement qu’on veut traiter. Ce ne sont pas les résultats qui sont en cause. Je ne veux pas en dire plus sur les fautes précises. Mais, le contrat n’est pas rompu. Cette mise à pied va faire l’objet d’un examen et on verra jusqu’où ça va. Il n’y a aucun licenciement qui est arrêté avec des indemnités négociées. »\\n\\nMême si les deux présidents ne l’ont pas affirmé, Thomas Drouot devrait terminer la saison sur le banc avec comme objectif le maintien en Pro A.\\n\\nQuant à Nicolas Raimbault, il ne devrait pas être remplacé dans l’immédiat."
}, 
{"role": "user",     "content":"En Allemagne, le basket n’est que le 15e sport en terme de licenciés"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le basket a beau être un sport qui monte en Allemagne, d’après une étude qui vient de sortir il n’est que le 15e sport en terme de licenciés. Avec un peu moins de 200 000 licenciés, il a ainsi globalement quatre fois moins de pratiquants que l’athlétisme et le handball –un sport né dans ce pays- et trente-cinq fois moins que le foot.\\n\\nBonne nouvelle toutefois, avec 1,83% le basket est le sport du top 20 qui connaît la plus forte hausse derrière l’alpinisme.\\n\\nEn France, le football est aussi le sport numéro 1 devant le tennis, le judo, l’équitation et le basket qui comptait 641 367 licenciés à la fin de la saison 2015-16 et qui est actuellement sur les bases d’une augmentation de 0,76%.\\n\\nA noter que l’Allemagne compte 80 millions d’habitants, soit 14 millions de plus que la France.\\n\\n1-Football                 6 969 464\\n\\n2-Gymnastique            4 963 252\\n\\n3-Tennis                  1 400 940\\n\\n4-Tir                     1 342 915\\n\\n5-Alpinisme               1 095 889\\n\\n6-Athlétisme                819 960\\n\\n7-Handball                 756 987\\n\\n8-Equitation                690 995\\n\\n9-Golf                      640 181\\n\\n10-Tennis de Table           560 644\\n\\n11-Natation                 559 958\\n\\n12-Ski                      554 443\\n\\n13-Volleyball                430 098\\n\\n14-Danse                   210 327\\n\\n15-Basket-ball               195.453"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 10 janvier 2017"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nMbaye confirmé jusqu’à la fin de saison\\n\\n– Alors qu’un meneur américain pourrait arriver à Nancy ce mardi et qu’un intérieur est dans les tuyaux, le SLUC Nancy a confirmé jusqu’à la fin de... Lire la suite.\\n\\n\\nBasket-club : 40 bougies et une qualification\\n\\n– La présidente de l’association sportive Clairac-Basket-Club, Cécile Fourtet, a le sourire en ce jour de premier janvier. Le sport au ballon orange dont elle assure, depuis plusieurs années, le fonctionnement à la présidence et sportivement au... Lire la suite.\\n\\n\\nSaint-Chamond met à l’essai Khyle Marshall\\n\\n– L’intérieur américain, qui doit arriver ce mardi, aura un mois pour convaincre Alain Thinet qu’il peut renforcer le secteur intérieur de l’équipe... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFranchir un palier et affirmer ses prétentions\\n\\n– Revenus en ordre serré, joueurs choraliens et coach Laurent Pluvy ont retrouvé jeudi dernier le parquet de la halle Vacheresse pour préparer cette... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe Réveil travaille son projet\\n\\n– La relégation semble digérée à Bressuire. Malgré une bonne place au classement, l’essentiel est ailleurs pour Omar Habbane, le technicien bocain... Lire la suite.\\n\\n\\nUn mois de janvier décisif\\n\\n– Le calendrier offre trois réceptions à l’UTBM pour se refaire la cerise, à commencer par le Pays de Fougères samedi. Un quitte ou double... Lire la suite.\\n\\n\\nLe SBC réapprend à gagner\\n\\n– Les Sélestadiens sont bien entrés dans la nouvelle année en mettant en terme à trois défaites d’affilée à l’occasion de la réception d’Erstein. Leur... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTrois points cruciaux\\n\\n– La reprise de la compétition au lendemain des fêtes de fin d’année a été un peu poussive pour les joueuses de l’Unitas Epfig qui ne l’ont emporté... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pablo Prigioni prend sa retraite"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il est revenu dans son club de coeur, à Vitoria, il y a tout juste un mois. Mais s’il a bouclé la boucle, Pablo Prigioni a décidé de tourner la page. Le meneur argentin de 39 ans prend sa retraite.\\n\\n« Je n’ai jamais pensé au jour où je devrais annoncer que je ne jouerai plus au basket », commence Prigioni dans son émouvante missive postée sur Twitter. « Ce qui est certain, c’est que ma tête et mon corps sont d’accord pour dire que c’est le moment d’arrêter. Comme toujours dans ma carrière, c’est une décision que je prends en en étant parfaitement convaincu. »\\n\\nMembre des Rockets en début de saison, Prigioni a finalement été coupé après la présaison. De plus en plus diminué physiquement, le meneur albiceleste a écouté la voix de la raison en décidant de raccrocher définitivement ses baskets.\\n\\n« Ce fut une aventure extraordinaire. J’ai connu tant de grands moments qu’ils dépassent les mauvais que ce sport si précieux nous fait traverser. J’ai tant de personnes à remercier que je ne pourrai pas mentionner tout le monde dans ce texte. Mais je me retire l’esprit tranquille en sachant que j’ai toujours donné mon maximum dans chaque club où je suis passé. »\\n\\nLancé en Argentine au sein du club de Ramallo, Prigioni a ensuite connu une ascension constante en Espagne, d’abord à Fuenlabrada puis à Alicante et enfin à Vitoria et même au Real Madrid. Rookie NBA à 35 ans, Prigioni a réalisé son rêve NBA sur le tard en jouant pour les Knicks, puis les Rockets et enfin les Clippers.\\n\\nMeneur distributeur à l’ancienne, Pablo Prigioni avait le chic pour faire les petites choses indispensables au succès de son équipe. Fort défenseur également, avec un sens de l’anticipation qui compensait sa relative lenteur, Prigioni peut se retirer dans le couchant avec le sentiment du devoir accompli. Un grand monsieur !\\n\\n\\n\\n\\nHa llegado el momento. pic.twitter.com/qPeXNM5ivd\\n\\n\\n— Pablo Prigioni (@PPrigioni9) January 9, 2017\\n\\nQuelques highlights de Pablo Prigioni\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=nI61jm3N7zM"
}, 
{"role": "user",     "content":"En Euroleague, l’agence Beobasket écrase la concurrence"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon une étude menée par Eurohoops.net, Beobasket est l’agence numéro 1 en ce qui concerne le nombre de joueurs d’Euroleague dans son portefeuille, et écrase la concurrence comme nous l’indiquait son vice-président Pedja Materic à l’occasion d’une interview que nous lui avons consacré.\\n\\nSont notamment chez Beobasket le Grec Vassilis Spanoulis (Olympiacos), l’Américano-Turc Bobby Dixon (Fenerbahce), le Croate Ante Zizic (Darussafaka) et encore les Français Thomas Heurtel (Efes Anadolu) et Leo Westermann (Zalgiris Kaunas).\\n\\nClassement avec nombre de joueurs:\\n\\n1- BEOBASKET 35, 2- WASSERMAN 19, 3- OCTAGON EUROPE et BDA SPORTS 14, 5- SPORTS PROMOTION 10, 6- YOUFIRST SPORTS 9, 7- PRIORITY SPORTS 8, 8- TAGAR SPORTS 6, 9- ALTI SPORT, BBALTICS et ISTBASKET 5."
}, 
{"role": "user",     "content":"Nancy : Abdoulaye Mbaye au SLUC jusqu’à la fin de la saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’essai depuis vendredi à Nancy, Abdoulaye Mbaye (1,89 m, 28 ans) vient de convaincre les dirigeants du club lorrain.\\n\\nA travers un communiqué, le SLUC annonce ce lundi que l’arrière français vient de signer jusqu’à la fin de la saison 2016/2017.\\n\\nL’ancien international français connaitra donc son cinquième club français (Dijon, Strasbourg, Gravelines-Dunkerque, Rouen) pour une onzième saison en Pro A.\\n\\nPhoto : SLUC Nancy"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nanterre : champion d’Europe U18, Bathiste Tchouaffe attend son heure"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans une interview au magazine fédéral, Basket-Ball, le champion d’Europe U18 Bathiste Tchouaffe (1,96m, né le 19 mai 1998) revient sur sa sortie du Centre Fédéral et raconte sa nouvelle vie à Nanterre 92 comme professionnel.\\n\\nLe natif de Poitiers fut très demandé par les clubs de la LNB et il a choisi le même club formateur que Edwin Jackson, Adrien Moerman et Evan Fournier.\\n\\n« Quand tu es sollicité ça fait plaisir », confie l’intéressé. « Tous les clubs de Pro A et Pro B, ou presque, te veulent. C’est un choix de riche alors que certains de mes coéquipiers avaient peu d’option. Cela en devenait presque tabou. Ça me faisait d’autant plaisir que ma quatrième année au CFBB a été très compliquée et que je ne m’attendais pas à avoir autant de propositions. Nanterre est un club sain, familial. »\\n\\nJusqu’alors, Bathiste était confiné aux bâtiments en briques de l’INSEP. Depuis cet été, il découvre Paris, sa vie, ses musées et aussi une Pro A où les places sont chères. En quinze journées, il n’est entré en jeu que sept fois et même pas pour quatre minutes en moyenne.\\n\\n« Je sais qu’aujourd’hui mon choix fait débat puisque je joue peu. Mais je m’entraîne avec une très bonne équipe, je suis en concurrence avec Spencer Butterfield qui est un joueur incroyable. J’apprends très vite à son contact. Je fais confiance au club, je fais confiance à Pascal Donnadieu. Il me parle beaucoup et est très content de moi. C’est l’essentiel et je pense qu’en deuxième partie de saison mon temps de jeu sera plus important. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Franko Kastropil (ex Lille et SAP Vaucluse) retourne au Siroki"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ancien joueur de Lille en Pro B (8,2 points et 6 rebonds pour 8,7 d’évaluation en 21 minutes sur 26 matchs entre 2014 et 2016) puis du SAP Vaucluse (5,6 points et 4,1 rebonds sur 8 matchs de NM1 en fin de saison dernière) Franko Kastropil (2,12 m, 32 ans) a un nouveau club en ce début d’année 2017.\\n\\nAprès avoir débuté l’exercice en Croatie au sein du KK Zagreb (5,6 points et 3,2 rebonds sur 9 matchs de championnat), le natif de Split vient de s’engager avec Siroki Primorka actuel huitième de la première division en Bosnie-Herzégovine et où il a déja évoluait en 2013/14.\\n\\nChampion de Croatie en 2003, le colosse dispose d’une grande expérience sur la scène européenne avec des passages au KK Split, Cibona Zagreb, Cedevita Zagreb , KK Zadar, Jazine Zadar et Sibenik en Croatie mais aussi en Bulgarie, à Chypre et donc en France.\\n\\nPhoto : Zadar"
}, 
{"role": "user",     "content":"Sondage de la semaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A deux journées de la fin des matches allers, nous souhaitons avoir votre avis: qui sera champion de France de Pro A en juin prochain ?"
}, 
{"role": "user",     "content":"A 32 ans, le super scoreur Larry Blair poursuit sa carrière au Qatar"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vous vous souvenez de Larry Blair ? Génial attaquant, l’arrière états-unien d’1,83 m avait affolé les compteurs en Nationale 1 entre 2009 et 2011 sous les couleurs de Denek Bat Urcuit.\\n\\nEt bien à 32 ans, l’ancienne star de Liberty joue encore. Il vient de décrocher un nouveau contrat avec Al Wakrah, un club de première division du Qatar. Pour son premier match avec sa nouvelle équipe, le natif de Charlotte, en Caroline du Nord a compilé 30 points, 9 rebonds et 7 passes pour 31 d’évaluation en 39 minutes mais Al Wakrag s’est incliné 88-99 contre Qatar Club.\\n\\nDoté de qualités offensives impressionnantes, l’Américain a cartonné partout où il est passé durant sa carrière. Passé par la Hongrie (22 points de moyenne avec Kecskemeti en 2007/08), la Finlande (20 points de moyenne avec Kataja en 2008/09), la Géorgie (26 points de moyenne avec MIA Tbilisi en 2011/12), le Liban (27 points de moyenne avec Hoops Club en 2012/13), le Qatar (28 points de moyenne avec Al Gharafa Doha en 2013/14) et l’Arabie Saoudite où il évoluait la saison dernière, il avait terminé sur le podium des meilleurs marqueurs chaque années.\\n\\nVu en France durant deux saisons, il était l’une des attractions de la NM1. Meilleur marqueur du championnat en 2009/10 avec une moyenne de 25,7 points, il avait terminé dans le Top 10 à l’évaluation, aux interceptions, aux fautes provoquées et aux passes ! De nouveau sous les ordres de l’entraineur franco-américain Chris Singleton la saison suivante, il avait une fois de plus régalé les fans du club basque en compilant 24 points, 4,6 rebonds et 2,5 passes en 31 matchs lors de l’exercice 2010/11. Un vrai phénomène !\\n\\nDes performances qui malheureusement ne lui ont jamais ouvert les portes d’un club de LNB. Anglet a été sa seule expérience en France.\\n\\nPhoto : Al Gharafa"
}, 
{"role": "user",     "content":"Evreux : Prolongation de contrat pour Aloysius Anagonye"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé au début du mois de décembre à Évreux et sous contrat jusqu’au 10 janvier prochain, Aloysius Anagonye (2,03 m, 35 ans) voit son bail s’allonger avec le club de l’Eure.\\n\\nRemplaçant du Letton Ricmonds Vilde blessé et insuffisant rétabli pour reprendre la compétition, le Nigérian est prolongé jusqu’au 24 janvier prochain selon une information du journaliste Gregory Caru-Thomas.\\n\\n\\n\\n\\n#ProB : Ricmonds Vilde toujours blessé (épaule), Aloysius Anagonye a vu sa pige prolongée jusqu’au 24 janvier#ALM #Évreux #Eure\\n\\n\\n— grégory caru-thomas (@greglehavrlibr) 7 janvier 2017\\n\\nTrès intéressant dans le collectif ébroïcien avec ses 6 points à 65% de réussite aux tirs, 3,4 rebonds et 1,2 passe décisive pour 8 d’évaluation en 21 minutes sur 5 matchs de championnat Pro B), le vétéran a apporté toute son expérience et son savoir au groupe et l’ALM s’est imposée à trois reprises.\\n\\nParticulièrement apprécié par son entraineur Laurent Sciarra, celui ci souhaiterait même le garder jusqu’à la fin de la saison si les finances le permettent."
}, 
{"role": "user",     "content":"Suisse : le coach Randoald Dessarzin prêt à faire du porte à porte pour sauver le BBC Lausanne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On connaît en France le Suisse Randoald Dessarzin, 52 ans, pour avoir coaché la JDA Dijon entre 2007 et janvier 2010. Il est depuis retourné au pays et entraîne actuellement le BBC Lausanne. Sur le terrain, ce n’est pas folichon (9e sur 11 de la LNA), mais c’est surtout sur le plan financier que le BBC est dans le rouge écarlate.\\n\\nScène surréaliste : c’est le coach lui-même qui a pris le micro à la mi-temps du match face aux Lions de Genève pour donner des nouvelles de l’état de santé du club à son public.\\n\\n« Oui, nous sommes à une semaine de la faillite si rien ne se passe d’ici là. C’est une situation d’urgence. »\\n\\nComme le rapporte le quotidien 24 heures, Swiss Basketball a mis le BBC Lausanne en sommation. Le club a besoin de 45 000 francs suisses –soit 42 000 euros- pour tenir jusqu’à samedi et ainsi disputer sa demi-finale de Coupe de Suisse face à Monthey. Et dans le cas contraire, le promu sera déclaré forfait général. Et ce n’est pas tout. Si le sursis est accordé, c’est 150 000 francs suisses qu’il faudra dénicher d’ici la fin de la saison.\\n\\nComme souvent, le club a fait appel à la générosité populaire en demandant 200 francs –ou plus- par personne ou entreprise intéressées. De son côté, la Ville de Lausanne a annoncé qu’elle ne mettra pas davantage la main à la poche.\\n\\n« On va passer une semaine à faire du porte à porte pour réunir ces fameux dons. J’y crois encore », a lancé au micro Randoald Dessarzin."
}, 
{"role": "user",     "content":"N1: avec 37 points de Fabyon Harris, Souffel renverse Andrezieux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fabyon Harris (1,85m, 25 ans) a fait un match offensif mémorable à Andrezieux : 37 points à 10/14 aux tirs du champ et 16/17 aux lancers avec 12 fautes provoquées. Soit 46 d’évaluation.\\n\\nC’est évidemment sous la conduite de son meneur américain que Souffelweyersheim a pu renverser une situation compromise. Les Alsaciens étaient menés de 16 points (54-70) à la 26e minute. A la fin du troisième quart-temps, ils n’en avaient plus que 6 de retard et ils se sont détachés dans le quatrième pour s’imposer 98-89.\\n\\n« On a été incapable de les stopper, ils se sont baladés sur notre défense homme à homme. Et puis à seize minutes de la fin, nous sommes passés en zone 3-2 et on a enfin pu les arrêter », analyse ce matin Stéphane Eberlin dans les DNA.\\n\\nLe coach souffelois apprécie le mental de son équipe et aussi le fait qu’elle a joué très propre :\\n\\n« On a perdu beaucoup moins de ballons qu’à l’ordinaire. On en perd seulement neuf au lieu des vingt-cinq habituels. Il y a eu une véritable prise de conscience. Désormais, il faudra que ce soit l’inverse, que l’ordinaire, ce soit dix ou onze balles perdues et vingt-cinq l’accident. »\\n\\nLeader de la N1 avec une victoire sur Quimper et trois sur Rueil et Caen, Souffel vise désormais ouvertement... le top-5. Le club de la banlieue de Strasbourg se méfie d’un calendrier qui doit l’envoyer neuf fois à l’extérieur lors des matches retours dont pas mal de fois chez ses concurrents directs."
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB : Un clapping pour fêter le sursaut d’Angers"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Angers a gagné le derby des Pays de Loire au détriment de Nantes-Rezé (71-62) et a même récupéré le point average, ce qui n’est pas anodin dans le contexte actuel.\\n\\nMousdandy Djaldi Tabdi (1,84m, 18 points, 8 rebonds) et Marie Mane (1,83m, 16 points à 5/7 aux shoots), qui ont fêté toutes les deux leurs 21 ans en décembre, ont eu un apport décisif ainsi que le public.\\n\\nL’UFAB 49 jouait pour la première fois à l’Arena Loire de Trélazé –une ville dans la périphérie du chef lieu du Maine-et-Loire. A l’initiative de l’association La Dalle angevine, fondée par un ancien footballeur du SCO, les kops du SCO, des hockeyeurs des Ducs et des basketteurs de l’ABC et de l’UFAB ont fêté cette grande première notamment par un clapping de fin de match avec les joueuses.\\n\\n« C’était génial », a commenté la Canadienne Liz Murphy dans Ouest France. « Il y avait beaucoup de bruit, on les sentait juste à côté de nous. Pour une joueuse, il n’y a pas de meilleur environnement que ça. »\\n\\nMais attention, insiste t-on à Angers, malgré ce sursaut, l’UFAB est toujours lanterne rouge en compagnie de Lyon et de Tarbes. Le chemin du maintien est encore long.\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 9 janvier 2017"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nUn coup pour rien ?\\n\\n– Les Espoirs de la SIG se sont qualifiés, hier, pour les 16es de finale du Trophée Coupe de France en prenant le meilleur (73-67) sur leurs vis-à-vis... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nAgostina Burani en renfort\\n\\n– Nous l’avons appris hier à l’issue du match, l’équipe roannaise va avoir l’arrivée d’une internationale argentine. Il s’agit en effet de Agostina... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa première manche du derby à la CTC Bresse\\n\\n– Le derby entre une équipe de la Bresse reléguée de Nationale 3 et une équipe de la Dombes promue au plus haut niveau régional, a tenu ses promesses... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg avec maîtrise\\n\\n– Dans la lignée de leur remarquable début de saison, les cadets de la JL Bourg sont allés chercher à Hyères-Toulon leur billet pour les huitièmes de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDix dernières minutes fatales\\n\\n– Tous les feux étaient au vert pour que l’ALS gagne cette rencontre de prestige. Que s’est-il passé dans les têtes et dans les corps des Ligériens... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn début d’année encourageant\\n\\n– Avec une performance aboutie face à un concurrent direct pour le maintien, le BCMF doit maintenant confirmer à l’extérieur... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe cœur n’a pas suffi à Salins\\n\\n– De l’ambiance en gradins, une prolongation arrachée dans les dernières secondes, les ingrédients étaient réunis pour une belle partie de basket... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nA chaud\\n\\n– Damien Belliard (entraîneur des U17 de l’ADA). « On a pu mesurer l’écart qu’il y a entre les deux équipes. La moindre erreur, se paie cash et en plus, ils ne lâchent jamais rien. Ils... Lire la suite.\\n\\n\\nUne classe d’écart\\n\\n– Poitiers 2 (N3) – Tours (N2)\u2009: 53-74 La différence de division était palpable sur le terrain samedi soir où les réservistes poitevins ont quitté la coupe... Lire la suite.\\n\\n\\nCholet était vraiment trop fort\\n\\n– ADA Blois – Cholet\u2009: 50-109 Malgré un match exemplaire, les Blésois ont vu leur parcours s’arrêter face à une formation supérieure dans tous les domaines... Lire la suite.\\n\\n\\nLes Audoniens ratent le coche face au leader orléanais\\n\\n– PRÉNATIONALE MASC.Vineuil\u2009: 71 Barjouville\u2009: 80 Ben Groisil et les Vinoliens s’attendaient à souffrir face à un sérieux prétendant à la montée, mais peut-être pas autant. Difficile... Lire la suite.\\n\\n\\nPfastatt dominateur\\n\\n– En s’imposant face aux espoirs Pro A de Chalon-sur-Saône (87-73) hier après-midi à la salle polyvalente, les joueurs de Jean-Luc Monschau se sont... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nQuatre à la suite pour l’Union\\n\\nSolide de bout en bout, Tarbes/Lourdes a enchaîné un quatrième succès de suite sur le parquet du CFBB (84-61). Installés en milieu de tableau, les Tarbais pourront accueillir le leader... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les articles de la semaine 2 au 8 janvier 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque dimanche, Basket Europe vous propose une sélection des meilleurs articles de la semaine afin connaître l’essentiel de l’actualité :\\n\\n 1.  Frank Ntilikina en vedette dans le New York Times\\n 2.  A 31 ans, Tahirou Sani, l’ex-futur LeBron James, joue en Nationale 2\\n 3.  Que sont-ils devenus ? Roger Esteller, MVP de la Pro A en 2002\\n 4.  Des joueuses WNBA dans la boîte de nuit d’Istanbul cible d’une attaque terroriste\\n 5.  Boulazac : Claude Bergeaud remplace Antoine Michon\\n 6.  A Chalon, on préfère Jean-Denys Choulet à Florent Pagny...\\n 7.  La génération Ntilikina vue par son coach\\n 8.  Gheorghe Muresan, invité d’honneur du clasico Pau-Limoges\\n 9.  David Blatt : « Le problème c’est que Zizic ne restera pas ici longtemps »\\n 10. Europe Cup : la moitié des 10 meilleurs prospects sont Français"
}, 
{"role": "user",     "content":"Orthez – Limoges : le jour où Pierre Seillant attrapa Clarence Kea par les c..."
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Une interview de l’ancien président de l’Elan Béarnais Pierre Seillant –surtout par son ami Gérard Bouscarel, qui fut journaliste à la République des Pyrénées puis directeur sportif et de la communication du club- c’est toujours un must. Encore plus quand on est à une semaine de la 100e édition du clasico, Pau-Limoges, prévu dimanche prochain à 18h30 en Béarn.\\n\\nC’est le site de l’Elan qui revient sur cette vieille rivalité et sur sa genèse :\\n\\n« C’est simple. On leur succède en 84 au palmarès de la coupe Korac, et là contrairement aux apparences on a commis un crime de lèse majesté. Puis il y a notre doublé 86-87 en championnat, avec les deux lancers de Freddy (Hufnagel), puis la bagarre en 87. Le ton est monté très haut, Michel Gomez (NDLR : coach de Limoges qui fut ensuite celui de Pau), prétextant qu’il n’y avait pas les deux mètres de recul nécessaires à la Moutète, menaçait de ne pas jouer.... Derrière le grand rideau vert, on s’était colleté et sans l’intervention du délégué je crois que les coups seraient partis...On gagne en trois manches et à partir de là on devient l’ennemi. »\\n\\nA 76 ans, Pierre Seillant n’a rien perdu de sa verve et ne renie pas ses propos passés :\\n\\n« Donc on les empêche de collectionner les titres, on blesse leur orgueil et on devient leur poil à gratter. Ils ont focalisé sur moi, les Gadou et Fauthoux. Ils nous ont traités de » ploucs » et de paysans comme si Limoges n’était pas la campagne. Et puis y a-t-il plus beau que la campagne ? Alors de mon côté je les comparais à la grenouille qui veut se faire aussi grosse que.... Et la grenouille elle a fini par éclater. Je n’oublie pas que les » titres à crédit » que j’ai dénoncés nous ont privés nous de deux ou trois couronnes supplémentaires... «\\n\\n\\n« Kea serrait Kaba à la gorge »\\n\\nLe prési donne notamment sa version de la fameuse bagarre lors du match 2 de la finale de 1987 à La Moutète qui fut diffusée en direct sur Antenne 2. Tous les joueurs s’y étaient retrouvés plus ou moins mêlés ainsi que les staffs avec Pierre Seillant au cœur du cyclone comme il le rappelle :\\n\\n« (Bangaly) Kaba était couché, (Clarence) Kea le serrait à la gorge. J’étais déjà sur le terrain comme beaucoup de monde. Je l’ai pris par les hanches, c’était un roc. Mes deux biceps ont lâché et j’ai eu mal pendant un mois avant de me résoudre à les faire opérer... Donc dans un vieux réflexe de rugbyman je l’ai chopé aux c... ! Il a lâché prise. Le surlendemain, après la belle, Jacques Monclar me l’a amené, il m’a dit » tu sais que tu as été gonflé » et puis tout sourire il m’a tendu la main... «\\n\\nPrécision : l’Américain Clarence Kea, un ancien boxeur, était une montagne de muscles.\\n\\nVoici un reportage sur Orthez et Pau qui fut diffusé quelques années plus tard sur Antenne 2 avec un extrait de cette bagarre –à partir de 4’01- et aussi, juste avant, de celle qui opposa quelques irréductibles supporters béarnais avec les joueurs de Tours.\\n\\nUne autre époque... Mais quelque chose nous dit qu’on ne va pas s’ennuyer dimanche pour cette 100e."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : Une lycéenne de 15 ans dunke en plein match !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Elle s’appelle Fran Belibi, a 15 ans, mesure 1,83 m et est étudiante au lycée Regis Jesuit à Aurora dans le Colorado. Depuis quelques heures, la lycéenne affole la toile.\\n\\nEn plein match de basket vendredi dernier, la jeune fille a réalisé une action extrêmement rare dans le basket féminin. Récupérant la balle dans sa moitié de terrain, la basketteuse a traversé le parquet pour ensuite péter un dunk !\\n\\n« Je ne m’y attendais pas pour être honnête », a indiqué ensuite la jeune sophomore. « Je ne sais pas. Je l’ai fait, c’est tout. Je n’ai pas réalisé avant d’entendre le public et le bruit de l’arceau. Puis j’ai entendu mes coéquipières. Je crois que le public a compris que c’était quelque chose de spécial, la première fille à dunker, mais c’était totalement inattendu. Les filles ne dunkent pas. »\\n\\nImpressionnant !"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’expérience exotique de François Peronnet au Japon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avant de récupérer le coaching d’Orléans et de se le voir retirer en février 2015 au profit de Pierre Vincent, François Peronnet, 43 ans, fit un passage à l’Elan Chalon (1998-2002), ce qui a incité le Journal de Saône et Loire à prendre de ses nouvelles. D’autant plus intéressant que le natif de Chaumont a choisi l’été dernier une destination exotique : les Tokyo Hachiioji Trains.\\n\\n« Le championnat vient d’être refondu en trois divisions car le Japon était suspendu jusqu’ici de toutes compétitions FIBA en raison d’un conflit entre deux ligues concurrentes. Et mon club a la particularité de n’être que dans sa deuxième année d’existence, » explique t-il.\\n\\nLe Français raconte qu’il a un chauffeur à disposition –se repérer dans cette mégalopole de plus de 13 millions d’habitants en forme de labyrinthe est pari impossible- et un traducteur car l’anglais est peu parlé au Japon. Ce n’est qu’au bout d’un certain temps qu’il a eu accès aux règlements si particuliers :\\n\\n« On a droit à trois joueurs étrangers qui ne peuvent pas jouer en même temps sur le terrain. Je peux en faire jouer un aux premier et troisième quart-temps, et deux aux deuxième et quatrième quart-temps ».\\n\\nA côté la réglementation sur les JFL en Pro A et Pro B est claire, limpide et facile à manier.\\n\\nFrançois Peronnet a dû aussi se familiariser avec des joueurs japonais petits (le plus grand culmine à 1,90m), de faible niveau à comparer avec les Américains dont il dispose, et qui ont une façon de réagir qui peut être totalement déroutante pour des occidentaux.\\n\\n« Les Japonais rentrent leurs émotions. Et, paradoxalement, ils utilisent le sourire quand ils sont en difficulté sur le terrain. J’ai mis un certain temps avant de le comprendre. Avant, j’interprétais cela comme une nonchalance alors que c’était tout le contraire. »\\n\\nLes Tokyo Hachiioji Trains ont pour l’instant gagné 15 de leurs 23 matches."
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France, la SIG, les finales perdues... Vincent Collet se confie sur SFR Sport"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Triste finaliste des quatre dernières finales de Pro A, la SIG a décidé de ne pas renouveler le contrat de son entraîneur Vincent Collet suite à cette dernière déconvenue contre l’ASVEL après avoir mené 2-1 et donc avoir eu le titre de champion de France au bout des doigts.\\n\\nHenrik Dettmann qui a pris le relais du sélectionneur de l’Equipe de France et qui n’a clairement pas convaincu avec une SIG en partie renouvelée s’est fait remercier à l’aube de la 6e journée de Pro A (!) et c’est donc Vincent Collet qui a été rappelé par Martial Bellon et son directoire.\\n\\nAccueillies par l’emblématique entraîneur strasbourgeois, les équipes de SFR Sport sont donc allées à la rencontre de coach Collet qui revient sur la fin de saison dernière, sur l’EDF et sur son retour à la tête de la SIG.\\n\\n\\n\\nBasket – L’interview complète de Vincent Collet par SFRSPORT2"
}, 
{"role": "user",     "content":"A Bourges, l’après-Dumerc se vit dans la douleur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour son retour chez elle à Tarbes, Céline Dumerc a eu droit à un bouquet de fleurs et... des sifflets quand elle était sur la ligne des lancers-francs. Ça n’a pas eu l’air de troubler la néo-Landaise qui en a converti six sur sept.\\n\\nL’icône du basket féminin français a encore fait feu de tout bois. Elle a joué 37 minutes –ses vieilles jambes de 34 ans sont donc toujours vaillantes- pour 21 points (7/11 aux shoots), 10 passes, 2 interceptions, 2 rebonds et 30 d’évaluation. Basket Landes a fait dérailler le TGB, 84-78.\\n\\nAu même moment, à l’autre bout de la France, Bourges, son ancien club chéri, coulait à pic dans la Caisse d’Epargne Arena de Charleville, jusqu’à 18 points de débours avec une Kadi Minté (23 points) en lévitation. Grâce principalement à leur épatante brésilienne Clarissa Dos Santos (20 pts et 10 rbds), les Berruyères sont revenues point à point et un ultime panier primé plus lancer de Marine Johannès leur a permis d’obtenir un score final en trompe l’œil (70-71).\\n\\n\\n16 minutes de temps de jeu pour Miljina Bojovic\\n\\nBourges a déjà connu quelques glissements de terrain depuis le milieu des années 90 mais peut-être pas à ce point. C’est sa quatrième défaite de suite en championnat, la sixième sur sept en comptant l’Euroleague. Le grand écart subit à un moment et les 17 (!) pertes de balle concédées en première mi-temps prouvent toute sa fragilité.\\n\\nAmel Bouderra a fait un match ordinaire, c’est à dire énorme. 13 points, 9 passes, 23 d’évaluation. En face, la Serbe Miljina Bojovic, cheveux courts, dribbles soyeux, ne s’est vu confier la mène que 16 minutes pour 2 d’éval et c’est la supposé backup Ingrid Tanqueray qui a assuré l’essentiel du boulot sans éclats (6 pts, 8 d’éval).\\n\\nAvant d’être recruté par Bourges, Miljina Bojovic (1,81m, 29 ans) a fait le tour de l’Europe et portait l’an dernier le maillot rayé de Fenerbahçe. Son impact n’est habituellement pas neutre (11,3 d’éval). C’est juste très, très difficile dans un club habitué à l’excellence et où la pression est plus forte qu’ailleurs de succéder à Céline Dumerc"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 8 janvier 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nSaint-Amand a longtemps contrarié Villeneuve d’Ascq\\n\\n– Pour un peu, on se serait cru à l’École des Fans, salle Maurice-Hugot. Tout le monde est reparti content après un bon match de basket disputé dans une salle comble et une excellente ambiance. Si Villeneuve n’a pas piétiné son adversaire comme au match aller, Frédéric Dusart a apprécié le fait de voir ses joueuses enfin confirmer en championnat après une grosse performance en Euroligue. «... Lire la suite.\\n\\n\\nBalle orange au pays du soleil levant\\n\\n– Ayant commencé sa carrière professionnelle à l’Elan Chalon (1998-2002), le coach François Péronnet exerce désormais à Tokyo au Japon. Plongeon dans... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Bressans à Hyères pour un 1/8e de finale\\n\\n– Les U17 de la JL Bourg ont rendez-vous dans le sud pour les 1/16es de finale de la coupe de France... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPaya toujours placé à Vaugneray\\n\\n– Le concours de 32 quadrettes de Courzieu s’est déroulé au boulodrome de Vaugneray... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe métier était alsacien\\n\\n– Devant durant les trois premiers quart-temps, Andrézieux a cédé sous la pression et l’expérience d’une équipe de Souffelweyersheim qui a justifié sa... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLyon Basket dernier\\n\\n– Logiquement écrasées à Montpellier, les Lyonnaises pointent à la dernière place du classement avec Angers et Tarbes... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe BCMF régale ses supporters\\n\\n– En réalisant un festival à trois points (16 paniers), les Foréziennes gagnent le match qu’il ne fallait pas perdre. Avec la manière, en plus... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe RBF entame 2017 par une défaite\\n\\n– Les Roannaises n’ont pas réussi à inverser la tendance et se sont une nouvelle fois inclinées... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nProA: Gravelines s’offre Nanterre et peut croire à la Leaders Cup\\n\\n– Gravelines s’est offert le scalp de Nanterre (91-81), l’un des membres du trio de tête en ProA, pour rester dans la course à la Leaders Cup, samedi dans le Nord en match en retard de la 14e journée... Lire la suite.\\n\\n\\nL’UTBM assure sa qualification\\n\\n– Poitiers 2 (N3)\u2009: 53 Tours (N2)\u2009: 74 L’UTBM n’a pas raté son premier match en 2017 et poursuit, surtout, son aventure dans ce Trophée Coupe de France, objectif assumé du club. La partie s’annonçait potentiellement risquée puisque Poitiers avait déjà battu une N2 (Ré), au tour précédent. Cette fois, la logique fut respectée... Lire la suite.\\n\\n\\nFCM – Mirecourt reporté\\n\\n– Le 32e de finale du Trophée Coupe de France prévu hier soir au Palais des sports entre le FC Mulhouse (NM2) et l’EB Mirecourt (NM3) n’a finalement pas... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nMarque des paniers pour te réchauffer !\\n\\n– Malades ou découragés par les frimas de l’hiver, peu d’écoliers ont participé à l’animation basket organisée par le Cercle sportif Saint-Morand... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Gravelines se ressaisit, Mykal Riley en perdition"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En restant intraitable pour la cinquième fois d’affilée dans un Sportica bruyant, Gravelines-Dunkerque demeure positionné pour la Leaders Cup. Après Strasbourg et Chalon, le BCM a fait chuter hier soir un autre gros bras du championnat, Nanterre (91-81), sous l’impulsion de l’Anglais Myles Hesson (1,96m, 26 ans) qui a battu son record de points en Pro A (29) et du meneur Justin Cobbs (1,91m, 25 ans, 12 points, 11 passes, 27 d’évaluation).\\n\\nD’ailleurs les étrangers du BCM (78 des 91 points de l’équipe) ont globalement répondu présent faisant oublier les blessures de Florent Pietrus et Aaron Cel et aussi leur prestation décevante de cette semaine en FIBA Cup contre les Turcs d’Insaat (85-90).\\n\\nLes banlieusards parisiens ont dû notamment composer avec un Mykal Riley léthargique : 3 points en 11 minutes. L’Américain emblématique du club en est à 4/17 aux shoots sur ses trois derniers matches et son évaluation a fondu vis à vis de la saison dernière passant de 16,1 à 8,5. Pascal Donnadieu l’a sanctionné en lui retirant son capitanat au profit de Heiko Schaffartzik.\\n\\nLe classement de la Pro A est désormais à jour. A deux journées de la fin des matches allers, Monaco, Chalon, Nanterre et Pau sont assurés de participer à la Leader Cup, alors que Le Mans, Gravelines, Villeurbanne, Paris-Levallois, Strasbourg, Le Portel et Limoges vont batailler pour arracher l’autre moitié des tickets."
}, 
{"role": "user",     "content":"Visite guidée du musée du basket mondial à Genève"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il y a 125 ans le basket-ball était inventé par le pasteur canadien James Naismith professeur d’éducation physique au Springfield College dans le Massachusetts. A Genève, la fédération internationale entrepose et expose des objets souvenirs uniques sur l’histoire de ce jeu extraordinaire. Visite guidée.\\n\\nEn avril 2013, le QG de la fédération internationale s’est déplacé de quelques kilomètres, passant de Genève à Mies, dans le canton de Vaud. Surtout de locataire, la FIBA est devenue propriétaire pour 28 millions d’euros d’un bâtiment de 8 000m2, qui selon Florian Wanninger, le directeur de l’International Basketball Foundation, est « accueillant, ouvert, transparent, moderne, avec une structure métallique très originale en forme d’un filet de basket. »\\n\\nUn étage est consacré aux bureaux, un autre au centre de congrès et restaurant, et le rez-de-chaussée, la Naismith Arena de 1 000m2, sert d’espace d’accueil, d’expositions, pour les soirées événementielles (500 personnes ont été invitées à l’inauguration, le 18 juin 2013, jour anniversaire de la FIBA créée en 1932), alors que le sous-sol comprend le garage, les locaux techniques, et surtout les collections et archives. C’est ici que sont choyés quelques trésors uniques au monde.\\n\\nL’espace muséal a été enrichi à 80% par la Fondation Pedro Ferrandiz, qui avec l’aide de la FIBA depuis 1991, disposait d’un musée à Alcobendas, non loin de Madrid, qui devint un FIBA Hall of Fame. Ferrandiz est une figure du Real Madrid, coach des équipes championne d’Europe en 1965, 67, 68 et 74. « Il m’avait invité à dîner chez lui en 1986 et il y avait des choses partout dans sa maison », se souvient Florian Wanninger, qui fait lui-même partie des donateurs.\\n\\n60 000 photos à numériser\\n\\nAu rez-de-chaussée, sont exposées quelques merveilles : des maillots de joueurs célèbres, des vieilles baskets, des ballons des années vingt, des trophées, etc. Défilent également des films sur l’impact du basket dans le cinéma, la mode, la photographie, l’art, ou encore quelques actions de jeu du tournoi olympique de 1936, à Berlin, un document original transmis par le CIO. Le maillot et le survêtement portés par Bill Russell aux JO de Melbourne ou encore la tenue du Yougoslave Radivoj Korac ont une valeur sentimentale bien particulière. A visiter aussi la « librairie Pedro Ferrandiz », une bibliothèque qui rassemble plus de 7 000 livres et revues sur le basket dans plus de vingt langues. Unique au monde.\\n\\nAccéder au sous-sol est un privilège. Sur 300m2 sont stockés des K7, soit depuis une grosse quinzaine d’années, tous les matches des compétitions organisées par la FIBA (Jeux Olympiques, Championnats du monde, continentaux), plus quelques-unes plus anciennes et pas toujours de bonne qualité, des photos, des sacs, des timbres mis en circulation par chaque pays pour chaque événement, des tableaux d’artistes hispaniques, bref tout ce qui touche au basket-ball. La plupart des timbres sont ainsi issus de la collection privée de l’Américain George Killian, qui fut président de la FIBA de 1990 à 98.\\n\\n« Il n’y a pas d’humidité et il fait toujours plus ou moins vingt degrés », explique le Mexicain Luis Rojas-Gonzalez, l’archiviste des lieux. « Les objets sont stockés dans les meilleures conditions de conservation. Notre but est de pouvoir les conserver pendant une centaine d’années. Les photos, les timbres sont dans des pochettes. Il y a des rayons et un numéro pour chaque boite. Pour l’instant, chaque objet est répertorié sur un tableau Excel et ensuite nous disposerons d’un logiciel pour trouver toutes les informations. »\\n\\nAvant les livres et les photos, la prochaine étape sera la numérisation des 60 000 photos. Il en existe notamment une où l’on voit James Naismith, l’inventeur de ce jeu, donner le coup d’envoi de France-Estonie, match inaugural des Jeux Olympiques de Berlin.\\n\\n« Il faut numériser, cataloguer avec des mots-clés. Pour donner une idée du travail, nous avons besoin pour cela de quatre personnes à plein temps pendant une année. Nous allons travailler avec des étudiants. C’est extrêmement couteux, mais à long terme, c’est notre but », précise Florian Wanninger. Tous ces documents seront-ils un jour en libre accès sur Internet ? « Nous ne voulons pas cacher tout ça, même s’il faut faire attention aussi entre « être public » et perdre une certaine exclusivité. Nous ne voulons pas que des gens fassent du business sur notre dos. C’est notre héritage, il faut bien le protéger ».\\n\\nUn véritable business\\n\\nPour alimenter en trésors cette caverne d’Ali-Baba, la FIBA cherche à en faire sa publicité. Florian Wanninger est également à l’affût des bonnes affaires sur les sites spécialisés. Il a ainsi acquis le fanion des premiers championnats du Monde hommes (1950) et femmes (1953) pour trente euros.\\n\\n« C’est bizarre parfois. Il y a quelqu’un qui a nettoyé un grenier et il a mis ça sur ebay sans en connaître l’intérêt. Je veux sensibiliser nos membres. Si vous voyez quelque chose d’intéressant, s’il vous plait, achetez pour nous et nous vous rembourserons. »\\n\\nD’autres reliques valent de véritables fortunes. « Les premières treize règles de James Naismith ont été vendues, il y a trois ans chez Christie’s à New York, pour 1 700 000$. » A ne jamais oublier : les memorabilias, les objets souvenirs dédicacés, sont aux Etats-Unis au cœur d’un immense business. Dans le sport, le marché est estimé à plus de 1,5 milliard de dollars (1,1 milliard d’euros) et la NBA n’en représente qu’environ 10%.\\n\\nArticle paru dans Basket Hebdo en 2015.\\n\\n1 – Des livres dans toutes les langues\\n\\n2 – Le maillot dédicacé de l’Aris Salonique du Grec Nick Galis\\n\\n3 – Un sac datant du pré-olympique de Genève en 1964\\n\\n4- Un tableau provenant d’Amérique du Sud\\n\\n5- Un ballon dédicacé par la Dream Team des Jeux de Barcelone\\n\\n6- Une paire de basket des années 20"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ancien Limougeaud Alex Oriakhi signe au Mexique"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Passé l’espace de 4 matchs à Limoges lors de la saison 2013/14, Alex Oriakhi vient de s’engager avec Garzas de Plata, comme le rapporte l’agent Misko Raznatovic sur Twitter.\\n\\nAvant de rejoindre le Mexique, le pivot américain avait commencé la saison en Turquie, aux côtés d’autres anciens joueurs de Pro A que sont T.J. Campbell et Kenan Bajramovic, avec le Socar Petkimspor qui pointe actuellement à la 5e place de TBL. En deuxième division turque, l’ancien pensionnaire de UCONN tournait à 10,6 points et 7,9 rebonds (10,5 d’évaluation) de moyenne sur 10 matchs.\\n\\nLors de son passage en France, l’ancien joueur du CSP avait compilé 2,8 points et 1,8 rebond pour une évaluation de 3 par match.\\n\\n\\n\\n\\nAlex Oriakhi is new player of Garzas de Plata from Pachuca Mexico. #BeoBasket\\n\\n\\n— Misko4Raznatovic (@MiskoRaznatovic) 7 janvier 2017\\n\\nPhoto : CSP Limoges"
}, 
{"role": "user",     "content":"Dominique Sutton de retour en Italie ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Sportando, Trento aurait engagé les négociations avec Dominique Sutton qui vient d’être remercié par Greg Beugnot et Nancy.\\n\\nDéjà passé par l’Aquila Basket Trento la saison dernière l’ancien ailier du SLUC, qui avait compilé 7,7 points, 4,6 rebonds et 1,3 passe décisives sur 33 matchs, pourrait donc faire son retour en Italie.\\n\\nEn 6 matchs avec Nancy cette saison, le natif de Durham tournait en moyenne à 10,3 points, 6,2 rebonds et 1 assist de moyenne pour une évaluation de 9,7."
}, 
{"role": "user",     "content":"Gravelines-Dunkerque : Jomby qualifié contre Nanterre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce samedi 7 janvier, Gravelines-Dunkerque accueille Nanterre dans son Sportica à l’occasion de la quatorzième journée de Pro A (match en retard).\\n\\nPour cette rencontres, l’entraineur du BCM Christian Monschau pourra compter sur sa nouvelle recrue Rudy Jomby (1,96 m, 28 ans). L’ailier français est qualifié par la Ligue Nationale de Basket (LNB) comme nouveau contrat professionnel jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nLa rencontre entre Nordistes et Nanterriens sera à suivre à 18h30 sur SFR Sport 2.\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB : Charleville – Bourges, le choc de la nouvelle année"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Caisse d’Epargne Arena de Charleville forte de 3 000 places est une vraie réussite aussi bien pour l’Etoile que pour les Flammes Carolos qui, il y a un an, ont abandonné les uns la salle Dubois-Crancé (1 160 places) et les autres la salle Bayard (1 500 places).\\n\\nCe soir, l’Arena sera archi-pleine pour ce qui est un événement local et même national puisque pour la première fois les filles de Romuald Yernaux abordent un face à face avec Bourges en meilleure position au classement. Neuf victoires pour les Ardennaises –à égalité avec Lattes-Montpellier- et huit pour les Berruyères, qui demeurent l’étalon or du basket féminin français.\\n\\n\\nAmel Bouderra, la femme orchestre\\n\\nLeur réussite, les Flammes la doivent beaucoup à l’association de deux personnages emblématiques du club, le coach Romuald Yernaux (40 ans), qui l’a fait grandir depuis 2001, et l’internationale Amel Bouderra, l’une des plus petites meneuses de Ligue Féminine (1,63m, 27 ans) mais aussi une vraie femme orchestre puisqu’elle se positionne troisième à l’évaluation (19,2), en étant notamment la numéro 1 aux passes (7,2) et aussi la meilleure marqueuse de son équipe (15,9 pts).\\n\\n« Romuald a cherché à créer un style de basket qui est assez propre aux Flammes qui prend du temps à fonctionner », a commenté récemment Amel Bouderra sur le site du club. « Ça a pris forme l’an dernier. On a aussi des joueuses de qualité comme Kim Mestdagh (1,79m, 26 ans, Belge, 10,3 pts) et Kaleena Lewis (1,83m, 23 ans, Américaine, 15,0 pts), qui individuellement sont très fortes et qui sont capables d’amener au collectif. La mayonnaise a pris, tout le monde a répondu au style de jeu. »\\n\\n\\nSur deux tableaux\\n\\nParallèlement, à son excellent parcours national, Charleville-Mézières a atteint pour la deuxième fois de son existence un 8e de finale de l’Eurocup. La première fois, les Ardennaises ont été sorties par Braine, cette fois elles vont se mesurer aux Slovaques de Kosice. Tout cela ne leur fait pas tourner les têtes :\\n\\n« Il ne faut pas être trop gourmand mais il faut continuer d’être hargneux et avoir envie d’aller le plus loin possible. Si on pouvait rester dans le wagon du top 4 jusqu’au bout, ça serait vraiment une réussite pour le club, » estime Amel Bouderra quand on lui demande les ambitions au niveau du championnat national.\\n\\n\\nBourges a retrouvé la confiance\\n\\nCe duel au sommet va aussi permettre de savoir ce que cette génération berruyère –c’est à dire sans sa leader sportive et mental Céline Dumerc- a vraiment dans le ventre. C’est une formation quelque peu rassérénée après sa production cette semaine face aux Turques d’Hatay en Euroleague (68-55) qui se présente à la Caisse d’Epargne Arena.\\n\\n« On sortait d’un mois de décembre difficile sans gagner un match. C’est rarement arrivé à Bourges, on ne s’attendait pas à ça », constate ce matin Ingrid Tanqueray dans Le Berry. « La trêve nous a fait du bien mentalement, on est revenues avec d’autres envies, une autre manière de fonctionner. La coache a aussi changé un peu son plan défensif, ça nous a aidées. On était plus en rythme et plus agressives. »\\n\\nUn beau choc, vraiment."
}, 
{"role": "user",     "content":"N1 : La bonne affaire de Caen à Angers"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec 61% de réussite à trois-points et une victoire en prolongation, 101-95, le Caen BC a fait hier soir une excellente affaire et le voici accroché à la troisième place de la N1, en attendant les rencontres de ce soir des deux leaders, Souffel et Quimper. Le coach Hervé Coudray parle de match de référence sur le site sportacaen.\\n\\n« Plus que la victoire, c’est la façon dont on a joué que je retiens. J’espère qu’elle va donner confiance à l’équipe sur notre façon de jouer ensemble. »\\n\\nC’était aussi la première sortie sous les couleurs normandes du Lituanien Justas Sinica (2,03m, 31 ans), recommandé par Léo Westermann, actuellement au Zalgiris Kaunas en Lituanie, et celui-ci a été performant avec 14 points et un 3/5 à plus de 6,75m.\\n\\n« Il est entré dans le match timidement, avec peu de réussite. Il n’a pourtant pas fui ses responsabilités par la suite et a pesé en deuxième mi-temps, également par son expérience. Il a amené des options tactiques différentes. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 7 janvier 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nAbdoulaye Mbaye est à Nancy\\n\\n– L’ancien arrière de Dijon, Strasbourg, Gravelines et Rouen est arrivé hier à Nancy. Le SLUC le met à l’essai pour trois ou quatre jours avec en... Lire la suite.\\n\\n\\nAcadémie de TP : OK pour le PC\\n\\n– Lancée officiellement le 22 septembre 2015, la « Tony Parker Académie » vient de franchir une étape très importante... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDouzième journée : un statu quo rêvé\\n\\n– Marquée par un double affrontement entre relégables (BCMF – Dunkerque et Limoges – CFBB), la douzième journée vaudra surtout par le duel à distance... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRetour aux affaires !\\n\\n– Après une courte trêve bien méritée pour le groupe de David Vérots qui aura livré bataille à six pendant la quasi-totalité de la phase aller, les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nHirsch : « Avoir la bonne attitude »\\n\\n– C’est ce que l’entraîneur roannais attend de son équipe lors de la reprise ce soir face à Calais, avec pour objectif d’obtenir une victoire à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLyon Basket joue avec le feu...\\n\\n– Nicolas Forel a validé hier l’augmentation du capital de son club. Pas sûr que cela ait plu à Tony Parker... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nObjectif: faire tomber le leader\\n\\n– Après une mini-trêve de dix jours, c’est un match de gala qui est au programme de ce soir avec la venue du leader alsacien. Une rencontre à ne manquer... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe BCMF peut accrocher le bon wagon\\n\\n– En recevant l’un des ses adversaires directs dans la lutte pour le maintien, les Foréziennes ont l’opportunité, ce soir à Cherblanc, de quitter la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Il ne faut pas tricher avec les enfants »\\n\\n– Les U17 de Salins, invaincus depuis le début de saison, reçoivent Ozoir-Val d’Europe (Seine-et-Marne), dimanche pour le compte des 1/16e de finale de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFace à du très lourd\\n\\n– Déjà vainqueurs d’une N2 au précédent tour où ils étaient allés s’imposer à Ré (68-75) le 17 décembre dernier, les réservistes poitevins affrontent de nouveau un adversaire du niveau supérieur en 32e de finale. Et le programme est copieux car si Tours est dans le ventre mou de son championnat, le club d’Indre-et-Loire nourrit de grosses am... Lire la suite.\\n\\n\\nUne nouvelle saison doit débuter pour l’UTBM\\n\\n– Poitiers (+ 7) UTBM Le Trophée Coupe de France est, aujourd’hui, un objectif majeur pour l’UTBM. Et l’équipe tourangelle ne s’en cache pas. « C’est un objectif très clair, qui a été posé dès le départ », rappelle Pierre Tavano, qui se l’est également vu assigner à son arrivée. Au-delà d’un trophée national, celle-ci peut rapporte... Lire la suite.\\n\\n\\nChauray et Bressuire veulent rester en tête\\n\\n– En cette nouvelle année, les championnats reprennent leurs droits. Chez les féminines, Chauray a passé ses vacances au chaud après avoir écarté Saujon, un prétendant au podium. Les joueuses de Richard Semur l’emportent 60-52 et conservent leur place de leader à égalité avec Pouzioux. Les deux équipes vont s’opposer lors de la 9e journée et le v... Lire la suite.\\n\\n\\nLe KABCA II et Wihr au départ\\n\\n– À peine le réveillon digéré, les joueurs du KABCA II et et les joueuses de Horbourg-Wihr reprennent le collier en championnat ce week-end. La trêve... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCrédit Mutuel : finales à Eguisheim\\n\\n– La Hardt va se présenter en force, ce soir à ola salle de la Tuilerie à Eguisheim, pour les finales féminine et masculine de la première phase de la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Un Sergio Lull irrésistible renverse le CSKA Moscou"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion en titre et premier au classement depuis le début de saison, le CSKA Moscou arrivait à Madrid sur une série de deux défaites de suite. Et malgré un bon match de Nando De Colo (18 points), l’armada moscovite va faire la passe de trois, battue dans un duel au sommet entre les deux derniers rois d’Europe (95-85).\\n\\nSergio Llull (24 points, 6 passes) a réalisé un nouveau chef d’oeuvre avec des tirs plus fous les uns que les autres. Les madrilènes ont mérité leur victoire avec un effort défensif dantesque dans le crunch time, faisant complètement déjouer le CSKA.\\n\\n\\nSergio Llull leur a tout fait !\\n\\nSi la première mi-temps a porté le sceau balte de Jonas Maciulis (20 points), cette victoire revient en grande partie à Sergio Llull. Le meneur ibère a illuminé le jeu de ses éclairs de génie. Exemple en troisième quart : Llull se dribble sur le pied mais, pas de problème, il sort un tir d’extra-terrestre, du milieu de terrain, quasiment sur le logo de son équipe ! Et c’est sans parler du dernier quart : deux nouvelles bombes de très loin, ou encore un layup plus la faute et finalement un tir à reculons (avec un petit raffut non sifflé). Lull leur a tout fait !\\n\\nEt ce n’est que justice car le Real a proposé du jeu pendant tout le match. Anthony Randolph (14 points, 9 rebonds) conclut ainsi d’un dunk autoritaire à deux mains une belle action collective madrilène. Le jeune prodige slovène, Luka Doncic (9 points, 5 passes), a lui livré un beau duel face à Nando De Colo, tête contre tête à un moment, mais surtout imperturbable à trois points dans la fin de match. Gustavo Ayon (14 points, 4 passes, 4 interceptions et 3 rebonds) a lui aussi été très actif, résumant parfaitement la grosse prestation collective du Real !\\n\\n\\nLe CSKA stoppé net dans le crunch\\n\\nEn face, le CSKA a lui plutôt réagi au coup par coup, avec Victor Khryapa à trois points en l’occurrence en deuxième quart. Milos Teodosic permettra également à son équipe d’arriver à hauteur à la mi-parcours (50-46) mais ni Teodosic (13 points, 5 passes et 5 ballons perdus), ni Nikita Kurbanov, auteur de cinq points rapides pour ramener son équipe à -3 dans le dernier quart, ne pourront offrir le soutien nécessaire à De Colo. L’arrière tricolore n’arrive plus à transpercer le rideau défensif madrilène dans les dernières minutes. Le CSKA a complètement calé !\\n\\n« On est satisfait de cette victoire », savourait Sergio Llull. « On a bien défendu en fin de match, on a réussi à battre les champions en titre. On avait perdu d’un point chez eux et on voulait gagner chez nous. C’est chose faite. C’est bien pour le classement. »\\n\\nLe récap complet\\n\\nLe shoot de furieux de Sergio Llull\\n\\n\\n\\n\\nAGAIN. @23Llull goes ever deeper with his latest three-point heave.#7DAYSMagicMoment #RMBCSK pic.twitter.com/MluIREnSvE\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) January 6, 2017"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : les plus belles passes du mois de décembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme en octobre, Milos Teodosic tient une place de choix dans le classement mensuel des meilleures passes en Euroleague. Le meneur serbe du CSKA Moscou délivre en l’occurrence un petit bijou de passe aveugle, dans le trafic, et à rebrousse poils pour James Augustine.\\n\\nMais le maestro moscovite est également concurrencé par les joueurs du Panathinaikos, que ce soit Mike James, James Feldeine ou Nick Calathes. Il y a encore du beau monde dans cette édition, avec un petit coup de coeur pour la réaction de coach Obradovic"
}, 
{"role": "user",     "content":"Europe Cup : la moitié des 10 meilleurs prospects sont Français"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il est toujours très intéressant d’avoir un regard extérieur sur le basket français car cela permet une totale neutralité.\\n\\nLa FIBA a ainsi classé les dix meilleurs pospects de la FIBA Europe Cup suivant leurs productions actuelles et les perspectives à terme. Et la moitié de ces espoirs sont français !\\n\\nA la première place figure Mathias Lessort (21 ans, pivot, Nanterre) généreusement listé à 2,08m. Elie Okobo (1,88m, 19 ans, arrière, Pau, 3e) se positionne également sur le podium. Suivent plus loin Axel Bouteille (2,01m, 22 ans, ailier, Chalon, 4e), Bathiste Tchouaffé (1,96m, 18 ans, arrière, Nanterre, 8e) et Adam Mokoka (1,92m, 18 ans, arrière, Gravelines, 10e).\\n\\nBien sûr, il ne s’agit que de la C4 et certains des meilleurs joueurs de ces tranches d’âge peuvent déjà s’exprimer dans les trois coupes européennes majeures, mais c’est tout de même un joli tir groupé."
}, 
{"role": "user",     "content":"Quimper se prépare à une éventuelle montée en Pro B"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Union Jeanne d’Arc Phalange Quimper est actuellement deuxième de Nationale 1, à une victoire de Souffelweyersheim qu’elle a battu en Alsace, et avec deux d’avance sur les immédiats poursuivants, Saint-Vallier, Rueil et Caen.\\n\\nDans l’édition du Finistère de Ouest-France, le président Bernard Kervarec fait le bilan à presque mi-parcours –il ne reste plus qu’une journée pour la phase aller et elle sera l’occasion d’un derby breton face à Rennes- et se félicite évidemment de l’engagement, il y a un an, comme coach du vice-champion olympique Laurent Foirest dont le contrat cours sur trois ans.\\n\\n« Ça fait maintenant un an que Laurent Foirest est là, et c’est quelqu’un qui a une autorité naturelle, qui sait motiver les joueurs, sans forcément élever la voix. Mais un nouveau championnat va commencer avec la phase retour, et rien n’est gagné, à commencer par le match contre Rennes samedi. »\\n\\nUne salle multifonctions d’une capacité de 3 500 places doit être construire en ville et sera à destination prioritaire de l’UJAP et du Quimper Volley. De quoi voir l’avenir à plus long terme avec un certain optimisme.\\n\\n« Nous ne refuserons certainement pas la montée si elle se présente. Nous ne l’avons pas forcément prévue tout de suite, mais si ça arrive plus vite, tant mieux. Nous nous penchons déjà sur cette option (...) Dans deux mois, nous aurons joué les grosses équipes, et on devrait y voir plus clair. Mais nous travaillons déjà sur la saison prochaine, sur l’organisation du club. Si on monte en Pro B, il faudra augmenter le budget. Pour l’instant, nous sommes aussi un peu légers en termes de structures, donc nous y réfléchissons. Nous avons la perspective d’avoir la nouvelle salle à l’horizon 2020-2021, ce n’est pas encore pour tout de suite. Avec un tel outil, nous espérons voir nos recettes et nos partenariats augmenter de manière significative. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : le gros dunk d’Orlando Johnson sur Chase Budinger"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ancien joueur NBA et notamment passé par les Pacers, Orlando Johnson est arrivé à l’Unics Kazan début novembre.\\n\\nHier soir, à l’occasion de la 16e journée d’Euroleague, le Baskonia s’est facilement imposé face à Kazan (102-70) avec un Rodrigue Beaubois en feu. Dans ce match, Orlando Johnson s’est offert le dunk de la soirée en C1. Sur une pénétration dans l’axe, le natif Monterey, en Californie, est monté au panier sur la tête de Chase Budinger, un autre joueur passé par la NBA.\\n\\nCette saison en Euroleague, Orlando Johnson compile en moyenne 7 points et 2,1 rebonds.\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : Abdoulaye M’Baye arrive à Nancy"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Est Républicain rapporte aujourd’hui l’arrivée de l’arrière Abdoulaye M’Baye (28 ans, 1,89m) pour un essai de quelques jours avant de pouvoir prolonger l’aventure en Lorraine. La saison dernière à Rouen (6,4 points, 1,9 rebond et 1,3 assist pour 5,9 d’éval), le natif de Berck n’avait pas suivi le club normand dans sa descente en Pro B et était sans club depuis.\\n\\nSuite à la blessure de Gary Florimont, out pour la saison, le club nancéien était à la recherche d’un JFL (Joueur Formé Localement). Ce choix concorde avec les départs de Thaddeus McFadden et de Dominique Sutton mais le club présidé par Marc Barbé est donc toujours à la recherche de deux JNFL pour compléter l’effectif.\\n\\nGreg Beugnot, l’entraîneur du SLUC s’est exprimé sur la venue de l’ancien joueur de Strasbourg.\\n\\n«Il sera à l’essai trois à quatre jours. Aboulaye a montré beaucoup d’envie. Il veut jouer, rebondir et semble décider à s’investir à 100 % dans notre opération sauvetage.»\\n\\nEn 10 saisons de Pro A, Abdoulaye M’Baye compile en moyenne 9 points, 1,8 rebond et 1,5 passe décisive pour une évaluation de 7,6.\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"David Blatt : «Le problème c’est que Zizic ne restera pas ici longtemps»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé fin décembre au Darussafaka en provenance du Cibona Zagreb, Ante Zizic est promis à un brillant avenir en NBA.\\n\\nAuteur d’un bon match (14 points et 9 rebonds pour 21 d’éval) dans la très courte défaite de son équipe face au Maccabi Tel-Aviv (93-92), le joueur sélectionné par les Boston Celtics à la 23e place de la dernière draft NBA montre qu’il a sa place dans la meilleure compétition européenne.\\n\\nInterrogé sur la performance de son joueur, David Blatt s’est montré fier d’avoir un joueur comme lui mais a avoué que son plaisir ne sera que de courte durée, comme le rapporte Eurohoops.\\n\\n« Le problème c’est qu’il ne va probablement pas rester ici longtemps. Quand les deux partis l’auront décidé, Ante Zizic rejoindra les Boston Celtics. Nous sommes heureux d’avoir un joueur comme lui. Toutes les équipes d’Europe avaient la chance de le signer mais aucune n’y est arrivé sauf nous. C’est parce que nous avons cru en lui. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Will Daniels va remplacer le futur dijonnais LaQuinton Ross en Israël"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"À la recherche d’un nouveau joueur pour remplacer LaQuinton Ross qui vient de s’engager avec Dijon. Le club israélien de l’Hapoel Eilat vient de mettre la main sur un joueur bien connu en France.\\n\\nSelon le journaliste David Pick, l’Américain Will Daniels (2,02 m, 30 ans) devrait prendre la place du néo dijonnais au sein de l’équipe israélienne.\\n\\n\\n\\n\\nHapoel Eilat are bringing in former Euroleague forward Will Daniels, according to source.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) 6 janvier 2017\\n\\nVu au Liban en ce début de saison 2016/17, l’intérieur enchainait les gros cartons (un match à 39 d’évaluation contre Hoops) avec son club d’Al Mouttahed Tripoli où il tournait à 22,5 points, 6,3 rebonds et 1,3 passe pour 25 d’évaluation en 36 minutes sur 6 matchs de championnat libanais.\\n\\nPassé par la Grèce, la NBA D-League, la République Dominicaine, la Lettonie, la Russie et Porto Rico, l’ancien étudiant de University of Rhode Island (NCAA I) a aussi été un acteur de la Pro A entre 2011 et 2016 sous les couleurs de Nanterre et Limoges.\\n\\nChampion de France 2011 avec la JSF, il tournait à 8 points, 3,4 rebonds et 0,9 passe pour 8,3 d’évaluation en 19 minutes sur 30 matchs avec le CSP la saison dernière.\\n\\nPhoto : VEF Riga"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nancy se sépare de Dominique Sutton ... et a contacté Steed Tchicamboud"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Engagé en pleine opération maintien, Nancy est en chantier. En pleine reconstruction au sein de son effectif, le club nancéien cherche actuellement trois joueurs.\\n\\nUn remplaçant au combo guard américain Thaddeus McFadden parti en Grèce, un nouveau joueur à la place du Français Gary Florimont blessé et out jusqu’à la fin de saison et aussi un nouvel élément pour combler le départ de l’ailier états-unien Dominique Sutton dont Greg Beugnot vient de décider de se séparer (10,3 points, 6,2 rebonds et 1 passe pour 9,7 d’évaluation en 28 minutes sur 6 matchs).\\n\\nA la recherche de renforts, l’Est Républicain nous apprend que l’entraineur du SLUC Gregor Beugnot a notamment contacté son ancien joueur Steed Tchicamboud. A la retraite depuis peu et passant actuellement ses diplômes d’entraîneur à l’INSEP, l’expérimenté poste 1 a bien écouté les arguments de son ancien coach mais le deal ne se fera finalement pas.\\n\\nNéanmoins un nouveau joueur devrait rejoindre très rapidement le club nancéien. Un joueur français « très motivé » d’après l’ancien technicien de la JL Bourg.\\n\\nAffaire à suivre."
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ancien portelois Shawn Huff rebondit en Allemagne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vu au Portel durant la première partie de saison 2016/17 avant d’être libéré (2,5 points à 28,6% de réussite aux tirs et 1,3 rebond pour 1,5 d’évaluation en 11 minutes de temps de jeu sur 11 matchs de championnat Pro A), l’international finlandais Shawn Huff (1,98 m, 32 ans) a trouvé un nouveau contrat.\\n\\n\\n\\n\\n💙 NEUZUGANG 💙\\n\\n\\nHERZLICH WILLKOMMEN IN @Stadt_FFM @Shuff247 !\\n\\nTervetuloa Frankfurt Shawn!\\n\\n\\nAlle Infos ➡ https://t.co/itoRKHDGMH pic.twitter.com/4jZTrLjvq5\\n\\n\\n— FRAPORT SKYLINERS (@skyliners1999) 5 janvier 2017\\n\\nClub allemand évoluant en BBL (la première division), Francfort vient d’engager l’ancien portelois. C’est un retour en Allemagne pour l’ailier qui portait les couleurs de l’équipe de Ludwigsburg durant les trois dernières saisons (2013-2016).\\n\\nJoueur d’expérience, , le natif d’Helsinki a aussi joué en Grèce et en Italie.\\n\\n\\nPour rappel, l’ESSM avait engagé Arizona Reid pour le remplacer il y a un mois.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pierre Vincent et la dure loi du milieu"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La scène se passe dans une brasserie située juste en face de la gare de Bourges. Elle concerne Pierre Vincent et l’auteur de ces lignes alors journaliste pour l’hebdomadaire BasketNews. Nous sommes en 2011 et le printemps a encore souri à Bourges.\\n\\nLe coach sort de huit saisons magnifiques avec les Tango : 320 victoires et 89 défaites (78,2%), quatre titres de champion de France, deux participations consécutives au Final Four de l’Euroleague. Tout ça alors que le club du Cher dispose désormais d’un budget bien inférieur aux cadors de l’Est.\\n\\nAvec l’équipe de France, c’est mieux encore. Pierre Vincent a mené deux ans auparavant les Bleues au titre européen. Elles y ont mis la manière, le suspens, d’ailleurs on les surnomme désormais « Les Braqueuses ».\\n\\nIl ajoutera plus tard à son palmarès cette extraordinaire médaille d’argent olympique décrochée à Londres, la plus belle d’entre toutes. Alors qu’il sort de deux saisons forcément épuisantes avec l’ASVEL, il coachera les Bleues encore une fois pour une médaille d’argent à l’Euro 2013 organisé en France. Une double casquette tout à fait originale dans le basket moderne.\\n\\n\\nA son Zénith, il fait le grand saut\\n\\nJamais coach français n’a connu un tel succès dans le basket féminin. La facilité pour Pierre Vincent aurait été de poursuivre sa route, son autoroute, avec les Tango de Bourges, les Bleues ou alors de monnayer son savoir-faire et son aura auprès de l’une des quatre puissances du continent qui lui faisaient les yeux doux. Au lieu de ça, à 47 ans, il avait décidé de plonger dans le basket professionnel masculin, un univers qu’il n’avait jamais fréquenté.\\n\\nCe jour ensoleillé de mai, Pierre Vincent fit un hommage appuyé à son président à Bourges, Pierre Fosset et laissa percevoir son optimisme :\\n\\n« Nous avons une confiance réciproque. Il me laisse faire mon boulot de technicien. Et malheureusement dans le sport, quand on a fait un peu d’études, réussi dans une entreprise, on se met souvent à avoir des avis sur tout. Et c’est là qu’il y a danger car pour qu’un projet soit viable et efficace, il faut un leader. Et sur le plan technique, c’est l’entraîneur. Quand le président ou le GM porteront la responsabilité de l’échec, ils décideront. Est-ce que c’est transposable chez les garçons ? Moi, je pense que oui puisque ça se fait ailleurs. »\\n\\n\\nDeux fois coupé\\n\\nMême s’il ne l’avoua pas alors officiellement, on savait que c’était un coup de fil de Tony Parker, un gamin qu’il avait eu comme junior en équipe de France et avec qui il avait gagné un titre européen à Zadar, devenu meneur d’excellence en NBA et homme fort de l’ASVEL, qui l’avait décidé à faire le grand saut. Et Villeurbanne, c’était alors quelque part l’anti-Bourges. Il avait pris ses précautions mais on lui avait fait remarquer avec ce regard caustique de journaliste qu’entre les bonnes intentions et la pratique dans un club à la stratégie à géométrie variable, agité en permanence par de très fortes turbulences, il pouvait y avoir un énorme décalage... Par sadisme ou plutôt par provocation, on lui avait récité la liste des coaches de renom passés par l’ASVEL depuis l’an 2000 et remerciés en cours de route. Certains étaient des pointures européennes, des coaches de sélections nationales masculines, comme Boscia Tanjevic, Erman Kunter et Vincent Collet.\\n\\nPierre Vincent avait répondu par une pirouette teintée d’humour :\\n\\n« On m’a dit récemment que je serai un vrai coach quand je me serai fait virer au moins une fois. Pour l’instant, ça n’est pas arrivé, donc ça veut dire que je ne suis pas un grand coach. »\\n\\nDepuis Pierre Vincent a vu en 2014 son contrat brutalement interrompu à l’ASVEL par décision de son « ami » Tony Parker. Il a eu confirmation hier qu’il était écarté du coaching à Orléans. Les deux fois son contrat initial avait pourtant été prolongé. Pas sûr que ces deux épreuves soient bénéfiques pour le lustre de sa carrière mais du moins est-il désormais doublement vacciné contre la dure la loi du milieu.\\n\\nPS : Hier et suite à la mise à l’écart de Pierre Vincent, le vice-président Nicolas Raimbault, qui apportait une caution sportive au club a donné sa démission. Vous pouvez retrouver son interview ici et ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Ancien joueur de Dallas, Bernard James arrive à Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Attendu à Limoges, Dexter Pittman ne quittera finalement pas le Japon mais le CSP s’est vite remis à la recherche d’un joueur et vient de trouver son nouvel intérieur en la personne de Bernard James (31 ans, 2,08m), comme le rapporte le club limougeaud sur son site.\\n\\nPassé deux fois par la NBA et Dallas (2012-14 et 2015), cet ancien militaire compilait en moyenne 2,2 points et 2,3 rebonds en 92 matchs dans la Grande Ligue.\\n\\nLa saison dernière entre Shangai (14, points, 10,9 rebonds et 1,3 contre en 28 minutes de jeu sur 36 matchs) et Galatasaray (6,5 points et 5 rebonds en 14 minutes de jeu sur 4 matchs), l’ancien pensionnaire de Florida State va connaitre sa première expérience en France à Limoges.\\n\\nUne belle recrue pour le CSP qui, malgré ses 31 ans, n’a que 4 saisons en tant que professionnel dans les jambes.\\n\\nPhoto : Limoges CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ligue féminine : Lyon perd quatre points sur tapis vert !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il y a peu, Nicolas Forel, son président parlait projet, celui de construire une nouvelle salle et de se rapprocher de l’ASVEL de Tony Parker. Seulement les faits sont en train de rattraper le Lyon Basket.\\n\\nLe club de Ligue Féminine vient d’être sanctionné par la Commission de contrôle de gestion de la FFBB pour non respect du budget validé et non respect du fond de réserve. La pénalité est lourde : 4 points au classement.\\n\\nAprès six défaites consécutives, le Lyon Basket est descendu à la neuvième place avec seulement 3 victoires en 12 matches. Pire, il doit affronter les deux premiers, Lattes-Montpellier et Charleville, avant d’effectuer un déplacement crucial à Angers.\\n\\nLe club a huit jours pour faire appel d’une décision qui si elle était confirmée pourrait le précipiter en Ligue 2."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : le Top 10 du mois de décembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’édition mensuelle de l’Euroleague ne déçoit pas en décembre ! Il y a de tout et pour tous les goûts. Les classiques sont présents avec Anthony Randolph qui place encore un contre énorme, Milos Teodosic qui délivre le caviar pour le CSKA, ou encore Tyler Honeycutt qui explose le cercle.\\n\\nMais le grand monsieur du mois de l’Avent, c’est Victor Rudd. L’ailier américain du Maccabi se place à deux reprises, et pas pour des petits pétards...\\n\\nMention également pour cet alley oop peu conventionnel entre les deux anciens NBAers du Fener : Ekpe Udoh et Jan Vesely. Le premier envoie le second au dunk, juste après l’entre deux. Un alley oop « big to big » qui prouve qu’ils n’ont pas les mains carrées !"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le T-shirt de l’équipe de France de basket dans l’espace"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le spationaute Thomas Pesquet, 38 ans, a décollé le 17 novembre à bord d’un vaisseau Soyouz pour un séjour de six mois dans la Station spatiale internationale.\\n\\nLe voici à bord avec... le T.shirt de l’équipe de France de basket.\\n\\n« Est-ce à son ami Tony Parker qu’il le doit ? », se demande Daniel Champsaur, responsable du patrimoine à la fédération française.\\n\\nLa question a tout son sens quand on sait que les deux idoles de Thomas Pesquet sont Tony Parker et Boris Diaw ! D’ailleurs, au printemps 2015, TP avait invité l’autre TP chez lui et à un match des Spurs avant que le spationaute fasse découvrir aux deux internationaux le NASA Johnson Space Center de Houston comme l’atteste cette photo et ce reportage sur M6 (voir ici)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Rodrigue Beaubois (29 points) bat son meilleur score en carrière face à Kazan !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Capot ce weekend, dans la grosse victoire de son équipe face au Real Madrid en Liga ACB, Rodrigue Beaubois s’est complètement remis en selle face à Kazan hier soir, en Euroleague.\\n\\nL’arrière français a tout simplement réussi son meilleur score en carrière dans la compétition reine : 29 points à 7/8 à deux points et 5/8 à trois points... et ce, en moins de 20 minutes de jeu (19) ! Avec une telle performance tout en efficacité – et en spectacle (voir plus bas), Beaubois a une bonne tête de MVP de la semaine...\\n\\nIl faut dire que Vitoria n’a pas été tendre face à Kazan, en prenant 10 points d’avance sur les trois premiers quarts temps. A quasiment +30 avant le dernier quart (77-50), la messe était dite malgré 19 points, 6 rebonds et 5 passes de Keith Langford.\\n\\nA côté de Roddy Beaubois, Kim Tillie (8 points, 4 rebonds, 2 interceptions, 1 passe) a été solide comme à son habitude dans la rotation de Vitoria qui monte clairement en pression ces dernières semaines. Au final, Vitoria s’impose de 32 pions (102-70) derrière un impeccable 64% à deux points et 50% à trois points. Une démonstration de force !\\n\\n\\n\\n\\nHuge win as @Baskonia defeats @unicsbasket behind Beaubois' 29 points.#BKNUNK pic.twitter.com/0Ee0NwRY7J\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) January 5, 2017"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 6 janvier 2017"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nUn Américain sur le carreau à chaque match ?\\n\\n– Si le SLUC Nancy concrétise avec les deux joueurs américains qu’il a sur ses tablettes, il sera confronté à un choix cornélien dans les prochaines... Lire la suite.\\n\\n\\nSix joueurs à la reprise\\n\\n– Alors qu’il avait décidé de quitter le SLUC en novembre, pour repartir au Venezuela et être aux côtés de sa compagne qui attendait leur quatrième... Lire la suite.\\n\\n\\nSLUC : Le début des grandes manœuvres\\n\\n– Dominique Sutton non conservé, un joueur français à l’essai aujourd’hui, deux pistes étrangères sur le feu... Alors que le SLUC a repris l’entraînement... Lire la suite.\\n\\n\\nDu mouvement durant les fêtes\\n\\n– Après un tiers de championnat disputé, les premiers ajustements se sont dessinés au sein des équipes durant cette mini trêve... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRémi Pegon (Le Coteau) « On va jouer notre carte à fond »\\n\\n– Actuel troisième de Pré-Nationale, Le Coteau reçoit le leader Andrézien demain à La Glacière... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPuni, Lyon Basket perd quatre points!\\n\\n– Sanctionné par la FFBB, le club présidé par Nicolas Forel est aux portes de la Ligue 2... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond repart sans Davis\\n\\n– Saint-Chamond s’est séparé de Bennet Davis et est à la recherche d’au moins un joueur pour renforcer un secteur intérieur en difficulté... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nWallach : « Un grand dégoût... »\\n\\n– Président de la Ligue du Lyonnais depuis vingt ans, Jean Wallach fait le point avant l’Assemblée générale, qui se tiendra samedi à Saint-Priest. Où... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn petit break tellement mérité\\n\\n– Grâce à son large succès glané mercredi face à Gaziantep (102-83), ô combien précieux vers la route qui mène aux 8es de finale, l’Elan s’offre quatre... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRudy Jomby retourne en Pro A\\n\\n– Au soir de son dernier match sus les couleurs de l’ADA face à Rouen, le pigiste médical Rudy Jomby avait avoué avoir plusieurs pistes pour la suite de sa saison, sans connaître... Lire la suite.\\n\\n\\nPrénationaux : derbys et incertitudes\\n\\n– Basket MASCULINS P3L – Fondettes. Après une défaite honorable à Barjouville, le P3L s’attaque à Fondettes, l’autre leader. Saheed Mouti n’ignore rien de ses adversaires. « La force ... Lire la suite.\\n\\n\\nLe PB cherche un meneur après le départ de McWhorter\\n\\n– Au regard des performances de Steve McWhorter depuis le début de saison à Poitiers, l’annonce de son départ, hier, pour le club néerlandais des New Heroes de Den Bosch n’est... Lire la suite.\\n\\n\\nL’ADA se remet en selle\\n\\n– Après un peu plus d’une semaine de répit, les joueurs de l’ADA Blois ont repris le chemin de l’entraînement hier, neuf jours avant d’affronter Saint-Chamond... Lire la suite.\\n\\n\\nAmical : Kaysersberg facile\\n\\n– Il n’y a pas eu photo, hier soir, entre une équipe qui joue le maintien, au mieux le milieu de tableau de N3 (Dessenheim), et une formation du haut de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne affiche inédite à Pfastatt\\n\\n– Les joueurs de Jean-Luc Monschau disputent les 32es de finale du Trophée Coupe de France face aux espoirs de l’Elan sportif chalonnais, dimanche... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Pfastattois en vue à Berlin\\n\\n– Les U13 de l’ASSM Pfastatt ont, une nouvelle fois, réalisé une superbe performance au prestigieux tournoi de Berlin qui s’est déroulé du 1er au 3... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTraoré veut se faire un nom\\n\\n– Le jeune Alou Traoré a peu à peu pris ses marques et trouvé sa place au sein d’un FC Mulhouse qui fait son entrée en Trophée Coupe de France, samedi... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDans le sens de la marche\\n\\n– Après la trêve de Noël, les deux équipes fanion du SBC reprennent la compétition. Samedi à 20 h 30, les masculins accueilleront Erstein. Les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Zagreb : Luka Zoric arrive en renfort"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite au départ d’Ante Zizic pour le Darussafaka, le Cibona Zagreb était à la recherche d’un remplaçant.\\n\\nComme pressenti, c’est bien Luka Zoric qui arrive à la rescousse du club croate pour le reste de la saison.\\n\\nL’ancien intérieur du Fenerbahce connaît déjà bien la maison pour avoir évolué au Cibona en 2001/02, en 2004 et en 2007/08. En cinq saisons pleines en Euroleague sous les couleurs de Malaga, Fenerbahce et Zagreb, Zoric compilait en moyenne 8,7 points et 3,9 rebonds par match.\\n\\nEn huit matchs de championnat espagnol, le pivot croate tournait cette saison à 12,5 points et 4,7 rebonds pour une évaluation de 11,9 par rencontre avec le Real Betis Energia Plus avant de quitter le club le 22 novembre.\\n\\n\\n\\n\\nLuka Žorić novo pojačanje #KKCibona #HejaHejaCibosihttps://t.co/dEs7Lt7HAG pic.twitter.com/egsU1iHogA\\n\\n\\n— KK Cibona (@kk_cibona) 5 janvier 2017\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Boulogne-sur-Mer : Olivier Bourgain confirmé en tant que coach jusqu’à la fin de saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir assuré l’intérim au poste d’entraîneur en fin d’année 2016 suite à l’éviction de Germain Castano, Olivier Bourgain vient ce jeudi d’être confirmé à la tête de Boulogne-sur-Mer jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nLa formation de Pro B vient d’annoncer la nouvelle à travers un communiqué.\\n\\nManager général du club depuis 2009, l’ancien joueur de l’ASVEL se voit donc propulsé au rang d’entraîneur principal pour cette deuxième partie de championnat et sera accompagné par Mike Gonsalves et Thibault Wolicki.\\n\\n« Germain était arrivé il y a 8 ans pour me remplacer et aujourd’hui, c’est moi qui se retrouve à prendre sa place. Il a amené le club à un niveau encore jamais atteint tout en faisant l’unanimité humainement. C’est une page du club qui se tourne.On m’a donc demandé de relever ce challenge et comptez sur moi pour faire cela avec mes tripes. Je crois qu’on a les moyens de le faire et de maintenir le club. C’est aujourd’hui notre seule préoccupation à nous, le staff technique.On ne va pas changer de joueurs pour l’instant.On veut voir comment va réagir le groupe après l’éviction de leur entraîneur. Ma pensée basket est proche de celle de Germain mais reste propre à moi sur certains points.Ce n’est en tout pas mon caractère de lâcher le club que j’aime. »\\n\\nEn pleine mission maintien, le SOMB qui reste sur une victoire à Vichy le 27 décembre dernier contre la JAVCM avec Olivier Bourgain aux manettes accueillera Lille le 14 janvier prochain pour la reprise.\\n\\nPhoto : Boulogne-sur-Mer"
}, 
{"role": "user",     "content":"Quelle destination pour Yves Pons la saison prochaine?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Révélé sur la scène internationale lors du championnat du monde U17 en 2016, Yves Pons (17ans, 1,94m) avait compilé 10 points, 4 rebonds, 1 passe, 1 interception et 1 contre de moyenne sur la compétition.\\n\\nDoté de qualités athlétiques impressionnantes, l’ailier de 17 ans s’était notamment offert plusieurs dunks stratosphériques tout au long de la compétition.\\n\\n\\nCette saison à l’INSEP, Yves Pons n’a disputé que 4 matchs avec le CFBB (sur 16 possibles), pour cause de blessure, pour un rendement de 4,5 points et 2,7 rebonds de moyenne pour une évaluation de 5,7.\\n\\nLe natif de Port-au-Prince est courtisé par plusieurs universités américaines qui l’ont même invité à visiter leurs locaux pour s’attirer ses services.\\n\\nComme il le montre sur son compte Instagram et comme le relaient le forum Secrant.com et CBS Sports, l’international français a notamment visité les universités de Texas Tech, Tennessee et Florida courant décembre.\\n\\nReçu dans l’enceinte de la Thompson-Boling Arena de Knoxville, Pons y a rencontré l’assistant coach Michael Schwartz qui est auparavant passé par Fresno State, Miami et Texas-San Antonio.\\n\\nToujours selon ces mêmes sites, il hésiterait, suite à ces visites, entre les deux dernières facs qu’il a rencontrées : Tennessee et Florida. Cette dernière avait notamment accueilli Joakim Noah (New York Knicks) entre 2004 et 2007 et Wilfried Yeguete (Le Mans) entre 2010 et 2014.\\n\\nEspérons donc pour ce grand espoir du basketball français que ce projet Outre-Atlantique se réalisera et qu’il lui apportera toute la réussite possible.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Orléans : Pierre Vincent débarqué, Thomas Drouot assure l’intérim"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce n’était plus qu’une question d’heures, c’est maintenant officiel. Pierre Vincent n’est plus l’entraineur de l’Orléans Loiret Basket.\\n\\nLa formation de Pro A vient d’annoncer l’information sur sa page Facebook.\\n\\n« Orléans Loiret Basket a engagé une procédure de sanction disciplinaire à l’encontre de Pierre Vincent. Il a été mis à pied à titre conservatoire. Durant la procédure Thomas Drouot assurera l’intérim. Michel Martin, président du conseil de surveillance et Laurent Lhomme président du directoire de l’OLB tiendront une conférence de presse Lundi 9 Janvier 2017 à 17h00 au Palais des Sports. »\\n\\nC’est donc l’assistant Thomas Drouot qui prend en charge l’équipe première. Dix-septième de Pro A (5 victoires pour 10 défaites), l’OLB attaquera l’année 2017 par un déplacement ô combien important en Bourgogne le 13 janvier prochain pour défier Dijon, actuel quinzième au classement."
}, 
{"role": "user",     "content":"Lille : Larsen s’en va, Mbida arrive"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Du mouvement au sein du Lille Métropole Basket. La formation de Pro B annonce un départ et une arrivée au sein de sa raquette.\\n\\nLe Danois Kevin Larsen (2,07 m, 23 ans) fait sa valise et c’est le Français Junior Mbida (2,06 m, 27 ans le 14 janvier prochain) qui le remplace.\\n\\nA travers un communiqué, les dirigeants nordistes annoncent que le natif de Copenhague n’est plus un membre de l’effectif professionnel. En cause ? Ses statistiques jugées insuffisantes. Avec une moyenne de 7,6 points à 54,1% de réussite aux tirs, 3,4 rebonds et 1,2 passe pour 7,7 d’évaluation en 20 minutes sur 13 matchs de championnat Pro B, le pivot était en-deçà des attentes placées en lui. C’était sa première expérience professionnelle pour l’ancien pensionnaire de George Washington University (NCAA I).\\n\\nPour prendre sa place, le coach Nedeljko Asceric a choisi de rapatrier Junior MBIDA. Ancien de la maison lilloise (2011/13) le pivot camerounais arrive de la Pro A en provenance de Dijon. Avant de rompre son contrat avec le club bourguignon, le pivot compilait 3,2 points et 2,4 rebonds de moyenne en 12 rencontres dans l’élite.\\n\\n« A mon avis, Junior peut nous apporter l’intensité physique qui nous manquait dans la raquette explique l’entraineur lillois. Il sera capable donner plus en défense que Kevin, notamment au rebond. En attaque, on ne va pas changer beaucoup de chose. On va l’utiliser comme un point de fixation intérieur. Junior est aussi capable prendre des shoots à 4/5 mètres. C’est difficile de trouver un grand à cette période de la saison. Je suis satisfait de son arrivée. Il connait bien la division, son intégration n’en sera que facilitée. »\\n\\nC’est donc avec un joueur connaissant parfaitement l’environnement lillois que le LMB reprendra le championnat à Boulogne-sur-Mer le 14 janvier prochain. Lille est septième au classement avec un bilan positif de 7 victoires pour 6 défaites.\\n\\nPhoto : JDA Dijon Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Bennet Davis quitte Saint-Chamond pour le SAP Vaucluse"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A la recherche d’un nouveau joueur pour pallier l’absence de Ricardo Alliman, blessé, le SAP Vaucluse vient d’annoncer le recrutement du Bahaméen Bennet Davis (2,03 m, 32 ans).\\n\\nLoin d’être un inconnu des parquets de Nationale 1, l’intérieur avait été dominant avec l’équipe de Chartres lors des deux dernières saisons (14,4 points et 7,3 rebonds pour 18,1 d’évaluation en 30 minutes de temps de jeu).\\n\\nDes statistiques intéressantes qui avaient convaincu les dirigeants de Saint-Chamond de le signer l’été dernier pour l’étage au dessus. Sauf que en difficulté, sous le maillot du club de la Vallée du Gier, il ne s’est jamais vraiment acclimaté aux exigences de la Pro B avec ses 4,1 points, 2,6 rebonds et 0,2 passe pour 3,4 d’évaluation en 18 minutes sur 11 matchs de championnat. Des statistiques jugées insuffisantes par Alain Thinet et son staff qui ont libéré l’international bahaméen de son contrat.\\n\\nJoueur d’expérience, le globe trotter (Israël, NBA D-League, Mexique, Hongrie, Finlande, Japon, Porto Rico, Israël, Croatie) retrouve donc une division qu’il connait parfaitement et tentera d’aider au mieux un SAP Vaucluse en quête de victoires pour cette deuxième partie de saison.\\n\\nPhoto : Saint-Chamond Basket Vallée du Gier"
}, 
{"role": "user",     "content":"Gheorghe Muresan, invité d’honneur du clasico Pau-Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La République des Pyrénées a confirmé que Gheorghe « Gidza » Muresan sera l’invité d’honneur du 100e clasico entre l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez et Limoges, le dimanche 15 janvier à 18h30 sur SFR Sport 2. Le Roumain sera également présent le mercredi 18 janvier pour la venue de Cluj, le club de ses débuts, en FIBA Eurocup.\\n\\nAvec ses 2,31m soit 7 pieds et 7 pouces, Gheorghe Muresan, 45 ans, est le plus grand joueur par la taille de l’histoire de la Pro A et de la NBA.\\n\\nA sa sortie de la Roumanie, il avait porté une première fois le maillot de l’Elan Béarnais lors de la saison 1992-93, était revenu faire une pige en 1995 lors du lockout de la NBA avant de boucler la boucle lors de la saison 2000-01.\\n\\nMuresan a joué 307 matches en NBA échelonnés sur six saisons et fut élu Joueur ayant le plus Progressé en 1996. Sa carrière fut hélas abrégée à cause de blessures\\n\\nPopulaire aux Etats-Unis, Gheorghe Muresan a fait l’acteur dans le film de Billy Crystal « Le Géant et Moi » et dans un vidéo clip du rappeur Eminem, « My name is ».\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=BbJunPTumPE"
}, 
{"role": "user",     "content":"Kevin Dillard quitte la Turquie pour la Nouvelle-Zélande"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’histoire entre Kevin Dillard (1,83m, 27 ans) et le Pinar Karsiyaka s’arrête là. L’Américain détenteur d’un passeport albanais quitte le club turc et part monnayer ses talents à l’autre bout du monde, en Nouvelle-Zélande. Il remplace David Stockton blessé, au sein des New Zealand Breakers, à Auckland, la ville la plus peuplée de Nouvelle-Zélande, dont l’équipe de basket à la particularité de jouer dans le championnat australien, la NBL.\\n\\nLe natif de Homewood quitte donc la Turquie qu’il avait rejoint l’été dernier sur un bilan de 12 points, 2 rebonds et 4,9 passes en 9 matchs de championnat et 7,6 points, 3,3 rebonds et 4,7 passes sur 7 rencontres de Basketball Champions League.\\n\\nPassé auparavant par l’Allemagne, la Grèce et la Belgique depuis sa sortie d’University of Dayton (NCAA I) en 2013, le meneur de jeu a été vu à deux reprises en France.\\n\\nConvaincant sous le maillot de l’Élan Béarnais Pau-Lacq-Orthez en 2014/15 (11,8 points et 3,3 passes décisives en moyenne sur 23 matchs de championnat), il avait ensuite eu plus de mal la saison suivante avec Cholet où il ne disputera que deux petits matchs de Pro A (9 points de moyenne).\\n\\nPhoto : Pinar Karsiyaka\\n\\n\\n\\n\\nKevin Dillard has left Karsiyaka, signed with New Zealand Breakers to replace David Stockton – out with a back injury, according to source.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) January 5, 2017"
}, 
{"role": "user",     "content":"Meneur de Poitiers, Steve McWhorter file aux Pays-Bas"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Poitiers a perdu son meneur de jeu. Si le club de la Vienne n’a pour l’instant pas encore communiqué dessus, le club Néerlandais de New Heroes Den Bosch l’a fait ce matin.\\n\\nCinquième de la Eredivisie, l’équipe de la ville de Den Bosh a indiqué le recrutement du poste 1 américain Steve McWhorter (1,89 m, 24 ans).\\n\\nL’ancien pensionnaire d’University of Wisconsin at Milwaukee retrouve donc la première division néerlandaise puisqu’il y évoluait avec succès sous les couleurs de Landstele Basketball Zwolle, la saison dernière (15,2 points, 4 rebonds et 3,4 passes).\\n\\nSignataire de son premier contrat en France l’été dernier, le natif de Racine n’a fait d’étincelle en cette première partie de saison 2016/17 sous les ordres de Ruddy Nelhomme pour sa découverte de la Pro B avec ses 6,3 points, 2,5 rebonds et 4,1 passes pour 7,9 d’évaluation en 22 minutes sur 13 matchs de championnat.\\n\\nPhoto : Dutch Basketball League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tahar Assed-Liégeon nouveau Directeur du Centre Fédéral"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Centre Fédéral de BasketBall a désormais un nouveau directeur. La Fédération Française de Basket indique que Tahar Assed-Liégeon vient d’être nommé par le Directeur Technique National, Patrick Beesley à la tête du CFBB.\\n\\nA la tête de l’Équipe de France U18 masculine, sacrée Championne d’Europe en 2016 à Samsun Turquie, il remplace Richard Billant qui occupait ce poste depuis 2013 et qui devient sélectionneur national et responsable des Équipes de France 3×3.\\n\\nRetrouvez ici le communiqué complet de la FFBB.\\n\\nPhoto : FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Orléans : Pierre Vincent remercié aujourd’hui ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La République du Centre propose dans son édition du jour une perspective pour l’OLB 45 pour l’année 2017 et évoque bien entendu le cas de son coach sous le titre, « Pierre Vincent entraîneur pour combien de temps ? » On sait que l’ancien entraîneur de l’ASVEL est en froid polaire avec son président et que le parcours de l’équipe (17e, 5 victoires et 10 défaites) n’arrange pas l’atmosphère.\\n\\n« Cette question, on pourrait la poser tous les jours depuis des mois. Une chose est sûre, il ne terminera pas la saison sur le banc de l’OLB. Mais, sera-t-il l’entraîneur à Dijon le 13 janvier. Rien n’est moins sûr. On en saura plus aujourd’hui. Pour le remplacer, la direction du club a une « short list » en sa possession. La plus probable des pistes est celle menant à Thomas Drouot, l’actuel assistant. Mais, on évoque aussi Slaven Rimac (qui a été reçu il y a quelques semaines), Germain Castano, Sylvain Lautié ou encore Jean-Christophe Prat. »\\n\\nReconnu comme un bon formateur du temps du Paris-Levallois, Thomas Drouot fut à la tête du Havre la saison dernière lors d’une saison catastrophique : 4 victoires pour 30 défaites (11,8%). Il avait imposé cet été comme adjoint à Pierre Vincent...\\n\\nLe Croate Slaven Rimac a joué à Pau et au Havre, Germain Castano vient d’être remercié par Boulogne, Sylvain Lautié était jusqu’en décembre le coach de Sorgues Avignon Pontet Vaucluse (N1) et Jean-Christophe Prat est toujours celui de Denain."
}, 
{"role": "user",     "content":"La mascotte de l’ASVEL marque du milieu de terrain et dos au panier"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Voici une grande performance ! Kingo, la mascotte de l’ASVEL, a assuré le show mercredi soir à l’Astroballe lors de la rencontre entre Lyon-Villeurbanne et l’équipe grecque du PAOK Salonique.\\n\\nPlacé au milieu de terrain, Kingo a fait mouche en marquant un panier en étant dos à la cible.\\n\\nIl a eu droit à une petite ovation bien méritée de ses supporteurs.\\n\\nPour la petite histoire, le club rhodanien s’est imposé 70 à 56 face au PAOK."
}, 
{"role": "user",     "content":"Nicolo Melli : «Fabien Causeur a été notre arme offensive n°1 en décembre»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Elu meilleur joueur du mois de décembre par l’Euroleague, Nicolo Melli (16 points, 8 rebonds sur la période) a de fait été un des grands artisans de la belle remontée de son club de Bamberg. Au sein du plus italien des clubs allemands, Melli se régale pour sa deuxième campagne en Nord-Bavière.\\n\\nPourtant, le mois de l’avent ne commençait pas sous les meilleures auspices avec notamment une défaite de deux points, au bout du bout, face au CSKA Moscou. Sur un tir assassin de Vitaly Fridzon.\\n\\n« C’était difficile à avaler mais ce sont les champions en titre », rappelle Melli sur le site de l’Euroleague. « Quand on perd face aux champions sur le dernier tir du match, ça prouve quand même qu’on est sur la bonne voie. »\\n\\nEt de fait, Bamberg a lancé un redressement spectaculaire par la suite, en enchaînant en l’occurrence quatre victoires sur ses cinq derniers matchs européens. Melli situe le déclic lors du succès à domicile face à l’Efes Istanbul de Thomas Heurtel.\\n\\n« C’était un match très important, un match tournant, et notamment pour Fabien Causeur. Pour qu’il retrouve son meilleur niveau. Ce n’est pas facile de jouer dans notre système, surtout pour lui après quatre années dans un jeu très différent [à Vitoria, ndlr]. Il a été notre arme offensive n°1 en décembre. Il a été énorme face à Efes. Il a prouvé qu’il savait jouer. Il est incroyable. »\\n\\n\\n« On est une équipe généreuse et altruiste »\\n\\nPas avare de louanges pour son coéquipier tricolore, Melli souligne de manière générale l’altruisme contagieux de son escouade. Bien gérée par la « mafia italienne » comme le dit affectueusement Causeur, dans les bureaux et sur le bord du terrain (Andrea Trinchieri).\\n\\n« Les performances individuelles proviennent du travail collectif. Si j’ai réussi à avoir ces stats, même si je m’en fiche un peu, c’est parce que l’équipe et le système me l’ont permis. On est une équipe très généreuse et altruiste. Chaque match, c’est un joueur différent qui peut briller. On a un groupe spécial. On n’a jamais baissé la tête [malgré les défaites]. On a continué à bosser, on est resté unis et comme les coachs nous le disent, le travail finit par payer. »\\n\\nDésormais à 6 victoires pour 9 défaites, Bamberg peut de nouveau regarder vers le haut du classement. Et les playoffs ! Mais Nicolo Melli préfère encore prendre les étapes les unes après les autres. A chaque jour suffit sa peine...\\n\\n« Personne ne pense aux playoffs, on pense simplement au match de la semaine. On doit procéder comme ça. Dans ce format de compétition, on ne peut pas penser à l’avenir car tout peut changer très rapidement. Une différence majeure par rapport à l’an passé en tout cas, c’est qu’on ne prend plus personne par surprise. Nos adversaires nous connaissent et donc, quand on gagne, c’est vraiment mérité. On doit continuer à prendre les matchs les uns après les autres. »\\n\\nSi les playoffs sont redevenues une possibilité bien réelle, Bamberg et Melli ne peuvent effectivement pas relâcher leur effort. Ça se jouera sur peu de choses. Comme toujours dans ses joutes européennes !"
}, 
{"role": "user",     "content":"Will McDonald retourne en Chine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"À 37 ans, Will McDonald joue encore. Le costaud intérieur (2,11 m, 120 kg) vient de signer un nouveau contrat et c’est en Chine qu’il opérera puisqu’il vient de dire oui à la formation de Jiangsu Nangang Dragons Nanjing en CBA. Il retrouvera un environnement qu’il connaît bien puisqu’il avait déjà porté les couleurs du club de la ville de Nanjing lors de la saison 2015/16 (22,7 points et 8,7 rebonds de moyenne en 3 matchs).\\n\\n\\nDernièrement, l’Américain avait été vu du coté de Porto-rico. Membre de l’équipe de Caciques de Humacao, il y avait joué 5 matchs pour un bilan de 11,4 points et 5 rebonds.\\n\\n\\nJoueur expérimenté avec des passages en Espagne (Gran Canaria, Estudiantes, Tau Ceramica, Joventut), Chine (Fujian Xunxing, Jiangsu Monkey King, Jiangsu Dragons), Philippines (Petron Blaze Boosters), Porto rico (Mets de Guaynabo, Cangrejeros de Santurce) ou encore en Iran (Azad University Teheran), William McDonald avait lancé sa carrière en France et s’était 2003/04.\\n\\n\\nRookie au sein de l’Élan Chalon, il avait compilé 13,8 points à 53,7% de réussite aux tirs, 7,8 rebonds et 1 passe pour 14 d’évaluation en 25 minutes sur 34 matchs de saison régulière Pro A.\\n\\nPhoto : Tau Ceramica"
}, 
{"role": "user",     "content":"Frank Ntilikina en vedette dans le New York Times"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vainqueur de l’Euro U18 avec l’Equipe de France fin décembre et surveillé de près par de nombreux scouts NBA en vue de la prochaine Draft, Frank Ntilikina a terminé l’année 2016 sous le feu des projecteurs et commence l’année 2017 de la même façon puisque le prestigieux journal du New York Times s’est attardé sur le cas du nouvel espoir du basket français.\\n\\nPressenti pour être sélectionné à la 6e place du premier tour de Draft, le meneur d’1,96m de la SIG a de quoi laisser rêveur tant ses dimensions (2,13m d’envergure) et son talent sont incroyables. Elu MVP du championnat d’Europe avec les Bleuets, le natif d’Ixelles, en Belgique, montre une maturité physique et mentale très avancée pour son âge, comme le confirme le NY Times qui s’appuie sur les dires de ses coéquipiers et de ses coachs qui restent tout de même conscients du travail que doit encore fournir le futur leader de l’Equipe de France.\\n\\nTrès vite comparé à Tony Parker, également vainqueur et MVP du championnat d’Europe U18 2000 à 18 ans, Ntilikina n’a pas le même temps de jeu que son aîné en Pro A au même âge (13 minutes par match pour le Strasbourgeois contre 33 minutes pour TP en 2000/01). Une comparaison qui fruste un peu Vincent Collet à cause des grandes différences présentes entre les deux joueurs qui n’ont pas vraiment le même profil, Tony Parker étant plus rapide mais plus petit que son cadet (1,88m).\\n\\n\\nRussell Westbrook comme modèle\\n\\nRomeo Travis, intérieur de la SIG qui a notamment été le coéquipier de LeBron James lorsque les deux hommes étaient en high school à Akron, voit en Ntilikina un grand potentiel auquel il ne manque plus qu’un peu de confiance.\\n\\n« Il a tout: il est grand, il est athlétique, il sait manier le ballon et il sait shooter. J’essaye donc juste de lui donner ce coup de pied, cette confiance qui lui permettra de devenir qui il veut. »\\n\\nLe finaliste du dernier concours des meneurs du All Star Game LNB 2016, a avoué se concentrer sur les vidéos de Russel Westbrook.\\n\\n« Il me montre où je dois progresser: mon agressivité vers le cercle et mon énergie. »\\n\\nUne agressivité que le joueur de Vincent Collet avait notamment mise à l’oeuvre le 29 novembre dernier face à Mornar où il avait dunké dans le trafic en fin de premier quart temps.\\n\\nCette saison en Pro A, Frank Ntilikina compile en moyenne 3,5 points, 1,3 rebond et 0,5 passe décisive pour une évaluation de 3,5. Egalement engagé sur la scène européenne avec la SIG, le meneur de 18 ans tourne en moyenne à 8 points, 1,2 rebond et 2,2 assists en un peu plus de 17 minutes de jeu en Champions League.\\n\\nArticle du New York Times à retrouver en intégralité ici.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Gravelines, seule équipe française sortie de la Coupe d’Europe ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le BCM Gravelines sera t-elle la seule équipe française éliminée à ce stade de la compétition en Coupe d’Europe ? C’est probable.\\n\\nAlors que Strasbourg –sauf tremblement de terre- va accéder aux seizièmes de finale de la FIBA Champions League et Le Mans, Monaco et Villeurbanne peut-être même directement aux huitièmes en terminant premiers de leur poule respective, tout va bien dans le second tour de la FIBA Europe Cup pour Chalon (3 victoires en 3 matches dans le groupe K), Nanterre (3-0, groupe N) et à un degré moindre Pau (2-1, groupe O).\\n\\nA l’inverse, les Nordistes ont subi hier soir leur troisième revers en trois journées face aux Turcs de Demir Insat, une équipe lambda du championnat turc (6 victoires pour 7 défaites).\\n\\nDeux matches décisifs en championnat\\n\\nLe BCM avait pourtant réalisé un petit exploit en gommant un débours de cinq points en une minute pour arracher la prolongation. C’est leur sang-froid et leurs paniers primés au buzzer qui ont permis aux Turcs de s’imposer, 90-85. Côté gravelinois, ce sont Justin Cobbs (19 points, 6 rebonds, 7 passes) et Sek Henry (16 points, 5 passes) qui ont été les plus rentables.\\n\\n« Comptablement ça va être difficile même pour aller chercher la meilleure deuxième place. Ça voudrait dire que l’on doit gagner nos trois prochains matchs avec un point-average très intéressant », reconnait le coach Christian Monschau sur le site du club. « On a pris de l’avance dans le match de ce soir mais elle n’était pas suffisante. En défense on ne tient pas les fins de possession. Ils ont mis des shoots difficiles en reculant. On perd trop de ballons en deuxième mi-temps aussi. Il y a beaucoup de bonnes choses sur ce match surtout défensivement. Il faut poursuivre dans ce sens. Il y a beaucoup de déception de perdre ce match. »\\n\\nLe BCM va avoir dix jours pour s’en remettre. Il devra ensuite cravacher lors du derby contre Le Portel puis une semaine plus tard au Mans s’il veut accrocher un spot à la Leaders Cup. Sinon l’ultime saison de Christian Moschau au club pourrait se solder par une amère déception. De multiples ajustements en cours de saison, comme c’est le cas au BCM depuis trois mois, ne sont jamais un signe de bonne santé et de sérénité."
}, 
{"role": "user",     "content":"Quand Heiko Schaffartzik parle musique, cinéma, littérature et... basket"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’histoire d’amour entre Nanterre 92 et l’Europe qui a démarré en 2013 avec l’Euroleague, et qui a été récompensée avec la victoire en EuroChallenge, se poursuit dans l’anonyme Fiba Europe Cup. Les garçons de Pascal Donnadieu en sont à un parfait 9/9. Hier soir, ils ont vaincu les Biélorusses de Tsmoki-Minsk, 94-85. Heiko Schaffartzik a contribué à cette victoire avec 9 points dont 2 paniers à trois-points.\\n\\nIl y a quelques jours, nous vous parlions de l’Allemand, vainqueur du concours à trois-points du All-Star Game, de sa capacité à s’exprimer en français après un an et demi dans notre pays et de son adaptabilité. Nanterre 92 vient de mettre en ligne une vidéo pleine de punch et d’images d’archives qui permet de mieux connaître Heiko et de confirmer que ses centres d’intérêts ne se limitent pas au basket.\\n\\nIl y indique avoir appris l’anglais enfant lors du séjour familial à San Diego et de retour à Berlin il a fréquenté une école bilingue. C’est un touche-à-tout du sport : basket, foot, baseball, hockey, il a tout essayé...\\n\\n\\nRap, Beatles et Opéra\\n\\nLa musique est aussi chez lui une passion. Il joue de la guitare, du piano, il aime le rap, la hip-hop allemand et américain et tout autant les Beatles, les Rolling Stones, Bruce Springsteen, Creedence Clearwater Revival, Whitney Houston, Michael Jackson, l’opéra. Il adore aussi la littérature et parler cinéma avec ses équipiers Chris Warren et Mykal Riley.\\n\\n« Ça me plait de travailler très dur, » dit-il. « Je ne sais pas pourquoi. Je sais que mon père travaille très dur, ma mère travaille très dur. Tout le monde dans ma famille fait quelque chose qui lui plait. C’est plus facile de travailler dur si on le fait dans un métier que l’on aime. Moi, c’est le basket »\\n\\nA propos de basket, voici ce qu’il dit des deux championnats qu’il a fréquentés :\\n\\n« La plus grande différence entre la Bundesliga et la Pro A c’est que les joueurs sont plus athlétiques en France et le jeu est plus organisé en Allemagne. Les Français ont des rôles très importants dans les équipes, ce sont des go to guy alors qu’en Allemagne ce n’est pas comme ça dans beaucoup d’équipes. »\\n\\nUn vrai régal ce portrait de ce shooteur fou à la tête bien faite."
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : l’ASVEL prend la tête du groupe C"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vainqueur à l’Astroballe face au PAOK Salonique sur le score de 70-56, les Villeurbannais enregistrent une 9e victoire en Champions League après cette 11e journée.\\n\\nMenés comme souvent par l’inévitable DeMarcus Nelson qui a compilé 15 points, 9 rebonds et 2 assists (20 d’évaluation), les joueurs de J.D. Jackson prennent, seuls, la tête du groupe C (9v-2d) en volant ainsi la vedette au Neptunas Klaipeda qui s’est incliné face à Oldenbourg (73-69).\\n\\nA noter la grosse performance de Kleith Canton (PAOK) qui a capté 19 rebonds (!) en plus d’avoir inscrit 11 points (22 d’éval). La boxscore est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nLogiquement élu MVP de la rencontre, DeMarcus Nelson est revenu sur cette victoire en conférence de presse.\\n\\n« Le Paok est une équipe très physique, vraiment, ce ne fût pas un match facile du tout pour nous. On a eu une faible adresse aux tirs, on a raté beaucoup de lancers-francs, mais la clé, c’est qu’ils n’ont fait que 8 passes décisives, pour 18 balles perdues. C’est le signe que notre défense est en place ! Parfois, après Noël, c’est facile de faire un non-match, mais on a répondu présent, on a su être très agressif. Ce n’est pas le plus beau match de notre part, on aurait pu faire mieux, mais on a réussi ce que l’on voulait faire. »\\n\\nLe technicien villeurbannais J.D. Jackson s’est également exprimé sur cette belle performance.\\n\\n« Après la trêve de Noël, on est toujours inquiet que l’équipe perde le rythme, mais ce n’était pas le cas même si parfois, c’était assez brouillon. On a été intense, on a joué avec beaucoup d’envie. Vraiment, je suis très content de cette victoire, même si nous sommes tous conscients que l’on devra jouer avec davantage de contrôle dans le futur. Et puis, l’autre bonne chose, c’est la défaite de Neptunas, on a su profiter de la situation. »\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Le Mans vainqueur en Roumanie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En déplacement à Oradea, en Roumanie, à l’occasion de la 11e journée de Champions League, le MSB rentre dans la Sarthe avec la victoire après s’être imposé 79-60.\\n\\nAprès avoir remporté trois quarts temps sur quatre dont le dernier 28 à 12, Le Mans enregistre une huitième victoire dans la compétition et garde donc la tête du groupe B (8v-3d). Avec 11 points, 9 rebonds et 2 passes décisives (20 d’évaluation), Petr Cornelie termine MVP du match. La boxscore est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nAprès la rencontre, Erman Kunter, le technicien manceau est revenu sur ce résultat.\\n\\n« C’était important pour nous de l’emporter après ce court break. C’est toujours difficile de justement se remettre dans le vif du sujet après ce genre de coupure mais tout le monde était impliqué et nous avons bien attaqué la rencontre. Même avec Hanlan encore un peu malade nous avons fait du bon boulot. Nous savions que ça allait être compliqué mais nous nous sommes rendus la tâche un peu plus facile en les stoppant. Nous allons essayer de garder cette première place et d’y rester jusqu’à la fin de la phase de groupes même si nous avons des gros matchs en approche. »\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Roko Ukic (AEK Athènes) bousculé par un tifoso"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On se serait crû revenu quarante ou cinquante ans en arrière quand des spectateurs souvent éméchés, énervés et tout près des joueurs dans des salles exigües leur cherchaient des noises.\\n\\nCela s’est passé lors du match de FIBA Champions League entre le Dinamo Sassari et l’AEK Athènes et cela n’a pas échappé à l’œil du site Sportando.\\n\\nDans les dernières secondes du match, un tifoso du premier rang (un VIP ?) pousse dans le dos le Croate Roko Ukic qui est sorti du terrain en tentant de sauver un ballon. Un attroupement s’en est suivi dans une atmosphère électrique. Les carabiniers ont repéré le coupable qui a été expulsé. Il n’a pas pu voir son équipe gagner, 80-78.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=iF6gnw3l5q4"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 5 janvier 2017"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nBasket : les réactions après Pau – Féhervar\\n\\n– Ce mercredi soir, les Palois ont battu les Hongrois de l’Alba Féhervar (89-63) au Palais des sports.\\nAvec cette deuxième victoire pour boucler la phase aller, l’Elan a pris la tête du Groupe O... Lire la suite.\\n\\n\\nVincent Collet : « Il faut faire encore plus »\\n\\n– ◗ VINCENT COLLET, entraîneur de la SIG. – « Globalement, c’est très encourageant. C’était un match de très haut niveau et je crois que le public a... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLacombe en trombe\\n\\n– Meilleure évaluation de la rencontre entre la SIG et Tenerife, Paul Lacombe a démarré l’année sur les chapeaux de roue. Forcément déçu par le verdict... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n2017 ne pouvait pas mieux débuter\\n\\n– Victorieuse avec autorité du PAOK Salonique, l’Asvel a profité de la défaite de Kleipeda pour s’emparer de la première place de son groupe... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne fin de match électrique\\n\\n– Toujours aussi intense des deux côtés du terrain, l’Elan a réalisé une superbe opération en dominant Gaziantep (102-83), remonté comme des pendules... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe Pays Mélusin, leader sur ses gardes\\n\\n– Invaincu depuis le début de la saison (8 victoires) en régionale 2, les Mélusins filent tout droit vers l’élite régionale. À condition de rester concentré et de ne pas se disperser car il ... Lire la suite.\\n\\n\\nL’ADA jouera sans complexe\\n\\n– Pour le troisième tour de la Coupe de France, les jeunes Blésois se frotteront à Cholet. Ce qui se fait de mieux au niveau national. Un sacré challenge... Lire la suite.\\n\\n\\nFIBA Europe Cup : sous le regard de Jomby, le BCM (presque) éliminé\\n\\n– Il est de retour. Déjà Nordiste (2010-12), Rudy Jomby (1,96m, 28ans) s’est engagé, ce mercredi, jusqu’à la fin de la saison avec le BCM. L’ailier sort d’une pige à Blois (ProB). Et il a suivi... Lire la suite.\\n\\n\\nNord Sundgau : marquer les esprits\\n\\n– En tête de Prénationale avec huit victoires en neuf matches, les joueuses de Nord Sundgau peuvent frapper un grand coup et mettre la pression sur... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nVincent Collet : « C’est très encourageant »\\n\\n– Bien que battus sur le gong par les Espagnols de Tenerife mardi au Rhénus, au terme d’un énorme combat lors de la rencontre au sommet du groupe D de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa trêve est finie\\n\\n– Tout le monde ne reprendra pas le week-end prochain, ainsi les formations de ProA et ProB, de même aucune équipe bigourdane ne participera, ce week-end, aux 32es de finale du... Lire la suite.\\n\\n\\nLe TGB se remet dans le rythme avant Basket Landes\\n\\n– On les avait laissées partir en vacances au soir d’une victoire en terre lyonnaise, puis retrouvées en milieu de semaine dernière, sur le parquet de Laubadère, pour une reprise avec le ... Lire la suite.\\n\\n\\nLes rebonds de Laloubère\\n\\n– à la trêve, l’UAL basket se porte bien ! La trêve hivernale a été l’occasion de faire le point sur la santé de l’UAL basket avec son président Michel Agon. Un premier bilan satisfaisant ... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Kim Tillie se signale face au Real"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Seize joueurs pour neuf pays, le contingent tricolore a bien regonflé ses troupes pendant l’intersaison. De la Lituanie à l’Espagne, de l’Allemagne à la Grèce en passant par la Russie et la Chine (!), Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n\\nKim Tillie, l’homme de l’ombre brille face au Real\\n\\nIl est souvent oublié dans la rotation grand luxe de Vitoria, mais Kim Tillie est un de ces joueurs qui peut produire quand on lui en donne l’occasion, tout simplement. Face au Real Madrid, l’ailier fort international a réalisé un match solide à 14 points et le Baskonia a confirmé face à l’armada madrilène qu’il faudra bel et bien compter sur eux, à la fois en Espagne, mais également sur la scène continentale en Euroleague.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=zl5_2Vzvm5E\\n\\nDe son côté, en Chine, Guerschon Yabusele et son coéquipier Jimmer Fredette (élu pour le deuxième mois d’affilée, joueur du mois en Asie) ont dû s’incliner dans le duel au sommet face au Tigers de Guangdong de Carlos Boozer et Donald Sloan. L’intérieur tricolore (28 points, 10 rebonds) a lutté à armes égales face à l’ancien All Star NBA (22 points, 10 rebonds) mais son équipe de Shanghaï a dû baisser pavillon.\\n\\n\\nThomas Heurtel meilleur marqueur face au Fener... mais défait !\\n\\nEn Allemagne, tout roule pour Fabien Causeur qui nous a lâché un match de patron à 16 points et 7 rebonds dans un nouveau succès de Bamberg. Dans le même registre, Angelo Tsagarakis (14 points, 7 rebonds) a été un élément essentiel dans la victoire de Trikala. Par contre, Amath M’Baye (18 points) n’a pas eu la même réussite, s’inclinant face à Capo d’Orlando... Alpha Kaba (18 points, 11 rebonds) a également réussi un très bon double double mais son équipe du Mega a encore perdu.\\n\\nFinalement, saluons le retour de Nando De Colo (19 points dont 12/12 aux lancers) qui a fait admirer sa force de percussion et sa régularité derrière la ligne de réparation pour le CSKA. En Turquie, Adrien Moerman a été sobre mais solide dans la victoire de son club face à un rival d’Euroleague, Galatasaray alors que Thomas Heurtel (20 points) a fini meilleur marqueur du duel au sommet (et tendu) entre l’Efes et le Fenerbahce.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=-0Q3cPQtcnk&t=8s\\n\\n\\nAllemagne\\n\\nFabien Causeur (Bamberg) : 16 points (6/10 aux tirs), 7 rebonds, 3 passes, 1 interception et 3 balles perdues en 29 minutes (victoire 92-88 face à Bayreuth)\\n\\n\\nChine\\n\\nGuerschon Yabusele (Shanghaï) : 28 points (8/17 aux tirs), 10 rebonds, 2 passes, 2 interceptions, 1 contre en 34 minutes (défaite 116-107 face à Dongguan)\\n\\n\\nEspagne\\n\\nEdwin Jackson (Estudiantes) : 16 points (7/13 aux tirs), 2 rebonds, 3 passes et 3 balles perdues en 24 minutes (défaite 100-91 face à Murcie)\\n\\nKim Tillie (Vitoria) : 14 points (5/8 aux tirs), 4 rebonds, 1 interception en 18 minutes (victoire 77-62 face au Real Madrid)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 12 points (4/6 aux tirs), 6 passes, 2 rebonds, 1 interception en 27 minutes (défaite 89-72 face à Tenerife)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : 5 points (2/6 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 2 interceptions en 16 minutes (victoire 100-55 face à Manresa)\\n\\nAli Traore (Estudiantes) : 4 points (1/2 aux tirs), 2 rebonds en 8 minutes (défaite 100-91 face à Murcie)\\n\\nRodrigue Beaubois (Vitoria) : 0 point (0/2 aux tirs), 2 passes en 11 minutes (victoire 77-62 face au Real Madrid)\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAngelo Tsagarakis (Trikala) : 14 points (5/9 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe en 34 minutes (victoire 80-72 face à Lefkadas)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Brindisi) : 18 points (6/13 aux tirs), 5 passes, 3 rebonds, 1 interception et 4 balles perdues en 33 minutes (défaite 86-82 face à Capo d’Orlando)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLeo Westermann (Kaunas) : 7 points (3/6 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds, 2 interceptions en 18 minutes (victoire 89-62 face à Kedainiai)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA) : 19 points (3/6 aux tirs, et 12/12 aux lancers), 6 rebonds, 3 interceptions, 2 passes et 3 balles perdues en 22 minutes (victoire 85-63 face à Enisey)\\n\\nNobel Boungou-Colo (Khimki) : 3 points (0/2 aux tirs), 1 rebond, 1 interception en 17 minutes (victoire 84-77 face à Kalev)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAlpha Kaba (Mega Leks) : 18 points (7/16 aux tirs), 11 rebonds, 3 interceptions, 2 passes, 1 contre en 25 minutes (défaite 88-80 face à Buducnost)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nThomas Heurtel (Efes Istanbul) : 20 points (7/10 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes en 22 minutes (défaite 81-75 face à Fenerbahce)\\n\\nAdrien Moerman (Darussafaka Istanbul) : 13 points (5/11 aux tirs), 5 rebonds, 4 passes en 34 minutes (victoire 87-72 face à Galatasaray)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Fabien Causeur en grande forme"
}, 
{"role": "user",     "content":"Terrell Everett à la découverte de la Suisse"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Figure de la Pro A qu’il a fréquenté à plusieurs reprises entre 2006 et 2013, Terrell Everett (1,93 m, 32 ans) vient de s’engager avec le club des Lugano Tigers. Le fantasque meneur de jeu jouera en première division suisse pour la première fois de sa carrière.\\n\\nSans club en ce début de saison 2016/17, l’Américain évoluait l’année dernière en Allemagne où il compilait 9,9 points, 2,6 rebonds et 3,9 passes en 27 matchs avec le BC Goettingen en BBL (la première division allemande).\\n\\n\\nProfessionnel depuis 2006, le natif de Charleston en Caroline du Sud en a vu du pays en 11 ans. Passé par la République Tchèque, la D-League américaine, la Grèce, la Croatie, la Roumanie et aussi l’Ukraine, l’ancien étudiant de l’Université d’Oklahoma (NCAA I) a également connu plusieurs clubs en France.\\n\\n\\nAu top pour sa première apparition en France sous le maillot de Chalon-sur-Saône en 2006/07 (11,6 points à 46,4%, 5,1 rebonds, 5,2 passes décisives pour 14,8 d’évaluation en 32 minutes sur 34 matchs de saison régulière, 26,7 d’évaluation en playoffs ), il avait ensuite rejoint Dijon, en cours de saison 2007/08 (9,9 d’évaluation en 22 matchs) avant de retrouver Gregor Beugnot à l’Élan en 2009/10 (12,5 d’évaluation en 17 matchs) après un bref passage au sein du Hyères-Toulon Var Basket (7,7 d’évaluation en 6 matchs) puis de connaitre une courte expérience à Cholet en 2012/13 (9,9 d’évaluation en 14 matchs).\\n\\nEn 93 matchs de saison régulière Pro A, l’ancien All Star 06 a tourné à 10,6 points à 42,7%, 3,7 rebonds, 4,6 passes décisives pour 12 d’évaluation en 28 minutes de temps de jeu.\\n\\nPhoto : BEKO BBL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tout juste naturalisé français, Slobodan Ocokoljic déclare son amour à la France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Joueur du Golbey Epinal Thaon Vosges, une formation de Nationale 1 cette saison, Slobodan Ocokoljic (2,04 m, 37 ans le 15 janvier prochain) a été naturalisé en fin d’année 2016. Désormais Franco-Serbe, l’intérieur du GET Vosges ne cache pas son émotion d’avoir obtenu la nationalité française et se livre à cœur ouvert dans les colonnes de Vosges Matin.\\n\\n\\n« Être Français représente, pour moi, la grandeur de ce pays par sa capacité à accueillir beaucoup de monde. C’est le sens de son histoire. Cela me procure le sentiment d’être le bienvenu. Si tu fais les choses bien en France, tu peux attendre la même chose en retour. C’est encore plus vrai dans le sport. C’est aussi une fierté et une grande émotion quand mes coéquipiers du GET Vosges m’ont accueilli en m’appelant Frenchy ou compatriote. Ici, je me sens Français. Nos cultures sont assez proches, l’amitié entre les deux pays est historique. Petit j’ai entendu beaucoup de belles choses sur la France et un des plus beaux monuments de Belgrade est un hommage à ce pays. »\\n\\n\\nFigure des divisions nationales françaises (Cognac, Avignon, La Roche, Sorgues, Rueil, Caen), le Gétiste qui parle un français quasi parfait se plait dans l’Est de la France. A la suite de sa carrière sportive, il se verrait bien rester dans le coin :\\n\\n\\n« Quelque part, je suis un citoyen du monde mais je passe mes diplômes d’entraîneur et je me verrai bien vivre ici après ma carrière. Je me sens comme chez moi. »\\n\\n\\nPas de doute, homme au grand cœur, Slobodan Ocokoljic est chez lui ici en France.\\n\\nPhoto : GET Vosges"
}, 
{"role": "user",     "content":"Lucky Jones (ex HTV) rebondit en Grèce"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tout juste parti de Hyères-Toulon, Lucky Jones (1,99 m, 23 ans) a déjà un nouvel employeur. Selon l’agent de joueur Christos Lazarou, l’Américain s’engage avec le club de Promitheas. actuel neuvième de la première division grecque. Ce sera sa première expérience dans ce pays.\\n\\n\\n\\n\\nLucky Jones comes to Greece joining the ambitious project of @promitheasbc! Congrats @Loaded_Luck22 @ejkusnyer @WorldwideSM @TangramSports\\n\\n\\n— Christos Lazarou (@ChristosLazarou) 4 janvier 2017\\n\\nNon conservé par les dirigeants du HTV, l’ailier valait 5,8 points, 4,2 rebonds et 1,4 passe pour 8,2 d’évaluation en 21,3 minutes de temps de jeu sur 11 matchs de Pro A avant de se blesser au genou début décembre et d’être out pour plusieurs semaines."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vitré (NM1) :  Ivan Miskovic fait son retour"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Formation de Nationale 1, l’Aurore Vitré Basket se renforce. D’après un article d’Ouest France, relayé sur la page Facebook du club, l’intérieur serbe Ivan Miskovic (2,03 m, 32 ans) arrive en Bretagne.\\n\\n\\nVisage connu de la salle de la Poultière la saison dernière où il avait officiait avec succès durant la deuxième partie de saison, le natif de Belgrade, qui était sans club en ce début d’exercice 2016/17, fait donc son retour en Ille et vilaine.\\n\\nAperçu de janvier à mai, l’ancien pensionnaire d’Alaska Fairbanks (NCAAII) avait été un élément précieux du miraculeux maintien vitréen en 2015/16. En 20 matchs joués, il avait tourné à 8 points à 52,4% de réussite aux tirs et 6,7 rebonds de moyenne en 20 minutes de temps de jeu.\\n\\nAvec 4 joueurs étrangers au sein de son effectif (Knezevic, Pejovic, Radulovic et donc Miskovic) l’entraineur Zoran Durdevic devra donc pianoter dans son effectif à chaque match puisque le règlement n’autorise que trois étrangers en troisième division française.\\n\\n\\nVitré est actuellement dixième de la NM1 avec un bilan équilibré de 8 victoires pour 8 défaites.\\n\\nPhoto : Aurore Vitré Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Pat Calathes quitte le Panathinaïkos pour Cantu"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En quête de temps de jeu, Pat Calathes quitte la Grèce et rejoint l’Italie où il est tombé d’accord avec Cantu pour un contrat les liant jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nCette saison en première division grecque, le frère de Nick Calathes compilait en moyenne 2,6 points, 2,7 rebonds et 0,5 passe décisive en un petit peu plus de 9 minutes de jeu. Mais en Euroleague, l’ancien joueur du Maccabi Haifa n’a pas été utilisé une seule fois.\\n\\nA Cantu, il va connaître sa première expérience en Italie.\\n\\n\\n\\n\\nWelcome @PatCalathes⚪️🔵🔥#FedeliAllaReginahttps://t.co/wZ2j1E2EFl pic.twitter.com/O9x7MPQxuf\\n\\n\\n— Pallacanestro Cantù (@PallCantu) 4 janvier 2017\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans : Premier contrat professionnel pour Earvine Bassoumba"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un joli cadeau d’anniversaire. À quelques jours de ses 21 ans (il est né le 27 janvier 1996), le jeune pivot Earvine Bassoumba (2,05 m) vient de signer son premier contrat professionnel.\\n\\n\\nLe Mans Sarthe Basket vient d’annoncer sur sa page Facebook que le Congolais originaire de Brazzaville intègre pleinement le groupe pro en ce début d’année 2017.\\n\\n\\nArrivé au centre de formation du MSB lors de l’été 2012, après être passé par Villemomble SB, en Seine-Saint-Denis, l’intérieur a depuis gravi les échelons petit à petit au point de devenir l’un des joueurs majeurs du championnat Espoir. Cette saison, il compile 13,5 points à 51,7% de réussite aux tirs, 9,3 rebonds et 2 passes pour 17 d’évaluation en 29 minutes sur 15 matchs au sein des jeunes pousses de l’effectif manceau.\\n\\nAprès Antoine Wallez, Petr Cornélie, Youssoupha Fall et Jonathan Jeanne, le MSB précise qu’Earvine Bassoumba est le cinquième joueur issu de son centre de formation à bénéficier d’un contrat professionnel depuis le 1er juillet 2015.\\n\\nPhoto : MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Un Letton débarque à Nantes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"À la recherche d’un nouveau joueur pour remplacer Joey Shaw non conservé, l’Hermine de Nantes Atlantique vient de dénicher son remplaçant.\\n\\n\\nÀ travers un communiqué, les dirigeants nantais annoncent la signature du Letton Rihards Kuksiks (1,97 m, 28 ans). Le natif de Riga, jouait chez lui, en Lettonie en cette première partie d’exercice 2016/17.\\n\\nSous les couleurs de Ventspils, le poste 3/4 valait 12 points, 3 rebonds et 1,4 passe pour 12,8 d’évaluation en 19 minutes sur 8 matchs de championnat letton. Il s’était notamment distingué le 19 novembre dernier lors de la solide victoire de son équipe contre Latvijas Universitate (100-64) avec une jolie ligne de statistique (21 points, 5 rebonds et 2 passes pour 28 d’évaluation en 22 minutes).\\nVu également en Coupe d’Europe en Basketball Champions League, il avait affronté le club français de Lyon-Villeurbanne au mois de novembre dernier. Auteur de 5 points en 14 minutes, son équipe s’était inclinée 83-68 face aux Villeurbannais.\\n\\n\\nFormé à Arizona State entre 2007 et 2011, le Letton a derrière lui une solide carrière avec des expériences en Espagne (Valence, Lagun Oro), en Ukraine (Budivelnyk) , Russie (BC Nizhny Novgorod, Saratov), Roumanie (Pitesti) et Italie (Varese).\\n\\n\\nInternational letton, Rihards Kuksiks arrivera à Nantes cette semaine et pourrait être qualifié pour le match de reprise à Poitiers le 14 janvier prochain.\\n\\n« Je suis satisfait d’accueillir Rihards KUKSIKS annonce l’entraineur nantais Franck Collineau. Son profil universitaire est élogieux, il est passé par la Florida Air Academy (USA) puis Arizona ST (NCAA) où il a croisé un certain James Harden. Rihards est un joueur polyvalent capable d’évoluer sur les postes 3 et 4. Il a eu le meilleur pourcentage à 3 points avec Varèse la saison passée. Il devrait nous apporter, je l’espère, une alternative dans le jeu au large et participer ainsi à écarter les défenses adverses. J’ai recruté ce joueur pour ses qualités de lecture de jeu, il joue très juste. Pour les plus fervents supporters de l’Hermine, il me fait penser à Olivier Bardet.\\nAprès 13 journées, nous pointons à la 4ème place du championnat, c’est satisfaisant et nous sommes au temps de passage par rapport aux objectifs fixés. Ce championnat s’annonce encore long et difficile, la seconde période sera très dense. Il me semblait donc nécessaire de recruter un joueur supplémentaire pour remplacer Joe Shaw et d’exister sur la durée. Il va falloir l’intégrer rapidement et se préparer pour jouer les 4 gros matches qui nous attendent avant la fin de la phase aller. »\\n\\nPhoto :OlyBet Latvijas Basketbola Liga"
}, 
{"role": "user",     "content":"Roger Esteller : « L’anglais de Fred Fauthoux est son seul obstacle pour entraîner à l’étranger »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En septembre 2000 débarque à Pau-Orthez l’international espagnol Roger Esteller, alias El Tigre de Sants, un ailier pas très grand (1,91m) mais à la fois hyper puissant (101 kgs) et rapide. Avec l’Elan Béarnais de Boris Diaw et des frères Piétrus, il sera champion de France la première année et MVP étranger la seconde. BasketEurope l’a retrouvé et après une première partie consacrée à son arrivée en France et sa reconversion, on revient aujourd’hui sur le niveau de la Pro A, son bilan en sélection ou encore sur la guerre entre la FIBA et l’Euroleague.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nFreddy Fauthoux est entrain de réaliser une très bonne première vraie saison de coach avec Paris-Levallois. Que pensez-vous de son parcours, mais aussi de son avenir ?  Fred était déjà coach quand il jouait (rires). Tout le temps, il était en train de diriger, de dire ce qu’on devait faire. Je ne suis pas surpris par son parcours parce qu’il est super-intelligent. C’était un joueur qui avait un instinct de tueur. Il voyait des choses que tous les autres joueurs ne voyaient pas. Et avec son physique standard il faisait quand même des choses incroyables. Il n’était pas grand, il n’allait pas vite mais il pouvait shooter, il avait le timing mental. Quand tu as le timing mental, tu peux bien sûr jouer mais tu peux aussi entraîner. Je pense qu’il entraîne comme il jouait mais avec un costume au lieu d’un maillot. Ça ne me surprend pas, ça va être un super entraîneur, il va avoir beaucoup de succès peu importe où il sera.\\n\\nPensez-vous qu’il puisse coacher à l’étranger ?\\n\\nIl peut bien sûr. Ce qui me fait un peu peur c’est son anglais (rires). Je ne sais pas s’il a amélioré son anglais mais je pense que c’est la seule chose qui peut être un obstacle pour entraîner à l’étranger parce qu’il a du talent.\\n\\nQue pensez-vous en général des coaches français, et de leur absence dans les championnats étrangers ?\\n\\nVincent Collet est un super entraîneur, il était au Mans quand j’étais en France et je pense qu’il a bien sûr le talent pour aller découvrir d’autres ligues européennes. Pour Fred il a le talent aussi mais j’espère que son anglais est meilleur que quand il était joueur (rires). Il y a de très bons entraîneurs en France, en Pro A, mais il y a un peut être une limite mentale.\\n\\n« A la télé les audiences ne sont pas bonnes. »\\n\\nQuelles différences voyez-vous entre l’ACB et la Pro A de votre époque et aujourd’hui ?\\n\\nJe pense que quand j’étais joueur en 2000, il y avait sept ou huit équipes en Pro A qui pouvaient jouer contre des équipes espagnoles, tranquillement. A l’époque quand on parlait de Coupe Korac et qu’il y avait des matchs entre des équipes françaises et espagnoles c’était les Français qui gagnaient. La différence à l’époque c’est qu’en Espagne, le dernier du classement pouvait gagner le premier quelle que soit l’équipe. Et c’était dur de gagner toutes les équipes en Espagne parce que toutes les équipes étaient en forme. En France ça c’était impossible, je pense qu’il y avait un très bon niveau de huit équipes et pour le reste du classement c’était vraiment trop, trop, trop facile de gagner et je crois que c’était le problème du championnat. Aujourd’hui, c’est dommage qu’il n’y a pas d’équipe comme Pau, l’ASVEL ou Limoges en Euroleague et je pense que ça doit changer parce que le basket français a été hyper important sur la scène internationale et au niveau des clubs. Après si on parle de l’ACB on peut voir que les dernières années c’était le Barça ou Madrid –plus Madrid maintenant- et je crois que ça fait mal au championnat ainsi qu’aux afficionados. A la télé les audiences ne sont pas bonnes. Je pense que ce serait bien pour le championnat que des équipes comme Valence, Vitoria ou encore l’Estudiantes –même s’ils sont moins bons en ce moment- gagnent parce que de voir toujours Barça ou Madrid ça m’ennuie un petit peu.\\n\\n« Dans trois ou quatre ans, je pense que ce sera pire pour intégrer l’Euroleague »\\n\\nUn mot sur la guerre entre l’Euroleague et la FIBA ? Il s’est passé exactement la même chose quand je jouais. J’ai joué la SuproLeague une année et l’année d’après j’ai joué en Euroleague. Maintenant, à mon avis je pense que menacer des clubs ou des équipes nationales, parce que les clubs ne veulent pas évoluer en compétitions FIBA, ce n’est pas bon. Par contre cette Euroleague à 16 équipes, ok ça donne des matchs plus intéressants mais je pense que ça laisse dehors des pays comme la France qui n’est représentée par aucune équipe en Euroleague. Par contre, si on se projette dans trois ou quatre ans, je pense que ce sera pire pour intégrer l’Euroleague parce que je pense que pour un pays qui n’est plus en Euroleague, ce sera encore plus dur d’y remettre les pieds. Et je trouve que l’Europe c’est global et il faut se rendre compte que c’est important d’inclure tout le monde.\\n\\nParlons un peu de l’équipe nationale. Votre participation à l’Euro de 99 en France est la seule grande compétition que vous ayez faite. Un souvenir de l’ambiance au Palais des sports de Pau pour le France-Espagne (il avait joué 14 minutes et marqué 2 points. La France avait gagné 74-57 mais l’Espagne avait pris sa revanche à Paris en demi-finale) ?\\n\\nJe me souviens que l’on a joué à Pau, mais pas de ce match en particulier. Mais je me souviens que l’on avait démarré ce championnat d’Europe en jouant très mal, on n’était pas loin de se faire éliminer. Quand on est arrivé en quart de finale tout a changé. On a gagné la Lituanie. On était 4e de la poule et on s’est retrouvé avec le premier de l’autre poule (ndlr : déjà à l’époque !) donc la Lituanie de Sabonis qu’on a battue alors qu’ils avaient une superbe équipe. Ensuite en demi-finale on se retrouve contre la France. Je crois que les Français ont peut-être eu trop de pression et l’équipe a explosé parce que honnêtement je pense qu’ils étaient meilleurs que nous. Et puis en finale on perd contre la super équipe d’Italie qui avait battu la Yougoslavie en demi.\\n\\n« Je pense qu’il y a des moments pour aller en équipe nationale et pour se reposer et je devais me reposer »\\n\\nPourquoi n’avez-vous plus joué ensuite après 1999 ?\\n\\nJ’avais d’autres possibilités de me rendre en sélection mais je ne voulais plus, non pas parce que je ne voulais plus de titres mais parce que je voulais être important et ils ne m’ont pas assuré un bon temps de jeu régulier. Je voulais un gros rôle, j’étais le joueur espagnol avec les meilleures statistiques en Euroleague parce que j’étais le 6e marqueur de C1. Je les avais prévenus que je voulais faire partie des joueurs majeurs mais ils m’ont dit qu’ils n’étaient pas sûrs de pouvoir me donner ce que je voulais et c’est donc pour ça que je n’y suis plus allé. Je garde de bons souvenirs de cette campagne 99 mais je pense qu’il y a des moments pour aller en équipe nationale et pour se reposer et je devais me reposer.\\n\\nY-a-t-il toujours eu cette rivalité entre la France et l’Espagne ou s’est-elle vraiment créée avec la génération des Gasol-Navarro ?\\n\\nJe pense que ça s’est fait après parce qu’à notre époque on avait une très bonne relation avec les joueurs français. Il n’y avait pas de rivalité spéciale contre la France. Ça s’est construit avec Gasol et Navarro qui étaient plus forts que nous, bien sûr et heureusement ! C’est une génération de gagnants ! Ils ont gagné le championnat du monde en juniors... Ils ont gagné toutes les compétitions qu’ils ont jouées mais je pense que c’est une chose qui ne va pas se répéter parce que c’était une génération dorée. Cette rivalité s’est vraiment construite avec cette génération et celle de Mickaël Pietrus, de très bons joueurs français également meilleurs que les anciens.\\n\\n[armelse]\\n\\nFreddy Fauthoux est entrain de réaliser une très bonne première vraie saison de coach avec Paris-Levallois. Que pensez-vous de son parcours, mais aussi de son avenir ?  Fred était déjà coach quand il jouait (rires). Tout le temps, il était en train de diriger, de dire ce qu’on devait faire. Je ne suis pas surpris par son parcours parce qu’il est super-intelligent. C’était un joueur qui avait un instinct de tueur. Il voyait des choses que tous les autres joueurs ne voyaient pas. Et avec son physique standard il faisait quand même des choses incroyables. Il n’était pas grand, il n’allait pas vite mais il pouvait shooter, il avait le timing mental. Quand tu as le timing mental, tu peux bien sûr jouer mais tu peux aussi entraîner. Je pense qu’il entraîne comme il jouait mais avec un costume au lieu d’un maillot. Ça ne me surprend pas, ça va être un super entraîneur, il va avoir beaucoup de succès peu importe où il sera.\\n\\nPensez-vous qu’il puisse coacher à l’étranger ?\\n\\nIl peut bien sûr. Ce qui me fait un peu peur c’est son anglais (rires). Je ne sais pas s’il a amélioré son anglais mais je pense que c’est la seule chose qui peut être un obstacle pour entraîner à l’étranger parce qu’il a du talent.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nRetrouvez-ici la première partie de l’interview"
}, 
{"role": "user",     "content":"Rudy Jomby de retour à Gravelines-Dunkerque"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Désirant renforcer son effectif professionnel, le Basket Club Maritime Gravelines-Dunkerque vient de recruter un nouvel élément en ce début d’année 2017. Et ce n’est pas un inconnu qui débarque dans l’effectif maritime.\\n\\n\\nAncien joueur du BCM entre 2010 et 2012, Rudy Jomby (1,96 m, 28 ans) fait son retour au sein du club nordiste.\\n\\n\\nL’ailier français, vu en Pro B durant cette première partie de saison 2016/17, évoluait en tant que pigiste à l’ADA Blois où il compilait 7,2 points, 4,9 rebonds et 1,8 passes décisives pour 8,5 d’évaluation en 22 minutes sur 13 matchs de championnat.\\n\\n\\nPour rappel, sous les couleurs du BCM, la natif de La Roche sur Yon avait compilé 5,6 points, 3,4 rebonds et 1,2 passe pour 6,5 d’évaluation lors de l’exercice 2010/11 et 9,1 points, 4,3 rebonds et 1,4 passe pour 9,4 d’évaluation la saison suivante.\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : LaQuinton Ross rejoint Dijon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur son site, la JDA Dijon annonce aujourd’hui l’arrivée dans son effectif de LaQuinton Ross qui signe un contrat courant jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nL’année dernière entre Cantu et l’Hapoel Eliat, le natif de Jackson va connaître cette saison sa première expérience en France en Bourgogne. En Italie, il compilait en moyenne 10,9 points, 6,6 rebonds, 1,4 passe décisive pour 10,1 d’évaluation en 27 minutes avant de rejoindre l’Israël où il tournait en moyenne à 10,7 points, 6,3 rebonds pour 10,7 d’évaluation en 25 minutes.\\n\\nL’entraîneur Laurent Legname s’est exprimé sur cette arrivée et confirme que le club est toujours à la recherche d’un pivot.\\n\\n« C’est un poste 4 moderne, fuyant, qui peut jouer de face et au poste-up. Il est assez grand avec une bonne envergure. C’est un scoreur, connu pour ses stats et avec du talent. Il a fait un bon cursus à Ohio state avant de partir par la suite en Italie à Pesaro avec qui il a terminé 4ème meilleur marqueur du championnat. Passé ensuite par Cantù, il a rejoint l’Hapoel Eilat en fin de saison dernière avec qui il a resigné en début de saison. J’attends de lui qu’il mette en oeuvre ses qualités de scoreur, qu’il apporte le rendement offensif qu’il a démontré ces dernières saisons à ce poste. À côté de son arrivée, nous sommes toujours à la recherche d’un pivot bosman/cotonou. »\\n\\nPhoto : JDA Dijon"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : le Top 10 des contres du mois de décembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Voici le désormais classique Top 10 des contres du mois de décembre de l’Euroleague.\\n\\nEn numéro 1, le block de l’Américain de Galatasaray Alex Tyus (2,03m). La victime: le Serbe de Milan Miroslav Raduljica (2,13m). Détente, timing et... force!\\n\\nDans la série, Thomas Heurtel (Anadolou Efes Istanbul) fait les frais d’un contre du Mexicain du Real Madrid, Gustavo Ayon. C’était d’autant plus dommageable que le Français, après une longue traversée, s’apprêtait à égaliser au buzzer..."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague féminine : Bourges sans filet face à Hatay"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"S’il y a des joueuses qui méritent encore plus un break à Noël que d’autres, ce sont les Berruyères et leur lot d’internationales. La fin de l’année a été très pénible dans le Cher avec une série noire de cinq échecs d’affilée.\\n\\n« Ce repos de huit jours a fait du bien. On sent que les filles sont plus fraîches. Elles sont revenues avec plus de précision dans le travail, » constate la coach Valérie Garnier dans Le Berry.\\n\\nLes Tango ont une double mission. Premièrement remonter la pente en Euroleague. Elles occupent actuellement la 6e place avec 2 victoires en 6 matches. Ce soir (20h30 sur SFR Sport 2), elles reçoivent les Turques d’Hatay qui présentent exactement le même bilan. C’est donc un match sans filet.\\n\\n« À partir de maintenant, on doit aborder chaque match comme si c’était une finale. C’est ce que j’ai proposé aux filles pour la nouvelle année. Dans la situation où l’on est après nos cinq défaites consécutives, il faut qu’on gagne, un point c’est tout. »\\n\\nAu sein d’une équipe forte de sept étrangères, les deux joueuses de Hatay à cibler plus particulièrement sont les deux big women, l’Américaine Courtney Paris (1,93m, 14,0 pts et 11,2 rbds) et la Russe Marina Bas (1,94m, 17,8 pts et 6,8 rbds). De son côté, Bourges est toujours privé de son Anglaise Jo Leedham, blessée, et de son énergie communicative.\\n\\nIl sera temps ensuite de penser à la suite du programme européen : la réception de Villeneuve d’Ascq, le déplacement en Pologne, à Polkowice, et un nouveau match à domicile face aux Hongroises de Sopron. Tout sera jouable...\\n\\nEntre temps, il y aura samedi un affrontement national à Charleville-Mézières qui sera lui aussi de la plus haute importance. En pleine forme, les Flammes sont passées devant les Berruyères au classement avec une victoire d’avance. Une défaite obscurcirait la possibilité de s’approprier l’une des deux premières places de la saison régulière si importante pour les playoffs.\\n\\nPhoto : EuroLeague Women"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans : Yarou a rejoint ses coéquipiers en Roumanie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En déplacement dans l’Est de l’Europe pour affronter le CSM CSU Oradea, en Roumanie (match à 18 h 30, heure française), Le Mans sera finalement au complet pour défier l’équipe roumaine.\\n\\nBloqué en France à Roissy pour avoir oublié son passeport, le pivot béninois du Mans Mouphtaou Yarou (2,04 m, 26 ans) a pu finalement rejoindre ses coéquipiers sur place hier en fin de soirée annonce Ouest France.\\n\\n\\nLeader de son groupe de la Basketball Ligue des Champions avec 7 victoires en 10 matchs, le MSB tentera donc de consolider sa première place avec un nouveau succès face à une formation roumaine cinquième avec un bilan équilibré de 5 victoires pour 5 revers.\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eric Girard, personnalité boulonnaise de l’année 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le coach du Portel, Eric Girard a été élu personnalité boulonnaise de l’année par les lecteurs de La Semaine dans le Boulonnais. Il a obtenu 47% des suffrages et devance ainsi le kayakiste Maxime Beaumont, vice-champion olympique à Rio, 13%.\\n\\nSous sa conduite, l’ESSM Le Portel a accédé pour la première fois de son histoire à la Pro A. En 2016, Eric Girard a par ailleurs sorti un livre, « Je n’ai qu’une parole », en collaboration avec le journaliste Pierre Ballester pour raconter sa lutte contre la maladie."
}, 
{"role": "user",     "content":"Thanasis Antetokounmpo : «L’ACB est ce qui se rapproche le plus de la NBA»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Passé par la NBA chez les New York Knicks et frère de Giannis, Thanasis Antetokounmpo a rejoint cet été l’Espagne et le Morabanc Andorra.\\n\\nInterrogé sur le site officiel de la Liga Endesa, il est revenu sur sa saison en Andorre.\\n\\n« Il y a une très bonne mentalité ici. Nous sommes invaincus à domicile et c’est une grosse motivation supplémentaire. Nous progressons un peu plus chaque jour et nous donnons tout ce que nous pouvons sur le terrain.”\\n\\nParmi les meilleures ligues européennes, si ce n’est la meilleure, la Liga Endesa est clairement ce qui se rapproche le plus de la NBA pour le frère du Greek Freak.\\n\\n« L’ACB c’est incroyable parce que n’importe qui peut battre n’importe qui. La première division espagnole est ce qui se rapproche le plus de la NBA sur la façon de courir et de marquer des points. »\\n\\nCette saison en Espagne, l’international grec compile en moyenne 6,4 points, et 3,4 rebonds pour une évaluation de 5,6.\\n\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Monaco continue de régner sur le groupe A"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le cadre de la 11e journée de Champions League, l’AS Monaco se déplaçait à Nahariya en Israël. Après 40 minutes de jeu, la Roca Team s’est imposée 73-67 et conforte donc sa place de leader du groupe A avec 10 victoires pour une seule défaite.\\n\\nMeilleur joueur du match avec 14 points, 3 assists et 11 rebonds (22 d’évaluation), John Bryant s’est exprimé sur cette victoire après le match.\\n\\n« C’était un match difficile face à une belle équipe. Nous avons dû batailler face à la zone et aux rebonds offensifs en seconde mi-temps et je pense que c’est ce qui les a gardé dans le match. Je pense que nous avons fait du bon boulot dans le quatrième quart-temps en défense et dans le secteur du rebond donc je pense que c’est là que nous avons fait la différence. »\\n\\nEn accord avec son joueur, Zvezdan Mitrovic, le coach monégasque a également souligné l’importance du money time.\\n\\n« Avant le match nous nous attendions à un match compliqué, à l’image du match aller à Monaco. Je pense que nous avons pu faire la différence à la fin du match grâce à notre présence au rebond et grâce à des paniers importants. »\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : la SIG s’incline sur le fil face à Tenerife"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la 11 journée de Champions League, Strasbourg, deuxième au classement, recevait Tenerife, le leader du groupe D.\\n\\nAprès une ultime période remportée par Tenerife 31-22, les Strasbourgeois se sont finalement inclinés 75-72 sur un tir à trois points de Davin White au buzzer des 24 secondes, et à seulement deux secondes de la sirène finale ! L’Américain en était à 2 sur 10 aux tirs derrière l’arc avant ce tir...\\n\\nMeilleur Strasbourgeois, Paul Lacombe, qui a compilé 15 points, 5 rebonds et 4 passes décisives (20 d’évaluation), s’est exprimé sur cette courte défaite après la rencontre.\\n\\n« C’est frustrant parce que je crois qu’on a mené dans le match pendant 37 ou 38 minutes mais c’est une grosse équipe et on sait que les grosses équipes il faut les jouer 40 minutes. Malgré tout, honnêtement, il y a beaucoup de positif à retenir. On a compris ce soir certaines choses que l’on n’avait pas comprises face à Monaco et Chalon donc j’espère que ça nous permettra d’avancer et de nous faire grandir pour la suite de la saison. »\\n\\nMême discours pour l’entraîneur de la SIG, Vincent Collet qui aurait aimé que son équipe termine le travail quand elle en avait les moyens, même s’il retient aussi beaucoup de positif.\\n\\n« Beaucoup de déception, surtout pour les joueurs parce qu’ils ne ressortent pas du terrain avec la récompense en accord avec le travail qu’ils ont effectué mais il n’y a jamais de hasard. J’avais dit avant le match qu’il fallait vraiment que l’on soit respectueux de notre plan de jeu et ça pendant 40 minutes mais défensivement on ne l’a pas fait à la fin. Que dire quand on prend 31 points dans les 10 dernières minutes alors qu’on n’en a pris que 44 dans les 30 premières minutes. Je crois que ça résume le match mais globalement c’est un match très encourageant parce que c’était un match de haut niveau. »\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 4 janvier 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nLes Strasbourgeois ne tardent pas à faire connaissance avec la fameuse toile d’araignée espagnole et ...\\n\\n– Les Strasbourgeois ne tardent pas à faire connaissance avec la fameuse toile d’araignée espagnole et Travis, puis Jaiteh égarent tour à tour la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTerriblement cruel\\n\\n– La SIG a joué les yeux dans les yeux avec Tenerife, mais elle a été crucifiée par un panier primé de Daviin White à deux secondes du dernier buzzer... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDestination Sopron : un premier tournant dans la course aux play-off\\n\\n– 1 Qui est Sopron, l’adversaire du jour ? La dernière saison d’Euroligue (1 victoire en 14 matchs, soit leur plus mauvais bilan jamais obtenu dans cette compétition) a été particulièrement difficile à vivre pour les championnes de Hongrie, battues notamment deux fois par les Villeneuvoises (78-44 au Palacium et 50-69 chez elles). Mais cette année, l’équipe hon... Lire la suite.\\n\\n\\nLe casse-tête turc de l’Elan\\n\\n– Calées les 4 et 11 janvier, alors que la Pro A ne reprendra que le 14 à Châlons/Reims, les deux journées de Fiba Cup contre Gaziantep et à Mures... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTéléchargez gratuitement « La belle année 2016 de l’Asvel »\\n\\n– Pour l’ASVEL, l’année 2016 a été est celle d’un dix-huitième titre de champion de France remporté au bout du suspense à Strasbourg. Mais aussi la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSIG 72 Tenerife 75\\n\\n– STRASBOURG. Rhénus Sport. Mi-temps : 36-32. Les périodes : 17-16, 19-16, 14-12, 22-31. Arbitres : MM. Mazzoni (Ita), Davydov (Rus) et Madinger (Ger)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nKaysersberg limite la casse\\n\\n– Souffelweyersheim, leader de la N1, s’est logiquement imposé hier soir à Kaysersberg face à des locaux qui ont bien résisté... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nEschentzwiller à la peine\\n\\n– L’équipe de Rémy Hagenbach, qui n’a disputé que trois matches, a bien du mal à trouver le bon rythme... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBilbeau : « J’ai confiance en ce groupe »\\n\\n– Sixièmes de la poule D de NF2, les Panthères Mulhouse semblent en bonne voie pour assurer leur maintien. À condition de corriger rapidement certains... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSur un coup de dés\\n\\n– Battue pour la première fois au Rhénus en Champions League, hier, par les Espagnols de Tenerife (72-75) dans un match qu’elle a longtemps mené, la SIG... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nAmdouni prêt au combat\\n\\n– Aladin Amdouni, le nouvel entraîneur du FC Mulhouse 12e de la poule D, n’a qu’une priorité : sortir de la zone rouge au plus vite et viser le haut du... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Boulazac : Claude Bergeaud remplace Antoine Michon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Boulazac Basket Dordogne tient son nouvel entraineur. Selon une information de France Bleu Périgord, Claude Bergeaud prend place sur le banc du BBD. L’emblématique entraîneur de l’Élan Béarnais et ancien sélectionneur national remplace Antoine Michon dont le conseil d’administration souhaitait se séparer depuis plusieurs semaines suite aux résultats décevants du club boulazacois en championnat Pro B.\\n\\nReconnu comme un candidat au Top 4 avant d’attaquer l’exercice 2016/17, Boulazac est aujourd’hui quatorzième au classement avec un bilan négatif de 5 victoires pour 8 défaites.\\n\\nActeur marquant du basket français depuis 1991, Claude Bergeaud, passé également par l’ASVEL Lyon-Villeurbanne en Pro A et Bordeaux en Pro B reprend donc son costume d’entraîneur après une parenthèse de quelques mois comme consultant sur Ma Chaîne Sport.\\n\\nÉcarté par sa direction, Antoine Michon de son coté peut néanmoins être fier de son parcours à la tête du club périgourdin. Arrivé en Dordogne en 2014, le Vendéen a emmener ses joueurs par deux fois en demi-finales des playoffs.\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"A 31 ans, Tahirou Sani, l’ex-futur LeBron James, joue en Nationale 2"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vice Sports a retrouvé Tahirou Sani. Vous vous rappelez de ce nom ?\\n\\nLe natif de Bamako est arrivé en France par l’intermédiaire de Jean-Pierre Ciesielski, scout et fils de l’organisateur du Tournoi international juniors de Douai. A 14 ans et alors qu’il mesure 2,01m, il fracasse tout avec l’équipe minimes de cette ville du Nord.\\n\\nLe Mag de Basket Hebdo lui consacre alors un reportage dithyrambique et Rob Meurs, scout néerlandais qui travaille pour les San Antonio Spurs, lâche :\\n\\n« Je n’ai jamais vu ni entendu parler d’un joueur de 14 ans avec de telles qualités ! »\\n\\nTahirou Sani est un phénomène, on l’imagine lottery pick pour la draft 2004, on en fait le Lebron James d’Europe. Sa précocité est-elle fallacieuse ? Ses détracteurs estiment qu’il n’est pas né le 2 novembre 1985 comme ses papiers l’indiquent. Une radio de contrôle des os et un prélèvement dentaire ont beau le confirmer, rien ne fait taire la rumeur.\\n\\nLa côte de Tahirou Sani va commencer à fléchir en espoirs à Gravelines. Il ne domine plus ses adversaires...\\n\\n\\nC’était écrit !\\n\\nAujourd’hui, à 31 ans, le Franco-Malien joue en Nationale 2, à Bruay-la-Buissière. Que s’est-il passé entre-temps ? Vice Sports le raconte dans ce reportage au titre qui synthétise parfaitement sa mésaventure : « Fauché par la hype, l’histoire oubliée de Tahirou Sani ».\\n\\n\\n« L’histoire de Tahirou Sani semble être celle d’une bulle sportive. Celle d’un jeune adolescent africain déraciné qu’on a pris pour un futur crack un peu trop rapidement, sur la base de statistiques de championnat minimes et d’un physique en avance sur celui de ses adversaires. Un nom dans lequel on a fondé des espoirs qui se sont avérés inaccessibles. »\\n\\nQuant à Tahirou, qui n’a joué que 28 matches en Pro A et 56 en Pro B, espoir déchu pour qui la NBA est restée un mirage, il ne regrette rien et prend son échec avec philosophie :\\n\\n« Mon père est très croyant. Moi aussi. Je me suis dit, si les choses se sont passées comme ça, c’est que c’était écrit. On décide rien. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Israël : Rami Hadar rebondit à l’Hapoel Tel-Aviv"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir démissionné de ses fonctions d’entraîneur du Maccabi Tel-Aviv à la mi-décembre, le coach israélien vient d’accepter de prendre en main l’Hapoel Tel-Aviv, comme le rapporte le club sur Twitter.\\n\\nL’ancien entraîneur du Maccabi Tel-Aviv a signé un contrat courant jusqu’en 2018.\\n\\nEntraîneur professionnel depuis 1993, Rami Hadar est passé par l’Hapoel Holon (d’abord assistant puis entraîneur principal en 1993/94), l’Hapoel Migdal HaEmeq (1994/95), le Beiter Binyamina (2000-03), l’Hapoel Givatayim (2004/05), le Maccabi Ashdod (2006-08), Maccabi Be’er Ya’akov (2008-11).\\n\\nOn le retrouve ensuite au Maccabi Hod HaSharon (2011/12), puis Maccabi Haifa (2012 et 2014-16, et assistant en 2012/13), l’Hapoel Afula (2013/14) et le Maccabi Tel-Aviv (en 2016, d’abord assistant puis entraîneur principal).\\n\\n\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : distrait, Mouph Yarou a oublié ses papiers..."
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe du Mans Sarthe Basket est en route pour la Roumanie et un match de Basketball Champions league contre le club d’Oradea, demain mercredi à 18 h 30, en direct sur Canal + Sport. Seulement comme nous l’apprend Le Maine Libre, les Manceaux ont dû décoller ce midi de Roissy sans leur pivot béninois, Mouphtaou Yarou.\\n\\nCelui-ci... à oublié au Mans son indispensable titre de séjour et il est seulement muni d’une carte nationale américaine, qu’il a obtenu lorsqu’il jouait pour l’université de Villanova. Il est donc en stand by dans l’aéroport en attendant qu’on lui ramène le précieux document et de prendre un vol dans l’après-midi.\\n\\nLe quotidien manceau rappelle que le Béninois n’en est pas à sa première étourderie. Il y a deux ans, il s’était retrouvé coincé dans le TGV qui l’avait emmené jusqu’à Lille alors que l’équipe était descendue à Roissy."
}, 
{"role": "user",     "content":"Marina Maljkovic démissionne de son poste de coach de la Serbie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Marina Maljkovic, 35 ans, a démissionné de son poste de coach de l’équipe nationale féminine serbe.\\n\\n« Après de nombreuses nuits blanches et beaucoup de réflexion, je pris une décision difficile, celle de ne pas continuer à être sélectionneur. La seule raison est que c’est émotionnellement et physiquement épuisant », a t-elle déclaré.\\n\\nLa fille de Bozidar avait pris la sélection serbe en 2012 et elle l’a amené à des hauteurs jamais atteintes. Demi-finaliste de l’Euro 2013, la Serbie fut championne d’Europe en 2015 et médaillée de bronze aux JO de Rio, les deux fois aux dépends de la France.\\n\\nAprès avoir passé trois saisons à Lyon, la Franco-Serbe coache désormais Galatasaray actuellement deuxième du championnat turc derrière Fenerbahçe."
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg : les voeux de Paul Lacombe pour 2017"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce soir, Strasbourg reçoit Iberostar Ténérife pour le compte de la 10e journée de la Champions League. C’est le deuxième –les Alsaciens partagent la place avec les Italiens d’Avelino- contre le leader de la poule D. Les Espagnols n’ont connu jusqu’ici que deux défaites dont une à domicile face à la SIG, 66-70. Sur le sujet, Paul Lacombe est interrogé ce matin par les Dernières Nouvelles d’Alsace.\\n\\n« Je pense qu’ils vont être revanchards. On les a surpris à l’aller, où ils avaient dû s’attendre à vivre une soirée tranquille compte tenu de leurs performances jusque-là. Si on arrive à répondre présent dans la dureté et dans l’engagement, on pourra à nouveau réussir quelque chose. »\\n\\nPaul Lacombe a droit à la traditionnelle question : que souhaite t-il pour l’année 2017 avec en filigrane... une réponse inévitable :\\n\\n« De bien jouer au basket et d’aller le plus loin possible dans toutes les compétitions où on est encore en lice... Le président m’a posé la même question. Je lui ai répondu qu’il connaissait la réponse, mais que c’était tabou d’en parler (sourire). Tabou, ou en tout cas prématuré, ne serait-ce que compte tenu de nos dernières sorties. Cela dit, on rêve encore (d’un titre), on joue pour ça. Je ne suis pas à Strasbourg par hasard. Tous les joueurs savent pourquoi ils sont venus ici, même s’il est trop tôt pour le dire haut et fort...\\n\\nRappel cruel : l’année dernière la SIG a échoué pour la quatrième fois de suite en finale de la Pro A ainsi qu’en finale de l’Eurocup."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Best of de Monaco en Basketball Champions League"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’AS Monaco est en tête de la Pro A avec 13 victoires en 15 matches.\\n\\nLes Monégasques possèdent également le meilleur ranking en Basketball Champions League avec 9 victoires en 10 matches.\\n\\nLa FIBA a confectionné cette vidéo pour saluer leur performance.\\n\\nLe club de la Principauté reprend ce soir la compétition contre les Israéliens de Ironi Nahariya. C’est à 18h30 sur Canal+Sport."
}, 
{"role": "user",     "content":"Un super scoreur américain en renfort à Aix-Maurienne ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Edit : C’est fait, Aix-Maurienne confirme l’arrivée de son nouvel américain Rayvonte Rice.\\n\\nBrève originale : Le club d’Aix-Maurienne va-t-il recevoir le renfort d’un nouveau joueur dans les prochains jours ? Selon une information du Dauphiné Libéré, l’Américain Rayvonte Rice (1,96 m, 24 ans) pourrait rejoindre la formation de Pro B pour cette deuxième partie de saison.\\n\\n\\nFormé entre 2010 et 2012 à Drake puis entre 2013 et 2015 à University of Illinois, l’arrière-ailier avait démontré ses talents d’attaquant dans le championnat universitaire américain en enchainant les cartons (16,5 points de moyenne en 30 minutes lors de son année Senior en 2014/15).\\n\\n\\nDes performances qui lui ont ouvert la porte de l’Europe à la fin de son cursus scolaire. Lors de l’été 2015, le club italien du Scaligera Basket Verona lui a offert son premier contrat professionnel. Vu à 29 reprises sur les parquets de deuxième division lors de l’exercice 2015/16, le natif de Champaign (Illinois) était le meilleur marqueur de son équipe avec une ligne de statistique de 13,6 points, 4,5 rebonds et 1,7 passe en 31 minutes de temps de jeu. Avec lui, Verona avait terminé huitième de la Serie A2 avec un bilan positif de 16 victoires pour 14 défaites.\\n\\nSans club durant cette première partie de saison 2016/17, le costaud américain (107 kg) pourrait donc vivre en Savoie sa première expérience en France.\\n\\nL’AMSB est actuellement douzième au classement avec 5 succès pour 8 revers.\\n\\nPhoto : Massimo De Marco"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : le SLUC en panne de solution pour son recrutement"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite au départ de Thaddeus McFadden pour la Grèce et à la blessure de Gary Florimont, out pour la saison, le SLUC est désespérément à la recherche d’un Joueur Formé Localement, indispensable pour le recrutement d’un autre Joueur Non Formé Localement.\\n\\nGreg Beugnot, l’entraîneur de la formation nancéienne s’est d’ailleurs exprimé suite au match face à Nanterre sur ce point de règlement qui oblige les clubs de Pro A à avoir un tiers de son effectif composé de JFL.\\n\\n« Le marché des joueurs JFL est très pauvre. Nous sommes pénalisés par la gravité de la blessure de Gary (Florimont). Ce règlement se retourne finalement contre nous... Ça n’existe pas dans les autres pays européens. Je dois donc trouver un joueur français. J’en appelle aux clubs de Pro B qui ont besoin de reconstruire leur équipe. »\\n\\nAvec un groupe de seulement sept joueurs professionnels auquel on peut ajouter trois Espoirs, le SLUC se retrouve à court de solution dans ses rotations. Le président, Marc Barbe espère voir la situation évoluer dans la semaine, comme le rapporte l’Est Républicain.\\n\\n« Pour l’heure, rien de concret. On espère que les fêtes terminées, la situation va se décanter dans la semaine. »\\n\\nPhoto : Karen Mandau"
}, 
{"role": "user",     "content":"Fabien Causeur, comme un poisson dans l’eau à Bamberg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après quatre saisons à Vitoria, Fabien Causeur (1,95m, 29 ans) a rejoint l’Allemagne et le Brose Bamberg Baskets dans le nord de la Bavière.\\n\\nLe Breton était hier l’invité de Basket Time sur RMC Info et il dit apprécier son nouveau cadre de vie.\\n\\n« C’est un gros changement par rapport à l’Espagne. La culture est totalement différente. Les Allemands sont très rigoureux dans tout ce qu’ils font. C’est très professionnel au niveau du club. La vie ici est simple. Je suis comme dans un village, il n’y a que 70 000 habitants. C’est très tranquille. J’ai pu un peu visiter Munich, Francfort mais pas plus que ça avec le calendrier que l’on a cette année. Mais ça se passe vraiment bien en Allemagne. »\\n\\nEmmenés par l’Italien Nicolo Melli (2,05m, 25 ans) élu joueur du mois de décembre, les Allemands sont remontés à la 11e place ex-aequo de l’Euroleague avec six victoires et neuf défaites, à un succès des trois équipes précédentes. Ils se sont offerts successivement le Maccabi, Aanadolu Efes, Olympiakos, et Galatasaray. Pas mal pour le club qui est considéré comme le petit poucet de la compétition avec ses 10 millions d’euros de budget.\\n\\n\\nPayé en temps et en heure\\n\\nLe Français apporte une solide contribution en faisant preuve d’une remarquable adresse : 10,8 pts à 40/58 à deux-points, 16/45 à trois-points et 23/27 aux lancers, plus 2,1 passes et 0,8 interception. Ses dernières productions ont été tout spécialement efficaces.\\n\\n« Les stats parlent d’elles mêmes. Je n’avais pas réussi à trouver mon vrai spot dans l’équipe. J’ai un coach que j’adore car il a été très patient avec moi. Il m’a toujours mis en confiance. Il savait qu’à un moment où à un autre, ça viendrait. C’est ce qui s’est passé. Aujourd’hui je suis assez épanoui dans le jeu de l’équipe. En début de saison on a perdu cinq, six fois d’un ou deux points en Euroleague et là on a gagné quatre matches sur cinq, la roue tourne. C’est l’enchainement des victoires qui fera que l’on sera dans le top 8 ou pas. »\\n\\nFabien Causeur apprécie tout spécialement le management d’un club qui porte le nom de son sponsor principal depuis dix ans et qui joue dans la Brose Arena de 6 800 places. La saison dernière, Bamberg s’était glissé dans le top-16 de l’Euroleague, tout en terminant largement en tête de la saison régulière du championnat national avant de gagner les playoffs.\\n\\n« Il y a un gros sponsor derrière nous. Brose, c’est du très lourd au niveau de la stabilité. C’est un club intelligent. Ici c’est un peu une mafia italienne, les managers ont beaucoup d’expérience. Le manager a été scout NBA, il connaît énormément le basket et les joueurs. Le coach est italien aussi (NDLR : Andrea Trincheri). Ils ont fait chaque année un recrutement hyper intelligent. Ici c’est du solide, très professionnel. Les paiements arrivent toujours le premier du mois, et ce n’est pas toujours le cas à l’étranger. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 3 janvier 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nLe SLUC cherche « JFL » désespérément...\\n\\n– Le SLUC a entamé une course contre la montre pour trouver deux joueurs dont un joueur formé localement avant la reprise. Pour l’instant, rien de... Lire la suite.\\n\\n\\nHoward forfait\\n\\n– La SIG devra, ce soir, se passer de son guerrier Matt Howard. Touché contre Dijon, l’ailier-fort américain souffre d’une élongation à un mollet... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n«Une première étape»\\n\\n– Pour Paul Lacombe, la SIG devra s’inspirer de sa prestation du match aller pour espérer réussir la passe de deux contre Tenerife. Le tout nouveau All... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne finale, déjà !\\n\\n– Pour la SIG, l’an neuf s’ouvre par un choc à fort enjeu. Un succès, ce soir, contre Tenerife permettrait en effet aux Strasbourgeois de s’installer en... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nN1 mode d’emploi\\n\\n– Championnat : une poule de 18 équipes... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’œil de Jean-Luc Tissot\\n\\n– Le directeur du centre de formation de la JL suit la progression de Thomas Prost. Il a des nouvelles chaque semaine. « On a une vraie relation qui... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nThomas Prost : « Je me sentais prêt à franchir ce cap »\\n\\n– De Saint-André-de-Corcy où il a débuté, en passant par l’Asvel et surtout le centre de formation de Bourg, Thomas Prost, 20 ans, poursuit son chemin... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRolandas Jakstas à Gries\\n\\n– Le BC Gries-Oberhoffen, 16e de N1, vient de faire signer un nouveau joueur en remplacement de Justin Sedlak qui, sous le coup d’une sanction, a quitté... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nKaysersberg affronte Souffelweyersheim ce soir\\n\\n– Absents des terrains depuis leur dernier match de championnat face à Juvisy, le 10 décembre dernier, les basketteurs de Kaysersberg ont retrouvé le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nComme une petite finale\\n\\n– Pour sa première sortie en 2017, la SIG, privée de Matt Howard, affronte Tenerife, ce soir (20 h 30) au Rhénus, avec l’envie de ravir la première... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie : Derrick Brown et Jan Vesely en viennent aux mains"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ambiance électrique en Turquie pour la rencontre entre Fenerbahce et l’Anadolu Efes puisque Derrick Brown et Jan Vesely ont dû être séparés par leurs coéquipiers après cet accrochage musclé dans la raquette.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=gO_Up0h_OLE"
}, 
{"role": "user",     "content":"Champions alsaciens 2016 : les basketteurs de la SIG trustent les prix"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les journalistes alsaciens n’en veulent pas à la SIG et à son coach d’avoir échoué une quatrième fois d’affilée aux portes du titre de champion de France. Etre finaliste de la Pro A et surtout de l’Eurocup est déjà une sacrée performance.\\n\\nAlors au moment de distribuer ses prix, la section alsacienne de l’Union des Journalistes Sportifs de France a largement récompensé le club.\\n\\nLa SIG (197 points) a été élue club alsacien de l’année devant son rival du football, le Racing (149), et le Kaysersberg Ammerschwihr Basket Centre Alsace (112) qui a remporté le Trophée Coupe de France.\\n\\nSon coach Vincent Collet (30), qui est aussi celui de l’équipe de France, supplante ses collègues des deux mêmes clubs, Jacky Duguépéroux (RCSA, 13) et Fabien Drago (KABCA, 4).\\n\\nChampion d’Europe juniors et élu MVP du tournoi, Frank Ntilikina (178) est comme attendu élu Meilleur Espoir devant Hélène Clauzel (VTT, Ste-Croix-en-Plaine) et Baptiste Mischler (athlétisme, Brumath) à égalité avec 140 points.\\n\\nEnfin, Amel Bouderra (Charleville, 6 pts), MVP française de la LFB et sélectionnée olympique de la dernière heure n’est pas oubliée du côté des « Ambassadeurs » -elle est née à Mulhouse- terminant en dauphine du meilleur gardien de hand du monde, Thierry Omeyer (PSG, 19)."
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Strasbourg sans Matt Howard pour le choc face à Tenerife"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Victime d’une élongation au mollet, Matt Howard est forfait pour le match face à Tenerife prévu mardi soir au Rhénus.\\n\\nC’est suite à l’entraînement d’aujourd’hui que l’entraîneur Vincent Collet a annoncé la nouvelle.\\n\\n« L’absence de Matt Howard (élongation mollet) nous handicape. Il faudra plus d’efforts de tout le monde pour compenser »\\n\\nVictorieux lors du match aller (70-66), les Strasbourgeois auront à cœur d’aller chercher cette victoire qui les propulserait à la première place du groupe D de Champions League.\\n\\n« Ténérife est la meilleure équipe venue au Rhenus cette saison » juge Vincent Collet. « Nous sommes leur premier rival pour la première place : c’est une petite finale! »\\n\\nCette saison sur la scène européenne, Howard compile en moyenne 9,4 points, 5,8 rebonds et 1,2 passe par match. Mais en plus d’apporter une petite dizaine de points et pratiquement six rebonds par match, l’ancien joueur de la Chorale de Roanne apporte ce que l’on ne voit pas dans les stats, une intensité et une combativité impressionnante.\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Nicolo Melli MVP du mois de décembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec quatre victoires en cinq matchs d’Euroleague en décembre, Bamberg effectue son retour dans la course aux playoffs en affichant un bilan de six victoires pour neuf défaites et en pointant à la onzième place du classement avec seulement une victoire de retard sur le huitième, l’Etoile Rouge de Belgrade.\\n\\nPour son importance dans les performances de son équipe, l’Italien Nicolo Melli a été élu MVP du mois de décembre en C1, comme le rapporte Eurohoops. Sur cette période, l’ancien joueur de Milan a compilé 15,6 points (62,8% à 2pts et 61,9% à 3pts), 8 rebonds, 2,3 passes décisives, 1,2 interception et 1 contre pour une évaluation de 24,5 par match.\\n\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jamal Shuler (Monaco), deuxième au Trophée du Sportif azuréen de l’année 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Jamal Shuler (1,91m, 30 ans) est apprécié sur la Côte d’Azur. Le quotidien Nice-Matin a demandé à ses lecteurs d’élire le Sportif azuréen de l’année 2016 et sur les 11 600 votants, l’Américain de l’AS Monaco a recueilli 3 998 voix, soit 34,3% du total.\\n\\nJamal Shuler est seulement devancé par le footballeur de l’AS Monaco FC, Valère Germain (44,5%) alors que celui de l’OGC Nice Alassane Plea (12,8%) est sur la troisième marche du podium.\\nC’est la première fois qu’un basketteur est aussi haut placé dans ce classement annuel.\\n\\n« Je suis allé voir jouer 4-5 fois la Roca Team la saison dernière. Shuler est un joueur impressionnant qui marque beaucoup de points, sa place est méritée », a rendu hommage Valère Germain à son dauphin."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Portel en danger financièrement"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans ESSM News et lors d’une conférence de presse, le président Yann Rivoal, a tiré la sonnette d’alarme auprès de ses supporters et de ses partenaires : son club a besoin de 300 000 euros pour boucler un budget annoncé à 2,9 millions d’euros.\\n\\nL’ESSM possède déjà l’avant-dernier budget de Pro A devant celui de Hyères-Toulon, alors que la ville de Le Portel dénombre moins de 10 000 habitants dans une agglomération qui compte aussi le SOM Boulogne en Pro B.\\n\\n« Nous avons voulu conserver un abonnement à tarif raisonnable pour les particuliers et par rapport à notre cahier des charges, c’est plus le partenariat privé des entreprises qui fait défaut. »\\n\\nLe président portelois a défini cinq axes pour mettre le navire à flots :\\n\\n1- Continuer de gérer le club comme un bon père de famille\\n\\n2- Remplir à chaque match les 4 000 places du chaudron\\n\\n3- Compter sur la cellule commerciale\\n\\n4- Appeler à la souscription\\n\\n5- Créer une cellule événementielle\\n\\n« Les particuliers peuvent aider le club par un don déductible à 66 % de vos impôts », précise le président dans La Semaine dans le Boulonnais. « Il vous suffit de faire un chèque sous enveloppe au nom de ESSM association et de le remettre au club, qui se charge du reste. » Les retours seraient d’ailleurs déjà positifs : « Nous sommes aussi sensibles au chèque de 50 euros qu’au gros montant. Nous savons que des gens se saignent en faisant ça. »\\n\\nAvec 7 victoires en 15 matches, les hommes d’Eric Girard effectuent un parcours sportif bien au-dessus des espérances initiales.\\n\\n« Ce serait dommage de se maintenir sportivement, mais être contraint de redescendre en Pro B pour raisons financières, »synthétise le président.\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"A Chalon, on préfère Jean-Denys Choulet à Florent Pagny..."
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Journal de Saône et Loire a demandé sur son site Internet à ses lecteurs de voter pour leur personnalité chalonnaise préférée de l’année 2016. Il y avait sept candidats et 1 638 personnes ont voté.\\n\\nC’est l’entraîneur de l’Elan, Jean-Denys Choulet, qui est arrivé en tête avec 32 % des voix. Les lecteurs du JSL apprécient le remarquable parcours de son équipe : finale de Leaders cup et Final Four de la Fiba Europe Cup pour la saison 2015-16, et une actuelle deuxième place au classement de la Pro A.\\n\\nJean-Denys Choulet devance le chanteur Florent Pagny (25,6 %) et le danseur étoile Germain Louvet (11,4%) tous deux natifs de Chalon."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le programme de rentrée : la Champions League reprend dès demain !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Même si Gravelines et Nanterre s’affronteront le 7 janvier, la Pro A reprendra officiellement le 13, tout comme la Pro B.\\n\\nSeulement, les équipes engagées dans les deux coupes d’Europe de la FIBA ont eu droit à des vacances raccourcies et sont déjà sur le pont. La rentrée, c’est demain pour Monaco et Strasbourg.\\n\\nLes féminines sont également de retour, aussi bien en Euroleague que dans le championnat national. Seule l’EuroCup reprendra plus tard, le 18 janvier.\\n\\nCHAMPIONS LEAGUE\\n\\nMardi 3 janvier :\\n\\nGroupe A\\n\\nNahariya (Israël) – Monaco\\n\\nGroupe D\\n\\nStrasbourg – Tenerife (Espagne)\\n\\nMercredi 4 janvier\\n\\nGroupe B\\n\\nOradea (Roumanie) – Le Mans\\n\\nGroupe C\\n\\nVilleurbanne – PAOK Salonique (Grèce)\\n\\nFIBA EUROPE CUP\\n\\nMercredi 4 janvier\\n\\nGroupe K\\n\\nChalon – Gaziantep (Turquie)\\n\\nGroupe L\\n\\nGravelines – Demir Insaat (Turquie)\\n\\nGroupe N\\n\\nNanterre – Tsmoki-Minsk (Biélorussie)\\n\\nGroupe O\\n\\nPau – Féhérvar (Hongrie)\\n\\nEUROLEAGUE FEMININE\\n\\nMercredi 4 janvier :\\n\\nGroupe A\\n\\nLattes Montpellier – Wisla Cracovie (Pologne)\\n\\nGroupe B\\n\\nSopron (Hongrie) – Villeneuve d’Ascq\\n\\nBourges – Hatay (Turquie)\\n\\nLIGUE FEMININE\\n\\nSamedi 7 janvier\\n\\nMondeville – Nice\\n\\nUnion Hainaut – Villeneuve-d’Ascq\\n\\nCharleville-Mézières -Bourges\\n\\nMontpellier – Lyon\\n\\nTarbes – Basket Landes\\n\\nAngers – Nantes"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Best of du All-Star Game LNB 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La victoire de la sélection étrangère sur la sélection française (130-129), les coups d’éclat de Benjamin Sene (meneurs), Heiko Schaffartzik (trois-points) et de Jeremy Nzeulie (dunks) lors des trois concours de la soirée, les danseuses des Brooklyn Nets, les mascottes NBA, le son et la lumière...\\n\\nEn trois minutes, voici pourquoi le All-Star Game de la LNB, dont la 31e édition s’est tenue le 29 décembre à l’AccorHôtel Arena de Paris, est le meilleur show de basket en Europe."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 2 janvier 2017"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nBasket : le Nancéien Bastien Vautier champion d’Europe avec les U18\\n\\n– Sacré champion d’Europe avec les U18 la semaine dernière, le Nancéien Bastien Vautier rêve désormais d’un autre titre. Celui de champion de France... Lire la suite.\\n\\n\\nErik Rush rebondit à Recanati, en Série A2 italienne\\n\\n– Coupé au début du mois de décembre par la JL Bourg, Erik Rush ne sera pas resté longtemps au chômage. Rentré en Italie et plus précisément à Ferrara... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Alexis Tanghe est un garçon très intéressant, qui n’a pas encore exprimé tout son potentiel. »\\n\\n– « Alexis Tanghe partait au Centre fédéral quand je suis arrivé à l’ADA en 2006, raconte Romain Leroy, l’assistant coach de Boulazac. Mais il lui est arrivé de s’entraîner avec nous à Blois. Le hasard a fait que l’on s’est retrouvés, en début de saison dernière en Dordogne. L’an passé en play-off, il nous a parfois portés. Et ce qu’\\n... Lire la suite.\\n\\n\\nSouvenirs de Finlande\\n\\n– La Korisliiga, le plus haut niveau du basket finlandais, « c’est seulement onze équipes dont le niveau va de la solide Pro B à la petite N1, explique Romain Leroy. On se joue quatre fois par an les uns les autres, avec un calendrier délirant. Notre record, cela doit être six ou sept matchs en deux semaines. Et puis dix jours sans jouer... Lire la suite.\\n\\n\\nEn savoir plus\\n\\n– Lors de la saison 2015-2016, Boulazac a joué la finale de la Leaders Cup et a fini le championnat en boulet de canon. « On doit gagner dix matchs lors des treize dernières journées, on termine à la 4e place et on va en demi-finale des play-off... Mais on perd (en match d’appui à Évreux) sur ce tir improbable de Baptis... Lire la suite.\\n\\n\\nRomain Leroy a fait son chemin\\n\\n– Avant de rejoindre Boulazac, l’ancien assistant de Nicolas Faure (à Blois) a connu les Déferlantes (de Nantes/Rezé) et les Seagulls (d’Helsinki)... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les articles de la semaine du 26 au 31 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque dimanche, Basket Europe vous propose une sélection des meilleurs articles de la semaine afin de connaître l’essentiel de l’actualité :\\n\\n 1.  Tony Parker – Frank Ntilikina : qui était le meilleur au même âge ?\\n 2.  A 17 ans, Luka Doncic n’en finit plus d’impressionner\\n 3.  La génération Ntilikina vue par son coach\\n 4.  Hommage : Pape Badiane et son frère\\n 5.  All-Star Game: Jeremy Nzeulie (Chalon), l’as des as du dunk\\n 6.  Coach des Brooklyn Nets, Kenny Atkinson, déclare son amour à la France\\n 7.  All-Star Game : victoire de la sélection étrangère, John Roberson (Chalon) élu MVP\\n 8.  Le jour où l’étoile Hervé Dubuisson illumina le All-Star Game 1994\\n 9.  Pro A : JR Bremer et Dexter Pittman vers Limoges ?\\n 10. Un ancien joueur des Cleveland Cavaliers score 74 points en Chine"
}, 
{"role": "user",     "content":"Heiko Schaffartzik (Nanterre) : le Prix Orange de l’Année 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Heiko Schaffartzik est-il le meilleur shooteur à trois-points jamais vu en Pro A ? Ce serait un long débat stérile d’exégètes pour répondre à la question mais il est déjà certain que l’Allemand est une formidable bête de concours et un véritable ambianceur.\\n\\nHeiko a gagné pour la deuxième fois d’affilée le Peak 3 Points Shootout du All-Star Game et en demi-finale il a établi le record de tous les temps : 27 points sur les 33 possibles s’offrant avec la bénédiction du plexi le bonus que constitue le dernier tir du milieu du terrain. Et donc à l’issue de la finale, il a saisi le micro pour demander au public de reprendre en chœur un « Joyeux Anniversaire ! » en hommage à son père, 65 ans, présent dans les tribunes.\\n\\n« Je suis content d’avoir gagné. La meilleure chose, c’était l’anniversaire de mon père aujourd’hui et il était ici à Paris avec toute ma famille. D’accord j’ai très mal chanté mais on a chanté ! Mon père avait les larmes aux yeux. »\\n\\n\\nPas en France par hasard\\n\\nDans un univers du basket où les joueurs américains ne s’expriment toujours qu’en anglais après plusieurs saisons en France, Heiko Schaffartzik est un formidable contre-exemple et son adaptabilité fait qu’il tisse un lien spécial avec les fans et aussi ses équipes. Ce fils d’un médecin et d’une professeure, qui a appris les bases de notre langue à l’école, parle tous les jours en français avec ses équipiers, ses coaches, le staff et envisage, pourquoi pas, de prendre un jour des cours particuliers pour améliorer encore son niveau. Sachant qu’il parle déjà couramment l’anglais.\\n\\nL’Allemand est un basketteur professionnel et court comme tous le cachet, seulement il n’est pas en France tout à fait par hasard et il profite de l’opportunité. Il s’est plongé avec délectation dans l’atmosphère française, adore Paris et à travers ce commentaire paru dans le magazine « Basket » on se rend compte combien il est fin observateur :\\n\\n« Ils (les Français) aiment beaucoup « vivre la vie ». Je ne sais pas comment dire. « Il faut qu’on mange bien, qu’on dorme bien, on boit du vin, on mange du fromage... » Et ici, le travail est important, mais j’ai l’impression que pour les Français, c’est encore plus important de vivre la vie, et le travail vient en deuxième. Alors qu’en Allemagne, le travail arrive en premier, tout le reste passe après. Autre chose : les Français aiment beaucoup parler en négatif, se plaindre. Je ne sais pas pourquoi ? (Il rit) La culture est très belle, les restaurants et la nourriture magnifiques. Ah, autre chose : tout le monde est très poli. C’est incroyable ça ! »\\n\\nIl faut savoir que cette shooting machine, qui tire vite, de loin, et très bien, a été en quelque sorte conçue aux Etats-Unis –il a vécu deux ans et demi à San Diego et se souvient avoir vu à l’œuvre les Lakers de Magic Johnson et Kareem Abdul-Jabbar contre les Celtics de Larry Bird au Forum d’Inglewood- et surtout au TuS Lichterfelde, un petit club de Berlin jugé comme étant le meilleur au niveau de la formation du pays, qui était alors la succursale de l’ALBA et avec qui il est monté jusqu’à l’équivalent de la Pro B.\\n\\n\\nLa meilleure préparation : pas de préparation !\\n\\nEn 2015, Heiko Schaffartzik avait dû s’imposer en finale à Hugo Invernizzi et cette fois encore il a dû ferrailler pour obtenir un meilleur total que le Chalonnais John Roberson.\\n\\n« Le concours a été plus facile que l’année dernière, vraiment, parce que je pouvais attendre les autres alors que l’année dernière c’est moi qui ai commencé. Là je pouvais regarder ce qu’ils allaient faire », a t-il commenté.\\n\\nLa veille, lors de la séance d’entraînement, il s’était amusé à faire des airballs et à tirer de sa main faible. Il y a chez Heiko Schaffartzik du Larry Bird dans la confiance en ses possibilités dans le domaine.\\n\\n« C’est beaucoup dans la tête », confirma t-il. « Il y a beaucoup de pression, de gens qui regardent. C’est juste comment tu t’adaptes à cette pression. Et jamais à l’entraînement on shoote comme ça (il mime lorsqu’il a pris le ballon du rack de rangement). Ce n’est pas un vrai tir de basket. C’est difficile de s’entraîner pour ça. »\\n\\nA un journaliste qui lui a demandé si son tir est naturel, il a répondu l’œil malin, faisant rire toute l’assemblée :\\n\\n« Non c’est juste parce que j’ai de très grandes couilles ! (sic) »\\n\\nLa saison dernière, à Limoges, au retour d’un déplacement à Antibes, passablement éméché, Heiko était rentré dans un appartement qui n’était pas le sien et s’était endormi sur le canapé sans se rendre compte de sa méprise. A « Basket », il a confié qu’il ne veut pas que les Français aient de lui une mauvaise image de fêtard suite à cet incident rendu publique. Qu’il ne soit pas inquiet. BasketEurope lui décerne au contraire le Prix Orange pour l’année 2016 !"
}, 
{"role": "user",     "content":"C’est terminé entre Hyères-Toulon et Lucky Jones"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On ne retrouvera pas Lucky Jones (1,99 m, 23 ans) sous le maillot de Hyères-Toulon en 2017. Selon une information de Var Matin, les dirigeants du HTV ont décidé de ne pas conserver l’ailier américain dans l’effectif.\\n\\nAperçu le temps de 11 rencontres pour sa découverte de la Pro A -avant de se blesser au genou début décembre et d’être out pour plusieurs semaines -Lucious Jones Junior de son vrai nom compilait sous les ordres de Kyle Milling 5,8 pts, 4,2 rebonds et 1,4 passe pour 8,2 d’évaluation en 21,3 minutes de temps de jeu."
}, 
{"role": "user",     "content":"Des joueuses WNBA dans la boîte de nuit d’Istanbul cible d’une attaque terroriste"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Plusieurs joueuses de WNBA, qui jouent dans des clubs turcs, dont Essence Carson, Chelsea Gray et Jantel Lavender des Los Angeles Sparks, étaient proches de l’entrée de la boîte de nuit à Istanbul qui a été cette nuit la cible d’une attaque terroriste.\\n\\nLe coach des Sparks Brian Agler a tout d’abord confirmé avoir reçu un SMS de Essence Carson lui indiquant que les trois joueuses sont saines et sauves. La joueuse a ensuite écrit un tweet pour confirmer l’information.\\n\\nEssence Carson a porté le maillot de Bourges en 2009-10.\\nLe dernier bilan fait état de 39 morts et 69 blessés. L’assaillant qui a ouvert le feu n’a toujours pas été retrouvé à cette heure.\\n\\nhttps://twitter.com/Pr3pE/status/815390323379617792?lang=fr"
}, 
{"role": "user",     "content":"Matt Howard (Strasbourg): «Ça fait du bien de couper»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur son site, la SIG donne la parole à Matt Howard (2,03m, 27 ans) dont les performances sont un peu en baisse vis à vis de la saison dernière (8,9 contre 12,8 à l’évaluation), suite à quelques soucis physiques.\\n\\nL’intérieur strasbourgeois revient sur le démarrage délicat de l’équipe qui a entraîné le départ du coach finlandais Henrik Dettmann et le retour de Vincent Collet :\\n\\n« Ce n’était pas facile. Personnellement je n’ai pas réussi à aider l’équipe autant que j’aurais aimé le faire. Nous n’avions pas Romeo (Travis) au début et par conséquent nous étions un de moins à l’intérieur. J’aurais voulu apporter plus dès le début. En plus, le fait qu’AJ (Slaughter) n’arrive que deux jours avant la reprise ne nous a pas aidé. Il y a plusieurs choses qui expliquent notre mauvais départ, mais une chose est certaine, nous n’étions pas au complet et depuis que nous le sommes nous jouons de mieux en mieux et cela fait aussi la différence. En plus, il ne faut oublier qu’en ProA nous avons joué toutes les meilleures équipes chez elles : Monaco, Nanterre, Chalon, Pau, Le Mans, Gravelines et bientôt Paris aussi ! Le calendrier n’est pas du tout une excuse mais ce n’est pas simple non plus... »\\n\\nMatt Howard se fait le porte-parole de ses équipiers affirmant que la trêve est la bienvenue même si elle est de courte durée puisque la Basketball Champions League leur impose un match dès mardi contre Tenerife.\\n\\n« Des gars comme AJ (Slaughter) avec la Pologne, Erik (Murphy) avec la Finlande ou encore Romeo (Travis) avec la Macédoine ont joué cet été et ne se sont pas vraiment reposés. Pour eux, comme pour tout le monde, ça fait du bien de couper un peu. Les petites douleurs de certains s’expliquent aussi à cause ça. Maintenant, malgré cette pause, une chose est certaine, l’équipe est heureuse de revenir à la salle et de se concentrer sur le prochain match qui sera très important ! »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Erik Rush de retour en Italie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quelques jours après son départ de Bourg-en-Bresse, Erik Rush (1,96 m, 28 ans) vient de retrouver un nouveau job.\\n\\nEt c’est en Italie, un pays qu’il connaît bien, qu’on le retrouvera pour cette deuxième partie de saison. Dernier de son groupe Est de deuxième division avec seulement deux victoires pour treize défaites, Recanati accueille l’ancien burgien.\\n\\nIl fera équipe avec l’ex villeurbannais Travis Bader.\\n\\nAprès Varese, Reggio Calabria et Bondi Ferrara, ce sera donc le quatrième club italien pour l’Américano-Suédois.\\n\\nPour rappel, vu dans l’Ain le temps de 9 matchs de championnat Pro B, l’ailier n’avait pas fait d’étincelles pour sa découverte de la France en compilant 6,1 points à 48,1% aux tirs, (13,3% à 3-points), 2,8 rebonds et 2 passes pour 6,4 d’évaluation en 17 minutes.\\n\\nPhoto : JL Bourg Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Andrew Albicy reste le roi de la passe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir passé ses neuf premières saisons de joueur de professionnel en France, Andrew Albicy a décidé à l’intersaison de faire le grand saut vers l’étranger en se dirigeant vers Andorre pour évoluer dans le fameux championnat espagnol.\\n\\nQuatorze matchs de Liga Endesa plus tard, celui qui a battu le record de passes décisives sur un All Star Game LNB en 2015 avec 21 assists -l’ancien record appartenait à Taylor Rochestie auteur de 16 caviars en 2011- est meilleur passeur d’ACB et il est seulement devancé d’une courte tête par Facundo Campazzo pour les interceptions (1,8 pour Albicy contre 2 pour Campazzo).\\n\\nPremier temps de jeu du Morabanc Andorra avec ses 28 minutes passées sur le parquet par match, l’ancien meneur du Paris-Levallois a notamment parfaitement contribué à la très belle victoire de son équipe face au FC Barcelone le 11 décembre -une première depuis l’arrivée d’Andorre en ACB- en compilant 15 points, 2 rebonds et 7 passes décisives (18 d’éval).\\n\\nPratiquement à la mi-saison, le Morabanc Andorra pointe à la 8e place du classement de Liga Endesa (8v-6d) et l’ancien joueur du BCM Gravelines-Dunkerque, qui a agréablement accepté de répondre à nos questions il y a quelques jours, enregistre des moyennes de 8,6 points, 1,8 interception et 7,1 assists de moyenne pour une évaluation de 12,1.\\n\\nPhoto : Morabanc Andorra"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie : Thomas Heurtel termine l’année meilleur passeur et meilleur intercepteur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans sa deuxième saison avec l’Anadolu Efes, Thomas Heurtel montre toute l’étendue de son talent en frôlant le double-double de moyenne dans l’un des meilleurs championnats européens.\\n\\nAprès neuf matchs de première division turque, l’international français est tout simplement numéro un aux passes décisives ainsi qu’aux interceptions. Avec 9 caviars de moyenne, il devance largement Jordan Theodore qui délivre « seulement » 6,9 assists par partie en TBL.\\n\\nPour ce qui est des interceptions, l’ancien meneur du Baskonia vole en moyenne 2,2 ballons par match tandis qu’Osiris Eldridge, son dauphin au classement, récupère 2 ballons par match.\\n\\nAprès douze matchs de championnat, l’Anadolu Efes pointe à la 2e place du classement (11v-1d) juste derrière Banvit qui possède un match d’avance (10v-3d).\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Yakhouba Diawara à l’essai à Caserte"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sans club depuis qu’il a quitté Limoges à la fin de la saison dernière, Yakhouba Diawara vient d’obtenir un essai avec la Juvecaserta, comme le rapporte le club italien sur son site.\\n\\nDéjà bien connu en Italie pour y avoir effectué une pige en 2006 (Bologne) ainsi que pour y avoir passé quatre saisons complètes entre Brindisi (2010/11), Varese (2011/12 et 2014/15) et Venise (2012/13), l’ancien joueur du Miami Heat va donc tenter d’obtenir un spot pour la fin de saison à Caserte.\\n\\nSeptième du classement de première division italienne, la formation coachée par Sandro Dell’Agnello compte 7 victoires et 6 défaites.\\n\\nLuigi Guastaferro, le Général Manager de la Juvecaserta s’est exprimé sur cette arrivée.\\n\\n« Nous enregistrons l’arrivée de « Kuba » pour les entraînements. Il était déjà en Italie et, par conséquent, nous avons saisi cette occasion pour le voir quelques jours. Sur les qualités du joueur, il ne fait aucun doute mais nous allons voir si nous pouvons lui offrir quelque chose de concret. »\\n\\nLa saison dernière en Pro A, « Le Yak » compilait en moyenne 5,6 points et 3,1 rebonds pour une évaluation de 4,6 par match."
}, 
{"role": "user",     "content":"La génération Ntilikina vue par son coach"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après nous avoir raconté l’Euro U18 de l’intérieur, le coach Tahar Assed-Liegeon nous parle des Bleuets et de leurs deux leaders, Frank Ntilikina, le MVP de la compétition, et Sekou Doumbouya élu dans le cinq all-stars à 16 ans.\\n\\nLes joueurs se sentent-ils observés, sont-ils sensibles au fait que leur prestation peut entraîneur des variations importantes dans leur carrière ?\\n\\nC’est peut-être ça que l’on ne perçoit pas suffisamment... L’important c’est de dédramatiser l’événement qui est quand même une manière d’être présent sur une compétition majeure de leur âge alors qu’il y a une présence de gens qui peuvent être là pour leur avenir. Il y a malgré tout une forme de pression qui s’installe en eux. Parfois, eux, ils le dénient mais je sais très bien que lorsqu’on est athlète de haut niveau, à un moment donné la performance collective passe par sa propre performance et elle va être attestée parce que tel ou tel scout ou agent va à un moment donné prendre contact. Il y a plein de choses pour ces garçons qui d’une manière invisible sont présentes.\\n\\n\\n« Parfois, il y a un ou deux scouts NBA qui se renseignent sur tel ou tel joueur. C’est souvent en aparté, suite à un match, dans un couloir »\\n\\nOnt-ils des contacts directs avec des scouts ?\\n\\nPas quand ils sont avec nous, pas durant le tournoi, mais par la suite, oui. Et puis les générations se parlent entre eux. Un joueur qui fait un tournoi U18 a rencontré un copain qui a fait un tournoi U18 il y a deux ans et les choses se transmettent.\\n\\nAvez-vous personnellement des contacts avec ces scouts ?\\n\\nParfois, il y a un ou deux scouts NBA qui se renseignent sur tel ou tel joueur. C’est souvent en aparté, suite à un match, dans un couloir. Ça prend cinq ou six minutes. Il n’y a pas de contacts formels organisés.\\n\\nAvez vous ressenti une hype autour de Frank Ntilikina et Sekou Doumbouya ?\\n\\nBien sûr, tout le monde en parlait, que ce soit les coaches adverses ou même les joueurs entre eux. On a deux garçons qui ont crevé l’écran. On les connaît, on sait comment ils peuvent élever leur niveau de jeu à un moment donné. On savait que Frank est un des meilleurs joueurs européens de sa génération et que Sekou est en train d’apparaître depuis qu’il a la nationalité française. Ce sont des garçons qui sont énormément observés.\\n\\nAvez-vous été surpris par la maîtrise technique et émotionnelle de Frank Ntilikina ?\\n\\nIl n’était pas comme ça au début puisqu’il est arrivé malade, grippé. Il suffit de regarder les matches, les uns après les autres. Il a été plus fort à la fin qu’il ne l’a été au début, une fois qu’il a évacué la pression de l’enjeu. C’est quelque chose d’important.\\n\\n\\n« Sekou n’a pas pris ce championnat d’Europe avec distance mais une forme d’insouciance liée à son âge »\\n\\nAvez-vous déjà observé un joueur aussi avancé que Sekou Doumbouya au même âge ?\\n\\nA ce niveau là, de taille, de physique, de talent basket, même s’il lui manque un peu de constance notamment à trois-points, à cet âge là, non. Et puis il a avec lui cette forme d’insouciance liée à son âge. C’est lui qui subissait le moins de pression. Il fait plus jeune que les autres dans son état d’esprit, dans sa fraîcheur. Sekou n’a pas pris ce championnat d’Europe avec distance mais une forme d’insouciance liée à son âge. Il était là pour jouer au basket car il aime ça. Il était naturel, il s’est exprimé à fond que ce soit pour un match du championnat d’Europe comme pour un match au Centre Fédéral.\\n\\nQuels sont les secteurs où il peut le plus progresser ?\\n\\nIl peut shooter à trois-points, il a des qualités pour ça mais il faut qu’il soit plus constant. Ça voudrait dire qu’il est capable de porter le danger très loin aussi bien que très près, par exemple par du post up, de monter la balle. A un moment donné pour gagner les matches, il a fallu que je le fasse jouer 4. Avec Digue Diawara, on avait mis en place un principe de poste 4-3 en fonction de l’adversaire. Ces deux garçons, en particulier Sekou, comprenaient très bien la manière dont on voulait jouer. Bien sûr, il a tout à parfaire à valider, c’est un garçon de seize ans. Il ne faut pas dire qu’il a tout aujourd’hui, il y a des choses à corriger, mais il a tout potentiellement, une forme d’adresse naturelle qui reste à exploiter dans la constance. Il ne faut plus qu’il passe d’un 4/7 à trois-points à 0/6. Et bien sûr il faut qu’il travaille sa technique comme n’importe quel pianiste doit travailler ses gammes, dans la conduite de balle, même défensivement, mais il n’a que seize ans et un peu de temps devant lui.\\n\\nCertains joueurs ont donc fait beaucoup de progrès du fait de s’entraîner et parfois de jouer avec les pros ?\\n\\nCela a été un de mes premiers constats. Ils ont gagné sur le plan de la structure de jeu, de sa maîtrise. Le fait pour une grande partie d’entre eux qu’ils se soient entraînés avec des pros quasiment à temps complet depuis septembre leur a permis de mieux aborder le jeu car ils vivent ça au quotidien. Quand vous faites un entraînement et que vous mettez en place une situation, ils l’ont déjà vécu avec les pros, donc c’est vite assimilé. Leur GPS basket a nettement évolué au contact des pros et d’entraîneurs pros. C’est un acquis non négligeable qui nous a permis de compenser un peu ce manque de préparation. Deuxièmement, ça leur a donné davantage de confiance en eux. Quand après s’être entraîné tous les jours avec des séniors, on retourne dans sa catégorie d’âge, ça donne une forme d’assurance. L’apport des clubs pros a été très, très bénéfique.\\n\\n\\n« Ils vont devenir plus denses, plus costauds, ils vont aller encore plus vite »\\n\\nOn aime bien comparer les générations. Vous avez eu celle de Nicolas Batum. Peut-on les comparer ?\\n\\nJe les ai vus dans la détection et on a été jusqu’au titre de champion d’Europe cadets avec eux. J’étais l’assistant de Lucien Legrand à l’époque. Je ne les ai pas suivis quand ils sont passés juniors mais par rapport à cadets, c’est la maturité. Quand on est cadets, on sort d’un championnat de France de la catégorie. Je me souviens que l’on avait intégré très tardivement Batum et Moerman. Il ne faut pas oublier que la génération des 89 avec Antoine Diot était aussi vraiment sympa, elle avait fait une finale cadets après avoir sorti l’Espagne avec un certain Rubio chez elle en poule. Là, ce sont donc des garçons qui s’entraînent avec des pros, c’est difficilement comparable. Par contre dans l’état d’esprit, dans l’engagement, dans l’écoute, je retrouve les mêmes choses.\\n\\nIls paraissent physiquement solides...\\n\\nIls sont bien avancés physiquement. En terme de préparation physique, il y a un travail qui est fait un peu partout et on en tire forcément les bénéfices sur cette catégorie d’âge. Mais je pense qu’il y a encore beaucoup de travail à faire et je ne pense pas qu’ils vont s’arrêter en chemin. Sekou, Frank, surtout Digue Diawara, je pense que ce sont des garçons qui vont encore évoluer physiquement au regard des qualités qu’ils ont déjà actuellement. Ils vont devenir plus denses, plus costauds, ils vont aller encore plus vite. Je crois beaucoup qu’à partir des progrès qu’ils vont faire physiquement, ils vont encore mieux exploiter leurs qualités techniques et avoir un meilleur rendement. C’est pour ça que dans le discours adressé aux tout meilleurs, j’ai dit « travailler... Les JO de 2020 ne sont pas loin, qui sait avoir un strapontin... Et en 2024, ça sera vous. C’est dès maintenant qu’il faut se préparer. »\\n\\nEn attendant, il y aura le Mondial l’été prochain au Caire. Vous n’êtes pas sûr d’avoir tout le monde. Certains comme Frank Ntilikina pourraient déjà entrer à la draft ?\\n\\nOui. On va étudier ça au cas par cas. Le DTN a décidé de nous réunir en janvier sur toutes les équipes de France. On a d’ailleurs très régulièrement des réunions entre tous les staffs pour parler de chacun des joueurs. On a un projet qui est quasiment individualisé, on se renseigne sur chacun des jeunes, leur potentiel. Certains U18 peuvent être avec les U19, il y a plein de questions que l’on se pose et on le fait dans la continuité de notre fonctionnement pour essayé d’avoir quelque chose de cohérent dans le temps.\\n\\nDe fait, il ne faut pas oublier qu’il y a un championnat d’Europe U18 l’année où il y a un Mondial U19...\\n\\nEt aussi un championnat d’Europe U20. Il ne faut pas solliciter les jeunes plus que trop. Il faut trouver le bon engagement de chacun. Certains jeunes peuvent faire deux compétitions le même été et bien sûr pas les deux préparations. Les deux équipes vont travailler en cohérence pour que le garçon intègre tout de suite l’Euro comme Frank l’a fait là. On n’est pas des adeptes forcenés du doublement des compétitions. C’est déjà assez lourd pour eux.\\n\\nEt eux ont envie de se retrouver au Mondial U19 ?\\n\\nJe pense qu’ils ont envie de le faire tous ensemble. C’est un super challenge, une très belle compétition. Mais vous avez les engagements des uns et des autres, essentiellement par rapport à la draft, peut-être à autre chose. Je ne maîtrise pas leur emploi du temps et leur fonctionnement avec leur agent. De toute façon, ça sera en concertation avec tout le monde."
}, 
{"role": "user",     "content":"Olympiakos : Vassilis Spanoulis absent dix jours"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Touché à l’aine dans la première mi-temps du match face au Fenerbahce, remporté par les Grecs (71-62), Vassilis Spanoulis a dû sortir sur blessure et devrait donc être indisponible dix jours, comme le rapporte Eurohoops.\\n\\nMême s’il a effectué son retour en deuxième mi-temps, le meneur grec va tout de même devoir prendre quelques jours de repos et il est probable qu’il manque le choc face au Panathinaïkos prévu le 6 janvier dans le cadre de la 16e journée d’Euroleague.\\n\\nCette saison, l’ancien international grec tourne en moyenne à 13,3 points, 2 rebonds et 6,5 passes décisives pour une évaluation de 13,1 par match en C1.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : record de points en carrière pour Nick Calathes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vendredi soir, dans la très courte défaite du Panathinaïkos face à Kazan (83-81), Nick Calathes a tout simplement enregistré son record de points en carrière en Euroleague.\\n\\nAvec 23 points, l’ancien meneur des Memphis Grizzlies a battu son précédent record qui était de 18 points. Avec 15 unités à la mi-temps ce n’était qu’une formalité pour le natif de Casselberry.\\n\\nCette saison en Euroleague, l’ancien meneur du Lokomotiv Kuban compile en moyenne 14,2 points, 5 rebonds et 6,8 assists par match pour une évaluation de 19,1.\\n\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Edwin Jackson termine l’année meilleur marqueur et deuxième à l’évaluation"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le 15 mai 2014, Edwin Jackson (1,90m, 89), alors sous le maillot de Villeurbanne, scorait 44 points face à la Chorale de Roanne, son record personnel, et devenait ainsi le meilleur marqueur de Pro A de la saison ; une performance jamais accompli par un Français depuis Jacques Cachemire en 1975.\\n\\nDeux ans et demi plus tard, le Palois de naissance accompli un exploit plus grand encore. Après avoir cherché ses marques à Barcelone et Malaga, il se sent comme un poisson dans l’eau à Estudiantes Madrid. Alors que l’année 2016 se termine, le Français est en tête des marqueurs de la meilleure ligue d’Europe, la Lega Endesa, avec 21,5 points/match. Il possède une avance très confortable sur son second, Fancundo Campazzo de Murcie, 15,6 pts.\\n\\nSeule ombre au tableau, Edwin s’est contenté hier soir de 16 points face à Murcie et son équipe s’est inclinée 91-100. Elle est désormais positionnée à la 15e place –sur 17 équipes- avec 4 victoires et 10 défaites.\\n\\nBoosté par sa moyenne de points, le Français, qui affiche aussi 3,3 rbds et 3,1 pds, est le second à l’évaluation du championnat avec 20,9 derrière Ante Tomic du Barça, 21,6."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 31 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nNzeulie, très haut dans la nuit\\n\\n– Jeudi soir, Jérémy Nzeulie a remporté le concours de dunks du All Star Game. Un concours auquel il ne devait même pas participer... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn championnat passionnant à souhait\\n\\n– Après cette treizième journée, seuls Charleville-Mézières et Bourg-en-Bresse, sur un podium bien établi, suivent le train d’enfer mené par le leader... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nEt le coach est... Réla !\\n\\n– La Berrichonne a décidé de faire du neuf avec du vieux en rappelant Jimmy Réla au chevet de l’équipe de N2 après s’être séparée de Régis Racine... Lire la suite.\\n\\n\\nDessenheim dans les clous\\n\\n– Après la brillante promotion à la fin du championnat de Pré nationale de l’ASL Dessenheim en N 3, on était curieux de voir son comportement à ce... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes jeunes guebwillerois à l’heure américaine\\n\\n– Les jeunes basketteurs guebwillerois ont pu profiter de la venue d’un entraîneur américain pour travailler leurs fondamentaux et techniques durant ces... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : Junior Mbida et Dijon se séparent"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suspendu par le club bourguignon depuis le 21 décembre, Junior Mbida avait été « mis à l’écart du groupe professionnel jusqu’à nouvel ordre ». Aujourd’hui, la JDA rapporte sur son site que d’un commun accord le joueur et le club ont décidé de mettre un terme à leur collaboration.\\n\\nSigné pour une saison courant juillet après un exercice 2015/16 entre Monaco et Cholet, l’ancien Monégasque n’ira donc pas jusqu’au terme de son contrat.\\n\\nAvec Dijon, le natif de Yaoundé compilait cette saison 3,2 points et 2,1 rebonds pour une évaluation de 3,5 en 12 minutes de jeu par match.\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"NM1 : Justas Sinica en renfort à Caen"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le CBC vient d’annoncer sur son site l’arrivée du Lituanien Justas Sinica (31 ans, 2,03m) pour le reste de la saison de Nationale 1, en lieu et place de Darko Cohdarevic.\\n\\nAncien joueur du Lietuvos Rytas Vilnius, le natif de Zarasai débarque dans le Calvados en provenance de Kėdainiai, club de première division lituanienne, où il compilait en moyenne 11,6 points (48% à 2pts et 43% à 3pts) et 2,7 rebonds en 25 minutes de jeu sur 16 matchs.\\n\\nAvec 10 victoires pour 6 défaites en championnat, Caen pointe à la 5e place du classement de NM1.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"A 17 ans, Luka Doncic n’en finit plus d’impressionner"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Auteur d’une très belle partie avec 17 points (7/10 aux tirs), 5 rebonds et 9 passes décisives pour une évaluation de 31 en seulement 23 minutes de jeu, Luka Doncic a enregistré ses records en carrière en Euroleague en matière de passes décisives et d’éval pour mener le Real Madrid vers son 10e succès en C1 face à l’Anadolu Efes (80-78).\\n\\nEncore une fois dominant avec Madrid, le jeune arrière slovène impressionne chaque jour un peu plus le monde du basket européen. Son entraîneur, Pablo Laso s’est exprimé sur son joueur après la rencontre.\\n\\n« Je réponds à cette question chaque jour en Espagne mais je vais y répondre encore une fois. Bien sûr, Luka a fait un très bon match et vous m’en parlez parce qu’il a 17 ans. J’ai toujours dit que, derrière son talent, se cache un très bon QI basket. C’est difficile de voir ses limites parce que pouvoir jouer à un tel niveau en Euroleague à 17 ans, c’est certainement quelque chose que l’on n’a pas vu depuis des années. Comme je le dis toujours, s’il n’y avait pas une équipe derrière lui, Luka ne pourrait pas le faire. Je suis très content pour lui mais aussi pour l’équipe. »\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nando De Colo et Kristaps Porzingis, joueurs européens 2016 pour Eurobasket.com"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fort de près de 300 correspondants principalement en Europe, le site spécialisé Eurobasket.com élit traditionnellement les joueurs européens de l’année.\\n\\nSans surprise, c’est Nando De Colo qui rallie les suffrages comme meilleur joueur d’Europe alors que le Letton Kristaps Porzingis est considéré comme l’Européen n°1 tous championnats confondus.\\n\\nA noter que Rudy Gobert est plébiscité comme le meilleur pivot européen, Tony Parker, Nicolas Batum et Evan Fournier ont droit à des mentions, alors que ne figure pas l’Espagnol Pau Gasol qui affiche en ce dernier trimestre 2016 ses moins bonnes stats en carrière aux San Antonio Spurs mais qui avait fait cet été de brillants Jeux Olympiques à Rio.\\n\\n\\nJoueurs d’Europe\\n\\nEurobasket.com All-Europe 1st Team\\n\\nMilos Teodosic (Serbie, 1,95m-PG-87) CSKA Moscou\\n\\nNando De Colo (France, 1,96m-SG-87) CSKA Moscou\\n\\nRudy Fernandez (Espagne, 1,97m-SF-85) Real Madrid\\n\\nJan Vesely (Rép. Tchèque, 2,13m-C/F-90) Fenerbahce Istanbul\\n\\nAnthony Randolph (USA, 2,11m-F/C-89) Real Madrid\\n\\nEurobasket.com All-Europe 2nd Team:\\n\\nSergio Lull (Espagne, 1,90m-SG-87) Real Madrid\\n\\nKeith Langford (USA, 1,93m-SG-83) UNICS Kazan\\n\\nLuigi Datome (Italie, 2,03m-F-87) Fenerbahce\\n\\nEkpe Udoh (USA, 2,08m-F/C-87) Fenerbahce\\n\\nIoannis Bourousis (Grèce, 2,14m-C-83) Panathinaikos\\n\\n\\nJoueurs européens\\n\\nEurobasket.com All-Europeans 1st Team:\\n\\nMilos Teodosic (Serbie, 1,95m-PG-87) CSKA Moscou\\n\\nNando De Colo (France, 1,96m-SG-87) CSKA Moscou\\n\\nGianni Antetokounmpo (Grèce, 2,11m-G/F-94) Milwaukee Bucks\\n\\nKristaps Porzingis (Lettonie, 2,21m-C/F-95) New York Knicks\\n\\nRudy Gobert (France, 2,16m-C-92) Utah Jazz\\n\\nEurobasket.com All-Europeans 2nd Team:\\n\\nGoran Dragic (Slovénie, 190m-PG-86) Miami Heat\\n\\nBogdan Bogdanovic (Serbie, 2,03m-SF-89) Brooklyn Nets\\n\\nDanilo Gallinari (Italie, 2,08m-SF-88) Denver Nuggets\\n\\nNikola Jokic, (Serbie, 2,09m-C-95) Denver Nuggets\\n\\nMarc Gasol (Espagne, 2,16m-C-85) Memphis Grizzlies"
}, 
{"role": "user",     "content":"Misko Raznatovic : «Teodosic et Bogdanovic doivent aller en NBA»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Interrogé par sportklub.rs, Misko Raznatovic, le président de l’agence Beobasket s’est exprimé sur le futur de Milos Teodosic et Bogdan Bogdanovic, deux joueurs serbes qu’il ne représente pas mais qui, selon lui, doivent aller en NBA.\\n\\n« Teodosic et Bogdanovic doivent aller en NBA. Ce serait logique. Vont-ils y aller, ça je ne sais pas, je ne m’occupe pas de leur carrière mais je pense qu’ils ont joué assez longtemps en Europe, ils ont accompli beaucoup de choses ici et c’est le moment pour eux de tenter leur chance en NBA. En réalité, pour Teodosic, c’est sa dernière chance. Avec l’augmentation des prix des contrats, de nouveaux spots vont se libérer et je ne serai pas surpris si même Nemanja Nedovic faisait son retour en NBA.\\n\\nQuand on lui demande quels autres joueurs pourraient faire le grand saut vers les Etats-Unis il indique que plusieurs Serbes sont susceptibles de partir prochainement.\\n\\n« Dejan Musli a aussi des chances de partir. L’année dernière il était bon en Espagne, aujourd’hui il joue dans une meilleure équipe qui est Malaga. C’est un jeune, il est grand et croyez-moi, ses performances actuelles sont bien meilleures que celles d’Aron Baynes quand il était à Ljubljana, avant de partir en NBA. Les contacts avec les Spurs sont très réguliers et avancés, ils suivent de près le développement de Nemanja Dangubic. Marko Guduric a également un futur en NBA, mais je ne pense pas que ça sera pour la saison prochaine. »\\n\\nAutre génie du basket européen, Vassilis Spanoulis était, selon Raznatovic, trop pressé de faire ses débuts en NBA.\\n\\n« Par exemple, Spanoulis ne voulait pas attendre. Il est allé en NBA après la Coupe du Monde 2006, compétition dans laquelle il avait « détruit » Chris Paul. La Grèce a battu les USA et Spanoulis est arrivé aux Etats-Unis avec une attitude de tueur: « Je suis un bon joueur, je dois jouer ». Il a prouvé aux entraînements mais la NBA a ses propres règles, vous devez être habitué à cette ligue. Il n’a pas beaucoup joué, il n’a pas voulu rester une année de plus et il est rentré en Europe. Ça a aussi eu des bons côtés puisqu’il a tout gagné plusieurs fois avec l’Olympiakos mais nous ne saurons jamais si, à l’heure actuelle, une équipe aurait pu lui offrir un contrat de cinq ans pour 80 millions de Dollars. S’il avait persisté en NBA, je suis sur qu’il l’aurait obtenu. »\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Votez pour votre joueur du mois LNB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque fin de mois, la LNB vous invite à élire votre joueur du mois ici. Pour décembre les nommés pour le Trophée du Joueur du Mois LNB SFR Sport sont Moustapha Fall (Elan Chalon), D.J. Cooper (Elan Béarnais) et John Roberson (Elan Chalon).\\n\\nDans sa deuxième véritable saison en Pro A, Moustapha Fall est clairement en train de franchir un cap. Sur ce mois de décembre, Chalon-sur-Saône a enregistré 4 victoires pour seulement une défaite de trois points face au BCM (88-85) lors de la 11e journée. Sur cette période, le géant (2,18m) de l’Elan Chalon a compilé en moyenne 11,4 points, 9,8 rebonds et 1,8 passe décisive pour une évaluation de 21,2. Lors des 11e et 12e journées l’ancien antibois a réalisé deux double-doubles avec 15 points et 12 rebonds ainsi que 19 points et 12 rebonds. Pour sa première participation au All Star Game le jeudi 29 décembre, le natif de Paris a enregistré 13 points, 7 rebonds et 3 assists (22 d’évaluation).\\n\\nDe son côté, D.J. Cooper a remporté trois des cinq matchs de championnat avec l’EBPLO sur ce mois de décembre. Sur cette période le meilleur passeur de Pro A a compilé en moyenne 12,4 points, 5,2 rebonds et 10,6 passes décisives pour une évaluation de 18,6. Clairement candidat pour le titre de MVP de la saison, le meneur béarnais, déjà élu joueur du mois d’octobre, réalise une saison de très haut standing. Lors du All Star Game il a enregistré 15 points et 11 assists (22 d’évaluation).\\n\\nAutre Chalonnais, John Roberson a, comme son coéquipier, réalisé un très bon mois de décembre en compilant en moyenne 19,8 points, 4,4 rebonds et 6 passes décisives. Elu MVP du match des étoiles, le natif de Kansas City a enregistré 17 points (5/9 à 3pts), 3 rebonds et 4 passes décisives (20 d’évaluation) lors du All Star Game remporté par la sélection étrangère 130 à 129.\\n\\nVisuel :LNB / SFR Sport"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le CSKA Moscou vaincu, Nando De Colo au service minimum"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mené par son pivot Ognjen Kuzmic (2,14m) auteur d’un double double (16 points et 10 rebonds) et dans une ambiance de feu, l’Etoile Rouge de Belgrade a pris hier soir le CSKA Moscou dans ses filets. Les Serbes menaient déjà 27-14 au bout d’un quart-temps et se sont imposés, 78-67.\\n\\nAvec 6 points, 2 rebonds et 1 passe en seulement 16 minutes, Nando De Colo, qui revient d’une blessure à la cuisse, a été loin de ses standards habituels.\\n\\nC’est la deuxième défaite d’affilée des champions d’Europe en titre qui sont néanmoins solidement accrochés à la première place avec 12 victoires en 15 journées, précédant un groupe de quatre équipes à 10 victoires.\\n\\nDéjà vainqueur il y a une semaine du Real Madrid, l’Etoile Rouge s’est glissée à la 8e place.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=awFRjmcRgHg"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 30 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nBasket-ball – All Star Game 2016 : Benjamin Sene (SLUC Nancy) encore vainqueur dans le concours des meneurs !\\n\\n– Rien de tel qu’un petit tour sous les « sunlights » du All Star Game, à Paris, pour s’aérer l’esprit. Ce qui n’est pas inutile par les temps qui... Lire la suite.\\n\\n\\nJean-Charles ? « Pas d’actualité... »\\n\\n– La saison dernière, l’arrivée de Casper Ware, le 1er avril, avait changé le visage de l’Asvel. Pourrait-elle se renforcer ces prochaines semaines... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’ALL : un verre à moitié plein ?\\n\\n– Dans une poule H très relevée, les joueuses de Lons-le-Saunier affichent un bilan équilibré à la mi-saison mais leur entraîneur attend plus de ce... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nG. Muller : « Conserver le titre »\\n\\n– Le président délégué de l’Asvel, frustré par la blessure de Kahudi, fait de la conservation du titre la priorité de son club. Et rêve d’organiser le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa sélection française échoue d’un point\\n\\n– Après trois succès de rang, la sélection française s’est inclinée cette année dans les dernières secondes contre la sélection des meilleurs étrangers... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nAll Star Game: la sélection étrangère prive les « Frenchies » du 4 à la suite\\n\\n– Après trois succès de rang, la sélection française, sans grande tête d’affiche, s’est inclinée dans les dernières secondes contre celle des meilleurs étrangers de Pro A (130-129), jeudi soir lors du traditionnel et toujours aussi spectaculaire All Star Game, dans un Paris-Bercy à guichets fermés... Lire la suite.\\n\\n\\nBasket : les tops de la Pro B après 13 journées\\n\\n– Les basketteurs de Pro B profitent de qualeques jours de vacances avant la reprise du championnat, les 13 et 14 janvier.Après 13 journées (sur 34), voici les top joueurs de la division. Ces classements ont été établis, à la moyenne, par la FFBB.Jarvis Williams meilleur marqueur...1. Williams (Boulazac), 20,92 points ; 2... Lire la suite.\\n\\n\\nFaire perdurer les traditions\\n\\n– Depuis bien longtemps, le Touraine Basket Club a construit sa réputation sur la formation des jeunes joueurs. Cette année encore, le TBC ne fait pas mentir les habitudes et s’invite à la table des grands clubs formateurs nationaux. Début juillet, faute de moyens financiers, le président Coulon et son staff s’interrogeaient sur l’inscriptio... Lire la suite.\\n\\n\\nSél. française 129 Sél. étrangère 130\\n\\n– PARIS (AccorHotels Arena). Scores des quart-temps : 32-34, 39-35, 34-31, 25-29. Arbitres : MM. Hossele, Hamzaoui, Dubois. Spectateurs : 15.802... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPro A (15e journée)\\n\\n– MARQUEURS. Clark (Chalon) 25 ; Gibson (Gravelines) et Hunt (Nancy) 22 ; Cobbs (Gravelines) 21 ; Conklin (Nanterre) 20... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUnivers impitoyable\\n\\n– Quel est le point commun entre le CSP Limoges et le feuilleton télévisé Dallas ? Leur univers est impitoyable et il s’y passe toujours quelque chose... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"All-Star Game : victoire de la sélection étrangère, John Roberson (Chalon) élu MVP"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le All-Star Game, c’est le match de toutes les fantaisies où un rookie comme le Toulonnais William Howard, intronisé dans le cinq de départ de la sélection française, peut prendre cinq shoots en même pas cinq minutes et faire un dunk arrière.\\n\\nC’est aussi le moment unique dans l’année où le Manceau Will Yeguete réussit un petit pont sur l’Antibois Tim Blue. C’est encore quand un arbitre reçoit une passe et la renvoie à un joueur en tête de raquette. Cela a un faux air de spectacle des Harlem Globe Trotters. C’est forcément « no defense » et une orgie de alley oop et de dunks.\\n\\nC’est tout autant les danseuses des Brooklyn Nets, l’ambianceur des Atlanta Hawks ou la « Kiss Cam » également empruntée à la NBA : la caméra repère un couple dans les tribunes, l’image est projetée sur l’écran central à quatre facettes et le public le pousse à s’embrasser en public. Aux Etats-Unis, les héros de la soirée y mettent du cœur, en France, ils sont parfois un peu coincés.\\n\\nL’histoire retiendra que les étrangers ont mis fin à une série de trois victoires des Français –victoire 130-129- et que le meneur de jeu de Chalon John Roberson fut l’homme à tout faire de la soirée.\\n\\nFinaliste malheureux du concours de tirs à trois-points, et après avoir servi de passeur à ses deux équipiers Jeremy Nzeulie et Abdoulaye Loum lors du concours de dunk, John Roberson a été élu MVP du All-Star Game après avoir assuré 17 points, 4 passes, 3 rebonds et 2 interceptions. Un choix effectué par les médias et qui récompense tout autant le premier trimestre parfait en Pro A de l’Américain candidat déclaré à l’oscar de MVP de la saison.\\n\\nLa box score est ici.\\n\\nVisuel : Elan Chalon"
}, 
{"role": "user",     "content":"All-Star Game: Jeremy Nzeulie (Chalon), l’as des as du dunk"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le concours de dunk est immanquablement le clou de la soirée. Avec les défections de Yakuba Ouattara (Monaco) double tenant du titre puis de Bandja Sy (Villeurbanne), les organisateurs pouvaient craindre que le niveau soit sensiblement en baisse.\\n\\nSi le concours ne restera pas dans les annales, les quatre concurrents ont tout de même assuré. Le meneur de jeu de Chalon John Roberson a joué un rôle important en servant de passeur à son équipier Jeremy Nzeulie, notamment en faisant rebondir la balle sur la tranche de la planche ou encore en la lui offrant avant qu’il ne dunke en aveugle, le bras devant les yeux.\\n\\n« Ce soir, j’ai eu des problèmes avec mes dunks. Au final, j’ai réussi à les mettre. C’est grâce au public », a avoué Jeremy Nzeulie.\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/814572325567922177\\n\\nPas faux. C’est au sonomètre que les 15 802 spectateurs de l’AccorArena ont montré leur préférence et à l’évidence ils avaient le cœur penché du coté du Français. Sa « chaise » -descendre la balle le plus bas possible et dunker arrière- a joué aussi un rôle déterminant dans son jugement. Le Chalonnais a loupé un « Rider » mais l’Américain de Lille Deonte Burton (1,85m), son rival en finale, aussi.\\n\\nLa palme de l’ingéniosité revient toutefois à Abdoulaye Loum, un autre Chalonnais, et tout autant à l’inévitable John Roberson. Celui-ci placé aux alentours du dixième rang des tribunes a envoyé plusieurs passes millimétrées avec un rebond à son équipier. Du jamais ou du très rarement vu. Sauf que celui-ci n’a pas réussi à les transformer dans le temps imparti d’une minute trente. Et dans un concours de dunk, c’est bien le minimum.\\n\\nTour préliminaire :\\n\\n1-Deonte Burton (Lille) 196 et Jeremy Nzeulie (Chalon) 196 ; 3- Abdoulaye Loum (Chalon) 191 ; 4- Micah Downs (Orléans) 189\\n\\nFinale :\\n\\n1- Jeremy Nzeulie (Chalon) 194; 2-Deonte Burton (Lille) 191 ;"
}, 
{"role": "user",     "content":"All-Star Game : le show de Heiko Schaffartzik à trois-points"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Que ce soit sous le maillot de Berlin, de Munich, de Limoges, de Nanterre, de l’équipe d’Allemagne ou dans un concours de All-Star Game, Heiko Schaffartzik est un formidable shooteur longue distance.\\n\\nL’Allemand a réalisé un concours à trois-points exceptionnel battant le record du trophée en demi-finale, 27 points sur 33 possible avec le tir bonifié du milieu du terrain. Il fallait une telle machine pour s’imposer face à l’Américain John Roberson, un fier compétiteur. C’est la première fois que les deux finalistes ont réussi plus de 20 points.\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/814559800503783424\\n\\nHeiko Schaffartzik est aussi un homme à part dans la Pro A déjà parce qu’il parle couramment français après l’avoir étudié à l’école et passé un an et demi dans notre pays.\\n\\nL’Allemand peut également faire le show avec un micro. Après avoir dit qu’il n’avait jamais gagné de concours en Allemagne faute d’avoir été invité, il a confié : « Je suis extra motivé car c’est le 65e anniversaire de mon père aujourd’hui et il est là », avant de demander à la foule de reprendre en chœur un superbe « joyeux anniversaire ! »\\n\\nUn des grands moments de trente ans de All-Star Game.\\n\\nTour préliminaire :\\n\\n1-Heiko Schaffartzik (Nanterre) 27 ; 2- John Roberson (Chalon) 22 ; 3- Rémi Lesca (Paris-Levallois) 19 ; 4- Klemen Prepelic (Limoges) 14\\n\\nFinale :\\n\\n1- Heiko Schaffartzik (Nanterre) 21 ; 2- John Roberson (Chalon) 19"
}, 
{"role": "user",     "content":"All-Star game : Benjamin Sene (Nancy) réussit le doublé au Concours des Meneurs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ça ne lui fera pas oublier sa saison pourrie avec le SLUC Nancy mais Benjamin Sene a récidivé en obtenant au concours des meneurs un deuxième trophée après celui de 2015.\\n\\nIl a retrouvé en finale le héros de l’Euro junior, Frank Ntilikina puisque les deux Français ont réussi à éliminer respectivement en demi-finale le Portoricain Angel Rodriguez et l’Américain D.J. Cooper.\\n\\n« Le cardio monte vite, il faut vite récupérer », a commenté le lauréat quand lui a été demandé s’il était difficile d’enchaîner les allers-retours sur le terrain dans un minimum de temps.\\n\\nDemi-finales\\n\\nBenjamin Sene (Nancy) b. Angel Rodriguez (Cholet) : 2-0\\n\\nFrank Ntilikina (Strasbourg) b. D.J. Cooper (Pau) : 2-0\\n\\nFinale\\n\\nBenjamin Sene (Nancy) b. Frank Ntilikina (Strasbourg) : 2-1\\n\\nVisuel : SLUC Nancy"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Limoges CSP défend son directeur du centre de formation"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors de la conférence de presse après le match Limoges-Gravelines, le coach Vule Vujosevic a exposé publiquement ses griefs à l’égard du président Frédéric Forte et du directeur du centre de formation Claude Bolotny. Le club sur son site vient de publier un communiqué pour défendre ce dernier.\\n\\n« Monsieur Claude BOLOTNY, joueur historique du Limoges CSP, soutien fidèle du Club et actuel dirigeant bénévole du Centre de Formation du Club a été mis en cause publiquement et médiatiquement par Monsieur Dusko VUJOSEVIC sans fondement aucun.\\n\\nLa probité et le dévouement de Monsieur Claude BOLOTNY à l’égard du Club est sans faille.\\n\\nTout le Club du Limoges CSP soutient Monsieur Claude BOLOTNY ainsi que tous les acteurs du Centre de Formation dans leur démarche et leur travail. »\\n\\nL’année 2016 se termine sur des charbons ardents dans le Limousin. Que va réserver 2017?\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Sofoklís Schortsanítis out pour la saison avant même d’avoir pu la commencer"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mis à l’essai par l’Apollon Patras mi-décembre en vue de signer un contrat pour la saison, le Baby Shaq vient d’être victime d’une rupture du tendon d’Achille à l’entraînement alors qu’il préparait son comeback, comme le rapporte Eurohoops.\\n\\nAvant même d’avoir pu disputer un seul match avec le 10e du classement de première division grecque (4v-8d), l’ancien joueur de l’Olympiakos se rend donc indisponible jusqu’à la saison prochaine.\\n\\nVainqueur de l’Euroleague en 2014 avec le Maccabi Tel-Aviv, Sofoklis Schortsanitis compilait en moyenne 8,4 points et 2,8 rebonds en 197 matchs de C1.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Makhtar Ndiaye devient scout pour les New-Yorks Knicks"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une riche carrière de joueur puis d’agent de joueur, Makhtar Ndiaye ouvre un nouveau chapitre de sa vie professionnelle en cette fin d’année 2016 en devenant scout pour la franchise américaine des New-Yorks Knicks.\\n\\n« Merci au groupe Wasserman de m’avoir donné l’opportunité de travailler comme agent a-t-il indiqué sur sa page Facebook. À mes joueurs, je dois une grande reconnaissance. Et je le dis en toute humilité car ils ont cru en moi et m’ont mis en charge de leur carrière respective. Grand Merci à ma famille et mes amis qui n’ont cessé de m’encourager. Une nouvelle page s’ouvre pour moi professionnellement et j’ai hâte de voir ce que le bon Dieu a encore prévu pour ma humble personne. Je rejoins les Knicks de New York avec plein d’enthousiasme et de détermination. Merci encore une fois et que le bon Dieu nous garde.\\nLet’s GO KNICKS« .\\n\\nPremier joueur sénégalais à avoir joué un match officiel au sein de la prestigieuse NBA sous le maillot des Grizzlies de Memphis, passé par les Tar Heels de la Caroline du Nord en NCAA I et visage connu de la LNB après des expériences Roanne, Besançon, Vichy, Dijon, l’ASVEL et Levallois, l’ancien international sénégalais aura donc pour mission de dénicher les futures pépites pour l’équipe new-yorkaise."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le All-Star Game LNB en direct sur SFR Sport 2, en différé dimanche sur Numéro 23"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le 31e All-Star Game de la LNB se tient ce soir à l’AccorHôtel Arena.\\n\\nLe match des étoiles se jouera à guichets fermés (15 802 places ont été réservées) et sera diffusé sur SFR Sport 2 en intégralité à partir de 19h30 et rediffusé le dimanche 1er janvier, en clair, sur Numéro 23, à partir de 15h05.\\n\\nA l’initiative du Syndicat National des Basketteurs, les joueurs sélectionnés au All Star Game porteront lors de l’échauffement et de la présentation un t-shirt à l’effigie de Pape Badiane décédé le 24 décembre dans un accident de la route. On le verra arborer un magnifique sourire afin de ne pas oublier cet homme chaleureux.\\n\\nLe programme :\\n\\n17h00 : Ouverture des portes\\n\\n19h00 : Début du All Star Game\\n\\n19h05 : « SFR SPORT Skills Challenge »\\n\\nConcours des Meneurs – Qualifications et Finale\\n\\n19h 25: « PEAK 3 points ShootOut »\\n\\nConcours de Tirs à 3 Points – Qualifications\\n\\n19h40 : Présentation des Equipes All Stars\\n\\n20h15 : All Star Game\\n\\nFin du 1er Quart-Temps : «PEAK 3 points ShootOut »\\n\\nConcours de Tirs à 3 Points – Finale\\n\\nFin du 2ème Quart-Temps : « NBA 2K17 Dunk Contest »\\n\\nConcours de Dunks – Qualifications et Finale\\n\\nFin du 3ème Quart-Temps : « Shoot à 100.000 € »\\n\\nFin du match : Remise des Trophées"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les acteurs du 31e All-Star Game LNB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le 31e All-Star Game LNB sera agrémenté comme chaque année de trois concours, meneurs, trois-points et dunks.\\n\\nVoici la liste des acteurs dans chaque catégorie.\\n\\n\\nLa sélection française\\n\\nCinq Majeur :\\n\\n83 Axel Julien (Dijon – Meneur)\\n\\n69 Paul Lacombe (Strasbourg – Arrière)\\n\\n33 William Howard (Hyères-Toulon – Ailier)\\n\\n6 Wilfried Yeguete (Le Mans – Intérieur)\\n\\n10 Moustapha Fall (Chalon-sur-Saône – Intérieur)\\n\\nRemplaçants:\\n\\n8 Edouard Choquet (Châlons-Reims – Meneur)\\n\\n25 David Michineau (Hyères-Toulon – Meneur)\\n\\n9 Nicolas Lang (Lyon-Villeurbanne – Arrière)\\n\\n23 Jérémy Nzeulie (Chalon-sur-Saône – Arrière)\\n\\n12 Ousmane Camara (Limoges – Intérieur)\\n\\n17 Vincent Poirier (Paris-Levallois – Intérieur)\\n\\n42 Alain Koffi (Pau-Lacq-Orthez – Intérieur)\\n\\nCoaches: Zvezdan Mitrovic (Monténégro – Monaco) et Cédric Heitz (Charleville-Mézières, Pro B)\\n\\n\\nLa sélection étrangère\\n\\nCinq majeur:\\n\\n2 D.J. Cooper (USA – Pau-Lacq-Orthez) – Meneur\\n\\n21 Spencer Butterfield (USA – Nanterre – Arrière)\\n\\n8 Sergii Gladyr (Ukraine – Monaco – Arrière-ailier)\\n\\n4 Tim Blue (USA- Antibes – Ailier)\\n\\n22 Darryl Watkins (USA – Lyon-Villeurbanne – Intérieur)\\n\\nRemplaçants:\\n\\n3 John Roberson (USA – Chalon-sur-Saône – Meneur)\\n\\n18 Walter Hodge (Iles Vierges – Lyon-Villeurbanne – Meneur)\\n\\n25 Jason Rich (USA – Paris-Levallois – Arrière)\\n\\n7 Jakim Donaldson (USA – Le Portel – Ailier)\\n\\n11 Mark Payne (USA – Châlons-Reims – Ailier)\\n\\n23 Cameron Clark (USA – Chalon-sur-Saône – Ailier)\\n\\n15 Dario Hunt (USA – Nancy – Intérieur)\\n\\nCoaches: Jean-Denys Choulet (Chalon-sur-Saône) et Rémi Giuitta (Fos-sur-Mer, Pro B)\\n\\n\\nConcours de tir à trois points:\\n\\nHeiko Schaffartzik (Allemagne – Nanterre), Klemen Prepelic (Slovénie – Limoges), John Roberson (USA – Chalon-sur-Saône), Rémi Lesca (Paris-Levallois)\\n\\n\\nConcours de meneurs:\\n\\nBenjamin Sene (Nancy), Frank Ntilikina (Strasbourg), Angel Rodriguez (Porto Rico – Cholet), D.J. Cooper (USA – Pau-Lacq-Orthez)\\n\\n\\nConcours de dunks:\\n\\nMicah Downs (USA – Orléans), Abdoulaye Loum (Chalon-sur-Saône), Jérémy Nzeulie (Chalon-sur-Saône), Deonte Burton (USA – Lille, Pro B)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les chiffres-clé du All-Star Game LNB, un record de 15 802 spectateurs attendus"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans son dossier de presse, la LNB a fourni quelques chiffres-clé sur la 31e édition du All-Star Game qui se tiendra demain soir à l’AccorHôtel Arena de Paris.\\n\\n3 la série de victoires, en cours, de la sélection française qui compte 12 victoires pour 13 défaites depuis 1992. Auparavant la formule voulait qu’une sélection de l’Ouest soit opposée à une autre de l’Est sur le modèle de la NBA.\\n\\n6 le nombre de sélections du plus capé des All Star 2016: Alain Koffi (Pau), qui a participé aux éditions 2004, 2007, 2008, 2010, 2014...et 2016\\n\\n8 le record du All Star Game du nombre de tirs à trois points réussis par Hervé Dubuisson, le 06/03/1994 à Tours\\n\\n13 le nombre de caméras installées par SFR Sport 2\\n\\n17 le record du All Star Game du nombre de rebonds réalisé par Andy Fields, le 20/08/1988 à Mulhouse\\n\\n21 le record du All Star Game du nombre de passes décisives réalisé par Andrew Albicy, le 30/12/2015\\n\\n22 l’âge du plus jeune All Star 2016: David Michineau (Hyères-Toulon), né le 6/6/1994; le doyen est Jakim Donaldson (Le Portel), 33 ans, né le 3/6/83\\n\\n31 le nombre d’éditions du All Star Game LNB. Il y a eu deux éditions en 2000, l’une en janvier et l’autre en décembre. C’est la 14e à Bercy / AccorHôtel Arena. Toutes se sont jouées à guichets fermés sauf la première.\\n\\n44 le record du All Star Game du nombre de points réalisé par Yann Bonato, le 25/03/1995 à Pau\\n\\n159 le record du nombre de points marqués par une équipe; celle des All Star Français en 1992 à Gravelines\\n\\n195 le nombre de minutes de la retransmission en direct sur SFR Sport 2\\n\\n218 la taille en centimètres du plus grand All Star, Mustapha Fall (Chalon). le plus petit est DJ Cooper (Pau), 1,83m\\n\\n15 802 le nombre de spectateurs -c’est un record d’affluence pour un match de sport collectif à l’AccorHotels Arena- pour le All-Star Game 2016.\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"ASG : Jeremy Nzeulie remplace Bandja Sy pour le concours de dunks"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Via un communiqué, la LNB vient d’annoncer que Bandja Sy, blessé, ne participera pas au NBA2K17 Dunk Contest et qu’il est remplacé par Jeremy Nzeulie.\\n\\nC’est le deuxième forfait pour le concours de dunks. Après Yakuba Ouattara, c’est donc l’ailier volant de l’ASVEL qui doit, à contre-cœur, renoncer à la grande fête annuelle du basket français.\\n\\nEn pleine forme la semaine dernière, Nzeulie avait offert au Colisée un énorme dunk sur la tête de Paul Lacombe, ce qui laisse présager de bonne chose pour le All Star Game qui aura donc lieu demain jeudi à l’Accorhotels Arena et à partir de 19h30 en direct sur SFR Sport 2.\\n\\n\\n\\n\\nAie aie aie !!! pic.twitter.com/YvQRmAApLP\\n\\n\\n— Jean Denys Choulet (@jdccoach) 25 décembre 2016\\n\\nPhoto : FIBA Europe Cup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Xavier Corosine et DeQuan Jones, les grands oubliés du All-Star Game"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les showmen sont de sortie à l’approche du All-Star Game ! La 13e journée de Pro B a été marquée par deux performances de haut rang hier soir, de la part du Boulonnais Xavier Corosine et du Lillois DeQuan Jones.\\n\\nTriple vainqueur du concours à 3-points au All-Star Game LNB (2011, 2012, 2013), l’ancien sniper de la JSF Nanterre Xavier Corosine s’est rappelé au bon souvenir de Bercy en claquant un incroyable 8/8 à 3 points qui a permis à Boulogne-sur-Mer de décrocher la victoire sur le parquet de Vichy-Clermont (85-96). Les Boulonnais, bons derniers jusque là (4v-9d), évoluaient sous les ordres de leur nouveau coach, Olivier Bourgain (ex-manager général du club), trois jours après l’éviction de Germain Castano, entraîneur de l’équipe première depuis 8 saisons.\\n\\nCette année encore, c’est le magicien allemand Heiko Schaffartzik qui défendra fièrement les couleurs de la JSF et remettra son titre en jeu. Il sera opposé à Klemen Prepelic, Rémi Lesca et John Roberson. Nul doute que Xavier Corosine, 31 ans, aurait été un concurrent de choix, lui qui tourne actuellement à 43,5% dans l’exercice, sa meilleure moyenne sur la saison depuis 2009-2010 (46,6%), en Pro B avec Nanterre, aux côtés d’un certain Evan Fournier (4,5 pts en 12 minutes en moyenne par match).\\n\\nLe résumé du match avec 5 des 8 paniers à 3 points de Xavier Corosine\\n\\nL’autre performance XXL de la journée nous vient du meilleur marqueur lillois DeQuan Jones (17,1 pts par match) qui commence à se bâtir une solide réputation en matière de show-time depuis le début de saison.\\n\\nPassé par le Magic d’Orlando en 2012-2013 (63 matchs disputés, 17 débutés pour 3,7 pts de moyenne), l’ailier américain est doté de qualités athlétiques hors-norme pour la Pro B et en fait profiter le public lillois avec des actions ultra-spectaculaires. S’il n’a pu empêcher la défaite du LMBC hier contre l’épatante formation de Charleville-Mézières (70-76), solide 2e du championnat (10v-3d), DeQuan Jones a livré sa meilleure prestation individuelle cette saison avec 30 points (12/20 au tir), 7 rebonds, 4 passes et quatre contres monumentaux (32 d’évaluation).\\n\\nEn plus de ses quatre scotchs en haute altitude, le n°11 lillois a illuminé la deuxième mi-temps avec trois dunks monstrueux qui ont fait chavirer le Palais Saint-Sauveur.\\n\\nAlors que la LNB a opté pour son coéquipier meneur Deonte Burton pour faire le show demain soir au concours de dunks, DeQuan Jones a confirmé hier qu’il avait tout à fait le niveau pour rivaliser avec Abdoulaye Loum, Micah Downs et Bandja Sy, ce dernier demeurant toujours incertain.\\n\\nLes highlights de DeQuan Jones face à Charleville-Mézières"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Bourg-en-Bresse passe la 5e"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le spectacle a été au rendez-vous pour le choc de cette 13e journée entre les deux meilleures attaques du championnat Bourg-en-Bresse et la Chorale de Roanne. La JLB a confirmé son retour en forme pour conclure le marathon des Journées de Noël avec un nouveau succès probant devant son public (106-90).\\n\\nAprès un départ compliqué (16-25), les Bressans ont répondu de fort belle manière en collant 37 points dans le deuxième quart-temps (53-53). L’axe 1-5 Garett Sim – Youssou N’Doye a tourné en plein régime pour permettre ensuite à la JLB de prendre les devants après la pause et finir en roue libre.\\n\\nL’ancien meneur boulonnais Sim (25 points, 4 rebonds, 7 passes, 28 d’évaluation) a montré son meilleur visage, alternant les shoots décisifs de loin et les services en or pour ses coéquipiers Zachery Peacock (16 pts) et N’Doye (22pts à 8/11 au tir, 14 rebonds, 33 d’évaluation) à l’intérieur. Ce dernier a également marqué la rencontre et les cercles de l’Ekinox de son empreinte en faisant jouer toute sa dimension physique au poste 5 face au MVP en titre Joe Burton, limité à 11 points, à 4/10 au tir, et 10 rebonds hier soir. En sortie de banc, Philippe Braud et Maxime Courby ont enfin apporté de précieux relais pour sceller ce succès collectif.\\n\\n\\n« C’était la meilleure façon de terminer l’année »\\n\\n« On finit bien l’année, se félicite le coach burgien Savo Vucevic (oncle du pivot du Magic Nikola Vucevic). On a fait un match plein, offensif, des deux côtés, et franchement je suis très content de le gagner de cette manière, avec une deuxième mi-temps exceptionnelle. Les joueurs ont eu les ressources pendant 20 minutes pour faire ce qui paraissait difficile en première mi-temps. On sortait d’un déplacement difficile à Poitiers, on n’a pas eu le temps de s’entraîner, il fallait gérer et on a senti ça un peu en première mi-temps, on était pas en jambes, même si on a dû affronter une très bonne équipe de Roanne. Je rends hommage aux joueurs qui ont fait plaisir à un public ravi. C’était la meilleure façon de terminer l’année. »\\n\\nLes Roannais se sont battus jusqu’au bout et peuvent s’incliner sans rougir face à un adversaire euphorique (129 d’évaluation collective), même s’ils concèdent là leur 5e revers sur les 6 derniers matchs. Bourg-en-Bresse enchaîne pour sa part un 5e succès et occupe désormais seul la 3e place (9v-4d), lancé à la poursuite de Charleville-Mézières (10v-3d) et Fos-sur-Mer (12v-1d), également vainqueurs hier.\\n\\nLes réactions audio des entraîneurs Savo Vucevic et Laurent Pluvy ainsi que des joueurs Zachery Peacock, Clément Cavallo, Bali Coulibaly et Julien Desbottes sont à retrouver sur le site officiel de la JLB.\\n\\nLes résultats de la 13e journée :\\n\\nBoulazac – Poitiers : 95-82\\nSaint-Chamond – Le Havre : 62-76\\nRouen – Blois :72-68\\nFos-sur-Mer – Aix-Maurienne : 68-65\\nNantes – Evreux : 68-53\\nVichy-Clermont – Boulogne-sur-Mer : 85-96\\nDenain – Saint-Quentin : 73-65\\nBourg-en-Bresse – Roanne : 106-90\\nLille – Charleville-Mézières : 70-76"
}, 
{"role": "user",     "content":"Un ancien joueur des Cleveland Cavaliers score 74 points en Chine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il y a des chiffres qui sont impressionnants de premier abord mais qu’il faut relativiser. Il en est ainsi de la performance de Jared Cunningham (1,93m, 25 ans) qui joue pour les Jiangsu Tongxi dans le championnat chinois (CBA). Il a scoré 74 points ce soir face aux Fujian Sturgeons.\\n\\nSa performance se décompose en un 15 sur 24 tirs à deux-points, 7 sur 14 à trois-points et 23 sur 29 aux lancers.\\n\\nSon équipe a marqué 124 points mais celle d’en face a fait encore mieux, 148. La vidéo prouve que les défenses étaient pour le moins relax.\\n\\nEn Chine, les Américains sont appréciés comme pistoleros. Ainsi Jared Cunningham affiche 32,4 pts de moyenne mais n’est que le 7e scoreur de la ligue.\\n\\nCunningham a à son actif 84 matches en NBA dont 40 la saison dernière à Cleveland ; il fut coupé de la future équipe championne à la mi-février.\\n\\nLe record dans une ligue professionnelle appartient à l’actuel coach du Mans, Erman Kunter, qui scora 153 points au cours d’un match du championnat turc avec Fenerbahçe contre Hilalspor, en 1988."
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : JR Bremer signe à Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est le CSP qui vient de l’annoncer sur Twitter, l’ancien meneur du Fenerbahce rejoint le Limousin et remplace Zamal Nixon parti en Grèce.\\n\\nNotamment passé par Boston, Cleveland, Fenerbahce ou encore Milan, JR Bremer tournait la saison dernière à 11,3 points, 3,1 rebonds et 6,8 assists en 26 matchs avec le Kanyaspor Kulubu en deuxième division turque.\\n\\nEn Europe depuis la saison 2011/12, le natif de Cleveland compile en moyenne sur le Vieux Continent 8,8 points, 2,2 rebonds et 3,5 passes décisives et va donc connaître sa première expérience en France avec Limoges.\\n\\n\\n\\n\\nL’année 2016 se termine avec une recrue pour le Limoges CSP en la personne de l’expérimenté meneur de jeu « J.R » BREMER pic.twitter.com/gTaZXnDA1a\\n\\n\\n— Limoges CSP (@limogescsp) 28 décembre 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Bryce Cotton rebondit en Australie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir quitté l’Anadolu Efes le 12 décembre, Bryce Cotton (24 ans, 1,86m) vient de trouver un nouveau point de chute pour le reste de la saison puisqu’il rejoint Perth, en Australie, comme le rapporte Sportando.\\n\\nRentré aux Etats-Unis à l’origine pour des raisons familiales, le natif de Tucson avait plus tard exprimé aux dirigeants stambouliotes son désir de ne pas faire son retour en Turquie et de quitter le club suite aux derniers attentats qui ont touché Istanbul.\\n\\nCette saison en Euroleague, Bryce Cotton compilait 8 points, 1,6 rebond et 1,4 passe décisive (5,6 d’évaluation) alors qu’il tournait à 7 points, 1,6 rebond et 2,3 assists en première division turque."
}, 
{"role": "user",     "content":"Milos Teodosic élu à l’unanimité Basketteur Serbe de l’Année"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Milos Teodosic (1,95m, 29 ans) a été élu à l’unanimité Basketteur Serbe de l’Année 2016 par un panel de 31 médias.\\n\\nCette année, le meneur du CSKA Moscou a été sacré champion d’Europe avant de décrocher l’argent aux Jeux Olympiques de Rio avec son équipe nationale.\\n\\nChez les femmes, c’est Sonja Petrovic (1,88m, 27 ans) qui a obtenu le trophée avec 18 voix devant Ana Dabovic, 13 voix. Les deux joueuses ont obtenu la médaille de bronze olympique à Rio."
}, 
{"role": "user",     "content":"Zamal Nixon (ex-Limoges) retourne à Lavrio"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le désormais ex-Limougeaud Zamal Nixon (1,85m, 25 ans) vient de signer au BC Lavrio, actuellement 11e sur 14 du championnat grec. Il s’agit d’un retour puisque le meneur américain a porté le maillot de ce club situé à une soixantaine de kilomètres d’Athènes en 2015-16.\\n\\nZamal Nixon ne laisse pas une grande trace au CSP : 2,9 points (9/23 aux shoots) et 1,4 passe en 9 matches."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le titre de champion d’Europe juniors vu de l’intérieur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce soir du 22 décembre dernier, les juniors français sont devenus champions d’Europe en Turquie. Leur coach Tahar Assed-Liegeon nous raconte de l’intérieur cet Euro U18 avant d’évoquer plus en détail ces Bleuets et leurs deux leaders, Frank Ntilikina, le MVP de la compétition, et Sekou Doumbouya élu dans le cinq all-stars à 16 ans.\\n\\nL’interview est en deux parties.\\n\\nRappelez-nous pourquoi et comment le championnat d’Europe prévu à Samsun, en Turquie, à la fin juillet, avait été reporté ?\\n\\nNous avions véritablement démarré la préparation fin juin après le bac. Tout allait normalement, stages, sélection et nous venions de faire un tournoi à Tarare. On repartait tranquillement chez nous pour se redonner rendez-vous le mercredi 20 à l’aéroport de Roissy pour partir en Turquie car la fédération turque nous avait invités à un tournoi de préparation. Sauf que le samedi matin au réveil, j’ai un collègue qui reçoit un coup de fil de sa famille qui lui dit : « Tu as vu ce qu’il se passe en Turquie ? » C’était le fameux coup d’Etat. La Grèce a réagi assez rapidement en envoyant un courrier à la FIBA en lui disant que les parents se posaient beaucoup de questions. Il y a eu une remise en question du tournoi. La FIBA a été prudente et a attendu la suite des événements. Nous sommes quand même partis en Turquie le 20 pour ce tournoi prévu les 22, 23 et 24 juillet. Et c’est quand nous étions en Turquie que la FIBA a décidé de reporter le championnat d’Europe, soit dans le dernier trimestre 2016, soit tout début 2017.\\n\\n\\n« On a six, sept garçons sur les douze qui s’entraînent complètement avec les pros et d’ailleurs ça se voit dans les progrès qu’ils ont réalisés »\\n\\nCe report a été fait en décembre : certains joueurs, comme Frank Ntilikina, ont-ils été obligés d’interrompre leurs études ou leur parcours en club ?\\n\\nCe ne sont pas vraiment les études qui sont problématiques. Quand l’Euro 18 a lieu l’été, une partie des joueurs sort du Centre Fédéral et les autres sont en Espoirs et commencent à intégrer les pros. En revanche, là en décembre, les garçons avec six mois de plus sont avec des équipes professionnelles et les entraîneurs en ont besoin. On a ainsi six, sept garçons sur les douze qui s’entraînent complètement avec les pros et d’ailleurs, cela se voit dans les progrès qu’ils ont réalisés. C’est vrai que ça pose des problèmes à tout le monde, à la fédération car ça veut dire réorganiser quelque chose qui n’était pas programmé mais aussi aux clubs qui ont des matches de Pro A, de coupes d’Europe. Patrick Beesley (le DTN) m’a bien aidé et on avait fait deux petits regroupements, fin octobre et fin novembre, en accueillant les joueurs le dimanche soir pour ne pas gêner les clubs jusqu’au mardi matin. On avait décidé de ne pas convoquer Frank (Ntilikina) sur ces regroupements car c’était le seul à avoir du temps de jeu conséquent ; le plus important était qu’il vienne à l’Euro. Pour ceux qui s’entraînaient avec les pros mais qui ne jouaient pas vraiment, ça ne les perturbait pas et s’ils avaient un match le dimanche ou le mardi, on faisait un ajustement.\\n\\nÉtati-il impossible de faire venir pour quelques jours Killian Tillie, Jaylen Hoard et Renathan Ona Embo qui sont aux Etats-Unis ?\\n\\nJ’ai eu des contacts avec les familles et avec Killian directement. On se disait pour lui « pourvu qu’il ne joue pas avec son équipe » (sourire). Dès qu’il a eu un peu de temps de jeu avec Gonzaga, on était certain de ne pas l’avoir car ils avaient un planning chargé à Noël (NDLR : Killian Tillie joue 15’ par match pour 4,8 pts et 4,1 rbds). Quant à Jaylen, il avait un examen scolaire durant la période de Noël pour lui permettre de rentrer à l’université. Renathan est à Tulane et lui aussi joue vraiment avec l’équipe (NDLR : 19’ par match pour 4,8 pts à 32,1% aux shoots). C’était impossible de les avoir. Killian et Jaylen étaient passés par le Centre Fédéral, connaissaient bien le groupe, on aurait presque pu le faire mais c’était problématique vis-à-vis de leur université et leur école. Renathan, on ne l’a pas vu depuis un an et demi et ça aurait été de toutes façons compliqué. J’espère qu’il pourra se rendre disponible pour le Mondial.\\n\\nD’autres joueurs étaient-ils absents ?\\n\\nIl y a Nathan Mepandy (1,86m), qui est aussi aux Etats-Unis à la recherche d’une université. On avait beaucoup de monde sur le poste avec Frank Ntilikina, Abdou Ndoye, Bathiste Tchouaffé, Adam Mokoka, etc... donc on n’a pas trop insisté.\\n\\n\\n« En demi, les garçons ont déclaré : « nous voulons garder le titre de notre génération acquis en 2014 avec les cadets. »\\n\\nToutes les autres équipes étaient-elles logées à la même enseigne ?\\n\\nVis-à-vis des joueurs qui sont aux Etats-Unis, oui, mais pas en nombre comme nous. La Turquie, l’Allemagne et l’Espagne étaient dans ce cas aussi. Presque dans toutes les équipes, il y a eu des défections de bons joueurs. J’ai l’impression que les préparations ont été plus faciles dans les petits pays, je parle en surface. Par exemple, en Slovénie, ils sont réunis très régulièrement. Et on le voit car c’est un jeu qui est beaucoup plus abouti, ils ont l’habitude de s’entraîner ensemble. Pareil pour la Lituanie et puis, généralement, ils sont dans deux clubs, c’est plus plus facile de se regrouper. La Russie, elle, a réussi à récupérer deux bons joueurs de plus que cet été. Comme c’était notre premier match, on les a un peu pistés cet été, on avait récupéré des matches d’eux. Ces deux joueurs ont changé leur équipe. Bien sûr, certains ont été perturbés dans leur préparation puisqu’ils ont des joueurs dans des clubs pros.\\n\\nL’ambassadeur de Russie a été assassiné durant votre séjour en Turquie. Avez-vous ressenti de la nervosité sur place ? Avez-vous été inquiet ?\\n\\nL’environnement dans lequel on a vécu pour ce tournoi était très aseptisé. On était éloignés de ce qui pouvait se passer. Dans la rue, en prenant le bus pour aller à la salle, on ne voyait rien, sinon une vie normale dans une ville de Turquie. On était protégés de manière systématique avec des forces de police relativement présentes. Contrairement à d’habitude, le chauffeur de bus et le motard qui accompagnaient étaient les mêmes. La Turquie avait vraiment pris toutes les dispositions pour avoir un maximum de sécurité.\\n\\nJouer un championnat d’Europe dans une salle avec une seule tribune et un public indifférent, alors quece sont les matchs d’une vie pour ces jeunes, est-ce étrange ?\\n\\nVous avez raison. Une fois qu’ils ont réglé tous les problèmes avec leurs clubs, ils sont en compétition et ça devient un événement majeur. C’est très feutré mais il y a du monde dans les tribunes qui concerne leur avenir : des agents, des scouts NBA... Il y a de l’enjeu à tous les niveaux. Le premier objectif que l’on se donnait comme consigne, c’était de se qualifier pour le Mondial. Ce qui voulait dire que l’on avait gagné les quarts, que l’on se retrouvait en demi et là, les garçons ont déclaré : « nous voulons conserver le titre de notre génération, acquis en 2014 avec les cadets. » Ce type d’ambiance se retrouve souvent en FIBA, on n’a pas toujours des tribunes pleines pour voir les compétitions. Je ne connais pas l’environnement basket de cette ville de Samsun. Peut-être qu’il y aurait eu plus d’ambiance dans une autre ville... Si l’on avait joué la Turquie, je pense que les tribunes auraient été pleines et le fait qu’elle ne soit pas passée à la phase haute, ça a contribué à diminuer la présence de gens dans les tribunes. Généralement quand vous jouez devant le pays hôte et surtout en Turquie, la tribune est pleine."
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ancien Nancéien Clevin Hannah rejoint Vilnius"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le club de la capitale lituanienne vient d’annoncer la nouvelle sur son site, Clevin Hannah signe au Lietuvos Rytas pour le reste de la saison.\\n\\nPassé par la France entre la Pro B (Evreux en 2012/13) et la Pro A (Nancy en 2013/14), le natif de Rochester débarque en provenance du Demir Insaat Buyukcekmece où il compilait en moyenne 9,5 points et 4 passes décisives de moyenne en 8 matchs de première division turque.\\n\\nEn LNB (Pro A, Pro B, Playoffs et Leaders Cup confondus), l’ancien joueur de Bilbao tournait en moyenne à 13,8 points, 2,8 rebonds et 3,5 assists pour une évaluation de 13 en 78 matchs.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’agent d’Ante Zizic veut le voir le plus vite possible en NBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Interrogé par SportKlub.rs, le président de l’agence BeoBasket, Misko Raznatovic s’est exprimé sur le futur de sa pépite Ante Zizic qui vient de rejoindre le Darussafaka Dogus en provenance du Cibona Zagreb.\\n\\n« Sa signature avec Darussafaka n’est absolument pas un obstacle à son départ pour la NBA l’année prochaine. Si ça l’était, le transfert n’aurait pas eu lieu. Zizic sera dominant en NBA et je veux le voir là-bas le plus rapidement possible. »\\n\\nEn ce qui concerne l’impact qu’il aura dans sa nouvelle équipe, Raznatovic ne se fait aucun souci.\\n\\n« Quand il était plus jeune, Ante s’est rendu à un entrainement avec Dragan Bender (NDLR : rookie NBA chez les Phoenix Suns) au Maccabi Tel-Aviv et à l’époque, David Blatt avait été plus impressionné par Zizic que par Bender. Peut-être que c’est un peu bizarre de recruter un jeune de 19 ans en plein milieu de la saison et d’attendre un impact immédiat sur le terrain de sa part, mais Zizic est complètement prêt à avoir cet impact et à donner la contribution nécessaire, à la fois mentalement et physiquement. »\\n\\nSélectionné à la 23e position de la dernière Draft NBA par les Boston Celtics, Ante Zizic rejoindra donc surement les Etats-Unis cet été."
}, 
{"role": "user",     "content":"Nancy : méthode Coué ou non, Greg Beugnot croît au miracle"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« Ce soir, on prend des éclats sur des aberrations. Des moments où on n’a plus de lucidité. Ce sont des passages comme ça qui nous coûtent cher. Mais ce qui est rassurant c’est qu’on en a beaucoup moins par rapport à avant. Ce soir, il y a environ 35 minutes où on a produit du bon basket. Il faut désormais travailler pour éliminer ça. Sur le contenu, il y a eu de très bonnes choses. Cela se joue à plein de détails. Ce soir on est parvenu à mettre en difficulté une équipe comme Nanterre. Il faut que les joueurs en soient conscients ! »\\n\\nC’est le commentaire de Greg Beugnot, le coach nancéien, que l’on peut lire sur le site de Nanterre 92.\\n\\nLe SLUC a fait ce que l’on appelle un bon match mais, au bout du compte, il s’est incliné 90-91. A noter les 22 points à 10/15 aux shoots de l’Américain Dario Hunt, conforme à sa sélection au All-Star Game. Mais peu importe : Nancy repart des Hauts-de-Seine sans un indispensable succès.\\n\\n\\nUne impossible course contre la montre ?\\n\\nIl reste 19 matches à jouer et avec 3 victoires seulement, le SLUC est dans une situation d’urgence absolue. Hier, parmi ses concurrents directs, seul Cholet a gagné. Un moindre mal. Seulement de son côté, les Lorrains avancent à la vitesse de l’escargot : une victoire –à domicile- en huit matches face à Orléans. D’ailleurs l’OLB est la seule équipe mal classée contre laquelle le SLUC s’est imposé ; les victoires sur Monaco et Chalon prouvent que les Nancéiens sont à leur meilleur quand il n’y a pas de pression. Tout ceci fait dire à Greg Beugnot dans les colonnes de L’Est Républicain :\\n\\n« C’est le challenge le plus difficile que je me dois de relever depuis que je suis dans le basket. Mais j’ai, en moi, une terrible envie d’y croire... »\\n\\nLe quotidien ajoute pour sa part que « seul un miracle » peut sauver le club de la relégation. Etant donné la valeur de l’équipe lorraine, sa position actuelle et la concurrence qui n’est pas disposée à se laisser faire, on en est presque là."
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet engage Ivan Almeida"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Treizième de Pro A avec un bilan de six victoires pour neuf défaites, Cholet se renforce. Ce mercredi matin, le club du Maine-et-Loire vient d’annoncer la signature d’Ivan Almeida (1,98 m, 27 ans).\\n\\nArrière-ailier de formation, l’international cap-verdien au passeport portugais était sans club en ce début de saison après s’être blessé à la main l’été dernier. Soigné à Lille durant les dernières semaines, le natif de Praia est donc de retour dans le circuit et découvrira la Pro A pour la première fois de sa carrière sous les ordres de Philippe Hervé.\\n\\nVisage connu de la Pro B où il a évoluait durant les trois dernières saisons sous les couleurs de Lille puis de Roanne, le néo-choletais compilait 16,2 points de moyenne, 5,8 rebonds et 2,4 passes pour 15,9 d’évaluation en 30 minutes sur 109 matchs de saison régulière.\\n\\nRedoutable attaquant, l’ancien top scoreur de l’antichambre de la Pro A en 2014/15 (18,1 points de moyenne avec le LMB), apportera toute son énergie et sa polyvalence à son nouveau groupe.\\n\\nParlant couramment le français et possédant le statut « bosman » pour évoluer dans l’élite, Ivan Almeida est engagé jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Dule Vujosevic : «Ce n’est pas facile de travailler à Limoges»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il y a de l’eau dans le gaz entre le coach du Limoges CSP, Dule Vujosevic et son président Frédéric Forte. Pour le comprendre, il suffit de lire les déclarations teintées d’ironie et de dépit du Serbe lors de la conférence de presse qui a suivi la victoire hier soir sur Gravelines et rapportées par France Bleu.\\n\\n« Ce n’est pas facile de travailler ici. On va ajouter deux nouveaux joueurs. C’est le président qui l’a décidé et qui a choisi ces joueurs. Je vais accepter qu’il les choisisse. Mais j’espère qu’il aura une enveloppe plus importante que la mienne pour les recruter ! Pour en savoir plus sur eux ? Demandez au président ! ...\\n\\nDule Vujosevic tacle aussi Claude Bolotny, directeur du centre de formation, qui n’avait pas non plus hésité dernièrement à remettre en cause certains choix du staff des pros.\\n\\n« Je le redis, ce n’est pas facile de travailler ici. Et pas seulement à cause de choses objectives. Certaines choses sont incompréhensibles. Comme la préparation de ce match. Le fait de ne pas avoir 12 joueurs pour s’entraîner avant une rencontre si importante, parce que le directeur du centre de formation préfère donner des vacances aux joueurs espoirs pour Noël, ce n’est pas normal. Je ne pense pas que ces erreurs ont été faites avec de mauvaises intentions ».\\n\\nOn ne s’ennuie jamais à Limoges !\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Zagreb : Luka Zoric pour remplacer Ante Zizic ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sans club depuis le 22 novembre après avoir quitté Seville, Luka Zoric pourrait rebondir au Cibona Zagreb, d’après David Pick, où un spot s’est libéré suite au départ d’Ante Zizic pour le Darussafaka.\\n\\nL’ancien intérieur du Fenerbahce connaît déjà bien la maison pour avoir évolué au Cibona en 2001/02, en 2004 et en 2007/08. En cinq saisons pleines en Euroleague sous les couleurs de Malaga, Fenerbahce et Zagreb, Zoric compilait en moyenne 8,7 points et 3,9 rebonds par match.\\n\\nEn huit matchs de championnat espagnol, le pivot croate tournait cette saison à 12,5 points et 4,7 rebonds pour une évaluation de 11,9 par rencontre avec le Real Betis Energia Plus."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 28 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nGregor Beugnot, après Nanterre – SLUC Nancy (90-81) : « On a fait 35 bonnes minutes »\\n\\n– Gregor Beugnot : S’ils n’ont pas été nombreux, les passages où on fait n’importe quoi nous coûtent cher car on a fait 35 minutes de bon basket. Après... Lire la suite.\\n\\n\\nReprise le 5 janvier pour le SLUC Nancy\\n\\n– Les Nancéiens étaient en vacances hier soir après le match. Si McFadden ne reviendra pas à Nancy (il a signé sa lettre de sortie hier soir après le... Lire la suite.\\n\\n\\nLe SLUC n’est pas passé loin à Nanterre (90-81)\\n\\n– Sans des pannes subites de lucidité, notamment à la fin du troisième quart-temps, le SLUC, qui a affiché ses progrès, aurait pu décrocher la timbale... Lire la suite.\\n\\n\\nNtilikina, le tube de 2017 ?\\n\\n– Fraîchement sacré champion d’Europe avec l’équipe de France U18, Frank Ntilikina a eu droit à un déluge d’applaudissements, avant-hier au Rhenus... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSuperbe victoire collective de Denain face à Saint-Quentin pour cette dernière de2016\\n\\n– La rencontre démarrait à l’avantage des Denaisiens obligeant déjà Jérôme Navier à prendre un temps mort dans l’urgence pour recadrer ses troupes mais surtout pour casser le rythme denaisien: 9-2 (3e). En vain car sous l’impulsion de Poupet, Voltaire confirmait: 16-6 (7e). Bien parti tout cela dans une ambiance des grands soirs d’autant que le turnover engagé par Jean-Christophe Prat n’altérait... Lire la suite.\\n\\n\\nLille a fini par trouver plus fort que lui à Saint-Sauveur!\\n\\n– Avant d’entrer dans le vif du sujet, le Palais Saint-Sauveur, étiré au maximum de sa configuration basket (2 000 personnes dont un car de supporters carolomacériens), a d’abord fêté Deonte Burton, son meneur américain monté sur ressorts, invité à participer au concours de dunk du All Star Game (demain, à l’AccorHôtels Arena de Paris)... et clairement absent hier sur le parquet. Puis a tenté d’enc... Lire la suite.\\n\\n\\nLe grand cru 2016 de l’Elan Chalon\\n\\n– On ne s’étonne presque plus des exploits de l’Elan, comme mardi au Mans (65-74). Et pourtant, être au coude à coude avec Monaco après 15 journées... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nZukauskas n’a pas suffi\\n\\n– En quête de performance, Alain Thinet cherche encore la bonne formule pour permettre au SCBVG d’enchaîner les bons résultats. Dans ce contexte, B.A... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond sens dessus dessous\\n\\n– Largement dominé au rebond par une formation havraise plus athlétique, Saint-Chamond a laissé passer une nouvelle chance à la maison. 2017 sera... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSans briller, mais sans trembler\\n\\n– Les Villeurbannais ont su mettre les mains dans le cambouis pour aller chercher un précieux succès en terre varoise... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRoanne n’a tenu qu’une mi-temps\\n\\n– Après une mi-temps de très bonne facture sans bénéfice comptable, la Chorale, sans défense, a explosé face à une belle équipe de Bourg... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg en patron face à la Chorale de Roanne\\n\\n– La JL en termine avec 2016 en signant une cinquième victoire consécutive. Les Bressans confortent leur place sur le podium avant de partir en... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nMonaco leader intouchable\\n\\n– Monaco est allé s’imposer sur le parquet de l’avant-dernier Orléans (86-61) pour conforter sa place de leader ce mardi... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nProA: Monaco toujours en tête, la lutte pour la Leaders Cup fait rage\\n\\n– Monaco est allé s’imposer sur le parquet de l’avant-dernier Orléans (86-61) pour conforter sa place de leader mardi lors de la 15e journée de ProA tandis qu’on commence à avoir une bonne idée des clubs qui joueront la Leaders Cup en février... Lire la suite.\\n\\n\\nLes équipes féminines du Loir-et-Cher sont en difficultés\\n\\n– Après dix journées de championnat, et avant la reprise le 8 janvier, il reste une seule équipe invaincue\u2009: Joué (RF2). Et deux équipes sans le moindre succès\u2009: la Berrichonne (PNM) et Saint-Sulpice (PNF). Les trois clubs ayant marqué le plus de points sont Barjouville (884) et Fondettes (838) en PNM et Monts (729) en PNF. PNM\u2009: le titre e... Lire la suite.\\n\\n\\nDoumbouya, une première en or\\n\\n– Sekou Doumbouya ne pouvait rêver de meilleur cadeau. Sacré champion d’Europe avec l’équipe de France U18 à la veille de son seizième anniversaire, l’ailier du PB a réalisé un superbe Euro en Turquie avec l’équipe de France dont le capitaine est le Poitevin Bathiste Tchouaffé (1). Si Sekou Doumbouya était hier soir de retour en Pro B sur le parq... Lire la suite.\\n\\n\\nCouac de fin d’année\\n\\n– Boulazac – Poitiers\u2009: 95-82 Le PB termine l’année par une défaite. La faute à un passage à vide dans le troisième quart temps alors qu’il menait bien son match... Lire la suite.\\n\\n\\nUne fin d’année au goût amer\\n\\n– Rouen – Blois\u2009: 72-68 Alors qu’ils semblaient avoir le match en main, les Blésois ont craqué en deuxième mi-temps et se sont logiquement inclinés... Lire la suite.\\n\\n\\n« Ce n’est pas facile à 18 ans »\\n\\n– Ce fut un retour difficile. Trois rebonds et aucun point marqué (0/3 aux tirs) en 14 minutes. Mais Frank Ntilikina, honoré par le Rhénus ce lundi pour... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« On s’en sort bien »\\n\\n– La SIG a conclu l’année 2016 par une victoire en Pro A ce lundi contre Dijon au Rhénus. Avant de se retrouver samedi après-midi pour préparer la venue... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : JR Bremer et Dexter Pittman vers Limoges ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après l’épisode Erazem Lorbek qui devait être mis à l’essai mais qui a finalement été recalé lors des examens médiaux, le CSP s’est remis en quête d’un poste 5 et c’est Dexter Pittman qui serait dans la ligne de mire de Limoges. Mais le club présidé par Frédéric Forte ne s’est pas arrêté là puisque JR Bremer aurait accepté de rejoindre le Limousin.\\n\\nCe sont donc deux gros C.V. qui pourraient arriver dans le club 11 fois champion de France. Bremer a notamment évolué en NBA, en Euroleague ou en Eurocup en passant par notamment Boston, Cleveland, Fenerbahce ou encore Milan. La saison dernière il tournait à 11,3 points, 3,1 rebonds et 6,8 assists en 26 matchs avec le Kanyaspor Kulubu en deuxième division turque.\\n\\nEn Europe depuis la saison 2011/12, JR Bremer compile en moyenne sur le Vieux Continent 8,8 points, 2,2 rebonds et 3,5 passes décisives et il est donc sur le point de connaître sa première expérience en France.\\n\\n\\nPour sa part, Dexter Pittman, au Japon jusqu’à aujourd’hui pour des moyennes de 7 points et 5,7 rebonds avec les Toyama Grouses, il a remporté un titre NBA avec Miami en 2012.\\n\\nPeu utilisé dans sa carrière NBA (6,9 minutes en 50 matchs joués), le Texan compilait 2,3 points et 1,7 rebond.\\n\\n\\n\\n\\nLe Limoges CSP serait sur la piste de Dexter Pittman (2,11 m, 28 ans) champion NBA 2012 avec Miami.\\n\\n\\n— Matthieu Marot (@MatthieuMarot7) 27 décembre 2016\\n\\nEncore des paris risqués pour la formation limougeaude qui pointe actuellement à la 11e place du classement (7v-8d) et qui tente de s’attirer les services de joueurs dont le niveau actuel laisse planer de sérieux doutes.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le public de Pro A et de Pro B va rendre hommage à Pape Badiane"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce soir, l’ensemble des clubs de Pro A et de Pro B vont réserver une minute d’applaudissements à Pape Badiane, décédé accidentellement en fin de semaine dernière.\\n\\nL’ancien international sera inhumé demain aux Ulis.\\n\\nSon dernier club professionnel, le Poitiers Basket 86 publie cette vidéo sur les réseaux sociaux comme un ultime hommage à un homme que chacun aimait avoir comme copain."
}, 
{"role": "user",     "content":"La LNB renoue le contact avec l’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Euroleague a confirmé qu’une réunion s’est tenue le 20 décembre en présence de huit ligues nationales dont la Ligue Nationale de Basket (LNB) représentée par son président Alain Béral. Au programme : la situation actuelle et l’évolution à venir de l’Euroleague et de l’Eurocup.\\n\\nLes instances participantes furent l’ULEB, l’Adriatic Basketball Association, l’Asociacion de Clubs de Baloncesto (Espagne), la Basketball Bundesliga (Allemagne) la Lega Societa di Pallacanestro (Italie), la Ligue Nationale de Basket (France), la Lietuvos Krepsinio Lyga (Lituanie), la Basketball Super League (Russie) and la United Basketball League (VTB). L’Hellenic Association of Basketball (Grèce) et la Polska Liga Kszykowki (Pologne) étaient excusées.\\n\\nCette réunion annonce que l’année 2017 sera certainement fertile en rebondissements et que le basket professionnel français n’a pas forcément l’intention de mettre tout ses œufs dans le même panier comme pour la saison en cours. La LNB est actuellement la seule ligue majeure à ne pas être présente en Euroleague et Eurocup."
}, 
{"role": "user",     "content":"Lorient (NM1) : Un intérieur serbe en renfort"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quinze jours après le départ de Leon Alexander, le CEP lorient vient de mettre la main sur son remplaçant. D’après le Télégramme, Milan Oluic renforce la formation de Nationale 1.\\n\\nCostaud intérieur de 2,10 m pour 110 kg, le Serbe de 32 ans ne remplace pas poste par poste l’ailier canadien mais apportera un solide point d’ancrage dans la raquette.\\n\\nVu en Serbie en ce début de saison 2016/17, le géant a joué deux matchs avec Proleter Naftagas Zrenjanin pour une moyenne de 11 points et 2 rebonds en 16 minutes en deuxième division serbe.\\n\\nPassé par la République tchèque en 2015/16 (7 points de moyenne avec Ostrava), l’expérimenté poste 5 a aussi joué en Slovaquie, Georgie et Roumanie.\\n\\nSous les ordres de Philippe Maucourant, il vivra sa première expérience en France."
}, 
{"role": "user",     "content":"Thaddeus McFadden (ex-Nancy) rebondit au PAOK Salonique"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Libéré par le SLUC Nancy, Thaddeus McFadden (1,88m, 29 ans) a été engagé par l’un des clubs les plus prestigieux du continent, le PAOK Salonique.\\n\\nCeci dit, l’aura du grand rival de l’Aris date un peu car depuis la crise économique qui s’est abattue sur le pays, le PAOK est rentré dans le rang. Il stationne actuellement à la 5e place avec 7 victoires et 5 défaites, loin de l’Olympiakos (12-0) et du Pana (11-1) qui s’entre-dévorent.\\n\\nEn 14 matches de Pro A, Thaddeus McFadden, qui est davantage deuxième arrière que meneur, a compilé 12,4 points (27,6% à trois-points), 1,9 passe et 2,3 rebonds.\\n\\nPhoto : SLUC Basket Nancy"
}, 
{"role": "user",     "content":"Orléans-Monaco: le match des éclopés"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Du côté de Monaco sont absents Brandon Davies, Yakuba Ouattara et Jamal Shuler. Cela voudrait-il dire que les forces sont rééquilibrées entre le leader et Orléans, qui est à l’autre extrémité au classement, 16e ? Les deux équipes s’affrontant ce soir (19h00 sur SFR Sport 2).\\n\\nPas vraiment puisque l’OLB se présente sans Antoine Eito, Jonathan Kazadi, Kyle McAlarney, Antoine Mendy, Marcellus Sommerville, ce qui fait vraiment beaucoup pour une équipe qui n’est déjà pas à la base parmi les plus étoffées de Pro A. Pourtant le coach Pierre Vincent qui reconnaît la valeur de l’opposition veut y croire quand il s’exprime dans La République du Centre :\\n\\n« Monaco est une équipe très impressionnante défensivement. Au niveau athlétique. J’ai vu leurs matches contre Dijon en vidéo dans le bus quand on revenait de Nancy. Et je n’ai pas vu beaucoup d’angles d’attaque. Parce qu’ils sont super intenses, super engagés, ils ont des rotations. Ils ont un effectif énorme avec un potentiel athlétique très impressionnant. » Mais donc... « Ils sont moins forts défensivement aujourd’hui qu’ils ne l’étaient il y a un mois. Après, cela reste une grosse équipe avec des gros joueurs. Mais, le match qu’ils ont fait contre Pau laisse penser que ce n’est pas impossible. »\\n\\nOn verra si cette réflexion qui ne manque pas d’audace est prémonitoire.\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Maccabi Tel-Aviv : Quincy Miller sur le retour"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Victime d’une rupture des ligaments croisés courant juillet, Quincy Miller devait être indisponible entre six et neuf mois.\\n\\nLe Maccabi vient d’annoncer aujourd’hui sur son site que le natif de Chicago est de retour. L’ancien joueur des Nuggets de Denver pourrait donc faire ses débuts avec Tel-Aviv contre le Baskonia jeudi à l’occasion de la 15e journée d’Euroleague.\\n\\nLa saison dernière avec l’Étoile Rouge de Belgrade, Miller compilait 14,1 points, 5,7 rebonds et 1,5 contre de moyenne en C1. Il avait notamment inscrit 24 points, capté 12 rebonds et mis 4 contres dans la défaite de son équipe sur le parquet de la SIG (78-75) le 19 novembre 2015 lors de la sixième journée d’Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Chalon, l’équipe surprise vue par son coach Jean-Denys Choulet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Au centre du terrain d’Antarès, Jean-Denys Choulet, son coach à Roanne et Christophe Le Bouille, son président au Mans portant son maillot 12 au MSB floqué à son nom et encadré. Quelques instants de recueillement puis une longue salve d’applaudissements. Comme partout dans le basket professionnel, la mémoire de Pape Badiane, décédé en fin de semaine dernière à trente-six ans dans un accident de circulation, a été saluée.\\n\\n« J’avais demandé à la personne qui est venue me voir de ne pas me faire prendre la parole car pour moi c’était quelque chose de très particulier », confie Jean-Denys Choulet. « Pape, c’est moi qui l’ais recruté, je l’ai fait venir des Etats-Unis. On a été champions de France ensemble. C’était mon capitaine. Il a passé de longues années chez nous. Sa femme est Roannaise. Je peux vous dire que le 24, quand je suis descendu finir mes courses aux Halles à Roanne, il y en avait beaucoup qui avaient les yeux rouges car c’est quelqu’un qui a laissé énormément de sentiments d’amitié, plus que ça même. C’était le plus gentil des pivots du monde. Et on a eu la chance avec lui, avec le plus petit budget de Pro A, d’être champion de France. Ce sont des souvenirs qu’on ne peut pas nous enlever. J’ai réussi à peu près à me contenir... Mais j’ai trouvé que c’était long à la fin. Pas pour Pape, bien sûr... J’ai dit à mes joueurs que je les remerciais car une victoire ici c’est un hommage que je voulais lui rendre. C’est quelqu’un qui a compté dans ma carrière de coach et qui, encore une fois, était un être droit et gentil. »\\n\\n\\nPeur sur la ville\\n\\nDonc l’Elan Chalon a remporté ce choc au Mans, 74-65. Les Bourguignons ont su d’entrée varier les plaisirs entre un tir en crochet de Moustapha Fall, une pénétration de John Roberson, un trois-points de Lance Harris et... une solide défense symbolisée par un contre de Fall sur un Olivier Hanlan pourtant a priori esseulé.\\n\\nMoustapha Fall (2,18m), c’est un vrai big man comme il y en a si peu en Pro A où les pivots font parfois deux mètres. Avec lui, c’est Peur sur la Ville ! Ce qui a été marquant hier soir, c’est l’obligation faite à ceux qui pénètrent de ressortir la balle pour éviter la bâche. Ça ne se lit pas sur la feuille de stats et c’est pour cela que son impact va au-delà des 8 points (4/5 aux shoots), 8 rebonds et 4 contres que l’on voit à l’œil nu.\\n\\n« Mous c’est l’intimidateur », confirme son coach. « Il suffit de demander aux joueurs s’ils ont envie de shooter quand il est là. En plus on a ajouté son frère de sang comme je l’appelle en la personne d’Abdou (Ndlr : Loum, 2,08m). Je me répète : ce n’est pas quantifiable ce qu’il fait. Dévier les trajectoires, interdire l’accès à la raquette, ce n’est pas dans les lignes que vous voyez. C’est terrible ! J’ai rarement eu dans ma carrière ce sentiment par moment de tranquillité lorsqu’il est là et que je vois les petits meneurs rentrer, je me dis qu’ils vont ressortir. C’est ce qui se produit. Et on n’a pas beaucoup vu non plus les pivots lui shooter sur la tête. On va en profiter pour les quelques mois qu’il va passer avec nous car s’il ne joue pas un jour en NBA ou dans un grand club européen, je n’y comprends plus rien. »\\n\\n\\nLe 11/15 de Cameron Clark\\n\\nDurant ce premier quart d’heure de jeu, tout ce qu’a fait Chalon a été très propre, très efficace. Les Chalonnais étaient installés dans le poste de commandement et pas question de lâcher les manettes. Après treize minutes et demi, ils avaient fait monter la température à +15 (39-14) sur un tir primé de leur intérieur all-star Cameron Clark (1,98m). L’Américain a effectué une démonstration offensive à Antarès : 25 points à 11/15 aux tirs tout en récoltant 9 rebonds pour une évaluation de 31.\\n\\n« Il est à vingt-cinq points, c’est sa moyenne », constate Jean-Denys Choulet. « Il a vingt-et-un point à la mi-temps. Il ne faut pas lui demander de refaire vingt-et-un derrière où alors c’est Jordan. C’est un bon joueur, je le savais. C’est un petit poste 4 bondissant et en plus il commence à mettre une flèche de plus dans son carquois, il est capable de mettre des tirs à trois-points, il le travaille tous les jours. S’il devient fiable à trois-points, ça va être dur de l’arrêter. »\\n\\n\\nUn banc limité\\n\\nPiqué au vif avec un Lahou Konaté tranchant, le MSB est revenu à la charge. L’avance à la mi-temps avait fondu (38-36). Curiosité des chiffres, l’évaluation était pourtant autrement plus disparate, 55-31.\\n\\n« C’est le basket », commente le coach chalonnais. « On n’est pas du foot où l’on peut garder la balle. Il faut shooter au bout de vingt-quatre secondes. Quand vous shootez et que vous marquez l’écart augmente, si vous les manquez l’équipe revient, c’est aussi simple que ça. Si on pouvait maintenir un écart de quinze points à tous les matches les spectateurs n’auraient pas besoin de venir. »\\n\\nL’Elan repose essentiellement sur six joueurs et n’est donc pas meublé comme les équipes qui font la Basketball Champions League. Zeke Marshall n’a pas grand chose d’autre à proposer que ses 2,13m.\\n\\n« On a encore des joueurs à mettre dedans qui n’arrivent pas encore à se trouver mais tant que l’on gagne et qu’ils donnent cinq ou six minutes de rotation à Mous Fall sans trop trouer ça me va bien. »\\n\\n\\nMalgré la série de Giordan Watson\\n\\nC’était un match d’hommes avec deux équipes qui se regardent les yeux dans les yeux et à un moment Mickaël Gelabale a rappelé à tous qu’il était il n’y a pas très longtemps dans le cinq majeur de l’équipe nationale. Mais le MSB n’a jamais pu réellement détraquer le jeu bourguignon, mené de main de maître par John Roberson, et jamais n’est passé devant.\\n\\nUn trois points in your face de Jérémy Nzeulie et un autre symétrique de John Roberson ont décramponné de nouveau les Manceaux (63-49, 33’). Une série de tirs primés du petit meneur Giordan Watson (1,75m) a redonné espoir au MSB, mais Chalon avait une classe au-dessus. Anecdote : l’Elan dû attendre la 39e minute pour obtenir son premier lancer.\\n\\n« Ce n’est pas le plus joli match que l’on est fait mais on sait que lorsqu’on joue contre Le Mans, il faut ferrailler et parfois passer un peu sur l’esthétique. On a été assez sérieux en défense, on les a bloqués à 65 points mais où ils sont durs à jouer ce n’est pas sur leur attaque mais au niveau du rebond. J’ai insisté sur le blocage au rebond et le jeu low post en particulier avec (Ryan) Pearson et Gelabale. On a mis un peu de temps à s’adapter et après, tous les paniers qu’ils nous ont mis quand ils sont revenus c’est soit sur des pertes de balles soit sur des rebonds offensifs. On a bien tenu le choc. C’était important de bien confirmer notre bon début de saison. »\\n\\n\\n10 victoires en 11 matches\\n\\nC’était la 10e victoire en 11 matches des Chalonnais –seul dans la série Gravelines les a fait chuter-, très solides dauphins de Monaco. Une énorme confiance semble les habiter. La greffe de défenseurs (Mous Fall, Jérémy Nzeulie, Gédéon Pitard) a complètement prise sur cette équipe jugée depuis plusieurs années exclusivement offensive. Deuxième attaque et troisième défense, c’est un excellent combiné. Comme par hasard, seul Monaco fait mieux.\\n\\n« On oublie que l’on est neuvième masse salariale. Je connais les raccourcis que l’on peut faire : si on ne finit pas dans les trois premiers, on aura fait une mauvaise saison. Faire un bon début ça a aussi ces inconvénients... Si on peut démarrer fort et finir fort, c’est très bien. Je suis content car on a quand même rapporté des pièces à l’effectif en particulier Abdou qui n’apporte pas énormément mais qui ne troue pas. Il fait des erreurs de jeunesse mais il est là en défense. Ça fait une présence sur le terrain qui est importante. Personne ne rigole quand il est dans la raquette. Je les vois, ils traversent la raquette, ils ressortent mais ils n’ont pas le sourire. Je pense qu’on y est un peu pour quelque chose. John a été encore une fois précieux dans le money time même si le meneur en face a mis des gros, gros tirs à trois car franchement il en a mis deux, je ne sais pas d’où ils viennent. En plus avec sa mécanique de shoot qui est vraiment très particulière. Ce n’est pas à montrer dans les écoles mais c’est efficace. »\\n\\n\\nLe coup de gueule de JDC\\n\\nPour clôturer la soirée, Jean-Denys Choulet a poussé son petit coup de gueule coutumier. Sa cible : le calendrier sachant que la trêve de la Pro A ne correspond pas exactement à celle des Coupes d’Europe.\\n\\n« Honnêtement, on en a besoin. Avec la FIBA Europe Cup, même si ce n’est pas la plus reluisante des coupes d’Europe, aller en Suède, en Roumanie, en Turquie, ce n’est pas de tout repos. En plus, moi j’ai le bonheur et le malheur entre guillemets de coacher le All-Star Game, ce qui veut dire un jour et demi de repos avant et un jour et demi de repos après. J’ai cinq joueurs de l’équipe qui y sont. C’est compliqué. Ma mère pensait que je pourrais lui faire un petit coucou à Besançon, ben non. On va essayer de donner un peu de jours aux joueurs car franchement ils en ont besoin. Les Journées de Noël, franchement, c’est trop. On n’a pas besoin de ça pour remplir les salles, elle l’est toujours la notre. Si on était venu en bus, ils les auraient ouverts quand les paquets ? Il faut être sérieux dans la vie. Il faut être respectueux des joueurs, ils ont droit de partager au moins une fête en famille. Nous, on s’entraîne le premier puisqu’on joue le 4. J’adore mon métier mais il y a quand même un minimum à respecter. Il y a des choses qui sont en place dans les conventions collectives, que l’on doit donner six jours à nos joueurs, et que l’on ne peut même pas respecter. J’aimerais, mais je ne peux pas. »\\n\\nBon, Jean-Denys Choulet et ses joueurs ne sont pas non plus les damnés de la terre. Alors le coach tempère son commentaire pour sa sortie :\\n\\n« Après, si on continue à gagner des matches et que l’on n’a pas de congés, ce n’est pas grave. »\\n\\nPhoto : FIBA Europe Cup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Paul  Lacombe : «La fatigue explique beaucoup de choses»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vainqueur à l’arraché de Dijon après deux défaites de rang, Strasbourg s’offre une victoire compliquée face à la JDA mais une victoire importante dans la course à la Leaders Cup puisque la SIG est 8e du classement (8v-7d).\\n\\nAuteur d’un match correct avec 9 points, 5 rebonds et 1 assist (12 d’éval), Paul Lacombe est revenu après le match sur l’état de fatigue qui touche les Strasbourgeois due à l’enchaînement des matchs.\\n\\n« Ce soir, la fatigue explique beaucoup de choses. Plusieurs joueurs et moi notamment, ont demandé le changement alors que ce n’est pas habituel. Dijon est revenu fort avec des shoots difficiles mais je pense qu’on a fait un match sérieux dans l’ensemble même si on s’est fait peur sur la fin. On va retenir la victoire, car on savait que ce ne serait pas facile. On a mis beaucoup de temps à nous adapter à la zone car faute de temps, on n’a pas beaucoup travaillé cette attaque. Avec l’enchaînement des matches et des jours de repos que le coach nous laisse pour garder un peu de fraîcheur, on s’entraîne moins. C’était une victoire nécessaire pour rester en course pour la Leaders Cup. Le break qui vient va nous permettre de reposer les jambes, le deuxième, après Ténérife, nous permettra de penser à autre chose, de reposer la tête... »\\n\\nMême discours du côté de Vincent Collet qui déplore le manque de repos mais qui salue néanmoins la victoire de son équipe.\\n\\n« Je sentais aussi et surtout qu’on manquait d’énergie. Ça peut arriver aux équipes qui, comme nous, jouent quatre matches en une semaine. J’apprécie la victoire, car on a été courageux en allant la chercher et on a montré beaucoup de caractère pour faire l’essentiel. Je la prends avec bonheur car j’imagine ce qu’aurait pu être une défaite pour la suite... Autant Monaco et Chalon, c’était plus normal, là, ça nous aurait compromis la Leaders Cup. Cette victoire nous permet d’être dans le bon wagon. Ce petit break va nous permettre de retrouver du peps avant de reprendre le travail. »\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 27 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nLes espoirs du SLUC Nancy en danger à Nanterre\\n\\n– Sans Govindy une nouvelle fois blessé, mais avec le retour de son champion d’Europe Bastien Vautier, les espoirs de Pierre Verdière s’attendent à un... Lire la suite.\\n\\n\\nNanterre sur ses gardes avant de recevoir le SLUC Nancy\\n\\n– Après une facile victoire en Israël (55-73) il y a une semaine dans une Coupe d’Europe qui n’a que le nom, la JSF Nanterre, qui n’a pas joué à... Lire la suite.\\n\\n\\nPro A : Le SLUC Nancy se rend à Nanterre en pensant à 2017 (ce mardi à 20 h)\\n\\n– Pour finir l’année, le SLUC se déplace à Nanterre, troisième de Pro A et réputé pour son jeu d’attaque flamboyant. En attendant l’arrivée de renforts... Lire la suite.\\n\\n\\nCharles Kahudi de nouveau arrêté\\n\\n– Opéré le 5 septembre de la cheville droite Charles Kahudi avait retrouvé la Pro A le 10/12 à Chalon. Mais il vient d’être de nouveau arrêté, pour au... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTrophée coupe de France : le BesAC face à un ogre\\n\\n– Qualifié pour les 32e de finale du Trophée Coupe de France après son succès à Salins, le BesAC n’a pas été verni au tirage. Les Doubistes... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nEKINOX EXPRESS\\n\\n– Hier, il restait moins d’une centaine de places à vendre à Ekinox. Les supporters de Roanne feront le déplacement en nombre... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nU17 interrégions : Salins connaît ses adversaires\\n\\n– Les U17 de Salins-les-Bains ont bouclé l’année en beauté en étant invaincus et en se qualifiant pour le championnat inter-régional qui débute... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Il faut se focaliser sur nous, sur ce qu’on doit faire »\\n\\n– Laurent Pluvy Coach de Roanne... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Asvel est prévenue\\n\\n– Battue le 25 août à Prissé (66-83 sans quatre pros) puis le 28 septembre en coupe de France dans le Var (83-80 pour le HTV, qui mena 60-40 à quatorze... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Pape Badiane, un personnage, une référence... ! »\\n\\n– TRaphaël Gaume, directeur sportif de la Chorale... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPas encore l’heure des vacances\\n\\n– La pression est incontestablement sur les épaules bressanes. Mais une ultime rencontre avant les vacances peut réserver bien des surprises alors... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond veut entretenir la flamme\\n\\n– Relancé par sa victoire à Aix-Maurienne, Saint-Chamond tentera de confirmer à domicile face à un adversaire qui s’affirme dans la première moitié du... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg veut finir le boulot\\n\\n– Les Bressans peuvent terminer l’année 2016 avec un mois de décembre presque parfait. À condition de gagner ce soir devant la Chorale de Roanne... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLang : « Ne pas faire n’importe quoi »\\n\\n– Très énervé à la fin du match contre Le Mans, l’arrière villeurbannais regrette les sautes d’humeur de son équipe. Mais reste convaincu qu’elle peut... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPro A: Chalon s’impose au Mans, Strasbourg se reprend\\n\\n– Chalon-sur-Saône, deuxième, n’a pas tremblé au Mans (74-65) dans le choc du haut de classement, tandis que Strasbourg a renoué avec la victoire contre Dijon (68-66), lundi en ouverture de la 15e journée de Pro A... Lire la suite.\\n\\n\\nDéols veut se maintenir pour mieux construire\\n\\n– Si Déols ne carbure pas au même rythme que son voisin étrechois (lire NR du 23 décembre 2016), l’équipe pourrait bien atteindre le même objectif\u2009: le maintien au troisième échelon régional. Ce serait un petit exploit pour la formation repêchée au dernier moment alors qu’elle avait été constituée pour évoluer au niveau d... Lire la suite.\\n\\n\\n» On se porte bien «\\n\\n– La trêve hivernale est l’occasion de faire le point avec la présidente du comité départemental, Nathalie Moreau, sur la santé du basket dans l’Indre... Lire la suite.\\n\\n\\nFinir l’année en beauté\\n\\n– Avant de profiter d’une semaine de vacances, les basketteurs blésois doivent finir le travail, ce mardi à Rouen, face à une équipe mal classée... Lire la suite.\\n\\n\\nPape Badiane laisse un grand vide\\n\\n– Le décès tragique de Pape Badiane laisse ses amis poitevins sous le choc. Ex-partenaires et entraîneurs rendent hommage au géant au grand cœur... Lire la suite.\\n\\n\\nPar un trou de souris\\n\\n– Longtemps dominateurs, mais fatigués par l’enchaînement des matches, les Strasbourgeois ont souffert, hier soir au Rhénus, face à la JDA Dijon pour... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nando De Colo en grande forme pour son retour"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur le carreau depuis mi-novembre, Nando De Colo effectuait son grand retour ce lundi soir en VTB League face à Krasnoïarsk.\\n\\nEn 22 minutes de jeu, l’international français n’aura pas chômé. Avec 19 points (12/12 aux lancers), 6 rebonds, 2 passes décisives et 3 interceptions pour une évaluation de 24 dans la victoire de son équipe, De Colo a terminé meilleur joueur de la rencontre.\\n\\nBonne nouvelle pour le CSKA qui restait sur une défaite en prolongation face au Fenerbahce (95-79) lors de la 14e journée d’Euroleague et qui a dû faire sans son MVP pendant 12 matchs."
}, 
{"role": "user",     "content":"Gravelines se donne un mois pour trouver son prochain coach"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le BCM Gravelines-Dunkerque est en recherche active d’un nouveau coach pour la saison prochaine. C’est ce que Hervé Beddeleem, son directeur exécutif, a confirmé à La Voix du Nord :\\n\\n« On aimerait un coach qui connaisse bien le championnat et fasse confiance, autour d’un pool fort, à des jeunes. Il faut s’appuyer sur le centre de formation. Il faut être fixé fin janvier pour préparer la suite. On aura le choix, beaucoup sont intéressés, même Claude Bergeaud a écrit... »\\n\\nL’actuel coach, Christian Monschau, 58 ans, est en poste depuis 2008. Son frère aîné Jean-Luc avait tenu la barre de 2000 à 2004."
}, 
{"role": "user",     "content":"ASVEL : Charles Kahudi de nouveau à l’arrêt"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le site lyonnais Obuzzer informe que Charles Kahudi est de nouveau indisponible pour une durée indéterminée. Il n’est donc pas du déplacement à Hyères-Toulon.\\n\\nOpéré le 6 septembre à la cheville, l’ailier Villeurbannais a effectué un retour éphémère de trois matches.\\n\\n« L’inflammation étant importante, nous avons décidé de lever le pied car nous n’avons pas envie qu’il joue sur une jambe », a indiqué le coach JD Jackson. « Il va repartir en rééducation pour au moins deux semaines. Il se peut que ce soit plus ou moins long, c’est le staff médical qui jugera. Mais cette fois, nous allons y aller mollo. Je veux voir Charles en confiance à l’entraînement. Il doit me convaincre qu’il est rétabli avant de le relancer en match.»"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nando De Colo de retour avec le CSKA Moscou"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nando De Colo effectuera son retour aujourd’hui en VTB League avec le CSKA Moscou contre le BC Enisey Krasnoyarsk, une équipe que le club de la capitale a battu dans le passé à 23 reprises pour une seule défaite.\\n\\nLe Français aura manqué 12 matches à cause d’une blessure à la cuisse.\\n\\nEn VTB League, Nando De Colo tourne à la moyenne exceptionnelle de 21,0 pts –le deuxième marqueur de l’équipe Milos Teodosic est à 13,3pts-, 65,4% de réussite aux shoots, et 6,7 passes pour 27,7 d’évaluation."
}, 
{"role": "user",     "content":"Coach des Brooklyn Nets, Kenny Atkinson, déclare son amour à la France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On savait que l’actuel coach des Brooklyn Nets Kenny Atkinson, 49 ans, a effectué une très longue carrière en France, principalement en Pro B : Montpellier, Golbey-Epinal, Mulhouse, Nantes, Evreux et de nouveau Nantes, de 1999 à 2004, et qu’il avait enchaîné comme assistant pendant deux saisons au Paris Basket Racing.\\n\\nCe que nous apprenons dans le quotidien L’Equipe du jour, c’est que Kenny Atkinson est vraiment tombé amoureux de la France durant son séjour :\\n\\n« À Montpellier, on a eu un joueur complètement fou: Jean-Marc Kraidy. C’était le Dennis Rodman français il y a vingt ans ! J’ai eu une expérience complètement folle au niveau de la culture, de la vie quotidienne. Si je peux, je veux avoir une maison en France à ma retraite. Ma grand-mère était canadienne avant de venir vivre dans le New Hampshire, et sa langue maternelle, c’était le français. »\\n\\nLe coach des Nets est intarissable quand le journaliste évoque les acteurs présents et passés du basket français. Il se dit être en contact régulier avec Antoine Rigaudeau, assure que l’assistant du Mans, Alexandre Ménard, qui a été accueilli en ligue d’été est un « super mec », et fait un clin d’œil appuyé à Jacques Monclar.\\n\\nAvant d’être un coach de haut niveau, reconnu par la plus grande ligue du monde –il fut auparavant assistant aux New York Knicks et aux Atlanta Hawks-, Kenny Atkinson n’a pas été un basketteur américain lambda qui vit de McDo, les écouteurs sur les oreilles et qui ne rêve que du break de Noël pour retourner dans son pays :\\n\\n« Je n’ai pas été un grand joueur comme Frédéric Fauthoux (actuel entraîneur du Paris-Levallois) à l’époque où j’évoluais en France, parfois en Pro B. Mais je crois que, dans les plus petits clubs où je suis allé, quelque chose s’est passé. Après le match, j’étais toujours là pour prendre un verre avec les VIP, je parlais avec les gens. J’aimais ça ! Et j’imagine que les fans ont apprécié cela. Je suis tombé amoureux de la culture en France et je me suis plongé dedans. Boire un verre avec les gens, prendre un café, discuter après le match »."
}, 
{"role": "user",     "content":"David Michineau (Hyères-Toulon) au All-Star Game, Abdoulaye Loum (Chalon) au concours de dunk"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite au forfait de Yakuba « Billy » Ouattara (Monaco), qui souffre d’une élongation, le meneur David Michineau (1,91m, 22 ans, Hyères-Toulon) obtient sa première sélection pour le All-Star Game qui va se tenir ce jeudi à l’AccorHôtel Arena de Paris.\\n\\nPaul Lacombe (1,95m, 26 ans, Strasbourg) en profite quant à lui pour intégrer le cinq de départ.\\n\\nEnfin, c’est le Chalonnais Abdoulaye Loum (2,09m, 25 ans) qui participera au concours de dunk à la place de Billy Yakuba Ouattara qui en est le double tenant."
}, 
{"role": "user",     "content":"Nicolas De Jong (Châlons-Reims) dans le rôle du parfait sixième homme"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le principe du 6e homme, c’est... de ne pas entrer dans le cinq de départ. C’est ce qu’a fait l’intérieur de Châlons-Reims Nicolas De Jong face à Hyères-Toulon puisque Alex Young et Tyler Cain lui ont été préférés. D’ailleurs cinq joueurs ont passé davantage de temps sur le terrain que le Franco-Néerlandais.\\n\\nCela n’a pas empêché Nicolas De Jong de profiter pleinement des 24 minutes disponibles –son record de temps de jeu de la saison- plantant 27 points à 8/11 aux tirs du champ et convertissant 10 de ses 12 lancers, contribuant largement à la victoire de Châlons-Reims, 80 à 75.\\n\\nL’international néerlandais a ainsi été élu DLSI Sixième Homme de la semaine.\\n\\nA noter que De Jong est déjà entré quatre fois dans le cinq majeur notamment trois fois sur les quatre matches précédents.\\n\\nhttps://twitter.com/DLSIxiemehomme/status/813338763405496320?lang=fr"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le grand espoir croate Ante Zizic vers Darussafaka"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Rien n’arrête l’appétit des nouveaux riches turcs du Darussafaka Istanbul. Ceux-ci sont en négociations avancées avec le Cibona Zagreb pour enrôler Ante Zizic (2,11m, 115 kg, 19 ans). Le grand espoir croate n’a pas fait aujourd’hui le voyage avec l’équipe stambouliote qui joue à Bar en Ligue Adriatique.\\n\\nSélectionné par les Boston Celtics à la 23e place de la dernière draft NBA, Ante Zizic avait décidé de continuer à jouer au moins une saison en Europe. Il a été nommé MVP de la 12e journée de la ligue adriatique suite à une énorme évaluation de 43 (35 points à 13 sur 16 au tir, 12 rebonds) obtenu contre KK Mega Leks."
}, 
{"role": "user",     "content":"Aaron Cel (Gravelines) à l’arrêt pour 6 à 8 semaines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le BCM Gravelines annonce sur son site que l’intérieur Franco-Polonais Aaron Cel sera absent pour une durée de 6 à 8 semaines.\\n\\nUne opération est nécessaire suite à sa blessure à la cheville.\\n\\nAaron Cel (2,03m, 29 ans) tourne à 7,3 pts et 4,2 Rbds en 11 matches."
}, 
{"role": "user",     "content":"Chalon a repris son élan"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Elan Chalon va ponctuer l’année 2016 par un déplacement ce soir au Mans (sur SFR Sport 2 à 20h30).\\n\\nSon président Dominique Juillot vient de tracer un bilan du premier trimestre de compétition sur info-chalon.com. Il est forcément excellent puisque l’Elan est deuxième du classement en Pro A, à une seule victoire de Monaco, et poursuit sa route avec aisance en FIBA Europe Cup (premier du Groupe K avec deux victoires en deux journées).\\n\\nDominique Juillot s’avoue surpris car l’effectif de cette saison est sans doute moins rutilant que le précédent mais la bonne alchimie en fait une meilleure équipe, qui sait attaquer ET défendre. Avec John Roberson, les Bourguignons possèdent l’un des deux meilleurs meneurs de Pro A –l’autre c’est D.J. Cooper de Pau- et avec Moustapha Fall (2,18m), un poste 5 atypique pour notre championnat national et qui à 24 ans est en forte progression (11,4 pts et 8,9 rbds).\\n\\n« Ce que je n’avais pas perçu, c’était la capacité de Fall à dominer comme il domine sous le cercle. C’est vrai qu’il y a longtemps que je crois en ce garçon. Ce qui est incroyable c’est qu’on ne nous parle plus de Booker qui a quand même terminé MVP de la saison. Cette équipe de l’Elan est composée de joueurs qui sont en train de se révéler...»\\n\\nDominique Juillot insiste sur le fait que la pérennité de l’Elan Chalon n’a rien d’évidente étant donné la taille de la ville (45 000 habitants, 135 000 pour l’aire urbaine) :\\n\\n« Vingt ans de Pro A, c’est le travail de tout le monde pour être dans la première partie du classement. Ce n’est pas banal, c’est même plutôt extraordinaire et pourtant on est toujours obligé de prouver. Il ne faut pas que le banal soit un échec. Chalon-sur-Saône c’est la deuxième plus petite agglomération du championnat, ce sont les plus petites subventions, pour un budget de plus de 5 millions d’euros. Je n’ai changé que trois fois d’entraîneur. Jean-Denis Choulet est en train de prouver que l’on est capable de défendre, quand l’année dernière on brillait dans la raquette adverse. Le recrutement qui a été réalisé est opportun. On est crédible et on veut le rester. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le jour où l’étoile Hervé Dubuisson illumina le All-Star Game 1994"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Jeudi 29 décembre se tiendra le All-Star Game 2016 à l’AccorHôtel Arena de Paris.\\n\\nL’événement date en France de 1987 et l’édition de 1994 est considérée comme la plus réussie de toute. Par la grâce d’Hervé Dubuisson, le public de Tours et les téléspectateurs de France 3 virent des étoiles plein les yeux.\\n\\nSport Dimanche sur France 3, ce 6 mars 1994, en direct de Tours. Le basket français est en pleine forme. Il faut y voir l’effet Dream Team conjugué à un contrat qui assure la couverture de plusieurs matches sur le service public dont ce All-Star Game. Les meilleurs joueurs français sont tous sur le territoire et la Pro A compte quelques pépites américaines, telles que le Villeurbannais Delaney Rudd, le Limougeaud Michael Young et l’Antibois David Rivers.\\n\\n\\nAll-Star game ou « Gala des Etoiles » ?\\n\\nLe public a été invité à élire les joueurs par le biais d’urnes disposées dans les salles, de bulletins à découper dans le journal L’Equipe et le mensuel Maxi-Basket, et en se servant d’un outil qui fait la fierté de la France, le minitel. Sur 15 932 exprimés, Michael Young a devancé Antoine Rigaudeau et Stéphane Ostrowski.\\n\\nLes Brioches Pasquier et la bière sans alcool Buckler sont les parrains de la retransmission. André Garcia présente le match à l’américaine avec une casquette « Basket Pro » sur la tête, mais son compère de la chaîne, Patrick Montel, assène : « pas le droit de dire le All-Star Game, c’est le gala des étoiles. »\\n\\nChômeur l’été précédent suite à une brouille avec le Racing Paris, embauché par Sceaux coaché par un novice à ce niveau, Alain Weisz, Hervé Dubuisson, 36 ans accompli, est alors le troisième meilleur marqueur français avec un rythme de 19,4 points par match. La salle Robert-Grenon déborde de fans et Dub y a ses repères : cinq ans auparavant, il y a planté 55 points contre le TBC. Son record en carrière et pour un Français en LNB.\\n\\nQui est Hervé Dubuisson ? Le plus doué de toute une génération de basketteurs français et peut-être même de toutes les précédentes. Un shoot sorti d’un précis technique, des dons de jumpeur, d’équilibriste, d’imagination et de showman, une capacité à démultiplier les points, et encore plus avec l’apparition de la ligne à trois-points en 1984. Un type charmant, cool, simple. Ses défauts ? Une certaine nonchalance, et quand on a autant de talents, forcément, l’exigence est extrême. Formé à la dure école de Denain, Dub est ensuite allé gagner deux titres de champion de France avec Le Mans, mais ses choix de carrière sont ensuite douteux et il ne gagnera plus de trophées collectifs.\\n\\nA l’inverse, Hervé Dubuisson est l’homme de tous les records individuels dans le basket français : précocité en équipe de France (16 ans et 9 mois), nombre de sélections (259), de points, sur une carrière, dans une saison, sur un match, etc.\\n\\n« Les Blancs savent aussi faire le spectacle »\\n\\n\\nPrécocité, longévité\\n\\nDub se retrouve en défense sur Don Collins, et prend un dunk sur la tête signé José Vargas. Mais le voilà très vite dans le rythme et il donne l’avantage au clan français sur une passe de Rigaudeau. Il ne pense pas qu’à sa pomme puisque, sur une contre-attaque, il sert admirablement Jim Bilba. Showtime.\\n\\nMais, c’est essentiellement à trois-points qu’il illumine Robert-Grenon. Le voici atteignant la cible d’un shoot à neuf mètres en déséquilibre. « Je l’adore » lâche André Garcia. « Moi aussi. Trente-sept ans » rappelle Patrick Montel, qui prophétique ajoute : « on va demander à la presse d’élire le meilleur joueur du match, je ne voudrais pas lui porter la poisse, mais Dubuisson est parfaitement parti. »\\n\\nSous bien des aspects, Dubuisson était en avance sur son temps, mais il regrette les déviances observées en ce début des années quatre-vingt-dix dues à l’intoxication télévisuelle en provenance de la NBA. « Il existe de moins en moins de shooteurs comme moi », dira t-il à la fin du match. « Les jeunes qui jouent dans la rue ne pensent que défi physique, un contre un, dunks, sans jamais penser à travailler leur tir extérieur. Ils ne comprennent pas que c’est justement en étant capables de tirer à 6 mètres qu’ils pourront pénétrer vers le panier car les tirs extérieurs permettent d’écarter les défenses. »\\n\\nBoom ! Boom ! Boom ! Skeeter Henry ne voit que du feu. Ils en rigolent ensemble. Patrick Montel s’enhardit : « Je ne sais pas si Gomez, l’entraîneur de l’équipe de France, va avoir envie de rappeler Dubuisson, mais vraiment, quel marqueur ! » Attaque suivante, il plane sur la tête de David Rivers. « Ça ne se fait pas, mais j’ai déjà écris Dubuisson sur mon bulletin de vote pour le joueur du match, » avoue Montel à la cantonade.\\n\\nMenée un temps 65-81, la sélection française revient à la charge. Nouveau trois-points de Dub qui défie les lois de l’apesanteur. André Garcia vient d’adhérer au fan club : « cet homme-là est génial. » Feinte de shoot, passe à Forte seul dans le coin. Trois points. Et Boum encore ! Dub frappe à neuf mètres. Le public est aux anges. « Le concept du all-star game comme on dit dans les sociétés de marketing est en train de prendre forme » analyse Montel.\\n\\nPénétration de Dubuisson, feinte de shoot, et passe décisive à Marc Mbahia. Dernière action, balle de match aux Français. Dub est isolé, joue le un-contre-un. Fingers rolls. La balle rebondit sur le cercle, touche le plexis, puis deux fois encore le cercle. Et ressort.\\n\\nPersonne n’en veut au héros du jour qui est naturellement élu meilleur joueur du All-Star Game après avoir convertit 8 de ses 11 shoots à trois-points pour atteindre un capital de 30 points, et qui lance : « les Blancs savent aussi faire le spectacle » et encore : « c’est vrai, j’ai pris des shoots difficiles et je les ai réussis. Mais la semaine dernière en championnat, contre Montpellier, j’ai tenté des shoots propres qui ne sont pas rentrés. C’est aussi ça, la condition de shooteur. »\\n\\n« Ce match n’était pas mon jubilé et d’ailleurs je compte bien battre les records de longévité. J’arrêterai quand on m’arrêtera sur le terrain. C’est ma passion, ma vie. Je sais que tout ça s’achèvera un jour et que je ressentirai un énorme manque. Mais quand je joue comme ça, pensez-vous que je doive m’arrêter ? »\\n\\nBien sûr, Hervé Dubuisson ne s’arrêtera pas du jour au lendemain, et chipera à Alain Gilles le record de saisons en première division. Son jubilé, il le fêtera, alors qu’il était déjà coach de Montpellier, lors d’un match officiel contre Besançon pour une 25e saison et scorera 30 points ! Pas tout à fait la ligne d’arrivée. Deux ans plus tard, Dub jouera encore quatorze matches, propulsant sa marque personnelle et nationale à vingt-six saisons. On marchera sur Mars que ce record ne sera pas battu.\\n\\n\\nInterview Hervé Dubuisson\\n\\n\\n« Le plus beau trophée de ma carrière »\\n\\nEn 2001, un grave accident de moto a interrompu sa carrière de coach et nécessité une longue rééducation. A 56 ans, Hervé Dubuisson n’a pourtant rien perdu de sa fraîcheur. Le Nordiste réside désormais à Cagnes/Mer. Il est marié avec l’ancienne basketteuse bulgare Mladena Staneva, et il a en charge la coordination des grandes manifestations sportives organisées dans la région PACA, tout en étant « référent handicap » à la préfecture des Alpes-Maritimes.\\n\\nSi on vous dit « all-star game à Tours », quels sont les souvenirs qui vous viennent à l’esprit ?\\n\\nJe l’ai souvent regardé en vidéo, comme aussi ce duel -que l’on voit sur YouTube-, que je fais contre Drazen Petrovic, en 1985, au tournoi de Noël. J’ai eu beaucoup de retours comme aussi pour le petit film réalisé pour l’Académie du Basket par Nicolas De Virieu. C’est comme ça que j’ai repris contact sur facebook avec des Américains comme Brad Sellers et Harold Johnson. Ce All-Star Game à Tours était magnifique. Il faut se rappeler que j’étais chômeur en début de saison puisque Paris ne voulait pas me garder. C’est là que j’ai rencontré Alain Weisz et M. Perez, qui était le président, et que je suis allé jouer à Sceaux qui venait de Pro B. Dans ma carrière, c’est le plus beau des trophées. J’étais béni ce jour là. Et ensuite j’ai terminé meilleur marqueur français du championnat. Depuis, j’ai retrouvé aussi Skeeter Henry sur facebook. On voit sur la vidéo combien ils sont écoeurés à la fin !\\n\\nIl y a eu un autre match où tout est rentré, c’est lorsque vous avez marqué 51 points à Equeurdreville contre la Grèce, le 21 novembre 1985. Une sacrée bataille avec Nick Galis ?\\n\\nMon meilleur match de toute ma carrière, c’est celui-là. 54 points à Equeurdreville ! (la fédération a officiellement retenu le chiffre de 51 alors que d’autres sources font effectivement état de 54 points). Maintenant, je prononce bien le nom alors qu’à l’époque, je l’écorchais. Je disais « Equerville » où quelque chose comme ça (rires). Après mon accident, tous les médecins qui m’ont vu lors de ma rééducation ont dit qu’heureusement, j’étais un athlète avec un gros mental, et c’est pour ça que je m’en suis sorti. J’avais perdu la mémoire immédiate, les sept années avant mon accident, par contre le reste était bien gravé. Le All-Star Game à Tours était un peu flou dans ma mémoire, mais relire les articles et voir la vidéo m’a permis de faire revenir tout ça à l’esprit. Je dois beaucoup à ma femme, Mladena, qui s’est très bien occupée de moi. Savez-vous qu’elle a plus de sélections que moi, 366 (Hervé est le recordman en France avec 259). En 1986, dans la Gazzetta dello Sport, il y avait les dix meilleurs joueurs d’Europe dont je faisais partie, et en face la liste des dix meilleures joueuses d’Europe dont elle faisait partie. Quand elle est arrivée à Aix-en-Provence, j’ai commencé à la draguer en lui envoyant des fleurs ! (Mladena nous expliquera ensuite qu’Hervé a flashé sur elle en la découvrant dans une pose glamour dans le magazine Maxi-Basket).\\n\\n« Lorsque j’ai eu mon accident, il y a eu délit de fuite et il n’y a pas eu de coupable. Je culpabilisais, je ne pouvais me regarder dans la glace, je m’en voulais d’avoir fait de la moto, j’estimais que je ne servais plus à rien. »\\n\\nVous aviez un shoot esthétiquement parfait. Qui avait été votre modèle ?\\n\\nMon premier entraîneur à Thumeries (dans le Nord-Pas-de-Calais), Marcel Dessenne, qui m’a appris le 6 à l’envers. J’étais dernièrement à la finale du Pole France, et j’ai expliqué aux jeunes ce mécanisme de shoot (...) On m’avait appris à ne fouetter le poignet qu’au moment où la balle est au-dessus du cercle comme si je l’accompagnais jusqu’au bout. Le basket, c’est toute ma vie. Lorsque j’ai eu mon accident, il y a eu délit de fuite et il n’y a pas eu de coupable. Je culpabilisais, je ne pouvais me regarder dans la glace, je m’en voulais d’avoir fait de la moto, j’estimais que je ne servais plus à rien. J’ai attendu longtemps avant d’entraîner de nouveau le mercredi des gamins à Villeneuve-Loubet où j’habitais. Je leur ai enseigné mon shoot. Et le jour de mon mariage ils étaient tous là avec des ballons pour me faire la haie d’honneur. Leur rendre ce que l’on m’avait appris à Thumeries, tout ça m’a donné confiance en moi et envie de vivre.\\n\\nVous étiez aussi un extraordinaire dunkeur, capable de lancer la balle par terre, de la faire rebondir sur le panneau, et de la récupérer pour dunker arrière ?\\n\\nIls ont marqué dans L’Equipe Magazine que les Américains avaient dit que j’étais le Blanc qui sautait au-dessus des buildings (cette métaphore a été écrite dans le Street & Smith par le journaliste Giorgio Gandolfi au tout début des années quatre-vingts). J’avais comme exemple Julius Erving, Doctor J. Très important à dire, ce n’est pas par hasard que je sautais haut. J’avais des facultés, mais tout a commencé avec M. Pierre Legrain, l’entraîneur de Guy Drut à Oignies. Je faisais un peu d’athlétisme, du saut en hauteur. Ma coordination est venue de là, j’ai acquis des bases. C’est Pierre Legrain qui m’a signalé à Jacques Fiévé, l’entraîneur de Denain, qui était son copain. Il lui a dit, « j’ai un jeune qui joue à Thumeries, avec qui je fais un peu de saut en hauteur, tu devrais aller le voir. » J’avais 14 ans, j’étais tout maigre, j’avais grandi en un an de vingt centimètres suite à une jaunisse, j’éclatais tout. C’est comme ça que je suis arrivé à Denain. J’ai travaillé ensuite mes figures de dunks à l’entraînement. J’ai toujours eu un côté spectacle en moi et puis aussi, je l’avoue, d’inconscience. Quand je jouais, je tentais des choses incroyables.\\n\\nConsidérez-vous que vous soyez né trop tôt ? Que si vous aviez 20-30 ans aujourd’hui, vous seriez en NBA ?\\n\\nPeut-être que je serais là-bas, mais je ne regrette rien... Je vis avec mon temps et je suis très fier de ce que j’ai fait. J’ai été le premier Français à faire un camp NBA, avec les New Jersey Nets, à l’université de Princeton, celle de Brooke Shields (actrice américaine), juste après les Jeux de Los Angeles. Ils étaient intéressés mais ils ne me proposaient pas un contrat garanti, or j’étais en contrat avec le Stade-Français. Je leur ai dit « je n’ai pas de garantie, je ne reste pas. » Mais c’est un bon souvenir. J’étais au stage des Nets avec le Brésilien Oscar Schmidt, on était tout le temps ensemble. Lui aussi, c’était un shooteur et un mec super cool. Je suis toujours en contact avec lui.\\n\\nQuel est le record dont vous êtes le plus fier ?\\n\\nMon match contre les Grecs à Equeurdreville, et d’être allé aux Jeux de Los Angeles. C’était en France le début du basket américain à la télévision et on a joué au Forum de Los Angeles, vous vous rendez compte ! Aujourd’hui il y a des Français qui jouent là-bas mais à l’époque, c’était un autre monde. La première fois où je suis rentré dans le Forum, je n’y croyais pas. On a joué contre Michael Jordan qui n’était pas encore pro. Sauf à venir d’une université, c’était impossible à l’époque d’aller en NBA.\\n\\nVous êtes souvent allé voir des matches en NBA, à l’époque où c’était une terre inconnue ?\\n\\nOui et, après mon accident, avec mon épouse on a fait une tournée aux Etats-Unis, en 2006 je crois. Je voulais revoir le lieu où j’avais fait les Jeux Olympiques. J’y ai vu T.P. (Tony Parker) contre les Lakers et les Clippers, et aussi Rony Turiaf.\\n\\nArticle paru dans Basket Hebdo en 2014"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 26 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nGêne\\n\\n– Gêne. Qu’Abdel Sylla pose autant de difficultés au secteur intérieur nancéien. Notamment à un Dario Hunt, qui n’était décidément pas dans son... Lire la suite.\\n\\n\\nAmbiance\\n\\n– Ambiance. Le public (5.222 spectateurs) et l’ambiance dans le palais des sports pendant le match. Il faut dire que le club avait tout prévu pour... Lire la suite.\\n\\n\\nLa victoire de l’espoir\\n\\n– La route qui mène au maintien est encore longue et sinueuse. Mais grâce à son succès face à Orléans, le SLUC est toujours en vie. Déjà pas si mal par... Lire la suite.\\n\\n\\nDernier voyage sans pression\\n\\n– Toujours dauphin de Monaco après son 11e succès glané vendredi contre Strasbourg (81-74), l’Elan Chalon termine l’année 2016 sans pression au Mans (ce... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCarnet noir\\n\\n– Pape Badiane a souvent foulé le parquet de la salle Amédée-Mercier avec Roanne, entre 2003 et 2007, en Pro A. En 2006, il était de l’équipe qui avait... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe Havre entame la reconquête\\n\\n– Relégué de Pro A, le club normand finit l’année en force et peut prolonger à Saint-Chamond une série de trois victoires de rang... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCorentin Mahé, la trajectoire idéale\\n\\n– Après un passage à la tête de l’équipe féminine de l’ALL, Corentin Mahé a posé ses valises du côté de FC Lyon, club phare de la cité des gaules au... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg, le Dr Jekyll et M. Hyde\\n\\n– La JL Bourg faisait figure d’épouvantail du championnat. Pourtant, ce sont les Burgiens qui auront la pression chez eux... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Je ne vais pas leur faire de cadeau »\\n\\n– Thibault Desseignet a manqué trois matches pour cause de championnat d’Europe. Il revient ce soir, une médaille d’or autour du cou, face à Roanne, le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes leaders au tapis Rouen au taquet\\n\\n– La 12e journée de Pro B a été marquée par la défaite du Leader (Fos, à Évreux) et par celle de son dauphin (Charleville, devant Nantes). Quant à la désormais ex-lanterne rouge (Rouen, prochain adversaire de l’ADA), elle s’est imposée à Boulogne-sur-Mer (79-83), alors qu’elle était menée de 7 points à l’amorce du dernier quart-temps (68-61)... Lire la suite.\\n\\n\\n«Le match de mardi à Rouen, on aimerait bien l’offrir à Rudy Jomby.»\\n\\n– « C’était le dernier match à domicile de Rudy Jomby avec ce groupe, a rappelé Mickaël Hay, vendredi soir, après la victoire face à Boulazac. Il faut le remercier car c’est quelqu’un qui n’avait connu que le niveau au-dessus et qui s’est mis au service de l’équipe. »... Lire la suite.\\n\\n\\n« Triste nouvelle que d’apprendre le décès de Pape Badiane. Un grand plaisir que de jouer avec lui en équipe de France. »\\n\\n– Boris Diaw, et avec lui la grande famille du basket français, ont appris avec le stupeur la disparition de Pape Badiane, l’ancien pivot international, décédé la veille de Noël dans un accident de la circulation survenu dans les Deux-Sèvres.Badiane, 36 ans, avait disputé l’Euro 2007 au sein de l’équipe de France avec Diaw, Pa... Lire la suite.\\n\\n\\nAlexis Tanghe : » Tout a été de travers «\\n\\n– « Même si j’aurais préféré jouer au palais des sports, cela m’a fait plaisir de revenir, confiait Alexis Tanghe, le pivot blésois de Boulazac, vendredi soir. Ma famille était là, cela m’a fait chaud au cœur. Pour ce qui est du match, on a pris un tacle en pleine tête. On a été dominés de bout en bout. C’est très dur pour nous, car on... Lire la suite.\\n\\n\\nBoulazac est loin du compte\\n\\n– Boulazac – Poitiers Annoncés parmi les favoris en début de saison, les Périgourdins sont à la peine et se traînent en queue de classement... Lire la suite.\\n\\n\\nC’est l’alchimie de Noël\\n\\n– “\u2009Quelque chose se dégage de cette équipe.\u2009” Mickaël Hay l’a répété, vendredi soir, au terme d’un match qui a fait le bonheur des supporters de l’ADA... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet va rendre visite à Nicolas Batum et Evan Fournier"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce soir Strasbourg livre face à Dijon son dernier match de l’année. Son coach Vincent Collet va pouvoir ensuite se consacrer quelques jours à l’équipe de France.\\n\\nL’Equipe annonce que l’entraîneur des Bleus doit effectuer trois séjours aux Etats-Unis durant la saison et que le premier va se dérouler cette semaine de mardi à jeudi. Au programme, deux cas à gérer au plus près, ceux de Nicolas Batum (Charlotte) et surtout Evan Fournier (Orlando), absent des derniers Jeux olympiques."
}, 
{"role": "user",     "content":"Olivier Bourgain, nouveau coach de Boulogne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour suppléer son coach Germain Castano démis de ses fonctions, le SOM Boulogne (Pro B) a choisi... son manager général, Olivier Bourgain, qui va fêter ses 48 ans demain.\\n\\nOlivier Bourgain avait terminé sa carrière de joueur au SOM en 2001 pour en prendre le coaching et il l’avait emmené de Nationale 3 en Nationale 1. En octobre 2009, il avait dû céder son poste et il occupe depuis celui de manager général.\\n\\nLui qui est la véritable figure du club, reprend-il du service définitivement ? Rien n’est moins sûr.\\n\\n« Le président souhaite que je coache ce match (NDLR: à Vichy-Clermont). Et après ? Je ne sais pas », répond l’intéressé dans La Voix du Nord. « Je l’accepte dans l’intérêt du club. J’ai parlé aux joueurs samedi, maintenant on va s’entraîner et essayer d’avoir des comportements différents. La chose la plus importante, c’est le SOMB. On passe un mauvais Noël et j’espère qu’en juin, on en rigolera car évidemment que le SOMB doit pouvoir remonter. »\\n\\nLes Nordistes sont bons derniers avec trois victoires en douze matches, à égalité avec Rouen qui comme eux a connu récemment la Pro A. Olivier Bourgain dit vivre comme une déchirure la mise à pied de son ami Germain Castano qui lui avait succédé en 2009. La Voix du Nord demande au nouveau coach quelle est la part de responsabilité des joueurs :\\n\\n« Je ne sais pas s’ils se rendent compte, que la vie des gens, des salariés dépend aussi du sportif. Ce n’est pas propre à Boulogne. Là, ça nous touche car on perd Germain, c’est très douloureux. Au-delà de ça, j’espère que ce sacrifice ne sera pas vain et que la prise de conscience sera totale. Ils ne le font pas exprès mais entre avoir la haine et juste envie, il y a deux intensités différentes. Moi, c’est la haine d’être dernier qui m’habite. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les articles de la semaine du 19 décembre au 25 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque dimanche, Basket Europe vous propose une sélection des meilleurs articles de la semaine afin de connaître l’essentiel de l’actualité :\\n\\n 1.  Rouen : le plus grand fiasco de l’histoire de la LNB ?\\n 2.  Euro U18 : le meilleur de la finale de Frank Ntilikina (31 pts, 7 sur 10 à 3-points)\\n 3.  Equipe de France : Alexis Ajinça vide son sac\\n 4.  Euro U18 : la finale France – Lituanie en direct sur Youtube\\n 5.  Euro U18 : la France repousse la Serbie avec un Sekou Doumbouya éblouissant\\n 6.  Euro U18 : les Français champions d’Europe ; Frank Ntilikina MVP\\n 7.  Euro U18 : la France en finale !\\n 8.  Disparition de l’ancien international Pape Badiane\\n 9.  La reprise du Paris-Levallois par Nicolas Batum en bonne voie\\n 10. TV : le hand vainqueur du basket par K.O."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 25 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nUne dernière cruciale\\n\\n– Rentrée bredouille de ses deux derniers déplacements chez les cadors du championnat, dimanche à Monaco et vendredi à Chalon, la SIG doit finir l’année... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nNoël de rêve pour l’Elan\\n\\n– Euphorique dans son antre du Colisée face à Strasbourg (81-74), vendredi, Chalon a raflé son 8e succès de rang à domicile. Confirmant ainsi son rang... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn champion, un grand homme\\n\\n– Capitaine emblématique de la Chorale lors des deux titres en 2007, Pape Badiane est mort accidentellement. Un homme grand s’en est allé... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa Chorale a serré les rangs\\n\\n– Denain a subi de plein fouet la frustration rejetée de la Chorale, pourtant privée de Rozenfeld et Cheriet. Défense et collectif ont payé... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond s’est rassuré\\n\\n– Si la victoire donne un peu d’air au classement, elle fait aussi beaucoup de bien au moral après une série de défaites... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’ex international Pape Badiane décède dans un accident de voiture\\n\\n– L’ancien basketteur international français Pape Badiane, champion de France avec Roanne en 2007, est décédé à 36 ans vendredi soir dans un accident de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne der à ne pas rater\\n\\n– Déjà battue à sept reprises en Pro A suite à ses deux défaites d’affilée à Monaco et Chalon, la SIG a impérativement besoin d’une victoire ce lundi... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tony Parker – Frank Ntilikina : qui était le meilleur au même âge ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il ne fait pas de doute que Frank Ntilikina est le meilleur jeune meneur de jeu français depuis Tony Parker. Elu MVP de l’Euro U18, le champion d’Europe fait déjà saliver les scouts NBA, et il est évidemment tentant de comparer les deux spécimens au même âge, même si morphologiquement, il ne se ressemble pas.\\n\\nLe Strasbourgeois (1,96m) est sensiblement plus grand que le meneur des Spurs (1,88m) et il possède des bras gigantesques (2,13m d’envergure !), une vertu naturelle précieuse pour le basket. Au même âge, TP était lui d’une rapidité exceptionnelle même si Ntilikina est loin d’être un tracteur.\\n\\nLa comparaison la plus objective, ce sont les statistiques, même si là aussi, prudence. Celles-ci sont beaucoup fonction de l’environnement. Mais tout de même...\\n\\nLe Strasbourgeois sort de l’Euro U18 qui vient de se tenir en Turquie avec en 28 minutes par match : 15,2pts, 50.0% dans les shoots et surtout un formidable 58,6% à trois-points, 4,5 passes, 2,8 rebonds, 2,2 interceptions, 1,2 contre -ce qui est énorme pour un arrière- et 3,3 balles perdues -ce qui à l’inverse est un peu trop même quand vous avez beaucoup la balle en main.\\n\\nA Zadar, en 2000, Parker fut lui aussi champion d’Europe et élu MVP du tournoi. Il joua un nombre de minutes presque égale (29) avec 14,4 pts, 45,3% dans les shoots, 34,8% à trois-points, 2,5 passes, 2,8 rebonds, 1,8 interception, pas de contre, et 1,3 balle perdue.\\n\\nBref, la production chiffrée du futur quadruple champion NBA fut sensiblement inférieure à celle de son héritier même s’il fut moins dispendieux.\\n\\n\\nT.P. avait beaucoup plus de temps de jeu en club\\n\\nUne autre comparaison peut être faite.\\n\\nA la SIG, Frank Ntilikina passe actuellement en moyenne 13 minutes par match sur le terrain pour 3,8 pts, 52,9% dans les shoots dont 45,4% à trois-points, 0,5 passe, 1,2 rebond, 1,7 interception, pas de contre, 0,7 balle perdue. C’est encore un apprenti, il est le backup d’un Américain, Erving Walker, et il est parfois utilisé en deuxième arrière.\\n\\nTony Parker, lui, n’avait plus Laurent Sciarra en concurrence interne au Paris Basket Racing. Il était passé titulaire et son temps de jeu avait bondi à 33 minutes. A la fin de la saison 2000-01, il en était à 14,7 pts, 48,9% dans les shoots, 30,3%, 5,6 passes, 2,7 rebonds, 2,3 interceptions, pas de contre, et 2,2 balles perdues. TP était déjà considéré comme un adulte.\\n\\nEn club et à dix-huit ans, Frank Ntilikina est donc sensiblement en retard sur son glorieux aîné sachant que celui-ci fut drafté à la fin de cette saison parisienne (28e choix) et qu’il trouva aux Spurs un environnement parfait pour développer sa précocité.\\n\\nMoralité : s’il devrait être drafté sensiblement plus haut que Parker, la route est encore longue pour l’Alsacien surdoué s’il veut un jour rivaliser avec le meilleur basketteur français de tous les temps. Mais il a le temps pour y arriver, éventuellement."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le documentaire sur l’ASVEL diffusé mercredi sur la chaîne l’Equipe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mercredi 28 décembre, l’ASVEL sera à l’honneur sur la chaîne l’Equipe le temps d’un documentaire d’environ cinquante minutes.\\n\\nA 17h50, « ASVEL did it » nous plongera dans les coulisses de la dernière finale du championnat de France de Pro A remporté par les hommes de J.D. Jackson 3-2 face à Strasbourg, après avoir été menés 2-0.\\n\\nEt pour vous faire patienter, voici un petit extrait publié par Tony Parker sur sa page Facebook."
}, 
{"role": "user",     "content":"Yakuba Ouattara forfait pour le All Star Game"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vainqueur du concours de dunks l’année dernière, Yakuba Ouattara ne pourra finalement pas défendre son titre cette année à cause d’une élongation.\\n\\nL’arrière monégasque vient d’annoncer la mauvaise nouvelle sur sa page Facebook, il sera absent lors du match face à Orléans prévu mardi mais il manquera également le match des étoiles ainsi que le fameux concours de dunks qu’il avait remporté lors de la précédente édition du All Star Game LNB.\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Galatasaray : Emir Preldzic indisponible entre 6 et 8 semaines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Blessé au genou dans le match face à l’Anadolu Efes comptant pour la 14e journée d’Euroleague, Emir Preldzic devra être écarté des terrains pour une durée estimée entre un mois et demi et deux mois, comme l’indique Eurohoops.\\n\\nTouché en première mi-temps dans un duel face à Cedi Osman, l’ancien joueur du Fenerbahce avait tenté de faire son retour en deuxième mi-temps, sans succès.\\n\\nCette saison en Euroleague, l’international turc compile en moyenne 5,9 points, 2,7 rebonds et 2,4 passes décisives par match."
}, 
{"role": "user",     "content":"Nancy : saison terminée pour Gary Florimont"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Victime d’une rupture du tendon d’Achille après être tombé tout seul dans la raquette en milieu de 2e quart-temps dans la victoire du SLUC face à Orléans (72-65), Gary Florimont voit sa saison se terminer aujourd’hui, comme l’indique l’Est Républicain.\\n\\nTriste nouvelle pour le joueur et pour Nancy qui va devoir se mettre à la recherche de son remplaçant en plus de celui de Thaddeus McFadden qui prendra la direction du PAOK Salonique dans les jours qui viennent.\\n\\nCette saison, l’ancien intérieur du CCRB tournait en moyenne à 4,3 points et 4,1 rebonds pour une évaluation de 5,7 par match.\\n\\nToute l’équipe de BasketEurope.com souhaite un bon rétablissement à Gary Florimont qui avait agréablement accepté de répondre à nos questions début novembre."
}, 
{"role": "user",     "content":"Hommage : Pape Badiane et son frère"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le 4 février 2010, Pape Badiane, sa femme Julie et leur fille nous ouvraient les portes de leur appartement à Poitiers. Un véritable moment d’intimité qui nous avait permis de discuter à bâtons rompus avec en face à face Pape (31 ans) et son frère Moussa (30 ans).\\n\\nLe premier était alors l’intérieur de Poitiers et le second de Nancy. Le lendemain soir, Poitiers avait vaincu Nancy et Pape (8 pts, 6 rbds) avait eu largement plus de temps pour s’exprimer que son cadet (0 pt en 10 mn).\\n\\nEn cette veille de Noël tragique où nous avons appris la disparition de Pape, victime d’un accident de la route, nous publions in-extenso cette interview parue alors dans Maxi-Basket.\\n\\nAvez-vous souvent joué l’un contre l’autre comme ce sera le cas demain ?\\n\\nPape Badiane : Oui si on prend la Pro A, chaque année, sauf donc quand Moussa était à Maurienne.\\n\\nMoussa Badiane : En dehors des matches pros, on n’a pas trop eu l’occasion de jouer l’un contre l’autre. Quand j’ai commencé le basket en cadet, il est parti en espoir. Et quand je suis arrivé en espoir, il est parti aux Etats-Unis.\\n\\nP.B : On a fait un premier match amical l’un contre l’autre en cadet.\\n\\nEn temps normal, vous vous appelez souvent pour parler basket ?\\n\\nM.B. : Franchement, quand on s’appelle c’est pour parler d’autres choses. Les gens croient que l’on se téléphone systématiquement après les matches pour se les raconter. Non. Parfois c’est lorsque j’arrive à l’entraînement que les autres me racontent ce que Pape a fait alors que je n’étais même pas au courant. Quand tu as marqué le dernier panier contre Cholet, je ne le savais pas.\\n\\nP.B. (Rires) Moi aussi, je suis davantage au courant de ce que fait Moussa par les autres ou par les médias. Je regarde ses stats à la fin de la journée et voilà.\\n\\nEt cette semaine ? Vous vous êtes dit « on a préparé tel système contre toi ? »\\n\\nM.B. : Les autres autour ils alimentent...\\n\\nP.B. : ... tellement le duel que nous, on n’a rien d’autres à dire ! C’est de la chambre entre joueurs. « Ah ! Ton frère... » Et lui c’est pareil.\\n\\nPape, est-ce que c’est spécial de jouer contre son petit frère ?\\n\\nP.B. : Oui c’est différent, c’est mon petit frère, le fait que tout le monde alimente ce duel...\\n\\nM.B. : Moi, je suis le cadet et mon frère a un autre statut que le mien. Je dois prouver que je peux rivaliser et même être meilleur que mon frère. Ça me motive !\\n\\nPape, tu n’as pas peur de lui faire mal ?\\n\\nP.B. : Ah ! Non, je sais qu’il va encaisser sans problème. Mais quand c’est Akingbala ou quand c’est mon frère, ce n’est pas pareil. Pourquoi ? Comment ? Je n’arrive pas trop à le dire.\\n\\nM.B. : Ce sont surtout les gens autour qui voient la confrontation. Lorsque j’étais à Chalon, tu avais pénétré et tu avais fini, et Beugnot avait crié « Putain ! Tu ne connais pas ton frère ? » Ok, c’est mon frère, mais je ne sais pas exactement ce qu’il va faire, je ne peux pas anticiper.\\n\\nP.B. : Ce n’est pas comme si on avait joué beaucoup ensemble, jeunes, sur les playgrounds.\\n\\nAvez-vous l’impression d’être plutôt meilleurs ou moins bons l’un contre l’autre ?\\n\\nM.B. : Ça dépend du contexte, de l’équipe où l’on est.\\n\\nP.B. : Ce n’est pas genre, « lorsque je vais jouer contre mon frère, je vais mettre 40 points ou zéro. »\\n\\n« La seule fois où l’on joue ensemble, c’est au Quai 54\\n\\nL’été, vous jouez ensemble ?\\n\\nM.B. : Au Quai 54. C’est la seule fois où l’on joue dans la même équipe et d’ailleurs, on a gagné. On joue à la même position, aussi c’est dur de nous associer sur le terrain. Là, on peut faire ce que l’on veut.\\n\\nP.B. : En défense, on était pas mal ! (rires).\\n\\nTout le monde est grand dans la famille Badiane ?\\n\\nP.B. : 1,92m pour notre père, 1,72m pour notre mère. On a deux sœurs plus jeunes. Laina (1,84m) qui joue à Perpignan en L2, et qui a joué auparavant à Valenciennes et Challes-les-Eaux.\\n\\nM.B. : Elle voulait davantage de temps de jeu et de responsabilités, c’est pour ça qu’elle est descendue d’un niveau.\\n\\nP.B. : La dernière ne joue pas au basket, elle se consacre aux études, c’est bien ! Il faut diversifier un peu le portfolio.\\n\\nM.B. : Ce n’est pas une sportive.\\n\\nQuelle est votre taille exacte à chacun sans chaussures ?\\n\\nM.B. : 2,07m.\\n\\nP.B. : 2m... 6... et demi. (Rires).\\n\\nPar contre en largeur, vous n’êtes pas Shaquille O’Neal ?\\n\\nM.B. : Il suffit de voir mon père pour comprendre pourquoi. Il n’y a que les filles qui peuvent prendre du poids dans la famille. Lorsque j’étais aux Etats-Unis, j’ai tout essayé, rien. Musculation, nourriture à l’américaine, milk shake. On ne prend pas de volume.\\n\\nP.B. : Nous sommes des Sénégalais typiques.\\n\\nEst-ce que ça vous arrive que l’on vous prenne l’un pour l’autre ?\\n\\nM.B. : Beaucoup plus souvent lorsqu’on était jeunes. On me prenait tout le temps pour Pape.\\n\\nP.B. : De près, on ne se ressemble pas, mais comme on est tous les deux grands et fins, à la vidéo on va nous confondre, même si on n’a pas forcément le même jeu.\\n\\nToi Pape, tu as démarré aux Ulis ?\\n\\nP.B. : J’ai joué sur les playgrounds aux Ulis avec les copains mais en basket organisé, j’ai commencé à Châtillon, à Paris, en cadets.\\n\\nEt toi Moussa, tu as fait du basket pour suivre l’exemple de ton frère aîné ?\\n\\nM.B. : Oui. Lors de sa première année de basket, je faisais du handball. Dans ma famille, on est obligés de faire un sport. Le hand, ça ne me plaisait pas trop. Je me suis mis au basket à Massy.\\n\\nPape, tu as fait une partie de ta formation aux Etats-Unis (une prep school et Cleveland State). Penses-tu avec le recul que ce fut déterminant ?\\n\\nP.B. : Déterminant, oui. J’ai tellement joué contre des Américains là-bas que je n’appréhende pas de jouer contre eux ici, alors qu’en France on est intimidés par ces gros Américains qui sont imposants. Et puis là-bas, il y a beaucoup de travail individuel, pour un intérieur, c’est essentiel de faire du bourrage de crâne, des hook shots, tout ça. Je ne sais pas si j’en aurais fait autant ici.\\n\\nM.B. : On a commencé tard tous les deux, à 17 ans, on avait besoin de ça.\\n\\n« Franchement les études aux Etats-Unis, ce n’est pas terrible. »\\n\\nMoussa, c’est de voir ton frère partir aux USA qui t’a incité à y aller à ton tour ?\\n\\nM.B. : L’avantage d’avoir un grand frère c’est que je peux profiter de ce qu’il fait de bien et de ses erreurs. Son année de Prep School s’est mal passée aussi, j’avais envie d’aller aux Etats-Unis, mais j’ai préféré attendre et aller directement à l’université. J’ai passé le SAT et le Toefl (examens pour les étrangers) lorsque j’étais à Nancy en espoir.\\n\\nP.B. : Franchement les études aux Etats-Unis, ce n’est pas terrible. Lorsque j’ai eu ma note, les Américains disaient « mais comment a t-il fait ? » (Rires) Il y a une section maths et une section anglais et la section maths, elle est tellement facile pour nous qui sommes allés à l’école en France... En France le niveau est beaucoup plus avancé.\\n\\nMoussa a cartonné en NCAA aux contres (3,0 en moyenne de 2001 à 2005 avec East Carolina) ?\\n\\nP.B. : Il a battu le record de Kenyon Martin de l’histoire de la conférence USA.\\n\\nVous avez fait un cursus complet. C’était pour avoir un diplôme ?\\n\\nP.B. : C’était important. Je ne connaissais pas trop le business du basket et je n’étais pas trop sûr de faire une carrière comme je la fais maintenant. J’ai fait des études de finances. Au début je me suis demandé si je n’allais pas rester ensuite aux Etats-Unis, mais à force, la France me manquait. Les deux dernières années, je savais que j’allais revenir en France quoi qu’il arrive. La dernière année, mon agent me faisait savoir qu’il y avait des contacts et que je pourrai entrer dans le basket pro en France.\\n\\nPenses-tu avoir un job en France avec ton diplôme américain ?\\n\\nP.B. : J’espère bien ! Je pense que c’est au moins un équivalent d’un BAC + 3 ou +4.\\n\\nM.B. : Je ne suis pas certain. Les diplômes aux Etats-Unis sont vraiment très généraux. Il faut continuer encore deux ans sur un Master pour se spécialiser.\\n\\nToi, Moussa, tu as fait quoi ?\\n\\nM.B. : Un Business Management.\\n\\nConseillez-vous à des jeunes basketteurs d’aller aux Etats-Unis sachant que beaucoup se sont plantés là-bas ?\\n\\nM.B. : Déjà pour des jeunes, c’est plus difficile aujourd’hui d’y aller car ils ont durci les lois par rapport aux étrangers. Un jeune de Nancy est parti là-bas pour faire deux ans de junior college pour se rendre compte à la fin qu’il ne peut pas jouer en NCAA car il a touché de l’argent en pro. C’est l’année où je suis parti où ils ont durci ces lois. J’ai été suspendu sept matches ma première année.\\n\\nP.B. : Et moi six.\\n\\nM.B. : Tout ça parce que j’avais touché un peu d’argent.\\n\\nP.B. : Moi, ils m’ont vu sur Internet sur le roster de Montpellier alors que je ne suis pas resté.\\n\\nM.B. : Moi, c’est parce que j’avais joué à la fac de Nancy alors que c’était en UNSS. Ils m’ont saoulé avec ça et j’ai été obligé de rembourser les frais d’inscription de la fac de Nancy. Pour eux une fac française, c’est comme un fac américaine alors que ça n’a rien à voir. Si tu vas aux Etats-Unis pour le basket et l’expérience, pourquoi pas. Si c’est dans le but d’aller en NBA, pas du tout. Il vaut mieux jouer ici dix minutes en pro, faire un ou deux bons matches, il y a des scouts partout, et on est drafté au premier tour ! On n’a pas besoin d’être fini pour aller en NBA puisqu’ils draftent les potentiels. Alors que si tu vas là-bas, tu es fondu dans la masse, un peu comme Kim Tillie. Il y 300 universités en Division I.\\n\\nP.B. : Pour un big man qui n’a pas beaucoup de basket, de fondamentaux, ça peut être pas mal. Tu as un coach qui te suit tout le temps.\\n\\nM.B. : Pour nous qui avions commencé super tard, c’était parfait les Etats-Unis. On avait besoin d’une grosse qualité de travail.\\n\\nP.B. : Franchement, si j’étais resté en France, j’aurais joué en Nationale 1, enfin c’est difficile à dire.\\n\\nCe n’était pas des grosses facs mais est-ce que vous étiez des stars sur le campus ?\\n\\nP.B. : Moussa, c’était une star !\\n\\nM.B. : (Rires) J’étais sur un vrai campus, comme on les voit à la télé, un petit village. Alors que Pape, c’était dans une grande ville, en milieu urbain.\\n\\nP.B. : Mais nous, il n’y avait pas de foot américain, seul le basket qui brillait, passait à la télé.\\n\\nM.B. : Je suis encore attaché à ma fac. J’y suis retourné et ça m’a fait bizarre de constater que les gens, par exemple au McDo, me reconnaissaient.\\n\\nSi on compare avec Poitiers et Nancy ?\\n\\nM.B. : On sent plus la ferveur populaire à Poitiers qu’à Nancy. A Nancy, les gens ne t’arrêtent pas dans la rue, on ne se fait pas harceler.\\n\\nP.B. : Bon, même à Poitiers... A Roanne, c’est beaucoup plus chiant ! C’est beaucoup plus petit et tu as vu à quel niveau est le basket !\\n\\nM.B. : Plus la ville est grande et moins tu as de problèmes.\\n\\nP.B. : Nous, en plus, on avait Spencer, Harper et Salyers. C’était l’époque showtime. Laisse tomber. Et puis la région est basket, d’ailleurs vous venez de faire un article là-dessus dans Maxi-Basket.\\n\\nM.B. : Moi, la ville la plus basket que j’ai connue, c’est Nancy. Tout le monde connaît le SLUC.\\n\\nP.B. : A Poitiers, tu sens que le phénomène est naissant. Avant, c’était une ville volley.\\n\\nM.B. : Si je dois donner un conseil à quelqu’un, c’est d’aller aux Etats-Unis pour voir un match universitaire et pas de NBA. C’est de la folie. Avec tous les étudiants qui sont debout, bourrés, c’est quelque chose.\\n\\nP.B. : De toute ma carrière le match où il y a eu le plus de bruit, c’est à Michigan State. On n’entendait pas les systèmes. Tu te démontes à cause du bruit.\\n\\nPape, ce n’est pas frustrant de passer de l’Euroleague, alors que vous étiez à deux doigts de vous qualifier au top-16, à un club qui joue le maintien ?\\n\\nP.B. : Non. J’ai la chance à Poitiers d’être un joueur majeur, leader, d’une équipe de Pro A. Jamais je n’aurais pensé être un jour le joueur d’expérience. On vit de belles choses avec Poitiers.\\n\\nMoussa, l’année dernière, tu as été élu MVP de Pro B devant Philippe Da Silva, Antoine Mendy et Luca Vebobe. Le premier fait cette année une grosse saison de Pro B. Le second a un rôle majeur en Pro A. Le troisième a éclaté à Cholet en Euroleague. Toi, tu es joueur du banc à Nancy. Ça t’inspire quelles réflexions ?\\n\\nM.B. : En signant à Nancy, je savais où je mettais les pieds. C’est une équipe qui joue le haut de tableau tous les ans, je savais qu’il y aurait de la concurrence. J’aurais pu choisir la facilité en allant dans une équipe de bas de tableau, mais je voulais un nouveau challenge. Je voulais prouver que je peux faire ma place dans une équipe comme ça même si ça doit prendre du temps. J’aurais au moins essayé... C’est vrai que parfois, je suis frustré ! Après avoir vécu ce que j’ai vécu l’an dernier, avoir eu autant de responsabilités, et être remplaçant, c’est dur... Il faut être prêt lorsque l’opportunité se présentera et j’espère qu’elle se présentera et là je vais la saisir.\\n\\nPape. Pourquoi ton frère n’a pas réellement percé en Pro A ?\\n\\nP.B. : Pas de chance au niveau du contexte. Quand il est retourné à Nancy la première fois. C’était (Jean-Luc) Monschau, le coach ?\\n\\nM.B.: Oui.\\n\\nP.B. : On sait que Monschau a ses favoris, que ces joueurs là jouent entre 35- 40 minutes. Quand il était à Clermont, Toupane, ce n’est pas un cadeau, il faut dire ce qui est (rires). A part peut-être au Mans, j’ai eu de la chance car tout ça dépend des situations, des coaches avec qui tu tombes. C’est un peu la Roue de la Fortune.\\n\\nM.B. : Toi aussi, tes premières années à Roanne c’était galère et tu as profité que (Gary) Alexander parte pour saisir ta chance. Si tu fais de bonnes choses en Pro B et que tu as ensuite des responsabilités en Pro A, tu peux faire de bonnes choses. Ça dépend du contexte. Si tu fais une bonne saison en Pro A et que tu te retrouves en Pro B dans un mauvais contexte, ça ne marchera pas.\\n\\nP.B. : C’est 70 ou 80% de confiance. Regarde Dee Spencer. Quand il n’est pas en confiance, ça ne marche pas.\\n\\n« On a une partie de notre famille au Sénégal. Ce sont nos parents qui sont venus en France »\\n\\n(L’interview est alors momentanément interrompue par le dunk de Solo Diabaté contre Chalon en direct sur Sport +)\\n\\nP.B. : (Admiratif) Là, ils ont vu le match de l’ASVEL, tout le monde s’est écarté !\\n\\nM.B. : Il a mis le « face » de la saison et le cross...\\n\\nIl y a plusieurs joueurs français qui ont décidé de jouer pour l’équipe nationale de leur pays d’origine, Pape Philippe Amagou pour la Côte d’Ivoire, Amara Sy pour le Mali. Moussa, tu as été contacté par le Sénégal ?\\n\\nM.B. : L’été dernier, mais j’étais blessé au poignet, j’étais plâtré, et je n’ai pas pu y aller. J’ai dit que j’étais OK pour l’été prochain pour le championnat d’Afrique. Ca sera une expérience en plus et puis c’est le Sénégal, mon pays. Je n’y retourne pas souvent mais on est Franco-Sénégalais.\\n\\nP.B. : On a une partie de notre famille là-bas. Ce sont nos parents qui sont venus en France.\\n\\nM.B. : Ça aurait été marrant de se rencontrer. Le Sénégalais contre le Français. Mais le Sénégal t’avait déjà approché, je crois. Quand j’étais à Clermont et toi à Roanne. On n’avait pas eu de retour. C’était avant que la France fasse appel à toi.\\n\\nP.B. : Oui mais le gars ne m’avait pas rappelé.\\n\\nC’est un objectif, un rêve de jouer un jour ensemble ?\\n\\nM.B. : Pourquoi pas, mais on ne va pas signer pour un club exprès pour jouer ensemble. Au Quai 54, on peut jouer ensemble...\\n\\nP.B. : C’est nous qui coachons (rires) ! Peut-être à plus petit niveau. Ça me tente de jouer 4. Pour shooter à trois points. Là à Poitiers, je ne shoote pas à trois points car tous les autres le font. A Roanne je l’ai fait et mon pourcentage était très élevé !\\n\\nM.B. : Combien ?\\n\\nP.B. : Trois sur quatre, un truc comme ça. J’en ai mis deux en Euroleague dans le même match !\\n\\nM.B. : J’en ai pris pas mal l’an dernier.\\n\\nP.B. : Si je vais en Pro B, je vais shooter comme un fou (rires).\\n\\nM.B. : A Chalon, j’en ai pris pas mal. Greg (Beugnot) ne me disait jamais rien ! C’est vrai que ça m’a fait un peu peur de voir la ligne reculer.\\n\\nP.B. : Moi, je sais que si je me mets à shooter à 3-pts, Ruddy (Nelhomme), il va péter un câble. Même quand c’est un shoot poste-haut, il est là « Wouha ! »\\n\\nM.B. : Moi aussi, Monschau, déjà quand c’est à deux points, il grince des dents, alors si c’est à 3-pts, j’ai intérêt à le mettre ! Sinon ça sera « Moussa, viens là avec moi » (Il fait mine de taper sur le banc en riant).\\n\\nEt après le basket, vous pourriez vous retrouver ensemble dans le business ?\\n\\nM.B. : Bien sûr. Mais c’est lui qui a tout l’argent donc c’est lui qui va investir.\\n\\nP.B. : T’as intérêt à avoir de bonnes idées alors !\\n\\nM.B. : Moi c’est business management, je vais gérer ton argent.\\n\\nP.B. : Ah ! Si tu peux noter aussi : venez sur le site de Pape Badiane, unikgamer.com. C’est un site que j’ai fait sur les jeux vidéo avec une nouvelle version qui sort d’ici une semaine. Chacun crée son CV de joueur avec les jeux qui l’ont le plus marqués, il peut comparer avec les CV des autres joueurs, ça te dit quel joueur te ressemble le plus, etc. C’est un site communautaire que je fais avec un développeur qui est sur Clermont. Ça va être du bon. Tous les fans de Maxi-Basket et de BasketNews doivent y aller ! (Rires).\\n\\nParu dans Maxi-Basket en 2010"
}, 
{"role": "user",     "content":"Philippe Hervé (Cholet): «Dans le Top 3 des matchs les plus ridicules de ma carrière!»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Que la JDA Dijon s’impose à la maison sur Cholet Basket, quelque part c’était attendu. Les Dijonnais ne pouvaient pas se permettre de ne pas réagir après six défaites –dont certaines très frustrantes- d’affilée. Mais c’est l’ampleur des dégâts qui stupéfait. Quarante points d’écart (93-53) après que la JDA ait gagné les quatre quart-temps.\\n\\n« C’est primordial pour nous de rectifier le tir notamment à la maison, » a insisté Jo Passave-Ducteil auteur de 12 points à 4/5. « Ce soir on fait passer un vrai message. Il faut faire peur aux adversaires qui viennent chez nous. Il faut continuer d’engranger de la confiance à domicile et grappiller quelques points à l’extérieur. On s’est beaucoup parlé avec les gars, c’était important. Ça fait vraiment plaisir de montrer notre potentiel, tous ensemble ! »\\n\\nQuant au coach choletais, Philippe Hervé, il était comme sous le choc :\\n\\n« On s’attendait à tout sauf à un scénario aussi ridicule. Ça doit être dans le top 3 des matchs les plus ridicules de ma carrière de coach. Dijon avait beaucoup plus envie que nous. Pas un joueur pour rattraper un autre. L’équipe n’ était pas prête, ni mentalement, ni dans le jeu. C’est un non match total. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nancy – Orléans : Brion Rush (7 sur 12 à trois-points) n’a pas loupé ses débuts !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Et si Brion Rush (1,86m, 32 ans) allait sortir le SLUC Nancy du guêpier ! On en n’est pas encore là bien sûr, mais devant un Orléans mal en point et 5 200 spectateurs ravis –le basket est dans la capitale de la Lorraine une affaire qui compte-, l’ancien pistolero de Roanne, Chalon et Strasbourg, deux fois all-star (2007 et 2008) n’a pas perdu de sa verve contrairement à ce que l’on pouvait craindre après ses quelques semaines passées à Manresa. Il a le profil idéal pour une équipe qui a besoin de coups de chaud pour sauver sa peau.\\n\\nL’arrière américain a planté 23 points avec un excellent 7/12 à trois-points, emmenant le SLUC vers la victoire (72-65) dans ce qui constituait le match de la peur. Une victoire indispensable pour le classement et le moral qui a encore été atteint par la blessure au tendon d’Achille de Gary Florimont et évacué du terrain après quatre minutes de présence. Greg Beugnot a utilisé véritablement six joueurs dont Marc Trasolini qui a joué les quarante minutes disponibles.\\n\\n« Imaginez si ce soir, comme hélas devant Antibes, le scénario avait basculé dans les dernières minutes (62-58, 36’), on serait au fond du trou avec un effectif décimé », commente le coach lorrain dans L’Est Républicain qui sait que ceci peut ressembler à une victoire à la Pyrrhus. « Je pense déjà au match de Nanterre mardi, à la reconstruction de mon équipe avec la blessure de Gary (Florimont) et le départ mardi prochain de McFadden. Mais c’est vrai que ce soir, globalement, je suis satisfait. Chacun a joué dans son registre, à l’image de Dominique (Sutton). Et si on perd encore la... boule sur certaines séquences, on a été beaucoup plus cohérent et constant »."
}, 
{"role": "user",     "content":"Disparition de l’ancien international Pape Badiane"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est avec stupeur que nous avons appris le décès dans un accident de la circulation de l’ancien international Pape Badiane, 36 ans.\\n\\nCelui-ci fut non seulement un pivot de talent, formé aux Etats-Unis (à la Cleveland University) et qui a porté en France les maillots de Roanne, Le Mans, Poitiers, de l’Ile de Ré en N2, et cette saison de Charenton en N3, et de l’équipe de France pour 23 sélections notamment pour l’Euro de 2007, mais aussi un homme très apprécié pour sa gentillesse.\\n\\nLe président de la Saint-Charles Charenton, Fabrice Canet, s’exprime ici.\\n\\nSa fiche est ici.\\n\\nBasketEurope s’associe à la peine de sa famille et de ses amis et pour lui rendre hommage publie cet interview parue dans Basket Hebdo à la fin de sa carrière professionnelle.\\n\\nPourquoi avoir pris la décision d’arrêter?\\n\\nJ’ai reçu un choc important sur le poignet droit lors d’un match contre Pau en janvier 2012. On a mis plusieurs mois avant de savoir ce que j’avais et j’ai joué avec la douleur le reste de la saison. J’ai enfin pu voir un spécialiste pendant l’été et c’est là que j’ai appris que les ligaments de mon poignet étaient rompus. Comme c’était déjà le mois de juillet et que l’opération était importante et la durée de l’arrêt assez long, on a décidé avec le club que je le ferai l’année suivante tout de suite à la fin de la saison pour limiter la durée de mon absence à la reprise. Mais c’est vrai du coup que j’ai eu une dernière année compliquée car j’ai joué avec la douleur et une gêne dans mes mouvements, et en plus on est descendu cette année là. Donc comme prévu je me suis fait opérer en mai 2013, l’opération s’est bien passée mais mon poignet était bien abimé. Aujourd’hui la douleur est malheureusement encore là et la mobilité de mon poignet est restée très réduite. Vu l’état de mon poignet, la médecine du travail a décidé de me déclarer inapte à la pratique du basket de haut niveau. Donc cet arrêt de carrière n’est pas complètement de mon ressort, même si je m’y préparais depuis quelques temps...\\n\\nQue fais-tu maintenant?\\n\\nAprès l’arrêt de ma carrière, j’ai décidé de ne pas perdre de temps et de me consacrer à 100% à ma reconversion. La majorité des gens du monde du basket français connait mon coté “geek” et c’est en effet dans le domaine du web que je vais essayer de construire une nouvelle carrière. Ça faisait déjà quelques années que je consacrais mon temps libre à cela en réalisant déjà un premier site, désormais ce n’est plus seulement sur mon temps libre que je développe mon projet, c’est devenu un temps plein...\\n\\nQuels sont tes projets pour l’avenir? Tes objectifs?\\n\\nMon projet pour l’avenir a un nom: Favslist (www.favslist.com, pour l’instant seulement en anglais). Il s’agit d’un réseau social que je suis en train de développer avec un ami et associé américain. Pour faire simple, notre objectif est assez ambitieux, nous voulons proposer une alternative à Facebook et Twitter! Favslist est centré sur les passions de chacun et permettra à chacun d’entres nous de se constituer une carte d’identité sociale basée sur les choses qu’on aime. D’un point de vue business, l’objectif est aussi de renforcer la relation entre les marques et entreprises avec leurs fans les plus fidèles. Le site progresse de très belle manière et j’espère que l’on atteindra très vite son potentiel.\\n\\nQuels sont les points positifs de cet arrêt?\\n\\nEvidemment, je peux maintenant passer beaucoup plus de temps avec ma famille surtout les week-ends. On peut se déplacer plus facilement et aller rendre visite à de la famille qui vit plus loin. L’arrêt brutal de ma carrière est certes difficile mais ça permet quand même de se “forcer” à réorganiser son mode de vie et se concentrer sur l’après."
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Andrew Albicy : «A l’étranger, tu dois montrer ce que tu vaux»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ancienne figure du championnat de France de basket, meilleur défenseur de Pro A en 2011/12 ou encore quadruple All Star LNB et MVP en 2015, Andrew Albicy (1,78m, 26 ans) a fait le choix de s’exiler vers Andorre cet été pour évoluer au sein du fameux championnat espagnol. Pour BasketEurope.com, l’ancien meneur du Paris-Levallois revient sur ce qui l’a poussé à rejoindre le BC Andorra, sur sa vie en Espagne ou encore sur l’équipe de France.\\n\\nCet été, vous avez quitté la France pour rejoindre Andorre, pourquoi cette destination ?\\n\\nIls ont montré de l’intérêt pour moi. Toute l’année ils m’ont suivi, ils me montraient vraiment qu’ils me voulaient dans leur équipe tout simplement. Je voulais jouer à l’étranger et encore plus dans le championnat espagnol, c’était assez intéressant comme projet donc j’ai fait le choix de partir à Andorre.\\n\\n\\n« Quand je vois certains Américains qui sont en France depuis dix ans et qui ne parlent toujours pas un mot de français, je trouve ça carrément ridicule »\\n\\nBeaucoup doutaient de ce choix quand vous êtes parti, qu’en pensez-vous aujourd’hui ?\\n\\nJ’en pense que je le montre sur le terrain tout simplement (rires). Cela se passe vraiment très, très, très bien, je suis vraiment content de ce choix et j’espère que cela va continuer jusqu’à la fin de l’année. On est en bonne position pour la Copa del Rey, on est très bien placé en championnat donc je suis vraiment content de ce qui se passe en ce moment (NDLR : Andorre est actuellement classé 7e avec 7 victoires et 5 défaites).\\n\\nComment s’est passé votre intégration ?\\n\\nTrès bien. L’équipe était assez renouvelée donc je n’étais pas le seul nouveau mais tout le monde s’est bien intégré. J’ai aussi été intégré assez rapidement, le club est assez professionnel, on s’occupe bien de nous et je pense qu’il n’y a rien à dire de ce côté-là.\\n\\nSi on vous suit sur les réseaux sociaux, on peut y voir que vous avez commencé à apprendre l’espagnol, est-ce important pour vous ?\\n\\nOui parce que je ne supporte pas d’être quelque part et ne pas comprendre donc voilà, j’essaye d’apprendre le plus rapidement possible même si c’est sûr qu’apprendre une langue à 26 ans ce n’est pas facile. C’est vraiment quelque chose qui me tenait à cœur parce que quand je vois certains Américains qui sont en France depuis dix ans et qui ne parlent toujours pas un mot de français, je trouve ça carrément ridicule.\\n\\nC’est vraiment quelque chose qui part d’une envie personnelle, ce n’est pas une obligation ?\\n\\nOui, oui dès que je suis arrivé j’ai demandé à pouvoir apprendre la langue et le club a mis cela en place. Il l’a également fait pour un autre joueur de l’équipe.\\n\\n\\n« L’ambiance espagnole est déjà particulière alors avec cette victoire c’était vraiment un plus »\\n\\nCela faisait combien de temps que vous cherchiez à jouer à l’étranger ?\\n\\nDepuis un petit moment... Je pense qu’après mes deux ans à Paris, et cela va faire deux ans déjà que j’avais envie de partir. J’avais eu une occasion que je n’avais pas saisie mais là je voulais vraiment partir. Je pense que j’avais les épaules et puis tout simplement l’envie de partir donc cela s’est fait cet été.\\n\\nSi vous n’êtes pas parti avant c’est parce que vous n’osiez pas franchir le pas ou parce que les propositions ne vous paraissaient pas bonnes ?\\n\\nUn peu des deux. Ce n’était pas forcément ce que j’attendais et je ressentais quand même un peu d’appréhension à l’idée de partir.\\n\\nJustement vous êtes pas mal de Français en Espagne, êtes-vous en contact avec les autres ?\\n\\nJe parle vite fait avec Antoine (Diot) et Edwin (Jackson), je l’ai croisé il n’y a pas longtemps donc quand on se voit, on discute un peu. Mais à part cela je ne suis pas vraiment en contact régulièrement avec les autres Français.\\n\\nLors de la 12e journée, vous remportez un gros match face à Barcelone (87-80). Quel était votre sentiment par rapport à cette victoire, cela doit être spécial de gagner contre un club comme le Barça ?\\n\\nPour moi c’était juste un match. Après c’est vrai que c’est Barcelone donc tu as envie de montrer ce que tu vaux. Mais avant tout, c’était vraiment un match comme un autre parce que cela fait qu’une victoire en plus. Mais pour le club c’était vraiment important parce que je crois que c’est la première fois depuis qu’ils sont en première division qu’ils remportent un match face à Barcelone donc cela a vraiment fait du boucan dans la ville. Même au club, c’était vraiment quelque chose qu’ils attendaient donc il y avait vraiment une ambiance hors norme. L’ambiance espagnole est déjà particulière alors avec cette victoire c’était vraiment un plus.\\n\\nJustement y-a-t-il un vrai engouement de la ville par rapport au basket ?\\n\\nOui clairement ! On fait une très belle saison pour l’instant, même si on n’arrive pas encore à gagner à l’extérieur, en tout cas à domicile on prend tous les matchs et on arrive même à gagner des « gros », donc les gens sont vraiment emballés par l’équipe, ils viennent nous voir. On ressent une différence par rapport au début de l’année et maintenant donc c’est vraiment cool.\\n\\n\\n« Retrouver l’Equipe de France fait partie de mes objectifs »\\n\\nQuelles sont les différences entre le jeu en Pro A et celui en Liga Endesa ?\\n\\nJe pense que c’est beaucoup plus adroit et beaucoup plus exigeant dans le jeu. Par contre c’est peut-être un peu moins athlétique, je dirais même beaucoup moins. Les différences se trouvent surtout dans ces secteurs-là. Aussi, cela joue beaucoup, beaucoup en première intention. S’il y a une possibilité de marquer, ils vont la saisir tout de suite et ils ne vont pas attendre en faisant tourner la balle comme on peut le voir un peu en France, dans certaines équipes en tout cas.\\n\\nLe niveau de jeu espagnol est-il vraiment beaucoup plus élevé que la Pro A ?\\n\\nSincèrement, oui.\\n\\nC’est la destination que vous vouliez en priorité l’Espagne ?\\n\\nOui parce que pour moi c’est tout simplement le meilleur championnat de basket en Europe\\n\\nVous êtes actuellement meilleur passeur d’ACB mais déjà en France vous étiez toujours parmi les meilleurs dans cette catégorie. D’où vous vient ce sens de la passe?\\n\\nJ’ai toujours voulu mettre mes coéquipiers en valeur. Je l’ai toujours dit, je préfère faire marquer mes coéquipiers plutôt que de marquer moi-même. J’ai toujours été comme cela et j’arrive encore plus à le faire ici.\\n\\nEst-ce important pour vous de figurer parmi les meilleurs à la passe et aux interceptions ?\\n\\nOui parce que j’ai toujours eu cette mentalité de défendre fort et de faire des passes. J’affectionne tout particulièrement ces deux secteurs de jeu-là. Cela ne m’étonne pas non plus mais comme on dit les assists arrivent aussi parce que mes coéquipiers marquent leurs paniers. S’ils ne mettaient pas les paniers je ne serais pas là. Donc je suis vraiment content et assez satisfait par rapport à ces statistiques-là.\\n\\nN’est-ce pas une récompense pour le travail que vous effectuez en défense, une des forces de votre jeu ?\\n\\nOui, oui c’est cela. J’essaye de montrer la voie à mon équipe en défense ce qui fait qu’après tout le monde arrive à me suivre donc si moi je montre l’exemple cela facilite la chose. J’essaye toujours de montrer ce côté grosse défense et pour l’instant cela marche assez bien.\\n\\nEst-ce que vous sentez que vous avez passé un cap depuis votre arrivée en Espagne ?\\n\\nUn peu. C’est vrai que je me sens un peu plus à l’aise, je sens vraiment qu’il y a beaucoup de responsabilités et c’est aussi cela que j’attendais. Même le fait d’être à l’étranger j’avais une appréhension et finalement tout se passe super bien. C’est vraiment autre chose donc cela met un peu plus de pression aussi parce que tu dois prouver, tu dois montrer ce que tu vaux alors qu’en France il y avait souvent le « on te connaît, on sait ce que tu vaux ». Donc cela met une pression mais c’est bien, en tout cas cela se passe bien pour l’instant, j’espère que cela va continuer.\\n\\nVous avez signé pour deux saisons avec Andorre mais avez-vous déjà un plan la suite ?\\n\\nJ’ai signé une année plus une autre année en option donc je n’ai pas vraiment de plan. J’ai juste envie d’évoluer pour tout simplement pouvoir encore passer d’autres paliers.\\n\\nEst-ce comme une étape avant de rejoindre une grosse écurie européenne ?\\n\\nOui, c’est cela. C’est le projet.\\n\\nDans les structures de votre club, les salariés, les moyens mis à disposition (médicaux, en déplacement), y-a-t-il une grande différence avec ce que vous avez connu en France ?\\n\\nNon, c’est à peu de chose près identique. Déplacements en bus, on a deux kinés, c’est pratiquement pareil. Sur ce point-là il n’y a pas vraiment de changement.\\n\\nVous ne vous sentez pas trop dépaysé ?\\n\\nNon. Après Andorre je pense que c’est une bonne destination du fait que les gens y parlent un peu français, l’adaptation est assez facile même pour aller en ville. Tu peux facilement te repérer, ce n’est pas non plus très grand. Les gens sont assez accueillants, ils sont chaleureux donc c’est cool (NDLR : le trône andorran à deux coprinces, l’évêque catalan d’Urgell et le président de la République Française).\\n\\nAvez-vous toujours un œil sur la Pro A ?\\n\\nOui, oui je suis toujours la Pro A. Je regarde même les matchs quand je peux donc oui, oui j’ai toujours un œil sur la France surtout que j’ai des amis qui jouent donc je les suis un peu aussi.\\n\\nIl y a un an, vous étiez élu MVP du All Star Game. C’était important pour vous ?\\n\\nNon pas vraiment, moi je voulais juste battre le record de passes décisives (rires) ! On va dire que c’était la cerise sur le gâteau d’avoir été élu MVP.\\n\\nAllez-vous regarder celui de cette année ?\\n\\nOui je pense, même si cela fait un peu bizarre de voir ce match-là. Je trouve que c’est assez particulier dans le sens où le niveau français est quand même beaucoup plus bas que ce que je pensais, en fait. Il y a certains joueurs français pour qui c’est leur première sélection et par rapport au niveau des Américains je pense qu’il y a un petit écart mais après sur un All Star Game on ne sait jamais.\\n\\nEtes-vous toujours ouvert à l’Equipe de France ?\\n\\nJ’ai toujours été ouvert. Je n’ai jamais fermé la porte à l’Equipe de France. Après, comme je l’ai dit ce n’est pas moi qui fais la sélection mais si on m’appelle je serai là.\\n\\nVous sentez-vous capable d’aller regagner votre place pour le prochain Euro ?\\n\\nOui, c’est mon objectif. Mais si le sélectionneur choisi quelqu’un d’autre, c’est son choix et je dois faire avec.\\n\\nPhoto : Morabanc Andorra"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : une page se tourne à Boulogne..."
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après huit ans de collaboration au cours desquels le Stade Olympique Maritime Boulonnais est passé de la Nationale 1 à la Pro A, le club somiste a décidé de se séparer de son entraîneur emblématique, Germain Castano. L’ancien meneur de jeu âgé de 44 ans n’a pas résisté au très mauvais départ de son équipe cette saison (3v-9d après avoir débuté l’exercice par cinq revers) et à cet ultime revers concédé hier à domicile contre Rouen dans le match de la peur entre les deux derniers de Pro B (79-83). Alors qu’ils comptaient 13 points d’avance en milieu de troisième quart-temps (65-52), les Boulonnais ont à nouveau sombré dans le money-time face aux assauts du duo Augustin-Fairell – Woodard.\\n\\nHabitué à jouer les premiers rôles en Pro B, le SOMB avait réussi la saison dernière une première partie exceptionnelle avant de laisser son fauteuil de leader au HTV, futur champion, au cours du mois de février, la faute à une hécatombe de blessures dont les deux meilleures évaluations de Pro B du moment :Garrett Sim (aujourd’hui à Bourg-en-Bresse) et Lance Goulbourne (aujourd’hui en Pro A au Portel). Cette année, l’amalgame entre les joueurs d’expérience (Teddy Gipson, Xavier Corosine, Jean-Baptiste Adolphe Michel) et le reste du groupe n’a pas fonctionné, et les dirigeants ont fini par trancher après cette nouvelle défaite .\\n\\nSous la houlette de Germain Castano, Boulogne-sur-Mer était redouté pour son basket très offensif, avec beaucoup de jeu de transition et de première intention. Depuis 2010, les Boulonnais ont toujours fait partie des cinq meilleures attaques de la division en terme de points marqués, avec en point d’orgue exercice 2012-2013 d’exception en la matière (89,2 points inscrits par match). C’est ce basket « run and gun » qui a notamment permis au club d’atteindre la Pro A au terme d’une saison 2013-2014 exceptionnelle (champion avec 32 victoires en 44 matchs). Même si le club a fait l’ascenseur dès la première saison, cette montée parmi l’élite représente le plus bel accomplissement de coach Castano à la tête du SOMB. Durant son épopée au sein du club jaune et noir, il a notamment révélé de nombreux talents comme Fernando Raposo, Jonathan Rousselle, Valentin Bigote, Mickaël Var, Mouhammadou Jaiteh, Zachery Peacock, Junior Mbida, Kevin Mendy ou encore Arthur Rozenfeld.\\n\\n\\n\\n\\nUne pensée à une personne spéciale pour moi. germain Castano qui a été écarté du @SOM_Boulogne je lui souhaite le meilleur. Un gars en or\\n\\n\\n— Arthur Rozenfeld (@ArthurRozenfeld) December 23, 2016\\n\\n\\nLa journée en bref\\n\\nParmi les autres faits marquants de cette 12e journée, on retiendra la première défaite de la saison du leader Fos Provence Basket, battu 77-73 sur le parquet d’Evreux porté par un Bastien Pinault en grande forme (22pts, 7/8 à 3 points. Malgré ce revers, les Provençaux conservent leurs deux victoires d’avance sur Charleville-Mézières qui n’en a pas profité et s’est incliné 71-75 à domicile contre une Hermine de Nantes en quête de rachat . Au rang des favoris, Roanne a mis fin à sa série de quatre défaites grâce à son succès sur Denain (79-62), tandis que Bourg-en-Bresse continue sa remontée avec sa 4e victoire consécutive (82-68 à Poitiers) et occupe désormais seul la 3e place. Enfin, rien ne va plus à Boulazac, qui a vécu un véritable cauchemar à Blois (91-64).\\n\\nSuite et fin des Journées de noël mardi soir pour la 13e journée qui sera marquée par le choc entre Bourg-en-Bresse et Roanne. Les clubs de Pro B observeront ensuite 15 jours de trêve.\\n\\n\\nLes résultats de la 12e journée\\n\\nAix-Maurienne – Saint-Chamond : 84-96\\n\\nBlois – Boulazac : 91-64\\n\\nBoulogne-sur-Mer – Rouen : 79-83\\n\\nCharleville-Mézières – Nantes : 71-75\\n\\nEvreux – Fos-sur-Mer : 77-73\\n\\nLe Havre – Lille : 80-72\\n\\nPoitiers – Bourg-en-Bresse : 68-82\\n\\nRoanne – Denain : 79-82\\n\\nSaint-Quentin – Vichy-Clermont : 70-77"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 24 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nMarc Trasolini (Intérieur SLUC Nancy): « Nous avons enfin quarante minutes »\\n\\n– Marc Trasolini : « Que ça fait du bien de gagner un match ! Ce soir, nous avons enfin joué pendant quarante minutes. Ça avait rarement été le cas par... Lire la suite.\\n\\n\\nSLUC Nancy : Saison terminée pour Gary Florimont\\n\\n– Lorsque Gary Florimont est tombé tout seul dans la raquette (15’), on a tout de suite pensé au pire. Le diagnostic a été très vite connu : rupture du... Lire la suite.\\n\\n\\nMcFadden jouera encore contre Nanterre\\n\\n– Ainsi que nous l’annoncions ce vendredi sur notre site internet, Thaddeus McFadden va bien s’engager avec le club grec du PAOK Thessalonique, sur le... Lire la suite.\\n\\n\\nLe Père Noël s’appelait Brion Rush pour le SLUC Nancy, enfin vainqueur face à Orléans (72-65)\\n\\n– Pour son premier match avec le SLUC, l’ancien shooteur de Roanne, Strasbourg et Chalon, a fait son premier carton (7/12 à trois points) et ainsi... Lire la suite.\\n\\n\\nEmportée par la furia\\n\\n– La SIG a tenu tête à l’Élan Chalon, tornade offensive qui emporte tout sur son passage, hier soir en Saône-et-Loire (81-74). Les hommes de Vincent... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne seconde mi-temps fatale pour Denain\\n\\n– Denain concède une deuxième défaite de rang face à une équipe roannaise qui se devait de l’emporter. Les coéquipiers de Pierric Poupet n’ont donc pas réussi à s’imposer dans la Loire. Les Choraliens privés de Rozenfeld et Cheriet, avaient décidé de ne pas arroser à trois points après leur 8/46 dans l’exercice lors des deux dernières défaites. Kanervo est toujours malheureux mai... Lire la suite.\\n\\n\\nLe festin avant l’heure pour l’Elan\\n\\n– Au terme d’un bras de fer d’une rare intensité, digne des playoffs, Chalon s’est offert la SIG en guise de réveillon avant l’heure... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDe l’Amicale Laïque Lédonienne aux Bleuets\\n\\n– Arrivé à Lons-le-Saunier à l’âge de 6 ans, Tahar Assed-Liegeon a débuté le basket à l’Amicale Laïque Lédonienne, son club de cœur, comme il l’indique... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’abnégation de Gavrilovic\\n\\n– Après un début de match sur le banc dû à ses fautes rapides, Alexandre Gavrilovic a réussi à montrer de sa capacité lors de la seconde période, sans... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTahar Assed-Liegeon sur le toit de l’Europe\\n\\n– L’équipe de France U18 a décroché jeudi à Samsun (Turquie) un quatrième titre de champion d’Europe après ceux de 1992, 2000 et 2006. Derrière cette... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond tout schuss\\n\\n– Au prix d’une grosse prestation offensive, les Couramiauds ont renoué avec la victoire. La manière en prime... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRoanne lâche le frein à main\\n\\n– Après une mi-temps au cours de laquelle elle s’est montrée empruntée, la Chorale a puni Denain en laissant sa frustration au vestiaire... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa démonstration bressane\\n\\n– Si les Poitiers – Bourg ont souvent été très disputés, cela n’a pas été le cas de celui d’hier soir. Menant de 26 points au quart d’heure de jeu, la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe leader Monaco a dû batailler\\n\\n– Mené de 11 points à la pause, Monaco a livré une grosse deuxième période à domicile, ce vendredi soir contre Pau-Orthez, pour s’imposer et conforter... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPro A: Monaco solide leader, exploit du Portel\\n\\n– Le leader Monaco a éjecté Pau-Orthez du podium, en s’adjugeant 77 à 64 vendredi l’affiche au sommet de la 14e journée de Pro A, pendant que Le Portel a créé l’exploit au Paris-Levallois (62-47)... Lire la suite.\\n\\n\\nDoumbouya 3 e meilleur marqueur de l’Euro U18\\n\\n– Sacré champion d’Europe avec l’équipe de France U18 jeudi en Turquie, le jeune Poitevin Sekou Doumbouya s’est aussi distingué indivuellement. Pour sa première avec le maillot tricolore, il termine, avec le Finlandais Maxhuni, 3e meilleur marqueur de cet Euro (17,8 pts par match) derrière le Bosnien Musa (20,2 pts) et le Letton... Lire la suite.\\n\\n\\nPierre-Yves Guillard : » Un match sans «\\n\\n– Pierre-Yves Guillard (intérieur du PB 86)\u2009: « On n’a jamais réussi à sentir qu’on pouvait recoller. On les a trop laissés prendre confiance en début de match. On a pris un peu le bouillon. On manque d’agressivité. Au lieu d’être plus durs et de couper leur jeu de transition offensive, on s’est laissés marcher dessus. En attaque, on n’a p... Lire la suite.\\n\\n\\nLa douche froide\\n\\n– Poitiers – Bourg-en-Bresse 68-82 Corrigés par des Bressans impressionnants, les Poitevins ont manqué l’occasion de rejoindre le ventre mou... Lire la suite.\\n\\n\\nC’est l’ADA qui régale\\n\\n– Blois – Boulazac\u2009: 91-64 Euphoriques vendredi soir, les joueurs de l’ADA ont nettement dominé un adversaire direct. Vraiment encourageant... Lire la suite.\\n\\n\\nLe hold-up manqué de la SIG\\n\\n– Toujours à la traîne hier soir à Chalon-sur-Saône, les Strasbourgeois se sont réveillés durant le dernier quart-temps pour revenir tout près de leurs... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nNtilikina sur le toit de l’Europe\\n\\n– Deux ans après avoir remporté l’Euro U16, Frank Ntilikina est devenu jeudi champion d’Europe U18 avec les Bleuets en Turquie. Stratosphérique en... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Boulogne-sur-Mer et Germain Castano se séparent"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Très mal en point après 12 matchs de championnat, le SOMB est lanterne rouge de Pro B (3v-9d). Suite à la dernière défaite en date de leur club, ce vendredi face à Rouen (83-79), les dirigeants boulonnais ont décidé de remercier leur coach Germain Castano.\\n\\nLe club a annoncé la nouvelle sur sa page Facebook, après huit années de bons et loyaux services, Germain Castano quitte le SOMB.\\n\\nL’ancien entraîneur de Saint-Quentin avait été sacré champion de France Pro B avec Boulogne-sur-Mer lors de la saison 2013/14 avant d’être relégué après une saison en Pro A.\\n\\n\\nPhoto : JP Carlier"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau – Paris-Levallois devrait se jouer à guichets fermés"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le journaliste Jean Fauret de La République des Pyrénées a tweeté que 7 000 billets ont déjà été réservés pour le match Pau vs Paris-Levallois de mardi prochain.\\n\\nCet excellent score qui assure pratiquement à l’Elan Béarnais de faire le plein du Palais des Sports (7 707 places) et donc d’établir le record de la Pro A pour cette saison, tient à plusieurs raisons :\\n\\n * Le bon parcours des deux équipes qui font mieux que ce que les prévisionnistes imaginaient et qui sont en course toutes les deux pour la LeadersCup.\\n * La période, entre Nöel et le Premier de l’An, qui est favorable aux affluences.\\n * Le (deuxième) retour au Palais du coach du PL, le Landais de naissance Freddy Fauthoux qui fut l’icône du Béarn.\\n\\n\\n\\n\\nDéjà 7000 places vendues pour @EBPLO – @ParisLevallois1 de mardi prochain...\\n\\n\\n— Jean Fauret (@JeanFauret) December 23, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"NM1 : François Sence arrive sur le banc du SAP Vaucluse"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sylvain Lautié remercié début décembre, le SAP Vaucluse était à la recherche d’un nouvel entraîneur pour mener l’équipe, et le club de NM1 rapporte que c’est François Sence reprend les rênes de l’équipe.\\n\\nAperçu dans les tribunes lors du match face à Challans samedi dernier, l’ancien technicien d’Aix-Maurienne a signé son contrat hier soir.\\n\\nActuel 17e du classement de Nationale 1, le SAP n’a remporté que 5 de ses 16 matchs, un bilan synonyme pour l’instant de relégation.\\n\\nC’est un lourd défi qui attend donc François Sence qui dirigera son premier entraînement le mardi 27 décembre."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : le Final Four maintenu à Istanbul"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Malgré les dernières attaques terroristes qui ont touché la ville turque, le président de l’Euroleague s’est vu rassurant dans une interview pour El Mundo, dans laquelle il affirme que le Final Four se tiendra bien à Istanbul.\\n\\n« Nous avons certaines garanties quant à la sécurité car le gouvernement turc est encore plus motivé que nous à ce qu’il ne se passe rien dans un événement international. »\\n\\nIl a été clair, quitter Istanbul serait céder à la peur.\\n\\n« Evidemment nous sommes préoccupés, et la Turquie a peut-être les pires statistiques en ce qui concerne les attaques terroristes mais il se passe malheureusement des tragédies dans d’autres pays et dans d’autres villes également. Nous ne quitterons pas Istanbul, nous ne pouvons pas revenir en arrière. Si nous cédons à la peur, ils gagnent. »\\n\\nAvant d’ajouter que la meilleure réponse vient du public.\\n\\n« La réponse des supporters qui ont acheté toutes les places pour le Final Four en seulement 90 minutes est le meilleur message que l’on puisse envoyer. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet: vers une rénovation de La Meilleraie ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La salle de La Meilleraie à Cholet va fêter ses trente ans et il est peu de dire que si elle a un côté magique, elle est vieillissante, croulante, plus adaptée aux exigences du siècle.\\n\\nInterrogé par Ouest France, le président de Cholet Basket Didier Barré a annoncé que le capital du club allait être augmenté avec la participation d’une quarantaine d’entreprises afin d’arriver à booster le budget qui reste assez faible (4 228 000 euros). Par ailleurs, les Meubles Gautier vont associer leur nom au centre de formation. Cela veut il dire aussi que Rudy Gobert, formé au club et lié à cette entreprise, pourrait investir un jour à CB ?\\n\\n« Je l’appelle de mes voeux mais Rudy est maître de son destin, c’est lui qui décidera. Ira-t-il à Paris avec Nicolas Batum ? Viendra-t-il chez nous ? Il a déjà associé son image à notre centre de formation, si ça peut nous permettre d’attirer de meilleurs jeunes, ce sera déjà un bon point... »\\n\\n\\nDes loges, des lumières...\\n\\nEt donc Didier Barré donne des nouvelles de La Meilleraie. Un vieux serpent de mer local puisque systématiquement avant les élections l’actuel maire Gilles Bourdouleix promet la construction d’une nouvelle aréna... avant de se rétracter une fois élu. Cette fois, c’est plutôt la rénovation de La Meilleraie qui est dans l’air du temps.\\n\\n« Plus on proposera dans notre salle un bon spectacle – des loges, des lumières, une meilleure réception de tous nos abonnés -, mieux ce sera. C’est un tout. Si on a l’ambition de revenir dans le Top 8 de Pro A au niveau du budget, pour pouvoir viser le Top 8 sportivement, il nous faut une salle qui soit bien rénovée, et où l’on puisse accueillir encore mieux nos partenaires privés, notamment... »\\n\\nAlors que les résultats sportifs ne sont plus ce qu’ils étaient, Cholet Basket a présenté la saison dernière la 7e affluence de Pro A (4 139 spectateurs) et le 8e taux de remplissage. Et toujours l’une des ambiances les plus « basket » de la scène nationale."
}, 
{"role": "user",     "content":"Championnats nationaux : le Top 10 de la semaine (10 décembre)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque saison depuis maintenant cinq ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCette semaine, c’est Nicolas Faurie et Alvin Goram (ASP Panazol, NM3) qui pointent à la première place du classement grâce à un alley-oop parfaitement réalisé qui offre la victoire à Panazol.\\n\\n\\nTop 10 CourtCuts du 10 Décembre 2016 par FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nando De Colo, joueur le plus clutch d’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"MVP de l’Euroligue et du Final Four la saison dernière, Nando De Colo a repris ses bonnes habitudes cette saison avec 21 points, 4,7 rebonds et 4,1 assists en moyenne par match (23,6 d’éval) malgré une blessure qui l’a tenu écarté des parquets pendant un mois.\\n\\nMieux encore, l’international tricolore est le joueur le plus clutch de la plus grande compétition européenne. Dans une étude basée sur les statistiques de la saison en cours, Eurohoops montre que Nando est le joueur le plus décisif dans les cinq dernières minutes des rencontres avec 4,8 points de moyenne dans le « clutch time », pour 24 points au total.\\n\\nLors des 5 matchs qui se sont joués dans les cinq dernières minutes auxquels il a pris part, le Français a pris 9 tirs et en a inscrit 5."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague féminine: Alexia Chartereau (Bourges) monte en puissance"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ça ne va pas très fort pour Bourges en EuroLeague. C’est vrai que depuis vingt ans les Berruyères nous ont habitués à servir du caviar à la louche et ça fait drôle de les voir en dehors de leurs standards habituels. Hier soir, elles n’ont inscrit que 50 points face à Salamanque qui en a compilé 63. Voici aujourd’hui les Tango scotchées à la 6e place du groupe B avec 2 victoires en 6 journées.\\n\\nS’il faut sortir une (grosse) satisfaction du périple en Espagne, c’est la prestation d’Alexia Chartereau (1,89m). L’intérieure a marqué 13 points en 18 minutes, ce qui est le meilleur total de son équipe. Même si les filles le sont parfois plus que les garçons, il faut souligner que la Sarthoise est très précoce puisqu’elle a fêté ses 18 ans en septembre.\\n\\nAlexia Chartereau, MVP du dernier Euro Juniors, est à 5,3 pts et 2,0 rbds en 11 minutes de moyenne en 6 matches d’EuroLeague.\\n\\nRécemment, Jérôme Fournier, coach des A’ et qui avait été auparavant celui des U20 –Alexia a doublé U20 et U18 l’été dernier-, s’exprimait dans Le Berry :\\n\\n« Bien sûr que je l’ai trouvée changée. Et c’est normal puisqu’elle évolue dans le meilleur club français. Elle grandit vite. Bourges est un accélérateur de maturité pour elle. Je l’ai trouvée épanouie, déterminée et en totale confiance avec son tir. On voit qu’elle sait ce qu’elle veut. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"International junior, Warren Woghiren suit les traces de Rudy Gobert"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette photo n’est pas anodine.\\n\\nA droite, c’est bien sûr Rudy Gobert. 2,17m. Un Picard puisque né à Saint-Quentin. Il y a débuté le basket, fut intégré au Pôle Espoir d’Amiens avant de rejoindre le centre de formation de Cholet et de connaître le succès que l’on sait.\\n\\nA gauche, voici Warren Woghiren, pivot de l’équipe de France U18 qui participe à partir de demain au championnat d’Europe de la catégorie en Turquie. Il mesure déjà 2,12m et il grandi toujours.\\n\\nNé d’un père Nigérian et d’une mère française, Warren est métis comme Rudy. Comme Rudy, il est Picard. Il habite à Venette, une commune attenante à Compiègne. Son cursus, il l’a fait dans sa région : sélection benjamine de l’Oise, pôle espoirs picard, deux ans de minimes France au CS Pontpoint.\\n\\nWarren fut accepté au Centre Fédéral avant de partir au bout d’un mois –devinez où-... A Cholet, bien sûr.\\n\\nDans le championnat espoir, il tourne à 6,1 points et... 13,1 rebonds. Plus 0,9 contre.\\n\\n« Même nous, on fait la comparaison. On lui montre ce que Rudy faisait à son âge car le parallèle est évident, » répondait il y a quelque temps au Parisien, Sylvain Delorme, son entraîneur chez les cadets de Cholet.\\n\\n\\nD’ailleurs Rudy est le modèle de Warren et il l’a rencontré au camp de celui-ci.\\n\\n« J’étais impressionné. Je n’osais pas lui parler. Il est grand et fort. Je suis encore très loin de ça. Il m’a dit de faire attention aux blessures, parce que tous les deux, on a les mêmes, des blessures de grands. Mais aussi de prendre plus confiance en moi. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro Juniors : les Bleuets à pied d’oeuvre en Turquie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de France juniors est à pied d’œuvre à Samsun, en Turquie, sur les bords de la Mer Noire, pour le championnat d’Europe de la catégorie qui va se tenir à partir de demain et jusqu’à jeudi prochain. Celui-ci avait été ajourné suite à la tentative de coup d’Etat qui s’est produite cet été dans le pays et donc programmé en ce mois de décembre alors que beaucoup de joueurs sont encore scolarisés. La préparation des équipes a également été réduite à sa plus simple expression.\\n\\nL’équipe de France est emmenée par le meneur Frank Ntilikina, qui dispose d’un bon temps de jeu à Strasbourg (13 minutes), et qui manquera quatre matches avec la SIG. Il n’était évidemment pas présent hier soir lors de la victoire sur Avellino en FIBA Champions League. Il sera par contre de retour pour participer au concours des meneurs de jeu au All-Star Game, à Paris, le 29 décembre.\\n\\n\\nUne compétition très scoutée\\n\\nCette équipe juniors est bâtie sur les fondations -six joueurs- des cadets champions d’Europe, il y a deux ans. Outre l’envie de gagner un titre sinon une médaille, les Bleuets auront à cœur de montrer leur savoir faire dans une compétition qui est tout particulièrement scoutée.\\n\\nD’autres Bleuets ont d’ailleurs déjà fait des apparitions en Pro A comme Adam Mokoka (11 points en 18 minutes avec Gravelines contre Orléans), Abdoulaye N’Doye (un total de 19 minutes avec Cholet), Bathiste Tchouaffé (un total de 16 minutes pour 13 points avec Nanterre) et Digue Diawara (un total de 3 minutes avec l’ASVEL) alors que Thibault Desseignet possède un vrai rôle en Pro B, sous le maillot de Bourg, avec 12 minutes en moyenne (3,0 pts, 1,4pd). Sans parler du déjà très médiatisé Sekou Doumbouya (15 minutes en moyenne, 3,0 pts et 2,3 rbds avec Poitiers), qui va fêter ses 16 ans le lendemain de la clôture de l’Euro.\\n\\nA l’inverse, Ivan Février, né en 1999, est toujours pensionnaire de l’INSEP et il est un acteur majeur de la Nationale 1 avec 14,3 pts/m.\\n\\nA noter que l’équipe de France est privée de trois éléments prépondérants actuellement en NCAA : Killian Tillie (Gonzaga), MVP de l’Euro cadets 2014 avec 14,3 pts et 9,6 rbds, Renathan Ona Embo (Tulane) et Jaylen Hoard (Wesleyand Chistian Academy).\\n\\n\\n\\n\\nNom\\nPrénom\\nDate Nais\\n\\n\\nTaille\\nClub\\n\\n\\nDESSEIGNET\\nThibault\\n15/09/1998\\n182\\nJL Bourg\\n\\n\\nDIAWARA\\nElhadji-digue\\n03/10/1998\\n205\\nASVEL\\n\\n\\nDOUMBOUYA\\nSekou\\n23/12/2000\\n202\\nPoitiers\\n\\n\\nFEVRIER\\nIvan\\n08/02/1999\\n202\\nCFBB\\n\\n\\nMOKOKA\\nAdam\\n18/07/1998\\n188\\nGravelines\\n\\n\\nNDOYE\\nAbdoulaye\\n09/03/1998\\n198\\nCholet\\n\\n\\nNTILIKINA\\nFrank\\n28/07/1998\\n196\\nStrasbourg\\n\\n\\nRAMBAUT\\nJules\\n06/04/1998\\n204\\nChâlons-Reims\\n\\n\\nTCHOUAFFE\\nBathiste\\n19/05/1998\\n196\\nNanterre\\n\\n\\nVAUTIER\\nBastien\\n15/11/1998\\n210\\nNancy\\n\\n\\nVERGIAT\\nTimothé\\n07/03/1998\\n190\\nHyères-Toulon\\n\\n\\nWOGHIREN\\nWarren\\n23/10/1998\\n212\\nCholet\\n\\n\\n\\n\\nCoach : Tahar ASSED-LIEGEON\\nAssistants : Christophe ALLARDI et Jean-Pascal BOISSE\\n\\nLes matches des Bleus:\\n\\n16 décembre : France-Russie\\n17 décembre : France-Slovénie\\n18 décembre : France-Serbie\\n20 décembre : Quarts de finale\\n21 décembre : Demi-finales\\n22 décembre : Finale"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ancien directeur de l’ASVEL estime que le hand est une menace pour le basket"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans une interview accordée à L’Equipe, Antony Thiodet tire la sonnette d’alarme à propos de la position du basket en France.\\n\\nThiodet a pour lui d’avoir une expérience aussi bien dans le basket (directeur de la communication et du marketing à la FFBB, directeur de l’ASVEL ) que dans le foot (à la communication à Saint-Etienne, puis comme Responsable du sponsoring football chez Adidas) avant d’être Consultant associé de g2 Strategic Europe et de fonder Time for Biz.\\n\\nVoici son avis sur la concurrence de plus en plus vivace du handball :\\n\\n« Le basket est menacé, oui », estime-t-il. « Le hand jouit de la présence des Bleus dans le championnat. Les gens voient les stars françaises dans les salles, il y a une attractivité. Le plus inquiétant c’est que le hand est plus ouvert à une révolution culturelle, à aller draguer d’autres publics, comme le fait le « H » à Nantes. Dans ces sports, la demande naturelle pèse très peu de choses. A l’ASVEL c’étaient 2 000 personnes. Quand j’en avais 5 600 à l’Astroballe, c’est que j’allais en chercher 3 600 en dehors de la demande naturelle. Il me semble que le hand est plus ouvert à cette démarche que le basket. »\\n\\nDans moins d’un mois a lieu le Mondial de handball en France, et « l’ennemi du basket » pourrait en profiter pour séduire un peu plus le très grand public."
}, 
{"role": "user",     "content":"Alessandro Gentile au Panathinaikos en attendant la NBA ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est un transfert majeur en pleine saison d’Euroleague. L’arrière/ailier Alessandro Gentile (2,01m, 24 ans), après avoir rompu son contrat avec Olimpia Milan, a signé au Panathinaikos. Il ne lui reste plus qu’à obtenir le feu vert définitif de son ancien club. Dans ce cas, il pourra apparaître sous ses nouvelles couleurs le 5 janvier prochain.\\n\\nGentile était arrivé à Milan en 2011 en provenance de Trévise et c’est l’un des piliers de l’équipe nationale. Lors de l’Euro 2015 en France, il avait affiché une moyenne de 16,8 pts avec une pointe à 27 contre Israël.\\n\\nPreuve qu’il ne se sent plus dans son assiette à Milan, ses performances offensives sont tombées en une saison de de 20,0 à 10,8 pts avec un piteux 3/14 à trois-points.\\n\\nAlessandro Gentile aurait par ailleurs donné son accord aux Houston Rockets pour jouer au besoin temporairement en D-League s’ils le signent pour la saison 2017-2018."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 15 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nEt le panier-average ?\\n\\n– Petit rappel réglementaire : en cas d’égalité à deux équipes, le panier-average particulier fait office de juge de paix. En cas d’égalité à plusieurs... Lire la suite.\\n\\n\\nLe film du match\\n\\n– Le premier quart ne démarre pas sur des bases offensives élevées, tant en raison de la maladresse des deux équipes que de l’intensité déployée en... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa stratégie de l’asphyxie\\n\\n– Intransigeante en défense, la SIG a étouffé Avellino, hier au Rhenus, et atteint le double objectif qu’elle s’était fixé : rejoindre son adversaire du... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes paniers\\n\\n– Cette année encore, le comité du Loiret a la charge d’organiser le tournoi des Étoiles. Avec la participation de 17 comités, tous sauf le Cantal... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa 10e journée\\n\\n– La question est la même depuis le début du championnat : qui sera la première équipe à battre Fos ? Rouen, dans la foulée de sa victoire à Bourg,... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDesroses : « un vrai match piège ! »\\n\\n– A 36 ans Raphaël Desroses écume toujours les parquets de Pro-B avec passion et désormais la secrète envie de creuser l’écart avec les poursuivants de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLyon SO seul tout en haut\\n\\n– Vainqueur de la JL Bourg 2 (85-73), Lyon SO profite de la défaite de Pont-de-Chéruy à Besançon (89-94), renforcé par le « géant » Vincent Pourchot... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Asvel aura besoin de tout le monde\\n\\n– Impeccables en coupe d’Europe, les Villeurbannais vont récupérer tout leur effectif pour essayer d’arracher leur qualification pour la Leaders cup,... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPelos : « Saint-Chamond sera attendu »\\n\\n– A l’image de sa saison précédente à Saint-Chamond, Pierre Pelos s’affirme peu à peu dans la rotation de la JL Bourg-en-Bresse. Il aborde avec envie et... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Je ne sais jamais quel visage on va montrer »\\n\\n– Saint-Chamond, promu l’an dernier en Pro B, doit confirmer cette saison pour signer un troisième bail. Pas toujours facile comme l’explique Alain... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTout sourit toujours à l’Élan\\n\\n– Après avoir infligé 30 points à Villeurbanne, samedi, l’Elan s’est imposé de 36 points contre les Roumains de Mures (101-65), mardi. Confirmant ainsi... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nA chaud\\n\\n– à chaud Pierre Tavano (entraîneur de l’UTBM 1)\u2009: « Ce match tombait bien pour le club et ça permet de finir l’année sur une rencontre sans pression. Il y a la qualification et c’est une... Lire la suite.\\n\\n\\nUTBM : l’équipe fanion avait plus de réserve\\n\\n– UTBM\u2009: 111 UTBM (2)\u2009: 64 Le « faux suspense » a tourné court hier soir à la halle Monconseil, lors du duel opposant les deux équipes seniors de l’Union Tours Basket Métropole, en... Lire la suite.\\n\\n\\nBlois espère le déclic\\n\\n– Blois – Poitiers Perturbés par les blessures, les débuts en Pro B du promu sont compliqués. Il espère se relancer demain contre un PB voyageant très mal... Lire la suite.\\n\\n\\nLes bonnes notes du Poinçonnet\\n\\n– Coleader, Le Poinçonnet a signé une première partie de saison remarquable. Retour sur ce bon parcours avant une dernière sortie en coupe de France... Lire la suite.\\n\\n\\nAu bout du combat\\n\\n– Les Strasbourgeois se sont une nouvelle fois appuyés sur une grosse défense pour venir à bout des Italiens d’Avellino, hier soir au Rhénus (63-57). La... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nWeek-end victorieux pour les jeunes du TUB 65\\n\\n– U15 région. Tarbes Union Basket 89-Saint-Gaudens 57. Le match contre le 3e du championnat revêtait un intérêt important car après la défaite d’un point, 43-44, contre Pamiers, la... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Strabourg se venge face à Avellino"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Défaits de trois points au match aller (72-69), les Strasbourgeois ont pris leur revanche sur les Italiens d’Avellino ce mercredi à l’occasion de la 9e journée de Champions League.\\n\\nNon content d’avoir enregistré une nouvelle victoire, la SIG a repris le point-average puisque les hommes de Vincent Collet ont remporté ce match 63-57 ce qui permet à Strasbourg de prendre la 2e place du groupe D (6v-3d).\\n\\nMeilleur marqueur du match avec 14 unités, A.J. Slaughter s’est exprimé sur cette victoire en conférence de presse d’après match.\\n\\n« On savait que ce serait difficile. Avellino est une bonne équipe, athlétique et ce match était très important pour le contrôle du groupe. On a gagné en défense ce soir, on avait travaillé dur pour ça. »\\n\\nLe sélectionneur tricolore a également félicité son équipe mais reste lucide sur le reste de la compétition qui ne sera pas de tout repos.\\n\\n«Je suis très content non seulement de la victoire mais aussi d’avoir pris le panier-average. Mais il faut continuer à avancer, et les deux prochains matches de Champions League seront déterminants pour les positions finales. Ce sera très difficile contre Ostende où il est difficile de gagner et forcément contre Ténérife. Mais on fera le maximum pour offrir une finale à notre public contre les Espagnols.»\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"[replay] Le trois points de la gagne complètement dingue d’Antoine Diot !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"11 points, 5 passes en moins de 14 minutes... et le panier à trois points de la gagne. Merci et au revoir ! Antoine Diot a été le héros du match d’EuroCup entre Valence et le Lokomotiv Kuban.\\n\\nAvec un peu plus de cinq secondes à jouer, le meneur tricolore remonte le terrain à grandes enjambées, s’aligne à trois points, fait sauter deux défenseurs avant de rentrer un tir spectaculaire sur le buzzer.\\n\\nValence 78 – Loko 77. La classe.\\n\\n\\n\\n\\nAsí hemos vivido el triplazo final de @DiotAntoine para ganar el partido. ¡ES-PEC-TA-CU-LAR! @valenciabasket 78 – @lokobasket 77#VBCLoko pic.twitter.com/3TAYIfwH1A\\n\\n\\n— Valencia Basket Club (@valenciabasket) December 14, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Le Mans vainqueur en Ukraine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la 9e journée de Champions League, Le Mans se déplaçait en Ukraine pour affronter le Khimik Youjne.\\n\\nMenés par les 16 points et 6 rebonds de Mouphtaou Yarou (17 d’évaluation), les Manceaux se sont largement imposés 82-59 face aux Ukrainiens. La boxscore du match est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nL’entraîneur du MSB, Erman Kunter est revenu sur cette victoire en conférence de presse d’après match. Une victoire qui permet au Mans de conserver la première place du groupe B (7v-2d).\\n\\n« Au début nous pensions que ça allait être un match difficile. Mais nous respectons nos adversaires et je pense que cela a été une des clés du match, le respect. Nous n’avons pas pensé une seule minute que c’était un match facile, nous avons joué avec intensité et nous avons gagné. »\\n\\nUn succès très séduisant dans la manière.\\n\\n« C’est une bonne chose pour nous de gagner ce genre de match parce que nous faisons tellement d’erreurs cette saison, nous perdons trop de matchs à l’extérieur par manque de respect envers nos adversaires. Nous avons fait bouger le ballon, nous l’avons partagé, tout le monde a participé en attaque. C’est une bonne victoire qui nous permet de garder notre première place du groupe. »\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Montbrison (NM2) s’offre un champion de France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"À la recherche d’un nouveau joueur suite au départ du Danois Esben Reinholt, Montbrison vient de mettre la main sur son remplaçant. La formation de Nationale 2 vient d’indiquer que l’ailier serbe Milutin Aleksić (2,03 m, 34 ans) renforce le groupe jusqu’à la fin de la saison. Une sacrée recrue pour le BCM Montbrison.\\n\\n« Milutin est un joueur avec beaucoup d’expérience au plus haut niveau analyse l’entraineur Guillaume Pons sur le Facebook du club. Talentueux et polyvalent, il devrait beaucoup apporter au collectif sur le terrain mais également en dehors de par son leadership. Je suis en contact régulier depuis cet été avec lui et le départ d’Esben a libéré une place dans notre effectif. Sa situation personnelle ne lui a pas permis d’être à nos côtés à ce jour. J’espère l’avoir rapidement avec nous pour commencer son intégration pour la deuxième partie de saison. »\\n\\nVu en France sous les couleurs de Monaco entre 2013 et 2015, l’expérimenté poste 3 avait (bien) fait le job en Nationale 1 (16,9 d’évaluation en 26 minutes sur 25 matchs) avant de tourner à 7,4 d’évaluation en Pro B.\\n\\nFormé au sein du renommée Etoile Rouge de Belgrade, le poste 3 dispose d’une solide expérience. Passé par Buducnost Podgorica, l’AEL Limassol, Hemofarm, le PAOK Salonique, l’ASK Riga, Donietsk, Larnaka ou encore le Panionios Athènes, le natif de Belgrade dispose de l’un des plus beau CV de la Nationale 2 cette saison.\\n\\nChampion de France NM1 en 2014 avec la Roca Team, triple champion de Chypre en 2005, 2006 et 2007 sous les couleurs de Limassol, l’ancien monégasque débarque en région Auvergne-Rhône-Alpes avec le statut de joueur « non-muté » cette année puisqu’il n’a pas joué la saison dernière.\\n\\nPhoto : AS Monaco"
}, 
{"role": "user",     "content":"Bourg-en-Bresse et Erik Rush se séparent"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est officiellement terminé entre Bourg-en-Bresse et son joueur Erik Rush (1,96 m, 28 ans). À travers un communiqué, la formation de l’Ain indique que l’ailier n’est plus un membre de l’effectif professionnel de la JL.\\n\\nRecruté l’été dernier en provenance de la deuxième division italienne (Bondi Ferrara), l’international suédois a rendu en ce début de saison 6,1 points à 48,1% aux tirs, (13,3% à 3-points), 2,8 rebonds et 2 passes pour 6,4 d’évaluation en 17 minutes sur 9 rencontres de championnat Pro B. Des chiffres insuffisants pour un titulaire étranger.\\n\\nLe staff burgien est en quête d’un nouveau joueur pour le remplacer.\\n\\nPhoto : JL Bourg"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie : l’ancien parisien Mike Green rejoint Izmir"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Joueur du Paris-Levallois lors de la saison 2014/15, Mike Green avait retrouvé la Turquie cet été en signant à Balikesir. Aujourd’hui le natif de Philadelphie quitte le club pour rejoindre Izmir, toujours en Turquie, comme le rapporte Eurohoops.\\n\\nCette saison, l’ancien joueur du Khimki Moscou enregistrait en moyenne 15,3 points, 1,9 rebond et 8,3 passes décisives pour une éval de 13,1 avec Balikesir ce qui en faisait donc le meilleur marqueur et meilleur passeur de l’équipe classée 15e (1v-9d) et avant-dernière de TBL. Il rejoint une équipe mieux classée puisque Izmir pointe à la 7e (6v-4d) place du classement.\\n\\nEgalement engagés en Champions League, Izmir et Mike Green retrouveront Le Mans le 10 janvier 2017.\\n\\nLors de son passage en France, Green compilait 11,8 points, 3,6 rebonds et 7,2 assists pour une évaluation de 15,7 en 34 matchs de championnat.\\n\\nPhoto : Karen Mandau"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Pourchot (2,22m) : des rêves de NBA à la N2"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vincent Pourchot, 24 ans, joue en Nationale 2, au Besançon Avenir Comtois dont l’ailier des Clippers Luc Mbah a Moute est le parrain. La chute est brutale pour le plus grand basketteur français de tous les temps. 2,22m. Avec un tel attribut, forcément, les trois lettres magiques NBA se sont enfoncées un jour dans sa tête.\\n\\nMais rien n’a jamais été simple pour ce super géant qui fut vice-champion d’Europe juniors en 2009 avec Evan Fournier et Léo Westermann, et encore vice-champion d’Europe U20 en 2012 en doublure de Louis Labeyrie et Rudy Gobert (4,0 pts et 2,8 rbds). Ainsi, à l’INSEP il a souffert d’une pathologie tendineuse au niveau de ses genoux. Sa présence sur les terrains était forcément limitée.\\n\\n\\nTrop grand, trop lent\\n\\nUn soir, face à Pau, il réalise avec les espoirs de Nancy une performance hallucinante : 26 points, 26 rebonds, 15 contres et 62 d’évaluation mais jamais il n’a sa chance chez les pros. Un seul match joué en deux saisons.\\n\\n« Je savais très bien que ce n’était pas la spécialité de Jean-Luc Monschau de lancer les jeunes mais je lui en veux pas du tout. J’ai appris le haut niveau en m’entraînant avec les professionnels, j’ai pris de l’expérience, » dira t-il à Basket Hebdo.\\n\\nA Lille, le changement d’entraîneur, Abdou N’Diaye contre Cédric Binauld, lui coûte définitivement sa place. Il se retrouve au chômage, déjà. Trop lent pour être efficace dit-on de lui. Durant l’été 2014, il se forge une stature, passant de 105 à 125 kilos et il est contacté par Charleville-Mézières qui demeure en Pro B.\\n\\n« Cela peut paraître un peu surprenant mais avant de le faire venir, j’ai demandé l’aval de mes joueurs parce que Vincent Pourchot nécessite qu’on adapte complètement l’entraînement, » confie alors le coach Cédric Heitz à Basket Hebdo.\\n\\nIl a enfin un peu de considération et se voit offrir la première année 15 minutes en moyenne pour 7,4 pts et 4,2 rbds. Il a alors le moral en hausse.\\n\\n« Je ferai les choses étape par étape mais je sais où je veux aller », projette t-il. « Mon plan idéal de carrière, ce serait de monter en Pro A et après de jouer en Euroleague. Pouvoir être dans une grande équipe d’Europe avec des grands. »\\n\\n\\n1 000 euros au chômage\\n\\nMais la deuxième saison est un peu moins convaincante (5,1 pts et 4,2 rbds) et surtout Vincent se retrouve à quai à l’issue de celle-ci. Un rejet qui devrait faire honte à tout le basket français. Ce nouveau passage à Pole Emploi est forcément une douloureuse expérience comme il vient de le raconter au Républicain Lorrain.\\n\\n\\n« C’est clair, tout ça n’était pas prévu. Le moment est compliqué à gérer. Comme ma période de chômage. Avec 1 000 euros mensuels, on ne va pas loin. J’ai dû changer d’appart, en prendre un pourri et moins cher. Je n’en pouvais plus de patienter. De mai à octobre, c’est ouf... Six mois de galère mentale. J’ai même songé à travailler autrement. »\\n\\n\\n21 points contre le leader\\n\\nSa famille et sa copine lui ont permis de tenir bon, il continue de s’entraîner avec Charleville, et Besançon coaché par Nicolas Faure, un ancien de la JDA Dijon, lui tend la main. Il signe un vrai contrat, assure-t-il, qui lui permet d’être mieux rémunéré qu’à Charleville avec un appartement en bonus. Un investissement à moyen terme pour le club et aussi un coup médiatique. Ce n’est pas tous les jours qu’une recrue de N2 a droit à un reportage dans Stade 2.\\n\\nLe week-end dernier, en sortant du banc, Vincent Pourchot a inscrit 21 points dont 14 au cours des deux prolongations pour vaincre le co-leader Pont-de-Cheruy alors que le style de jeu de la N2 n’est absolument pas fait pour lui.\\n\\nLe Messin n’a que 24 ans, suffisamment jeune pour espérer rebondir un jour même s’il ne connaîtra certainement pas la destinée de ses camarades de promo, millionnaires à Utah et Orlando."
}, 
{"role": "user",     "content":"Stéphane Ostrowski futur Directeur Sportif du CSP Limoges ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le président Frédéric Forte a proposé à Stéphane Ostrowski, 54 ans, de devenir directeur sportif du Limoges CSP. L’ancien international est actuellement le directeur du marketing et de la communication du club.\\n\\nLe Lyonnais d’origine possède un immense palmarès comme joueur (4 fois MVP français de Pro A, 8 fois meilleur marqueur français, vainqueur de la Coupe des Coupes avec le CSP, etc) et fut en activité jusqu’à l’âge de 43 ans avant d’occuper pour une saison le poste d’entraîneur à Antibes en Pro B.\\n\\nStéphane Ostrowski n’a pas encore donné sa réponse à son président."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vitalis Chikoko, les mains en or de l’Élan Béarnais"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mardi soir Pau Lacq-Orthez a littéralement marché sur Pardubice pour la première journée du deuxième tour de la FIBA Europe Cup.\\n\\n\\nFace à l’équipe tchèque, le club béarnais a régalé son Palais des Sports en remportant la victoire sur le score de 101 à 66. Une véritable promenade de santé puisqu’à l’évaluation, les Béarnais l’emportent 129 à 57 !\\n\\n\\nAu cœur de cette boucherie, deux joueurs se sont particulièrement mis en évidence. Le jeune arrière Elie Okobo a montré qu’il a tout d’un futur grand (20 points, 10 passes décisives et 6 rebonds pour 31 d’évaluation) mais surtout le pivot Vitalis Chikoko a été époustouflant avec son impeccable 28 points à 11/11 aux tirs, 9 rebonds et 2 passes pour 40 d’évaluation !\\n\\n\\nHyper rentable en Coupe d’Europe, l’international zimbabwéen tourne à 14,4 points, à 93,8% aux tirs (!), 7,2 rebonds, 1,6 passe pour 22,6 d’évaluation en 22 minutes sur 5 matchs.\\n\\n\\nDécouvrant cette saison la Pro A, le natif d’Harare, la capitale du Zimbabwé possède également une main sûre en championnat. Joueur le plus adroit de l’élite française avec ses 70,5% de réussite aux tirs à deux points, il tourne depuis le début de saison à 7,6 points, 4,3 rebonds et 0,5 passe pour 10,7 d’évaluation en 14 minutes de temps de jeu.\\nSur ces deux derniers matchs et avec un temps de jeu en hausse (25 puis 21 minutes), l’ancien joueur du Bayern cumule 27 et 21 dévaluation.\\n\\n\\nPossédant des mains en or, Vitalis Chikoko est un atout précieux dans le collectif d’Eric Bartécheky.\\n\\nPhoto : Martin Proll"
}, 
{"role": "user",     "content":"Brian Asbury (ex Bourg) retourne en Israël"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sans club depuis son départ de Bourg-en-Bresse la saison dernière, Brian Asbury (2 m, 30 ans) vient de retrouver un nouveau challenge en ce mois de décembre. L’Américain vient de s’engager avec l’équipe de Ramat Hasharon en deuxième division israélienne.\\n\\nAu sein de l’avant-dernier de la National League (3 victoires pour 7 défaites), il va connaître son cinquième club israélien après des expériences à Kiryat Tivon, l’Hapoel Tel Aviv, Barak Netanya et l’Hapoel Holon entre 2009 et 2014 où il était considéré comme une valeur sûre du championnat.\\n\\nPoste 4 de la JL en 2015/16, le Floridien de Miami avait compilé 9,6 points à 57,5% de réussite aux tirs, 4 rebonds et 0,9 passe pour 11,3 d’évaluation en 21 minutes sur 32 matchs de championnat pour sa première expérience en Pro B.\\n\\nNon drafté à sa sortie d’University of Miami en 2007 l’ancien bressan a aussi joué en Espagne (Cajasol Sevilla) et au Brésil (Sao José Basquete)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : les meilleurs joueurs de la 12e journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la douzième journée de Pro A, l’équipe de SFR Sport a dressé le bilan des cinq meilleurs joueurs français et et des cinq meilleurs joueurs étrangers de la semaine.\\n\\nDu côté Français, c’est Jeremy Nzeulie qui a été sélectionné pour figurer dans le cinq majeur français de la semaine. Dans la large victoire de Chalon-sur-Saône face à l’ASVEL (98-68), l’arrière a compilé 8 points, 3 rebonds et 1 passe décisive pour une évaluation de 11. Côté étranger, c’est son coéquipier John Roberson qui prend logiquement la place de meneur de jeu dans le cinq type de la semaine avec 34 points, 7 rebonds et 6 passes décisives pour un monstrueux 42 d’évaluation dans le succès de l’Elan Chalon.\\n\\nAu poste de deuxième arrière, c’est Yakuba Ouattara qui prend place dans le cinq majeur français de la semaine grâce à ses 13 points, 3 rebonds et 1 passe décisive (12 d’éval) enregistrés dans la victoire de l’ASM contre Dijon (84-58). Du côté des JNFL, c’est le Choletais Isaiah Swann qui prend la place d’arrière dans ce cinq majeur de la semaine en compilant 26 points (8/11 à 3pts), 3 rebonds et 5 assists (29 d’éval) dans la victoire de CB face à Orléans (86-81).\\n\\nA l’aile, c’est le jeune (20 ans) Cyrille Eliezer-Vanerot qui a été sélectionné grâce à son bon match face à Antibes (20 points, 2 rebonds et 1 assist pour 24 d’éval) que le PL a remporté 88-82. Pour les étrangers, c’est Kyle Gibson qui entre dans le cinq type de la semaine grâce à ses 26 points, 4 rebonds et 4 passes décisives compilés pour une éval de 25 face au CCRB (89-87).\\n\\nAu poste 4, c’est Mathias Lessort qui a été choisi en compilant 15 points et 10 rebonds (22 d’évaluation) dans la victoire de Nanterre face à l’EBPLO (85-74). Pour les étrangers, c’est le Chalonnais Cameron Clark qui fait son apparition dans le cinq type de la semaine. Dans le match face à l’ASVEL, l’intérieur a enregistré 14 points, 5 rebonds et 4 passes décisives pour une éval de 22.\\n\\nEnfin, Moustapha Fall a été élu meilleur poste 5 de la semaine en inscrivant 19 points et en captant 12 rebonds plus 1 passe décisive (26 d’éval) dans le succès de Chalon face à Lyon-Villeurbann. Côté étranger, c’est l’intérieur de l’ESSM, Frank Hassell qui termine meilleur poste 5 de la semaine en compilant 16 points, 5 rebonds et 2 passes décisives pour une évaluation de 15 dans la victoire de son équipe face à Limoges (72-69).\\n\\n\\nCinq majeur français\\n\\n * Jérémy Nzeulie (Chalon): 8 points, 3 rebonds, 1 passe décisive, 1 interception, 11 d’évaluation\\n * Billy Yakuba Ouattara (Monaco) : 13 points, 3 rebonds, 1 passe décisive, 1 interception, 12 d’évaluation\\n * Cyrille Eliezer-Vanerot (Paris-Levallois): 20 points, 2 rebonds, 1 passe décisive, 3 interceptions, 24 d’évaluation\\n * Mathias Lessort (Nanterre): 15 points, 10 rebonds, 22 d’évaluation\\n * Moustapha Fall (Chalon): 19 points, 12 rebonds, 1 passe decisive, 2 contres, 26 d’évaluation\\n\\n\\nCinq majeur étranger\\n\\n * John Roberson (Chalon) : 34 points, 7 rebonds, 6 passes décisives, 2 interceptions, 42 d’évaluation\\n * Isaiah Swann (Cholet) : 26 points, 3 rebonds, 5 passes décisives, 2 interceptions, 29 d’évaluation\\n * Kyle Gibson (Gravelines) : 26 points, 4 rebonds, 4 passes décisives, 1 contre, 25 d’évaluation\\n * Cameron Clark (Chalon) : 14 points, 5 rebonds, 4 passes décisives, 1 contre, 2 interceptions, 22 d’évaluation\\n * Franck Hassel (Le Portel) : 16 points, 5 rebonds, 2 passes décisives, 2 contres, 15 d’évaluation"
}, 
{"role": "user",     "content":"Suisse : trois Américains de Boncourt licenciés pour usage de cannabis"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les trois Américains du BC Boncourt, club suisse de première division, Trey Sumler, Kinu Rochford et Torrence Dyck ont été licenciés en même temps pour avoir été contrôlés positifs au THC, la substance active du cannabis.\\n\\nLes trois joueurs ont été pris lors d’un contrôle médical interne de routine effectué le lundi 5 décembre. Le soir même les agents des trois joueurs étaient avertis, les joueurs convoqués et licenciés sur le champ, mais le club a mis plusieurs jours pour expliquer sa décision\\n\\n« Ça a été un cataclysme d’apprendre que des joueurs professionnels ont de telles pratiques, » a réagi Paul Vallat, le co-président du BC Boncourt sur Radio Fréquence Jura. « Pour nous, il n’y avait pas d’autres décisions possibles. C’est une faute inexcusable et inacceptable, c’est un manque de professionnalisme vraiment basique ».\\n\\n\\nLe contrôle était-il conforme ?\\n\\nComme le contrôle n’a pas été effectué dans un cadre officiel, le BC Boncourt ne risque rien de la part de la Swiss basketball League. En revanche, l’équipe qui est actuellement 8e du championnat, est pénalisé sportivement. Le meneur Trey Sumler et l’intérieur Kinu Roshford étaient les deux meilleurs marqueurs de la Red Team.\\n\\nDu côté d’un agent, qui connaît bien Roshford, ce contrôle et cette sanction soulèvent plusieurs questions :\\n\\n« Le jour du contrôle les joueurs n’étaient pas en compétition, et ils ont été contrôlés par le médecin du club sans suivre le strict protocole de test antidopage clairement défini par l’AMA » nous explique-t-il. « Le niveau a priori détecté par cette méthode et cet échantillon n’est pas clairement supérieur au niveau autorisé les jours de compétition. Il n’a pas été proposé une contre expertise afin de valider ce premier test, pourtant il a été communiqué, sans l’accord des joueurs, qu’ils étaient « dopé au cannabis ». »\\n\\nCe dernier estime que les joueurs ont été « jetés en pâture » à la presse par le président, et il regrette que les joueurs n’aient pas pu se défendre."
}, 
{"role": "user",     "content":"A 46 ans, Jimmy Vérove effectue son dernier tour de piste"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’édition du Finistère de Ouest France s’intéresse à Jimmy Vérove. Il faut dire que la famille -le père Yves-Marie comme entraîneur, Franck comme joueur et dirigeant, et donc Jimmy- a marqué au fer rouge l’Etendard.\\n\\nC’est bien sûr la longévité du champion d’Europe 1993 qui intrigue. Il a passé ses dernières années en Pro A et Pro B à l’Etendard justement, de 2000 à 2009. C’était déjà un vétéran. Ensuite, il a poursuivi son chemin dans différentes divisions nationales. Notamment en revenant à Brest pour y être sacré champion de France de Nationale 3. L’année dernière, il faisait un crochet par La Réunion. Et cette année il est retourné à Limoges comme responsable des joueurs et des entraîneurs de la section amateur du CSP et aussi pour mouiller le maillot avec l’équipe de Nationale 3. Jimmy s’astreint à un régime de spartiate pour rester compétitif car ses artères lui indiquent qu’il a 46 ans depuis septembre.\\n\\nA Limoges, Jimmy a retrouvé Jammy (1,96m), 18 ans, son fils, l’héritier de la lignée qui est au centre de formation du CSP après avoir fréquenté celui de... Pau.\\n\\n« Il était très bien à Pau, qui est une belle école de formation. Simplement, il a choisi de faire des études de kiné, ce qu’il y a à Limoges, mais pas à Pau. Et il avait aussi à coeur d’être un peu plus avec sa famille. Cela faisait trois ans qu’il était tout seul. Pour moi, ce n’est que du bonheur. C’est l’occasion de travailler avec lui et de l’aider à grandir, baskettement parlant. »\\n\\nLa trajectoire de joueur de Jimmy pourrait s’interrompre à la fin de la saison mais d’ici là, le père a une idée en tête à propos de la relation qu’il a avec son fils :\\n\\n« J’aimerais bien faire un match avec lui avant de raccrocher. »\\n\\nPhoto : 7 jours à Brest"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : l’ASVEL s’impose face à Oldenburg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le cadre de la 9e journée de Champions League, Lyon-Villeurbanne s’est imposé 76-69 face aux Allemands d’Oldenburg.\\n\\nMeilleur joueur du match avec 10 points, 2 rebonds, 1 assist et 2 interceptions (12 d’éval), Bandja Sy a encore une fois été très important dans cette victoire de l’ASVEL. Grâce à ce succès, les Villeurbannais se retrouvent provisoirement en tête du groupe C (7v-2d) mais avec un match de plus que Klaipeda qui se rend à Varese ce soir.\\n\\nLa boxscore du match est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nJ.D. Jackson est revenu sur cette victoire en conférence de presse d’après match.\\n\\n«Dans l’ensemble, c’est ce que j’espérais. On a souffert aux rebonds, mais plus ça allait, mieux on a contrôlé le tempo, sans perdre de ballons. Le match a été compliqué, mais on a fait du bon boulot, c’était important de pouvoir s’offrir deux matchs d’avance, maintenant on peut se concentrer sur Neptunas. »\\n\\nSans négliger bien sûr le championnat...\\n\\n« Le match face à Cholet est ultra important en vue de la Leaders Cup. J’espère que l’on aura la même approche que ce soir, et que l’on amènera la même énergie.»\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Monaco l’emporte de justesse à Domzale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la 9e journée de Champions League, l’AS Monaco se déplaçait à Domzale, en Slovenie pour y affronter les Helios Suns. Malgré un dernier quart-temps manqué (14-24), les Monégasques se sont imposés d’une courte tête 63-58.\\n\\nMenée par les 18 points (6/13 aux tirs) et 6 rebonds (16 d’éval) de Yakuba Ouattara, l’ASM reste en haut du classement du groupe A (8v-1d) à égalité avec Banvit. La boxscore du match est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nAprès la rencontre, Zvezdan Mitrovic est revenu sur cette victoire.\\n\\n«On n’avait eu qu’un seul jour pour préparer ce match à Monaco après le déplacement à Dijon... Ce n’est pas facile. Ce n’était pas la même ambiance qu’à l’Aris, mais les joueurs se sont encore bien battus. Zack (Wright) va passer des radios. On espère qu’il n’y a pas de fracture.»\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 14 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nDario Hunt peut croire au Père Noël\\n\\n– Il est le joueur le plus maladroit de la Ligue et son jeu n’a rien de spectaculaire. Pourtant, il sera parmi les étoiles le 29 décembre prochain à... Lire la suite.\\n\\n\\nPetite frayeur pour Walker\\n\\n– Vincent Collet a pris acte de l’absence de son deuxième meneur, Frank Ntilikina, « pour les quatre matches qui viennent » (réception d’Avellino... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« On a retrouvé le sourire »\\n\\n– En compilant 9 points, 7 rebonds, 4 passes décisives et 6 interceptions, pour une coquette évaluation de 22, Jérémy Leloup s’était mué en couteau... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa bave aux lèvres\\n\\n– Revigorée par une série de cinq victoires en six matches, en Ligue des champions, la SIG peut se projeter avec délectation sur la réception... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFIBA Europe Cup : Gravelines s’est fait punir par Prievidza\\n\\n– Ce revers lors de la première journée de la seconde phase de l’épreuve pourrait coûter très cher puisque seul le premier (et peut-être le 2e) verra le tour suivant. Privé du duo Pietrus – Cel (blessés), trop soft et d’abord puni par l’adresse des Slovaques (14-20, 6e), Gravelines, nettement dominateur dessous, prit la main (53-42, 20e, 75-65, 31e). Sans tuer le m... Lire la suite.\\n\\n\\nPoule haute et basse, comment ça marche\\n\\n– La répartition des Comités en poule haute et basse est à la fois simple et compliquée... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDe nouveaux promus\\n\\n– Avec 33 équipes au départ du championnat de Ligue 2016-2017, le comité de l’Ain présentait le plus gros effectif de son histoire... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBASKET EXPRESS\\n\\n– Le tour préliminaire des filles et masculins se déroulera ce week-end. Avec 20 équipes engagées au départ de la compétition chez les masculins, 8... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nAurélia Bouillon super-star de la dixième journée\\n\\n– La performance de la petite Bouillon, samedi à Cherblanc, n’a pas échappé aux supporters, ni aux observateurs fédéraux. Contre Roanne, elle a obtenu... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDu suspense sur les parquets\\n\\n– Rien n’est facile en seconde division comme le prouvent les multiples rebondissements de cette neuvième journée à suspense... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDernière sortie pour la génération 2004\\n\\n– Versée dans la poule basse, la sélection féminine ne pourra viser au mieux que la 5e place alors qu’elle aurait mérité de se mêler à la lutte pour le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Asvel se reprend et prend une option\\n\\n– Martyrisé à Chalon, le champion s’est bien repris. Il est bien parti pour terminer dans le Top 2 de son groupe en coupe d’Europe... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBasket : les réactions après Pau – Pardubice\\n\\n– Les Palois ont facilement battu les Tchèques (101-66) en ouverture de la deuxième phase de la FIBA Europe Cup.\\nUn succès facile, presque trop facile pour l’Elan qui a largement dominé son sujet face à Pardubice, mardi soir à Pau. Après huit minutes de jeu, les Béarnais comptaient déjà 18 points d’avance (26-8). Vitalis... Lire la suite.\\n\\n\\nLes petits jouent, les grands travaillent\\n\\n– Samedi dernier, le comité de l’Indre de basket a organisé son traditionnel Indre All Stars pour le plus grand bonheur des trois cent dix enfants présents sur la journée. Cet évènement festif, qui connaît à chaque fois un franc succès, a aussi permis à quinze jeunes en formation de se tester grandeur nature. En amont de cette... Lire la suite.\\n\\n\\nPetite finale entre amis\\n\\n– UTBM (1) – UTBM (2) Drôle de finale régionale pour ce Trophée Coupe de France\u2009! Et pourtant, pour la N2 de l’UTBM, cette Coupe peut être précieuse... Lire la suite.\\n\\n\\n« Moins agressifs »\\n\\n– Le CSSL Rixheim (N3), qui espérait enregistrer une 8e victoire avant la trêve, samedi dernier face à Saint-Apollinaire, s’est finalement incliné de 13... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nJean-Pierre n’oublie pas Charlie\\n\\n– Jean-Pierre Zuttion organise un match amical entre le CSSL Rixheim (N3) et le FC Mulhouse (N2), samedi (20 h 30) à la Cité des sports de Rixheim, en... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRester souverain au Rhénus\\n\\n– Invaincue sur son parquet en Champions League, la SIG devra le rester face aux Italiens du Sidigas Avellino, ce soir (20 h 30) au Rhénus. Un succès... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Annoncé à 180 kg, Baby Shaq à l’essai à Patras"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le toujours très bien informé journaliste David Pick vient de tweeter que Sofoklís Schortsanítis (2,08m, 31 ans) va être mis à l’essai à Apollon Patras actuellement dixième du championnat grec. C’est un net recul dans la hiérarchie européenne pour un pivot qui a porté notamment les maillots du Maccabi Tel-Aviv, Olympiakos et Panathinaikos.\\n\\nLa raison de sa baisse de valeur est à trouver dans son poids. Baby Shaq alias Big Sofo est connu pour sa capacité à beaucoup, beaucoup manger et à prendre du volume s’il ne fait pas assez d’exercices. Son poids de forme est d’environ 150-160 kilos et actuellement on l’annonce à 180 !\\n\\n\\n\\n\\nSource: Euroleague legend Sofoklis Schrotsanitis agreed on tryout deal with Apollon Patras. He weighs around 180 kilos, almost 400 pounds.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) December 13, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : Andrew Lawrence rejoint Chalons-Reims"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur sa page Facebook, le CCRB annonce la signature de l’Anglais Andrew Lawrence pour le reste de la saison.\\n\\nEn provenance Sigal Pristina (Kosovo), le natif de Londres va connaître sa première expérience en France après être passé par la Croatie (Zadar en 2013/14), l’Espagne (Gipuzkoa en 2015/16) et donc le Kosovo.\\n\\nAvec son club kosovar, Lawrence compilait 7,9 points, 1,6 rebond et 5 passes décisives (11,1 d’évaluation) en championnat. En FIBA Europe Cup il tournait à 15,8 points (avec une pointe à 33 points face à Krasnoïarsk), 1,6 rebond, 2,4 interceptions et 5 assists (13,8 d’évaluation).\\n\\nEgalement engagé dans la Balkan League, le meneur enregistrait des moyennes de 10,3 points, 4,3 passes, 2,7 rebonds et 2,3 interceptions pour 9 d’éval en 3 matchs.\\n\\nPhoto : FIBA Europe Cup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Nando De Colo sur le retour"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur la touche depuis pratiquement un mois, Nando De Colo qui était touché à la cuisse gauche devrait faire son retour avec le CSKA Moscou vendredi à l’occasion de la réception du FC Barcelone dans le cadre de la 12e journée d’Euroleague, comme le rapporte Eurohoops.\\n\\nPrivé aussi de Milos Teodosic, le retour du MVP de la dernière saison de C1 est une très bonne nouvelle pour le CSKA qui pointe toujours à la première place du classement avec 10 victoires pour une seule défaite.\\n\\nCette saison en Euroleague, l’international français compilait en moyenne 21 points, 4,7 rebonds et 4,1 passes décisives pour une évaluation de 23,6 avant sa blessure."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Andrew Albicy brille face à Barcelone"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Seize joueurs pour neuf pays, le contingent tricolore a bien regonflé ses troupes pendant l’intersaison. De la Lituanie à l’Espagne, de l’Allemagne à la Grèce en passant par la Russie et la Chine (!), Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n\\nRodrigue Beaubois dégoûte Estudiantes\\n\\nPas forcément spécialiste du genre, Andrew Albicy a en tout cas choisi le bon soir pour trouver la mire à trois points. Avec un 4/6 derrière l’arc, le meneur français d’Andorre a été le grand artisan de la victoire de son équipe face à Barcelone. Il termine à 15 points et 7 passes dans ce succès de marque. Mais l’événement du weekend en Espagne, ce fût ce duel magnifique de scoreurs entre Edwin Jackson et Rodrigue Beaubois.\\n\\n\\n\\n\\n#ACB Rodrigue Beaubois le hace la rosca a Jaime Fernández [@MovistarBasket] pic.twitter.com/llkt8uaJ75\\n\\n\\n— Mike Maestre (@MaestreBasket) December 11, 2016\\n\\nSi ce dernier en est sorti vainqueur avec 31 points et la victoire au bout, et que le meilleur scoreur de la Liga a raté des lancers clutchs, c’est pourtant bien Edwin Jackson (26 points, 6 passes, 4 rebonds) qui termine avec la meilleure évaluation (27 contre 26 pour Beaubois). Auteur de 13 de ses 31 points dans le dernier quart, Beaubois a porté Vitoria vers cette victoire importante au classement. Avec Valence, Antoine Diot (12 points, 7 passes, 5 rebonds) a également réalisé un gros match pour aider son équipe à s’imposer.\\n\\n\\nBamberg n’est plus invaincu !\\n\\nPetit événement en Allemagne puisque Bamberg n’est plus invaincu ! A l’image d’un Fabien Causeur éteint (2 points), les leaders incontestés de la Bundesliga ont mordu la poussière pour la première fois de l’année, après treize victoires d’affilée. Petits matchs en Lituanie et en Grèce également pour Léo Westermann (5 points, 3 rebonds) et Angelo Tsagarakis (8 points, 5 passes).\\n\\nEt puis le chiffre du weekend, c’était le 24. Amath M’Baye, Adrien Moerman et Guerschon Yabusele ont tous trois fini à 24 unités, avec les deux derniers qui terminent même en double double. Dernier en piste en Turquie, Moerman a même réalisé un match de furieux avec un 34 d’évaluation très impressionnant : 24 points, 12 rebonds, 5 passes, 2 interceptions et 1 contre. En Turquie aussi, Thomas Heurtel signe un solide double double (11 points, 11 passes).\\n\\n\\nAllemagne\\n\\nFabien Causeur (Bamberg) : 2 points (0/2 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes en 23 minutes (défaite 78-63 face à Ulm)\\n\\n\\nChine\\n\\nGuerschon Yabusele (Shanghaï) : 24 points (7/11 aux tirs), 11 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 1 contre en 27 minutes (victoire 109-98 face à Tianjin)\\n\\n\\nEspagne\\n\\nRodrigue Beaubois (Vitoria) : 31 points (12/18 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe en 29 minutes (victoire 82-77 face à Estudiantes)\\n\\nEdwin Jackson (Estudiantes) : 26 points (10/19 aux tirs), 6 passes, 4 rebonds, 2 interceptions en 33 minutes (défaite 82-77 face à Vitoria)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 15 points (5/11 aux tirs), 7 passes, 2 interceptions, 1 rebond en 32 minutes (victoire 87-80 face à Barcelone)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : 12 points (3/8 aux tirs), 7 passes, 5 rebonds, 1 interception en 27 minutes (victoire 91-83 face à Malaga)\\n\\nKim Tillie (Vitoria) : 6 points (2/6 aux tirs), 3 interceptions, 2 passes, 1 rebond en 22 minutes (victoire 82-77 face à Estudiantes)\\n\\nAli Traore (Estudiantes) : 6 points (3/5 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 2 contres, 1 interception en 21 minutes (défaite 82-77 face à Vitoria)\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAngelo Tsagarakis (Trikala) : 8 points (2/12 aux tirs), 5 passes, 2 rebonds, 2 interceptions en 32 minutes (défaite 87-76 face à Koroivos)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Brindisi) : 24 points (9/13 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 contre mais 6 balles perdues en 34 minutes (victoire 102-96 face à Pesaro)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLeo Westermann (Kaunas) : 5 points (2/5 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes en 16 minutes (victoire 95-67 face à Klaipeda)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNobel Boungou-Colo (Khimki) : n’a pas joué (victoire 92-66 face à Parma)\\n\\nNando De Colo (CSKA) : n’a pas joué – blessé à la cuisse gauche (victoire 82-51 face à Riga)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAlpha Kaba (Mega Leks) : n’a pas joué (défaite 75-72 face à Skopje)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nAdrien Moerman (Darussafaka Istanbul) : 24 points (9/13 aux tirs), 12 rebonds, 5 passes, 2 interceptions, 1 contre en 29 minutes (victoire 80-61 face à Giresun)\\n\\nThomas Heurtel (Efes Istanbul) : 11 points (3/9 aux tirs), 11 passes, 2 rebonds, 2 interceptions en 27 minutes (victoire 96-70 face à Izmir)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Edwin Jackson toujours souverain en Espagne\\n\\n[Crédits photo : Fernando Galindo / EFE]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Olympiakos : Daniel Hackett absent plus longtemps que prévu"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est la tuile pour Daniel Hackett. Touché à la cuisse gauche face à l’Unics Kazan vendredi dernier, l’arrière de l’Olympiakos qui devait manquer deux mois de compétition pourrait finalement être absent bien plus longtemps que prévu.\\n\\nSelon Sportando, les derniers examens auraient indiqué que la blessure de l’international italien serait bien plus sérieuse qu’initialement. Daniel Hackett pourrait même devoir passer sur le billard pour se remettre de cette blessure qui va donc handicaper l’Olympiakos plus de deux mois.\\n\\nAvec une absence de si longue durée, le club grec est évidemment à la recherche d’un pigiste médical afin de pallier l’indisponibilité de l’ancien Milanais."
}, 
{"role": "user",     "content":"Alessandro Gentile vers le Panathinaïkos ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Libéré par Milan le 5 décembre, Alessandro Gentile aurait été aperçu à l’aéroport d’Athènes et serait en train de négocier avec le Panathinaïkos, comme le rapporte Sportando.\\n\\nPressenti pour prendre son envol vers la NBA et les Houston Rockets, le double champion d’Italie pourrait finalement rester en Europe et rejoindre le club grec dans lequel son père Ferdinando Gentile a également évolué entre 1998 et 2001 et où il a d’ailleurs remporté l’Euroleague en 2000.\\n\\nToujours selon Sportando, Bamberg et Vitoria seraient tout autant intéressés par l’international italien qui compilait cette saison en Euroleague 10,8 points, 3 rebonds et 2,4 passes décisives de moyenne pour une évaluation de 9,4."
}, 
{"role": "user",     "content":"Israël : le game winner de Jason Siggers face au Maccabi Tel-Aviv"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Passé par la France de 2009 à 2015, entre la Pro B (Lille en 2009/10 et 2012/13, Rouen en 2010-12, Boulazac en 2013/14 et Saint-Quentin en 2014/15) et la Pro A (10 matchs avec Strasbourg en 2012/13), Jason Siggers a ensuite rejoint l’Israël.\\n\\nCe week-end face au Maccabi Tel-Aviv, le meilleur marqueur de Pro B en 2011/12 (18,5 points par match) a brillé en offrant la victoire au buzzer à son équipe de l’Hapoel Galil Gilboa en compilant 19 points et 6 rebonds. Cette saison, l’ancien Lillois enregistre des moyennes de 16,6 points (5e meilleur marqueur du championnat), 4,8 rebonds et 1,9 passe (12,9 d’éval).\\n\\nEn LNB, le natif de Dallas compilait en moyenne 14 points, 3,5 rebonds et 2,1 passes décisives pour une évaluation de 13,8 (Pro A, Pro B, playoffs et Leaders Cup confondus). Lors de sa meilleure saison dans l’Hexagone en 2009/10, Siggers tournait à 18 points, 4,6 rebonds, 3,4 assists et 2 interceptions par match pour une éval de 18,7.\\n\\n\\n\\n\\nJason Siggers made $50 thousand last season in the Israeli minors. Tonight his heroics crushed Maccabi Tel Aviv. pic.twitter.com/RWYLNUKhYh\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) 12 décembre 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"T.J. Sapp, le joli coup de Boulazac"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est ce que l’on appelle un coup gagnant. Recruté en début du mois de novembre par Boulazac afin de densifier la ligne arrière, T.J. Sapp (1,90 m, 24 ans) donne raison aux dirigeants boulazacois en ce début de saison.\\n\\nRégulier, jamais passé à côté de son match, l’Américain au passeport jamaïcain apporte une vraie plus-value au collectif d’Antoine Michon depuis son arrivée.\\n\\nAperçu à 6 reprises sur les parquets de Pro B, le natif de Fort Lauderdale (Floride) compile 16,2 points à 49,2% de réussite aux tirs (47,6% à 3-points), 2,4 rebonds et 3,2 passes pour 16 d’évaluation en 25 minutes de temps de jeu. Fiable (aucun match en dessous de 10 d’évaluation), l’arrière semble même monter en puissance puisque lors du choc contre Roanne le week-end dernier, il a rendu sa meilleure copie depuis sa découverte de la Pro B avec ses 19 points à 7/11 aux tirs (5/8 à 3-points), 4 rebonds et 5 passes pour 24 d’évaluation en 25 minutes. Et cerise sur le gâteau, le BBD s’est imposé face à la Chorale après prolongation 102 à 99.\\n\\nAvec lui, Boulazac a remporté trois victoires en six rencontres et est même invaincu depuis trois rencontres.\\n\\nCoéquipier du génial Jarvis Williams -meilleure évaluation de la Pro B- à Murray State, T.J. Sapp s’est parfaitement intégré dans sa nouvelle équipe au fil des semaines au point de devenir la deuxième force statistique du BBD.\\n\\nMieux, le Floridien s’est même imposé parmi les meilleurs joueurs du championnat à son poste au milieu de clients comme Aaron Broussard (Fos), Bernard King (Le Havre) ou Valentin Bigote (Nantes).\\n\\nPhoto : Boulazac Basket Dordogne"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jonathan Jeanne : «J’ai choisi Nancy pour les aider»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Prêté au SLUC Nancy pour le reste de la saison, Jonathan Jeanne débarque en provenance du Mans Sarthe Basket qui ne trouvait pas de solution pour faire jouer son jeune prospect en Pro A.\\n\\nArrivé en Lorraine ce lundi, le géant guadeloupéen a participé à son premier entrainement avec sa nouvelle équipe hier après-midi. Sur la page Facebook du SLUC, Jonathan Jeanne a exprimé les raisons de son départ du MSB et ce qui l’a poussé à venir à Nancy.\\n\\n« J’ai choisi Nancy, premièrement, pour les aider. C’est vrai que je n’avais pas une situation favorable à mon projet au Mans donc mes agents ont cherché plusieurs clubs en France que ce soit Pro A ou Pro B, et il s’avère que Nancy était intéressé donc j’ai fait le choix de venir ici. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guillaume Costentin (ex Poitiers) décisif en Nationale 2"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Samedi soir, l’USV Ré Basket accueillait La Rochelle à l’occasion de la 11e journée de Nationale 2 dans la Poule B. Dans ce match, Guillaume Costentin, visage connu de LNB a offert la victoire (85-83) à La Rochelle sur un tir à trois points à seulement une poignée de secondes de la sirène finale.\\n\\nAprès 10 saisons en LNB entre la Pro A (2009-11) et la Pro B (2006-09 et 2011-16) avec Poitiers (2007-11) et Evreux (2011-16), Guillaume Costentin a rejoint la NM2 et La Rochelle cet été.\\n\\nEn 8 saisons de Pro B, l’ancien Poitevin compilait en moyenne 4 points, 2,4 rebonds et 2 passes décisives de moyenne pour une évaluation de 5,7.\\n\\n\\n\\nDerby USV Ré – Rupella\\n\\nPhoto :@Sabine De Leest"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cette FIBA Europe Cup est vraiment pittoresque"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il est peu dire que les regards extérieurs ne se passionnent pas pour la FIBA Europe Cup qui demeure une affaire locale. Le niveau est trop faiblard et la formule par trop baroque pour mobiliser les foules. Au moins, les clubs français y excellent puisque Nanterre (6 victoires, 0 défaite), Pau (4-0... dans une poule de 3), Chalon (4-2) et Gravelines (4-2), ont tous terminé premiers de leur poule. Ne cherchez pas dans les archives : les clubs français n’ont jamais réalisé pareil tir groupé. A vaincre sans péril...\\n\\nDonc, les deux premiers de chacune des DIX poules plus –et c’est en cela que cette formule est pittoresque, bref très « FIBA »- les quatre meilleurs troisièmes se sont qualifiés pour la deuxième phase. Six poules de quatre équipes. Au moins n’y a t-il pas de guerre fratricide à l’intérieur de l’une d’elle.\\n\\n\\nUne formule alambiquée\\n\\nLes premiers de ces six poules plus les deux meilleurs troisièmes (décidément, c’est une manie) gagneront le droit de jouer les 8e de finale. Ce qui fait donc huit équipes. Et alors, et alors... Viendront se joindre à ce grand raout huit autres de la Basketball Champions League qui n’auront pas franchi le cap des poules. Voilà.\\n\\nA priori les équipes françaises (Le Mans, Monaco, Strasbourg et Villeurbanne) qui sont actuellement aux avant-postes ne seront pas concernées par ce repêchage en Fiba Europe Cup. On aura alors recours aux bons vieux matches aller-retour avec point-average pour départager les deux équipes si chacune gagne un match.\\n\\nVous n’avez pas compris ? Ce n’est pas bien grave. L’intérêt général se portera sur l’épreuve à partir de ce « round of 16 » comme l’appelle la FIBA et d’ici les 8 et 22 février, on a le temps de prendre nos marques...\\n\\nEn attendant nos clubs français entament ce soir les hostilités de la deuxième phase dont le programme est ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Élan Chalon : Essai transformé pour Zeke Marshall"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mis à l’essai depuis une semaine par l’Élan Chalon, Zeke Marshall (2,13 m, 26 ans) a convaincu les dirigeants bourguignons. Le club a confirmé son engagement. L’intérieur américain est donc sous contrat jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nÀ la recherche d’un pivot suite au départ de Thomas Gipson, le staff chalonnais semble donc avoir trouvé son bonheur.\\n\\n« C’est un joueur qui arrive en rotation de Moustapha Fall », indique le coach Jean-Denys Choulet . « Il a le même profil, contreur, rebondeur, défenseur. Il est aussi dissuasif, et tout ce qu’il pourra apporter en attaque, ce sera du bonus ».\\n\\nLe géant devrait faire ses débuts en Pro A le 16 décembre prochain à l’occasion du déplacement au Portel.\\n\\nPhoto : Élan Chalon"
}, 
{"role": "user",     "content":"Antibes – PL: Cyrille Eliezer-Vanerot (20 ans) est sorti de sa boîte"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il est soudainement sorti de sa boîte et on n’a vu que lui, Cyrille Eliezer-Vanerot. A vingt-ans (il est né le 20 août 1996), il a montré toutes ses dents lors d’un match Antibes – Paris-Levallois, sinon de top niveau, du moins absolument passionnant.\\n\\nJusque là, cet ailier de 2,02m natif de Chatenay-Malabry n’était réellement connu que des experts. On l’avait vu dans les différentes équipes de France jeune, en Nationale 1 avec l’INSEP (12 pts et 3,7 rbds en 2014) avec les espoirs du PL, et par ci par là en Pro A la saison passée mais sans jamais percer. Blessé jusque là, ce n’est que la semaine dernière à Monaco qu’il a fait pour la première fois son apparition en Pro A cette saison avec 24 minutes pour 2 points. C’est à peine croyable...\\n\\nFreddy Fauthoux l’a plongé dans la fournaise azuréenne et Cyrille Eliezer-Vanerot est apparu culotté, tranchant, faisant les bons choix comme un vieux briscard. En 31 minutes, il a converti 7 de ses 8 shoots dont un 3/4 à trois-points et une claquette qui a permis à son équipe de jouer la prolongation alors que l’on pensait la cause perdue. Au total à son actif, 20 points et 24 d’évaluation.\\n\\nCyrille s’est ainsi mêlé à une lutte de vieux grognards entre Will Solomon (38 ans) et Louis Campbell (37 ans) qui pourraient presque être ses pères. C’est d’ailleurs un trois-points en total déséquilibre de Campbell qui a permis au PL d’empocher la mise, 88-82.\\n\\nCoach Freddy Fauthoux avait déjà sorti de son chapeau Vincent Poirier dont son prédécesseur Antoine Rigaudeau ne voulait pas. Cette fois c’est donc Cyrille Eliezer-Vanerot qui est placé sous la lumière. Une telle performance subite, on n’a peut-être jamais vu ça en Pro A. Attention: la prochaine fois, le Parisien ne pourra plus jouer l’effet de surprise."
}, 
{"role": "user",     "content":"Sekou Doumbouya (16 ans) : «Je veux jouer en NBA d’ici trois ans»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce week-end, Sekou Doumbouya (2,05m), qui aura 16 ans le 23 décembre, a battu son record de points (9) lors d’une large victoire de Poitiers face à Saint-Quentin (79-65) en Pro B. Sa famille, son agent Bouna Ndiaye et le directeur technique national, Patrick Beesley étaient présents dans l’assistance.\\n\\nRappelons que Sekou est titulaire d’une licence AS (Autorisation Secondaire) qui l’autorise à jouer aussi bien en Pro B qu’en Nationale 1 avec le Centre fédéral avec lequel il a disputé trois matches jusqu’ici pour 7,6 pts, 4,0 rbds et aussi un vilain 1/13 à trois-points.\\n\\nSekou va aussi prendre part au championnat d’Europe à Samsun, Turquie, du 16 au 22 décembre, qui concerne en principe des joueurs nés en 1998 et 1999.\\n\\nLe jeune prodige s’est confié à La Nouvelle République, insistant sur le fait qu’il est l’objet de tous les regards :\\n\\n« Ça a commencé dès ma deuxième année de basket. Ce n’est pas toujours facile à vivre. Je sens que je suis observé. J’ai l’habitude que tout ce que je fais soit « \u2009critiqué.\u2009 » Mais je n’écoute pas trop ce qui se dit autour de moi. Je sais ce que j’ai à faire. »\\n\\nLe natif de Conakry est ambitieux et pressé :\\n\\n« La NBA, c’est mon rêve depuis que j’ai commencé à jouer au basket. J’aimerais l’atteindre d’ici trois ans. Avec Evan (Fournier, passé lui aussi par le PB 86), on a le même agent. On discute ensemble. Et pour continuer à apprendre, je savais que c’était une bonne idée de venir à Poitiers. »\\n\\nDans trois ans, Sekou Doumbouya aura déjà dix-neuf ans !\\n\\n\\n\\n\\nIntroducing Sekou Doumbouya, 15 years old #prospect playing with pro team of @pb86officiel\\nFollow him on our APP : https://t.co/b3Die222Nd pic.twitter.com/a4hXjbOGJR\\n\\n\\n— Proballers (@Proballers_FR) December 11, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 13 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nUne victoire pour terminer\\n\\n– Sans la défaite « surprise » à Bourges, la rencontre de ce dimanche entre la CTC Bresse et Roanne aurait octroyé la 1e place de la poule H... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Je reste persuadé que nous ne sommes pas à notre place »\\n\\n– Ludovic Arbez Capitaine de Poligny... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Par expérience, je sais que rien n’est fait »\\n\\n– Arthur Vuillemey Capitaine de l’ALL... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLons et Poligny, destins opposés\\n\\n– Tandis que les Lédoniens se promènent dans la poule K et sont sur une voie royale pour la N2, les Polinois, après des débuts convaincants, restent sur... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« L’Asvel est un grand club »\\n\\n– Patron de la « Basketball Champions League », Patrick Cominos apprécie beaucoup le projet du club villeurbannais... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTitre 9\\n\\n– Description... Lire la suite.\\n\\n\\n« C’est une petite alerte, ça nous apprendra mais ce sont des matchs à prendre. »\\n\\n– Le capitaine du leader Fos-sur-Mer, Mamadou Dia, a conscience que son équipe est passée tout près de sa première défaite de la saison à Rouen. Les Provençaux l’ont ... Lire la suite.\\n\\n\\nPourquoi va-t-il manquer des matchs en décembre ?\\n\\n– Simplement parce qu’il a été sélectionné avec l’équipe de France U18 qui disputera l’Euro à partir du 16 décembre en Turquie.Surclassé de deux ans, il évoluera notamment ... Lire la suite.\\n\\n\\nRoanne\\n\\n– Partie sur un rythme élevé, la Chorale marque le pas. Après s’être inclinés à Saint-Chamond (84-79), les joueurs de Laurent Pluvy ont cédé dans leur salle face à Boulazac (99-102). Pas la... Lire la suite.\\n\\n\\nCharleville-Mézières\\n\\n– Malgré l’un des plus petits budgets de la division, l’Etoile n’en finit plus de briller. Seuls dauphins de Fos-sur-Mer, les Ardennais ont frappé fort en allant l’emporter sur le parquet ... Lire la suite.\\n\\n\\nBlois tire la sonnette d’alarme\\n\\n– Aujourd’hui, on n’a pas le niveau de la Pro B. L’entraîneur de Blois, Mickaël Hay ne cachait pas sa frustration samedi soir après la défaite de son équipe face à un autre promu... Lire la suite.\\n\\n\\nIl n’a pas fini de grandir\\n\\n– Annoncé comme un énorme potentiel, Sekou Doumbouya vit sa première aventure professionnelle au PB. Une nouvelle étape pour le joueur de 15 ans... Lire la suite.\\n\\n\\nDynamiteurs de derby\\n\\n– La satisfaction du week-end vient de la « une » masculine qui a dynamité les voisins du SBC, le leader. La première période est un cavalier seul des... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nKaysersberg reçu six sur six\\n\\n– Le compte reste parfait pour Kaysersberg à domicile après le succès de samedi contre Juvisy (88-81). Mais il faudra attendre 2017 pour voir ce que les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : les fans se sont rués sur les billets du Final Four"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Une heure et demie, c’est le temps qu’il a suffi pour que le public s’arrache les billets mis en vente pour le Final Four de l’Euroleague qui se déroulera au Sinan Erdem Dome d’Istanbul, du 18 au 21 mai prochains. Le double attentat de ce week-end dans la capitale turque, qui a fait 44 morts, n’a donc pas refroidi les fans de basket.\\n\\nCe sont bien sûr les Turcs qui ont formé le plus gros bataillon des demandes devant les Espagnols, les Grecs, les Israéliens et les Allemands.\\n\\nLa capacité de la salle est de 14 867 sièges dont 80% sont réservés au public. Le reste est à disposition des supporters, à hauteur d’environ 800 billets par équipe, et aux VIP.\\n\\nL’Euroleague a précisé que le marché noir devant la salle est interdit."
}, 
{"role": "user",     "content":"Lorient (NM1) : Leon Alexander s’en va"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est terminé entre Leon Alexander (1,96 m, 24 ans) et le CEP Lorient Basket-Ball. L’ailier anglo-canadien et la formation de NM1 se séparent d’un commun accord.\\n\\n« Avant le départ en vacances des joueurs de l’équipe première, un point a été fait avec le joueur indique le président du club Patrick Grenet dans le Télégramme. Lors de cet entretien, Leon a reconnu que son niveau de performance était très insuffisant par rapport aux attentes du club « .\\n\\nSortant tout juste de McMaster, une université canadienne située à Burlington, au sud de Toronto, le natif d’Ajax (Ontario) vivait en France sa première expérience professionnelle. Vu à quatorze reprises en ce début de saison sur les parquets de troisième division française, il compilait 4,5 points, 2 rebonds et 1,3 passe pour 4,9 d’évaluation en 16 minutes de temps de jeu. Des statistiques décevantes pour un joueur étranger.\\n\\nPhilippe Maucourant, l’entraineur du CEP, s’est mis à la recherche d’un nouveau joueur."
}, 
{"role": "user",     "content":"James Southerland trouve refuge en D-League"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ancien joueur du Limoges CSP, James Southerland (2,03 m, 26 ans) vient de trouver un nouveau point de chute.\\n\\nQuelques jours après son départ du club allemand de Würzburg, l’Américain retourne chez lui aux Etats-Unis où il jouera pour les Santa Cruz Warriors, équipe de D-League affiliée aux Golden State Warriors.\\n\\n\\n\\n\\nOFFICIAL: The Warriors have acquired forward James Southerland. In a related roster move, Ferrakohn Hall & Carl Ona-Embo were waived.\\n\\n\\n— Santa Cruz Warriors (@DLeagueWarriors) 12 décembre 2016\\n\\nEn Allemagne, l’ailier tournait à 5,6 points et 3,9 rebonds sur 11 matchs de championnat en ce début de saison. En 2015/16, il avait partagé son temps entre l’Italie (Vanoli Cremona) et Mitteldeutscher BC, un autre club de la BBL où il s’était montré plutôt intéressant avec ses 13,5 points, 4,5 rebonds et 1,1 passe en 15 rencontres.\\n\\nVu dans le Limousin en 2014/15 sous les couleurs du Champion de France, le New-Yorkais avait été plus que discret sur le parquet (2,7 points à 44% de réussite aux tirs et 1,6 rebond pour 3,5 d’évaluation en 11 matchs de championnat Pro A) passant le plus clair de son temps en tribune.\\n\\nAncien pensionnaire de l’Université de Syracuse, il vivra donc sa deuxième expérience dans la ligue de développement américaine après un premier passage aux Los Angeles D-Fenders en 2013/14."
}, 
{"role": "user",     "content":"Suite au dernier attentat à Istanbul, Bryce Cotton veut quitter l’Anadolu Efes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Samedi soir, un double attentat a une nouvelle fois semé la terreur en Turquie et plus précisément à Istanbul. Suite à cette tragédie, Bryce Cotton, le meneur américain de l’Anadolu Efes a exprimé aux dirigeants son souhait de quitter le club, comme le rapporte Eurohoops.\\n\\nRentré aux Etats-Unis la semaine dernière pour des raisons personnelles, l’ancien joueur des Utah Jazz n’effectuera vraisemblablement jamais son retour dans la formation de Velimir Perasovic qui va devoir se mettre à la recherche de son remplaçant.\\n\\nCette saison en Euroleague, Bryce Cotton compilait 8 points, 1,6 rebond et 1,4 passe décisive (5,6 d’évaluation) alors qu’il tournait à 7 points, 1,6 rebond et 2,3 assists en première division turque.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"A.J. Slaughter est-il le grand oublié du All-Star Game ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ailier de Strasbourg A.J. Slaughter est-il le grand oublié du All-Star Game ?\\n\\nOui si l’on se fie à ses performances actuelles. Ne vient-il pas de frôler la perfection en attaque contre Hyères-Toulon : 6/8 à deux-points, 4/4 à trois-points et 6/7 aux lancers ?\\n\\nL’Américain au passeport polonais n’est pas mastoc mais sa technique individuelle et sa fluidité peuvent faire bien des jaloux. On savait que Strasbourg avait pêché cet été un gros poisson puisqu’on l’avait vu à l’œuvre à Cholet puis à Chalon où il fut le deuxième marqueur de la Pro A (17,6 pts). Ses productions à l’Euro 2015 avaient confirmé qu’il était dans les hauts standards européens sachant qu’il a transité par le Panathinaikos et Banvit. Les CV comme le sien sont devenus très rares en Pro A.\\n\\nDe plus, la SIG est sur une série de cinq victoires consécutives en France. Tout n’est pas encore parfait en Basketball Champions League, mais les Alsaciens reviennent de loin et ils ont passé là aussi un cap.\\n\\nSeulement, voilà. Quand il s’est réunit il y a une semaine, le jury ne s’est pas contenté de consulter les performances du joueur à l’instant T mais depuis le démarrage du championnat. Or, sur ses sept premiers matches, Slaughter n’en était qu’à 12,7 pts avec un quelconque -pour lui- 34,1% à trois-points et 10,4 d’évaluation. Depuis, de fait, il a considérablement augmenté le volume de ses matches : 18,6 pts avec un superbe 62,5% à trois-points et 18,4 d’évaluation. Trop tard. D’autres candidats ont été plus réguliers.\\n\\nCet assassin silencieux (son patronyme signifie « abattage » en anglais) se sent visiblement comme un poisson dans l’eau dans le jeu de Vincent Collet et peut remercier la SIG de l’avoir fait revenir au poste de pilotage.\\n\\nA défaut du All-Star Game, A.J. Slaughter fera peut-être un solide prétendant au titre de MVP, là aussi il faut être efficace sur la durée. Rappelons qu’en 2014, le trophée lui avait échappé à trois points près, au profit du Nancéien Randal Falker."
}, 
{"role": "user",     "content":"Un Ryan Brooks record mais trop seul contre Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dijon va mal. Vendredi soir dans son Palais des Sport la JDA s’est inclinée pour la huitième fois cette saison en championnat en enchainant avec une cinquième défaite de suite face au leader Monaco (58-84).\\n\\nContre une Roca Team tout simplement plus forte avec un collectif mieux armé (105 d’évaluation), la formation bourguignonne (45 d’évaluation) n’a pu compter que sur son américain Ryan Brooks (1,93 m, 28 ans) pour apporter du danger.\\n\\nImpeccable en attaque avec ses 21 points à 8/10 aux tirs (2/2 à trois points, 3/3 aux lancers francs) pour 18 d’évaluation, l’arrière a réalisé son record de point (et d’évaluation) cette saison sous le maillot dijonnais.\\n\\nJoueur le plus utilisé par son entraîneur Laurent Legname avec ses 34 minutes, le natif de la Nouvelle-Orléans était malheureusement bien trop seul pour faire face à une équipe princière qui a maîtrisée la rencontre de bout en bout.\\n\\nCapable du meilleur vendredi comme du pire (-2 d’évaluation au Mans, -3 contre Lyon-Villeurbanne), Ryan Brooks se distingue cependant par son irrégularité. En 12 rencontres de championnat, il n’a dépassé qu’à cinq reprises les 10 d’évaluation, même si ses statistiques ne traduisent pas complétement son importance dans le collectif dijonnais.\\n\\nDisputant cette année sa deuxième saison sous les couleurs de la JDA, l’ancien pensionnaire de Temple University est dans ses standards de l’année dernière (8,7 points, 2,6 rebonds et 1,3 passe pour 7,6 d’évaluation en 29 minutes sur 34 matchs en 2015/16) en livrant cette saison 9 points, 2,6 rebonds et 1,7 passe pour 7,3 d’évaluation en 31 minutes sur 12 matchs avec une adresse légèrement en baisse (39,8% cette année contre 43,5 la saison dernière).\\n\\nSeizième de Pro A ce lundi matin, Dijon est en danger et devra vite relever la tête sous peine de vivre des jours difficiles. Prochaine étape pour les Dijonnais le 19 décembre prochain à Pau-Lacq-Orthez. Face à une équipe paloise invaincue à domicile cette saison, Dijon devra faire fort pour l’emporter et Ryan Brooks devra être grand."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Hernangomez : une famille formidable"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans la famille Hernangómez, demandez Willy. Un pivot musculeux de 2,08m et 110kg. A 22 ans, il effectue sa première saison avec les New York Knicks et il a été intronisé avec l’équipe nationale espagnole à l’Euro 2015. Il a démontré tout son potentiel aux JO de Rio (6,6 pts et 2,7 rbds). Il est l’avenir de la seleccion.\\n\\nIl y a aussi le petit frère, Juan, 21 ans. Un format un chouïa moins épais : 2,06m et 104 kg. Lui est power forward aux Denver Nuggets.\\n\\nIl y a encore la fille Andrea, 1,90m, qui fait partie de l’équipe nationale junior.\\n\\nLe patrimoine génétique des trois enfants prédispose au basket, évidemment. Sans parler du mimétisme. Guillermo, le père, toise à 2,01m et fut membre du Real Madrid.\\n\\nIl est souvent beaucoup plus difficile de remonter la filiation du côté maternel car on ignore souvent le nom de jeune fille des mamans de basketteurs d’élite et... l’histoire du basket féminin européen est souvent obscure.\\n\\nLe quotidien américain Newsday a réalisé un dossier intéressant qui démontre que trois joueurs européens des New Yorks Knicks ont comme maman une ancienne basketteuse de haut niveau. Zita Kuzminskas (1,83m), mère de Mindaugas, fit partie de la sélection lituanienne, Ingrida Porzingis, maman de Kristaps, joua pour la Lettonie dans les catégories de jeunes, et Margarita Geuer, 1,90m, mère des frangins Hernangómez, fut championne d’Europe et disputa les Jeux Olympiques de Barcelone.\\n\\n« Chaque week-end nous nous retrouvions sur les terrains de Madrid et mes parents essayaient de nous apprendre comment shooter et quelques mouvements. Mon père ressemble davantage à mon frère. C’est un joueur très athlétique. Je suis davantage comme ma mère : jouer en poste bas, passer, shooter, nous sommes costauds, » révèle Willy.\\n\\n\\nMaman est championne d’Europe en battant la France\\n\\nEn creusant davantage la carrière de Margarita Geuer, on s’aperçoit que son destin a croisé celui de l’équipe de France. Normal pour une joueuse qui compte 158 sélections au compteur. Pas aux JO de Barcelone, bien sûr puisque la France ne fut pas qualifiée, mais un an plus tard, en 1993, à l’Euro. Du côté des Bleues, c’était la génération d’Isabelle Fijalkowski, Yannick Souvré, Odile Santaniello et autre Paoline Ekambi. Margarita Geuer scora 7,8 pts/m sur le tournoi, seulement 2 en finale mais l’Espagne triompha, 63-53.\\n\\nAprès avoir passé des heures sur les terrains avec sa mère comme professeur, Willy Hernangómez, qui avait bien grandi et bien forci eut un geste brusque qui mis fin aux cours particuliers. C’était il y a quatre ans.\\n\\n« Je faisais un speed move et j’ai heurté le nez de maman avec mon coude. Ça a commencé à saigner. Elle est venue à moi et m’a dit : « Willy, je suis ta mère, tu ne peux pas me faire ça. » Maintenant mes parents ne veulent plus jouer avec nous. »\\n\\nMargarita a confirmé la scène à Newsday :\\n\\n« J’ai réalisé que c’était impossible désormais de jouer avec lui. Il m’avait complètement dépassé. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Rodrigue Beaubois remporte son duel face à Edwin Jackson"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Opposés à l’occasion de la 12e journée de Liga Endesa, Rodrigue Beaubois et Edwin Jackson se sont rendus coup pour coup dans cette rencontre mais ce sont finalement les coéquipiers de « Roddy » qui l’ont emporté 82-77 grâce à un bon dernier quart-temps (27-19).\\n\\nAvec 31 points, 3 rebonds et 1 passe décisive (26 d’évaluation) Beaubois est sorti grand gagnant de ce duel de scoreurs et offre donc une 8e victoire au Baskonia qui pointe à la 5e place du classement (8v-4d). Une très belle performance pour l’ancien joueur de la SIG qui tourne en moyenne cette saison à 13,7 points par match.\\n\\nPas en reste, Edwin Jackson a de son côté compilé 26 points, 4 rebonds et 6 passes décisives pour une évaluation de 27 mais son équipe de l’Estudiantes Madrid s’est inclinée et est désormais 10e au classement avec 4 victoires pour 7 défaites. L’ancien Villeurbannais est toujours meilleur marqueur d’ACB avec ses 21,4 points de moyenne, il est également 2e à l’évaluation (21,3) juste derrière Ante Tomic (21,5).\\n\\nMoins en vue, deux autres Français étaient engagés dans cette rencontre, il s’agit d’Ali Traoré (6 points, 4 rebonds et 2 assists) pour l’Estudiantes et Kim Tillie (6 points, 2 passes décisives et 3 interceptions) du côté de Vitoria.\\n\\n\\n\\n\\nOn s'est mis des pains dans la gueule ce soir (n'est ce pas, @ktillie ?),mais nous sommes unis par un lien fort et ce lien est 🇫🇷 🇫🇷 🇫🇷 pic.twitter.com/jYlpk3wrye\\n\\n\\n— Ali D Traoré (@bomaye12) December 11, 2016\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Isaiah Swann (Cholet) a pris feu à 3-points"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Isaiah Swann (1,88m), le deuxième arrière de Cholet Basket, a réalisé une performance de haute volée face à Orléans : 8/11 à trois-points.\\n\\nC’est dans les dix dernières minutes que le bras de l’Américain s’est embrasé, transformant 5 tirs primés sur 7 tentés dont 3 consécutifs. Ce coup de chaud fut fondamental dans la victoire ô combien précieuse sur Orléans, 86-81.\\n\\n« Wow ! », s’est-il exclamé dans Ouest France à l’annonce de ses statistiques. « J’étais juste dans le rythme, j’arrivais à rentrer des tirs. Quand quelqu’un est dans le rythme, on le fait tirer. Que ce soit Graham (Brown) ou Jerry (Boutsiele) dos au panier. Ça peut être la soirée de n’importe qui. Ce soir, c’était mon tour. »\\n\\nIsaiah Swann n’a fait ainsi qu’approcher la performance de son compatriote Darnell Haris (Orléans) qui, le 25 avril 2015, a réalisé le score parfait face à Limoges au-delà de 6,75m: 9/9.\\n\\nDepuis le début de saison, Iaiah Swann tourne à 30/69 à trois-points, ce qui fait une réussite de 43,5%. Swann se positionne 17e de la Pro A au pourcentage de réussite, ce qui dans une équipe qui excelle dans ce domaine, en fait seulement le quatrième Choletais derrière Jonathan Rousselle (4e), David Noël (8e) et Angel Rodriguez (16e)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Andrew Albicy et Andorre renversent le FC Barcelone"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la 12e journée de Liga Endesa, le Morabanc Andorra recevait le FC Barcelone qui sortait d’une courte défaite vendredi soir en Euroleague face à l’Anadolu Efes Istanbul (72-68). Après 40 minutes de jeu, c’est bien l’équipe d’Andrew Albicy qui s’est imposée 87-80.\\n\\nOpposé à des joueurs de grande classe comme Tyrese Rice, Petteri Koponen ou encore Alex Renfroe, l’ancien meneur du BCM Gravelines-Dunkerque a été l’un des grands artisans de cette belle victoire. Albicy a compilé 15 points, 2 interceptions et 7 passes décisives (18 d’évaluation) pour offrir sa première victoire au Morabanc Andorra face à Barcelone depuis 20 ans.\\n\\nCette saison en ACB, l’ancien joueur du Paris-Levallois enregistre des moyennes de 8,6 points, 1,9 interception et 7 assists de moyenne pour une évaluation de 11,5. Des statistiques qui lui permettent d’être meilleur passeur du championnat et troisième aux interceptions.\\n\\nPhoto : BCM Gravelines-Dunkerque"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 12 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nCe qu’il faut retenir\\n\\n– « Quand vous dites aux gens ‘’ne mettez pas votre main là, la plaque, elle est brûlante’’, vous n’allez pas mettre la main deux fois sur la plaque... Lire la suite.\\n\\n\\nL’état d’urgence au SLUC Nancy\\n\\n– Surclassé, le SLUC a pu mesurer l’étendue de ses faiblesses. Le renfort de Jonathan Jeanne va apporter un plus mais ne sera certainement pas suffisant... Lire la suite.\\n\\n\\nRhapsodie en AJ majeur\\n\\n– Auteur de 22 points, dont quelques-uns dans les moments importants, AJ Slaughter a encore éclaboussé de sa classe le match de samedi, contre... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes oranges ploient à Metz\\n\\n– Dimanche après-midi, en Moselle, Saint-Rambert s’est à nouveau incliné face à Metz-Tessy et termine l’année civile sans victoire au compteur. Assez... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe Puy enterre un peu plus Bordeaux\\n\\n– Samedi à Bordeaux, le Puy a parfaitement évité le faux pas chez la lanterne rouge en maîtrisant son sujet dès l’entame et jusqu’à la fin du match... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Al Lons assomme le championnat\\n\\n– Après Saint-Priest, l’Al Lons a dominé Tarare à l’extérieur. Avec ce dixième succès en dix matches, les Lédoniens ont déjà un pied en N2... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Priest alterne le chaud et le froid\\n\\n– Les Marzyats n’ont pas été une véritable menace pour les San-Priots. Les visiteurs n’ont en effet pas pu donner le change en 1re mi-temps à leurs... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg donne la leçon à Orléans\\n\\n– Larges vainqueurs d’Orléans les cadets de la JL Bourg terminent l’année sur une bonne note... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe basket champagne du Clar s’est éventé\\n\\n– Battu après prolongation de 2 points, le Clar a vu son basket se délité peu à peu... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCinq dernières minutes fatales\\n\\n– L’absence de Brooks aura encore pesé sur cette rencontre qui a nourri beaucoup d’espoirs... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSCB : si près, si loin\\n\\n– Tout le monde va retenir la balle de match ratée de Gombauld, à une seconde de la fin, qui aurait donné la victoire aux Couramiauds. Pourtant, tout ne... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBCMF : finir l’année en beauté\\n\\n– Le derby gagné, le BCMF doit maintenant aller chercher des points à Reims... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRoanne rentre dans le rang\\n\\n– À force, cela devait arriver aussi à la maison. Trop inconstante, la Chorale a cédé en prolongation et se retrouve dans le ventre mou du championnat... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nJ.D Jackson : « Pas normal... »\\n\\n– Le coach villeurbannais n’a pas apprécié les trois derniers quarts-temps de son équipe à Chalon. Il l’attendra au tournant dès demain face à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne victoire à la maison pour passer Noël bien au chaud\\n\\n– Pour son dernier match de l’année, le Chalon BC a renoué avec le succès sur ses terres contre Lons (73-65). Et se replace au classement. Sans faire de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRoberson, c’est la grande classe\\n\\n– Contre l’ASVEL, le meneur chalonnais, John Roberson, a égalé la meilleure évaluation de l’histoire du club (+42). Et sans forcer... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nA chaud\\n\\n– Andy Thornton-Jones (entraîneur de Poitiers)\u2009: « Il est important de remporter ce genre de match où le scénario est serré. Je félicite les garçons pour ce résultat. Mais nous... Lire la suite.\\n\\n\\nFos a eu chaud\\n\\n– Dans le choc des extrêmes, les Provençaux de Fos-sur-Mer ont préservé de justesse leur invincibilité sur le parquet de la lanterne rouge, Rouen (76-77). Les joueurs de Rémi Giuitta... Lire la suite.\\n\\n\\nUne victoire homérique\\n\\n– n3 masculine Lisieux\u2009: 77 UTBM (2)\u2009: 78 Revenu du diable vauvert sur les basques des locaux, Tours arrache avec le cœur un succès méritoire. Lisieux a cru prendre le dessus dans le final, mais c’est la réserve de l’UTBM qui aura su mieux gérer le money time. Les locaux entamaient le match par le bon bout. Kilman Boue et Oderdouri mettaient... Lire la suite.\\n\\n\\nVineuil retrouvé\\n\\n– Globalement, la victoire de Vineuil sur le dauphin du championnat, l’ASPTT Caen (83-62), arrange bien les affaires du leader lavallois qui, lui, s’est imposé sur le parquet de Caen Nord (82-91) et enregistre donc un premier écart sur son concurrent direct pour l’accession. Plus localement, cette victoire arrange surtout les affaires des Vinoli... Lire la suite.\\n\\n\\nLa star du week-end\\n\\n– John Roberson. Le meneur américain de Chalon-sur-Saône a fait vivre un enfer à ses adversaires samedi, en pénétration comme à trois points (7/10). « C’est un peu le Stephen Curry de notre Championnat, soufflait l’entraîneur de l’Asvel, JD Jackson, à la mi-temps. Mais on l’aide avec des balles perdues (15 au total), des contre-attaques, des faute... Lire la suite.\\n\\n\\nLes Bressuirais chutent au sommet\\n\\n– Les basketteurs bressuirais ont chuté hier pour la première fois de la saison lors du match au sommet sur le parquet des réservistes rochelais de Rupella. Un coup d’arrêt pour les Bocains. Ils peuvent néanmoins espérer revenir à hauteur du leader rochelais, puisqu’ils ne sont qu’à quatre longueurs avec deux matches en moins au compt... Lire la suite.\\n\\n\\nFondettes tombe et Monts est seul leader\\n\\n– Journée à rebondissements. Chez les messieurs, Fondettes tombe à Ingré et n’est plus seul premier. Chez les femmes, Monts profite de la défaite de Chartres pour devenir leader.MASCULINS Saint-Pierre\u2009: 79 Montargis\u2009: 74 Hervé Mezen (Saint-Pierre)\u2009: « Dommage qu’on ne soit pas constant sur 40 minutes. Ceci étant, je suis content... Lire la suite.\\n\\n\\nBressuire est parti de trop loin\\n\\n– Bressuire\u2009: 56 Laguenne\u2009: 61 Plombées par une entame de match et un troisième quart-temps mal négociés, les basketteuses bressuiraises ont enregistré hier, face à une équipe de Laguenne plus constante et réaliste, leur cinquième défaite de suite. « Il n’y a que quelques points d’écart au final, mais ça fait toute la différence, a... Lire la suite.\\n\\n\\nLe Cest renoue avec la victoire\\n\\n– Cest\u2009: 64 JSA Bordeaux\u2009: 51 Longomba, en dominant le secteur intérieur, et Pacault en inscrivant 20 points, ont largement contribué à la victoire de leur équipe hier après-midi. Avec leur retour, le Cest présente assurément un tout autre visage. D’entrée, Bordeaux plantait une zone « barbelée » qui sera utilisée pendant quarante... Lire la suite.\\n\\n\\nLa réserve du PB a du caractère\\n\\n– Poitiers 2\u2009: 74 Hagetmau\u2009: 71 Contre une solide équipe d’Hagetmau restant sur deux succès consécutifs, la réserve du PB, parfois malmenée, est parvenue à sortir du piège. Les hommes d’Andy Thornton-Jones terminent l’année sur une bonne note, confirmant leur excellente entame de saison (7 victoires, 3 défaites). Invaincus à domicile... Lire la suite.\\n\\n\\nL’Indre All Stars fait vibrer les jeunes\\n\\n– On ne change pas un événement qui plaît, du côté du comité de l’Indre de basket. Depuis quelques années, l’Indre All Stars marque le moment festif pour les tout jeunes basketteurs du département. Organisée sur la journée de samedi, la manifestation a une nouvelle fois été très prisée avec 310 bambins qui sont venus s’éclater au gymnase de Belle... Lire la suite.\\n\\n\\nLe Poinçonnet rit, la Berrichonne pleure\\n\\n– FÉMININELe Poinçonnet\u2009: 62 Alliance de Dreux\u2009: 55 Quart-temps\u2009: 15-8, 15-19 (30-27), 15-12, 17-16. Arbitres\u2009: MM. Gauthier et Seymour-Marc. Le Poinçonnet\u2009: Ferrier 13, Mahéo 2, Vannieuwkerke 7, Vandendriessche 10, Massicot 5, Bourgoin 1, Gaborit 14, Marlaud 1, Vaslin 6, Tixier 3. Dreux\u2009: Keradennec 7, Diarra, Bidaud 18, Duron, Vandystadt 6, Mar... Lire la suite.\\n\\n\\nThouars est dans les clous\\n\\n– Thouars – Brive\u2009: 63-56 En signant samedi leur sixième succès de la saison en championnat, les Thouarsaises ont largement rempli leur mission... Lire la suite.\\n\\n\\nIls ne sont pas tombés dans le piège\\n\\n– Poitiers – St-Quentin : 79-65 Face à un SQBB fidèle à sa réputation, le PB a géré la fin de match pour s’offrir un beau succès. A confirmer à l’extérieur... Lire la suite.\\n\\n\\n» Un grain de sable et tout s’enraye «\\n\\n– A côté de ses baskets en première mi-temps, l’UTBM a encore chuté à Brissac (77-66). Impressions de Pierre Tavano, un coach en quête d’un déclic... Lire la suite.\\n\\n\\nMonaco, toujours en tête\\n\\n– Resté sur une défaite écrasante à Paris-Levallois, Monaco renoue avec la victoire. De son côté, Nanterre s’impose contre Pau à domicile... Lire la suite.\\n\\n\\nL’ADA doit vite se reprendre\\n\\n– Une nouvelle fois battus dans leur salle par Aix-Maurienne (58-61), les Blésois restent scotchés en queue de peloton. Il devient urgent de repartir de l’avant... Lire la suite.\\n\\n\\nRégis Racine : » On a tout tenté «\\n\\n– Angers/Saint-Léonard – Berrichonne\u2009: 62-59 Sur la fin, tout aurait pu basculer et les Castelroussins s’offrir une prolongation. Mais dans ce match de la peur, Angers a tiré son épingle du jeu... Lire la suite.\\n\\n\\nLes filles prolongent leur bonheur\\n\\n– Au terme d’un match haletant, Le Poinçonnet Basket a décroché sa neuvième victoire face à une accrocheuse équipe de Saint-Delphin (73-71), à l’issue de la prolongation... Lire la suite.\\n\\n\\nVineuil rate le coche, Saint-Ouen et l’ADA rebondissent\\n\\n– PRÉNATIONALE MASC.Boigny\u2009: 59 Vineuil\u2009: 58 Les Vinoliens se sont inclinés sur le fil, hier à Boigny, un de leurs principaux concurrents. Une défaite fâcheuse car s’ils s’étaient imposés, ils auraient mis Boigny derrière eux, et surtout profité de la défaite de Lariche Lamartine Tours pour occuper aujourd’hui la troisième place derrière Fondettes... Lire la suite.\\n\\n\\nÀ fond la forme !\\n\\n– La réception des Landaises de Haut Mauco, équipe de bas de tableau et venue en effectif réduit, avait tout d’un match piège pour les joueuses du tandem Derusseau-Baudy, et ce fut le cas. Après un début de match très cohérent où l’adresse était au rendez-vous avec des primés de Gwenn Bernard et Sandrine Bareille la barre des 10 points d’écart était vite atteinte. Mais en se relâchant défensivement, elles permirent aux Landaises de poser leur... Lire la suite.\\n\\n\\nDes Layracais encore décevants\\n\\n– Face à une équipe de Seyches, certes diminuée, mais qui joue avec vaillance, les Layracais n’ont pas su élever leur niveau de jeu. Pourtant, d’entrée, face à une individuelle des locaux, les joueurs de Jean-Louis Albisua ont logiquement creusé l’écart, surtout par Boulefaa (10 points en 10 minutes), Wezel très incisif et Perrin (8-21, 10e). Passés en zone, les joueurs de Stéphane Robert surent profiter des maladresses adverses. Ils revinrent... Lire la suite.\\n\\n\\nDu simple au double\\n\\n– En recevant la CTC Vallée Isle 24, les Lilas avaient la ferme intention de continuer leur série avant la trêve des confiseurs. Malgré un premier tir réussi par Mountels, les visiteurs profitent de la maladresse locale aux tirs pour gagner et convertir 4 attaques consécutives (2- 8, 4e). Les gars de Constantin, sans s’affoler, remettent les pendules à l’heure, grâce à leur défense de zone press infranchissable. Mountels, par deux fois, puis... Lire la suite.\\n\\n\\nEntame catastrophe\\n\\n– C’était un match piège pour les Castelfondais dans la salle de Vieux Boucau. Mais les joueurs de Laurent Dulong se sont piégés eux-mêmes, lors du premier quart-temps catastrophique (23-6). Trop de maladresses, d’oublis défensifs, un manque d’agressivité général ont causé la perte de l’AGS : 2 paniers réussis et deux lancers en dix minutes, les Landais avaient alors fait une belle différence. Et pourtant, Granfonds remporta les trois derniers... Lire la suite.\\n\\n\\nFin de série pour l’UBVP\\n\\n– Face à la réserve de la Pro B de Boulazac composée de jeunes joueurs désormais lancés dans la compétition de N3, les gars de l’Union s’attendaient à un déplacement difficile. Le début de la rencontre montra l’envie de cette équipe de géants bien amenés par Mateus et Aygalenq (15-7, 4e). Le coach lot-et-garonnais, Cyril Marboutin, dut arrêter la partie pour mettre son équipe sur de bons rails. Cela fut bénéfique et Jonathan Chevalier et Cédric... Lire la suite.\\n\\n\\nGrande première à Descartes !\\n\\n– Enfin ! Après neuf défaites de rang, les filles de l’Union Boudy-Villeneuve-Pujols ont pu fêter leur 1er succès en s’imposant face aux Espoirs de Toulouse Métropole. Bien entrées dans la partie (10-2, 4e), les «black» se firent rejoindre en fin de premier quart-temps face à une poussée défensive adverse qui fit déjouer les locale qui multiplièrent les pertes de balle (9 en dix minutes). Par la suite le jeu s’équilibra : Chateaureynaud et... Lire la suite.\\n\\n\\nLa JIL se défait du GAB en\\n\\n– Samedi, les Colayracais se déplaçaient sur le Tertre pour leur 2e derby. Ces matches sont toujours très particuliers tant du fait de la proximité des deux clubs que des retrouvailles pour le capitaine Nico Laulan et Gaétan Bakowski, anciens joueurs du GAB. La 1ère mi-temps est très compliquée pour les «vert et blanc» qui, malgré une bonne défense, fait valoir sa domination au rebond grâce à Robin Anselme. Mais les visiteurs sont restés... Lire la suite.\\n\\n\\nLe leader est passé à la trappe\\n\\n– D’entrée, Oloron ouvrit le score et fit valoir sa rapidité d’exécution collective dans la circulation du ballon, valorisée par une adresse hors du commun, avec 10 tirs réussis sur 14 tentés en moins de six minutes dont déjà 3 primés pour Ort. Puymirol fit face, après un tir de Roux, un 2+1 de Piaï et 2 paniers de Marlas s’infiltrant dans la défense adverse. Mais les visiteurs avaient pris les devants menant alors (16-23) après un tir de près... Lire la suite.\\n\\n\\nLe piège landais évité au final\\n\\n– Les joueurs du Bruilhois avaient le dos au mur et devaient réagir pour ne pas s’enliser au classement. Ce fut loin d’être facile et le match fut toujours serré. Kunata ouvrit le score (2 tirs de près et 1 lancer), mais Gallas égalisa (5-5, 2e). L’ESB incisif en attaque, scora par Dufourg (2-1) et après deux primés de Gentillet et un tir de Bareille, les Aubiacais menaient (16-11, 10e). Le deuxième quart-temps émaillé de maladresse aux tirs... Lire la suite.\\n\\n\\nLes Agenais sur leur lancée\\n\\n– Les Deux premiers quarts voient les résidents du Stadium élaborer de beaux mouvements offensifs pour faire parvenir le ballon au joueur en meilleure position. De ce fait l’adresse est au rendez-vous. Masson par des triples et Adgnot par une succession de lancers limitent l’écart avant le changement de côtés (40-25). Inévitablement les Dordognots sont de retour sur le parquet avec des intentions de rébellion. Ils augmentent l’intensité... Lire la suite.\\n\\n\\nLes jeunes Villeneuvois renouent avec la victoire\\n\\n– Après une série de six défaites consécutives, les jeunes villeneuvois ont retrouvé le chemin du succès. Une victoire logique qui fait du bien à la tête avec une adresse retrouvée. Derrière leur entraîneur joueur Martin Mouraby, ces derniers ont su élever leur niveau de jeu face à une formation basque difficile à jouer et candidate à la montée en Régionale 1. La 1ère partie de la rencontre est très équilibrée. Les frères Catarino et Théo... Lire la suite.\\n\\n\\nLes Landais un ton au-dessus\\n\\n– L’emprise du match a été rapidement prise par des Dacquo-Gamardais puissants à tous les postes (7-17, 7e). La 2e période paraissait moins disproportionnée car les «bleu» entraient peu à peu dans leur régime favori. Le duo Lissossi-Dembélé s’activait à mettre en place une réaction efficace après que Leveau ait inscrit à trois points. Mais jamais l’équipe de Bruzac ne parvenait à faire douter la forteresse de l’Union (27-41, 20e). L’appel du... Lire la suite.\\n\\n\\nMalgré une belle seconde mi-temps\\n\\n– L’AGS a eu un début difficile, manquant de rythme offensif et d’adresse. Les Auvergnates euphoriques et adroites dominent dans tous les secteurs du jeu et mènent (23-9, 10e), après avoir eu jusqu’à 20 points d’avance. Alternant les défenses, les Castelfondaises parviennent à les contenir (34-18, 20e). À la reprise, les joueuses de Laurent Pouchou trouvent des solutions offensives comme défensives, avec plus de vigilance sur les éléments... Lire la suite.\\n\\n\\nMention spéciale : 10/10 !\\n\\n– À l’occasion de la dernière rencontre de l’année en championnat, le Val d’Albret se déplaçait à Albi, équipe à la recherche d’une première victoire. Les Lot-et-Garonnais s’imposent brillamment en brisant la barre des 100 points à l’extérieur, inscrivant ainsi une 10e victoire consécutive. Le début de la rencontre est l’avantage des visiteurs par Janusauskas, mais Debrie égalise à 11 (5e). Les joueurs se montrent adroits. Coze de loin et... Lire la suite.\\n\\n\\nRéveil trop tardif\\n\\n– D’entrée de jeu, les Langonnaises prennent le score, sans parvenir à distancer les Foulayronnaises. Celles-ci, grâce à un panier primé de Marie et à l’adresse intérieure de Dellac et Gauthier parviennent à rester au contact. Elles ont un passage à vide au 2e quart-temps au cours duquel elles multiplient les fautes et concèdent 3 paniers primés aux visiteuses (23-37, 20e). La reprise est plus équilibrée et les arbitres sifflent beaucoup de... Lire la suite.\\n\\n\\nToujours la même histoire\\n\\n– L’entame de match sera très mauvaise de la part des visiteuses au niveau de l’agressivité défensive laissant beaucoup trop de seconde chance aux adversaires et commettant bon nombre de fautes, les locales prenant l’avantage (8-0). Les Boétiennes se ressaisissent (23-14, 10e). Le 2e quart-temps démarre par un changement de défense des visiteuses avec plus d’agressivité et d’intensité mais un manque cruel d’adresse et encore beaucoup trop de... Lire la suite.\\n\\n\\nUn lancer qui vaut deux points\\n\\n– Trop maladroits et manquant de vigilance défensive, les joueurs d’Olivier Arnaudet furent souvent pris de vitesse par la vitesse offensive landaise. Le sursaut vint à la reprise, sur les options de jeu préconisées par Arnaudet. La défense bien en place, l’ESB put impulser du jeu rapide et trouver des angles de tir. Une bonne série de Vrech (13 points en 6 minutes dont 1 primé), Lavens, Eddehbi et Agueb participèrent à cette remontée. Après... Lire la suite.\\n\\n\\nUn soleil tout pâle sur les Coteaux\\n\\n– Au lendemain de leur décompression en Corrèze (-14), les Abécistes ont eu le bon goût de clore 2016 sur un succès à domicile pour finir d’illuminer une auguste première phase en championnat (7 victoires et 3 défaites). Au bout du rouleau physiquement, Agen, qui fut empêché de courir samedi, afficha ses limites offensives et son peu de propension à attaquer une défense de zone. Car les visiteurs surent tisser leur toile, freinant la remontée de... Lire la suite.\\n\\n\\nUnion : sans Vaty, ça va aussi\\n\\n«Un seul être vous manque et...». Non, tout n’est pas dépeuplé à l’Union. «ça m’agace que l’on parle de Vaty-dépendance ou de d’Almeida-dépendance. C’est manquer de respect aux autres», lâchait après-coup Alex Casimiri. Le coach de l’Union gère un groupe de dix joueurs, et il y tient. D’ailleurs, les deux têtes d’affiche de l’équipe n’accepteraient pas non plus de tirer toute la couverture à eux quand ils savent que leurs excellentes... Lire la suite.\\n\\n\\nTGB, trop de points en route..\\n\\nPour avoir laissé trop de points en route et complètement manqué son troisième quart, le TGB est passé à côté d’un succès à sa portée, hier soir, face à Mondeville. Il faudra maintenant finir l’année au Hainaut, puis à Lyon, en espérant deux jolis cadeaux avant la trêve. François Gomez avait demandé «de l’autorité en attaque, de l’intelligence et de la communication en défense», mais dans ce début de match, c’est Mondeville qui contrôlait le... Lire la suite.\\n\\n\\nNord Sundgau sombre à Mirecourt\\n\\n– Après avoir relevé la tête ces dernières semaines, en signant deux succès lors de leurs trois dernières rencontres, les basketteurs de Nord Sundgau... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFin de série pour Rixheim\\n\\n– Cette 10e et dernière affiche de l’année n’a pas souri aux hommes de Cédric Garnier qui, après sept victoires successives, ont lâché prise face à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPremière pour Dessenheim\\n\\n– Au terme d’un match admirable, les joueurs de l’ASL Dessenheim ont enfin décroché leur première victoire à domicile. Combiné aux autres résultats de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nKaysersberg s’est fait peur\\n\\n– Pour avoir pris de haut un adversaire de la deuxième moitié du tableau, les Kayserbergeois ont failli être punis... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFCM : toujours des regrets\\n\\n– Le FC Mulhouse s’est incliné de justesse, samedi soir, face à Prissé-Macon, à l’occasion de la onzième journée de Nationale 2 (73-76). Les Mulhousiens... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPfastatt : les fêtes au chaud\\n\\n– Victorieux de Montbrison (89-79) samedi soir, les Pfastattois terminent l’année à une belle cinquième place au classement... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSIG : la parole est à la défense\\n\\n– Irréguliers en attaque, les Strasbourgeois s’en sont remis à une belle performance défensive pour écarter Hyères-Toulon (76-62), samedi soir, au... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les articles de la semaine : du 5 au 11 décembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque dimanche, Basket Europe vous propose une sélection des meilleurs articles de la semaine afin de connaître l’essentiel de l’actualité :\\n\\n 1.  Céline Dumerc à Basket Landes : tout est parti d’une blague...\\n 2.  Ex-prodige du basket français, David Gautier renaît comme entraîneur en LFB\\n 3.  ABA League : Ante Žižić 43 d’évaluation à 19 ans !\\n 4.  Les joueurs pour le All-Star Game 2016 de la LNB sont connus !\\n 5.  Jerry Boutsiele (Cholet) estime que l’ambiance au Portel est plus chaude qu’à Limoges\\n 6.  Euroleague : à 17 ans, Luka Doncic offre la victoire au Real Madrid\\n 7.  Fos Provence : Jean-Baptiste Maille, le joueur qui monte\\n 8.  Quand le Limoges CSP bat le village de Freddy Fauthoux\\n 9.  Luka Doncic (17 ans) cartonne avec le Real Madrid\\n 10. Italie : Djordje Pazin (15 ans) marque 24 points en Serie B"
}, 
{"role": "user",     "content":"La grosse déprime du directeur du centre de formation de Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ambiance très morose pour ne pas dire déprimée sur le plateau du « Débrief », l’excellent « after » du Limoges CSP. Il faut dire que hier soir, les Limougeauds ont glacé l’ardeur de leurs supporters lors d’un premier quart-temps absolument catastrophique contre Le Portel où ils ont encaissé 27 points. Ils ne s’en sont jamais complètement remis et se sont inclinés, 69-72.\\n\\nFigure emblématique du CSP des années soixante-dix et directeur du centre de formation du club, Claude Bolotny, le consultant maison, a sa tête des mauvais jours. Il se retrouve dans la peau du mari trompé... Sans jamais citer le nom du coach Vule Vujosevic, il lâche plusieurs piques qui le visent directement :\\n\\n« Est-ce que c’est le moment de faire des expériences ? Quand je parle d’expérience, c’est Scott dans le cinq (NDLR : Ernest Scott n’a joué au final que huit minutes). Quand on est un peu ric-rac –c’est le cas du CSP en ce moment- à mon avis, on joue classique et on assure le début de match. »\\n\\nDe façon générale, c’est toute la manière qui est remise en cause :\\n\\n« Vous savez qu’au basket on peut garder la balle vingt-quatre secondes. Ce qui me choque c’est quand on commence à enclencher un début de système au bout de treize secondes. C’est à dire qu’il reste onze secondes de possession. C’est complètement irréaliste... »\\n\\n« On n’a pas de fonds de jeu. »\\n\\nLe Slovène Klemen Prepelic (1/7 à trois-points) en prend nominativement pour son grade:\\n\\n« Prepelic, qui peut être un beau joueur, m’emmerde profondément. Il est tout le temps dans la contestation, tout le temps en train de râler. Donc il perd son jeu. »\\n\\nLimoges fait partie d’un groupe de cinq équipes qui comptent cinq victoires pour sept défaites. Claude Bolotny est inquiet, très inquiet sur l’avenir et il estime que le statu quo est impossible :\\n\\n« Il va falloir penser à se maintenir. Moi je n’ai pas envie de construire un centre de formation pour me retrouver en Pro B. Et ça je ne sais pas si tout le monde en est conscient. »\\n\\n« L’équipe régresse dans l’envie de gagner. Certains –et je parle même du staff- ne se donne pas les moyens de gagner. A un moment donné, il va falloir prendre des décisions. »\\n\\nD’ici la fin de l’année, le CSP se rend au Mans et à Antibes avant d’accueillir Gravelines à Beaublanc. Claude Bolotny oscille entre le cœur et la raison, l’optimiste et les pensées les plus noires :\\n\\n« Trois victoires ça serait bien mais il ne faut pas rêver. Parti comme on est parti je crains qu’il y ait trois défaites. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"John Roberson (Chalon) : une tête de MVP"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On le savait bon suite à ses productions de la saison dernière. Il est en fait très bon à la lumière de ce qu’il démontre depuis quelques semaines. John Roberson, le petit meneur (fait-il le 1,80m annoncé ?) de l’Elan Chalon sait tout faire, faire jouer, marquer, de loin, de près, par des acrobaties. Tout. Hier lors du triomphe au détriment de l’ASVEL (98-68), il a été diabolique : 34 points (11/15 avec 7 sur 10 à trois-points), 7 rebonds et 6 passes pour 42 d’évaluation.\\n\\nJohn Roberson est une nouvelle trouvaille de Jean-Denys Choulet quand on songe qu’il a joué dans des ligues mineures, en Slovénie, Suisse, Hongrie et Equateur. Zéro références, a priori.\\n\\nIl est établi que le Chalonnais est un sérieux candidat au titre de MVP de Pro A. Il est tellement complet qu’à l’évaluation, il a pris la roue de de D.J. Cooper, un autre meneur prodige, devant une nuée d’intérieurs pourtant favorisés par les chiffres.\\n\\nEt surtout, Chalon gagne bien plus souvent que prévu. C’est ça le plus important.\\n\\nUn indice, pour faire son choix: quand Roberson s’est retrouvé face à face avec Cooper, le Palois a réalisé un triple-double (16 points, 11 passes, 10 rebonds)... mais en gâchant un peu la marchandise (5/15 aux shoots) si bien que le Chalonnais, plus sobre, était sorti du terrain avec une évaluation supérieure (28 à 23).\\n\\nLes meilleures évaluations:\\n\\n1-D.J. Cooper (Pau) 24,64\\n\\n2- John Roberson (Chalon) 19,25\\n\\n3- Tim Blue (Antibes) 19,00\\n\\n4- Moustapha Fall (Chalon) 18,92\\n\\n5- Wilfried Yeguete (Le Mans) 17,00\\n\\nhttp://www.lnb.fr/fr/LNB-TV/1000002/Video/6238/Pro-A-J12-Chalon-vs-ASVEL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le SLUC Nancy au bord du gouffre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Au Mans, à la présentation, Greg Beugnot est toujours applaudi un peu plus que la moyenne des coaches. Probablement parce qu’il fut le meneur du SC Moderne à la fin de l’âge d’or et aussi parce que son palmarès d’entraîneur est en France l’un des plus prestigieux. A bientôt soixante-ans, l’Ardennais est chargé de mission. Après avoir tenté –en vain- de faire monter Bourg, on lui a confié les clés du SLUC Nancy pour le sauver de la noyade.\\n\\nClub le plus constant des années 2000, le SLUC est un chef d’œuvre en péril. Son équipe est depuis sa constitution mal fagotée, elle a été ensuite rapiécée et avec les départs de Florent Piétrus et Randal Falker, elle n’a plus d’identité. Ses sept meilleurs marqueurs –en incluant Gregory Vargas qui depuis s’en est allé- ne sont pas Français. Quelque chose comme une équipe de D-League, en beaucoup moins talentueuse.\\n\\nComme si la misère ne suffisait pas, le SLUC est touché par la poisse. Son ailier américain Ebire Ere (mollet) n’avait pas fait le déplacement tout comme les jeunes Lenny Charles-Catherine (genou) et Melvyn Govindy (cheville), de toutes façons très peu sollicités. Le controversé Dominique Sutton (cuisse), un nouvel arrivant, revient lui de l’infirmerie. On l’annonce sur le départ. L’individualisme (14 points mais 6/16 aux shoots) dont il a fait preuve à Antarès n’a probablement pas arrangé son cas. Seulement le SLUC, à la masse salariale encadrée, n’a pas beaucoup de marge de manœuvre. Au moins la cheville du néo-All-Star Dario Hunt (13 rebonds) va mieux.\\n\\n« Ça dure cinq, dix minutes, ça repart dans les travers très négatifs où il n’y a plus de contenu, plus rien, plus de lucidité, de cohésion »\\n\\nL’effet boule de neige\\n\\nAffronter le MSB à Antarès où il n’a concédé qu’une courte défaite (-2) face à Monaco en huit matches, Basketball Champions League incluse, c’est un peu comme de s’attaquer à l’Everest pieds nus et avec une corde à linge. Seule chance du SLUC, que les Manceaux entre deux batailles européennes soient victimes d’endormissement. Ça n’a pas été le cas. Ultime preuve de la disparité de moyens entre les deux clubs qui, il y a dix ans, s’étaient retrouvés en finale de la Pro A à Bercy, Will Yeguete, joueur du mois de novembre, n’est entré sur le parquet qu’à la dernière minute du premier quart. Il a réalisé au final un splendide double double (13 points et 13 rebonds) en 19 minutes !\\n\\nLe SLUC a fait illusion quelques minutes mais Le Mans a mis un coup d’accélérateur à la fin du premier quart juste pour montrer à tous qui était le patron du bouclard. Symptomatique, le dernier panier est venu sur un trois-points de Yeguete au buzzer (23-14) ! Benjamin Sene ne pouvait que constater les dégâts :\\n\\n« On savait à quoi s’attendre. Au début du premier quart-temps, on a respecté ce qui était demandé, on était dans le match. On a eu un trou beaucoup trop tôt, on ne défendait plus, ils ont marqué des paniers faciles, c’est comme ça qu’ils ont pris confiance. C’était compliqué de revenir dans ce match.... Il y en a un qui ne fait plus l’effort alors l’autre se dit peut-être je ne vais plus le faire non plus. C’est un effet boule de neige... »\\n\\n\\nEn fait, le SLUC s’est étouffé dès que le MSB a mis toute la puissance. Le SLUC manque par trop de –bonnes- rotations. Alors quand les consignes collectives se brisent sur les pulsions individuelles, c’est ter-mi-né. La suite du match ressembla à un long, long, garbage time. La punition fut juste un peu adoucie dans les trois dernières minutes avec les rentrées conjuguées de Gregory Bengaber et Jonathan Jeanne (85-70). Greg Beugnot fait le même constat qu’Alain Weisz :\\n\\n« C’est un peu agaçant ! Une victoire au Mans ça serait un bonus, on n’est pas dans la même catégorie aujourd’hui. Mais on doit se rassurer, mettre en application ce que l’on essaye de travailler pour que les joueurs puissent évoluer comme des poissons dans l’eau. Je ne sais pas pourquoi... Ca dure cinq, dix minutes, ça repart dans les travers très négatifs où il n’y a plus de contenu, plus rien, plus de lucidité, de cohésion. Il n’y a pas de constance sur quarante minutes, d’identité de jeu. »\\n\\n« Je leur ai dit, « messieurs, vous êtes ridicules sur un terrain ! »\\n\\nQui a une tête de condamné à mort ?\\n\\nLa soirée a été encore une fois porteuse de mauvaises nouvelles pour les Lorrains puisqu’en s’imposant à Limoges, Le Portel s’est sinon mis à l’abri, du moins a engrangé points et confiance supplémentaires. En fait la question est la suivante : qui a dans le lot des équipes qui possèdent au minimum deux victoires d’avance sur le SLUC, a une tête de condamné à mort ? Il n’y a pas Le Havre ni Rouen en Pro A cette saison. Greg Beugnot est obligé de révolutionner en quelques jours les états d’esprit pour que son équipe ne soit pas en état d’abdication dès la fin de l’année.\\n\\n« Cette équipe, on ne peut pas la changer », rappelait-il. « Avec la blessure d’Ere, c’est évident que dans le secteur intérieur c’est très difficile pour nous. On est obligé d’amener un style de jeu pour compenser ces faiblesses là et que l’équipe puisse jouer au moins avec ses forces. On a l’impression que ce n’est pas compris. Et moi je voulais utiliser ce match là pour travailler, qu’ils aient conscience qu’en jouant d’une certaine manière, on puisse espérer. Mais en faisant du grand n’importe quoi, en réinterprétant ce qu’on leur demande, on est ridicule. Je leur ai dit, « messieurs, vous êtes ridicules sur un terrain ! » Ils sont capables de remettre la main vingt-cinq fois sur la plaque brûlante et se rebrûler. C’est illogique. On ne peut pas gagner un match en jouant comme ça. Ce n’est pas en jouant comme on a fait pendant vingt minutes qu’on va se maintenir en Pro A. »\\n\\n« C’est un beau challenge pour Jonathan mais ce n’est pas sur lui que va se jouer le maintien ! »\\n\\nSix courtes apparitions en Pro A\\n\\nLa surprise du chef fut l’annonce du prêt de Jonathan Jeanne (voir interview de Christophe Le Bouille). De part ses mensurations (2,18m et de longs bras) et son agilité, le Guadeloupéen est programmé pour être un futur premier tour de draft. Seulement, il n’est absolument pas un produit fini. Il manque de muscle, d’expérience aussi. Il n’a fait que six apparitions en Pro A depuis septembre 2015. Il va subitement passer d’un statut d’apprenti dans une équipe de BCL à celui d’intérieur à qui on va confier des responsabilités dans une autre qui cherche à sauver sa peau.\\n\\n« Je veux vraiment remercier Le Mans vis à vis du geste qu’ils viennent de faire », a insisté Greg Beugnot. « Je sais que les sceptiques vont dire que c’est un gamin de dix-neuf ans qui vient dans une équipe pour jouer le maintien. Vous avez constaté que notre secteur intérieur est très limité. Aujourd’hui, on a un encadrement de la masse salariale et il faut trouver des Français. En ayant une formule de prêt avec Le Mans, ça nous aide énormément. Vous connaissez Jonathan, il a un potentiel. Aujourd’hui il va falloir travailler avec lui mais au moins j’aurais un complément qui va être différent des autres... Si déjà il peut nous aider aux rebonds, sur de la dissuasion dans la raquette, comme il a de bonnes mains il pourra éventuellement mettre des tirs extérieurs. Il est dominateur par la taille sur un petit mouvement en poste bas. C’est un beau challenge pour Jonathan mais ce n’est pas sur lui que va se jouer le maintien ! »\\n\\n« Connaissant Monsieur Beugnot il ne va pas lâcher l’affaire »\\n\\nNancy-Orléans : le match à la vie, à la mort\\n\\nIl y en a un qui maintien toute sa confiance au coach lorrain, c’est Mickaël Gelabale, qui résume la pensée générale :\\n\\n« Nancy c’est une bonne équipe que l’on connaît depuis pas mal d’années. Les voir comme ça c’est un peu décevant. J’espère qu’ils vont relever la tête. Ils ont un nouveau coach. Connaissant Monsieur Beugnot il ne va pas lâcher l’affaire. Monsieur car ça été un grand joueur, c’est un grand coach. Respect. »\\n\\nPour se sortir du bourbier, le SLUC va devoir sortir la baïonnette. Après avoir fait un déplacement à Hyères-Toulon, il recevra Orléans juste avant Noël. Autant dire que ce sera déjà un quitte ou double."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 11 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nLe SLUC s’enrichit à l’intérieur\\n\\n– Le SLUC Nancy a obtenu, ce samedi soir le prêt jusqu’à la fin de saison du Manceau Jonathan Jeanne (19 ans, 2,17m). Un renfort à l’intérieur non... Lire la suite.\\n\\n\\nUne claque, une arrivée\\n\\n– Après un départ encourageant, le SLUC s’est délité et a subi la loi d’une équipe mancelle qui n’a pas eu à forcer son talent pour contrôler les... Lire la suite.\\n\\n\\nPas si facile\\n\\n– La SIG, pas très inspirée mais portée par un AJ Slaughter efficace, a remporté son cinquième succès de rang en championnat, hier contre le promu... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nMarshall devrait rester\\n\\n– En conférence de presse d’après match, Jean-Denys Choulet a déclaré : « « Je pense qu’on va conserver Zeke Marshall dans l’effectif (ndlr : joueur à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Elan fracasse le champion avec un Roberson de gala\\n\\n– Impérial en défense comme en attaque, Chalon a livré un match énorme face à Villeurbanne (98-68), champion en titre. Une prestation très proche de la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond se fait plaisir\\n\\n– Saint-Chamond a mis la manière pour s’offrir une victoire aisée face à l’équipe espoirs de Lattes Montpellier. Appliquées dans leur jeu défensif et... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCaluire n’a vraiment pas démérité\\n\\n– Les filles de Lucie Degorre avaient fort à faire hier soir face au dauphin du leader monégasque, Martigues, et ont fini par s’incliner (72-65). Après... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBeaujolais Basket écrase Feurs\\n\\n– Vainqueur sans partage face à une équipe de Feurs bien palote, Beaujolais Basket tient son match référence. Le début de match était pourtant serré... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’AS Villeurbanne s’est arraché\\n\\n– En recevant Sainte-Savine, neuvième, les basketteuses de l’ASV, troisièmes, savaient qu’une victoire à domicile était impérative pour demeurer en haut... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg n’a pas inquiété le Lyon So\\n\\n– Sans avoir été génial, Lyon So Basket a néanmoins terminé l’année sur une neuvième victoire et conserve la tête de sa poule... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLyon So assure le minimum\\n\\n– Sans avoir été géniaux, les Lyonnais ont néanmoins terminé l’année sur une neuvième victoire et conservent la tête de leur poule... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBeaujolais Basket se régale !\\n\\n– Vainqueur sans partage face à une équipe de Feurs bien palote (84-55), Beaujolais Basket tient son match référence. Entre deux équipes au même bilan... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Bien sûr que j’ai douté ! »\\n\\n– Charles Kahudi De retour après près de six mois d’absence... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPoligny s’incline la tête haute\\n\\n– Si le classement oppose ces deux formations, hier soir Poligny a prouvé que la loi du terrain pouvait parfois tout modifier... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nAndré Hollins, clair-obscur\\n\\n– Pour sa première expérience en France, le combo guard André Hollins est devenu une des pièces maîtresses du jeu local. Pour s’en convaincre il faut... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Elles nous ont usées physiquement »\\n\\n– « Quand nous avions encore de l’énergie, nous avons réussi à les accrocher. Mais, elles nous ont usées physiquement et nous avons craqué sous leur... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTellement cruel !\\n\\n– Après avoir remonté 18 points, Saint-Chamond s’est lancé dans une course-poursuite effrénée. Et aurait pu réaliser le hold-up parfait sans une balle... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe BCMF sans pitié pour leurs voisines\\n\\n– Le derby a tourné nettement à l’avantage des Montbrisonnaises, au cours d’un deuxième quart-temps catastrophique du RBF... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne hirondelle ne fait pas le printemps\\n\\n– Emmené par un Roberson stratosphérique, Chalon a humilié le champion. Qui a retrouvé Kahudi mais a sombré, après un premier quart-temps prometteur... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa Chorale braquée à domicile\\n\\n– Roanne n’est plus invaincu à domicile. À l’issue d’un match de haut niveau, Boulazac a su signer l’exploit... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDeuxième victoire d’affilée pour Le Puy\\n\\n– Palais des Sports du Puy-en-Velay. Spectateurs : 500 environ. Arbitres : MM. Verdier Garrigues S. et Laffaire G. La marque : 24-14, 43-34, 74-45... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn passage à vide de cinq minutes...\\n\\n– Encore dans le match au milieu du troisième quart-temps, les Lionnes ont encaissé alors un terrible 2 à 22 qui a précipité leur défaite... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDijon craque encore à la fin\\n\\n– Alors qu’il avait réussi à égaliser, le DFCO s’est une nouvelle fois incliné dans les dernières minutes, hier face à l’OM. Une mauvaise habitude qui... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nChalon talonne Monaco, Strasbourg remonte\\n\\n– Chalon-sur-Saône, 2e de Pro A, a enchaîné sa septième victoire en huit matches en ne faisant qu’une bouchée de l’ASVEL (98-68), champion en titre, ce... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPro A: Chalon sur son élan\\n\\n– Chalon-sur-Saône, 2e de Pro A, a enchainé sa septième victoire en huit matches en ne faisant qu’une bouchée de l’ASVEL (98-68), champion en titre, samedi, lors de la 12e journée du championnat de France... Lire la suite.\\n\\n\\n« C’est le jour et la nuit avec la semaine dernière ! »\\n\\n– L’entraîneur vinolien Guillaume Dubois pouvait être satisfait hier soir après la large victoire de ses joueurs face à l’ASPTT Caen (+21). Mais il n’a pas manqué de faire remarquer qu’il ne comprenait pas une telle différence d’attitude une semaine sur l’autre. « C’est le jour et la nuit avec la semaine dernière, lâchait-il. Mais ce... Lire la suite.\\n\\n\\n« Aujourd’hui, on n’a pas le niveau de la Pro B »\\n\\n– L’entraîneur blésois Mickaël Hay n’a pas mâché ses mots à l’issue de la rencontre. S’il a apprécié la réaction après la pâle copie rendue à Boulogne, il a déploré le manque d’implication de certains de ses joueurs et le manque de réussite au shoot qui a pénalisé son équipe. « On a commencé le match en étant trop stressés. On ne va... Lire la suite.\\n\\n\\nSous l’oeil de Bouna N’Diaye et Patrick Beesley\\n\\n– Agent de Nicolas Batum, Evan Fournier mais aussi du Poitevin Sekou Doumbouya, Bouna N’Diaye a assisté hier au match entre Poitiers et Saint-Quentin. Patrick Beesley, le directeur technique national, était aussi présent. Des recruteurs NBA dans la salleDes représentants des équipes NBA de Washington, Minnesota et Philadelphie étaient pré... Lire la suite.\\n\\n\\nLe CAN 79 battu sur le fil\\n\\n– n3 masculine Panazol-Feytiat\u2009: 92 CA Niort\u2009: 90 (ap) Le début de match est accroché. (7-5, 3e ; 15-14, 7e ; 19-19, 10e). Les Niortais ont un jeu axé principalement à l’intérieur avec en point de fixation Retkus et Gauthier qui provoquent de nombreuses fautes locales. Et Niort fait le le break (34-43, 17e). Panazol va revenir d... Lire la suite.\\n\\n\\nL’avenir s’assombrit pour l’UTBM\\n\\n– Brissac\u2009: 77 UTBM\u2009: 66 Une première mi-temps catastrophique, un réveil trop tardif. Au bout c’est la quatrième défaite consécutive des Tourangeaux. Les joueurs de Tavano avaient bien du mal à fluidifier leur jeu dans un premier quart-temps qui voyait la défense agressive des joueurs de l’Aubance à son avantage. Les joueurs du Bab se montraient... Lire la suite.\\n\\n\\nJomby : » Une énorme frustration «\\n\\n– Sébastien Bozon (entraîneur d’Aix-Maurienne)\u2009: « Je suis satisfait mais je ne réalise pas trop. Il y avait un enjeu réel dans cette rencontre, sans vouloir parler d’un tournant dans ce championnat. C’est un petit exploit malgré tout car je m’attendais à une partie difficile. A mon sens, c’est l’équipe la moins tendue qui l’a emporté. Je r... Lire la suite.\\n\\n\\nPoint de salut pour la Berrichonne\\n\\n– Angers Saint-Léonard\u2009: 62 Berrichonne\u2009: 59 Au bout d’un festival d’erreurs, l’Etoile d’Or a remporté la victoire à la dernière seconde. Dans ce duel entre mal classés, l’objectif de chacun est presque identique\u2009: décrocher une première victoire pour la Berrichonne et une deuxième pour Angers. Dans ce genre de confrontation ou l’ascendant psycho... Lire la suite.\\n\\n\\nThouars bascule du bon côté\\n\\n– Thouars – Brive\u2009: 63-56 Branchées sur courant alternatif, les Thouarsaises ont su faire pencher la balance de leur côté pour se rapprocher du haut de tableau... Lire la suite.\\n\\n\\nDu grand Vineuil\\n\\n– Vineuil – ASPTT Caen\u2009: 83-62 Les Vinoliens ont littéralement marché sur les Normands, pourtant deuxièmes de la poule, ce samedi à domicile... Lire la suite.\\n\\n\\nAu bout du suspense\\n\\n– Le Poinçonnet – Saint-Delphin\u2009: 73-71 (ap) Il a fallu la prolongation pour que les Poinçonnoises viennent à bout d’une très belle équipe girondine... Lire la suite.\\n\\n\\nAttention danger !\\n\\n– Blois – Aix-Maurienne\u2009: 58-61 Au terme d’un match terne, les Blésois ont concédé leur septième revers de la saison, face à un adversaire direct... Lire la suite.\\n\\n\\nChalon solide deuxième\\n\\n– Chalon-sur-Saône consolide sa deuxième place sur le podium après son succès contre l’Asvel. Le leader Monaco reprend des couleurs en étrillant Dijon... Lire la suite.\\n\\n\\nUn Poitiers fatal aux Picards\\n\\n– Poitiers – Saint-Quentin\u2009: 79-65 Efficaces et séduisants, les Poitevins ont fait voler en éclats l’une des équipes les plus solides de la division... Lire la suite.\\n\\n\\nLa SIG surfe sur la vague\\n\\n– Branché sur courant alternatif en attaque, Strasbourg a fait le métier en défense pour prendre le meilleur sur Hyères-Toulon Var (76-62), hier soir au... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pourquoi le Manceau Jonathan Jeanne (2,18m), grand espoir du basket français, est prêté à Nancy"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Jonathan Jeanne (2,18m, 19 ans), qui en est à la première des trois années de contrat pro avec Le Mans, n’a joué jusqu’ici qu’un total de douze minutes en Pro A. Mais comme il s’agit de l’un des principaux prospects français pour la NBA, l’annonce de son prêt à Nancy que ce même MSB a essoré samedi soir (85-70), est une petite bombe. Le président manceau Christophe Le Bouille qui, selon ses propres termes, s’est invité à la conférence de presse d’après-match, s’explique sur le choix du club.\\n\\nPourquoi ce prêt ?\\n\\nC’était dans les tuyaux depuis un moment. Il fallait trouver le bon endroit, la bonne situation pour lui, attendre qu’on n’ait plus de blessés dans le secteur intérieur. Jonathan va partir avec l’équipe de Nancy demain (dimanche). Il était indispensable de le prêter puisqu’il n’aura pas de minutes chez nous cette année avec les quatre intérieurs dont on dispose (NDLR : Mouph Yarou, Wilfried Yeguete, Petr Cornelie et Ryan Pearson). Il fallait se rendre à l’évidence. On a cherché la meilleure situation et il s’avère que c’est Nancy. Il aura du temps de jeu. Il va aller dans un club qui est en difficulté pour l’instant mais je crois que Greg Beugnot compte vraiment sur lui. Il est prêté jusqu’à la fin de saison à compter de lundi sous réserve que la ligue valide tout.\\n\\nY avait-il règlementairement une deadline ?\\n\\nLa fin des matches allers. Je sais que ça va surprendre des gens que l’on puisse changer de club en cours d’année mais il faut se rendre à l’évidence : on a un jeune qui a un vrai potentiel et qui a fait de très bonnes choses en préparation, il se trouve que l’on a un effectif assez riche à l’intérieur cette année. Ça serait stupide pour tout le monde de se cantonner à l’entraînement, d’attendre une blessure. Le règlement permet ce genre de chose comme pour des soit disant « pigistes ». Il faut une deadline, fin des matches allers, c’est correct. Et ça devrait permettre à Jonathan de s’exprimer.\\n\\n« Il a besoin d’un suivi avec un préparateur physique, un kiné, un staff qui s’occupe de lui au quotidien »\\n\\nY avait t-il d’autres pistes ?\\n\\nDe la Pro B. Pour différentes raisons et en accord avec son représentant (NDLR : Bouna Ndiaye de Comsport) on a opté pour Nancy car il faut à la fois qu’il ait une place dans l’effectif -on a vu Nancy ce soir, ils ont trois intérieurs, il y a de la place à prendre-, et il faut un club structuré car il faut s’occuper de Jonathan tous les jours et pas seulement les jours de match. Il y avait quelques craintes avec les quelques clubs de Pro B qui étaient intéressés car souvent les structures sont légères et ça n’aurait pas été une bonne idée. Tous les clubs de Pro B ne sont pas comme ça ! Mais ceux qui étaient intéressés par Jonathan... On l’aurait envoyé sans trop savoir ce qui allait se passer la semaine. Il a besoin d’un suivi avec un préparateur physique, un kiné, un staff qui s’occupe de lui au quotidien et pas seulement pour jouer dix minutes par match.\\n\\nVous aviez pensé à un prêt dès cet été ?\\n\\nNon car on voulait voir comment ça allait se passer. On a aussi quelques ambitions, il faut se prémunir, il faut assurer une qualité d’entraînement. On a eu plusieurs pépins au niveau des joueurs intérieurs depuis le début de saison. Mouph (Yoarou), Peter (Cornelie) aussi. Il n’était pas question de le prêter à ce moment-là. Si c’était pour aller chercher ensuite quelqu’un à l’extérieur ça n’avait pas de sens. Bien sûr, on n’est pas sûr qu’il n’y ait pas un blessé demain mais à un moment donné, il faut prendre des décisions. Là aujourd’hui, on a un effectif au complet... Forcément on prend un petit risque, s’il y a un blessé demain, on va être embêté, mais c’est aussi de l’intérêt à moyen terme. Il faut savoir ce que l’on veut...\\n\\nVous avez encore la possibilité de prendre un Américain ?\\n\\nDes non-JFL, oui. On a beaucoup de JFL dans l’effectif donc on est assez serein par rapport à ça.\\n\\nAura t-il le droit de jouer le match retour ?\\n\\nJe n’ai pas fait mon footballeur, on n’a pas mis une clause de ce type dans nos accords. Il jouera certainement contre nous au match retour."
}, 
{"role": "user",     "content":"Six mois plus tard, Charles Kahudi de retour avec l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Jouera ? Ou plus probablement jouera pas ? En tous les cas, Charles Kahudi sera sur le banc villeurbannais ce soir (à 18h30 en direct sur SFR Sports 2) à Chalon. Il l’a confirmé sur les réseaux sociaux. Après avoir disputé les JO de Rio, Kahudi a été opéré de la cheville le 5 septembre. Sa convalescence a été bien plus longue que prévue et son retour plusieurs fois repoussé.\\n\\nCharles Kahudi a disputé son dernier match avec l’ASVEL il y a six mois, le 14 juin contre Strasbourg, réalisant ce soir-là un double double (11 points et 10 rebonds) très important dans la conquête d’un 18e titre national pour les Verts.\\n\\nhttps://www.instagram.com/p/BN1qBO2hKyM/"
}, 
{"role": "user",     "content":"Olympiakos : deux mois d’absence pour Daniel Hackett"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Touché à la jambe vendredi soir dans les derniers instants du match comptant pour la 11e journée d’Euroleague face à l’Unics Kazan, Daniel Hackett devrait manquer environ deux mois de compétition, comme le rapporte Eurohoops.\\n\\nLes derniers examens passés par l’arrière de l’Olympiakos ont révélé la présence d’une grosse lésion au niveau de la cuisse gauche. Sans doute une déchirure.\\n\\nCette saison en C1, l’ancien joueur de Milan compilait en moyenne 5 points, 1,5 rebond et 1,6 passe décisive pour une évaluation de 5,5 par match."
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ancien villeurbannais Casper Ware arrose et cartonne en Australie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Décisif dans le titre 2016 de l’ASVEL, le meneur américain Casper Ware (1,78m, 26 ans) joue cette saison dans le championnat australien, la National Basketball League, dans le même club, Melbourne United, que son ancien équipier asvélien, David Andersen.\\n\\nMelbourne a été vaincu par les Perth Wilcads (89-92) mais ça n’a pas empêché Casper Ware de réaliser un superbe carton sans lésiner sur les munitions. Qu’on en juge : 38 points avec 13/27 aux shoots dont un énorme 8/19 à trois-points et 4/4 aux lancers. Plus tout de même cinq passes décisives.\\n\\nQuant à David Andersen, il n’a passé que deux minutes et vingt-trois secondes sur le terrain avant d’être victime d’un choc au genou.\\n\\nCasper Ware est le numéro 1 des marqueurs de la NBL avec 26,0 pts par match. Et aussi le 7e passeur avec 4,0 pds."
}, 
{"role": "user",     "content":"Basket Landes : un club de village devenu une place forte du basket français"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Marie-Laure Lafargue est la Directrice administrative et financière de Basket Landes depuis 2011 et fait fonction de manager général. Après nous avoir décrit les tractations qui ont été menées pour faire venir l’icône Céline Dumerc, elle nous fait faire le tour de ce club rural devenu grand, qui a déménagé l’année dernière de Saint-Sever (5 000 habitants) à Mont-de-Marsan.\\n\\nVotre club était depuis des années à Saint-Sever. Ce fut un déchirement de partir. Depuis que vous êtes définitivement installé à Mont-de-Marsan, peut-on encore dire que vous êtes un club rural ?\\n\\nCe fut un déchirement car ça s’inscrivait dans l’échec d’un projet de salle qui était bien ancré, c’était notre histoire, Eyre Moncube, etc. Il y a eu tout un imbroglio politique autour de cette affaire. Mais on avait l’habitude de venir à Mont-de-Marsan car on y jouait la Coupe d’Europe depuis 2011, ce n’est pas très grand (31 000 habitants), c’est le même territoire, on est à quinze kilomètres. Il n’y a pas de déracinement, c’est la même culture, le basket landais.\\n\\nLe profil des spectateurs a t-il changé ?\\n\\nA Saint-Sever ce n’était pas une salle de haut niveau... Il a fallu se réapproprier des repères mais les gens et les bénévoles ont suivi. Il n’y a pas eu d’érosion sur nos abonnés. Ça nous a simplement permis de fidéliser plus largement puisqu’il y a plus de places à offrir. Ça nous a ouvert sur un public peut-être moins basket mais plus sportif. Ici le sport est un phénomène culturel, on a quelques figures de proue très représentatives avec la vieille histoire entre les clubs de rugby de Mont-de-Marsan et Dax avec les frères Boniface. On a profité de notre histoire cumulée à une vraie culture sportive pour élargir un peu notre assise.\\n\\n« Une année Montpellier a déclaré 9 000 euros de recettes de billeterie alors que Basket Landes l’année dernière c’est 340 000 euros, ce qui fait de nous les deuxièmes dans ce secteur derrière Bourges, et ce depuis plusieurs années. »\\n\\nÇa correspond donc à une montée en puissance sportive. Vous faites l’Eurocup depuis 2011.\\n\\nOn savait que l’accès à un équipement plus grand était une question de survie. On peut faire des miracles mais à un moment il faut une belle salle avec une capacité suffisante. On est dans un modèle économique où, comme pour les autres, les subventions n’augmentent plus. Je crois que l’on est le club le moins subventionné de la Ligue Féminine. Nos leviers de développement ce sont la billeterie et le partenariat privé.\\n\\nL’agglomération de Mont-de-Marsan verse 220 000 euros au Stade Montois et 50 000 à Basket Landes. C’est significatif de la disparité du rugby vis à vis du basket féminin ?\\n\\nNon car on est sur deux échelles différentes. On est installé sur Mont-de-Marsan donc l’agglo reconnaît l’effet de vitrine pour ce territoire là mais on est avant tout un club départemental. Le Conseil Général des Landes, qui est à l’origine de notre projet et qui voulait utiliser un sport de haut niveau comme vitrine de la dynamique du département, nous verse 330 000 euros quand il en verse, je crois, 100 000 au club de rugby. Pour donner un ordre d’idée, la moitié de nos abonnés sont sur l’arrondissement de Mont-de-Marsan et l’autre sur le reste du département. Ça va de Mimizan et Biscarosse qui sont à la limite de la Gironde, jusqu’au sud du département à la limite du Pays Basque. Nos subventions sont donc de 490 000 euros et c’est le même socle de base depuis que l’on est monté en Ligue Féminine. Cette valeur là ne varie plus même depuis que l’on participe à une coupe d’Europe.\\n\\nC’est là que se situent les limites d’un engagement en Euroleague ?\\n\\nC’est un problème plus général sur le sport : je ne suis pas sûre que l’avenir des clubs se situe dans l’espoir de subventions supplémentaires. Je dis ça mais je serai ravie d’avoir comme mes collègues de Villeneuve d’Ascq ou de Montpellier des subventions à sept chiffres plutôt qu’à six. Mais on a une billeterie bien supérieure à celle de Montpellier. Une année ils ont déclaré 9 000 euros de recettes de billeterie alors que Basket Landes l’année dernière c’est 340 000 euros, ce qui fait de nous les deuxièmes dans ce secteur derrière Bourges, et ce depuis plusieurs années. On est ambitieux et patient et on continue de travailler ces aspects là. Il faut rappeler que le département des Landes c’est moins de 400 000 habitants, rien à voir avec les agglomérations de Lille et Montpellier (NDLR : le Cher dont Bourges est le chef-lieu compte 310 000 habitants). Je nous compare plus avec Bourges et Charleville-Mézières qui ne sont pas des clubs qui se portent mal ! Charleville est en train de développer sa dynamique sur le même modèle que nous plutôt que sur les subventions. Ils ont une belle salle, ils développent une grosse affluence, ils ont des projets marketing dynamiques.\\n\\n« Alain Béral a été chronologiquement le premier actionnaire à se manifester et il est membre du Conseil d’Administration de la SASP »\\n\\nL’autre caractéristique de Basket Landes c’est d’être une affaire de famille puisque vous êtes une Lafargue comme le président historique, Dominique, et le coach, Olivier. Et puis aussi Didier Massy, le président de la SASP, est le beau-frère de Pierre Dartiguelongue qui est le vice-président ?\\n\\nOn ne peut pas s’empêcher de faire du family business ! (sourire) Avec le président historique, oui, par nos arrières-grands parents respectifs et pour ce qui est d’Olivier nos grands-pères étaient frères. On est cousins et on a le même âge, on a grandi côte à côte. Les Lafargue ne sont pas une denrée rare dans le coin. Didier Massy est l’ex-beau-frère de Pierre et c’est par la connexion familiale que l’appartenance au club s’est faite. Didier était davantage d’obédience rugby mais il a appris par les amitiés de son beau-frère à aimer le basket et à s’y investir. Il était le trésorier de l’association précédente et il est devenu le président de la SASP qui a été créée en début de saison pour gérer l’équipe pro et le centre de formation.\\n\\nLe président de la Ligue Nationale de Basket, Alain Béral, fait partie des actionnaires du club. Il avait été candidat à la présidence ?\\n\\nAbsolument. Alain Béral possède un ancrage local puisque sa maison est à Meilhan, à quinze kilomètres de Mont-de-Marsan, sa femme est Landaise, il est implanté dans le département depuis très longtemps, et Olivier Lafargue a été le coach de l’un de leurs fils il y a quelques années. Alain a été chronologiquement le premier actionnaire à se manifester et il est membre du Conseil d’Administration de la SASP. Il est parmi nous suivant ce que ses multiples casquettes lui permettent d’assurer comme temps de présence.\\n\\nIl vient souvent aux matches ?\\n\\nQuand il est en week-end en famille, je dirai une fois par mois. Quand il avait fait acte de candidature c’était dans un projet collégial compte tenu de sa vie professionnelle (NDLR : Alain Béral est vice-président de KFC) et de ses différents mandats. S’est d’ailleurs ajouté depuis celui à la FIBA. C’est une forme d’adaptation à la réalité des emplois des uns et des autres qui a fait que c’est plutôt Didier qui a pris la présidence plutôt que Pierre ou Alain. Pierre n’a pas pu être président pour des raisons professionnelles et des incompatibilités de statut. Il ne pouvait pas être à la fois président d’une société commerciale et employé dans une banque. Les choses ont été naturelles dès lors que l’on était d’accord sur le projet. Pierre est aujourd’hui président délégué.\\n\\n« On a une espèce de chat noir qui doit nous tourner autour depuis deux mois »\\n\\nCinq victoires de suite pour commencer le championnat, dont l’une à Montpellier, une victoire sur Nice en Eurocup, c’était trop beau pour être vrai ?\\n\\nJe ne pense pas. Il y a eu un vrai travail dans la construction de l’équipe afin de ne pas se focaliser sur le seul talent de Céline. Elle était plutôt dans une dimension de transmission. On avait une ligne arrière assez séduisante avec Queralt Casas, une joueuse en quête de revanche avec Kalis Loyd. Un jeu intérieur avec un pari sur notre Américaine mais des certitudes avec Miranda Ayim et l’envie de donner sa chance à une jeune Française, Marie-Michelle Milapie. On savait que notre groupe de Coupe d’Europe était difficile avec Nice que l’on connaît et Venise qui a été quart de finaliste l’année dernière. Et donc on a eu une dizaine de jours complètement apocalyptique sur le plan des blessures (NDLR : Alexia Plagnard, problème à la hanche, Touti Gandega, ligaments croisés du genou, Kalis Loyd, rupture du tendon d’Achille, et Queralt Casas, fracture de la clavicule). On s’est retrouvé avec six joueuses pros opérationnelles et sans ligne arrière vraiment organisée. Effectivement Alexia a été tenue éloignée deux mois des terrains et on avait recruté la gentille Touti pour faire le joker et elle s’est rompue de nouveau les ligaments croisés du genou au bout d’une semaine. On a une espèce de chat noir qui doit nous tourner autour depuis deux mois. Il y a dix jours, Miranda Ayim s’est pris une grosse alerte au genou si bien qu’on est allé jouer à Villeneuve d’Ascq avec une équipe un peu fantomatique (NDLR : défaite 51-84). On a remplacé Kalis Loyd par une internationale serbe, Nevena Jovanovic, qui est une très bonne joueuse mais on fait un peu le dos rond car les deux matches par semaine ont compliqué la tâche des six joueuses valides.\\n\\nA propos du recrutement de Nevena Jovanovic, y a t’il beaucoup de disponibilités sur le marché à ce moment là de l’année ?\\n\\nC’était le pire moment pour que ça arrive. Déjà comme notre quota d’étrangères était atteint, on ne pouvait remplacer Alexia que par une joueuse française, ce qui était rare le 15 septembre sur le marché. Tant mieux car ça veut dire que les joueuses françaises n’ont pas de problèmes de chômage. Quand il a fallu remplacer Kalis et Queralt en plein boom de la phase européenne, c’était vraiment le plus mauvais moment. On sait qu’en décembre le marché peut se ranimer, que certains clubs russes, turcs, d’autres, coupent leurs joueuses quand ils ne peuvent plus se qualifier dans telle ou telle compétition. On a mis trois semaines à trouver notre bonheur. Il a fallu tomber sur le profil de Nevena qui était dans un roster de malade en Turquie et qui avait un peu des fourmis dans les pattes. C’est comme ça qu’on a trouvé chaussure à notre pied. Heureusement la trêve internationale nous a donné un peu de répit pour construire ça. L’arrivée de Nevena a eu son effet très concret puisque sur son premier match contre Nice, elle arrache la prolongation avec un shoot stratosphérique. Ça a fait un bien fou dans les têtes et même si on a encore perdu à Nice (NDLR : en Eurocup) et à Villeneuve, on a retrouvé une vraie énergie.\\n\\nVous manquez la qualification au deuxième tour de la Coupe d’Europe...\\n\\nMercredi soir on a renoncé à tout espoir de qualification puisqu’on n’a gagné que de trois points après prolongation, ce qui ne nous permet pas de rééquilibrer le goal average du match aller qui nous avait battu de onze points à l’aller. Même si on en est victime, c’est plus lisible de n’avoir que les deux premiers qui se qualifient car la définition du meilleur troisième à partir du ranking était toujours sujet à beaucoup d’incompréhension."
}, 
{"role": "user",     "content":"Eurobasket 2017 : les Bleues visent le Top 5"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de France hérite donc de la Serbie, championne d’Europe en titre, de la Grèce et de la Slovénie comme adversaires au premier tour de l’EuroBasket féminin 2017 qui se tiendra du 16 au 25 juin à Prague et Hradec Kralove en République Tchèque.\\n\\n« En ayant terminé avec la médaille d’argent autour du cou lors des deux dernières éditions en 2015 et en 2013, et après une belle campagne olympique en 2016 qui s’est terminée par une 4e place à Rio, nous souhaitons à nouveau en 2017 être sur le podium européen, et le plus haut possible », a commenté le Directeur Technique National, Patrick Beesley. « Cette compétition marque aussi le début d’une nouvelle olympiade qui doit nous conduire jusqu’à Tokyo en 2020. Il faudra terminer au minimum à l’une des cinq premières places de cet Euro afin de nous qualifier pour le Mondial 2018 qui se déroulera en Espagne ».\\n\\nQuant à la coach Valérie Garnier, elle rappelle :\\n\\n« Quand on connaît l’importance de terminer à la première place de la poule dans cette nouvelle formule, il faudra être prêt dès le début de la compétition contre la Slovénie. Ensuite, nous retrouverons la Serbie pour une rencontre qui s’annonce de très haut-niveau. Au-delà de l’esprit de revanche, nous aurons à l’esprit de gagner en ayant tiré les leçons de deux derniers matches où elles nous ont privées de l’or européen en 2015 et d’un podium olympique en 2016. Enfin, on jouera la Grèce contre qui on avait eu des difficultés à l’Euro 2015. C’est une équipe qui joue une basket engagé et qui ne lâche jamais rien ».\\n\\nLe calendrier des Bleues\\n\\nPrague (Kralovka Arena : 2500 places)\\n\\nVendredi 16 juin 2017 : Slovénie – France\\n\\nSamedi 17 juin 2017 : France – Serbie\\n\\nLundi 19 juin 2017 : France – Grèce\\n\\nPhase finale – 20 au 25 juin 2017\\n\\nPrague (O2 Arena : 17 500 places)\\n\\nMatch de barrage qualificatif pour les quarts de finale : 20 juin 2017\\n\\nQuarts de finale : 22 juin 2017\\n\\nDemi-finales : 24 juin 2017\\n\\nFinale : 25 juin 2017"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Lille renverse Evreux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quel renversement de situation hier soir à Lille ! L’ALM a mené jusqu’à quatorze points (20-34, 18e) sous l’impulsion d’un Caleb Walker efficace en attaque (20 points).\\nL’avance a un peu fondu à la mi-temps (36-27) et c’est alors que Neno Ascéric a su trouver les bons mots et les bons remèdes :\\n\\n« Je n’étais pas content à la mi-temps, mais ce n’était pas le moment de critiquer les joueurs. On était tendu, sans aucun rythme et pas relâché dans la tête », a t-il commenté à Paris Normandie. « Il fallait trouver quelques joueurs avec lesquels agir. Ce match-là, je savais qu’on devait le gagner en défense. Dans le troisième quart-temps, j’ai essayé de trouver cinq ou six joueurs capables de défendre, de jouer sur jeu rapide, avec de la lucidité en attaque. On n’est pas très bien en ce moment, mais il faut savoir être capable d’aller chercher une victoire quand ça va mal. »\\n\\nAu bout du compte, les Normands se sont effondrés en encaissant un 11-0 à la reprise et à deux minutes de la fin du troisième quart-temps les Lillois prenaient l’avantage. L’ALM ne répondait plus en prenait une sacrée veste, 58-77. Avec une adresse à 34,9% et seulement 22 points dans les 20 dernières minutes, il est difficile d’être compétitif. La triplette Henry-Dibo-Mekdad termine à 5/29. En face Jean-Victor Traoré (19 pts et 7 rbds) et Thomas Ceci Diop (12 pts et 10 rbds) obtiennent chacun la meilleure évaluation du match, 19.\\n\\n« Qu’on arrête de nous parler playoffs et qu’on se regarde un peu dans une glace. Il y a de vraies questions à se poser, personnelles et collectives, avant de pouvoir prétendre à autre chose, » tonnait le coach Laurent Sciarra.\\n\\nDe fait, si rien n’est encore dramatique, le clignotant orange est allumé dans l’Eure."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 10 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nUne formation très sportive\\n\\n– Mardi dernier, Claude Bergeaud, ancien entraîneur de l’équipe de France de basket-ball et de Pau-Orthez, était présent au complexe sportif... Lire la suite.\\n\\n\\nNe pas mollir\\n\\n– Revenue dans le haut du panier, à la faveur de quatre succès de rang en championnat, la SIG veut enchaîner, ce soir au Rhenus Sport, contre le promu... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes cadets veulent finir sur une bonne note\\n\\n– Les cadets de la JL Bourg reçoivent Orléans pour clore la première phase. Déjà assurés de la qualification, les Burgiens peuvent prendre la première... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe Puy : un match de la plus haute importance\\n\\n– Ce soir, l’ASMB Le Puy reçoit le Clermont BB, à 20 heures au Palais des sports du Puy-en-Velay, dans le cadre de la 11e journée de championnat... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBCM : faire preuve de caractère à l’extérieur\\n\\n– Auteurs d’une saine et brillante réaction face à Mulhouse, les Bécémistes vont poursuivre leur parenthèse alsacienne ce week-end à Pfastatt... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nOlivier Hirsch : « Evacuer la frustration »\\n\\n– Le RBF est en déplacement à Montbrison pour un match capital... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nAl Lons, un gros défi pour la passe de dix\\n\\n– Ce soir les Lédoniens devront garder leur sang-froid face à Tarare qui tentera tout pour s’imposer... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Burgiens doivent se lâcher\\n\\n– Plombés par un manque de rendement offensif récurrent les espoirs de la JL Bourg n’auront rien à perdre à Oullins... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nMission impossible pour Poligny ?\\n\\n– Même diminué, Poligny veut croire en ses chances de faire chuter ce soir Holtzheim ,le leader invaincu dans sa salle du Champ d’Orain... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPour passer l’hiver au chaud\\n\\n– C’est un peu ce qu’espèrent les deux équipes même si Andrézieux va affronter une formation en retard sur ses prévisions et en quête de points... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nKahudi : et la lumière fut !\\n\\n– L’international sera avec l’Asvel à Chalon plus de six mois après avoir disputé son dernier match sous le maillot villeurbannais... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRebondir et grandir encore\\n\\n– La série positive stoppée par Saint-Chamond, la Chorale doit repartir de l’avant à domicile face à Boulazac, en regain de résultat. La bataille... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg fait le job à Denain\\n\\n– Au terme d’une rencontre bien négociée, la JL repart du Nord avec le sourire de la victoire et du travail accompli, après deux défaites consécutives... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSCB : le mois de tous les derbys\\n\\n– Après avoir reçu Roanne, Saint-Chamond se rend à Vichy ce soir, avant Bourg et Aix-Maurienne. Dans l’optique du maintien, décembre sera un mois... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nMonaco étouffe Dijon\\n\\n– Monaco, battu la semaine dernière à domicile, s’est ressaisi. Dijon en a fait les frais au Palais des Sports (58-84). Les Monégasques ont affiché une... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDu lourd pour les Bleues\\n\\n– Ça promet... L’équipe de France, vice-championne d’Europe, a écopé d’un tirage au sort compliqué pour les championnats d’Europe 2017, organisés en... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBasket Pro B – La JL Bourg réagit bien à Denain\\n\\n– Supporters, staff et joueurs bressans voulaient réagir après la défaite subie par la Jl devant Rouen il y a une semaine. C’est chose faite. En s’appuyant sur une défense conquérante ... Lire la suite.\\n\\n\\nLa rage au ventre pour défier le champion en titre\\n\\n– L’Elan n’a pas encore digéré la défaite amère subie à Gravelines. Et veut repartir de l’avant même si l’ASVEL reste un adversaire de taille... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPro A: Monaco rebondit et enfonce Dijon\\n\\n– Le leader monégasque, battu la semaine dernière à domicile, s’est ressaisi en s’imposant sur le parquet de Dijon (84-58), vendredi, pour le compte de la 12e journée de Pro A... Lire la suite.\\n\\n\\nLa réserve en lever de rideau\\n\\n– Battue à Saint-Médard, la réserve du PB veut se relancer contre Hagetmau. « Finir l’année par un succès validerait notre bon début de saison. Mais Hagetmau est une équipe... Lire la suite.\\n\\n\\nBien finir l’année\\n\\n– n3 masculine Lisieux (12e) UTBM 2 (4e) La réserve de l’UTBM rend visite au dernier du championnat pour terminer une année 2016 particulièrement réussie. Un adversaire largement à... Lire la suite.\\n\\n\\nChauray s’accroche\\n\\n– région Chauray conserve sa place de leader à égalité avec Pouzioux et le Stade Poitevin (6 victoires – 1 défaite) après son difficile succès face à la réserve du Réveil Bressuirais (77-71)... Lire la suite.\\n\\n\\nLa Berri doit » donner plus encore «\\n\\n– Angers Berrichonne Il met un petit peu la pression, c’est normal. Didier Fleuret, président de la Berrichonne basket, a compris l’ultimatum lancé par son coach, Régis Racine, cette... Lire la suite.\\n\\n\\nLes Vinoliens sont dans une passe difficile\\n\\n– Vineuil (7e, 13 pts) ASPTT Caen (2e, 16 pts) « On est dans le dur, lâche l’entraîneur vinolien Guillaume Dubois. Il faut qu’on arrive ensemble à sortir de cette passe difficile à vivre. » ... Lire la suite.\\n\\n\\nLe PB veut rester maître chez lui\\n\\n– Poitiers – Saint-Quentin Bredouille en déplacement, Poitiers doit se faire respecter à domicile pour rester au contact de la première partie de tableau... Lire la suite.\\n\\n\\nSe battre jusqu’au bout en Anjou\\n\\n– Brissac – UTBM Distancé au classement, Tours (7 e ) se déplace chez une solide formation du Bab (5 e ) pour tenter de stopper la spirale négative... Lire la suite.\\n\\n\\nL’ADA va-t-elle réagir ?\\n\\n– Une défaite incompréhensible face à Saint-Quentin, un non-match à Boulogne, l’ADA a beaucoup à se faire pardonner, ce week-end face à Aix-Maurienne... Lire la suite.\\n\\n\\nDenain n’a jamais été en pleine bourre et s’incline face à Bourg\\n\\n– Le début de rencontre était à l’actif des Denaisiens et notamment de Jérôme Cazenobe qui se rappelait au bon souvenir de son ancienne équipe en inscrivant les 6 premiers points des... Lire la suite.\\n\\n\\nEt soudain le sourire est revenu sur les visages lillois\\n\\n– Il fallait trouver une bonne nouvelle à opposer au début de match catastrophique du LMB (0-9). Et on a fini par trouver, à la pause, dans le salon VIP. « Pourquoi Jean-Victor Traoré... Lire la suite.\\n\\n\\nBerrwiller-Staffelfelden compte sur sa mascotte Da-Giu\\n\\n– Le club de basket de Berrwiller-Staffelfelden compte 19 équipes, mais il manquait un personnage incontournable : la mascotte. Conçue il y a un an et... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPas le droit à l’erreur\\n\\n– Sur une série de quatre victoires de suite en Pro A, et pour son troisième match en cinq jours, la SIG doit garder le rythme, ce soir (20 h) au... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe nécessaire rebond des abécistes\\n\\n– Agen BC (3e-15 pts) – Coteaux du Luy (7e-14 pts).- Deux échecs et un retour au Stadium plein d’envie pour les hommes de Christophe Pautot. Coteau du Luy est un adversaire à leur ... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"L’Etoile Rouge de Belgrade, meilleure affluence d’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Douzième au classement d’Euroleague avec quatre victoires pour sept défaites, l’Etoile Rouge de Belgrade possède en revanche la meilleure affluence de la compétition.\\n\\nAprès dix matchs de C1, le club leader invaincu de la Ligue Adriatique (12v-0d) accueille en moyenne 11 457 fidèles par match soit pratiquement 400 spectateurs de plus que son dauphin, le Maccabi Tel-Aviv (11 060).\\n\\nAvec une pointe à 18 150 places vendues pour une seule rencontre (la Kombank Arena a une capacité de 18 200 personnes) la formation serbe a enregistré le record de la saison, devant le Panathinaïkos et ses 16 993 spectateurs.\\n\\nDes chiffres bien plus élevés que ceux enregistrés en Champions League, compétition dans laquelle l’ASVEL affiche la meilleure affluence avec une salle de 5 556 places."
}, 
{"role": "user",     "content":"EuroBasket féminin 2017 : la France dans le groupe de la Serbie !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FIBA Europe a procédé au tirage au sort des groupes de l’EuroBasket féminin 2017 qui se tiendra du 16 au 25 juin, à Prague et Hradec Kralove, en République Tchèque.\\n\\nBien que tête de série, l’équipe de France hérite du groupe C avec la Serbie, championne d’Europe en titre, suite aux subtilités du ranking de la FIBA. Les équipes qui sortiront premières de chaque poule seront directement qualifiées pour les quarts de finale alors que les deuxièmes et troisièmes passeront par un tour de barrage.\\n\\nLe tableau complet est ici.\\n\\nGroupe A : Hongrie, Ukraine, République Tchèque, Espagne\\n\\nGroupe B : Biélorussie, Turquie, Slovaquie, Italie\\n\\nGroupe C : Serbie, Slovénie, France, Grèce\\n\\nGroupe D : Lettonie, Belgique, Macédoine, Russie"
}, 
{"role": "user",     "content":"Luka Pavicevic, nouveau coach du Japon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Luka Pavićević, 48 ans, est le nouveau coach de l’équipe nationale du Japon.\\n\\nMembre de la génération d’or du Jugoplastika Split, le Monténégrin est connu en France pour avoir été le coach de la Chorale de Roanne de 2011 à 2014. Sa dernière saison avait été synonyme de quinzième place et de descente en Pro B.\\n\\nLuka Pavićević a déjà coaché deux équipes nationales, le Monténégro puis l’Iran."
}, 
{"role": "user",     "content":"Ludovic Vaty (Tarbes-Lourdes): «Je suis chanceux de jouer en N1, je ne vais pas trop pousser le bouchon» »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ludovic Vaty (2,06m, 28 ans) donne de ses nouvelles dans le dernier opus de Basketball Magazine, la revue de la fédération.\\n\\nRappel des faits : le 23 mai 2013, le Guadeloupéen apprend qu’il doit mettre un terme à sa carrière de basketteur à cause d’une pathologie cardiaque. Un coup de massue pour l’international qui sort d’une bonne saison avec Gravelines et qui est un candidat à l’EuroBasket qui débouchera sur un titre pour les Bleus. Il est même question qu’il ne puisse plus jamais faire de sport.\\n\\n« J’ai d’abord reçu l’autorisation de pratiquer une activité physique », explique-t-il. « Après un an sans rien faire, ça faisait plaisir mais au fur et à mesure le manque du terrain se faisait ressentir. Pourquoi ne pas aller shooter ? Pourquoi ne pas aller s’entraîner, sans trop forcer ? »\\n\\nAu départ les toubibs sont réticents mais lui donnent finalement le feu vert à condition de prendre un maximum de précautions. L’ancien de l’Elan Béarnais Pau-Orthez, qui devient par ailleurs assistant en équipe de France juniors, reprend l’entraînement collectif avec l’équipe de N2 de Pau Nord-Est. Puis la compétition...\\n\\n\\nSur les conseils de Xane D’Almeida\\n\\nC’est si concluant que Ludovic s’imagine jouer au niveau supérieur :\\n\\n« C’est Xane D’Almeida, mon ancien coéquipier, qui m’en a parlé. Il pensait que je pouvais faire à peu près la même chose avec Tarbes qu’en N2, sans plus de restrictions. Cela s’est fait comme ça. Concrètement, je ne participe pas aux entraînements individuels. Le reste du temps, je fais trois entraînements par semaine plus le match. La consigne étant qu’il ne faut pas que je sois essoufflé au point de ne plus pouvoir communiquer normalement. »\\n\\nSa ligne de stats actuelle vaut tous les commentaires : 16,6 pts, 7,1 rbds et 19,4 d’évaluation, la meilleure du championnat pour les joueurs qui ont disputé au moins la moitié des matches.\\n\\nCe n’est pas pour cela que Ludovic Vaty envisage d’aller voir plus haut encore. Il dit vouloir monter sa propre entreprise de réparation de téléphone.\\n\\n« Les pros, c’est vraiment une autre histoire. Et puis le niveau de la N1 est déjà assez élevé. Je suis chanceux de jouer en N1, je ne vais pas trop pousser le bouchon. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : à 17 ans, Luka Doncic offre la victoire au Real Madrid"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la 11e journée d’Euroleague, le Real Madrid accueillait, jeudi soir, le Zalgiris Kaunas qui restait sur deux victoires de suite en C1.\\n\\nEn l’absence de Sergio Llull (18,9 points et 6 assists pour 18,1 d’éval en Euroleague), en délicatesse avec ses genoux cette semaine, c’est le jeune Luka Doncic qui a pris les choses en main. Avec 17 points, 4 rebonds, 4 passes décisives et 2 interceptions en 25 minutes de jeu, le Slovène de 17 ans a parfaitement suppléé le meneur espagnol.\\n\\nA égalité (86-86) à moins de deux minutes de la fin du match, c’est Luka Doncic qui a pris un tir décisif à trois points pour permettre au Real de prendre une possession d’avance (89-86). Le tout en sachant qu’il était sur le terrain avec des pointures comme Rudy Fernandez, Gustavo Ayon, Felipe Reyes ou encore Jonas Maciulis. Mieux encore, le natif de Ljubljana va aussi planter le tir à trois points qui scellera le sort du match à 45 secondes de la sirène finale (92-86).\\n\\nEn Euroleague, Doncic compile en moyenne cette saison 6,9 points, 3,2 rebonds et 2,5 passes pour une évaluation de 9,5. Pablo Laso, l’entraîneur madrilène n’hésite pas à faire rentrer sa pépite slovène sur le terrain en lui donnant en moyenne un peu plus de 16 minutes de temps de jeu dans la plus grande compétition européenne.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Céline Dumerc à Basket Landes : tout est parti d’une blague..."
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Marie-Laure Lafargue est la Directrice administrative et financière de Basket Landes depuis 2011 et elle occupe aussi la fonction de manager général. Elle a donc été au cœur des tractations qui ont précédé la venue surprise de Céline Dumerc dans son club. Elle nous explique ici la genèse de l’histoire et aussi les retombées populaires et médiatiques.\\n\\nUne deuxième partie évoquera la saison de Basket Landes, la grêle de pépins physiques qui entrave son fonctionnement, et aussi la participation au club d’Alain Béral, le président de la LNB.\\n\\nSi on s’intéresse à sa venue de façon chronologique, quand avez vous eu les premiers contacts avec Céline Dumerc ?\\n\\nA l’occasion de la venue de Bourges l’année dernière, le 17 octobre, un soir de quart de finale de Coupe du Monde de rugby. Céline était restée après le match car elle avait une invitation à passer le week-end chez son amie Julie Barennes. Elle avait demandé un ticket de sortie pour rester jusqu’au dimanche. On a eu l’occasion de passer un bout de soirée avec elle et de façon très informelle et sur un registre très humoristique, le président de l’époque, Pierre Dartiguelongue lui dit : « Céline, c’est super sympa de passer des soirées avec toi mais ça serait encore mieux de passer beaucoup plus de temps ensemble ». Et Céline répond sur ce que l’on croyait aussi une boutade : « Voyez président, je suis une fille polie. On m’a invité, j’ai répondu à l’invitation. Il suffit peut-être de m’inviter pour que je réponde à votre invitation. » Pierre s’est accroché à cette idée. « Attention ! Elle a dit ça. Il y a peut-être quelque chose à faire. » J’ai pris ma casquette de directrice et je lui ai répondu : « Prend ton téléphone, appelle son agent et tu verras qu’il règlera le sujet en deux temps, trois mouvements. Ce n’est pas notre prix. »\\n\\nLes événements se sont ensuite enchaînés ?\\n\\nDeux mois plus tard, il y avait un match de qualification pour le championnat d’Europe à Bourges auquel le président Dartiguelongue a été invité. Au VIP d’après-match Céline lui tape sur l’épaule et lui dit « je suis un peu déçue, j’attends toujours votre invitation. » Ça a réveillé l’entrain de Pierre sur le sujet. Céline est venue passer le Nouvel An à Mont-de-Marsan avec d’autres joueuses, Paoline Salagnac, Danielle Page... Toujours chez Julie Barennes qui appelle Pierre Dartiguelongue le 1er janvier pour ses bons vœux. Il lui demande ce qu’elle a fait la veille. Elle lui explique qu’elle avait Céline à la maison. Il lui demande si elle peut lui donner son numéro pour qu’il puisse lui souhaiter aussi ses bons vœux pour 2016 et qu’il fasse l’invitation promise deux mois auparavant. On était trois ici dans le secret de la discussion. On a beaucoup parlé de son avenir, de ses envies. Ce n’est qu’ensuite que l’on est rentré dans une relation plus classique avec les agents. Et ça s’est enchaîné assez vite après puisque sa venue a été officialisée début février. Céline ne voulait pas que ça parte dans la nature et officialiser ça très proprement avec Bourges et ses coéquipières. C’est plutôt atypique et sympa comme rencontre surtout que ça a abouti, un peu contre tout espoir. Quand elle nous a dit « je suis à 99% chez vous », on n’était pas certain d’avoir bien entendu.\\n\\n« On est passé durant l’été de 580 abonnés à 890 au moment où l’on se parle. Et depuis notre début de saison, on est à 100% de remplissage à la salle. C’est certainement l’effet Céline Dumerc »\\n\\nY a t’il eu un engouement supplémentaire au niveau du public, des abonnements, des partenaires à l’annonce de sa venue ?\\n\\nAu moment de sa signature, il y a eu comme un coup de tonnerre dans le basket français. Ça a quand même fait sacrément bouger les lignes. J’ai l’habitude de donner ce chiffre : notre page Facebook a 15 000 visites/semaine. Ce jour là, on a eu 280 000 visites sur le communiqué de l’arrivée de Céline. Le lundi et le mardi, j’ai passé mon temps sur les réseaux sociaux. C’était affolant. Les radios, les télés, des gens qui ne s’intéressaient pas à nous... C’est le premier effet Céline Dumerc. Après, on peut supposer que dans notre campagne d’abonnement ça n’a pas été neutre, le tout sur une dynamique du club déjà bien installée avec un beau parcours en Coupe d’Europe qui avait déjà fidélisé pas mal de monde. On est passé durant l’été de 580 abonnés à 890 au moment où l’on se parle. Et depuis notre début de saison, on est à 100% de remplissage à la salle. C’est certainement l’effet Céline Dumerc.\\n\\nQuelle est la capacité de l’Espace Mitterrand ?\\n\\nCela oscille entre 1 600 et 2500 places pour la venue de Venise car on a une tribune qui est en partie amovible. On a fait le plein y compris sur des matches –sans faire injure à nos adversaires- qui étaient peut-être moins prestigieux. Un exemple: un Basket Landes-Mondeville qui ne soulevait plus les foules depuis quelques années a fait le plein il y a un mois, et d’ailleurs on a perdu.\\n\\nPour Bourges, samedi, ça sera à guichets fermés ?\\n\\nOn était parti sur une configuration à 2 200 qui est la plus pratique pour l’utilisation de la salle. On était plein depuis le 10 octobre et la semaine dernière, on a dû demander à la ville de nous monter 300 places de plus, ce qu’ils ont accepté de faire. Ça été rempli en une demi-heure. On aurait rempli 5 000 places d’autant que nous sommes assaillis de demandes venant de Bourges. Les gens veulent voir le premier match de Bourges contre Céline alors que d’habitude ça ne fait pas déplacer les Berrichons.\\n\\nEt sur le plan des médias, avez-vous vécu un raz-de-marée ?\\n\\nC’est le cas cette semaine ! On essaye de la protéger car il y a deux matches par semaine et c’est beaucoup. Lors de la semaine qui a précédé l’Open, on a tout vu. La première page de Sud-Ouest Région avec un face aux lecteurs, un reportage sur Stade 2, SFR Sport, RMC, tout le monde. On parle de Basket Landes et de Mont-de-Marsan plus qu’on en n’a jamais parlé car Céline est un personnage qui est exposé au plus haut niveau.\\n\\n« Elle nous a dit aussi : « surtout, si je suis l’ombre de moi-même, je veux me réserver le droit d’arrêter après la première année ». A priori, à l’heure où on se parle, elle ne parle plus de ça ! »\\n\\nSon image colle aussi avec celui de votre club ? Elle est du coin...\\n\\nC’est l’histoire de cette rencontre. La discussion s’est engagée autour de valeurs communes. Céline est à un moment de sa carrière où elle peut donner de la place à ce genre d’envie, à une aventure un peu plus romantique même si on lui a promis de la compétitivité. Et le début de saison prouve que l’on n’est pas que dans l’aventure médiatique, dans un effet de manches. Elle a la culture du sud-ouest, elle avait envie de vivre autre chose, sa famille est tout prêt, elle a plaisir à la retrouver tous les samedis soirs à la salle.\\n\\nQuelque chose est-il prévu dans son contrat sur sa reconversion ?\\n\\nElle est chez nous pour deux ans. Suite à la discussion que l’on a eu les yeux dans les yeux avec elle, on a choisi de l’accompagner sur le chemin de la reconversion. Elle ne sait pas ce qu’elle veut faire après. Elle a des potentialités tellement larges, elle a aussi tellement envie de jouer aujourd’hui... Il se trouve que l’on travaille dans le département avec un réseau d’entreprises dans le cadre d’une structure qui s’appelle Rebond 40 qui accompagne les sportifs professionnels des trois clubs pros du département, les deux clubs de rugby et nous. Céline est rentrée dans ce dispositif, elle va être coachée par des chefs d’entreprise qui vont l’aider à défricher le sujet. L’esprit c’est qu’elle ait, sous une forme à trouver qui n’est pas défini dans son contrat, un rôle dans le club. On espère qu’elle acceptera d’être à terme au minimum une ambassadrice de Basket Landes. Elle nous a dit aussi : « surtout, si je suis l’ombre de moi-même, je veux me réserver le droit d’arrêter après la première année ». A priori, à l’heure où on se parle, elle ne parle plus de ça !\\n\\nCéline n’a jamais autant marqué de points de sa vie en club (13,6 pts) mais jouer 32 minutes par match, c’est beaucoup ?\\n\\nCela faisait longtemps qu’elle avait autant joué ! Ce n’est certainement pas le plan idéal. L’élimination en Coupe d’Europe va permettre à l’équipe de retrouver la fraîcheur qui a clairement manqué dans le dernier mois. Céline avec son envie, son leadership, a pris beaucoup de responsabilités dans le jeu. Le basket d’Olivier dès le début de saison a aussi peut-être permis à Céline de montrer des choses qu’elle montrait moins auparavant. Je crois que sur les cinq premiers matches aucune de nos joueuses du starting five mettait moins de quinze points par match. Je pense que Céline sera heureuse de retrouver Queralt (Casas) à partir de janvier. L’arrivée de Nevena (Jovanovic) va aussi la soulager, comme on l’espère le retour en forme d’Alexia (Plagnard). Mais si elle nous fait des matches comme hier soir contre Venise, on ne va pas bouder notre plaisir (26 pts, 6 rbds, 6 pds et 2 ints). Je crois que sa blessure aux JO lui a aussi donner une terrible envie de revanche. Elle est aussi arrivée plus fraîche.\\n\\nGénéralement, les joueurs/joueuses chutent après trente-deux ans. Ce n’est pas le cas pour elle*.\\n\\nElle défie les statistiques. Certains ont jugé qu’elle venait chez nous en pré-retraite or si c’est certainement l’une de ses dernières expériences professionnelles, elle se relance dans un challenge, un mode de vie, des responsabilités différentes et ça se voit sur le terrain.\\n\\n*Après 9 matches, Céline Dumerc (34 ans) tourne à 13,7 pts (11e de LFB), 6,0 pds (2e), 3,8 rbds, 3,4 ints (1ère) pour 18,3 d’évaluation (6e)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Gravelines-Dunkerque : Fernando Raposo de retour dans le groupe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bonne nouvelle pour le BCM Gravelines-Dunkerque. À travers un communiqué, la formation de Pro A informe que son joueur Fernando Raposo (2,06 m, 27 ans) effectue son retour dans le groupe maritime ce vendredi à l’occasion du déplacement à Châlons-en-Champagne dans une rencontre comptant pour la douzième journée de Pro A.\\n\\nSur la touche à cause d’une hernie, le poste 5 pourrait donc retrouver la compétition face aux Marnais après une absence de plus de deux mois.\\n\\nVu le temps de deux matchs en ce début de saison, le Champion de France Pro B en 2010 avec Pau-Lacq-Orthez tournait à 5 points à 41,7% de réussite aux tirs, 7 rebonds et 0,7 passe pour 5,5 d’évaluation en 19 minutes de temps de jeu."
}, 
{"role": "user",     "content":"Tafari Toney refait surface en deuxième division allemande"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tafari Toney (2,03 m, 30 ans) reprend du service. Blessé au genou la saison dernière sous les couleurs de la JA Vichy-Clermont, le pivot anglais est de retour à la compétition et c’est en Allemagne qu’on le retrouvera.\\n\\nDresden Titans, actuel dernier de la Pro A allemande (la deuxième division) vient d’engager l’ancien métropolitain en tant que remplaçant de Jervon Pressley blessé à la cheville et out jusqu’à la fin d’année civile.\\n\\nVu en Auvergne l’hiver dernier, le temps de 7 matchs de Pro B, celui qui avait remplacé Jarrod Jones dans la raquette de la JAVCM compilait 8,7 points à 47,8% aux tirs, 4,7 rebonds et 0,6 passe pour 9 d’évaluation en 21 minutes de temps de jeu. Un peu plus tôt dans la saison, il portait les couleurs du club d’Abejas au Mexique (10,8 points à 46%, 6,3 rebonds et 2,3 passes décisives en 15 rencontres).\\n\\nBien connu en France après des passages à Charleville-Mézières (Pro B) et Sorgues (NM1), l’international anglais vivra donc à Dresden sa première expérience en Allemagne."
}, 
{"role": "user",     "content":"Evreux avec Aloysius Anagonye à Lille"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bonne nouvelle pour Evreux. L’ALM va pouvoir compter sur son renfort Aloysius Anagonye (2,03m, 35 ans) pour le déplacement à Lille de ce vendredi soir dans un match comptant pour la neuvième journée de Pro B.\\n\\n\\nL’Américano-Nigérian vient d’être qualifié par la Ligue Nationale de Basket. L’ailier-fort est engagé comme remplaçant de Kevin Corre jusqu’au 10 janvier 2017.\\n\\n\\nPour rappel, Lille est sixième (invaincu à domicile) et Evreux pointe à la quinzième place."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : Les nouveaux joueurs qualifiés"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En plus de l’Orléanais Verdell Jones, plusieurs nouveaux joueurs vont faire leurs premiers pas en Pro A ce week-end. La Ligue Nationale de Basket vient d’indiquer les nouveaux éléments qualifiés.\\n\\nNouveau meneur de jeu d’Antibes, Sharaud Curry (1,81 m, 29 ans) est engagé comme nouveau contrat professionnel jusqu’à la fin de la saison. L’Américain sera donc sur le parquet de l’AzurArena le 12 décembre prochain pour la réception du Paris-Levallois.\\n\\nNouvel intérieur de Chalon, Abdoulaye Loum (2,09 m, 25 ans) fera son retour dans l’élite française demain soir au Colisée pour défier l’ASVEL. Le Français est engagé comme nouveau contrat professionnel jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nAméricain au passeport arménien, Arizona Reid (1,96 m, 30 ans) fera le déplacement avec Le Portel à Beaublanc pour affronter Limoges samedi soir. L’ailier est engagé comme nouveau contrat professionnel jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nEnfin, engagé comme remplaçant d’Abdel Kader Sylla par Orléans il y a quelques semaines, Georgi Joseph (1,97 m, 34 ans) terminera bien la saison dans le Loiret. La LNB vient de transformer son contrat jusqu’à la fin de la saison."
}, 
{"role": "user",     "content":"Quels renforts pour Gravelines ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Malgré sa magnifique victoire à Sportica sur Chalon-sur-Saône (88-85), le BCM Gravelines n’est pas sorti de l’auberge.\\n\\nDéjà il vient de perdre Florent Pietrus qui n’est pas opérationnel pour au moins un mois et demi à cause d’adducteurs douloureux. A 36 ans, ce n’est jamais bon.\\n\\nDeuxièmement, suite au départ de Steven Gray, le BCM qui a signé quatorze contrats pros sur les seize disponibles n’a plus en ce moment que huit valides. Selon La Voix du Nord, le club se demande s’il faut seulement remplacer Gray ou prendre un deuxième renfort, qui serait forcément français, et qui grillerait tous les jokers. Ce serait donc profitable pour le court terme mais aussi un choix à haut risques car les blessures se démultiplient au fil du temps en Pro A. Rien ne dit que la série noire est terminée.\\n\\n« Le staff avait ciblé deux extérieurs pour remplacer Gray, il sonde désormais le marché des intérieurs. »\\n\\nCe soir, le BCM va défier Châlons-Reims avec finalement Fernando Raposo (2,07m) dans le groupe. Un match qui compte double puisque les deux équipes sont à égalité au classement et peuvent avoir la Leaders Cup dans le viseur... Sachant aussi que la zone rouge se situe à une victoire derrière elles."
}, 
{"role": "user",     "content":"Samedi, Eric Girard (Le Portel) revient à Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Demain, Le Portel va défier Limoges. C’est l’occasion du premier retour d’Eric Girard à Beaublanc. Girard fut le coach du CSP d’avril 2009 à janvier 2011 et son passage dans le Limousin fut un mixte de joies et de douleurs comme il le rappelle au Populaire :\\n\\n« Je n’oublie pas qu’on m’a empêché de bien faire mon métier, de recruter qui je souhaitais, qu’on a recruté à ma place et qu’il y a eu beaucoup d’ingérence dans mon job. Malgré ça, on a fait deux finales, perdues contre plus forts (Pau et Poitiers), on monte en Pro A et on a vu le résultat immédiat suite à mon licenciement (NDLR : le CSP est redescendu en Pro B). »\\n\\nEn ce qui concerne le présent, l’ESSM appartient au groupe de cinq équipes qui forment le peloton de queue, considérant que Nancy est décroché avec deux victoires en moins. Le CSP est juste à l’étage au-dessus. Le Portel peine à l’extérieur (1-4) alors que Beaublanc est une place forte (4-1).\\n\\n« Nous sommes dans nos objectifs de gagner 1 match sur 3 depuis le début, pour décrocher le maintien. Cela sera une lutte acharnée jusqu’au bout mais nous serons là », assure Eric Girard au quotidien de la Haute-Vienne. « Pour l’ESSM, le club, la ville, c’est un nouveau monde que chacun découvre, comme les joueurs d’ailleurs mais ici, les gens apprennent vite et leur passion, leur connaissance du basket démultiplient les énergies positives et rendent possible ce qui devrait être improbable. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 09 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nOnze à la suite !\\n\\n– Au SLUC, depuis le début de cette saison, Pierre Verdière est un peu l’homme qui gagne. Après onze journées, son équipe espoirs est toujours invaincue... Lire la suite.\\n\\n\\nLe fantôme de la Pro B\\n\\n– Sans vouloir jouer les oiseaux de mauvais augure, il pend comme une petite épée de Damoclès réglementaire au-dessus de la tête du centre de formation... Lire la suite.\\n\\n\\nCette équipe grandit chaque jour\\n\\n– Cette équipe grandit chaque jour. Il y avait beaucoup de questions en suspens l’été dernier, le groupe était jeune. Mais le potentiel était là. Avec... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLassi, l’œil de Collet\\n\\n– Il est arrivé pour épauler Henrik Dettmann. Il seconde désormais Vincent Collet. Esprit fin et curieux, Lassi Tuovi, l’assistant-coach finlandais de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe Puy ne doit pas flancher en Gironde\\n\\n– Demain, à Bordeaux, se tiendra l’un des derniers matchs de la phase aller. Une rencontre également synonyme de trêve hivernale pour toutes les équipes... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nMontmorot visera l’exploit à Saint-Claude\\n\\n– Pour cette première journée des matchs retour, côté masculin on suivra Montmorot qui visera l’exploit à Saint-Claude qui reste sur un revers à Salins... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRepartir sur une note positive\\n\\n– La JL Bourg retourne dans le Nord, pour la troisième fois en quinze jours, avec pour objectif de relancer une nouvelle série à Denain... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Cette génération mériterait de jouer en R1 »\\n\\n– Deuxième ex æquo de R2, Feurs reçoit le leader de la poule dimanche au Forézium. Un choc au somment pour une formation que son coach, Christophe... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPellin : « Un plaisir de revenir »\\n\\n– C’est là que tout a commencé pour Marco Pellin. Il revient à Roanne avec plaisir mais de l’ambition aussi. Boulazac va mieux... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« C’est nous qui aurons la pression »\\n\\n– Le Stéphanois David Denave a signé dans l’Allier, après avoir fait sa préparation à Saint-Chamond. Il est idéalement placé pour parler du derby... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nConserver l’alchimie à tout prix\\n\\n– C’est avec l’ambition de “ne pas perturber une équipe qui gagne” que l’Elan intègre Loum et teste Marshall, à l’heure d’accueillir Villeurbanne,... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’ancien joueur du Poitiers Basket Moustapha Fall au All Star Game\\n\\n– Passé par le centre de formation du Poitiers Basket où il a évolué en Pro A et en Pro B de 2010 à 2014, Moustapha Fall (24 ans, 2,18 m) a été sélectionné pour la première fois... Lire la suite.\\n\\n\\nPRÉNATIONAUX\\n\\n– Saint-Pierre Montargis Saint-Pierre a renoué avec la victoire dimanche dernier. « J’aimerai bien enchaîner deux succès consécutifs. Je crains cependant Montargis ... Lire la suite.\\n\\n\\nThinon incertain\\n\\n– poitiers Souffrant du dos, Arnauld Thinon ne s’est pas encore entraîné cette semaine. Le meneur du Poitiers Basket est incertain pour la venue Saint-Quentin... Lire la suite.\\n\\n\\nMonaco à Dijon pour se ressaisir\\n\\n– Le leader Monaco, défait pour la deuxième fois de la saison en championnat, se déplace à Dijon avec l’envie de rebondir vendredi, pour le compte de la 12e journée de Pro A. Longtemps... Lire la suite.\\n\\n\\nSaint-Quentin, ensemble c’est tout\\n\\n– Poitiers – Saint-Quentin Sans nom ronflant dans son effectif, l’équipe picarde réalise un début de saison intéressant grâce à la force de son collectif... Lire la suite.\\n\\n\\nCAN 79 : terminer en beauté\\n\\n– Le CAN 79 effectue un ultime déplacement avant la trêve en région limougeaude avec l’ambition de bonifier la belle victoire décrochée samedi dernier... Lire la suite.\\n\\n\\nWittenheim sur ses gardes\\n\\n–\\nL’US Wittenheim, deuxième de la poule G de NF3, va tenter de faire tomber une huitième victoire dans son escarcelle, dimanche (15 h 30) à Valentigney,... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn derby dès ce soir\\n\\n– La réserve masculine qui vient de prendre la tête du classement fera l’ouverture du week-end ce soir 20 h 30 à Ohnenheim. On peut s’attendre comme à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nABC Lutterbach\\n\\n– Les brasseurs restent sur une probante victoire face à Zillisheim (106-54). Lors de cette rencontre, ils ont fait parler leur adresse et leur... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nThur-Doller : la jeunesse prend les commandes\\n\\n–\\nLe week-end dernier a été marqué par une nouvelle défaite de l’équipe 1 masculine de la CTC Thur-Doller, face à Altkirch 1, le leader. Les coéquipiers... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDessenheim sur sa lancée ?\\n\\n– Vainqueur à Besançon la semaine dernière, l’ASL Dessenheim reçoit Weitbruch, samedi à 20 h, à l’occasion d’un derby alsacien qui peut lui rapporter... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRixheim veut continuer sur sa lancée\\n\\n– L’équipe de Cédric Garnier vise une nouvelle victoire samedi (20 h 30) à la Cité des sports face à Saint-Apollinaire... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nKaysersberg veut y croire\\n\\n– Encore battus la semaine dernière à l’extérieur, les Kaysersbergeois n’ont pas perdu tout espoir de retrouver le podium. La condition première est de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPfastatt veut confirmer à domicile\\n\\n– L’ASSM Pfastatt, pour l’instant plus à l’aise à l’extérieur qu’à domicile, accueille Montbrison, samedi soir (20 h 30) à la salle polyvalente, pour le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Rester les pieds sur terre »\\n\\n– Satisfait du déroulement de la rencontre de Champions League mercredi face à une Juventus Utena diminuée (86-61), le coach de la SIG Vincent Collet,... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nHergott rêve d’un Noël anticipé\\n\\n– Alexandre Hergott, Mulhousien depuis l’été dernier, va tout faire pour que le FCM, 11e de la poule D de N2, renoue avec la victoire, samedi (20 h) au... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe SAP sur la piste de François Sence\\n\\nPour remplacer l’entraîneur Sylvain Lautié dont le départ a été acté hier soir, les dirigeants du club vauclusien, qui se déplace samedi chez le... Lire la suite.\\n\\n\\nL’avis des coaches. L’avis du dirigeant. L’avis du coprésident\\n\\n– Puymirol (3e-17 pts) – Oloron (1er-19 pts). – Les Oloronnais invaincus, à domicile, avec un cinq sur cinq, ont aussi réussi un parcours de choix en déplacement, l’emportant à Tresses... Lire la suite.\\n\\n\\nDifficile bataille dans le Morbihan ce soir\\n\\nLes unionistes ont quitté Tarbes hier matin, en bus, pour rejoindre le port militaire de Lorient, et plus précisément le Palais des sports Kervaric, soit plus de 700 km de route, pour y livrer... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Onze matches en 11 jours sur SFR Sport !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon SFR, c’est du jamais vu à la télévision française : 11 rencontres, dont 10 en prime time, entre le 17 et le 29 décembre !\\n\\nMême si ce n’est pas sur une chaîne hertzienne, c’est inédit et il y aura de la Pro A, du basket féminin et le All-Star game.\\n\\nRappelons d’ailleurs que SFR Sport est gratuit sur PC, tablette et mobile jusqu’au 25 décembre.\\n\\n– Samedi 17 décembre à 18h30 : PRO A J13 : ASVEL – CHOLET\\n– Dimanche 18 décembre à 18h30 : PRO A J13 : MONACO – STRASBOURG\\n– Lundi 19 décembre à 20h30 : PRO A J13 : PARIS LEVALLOIS – NANTERRE\\n– Mardi 20 décembre à 20h30 : Ligue Féminine J12 : BOURGES – LATTES MONTPELLIER\\n– Mercredi 21 décembre à 20h30 : PRO A J14 : ANTIBES – LIMOGES\\n– Jeudi 22 décembre à 20h30 : PRO A J14 : ASVEL – LE MANS\\n– Vendredi 23 décembre à 18h30 : PRO A J14 : MONACO – PAU\\n– Lundi 26 décembre à 20h30 : PRO A J15 : LE MANS – CHALON\\n– Mardi 27 décembre à 19h : PRO A J15 : ORLEANS – MONACO puis à 21h : PAU – PARIS-LEVALLOIS\\n– Jeudi 29 décembre : le ALL STAR GAME du basket français en intégralité !"
}, 
{"role": "user",     "content":"Dijon ne conserve pas Anthony King"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mis à l’essai il y a quelques jours par Dijon, l’Américain Anthony King (2,05 m, 31 ans) n’a pas convaincu les dirigeants bourguignons.\\n\\n« On avait dit qu’on signerait Anthony King s’il apportait une plus-value à l’équipe, par rapport à nos manques : rebonds, point de fixation intérieur, verticalité indique l’entraineur Laurent Legname dans un communiqué du club. Anthony a des qualités intéressantes avec une bonne adresse autour de la raquette, mais il n’a pas celles dont nous avons besoin. Nous sommes de nouveau dans l’optique de trouver un joueur capable de répondre à nos attentes. »\\n\\nLa JDA est donc en quête d’un nouvel intérieur."
}, 
{"role": "user",     "content":"Orléans avec sa nouvelle recrue à Cholet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En déplacement à Cholet samedi soir pour le compte de la douzième journée de Pro A, Orléans pourra compter sur sa nouvelle recrue.\\n\\nL’équipe du Loiret indique que son nouveau joueur Verdell Jones (1,96 m, 27 ans) vient d’être qualifié par la Ligue Nationale de Basket.\\n\\n\\n\\n\\n@Vj3_217 qualifié pour le match de Samedi face @CB_officiel #GoOrléans @LNBofficiel pic.twitter.com/t1qJrwbaVT\\n\\n\\n— OrléansLoiretBasket (@OLB45) 8 décembre 2016\\n\\nC’est donc sur le parquet de la Meilleraie que l’Américain fera ses premiers pas en Pro A."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : Pau sans Ron Lewis pendant 7 semaines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Blessé au dos après une lourde chute dans le match face au CCRB datant du 2 décembre, Ron Lewis va finalement manquer sept semaines de compétition, comme le rapporte l’Elan Béarnais sur son site.\\n\\nLes derniers examens passés par le joueur ont révélé la présence de plusieurs fractures aux lombaires. Précieux depuis le début de saison, l’ancien joueur du SPO Rouen compilait en moyenne 12,9 points, 3,7 rebonds et 1,5 passe décisive pour une évaluation de 8,9 en Pro A. En FIBA Europe Cup, le natif de Chicago tournait en moyenne à 13,5 points, 3 rebonds et 3 assists par match.\\n\\nL’EBPLO est, évidemment, à la recherche de son remplaçant.\\n\\nPhoto : FIBA Europe Cup"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : le Final Four organisé à Villeurbanne ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme le rapportent nos confrères d’Obuzzer, l’ASVEL serait intéressée par l’organisation de la nouvelle compétition européenne créée par la FIBA qui vit, cette saison, sa première édition.\\n\\nMardi soir, les hommes de J.D Jackson, qui pointent à la 2e place du groupe B (6v-2d) de la Champions League, l’ont emporté face à Varese sous les yeux du Directeur Général de la compétition, Patrick Comninos. Un invité de marque qui a annoncé que l’Astroballe pourrait effectivement faire partie des options envisagées par la BCL.\\n\\n«L’ASVEL devrait avoir cet intérêt. C’est un grand club, avec une belle Arena.»\\n\\nL’annonce officielle sera faite suite aux résultats des quarts de finale (fin mars) et seuls les clubs qualifiés pourront être choisis. D’ici-là, la formation villeurbannaise a encore de la route à faire avant de se hisser vers le carré final.\\n\\nGaëtan Müller, le président délégué de l’ASVEL a avoué que cet événement pourrait intéresser le club mais qu’il ne faut pas trop s’avancer.\\n\\n«Ça pourrait nous intéresser. Mais je ne veux pas mettre la charrue avant les bœufs. L’an dernier, nous avions annoncé notre souhait d’organiser le Final Four de la Fiba Europe Cup, avant d’être éliminés en 8e de finale»\\n\\nD’après Gaëtan Müller, l’Astroballe enregistre pour l’instant le meilleur taux de remplissage de la compétition.\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Gaëlle Skrela mène Lattes-Montpellier vers la victoire"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lattes-Montpellier a réalisé une excellente affaire hier soir en prenant le dessus sur Famila Schio, 69-66. Il y a eu plusieurs égalités en fin de match avant que Gaëlle Skrela ne prenne les affaires en main.\\n\\n« Pour sa dernière saison, Gaëlle Skrela a décidé de se régaler... elle régale aussi tout le monde », raconte Le Midi Libre. « Sa fin de match a été un formidable cocktail de talent, d’abnégation, de lucidité. Pas très étonnant qu’on lui ait confié les clés du BLMA pour les ultimes lancers. 69-66 au coup de sifflet final, le BLMA a réussi au mieux sa sortie pour 2016 devant un superbe parterre de politiques et dirigeants du monde sportif. »\\n\\nAu final, l’ex-internationale totalise 18 points (8/11 aux tirs), 6 rebonds, 3 passes et 2 interceptions. A 34 ans, Gaëlle Skrela est comme sa copine Céline Dumerc, toujours gaillarde.\\n\\nDans le camp italien, Endy Miyem (14 pts, 6 rbds, 2 pds) a été la plus performante alors que Isabelle Yacoubou a cumulé 7 points et 7 rebonds.\\n\\nLe BLMA est cinquième de sa poule à une victoire de son adversaire de la soirée."
}, 
{"role": "user",     "content":"Fos Provence : Jean-Baptiste Maille, le joueur qui monte"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec 10 points, 4 rebonds et 8 passes pour 16 d’évaluation en 28 minutes, Jean-Baptiste Maille (1,92 m, 23 ans) a été très bon mercredi soir lors de la courte mais précieuse victoire de Fos-sur-Mer à Rouen. Mieux, avec une balle récupérée dans les derniers instants de la rencontre, il a été décisif sur le parquet de la Kindarena pour offrir une neuvième victoire consécutive à son club qui reste invaincu en ce début de saison.\\n\\nDerrière le leader Aaron Broussard, l’expérimenté Derrick Obasohan et la bonne surprise Brad Waldow au poste de pivot, Jean-Baptiste Maille fait plaisir en ce début de saison.\\n\\nQuatrième évaluation de l’équipe leader de la Pro B avec 6 points, 3,2 rebonds et 5,4 passes (neuvième au classement des Tops passeurs) pour 11,6 d’évaluation en 26 minutes sur 9 matchs de championnat, le Sarthois joue actuellement son meilleur basket. En constante progression en trois saisons dans l’antichambre de l’élite qu’il fréquente depuis 2013, le combo-guard fosséen alignait 3,1 d’évaluation en 2013/14 avec Le Portel, 8,6 la saison dernière avec Fos et grimpe donc à 11,6 en ce début d’exercice 2016/17.\\n\\nPartageant le poste 1 avec son coéquipier Xavier Gaillou, l’ancien pensionnaire du centre de formation du Mans s’est imposé parmi les meilleurs meneurs de jeu français de la division en compagnie du Savoyard Aurélien Rigaux, du Roannais Arthur Rozenfeld et de Marc-Antoine Pellin (Boulazac). Pas mal pour un joueur qui jouait en NM1 il y a deux ans avec Challans.\\n\\nLe 16 décembre prochain, c’est d’ailleurs la Chorale de Roanne qui rendra visite à la Halle des Sports Parsemain. Un duel de haut de tableau entre les deux formations. Restant sur un 21 d’évaluation (contre Lille) devant ses fans le 2 décembre dernier, nul doute que Jean-Baptiste Maille voudra de nouveau réaliser une nouvelle belle performance à la maison.\\n\\nPhoto :Philippe Clauzon"
}, 
{"role": "user",     "content":"Daequan Cook (ex Rouen) à la découverte de l’Iran"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"À 29 ans, Daequan Cook (1,96 m, 95 kg) part à la découverte de l’Iran. L’Américain s’engage avec Chemidor Tehran. Au sein de l’actuel sixième du championnat (3 victoires pour 3 défaites) il vivra sa première expérience en Superleague et pourra discuter LNB sur place puisqu’il fera équipe avec l’ancien joueur d’Aix-Maurienne Povilas Cukinas.\\n\\n\\nNatif de Drayton dans Ohio, l’Américain évoluait la saison dernière au Portugal. Très intéressant sous les couleurs du Benfica Lisbonne, l’arrière compilait 17,8 points, 2,8 rebonds et 2,2 passes en 37 matchs de championnat. Cinquième scoreur de la LPB portugaise et vainqueur de la Coupe du Portugal 2016, il avait également fait forte impréssion en FIBA Europe Cup avec ses 20 points et 4 rebonds de moyenne. \\n\\n\\nFormé à Ohio State University, sélectionné au vingt-et-unième rang de la draft 2007 par les 76ers de Philadelphie, passé par Miami Heat, Oklahoma City Thunder, Houston Rockets puis Chicago Bulls dans l’Association, Daequan Cook avait joué en Pro A lors de la saison 2014/15. Vu à Rouen, ses 16 points de moyenne avaient bien aidé le club normand à obtenir son maintien dans l’élite française.\\n\\nPhoto : FIBA Europe Cup"
}, 
{"role": "user",     "content":"N1 : Sylvain Lautié n’est plus le coach du SAP Vaucluse"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pressenti un temps pour succéder à Alain Weisz au SLUC Nancy, Sylvain Lautié avait été « dispensé » d’entraînement la semaine dernière par les dirigeants du SAP Vaucluse. Ses relations avec les joueurs étaient tendues. Hier matin, il a fait son retour à la salle pour une séance d’entraînement mais le soir les deux parties sont tombées d’accord... pour se séparer.\\n\\nL’ancien vainqueur de la Coupe Korac avec Nancy sera remplacé par le tandem Jonathan Colas – Olivier Gautheret jusqu’à la nomination d’un nouveau coach.\\n\\nL’équipe provençale est 15e au classement de la Nationale 1 avec 5 victoires et 9 défaites et doit se rendre samedi à l’autre bout de la France, à Quimper, le deuxième de la division."
}, 
{"role": "user",     "content":"N1 : Lorient veut multiplier son budget par six en cinq ans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Actuellement calé à la septième place de la Nationale 1, le CEP Lorient est ambitieux comme le révèle son président Patrick Grenet dans Ouest France.\\n\\nLe club utilise déjà les services d’un directeur sportif, d’un chargé de la logistique, d’un kiné et d’un ostéopathe. La saison prochaine, il a l’intention d’embaucher des salariés dans la logistique, le marketing et la communication.\\n\\nLa force du CEP, ce sont ses partenaires. Il dispose de 250 associés.\\n\\n« Mais on est loin des 1 500 du club de handball féminin de Brest, qui est un exemple à suivre. Quand tu disposes d’une telle économie, tu peux avoir des bons joueurs, développer la formation et avoir des projets sportifs viables. Pour accueillir plus de partenaires privés, il est nécessaire de travailler sur un aménagement à Kervaric nous permettant d’en accueillir le plus possible. C’est indispensable pour permettre à notre projet « cap Pro B » d’aboutir. »\\n\\nLe club breton veut faire bondir son budget de 150 000 à un million d’euros en cinq ans. Il veut mettre aussi l’accent sur la formation :\\n\\n« On a une volonté d’avoir les meilleurs jeunes du département, et pourquoi pas demain d’avoir les meilleurs de Bretagne. Cela fait partie de notre souhait de faire de la formation notre identité. »\\n\\nLe CEP a déjà connu le basket professionnel à partir du milieu des années quatre-vingt, à l’époque où son meneur de jeu était le Franco-Américain Ed O’Brien."
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Strasbourg en patron face à Utena"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour son premier match de phase retour de Champions League, la SIG recevait la Juventus Utena qui s’était imposée (91-84) à l’aller face à l’équipe coachée, à l’époque, par Henrik Dettmann. A l’occasion de cette 8e journée de BCL, les hommes de Vincent Collet ont clairement pris leur revanche sur les Lituaniens en s’imposant de 25 points (86-61), remportant tous les quart-temps.\\n\\nMeilleur joueur de la rencontre, Mam Jaiteh a compilé 12 points, 8 rebonds, 3 passes décisives, 2 interceptions et 2 contres pour une évaluation de 24.\\n\\nLe technicien strasbourgeois, Vincent Collet, est revenu sur cette belle victoire en conférence de presse d’après match.\\n\\n« C’est une belle victoire. On avait perdu le match aller de 7 points et sur le retour on gagne de 25 donc, en plus de la victoire, on récupère le point-average. Nous avons fait le match que nous voulions faire. On a eu de la chance car Cepukaitis (8e évaluation de la compétition avec 18) était blessé alors que c’est une de leurs principales forces. Le match a été plus simple après les 10 premières minutes dans lesquelles nous ne contrôlions pas la peinture, ils ont beaucoup trop marqué de points dans la raquette. Une fois que nous avons changé les match-ups mais surtout notre attitude, c’est devenu plus simple. »\\n\\nLa boxscore du match est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Moscou : Milos Teodosic out pour une durée indeterminée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Nando De Colo, le CSKA Moscou perd une autre pièce maîtresse de son effectif en la personne de Milos Teodosic qui va devoir rester sur la touche pour une durée indéterminée, comprise entre une semaine et un mois, comme le rapporte Eurohoops.\\n\\nSouffrant d’une tendinite au mollet selon Eurohoops mais également de fatigue excessive selon Mondo.rs, le meneur serbe n’a pas relâché la pression cette année. Après une saison avec le club russe récompensée par le titre de champion d’Euroleague, l’ancien joueur de l’Olympiakos a enchaîné avec la sélection serbe qui a dû disputer le tournoi de qualification olympique avant de pouvoir se rendre à Rio pour terminer sur la deuxième place du podium juste derrière les inévitables Américains. Une fois l’été passé, Teodosic a fait son retour avec le CSKA avant de devoir, en plus de son rôle, assurer l’intérim en l’absence de Nando De Colo blessé depuis le 17 novembre.\\n\\nToujours selon Eurohoops, le club moscovite prévoirait de lui faire manquer deux matchs et donc de lui laisser sept jours de repos. Mais il pourrait également rater jusqu’à un mois de compétition pour se remettre complètement sur pied...\\n\\nCette saison en Euroleague, le meneur de 29 ans compile en moyenne 18,7 points, 8,2 assists et 1,9 rebond pour une évaluation de 19,6.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tirage au sort Euro féminin: la France dans le premier chapeau"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vendredi après-midi se déroulera à Prague le tirage au sort de l’EuroBasket féminin prévu en République Tchèque du 16 au 25 juin 2017.\\n\\nLa France sera dans le premier chapeau en compagnie de l’Espagne, de la Russie et de la Turquie. A cause du ranking, et de ses difficultés à se qualifier pour cet Euro, la Serbie championne d’Europe en titre et médaillée de bronze aux JO de Rio, n’est que dans le deuxième chapeau avec la Biélorussie, l’Ukraine et le Monténégro."
}, 
{"role": "user",     "content":"Aaron Harper à la découverte de l’Argentine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"À 35 ans, Aaron Harper joue encore. L’expérimenté swingman vient de décrocher un nouveau contrat et c’est en Argentine (une première pour lui) qu’on le retrouvera.\\n\\nFormation de Liga A (la première division) Asociacion Quimsa Santiago del Estero vient de mettre la main sur l’Américain de 2,03 m. L’équipe de la ville de Santiado Estero est actuellement troisième du groupe Nord avec 12 victoires en 19 matchs.\\n\\nAncienne idole de la Halle André Vacheresse entre 2005 et 2009, le Champion de France 2007 avec Roanne, passé par Pau-Lacq-Orthez lors de l’automne 2013 en a vu du pays tout au long de sa carrière.\\n\\nProfessionnel depuis 2004, l’ancien pensionnaire d’University of Mississippi a évolué en Islande, en Ukraine, au Venezuela, en Bulgarie et au Liban."
}, 
{"role": "user",     "content":"Plus de 8 000 spectateurs en moyenne en Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Euroleague vient d’indiquer que les affluences de sa compétition sont en forte progression cette saison avec la réduction du nombre d’équipes à seize. Après dix journées, la moyenne est de 8 313 spectateurs, soit 27,8% de hausse comparé à la même période la saison dernière mais avec vingt-quatre équipes.\\n\\nUn autre chiffre est éloquent à propos de la réussite du nouveau format : 32,4% de visiteurs uniques supplémentaires sur le site officiel, Euroleague.net. Les hausses sur les réseaux sociaux, Facebook, Twitter and Instagram, sont encore plus spectaculaires, de 130 à... 2 000%.\\n\\nPlus de deux cents pays et territoires diffusent les matches de l’Euroleague. Il s’agit là aussi d’un record."
}, 
{"role": "user",     "content":"Miroslav Todic (ex Chalons-Reims) retourne en Grèce"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ancien joueur de Pro A Miroslav Todic poursuit sa carrière en Grèce, un pays qu’il connaît parfaitement puisqu’il a par le passé porté les couleurs du Kolossos Rhodes, d’Achilleas et d’Ilisyakos entre 2007 et 2012.\\n\\nL’intérieur de 2,05 m âgé de 31 ans vient de s’engager avec le club de Doxa Lefkadas, actuel onzième de la première division grecque.\\n\\nLa saison dernière, l’international bosnien a remporté la Coupe de Roumanie avec Cluj Napoca qu’il avait rejoint au cœur de l’hiver après une première expérience décevante en France.\\n\\n\\nEn 2015/16, sous les couleurs de Châlons-Reims le numéro 9 du CCRB tournait à 10,1 points à 42,2% de réussite aux tirs, 4,4 rebonds et 1,3 passe décisive pour 8,6 d’évaluation en 25 minutes sur onze matchs de championnat. Des statistiques jugées décevantes par ses dirigeants avant d’être remplacé par l’Américain DeShawn Stephens.\\n\\n\\nJoueur d’expérience, Miroslav Todic a joué aussi en Serbie-Monténégro, Slovénie, Allemagne, Ukraine et Italie.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Orléans : Un arrière américain en renfort"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il a annoncé l’information il y a quelques heures sur sa page facebook. Verdell Jones (1,96 m, 27 ans) va connaitre sa première expérience en France et c’est Orléans qui va lui donner cette chance.\\n\\nVu en D-League en 2015/16 (16,1 points à 46% de réussite aux tirs, 3,2 rebonds et 3,8 passes décisives en 31 minutes avec les Santa Cruz Warriors), l’Américain va densifier la ligne arrière orléanaise en apportant du punch et de l’énergie.\\n\\nNon drafté à sa sortie d’Indiana University en 2012 après un cursus complet, le natif de Champaign (Illinois) a ensuite joué en Grèce et au Japon avant de revenir aux Etats-Unis la saison dernière.\\n\\nQuinzième de Pro A, l’OLB accueille donc jusqu’à la fin de la saison un arrière/meneur dans son effectif. Un renfort bienvenue pour un groupe amputé d’Antoine Eito, Antoine Mendy et Kyle McAlarney sur les postes extérieurs."
}, 
{"role": "user",     "content":"DeMarcus Nelson (ASVEL) : «On commence vraiment à prendre du plaisir à jouer ensemble»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la victoire face à Varese en Champions League hier soir, DeMarcus Nelson, qui a mené ses coéquipiers vers la victoire avec 13 points, 4 rebonds, 7 passes décisives et 4 interceptions (23 d’évaluation), est revenu sur la vie de l’équipe qui a enchaîné 5 victoires de suite en BCL et qui est 7e en Pro A (6v-5d) mais à seulement deux victoires de la deuxième place.\\n\\n« Chaque joueur a une personnalité différente et c’est ce qui les rend uniques. Je pense que tous nos talents et toutes nos personnalités sont différents mais ils fonctionnent ensemble et c’est ce qui fait une bonne unité. Personnellement, j’essaye d’aider l’équipe et de donner ce dont l’équipe a besoin sur le moment. Mes qualités et mon talent sont un petit peu différents de mes coéquipiers et c’est pourquoi je peux faire plus et être plus polyvalent quand le collectif en a besoin. Quand on commence à se perdre un peu dans le match c’est exactement à ce moment que je dois élever mon niveau de jeu et prendre plus de responsabilités. »\\n\\nSur le fait de prendre du plaisir à jouer ensemble, l’ancien joueur du Panathinaïkos est clair, une véritable alchimie est en train de naître à Lyon.\\n\\n« Je pense que tous les joueurs commencent à vraiment prendre du plaisir à jouer ensemble. Je pense que vous pouvez voir qu’il commence à y avoir une certaine alchimie. Tout le monde se sent bien avec tout le monde sur le terrain. Nous savons ce que chaque joueur sait faire et nous essayons justement de jouer sur les forces de chacun et c’est le plus important. La mayonnaise est en train de prendre et je pense que cela se voit dans la façon dont nous jouons et surtout dans les résultats. »\\n\\nRappelons toutefois que Charles Kahudi n’est toujours pas de retour avec l’ASVEL même s’il a repris les entraînements. Si les hommes de J.D. Jackson continuent de progresser, les champions de France 2016 seront difficiles à prendre dans quelques semaines.\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Championnats nationaux : le Top 10 de la semaine (3 décembre)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque saison depuis maintenant cinq ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCette semaine, c’est le néo Challandais, Jordan Bahram (VCB Challans, NM1), qui pointe à la première place du classement grâce à un gros contre suivi du dunk d’Emmanuel Monceau.\\n\\n\\nTop 10 CourtCuts FFBB du 3 Décembre 2016 par FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"ABA League : Ante Žižić 43 d’évaluation à 19 ans !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le 4 décembre dernier, l’équipe croate du Cibona s’est imposée 82-71 face à la formation serbe de Mega Leks dans un match comptant pour la douzième journée d’ABA League, la Ligue adriatique de basket regroupant les meilleures équipes des pays de l’ancienne Yougoslavie (Macédoine, Bosnie-Herzégovine, Croatie, Monténégro, Serbie et Slovénie).\\n\\nLors de cette rencontre, l’intérieur Ante Žižić (2,11 m, 115 kg) s’est particulièrement mis en évidence. En 30 minutes de temps de jeu, le petit frère d’Andrija Žižić (ex ASVEL) a marqué 35 points à 13/16 aux tirs (9/13 aux Lancers Francs), capté 12 rebonds et fait 1 passe pour terminer avec un monstrueux 43 (!) d’évaluation, pas mal quand on sait que le jeune Žižić est né le 4 janvier 1997, à Split et n’a donc que 19 ans !\\n\\nLogiquement, il a été le MVP J12 de la ABA League.\\n\\nAu Cibona depuis 2014 après être passé par KK Split et le KK Kaštela, le « gamin » drafté en 23e position par les Celtics de Boston est l’un des meilleurs jeunes européens à son poste. Auteur de 21,2 points (29,5 d’évaluation de moyenne) en 11 matchs d’ABA League et 16,4 points de moyenne sur la scène européenne en Basketball Champions League Ante Žižić est incontestablement un joueur à suivre cette saison.\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Hyères-Toulon : Lucky Jones absent jusqu’en janvier"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Touché au genou vendredi soir lors de la victoire contre Dijon (76-74), l’ailier du Hyères-Toulon Var Lucky Jones (1,99 m, 23 ans) sera absent jusqu’en janvier 2017.\\n\\nVictime d’une entorse au genou, Lucious Jones Junior est mis au repos pour quelques semaines indique le club varois dans un communiqué.\\n\\nEn 11 matchs de championnat, l’Américain tourne à 5,8 points à 36,8% aux tirs, 4,2 rebonds et 1,4 passe pour 8,2 d’évaluation en 21 minutes de temps de jeu."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : Wilfried Yeguete élu meilleur joueur du mois de novembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec un mois presque parfait (trois victoires en quatre matchs de championnat), Wilfried Yeguete (2,00 m, 25 ans) ne pouvait passer à côté de ce titre de meilleur joueur du mois de novembre de Pro A.\\n\\n\\nL’intérieur du Mans a été élu MVP avec 38% des suffrages devant le meneur de jeu américain de Pau-Lacq-Orthez D.J Cooper (32%) et la gachette de Nanterre Spencer Butterfield (30%).\\n\\n\\nAvec une moyenne de 10,8 points à 56% de réussite aux tirs, 9 rebonds, 2 passes et 2,3 interceptions pour une évaluation moyenne de 19,5 en seulement 23 minutes par match. le natif de Pessac s’est notamment distingué lors de la neuvième journée de championnat avec un joli 25 d’évaluation (11 points, 12 rebonds et 4 passes) lors de la victoire contre Dijon.\\n\\n\\nLe Manceau succède au Palois D.J Cooper MVP du mois d’octobre.\\n\\n\\n\\n\\n🏀🏆 L’intérieur français du @MSB_Officiel, @Will15Yeguete, est élu joueur du mois de novembre ! (38% des voix)#JDMLNB pic.twitter.com/MHVzNqP0uu\\n\\n\\n— SFR Sport (@SFR_Sport) 6 décembre 2016\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’Élan Chalon met un géant à l’essai"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Élan Chalon met un joueur à l’essai. Selon le manager du club Rémy Delpon, Zeke Marshall (2,13 m, 25 ans) débarque en Bourgogne. L’Américain est arrivé en Saône-et-Loire et a une semaine pour convaincre.\\n\\nNon drafté à sa sortie d’Akron en 2013 (12,9 points et 7 rebonds de moyenne en Senior), le géant a ensuite connu des championnats de seconde zone comme la Thaïlande, l’Arabie Saoudite où il jouait dernièrement, mais aussi la D-League avec Maine Red Claws, la Pologne, le Liban, la Belgique (4,6 points et 3 rebonds Limburg en 2014/15),\\n\\nSans grande référence, le natif de Pittsburgh tentera de convaincre Jean-Denys Choulet et son staff qu’il est capable d’intégrer un roster de Pro A. Il prendra dans l’effectif la place de Thomas Gipson, libéré par l’Elan il y a quelques semaines. S‘il reste, la raquette chalonnaise sera tout en hauteur avec le dernier arrivé Abdoulaye Loum (2,10 m, ) et la muraille Moustapha Fall (2,18 m).\\n\\n\\n\\n\\nZeke Marshall vient d’arriver pic.twitter.com/dLMAX2wOkf\\n\\n\\n— Remy Delpon (@RemyDelpon) 6 décembre 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Marième Badiane (Mondeville) : une nouvelle étoile dans le ciel français"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est l’une des valeurs montantes du basket féminin français, qui fait désormais partie du groupe France et qui a marqué les esprits en scorant samedi 28 points avec Mondeville contre le Hainaut. Pour donner un ordre d’idée, seules neuf joueuses ont atteint cette saison la barre des 25 points avec un record pour Clarissa Dos Santos (Bourges) avec 28.\\n\\nNée à Brest en 1994, Marième Badiane (1,90m) est la fille de deux basketteurs, Abdoulaye Badiane, un ancien de l’Etendard, et Cathy Silenski, qui jouait dans le club d’à côté, l’Etoile Saint-Laurent.\\n\\nSi après l’INSEP et des titres européens avec les U18 et les U20, une médaille d’argent au Mondial U19, Marième a stationné en Ligue 2 (La Roche et Reims) c’est pour suivre des études en biologie et ce n’est qu’ensuite qu’elle a fait le grand saut en signant l’année dernière à Mondeville. Ceci explique cela.\\n\\n\\nUn cardio d’enfer\\n\\n« Le cap, elle l’a franchi cet été en se préparant très dur, » analyse son coach Romain L’Hermitte sur le site de référence du Calvados, sportacaen.com. « Elle est rentrée très affûtée. C’était un petit nounours l’an dernier. Là, ses bras ne font plus rigoler. Elle a aussi plus de cannes, elle est plus explosive, très gainée. Elle a un cardio d’enfer, au point qu’elle court avec les arrières. C’est rare. »\\n\\nRomain L’Hermitte est son principal avocat. Quand Sportacaen évoque la pré-sélection de sa joueuse avec les Bleues à la mi-novembre, mais aussi le fait qu’elle a finalement été écartée avant les deux matches de qualification pour le prochain Euro, il est direct :\\n\\n« Elle méritait d’être retenue en équipe de France compte tenu de ce qu’elle montre cette saison. Son éviction l’a marquée, mais elle est venue faire deux séances de travail individuel dans la foulée. Elle travaille dur parce qu’elle a envie de progresser.\\n\\nDe son côté Marième porte un regard lucide sur la concurrence, de grande qualité, même si la retraite d’Isabelle Yacoubou fait de la place :\\n\\n« À l’intérieur, c’est bouché, il y a beaucoup de filles. C’était un premier stage et je n’étais pas forcément super à l’aise. Il y avait un peu de stress. Je n’ai pas de regret ni de déception. »\\n\\nLa Mondevillaise souffre de ne pas jouer l’EuroLeague ni même l’EuroCup. Mais son style et ses performances (13,7 pts, 8,5 rbds soit le meilleur chiffre pour une « sélectionnable » et aussi 1,6 interception) vont immanquablement attirer les convoitises."
}, 
{"role": "user",     "content":"A la découverte du phénomène Sekou Doumbouya"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si vous n’avait jamais vu à l’œuvre Sekou Doumbouya (2,05m), cette vidéo est faite pour vous. Vous allez comprendre pourquoi la France, l’Europe et le Monde ont les yeux de Chimène pour ce jeune homme qui fête aujourd’hui même ses 16 ans. Car c’est bien cela qu’il faut avoir en tête quand on voit ce cadet jouer avec les adultes. C’est totalement bluffant.\\n\\nSous la conduite de Tommy Hombert et Loïc David, le Poitiers Basket 86 nous emmène dans son cadre d’entraînement et ce web documentaire bénéficie du renfort de plusieurs photos d’archives. Les images de jeu sont comme d’habitude top qualité.\\n\\n« Avant j’étais fouteux. J’étais très bon au foot. Il y a des clubs qui étaient déjà sur moi. Mais le basket est venu, j’ai essayé, j’ai bien aimé », explique l’intéressé. « J’ai commencé comme pivot. J’avais de bonnes mains, main gauche, main droite. Physiquement, je mettais deux, trois dunks, en matches, aux entraînements. J’avais des contacts aux Etats-Unis, en Espagne. Ils disaient « viens, la formation, elle est mieux ici. On va te donner ça, on va te donner ci ». Il ne faut pas être tenté par les choses comme ça. J’étais jeune, je ne pouvais pas quitter ma famille comme ça. Aller dans un autre pays, ça aurait été trop compliqué pour ma mère. »\\n\\n\\nLes convoitises étrangères\\n\\nAlors, Sekou est entré à l’INSEP. Le démarrage fut difficile car il se blessa à la cheville et se retrouva sur le carreau plusieurs semaines. Mais son niveau monta crescendo et les tentations extérieures refirent leur apparition : high schools et universités américaines, Espagne, Italie, Serbie. Mais c’est à Poitiers et à la Pro B que l’objet de convoitise et son entourage donnèrent leur préférence :\\n\\n« Je voulais rester en France. Orléans, ça ne s’est pas fait car le coach (NDLR : Pierre Vincent) ne me garantissait pas un temps de jeu. La Pro B, c’est un bon tremplin. J’en ai parlé avec mes agents, Bouna Ndiaye et Jérémy (Medjana). Ils en ont parlé avec la fédé. Ils ont décidé de me mettre à Poitiers et j’ai trouvé ça pas mal vu que Evan Fournier était passé par là avant. Rudy (Nelhomme) c’est un coach qui fait confiance aux jeunes. Je suis encore jeune, j’ai besoin de formation et Poitiers c’est très bien pour ça. Mon choix a été vite fait. »\\n\\nDans la vidéo tournée il y a quelques jours, Sekou promettait une médaille à l’Euro juniors et si possible le titre. C’est fait. A titre personnel, il a été élu dans le cinq idéal du tournoi alors qu’il était le plus jeune joueur du tournoi. En club, il a obtenu son plus gros temps de jeu (20 minutes) lors du dernier match contre Saint-Quentin avec 9 points et 3 rebonds. Tout laisse à penser que son impact va augmenter au fur et à mesure de la saison.\\n\\nSon chemin est tracé : à court terme, faire une bonne saison à Poitiers. Puis monter en Pro A ou aller en Europe. Et à long terme, la NBA. Reste à savoir ce que signifie « long terme » pour Sekou Doumbouya."
}, 
{"role": "user",     "content":"Nancy : Thaddeus McFadden en partance pour la Grèce ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Sportando, Thaddeus McFadden aurait reçu une offre du PAOK Salonique pour remplacer Darryl Bryant et serait donc sur le point de quitter l’équipe de Greg Beugnot.\\n\\nSur la sellette en novembre du côté de Nancy, le triple champion de Chypre avait finalement redressé la barre en Pro A pour maintenir sa place de l’effectif d’Alain Weisz, à l’époque entraîneur du SLUC.\\n\\nAprès 13 matchs en France et des moyennes de 13,3 points, 2,4 rebonds et 2 passes décisives (9,6 d’évaluation), l’Américain pourrait poursuivre sa saison en Grèce.\\n\\nPhoto : SLUC Nancy Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"ASVEL – Le Mans: une question de lancers-francs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"14/22, soit 63,6% de réussite du côté de l’ASVEL. Avec 3/6 pour le seul Walter Hodges bien en peine avec son adresse hier soir puisqu’il est ressorti de l’Astroballe avec un calamiteux 1/7 dans les tirs du champ.\\n\\n24/27, soit 88,9 de réussite pour le MSB. Dont 6/6 pour Giordan Watson et autant pour Mouph Yarou, et aussi 9/11 sur le compte de Ryan Pearson de très loin le meilleur marqueur du match (23 pts).\\n\\nLes commentaires d’après-match des acteurs se sont concentrés sur les lancers-francs pour justifier en bonne partie la victoire du Mans sur Villeurbanne, 73-64.\\n\\nJ.D. Jackson, coach de l’ASVEL : « On a raté trop de lancers-francs et eux les ont mis, c’est de notre faute. »\\n\\nDarryl Watkins : « On a pris les mauvaises décisions sur la fin, en forçant certaines situations. Les deux équipes avaient des problèmes de faute mais eux ont mis des tirs difficiles... et leurs lancers-francs. Mentalement, on n’a pas été suffisamment fort dans le dernier quart-temps. »\\n\\nEt encore Ryan Pearson : « On savait que dans un match aussi physique, cela pouvait se jouer aux lancers-francs. Et dans ce secteur, on a fait du bon boulot, on était dans notre routine. »\\n\\nC’est vraiment une question de circonstances car en regardant les chiffres à la loupe on s’aperçoit que Villeurbanne en est depuis le début de saison à 211/283 et Le Mans à 208/278. Ce qui nous donne autour de 74%, le même pourcentage...\\n\\nL’ASVEL possède même en Nicolas Lang (32/34 soit 94,1%) un tireur d’élite, le 4e de Pro A tout juste derrière... Giordan Watson le Manceau (33/35 soit 94,2%).\\n\\nPhoto : lnb.fr"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 23 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nBastien Vautier champion d’Europe U18 avec la France !\\n\\n– Alors que le SLUC Espoirs tentera de décrocher un quatorzième succès en autant de matches ce vendredi après-midi face à Orléans (coup d’envoi à 17h)... Lire la suite.\\n\\n\\nL’infirmerie d’Orléans est pleine avant d’affronter le SLUC Nancy ce vendredi\\n\\n– Affirmer qu’Orléans se déplace à Nancy en boitant est un euphémisme. Depuis quelques journées déjà, Kyle McAlarney (pubalgie), Antoine Mendy (coup au... Lire la suite.\\n\\n\\nSLUC Nancy – Orléans (ce vendredi à 20 h) : À Gentilly, on croit au Père Noël...\\n\\n– Miné depuis le début de la saison par des « absences » incompréhensibles à des moments clés de ses matchs, le SLUC est en état d’urgence. Il mérite... Lire la suite.\\n\\n\\n« Faire plus qu’à Ostende »\\n\\n– Le pivot de la SIG, diablement efficace mercredi soir à Ostende – 11 points, à quatre sur cinq au tir, en quinze minutes –, aborde l’avant-dernier... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nGare à l’embûche de Noël\\n\\n– Repartie victorieuse d’Ostende (65-66), mercredi en coupe d’Europe, la SIG a mis le cap sur Chalon sans repasser par la maison. Face à un Élan en... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne affiche rêvée pour pré-réveillonner au Colisée\\n\\n– Actuellement en pleine bourre, Chalon et Strasbourg se retrouvent pour le dernier match de l’année 2016 au Colisée. Que la fête soit belle... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nGeoffroy Patgis, la bonne pioche\\n\\n– Arrivé à la mi-octobre en provenance de Brest (N3) qui l’avait libéré de sa dernière année de contrat suite à des difficultés financières, sa première... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBasket\\n\\n– L’équipe de France U18 masculins, qui participe au championnat d’Europe à Samsun en Turquie, compte, parmi les douze joueurs qui composent son... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nMontmorot a pris un nouveau départ\\n\\n– Après un début de saison difficile, l’ESM est reparti de l’avant avec le trio Pingliez-Patgis-Fidèle sur le terrain... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSeule la victoire chassera le doute\\n\\n– Sous le choc de la défaite face à Charleville, les Choraliens, privés de Rozenfeld et Cheriet, doivent briser la spirale négative. Un zest d’adresse... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa défaite qui fait mal\\n\\n– Battue par Le Mans, l’Asvel fait une mauvaise opération dans la course à la qualification pour la Leaders cup... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSCB : arrêtez les cadeaux !\\n\\n– Noël arrive mais Saint-Chamond doit faire preuve de moins de largesses pour repartir de l’avant. Après trois défaites de rang, les Couramiauds doivent... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPro A: Le Mans se rapproche de la Leaders Cup\\n\\n– Le Mans a fait un pas décisif vers la Leaders Cup en s’imposant sur le parquet du champion Villeurbanne (73-64), jeudi en match avancé de la 14e journée de Pro A... Lire la suite.\\n\\n\\n» La gestion d’un club de Nationale 1 prépare bien à la Pro B. «\\n\\n– En matière administrative et financière, Paul Seignolle n’a pas eu de mauvaise surprise en franchissant un échelon. D’une saison à l’autre, l’ADA Blois a pourtant changé d’interlocuteur, en quittant le giron fédéral et la FFBB pour rejoindre la Pro B et la Ligue nationale de basket. Si, sur le terrain, la marche est importante, en... Lire la suite.\\n\\n\\nRoberson sera là\\n\\n– Depuis la mi-octobre, le BBD a gagné trois fois à l’extérieur (Vichy/Clermont, Rouen, Roanne), n’a perdu que de deux points à Charleville et n’a cédé à Évreux que dans les dernières secondes... Si l’on vous précise que les Périgourdins marquent en moyenne 87 points en déplacement et qu’Aurélien Salmon – « un vrai bras » dixit Mickaë... Lire la suite.\\n\\n\\nUn cap à tenir\\n\\n– Quelles que soient la discipline et la division, en matière de compétition sportive ce sont toujours les résultats qui font l’ambiance. Et pourtant, comme l’écrivait Rudyard Kipling, le triomphe et la défaite sont « deux menteurs ». D’autant plus que les choses peuvent aller très vite, dans un sens comme dans l’autre. Dominateur... Lire la suite.\\n\\n\\nJulien Dupont, leader naturel des parquets\\n\\n– Son histoire avec son club de toujours, la Berrichonne (avec lequel il a longtemps évolué en N3), fait désormais partie des souvenirs. Le basketteur ne veut même plus en parler. Après une année passée à étriller chaque week-end ses adversaires en Excellence départementale avec son équipe de copains du Poinçonnet, Julien Dupont vit, a... Lire la suite.\\n\\n\\nAlexis Tanghe revient à la maison\\n\\n– Il a raté quatre journées de championnat suite à une blessure aux cordes vocales, mais il a fait son retour, début décembre face à Denain, et il figurait dans le cinq majeur de Boulazac, mardi dernier contre Fos-sur-Mer. S’il affiche une ligne de stats modeste cette saison (5,4 points et 2,7 rebonds de moyenne, Leaders Cup et champion... Lire la suite.\\n\\n\\nObjectif top 20 à l’horizon 2020\\n\\n– L’objectif de l’ADA Blois basket est clairement énoncé\u2009: figurer parmi les vingt meilleurs clubs français à l’horizon 2020. Pour y parvenir, il faudra progresser sur trois fronts. > Les résultats sportifs. Le maintien en Pro B, le plus « confortable » possible est évidemment le premier challenge à relever, afin de s... Lire la suite.\\n\\n\\nAu pied de la montagne\\n\\n– Poitiers – Bourg Privé de Sekou Doumbouya et avec un Mickaël Var très incertain, le PB devra sortir le grand jeu pour vaincre la grosse armada bressane... Lire la suite.\\n\\n\\nC’est le moment d’enchaîner\\n\\n– L’ADA (15 e ) accueille Boulazac (14 e ), ce soir, avant de se déplacer à Rouen (18 e ), mardi. Deux victoires et les Blésois équilibreraient presque leur bilan... Lire la suite.\\n\\n\\nL’ADA continue de se construire\\n\\n– Au-delà des résultats sportifs mitigés de ces dernières semaines, l’ADA Blois basket jette déjà les bases de son futur. Le point avec le président Seignolle... Lire la suite.\\n\\n\\nLa nouvelle vie de Combaud\\n\\n– Le coach de la réserve du Poinçonnet Basket, Julien Combaud, effectue une belle première partie de saison avec son équipe. Il en redemande... Lire la suite.\\n\\n\\nFrank Ntilikina champion d’Europe\\n\\n– L’équipe de France U18 a remporté, hier soir à Samsun (Turquie), le championnat d’Europe en battant la Lituanie en finale (75-68). Le Strasbourgeois... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nHégenheim : les seniors et les cadets victorieux\\n\\n– Samedi après-midi, les cadets du basket-club de Hégenheim se sont rendus à Altkirch pour rencontrer les jeunes de Saint-Georges Carspach... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Montrer ce que l’on a dans le ventre »\\n\\n– Pour son troisième match en cinq jours, la SIG retrouve la Pro A et aura fort à faire ce soir (20 h 45) sur le parquet de l’Elan Chalon, 2e du... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18 : le meilleur de la finale de Frank Ntilikina (31 pts, 7 sur 10 à 3-points)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Plus discret en début de compétition, Frank Ntilikina est monté crescendo et s’est complètement révélé à partir des matches à élimination directe.\\n\\nLe jeune joueur de la SIG a porté sur ses épaules une sélection qui n’attendait plus que de voir son meneur montrer toute l’étendue de son talent. Déjà auteur d’une performance folle en demi-finale face à l’Italie (23 points, 4 rebonds, 9 passes et 5 interceptions), Ntilikina a récidivé en finale face à Lituanie.\\n\\nTranspirant la sérénité, le natif d’Ixelles, en Belgique, a marché sur cette finale en rendant une copie presque parfaite. 31 points (11/16 aux tirs dont un splendide 7/10 derrière l’arc), 4 rebonds et 3 passes décisives. Seule ombre au tableau, les 6 pertes de balle du meneur strasbourgeois.\\n\\nDans le viseur de nombreux -pour pas dire tous- clubs NBA, Ntilikina a assuré sur ce tournoi prouvant qu’on peut compter sur lui quand l’équipe en a besoin à l’image de son trois points face à la Lituanie à deux mètres derrière la ligne pour donner sept points d’avance aux siens, après une possession très mal embarquée, à seulement trois minutes de la sirène finale.\\n\\nPatron de cette sélection U18, le meilleur espoir de la dernière saison de Pro A a parfaitement rempli son rôle de leader et a même été élu MVP du tournoi. Il fait également partie du cinq majeur de la compétition aux côtés de son compatriote Sekou Doumbouya (17,8 points et 7 rebonds de moyenne).\\n\\nSur la compétition, Frank Ntilikina a compilé en moyenne 15,2 points, 2,8 rebonds et 4,5 passes décisives pour une évaluation de 17,2 par match. Un futur très, très grand.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18 : les Français champions d’Europe ; Frank Ntilikina MVP"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Bleuets sont champions d’Europe juniors en ayant gagné leurs six matches dont la finale au détriment de la Lituanie, 75-68.\\n\\nOn savait cette génération exceptionnelle. La moitié de l’équipe appartient à cette fabuleuse armada de cadets champions d’Europe en 2014 à Riga et qui avait gagné ses matches avec une marge moyenne de 26,6 points. Ce sont Elhadji Diawara, Adam Mokoka, Abdoulaye Ndoye, Frank Ntinikina, Bathiste Tchouaffé et Thimothé Vergiat. Elle s’est aussi enrichie d’un phénomène de la nature et qui a plusieurs armes dans son manuel technique, Sekou Doumbouya, naturalisé français il y a quelques semaines.\\n\\nSeulement, les Bleuets étaient aussi privés de trois joueurs a priori majeurs qui n’ont pas été libérés par leurs universités américaines, Killian Tillie –le MVP de l’Euro cadets-, Renathan Ona Embo et Jaylen Hoard. Ça laisse rêveur sur ce qu’ils pourraient produire en juillet prochain au championnat du monde U19 au Caire s’ils sont au complet.\\n\\nAvec les 82 et les 88 dans la légende\\n\\nCette génération « 1998 » apparaît aussi riche que ses deux plus prestigieuses devancières, celle de « 1982 » de Tony Parker et de « 1988 » de Nicolas Batum pour fournir en talents dans quelques années à la fois l’équipe de France A et la NBA.\\n\\nElle a complètement dominé athlétiquement ses adversaires mais il serait ridicule de la caricaturer en disant qu’elle sait juste courir et sauter. Au contraire. Outre ses qualités morphologiques, Frank Ntilikina est par exemple un modèle de QI basket et de sang-froid, et c’est encore plus frappant lorsqu’il à affaire avec des joueurs de son âge que quand il porte le maillot de Strasbourg. Ce jeune homme au visage d’ange est un tueur. En finale, il a été juste monstrueux.\\n\\nQuant à Sekou Doumbouya, tellement plus puissant, tellement plus rapide, qui va fêter ses 16 ans demain et qui est encore neuf dans le basket, son potentiel est juste effrayant. Bathiste Tchaffoué a su monter en puissance pour les deux derniers rounds. Et pour être performant, il faut un pivot qualifié. Le Nancéen Bastien Vautier (2,10m, 13 rebonds en finale) a su assurer comme un grand.\\n\\nDe son côté, le coach Tahar Assed-Liegeon a su aussi faire une vraie équipe de ce joli monde. Même si la réflexion est aussi valable pour leurs adversaires, il n’était pas facile de remobiliser chacun en pleine saison –l’Euro avait été reporté suite à la tentative de coup d’Etat qui s’est produite en Turquie cet été- d’autant qu’il n’y a pas eu à se mettre sous la dent les habituels matches de préparation. Et alors que la génération de Tony Parker avait dû se battre contre un milieu hostile en finale face à la Croatie, à Zadar, celle de Frank Ntilikina s’est produite dans une ambiance feutrée, avec une seule tribune, qui détonne avec ce qui est pour ces jeunes le grand événement de leur carrière. Pas de chance pour les Turcs, eux qui avaient récolté 5 médailles dont deux d’or en 7 éditions, ils ont terminé 12e de celle qu’ils ont organisé.\\n\\nFrank Ntilikina atteint le sublime en finale\\n\\nLe début de la finale fut marqué par la nervosité. Normal. Quelques pénétrations tranchantes et une défense de plomb permirent aux Bleus une première envolée (20-12, 10e). Mais les Lituaniens jamais ne perdirent leurs esprits et Arnoldas Kulboka (28 pts, 8/15 à trois-points) rappela que le shoot est la griffe de l’école de basket de son pays. Ce premier avantage fut annulé avant que la France ne s’en fasse un second sur un panier bonifié de Frank Ntilikina au buzzer (36-28, 20e). La Lituanie avait souffert face au mur français (28,1% de réussite générale aux shoots).\\n\\nC’est dans le troisième quart que Frank Ntilikina (31 points, 11/16 aux shoots dont 7/10 à trois-points) réussit à peu près tout ce qu’il a entrepris. Trente franchises NBA étaient prêtes à lui faire un chèque à sa sortie du terrain ! La France s’offrit jusqu’à quatorze points de crédit (52-38) que l’on croyait décisifs. Pas du tout ! Les Lituaniens cravachèrent et subitement la lumière s’était éteinte en attaque pour les Bleus. 12 à 1. Soit 53-52. Mais jamais les Baltes ne purent passer devant et Frank Ntilikina si rassurant balle en main assura la manœuvre méritant pour le moins le titre de MVP de l’Euro. En attendant encore beaucoup plus.\\n\\nLes résultats de la France :\\n\\nFrance-Russie : 53-48\\n\\nFrance-Slovénie : 81-50\\n\\nFrance-Serbie : 71-68\\n\\nFrance-Bosnie : 75-61\\n\\nFrance- Italie : 82-72\\n\\nFrance-Lituanie : 75-68\\n\\nLa box-score de la finale est ici\\n\\nLes stats finales des Français sont ici\\n\\nLe site de l’Euro U18 est ici\\n\\nAll-Star Five\\n\\nDavide Moretti (Italie), Frank Ntilikina (France, MVP), Sekou Doumbouya (France), Tadas Sedekerskis (Lituanie), Isaiah Hartenstein (Allemagne).\\n\\nLes champions d’Europe\\n\\n\\n\\n\\nNom\\nPrénom\\nDate de naissance\\nTaille\\nClub\\n\\n\\nDESSEIGNET\\nThibault\\n15/09/1998\\n182\\nBourg\\n\\n\\nDIAWARA\\nElhadji-digue\\n03/10/1998\\n205\\nLyon-Villeurbanne\\n\\n\\nDOUMBOUYA\\nSekou\\n23/12/2000\\n202\\nPoitiers\\n\\n\\nFEVRIER\\nIvan\\n08/02/1999\\n202\\nCFBB (Liévin)\\n\\n\\nMOKOKA\\nAdam\\n18/07/1998\\n188\\nGravelines\\n\\n\\nNDOYE\\nAbdoulaye\\n09/03/1998\\n198\\nCholet\\n\\n\\nNTILIKINA\\nFrank\\n28/07/1998\\n196\\nStrasbourg\\n\\n\\nRAMBAUT\\nJules\\n06/04/1998\\n204\\nChâlons-Reims\\n\\n\\nTCHOUAFFE\\nBathiste\\n19/05/1998\\n196\\nNanterre\\n\\n\\nVAUTIER\\nBastien\\n15/11/1998\\n210\\nNancy\\n\\n\\nVERGIAT\\nTimothé\\n07/03/1998\\n190\\nHyères-Toulon\\n\\n\\nWOGHIREN\\nWarren\\n23/10/1998\\n212\\nCholet\\n\\n\\n\\n\\nLes médailles de la France en U18\\n\\nAnnée  Médaille        Repères joueurs\\n\\n1964   Argent          Pierre Galle, Daniel Ledent, Jean-Pierre Staelens\\n\\n1992   Or              Laurent Sciarra, Olivier Saint-Jean, Laurent Foirest, Cyril Julian\\n\\n1996   Argent          Jérôme Moiso, Jo Gomis, Aymeric Jeanneau\\n\\n2000   Or               Tony Parker, Boris Diaw, Mickaël Pietrus, Ronny Turiaf, Yakhouba Diawara\\n\\n2004   Bronze           Johan Petro, Ian Mahinmi, Charles Kahudi\\n\\n2006   Or               Nicolas Batum, Adrien Moerman, Antoine Diot, Alexis Ajinça, Edwin Jackson, Kim Tillie\\n\\n2009   Argent            Evan Fournier, Léo Westermann\\n\\n2016   Or                Frank Ntilikina, Sekou Doumbouya, Adam Mokoka, Bathiste Tchouaffe, Elhadji Diawara"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pas de Erazem Lorbek à Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Reverra t-on Erazem Lorbek (2,08m, 32 ans) à haut niveau ? C’est à démontrer. Le CSP Limoges voulait mettre à l’essai l’ancien joueur de Barcelone mais le journaliste du Populaire Matthieu Marot a indiqué que le Slovène, qui est mal en point physiquement depuis plusieurs mois, n’a pas satisfait aux traditionnels examens médicaux.\\n\\nLe CSP va devoir changer de plan pour trouver un renfort que l’on peut qualifier d’indispensable si l’on se réfère à l’échec subit hier contre Antibes qui a eu des allures de déroute même si le score final ne fut que de 78-73.\\n\\n\\n\\n\\nErazem Lorbek n'a pas satisfait aux examens médicaux et ne portera donc pas le maillot du Limoges CSP cette saison.\\n\\n\\n— Matthieu Marot (@MatthieuMarot7) December 22, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le co-président du Paris-Levallois favorable à la venue de Nicolas Batum"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Tony Parker à l’Asvel, Nicolas Batum sera-t-il le prochain joueur NBA à devenir patron d’un club de Pro A ? La rumeur circule depuis plusieurs mois du côté de Paris-Levallois, et elle a reçu l’aval de Solly Azar, figure historique du club, actionnaire minoritaire et président du Conseil de surveillance de l’équipe francilienne.\\n\\n« Je suis pour à 200% » explique-t-il dans un communiqué relayée par Le Parisien. « Mais, et c’est là le problème à ce jour, je n’ai pas pour l’instant assez d’éléments pour me positionner sur ce projet. Or, en tant que président du Conseil de surveillance je me dois d’avoir tous les éléments en mains afin de valider la pertinence de l’offre. »\\n\\nSelon le quotidien, cette offre serait comprise entre 1 et 1.5 million d’euros, et si le camp Batum rachète les parts de Panames, le groupe d’actionnaire réunis autour d’Azar, le club serait valorisé à près de cinq millions d’euros.\\n\\n« Pour confirmer l’intérêt que nous portons à ce projet, je rappelle que le groupe Panames, et moi-même en particulier, sommes à l’origine des premiers contacts établis avec les représentants de Batum » poursuit-il. « Suite a un récent entretien téléphonique avec l’Agent de Batum, M.Bouna NDiaye il a été convenu que nous nous rencontrerions fin janvier à Miami, car il désirait me présenter ses co-investisseurs américains qui, selon ses dires, souhaiteraient notamment s’assurer que je poursuive dans l’avenir mon rôle au sein du club. »\\n\\nSi cette réunion se passe bien, le PL pourrait donc céder dans quelques semaines un tiers de son actionnariat à l’ailier des Hornets, soutenu par ses agents."
}, 
{"role": "user",     "content":"FC Barcelone : Stratos Perperoglou absent six semaines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme si la saison du Barça n’était pas assez compliquée, Eurohoops rapporte que Stratos Perperoglou sera indisponible pendant six semaines.\\n\\nLe club vit clairement une saison difficile que ce soit au niveau des blessures (Navarro et Claver, entre autres, ont manqué plusieurs semaines) ou même au niveau des résultats puisque la formation catalane ne pointe qu’à la 12e place du classement d’Euroleague (5v-8d). En Liga Endesa c’est tout de même mieux, Barcelone est actuellement 3e d’ACB (9v-3d) mais arrive à laisser filer des matchs comme celui face au Morabanc Andorra d’Andrew Albicy.\\n\\nTouché au genou gauche lors du dernier entraînement avant le départ pour Vitoria, Perperoglou sera donc écarté des parquets pour une durée estimée à un mois et demi.\\n\\nCette saison en Euroleague, l’ancien joueur de l’Olympiakos compilait en moyenne 5,5 points, 2,5 rebonds et 1,4 assist pour une évaluation de 5,2.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18 : la finale France – Lituanie en direct sur Youtube"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La finale de l’Euro U18 entre la France et la Lituanie est à suivre à partir de 18h45 sur Youtube.\\n\\nAlors que les Français ont vaincu tour à tour la Russie (53-48), la Slovénie (81-50), la Serbie (71-68), la Bosnie (75-61) et l’Italie (82-72), les Lituaniens ont aligné la Lettonie (62-50), Israël (94-88), la Russie (82-81) et l’Allemagne (69-62) mais ont perdu en phase préliminaire contre la Bosnie (70-79).\\n\\nLe roster de la France est ici.\\n\\nLe roster de la Lituanie est ici.\\n\\nLes stats de la France sont ici.\\n\\nLes stats de la Lituanie sont ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans est dans le dur avant d’affronter l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Manceaux sont dans le dur. Après avoir cédé à Antarès face à Limoges (71-77), ils ont récidivé en FIBA Champions League devant les Finlandais de Kataja, et lourdement (57-74). À qui la faute ? s’interroge ce matin Ouest France.\\n\\n« On manque de concentration et certains joueurs sont fatigués mentalement. L’enchaînement des matchs devient compliqué, » répond le coach Erman Kunter. Il n’y aurait pas aussi un gros coup de mou physique à l’aube d’un 26e match officiel ? relance le quotidien. « Je ne pense pas. On s’est entraîné une bonne heure et demie mercredi matin et je n’ai pas trouvé les jambes si lourdes que ça. »\\n\\nEn tous les cas, Wilfried Yeguete, jusqu’ici excellent, a obtenu contre le CSP sa plus faible évaluation (5) de tout le début de saison en Pro A. Et il a fait pire encore contre Kataja : -2 avec aucun point et seulement 4 rebonds.\\n\\nAutre sujet d’inquiétude à l’intérieur, Petr Cornelie, qui après sa blessure à l’épaule, n’a pas retrouvé son tonus et qui visiblement n’est pas dans les petits papiers du coach. Il a joué moins de 6 minutes contre les Finlandais et ne met plus un shoot (2-7 contre Nancy, 1-7 contre Limoges, 0-4 contre Kataja). Le manque de confiance est criard.\\n\\nSeule la santé retrouvée du Béninois Mouph Yarou est une bonne nouvelle. Après ses 16 points et 6 rebonds face au Khimik, ses 14 points et 10 rebonds devant le CSP, il a enchaîné avec 15 points et 5 rebonds face à Kataja.\\n\\nLes Manceaux ont sans doute besoin de la trêve pour se régénérer. Seulement, si la Champions League ne reprend que le 4 janvier, ils sont à Villeurbanne ce soir pour le clasico -il existe depuis la saison 1962-63 avec seulement trois ans d’interruption- avant de se farcir lundi Chalon à Antarès. Pas le moment de décramponner alors que rien n’est acquis pour disputer la Leaders Cup."
}, 
{"role": "user",     "content":"Nominée au Panthéon du basket américain, Jacky Chazalon est un mythe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« Son nom est Jacky Chazalon et à l’exception de Jean-Claude Killy, elle est peut-être le sportif français le plus célèbre. » Cette citation date du 28 juillet 1974 et émane du plus réputé des quotidiens américains, le New York Times, sous le titre « Chazalon. La poétesse française du basket-ball ». Etonnant, non ?\\n\\nOn comprend mieux pourquoi Jacky Chazalon vient d’être nominée au prestigieux Hall Of Fame américain de Springfield dans la catégorie internationale, au même titre que Vlade Divac, Toni Kukoc, Dino Radja et encore Nick Galis. Les résultats seront connus en septembre 2017.\\n\\nSes signes distinctifs étaient nombreux : son numéro 10, ses cheveux mi-longs retenus par un bandeau –un hommage au tennisman Björn Borg-, son goût pour le yoga et la méditation, ses tenues un peu hippie, son diminutif « Jacky » plutôt que son prénom Jacqueline, et sa très forte créativité dans le jeu à une époque où le basket féminin était sous le joug austère des Pays de l’Est, principalement de l’URSS. Un concerto de dribbles chaloupés, dans le dos, entre les jambes, de feintes diverses et variées. A distance, Jacky utilisait un tir à deux mains qui partait de la tête, et à trois-quatre mètres un jump shoot élégant et performant. A l’approche du panier, on la voyait parfois sauter d’un pied et déclencher ce qui sera, bien plus tard, le tear drop de Tony Parker. « C’est drôle, mais on remet des gestes à la mode qui étaient dépassés », explique cette septuagénaire à la sagacité jamais démentie. « J’avais constaté que face aux grandes, c’était l’une des seules façons de pouvoir shooter dans de bonnes conditions à 2-3 mètres du panier. A l’époque, on disait que c’était un tir fillette car l’ancienne génération le pratiquait déjà. » Un chat, ce petit format de 1,72m, une virtuose, comme T.P.\\n\\n« Jacqueline Chazalon a une beauté dans tous ses gestes qui la fait remarquer par le profane comme le technicien », jugeait avec finesse son coach en équipe de France comme au Clermont UC, Joe Jaunay. « L’élégance qu’elle a me réconcilie avec le sport féminin », ajoutait avec ce soupçon de machisme qui le caractérisait Robert Busnel, le président fédéral.\\n\\n« D’emblée, j’ai considéré le basket comme un moyen d’expression. Le côté esthétique, spectacle, ça m’allait très bien avec la compétition. C’est que ce j’aimais dans le basket américain de l’époque. Mais jamais au détriment de l’équipe. Mais bien sûr quand tu rates quelque chose d’un peu difficile, on t’en veut un peu plus », sourit Jacky.\\n\\n« Ce que l’on oublie souvent de préciser, c’est que Jacky a travaillé, beaucoup travaillé. C’était une grande bosseuse », nous avait déclaré un jour Edith Tavert. C’est cette ancienne internationale majeure qui avait façonné Jacky et qui, suite à une dispute, l’avait emmenée avec ses équipières de l’AS Montferrand au club d’en face, le Clermont Université Club. Tout le monde dût redémarrer au niveau départemental ! « Notre génération fut la première à rentrer dans le basket de compétition, en acceptant de s’entraîner quatre heures par jour. Avant, à l’époque d’Anne-Marie Colchen et Edith Tavert, c’était deux fois par semaine et donc c’était plutôt du loisir. »\\n\\n« Le CUC écrabouilla le championnat national, enchaînant une série de 125 victoires d’affilée puis une autre de 222 ! »\\n\\n\\nBasketteuse du XXe siècle\\n\\nJacky a toujours eu beaucoup de reconnaissance pour Edith Tavert –« une femme formidable »- qui lui a donné d’emblée à s’occuper des minimes du club, des rangs desquelles sortiront Cathy Malfois, meilleure joueuse française de sa génération, et aussi Cathy Chenevoy, la maman de la Berruyère Paoline Salagnac.\\n\\nJacky s’est aussi très fortement inspirée du basket masculin, notamment de ce fou volant génial des années soixante-dix, Julius Erving, alias Doctor J. Souvent elle s’est entraînée avec les Américains du Stade-Clermontois, de la JA Vichy ou avec des cadets. « Il y avait une grande différence de niveau avec nous car ils étaient déjà grands et musclés, mais Jaunay avait compris qu’il fallait que l’on se confronte aux hommes. A l’époque, en France, il n’y avait pas d’équipes de notre niveau, donc pas d’adversité. Quand on me disait : « tu joues comme un garçon », c’était le plus grand compliment que l’on pouvait espérer », rit elle.\\n\\nJoe Jaunay et le docteur Michel Canque, président du CUC, eurent l’idée de rassembler la plupart des internationales françaises au sein du même club. Les effets positifs se firent ressentir dès 1970 avec une place en finale de l’Euro ; une colossale surprise car précédemment la France végétait dans les bas fonds européens. Au CUC s’installèrent Elisabeth Riffiod, meilleure pivot de sa génération, future maman de Boris Diaw, Irène Guidotti, sorte d’alter-ego de Jacky Chazalon, et encore François Quiblier, maman des sœurs Elodie et Géraldine Bertal. De 1968 à 1981, les Demoiselles du CUC, comme on les appelait, récoltèrent 13 titres de champion de France et surtout se hissèrent 5 fois en finale de la Coupe d’Europe des Clubs Champions, l’équivalent de l’EuroLeague. « Nous avons eu une période très glorieuse que nous devons, je crois, à l’association de deux génies du basket. L’un le manager entraîneur Joe Jaunay, qui est certainement l’un des maître du basket mondial, extrêmement moderne dans ses conceptions, et une joueuse que l’on a qualifié de l’une des meilleures du monde, Jacky Chazalon », déclara le docteur Canque.\\n\\nD’un côté le CUC écrabouilla le championnat national, enchaînant une série de 125 victoires d’affilée puis une autre de 222 ! De l’autre, il butta en finale européenne sur le Daugava Riga de la géante Ouliana Semenova et ses 2,20m. « C’était impossible de gagner. Les Soviétiques dominaient tellement le basket mondial qu’elles auraient quasiment pu aligner cinq équipes qui auraient pris les cinq premières places d’un Championnat d’Europe ou d’un Championnat du Monde », estime Jacky. « Les Bulgares, les Roumaines, les Tchèques, les Yougos étaient aussi parmi les meilleures. Les Américaines n’étaient pas encore au top. Quand on a joué les universités américaines là-bas avec le CUC, on a gagné tous nos matches. »\\n\\nTout cela est d’un autre siècle, lorsque un rideau de fer hermétique séparait l’occident des pseudos démocraties populaires. « J’avais quand même deux, trois amies mais il y avait toujours un commissaire de la République dans leur groupe et elles étaient surveillées. C’était mal vu de parler avec nous. Ca m’est arrivé de rencontrer Bazarevitch à l’aéroport de Moscou, entre deux avions, elle se cachait. »\\n\\nDavantage encore que le masculin, le basket féminin était peu chiffré, mal renseigné. Tout juste sait-on que Jacky a scoré 42 points lors d’un France-Hongrie amical, en mars 1970, gagné 76-32. Elle aurait aussi marqué 55 points lors d’un match du championnat de France. Plus explicite : elle a tourné à 19,3 points de moyenne à l’Euro 1970 et à 18,9 points deux ans plus tard.\\n\\nPas davantage de référendum européen puisque celui de la Gazzetta dello Sport, la référence, n’est apparu qu’en 1979. « On disait souvent de moi que j’étais parmi les meilleures joueuses du monde mais personne ne pouvait le vérifier. » Seule véritable certitude : Jacky Chazalon a été élue Basketteuse Française du XXe siècle par un collège d’experts réunis par le mensuel Maxi-Basket. Côté masculin, c’est Alain Gilles qui fut plébiscité et, clin d’œil du destin, elle avait avec le Villeurbannais un lointain cousinage.\\n\\nAutres lauriers à son actif, Jacky fut la première Française a être introduite en 2009 au Hall of Fame de la FIBA, dans la même promotion que l’un de ses modèles, Oscar « Big O » Robertson.\\n\\n« Jacky Chazalon fut au moins aussi célèbre que Céline Dumerc après ses exploits olympiques »\\n\\n\\nUn jubilé en direct\\n\\nLes prouesses de Jacky Chazalon s’achevèrent dès l’âge de 31 ans. Il lui fallait penser à sa reconversion. Elle n’a jamais monnayé son talent. « Simplement, on avait des appartements payés. Et puis Jaunay a imité le modèle russe. Il nous a eu des postes au ministère des sports avec un salaire minimum. On ne travaillait quasiment pas. J’ai été prof de sport pendant cinq ans au lycée Jeanne d’Arc à Clermont, mais je ne suis pas certaine d’avoir exercé jusqu’au bout », essaye t-elle de se remémorer. Le grand argentier du football Jean-Claude Darmon voulu lui dénicher des sponsors mais Jacky lui rappela que c’était impossible puisqu’elle était... amateur. Et à l’époque, on ne plaisantait pas avec ce statut olympique.\\n\\nIl reste les titres et la gloire. Immense. Difficile même à imaginer pour ceux qui n’ont pas connu les années soixante-dix. Jacky Chazalon fut au moins aussi célèbre que Céline Dumerc après ses exploits olympiques. Ainsi une partie de la première mi-temps et toute la seconde de la première finale européenne contre Riga, en 1971, fut télévisée en direct. Et c’est toute la France profonde qui regardait la première chaîne. Les reportages dans les Journaux Télévisés duraient parfois cinq minutes et lorsque les méthodes de l’entraîneur autrichien Eric Biermaier, qui avait succédé à Jaunay, furent critiquées, le JT de nuit du 13 avril 1974, titra « la crise du CUC ». Et c’est forcément Jacky qui était interviewée. Le plus extraordinaire peut-être : Jean Raynal, le journaliste basket de l’ORTF de l’époque, lui demanda d’organiser une rencontre entre des hommes et des femmes. Jacky s’était retirée depuis un an et ce match de gala fut son jubilé. Il fut télévisé en direct et en intégralité avec en apéritif un concours de lancers-francs et un autre de dribbles avec notamment un face à face Gilles-Chazalon que Jacky gagna à l’applaudimètre !\\n\\nLes demoiselles du CUC eurent droit à plusieurs pages dans Paris Match, les magazines féminins comme Femmes d’Aujourd’hui et Bonne Soirée, et Jacky tout spécialement à une Une de L’Equipe où on la voit passer sous les bras de la géante Semenova. Cette photo frappa toute une génération de lecteurs du quotidien sportif. « Mon nom était reconnu en France. Lorsque je suis allé récemment dans une pharmacie à Paris, on m’a dit, c’est vous Jacky Chazalon ? Mais mon visage était moins connu que ceux des skieuses. »\\n\\nA Clermont où 5 000 spectateurs s’entassaient dans la Maison des Sports pour les joutes européennes et où il y avait parfois du marché noir, les Cucistes étaient des « vedettes », comme on disait, et Jacky en était la reine. Mais les images télévisées en noir et blanc nous renvoient une jeune femme bien sage. « On était timides... Quand je vois Tony et Boris répondre aux journalistes, je me dis qu’on était des enfants de chœur à l’époque. »\\n\\nCette notoriété, Jacky s’en est tout de même servie pour faire connaître les camps Sports Elite Jeunes créés avec son pote l’Américain Carmine Calzonetti. Et sa deuxième vie fut aussi réussie que celle de sportive. « J’en suis assez fier. C’était le premier camp de basket, de foot, de rugby, et de golf pour les jeunes. » Vincent Collet en fut l’un des stagiaires avant plus tard d’en être moniteur. « Je l’ai fait évoluer et j’ai trouvé un repreneur car c’était une activité rentable en phase avec l’activité du moment. »\\n\\nJacky fut aussi très active au sein du club des internationaux dont elle fut huit ans la présidente, imaginant des vidéos qui circulent sur le web, des trading cards, et multipliant par dix le fichier original de quarante noms et adresses.\\n\\nLes demoiselles du CUC sont encore souvent regroupées –elles ont ainsi fêté les 80 ans du Docteur Canque décédé récemment- car elles ont « vécu ensemble des moments exceptionnels. » Valérie Garnier, la coach des Bleues et de Bourges, a reconnu que Jacky Chazalon fut son modèle. Ce n’est pas un cas isolé. Les Clermontoises et tout spécialement leur chef de file furent à l’origine de nombreuses vocations et leur médiatisation explique le boom des licenciées de cette époque. Davantage encore qu’une sportive d’exception, Jacky Chazalon est un mythe.\\n\\nArticle paru dans Basket Hebdo en 2015"
}, 
{"role": "user",     "content":"Poitiers : Youssoupha Fall (2m21) raconte sa vie de géant"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Poitiers Basket 86 a réalisé une vidéo sur son géant Youssoupha Fall, listé à 2,21m sans chaussures et qui est là annoncé à 2,23m, probablement avec.\\n\\nLes images sont très spectaculaires et apportent la preuve que Youssoupha Fall possède un corps superbe et qu’il est incroyablement délié pour un homme de sa taille. Il lève aussi un voile sur sa vie de géant de tous les jours.\\n\\n« Les grands comme moi, quand on marche dans la rue, on est interpellé. Vous mesurez combien ? Des questions comme ça. Mais moi dans ma tête, je me dis que c’est normal. Je me dis que si j’étais petit comme la majorité des gens et si j’avais vu quelqu’un d’aussi grand que moi, j’aurais été ébahi. C’est normal, je me mets à leur place. C’est juste au début que c’était difficile quand je grandissais. Maintenant, j’ai assimilé, c’est bon. »\\n\\nQuant à ses objectifs, le Sénégalais est clair : pas question de brûler les étapes :\\n\\n« Ce que je faisais en espoir, je suis capable de le reproduire à Poitiers en pro ! (...) Je veux d’abord dominer la France et après parler d’autre chose. »\\n\\nIl est bien parti car pour sa première vraie saison professionnelle et après 11 matches, en 20 minutes de moyenne, il tourne à 12,3 pts avec une rentabilité maximale (67,5% de réussite aux tirs) plus 8,2 rbds et 1,2 ctr."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les highlights de Frank Ntilikina contre l’Italie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un joueur de 18 ans qui est backup dans l’une des meilleures équipes de Pro A et annoncé par certains spécialistes au top 5 de la prochaine draft NBA est forcément très bon. Face à l’Italie, en demi-finale de l’Euro, Frank Ntilikina (né le 28 juillet 1998) a été carrément excellent et sa cote est au Zénith.\\n\\nCes highlights prouvent que le meneur strasbourgeois de grande taille (1,96m) peut shooter de n’importe où avec un défenseur sur le râble, temporiser, accélérer, délivrer des passes au cordeau, intercepter, faire des dribbles chaloupés pour traverser tout le terrain, dunker, capturer les rebonds, défendre –ah ! ses bras-. Bref, tout faire.\\n\\nD’ailleurs ses stats en attestent : 23 points (8/11 aux shoots dont 4/4 à trois-points), 4 rebonds, 9 passes, 5 interceptions pour 38 d’évaluation."
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : la SIG au bout du suspense à Ostende"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le cadre de la 10e journée de Champions League, Strasbourg se déplaçait à Ostende et au terme d’un match qui aurait très bien pu tourner à l’avantage des Belges, qui avaient le ballon de la gagne entre les mains, les Strasbourgeois ont finalement enregistré une septième victoire (66-65) en BCL, pour deux défaites.\\n\\nMeilleur joueur du match avec son évaluation de 18 (16 points, 8 rebonds, 2 passes et 2 interceptions), Romeo Travis a amené les siens tout droit vers une victoire importante dans la course à la première place du groupe D, toujours détenue par Tenerife (8v-2d). La boxscore du match est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nVincent Collet est revenu sur cette très courte victoire en conférence de presse.\\n\\n« Je pense que nous avons eu un peu de chance car ils auraient pu gagner, ils avaient la possession pour l’emporter. Mais nous sommes contents de cette victoire même si à la fin du match la manière n’y était pas. »\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Après sa victoire en Coupe d’Europe, Monaco pense déjà à Pau"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la 10e journée de Champions League, Monaco recevait les Danois d’Arhus et les hommes de Zvezdan Mitrovic l’ont emporté 105 à 86.\\n\\nMenés par un Dee Bost à 25 points, 2 interceptions et 5 passes décisives, les Monégasques ont fait le job pour garder leur place de leader du groupe A de BCL (neuf victoires pour une seule défaite). La boxscore du match est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nL’entraîneur de l’ASM est revenu sur ce succès en conférence de presse d’après match.\\n\\n« Nous avons joué il y a deux jours, nous jouons dans deux jours (vendredi) et nous avons donc joué ce soir. Pour moi c’est compliqué de préparer l’équipe à jouer autant de matchs. Ce match face aux Bakken Bears est assez similaire au match aller, en première mi-temps nous avons quelques problèmes et en deuxième nous jouons bien. C’était compliqué car les cinq joueurs restaient derrière les trois points mais nous avons bien joué en défense, nous avons commencé à courir et avons pu nous offrir des contre-attaques et de beaux dunks, ce qui a pu faire plaisir au public. Nous sommes contents de cette victoire qui nous offre deux points de plus pour toujours être à la première du groupe A. »\\n\\nLe technicien monténégrin a également évoqué le match de vendredi face à Pau.\\n\\n« Contre Orthez, cela sera un match difficile. Ils jouent un très bon basket, bien menés par D.J. Cooper, qui était avec nous l’année dernière. Nous devons préparer ce match mais nous n’avons qu’un seul jour pour le faire. Demain (jeudi) nous allons regarder les vidéos, faire des analyses et travailler sur le terrain donc c’est assez intense. Nous ne pouvons donc pas faire notre travail à 100%, regarder les vidéos, analyser les choses en si peu de temps contrairement à la saison dernière quand nous avions sept jours pour le faire. Mais nous devons être prêts. »\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 22 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nSi les joueurs espagnols ne sont pas légion dans le championnat depuis dix ans, la Pro A s’est ...\\n\\n– Si les joueurs espagnols ne sont pas légion dans le championnat depuis dix ans, la Pro A s’est souvent tournée vers les pays de l’ex-Yougoslavie pour... Lire la suite.\\n\\n\\nPro A : SLUC Nancy – Orléans (vendredi à 20 h) aura un léger accent espagnol\\n\\n– Ce vendredi à Gentilly (20 h), Alex Urtasun retrouvera son compatriote Carlos Cabezas, meneur à Orléans. Un petit événement tant les joueurs espagnols... Lire la suite.\\n\\n\\nLe film du match\\n\\n– Dure en défense mais en panne d’adresse de l’autre côté du parquet, la SIG laisse Ostende prendre les devants (5-2, 4e ’). Dans ce désert offensif... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nEuro moins de 18 ans\\n\\n– Hier soir, à Samsun (Turquie), Frank Ntilikina a pris les choses en main pour propulser l’équipe de France des moins de 18 ans en finale de l’Euro. Le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFrayeurs inutiles\\n\\n– En tête la majeure partie du match, la SIG est parvenue à se compliquer bêtement la vie dans les derniers instants, hier à Ostende. Mais l’essentiel... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Gravelinois ont pris une bûche avant Noël...\\n\\n– « Cette défaite nous condamne à gagner tous les autres, lâche l’intérieur Myles Hesson, laconique. Je suis très déçu. » Il peut, car les Gravelinois ont perdu le fil dans le deuxième quart-temps (31-15!) alors qu’ils avaient bien démarré, lancés par leur régulier intérieur. Adroits, notamment à 3points (4/4 dans le premier quart dont deux de Gibson), ils sem... Lire la suite.\\n\\n\\nPour l’ESBVA-LM, c’est sans doute un deuxième championnat qui commence!\\n\\n– « Si on a un minimum de fierté personnelle et que l’on veut se faire pardonner auprès de nos supporters qui avaient fait le voyage en nombre à Paris pour assister à... notre première défaite de la saison (67-63), alors il se pourrait que l’on montre un beau visage face à Mondeville...» Voilà pour les propos d’avant match de Frédéric Dusart, l’entraîneur villeneuvois. Coach qui n’a pas oub... Lire la suite.\\n\\n\\nToujours intraitable, l’Elan gagne et avance sereinement\\n\\n– En Coupe d’Europe, l’Elan ne fait plus de détails dans cette 2e phase. Après avoir écrasé Mures (101-65), Chalon s’est imposé de 23 points, mardi, à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes filles en or, les garçons en argent\\n\\n– Pendant trois jours à Orléans le comité du Loiret a réuni plus de 400 joueurs et joueuses issus des 4 régions zone centre. La Loire, présente sur les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBasket LF2\\n\\n– Les supporters spécialistes du BCMF nous les ont réclamées ce début de semaine concernant la défaite des Montbrisonnaises à Reims. Au terme d’un «... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFos-sur-Mer toujours plus haut\\n\\n– Fos-sur-Mer marche sur l’eau comme il vient de marcher sur le Palio de Boulazac... Boulogne, Saint-Chamond et Rouen ferment la marche... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond en zone rouge\\n\\n– Alors qu’une réaction était attendue, les Saint-Chamonais ont sombré un peu plus face à Boulogne-sur-mer. Le signal d’alarme est tiré pour une équipe... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL a fait preuve de caractère\\n\\n– La JL a joué avec le feu mardi contre Aix. Si cette victoire collective ne peut que renforcer le groupe, l’équipe avait aussi beaucoup à perdre... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nOctavio Da Silveira a changé de partition\\n\\n– Ayant côtoyé le haut niveau, l’ancien espoir de l’Asvel ne veut plus en entendre parler. Mais il reste très performant avec Pont-de-Chéruy... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLyon touche le fond\\n\\n– Les Lyonnaises, totalement hors du coup, ont concédé leur sixième défaite consécutive. Elles passeront les fêtes en se posant beaucoup de questions... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa jeunesse n’excuse pas tout\\n\\n– Roanne a offert un cadeau à Charleville. Laurent Pluvy assume et protège son groupe mais ses joueurs ont failli. Jeunesse et manque de vécu... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nJD Jackson, coach apaisé\\n\\n– Enfin sacré la saison dernière avec l’Asvel après deux finales perdues avec Le Mans, le coach franco-canadien (47 ans) apparaît renforcé depuis le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPourquoi revenir au Cest ?\\n\\n– Claire Longomba et Éloïse Pacault répondent\u2009: « L’argent\u2009! (rires). C’est surtout que nos projets professionnels ne se sont pas enchaînés comme prévu. On dispose donc de temps, contrairement à ce que l’on avait imaginé en août. Le club nous a sollicitées après la défaite contre Limoges. On a accepté... Lire la suite.\\n\\n\\nFlorent Tortosa a rejoué\\n\\n– Il n’avait joué qu’une petite minute cette saison – mi-septembre à Rouen, en Leaders Cup – il a fait son retour, trois mois plus tard à Nantes... Même s’il n’a pas vraiment pesé sur le cours de la rencontre, Florent Tortosa avait le sourire, mardi soir\u2009: « Physiquement, j’étais très bien. J’avais beaucoup d’adrénaline, peut-être même un peu... Lire la suite.\\n\\n\\nBoulazac, dès vendredi\\n\\n– Pas besoin de grand discours pour fixer l’enjeu du match qui opposera l’ADA à Boulazac, vendredi au gymnase Saint-Georges. Il suffit de rappeler que les deux équipes présentent le même bilan (4 victoires, 7 défaites), ce qui les situe juste au-dessus de la zone rouge. Mardi soir, dans leur salle du Palio, les joueurs d’Antoine Michon ont t... Lire la suite.\\n\\n\\nBourg ne veut pas rater l’acte II\\n\\n– Poitiers – Bourg Après avoir échoué dans sa tentative de remontée immédiate, la JL compte aller au bout de ses ambitions cette saison et s’est armée pour... Lire la suite.\\n\\n\\nSe maintenir avant tout\\n\\n– Le Cest occupe la 9 e place et a un pied dans la zone rouge. Président et coach reviennent sur ces débuts difficiles et évoquent l’avenir, qui devrait sourire... Lire la suite.\\n\\n\\nDeux de suite, c’est une première\\n\\n– Poitiers vendredi dernier, Nantes avant-hier\u2009: les Blésois viennent d’enchaîner deux victoires. De quoi réchauffer l’ambiance en ce début d’hiver... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Rodrigue Beaubois propulse Vitoria vers la victoire face au Barça"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il fut un temps, pas si lointain, où le choc entre Vitoria et Barcelone, aurait penché largement en faveur du club catalan. Mais actuellement douzième seulement, le Barça débarquait chez le Baskonia dans la tunique de l’outsider. Et pour cause, malgré un très bon Tyreese Rice (15 points, 8 passes), c’est bien Vitoria qui a réussi à s’imposer. Derrière un Rodrigue Beaubois (19 points) retrouvé au retour des vestiaires, l’équipe de Sito Alonso a réalisé une grande deuxième mi-temps et confirme sa place dans le Top 5 du classement Euroleague.\\n\\n\\nUne bâche de bienvenue pour Pablo Prigioni\\n\\nSur leur parquet, les joueurs de Vitoria se prennent les pieds dans le tapis. Ils encaissent un 9-0 initial et il leur faudra attendre quasiment cinq minutes avant d’inscrire leurs premiers points, sur un layup de Tornike Shengelia. Le Baskonia rentre 9 points sur les 10 premières minutes du match (à 4/14 aux tirs), traînant logiquement après le premier quart (16-9).\\n\\nSans inspiration, et surtout sans mouvement collectif (avec ou sans ballon d’ailleurs), les coéquipiers du revenant, Pablo Prigioni, se cassent les dents sur la défense catalane, avec Joey Dorsey qui ne se prive pas de bâcher violemment l’ancien des Rockets. Heureusement, un bon passage de Beaubois permet à Vitoria de limiter la casse à la pause (24-30). Mais on est bien dans un duel à l’étouffée, avec deux équipes qui ont posé les barbelés en défense...\\n\\n\\nLe réveil de Rodrigue Beaubois\\n\\nToujours muets derrière l’arc à la pause (0/10), Vitoria trouve enfin la clé grâce à Rodrigue Beaubois, un signe avant-coureur pour la suite du match. Car si le duel entre Petteri Koponen (13 points) et Beaubois (19 points) bat son plein en 3e quart ; le premier enchaînant les paniers en sortie d’écran alors que le second trouve finalement l’adresse après s’être vengé au contre également. On sent les Basques retrouver leur grinta, à l’image de ce coast to coast d’Adam Hanga. Menée de 11 points, Vitoria revient de loin en troisième quart. Tyreese Rice inscrit un trois points après un magnifique stepback mais Rafa Luz file au layup juste au buzzer (45-42).\\n\\nLe décor est planté pour un finish européen comme on les aime. Ante Tomic (18 points) continue de se balader dans la peinture face à Voigtmann ou Diop. Juan-Carlos Navarro salement en travers, c’est bien Tyreese Rice qui prend les commandes en fin de match. Il inscrit un trois points pour relancer les siens, mais son adversaire direct, Shane Larkin n’est pas en reste avec deux bombes dans le crunch time. Beaubois conclut ensuite l’affaire aux lancers. Victor Claver hérite d’un ultime tir pour l’égalisation mais se rate. Beaubois gobe le rebond et finit MVP de la partie avec ses 19 points.\\n\\n\\n\\n\\n🎥| Hau bai bikotea! @ktillie eta Beaubois 💪, bikain talde 👏👏#BKNFCB #GoazenBaskonia pic.twitter.com/rJ9Fs0MSPy\\n\\n\\n— Baskonia (@BaskoniaEUS) December 21, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Alessandro Gentile : «C’était un rêve pour moi»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alessandro Gentile a récemment rejoint le Panathinaïkos et il est arrivé à Athènes mardi. A peine descendu de l’avion, l’ailier italien s’est exprimé à la presse grecque, comme le rapporte Eurohoops.\\n\\n« C’était un rêve pour moi. C’est incroyable de revenir ici après tant d’années. J’espère pouvoir suivre les traces de mon père. Je suis prêt à tout donner pour l’équipe, aider étape par étape. »\\n\\nQuant à son futur, l’ancien Milanais a clairement annoncé qu’il souhaite prolonger l’aventure avec le Pana après cet été.\\n\\n« J’ai eu assez d’expérience, de victoires et de titres avec Milan. C’était le moment de changer, j’ai trouvé le bon moment et le bon endroit pour prendre un nouveau départ. Je suis fan du Panathinaïkos depuis mon enfance. Je veux être ici plus que six mois. J’ai un contrat avec Milan, mais bien sûr je veux rester ici longtemps. Nous parlerons de ça cet été. »\\n\\nCette saison en Euroleague, le double champion d’Italie compilait en moyenne 10,8 points, 3 rebonds et 2,4 passes décisives pour une évaluation de 9,4. En Serie A, l’ancien joueur de Trévise tournait en moyenne à 9,5 points, 3,9 rebonds et 3,2 assists, cette saison."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18 : la France en finale !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vainqueur de l’Italie en demi-finale sur le score de 82-72, la France accède à la grande finale de l’Euro U18.\\n\\nMalgré un match en dents de scie, les Bleuets s’imposent face à de valeureux Italiens qui n’ont lâché prise que dans le deuxième quart-temps, remporté 28-12 par les Français.\\n\\nCette deuxième période aura été marquée par l’agressivité défensive très importante des joueurs de Tahar Assed-Liegeon qui étaient également appliqués en attaque à l’image de Frank Ntilikina, auteur d’une belle interception suivie d’un gros dunk en contre-attaque à quarante secondes de la pause, qui compilait déjà 15 points et 6 assists (26 d’éval) à la mi-temps.\\n\\nAu retour des vestiaires, les Français ne continuent malheureusement pas sur leur lancée et se font rattraper par la formation italienne qui se rapproche à 8 longueurs (48-56) à la fin du troisième quart-temps sur un tir à trois points complètement fou de leur shooteur Davide Moretti (16 points au final à 5/9 à 3pts) au buzzer.\\n\\nDans le quatrième quart-temps les Italiens continuent de mettre la pression pour revenir à seulement 4 points des Bleuets (64-60) avant de se refaire distancer par les tricolores sans vraiment les inquiéter.\\n\\nMeilleur joueur du match, Ntilikina a parfaitement mené les siens vers la victoire. Le meneur de la SIG termine la rencontre avec un excellent 38 d’évaluation en compilant 23 points, 4 rebonds, 5 interceptions et 9 passes décisives.\\n\\nLes Bleuets ont donc rendez-vous avec la Lituanie demain à 18h45 pour la finale de ce Championnat d’Europe U18.\\n\\nLa box score est ici.\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague :  grosse embrouille entre Bobby Dixon et Scottie Wilbekin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La rencontre 100% turque entre Darussafaka et Fenerbahce a failli dégénérer puisque Bobby Dixon a carrément essuyé sa tête sur le visage de Scottie Wilbekin."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le All-Star Game de la LNB à nouveau à guichets fermés"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Ligue Nationale de Basket vient d’annoncer que le All-Star Game 2016 se jouera pour la 14e fois consécutive à guichets fermés. L’AccorHôtel Arena fera donc le plein de ses 15 802 places disponibles.\\n\\nEn 2002, la LNB avait choisi de faire jouer systématiquement son All-Star Game à Paris-Bercy du fait que les dernières éditions en province n’avaient pas rencontré un franc succès populaire. L’équipementier Nike et la société Sport Plus Conseil avaient alors imaginé un show sur le modèle de celui de la NBA. Les joueurs avaient aussitôt retrouvé une motivation qui n’existait plus depuis quelque temps.\\n\\nSeule la première édition à Paris ne s’était pas déroulée à guichets fermés.\\n\\nLe All-Star Game LNB n’a pas qualitativement et en terme de spectateurs d’équivalent en Europe."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : l’exploit de la 11e journée pour Charleville-Mézières"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Leaders incontestés de Pro B, les Fosséens sont allés chercher un 11e succès en 11 matchs du côté de Boulazac (65-83) qui n’y arrive décidément pas à domicile (une victoire en six matchs au Palio). Les « Black&Yellow » ont ainsi pris leur revanche sur la rouste reçue la saison passée (avec le même effectif à 70%) lorsqu’ils s’étaient inclinés 96-50, pire défaite de l’histoire du club provençal.\\n\\n\\nFos Provence Basket mène donc un rythme infernal en tête de Pro B, mais reste suivi de près par l’Etoile de Charleville-Mézières (9v-2d) qui a signé l’exploit de la soirée en allant s’imposer sur le fil 74-76 à Roanne, meilleure attaque du championnat avec 88 points de moyenne par match avant cette rencontre.\\n\\nEmmenée par l’épatant meneur islandais Martin Hermannsson, MVP du match (17 pts, 7pds), l’Etoile a renversé la situation dans les derniers instants en terminant la partie par un incroyable 8-0 alimenté par trois autres hommes forts de cet effectif : Mohamed Koné, Simas Buterlevicius et Jordan Fouse. Koné (vainqueur des Playoffs avec Le Portel la saison dernière), et Simas Buterlevicius dans le corner (sur une passe de Hermannsson), ont fait parler leur adresse et leur sang-froid à 3 points, tandis que Fouse (3e meilleure éval de l’équipe depuis le début de saison devant Wilbert Brown) a offert le panier de la gagne à ses coéquipiers dans les dernières secondes au terme d’un match de haut niveau qui a compté 31 changements de leader.\\n\\n« C’était un vrai bras de fer, a concédé l’entraîneur carolo-macérien Cédric Heitz après la rencontre. Notre challenge ce soir était de montrer qu’on était capable de faire baisser les pourcentages de Roanne qui sont exceptionnels, il faut le dire. Ce qu’ils font actuellement en attaque, c’est du très haut niveau. Et sur point, on a vraiment obtenu de bons résultats en terme de stops défensifs (...). C’est une performance exceptionnelle à l’extérieur. Le groupe est vraiment formidable, on vit un beau moment. On espère pouvoir le faire durer, mais c’est toujours difficile car la Pro B est tellement homogène, tellement incertaine que c’est difficile de garder son niveau d’un match à l’autre. On a su donner le dernier coup de rein qu’il fallait. Pour nous c’est formidable » a poursuivi l’entraîneur sélectionné comme assistant de la sélection française au All Star Game LNB.\\n\\nCitées parmi les favoris en début de saison avec Bourg-en-Bresse, les Roannais enregistrent pour leur part un 4e revers consécutif. Mais pour Mohamed Koné, l’un des héros de la fin de match (13pts, 9rbds), la Chorale va se relever de cet échec.\\n\\n« Ce soir on a tenu jusqu’au bout, mais ce n’est que le début de championnat. On sait que la Chorale est une équipe forte et qu’ils vont revenir forts en deuxième partie de saison et en Playoffs. J’espère qu’ils vont se ressaisir. Nous, on est la petite équipe, on essaye de venir prendre des matchs. Prendre celui là était très important » a confié l’intérieur de l’Etoile, assurant également ne pas s’intéresser à la deuxième place de son équipe au classement pour l’instant.\\n\\nLe rythme d’enfer se poursuit en Pro B à l’occasion de ces journées de noël puisque les 18 équipes seront à nouveau sur le pont dès vendredi. Au menu, l’ALM Evreux de Laurent Sciarra qui reste sur deux victoires de rang va tenter de faire tomber le leader fosséen à Jean Fourré. Charleville-Mézières recevra une équipe nantaise qui devra se racheter de son revers à domicile contre le promu Blois. Toujours à la maison, Roanne aura la délicate mission de se relancer face à Denain. A suivre également Poitiers qui recevra Bourg-en-Bresse, 3e à égalité avec des Lillois qui se rendront quant à eux du côté du Havre.\\n\\nLes réactions du coach roannais Laurent Pluvy et Clément Cavallo à écouter ici : https://soundcloud.com/activradio\\n\\nLes résultats de la 11e journée\\n\\nBoulazac – Fos-sur-Mer : 65-83\\n\\nBourg-en-Bresse – Aix-Maurienne 90-89\\n\\nDenain – Evreux : 65-75\\n\\nLe Havre – Saint-Quentin : 81-74\\n\\nLille – Vichy-Clermont : 75-71\\n\\nNantes – Blois : 70-73\\n\\nRoanne – Charleville-Mézières : 74-76\\n\\nRouen – Poitiers : 71-79\\n\\nSaint-Chamond – Boulogne-sur-Mer : 73-96"
}, 
{"role": "user",     "content":"Championnats nationaux : le Top 10 de la semaine (17 décembre)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque saison depuis maintenant cinq ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCette semaine et pour le dernier Top 10 de 2016, c’est Jourdan DeMuynck et Eric Bosc (UTLPB, NM1) qui pointent à la première place du classement grâce à un magnifique alley-oop avec la planche qui conclut la contre-attaque tarbaise.\\n\\n\\n\\nTop 10 CourtCuts FFBB du 17 Décembre 2016 par FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Kiosques : le magazine «Basket» se demande s’il y a trop d’Américains en Pro A"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans sa dernière livraison, le mensuel Basket s’interroge sur un sujet qui agite le basket français depuis... la fin des années soixante. A savoir « y a-t-il trop d’Américains en Pro A ? ».\\n\\nDans ce dossier, Basket insiste sur le fait, chiffres à l’appui, que la Pro A n’accueille pas davantage d’étrangers que d’autres disciplines sportives en France comme le rugby ou que les autres championnats de basket en Europe. Ainsi, pour la saison 2015-16, les étrangers représentaient 55% des joueurs en Pro A, soit moins par exemple que le pourcentage en Allemagne (57%) ou en Espagne (64%).\\n\\nC’est la diversité des nationalités qui est plus forte aussi bien dans le foot, le rugby ou le hand en France, que dans les championnats de basket hors de nos frontières. Alors que les Américains représentent 71% des étrangers, les Européens ont quasiment disparu de la Pro A : 16 en 2015-16. Un chiffre à comparer avec l’Allemagne (31), la Turquie (50) et l’Espagne (96).\\n\\nLes raisons invoquées sont toujours les mêmes : les Européens sont à des tarifs supérieurs aux Américains car le vivier aux Etats-Unis est quasi inépuisable, et leur jeu n’est pas toujours adapté à une ligue française déjà à la base très athlétique.\\n\\n\\nMartial Bellon est favorable à une diminution\\n\\nFaut-il diminuer le nombre d’extra-communautaires, autrement dit d’Américains ? Quelques présidents y sont favorables tel Marcel Bellon, celui de Strasbourg :\\n\\n« Je milite pour parce que je trouve qu’il y en a trop. Beaucoup ont dit : c’est grâce à Vincent Collet. Cette saison, ce n’est pas Vincent qui a fait le recrutement, c’est Henrik Dettman, et on a six Français. C’est une volonté stratégique du club. Ayons des Américains en nombre inférieur. Si on en a trois au lieu de quatre, on pourra attirer des joueurs avec des salaires plus élevés et en même temps réserver plus de place à des jeunes Français. »\\n\\nRappelant que les résultats des clubs français en Euroleague et Eurocup étaient médiocres -deux compétitions où les Américains sont souvent davantage une variable d’ajustement- et que la surpopulation américaine a brouillé l’image de la Pro A, Basket plaide également pour un renversement de la tendance :\\n\\n« Le basket français semble arrivé à un stade où il a un besoin urgent de se libérer de l’emprise étouffante, même si elle est sans doute inconsciente, des joueurs américains dont le niveau réel de beaucoup est bien souvent surestimé... »\\n\\nEgalement au sommaire de ce numéro 4 de Basket, en kiosque ce jeudi 22 décembre mais déjà disponible sur www.basket-mag.com:\\n\\nDes interviews et reportages sur Evan Fournier (Orlando Magic), Vincent Poirier (Paris-Levallois), Fabien Causeur et Bamberg, Nobel Boungou-colo (Khimki Moscou) et Louis Nicollin, président du club de foot de Montpellier et fan de basket."
}, 
{"role": "user",     "content":"Rouen : le plus grand fiasco de l’histoire de la LNB ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fos-sur-mer est le leader de la Pro B, et pour sa venue à la Kindarena afin d’affronter le Rouen Métropole Basket, le journaliste de Paris Normandie dépêché sur place a eu la bonne idée de compter lui-même les spectateurs présents ce soir du 7 décembre.\\n\\nBilan : 300 du côté des loges, 150 en face, une dizaine dans l’une des tribunes latérales. Personne dans la deuxième.\\n\\nDonc, l’assistance était d’un peu plus de 450 spectateurs. Moitié moins que les 1 034 billets édités par la S-PASS (ex-Vega), le gestionnaire de la salle, car des invités ou même des abonnés n’ont pas pris la peine de se déplacer. Il faut donc se méfier du chiffre officiel pour la saison 2015-16 en Pro A (2 028) qui prend en compte les billets édités et pas les gens effectivement présents dans la salle.\\n\\nA l’instar d’Alain Koffi qui s’en plaignait dans BasketEurope, les joueurs et les coaches vivent cette indifférence dans la salle et encore plus dans la ville avec une profonde tristesse. Ça n’est pas bon pour la motivation et évidemment il n’y a aucune pression sur l’adversaire et le corps arbitral. Et puis quand vous êtes un sport professionnel, le seul vrai baromètre de votre réussite –ou de votre échec- c’est la ferveur populaire.\\n\\n\\nPas de foot, pas de rugby\\n\\nRouen avait pourtant plusieurs atouts majeurs dans sa manche pour réussir.\\n\\nSi la ville est de taille moyenne (110 000 habitants), l’aire urbaine est de taille supérieure (660 000 habitants).\\n\\nIci pas de football qui se gloutonne les ressources économiques. Il y a trois ans une énième rétrogradation administrative a expédié les Diables Rouges en Division d’Honneur. Rouen n’est pas une terre de rugby. En fait les deux clubs pros qui ont une réputation en ville sont les Dragons du hockey-sur-glace qui ont acquis quatorze titres de champion de France, et les Huskies du baseball qui constituent le club numéro 1 de la discipline en France. Sans vouloir mésestimer leur impact, ce n’est pas l’OL pour Villeurbanne, la Section Paloise pour l’Elan Béarnais ou le Racing pour la SIG. Il y a de la place...\\n\\nLa deuxième bénédiction, c’est le palais des sports, qui a pris le nom de Kindarena, inauguré en septembre 2012. 6 000 places. Donc une capacité égale à celle des enceintes de Strasbourg, Nancy et Le Mans. Seul le palais des sports de Pau est plus vaste. Mais la Kindarena est de construction récente.\\n\\nLa Kindarena est certes froide aussi bien à l’intérieur que dans le contexte extérieur, mais il y a de grands espaces VIP, une seconde salle de 860 places, une autre d’échauffement, etc. L’équipe de France de basket en a déjà profité et le handball va s’en servir prochainement pour son championnat du monde.\\n\\n« Je n’ai même pas un sentiment de tristesse », disait l’assistant Matthieu Latard à Paris-Normandie. « Je ne comprends pas comment il n’y a pas plus de monde avec une si grande ville et un bassin de population aussi important autour de Rouen. Sans parler de la remplir, il faudrait la faire évoluer chaque année pour passer à 2 000, 2 500 puis 3 000... C’est une vraie interrogation. »\\n\\n\\nLe fameux coupe-file de la LNB\\n\\nIl y eut aussi ce formidable coup de pouce de la Ligue Nationale de Basket : une wildcard. Un coupe-file qui a permis au Rouen Métropole Basket, ou plutôt au SPO Rouen à l’époque, de monter en Pro A pour la saison 2014-15 alors qu’il venait de terminer.... 14e de Pro B. En mal de clubs dans de grandes agglomérations, la LNB avait crû que les facteurs énoncés plus haut, plus a priori une bonne dynamique des partenaires et une structure administrative convenable, justifiaient ce passe-droit unique –avec celui donné à Chalôns-Reims qui lui a su tenir son rang- dans l’histoire du basket pro français.\\n\\nPremière année en Pro A : 15e sur 18.\\n\\nDeuxième année : 17e sur 18. Retour en Pro B.\\n\\nHier soir, le RMB a échoué à la Kindarena face à Poitiers, 71-79. Le voici plus que jamais lanterne rouge de Pro B à la limite du point de rupture sportif.\\n\\n\\nIl manque l’humain\\n\\nCholet, Gravelines, Le Mans et Pau se sont beaucoup réalisés grâce à Michel Léger, Albert Denvers, Bernard Gasnal et Pierre Seillant. Des pères fondateurs qui sont longtemps restés fidèles au poste. Sans Raphaël De Barros à un (long) moment clé de son existence, l’ASVEL ne se serait pas aussi longtemps agrippée aux sommets. Il y a de nombreux autres exemples notamment dans les grands clubs étrangers. Même s’il faut toujours du recul pour juger –car l’essentiel, c’est de durer-, Martial Bellon est l’homme de la situation pour donner un nouveau souffle à Strasbourg. La présence, que ses détracteurs qualifient d’omniprésence, de Frédéric Forte est fondamentale dans le retour à haut niveau de Limoges. Tony Parker sera peut-être celui qui permettra à l’ASVEL de retourner pour de bon en Euroleague.\\n\\nL’échec de Rouen, c’est justement l’absence d’un maître à bord, de quelqu’un capable de fédérer les énergies, de développer les potentiels, qui vit l’aventure de son club avec son savoir-faire et tout autant avec ses tripes. Les querelles intestines, entre l’association et la SASP, étaient un signe avant-coureur de la dégradation sur le terrain.\\n\\nL’humain demeure –et c’est tant mieux- un facteur décisif et sans lui le reste ne constitue qu’une coquille vide.\\n\\nAujourd’hui, Rouen est candidat au trophée peu enviable de « plus grand fiasco de l’histoire de trente ans de LNB »."
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Bourges ne répond plus"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cinquième défaite consécutive de Bourges hier soir, EuroLeague comprise. La troisième en championnat après celles concédées à Basket Landes et à Nice. Une telle série négative, ça n’a pas dû arriver souvent dans l’histoire des Tango.\\n\\nDe plus celle-ci face à Lattes-Montpellier (64-70) a été concédée au Prado -jusqu’ici imprenable par des équipes françaises – et face à un adversaire direct pour la première place de la saison régulière. D’ailleurs les filles de Valérie Garnier en ont perdu la tête au profit de leur adversaire du jour. En attendant le Nantes-Charleville de ce soir et le Basket Landes-Hainaut programmé le... 2 février !\\n\\nC’est notamment le total de balles perdues (11) dans le deuxième quart-temps (21-13 au final) qui a coûté cher aux Berruyères qui étaient menées 31-38 à la mi-temps. Elles sont quand même revenues à égalité à 62 mais ont fini par céder. Leur adresse générale (23/64) et aux lancers (13/20) ont trahi leur fébrilité.\\n\\nLe coach lattois Valéry Demory s’est appuyé sur sept joueuses pour faire la différence et les briscards Elodie Godin (8 pts à 4/5 aux shoots, 5 rbds, 3pts, 3 ints) et Anaël Lardy (16 pts, 7 fautes provoquées) ont tout spécialement répondu présentes."
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Le Mans chute face à Joensuu"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dixième journée de Champions League pour le MSB qui accueillait le club finlandais du Kataja Basket à Antares. Seulement présents dans le premier et dans le troisième quart-temps, les joueurs d’Erman Kunter se sont inclinés 74-57.\\n\\nSeuls Manceaux à avoir surnagé, Ryan Pearson et Mouphtaou Yarou s’en sortent avec respectivement 14 points et 5 rebonds (14 d’éval) et 15 points et 5 rebonds (16 d’éval). La boxscore est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nAprès la rencontre, le technicien du MSB est revenu sur cette défaite qui ne fait néanmoins pas perdre sa place de leader du groupe B au Mans (7v-3d).\\n\\n« C’était un très mauvais match. Je pense que nous sommes bons mais nous ne respectons pas nos adversaires. Quand le match a commencé nous manquions de concentration, nous sommes parvenus à revenir mais une fois que nous étions de retour dans le match, nous avons recommencé jouer à l’envers. La chose la plus importante à retenir c’est que nous manquons de respect à nos adversaires en jouant comme cela... »\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : l’ASVEL l’emporte face à Klaipeda"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la 10 journée de Champions League, l’ASVEL recevait le Neptunas Klaipeda. Au terme d’un match disputé, les joueurs de J.D. Jackson se sont imposés 68-64, mais cela n’a malheureusement pas suffi pour récupérer le point-average (81-67 pour Klaipeda au match aller).\\n\\nMenés par DeMarcus Nelson à 17 points, 6 rebonds et 5 passes décisives (20 d’éval), les Villeurbannais ont tout de même enregistré une victoire importante qui leur permet de consolider leur 2e place du classement du groupe C (8v-2d). La boxscore est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nAprès le match, l’entraîneur de la formation villeurbannaise s’est exprimé sur ce résultat.\\n\\n« Le premier quart temps était très bien, nous avons contrôlé le tempo. J’étais déçu du deuxième quart temps car nous nous sommes relâchés, Larry Drew a pu poser son jeu et la circulation de balle était très bonne pour Neptunas. La deuxième mi-temps était une vraie guerre et c’est ce que nous aimons. Nous étions à la maison, nous avions l’énergie pour trouver les solutions quand nous étions dans une vraie bataille. C’était un match disputé et nous sommes contents de l’avoir remporté. Nous avons fait un très bon travail en deuxième mi-temps sur Drew et Jimmy Baron qui sont leurs deux joueurs clés. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : les meilleurs joueurs de la 13e journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la treizième journée de Pro A, l’équipe de SFR Sport a dressé le bilan des cinq meilleurs joueurs français et et des cinq meilleurs joueurs étrangers de la semaine.\\n\\nDu côté Français, c’est Elie Okobo qui a été sélectionné pour figurer dans le cinq majeur français de la semaine. Dans la victoire de l’Elan Béarnais face à Dijon (75-67), l’arrière a compilé 9 points, 3 rebonds et 5 passes décisives pour une évaluation de 16. Côté étranger, c’est le Limougeaud DaShaun Wood qui prend la place de meneur de jeu dans le cinq type de la semaine avec 19 points, 4 rebonds et 5 passes décisives pour 26 d’évaluation dans le succès du CSP face au MSB (77-71).\\n\\nAu poste de deuxième arrière, c’est encore une fois Yakuba Ouattara qui prend place dans le cinq majeur français de la semaine grâce à ses 16 points et 3 rebonds (15 d’éval) enregistrés dans la victoire de l’ASM contre Strasbourg (77-62). Du côté des JNFL, c’est son coéquipier Zack Wright qui prend la place d’arrière dans ce cinq majeur de la semaine en compilant 16 points, 8 rebonds et 8 assists (26 d’éval).\\n\\nA l’aile, c’est Axel Bouteille qui a été sélectionné grâce à ses 12 points et 3 rebonds (11 d’éval) dans la victoire de l’Elan Chalon face au Portel (83-74). Pour les étrangers, c’est William Buford qui entre dans le cinq type de la semaine grâce à ses 20 points, 9 rebonds et 2 passes décisives compilés pour une éval de 22 face au Mans.\\n\\nAu poste 4, c’est Vincent Poirier qui a été choisi en compilant 17 points, 3 rebonds et 2 passes décisives (19 d’évaluation) dans la victoire du Paris-Levallois face à Nanterre (78-51). Pour les étrangers, c’est le Villeurbannais Nikola Dragovic qui fait son apparition dans le cinq type de la semaine. Dans la victoire face à Cholet (71-67), l’intérieur a enregistré 17 points, 5 rebonds et 2 passes décisives pour une éval de 22.\\n\\nEnfin, Moustapha Fall a une nouvelle fois été élu meilleur poste 5 de la semaine en inscrivant 11 points et en captant 7 rebonds plus 2 passes décisives et 5 contres (18 d’éval) face à l’ESSM. Côté étranger, c’est l’intérieur de l’ASVEL, Darryl Watkins qui termine meilleur poste 5 de la semaine en compilant 16 points, 5 rebonds et 1 passe décisive pour une évaluation de 16 face à CB.\\n\\n\\nCinq majeur français\\n\\n * Elie Okobo (Pau-Lacq-Orthez) : 9 points, 3 rebonds, 5 passes décisives, 1 interception, 16 d’évaluation\\n * Axel Bouteille (Chalon-sur-Saône) : 12 points, 3 rebonds, 11 d’évaluation\\n * Billy Yakuba Ouattara (Monaco) : 16 points, 3 rebonds, 1 interception, 15 d’évaluation\\n * Vincent Poirier (Paris-Levallois) : 17 points, 3 rebonds, 2 passes décisives, 2 interceptions, 19 d’évaluation\\n * Moustapha Fall (Chalon-sur-Saône) : 11 points, 7 rebonds, 2 passes décisives, 5 contres, 18 d’évaluation\\n\\n\\nCinq majeur étranger\\n\\n * DaShaun Wood (Limoges) : 19 points, 4 rebonds, 5 passes décisives, 2 interceptions, 19 d’évaluation\\n * Zack Wright (Monaco) : 16 points, 8 rebonds, 8 passes décisives, 3 interceptions, 26 d’évaluation\\n * William Buford (Limoges) : 20 points, 9 rebonds, 2 passes décisives, 22 d’évaluation\\n * Nikola Dragovic (Lyon-Villeurbanne) : 17 points, 5 rebonds, 2 passes décisives, 1 interception, 22 d’évaluation\\n * Darryl Watkins (Lyon-Villeurbanne) : 16 points, 5 rebonds, 1 passe décisive, 2 contres, 16 d’évaluation"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 21 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nSe régénérer à la mer\\n\\n– Trois jours après la raclée subie à Monaco en Pro A, la SIG veut se remettre la tête à l’endroit en Ligue des champions. Ce soir (20h30) à Ostende... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Denaisiens ont pris des baffes et ont même tendu l’autre joue\\n\\n– « Je ne suis pas d’accord.» Énervé, Jean-Christophe Prat. Il y a des soirs comme ça. Contre Évreux, rien ne lui a plu. Ni son équipe, ni les arbitres, ni même l’adversaire. Alors que son groupe restait sur une performance collective aboutie à Clermont, il a semblé rester dans le confort douillet de cette sortie, oubliant qu’en ProB, chaque match est un recommencement. « Quan... Lire la suite.\\n\\n\\nLe LMB continue de surprendre dans la lutte avec les meilleurs\\n\\n– Une moyenne de 82 points marqués et de 83 encaissés: voilà le bilan sur les six derniers matchs qu’affichait Vichy-Clermont avant de débarquer au Palais Saint-Sauveur. La clé du match semblait évidente: empêcher les hommes de Stéphane Dao de s’amuser en attaque! Et à regarder le tableau d’affichage à la pause (42-47), il semblait évident que Lille avait failli à sa mission. Ce n’est pas en lais... Lire la suite.\\n\\n\\nLes Chalonnais arrachent tout\\n\\n– Accroché jusqu’à la 26e minute (51-53), l’Elan a fini par exploser les Suédois de Södertälje (63-86) pour engranger un 2e large succès de rang dans... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Asvel s’offre le leader\\n\\n– Les Villeurbannais ont dominé les Lituaniens de Neptunas Klaipeda (68-64) mais restent deuxièmes de la poule... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nExpress\\n\\n– L’ailier villeurbannais a été retenu pour le concours de dunks du All star game (29 décembre à Bercy). Il sera opposé au double tenant du titre Yakuba... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPro A : rechute pour Arthur Leboeuf\\n\\n– Terrible nouvelle pour le lédonien Arthur Leboeuf. Touché en novembre 2015 aux ligaments du genou, le meneur de Chalons-Reims (Pro A), appelé... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSuspens et bonus utiles\\n\\n– Le premier tour des coupes de l’Ain seniors, qui a regroupé les équipes évoluant au 3e et au 4e niveau départemental, a offert des rencontres... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nContrat rempli pour les filles\\n\\n– Ce week-end à Orléans, les filles de l’Ain ont remporté avec autorité leurs cinq rencontres pour terminer 5es du tournoi des étoiles 2016. Soit la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nJoe Burton ne méritait pas ça\\n\\n– Si la mène proposait un duel prometteur, celui de la peinture valait également le détour. L’athlétique ex-choralien Mohamed Koné (2,11m), décisif face... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRebonds SCB\\n\\n– La venue de Boulogne-sur-Mer marquait le retour de l’intérieur cubain Grismay Paumier qui a porté les couleurs saint-chamonaises lors des trois... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBellegarde et CTC Bords du Rhône en Ligue en janvier\\n\\n– Les jeunes du département étaient sur le pont le week-end dernier. En jeu, des tickets pour jouer en 1re série départementale ou en Ligue... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond sans défense\\n\\n– Malgré une bonne entame les Saint-Chamonais ont complètement déjoué face à une formation de Boulogne-sur-Mer efficace à trois points. Le SCB est... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg revient de loin\\n\\n– Sans Zach Peacock grippé, les Bressans arrachent la prolongation et s’imposent au terme d’un mano a mano épuisant. Aix-Maurienne, diminué aussi, leur... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa Chorale se saborde\\n\\n– Non seulement Roanne aurait dû « tuer » le match dans le troisième quart-temps, mais les Roannais ont aussi galvaudé six points d’avance en 1’42’’... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nAttention, virage dangereux\\n\\n– Privée de Guzman, Lyon n’a pas le droit à l’erreur face à des Tarbaises qui luttent elles aussi pour le maintien... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nOn n’arrête plus l’Asvel\\n\\n– Les Villeurbannais ont échoué à reprendre à Klaipeda la place de leaders, mais ils ont de nouveau montré leur solidité... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nVar touché\\n\\n– Sorti à la 25e minute après un choc avec un adversaire, Mickaël Var souffre d’une entorse de la cheville. « Je regrette sa blessure. Comme le fait d’être la seule équipe de Pro B à se déplacer trois fois lors des quatre derniers matchs de l’année », soulignait Ruddy Nelhomme. Var est d’ores et déjà incertain pour la venue de... Lire la suite.\\n\\n\\nBASKET Tournoi des Étoiles : résultats contrastés pour l’Indre\\n\\n– Le Tournoi des Étoiles 2016 se déroulait sur le parquet orléanais, ce week-end, avec les jeunes garçons et filles (U13) issus de 17 départements. Au terme de la compétition, l’entraîneur des féminines de l’Indre, Stéphane Robin, malgré sa 17e place, retenait l’essentiel\u2009: « Humainement, c’était superbe. Sportivement, c’est... Lire la suite.\\n\\n\\nDes résultats loin des objectifs...\\n\\n– Ce week-end, les sélections d’Indre-et-Loire n’ont pas vraiment brillé au Tournoi des Étoiles. La déception est surtout venue des filles qui ont terminé 11es, bien loin de leur objectif de podium. En perdant dès les premiers matchs face à la Côte-d’Or et le Rhône, les Tourangelles sont rentrées par la suite dans une spirale... Lire la suite.\\n\\n\\nZélie Ferrier, qui mène me suive\\n\\n– Zélie Ferrier vient de rejoindre le club du Poinçonnet cette année. A 16 ans, elle a déjà tout d’une grande sur et en dehors du terrain. Elle joue ainsi deux matchs par week-end, s’entraîne une à deux fois par jour, Zélie Ferrier s’éclate sur le terrain que ce soit avec les cadettes région ou l’équipe réserve seniors qui évolue en prénationale... Lire la suite.\\n\\n\\nNelhomme : » Pas notre plus beau match «\\n\\n– Ruddy Nelhomme (entraîneur de Poitiers)\u2009: « Ce n’est sûrement pas notre plus beau match. On a encore perdu dix-sept ballons. C’est beaucoup. Mais on ne va pas faire la fine bouche. On va le prendre. On a peut-être un peu paniqué à un ou deux moments. On a été moins lucides en attaque même si on a aussi été assez cohérents dans l’ensemble... Lire la suite.\\n\\n\\nThouars a rempli sa mission\\n\\n– Après une rencontre apéritive gagnée facilement contre une prénationale, les Thouarsaises ont gagné une place sur le plateau qui rassemble 16 es et 8 es... Lire la suite.\\n\\n\\nPoitiers libéré, Poitiers délivré\\n\\n– Rouen – Poitiers\u2009: 71-79 Après cinq tentatives infructueuses, le PB s’est imposé en déplacement en dominant la lanterne rouge, non sans quelques frayeurs... Lire la suite.\\n\\n\\nLa Berri n’a plus de coach\\n\\n– Régis Racine n’est plus entraîneur de la Berrichonne Basket. L’annonce a été péniblement confirmée hier par le président, Dider Fleuret... Lire la suite.\\n\\n\\nL’ADA telle qu’on l’aime\\n\\n– Nantes – ADA\u2009: 70-73 Menés de 7 points à l’amorce du dernier quart-temps, les Blésois ont refait leur retard et signé une superbe victoire... Lire la suite.\\n\\n\\nL’élan est coupé\\n\\n– Comme prévu, le déplacement chez le leader Souffelweyersheim de l’équipe fanion masculine s’est soldé par une défaite (72-50). Depuis le décès de leur... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nÉviter la blague belge\\n\\n– Les Strasbourgeois seront ce soir (20 h 30) en Belgique, sur le parquet d’Ostende, pour tirer un trait sur la défaite concédée à Monaco lundi en Pro A... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18 : les Bleuets se défont de la Bosnie et filent en demi-finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Qualifiés pour les quarts de finale en remportant leurs trois matchs de poule, les Bleuets se retrouvaient face à la Bosnie pour leur premier match à élimination directe et après 40 minutes de jeu ce sont finalement nos jeunes Français qui se sont imposés (75-61).\\n\\nAuteurs d’un quatrième quart-temps totalement maîtrisé (25-16) les joueurs de Tahar Assed-Liegeon se sont donc, au final, assez largement imposés bien portés par les 15 points de Frank Ntilikina et les 19 unités et 11 rebonds de Sekou Doumbouya (meilleur marqueur Français).\\n\\nMeilleur tricolore avec 20 d’évaluation, Adam Mokoka a compilé 13 points, 11 rebonds et 5 passes décisives. Mais l’Espoir du BCM Gravelines-Dunkerque a aussi fortement contribué, de par sa grosse défense, à la maladresse du scoreur Dzanan Musa (6/15 mais surtout 0/5 à 3pts), sauvé par son adresse aux lancers (7/9) qui lui permet de tout de même s’en tirer avec 19 points.\\n\\nLa box score est ici.\\n\\nGrâce à cette victoire, l’Equipe de France est d’ores et déjà qualifiée pour le Mondial U19 qui aura lieu au Caire (Egypte) en 2017.\\n\\nRendez-vous donc demain mercredi pour nos Français qui affronteront l’Italie en demi-finale de ce championnat d’Europe à 18h45 en direct sur la chaîne Youtube de la FIBA.\\n\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Zalgiris de Léo Westermann vient s’imposer contre l’Efes de Thomas Heurtel"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Plus tôt dans la saison, le Zalgiris en venait à se demander si l’Euroleague voulait bien d’eux dans leur ligue fermée. Quelques mois plus tard, l’équipe de Sarunas Jasikevicius vient s’imposer sur le parquet de l’Efes Istanbul pour se relancer complètement dans la course aux playoffs (84-71).\\n\\nLe meneur canadien, Kevin Pangos (15 points à 5/6 à trois points), a été le grand artisan de la victoire, creusant l’écart de manière irrémédiable pour les coéquipiers de Thomas Heurtel (18 points, 4 passes, 4 interceptions). Léo Westermann (4 points, 6 passes et 4 balles perdues) a été plus discret mais il se contentera volontiers de ce beau succès à l’extérieur.\\n\\n\\nL’Efes dans le dur\\n\\nSi le duel entre nos deux Français a été plutôt éphémère, Léo Westermann pénalisé par les fautes, le Zalgiris a pris l’Efes à la jugulaire d’entrée. Plus agressifs, plus mobilisés, plus au point, les joueurs baltes ont pris le meilleur départ dans un match des plus fermés. A 16-13 après dix minutes, Kaunas s’envole juste avant la pause derrière Edgaras Ulanovas et ses 9 points.\\n\\nDogus Balbay rentre bien deux tirs à trois points avec son geste de shoot particulier, avec sa patte gauche, mais l’Efes reste scotché au sol. Pas d’inspiration, pas de mouvement collectif (ou très peu), Istanbul patauge dans la semoule avec une adresse extérieure déficiente qui n’arrange rien...\\n\\n\\nKevin Pangos tue le match\\n\\nOn espérait un réveil des troupes de Velimir Perasovic au retour des vestiaires mais c’est Kevin Pangos qui prend feu derrière l’arc. Le feu follet canadien rentre son troisième tir primé et donne 15 points d’avance à son équipe. En face, Heurtel se faufile pour aller inscrire un panier par-dessus les intérieurs mais c’est trop peu. Le meneur tricolore aura beau finir meilleur scoreur de son équipe (et du match) à 18 unités, l’Efes s’incline assez nettement (84-71).\\n\\nLe succès de la semaine passée, un sursaut à la force de caractère, n’a pas été suivi de faits ce soir...\\n\\n« On a réussi un match très solide. On a eu des temps faibles mais globalement, on a été costaud de bout en bout », conclut coach Jasikevicius. « On a pris les risques quand on voulait les prendre. Parfois, ça a marché, d’autres fois non. Mais on a été les agresseurs. On a bien contrôlé les rebonds et ça nous a permis de nous imposer. »\\n\\nBoxscore du match\\n\\n\\n\\n\\n.@MT28APRIL hits the off-balance shot and makes it look easy. AND ONE!#7DAYSMagicMoment #EFSZAL pic.twitter.com/7nprqf8ZEY\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) December 20, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : Orléans perd Marcellus Sommerville pour six semaines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est la tuile pour l’OLB qui perd l’un de ses hommes forts pour une durée estimée à un mois et demi.\\n\\nDéjà mal en point en championnat avec 5 victoires pour 8 défaites et une 15e place au classement, les Orléanais n’avaient clairement pas besoin de cette blessure qui s’ajoute à celles d’Antoine Eito, Antoine Mendy et Kyle McAlarney.\\n\\nBlessé samedi soir face à Chalons-Reims, Marcellus Sommerville souffre d’une lésion au mollet droit, comme le rapporte le club sur sa page Facebook.\\n\\nCette saison, le champion de France en 2010 avec Cholet compilait en moyenne 15,6 points et 6,4 rebonds pour une évaluation de 15,5 par match."
}, 
{"role": "user",     "content":"Facundo Campazzo sur le point d’obtenir un passeport espagnol ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Depuis plusieurs années, Facundo Campazzo tente d’obtenir un passeport italien mais les procédures restent au point mort.\\n\\nAujourd’hui nos confrères de Marca annoncent que le natif de Cordoba serait sur la bonne voie pour se procurer un passeport espagnol. Selon les réglementations présentes en Espagne, un Argentin a le droit de demander un passeport espagnol après avoir travaillé au moins deux ans dans le pays.\\n\\nLe meneur de jeu argentin qui a fait la demande en octobre pourrait donc devenir espagnol au printemps et jouer en Liga Endesa en tant que tel. Prêté à Murcia pour la deuxième année consécutive, l’obtention de ce passeport pourra permettre au deuxième meilleur passeur d’ACB (6,6, juste derrière Andrew Albicy et ses 7,3 caviars) de faire son retour au Real Madrid.\\n\\nCette saison avec Murcia, Facundo Campazzo compile en moyenne 15,5 points, 3,7 rebonds et donc 6,6 passes décisives par match pour une évaluation de 18,2.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Maccabi Tel-Aviv : Joe Alexander absent entre 2 et 3 semaines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Indisponible à cause d’une inflammation au niveau du genou qui l’a obligé à passer sur le billard, Joe Alexander ne sera pas de retour avant 2017, comme le rapporte Eurohoops.\\n\\nActuellement à la dixième place du classement d’Euroleague (5v-7d), le Maccabi Tel-Aviv vit une première partie de saison compliquée entre les changements de coachs et les différentes blessures qui ont touché l’équipe comme celles de Sony Weems ou encore de Quincy Miller.\\n\\nCette saison en Euroleague, l’ancien joueur du Dinamo Sassari compilait en moyenne 4,5 points et 2,2 rebonds pour une évaluation de 3,9.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Un web docu sur les filles d’Aulnoye de Ligue 2"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les habitués des réseaux sociaux auront déjà repéré WeBasket TV, une web TV qui consacre 95% de ses vidéos au basket féminin professionnel français, en donnant la parole aux joueuses, entraîneurs, sous des formats très courts.\\n\\nAux manettes, Stéphane Dessenne, consultant webmarketing depuis cinq ans et passionné de sport depuis toujours.\\n\\n« Mais rien n’aurait existé sans ma rencontre avec Thibaut Paquit qui en plus d’être un grand connaisseur de la balle orange, est un journaliste hyper polyvalent et un as de la production et de la livraison rapide de contenus. Il y a également Dorine Besson, étudiante en journalisme à Toulouse, contributrice chez Parlons basket féminin et Ladyhoop, et qui produit également occasionnellement des vidéos pour WeBasket. »\\n\\nLes vidéos sont visibles sur :\\n\\nSite web : https://www.webasket.tv/\\n\\nFacebook : https://www.facebook.com/WeBasket.TV/\\n\\nYoutube : https://www.youtube.com/channel/UCcM7pU-p-6tCEMVzO-InzCg\\n\\n\\nEn direct du cul du baudet\\n\\nLe prochain documentaire va être consacré à l’AS Aulnoye, club de milieu de tableau de Ligue 2.\\n\\nAulnoye-Aymeries est une commune du Nord de 9 200 habitants situé dans un territoire que l’on appelle « Le cul du baudet ».\\n\\nC’est donc un club rural qui est passé du niveau départemental en 1995 au professionnel en 2014 sur le modèle de Basket Landes, à Eyres-Moncube et Saint-Sever.\\n\\n« Ce que je trouve fort, et j’espère le montrer, c’est que ce club -malgré toutes les critiques que l’on peut donner sur le territoire, isolement, météo, pas de plage ni de montagne à l’horizon- est arrivé à monter d’échelon en échelon à la manière d’un Nanterre », raconte Thibaut Paquit. « Il y a tout les ingrédients : une coach historique qui a fait monter le club de départementale à la Ligue, Agnès Denys, un maire dingue de basket et un public chaleureux. »\\n\\nLe webdocu d’un format de 10-15 minutes sortira courant janvier et un film plus long est déjà prévu en fin de saison en cas de maintien en LF2.\\n\\nVoici le teaser."
}, 
{"role": "user",     "content":"TV : le hand vainqueur du basket par K.O."
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’EuroBasket en France en 2015 fut une grande réussite organisationnelle et populaire.\\n\\n20 550 spectateurs en moyenne pour les matches à Lille dont 27 372 pour la finale Espagne-Lituanie. Deux records d’Europe pour du basket en salle. Un total de 292 092 spectateurs pour l’ensemble des rencontres à Montpellier et Lille. D’autant plus remarquable que la fédération n’eut qu’un an pour mobiliser ses bataillons de licenciés et les fans.\\n\\nOui, mais... Soyons lucide : l’impact médiatique n’a pas été à la mesure du plateau offert avec l’Espagne, la Serbie, la Lituanie et l’équipe de France de la génération la plus conquérante de tous les temps. C’était pourtant la première et dernière fois que Tony Parker se produisait en compétition, en chair et en os et en bleu devant son public. Les Français firent le taf même s’ils furent éliminés par l’Espagne en demi-finale.\\n\\nLa faute a une couverture télévisuelle indigne d’un tel raout. Il y eut bien 46 matches offerts aux téléspectateurs mais sur des niches pour spécialistes et avec une programmation annoncée en dernière minute. Le groupe Canal + poussa même le mauvais goût en cloîtrant la finale pour la médaille de bronze sur sa chaîne « en décalé ».\\n\\nLa faute à la Fédération Internationale qui se charge elle-même de négocier les droits TV des événements et qui a été incapable de séduire TF1 ou France Télévisions.\\n\\n\\nLe hand trois fois sur TF1\\n\\nCette sous-exposition indécente est d’autant plus cruelle que le handball, rival numéro un du basket depuis que le rugby a pris cent longueurs d’avance, s’apprête à frapper un grand coup à l’occasion de son Mondial, qui se tiendra lui aussi en France, du 11 au 29 janvier.\\n\\nLe groupe TF1 a acquis les droits des trois derniers matches des Bleus de Nikola Karabatic, dépêchant même la star maison Grégoire Margotton pour les commentaires. La première mi-temps du quart de finale sera retransmise sur TF1 à 19h, soit en access prime time, suivi d’une bascule vers TMC pour la deuxième partie, comme France 2 peut le faire avec France 3.\\n\\nLa demi-finale et la finale avec la France sont envisagées en intégralité sur TF1. Si l’équipe de France trébuche avant d’accéder à la finale, celle-ci sera alors diffusée sur TMC.\\n\\nLe site Mediasportif précise que TF1 n’a pas établi une telle programmation à fond perdu. Au contraire.\\n\\n« Il faut dire que la chaine espère beaucoup de l’équipe de France en terme d’audience puisque les tarifs publicitaires d’une finale avec la France flambent jusqu’à 134 550€ les 30 secondes avant remises d’usage. A titre de comparaison, les prix lors du dernier Euro de football pour les matchs de poules atteignaient les 200 000€. »\\n\\nLorsqu’un événement sportif est diffusé sur TF1 ou France 2, il attire non seulement les annonceurs, mais aussi les téléspectateurs, les autres médias, les lecteurs, comme le miel les oursons. Bref c’est l’effet boule de neige au niveau de la notoriété.\\n\\nLe seul risque, c’est que l’équipe de France se plante dès le quart-de-finale. Mais le hand n’est pas un sport planétaire comme le foot et le basket et la concurrence y est beaucoup moins sauvage.\\n\\nY a t-il réellement besoin de faire un commentaire ?"
}, 
{"role": "user",     "content":"La reprise du Paris-Levallois par Nicolas Batum en bonne voie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon le quotidien L’Equipe, le processus de vente du club du Paris-Levallois à Nicolas Batum, via son agent de Comsport, Bouna Ndiaye, est en bonne voie.\\n\\nDans un premier temps, il s’agirait d’apporter de l’argent frais à un club qui en manque singulièrement –le budget du PL est tombé à 3 913 000 euros soit le 14e de Pro A- et à plus longue échéance de construire un club de haut niveau européen avec ou sans le Paris SG. Jean-Pierre Aubry, le président du directoire du PL, espère que l’accord se conclura en février. Il est nécessaire pour cela que le groupe Panames, un actionnaire à 32%, ne fasse pas blocage.\\n\\n« Il faut que cela avance vite car la quasi-totalité de l’effectif est en fin de contrat. Pour qu’elle se passe dans de bonnes conditions, la saison prochaine se prépare dès le mois de février », précise Jean-Pierre Aubry.\\n\\nA plus long terme, le développement du PL ne pourra se faire que par la mise à disposition d’une grande salle. L’une d’environ 7 000 places est prévue à côté de l’actuel HotelAccor Arena. Une capacité qui est désormais éloignée de celles des clubs d’Euroleague qui sont d’au moins 10 000."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Poirier : «Notre agressivité les a surpris»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Auteur d’une belle partie face à Nanterre avec 17 points (7/10 aux tirs), 3 rebonds et 2 passes décisives pour une évaluation de 19, Vincent Poirier a été l’un des grands artisans de la raclée infligée à Nanterre par le Paris-Levallois (78-51).\\n\\n« On savait que c’était un match important. On a bien attaqué la rencontre, comme on devait le faire en étant agressif et je pense que cela les a surpris. On a fait le taf, on rentre avec la victoire et c’est le plus important. »\\n\\nCette saison, le Paris-Levallois fait en quelque sorte partie des ovnis du haut de tableau. Capable de l’emporter de 27 points face à Nanterre (3e du classement) tout comme de s’incliner face à Orléans (15e), les hommes de Freddy Fauthoux pointent aujourd’hui à la 5e place de Pro A (8v-5d).\\n\\n« On est tous un peu surpris par la tournure que cela prend, on ne s’attendait pas à être là, dans les huit premiers et à jouer le haut du tableau. Après, on travaille bien à l’entraînement donc il n’y a rien qui nous empêche d’aller plus haut. On prend les matchs les uns après les autres et on verra ce que cela donnera à la fin de la saison. »\\n\\nAprès le match face au Portel de vendredi, Vincent Poirier honorera le 29 décembre sa première sélection pour le All Star Game LNB.\\n\\n« C’était un petit objectif du début de saison, c’est une sorte de récompense donc personnellement cela me tenait à cœur de le faire. Maintenant, c’est grâce à l’équipe et grâce au travail de tout le monde que j’y suis donc cela me fait plaisir. On va en profiter, c’est que du bonheur. »\\n\\nCette saison, le géant du PL (2,13m) compile en moyenne 10,6 points et 8,6 rebonds pour une évaluation de 15,8 par match.\\n\\nPhoto : Karen Mandau"
}, 
{"role": "user",     "content":"Micah Downs (Orléans), le Blanc qui sait sauter"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Micah Downs (2,03m, 30 ans) est un joueur plutôt anonyme de la Pro A même s’il a derrière lui un solide passé, aussi bien universitaire (Kansas et Gonzaga) qu’en Europe et en D-League. Il avait même empoché le ACB Rising Star Award en Espagne en 2012.\\n\\nCe qui compte surtout pour les organisateurs du All-Star Game LNB, c’est d’avoir des spécialistes du dunk et des concours pour le NBA 2K17 DUNK CONTEST. Et l’Américain d’Orléans en est un.\\n\\nCette vidéo date de la saison 2010-11 lorsque Micah Downs portait le maillot de Ford Burgos. Il plante deux poster-dunks majestueux, à chaque fois sur le nez du Barcelonais Fran Vasquez, prouvant que les Blancs savent aussi sauter."
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France : Alexis Ajinça vide son sac"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Invité de l’émission Basket Time sur RMC, Alexis Ajinça n’a pas été tendre lorsqu’il a fallu parler de l’Equipe de France.\\n\\nÉcarté du groupe cet été juste avant de prendre la direction de Manille pour le Tournoi de Qualification Olympique, l’actuel pivot des New Orleans Pelicans a confirmé que son avenir en bleu était plus que compromis.\\n\\n« Je pense que l’équipe de France et moi on est partis dans deux directions différentes. A ce moment-là de ma carrière, je ne sais pas. A 95%, 97%, je ne reviendrai pas en équipe de France. »\\n\\nDéçu notamment de l’attitude de Vincent Collet envers lui, l’ancien joueur de la SIG ne portera donc vraisemblablement plus le maillot tricolore.\\n\\n« J’en veux à Vincent Collet oui. Il n’a pas assumé son rôle de coach. C’est peut-être difficile à comprendre, mais j’ai pas mal réfléchi à mon choix et mon idée est assez faite là-dessus. (...) Il y a beaucoup de rancœur. L’été dernier, on a parlé avec Vincent, les choses ont été dites. Et puis voilà. »\\n\\nAlexis Ajinça explique surtout que c’est à cause de la façon dont se sont passées les trois dernières années pour lui qu’il décide de tirer un trait sur la sélection nationale.\\n\\n« C’est à cause de la manière dont se sont passées les trois dernières années. Par exemple quand je suis resté à la maison parce que ma femme allait accoucher, et ça a été mal pris. Je l’avais dit des mois avant le stage. Après j’étais blessé, j’ai dû faire des choix et ça s’est très mal passé au niveau de l’équipe de France. Le coach et le DTN l’ont dit dans les journaux, et j’ai trouvé que c’était un manque de respect. J’ai toujours répondu présent. On a oublié que j’ai fait des sacrifices pour être en équipe de France. Comme en 2010, où je rejoins les Bleus en stage, mon père décède alors je m’absente cinq jours avant de revenir, pour être écarté juste après »."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 20 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nL’avis de Gregor Beugnot\\n\\n– « Je l’ai coaché à Chalon (en 2012-2013), où il avait déjà un beau palmarès quand il est arrivé. À l’époque, il apportait beaucoup dans une équipe... Lire la suite.\\n\\n\\nSLUC : Brion Rush veut apporter son « leadership »\\n\\n– Après avoir passé la traditionnelle batterie de tests médicaux, Brion Rush a enfilé les baskets pour sa première séance collective, hier après-midi... Lire la suite.\\n\\n\\nL’obligation d’enchaîner\\n\\n– Huit matches en trois semaines, dont quatre en huit jours, les basketteurs strasbourgeois n’ont guère le loisir de souffler. Quel impact ce calendrier... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRoberson sur ses terres suédoises\\n\\n– Avant de poser ses valises à Chalon, John Roberson a joué à Södertälje, entre 2012 et 2015. Un club qu’il retrouve avec émotion ce soir... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDesseignet en quart ce soir\\n\\n– Thibault Desseignet et l’équipe de France U18 disputent, ce soir en Turquie, les quarts de finale de l’Euro face à la Bosnie-Herzégovine. Les U18 ont... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Je pense que ce sera un match ouvert »\\n\\n– Sébastien Bozon Coach d’Aix-Maurienne... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n«Je ne fais pas le début de saison souhaité mais je donne tout»\\n\\n– Matti Nuuttinen Intérieur de la Chorale de Roanne... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nGuichard : « Enchaîner une seconde victoire à domicile »\\n\\n– Mathieu Guichard, meneur du Saint-Chamond basket vallée du Gier... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDu ciment pour la maison verte\\n\\n– Même s’ils ont gagné sans lui durant deux mois, le retour de Trenton Meacham, après une fracture de la main, est une excellente nouvelle pour les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nChorale de Roanne : le moment de forcer le destin\\n\\n– Après trois défaites de rang, la Chorale accueille, ce mardi soir (20 heures), le dauphin du championnat, Charleville. L’occasion de relancer la machine et de concrétiser le travail du groupe... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSCB : repartir sur une dynamique positive\\n\\n– Nettement dominé à Bourg, Saint-Chamond joue une carte importante à domicile, ce mardi soir (20 heures), face une formation de Boulogne qui constitue un concurrent direct pour le maintien... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nProA: Paris-Levallois écrase Nanterre et s’offre le derby francilien\\n\\n– Paris-Levallois a facilement disposé du 3e de Pro A, Nanterre (78-51), lors du derby francilien en clôture de la 13e journée du Championnat de France de basket-ball, lundi, au palais des sports Marcel-Cerdan... Lire la suite.\\n\\n\\nLe grand écart\\n\\n– Battus dimanche dans le choc de la 13e journée de Pro A en Principauté, les Strasbourgeois ont pu mesurer l’écart qui les séparait encore de Monaco... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn titre avant les fêtes\\n\\n– Championnes. L’équipe senior féminine de l’USB Colmar est à nouveau la « locomotive » du club. En effet, après les excellents résultats obtenus la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Fabien Causeur en grande forme"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Seize joueurs pour neuf pays, le contingent tricolore a bien regonflé ses troupes pendant l’intersaison. De la Lituanie à l’Espagne, de l’Allemagne à la Grèce en passant par la Russie et la Chine (!), Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n\\nUn Breton qui brille en Bavière\\n\\nAprès avoir été élu MVP de la journée d’Euroleague cette semaine, avec 28 points (11/14 aux tirs) et une évaluation de 35, Fabien Causeur a remis le couvert ce weekend en Bundesliga. L’arrière tricolore a cumulé 20 points, 8 passes et 5 rebonds dans une victoire en patron de Bamberg (+20). Après un petit coup de moins bien, Causeur revient fort !\\n\\nEn Espagne, le gros score nous vient encore d’Edwin Jackson (29 points) face à son ancienne équipe de Malaga. Malheureusement, lui et son coéquipier Ali Traoré (4 points) ont dû s’incliner face aux andalous. Plus heureux, Antoine Diot (14 points) a été le meilleur scoreur de son équipe dans une victoire face à Ténérife. Enfin, et alors que Vitoria était au repos, Andrew Albicy a encore assuré dans la distribution des ballons (11 passes) mais il a par contre déchiré au niveau du tir (1/9 aux tirs).\\n\\n\\nDuels au sommet pour nos Français\\n\\nEn Italie et en Grèce, il y avait des duels au sommets pour nos Français. En Italie, Amath M’Baye (14 points, 6 rebonds, 5 passes) a fait le maximum face au grand Milan. En Grèce, Angelo Tsagarakis (8 points) et Trikala ont joué les yeux dans les yeux face au mythique Panathinaikos, qui va bientôt se renforcer d’Alessandro Gentile. Ils s’inclinent de cinq points au final mais au bout d’un beau combat.\\n\\nEn Russie, il y avait aussi un duel de géants, un derby moscovite entre le Khimki et le CSKA. Et même sans Nando De Colo, les maillots rouges ont facilement dominé les tuniques jaunes (95-79). Nobel Boungou-colo (13 points, 7 rebonds) et les siens ont encore du boulot pour rivaliser avec leurs voisins champions d’Europe.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=TQk1qH8OwtQ\\n\\n\\nGuerschon Yabusele fait du chiffre\\n\\nEgalement dans le meilleur cinq d’Euroleague cette semaine, Adrien Moerman (13 points, 6 rebonds, 5 passes) a bien norici la feuille de match. Thomas Heurtel a même fait mieux, enfin pas pour l’adresse : 10 points (3/14 aux tirs), 6 passes, 4 rebonds, 4 interceptions.\\n\\nA l’extrême-est de notre tour du monde hebdomadaire, à Shanghaï, ça se passe plutôt pas mal pour Guerschon Yabusele qui a lâché un énorme double double, 25 points – 15 rebonds, dans une nouvelle victoire de ses Sharks. Il a régalé son public avec des dunks surpuisants et des contres bien sentis.\\n\\n\\nAllemagne\\n\\nFabien Causeur (Bamberg) : 20 points (7/10 aux tirs), 8 passes, 5 rebonds en 28 minutes (victoire 84-64 face à Bonn)\\n\\n\\nChine\\n\\nGuerschon Yabusele (Shanghaï) : 25 points (10/20 aux tirs), 15 rebonds, 3 contres, 2 interceptions en 35 minutes (victoire 103-87 face à Hangzhou)\\n\\n\\nEspagne\\n\\nEdwin Jackson (Estudiantes) : 29 points (11/18 aux tirs), 2 passes, 1 rebond, 1 interception mais 5 balles perdues en 33 minutes (défaite 87-76 face à Malaga)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : 14 points (6/12 aux tirs), 4 rebonds, 3 passes, 2 interceptions en 25 minutes (victoire 74-58 face à Ténérife)\\n\\nAli Traore (Estudiantes) : 4 points (2/3 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe en 12 minutes (défaite 87-76 face à Malaga)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 3 points (1/9 aux tirs), 11 passes, 4 rebonds en 36 minutes (défaite 90-74 face à Saragosse)\\n\\nRodrigue Beaubois (Vitoria) : pas de match ce weekend\\n\\nKim Tillie (Vitoria) : pas de match ce weekend\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAngelo Tsagarakis (Trikala) : 8 points (3/9 aux tirs), 2 passes, 1 rebond en 27 minutes (défaite 82-77 face au Panathinaïkos)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Brindisi) : 14 points (4/12 aux tirs), 6 rebonds, 5 passes, 1 interception mais 4 balles perdues en 35 minutes (défaite 99-86 face à Milan)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLeo Westermann (Kaunas) : n’a pas joué (victoire 98-82 face à Siaulai)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNobel Boungou-Colo (Khimki) : 13 points (4/8 aux tirs), 7 rebonds en 25 minutes (défaite 95-79 face au CSKA)\\n\\nNando De Colo (CSKA) : n’a pas joué – blessé à la cuisse gauche (victoire 95-79 face à Khimki)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAlpha Kaba (Mega Leks) : 7 points (3/6 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 1 interception en 25 minutes (défaite 82-69 face à Ljubljana)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nAdrien Moerman (Darussafaka Istanbul) : 13 points (5/10 aux tirs), 6 rebonds, 5 passes en 23 minutes (victoire 87-74 face à Izmir)\\n\\nThomas Heurtel (Efes Istanbul) : 10 points (3/14 aux tirs), 6 passes, 4 rebonds, 4 interceptions en 30 minutes (victoire 78-77 face à Trabzon)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Andrew Albicy brille face au Barça\\n\\nLes stats moyennes en saison régulière d’Euroleague :\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Alessandro Gentile signe au Panathinaïkos"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le club vient d’officialiser sur son site la signature de l’ancien ailier de Milan.\\n\\nAlessandro Gentile rejoint donc la Grèce et le Panathinaïkos pour le reste de la saison 2016/17. Ses droits NBA appartenant aux Houston Rockets, l’international italien souhaite sans doute se montrer une dernière fois en Europe avant de mettre le cap vers les Etats-Unis.\\n\\nLa formation grecque pointe actuellement à la 6e place du classement d’Euroleague (7v-5d) et a pu compter sur le fait que le père d’Alessandro, Nando Gentile a également évolué sous la tunique verte entre 1998 et 2001, remportant d’ailleurs la C1 avec le Pana en 2001.\\n\\nCette saison en Euroleague, le double champion d’Italie compilait en moyenne 10,8 points, 3 rebonds et 2,4 passes décisives pour une évaluation de 9,4. En Serie A, l’ancien joueur de Trévise tournait en moyenne à 9,5 points, 3,9 rebonds et 3,2 assists, cette saison.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : le Paris-Levallois facile vainqueur du derby francilien"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la 13e journée de Pro A, nous étions sur place au Palais des Sports Marcel Cerdan pour voir le Paris-Levallois s’offrir une huitième victoire en championnat en laminant Nanterre sur le score de 78-51 avant de recevoir Le Portel vendredi 23 décembre.\\n\\nLes dix premières minutes du match sont marquées par la nette domination parisienne avec notamment deux contres, un alley-oop conclu par Vincent Poirier qui compte déjà 8pts après 10mn. Quant au tir du milieu de terrain inscrit au buzzer par Louis Campbell, il est malheureusement refusé parce que le meneur parisien avait le pied dehors. Côté Nanterre, Mathias Lessort (6pts et 4 rbds) montre une belle agressivité mais il est beaucoup trop seul. 23-12 à la fin du premier quart-temps.\\n\\nDans la deuxième période, on prend les mêmes et on recommence. Chris Warren tente de remettre Nanterre sur de bons rails avec un tir primé derrière l’arc (23-16) mais en vain. Les Parisiens reprennent le contrôle de la rencontre et déroulent dans ce deuxième quart-temps. Menés comme toujours par leur serial scoreur Jason Rich (13 points à 5/7 à la pause) et par « papy » Campbell qui déborde encore une fois d’élégance cette saison. A la mi-temps le PL mène de 26 points (48-22) et la différence d’adresse entre les eux équipes parle d’elle-même 57% pour Paris-Levallois contre 32% pour Nanterre 92.\\n\\nAu retour des vestiaires Nanterre affiche de meilleures intentions en défendant plus dur, et en provoquant ainsi une perte de balle d’entrée d’Eliezer-Vanerot. Mais l’embellie est de courte durée. Le PL remet la main sur le match en se reposant sur Rich et Poirier quand ses solutions peinaient à arriver. Résultats des courses, toujours une avance considérable pour Paris-Levallois après 30 minutes de jeu (67-36).\\n\\nLe quatrième et dernier quart-temps n’est que la continuité du match, le PL se repose sur son avance tandis que Nanterre tente d’alléger la note tant bien que mal. Score final : 78-51 dans un derby que le PL a maîtrisé de la tête et des épaules mais qui n’aura pas tenu toutes ses promesses.\\n\\nLes joueurs de Freddy Fauthoux s’imposent très largement avec 21 points, 5 rebonds et 3 passes de Jason Rich. Joli cadeau d’anniversaire pour Landing Sané qui fêtait aujourd’hui ses 26 ans. Seul Nanterrien à avoir surnagé, Mathias Lessort s’en tire avec 21 points et 8 rebonds.\\n\\nPhoto : Karen Mandau"
}, 
{"role": "user",     "content":"Anthony Goods en pigiste à Pau"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour suppléer Ron Lewis absent jusqu’à fin janvier, l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez a choisi Anthony Goods.\\n\\nCe deuxième arrière/ailier américain de 1,91m a la particularité d’avoir effectué deux parties de saison avec Cholet Basket, en 2013-14 et en 2015-16 pour 9,8 pts avec 42.0% de réussite à trois-points.\\n\\nIl pourrait être qualifié pour le match de vendredi contre Monaco.\\n\\nSa fiche est ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les participants au concours de dunks du All-Star Game LNB dévoilés"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est dans l’émission Basket Time sur RMC Sport qu’ont été dévoilés ce soir les quatre participants au NBA 2K17 DUNK CONTEST du All-Star Game, qui se tiendra le 29 décembre à l’AccorHôtel Arena de Paris.\\n\\nIl s’agit de Deonte Burton (Lille), Micah Downs (Orléans), Bandja Sy (Villeurbanne) et Yakuba Ouattara (Monaco) déjà lauréat en 2014 et 15."
}, 
{"role": "user",     "content":"Orléans : Pierre Vincent reste sur son siège éjectable"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La situation de l’ancien entraîneur de Bourges, de l’équipe de France féminine et de Villeurbanne, Pierre Vincent, est surréaliste à Orléans.\\n\\nCela fait des mois qu’il est en conflit avec son président, sur un siège éjectable, mais pour l’instant rien ne bouge au Orléans Loiret Basket. La République du Centre informe que suite à une réunion ce lundi les dirigeants du club et le maire ont pris la décision d’attendre :\\n\\n« Pourquoi cette option, alors que tout laissait à penser que le limogeage de Pierre Vincent serait validé aujourd’hui ? La victoire obtenue samedi contre Châlons-Reims a-t-elle été prise en compte ? Le coût du licenciement à supporter pour un club nourri largement par les subventions des collectivités locales a-t-il joué ? Y a-t-il des avis divergents au sein même du club concernant Pierre Vincent ? »\\n\\nLa suite du feuilleton dans quelques jours..."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Letton Ainars Bagatskis, nouveau coach du Maccabi Tel-Aviv"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Letton Ainars Bagatskis, 49 ans, devient le nouveau coach du Maccabi Tel Aviv selon Walla. Bagatskis remplace Rami Hadar qui lui même avait pris la place de Erez Edelshtein.\\n\\nIl s’agit d’un véritable transfert en cours de saison puisque Bagatskis servait jusqu’ici comme assistant de David Blatt à Darüssafaka. Libéré par le club turc, il est par ailleurs le coach principal de l’équipe nationale de Lettonie.\\n\\nComme joueur, Ainars Bagatskis (1,98m) a passé une saison à la JDA Dijon en 2000-01. Comme coach, il a œuvré notamment en Lituanie, dans la Ligue de Baltique et en Ukraine.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Toujours 16 équipes en Euroleague en 2017-18 ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"D’après le journaliste David Pick, le format de l’Euroleague devrait rester le même pour la saison 2017-18, soit 16 équipes.\\n\\nParmi elles onze sont « franchisées » sur le modèle de la NBA: Andalous Efes Istanbul, Baskonia Vitoria, CSKA Moscou, FC Barcelone, Fenerbahçe Istanbul, Maccabi Tel-Aviv, Olimpia Milan, Olympicos Le Pirée, Panathinaikos Athènes, Real Madrid et Zalgiris Kaunas.\\n\\nLa Ligue Nationale de Basket a refusé de prétendre à l’une des cinq places vacantes pour la saison en cours.\\n\\nActuellement, malgré les menaces de la Fédération Internationale, aucun club de l’Eurocup n’a été sanctionné et la France est le seul pays majeur à ne pas avoir de club engagé dans les deux compétitions majeures européennes.\\n\\n\\n\\n\\nOfficials for Euroleague clubs are meeting with Jordi Bertomeu. I'm told 16 teams format remains for 2017-18.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) December 19, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"PL – Nanterre : Pascal Donnadieu et Freddy Fauthoux, adversaires depuis... 28 ans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce soir, c’est derby parisien. PL-Nanterre à Levallois. Pour présenter cet événement, Le Parisien a réuni les deux coaches franciliens, Freddy Fauthoux et Pascal Donnadieu, et livre ainsi un scoop : le moment où ceux-ci se sont affrontés la première fois.\\n\\nC’était en 1988, à Rueil. Fauthoux avait 16 ans et Donnadieu 24.\\n\\n« A l’époque je jouais là-bas en N 3 et lui au Centre fédéral, » se rappelle l’aîné. « On était sur le même poste et je me souviens qu’il nous avait fait ch... Il ne lâchait rien, ce sera pareil lundi (NDLR : ce soir). »\\n\\n« Je ne suis pas sûr d’avoir marqué Pascal par mon niveau de jeu. Je débarquais des Landes, je savais juste shooter et marquer parce que mon voisin me l’avait expliqué. C’était la première promotion (du Centre fédéral, situé à l’Insep). La formation avait duré dix mois et, les deux derniers, j’avais été en souffrance, je rentrais chez moi tous les week-ends. »\\n\\nPar la suite, Freddy Fauthoux a réalisé une carrière de joueur plus prestigieuse que celle de Pascal Donnadieu mais, pour l’instant, le coach de Nanterre 92 possède un net avantage comme coach au niveau du palmarès.\\n\\nLe derby parisien est programmé à 20h30 sur les antennes de SFR Sport 2."
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : le carton de David Lighty"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Connu comme le loup blanc en France pour avoir été champion national aussi bien avec Nanterre (2013) que l’ASVEL (2016), l’Américain David Lighty (1,98m, 28 ans) a réalisé un carton ce week-end en Italie. Il a pratiquement marqué un point à la minute...\\n\\nEn 35 minutes de temps de jeu, il a transformé 10 de ses 18 shoots à deux-points, 4 de ses 5 shoots à trois-points, et ses deux lancers, pour un total de 34 points.\\n\\nSon équipe de Dolomiti Energia Trentino (Trente en français) a ainsi vaincu Varese, 84-68."
}, 
{"role": "user",     "content":"Galatasaray : Deon Thompson en partance pour l’Etoile Rouge de Belgrade"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme le rapporte Eurohoops, après Justin Dentmon et Russ Smith, Deon Thompson va quitter la Turquie et le Galatasaray.\\n\\nLe Californien n’aura pas de mal à trouver un autre club puisque l’Etoile Rouge de Belgrade est fortement intéressée et les discussions sont déjà bien avancées. Il ne s’agirait que d’une question d’heures avant que ce transfert soit officialisé.\\n\\nC’est le coach Ergin Ataman qui a annoncé le départ de Thompson après le match face à Yesilgiresun.\\n\\n« Thompson s’en va et nous avons des problèmes d’argent. Je vais trouver le moyen de faire des transferts qui seront en adéquation avec la situation financière du club. Nous avons fait une erreur sur la position d’arrière au début de saison et nous avons décidé de nous séparer de Russ (Smith) et Justin (Dentmon). »\\n\\nCette saison en Euroleague, l’ancien joueur du Bayern Munich tourne en moyenne à 4,6 points et 1,7 rebond pour une évaluation de 4,4 par match.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Darussafaka : Marcus Slaughter absent au moins six semaines de plus"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Touché au genou et absent depuis trois semaines, Marcus Slaughter devrait être sur le chemin du retour mais David Blatt, l’entraîneur du Darussafaka Dogus, a annoncé après la rencontre face à Izmir que son intérieur sera indisponible pour au moins six semaines supplémentaires, comme le rapporte Eurohoops.\\n\\nIl s’avère que les problèmes de genou de l’ancien joueur du Real Madrid persistent alors qu’il avait été décidé d’éviter l’opération pour qu’il retrouve le chemin des parquets plus rapidement...\\n\\nAvec une absence de si longue durée, David Blatt a annoncé que le Darussafaka, qui pointe à la 7e place du classement d’Euroleague, chercherait une solution, qu’elle soit en interne ou par l’apport d’un nouveau joueur. Cette saison en C1, l’ancien pensionnaire de San Diego State tournait à 4,7 points et 2,9 rebonds.\\n\\nConnu pour son énergie et son intensité, Slaughter avait également foulé les parquets de Pro A entre 2007 et 2010 en passant par Gravelines-Dunkerque, Le Havre et Nancy. En France, le natif de San Leandro compilait en moyenne 13,2 points et 8 rebonds pour une évaluation de 18,3 en 63 matchs de championnat.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les highlights de Sekou Doumbouya à l’Euro U18"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Voici les highlights de Sekou Doumbouya lors du match contre la Serbie à l’Euro U18.\\n\\nNaturalisé français depuis novembre, le natif de Conakry (Guinée) est la sensation de ce début de compétition grâce à ses qualités athlétiques totalement exceptionnelles et aussi ses gestes de basketteur déjà affirmés.\\n\\nAprès trois matches, le Poitevin tourne à 20,0 pts (2e de la compétition), 61,3% aux shoots, 2/9 à trois-points, 20/24 aux lancers, 6,3 rbds et 1,3 ctrs pour 18,7 d’évaluation.\\n\\nRappelons que Sekou aura 16 ans le 23 décembre et qu’il a donc deux ans de moins que la plupart de ses adversaires.\\n\\nLa France affrontera demain la Bosnie-Herzégovine en quart de finale.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=v8UL4YU7vxU"
}, 
{"role": "user",     "content":"Marième Badiane (22 ans) et Lisa Berkani (19 ans), les deux diamants de Mondeville"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’USO Mondeville a échoué hier face aux Flammes Carolos de Charleville-Mézières après une prolongation (90-94) mais le spectacle a enthousiasmé les spectateurs de la Halle-Bérégovoy et deux jeunes Normandes se sont mises spécialement en évidence.\\n\\nL’intérieure Marième Badiane (1,90m, 22 ans) a cumulé 23 points (9/17) et 13 rebonds et égalisé dans le temps règlementaire d’un panier bonifié à 8-9 mètres.\\n\\nLa meneuse Lisa Berkani (1,76m, 19 ans), championne du monde de 3×3 et aussi dans le meilleur cinq de l’Euro U18 en 2015, a obtenu la même évaluation (25) avec 26 points (9/18), 6 rebonds, 3 passes et 2 interceptions. Lisa Berkani est connue pour sa technique individuelle au-dessus des normes et ses prises de risque à la fois spectaculaires et qui entraînent un gros déchet. Son ratio 2,7 pds/4,1bps en atteste.\\n\\nMarième Badiane (14,5pts et 9,4 rbds) et Lisa Berkani (12,1 pts) sont aux portes de l’équipe de France mais c’est une troisième actrice, qui elle a intégré les Bleues à la faveur des JO de Rio et de la blessure de Céline Dumerc, MVP française en titre, qui a fait la différence côté ardennais. Amel Bouderra (3/8 à trois-points, 10/10 aux lancers) s’est fendue de 23 points et 13 passes... mais en perdant aussi 8 balles.\\n\\n« On a très très bien défendu sur Bouderra mais on s’est fatigué sur elle et à la moindre faille, elle lit le jeu et voilà », constate le coach Romain Lhermitte sur sportacaen.\\n\\nL’année dernière, la classe de Marine Johannès éclatait nationalement au grand jour. Depuis celle-ci est partie rejoindre Bourges mais l’USO Mondeville réputée pour son sens aigu de la formation possède encore plusieurs cartes jeunes dans sa manche."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet : «On n’a pas encore la consistance d’une très bonne équipe»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vainqueur par deux fois de Monaco la saison passée, la SIG n’effectuera pas le grand chelem cette saison puisque la SIG a été littéralement avalée dans les vingt dernières minutes par la Rocca Team, 77-62, alors qu’elle était encore à égalité à 35 à la mi-temps.\\n\\nLa paire d’arrières américains –même si l’un possède le passeport bulgare et l’autre bosniaque – constituée de Dee Bost (29 pts, 7/11 à trois-points) et Zack Wright (16 pts, 8 rbds, 8 pds, 3 ints) a fait des dégâts irréversibles dans la défense alsacienne. Yakuba « Billy » Ouattara (16 pts) servant de troisième lame. On en a presque oublié que Jamal Schuler, blessé au mollet, est toujours absent. Monaco a paru retrouver cette puissance qui en a fait en début de saison un leader indestructible.\\n\\nL’imprécision de la SIG aux lancers-francs (16/26) n’a fait qu’accentuer la domination des Monégasques dont la défense et plus généralement l’intensité sont des vertus cardinales.\\n\\n« L’intensité ce n’est pas que la défense, le rebond en fait partie. Trop de fois, il y a eu un Monégasque qui prenait la balle au milieu de trois de nos joueurs. Et ça, ce n’est pas possible. Dans ce genre de combats, les munitions ont beaucoup d’importance, et il faut éviter d’en redonner des supplémentaires à l’adversaire », souligne le coach Vincent Collet dans les DNA.\\n\\nCet échec met un sérieux coup de frein à l’avancée de la SIG qui n’avait perdu qu’une seule fois en Pro A, et de peu, à Gravelines (72-73), depuis le retour à bord de Vincent Collet. Les Strasbourgeois sont désormais à quatre victoires de leurs adversaires du jour.\\n\\n« On avait appris de notre défaite à Zagreb, et vraiment franchi un cap ensuite. Celle-ci peut également nous amener quelque chose », estime Collet. « Je ne suis pas dupe de notre niveau. On progresse, mais je sais aussi qu’on n’est pas là où j’espère qu’on sera dans quelques mois. Ça ne nous empêche pas d’essayer de gagner tous les matches, mais on n’a pas encore la consistance d’une très bonne équipe. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 19 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nSLUC : Brion Rush est arrivé sur Nancy\\n\\n– Recruté par le SLUC suite à l’indisponibilité d’Ebi Ere (mollet), Brion Rush est arrivé ce dimanche à Nancy après avoir atterri au Luxembourg... Lire la suite.\\n\\n\\nOn s’est inspiré des universités américaines\\n\\n– Sébastien Castillo, directeur artistique chez Hungaria... Lire la suite.\\n\\n\\nLe logo le plus...\\n\\n– Nancy, Le Portel et Strasbourg, qui ont été dessinés en 2015... Lire la suite.\\n\\n\\nLes clubs de Pro A soignent leur image\\n\\n– Le logo est un composant indispensable de l’identité d’un club. Pas un hasard si la grande majorité des formations de Pro A ont refait le leur ces... Lire la suite.\\n\\n\\nIndigeste Rocher\\n\\n– La série victorieuse de la SIG a pris fin hier à Monaco. Elle s’est même littéralement fracassée sur le Rocher. Dominés au rebond offensif, en... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Comme des grandes »\\n\\n– « Je suis vraiment fier de mes joueuses. Je savais qu’elles étaient capables de livrer ce type de match mais, là, il fallait qu’elles maîtrisent le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Un match complet »\\n\\n– « Les joueurs ont fait un match complet, contrairement à leur demi-finale de samedi. Ils ont été cohérents en défense, en donnant une vraie intensité... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe BCM se renforce\\n\\n– C’est officiel, les dirigeants du BCM sont allés à la pêche au gros en s’assurant la signature de Milutin Aleksic pour la suite de la saison. Formé à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nHiérarchies inversées ! Ou presque...\\n\\n– Saint-Paul-en-Jarez a donné le ton en s’imposant face à Neulise, pensionnaire de RF3 (60-44) vendredi soir... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg fait exploser le Puy\\n\\n– La jeunesse burgienne s’est qualifiée pour la finale en infligeant une véritable correction à des Ponots totalement dépassés en seconde période... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUnieux tombe en demi-finale\\n\\n– Malgré les trois divisions d’écart qui séparaient les deux formations, les filles d’Unieux entraient sans complexe dans la partie... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBCMF : une trêve à point nommé\\n\\n– Fin d’année compliquée pour le BCMF avec la défaite à Reims. Les quelques jours de repos vont faire du bien pour attaquer 2017 en pleine forme... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes rêves des Bressans se sont heurtés à Pont-de-Chéruy\\n\\n– Face à une JL Bourg trop diminuée, Pont-de-Chéruy a conservé sans difficulté son trophée dans une finale à sens unique... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPont-de-Chéruy s’offre une nouvelle Coupe\\n\\n– Face à un adversaire burgien trop diminué, les Ponots ont conservé sans difficulté leur trophée dans une finale à sens unique... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDes regrets, mais aussi du positif\\n\\n– Jérémy Beaufort exprime ses sentiments à l’issue d’une rencontre qui aurait pu avoir un autre visage.\u2003De quoi avoir quelques regrets... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe RBF fini l’année par une défaite\\n\\n– Samedi soir Les Pink Ladies étaient à Toulouse pour le dernier match de l’année et elles se sont inclinées 75-55... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Lionnes ont mangé les Tigresses\\n\\n– Les Espoirs du FC Lyon ont bousculé la hiérarchie et les Villeurbannaises pour s’imposer avec un cœur énorme... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nGrismay Paumier, la bonne pioche de Boulogne-sur-Mer\\n\\n– L’ancien pivot de Saint-Chamond Grismay Paumier constitue la principale satisfaction d’une formation maritime avant dernière de Pro B et en quête de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nMo Kone : « Montrer notre basket »\\n\\n– Il garde de la Chorale et notamment d’une finale à Bercy d’excellents souvenirs. Désormais dans les Ardennes Mo Koné s’éclate aujourd’hui sous la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nMonaco marque son territoire\\n\\n– Monaco a conservé son fauteuil de leader en surclassant Strasbourg, l’une des équipes en forme du moment, 77 à 62, lors d’un match intense dimanche... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTrophée Coupe de France : le Cest éliminé\\n\\n– Pas d’exploit mais une belle leçon de courage pour les basketteuses du Cest (N3), qui affontaient samedi soir une équipe du Poinçonnet évoluant un cran au-dessus (N2) en finale régionale du Trophée Coupe de France. Malgré un effectif diminué, le Cest a ainsi tenu la dragée haute à la formation de l’Indre en première mi-temps (36-38), ava... Lire la suite.\\n\\n\\nDeplanque : » Il fallait qu’on passe ce tour «\\n\\n– Cédric Deplanque, entraîneur de Thouars Basket\u2009:« Cette semaine a été plus dans la récupération, car la semaine dernière on a eu un gros match de championnat et il y a eu des gros efforts de consentis. J’ai un effectif un peu amoindri, donc on met du temps à rentrer dans le match. Il fallait qu’on passe ce tour, c’est ce qui a été fait et m... Lire la suite.\\n\\n\\nLa star du week-end\\n\\n– DaShaun Wood. Le meneur américain, arrivé au CSP Limoges en début de saison, retrouvait la Sarthe où il a évolué une saison (2013-2014). Il a fait des misères à son ancien club du MSB en compilant dix-neuf points, quatre rebonds et cinq passes décisives. Après une saison passée sous les couleurs de Cholet, le natif de Détroit âgé de 31 ans... Lire la suite.\\n\\n\\nMonts et Fondettes en bonne position\\n\\n– Les clubs de Prénationale ne retrouveront les parquets que début 2017 pour le dernier match de la phase aller. Il est, cependant, déjà possible de faire un premier point sur le parcours des clubs tourangeaux.Féminines Monts présente un bilan favorable. Les joueuses de Pascal Papot, avec une seule défaite contre Chartres (51-47), se r... Lire la suite.\\n\\n\\nRouen se cherche encore\\n\\n– Rouen – Poitiers Après une saison galère en Pro A sanctionnée par une relégation, les Normands, derniers en Pro B, veulent se relancer contre Poitiers... Lire la suite.\\n\\n\\nLes Thouarsaises tranquillement\\n\\n– Saujon (Prénat. + 21) – Thouars (N1F)\u2009: 65-126 Sans surprise, les Thouarsaises l’emportent facilement chez une équipe qui évolue trois niveaux en dessous... Lire la suite.\\n\\n\\nPas de cadeau avant Noël\\n\\n– Comme prévu, les Poinçonnoises sont venues tranquillement à bout des Tourangelles du CES samedi soir (79-53). Direction les seizièmes de finale... Lire la suite.\\n\\n\\nLa Roca Team répond à l’Élan\\n\\n– En l’emportant contre Strasbourg (77-62), Monaco a envoyé un message clair à Chalon-sur-Saône. Le leader n’est pas prêt à abandonner sa place... Lire la suite.\\n\\n\\n» On montera un jour en Nationale 1 ! «\\n\\n– Le président de l’UTBM, Bruno de L’Espinay, espère un redressement spectaculaire de son équipe en 2017. En cas d’échec concernant l’accession en N1, il retentera le coup la saison prochaine... Lire la suite.\\n\\n\\nRixheim d’un point\\n\\n– L’équipe de Cédric Garnier a remporté samedi soir dans sa salle le match amical qui l’a opposé au FC Mulhouse (64-63)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCoup d’arrêt pour la SIG\\n\\n– L’équipe strasbourgeoise, qui restait sur cinq victoires en championnat, a été battue par Monaco, le leader, hier en fin de journée à l’issue d’un... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les articles de la semaine du 12 au 18 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque dimanche, Basket Europe vous propose une sélection des meilleurs articles de la semaine afin de connaître l’essentiel de l’actualité :\\n\\n 1.  Sekou Doumbouya (16 ans) : « Je veux jouer en NBA d’ici trois ans »\\n 2.  Pourquoi le Manceau Jonathan Jeanne (2,18m), grand espoir du basket français, est prêté à Nancy\\n 3.  A 46 ans, Jimmy Vérove effectue son dernier tour de piste\\n 4.  Vincent Pourchot (2,22m) : des rêves de NBA à la N2\\n 5.  Annoncé à 180 kg, Baby Shaq à l’essai à Patras\\n 6.  La grosse déprime du directeur du centre de formation de Limoges\\n 7.  [replay] Le trois points de la gagne complètement dingue d’Antoine Diot !\\n 8.  Basket Landes : un club de village devenu une place forte du basket français\\n 9.  Le SLUC Nancy au bord du gouffre\\n 10. L’ancien directeur de l’ASVEL estime que le hand est une menace pour le basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18 : la France repousse la Serbie avec un Sekou Doumbouya éblouissant"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est sur une pénétration sur le côté droit de Elhadji-Digue Diawara ponctuée d’un dunk et d’un lancer réussi, à 19 secondes du buzzer, que les Bleuets ont obtenu une victoire sur la Serbie (71-68) au cours d’un match à la fois de très bonne facture et à l’issue jusqu’au bout incertaine.\\n\\nLes Serbes ont toujours été menaçants grâce notamment à une ultra domination dans les rebonds offensifs, 25 à 9.\\n\\nBien que plus jeune de deux ans vis à vis de la plupart de ses adversaires, Sekou Doumbouya (2,02m) a paru parfois être un adulte au milieu de juniors façon LeBron James, comme sur cette pénétration suivi d’un dunk éblouissant dans le deuxième quart-temps. Au final, le Poitevin a marqué 31 points avec un exceptionnel 10/11 aux shoots. Même statistique aux lancers-francs (trajectoire en cloche, ficelle), ce qui prouve sa stabilité émotionnelle. Seul bémol, ses sept balles perdues. A sa décharge, il a été extrêmement sollicité (37 minutes de temps de jeu).\\n\\nLes Français sortent donc invaincus de la phase de poule (victoire sur la Russie, la Slovénie et la Serbie) et joueront les quarts de finale de cet Euro express mardi.\\n\\nLa box score est ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Nick Calathes entre dans un club très fermé"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec une performance de très haut standing face au Fenerbahce vendredi soir à l’occasion de la 12e journée d’Euroleague, Nick Calathes a fait son entrée dans le club des joueurs ayant compilé un double-double ainsi que cinq unités dans deux autres catégories statistiques.\\n\\nAvec 16 points, 11 passes décisives, 6 rebonds et 5 interceptions (34 d’évaluation), le meneur de jeu du Panathinaïkos a fait trembler le Fener, qui s’est incliné 81-70, et a rejoint Bogdan Bogdanovic, Pablo Prigioni, Chris Williams, Riccardo Pittis et Dino Radja dans ce club très fermé.\\n\\n * Bogdan Bogdanovic (Partizan vs Budivelnik Kiev, 5/12/2013) 15 points, 10 assits, 6 rebonds, 5 interceptions\\n * Pablo Prigioni (Tau Ceramica vs Climamio Bologna, 17/1/2007) 12 points, 10 assists, 8 rebonds, 5 interceptions\\n * Chris Williams (Opel Skyliners vs Pau Orthez, 17/11/2004) 21 points, 14 rebonds, 8 assists, 5 interceptions\\n * Riccardo Pittis (Benetton Treviso vs Hapoel Jerusalem, 2/10/2000) 12 points, 10 rebonds, 6 assists, 5 interceptions\\n * Dino Radja (Olympiacos vs Muller Verona, 31/1/2001) 21 points, 10 rebonds, 5 assists, 5 contres\\n * Nick Calathes (Panathinaikos vs Fenerbahce, 16/12/2016) 16 points, 10 assists, 8 rebonds, 5 interceptions\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Laurent Pluvy reconnaît la supériorité de Fos-sur-Mer"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vendredi soir à la Halle Parsemain de Fos-sur-Mer, la Chorale de Roanne n’a pus empêché Fos Provence Basket emmené par Derrick Obasoahan (30pts, 7/11 à 3pts) d’aligner une 10e victoire consécutive en championnat (98-90). Privés de Mehdi Chériet (béquille), les Roannais n’ont pas pu s’appuyer sur l’impact du MVP de Pro B 2016, Joe Burton, sorti pour 5 fautes après 16 minutes (10pts, 4/4 au tir). Malgré la défaite et un écart qui a couru jusqu’à -21 en 3e quart-temps, l’entraîneur de la Chorale Laurent Pluvy a affiché un visage résolument positif après la rencontre en conférence de presse. L’ancien coach de Saint-Vallier a loué l’état d’esprit et le super match de ses joueurs, rendant également hommage à l’invincible leader provençal.\\n\\n« Sur le début du match, les Fosséens méritent amplement leur victoire. Ils ont fait un match exceptionnel. Je ne sais pas s’ils avaient déjà réalisé un match de cette facture depuis le début de la saison. Ils avaient déjà été très bons contre Lille en les battant de 30 points (89-60). Mais ce soir, ils font un match remarquable. On est tombé sur une équipe très solide, en réussite, qui maîtrise son basket des deux côtés du terrain et mérite d’être le leader incontesté, sincèrement », a confié Laurent Pluvy en introduction.\\n\\nL’ancien meneur de l’Asvel (1992-2001) s’est ensuite montré enthousiaste sur le basket développé par son équipe, plus que jamais meilleure attaque de Pro B (88 pts par match), mettant par exemple en avant les 5 petites pertes de balles des Roannais :\\n\\n« Franchement, je suis très fier de mon équipe. On a pratiqué un basket magnifique, personne peut dire le contraire. Les Fosséens ont défendu le plomb, malgré ça, on perd très peu de ballons, on trouve solution sur solution, on peut juste regretter de pas mettre certains tirs ouverts. Mais qu’est ce qu’on a bien joué au basket ! Franchement, je suis admiratif de ce qu’on a proposé, parce qu’on a proposé un basket de très haut niveau. Je suis très content, et j’espère que ça va tourner vite de notre côté à nouveau (...) Même avant le 4e quart-temps, on fait un match du tonnerre. On n’a pas la réussite, et les ballons qu’on perd se sont joués sur des petits détails, des petites bêtises. En face, on a une équipe incroyable qui a su mettre des tirs compliqués au départ, alors que nous, on rate des tirs ouverts, ça fait la différence dès le départ ».\\n\\nParmi les favoris régulièrement cités au début de saison, la Chorale de Roanne, qui reste sur trois défaites consécutives (9e, 5v-5d), recevra Charleville-Mézières, l’autre équipe en forme de ce début de championnat (2e, 8v-2d) ce mardi à la Halle André Vacheresse pour le choc de cette 11e journée. Les Fosséens se rendront pour leur part dans l’antre du Palio pour affronter Boulazac, un déplacement qui s’annonce très compliqué pour les coéquipiers de Mamadou Dia.\\n\\nLes résultats de la 10e journée de Pro B\\n\\nAix-Maurienne – Nantes : 73-67\\n\\nFos-sur-Mer – Roanne :98-90\\n\\nEvreux – Boulazac : 75-69\\n\\nCharleville-Mézières – Rouen : 89-85\\n\\nBourg-en-Bresse – Saint-Chamond : 97-70\\n\\nBlois – Poitiers 95-90\\n\\nVichy-Clermont – Denain : 75-85\\n\\nBoulogne-sur-Mer – Le Havre : 72-80\\n\\nSaint-Quentin – Lille : 60-51"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : deux Français dans le cinq majeur de la semaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vainqueurs respectivement face à l’Anadolu Efes Istanbul (91-83) et au Real Madrid (81-68), Fabien Causeur et Adrien Moerman ont chacun été récompensés par une gratifiante place dans le cinq majeur de la semaine en Euroleague.\\n\\nLe premier a tout simplement enregistré ses records de points et d’évaluation face à l’Efes et son compatriote Thomas Heurtel (13 points, 2 rebonds et 4 passes). Avec 28 points, (11/14 aux tirs) et 3 passes décisives pour une évaluation de 35, l’arrière de Bamberg fait logiquement partie du cinq type de la semaine en C1.\\n\\nDe son côté, Adrien Moerman a été précieux dans le succès du Darussafaka Dogus face au prestigieux Real Madrid en compilant 12 points, 5 rebonds et 3 interceptions pour une évaluation de 10.\\n\\n\\nCinq majeur de la 12e journée d’Euroleague\\n\\n * Nick Calathes (Panathinaïkos) : 16 points, 8 rebonds, 11 passes décisives, 5 interceptions, 34 d’évaluation\\n * Fabien Causeur (Bamberg) ; 28 points, 1 rebond, 3 passes décisives, 35 d’évaluation\\n * Vladimir Micov (Galatasaray) : 23 points, 6 rebonds, 3 passes décisives, 27 d’évaluation\\n * Derrick Brown (Anadolu Efes) : 18 points, 11 rebonds, 5 passes décisives, 29 d’évaluation\\n * Adrien Moerman (Darussafaka) : 12 points, 5 rebonds, 3 interceptions, 10 d’évaluation\\n * Coach : Xavi Pascual (Panathinaïkos)"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB : troisième défaite pour Bourges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Berruyères ont concédé hier soir leur troisième défaite de la saison à Nice, 70-77.\\n\\nL’intérieure américaine Victoria Macaulay (1,93m, 26 ans) leur a fait beaucoup de mal avec ses 27 points et 13 rebonds mais aussi leur propre indigence dans les shoots (0/9 à trois-points, 25/59 à deux-points). Et heureusement que la Brésilienne Clarissa Dos Santos a encore sorti un match de derrière les fagots (17 points et 11 rebonds) sinon la punition aurait pu être encore plus sévère.\\n\\nUn regroupement à trois s’est ainsi opéré en tête du classement, Basket Landes devançant Lattes-Montpellier et Bourges au point-average. Basket Landes qui a triomphé à Lyon (68-58) grâce notamment à une Céline Dumerc encore très active (12 points, 8 passes, 20 d’évaluation).\\n\\nLa dernière journée avant la trêve est programmée mercredi mais avec un match avancé la veille, le choc au sommet entre Bourges et Lattes-Montpellier."
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges renverse Le Mans avec seulement cinq joueurs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le match dans le match, c’était celui entre deux intérieurs. Deux all-stars. Ousmane Camara du côté limougeaud, élu par les fans grâce à un fort courant venu de sa ville mais qui méritait quoiqu’il en soit largement sa place pour la grande kermesse annuelle. Et dans le camp manceau, Wilfried Yeguete, joueur du mois de novembre et plus généralement meilleur Français de ce début de saison.\\n\\nUn signe : Camara réussit d’entrée un tir en crochet sur Yeguete pour placer le CSP sur ce qui s’avéra être les rails du succès. La suite sera de la même veine. Deuxième duel à l’intérieur, faute de Yeguete, Camara aux lancers. Plus tard, le Manceau manque un dunk surpuissant, chute avec son équipier Ryan Pearson, et sur la contre-attaque, profitant de l’aubaine, Ousmane Camara se retrouve seul et dunke.\\n\\nEn moins de cinq minutes, Limoges a pris dix points d’avance. Les Manceaux sont sans rythme, comme s’ils étaient toujours en transit dans un aéroport ukrainien. Yeguete fait un airball mais cette fois récupère la balle pour scorer et limiter les dégâts car à la fin du premier quart, le score est très favorable aux visiteurs : 12-27.\\n\\n« On n’était pas trop concentrés, on a cru que ça serait facile comme les trois derniers matches », avoua Mouph Yarou faisant référence aux larges victoires sur Orléans, Nancy et en Basketball Champions League, face au Khimi, en Ukraine. « Ce soir on a oublié que l’on doit toujours jouer la défense même quand on rate les shoots. On les a laissés faire ce qu’ils voulaient en début de match. Il faut que l’on retourne à l’entraînement en se disant, c’est quoi notre identité ? Comme le coach le dit, c’est la discipline en défense, être dur, les bousculer. »\\n\\n\\nLe lièvre et la tortue\\n\\nA priori, Le Mans avait le vent en poupe alors que Limoges était vitupéré pour s’être fait marcher sur les pieds à Beaublanc par Le Portel. Parfois le CSP donnait peine à voir. Pour se faire pardonner, l’ordre de mission était de gagner au moins deux des trois matches avant la trêve. Et de fait, les rôles étaient inversés. Ce sont les Limougeauds qui évoluaient en totale confiance face à des Manceaux qui allaient jouer le remake du Lièvre et de la Tortue.\\n\\n« Parfois après l’enchaînement des matches la concentration n’est pas toujours à 100% », analysait le coach du MSB Erman Kunter. « On a donné des tirs ouverts, on était trop soft en défense et en attaque. Il faut jouer avec plus d’intensité des deux côtés du terrain. On a battu Nancy et les Ukrainiens qui ne jouent pas avec beaucoup d’intensité et les joueurs reviennent sur les mêmes bases comme face aux équipes que l’on vient de jouer. Lentement, pas de création, pas d’attaque, pas de pression en défense. Quand vous courez toujours derrière le score vous commencez à prendre des risques, la panique commence car on se dit « on va perdre ». On donne peut-être beaucoup d’énergie mais elle n’est pas lucide. Je ne pense pas que l’on ait des problèmes physiquement, que l’on soit fatigué, mais mentalement on est un peu perturbé car on joue des matches et des matches. Limoges a eu plus de possibilités de préparer ce match. »\\n\\n\\nLe meilleur de DaShaun Wood\\n\\nSur le terrain, le patron portait un bandeau blanc et il s’est fait applaudir plus que les autres Limougeauds à la présentation des équipes car il est de la lignée des grands meneurs de jeu à avoir porté le maillot du MSB. C’était le meilleur de DaShaun Wood (19 points, 3/3 à trois-points, 5 passes, 4 rebonds et 2 interceptions) ce samedi soir, lui qui était déjà venu gagner à Antarès avec Cholet. Le meneur américain joua tout en finesse, avec malice, prenant totalement le dessus sur son rival d’en face, Giordan Watson.\\n\\nA la fin, Mickaël Gelabale, l’ancien Limougeaud, était remonté comme un coucou suisse, mais deux actions consécutives prouveront que le CSP ne pouvait pas perdre : Ousmane Camara évite d’une contorsion la défense agressive de ce même Gelable pour conclure et ensuite DaShaun Wood inflige un in your face à Lahou Konaté et score à trois-points. C’est encore Wood et toujours d’un tir primé qui un peu plus tard climatisera la salle alors que la bête mancelle était en train de se réveiller.\\n\\n« Nous avons perdu deux matches à la suite et nous avions besoin d’une grosse victoire comme celle-ci (77-71) », dira l’Américain. « Les deux derniers matches nous n’avions pas bien démarré et aujourd’hui nous voulions être sûrs de bien le faire et après nous avons eu deux ou trois gars venant du banc qui ont apporté de l’aide et c’est parfait. »\\n\\nEn fait, le coach Dule Vujosevic s’est très essentiellement appuyé sur son cinq de base. Wood, Klemen Prepelic, un parfait William Bufford (20 points, 9 rebonds), C.J. Fair et Ousmane Camara ont joué chacun entre 31 et 37 minutes. Ce sont eux qui ont mis les 77 points du CSP. Les autres n’ont tenté que trois shoots, tous ratés. Une stratégie qui ne fonctionne que lorsqu’on ne joue qu’une fois par semaine et qui ne peut perdurer.\\n\\n\\nOusmane Camara a fait don de son corps\\n\\nC’est bien là tout le mérite d’Ousmane Camara car le trop frustre Fréjus Zerbo ne l’a secondé que neuf minutes, le temps de faire trois fautes et de perdre deux balles. Camara a contraint Wilfried Yeguete à sa plus faible évaluation (5) de la saison. Il s’est aussi coltiné Mouphtaou Yarou (14 points, 10 rebonds) qui en récupérant son intégrité physique est redevenu l’un des deux ou trois meilleurs pivots de Pro A. Au-delà de ses 14 points et 4 rebonds, le capitaine limougeaud a fait don plusieurs fois de son corps, notamment en fin de match sur Yeguete –toujours lui- et pour empêcher Philippe Amagou de conclure un lauyp. L’assistant Jim Bilba doit apprécier son style qui ressemble tant au sien.\\n\\nLa qualité de l’axe 1-5 est vital au basket. Ousmane Camara a fait le travail de l’ombre alors que DaShaun Wood a géré le match avec un énorme sang-froid.\\n\\n« Je suis très heureux et satisfait parce que ça été un moment très solide pour nous », a commenté Dule Vujosevic. « Nous avons eu un leader extrêmement positif, DaShaun Wood. Mais c’est un effort de toute l’équipe. Nous avions bien préparé ce match avec Jim Bilba. Il y a eu un maximum de discipline, un maximum de désir de gagner. Les joueurs ont réellement changé chaque chose après la sérieuse conversation que nous avons eu ensemble. »\\n\\nC’est la quatrième fois de suite que le CSP s’impose à Antarès et seul Monaco a réussi cette saison pareil exploit. Tout n’a pas été rose pour autant. Le banc a donc fait le service minimum. Ernest Scott n’a joué que cinq minutes, Zamal Nixon sept. Le CSP a besoin de se renforcer (Erazem Lorbek doit venir à l’essai) pour que ce qu’il a montré au Mans, son premier succès à l’extérieur depuis le 1er octobre, soit sont ordinaire.\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 18 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nBrion Rush arrive au SLUC Nancy\\n\\n– Pour remplacer Ebi Ere blessé et arrêté jusqu’au 16 février (déchirure au mollet avec décollement de l’aponévrose), le SLUC a engagé ce samedi Brion... Lire la suite.\\n\\n\\nLa «malédiction» des fêtes\\n\\n– Le nez de Paul Lacombe porte encore les stigmates du coup reçu face à Hyères-Toulon, il y a huit jours. «Deux points (de suture) , la base», plaisante... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’OL, Bangaly et la famille\\n\\n– Paul Lacombe ne cache pas son impatience à l’heure de défier successivement Monaco et Chalon. Pour le tout nouvel All-Star, la SIG va savoir où elle... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nGala en Principauté\\n\\n– Le choc entre le leader monégasque et une équipe strasbourgeoise rassérénée s’annonce alléchant. La SIG peut confirmer ce soir qu’elle est bel et bien... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe SOMB s’enfonce encore plus dans les profondeurs du classement\\n\\n– Encaisser au maximum 17 points par quart-temps. Telle était la consigne donnée par Germain Castano à ses hommes au moment d’entamer cette rencontre. À l’issue des 10 premières minutes, les Somistes avaient grillé un sacré joker. Greene et Lebrun, avec sa patte magique, étaient passés par là. Maigre consolation, Boulogne était devant (27-24); mais la défense n’avait pas vraiment répondu présent... Lire la suite.\\n\\n\\nLFB : submergée par les «Déferlantes» de Nantes, l’ESVBA s’est fait ridiculiser\\n\\n– Samedi soir, sans sa paire de meneuses (Virginie Brémont et Olivia Epoupa, blessées, ont drôlement souffert mentalement depuis le banc) et avec une Iagupova revenue tout juste pour l’échauffement, Frédéric Dusart, l’entraîneur villeneuvois, avait la tête des mauvais jours à quelques minutes du coup d’envoi. Comme s’il pressentait un match piège duquel ses filles n’allaient peut-être pas sortir... Lire la suite.\\n\\n\\n« Tarbes sera un match clé »\\n\\n– « Je crains le pire pour Carmen... Les filles ont été vaillantes, mais notre effectif est très juste, et cela laisse des traces. Il va falloir tout... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Je n’ai pas une équipe de pros ! »\\n\\n– « Nous étions trop limités en rotations pour espérer obtenir un meilleur résultat. En plus, comme d’habitude, nous perdons encore beaucoup trop de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg fait exploser Le Puy\\n\\n– En infligeant un terrible « 17-0 » entre la fin du deuxième quart-temps et le début du troisième (de 30-35 à 47-35, 23e ), la JL Bourg a littéralement... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’ASV fait respecter la hiérarchie\\n\\n– Large vainqueur d’Unieux (86-44) malgré un premier quart-temps raté, l’AS Villeurbanne s’est qualifiée pour la finale... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPont-de-Chéruy défendra sa couronne\\n\\n– Face une formation de l’OLB trop limitée en effectif, les Ponots ont acquis sans difficulté leur ticket pour la finale... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond, comme une ombre\\n\\n– On ne peut pas gagner en jouant dix minutes. Les trente autres, les Couramiauds les ont passées à regarder Ndoye, Sim et les autres dérouler leur jeu... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRoanne a encore du chemin à faire\\n\\n– Fos est le vrai patron de la division. Roanne pratique un beau jeu mais perd. Contre Charleville, la cavalerie doit galoper vers l’essentiel, la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nAndrézieux tombe à Tarbes\\n\\n– Face à une équipe en forme, Andrézieux a chuté pour la deuxième fois de suite, malgré un beau sursaut... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg fait exploser Le Puy et jouera la finale\\n\\n– La jeunesse burgienne s’est qualifiée pour la finale en infligeant une véritable correction au Puy. Les Bressans retrouveront Pont-de-Chéruy... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDes Roannaises encore sous l’éteignoir\\n\\n– Il n’y a pas eu de surprise, hier soir, à Toulouse, où les reléguées de l’échelon supérieur ont aisément pris la mesure des promues... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Montbrisonnaises n’étaient pas suffisamment pétillantes\\n\\n– Fort d’un succès 70-47 contre Roanne la semaine dernière, Montbrison espérait enchaîner dans la Marne contre une équipe de Reims poussive lors de ses... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSalins, la défaite en souriant\\n\\n– La jeune équipe de Redjali Simati a chahuté hier soir les pensionnaires de Nationale 2. Un véritable gage d’avenir... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« On va se concentrer sur nous »\\n\\n– Le capitaine de la JL Bourg, Philippe Braud, aurait aimé gagner quelques matches de plus. Mais il sait aussi qu’il faudra répondre présent en avril... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLyon n’avait pas besoin de ça\\n\\n– Les Lyonnaises ont bien résisté mais ont perdu Carmen Guzman (genou)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nÉtriqué mais au complet\\n\\n– Pour la première fois de la saison, l’Asvel a joué sans blessé. Pour autant, les Verts ont souffert face à Cholet... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLimoges entrevoit la lumière, Gravelines positive\\n\\n– Après deux défaites consécutives, Limoges a renoué avec la victoire au Mans (77-71) pour rester dans la course à la Leaders Cup, ce samedi lors de la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nProA: Villeurbanne s’en sort de justesse contre Cholet\\n\\n– Après deux défaites consécutives, Limoges a renoué avec la victoire au Mans (77-71) pour rester dans la course à la Leaders Cup, samedi lors de la 13e journée de ProA où Villeurbanne a dû cravacher contre Cholet (71-67)... Lire la suite.\\n\\n\\nMonclar presque au top\\n\\n– L’arrière blésois Benjamin Monclar a réalisé une immense prestation, vendredi face à Poitiers, qui lui a valu la belle évaluation de 31 (29 pts, 11/15 aux tirs dont 5/7 à 3 pts, 4 rebonds, 2 interceptions, 2 passes décisives). Pas loin d’être le meilleur match de sa carrière. Il s’agit en fait de sa troisième meill... Lire la suite.\\n\\n\\nChalon met Monaco sous pression\\n\\n– Hyères-Toulon\u2009: 69 Nancy\u2009: 56 Quarts-temps\u2009: 16-13, 17-17, 17-11, 19-15. Hyères-Toulon\u2009: Acker (8), Evans (7), Simpson (19), Howard (10), Prenom (9), Udano (8), Michineau (2), Williams (4), Chassang (2). Nancy\u2009: Urtasun (15), Sene (1), McFadden (8), Jeanne (2), Florimont (7), Hunt (6), Trasolini (9), Sutton (8).Chalon-sur-Saône\u2009: 83 Le Portel... Lire la suite.\\n\\n\\nUne victoire qui fait du bien\\n\\n– Dans le sillage d’un exceptionnel Benjamin Monclar, Blois a remporté son troisième succès en championnat cette saison, et a quitté la zone de relégation... Lire la suite.\\n\\n\\nC’était couru d’avance\\n\\n– Le Poinçonnet (N2) – CES Tours (N3, + 7)\u2009: 79-53 En tête à la pause, les Tourangelles, à l’effectif limité et rajeuni, quittent la Coupe la tête haute... Lire la suite.\\n\\n\\nPfastatt élimine le WOSB\\n\\n– L’équipe de Jean-Luc Monschau a remporté la finale de la phase territoriale hier soir à Otterswiller face au WOSB (48-63). Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nToulouse. Le TMB n’a jamais été inquiété\\n\\n– > L’ESSENTIEL Le TMB n’a jamais été inquiété par une tendre équipe de Roanne qui aura du mal à se maintenir. Les Toulousaines pourront donc aborder en confiance leurs périlleux déplacements de janvier à La Roche-sur-Yon et Calais. > LE RÉSUMÉ Le TMB débute à l’endroit. S’Bahi est intenable à la mène. Touré s’impose sous le cercle. Metcalf enfile deux 3 points. Podrug est aussi efficace que sobre. Le TMB s’échappe donc (21-8, 8e). Duchez réduit... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Slovène Erazem Lorbek à l’essai à Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon le journaliste Matthieu Marot du Populaire, le Slovène Erazem Lorbek (2,08m, 32 ans) devrait venir à Limoges mercredi pour faire un essai.\\n\\nCet ailier-fort était une pointure européenne et a joué à Bologne, Malaga, Trévise, Rome, Moscou et Barcelone, mais il est sans club depuis août 2014 à cause de blessures. Il a fait la dernière summer league NBA avec les San Antonio Spurs et il s’entraînait récemment avec Cantu.\\n\\n\\n\\n\\nAncien joueur du CSKA et du Barça, Erazem Lorbek, 32 ans, devrait venir effectuer un essai à Limoges à partir de mercredi.\\n\\n\\n— Matthieu Marot (@MatthieuMarot7) December 17, 2016\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Brion Rush arrive en renfort à Nancy"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Absent depuis déjà trois semaines, touché au mollet, Ebi Ere a fait une rechute à l’entraînement et sera indisponible pour au moins six nouvelles semaines, raison pour laquelle le SLUC vient de faire appel à Brion Rush en qualité de pigiste médical.\\n\\nLe club vient d’annoncer la nouvelle sur sa page Facebook, Rush arrive en Lorraine pour pallier l’absence de l’ailier nigérien. Cette saison avec Manresa, le natif de Shreveport compilait en moyenne 4,2 points et 3 assists en 15 minutes de jeu chez le dernier de Liga Endesa (1v-10d).\\n\\nDéjà passé par la France à trois reprises, l’ancien joueur de Ulm a évolué sous les couleurs de la Chorale de Roanne (2007/08), de Strasbourg (2008/09) et de Chalon-sur-Saône (2012/13) où il était d’ailleurs coaché par un certain Greg Beugnot aujourd’hui entraîneur du SLUC. En Pro A, l’ancien joueur de Fuenlabrada tournait en moyenne à 18,1 points, 4,4 rebonds et 3,3 passes décisives pour 15,6 d’éval en 67 matchs de championnat.\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Anthony Dobbins refait surface en deuxième division italienne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sans club depuis son départ du BCM Gravelines-Dunkerque début novembre, Anthony Dobbins (1,92 m, 35 ans) est de retour dans le circuit. L’arrière Italo-Américain vient de s’engager avec le club de Scafati, actuel dernier du groupe ouest de la deuxième division italienne (2V/9D).\\n\\n\\nFigure du championnat transalpin après des passages à Trapani, Livorno ou encore Viola Reggio Calabria, la saison dernière, le natif de Washington DC retrouve donc un pays qu’il connaît parfaitement.\\n\\n\\nRemplaçant de Quentin Serron au sein du club nordiste en ce début de saison, l’ancien joueur de Cholet, Orléans, Hyères, Poitiers, Dijon et Strasbourg avait inscrit seulement 1,7 point de moyenne en 15 minutes de temps de jeu sur 8 matchs de championnat Pro A durant sa pige. D’un commun accord, le club maritime et le joueur avaient décidé de mettre un terme à leur collaboration."
}, 
{"role": "user",     "content":"Gregory Vargas retourne au Maccabi Haifa"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un mois après avoir demandé à quitter la France et Nancy pour rejoindre sa femme qui attendait un heureux événement, Gregory Vargas (1,80 m, 30 ans) est de retour aux affaires.\\n\\nLe meneur de jeu vénézuélien vient de dire oui à la proposition des dirigeants israéliens du Maccabi Haifa pour renforcer l’équipe.\\nAu sein du dixième de la Winner League, le natif d’Ocumare del Tuy retrouvera un environnement qu’il connaît parfaitement puisqu’il évoluait avec succès la saison dernière dans cette même équipe avant de rallier la Lorraine lors de l’été 2016 (13,9 points, 4,9 rebonds et 6,4 passes décisives de moyenne).\\n\\nAperçu le temps de 8 matchs en Pro A en ce début d’exercice 2016/17 avec le SLUC, l’international Vénézuélien a compilé 9,1 points, 3,3 rebonds et 5,5 passes de moyenne pour 10,1 d’évaluation en 32 minutes de temps de jeu. Avec lui, le club nancéien occupait à l’époque l’avant-dernière place du classement (2v-6d).\\n\\n\\n\\n\\nThe Return of #SuperRaton💪🏻🐭@Gregory8Vargas\\n\\n📄 » https://t.co/Hb20S0K7ml#GreenNationpic.twitter.com/cat5Jznuce\\n\\n\\n— Maccabi Haifa B.C. (@MaccabiHaifa) 17 décembre 2016\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le alley oop vu par Bandja Sy (Villeurbanne)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans Le Progrès, le très athlétique Villeurbannais Bandja Sy (2,02m, 26 ans) décortique le alley oop, indiquant qu’il suffit d’un petit signe de sa part à son meneur pour déclencher ce geste (passe en l’air attrapé au sommet de la trajectoire par le recevant qui dunke) popularisé en France par la paire de Limoges, Jean-Michel Sénégal-Richard Dacoury, dans les années quatre-vingts.\\n\\nLe cadet d’Amara, le Monégasque, assure que ça ne lui procure pas des frissons particuliers d’en réussir un mais que celui face au Portel est bien ancré dans sa mémoire :\\n\\n« Quand Nico (Lang) a envoyé le ballon je me suis dit qu’il était trop haut. J’y suis quand même allé, je l’ai attrapé et ça a fonctionné. »\\n\\nCelui que nous vous offrons ci-dessous date du match face à Rosa Radom en Basketball Champions League et il est plus classique mais toujours avec Nicolas Lang à la transmission.\\n\\nSon coach J.D. Jackson explique avec une certaine ironie qu’il est solidaire de ce genre d’initiative :\\n\\n« J’adore ! Peut-être que les coaches qui n’ont jamais pu faire un dunk préfèrent les double pas. Mais moi, sauf si le ballon part dans les tribunes ou si on casse les structures (de jeu), j’aime le truc indéfendable. En Pro A, il faut être dominant et agressif en attaque. J’aime quand on finit fort les actions. »\\n\\nCurieusement, Bandja Sy a été converti sur le tard au dunk -il n’a réussi son premier qu’à 17 ans- et il n’abuse pas du alley oop puisqu’il n’a fait que 10 dunks en 12 matches ; il se classe 19e de la spécialité en Pro A.\\n\\n\\n\\n\\nDécollage immédiat du vol n°10 avec @BandjaSy et @_NicolasLang_ pour l'@ASVEL_Basket en @BasketballCL ! 😳 ✈️ pic.twitter.com/17WQoySvtq\\n\\n\\n— CANAL+ Basket (@CanalplusBasket) November 22, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18 : la France explose la Slovénie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après leur victoire hier face à la Russie pour leur premier match de ce championnat d’Europe U18, les Bleuets se sont appuyés sur leur puissance physique pour enregistrer une deuxième victoire, cette fois-ci face à la Slovénie (81-50).\\n\\nGrâce à une bonne entame de match marquée par la folle adresse à trois points de Bathiste Tchouaffé (4 tirs à 3pts consécutifs pour au final un 4/5 derrière l’arc) et l’agressivité d’Adam Mokoka auteur d’un gros dunk après un joli coast-to-coast, les Français ont sécurisé une avance confortable dès la fin du premier quart temps (26-10). A la mi-temps, l’adresse des Slovènes étaient à 34,6%, à comparer avec les 62,5% des Bleus.\\n\\nPar la suite, malgré les changements, les Français n’ont rien perdu de leur intensité et les Slovènes ont finalement été repoussés à trente et un points (81-50). Des Slovènes, privés de la perle Luka Doncic, qui avaient limité les dégâts la veille contre la Serbie, 60-68.\\n\\nSekou Doumbouya (22 points à 7/9 aux tirs) a fait preuve d’une puissance incroyable pour un garçon d’à peine seize ans –c’est le plus jeune joueur de l’Euro-, notamment sur un alley oop suite à un service au cordeau du Strasbourgeois Frank Ntilikina.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nLa France affronte la Serbie demain à 14h15.\\n\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"N1 : Vitré termine le match avec quatre joueurs à Caen"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est le site Sportacaen qui le raconte. L’Aurore de Vitré a terminé son match face au Caen BC à quatre joueurs.\\n\\nGuillaume Merie, auteur d’un très bon match (21 points et 10 rebonds) score son dernier panier pour permettre à son équipe de revenir à 6 points des Normands (71-77) mais il fait un commentaire inapproprié aux arbitres et écope d’une faute technique. Il reste une minute et vingt-quatre secondes. Ludovic Chelle convertit le lancer mais Merie, énervé, râle de nouveau et se voit infliger une disqualifiante fatale.\\n\\nDans la foulée, c’est Simon Crétaux qui se voit à son tour pénalisé d’une disqualifiante.\\n\\nComme Yves Quincy Jones et Aleksandar Radulovic sont déjà à cinq fautes, et que Slobodan Pejovic est blessé, le coach Zoran Durdevic n’a plus que quatre joueurs sous la main.\\n\\nCaen en profite pour prendre ses aises et l’emporter 82-71."
}, 
{"role": "user",     "content":"Retour gagnant pour Mareks Mejeris au VEF Riga"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme prévu, quelques jours après avoir été libéré par l’Élan Chalon, le Letton Mareks Mejeris (2,07 m, 25 ans) s’est engagé avec son ancien club du VEF Riga.\\n\\nArrivé mercredi dans la capitale lettonne, l’ancien chalonnais a même joué vendredi soir son premier match avec sa nouvelle équipe.\\n\\nEn 19 minutes de temps de jeu, l’intérieur a compilé 14 points à 7/8 aux tirs, 5 rebonds et 1 passe pour 20 d’évaluation et son équipe s’est imposée 88 à 44 contre Latvijas Universitate.\\n\\nVu en Pro A en début de saison, Mareks Mejeris tournait à 3,9 points et 2,6 rebonds de moyenne avec le club bourguignon."
}, 
{"role": "user",     "content":"ProBallers, l’application qui veut rapprocher les joueurs et leurs fans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Directeur de la société audiovisuelle Momentum productions, Benoît Dujardin est connu sur les réseaux sociaux depuis l’époque de Basket Zone et de par ses actions avec le Poitiers Basket 86 et l’équipe de France. Avec trois associés, il vient de créer une application pour connecter, à base de statistiques, les joueurs avec leurs fans : ProBallers.\\n\\nQuel est le concept de ProBallers ? C’est de suivre des joueurs par l’intermédiaire de statistiques ? Combien sont concernés ?\\n\\nNous sommes partis d’un problème que nous vivions : il devenait de plus en plus difficile de suivre les performances de nos joueurs favoris car ils jouaient dans un nombre de plus en plus important de ligues à travers le monde : France, Europe, USA jusqu’à la... Chine ! Nous passions régulièrement à côté de la prestation d’un joueur car nous n’arrivions pas à tout « surveiller ». C’était particulièrement frustrant !\\n\\nNous avons voulu résoudre ce problème en créant une application qui permet à ses utilisateurs de suivre tous les joueurs du monde, et de recevoir des alertes après chacun de leurs matchs. Notre objectif à terme est d’être totalement exhaustifs, mais nous couvrons aujourd’hui en « live » les 30 plus grosses ligues au monde. Et au total 70 ligues chaque saison.\\n\\nEn plus d’être un précieux outil de suivi, ProBallers est aussi une base d’information globale sur les joueurs de basket que nos utilisateurs peuvent emmener partout dans leur poche ! A ce jour, on peut consulter 57.000 profils de joueurs, et 200.000 feuilles de match.\\n\\nVous êtes quatre à faire fonctionner Proballers. Quel est le rôle de chacun ?\\n\\nNous sommes effectivement quatre associés passionnés par le basket. Cédric Bellot, le premier à m’avoir rejoint il y a presque dix ans, est notre expert en statistiques. Hervé Bellenger, est bien connu dans le monde du basket pour son travail photographique depuis plus de vingt ans. Vincent Percevault est un entrepreneur aguerri très actif dans le monde des nouvelles technologies. Quant à moi, je suis un passionné de basket qui, au fil des ans et des projets, a tissé des relations fortes avec un certain nombre d’acteurs du basket mondial. Je m’occupe du marketing et des relations avec les joueurs.\\n\\nAu delà de ces quatre associés, nous avons la chance de pouvoir travailler avec des photographes talentueux et passionnés. Tuan Nguyen, Sébastien Meunier, Sébastien Grasset, Mickael Planès, Sebastien Jawo, David Bernardeau, François Pietrzak, Olivier Sarre, Romain Talent, Philippe Noviant et j’en oublie...\\n\\n« Nous avons tous les matchs de Pro A depuis 1997 et tous les matchs de Pro B depuis 1999 »\\n\\nComment faites vous pour récupérer les stats des joueurs, aussi bien lors des saisons précédentes qu’en instantané ?\\n\\nNous ne faisons appel qu’à des sources officielles. Parfois des sites Internet de ligues, parfois via des accords directs avec les ligues qui profitent de notre travail pour « mettre de l’ordre » dans leurs archives !\\n\\nLes données collectées sont vérifiées par une double intervention logiciel / homme, afin d’en garantir la fiabilité... car de nombreuses ligues professionnelles diffusent encore des contenus erronés. Angelo Tsagarakis nous a par exemple appelé il y a une semaine pour nous informer que la ligue grecque avait attribué un de ses tirs primés à un autre joueur. Nous avons pu corriger cela ensemble.\\n\\nPour ce qui est des photos, nous avons notre équipe de photographes, et nous collaborons avec certaines ligues -à commencer par la LFB et la FFBB pour la NM1- qui nous mettent à disposition des photos officielles.\\n\\nA quand remontent vos archives, notamment pour la Pro A et la Pro B ?\\n\\nNous avons tous les matchs de Pro A depuis 1997 et tous les matchs de Pro B depuis 1999. A titre de comparaison, sur le site officiel de la ligue, les premières stats complètes ne remontent qu’à... 2002.\\n\\nJe ne peux pas faire la liste pour tous les championnats suivis, mais nous pouvons affirmer que si un joueur a joué dans un championnat de premier ordre dans les années 2000, il est dans notre base. Avec tous ses matchs.\\n\\nEn plus de l’ajout de nouvelles statistiques, nous travaillons à récolter de l’information pour compléter notre historique, et ainsi avoir de meilleurs outils pour raconter l’histoire du basket (les records, les « milestones », etc...). Le club de Cholet, avec qui nous travaillons depuis peu, nous a par exemple demandé d’intégrer les stats de ses matchs depuis la création de la LNB en 1987. Des stats actuellement disponibles nulle part...\\n\\n« Nous comptons déjà 1 096 utilisateurs, dont 172 joueurs professionnels ou espoirs. Parmi nos abonnés les plus prestigieux : Boris Diaw, Nando De Colo, Edwin Jackson »\\n\\nAu-delà des stats, les joueurs peuvent faire du « personal branding ». Pouvez-vous nous en dire plus ?\\n\\nMon expérience avec le PB86, l’équipe de France, Evan Fournier et plus récemment avec un coureur de trail m’ont conforté dans la conviction qu’une aventure sportive est toujours plus savoureuse quand elle est partagée. Pour un joueur, raconter son histoire, se connecter avec ses fans, est un booster de carrière au moins au niveau de l’aventure humaine. Et pourquoi pas ensuite, d’un point de vue notoriété / sponsoring.\\n\\nDemandez à Cédric Gomez « SuperMez » ou Rasheed Wright, très bons joueurs de Pro B puis bons joueurs de Pro A... qui ont su partager avec leurs fans et recevoir en retour plus « d’amour » que des joueurs plus forts sportivement ! Sur ses dernières années à Saint-Vallier, Wright avait un fan club Poitevin qui se déplaçait faisait des centaines de kilomètres pour voir ses matchs !\\n\\nCe partage passe par la relation humaine dans la vie réelle, mais peut aussi être nourrie par le storytelling sur les réseaux sociaux. Ali Traoré, très populaire sur twitter, est un autre exemple de personnalité qui a compris l’intérêt de ces échanges.\\n\\nProBallers permet d’abord de s’adresser à des fans passionnés. Le coeur de cible pour tout joueur. Et les joueurs qui y posteront des messages auront des retours plus directs que sur Facebook, Twitter, ou autres réseaux sociaux sur lesquels il y a beaucoup de « bruit ». C’est à dire beaucoup d’autres messages, notamment des photos de chats :-), qui attirent plus l’attention du public.\\n\\nNous invitons donc les joueurs à se raconter sur ProBallers, en plus de la narration que nous gérons nous même à travers les stats de match. Mais comme nous savons très bien que nous ne remplacerons pas Facebook ou Twitter, nous offrons aux joueurs la possibilité de partager le contenu publié sur ProBallers directement sur les deux autres réseaux.\\n\\nPour résumer, les joueurs peuvent n’utiliser que ProBallers, et être quand même présents sur Facebook et Twitter.\\n\\nComment se procurer l’application ? A quel coût de revient ?\\n\\nL’application est disponible depuis une semaine sur l’App Store d’Apple (nous travaillons déjà à la version Android). Elle est gratuite pour la consultation des données, et pour suivre jusqu’à cinq joueurs.\\n\\nPour aller plus loin dans l’expérience, et assouvir totalement sa passion basket, il faut s’abonner et payer la somme « exorbitante » de 0,99 euro par mois pour pouvoir suivre jusqu’à 50 joueurs. A ce prix, on gagne un temps considérable à ne pas avoir à faire le tour de 50 sites internet tous les matins. Et on s’assure de ne jamais rater la perf d’un de ses joueurs favoris.\\n\\nCombien de gens ont-ils déjà installé l’appli sur leur iPhone ? Il y a notamment de nombreux joueurs pros ?\\n\\nNous comptons déjà 1096 utilisateurs, dont 172 joueurs professionnels ou espoirs. Parmi nos abonnés les plus prestigieux : Boris Diaw, Nando De Colo, Edwin Jackson, Nobel Boungou Colo, Adrien Moerman, Léo Westermann, Andrew Albicy, Angelo Tsagarakis, et j’en passe beaucoup ! Les retours sont très très très positifs.\\n\\nJe ne peux pas révéler de noms, mais évidemment des coachs, agents, et scouts se sont abonnés pour suivre des joueurs. Nous comptons même dans notre communauté le président du CSKA Moscou, champion d’Europe en tire !\\n\\n« On peut imaginer que dans un futur proche, nous aurons plus d’abonnés aux USA ou en Chine qu’en France »\\n\\nVotre ambition c’est de traduire l’appli en vingt-cinq langues\\n\\n\\nEffectivement. Nous avons commencé à travailler sur le marché français notamment car nous collaborons avec le Syndicat National des Basketteurs pour promouvoir les basketteurs du championnat de France (français ou étrangers). Chaque semaine depuis le début du championnat, nous identifions les chiffres clé des carrières de joueurs, comme les 2 500 points marqués en Pro A par Mykal Riley ou les 3 000 points de Maleye N’Doye. Avec le SNB, nous communiquons sur ces performances, ce qui contextualise l’importance que ces joueurs ont pu avoir pour le championnat... nous travaillons ainsi pour tous les joueurs, même les espoirs, et nous n’avons donc pas manqué la série de triples double de Vincent Fauché à Limoges.\\n\\nMais si la France nous est chère, notre marché est en fait mondial ! L’application est aujourd’hui disponible en français et anglais, mais l’allemand, l’espagnol, l’italien et le chinois vont arriver très vite. Avant d’élargir encore notre cible.\\n\\nOn peut imaginer que dans un futur proche, nous aurons plus d’abonnés aux USA ou en Chine qu’en France... mais nous continuerons à nous investir dans la promotion des basketteurs des championnats français.\\n\\nQuelle est la prochaine échéance pour ProBallers ?\\n\\nNous couvrons de près le championnat d’Europe U18 en Turquie. Hervé Bellenger est sur place, et nous suivons les performances de l’équipe de France et des équipes Européennes de très près. Cette compétition est l’occasion pour nos utilisateurs de découvrir des joueurs à fort potentiel, qu’ils pourront ensuite suivre sans devoir fouiller le web pour trouver un site diffusant leurs stats. Pour ma part je ne rate déjà rien des performances de Luka Doncic qui brille au Real Madrid, ou de Dzanan Musa qui était le meilleur marqueur du dernier mondial U17..."
}, 
{"role": "user",     "content":"Blois – Poitiers : Benjamin Monclar en état de grâce"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le public blésois a eu droit à 25 paniers à trois-points hier soir lors du choc entre Blois et Poitiers : 11 (sur 22) pour l’ADA et 14 (sur 26) pour le PB 86.\\n\\nC’est Benjamin Monclar (1,91m, 28 ans), euphorique, qui est sorti du lot avec 11/15 aux tirs dont 5/7 à trois-points plus 2/3 aux lancers. 29 points, c’est le record en carrière du fils de Jacques, formé à Dijon, est qui est à Blois depuis la saison 2013-14.\\n\\nLes Blésois ont également bien tenu Youssoupha Fall (2,21m) qui s’est contenté de 4 points et 4 rebonds. Ils ont fini par s’imposer avec la tête et les jambes, 95-90.\\n\\nL’ADA, qui n’avait jusqu’ici gagné que deux fois, avait bien besoin de ce succès et le petit grain de sable évoqué par le coach Mickaël Hay hier dans La NR a été dissous dans l’enthousiasme général :\\n\\n«Depuis trois semaines, on a un peu de stabilité dans l’effectif, et ça se ressent lors des entraînements qui sont plutôt bons. Mais notre manque de confiance se ressent les soirs de matchs. Et aujourd’hui, dès qu’il y a un petit grain de sable, ça se passe assez mal pour nous. Dans notre spirale, tout nous est négatif. Ça me rappelle un peu quand je suis arrivé à Blois en décembre il y a trois saisons. C’était un peu le même cas de figure. Nous n’avons qu’une chose à faire\u2009: faire face à notre situation, et ne pas baisser la tête. »\\n\\nLes Blésois ont donc gardé la tête haute. Reste à confirmer mardi à Nantes qui sort d’un échec à Aix-Maurienne."
}, 
{"role": "user",     "content":"Nancy fait un pas de plus vers la Pro B"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Châlons-Reims (-4), Le Portel (-6) et Antibes (-3), le SLUC Nancy a perdu en un mois contre une quatrième équipe qui lutte pour le maintien. A Hyères-Toulon, le club lorrain a été largement distancé (-13, 56-69), et depuis l’exploit inattendu face à Monaco, c’est la sixième défaite de suite, la onzième de la saison.\\n\\n« On fait vingt-cinq bonnes minutes (Ndlr : 39-41, 25’) puis, pendant cinq minutes, c’est du grand n’importe quoi », a commenté le coach Grégor Beugnot à L’Est Républicain. « C’est ça qui est frustrant. Malheureusement, c’est la constante depuis que je suis là. Il y a plein d’explications, mais le problème, c’est que c’est récurrent. »\\n\\nLes Nancéiens ont pris un 18-2 en dix minutes et pour le HTV c’était la bonne échappée. Même si du côté toulonnais ce fut encore pire (37,3% de réussite aux shoots !), il faut noter la maladresse de plusieurs Lorrains : 0/5 pour Benjamin Sene, 3/10 pour Dominique Sutton, 3/9 pour Thasseus McFadden, et un piteux 11/21 général aux lancers. Benjamin Sene, meneur titulaire, a rendu une copie blanche: 1 d’évaluation en 34 minutes. Ca ne pardonne pas alors que la concurrence est chaque week-end américaine.\\n\\nLe SLUC s’est présenté sur la Rade sans le Nigérian Ebi Eré qui a rechuté pour six semaines. Comme si ça ne suffisait pas, il a perdu son pivot américain Dario Hunt dans le dernier quart ; il s’est de nouveau fait mal à la cheville.\\n\\nLes hommes de Beugnot vont être ce soir des observateurs attentifs d’Orléans vs Châlons-Reims, Pau vs Dijon et Gravelines vs Antibes en souhaitant que leurs trois concurrents directs ne soient pas bien inspirés. Vendredi, ils recevront Orléans à Gentilly. Un match sans filet."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 17 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nEre remplacé avant Orléans ?\\n\\n– Alors qu’il n’a plus joué depuis le 21 novembre Ebi Ere a rechuté (mollet) et sera absent au moins six semaines. Le SLUC est en quête d’un pigiste... Lire la suite.\\n\\n\\nProA : 7e défaite de suite pour le SLUC Nancy à Hyères-Toulon\\n\\n– Dans le coup pendant deux quart-temps et demi, les Nancéiens, privés d’Ere puis de Hunt dans les dernières minutes, ont volé en éclats en quelques... Lire la suite.\\n\\n\\nMonaco souverain\\n\\n– Avec son effectif cinq étoiles, l’AS Monaco domine la Pro A et collectionne les succès en Ligue des champions. Le club du Rocher, hôte de la SIG... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPas le droit à l’erreur\\n\\n– La claque reçue la semaine dernière à Chalon (98-68) a mis l’Asvel en danger dans la course à la qualification pour la Leaders cup. Les Verts, 8e (6... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nASMB Le Puy : un bon coup à jouer\\n\\n– Cet après-midi, l’ASMB Le Puy affronte la JL Bourg, dans le cadre des demi-finales de la Coupe du Lyonnais, à 17 h 45 à la salle Raphael-de-Barros à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa CTC Ondaine jouera sa chance à fond\\n\\n– Après avoir déjà sorti des équipes hiérarchiquement supérieures comme Saint-Chamond (N2) ou Villeurbanne (N3), c’est une véritable montagne qui se... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn bonus en ligne de mire\\n\\n– Les espoirs de la JL Bourg disputent ce week-end la phase finale régionale ouvrant la porte des seizièmes de finale de la coupe de France... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa Roche-Vendée ou Chartres : qui cédera le premier ?\\n\\n– Deux matches au sommet ce soir qui pourraient constituer un réel tournant de la saison. Les deux leaders, Chartres et La Roche-Vendée se déplacent en... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nEncore un gros défi pour les Lionnes\\n\\n– Après Villeneuve D’Ascq, c’est le Basket Landes de Céline Dumerc qui débarque à Mado Bonnet (20h30). Un autre « gros morceau » difficile à avaler... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBCMF : un dernier effort avant la trêve\\n\\n– Les Montbrisonnaises, diminuées, jouent ce soir à Reims contre une équipe expérimentée mais pas imbattable. Pourquoi pas une première « coupe » avant... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Pink Ladies veulent créer la surprise dans la ville rose\\n\\n– Le RBF se déplace à Toulouse ce soir, pour la dernière journée de championnat et elles tenteront de ramener la victoire qui leur serait précieuse... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTout faire pour passer la trêve au chaud\\n\\n– Jérémy Beaufort devra encore se passer des services de Brooks. Cependant, l’ALS peut espérer ramener un résultat face à des pyrénéens qui soufflent le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSalins : le BesAC, père Noël ou père Fouettard ?\\n\\n– Dans le coin droit, Salins, solide formation de Prénationale en lice pour la montée en N3, jeunesse décomplexée derrière un coach expérimenté, Redjali... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa loi du plus fort\\n\\n– Après une mi-temps relevée, Fos a laissé sur place une Chorale qui n’a pu rivaliser avec le leader invaincu, avant un retour de feu en fin de match... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg atomise Saint-Chamond\\n\\n– Tout n’a pas été rose hier soir mais la JL a su réagir après une mauvaise passe dans le deuxième quart-temps. Saint-Chamond a laissé passer sa chance... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCauchemardesque !\\n\\n– Après un départ catastrophique, Saint-Chamond a su revenir. Avant de totalement lâcher en deuxième mi-temps. Les Couramiauds repartent avec une valise... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’art du alley oop selon Sy\\n\\n– Bandja Sy a en stock tous les dunks, mais ne soulève jamais autant l’Astroballe qu’avec ses alley oops, ce smash qui consiste à recevoir une passe en... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nChalon sur les talons de Monaco\\n\\n– Chalon-sur-Saône a signé une huitième victoire en neuf matches en s’imposant sur le parquet du Portel (83-74) hier lors de la 13e journée de ProA... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBASKET Tournoi des étoiles : les benjamins de l’Indre en piste à Orléans\\n\\n– Le Tournoi des étoiles se déroulera pour la seconde année consécutive à Orléans, samedi, dimanche et lundi. Ce tournoi concerne les ligues de Bourgogne, Auvergne, Lyonnais et Centre-Val de Loire. L’objectif est de réunir les potentiels joueuses et joueurs par l’intermédiaire des sélections départementales U12, soit environ quatre cents j... Lire la suite.\\n\\n\\nLes Bressuirais ont encore un match à jouer avant la trêve\\n\\n– Chez les filles, Chauray pourra passer la trêve au chaud grâce à son succès face à Saujon (60-52) et a conservé sa place de leader. Bressuire n’arrive toujours pas à signer une deuxième victoire et s’incline pour la septième fois de la saison contre le dauphin Pouzioux (71-81). Le championnat féminin reprendra les 7 et 8 janvier... Lire la suite.\\n\\n\\nRégis Racine : » Interdiction de lâcher «\\n\\n– Zéro victoire, onze défaites, un point de pénalité (1), un point-average abyssal (- 213\u2009!)\u2009: il y a-t-il encore quelqu’un pour croire au Père Noël et au maintien de la Berrichonne Basket en Nationale 2\u2009? S’il n’en faut qu’un, ce sera Régis Racine\u2009: « Jamais rien n’est impossible, je refuse de penser ça. Mathématiquement, ce n’est pas... Lire la suite.\\n\\n\\nIls n’y arrivent toujours pas\\n\\n– Blois – Poitiers\u2009: 95-90 Longtemps menés, les Poitevins ont réagi en fin de match mais cela n’a pas suffi pour décrocher un premier succès à l’extérieur... Lire la suite.\\n\\n\\nFaire le job avant de souffler\\n\\n– Avant de couper pendant quinze jours, les Thouarsaises disputent, demain, après-midi la finale régionale du Trophée de France féminin à Saujon... Lire la suite.\\n\\n\\nUn petit tour de chauffe\\n\\n– Le Poinçonnet (N2) – CES Tours (N3) La qualification ressemble à une formalité pour les leaders de N2 face aux modestes Tourangelles, diminuées de surcroît... Lire la suite.\\n\\n\\nL’ADA avec les tripes\\n\\n– ADA Blois – Poitiers\u2009: 95-90. Les Blésois sont allés chercher au bout d’eux-mêmes pour s’imposer face à une belle équipe de Poitiers... Lire la suite.\\n\\n\\nChez la meilleure défense\\n\\n– Il reste trois derniers matches à disputer avant la trêve de Noël pour les équipes du SBC. Ce samedi à 17 h, l’équipe masculine sera chez le leader... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nHégenheim : seniors et cadets victorieux\\n\\n– Les seniors masculins I de José se sont déplacés à Waldighoffen, samedi dernier. Le début de la rencontre permet aux visiteurs de prendre un petit... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Même diminué, le CSKA Moscou bat facilement Barcelone"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tout en haut du classement avec une seule défaite en onze matchs, les champions en titre du CSKA Moscou recevaient ce soir Barcelone. On espérait le retour aux affaires de Nando De Colo mais l’arrière tricolore a repoussé l’échéance. Dommage pour le spectacle... Car pour le résultat, Milos Teodosic (16 points, 11 passes) s’est assuré de la victoire facile de son club (92-76).\\n\\nLe meneur serbe du CSKA a effectivement délivré une véritable démonstration à la passe. A part pour son 3/7 à trois points, Milos Teodosic a parfaitement joué son rôle de maestro sans De Colo. Avec ses passes aveugles dans le trafic, tout en anticipation à la Ginobili, Teodosic a régalé son public. Il a été également bien secondé par Cory Higgins (23 points, 5 interceptions) qui lui suppléait Aaron Jackson. Et comme d’habitude, Vitaly Fridzon (13 points en 8 minutes) a été un vrai poison en sortie de banc.\\n\\n\\nLe Barça perd 23 ballons !\\n\\nCôté Barcelone, c’est la soupe à la grimace avec une équipe catalane qui n’a jamais véritablement été en mesure d’inquiéter l’ogre moscovite, pourtant bien diminué. Victor Claver (17 points, 6 rebonds) et Petteri Koponen (13 points dont 3/3 à trois points) ont été les deux meilleurs joueurs pour le Barça, mais à l’image de ce dunk raté d’Ante Tomic à la fin du troisième quart, les hommes de Georgios Bartzokas ont manqué de tranchant.\\n\\nExemple : un Tyreese Rice (9 points à 4/11 aux tirs) qui est passé à côté de son match en perdant notamment 5 balles. 5 des 23 pour Barcelone qui a trop gaspillé pour espérer exister face au CSKA.\\n\\nLes bijoux de passe de Milos !\\n\\n\\n\\n\\n.@MilosTeodosic4 dimes one of his classic assists to @chiggins11 for the bucket!#7DAYSMagicMoment #CSKFCB pic.twitter.com/dMgY2Rirfu\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) December 16, 2016\\n\\n\\n\\n\\nThat is beautiful. [@MilosTeodosic4]#7DAYSMagicMoment #CSKFCB pic.twitter.com/AaVf3pxFoG\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) December 16, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18 : la France débute par une victoire face à la Russie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour leur premier match dans ce championnat d’Europe U18, les Bleuets étaient opposés à la Russie et ils s’imposent d’une courte tête (53-48) après s’être fait peur en fin de rencontre.\\n\\nLes joueurs de Tahar Assed-Liegeon ont néanmoins pu compter sur Adam Mokoka qui termine meilleur joueur de ce match avec 16 d’évaluation. L’Espoir du BCM Gravelines-Dunkerque a compilé 8 points, 9 rebonds, 3 passes décisives et 3 interceptions mais 4 ballons perdus. Les balles perdues, ce fût d’ailleurs le péché mignon de nos Bleuets dans ce match puisque pas moins de 24 ballons ont été rendus aux Russes.\\n\\nEn manque de réussite (2/11 aux tirs) Sekou Doumbouya a lui enregistré 7 points et 10 rebonds (dont 4 offensifs) mais 4 balles perdues. Autre pépite fortement attendue lors de cet Euro, Frank Ntilikina (8 points et 3 passes) a été précieux en fin de match en inscrivant trois lancers francs décisifs.\\n\\nC’est donc une timide victoire pour nos jeunes Français qui n’ont pas eu beaucoup de préparation pour ce championnat d’Europe et qui enchaînent leur prochain match dès demain à 14h15 face à la Slovénie.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Olympiakos : Georgios Printezis absent entre 10 et 15 jours"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Touché au genou gauche jeudi soir dans la victoire de la formation grecque face au Zalgiris Kaunas (88-75) à l’occasion de la 12e journée d’Euroleague, Giorgos Printezis va manquer environ deux semaines de compétition, comme le rapporte Eurohoops.\\n\\nLes examens passés aujourd’hui ont révélé que le joueur de l’Olympiakos souffre d’un problème osseux ainsi que d’une légère lésion du ligament collatéral médial du genou gauche.\\n\\nCette saison en Euroleague, l’ancien joueur de Malaga tourne en moyenne à 12,2 points et 4,4 rebonds pour une évaluation de 12,9 par match et l’Olympiakos pointe à la 4e place du classement (8v-4d).\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"A la découverte de Jordan Semple, ce Franco-américain qui affole les compteurs en Bulgarie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il y a quelques semaines nous vous avions parlé de Jordan Semple. Franco-Américain de 24 ans, il est en train de réaliser un véritable carnage en Bulgarie cette saison. Poste 4/3 de l’Akademik Bulteks 99 Plovdiv, une équipe de première division bulgare, Jordan Semple est en ce moment LE joueur qui fait parler de lui dans les salles de basket de ce petit pays de la péninsule balkanique. Afin d’en savoir plus sur ce phénomène Basket Europe prend l’avion et met le cap à l’Est direction la Bulgarie le pays de Hristo Stoichkov et de Sylvie Vartan (oui, oui) !\\n\\nQui êtes-vous Jordan Semple ? Je m’appelle Jordan Semple. Je suis né en France à Paris le 12 août 1992 d’une mère française et d’un père américain. Je parle et écris le français même si je suis beaucoup plus à l’aise avec la langue anglaise. Très tôt dans ma jeunesse, je quitte l’Hexagone et je déménage avec ma famille aux Etats-Unis, en Californie plus précisément. Depuis tout petit j’ai toujours aimé le basket et je savais que le chemin pour devenir un joueur professionnel serait long et difficile. Je suis passé par Arcata en High School puis j’ai été formé à Chico State (NCAA II) à coté de San Francisco entre 2011 et 2015. (NDLR: Jordan Semple a marqué l’histoire de son université puisqu’il fût le meilleur rebondeur et contreur de l’histoire des Wildcats). Non drafté à la fin de mon parcours scolaire en 2015 (NDLR: 10,4 points, 9,3 rebonds et 2 passes lors de sa dernière année) je fais le grand saut pour l’Europe. C’est en Espagne que je signe mon premier contrat professionnel. Au sein du Sammic Iraurgi Saski Baloia, je réalise une bonne saison aussi bien sur le plan individuelle (NDLR: 15,5 points à 57% de réussite aux tirs -31,5% à 3-points-, 9,4 rebonds et 2,3 passes décisives pour 19,7 d’évaluation en 29 minutes sur 29 matchs) que collectif (NDLR: quart de finaliste de la LEB SILVER). Cinquième marqueur et troisième rebondeur de la division, je termine même dans le cinq idéal de la saison 2015/16. Après la troisième division espagnole, je signe l’été dernier en première division bulgare avec l’Akademik Bulteks 99 Plovdiv. Cette saison est donc ma deuxième expérience professionnelle.Quelles sont vos relations avec la France ? La France c’est le pays de ma maman, celui où je suis né, celui qui est inscrit sur mes papiers administratifs. J’ai toujours de la famille en France à Paris, je reviens souvent les voir. Et puis c’est une cuisine incroyable, un patrimoine exceptionnel, la France c’est l’un des plus beaux pays du monde ! Pourquoi avoir démarré votre carrière en Espagne et pas en France ? J’ai signé en Espagne tout simplement parce que c’était la meilleure option possible à ce moment-là pour moi avec le meilleur contrat.Et pour la Bulgarie l’été dernier ? Idem c’était mon meilleur choix de carrière à cet instant précis. J’ai prouvé que j’avais le niveau pour la troisième division espagnole. Je voulais voir plus haut et jouer dans un championnat de première division. Sur la table, la première division bulgare correspondait à mes attentes. Me frotter aux meilleurs joueurs d’une première division en Europe, voila ce que je recherchais et ce que les dirigeants de l’Akademik Bulteks 99 Plovdiv me proposaient. J’ai signé et je ne regrette absolument pas mon choix.\\n\\nQuel est le niveau de la première division bulgare ? Par rapport à la France c’est difficile à dire puisque je ne connais pas le niveau de la Pro A, la Pro B voire la NM1. Il y a des bons Américains en Natsionalna basketbolna liga (NBL), la première division. Les joueurs viennent ici pour se montrer puis décrocher un plus gros contrat en Europe de l’ouest par exemple. Les dirigeants bulgares n’hésitent pas à faire des paris en prenant des joueurs sans expérience ou bien sans référence et cela peut parfois donner des belles surprises. Des clubs comme le Lukoil Academic Sofia ou Riski Sportist jouent également en Coupe d’Europe (FIBA Europe Cup), Beroe participe aussi à la Balkan League, cela permet d’emmagasiner de l’expérience supplémentaire en plus du simple championnat bulgare. Quel regard portez-vous sur votre début saison ? Bon. Collectivement, nous sommes troisième de la NBL avec 5 victoires pour 3 défaites à 2 victoires du Lukoil qui est premier. Nous n’avons que le championnat à disputer cette saison cela nous permet de mettre toutes nos forces dedans. Individuellement cela se passe bien. Je suis le leader de ma formation. Je tourne à 24 points de moyenne (à 69,6% de réussite aux tirs), 10,6 rebonds et 3,4 passes pour environ 27 d’évaluation en 32 minutes de temps de jeu.Vous êtes actuellement le meilleur scoreur et le meilleur rebondeur du championnat, vous avez été élu déjà 3 fois MVP d’une journée de championnat en 9 journées, vous attendez vous à un tel début de saison ? C’est difficile à dire. Je donne toujours le meilleur de moi-même sur le terrain et si en plus l’équipe gagne c’est parfait. (le 26 novembre dernier, lors de la victoire de son équipe contre le Spartak Pleven 95 à 82, Jordan a réalisé une incroyable performance avec ses 42 points à 17/19 aux tirs, 8/12 aux LF, 11 rebonds et 4 passes pour 44 d’évaluation en 30 minutes de temps de jeu). L’objectif cette année est de terminer le plus haut possible en championnat pour être en bonne position pour les playoffs et pourquoi pas remporter le titre de champion de Bulgarie. Ce serait génial.Comment est la vie en Bulgarie ? J’habite à Plovdiv qui est la deuxième ville de Bulgarie avec environ 340 000 habitants. Nous sommes situés au centre du pays. Ici la vie est cool. Les gens sont sympas et parlent anglais. Le coût de la vie est bas et pratiquement tout est très bon marché. (NDLR: ancienne Philippopolis dans l’antiquité, puis Trimontium pour ses trois collines. Plovdiv a été désignée capitale européenne de la culture en 2019).Venir en jouer en France, est-ce un de vos souhaits pour plus tard ? Bien sur. Absolument ! J’aimerais vraiment venir jouer ici. J’espère qu’un jour un club pourra me donner ma chance et que j’aurai l’occasion d’évoluer dans le pays qui m’a vu naître. La Pro A est un championnat où tout est possible, où tout le monde peut battre tout le monde, il y a de grands joueurs dans cette ligue. La Pro B est la deuxième division la plus forte de toute l’Europe, quant à la NM1, elle ressemble de plus en plus à une petite Pro B. Venir jouer en France est ce que je souhaite pour la suite de ma carrière.Avez-vous déjà eu des contacts avec des clubs français ?Aucun contact. J’imagine que si je continue de travailler dur, il pourrait y avoir des opportunités. (NDLR: Sur le marché français, Jordan sera considéré comme non JFL car il n’a pas fait sa formation en France).Que faites-vous en dehors du basket ? J’adore cuisiner, c’est mes racines françaises, (rire), j’adore surfer, c’est mon côté Californien (rire) et sinon comme tout le monde passer du temps avec ma famille, mes amis, regarder des films, voyager, explorer de nouveaux endroits.Merci Jordan pour cette interview et bonne chance pour la suite. Merci à vous de m’avoir permis de m’exprimer et de me faire connaitre auprès de public français. A bientôt ! (en français)\\n\\nPhotos : BBALL.BG / Viktoria Petrova"
}, 
{"role": "user",     "content":"Maccabi Tel-Aviv perd son entraîneur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé en octobre pour remplacer Erez Edelshtein, qui avait démarré la saison par deux défaites de suite en Euroleague, Rami Hadar était à la tête du Maccabi Tel-Aviv jusqu’à jeudi soir avant de donner sa démission, comme le rapporte Sportando.\\n\\nAprès la déroute face à l’Etoile Rouge de Belgrade (83-58), soit la troisième défaite de suite du club israélien en C1, l’entraîneur de 50 ans a demandé au club d’être libéré de son contrat.\\n\\n« Après la défaite d’hier soir à Belgrade, j’ai décidé de demander aux dirigeants d’être libéré de mes fonctions d’entraîneur du Maccabi Tel-Aviv. »\\n\\nEn attendant que la formation israélienne lui trouve un remplaçant c’est le coach assistant, que Hadar n’a pas oublié de remercier, Lior Lubin qui assurera l’intérim.\\n\\n« C’est une décision que je prends à contre-cœur après avoir réalisé que je ne pouvais pas apporter à l’équipe ce qui lui manquait. Les dirigeants et les propriétaires m’ont vraiment supporté pendant cette période et je voudrais les en remercier. Je voudrais remercier également mon staff -Lior, Tim et Regev- pour leur professionnalisme. »\\n\\nAprès cette démission, le club qui pointe à la 11e place du classement (5v-7d) d’Euroleague est à la recherche de son troisième coach de la saison.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Evreux : Rémi Dibo suspendu 4 matchs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le club normand vient d’annoncer la mauvaise nouvelle sur son site. Coupable d’avoir insulté un arbitre, Rémi Dibo va manquer les quatre prochains matchs de l’ALM Evreux à cause d’une suspension.\\n\\n« Suite aux incidents intervenus lors du dernier match de l’ALM Evreux Basket à Lille, la Commission Juridique et de Discipline de la Ligue Nationale de Basket a décidé la suspension à titre conservatoire du joueur Rémi DIBO. cette suspension court jusqu’au 4 janvier, date à laquelle le joueur sera convoqué devant la commission qui rendra sa décision définitive.\\n\\nRémi ne pourra donc pas être aligné pour les 4 derniers matchs de l’année civile et devra observer ses coéquipiers depuis les tribunes. »\\n\\nPhoto : Sabine De Leest – ALM Evreux"
}, 
{"role": "user",     "content":"Alina Iagupova (Villeneuve d’Ascq) a battu le record de points sur un match d’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On s’inquiétait récemment\\n\\npour les productions d’Alina Iagupova (1,86m, 24 ans), l’Ukrainienne de Villeneuve d’Ascq. Elle a frappé très fort avant-hier soir contre les Polonaises de Polkowice en EuroLeague pour rassurer ses équipières, son coach, son club et ses supporters : 37 points ! Et pas en arrosant à tout-va puisqu’elle a transformé 12 de ses 14 shoots à deux-points -là aussi personne n’a jusqu’à présent été aussi précis en prenant autant de shoots-, 3 de ses 9 shoots à trois-points, et 4 lancers sur 5. De l’avis même de son coach, Frédéric Dusart, l’Ukrainienne s’est créée plusieurs tirs toute seule grâce à sa classe, immense.\\n\\nIl s’agit tout simplement du record de la saison sur un match puisqu’elle a fait mieux qu’Alexandria Quigley (Fenerbahce, 35 points contre Schio) et Diana Taurasi (Ekaterinbourg, 34 points contre... Villeneuve d’Ascq).\\n\\nL’Ukrainienne a également fait un bond au classement des marqueuses; elle pointe désormais à la 5e place derrière Diana Taurasi (22,7 pts), Sonja Petrovic (Prague, 19,5 pts), Sandrine Gruda (Fenerbahçe, 18,8 pts) et Marina Bas (Hata, 17,8 pts).\\n\\nL’abattage d’Alina Iagupova a permis à l’ESBVA de torpiller Polkowice, 75-55, et d’occuper désormais la 4e place de sa poule avec 3 victoires en 6 journées."
}, 
{"role": "user",     "content":"[replay] L’énorme dunk de Tyler Honeycutt face à Bamberg !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le cadre de la 12e journée d’Euroleague, l’Anadolu Efes affrontait Bamberg qui s’est imposé 91-83 notamment grâce à un Fabien Causeur de gala (28 points). Et même si son équipe s’est inclinée, Tyler Honeycutt n’a pas oublié de faire le show à l’image de cet énorme dunk sur la tête de Daniel Theis en fin de premier quart temps.\\n\\nCette saison, l’ancien joueur du Khimki Moscou compile en moyenne 9,9 points, 8 rebonds et 2,8 passes décisives pour une évaluation de 15,9 par match en Euroleague.\\n\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"La série de 11 matches en 13 jours débute samedi sur SFR Sport 2"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme le rappelle le site de la FFBB, SFR Sport 2 va proposer en cette fin d’année du jamais vu en France en matière de basket : 11 matches en 13 jours ! Il s’agit de 9 rencontres de Pro A dont le choc Monaco-Strasbourg, le derby parisien PL-Nanterre, et des classiques Antibes-Limoges et Villeurbanne-Le Mans, plus le All-Star Game de la LNB, et le remake de la finale de la Ligue Féminine 2016, Bourges-Lattes-Montpellier.\\n\\n– Samedi 17 décembre à 18h30 : ASVEL – CHOLET\\n\\n– Dimanche 18 décembre à 18h30 : MONACO – STRASBOURG\\n\\n– Lundi 19 décembre à 20h30 : PARIS LEVALLOIS – NANTERRE\\n\\n– Mardi 20 décembre à 20h30 : BOURGES – LATTES MONTPELLIER\\n\\n– Mercredi 21 décembre à 20h30 : ANTIBES – LIMOGES\\n\\n– Jeudi 22 décembre à 20h30 : ASVEL – LE MANS\\n\\n– Vendredi 23 décembre à 18h30 : MONACO – PAU\\n\\n– Lundi 26 décembre à 20h30 : LE MANS – CHALON\\n\\n– Mardi 27 décembre à 19h : ORLEANS – MONACO puis à 21h : PAU – PARIS-LEVALLOIS\\n\\n– Jeudi 29 décembre : ALL STAR GAME LNB (également diffusé sur Numéro 23)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg fait peau neuve"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Formation de Pro A, Strasbourg vient de s’offrir son nouveau site Internet.\\n\\nPour continuer de suivre les exploits d’A.J. Slaughter et sa bande, il faudra désormais se rendre ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Nancy :  Jonathan Jeanne qualifié contre Hyères-Toulon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Prêté par Le Mans à Nancy, Jonathan Jeanne (2,18m, 19 ans) va pouvoir évoluer sous sa nouvelle tunique dès ce vendredi soir à l’occasion de la treizième journée de Pro A.\\n\\n\\nLa Ligue Nationale de Basket vient de valider son engagement comme nouveau contrat professionnel (prêt) jusqu’à la fin de la saison.\\n\\n\\nLe jeune prospect français sera donc présent avec le SLUC dans le Var pour défier Hyères-Toulon."
}, 
{"role": "user",     "content":"A Quimper, les basketteurs ont droit à leur propre album type Panini"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’UJAP Quimper (Nationale 1) est parti du principe que dans un club de 370 licenciés jouant dans trois salles différentes, tout le monde ne se connaît pas.\\n\\nAlors, il a eu l’idée de constituer un album de collection sur le modèle de la maison d’éditions Panini et de demander à chacun y compris le coach des pros, le vice-champion olympique Laurent Foirest, de se faire tirer le portrait. L’UJAP bénéficie pour ce projet de la logistique de la société Album du club qui œuvre déjà dans le football et le rugby.\\n\\nCet album est offert à tous les licenciés alors que les pochettes de dix vignettes sont en vente au pris d’un euro. En tout, il y a 450 vignettes.\\n\\nL’initiative a fait un tabac : en une semaine, les 1 500 pochettes ont toutes trouvées preneuses. Le stock va être bientôt renouvelé.\\n\\n« Au travers de ce projet, notre but premier n’est pas financier. Nous tablons sur 2 500 euros de recettes et nous percevons 10 centimes par pochette vendue », raconte le chargé de développement Marc Le Ster sur cotequimper.fr.\\n\\nA l’évidence, cet objet de promotion est plus original que celui du calendrier qui a été décliné à toutes les sauces. Tous les médias locaux ont relayé l’initiative qui par définition favorise l’échange entre les différents licenciés du club. Et c’est bien là le principal."
}, 
{"role": "user",     "content":"Châlons-Reims :  Andrew Lawrence qualifié face à Orléans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Recruté par l’équipe de Châlons-Reims pour sécuriser le poste 1, Andrew Lawrence (1,88 m, 26 ans) vient d’obtenir le feu vert de la Ligue Nationale de Basket pour évoluer avec sa nouvelle équipe.\\n\\nLe meneur de jeu britannique est engagé comme nouveau contrat professionnel jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nC’est donc sur le parquet du Palais des Sports d’Orléans samedi soir face à l’OLB dans un match comptant pour la treizième journée de Pro A que le Londonien fera ses premiers pas en France.\\n\\nPhoto : FIBA Europe Cup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : la grosse perf’ de Fabien Causeur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Opposé à l’Anadolu Efes Istanbul à l’occasion de la 12e journée d’Euroleague, Bamberg a pu compter sur son Français, Fabien Causeur, qui a délivré une très belle copie dans la victoire de son équipe 91-83.\\n\\nEn 32 minutes passées sur le terrain l’ancien joueur de Cholet a inscrit 28 points (8/9 à 2pts et 3/5 à 3pts), capté 1 rebond et offert 3 passes décisives pour une coquette évaluation de 35. Avec cette performance, le natif de Brest a enregistré ses nouveaux records en Euroleague en matière de points marqués et d’évaluation.\\n\\nFabien Causeur compile en moyenne en Euroleague cette saison 9,9 points, 3 rebonds et 1,8 assist par match pour une évaluation de 11,3 et Bamberg pointe à la 13e place du classement de C1 (4v-8d)."
}, 
{"role": "user",     "content":"L’Élan Chalon avec sa nouvelle recrue au Portel"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nouveau joueur de l’Élan Chalon, l’Américain Zeke Marshall (2,13 m, 26 ans) vient d’être qualifié comme nouveau contrat professionnel par la Ligue National de Basket. Il est engagé jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nL’intérieur jouera donc son premier match sous les couleurs d’un club français ce vendredi soir à l’occasion du déplacement du club bourguignon au Portel dans une rencontre comptant pour la treizième journée de Pro A.\\n\\nPhoto : Elan Chalon"
}, 
{"role": "user",     "content":"Bourg-en-Bresse : Un arrière serbe à l’essai"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’international suédois Erik Rush tout juste parti, la Jeunesse Laïque Bourg Basket (Pro B) vient de trouver son remplaçant. Le club de l’Ain indique à travers un communiqué diffusé ce vendredi matin mettre à l’essai le Serbe Aleksandar Ponjavic (2m, 25 ans). L’arrière à quelques jours pour convaincre le staff burgien.\\n\\nProfessionnel depuis 2009, le natif de Gornji Milanovac a fait jusqu’ici toute sa carrière en Serbie et en Slovénie. Vu sous les couleurs du club slovène de Tajfun la saison dernière, l’extérieur tournait à 9,4 points, 4 rebonds et 2,4 passes en 27 minutes sur 26 matchs de Ligue Adriatique.\\n\\nAperçu également sur la scène européenne, il compilait 7 points, 5,2 rebonds et 2 passes en 24 minutes sur 5 matchs de FIBA Europe Cup et aussi 7,1 points, 2,5 rebonds et 1,4 passe en championnat slovène.\\n\\nInternational dans les équipes jeunes, Aleksandar Ponjavic vivra sous les ordres du Monténégrin Savo Vucevic sa première expérience en France s’il valide sa période d’essai.\\n\\nPhoto : Tajfun"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’Euro U18 à suivre en direct sur YouTube"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Euro U18 démarre ce jour à 16h30 pour la France avec un match contre la Russie. Un accord entre la FIBA Europe et la chaîne YouTube permet de suivre toute la compétition ici.\\n\\nPar ailleurs, la FIBA Europe a officialisé l’ensemble des 16 rosters.\\n\\nGroup A: Espagne, Italie, Suède, Croatie\\nGroup B: Turquie, Allemagne, Finlande, Grèce\\nGroup C: Lettonie, Bosnie-Herzegovine, Israël, Lituanie\\nGroup D: France, Serbie, Slovénie, Russie"
}, 
{"role": "user",     "content":"Figure des divisions nationales, Slobodan Ocokoljic (GET Vosges) est désormais français"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Serbe Slobodan Ocokoljic (2,04m) est une figure des divisions nationales françaises. Il est arrivé dans notre pays en 2009 après des séjours en NCAA (Ohio State, Weber State), en Allemagne, Autriche, Slovénie et à Chypre.\\n\\nEn France, il a porté les maillots des clubs de Cognac, Avignon, La Roche, Sorgues, Rueil et pour deux ans celui de Caen qui avait constitué alors une équipe de feu pour monter en N1. Et déjà il confiait dans un français quasi parfait :\\n\\n« C’est un pays où je me sens bien. Tout me plaît ici, la culture, la nourriture, les paysages, les gens et la vie en général. Après ma carrière, je n’exclus pas de rester ici. »\\n\\nSlobodan a continué depuis son tour de France. Après avoir envisagé de le faire à Mulhouse, qui a eu des déboires financiers, il goûte finalement à l’Est du pays, à GET Vosges, en N1.\\n\\nUne députée du Calvados puis une autre de Meurthe-et-Moselle ont facilité ses démarches pour obtenir la nationalité française et hier Slobodan Ocokoljic a participé à une cérémonie officielle à la Préfecture des Vosges. Cela ne changera pas le statut de basketteur du désormais Franco-Serbe, qui va avoir 37 ans en janvier, mais il comme il le dit lui-même à Vosges Matin cela répond à une envie profonde de prendre la nationalité de son pays d’accueil.\\n\\nPhoto : 100% Vosges"
}, 
{"role": "user",     "content":"Saint-Quentin : Eniel Polynice toujours à l’arrêt, Modestas Kumpys reconduit"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur la touche depuis fin octobre et arrêté jusqu’au 15 décembre à cause d’une blessure au mollet, l’Américano-Haïtien Eniel Polynice n’est toujours pas en mesure de reprendre la compétition.\\n\\nDe ce fait, le club de Saint-Quentin vient de prolonger son remplaçant, le Lituanien Modestas Kumpys (1,94 m, 25 ans) pour quelques jours.\\nL’arrière est à présent sous contrat jusqu’au 27 décembre.\\n\\nEn sept matchs de championnat Pro B, le double vainqueur de la Ligue Baltique (2014 et 2015) compile 3,9 points à 28,6% de reussite aux tirs, 2 rebonds et 1,3 passe pour 3 d’évaluation en 19 minutes de temps de jeu. Avec lui, le SQBB s’est imposé à quatre reprises."
}, 
{"role": "user",     "content":"Fos Provence prolonge Théo Léon pour un mois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Engagé par Fos Provence du 17 novembre au 13 décembre, en tant que remplaçant de Xavier Gaillou blessé et indisponible, Théo Léon (1,80 m, 24 ans) poursuivra finalement l’aventure avec les BYers pour quelques semaines encore.\\n\\nLe club des Bouches-du-Rhône indique qu’en attendant le retour à la compétition de son autre meneur de jeu Loïc Akono touché à une cuisse, il prolonge le bail de l’ancien choralien jusqu’au 13 janvier 2017.\\n\\n\\n\\n\\n@tleon1 prolonge avec les #BYers suite à l’indisponibilité de @Loicak9 à qui ns souhaitons un très prompt rétablissement! #ProB\\n\\n\\n— FOS PROVENCE BASKET (@FosProvenceBB) 15 décembre 2016\\n\\nVu à 4 reprises sous le maillot du leader invaincu de la Pro B, le natif de Chambéry tourne à 3,8 points à 25% de réussite aux tirs, 2,3 rebonds et 4,5 passes décisives pour 5,8 d’évaluation en 19 minutes de temps de jeu."
}, 
{"role": "user",     "content":"Boulogne-sur-Mer prolonge Tyreek Duren jusqu’à la fin de saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sous contrat avec Boulogne-sur-Mer jusqu’au 18 décembre en tant que remplaçant de l’intérieur Michel Jean-Baptiste Adolphe, Tyreek Duren (1,83 m, 25 ans) finira finalement la saison sous les couleurs du SOMB.\\n\\nLe Ligue Nationale de Basket vient de transformer son contrat jusqu’à la fin de la saison. Une excellente nouvelle tant le meneur de jeu s’est parfaitement acclimaté au club boulonnais.\\n\\nArrivé il y a un mois pour solidifier le poste 1, l’Américain a tout de suite trouvé sa place dans le collectif et s’est imposé comme un leader.\\n\\nAperçu à quatre reprises en championnat, le natif de Philadelphie (Pennsylvanie) tourne à 14,5 points à 42% de réussite aux tirs (50% à 3-points), 4 rebonds et 6,8 passes décisives pour 15 d’évaluation en 28 minutes de temps de jeu. Avec lui Boulogne-mer -bon dernier en championnat Pro B il y a un mois- a gagné 2 matchs et est remonté à la seizième place (2 victoires et 7 défaites)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Portel se renforce avec un nouveau joueur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Portel accueille un nouveau joueur dans son effectif. À travers un communiqué, la formation de Pro A indique que le joueur Arizona Reid (1,96 m, 30 ans) renforce le groupe portelois. Il remplace le décevant finlandais Shawn Huff blessé.\\n\\nAméricain possédant un passeport arménien, l’ailier arrive du BC Urartu Erevan, un club de la capitale arménienne. Aperçu à 8 reprises Super League Russe, le natif de Gaffney (Caroline du Sud) tournait à 20 points, 9,1 rebonds et 1,1 passe pour 18,4 d’évaluation en 33 minutes sur 8 matchs.\\n\\nNon drafté à sa sortie de Hight Point University en 2008, « AZ » son surnom a depuis bourlingué aux quatre coins du monde. Vu en Suisse (Geneva Devils, Monthey, Fribourg), Finlande (Korihait), Australie (Cairns Taipans), au Liban (Sporting Al Riyadi Beirut), Allemagne (Mitteldeutscher BC), en Ukraine (BK Cherkaski Mavpy) mais aussi aux Philippines ( Rain or Shine Elasto Painters, San Miguel Beermen, Pacquiao Powervit Pilipinas Aguilas / Pilipinas MX3 Kings), il s’était particulièrement illustré lors de son passage en Belgique où il avait terminé meilleur marqueur du championnat en 2014/15 avec Pepinster (19,9 points de moyenne).\\n\\nRéputé gros scoreur, il vivra au Portel sa première expérience en France. Sous réserve de qualification auprès de la Ligue Nationale de Basket, il devrait être qualifié pour aller défier le déplacement à Limoges le 10 décembre prochain."
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : l’énorme dunk de Bandja Sy face à Varese !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le match face à Varese que l’ASVEL a remporté 86-70 à l’occasion de la 8e journée de Champions League, Bandja Sy est monté au dunk sur deux défenseurs !\\n\\nAvec 16 points et 4 rebonds, le frère de « l’Amiral » Amara Sy a rendu une copie très honorable. Connu pour ses qualités athlétiques, l’ancien joueur de Nancy s’est offert l’action de la soirée."
}, 
{"role": "user",     "content":"N2 : la lassitude de Régis Racine (Châteauroux)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cela ressemble à une débandade à La Berrichonne de Châteauroux dans le groupe B de Nationale 2 : 10 matches perdus dont l’un par pénalité pour avoir fait jouer quelques minutes un joueur non qualifié. L’apport d’un nouvel Américain DeAndre Leatherwood (2,08m) n’a pas empêché les Castelroussins de plonger encore face à Pornic, 51-76.\\n\\nCes résultats sportifs font en quelque sorte suite à des déboires financiers qui avaient amené le club à frôler la mort au printemps dernier et à des changements incessants à la présidence du club.\\n\\nC’est la face visible de l’Iceberg –ou plutôt du Titanic- et ce n’est pas mieux de l’intérieur avec des retards aux entraînements et même des absences non justifiées. Le coach est amer, désabusé, lassé.\\n\\nLe coach, c’est Régis Racine, 46 ans, qui a fait une bonne carrière de joueur pro avec même trois sélections en équipe de France au compteur. Il est par ailleurs le père d’Anthony (Orchies) et de Warren (Denain).\\n\\nRégis Racine prend les devants avant le déplacement à Angers et annonce dans La Nouvelle République qu’il ne transigera pas :\\n\\n« Soit l’équipe agit enfin et affiche les valeurs de combativité que j’attends, soit je prendrai mes responsabilités. »\\n\\nC’est l’occasion ou jamais. Avec une seule victoire, l’Etoile d’Or Saint-Léonard d’Angers fait pour l’instant à peine mieux que Châteauroux."
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : l’incroyable performance de Jimmy Baron"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la 8e journée de Champions League, Klaipeda s’est imposé 103-88 face aux Turcs de l’Usak. Une rencontre marquée par le coup de chaud de Jimmy Baron, auteur de 42 points, alors que son record de la saison était seulement de 19 unités.\\n\\nLa magnifique performance de Klay Thompson qui a marqué 60 points face aux Pacers dans la nuit de lundi à mardi lui a visiblement donné des idées puisque l’ancien joueur du Lokomotiv Kuban a pris feu, plantant pas moins de 10 tirs à 3 points (record de Champions League) ce mardi soir !\\n\\nEn BCL, Jimmy Baron tourne en moyenne à 13,4 points, 3,1 rebonds et 2 passes décisives.\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Monaco l’emporte à Francfort"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Menés par Zach Wright à 16 points, 5 rebonds et 3 interceptions mais 4 ballons perdus, et Sergiy Gladyr à 9 points, 4 rebonds, 2 passes décisives et 3 interceptions, les hommes de Zvezdan Mitrovic se sont imposés en Allemagne 70-64. Grâce à cette victoire, l’ASM conforte sa première place du groupe A.\\n\\nDéjà vainqueurs (65-47) lors du match aller, les Monégasques remportent donc, à l’occasion de cette 8e journée de Champions League, leur premier match de la phase retour de BCL face à Francfort. L’entraîneur de l’AS Monaco est revenu sur cette rencontre en conférence de presse d’après match.\\n\\n« Nous nous attendions à un match difficile mais nous avons contrôlé le match dès le début parce que nous avions bien préparé ce match. Je pense que la clé de cette rencontre a été notre agressivité sur la défense tout terrain »\\n\\nLa boxscore du match est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Le Mans chute à Venise"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Devant à la pause (36-29), les Manceaux se sont effondrés dans le troisième quart temps que les Italiens ont largement remporté 28-11. Dans le cadre de la 8e journée de Champions League et après 40 minutes de jeu, le MSB s’incline finalement 74-62 face à une valeureuse équipe de Venise menée par les 23 points de Hrvoje Peric.\\n\\nMeilleur marqueur du Mans, Olivier Hanlan a compilé 14 points et 3 passes décisives mais 4 balles perdues pour 8 d’évaluation. Après le match, Erman Kunter, le technicien manceau, est revenu sur cette défaite du Mans Sarthe Basket qui garde tout de même la tête du groupe B (6v-2d) de BCL.\\n\\n« La première mi-temps était de qualité mais la deuxième mi-temps c’était une autre affaire. Nous avons complètement perdu notre discipline dans le troisième quart temps. Ce genre de match est toujours dangereux, nous devons être encore plus concentrés et ne devons pas oublier des choses basiques comme la transition défensive. C’est une bonne équipe, nous avons été trop gentils en attaque, nous avons perdu des ballons et ils ont marqué des points en contre-attaque. Ils ont bien joué et ils ont pu faire la différence quand nous avons oublié d’être disciplinés. »\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : l’ASVEL prend sa revanche face à Varese"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Défaits dans les tous derniers instants du match aller à Varese alors qu’ils menaient à quelques secondes de la fin de la rencontre, les Villeurbannais ont pris leur revanche sur les Italiens et avec la manière pour s’imposer au final 86-70 à l’occasion de la 8e journée de Champions League.\\n\\nComme souvent depuis son arrivée à l’ASVEL, DeMarcus Nelson a été le meilleur joueur du match et il a parfaitement mené ses coéquipiers vers la victoire en compilant 13 points, 4 rebonds, 7 passes décisives et 4 interceptions pour une évaluation de 23. MVP du match, Nelson est revenu sur cette rencontre en conférence de presse.\\n\\n« C’était un match clé pour nous pour rester dans la course. Notre but est évidemment de tenter de finir à la première position de notre groupe donc c’était une victoire importante. »\\n\\nJ.D. Jackson y est également allé de son commentaire et est satisfait de cette victoire.\\n\\n« C’était un bon match. Nous avons été sérieux tout le match et nous avons obtenu une victoire confortable. C’est ce que nous voulions faire. »\\n\\nLa boxscore du match est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les joueurs pour le All-Star Game 2016 de la LNB sont connus !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Elire les joueurs devant participer au All-Star Game de la LNB, programmé le 29 décembre à l’AccorHôtel Arena de Paris, est une affaire très sérieuse car le public et aussi les principaux intéressés y accordent une grande et légitime importance. La sélection des uns comme la non-sélection des autres entraînent systématiquement des réactions passionnées. On est loin de l’indifférence quasi générale de la fin des années quatre-vingt dix.\\n\\n\\nPour trancher on vote à mains levées\\n\\nLes fans ont la possibilité en amont de désigner un joueur pour la sélection française et un autre pour la sélection étrangère. Il n’y a pas mystère que si D.J. Cooper mérite totalement son élection vu ses performances sur le terrain, Ousmane Camara, même s’il est en très net progrès offensifs, doit énormément à la communauté des supporters limougeauds sans équivalente quand il s’agit de se mobiliser.\\n\\nC’est à partir des nominations dans les « Cinq All Stars Français » et les « Cinq All-Stars Etrangers » effectuées par les rédactions de SFR Sport et RMC, après chacune des dix premières journées, que les huit membres présents du jury ont apporté leur expertise et leur feeling. Le classement à l’évaluation est une donnée objective très consulté. S’il n’y a pas consensus, on tranche à mains levées.\\n\\nCette année, le jury a été confronté à une pénurie de meneurs et une abondance d’intérieurs du côté des Français et à l’inverse à un choix délicat du côté des point guards américains alors que les vrais pivots de talents américains absorbés par les ligues majeures ne se bousculent pas au portillon.\\n\\n\\nWilliam Howard dans le Cinq de Départ\\n\\nWilliam Howard (2,02m, tout juste 22 ans) est probablement le starter le plus inattendu de la sélection française, en tant qu’ailier. Mais les chiffres ne mentent pas. Pour sa première véritable saison en Pro A, il en est à 10,5 pts et 14,3 d’évaluation. Il a été ainsi préféré à Paul Lacombe et encore plus à Mickaël Gelabale. D’ailleurs, il n’y a qu’un seul ancien dans l’équipe française, Alain Koffi (33 ans), mais c’est une renaissance qui est saluée. La roue tourne.\\n\\nLe jury désigne les cinq majeurs puis les participants aux concours des meneurs et de tir à trois-points. S’ils sont toujours dans la ligue, les tenants du titre sont systématiquement reconduits.\\n\\nPour vivre de l’intérieur les délibérations, l’auteur de ces lignes certifie -promis, craché- que tout est parfaitement démocratique. C’est en faisant les comptes que l’on s’aperçoit, par exemple, que l’Elan Chalon est fortement représenté. Mais ne s’agit-il pas du dauphin de Monaco ?\\n\\nLe jury s’est réuni lundi matin et l’embargo sur ses désignations a été respecté jusqu’à ce que l’émission Buzzer sur SFR Sport 2 assure l’exclusivité de l’annonce.\\n\\n\\nLes dunkeurs connus lundi\\n\\nEn ce qui concerne la sélection des participations au concours de dunks, il nécessite un travail en amont de deux mois de la part des organisateurs qui sondent la motivation des joueurs. Les élus seront annoncés dans Basket Time sur RMC Sport lundi prochain.\\n\\nOn a déjà l’assurance que cette édition du All-Star Game fera une nouvelle fois le plein de l’AccordHôtel Arena mais il reste encore à ce jour des places disponibles.\\n\\nL’événement annuel le plus populaire de la Ligue Nationale de Basket, une référence en Europe de part la mise en œuvre de moyens organisationnels, sera co-diffusé par SFR Sports 2 et, en clair, par Numéro 23, la chaîne de la TNT.\\n\\n\\nSélection Française\\n\\nMeneurs :\\n\\nEdouard Choquet (Châlons-Reims)\\n\\nAxel Julien (Dijon)*\\n\\nExtérieurs :\\n\\nJérémy Nzeulie (Chalon)\\n\\nWilliam Howard (Hyères-Toulon)*\\n\\nPaul Lacombe (Strasbourg)\\n\\nNicolas Lang (Lyon-Villeurbanne)\\n\\nYakuba « Billy » Ouattara (Monaco)*\\n\\nIntérieurs :\\n\\nMoustapha Fall (Chalon)*\\n\\nOusmane Camara (Limoges) Vote du public\\n\\nAlain Koffi (Pau-Lacq-Orthez)\\n\\nVincent Poirier (Paris-Levallois)\\n\\nWilfried Yeguete (Le Mans)*\\n\\nCoach :\\n\\nZvezdan Mitrovic (Monaco)\\n\\nAdjoint :\\n\\nCédric Heiz (Charleville-Mézières)\\n\\n\\nSélection Etrangère\\n\\nMeneurs :\\n\\nD.J. Cooper (Pau-Lacq-Orthez)* Vote du public\\n\\nWalter Hodge (Lyon-Villeurbanne)\\n\\nJohn Roberson (Chalon)\\n\\nExtérieurs :\\n\\nSpencer Butterfield (Nanterre)*\\n\\nSergii Gladyr (Monaco)*\\n\\nMark Payne (Châlons-Reims)\\n\\nJason Rich (Paris-Levallois)\\n\\nIntérieurs :\\n\\nTim Blue (Antibes)*\\n\\nCameron Clark (Chalon)\\n\\nJakim Donaldson (Le Portel)\\n\\nDario Hunt (Nancy)\\n\\nDarryl Watkins (Lyon-Villeurbanne)*\\n\\nCoach :\\n\\nJean-Denys Choulet (Chalon)\\n\\nAdjoint :\\n\\nRémi Giuitta (Fos)\\n\\n*Cinq Majeur\\n\\n\\nConcours des meneurs :\\n\\nD.J. Cooper (Pau-Lacq-Orthez)\\n\\nFrank Ntilikina (Strasbourg)\\n\\nAngel Rodriguez (Cholet)\\n\\nBenjamin Sene (Nancy) Tenant\\n\\n\\nConcours de Trois-points :\\n\\nRémi Lesca (Paris-Levallois)\\n\\nKlemen Prepelic (Limoges)\\n\\nJohn Roberson (Chalon)\\n\\nHeiko Schaffartzik (Nanterre)"
}, 
{"role": "user",     "content":"[replay] Le moulin à vent complètement fou de Brent Petway"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Non drafté à sa sortie de Michigan en 2007, Brent Petway a connu un parcours assez étrange. Passé par la D-League, Vichy ou encore les Harlem Globe Trotters, Petway a également connu le haut du panier avec l’Olympiakos.\\n\\nActuellement dans le club turc d’Izmir, Petway nous a lâché un moulin à vent complètement hallucinant de hauteur et de puissance dans la Champions League de la FIBA.\\n\\nIl faut rappeler que ce bon Brent a déjà remporté le concours de dunk de la D-League en 2008, puis le concours de dunks en Grèce en 2013. Vous comprenez maintenant mieux pourquoi...\\n\\n\\n\\n\\n🌪 @KSKBasket's @The_Pet_Way with the BIG windmill slam! #BasketballCL\\n📺 https://t.co/2epwDgp3FG pic.twitter.com/WmnO0ORvaV\\n\\n\\n— Basketball Champions League (@BasketballCL) December 6, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Edwin Jackson toujours souverain en Espagne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Seize joueurs pour neuf pays, le contingent tricolore a bien regonflé ses troupes pendant l’intersaison. De la Lituanie à l’Espagne, de l’Allemagne à la Grèce en passant par la Russie et la Chine (!), Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\nMeilleur scoreur de la Liga ACB (20,9 points par match) et meilleure évaluation (20,7 juste devant Ante Tomic : 20,4), Edwin Jackson réalise une saison tout simplement canon avec Estudiantes. Ce weekend, l’arrière tricolore a confirmé sa grande forme en réalisant un double double : 24 points, 10 rebonds dans la victoire étriquée de son club face à Andorre, l’équipe d’Andrew Albicy (le meilleur passeur d’ACB)...\\n\\n\\n\\n\\n.@edjacks, @KFogg21, @nachollovet, @CarlosSuarezweb y @KingKK_14, protagonistas en la Jornada 11 de la #LigaEndesa https://t.co/DwmoJv7xRf\\n\\n\\n— Liga Endesa (@ACBCOM) December 3, 2016\\n\\n\\nAlpha Kaba un ton au-dessus\\n\\nA ses côtés, Ali Traoré (10 points, 7 rebonds) a également été solide dans la victoire. Kim Tillie (15 points à 5/7 aux tirs plus 5 rebonds) a également été un des grands artisans de la victoire facile de Vitoria face à Séville. Enfin, à 9 points et 8 passes, plus une place de choix dans le Top 7 de la semaine, Antoine Diot a également assuré une prestation de fort belle facture.\\n\\nAvec encore pas mal d’absentéisme, pour blessure (Nando De Colo) ou simplement du repos (Fabien Causeur, Thomas Heurtel, Léo Westermann), c’est de Serbie que nous vient la meilleure nouvelle vers l’Est. Alpha Kaba a certes dû s’incliner face au Cibona Zagreb mais il a signé un gros match avec 18 points et 7 rebonds.\\n\\nOn notera également les bons matchs d’Amath M’Baye (14 points) en Italie, d’Adrien Moerman (13 points, 7 rebonds) en Turquie ou encore de Nobel Boungou-colo (10 points, 5 rebonds, 4 interceptions) en Russie. Ce dernier nous a même lâché des dunks aériens cette semaine en EuroCup (highlights complets ici)...\\n\\n\\n\\n\\nAmazing dunk by Nobel Boungou-Colo 😳😳@Nobeezy16 pic.twitter.com/hzJ6AddmbG\\n\\n\\n— EuroBBallVideos (@EuroBBallVideos) December 1, 2016\\n\\n\\nAllemagne\\n\\nFabien Causeur (Bamberg) : n’a pas joué (victoire 79-54 face à Jena)\\n\\n\\nChine\\n\\nGuerschon Yabusele (Shanghaï) : 5 points (2/5 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe en 13 minutes (victoire 93-77 face à Ningbo)\\n\\n\\nEspagne\\n\\nEdwin Jackson (Estudiantes) : 24 points (9/19 aux tirs), 10 rebonds, 4 passes en 32 minutes (victoire 87-85 face à Andorre)\\n\\nKim Tillie (Vitoria) : 15 points (5/7 aux tirs), 5 rebonds, 1 passe en 22 minutes (victoire 94-60 face à Séville)\\n\\nAli Traore (Estudiantes) : 10 points (5/8 aux tirs), 7 rebonds, 1 interception en 19 minutes (victoire 87-85 face à Andorre)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : 9 points (1/2 aux tirs), 8 passes, 4 rebonds, 1 interception en 24 minutes (victoire 83-61 face à Bilbao)\\n\\nRodrigue Beaubois (Vitoria) : 8 points (3/10 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 1 interception en 18 minutes (victoire 94-60 face à Séville)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 5 points (2/6 aux tirs), 5 passes, 3 rebonds en 30 minutes (défaite 87-85 face à Estudiantes)\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAngelo Tsagarakis (Trikala) : 5 points (2/6 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes en 24 minutes (défaite 81-60 face à Olympiakos)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Brindisi) : 14 points (5/10 aux tirs), 5 rebonds, 3 passes, 1 interception en 23 minutes (victoire 76-61 face à Sassari)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLeo Westermann (Kaunas) : n’a pas joué – laissé au repos (victoire 94-61 face à Alytus)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNobel Boungou-Colo (Khimki) : 10 points (3/6 aux tirs), 5 rebonds, 4 interceptions, 1 contre en 19 minutes (victoire 102-70 face à Saratov)\\n\\nNando De Colo (CSKA) : n’a pas joué – blessé à la cuisse gauche (défaite 83-74 face à Kuban)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAlpha Kaba (Mega Leks) : 18 points (8/14 aux tirs), 7 rebonds, 2 interceptions, 1 passe mais 4 balles perdues en 26 minutes (défaite 82-71 face au Cibona)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nAdrien Moerman (Darussafaka Istanbul) : 13 points (5/7 aux tirs), 7 rebonds, 2 passes en 21 minutes (victoire 82-50 face à Istanbul BB)\\n\\nThomas Heurtel (Efes Istanbul) : n’a pas joué (victoire 75-70 face à Gaziantep)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Guerschon Yabusele s’amuse en Chine"
}, 
{"role": "user",     "content":"Gravelines : Florent Pietrus absent de 6 à 8 semaines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le BCM Gravelines a annoncé sur son site que Florent Pietrus sera absent des parquets pour une durée estimée de 6 à 8 semaines.\\n\\nL’intérieur guadeloupéen a été victime d’une déchirure de l’adducteur en FIBA Europe Cup face à Limbourg. Il n’avait pas effectué ensuite le déplacement à Cholet avant de jouer 20 minutes contre Chalon pour zéro point et un rebond.\\n\\nPietrus tourne à 4,4 pts et 3,9 rbds en 7 matches de Pro A avec le BCM qu’il a rejoint le 13 octobre."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau-Lacq-Orthez, dernière équipe de Pro A encore invaincue à domicile"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il fallait bien que ça arrive un jour. Invaincu cette saison à domicile toutes compétitions confondues, l’AS Monaco est tombé pour la première fois dans sa salle Gaston Médecin dimanche lors de la défaite face au Paris-Levallois (83-98) à l’occasion de la onzième journée de Pro A.\\n\\nDe ce fait, il ne reste plus que Pau-Lacq-Orthez comme dernière équipe de Pro A encore invaincue à domicile.\\n\\nEn six rencontres dans son Palais des Sports, l’Élan Béarnais a régalé ses fans en s’imposant à six reprises. Cholet, Lyon-Villeurbanne, Strasbourg, Orléans, Antibes et Châlons-Reims ont dû rendre les armes lors de leur venue dans les Pyrénées-Atlantiques et repartir chez eux avec une défaite dans les bagages.\\n\\nD.J. Cooper et sa bande tenteront de poursuivre leur série d’invincibilité, le 17 décembre prochain avec la venue de Dijon.\\n\\nEn bout de classement, Nancy, lanterne rouge de la division, ne s’est imposé qu’une seule fois à domicile en 6 rencontres.\\n\\nClassement à domicile Pro A:\\n\\n\\n\\n\\n1\\nPau-Lacq-Orthez\\n100%\\n6MJ\\n6V\\n0D\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2\\nChalon/Saône\\n84%\\n6MJ\\n5V\\n1D\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n–\\nMonaco\\n84%\\n6MJ\\n5V\\n1D\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n4\\nHyères-Toulon\\n67%\\n6MJ\\n4V\\n2D\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n–\\nNanterre\\n67%\\n6MJ\\n4V\\n2D\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n–\\nParis-Levallois\\n67%\\n6MJ\\n4V\\n2D\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n7\\nGravelines-Dunkerque\\n80%\\n5MJ\\n4V\\n1D\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n–\\nLeMans\\n80%\\n5MJ\\n4V\\n1D\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n–\\nLePortel\\n50%\\n6MJ\\n3V\\n3D\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n–\\nLimoges\\n80%\\n5MJ\\n4V\\n1D\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n–\\nLyon-Villeurbanne\\n50%\\n6MJ\\n3V\\n3D\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n–\\nStrasbourg\\n80%\\n5MJ\\n4V\\n1D\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n13\\nChâlons-Reims\\n60%\\n5MJ\\n3V\\n2D\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n–\\nDijon\\n60%\\n5MJ\\n3V\\n2D\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n–\\nOrléans\\n60%\\n5MJ\\n3V\\n2D\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n16\\nAntibes\\n40%\\n5MJ\\n2V\\n3D\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n–\\nCholet\\n40%\\n5MJ\\n2V\\n3D\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n–\\nNancy\\n17%\\n6MJ\\n1V\\n5D\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France U18 : la liste des 12 joueurs pour le championnat d’Europe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur son site, la FFBB dévoile aujourd’hui la liste des 12 joueurs qui représenteront la France au championnat d’Europe qui se tiendra du 16 au 22 décembre prochain à Samsun, en Turquie.\\n\\nComme prévu, le meneur strasbourgeois Frank Ntilikina sera bien présent pour cette compétition mais manquera quatre rencontres avec la SIG.\\n\\nNos jeunes Tricolores seront en quête d’une des cinq premières places, synonymes de qualification pour le Mondial U19 qui se tiendra au Caire, en Egypte, en 2017.\\n\\n\\n\\n\\nNom\\nPrénom\\nDate de naissance\\nTaille\\nClub\\n\\n\\nDESSEIGNET\\nThibault\\n15/09/1998\\n182\\nJL Bourg\\n\\n\\nDIAWARA\\nElhadji-digue\\n03/10/1998\\n205\\nASVEL\\n\\n\\nDOUMBOUYA\\nSekou\\n23/12/2000\\n202\\nPoitiers Basket 86\\n\\n\\nFEVRIER\\nIvan\\n08/02/1999\\n202\\nCFBB (BC Lievinois)\\n\\n\\nMOKOKA\\nAdam\\n18/07/1998\\n188\\nGravelines-Dunkerque\\n\\n\\nNDOYE\\nAbdoulaye\\n09/03/1998\\n198\\nCholet\\n\\n\\nNTILIKINA\\nFrank\\n28/07/1998\\n196\\nStrasbourg IG\\n\\n\\nRAMBAUT\\nJules\\n06/04/1998\\n204\\nChâlons-Reims\\n\\n\\nTCHOUAFFE\\nBathiste\\n19/05/1998\\n196\\nJSF Nanterre\\n\\n\\nVAUTIER\\nBastien\\n15/11/1998\\n210\\nNancy\\n\\n\\nVERGIAT\\nTimothé\\n07/03/1998\\n190\\nHyères-Toulon VB\\n\\n\\nWOGHIREN\\nWarren\\n23/10/1998\\n212\\nCholet\\n\\n\\n\\n\\nPhoto : FIBA Europe"
}, 
{"role": "user",     "content":"Un Louis Labeyrie princier à Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il a été royal. À Monaco dimanche dernier, Louis Labeyrie a été grand, très grand. Époustouflant sur le terrain, le pivot français de 2,09m a livré une somptueuse prestation pour permettre au Paris-Levallois de remporter la victoire.\\nFace à une équipe monégasque invaincue cette saison à domicile toutes compétitions confondues, le natif de Gonesse avait sorti ses habits de lumière pour illuminer le Rocher de son talent. En état de grâce face aux intérieurs de la Roca Team, le numéro 7 parisien a réalisé ni plus ni moins son meilleur match de la saison !\\n\\nAuteur de 21 points à 9 sur 10 aux tirs, 7 rebonds, 2 contres et 1 interception pour un impeccable 28 d’évaluation en 28 minutes, il a été le meilleur joueur présent sur le parquet de la Salle Gaston Médecin de Monaco.\\n\\nÀ 24 ans, et pour sa cinquième saison dans la capitale, celui qui fut sélectionné en 57e position de la draft 2014 par Indiana (avant d’être envoyé à New-York dans la foulée) est en train de jouer le meilleur basket de sa jeune carrière.\\n\\nDescendu une seule fois sous la barre des 10 d’évaluation depuis l’ouverture du championnat, capable de gober 12 rebonds sur la têtes des intérieurs villeurbannais il y a deux semaines et de coller 21 points à la défense de l’ASM, il est en forme en ce début de saison et depuis cinq matchs son temps de jeu est en hausse (de 20 à 28 minutes).\\n\\nPour aller encore plus loin on peut affirmer sans trop prendre de risque que son association avec Vincent Poirier est sans doute la meilleure paire de poste 5 en Pro A.\\n\\nTournant à une moyenne de 8,5 points à 53,1% de réussite aux tirs, 7,9 rebonds, 1,3 contre et 0,4 passe pour 14,5 d’évaluation en 21 minutes sur 8 matchs de championnat, Louis Labeyrie aligne ses meilleures statistiques dans l’élite française en six saisons.\\n\\nRévélé dans le sud de la France à Hyères-Toulon en 2011/12 (12,6 d’évaluation en 22 minutes sur 30 matchs), en perte de confiance la saison suivante avant de remonter la pente, le géant est depuis trois saisons en progression constante.\\n\\nGros talent, rentable, Louis Labeyrie n’a sans doute pas fini de nous étonner.\\n\\nPhoto : Paris-Levallois – Karen Mandau"
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg : la révélation Paul Lacombe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que la SIG est de retour dans le top 8 du classement après un début de saison complètement manqué sous l’ère Henrik Dettmann, Paul Lacombe réalise la meilleure saison de sa carrière.\\n\\nAprès onze matchs de championnat, le natif de Vénissieux a passé un cap cette saison. Avec des moyennes de 8,1 points (55,9% aux tirs), 3,5 rebonds et 4,1 passes décisives pour 12,8 d’évaluation par match, le guerrier de la SIG enregistre les meilleures statistiques depuis le début de sa carrière professionnelle en 2008/09.\\n\\nLe 20 novembre dernier, face à Limoges la SIG s’était imposée 79-60 au Rhénus dans le cadre de la 9e journée de championnat, et l’ancien joueur de l’ASVEL avait réalisé son match référence de la saison avec 13 points, 4 rebonds et 9 passes décisives pour une évaluation de 25. Au terme de cette 9e journée, il avait même été sélectionné pour faire partie du cinq majeur Français de la semaine grâce à sa très belle performance.\\n\\nAlors que les sélections pour le All Star Game seront dévoilées ce mardi soir dans l’émission Buzzer sur SFR Sport 2, l’arrière de 26 ans pourrait bien décrocher sa première convocation pour le match des étoiles qui se tiendra le 29 décembre prochain à l’AccorHotels Arena.\\n\\nSur la scène européenne, Paul Lacombe est également un autre joueur. En 21 rencontres d’Euroleague entre 2009 et 20116, il enregistrait en moyenne 4,4 points, 2,9 rebonds et 2,1 assists par match tandis qu’en 52 matchs d’Eurocup entre 2009 et 2016, l’arrière strasbourgeois compilait 4 points, 2,2 rebonds et 1,7 passe décisive.\\n\\nCette saison, engagé avec la SIG dans la toute nouvelle Basketball Champions League et bien que le niveau soit plus faible que dans les compétitions présidées par Jordi Bertomeu, l’ancien pensionnaire du centre de formation de Lyon Villeurbanne tourne à 8 points, 3 rebonds et 3,1 assists pour une éval de 11,1 par match.\\n\\nPhoto: Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ex-prodige du basket français, David Gautier renaît comme entraîneur en LFB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est l’une des histoires les plus tristes du basket professionnel du XXIe siècle.\\n\\nPour comprendre le contexte, il suffit de jeter un œil sur le palmarès du trophée MVP Espoirs de la LNB transformé en MVP jeunes. Au fil des années on découvre comme lauréats Antoine Rigaudeau, Alain Digbeu, Tony Parker, Boris Diaw, Ian Mahinmi, Nicolas Batum, Evan Fournier, et plus récemment Clint Capela et Franck Ntinikina. Au milieu, en 2000, David Gautier.\\n\\nPassé par le Centre Fédéral, David Gautier (2,02m) est un pur choletais puisqu’il est né dans la capitale des Mauges. C’est d’ailleurs à l’époque de CB qu’il obtient ce trophée très prometteur. Il est alors sur une sorte de voie royale. David peut rêver rejoindre un jour la NBA comme Antoine Rigaudeau, un autre natif de Cholet. Il enchaîne ensuite sur Strasbourg avec une saison à 12,4 pts à 23 ans. Il possède beaucoup de vitesse et de dextérité pour un grand. Il obtient 13 capes en équipe de France. Il retourne ensuite deux ans à Cholet avant de filer à Gravelines. C’est là que son monde va s’écrouler.\\n\\n\\nUn kyste... ou pas\\n\\n\\n« Je perdais de la force dans ma jambe », raconta t-il à Ouest France. « C’est venu petit à petit. Je sentais que je perdais de la détente, de la vitesse. Puis, c’est venu tous les jours, tous les jours, tous les jours. Je ne pouvais plus sprinter, moins sauter, mais uniquement sur ma jambe droite. Quand j’allais en musculation travailler les cuisses, à gauche j’avais la puissance maximum mais à droite je ne pouvais pas soulever 10 kg. Dans le jeu, j’étais complètement « bancal ». J’ai joué comme ça pendant 3-4 mois à Gravelines. A un moment donné, je ne pouvais plus. »\\n\\nLa faculté découvre la nature du mal : un kyste de Tarlov. Encore que certains toubibs estiment que l’inflammation articulaire et la baisse de puissance dans la jambe sont dues à des articulations situées plus haut dans le corps.\\n\\nCe qui est certain c’est qu’après 16 matches au BCM, David Gautier, ex-prodige du basket français, jette l’éponge. Quand le corps n’est plus en état de fonctionnement, un sportif est bon à la casse. Il lui faut trouver une autre voie, un autre job. David Gautier a 27 ans.\\n\\n\\nRetour dans le Maine-et-Loire\\n\\nLe Choletais retourne dans sa région et aide sa femme qui a ouvert un centre de remise en forme à Angers, le chef-lieu du Maine-et-Loire. Les Gautier ont acheté quatre murs et ils ont eu à tout agencer ce qui a permis à David de faire son deuil du basket. Il met aussi un pied à l’étrier de l’entrainement en s’occupant des jeunes poussins, benjamins et minimes de l’ABC. David confie alors ne pas avoir tout de suite l’envie d’aller vers le haut niveau mais aussi que l’appétit peut venir en mangeant. Prémonitoire. Il rejoue même un peu au basket... avec l’équipe 3 en Départementale.\\n\\n« Je marche beaucoup », plaisante t-il lors d’une interview à BasketNews. « On n’a pas une équipe très grande donc je prends pas mal de rebonds ce qui me permet de lancer les contre-attaques pour les copains. »\\n\\n\\nPromotion interne\\n\\nDepuis David Gautier est devenu directeur du centre de formation de l’UFAB 49 et assistant en équipe de France U16 féminine. C’est à lui que le président Brito De Brito vient de donner la responsabilité de remettre à flots l’équipe de LFB, en dernière position à égalité avec Tarbes et le Hainaut, après le licenciement de l’historique David Girandière en poste depuis 2009.\\n\\n« C’est une surprise », confie-t-il à Ouest-France. « Je n’ai pas demandé le poste. Mais c’est aussi flatteur quelque part. Je pense que mon parcours, notamment avec l’équipe de France U16, a pesé dans le choix des dirigeants, ainsi que mon vécu de joueur (...) Je leur ai clairement dit (aux joueuses) que je ne veux pas m’occuper d’éventuels clans ou pas. D’ailleurs, je ne pense pas que tous les soucis venaient de l’intérieur du groupe. Il y a eu tellement de discussions, de tellement de gens autour de l’équipe, que ça a forcément influé sur la qualité de vie dans le groupe. »\\n\\nPhoto : Cholet Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les clubs français satisfaits des conditions financières de la Basketball Champions League"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le quotidien L’Equipe a interrogé quelques acteurs français de la Basketball Champions League. S’ils se plaignent d’un format illisible, d’une compétitivité moins élevée du fait du maintien en parallèle de l’Eurocup avec des clubs espagnols, russes et allemands, chacun se réjouit de la montée en puissance financière.\\n\\nChaque club engagé s’est vu verser 100 000 euros, plus des bonus en fonction des résultats, et en plus la FIBA prend à son compte la production des matches qui est tout de même de 20 000 euros à chaque fois que le club joue à domicile.\\n\\n« Si nous allons en finale de BCL, nous toucherons 450 000 euros. L’an dernier, en EuroCup c’était zéro », rappelle le président de Strasbourg Martial Bellon. « On devait payer la production et en plus l’Eurocup a prélevé la moitié de la recette du match aller de notre finale contre Galatasaray. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Quand le Limoges CSP bat le village de Freddy Fauthoux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce week-end, l’équipe de l’association Limoges CSP accueillait pour le compte du championnat de Nationale 3 l’ASCH, leader de la poule C.\\n\\nDerrière ces lettres obscures se cachent trois villages, Serreslous, Horsarrieu et Sainte-Colombe, situés entre Pau, Orthez et Mont-de-Marsan, en pleine Chalosse, le pays du basket. Et Horsarrieu compte un enfant célèbre, Freddy Fauthoux, l’ancien serial shooteur de Pau reconverti en coach à succès au Paris-Levallois. D’ailleurs à la fin de sa carrière professionnelle le Petitou est revenu sur ses terres et en 2010 il avait décroché avec ses potes la sacro-saint Coupe des Landes.\\n\\nLe CSP avait concédé une lourde défaite la semaine précédente à Poitiers (56-83), l’autre ville rivale, mais a reçu depuis le renfort d’un Croate de 2,12m, Petar Madunic, qui n’est pas manchot. Celui-ci a marqué 20 points et les Limougeauds sont demeurés maîtres à domicile, 72-59.\\n\\nÇa n’a quand même pas du gâcher la fête du coach du Paris-Levallois vainqueur en même temps à Monaco..."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 6 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nBasket : Rien ne bouge au SLUC, pour l’instant\\n\\n– Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on ne s’ennuie pas en ce moment, dans les bureaux de Gentilly. Hier encore, le président Marc Barbé et le... Lire la suite.\\n\\n\\nBasket : Aussi mal partis que Nancy cette saison, Cholet et le SLUC avaient sauvé leur peau la saison dernière\\n\\n– Même avec deux victoires en onze matches, la relégation n’est heureusement pas une fatalité. Les deux exemples les plus récents datent de la saison... Lire la suite.\\n\\n\\nLa SIG avec autorité\\n\\n– Les Strasbourgeois ont réalisé leur plus probante performance de la saison en pro A ce soir, à Nanterre. Les hommes de Vincent Collet ont dominé le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn test réussi\\n\\n– La SIG a parfaitement négocié un déplacement à Nanterre aux allures de premier gros test. En s’imposant hier soir (73-78) sur le parquet francilien... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nContracture pour Petitjean\\n\\n– Après son seul shoot à 3 points tenté et réussi samedi soir, Baptiste Petitjean est sorti en se tenant la cuisse droite. Au vu des examens, il souffre... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLons, déjà la tête à Tarare\\n\\n– Après une démonstration face à Saint-Priest et une neuvième victoire consécutive (91-68), l’AL Lons en veut encore plus et ne pense qu’au match de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Asvel ne doit pas se relâcher\\n\\n– Alors que le retour de Kahudi est imminent, les Villeurbannais veulent conforter leur place face à des Italiens en grande souffrance... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nProA: Strasbourg prive Nanterre de la tête\\n\\n– Strasbourg a empêché Nanterre de monter aux côtés de Monaco sur la première marche du podium en allant s’imposer sur son parquet (78-73) en clôture de la 11e journée de Pro A... Lire la suite.\\n\\n\\n« Je pense au public qui méritait plus que la prestation de ce soir. »\\n\\n– le phraseL’entraîneur de Bourg-en-Bresse, Savo Vucevic, n’a pas apprécié la défaite concédée à domicile contre Rouen (70-80), la lanterne rouge. Candidats à l’accession, les Bressans restent sur trois revers lors des quatre derniers matchs... Lire la suite.\\n\\n\\nEvreux\\n\\n– Rien ne va plus à Evreux. Finalistes des play-off la saison dernière, les Ebroïciens, battus à domicile lors du derby contre Le Havre (77-87), enregistrent leur troisième revers de rang. La plus mauvaise défense de la division (85 points encaissés par match) doit vite réagir... Lire la suite.\\n\\n\\nNantes\\n\\n– Ambitionnant au moins un top 5 à la fin de la saison, l’Hermine Nantes semble avoir trouvé la bonne carburation. Vainqueurs à Saint-Quentin, les Nantais viennent d’enchaîner une troisième victoire de rang et sont en embuscade derrière Fos, le leader invaincu, et Charleville, son dauphin... Lire la suite.\\n\\n\\nSaint-Quentin a raté le coche\\n\\n– Voilà ce qu’on appelle une occasion manquée. Restant sur trois victoires, dont deux à l’extérieur à Saint-Chamond et Blois, Saint-Quentin pouvait poursuivre sur sa lancée vendredi lors de la venue de Nantes. Mais, les Picards sont tombés pour la première fois de la saison à domicile (68-72) et laissent filer Charleville-Mézières, désormais seul... Lire la suite.\\n\\n\\nL’ultimatum de Racine\\n\\n– Désabusé par le comportement amorphe de son équipe, samedi, contre Pornic, l’entraîneur de la Berrichonne prévient\u2009: si ça ne change pas, il s’en ira très vite... Lire la suite.\\n\\n\\nHofstetter en Espagne\\n\\n– Les choses sérieuses débutent aujourd’hui pour le pro Hugo Hofstetter. À Calpe (Espagne), le Haut-Rhinois de Cofidis effectue un stage route jusqu’au... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nEn manque d’adresse\\n\\n– A Schirrhein, l’équipe fanion masculine prend une nouvelle fois un bon départ et mène 10-13. Parfaitement en place en défense, les Violets creusent... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa SIG renverse Nanterre\\n\\n– Dans une rencontre de haute tenue, les Strasbourgeois ont mis en échec l’armada nanterrienne pour signer un succès précieux dans leur remontée... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBasket-ball\\n\\n– Option. En écartant son dauphin Vosges du Nord II 76-67, les féminines du KABCA, invaincues après sept rencontres, ont pris deux longueurs d’avance... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Djordje Pazin (15 ans) marque 24 points en Serie B"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Né en 2001, Djordje Pazin évolue à la Stella Azzurra Roma qui compte 3 victoires pour 7 défaites en troisième division italienne.\\n\\nA seulement 15 ans, le jeune arrière serbe a passé 33 minutes sur le terrain dans la victoire de son équipe face Viterbo (1v-9d) alors qu’en moyenne il tourne à 21 minutes de jeu par match. Il a complètement rentabilisé ces minutes passées sur le parquet en compilant 24 points, 5 rebonds et 2 passes décisives. Son ancien record de points était à 20 points.\\n\\nUne performance impressionnante pour un joueur si jeune qui compile habituellement 8,6 points et 2,3 rebonds par rencontre."
}, 
{"role": "user",     "content":"Quatrième victoire consécutive pour Strasbourg face à Nanterre !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bien mal en point pendant la pige d’Henrik Dettmann, Strasbourg a repris des couleurs depuis le retour aux affaires du sélectionneur tricolore, Vincent Collet. Et le redressement de la SIG s’est poursuivi ce soir avec une quatrième victoire de rang face à Nanterre 92 (78-73). AJ Slaughter et Romeo Travis, 15 points chacun, ont porté leur équipe à un nouveau succès à l’extérieur. Note à la Pro A : la SIG est bel et bien de retour !\\n\\nPour Nanterre, l’occasion était pourtant belle de s’offrir une place au sommet du classement après la défaite de Monaco. Mais les hommes de Pascal Donnadieu ont manqué de constance pendant ce match. Pris de vitesse dès le début, après un 11-0, Nanterre a couru après le score. Derrière un réveil de Chris Warren et Mykal Riley, ils trouveront bien les ressources pour revenir fort en début de 3e quart, infligeant notamment un 8-0 pour prendre 7 points d’avance.\\n\\n\\nAJ Slaughter toujours aussi clutch\\n\\nMais Strasbourg ne va pas paniquer. Paul Lacombe délivre une passe laser pour le dunk de mammouth de Romeo Travis (15 points, 8 rebonds). De retour face à son ancien club, Mam Jaiteh (12 points) place lui aussi un dunk autoritaire et la SIG revient au score et remet même la main sur le match en dernier quart.AJ Slaughter (15 points) inscrit les paniers qui font mal et initie même un 12-2 à 4 minutes de la fin conclu par un trois points d’Erick Murphy.\\n\\nEn contrôle, la SIG se donne quelques frayeurs après un ultime baroud d’honneur des franciliens mais Strasbourg ne va pas flancher si près du but. Travis met ses lancers tout en sérénité et voilà une cinquième victoire sur les six derniers matchs pour Collet et ses hommes (78-73). La SIG est désormais dans le positif (6 victoires – 5 défaites) et peut à nouveau regarder vers le haut du classement...\\n\\nBOX SCORE\\n\\n(Crédits photo : SIG Strasbourg)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Pablo Prigioni de retour à Vitoria"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur son site, Vitoria annonce le retour du vétéran de 39 ans, Pablo Prigioni, dans le Pays Basque pour le reste de la saison.\\n\\nRemercié par les Houston Rockets le 24 octobre dernier, l’ancien meneur de jeu des Los Angeles Clippers était sans club jusqu’à aujourd’hui. Déjà passé par Vitoria entre 2003 et 2009, l’Argentin avait ensuite rejoint le Real Madrid avant de prendre son envol pour les Etats-Unis.\\n\\nEntre New York, Los Angeles et donc Houston, Prigioni compilait en moyenne 3,5 points, 1,8 rebond et 2,5 passes décisives en 270 matchs de NBA."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : Sharaud Curry signe à Antibes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A la 14e place du classement de Pro A avec quatre victoires pour sept défaites, Antibes annonce sur son site la signature du meneur de jeu Sharaud Curry jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nEn Estonie la saison dernière, l’ancien pensionnaire de l’université de Providence avait compilé 11,4 points, 3,1 rebonds et 4,6 passes décisives en playoffs avec le BC Kalev/Cramo.\\n\\nDéjà passé par la France, l’ancien joueur d’Athènes avait disputé 20 rencontres en Pro A entre Chalons-Reims (2014/15) et Nancy (2015/16) pour des moyennes de 9,5 points, 1,9 rebond et 3,4 passes décisives pour une évaluation de 9,7.\\n\\nSous réserve de qualification de la part de la LNB, Curry devrait faire ses débuts avec les Sharks lors de la réception du Paris-Levallois lundi 12 décembre."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Edwin Jackson et Ali Traoré l’emportent face à Andrew Albicy"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dimanche soir se tenait, à Madrid, le match de la 11e journée de Liga Endesa qui opposait l’Estudiantes à Andorre. Dans ce match étaient engagés trois Français, Edwin Jackson et Ali Traoré pour Madrid et Andrew Albicy du côté d’Andorre.\\n\\nLes hommes de Salva Maldonado ont bien failli se faire surprendre mais se sont finalement imposés de deux petits points (87-85) au terme d’un quatrième quart-temps largement remporté par le Morabanc Andorra (33-12).\\n\\nEdwin Jackson a été élu meilleur joueur de la rencontre grâce à ses 24 points, 10 rebonds et 4 passes décisives pour une évaluation de 24, bien aidé par les 10 points et 7 rebonds de Traoré. L’ancien arrière de l’ASVEL s’est d’ailleurs exprimé au micro de l’EstuTV après la rencontre.\\n\\n« Nous avons remporté le match et c’est le plus important même si c’est sur que la manière n’y était pas. Tout le monde sait que c’est une ligue difficile et que tout le monde joue jusqu’à la dernière minute. Notre problème est que nous pensions que le match était plié et nous avons oublié de mettre de l’intensité dans le dernier quart-temps. »\\n\\nMoins performant qu’à son habitude dans cette rencontre, Andrew Albicy a timidement compilé 5 passes, 3 rebonds et 5 assists pour une évaluation de 6.\\n\\nLe résumé vidéo de la rencontre est à retrouver ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Ryan Hollins renforce Gran Canaria"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Actuellement à la 9e place du classement de Liga Endesa, Gran Canaria enregistre la signature de l’ancien joueur NBA, Ryan Hollins, pour toute la saison, comme le rapporte Sportando.\\n\\nAprès 518 matchs dans la Grande Ligue, l’ancien joueur des Los Angeles Clippers va connaître sa première expérience en Europe. En dix ans de carrière professionnelle, l’ancien pensionnaire de UCLA a connu neuf clubs NBA et est donc passé par Charlotte, Dallas, Minnesota, Cleveland, Boston, Los Angeles, Sacramento, Washington et Memphis.\\n\\nOutre-Atlantique, le natif de Pasadena compilait en moyenne 3,6 points et 2,2 rebonds de moyenne."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Antoine Diot à la première place du top 7 de la semaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Proche du double double dans la victoire de Valence face à Bilbao (83-61) avec 9 points, 4 rebonds et 8 passes décisives (23 d’évaluation), Antoine Diot a délivré une passe dans le dos lumineuse à Fernando San Emeterio qui coupait au panier.\\n\\nAction à retrouver ici à la première place du Top 7 de la semaine de Liga Endesa.\\n\\nCette saison en première division espagnole, l’international français compile en moyenne 9,5 points, 2,6 rebonds et 4,7 passes décisives par match pour une évaluation de 11,6."
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Alessandro Gentile quitte Milan"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Au club depuis 2011, Alessandro Gentile quitte Milan, comme le rapporte l’Emporio Armani Milano sur son site.\\n\\nSelon la formation milanaise, les deux parties se quittent d’un commun accord pour permettre à l’ailier italien de passer le reste de la saison dans un autre club.\\n\\nCette saison en Euroleague, Gentile compilait en moyenne 10,8 points, 3 rebonds et 2,4 passes décisives pour une évaluation de 9,4. En Serie A, l’ancien joueur de Trévise tournait en moyenne à 9,5 points, 3,9 rebonds et 3,2 assists, cette saison.\\n\\nAvec Milan, Alessandro Gentile a remporté le championnat italien à deux reprises en 2014 et en 2016 ainsi que la Coupe d’Italie en 2016.\\n\\nRappelons qu’en NBA, les Rockets possèdent les droits sur le joueur et qu’ils ont plusieurs fois tenté de le recruter...\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Aloysius Anagonye renforce Evreux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme annoncé la semaine dernière, le pivot Américano-Nigérian Aloysius Anagonye (2,03m, 35 ans) renforce Evreux.\\n\\n\\nLa formation de Pro B vient d’officialiser l’information. L’ancien joueur d’Orléans, du Paris-Levallois et de Boulogne-sur-Mer signe en tant que pigiste médical jusqu’au début du mois de janvier 2017.\\n\\n\\nLe natif de Detroit remplace dans l’effectif le Letton Ricmonds Vilde blessé et out jusqu’à la trêve de Noël.\\n\\n\\nSous réserve de qualification auprès de la Ligue Nationale de Basket, le néo ébroïcien pourrait faire ses grands débuts avec l’ALM vendredi à Lille dans le cadre de la neuvième journée de Pro B."
}, 
{"role": "user",     "content":"Steven Gray poursuit sa carrière en Grèce"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Steven Gray (1,96 m, 27 ans) vient de retrouver un nouveau contrat. Quelques jours après son départ du Basket Club Maritime Gravelines-Dunkerque, l’arrière américain s’engage avec Lavrio, actuel onzième du championnat grec.\\n\\nC’est une information du journaliste David Pick.\\n\\n\\n\\n\\nEx-French All-Star Steven Gray has been added to Greek A1’s Lavrioroster for season, I’ve been told.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) 4 décembre 2016\\n\\nEn début de saison 2016/17 sous les couleurs du club nordiste, l’arrière compilait 10 points à 34,4% aux tirs, (29,3% à 3-points), 2,5 rebonds et 1,7 passe pour 6,3 d’évaluation en 26 minutes sur 6 rencontres de championnat Pro A. Des statistiques décevantes par rapport à son pedigree (meilleur marqueur du championnat en 2014/15 avec ses 16,8 points de moyenne avec Dijon).\\n\\nPassé par la Lettonie (Ventspils) et la France (Roanne, Gravelines-Dunkerque, Dijon), le scoreur va donc connaitre son troisième championnat européen au sein du club de la ville de Lavrio."
}, 
{"role": "user",     "content":"L’Aurore Vitré Basket et Michael Mokongo se séparent"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est terminé entre Michael Mokongo (1,80 m, 30 ans) et l’Aurore Vitré Basket. Pigiste médical du Monténégrin Slobodan Pejovic, le joueur quitte l’équipe pour « raisons personnelles » selon l’Aurore. Les deux parties se sont séparées à l’amiable.\\n\\n\\nRecruté le 11 novembre dernier, jusqu’au 31 décembre, l’international centrafricain n’ira donc pas au bout de son contrat avec le club vitréen.\\n\\nAperçu le temps de deux matchs en championnat NM1 contre Rueil (15 points) et Angers (2 points), le meilleur meneur de Nationale 1 en 2014 avec Monaco ne laissera donc pas un souvenir impérissable en Ille-et-Vilaine.\\n\\nReste à savoir si le club breton -qui vient de perdre un quatrième match consécutif- compte recruter un nouveau joueur en attendant le retour à la compétition de son poste 1 titulaire."
}, 
{"role": "user",     "content":"Orléans : Abdel Kader Sylla de retour face à Cholet ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Match important le 10 décembre prochain pour l’Orléans Loiret Basket. Pour le compte de la douzième journée de Pro A, l’équipe du Loiret se déplace à La Meilleraie pour défier Cholet.\\n\\nDéfait par Le Mans, le week-end dernier (46-72), l’OLB voudra renouer avec la victoire face une équipe des Mauges qui s’est incliné de son côté au Portel (63-71).\\n\\nPour cette rencontre, l’entraîneur Pierre Vincent pourrait compter sur le retour à la compétition de son joueur Abdel Kader Sylla (2,05 m, 26 ans). Victime d’une fracture de la main début novembre, il devrait être opérationnel pour le déplacement à Cholet indique le club.\\n\\nUne bonne nouvelle tant le pivot seychellois était précieux en ce début de saison. Tournant à 7,3 points, 2,8 rebonds et 2 passes de moyenne en 22 minutes, il jouait le meilleur basket de sa carrière depuis ses débuts à Nancy en 2009.\\n\\nEn attendant l’infirmerie orléanaise reste bien garnie. Le poste 2/1 Kyle McAlarney (pubalgie) est arrêté jusqu’à la trêve de Noel, l’expérimenté ailier Antoine Mendy (genou) est indisponible jusqu’au 27 Décembre et le meneur de jeu Antoine Eïto (cheville) est plâtré et devrait revenir en début de l’année 2017."
}, 
{"role": "user",     "content":"Nancy : Dominique Sutton vers la sortie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Recruté par Nancy mi-novembre et jusqu’à la fin de la saison, Dominique Sutton (1,98 m, 30 ans) pourrait déjà quitter la Lorraine.\\n\\nSe plaignant de la cuisse (alors que les radios étaient bonnes), l’ailier américain n’avait pas voulu jouer samedi dernier lors de la rencontre face à Antibes (défaite 67-70).\\n\\nDe toute façon, n’entrant pas dans les plans du nouvel entraîneur du SLUC Greg Beugnot comme l’indique l’Est Républicain, le Champion de NBA D-League en 2015 avec les Santa Cruz Warriors devrait donc rapidement plier bagage.\\n\\nAperçu à deux reprises en championnat Pro A, le natif de Durham tournait à 12 points à 47,8% de réussite aux tirs, 6,5 rebonds et 1 passe pour 11,5 d’évaluation en 29 minutes de temps de jeu. Lors de la lourde défaite contre Strasbourg le 27 novembre dernier (75-106), il s’était illustré en refusant de sortir quand il a été rappelé sur le banc par Alain Weisz."
}, 
{"role": "user",     "content":"Allemagne : Carl English rejoint l’ALBA Berlin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Son contrat terminé, Carl English quitte l’Espagne et Tenerife pour signer avec l’ALBA Berlin, comme le rapporte Eurohoops.\\n\\nAprès six matchs avec Tenerife, l’ancien joueur d’Athènes va donc connaître sa première expérience en Allemagne au sein d’un club actuellement 6e de Bundesliga avec six victoires pour autant de défaites. En Eurocup, le club berlinois pointe à la 4e place du groupe B (3v-4d).\\n\\nEn Champions League, l’ailier canadien compilait cette saison 15,2 points, 1,8 rebond et 1,2 passe décisive. Contre Strasbourg il avait notamment inscrit 16 points et capté 3 rebonds.\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Fred Fauthoux : «Monaco a peut-être eu un petit coup de mou»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Auteur de l’exploit de la 11e journée, voire même de l’année, le Paris-Levallois a fait chuter l’AS Monaco chez elle, pour la première fois de la saison et avec la manière (98-83) à l’image du MVP du match Louis Labeyrie à 21 points et 7 rebonds (28 d’éval) qui en a d’ailleurs profité pour passer la barre des 1000 points inscrits en Pro A.\\n\\nAprès le match, Frédéric Fauthoux, le technicien francilien, n’a pas manqué de féliciter son équipe tout en admettant que l’ASM n’était pas au complet et avait également la fatigue de la Champions League dans les jambes, comme indiqué sur le site du club monégasque.\\n\\n« Notre seconde mi-temps a été particulièrement aboutie. Nous avions eu le temps de bien préparer cette rencontre pour déterminer comment nous pouvions contourner leur défense. Je suis très satisfait d’avoir fait tomber pour la première fois cette saison Monaco chez lui. Chacun a mis sa pierre à l’édifice et on s’est engouffré dans la brèche. Jamal Shuler leur a manqué et pour avoir connu la coupe d’Europe, c’est très compliqué de passer d’un match à l’autre. On ne peut pas non plus être à 100% physiquement et mentalement. Monaco a peut-être eu un petit coup de mou ».\\n\\nLe serial scoreur du PL, Jason Rich (meilleur marqueur de Pro A avec 17,9 points de moyenne), encore auteur de 18 points ce dimanche soir, a également salué la prestation de son équipe en conférence de presse d’après match.\\n\\n« On a très bien joué offensivement, on a fait vivre la balle, tout le monde était impliqué, également sur le plan défensif. On était aussi très présents au rebond offensif. Dans ce championnat, tout le monde peut battre tout le monde »\\n\\nPhoto : Paris-Levallois – Karen Mandau"
}, 
{"role": "user",     "content":"Maleye Ndoye (Paris-Levallois) atteint le cap des 3 000 points"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dimanche soir à Monaco, Maleye Ndoye (2,03m) a non seulement accompli un exploit avec son équipe du Paris-Levallois en triomphant à Monaco (98-83), le leader de la Pro A, mais il a aussi atteint la barre symbolique des 3 000 points en LNB.\\n\\nCe calcul est effectué grâce à ProBallers dont l’application est désormais disponible sur Itunes en collaboration avec le Syndicat National des Basketteurs. A noter que seules les statistiques à partir de 1997 sont disponibles.\\n\\nFormé en NCAA (Furman University) et passé par le Benfica Lisbonne, le capitaine de l’équipe du Sénégal est arrivé en France par Dijon en 2005. Il a effectué trois saisons à la JDA, deux au Mans, deux à Orléans avant de signer un long bail avec le Paris-Levallois en 2012... Même s’il était sans club en début de saison. En tant que Sénégalais, l’ailier du PL possède en Pro A le statut de Cotonou.\\n\\nEn douze saisons de Pro A, Maleye Ndoye, âgé de 36 ans, tourne à 8,7 pts. Sa spécialité maison est le tir à trois-points et il affiche une excellente réussite : 37,8%.\\n\\nFidèle à l’équipe du Sénégal, Maleye Ndoye a participé à plusieurs compétitions internationales dont six AfroBasket."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 5 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nEbi Ere : mini-claquage au mollet\\n\\n– Ebi Ere : mini-claquage au mollet. On ne connaît pas exactement la durée de son indisponibilité... Lire la suite.\\n\\n\\nSLUC Nancy : vite de nouveaux joueurs !\\n\\n– Si on se demande encore comment le SLUC a pu une nouvelle fois perdre ce match, on attend maintenant la reconstruction de l’équipe accablée par les... Lire la suite.\\n\\n\\nErik Murphy a repris l’entraînement hier\\n\\n– Erik Murphy a repris l’entraînement hier. L’ailier-fort américano-finlandais avait été contraint d’écourter la séance de jeudi, en raison d’une... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nNanterre a bien recruté\\n\\n– « Nanterre a bien recruté. Butterfield est vraiment une plus-value notoire. Derrière, Warren – Schaffartzik, c’est très dangereux. Et à l’intérieur,... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nAu révélateur\\n\\n– La SIG s’attelle, à compter de ce soir à Nanterre, à un mois de décembre dantesque. Les Strasbourgeois ne vont pas tarder à être fixés sur leurs... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLons bousculé, Lons libéré\\n\\n– L’ALL a arraché une victoire difficile obtenue dans le second quart-temps face à une formation de Seurre diminuée mais terriblement efficace... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes cadets bressans enchaînent à Vichy\\n\\n– La qualification acquise, Pierre Murtin craignait une forme de décompression inconsciente à Vichy... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nGrande première pour Givors\\n\\n– Les Givordins ont profité de la venue de la lanterne rouge pour décrocher leur premier succès de la saison... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe CLAR lâche, Vaulx se fâche\\n\\n– Un derby est toujours un match particulier et celui-ci n’a pas échappé à la règle... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDécines-Chassieu trop juste face à la Chorale\\n\\n– La rencontre a vu naître un énorme duel entre Pierre Brun et le capitaine du CTC Matthieu Pasque. Sur le papier, le déficit de taille sous l’arceau... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe Puy en voulait plus\\n\\n– Ben Hamed a été le bourreau du SOPCC en marquant le panier de la victoire sur le coup de sirène. Alors qu’il restait 1 seconde et 8 dixièmes de jeu... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nVénissieux est passé tellement près de la place de leader\\n\\n– C’est à 2 secondes d’une prolongation stressante à souhait que Voiron le leader de la poule H de N3F s’impose d’un tout point... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDeux points, c’est tout !\\n\\n– C’est le principal que les Andréziens et les spectateurs retiendront de cette rencontre tant elle fut pauvre dans tous les compartiments du jeu pour... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg est partie de trop loin\\n\\n– Malgré un troisième quart-temps raté, l’ES Prissé-Mâcon est venue à bout de la JL Bourg 2 et continue sa marche en avant... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe champion monte en puissance\\n\\n– Certes l’Asvel, qui recevra Varèse demain, s’est fait peur contre Limoges. Mais elle a confirmé qu’elle était sur la bonne voie. Très prometteur !... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg gaspille des cartouches\\n\\n– Les Bressans n’ont pas su se dépasser pour aller chercher la victoire, samedi soir. Pas digne d’une équipe qui vise la montée en Pro A... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPoligny douché à Geispolsheim\\n\\n– Poligny n’a pas réussi à redresser la barre en Alsace. Dans la salle de l’avant-dernier, les Polinois ont subi un sixième revers consécutif et... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nMonaco tombe à domicile pour la première fois\\n\\n– Diminué par les blessures, le leader Monaco a été battu à domicile pour la première fois de la saison de ProA par Paris-Levallois 98 à 83. Les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Elan renforce sa raquette avec Abdoulaye Loum\\n\\n– Chalon enregistre la signature d’Abdoulaye Loum (2,09m ; 25 ans) qui arrive en provenance de Boulogne-sur-Mer (Pro B) pour épauler Clark sur le poste... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa bonne affaire de Pfastatt\\n\\n– En s’imposant samedi soir à Quincié face à Beaujolais (71-84), les Pfastattois sortent de la zone rouge du classement... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nAvec l’art et la manière\\n\\n– À égalité de points avec Weitbruch avant cette rencontre, les Rixheimois, sortis samedi vainqueurs de ce duel (71-79), montent sur le podium derrière... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDessenheim met fin à la série noire\\n\\n– L’ASLD a réagi et renoué avec la victoire samedi à Besançon (75-83)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTrès mauvaise opération pour le FCM\\n\\n– Le FC Mulhouse n’a rien pu faire samedi soir à Aubenas face à un adversaire dominateur (85-76)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nKaysersberg laisse filer sa proie\\n\\n– L’équipe de Fabien Drago a longtemps mené mais a fini par s’incliner samedi à Vanves (78-71)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nOn va en savoir plus\\n\\n– Pour débuter un mois de décembre marathon, la SIG se déplace ce soir (20 h 30) sur le parquet d’une redoutable équipe de Nanterre, deuxième de Pro A... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa manière au-delà du résultat\\n\\n– Les Puymirolais avec une équipe à nouveau au complet, les blessés Bouet, Gomez et Baros ayant retrouvé leur potentiel, d’entrée avec 2 primés de Lescoute et Roux et trois paniers de ... Lire la suite.\\n\\n\\nLes Castelfondais ont dû s’employer\\n\\n– C’est après une minute de silence et d’applaudissements, à la mémoire de Jean-Yves Darquié, ancien joueur de l’AGS, dernièrement décédé, que fut donné le coup d’envoi de la ... Lire la suite.\\n\\n\\nManque d’adresse\\n\\n– La salle layracaise étant occupée, la rencontre fut inversée. Ce fut un match rugueux face à des Orthéziens physiques et s’appliquant à faire déjouer les joueurs de Jean-Louis Albisua... Lire la suite.\\n\\n\\nTrop de retard à l’allumage\\n\\n– L’ABC n’a pu se sortir des griffes corréziennes après avoir concédé un 1er quart au cours duquel les Lot-et-Garonnais mirent dix minutes avant d’être enfin chauds. En effet, les Agenais... Lire la suite.\\n\\n\\nBASKET-BALL SQBB a donné le ballon pour se faire battre\\n\\n– Votre actualité quotidienne locale, régionale et nationale... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Un jury d’experts se réunit ce matin pour élire les joueurs du All-Star Game LNB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est ce matin, à 10h, que se réunit dans les locaux d’Altice Media Group le jury d’experts qui va compléter les sélections du All-Star Game –qui se tiendra le jeudi 29 décembre à l’Accor Hotels Arena-, désigner les Cinq de Départ et les participants aux concours de meneurs de jeu et de tirs à trois points.\\n\\nCe jury est composé d’Alain Béral, président de la Ligue Nationale de Basket, de Patrick Beesley, Directeur Technique National, d’Alain Jardel, Président de la Commission Sportive de la LNB, de Michel Gobillot, président de l’UCPB, de Jo Passave-Ducteil, président du Syndicat des joueurs, de José Ruiz, président du Syndicat des coaches, et de journalistes de SFR Sport, L’Equipe, RMC, Basket Le Mag, et Basketeurope.com."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Paris-Levallois renverse le leader Monaco sur son Rocher"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est sinon l’exploit de l’année du moins la grosse surprise de ce dernier trimestre: le Paris-Levallois est allé s’imposer dans les grandes largeurs à Monaco (98-83) grâce à un ultime quart-temps de feu : 33 à 16 !\\n\\nLa salle Gaston-Médecin était un espace inviolé depuis le match 1 de la demi-finale des playoffs de la saison dernière. L’ASVEL avait alors gagné 73-67. Seul le SLUC Nancy à Gentilly était parvenu jusqu’ici à piéger le leader de la Pro A.\\n\\nLouis Labeyrie (2,09m, 24 ans) a été déterminant dans ce succès avec 21 points dus à un presque parfait 9/10 aux tirs et 7 rebonds.\\n\\nMonaco est ainsi rejoint au classement par Nanterre."
}, 
{"role": "user",     "content":"Ligue adriatique : le dunk «brutal» d’Alpha Kaba"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le très athlétique Alpha Kaba (2,08m, 20 ans seulement) est une attraction en Ligue Adriatique avec son club de Mega Leks. Le Français épate le public –pas forcément toujours nombreux- par ses qualités physiques hors normes.\\n\\nFace au Cibona Zagreb, l’ancien espoir de Pau-Orthez a fait sensation avec ce dunk sans élan que le site officiel de la ligue qualifie de « brutal ». Et effectivement..."
}, 
{"role": "user",     "content":"La Brésilienne Clarissa Dos Santos (Bourges) bat le record de points de la saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« Je ne me rappelle pas avoir marqué 33 pts comme professionnelle, mes coéquipières m’ont plus que facilité la tâche. »\\n\\nC’est le commentaire de la Brésilienne de Bourges Clarissa Dos Santos (1,85m, 28 ans) après son chef d’œuvre face à Nantes-Rezé : 33 points (14/18 aux tirs, 5/6 aux lancers), 12 rebonds, 1 passe, 1 interception, aucune balle perdue, le tout pour un fantastique 42 d’évaluation. Ces trente-trois points constituent le record de la saison qui était détenu par la Mondevillaise Marieme Badiane avec 28 points contre le Hainaut depuis... la veille.\\n\\nC’est d’autant plus méritoire qu’en face la Canadienne Katherine Plouffe (14 points et 13 rebonds) ne s’est pas laissée marcher sur les baskets.\\n\\nBourges a eu besoin d’un tel abattage de son intérieure pour écarter de coriaces nantaises, 83-72.\\n\\nL’international brésilienne, qui en est en moyenne à 13,7 pts et 8,1 rbds au sein de la meilleure équipe française, se pose déjà comme l’une des candidates majeures au titre de MVP étrangère de la saison."
}, 
{"role": "user",     "content":"Deux anciens joueurs de Pro A font chuter le CSKA Moscou"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A la huitième journée, le CSKA Moscou est tombé en VTB League face au Lokomotiv Kuban, 74-83.\\n\\nDeux anciens pensionnaires de la Pro A en sont principalement responsables :\\n\\nMardy Collins (1,98m, 32 ans), qui a passé la saison dernière à Strasbourg, a cumulé 15 points, 7 rebonds et 5 passes. A la SIG, Collins avait fait preuve d’inconstance mais aussi démontré plusieurs fois toutes les facettes de son talent.\\n\\nKevin Jones (2,06m, 114kg, 27 ans) est moins connu puisqu’il avait pris le train en marche à Cholet en février 2015 après notamment avoir joué 32 matches avec les Cleveland Cavaliers en 2012-13. Il a frappé fort contre le CSKA : 21 points et 15 rebonds.\\n\\nLes Moscovites sont actuellement privés de leur MVP Nando De Colo, blessé à la cheville, et ils ont eu toutes les peines du monde jeudi à se défaire de Bamberg, la lanterne rouge de l’Euroleague, 90-88. Certainement un rapport de cause à effet."
}, 
{"role": "user",     "content":"Mickaël Toti, le basketteur qui écrit des livres"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il n’a pas seulement joué neuf saisons en professionnel, y compris à Limoges et Nanterre du temps de la Pro B. Mickaël Toti publie aussi des livres et le deuxième, « Les Cinq branches d’une étoile » parrainé par Nando De Colo sortira au premier trimestre 2017. Mickaël nous promet d’ailleurs cinq tomes à cette histoire où plusieurs grands acteurs du basket français vont apparaître.\\n\\nTu viens d’écrire « Les cinq branches d’une étoile », l’histoire de cinq jeunes garçons vivant dans le quartier de La Grande Tour à Losny dans le 93, que certains considèrent comme « l’endroit le plus dangereux de France », et qui souhaitent devenir basketteur professionnel. C’est ton histoire ou est-elle romancée ?\\n\\nC’est une histoire romancée. Certains passages sont tirés de faits réels, mais pas la totalité. Moi, j’ai vécu en banlieue parisienne dans un quartier qui n’était ni le meilleur, ni le pire. Et très honnêtement, c’était assez éloigné de ce que ces gars vivent. Je souhaitais montrer dans ce livre que le fait de rencontrer des situations extrêmes pouvait faire sortir de soi des choses hallucinantes. En vivant dans le « pire endroit de France » Marvin et ses amis n’ont pas d’autre choix que de développer des qualités hors du commun pour espérer s’en sortir.\\n\\nCe besoin d’écriture date de quelle époque ?\\n\\nJ’ai toujours écrit dans ma vie, mais pas sous forme organisée comme maintenant. Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours gribouillé des choses sur une feuille. Tout ce que j’ai à l’esprit j’ai besoin de l’écrire pour que ça ait un sens. Tout est devenu plus concret fin 2014 en écrivant « C’était Mon Rêve », mon premier bouquin. Depuis l’écriture est en dehors du basket, mon centre d’intérêt numéro un.\\n\\nQuand va t-il être en vente ? Peut-on le commander ?\\n\\nIl sera en vente a partir de mars et en pré-commande a partir de mi-février sur le site www.michaeltoti.com.\\n\\n« Ecrire est assez éloigné des passions habituelles des joueurs »\\n\\nTes coéquipiers sont-ils surpris de cette activité ?\\n\\nLes différents coéquipiers et amis que j’ai dans le basket sont plutôt surpris par le fait que j’aime écrire, car c’est une passion que je n’avais jamais évoquée publiquement, et qui est assez éloignée des passions habituelles des joueurs. Mais sachant cela, ils ne sont pas surpris de me voir sortir des livres car j’ai toujours aimé concrétiser des projets.\\n\\nEs-tu toi même un lecteur assidu de livres et de périodiques de sport ? Lesquels sont tes références ?\\n\\nJ’aime beaucoup les histoires vraies. Sur un plan basket, j’ai lu les livres de Magic Johnson, Dennis Rodman, Michael Jordan. Je voulais savoir à travers ces livres, ce qui les rendait ainsi. Il y a dans le parcours de chacun des moments clefs qui définissent leurs personnalités à l’âge adulte et j’étais curieux de comprendre et de savoir. J’ai été beaucoup plus inspiré par les documentaires et films sur le basket. Le documentaire « Soul in The Hole », ou le film « He Got Game » m’ont donné cette envie de raconter des histoires de vie par le biais du basketball.\\n\\n« On a interviewé 200 joueurs et joueuses »\\n\\nEn 2013, tu as lancé le site Confessions-de-sportifs afin de mieux faire connaître des athlètes pas toujours très médiatisés. Combien en as-tu ainsi interviewés ?\\n\\nMon équipe et moi avons interviewé près de 200 joueurs et joueuses pros ou amateurs. Ce qui nous intéresse c’est la personne derrière le sportif, il y a des choses intéressantes à observer et ce à tous les niveaux. Nous avons pu interviewer des stars du basket français comme Nando De Colo ou Nicolas Batum et avec le même intérêt des joueurs et joueuses de Nationale 3.\\n\\nPourquoi s’est-il transformé en les-confessions.com ?\\n\\nAvec le site nous faisons beaucoup moins d’interviews. On a désormais l’envie d’exposer les choses de façon différente. Certains projets sont en cours en espérant qu’ils sortent de terre avec le même succès que lors de nos débuts avec Confessions de Sportifs.\\n\\nTu as fait 189 matches en Pro A et Pro B. Tu es aujourd’hui en Nationale 3 alors que tu n’as que 29 ans. Pourquoi n’as-tu pas persisté dans le milieu professionnel ?\\n\\nJe serai totalement hypocrite si je disais que je suis en Nationale 3 (Ndlr : Paris Basket Avenir) par choix délibéré. L’an dernier j’étais en Nationale 1 (Ndlr : à Berck) avec pour une bonne partie de la saison de très bonnes responsabilités. Mais la deuxième moitié de saison s’est très très mal passée. La seule solution qui me restait, c’était de trouver un endroit ou je puisse reprendre du plaisir, que cela soit dans le circuit pro, ou pas.\\n\\nTon avenir, le vois tu dans le basket comme coach, quelque part dans l’écriture ou dans une autre voie ?\\n\\nJ’aime beaucoup tous les aspects du basket-ball et pas seulement le fait d’être sur le terrain et marquer des paniers. J’ai choisi de jouer car c’est ce qui me rendait le plus heureux et qui me permettait de partager avec mes amis. Je voulais absolument connaitre ces émotions à grande échelle. Et même si je n’ai pas réussi tout ce que j’ai entrepris, j’ai eu la chance de jouer de grands matchs, et croiser de grands joueurs sur le terrain, à défaut d’en être devenu un moi-même. Le coaching, c’est désormais un réel objectif, je me concentre sur l’obtention de diplômes. Avec l’envie de prendre le même plaisir que je prends actuellement sur le terrain."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les articles de la semaine : du 28 novembre au 4 décembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque dimanche, Basket Europe vous propose une sélection des meilleurs articles de la semaine afin de connaître l’essentiel de l’actualité :\\n\\n 1.  Comment la Guadeloupe est devenue une machine à produire des joueurs de haut niveau\\n 2.  Les Français de l’étranger : Guerschon Yabusele s’amuse en Chine\\n 3.  Georges Bengaber : « On n’apprécie pas d’entendre dire « formé par Cholet... formé par Cholet... »\\n 4.  SLUC Nancy : Alain Weisz met un terme à sa carrière\\n 5.  Le salaire mensuel moyen en Pro A est de 11 000 euros\\n 6.  Retraite d’Alain Weisz : les confidences d’un coach majeur des années 2000\\n 7.  Mickaël Pietrus, Yakhouba Diawara et quelques figures de la Pro A toujours sans club\\n 8.  Le Poitevin Youssoupha Fall (2,21m) décroche son record d’évaluation\\n 9.  L’élève Vincent Collet presque gêné pour le maître Alain Weisz\\n 10. Quand Olivia Epoupa et Aby Gueye vident leurs sacs"
}, 
{"role": "user",     "content":"Luka Doncic (17 ans) cartonne avec le Real Madrid"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Luka Doncic est ce que l’on appelle un jeune prodige. Né le 28 février 1999, le Slovène a donc 17 ans, et il joue comme meneur/arrière au Real Madrid. En avril 2015, à 16 ans seulement, il avait disputé son premier match en ACB. Seuls Ricky Rubio (14 ans) et Ángel Rebolo (15 ans) avaient été plus précoces.\\n\\nSamedi soir, le Real Madrid a obtenu sa 23e victoire de suite à domicile aux dépens de Fuenlabrada (92-76) et Doncic a brillé de mille feux : 23 points (8/10 aux shoots), 11 passes pour 34 d’évaluation !\\n\\nDans cette équipe galactique qu’est le Real Madrid, seule en tête du championnat avec 9 victoires pour une seule défaite, le Slovène tourne depuis le début de saison à 7,6 pts et 3,8 rbds."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Tenerife perd Nicolas Richotti pour 2 ou 3 mois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Victime d’une fracture au genou gauche, Nicolas Richotti et les derniers examens passés ont révélé que l’arrière sera écarté des terrains entre deux et trois mois, comme le rapporte Eurohoops.\\n\\nLa durée de son indisponibilité n’est pas gravée dans le marbre mais il manquera dans tous les cas le match retour de Champions League face à Strasbourg qui aura lieu le 3 janvier prochain.\\n\\nEn Liga Endesa, Richotti compile en moyenne 10 points, 1,7 rebond et 2 passes décisives pour une évaluation de 7,3 avec Tenerife, qui pointe à la deuxième place du classement (8v-2d). Sur la scène européenne, il tourne en moyenne à 2,8 points et 1 assist par match.\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Abdoulaye Loum quitte Boulogne-sur-Mer pour Chalon-sur-Saône"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Abdoulaye Loum quitte Boulogne-sur-Mer et rejoint Chalon-sur-Saône.\\n\\n\\n\\n\\nTRANSFERT : Abdoulaye Loum quitte le club.\\n\\nBonne continuation à toi Abdou! pic.twitter.com/buaPXvbJLi\\n\\n\\n— SOMB officiel (@SOM_Boulogne) 4 décembre 2016\\n\\nCe dimanche, la formation pas-de-calaisienne vient d’indiquer que son intérieur (2,09 m, 25 ans) s’en va pour rejoindre le club bourguignon à l’étage au-dessus.\\n\\nDe retour au SOMB l‘été dernier, le Français compilait en ce début de saison 5,3 points à 45,2% de réussite aux tirs, 3,5 rebonds et 0,3 passe pour 7,3 d’évaluation en 16 minutes sur 8 matchs de championnat Pro B. Des chiffres en dessous de sa première expérience dans le Pas-de-Calais en 2012/13 (9,5 points, 5,2 rebonds et 0,4 passe pour 11,5 d’évaluation en 21 minutes sur 17 matchs).\\n\\nÀ l’Élan Chalon, sous les ordres de Jean-Denys Choulet, Abdoulaye Loum retrouvera donc la Pro A qu’il avait fréquenté entre 2010 et 2016 sous les couleurs du Havre, Gravelines-Dunkerque et Orléans pour un rendement de 4,3 points, 2,6 rebonds et 0,3 passe pour 4,6 d’évaluation en 12 minutes sur 103 matchs de saison régulière.\\n\\nLe Somiste sera à Chalon sur Saône dès ce lundi.\\n\\nAu sein du groupe chalonnais, le natif de Mont-de-Marsan devrait prendre la place du Letton Mareks Mejeris qui a demandé à ses dirigeants de rentrer chez lui pour des raisons personnelles."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jerry Boutsiele (Cholet) estime que l’ambiance au Portel est plus chaude qu’à Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Pro A découvre Le Portel et son chaudron bouillant. Le Choletais Jerry Boutsiele, lui, il connaît cette atmosphère si spéciale puisqu’il vient de Denain et qu’il a affronté l’ESSM en Pro B. Comme Cholet s’est incliné ce week-end au Portel (63-71), Ouest France lui a demandé ce qu’il a pensé du contexte.\\n\\n« Disons qu’il faut se préparer pour venir jouer ici. Mais on le savait. Moi le premier. C’est le Nord, c’est chaud », a répondu le natif de Courcouronnes. « Je pense que c’est pire que Limoges, ici. Même quand tu as deux ou trois points d’avance, tu sais qu’ils ont ce sixième homme avec eux qui peut tout faire basculer. Si tu lâches 30 secondes, tu prends cher. C’est ce qui s’est passé. »\\n\\nPire qu’à Limoges ? Disons que l’ambiance du Chaudron avec son orchestre et tout et tout est plus festive qu’à Beaublanc. Mais aussi beaucoup moins « dur ». Le public portelois n’a pas la culture des grandes joutes européennes et nationales comme celui du Limousin et s’il sait parfaitement encourager les siens, il n’a pas encore appris à « détruire » le moral de l’adversaire."
}, 
{"role": "user",     "content":"Malgré la défaite face à Antibes, Greg Beugnot retient le positif"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce n’est pas passé loin pour Nancy qui menait de 9 points face à Antibes à pratiquement 3 minutes de la sirène finale.\\n\\nC’était donc pourtant bien parti pour le SLUC mais c’était avant que Will Solomon n’inscrive le tir à trois points qui a permis aux Sharks de passer devant à 5 secondes de la fin (68-67). En manque de rotations, les hommes de Greg Beugnot ont dû faire avec les moyens du bord, Dominique Sutton étant forfait (touché à la cuisse), Ebi Ere forfait également (touché au mollet) et Dario Hunt très diminué suite à une entorse à la cheville.\\n\\nMalgré les 14 points, 6 rebonds et 5 passes décisives de Benjamin Sene, les hommes de Julien Espinosa se sont finalement imposés 70-67 et c’est Chris Otule qui est l’homme du match avec 21 points, 9 rebonds et 1 passe décisives (24 d’évaluation).\\n\\nL’entraîneur nancéien qui dirigeait sa première rencontre a réagi à cette défaite après le match, comme rapporté sur le site du club.\\n\\n”Aujourd’hui, nous sommes à la base de quelque chose de positif. Je suis respectueux de ce qu’ont fait les joueurs.”\\n\\nIl souligne qu’il faut tout de suite se tourner vers la suite et faire les ajustements nécessaires pour rebondir le plus rapidement possible.\\n\\n”Demain, la priorité est de voir comment on peut faire avec les joueurs blessés et consolider l’effectif avant la trêve. Il faudra des arrivées pour améliorer notre jeu, avoir un peu de créativité et surtout trouver la meilleure complémentarité possible.”"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB : David Gautier pour coacher Angers ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme indiqué hier, le coach de l’UFAB, David Girandière, est menacé après la nouvelle défaite de son équipe à domicile face à Tarbes, 53-74.\\n\\nDavid Girandière pourrait rester au club mais se voir décharger de sa fonction d’entraîneur de l’équipe première. Selon Ouest France, le président Brito De Sousa pourrait recourir à une solution interne avec David Gautier, 36 ans, qui s’occupe actuellement des cadettes.\\n\\nElu meilleur espoir de Pro A en 2000 –il est au palmarès entre Fred Weis et Tony Parker-, 14 fois international, David Gautier eu sa carrière de joueur interrompu prématurément, à 27 ans, à cause de soucis physiques.\\n\\nIl a eu déjà en charge des équipes de jeunes à Cholet et à Angers BC."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 4 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nUn nouveau cauchemar\\n\\n– Le SLUC menait de 9 points à 2’42 de la fin lorsque l’équipe usée par le manque de rotation a perdu les pédales. Antibes a passé un 12-0. Frustrant... Lire la suite.\\n\\n\\nC’était prévisible\\n\\n– Le SLUC est premier et invaincu, Antibes n’a pas encore gagné un match. Malgré l’absence de Govindy, les espoirs de Pierre Verdière se sont très... Lire la suite.\\n\\n\\n« Le club reste modeste dans sa communication\\n\\n– « Le club reste modeste dans sa communication. Mais dès le début, on a senti qu’on pouvait avoir une très bonne équipe. On sait qu’on peut jouer les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Deux équipes qui jouent plutôt bien au basket »\\n\\n– Ce match contre la SIG, demain soir, Hugo Invernizzi l’envisage sans émotion particulière. « C’est davantage le fait de jouer à Strasbourg, devant... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nHugo doit corriger le tir\\n\\n– Au sein d’une équipe de Nanterre pas loin d’être irrésistible, Hugo Invernizzi connaît, pour l’heure, un début de saison en demi-teinte. Le Mulhousien... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Elan peut s’en mordre les doigts\\n\\n– Vendredi, Gravelines a mis fin à la série de 6 victoires de Chalon qui, après avoir mené de 12 points à la 37e minute, s’est incliné sur le fil au... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLaurent Pluvy n’a pas apprécié l’arbitrage\\n\\n– Ça restera comme l’une des images de ce derby : l’entraîneur de la Chorale qui pète les plombs en fin de match, à quinze secondes de la fin. Sur ce... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Un gros défi physique »\\n\\n– « On a vu un beau match de basket avec une très belle équipe de Saint-Priest qui, comme on s’y attendait nous a imposé un gros défi physique dès... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’OLB est resté Haquet\\n\\n– Philippe Haquet n’a pas manqué ses débuts avec Lyon SO et a fortement contribué au succès de ses nouvelles couleurs dans un derby intense à l’OLB... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBeaujolais Basket se complique la vie\\n\\n– Pourtant bien parti, Beaujolais Basket s’est effondré dans le 2nd quart-temps et s’est incliné face à Pfastatt. Les locaux, diminués par les blessures... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFeurs ne méritait pas ça\\n\\n– Au vu des efforts fournis Feurs n’a pas été récompensé, l’agressivité à la limite de la régularité des visiteurs aura eu raison d’eux. Aubenas défend... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe BCM sans trembler\\n\\n– Le BCM a su réagir après sa lourde défaite à Aubenas en dominant facilement l’équipe de Mulhouse... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nMontbrison y a cru quinze minutes\\n\\n– S’il n’a pas démérité, Montbrison n’est pas parvenu à rééditer l’exploit toulousain, hier soir à Calais (92-67)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg n’est pas à la hauteur\\n\\n– La JL Bourg a laissé filer une victoire qui semblait lui tendre les bras sur le papier. Mais elle ne peut s’en prendre qu’à elle-même. Rouen a bien... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLons écœure la concurrence\\n\\n– Dominateurs de bout en bout, les Lédoniens ont mis au supplice leurs dauphins sanpriots. La route vers la N2 s’éclaircit un peu plus... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Asvel bascule, enfin, dans le positif\\n\\n– Grâce à sa victoire arrachée face au CSP, le champion de France présente un bilan positif en Pro A... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLyon manque (encore) la marche à Nice\\n\\n– Défaites à domicile le week-end dernier par Nantes-Rezé (68-66), les joueuses du SASP Lyon Basket se devaient de redresser la tête en championnat dès... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe RBF s’écroule en deuxième mi-temps\\n\\n– La logique a été respectée hier soir, à Vacheresse où le co-leader de LF2 est venu s’imposer face au RBF 58-81... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond fait déchanter la Chorale\\n\\n– Public et joueurs couramiauds ont récité leur partition à l’unisson pour venir à bout de la Chorale de Roanne. Retour sur une soirée sans fausse note... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLaurent Pluvy, meneur d’hommes\\n\\n– L’ancien meneur international de l’Asvel et l’Elan Chalon veut redorer le blason d’un autre club historique, la Chorale de Roanne... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPro A: l’ASVEL s’est fait peur\\n\\n– Largement dominateur, le tenant Lyon-Villeurbanne a décroché sa sixième victoire de la saison en remportant le choc entre les deux derniers champions de France, samedi, face à Limoges (72-69), lors de la 11e journée de Pro A... Lire la suite.\\n\\n\\nRacine : » Je suis estomaqué «\\n\\n– Régis Racine (entraîneur de la Berrichonne)\u2009: « On a joué à l’envers et le constat, c’est que l’on joue comme on s’entraîne. On n’a pas du tout eu la bonne approche mentale et, cerise sur le gâteau, on s’est fait marcher dessus en terme de vivacité et de rebond. A titre personnel, je suis extrêmement déçu. Vraiment, ça m’agace\u2009! On... Lire la suite.\\n\\n\\nUn gros faux pas pour Vineuil\\n\\n– Saint-Pavin – Vineuil\u2009: 86-68 Après une entame de match parfaite, Vineuil s’est éteint au fil des minutes et s’est logiquement incliné chez un mal classé... Lire la suite.\\n\\n\\nActe 1 pour une accession en Nationale 3 !\\n\\n– Fondettes Barjouville Lors de la présentation du championnat, à la vue de leur effectif, Fondettes et Barjouville semblaient ultra favoris pour briguer la Nationale 3 en fin de saison. Un sentiment qui s’est vite confirmé. « On est dans notre feuille de route, en arrivant invaincu à ce match marqué d’une croix rouge sur le c... Lire la suite.\\n\\n\\nNord Sundgau sort la tête de l’eau\\n\\n– Les basketteurs de Nord Sundgau ont signé leur 2e succès en trois matches de N3 face à Gries II, vendredi (91-79)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ron Lewis blessé, Pau cherche un nouveau joueur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vendredi soir contre Châlons-Reims lors d’un match comptant pour la onzième journée de Pro A, Pau-Lacq-Orthez s’est imposé devant ses supporteurs sur le score de 70 à 60. Une victoire ternie par la blessure à priori sérieuse de son joueur Ron Lewis (1,93, 32 ans) auteur de 2 points en 13 minutes face aux Marnais.\\n\\nParti au dunk ligne de fond, le poste 2/3 Américain a lourdement chuté sur le dos à la retombée. D’après un communiqué du club palois, l’ancien rouennais serait touché au niveau des vertèbres lombaires et serait indisponible pour plusieurs semaines.\\n\\nMembre du Cinq majeur et aperçu à 11 reprises sur les parquets de Pro A en championnat, le Champion de République Tchèque en 2010 tournait à 12,9 points à 34,4% de réussite aux tirs (28,9 à 3-points), 3,7 rebonds et 1,5 passe pour 8,9 d’évaluation en 30 minutes de temps de jeu.\\n\\nLe club béarnais s’est d’ores et déjà mis en quête d’un remplaçant médical."
}, 
{"role": "user",     "content":"Milan : Miroslav Raduljica sur la sellette ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Sportando, Miroslav Raduljica ne serait pas intouchable du coté de Milan.\\n\\nAprès avoir passé deux ans loin de l’Europe, entre les Etats-Unis (Milwaukee en 2013/14 et Minnesota en 2015) et la Chine (Shandong Lions en 2014), le pivot serbe a fait son retour sur le Vieux Continent la saison dernière au Panathinaikos et avait compilé en moyenne 12,7 points et 4,4 rebonds en Euroleague.\\n\\nCette saison à Milan, l’ancien joueur des Milwaukee Bucks est en dessous des attentes du club, surtout en Euroleague, avec seulement 9 points et 3,2 rebonds de moyenne en 9 matchs de C1. En Serie A, Raduljica enregistre en moyenne 10,3 points et 4,7 rebonds par match.\\n\\nL’ancien joueur du Partizan Belgrade n’est pas le seul joueur à être surveillé par les dirigeants du club milanais, Mantas Kalnietis (5,2 points, 2,4 rebonds et 3,1 passes décisives en Euroleague) ainsi que Ricky Hickman (10,7 points, 2,6 rebonds et 3,5 assists en C1) sont également observés de très près.\\n\\nLeader incontestable de première division italienne avec 9 victoires en autant de matchs, l’Emporio Armani Milano pointe en revanche à la 13e place du classement d’Euroleague (4v-6d)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Dijon : Un pivot à l’essai"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Afin de densifier son secteur intérieur, la JDA Dijon vient de mettre la main sur le pivot Anthony King (2,05 m, 31 ans) comme le rapporte le Bien Public.\\n\\n\\n\\n\\nSeason #9 ... we going to be aight though .. 🇫🇷\\n\\n\\n— Anthony King (@AntKing3) 2 décembre 2016\\n\\nAméricain au passeport chypriote né à Durham en Caroline du Nord, le poste 5 est à l’essai pour une semaine. S’il est convaincant, il portera le maillot de la JDA jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nFormé à University of Miami entre 2003 et 2008, Anthony Lamar King de son vrai nom a ensuite connu sa première expérience professionnelle en Allemagne avec Deutsche Bank Skyliners en 2008/09. Passé par Chypre durant deux ans (champion avec ETHA Engomis en 2011) puis la Grèce (8,1 points et 5,8 rebonds en 9 matchs avec l’Aris Thessaloniki) il retrouve ensuite le championnat allemand en s’engageant en 2011 avec les Artland Dragons. Visage connu de la Bundesliga durant 4 ans en restant fidèle à l’équipe allemande après avoir prolongé plusieurs fois, son contrat, le Big man connu ensuite un nouveau challenge en Turquie la saison dernière (7,2 points et 4,5 rebonds pour 9,6 d’évaluation en 20 minutes avec Gaziantep).\\n\\nSous réserve des tests médicaux et de la réussite de sa période d’essai, l’International chypriote vivra en Côte-d’Or sa première expérience en France.\\n\\nPhoto : BBL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Après le coach Zeljko Obradovic, Fenerbahçe prolonge le GM Maurizio Gherardini"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fenerbahçe Efes Istanbul vient de confirmer l’extension pour trois ans du contrat du Serbe Zeljko Obradovic comme coach et aussi de l’Italien Maurizio Gherardini en tant que General Manager.\\n\\nObradovic est pour beaucoup considéré comme le coach européen numéro 1 de sa génération et son palmarès, avec notamment huit Euroleague gagnées, plaide pour lui. Quant au CV de Gherardini, 61 ans, il n’a pas d’équivalent dans sa profession en Europe.\\n\\nPrécédemment, Maurizio Gherardini a été le GM de Libertas Forli puis du Benetton Trévise au temps de sa splendeur (quatre apparitions au Final Four de l’Euroleague dont la finale perdue face à Limoges en 1993). L’Italien était alors réputé pour ses qualités de scout et son carnet d’adresses aux Etats-Unis.\\n\\nC’est en franchissant l’Atlantique que Gherardini a rendu son nom célèbre dans tout le basket mondial. Tout d’abord en étant promu vice président et assistant general manager des Toronto Raptors, en octobre 2006, puis sept ans plus tard en devenant le responsable des affaires internationales pour le Oklahoma City Thunder. On sait combien c’est difficile de s’imposer dans les staffs de la NBA quand on n’est pas Américain.\\n\\nEn signant une telle pointure en mai 2014, et en renouvelant son contrat en même temps que celui d’Obradovic, Fenerbahçe prouve une fois de plus que l’argent n’est pas pour le club stambouliote un problème. Il lui reste tout de même à gagner enfin l’Euroleague."
}, 
{"role": "user",     "content":"Rouen sans son capitaine Steeve Ho You Fat à Bourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quand ça ne veut pas ça ne veut pas. Dernier au classement et englué dans une spirale négative de six défaites de suite, le Rouen Métropole Basket vient de se prendre une nouvelle claque à quelques heures de son match face à Bourg-en-Bresse.\\n\\nEn déplacement dans l’Ain, ce samedi soir, le club seinomarin devra défier la JL sans son capitaine Steeve Ho You Fat (2,02 m, 28 ans).\\n\\nSelon une information de Paris Normandie, l’intérieur guyanais est touché au dos et manquera donc la rencontre face aux Burgiens. Souffrant d’un lumbago, l’ancien joueur de Cholet, Roanne et Orchies ne sera pas du voyage en région Auvergne-Rhône-Alpes mais devrait en revanche être opérationnel pour recevoir Fos mercredi d’après son entraineur Rémy Valin.\\n\\nC’est donc la paire Jonathan Fairell et Soriah Bangura qui tiendra la raquette normande aidée de l’Islandais Haukur Palsson qui sera décalé au poste 4.\\n\\nPour rappel coté, Bourg-en-Bresse, l’intérieur Zachary Peacock est absent à cause d’une entorse de la cheville et le meneur de jeu Garrett Sim (hanche) est incertain."
}, 
{"role": "user",     "content":"Avant d’affronter Antibes, le SLUC Nancy reçoit la visite de Manuel Valls"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Manuel Valls était hier en visite à Nancy et avec le Secrétaire d’Etat aux Sports, Thierry Braillard, ils ont rencontré les joueurs et le staff du SLUC au Palais Des Sports Jean Weille. Comme le rapporte le site du club, le Premier Ministre a signé une convention multipartite sur le sport Citoyen, avec la Ville de Nancy, la Préfecture 54, la Métropole Grand Nancy et le Conseil Départemental 54.\\n\\nUn supporter de choix donc pour le SLUC qui est actuellement dans la panade et qui va avoir besoin ce soir pour la réception d’Antibes des encouragements de son public afin de repousser le spectre de la descente. Déjà peu à son affaire au complet, la lanterne rouge de la Pro A doit composer, en plus de l’absence d’un premier Américain Ebi Ere (ailier, 1,93m) pour un mois, de celle d’un second, Dominique Sutton (ailier, 1,98m), sous contrat depuis le 18 novembre, qui ressent des douleurs à la cuisse et qui est forfait. Et voilà en prime qu’un troisième, Dario Hunt (pivot, 2,05m) s’est donné une entorse à la cheville jeudi à l’entraînement.\\n\\n« ll veut jouer mais il boite bien bas, » a commenté à L’Est Républicain Greg Beugnot qui a pris ses fonctions de coach cette semaine et qui aurait espéré situation moins bancale. Williams Narace, 19 ans, Enzo Goundou-Sinha et Bastien Vautier, tous les deux 18 ans, seront les trois espoirs appelés à monter au front.\\n\\nLes Sharks d’Antibes sont pourtant bons à prendre en ce moment puisqu’ils n’ont pas gagné depuis le 15 octobre soit six défaites de rang.\\n\\nPhoto :Quentin LOZZIA/SLUC Nancy"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Le Havre remporte le derby normand face à Evreux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vendredi c’était derby normand entre Evreux et Le Havre, deux villes distantes de 120 kilomètres, mais qui ne s’étaient plus affrontées depuis la saison 2000-2001.\\n\\nLes Ebroïciens se sont présentés sans Kevin Corre, Kevin Lavieille et le Letton Ricmond Vilde, blessés, et ont finalement décroché en fin de match (75-85) malgré la consistance de la production du meneur américain Corin Henry (21 pts et 11 pds). Du côté du Havre, Bernard King (seulement 2/8 aux shoots mais 16 passes) a régalé Fabien Paschal (2,08m) qui a cumulé 23 points (9/11 aux tirs, 5/5 aux lancers) à l’intérieur.\\n\\nLe coach vaincu Laurent Sciarra était bougon, comme le rapporte Paris Normandie :\\n\\n« Il faut se rendre à l’évidence et ne pas se dire que c’est à cause des absents, de la maladresse, de la méforme. Tu ne peux pas faire une défense qui te maintient en vie et prendre autant de points ensuite sur un simple pick and roll. Si on croit que l’arrivée d’un joueur va changer ça, on se met le doigt dans l’œil. On reste sur trois défaites consécutives à domicile et ces matches qu’on perd il va falloir aller les chercher à l’extérieur. »\\n\\nA l’inverse celui du Havre, Jean-Manuel Sousa pouvait sourire :\\n\\n« Ce soir on a retrouvé un état d’esprit, l’envie de jouer ensemble, de partager et c’est ce qui a fait la différence. Même dans les moments difficiles, on ne s’est pas désuni, on est resté soudé.»\\n\\nLe Havre profite de l’aubaine pour passer devant son rival. Le troisième club normand, Rouen, bon dernier, serait bien inspiré de faire un exploit soit ce soir à Bourg-en-Bresse, soit la semaine prochaine en recevant le leader Fos-sur-Mer."
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB : le coach d’Angers en danger ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Angers est au fond du trou. L’UFAB a perdu coup sur coup face aux deux derniers, le Hainaut (56-71) et pire hier soir à Jean-Bouin devant Tarbes et en s’effondrant (53-74).\\n\\nSi statistiquement la Canadienne Liz Murphy s’en sort avec les honneurs (12 points et 11 rebonds) personne n’a pu taper du poing sur la table et réveiller une équipe apathique. L’Américaine Shawedia Wallace (1,75m), la top-scoreuse habituelle, a loupé ses huit shoots et termine le match avec une évaluation négative : -6. Dans ce match, les Angevines ont subi deux déferlantes : un 13-0 dans le deuxième quart-temps et un 14-0 dans le troisième.\\n\\nDans ce genre de situation, le coach est montré du doigt. A Angers, il s’agit de l’historique David Girandière qui a fait monter le club de la Nationale 1 en 2009 jusqu’à la Coupe d’Europe.\\n\\n« J’ai demandé aux joueuses et au staff de ne pas s’exprimer », a déclaré le président Brito De Sousa à Ouest France. « On va se donner le week-end pour réfléchir et voir ce qu’on peut faire. Il faut que les choses évoluent. Il y a une réunion du conseil d’administration lundi : rien ne sera décidé avant. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 3 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nQuand les basketteurs du SLUC rencontrent le premier minsitre Manuel Valls\\n\\n– De passage à Nancy, hier, le premier ministre Manuel Valls a effectué un petit crochet par le palais des sports Jean-Weille. L’objet de sa visite dans... Lire la suite.\\n\\n\\nTous derrière le SLUC de Beugnot\\n\\n– La poisse, toujours la poisse... Après Ere, Sutton est forfait. Quant à Dario Hunt victime d’une entorse à l’entraînement, il est très incertain. Plus... Lire la suite.\\n\\n\\n“Papa” Travis couve ses “petits”\\n\\n– À seulement 31 ans, Romeo Travis est le doyen de la SIG. Une première pour l’intérieur américain, qui assume ses nouvelles responsabilités, avec... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLille étouffé dans tous les secteurs de jeu par Fos Provence\\n\\n– L’entame est rythmée, intense même. Si les Lillois sollicitent leur principale force de frappe, Dequan Jones auteur d’un dunk époustouflant (2-6, 3e), pour prendre les devants, les Provençaux réagissent illico pour freiner leurs ardeurs. En témoignent ses rushes concluants de Maille (10-12) ou ses tirs extérieurs de Broussard. Si Fos Provence est bousculé dans le round d’observation... Lire la suite.\\n\\n\\nLe Portel, puissance quatre\\n\\n– En préambule à toute déclaration d’après-match, coach Eric Girard a tenu à adresser un grand coup de chapeau à son co-capitaine Jakim Donaldson. « Je connais peu de joueur qui aurait accepté de jouer avec un doigt fracturé et un autre abîmé. J’ai un énorme respect pour lui. Ce soir, c’est une belle victoire d’équipe guidée par un joueur exceptionnel. Avec son état d’esprit, il a... Lire la suite.\\n\\n\\nDarnell Harris : « J’avais eu de bons échos de Denain »\\n\\n– Pourquoi avoir rejoint Denain? «Ça fait partie du métier, j’ai saisi une opportunité. J’avais eu de bons échos de cette équipe de ProB, même si je ne savais rien de la ville. Je connaissais le coach, pas personnellement, mais j’avais entendu parler de lui en échangeant avec (Philippe) Hervé ou François (Péronnet) à Orléans.»... Lire la suite.\\n\\n\\nOh, cet Élan que le BCM a pris !\\n\\n– Pas deux fois ! Il faut croire que les Gravelinois avaient une énorme envie de se venger de la fin de match tellement frustrante à Cholet la semaine dernière au bout de la prolongation. « Gagner les deux aurait été extrêmement positif, perdre les deux aurait été très dur » avoua finalement Christian Monschau, coach très satisfait de ses troupes. Dans un Sportica bouillonnant, debout... Lire la suite.\\n\\n\\nLa belle soirée nordiste : victoires du Portel et de Gravelines\\n\\n– LE PORTEL – CHOLET : 71-63 Grâce à une belle abnégation défensive pendant 40 minutes, l’ESSM le Portel a décroché un quatrième succès en Pro A mérité face à Cholet vendredi soir (71-63). Une victoire collective menée par un Jakim Donaldson exemplaire : 20 d’évaluation avec un doigt fracturé ! BCM – CHALON : 88-85... Lire la suite.\\n\\n\\nFin de série si cruelle pour l’Elan\\n\\n– Dominateur durant toute la rencontre, Chalon s’est incliné sur le fil à Gravelines en ayant concédé un 15-0 dans les trois dernières minutes... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond en résistance à Martigues\\n\\n– Engagé dans la lutte pour le maintien en N2F, le Saint-Chamond basket vallée du Gier se déplace à Martigues ce soir... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFeurs : continuer de surfer sur la victoire\\n\\n– L’infirmerie désemplit, la première victoire à l’extérieur est survenue à Pfastatt. Un résultat bien venu malgré quelques convalescents mais avec... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe BCM se doit de relever la tête\\n\\n– Trahison ou désertion ? En tout cas, interrogation au sujet d’un groupe qui produit un basket alléchant à la maison et se saborde à l’extérieur... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n9e journée : les chocs du ventre mou\\n\\n– Pour les deux clubs de la Loire engagés dans la compétition, un seul objectif désormais : l’exploit... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nNe pas se relâcher\\n\\n– Alors qu’il reste encore deux matchs à disputer, les dés sont jetés dans la poule de la JL Bourg... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nOpération rachat pour Lyon, privée de Moisan-Niamke à Nice\\n\\n– Piégées par Nantes les Lyonnaises veulent récupérer ce point perdu sur La Côte d’Azur. Mais elles se sont déplacées avec seulement six pros... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPoligny est dos au mur\\n\\n– Après cinq défaites consécutives, les Polinois doivent ramener quelque chose de leur déplacement en Alsace. A défaut de la victoire, au moins des... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDes Lédoniennes à réaction ?\\n\\n– Devant leur public, les amicalistes lédoniennes devront s’assurer d’une victoire afin de garder le contact avec le haut du tableau... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg part diminuée à Prissé\\n\\n– Privés de Coulibaly et Blain, les jeunes Burgiens risquent de manquer de densité physique à en Saône-et-Loire... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nGuapo : « Avec le cœur, on y arrivera ! »\\n\\n– Le RBF va tenter de réaliser un exploit face au deuxième du championnat... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nQue leur volonté soit fête\\n\\n– Toute la saison, ils se battent pour ce genre de matchs. Ce samedi, l’ALL accueille son dauphin Saint-Priest pour le choc de la poule J... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nAttention aux griffes de l’animal blessé\\n\\n– Il faut s’attendre à une rencontre âpre et délicate pour cette dernière rencontre de l’année à domicile avant deux déplacements pour atteindre la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBCMF : rattraper les points perdus à domicile\\n\\n– Calais – Montbrison A 20 heures salle Calypso... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nMaintenant, c’est 100 % championnat\\n\\n– Les Bressans ont six matches pour finir 2016 avec un premier objectif, gagner à domicile ce soir, quelle que soit l’équipe qui sera alignée... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Un tremplin pour la suite »\\n\\n– « On restait sur trois revers de suite à domicile. On gagne le quatrième, le plus important, un derby. C’est un match qui peut être un tremplin pour... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond au bout du combat\\n\\n– Les Couramiauds ont remporté un derby âprement disputé. Devant une salle pleine, le SCB a fait jeu égal avec Roanne, qui restait sur quatre victoires... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBandja Sy : « Il faut que j’en profite »\\n\\n– Extrêmement spectaculaire, l’ailier volant de l’Asvel a profité de la blessure de Charles Kahudi et d’un temps de jeu accru pour briller... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPau-Orthez finit fort, Le Portel se relance\\n\\n– Pau-Orthez a décroché sa huitième victoire de la saison en dominant Châlons-Reims (70-60) à la faveur d’un dernier quart-temps mené de main de maître... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPau en difficulté mais vainqueur face à Châlons-Reims\\n\\n– Après leur revers à Chalon, les Palois ont renoué avec la victoire face aux Champenois (70-60).\\nIl a fallu attendre le dernier quart-temps pour voir le meilleur visage de l’Elan, mais ça valait le coup avec un match qui s’est subitement enflammé grâce à une subite montée en régime et à l’activité de DJ Cooper (13 passes... Lire la suite.\\n\\n\\n« Leur retour est un vrai plus ; elles vont pouvoir nous apporter toute leur expérience. »\\n\\n– Maxence Héry, l’entraîneur des basketteuses du Cest (N3F), se félicite du retour de Claire Longomba et Éloïse Pacault dans l’effectif cette semaine. Pour rappel, elles avaient décidé de ranger leurs baskets à la fin de la saison dernière. Plusieurs fois aperçues dans les tribunes de Monconseil cette année, on se doutait que le démon d... Lire la suite.\\n\\n\\nUn derby, ça devient rare !\\n\\n– Il y a encore trois ans, les derbys se multipliaient en Prénationale féminine et masculine. Désormais, il n’y en a aucun chez les hommes, un seul du côté des filles dont le premier acte se déroule ce samedi. Il opposera le coleader chauraisien au mal classé bressuirais. Pour Chauray, qui est sorti vainqueur de son déplacement à Jarnac (40... Lire la suite.\\n\\n\\nContinuer à apprendre\\n\\n– n3 féminine CTC Beaumont/ASM (4e) Cest (7e) Claire Longomba et Eloïse Pacault retrouveront les parquets dès dimanche à Beaumont (63). Leur retour (lire ci-dessous) devrait permettre au Cest de trouver un second souffle. Maxence Héry voit évidemment ces arrivées d’un bon œil\u2009: « Ça ne devrait pas être trop dur de les réintégrer... Lire la suite.\\n\\n\\nLeaders Cup : Boulogne en finale\\n\\n– Les Boulonnais accusent peut-être le coup en ce début de championnat avec une seule victoire au compteur en sept matchs (contre Poitiers 91-70 lors de la 6e journée), ils cartonnent en Leaders Cup. En effet, malgré leur défaite ce mardi à domicile en demi-finale retour face à Bourg-en-Bresse (72-82), ils se sont qualifiés pour la finale grâce à... Lire la suite.\\n\\n\\nLa Charité est d’attaque\\n\\n– Le moins qu’on puisse dire, c’est que La Charité-sur-Loire a marqué les esprits le week-end dernier. Les hommes de Fabien Anthonioz ont non seulement infligé à La Rochelle sa première défaite de la saison, mais ils ont survolé les débats (84-64) et s’installant dans le fauteuil de leader. « La salle était archicomble, le public nous a... Lire la suite.\\n\\n\\nBien préparer les fêtes\\n\\n– UTBM (3e) Angers EOSL (9e) Olivier Bertrand n’a pas changé d’objectif depuis quelques semaines. « Après notre victoire contre Saint-Pavin, il faut encore gagner les deux matchs à venir pour être dauphin de Laval pendant la trêve. On n’a donc pas le droit de perdre ». Un message clair pour évoquer la venue d’Angers... Lire la suite.\\n\\n\\nGare à la fierté basque\\n\\n– Anglet Le Poinçonnet Après la correction infligée à Bellevigny la semaine dernière (96-74), Le Poinçonnet, désormais seul leader, aurait toutes les raisons d’être tranquille avant son déplacement au Pays basque, ce samedi. Bien au contraire, Yoann Cabioc’h redoute ce long voyage dans le Sud-Ouest\u2009: « Depuis la victoire contre Bellevigny, on... Lire la suite.\\n\\n\\nLes Vinoliens sont dans les clous\\n\\n– Saint-Pavin (11e, 9 pts) Vineuil (6e, 12 pts) A Lisieux, les Vinoliens ont frappé un grand coup le week-end dernier (victoire 59-88). « Et encore, si on avait joué à fond avec nos cadres jusqu’au bout, ce ne sont pas trente points qu’on leur aurait mis, mais plutôt cinquante\u2009! », lâche l’entraîneur vinolien Guillaume Dubois qui ne s’e... Lire la suite.\\n\\n\\nGagner ou s’enfoncer\\n\\n– UTBM – La Charité Face au nouveau leader, les Tourangeaux (7 e ), en difficulté, n’ont pourtant pas d’autre choix que la victoire, pour continuer à y croire... Lire la suite.\\n\\n\\nVictoire impérative pour Niort\\n\\n– En difficulté en bas de classement, le CAN 79 n’a pas d’autre choix que vaincre un concurrent direct pour ne pas (déjà) compromettre sa saison... Lire la suite.\\n\\n\\n» Poser les valeurs sur la table «\\n\\n– Berrichonne – Pornic Pour leur dernier match de l’année 2016 à domicile, les hommes de Régis Racine souhaitent inverser la tendance et s’imposer, enfin... Lire la suite.\\n\\n\\nPlus périlleux qu’il n’y paraît\\n\\n– Les Blésois ne devront pas tenir compte de l’avant-dernière place de leurs adversaires boulonnais pour aborder cette huitième journée. Ils sont prévenus... Lire la suite.\\n\\n\\nPoitiers toujours bredouille\\n\\n– Aix-Maurienne – Poitiers\u2009: 85-81 Malgré un bon départ, les Poitevins ont mal géré la fin de match et n’ont toujours pas gagné à l’extérieur en championnat... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"27 points pour Youssoupha Fall (2,21m) face à Aix-Maurienne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Même si son équipe de Poitiers s’est inclinée à Aix-Maurienne, Youssoupha Fall (2,21m) a marqué les esprits en établissant un record de 27 points sans gâcher (13/17) avec en prime 9 rebonds et 2 contres pour 31 d’évaluation.\\n\\nA ce rythme là, la Pro B va devenir un champ d’expression trop étroit pour le géant sénégalais qui aura 22 ans en janvier.\\n\\n\\n\\n\\nFall. Toujours.#ProB #SNB #Proballers Cc @pb86officiel pic.twitter.com/X5V7Ohy28p\\n\\n\\n— Proballers (@Proballers_FR) December 2, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie : Chris Copeland de retour en Europe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après quatre saisons en NBA, Chris Copeland fait son retour en Europe et s’engage à Bursa, en Turquie, comme le rapporte Eurohoops.\\n\\nActuellement à la 13e place du classement de TBL avec deux victoires pour six défaites, le Tofas Bursa s’offre donc la signature, pour toute la saison, de l’ancien joueur des Knicks et des Pacers connu pour sa polyvalence.\\n\\nCoupé par les New Orleans Pelicans le 3 octobre, l’ancien joueur des Knicks était sans club depuis. Chris Copeland va connaître son cinquième club européen après être passé par l’Espagne (CB L’Hospitalet, 3e division), les Pays-Bas (Matrixx Magixx), l’Allemagne (Gladiators Trier) et la Belgique (Okapi Aalstar).\\n\\nEn 171 matchs NBA, Copeland enregistre des moyennes de 5,8 points et 1,5 rebond entre New York, Indiana et Milwaukee."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jo Leedham (Bourges) out pour au moins deux mois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Johannah Leedham était sortie en grimaçant du match Bourges-Villeneuve d’Ascq. Une IRM a confirmé que l’Anglaise de Bourges souffre d’une rupture complète de l’aponévrose du pied droit. Son indisponibilité devrait être de deux à trois mois alors que les Berruyères sont engagées sur le front de l’Euroleague en plus du championnat.\\n\\nL’effectif à rallonge des Tango constitué de onze joueuses permet quelques souplesses mais Leedham tournait à 11,7 points, 4,3 rebonds et 2,7 passes en EuroLeague, ce qui en faisait la deuxième joueuse la plus complète de l’équipe après la Brésilienne Clarissa Dos Santos."
}, 
{"role": "user",     "content":"La JL Bourg organise un tournoi NBA 2K17 pour la réception d’Aix-Maurienne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le but de toucher ses jeunes supporters (35% de moins de 25 ans en moyenne à Ekinox), la JL Bourg (Pro B) associée à Cultura proposera pour la 1ère fois un tournoi NBA2K17, qui verra s’affronter 64 concurrents, le 20 décembre, pour le match de la JLB face à Aix-Maurienne.\\n\\nJouées sur bornes Xbox One, les qualifications auront lieu dans l’après-midi, les demi-finales et la finale seront diffusées en direct en avant-match et à la mi-temps de la rencontre sur les écrans du cube d’Ekinox.\\n\\nLes inscriptions se feront en ligne via l’événement facebook JL Bourg et en magasin (Cultura Bourg-en-Bresse, 21 Boulevard Irène Joliot Curie – 01000 Bourg-en-Bresse).\\n\\nPour participer, il faudra remplir ce formulaire. Attention, un mail sera envoyé ensuite, il faudra obligatoirement y répondre pour valider son inscription.\\n\\nLa JL Bourg a la volonté de faire de ce rendez-vous gaming un événement marquant du calendrier du club dans le futur et souhaite, à terme, en faire un événement national sur plusieurs semaines qui verrait s’affronter les fans de tous les clubs Français."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : le programme du week-end sur SFR Sport 2"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque semaine, trois rencontres sont au programme sur les antennes de la nouvelle chaîne SFR Sport 2 qui a obtenu les droits de diffusion du basket français et des équipes de France de basket.\\n\\n\\nL’ASVEL sur sa lancée face à Limoges\\n\\nPour commencer cette neuvième journée du championnat de Pro A sur les antennes de SFR Sport 2, Lyon-Villeurbanne reçoit Limoges, samedi à 18h30 à l’Astroballe. Après une semaine couronnée de deux victoires, en championnat face à Dijon (79-72) et en Champions League face à Usak (83-69), l’ASVEL est en pleine forme et son entraîneur J.D. Jackson s’est montré très optimiste pour la suite de la saison après le match de coupe d’Europe. De son côté, le CSP reste également sur une victoire en championnat, face au HTV (80-68) grâce à un C.J. Fair de gala qui avait compilé 25 points et 10 rebonds (31 d’éval).\\n\\n\\nLe Paris-Levallois en quête d’exploit à Monaco\\n\\nEn direct sur SFR Sport 2, dimanche à 18h30, l’ASM reçoit le PL dans la Salle Gaston Médecin. Toujours invaincu à domicile, Monaco est bien ancré à la première place du classement avec neuf victoires pour une seule défaite. Fraîchement arrivé en tant que pigiste médical de Brandon Davies, John Bryant a rendu une belle copie dans la victoire face au Portel (66-60) samedi dernier avec 12 points, 5 rebonds et 2 passes décisives pour une évaluation de 20. Ce qui laisse présager de bonnes choses pour la suite de son expérience monégasque. Le club francilien reste, lui, sur une courte défaite à domicile face à Orléans (53-51) et sera d’autant plus motivé à l’idée d’infliger sa première défaite à domicile à l’ASM.\\n\\n\\nLe choc entre Nanterre et Strasbourg\\n\\nPour conclure ce week-end basket sur les antennes de SFR Sport 2, Nanterre 92 reçoit Strasbourg, lundi à 20h30 au Palais des Sports Maurice Thorez. Une affiche qui fait saliver entre le troisième du classement, Nanterre, et la SIG qui fait son retour parmi les meilleures équipes de Pro A à l’image de son énorme victoire face à Nancy dimanche (106-75) en championnat et face à Mornar (93-62) en Champions League. Pour Nanterre, c’est le début de saison presque parfait avec huit victoires pour seulement deux défaites. Tout se passe bien pour la formation de Pascal Donnadieu, à l’image de son arrière Spencer Butterfield qui pourrait bien être élu joueur du mois de novembre."
}, 
{"role": "user",     "content":"A Saint-Chamond c’est Walker le patron !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Match de gala ce vendredi soir à la Halle André Boulloche de Saint-chamond. Dans le cadre de la huitième journée de Pro B, le SCBB accueille son voisin Roanne pour le derby ligérien. Quinzièmes au classement, les hommes d’Alain Thinet voudront réaliser une performance XXL devant leurs supporteurs en faisant tomber l’ogre choralien qui pointe à la deuxième place en ce début de mois de décembre.\\n\\nLeader statistique de l’équipe couramiaude, B.A. Walker ( 1,88 m, 32 ans le 5 décembre prochain) aura une nouvelle fois fort à faire pour offrir à Saint-Chamond son troisième succès de la saison. Top marqueur, top passeur et plus gros temps de jeu, il est Le patron du club du 42 cette saison.\\n\\n\\nAuteur de 14,6 points à 52,9% de réussite aux tirs (37% à trois points), 3,3 rebonds et 4,7 passes décisives pour 16,4 d’évaluation en 30 minutes sur 7 rencontres de championnat Pro B, l’Américain est en train de livrer dans la Loire ses meilleures statistiques depuis son arrivée en France en 2013. Passé par Evreux (en deux fois) et Lille, le Combo connaît parfaitement la division. Régulier, adroit, bon passeur, le natif d’Onancock est ce que l’on appelle une valeur sure à son poste. Le staff du club de la Vallée du Gier ne s’était pas trompé en le signant l’été dernier.\\n\\n\\nOnzième marqueur du championnat entre les deux Roannais (et adversaires de ce soir) Arthur Rozenfeld et Andre Hollins, seizième passeur et quatorzième évaluation, le Champion d’Islande en 2008 avec Keflavik est clairement l’un des acteurs majeurs de ce début de saison en Pro B.\\n\\nCe soir face à la Chorale, l’ancien ébroïcien devra une fois de plus se montrer solide pour guider les siens vers la victoire. Booby Anthony à les épaules pour ça."
}, 
{"role": "user",     "content":"Denain avec sa nouvelle recrue à Boulazac"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Recruté par Denain pour densifier sa ligne arrière, l’Américain Darnell Harris (1,81 m, 30 ans) vient de recevoir le feu vert de la Ligue Nationale de Basket pour évoluer avec sa nouvelle équipe. Le natif de Baltimore est sous contrat jusqu’à la fin de la saison avec Voltaire.\\n\\nL’ancien joueur de Boulazac, Antibes, Chalon-sur-Saône et Orléans sera donc présent samedi soir pour le déplacement à Boulazac dans un match comptant pour la huitième journée de Pro B."
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Georgi Joseph prolongé jusqu’à la fin de la saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme annoncé hier, Georgi Joseph (1,97 m, 34 ans) finira bien la saison sous les couleurs d’Orléans. Le club du Loiret vient ce vendredi matin d’officialiser l’information.\\n\\nArrivé début novembre et déjà vu à trois reprises avec l’OLB en championnat, le Champion de France Pro B en 2010 tourne à une moyenne de 6 points à 55,9% de réussite aux tirs, 5 rebonds, 2,3 passes décisives pour 9,3 d’évaluation en 22 minutes de temps de jeu. Avec lui, la formation de Pierre Vincent s’est imposée à deux reprises.\\n\\nSa prolongation au poste de pivot signifie la fin de la collaboration entre Orléans et Ahmad Nivins (2,06 m, 29 ans).\\n\\nDécevant (4,9 points à 45,7% de réussite aux tirs, 2,1 rebonds et 0,8 passe pour 4,6 d’évaluation en 15 minutes de temps de jeu), l’Américain n’a jamais retrouvé le niveau qui était le sien (double All-star en 2012 et 2013) après sa rupture du ligament antérieur du genou en fin d’exercice 2014/15.\\n\\nPour la réception du Mans samedi soir (onzième journée de Pro A), il disputera donc son dernier match avec Orléans avant de quitter le club.\\n\\nPhoto : Orléans Loiret Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Via son application, SFR Sport est gratuit jusqu’à Noël"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme le rapporte le site Media Sportif, depuis le 1er décembre et jusqu’au 25 et afin de mieux se faire connaître auprès du public, SFR Sport est disponible en clair. Les chaînes dont SFR Sport 2 qui diffuse le basket sont visibles en direct sur PC/Mac, smartphone, tablettes, et TV via Chromecast et Airplay. Pas besoin d’engagement puisque l’offre prendra fin automatiquement le 26 décembre.\\n\\nSFR Sport diffuse un match chaque samedi, dimanche et lundi ainsi que l’émission Buzzer le mardi, mais l’application permet de voir l’ensemble des matches de Pro A de la journée en direct.\\n\\nC’est à découvrir ici.\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Comment le coach de Culoz s’est retrouvé aux Clippers puis à Galatasaray"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est une histoire contée par Le Progrès et qui mérite d’être rapportée. Yacine Aouadi, Lyonnais d’origine, 36 ans, a derrière lui une bonne petite carrière de coach, comme assistant à Bron puis comme coach principal à Lagnieu en N2 et ensuite à Culoz en N1 féminine. Il estimait alors que l’horizon était bouché.\\n\\n« Il y a de plus en plus de coaches formés et de qualité sur le marché. Et pour obtenir un siège, il y a de nombreux obstacles que l’on ne contrôle pas toujours ».\\n\\nC’est durant l’été 2015 que son destin modifie son cours. Il est approché pour prendre en main l’équipe du Cameroun pour l’AfroBasket mais finalement le coach Louis Tsoungui lui présente Luc Mbah Moute, qui était en transit entre les Philadephia Sixers et les Los Angeles Clippers. Ils sympathisent. Yacine Aouadi devient alors le coach personnel spécialisé dans le shoot de l’ailier camerounais et multiplie les voyages entre Lagnieu dans l’Ain et Los Angeles.\\n\\nDepuis septembre, Yacine Aouadi a changé de situation géographique puisqu’il est en charge de l’espoir turc Ege Arar (2,07m, 20 ans) qui est dans l’antichambre de l’équipe d’Euroleague du Galatasaray.\\n\\n« De plus en plus de joueurs chercheront à améliorer leurs performances », dit-il. « Dans le même temps les coaches classiques vont aussi devenir de plus en plus exigeants avec les joueurs. Le rugby, le hand ont de plus en plus de spécialistes dans leurs staffs. Le basket ne peut échapper à cette évolution. »\\n\\nPhoto : Culoz Basket Club"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Galatasaray privé de recrutement jusqu’au 15 décembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le 14 novembre dernier, l’Euroleague avait lancé une procédure judiciaire à l’encontre du club turc du Galatasaray pour non-respect de la stabilité financière.\\n\\nAujourd’hui, et après que le Galatasaray a réglé ses dettes, l’organisation présidée par Jordi Bertomeu rapporte sur son site que la formation coachée par Ergin Ataman est privée de recrutemet jusqu’au 15 décembre 2016 pour ne pas avoir rempli en temps voulu le plan de conformité tel qu’il avait été convenu avec la Commission de contrôle de gestion.\\n\\nCette même commission continuera de surveiller le cas du Galatasaray et tous les autres clubs engagés en Euroleague afin d’assurer du respect du règlement sur le fair-play de la stabilité financière.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Donnez-nous votre avis sur BasketEurope.com"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Depuis quelques semaines, BasketEurope.com, le cousin de BasketUSA.com, a fait son apparition sur le web. Aujourd’hui, nous aimerions savoir ce que vous pensez de notre site.\\n\\nMerci d’avance,\\n\\nL’équipe BasketEurope.com"
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg : le trick shot challenge d’Erving Walker et A.J. Slaughter"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans une vidéo publiée sur le compte Youtube de la SIG, Erving Walker et A.J. Slaughter nous montrent, à l’occasion d’un petit défi entre eux deux, toute l’étendue de leur talent en matière de trick shot.\\n\\nSaurez-vous faire mieux que les deux meneurs spectaculaires de la SIG ? Envoyez vos meilleures vidéos à sigtv@sigstrabourg.fr."
}, 
{"role": "user",     "content":"Chalon en conquérant à Gravelines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Elan Chalon est l’équipe en forme de ce début de saison. On attendait davantage Strasbourg, Villeurbanne ou encore Le Mans en chasse de Monaco qui est vite apparu comme favori de la Pro A. Or les Chalonnais sont deuxièmes à égalité avec Nanterre qu’ils ont assommé à Maurice-Thorez, 92-77.\\n\\nLes deux seules défaites à cet instant ont été concédées à Monaco, ce qui est normal même si elle fut lourde quant son ampleur (52-68) et au Colisée face à Nancy (59-69), ce qui fut à la fois une énorme contre-performance mais aussi sans suite. Outre Nanterre, l’Elan a depuis notamment pulvérisé Paris-Levallois (+15), Limoges (+24) et surtout Pau (+20).\\n\\nL’Elan Chalon n’est plus aussi fantastique et aussi fantasque offensivement (87,8 pts en moyenne en 2015-16 soit la meilleure attaque de Pro A) mais plus complet avec une capacité défensive accrue. John Roberson (36,9% de réussite à trois-points, 31/33 aux lancers) confirme qu’il est un excellent meneur, Moustapha Fall (2,18m, 4e évaluation de la Pro A avec 14,6) qu’il a un profil sans équivalent dans le championnat, et encore Axel Bouteille (21 ans) qu’il a du toupet et qu’il est un sixième homme de luxe.\\n\\nFinalement, les seuls vrais signes de faiblesse des Chalonnais ont été décelés lors de deux voyages en Fiba Europe Cup, au Benfica Lisbonne (77-69) et à Alba Fehérvar (111-91), une équipe hongroise que l’Elan a corrigé au retour (106-77).\\n\\n\\nLa prudence de Choulet\\n\\nCe soir, Chalon visite Gravelines-Dunkerque qui vient avec Steven Gray de se séparer de son troisième Américain après Shawn King et Tony Dobbins, ce qui, quand on en n’est que début décembre, en dit long sur les approximations d’une équipe. D’ailleurs le BCM est relégué dans la deuxième moitié de tableau et son match bêtement perdu à Cholet (99-101) lui a donné la migraine.\\n\\nPourtant, dans les colonnes de La Voix du Nord, Jean-Denys Choulet fait preuve d’une prudence de sioux.\\n\\n« Nous sommes l’équipe surprise du moment. C’est incroyable de nous retrouver ici, surtout avec un effectif réduit. Nous sommes surpris de ce début de saison, mais aussi contents. Nous restons modestes car les grosses écuries vont pousser pour revenir. L’objectif, c’est de faire du mieux possible et de gagner un maximum de matchs. Ce qui est pris n’est plus à prendre. Le président a fixé l’objectif des playoffs mais chacun sait que l’appétit vient en mangeant. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Villeneuve d’Ascq : Alina Iagupova a-t-elle enfin mis le turbo ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si Lattes-Montpellier a manqué de peu l’exploit à Prague (61-59) et si Bourges n’a pas tenu la distance comme redouté à Ekaterinbourg (66-81), la bonne affaire de la semaine a été réalisée par Villeneuve d’Ascq qui est allé gagner à Hatay Antakya, en Turquie (81-76).\\n\\nOn peut lire sur le site de l’ESBVA-LM qu’Alina Iagupova (1,86m, 24 ans) a fait quelques merveilles : coast to coast, passe lumineuse dans le dos et un trois-points à 8,50m qui a permis à son équipe d’empocher le butin. L’Ukrainienne laisse sa trace sur le match : 15 points (5/12) et 6 passes.\\n\\nAvec Olivia Epoupa et Valériane Ayayi, la puissante Alina Iagupova est l’une des recrues phare de l’été du club nordiste car ses cartons ont fait sa réputation en Europe : 32,6 pts à l’Euro U18 en 2010, 27,6 pts à l’Euro U20 en 2012 et encore 29,3 pts à l’Euro 2015 au cours duquel son équipe ne gagna qu’un seul de ses quatre matches mais Alina termina top-scoreuse avec près de dix points d’avance sur la suivante.\\n\\nParti de Braine avant terme\\n\\nLe risque c’était que l’Ukrainienne ne s’adapte pas à son environnement sachant qu’elle a porté la saison dernière le maillot des Castors de Braine mais qu’elle a eu le mal du pays. Pourtant, tout avait bien commencé en Belgique.\\n\\n« Alina sait tout faire », se félicitait alors la meneuse Marjorie Carpréaux. « Quand elle a la balle on a tendance à la regarder, à la laisser faire. Elle me l’a encore dit face à Prague : « ne t’arrête pas, il faut qu’on joue en équipe ». J’ai aussi compris que parfois il faut se mettre de côté pour permettre au collectif de briller. Et je pense que quand la machine sera bien huilée, on sera sur de bons rails. »\\n\\nSeulement le fait de mal parler l’anglais et pas le français a empêché l’Ukrainienne de se fondre dans l’équipe. Elle a quitté le club belge avant terme, en même temps que sa compatriote Liudmyla Naumenko qui l’a accompagné aux Astana Tigers au Kazakhstan où elle se fendit d’une moyenne de 31,6 points, 6,4 rebonds et 4,1 passes, remporta le titre national et l’oscar de MVP. Un minimum pour un tel talent.\\n\\nInséparable de Liudmyla Naumenko\\n\\nAlina Iagupova est avec 11,2 pts la top-scoreur de Villeneuve sur les 4 matches joués d’Euroleague, ce qui est un peu mieux que ses 11,3 pts en championnat avec seulement un panier sur quatre transformés à trois points. Des chiffres qui laissent sur sa faim son entourage étant donné ses antécédents. Pourtant le club a cherché à la placer dans les meilleures dispositions. Il a fait signer son inséparable compatriote Liudmyla Naumenko et leur a mis une traductrice à disposition.\\n\\n« Elle a fait une bonne pré-saison », expliquait récemment son coach Frédéric Dusart à La Voix du Nord. « Mais depuis, ses vidéos ont circulé, son jeu a été analysé. L’adversaire a réduit les espaces de pénétration où elle excelle et décidé de la laisser shooter à l’extérieur. Elle a donc absolument besoin de varier son jeu, en débloquant son tir à 3 points ! »\\n\\nA noter que ce week-end, Bourges a su très bien la cadenasser puisque l’Ukrainienne n’a concrétisé que 2 de ses 12 shoots. Alina découvre deux compétitions, l’EuroLeague et la Ligue Française, d’un niveau auquel elle n’est pas habituée. La victoire en Turquie permet à Villeneuve de rejoindre Bourges et Sopron à la quatrième place de la poule. Et peut-être à l’Ukrainienne d’enclencher le turbo. Il y a quelques jours, son président Carmelo Scarna lui maintenait sa confiance:\\n\\n« Je persiste et signe : Alina est la tueuse qu’il nous faut et j’attends forcément beaucoup d’elle. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 2 décembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nLes cinq premières séances du SLUC avec Gregor Beugnot\\n\\n– Arrivé à Nancy mardi, Gregor Beugnot pose petit à petit ses jalons de coach. Premières impressions des joueurs... Lire la suite.\\n\\n\\nPierre Vacher, président du RBF « Renforcer l’équipe ? Peut-être »\\n\\n– Pierre Vacher, succède à José Menargues, à la présidence du RBF. L’occasion de parler des sujets chauds : le recrutement et le choix de jouer à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nM’Bark Belghouj : « Une petite finale »\\n\\n– Leader de R3, Saint-Etienne se déplace demain sur le parquet de Ceyzériat, troisième et qui pointe à une petite longueur. Un match « charnière » pour... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn derby pour briser la malédiction\\n\\n– Saint-Chamond, toujours bredouille à la maison, reçoit Roanne en pleine euphorie. Un derby disproportionné en apparence entre deux équipes aux... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Montrer que j’ai franchi un cap »\\n\\n– Pierre Pelos est arrivé de Saint-Chamond à l’intersaison. L’intérieur travaille dur du haut de ses 2,05 mètres. Il doit faire ses preuves en l’absence... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Je ne me voyais plus être basketteur professionnel »\\n\\n– De retour dans son fief cet été, Charly Maraux est l’une des clés du bon début de saison lédonien. À quelques heures d’une rencontre capitale contre... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLimoges à Villeurbanne pour corriger le tir\\n\\n– Limoges se déplace sur le parquet du champion en titre Villeurbanne samedi pour un choc entre les deux clubs les plus titrés de France (29 titres à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nChalon s’attaque au vent du Nord\\n\\n– L’Elan est attendu de pied ferme chez les Gravelinois, remontés comme des pendules après leur cruelle défaite sur le fil à Cholet... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe Réveil doit s’exporter\\n\\n– Avec un bilan de troi victoires pour cinq défaites, le Réveil Bressuirais n’est pas bien placé dans son championnat. Il a d’ailleurs subi son premier revers de la saison à domicile face au... Lire la suite.\\n\\n\\nLe PB pour une première\\n\\n– Aix-Maurienne – Poitiers Toujours battu en déplacement en championnat, les Poitevins visent un premier succès loin de leur base ce soir en Savoie... Lire la suite.\\n\\n\\nBoulogne en décembre\\n\\n– L’ADA s’était imposée 72-106 sur le parquet boulonnais. C’était il y a tout juste neuf ans. Sans aucun doute une des victoires marquantes de l’histoire du club... Lire la suite.\\n\\n\\nKeaton Miles qualifié\\n\\n– L’Américain Keaton Miles, arrivé vendredi dernier à Mulhouse, est désormais qualifié et disputera donc demain à Montbrison son premier match avec le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRixheim en confiance\\n\\n– À égalité de points avec Weitbruch, où ils se rendent samedi (20 h), les Rixheimois sont en mesure de s’installer seuls sur la 3e marche du podium... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nNe pas tomber dans le rouge à Beaujolais\\n\\n– L’ASSM Pfastatt se déplace à Quincié-en-Beaujolais, samedi soir (20 h), pour y affronter Beaujolais Basket dans le cadre de la 10e journée... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDifficile, mais pas impossible\\n\\n– Le FC Mulhouse, 10e de la poule D de N2, va tenter d’avoir le dernier mot, demain (20 h) à Montbrison, une équipe performante à domicile et de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nKaysersberg à Vanves\\n\\n– En déplacement dans les Hauts-de-Seine, les Kaysersbergeois ont la possibilité de faire une bonne opération dans leur groupe de nationale 2... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes doublures du KABCA mènent bon train\\n\\n– St-Joseph Strasbourg – KABCA II, samedi 20 h 30. En revenant dans sa salle, le KABCA II a repris le cours de son chemin victorieux. Cela fut cependant... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nGagner en efficacité\\n\\n– Toutes les rencontres du SBC se joueront en déplacement. Avec Schirrhein comme destination pour la « une » masculine, dimanche à 17 h. Si cette... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes seniors de Hégenheim battus sur le fil\\n\\n– Au basket club Hégenheim, les seniors masculins I de José ont reçu, samedi soir, l’équipe de la CTC Nord Sundgau 6 (un groupe comprenant des anciens... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’avis du coach. L’avis du coach. L’avis du dirigeant. L’avis du coach\\n\\n– Labenne (13e-11 pts) – Puymirol (3e-15 pts). – Les Puymirolais, comme on l’escomptait, ont retrouvé des couleurs. Après deux rencontres où privés de cadres majeurs blessés, ils durent... Lire la suite.\\n\\n\\nPasser outre ceux d’Angers !\\n\\nCe n’est pas simple, en quelques jours, d’intégrer, quasiment, quatre joueurs dans une formation qui en compte dix ! C’est pourtant la tâche qui incombe à l’entraîneur de l’Union... Lire la suite.\\n\\n\\nBASKET Saint-Quentin à l’épreuve de Nantais ambitieux\\n\\n– Votre actualité quotidienne locale, régionale et nationale... Lire la suite.\\n\\n\\nBASKET Où en est la balle orange dans la Somme ?\\n\\n– Votre actualité quotidienne locale, régionale et nationale... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Non prolongé par le CSKA, Jeff Ayres quitte déjà l’Europe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Signé en septembre dernier pour compenser la blessure de Joel Freeland, Jeff Ayres (2m07, 29 ans) ne sera pas resté longtemps sur le Vieux Continent. Il a quitté le CSKA Moscou après sept matchs en Euroleague, dont une dernière performance à 13 points et 7 rebonds (26 d’évaluation) face au Zalgiris Kaunas.\\n\\n« Je tiens à remercie le club du CSKA, les dirigeants et le coaching staff, de m’avoir donné l’opportunité de faire partie de l’histoire de votre club. J’y ai passé un très bon moment et j’ai énormément appris. J’espère vous voir à nouveau à l’avenir ! »\\n\\nL’ancien pivot des Spurs et des Clippers aurait vraisemblablement, selon El Mundo Deportivo, eu l’opportunité de signer au Barça, là aussi pour pallier à plusieurs blessures dans le secteur intérieur, mais un problème de passeport aurait rendu l’affaire impossible.\\n\\nDu coup, Ayres est déjà rentré au pays. Et il n’a pas tardé à retrouver du boulot puisqu’il a été recruté par les D-Fenders de Los Angeles en D-League.\\n\\n\\n\\n\\nThe Los Angeles D-Fenders have acquired Jeff Ayers as a returning player #NBADL\\n\\n\\n— Chris Reichert (@Chris_Reichert) December 1, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Fenerbahce s’impose aux forceps face au Real dans un duel de colosses"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quel duel les amis ! Dans ce match au sommet entre deux superpuissances continentales, c’est le Fenerbahce qui sort vainqueur du Real Madrid... mais d’un tout petit rien (78-77). Serrée et disputée de bout en bout, cette partie a été un véritable bras de fer et ça s’est joué en toute fin de match, sur un détail. Une ultime faute de Jaycee Carroll qui envoie James Nunally sur la ligne des lancers à moins de deux secondes du terme.\\n\\n\\nJames Nunally, l’homme du match\\n\\nEt l’arrière américain, passé furtivement par les Hawks et les Sixers en 2014, a tout simplement été l’homme du match, avec 18 points. De loin son meilleur match en Euroleague (son précédent record plafonnait à 8 unités). Parfaitement servi par ses coéquipiers, dont Kostas Sloukas (11 points, 6 passes), Nunally a délivré une partition offensive de belle facture, et il a surtout inscrit le lancer de la gagne avant de manquer le dernier, rendant la tâche de marquer impossible pour le Real.\\n\\nLes madrilènes pourront regretter de ne pas avoir mis la main sur le match en deuxième mi-temps, alors qu’Anthony Randolph (16 points à 6/6 aux tirs) ne ratait rien. A ses côtés, Sergio Llull (14 points, 8 passes) a été bien tenu par la défense stambouliote.\\n\\n\\nUne fin de match aux couteaux\\n\\nDans ce match, de toutes façons, on a eu droit à un peu de tout : du combat physique en première mi-temps, entre Gustavo Ayon et Ekpe Udoh mais aussi avec Jan Vesely, qui va justement défier Ayon dans les airs pour le dunk manqué, mais avec la faute. Et puis, les deux équipes ont rivalisé de fluidité avec du très beau jeu collectif, avec un jeu à trois conclu d’un dunk de Vesely (voir plus bas) ou pour le Real, d’une superbe relation avec Othello Hunter, impérial en première mi-temps.\\n\\nEt enfin, on a eu droit à du suspense et de la tension dans un crunch time aux couteaux. Cette fin de match a effectivement été complètement folle avec l’expulsion de Kostas Sloukas, le principal artisan de la révolte turque. Et puis, Randolph, parfait jusque là, s’énerve à son tour après une faute non sifflée. Et il écope lui aussi d’une technique ! A 59 secondes du terme, puis à 17 secondes, les deux équipes sont dos à dos (75-75 puis 77-77). Un panier manqué par Llull se transforme en une faute pour Carroll qui envoie Nunally aux lancers. On connait la suite : 78-77 pour le Fener qui s’impose à la maison.\\n\\nHighlights à venir\\n\\n\\n\\n\\n.@JanVesely24 Airlines is back.#7DAYSMagicMoment #FNBRMB pic.twitter.com/IZRSh3xaMl\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) December 1, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le salaire mensuel moyen en Pro A est de 11 000 euros"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"D’après une étude du quotidien L’Equipe, le salaire brut mensuel moyen en Pro A est de 11 000 euros, ce qui le place en troisième position derrière la Ligue 1 de foot (45 000 euros) et le Top 14 de rugby (17 200 euros).\\n\\nC’est sensiblement mieux que la D1 de hand (6 900 euros) et la Ligue A de volley (3 400 euros), les deux autres sports de salle.\\n\\nRetrouvez les salaires des joueurs sur notre site en parcourant leurs profils."
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Kyrylo Fesenko, MVP de la 7e journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Furtivement aperçu la saison dernière à Monaco lors de deux matchs de playoffs (2 points et 3,5 rebonds en 10 minutes), Kyrylo Fesenko vient d’être nommé MVP de la septième journée de Champions League.\\n\\nSous les couleurs d’Avellino cette saison, l’ancien joueur du Utah Jazz a sorti un très gros double-double pour permettre à son équipe de s’imposer 85-75 face à la Juventus Utena, mardi soir. En 28 minutes, Fesenko a compilé 25 points (8/11 aux tirs et 9/11 aux lancers) et 13 rebonds pour une évaluation de 35.\\n\\nCette saison en Champions League, l’international ukrainien tourne en moyenne à 10,9 points, 6,9 rebonds et 1,3 passe décisives pour une évaluation de 13,9.\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"NM2 : Philippe Haquet renforce le LYONSO Basket Territoire"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Voilà un joli renfort pour le LYONSO Basket Territoire. Deuxième de la Poule D avec un solide bilan de 7 victoires en 9 matchs, la formation de l’entraîneur Pierre Croizat vient d’intégrer l’expérimenté Philippe Haquet (2 m, 30 ans) à son riche effectif. Une recrue de choix qui apportera tout son savoir.\\n\\nFigure de la LNB entre 2004 et 2016, passé par Bourg-en-Bresse en Pro A mais également Saint-Etienne, Fos-sur-Mer, Saint-Vallier et Vichy-Clermont en Pro B, le polyvalent poste 3 quitte donc le monde professionnel pour un nouveau challenge en quatrième division.\\n\\nVisage connu de l’antichambre de la Pro A durant 9 saisons, son plus bel exercice date de 2010/11. Élément de Fos-sur-Mer cette année là, il avait rendu la meilleure copie de sa carrière avec une moyenne de 10,5 points, 4,3 rebonds et 1,8 passe pour 11,6 d’évaluation en 25 minutes sur 26 matchs, s’imposant parmi la crème des joueurs français de l’époque.\\n\\nVu en Auvergne la saison dernière, le poste 3/4 valait encore 6 points à 44,4% de réussite aux tirs (37,7% à 3-points), 1,9 rebond et 0,8 passe pour 5,7 d’évaluation en 19 minutes sur 26 matchs de championnat sous les ordres de Fabien Romeyer.\\n\\nUn nouveau challenge s’ouvre maintenant devant lui .\\n\\nPhoto : CTC Lyonso Basket Territoire\\n\\nVoici le très beau message qu’il a posté sur sa page Facebook :\\n\\nNouveau challenge!\\n\\nUn cycle est fini, un nouveau commence, me voila de retour en N2 12 ans plus tard.\\n\\nLes contrats trop courts, les déménagements et surtout le nouveau règlement concernant les joueurs étranger ont fini de me convaincre de prendre en main ma vie. J’arrête le haut niveau pour rejoindre un des clubs les plus sérieux et structurés de la région Lyonnaise tout en entament ma reconversion professionnel.\\n\\nÇa a été une aventure passionnante, extrêmement enrichissante et qui a construit l’homme que je suis aujourd’hui, je suis extrêmement reconnaissant pour ce que j’ai vécu. Je remercie tout les clubs m’ayant fait confiance notamment la JL Bourg pour ma formation et pour l’état d’esprit général la bas, et Fos Provence Basket, Giuitta Rémi et tout les joueurs croisés (Mohamed Kamal Hachad, Adam Atamna, Sherman Gay, Christophe TopH’ Humbert, Zaynoul Bah, Mamadou El Mayor Dia, Hamza Ahamadi, IzyMoney, Sacha Giffa...) pour ces souvenirs encore si intense autant sportifs qu’humains.\\n\\nMerci Guillaume Althoffer pour tout ce que tu as fais pour moi.\\n\\nMerci à tous mes amis proches, notamment YF Tos, et ma famille pour m’avoir supporté et encouragé et pour continuer à le faire.\\n\\nMerci CTC Lyonso Basket Territoire de me faire confiance en m’offrant cette opportunité et la possibilité de démarrer ce nouveau cycle.\\n\\nA bientôt sur les terrains (et en dehors!)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Orléans : Ahmad Nivins sur le départ, Georgi Joseph prolongé toute la saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé en tant que pigiste médical d’Abdel-Kader Sylla (fracture de la main) début novembre, Georgi Joseph devrait finalement passer le reste de la saison à Orléans, comme le rapporte la République du Centre.\\n\\nA son avantage pendant sa pige l’ancien joueur de l’ASVEL a compilé 6 points, 5 rebonds et 2,3 passes décisives mais 3 balles perdues pour une évaluation de 9,3 en 22 minutes sur ses cinq matchs avec Orléans, cette saison. Ces belles statistiques lui auront donc permis de prolonger son bail avec l’OLB, lui qui connaît déjà la maison pour avoir passé la saison 2011/12 dans le Loiret.\\n\\nContrairement à son homologue Franco-haïtien, Ahmad Nivins est clairement en dessous de ses statistiques des saisons passées.\\n\\nDe retour après une déchirure des ligaments croisés du genou, l’ancien pivot palois n’est pas du tout au niveau attendu cette saison avec seulement 4,9 points et 2,1 rebonds de moyenne et il va donc quitter Orléans après le match de samedi face au Mans.\\n\\nLors de l’exercice 2013/14, Nivins dominait la Pro A sous les couleurs de l’Elan Béarnais grâce à ses 15,5 points et 6,8 rebonds de moyenne pour une évaluation 18,1 par match. Ce qui lui avait d’ailleurs permis de participer au All Star Game LNB la même année."
}, 
{"role": "user",     "content":"Eurocup : la belle performance de Mardy Collins"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A Strasbourg la saison dernière, Mardy Collins avait rebondi cet été au Lokomotiv Kuban après un exercice intéressant avec la SIG en championnat (7,6 points, 4,3 rebonds et 3,8 assists, suivi de 12,9 points, 5,9 rebonds et 4,6 passes décisives pour 15,9 d’éval en playoffs) et en Eurocup (13 points, 4,5 rebonds et 4,3 passes).\\n\\nCette saison, le natif de Philadelphie continue sur sa lancée avec la formation russe, à l’image de son carton, hier soir, face au Ratiopharm Ulm, à l’occasion de la huitième journée d’Eurocup. En 34 minutes, l’ancien Strasbourgeois a inscrit 26 points, capté 6 rebonds, délivré 6 passes et volé 4 ballons pour une évaluation finale de 25. Le hic, c’est que son équipe s’est finalement inclinée après prolongation 105-101.\\n\\nEn Eurocup, l’ancien joueur des Los Angeles Clippers compile en moyenne cette saison 12,5 points, 6,3 rebonds et 5 passes décisives par match.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mickaël Pietrus, Yakhouba Diawara et quelques figures de la Pro A toujours sans club"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Syndicat National des Basketteurs fait un point sur les joueurs qui n’ont toujours pas de job au 1er décembre. Vingt-deux joueurs sont cités.\\n\\nLes cas sont bien sûr différents et deux sont spectaculaires car concernant deux anciens NBAers.\\n\\nLe premier c’est Mickaël Pietrus (557 matches en NBA) qui était revenu à la compétition après deux saisons blanches. Tout d’abord dans un club portoricain, les Mets de Guaynabo avec Johan Petro puis au SLUC Nancy avec son frère Florent. A 34 ans, l’ex-international n’avait incontestablement plu ses jambes de jeune premier (8,7 pts à 37,2%). Pietrus a été vu en début de saison à Meilhan-sur-Garonne, un club de Nationale 2, et se disait alors en contact avec un club pro.\\n\\nLe second, c’est Yakhouba Diawara (187 matches en NBA). Le Yak est de la même génération que Pietrus, celle de Tony Parker, champion d’Europe juniors à Zadar en 2000. Le Parisien a fait des passages remarqués dans plusieurs clubs en Italie mais n’a jamais trouvé ses marques ni à Gravelines ni à Limoges (5,6 pts à 34,1% la saison dernière).\\n\\nA remarquer que plusieurs autres figures de la Pro A sont toujours sur le carreau comme l’ancien international Mamoutou Diarra (36 ans, 11 saisons de LNB), Abdou Mbaye, top-scoreur français en 2009, qui n’a que 28 ans mais dont la carrière a été gâchée par des blessures, l’Américano-Suédois Kenny Grant formé à Pau et qui dispose du statut de JFL, Victor Samnik (37 ans), et encore Jonathan Aka (30 ans) dont l’impact comme role player a été loué la saison passée à Monaco."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Poirier raconte la vie au quotidien d’un géant de 2,13m"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vous voulez tout savoir sur le Parisien Vincent Poirier, 23 ans, qui mériterait le trophée du joueur ayant le plus progressé en Pro A sur l’année 2016 et qui peut aller encore beaucoup plus haut ? Savoir comment on se débrouille dans la vie de tous les jours quand on mesure 2,13m pour 115 kg ? Il y a plein de révélations dans l’article du Parisien de ce jour, à lire ici. En plus les photos sont spectaculaires.\\n\\nDéjà avec un père qui culminait à 1,92m et une mère d’une taille presque égale, 1.88m, on est bien parti pour être un géant. Ce qui n’est pas toujours drôle surtout quand on est ado.\\n\\n« Plus jeune, j’avais l’impression que, jamais, je n’arrêterais de grandir. En classe de seconde, j’ai commencé à ne plus pouvoir passer les portes. Elles sont à 2,05 m et moi je mesurais 2,04 m... sans chaussures. Pour passer les portes, je prenais mon téléphone et je faisais semblant de regarder ou d’écrire quelque chose pour baisser la tête naturellement. J’étais complexé. »\\n\\nComme tout les big men, Vincent a recours principalement à Internet pour s’habiller.\\n\\n« Avec le club, on est équipés par une marque spécialisée pour les grands et les costauds. Je suis quand même obligé de m’adapter. J’aime bien les jeans avec des trous ou déchirés mais on n’en trouve pas à ma taille. Parfois, je fais les trous moi-même. Plus jeune, c’était plus compliqué et cela coûtait cher à mes parents. Grâce à Internet, je vais rarement en boutique. Mais il faut faire attention et s’y connaître car certaines marques taillent différemment. J’aime les vêtements longs et cintrés, proches du corps. »\\n\\nEt puis, terminé les complexes avec les filles. Celles-ci sont prévenues, il leur faut être à la hauteur !\\n\\n« Les femmes aiment bien être avec des grands, car elles peuvent mettre des talons et elles se sentent en sécurité. Ce sont elles qui me l’ont dit. Pour moi, si la fille ne mesure pas au moins 1,70 m, ce n’est pas possible. Ma première copine mesurait 1,68 m, ça faisait beaucoup d’écart. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Un palais des sports de 5 000 places à Montpellier à l’horizon 2022"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Philippe Saurel, président de la Métropole de Montpellier, a annoncé la création à l’horizon 2022 d’un nouveau stade d’une capacité de 25 000 places extensibles à 30 000. Ce qui est intéressant c’est que celui-ci s’inscrira dans « un grand complexe sportif » avec l’édification d’un nouveau Palais des Sports de 5 000 places. Le tout pour un coût de l’ordre de 100 millions d’euros.\\n\\nCe Palais des Sports servira d’écrin au Montpellier Handball et à l’équipe féminine de basket de Lattes-Montpellier. Celle-ci se contente depuis des années du vieillot palais des sports de Lattes à la capacité de seulement 1 100 places. De quoi donner de l’ambition aux championnes de France en titre."
}, 
{"role": "user",     "content":"Gravelines-Dunkerque se sépare de Steven Gray"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est officiellement terminé entre le Basket Club Maritime Gravelines-Dunkerque et son joueur Steven Gray (1,96 m, 27 ans). À travers un communiqué, la formation nordiste indique l’arrière n’est plus un membre de l’effectif professionnel du BCM.\\n\\nÉcarté du groupe depuis plusieurs semaines, sa dernière apparition en championnat Pro A remonte au 29 octobre dernier lors de la défaite 71-79 à Monaco (4 d’évaluation en 15 minutes).\\n\\nUnique rescapé de l’effectif gravelinois 2015/16, le scoreur a rendu en ce début de saison sa plus petite moyenne en 5 saisons dans l’élite française. Avec 10 points à 34,4% aux tirs, (29,3% à 3-points), 2,5 rebonds et 1,7 passe pour 6,3 d’évaluation en 26 minutes sur 6 rencontres, il était bien loin de son titre de meilleur marqueur du championnat en 2014/15 avec ses 16,8 points de moyenne (pour 14,1 d’évaluation) sous le maillot de la JDA Dijon.\\n\\nLe BCM est en quête d’un nouveau pour le remplacer."
}, 
{"role": "user",     "content":"Eurocup : Nobel Boungou-Colo brille contre l’Alba Berlin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mercredi soir à l’occasion de la rencontre comptant pour la huitième journée de l’Eurocup entre le Khimki Moscou Region et l’Alba Berlin, Nobel Boungou-colo a été le grand bonhomme du succès du club russe face à l’adversaire allemand (88-77).\\n\\n\\nL’ancien joueur du CSP Limoges a compilé 18 points à 4/7 aux tirs (2/4 à 3-points), 5 rebonds et 5 interceptions pour 26 d’évaluation en 32 minutes de temps de jeu. Devant les 1400 spectateurs du Basketball Center of Moscow Region, le Français a été le meilleur joueur de sa formation réalisant par la même occasion de son meilleur match sur la scène européenne en ce début de saison.\\n\\nEn 7 rencontre d’Eurocup, l’ailier tourne à 8 points à 56,5% aux tirs à 2 points (31,6% à 3-points), 3,3 rebonds et 0,6 passe pour 8,7 d’évaluation en 21 minutes.\\n\\nAvec 5 victoires pour 2 défaites, le Khimki Moscou Region est premier de son groupe B devant Lietuvos Rytas Vilnius, Montakit Fuenlabrada, ALBA Berlin et RETAbet Bilbao Basket qui ferme la marche."
}, 
{"role": "user",     "content":"Grand chelem pour les clubs français en Basketball Champions League"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ces deux derniers soirs, les quatre équipes françaises ont gagné en Basketball Champions League. Champagne ! Mieux encore, au terme de la phase aller, elles sont toutes les quatre en excellente position pour se qualifier et même certaines pour terminer première ou deuxième de leur groupe et ainsi éviter le premier tour des playoffs.\\n\\nPas inutile de rappeler à ce sujet -car c’est très complexe!- que les quatre premiers des cinq poules de huit équipes sont qualifiées pour ces playoffs ainsi que les quatre meilleurs cinquièmes. Et aussi que les premiers de chaque poule ainsi que les trois meilleurs deuxièmes sont directement qualifiés pour le 2e tour.\\n\\nL’AS Monaco (6 victoires pour une défaite) est premier de la poule A avec Banvit, l’une des meilleures équipes de cette BCL quand on sait que dans le championnat turc elle est leader avec Anadolou Efes et le Fenerbahçe. D’ailleurs, les Monégasques ont pris le bouillon de l’année à l’aller, 64-79. Ça sera déjà bien de s’imposer sur le Rocher.\\n\\nLe Mans Sarthe Basket n’a jamais connu de toute son histoire –il fêtait hier son 200e match européen- un début de Coupe d’Europe aussi éblouissant. Hier, avec le retour de Ryan Pearson (12 points en 23 minutes), il s’est imposé largement à Saratov (95-78) qui certes n’est pas du meilleur tonneau (11e sur 13 de VTB League) mais qui est tout de même coriace à jouer au fin fond de la Russie. La prochaine étape est Venise en Italie, le second de la poule, et avec une victoire les Sarthois s’approprieraient presque définitivement la première place.\\n\\n\\nL’ASVEL joue aussi la première place\\n\\nL’ASVEL (5-2) est également bien positionnée et c’est très positif quand on sait que les Villeurbannais ont eu quelques pépins jusqu’ici ; on attend d’ailleurs toujours le retour en piste de Charles Kahudi.\\n\\n« C’est un très bon signe pour le futur ! », assure sur le site du club le coach J.D. Jackson après la victoire des siens sur Usak (83-69) « On est désormais dans une situation comptable très intéressante, surtout que les autres résultats de la soirée nous ont été favorables. Pour nous maintenant, il sera essentiel de gagner nos matchs à domicile pour assurer l’une des deux premières places. »\\n\\n« Je pense que l’on a vraiment de quoi terminer à la première place de la poule, même si on a laissé échapper un match à Varèse », surenchérit Walter Hodges. « Il nous manque encore des joueurs importants et quand tout le monde sera là, je pense que l’on peut vraiment faire peur. »\\n\\nEnfin Strasbourg (4-3) est un peu en retrait faute d’avoir perdu ses deux premiers matches mais ce n’est plus la même équipe depuis que Vincent Collet à repris place sur le banc. L’apport de Romeo Travis (13 points et 6 passes face à Morna), qui connaît aussi la maison, commence déjà à porter ses fruits.\\n\\nEn résumé, aucun de leurs 36 potentiels adversaires ne paraît au-dessus des forces de nos quatre représentants."
}, 
{"role": "user",     "content":"Nice – Basket Landes :  et la main de Céline Dumerc a tremblé..."
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les duels fratricides en Coupe d’Europe ont ceci de pénibles qu’ils ne sont que des répétitions de ce que l’on a vu précédemment en championnat. Ainsi, c’est trois jours après leur affrontement en LFB que le Cavigal Nice et Basket Landes se sont retrouvés pour le compte de l’EuroCup. Mais si la première fois ce sont les Landaises qui se sont imposées (71-66), cette fois ce sont les Niçoises qui ont mis la main sur le butin (67-64) malgré l’activité débordante de la pivot américaine Cierra Bravard (1,93m) en attaque (28 points à 11/17).\\n\\nLes Niçoises ont longtemps mené assez tranquillement à la marque (29-18) avant de souffrir dans les derniers instants. Basket Landes aurait même pu égaliser mais la main de Céline Dumerc -qui avait mis les deux précédents- a tremblé puisqu’elle a loupé ses trois lancers à 21 secondes du buzzer !\\n\\n« Je suis évidemment déçu de notre match », a commenté Olivier Laffargue, le coach, dans Sud Ouest. « Nous n’avons pas été très performants aux lancers francs. Mais quand on n’obtient que 13 lancers contre 29 pour les Niçoises, c’est sûr que ça fait pencher la balance en notre défaveur. En ce qui concerne cette EuroCup, on sait maintenant que notre destin n’est plus entre nos mains. Il va falloir regarder attentivement ce que fera Nice contre Venise, lors de la prochaine journée. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 1er décembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\n“Papa” Travis couve ses “petits”\\n\\n– À seulement 31 ans, Romeo Travis est le doyen de la SIG. Une première pour l’intérieur américain, qui assume ses nouvelles responsabilités, avec... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nOLB – Lyon SO avec Philippe Haquet !\\n\\n– Dans une poule D de NM2 dominée par Pont-de-Chéruy, Lyon SO et l’OLB sont à la lutte pour la place de dauphin. Déjà prometteuse, leur confrontation de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond Basket: Walker distingué\\n\\n– Le Saint-Chamond basket vallée du Gier avait choisi les locaux de la société Véolia eaux à Saint-Chamond pour organiser la première cérémonie de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nN2 et N3\\n\\n– Dominé par le leader Pont-de-Chéruy la semaine précédente, Feurs a réalisé une belle opération lors de la 9e journée de NM2 en allant s’imposer sur le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPré-nationale masculins\\n\\n– Le FJ Belley va devoir batailler tous les matches retour pour accrocher l’une des 4 premières places synonymes de maintien et pourquoi pas d’accession... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe Clar en retard\\n\\n– Absents en début de match, les joueurs de Ludo Meilland ont couru en vain après le score à Lentigny (71-82). « On a oublié qu’un match commençait dès... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe Tournoi des Petits As fin décembre\\n\\n– C’est inscrit maintenant dans le calendrier, ce tournoi réservé aux U9 et U11 a bien lieu chaque année pendant les vacances de Noël. Pour la zone... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLaurent Pluvy : « Bien au-delà du derby ! »\\n\\n– La Halle Bouloche archicomble vendredi soir, se parera des couleurs rouges et bleues des deux clubs. Un derby haut en couleurs en perspective... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa Chorale s’offre une parade\\n\\n– Dans une ambiance des grands soirs, la Chorale a su arracher le ticket pour la finale de la Leaders Cup. Comme une photo du renouveau choralien. Il... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Un gros challenge qui nous attend »\\n\\n– Pour Alain Thinet, le coach du SCB, la réception de la Chorale de Roanne constitue forcément un derby attendu, mais aussi un énorme défi face à une... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nYacine Aouadi, le globe-trotter\\n\\n– De Lagnieu à Istanbul, en passant par Los Angeles, l’ancien entraîneur de Culoz sillonne le monde dans son nouveau métier de « coach personnel »... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Asvel prend le bon virage\\n\\n– Solides face aux Turcs d’Usak, les Villeurbannais ont consolidé leur deuxième place de la poule C à la fin des matches allers... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe sniper Mister Roberson a réglé la mire pour de bon\\n\\n– Après un début de saison difficile, le capitaine de l’Elan, John Roberson, brille de mille feux. Et Chalon ne s’arrête plus de gagner dans son sillage... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe promu au pied du mur\\n\\n– Aix-Maurienne – Poitiers De retour en Pro B, les Savoyards doivent se relancer et interrompre face au PB une série de cinq revers consécutifs en championnat... Lire la suite.\\n\\n\\nRoméo Travis, le grand frère\\n\\n– Exemplaire sur le terrain comme en dehors depuis son retour à Strasbourg il y a trois semaines, l’Américain naturalisé Macédonien Roméo Travis... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Le Mans seul en tête du groupe B"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le cadre de la septième journée de Champions League, le Mans Sarthe Basket se déplaçait à Saratov et les hommes d’Erman Kunter se sont imposés 95-78 face aux Russes.\\n\\nAvec 10 points, 10 rebonds et 3 interceptions pour une évaluation de 18, Wilfried Yeguete a été élu meilleur joueur du match, bien accompagné par Olivier Hanlan et Pape-Philippe Amagou qui ont inscrit respectivement 18 et 16 unités. La boxscore du match est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nLe technicien manceau est revenu sur ce résultat en conférence de presse d’après match.\\n\\n« C’est un match important puisque nous avons réussi à montrer une vraie différence entre eux et nous. C’était notre septième match, nous comptons six victoires et celle-ci était très importante à l’extérieur. Ce n’est jamais facile de venir et de gagner à Saratov donc c’est bien. Nous avons gardé le contrôle du match et nous sommes restés disciplinés. Défensivement ce n’était pas parfait mais offensivement nous avons fait du très bon travail. »\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : l’ASVEL sans trembler face à Usak"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la septième journée de Champions League, l’ASVEL recevait les Turcs de l’Usak Sportif. En remportant trois quarts temps sur quatre, les hommes de J.D. Jackson se sont imposés sans trembler 83 à 69.\\n\\nAvec 24 points, 9 rebonds et 5 passes décisives pour une évaluation de 29 pour l’un et 12 points, 4 rebonds et 9 assists pour une éval de 23, les Villeurbannais ont pu compter sur un Walter Hodge et un DeMarcus Nelson de très haut niveau. La boxscore du match est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nElu MVP de la rencontre, Hodge s’est exprimé sur le match, comme indiqué sur le site du club.\\n\\n« On a fait du bon boulot, c’est une victoire collective sérieuse. On a très bien défendu ensemble et on a été solidaire aux rebonds, c’était l’une des clés de la soirée. Je pense que l’on a vraiment de quoi terminer à la première place de la poule, même si on a laissé échapper un match à Varèse. Il nous manque encore des joueurs importants et quand tout le monde sera là, je pense que l’on peut vraiment faire peur. »\\n\\nDe son côté, le technicien villeurbannais s’est montré très optimiste pour la suite de la compétition.\\n\\n« Selon moi, ce n’était pas un match si serré, mais on l’a rendu compliqué en perdant autant de ballons bêtement. Mais on a su rentrer les tirs qu’il fallait face à leur défense, et Walter HODGE et DeMarcus NELSON ont été très importants, scoreurs et créateurs. L’équipe a montré beaucoup de caractère, a fait preuve de sang-froid contre une formation qui jouait à la limite... C’est un très bon signe pour le futur ! On est désormais dans une situation comptable très intéressante, surtout que les autres résultats de la soirée nous ont été favorables. Pour nous maintenant, il sera essentiel de gagner nos matchs à domicile pour assurer l’une des deux premières places. »\\n\\nPhoto : FIBA Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Phoenix Hagen exclus du championnat allemand"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ça ne plaisante pas en Allemagne ! Pour raisons financières, le club de Phoenix Hagen perd sa licence dans la EasyCredit BBL et va être exclu du championnat. Sportivement le club est également mal en point puisqu’il a perdu ses 11 matches joués.\\n\\nSon pivot est l’Américain Trent Plaisted passé par Limoges en 2012-13 et 2014-15.\\n\\nHagen disputera néanmoins encore deux matches à Riesen Ludwigsburg et le 10 décembre en recevant Lowen Braunschweig. La BBL continuera ensuite à 17 clubs.\\n\\nPhoenix Hagen avait été créé en mai 2004 et avait pris la succession de Brand Hagen, qui avait été liquidé, afin de perpétuer la tradition du basket dans la région."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Aloysius Anagonye vers Evreux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Privé de son pivot Letton Ricmonds Vilde jusqu’à la trêve de Noël, l’ALM Evreux aurait, selon Grégory Caru-Thomas, mis la main sur Aloysius Anagonye.\\n\\nAppelé en tant que pigiste médical, Anagonye est déjà passé par la France et la Pro A, entre Orléans (2007/2008), Paris-Levallois (2013/2014) et Boulogne-sur-Mer (2014/2015), et est donc sur le point de connaître sa première expérience en deuxième division française.\\n\\nLe natif de Detroit devrait donc être engagé par Evreux jusqu’à la fin de l’année civile. En LNB, il compile en moyenne 7,6 points et 4,8 rebonds pour 9 d’évaluation en 78 matchs joués en championnat.\\n\\nPhoto : Paris-Levallois –Karen Mandau"
}, 
{"role": "user",     "content":"Légende du basket lituanien, Rimas Kurtinaitis quitte Cantu"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Rimas Kurtinaitis, 56 ans, est une légende du basket lituanien. Il fut notamment champion olympique avec l’URSS à Séoul, deux fois médaillé de bronze olympique avec la Lituanie devenue indépendante, et passa par Chalon et Angers juste avant de devenir ministre des sports de son pays entre 1997 et 2001.\\n\\nSa carrière d’entraîneur l’a amené dans divers clubs baltes et russes dont le Khimki Moscou à partir de 2011 et jusqu’en mars 2016 date à laquelle il dût céder sa place à une autre légende, monténégrine cette fois, Dusko Ivanovic.\\n\\nQuelques mois plus tard, Rimas Kurtinaitis retrouvait un job à Cantu qui a la particularité d’être la propriété de Dmitry Gerasimenko –il en possède 65% des parts-, un russe d’origine ukrainienne qui a fait fortune dans l’acier.\\n\\nKurtinaitis n’aura pas fait long feu puisque le club vient d’annoncer son remplacement par son adjoint lui aussi ukrainien, Kirill Bolshakov. D’un côté, l’agent dit que c’est le coach qui a souhaité partir. De l’autre, le club dit qu’il s’en est séparé.\\n\\nPeu importe la vérité, le fait est que l’Acqua Vitasnella Cantu -alias « Octobre Rouge »... » est dans un piteux état. Ce club prestigieux, qui compte à son palmarès dix Coupes d’Europe et dans ses rangs actuels l’ancien joueur de Nancy et Strasbourg Tremmel Darden, est dernier ex-aequo de la Lega avec 2 victoires en 9 matches."
}, 
{"role": "user",     "content":"Championnat nationaux : le Top 10 de la semaine (26 novembre)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque saison depuis maintenant cinq ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCette semaine, c’est Souarata Cisse (BCO Orchies, NM1) qui pointe à la première place du classement grâce à un shoot ultra clutch qui offre la victoire à son équipe.\\n\\n\\nTop 10 CourtCuts FFBB du 26 Novembre 2016 par FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les joueurs de Pro A reproduisent les gestes des pionniers du début du XXe siècle"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est à Paris, rue de Trévise, dans le gymnase de l’UCJG (Union Chrétienne des Jeunes Gens), en 1893, qu’est apparu le basket en Europe. Un joyau du patrimoine sportif mondial où les ballons de basket rebondissent toujours et qui a servi de cadre au media day de la Ligue Nationale de Basket fin septembre.\\n\\nLe photographe Hervé Bellenger a demandé aux joueurs de Pro A présents de reproduire une phase d’une partie de basket-ball disputée à cet endroit même au début du XXe siècle. C’est réussi.\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"SAP Vaucluse (NM1) : Sylvain Lautié sur le départ ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sylvain Lautié et le SAP Vaucluse bientôt de l’histoire ancienne ?\\n\\nLe technicien français et le club vauclusien devraient se séparer prochainement. C’est une information publiée hier (mardi 29 novembre) sur le site officiel de la formation de Nationale 1 qui ne fait pas de mystère.\\n\\n« Ce week-end, Sylvain Lautié a reçu un appel du président du SLUC Nancy, Marc Barbé, lui offrant un entretien pour le poste d’entraîneur de l’équipe de Pro A. Sylvain Lautié a répondu favorablement à cet entretien qui s’est déroulé lundi après-midi. Il n’a pas été retenu par les dirigeants nancéiens. Cet épisode a fragilisé le groupe et la confiance que les joueurs avaient en lui. Malgré cela, Sylvain Lautié continue à aider le club par toutes ses idées fédératrices tant au niveau de notre union ainsi que dans la relation avec nos partenaires.«\\n\\nArrivé l’été dernier au Basket Sorgues Avignon Le Pontet Vaucluse, l’aventure entre le vainqueur de la Coupe Korac avec Nancy en 2002 et le récent onzième du dernier exercice de NM1 pourrait donc déja prendre fin.\\n\\nC’est Jonathan Colas (son assistant) et Olivier Gautheret (le directeur sportif) qui seront sur le banc samedi soir pour diriger la réception du GET Vosges. Un match important pour la formation du 84 qui pointe à la quinzième au classement avec un bilan de huit revers pour cinq succès."
}, 
{"role": "user",     "content":"L’Euroleague refuse la main tendue de la FIBA !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FIBA avait tendu récemment la main à l’Euroleague en lui demandant d’inclure le vainqueur de la Basketball Champions League dans sa compétition pour 2017-18.\\n\\n« Impossible, ça n’aurait aucun sens », a répondu fermement Jordi Bertomeu le boss de ECA –l’organisme qui gère l’Euroleague et l’Eurocup-, au quotidien italien Tuttosport. « Dans quel tournoi, vous sautez de plusieurs catégories après avoir gagné ? » Dans sa logique, Bertomeu considère l’Euroleague comme la C1 et la BCL comme la C3.\\n\\nD’ailleurs, pour bien montrer qu’il n’est pas prêt à faire de concession, Jordi Bertomeu se dit prêt à réintégrer Reggio Emilia, Trento et Sassari, qui avaient obtenu cet été une présence garantie de trois ans en Eurocup mais qui avaient été contraints par la fédération italienne de se désengager. Une quatrième équipe italienne, Cantu, avait obtenu une wild card mais l’avait finalement décliné.\\n\\nVisiblement, le brasier n’est pas prêt de s’éteindre.\\n\\nJordi Bertomeu a par ailleurs indiqué que le nombre de spectateurs en Euroleague est en hausse d’environ 30% vis à vis de la saison dernière, ainsi que le audiences TV, sans donner de chiffres, alors que l’impact sur les réseaux sociaux a doublé."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : les meilleurs joueurs de la 10e journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la dixième journée de Pro A, l’équipe de SFR Sport a dressé le bilan des cinq meilleurs joueurs français et et des cinq meilleurs joueurs étrangers de la semaine.\\n\\nDu côté Français, c’est Jonathan Rousselle qui a été sélectionné pour figurer dans le cinq majeur français de la semaine. Dans la très courte victoire de Cholet Basket face aux BCM Gravelines-Dunkerque (101-99), le meneur de jeu a compilé 15 points, 2 rebonds et 3 passes décisives pour une évaluation de 18. Côté étranger, c’est Zack Wright qui prend la place de meneur dans le cinq type de la semaine avec 13 points, 2 rebonds et 8 passes décisives pour 20 d’évaluation dans le succès de l’AS Monaco face au Portel 66-62.\\n\\nAu poste de deuxième arrière, c’est Nicolas Lang qui prend place dans le cinq majeur français de la semaine grâce à ses 14 points, 7 rebonds et 2 passes décisives (12 d’éval) enregistrés dans la victoire de l’ASVEL contre Dijon (79-72). Du côté des JNFL, c’est un autre Villeurbannais puisque c’est DeMarcus Nelson qui prend la place d’arrière dans ce cinq majeur de la semaine en compilant 15 points, 7 rebonds et 4 assists (19 d’éval).\\n\\nA l’aile, c’est Jeremy Leloup qui a été sélectionné grâce à son bon match face à Nancy (16 points, 1 rebond et 2 assists pour 20 d’éval) que la SIG a remporté très largement 106-75. Pour les étrangers, c’est Mykal Riley qui entre dans le cinq type de la semaine grâce à ses 11 points, 5 rebonds et 4 passes décisives compilés pour une éval de 19 face à Antibes (70-55).\\n\\nAu poste 4, c’est Nicolas De Jong qui a été choisi en compilant 19 points, 3 rebonds et 3 assists (25 d’évaluation) dans la victoire du CCRB face aux MSB (98-89). Pour les étrangers, c’est le Limougeaud C.J. Fair qui fait son apparition dans le cinq type de la semaine. Dans le match face au HTV remporté par le CSP 80-68, l’intérieur a enregistré un très beau double-double avec 25 points, 10 rebonds et 2 passes décisives pour une éval de 31.\\n\\nEnfin, Jerry Boutsiele a été élu meilleur poste 5 de la semaine en inscrivant 14 points et en captant 10 rebonds plus 2 passes décisives (23 d’éval) dans le succès de Cholet face au BCM. Côté étranger, c’est l’intérieur de l’ASVEL, Darryl Watkins qui termine meilleur poste 5 de la semaine en compilant 16 points et 9 rebonds pour une évaluation de 25 dans la victoire de son équipe face à la JDA.\\n\\n\\nCinq majeur français\\n\\n * Joathan Rousselle (Cholet) : 15 points, 2 rebonds, 3 passes décisives, 18 d’évaluation.\\n * Nicolas Lang (Lyon-Villeurbanne) : 14 points, 7 rebonds, 2 passes décisives, 12 d’évaluation.\\n * Jeremy Leloup (Strasbourg) : 16 points, 1 rebond, 2 passes décisives, 20 d’évaluation.\\n * Nicolas De Jong (Chalons-Reims) : 19 points, 3 rebonds, 3 passes décisives, 25 d’évaluation.\\n * Jerry Boutsiele (Cholet) : 14 points, 10 rebonds, 2 passes décisives, 23 d’évaluation.\\n\\n\\nCinq majeur étranger\\n\\n * Zack Wright (Monaco) : 13 points, 2 rebonds, 8 passes décisives, 20 d’évaluation.\\n * DeMarcus Nelson (Lyon-Villeurbanne) : 15 points, 7 rebonds, 4 passes décisives, 19 d’évaluation.\\n * Mykal Riley (Nanterre) 11 points, 5 rebonds, 4 passes décisives, 19 d’évaluation.\\n * C.J Fair (Limoges) : 25 points, 10 rebonds, 2 passes décisives, 31 d’évaluation.\\n * Darryl Watkins (Lyon-Villeurbanne) : 16 points, 9 rebonds, 25 d’évaluation."
}, 
{"role": "user",     "content":"Bourges s’attaque à la Dream Team européenne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tango Bourges-UMMC Ekaterinbourg, c’est une sorte de clasico européen tant les deux équipes se sont déjà affrontées de nombreuses fois en EuroLeague. L’édition de cette année dont la première manche se tient cet après-midi à 15h, en Russie, est une énième version de David contre Goliath.\\n\\nCertes la fronde a déjà trouvé sa cible... Les Françaises ont triomphé deux fois dans l’Oural, en 2005 et 2008, et aussi dernièrement au Prado en janvier 2014. On peut aussi remarquer que les Russes se sont fait surprendre lors de la première journée à Salamanque (72-83). Seulement voilà, elles n’étaient pas au complet et l’équipe alignée cet après-midi ressemble à une Dream Team.\\n\\n\\nTaurasi, Griner, Lyttle...\\n\\nDéjà Diana Taurasi (1,83m, 34 ans) et Sancho Lyttle (1,93m, 33 ans) sont de retour après un break post WNBA. L’Américaine est sinon la meilleure joueuse du monde depuis dix ans du moins au minimum la joueuse extérieure la plus tranchante de la planète. L’Espagnole, originaire de Saint-Vincent-et-les-Grenadines, a été élue MVP européenne en 2013 et son abattage dans la peinture est souvent décisif. En bout de piste ces deux trentenaires confirmées ? Pas du tout. Taurasi a scoré 15 points et pris 6 rebonds dimanche dans le match au sommet du championnat russe contre Koursk gagné 63-56. Lyttle a ajouté 8 points et 3 rebonds et totalement éclipsé Helena Ciak.\\n\\nLa troisième perle, c’est Brittner Griner... Le meilleur pivot du monde possède une taille (2,03m), une envergure, une mobilité, une technicité hors normes, plus une série de tatouages et une voix grave qui la rendent facilement reconnaissable. En l’absence de Diana Taurasi et Sancho Lyttle, c’est elle qui a tenu la maison en EuroLeague : 16,0 pts et 6,0 rbds\\n\\nLe reste de l’équipe ne dépareille pas. Deanna Nolan (1,83m, 37 ans), et Kristi Toliver (1,70m, 29 ans) sont deux Américaines très expérimentées ; pour détourner les règlements, la première joue comme Russe et la deuxième comme Slovaque. Pourquoi se gêner quand on en a les moyens ? La Belge Emma Meesseman (1,93m, 23 ans) est une jeune prodige que l’on a pu apprécier lors de son séjour à Villeneuve d’Ascq. L’Espagnole Alba Torrens (1,91m, 27 ans) multi-médaillée fut élue Meilleure Joueuse Européenne en 2011 et 2014. Il y a aussi des Russes, des vraies, dont la plus performante est Evgenia Belyakova (1,84m, 30 ans) qui joue proprement les ballons qu’on veut bien lui donner.\\n\\n\\nDiana Taurasi à un million de dollars la saison\\n\\n« Taurasi, Griner, Lyttle, Torrens, Meessman, Belyakova, un seul de ces salaires équivaut à la masse salariale des Berruyères puisqu’on évoque le chiffre d’un million d’euros annuel pour l’Américaine Diana Taurasi », constate Le Berry. « Ceci étant, toutes les joueuses adorent disputer ce type de rencontre et se frotter à ce qui se fait de mieux sur le continent. Cela permet de s’étalonner, de montrer aux cracks de quoi on est capables. »\\n\\nPour corser si besoin l’affaire, les Berruyères sont privées de l’Anglaise Jo Leedham, blessée au pied, alors que la Serbe Miljana Bojovic a été ménagée à l’entraînement à cause de nouvelles douleurs à la fesse.\\n\\nOui, ça serait un extraordinaire exploit de gagner là-bas, aux confins de l’Europe et de l’Asie.\\n\\nLe match est à regarder en direct ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 30 novembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nBlessé à la fin du match contre Le Portel, Ebi Ere\\n\\n– Blessé à la fin du match contre Le Portel, Ebi Ere ? Victime d’une élongation au mollet droit, n’a pas joué à Strasbourg. Arrêté jusqu’au match contre... Lire la suite.\\n\\n\\nMarc Barbé, le président du SLUC a d’abord présenté Gregor Beugnot aux dirigeants du club présents\\n\\n– Marc Barbé, le président du SLUC a d’abord présenté Gregor Beugnot aux dirigeants du club présents hier à la conférence de presse. Avant de laisser la... Lire la suite.\\n\\n\\nGregor Beugnot : « Je ne ferai pas de cadeau »\\n\\n– Appelé au chevet du SLUC en remplacement d’Alain Weisz, Gregor Beugnot adopte un discours musclé pour sortir l’équipe de l’ornière. Il n’hésitera pas... Lire la suite.\\n\\n– La SIG met quatre petites minutes à canaliser le jeu des Monténégrins, portés par Jones et Tatum (2-9, 4e ’). Jaiteh, Leloup et Travis, derrière... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nQue du positif\\n\\n– La SIG a signé son plus large succès de la saison en Ligue des champions, hier soir contre les Monténégrins de Mornar Bar (93-62). Au sortir du cycle... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nClément Cavallo capitaine courage\\n\\n– Ma perf c’est juste un petit plus et moi en plus j’adore Disney... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa Chorale arrache sa finale\\n\\n– Bousculée trente minutes par des héroïques Aixois, la Chorale décroche sa finale aux tripes !... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg tout prêt de l’exploit\\n\\n– Privés de deux joueurs, les Bressans remportent une belle victoire mais pas suffisante pour aller à Disneyland. Roanne (vainqueur d’Aix-Maurienne) et... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDeMarcus Nelson a tout changé\\n\\n– Décisif à Dijon samedi dernier, le nouvel arrière (1,93 m ; 31 ans) stabilise depuis un mois une équipe de l’Asvel secouée par les blessures de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBasket Leaders Cup – Une JL gagnante mais éliminée\\n\\n– Les Burgiens s’imposent à Boulogne-sur-Mer en demi-finales retour de Leaders Cup mardi 29 novembre (72 – 82). Mais à l’addition des deux matchs (défaite de 17 points à l’aller, voir... Lire la suite.\\n\\n\\nUn point de pénalité pour la Berri Basket ?\\n\\n– Le nouvel Américain, DeAndre Leatherwood (NR d’hier), va avoir du pain sur la planche pour aider la Berrichonne Basket dans sa tentative de maintien en Nationale 2. La tâche des... Lire la suite.\\n\\n\\nPourquoi le basketteur serbe de l’UTBM (N2) Vladimir Matic n’a pas joué samedi dernier contre l’île de Ré ?\\n\\n– Depuis la signature la semaine dernière de Bruno Cingala-Mata, le club de basket tourangeau possède désormais cinq joueurs mutés dans son effectif, alors que le règlement... Lire la suite.\\n\\n\\nLenoir, la formation a du bon\\n\\n– S’il est passé par la Normandie, Charly Lenoir est un pur produit du club audonien. Un an après son retour, il veut mener son équipe en prénationale... Lire la suite.\\n\\n\\nEschentzwiller au repos forcé\\n\\n– Incroyable début de saison que celui de l’ASCL Eschentzwiller, promue en D2 : après deux mois de compétition et six journées de championnat... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe compte est bon\\n\\n– Les Strasbourgeois n’ont connu aucune difficulté pour s’imposer, hier soir au Rhénus, face aux Monténégrins de Mornar Bar et finir la phase aller du... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Monaco s’impose d’une courte tête à Salonique"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le cadre de septième journée de Champions League, l’AS Monaco se déplaçait sur le parquet de l’Aris Salonique. Les Monégasques l’ont emporté dans les derniers instants 65 à 62.\\n\\nLes hommes de Zvezdan Mitrovic se sont défaits des Grecs dans les derniers instants grâce notamment à un tir à trois points de Jordan Aboudou inscrit à 25 secondes de la sirène finale sur un service de Zach Wright. Plus complet avec 13 points, 7 rebonds, 2 interceptions et 4 passes décisives pour une évaluation de 17, Dee Bost est élu joueur du match.\\n\\nL’entraîneur de Monaco s’est exprimé après le match en conférence de presse.\\n\\n« C’était un match difficile. C’était notre quatrième match en huit jours donc on n’a pas vraiment eu beaucoup de temps pour le préparer mais on a quand même pu étudier le comportement offensif de l’Aris Salonique, hier matin. En seconde mi-temps, à partir du moment où l’on a contrôlé le rebond cela a fait la différence. «\\n\\nPhoto : FIBA Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ryan Pearson de retour, Le Mans attend aussi davantage de Mouph Yarou et Petr Cornelie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Victime d’une grosse entorse à la cheville, Ryan Pearson (1,96m, 26 ans) sera de retour ce soir (18h) sur le terrain de Saratov, au fin fond de la Russie, dans le cadre de la Basketball Champions League. L’Américain, qui est le top-scoreur manceau aussi bien en Pro A qu’en BCL, a participé dimanche à son premier entraînement avec opposition et devrait être utilisé avec parcimonie. Sans ce gaucher parfois trop gourmand, le MSB a paru jouer plus collectivement et a gagné quatre de ses cinq matches.\\n\\n« Sur certains matches, il nous a apporté beaucoup », corrige Erman Kunter dans Ouest France. « Dans la rotation, ce sera aussi un joueur de plus car depuis quelque temps, on a tendance à tirer sur certains et cela se ressent. Je pense à Will Yéguété. »\\n\\nL’intérieur manceau, qui devrait être retenu pour le All-Star Game, peut-être même dans le Cinq de départ, passe 26 minutes sur le parquet deux fois la semaine et avec un jeu qui lui fait dépenser beaucoup de calories.\\n\\n\\nPetr Cornelie sur la pente descendante\\n\\n\\nAlors que le Béninois Mouph Yarou blessé au genou en début de saison est encore loin du niveau de ses double double de la saison dernière (4,7 pts et 3,4 rbds en Pro A), le MSB a un autre souci avec Petr Cornelie. Efficace il y a quelques mois, drafté par les Denver Nuggets en 53e position position, l’intérieur a également été blessé juste avant la reprise (fracture du manubrium sternal) et son rendement similaire à celui de Yarou (4,4 pts et 3,4 rbds) est très inférieur de ce que l’on peut espérer d’un jeune de 21 ans et 2,12m, mobile, opportuniste, redoutable à trois-points.\\n\\n« J’attends un peu plus de lui, qu’il ne s’arrête pas au premier effort », annonce le coach du MSB. « Quand il est trop agressif, il a tendance à commettre des fautes. Je vais essayer de le pousser à nouveau mais je trouve qu’il est sur une pente descendante depuis le mois de décembre de l’an passé. Le retour de Ryan peut aussi être un élément déclencheur. Cette concurrence peut l’aider, je pense. Un coach comme moi agit sur le temps de jeu, c’est à cela que l’on mesure la confiance que l’on accorde. Petr a joué 27 minutes à Izmir. »\\n\\nSeul leader du groupe B avec une défaite pour cinq victoires, le MSB a besoin de toutes ses forces vives face à Aftodor Saratov décevant jusque là (3v.-3d) mais au potentiel certain. Et puis ce n’est jamais favorable de jouer aussi loin de ses bases."
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Frank Ntilikina fait le show !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Malgré la présence dans le roster de quatre Américains et deux Serbes, les Monténégrins du KK Mornar étaient trop peu armés pour faire face à la SIG et ils se sont fait enfoncer hier soir au Rhénus, 93-62.\\n\\nL’un des flashs de la soirée est venu de Frank Ntilikina. On sait que le jeune meneur (18 ans) strasbourgeois possède un QI basket, une créativité, et une maturité exceptionnelles mais aussi des qualités athlétiques hors normes pour son poste. Il est grand (1,94m), est doté de longs segments (2,13m d’envergure) et sait jumper. C’est ce qu’il nous démontre sur l’action où on le voit déborder son vis-à-vis, transpercer la défense de Mornar et planter un dunk aérien.\\n\\nCette fluidité est l’une des raisons pour lesquelles on attend de lui qu’il soit positionné très haut dans la prochaine draft bien qu’il ne soit né qu’en 1998 et qu’il devienne ensuite l’héritier de Tony Parker en équipe nationale.\\n\\nFrank Ntilikina a rendu hier soir une copie complète : 10 points, 4 passes, 3 rebonds, 1 contre pour 15 d’évaluation, la deuxième de son équipe."
}, 
{"role": "user",     "content":"Roanne et Boulogne en finale de la Leaders Cup Pro B"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En éliminant respectivement Aix-Maurienne et Bourg-en-Bresse, la Chorale de Roanne et le SOM Boulogne se sont qualifiés pour la finale de la Leaders Cup Pro B.\\n\\nCelle-ci se tiendra le dimanche 17 février 2017 à la Disney Arena en lever de rideau de celle de Pro A. Le vainqueur se verra offrir une qualification directe pour les Playoffs d’Accession.\\n\\nLes deux premiers vainqueurs du trophée sont Antibes en 2015 et Bourg-en-Bresse en 2016."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Guerschon Yabusele s’amuse en Chine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Seize joueurs pour neuf pays, le contingent tricolore a bien regonflé ses troupes pendant l’intersaison. De la Lituanie à l’Espagne, de l’Allemagne à la Grèce en passant par la Russie et la Chine (!), Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\nLa meilleure performance du weekend nous vient tout droit de Chine avec Guerschon Yabusele qui s’est fendu d’un double double tranchant : 18 points, 13 rebonds. L’intérieur tricolore drafté par les Celtics continue d’emmagasiner les minutes en Chine, avec beaucoup de tirs tentés, et toujours aussi peu de véritable concurrence (l’ancien des Grizzlies, Hamed Haddadi ce weekend).\\n\\n\\nTriste weekend en Liga\\n\\nSi Edwin Jackson n’en finit plus d’affoler les compteurs, avec 27 points ce weekend, son équipe d’Estudiantes a dû à nouveau s’incliner face à Gran Canaria. Et en fait, à part Antoine Diot (auteur d’un tout petit match) et Valence, tous les franceses ont mordu la poussière en Liga ACB ce weekend. Tous deux en double figure, Rodrigue Beaubois et Kim Tillie ont même été assommés d’un tir de la gagne des plus improbables face à Tenerife.\\n\\nPar ailleurs, en Lituanie, en Serbie, en Russie et en Turquie, les Français de l’étranger ont fait le taff avec sérieux. Léo Westermann (12 points, 8 passes, 4 rebonds) a noirci la feuille de stats dans une victoire du Zalgiris. De même, Adrien Moerman est revenu dans le cinq majeur de coach Blatt pour signer un double double dans la victoire du Darussafaka. Thomas Heurtel a également été solide avec 10 points et 8 passes. Attention néanmoins à cette fâcheuse tendance à perdre trop de ballons pour le meneur stambouliote (5 encore)...\\n\\n\\nAllemagne\\n\\nFabien Causeur (Bamberg) : pas de match ce weekend\\n\\n\\nChine\\n\\nGuerschon Yabusele (Shanghaï) : 18 points (7/19 aux tirs), 13 rebonds, 2 passes en 26 minutes (victoire 102-90 face à Sichuan)\\n\\n\\nEspagne\\n\\nEdwin Jackson (Estudiantes) : 27 points (6/18 aux tirs), 6 rebonds, 4 passes mais 4 ballons perdus en 37 minutes (défaite 86-78 face à Gran Canaria)\\n\\nRodrigue Beaubois (Vitoria) : 11 points (5/8 aux tirs), 1 passe en 24 minutes (défaite 73-72 face à Tenerife)\\n\\nKim Tillie (Vitoria) : 10 points (4/5 aux tirs), 5 rebonds, 3 interceptions en 26 minutes (défaite 73-72 face à Tenerife)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 6 points (1/4 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 1 interception mais 5 ballons perdus en 23 minutes (défaite 85-73 face à Fuenlabrada)\\n\\nAli Traore (Estudiantes) : 6 points (3/4 aux tirs), 4 rebonds, 1 interception, 1 contre en 16 minutes (défaite 86-78 face à Gran Canaria)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : 3 points (1/4 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes mais 3 ballons perdus en 22 minutes (victoire 66-56 face à Séville)\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAngelo Tsagarakis (Trikala) : 3 points (1/5 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 1 interception en 26 minutes (défaite 84-67 face à Patras)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Brindisi) : 13 points (5/11 aux tirs), 6 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 1 contre en 34 minutes (défaite 76-73 face à Avellino)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLeo Westermann (Kaunas) : 12 points (3/7 aux tirs), 8 passes, 4 rebonds en 28 minutes (victoire 84-68 face à Vilnius)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNobel Boungou-Colo (Khimki) : 11 points (3/7 aux tirs), 7 rebonds, 1 interception en 29 minutes (victoire 77-73 face à Minsk)\\n\\nNando De Colo (CSKA) : n’a pas joué – blessé à la cuisse gauche (victoire 105-78 face à Nizhny Novgorod)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAlpha Kaba (Mega Leks) : 11 points (2/4 aux tirs), 8 rebonds en 28 minutes (défaite 86-79 face au Partizan)\\n\\nTurquie\\n\\nAdrien Moerman (Darussafaka Istanbul) : 11 points (4/12 aux tirs), 10 rebonds, 4 passes, 1 contre en 24 minutes (victoire 90-65 face à Usak)\\n\\nThomas Heurtel (Efes Istanbul) : 10 points (4/7 aux tirs), 8 passes, 3 rebonds, 1 interception mais 5 balles perdues en 22 minutes (victoire 82-75 face à Giresun)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Jackson – Beaubois, les scoreurs flambent en Espagne"
}, 
{"role": "user",     "content":"Champions League : le match de Strasbourg diffusé en direct sur Dailymotion"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bonne nouvelle pour les supporters de la SIG en particulier, et du basket français en général puisque Canal+ Sport diffuse ce soir en direct sur Internet le match Strasbourg/KK Mornar.\\n\\nC’est à 20h30, et c’est à regarder sur cette page.\\n\\n\\nBasket – Ligue des Champions, 7ème journée... par CanalPlusSport"
}, 
{"role": "user",     "content":"Greg Beugnot : «Pour les joueurs c’est marche ou crève»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alain Weisz remercié, c’est Greg Beugnot qui a été choisi par Marc Barbé et le directoire du SLUC pour prendre la relève à Nancy.\\n\\nA l’occasion d’un point presse qui se tenait à 15h, ce mardi, l’ancien entraîneur de l’Elan Chalon a annoncé pourquoi il était ici et il n’a pas été tendre avec ses joueurs.\\n\\n« Pour les joueurs c’est marche ou crève, on doit penser à l’intérêt du club avant tout. Si je dois écarter un joueur pour réussir à établir un bon état d’esprit et à établir une hiérarchie, je le ferai même si ça diminuera l’équipe en enlevant une rotation. »\\n\\nAvec cette déclaration le nouveau coach du SLUC fait éventuellement référence à la scène surréaliste qui s’est déroulée dimanche lors du match face à Strasbourg. Après deux minutes de jeu, la dernière recrue en date du club nancéien, Dominique Sutton avait refusé de céder sa place au Camerounais Williams Narace et toute la salle avait dû attendre de nombreuses secondes avant que l’arrière américain n’accepte de rejoindre le banc.\\n\\nL’ancien international français a clairement prévenu qu’il allait bouger ses joueurs.\\n\\n« Si vous entendez du bruit en dehors de la salle, vous saurez pourquoi (sourire). Bouger les joueurs ça veut dire qu’on n’est pas loin du « harcèlement ». Il arrive un moment où la priorité c’est l’équipe et pas l’individu. L’individu doit apporter au collectif mais ne doit pas puiser dans le collectif et ça si le joueur ne comprend pas, le coach fait tout pour lui faire comprendre. Cela peut être dur, je ne vous cache pas que mes joueurs sont capables de s’entraîner à 6h du matin à la descente d’un bus. Quand on fait un métier qu’on a la chance de faire et qu’on est payé correctement, on se doit de tout donner et d’avoir la valeur d’un exemple. »\\n\\nGreg Beugnot n’était pas le seul à pouvoir prétendre à ce poste de coach du SLUC Nancy puisqu’il était en balance avec Claude Bergeaud et Sylvain Lautié. Marc Barbé, le président du club, a expliqué pourquoi le choix du directoire s’est porté sur l’ancien entraîneur de Villeurbanne.\\n\\n« Le discours de Greg vis-à-vis du club a porté ses fruits puisqu’il y a eu l’unanimité au directoire sur ce choix. Nous avions surtout besoin d’un meneur d’hommes, de quelqu’un qui bougera nos joueurs et là encore c’est Greg qui a eu le discours le plus fort. »\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Georges Bengaber : « On n’apprécie pas d’entendre dire « formé par Cholet... formé par Cholet... »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Georges Bengaber est la cheville ouvrière du club de l’ASC Ban-é-Lot, célèbre pour avoir sorti Jim Bilba et Jérôme Moiso. C’est aussi le responsable technique du Pôle de la Guadeloupe, une île de seulement 400 000 habitants mais qui est peuplée de futurs basketteurs de haut niveau. Rappelons que cinq Guadeloupéens ont joué en NBA : Rodrigue Beaubois, Mickaël Gelabale, Jérôme Moiso, Johan Petro et Mickaël Pietrus. Un record national pour un département. Sans parler de Rudy Gobert dont le père Rudy Bourgarel est originaire de l’île.\\n\\nBref, Georges Bengaber est un personnage central de la formation française et mérite que BasketEurope lui tende un micro.\\n\\nVoici la deuxième partie de l’interview. La première est ici.\\n\\nLes jeunes connaissent-ils l’histoire de votre club et tous les joueurs qui sont devenus professionnels ensuite ?\\n\\nLa promotion se fait un peu d’elle même puisque depuis quatre ans on reçoit le label de club formateur élite jeunes de la fédération française. On est en train de travailler pour être club de formation nationale au niveau de l’école de basket. Tous nos cadres sont diplômés et chaque année, avec nos douze meilleurs joueurs, ils partent quinze jours minimum sur des stages de bons niveaux comme par exemple au camp du Mans. Les progrès qu’ils font à ces occasions ils les redonnent à nos jeunes toute l’année d’après.\\n\\nC’est Jim Bilba le premier joueur connu sorti de Ban-é-Lot ?\\n\\nC’est le premier joueur que j’ai formé qui est sorti de Ban-é-Lot et qui a joué en équipe de France. Un autre que j’ai formé c’est Jérôme Moiso qui a été en NBA. Rodrigue Mels est sorti de nos écoles de basket et a fait une petite carrière aux Etats-Unis avant de revenir à Nancy. Il jouait l’année dernière à Orchies et là il est rentré et travaille avec les jeunes. Jonathan Jeanne et Grégory, mon fils, sont au Mans.\\n\\nRuddy Nelhomme, le coach de Poitiers et adjoint de Vincent Collet en équipe de France, est aussi passé chez vous ?\\n\\nOui et c’est moi qui l’ai même poussé à partir à Poitiers pour des études.\\n\\n« Lors du rassemblement qu’il y a en métropole pour les cadets, sur 60 joueurs il n’y a que 4-5 qui passent pros et parmi eux il y a souvent 2 Guadeloupéens ou Martiniquais »\\n\\nCholet Basket fut longtemps la principale destination en métropole des Guadeloupéens. La concurrence est plus forte pour eux aujourd’hui ?\\n\\nCe n’est pas méchant de le dire mais à un certain moment Cholet venait en terrain conquis. On n’a pas beaucoup apprécié leur façon de travailler. Par exemple, Rodrigue Beaubois qui était de New Star a fait son petit bonhomme de chemin et il a été joueur NBA. Ce qu’on n’a pas apprécié c’est qu’ils ont touché un pactole, 500 000$, et presque rien a été reversé au club formateur. On n’apprécie pas d’entendre dire « formé par Cholet... formé par Cholet... ». Qui a sorti ce petit bonhomme là ? C’est nous. Il est facile d’arroser une plante qui fait 80 centimètres, lui mettre des produits pour lui faire faire des fruits, mais la faire naître, lui mettre le tuteur, soigner la terre et les feuilles, c’est ce travail qui est important. Si l’enfant n’a pas eu une bonne formation, il ne devient pas ce qu’il est. Cholet ne valorisait pas le travail fait en Guadeloupe et prenait tout à son crédit. Les gens ont vite compris. Ils ne sont plus en terrain conquis. Aujourd’hui, il y a un Pole en Martinique, un Pole en Guadeloupe et un Pole en Guyane et en mars il y a un tournoi avec ces trois Pôles. A ce moment-là, tous les scouts, tous les responsables de Pole viennent voir le niveau et posent déjà leurs jalons sur des enfants qui, du fait qu’ils se sont entraînés tous les jours, ont des possibilités pour aller au haut niveau. Nous sommes une petite île, mais lors du rassemblement qu’il y a en métropole pour les cadets, sur 60 joueurs il n’y a que 4-5 qui passent pros et parmi eux il y a souvent 2 Guadeloupéens ou Martiniquais. Ça prouve que le travail qui est fait est bon et que nous avons des prédispositions, l’explosivité, tout ça.\\n\\nDonnez-vous votre avis dans le choix du centre de formation ?\\n\\nJe conseille les parents des joueurs de mon association. Par exemple, mon fils Grégory a eu des propositions mais nous avons un accord de partenariat avec Le Mans et il y est allé. Mais pour d’autres si les parents ne veulent pas qu’ils aillent au Mans, je ne vais pas les forcer.\\n\\n« Jonathan est arrivé chez nous à 11-12 ans et il mesurait déjà 1,86m »\\n\\nQuand a commencé la formation de Jonathan Jeanne ?\\n\\nIl était tout jeune puisque je l’ai scolarisé avec Grégory en classe de cinquième au Pole Guadeloupe au CREPS Antilles-Guyane où il est resté trois ans. Il n’avait pas de prédispositions pour jouer au basket, il était tout fluet. Personne n’y croyait mais avec le travail que l’on a fait, j’ai toujours dit que ce petit bonhomme là irait au haut niveau. Il en a pris la trajectoire et je prie pour qu’il n’y ait pas de gros accidents.\\n\\nVous pouviez deviner qu’il deviendrait aussi grand (2,18m) ?\\n\\nOui. Son père mesure 2,05m et a joué au basket en métropole. Jonathan est arrivé chez nous à 11-12 ans et il mesurait déjà 1,86m. Quand il a quitté le Pole Guadeloupe, il faisait 2,00m/2,02m.\\n\\nLes joueurs de votre club intéressent-ils aussi la NCAA ? Des scouts viennent-ils vous voir ?\\n\\nOui parfois ils viennent au Pole. On a un joueur, Nicolas Troplent, qui est parti en Californie (Cathedral High School), qui est dans une université (Willamette University dans l’Oregon). Il a privilégié les études mais il a un niveau de basket appréciable.\\n\\nLes anciens joueurs du club reviennent-ils en Guadeloupe l’été ?\\n\\nOui, de plus en plus. Parfois ils organisent des stages, on les voit sur les terrains jouer au basket libre assez tard le soir, il y a des tournois qui sont organisés.\\n\\nVous devez être fiers que tant de joueurs guadeloupéens aient réussi dans les championnats professionnels, en France et en NBA, et en équipe de France ?\\n\\nPresque tous les Antillais qui ont joué à haut niveau depuis huit, dix ans sont passés par le centre de formation, le Pole avec moi, ils ont bénéficié de mon travail. Récemment, il y a Grégory (Bengaber), Jonathan (Jeanne), David Michineau. C’est la fierté de l’association. Quand ils reviennent au Pole, ils passent nous dire bonjour au Pole et parfois s’entraînent avec nous.\\n\\n« Les filles, c’est difficile. C’est à cause de l’éducation que nous avons reçue mais ça commence à bouger »\\n\\nY a t-il eu des échecs ? Des joueurs qui reviennent très vite car c’est trop dur de s’acclimater à la métropole ?\\n\\nDans l’association, il n’y en a pas beaucoup, on en n’a pas même car on a toujours voulu privilégier la vie scolaire. Il y a un projet sportif et un projet scolaire. On les suit, on s’inquiète de leurs résultats et de leur devenir. Jean-François Basileu était un pur produit de notre association et il est parti à l’INSEP puis à Vichy. Il s’est donné deux ans pour percer et s’il n’y arrive pas il va suivre ses études de kiné. On essaye de conseiller les parents et de conserver le contact avec les enfants.\\n\\nQu’en est-il des filles ? Les Guadeloupéennes n’ont pas le même impact que les garçons ?\\n\\nLes filles, c’est difficile. C’est à cause de l’éducation que nous avons reçue mais ça commence à bouger. Avant les structures qui s’offraient au basket, c’était souvent des terrains à l’air libre, sans vestiaires, sans sanitaires. Aussi les parents hésitaient à envoyer leurs filles. Maintenant que l’émancipation se fait de plus en plus tôt, les filles commencent à venir au basket. On n’a pas encore atteint le meilleur niveau. Quand on est confronté aux Pôles de Métropole, on perd. Mais depuis l’an dernier, on a un projet à Ban-é-Lot. On a commencé à travailler avec des petites filles de sept ans et on a comme projet d’emmener une fille de ce groupe là au Pôle France. Si on met de l’exigence dans le travail de ces enfants-là, on peut y arriver. Elles ont deux entraînements technico-tactique par semaine et le jeudi elles ont une petite préparation physique, course, coordination, dextérité, travail musculaire, avec un prof d’éducation physique. Pour l’instant aucune Guadeloupéenne n’est entrée à l’INSEP. Une est restée à la porte, Océane Monpierre de New Stars, et elle aujourd’hui à Bourges.\\n\\nJonathan Jeanne, c’est évidemment le n°12, celui qui mange la soupe sur la tête de ses camarades de promotions. (Photo : Emmanuel Morin, Ban-é-Lot)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : du mouvement à Cantu"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ça bouge en Italie et plus précisément à Cantu. Après seulement neuf matchs avec la formation lombarde, Gani Lawal quitte le club, comme le rapporte Sportando.\\n\\nAncien joueur de la Chorale de Roanne (2011/2012), le natif de College Park, aux Etats-Unis, avait rejoint Cantu en juillet dernier en provenance de Dubai, et il compilait cette saison 11,9 points et 4,7 rebonds en 18 minutes de jeu en Italie.\\n\\nA peine parti de Lombardie, le joueur américano-nigérien va rebondir au Dinamo Sassari et va donc connaître son quatrième club italien après le Virtus Rome (2012/2013), Milan (2013/2014 et 2015) et donc Cantu.\\n\\nEn France, Lawal n’avait disputé que quatre matchs pour des moyennes de 6,2 points et 3,5 rebonds pour 7,2 d’évaluation.\\n\\nToujours à Cantu, le coach Rimas Kurtinaitis serait sur la sellette, comme le rapporte également Sportando. Avec sept défaites en neuf matchs, dont cinq de suite, le Pallacanestro Cantu pointe actuellement à la 14e place du classement de Lega A, sur 16 équipes.\\n\\nSamedi, Cantu se rend à Varese (13e avec trois victoires pour six défaites) et une huitième défaite sera certainement synonyme de départ pour l’ancien entraîneur du Khimki Moscou (2011-2016) qui avait déjà quitté la Russie suite à plusieurs défaites consécutives en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Choletais sont les rois du 3-points"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Cholet Basket de Philippe Hervé est en train de se bâtir la réputation d’une équipe qui excelle dans le shoot à 3-points. C’est celle qui en marque le plus en Pro A : 11,2 par match, soit près de deux fois plus que Le Portel qui est le dernier de la classe avec 5,8. Surtout CB possède le meilleur pourcentage de réussite avec 43,8% devant Strasbourg, 41,2%.\\n\\nCe qui est vraiment remarquable c’est que c’est une affaire collective puisque cinq joueurs sont à plus de 40% de réussite : David Noel (20/39, 51,2%), Jonathan Rousselle (14/29, 48,2%), Angel Rodriguez (14/32, 43,7%), Ilian Evtimov (25/60, 41,6%), et Isaiah Swann (21/51, 41,1%).\\n\\n40% est une marque extrêmement élevée. La dernière équipe à l’avoir dépassé sur une saison entière est Villeurbanne en 2004-05. Les Rhodaniens avaient atteint 40,2% propulsés par le Suisse Harold Mrazek (58/110, 52,7%).\\n\\nIl reste aux Choletais à tenir la distance sur 34 matches."
}, 
{"role": "user",     "content":"Grismay Paumier, le rayon de soleil de Boulogne-sur-Mer"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Boulogne-sur-Mer est à la peine en ce début de championnat.\\n\\nAvant-dernier de Pro B avec un triste bilan d’une seule victoire en sept rencontres, le SOMB est dans le dur en ce début de saison 2016/17. Si la plupart des joueurs déçoivent, il y a malgré tout quelques éclaircies dans le ciel boulonnais.\\n\\nL’ailier originaire de Mayotte Kadri Moendadze poursuit son apprentissage (11 rebonds contre Saint-Quentin, 18 d’évaluation contre Evreux), le dernier arrivé Tyreek Duren consolide le poste 1 (14 d’évaluation en 25 minutes) mais surtout Grismay Paumier (2m04, 28 ans) s’affirme comme l’un des meilleurs joueurs à son poste et LA pièce maitresse du collectif de Germain Castano en ce début de saison.\\n\\nRecruté très tôt (fin mai), l’intérieur joue en ce moment le meilleur basket de sa carrière. Impeccable aux tirs avec ses 71,7% de réussite (1er de Pro B devant Joe Burton), le Cubain tourne à une solide moyenne de 12,1 points, 8,8 rebonds et 0,6 passe pour 17,9 d’évaluation en 27 minutes sur 7 rencontres de championnat Pro B. Une ligne de statistique en hausse par rapport à la saison dernière où il découvrait la division avec la tunique de Saint-Chamond (10,3 d’évaluation en 19 minutes sur 31 matchs).\\n\\nArrivé sur le sol français en 2011 à Berck, en Nationale 2, passé ensuite par la Loire au sein de Saint-Chamond avec qui il a remporté le championnat de Nationale 1 en 2015, l’International Cubain -sans faire de bruit- est en train de s’imposer comme un joueur qui compte dans l’antichambre de la Pro A.\\n\\nAppliquant ce qu’on lui demande, il n’a jusqu’à présent jamais déçu en championnat. Toujours au-dessus de la barre des 10 d’évaluation, capable de claquer 13 points et 10 rebonds à Fos-sur-Mer, la meilleure défense du championnat ou de signer un propre 28 d’évaluation en 30 minutes contre Evreux, le natif de La Havane fait le boulot et le fait même (très) bien.\\n\\nSolide individuellement, il faudra maintenant l’être collectivement. La formation du Pas-de-Calais a un besoin impératif de succès pour attaquer ce mois de décembre. Premier round, le 3 décembre avec la réception de Blois. Face au promu et devant ses supporteurs, Boulogne-sur-Mer devra confirmer en enchainant une deuxième victoire consécutive à la maison. Nul doute que Grismay Paumier, lui sera prêt."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro Basketball Manager 2017 arrive en janvier"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pro Basketball Manager réalisé par Cyanide et Umix Studios sortira sur PC en janvier 2017.\\n\\nDans ce jeu de management plus de 10 000 joueurs sont représentés et le fonctionnement de plus de 70 compétitions mondiales est reproduit le plus fidèlement possible.\\n\\nForts de l’expérience acquise sur les précédentes éditions du jeu, les deux studios souhaitent offrir aux fans de basketball un jeu de management toujours plus réaliste.\\n\\nUn travail important a été fait concernant l’immersion du joueur dans son rôle de manager avec de nombreux messages personnalisés. Le scouting, le recrutement, les matchs en 3D et en 2D ont également été revus, entre autres. Pro Basketball Manager 2017 intégrera pour la première fois le Steam Workshop qui permettra à ses joueurs d’échanger très facilement du contenu pour le jeu, comme, par exemple, des bases de données personnalisées.\\n\\nPro Basketball Manager, testé en 2016 par nos soins, sera disponible en janvier prochain sur la plateforme de téléchargement de jeux vidéo Steam."
}, 
{"role": "user",     "content":"Leaders Cup : la billetterie est ouverte"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Du 17 au 19 février, la Disneyland Paris Leaders Cup réunira les huit meilleures équipes de Pro A suivant le classement établi après la phase aller. Les matches se dérouleront par élimination directe. En bonus, le dimanche 19, en lever de rideau de la finale de Pro A, se tiendra la finale de la Leaders Cup Pro B.\\n\\nLa Disney Events Arena se transformera à nouveau en une enceinte sportive afin d’accueillir chaque jour près de 5 000 spectateurs. En 2016, les matches du samedi et du dimanche s’étaient joués à guichets fermés.\\n\\nLa billetterie est officiellement lancée pour l’édition 2017 avec de nombreuses offres permettant d’assister à l’ensemble des rencontres mais également de profiter du Parc d’attractions.\\n\\nPour réserver, c’est ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupes d’Europe féminines : Villeneuve d’Ascq pour un exploit en Turquie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La fenêtre FIBA pour les équipes nationales s’est refermée et les clubs peuvent replonger dans les coupes d’Europe. A cet instant, si l’on prend en compte les deux compétitions, le bilan des Françaises est mitigé : 12 victoires pour 9 défaites.\\n\\nEn EuroLeague, trois déplacements pas coton attendent nos représentantes. Dans le groupe A, Lattes-Montpellier (1 victoire pour 2 défaites) se rend à Prague, leader invaincu. Dans le groupe B, Bourges qui a jusqu’ici assuré (2 v.-1d.) va se retrouver dans l’Oural face à la montagne Ekaterinbourg qui a déjà perdu un match et qui donc n’a pas le droit de récidiver à domicile. S’il y a une pièce à mettre, c’est sur Villeneuve d’Ascq (1v.-2d.) qui défie Ankara qui est toujours fanny (0v.-3d.).\\n\\nLes Nordistes ont échoué ce week-end dans un Palacium à guichets fermés face à leurs rivaux de Bourges (62-68) mais menaient encore à une minute trente du buzzer.\\n\\n« Je ne sais pas comment on fait pour perdre le match », se demande Valériane Ayayi sur le site du club. « On a fait ce qu’il fallait, mais quelques détails leur permettent de gagner le match. C’est frustrant de jouer comme ça et de ne pas avoir la victoire au bout. On avait l’enthousiasme, on a trouvé ce qu’on cherchait. On n’a pas toujours été en réussite, c’est le basket, on ne contrôle pas l’adresse... On rate cinq lancers, on perd quelques ballons, et le match tourne. Il va falloir avancer. La soirée va être longue, mais demain, on doit retourner au charbon, il y a un match très important en Euroleague jeudi. C’est compliqué, il faut continuer à travailler, il reste beaucoup de choses à faire, à nous d’y arriver. On a un match difficile à venir en Turquie, à nous de faire le match parfait pour repartir avec la victoire. »\\n\\nBien sûr et c’est une tradition, les résultats sont meilleurs en EuroCup.\\n\\nDans le groupe E, Nantes-Rezé (2e, 2v-1d.) tient la route. La seule équipe qui présente une balance déficitaire c’est Basket Landes (3e, 1v-2d) dans le Groupe G, les multiples blessures étant une circonstance atténuante. Les Landaises ont l’occasion de se remplumer à... Nice (2e, 2v.-1d) ; un choc fratricide que l’on peut qualifier de déterminant.\\n\\nEnfin, dans le groupe H, tout baigne pour Charleville (1er, 3-0)."
}, 
{"role": "user",     "content":"La ligue espagnole a doublé ses revenus en quatre ans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ACB, la ligue espagnole, a annoncé lundi que son budget pour la saison 2016-17 était porté à un record de 30,1 millions d’euros.\\n\\nCe chiffre exceptionnel pour un championnat européen est atteint principalement grâce au nouveau contrat d’exclusivité avec Movistar qui diffuse désormais les matches du championnat espagnol. Par comparaison, le budget de l’ACB était de 14,1M€ en 2012-13.\\n\\nLa saison passée, sur les 25.5 millions de recettes, plus de 10 millions ont été reversés aux clubs."
}, 
{"role": "user",     "content":"Un nouveau coach peut-il changer le plomb en or ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le SLUC Nancy, qui vient de se séparer d’Alain Weisz, n’est pas gourmand en coach puisque sur les dix dernières années, il n’en a consommé que deux. Jean-Luc Monschau qui avait pris place sur le banc en 2004 et qui y est demeuré jusqu’en 2013, ce qui correspond à l’âge d’or du club, et Weisz qui lui avait succédé. Greg Beugnot est donc le troisième.\\n\\nSur cette période, seul Nanterre 92 a fait preuve d’une plus grand stabilité avec le seul Pascal Donnadieu mais on sait combien ce cas est atypique puisque le fils du président, Jean, a gravi avec le club tous les échelons depuis la Départementale.\\n\\nA l’autre bout de l’échelle, c’est chez les deux seigneurs des années 80-90, Limoges et Pau-Lacq-Orthez, que l’on trouve le turn over le plus important : 10 coaches. Avec prudence, on osera dire que l’on ressent actuellement une certaine accalmie en Limousin et Béarn. A confirmer.\\n\\nChanger ou ne pas changer ? C’est la question\\n\\nQuand le changement de coach intervient en cours de saison, c’est que les résultats sportifs ne sont pas à la hauteur des espérances du club. Parfois, la décision est même prise dans un état d’urgence absolu. C’est le cas au SLUC actuellement seul dernier.\\n\\nCe type de bouleversement n’est pas pour autant systématique. La saison dernière Rouen et Le Havre ont maintenu Rémy Valin et Thomas Drouot au poste de pilotage bien que leur équipe respective était en chute libre. Dans le cas du Havre plus encore que de Rouen la question posée fut : le résultat final aurait-il été meilleur avec un autre chef à bord ?\\n\\nEn fait, c’est bien ça la question fondamentale : le changement de coach vaut-il le coût ? (Car de fait, il y a un coût financier et parfois humain).\\n\\n« Sur les dix dernières saisons, la stratégie en cas d’opération maintien a échoué dans près de 70% des cas, » révélait Yann Casseville dans Basket Hebdo en début d’année. « Ce qui signifie également qu’elle a déjà réussi, comme la saison dernière, quand Orléans remplaça François Peronnet par Pierre Vincent – pour au final rester à la même place de premier non-relégable. Vincent nous disait alors : « les études qui ont été faites montrent que dans 97% des cas, quand on change le coach, ça ne change pas. Et dans 70% de ces 97%, c’est pire. »\\n\\nD’ailleurs, ceux qui ont visionné dimanche soir Strasbourg-Nancy se sont dit que dans le cas du SLUC c’est le manque de compétitivité des joueurs, l’état d’esprit de certains (n’est-ce pas Dominique Sutton ?), qui posaient problème tout autant qu’un éventuel management défectueux d’Alain Weisz. Le Marseillais a t-il radicalement changé de philosophie depuis qu’il a emmené Nancy une deuxième fois de suite en demi-finale des playoffs ? C’était il y a dix-huit mois.\\n\\nNancy n’est qu’à une victoire du premier non-reléguable, ce qui mathématiquement est peu, mais son nouveau coach Greg Beugnot, qui n’a pas choisi ses armes, pour faire mentir les statistiques, va devoir transformer le plomb en or."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Alex Renfroe vers Barcelone"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après être passé par Valladolid et Vitoria, Alex Renfroe est sur le point de connaître son troisième club espagnol, selon ce que rapportent les Espagnols de Gigantes sur leur site.\\n\\nLe natif d’Hermitage, aux Etats-Unis, devrait donc quitter le Bayern Munich, avec qui il a commencé la saison et chez qui il évolue depuis la saison dernière, pour rejoindre le FC Barcelone.\\n\\nVisage connu du Vieux Continent, le champion de Bundesliga avec Bamberg a connu la Lettonie (Riga en 2009/2010), la Croatie (Zagreb en 2010/2011), l’Italie (Brindisi en 2011/2012), la Russie (Krasnoïarsk en 2013/2014) et donc l’Espagne (Valladolid en 2012/2013 et Vitoria en 2014) et l’Allemagne (Bamberg en 2013, Berlin en 2014/2015 et Munich depuis 2015).\\n\\nCette saison en Eurocup, il compile en moyenne 5 points, 2 rebonds et 4 passes décisives. En Euroleague lors des saisons 2014/2015 et 2015/2016, le meneur de jeu compilait 9,9 points (50% à 2 points et 45% à 3 points), 4,4 rebonds et 5 assists par match.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 29 novembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nSLUC : Gregor Beugnot arrive\\n\\n– Figure emblématique du basket français, ancien joueur international (57 sélections), Gregor Beugnot (59 ans), au palmarès d’entraîneur impressionnant... Lire la suite.\\n\\n\\nÀ cent à l’heure\\n\\n– La SIG a déroulé dimanche contre Nancy franchissant même la barre symbolique des cent points, ce qui ne lui arrive pas si souvent... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCe doit être une formalité\\n\\n– La dernière journée européenne du cycle aller doit permettre à la SIG de basculer dans le positif, en termes de bilan. Face au petit poucet... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Je suis beaucoup plus confortable dans mon basket »\\n\\n– André Hollins Arrière Chorale de Roanne... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe plan se déroule sans accroc\\n\\n– Avec son succès à Villefranche et le revers de Saint-Priest à Clermont, l’AL Lons a fait le break. Et ce juste avant le choc entre les deux... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg sans grand espoir\\n\\n– Sans leurs deux Américains Peacock et Sim, les Bressans auront du mal à remonter les 17 points de retard du match aller... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPluvy : « Valider notre parcours »\\n\\n– Un premier rendez-vous capital, une finale à disputer, voici les enjeux pour cette Chorale qui séduit ses fans. À elle de saisir l’occasion... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nProA: Chalon bat Pau-Orthez et rejoint Nanterre\\n\\n– Chalon-sur-Saône, vainqueur à l’usure de Pau-Orthez 96-76, lundi, lors de la dernière rencontre de la 10e journée, a rejoint Nanterre à la deuxième place de la ProA, avec juste une victoire... Lire la suite.\\n\\n\\n« On a joué à l’envers. »\\n\\n– Le Rouen de Rémy Valin n’en finit pas de s’enfoncer au classement. Le relégué de Pro A a été dominé dans les grandes largeurs à domicile par Boulazac (66-99), dans un choc de mal classés... Lire la suite.\\n\\n\\nLe Havre\\n\\n– Relégué de Pro A, les Havrais semblaient avoir digéré cette descente après une entame de championnat intéressante (trois victoires, pour une défaite après quatre journées). Mais, depuis... Lire la suite.\\n\\n\\nLille\\n\\n– Les Nordistes sont décidément solides. Pour preuve, au terme d’un match très serré, les Lillois sont parvenus à prendre le meilleur sur Bourg-en-Bresse (70-69), dans une opposition entre... Lire la suite.\\n\\n\\n« Avec lui, ça va pulser un peu plus ! »\\n\\n– la phraseRégis Racine n’est sans doute pas le moins heureux de l’arrivée de DeAndre Leatherwood. Pour l’entraîneur de la Berrichonne, qui fait avec les faibles moyens du bord depuis le... Lire la suite.\\n\\n\\nGuillaume Andres, l’autre recrue\\n\\n– L’équipe fanion, c’est bien beau, mais la Berrichonne Basket se repose aussi sur d’autres fondations. Avec une masse de licenciés en constante augmentation depuis plusieurs années... Lire la suite.\\n\\n\\nAix-Maurienne, un promu sans défense\\n\\n– Longtemps doyen de la Pro B avec vingt-deux saisons consécutives passées dans l’antichambre de l’élite (1993-2015), Aix-Maurienne a retrouvé la division cet été. Des retrouvailles ... Lire la suite.\\n\\n\\nLeatherwood à la rescousse\\n\\n– C’est une nouvelle de taille pour la Berrichonne\u2009: l’Américain DeAndre Leatherwood (23 ans, 2,08 m) arrive au chevet de la lanterne rouge de N2... Lire la suite.\\n\\n\\nL’ASCO Mulhouse à sa main\\n\\n– L’équipe d’Antonio Fernandes n’a eu aucune difficulté à s’imposer récemment à Illkirch (34-57)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nKaysersberg peut y croire\\n\\n– Comme d’habitude, Kaysersberg a assuré à domicile face à Jœuf. Reste à exporter ce savoir-faire de manière plus régulière à l’extérieur. Pourquoi pas... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSébastien Chéré, titulaire en Ligue 2\\n\\n–\\nChéré. Après avoir joué dix minutes, la semaine dernière face à Valenciennes, l’ex capitaine des SR Colmar a été titularisé, samedi à Bourg-en-Bresse... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nOrphelins de Pierre Tardieu\\n\\n– Le SBC a rendu un poignant hommage, samedi, à son coach Pierre Tardieu, décédé subitement en début de semaine dernière. La direction du club où il a... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Europe pour enchaîner\\n\\n– Deux jours après la gifle infligée à Nancy en Pro A, la SIG retrouve le Rhénus ce soir (20 h 30) avec la réception des Monténégrins de Mornar Bar pour... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nAvec un peu plus d’adresse...\\n\\n– Bien en rythme en début de rencontre, les jeunes Villeneuvois prirent un bon départ débordant une formation landaise composée d’anciens pas encore en jambes (18-10, 5e). Puis... Lire la suite.\\n\\n\\nLe Port prend le pouvoir\\n\\n– Masculins (9e journée) En infligeant à Penne sa première défaite (62-99) pendant que Foulayronnes faisait de même contre l’AGS 2 (68-77). Voilà les Portais, seuls invaincus qui prennent... Lire la suite.\\n\\n\\nTel un coup de fouet\\n\\n– Le duel entre les deux frères Darrigand a tourné à l’avantage du benjamin de la famille et de son équipe, le GAB s’imposant de fort jolie manière dans la préfecture bordelaise. Après un ... Lire la suite.\\n\\n\\nToujours aussi justes\\n\\n– Le début du match est équilibré et se joue sur un faux rythme. Jean-Jacques, côté seychois dans son style de percussion et de tirs longue distance, et Esponda près du cercle, alimente... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Greg Beugnot, nouveau coach du SLUC Nancy"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En livrant tous les détails, L’Est Républicain vient d’annoncer sur son site qu’après avoir également auditionné Sylvain Lautié et Claude Bergeaud, le SLUC Nancy a choisi Greg Beugnot comme coach pour succéder à Alain Weisz qui vient d’être remercié.\\n\\nGreg Beugnot, 59 ans, possède derrière lui une riche carrière de joueur –il participa notamment aux Jeux Olympiques de Los Angeles et remporta la Coupe des Coupes en 1988 avec Limoges- et de coach. Il est celui qui avait rebâti l’ASVEL avec le président Marc Lefèbvre et le meneur américain Delaney Rudd, pour l’emmener jusqu’au au Final Four de l’Euroleague en 1997.\\n\\nGreg Beugnot est aussi avec Robert Busnel et Michel Gomez l’un des trois seuls coaches français à avoir coaché une équipe d’une ligue européenne majeure. C’était à Varèse entre 2001 et 2003.\\n\\nL’Ardennais stationna longtemps à l’Elan Chalon où il réalisa un triplé d’anthologie en 2012 (titre de champion de France, Coupe de France, Semaine des As) tout en parvenant en finale de l’EuroChallenge.\\n\\nAprès un passage au Paris-Levallois, et avoir fait office de consultant sur L’Equipe 21, il fit une pige à Bourg-en-Bresse en fin de saison dernière mais sans parvenir à faire monter la JEU en Pro A.\\n\\nFils de Jean-Paul et frère d’Eric, deux internationaux qui ont marqué leur génération respective, Greg Beugnot est connu pour sa capacité à taper du poing sur la table pour mobiliser ses troupes."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les supporters historiques de Limoges mécontents de changer de tribune"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Une crise – que l’on ne peut vivre avec une telle intensité dans le basket français qu’à Limoges- a éclaté entre le CSP et ses supporters historiques, les Phénix. La nouvelle s’est répandue depuis quelques jours sur les réseaux sociaux et France Bleu en fait un dossier sur ce qui est sinon une affaire d’Etat, du moins une affaire pour la ville, le département et même le Limousin.\\n\\nLe CSP veut déménager les quatre-vingt dix membres de l’association qui occupent depuis vingt ans la petite tribune à droite de la table de marque pour les renvoyer sous les combles du palais des sports de Beaublanc. Lors du dernier match contre Hyères-Toulon ces supporters, mécontents, ont décidé de faire la grève des encouragements.\\n\\n« Qu’on change d’emplacement, pourquoi pas. Mais on a quand même notre mot à dire ! », explique la présidente Sandrine Gilles. » On aurait au moins pu discuter plutôt que nous imposer cette décision. Il y a énormément de gens qui se sentent blessés. C’est quand même un manque de respect assez impressionnant, de mettre les supporters les plus anciens tout en haut de Beaublanc.«\\n\\nEn fait les Phénix sont les nouvelles victimes d’une tendance qui s’est généralisée dans le sport mondial et pas que dans le basket, à savoir que les fans sans qui rien n’existe passent au second plan derrière les VIP qui apportent financièrement davantage pour les clubs.\\n\\n« Je comprend que le repositionnement n’est pas facile. Après, on est un peu victime du manque de place à Beaublanc. Avec 2 500 abonnés et 1 000 partenaires, il n’y a plus beaucoup de places disponibles. Nous, on essaye de trouver des solutions pour nous développer », répond le président Frédéric Forte qui se dit respectueux des supporters.\\n\\nTrouver le juste milieu entre les indispensables revenus du marketing et la ferveur populaire est la clé de la réussite d’un club et ce n’est pas forcément évident dans les actes. A Limoges où tout est passionnel encore plus qu’ailleurs. D’ailleurs l’un des deux autres groupes de supporters, les Ultra Green, a crié son soutien lors du match en scandant : « Liberté pour les Phénix ! »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Quand Olivia Epoupa et Aby Gueye vident leurs sacs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« Vide ton sac » est une rubrique régulière de la Ligue Féminine à voir sur Dailymotion. On n’y découvre pas quelle marque de rouge à lèvres porte telle joueuse ou combien de portables possède telle autre, mais plutôt ce qu’elles ont dans la tête.\\n\\nCette fois, ce sont les deux internationales de Villeneuve d’Ascq, Olivier Epoupa et Aby Gueye, qui vident leurs sacs. Deux minutes de sourires, de rires et de grimaces.\\n\\nOù l’on apprend que l’autre passion de Aby Gaye, ce sont les études, que l’une (Aby) aurait aimé pratiquer le handball à haut niveau et l’autre (Olivia) le tennis.\\n\\nOn y entend aussi un compliment que seule une bonne copine peut asséner à Aby Gueye (1,95m) sans la faire gronder : « T’es un monstre ! Et quand tu commences à t’installer, c’est compliqué de te bouger. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Saint-Quentin : Ryan Rhoomes la belle trouvaille de Jérôme Navier"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Jérôme Navier, l’entraineur du Saint-Quentin Basket-Ball a eu le nez fin en engageant Ryan Rhoomes l’été dernier.\\n\\n« Petit » nouveau des raquettes, l’intérieur américain (2,03 m, 24 ans) s’affirme comme une bonne pioche pour le SQBB et l’un des meilleurs joueurs à son poste cette saison en Pro B.\\n\\n\\nDécouvrant la deuxième division française depuis quelques semaines, le New-Yorkais s’est parfaitement acclimaté à son nouvel environnement. Auteur de 13,6 points à 63,6% de réussite aux tirs, 8,2 rebonds, 0,4 contre et 1,1 passe pour 17,3 d’évaluation en 29 minutes sur 7 matchs de championnat, il est le leader statistique de la formation de l’Aisne.\\n\\n\\n\\nTrois double double en sept matches\\n\\nRentable, régulier, jouant juste, le numéro 4 Saint-Quentinois en est déjà à 3 double double points-rebonds en championnat (pour 3 victoires du SQBB), pas mal pour un joueur qui vit sa première expérience professionnelle.\\n\\n\\nFormé à Fordham University (NCAA I) entre 2012 et 2016, intéressant en Senior (14,6 points à 65%, 9,7 rebonds, 1,4 passe et 1,8 contre) après trois années sans relief (3, 6, 6,3 puis 6,3 points de moyenne), l’ancien Rams lance donc pour l’instant idéalement sa jeune carrière au sein d’une équipe qui gagne.\\n\\n\\nVainqueur de ses trois derniers matchs de championnat, Saint-Quentin pointe à la sixième place au classement avec un bilan positif de 5 succès pour 2 revers."
}, 
{"role": "user",     "content":"A Chalon, on va voir ce que les Béarnais ont dans le ventre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce soir à 20h 30 devant les caméras de SFR Sport 2, Pau-Orthez va défier Chalon au Colisée. Un match entre caïds puisque les deux équipes sont à égalité à la troisième place avec 7 victoires et 2 défaites et le vainqueur reviendra à la hauteur de Nanterre.\\n\\nPour l’instant, les Palois n’ont connu que deux défaites, au Mans (78-92) et à Hyères-Toulon (70-85). L’Elan Béarnais, qui retrouve la Coupe d’Europe, n’a pas été perturbé par le rythme de deux matches par semaine car il est tombé dans une poule de Fiba Cup Europe très faible avec seulement deux adversaires ! Il a gagné ses quatre matches avec une marge moyenne de 18,7 points.\\n\\nC’est davantage quelques perturbations internes qui auraient pu mettre à mal le bel attelage : la blessure de Yannick Bokolo, son remplacement par Sek Henry qui lui même a cédé sa place à Ron Howard peu profitable (un total de 18 minutes en 2 matches). L’ex-international va reprendre l’entraînement collectif en milieu de semaine et sera du rendez-vous contre Châlons-Reims.\\n\\nChalon va être un vrai test pour savoir ce que les Palois ont vraiment dans le ventre. Le duel entre les deux meneurs C.J. Cooper (16,1 pts, 11,6 pds, 25,0 d’évaluation) et John Roberson (13,1 pts, 7,4 pds, 15,3 d’éval) s’annonce somptueux.\\n\\n« Chalon, chez lui, développe de grosses qualités offensives avec Harris, Roberson, Nzeulie et Fall qui gène beaucoup par son envergure », analyse dans Sud Ouest le coach Eric Bartecheky. « La saison dernière, à Antibes, on avait eu du mal à la stopper au poste bas. Cette année, avec Pitard, Nzeulie et Clark, c’est aussi une équipe qui défend bien, plus qu’elle ne le faisait ces dernières saisons. On a plutôt intérêt à être présents et bons si on veut exister là-bas. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie : Thomas Heurtel, numéro 1 aux passes et aux interceptions"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec 2,16 interceptions et 10 passes décisives de moyenne par match, Thomas Heurtel est tout simplement le leader de ces deux catégories dans le championnat turc.\\n\\nPour ce qui est des interceptions, l’ancien joueur Vitoria devance d’une très courte tête Osiris Eldridge qui vole en moyenne 2,12 ballons par match en TBL (première division turque).\\n\\nMichael Green, deuxième au classement à la passe, comptabilise 8,2 assists par match. Pas assez pour faire peur à notre Français qui compile donc en moyenne 11 points, 10 passes et 2,16 interceptions par match en Turquie avec l’Anadolu Efes.\\n\\nAvec 12 passes sur ses deux premiers matchs, suivi de 11 caviars sur les deux suivants, l’international français était un peu moins en vue sur les deux dernières rencontres avec 6 passes face à Banvit et 8 assists face à Yeşilgiresun.\\n\\nMoins productif à la passe mais davantage scoreur, Heurtel tourne en moyenne en Euroleague 12,8 points, 6 assists et 1,2 interception par match.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"N2 : l’ambitieux Tours est dans le rouge"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pendant que Vincent Collet a repris du service à Strasbourg, son éternel adjoint Pierre Tavano s’est engagé avec Tours, qui s’est sérieusement renforcé durant l’intersaison, avec un objectif bien défini : la montée en Nationale 1.\\n\\nSeulement les plans de l’UTBM sont loin d’être respectés à la lettre. Ce week-end, elle a concédé sur l’île de Ré sa quatrième défaite en neuf matches (71-79) et pointe à une modeste septième place.\\n\\n« On a été mené tout au long du match. Quand on revient à -1, on se reprend une série de 6 ou 7 points\u2009! », constate Pierre Tavano dans La Nouvelle République. « C’est le début de match, capital, qui a mis les Rétois sur orbite. On est capable de faire de bonnes choses, mais nos débuts ratés mettent en confiance nos adversaires (...) On n’est pas à la hauteur de nos ambitions, c’est évident. On a grillé tous nos jokers et on n’a plus le droit à l’erreur. Pourtant, on s’entraîne très bien, nos entraînements sont même plus intensifs que nos matchs. Il va falloir basculer de l’entraînement aux matchs. »\\n\\nL’UTBM va jouer maintenant deux matches capitaux, en recevant le leader La Charité puis en allant à Brissac, le quatrième de la Poule B. Pour parvenir à leurs fins, les Tourangeaux se sont encore renforcés avec le Guadeloupéen Bruno Cingala-Mata, un ailier de 2,00m et 23 ans, formé à Cholet, passé par Fos-sur-Mer (Pro B) et qui jouait au Danemark la saison passée. C’est le dixième joueur pro d’une équipe surdimensionnée pour la N2."
}, 
{"role": "user",     "content":"Bourg-en-Bresse : Peacock va rater deux matches"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Zachery Peacock à l’infirmerie. Touché à la cheville samedi soir lors de la défaite de son équipe Bourg-en-Bresse contre Lille (70-69), l’intérieur américain (2,03 m, 29 ans) va devoir observer une période de repos de quelques jours.\\n\\nRadio SCOOP indique que le numéro 5 de la JL Bourg est forfait pour la rencontre de demain soir contre Boulogne-sur-Mer (demi-finale retour de la Leaders Cup) et également contre Rouen le 3 décembre prochain en championnat (huitième journée).\\n\\nMeilleure évaluation statistique de son équipe, le Floridien tourne à 17,7 points à 64,3% de réussite aux tirs, 6,3 rebonds et 1,9 passe pour 20,4 d’évaluation en 25 minutes sur 7 matchs de championnat Pro B."
}, 
{"role": "user",     "content":"Retraite d’Alain Weisz : les confidences d’un coach majeur des années 2000"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alain Weisz, 63 ans, a été démissionné de son poste de coach du SLUC Nancy et a annoncé sur SFR Sport 2 sa probable fin de carrière. Pour rendre hommage à l’ancien coach de l’équipe de France (2000-2003), voici une interview en profondeur datant de son époque à Hyères-Toulon.\\n\\n\\nCôté Cour\\n\\n« Tout le monde n’a pas eu la chance d’avoir des parents communistes »\\n\\n(Il sourit) C’est le titre d’un film... J’ai grandi dans les réunions de cellule, avec un père qui, après avoir été résistant, fut rédacteur en chef d’un journal communiste à Marseille, Rouge Midi, puis qui fut permanent au PCF. C’était une Eglise, le Parti Communiste de cette époque là. C’était s’occuper des autres, parfois davantage que de soi-même ou de ses propres enfants. J’entendais en permanence que l’idéal, c’était l’URSS. J’ai vu les « copains » venir à la maison, discuter sans relâche, surtout de politique. C’était un théâtre permanent à la maison. J’étais gamin, j’écoutais. Il n’y avait pas de fric à la maison, mais comme j’étais petit, le dernier de six enfants, je n’en souffrais pas du tout. Le basket était lié au Parti Communiste. Mon père avait monté un club de basket pour s’occuper des enfants délinquants d’Endoume. Il avait choisi le basket car ça lui paraissait le sport le plus éducatif et le plus intelligent. Le siège du club, c’était la maison. Il y avait 15 ou 25 personnes en permanence. C’est vrai que c’est une chance car j’ai écouté des gens de grande valeur, mais ça n’a pas engendré un futur communiste !\\n\\nJean-Baptiste Ré\\n\\nC’est l’entraîneur, le grand frère, la référence. Mon père l’avait rencontré par hasard sur la Canebière à la fin des années cinquante, et c’est comme ça qu’il est venu au basket. Il a fait une carrière internationale de bon niveau, il a, je crois, une trentaine de sélections (26, en fait), il a fait un championnat du Monde à Rio (en 1963). Il a formé pendant une quinzaine d’années des jeunes basketteurs sur Marseille. Il y avait en ville le CTR et Jean-Baptiste Ré. Les meilleurs joueurs marseillais sont passés entre ses mains, jusqu’à Laurent Foirest. Quand il a vieilli, personne n’a pris le relais. En 70, le SMUC était encore en première division, jusqu’en 80, il y avait encore de bonnes équipes de basket de second niveau, avec St. Jo et les PTT Marseille. Après, ça n’a cessé de baisser. Il y a de bons joueurs qui sont venus, comme Michael Brooks au SMUC, à 40 ans, mais la formation est complètement délaissée.\\n\\n« Munich 1972. Nous, on était fous de joie car on était pour les Russes, les plus faibles, que l’on connaissait, les Belov, Paulauskas, Zharmukhamedov. »\\n\\nJeux Olympiques de Munich\\n\\nPour notre fratrie et les copains qu’il y avait autour, c’était un rêve d’enfant d’assister aux Jeux Olympiques. Munich, c’est 1972. La télé n’était vraiment rentrée dans les foyers que depuis les JO de Mexico, quatre ans plutôt. Il y avait tellement peu d’images de sport de haut niveau que pour nous, c’était un idéal. On s’est dit, c’est à Munich, on y va ! On avait 18 ans et pas d’argent. Un ou deux seulement avaient le permis. On s’est débrouillé sur place. On a fait un peu de marché noir car on savait où acheter des places, ce qui à l’époque n’était pas une évidence. On en prenait trente, cinq pour nous, et on en revendait vingt-cinq au double du prix. Comme ça, on s’est payé tout le tournoi de basket des Jeux Olympiques, jusqu’aux demi-finales. Je n’ai pas eu de places pour la finale (la plus célèbre de l’Histoire avec la victoire surprise et controversée de l’URSS contre les USA). Je l’ai regardée à la télé dans une caravane avec des Américains que j’ai vu pleurer. Nous, on était fous de joie car on était pour les Russes, les plus faibles, que l’on connaissait, les Belov, Paulauskas, Zharmukhamedov. Je reconnais que les Américains se sont bien fait voler sur le coup !\\n\\nRalph Klein\\n\\nC’est celui qui m’a donné la meilleure conception du haut niveau. J’étais déjà prof de gym et étudiant à l’INSEP pour passer le diplôme supérieur. On avait le droit en fin d’année d’aller vivre avec quelqu’un de haut niveau. J’avais exprimé ce souhait à Ralph Klein, qui était entraîneur de l’équipe d’Israël, et qui avait fait une médaille d’argent deux ans auparavant (à l’Euro de Turin, en 1979). Dans l’équipe, il y avait Micky Berkowitz que je trouvais extraordinaire avec le Maccabi. J’ai passé deux semaines avec l’équipe nationale d’Israël. Ça faisait sourire Ralph Klein de voir un jeune Français, qui faisait des études supérieures d’éducation physique, et il m’a pris sous sa coupe. J’ai vu plein de matches amicaux et comment s’entraînait une équipe nationale. Ce qui m’avait frappé, c’est le mélange de sérieux et de plaisir. Pour moi, le haut niveau, c’était toujours un coach qui gueulait, ce que l’on voyait à la télé, et là, je me suis dit, « ça peut être ça aussi le haut niveau. » Je me suis lié d’amitié avec les joueurs comme on le fait à vingt ans quand on est en permanence avec eux. Grand bonhomme Ralph Klein, qui est mort récemment.\\n\\nLe basket féminin\\n\\nProfond respect. C’est ridicule de le comparer au basket masculin. Certains garçons ont fait du basket un art. Michael Jordan et tout ce que ça engendre comme copies. On en a fait un sport très athlétique, physique. Mais, en France, on a oublié que c’est un jeu. Pas seulement par l’aspect plaisir, mais du fait que dans un jeu, il y a des règles et que ça ne se joue pas n’importe comment. Les filles, elles, sont toujours dans cette logique. Leur façon de jouer le basket est plus subtile. J’avais déjà entraîné des filles avec le PUC, en début de carrière. A Aix, en tant qu’entraîneur, je m’attendais à m’ennuyer. C’est le contraire qui est arrivé. J’ai pris un plaisir fou à entraîner les filles d’Aix. Oui, c’est plus valorisant pour un coach. Quand tu sors d’un écran et que c’est Austin Nichols qui prend la balle et qui saute à 3,50m de haut pour tirer, ma participation n’est pas énorme ! Avec les filles, la part de l’entraîneur est bien supérieure.\\n\\nAntarès\\n\\nC’est beaucoup d’émotion. Le Mans a été le deuxième accélérateur de ma carrière. C’était la première fois que j’entraînais un grand club. Pour moi, Le Mans, c’était énorme car ma culture basket remonte aux années 60. Lorsque j’arrive au Mans pour signer mon contrat, le président Marnas m’emmène visiter Antarès avec deux autres dirigeants. On circule dans les travées. Au hasard de la conversation, je dis à Alain Marnas, « il y a quelque chose dont nous n’avons pas parlé. » « Quoi ? Le contrat, c’est bon ? » « Ce n’est pas ça. On n’a pas parlé de l’objectif. Qu’est-ce que vous me demandez ? » Il se retourne et, un peu comme Napoléon, il me dit en regardant les tribunes: « il faut remplir Antarès ! » C’est un lieu mythique du basket. On a gagné beaucoup de matches à Antarès. Le Mans, j’y ai passé sept ans (Alain Weisz a continué à y habiter durant la période où il fut coach de l’équipe de France). Le Mans, c’est Vincent (Collet). Le Mans, c’est l’âge important dans la vie de mes enfants qui se considèrent Manceaux. A chaque fois que j’y retourne, le public est très gentil avec moi, mais je me dis à chaque fois « pourvu que l’on soit à la hauteur. » J’ai gagné une fois et j’y ai perdu deux fois.\\n\\n« Après Sydney, j’étais partagé entre le bonheur qui avait envahi tout le monde et la pression du fait que j’étais un entraîneur qui allait prendre en mains une équipe vice-championne olympique. »\\n\\nAdjoint à Sydney\\n\\nC’est une continuité... J’étais adjoint depuis 1997, on est 4e à l’Euro de 99, et même si on est qualifiés pour les JO, l’aventure s’est terminée en haut de boudin. Je savais à quoi m’attendre en allant à Sydney. J’étais adjoint mais j’avais déjà signé mon contrat depuis sept mois de futur entraîneur de l’équipe de France. Ce fut, jusqu’à la dernière semaine, une grande souffrance avec une équipe déliquescente, même si aujourd’hui, on ne se rappelle que des bons souvenirs, ce qui est normal et bien. Tout le monde attendait la fin. C’était beaucoup de pression pour moi car on m’avait fait savoir que si l’équipe de France se plantait, on n’était pas obligé de respecter un contrat. J’étais dans une situation absolument impossible. Ensuite, il y a eu le miracle de la 2e semaine qui fut essentiellement dû à Sciarra qui a réveillé tout le monde, qui a haussé son niveau de jeu pour battre une équipe du Canada qui était à notre portée. Il faut reconnaître que le croisement de la deuxième semaine nous a énormément avantagés, on a évité la Yougoslavie en quarts et on a pris le Canada qui était normalement le 4e de la poule. L’attitude des joueurs a totalement changé à partir de là. Ils ne pensaient plus à faire leurs valises, mais se disaient qu’ils pouvaient peut-être aller en finale. Pour moi, c’était une pression terrible avec un rôle dévolu à un assistant, je dirai totalement anormal*. Incognito. Il fallait faire semblant. Je savais que ça serait le ferment de bien des emmerdements plus tard. J’étais partagé entre le bonheur qui avait envahi tout le monde et la pression du fait que j’étais un entraîneur qui allait prendre en mains une équipe vice-championne olympique. Je savais que la loyauté que j’avais manifestée à l’égard de certaines personnes ne me serait pas rendue. Ça été un moment très dur car j’étais écartelé entre l’envie de réussir dans un groupe et le sentiment que j’étais en train de creuser ma tombe.\\n\\nLe dunk de Vince Carter sur Fred Weisz\\n\\nD’abord, ça te glace car tu te dis, c’est fabuleux, mais c’est sur un copain. Tu te dis, bon, le match continue, on verra après. Hé ! non. Car tous les écrans de Sydney ont remontré en boucle le dunk de Vince Carter durant les huit dernières minutes du match. En plus, on est à la fin de la première semaine, on est dans la merde. Il y a à venir le match contre le Canada, celui qui va tout changer. Jusque là, les JO ont été médiocres. Tout est fini. Le président Mainini nous l’a fait comprendre. Et en plus, Fred Weisz se fait enjamber par Vince Carter, un truc que l’on n’a jamais vu. Fred, lui, ne s’est pas rendu compte. Il a joué le passage en force de Vince Carter. Il l’a vu décoller, il attendait le choc, et le contact n’est jamais arrivé. Il a fermé les yeux et quand il les a rouvert, il n’a vu qu’une chaussure. Là, et avec la clameur du Dôme, il a compris que quelque chose c’était passé, quelque chose d’étonnant. Mais, sur le moment, il a été moins impressionné que nous. Nous, on était glacé, au fond du trou.\\n\\nPassion Basket, Mémoires d’un coach*\\n\\nIl fallait que j’écrive un livre sur ce que j’avais vécu sur le plan basket, sur une aventure qui n’était pas évidente pour moi qui n’avait pas été un grand joueur. Passion Basket, c’est d’abord une jeunesse heureuse grâce au basket, puis un métier, et puis il y avait des choses dont je voulais qu’elles soient sues, que je ne pouvais pas garder pour moi. Il fallait exorciser. L’Euro 2003 m’a fait un mal fou. Je voulais expliquer pourquoi ça s’était cassé au moment de l’Italie (match pour la 3e place), pourquoi j’étais passé en force dans pas mal de décisions, tout simplement parce qu’en 2001, je n’avais été suivi sur rien. Je savais que c’était une catastrophe que Mainini ne paye pas les primes de Sydney aux joueurs. J’ai subit l’histoire de ces primes du début à la fin. Je savais que les joueurs de Sydney allaient arrêter ou continuer à aller en équipe de France à reculons. Il y avait un groupe qui avait encore tout à prouver, confirmer la médaille d’argent, et qui s’est retrouvé cocu. C’est pour ça que deux ans plus tard, je suis passé en force pour avoir la meilleure équipe possible pour essayer d’aller aux JO. Comme il y avait beaucoup de gens qui souhaitaient que ça ne se passe pas comme je le voulais, il y a eu une chasse à l’homme ! Donc, il fallait que j’explique dans un livre, pourquoi j’avais pris Abdul-Wahad, pourquoi j’avais pris Jérôme Moïso, puisque ce sont les deux reproches essentiels que l’on m’a fait. Il n’y avait en fait pas d’autres solutions. On s’est aperçu que lorsqu’on est le basket français et que l’on veut se qualifier pour les JO, il faut vraiment les meilleurs joueurs. On n’y va pas en prenant les huit meilleurs et en se disant, les autres vont être sympathiques, de gentils camarades. Ce n’est pas vrai. J’estimais ne pas avoir eu la possibilité d’expliquer mes positions. D’où ce livre. C’est un journaliste de Marseille (Yves Mérens), ami depuis qu’on a dix ans qui l’a écrit. J’ai regardé sur Internet les maisons d’éditions que je connaissais et je leur ai envoyé une proposition. Certaines ne m’ont même pas répondu. Il s’est trouvé que le responsable de Ramsay était un basketteur de Saint-Vallier. Dès le premier coup de fil, il m’a dit, « je vous connais, je sais ce qui s’est passé en équipe de France, je suis preneur. » Pour l’anecdote, il voulait mettre comme titre « Au pays des Géants Bleus ». Ce n’est pas un livre de règlements de compte. Il y a beaucoup d’hommages et j’ai raconté mon histoire. Je crois que le livre s’est vendu à 3 000 exemplaires. Ce qui n’a pas été idéal, c’est qu’il y a eu un décalage de presque un mois entre le moment de la présentation du bouquin et celui où on l’a trouvé en librairies. Je n’ai pas eu un seul retour négatif, beaucoup de gens m’ont dit qu’ils s’étaient régalés. Donc, je suppose que ceux qui l’ont pris négativement n’ont pas osé me le dire ou me l’écrire.\\n\\nLes Maccabiades\\n\\nCes Maccabiades existent depuis les années 30, avant même la naissance de l’Etat d’Israël en 1948. Elles ont lieu tous les quatre ans. Je les ai faites en tant que joueur, à 20 et 24 ans. J’en gardais un très bon souvenir. C’est le moment où je suis devenu ami avec Solly Azar. Et puis je l’ai fait en tant qu’entraîneur avec deux de mes enfants, Nicolas et Jean-Baptiste. On a été finalistes contre Israël. On est aussi tenants du titre au niveau européen. Les Maccabiades, c’est un engagement juif, mais cela démontre qu’il y a des tas de façons d’être juifs. Les seules vraies Eglises que j’ai connues, ce sont celles du Parti Communiste et du basket. Je n’ai pas eu d’éducation juive, ce n’est pas compatible avec celle que j’ai eu, très politisée lorsque j’étais enfant. Mais je me suis toujours senti juif. Je vais aux Maccabiades en payant mon billet d’avion, ma place. Mais ce n’est pas un engagement politique pro-Israël, sioniste. C’est du sport, il y a une ambiance extraordinaire, c’est très chouette.\\n\\nAlexis Ajinça\\n\\nJ’écoutais l’autre jour Philippe Lucas qui disait que c’est extraordinaire pour un entraîneur de rencontrer dans sa vie quelqu’un comme Laure Manaudou. Alexis, je n’ai pas eu cet engagement, je ne l’ai eu qu’un an, mais je l’ai beaucoup aimé. C’est un garçon très sympathique, qui a beaucoup de qualités d’athlète avant d’en avoir de basketteur, qui s’est fixé des objectifs et qui les a réussis. Il possède une coordination extraordinaire. Autant il y a des Français en NBA qui ne seraient pas majeurs en Euroleague, autant son recrutement en NBA est légitime. Il peut devenir un joueur du plus haut niveau mondial.\\n\\nLes blessures de Mous Sonko\\n\\nL’affaire s’est conclue avec Mous assez tardivement, au mois de juin. A cette époque, on avait Tony Skinn qui avait signé chez nous. Au moment de renvoyer le contrat signé, il a demandé un dernier truc qui n’a pas pu être accepté et il a signé à Gravelines. Skinn était un « Cotonou ». Il fallait trouver un Bosman ou un Français. Je me suis dit, j’appelle Mous. Il m’a dit, « j’ai tout arrêté, Alain ». Je lui ai demandé de réfléchir et que je le rappellerai dans trois jours. Je le rappelle, il me dit « OK ». Je lui ai dit qu’il y avait qu’une chose qui me faisait peur, la blessure. Je lui ai demandé d’arriver en forme au moment de la reprise, au 20 août. Il s’est entraîné tout l’été, mais ça ne remplace pas l’année de compétition qu’il n’a pas eu. Il fait des petites déchirures musculaires, mais à répétition et à des endroits différents. Il est fragilisé. Il y a l’âge, c’est évident, mais ce sont des blessures typiques de joueurs qui n’ont pas sollicité leurs muscles pendant un moment. Contre Nancy, Chalon, il a été bon. Et à chaque fois qu’il ne l’a pas été, c’est qu’il n’arrivait pas à courir. C’est une souffrance, pour lui, qui a bâti tout son jeu sur le côté athlétique, pour nous, qui avons une autre image de lui. Je tiens à dire que Mous a un rôle très important dans la cohésion du groupe. Même en civil, il encourage les autres comme un junior. Je pense qu’il finira bien son année.\\n\\n« Je n’ai pas eu d’éducation juive, mais je me suis toujours senti juif. »\\n\\n\\nCôté Jardin\\n\\nLes diplômes\\n\\nJe suis prof d’EPS, j’ai le diplôme supérieur de l’INSEP, j’ai un DEA de sociologie et un DEUG de psycho. J’ai fait ça en étant prof. J’ai toujours pensé qu’on n’arrête pas d’étudier. Mais, franchement, aucun de ces diplômes ne m’a servi. C’est ce que j’ai appris qui est intéressant. Là, je donne des cours à la fac de Marseille. Je suis responsable du secteur de haut niveau. Ce qui me donne l’occasion de fréquenter des sportifs de différents horizons. On a des médaillés olympiques puisqu’on a des nageurs, Laëtitia Le Corguillé en BMX.\\n\\nLa plus grosse bêtise à l’école\\n\\nJ’étais dans un lycée pilote où il y avait beaucoup de liberté, donc c’était dur de faire des bêtises. Il n’y avait pas de déconne, on était en autodiscipline. Disons qu’à la récré, je continuais parfois à jouer au basket au lieu d’aller en maths. On m’avait demandé de m’expliquer pourquoi je n’étais pas allé en maths et j’avais dit qu’un match, ça se menait jusqu’au bout. C’était une raison valable, c’était accepté. On avait une très grande liberté pour accéder à l’autonomie.\\n\\n24 heures dans la peau d’un autre\\n\\nMichel Platini. Un jour de l’Euro 84 où il réalise la plus belle performance que j’ai vu d’un sportif français, de tous les temps. Notamment les 3 buts contre la Yougoslavie à Saint-Etienne.\\n\\nUn livre\\n\\nPlutôt un auteur, Stephan Zweig. C’est une merveille.\\n\\nUn film culte\\n\\n« Seul au Monde » avec Tom Hanks. Il tombe avec son avion sur une île et il faut qu’il survive.\\n\\nLe dernier concert\\n\\nGoldman à Antarès. Ça remonte !\\n\\nUn autographe\\n\\nÇa m’est arrivé une fois de demander un autographe lorsque j’étais gamin, celui de Josip Skoblar. Je l’ai toujours ! J’allais voir tous les matches de l’OM de l’époque Magnusson/Skoblar.\\n\\nCe qui te fait rire\\n\\nJ’adore les jeux de mots. C’est très simple, très nul, mais ça me fait rire.\\n\\nTrois personnes avec qui dîner\\n\\nObligatoirement Coluche. Georges Brassens. Et Pierre Desproges. Les trois sont morts !\\n\\nUn truc anti-stress\\n\\nPenser à la saison suivante. Comment je vais refaire l’équipe.\\n\\nUne folie\\n\\nPar les temps qui courent, avoir quatre enfants. C’est une folie que je ne regrette pas, évidemment. La quatrième, c’est une fille qui est née au Mans et que les garçons voulaient appeler Henriette. Elle s’appelle Anne-Sophie, c’est mieux !\\n\\n« Même pour 10 millions d’euros je refuserais de faire faire le travail par quelqu’un d’autre et dire que c’est moi qui l’a fait. »\\n\\nLes amis dans le basket\\n\\nFranchement, je crois que je n’ai que des amis, sauf un peut-être ! C’est vrai que j’ai des rapports particuliers avec Vincent (Collet), mais je ne rencontre pas de regards agressifs, désapprobateurs.\\n\\nUn don caché\\n\\nC’est relatif à mon premier métier que j’ai pratiqué pendant quinze ans, de 1973 à 1988. Eleveur de chiens, et notamment de lévriers afghans. J’étais tombé amoureux de ce chien lorsque j’étais allé en Angleterre. Il y en avait très peu à cette époque là et je les ai importés pour en faire l’élevage, dans un chenil à Marseille. Puis, j’ai fait des aller-retours Paris-Marseille pour m’en occuper.\\n\\nLa plus belle réussite\\n\\nSceaux. Le sport-études, le club, sa montée, tout en parallèle. J’y ai joué en Nationale IV, et comme coach, on est monté jusqu’à la Pro A. Ce n’est pas que mon œuvre, mais si j’ai une réussite à ressortir, c’est celle là.\\n\\nCe que tu refuserais de faire même pour 10 millions d’euros\\n\\n(Il réfléchit longuement) Faire faire le travail par quelqu’un d’autre et dire que c’est moi qui l’a fait. (Silence)\\n\\nTu n’aimes pas que l’on dise de toi\\n\\nIl ne pense qu’à lui.\\n\\nToi dans 10 ans\\n\\nEleveur de chiens.\\n\\nUn vœu à faire à La Bonne Mère\\n\\n(Il rigole) Donnez nous une équipe de Pro A à Marseille. Ça pourrait se faire. Il suffirait que les gens de l’OM le décident, même si les clubs omnisports ne sont pas dans la culture française comme en Espagne avec le Real et le Barça. Marseille bouge beaucoup et il y a la prise de conscience que la suprématie de l’OM sur les autres sports est un problème. J’ai toujours espoir... C’est une ville où la mentalité est faite pour le basket où le public est très important. Comme en Grèce, en Turquie. Les Marseillais ne se rendent pas compte à quel point ils auraient de l’importance au basket.\\n\\n* Dans ce livre, Alain Weisz indique notamment que Jean-Pierre De Vincenzi, coach de l’équipe de France à Sydney, lui a demandé, dans le secret, de prendre en mains l’équipe de France pour la deuxième semaine de compétition, estimant ne plus avoir la confiance des joueurs.\\n\\nParu dans Maxi-Basket en 2008"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’élève Vincent Collet presque gêné pour le maître Alain Weisz"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Aussi bien au Mans qu’en équipe de France Vincent Collet fut l’assistant d’Alain Weisz. Le cordon ombilical n’a jamais été rompu. Les deux hommes s’apprécient et les deux coaches profitent toujours de l’expérience l’un de l’autre.\\n\\nQu’Alain Weisz finisse (peut-être) sa carrière professionnelle face à Vincent Collet est sans doute un signe du destin même si la manière (106-75 pour la SIG) a été douloureuse pour les deux.\\n\\n« Je suis forcément triste, » a dit Collet aux DNA. « C’est toujours triste quand un coach se fait “couper”. C’est la conséquence la plus évidente dans le sport, quand une équipe ne va pas bien. Pour avoir connu ça il y a quelques années à Villeurbanne, je sais ce que ça représente. Et j’aurais autant aimé que ce soit contre quelqu’un d’autre que moi. »\\n\\nLe SLUC Nancy a complètement pris l’eau hier soir comme l’atteste l’évaluation finale, 140 à 65. A l’image de Paul Lacombe (12 passes), les Strasbourgeois n’ont pas fait de quartiers.\\n\\n« Je n’étais pas plus content que ça quand on avait trente-deux points d’avance à la mi-temps (60-28). Je voyais mes joueurs qui étaient déchaînés, et je ne pouvais pas leur dire de s’arrêter, mais j’étais presque gêné. Le fait que la deuxième mi-temps était plus équilibrée m’allait bien. »\\n\\nLe futur coach du SLUC va devoir utiliser des remèdes miracles tant l’équipe est apparue hier soir très malade."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 28 novembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nErik Murphy\\n\\n– – Quel est votre sentiment à l’issue de cette victoire pour le moins aisée ?... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe film du match\\n\\n– Travis s’occupe de tout en début de rencontre. Une contre-attaque conclue par Leloup, puis un panier de Slaughter tête de raquette valident la bonne... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDestins contraires\\n\\n– La SIG a poursuivi sur sa dynamique actuelle en étrillant la lanterne rouge, hier au Rhenus. Vincent Collet n’avait toutefois pas le cœur à se réjouir... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe Puy fonce sur le trio de tête\\n\\n– les altiligériens passent 4ème après ce succès... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond s’incline à nouveau\\n\\n– La pente devient de plus en plus glissante pour le Saint-Chamond Basket Vallée du Gier. Les Ligériens ont concédé une cinquième défaite de rang, en... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Rouchons poursuivent leur belle série\\n\\n– Encore une fois, l’altruisme et la générosité défensive des Rouchons ont fait la différence. Les Ligériens se sont imposés 77 à 62 face à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nVictoire logique du CRAP\\n\\n– Le CRAP n’a pas eu à puiser dans ses ressources pour venir à bout d’une équipe de La Tronche poussive et maladroite (62-43). Les visiteuses se sont... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne victoire majuscule\\n\\n– Heureux les supporters du CS Ozon qui ont pu assister à une énorme prestation de leur équipe face à Mandelieu. Les locales sont ainsi rentrées dans le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBeaujolais Basket tombe en Alsace\\n\\n– Le début de match est serré. Si Mulhouse trouve souvent la solution à l’intérieur, notamment par Acker, les Rhodaniens ne sont pas en reste et... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nVite fait, bien fait !\\n\\n– En attendant le résultat d’Orléans à Dijon, les cadets de la JL ont fait ce qu’il fallait face à Roanne pour s’ouvrir en grand les portes du groupe A... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nMontbrison coule à Aubenas\\n\\n– Guillaume Pons, espérait faire un coup à Aubenas. Il a surtout pris un énorme coup sur la tête tant ses hommes se sont montrés incapables de résister... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’AL Lons à vitesse grand V\\n\\n– L’AL Lons n’a pas fait de cadeau à Villefranche, la lanterne rouge, samedi soir. Autre bonne nouvelle pour le leader, Saint-Priest, son dauphin et... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPeu de marge dans les chiffres...\\n\\n– À l’aller, les Choraliens se sont imposés au bout du suspense (75-74) face à Aix-Maurienne, dans cette demi-finale de Leaders Cup... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa défense n’a tenu qu’une mi-temps\\n\\n– La défense d’Andrézieux n’a pas tenu la distance face à Rueil, encaissant 100 points... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe leader était trop fort\\n\\n– Les espoirs de la JL ont rivalisé plus d’une mi-temps avant de subir la domination de Pont-de-Chéruy... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe BCMF veut repartir du bon pied\\n\\n– Battu à domicile par Landerneau (56-70), le BCMF doit se ressaisir avant son déplacement compliqué à Calais... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nQui restera ce soir dans la Pau du dauphin de Monaco ?\\n\\n– Les deux équipes surprises du championnat, Chalon et Pau-Orthez, s’affrontent ce soir au Colisée pour rejoindre Nanterre, dauphin du leader Monaco... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe Poinçonnet seul en tête\\n\\n– le point Avec ce succès, Le Poinçonnet prend seul les commandes de la poule B de Nationale 2, suivi désormais par le duo Bellevigny et Anglet, qui ont une défaite chacun. Les Basques... Lire la suite.\\n\\n\\nLes supporters récompensés pour leur fair-play\\n\\n– Secrétaire de l’UNCSB (Union nationale des clubs de supporters de basket), Serge Lejeune était samedi à Blois. Et il a profité de la mi-temps du match entre l’ADA et Saint-Quentin pour... Lire la suite.\\n\\n\\nUn Américain de 2,08 mètres\\n\\n– Comme annoncé dans notre édition d’hier, un renfort américain va rejoindre la Berrichonne pour les prochains. Il s’agit de De Andre Leatherwood, un intérieur de 2,08 mètres... Lire la suite.\\n\\n\\nVineuil équilibre son bilan\\n\\n– Les basketteurs vinoliens ont remporté une nette victoire (59-88), samedi à Lisieux, face à la lanterne rouge du groupe E de Nationale 3. « Malgré un petit retard à l’allumage, nous avons... Lire la suite.\\n\\n\\nLa star du week-end\\n\\n– DeMarcus Nelson. Si l’Asvel ne réalise pas le début de saison d’un champion en titre, le club peut néanmoins se satisfaire de sa recrue américaine Nelson. Vendredi soir, l’arrière californien... Lire la suite.\\n\\n\\nLe Cest a craqué sur la fin\\n\\n– Cest\u2009: 50 Limoges ABC\u2009: 60 Le début de match était placé sous le signe de l’adresse. Les deux équipes se rendaient panier pour panier (9-8, 6e). La suite allait se gâter pour le Cest. Limoges... Lire la suite.\\n\\n\\nUne UTBM aux deux visages\\n\\n– UTBM\u2009: 82 Saint-Pavin Le Mans\u2009: 59 Défendre est impératif\u2009! En négligeant ce secteur du jeu dans les vingt premières minutes, la réserve tourangelle a laissé son adversaire prendre... Lire la suite.\\n\\n\\nAvec Duren mais sans Jbam\\n\\n– « Soucieux de se renforcer sur le poste de meneur de jeu » après un début de saison difficile, Boulogne a recruté l’Américain Tyreek Duren (1,83 m, 25 ans), mi-novembre. Et ce dernier a... Lire la suite.\\n\\n\\nL’ADA a été trop tendre\\n\\n– Manque de dureté et manque de cohésion... Deux lacunes qui ne pardonnent pas. Et que Mickaël Hay ne peut pas accepter de la part de ses joueurs... Lire la suite.\\n\\n\\nDes Poitevins sur un nuage\\n\\n– Poitiers 2 – Limoges CSP 2\u2009: 83-56 Le duel des réserves pros a nettement tourné en faveur du PB 86 qui totalise désormais six victoires pour deux défaites... Lire la suite.\\n\\n\\nChâteauroux ne s’en sort pas\\n\\n– En se rendant à Gravenchon, avant-dernier, la Berri avait l’occasion de renouer avec la victoire, mais a subi la loi des locaux (68-58)... Lire la suite.\\n\\n\\nMonaco impose son rythme\\n\\n– Seul le club de Nanterre supporte la cadence infernale imposée par Monaco. Derrière, beaucoup d’équipes ne décollent pas du milieu de tableau... Lire la suite.\\n\\n\\nL’UTBM a le dos au mur\\n\\n– Ré – UTBM\u2009: 79-71 Avec cette quatrième défaite cette saison, l’UTBM n’a plus aucun droit à l’erreur, doit battre La Charité et s’imposer à Brissac avant Noël... Lire la suite.\\n\\n\\nSaint-Ouen conserve son invincibilité à domicile\\n\\n– Les deux équipes loir-et-chériennes jouant en régionale 2 masculine se sont imposées.RÉGIONALE 2 MASC.Saint-Ouen\u2009: 73 Artannes\u2009: 67 21-21, 24-14 (45-35), 8-20 (53-55), 20-12 (73-67)... Lire la suite.\\n\\n\\nLe WOSB bousculé par Rixheim\\n\\n– Le CSSL Rixheim s’est déplacé au WOSB hier dans le cadre du Trophée Coupe de France. Les deux équipes ont joué samedi soir en championnat et ont... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDessenheim est incorrigible\\n\\n– Comme contre Holtzheim puis contre Gries, l’ASL Dessenheim a connu un gros trou noir qui lui a été fatal. Les Hardtois n’ont toujours pas remporté la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRixheim maîtrise son sujet\\n\\n– Rixheim a maîtrisé les débats, samedi soir, face au Grand Besançon. Cette victoire consolide les ambitions rixheimoises de figurer dans le peloton de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSérie noire pour Pfastatt\\n\\n– Les joueurs de Jean-Luc Monschau se sont inclinés en toute fin de match face à Feurs (63-66) samedi soir à la salle polyvalente... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nKaysersberg s’est fait attendre\\n\\n– L’indiscutable victoire décrochée samedi soir par Kaysersberg face à Joeuf a cependant été longtemps contestée par des Lorrains qui n’ont baissé pied... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe FCM retrouve des couleurs\\n\\n– Le FC Mulhouse a renoué avec la victoire, samedi au Palais des sports, en venant à bout de Beaujolais Basket (78-70)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa SIG se balade\\n\\n– L’équipe strasbourgeoise n’a fait qu’une bouchée du SLUC Nancy, lanterne rouge du championnat, hier soir au Rhénus Sport (106-75), et remonte à la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"SLUC Nancy : Alain Weisz met un terme à sa carrière"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il n’y a pas eu de miracle pour Alain Weisz puisque le SLUC a pris une fessée à Strasbourg (106-75), et après la rencontre, lui et le président nancéen ont confirmé qu’il s’agissait de son dernier match à la tête de l’équipe.\\n\\nL’ancien coach de l’Equipe de France est même allé plus loin en annonçant que sa carrière était terminée.\\n\\nPour le remplacer, nos confrères de Be Basket évoquent les noms de Greg Beugnot et Sylvain Lautié...\\n\\n\\n\\n\\nA. Weisz souhaite que \\les joueurs du @SLUCbasketNancy réalisent qu'ils sont en train de jouer leur carrière. La mienne est finie.\\ #SIGSLUC\\n\\n\\n— Christelle Boos (@Did_ou) November 27, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Challans (NM1) : Un rookie américain en renfort"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un nouveau joueur au Vendée Challans Basket.\\n\\nL’arrière américain Matthew Gibson blessé à la cheville et out pour quelques semaines vient d’être remplacé par son compatriote Jordan Barham (1,93 m, 22 ans). Signé il y a quelques jours, le natif de Cleveland (Ohio) est sous contrat avec le club challandais jusqu’à Noël.\\n\\nFormé entre 2012 et 2016 à l’Université de Davidson, il compilait 8,4 points à 53,6% de réussite aux tirs, 3,7 rebonds et 0,8 passe pour 7,1 d’évaluation en 14 minutes sur 30 matchs avec les Wildcats lors de son année Senior en 2015/16.\\n\\nC’est donc sous les ordres de Philippe Namyst qu’il vivra sa première expérience professionnelle. Après 13 journées de championnat, le VCB est avant-dernier de NM1 avec un bilan de 4 victoires pour 9 défaites.\\n\\nPhoto : Davidson Wildcats"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les articles de la semaine : du 21 au 27 novembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque dimanche, Basket Europe vous propose une sélection des meilleurs articles de la semaine afin de connaître l’essentiel de l’actualité :\\n\\n 1.  Les highlights de Sekou Doumbouya (15 ans), le nouveau phénomène du basket français\\n 2.  Vincent Collet : « L’Euro sera la seule véritable opportunité pour les joueurs NBA de jouer en équipe de France »\\n 3.  Le reportage de Stade 2 sur les big men français\\n 4.  Coupe du Monde 2019 : quand le ridicule pourrait tuer !\\n 5.  Pierre Bressant, l’homme de tous les records à la passe\\n 6.  EuroBasket 2017 : la France en Finlande avec la Grèce et la Slovénie\\n 7.  Le Poitevin Youssoupha Fall (2,21m) décroche son record d’évaluation\\n 8.  Les matches des équipes de France en clair à la TV : prochaine réalité ou chimère ?\\n 9.  Les Français de l’étranger : Jackson – Beaubois, les scoreurs français flambent en Espagne\\n 10. Jordan Semple, le Français qui cartonne en Bulgarie"
}, 
{"role": "user",     "content":"Comment la Guadeloupe est devenue une machine à produire des joueurs de haut niveau"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Georges Bengaber est la cheville ouvrière du club de l’ASC Ban-é-Lot, célèbre pour avoir sorti Jim Bilba et Jérôme Moiso. C’est aussi le responsable technique du Pôle de la Guadeloupe, une île de seulement 400 000 habitants mais qui est peuplée de futurs basketteurs de haut niveau. Rappelons que cinq Guadeloupéens ont joué en NBA : Rodrigue Beaubois, Mickaël Gelabale, Jérôme Moiso, Johan Petro et Mickaël Pietrus. Un record national pour un département. Sans parler de Rudy Gobert dont le père Rudy Bourgarel est originaire de l’île.\\n\\nGeorges Bengaber est un personnage central de la formation française et mérite que BasketEurope lui tende un micro.\\n\\nL’interview est en deux parties.\\n\\nQuel est votre parcours ?\\n\\nJe suis parti en métropole pour des études en 1971 et j’ai rencontré Robert Monclar (Ndrl : ancien international, père de Jacques) sur l’un des terrains de Romainville et il m’a invité à venir au Racing Club de France là où il était dirigeant. J’ai été pris tout de suite dans l’équipe et j’y ai joué pendant six ans avant une grave blessure au genou. J’ai été sollicité par le ministère de l’intérieur qui voulait que je joue avec eux, je me suis dit que je préférai passer mes diplômes, préparer mon avenir, et continuer en Nationale 3 avec la Préfecture de Paris.\\n\\nVous n’étiez pas beaucoup de Guadeloupéens à l’époque dans les championnats de la métropole ?\\n\\nNon, mais il y avait Jacques Cachemire qui était notre tête de pont, à Antibes et en équipe de France. Il a voulu un moment que je le rejoigne à Antibes mais le président du Racing ne voulait pas trop et comme j’ai connu cette blessure j’ai préféré assurer mes arrières et continuer mes études en informatique. J’avais encore quelques séquelles au genou.\\n\\nQuand êtes vous retourné en Guadeloupe ?\\n\\nEn février 1979. Le club de Ban-é-Lot existait depuis dix ans créé par Jacques Cicofran. J’ai joué un an et demi avec eux. Il était naturel que je revienne chez moi pour rendre un peu ce qu’ils m’avaient donné. J’ai été joueur jusqu’en 1986 et après j’ai été entraîneur jusqu’à maintenant. Je me suis juste arrêté un an ou deux avec l’équipe senior car j’étais un peu fatigué, saturé. Je suis revenu et nous avons fait de belles choses encore. Il y a deux ans j’assistais un coach pour l’équipe première. Et puis j’ai occupé la fonction de trésorier. Une mutation était en train de se faire car les collectivités ne donnaient plus d’argent et tout le monde avait comme objectif de développer le mécénat. Sans moyens notre club qui est formateur n’avait pas la possibilité de jouer les premiers rôles comme au début quand il y avait les aides de la municipalité, du département et de la région. C’était des équipes de communes faites pour valoriser celles-ci. A Pointe-à-Pitre nous sommes cinq clubs et la municipalité n’avait pas la possibilité de donner les mêmes moyens à chacun comme peut le faire une municipalité avec un seul club.\\n\\nPar qui avez vous été formé comme entraîneur ?\\n\\nJ’ai été formé par les frères Buffière (Ndlr : André et Maurice). Je continue à aller voir ce qui se passe à l’extérieur. Je me suis beaucoup inspiré de la Yougoslavie, je suis allé au dernier championnat d’Europe là-bas (Ndlr : à Belgrade en 2005), d’ailleurs je les ai tous fait. Au mois de septembre, je suis allé quinze jours à Atlanta pour faire travailler mon fils (Ndlr : Grégory, qui est espoir au Mans) et pour apprendre. Et au retour je raconte à mes coaches tout ce que j’ai vu de bon, je mets des programmes au point au Pôle ce qui nous permet d’être à la page. Il n’y a rien de nouveau dont je n’ai pas connaissance et j’en fait profiter les petits au Pôle. Je suis responsable de la formation des jeunes au Pôle et Patrick Cham qui est CTS me donne carte blanche.\\n\\nQuelles sont les structures d’accueil de votre club ?\\n\\nNous nous entraînons une fois la semaine au hall des sports de Pointe-à-Pitre qui est resté fermé pendant cinq ans pour une reconstruction. Le reste du temps, on va trois fois au CREPS Antilles-Guyane. C’était déjà le cas à la création du club quand c’était le seul terrain couvert qui existait. Et pour la préparation physique on va sur le terrain municipal des Abymes (...)\\n\\n« Le basket est le troisième sport. Le premier c’est le cyclisme et le deuxième le football. »\\n\\nLe basket est-il populaire auprès des jeunes Guadeloupéens ?\\n\\nLe basket est le troisième sport. Le premier c’est le cyclisme et le deuxième le football. Nos jeunes ont du talent ! Et puis avant la formation était laissée à des anciens qui avaient des connaissances et qui offraient leurs services à l’association, alors qu’aujourd’hui il y a des jeunes, un certain travail se fait au niveau de la ligue de basket. J’ai été pendant quatre ans le responsable de sa commission technique et je faisais venir des cadres nationaux qui animaient des colloques, des séances de travail, des stages. Aussi la formation des joueurs est meilleure vis à vis d’il y a quelque temps.\\n\\nSont-ce les jeunes qui viennent à vous ou faites-vous de la détection ?\\n\\nLa détection se fait dans les écoles. A Ban-é-Lot, on a une cellule de détection qui fréquente les écoles de Pointe-à-Pitre. La semaine dernière, nous avons mis en place une détection dans les jardins de Guadeloupe 1ère, la radio locale. On a évalué une dizaine de jeunes qui vont alimenter nos équipes garçons et filles entre six et dix ans.\\n\\nDe quel milieu social viennent vos jeunes ?\\n\\nC’est dans la moyenne. Ceux qui viennent d’un milieu social plus élevé n’ont pas plus de chances que les autres. Si l’enfant est en difficulté au niveau de l’école, on met en place des organisations pour les aider. On peut demander des primes au niveau Conseil Régional pour les parents, on peut les inscrire sur la liste haut niveau.\\n\\n« Il y a de moins en moins de talents qui se perdent »\\n\\nComment expliquer que la Guadeloupe, qui est une petite île, ait sorti autant de très bons joueurs. Les gens sont faits pour le basket ?\\n\\nIl y a une prédisposition. Les enfants sont naturellement sportifs, il y a la coordination. Cela fait huit ans que je suis responsable de la commission technique à la Ligue et je constate que la détection se fait à partir de onze ans. Pour constituer l’équipe U13 de Guadeloupe qui va partir au tournoi international de Pace, il y avait quarante-huit jeunes. Il y aura un deuxième rassemblement le 3 décembre. De ces quarante-huit il va en rester une vingtaine que l’on va faire travailler au CREPS avec les cadres de la commission technique du Pole Guadeloupe. Fin janvier, début février, on aura une sélection de quinze joueurs et ensuite dix partiront à Pacé (Ndlr : EuroPacé Basket, plus grand tournoi d’Europe pour les U13, les 1er er 2 avril, qui a accueilli Nicolas Batum, Thabo Sefolosha, Rodrigue Beaubois ou encore Alexis Ajinça).\\n\\n\\nAprès ce tournoi, que se passe-t-il ?\\n\\nAu retour on fera revenir les quinze pour continuer à travailler. Ils seront de nouveau évalués au tournoi Antilles-Guyane qui a lieu une fois en Martinique, une fois en Guadeloupe et une fois en Guyane. Parmi les douze meilleurs, six ou sept pourront postuler pour aller au Pole Guadeloupe. Ils y travailleront pendant deux ans sous la responsabilité de Patrick Cham et de là sortiront les meilleurs, ceux que vous voyez. Depuis huit ans que je suis là, chaque année on a un ou deux joueurs postulant au Pole France.\\n\\nSi l’on compare avec votre époque, on peut constater d’énormes progrès dans la formation des basketteurs guadeloupéens et dans la perspective d’en faire ensuite une profession ?\\n\\nIl y a de très gros progrès. Je n’ai pas connu cette filière là. Avec ce qui a été mis en place à la ligue, vous êtes suivi depuis l’âge de dix ans, un travail est fait, les sélections se font ensuite. Vous allez au Pôle Guadeloupe et là vous êtes repérés par les structures des équipes de France. Il y a de moins en moins de talents qui se perdent. On a vu un petit bonhomme de 2,02m qui n’était pas licencié, qui était cycliste, on s’est rendu compte qu’il avait des possibilités et il est rentré au Pôle cette année. Il fait de gros progrès et certainement il va être pris par un centre de haut niveau ou peut-être même par la Direction Technique Nationale.\\n\\nIl y a plus de grands en Guadeloupe que dans les départements de la Métropole ?\\n\\nCette année on en n’a pas eu beaucoup mais il y a des promotions où l’on a beaucoup de jeunes de onze ou douze ans à 1,90m. Ce n’est pas régulier. J’ai vu que c’est pareil en Métropole, il n’y a pas de big men cette année.\\n\\nLa Guadeloupe reste le département qui proportionnellement a produit le plus de basketteurs de haut niveau ?\\n\\nExactement, par rapport à la Guyane et à la Martinique. Les gens se demandent comment on fait. Des envoyés de la Direction Technique sont venus nous voir travailler. M. Nordine Ghrib de Villeurbanne s’étonnait de ça, il est venu nous voir travailler aussi et maintenant il dit « j’ai compris ! ». En Guadeloupe, nous avons bien quatre ou cinq ans d’avance sur les autres départements.\\n\\nLa suite est ici.\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : le Lillois DeQuan Jones et le Fosséen Aaron Broussard co-MVP de la 7e journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il faudra (encore) compter avec le Lille MBC cette saison. Habitués des fins de match à suspense en ce début d’exercice, les Nordistes ont signé l’exploit de cette 7e journée vendredi soir en s’imposant 70-69 contre Bourg-en-Bresse à la dernière seconde après avoir été menés de 10 points à 3 minutes de la fin !\\n\\nCités parmi les joueurs de la division à suivre en début de saison, l’ailier américain DeQuan Jones, brièvement passé par le Magic d’Orlando (2012-2013), a une nouvelle fois été précieux avec deux dunks spectaculaires, 27 points, 11 rebonds, 27 d’évaluation et 2 contres qui ont fait la différence sur la fin, même si c’est son compatriote Deonte Burton qui a offert la victoire aux siens à une seconde du buzzer en inscrivant ses deux lancer-francs. Après 7 matchs joués, DeQuan le showman tourne à 18,6 points, 7 rebonds, 2,7 passes décisives, 1,3 contres, 1,3 interceptions et 19,6 d’évaluation par match en moyenne, et fait déjà partie des ailiers les plus complets de Pro B.\\n\\n\\nFos-sur-Mer reçu 7/7\\n\\nAvec ce 5e succès en 7 matchs, le LMBC garde sa place dans le bon wagon de tête, à la deuxième place à égalité avec Roanne, Denain, Charleville-Mézières et Saint-Quentin. Tous sont en embuscade derrière le leader, Fos Provence Basket qui a pour sa part enchaîné une 7e victoire samedi soir sur le parquet de Vichy-Clermont (86-89).\\n\\nLes Fosséens ont maîtrisé leur sujet en comptant jusqu’à 19 points d’avance avant de trembler sur la fin grâce aux prouesses de Dustin Ware à 3 points. Mais Aaron Broussard, homme du match, a mis les lancer-francs nécessaires pour assurer un 7e succès de rang aux Provençaux. Réputé pour sa constance et sa polyvalence, l’arrière fosséen a une nouvelle fois brillé, livrant un véritable récital offensif conclu par 31 points (son record en carrière en Pro B) à 11/21 au tir, 4 rebonds et 4 passes décisives pour 28 d’évaluation.\\n\\n« Aaron Broussard est dans la continuité de ce qu’il produit depuis trois ans », a déclaré son coach Rémi Giuitta sur le site du club. « C’est un garçon très réfléchi, intelligent et respectueux du collectif, ce qui joue parfois en sa défaveur. Aujourd’hui, il a pris ses marques dans cette équipe. Il sait quand il doit prendre ses responsabilités et quand il doit laisser jouer les autres car il y a d’autres individualités dans ce groupe. C’est toujours intéressant d’avoir des joueurs qui restent efficaces sans forcément avoir le ballon en main. Mentalement, il continue de progresser dans son approche du jeu, et ce soir il n’a pas été performant que dans l’adresse puisqu’il a aussi remarquablement défendu sur Denave et Byars »\\n\\nHasard du calendrier, Fosséens et Lillois se retrouveront vendredi prochain pour disputer le choc de cette 8e journée à la Halle Parsemain de Fos-sur-Mer.\\n\\n\\nLes résultats de la 7e journée\\n\\nNantes – Le Havre 82-71\\nCharleville-Mézières – Aix-Maurienne 71-61\\nDenain – Saint-Chamond 79-72\\nLille – Bourg-en-Bresse 70-69\\nRoanne – Boulogne-sur-Mer 81-71\\nPoitiers – Evreux 80-63\\nRouen – Boulazac 66-99\\nBlois – Saint-Quentin 70-72\\nVichy-Clermont – Fos-sur-Mer 86-89\\n\\nCrédit Photo Robert Visnelda"
}, 
{"role": "user",     "content":"Evreux : Vilde out jusqu’à la trêve, Sciarra souhaite un renfort"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Forfait vendredi soir contre Evreux (défaite 80-63) à cause d’une blessure à l’épaule, l’Ebroïcien Ricmonds Vilde (2,11 m, 26 ans) sera finalement absent des parquets jusqu’à la trêve.\\n\\nAfin de compenser la perte du pivot letton (8,2 points à 44,7% de réussite aux tirs, 6 rebonds et 0,8 passe pour 9,3 d’évaluation en 23 minutes sur 6 rencontres de championnat), l’ALM souhaite renforcer son groupe en engageant un nouvel élément.\\n\\n« On espère recruter un garçon en début de semaine souligne le coach Laurent Sciarra dans les colonnes de Paris-Normandie. Mais récupérer quelqu’un de performant fin novembre ce n’est pas facile. On va travailler pour reprendre notre basket dans le bon sens, déjà défensivement ».\\n\\nAu bout de sept journées de championnat, Evreux est douzième au classement avec un bilan de 3 victoires pour 4 défaites."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espoirs : troisième triple double pour le Limougeaud Vincent Fauché"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quoi qu’il arrive Vincent Fauché (1,90m, 20 ans) aura marqué ce championnat espoirs 2016-17. Le Limougeaud a réalisé hier face à Hyères-Toulon son troisième triple double de la saison.\\n\\nLe premier c’était contre Nanterre avec 15 points, 13 rebonds et 11 passes.\\n\\nLe second face à Châlons-Reims avec 12 points, 10 rebonds et 13 passes.\\n\\nEt donc le troisième aux dépends du HTV avec 17 points, 13 rebonds et 12 passes.\\n\\nLa moyenne sur 10 matches du natif de Boulogne-sur-Mer est tout autant remarquable avec 11,1 pts, 9,1 pds et 7,1 rbds. Avec de tels chiffres, Vincent Fauché mène évidemment l’évaluation du championnat (20,9) même si le Strasbourgeois Olivier Cortale n’est pas loin (19,8).\\n\\nSeul ombre au tableau et pas la moindre, Vincent Fauché n’a joué pour l’instant qu’un total de huit minutes en Pro A.\\n\\n« Les Espoirs jouent bien et Vincent est le leader de ce groupe. Mais l’équipe professionnelle est dans une situation très délicate. Chaque match que l’on joue est un combat pour rester en vie », justifie le coach Dule Vujosevic dans Le Populaire. « Il a eu l’opportunité de se montrer lors des matchs de présaison, mais il ne l’a pas saisie. Il continue de travailler dur aux entraînements. Il adore le basket et progresse. Après, ce n’est pas parce qu’il est bon avec les Espoirs qu’il est capable de faire la même chose avec les pros dans des matchs très difficiles, avec beaucoup de pression. Il est notre troisième meneur. Si DaShaun Wood et Zamal Nixon jouaient avec les Espoirs, ils feraient également de grosses différences. Vincent est un bon défenseur et un joueur intelligent, mais il doit progresser au niveau de son shoot et dans les un contre un quand il est sous pression. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet renverse Gravelines par trois lancers au buzzer"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suivant que vous soyez dans un camp ou dans l’autre, vous n’avez pas la même vision des événements. Il reste deux secondes et deux dixièmes à jouer dans cette prolongation du match Cholet-Gravelines. Justin Cobbs transforme un lancer sur deux et propulse ainsi le BCM en tête, 99-98. La Meilleraie n’en mène pas large. Le bon match des Choletais qui sont loin devant à l’évaluation (124-105), la cueillette de Jerry Boutsiele (2,07m, 24 ans, 10 rebonds en plus de 14 points), l’avance de huit points à quatre minutes de la fin, tout ça n’a servi à rien.\\n\\nSeulement... Les Nordistes ne sont pas attentifs. Illian Evtimov récupère le rebond et bien que coincé entre deux Gravelinois balance la balle loin devant. Isaiah Swann la récupère en pleine course et dégaine instantanément. Henry Sek fait faute au buzzer. Trois lancers. Swann, qui n’en a pas loupé un de la soirée, engrange les trois. 101-98.\\n\\n« Personnellement, il me semble impossible qu’en 2 »2, un joueur ait le temps de récupérer le rebond sur notre lancer, se tourner, faire une passe et que son équipier tire, estime Christian Monschau, le coach du BCM dans Ouest France. « Je pense que le chrono n’a pas été déclenché au moment où le ballon touche le cercle, mais quand il retombe dans les mains du joueur. Or, il y avait déjà presque deux secondes d’écoulées à ce moment-là. »\\n\\nUne remarque qui laisse indifférent Cholet Basket qui rejoint son adversaire du soir au classement d’un championnat qui n’a encore rien livré de ses secrets."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 27 novembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nDix sur dix pour le SLUC\\n\\n– Malmené en première période à Strasbourg (26-30, 17e ) Le SLUC a finalement trouvé les ressources nécessaires pour décrocher sa dixième victoire... Lire la suite.\\n\\n\\nPas l’endroit pour se refaire une santé\\n\\n– Sans excès de pessimisme et quel que soit le contexte finalement, on peut difficilement considérer Strasbourg comme l’endroit idéal pour se refaire la... Lire la suite.\\n\\n\\nBasket : La « der » d’Alain Weisz sur le banc du SLUC, aujourd’hui\\n\\n– L’entraîneur sera bien sur le banc du SLUC ce dimanche. Une dernière fois. Car les deux parties, qui se sont à nouveau rencontrées hier, semblent... Lire la suite.\\n\\n\\nJérémy Leloup\\n\\n– – Vous connaissez très bien Vincent Collet. Quels sont, selon vous, les bénéfices de son retour ?... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nNancy, la descente aux enfers\\n\\n– Quintuple finaliste de Pro A entre 2004 et 2011, titré en 2008 et 2011, le Sluc n’a plus rien d’un épouvantail. Désormais lanterne rouge, il s’apprête... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPas de cadeau\\n\\n– Face à un Sluc Nancy en plein marasme, la SIG vise une troisième victoire de rang en championnat. Aux Strasbourgeois de se mettre au chaud avant un... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFace au leader, Maubeugea connu une fin de match cruelle\\n\\n– Si l’enjeu a très souvent pris le pas sur le jeu, l’USMBB prenait les choses en main d’entrée de jeu (4′, 9-3). Avant d’être gêné par la défense en zone des Franciliens et de voir revenir ces derniers (11-9). L’hôte multipliait les maladresses. Alors que l’USMBB menait de 8 points sur un shoot lointain d’Adamczyk (16′, 23-15), et que la chose semblait entendue, ce sont les panthères qui... Lire la suite.\\n\\n\\nAaron Cel: «Cette défaite fait particulièrement mal»\\n\\n– Cruelle, cette défaite? Aaron Cel prit le temps de répondre. « C’est vrai que perdre de cette manière... Après, on a connu plein de scénarios incroyables dans le basket. On a vu tellement de trucs. Cette défaite fait mal, tout simplement », lâchait l’ailier-fort, travailleur de l’ombre (13 rebonds), hier soir. « Sek (Henry) est un pro, un battant. I... Lire la suite.\\n\\n\\nPro A : vraiment cruel pour Gravelines!\\n\\n– C’était entendu, l’arrière avait permis au BCM de gagner un match qu’il semblait avoir perdu à plusieurs reprises dans une soirée ouverte à toutes les folies. Prenant, ce thriller ! Mais sur la dernière seconde de la prolongation, le corps arbitral ne valida pas son contre sur Isaiah Swann. Faute. L’arrière choletais renversa sur la ligne un succès qui... Lire la suite.\\n\\n\\nCaluire fait fort\\n\\n– Après un début de saison compliqué, les Caluirardes ont démontré ce samedi soir qu’elles étaient revenues à leur niveau de la saison passée. En face... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTarare en démonstration\\n\\n– Repris par Marzy à la 5e minute, après deux minutes de mano a mano, les Tarariens ont su s’imposer face à une équipe Marzyate très physique et qui... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond s’est arraché\\n\\n– À défaut de rassurer, Saint-Chamond a assuré l’essentiel en arrachant le succès face à Nice (49-47), samedi soir, à la suite d’un panier suivi d’un... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLaëtitia Guapo diplômée d’or en Chine\\n\\n– La jeune Pink Ladies du RBF a été sacrée championne du monde universitaire 3×3... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDes Lionnes renversantes !\\n\\n– Cent fois les jeunes pousses du FC Lyon auraient dû perdre ce derby face à une formation d’Annemasse, avec qui elles jouent des coudes au milieu de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRepartir du bon pied\\n\\n– Après quinze jours de trêve, les Lionnes retrouvent le championnat avec la réception de Nantes-Rezé, avec qui elles sont à égalité... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe CTC facile dans le derby\\n\\n– Le derby entre Chassieu-Décines et Vaulx-en-velin est toujours autant attendu de saison en saison. Mais cette année, il n’était pas autant accroché et... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Lédoniennes ont craqué\\n\\n– Hier soir au gymnase du Mail, Chenôve s’est imposé facilement face à Lons-le-Saunier (78-58) grâce notamment à Céline Fargeot (11 points, 11 passes)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nVilleurbanne a parfaitement réagi\\n\\n– Et les Tigresses ont relevé la tête. Très appliquées hier soir face aux Normandes de la Glacerie (75-68), les protégées de Virginie Kervokian ont... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLyon SO reste invaincu à domicile\\n\\n– Lyon So Basket a confirmé son excellent début de saison en dominant logiquement la lanterne rouge... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nAndrézieux chute lourdement\\n\\n– Malgré une bonne première période, l’ALS s’est logiquement incliné, de 18\u2002points, sur le parquet de Rueil... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn match à oublier pour Le Puy\\n\\n– Palais des Sports du Puy-en-Velay. Spectateurs : 200 environ. Arbitres : M. EL MAHI Adil et MME DIDIER Cyrielle. La marque : 21-19, 38-44, 50-58... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBCMF : une mi-temps ne suffit pas\\n\\n– Les Montbrisonnaises, méconnaissables en début de rencontre, avaient trop de retard pour inquiéter de redoutables Bretonnes... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPoligny coule en silence\\n\\n– Face à une équipe alsacienne rodée, les Polinois, en panne d’intensité, ont encore chuté à domicile... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSCB : extérieur nuit\\n\\n– Ce n’est pas la seule raison de la défaite à Denain, mais elle y contribue : depuis le début de la saison, les Couramiauds ne trouvent pas la mire à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn cap est franchi pour Roanne\\n\\n– La Chorale a montré ses progrès avec une maîtrise et un collectif performant. Si elle s’installe dans le top-5, elle peut encore mieux faire... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa SIG assomme le RBF\\n\\n– Entre deux équipes en concurrence directe qui viennent d’enchaîner chacune trois défaites et sont en quête de points, la tension est palpable. Les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nMonaco a eu chaud au Portel\\n\\n– L’AS Monaco poursuit son cavalier seul en tête de la Pro A après sa neuvième victoire de la saison, en s’imposant, ce samedi, dans la salle du promu... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBC Hégenheim : les seniors échouent en demi-finale\\n\\n– En demi-finale de la Coupe du Crédit mutuel, les seniors de José se sont déplacés à Rosenau, qui évolue en Division 1, alors que les Hégenheimois... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDébut de saison chargé pour Blotzheim\\n\\n– À mi-saison, l’heure est à un premier bilan pour le Blotzheim Regio basket-club (BRBC). L’occasion de revenir sur le début de saison chargé des... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn derby pour l’avenir\\n\\n– Face à la lanterne rouge Nancy, dont le coach Alain Weisz, ami proche de Vincent Collet, est sur un siège éjectable, la SIG veut, ce soir (18 h 30) au... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Châlons-Reims : les vertus du basket champagne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vendredi soir, à Reims, s’affrontaient deux équipes spécialisées dans l’adresse à trois-points : Châlons-Reims et Le Mans, auteurs respectivement de 39,27% (4e de Pro A) et 39,47% (3e).\\n\\nA ce petit jeu, les Châlonnais se sont nettement imposés avec un remarquable 14/24 (58,3%) pour un plus classique 8/21 (38,0%) côté manceau. Ce fut la soirée de l’ailier-fort Steven Smith (25 points à 5/6 à trois-points).\\n\\nSurtout cette adresse a été confirmée à deux-points avec 23/33 (69,6%). Plus un record de la saison de 30 passes décisives preuve ultime que tout a fonctionné comme sur des roulettes. A côté de ça, la réussite aux lancers-francs (10/15) fait presque tâche. D’ailleurs en réussissant presque tous leurs lancers (21/22) les Manceaux ont sauvé la face s’inclinant 98-89 alors qu’ils furent un temps largués à vingt longueurs (88-68).\\n\\nMême lorsqu’ils s’étaient fait balayer par Nanterre (90-70), les hommes d’Erman Kunter n’avaient pas pris autant de points. « On n’a jamais réussi à faire deux ou trois stops de suite », constatait Pape Philippe Amagou\\n\\nJusqu’à présent, c’était le CCRB qui s’était distingué deux fois en prenant l’eau : 106 points face à Monaco à domicile et 104 à Nanterre, les deux records du genre de la saison. Comme quoi le résultat du match est sens dessus-dessous, Le Mans venait de cadenasser sa défense à Paris (50 points) puis face à Dijon (60 points) la semaine dernière."
}, 
{"role": "user",     "content":"Alain Weisz reste à la tête du SLUC jusqu’à nouvel ordre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après être rentré prématurément à Nancy alors qu’il était à l’Île Maurice en voyage d’affaires, Marc Barbé, le président du SLUC a rencontré Alain Weisz, vendredi, avant de réunir le directoire afin de décider du sort de l’entraîneur nancéien.\\n\\nAujourd’hui, le club lanterne rouge de Pro A annonce sur son site qu’aucune décision n’a été prise et donc qu’Alain Weisz et son adjoint Miguel Calero seront bien aux commandes de l’équipe dimanche, à Strasbourg.\\n\\nAvec une marge de manœuvre financière proche du néant, le SLUC Nancy n’a pas beaucoup d’options pour remplacer son coach, et en attendant de trouver une solution l’ancien entraîneur des Bleus garde donc les rênes de l’équipe.\\n\\nA Antibes lors de la saison 2012-2013, Alain Weisz avait déjà dû faire ses valises après avoir enregistré huit défaites en dix matchs avec les Sharks. Espérons pour ce coach expérimenté que le SLUC n’aura pas besoin d’en arriver là et que son équipe va réagir."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Poitevin Youssoupha Fall (2,21m) décroche son record d’évaluation"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Du haut de ses 2,21m le Sénégalais Youssoupha Fall est le troisième plus grand joueur de basket à avoir foulé les parquets français, derrière Gheorghe Muresan (2,31m) et Vincent Pourchot (2,22m). Aussi les regards sont forcément tournés vers lui surtout que ce n’est pas un phénomène de foire et qu’il pourrait obtenir la nationalité française.\\n\\nHier soir, le Poitevin a réussi face à Evreux le deuxième double double et la plus belle évaluation de sa courte carrière en Pro B. Soit 14 points à 7/11 aux shoots, 13 rebonds, 1 contre pour 23 d’éval. Il a aussi passé un record de 25 minutes sur le terrain pour aucune faute lui qui en commettait jusque là 3,8 en moyenne.\\n\\n« À titre personnel, j’ai su gérer l’arbitrage. Je voulais rester longtemps sur le terrain pour apporter à l’équipe. Je me suis appliqué, je n’ai pas pris de faute. Je m’adapte en apprenant de mes erreurs », a t-il confié après le match à La Nouvelle République.\\n\\nYoussoupha Fall a tout pour devenir prochainement une arme de destruction massive."
}, 
{"role": "user",     "content":"Real Madrid : Sergio Llull compte aller au bout de son contrat"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Joueur majeur du Real Madrid, Sergio Llull aurait pu rejoindre la NBA et les Houston Rockets cet été.\\n\\nDrafté par les Denver Nuggets en 2009 avant que la franchise texane ne rachète ses droits NBA, le quadruple champion d’Espagne avec la formation madrilène n’a toujours pas fait le saut vers la Grande Ligue.\\n\\nLes Rockets lui avaient proposé cet été un contrat de 23,8 millions de dollars sur trois ans, mais le triple médaillé d’or aux championnats d’Europe avec l’Espagne (2009, 2011, 2015) a préféré prolonger jusqu’en 2021 avec le Real.\\n\\nDans une interview accordée à la radio espagnole COPE, Llull a donné les raisons de sa prolongation avec Madrid, comme le rapporte Hoopshype.\\n\\n« Ils ont essayé de me convaincre mais je suis ici parce que je veux être à Madrid. Houston a été très respectueux face à ma décision. Ils ne m’ont pas mis de pression et m’ont félicité. Je n’ai jamais fermé la porte de la NBA. Je vis dans le présent. »\\n\\nSur le fait de rejoindre Houston avant 2021.\\n\\n« Je ne suis pas en NBA parce que je suis heureux à Madrid. Houston m’attend depuis maintenant trois ou quatre ans. J’ai un contrat avec le Real Madrid jusqu’en 2021 et je compte bien le remplir. »\\n\\nOpposé à Oklahoma lors de la présaison, l’international espagnol a régalé face à Russell Westbrook et compagnie avec 22 points et 9 passes décisives."
}, 
{"role": "user",     "content":"Conflit FIBA – Euroleague:  la fédération du Monténégro suspend Buducnost"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nouvelle étape dans le conflit entre la Fédération Internationale et ECA, l’organisme qui gère l’Euroleague et l’Eurocup. Contrainte par la FIBA, la fédération du Monténégro vient de bannir le club de Buducnost Podgorica du championnat national. Buducnost dispute deux championnats « interdits » par les instances de la Fédération Internationale, l’Eurocup et la Ligue Adriatique.\\n\\nLa fédération du Monténégro a cependant précisé que cette suspension ne sera effective que si les autres fédérations nationales en font autant avec leurs clubs respectifs. Des clubs allemands, croates, espagnols, israéliens, lituaniens, macédoniens, russes et slovènes sont également engagés dans l’Eurocup.\\n\\nAffaire à suivre."
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet est toujours à la recherche de l’oiseau rare"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison commencée, le marché des joueurs Français, Bosman et Cotonou est limité pour un club de Pro A même si au final le périmètre concerne 111 pays dont certains improbables comme le Timor Oriental ou la Papouasie Nouvelle-Guinée. Mais donc pas les Etats-Unis qui restent le pourvoyeur principal en main d’œuvre abondante et bon marché.\\n\\nC’est ce à quoi se heurte Cholet Basket qui souhaite remplacer le Bosniaque Kenan Bajramovic, apprécié sur le plan humain, mais athlétiquement peu en phase avec le championnat français.\\n\\nLe club apprend à être patient dans sa chasse à un numéro 4, une denrée plus rare qu’un meneur. Surtout quand vous ne jouez pas de Coupe d’Europe.\\n\\n« Le problème qu’on a pour lui trouver un successeur n’est pas d’ordre financier, comme on peut l’entendre ici ou là, » insiste dans Ouest France le directeur général, Thierry Chevrier. « Il faut non seulement trouver le profil défini par le coach, mais on est limité à un Cotonou, un Bosman ou un Français. Or, les bons sont tous déjà en club, et les quelques-uns qui n’en ont pas n’ont pas joué depuis le début de la saison, et ils ne sont pas au niveau physiquement. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 26 novembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nMarc Barbé, président du SLUC : « Aucune avancée avec Alain Weiz »\\n\\n– Le président du SLUC a rencontré son coach hier en début d’après-midi. Sur les coups de 20 h 30, Marc Barbé expliquait que les négociations avec son... Lire la suite.\\n\\n\\nBoulogne n’était pas encore assez aguerri pour inquiéter Roanne et redevient relégable\\n\\n– Gagner à Roanne aurait certes été un exploit, mais les victoires contre Poitiers en championnat et Bourg en Leaders Cup avaient fait naître des espoirs. Déçus vendredi soir. Il n’y a pas 36 000 explications : quand on se prend 28 pts en un quart temps (28-20, 10e), c’est que la défense est à la rue. Après avoir fait jeu égal dans les cinq premières minutes, Boul... Lire la suite.\\n\\n\\nPro B – Un pour tous, tous pour un : le LMB s’est surpassé pour coach Neno\\n\\n– Cette saison, quand Bourg prend le dessus sur son adversaire, l’équipe de l’Ain ne fait généralement pas semblant. Sur les trois derniers succès bressans, la victime a sérieusement dégusté (+31, Charleville; +38, Saint-Quentin; +23, Boulazac): une info qui n’a pas dû échapper aux Lillois! Enfin, c’est ce qu’on a cru après un début de match idéalement lanc... Lire la suite.\\n\\n\\nUn coup de rein, et Denain laisse Saint-Chamond sur place\\n\\n– Du haut de son double mètre zéro cinq, Jean-Stéphane Rinna n’a pas résisté au choc. Magistralement contré par Kyle Spain, il s’est effondré au sol, et Saint-Chamond ne revit plus Voltaire, bientôt à + 9 (59-50, 29e). Parmi les meilleurs, sinon le meilleur Denaisien hier, l’Américain de Newark était revenu de Fos-sur-Mer vendredi dernier, le genou en vrac. L’IRM n’avait rien... Lire la suite.\\n\\n\\nFeurs : un déplacement délicat\\n\\n– Les Verts sont dans une période difficile avec des défaites et des blessures. Dans un tel contexte, Julien Cortey aimerait ramener une première... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond doit stopper l’hémorragie\\n\\n– Patricia Jacquemont, la coach du Saint-Chamond basket vallée du Gier, devra composer à nouveau avec un effectif diminué pour la venue de l’équipe... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’ASMB Le Puy se doit de confirmer\\n\\n– Ce soir, l’ASMB Le Puy reçoit Ouest Lyonnais à 20 heures au Palais des sports du Puy-en-Velay, dans le cadre de la 9e journé... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nEncore un sommet\\n\\n– La deuxième division professionnelle vivra ce samedi au rythme du match qui se déroulera dans l’Eure et opposera les leaders de l’Avenir Basket de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBCM : faire sauter le verrou ardéchois\\n\\n– La parenthèse Coupe de France s’est définitivement fermée pour des Bécémistes en verve qui ont fourni une prestation de haut vol face au leader... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLons est attendu à Chenôve\\n\\n– Victorieuses sur le fil lors de leur précédente prestation face à Tullins Fures, les filles d’Alexis Drugeon devront faire preuve d’autant de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFace à la Chorale de Roanne, les cadets de la JL touchent au but\\n\\n– Les jeunes Burgiens feront un grand pas vers le groupe A en cas de succès devant Roanne... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRBF : un déplacement compliqué\\n\\n– Les Pink Ladies se déplacent à Graffenstaden avec la ferme ambition de ramener la victoire en terre roannaise... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nMatch piège dans le Beaujolais\\n\\n– Même si une petite balade dans le Beaujolais pourrait s’avérer plaisante en cette période de l’année, ce n’est pas du tout sous cet angle-là que le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe BCMF sur sa lancée\\n\\n– Après deux victoires consécutives, les Montbrisonnaises se sont extirpées de la zone rouge. La consolidation passe par une troisième victoire. Mais... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPoligny n’a plus le choix\\n\\n– Après quatre défaites de rang, Poligny doit impérativement retrouver le chemin du succès sous peine d’une deuxième partie de championnat pénible... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa défense de l’ALS, la clé du match\\n\\n– Devant Rueil-Malmaison, un groupe ultra-offensif, la défense andrézienne devra serrer les boulons au maximum pour espérer faire un résultat... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nMatti Nuutinen défensivement parlant\\n\\n– Dans l’effectif choralien, il est le seul à avoir été confronté à Tony Parker et consorts poussant même le plaisir en prolongation lors de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nHervé Georges : « Des matchs importants à venir »\\n\\n– Pénultième de Prénationale (ex-RF1), le CRAB se déplace demain sur le parquet de Corbas, un concurrent direct pour le maintien. Un match crucial... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSCB: une minute qui change tout\\n\\n– Une minute qui change tout Saint-Chamond a produit un match sérieux durant près de trente minutes avant de craquer sur deux actions. Un relâchement... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDu lourd pour les espoirs burgiens\\n\\n– En position d’outsiders, les espoirs de la JL Bourg tenteront de déjouer les pronostics face au leader Pont-de-Chéruy... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa Chorale boit du petit-lait\\n\\n– Face à une belle équipe de Boulogne, la Chorale a su rester invaincue à domicile. Elle s’installe dans le peloton de tête... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Asvel rompt la malédiction\\n\\n– Pour la première fois depuis 2010, les Villeurbannais ont tenu le choc au Palais des Sports de Dijon malgré la prolongation. Ils peuvent remercier... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL perd le Nord à Lille\\n\\n– Dans une rencontre musclée et très intense, la JL avait match gagné en menant de 10 points à deux minutes de la fin. Mais les Lillois se sont... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn Américain au FCM\\n\\n– Le FCM, 11e de la poule D de N2 après huit journées de championnat, vient de se séparer du Serbe Sanjin Balas, dont les performances sportives... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’US Wittenheim prête à relever le défi\\n\\n– L’équipe d’Olivier Parmentier accueille l’ASPTT Nancy Tomblaine, deuxième de sa poule, demain à 15 h 30... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nÀ Aubervilliers pour se relancer\\n\\n– Les Panthères Mulhouse se déplacent aujourd’hui (15 h 30) en banlieue parisienne... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBasket Pro B – La JL s’incline d’un rien à Lille\\n\\n– Trois jours après sa sortie de route à domicile, en Leaders Cup, face à Boulogne-sur-Mer, la JL Bourg a une nouvelle fois perdu. Ce vendredi soir, les joueurs de Savo Vucevic s’inclinent d’un cheveu à Lille 70 – 69. C’est la troisième défaite des Bressans cette saison, qui tombent à la 9e place au classement de Pro B. Après sept journées de championnat... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Père de la révolution cubaine, Fidel Castro était aussi fan de basket"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Père de la révolution cubaine, Fidel Castro est décédé cette nuit à l’âge de 90 ans. Le Leader Maximo, qui mesurait 1,90m, avait un point commun avec l’actuel président des Etats-Unis, Barak Obama : le basket-ball.\\n\\nCastro le pratiqua avec plaisir au El Colegio de Beléna in Havana et il estimait que ce sport était parfait pour l’entraînement des jeunes révolutionnaires.\\n\\n« Le jeu » disait-il, « nécessite de la vitesse, de l’agilité et de l’endurance, tout comme de l’ingéniosité, des tactiques rapides et de la stratégie. Exactement les qualités que se doit d’avoir un guérillero. »\\n\\nDe nombreuses photos de Fidel Castro jouant au basket circulent sur Internet car il disputa des matches acharnés en privé ou lors de visites d’État à travers le monde. Sa « carrière » pris fin en 1982, à l’âge de 56 ans, lorsqu’il se cassa un orteil en défendant son territoire lors d’une rencontre plus houleuse que les autres."
}, 
{"role": "user",     "content":"Tarbes-Lourdes (NM1) engage deux Lituaniens"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après les départs d’Akeem Ellis, Denis Noskov et Brian Freeman, l’Union Tarbes-Lourdes Pyrénées Basket se devait de se reconstruire. Le Franco-Américain Jourdan DeMuynck signé il y a quelques jours, Alexandre Casimiri vient de mettre la main sur deux nouveaux joueurs.\\n\\nMantas Kazonas (2,02 m, 27 ans) et Mantas Virbalas (2,04 m, 28 ans) viennent de s’engager jusqu’à la fin de la saison indique le club à travers un communiqué.\\n\\nLe premier, qui joue au poste d’ailier et qui est présenté comme un bon shooteur, arrive du club de Panevezys Lietkabelis où il évoluait durant les trois dernières saisons (3,2 points de moyenne en championnat lituanien en 2015/16).\\n\\nQuant au second, ailier fort de formation, il débarque du club lituanien d’Ezerunas-Karys Molelai où il s’était montré plutôt à son avantage en ce début d’exercice 2016/17 (12,2 points, 6,3 rebonds et 1,5 passe en 23 minutes sur 6 matchs de championnat). Passé par la deuxième division allemande lors de la saison 2014-2015, il vivra donc dans le sud-ouest de la France sa deuxième expérience en dehors de son pays.\\n\\nSans référence en France, les deux lituaniens devront donc vite trouver leurs marques dans le collectif bigourdan pour espérer être rentable le plus rapidement possible."
}, 
{"role": "user",     "content":"Léo Westermann remporte son duel face à Fabien Causeur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sachant que Nando De Colo n’a pas pu s’exprimer face à Rodrigue Beaubois, à cause de sa blessure à la cuisse gauche, le duel franco-français de cette 9e journée de compétition en Euroleague s’est déroulée dans le Grand Nord, dans la Zalgirio Arena de Kaunas.\\n\\nLéo Westermann recevait la visite de Fabien Causeur et Bamberg, soit un match entre deux équipes qui se battent pour leur survie en bas de tableau. Et le meneur du Zalgiris (10 points, 6 rebonds, 3 passes) a été très en jambes face à son compatriote (12 points, 3 passes, 2 rebonds, 2 interceptions) qui n’a rien pu faire face au festival d’adresse de Kaunas.\\n\\nAvec quatre tirs primés en 2e quart, Kevin Pangos (19 points, 6 passes) a permis aux locaux de faire le break à la pause (47-39). Et les hommes de coach Jasikevicius ne se sont plus retournés. Le vétéran Paulius Jankunas (23 points, 9 rebonds) a été le grand bonhomme de cette troisième victoire de l’année pour Zalgiris.\\n\\nSachez par ailleurs, que Thomas Heurtel a brillé dans le succès de l’Efes Istanbul face à l’Etoile Rouge de Belgrade. Le meneur français compile 17 points (à 7/14 aux tirs), 7 passes, 3 rebonds et 3 interceptions."
}, 
{"role": "user",     "content":"Milos Teodosic (34 points) et le CSKA s’amusent face à Vitoria"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si Nando De Colo n’était pas en tenue pour défier son ancien coéquipier dans les Mauges, Rodrigue Beaubois, le CSKA Moscou n’aura vraiment eu à lutter qu’une mi-temps face à Vitoria. Secoués en premier quart, les coéquipiers de Milos Teodosic (34 points, 10 passes) n’ont pas fait dans le détail en deuxième mi-temps. Le meneur serbe a fait exploser en milles morceaux une défense basque toujours aussi poreuse. Et pour cause, le CSKA réussit tout simplement la meilleure performance offensive de son histoire (112-84). Dans ce désastre, Rodrigue Beaubois inscrit 19 points.\\n\\n\\nUn premier quart illusoire\\n\\nLe Baskonia démarre fort en rentrant 4 de ses 5 premiers tirs. Shane Larkin ouvre le bal avec trois tirs à trois points et le CSKA est dans les cordes. En fait, sans Nando De Colo, le champion en titre peine à trouver des solutions offensives pendant que Milos Teodosic est relativement bien tenu. Nikita Kurbanov est bien servi par Teodosic pour le dunk mais c’est trop peu pour Moscou qui compte 10 points de retard après les 10 premières minutes (27-17). Avec 11 points pour Larkin, le Baskonia se balade dans la défense moscovite.\\n\\nMais le vent tourne radicalement en deuxième quart. Le CSKA entame par un 12-3 qui réduit l’écart à peau de chagrin. Avec un nouveau trois points, Milos Teodosic fait même repasser le CSKA devant ! Le 12-3 s’est transformé en un 21-9 et Vitoria n’arrive plus du tout à stopper la locomotive russe. A la pause, le CSKA a repris les devants (49-46). Milos Teodosic (14 points) et Rodrigue Beaubois (13 points) se tirent la bourre au niveau du scoring mais Vitoria va devoir se remettre à défendre pour espérer exister au retour des vestiaires...\\n\\n\\nMilos Teodosic (et le CSKA) en mode record\\n\\nÇa ne sera pas le cas. Loin de là, le Baskonia encaisse un nouveau quart-temps largement déficitaire en 3e avec un 16-7 initial. Teodosic a les pleins pouvoirs pour le CSKA et le virtuose serbe ne se prive pas de les utiliser. Il délivre sa 1000e passe en carrière sur une passe redoublée avec Vitaly Fridzon qui donne lieu à un passe et va d’école. Vitoria est lamentable défensivement, ainsi que le craignait Larkin avant le match, et compte 14 points de retard (83-69). La première vague est généralement bien amortie mais les deuxièmes et troisièmes tentatives font exploser le fragile rideau défensif basque.\\n\\nTeodosic abat au passage son record en carrière avec 34 points (dont 5/6 à trois points), plus 10 passes, soit une évaluation mammouth de 43 ! A ses côtés, Vitaly Fridzon (14 points) et James Augustine (13 points, 10 rebonds) sont au diapason et le CSKA, secoué en 1e quart, n’a pas vraiment tremblé au final. Moscou s’impose dans les grandes largeurs (112-84), avec un nouveau record du club en termes de production offensive... Ah, cette défense basque, c’est du gateau ! Et Milos s’en est gavé toute la soirée !\\n\\n\\n\\n\\n.@MilosTeodosic4 at the microphones after a big performance. ⤵️ pic.twitter.com/qalfeiKsNu\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) November 25, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Rouen : Palsson incertain face à Boulazac"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Match important ce vendredi soir en bas de tableau Pro B. Rouen avant-dernier, reçoit Boulazac lanterne rouge de la division dans sa Kindarena à l’occasion de la septième journée de championnat. Avec une seule victoire en six rencontres, les deux formations ont impérativement besoin de prendre des points avant d’attaquer le mois de décembre.\\n\\nUne rencontre qui pourrait se jouer sans Haukur Palsson (1,98 m, 24 ans) coté RMB. Blessé la semaine dernière à la hanche suite à un choc avec le Nantais Valentin Bigote, l’Islandais est encore incertain pour tenir sa place indique le site officiel du club seinomarin.\\n\\nIntéressant pour sa découverte de la division, le poste 3/4 rouennais tourne à 9,7 points à 50% de réussite aux tirs (46,2% à 3-points) et 3,7 rebonds pour 13 d’évaluation en 20 minutes sur 3 matchs de championnat."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jaycee Carroll prolonge avec le Real Madrid"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Son contrat arrivant à son terme à la fin de la saison, Jaycee Carroll est tombé d’accord avec le Real Madrid pour prolonger son bail jusqu’en 2019, comme le rapporte la formation madrilène sur son site.\\n\\nLe club le plus titré de l’histoire de l’Euroleague (9 titres) conserve donc son shooteur américain pour deux saisons supplémentaires.\\n\\nCette saison en Euroleague, l’ancien joueur de Gran Canaria compile en moyenne 11,3 points (51,4% à trois points) et 2,1 rebonds pour 9,2 d’évaluation par match en C1.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : le programme du week-end sur SFR Sport 2"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque semaine, trois rencontres sont au programme sur les antennes de la nouvelle chaîne SFR Sport 2 qui a obtenu les droits de diffusion du basket français et des équipes de France de basket.\\n\\n\\nLa Roca Team dans l’antre du Portel\\n\\nPour commencer cette neuvième journée du championnat de Pro A sur les antennes de SFR Sport 2, Le Portel reçoit Monaco, samedi à 18h30. Sans Jamal Shuler et Brandon Davies, l’ASM sort d’une victoire pleine de maitrise face à Cholet 93-68, suivie d’un gros succès face à Nymburk en Champions League (93-74). Malgré l’absence de deux joueurs majeurs, la formation de Zvezdan Mitrovic a enregistré l’arrivée de John Bryant, pour deux mois, qui va peser de tout son poids (125kg) dans la raquette monégasque. Pour Le Portel, promu cette saison en Pro A, c’est un tout autre contexte. A la 15e place du classement avec trois victoires pour six défaites, l’ESSM tentera de réaliser l’exploit de renverser la Roca Team dans l’enceinte du Chaudron après être allé s’imposer à Gentilly contre le SLUC Nancy 80-74 le week-end dernier.\\n\\n\\nLe derby de l’Est\\n\\nComplètement relancée après un début de saison très loin des habitudes du club, la SIG accueille le SLUC au Rhénus en direct sur SFR Sport 2, dimanche à 18h30. Au fond du classement, Nancy pointe à la dix-huitième et dernière place avec seulement deux victoires pour sept défaites en championnat. Pour les hommes d’Alain Weisz chaque match compte, d’autant plus que le président l’a clairement annoncé, le club est en crise. De son côté, Strasbourg relève la tête avec quatre victoires pour cinq défaites dont une dernière victoire en date face au CSP Limoges 79-60. Dans un derby le contexte est totalement différent et l’on peut s’attendre à tout type de scénario, une chose est sûre, le technicien nancéien joue gros sur ce match.\\n\\n\\nDuel d’élans\\n\\nPour conclure ce week-end basket sur les antennes de SFR Sport 2, l’Elan Chalon reçoit l’Elan Béarnais, lundi à 20h30. A sept victoires pour seulement deux défaites, les deux formations sont dans une bonne dynamique en championnat et en FIBA Europe Cup. L’EBPLO s’est imposé la semaine dernière 84-79 face à Antibes tandis que Chalon l’a emporté à Hyères-Toulon 69-59. Sur la scène européenne, l’EBPLO l’a emporté cette semaine 92-74 face à Oberwart alors que les Chalonnais se sont imposés face aux Hongrois de l’Alba Fehervar 106-77. Nul doute que nous aurons le droit à une très belle rencontre entre ces deux équipes qui sont menées d’une main de maître par leur deux passeurs décisifs DJ Cooper (11,6 assists, premier au classement) et John Roberson (7,4 passes décisives, deuxième au classement)."
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ancien Gravelinois Dainius Adomaitis à la tête de la Lituanie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dainius Adomaitis, 42 ans, est bien connu des fans du BCM Gravelines-Dunkerque puisqu’il a porté le maillot du club pendant quatre saisons, de 2003 à 2007, après avoir été médaillé de bronze aux JO de Sydney.\\n\\nFin octobre, le Lituanien a été nommé coach de l’équipe nationale à la succession de Jonas Kazlauskas dont le contrat de quatre ans avait expiré à la suite des Jeux Olympiques de Rio. Une demi surprise car Adomaitis n’a pas d’expérience comme coach d’Euroleague mais sa valeur est montante dans le basket lituanien. Il a depuis la saison dernière la charge de Neptunas Klaipeda, qui a fait la finale de la LKL –la ligue lituanienne- après avoir éliminé Lietuvos rytas en demi-finale.\\n\\nAdomaitis a accueilli avec prudence la composition du groupe de la Lituanie au prochain EuroBasket, le tirage au sort lui ayant offert Allemagne, Géorgie, Israël, Italie et Ukraine.\\n\\n« Si l’on en juge aux résultats des précédents championnats, je peux dire que nous atterrissons dans un groupe difficile. Mais nous serons capables d’évaluer la situation en profondeur seulement à l’été quand il sera déterminé qui sera dans les différentes équipes. »\\n\\nRappel : la Lituanie a obtenu la médaille d’argent à l’EuroBasket 2015 en France."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans va devoir avaler 11 256 kilomètres en 12 jours"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"11 256 kilomètres en 12 jours. C’est d’après les calculs du Maine Libre ce que doit parcourir les joueurs du Mans Sarthe Basket. Au programme dans l’ordre : Reims avec un aller en TGV et un retour en bus, Saratov en avion, Orléans en bus et Venise en avion.\\n\\nC’est bien sûr le voyage à Saratov qui corse l’addition. Située sur la Volga, la ville russe est à 850km au sud-est de Moscou.\\n\\n« Des joueurs pros comme les nôtres, qui s’entraînent deux fois par jour, ils sont prêts, je n’ai pas de craintes là-dessus. C’est à la fatigue mentale qu’il faut faire attention. Dans les préparations de matches, il faut éviter trop de réunions, d’aller trop dans les détails. Il faut rester sur des basiques », estime le coach Erman Kunter.\\n\\nAu retour au Mans les joueurs ont droit à un bain froid pour accélérer la récupération et si possible à un décrassage. Un régime que connaissent les Tango de Bourges qui chaque année sont engagées dans l’Euroleague avec des voyages au long cours et des déplacements en France en car-couchettes.\\n\\nLe MSB joue le premier match de ce périple ce soir face à Châlons-Reims. Toujours sans son top-scoreur Ryan Perason (12,3 pts en Pro A, 14,2 pts en Champions League). Cela réduit les rotations mais n’affecte pas pour l’instant son rendement puisqu’il est invaincu depuis que l’Américain a été victime d’une grosse entorse avant le match au Paris-Levallois : 4 victoires."
}, 
{"role": "user",     "content":"Caen (NM1) : Zygimantas à l’arrêt"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé fin octobre en tant que pigiste médical de Richie Gordon au Caen Basket Calvados (NM1), Jonušas Žygimantas (2,01 m, 34 ans) s’est blessé au mollet lors de l’entraînement de mercredi matin.\\n\\nL’expérimenté lituanien qui tourne à une moyenne de 9,4 points de moyenne par match pourrait être sur la touche pour plusieurs semaines :\\n\\n« On redoute une déchirure » indique le coach Hervé Coudray dans les colonnes de Ouest France. « Il va passer des examens lundi et on s’attend à ce qu’il soit arrêté entre 4 et 6 semaines. »\\n\\nSouffrant d’une sciatique et à l’arrêt depuis cinq semaines l’Américain Richie Gordon vient de son côté tout juste de reprendre l’entraineur et devra encore un peu patienter avant de retrouver la compétition.\\n\\nC’est donc avec un secteur intérieur amoindri que le CBC ira défier samedi le leader Quimper sur ces terres pour cette treizième journée de NM1."
}, 
{"role": "user",     "content":"Hyères-Toulon : Maurice Acker prolongé jusqu’à la fin de saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Initialement engagé pour quelques semaines fin octobre par Hyères-Toulon en tant que remplaçant médical de Trevis Simpson, Maurice Acker (1,73 m, 29 ans) finira finalement l’exercice 2015/16 dans le Var. \\n\\n\\nLa Ligue Nationale de Basket (LNB) vient de transformer le contrat du meneur de jeu jusqu’à la fin de la saison.\\n\\n\\nL’Américain, qui découvre cette saison la Pro A pour la première fois de sa carrière tourne à 10 points à 43,3% de reussite aux tirs (25 % à 3-points), 0,3 rebond et 2,5 passes décisives pour 5,8 d’évaluation en 21 minutes sur 4 matchs de championnat.\\n\\nAvec lui et au delà des chiffres, le HTV s’est surtout imposé à 3 reprises et pointe actuellement à la neuvième place au classement avec un bilan de 4 victoires pour 5 défaites."
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce : le Panathinaikos engage Kenny Gabriel"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec le Lokomotiv Kuban depuis le début de saison, Kenny Gabriel quitte le club russe pour rejoindre les rangs du Panathinaikos, en Grèce.\\n\\nJames Gist indisponible pour au moins deux mois, le club grec se devait de réagir en s’offrant les services d’un nouvel intérieur. Plus qu’un simple pigiste médical, Gabriel signe au Pana jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nEn cinq matchs d’Eurocup, le natif de Charlotte tournait cette saison en moyenne à 6,8 points et 2,2 rebonds avec Kuban. L’ancien pensionnaire de l’université d’Auburn a également évolué durant dix matchs en Euroleague sous les couleurs du Pinar Karsiyaka Izmir, la saison dernière, et compilait 9,7 points, 4,6 rebonds et 1,3 passe décisives de moyenne par rencontre en C1.\\n\\n\\n\\n\\nΗ ΚΑΕ Παναθηναϊκός Superfoods ανακοινώνει την απόκτηση του @DaBoyKG22 μέχρι το τέλος της σεζόν! https://t.co/XXkJ1dCRy8 #paobc pic.twitter.com/up3Qqg6PFd\\n\\n\\n— Panathinaikos BC (@paobcgr) 24 novembre 2016\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 25 novembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nIndiscrétions\\n\\n– u TROIS. – Comme le nombre de points de suture que Romeo Travis a dû se faire poser mercredi soir. Touché à l’arcade sourcilière gauche au début de la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa pile et le Dinamo\\n\\n– Grand artisan de l’autoritaire succès face au CSP dimanche, Paul Lacombe a soufflé le chaud et le froid avant-hier à Zagreb. L’arrière de la SIG a... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Elan débutera le deuxième tour contre Mures et finira à Gaziantep\\n\\n– Mercredi soir, le 1er tour de la Fiba Cup s’est achevé par la défaite “surprise” de Lisbonne, à domicile, face à Bruxelles (75-80). Ce qui n’a pas... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn Final Four qui promet !\\n\\n– Effectué hier soir au siège de la ligue du Lyonnais à Bron par Jean-Pierre Gomez (président) et Jean-Paul Klein (président de la commission sportive)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nEXPRESS\\n\\n– Comme fin octobre-début novembre, Bourg enchaîne cinq matches entre le 18 novembre et le 3 décembre. Les Bressans sont partis hier en train et... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« On a quelques idées pour les battre »\\n\\n– Neno Asceric Coach de Lille... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLES PANIERS\\n\\n– Forums.- Cette semaine ce sera au tour des clubs de la vallée de l’Ondaine de venir exprimer leurs besoins à l’occasion du forum qui se déroulera au... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« On ne baisse pas les bras »\\n\\n– Lanterne rouge de N3 avec un compteur toujours bloqué à zéro victoire, l’ULR vit un premier tiers de championnat délicat. Mais continue à y croire à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSCB : Denain leur appartient\\n\\n– Piétinés sur leurs terres la semaine dernière, les Couramiauds doivent se révolter dès ce soir à Denain pour effacer la déconvenue et montrer un autre... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRoanne doit confirmer malgré le danger\\n\\n– La Chorale, avec le retour de Burton, veut confirmer ses progrès et rester invaincue à domicile. Mais Boulogne est en plein renouveau et arrive lancé... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRepartir sur une bonne dynamique\\n\\n– Les Bressans devront se servir de l’intermède Leaders cup de mardi pour ne pas perdre le nord à Lille ce soir et rester au contact de Fos... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDieulangard avait signé au Poinçonnet\\n\\n– le jour où... Ce week-end, l’entraîneur de Belleville va retrouver un entraîneur qu’il connaît bien, mais aussi un club avec lequel il a des contacts depuis plusieurs années. Et pour cause\u2009: il y a quatre ans, au départ de Nicolas Maillot, Jean-Baptiste Dieulangard, qui coachait alors Cholet, devait entraîner Le Poinçonnet. Le coach avait val... Lire la suite.\\n\\n\\nL’UTBM engage Cingala-Mata\\n\\n– dans l’actu Le nouvel entraîneur tourangeau Pierre Tavano va pouvoir s’appuyer sur un 10e joueur pro dans l’effectif. L’UTBM a en effet annoncé hier l’arrivée de Bruno Cingala-Mata, 23 ans, un joueur complet qui peut évoluer sur une aile ou à l’intérieur. Cingala-Mata évoluait la saison dernière dans le championnat danois, sous les cou... Lire la suite.\\n\\n\\nDes enjeux à tous les niveaux\\n\\n– Cest Saint-Pierre Un derby entre deux équipes au bilan identique (2 V, 5 D). Une occasion pour le Cest d’écarter un concurrent direct. Julien Haton en est conscient. « Gagner est impératif si l’on veut rester dans nos objectifs de 9 victoires sur la saison. » Il y a cependant des incertitudes sur l’effectif compte t... Lire la suite.\\n\\n\\nLe PB en quête de constance\\n\\n– Poitiers – Évreux Capables de belles choses mais aussi de passages à vide, les Poitevins doivent se stabiliser pour se lancer... Lire la suite.\\n\\n\\nRetrouvailles au sommet\\n\\n– Le choc entre Le Poinçonnet et Belleville aura lieu ce samedi. Les deux coachs, Yoann Cabioc’h et Jean-Baptiste Dieulangard, se connaissent par cœur... Lire la suite.\\n\\n\\nThouars en danger en Béarn\\n\\n– Les Thouarsaises auront fort à faire, demain, chez des Orthéziennes qui surfent sur la vague du succès... Lire la suite.\\n\\n\\nCernay : des lauriers pour les U17\\n\\n– Les basketteurs cernéens défendent courageusement leur sport dans la cité, à l’image de leur équipe de U17, qui vient d’épingler Riedisheim à son... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Tout reste possible »\\n\\n– Rixheim (N3/+7) se déplacera au WOSB (N2) dimanche à 16 h dans le cadre du Trophée Coupe de France. Le vainqueur de ce match rencontrera l’ASSM... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRixheim sur ses gardes\\n\\n– La troupe du tandem Cédric Garnier – Jean-Pierre Zuttion accueillera samedi (20 h) le CTC Grand Besançon dans le cadre de la 8e journée de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBerrwiller-Staff : de belles confrontations à domicile\\n\\n– Les équipes I masculine et féminine de Berrwiller-Staffelfelden retrouvent leur public, ce week-end à l’Orange Arena... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPfastatt à la croisée des chemins\\n\\n– Les joueurs de Jean-Luc Monschau ont l’occasion d’asseoir leur place dans la première moitié du tableau en accueillant Feurs, samedi (20h) à la salle... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSommet en Prénationale à Faller\\n\\n– KABCA II – SIG, dimanche 17 h 15. Le premier déplacement n’a pas été une réussite pour la réserve du KABCA. Après cinq matches relativement aisés à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nABC Lutterbach\\n\\n– Les Lutterbachois se rendront à Rosenau, samedi à 20 h 30, pour le compte de la septième journée de championnat. S’ils restent sur une victoire devant... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDessenheim veut creuser l’écart\\n\\n– En recevant Dadolle Dijon, demain à 20 h dans sa salle, l’ASL Dessenheim a deux objectifs : gagner son premier match à domicile et ainsi creuser... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nThur-Doller : les seniors en finale de la Coupe du Crédit mutuel\\n\\n– Le week-end dernier, les basketteurs seniors de la CTC Thur-Doller recevaient Chalampé I en demi-finale de District de la Coupe du Crédit mutuel. Le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nKaysersberg à la relance\\n\\n– Les Kaysersbergeois accueillent Joeuf-Homécourt, demain à 20 h au gymnase Faller, dans l’espoir de renouer avec la victoire après leur revers face au... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRebondir au plus vite\\n\\n– Après une défaite à Pfastatt et un week-end sans match, le FC Mulhouse va tenter de renouer avec la victoire, demain (20 h) au Palais des sports face... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’ombre de Pierre Tardieu\\n\\n– Le week-end du SBC s’annonce difficile moralement à la suite du décès brutal de l’entraîneur de l’équipe masculine, Pierre Tardieu, ce lundi. Son... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDe haut en bas\\n\\n– Battus après prolongation par le Cibona Zagreb mercredi en BCL (93-88), les Strasbourgeois ont eu bien du mal à se défaire de l’agressivité adverse... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jean-Pierre De Vincenzi va quitter la direction de l’INSEP"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Coach vice-champion olympique à Sydney en 2000, Directeur Technique National et Directeur de la Fédération, Jean-Pierre De Vincenzi, 59 ans, avait été nommé Directeur de l’INSEP en 2013. Comme l’annonce le site de L’Equipe, JPDV va quitter son poste en mars prochain après un cycle de quatre ans.\\n\\nLors des dernières élections fédérales, le 15 octobre, et alors qu’il avait des visées sur la présidence, De Vincenzi a reçu une véritable gifle en ne parvenant qu’à la 41e place au scrutin du premier tour, ce qui l’avait amené à retirer sa candidature au second."
}, 
{"role": "user",     "content":"Bientôt une salle de 6 000 places à Poitiers"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Poitiers Basket 86 vient de recevoir la visite du Père Noël avant l’heure : Bruno Belin, président du Conseil Départemental de la Vienne, a annoncé l’édification d’une salle de 6 000 place au Futuroscope, probablement baptisée Arena Futuroscope, et qui sera dans la lignée du Palio de Boulazac et de l’Arena Loire de Trélazé.\\n\\nParc de loisirs à thèmes scientifiques et technologiques, le Futuroscope est le troisième en France en terme de fréquentation avec 1,830 million de visiteurs. La salle sera ainsi proche de la gare TGV, de l’autoroute, de la N10 et de six mille de places de parking.\\n\\n\\nUne ouverture en 2021\\n\\nComme le rapporte La Nouvelle République, Bruno Belin a rencontré hier Louis Bordonneau, président du club de basket et son homologue du volley amenés à se partager le lieu.\\n\\n« Cela va être un outil très fort pour porter les clubs et proposer d’autres événements sportifs comme la Fed Cup, Coupe Davis, des matchs internationaux. Je crois à la culture populaire et au sport : c’est un projet qui sera utile au développement de la Vienne. L’objectif est une ouverture effective pour la saison sportive 2021-2022... »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : le Fener se replace après sa victoire à Milan"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A nouveau victorieux la semaine passée, après trois défaites de rang, le Fenerbahce se déplaçait ce soir à Milan, la troisième meilleure attaque de l’Euroleague. Mais la force de frappe lombarde a parfaitement été mise sous l’éteignoir par les troupes stambouliotes d’après le plan de l’éminent Zeljko Obradovic. Derrière un excellent Kostas Sloukas (17 points, 6 rebonds, 4 passes), le Fener s’impose avec autorité à l’extérieur (79-70).\\n\\nEn fait, les joueurs milanais ont subi pendant quasiment tout le match, à l’exception du troisième quart durant lequel Jamel McLean (15 points, 8 rebonds) et Rakim Sanders (17 points) ont poussé pour revenir et même passer devant. Il faut dire que la période a été à sens unique, un vrai coup de mou de la part du Fener (27-14) qui compte 5 points de débours avant le dernier quart (63-58).\\n\\n\\nHickman et Gentile portés disparus\\n\\nMalgré la sortie tôt dans l’ultime période de Jan Vesely, le Fener revient tranquillement à niveau. Sloukas parvient à se faufiler à l’envi et Bobby Dixon (14 points) se réveille un peu. Sans Bogdan Bogdanovic, Istanbul conserve donc pas mal d’armes offensives dans son arsenal, avec cinq joueurs en double figure dont 13 points, 4 rebonds pour Nikola Kalinic.\\n\\nA l’inverse, Milan a été en-dedans offensivement. Deux de leurs trois meilleurs scoreurs, Ricky Hickman et Alessandro Gentile, ont fini à 2/14 aux tirs. Et ni Zoran Dragic, ni Mantas Kalnietis n’ont pu faire beaucoup mieux, avec 3 points et 2 points respectivement. Dans une soirée sans en attaque, Milan y aura crû le temps d’un quart-temps mais dans le crunch, le Fener a verrouillé la peinture (79-70).\\n\\n\\n\\n\\n.@EkpeUdoh on defense to close the game.#7DAYSMagicMoment #EA7FNB pic.twitter.com/0RMvjyrEXx\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) November 24, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Serbe Nikola Jovanovic débarque à Berck (NM2)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Formation de Nationale 2, l’ABBR Berck Opale Sud accueille un nouveau joueur. En quête d’un renfort intérieur, le club opalien vient d’annoncer sur sa page facebook le recrutement de Nikola Jovanovic (2,04 m, 35 ans).\\n\\n\\nPoste 4 d’expérience (Chypre, Pologne, Grèce, Roumanie, Hongrie), l’ailier fort débarque du club de Vojvodina en deuxième division serbe où il avait commencé l’exercice 2016/17.\\n\\n\\nDéjà vu sur le sol français, le néo berckois officiait à Lorient l’an dernier, en Nationale 2 plus précisément. Avec lui, le CEP avait décroché la montée en Nationale 1. \\n\\n\\nNouveau joueur, Nikola Jovanovic est le cinquième muté du groupe (4 autorisés) et le troisième étranger (2 autorisés), Pascal Jullien devra donc faire des choix pour être en accord avec le règlement tout en alignant la meilleure équipe possible pour les matchs."
}, 
{"role": "user",     "content":"Milica Dabovic dit adieu à la sélection serbe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Elle est connue pour ses photos suggestives dans les magazines serbes et sur les réseaux sociaux et surtout pour avoir porté avec brio le maillot de l’équipe de son pays ainsi que ceux de Mondeville pour une demi saison puis Lyon pour trois entières. Milica Dabovic (1,73m) a annoncé sa retraite internationale à l’issue du match perdu face à l’Ukraine, 82-88. On conservera le souvenir d’une teigne qui jamais ne renonçait. Hier soir, à la salle des sports de Nis, 5 000 spectateurs lui ont crié leur reconnaissance.\\n\\n« J’ai toujours donné 100% que je joue deux ou 32 minutes. Je souhaite aux filles tout le bonheur du monde et le seul regret que j’ai est de ne plus jouer avec ma sœur désormais et ça me fait mal, c’est pourquoi j’ai commencé à pleurer en entendant l’hymne national. »\\n\\nMilica, 34 ans, est la sœur aînée d’Ana qui fut élue MVP de l’Euro 2015 lorsque la Serbie devint championne d’Europe au détriment de la France en finale."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Denain s’offre Darnell Harris"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Voilà un joli coup que vient de réaliser l’ASC Denain Voltaire. Cinquième de Pro B (4 victoires et 2 défaites), la formation nordiste vient de s’offrir Darnell Harris (1,81 m, 30 ans).\\n\\n\\n\\n\\nLe club souhaite la bienvenue à Darnell Harris, ancien joueur de l’@OLB45, qui signe jusqu’à la fin de saison. #AllezVoltaire pic.twitter.com/DXMcWogfu6\\n\\n\\n— ASC Denain VPH (@ASCDenainVPH) 24 novembre 2016\\n\\nVisage connu de la Pro A où il a officié durant 5 saisons entre 2008 et 2016 (Chalon-sur-Saône, Boulazac, Orléans), le poste 2/1 valait 7,6 points à 42,7% de réussite aux tirs, 1,7 rebond et 1,8 passe décisive pour 7,2 d’évaluation en 21 minutes sur 34 matchs de championnat avec le club du Loiret la saison dernière.\\n\\nVu également à Antibes en Pro B, l’Etats-Unien avait rendu une copie de 14,6 points à 43,7% aux tirs (41,5% à 3-points), 2,5 rebonds et 1,5 passe pour 11,9 d’évaluation en 33 minutes sur 34 matchs lors de l’exercice 2009/10.\\n\\nVéritable sniper, il s’était illustré un soir d’avril 2015 en battant le record historique de Juri Zdovc de réussite de tirs primés réussis de la LNB avec un impeccable 9/9 à 3-points contre Limoges.\\n\\nNon drafté à la sortie de La Salle University (NCAA I) en 2008, passé par Isikspor Istanbul (Turquie – D2) et Tanger (Maroc) entre 2010 et 2012, Darnell Harris va donc connaitre son cinquième club français sous les ordres de Jean-Christophe Prat. Un renfort de choix pour Voltaire.\\n\\nPhoto : CourtSide"
}, 
{"role": "user",     "content":"Une championne d’Europe serbe à Basket Landes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite aux blessures de l’Espagnole Queralt Casas (fracture de la clavicule, indisponible jusqu’à fin janvier) et de la Suédoise Kalis Lloyd (rupture du Tendon d’Achille, saison terminée), Basket Landes vient de recruter la Serbe Nevena Jovanovic (1,79m, 26 ans).\\n\\nCette shooteuse fait partie des joueuses attachées à la coach Marina Maljkovic puisqu’elle a joué pour elle au Partizan Belgrade et qu’elle fait partie intégrante de l’équipe nationale. Elle a ainsi participé à l’Euro 2013, au championnat du Monde 2014, à l’Euro 2015 où la Serbie a été sacrée championne d’Europe, et aux Jeux Olympiques de Rio ce qui lui a permis de remporter la médaille de bronze. Ses stats ont fléchi de 5,4 pts, 3,2 rbds pour ce dernier Euro à 2,2 pts aux JO.\\n\\nNevena n’était pas satisfaite en ce début de saison de son temps de jeu au club stambouliote de Yakin Dogu Universitesi aussi elle a demandé et obtenu sa lettre de sortie pour Basket Landes. En Eurocup elle a tourné en 5 matches à 4,0 pts (35,3%) et 1,2 pd en 18mn."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Havre diminué à Nantes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le cadre de la 7e journée du championnat Pro B, Le Havre prend la route en direction de la Loire-Atlantique pour défier Nantes vendredi soir dans son Complexe Sportif Mangin-Beaulieu.\\n\\n\\nPour cette rencontre entre des Havrais neuvièmes au classement et des Nantais dixièmes, mais possédant le même bilan comptable (3 victoires pour 3 défaites), l’entraineur du STB Jean-Manuel Sousa devra se passer des services de son ailier Nicholas Pope (1,96 m, 31 ans).\\n\\nParis Normandie, indique que le Français est out pour plusieurs jours suite à une entorse à la cheville.\\n\\n\\n\\n\\n#STB Victime d’une sévère entorse de la cheville, Nick Pope devrait faire l’impasse sur les matches de #Nantes et #Evreux. #ProB\\n\\n\\n— ParisNormandieSport (@Sport_PN) 23 novembre 2016\\n\\nCette saison, l’ancien joueur de Gravelines-Dunkerque et Nancy tourne à 10,2 points à 40,4% de réussite aux tirs (26,3%à 3-points), 4,5 rebonds et 4,2 passes pour 12,3 d’évaluation en 29 minutes sur 6 rencontres de championnat."
}, 
{"role": "user",     "content":"Evreux sans son pivot letton à Poitiers"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vendredi soir dans le cadre de la septième journée de Pro B, Evreux se déplace dans la Vienne pour défier Poitiers.\\n\\nUn match que l’ALM jouera sans son pivot Ricmonds Vilde (2,11 m, 26 ans).\\n\\nParis Normandie indique que le géant letton est forfait pour ce déplacement à cause d’une blessure à l’épaule.\\n\\n\\n\\n\\n\\n#basket : touché à l’épaule, Ricmonds Vilde, le pivot de l’ #ALM, est » out » pour le déplacement à #Poitiers.#Evreux #Eure #TeamALM\\n\\n\\n— ParisNormandieSport (@Sport_PN) 23 novembre 2016\\n\\nDécouvrant cette saison la deuxième division française, l’ancien joueur du VEF Riga tourne à 8,2 points à 44,7% de réussite aux tirs, 6 rebonds et 0,8 passe pour 9,3 d’évaluation en 23 minutes sur 6 rencontres de championnat.\\n\\nPour rappel, Evreux est onzième au classement (3V/3D) et Poitiers quatorzième avec deux succès pour quatre revers."
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Nate Robinson vers le Dinamo Sassari ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"D’après Sportando, le micro-meneur (1,75m) au 618 matchs NBA serait sur les tablettes de l’équipe italienne du Dinamo Sassari.\\n\\nSur le point de se séparer de Darius Johnson-Odom, la formation sarde, qui pointe actuellement à la 7e place du classement de Lega A (4v-4d), aurait un œil sur Nate Robinson qui a évolué 14 matchs sous les couleurs de l’Hapoel Tel Aviv (Israël) la saison dernière pour des moyennes de 16,2 points, 1,6 rebound et 2,9 assists.\\n\\nEn NBA, l’ancien joueur des New-York Knicks compilait en moyenne 11 points, 2,3 rebonds et 3 passes décisives.\\n\\nEt pour le plaisir, voici son Top 10 en carrière dans la Grande Ligue."
}, 
{"role": "user",     "content":"Tarbes-Lourdes (NM1) et Brian Freeman se séparent"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est terminé entre l’Union Tarbes-Lourdes Pyrénnées Basket et son joueur Brian Freeman (2,06 m, 30 ans). À travers un communiqué, la formation de Nationale 1 indique « que, d’un commun accord, le co-capitaine de l’équipe Brian Freeman et le club ont décidé de se séparer en raison de son état physique, dû à la répétition des efforts et des coups.«\\n\\nCette saison, l’intérieur valait 4,1 points à 34% de réussite aux tirs (57% à 3-points), 4,8 rebonds et 1,7 passe pour 8 d’évaluation en 20 minutes sur 11 matchs de championnat NM1. Des chiffres en dessous de son exercice 2015/16 (6,4 points, 6 rebonds et 3,3 passes en 28 minutes).\\n\\nMercredi soir pour son dernier match, il a fait le job avec ses 12 points, 17 rebonds et 5 passes dans la courte défaite de son équipe contre Orchies (70-67).\\n\\nÀ l’Union depuis 2011, passé de la NM3 à la troisième division française, ce pilier du dispositif d’Alexandre Casimiri laissera un grand vide dans le vestiaire bigourdan tant il était apprécié à l’UTLPB.\\n\\nLe club précise qu’un nouveau joueur le remplacera prochainement et qu’une recrue débarquera également bientôt pour combler le récent départ de l’Ukrainien Denys Noskov."
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupes d’Europe : les clubs français sont à 76% de victoires !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tandis que la BasketBall Champions League, avec des groupes de huit équipes, n’en a pas encore tout à fait terminé de la phase aller, la Fiba Europe Cup a clôturé sa première phase et va entamer une deuxième à 24 équipes.\\n\\nLe temps de faire un point général sur la situation des clubs français... qui n’a jamais été aussi bonne !\\n\\nEn BCL, la France compte 17 victoires pour 7 défaites et en Fiba Europe Cup, on en est à 18 victoires pour 4 défaites. Cela donne donc un total 35 victoires pour 11 défaites. Soit 76% de victoires. Six de nos huit clubs engagés sont premiers de leur groupe !\\n\\nOn ne peut que s’en réjouir tant cette situation est à l’opposé de celles constatées depuis des années mais il est évident pour chaque initié que l’absence de nos clubs en Euroleague et en Eurocup fait que ce bilan est en décalage avec la réalité sportive continentale.\\n\\nBasketball Champions League\\n\\nLe Mans         1er      5-1\\n\\nMonaco         1er       5-1\\n\\nVilleurbanne     2e       4-2\\n\\nStrasbourg      4e       3-3\\n\\nFiba Europe Cup\\n\\nNanterre          1er     6-0\\n\\nPau              1er     4-0\\n\\nChalon/Saône     1er     4-2\\n\\nGravelines        1er     4-2"
}, 
{"role": "user",     "content":"Shane Larkin fait le point sur le début de saison de Vitoria"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce vendredi, la troupe basque de Vitoria va aller défier le champion en titre du CSKA sur ses terres, à Moscou. L’armada russe devra composer sans son général en chef, Nando De Colo, blessé.\\n\\nMais Shane Larkin, le meneur américain du Baskonia, ne s’y trompe pas pour autant : il y aura encore du monde en face, avec notamment Milos Teodosic.\\n\\n« Teodosic est un excellent arrière », souffle Larkin dans les colonnes d’El Correo. « Je l’ai vu aux Jeux Olympiques et c’est un des meilleurs joueurs du monde. Il est capable de scorer et de faire la passe par-dessus la défense. Il n’a pas l’air d’être le plus costaud ni le plus rapide mais ses passes sont spectaculaires. »\\n\\nActuellement à 14 points, 7 passes, 4 rebonds et 2 interceptions en Euroleague, Larkin a parfaitement réussi la transition entre la NBA et le jeu européen. Même si tout n’est pas encore parfait.\\n\\n« Je dois avouer que les premiers matchs, surtout en Euroleague, ont été très durs pour moi, surtout pour s’adapter à l’exigence physique, mais aussi au spacing et à l’arbitrage. J’ai eu besoin de deux ou trois matchs pour vraiment comprendre comment tout ça fonctionne. (...) Et puis, c’est très différent de la NBA parce que chaque match, chaque panier compte. Tout est important [en Euroleague]. »\\n\\n\\nHausser le ton en défense\\n\\nDepuis, Larkin a trouvé ses marques et il dirige plutôt bien sa barque en Pays Basque. Néanmoins, il prévient ses coéquipiers qu’il faudra monter d’un cran en défense pour réussir quelque chose cette saison.\\n\\n« Le problème est que notre défense est très bonne ou très nulle. On doit trouver un juste milieu que l’on peut garder pendant tout le match. Quand on défend bien, on a plus de possibilités de courir en transition. Notre défense doit nous aider à nous stabiliser. On doit pouvoir garder notre intensité défensive pendant tout le match et pas seulement pendant 20 ou 25 minutes. C’est fondamental de nous améliorer là-dessus car pour le reste, en attaque, on a suffisamment de talent pour briller. »\\n\\nQue ce soit Andrea Bargnani à l’intérieur ou Rodrigue Beaubois à l’extérieur, il faut effectivement avouer que le Baskonia dispose d’énormes talents offensifs, pas forcément toujours très impliqués pour les tâches ingrates.\\n\\nLe match au sommet vendredi délivrera sans doutes quelques éléments de réponses pour Vitoria.\\n\\n« C’est un match important pour nous, on va savoir de quel bois on est fait », conclut Larkin.\\n\\nSon dernier match face à Milan\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=D0KPt1CalCs"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Strasbourg craque après prolongation"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En déplacement en Croatie à l’occasion de la sixième journée de Champions League, la SIG s’est inclinée 93-88 face au Cibona Zagreb.\\n\\nMalgré les 21 points, 4 rebonds, 3 interceptions et 2 assists (20 d’éval) d’A.J. Slaughter, les hommes de Vincent Collet n’ont pas réussi à l’emporter. Strasbourg pointe désormais à la 4e place du groupe D (3v-3d), derrière Avellino, Tenerife et la Juventus Atena.\\n\\nLe technicien strasbourgeois a donné son ressenti sur la rencontre en conférence de presse.\\n\\n« Nous n’avons pas bien commencé le match, nous étions trop soft, surtout en défense face à leur agressivité. Nous étions mieux en deuxième mi-temps mais Zagreb a fait un bon match. Même si nous sommes parvenu à revenir, ils méritent clairement cette victoire car ils se sont battus tout le long pour l’obtenir. Néanmoins, je suis content de ce que mes joueurs ont montré, ils n’ont pas abandonné. »\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Monaco ne faiblit pas"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A domicile pour la sixième journée de Champions League, les Monégasques se sont imposés de dix-neuf points contre les Tchèques de Nymburk (93-74).\\n\\nAvec Dee Bost (24 points, 8 rebonds et 6 passes décisives pour 23 d’évaluation) et Zach Wright (26 points, 6 rebonds, 4 assists et 5 interceptions pour 29 d’éval) en grande forme, les hommes de Zvezdan Mitrovic enregistrent leur cinquième victoire dans la compétition et gardent la tête du groupe A (5v-1d).\\n\\nLa boxscore du match est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nL’entraîneur de l’AS Monaco s’est d’ailleurs exprimé en conférence de presse après la rencontre.\\n\\n« Nymburk est une très bonne équipe, ils ont de l’expérience et sont très intelligents. Nous avons commencé avec une très bonne énergie, les interceptions nous ont permis d’avoir du jeu rapide et de développer du jeu que l’on apprécie. C’est certainement l’un de nos meilleurs matchs cette saison en Champions League. »\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les 16 équipes qualifiées pour l’EuroBasket féminin 2017"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est dans la nuit que la FIBA Europe a rendu public le nom de l’ensemble des qualifiés pour l’EuroBasket 2007 car la calculette a été nécessaire pour ajouter aux neuf premiers de chaque groupe et au pays organisateur, les six meilleurs deuxièmes.\\n\\nPays organisateur :\\n\\nRépublique Tchèque.\\n\\nPremiers de chaque groupe :\\n\\nBelgique, France, Espagne, Hongrie, Italie, Russie, Slovénie,Turquie, Ukraine.\\n\\nMeilleurs deuxièmes :\\n\\nLettonie: 3-1 (+2), Grèce: 2-2 (+47), Serbie: 2-2 (+46), Slovaquie: 2-2 (+ 43), Monténegro: 2-2 (+18), Biélorussie: 2-2 (+7).\\n\\nLes deuxièmes recalés :\\n\\nIsraël: 2-2 (-8), Suède: 2-2 (-12), Croatie: 1-3 (-23).\\n\\nA noter que la Serbie, championne d’Europe en titre, a été battue à domicile lors de la dernière journée par l’Ukraine (82-88) –qui a gagné tous ses matches-, ce qui explique qu’elle soit repêchée, alors que la Croatie issue du groupe de la France fait partie des deuxièmes malchanceux.\\n\\nL’EuroBasket se tiendra du 16 au 25 juin en République Tchèque."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 24 novembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nStrasbourg battu à Zagreb\\n\\n– Prochain adversaire du SLUC au Rhénus dimanche (18 h 30), Strabourg jouait hier soir à Zagreb en Ligue des Champions FIBA contre le Cibona, actuel... Lire la suite.\\n\\n\\nLa SIG s’incline après prolongation face au Cibona Zagreb (93-88)\\n\\n– Pas de nouvelle victoire à l’extérieur en Ligue des champions pour la SIG qui a échoué ce mercredi soir à Zagreb après prolongation (93-88)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe film du match\\n\\n– Peu inspirés en attaque, les Strasbourgeois sont au moins concernés en défense. Leloup leur offre l’avantage, mais cinq points de rang de Reynolds... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPetite fugue chez “Mozart”\\n\\n– Zagreb cultive le souvenir de Drazen Petrovic. Le staff de la SIG a visité, hier, le musée consacré à l’idole de tout un peuple... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne leçon à méditer\\n\\n– La SIG a fait les frais de la suragressivité croate, hier soir à Zagreb, et s’est logiquement inclinée à l’issue du temps additionnel. Les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nGaziantep, Mures et Södertälje au 2e tour\\n\\n– Large vainqueur de Fehérvar (106-77), mardi, l’Elan Chalon s’est qualifié pour le 2e tour où il affrontera les Turcs de Gaziantep, les Roumains de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDu très beau monde à « Raphaël de Barros »\\n\\n– On connaît les qualifiés pour le Final Four de la coupe de la ligue (17 et 18 décembre à « de Barros »). Chez les féminines, l’ASV, finaliste l’an... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe calendrier mis à jour\\n\\n– La victoire de Toulouse à Landerneau (60-63), le 17 novembre, match en retard de la quatrième journée, n’est pas à proprement parler une bonne... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nClochemerle à Saint-Symphorien-d’Ozon\\n\\n– Seul club du Rhône à présenter deux équipes en Nationale 3, le CS Ozon lutte sans cesse. Notamment contre la municipalité... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDenain est bien lancé\\n\\n– Invaincu à domicile, Denain-Voltaire cherchera à poursuivre sur sa lancée face à Saint-Chamond pour conserver son rang dans le peloton de tête de Pro... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nMike Gonsalves : « On est en construction offensivement »\\n\\n– Citez régulièrement en début de saison pour jouer les premiers rôles Boulogne sur Mer a débuté par un zéro pointé au bout de cinq journées avant de se... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRoanne a su faire face\\n\\n– Mentalement, dans l’investissement, la Chorale progresse et sa double victoire à Aix l’atteste, surtout la dernière, sans Burton. Mais il reste encore... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« On nous ignore »\\n\\n– « Nous sommes bien contents que nos équipes montent, mais on ne peut pas tout changer du jour au lendemain au niveau de nos gymnases ! Nous ne donnons... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Bleues finissent le travail\\n\\n– Déjà qualifiées, les Françaises ont remporté une nouvelle victoire en dominant la Croatie (84-65)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBasket: les Bleues finissent le travail en qualification à l’Euro-2017\\n\\n– L’équipe de France de basket, déjà qualifiée pour l’Euro-2017 en République tchèque (16-27 juin), a terminé sa campagne de qualification par un sixième succès de rang, face à la Croatie (84-65) mercredi... Lire la suite.\\n\\n\\nNeuville repart de zéro\\n\\n– Après plusieurs saisons à lutter pour le maintien, l’année dernière a été particulièrement difficile pour Neuville. Avec l’arrivée de Jérôme Guiche à la tête de l’équipe, l’heure n’est plus aux objectifs, mais à la reconstruction d’un groupe. « Je ne m’étais pas fait d’idées sur le niveau, mais je savais qu’il y avait de gros soucis. Je vo... Lire la suite.\\n\\n\\nÉvreux attend son heure\\n\\n– Poitiers – Évreux A la peine à domicile mais en forme en déplacement, l’ALM a conscience d’être face à un gros morceau qu’elle compte faire tomber... Lire la suite.\\n\\n\\nCibona Zagreb 93 Strasbourg IG 88 ap\\n\\n– ZAGREB. Drazen Petrovic Center. Mi-temps : 37-33. Les périodes : 18-11, 19-22, 22-20, 17-23, 17-12. Arbitres : MM. Bulto, Martolini et Poursanidis... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nOrteil\\n\\n– C’est une légende du sport, du basket-ball. Il est considéré comme le meilleur joueur de tous les temps et est devenu un redoutable dirigeant et homme... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDépartementaux : des derbys à la pelle en Division 1\\n\\n– Leader du championnat avec cinq victoires en six matches, Nord Sundgau II s’apprête à disputer un derby face aux Carspachoises, ce dimanche (15 h 15)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Illfurthois sans pression\\n\\n– Après avoir remporté leur premier match de la saison lors de la dernière journée (victoire 86-83 face à Poligny), les basketteurs de Nord Sundgau... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Illfurthoises gardent le cap\\n\\n– Après leur victoire convaincante face à Gries (68-48), les joueuses de Nord Sundgau s’apprêtent à disputer trois rencontres face à des équipes de bas... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSIG : la mauvaise affaire\\n\\n– La SIG a chuté, hier soir, sur le parquet des Croates du Cibona Zagreb lors de la 6e journée du groupe D de la Champions League. Un vrai coup d’arrêt... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications EuroBasket 2017: Un parfait 6/6 pour les Bleues"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de France a vaincu ce soir la Croatie, 84 à 65, à Clermont-Ferrand devant 4 500 spectateurs et réalise ainsi le grand chelem dans les qualifications pour l’EuroBasket 2017 avec six victoires en autant de matches.\\n\\nStatistiquement, avec 13 points (5/7), 3 rebonds et 7 passes, Sarah Michel fut la plus performante du match.\\n\\nL’EuroBasket se tiendra du 16 au 25 juin en République Tchèque.\\n\\nLes résultats de la France\\n\\n21 novembre 2015 à Bourges : France* b. Estonie, 69-41\\n\\n25 novembre 2015 à Amsterdam : France b. Pays-Bas*, 76-52\\n\\n20 février 2016 à Slavonski Brod : France b. Croatie*, 79-70\\n\\n24 février 2016 à Talinn : France b. Estonie*, 76-47\\n\\n19 novembre 2016 à Chalon-sur-Saône : France* b. Pays-Bas, 79-46\\n\\n23 novembre 2016 à Clermont-Ferrand : France* b. Croatie, 84-65\\n\\nLe classementdu groupe B:\\n\\nFrance 6v-0d, 2- Croatie 3-3 (+5), 3- Pays-Bas 3-3 (-5), 4- Estonie 0-6."
}, 
{"role": "user",     "content":"Des stickers et un album sur les Equipes de France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"\\nLa FFBB sort l’album officiel des équipes de France avec 266 stickers à collectionner et à coller. Près de 40 pages pour présenter les joueuses et les joueurs actuels ainsi que les grands moments, les grands noms, les grandes performances de l’histoire des équipes de France féminine et masculine.\\n\\nL’album est à 3,80€, la pochette de 6 stickers est à 1,00€, et l’album et toute la collection à 125,00€.\\n\\nA découvrir et commander ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"John Bryant en renfort à Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’AS Monaco vient d’annoncer sur sa page Facebook la signature du poste 5 américain, John Bryant, afin de pallier l’absence de Brandon Davies, indisponible plusieurs semaines.\\n\\nFormé à l’université de Santa Clara, et après une saison en D-League avec les Erie BayHawks, ce natif de Berkeley a très vite mis le cap vers l’Europe et plus précisément l’Allemagne. Passé par Ulm (2010-2013) et le Bayern Munich (2013-2016), le pivot de 2m11 avait rejoint les rangs de Valence cet été mais a été remercié par le club espagnol après seulement deux matchs (3 minutes en moyenne).\\n\\nDéjà en Principauté, Bryant a effectué sa visite médicale dans l’après-midi et sera présent, ce soir, dans la salle Gaston Médecin pour assister au match entre l’ASM et Nymburk, en Champions League.\\n\\nEn Euroleague (44 matchs), le pivot de 125 kilos compilait en moyenne 8,8 points, 6,2 rebonds et 1,2 assist dans la compétition."
}, 
{"role": "user",     "content":"Championnat nationaux : le Top 10 de la semaine (19 novembre)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque saison depuis maintenant cinq ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCette semaine, c’est Zarko Rakocevic (BCO Orchies, NM1) qui pointe à la première place du classement grâce à un gros poster dunk.\\n\\n\\nTop 10 CourtCuts FFBB du 19 Novembre 2016 par FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"FEC : l’Elan Béarnais assure en Autriche"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vainqueurs 92-74 face aux Autrichiens d’Oberwart à l’occasion de la sixième journée de la FIBA Europe Cup, les joueurs de l’EBPLO se qualifient pour le prochain tour de la compétition.\\n\\nAvec six joueurs en double figure (Lewis 14 points, Cavalière 12 points, Robinson 14 points, Howard 10 points, Chikoko 10 points et Mipoka 12 points) les Béarnais ont resserré la vis en deuxième mi-temps (44-44 à la pause) pour prendre une avance assez confortable afin d’assurer la victoire.\\n\\nLa boxscore du match est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nAprès le match, Eric Bartecheky, le technicien de l’Elan Béarnais est revenu sur la rencontre sur le site du club.\\n\\n« Il y a eu un recadrage à la mi-temps car l’attitude et l’investissement n’étaient pas bons. On voit ce que cela donne, quelque chose de peu efficace mais pas très joli non plus. On ne construit rien avec des shoots en première intention. Le point positif est notre réaction au retour des vestiaires. Les contextes génèrent les comportements et dictent un peu les scénarios. Sans Cooper, on joue différemment. Nous sommes arrivés à mettre un peu plus de continuité après la mi-temps, ce qu’on doit parvenir à réaliser quand la pression est plus forte. Il faut qu’on progresse encore, c’est une évidence car sinon on va le payer à un moment donné. »\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"FEC : l’Elan Chalon s’impose facilement en Hongrie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Opposés à l’ALBA Fehervar dans le cadre de la sixième journée de la FIBA Europe Cup, les hommes de Jean-Denys Choulet se sont facilement défaits des Hongrois en menant 28-14 après 10 minutes, pour finalement l’emporter 106-77. Belle performance de la part des Chalonnais qui s’étaient inclinés de vingt points au match aller (111-91).\\n\\nMenés par le trio Moustapha Fall (18 points, 13 rebonds et 4 assists) John Roberson (11 points, 4 rebonds et 11 passes décisives) Cameron Clark (26 points, 7 rebonds et 4 passes), les Bourguignons ont maîtrisé leur sujet et se qualifient pour le prochain tour de la compétition. La boxscore du match est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Gries-Oberhoffen (NM1) : deux départs pour une arrivée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Du changement au Basket Club Gries Oberhoffen, puisque via un communiqué, la formation de National 1 indique des mouvements dans son effectif.\\n\\nLe poste 1/2 américain DJ Woodmore et l’ailier serbe Nemanja Stankovic quittent l’équipe professionnelle. Le BCGO et les deux joueurs ont trouvé un accord à l’amiable pour se séparer. Le premier valait 10 points, 5,7 rebonds et 2,4 passes pour 10,9 d’évaluation en 27 minutes sur 12 matchs quant au second, il compilait 5,7 points, 2 rebonds et 1,2 passe pour 2 d’évaluation en 19 minutes sur 4 matchs.\\n\\nPour compenser le départ de ces deux éléments, le champion de France NM2 2015/16 se renforce avec un meneur de jeu lituanien. Ovidijus Varanauskas (1,87 m, 75 kg, 25 ans) arrive. Débarquant de Valmeira, une équipe de première division lettone (3,5 points, 1,5 rebonds et 1,7 passe pour 2,3 d’évaluation en 14 minutes sur 6 matchs de championnat), il vivra dans le Bas-Rhin sa première expérience en France.\\n\\nLa saison dernière, c’est en Italie qu’il officiait. Meneur de jeu du Pallacanestro Varese (neuvième de la Serie A) il compilait 2,6 points à 36,4% de réussite aux tirs (44,4% à 3-points), 1,3 rebond et 1 passe pour 3,1 d’évaluation en 11 minutes sur 19 matchs. Il a également goûté à la scène européenne puisqu’il a été finaliste de la FIBA Europe Cup 2016 (5,5 points de moyenne en 18 minutes sur 11 matchs).\\n\\nFormé au sein du renommée Lietuvos Rytas Vilnius, Ovidijus Varanauskas a porté les couleurs du KM-Magnus-Orem Vilnius, Sakalai Vilnius, Statyba Vilnius, Prienai ou encore Juventus Utenus dans son pays. Il a aussi connu une expérience en Pologne (10,3 points, 2,3 rebonds et 1,8 passe avec le Polpharma Starogard Gdansk en 2013/14).\\n\\nInternational lituanien dans les équipes jeunes, il a également représenté la Lituanie aux championnats du monde de 3×3 à Moscou et d’Europe à Bucarest en 2014.\\n\\nSon prochain défi sera de permettre à Gries–Oberhoffen de remonter au classement. Le BCGO est dix septièmes au classement de NM1 avec seulement 3 victoires en 12 matchs."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le vainqueur de la Basketball Champions League qualifié en Euroleague ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors d’un d’un petit-déjeuner de presse, le président de la FIBA Europe, Turgay Demirel, et son secrétaire-général Kamil Nowak ont confirmé avoir reçu de Jordi Bertomeu, le directeur exécutif de ECA, l’organisme qui gère l’Euroleague et l’Eurocup, un courrier stipulant qu’il n’empêchera pas les joueurs disputant ses compétitions de participer aux qualifications pour la Coupe du Monde 2017 lors des fameuses « fenêtres FIBA ».\\n\\nBien sûr, la NBA ne fera pas preuve d’une si bonne volonté mais les deux boss de la FIBA Europe ont voulu minimiser ce handicap pourtant majeur comme le rapporte le site eurohoops:\\n\\n« Ils (les joueurs NBA) ne seront pas absents à chaque fois. Certainement qu’ils ne seront pas capables de jouer en novembre et en février, mais ils pourront être présents en septembre et la plupart d’entre eux en juin. C’est clair que nous ne pouvons pas concurrencer une ligue qui fait huit milliards de chiffre d’affaire par an. »\\n\\nKamil Nowak a confirmé que les négociations étaient toujours en cours à propos de l’Eurocup et qu’elle ne cédera pas sur ce dossier :\\n\\n« Nous proposons à l’Euroleague de conserver sa compétition et de nous donner le deuxième niveau, mais ils veulent quarante équipes et deux compétitions. Nous pouvons faire des concessions mais pas ça. Qu’est-ce qui arriverait si demain il y avait une autre compétition d’un troisième organisme ? Parmi les choses que nous demandons il y a les critères sportifs, de la même manière que dans l’UEFA Champions League. Peut-être que notre logique semble de la vieille école mais elle défend la méritocratie. »\\n\\nLa FIBA souhaite par ailleurs que le vainqueur de la Basketball Champions League puisse avoir une place en Euroleague pour la saison 2017-18. Il y aura bien des rebondissements d’ici là..."
}, 
{"role": "user",     "content":"Kenan Bajramovic (ex Cholet) retourne en Turquie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quelques jours après son départ du Cholet Basket, Kenan Bajramović (2,06 m, 35 ans) vient de retrouver un nouveau challenge. Le Bosnien renforce le club turc de Socar Petkimspor (8em de TBL). Sur place, il retrouvera un environnement qu’il connaît parfaitement puisqu’il en défendait les couleurs avant de débarquer dans le département de Maine-et-Loire l’été dernier (14,2 points et 7,8 rebonds de moyenne en D2 turque).\\n\\nSous les ordres de Philippe Hervé, le vétéran tournait à 3,3 points à 38,1% de réussite aux tirs, 1,3 rebond et 0,6 passe pour 2,7 d’évaluation en 12 minutes sur 7 rencontres de championnat Pro A. Avec lui CB a connu 3 victoires pour 4 défaites.\\n\\nAncien International bosnien, champion de Lituanie en 2010, d’Ukraine en 2006 et 2007 et de Bosnie-Herzégovine en 2005, l’intérieur fera équipe avec les anciens de LNB T.J Campbell (Dijon, Nanterre) et Alex Oriakhi (Limoges)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Marc Barbé (président SLUC Nancy) : « Le club est en crise »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Seule lanterne rouge avec seulement deux victoires pour sept défaites en championnat, le SLUC Nancy est plus que jamais en très mauvaise posture après sa dernière défaite en date, sur son parquet face au Portel (80-76) en encaissant notamment un 31-13 dans le quatrième quart temps, lundi soir.\\n\\n« Le club était en danger. Maintenant, il est en crise. Le SLUC est seul dernier, après avoir été battu par une équipe ô combien méritante mais qui est, une des rares à avoir moins de budget que Nancy. Notre situation au classement, est grave et n’oublions pas qu’on se déplace à Strasbourg dimanche, a confié Marc Barbé, le président du SLUC, à l’Est Républicain. »\\n\\nEn voyage d’affaires à l’île Maurice, Marc Barbé rentrera à Nancy dans la nuit de jeudi à vendredi afin de s’entretenir avec Alain Weisz le plus rapidement possible.\\n\\n« J’ai toujours été très clair avec Alain Weisz que je n’ai ni recruté, ni prolongé mais avec qui j’ai de bonnes relations. »\\n\\nConscient de la gravité de la situation, le président de la formation nancéienne sait qu’il est grand temps de prendre des décisions pour essayer de changer la donne.\\n\\n«Comment on a pu perdre ce match ? J’ai l’impression que notre entraîneur est dans le doute, perdu, manque de lucidité. Ma mission est de sauver le club. J’utiliserai tous les moyens pour espérer la réussir.»\\n\\nDe son côté, l’entraîneur du SLUC se sent plus que jamais menacé, d’autant plus qu’il devait donner au directoire une victoire contre Le Portel ainsi que contre Antibes."
}, 
{"role": "user",     "content":"Nanterre : Bathiste Tchouaffé (18 ans) entre en piste"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors de la victoire hier soir de Nanterre sur Anvers (90-79) pour le compte de la FIBA Cup, Bathiste Tchouaffé (1,96m, 18 ans) a passé 11 minutes sur le terrain pour 2 points, 1 rebond et 1 passe.\\n\\nC’est la deuxième fois que l’ancien pensionnaire de l’INSEP est autant sollicité mais la première, c’était lors d’un match largement gagné par Nanterre 92 face à Sopron (106-75). En Pro A, il s’est contenté jusque là de 15 minutes en quatre fois avec un maximum d’efficacité offensive : 13 points.\\n\\n« On avait tellement souffert pour ramener des victoires de nos déplacements que cela aurait été dommage de gâcher la première place ce soir », commente le coach Pascal Donnadieu pour Le Parisien. « Dans l’équipe il y a des leaders mais chacun apporte. Ceux qui rentrent le méritent, il n’y a pas de cadeau. Mon objectif est que tout le monde se sente investi dans le projet collectif. »\\n\\nLe Poitevin a une autre mission à l’horizon : la participation à l’Euro U18 repositionné à Samsun, du 16 au 22 décembre, à cause du coup d’Etat avorté qui s’est déroulé cet été en Turquie."
}, 
{"role": "user",     "content":"N2 : L’Etoile d’Or d’Angers à la peine en attendant la fusion"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Même si le cœur n’y est peut-être pas toujours, la raison d’Etat l’impose : Angers BC (N1) et l’Etoile d’Or Saint-Léonard (N2) vont fusionner à la fin de cette saison ce qui ouvre de belles perspectives sportives dans le chef lieu du Maine-et-Loire.\\n\\nPas mal de points sont encore à régler comme le nom du club, sa localisation dans la ville et le nombre de représentants d’Angers BC et de l’Etoile d’Or au Conseil d’Administration. Dans Ouest France, Louis Blanvillain, figure emblématique de l’Etoile d’Or et qui fut longtemps contre ce rapprochement, confirme que s’il continuera de s’occuper du célèbre tournoi d’avant saison ProStars, il ne sera pas le président de la nouvelle entité.\\n\\nSur le terrain, si Angers BC est dans la moyenne en N1 (6e ex-aequo avec six victoires et autant de défaites), l’Etoile d’Or peine très sérieusement dans la poule B de N2 : six défaites et une seule victoire.\\n\\nExplications avancées : la blessure du Guadeloupéen Erwan André (2n01m, 27 ans), un ancien de Sorgues Le Pontet Vaucluse en N1, et la non productivité du Lituanien Remigijus Trakimas (2,06m, 28 ans), déjà angevin la saison passée, qui est devenu un poids mort et dont le club a cherché à se séparer jusqu’ici en vain.\\n\\nLa fusion n’enlève t’elle pas du stress rendant impossible une descente en N3, demande Ouest France ?\\n\\n« Oui et non. C’est notre dernière saison, nous voulons qu’elle soit bonne », répond Louis Blanvillain. « Et elle peut l’être. Je suis convaincu qu’avec Erwan André, nous aurions gagné au moins 5 des 6 matches qu’on a perdus de 6 points ou moins. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : les meilleurs joueurs de la neuvième journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la neuvième journée de Pro A, l’équipe de SFR Sport a dressé le bilan des cinq meilleurs joueurs français et et des cinq meilleurs joueurs étrangers de la semaine.\\n\\nDu côté Français, c’est un petit nouveau qui a été sélectionné puisque c’est Mathis Keita qui figure dans le cinq majeur français de la semaine. Dans la large victoire du BCM Gravelines-Dunkerque face à Orléans (99-57), l’ancien joueur d’Evreux a compilé 14 points, 2 rebonds et 7 passes décisives pour une évaluation de 19. Côté étranger, à peine remis de sa blessure à la cuisse, D.J. Cooper fait déjà son retour dans le cinq type de la semaine avec 18 points, 6 rebonds et 8 passes décisives pour 28 d’évaluation dans le succès de l’EBPLO face à Antibes 84-79.\\n\\nAu poste de deuxième arrière, c’est Paul Lacombe prend place dans le cinq majeur français de la semaine grâce à ses 13 points, 4 rebonds et 9 passes décisives (25 d’éval) enregistrés dans la victoire de Strasbourg contre Limoges (79-60). Du côté des JNFL, c’est le Parisien Louis Campbell qui prend la place de meneur dans ce cinq majeur de la semaine. Face à l’ASVEL, l’ancien Strasbourgeois a compilé 13 points, 9 rebonds et 4 assists (20 d’éval).\\n\\nA l’aile, c’est Jean-Michel Mipoka qui a été sélectionné grâce à son bon match face à Antibes (11 points, 3 rebonds et 2 assists pour 14 d’éval). Pour les étrangers, c’est Spencer Butterfield en pleine forme qui entre dans le cinq type de la semaine grâce à ses 25 points, 5 rebonds et 5 passes décisives compilés pour une éval de 26 face au CCRB (104-84).\\n\\nAu poste 4, c’est Aaron Cel qui a été choisi en compilant 19 points, 6 rebonds et 2 assists (24 d’évaluation) dans la victoire du BCM face à Orléans (99-57). Pour les étrangers, c’est le Finlandais Erik Murphy qui fait son apparition dans le cinq type de la semaine. Dans le match face à Limoges remporté par la SIG 79-60, l’intérieur strasbourgeois a enregistré 12 points, 4 rebonds et 2 passes décisives pour une éval de 20.\\n\\nEnfin, Wilfried Yeguete a été élu meilleur poste 5 de la semaine en inscrivant 11 points et en captant 12 rebonds (25 d’éval) dans le succès du MSB face à Dijon (65-60). Côté étranger, c’est l’intérieur du Portel, Jakim Donaldson qui termine meilleur poste 5 de la semaine en compilant 18 points, 11 rebonds et 4 passes décisives pour une évaluation de 28 dans la victoire de son équipe face à Nancy (80-76).\\n\\n\\nCinq majeur français\\n\\n * Mathis Keita (Gravelines-Dunkerque) : 14 points, 2 rebonds, 7 passes décisives, 19 d’évaluation.\\n * Paul Lacombe (Strasbourg) : 13 points, 4 rebonds, 9 passes décisives, 25 d’évaluation.\\n * Jean-Michel Mipoka (Pau-Lacq-Orthez) : 11 points, 3 rebonds, 2 passes décisives, 14 d’évaluation.\\n * Aaron Cel (Gravelines-Dunkerque) : 19 points, 6 rebonds, 2 passes décisives, 24 d’évaluation.\\n * Wilfried Yeguete (Le Mans) : 11 points, 12 rebonds, 4 passes décisives, 25 d’évaluation.\\n\\n\\nCinq majeur étranger\\n\\n * D.J. Cooper (Pau-Lacq-Orthez) : 18 points, 6 rebonds, 8 passes décisives, 28 d’évaluation.\\n * Louis Campbell (Paris-Levallois) : 13 points, 9 rebonds, 4 passes décisives, 20 d’évaluation.\\n * Spencer Butterfield (Nanterre) 25 points, 5 rebonds, 5 passes décisives, 26 d’évaluation.\\n * Erik Murphy (Strasbourg) : 12 points, 4 rebonds, 2 passes décisives, 20 d’évaluation.\\n * Jamik Donaldson (Le Portel) : 18 points, 11 rebonds, 4 passes décisives, 28 d’évaluation."
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : l’ASVEL l’emporte de 20 points en Pologne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En déplacement à Radom, en Pologne, pour le compte de la sixième journée de Champions League, l’ASVEL facilement disposé des Polonais pour s’imposer 83-63.\\n\\nPrésent sur tous les fronts, Nicolas Lang (16 points à 6/9 aux tirs, 6 rebonds et 5 assists pour 24 d’évaluation) a parfaitement montré la voie à ses coéquipiers, bien aidé par les 16 unités de Nikola Dragovic. La boxscore du match est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nAprès la rencontre, J.D. Jackson, le technicien villeurbannais a donné son ressenti sur le match en conférence de presse.\\n\\n« Nous avons joué ce match de la façon dont nous voulions le jouer. Nous avons très bien commencé, nous étions très concentré, nous avons pris soin de la balle et nous étions très agressifs défensivement. C’est une victoire assez confortable et c’est bon pour nous. »\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Le Mans fait le job face au Maccabi Rishon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vainqueur 80-72 du Maccabi Rishon à Antares, Le Mans décroche sa 5e victoire d’affilée en Champions League.\\n\\nMeilleur joueur du match, le Manceau Olivier Hanlan a compilé 23 points, 5 rebonds et 2 passes décisives pour une évaluation de 23 en 30 minutes de jeu. La boxscore est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nLe MVP de la rencontre est d’ailleurs revenu sur cette victoire en conférence de presse d’après match.\\n\\n« Je pense que c’était un match à la hauteur de tout le monde, même si c’est vrai que j’ai démarré assez fort. Mes coéquipiers m’ont trouvé pour des tirs faciles et j’ai marqué. C’était de bonnes situations au bon moment. Je me sentais bien et plus tu marques, plus c’est facile d’enchaîner. D’un point de vue collectif, je pense que l’on n’a pas su vraiment faire la différence parce que l’on manque parfois de concentration, surtout en défense. Quand nous menons de dix points, nous devons être capable d’aller jusqu’à quinze ou vingt afin de plier le match le plus tôt possible. »\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 23 novembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nLe Cibona Zagreb\\n\\n– D eux fois vainqueur de la Coupe d’Europe des clubs champions au mitan des années 80, le Cibona Zagreb court, aujourd’hui, après sa gloire d’antan... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Plus sereins »\\n\\n– Le “Petit Mozart” du basket français joue à la SIG. Frank Ntilikina fait le point sur le redressement strasbourgeois, sur son début de saison... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nÀ leur portée\\n\\n– Un succès, ce soir à Zagreb, permettrait à la SIG de faire un grand pas vers la qualification pour la seconde phase de la Ligue des champions. Rien... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nQuatre équipes invaincues chez les jeunes régionaux\\n\\n– Il reste trois journées avant la fin de la première phase des championnats de Ligue jeunes. Et il y a encore quatre équipes invaincues dans leur... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Très bien dans l’investissement »\\n\\n– « Sans Joe Burton, on a joué sans les mêmes repères en voulant changer sur tout, c’est bien car dans l’investissement, c’est très bien. On encaisse... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes voyants européens sont au vert\\n\\n– Superbe en Pologne, l’Asvel peut viser les huit tickets qui qualifieront directement pour le deuxième tour des play offs... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes portes de la finale se referment devant la JL Bourg\\n\\n– Formidables vendredi en championnat, les Burgiens ont été transparents hier soir. Avec 17 points d’avance, les Boulonnais ont pris une option sur le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nEn bref\\n\\n– En prénationale masculins, le FJ Belley avait réalisé un début de saison positif avec trois victoires lors de ses quatre premiers matches. Mais il... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes filles de la JL partagent le plaisir\\n\\n– Forte de ses 4 succès, la JL Bourg 2, promue en RF2, peut espérer un maintien confortable dans une poule très homogène... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRoanne a fait le plus dur\\n\\n– Privés de Burton les Choraliens ont réussi à tenir et gagner. Il faudra l’emporter à domicile mardi prochain pour aller à Disneyland... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCap au Nord pour l’équipe de France\\n\\n– C’est en Finlande que les hommes de Vincent Collet débuteront le prochain championnat d’Europe. Dans une poule largement à leur portée... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBASKET U13 : deux victoires des sélections de l’Indre\\n\\n– Pendant deux jours, le Creps de Bourges a accueilli le tournoi régional opposant les sélections de chaque département, qui a permis de tester les U13 en vue des sélections pour les pôles espoirs de Bourges (filles) et Orléans (garçons). Ces deux journées vont servir, également, à constituer les équipes de la ligue du Centre-Val de Loire... Lire la suite.\\n\\n\\nUn podium et une 6 e place pour le Loir-et-Cher\\n\\n– Le Creps de Bourges accueillait le week-end dernier les sélections départementales U13 filles et garçons des six départements de la Ligue du Centre-Val de Loire. Si l’on considère qu’il y avait longtemps qu’une équipe masculine du Loir-et-Cher n’avait pas terminé troisième lors d’un tournoi intercomités, on peut dire que l’objectif a été attein... Lire la suite.\\n\\n\\nUn bon groupe pour les Bleus\\n\\n– Les basketteurs français sont tombés dans un groupe A largement à leur portée au premier tour de l’Euro 2017 où ils affronteront, à Helsinki, la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nKayser vole de ses propres ailes\\n\\n– Après avoir été l’assistant d’Eric Zimmer à la Vogesia Holtzheim, l’ancien meneur de jeu mulhousien Ludovic Kayser vit cette saison sa première... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa SIG veut enfoncer le clou\\n\\n– Les basketteurs strasbourgeois peuvent déjà se rapprocher de la qualification pour la suite de la Ligue des champions en s’imposant, ce soir (18 h... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Jackson – Beaubois, les scoreurs français flambent en Espagne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Seize joueurs pour neuf pays, le contingent tricolore a bien regonflé ses troupes pendant l’intersaison. De la Lituanie à l’Espagne, de l’Allemagne à la Grèce en passant par la Russie et la Chine (!), Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n\\nRoddy retrouve la forme\\n\\nSachant que Adrien Moerman et Nando De Colo n’ont pas joué ce weekend, l’un au repos, l’autre blessé, l’essentiel de l’action se situait donc en Espagne, dans notre colonie la plus développée.\\n\\nEt pour cause, Edwin Jackson (25 points) et Rodrigue Beaubois (22 points) ont mis les défenses ibères au pilori avec deux grosses prestations offensives. Jackson est un habitué, lui qui mène encore la danse au classement des scoreurs en ACB. Pour Beaubois, c’est la confirmation de son retour en pleine forme après une belle copie en Euroleague également.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=wCNg_zlAPgA\\n\\nA leurs côtés, Kim Tillie (8 points, 7 rebonds) et Ali Traoré (6 points, 3 rebonds) ont été plus discrets. On notera également le bon match d’Antoine Diot (14 points, 4 rebonds, 4 passes) et les 13 passes d’Andrew Albicy qui conserve également sa couronne de meilleur passeur.\\n\\n\\nAlpha Kaba en double double\\n\\nEn Italie, Amath M’Baye (20 points, 9 rebonds) a dû s’employer pour contenir JaJuan Johnson (32 points, 12 rebonds, 45 d’éval !) mais son équipe de Brindisi a réussi à tenir le choc et a fini par s’imposer (90-82). En Grèce, Angelo Tsagarakis (14 points) a lui parfaitement répondu présent pour éviter une cinquième défaite de rang de son escouade de Trikala.\\n\\nEn Allemagne, la ballade de santé se poursuit pour Bamberg. Fabien Causeur (15 points) a été au diapason pour disposer de l’Alba Berlin. En Serbie, Alpha Kaba (15 points, 10 rebonds) a signé un beau double double dans la victoire du Mega Leks.\\n\\nEnfin, en Chine, Guerschon Yabusele a déchiré en adresse mais finit tout de même avec une fiche complète de 11 points, 6 rebonds, 4 passes face au Taiyuan (où évolue l’ancien de NBA Samuel Dalembert).\\n\\n\\nAllemagne\\n\\nFabien Causeur (Bamberg) : 15 points (6/13 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes en 26 minutes (victoire 89-80 face à l’Alba Berlin)\\n\\n\\nChine\\n\\nGuerschon Yabusele (Shanghaï) : 11 points (3/11 aux tirs), 6 rebonds, 4 passes, 2 interceptions en 27 minutes (victoire 108-89 face à Taiyuan)\\n\\n\\nEspagne\\n\\nEdwin Jackson (Estudiantes) : 25 points (8/15 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 2 interceptions mais 4 balles perdues en 31 minutes (défaite 92-80 face à Barcelone)\\n\\nRodrigue Beaubois (Vitoria) : 22 points (9/17 aux tirs), 4 rebonds en 25 minutes (victoire 101-92 face à Saragosse)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : 14 points (3/7 aux tirs), 4 rebonds, 4 passes, 1 interception mais 3 balles perdues en 24 minutes (défaite 86-84 face à Badalone)\\n\\nKim Tillie (Vitoria) : 8 points (3/5 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe, 1 interception en 29 minutes (victoire 101-92 face à Saragosse)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 8 points (1/4 aux tirs), 13 passes, 3 interceptions, 1 rebond mais 3 balles perdues en 28 minutes (victoire 91-87 face à Obradoiro)\\n\\nAli Traore (Estudiantes) : 6 points (3/4 aux tirs), 3 rebonds en 18 minutes (défaite 92-80 face à Barcelone)\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAngelo Tsagarakis (Trikala) : 14 points (4/8 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds, 1 interception en 26 minutes (victoire 84-73 face au PAOK Athènes)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Brindisi) : 20 points (8/19 aux tirs), 9 rebonds, 1 interception mais 6 balles perdues en 34 minutes (victoire 90-82 face à Cantu)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLeo Westermann (Kaunas) : 13 points (6/10 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 2 interceptions mais 3 balles perdues en 15 minutes (victoire 98-84 face à Pasvalys)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNobel Boungou-Colo (Khimki) : 13 points (4/6 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds en 25 minutes (victoire 90-84 face à Nizhny Novgorod)\\n\\nNando De Colo (CSKA) : n’a pas joué – blessé à la cuisse gauche (victoire 87-68 face à Tallinn)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAlpha Kaba (Mega Leks) : 15 points (7/12 aux tirs), 10 rebonds, 2 contres, 1 interception en 30 minutes (victoire 93-87 face à Bar)\\n\\nTurquie\\n\\nThomas Heurtel (Efes Istanbul) : 5 points (2/7 aux tirs), 6 passes, 4 interceptions, 1 rebond en 29 minutes (défaite 69-68 face à Balikesir)\\n\\nAdrien Moerman (Darussafaka Istanbul) : n’a pas joué (victoire 71-62 face à Ankara)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Antoine Diot en mode record"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet : « L’Euro sera la seule véritable opportunité pour les joueurs NBA de jouer en équipe de France »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite au tirage au sort de l’EuroBasket 2017 qui s’est tenu cet après-midi, Patrick Beesley, le directeur technique national, en direct d’Istanbul, et Vincent Collet, coach de l’équipe de France, qui était dans un aéroport allemand et en partance pour Zagreb, ont donné une conférence de presse par téléphone. En voici le verbatim.\\n\\n\\nSur le groupe A qui est celui de l’équipe de France :\\n\\nPatrick Beesley : « Le premier mot n’est pas « terrible » –d’autres groupes le sont peut-être plus- mais « solide ». Cela ne déplaît pas à Vincent pour monter en puissance. Je regarde ce que fait le croisement pour le fameux match de huitième de finale. Le premier match éliminatoire qui était avant en quart-de-finale est avancé en huitièmes depuis 2015 afin de raccourcir la compétition. Je rappelle que pour l’Euro en France en 2015, on avait croisé la Turquie. Là, nous sommes dans le groupe A, nous croisons avec le groupe B qui semble convenable pour ce huitième.\\n\\nVincent Collet : « Je confirme ce que dit Patrick dans le sens où ce groupe est intéressant car il y a des équipes fortes. Par rapport à 2015, le groupe est plus fort avec la Grèce et la Slovénie en particulier et la Finlande à domicile. C’est pour nous une bonne chose car on sait très bien que ce qui est le plus important c’est le croisement. En huitièmes, on croise avec l’Italie, Israël et si on a l’honneur de se qualifier, on sait que l’on tomberait en quart contre la Turquie ou la Serbie. Ou si nous n’étions que troisième ou quatrième, il y aurait le risque de jouer l’Espagne en quart. Ça sera difficile mais de toutes façons, quand on veut aller loin, il faut être prêt à jouer de très fortes équipes, en huitièmes et en quarts. Ça nous est déjà arrivé en 2013, l’année où on a été champion d’Europe, on avait battu la Slovénie à domicile.\\n\\n\\nSur l’ambiance en Finlande :\\n\\nVC : Je pense que ça va être une jolie fête. Je souhaitais aller là-bas. J’en parlais avec mon nouvel assistant (Ndlr : à Strasbourg, Lassi Tuovi) qui est aussi assistant en équipe de Finlande. C’est amusant car on a regardé le tirage avec lui et A.J. Slaughter (Ndlr : international polonais) et on est tous les trois dans le même groupe. Mon assistant m’a confirmé que le fait qu’il y ait la France, la Grèce, la Slovénie, va permettre de remplir la salle même pour les matches où la Finlande ne jouera pas. Elle fait 13 500 places. La Finlande a aussi choisi l’Islande pour aider à la remplir. On aura, je pense, un très beau premier tour.\\n\\n« C’est toujours compliqué de jouer les Grecs dans les premiers matches car ils sont très présents d’entrée, même s’ils ont ces dernières années plus de mal dans les matches couperet »\\n\\n\\nSur l’adversaire du groupe préliminaire le plus dangereux :\\n\\nVC : A mon sens, la Grèce. Ça fait plusieurs années qu’ils ne sont pas au rendez-vous mais ça va finir par passer. (Giannis) Antetokounpo (Milwaukee Bucks) devient vraiment un joueur majeur en NBA. C’est toujours compliqué de jouer les Grecs dans les premiers matches car ils sont très présents d’entrée, même s’ils ont ces dernières années plus de mal dans les matches couperet. Pour la Slovénie, il faudra voir si les frères Dragic (Ndlr : Goran du Miami Heat et Zoran de Milan) sont là ou pas. S’il est au complet c’est un adversaire très fort. Pour l’instant c’est difficile d’avoir un avis tranché. Les Grecs sont indépendants de ça car on peut penser que Antetokounpo sera là.\\n\\n\\nSur la capacité de Vincent Collet à passer de son club aux Bleus :\\n\\nVC : « Franchement, ce n’est pas un problème. Avec Patrick on est sur la mise en place de la préparation qui est totalement indépendante du tirage. On a déjà bien avancé. Je vais faire ces déplacements (aux Etats-Unis) davantage en fonction du calendrier des joueurs quand bien même ça sera un peu difficile pour la SIG. Ça me fera rater des séances d’entraînement mais c’est prévu comme ça. Si je peux éviter de manquer des matches, bien sûr que je ferai en sorte de le faire mais en tous les cas, on fera les déplacements que l’on devra faire.\\n\\n« La première démarche va surtout consister à revenir sur l’été dernier, faire un bilan, évacuer les doutes, les interrogations. Et après on repartira sur des bases saines »\\n\\n\\nSur la disponibilité des joueurs NBA du fait que l’Euro n’est pas qualificatif ni pour la Coupe du Monde ni pour les Jeux Olympiques :\\n\\nVC : C’est regrettable qu’on parle déjà de ça. Un Euro ça se suffit à lui-même. Il n’y a pas de petit Euro. Pendant longtemps on a parlé des compétitions comme d’un passage obligé pour se qualifier pour la suivante. Déjà je disais que les compétitions, il faut les faire pour les gagner. On a vu en 2013 pourquoi ça vaut la peine de s’y donner pleinement et d’essayer de le gagner, c’est un championnat d’Europe ! Je remarque aussi qu’avec la réforme, à part les « fenêtres », il n’y a pas de compétition entre 2017 et 2019. Ça en fait une de moins par olympiade. C’est d’autant plus une raison pour être présent en 2017. Par exemple, les joueurs NBA ne pourront être présents que sur deux « fenêtres », en juin et septembre 2018. Celles de novembre 2017, février 2018, novembre 2018 et février 2019, ils ne seront pas là. 2017 sera donc la véritable opportunité pour eux de jouer en équipe de France et je souhaite qu’ils le comprennent.\\n\\nPB : Je suis totalement en osmose avec ce que dit Vincent. Il n’y a qu’en basket que l’on pose ce genre de question. Le championnat d’Europe se suffit à lui-même. Faire l’impasse sur ce prochain Euro c’est se mettre dans une situation lourde de conséquences. Avec Vincent, on va faire le maximum pour convaincre ceux qui pourraient éventuellement l’envisager.\\n\\nVC : Il n’y a pas encore directement d’engagement de joueurs NBA à venir l’été prochain puisqu’on est très loin de la compétition. Je ne vais pas vous mentir. Mais quand je dis ça, c’est ni dans un sens ni dans l’autre. Je sais que certains voudront venir à coup sûr mais je n’ai pas leur engagement pour l’instant.\\n\\nPB : Il y a un temps pour chaque chose. On ne peut pas parler d’engagement de joueurs avant que le tirage au sort soit fait. Après il y a la construction d’un programme. A partir de là, on va avoir des entretiens avec les joueurs. Le danger est d’aborder les sujets très loin de l’échéance car les gens n’ont pas intégré ça. On va dans un premier temps poser les jalons pour la participation et après on rentrera dans les détails. La première démarche va surtout consister à revenir sur l’été dernier, faire un bilan, évacuer les doutes, les interrogations. Et après on repartira sur des bases saines.\\n\\n\\nSur l’ère post Tony Parker :\\n\\nVC : Je pense que c’est un nouveau cycle et c’est aussi pour cette raison que j’espère que les joueurs vont répondre présents pour s’approprier cette nouvelle équipe et que l’on continue à être parmi les meilleures équipes européennes. C’est ça le challenge : montrer que l’on en est capable, un peu comme on l’a montré en 2014. Il faut le reproduire. Ça ne va pas être facile et c’est pour ça qu’il faut que les joueurs répondent présents."
}, 
{"role": "user",     "content":"Dijon Thompson (ex ASVEL) signe à l’Hapoel Jerusalem"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Passé par Lyon-Villeurbanne lors de la saison 2011/2012, Dijon Thompson vient de s’engager avec l’Hapoel Jerusalem, comme le rapporte Sportando.\\n\\nL’ancien pensionnaire de l’université de UCLA avait commencé la saison à Chypre, avec l’AEK Larnarca et rejoint donc, aujourd’hui, un club qu’il connaît déjà pour y avoir évolué lors de la saison 2009/2010.\\n\\nFort de cinq saisons passées en Eurocup (61 rencontres) pour des moyennes de 12,3 points, 6,3 rebonds, 1,7 interception et 2,2 assists par match, Thompson va apporter toute son expérience aux coéquipiers d’Amar’e Stoudemire qui pointent actuellement à la deuxième place du groupe D en C2 avec trois victoires pour une défaite.\\n\\nLors de son passage en France, le natif de Los Angeles avait compilé en moyenne 9,5 points, 4,4 rebonds et 2,5 passes décisives pour une évaluation de 10,9.\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Luka Zoric quitte Séville"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé au Real Betis Energia Plus en août, Luka Zoric quitte déjà le club espagnol basé à Séville, comme indiqué sur le site de la formation ibérique.\\n\\nLe club et le joueur se sont mis d’accord pour mettre un terme à leur collaboration, et l’ancien joueur du Fenerbahce a justifié ce départ par des raisons personnelles.\\n\\nBien connu du circuit européen, Zoric a accompli cinq saisons pleines en Euroleague sous les couleurs de Malaga, Fenerbahce et Zagreb pour des moyennes de 8,7 points et 3,9 rebonds par match.\\n\\nEn huit matchs de championnat, le pivot croate compilait cette saison 12,5 points et 4,7 rebonds pour une évaluation de 11,9 par rencontre avec la formation classée 11e de Liga Endesa (3v-5d).\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"EuroBasket 2017 : la France en Finlande avec la Grèce et la Slovénie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le tirage au sort qui s’est déroulé cet après-midi à Istanbul a désigné la Finlande, la Grèce, l’Islande, la Pologne et la Slovénie comme adversaires de l’équipe de France à l’EuroBasket 2017 qui se tiendra du 31 août au 17 septembre avec vingt-quatre équipes.\\n\\nComme en 2015, quatre pays accueilleront la première phase et les Bleus sont ainsi inclus dans celle d’Helsinki.\\n\\nCuriosité : Vincent Collet, coach de l’équipe de France va se retrouver de nouveau face à face avec Henrik Dettmann, le coach de l’équipe de Finlande à qui il vient de succéder à Strasbourg.\\n\\nLes quatre premiers de chaque groupe de six équipes seront qualifiés pour les huitièmes de finale. A partir de ce stade tous les matches seront à élimination directe.\\n\\nGroupe A\\n\\nHelsinki (Finlande) : FRANCE, FINLANDE, GRECE, ISLANDE, POLOGNE, SLOVENIE\\n\\nLes matches de la France: Finlande le 31/08, Grèce le 02/09, Islande le 3/09, Pologne le 5/09, Slovénie le 6/09.\\n\\nGroupe B\\n\\nTel-Aviv (Israël) : ALLEMAGNE, ISRAËL, GEORGIE, ITALIE, LITUANIE, UKRAINE\\n\\nGroupe C\\n\\nCluj-Napoca (Roumanie) : CROATIE, ESPAGNE, HONGRIE, MONTENEGRO, REPUBLIQUE TCHEQUE, ROUMANIE\\n\\nGroupe D\\n\\nIstanbul (Turquie) : BELGIQUE, GRANDE-BRETAGNE, LETTONIE, RUSSIE, SERBIE, TURQUIE,\\n\\nLes pays hôtes avaient le choix de prendre une équipe adversaire/partenaire. C’est ainsi que la Finlande et l’Islande s’étaient associées, comme la Turquie avec la Russie, Israël avec la Lituanie et la Roumanie avec la Hongrie.\\n\\nContrairement aux éditions précédentes, cet EuroBasket ne décernera pas de billets pour la prochaine Coupe du Monde, la Fédération Internationale ayant choisi de modifier à la fois sa formule et son calendrier. L’EuroBasket n’est programmé désormais que tous les quatre ans.\\n\\nA partir de novembre prochain se dérouleront des matches de qualification pour la Coupe du Monde 2019 en Chine qui sera elle-même qualificative pour les Jeux Olympiques de 2020 à Tokyo."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Portel : transition réussie pour Jakim Donaldson"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il a été fantastique. Lundi soir sur le parquet de Nancy, Jakim Donaldson (2,04 m, 33 ans) a été l’un des grands artisans du succès du Portel sur le SLUC (80-74).\\n\\nUtilisé 35 minutes par son entraîneur Eric Girard, l’intérieur américain a livré une formidable copie de 18 points à 9/11 aux tirs, 11 rebonds et 4 passes décisives pour 28 d’évaluation, soit son record d’évaluation en Pro A ! Une belle performance pour une victoire importante pour la course au maintien. Avec ce troisième succès de la saison Le Portel est quinzième ce lundi au bout de 9 journées.\\n\\nDécouvrant cette saison les exigences de l’élite française, l’ancien triple MVP de la deuxième division espagnole cumule 11,2 points à 52,6% de réussite aux tirs, 6,6 rebonds et 2,7 passes décisives pour 14,4 d’évaluation en 29 minutes sur 9 rencontres de Pro A. Des statistiques intéressantes qui font du numéro 7 portelois la deuxième évaluation de l’ESSM juste derrière son compatriote Frank Hassell (15,1 d’évaluation) et la dix neuvième de la Pro A.\\n\\nÉlément du club de la Cote d’Opale depuis l’été 2014, l’ancien pensionnaire d’Edinboro University (NCAA II) est en train de réussir son examen de passage entre la Pro B et la Pro A. Au dessus du lot durant les deux dernières saisons dans l’antichambre (19,6 d’évaluation en 63 rencontres de saison régulière), le natif de Pittsburgh démontre qu’il a pleinement sa place dans l’élite.\\n\\nProchain rendez-vous en championnat le 26 novembre prochain. Ce soir-là, l’ESSM recevra dans son Chaudron le leader Monaco, un sacré challenge pour le promu qui aura besoin une nouvelle fois d’un grand Jakim Donalson.\\n\\nPhoto : lnb.fr"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le livre « Géants » récompensé par l’Association des écrivains sportifs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme tous les ans depuis 1947, l’Association des écrivains sportifs, a décerné ses prix littéraires récompensant des ouvrages en compétition de langue française. Dans la catégorie « Beau Livre », le Prix est revenu à Géants, co-écrit par Philippe Cazaban et Daniel Champsaur qui est sorti il y a un peu plus d’un an aux Editions Chroniques.\\n\\n« Il y a une parité entre le texte et les images. Daniel Champsaur a fait un énorme travail. C’est lui qui a écrit toute l’histoire sur ce livre. Il possède une écriture très universitaire, c’est un texte très fluide, très sérieux », nous explique Philippe Cazaban. « On est parti sur un chemin de fer qui raconte l’historique, de la rue de Trévise avec le premier match en France en 1892, jusqu’à nos jours. Et on a utilisé ensuite l’image pour illustrer toute cette histoire-là. Une histoire sans image, ça fonctionne moins. »\\n\\n\\nLa paire de chaussures et le maillot d’Alain Gilles\\n\\nDans cet ouvrage, on retrouve aussi bien des interrogations style « d’où vient le panneau de basket ? » ou « pourquoi le ballon de basket est-il orange ? (cela vient d’une intuition géniale du coach de l’université de Butler, Tony Hinkle) à un zoom sur La Moutète d’Orthez ou un autre sur les Mauges et Cholet Basket.\\n\\nBeaucoup d’illustrations issues du Musée du Basket sont totalement originales et ne peuvent que séduire au-delà du cercle des purs fans. Si vous voulez découvrir qui était Lucienne Velu, étoile du basket féminin français des années trente, une horloge de table des années 50-60, Maxime Dorigo, l’un des meilleurs joueurs du championnat du Monde 1963, la paire de Palladium et le maillot Pétrole Hann d’Alain Gilles, ou lire une interview d’Olivier Léglise, la référence du basket landais avec Freddy Fauthoux, c’est ici. Alors comme c’est bientôt Noël...\\n\\n« Géants, toute l’histoire du basket-ball ». Editions Chronique. 364 pages. Format 25×32. 39€."
}, 
{"role": "user",     "content":"Nancy : Alain Weisz se sent menacé"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« Bien sûr que je me sens menacé, ce n’est pas nouveau », a déclaré le coach du SLUC Nancy Alain Weisz visiblement très abattu après la débandade de son équipe dans le dernier quart-temps du match contre Le Portel. « Quand une équipe est dernière du championnat, qu’on a le match en main, qu’on le perd, bien sûr que tous les regards se portent sur le coach. C’est le propre de ce métier. »\\n\\nIl ne peut y avoir scénario plus cruel. Dans ce match à Gentilly entre derniers de la classe, les Lorrains menaient de quinze points, 61-46, à la 30e minute. Seulement les Nordistes leur assénaient un 11-0 en une minute trente prouvant toute leur fragilité.\\n\\n« Il n’en fallait pas davantage pour replonger Nancy dans ses travers. Gêné aux entournures par les différentes défenses adverses (zone press tout-terrain, individuelle, zone...), le SLUC se mettait à balbutier son basket, à rater des lancers, manquer des passes faciles... Le combat avait changé d’âme, » écrit L’Est Républicain.\\n\\nAu final, avec une adresse à 40,3% contre 50,8% à son adversaire, le SLUC s’inclinait 74-80 devant un public qui a exprimé son fort mécontentement en le sifflant. Jakim Donaldon (18 points à 9/11, 11 rebonds) et Darrin Dorsey (21 points, 7 passes) auront été ses bourreaux.\\n\\n« J’ai toujours mis un point d’honneur à faire le maximum afin que les équipes ne se désintègrent pas. Il faut toujours y croire, aller à Strasbourg pour essayer de gagner. C’est effectivement très compliqué... Très tout. C’est un moment très difficile »\\n\\nL’exploit face au leader invaincu Monaco est oublié. Nancy au passé récent si prestigieux, au public toujours fidèle, est seul figé à la dernière place. Alain Weisz est suffisamment expérimenté pour savoir que dans ce cas de figure, c’est généralement le coach qui trinque."
}, 
{"role": "user",     "content":"Monaco taille patron face à Cholet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Privée de Brandon Davies et Jamal Shuler, Monaco a tout de même fait le show dans sa salle Gaston Médecin en s’imposant de 25 points face à Cholet (93-68) ce lundi soir, devant les caméras de SFR Sport 2.\\n\\nMenés par un Dee Bost de gala qui a compilé 22 points (7/13 aux tirs), 3 rebonds et 7 passes décisives pour une évaluation de 27, les hommes de Zvezdan Mitrovic ont régalé à l’occasion de cette neuvième journée de championnat.\\n\\nAvec cinq joueurs en double figure, les Monégasques ont su faire la différence dès le premier quart temps (25-15) et ont déroulé tout le reste de la rencontre à l’image de Sergii Gladyr et ses 16 points à 4/6 à trois points.\\n\\nAprès la rencontre, la Roca Team a même eu le droit aux félicitations du Prince Albert en personne, comme indiqué sur le site du club.\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 22 novembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nAlain Weisz : une soirée catastrophique\\n\\n– Alain WEISZ : « c’est une soirée catastrophique.\u2003Dans la manière dont on perd le match, dans notre incroyable dégringolade dans le dernier... Lire la suite.\\n\\n\\n« Une soirée catastrophique »\\n\\n– Alain WEISZ : « c’est une soirée catastrophique. Dans la manière dont on perd le match, dans notre incroyable dégringolade dans le dernier... Lire la suite.\\n\\n\\nEspoirs\\n\\n– Espoirs. Et une qui font neuf ! Maîtres de leur sujet et emmenés par un duo Chéry-Narace explosif (40 pts, 21 rebonds, 64 d’évaluation à eux deux)... Lire la suite.\\n\\n\\nLe SLUC touche le fond\\n\\n– Après avoir mené de quinze points en fin de troisième quart-temps, les Nancéiens se sont sabordés lors des dix dernières minutes pour s’incliner face... Lire la suite.\\n\\n\\nEnfin à l’unisson\\n\\n– Jamais encore, depuis le retour de Vincent Collet, la SIG n’avait affiché un visage aussi collectif que celui vu dimanche contre Limoges (79-60). Les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nHéroïques dans le money time, les Portelois laissent la place de dernier à Nancy\\n\\n– Tant à Strasbourg qu’à Villeurbanne et encore dernièrement à Orléans, les Portelois ont ruiné tous leurs efforts de la première période en caviardant totalement la suite. Au fil du temps, même si Éric Girard répète à l’envi que ses gars font preuve d’un super état d’esprit, mine de rien, dans les têtes, comme un poison sournois, le doute s’instille... Lire la suite.\\n\\n\\n« On peut défendre mieux, du début à la fin »\\n\\n– Andre Hollins Chorale de Roanne... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn tournant polonais pour l’Asvel\\n\\n– Le champion de France effectue un 5e déplacement européen (en six sorties !) qui pourrait rapporter gros... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa Chorale doit prendre une option\\n\\n– La Chorale retourne à Aix peut-être sans Burton pour s’approcher de la finale. Laurent Pluvy attend confirmation de la victoire à l’extérieur vendredi... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nProA: Monaco princier, la SIG enchaîne, l’Asvel n’y arrive pas\\n\\n– Le leader Monaco s’est baladé devant Cholet (93-68) lundi lors du dernier match de la 9e journée de ProA, marquée par la 6e victoire en sept matches de Strasbourg et une nouvelle défaite de Villeurbanne... Lire la suite.\\n\\n\\nEvreux en quête de régularité\\n\\n– Tout a changé ou presque du côté d’Evreux. Nouvel entraîneur, effectif remanié après le départ de plusieurs cadres, le finaliste des play-off la saison dernière présente un visage radicalement différent. Arrivé aux manettes de l’ALM cet été, Laurent Sciarra doit reconstruire un collectif. Et cela prend du temps. Cette phase de transition e... Lire la suite.\\n\\n\\nPour un et deux points\\n\\n– Avec seulement cinq filles, l’Unitas s’incline d’un point (56-55) après prolongations à Koenigshoffen qui en avait 14 de plus au coup d’envoi. Les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPaul a vu James Harden\\n\\n– USA. C’est une escapade de rêve qu’a vécu le jeune Paul Marchand de Ste-Croix-en-Plaine, qui évolue poussin à l’ASL Dessenheim. Ses parents lui ont... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFin de saison en apothéose pour Bucher\\n\\n– Le pilote haut-rhinois Alain Bucher vient de remporter le championnat de Formule Renault 2.0 catégorie B à Estoril, au Portugal, où avaient lieu les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nHeureuses rotations\\n\\n– Encore une fois, ce sont les joueurs sortis du banc qui ont permis à la SIG de dominer Limoges, dimanche au Rhénus. Strasbourg est de retour dans la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTitre 1\\n\\n– Description... Lire la suite.\\n\\n\\nTitre 2\\n\\n– Description... Lire la suite.\\n\\n\\nTitre 3\\n\\n– Description... Lire la suite.\\n\\n\\nTitre 4\\n\\n– Description... Lire la suite.\\n\\n\\nTitre 5\\n\\n– Description... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTitre 6\\n\\n– Description... Lire la suite.\\n\\n\\nTitre 7\\n\\n– Description... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTitre 8\\n\\n– Description... Lire la suite.\\n\\n\\nTitre 9\\n\\n– Description... Lire la suite.\\n\\n\\nTitre 10\\n\\n– Description... Lire la suite.\\n\\n\\nTitre 11\\n\\n– Description... Lire la suite.\\n\\n\\nTitre 12\\n\\n– Description... Lire la suite.\\n\\n\\nTitre 13\\n\\n– Description... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTitre 14\\n\\n– Description... Lire la suite.\\n\\n\\nTitre 15\\n\\n– Description... Lire la suite.\\n\\n\\nTitre 16\\n\\n– Description... Lire la suite.\\n\\n\\nTitre 17\\n\\n– Description... Lire la suite.\\n\\n\\nTitre 18\\n\\n\\n\\n– Description... Lire la suite.\\n\\n\\nTitre 19\\n\\n– Description... Lire la suite.\\n\\n\\nTitre 20\\n\\n– Description... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTitre 21\\n\\n– Description... Lire la suite.\\n\\n\\nTitre 22\\n\\n– Description... Lire la suite.\\n\\n\\nTitre 23\\n\\n– Description... Lire la suite.\\n\\n\\nTitre 24\\n\\n– Description... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Monaco : Jamal Shuler absent deux semaines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La tuile pour l’AS Monaco Basket. Accueillant Cholet ce lundi soir dans sa salle Gaston Médecin pour le compte de la neuvième journée de championnat Pro A, le club de la Principauté devra faire sans son « Go-to-Guy » Jamal Shuler (1,88 m, 30 ans).\\n\\nSur son site internet, la Roca Team indique que l’Américain est forfait pour la rencontre. Touché au mollet gauche à l’entraînement, le Monégasque doit observer une période de repos de deux semaines.\\n\\nDeuxième évaluation de l’ASM, l’ancien vichyssois tourne à 14,8 points, 3,4 rebonds et 3,8 passes pour 13,4 d’évaluation en 29 minutes sur 8 rencontres de championnat.\\n\\nPour rappel, l’entraîneur Zvezdan Mitrovic doit déja composer avec la blessure du pivot Brandon Davis, out pour un mois.\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pierre Bressant, l’homme de tous les records à la passe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Palois D.J. Cooper tourne à 11,5 passes en moyenne avec une pointe à 18 face au Portel. Remarquable pour la Pro A... mais si loin encore de Pierre Bressant lors des années 1988 et 89. Le Franco-Américain envoya valser tous les records, au point que certains se demandèrent s’il y avait un trucage.\\n\\nCela saute aux yeux d’un myope : le nom de Pierre Bressant apparaît dix fois dans le Top 12 du plus grand nombre de passes décisives sur un match. Tout ces exploits ont été réalisés entre le 12 mars 1988 et le 23 mars 1989, soit exactement en un an. Extraordinaire. S’agit-il de statistiques frelatées, à l’instar du quadruple double plus que douteux de l’Américain de Reims Derrick Lewis ? Pas de raison de retenir cette hypothèse. Pour accomplir une telle série, unique dans les annales du basket français, il aura fallu en définitive que Pierre Bressant bénéficie d’un chapelet de circonstances favorables. Et aussi, c’est l’essentiel, d’une faculté particulière d’offrir des ballons en or à ses équipiers.\\n\\nRevenons à la source, américaine. Malade, Pierre Bressant n’eut pas la possibilité de décrocher une bourse sportive et c’est comme simple étudiant qu’il entra à l’université d’Arizona State. « J’ai travaillé mon basket dix fois plus que les autres. Et puis j’étais sans doute un mec sympa. Je faisais jouer les autres, et ça ils aimaient bien aussi. La deuxième année, je l’ai eu ma bourse », nous raconta ce meneur de jeu de 1,79m au physique passe-partout. Pierre fut par ailleurs un étudiant modèle et il décrocha à la fin du cursus un diplôme d’ingénieur. « Sur mes quatre années de séjour à Arizona State, j’ai vu défiler une quinzaine de joueurs dans l’équipe de basket, et nous n’avons été que deux à décrocher l’examen final. » D’ailleurs, bien plus tard, il reprendra ses études pour effectuer une formation de managérat des clubs sportifs professionnels au Centre de droit et d’économie du sport, à Limoges.\\n\\n« Je me suis dit : le niveau en France doit être bien moins élevé. C’est à mon tour de dominer les autres ! »\\n\\nA la fac avec des stars\\n\\nSes équipiers aux Suns Devils s’appelaient Alton Lister, Byron Scott, Lafayette Lever et Sam Williams. Des pointures. Pierre Bressant n’était que le douzième homme de l’équipe, la cheerleader, comme il le disait lui même. « Celui qui excitait les copains et le public. » Seulement un tel environnement vous donnait à l’époque un légitime complexe de supériorité lorsque vous traversiez l’Atlantique. « Tous les autres joueurs d’Arizona State sont devenus pros. Ça faisait quatre ans que je m’entraînais avec ces gars-là. Je me suis dit : le niveau en France doit être bien moins élevé. C’est à mon tour de dominer les autres ! »\\n\\nPierre Bressant atterrit à Mulhouse et crut pouvoir obtenir le passeport français en prouvant sa double nationalité. Il est né à Fontainebleau et a vécu en France jusqu’à l’âge de trois ans. Ses grands-parents étaient de la Martinique et c’est son père qui émigra aux Etats-Unis, pris la nationalité du pays, se maria avec une Américaine, et devint colonel dans l’armée US. Un miroir aux alouettes. « Nick Galis avait des parents grecs », rappelait-il, à propos de ce natif du New Jersey, qui sema la terreur dans les défenses européennes grâce à ses origines helléniques. « Moi, c’était mes grands-parents qui étaient français. Une génération de trop. » Bressant estima s’être fait mener en bateau par le président mulhousien, Jean-Claude Hessel. Il joua un seul match au MBC. Comme Américain. D’ailleurs, auparavant, le Limoges CSP avait étudié de près son dossier et abandonné la piste estimant qu’il était impossible de prouver sa nationalité française.\\n\\nQue fit alors Pierre Bressant ? Il s’engagea pour cinq ans avec Antibes, se maria en mai 1982 et fut naturalisé le même mois. C’était une mode répandue à l’époque sachant que les autorités françaises étaient peu regardantes. « C’est vrai que c’est une solution de facilité pour nous », avoua t-il. Mais il ne faut pas s’y tromper : c’est un mariage d’amour qui lia l’Antibois d’alors avec son nouveau pays. « J’y suis pour longtemps, peut-être pour toujours, » déclara t-il, prémonitoire.\\n\\n« Quand un grand commence à dribbler dos au panier, je m’amène par derrière, et hop ! C’est excitant. »\\n\\n\\n14,5 passes en moyenne\\n\\n1987 est une belle année. Pierre Bressant dispute le premier all-star game français, à Limoges, et avec un autre meneur de poche, Robert Smith, de par leurs fantaisies, ils donnent du sel au spectacle. Surtout, il est sélectionné en équipe, au Tournoi de Noël, où on le voit la tête dans le short de sa majesté Drazen Petrovic, et agiter avec frénésie une serviette pour dynamiser la foule, puis pour le championnat d’Europe à Athènes. Seize sélections en tout. « Ce que j’ai fait au Tournoi de Noël, ce que je viens de vivre en Grèce, même si je n’ai pas joué beaucoup à cause de ma blessure à la cheville, personne ne me l’enlèvera. Cela restera dans ma tête, dans mon cœur. »\\n\\nCurieusement, davantage encore qu’un passeur, Bressant a une réputation de kleptomane due à sa faculté à chiper la balle dans les mains de ses rivaux. « C’est la revanche du petit sur le grand. Quand un grand commence à dribbler dos au panier, je m’amène par derrière, et hop ! C’est excitant. Les gars se demandent toujours : mais où il est Pierre ? » C’est que le petit Pierre en question, à l’air inoffensif est en fait vif et musculeux, et il à l’oeil.\\n\\nEt les passes ? Pierre Bressant est forcément déjà un spécialiste. Il tourne à 8,0 assists de moyenne lors de son ultime saison à Antibes. Il monte alors à Paris et fait un peu mieux avec le Racing : 8,7 passes en seulement 18 matches, à cause de douleurs dorsales. Surtout, il bat une première fois le record sur un match contre Tours avec 21 offrandes. On n’a encore rien vu. La machine s’emballe lors de cette fameuse saison 1988-89 et Pierre établit des marques, sinon pour l’éternité, du moins qui n’ont pas été approchées depuis : un total de 434 passes, soit une moyenne de 14,5 par match –près de deux fois plus que son dauphin, Valéry Demory-, et un record de 28 sur une seule rencontre. Complètement fou ! Et encore, il n’est pas tenu compte au palmarès de ses 25 passes en playoffs contre Montpellier.\\n\\n« Il faut savoir servir le bon joueur, le bon jour. Par exemple, pour Dub, la passe à la seconde près, ça détermine tout dans son basket. »\\n\\n\\nDeux perfs à l’extérieur\\n\\nDans le milieu, on dit que c’est trop beau pour être vrai, et la suspicion va tomber sur les statisticiens qui officient à Coubertin. Ne favorisent-ils pas exagérément leur héros ? Accusation gratuite. L’équipe qui officie au Racing est fiable. De plus, depuis la création de la ligue, un an plutôt, et grâce à un accord négocié avec IBM, les préposés sont dotés d’un ordinateur ce qui facilite la récolte des infos. Et surtout, argument choc : deux perfs ont été établies à l’extérieur, l’une à Gravelines et l’autre à Tours. A l’époque, Maxi-Basket enquête et démontre que si le nombre de passes décisives de Pierre Bressant est inférieur à l’extérieur, c’est que le Racing score tout simplement moins hors de ses bases.\\n\\nL’explication de ces statistiques apparemment surnaturelles est ailleurs. Déjà, il est dans l’air du temps d’attaquer à outrance et de défendre a minima. Le Racing Paris aime les grandes envolées et possède la deuxième force offensive du championnat avec une moyenne de 96,6 points/match. Hervé Dubuisson (22,8 pts) et encore plus l’Américain Michael Kennedy (25,5 pts), roi du dunk, sont de sacrés pistoléros. Et Lee Johnson (20,7 pts) ne donne pas sa part aux chiens. Pierre, lui, ne shoote que contraint et forcé : 1 tir toutes les 12 minutes. Il joue beaucoup (34 minutes par match) et... il quasiment le seul à rendre la balle. Dubuisson fait moins de deux passes par match, et Kennedy deux fois moins. Tout le monde court, Pierre régale et les autres shootent souvent avec bonheur. C’est aussi simple que ça.\\n\\nLe soir de ses 28 passes, Pierre Bressant ne prend que deux tirs alors que le Racing score 113 points. Dubuisson est étrangement aphone (2/4), mais Eric Occansey (12/19), Lee Johnson (11/19) et Michael Kennedy (12/20) se goinfrent. Pour l’anecdote, Rudy Bourgarel, père de Rudy Gobert, profite également du banquet (3/7).\\n\\nPierre Bressant possède la vision périphérique, le timing, un solide QI basket, le sens du partage. Il estime qu’il y a toujours autour de lui quelqu’un plus apte à scorer que sa petite personne. Dans son genre, c’est un artiste, sans tapage. « La passe au bon moment, au bon endroit, que ce soit pour un shoot lointain ou sous le panneau, c’est primordial. Il faut savoir servir le bon joueur, le bon jour. Par exemple, pour Dub, la passe à la seconde près, ça détermine tout dans son basket. »\\n\\nHervé Dubuisson ne dira pas le contraire, comparant les passes de Pierre Bressant à celles sèches et ajustées de l’Américain Loyd King, son ancien équipier au Mans. « Pierre a une bonne qualité de passe. Ni trop molle, ni trop puissante. Avec un bon timing. Et il est très fort quand l’équipe joue vite. Sur un jeu rapide, avec des passes à risques qui peuvent expliquer qu’il est aussi le troisième aux balles perdues, il est à l’aise. C’est un joueur spectaculaire. Et ça, tu l’as ou pas dans le sang. »\\n\\nLa saison suivante, Pierre Bressant mute à Monaco mais n’y dispute que neuf matches. Il n’est plus qu’à 10,3 passes/matches. Et beaucoup moins encore la saison suivante. La météo n’est plus favorable, la déferlante est passée.\\n\\n\\nRecords de passes décisives sur un match*\\n\\n1        Pierre Bressant         Racing Paris    Caen           11/3/1989     28\\n\\n2        Pierre Bressant         Racing Paris    Gravelines      18/2/1989    25\\n\\n3        Pierre Bressant         Racing Paris    Lorient         4/10/1988    23\\n\\n4        Laurent Sciarra         PSG Racing     Le Mans        13/1/1996     22\\n\\n5        Pierre Bressant         Racing Paris    Tours          12/3/1988    21\\n\\n–        Pierre Bressant         Racing Paris    Limoges        1/10/1988    21\\n\\n–        Pierre Bressant         Racing Paris    Gravelines      5/11/1988     21\\n\\n8        Pierre Bressant         Racing Paris    Nantes         23/3/1989    20\\n\\n–        Matt Walsh            ASVEL         Vichy          11/3/2011     20\\n\\n10      Pierre Bressant          Racing Paris    Avignon        17/12/1988    19\\n\\n–        Pierre Bressant         Racing Paris    Mulhouse      11/02/1989    19\\n\\n–        Pierre Bressant         Racing Paris    Tours          4/3/1989      19\\n\\n* Etablis par la LNB\\n\\n\\nRecords de passes décisives par saison\\n\\n1        Pierre Bressant         Racing Paris     1987-88        14,5\\n\\n2        Laurent Sciarra         Paris           2003-04        9,7\\n\\n3        Laurent Sciarra        Paris SG         1994-95         9,5\\n\\n4        Laurent Sciarra        Paris            2002-03        9,5\\n\\n5        Laurent Sciarra        Paris SG         1995-96         9,3\\n\\nParu dans Basket Hebdo en mars 2015."
}, 
{"role": "user",     "content":"Bourges organisera le prochain Euro cadettes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il participe actuellement à Istanbul à une réunion du Bureau de la FIBA Europe, le président fédéral Jean-Pierre Siutat a indiqué sur Twitter que Bourges servira de cadre au Championnat d’Europe U16 féminin programmé au début du mois d’août prochain.\\n\\n\\n\\n\\nLa @ffbasketball organisera le Championnat d'Europe U16 féminin à Bourges début août 2017 @FRABasketball @FIBA pic.twitter.com/6qmLRAFwJP\\n\\n\\n— Jean-Pierre SIUTAT (@jpsiutat) November 21, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Varese : Eric Maynor sur la sellette"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"D’après Sportando, l’ancien meneur de jeu NBA, Eric Maynor serait sur le point d’être remercié par la franchise italienne de Varese.\\n\\nNotamment passé par Oklahoma City (2009-2013), Maynor n’est pas à la hauteur des attentes du club. De retour à Varese après une saison quasiment blanche due à une rupture des ligaments croisés du genou, l’ancien joueur des Portland Trail Blazers compile cette saison en Serie A 9,4 points, 2,9 rebonds et 5,9 passes décisives.\\n\\nLe 19 octobre dernier, en Champions League, il avait enregistré 8 points (3/13 aux shoots), 7 rebonds et 5 assists (9 d’éval) face à l’ASVEL.\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jordan Semple, le Français qui cartonne en Bulgarie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Edwin Jackson, meilleur marqueur de la Liga Endesa espagnole (19,8 points de moyenne) avec Estudiantes, Amath M’baye top scoreur de la Serie A (21,9 points) avec Enel Brindisi, Nando De Colo sur la deuxième marche des attaquants de la prestigieuse Euroleague (21 points) avec le CSKA Moscou .. en ce début de saison 2016/17, nos Français marquent (beaucoup) de points dans les différentes compétitions européennes.\\n\\nSi nos Bleus sont sous les feux des projecteurs de par leurs statuts et leurs performances savez-vous qu’un autre Frenchie cartonne dans un pays d’Europe du Sud-Est ?\\n\\nJoueur de l’Akademik Bulteks 99 Plovdiv, Jordan Semple (2,01 m, 98 kg, 24 ans) enchaine les grosses performances en Bulgarie. Tournant à une impressionnante moyenne de 24,2 points à 67,1% de réussite aux tirs, 12 rebonds et 3 passes décisives pour 28,2 d’évaluation en 36 minutes sur 5 matchs de championnat, cet américain possédant un passeport français et né à Paris d’une mère française marche sur la Natsionalna basketbolna liga (NBL), la première division bulgare.\\n\\nDéjà auteur de 2 matchs à 33 d’évaluation, l’ailier enchaine les titres de MVP (2 sur les 5 premières journée) et il est tout simplement le meilleur marqueur et le meilleur rebondeur du championnat, une sacrée performance !\\n\\nLeader du club de basket de Plovdiv (la deuxième ville de Bulgarie avec un peu plus de 330 000 habitant), son équipe est actuellement classée 5e (sur 9) avec un bilan positif de 3 victoires pour 2 défaites.\\n\\n\\nFormé en NCAA II\\n\\nFormé aux Etats-Unis, non drafté à sa sortie de Chico State (NCAA II) en 2015 -où il fût le meilleur rebondeur et contreur de l’histoire des « Wildcats »- (10,4 points, 9,3 rebonds et 2 passes lors de sa dernière année), Jordan Semple évoluait la saison dernière en Espagne pour sa première expérience professionnelle. Élément du Sammic Iraurgi Saski Baloia, un club de LEB Silver (la troisième division), il avait réalisé une grande saison en compilant 15,5 points à 57% de réussite aux tirs (31,5% à 3-points), 9,4 rebonds et 2,3 passes décisives pour 19,7 d’évaluation en 29 minutes sur 29 matchs et son équipe avait terminé quart de finaliste des playoffs. Cinquième marqueur et troisième rebondeur de la division, il s’était distingué en prenant place au sein du Cinq idéal de la saison 2015/16.\\n\\nSolide en Espagne, au-dessus du lot en Bulgarie, Jordan Semple n’a pour l’instant connu (avec succès) que des championnats de seconde zone. En constante progression et encore jeune, on pourrait peut être un jour le voir évoluer en France. Voici incontestablement un nom à retenir et un joueur à suivre.\\n\\nPhoto : BBALL.BG"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : deuxième, Saint-Quentin récupère Malela Mutuale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Deux bonnes nouvelles pour Saint-Quentin.\\n\\nPremièrement, l’équipe s’est imposée à Saint-Chamond, 67-59, et se positionne avec 4 victoires et 2 défaites à la deuxième place... qui correspond également à la 8e puisque le classement est incroyablement homogène.\\n\\nDeuxièmement, SQBB a récupéré son meneur/arrière Malela Mutuale (1,88m, 25 ans) qui était handicapé par une lésion à la cuisse.\\n\\n« Il a très bien travaillé avec notre staff médical et suivi le protocole. Ça lui a permis d’être apte et il nous a fait du bien », a indiqué le coach Jérôme Navier dans L’Aisne Nouvelle. « Je ne m’attendais pas à jouer autant, je suis content. Ma cuisse a tenu, je n’ai senti aucune douleur », a complété l’intéressé.\\n\\nL’ancien joueur de Paris, Dijon, Aix-Maurienne et Le Havre passé 25 minutes sur le terrain pour compiler 8 points, 6 rebonds et 2 passes ; sa meilleure prestation de la saison en championnat."
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : 43 points et 10 3-points pour Terran Petteway"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Terran Petteway (1,98m, 24 ans) était en feu lors du match Flexx Pistoia Basket contre Dolomiti Energia Trento gagné par les locaux après prolongations, 84-78.\\n\\nCet ailier/deuxième arrière qui a effectué la saison dernière ses débuts professionnels en D-League a inscrit 43 points avec 2/5 à deux-points, 9/9 aux lancers et surtout 10/14 à trois-points avec quelques shoots venus de nulle part. Il a ajouté à son tableau de chasse 7 rebonds et 3 passes en 37 minutes.\\n\\nAvec 14,5 pts, l’Américain de Pistoia n’est que le 15e marqueur de la Lega et surtout il affichait jusque là un piètre 9/44 à trois-points ! Ainsi la semaine dernière face à Sassari, il avait loupé ses six essais."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse – 21 novembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nDe mieux en mieux\\n\\n–\\nEn dépit d’une entame réussie, le CSP Limoges n’a pas fait le poids, hier soir au Rhenus, face à une SIG en pleine bourre (79-60). Au-delà du... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe Puy réalise la passe de trois\\n\\n– Les joueurs ont eu de la ressource en seconde mi-temps... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg en demi-finale\\n\\n– Seuls les garçons de la JL Bourg disputeront le final « four » de la coupe de la ligue les 17 & 18 décembre prochain après leur victoire arrachée à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg double la mise face à Dijon\\n\\n– Déjà victorieux à Dijon au match aller, les cadets de le JL Bourg récidivent et s’installent en tête du classement... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Andréziens ont démontré qu’ils avaient des ressources\\n\\n– Après la déconvenue bretonne un point d’interrogation subsistait : les andréziens avait-ils les ressources mentales et physiques pour rebondir ? La... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSébastien Bozon : « On n’est pas loin ! »\\n\\n– Malgré la défaite en championnat vendredi face à ces mêmes Choraliens, Sébastien Bozon, l’entraîneur aixois veut positiver. À condition... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa SIG enchaîne à Limoges\\n\\n– Strasbourg a confirmé son regain de forme en renversant Limoges (79-60), ce dimanche... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFCM : Sanjin Balas s’en va\\n\\n– Le Serbe Sanjin Balas (27 ans, 2,02 cm), recruté cet été par le FC Mulhouse (11e de la poule D avec trois victoires et cinq défaites), s’en va. Ce... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nEn mode rouleau compresseur\\n\\n– Les Strasbourgeois ont marché sur le CSP Limoges, hier au Rhénus lors de la 9e journée de Pro A, en réalisant un match plein et remarquable dans... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPfastatt fait le job\\n\\n– Les hommes de Jean-Luc Monschau se sont qualifiés pour la finale de la phase territoriale en s’imposant logiquement samedi à Illkirch-Graffenstaden... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa SIG est bel et bien de retour\\n\\n– Strasbourg a confirmé son regain de forme en renversant Limoges (79-60), hier soir lors de la 9e journée de ProA... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBASKET-BALL Saint-Quentin, une première qui vaut cher\\n\\n– Votre actualité quotidienne locale, régionale et nationale... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet : «Il ne faut pas lever le pied»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la neuvième journée de championnat de Pro A, la SIG s’est imposée de dix-neuf points sur son parquet face au CSP Limoges (79-60), devant les caméras de SFR Sport 2.\\n\\nCette grosse victoire permet aux Strasbourgeois de rentrer dans le top 8 du classement (7e) et de se rapprocher un peu plus d’un bilan positif (4v-5d). Le retour de Vincent Collet à la tête de la SIG a véritablement permis de remobiliser une équipe qui était en perdition avec un coach qui ne trouvait pas de solution pour faire réagir ses joueurs.\\n\\nLe technicien strasbourgeois s’est d’ailleurs exprimé après le match, comme rapporté sur le site du club. Il félicite évidemment son équipe mais rappelle que la route est encore longue et précise que ce n’est pas le moment de se relâcher.\\n\\n« Au-delà de la victoire, on commence à être un peu plus intelligent en attaque. On avait gagné à Cholet avec 15 sur 22 à trois points mais on ne peut pas le faire souvent. On a très peu tiré à trois points, peut-être pas assez, mais on a su se procurer beaucoup de paniers intérieurs et on a mieux lu leur défense pick’n’roll que lors des matches précédents. On a toujours ce problème d’entame. Limoges jouait bien mais on a été trop ‘’soft’’ en n’ayant notamment que deux fautes après dix minutes ».\\n\\nRésultat, c’est en défense que la SIG a haussé le ton.\\n\\n« L’entrée de certains joueurs a déclenché la hausse du niveau défensif. Paul Lacombe(MVP de la rencontre avec 13 points, 4 rebonds et 9 assists pour 25 d’éval), Matt Howard, comme d’habitude. Erik Murphya vraiment été très bien, en défense aussi, tout comme Pape Sy. Ils ont été plus intenses, même dans les courses. Limoges joue avec une rotation réduite et j’ai été chagriné qu’on ne démarre pas pied au plancher. Heureusement, on a su le faire par la suite. La victoire donne de la sérénité pour travailler mais il ne faut pas lever le pied. Pour jouer les meilleurs, il faudra être plus fort dans deux ou trois semaines ».\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tirage au sort EuroBasket 2017 : la France tête de série"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FIBA Europe a rendu public les chapeaux pour le tirage au sort de l’EuroBasket 2017 qui se tiendra mardi 22 novembre, à 16h, à Istanbul. La France, médaillée de bronze en 2015, est tout naturellement dans le premier avec l’Espagne, championne d’Europe, la Lituanie, médaillée d’argent et la Serbie qui avait terminé quatrième.\\n\\nChapeau 1 : Espagne, Lituanie, France, Serbie\\n\\nChapeau 2 : Grèce, Italie, République Tchèque, Lettonie\\n\\nChapeau 3 : Croatie, Israël, Turquie, Finlande\\n\\nChapeau 4 : Russie, Slovénie, Hongrie, Georgie\\n\\nChapeau 5 : Allemagne, Belgique, Pologne, Monténégro\\n\\nChapeau 6 : Iceland, Grande Bretagne, Ukraine, Roumanie\\n\\nChaque pays organisateur a choisi un adversaire/partenaire. La Finlande l’Islande, Israël la Lituanie, la Roumanie la Hongrie, et la Turquie la Russie.\\n\\nLa cérémonie sera entièrement retransmise à partir de 15h sur YouTube.com/FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le reportage de Stade 2 sur les big men français"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Stade 2 a diffusé dimanche après-midi un reportage de neuf minutes sur les big men français intitulé Le Royaume des Grands.\\n\\nOn y découvre Jonathan Jeanne (2,17m) du Mans qui avale six repas par jour, et qui reçoit sur facetime les conseils de Rudy Gobert.\\n\\nOlivier Sarr (2,10m et qui pourrait atteindre 2.16m) se prépare à une carrière professionnelle à l’INSEP.\\n\\nFrédéric Weis (2,18m) est filmé dans son tabac-presse de Limoges, Le Marigny, et dans les entrepôts de sa société Big Fred.\\n\\nVincent Pourchot, le plus grand de tous (2,22m) est lui à Pole Emploi mais continue de s’entraîner avec son ancienne équipe de Charleville et attend qu’un club fasse appel à lui.\\n\\nEnfin, à découvrir des images sorties de l’INA de Jean-Claude Lefèbvre (2,18m) dans une cabine téléphonique. Il fut en 1960 le premier Français drafté par un club NBA, les Los Angeles Lakers.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=4OP61jIU3Rw"
}, 
{"role": "user",     "content":"Matt Carlino (ex Boulazac) quitte l’Espagne pour l’Italie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un petit tour en Espagne et puis s’en va. Aperçu avec succès le temps de 4 matchs en LEB Gold (la deuxième division espagnole) sous les couleurs de Huesca qu’il avait rejoint au début du mois de novembre (13,3 points, 4,5 rebonds et 1,8 passe), Matt Carlino (1,89 m, 24 ans) vient de s’engager avec l’équipe italienne du Vanoli Cremona, actuellement classée dernière de la Serie A avec une seule victoire en sept matchs.\\n\\nCombo guard né à Lincoln dans le Nebraska mais disposant d’un passeport italien depuis peu, Matt Carlino vivra sous les ordres de son nouvel entraineur Cesare Pancotto sa première expérience en Italie.\\n\\nVu en France la saison dernière sous les couleurs de Boulazac en Pro B, l’ancien pensionnaire de Marquette University avait livré une copie intéressante pour découverte de l’Hexagone (12,4 points, 3,3 rebonds et 2,8 passes décisives pour 11,3 d’évaluation en 26 minutes sur 10 matchs), avant de quitter le BBD à sa demande en fin d’année civile.\\n\\nRevenu chez lui aux Etats-Unis, il avait terminé l’exercice 2015/16 dans l’anonymat de la D-League (3,7 points et 1,6 passe décisive en 26 rencontres avec Rio Grande Valley Vipers)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les highlights de Sekou Doumbouya (15 ans), le nouveau phénomène du basket français"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Naturalisé il y a quelques jours, Sekou Doumbouya (2,05m) est définitivement le nouveau diamant du basket français. Voici ses highlights réalisées par son club, le Poitiers Basket 86. Ce que son physique surpuissant ne laisse pas paraître c’est que le natif de Guinée n’a pas encore 16 ans ! Il les aura le 23 décembre.\\n\\nSekou joue 10 minutes par match en Pro B pour 1,8 pt et 1,3 rbd.\\n\\nLe plus extraordinaire, c’est que ce phénomène détecté par l’ancien coach d’Evreux Benoit Burguet n’a que quatre ans de basket derrière lui !"
}, 
{"role": "user",     "content":"Laurent Legname : «On est le Père Noël, on donne les matchs»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Deuxième défaite de suite pour la JDA Dijon en championnat, cette fois face au Mans Sarthe Basket, 65-60. Après le match, l’entraîneur dijonnais, Laurent Legname, a donné son ressenti sur cette défaite qui a du mal à passer, comme rapporté sur le site du MSB.\\n\\n« J’ai toujours la même impression avec un scenario qui se répète depuis le début de la saison. On est le Père Noël, on donne les matchs. On n’est pas assez dur, il y a des erreurs qu’on ne doit pas faire, c’est très frustrant. Quand l’équipe adverse se durcit, on manque de talents, les joueurs ne sont pas au niveau où on les attend, on manque de tueurs dans l’équipe.\\nOn a pourtant la possibilité de gagner mais il faudrait que chacun joue en même temps. Il y a des choses intéressantes comme à tous les matchs mais le résultat est là, on perd. Il faut continuer à travailler car on voit qu’on n’est pas loin. On est les rois des bonnes défaites. »\\n\\nDeuxième évaluation de son équipe (12) avec 12 points et 4 passes décisives, Axel Julien a également exprimé sa déception suite à cette défaite.\\n\\n« Je suis déçu car on a su réagir après un début catastrophique. On sait que Le Mans sait entrer dans le match. On a fait des erreurs. En seconde mi-temps, on s’est laissé marcher dessus, on a perdu 15 balles dans la rencontre, c’est compliqué de gagner dans ces conditions surtout qu’on a n’a pas d’adresse exceptionnelle. L’équipe du Mans a pris l’ascendant sur nous.\\nDepuis 3 matchs, c’est toujours pareil, dès que l’équipe adverse lève le niveau, on perd complètement pied. On doit être plus dur avec nous-mêmes. Si on répond présent à cette hausse d’agressivité, ça ira mieux après. »\\n\\nPhoto :msb.fr"
}, 
{"role": "user",     "content":"Wilfried Yeguete : «On sait maintenant terminer les matchs»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Menés au terme du troisième quart temps (53-51), les joueurs du Mans Sarthe Basket ont réussi à inverser la tendance pour l’emporter 65-60 après 40 minutes de jeu face à la JDA Dijon.\\n\\nAuteur d’un match de grande qualité en compilant 11 points, 12 rebonds et 4 passes décisives pour une évaluation de 25, Wilfried Yeguete a, sur le site du MSB, salué la performance de son équipe qui, avec cette victoire, rejoint le top 5 du classement (5v-4d).\\n\\n« On a joué contre une bonne équipe de Dijon. Ils sont bien revenus dans le match, on a su prendre les bons shoots et bien défendre avec seulement 7 points encaissés dans le 4e quart temps. Ils ont réussi à rehausser leur niveau de jeu en revenant et en menant de 2 points à la mi-temps. Dans le 4e quart temps, on a réussi à les cadenasser en fin de période. On sait maintenant terminer les matchs, c’est bien. Personnellement, je travaille beaucoup, j’essaie d’apporter dans tous les domaines pour aider mon équipe à gagner les matchs, c’est d’ailleurs ce qui est le plus important. On a un bon groupe, un bon staff, on se donne les bonnes conditions pour progresser, et j’ai confiance. »\\n\\nErman Kunter, le technicien du MSB, s’est également exprimé sur cette rencontre en précisant que c’est le résultat qui compte.\\n\\n« Après l’enchaînement des matchs, c’est bien de gagner car ce n’est pas chose facile avec les déplacements en Coupe d’Europe. On s’accroche, c’est important. On rejoue maintenant mardi, il faut soigner certains joueurs comme Petr Cornelie qui a demandé à sortir du match pour une entorse. On va essayer de voir demain l’état physique de Ryan Pearson.\\nQuand on enchaîne les matchs, c’est toujours le même scénario qui se produit : rester dans le match et garder la discipline. Il faut jouer dans le bon timing. On a bien défendu et mis des tirs, c’est la victoire qui compte. »\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espoirs Pro A : le beau poster dunk d’Adam Mokoka"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avant la correction infligée par les pros du BCM Gravelines-Dunkerque contre l’Orléans Loiret Basket (99-57), les Espoirs gravelinois se sont, eux aussi, imposés face à l’OLB (62-52).\\n\\nDans cette victoire du BCM, Adam Mokoka a inscrit 12 points, capté 5 rebonds et délivré 3 passes décisives (11 d’évaluation) mais il s’est également illustré grâce à un magnifique dunk sur la tête de deux de ses adversaires.\\n\\n\\n\\n\\nVoici l'énorme poster dunk d'Adam Mokoka lors de la victoire des Espoirs du @BCMBasket face à l'@OLB45 #TousBCM pic.twitter.com/DUpFvqfbi9\\n\\n\\n— BCM Basketball (@BCMBasket) November 19, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du Monde 2019 : quand le ridicule pourrait tuer !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans son édition du mardi 15 novembre, le quotidien L’Equipe a imaginé ce que pourrait être une équipe de France pour les qualifications à la Coupe du Monde 2019. Les premiers matches sont programmés dans tout juste un an, et les Bleus seront privés de leurs NBAers et sans doute de leurs joueurs d’Euroleague si la guerre thermonucléaire entre la Fédération Internationale et la société privée ECA qui gère les intérêts de l’Euroleague et de l’Eurocup se poursuit.\\n\\nD’après le quotidien, et selon les données actuelles, le cinq majeur serait composé par le meneur Andrew Albicy (Andorre), des extérieurs d’Edwin Jackson (Estudiantes Madrid) et Charles Kahudi (Villeurbanne), et pour les intérieurs d’Amath Mbaye (Brindisi) et Bangaly Fofana (Monaco). Une formidable promotion pour Fofana et Mbaye qui n’ont jamais été internationaux, ce dernier étant même un parfait inconnu en France après ses séjours prolongés aux Etats-Unis et au Japon.\\n\\nAxel Julien (Dijon), Yakuba Ouattara (Monaco) ou encore Alain Koffi (Pau) étant considérés comme potentiels remplaçants.\\n\\nÇa laisse évidemment songeur... Sans leur faire injure, comment croire que la France puisse être représentée par une telle sélection délestée de Rudy Gobert, Nicolas Batum et aussi Nando De Colo ou Thomas Heurtel ?\\n\\n\\nL’Espagne renouvelée à 100% par rapport à Rio\\n\\nIl ne faut pas non plus être nombriliste et croire que tous les malheurs du monde s’abattraient sur notre seule tête. Ainsi, la Turquie avec quatre équipes en Euroleague serait également victime d’un grave préjudice. Si l’on prend comme référence le Tournoi de Qualification Olympique de Manille en juin dernier, on s’aperçoit que seulement deux joueurs (Kenan Sipahi et Samet Geyik, les deux plus faibles temps de jeu) seraient aptes au service. Quant à l’Espagne, écartelée comme nous entre la NBA et l’Euroleague, il lui faudrait présenter une équipe 100% différente de celle des JO de Rio !\\n\\nL’idée de ces « fenêtres FIBA » est censée permettre aux équipes nationales d’être exposées devant leur public durant la saison. Sauf qu’on se rend compte, depuis qu’elle est sortie des cartons, combien cette formule est injuste sur le plan sportif. Ainsi, plus un pays possède de joueurs en NBA –ce qui reste un bon baromètre de la qualité de sa formation, même si ce n’est pas le seul– et plus il est pénalisé, et délétère pour les fans qui se sentiront grugés de ne pas les voir à l’œuvre.\\n\\nUn comble puisque cette nouvelle formule leur est paraît-il destinée... Si en plus les joueurs de l’Euroleague ne sont pas mis à disposition pour ces matches de qualification, le basket sombrerait dans le ridicule total. Il est temps d’en prendre conscience !\\n\\n\\nDeadline le 25 novembre\\n\\nECA semble avoir fait un pas en direction de la FIBA. Mais est-ce pour autant la résolution de cette crise gravissime ? Parallèlement, la Fédération Internationale a envoyé une lettre de menace à un certain nombre de fédérations leur indiquant que si elles ne bannissent pas leurs équipes engagées en Eurocup, elles seront privés jusqu’à nouvel ordre de compétitions officielles, donc de l’Eurobasket 2017. Et –est-ce induit ?- de ces qualifications pour la Coupe du Monde. La deadline est fixé au 25 novembre.\\n\\nSi au final la raison ne l’emporte pas, si certains pays sont excommuniés, si les joueurs d’Euroleague ne sont pas libérés, la Fédération Internationale aura t-elle d’autres choix raisonnables que de tout annuler de ce qui est déjà à la base une fausse bonne idée ? Un recul serait toujours préférable à une pantalonnade."
}, 
{"role": "user",     "content":"Orléans prend à Gravelines le plus gros bouillon de la saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Gravelines-Dunkerque 99, Orléans 57. Quarante-deux points. Il s’agit du plus gros écart de cette saison en Pro A, plus encore donc que les trente-huit qui avaient sanctionné le triomphe de Monaco à Châlons-Reims le 8 octobre. Et ce fut continu : 10 points après le premier quart, 21 après le deuxième, 34 après le troisième et une pointe à 44. Cela s’appelle une noyade.\\n\\nLes autres chiffres collectifs individuels éloquents se situent à l’adresse générale (62,5% à 38,0%), encore plus à trois-points (59,1% à 21,1%), forcément aux passes décisives (25 à 11), aux balles perdues (5 à 17). La conséquence c’est que le delta à l’évaluation est très spectaculaire, 125 à 50.\\n\\n\\n11 points pour Adam Mokoka, 18 ans\\n\\nIndividuellement, pas forcément en verve jusque là, Aaron Cel a obtenu avec 19 points (5/5 à trois-points) et 6 rebonds une évaluation deux fois supérieure à son record de la saison (24 contre 12). Une autre façon de démontrer que les Orléanais ont bu le calice jusqu’à la lie est d’indiquer que l’arrière Adam Mokoka (1,91m et seulement 18 ans), qui n’était jamais rentré en jeu avec l’équipe pro cette saison, s’est régalé avec 11 points.\\n\\n« On s’est tous reconcentré après le match à Körmend pour gagner la rencontre face à Orléans. On savait à quel point ce match était important car il y a beaucoup d’équipes à égalité au classement. Pour le Top 8 c’était très important de gagner », a commenté l’Américain du BCM, Sek Henry.\\n\\nC’était aussi capital pour se sortir de la zone rouge car les deux équipes étaient jusque là à égalité avec trois succès. Une victoire qui compte double en somme. Et Orléans, qui multiplie les pépins physiques, est déjà en état d’alerte.\\n\\n« On a des tirs ouverts qu’on ne met pas », constatait son coach Pierre Vincent. « La faiblesse de cette équipe c’est que dès qu’on a un peu de mal après ça ne va plus. On leur donne des points en ne respectant pas ce que l’on doit faire. Quand on fait ce que l’on demande en défense, ça va mieux. C’est un mauvais moment à passer, on galère... »\\n\\nCertes mais l’OLB enchaîne sur un voyage à Paris et la réception du Mans. Dans un championnat où il n’y a pas de victimes expiatoires, il ne faut pas que les mauvais moments s’éternisent.\\n\\nPhoto : BCM Gravelines"
}, 
{"role": "user",     "content":"N1 : Quimper s’impose à Souffel"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’UJAP Quimper a rejoint Souffelweyersheim en tête de la Nationale 1 grâce à sa probante victoire hier soir en Alsace, 106-87.\\n\\nC’est dans le deuxième quart que les Bretons ont fait la différence puisqu’ils menaient déjà de quinze points, 53-38, à la mi-temps. L’écart est même monté à vingt-deux (58-80) un peu plus tard.\\n\\n« On savait que c’était une belle équipe et qu’il ne fallait pas les laisser à leur pourcentage habituel, or c’est ce qu’on a fait », a commenté Stéphane Eberlin, le coach du BCS dans les DNA, évoquant la deuxième attaque de la division (85,8 pts) mais aussi la deuxième défense (67,4 pts).\\n\\nSouffel était privé de son top scoreur lituanien Giedrius Stanilius (2,05m, 12,6pts). C’est sa seconde défaite d’affilée après avoir gagné ses dix premiers matches."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 20 novembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nLe SLUC dit merci à Jouvenet\\n\\n– Chaque dimanche, nous faisons désormais un petit tour aux archives du journal pour revenir sur un moment bien précis du sport lorrain. Flash-back, 40... Lire la suite.\\n\\n\\nPremiers frissons\\n\\n– En net regain de forme, la SIG s’apprête à vivre ses premiers frissons, ce soir dans un Rhenus pas loin d’être plein. Face au CSP Limoges, vieil... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’US Maubeuge plie Calais et envoie un message pour la semaine prochaine\\n\\n– Le coach maubeugeois voit la vie en rose depuis plusieurs semaines. Cinq victoires d’affilée et une deuxième en championnat, que demande le peuple? A un point derrière, on retrouve Calais. Et hasard du calendrier, le club du littoral a été tiré au sort pour le troisième tour de la Coupe de France régionale. Les Maubeugeois avaient donc l’occasion de marquer un peu plus leur territoire... Lire la suite.\\n\\n\\nFin de parcours en Coupe de la Ligue pour la Chorale\\n\\n– La Chorale de Roanne (N3M) n’aura pas démérité dans ce 1/4 de finale de Coupe de la Ligue. Au coude à coude pendant toute la rencontre (45-44, 30e )... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn challenge Alain-Gilles... à la pétanque\\n\\n– Vous vous demandez parfois ce qu’ils sont devenus. Vous pourrez les retrouver cet après-midi. L’amicale des anciens de l’Asvel organise aujourd’hui un... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn finish haletant !\\n\\n– Hier soir, dans une salle que l’on a connu plus bruyante, les Rouges ont tenu tête pendant presque tout le match à une jeune et fougueuse formation de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe BCM trébuche dans le final\\n\\n– Une bonne entrée en matière sous l’impulsion de Nelaton, Gelin et Veillet donne un avantage confortable aux Blancs 21 à 8. Malgré quelques banderilles... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCette JL-là sera dure à battre chez elle\\n\\n– Les Bressans montent en puissance et si Savo Vucevic, le coach bressan, est convaincu que ses joueurs ont encore une belle marge de progression, ils... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn poids en moins pour Roanne mais...\\n\\n– Cette victoire à l’extérieur est primordiale pour afficher des ambitions mais la Chorale est loin du niveau escompté. À elle de profiter de ce poids... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSCB : « On a oublié de jouer »\\n\\n– Saint-Chamond fonctionne-t-il à réaction ? Faut-il qu’il soit dos au mur, largué au tableau d’affichage, pour enclencher une révolte... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe bastion andrézien a tenu le choc\\n\\n– La puissance physique et l’expérience de Chollet n’ont pas eu raison de la fougue de l’ALS... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe champion de France rechute\\n\\n– Les Villeurbannais n’ont jamais mené et ont été piégés par une équipe parisienne qui avait parfaitement préparé son affaire... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Bleues ont gagné leur billet\\n\\n– L’équipe de France de basket a validé son billet pour l’Euro-2017 en République tchèque (16-27 juin) après sa nette victoire, samedi, devant les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nNanterre enchaîne, Orléans coule\\n\\n– Lyon-Villeurbanne, le champion en titre, a concédé sa cinquième défaite de la saison, samedi, avec la réception de Paris-Levallois (66-60)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPro A: l’ASVEL n’y arrive pas\\n\\n– Lyon-Villeurbanne, le champion en titre, a concédé sa cinquième défaite de la saison, samedi, avec la réception de Paris-Levallois (66-60), samedi pour le compte de la 9e journée de Pro A... Lire la suite.\\n\\n\\nSous les yeux d’un expert\\n\\n– L’ancien entraîneur adjoint de l’ADA Blois Simon Elhaïk était à Évreux, ce vendredi à l’occasion de la 6e journée de Pro B. En même temps, rien de très étonnant, il est ébroïcien. « J’ai 29 ans et vais à la salle (salle Jean-Fourré à Évreux, NDLR) depuis l’âge de 11 ans. A l’époque, l’ALM était en Pro A. Je n’ai pas dû... Lire la suite.\\n\\n\\nSylvain Schwartz : » On a montré de belles choses «\\n\\n– Sylvain Schwartz (entraîneur de Bressuire)\u2009: « On savait qu’il y avait un monde d’écart entre les deux équipes, notamment physiquement, et la différence se voit à l’arrivée. Mais les filles ont été très vaillantes, elles se sont battues de la première à la dernière seconde. Elles ont fait honneur au club et aux supporters malgré... Lire la suite.\\n\\n\\nChalon et Nanterre recollent\\n\\n– Sur le podium, Chalon-sur-Saône et Nanterre ont confirmé tandis que Lyon- Villeurbanne n’y arrive toujours pas... Lire la suite.\\n\\n\\nBoulogne, bête noire du PB\\n\\n– Boulogne – Poitiers : 91-70 Dominés en Leaders Cup par le SOM, les Poitevins n’ont pas inversé la tendance en championnat et ont été de nouveau corrigés... Lire la suite.\\n\\n\\nThouars surclasse Bressuire\\n\\n– Bressuire (N3, +14) – Thouars (N1)\u2009: 64-112 Sans surprise, les Thouarsaises ont largement dominé les Bocaines, qui ont eu le mérite de se battre jusqu’au bout... Lire la suite.\\n\\n\\nUn nouveau costume pour l’ADA\\n\\n– Les Blésois ont retrouvé des couleurs, samedi à Évreux. Cette deuxième victoire (77-90) leur apporte un statut qu’ils n’avaient pas encore... Lire la suite.\\n\\n\\nLes Bleues qualifiées\\n\\n– L’équipe de France de basket-ball a validé son billet pour l’Euro 2017 en République tchèque (16-27 juin) après sa nette victoire, hier, devant les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nAttention à la marche\\n\\n– Si les deux équipes n’occupent pas les premières places de la Pro A, le choc entre la SIG et le CSP Limoges, ce soir (18 h 30) au Rhénus, est un match... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vainqueur des Pays-Bas, l’équipe de France féminine se qualifie pour l’EuroBasket 2017"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cela apparaissait comme une formalité et c’est fait : l’équipe de France féminine a pulvérisé les Pays-Bas ce soir à Chalon. Les Néerlandaises n’ont marqué que 11 points en première mi-temps –le plus faible total face aux Françaises depuis les 9 inscrits par le Sénégal en 2010- et même si elles se sont remplumées en deuxième période, elles sont sorties du terrain avec une valise bien remplie (79-46).\\n\\nLes Bleues se sont ainsi qualifiées pour l’EuroBasket 2017 qui se tiendra en République Tchèque (Prague et Hradec Kralové) du 16 au 25 juin avec un plateau de 16 équipes.\\n\\nCes16 équipes seront réparties en quatre groupes. Seules les premières seront ensuite directement qualifiées pour les quarts-de-finale alors que celles classées deuxièmes et troisièmes s’affronteront de façon croisée pour les quatre autres places. Quarts, demis et finales se joueront en une manche sèche.\\n\\nLe tirage au sort est prévu le 9 décembre.\\n\\nEn 2015, la Serbie avait été sacrée championne d’Europe après sa victoire en finale sur la France (76-68). L’Espagne avait récolté la médaille de bronze.\\n\\nPhoto : FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les matches des équipes de France en clair à la TV : prochaine réalité ou chimère ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le sénateur de Paris David Assouline a rendu un rapport de 236 pages sur « le sport à la télévision en France ». Il y est fait le constat que seulement 5% des heures de sport diffusées en 2015 l’ont été sur des chaînes gratuites.\\n\\nOn y relève que le basket-ball fait partie des neuf disciplines ayant mobilisées cette année là 75% des heures de retransmissions sportives sur les chaînes en clair avec le football (21% du volume horaire à lui seul), les sports mécaniques, le cyclisme, le rugby, le tennis, l’athlétisme, la boxe et le ski.\\n\\nCependant, ce constat est faussé par le fait que le basket était quasiment absent des chaînes généralistes (7 heures) et qu’il bénéficiait d’une large diffusion sur L’Equipe 21 (161 heures) par le biais de la Pro A et de l’Eurocup. Or cette couverture a été remise en cause pour cette saison 2016-17, le groupe SFR n’ayant pas renouvelé son accord de partenariat et la FIBA ayant signé avec Canal+ un contrat d’exclusivité pour la Basketball Champions League.\\n\\n\\nPas France Télévisions mais Canal+ Décalé\\n\\nJean-Pierre Siutat, président de la FFBB, et Raymond Bauriaud, son directeur de la communication et du marketing, ont été auditionnés par les rapporteurs et ont vivement regretté que l’EuroBasket organisé en France n’ait pas été traité décemment par les chaînes du service public, notamment par France 4 dont l’adaptabilité est supérieure à celle de France 2 et France 3.\\n\\n« L’équipe de France n’a été visible sur une chaîne gratuite qu’en demi-finales et la finale pour la 3ème place qu’elle a disputée a été diffusée sur Canal+ Décalé, » peut-on lire. « Les représentants de la FFBB ont ainsi regretté que France Télévisions ne se positionne sur l’équipe de France que lorsqu’elle arrive en finale et encore, lorsque la Fédération met une forte pression au groupe public. »\\n\\nLes deux représentants de la fédération appuient de nouveau où ça fait mal après avoir constaté que le Tournoi de Qualification Olympique en juillet aux Philippines n’a pas donné lieu à davantage de considération de la part de France Télévisions quand bien même il s’agissait de la dernière campagne de l’un des plus grands sportifs français contemporains, Tony Parker, et que le service public avait ensuite la charge de la diffusion des JO de Rio.\\n\\n« Les droits de ces compétitions internationales sont commercialisés par la fédération internationale de basket et concerne le meilleur du basket mondial, et donc des équipes de France. Mais jamais le groupe France TV ne se positionne pour diffuser l’intégralité des matchs des équipes de France de basket, malgré leur notoriété et le fait que le basket est le 2ème sport collectif en France et le 1er sport collectif féminin. »\\n\\n\\nDes propositions audacieuses, mais...\\n\\nToujours à propos du basket, le rapport propose que tous les matches à élimination directe des équipes de France soient à l’avenir diffusés en clair pour ce qui est de la Coupe du Monde et du Championnat d’Europe, hommes et femmes. Avec une extension à tous les matches à élimination directe si la compétition est organisée sur le territoire national. Cette proposition est valable également pour le hand et dans une certaine mesure le volley.\\n\\nL’ensemble des préconisations très audacieuses est livré à la réflexion du gouvernement et du législateur. Or il y a souvent loin de la coupe aux lèvres.\\n\\nLe rapport peut être consulté ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"JL Bourg : record d’évaluation pour Zachery Peacock"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Inarrêtable! Vendredi soir à l’occasion de la réception de Charleville-Mézières lors d’une rencontre comptant pour la sixième journée de championnat Pro B, Zachery Peacock (2,03 m, 29 ans) a réalisé son meilleur match sous les couleurs de la Jeunesse Laïque Bourg Basket.\\n\\nFace aux Ardennais, le Floridien de Miami a rendu une impressionnante copie avec ses 26 points (10/13 aux tirs, dont 3/3 à 3-points et 3/4 aux lancers francs), 7 rebonds, 3 passes décisives et 4 interceptions pour 34 d’évaluation en seulement 25 minutes, soit son record d’évaluation avec la JL depuis son arrivée dans l’Ain lors de l’été 2015. Son équipe s’est largement imposée 107 à 76, décrochant par la même occasion sa quatrième victoire en six matchs. De quoi donner le sourire aux supporters de l’Ekinox.\\n\\nMVP de la rencontre, l’ancien pensionnaire de Georgia Tech University fait preuve d’une grande régularité en ce début de saison 2016/17. Jamais descendu sous les 10 d’évaluation en 12 rencontres officielles (championnat et Leaders Cup), le numéro 15 burgien tourne à 18,8 points à 63,6% de réussite aux tirs, 7,2 rebonds et 2,2 passes décisives pour 22,3 d’évaluation en 27,5 minutes sur 6 rencontres de championnat, des chiffres qui se rapprochent du niveau qui était le sien lors de son passage à Boulogne-sur-Mer (23 d’évaluation en 2013/14) où il avait été couronné MVP étranger de Pro B.\\n\\nEn hausse par rapport à la saison dernière (17,5 d’évaluation), l’intérieur entame donc de la meilleure des manière sa deuxième année de contrat au sein du club de l’Ain. Troisième évaluation du championnat derrière le Boulazacois Jarvis Williams et le Roannais Joe Burton, Zachery Peacock est pour l’instant le leader attendu d’une formation bressane qui veut retrouver l’élite française au plus vite.\\n\\nPhoto :Vincent Janiaud"
}, 
{"role": "user",     "content":"Fernando Raposo (Gravelines) sera de retour en janvier"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fernando Raposo (2,06m, 27 ans) est inactif depuis le 3 octobre à cause d’une hernie discale et il semblait contraint de tirer un trait sur sa saison. Au point que le BCM Gravelines-Dunkerque avait recruté l’ex-international Florent Pietrus pour pallier sa défection.\\n\\nLa Voix du Nord nous apprend qu’il n’en est rien et que Raposo ne ressent plus de gêne. Il a d’ailleurs repris la musculation et le cardio, et pense revenir sur les parquets au plus tard en janvier. Un soulagement, évidemment, pour ce pivot naturalisé français du temps de Pau.\\n\\n« On se sent à l’écart, car la machine tourne. Je suis blessé, Flo est arrivé, il a pris ma place. Après, on « t’oublie ». Tu es sur le côté. Mais c’est le temps où tu dois t’occuper de toi, et ça fait du bien aussi. J’ai parlé de mon retour avec le coach. Il m’a dit que Flo se décalerait en « 4 ». On verra... Mon premier objectif sera d’apporter un peu ce qui manque aujourd’hui, un peu de combativité, de dureté, d’intensité, surtout en défense, du rebond aussi. J’ai vu trop de lay-up faciles... »\\n\\nEn attendant le retour de Fernando Raposo, le BCM, qui se contente pour l’instant de 3 victoires en 8 matches reçoit ce soir Orléans, un des anciens clubs de Raposo, qui affiche un bilan identique. Un match donc à fort enjeu."
}, 
{"role": "user",     "content":"Orléans : Antoine Mendy indisponible deux semaines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir reçu un coup au genou, Antoine Mendy a été mis au repos par l’OLB, comme indiqué sur le site du club.\\n\\nL’international sénégalais ne sera donc pas en tenue lors des rencontres contre le BCM Gravelines-Dunkerque et face au Paris-Levallois.\\n\\nCette saison, l’ancien joueur de l’EBPLO compile en moyenne 4,1 points et 1,7 rebond pour une évaluation de 2,6 par match.\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Rouen est mal en point"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Rouen Métropole Basket est sur la même pente que la saison dernière. La mauvaise. En Pro A, les Normands avaient gagné six matches et terminé à l’avant-dernière place. Quelques mois plus tard, dans la classe inférieure, ils occupent la même position. Une seule victoire après six journées. C’était lors de l’ouverture face à Vichy Clermont, le 14 octobre. Une éternité.\\n\\nHier soir, dans une Kinder Arena désertée, les Rouennais ont été incapables de résister à l’Hermine de Nantes qui a mené tout au long du match pour s’imposer 77-67. Statistiquement, seuls l’Américain au passeport bahaméen Jonathan Augustin-Fairell auteur d’un double double (14 points, 14 rebonds), Steeve Ho You Fat (18 points, 8 rebonds) et Derrick Colter (14 points et 7 rebonds) ont été productifs.\\n\\nLe pire dans l’histoire, comme le raconte Paris-Normandie, c’est que l’international islandais Haukur Palsson (1,97m, 24 ans, 13,3 pts et 5,3 pts en Leaders Cup) est de nouveau sur le carreau. Victime d’une commotion cérébrale à Lille, Palsson n’a passé que sept minutes sur le parquet pour son retour face à Nantes après quatre semaines d’interruption. Il souffre cette fois de la hanche et va passer une IRM.\\n\\n« On a encore perdu Haukur (Palsson) pendant le match. En plus, nous n’avions pas Félix (Michel) qui est le plus gros « gnaqueur » de l’équipe avec Steeve (Ho You Fat). On s’est fait marcher dessus », a commenté le coach Rémy Valin à Paris-Normandie. « Je n’ai pas l’impression que nous ayons compris l’importance de ce match-là, en faisant au moins les efforts défensifs. On a laissé nos adversaires recevoir les ballons alors que de l’autre côté, on s’est fait malmener. On ne s’est pas mis au niveau dans l’intensité. Je ne sais si c’est un problème de niveau ou de compréhension. »\\n\\nVendredi prochain, les Rouennais accueillent Boulazac, l’équipe positionnée juste au-dessus d’eux, mais en ayant un match de moins qu’elle dispute ce soir face à Lille. Cette fois l’enjeu ne devrait échapper à personne."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Real humilie le Barça, Anthony Randolph réalise un contre d’anthologie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« A la casa », le FC Barcelone a été humilié par son rival du Real Madrid. Le Real menait déjà 54-32 à la mi-temps, puis comptera jusqu’à 47 points d’avance dans le quatrième quart-temps pour s’imposer finalement 102-63. Trente-neuf points d’écart ! Jamais le Real n’avait gagné en territoire catalan avec une telle marge ; l’ancien record était de 23 points (67-90) et datait de février 1968.\\n\\nPreuve qu’ils étaient comme à la parade, onze Madrilènes ont passé entre 12 et 22 minutes sur le terrain. Sergio Llull a apporté 20 points et 7 passes et l’Américain Anthony Randolph a été le héros du match avec 18 points, 11 rebonds et 3 contres dont un fabuleux sur Joe Dorsey que certains journalistes espagnols considèrent comme le plus extraordinaire jamais vu en Espagne. Et effectivement, la précision chirurgicale avec laquelle Randolph bloque le puissant tomar de son compatriote est proprement hallucinante.\\n\\n\\n\\n\\nBlock of the season? 😉 pic.twitter.com/GfMWnikZQl\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) November 18, 2016\\n\\nCe clasico a battu tous les records de distribution pour un match d’Euroleague puisqu’il était accessible par les fans de 200 pays et territoires sur l’ensemble des continents. De quoi frustrer davantage encore les Barcelonais."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 19 novembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nSLUC Nancy : Benjamin Sène passe meneur numéro un suite au départ de Gregory Vargas\\n\\n– Vargas parti, c’est Benjamin Sène qui va devenir le meneur numéro un du jeu nancéien, en rotation avec McFadden. Pour Alain Weisz, l’arrivée de... Lire la suite.\\n\\n\\nDenain gâche ses chances face à Fos et s’incline avec des regrets\\n\\n– Après avoir compté 11 pts d’avance grâce à une belle réussite à longue distance, c’est à l’intérieur, avec 48 pts concédés contre 22 marqués, que Denain n’aura pas pu tenir la distance. Dès l’entame, le choc annoncé tenait toutes ses promesses. En atteste l’insolente réussite aux shoots dans un premier quart très disputé. Si les Nordistes trouvaient la mire de loin p... Lire la suite.\\n\\n\\nLa CTC Bords du Rhône en Petit Poucet\\n\\n– Si la qualification pour le Final four est un objectif pour les garçons de la JL (lire ci-contre), il en sera tout autre pour les filles de la CTC... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa Pontoise : la coupe pour décompresser\\n\\n– Ce samedi, dans une salle de la « Bonbonnière » que l’on imagine bien remplie pour cette belle affiche, la Pontoise reçoit la JL Bourg à l’occasion... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe Puy visera la passe de trois en Haute-Savoie\\n\\n– Après un week-end de trêve bien mérité pour le groupe resserré de David Vérots, retour à la compétition avec un déplacement à Thonon. Les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTout reste à faire pour les cadets\\n\\n– Les cadets de la JL Bourg retrouvent la salle Amédée-Mercier après deux sorties victorieuses à Orléans et à Chalon. Deux performances de haut niveau... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn gros morceau sur la route de Montbrison\\n\\n– Ce week-end, le championnat fait relâche. Reboostés par une brillante victoire face à Lyon SO, les Bécémistes disputent ce samedi leur quart de finale... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne séance active de travail pour les espoirs bressans\\n\\n– Entrés en lice au tour précédent dans l’épreuve de la coupe de la Ligue, en vertu de leur statut, les clubs de Nationale 2 ont tenu leur rang. Les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’ALS prêt à repartir dans le bon sens\\n\\n– Après leur défaite à Quimper, les Andréziens ont su analyser les causes de cette contre-performance pour en tirer des conclusions qui leur permettront... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nStéphane Gombauld, l’inconstance de la jeunesse\\n\\n– Prêté par l’Asvel à Saint-Chamond, Stéphane Gombauld suscite autant de curiosité que d’attente en qualité de grand espoir du basket français. Un... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« C’est bien car on le prend »\\n\\n– « On a mis les ingrédients en 2e mi-temps. Il a fallu aller chercher les mecs à la pause, mais on ne va pas vivre une saison comme ça, il faut que... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa Chorale met fin à un an de disette\\n\\n– C’est fait. La Chorale a su gagner un véritable combat. Ce déclic à l’extérieur aura été difficile à obtenir, mais primordial pour la suite de la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond s’est fait piétiner\\n\\n– Un bon premier quart, deux autres à la dérive et cinq minutes de folie n’auront pas suffi à des Couramiauds, trop tendres physiquement, pour remporter... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFauthoux : « Pourquoi pas nous ? »\\n\\n– Même si son équipe reste sur une mauvaise série, le Landais est convaincu qu’elle aura un coup à jouer à l’Astroballe... où il a souvent gagné !... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nChicago s’affirme, Gobert voit double\\n\\n– Les Chicago Bulls ont signé leur quatrième victoire consécutive en dominant Utah (85-77) devant son public, malgré les 16 points et 13 rebonds de Rudy... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Bleues peuvent réserver pour l’Euro dès ce week-end\\n\\n– Encore invaincue dans son groupe de qualification, l’équipe de France féminine affronte les Pays-Bas ce samedi, avant la Croatie mercredi, avec un... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPays-Bas et Croatie deux étapes avant la Tchéquie\\n\\n– Encore invaincue dans son groupe de qualification, l’équipe de France féminine affronte les Pays-Bas ce samedi, avant la Croatie mercredi, avec un objectif clair\u2009: valider son ticket pour l’Euro 2017, prévu du 16 au 25 juin en République tchèque. Les Bleues, vice-championnes d’Europe et quatrièmes des derniers jeux Olympiques, sont quasime... Lire la suite.\\n\\n\\nLes Bressuirais seuls en piste\\n\\n– Dans un calendrier qui ressemble à un véritable gruyère, les Bressuirais seront les seuls à se produire ce week-end sur la scène régionale. Au moment où les filles défieront Thouars (lire ci-dessus), les hommes d’Omar Habbane ne seront pas à la fête non plus du côté de Saintes. Mal classés après deux victoires et quatre défaites, les Saintais o... Lire la suite.\\n\\n\\nVers une finale UTBM – UTBM ?\\n\\n– Dans le cadre du « Trophée coupe régionale », les deux équipes de l’UTBM (N2 et N3) affrontent, respectivement, Artannes et Ormes, dimanche. Avec, en ligne de mire, une finale dont le vainqueur obtiendra son billet pour participer aux 64es de finale du Trophée coupe de France.Une épreuve dont on connaît l’enjeu avec l’attrib... Lire la suite.\\n\\n\\nDe jeunes espoirs à découvrir\\n\\n– Ce week-end, au Creps de Bourges, se déroulera le traditionnel tournoi intercomités. Les sélections benjamins-benjamines (U13 nés en 2004 et 2005) des six départements de la ligue du Centre-Val de Loire se rencontreront dans une formule championnat au cours de ces deux journées, sur des rencontres qui se joueront en deux fois dix minut... Lire la suite.\\n\\n\\nUn piège à éviter\\n\\n– Boulogne-sur-Mer – Poitiers Convaincants face au Havre, les Poitevins comptent enchaîner sur le parquet de la surprenante lanterne rouge boulonnaise... Lire la suite.\\n\\n\\nDerby inédit dans le Nord\\n\\n– Pour la première fois, les routes des basketteuses de Bressuire et de Thouars, clubs phares du basket deux-sévrien, vont se croiser pour une soirée de gala... Lire la suite.\\n\\n\\nL’ADA monte en puissance\\n\\n– Évreux – ADA Blois\u2009: 77-90. Mise à part une troisième période difficile, l’ADA a maîtrisé de la tête et des mains son adversaire... Lire la suite.\\n\\n\\nHégenheim : la Une en échec\\n\\n– Les seniors masculins I du BC Hégenheim ont reçu Dannemarie, équipe qu’ils ont éliminée en quart de finale de la coupe... Une rencontre facile ? On... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : le programme du week-end sur SFR Sport 2"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque semaine, trois rencontres sont au programme sur les antennes de la nouvelle chaîne SFR Sport 2 qui a obtenu les droits de diffusion du basket français et des équipes de France de basket.\\n\\n\\nLe Paris-Levallois à la relance à l’Astroballe ?\\n\\nPour commencer cette neuvième journée du championnat de Pro A sur les antennes de SFR Sport 2, Lyon-Villeurbanne reçoit le Paris-Levallois, samedi à 20h45. L’ASVEL sort d’une semaine pleine avec une victoire en championnat samedi dernier face au BCM Gravelines-Dunkerque (73-70), suivie d’un succès en Champions League, à Ventspils (83-68). L’équipe de JD Jackson devrait, en plus de ça, récupérer son ailier serbe, Nikola Dragovic qui était absent depuis une semaine suite à une entorse de la cheville. De son côté, le PL a encaissé sa première défaite à domicile en championnat face au MSB (57-50), dimanche dernier, et aura la ferme intention de se rattraper suite à cette déconvenue.\\n\\n\\nLa SIG est-elle enfin lancée ?\\n\\nDimanche à 18h30, Strasbourg reçoit le CSP Limoges au Rhénus. Treizième au classement après son succès à Cholet, samedi dernier, la SIG redresse la barre petit à petit. Depuis l’arrivée de Vincent Collet, cette équipe de Strasbourg montre un visage complètement différent de ce que l’on a pu voir depuis le début de saison. Matt Howard est de retour dans l’effectif et Romeo Travis s’est engagé pour la saison après avoir quitté Cantu. En Champions League, la formation strasbourgeoise est intraitable depuis trois semaines et a enchaîné trois victoires de rang, face à Ostende, à Tenerife (3e de Liga Endesa, juste derrière le Real et le Barca) et face à Mega Leks. De son côté, le CSP aura certainement à cœur de relever la tête après le revers reçu à Chalon-sur-Saône (90-66), samedi dernier.\\n\\n\\nMonaco vers une cinquième victoire de suite à domicile ?\\n\\nPour conclure ce week-end basket sur les antennes de SFR Sport 2, Monaco reçoit Cholet, lundi à 20h30. Invaincue à domicile, l’ASM voudra sans aucun doute continuer cette série de victoires dans sa salle Gaston Médecin pour prouver un peu plus sa domination sur le championnat. Première au classement avec sept victoires pour une seule défaite, cette équipe de Monaco fait peur mais est privée de son intérieur Brandon Davies pour un bon mois. Pour Cholet, c’est une tout autre affaire, seizième au classement (3v-5d), la formation de Philippe Hervé aura peut-être la chance de réaliser le même exploit que Nancy il y a de ça deux semaines, faire partie des derniers du championnat et s’imposer face à l’armada de Zvedzan Mitrovic."
}, 
{"role": "user",     "content":"Nicolas Raimbault : « Dès qu’il y a des animations et du show, le public répond en masse »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il fut à la fois un joueur de niveau national, un étudiant brillant et Directeur Technique National adjoint. Il s’est lancé dans les affaires avec Boris Diaw et Ronny Turiaf qu’il avait connu à l’époque où il était assistant coach en équipe de France juniors. Il est aujourd’hui vice-président de l’Orléans Loiret Basket 45 chargé du secteur sportif. Bref, il y a de multiples raisons pour que BasketEurope s’intéresse à Nicolas Raimbault.\\n\\nVoici la deuxième partie de l’interview. La première est à lire ici.\\n\\nQuand l’OLB est monté en Pro A, il était porté par une vague populaire et un projet municipal de salle de 10 000 places et puis, tout d’un coup, ça a fait pschitt. Le projet a été enterré et le club est rentré dans le rang avec le 13e budget de la Pro A (3 940 000 euros) et une masse salariale située entre 800.000 et 900.000 euros, la plus basse de son histoire en ProA. Il semble condamné au second rang. C’est votre impression de l’intérieur ?\\n\\nC’est vrai que Serge Grouard, l’ancien maire, a poussé fort pour qu’une grande salle sorte de terre car il avait compris que c’était un élément de développement important pour le club et tout autant pour la ville, avec des manifestations culturelles, l’emploi que ça génère, etc. Ça n’a pas pu se faire aussi vite que prévu et je pense que ça a marqué un coup d’arrêt au club et ça peut se comprendre. Ce nouveau projet d’une salle de 8 500 places avec un premier anneau de 4 500 pour les matches de l’OLB, est très concret pour fin 2019, 2020, et l’objectif est de repartir avec de l’ambition à cette échéance là.\\n\\nMais donc actuellement, vous êtes dans une position d’attente après une période de recul, voire de dépression ?\\n\\nJe pense que nous sommes en position de refondation et que ça ne se fait pas du jour au lendemain. Tous les clubs de Pro A se rendent compte combien c’est difficile d’augmenter leur budget, leur masse salariale, à travers la recherche de partenaires. On a quand même eu quelques années de crise et ce n’est pas évident de demander aux partenaires d’en rajouter et d’en rajouter encore. L’OLB a la grande chance d’avoir une municipalité qui croit en lui.\\n\\nIl y a une dizaine d’années, l’Entente, qui a précédé l’OLB, était dans un univers sportif peu concurrentiel. Le tout avec une agglomération assez importante (275 000 habitants). Est-ce toujours le cas ?\\n\\nSous la belle ère de Philippe Hervé c’était ça alors qu’aujourd’hui, si la concurrence est amicale, force est de constater que le foot évolue en Ligue 2 et c’est une activité gourmande en capitaux. On a aussi en concurrence les filles de Fleury qui sont tout en haut de la première division de hand et Saran, qui est dans l’agglomération orléanaise, qui est monté en première division masculine.\\n\\n« Ce championnat est dense comme jamais, il n’y aura pas de victimes toute désignées comme ça pu être le cas ces deux dernières années »\\n\\nL’impression c’est que les blessures sont un facteur de plus en plus important dans le parcours d’un club de Pro A et que pour un club comme le votre, lorsqu’un Français majeur comme Antoine Eito se blesse, c’est la catastrophe ?\\n\\nVraiment. Parce qu’on n’a pas la possibilité de faire une équipe avec des postes pleinement doublés avec des joueurs de substitution absolument parfaits. Antoine, c’est le pur poste 1 que l’on a, il a été all-star l’an dernier, il a prouvé qu’il pouvait être titulaire en Pro A et c’est le pari que l’on a fait avec lui et son agent. On n’a pas derrière lui de pur meneur de jeu qui puisse sécuriser ce poste. Déjà l’année dernière on se disait que s’il se blessait on serait très fragile mais ça n’a pas été le cas. Il se trouve qu’Abdel Kader Sylla, qui a fait une excellente fin de saison dernière et un excellent début de saison comme titulaire au poste 5, vient de prendre aussi un mois de blessure (NDLR : fracture de la main). Ça nous fragilise beaucoup. A Orléans, on n’a pas de coupe d’Europe aussi on ne mobilise pas les gens avec des déplacements et des matches supplémentaires et on a un kiné à temps complet, un préparateur physique. Le style de coaching de Pierre Vincent implique d’être vigilant pour ne pas trop impacter les joueurs durant la semaine à l’entraînement. Ce sont donc des facteurs qui sont interpellant lorsque surviennent ces multiples blessures.\\n\\nVous étiez règlementairement contraints de remplacer Antoine Eito par un Français ou un Communautaire. Comment avez-vous fait pour recruter l’Espagnol Carlos Cabezas qui a un fort pedigree (champion du Monde 2006). C’est simplement une proposition de son agent ?\\n\\nÇa s’est fait en deux temps. Il fallait déjà que l’on cherche un joker médical pour Abdel Kader Sylla qui idéalement soit JFL. On a vu qu’Antoine s’était fait une entorse, on se doutait que c’était plus que ça et il a fallu attendre deux jours pour avoir la radio et que l’on sache la gravité de la blessure. En fait les joueurs JFL au poste de meneur que l’on avait identifié ne nous semblaient pas au niveau d’Antoine. On s’est donc dit qu’il valait mieux un JFL pour remplacer Abdel (NDLR : Georgi Joseph) pour se laisser la possibilité d’élargir le marché et d’aller sur un Bosman pour Antoine. Ensuite, on avait ciblé deux types de joueur, qui soient dans la réflexion, qui apportent autant en attaque qu’en défense. On était sur un Lituanien avec un agent avec lequel on travaille très bien et Cabezas que Pierre Vincent connaissait pour avoir coaché contre lui en juniors. On avait des échos de la part de son agent qu’il y ait la possibilité qu’il sorte d’Espagne. Il fallait un joueur au moins de ce calibre là pour se substituer à Antoine. Il a joué trente minutes samedi, il a fait cinq passes décisives, il a raté tout ses tirs, on a gagné le match. Avant ce match, il a simplement fait deux entraînements avec l’équipe au poste de meneur de jeu où il faut tout ingurgiter. Je ne m’attendais pas à beaucoup plus que ça sur ce premier match. C’est l’avenir qui dira ce qu’il en est. On pense que sa science du jeu devrait nous permettre de pallier l’absence d’Antoine.\\n\\nUne expérience qui pourrait vous permettre de gagner ces matches perdus sur le fil ?\\n\\nOn a perdu beaucoup de matches sur la fin et ce n’est pas lié à Antoine. On perd comme ça face à Hyères-Toulon et Antoine était déjà blessé. On se dit que la capacité de Cabezas à être gestionnaire nous sera utile durant les deux mois à venir. Il y a eu une faute vraiment énorme de notre équipe au sens large c’est la défaite à Antibes, il y a aucune excuse. Ensuite on perd de peu sur la fin de match à Pau, on y est allé incomplet, sans Micah Downs et ça nous a déséquilibré surtout à cause de son aptitude à prendre beaucoup de rebonds. Et puis contre une vaillante équipe de Hyères-Toulon on a joué vraiment démuni, Micah revenait, Kyle (McAlarney) commençait à avoir sa pubalgie, Antoine était blessé. Ce championnat est dense comme jamais, il n’y aura pas de victimes toute désignées comme ça pu être le cas ces deux dernières années. Le Portel et Hyères-Toulon ne sont absolument pas là pour descendre. On a au moins un ou deux matches que l’on aurait dû gagner, donc maintenant l’objectif est clair, c’est de les récupérer.\\n\\nQuand on remplace des joueurs, on y laisse des plumes financièrement ou les assurances couvrent tout ?\\n\\nTout n’est pas couvert. Il y a le principe des indemnités journalières et si on ne recourt qu’à elles, on ne peut pas prendre Georgi Joseph et Carlos Cabezas. On essaye d’être équilibré dans notre gestion et on avait anticipé ce cas de figure en début de saison et on a pu y faire face.\\n\\n« On est en train de perdre notre public dans la compréhension du jeu et aussi dans l’envie de venir voir ce qui s’y passe. »\\n\\nEn début d’année, vous avez proposé à l’UCPB (l’union des clubs pros) de créer un statut de joueur assimilé Bosman/Cotonou pour les étrangers extra-communautaires sous condition d’ancienneté dans le championnat de France, ce qui permettrait de fidéliser certains joueurs et de les récompenser de cette fidélité. C’est pour inciter les clubs de Pro A à conserver leurs Américains le plus longtemps possible pour améliorer la lisibilité et la visibilité ?\\n\\nAbsolument ! J’avais réfléchi sur le sujet et je m’étais aperçu que plus de la moitié des clubs était dans le même cas que nous, c’est à dire qu’ils avaient un joueur américain emblématique qui était là depuis plusieurs années que les gens adorent, qui parle français et qui donne de la visibilité. Des joueurs d’équipe et de maillot. C’était pour essayer aussi de travailler durablement plutôt que de faire de l’éternel recommencement avec des gens qui viennent une année comme mercenaires dans un club avant d’aller dans un autre. Ce n’était pas une proposition faite sur mesure pour Orléans d’autant que cette année on a signé cinq JFL. Quand j’ai fait cette proposition, j’ai eu le retour de personne. Puis Tony Parker m’a appelé de San Antonio, et il m’a dit « Nicolas, je trouve ça vraiment bien, je vais en parler car je veux que ça aille plus loin. » Lui avait une autre problématique qui pouvait l’intéresser qui était tourné vers l’Europe, ça lui permettait de garder un joueur comme Trent Meacham et de recruter des Américains encore plus forts. Comme ça n’avançait pas, Tony s’est saisi du dossier pour faire une consultation. Pour l’instant, on en est à ma connaissance à une forme de statuquo. J’ai conscience que ces sujets de JFL, de Bosman, des JNFL, c’est complexe avec des juridictions supranationales qui nous échappent. C’était juste des propositions qui puissent correspondent à ce que vivent les clubs et aider au développement de notre sport, qu’il n’y ait pas de partisanisme qui l’emporte mais la volonté d’échanger.\\n\\nPlus généralement : le basket pro français des clubs souffre d’un certain anonymat. Pour vous où sont les remèdes ?\\n\\nDe rendre notre sport plus spectaculaire. Il y a des éléments qui nous échappent comme la simplification des règles et les fautes antisportives. Mais c’est surtout la capacité d’en faire de vrais événements qui fait que les gens ne viennent pas simplement voir un match de basket lambda mais du spectacle. J’ai vu plusieurs All-Star Game en NBA et on voit que dès lors qu’il il y a du show, des animations, le public répond en masse au-delà des simples purs connaisseurs de basket. On est un sport vivant et on ne ressort pas de la soirée avec un 0-0, on est aussi un sport d’intérieur et c’est un atout, un sport où il se passe toujours quelque chose. Je jette la pierre à personne mais si on arrivait à développer sa visibilité, à le rendre plus simple et plus lisible, et si les clubs pros considéraient ça non pas comme un simple match mais le fait de passer une soirée événementielle, avec des ventes de prestations supplémentaires -et certains clubs commencent à s’y mettre- tout ça aiderait à sortir de cet anonymat. Mais sommes nous prêts à être un peu entrepreneurial et libéral là-dessus ? Je ne suis pas convaincu que tout le monde le soit.\\n\\nA propos des fautes antisportives qui nuisent au spectacle et aussi à la justice sportive, on remarque que l’Euroleague a modifié la règle avec une plus grande sévérité. Ça implique le fait que l’on a désormais des règlements différents suivant que l’on soit en NBA, en Euroleague et en Pro A/équipes nationales. Le technicien que vous êtes doit considérer ça comme une hérésie ?\\n\\nC’est une hérésie ! Il y a ce débat FIBA/Euroleague qui se traduit par la scission au niveau des coupes d’Europe et nécessairement par des règlements différents. On voit arriver des Américains qui n’ont pas encore évolué ailleurs avoir beaucoup de mal à s’acclimater aux marchés, aux contacts, aux antennes, et qui sont capables de demander un temps-mort sur le terrain car ils ont été habitués à ça toute leur vie aux Etats-Unis. Comme tous les clubs je pense, on a fait venir en début d’année un arbitre Pro A pour expliquer les règles, échanger les cultures, etc, mais ce n’est pas suffisant. La FIBA est sensé être l’organisme délégataire de la mise en place de ce sport sur la planète et maintenant elle est dépassée dans la mise en place des actions business par deux instances, l’une outre-Atlantique et l’autre sur le territoire européen. La conséquence c’est que l’on est en train de perdre notre public dans la compréhension du jeu et aussi dans l’envie de venir voir ce qui s’y passe. C’est un sport magnifique et il y a aussi de belles personnes dans ce milieu mais vont elles pouvoir impulser et engager les choses ? On verra si les différents systèmes mis en place accepteront ou non que ces gens là puissent proposer des choses et les concrétiser. C’est à partir de ce moment là que l’on pourra savoir si l’on doit être optimiste ou pas."
}, 
{"role": "user",     "content":"Corin Henry, la bonne pioche d’Evreux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Recruté par Evreux fin juin pour tenir la place de titulaire sur le poste 1, Corin Henry (1,78 m, 28 ans) s’impose en ce début d’exercice 2016/17 comme l’une des bonnes pioches en Pro B.\\n\\nDécouvrant cette saison les exigences de la deuxième division française, le meneur américain s’est érigé comme l’une des pièces maitresses de l’ALM. Top scoreur du dispositif de Laurent Sciarra avec ses 18 points de moyenne par match, le natif de Randallstown dans le Maryland sait également se mettre au service du collectif avec ses 6 passes décisives de moyenne, ce qui place l’Ebroicien en cinquième position des top passeurs de l’antichambre de la Pro A.\\n\\nAvec une évaluation de 18,4 en 30 minutes sur 5 matchs, Corin Henry est la dixième évaluation de la division, entre le Roannais Arthur Rozenfeld et le Havrais Yannis Morin. Pas mal pour un joueur qui jusqu’ici n’avait évolué que dans des championnats de seconde zone.\\n\\n\\nUn vrai globe-trotter\\n\\nProfessionnel depuis 2011, l’ancien pensionnaire de Tarleton State University avait lancé sa carrière dans l’anonymat le plus complet au Danemark (Team FOG Naestved) où il avait aligné 22.1 points, 5.1 passes, 4.4 rebonds et 3.4 interceptions en 37 matchs. Vu par la suite à l’autre bout du monde sous la tunique australienne des Sydney Kings en 2012/13, il a ensuite aligné les cartons statistiques et enchainé les aller/retour entre l’Europe (Bulgarie, Suède) et l’Océanie (Waikato Pistons en Nouvelle-Zélande et Sandringham Sabres en Australie) avant d’atterrir dans l’Eure l’été dernier.\\n\\nToujours en mouvement, l’ancien top scoreur du championnat suédois 2015/16 (20,6 points de moyenne avec Jamtland) s’est notamment distingué le 29 octobre dernier à l’occasion de la victoire de son équipe à Boulogne-sur-Mer (86-81). MVP de la rencontre, il avait réalisé ce soir-là le match quasi-parfait avec ses 28 points à 10/14 aux tirs, 6 rebonds et 5 interceptions pour 31 d’évaluation en 32 minutes.\\n\\nPassé une seule fois sous la barre des 10 d’évaluation en 11 rencontres (championnat et Leaders Cup), le numéro 12 de l’ALM Evreux Basket est devenu en quelques semaines l’un des meilleurs meneurs de jeu de notre championnat et l’un des joueurs à suivre cette saison en Pro B.\\n\\nPhoto :ALM Evreux / Sabine De Leest"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pronos : Pro A journée 9 !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Place à la 9e journée de Pro A avec des rencontres intéressantes que nous vous avons sélectionnées.\\n\\nPronostic ASVEL – Paris Levallois\\n\\nL’ASVEL avec un bilan de quatre victoires et quatre défaites en Pro A accueille Paris Levallois qui reste sur trois défaites sur les quatre dernières rencontres. Au vu de la forme du moment, l’ASVEL devrait remporter ce match sans trop de problèmes surtout après avoir gagné les trois dernières confrontations et assez facilement à chaque fois.\\n\\nPariez sur la victoire de l’ASVEL entre 6 et 10 points d’écart cote @3.35 sur www.france-pari.fr\\n\\nPronostic Strasbourg – Limoges\\n\\nLa SIG va beaucoup mieux depuis l’arrivée de Collet et a même enchaîné cinq victoires lors des six dernières rencontres. Face à Limoges, Strasbourg pourra compter sur son duo Slaughter – Walker pour scorer et s’imposer dans ce match. Sur les trois dernières confrontations, il y a eu moins de 155 points à chaque fois.\\n\\nPariez sur la victoire de Strasbourg par au moins 7 points d’écart cote @1.50 sur www.france-pari.fr\\n\\nPariez sur moins de 158 points dans le match cote @2.15 sur www.france-pari.fr\\n\\n\\nInscrivez-vous sur www.france-pari.fr et profitez du meilleur bonus de paris sportifs avec 200 € offerts. France Pari propose une offre de paris complète sur le basket et vous permet également de parier en direct sur les matchs de vos équipes préférées depuis un ordinateur, une tablette ou un mobile.\\n\\nParis sportifs : Bonus d’inscription de 200 € sur France Pari"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pierre Fosset (Bourges) : « Je me suis opposé à ces fenêtres internationales »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A Bourges, ce n’est pas compliqué, toutes les joueuses sont ou ont été internationales dans leurs pays respectifs sinon Alexia Chartereau, qui n’a que dix-huit ans et qui sera très vite une candidate à l’équipe de France A.\\n\\nQuatre Tangos sont actuellement réunies pour disputer les deux matches de qualification pour l’Euro 2017, demain à Chalon contre les Pays-Bas, puis mercredi à Clermont-Ferrand face à la Croatie : Sara Chevaugeon, Ana Maria Filip, Marine Johannes et Diandra Tchatchouang mais aussi la coach Valérie Garnier.\\n\\nLe Berry a demandé au président Pierre Fosset ce qu’il pense de cette situation et celui-ci a répondu avec son franc parler coutumier :\\n\\n« La fenêtre internationale tombe-t-elle bien ? Si je regarde pour mon club, non. On avait besoin de travailler pour créer un collectif, on progressait et boum, on a quinze jours d’arrêt. En plus, je touche du bois, j’espère que ça ne va pas nous porter la guigne en nous ramenant des blessées. On m’avait demandé mon avis, je me suis opposé à ces fenêtres internationales. La fédération internationale dit qu’il faut exposer les sélections nationales pendant la saison. Faut arrêter de nous casser les noix, on multiplie les risques de blessures. »\\n\\nAvec six victoires pour une défaite, les Berruyères sont actuellement seules leaders en Ligue Féminine et deuxièmes ex-aequo de leur groupe d’EuroLeague avec deux victoires pour une défaite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Panathinaikos : James Gist indisponible au moins deux mois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Touché à l’adducteur gauche dans le match perdu face au Real Madrid (87-84) à l’occasion de la septième journée de l’Euroleague, James Gist sera indisponible au moins deux mois, comme indiqué sur le site de la compétition.\\n\\nUne fois rentré en Grèce, l’intérieur américain du Panathinaikos a passé une IRM qui a révélé une blessure à l’adducteur. Dans les prochains jours, il sera décidé si cette blessure sera traitée par thérapie ou chirurgie. S’il peut manquer jusqu’à deux mois avec un traitement par thérapie, son indisponibilité peut s’étendre jusqu’à quatre mois si le staff médical opte pour une opération.\\n\\nCette saison en C1, l’ancien joueur du Fenerbahce compile en moyenne 10,7 points et 4,7 rebonds par match.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Zeljko Obradovic prolonge à Fenerbahçe jusqu’en 2020"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Zeljko Obradovic, 56 ans, rempile pour trois saisons supplémentaires avec Fenerbahçe Istanbul, et le voilà lié jusqu’à l’été 2020 avec le club stambouliote.\\n\\nC’est ce que la direction du club vient d’annoncer dans une conférence de presse qui officialisait par ailleurs un partenariat avec la banque QNB.\\n\\nLe Serbe est considéré par nombre d’experts comme le meilleur coach européen actuel voire même de tous les temps. Il a notamment remporté huit fois l’Euroleague avec le Partizan Belgrade, Badalone, le Real Madrid et le Panathinaikos.\\n\\nIl est sur le banc de Fenerbahçe depuis 2013 et a amené deux fois le club stambouliote au Final Four et à deux titres nationaux en trois saisons."
}, 
{"role": "user",     "content":"Blois : malade, Rudy Jomby voyage seul jusqu’à Evreux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé à l’ADA Blois début octobre pour une durée de trois mois en tant que pigiste médical de Florent Tortosa, Rudy Jomby devra faire le voyage seul jusqu’à Evreux pour le match comptant pour la 6e journée de Pro B, comme le rapporte la Nouvelle République.\\n\\nAtteint d’une gastro, l’ancien joueur du Havre a été mis à l’écart par son coach pour le déplacement en Normandie. Alors que le reste de l’équipe est partie hier, Jomby voyage seul aujourd’hui.\\n\\n«Je ne voulais pas qu’il contamine le groupe\u2009!»\\n\\nEn cinq matchs de Pro B avec Blois, l’ancien Choletais tourne en moyenne à 8,2 points, 5,6 rebonds et 1,8 passe décisives pour une évaluation de 9.\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau : DJ Cooper de retour pour la réception d’Antibes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Touché à la cuisse face au HTV la semaine dernière, DJ Cooper n’avait pas fait le déplacement de FIBA Europe Cup à Tartu, mardi, avec l’Elan Béarnais.\\n\\nAnnoncé incertain pour le match face aux Sharks, samedi, le MVP de Pro A du mois d’octobre devrait finalement, sauf grosse surprise, être aligné sur la feuille de match ce week-end, comme le rapporte la République des Pyrénées.\\n\\n«Oui, je compte bien jouer », a-t-il sereinement déclaré.\\n\\nToutefois, l’entraîneur de la formation paloise, Eric Bartecheky se montre prudent quant à la participation de son meneur à la rencontre face à Antibes.\\n\\n« Pour l’instant DJ ne s’entraîne pas avec nous et ce n’est pas sûr à 100 % qu’il puisse être en tenue samedi »\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : au bon souvenir de l’ancien Palois Marko Simonovic"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vous rappelez vous de Marko Simonovic ? Cet ailier serbe né au Kosovo de 2,01m aujourd’hui âgé de 30 ans, légèrement barbu et au crâne dégarni, a passé une saison à Pau (2014-15). A première vue sa production offensive y fut bonne (13,4 pts, 52/157 à trois-points) mais à y regarder de près, on notait une adresse à deux-points moyenne (47,2%), et peu de participation dans les autres secteurs du jeu (3,0 pts, 0,7 pds) pour une évaluation indigne de son statut (8,5).\\n\\nCar Marko Simonovic a un beau pedigree et on pensait que l’Elan Béarnais avait touché le gros lot dans son recrutement. Il ne devait pas être un joueur d’appoint mais un leader. N’avait-il pas fréquenté juste avant l’Alba Berlin et l’Etoile Rouge de Belgrade ? Ne revenait-il pas du championnat du Monde avec la Serbie avec une superbe médaille d’argent autour du cou ? Marko Simonovic n’est pas qu’un international de passage ; Sasha Djordjevic lui a fait confiance ensuite à l’EuroBasket 2015 et aux Jeux de Rio où il monta une nouvelle fois sur la deuxième marche du podium. Il scora 4,1 pts en moyenne avec une pointe à 9... contre la France.\\n\\n12,5 pts en Euroleague\\n\\nSimonovic a depuis réintégré l’Etoile Rouge qui concoure dans la prestigieuse Euroleague. Hier soir, les Serbes ont vaincu Armani Milan et l’ancien Palois a cartonné : 23 points à 5/9 à trois-points et aussi 6 rebonds et 2 passes. La meilleure évaluation du match c’est la sienne (22), sachant qu’en face il y avait des ténors comme Alessandro Gentile, Milan Macvan et encore Miroslav Raduljica. Sur la vidéo, on le voit avec son numéro 19 marquer un panier de l’arrière cuisine, voler une balle et conclure l’action sur un dunk rageur, dans une atmosphère... belgradoise.\\n\\nDepuis le début de saison d’Euroleague, Marko Simonovic ne fait d’ailleurs pas semblant : 12,5 pts, 51,3% à trois-points, 3,3 rbds et 11,6 d’évaluation. Le tout au sein d’une équipe qui présente un bilan équilibré : 4 victoires, 4 défaites.\\n\\nSon cas repose le problème de l’adaptation des joueurs de l’ancienne Yougoslavie à la Pro A. A moins que ce ne soit plutôt le contraire. Même si, en cours de saison, le président palois Didier Gadou s’était porté à sa rescousse dans les colonnes de Basket Hebdo:\\n\\n« Ce n’est pas un problème d’adaptation. Il prendra ce qu’il y a à prendre dans ce championnat. Il nous a montré qu’il est capable de très bien jouer, d’être présent dans les gros matches. Mais il faut un équilibre. Il est souvent ciblé. Il faut des joueurs dangereux autour pour le libérer. L’équipe, on l’a construite, on va l’assumer. »\\n\\nCette saison-là, l’Elan Béarnais se classa très anonymement 13e de la Pro A à cinq victoires des playoffs."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pourquoi l’Eurocup est la vraie C2... mais qu’elle apparaît fragile"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Qui de la Basketball Champions League ou de l’Eurocup est la véritable C2 européenne, la dauphine de l’Euroleague incontestable numéro un ?\\n\\nOn pourrait prendre comme critères le budget, l’affluence ou encore pourquoi pas le palmarès de chaque club. Il nous apparaît intéressant de considérer le classement national actuel des équipes des pays qui participent aux deux compétitions.\\n\\n\\nPrès d’un tiers des équipes sont espagnoles...\\n\\nDéjà, on remarque que la valeur de cette Eurocup à VINGT clubs est totalement dépendante de la présence de pas moins SIX clubs espagnols –alors qu’il y en a déjà trois en Euroleague-, de QUATRE russes -sachant que la ligue Endesa et la VTB League avec celui de Turquie sont reconnus comme étant les deux meilleurs championnats européens- et de TROIS allemands.\\n\\nLa BCL peut faire valoir que son unique représentant espagnol tient son rang (il a joué un match de plus que Valence) mais en Russie et en Allemagne, ceux de l’Eurocup sont clairement d’une pointure supérieure.\\n\\nConclusion : si l’Eurocup est qualitativement la vraie C2, elle souffre de l’hégémonie de deux pays et de la non-présence de clubs grecs, italiens, turcs et... français.\\n\\nIl n’y a qu’à souhaiter que cet éclatement soit provisoire.\\n\\n(En gras les équipes de la BCL, en italique celles de l’Eurocup)\\n\\nAllemagne\\n\\nUlm                  1er\\n\\nBayern Munich       4e\\n\\nLudwigsburg        5e\\n\\nAlba Berlin            6e\\n\\nOldenburg          8e\\n\\nFrancfort           14e\\n\\nCroatie\\n\\n(En Adriatic League)\\n\\nCibona Zagreb  3e\\n\\nCedevita         3e\\n\\nEspagne\\n\\nTenerife        3e\\n\\nValence          4e\\n\\nMalaga          6e\\n\\nBilbao            7e\\n\\nGrand Canaria    9e\\n\\nFuenlabrada     13e\\n\\nMurcie           14e\\n\\nIsraël\\n\\nHapoël Jerusalem                3e\\n\\nMaccabi Rishon Le Zion       3e\\n\\nLituanie\\n\\nVilnius            2e\\n\\nPanevezys         2e\\n\\nKlaipeda         4e\\n\\nRussie\\n\\n(VTB League)\\n\\nSaint-Petersbourg      2e\\n\\nKhimki Moscou         4e\\n\\nKuban                  5e\\n\\nNovgorod              11e\\n\\nSaratov               11e\\n\\nSlovénie\\n\\nDomzale        1er\\n\\nLjubljana          6e"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 18 novembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nL’autre match d’Eric Girard\\n\\n– Si Eric Girard a hissé le club en Pro A onze ans après avoir décroché le titre de champion de France avec Strasbourg (contre... Nancy), ce n’est pas sur... Lire la suite.\\n\\n\\nBracigliano contre l’ASNL...\\n\\n– Quand il résume ce que l’ASNL représente pour lui, Gennaro Bracigliano dit ceci : « C’est la moitié de ma vie et les trois quarts de ma carrière. J’ai... Lire la suite.\\n\\n\\nLe Portel, un promu en... Nord\\n\\n– Petit Poucet de la Pro A, Le Portel vit sa première saison en élite deux ans après le voisin boulonnais. La confirmation que l’ancienne région... Lire la suite.\\n\\n\\nUn jeu à muscler\\n\\n– Même si la SIG est sur la pente ascendante, comme en atteste son cinquième succès en six matches depuis le retour de Vincent Collet, mercredi contre... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTyreek Duren n’est pas le Messie mais Boulogne compte fort sur lui\\n\\n– Double champion de Chypre en titre avec l’AEK Larnaca, l’Américain Tyreek Duren coulait des jours paisibles depuis à Philadelphia pour « régler des problèmes persos.» Ces six mois d’inactivité, entrecoupés d’entraînements dans son ancienne fac, près de chez lui, ne l’ont pas perturbé plus que ça, Lundi, quand Boulogne l’a contacté, il a su que... Lire la suite.\\n\\n\\n«Il y a l’entraîneur qui veut avoir raison et l’entraîneur qui veut gagner»\\n\\n– « Je suis un perturbateur », admet Jean-Christophe Prat. Comme si c’était déjà pas assez difficile de construire un collectif qui tourne, lui, il en rajoute une dose. « Je remets en cause beaucoup de leur jeu. » En gros, il cible les points faibles de ses joueurs, les fait travailler dur dessus tout en les restreignant sur leurs points forts. «... Lire la suite.\\n\\n\\nLa CTC Ondaine réalise l’exploit et élimine Saint-Chamond\\n\\n– La CTC Ondaine (pré national) s’est qualifiée ce mercredi pour les demi-finales de la coupe de la ligue. Face à Saint-Chamond (N2) les joueuses de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDragovic de retour, Kahudi à Dijon ?\\n\\n– Blessé à la cheville, comme à Nantes le 18 septembre, il y a dix jours à Salonique, Nikola Dragovic n’avait pu jouer contre Gravelines et face à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCabotte : Le déclic devra se produire »\\n\\n– Lanterne rouge, Saint-Jean-Bonnefonds se déplace chez son voisin de la CTC Ondaine demain qui n’a pas gagné la moindre rencontre non plus. Un match... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« On apprend de nos erreurs, ça va venir »\\n\\n– Arthur Rozenfeld Meneur de la Chorale de Roanne... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« L’alchimie commence juste à se faire »\\n\\n– BA Walker, meneur-arrière du SCB... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa Chorale doit bomber le torse\\n\\n– Les Choraliens doivent enfin montrer un visage conquérant à l’extérieur et agir plutôt que d’être dans la réaction. La double confrontation à Aix... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSCB : une occasion en Nord\\n\\n– Fort des deux victoires ramenées de Boulazac et Nantes, Saint-Chamond doit confirmer devant son public. Pour valider ses exploits et équilibrer son... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg veut relancer une série\\n\\n– À Ekinox ce soir, les Bressans auront à cœur de renouer avec la victoire pour rester en contact avec la tête de la poule... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Je ne voulais pas que Rudy contamine le groupe. »\\n\\n– Pour la première fois depuis le début de la saison, Mickaël Hay a pu profiter d’un groupe riche d’au minimum dix hommes tout au long de la semaine lors des entraînements, même s’il a dû déplorer la blessure à la cheville de Julyan Motti. « Et pour arranger le tout, Rudy Jomby a attrapé une grosse gastro. » Ce dernier devait fa... Lire la suite.\\n\\n\\nLe paradoxe boulonnais\\n\\n– Boulogne – Poitiers Solide et convaincant en Leaders Cup, le SOM n’y arrive pas en Pro B où il n’a rien gagné. Il espère que le déclic surviendra face au PB... Lire la suite.\\n\\n\\nA quand une attaque à la pointe ?\\n\\n– L’ADA espère profiter des failles défensives d’Évreux pour enfin s’exprimer en attaque, un secteur dans lequel elle occupe aujourd’hui la dernière place... Lire la suite.\\n\\n\\nDeux succès cernéens\\n\\n– Toujours très volontaires malgré leurs moyens modestes, les basketteurs de Cernay obtiennent régulièrement des résultats qui leur permettent d’occuper... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSept victoires pour la CTC Thur-Doller\\n\\n– Sept victoires en 12 matches : c’est le bilan du week-end dernier pour la CTC Thur-Doller. Les jeunes avaient bien débuté, au Cosec de Thann. En... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn tour de coupe pour Pfastatt\\n\\n– Les Pfastattois disputent le 2e tour de la phase territoriale du Trophée Coupe de France samedi (20 h) dans le fief de la SIG II... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne piqûre de rappel\\n\\n– Les Strasbourgeois ont enchaîné une cinquième victoire en six rencontres depuis le retour de Vincent Collet sur le banc, mais le début de match manqué... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne belle carte à jouer\\n\\n– Pour les seniors, le championnat fait place à la Coupe du Crédit Mutuel. Les masculins ne sont pas encore en lice dans cette compétition puisqu’ils... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France féminine : place à la nouvelle génération"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Samedi, à Chalon-sur-Saône, face aux Pays-Bas et mercredi, à Clermont-Ferrand, face à la Croatie, l’équipe de France va disputer ses deux derniers matches de qualification pour l’EuroBasket 2017 qui se tiendra en juin en République Tchèque.\\n\\nLa période actuelle, qui a pris naissance avec le titre de champion d’Europe en 2009 en Lettonie, est la plus fastueuse qu’on ait jamais connue. Cependant, avec la retraite d’Isabelle Yacoubou, la mise au repos de Sandrine Gruda, et la non-sélection peut-être provisoire de Gaëlle Skrela, l’équipe de France actuelle n’a plus en son sein que deux cadres historiques, Céline Dumerc et Endy Miyem. On peut donc parler de nouvelle génération.\\n\\nCe récapitulatif permet de constater que l’introduction de nouvelles joueuses fut progressive et que sinon les deux précitées et Marielle Amant, elles sont toutes apparues en sélection sur les trois dernières années\\n\\nLeur âge indiqué à droite permet de constater que la moitié a 25 ans ou moins.\\n\\nPrésentes en 2009 (Euro)\\n\\n\\nCéline DUMERC 34\\n\\nEndy MIYEM    28\\n\\n2010 (Championnat du Monde)\\n\\nMarielle AMANT 27\\n\\n2013 (Euro)\\n\\nValériane AYAI   22\\n\\nDiandra TCHATCHOUANG        25\\n\\n2014 (Championnat du Monde)\\n\\nHéléna CIAK     27\\n\\nAna Maria FILIP 27\\n\\n2015 (Euro)\\n\\nOlivia EPOUPA   22\\n\\nSarah MICHEL   27\\n\\n2016 (Jeux Olympiques)\\n\\nAmel BOUDERRA         27\\n\\nLaetitia KAMBA 29\\n\\nMarine JOHANNES       21\\n\\nPAS DE COMPETITION\\n\\nMarième BADIANE       22\\n\\nLisa BERKANI    22\\n\\nSara CHEVAUGEON      23\\n\\nAby GAYE        21"
}, 
{"role": "user",     "content":"FEC : Gravelines chute lourdement en Hongrie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la cinquième journée de FIBA Europe Cup, le BCM Gravelines-Dunkerque se déplaçait à Kormend, en Hongrie.\\n\\nMenés de seulement deux points à la mi-temps (35-33), les hommes de Christian Monschau s’inclinent finalement de 25 points (85-60) après avoir lâché prise dans le troisième (20-11) ainsi que dans le quatrième quart-temps (30-16). Même avec 18 unités de Justin Cobbs, les Maritimes n’ont pas su trouver de solution face à un Terry Allen au four et au moulin qui a compilé 23 points, 8 rebonds, 2 interceptions et 5 assists pour une évaluation de 26. La boxscore du match est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nMalgré cette défaite, la première de la compétition, le BCM est toujours en tête du groupe B avec quatre victoires pour une seule défaite.\\n\\nPhoto :BCM – Julie Dumélié"
}, 
{"role": "user",     "content":"Blessé en Euroleague, Nando De Colo rejoint l’infirmerie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Touché à la cuisse gauche mercredi dans la défaite face au Darussafaka Dogus Istanbul, Nando De Colo rejoint l’infirmerie du CSKA Moscou. Selon le communiqué du club russe, le MVP 2016 manquera « plusieurs matches » et il devrait donc faire défaut en championnat et en Euroleague.\\n\\nAuteur d’une saison 2015/16 parfaite, à la fois meilleur marqueur, meilleur joueur et champion d’Europe, le meneur de l’Equipe de France est reparti sur les mêmes bases, tournant cette saison à 21 pts de moyenne en Euroleague."
}, 
{"role": "user",     "content":"Frédéric Forte : « Je vais rester un paquet de temps à Limoges »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour son numéro 3, qui sort en kiosque en cette fin de semaine, le magazine Basket a choisi de mettre Frédéric Forte en couverture et de lui consacrer une longue interview. De multiples points y sont abordés.\\n\\nLe président du Limoges CSP évoque notamment la formidable passion, unique en France, qui anime la ville qui découle notamment des exploits du club en France et en Europe de 1982 à 2000.\\n\\n« L’année dernière, on a un très gros effectif, la mayonnaise ne prend jamais, on finit dixième. Quand on relance les abonnements cet été, on se dit que ça va être chaud. Et on fait 10% d’abonnés de plus ! Ce qui prouve que la valeur de capitalisation du club est supérieure à la valeur sportive. C’est trente ans d’histoire. Quand je contacte Ed Murphy pour qu’il vienne et qu’on retire son maillot, il dit : «Non, je suis parti il y a trente-cinq ans, l’histoire est finie. » Il a fallu insister, le rappeler. Quand il est arrivé, il y avait sa troisième fille, la plus jeune, qui n’est pas née à Limoges et n’a pas connu l’histoire. Pendant tout l’hommage rendu à son père, elle était en pleurs. Elle a compris qui était son père. Notre public, c’est là où il est extraordinaire : plus de la moitié de la salle n’avait pas vu jouer Murphy mais connaissait son histoire. »\\n\\nFrédéric Forte analyse la spécificité du jeu et des joueurs de Pro A, très athlétiques, mais dont les fondamentaux n’ont pas la qualité de ceux des pays européens de pointe.\\n\\n« Dule (Vujosevic, le coach) est arrivé en se disant : super, il y a un potentiel énorme, je vais leur apprendre à jouer. Ça me rappelle la réflexion de Giannakis (entraîneur du CSP en 2012-13) quand il est arrivé. Au bout d’une semaine, il rentre dans mon bureau : «Fred, on va être champion de France ! De ma vie, je n’ai jamais eu un groupe aussi fort, athlétique.» Une semaine après il revient : « On va avoir du mal à se maintenir. Ils ne savent pas jouer, techniquement. Ils savent faire peu de choses. En Grèce, je mets un schéma sur une tablette, les dix joueurs exécutent. Là, ils ne savent pas faire des démarrages croisés, des dribbles de recul. Ils courent, ils sautent, mais ce n’est pas ça le basket. C’est un sport collectif.» J’ai répondu : « Tu es confronté à la problématique du basket français». J’exagère à peine. En une semaine, il a fait ce grand écart. »\\n\\nLe président Limougeaud parle aussi des intentions qu’on lui a prêté et de la réalité de ses envies :\\n\\n« Je n’ai pas d’ambition de changer le monde ou de vouloir devenir présidentde la fédération. En trois ans, onm’a dit que je voulais racheterle Paris Levallois, être présidentde la ligue et de la fédération.Trois ans après, je suis toujourslà (il montre son bureau) et je vais rester un paquet de temps. »\\n\\nAu sommaire de ce numéro de Basket, on trouve également des interviews de Joffrey Lauvergne (Oklahoma City), Heiko Schaffartzik (Nanterre) et Freddy Hufnagel, des dossiers sur le CSKA Moscou et les athlètes en NBA et une rétro sur Texas Western, première université championne NCAA avec un cinq majeur composé de joueurs noirs."
}, 
{"role": "user",     "content":"FEC : Cinquième victoire consécutive pour Nanterre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le cadre de la cinquième journée de FIBA Europe Cup, Nanterre se déplaçait sur le parquet de Porto, et malgré un premier quart temps douteux (23-11), les hommes de Pascal Donnadieu se sont finalement imposés 79-75.\\n\\nGrâce à un Brian Conklin aux portes du double-double (19 points et 9 rebonds pour 22 d’éval), bien aidé par les 17 points et 5 rebonds de Mykal Riley, les Franciliens ont su redresser la barre pour rester invaincus dans la compétition. La boxscore du match est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nAvec cette victoire, les Nanterriens sont premiers du groupe D avec cinq victoires et aucune défaite.\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mike Gelabale : «J’ai fait quelques clins d’oeil aux supporters turcs»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Mans a frappé un grand coup en s’imposant hier soir largement en Turquie, à la Karsiyaka Arena, face à l’autre leader du groupe B, le Pinar (79-66). Retrouver le MSB seul en tête d’un groupe européen de huit équipes est un véritable événement.\\n\\nPetr Cornelie, souvent scotché sur le banc en ce début de saison, s’est vu offrir par Erman Kunter un temps de jeu de 27 minutes –le malheur des uns fait le bonheur des autres- pour 7 points et 9 rebonds.\\n\\n« C’est une super victoire, dans une grande salle », déclare t-il à Ouest France. « C’est un succès que nous avons acquis en équipe alors que jusqu’à présent, nous avions plutôt du mal à l’extérieur. Tous les joueurs ont été super. Défendre fort, être présent au rebond, c’est notre marque de fabrique. Nous avons su être sérieux tout le match. »\\n\\nCe grand fauve de Mike Gelabale, qui tient la forme, a apprécié d’être plongé dans le bain turc :\\n\\n« J’adore ce genre d’ambiance. Si on avait la même au Mans, je serais comblé. Ces spectateurs ne sont pas méchants, ils aiment le basket. Je leur ai fait quelques clins d’oeil. Pendant le match, certains m’ont demandé de signer dans leur club pour la saison prochaine. Je leur ai fait OK du pouce. Il faut rentrer dans leur jeu. Si tu ne fais rien, ils te lancent des briquets. Ce sont de vrais fans. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : David Denave prolonge pour toute la saison à Vichy-Clermont"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé le 21 octobre dernier en qualité de pigiste médical de Cedric Bah, David Denave va finalement passer l’intégralité de la saison avec la JAVCM, comme indiqué sur le site du club.\\n\\nSuite au départ de Wen-Boss Mukubu, le club a décidé de prolonger le contrat de l’ancien joueur de Saint-Vallier pour toute la saison.\\n\\nEn trois matchs de Pro B avec Vichy-Clermont, l’ancien Palois compile en moyenne 6 points, 1,7 rebond et 3 assists pour une évaluation de 7,3.\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Le Mans prend les commandes de son groupe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le cadre de la cinquième journée de Champions League, le MSB s’impose du côté d’Izmir 79-66 face au Pinar Kasiyaka.\\n\\nOlivier Hanlan est élu MVP du match avec 18 points, 3 rebonds et 3 assists pour une évaluation de 18. La boxscore du match est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nGrâce à cette victoire, Le Mans pointe à la première place du classement du groupe B avec quatre victoires pour une seule défaite.\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Strasbourg sur sa lancée face à Mega Leks"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Troisième victoire consécutive pour la SIG en Champions League qui s’imposent 68-59 face aux Serbes du Mega Leks.\\n\\nGrâce à Matt Howard (14 points et 6 rebonds pour 20 d’éval) et Erving Walker (17 points et 3 assists pour une évaluation de 13), les Alsaciens ont confirmé leur état de forme du moment sur la scène européenne après l’avoir emporté sur le parquet de Tenerife la semaine dernière et face à Ostende la semaine précédente. La boxscore du match est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nSuite au match, Vincent Collet est revenu sur cette victoire qui place la SIG 4e au classement à égalité avec Tenerife.\\n\\n« C’est une très bonne chose pour nous car Tenerife a perdu à Ostende. Si nous avions perdu ce soir, nous aurions été à égalité avec Mega Leks, Mornar et Ostende et la qualification pour le prochain tour aurait été plus compliquée. Avec cette victoire, c’est le contraire, nous sommes ex aequo avec Tenerife, on les a battu chez eux, nous n’avons qu’une victoire de retard sur Avellino et la Juventus Utena donc c’est une position beaucoup plus confortable pour nous. Le prochain match, à Zagreb, sera très important. Si nous arrivons à le prendre, nous serons vraiment en très bonne posture. »\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Thomas Heurtel et Léo Westermann font le show !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On s’inquiétait de ne pas voir Thomas Heurtel sur la feuille de match ce weekend en ligue turque. Mais le meneur tricolore se préparait simplement pour son match d’Euroleague mardi. En grande forme, « mis en confiance par ses coéquipiers » ainsi qu’il le dira plus tard, Heurtel (24 points, 8 passes) a joué propre (9/13 aux tirs) et il a guidé son équipe d’Efes à la victoire (104-99) contre Kazan. Au passage, l’Anadolu a battu un record historique au niveau des passes décisives (34). Quand le chef d’orchestre français est au diapason...\\n\\n\\n\\n\\n.@AnadoluEfesSK broke its club assist record last night racking up 34 assists. ⤵️ pic.twitter.com/q8QJtrI0Qk\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) November 16, 2016\\n\\nToujours à Istanbul, mais avec son équipe du Darussafaka, Adrien Moerman (11 points, 2 rebonds, 2 passes) a réalisé l’exploit de la soirée en faisant tomber le CSKA Moscou, jusqu’alors insubmersible. Un autre ancien limougeaud, Brad Wanamaker, ponctue d’un énorme dunk un 22-7 pour ouvrir le match. Et le CSKA ne s’en relèvera jamais vraiment. Nando De Colo (17 points, 7 passes, 5 rebonds mais 8 balles perdues) a beaucoup tenté mais la défense de David Blatt a tenu le choc. Le CSKA n’est plus invaincu !\\n\\nAuteur d’une superbe passe dans le dos (voir plus bas), Léo Westermann (16 points, 7 rebonds, 6 passes) a également été au sommet de son art. Il a surtout remis les pendules à l’heure après une prestation en-dedans la semaine dernière contre Barcelone (son ancien club d’une certaine manière). Face au Galatasaray, une autre équipe de bas de tableau, Kaunas a fait le métier (87-75). Après avoir explosé son record personnel la semaine passée à 26 unités, l’international australien, Brock Motum (24 points) a encore réussi une grosse perf’.\\n\\n\\n\\n\\nOh you fancy, @lwestermann.#7DaysMagicMoment #ZALGSO pic.twitter.com/bEKF5E2FDR\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) November 16, 2016\\n\\nPour les autres joueurs français, ce fut moins glorieux avec deux revers et des petits matchs. Fabien Causeur (7 points, 5 rebonds) a fait ce qu’il a pu dans la défaite d’un point face à l’Etoile Rouge de Belgrade. Et puis, Kim Tillie (6 points, 4 rebonds) et Rodrigue Beaubois (6 points) se sont fait bien discrets dans la défaite face à Milan (88-76).\\n\\nLes stats de nos Français en Euroleague\\n\\nBonus : un petit quizz avec Léo Westermann"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 17 novembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\n« Les vétérans sont mieux considérés... »\\n\\n– Son contrat avec l’ASNL s’achèvera en juin. Youssouf Hadji aura à ce moment-là 37 ans (il est né le 25 février 1980). Prolongera-t-il ? À l’heure... Lire la suite.\\n\\n\\nLa récréation est finie\\n\\n– A l’expérience et à l’usure, la SIG a ramené à la raison les fougueux, talentueux et très jeunes Serbes de Mega Leks, hier soir au Rhenus (68-59)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFIBA Europe Cup : le BCM prend une claque en Hongrie\\n\\n– Dans le match à la pause (35-33), les Nordistes ont ensuite explosé en seconde période (50-27). Le BCM a montré un bien triste visage. Mais s’il s’impose con... Lire la suite.\\n\\n\\nHuit quarts pour Mado-Bonnet\\n\\n– La coupe de la Ligue du Lyonnais entre dans sa phase déterminante avec, au programme, les quarts de finale, qui offriront aux vainqueurs un ticket... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDestinées contraires...\\n\\n– Grande première pour le BCMF.- La bande à Bénintendi serait, si le championnat s’arrêtait là, qualifiée pour les plays-off. C’est purement... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n1100 participants pour le challenge benjamins\\n\\n– Réservé aux licenciés U12 et U13 né en 2005 et 2004 ce sont des épreuves individuelles basées sur l’adresse et la dextérité. Dans le département sont... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Asvel prend rendez-vous\\n\\n– En limitant la casse pendant les absences, le champion affiche de très belles promesses... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’indiscipline de Lyon SO\\n\\n– Vainqueur à Feurs (78-66), Pont-de-Chéruy (7-1) poursuit sa course en tête, décrochant Lyon SO (6-2), battu à Montbrison (78-83). « Dommage, car sans... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nN2 et N3\\n\\n– Le BCM a pu compter sur le duo Veillet (19 pts) et Nelaton (17 pts) pour dominer à domicile le coleader de sa poule Ouest lyonnais (83-78), lors de la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Pas sur une bonne dynamique »\\n\\n– Aix-Maurienne avait bien débuté le championnat en engrangeant deux précieux succès. Depuis, les résultats ne sont plus au rendez-vous... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Quentin veut s’exporter\\n\\n– Invaincu à domicile, Saint-Quentin reste sur deux défaites à l’extérieur. Les joueurs de l’Aisne chercheront à inverser la tendance à Saint-Chamond... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nVaulx-en-Velin tremble\\n\\n– Aux portes de la « pré-Nationale », le VBC se bat pour conserver sa place en championnat de France, qu’il fréquente depuis plus de soixante ans... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nJoss-Rauze : « On n’a encore rien fait »\\n\\n– Kévin Joss-Rauze encaisse mal la défaite concédée à Vichy, mais l’arrière bressan sait aussi que son équipe, « qui a un potentiel énorme », se cherche... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDes premiers pas attendus\\n\\n– Les sélections départementales U13 filles et garçons préparent, pour fin décembre, le tournoi des Étoiles, la référence dans cette catégorie d’âge. Avant cette échéance, une première étape a lieu, les 19 et 20 novembre à Bourges, dans le cadre du tournoi intercomités. Ce rassemblement est destiné à étalonner les six départements... Lire la suite.\\n\\n\\nBC Chauray : une très bonne entame\\n\\n– Habituées au podium du meilleur championnat régional, les Chauraisiennes n’ont pas perdu la main. Actuellement 2e derrière Pouzioux, les filles de Richard Semur ont idéalement démarré cet exercice. « Le début de saison est conforme à nos attentes, sourit le technicien chauraisien. Hormis la confrontation à Montamisé où nous aurions pu gagn... Lire la suite.\\n\\n\\nNouveau succès pour la SIG\\n\\n– La SIG, malgré un très mauvais départ, s’est finalement imposé 68-59 face à la formation serbe de Mega Leks ce soir au RhénusSport en Ligue des champions... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDes finales en jeu ce week-end\\n\\n– Peu de matchs à l’affiche, ce week-end, sauf pour les équipes sundgauviennes qui bataillent pour la Coupe du Crédit mutuel. Dans le tableau féminin de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPas une partie de plaisir\\n\\n– Longtemps accrochée par la jeunesse des Serbes de Mega Leks, hier soir au Rhénus, la SIG a finalement décroché une victoire difficile mais précieuse... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France U18 : Frank Ntilikina présent à l’Euro en Turquie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite au portrait de Frank Ntilikina dans le quotidien L’Equipe, et aux déclarations de son agent, la FBBB s’est exprimée sur le sujet de sa présence au Championnat d’Europe U18 qui se déroulera en Turquie du 16 au 22 décembre. Une compétition qui l’empêchera de disputer quatre rencontres de championnat...\\n\\n« Contrairement à ce qui a été écrit dans le quotidien l’Equipe du mercredi 16 novembre 2016, le joueur de la SIG Strasbourg, Frank Ntilikina, sera bien convoqué et présent lors du Championnat d’Europe U18 qui a été reporté et qui doit se dérouler en Turquie du 16 au 22 décembre prochain » écrit Patrick Beesley. « Je tiens à remercier le président Martial Bellon et Vincent Collet pour leur coopération, alors que leur joueur a un temps de jeu conséquent avec les pros et qu’il manquera 4 rencontres au total. De plus je souhaite préciser que le joueur a été dispensé du premier rassemblement à l’INSEP, qui s’est déroulé du 30 octobre au 1er novembre, à mon initiative, comme il le sera lors du second regroupement du 27 au 29 novembre. »\\n\\nDans son communiqué, le DTN rappelle que « la position de ce championnat d’Europe reporté est particulière et cette situation est exceptionnelle. Les clubs et les joueurs en sont conscients et je peux confirmer que nous aurons, lors de cet Euro, une Équipe de France compétitive »."
}, 
{"role": "user",     "content":"L’agent François Lamy estime être l’objet «d’une tentative de mise à mort professionnelle »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il est l’homme, l’agent, qui a déposé un recours auprès de la Commission Européenne obligeant la Ligue Nationale de Basket à modifier ses règlements en matière de Joueurs Formés Localement, les fameux JFL. Depuis François Lamy est une cible. Il défend ici son point de vue. Sans mâcher ses mots.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQu’est-ce qui vous avait poussé à déposer un recours en 2013 auprès de la Commission Européenne ?\\n\\nJe dirais qu’en premier lieu, je déteste qu’on prenne les gens pour des imbéciles. J’ai étudié très précisément la règlementation Européenne et sa version française dès son instauration, et dès que j’ai eu la certitude que l’esprit de la règle avait été opportunément manipulé, j’en ai fait un cheval de bataille. D’abord en interne en essayant de convaincre que la méthode n’était pas la bonne, pendant deux ans, puis en portant le dossier à la Commission en posant la question de la régularité de la transformation lorsqu’il a été question d’aller plus loin dans la manipulation. J’avais tenté en janvier 2013 d’alerter les instances en présentant un document de proposition étayé, fruit d’une consultation des coaches et GM, resté sans réponse. Le climat de la mise en place de cette règle m’avait également fortement déplu, à base de discours pour le moins tendancieux et déplacés dans le sport. Et il revient malheureusement au goût du jour.\\n\\nLa nouvelle réglementation de la LNB ne contraint plus les clubs de Pro A qu’à quatre joueurs formés localement (JFL), ce qui veut dire que chaque équipe peut aligner quatre non-JFL extra-communautaire (Américains, Australiens, etc...) et deux « Bosman-Cotonou » (Allemands, Bénin, etc.). Qu’auriez-vous souhaité ?\\n\\nJe renvoie vers ce document pour voir ce qui était proposé, après donc cette consultation, une formule en conservant 5 JFL, en réduisant d’un joueur US, et en ouvrant le reste des effectifs aux joueurs communautaires. Cette formule, avec des aménagements d’incitation à la formation et à la fidélisation des joueurs, aurait évité le recours, et aurait apaisé le climat. Il existe des alternatives à la contrainte, et j’aurais surtout souhaité que les discours de promotion de ces règlementations ne soient pas aussi excluant et anxiogènes. C’est de l’agitation des extrêmes, que je ne supporte pas dans un débat public, puisque renvoyant à des méthodes et discours politiques qui ont du coup maintenant vraiment le vent en poupe.\\n\\nOn observe par ailleurs depuis quelques années au niveau européen une recrudescence d’Américains qui bénéficient de passeports européens ou même africains et qui ainsi peuvent à la fois jouer comme « Bosman-Cotonou » et même pour les équipes nationales des pays qui leur délivrent ces passeports. Y a-t-il au niveau de certains agents un véritable trafic avec la complaisance d’Etats peu regardants ?\\n\\nIl y a un marché qui existe, c’est évident, et il est surtout florissant pour d’autres intermédiaires qui interviennent sur ces dossiers. C’est regrettable, mais justement la formulation de la règle différemment aurait pu rendre ce souci minimal en France. C’est à la Fiba d’agir sur ces dérives, or ces passeports sont délivrés par des gouvernements à la demande des Fédérations de ces pays. Il serait opportun de plutôt blâmer l’autorité censée endiguer le souci plutôt que sur ceux qui s’engouffrent opportunément dans une brèche qu’ils n’ont pas créée. Les dérives mercantiles doivent être évidemment régulées, mais il y a des intérêts qui nous échappent, et la composition de l’équipe de handball du Qatar aux championnats du Monde organisés là-bas, avec la bénédiction des instances, devrait poser la question du bénéfice ultime de ces dérives, ou plutôt y répondre.\\n\\n« J’ai été accusé de favoriser la clientèle de joueurs Européens, qui représente 3 joueurs sur les 30 contrats conclus cette saison »\\n\\nOn vous a reproché notamment de déposer ce recours pour placer davantage de joueurs américains. Que représentent ceux-ci pour You First ?\\n\\nLe recours a été déposé un an avant que je rejoigne You First. C’est ma responsabilité personnelle, même si j’ai la chance d’être soutenu par mon boss Juan Aisa (Ndlr : ancien joueur passé par Le Mans et Pau), qui place l’éthique au-dessus du business. On m’a d’abord en effet reproché de favoriser une clientèle américaine, alors même que la proposition formulée supprimait 36 spots de joueurs américains, soit 20% du marché environ. Et ensuite j’ai été accusé de favoriser la clientèle de joueurs Européens, qui représente 3 joueurs sur les 30 contrats conclus cette saison. Puisque la question induite est de savoir où se situe mon intérêt, il se situe dans l’existence d’un système sain et équilibré, en se souciant de l’intérêt général et de la formation, mais aussi de l’équité. Mon intérêt commercial aurait été de faire comme d’autres et spéculer sur cette bulle inflationniste des joueurs JFL référencés, pas de me lancer dans cette démarche. J’en étais conscient dès le début, je l’avais écrit dans l’introduction de l’étude de 2011. J’ai une compétence reconnue dans l’import de joueurs étrangers, mais les joueurs français avec qui je travaille depuis 2009 sont aussi un marqueur d’une forme de compétence dans le suivi, puisqu’ils ont tous joué en N1 mais ont tous aussi goûté à la ProA.\\n\\n« Jamais la suppression de la règle JFL n’a été réclamée ni évoquée, ni par moi, ni par la Commission »\\n\\nVous estimez avoir été victime d’une cabale de la part des institutions du basket français et d’être devenu une sorte de brebis galeuse.\\n\\nJe ne l’estime pas, c’est factuel, et vérifiable, je suis l’objet d’une tentative de « mise à mort professionnelle » qui a d’abord été orchestrée au niveau des joueurs et de leur organe représentatif, avant d’être institutionnalisée lors d’une campagne de dénigrement par le président de la LNB, y compris dans vos colonnes. Mon plus gros souci avec ça, c’est que ce soit sur la base de mensonges et d’approximations sur l’origine, l’esprit, et le déroulement de la procédure. Jamais la suppression de la règle JFL n’a été réclamée ni évoquée, ni par moi, ni par la Commission. L’intégralité de mes prises de position et des documents est consultable librement sur ma page Facebook, y compris le dossier qui devait introduire une plainte en caractérisant la diffamation et le dénigrement du président de la LNB, avec tous les éléments de preuves.\\n\\nUne plainte ?\\n\\nJ’en ai été dissuadé, certains réseaux de soutien étant visiblement trop efficaces. Je laisse donc les gens que ça intéresse juger par eux-mêmes. Si lui juge qu’il y a lieu de me poursuivre en diffamation, tant mieux, ce sera l’occasion d’exposer les soucis, puisque l’exception de vérité est une cause de non responsabilité juridiquement dans les affaires de diffamation.\\n\\nQue demandez-vous ?\\n\\nJ’estime qu’il est temps d’ouvrir les yeux sur la méthode impulsée, à base de mensonges, de caricature, de diabolisation, d’abus de pouvoir, d’intimidations, alors même que le bureau et le comité directeur de la LNB regorgent de personnes de grande qualité. Entre un devoir de solidarité et une obligation de soumission, il doit exister un juste milieu. Les écrans de fumée qu’il instaure visent à masquer la vérité à des fins de s’accaparer plus de pouvoir, notamment en favorisant des intérêts corporatistes, et pas seulement sur ce sujet. Le traitement des compétitions européennes a suivi le même schéma, en profitant de la technicité du dossier pour asséner des mensonges à tour de bras.\\n\\nVotre business s’en ressent-il ?\\n\\nBien évidemment que mon « business » s’en ressent, et heureusement mes quinze ans d’expérience et mes très bons résultats, ainsi que mon réseau international solide atténuent les soucis, ainsi que tous les soutiens que je reçois en « off », de peur de représailles. Mais au-delà des intérêts business, j’ai acquis la certitude dérangeante de travailler dans un système vicié au niveau de son leadership, et qui délivre des messages nocifs et des exemples néfastes, notamment aux joueurs, et c’est ce qui me dérange le plus. J’aimerais qu’à un moment il y ait une prise de conscience et que quelqu’un siffle la fin de la récré.\\nSi j’étais un prêcheur de mauvais aloi dans un oasis d’opulence pour le basket pro français, j’aurais bien voulu me considérer comme un fauteur de trouble. Mais je ne vois pas d’oasis à l’horizon. On demande souvent ce qui ne va pas dans le basket pro français, personnellement je connais dorénavant la réponse.\\n\\n[armelse]\\n\\nQu’est-ce qui vous avait poussé à déposer un recours en 2013 auprès de la Commission Européenne ?\\n\\nJe dirais qu’en premier lieu, je déteste qu’on prenne les gens pour des imbéciles. J’ai étudié très précisément la règlementation Européenne et sa version française dès son instauration, et dès que j’ai eu la certitude que l’esprit de la règle avait été opportunément manipulé, j’en ai fait un cheval de bataille. D’abord en interne en essayant de convaincre que la méthode n’était pas la bonne, pendant deux ans, puis en portant le dossier à la Commission en posant la question de la régularité de la transformation lorsqu’il a été question d’aller plus loin dans la manipulation. J’avais tenté en janvier 2013 d’alerter les instances en présentant un document de proposition étayé, fruit d’une consultation des coaches et GM, resté sans réponse. Le climat de la mise en place de cette règle m’avait également fortement déplu, à base de discours pour le moins tendancieux et déplacés dans le sport. Et il revient malheureusement au goût du jour.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"FEC : Benfica surprend Chalon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le cadre de la cinquième journée de FIBA Europe Cup, l’Elan Chalon se déplaçait à Lisbonne pour y affronter Benfica. Grâce à un très gros deuxième quart-temps (32-15), les Portugais ont pu prendre une avance assez importante pour la garder jusqu’au buzzer final et s’imposer 77-69.\\n\\nLes 22 points et 7 rebonds de Cameron Clark n’ont pas suffi face aux 29 unités, 6 rebonds, 2 interceptions et 4 passes décisives (29 d’éval) de Carlos Morais qui a passé la totalité de la rencontre sur le terrain. La boxscore du match est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nMalgré cette défaite, la formation de Jean-Denys Choulet pointe toujours à la première place de son groupe avec un bilan de trois victoires et deux défaites.\\n\\nPhoto : FIBA Europe Cup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Championnat nationaux : le Top 10 de la semaine (12 novembre)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque saison depuis maintenant cinq ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCette semaine, c’est Xane D’Almeida et Eric Bosc (UTLPB Tarbes, NM1) qui pointent à la première place du classement avec un superbe alley-oop conclu en contre-attaque.\\n\\n\\nTop 10 CourtCuts FFBB du 12 Novembre 2016 par FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"FEC : sans Cooper, l’Elan Béarnais s’impose face à Tartu"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mardi soir, l’Elan Béarnais se déplaçait à Tartu à l’occasion de la cinquième journée de la FIBA Europe Cup, et les Palois quittent l’Estonie avec une victoire 89-68.\\n\\nEn l’absence de D.J. Cooper touché à la cuisse, Ron Lewis a pris les choses en main en compilant 22 points, 2 rebonds et 5 passes décisives pour une évaluation de 24, bien épaulé par Vitalis Chikoko et ses 12 points, 9 rebonds et 2 passes décisives (22 d’évaluation). La boxscore du match est à retrouver en intégralité ici.\\n\\nLe technicien palois, Eric Barthecheky s’est exprimé sur le site du club après la rencontre.\\n\\n« On était un peu dans l’inconnu avant ce match sachant qu’il arrivait juste après la défaite survenue à Toulon et qu’il se disputait sans notre meneur DJ Cooper. On pouvait se demander comment on allait gérer nos montées de balle si on subissait la même pression que face au HTV. Au final, on a plutôt bien contrôler le match même s’il faut relativiser tout cela car on a bien vu au cours de ce premier tour que l’intensité de nos adversaires en FIBA Europe Cup était moindre que celle rencontrée en Pro A. On a été sérieux même si on revient mal dans la rencontre après la pause à l’image de ce ballon perdu sur la remise en jeu. On a manqué quelques shoots ouverts et Tartu en a profité pour revenir. Même chose en début de quatrième quart-temps avec un retour à -4 qui a nécessité quelques ajustements de notre part. Heureusement on a pu refaire aussitôt un écart. »\\n\\nPhoto : FIBA Europe Cup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : les meilleurs joueurs de la huitième journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la huitième journée de Pro A, l’équipe de SFR Sport a dressé le bilan des cinq meilleurs joueurs français et et des cinq meilleurs joueurs étrangers de la semaine.\\n\\nDu côté Français, on retrouve Edouard Choquet qui, dans la victoire du CCRB face à Nancy (94-90), a signé son record d’évaluation en Pro A (23) en compilant 11 points, 6 rebonds et 7 passes décisives. Côté étranger, c’est Chris Warren qui prend la place de meneur dans ce cinq majeur de la semaine. Dans le succès de Nanterre à Dijon 73 à 72, le natif d’Orlando a inscrit 25 points et capté 3 rebonds pour une évaluation de 17.\\n\\nAu poste de deuxième arrière, c’est Axel Bouteille qui fait son entrée dans le cinq majeur français de la semaine grâce à ses 15 points et 3 rebonds (17 d’éval) enregistrés dans la large victoire de Chalon contre Limoges (90-66). Du côté des JNFL, c’est le Strasbourgeois A.J. Slaughter qui, avec 27 points (10/14 aux tirs) et 3 passes décisives pour 27 d’éval, à largement contribué à la victoire des siens face à Cholet et qui a donc été choisi.\\n\\nA l’aile, c’est William Howard qui a été sélectionné pour la première fois de la saison grâce à son bon match face à l’EBPLO (11 points, 5 rebonds et 3 assists) que l’HTV a remporté 85-70. Pour les étrangers, Mark Payne fait son retour dans le cinq type de la semaine grâce à ses 20 points, 3 rebonds et 4 passes décisives compilés pour une éval de 28 face à Nancy.\\n\\nAu poste 4, c’est Mathias Lessort qui a été choisi en compilant 20 points et 13 rebonds (27 d’évaluation) face à la JDA. Pour les étrangers, c’est un petit nouveau qui fait son apparition dans le cinq type de la semaine puisque c’est Nik-Caner Medley qui a été choisi. Dans le derby face à Antibes remporté par l’ASM 88-64, l’intérieur monégasque a compilé 12 points, 8 rebonds et 3 passes décisives pour une éval de 23.\\n\\nEnfin, Moustapha Fall a été élu meilleur poste 5 de la semaine en inscrivant 14 points et en captant 11 rebonds (26 d’éval) face à Limoges. Côté étranger, c’est l’intérieur de l’Orléans Loiret Basket, Marcellus Sommerville qui termine meilleur poste 5 de la semaine en compilant 24 points (9/13 aux tirs) et 8 rebonds pour une évaluation de 23 dans la victoire de son équipe face au Portel (67-60).\\n\\n\\nCinq majeur français\\n\\n * Edouard Choquet (Chalons-Reims) : 11 points, 6 rebonds, 7 passes décisives, 23 d’évaluation.\\n * Axel Bouteille (Chalon-sur-Saône) : 15 points, 3 rebonds, 1 passe décisive, 17 d’évaluation.\\n * William Howard (Hyères-Toulon) : 11 points, 5 rebonds, 3 passes décisives, 23 d’évaluation.\\n * Mathias Lessort (Nanterre) : 20 points, 13 rebonds, 1 passe décisive, 27 d’évaluation.\\n * Moustapha Fall (Chalon-sur-Saône) : 14 points, 11 rebonds, 26 d’évaluation.\\n\\n\\nCinq majeur étranger\\n\\n * Chris Warren (Nanterre) : 25 points, 3 rebonds, 17 d’évaluation.\\n * A.J. Slaughter (Strasbourg) : 27 points, 1 rebond, 3 passes décisives, 27 d’évaluation.\\n * Mark Payne (Chalons-Reims) 20 points, 3 rebonds, 4 passe décisive, 28 d’évaluation.\\n * Nik-Caner Medley (Monaco) : 12 points, 8 rebonds, 3 passes décisives, 23 d’évaluation.\\n * Marcellus Sommerville (Orléans) : 24 points, 8 rebonds, 23 d’évaluation."
}, 
{"role": "user",     "content":"Prospects : Mathias Lessort (Nanterre) veut être le prochain Martiniquais en NBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mathias Lessort (2,05m, tout juste 21 ans) a fait preuve d’un formidable abattage lors du match JDA Dijon-Nanterre 92 : 20 points (8/11 aux shoots), dont 13 dans les 14 dernières minutes du temps réglementaire, et 13 rebonds dont 6 offensifs. L’une des explications majeures à la victoire des Franciliens en Bourgogne, 73-72 après le rab de cinq minutes.\\n\\nFaut-il rappeler que le Martiniquais a déjà fait encore mieux, beaucoup mieux ? C’était le 6 février dernier. L’Elan Chalon était privé de ses deux scoreurs américains, Devin Booker et Jeremy Hazell. Mathias a vu la lumière et s’est engouffré dans l’opportunité. A la demande de son coach Jean-Denys Choulet, il s’est concentré sur les rebonds pour en capter 15 dont 12 offensifs. Et profitant de cette cueillette miraculeuse, il a ajouté 28 points à 10/15 aux shoots. Ce n’est pas tout : il a fait 2 passes, 3 interceptions et 2 contres. Le tout en ne passant que 28 minutes sur le terrain. Son évaluation fut de 42, égalisant ainsi la meilleure performance de l’histoire de l’Elan Chalonnais réalisée par l’Américain Terrel Everett.\\n\\nUne histoire vraiment extraordinaire qui prouve le potentiel du jeunot et pose une nouvelle fois la question de l’utilisation des prospects français à la sortie des centres de formation. Mathias n’avait droit jusque là qu’à 8 minutes de temps de jeu en moyenne pour 4,8 d’éval.\\n\\n\\nLa draft en juin\\n\\nComme son pote David Michineau, comme avant lui Yakuba « Billy » Ouattara et Jordan Aboudou, Mathias Lessort a préféré quitter cet été son club formateur, avec qui il s’est approprié tant de trophées en jeune, pour augmenter ses minutes sur le terrain. Plutôt que trois autres clubs français et Andorre, celui d’Andew Albicy, Matthias a privilégié Pascal Donnadieu qui a déjà participé notamment à l’éclosion d’Adrien Moerman, Edwin Jackson et Evan Fournier. Il a signé pour trois ans à Nanterre. Pari gagné puisque son temps de jeu a presque doublé, passant de 12 à 22 minutes en moyenne. Son coup d’éclat à Dijon n’est pas le fruit du hasard. Il en est à 10,5 pts à 69,2% aux tirs et 7,1 rbds en huit matches. Sa précision chirurgicale dans les tirs, la deuxième de Pro A, s’explique notamment par sa propension à dunker à tour de bras (1,88 par match).\\n\\nSi le Martiniquais est considéré comme un joueur surpuissant au physique formidable, dur, capable de défendre sur des joueurs de différentes positions –il y a du Florent Pietrus en lui-, il possède en revanche une taille un tantinet limitée pour son poste et son peu d’efficacité dans les shoots extérieurs (deux tirs à trois-points tentés dans toute sa carrière professionnelle) pose problème pour un vrai positionnement en ailier-fort. Ne sentant pas le vent porteur, il a d’ailleurs retiré son nom de la dernière draft NBA ; il sera éligible en juin prochain.\\n\\nIl y a quelques mois, ElanTV faisait découvrir le Martiniquais chez lui, avec ses grosses lunettes et son sourire dont il ne se départit pas. Il y confie notamment avoir eu peu d’appétence pour l’école, prendre conseil auprès de ses deux frères aînés dont Gregory depuis deux ans à Vichy-Clermont en Pro B, et donne sa philosophie de vie :\\n\\n« Quand je vais moins bien, je me rappelle d’où je viens, que je sors de loin. J’ai beaucoup de chance d’être ici. Beaucoup de personnes en Martinique me regardent, croient et comptent sur moi. »\\n\\nAu moment où il effectuait des workouts avec les Utah Jazz, en juin dernier, le Martiniquais avait par ailleurs déclaré au deseretnews son admiration pour Ronny Turiaf et son ambition :\\n\\n« C’est vraiment un exemple pour nous. Quand les jeunes de mon île parlent de la NBA, ils pensent à lui car il est le seul à y avoir joué. Je veux être le prochain. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"ASVEL : Nikola Dragovic de retour dès samedi ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Touché à la cheville lors du match face au PAOK en Champions League, la semaine dernière, Nikola Dragovic avait rejoint l’infirmerie de l’ASVEL pour une durée d’environ deux semaines.\\n\\nA l’issue de la rencontre face à Ventspils de ce mardi, le coach villeurbanais, J.D. Jackson a laissé entendre en conférence de presse que l’ailier serbe devrait faire son retour à l’entrainement dès jeudi et qu’il pourrait être opérationnel samedi, pour la réception du Paris-Levallois à 20h45.\\n\\nCe serait une bonne nouvelle pour l’ASVEL qui évolue actuellement avec seulement sept professionnels et qui souffrait déjà des absences de Charles Kahudi et Trent Meacham.\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : l’ASVEL assure face à Ventspils"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la cinquième journée de Champions League, l’ASVEL accueillait les Lettons de Ventspils. Malgré un faible deuxième quart-temps (8-17), les joueurs de la formation villeurbannaise se sont imposés 83 à 68 grâce au double-double de Darryl Watkins (10 points et 12 rebonds).\\n\\nAvec cette troisième victoire dans la compétition, les hommes de J.D. Jackson prennent la deuxième place de leur groupe avec trois victoires pour deux défaites. Ils sont seulement devancés par Klaipeda qui reste invaincu en Champions League (4v-0d), tout en ayant un match de retard.\\n\\nAprès le match, le technicien villeurbannais s’est exprimé sur ce bon résultat.\\n\\n« Je n’ai pas apprécié notre première mi-temps parce que seulement quatre fautes commises, cela montre notre manque de combativité. Ce ne sont pas des mauvais défenseurs mais ils ont soigné leurs fautes. Il faut savoir jouer avec dureté et intensité. Il faut aussi malgré tout savoir gérer ses fautes et on l’a bien fait en deuxième mi-temps. Je suis tout de même content d’avoir été chercher cette victoire, vu le contexte dans lequel évolue notre équipe ces derniers temps avec les absences de joueurs majeurs. En fin de partie j’ai essayé de faire tourner les jeunes pour que personne ne dépasse les trente minutes de jeu mais c’est vrai qu’on a pu constater un manque de concentration sur la fin avec pas mal de pertes de balle. »\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 16 novembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nWalker comprend vite\\n\\n– GRAND ARTISAN DU SUCCÈS à Tenerife (23 points), encore décisif dans le money time samedi dernier à Cholet, Erving Walker commence à endosser les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe péril jeune\\n\\n– Face à Mega Leks, étonnante équipe serbe de “gamins” qui rêvent d’Amérique, la SIG de Vincent Collet veut poursuivre son redressement. Ce soir, il... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCoupe Fiba : l’Asvel sur sa lancée\\n\\n– Le champion de France, qui ne pouvait se reposer que sur sept joueurs professionnels, a remporté un magnifique succès face aux Lettrons de Ventspils. Le voilà idéalement lancé en coupe d’Europe... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe nombre d’arbitres progresse légèrement dans l’Ain\\n\\n– Les responsables du corps arbitral du comité de l’Ain ont le sourire en ce début de saison. En effet, le nombre des arbitres enregistrés est en... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nJoe Burton comme une évidence\\n\\n– Déjà garnie de plusieurs titres MVP dont celui de meilleur joueur de la pro-B la saison passée, trophée qu’il a donné à son grand-père, premier coach... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe collectif fosséen reçu cinq sur cinq\\n\\n– Cinq victoires séparent le leader invaincu, Fos-sur-Mer du dernier Boulogne-sur-Mer. Six rencontres sur neuf se sont tenues sous la barre des 10... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCeyzériat regarde vers le haut\\n\\n– Après un maintien arraché sur le fil la saison dernière, Ceyzériat vise désormais la partie haute de la poule pour espérer cueillir une montée en mai... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nAdmirable, l’Asvel ne lâche rien\\n\\n– Après avoir douté dans le deuxième quart-temps, les Villeurbannais ont signé un superbe succès, avec sept pros, face aux Lettons... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nAmbiance de cour d’école à Saint-Doulchard\\n\\n– Dimanche, les Étrechois ont concédé leur deuxième défaite de la saison sur le terrain de Saint-Doulchard (79-62). Mais plus que le match en lui-même, c’est en tribunes qu’il y a eu du... Lire la suite.\\n\\n\\nOn a l’opportunité de remettre la tête hors de l’eau dans les deux compétitions\\n\\n– On a l’opportunité de remettre la tête hors de l’eau dans les deux compétitions. De Vincent Collet, le coach de la SIG. Son équipe joue sept fois au... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPanier à 0 point\\n\\n– Au basket, certains matches durent plus longtemps que d’autres. Les espoirs de Nanterre et de l’ASVEL en ont récemment fait l’expérience lors de la 7e... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDes débuts en fanfare\\n\\n– Les seniors masculins du BC Berrwiller/Staffelfelden, entraînés depuis cet été par Christel Chaumartin, tournent à plein régime : ils ont remporté... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSIG : faire un pas de plus\\n\\n– Revigorée, la SIG veut profiter de la réception des Serbes de Mega Leks, ce soir (20 h 30) au Rhénus, lors de la 5e journée du groupe D de la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Monaco chute à Banvit !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Privée de Brandon Davies, touché à la cuisse, Monaco se déplaçait en Turquie pour y affronter Banvit à l’occasion de la cinquième journée de Champions League.\\n\\nMenés par un grand Gediminas Orelik à 25 points (10/12 aux tirs dont 4/6 à trois points) et 5 rebonds pour une évaluation de 29, les joueurs de Sasa Filipovski se sont imposés 79 à 65 malgré les 15 points chacun de Sergiy Gladyr et de Yakuba Ouattara.\\n\\nDeuxième de son groupe avec quatre victoires pour une seule défaite juste derrière l’Aris Salonique qui possède le même bilan, l’ASM n’est donc plus invaincue dans la compétition.\\n\\nL’entraîneur monégasque s’est exprimé sur cette défaite après le match.\\n\\n« Tout d’abord félicitations à Banvit et à mon collègue Filipovski pour ce gros match. L’absence de Brandon Davies nous a vraiment compliqué la vie surtout sur la défense des pick-and-rolls mais aussi au rebond. Cette victoire est complètement méritée pour Banvit mais je suis désolé que mon équipe n’ait pas pu proposer un meilleur basket, à l’image de celui que nous pouvons montrer habituellement. »\\n\\nPhoto : Basketball Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Théo Léon de retour à Fos-sur-Mer"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Afin de pallier l’absence de Xavier Gaillou, victime d’une violente béquille face à Boulogne et absent pour un mois, Théo Léon a été rappelé par le Fos Provence Basket, comme indiqué sur le site du club.\\n\\nA Fos entre 2012 et 2014, le natif de Chambéry tourne en moyenne en Pro B à 5,4 points, 2,2 rebonds et 3,6 passes décisives pour une évaluation de 6,9 en 102 matchs entre Aix-Maurienne, Roanne et donc Fos-sur-Mer.\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’Euroleague prête à libérer ses joueurs pour les qualifications de la Coupe du Monde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Fédération Internationale (FIBA) a reçu récemment un courrier de l’Euroleague Commercial Assets (ECA) informant que les règlements de celle-ci n’empêchent pas une mise à disposition de ses joueurs d’Euroleague et d’Eurocup pour les compétitions d’équipes nationales. On peut prendre cette nouvelle comme un pas en avant positif dans la recherche d’une solution au conflit entre les deux organismes qui pourrit depuis plusieurs mois le basket européen.\\n\\nPar ailleurs, le Comité Exécutif a confirmé que la FIBA couvrira les coûts de l’assurance blessures liés à la participation de tous les joueurs aux qualifications de la Coupe du Monde qui commenceront en novembre 2017. Cette assurance couvrira les risques lors des matchs et des séances d’entraînement, ainsi que lors de la Coupe du Monde 2019."
}, 
{"role": "user",     "content":"Antibes : un contrat de deux mois pour Max Kouguere"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tre Simmons mis au repos forcé jusqu’à la trêve de Noël à cause de son genou droit, Antibes a indiqué sur son site avoir engagé en renfort Max Kouguere.\\n\\nSans club depuis la fin de saison dernière, l’international centrafricain s’entraînait avec les Sharks depuis le mois d’août. Il avait également pris la place d’Isaïa Cordinier, touché au scaphoïde, lors des deux premiers matchs de la saison et avait tourné à 9,5 points, 3,5 rebonds et 2 assists de moyenne.\\n\\nAvec un contrat allant jusqu’au 13 janvier 2017, Kouguere apportera toute son expérience à cette équipe d’Antibes qui pointe à la 14e place du classement de Pro A (3v-5d).\\n\\nDans l’Elite depuis la saison 2007/2008, l’ancien joueur du Havre compile en moyenne 6 points et 2,3 rebonds pour une évaluation de 5,7.\\n\\nPhoto :sharks-antibes.com"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tyreek Duren s’engage avec Boulogne-sur-Mer"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à la blessure à l’adducteur gauche de JBAM, qui le tiendra écarté des terrains pour quatre semaines, le SOMB annonce sur son site qu’il a fait appel au meneur américain Tyreek Duren.\\n\\nFormé à l’université de La Salle et non drafté en 2014, ce natif de Philadelphie a commencé sa carrière professionnelle en Europe. La saison dernière avec l’AEK Lanarca il tournait à 15,8 points (48.6% à 3pts), 4,8 rebonds et 3,4 passes décisives en 10 matchs.\\n\\nLe manager général du club boulonnais, Olivier Bourgain, s’est exprimé sur cette arrivée.\\n\\n« On se renforce car nous sommes derniers au classement et que cela ne sert à rien de faire la politique de l’autruche. L’équipe est bancale depuis le début de saison, on sent qu’il manque quelque chose. Ce n’est pas seulement un meneur de jeu mais une cohésion, une âme, avec des joueurs plus charismatiques. Malheureusement on vient de perdre JBAM et, plutôt que prendre un pigiste médical poste pour poste, on a décidé avec les entraîneurs d’amener un nouveau meneur de jeu. »\\n\\nPourquoi un meneur de jeu plutôt qu’un intérieur ?\\n\\n« Ce n’est pas que l’on en veuille à Teddy Gipson mais aujourd’hui on pense que notre carence est sur les postes extérieurs. On va espérer que ce joueur apporte plus de sérénité dans la création du jeu. C’est un joueur qu’on suit depuis le mois de Juin. Il a été champion, on connaît ses capacités de leader et il connait l’Europe. Il n’a pas encore joué de l’année donc il faudra être patient avec lui. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Maleye Ndoye prolonge au Paris-Levallois pour toute la saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé en tant que pigiste médical de Cyrille Eliezer-Vanerot en septembre, Maleye NDoye prolonge finalement pour toute la saison, comme le rapporte le club francilien sur son site.\\n\\nBien connu du club, il l’avait quitté en fin de saison dernière, après quatre années de bons et loyaux services, mais sans trouver d’employeur pour cette saison. Avec 130 matchs à son actif en tant que joueur du PL, l’ailier sénégalais est le meilleur marqueur à trois points de l’histoire du club présidé par Jean-Pierre Aubry (245 tirs primés réussis).\\n\\nCette saison, l’ancien joueur du MSB compile en moyenne 5,5 points et 2,1 rebonds pour une évaluation de 5,9 par match.\\n\\nPhoto : Karen Mandau"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nicolas Raimbault :  « Diaw et Turiaf savent que les relations créées avant d’être riches et célèbres ont plus de valeur »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il fut à la fois un joueur de niveau national, un étudiant brillant et Directeur Technique National adjoint. Il s’est lancé dans les affaires avec Boris Diaw et Ronny Turiaf qu’il avait connus à l’époque où il était assistant coach en équipe de France juniors. Il est aujourd’hui vice-président de l’Orléans Loiret Basket 45 chargé du secteur sportif. Bref, il y a de multiples raisons pour que BasketEurope s’intéresse à Nicolas Raimbault.\\n\\nL’interview est en deux parties.\\n\\nQuand on regarde votre parcours d’étudiant, on se dit « mais comment a-t-il fait pour être en même temps basketteur professionnel » ?\\n\\nLes études, c’était davantage une fois que je me suis posé. En Nationale 2, c’était un entraînement par jour et ça me permettait de mener les deux et même les trois de front. Je n’avais pas le talent pour être pleinement basketteur professionnel et j’ai pris le partie d’une activité semi pro. Pendant cinq ans j’ai été conseiller technique régional pour la Région Centre pour faire de la formation de cadres puis pendant les dix années où j’étais DTN adjoint, toujours dans la formation de cadres, j’ai continué de jouer au basket, à Orléans, à Blois. Je me suis formé à travers le Master pour la formation pour adultes, mon DEA en psychologie du sport et pour sortir de la fédé, l’Exécutive MBA de HEC. Je me suis toujours dit que la meilleure façon d’envisager l’après-basket c’est de le construire pendant le basket. J’ai bien fait car pendant que j’ai été DTN adjoint, j’étais notamment chargé de la reconversion des athlètes de haut niveau. J’ai fait passer leurs brevets d’Etat à Freddy Fauthoux, Laurent Sciarra, Antoine Rigaudeau, Fred Forte, Jimmy Verove, les deux frères Gadou, et je me suis dit que ce n’était pas si simple quand on s’en préoccupait à l’issue de la carrière.\\n\\nPour fixer tout ça dans le temps, quelles ont été les périodes de ces différentes activités ?\\n\\nJ’ai arrêté ma carrière avec le titre de champion de France de Nationale 2 avec Blois en mai 2005 alors que j’ai été DTN adjoint de 2001 à 2012.\\n\\nVous avez déclaré avoir été amer que le président Yvan Mainini vous ait promis le poste de Directeur Technique National mais que Jean-Pierre De Vincenzi, qui était titulaire du poste, vous ait savonné la planche ?\\n\\nJ’en ai été très amer car j’ai très mal vécu les choses dans l’instant. Je n’étais pas suffisamment armé à cette période là pour comprendre tous les enjeux. Avec le recul, j’ai le regret d’avoir été amer, peut-être de m’être un peu trop exprimé là-dessus car j’en ai fait une expérience qui finalement m’a aidé à avancer. Il y a une vie après la fédé. C’est aussi dans les moments où vous êtes en difficulté que vous voyez comment les uns et les autres se positionnent. Et même si vous avez travaillé loyalement avec des gens pendant dix ans, il n’y en a finalement pas beaucoup qui restent à vos côtés. Philippe Legname (NDLR : président de Hyères-Toulon, président de la Ligue Féminine, membre du Comité Directeur de la FFBB) a été l’un des très rares à m’avoir accompagné pour que ma sortie de la fédération soit la plus propre possible. Je lui en saurai gré jusqu’à la fin de mes jours.\\n\\nC’est ça qui vous a poussé à passer de la fonction publique au privé ?\\n\\nOui, je devais être un fédéraste jusqu’à la fin de mes jours... J’emploie ce terme avec humour. Ce que je n’ai pas compris sur l’instant c’est que Jean-Pierre De Vincenzi était très fragilisé lorsque Bernard Laporte (NDLR : ancien secrétaire d’Etat aux sports) avait pris la décision que les DTN ne devaient pas faire plus de deux mandats successifs. C’est le moment où Yvan Mainini, qui venait d’être réélu, m’a proposé de reprendre ce poste là. J’étais donc programmé pour rester fédéraste car cet univers me correspondait bien. J’avais aussi de bonnes relations avec pas mal de gens du secteur pro, de la LNB, qui m’ont soutenu y compris quand je me suis relancé ensuite dans le privé.\\n\\n« Quand on a été dans le dur, certains de mes associés m’ont dit d’aller revoir les deux millionnaires de NBA pour leur demander de recracher au bassinet. Je me suis refusé de le faire et j’ai moi-même provoqué la liquidation. »\\n\\nAvec des capitaux de Boris Diaw et Ronny Turiaf, vous avez lancé Arrêt de jeu, un restaurant à Paris, et il devait être le premier d’une chaîne ?\\n\\nNotre objectif était de créer la première chaîne de restaurant sur la thématique du sport comme les sports bar dont on connaît l’excellence à l’américaine. Lorsque j’ai fait mon exécutive MBA à HEC, j’ai planché sur le business case et la création de ce genre d’entreprise. D’autres actionnaires mais surtout Boris et Ronny quantitativement ont eu la gentillesse de se joindre au projet. Je leur en sais gré car la relation que j’avais avec eux tenait au fait que j’avais eu la chance de partager quelques moments lorsqu’ils étaient en équipe de France juniors. Ils savent que les relations qu’ils ont pu créer avant d’être riches et célèbres ont plus de valeur.\\n\\nCe qu’il faut donc préciser c’est votre passage de quelques mois comme adjoint de Pierre Vincent, aujourd’hui coach de votre club, avec les juniors de cette génération Parker, Diaw, Turiaf, Mickaël Pietrus ?\\n\\nOui, c’est de l’époque où j’étais encore CTR en Région Centre. Ce rôle d’adjoint m’avait été proposé par Jean-Pierre De Vincenzi et Pierre Vincent. Quelques mois après ça, Alain Blondé a quitté la fédé et c’est là qu’on m’a proposé de prendre le poste de DTN adjoint. Donc quand je me suis retrouvé dans la lever de fonds de ce projet Arrêt de jeu, comme quoi le monde est tout petit, je me souviens d’avoir discuté avec Philippe Legname au téléphone et c’est lui qui m’a dit : « Nico, tu connais bien Boris, pourquoi ne lui passes-tu pas un coup de fil ? » J’avais du mal à imaginer que je puisse demander de l’argent à quelqu’un que je connaissais. A la réflexion, je me suis dit « pourquoi pas »... Et de fil en aiguille ça s’est fait.\\n\\nMais ce fut un échec. Pourquoi ?\\n\\nNous sommes responsables et dans le nous, il n’y a ni Boris ni Ronny. Nous, c’est moi et les autres associés fondateurs. On ne s’est pas implanté au bon endroit. On était adossé au centre commercial Le Millénaire (NDLR : proche de la Porte d’Aubervilliers à Paris) dont on nous avait annoncé quinze millions de visiteurs par an et rapidement on s’est aperçu qu’il y avait l’équivalent de trois millions. Au bout de moins d’un an, la FNAC qui s’était implantée a vidé ses rayons. On a fait venir des personnalités, Tony Parker, Miss France, mais ça n’a pas permis d’avoir un plus suffisant. On n’a pas été bon sur ce sujet là et j’ai ma grande part de responsabilité. Certains de mes associés quand on a été dans le dur m’ont dit d’aller revoir les deux millionnaires de NBA pour leur demander de recracher au bassinet. De toute façon des euros supplémentaires auraient provoqué la même issue. Je me suis refusé de le faire et j’ai moi-même provoqué la liquidation.\\n\\nBoris Diaw ne vous en veut pas puisque vous avez monté ensemble un autre projet, Proxiform, des salles de fitness ?\\n\\nOn essaye de mettre ça en place sur le modèle d’Arrêt de jeu, c’est à dire sur le développement de la franchise. En provoquant la liquidation judiciaire d’Arrêt de jeu, je me suis endetté car j’étais caution de l’emprunt bancaire. Je pensais qu’il n’était pas possible de me lever le matin pour faire payer quelqu’un sans payer moi même ma caution. J’en ai beaucoup discuté avec Didier Domat (Ndlr : avocat spécialiste en droit du sport qui s’occupe des intérêts de différents joueurs dont Boris Diaw) qui était de très bon conseil. Effectivement Boris ne m’en veut pas et pour moi ça vaut tout l’or du monde. On est donc associés dans ce projet et on échange quelques fois dans l’année.\\n\\n« Beaucoup de gens pensent que Pierre Vincent est mon ami, que je le favorise. En fait, c’est Pierre Vincent le coach, c’est très bien, mais si demain c’est Tartempion, c’est très bien aussi. »\\n\\nMais votre vrai gagne-pain c’est PerfAndCO, une société qui fait du coaching de dirigeant, de manager en entreprise et de la formation en management, en communication, en gestion des conflits, en négociations ?\\n\\nJe fais des conférences sur les liens entre la performance en entreprise et celle dans les sports de haut niveau. Je vais d’ailleurs en faire une bénévolement pour les partenaires de l’OLB le 23 novembre. Après l’aventure Arrêt de jeu, même si on a lancé Proxiform, je me suis dit « qu’est-ce que je sais le mieux faire ? » C’était ça et j’en vis actuellement puisque le poste de vice président de l’OLB, je le fais bénévolement et j’y tiens.\\n\\nQuel est votre champ de compétence au club, notamment vis à vis de Pierre Vincent qui est coach et directeur technique ?\\n\\nC’est de faire le lien avec le président sur la dimension sportive, les échanges avec les agents et les joueurs notamment pendant les périodes de recrutement. Je suis d’ailleurs allé à la summer league de Las Vegas en juillet dernier avec Philippe Legname. A mon modeste niveau, c’est essayer que l’on ait les meilleurs moyens pour que les résultats soient le meilleur possible.\\n\\nL’an dernier, il y a eu un conflit avec Pierre Vincent qui voyant qu’on lui imposait Thomas Drouault comme assistant a menacé de partir alors qu’il lui restait deux ans de contrat. Vous étiez au cœur du conflit. Ce n’est évident de gérer ce type de situation quand il y a une dimension humaine ?\\n\\nOui mais il y a une dimension humaine avec toutes types de personne avec qui je travaille. Beaucoup de gens pensent que Pierre Vincent est mon ami, que je le favorise. En fait, c’est Pierre Vincent le coach, c’est très bien, mais si demain c’est Tartempion, c’est très bien aussi. Je les connais tous et j’apprécie une bonne partie d’entre eux ! J’ai organisé leurs différentes formations, j’ai fait passer à Pascal Donnadieu le DEPB (Ndlr : diplôme d’entraîneur professionnel), aux uns et aux autres. Mon souci c’est de me dire que le sport professionnel, la Pro A, c’est un environnement extrêmement compétitif et ce type de situation n’aide pas le club à être dans les meilleures dispositions pour affronter ses adversaires. Je crois que ce club a des moyens qui peuvent lui permettre d’exister correctement et durablement en Pro A. Il y a la perspective d’une grande enceinte sportive d’ici 2020 qui est piloté par Philippe Pezet, un joueur emblématique du club d’Orléans qui est élu au conseil municipal en étant vigilant sur le fait que l’OLB puisse être le club résident. Ce qui m’interpelle à l’OLB et ce sur quoi je travaille dès que je le peux, c’est mettre tout ce beau monde en cohésion pour qu’il soit le plus performant possible. Soit il y arrive et il a de beaux lendemains devant lui, soit il n’y arrive pas et ça sera sa limite."
}, 
{"role": "user",     "content":"All-Star Game français : le public peut voter"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme nous l’indiquions vendredi, les internautes ont jusqu’au dimanche 4 décembre pour voter pour leur All Star français et All Star étranger préférés choisis parmi tous les joueurs de Pro A, sous réserve d’un temps de jeu moyen minimum de 15 minutes depuis le début de la saison.\\n\\nLe vote est à effectuer sur www.mesallstars.fr.\\n\\nLe « All Star Français » et le « All Star Etranger » ayant reçu le plus grand nombre de votes du public seront sélectionnés pour le All Star Game 2016 qui se tiendra à l’AccorHôtels Arena le 29 décembre. Les deux lauréats du public ainsi que l’ensemble des All Stars seront dévoilés dans l’émission Buzzer du mardi 6 décembre, à 19h00, sur SFR Sport 2."
}, 
{"role": "user",     "content":"Quand Amar’e Stoudemire veut aider l’arbitre à y voir plus clair"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir mis un terme à sa riche carrière NBA, Amar’e Stoudemire a décidé de s’envoler vers l’Israël et plus précisément vers le club de l’Hapoel Jerusalem dans lequel il possède des parts.\\n\\nCe week-end, dans un match comptant pour le championnat israélien, l’ancienne gloire des Phoenix Suns en avait après l’arbitre et voulait même lui offrir ses lunettes pour l’aider à mieux voir ce qui se passait sur le terrain.\\n\\n\\n\\n\\nAmar'e Stoudemire thinks these overseas refs are blind. pic.twitter.com/oedImxezcB\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) November 14, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"EuroBasket 2017 : la Turquie avec la Russie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le tirage au sort de l’EuroBasket 2017 (31 août au 17 septembre) se tiendra dans l’après-midi du 22 novembre au Ciragan Palace Kempinski d’Istanbul.\\n\\nComme pour l’édition de 2015, l’organisation d’une phase de poule a été confiée à quatre pays : Finlande (Helsinki), Israël (Tel-Aviv), Roumanie (Cluj-Napoca) et Turquie (Istanbul, Abdi Ipekci Arena) qui sera également l’hôte de la phase finale (Istanbul, Sinan Erdem Dome).\\n\\nChaque organisateur a eu la possibilité de choisir un adversaire/partenaire susceptible de lui amener un fort contingent de supporters comme la France avait opté pour la Finlande il y a un an à Montpellier. C’est ainsi que la Finlande a choisi l’Islande, Israël la Lituanie, la Roumanie la Hongrie et que la Turquie a annoncé opter pour la Russie.\\n\\nAu regard de ses derniers résultats, l’équipe de France sera très certainement l’une des têtes de série lors du tirage au sort."
}, 
{"role": "user",     "content":"Sasa Obradovic nouveau coach du Lokomotiv Kuban"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sasa Obradovic a été intronisé nouvel entraineur du Lokomotiv Kuban, en remplacement de Fotsis Katsikaris.\\n\\nLe Serbe remplace ainsi le Grec Fotsis Katsikaris, limogé pour résultats insatisfaisants. Celui qui a porté le maillot du CSP Limoges en 1993 entrainait l’Alba Berlin depuis 2012 jusqu’à son départ du club cet été. Il était notamment cité au Bayern Munich ainsi qu’à Valence.\\n\\n« Etre ici à Krasnodar dans l’un des meilleurs clubs d’Europe est une grande étape dans ma carrière » a réagi Obradovic. « Je ressens bien sûr de la pression car c’est un défi pour moi. Mais je suis optimiste. Je suis heureux d’être ici et j’espère améliorer le jeu de l’équipe. Je ne dis pas que l’ancien entraineur a échoué, je vais appliquer une approche différente.\\n\\n\\n\\n\\nOfficial announcement: Saša Obradović is now the head coach of Lokomotiv Kuban.\\nWelcome to the #lokofamily! pic.twitter.com/mEHhsUCXyW\\n\\n\\n— Lokomotiv Kuban (@lokobasket) November 14, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ancien Strasbourgeois Shurna rejoint Zagreb"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Cedevita Zagreb a signé l’ancien Strasbourgeois John Shurna pour le reste de la saison.\\n\\nPassé par Strasbourg durant la saison 2012-2013, John Shurna rejoint le Cedevita Zagreb pour le reste de la saison. L’ailier de 26 ans jouait l’année passée à Valence pour des moyennes de 6,8 points, 3,1 rebonds et 1,2 passe décisive.\\n\\nL’Américain sorti de Northwestern a également joué à Badalone et à Darussafaka et devrait déjà être aligné ce mercredi en Eurocup face à Las Palmas."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : Dominique Sutton à la rescousse de Nancy"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir remercié Gregory Vargas plus tôt que prévu, le SLUC Nancy annonce sur son site l’arrivée de Dominique Sutton pour le reste de la saison, en provenance de Ulm, en Allemagne.\\n\\nPassé par l’université de Kansas State, le natif de Durham va connaître sa première expérience en France. La saison dernière à Trento, il avait rencontré la SIG lors des demi-finales de l’Eurocup et avait compilé en moyenne 4 points, 7 rebonds et 1,5 passe décisive (7 d’évaluation) sur les deux matchs.\\n\\nLe 5 septembre dernier, il avait rejoint les rangs du Ratiopharm Ulm, en tant que pigiste médical d’Augustin Rubit. En Bundesliga, Sutton tournait en moyenne à 7,4 points, 4,5 rebonds et 1,2 passe décisive par match, et à 7,8 points et 2,5 rebonds en Eurocup.\\n\\nD’après nos informations, l’ailier américain de 30 ans serait déjà arrivé à Nancy et aurait donc des chances d’être qualifié par la LNB dans très peu de temps."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 15 novembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nBasket – Le SLUC Nancy sur la piste Dominique Sutton\\n\\n– Le SLUC a accéléré ses négociations pour trouver un remplaçant à Gregory Vargas. Plusieurs noms sont cités dont celui de Dominique Sutton qui pourrait... Lire la suite.\\n\\n\\nDettmann : « La “chemistry” n’a pas fonctionné »\\n\\n– Henrik Dettmann a quitté Strasbourg vendredi, deux semaines donc après avoir été mis à pied et quarante-huit heures après avoir été radié des... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLassi Tuovi, « un jeune passionné »\\n\\n– Durant seize ans, au Mans, à Villeurbanne puis à Strasbourg, Vincent Collet a fonctionné en tandem avec Pierre Tavano, « l’assistant idéal ». Le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nÀ maturité en janvier ?\\n\\n– Une équipe en progrès, mais toujours fragile : Vincent Collet est resté prudent à l’heure de juger le groupe dont il a hérité... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn déjeuner en paix\\n\\n– Le déjeuner qui a réuni Martial Bellon et Vincent Collet, il y a un mois, a permis de faire « table rase du passé » et a favorisé le retour du coach à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCharles Kahudi bientôt de retour\\n\\n– Opéré de la cheville droite le 5 septembre Charles Kahudi est sur le chemin du retour. « Nous voyons le bout du tunnel.\u2003Charles évolue bien et nous... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Asvel devra gérer la fatigue et son effectif\\n\\n– ,Michel Morandais (1,7 d’évaluation en 8 minutes et 7 matches en Pro A, 3,5 en 14 minutes et 4 matches en coupe d’Europe) en partance pour retrouver... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPremier tiers payant pour l’ALL\\n\\n– Après un tiers du championnat (sept matchs sur 22), les Lédoniennes ont donné une dimension positive à leur bilan grâce à leur succès arraché samedi... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCoup de semonce à Quimper pour Andrézieux\\n\\n– 97-49. Le score parle de lui-même. Quelles sont les causes de cette contre-performance ? Cet accident peut-il avoir des conséquences sur la suite du... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nHodge : « J’ai horreur de perdre »\\n\\n– Véritable chef d’orchestre de l’Asvel, le Portoricain, international des Îles vierges, est un redoutable compétiteur... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« On n’a pas le droit de laisser le doute s’inscrire comme cela dans nos têtes. »\\n\\n– L’entraîneur de Nantes, Franck Colineau, regrettait les deux visages de son équipe contre St-Chamond (63-72). Après avoir compté 14 points d’avance, les Nantais n’ont marqué ... Lire la suite.\\n\\n\\nVichy-Clermont\\n\\n– Après une intersaison difficile, marquée par un changement d’entraîneur avant le début du championnat (NDLR\u2009: Stéphane Dao pour Fabien Romeyer), Vichy-Clermont semble avoir trouvé la bonne carburation... Lire la suite.\\n\\n\\nBoulazac\\n\\n– En s’inclinant à Charleville (85-83), Boulazac a concédé sa troisième défaite consécutive et confirme les difficultés affichées depuis le début de saison. Engluée à la 17e place... Lire la suite.\\n\\n\\nBoulogne n’y arrive toujours pas\\n\\n– Boulogne-sur-Mer pensait pourtant avoir fait le plus dur sur le parquet de Saint-Quentin en menant de 21 points à la 15e minute (13-34) après avoir infligé un cinglant 22-0 à son adversaire... Lire la suite.\\n\\n\\nNkounkou en renfort\\n\\n– Pour pallier la blessure de Moïse Diamé, l’ADA a recruté en tant que pigiste médical, l’intérieur de 23 ans, formé à Nantes, Karl-David Nkounkou... Lire la suite.\\n\\n\\nSolides à l’extérieur\\n\\n– L’équipe masculine en Prénationale renoue avec la victoire à l’AU Schiltigheim. Pourtant, comme la semaine dernière, les Sélestadiens sont imprécis et... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Je n’avais pas imaginé revenir »\\n\\n– Un peu plus de deux semaines après leurs inattendues retrouvailles, le président Martial Bellon et le coach Vincent Collet ont expliqué, hier au... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Antoine Diot en mode record"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Seize joueurs pour neuf pays, le contingent tricolore a bien regonflé ses troupes pendant l’intersaison. De la Lituanie à l’Espagne, de l’Allemagne à la Grèce en passant par la Russie et la Chine (!), Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n\\nUn gros weekend en Liga\\n\\nAlors qu’Edwin Jackson est actuellement le meilleur scoreur du championnat espagnol, c’est son pote Antoine Diot qui lui a volé la vedette ce weekend. Pourtant, le scoreur d’Estudiantes a placé la barre haute avec 27 points dans une victoire. Mais Diot a tout simplement battu son record en carrière avec 28 unités, plus 6 passes et une victoire de prestige face au Vitoria de Kim Tillie (17 points) et Rodrigue Beaubois (4 points). Les autres tricolores de Liga ont également brillé avec 12 points, 4 rebonds d’Ali Traoré et 10 points, 8 passes pour Andrew Albicy.\\n\\nPour Angelo Tsagarakis et Amath M’Baye, ce fut le même destin cette semaine. Une belle performance individuelle mais qui ne sert à rien dans la défaite finale. Le shooteur de Trikalia termine à 15 points tandis que le scoreur de Brindisi signe 25 points.\\n\\nPoint de défaitisme dans les rangs tricolores néanmoins. Fabien Causeur et Bamberg ont certes eu plus de mal qu’à l’accoutumée, mais ils s’imposent néanmoins pour rester invaincus, avec 12 points de l’arrière français. En Chine, ça roule également pour Shanghai et Guerschon Yabusele (14 points, 7 rebonds) qui sont eux aussi invaincus.\\n\\n\\nMoerman sort du banc, Heurtel absent\\n\\nAlpha Kaba a quant à lui retrouvé le chemin de la victoire avec Mega Leks. Le pivot français a encore été très actif avec 7 points et 9 rebonds, mais pas toujours à bon escient (3/12 aux tirs, 4 balles perdues). En Russie, Nando De Colo a eu lui quartier libre ce weekend en VTB League. Nobel Boungou-colo était lui sur le pont et a contribué à la victoire de Khimki avec 9 points et 4 rebonds.\\n\\nEnfin, en Turquie, Adrien Moerman a débuté le match sur le banc pour David Blatt. L’intérieur a néanmoins fait le métier avec 11 points et 5 rebonds mais ça n’a pas suffi face au Besiktas. Plus mystérieuse l’absence de Thomas Heurtel, qui ne cachait pas récemment sa frustration vis-à-vis de son nouveau coach...\\n\\n\\nAllemagne\\n\\nFabien Causeur (Bamberg) : 12 points (4/6 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 interception en 30 minutes (victoire 79-77 face à Glessen)\\n\\n\\nChine\\n\\nGuerschon Yabusele (Shanghaï) : 14 points (4/11 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe, 2 interceptions, 2 contres en 27 minutes (victoire 112-108 face à Shenzhen)\\n\\n\\nEspagne\\n\\nAntoine Diot (Valence) : 28 points (10/16 aux tirs), 6 passes, 3 rebonds mais 5 balles perdues en 26 minutes (victoire 99-91 face à Vitoria)\\n\\nEdwin Jackson (Estudiantes) : 27 points (9/15 aux tirs), 6 rebonds, 1 passe en 30 minutes (victoire 83-71 face à Badalone)\\n\\nKim Tillie (Vitoria) : 17 points (8/10 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 interception en 25 minutes (défaite 99-91 face à Valence)\\n\\nAli Traore (Estudiantes) : 12 points (6/8 aux tirs), 4 rebonds, 1 contre en 17 minutes (victoire 83-71 face à Badalone)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 10 points (3/4 aux tirs), 8 passes, 3 interceptions en 25 minutes (victoire 93-91 face à Manresa)\\n\\nRodrigue Beaubois (Vitoria) : 4 points (2/7 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 interception en 22 minutes (défaite 99-91 face à Valence)\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAngelo Tsagarakis (Trikala) : 15 points (4/9 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 2 interceptions en 25 minutes (défaite 84-56 face à Rethymno)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Brindisi) : 25 points (9/16 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe mais 4 balles perdues en 36 minutes (défaite 91-83 face à Brescia)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLeo Westermann (Kaunas) : 4 points (2/5 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe en 26 minutes (victoire 63-55 face à Prienai)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNobel Boungou-Colo (Khimki) : 9 points (3/4 aux tirs), 4 rebonds, 1 interception en 24 minutes (victoire 72-64 face à Enisey)\\n\\nNando De Colo (CSKA) : n’a pas joué (victoire 98-74 face à Perm)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAlpha Kaba (Mega Leks) : 7 points (3/12 aux tirs), 9 rebonds, 1 passe mais 4 balles perdues en 30 minutes (victoire 67-64 face à Aleksandrovak)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nThomas Heurtel (Efes Istanbul) : n’a pas joué (victoire 98-74 face à Buyukcekmece)\\n\\nAdrien Moerman (Darussafaka Istanbul) : 11 points (4/8 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes en 18 minutes (défaite 77-75 face au Besiktas)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Fabien Causeur imbattable avec Bamberg"
}, 
{"role": "user",     "content":"Monaco : Brandon Davies pourrait manquer un mois et demi"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"\\nC’est la tuile pour l’AS Monaco. Blessé seulement trois minutes après être entré en jeu, Brandon Davies va devoir manquer au moins un mois de compétition, comme indiqué sur le site du club.\\n\\nCe lundi, les examens passés par l’intérieur américain de la Roca Team ont révélé une lésion à la cuisse qui le tiendra écarté des parquets entre quatre et six semaines.\\n\\nEn 8 matchs de Pro A, le natif de Philadelphie tourne cette saison à 9,8 points, 5,5 rebonds et 1,6 passe décisive de moyenne pour 11 d’évaluation."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau : DJ Cooper de retour samedi face à Antibes ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Touché à la cuisse dans la défaite de l’EBPLO à Hyères-Toulon vendredi, DJ Cooper ne devrait pas manquer de rencontre de championnat. Le site du club rapporte que le MVP de Pro A du mois d’octobre a passé une échographie à l’hôpital de Pau, ce lundi, et Didier Gadou, le directeur exécutif du club a indiqué que l’examen avait révélé un simple « hématome à l’insertion du fémur et de la hanche ». En d’autres termes, une grosse béquille.\\n\\nTout de même forfait pour le match de FIBA Europe Cup prévu demain soir à Tartu (Estonie), DJ Cooper pourrait cependant faire son retour face à Antibes, samedi. Avant cela, il sera examiné une nouvelle fois par le médecin, jeudi, afin de confirmer si oui ou non il peut prendre part au match face aux Sharks.\\n\\nUne chose est sûre, si le moindre doute persiste sur l’état de sa cuisse, Didier Gadou a déjà affirmé que le club « ne prendrait aucun risque ».\\n\\nCette saison avec l’Elan Béarnais, Cooper tourne en moyenne à 15,9 points, 6,4 rebonds et 12 passes pour une éval de 24,6.\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ancien entraîneur du Paris-Levallois vers Podgorica"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nos confrères de Vijesti.me rapportent sur leur site la signature imminente d’Ilias Zouros en tant qu’entraîneur du KK Buducnost Podgorica.\\n\\nLe décuple champion en titre du championnat monténégrin s’était mis en quête d’un entraîneur après la démission, ce week-end, de Vlado Scepanovic.\\n\\nAncien entraîneur du Paris-Levallois (2006-2008), Zouros avait rendu un bilan de 18 victoires pour 27 défaites avec le club francilien. Pointure sur le Vieux Continent, il est également passé par de prestigieux clubs comme l’Olympiakos (adjoint en 99/00 puis entraîneur principal entre 2000 et 2002) ou le Zalgiris Kaunas (2011-2013).\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Quand Vincent Collet a décidé de retourner à Strasbourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un article mis en ligne sur le site des DNA, Régis Schneider explique ce matin comment Vincent Collet s’est tout d’abord rabiboché avec le président strasbourgeois Martial Bellon avant d’accepter de revenir à la SIG. Il avait pourtant fortement envisagé de se poser au Mans, à l’image d’Alain Weisz qui était resté en Sarthe alors qu’il avait pris la tête de l’équipe de France après les JO de Sydney.\\n\\nMais visiblement Vincent Collet avait des fourmis dans les jambes...\\n\\n« Le natif de Sainte-Adresse pèse rapidement le pour et le contre. Depuis l’échec face à Villeurbanne, il ne peut s’empêcher de nourrir un sentiment d’inachevé. En revanche, le timing n’est pas des plus favorables. Ne s’apprêtait-il pas à louer un appartement au Mans, où sa fille est désormais scolarisée ? Et comment faire sans son fidèle adjoint, Pierre Tavano, qui s’est engagé avec Tours, en Nationale 2, 72 heures plus tôt ? Surmontant ses hésitations, Vincent Collet échange son billet de train et, le mercredi 26 octobre, rallie Strasbourg. Les deux parties tombent d’accord. Nommé le lendemain, après la mise à pied d’Henrik Dettmann, il dirige son premier entraînement avec le groupe tout juste rentré d’Avellino. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Chalons-Reims : Edouard Choquet très complet face à Nancy"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vainqueur sur son parquet face à Nancy, le CCRB a dû batailler jusqu’au bout pour aller chercher cette victoire importante (94-90) synonyme de retour dans le top 10 du classement (4v-4d).\\n\\nAuteur d’une très belle partie, Edouard Choquet a inscrit 11 points (3/4 à trois points), capté 6 rebonds et délivré 7 passes décisives pour une évaluation de 23 (son record en Pro A). Au micro de CCRBTV, le champion de France avec l’ASVEL la saison dernière est revenu sur cette belle victoire.\\n\\n« Depuis le début de saison on a eu beaucoup de bas et quelques hauts donc c’est sûr que le match de ce soir contre Nancy était crucial pour nous. Il a fallu combattre jusqu’au bout, ça s’est joué dans les dernières possessions. C’est beau de gagner comme ça et ça va nous faire du bien pour la suite. Ca fait du bien de gagner pour notre public mais aussi pour nous parce qu’on en avait vraiment besoin. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"N1 : Comment GET Vosges a terrassé le leader invaincu Souffel"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comment GET Vosges jusque là souffreteux (5 victoires en 10 matches et surtout trois défaites de rang) a-t-il pu terrasser Souffelweyersheim (66-52), qui restait sur un parfait 10 sur 10 ? Tout ceci est expliqué dans Vosges Matin, qui parle de motivation, de meilleure communication et de révélation.\\n\\nA ce titre Malcom Gountas (1,88m), formé à Rouen et qui a fait 56 apparitions en Pro A et Pro B, a apporté un large écot comme le note son coach Laurent Mathis :\\n\\n« Malcom estimait que ce n’était pas à lui de prendre des shoots ni à lui de driver l’équipe car il arrive de Nationale 2 (NDLR : Cognac). Mais si je l’ai recruté, c’est pour qu’il s’exprime. »\\n\\nContre les leaders alsaciens, le Normand de seulement 22 ans a foncé scorant 15 points avec des tirs en première intention. « Je ne voulais pas cogiter sur mes tirs à 3 points. Et cela a fonctionné. »\\n\\nAvec ce succès de prestige, Malcolm Gountas s’est mis en lumière et GET Vosges probablement sur de bons rails pour la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Un tableau de bord pour suivre au plus près la Pro A"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En bas de la page d’accueil, en cliquant sur l’appellation classement complet, Basket Europe vous propose un véritable tableau de bord de la Pro A.\\n\\nAu delà des renseignements traditionnels (classement général, victoires/défaites, attaque, défense), vous allez pouvoir vous rendre compte de l’état de forme de chaque équipe et de leurs performances suivant qu’elles évoluent à la maison ou chez l’adversaire.\\n\\nC’est ainsi que le match d’hier soir Paris-Levallois vs. Le Mans a mis fin à deux séries d’un seul coup. C’est la première fois que le PL s’incline à Marcel-Cerdan –le fait de ne plus se disperser entre trois salles et de jouer dans celle qui sert aussi aux entraînements a certainement été un facteur déterminant jusque là- alors que Le Mans a enfin gagné un match hors de ses bases. On note ainsi qu’il n’y a déjà plus que deux bastions inviolés, la salle Gaston-Médecin de Monaco et le Palais des Sports de Pau.\\n\\n\\nMonaco et Pau toujours invaincus à la maison\\n\\nDe la même façon, le PL, qui fait pourtant partie du groupe de chasse, est l’une des trois équipes à ne pas encore avoir remporté un match à l’extérieur comme Orléans et Le Portel.\\n\\nMême si nous n’en sommes pas encore au cap plus significatif des dix journées, cela crève les yeux : l’Elan Chalon est l’équipe en forme avec quatre victoires d’affilée (l’Elan compte un échec en quatre journée en FIBA Europe Cup), tout comme le surprenant Hyères-Toulon qui en est à trois. A l’inverse, Antibes subit un sacré contrecoup après un démarrage tonitruant (victoires face à Châlons, Hyères-Toulon et Orléans lors des quatre premières journées) : quatre échecs d’affilée."
}, 
{"role": "user",     "content":"Romeo Travis : «C’est une grande victoire d’équipe»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tout juste arrivé à Strasbourg, en provenance de Cantu, Romeo Travis a déjà eu le droit au deuxième plus gros temps de jeu de son équipe face à Cholet, samedi. Dans un entretien accordé aux Dernières Nouvelles d’Alsace, il revient sur ce premier match avec sa nouvelle équipe.\\n\\nL’ancien joueur du MSB a passé 27 minutes sur le parquet (8 points, 5 rebonds et 4 passes décisives pour une évaluation de 8) et la formation de Vincent Collet s’est imposée face à celle de Philippe Hervé, 90-86.\\n\\n« C’était un premier match très difficile. Cholet est une excellente équipe, qui nous a posé de vrais problèmes. À l’arrivée, c’est une grande victoire d’équipe. Personne n’a triché, personne n’a renoncé, tout le monde a fait les efforts pour aller la chercher. »\\n\\nIl s’est également exprimé sur un rôle qu’il n’a pas l’habitude d’endosser, celui de doyen de l’équipe.\\n\\n« C’est une situation inédite pour moi, que d’être le joueur le plus âgé d’une équipe. Et j’avoue que je ne sais pas trop ce que je suis supposé dire et faire (sourire). Je ne suis ni différent, ni meilleur que ces gars (il désigne ses coéquipiers) même si je suis un peu plus vieux et plus expérimenté qu’eux. Durant le match, Erving (Walker) m’a demandé de lui signaler ce qu’il faisait de travers. À l’inverse, même s’il est plus jeune que moi, il peut aussi m’apprendre des choses. Je veux continuer à être à l’écoute. »\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans perd son meilleur marqueur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Mans s’est imposé hier soir à Paris sans Ryan Pearson (1,96m, 26 ans) victime d’une entorse lors d’un entraînement la veille dans l’après-midi. Celle-ci paraît sévère et l’Américain devrait se soigner une quinzaine de jours.\\n\\nIl manquera le prochain match de Pro A face à Dijon et les deux de Basketball Champions League à Pinar Karsiyaka (Turquie) puis à Antarès face au Maccabi Rishon Le Zion (Israël).\\n\\nDes examens complémentaires vont être effectués cette semaine pour mieux évaluer son indisponibilité. De quoi rendre grognon le coach Erman Kunter qui trouvait son effectif déjà trop réduit.\\n\\nCe poste 3-4 gaucher barbu est le meilleur marqueur de l’équipe sarthoise aussi bien en Pro A (12,3 pts) qu’en BCL (14,2 pts)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le jour où Levallois n’a inscrit que 35 points dans un match..."
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le match Paris-Levallois – Le Mans disputé dimanche soir a été d’une rare indigence offensive. Les temps de passage à la fin de chaque quart-temps (13-15, 25-20, 38-27) pouvaient laisser craindre le pire. Un sursaut tout relatif des Levalloisiens a permis d’afficher un score final de 57-50. En relevant les 35,9% de réussite aux shoots dont 2/17 à trois-points du côté manceau, et les 33,9% avec 4/22 pour les hommes de Freddy Fauthoux, on a tout compris sinon qu’il ne faut pas omettre d’écrire que les défenses ont joué aussi leur rôle dans cette gabegie avec une mention spéciale à Will Yeguete.\\n\\nCe match ne restera pas dans les annales d’autant que Levallois a déjà fait nettement pire ! C’était le 22 octobre 1994 et c’est le Limoges CSP, sacré champion d’Europe 18 mois auparavant, qui lui rendait visite à Marcel-Cerdan accueilli par une salle bondée avec une assistance estimée à 4 000 spectateurs. Le CSP avait revêtu son habit de bourreau.\\n\\nIl y avait ce soir-là tous les ténors limougeauds : Michael Young, Jim Bilba, Richard Dacoury, Frédéric Forté, le grand rouquin Tim Kempton et sur le banc Bozidar Maljkovic dont on savait qu’il détestait que ses ouailles se fassent transpercer par les attaques adverses. A Levallois, on proposait un mixte d’anciens avec l’ex-Limougeaud Michael Brooks, Patrick Cham, Stéphane Lauvergne, père de Joffrey, Terrence Stransbury et de jeunes dont Mous Sonko et encore Vincent Masingue, dix-huit ans, qui heureusement pour lui n’est pas entré en jeu ce qui lui évita l’humiliation.\\n\\n\\n17 points à la mi-temps\\n\\nTout de suite on comprit que Levallois manquait de carburant : 2 point en cinq minutes, 15 à la 15e, et surtout 17 à la mi-temps soit exactement deux fois moins que le CSP. La deuxième partie de la rencontre fut du même tonneau. Mous Sonko ne transforma qu’un seul de ses sept shoots, avec 13 points Michael Brooks fut le seul à scorer en double figure, l’équipe perdit 30 ballons dont la moitié suite à des interceptions limougeaudes.\\n\\nL’historien du CSP, Hugues Blondeau, nous a retrouvé le compte rendu du Populaire :\\n\\n« Tout commença très bien pour le CSP qui mit d’entrée sur le parquet levalloisien les atouts sur lesquels il a bâti sa renommée : une défense individuelle et collective intraitable et une grande discipline de jeu (...) Ses ailes coupées, son jeu intérieur disloqué face à un Kempton à a fois montagne infranchissable et virtuose de la passe où à un Bilba aussi grand voleur de ballon qu’intraitable défenseur, Levallois toucha vite le fond... »\\n\\nBref, Levallois s’arrêta tout net à TRENTE-CINQ POINTS contre un très décent 74 aux Limougeauds. Record de la NBA battu. Le précédent était détenu par Châlons-en-Champagne qui s’était contenté deux fois de 43 points. La première fois face à ce même Limoges (61-43 le 12 décembre 1992) et la seconde face à... Levallois (81-43 le 13 février 1993).\\n\\nTrente-cinq points, un record qui fut encore « amélioré » par les Spacer’s de Toulouse, le 27 octobre 1998. Ce soir-là, les Toulousains se contentèrent d’une très maigre pitance: TRENTE-DEUX points face au Chalon-sur-Saône de Philippe Hervé comme le rappelle le site hoopdiary.net. Les deux intérieurs chalonnais Kent Hill et Jimmy Nébot inscrivant respectivement 17 et 15 points, soit autant que toute l’équipe des Spacer’s réunie. Un record qui pourrait passer encore plusieurs décennies au chaud. Hier le Paris-Levallois a quand même marqué dix-huit points de plus face au Mans."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : Monaco perd Brandon Davies sur blessure"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Touché à la cuisse après seulement trois minutes de jeu face à Antibes samedi soir, Brandon Davies rejoint l’infirmerie monégasque pour une durée indéterminée, comme le rapporte BeBasket.\\n\\nC’est un coup dur pour la formation de Zvezdan Mitrovic qui annonce sur le site du club que l’ancien joueur de Chalon-sur-Saône pourrait manquer plusieurs rencontres.\\n\\n« On a perdu Brandon Davies très tôt. On paye un lourd tribut car il pourrait manquer quelques matches. »\\n\\nEn 8 matchs de Pro A, le natif de Philadelphie tourne cette saison à 9,8 points, 5,5 rebonds et 1,6 passe décisive de moyenne pour 11 d’évaluation."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : Vargas, Morandais et Gipson libérés par leurs clubs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ça bouge déjà dans les effectifs de Pro A... Ainsi Gregory Vargas et le SLUC se sont mis d’accord pour mettre un terme à leur collaboration tandis que Thomas Gipson a été laissé libre par l’Elan Chalon. Sa pige terminée, Michel Morandais, quitte, lui, l’ASVEL qui lui avait pourtant proposé de jouer les prolongations.\\n\\nAnnoncé sur la sellette il y a quelques jours, Gregory Vargas avait reçu l’autorisation du SLUC de s’absenter une semaine pour rejoindre sa femme qui attend un heureux événement. Finalement, l’international vénézuélien fait définitivement ses valises, comme le rapporte le SLUC sur son site. En 32 minutes, l’ancien joueur du Maccabi Haïfa tournait en moyenne à 9 points, 3,3 rebonds et 5,5 assists par match pour une évaluation de 10.\\n\\nDu côté de Chalon-sur-Saône, c’est Thomas Gipson qui quitte le club Bourguignon à sa demande et celle de son agent, comme indiqué sur le site de l’Elan. A la recherche d’un temps de jeu plus conséquent, l’Américain de 20 ans a déjà trouvé un nouveau point de chute puisqu’il s’est engagé en Ukraine, avec le Khimik Yuzhny. En huit matchs de Pro A sous les ordres de Jean-Denys Choulet, l’ancien pensionnaire de l’université de Kansas State n’avait le droit qu’à 12 minutes de jeu par match pour des moyennes de 2,9 points et 3,4 rebonds.\\n\\nArrivé en tant que pigiste médical de Charles Kahudi, Michel Morandais a décidé de ne pas continuer l’aventure avec l’ASVEL alors que le club lui avait proposé de prolonger son bail de trois semaines, comme le souligne nos confrères de Obuzzer. Kahudi absent plus longtemps que prévu, Trent Meacham blessé à la main et Nikola Dragovic out pour deux semaines, le club présidé par Tony Parker est activement à la recherche de renfort. En sept matchs de Pro A avec Lyon-Villeurbanne, Morandais compilait en moyenne 2,4 points en 8 minutes de jeu."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 14 novembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nDurs à cuire\\n\\n– Leur association fait saliver. Avec Matt Howard et Romeo Travis, la SIG dispose d’une paire d’intérieurs costauds, durs au mal et intransigeants en... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Grandissons comme une équipe »\\n\\n– Romeo Travis n’a pas tardé à rendre de précieux services. Arrivé à Cholet vendredi, l’intérieur américain a fait apprécier, dès le lendemain, ses... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nQu’importe le flacon...\\n\\n– Avec quatre victoires en cinq matches à son actif, la dernière en date samedi à Cholet (86-90), Vincent Collet a redressé la barre de façon... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa Pontoise déraille encore...\\n\\n– Samedi soir à Annonay, la Pontoise a une nouvelle fois perdu le nord malgré un démarrage en trombe (10-0). Accumulant pertes de balles et violations... Lire la suite.\\n\\n\\nLentigny renoue avec la victoire\\n\\n– Grâce à un bon début de match et une réelle agressivité en défense l’US Lentigny s’impose à Vaulx-en-Velin. L’entraîneur lentignois Romain Perey note... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRoche terrasse le leader\\n\\n– Une fois encore, le collectif rouchon a prouvé toute son efficacité dans le sud face à une fringante équipe d’Avignon. S’appropriant le tempo de la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRageant et frustrant\\n\\n– Pour la deuxième fois de la saison, le CRAP s’est incliné après prolongation, cette fois sur le parquet du co-leader. « Ça s’est joué sur la chance, à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes cadets prennent leur revanche\\n\\n– Auteurs d’une nouvelle grosse prestation collective, les cadets de la JL Bourg ont pris leur revanche sur leurs homologues de l’Elan Chalon... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond sombre à Monaco\\n\\n– Le déplacement de Saint-Chamond à l’AS Monaco samedi, pour le compte de la 7e journée de N2F s’annonçait déjà compliqué face au solide second du... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nVénissieux s’impose largement\\n\\n– Cela devient une constante chez les locales, en manque d’adresse, elles vont voir les visiteuses prendre le large. Coutaz menant une équipe de petite... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nForte participation à la charte U13\\n\\n– Le rassemblement des entraîneurs des équipes U13 accueillit par Villars Basket avait pour but de présenter le contenu de la charte à tous les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPoligny tombe chez le dernier de la poule, ça va mal...\\n\\n– Poligny est dans une mauvaise passe. Le club vient de concéder une 4e défaite de rang en championnat... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe champion joue les équilibristes\\n\\n– Très amoindrie, l’Asvel n’est pas mécontente d’être à 50 % de réussite (6-6)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe BCMF enchaîne\\n\\n– Fini les bonnes prestations sans victoire, désormais le BCMF gagne ses matchs... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nGipson s’en va, l’Elan “rééquilibre”\\n\\n– Sublime vainqueur de Limoges (90-66), samedi, Chalon va rééquilibrer son effectif en recrutant un poste 4 shooteur, suite au départ acté de Gipson... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nVictoire difficile pour l’USW\\n\\n– Wittenheim possède 9 points d’avance après 5 minutes de jeu à Moneteau. « On est bien dans nos standards avec une bonne défense qui nous permet de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBerrwiller trop tendre\\n\\n– La SIG II et Berrwiller/Staffelfelden font dans un premier temps jeu égal (2-2 à la 3e , 7-7 à la 5e ). Puis les Strasbourgeoises prennent la partie à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDessenheim chute en prolongation\\n\\n– L’ASL Dessenheim a encaissé samedi à Saint-Apollinaire sa quatrième défaite en sept matches. Cette rencontre s’est déroulée en trois actes. Le premier... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRixheim en patron\\n\\n– Le CSSL Rixheim a bien négocié cette 7e journée de championnat en s’imposant avec l’art et la manière samedi à Dijon, qui n’arrive pas à débloquer son... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nNord Sundgau avait les crocs\\n\\n– Nord Sundgau a enfin été récompensé de ses efforts en obtenant sa première victoire de la saison, samedi à Spechbach face à Poligny (86-83)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes montagnes russes\\n\\n– Les Strasbourgeois sont passés tout près de la correctionnelle samedi à Cholet avant de réagir et d’arracher une victoire précieuse, la première de la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe WOSB après un match acharné\\n\\n– Les Bas-Rhinois ont réalisé une bonne affaire samedi soir en se donnant de l’air alors que Kaysersberg connaît un nouveau coup d’arrêt hors de ses... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPfastatt le derby\\n\\n– L’équipe de Jean-Luc Monschau, en tête de la 5e à la 40e minute, est longtemps restée sous la menace du FC Mulhouse mais n’a pas lâché prise et a... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n12 secondes... et puis plus rien !\\n\\n– Douze C’est le nombre de secondes qui restaient à s’égrener au tableau lumineux dans le dernier quart-temps de cette rencontre alors que Préchacq, balle en main à +3, se dirigeait vers une victoire méritée... Lire la suite.\\n\\n\\nEt de sept pour un VAB en mode patron\\n\\n– Lorsque le 3e du classement rend visite au 1er, l’affiche est alléchante et les amateurs de basket lot-et-garonnais ne s’y sont pas trompés mais surtout en ont eu pour leur argent... Lire la suite.\\n\\n\\nIl a fallu une sacrée dose de courage\\n\\n– La formation landaise mettait le turbo dès le début du match (12-6, 3e). Progressivement le BBM se sortait de la pression adverse (18-22, 10e). Puis les partenaires de Bruzac, sans s’affoler... Lire la suite.\\n\\n\\nL’AGS en deux temps\\n\\n– Le premier quart-temps fut au net avantage des locaux, grâce à une individuelle efficace et de bonnes séquences en attaque. Si R ; Catarini ouvrit la marque, Binacolin, puis Desprat... Lire la suite.\\n\\n\\nL’UBVP derrière un Bassetto de gala\\n\\n– Les spectateurs, venus nombreux furent vite refroidis par la mauvaise entame des gars de l’Union. Maladresse et pertes de balle s’enchaînèrent mais les «blacks» étaient en tête au premier... Lire la suite.\\n\\n\\nL’USP est vraiment trop diminuée\\n\\n– C’est une équipe puymirolaise diminuée, sans Baros et Gomez blessés et Piaï absent qui est allé affronter Luy Adour, avec le renfort de deux réservistes Cédric Rodriguez et Malo Cazes... Lire la suite.\\n\\n\\nLa JIL prise en Chalosse\\n\\n– C’est en coleader que les Colayracais se déplaçaient en Chalosse avec la ferme intention de confirmer leur première place et leur bon début de championnat. Quelle désillusion, quelle... Lire la suite.\\n\\n\\nLe changement a du bon\\n\\n– Malgré les absences de Roques et Rey toujours blessés, c’est une équipe du Bruilhois particulièrement motivée et coachée par Nicolas Layec qui a réussi à s’imposer à Labenne. Ce fut ... Lire la suite.\\n\\n\\nPrêts pour le derby !\\n\\n– Les hommes de coach Pautot se savaient en danger dans cet antre tarnais. C’est ainsi que la troupe d’Adil Abbassi débuta un match âpre et serré avec, en face, une équipe enfin au... Lire la suite.\\n\\n\\nRéaction après une peur bleue\\n\\n– Le GAB s’est fait peur ce samedi pour la réception de l’USAT. Sans jamais être largués, ni complètement maîtriser le match, les Géabécistes ont su rester unis pour finalement remporter une ... Lire la suite.\\n\\n\\nBASKET-BALL Saint-Quentin a joué avec le feu\\n\\n– Votre actualité quotidienne locale, régionale et nationale... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Sandrine Gruda, la passion de l’écriture"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A 29 ans, Sandrine Gruda peut déjà être considérée comme la meilleure basketteuse française de tous les temps et son titre WNBA, même si dans les faits elle n’y a que peu contribué, ne fait qu’ajouter du prestige à sa carrière.\\n\\nHors raquette, la Martiniquaise a commencé en janvier dernier une formation de journaliste par correspondance ; elle est scolarisée au CFJ, une école qui n’a pas de filière de haut niveau et c’est ainsi qu’elle est devenue une sorte de cobaye. Sandrine n’a pas forcément l’intention de devenir journaliste et considère avant tout cette formation comme un enrichissement personnel.\\n\\nLa multi championne s’exerce désormais sur un blog que vous pouvez découvrir ici où figurent également photos et vidéos. Elle y a notamment déjà posté ses impressions vis à vis de sa nouvelle vie en Turquie, elle qui a signé à Fernerbahce (19,0 pts et 7,5 rbds en deux matches d’EuroLeague). Peut-être a t-elle emménagé aujourd’hui dans cet appartement spacieux, lumineux et à cinq minutes de la salle de basket qu’on lui promettait il y a quelques jours. Sandrine se dit finalement peu dépaysée vis à vis des Los Angeles Sparks et encore moins de Ekaterinbourg tant le club stambouliote lui est apparu de première classe.\\n\\n\\nL’amie de Candace Parker\\n\\n« Pour vous aider à comprendre mon épatement », écrit-elle « Fenerbahce est un club omnisports créé en 1907, qui offre à ses 25 millions de fans, du basket féminin et masculin, du volleyball masculin et féminin, du ping pong, de la voile, du football et de la boxe.\\nCes supporters pourront se rendre dans l’un des 80 magasins de produits dérivés qui ornent la Turquie et regarder les différentes rencontres sportives sur les chaînes de sport locales mais surtout sur Fenerbahce TV ! Eh oui le club possède sa propre chaîne de télévision diffusée en clair !! »\\n\\nDans un autre post, Sandrine confirme son amitié avec la star américaine Candace Parker avec qui elle a partagé le même maillot à Ekaterinbourg pendant six ans mais qui n’a pas fait partie de l’aventure de la saison 2015-16.\\n\\n« Un jour, Candace m’a remis un livre intitulé Chop Wood Carry Water de Joshua Medcalf, et me dit que c’est le meilleur livre qu’elle ait lu jusqu’à présent (...) Non seulement, j’ai éprouvé beaucoup de bien à lire ce bouquin, mais aujourd’hui, Candace et moi, partageons une autre passion qui est la lecture de livres spirituels. La corde qui avait rompu il y a un an, s’est maintenant reformé grâce à cette nouvelle activité, qui renforce notre amitié. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Battu à Fribourg et à Nantes, Basket Landes est en surchauffe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Céline Dumerc est toujours affûtée (19 points, 7 passes et 6 rebonds) mais un peu esseulée avec les graves blessures de l’Espagnole Queralt Casas (fracture de la clavicule) et de la Suédoise Kalis Lloyd dont le talon d’Achille, qui l’avait déjà privée de basket durant une saison et demie, l’a lâchée de nouveau lors du match d’EuroCup de la semaine perdu à Fribourg (62-54).\\n\\nIl faut remarquer d’ailleurs que huit joueuses de ce Nantes-Basket Landes ont joué au moins trente-deux minutes hier soir, ce qui est vraiment beaucoup. Même si l’Allemande Margret Skuballa ne s’en plaignait pas : « Jouer 40 minutes, c’est fun, et j’adore ça. Katherine est une joueuse qui sait tout faire, j’aime jouer avec elle ».\\n\\nUne équipe nantaise pleine de punch a ainsi remonté un handicap initial (12-21, 8e) pour contrôler la situation beaucoup grâce au duo composé justement de Margret Skuballa (40’, 26 points, 9 rebonds et 3 passes) et de la Canadienne Katherine Plouffe (40’, 25 points, 9 rebonds et 3 passes) qui rendent une copie presque à l’identique. Les Landaises n’ont jamais hissé le drapeau blanc mais ont tout de même été arraisonnées, 67-61.\\n\\n\\nUne trêve pour se regénérer\\n\\n\\n« On n’est pas dans une bonne dynamique, » reconnaît Céline Dumerc sur le site du RNB. « On savait que cela allait être dur. Avec un effectif réduit, on fait de belles choses, mais cela n’a pas suffit. La trêve arrive au bon moment. On rentre bien dans le match, mais on paye notre manque de constance au fil des minutes. On aurait pu accrocher Nantes plus longtemps, mais elles ont fait un meilleur match, la preuve, elles ont gagné. »\\n\\nEn championnat, Basket Landes rentre dans le rang et abandonne au seul Bourges la tête du classement. En EuroCup, l’équipe d’Olivier Laffargue est désormais derrière Venise et Nice. Les blessures sont très souvent un facteur déterminant dans les performances des équipes surtout quand elles ont peu de réserves.\\n\\nBasket Landes va devoir se renforcer pour ne pas dérailler. Le break dû aux deux matches de qualification pour l’Euro 2017 va faire effectivement le plus grand bien pour se régénérer, sauf que Céline Dumerc, elle, est appelée à un non-stop. Samedi, elle sera à Chalon avec les Bleues pour recevoir les Pays-Bas."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : l’inusable Mamadou Dia sauve Fos"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après cinq journées, Fos Provence Basket reste la seule équipe invaincue en Pro B. Hier soir, les Fosséens, meilleure défense du championnat (66,2 points encaissés) sont allés s’imposer sur le parquet de Blois (64-72). Privés de Xavier Gaillou (béquille), Raphaël Desroses (tendon d’Achille), puis de Loïc Akono après seulement trois minutes, les hommes de Rémi Giuitta ont pu compter sur un très grand Mamadou Dia pour tenir le coup avant de laisser Aaron Broussard scorer 9 de ses 24 points en toute fin de match.\\n\\nÂgé de 38 ans, le capitaine provençal arrivé au club en N2 il y a 12 ans a légitimé son surnom de « SuperMam » en réalisant l’un de ses meilleurs matchs en carrière avec 25 points, à 10/13 au tir dont 3/4 à 3 points en seulement 22 minutes (25 d’évaluation, sa meilleure en carrière en saison régulière). Très adroit à 3 points, en particulier en tête de raquette (40% en carrière en Pro B depuis 2009), le sextuple vainqueur du Quai 54 fait également partie de ces joueurs à la panoplie impressionnante de feintes au poste bas, au point d’être souvent comparé par ses pairs au joueur NBA Al Jefferson. Après la prestation de celui que l’on surnomme aussi « Le Maire », son coach Rémi Giuitta a tenu à tirer un grand coup de chapeau à son capitaine sur le site internet du club.\\n\\n« Il nous a permis de faire la différence, en faisant le premier break puis en nous remettant dedans lorsqu’on était moins bien. Il a été dans son registre, avec des shoots extérieurs en tête de raquette, et du jeu en un contre un au poste bas où il a remporté tous ses duels. Il a en plus dû défendre sur un poste 4, Lamayn Wilson en l’occurrence. A 38 ans, ça reste une sacrée performance ! C’était agréable à voir. Mam’ est un cerveau, il a une intelligence de jeu au dessus de la moyenne. Il sait se placer dans les bons espaces de jeu, sa technique et son adresse font le reste. Même s’il a parfois des gros gabarits en face de lui ou même des joueurs plus mobiles, il sait compenser avec tout ça, avec son QI Basket » .\\n\\nVendredi prochain, Fos Provence Basket recevra le 2e, l’ASC Denain-Voltaire, révélation de ce début de saison avec Charleville-Mézières, également à 4 victoires pour une défaite. Un sacré duel en perspective.\\n\\nLes résultats de la 5e journée\\n\\nAix-Maurienne – Evreux : 93-95\\nRoanne – Rouen : 87-73\\nPoitiers- Le Havre : 95-78\\nNantes – Saint-Chamond : 63-72\\nDenain – Lille : 89-79\\nCharleville-Mézières – Boulazac : 85-83\\nVichy-Clermont – Bourg-en-Bresse : 86-72\\nBlois – Fos-sur-Mer : 64-72\\n\\nDimanche\\n\\nSaint-Quentin – Boulogne-sur-Mer à 17h\\n\\nCrédit : Robert Visnelda"
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg renverse la table à Cholet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Deux trois-points d’Angel Rodriguez et de David Noel suivi d’un dunk de celui-ci, un lancer-franc de Jerry Boutsiele. La Meilleraie exulte. Cholet Basket est loin devant Strasbourg, 60-42. Elle vient de vivre vingt cinq minutes de rêve avec un Graham Brown (8 pts, 9 rbds) beaucoup plus percutant au regard de sa piètre production au Mans.\\n\\nVincent Collet sort alors le dernier atout de sa manche en changeant de stratégie. Il demande à ses joueurs une défense match up. Une antisportive infligé à Isaiah Swann enclenche le retour des Alsaciens, les intérieurs choletais deviennent subitement inopérants.\\n\\n« Et là, ils ne mettent plus leurs shoots. Mais, s’ils avaient continué à planter, on serait reparti avec 25 points dans les valises. Généralement, quand tu passes en zone, tu as moins d’agressivité. Mais c’est l’inverse qui s’est passé. On les a repoussés à la périphérie et ça nous a sauvés. La réussite les a fuis. Nos changements défensifs leur ont laissé peu de tirs ouverts et on en a profité. On s’est aussi mis à mieux jouer sur la défense pick’n’roll de Cholet. Sur leurs sorties très hautes, on a davantage bougé la balle, il y a eu de bons transferts. On a vraiment tout cumulé », explique Vincent Collet aux DNA et à Ouest France.\\n\\n\\n100% à 3-points pour Slaughter\\n\\nEn douze minutes, Cholet prend un 15-37, se fait doubler (75-79) et passe de l’exploit tout fait à la désillusion. L’Américano-polonais de la SIG A.J. Slaughter (27 points à 10/14 dont 5/5 à trois-points) est le grand homme du match. Parvenir à remonter à la surface quand on a touché le fond de la piscine, c’est ça la marque des grandes équipes. La SIG de Vincent Collet n’est plus un doux agneau comme la SIG de Henrik Dettmann. Pour autant l’échec de hier soir n’a pas ébranlé les convictions de Philippe Hervé, le coach choletais :\\n\\n« On perd encore de deux possessions, comme souvent, mais il faut voir ce que ça veut dire : qu’on est présent. En continuant à travailler, avec le bon état d’esprit du groupe, ça va porter ses fruits. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 13 novembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nGregory Vargas quitte le SLUC Nancy\\n\\n– Nancy. Pour des raisons personnelles et en accord avec le club, Gregory Vargas quitte ce dimanche la Lorraine et le SLUC Nancy... Lire la suite.\\n\\n\\nLe film du match\\n\\n– Murphy, puis Slaughter dégainent derrière l’arc : la SIG file à 0-6 en à peine 47’’. Noel allume en périphérie, Brown pilonne dans la peinture et... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTel le phénix\\n\\n– Revenue du diable Vauvert, la SIG a décroché, hier à Cholet, sa quatrième victoire lors des cinq dernières rencontres, sa deuxième de la semaine après... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe Hainaut a longtemps résisté avant de s’incliner face à Charleville-Mézières\\n\\n– Le Hainaut, lanterne rouge de LFB, a subi comme prévu sa sixième défaite en sept journées de Ligue féminine professionnelle face à d’incandescentes Flammes... Lire la suite.\\n\\n\\nCe match-là, le BCM aurait dû le prendre...\\n\\n– Samedi, les Gravelinois ont pourtant eu bien des occasions d’équilibrer leur bilan qui, du coup, reste négatif avec seulement trois victoires en huit journées... Lire la suite.\\n\\n\\nVilleneuve-d’Ascq en panne d’adresse\\n\\n– Dans ce duel, les Villeneuvoises ont fait un petit écart avec leur feu follet Epoupa et Sy Diop remise de sa fièvre (18-21) à la fin du QT1. Mais dans le suivant... Lire la suite.\\n\\n\\nBien trop faible en attaque cette ESSM-là pour faire un coup à Orléans\\n\\n– En rinçant Pau la veille (85-70), Hyères-Toulon avait envoyé un message fort à ses amis promus portelois. Il fallait donc à tout prix s’imposer dans le fief d... Lire la suite.\\n\\n\\nThomas Gipson quitte Chalon pour Yuzhny\\n\\n– Le pivot de l’Elan, Thomas Gipson, a encore souffert hier soir contre Limoges (ndlr : 0 pt à 0/2 et 3 rbds en 12’30). En conférence de presse... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« La manière et le comportement »\\n\\n– « C’est la première fois de la saison où je suis aussi satisfait de la manière et du comportement de l’équipe. C’est à la fois un bon match défensif... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFace aux Limougeauds, les Chalonnais marchent sur l’eau\\n\\n– Intraitable en défense, impérial en attaque, l’Elan n’a fait qu’une bouchée du champion de France 2015, Limoges (90-66), grâce notamment à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nAndrézieux tombe à Quimper\\n\\n– Après cinq victoires de rang, Andrézieux a lourdement chuté en Bretagne... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe Clar n’y arrive pas !\\n\\n– C’est dans le dernier 1/4 temps, que les Lyonnais ont cédé devant les Roannais... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nVilleurbanne si près, si loin\\n\\n– Villeurbanne n’est pas parvenu à se relancer chez des Ifoises qui ont remporté trois des quatre quart-temps. Ce sont pourtant les visiteuses qui... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Lédoniennes s’arrachent sur le fil\\n\\n– Malmenées et en difficulté sur les quart-temps médians, les Jurassiennes se sont imposées lors des dernières secondes de la rencontre, en réalisant un... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDémarrage hivernal pour les Lédoniens\\n\\n– Si le premier quart-temps était médiocre, le troisième a satisfait le technicien lédonien, Sylvain Sacco... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFeurs s’écroule dans le 3e quart-temps\\n\\n– On annonçait un match âpre, il le fut avec une autorité défensive de part et autre. Les locaux démarrent bien avec Wiltz et Beugnot 4-0 (2e ). Ils... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe RBF en grande difficulté\\n\\n– Dans un match maîtrisé de bout en bout par l’équipe adverse, les Pink Ladies s’inclinent de nouveau à domicile face à Chartres... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCaluire a pris son temps\\n\\n– Les Caluirardes ont mis une mi-temps avant de prendre la mesure des espoirs de Montpellier... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa leçon de réalisme de Montbrison\\n\\n– Toulouse M.B. 59 – BCMF 66Montbrison (2 victoires en 6 rencontres) était venu pour imiter Reims vainqueur surprise à Toulouse (3 victoires mais 1... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’OLB au bout du suspens\\n\\n– Il a fallu attendre les dernières secondes et un ballon perdu par les Bisontins pour que les Rhodaniens s’impose sur le fil... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe BCM s’offre le leader\\n\\n– Duel acharné hier soir à Cherblanc. Les Montbrisonnais, grâce à une adresse exceptionnelle à trois points, ont pris le dessus sur Lyon SO ( 83-79)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSCB : la machine à faire déjouer\\n\\n– Si le jeu couramiaud n’a pas été flamboyant, il a eu le mérite de faire perdre les pédales à Nantes. Comme à Boulazac la semaine dernière... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBourges un ton au-dessus de Lyon\\n\\n– Malmené en Euroligue, Bourges s’est repris en championnat, battant largement Lyon... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Asvel n’a pas perdu le Nord\\n\\n– Après avoir disposé du Portel, le champion a arraché la victoire face à Gravelines, malgré l’absence de trois joueurs majeurs. Ouf... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa Chorale doit s’endurcir\\n\\n– La victoire est là mais les Choraliens doivent trouver cette dureté qui pourrait leur dégager l’horizon... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg perd pied à Vichy\\n\\n– Vichy-Clermont a imposé son rythme, son agressivité, bref son envie hier soir à des Bressans qui n’ont pas su répondre... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nMonaco impérial, Collet et Strasbourg se rebellent\\n\\n– Monaco a facilement battu Antibes 88 à 64 pour conserver seul la tête alors que Strasbourg, qui a confirmé Vincent Collet jusqu’à la fin de la saison... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa SIG s’en sort avec une zone\\n\\n– Menée de 17 points à 15 minutes du terme, la SIG est revenue de loin hier soir pour arracher une victoire précieuse à Cholet grâce notamment à un AJ... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBasket Pro B – La JL stoppée à Vichy-Clermont\\n\\n– Les Burgiens s’inclinent 86 à 72 sur le parquet de Vichy-Clermont samedi soir. Malgré un bon départ (16 – 24), les Burgiens sont ensuite entrés dans le rang en perdant les trois quart temps suivant (25 – 19, 25 – 15, 20 – 14). Les hommes de Savo Vucevic ont connu du déchet à 3 points (6/24) et aux lancer-franc (12/19) notamment. En face, Byars (24 points) et Ware (18 points, 7 passes décisives) ont été rayonnants. Fin de la série positive pour la JL Bourg qui restait sur 3 victoires en 3 matchs de championnat et 5 succès toutes compétitions confondues. Rebond attendu dès vendredi prochain face à Charleville-Mézières pour une nouvelle journée de ProB... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Moustapha Fall (Chalon), le nouveau centre d’attention de la Pro A"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« Il est monstrueux, on ne peut rien faire contre lui. » Le compliment peut aller droit au cœur de Moustapha Fall puisqu’il est venu ce soir sur SFR Sport 2 du consultant Frédéric Weis qui affiche la même taille de géant, 2.18m. Et si l’ex-Limougeaud a toujours été plus large que le Chalonnais, il n’a pas son envergure. Celle de Moustapha est de 2,35m et il atteint 2,93m les bras levés. Un sommet himalayesque. Lorsqu’il a fait, il y a deux ans, les pré-camps de la draft, les Américains ont écarquillé les yeux puisqu’il s’agissait de la deuxième marque jamais enregistrée. Même Rudy Gobert (2,92m) est un chouia en-dessous.\\n\\nCe soir, Moustapha Fall a donc crevé l’écran face à Limoges. Ni son double double (14 points à 7/9 aux tirs et 11 rebonds), ni même ses 4 contres -il est le premier de la catégorie en Pro A aussi bien qu’aux dunks- dont l’un parfait, en tête de raquette, sur Fréjus Zerbo, reflètent complètement son efficacité si particulière. Il suffit qu’il se pose au centre de la raquette pour changer le jeu de l’adversaire, le complexer, et c’est d’autant plus sensible en Pro A, un championnat où les big men sont rares.\\n\\n\\nJuste sept ans de basket au compteur\\n\\nRepéré en 2009 par le coach des cadets départementaux du club de sa ville de Neuilly-sur-Marne, Moustapha Fall est à 24 ans encore un joueur neuf, façonné à Poitiers avec qui il joua son premier match de Pro A le 27 avril 2012 contre Gravelines. Son passage à Antibes la saison dernière lui a fait un bien fou car il a eu enfin un vrai temps de jeu en compagnie des Américains Tim Blue et Akil Mitchell et le coach Julien Espinosa a bouleversé ses schémas collectifs afin d’exploiter ses qualités si particulières et de minimiser ses faiblesses.\\n\\n« C’est un joueur atypique pour la Pro A mais je pense qu’on arrive à le mettre en valeur », disait alors le coach antibois à Basket Hebdo. « On l’a mis en avant, on l’a exposé un maximum, on a mis notre système en place pour lui. Défensivement, on doit s’adapter à ses capacités de mobilité. »\\n\\nA Chalon le géant paraît passer un cap encore supérieur, d’autant qu’il évolue au sein d’une équipe qui fait partie des caïds de la Pro A. La machine est lancée et plus rien ne semble pouvoir l’arrêter.\\n\\n\\n« Il était tout prêt d’y aller cet été en NBA, tout prêt », a révélé il y a quelques semaines Jean-Denys Choulet dans L’Equipe. En attendant la terre promise américaine, Moustapha Fall appartient au groupe de l’équipe de France A’ et il pourrait être candidat dès cet été à l’équipe de France A ou au plus tard lors des fameuses « fenêtres FIBA » pour les qualifications pour la Coupe du Monde 2019. Tout va tellement vite pour lui et le ciel est sa limite comme disent les Américains.\\n\\nA lire aussi : notre interview de Moustapha Fall avant sa summer league NBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nando De Colo, MVP de la semaine d’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les saisons se suivent et se ressemblent pour Nando De Colo considéré en 2015-2016 comme le meilleur joueur d’Europe. Le Français du CSKA Moscou a été élu MVP de la 6e journée d’Euroleague après la victoire de son équipe à Moscou face au Real Madrid, 91-90. Il avait déjà été le lauréat lors de la 3e journée.\\n\\nNando De Colo s’est fendu de 28 points (5/8 à deux-points, 3/4 à deux-points, 9/9 aux lancers), 6 rebonds et 2 passes pour une évaluation très élevée dans ce type de match au sommet, 35. Des chiffres qui se passent de commentaires mais pas d’une vidéo."
}, 
{"role": "user",     "content":"FIBA : les équipes nationales slovène et macédonienne menacées d’exclusion"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La guerre entre la Fédération Internationale et l’organisme qui gère les compétitions de l’Euroleague et de l’Eurocup continue en coulisses.\\n\\nll est impossible de faire un point global sachant que bizarrement des équipes allemandes, espagnoles, lituaniennes et russes participent aux trois compétitions majeures, Euroleague, Eurocup et Fiba Basketball Champions League.\\n\\nCependant, les fédérations slovènes et macédonienne ont indiqué avoir reçu une lettre officielle de la part de la FIBA qui montre le bâton en les menaçant d’interdire leur équipe nationale respective de compétitions officielles. Olimpija Ljubljana et Novo Mesto (Slovénie) participent à la ligue Adriatique qui n’est pas reconnue par la fédération internationale, Ljubljana et MZT Skopje (Macédoine) concourant de surcroît en Eurocup. La FIBA a donné aux fédérations la date du 25 novembre comme deadline pour exclure leurs équipes.\\n\\nUn épisode de plus à cette guerre totale qui fait une victime majeure : le basket en Europe."
}, 
{"role": "user",     "content":"Israël : Derwin Kitchen s’engage avec l’Ironi Nahariya"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Aperçu à Nancy la saison dernière, Derwin Kitchen était sans club depuis l’intersaison et vient de signer avec l’Ironi Nahariya, en Israël, comme le rapporte David Pick.\\n\\nAprès avoir passé la deuxième moitié de la saison dernière en Turquie, plus précisément au Trabzonspor, l’arrière américain rejoint donc l’Israël, où un contrat de 105 000 dollars l’attend pour la saison.\\n\\nEn sept matchs de Pro A, Kitchen compilait en moyenne 10 points, 6,4 rebonds et 6,1 passes décisives pour une éval de 16,1.\\n\\n\\n\\n\\nSource: FIBA club Nahariya has signed free-agent guard Derwin Kitchen to $105 thousand deal for season.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) 2 novembre 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 3 novembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nTravis toujours dans le viseur\\n\\n– ALORS QUE LE DOSSIER semblait enterré, Martial Bellon a expliqué, en marge du match contre Ostende, que Romeo Travis était toujours dans le viseur de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nQuand Slaughter va...\\n\\n– AJ Slaughter tire doucement son équipe vers le haut. Alors que la recrue phare de l’été commence à trouver le rythme, la SIG se met à gagner... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDépartementaux : Carspach – Vieux-Ferrette, un derby à enjeu\\n\\n– Pas vraiment à la fête depuis le début de la saison, les joueuses de Carspach et de Vieux-Ferrette s’affrontent ce dimanche (15 h 30) au Quartier... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Illfurthoises ont un statut à défendre\\n\\n– En tête du championnat de Prénationale après quatre journées, les féminines de Nord Sundgau passent un test sérieux ce samedi (20 h 30) à Eckbolsheim... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nNord Sundgau doit enfin gagner\\n\\n– Battus lors de leurs cinq premiers matches de Nationale 3, les basketteurs de Nord Sundgau occupent une fâcheuse dernière place au classement et... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn état d’esprit différent\\n\\n– Friable puis solide, la SIG est passée pour tous les états mardi au Rhénus face à Ostende. Au final, elle a remporté un match (74-64) qu’elle aurait... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nOpération “portes ouvertes” en Hongrie\\n\\n– Fin de série brutale pour l’Elan, qui restait sur 4 victoires. Laminés en défense, les Bourguignons ont encaissé 111 points à Fehérvar. Première... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSigné Octavio Da Silveira\\n\\n– Samedi, Pont-de-Chéruy est allé infliger sa première défaite à domicile à l’OLB (63-67). Un cinquième succès consécutif où Octavio Da Silveira (2,04m... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSamedi noir pour les Ligériennes\\n\\n– Aucune des Roannaises et des Montbrisonnaises ne figure au palmarès des statistiques de la cinquième journée. Par contre, les stars de LF2 ont partout... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFos-sur-Mer seul aux avant-postes\\n\\n– Retour aux affaires ce week-end, notamment pour Fos invaincu et seul leader avec trois succès. En fond de classement, trois clubs tenteront d’ouvrir... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa Pontoise aime les derbys\\n\\n– Déjà vainqueur de l’AL Roche lors de la première journée, La Pontoise s’est offert un second derby à domicile en prenant le meilleur sur Saint-Chamond... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Asvel n’a pas existé\\n\\n– Le champion de France n’a pas pesé lourd en Lituanie, où il avait quasiment perdu tout espoir à la pause... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTout bénéfice pour la Chorale\\n\\n– La Chorale a gagné son ticket pour la demi-finale sous le signe du partage, du temps de jeu comme du scoring. Idéal avant le déplacement à Blois... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Priest veut prendre son temps\\n\\n– Logiquement reléguée après deux saisons en N2, l’ALSP veut y retourner. Mais sans brûler les étapes... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nNouaillé revient aux affaires\\n\\n– Après plusieurs saisons au niveau départemental, l’équipe fanion masculine de Nouaillé Basket Animation (NBA) vient de retrouver la Régionale 3. « Après huit ou neuf années consécutives en R3, nous étions descendus il y a trois ans. Nous nous appuyons sur le même groupe de joueurs depuis un bon moment. L’effectif est composé d’éléments exp... Lire la suite.\\n\\n\\nLa réserve du PB 86 bien lancée\\n\\n– Les réservistes du Poitiers Basket 86 ont démarré sa saison pied au plancher avec quatre succès en autant de rencontres. Retour sur des débuts réussis... Lire la suite.\\n\\n\\nUne saison 2 pour Boateng\\n\\n– Vous l’avez aimé en Nationale 1, vous allez le retrouver en Pro B. Eric Boateng est de retour à l’ADA... mais ne jouera probablement pas samedi... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Comment Le Mans a tout gâché"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Manceaux mènent au score à Kataja, 72-76, à 11 secondes de la fin de la prolongation, grâce à deux lancers de Mickaël Gelabale. Seulement Will Yeguete fait faute dans le mouvement suivant. Deux lancers réussis de Teemu Rannikko. Temps-mort. Il reste 8 secondes et 7 dixièmes. Le MSB a la balle en sa possession dans le camp adverse. L’affaire semble dans la poche.\\n\\nSeulement Lahaou Konaté ne parvient pas à la remettre en jeu dans les cinq secondes imparties. Le ballon est rendu aux Finlandais. Le Canadien Daniel Mullings remonte avec tout le terrain, slalome, pénètre et en déséquilibre score d’un lay up avec en prime la faute de Ryan Pearson. Lancer transformé. Les Finlandais sont passés devant.\\n\\nPearson remet la balle en jeu en la filant à Konate qui la remonte en dribble, traverse la ligne médiane, mais ne contrôle pas réellement la situation. Gêné par Teemu Rannikko, il perd la boule. Après cet incroyable finish Katja Basket remporte le match, 77-76.\\n\\n« On a mis tous les petits en même temps pour garder la balle. Peut-être n’aurait-il pas fallu prendre de temps mort et les laisser jouer... », se désole Erman Kunter.\\n\\nAvec deux victoires le MSB est toujours en tête de sa poule en compagnie de Saratov, du Maccabi Rand Media et de Karsiyaka mais n’a pas encore gagné un match à l’extérieur, Pro A comprise, et le malaise est de plus en plus palpable. Hier soir les fautifs sont tout désignés. Les extérieurs Giordan Watson (1/10), Olivier Hanlan (1/8) et Philippe Amagou (0/5) plus l’ailier Ryan Pearson (3/11) ont raté la cible à qui mieux mieux."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau-Orthez-Lacq : Sek Henry en partance vers Gravelines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec des moyennes d’environ 11 pts et 3 pds de moyenne, Sek Henry a remplacé au pied levé Yannick Bokolo, et malheureusement pour l’Elan Béarnais, ses performances ont tapé dans l’oeil d’autres formations.\\n\\n\\nC’est à sa demande, et celle de ses agents, qu’il n’a pas joué hier en Coupe d’Europe, et selon le club, il va s’engager ailleurs pour « un contrat pour le reste de la saison ». Un CDD de plusieurs mois sur lequel les Béarnais ne peuvent pas s’aligner, et ils ont consenti, à regret, de le laisser partir avant la fin de sa pige.\\n\\nSelon La République des Pyrénées, il ne quittera pas la France puisqu’il est attendu du côté de Gravelines."
}, 
{"role": "user",     "content":"Championnat nationaux : le Top 10 de la semaine (29 octobre)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque saison depuis maintenant cinq ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCe week-end, on a, encore une fois, eu le droit à de très agressifs posters dunks à l’image de Dwight Burke (UJAP Quimper, NM1), Yliesse Chabi-Gara (Ozoir-Val d’Europe, NM3) ou encore Andrew Young (BB Beaujolais, NM2).\\n\\n\\nTop 10 CourtCuts FFBB du 29 Octobre 2016 par FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Martin Hermannsson, l’Etoile islandaise de Charleville"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il est l’une des curiosités de cette saison 2015/16 de Pro B. Meneur titulaire de Charleville-Mézières, rookie Islandais de 22 ans avec déjà un EuroBasket dans les jambes, Martin Hermannsson (1,90 m) a effectué des débuts remarqués sous le maillot de l’Etoile (21,3 points à 59%, 3,6 rebonds et 5 passes décisives). Portrait d’un joueur qui ne devrait pas s’éterniser en deuxième division.\\n\\nDes rookies dans son équipe ? Cédric Heitz, l’entraîneur de Charleville-Mézières, n’en voulait pas vraiment au début de l’été. Alors à la mène en plus ? C’était tout simplement hors de question. Jusqu’à ce que le technicien ardennais tombe sur des vidéos de Martin Hermannsson... « J’ai vite changé d’avis et balayé ce statut de rookie qui n’a aucun sens en ce qui le concerne. »\\n\\nCar en effet, depuis ses premiers pas sur les parquets de Reykjavik à l’âge de 6 ans, Martin Hermannsson a l’habitude de tout faire plus vite que les autres. Et pour cause, le néo-carolo a baigné dans le milieu de la balle orange dès sa plus tendre enfance. Son père, Hermann Hauksson, était un basketteur reconnu, international islandais avec un passage en Belgique et une campagne de Coupe Korac (en 2000, sous les couleurs de l’IRB Rekjanesbær) dans les jambes. Alors, enfant, Martin domine logiquement toutes ses catégories d’âge, sans pour autant se passionner pour le basket. « Je jouais aussi au football, je pensais même en faire mon métier car je préférais ce sport », nous a-t-il expliqué. « Mais à 16 ans, j’ai été sélectionné par l’équipe U20, c’est à ce moment-là que j’ai pris ma décision ».\\n\\n« Je suis le plus jeune de l’histoire à avoir remporté ces deux trophées de MVP »\\n\\nUn MVP sans contrat professionnel\\n\\n16 ans, c’est aussi l’âge où il effectue ses premiers pas avec l’équipe professionnelle du KR Reykjavik. Le 7 octobre 2010, à peine trois semaines après son anniversaire, Martin Hermannsson est lancé dans le grand bain contre Stjarnan. Il restera quatre saisons à Reykjavik, avec une productivité qui augmente proportionnellement avec son temps de jeu. 1,6 point en 3 minutes de moyenne lors de sa première année, puis 5,6 points en 17 minutes, puis 14,5 en 29 minutes, avant l’explosion absolue lors de l’exercice 2013/14 : 18,8 points à 49% aux tirs, 3,4 rebonds et 4,6 passes décisives de moyenne. « C’est l’année où j’ai vraiment franchi un palier », se remémore-t-il. Des progrès récompensés par le trophée de meilleur joueur de la saison. Un MVP absolument hors du commun puisqu’il ne disposait même pas de contrat professionnel ! « Il était toujours prévu que je parte en NCAA alors je n’ai jamais signé de contrat. Je n’étais pas payé. J’étais simplement un amateur au milieu de professionnels ». Cerise sur le gâteau, il conduit Reykjavik jusqu’au titre de champion national, en étant aussi élu MVP de la finale. « Je rêvais de gagner un titre un jour dans ma carrière, c’est génial de l’avoir fait dès 19 ans. Et en plus, je suis le plus jeune de l’histoire à avoir remporté ces deux trophées de MVP. Cette saison était vraiment incroyable ! »\\n\\nDevenu trop petit pour Hermannsson, le championnat d’Islande voit donc partir son plus beau joyau, direction les Etats-Unis. Comme prévu, le jeune meneur rejoint l’université de Long Island, à Brooklyn. « Il fallait que je sorte de ma zone de confort », explique-t-il. « Je n’étais pas prêt pour basculer vers le monde professionnel à 19 ans. La NCAA était un bon compromis pour progresser et devenir plus costaud ». Etudiant en business et management, l’Ardennais découvre un nouvel univers, de la petite capitale nordique qu’est Reykjavik jusqu’à New York, la ville la plus célèbre du monde. Sportivement, il fait aussi ses preuves avec une progression significative entre sa première et sa deuxième saison, jusqu’à décrocher une place dans le meilleur cinq de sa conférence en 2015/16 grâce à des moyennes de 16,2 points à 46%, 4,3 rebonds et 4,7 passes décisives.\\n\\n« Je me revois défendre sur Nowitzki ou Gasol »\\n\\n\\nA l’EuroBasket 2015\\n\\nDes progrès logiques au vu des cours d’étés accélérés dont a bénéficié Martin Hermannsson en septembre 2015. Deux ans après sa première sélection en équipe d’Islande (contre Saint-Marin, au Luxembourg), il se retrouve à disputer l’EuroBasket 2015 à Berlin au sein d’un groupe absolument terrible : l’Espagne, la Turquie, l’Italie, la Serbie et l’Allemagne, excusez du peu. Des équipes respectivement menées par Sergio Rodriguez, Bobby Dixon, Daniel Hackett, Milos Teodosic et Dennis Schröder. Pour un universitaire, le choc est rude. Mais aussi extrêmement enrichissant.\\n\\n« C’était incroyable de jouer contre des gars que je regardais à la télé depuis mon plus jeune âge. Je me revois défendre au poste sur Dirk Nowitzki et Pau Gasol, c’était fou. Mais une fois rentré sur le terrain, il faut penser que ce sont des gens comme tout le monde. S’ils te marquent dessus, il faut être sûr que tu pourras leur marquer dessus derrière. » Un état d’esprit sans complexe, à l’image de la sélection islandaise, qui a séduit le public berlinois en tenant la dragée haute à l’Allemagne (65-71) et l’Italie (64-71) avant de contraindre la Turquie à une prolongation (102-111). « Tout le monde s’attendait à nous voir perdre chaque match de 60 points », rigole Martin, auteur d’un championnat d’Europe honorable (4,6 point à 44%, 1,8 rebond et 1,2 passe décisive). « Nous avons surpris beaucoup de monde et nous avons montré à quel point nous sommes bons. Avec du recul, j’aurais aimé gagner un match mais ce sera pour la prochaine fois. »\\n\\n« En Finlande, le basket est déjà un sport majeur alors qu’il prend de plus en plus d’importance en Islande »\\n\\n\\nRendez-vous à l’Euro 2017\\n\\nCar il y aura bien une prochaine fois. Il y a moins de deux mois, l’Islande s’est qualifiée avec brio pour son deuxième EuroBasket d’affilée au terme d’un dernier match absolument fou contre la Belgique (menés de 14 points, les hommes de Craig Pedersen se sont finalement imposés 74-68). Une campagne estivale qui aura marqué l’avènement de Martin Hermannsson, nouveau poste 2 titulaire, comme un joueur majeur de la sélection nordique (14,2 points à 53%, 4 rebonds et 3,5 passes décisives en 31 minutes de moyenne), du haut de ses 45 sélections. Cerise sur le gâteau, les Islandais disputeront l’EuroBasket 2017 à Helsinki, dans une ambiance qui promet d’être survoltée. « En Finlande, le basket est déjà un sport majeur alors qu’il prend de plus en plus d’importance en Islande », relate Martin. « Il y a de plus en plus de gens qui commencer à jouer, s’intéresser aux matchs. » 1 800 Islandais auraient déjà prévu de rallier Helsinki en septembre 2017 pour supporter leur sélection. Et ce n’est sûrement qu’un début, d’autant plus que la désormais célèbre équipe de football islandaise se déplacera aussi en Finlande le 2 septembre pour le compte des éliminatoires de la Coupe du Monde 2018.\\n\\n« Il joue très bien les pick’n roll, avec beaucoup de justesse. Son tir à trois points est une menace constante »\\n\\n\\nDéjà des cartons\\n\\nMais avant de goûter aux joies de son deuxième championnat d’Europe, « le fils d’Hermann » va devoir tenir les rênes d’une équipe de Pro B pendant toute la saison. Désireux de franchir le cap du professionnalisme avant même la fin de son cursus universitaire, il a reçu des offres d’Espagne, de Belgique et d’Italie avant d’opter pour l’Etoile de Charleville-Mézières. « Mon agent m’a dit que Charleville pourrait être un bon endroit pour progresser et effectuer une bonne saison. Ils avaient besoin d’un meneur numéro 1 qui peut jouer le pick’n roll et c’est ma spécialité. »\\n\\nArrivé tardivement dans les Ardennes à cause de son été en sélection, Hermannsson n’a pourtant pas tardé à s’adapter à son nouvel environnement en empilant les bonnes performances : 26 points à 10/16 face à Poitiers (79-69), 17 points à 7/13 et 6 rebonds à Blois (72-65) puis 21 points à 6/10 et 9 passes décisives vendredi dernier contre Fos-Provence (70-74). De quoi satisfaire Cédric Heitz, qui nous présente sa trouvaille. « Il peut jouer sur les postes 1 et 2. C’est un scoreur mais il est capable d’être vraiment dans le partage de la balle. Il a vraiment l’instinct du panier, une certaine vitesse, un changement de rythme intéressant. Il joue très bien les pick’n roll, avec beaucoup de justesse. Son tir à trois points est une menace constante. Il ne shoote pas encore suffisamment pour moi. Il est scoreur mais pas personnel. Il a l’ambition de faire briller les autres. » Une double facette décryptée par le joueur lui-même. « Je peux faire un peu de tout. Jeune, j’étais tourné vers le scoring. Depuis trois – quatre ans, j’ai développé des qualités de passeur, de lecture de jeu. » Et s’il admet aisément que ses qualités se situent bien plus dans le secteur offensif que dans le secteur défensif, son entraîneur est plus mesuré. « Défensivement, il fait peu d’erreurs, il a les bons appuis. Il ne met pas une pression incroyable mais il fait ce qu’il faut. Il est là où il faut être. » Une description élogieuse qui témoigne de la confiance accordée par l’ancien assistant de Jean-Luc Monschau à son faux rookie. « Je sais que le coach attend beaucoup de moi, même si je suis jeune. Il voit que je peux faire gagner l’équipe et bien me débrouiller dans ce championnat d’un très bon niveau. Je sens qu’il a des attentes élevées à mon égard. »\\n\\n« C’est plus calme ici, les magasins ferment à des heures bizarres parfois »\\n\\n\\nObjectif Espagne\\n\\nEt notamment celle d’être consistant sur toute la durée du championnat. Bonne surprise de ce début de saison, Martin Hermannsson bénéficie de l’effet de nouveauté et devra prouver qu’il peut tenir ce rythme une fois que les autres équipes se seront adaptées à son jeu. « Je ne pense pas que Poitiers me connaissait beaucoup par exemple », sourit-il. « Je serai sûrement plus surveillé donc j’espère que ça donnera des ouvertures à mes coéquipiers et je pourrais avoir plus de passes. » En attendant, l’enfant du Nord doit également encaisser la rude transition entre New York et Charleville-Mézières, l’ancienne cité métallurgique aux 50 000 habitants. « J’aime le silence », tente de positiver le nouveau patron de l’Etoile. « Mais c’est une énorme différence. Il y avait tout le temps des magasins ouverts à New York, les gens parlent anglais, il y a du monde dans la rue. C’est plus calme ici, les magasins ferment à des heures bizarres parfois. Mais je me sens bienvenu ici. J’espère prendre des cours de français et maîtriser la langue bientôt, ça facilitera les choses. »\\n\\nUn environnement sans grande distraction qui devrait permettre à Hermannsson de se concentrer pleinement sur le basket afin de réaliser une saison pleine et de lancer sa carrière sur les meilleures bases possibles. « Je vais tout donner à chaque match pour avoir de bonnes statistiques, pour faire gagner mon équipe, pour faire progresser mes coéquipiers et pour pouvoir jouer dans de plus grands clubs plus tard. L’objectif est d’évoluer au sein d’une grande équipe espagnole ». Une ambition qui n’apparait pas irréaliste au regard des propos de Cédric Heitz, toutefois évidemment très insistant sur le fait de procéder étape par étape. « Il est destiné à jouer à un haut niveau, c’est une certitude. Son présent et son futur est à l’Etoile mais son avenir proche ou lointain est au-delà de la Pro A, très clairement. Mais il faut d’abord faire une bonne saison, consistante sur toute la durée, avec des résultats collectifs. L’Etoile doit finir plus haut que par le passé afin qu’il soit pleinement responsable de ses statistiques »\\n\\nCar même s’il fait tout plus vite que les autres, Martin Hermannsson va d’abord devoir prendre le temps de s’inscrire dans les livres d’or de l’Etoile de Charleville-Mézières. Ce n’est qu’à ce prix-là qu’il aura réussi son premier examen de passage dans le monde professionnel.\\n\\n\\nSa fiche d’identité\\n\\nIslandais – Poste 1-2 – 1,90 m – Né le 16 septembre 1994 à Reykjavik\\n\\nSon parcours : KR Reykjavik (Islande, 2010/14), Long Island University (NCAA, 2014/16), Etoile de Charleville-Mézières (Pro B, 2016/17).\\n\\nSon palmarès : Champion d’Islande en 2011 et 2014, MVP du championnat islandais en 2014, MVP de la finale du championnat islandais en 2014, All-NEC first team en 2015/16.\\n\\nPhoto : David Henrot"
}, 
{"role": "user",     "content":"Basket Landes : pas de gondoles à Venise"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir vaincu et plutôt largement Nice (78-57), à Mont-de-Marsan, lors de la première journée, Basket Landes va ce soir disputer son premier VRAI match d’EuroCup face au Reyer Venise, au palais des sports Taliercio, à Mestre.\\n\\nMalgré la beauté de la ville, les Landaises ne sont pas venues en Vénitie pour faire en priorité un tour de gondole comme le confirme Julie Barennes dans Sud Ouest :\\n\\n« Entre l’entraînement et la vidéo du matin, le déjeuner, la sieste, puis la collation et le départ pour le match, on a rarement le temps de découvrir les lieux. Mais là, c’est une jolie ville. On aura peut-être le temps d’aller visiter jeudi matin, avant de repartir. Après, on ne part pas non plus en colonie de vacances ! (rires) »\\n\\n\\nDuel de leaders\\n\\nLes Vénitiennes s’annoncent comme un farouche adversaire. Dans leur championnat national elles sont invaincues après cinq journées comme Schio et San Martino. Tout comme aussi Basket Landes en LFB. Et comme les Françaises elles sont sorties avec des lauriers sur la tête de leur première joute européenne la semaine dernière, mais après avoir été chahutées par Fribourg (64-61). La triplette composée de l’ailière américaine Ashley Walker (23 points et 9 rebonds), de sa compatriote, la meneuse Ashleigh Fontenette (7 passes et 7 rebonds) et du pivot slovaque Marie Ruzickova (10 points et 10 rebonds) vue à Challes et Perpignan, a été performante.\\n\\n« Avec quatre équipes dans la poule, tous les matchs sont importants », affirme Julie Barennes. « On va enchaîner trois déplacements (Ndlr : après Venise ce seront Fribourg et Nice.) L’idéal serait d’assurer notre qualification le plus vite possible, afin d’aborder les deux derniers matchs à domicile sans trop de pression. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"FIBA Europe Cup : l’Elan Béarnais assure face à Oberwart"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Deuxième match de FIBA Europe Cup ce mardi pour l’EBPLO et deuxième victoire. Cette fois, contre les Redwell Gunners d’Oberwart, en Autriche. Les coéquipiers d’Alain Koffi se sont imposés 81-66 et ils se hissent en tête du groupe E avant de commencer la phase retour.\\n\\nDans ce match, D.J. Cooper a, encore une fois, régalé ses coéquipiers en inscrivants 12 points mais surtout en distribuant 16 passes décisives (record de la saison dans la compétition). La plus belle performance de la FIBA Europe Cup appartient au Finlandais Teemu Rannikko qui a délivré 18 assists le 28 octobre 2015 lors de la victoire de son équipe de Joensuu face aux Bulgares de Samokov, mais il ne serait pas étonnant de voir le meneur de l’Elan Béarnais battre ce record tant il semble dominer dans ce secteur de jeu que ce soit en Pro A ou sur la scène européenne.\\n\\nEric Bartecheky, l’entraîneur béarnais s’est exprimé sur le site du club après le match.\\n\\n« Comme face à Tartu, on a eu une bonne approche de ce match et notre entame a été plutôt concluante. Certes il faut relativiser tout cela mais il faudra voir si nous sommes capables de le reproduire en championnat. L’écart aidant, on s’est relâchés, on a perdu quelques balles au cours du 3ème quart-temps car notre adversaire est monté aussi en intensité. On a su se ressaisir par la suite. Cette deuxième victoire ne nous qualifie pas pour autant et il faudra peut-être en assurer une troisième en fonction du résultat du prochain match entre Oberwart et Tartu. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"FIBA Europe Cup : Nanterre leader du groupe D"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mardi soir, Nanterre a remporté son troisième match en FIBA Europe Cup, face à l’équipe belge des Giants d’Anvers 78-69.\\n\\nComme souvent cette saison, Chris Warren a terminé MVP de la rencontre avec 19 points, 5 rebonds et 4 passes décisives pour une évaluation finale de 20.\\n\\nAprès trois journées de compétition et au terme de la phase aller, la formation de Pascal Donnadieu est seule en tête du groupe D devant Anvers, Porto et Sopron. Place maintenant à la phase retour qui commence, pour les Franciliens, dès le mercredi 9 novembre au Palais des Sports Maurice Thorez face aux Hongrois de Sopron."
}, 
{"role": "user",     "content":"Leaders Cup Pro B : les affiches des demi-finales sont connues"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Hier soir avaient lieu les matchs retour des quarts de finale de la Leaders Cup Pro B et se sont qualifiés pour les demis, Aix-Maurienne, Bourg-en-Bresse, Roanne et Boulogne-sur-Mer.\\n\\nAprès s’être imposé lors du match aller d’un petit point (84-83), Bourg a confirmé face à Evreux en l’emportant, cette fois, de dix points (89-79) grâce au très bon match de Youssou Ndoye qui a compilé 20 points (8/11), 10 rebonds et 1 passe décisive pour une évaluation de 27.\\n\\nDe leur côté, Aix-Maurienne et Denain s’étaient quittés sur un match nul lors du match aller (80-80) et c’est finalement l’AMSB qui l’a emporté 66-63, suite au bon match de Paulius Dambrauskas (14 points, 1 rebond et 5 passes décisives pour 14 d’éval), et qui obtient son ticket pour les demis.\\n\\nNantes pensait avoir fait le plus dur en s’imposant face à Roanne lors du match aller (80-75) mais ce sont finalement les joueurs de Laurent Pluvy qui accèdent à la demi-finale après avoir rattrapé le point-average lors du match retour en l’emportant 78-69 grâce aux 12 points, 6 rebonds et 2 passes décisives (15 d’éval) de Clément Cavallo.\\n\\nPour finir, le SOMB a assuré l’avantage qu’il avait pris lors du match aller (73-67) en remportant également le match retour face à Poitiers 83-76. Teddy Gipson termine MVP de la rencontre avec 18 points, 3 rebonds et 5 passes décisives pour une évaluation de 19.\\n\\nToujours en format match aller-retour, les demi-finales auront lieu à 20h les 22 et 29 novembre prochains. Les confrontations seront les suivantes.\\n\\n * Aix-Maurienne – Roanne\\n * Bourg-en-Bresse – Boulogne-sur-Mer"
}, 
{"role": "user",     "content":"Quand Ben Dewar (Cholet) effraie la population"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Aujourd’hui consultant basket notamment pour SFR Sport 2 et la saison dernière joueur de Cholet Basket, Stephen Brun a tweeté cette photo des Choletais fêtant Halloween avec pour certains des déguisements traditionnels.\\n\\nComme le fait remarquer Stephen Brun, Benjamin Dewar (en blanc avec des lunettes) n’a pas eu besoin d’un masque pour effrayer la population!\\n\\n\\n\\n\\nBenjamin Dewar le joueur de @CB_officiel vient de me tuer de rire avec son costume Halloween!!! Magique..... pic.twitter.com/w8HepUNTE4\\n\\n\\n— Stephen Brun (@StephBrun41) November 1, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Champions League : Monaco en balade à Aarhus"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour le compte de la troisième journée de Champions League, l’AS Monaco se déplaçait à Aarhus, au Danemark, pour y affronter l’équipe des Bakken Bears. Au final, les hommes de Zvezdan Mitrovic se sont imposés de trente-sept points face aux Danois 94-57 et restent invaincus, toutes compétitions confondues.\\n\\nZack Wright a, comme la semaine dernière, terminé MVP de la rencontre avec 12 points, 2 rebonds, 3 passes décisives et 4 interceptions pour une évaluation de 17."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : les plus beaux contres du mois d’octobre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un plaisir matinal qui fait du bien: le top 10 des contres du mois d’octobre en Euroleague. Nando de Colo se glisse sur le podium avec un contre par derrière..."
}, 
{"role": "user",     "content":"Charles Kahudi : «J’étais apte à jouer aux Jeux olympiques»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur le site lyonnais obuzzer, Charles Kahudi donne de ses nouvelles, lui qui est écarté des terrains depuis une opération à la cheville début septembre. L’ailier international de l’ASVEL espère redevenir actif d’ici quinze jours, et le champion de France revient justement sur cette blessure et sur sa participation aux JO de Rio avec l’équipe de France.\\n\\n« J’étais apte. J’ai pu me reposer avant de rejoindre l’équipe de France et j’ai repris tranquillement. Le problème, c’est que j’ai contracté deux nouvelles entorses à l’entraînement pendant les Jeux et la deuxième m’a vraiment fait du mal. La douleur était beaucoup plus difficile à supporter. C’est frustrant parce que je n’ai pas pu m’exprimer comme je l’aurais voulu et cela a impacté mon rendement pour l’équipe (...) Et une fois rentré des Jeux, j’ai dû me faire opérer pour la première fois de ma carrière, alors que je pensais qu’un mois de repos serait suffisant pour soigner ma cheville. »\\n\\n\\nIl veut jouer à l’étranger\\n\\nIl évoque également ses contacts cet été avec un club espagnol mais sans vouloir confirmer au journaliste s’il s’agissait du FC Barcelone.\\n\\n« (Rires) Ça, je n’en parle pas. Malheureusement ça ne s’est pas fait. Tant pis, ce n’est pas grave. Aujourd’hui je suis à l’Asvel et je vais tout faire pour gagner avec ce club. Mais j’aspire toujours à évoluer un jour à l’étranger. J’ai envie de démontrer que je peux encore progresser. Je pense qu’une expérience à l’étranger pourrait m’apporter beaucoup de choses dans l’apprentissage du basket. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : les meilleurs joueurs de la sixième journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la sixième journée de Pro A, l’équipe de SFR Sport a dressé le bilan des cinq meilleurs joueurs français et et des cinq meilleurs joueurs étrangers de la semaine.\\n\\nDu côté Français, on retrouve Paul Lacombe qui, pour le retour de Vincent Collet, a rendu une belle copie avec 12 points, 4 rebonds et 5 passes décisives pour une évaluation de 22 dans la victoire de la SIG face à Antibes 85-74. Côté étranger, l’irrésistible D.J. Cooper fait son retour dans le cinq majeur de la semaine grâce à son énorme performance (30 points, 4 rebonds et 14 passes décisives pour 33 d’éval) dans la victoire de l’EBPLO face à Orléans (95-91).\\n\\nAu poste de deuxième arrière, Jeremy Nzeulie a, pour la deuxième fois consécutive, été sélectionné dans le cinq majeur de la semaine en compilant 12 points, 4 rebonds et 4 passes décisives (15 d’éval) dans la victoire de l’Elan Chalon face à Cholet Basket (94-90). Du côté des JNFL, c’est le Strasbourgeois A.J. Slaughter qui, avec 22 points, 4 rebonds et 4 passes décisives pour 24 d’éval, à largement contribué à la victoire des siens face à Antibes et qui a donc été choisi.\\n\\nA l’aile, c’est, comme la semaine dernière, Nicolas Lang qui a été choisi suite au match face au Portel dans lequel il a cumulé 21 points, 4 rebonds, 4 passes décisives (24 d’évaluation) et dans lequel l’ASVEL s’est imposée 75-64. Pour les étrangers, c’est Lance Harris qui a été sélectionné. Dans la victoire de Chalon face à Cholet, l’Américain a compilé 22 points, 8 rebonds et 1 passe décisive pour 23 d’évaluation.\\n\\nAu poste 4, on retrouve, une nouvelle fois, côté Français Alain Koffi qui a été injouable face à Orléans et qui a enregistré 22 points et 14 rebonds pour une évaluation de 30. Pour les étrangers, c’est un petit nouveau qui fait son apparition dans le cinq type de la semaine puisque c’est Ryan Evans qui a été choisi. Face au MSB, le HTV s’est imposé de seize unités 76 à 60. Dans ce match, l’ancien joueur de Saint-Quentin (Pro B) a compilé 18 points (7/11 aux tirs), 4 rebonds et 3 passes décisives pour 21 d’éval.\\n\\nEnfin, Louis Labeyrie a été élu meilleur poste 5 de la semaine suite à la victoire du Paris-Levallois sur son parquet face au CCRB dans laquelle il a inscrit 16 points et capté 9 rebonds, le tout pour une évaluation de 23. Côté étranger, c’est l’intérieur de Monaco, Brandon Davies qui termine meilleur poste 5 de la semaine en compilant 15 points (7/10 aux tirs), 11 rebonds et 3 passes décisives pour une évaluation de 22 dans la victoire de l’ASM face au BCM 79 à 71.\\n\\n\\nCinq majeur français\\n\\n * Paul Lacombe (Strasbourg) : 12 points, 4 rebonds, 5 passes décisives, 22 d’évaluation.\\n * Jeremy Nzeulie (Chalon-sur-Saône) : 12 points, 4 rebonds, 4 passes décisives, 15 d’évaluation.\\n * Nicolas Lang (Lyon-Villeurbanne) : 21 points, 4 rebonds, 4 passes décisives, 24 d’évaluation.\\n * Alain Koffi (Pau-Lacq-Orthez) : 22 points, 14 rebonds, 30 d’évaluation.\\n * Louis Labeyrie (Paris-Levallois) : 16 points, 9 rebonds, 23 d’évaluation.\\n\\n\\nCinq majeur étranger\\n\\n * D.J. Cooper (Pau-Lacq-Orthez) : 30 points, 4 rebonds, 14 passes décisives, 33 d’évaluation.\\n * A.J. Slaughter (Strasbourg) : 22 points, 4 rebonds, 4 passes décisives, 24 d’évaluation.\\n * Lance Harris (Chalon-sur-Saône) 22 points, 8 rebonds, 1 passe décisive, 23 d’évaluation.\\n * Ryan Evans (Hyères-Toulon) : 18 points, 4 rebonds, 3 passes décisives, 21 d’évaluation.\\n * Brandon Davies (Monaco) : 15 points, 11 rebonds, 3 passes décisives, 22 d’évaluation."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 2 novembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nBasket-ball – Pro A : l’état d’urgence pour le SLUC Nancy\\n\\n– Avant de recevoir Monaco leader incontesté et invaincu, le SLUC est aujourd’hui seul dernier. Et son incapacité à gagner des matchs, à s’imposer... Lire la suite.\\n\\n\\nLe film du match\\n\\n– Jaiteh et Walker lancent la SIG (3-0, 2e ’). Ostende réplique par un 8-0, œuvre de Salumu et du géant Katic (3-8, 4e ’). Howard et Lacombe viennent... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nIls ont du répondant\\n\\n– En dépit d’un énorme trou d’air dans le deuxième quart-temps, la SIG est parvenue à redresser la barre pour remporter son premier match en Ligue des... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nStrasbourg IG 74 Telenet Ostende 64\\n\\n– Strasbourg. Rhénus Sport. Mi-temps : 25-42. Les périodes : 19-16, 6-26, 34-14, 15-8. Arbitres : MM. Mazzoni (Ita), Coelho (Por) et Cici (Alb). 5011... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRenversants Strasbourgeois\\n\\n– Après avoir compté jusqu’à 19 points de retard, les joueurs de la SIG sont parvenus à arracher leur première victoire de la saison en Champions... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nGobert touche le gros lot\\n\\n– Le pivot français Rudy Gobert (24 ans) vient de signer un contrat mirobolant avec Utah Jazz : il va toucher un salaire annuel de 25,5 millions de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBoulogne arrache la qualification en demi-finale aux dépens de Poitiers\\n\\n– Au lendemain de la défaite à Denain, J.-P. Desgardin avait demandé à sa garde rapprochée de jouer à fond la Leaders Cup, arguant que ce serait peut-être le se... Lire la suite.\\n\\n\\nLa Leaders Cup s’arrête là pour les Denaisiens et c’est un peu de leur faute\\n\\n– Meilleur marqueur, (22 points), meilleur à l’évaluation (19), Kyle Spain n’a certainement pas bien dormi après le match. C’est lui qui a manqué l’attaque... Lire la suite.\\n\\n\\nL’Elan remonte son histoire\\n\\n– L’Elan Chalon retrouve ce soir l’équipe hongroise de Fehérvar contre laquelle il avait remporté sa première victoire à domicile en Coupe d’Europe, en... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSeehia Sida Abega : nouvelle étape vers les sommets\\n\\n– Du 24 au 26 octobre, Seehia a participé au Camp Inter Zone à Temple-sur-Lot avec la sélection du Centre. La Bressane a franchi un cap sur le plan... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond prend la route\\n\\n– Boulazac et Nantes au programme. Pour un premier succès ?... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nVille assume son nouveau statut\\n\\n– Avant le match aller de ce quart de finale, Thomas Ville avait été très clair sur ses intentions en Leaders Cup : « Un week-end à Disney Land ça ne se... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Ils vont devoir forcer leur nature »\\n\\n– Auteurs d’un départ tonitruant les espoirs de la JL Bourg subissent depuis plusieurs match l’impact physique de leurs adversaires... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa CTC Bords du Rhône veut grandir\\n\\n– Née de la collaboration entre les clubs de Montalieu et de Lagnieu, la CTC Bords du Rhône accède pour la première fois de son histoire au championnat... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg ira à Boulogne en demie\\n\\n– Alors qu’elle avait le match en main, la JL Bourg a laissé Évreux revenir et n’a du son salut qu’à un très bon dernier quart (89-79). La route vers... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nKlaipeda multi-risques pour l’Asvel\\n\\n– Toujours privés de Kahudi et Meacham, les Villeurbannais seront en danger, sur les bords de la mer baltique, face au finaliste du dernier championnat... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne qualification labellisée défense\\n\\n– La Chorale voulait gagner sans puiser dans ses réserves avant d’aller à Blois. Elle l’a fait (78-69). Elle est en demi-finale... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRudy Gobert sous une pluie de dollars\\n\\n– Rudy Gobert a trouvé un accord avec Utah Jazz pour signer un contrat de 4 ans, à 102 millions de dollars (environ 93 millions d’euros). Ce qui fait de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRoanne a (encore) gagné\\n\\n– Prochain adversaire de l’ADA, samedi au gymnase Saint-Georges de Blois, Roanne s’est imposé en quart de finale retour de Leaders Cup, hier face à Nantes (78-69). Les joueurs de Laurent Pluvy ont donc refait leur retard du match aller (80-75) et participeront aux demi-finales, les 22 et 29 novembre. Une fois n’est pas coutume, les leade... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : la formidable réaction de Strasbourg face à Ostende"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mené par Ostende de 19 points (25-44), au Rhénus, en début de troisième quart-temps, Strasbourg a passé enfin la multipliée pour fondre sur son adversaire, le dépasser, et gagner lors de cette troisième journée son premier match de Basketball Champions League, 74-64.\\n\\nPaul Lacombe, qui a rempli toutes les colonnes de stats (14 rebonds, 4 interceptions, 3 rebonds, 3 passes, 1 contre) fut le symbole de la révolte des Alsaciens bien aidé par Erving Walker (17 points) et A.J. Slaughter (15 points) et aussi Matt Howard même si c’est moins visible dans les chiffres (7 points et 3 rebonds).\\n\\nSur le site du club, le coach Vincent Collet, qui offre ainsi une deuxième victoire consécutive à la SIG, commente :\\n\\n« Impossible d’expliquer ce deuxième quart temps ! C’est le basket... Après cette première mi-temps, il fallait rebondir, revenir avec plus d’énergie. On doit sans doute autant ce succès à notre réaction qu’à la chute brutale d’Ostende. On avait bien débuté, comme face à Antibes, contre une meilleure équipe, et puis tout s’est délité. On s’est dit à la mi-temps qu’il ne fallait pas lâcher, continuer à jouer et utiliser cette deuxième mi-temps pour relever la tête. Le but était de montrer un autre état d’esprit et tout s’est inversé. Paul Lacombe et Matt Howard ont montré la voie, Leloup a enchaîné et tous les autres leur ont emboîté le pas. Tous les joueurs ont apporté quelque chose, si ce n’était des points, ce fut en défense, même Mam Jaiteh dont la défense en deuxième mi-temps n’avait plus rien à voir avec celle de la première... »\\n\\nQuant à A.J. Slaughter, il tient à souligner la performance de son équipier Paul Lacombe :\\n\\n« Paul Lacombe nous a montré le chemin et on l’a tous suivi ! Cette victoire doit nous montrer ce que nous sommes capables de faire en équipe, en défense, avec des interceptions. C’est l’équipe que nous voulons être. Elle doit être fondatrice d’un état d’esprit. A la mi-temps, le coach nous a demandé de nous battre, de défendre dur, qu’il croyait en nous. Il nous a donné l’énergie nécessaire. Cette victoire soude l’équipe et Strasbourg est toujours là ! »."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : ouverture des votes pour élire le meilleur joueur du mois d’octobre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le jury de spécialistes de SFR SPORT a désigné les trois joueurs qui concourent pour le trophée de « Joueur du mois d’Octobre LNB / SFR SPORT ».\\n\\nRévélés dans l’émission « Buzzer », il s’agit de DJ Cooper (Pau-Orthez-Lacq) avec ses 19 points, 6,8 rebonds et 11,2 passes décisives de moyenne, de Vincent Poirier (Paris-Levallois) avec ses 13.4 pts et 9.4 par match, et enfin de Chris Warren (Nanterre 92), qui tourne à 14,8 points et 5,6 passes décisives de moyenne.\\n\\nLes internautes peuvent voter sur le site officiel de la LNB (www.lnb.fr) jusqu’au lundi 7 novembre 2016 à minuit.\\n\\nLe nom du « joueur du mois d’Octobre LNB / SFR SPORT » sera annoncé le mardi 8 novembre 2016 pendant l’émission « Buzzer »."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Amath M’Baye enchaîne les cartons en Italie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Seize joueurs pour neuf pays, le contingent tricolore a bien regonflé ses troupes pendant l’intersaison. De la Lituanie à l’Espagne, de l’Allemagne à la Grèce en passant par la Russie et la Chine (!), Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n\\nRodrigue Beaubois de retour au jeu !\\n\\nSemaine après semaine, Amath M’Baye continue de dépasser allègrement les 20 points. Ce weekend encore, l’ancien des Sooners d’Oklahoma a lâché 24 points à un très propre 9/18 aux tirs. Surtout, cette victoire permet à son équipe de Brindisi de sortir de la zone rouge en Serie A. Il est même le meilleur scoreur du championnat à 20,2 points de moyenne... et le deuxième meilleur contreur à 1,8 ! Il a été logiquement élu MVP du mois d’octobre par son équipe.\\n\\nEn Espagne, c’était journée de repos pour l’Estudiantes de Jackson et Traoré mais c’était aussi le retour tant attendu de Rodrigue Beaubois avec le Baskonia. L’arrière de Vitoria a réussi un match intéressant avec 12 points et 3 passes. La troupe basque qui vient de recruter Chase Budinger, évoluait ce weeekend sans Andrea Bargnani. Par ailleurs, dans le match entre Andorre et Valence, c’est Antoine Diot qui l’a emporté face à Andrew Albicy. Le premier finira avec autant de points que d’interceptions (6), un exploit assez rare !\\n\\n\\nThomas Heurtel abonné aux « double double »\\n\\nEn Turquie, Thomas Heurtel enchaîne lui les « double double ». Avec 20 points et 11 passes, il a encore prouvé toute sa maîtrise en championnat. Il tourne actuellement à une moyenne hallucinante de 11,8 passes par match en ligue turque, le meilleur dans le domaine. De son côté, Adrien Moerman a été plus discret dans la victoire du Darussafaka : 10 points, 5 rebonds.\\n\\nFinalement, soulignons avec joie la belle production d’Alpha Kaba qui lâche un énorme double double dans la victoire de Mega Leks face à Skopje : 12 points, 18 rebonds. Le jeune intérieur tricolore y a ajouté 3 passes et 3 interceptions pour faire bonne mesure. Kaba réalise un bon début de saison. Tout roule pour Léo Westermann et Fabien Causeur, sinon. 15 points dans une victoire facile pour le premier et 8 points pour le second dans un scénario similaire.\\n\\n\\nAllemagne\\n\\nFabien Causeur (Bamberg) : 8 points (3/4 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes en 31 minutes (victoire 60-48 face à Ludwigsburg)\\n\\n\\nChine\\n\\nGuerschon Yabusele (Shanghaï) : pas de match\\n\\n\\nEspagne\\n\\nRodrigue Beaubois (Vitoria) : 12 points (5/14 aux tirs), 3 passes, 1 rebond en 27 minutes (défaite 82-72 face à Malaga)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : 6 points (3/6 aux tirs), 4 passes, 3 rebonds, 6 interceptions en 18 minutes (victoire 88-62 face à Andorre)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 6 points (2/7 aux tirs), 3 passes, 1 rebond, 1 interception mais 5 balles perdues en 23 minutes (défaite 88-62 face à Valence)\\n\\nKim Tillie (Vitoria) : 4 points (0/1 au tir), 2 rebonds, 1 passe, 1 interception en 14 minutes (défaite 82-72 face à Malaga)\\n\\nEdwin Jackson (Estudiantes) : pas de match\\n\\nAli Traore (Estudiantes) : pas de match\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAngelo Tsagarakis (Trikala) : n’a pas joué (défaite 78-59 face à AEK Athènes)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Brindisi) : 24 points (9/18 aux tirs), 4 rebonds, 5 passes, 2 contres et 1 interception en 35 minutes (victoire 87-79 face à Turin)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLeo Westermann (Kaunas) : 15 points (6/9 aux tirs), 2 passes, 1 rebond en 18 minutes (victoire 81-68 face à Kedainiai)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNobel Boungou-Colo (Khimki) : pas de match\\n\\nNando De Colo (CSKA) : n’a pas joué (victoire 104-103 face à Avtodor)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAlpha Kaba (Mega Leks) : 12 points (4/8 aux tirs), 18 rebonds, 3 passes, 3 interceptions, 1 contre en 35 minutes (victoire 87-72 face à Skopje)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nThomas Heurtel (Efes Istanbul) : 20 points (8/12 aux tirs), 11 passes, 4 rebonds, 1 interception mais 5 balles perdues en 29 minutes (victoire 86-73 face à Usak)\\n\\nAdrien Moerman (Darussafaka Istanbul) : 10 points (4/10 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 1 interception en 24 minutes (victoire 83-71 face à Trabzonspor)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Nobel Boungou-Colo se lance"
}, 
{"role": "user",     "content":"Onze pays intéressés par la Coupe du Monde 2023"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Fédération Internationale a annoncé que onze fédérations sont représentées actuellement à Genève pour participer à un « workshop » et connaître les modalités d’organisation pour la Coupe du Monde 2023.\\n\\nCe sont celles d’Allemagne, Argentine, Australie, Hong Kong, Israël, Japon, Philippines, Pologne, Russie, Serbie et Turquie. Suite au succès de l’EuroBasket 2015 avec cinq villes, dont Montpellier et Lille, de quatre pays, la FIBA se réserve le droit de faire organiser cette Coupe du Monde par un seul ou plusieurs pays.\\n\\nC’est à la fin de l’année 2017 que le ou les organisateurs seront révélés."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : Dijon se relance à Nancy"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lundi soir, la JDA Dijon s’est imposée 74-69 face au SLUC Nancy grâce notamment à Jacques Alingue et ses 8 points, 6 rebonds et 2 passes décisives. Les Nancéiens ont enregistré leur cinquième défaite de la saison, malgré les 14 points et 12 rebonds de Dario Hunt, et se retrouvent donc déjà au pied du mur.\\n\\nEn conférence de presse d’après match, Laurent Legname, l’entraîneur dijonnais a félicité la performance de son équipe qui a mis du coeur et de la volonté pour aller chercher cette victoire.\\n\\n« En première mi-temps on n’est pas adroit du tout. On laisse des situations ouvertes sans marquer. La défense nous permet de rester dans le match. En deuxième mi-temps on a retrouvé de l’adresse avec 45 points à 60% aux tirs. On laisse Nancy à moins de 60 points sans les bêtises de la fin de match. J’ai retrouvé les attitudes que j’aime. Le retour de Jacques dans le 5 de départ, c’est un choix de ma part. On savait ce qui nous manquait et ce qu’il apporte. Tout le monde a contribué à la victoire, défensivement comme offensivement. Il faut encore travailler car on peut toujours mieux faire. Face à une belle équipe de Nancy, on gagne au rebond. Pas de secret : 20% de technique, 80% de cœur. On a joué avec de l’intensité et du cœur. J’en suis très content. »\\n\\nMême discours pour Jo Passave-Ducteil qui a vu naître une équipe sur le terrain.\\n\\n« On était dans une spirale moyenne avant cette rencontre. Ce soir en terme d’intensité, on avait rien à envier à l’équipe de Nancy. Par notre volonté et notre envie de bien faire, c’est tombé de notre côté. C’est la première fois qu’on laisse une équipe à moins de 70 points. Premier match qu’on gagne grâce à la défense. On adhère enfin à la philosophie du coach. On s’est parlé cette semaine, on s’est dit les choses et ça s’est vu sur le terrain. Je retiens le fait qu’on est une équipe. Le fait que Jacques soit là nous permet d’être plus présent au rebond. David et Ryan ont aussi fait du beau boulot. Tout le monde a apporté ce soir sur le terrain. Ce soir, on est une vraie équipe ! »\\n\\nDu côté de Nancy, Alain Weisz note la belle prestation de ses joueurs malgré une défaite difficile.\\n\\n« Dijon est difficile à prendre dans sa salle. Le retour d’Alingue a pesé dans le match. On a bien défendu, sauf sur la relation Holston-Passave. Ce-dernier a été très bon dans la finition. C’est difficile de reprocher les petits détails qui font le résultat final. On a fait un match de qualité, mais il nous a manqué un tout petit peu de réussite en attaque. Quand on perd de 5 points comme ça, on a toujours des regrets. On avait bien ciblé cette équipe de Dijon, mais on a pas pu la contenir sur la totalité du match. La dynamique négative actuelle explique beaucoup de choses sur le résultat final. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Stephen Nwaukoni et Blois se séparent"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Recruté par l’ADA Blois à l’intersaison, en provenance de Chypre et de l’Omonia Nicosie, Stephen Nwaukoni quitte Blois pour rejoindre les rangs d’Angers, en Nationale 1, comme le rapporte la Nouvelle République.\\n\\nPas à la hauteur des attentes du club, Nwaukoni a été remercié par les dirigeants de la formation blesoise. En trois matchs de championnat en Pro B, l’intérieur américano-nigérian compilait en moyenne 7,3 points et 3 rebonds pour une évaluation de 6,7.\\n\\nLe manager général de l’ADA, Julien Monclar s’est exprimé sur ce départ.\\n\\n« De notre côté, nous avions clairement un déficit au rebond depuis le début de saison. Stephen n’était pas l’unique responsable de ce déficit. A l’entraînement, il a d’ailleurs toujours été un joueur exemplaire. Mais cela ne payait pas en match. Et il commençait à être dans un cercle vicieux. Nous avons donc saisi cette opportunité. Lui pourra peut-être mieux s’exprimer en N1. Et nous, nous allons pouvoir donner un nouvel équilibre à l’équipe. »\\n\\nLe club, promu en Pro B cette saison, est donc à la recherche d’un remplaçant dont le nom devrait être connu en milieu de semaine."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroligue : tous les matches à domicile de Bourges sur SFR Sport"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Déjà diffuseur de la Pro A et des rencontres de l’Equipe de France, SFR Sport sera le diffuseur officiel des matchs à domicile de Bourges en Euroligue.\\n\\nLes coéquipières de Marine Johannes affrontent en phase de poule Villeneuve d’Ascq (FR), Polkowice (POL), Sopron (HON), Ekaterinburg (RUS), Orenburg (RUS), Salamanque (ESP) et Hatay (TUR).\\n\\nTrois fois vainqueur de cette compétition, le Tango a d’ailleurs parfaitement lancé sa campagne européenne en s’imposant de 7 points sur le parquet de Villeneuve d’Ascq le 26 octobre dernier.\\n\\nMatchs aller\\n\\n– Mercredi 2 novembre à 20h : BOURGES – POLKOWICE\\n– Mercredi 9 novembre : SOPRON – BOURGES (à confirmer)\\n– Mercredi 30 novembre : EKATERINBURG – BOURGES (à confirmer)\\n– Mercredi 7 décembre à 20h : BOURGES – ORENBURG\\n– Mercredi 14 décembre : SALAMANQUE – BOURGES (à confirmer)\\n– Mercredi 4 janvier à 20h : BOURGES – HATAY\\n\\nMatchs retour\\n\\n– Mercredi 11 janvier à 20h : BOURGES – VILLENEUVE D’ASCQ\\n– Mercredi 18 janvier : POLKOWICE – BOURGES (à confirmer)\\n– Mercredi 25 janvier à 20h : BOURGES – SOPRON\\n– Mercredi 1er février à 20h : BOURGES – EKATERINBURG\\n– Mercredi 8 février : ORENBURG – BOURGES (à confirmer)\\n– Mercredi 15 février à 20h : BOURGES – SALAMANQUE\\n– Mercredi 22 février : HATAY – BOURGES (à confirmer)\\n\\nTous les matchs en gras seront diffusés en direct et en exclusivité sur SFR Sport 2, et commentés par Patrice Dumont et Emmeline Ndongue, ancienne joueuse de Bourges et internationale française."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le SLUC Nancy déjà au pied du mur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Une victoire (à Chalon) en six matches. Le SLUC Nancy est reparti pour une année de galère. C’est mathématique si l’on se réfère aux temps de passage des saisons précédentes. Lors de l’exercice 2015-16, si Le Havre n’avait pas gagné un match après six journées, Rouen avait deux victoires dans sa besace. Les deux clubs normands ont ensuite coulé à pic.\\n\\nLe SLUC a déjà joué avec le feu la saison dernière (16e) et en 2012-13 (14e sur 16).\\n\\nLes Lorrains ont perdu leurs cinq matches par un maximum de huit points, c’est la preuve que leur situation n’est pas désespérée. Le problème, c’est que ce cette saison les équipes a priori faibles sont rares. Gravelines, Le Mans et Strasbourg qui pointent avec seulement deux victoires n’ont pas une tête de relégués. Hyères-Toulon ? Le Portel ? Ils n’ont pas l’air du tout de vouloir se laisser faire. Orléans paraît d’un calibre supérieur. Châlons-Reims possède déjà trois succès à son palmarès.\\n\\n\\nLes Français au bout du banc...\\n\\nL’Est Républicain indiquait hier que les dirigeants du club et leur entraîneur vont imaginer cette semaine de possibles aménagements dans l’équipe. Une équipe qui ne fait confiance qu’à seulement deux Français, Gary Florimont et Benjamin Sene, à qui Alain Weisz offre les deux plus faibles temps de jeu. Une relation de cause à effet?\\n\\nLe joueur sur la sellette est peut-être le Vénézuélien Grégory Vargas (1,80m, 30 ans), 9 points et aucune passe hier, d’autant qu’un conflit pourrait précipiter les événements.\\n\\n« Le Vénézuélien a demandé à partir une dizaine de jours pour assister à l’accouchement de sa femme et donc de zapper le match contre Le Portel. Si le club accepte qu’il parte trois ou quatre jours comme le veut la loi française, il refuse qu’il manque le match contre Le Portel prévu le 21 novembre. Le coach et ses dirigeants sont évidemment sur la même longueur d’onde. Ça change avec le passé... »\\n\\nSamedi le SLUC reçoit Monaco. Ouille. C’est ensuite qu’il se rendra à Chalons-Reims puis, le 21 novembre, qu’il jouera ce fameux match contre l’ESSM Le Portel à Gentilly. Il faudra s’y présenter avec un maximum d’atouts car ça ressemblera déjà à une sorte de quitte ou double."
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet : Abdoulaye Ndoye (18 ans) lancé dans le grand bain"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Surprise, lundi soir, à l’entre-deux de Cholet-Chalon avec la présence dans le cinq de CB de Abdoulaye Ndoye, un combo guard de grande taille, 1,97m, jusque là seulement connu de ceux qui viennent assister en fin d’après-midi aux matches des espoirs. Le natif de Dunkerque a 18 ans et est le fils d’un ancien joueur du BCM Gravelines.\\n\\nAbdoulaye s’est révélé à l’Euro cadets de 2014 avec cette fameuse génération française (Kilian Tillie, Bathiste Tchaffoué, Frank Ntilikina) qui a décroché l’or et il en est sorti meilleur passeur (2,3) et intercepteur (2,0) de l’équipe.\\n\\nFace à Chalon, Abdoulaye ne pénétrait que pour la seconde fois sur le parquet des pros. En 6’30 il a pris un rebond, fait une passe et provoqué une faute.\\n\\n« Ça fait partie du projet, » a commenté le coach Philippe Hervé à Ouest France. « À un moment, il faut faire les choses, pas seulement les dire. Évidemment, le meilleur moment, c’est de les faire dans une période où la dynamique d’équipe est positive. Et il vaut mieux les faire d’entrée, car c’est là qu’on peut évaluer les gens, ce n’est pas en les lançant dans les deux dernières minutes d’un match, alors qu’il n’y a plus d’enjeu »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 1er novembre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nEt maintenant, l’Europe\\n\\n– Enfin lancée en championnat, après son succès du week-end contre Antibes, la SIG de Vincent Collet va tenter de décoller en Ligue des champions. Ce... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn club structuré\\n\\n– Les dirigeants des Panthères Mulhouse Basket Alsace mettent un point d’honneur à structurer leur club (140 licenciées). Ils ont créé quatre... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Panthères préparent l’avenir\\n\\n– Le club des Panthères Mulhouse Basket Alsace se structure et se fixe des objectifs ambitieux : la montée en NF1 à moyen terme et pourquoi pas en LF2 à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa nécessité d’enchaîner\\n\\n– Le succès devant Antibes tout juste digéré, les Strasbourgeois partent en quête de leur première victoire en Basket Champions League, ce soir (20 h... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Priest suit le rythme de l’AL Lons\\n\\n– L’ALL n’est pas seule équipe de la poule K à avoir réussi un 5/5. Saint-Priest, vainqueur de Décines (89-76) suit le rythme des partenaires de Charly... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPoint par point\\n\\n– L’arrière bressan, qui a ressenti une douleur au genou à Boulazac, n’avait joué que 6 minutes. Il passait des examens hier mais sera probablement... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Je positive et j’apprends de mes échecs »\\n\\n– Trois questions à Alexandre Gavrilovic... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPour rester dans le dernier carré\\n\\n– La JL Bourg joue à Évreux ce soir, sur la lancée de son bon match à Boulazac samedi. Avec en cas de victoire, une place pour la demi-finale. Mais la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Jouer sérieusement pour se qualifier »\\n\\n– La phrase est signée Laurent Pluvy. André Hollins, encore incertain, devrait quant à lui être de la partie pour accueillir à 18h des Nantais en quête... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Il ne faut pas oublier d’où l’on vient »\\n\\n– Après cinq matchs et trois défaites, le PJBC de Mickaël Nachon sait qu’il va devoir batailler pour le maintien. La bonne nouvelle, c’est qu’il a les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Céline Dumerc (Basket Landes) joueuse la plus complète du championnat"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il se passe quelque chose d’incroyable en Ligue Féminine : Céline Dumerc est première à l’évaluation. C’est à dire la joueuse la plus complète du championnat. On la sait énergique, toujours à l’affut d’un rebond qui traîne, reine de la passe décisive ou capable de déclencher la foudre à trois-points mais plus encore que son âge vénérable (34 ans), c’est sa taille modeste (1,69m) qui rend a priori impossible de prendre la tête d’une catégorie statistique réservée aux intérieures. D’ailleurs ses concurrentes directes sont Katherine Plouffe (1,91m), à qui elle vient de ravir la pôle, Djéné Diawara (1,92m) et Romy Barr (1,87m).\\n\\nPour parvenir à cet exploit de décathlonienne, la meneuse internationale se fend de 13,6 pts, 6,4 pds et 2,8 rbds. Et surtout d’un 22/32 à deux-points et d’un 9/19 à trois-points. Et en plus, son équipe, Basket Landes, est la seule invaincue de LFB après cinq journées.\\n\\nSamedi, les Landaises ont battu Angers, 65-54. Céline a obtenu 16 points et 20 d’évaluation.\\n\\nA la lecture du Courrier de l’Ouest, on se dit que le coach angevin David Girandière était groggy :\\n\\n« Il n’y avait pas de plan anti-Dumerc. C’est Céline Dumerc, c’est tout. Il n’y a pas qu’elle à Basket Landes bien sûr mais... que voulez-vous que je vous dise. »\\n\\nLa néo-Landaise a programmé un dernier tour de piste en équipe de France cet été à l’occasion de l’EuroBasket. Personne ne doute qu’elle ait toujours le niveau."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : l’Elan Chalon a retrouvé la mire"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dimanche soir, à l’occasion de la sixième journée de Pro A, Cholet recevait l’Elan Chalon à la Meilleraie. Dans cette rencontre diffusée sur les antennes de SFR Sport 2, les hommes de Jean-Denys Choulet se sont imposés 90-84 avec 22 points et 8 rebonds (23 d’évaluation) de Lance Harris.\\n\\nAprès un début de saison difficile dans les tirs longue distance, on se souvient de l’affreux 1/18 face à Nancy lors de la quatrième journée de championnat, l’Elan Chalon a retrouvé son adresse. Hier soir, les joueurs de JD Choulet ont inscrit 15 de leurs 30 tirs tentés à trois points. Et sur les deux derniers matchs, ils affichent même un joli 26/52 derrière l’arc."
}, 
{"role": "user",     "content":"Avec 42 points, Keith Langford s’empare du record de la VTB League"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’arrière/ailier américain Keith Langford (1,93m, 33 ans) a scoré 42 points lors de la victoire de son équipe Unics Kazan face aux Biélorusses de Tsmoki-Minsk, 98-71. Ceux-ci se décomposent en un 14/20 dans les tirs du champ dont 5/10 à trois-points et 9 lancers sur 9.\\n\\nIl s’agit d’un nouveau record pour la VTB League. L’ancien était détenu depuis 2013 par Rudy Culpepper aperçu rapidement l’an dernier à Limoges.\\n\\nAvec 5 rebonds, 6 passes et 2 interceptions, l’évaluation de Keith Lanford est de 47, la deuxième de tous les temps de la ligue."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Jo Burton (Roanne) sera t-il de nouveau MVP ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Joseph Burton est un indien d’Amérique, né dans une réserve indienne de Californie à la forte criminalité. Après des passages au Danemark et aux Pays-Bas, il a porté la saison dernière le maillot de l’ALM Evreux. Avec un grand succès puisqu’il fut élu MVP de Pro B (depuis deux saisons, il n’y a plus de distinction quant à la nationalité).\\n\\nLe « native american » n’est pas grand pour un pivot, juste deux mètres, ce qui fait un peu peur aux recruteurs de l’étage supérieur, mais il est hyper puissant (125 kg) et extrêmement complet, n’oubliant pas de faire de bonnes passes à ses équipiers.\\n\\nJo Burton a changé de camp cet été tout en demeurant en Pro B, à la Chorale de Roanne, suivant ainsi son coach Laurent Pluvy. Avec la même efficience. Face à Poitiers, et malgré les 2,21m de Youssoupha Fall (15 points mais seulement 3 rebonds) il a tout concassé obtenant un 38 d’évaluation avec 23 points (8/11 aux shoots), 17 rebonds (la moitié de son équipe) et aussi 3 interceptions. Burton est après trois matches le joueur le plus complet du championnat (28,3) devant son équipier Arthur Ronzenfeld (25,00).\\n\\nLe chemin est encore long mais Jo Burton a la possibilité d’être élu une deuxième fois MVP de la Pro B et sous un maillot différent. Ce n’est pas arrivé depuis James Banks, qui avait été sacré meilleur étranger en 1994 et 1995 avec Caen puis Nancy."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Fos sur Mer cadenasse Martin Hermannsson et devient seul leader"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"3 sur 3. Et voici Fos Provence Basketball seul en tête de la Pro B. Les Provençaux ont gagné ce week-end à Charleville-Mézières (74-70) et comme l’explique le coach Rémi Guitta c’est en grande partie en parvenant à juguler le petit prodige islandais de 22 ans Martin Hermannsson, un meneur d’1,90m.\\n\\n« On était mal embarqué sur la fin après avoir concédé un écart de 7 points, mais cette victoire est tout sauf un hold-up. Il y a eu un chassé croisé durant toute la rencontre. Aucune des deux équipes n’a eu la mainmise sur le match. On a été bousculé en première période par la prestation exceptionnelle de Hermannsson (17 points, 7 passes décisives à la mi-temps). On a su corriger le tir ensuite, avec notamment un bon passage en zone qui nous a permis de nous relancer. On l’avait travaillé cette semaine, dans le but de tenir Hermannsson dans son jeu de Pick&Roll et pour empêcher Brown de prendre position au post-up. C’était une prise de risque avec leurs shooteurs de qualité, mais on a su rester concentré et impliqué.\\n\\nEn deuxième mi-temps, Martin Hermannsson s’est contenté de 4 points et 2 passes et Fos a renversé le match dans le dernier quart-temps (+8). L’Islandais a été formé aux Etats-Unis (Long Island) et a participé à l’Euro 2015 avec son équipe nationale (4,6 pts et 1,2 pd). Vous allez le découvrir bientôt sur BasketEurope."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : où sont les scoreurs français?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Trois Français figuraient dans le top-20 des marqueurs à l’issue de la saison 2015-16. Les trois ne sont plus là. Rodrigue Beaubois (Strasbourg, 4e) et Nobel Boungou-colo (Limoges, 19e) se sont exportés dans des championnats plus costauds, Espagne et Russie, alors que Steve Tchicamboud (Nancy, 12e) a pris sa retraite.\\n\\nSi l’on remonte à la saison précédente, on en déniche trois aussi : Rodrigue Beaubois de nouveau (Le Mans, 7e), Adrien Moerman (Limoges, 8e) et Ali Traoré (Strasbourg, 16e).\\n\\nRappelons qu’en 2013-14, c’est un Français, Edwin Jackson (Villeurbanne) qui parvenait à ravir le sceptre aux Américains avec 18,2 pts de moyenne. Nobel Boungou-colo (Limoges, 5e) et Amary Sy (Villeurbanne, 19e) décrochaient des accessits.\\n\\nCe n’était pas mirobolant mais on s’en contenterait car à ce jour, on n’en dénombre qu’un seul, à la 20e place, pas mieux, Ousmane Camara (Limoges). Le plus cruel c’est que son profil est davantage celui d’un rebondeur/joueur de l’ombre. Saluons son énorme progression offensive puisqu’il est passé d’une moyenne de 6,2 à 13,7 pts. Dans le même club, avec le même coach et à 27 ans, c’est inattendu.\\n\\nEnsuite, on recense Alain Koffi (Pau, 23e), Nicolas Lang (Villeurbanne, 24e), Ilian Evtimov (Cholet, 29e) et Vincent Poirier (Paris-Levallois, 30e).\\n\\nA ceux qui en doutaient, voici la preuve que les cartouches sont confiées –presque- exclusivement aux étrangers, pardon aux Joueurs Non Formés Localement."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 31 octobre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nSLUC Nancy : Refaire le coup de Chalon à Dijon, ce lundi à 20 h 30\\n\\n– Alain Weisz veut que son équipe refasse à Dijon le même match qu’à Chalon, la seule rencontre référence depuis le début de la saison, en défendant... Lire la suite.\\n\\n\\nReprise en main\\n\\n– La victoire contre Antibes (85-74), samedi soir, seulement la deuxième de la saison, lui offre « une respiration ». Mais Vincent Collet, revenu aux... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa phrase\\n\\n– Moi je suis frais, on peut y retourner maintenant ! De Vincent Collet, le coach strasbourgeois, très motivé à l’idée de retrouver un banc de touche... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLigue féminine (5e journée)\\n\\n– Charleville-Mézières – Villeneuve-d’Ascq 73 – 64... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nGuebwiller éliminé par le WOSB\\n\\n– Pour ce deuxième tour du Trophée coupe de France, Guebwiller (Prénationale) accueillait le WOSB (N2) hier. Nantis de 14 points d’avance, les joueurs... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBerrwiller/Staffelfelden à sa main\\n\\n– Dès le coup d’envoi, les coéquipières de Mégan Mercier prennent la partie à leur compte et étouffent une équipe mosellane sans grande inspiration. À... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRichwiller a bien résisté\\n\\n– Les Richwilleroises (D1) ont été battues hier en Trophée Coupe de France par Vosges du Nord (79-107), qui évolue en Nationale 2... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDessenheim aux abonnés absents\\n\\n– L’équipe de Laurent Minnig, maladroite et permissive en défense, a laissé le gain de la partie à Gries-Oberhoffen II, samedi soir sur son parquet... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Panthères Mulhouse n’ont pas calé\\n\\n– Les Mulhousiennes se sont imposées de belle manière samedi face à une rugueuse formation de Calais (74-68)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nKaysersberg battu à Berck\\n\\n– L’équipe de Fabien Drago a laissé filer la victoire d’un rien, samedi à Berck (71-67)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLeloup : « Ça va prendre du temps »\\n\\n– Deux jours après le retour de Vincent Collet aux manettes, la SIG a réagi en s’imposant avec la manière face à Antibes samedi au Rhénus. Si les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRixheim d’un rien\\n\\n– Malmenés par Nord Sundgau, les Rixheimois ont malgré tout enlevé leur troisième victoire de la saison, samedi à l’issue d’un derby à rebondissements... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPfastatt rate le coche\\n\\n– En s’inclinant face au coleader Oullins Sainte-Foy, samedi soir à la salle polyvalente (73-75), les Pfastattois rentrent dans le rang au classement... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTerriblement frustrant\\n\\n– Le FC Mulhouse a concédé sa quatrième défaite de la saison, samedi soir à Erbland face à Aubenas, qui fait d’autant plus mal qu’il s’incline d’un... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe Phénix assomme Terres Froides\\n\\n– Au terme d’un match qui n’aura souffert du suspens qu’une mi-temps, le Phénix Basket s’impose sur un score sans appel contre une équipe qui n’a pas su... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDéfaite logique des Ligériennes\\n\\n– Un démarrage en trombe (0-7). Un 13-0 ensuite, les Veauchoises ont fait, aux dires de leur coach, « un match à l‘envers » loin de leurs valeurs... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa Nationale 3 de la Chorale va s’imposer à Marzy\\n\\n– Pour le compte de la 5e journée de Championnat de N3, la jeune garde choralienne est allée s’imposer sur le parquet de la JS Marzy, dans un match... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’autre match\\n\\n– Oullins a infligé une défaite à Pfastatt, la deuxième de la saison. Les locaux ont pourtant pris rapidement l’ascendant à l’entame mais cet avantage... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Caladois n’y arrivent pas\\n\\n– En réceptionnant Lentigny, une équipe ne comptant qu’un seul succès au terme des 4 premières journées, les locaux espéraient pouvoir ouvrir leur... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nVénissieux était trop fort pour Chalon\\n\\n– Après un début en trompe l’œil (15-7, 7e ), Viktoria Szabo et ses coéquipières perdaient peu à peu le fil du match et laissaient les Rhodaniennes... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTarare arrache la victoire face à Vaulx-en-Velin\\n\\n– Tarare a démarré le match sans doute trop confiant après son match de coupe contre Beaujolais basket et a offert un jeu beaucoup trop moyen face à une... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDéfaite logique de l’AS Villeurbanne 2\\n\\n– Face à l’Ail de Rousset, le duel a rapidement tourné à la faveur des visiteuses (11-17), grâce notamment à plus de succès dans les shoots malgré moins... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDéfaite logique de l’AS Villeurbanne 2\\n\\n– Face à l’Ail de Rousset, le duel a rapidement tourné à la faveur des visiteuses (11-17), grâce notamment à plus de succès dans les shoots malgré moins... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Priest poursuit sa belle série\\n\\n– Saint-Priest a assuré l’essentiel face à Chassieu-Décines (89-76)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPoligny se saborde aux lancers francs\\n\\n– Diminué par les absences, Poligny n’a pas démérité mais paye sa maladresse aux lancers francs... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes cadets faciles devant Vaulx-en-Velin\\n\\n– Les jeunes de la JL Bourg n’ont pas eu à forcer leur talent pour se qualifier pour les seizièmes de finale de la coupe de France... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nVilleurbanne en démonstration\\n\\n– Tranquillement et facilement, les joueuses de Virginie Kevorkian ont signé, samedi, un quatrième succès en cinq rencontres, restant par la même... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe FC Lyon tombe à la maison\\n\\n– Pour cette 5ème journée, le FC Lyon espoir, 6ème de la poule, a reçu l’AS Monaco (3ème ). Les locales ont réalisé un départ idéal, menant 7-1 dans les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Lédoniennes confirment\\n\\n– Un bon départ et une meilleure finition ont permis aux filles d’Alexis Drugeon de remporter une victoire acquise difficilement... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nContrat rempli pour Andrézieux\\n\\n– Le but était de prendre les deux points de la victoire et de mettre la balance victoires-défaites à l’équilibre en gardant la bonne dynamique. La... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nNantes : cinq points à protéger !\\n\\n– Le 1/4 de finale retour entre la Chorale de Roanne et l’Hermine de Nantes, mardi à 18 h, s’annonce assez ouvert... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe BCMF sur la bonne voie\\n\\n– Défait de peu à la Roche sur Yon, le BCMF continue tout de même de progresser... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nHirsch : « Une mi-temps catastrophique »\\n\\n– Les Pink Ladies ont reçu samedi soir l’AS Aulnoye pour la 5e journée de championnat. Les locales s’inclinent d’un petit point 54-55... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLang bientôt en équipe de France ?\\n\\n– Brillant sous le maillot du champion de France, le Mulhousien pourrait être appelé en sélection en raison du conflit entre l’Euroligue et la Fiba... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne victoire en demi-teinte\\n\\n– n3 masculine UTBM (2)\u2009: 89 Caen Nord Basket\u2009: 70 Les Tourangeaux ont imposé leur physique et leur vitesse, pendant vingt minutes. Le reste du match aurait mérité un peu plus d’application dans la manière. Maladroits 0/6 et amorphes en défense, les Tourangeaux laissaient Caen prendre le large (9-14, 6e). Un temps-mort musclé et l’entrée... Lire la suite.\\n\\n\\n» Faire quatre sur cinq d’ici Noël «\\n\\n– Les Vinoliens n’ont pas à rougir de leur défaite de samedi face à Laval (64-74). Depuis le début de saison, ce sont eux qui encaissé le moins de points face à l’ogre mayennais. Après un début de match compliqué (4-19, 7e), ils sont bien revenus sous l’impulsion d’Atepou (23 points), Dolbeault (13) et Razafindrabe (12). Et ils se sont plusi... Lire la suite.\\n\\n\\nA chaud\\n\\n– Stéphane Robin (entraîneur du Poinçonnet)\u2009: « On a connu un coup de fatigue dans le dernier quart et nous avons été dominés aux rebonds. On a également manqué de réussite aux tirs. Malgré le résultat, je suis fier de mes joueuses qui n’ont pas lâché. »... Lire la suite.\\n\\n\\nLa star du week-end\\n\\n– DJ Cooper. Les supporters de l’Élan Béarnais ont déjà oublié le départ de l’Américain Michael « \u2009Juice\u2009 » Thompson pour Besiktas Istanbul. Et l’arrivée de l’ancien meneur monégasque, DJ Cooper (25 ans, 1,83 m) y est pour beaucoup. Alors qu’il tournait à 7,2 points et 6,8 passes décisives de moyenne la saison dern... Lire la suite.\\n\\n\\nRomorantin y a longtemps cru\\n\\n– RÉGIONALE 3 MASC.SMS Romorantin\u2009: 66 Étrechet\u2009: 70 20-20, 19-20 (39-40), 16-10 (55-50), 11-20 (66-70). Romorantin\u2009: Callias 22, Renvoisé 9, Bellanger 9, Breton 7, Bournazel 7, D. Scheitt 6, Hervet 4, A. Scheitt 2. Étrechet\u2009: Dupont 17, Imbert 16, Clairand 15, Begat 8, Laporte 6, Rouan 5, Moreau 3. Plus que 5’19 » à jouer. Romorant... Lire la suite.\\n\\n\\nAndy Thorton-Jones (entraîneur de la réserve du PB 86)\\n\\n– « On a été dedans, solides défensivement en première mi-temps. Cela nous a permis de creuser un petit peu l’écart. On connaissait Niort. On savait que ça allait être une équipe très accrocheuse, agressive en défense. Ils l’ont encore prouvé. C’est le genre d’adversaire qui fait... Lire la suite.\\n\\n\\nL’ADA passe mais elle s’est fait peur\\n\\n– Ste-Geneviève (Dép.)\u2009: 60 ADA Blois (Rég.)\u2009: 67 Avec deux divisions d’écart entre Sainte-Geneviève-des-Bois (excellence départementale) et Blois (brassage régional), on pouvait penser que le match serait déséquilibré. Pourtant il n’en fut rien.Bien entré dans la partie (2-8, 4e), Blois ne parvient pas à faire le break (14-16, 10e). Les Génovéf... Lire la suite.\\n\\n\\nLa Berrichonne seule lanterne rouge\\n\\n– n3 masculine Berrichonne\u2009: 63 Pays de Fougères\u2009: 78 Il y a eu du mieux, vendredi soir, dans ce match avancé de la 6e journée. La Berrichonne, au complet, a longtemps résisté, sans parvenir toutefois à inquiéter des Fougerais qui ont su accélérer dès que les Castelroussins se faisaient un peu trop menaçants.La Berri a donc concédé sa sixième... Lire la suite.\\n\\n\\nLe Réveil bressuirais s’offre un troisième succès\\n\\n– Bressuire\u2009: 76 Bénévent\u2009: 33 Pour cette cinquième rencontre de la saison, le Réveil recevait Bénévent, l’actuelle lanterne rouge. Malgré la nette victoire, la prestation des Bressuiraises a manqué de constance. Dès l’entame, les joueuses de Sylvain Schwartz se montrent cependant très appliquées et investies face à des Creusoises totalement dépa... Lire la suite.\\n\\n\\nNiort un peu trop juste à Poitiers\\n\\n– Poitiers (b)\u2009: 68 Niort\u2009: 60 Au-delà du simple derby, l’affrontement entre Poitiers et Niort avait une saveur très particulière. En effet, l’effectif deux-sévrien était composé de quelques joueurs ayant fait leurs armes dans les rangs poitevins. Les frères Baikoua et notamment Ribar, le plus jeune, ont évolué sous les couleurs du PB 86. Tout co... Lire la suite.\\n\\n\\nMonts cale, Fondettes continue...\\n\\n– Féminines Saint-Avertin\u2009: 66 Saint-Pierre\u2009: 43 James Deroin (Saint-Avertin)\u2009: « On s’est rendu le match compliqué par manque de concentration. Par la suite, en les laissant à 17 points, on a retrouvé notre jeu. » Manu Da Silva (Saint-Pierre)\u2009: « On fait le match qu’il faut au départ mais on craque en deuxième mi-temps par manqu... Lire la suite.\\n\\n\\nL’Agglo de justesse, Vineuil largement\\n\\n– RÉGIONALE 2 FÉM.Agglo\u2009: 40 Bourges\u2009: 38 11-9, 7-11 (18-20), 9-8 (27-28), 13-10 (40-38). Agglo\u2009: Gousseau 15, Chanu, Nasri, Communeau 4, Boulay, Valy 2, Baillou 10, Rivrais 6, Martin 3. Avec un effectif enfin un peu plus étoffé, ce qui était loin d’être le cas sur les dernières sorties, l’Agglo espérait faire fructifier son capital points avec la... Lire la suite.\\n\\n\\nLe Cest n’a pas démérité\\n\\n– Grandfonds\u2009: 65 Cest\u2009: 46 Le Cest démarrait mal. En abusant des tirs en périphérie, les Tourangelles laissaient Grandfonds prendre les devants (11-2, 7e). Après neuf tentatives manquées, il fallait attendre le panier à 3 points d’El Herraiech pour mettre fin à cette disette et relancer l’équipe. Le Cest, profitant des erreurs de Grand... Lire la suite.\\n\\n\\nLes réservistes du Poinçonnet sur leur lancée\\n\\n– FÉMININEOlivet\u2009: 59 Le Poinçonnet\u2009: 61 Quart-temps\u2009: 20-18, 12- 12 (32-30), 11-13, 16-18. Arbitres\u2009: MM. Blachier et Thibault. Le Poinçonnet\u2009: Tixier 8, Vannieuwkerke 2, Gaborit 16, Vandendriessche 8, Robin 4, Bourgoin 8, Marlaud 6, Vaslin 7, Mahé 2. Olivet\u2009: Martin 23, Gauchet 3, Heribault 11, Boubault 13, Lemarié 2, Pinsard 5, Babe 2... Lire la suite.\\n\\n\\nÉtrechet coleader, Déols se relance\\n\\n– Romorantin\u2009: 66 Étrechet\u2009: 70 Quart-temps\u2009: 20-20,\u2009; 19-20 (39-40), 16-10, 11-20. Romorantin\u2009: Bournazel 7, Bellanger 9, Leze, Renvoisé 9, Breton 7, Scheitt A. 2, Callias 22, Scheitt D. 6, Hervé 4. Etrechet\u2009: Rouan 5, Valente, Clairand 15, Moreau 3, Laporte 6, Plat, Imbert 16, Dupont 17, Boulay, Begat 8. Après son cinquième match de... Lire la suite.\\n\\n\\nTombées avec les honneurs\\n\\n– Le Poinçonnet – La Rochelle\u2009: 61-84 Après avoir tenu durant la première mi-temps, les cadettes du Poinçonnet se sont inclinées sans démériter... Lire la suite.\\n\\n\\nSall a bien fait de rester\\n\\n– Depuis cet été, Marième Sall est la capitaine d’une équipe du Poinçonnet qui vient d’enchaîner un cinquième succès en autant de matchs, à Gimont (45-71)... Lire la suite.\\n\\n\\nCollet réveille Strasbourg\\n\\n– Le retour de Vincent Collet à la Sig s’est déjà fait sentir. De son côté, l’Élan profite de la défaite de Nanterre pour passer seul deuxième, derrière Monaco... Lire la suite.\\n\\n\\nThouars rentre dans le rang\\n\\n– Sannois-Saint-Gratien – Thouars\u2009: 67-61 De nouveau diminué par les blessures, le Thouars Basket a subi sa deuxième défaite de rang samedi en Ile-de-France... Lire la suite.\\n\\n\\nUne transition bien assurée\\n\\n– UTBM – Rezé\u2009: 88-59 En attendant l’arrivée du nouvel entraîneur en ce début de semaine, Tours a su rester mobilisé pour dominer largement le promu rezéen... Lire la suite.\\n\\n\\nLa réserve du PB dans la continuité\\n\\n– Poitiers 2 – Niort\u2009: 68-60 Les réservistes du PB 86 confirment leur excellent début de saison en remportant un quatrième succès de rang... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pedja Materic : « Beobasket est largement la première agence au nombre de joueurs en Euroleague »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce Franco-Serbe polyglotte est le vice-président de Beobasket, l’agence numéro 1 en Europe. De Joffrey Lauvergne à Thomas Heurtel, en passant par Edwin Jackson et Timothé Luwawu, son portefeuille de joueurs français est extrêmement bien garni.\\n\\nVotre père était metteur en scène de théâtre et votre famille a fui la guerre en Yougoslavie. C’est ainsi que vous vous êtes retrouvés à Toulouse ?\\n\\nPas vraiment fui la guerre. Ça s’est produit comme ça vis à vis du calendrier. Evidemment mon père avait compris que la situation se dégradait, mais en fait on était déjà parti deux ans auparavant de Sarajevo et mon père avait déjà des offres pour être directeur d’un théâtre à Londres. On s’est donc retrouvé à Toulouse et mes parents y habitent toujours.\\n\\nVous avez pris ensuite une licence à Limoges en cadets ?\\n\\nJe m’entraînais avec le Bosna Sarajevo, un club qui a été champion d’Europe en 1979 et qui a une bonne école pour les jeunes. Ensuite je suis parti avec mes parents à Belgrade et j’ai joué au Partizan. L’actuel coach principal du Partizan, Aleksandar Dzikic, était mon entraîneur en minimes, mais on n’est resté que quelques mois. A Toulouse, on a su que Bozidar Maljkovic était le coach de Limoges et que Bata Djordjevic, le père de Sacha, était le coach des espoirs. C’est comme ça que je me suis retrouvé au lycée à Limoges et j’ai intégré le club.\\n\\nEt aujourd’hui Bozidar Maljkovic fait partie des coaches du portefeuille de Beobasket ?\\n\\nC’est ça et aussi sa fille Marina. Je l’ai connue quand elle était petite à Limoges et j’étais avec son frère avec qui je suis proche en Première et Terminale.\\n\\n« Le plus important dans la vie après le basket, c’est oublier que l’on a été joueur »\\n\\n\\nAprès Limoges, une saison au Havre\\n\\nVous avez obtenu un passeport français, porté des maillots de clubs prestigieux comme Milan, l’Aris Salonique, le Partizan mais vous n’avez joué qu’une saison en Pro A, au Havre (2000-01)?\\n\\nExact. Michel Gomez était le coach. Il y avait Manu Sousa, Emmanuel Lorenz, Marcus Gore comme rookie. En fait, je n’ai pas eu trop d’offres de France et j’ai signé au Partizan Belgrade en Euroleague ! J’ai fait une carrière de joueur correcte, sans plus. J’ai pu identifier les erreurs que j’ai fait comme joueur. Le plus important dans la vie après le basket, c’est oublier que l’on a été joueur. Ça ne sert à rien de répéter toujours « ah ! Nous, on a battu Barcelone... Ah ! Nous... » On oublie. On oublie même qui était Arvidas Sabonis. Je suis allé à Madrid pour voir Joffrey (Lauvergne) avec Oklahoma. Bien sûr les gens le regardaient car il fait 2,20m mais tout le monde ne le reconnaissait pas. Le temps passe. C’est très difficile pour un basketteur –et j’en fais partie- quand il arrête de changer sa façon de penser. Quand on joue, on nous donne des fiches, quoi faire, comment se reposer, quel entraînement, tout ça. C’est assez particulier comme style de vie. Il faut oublier tout ça.\\n\\nEtes-vous devenu agent dès la fin de votre carrière ?\\n\\nTout de suite. J’ai arrêté ma carrière assez tôt, à 28 ans. Premièrement parce qu’elle ne se développait pas comme je le voulais et surtout j’ai commencé assez tôt à me projeter dans le futur. Misko Raznatovic (NDLR : le fondateur et président de Beobasket) était devenu mon agent quand j’ai signé au Partizan. Lui aussi en 2004 se projetait dans l’avenir pour Beobasket. Le plan était clair, c’était d’augmenter le niveau, le volume, le prestige de Beobasket en ciblant des marchés comme la France et aussi les USA.\\n\\n« Si on s’était installé aux Etats-Unis, je crois que nos clients en Europe auraient souffert »\\n\\n\\n40 joueurs en Euroleague\\n\\nAujourd’hui, Beobasket est-elle la première agence européenne, en terme de joueurs, de chiffres d’affaires ?\\n\\nC’est difficile de mesurer car il n’y a pas de paramètres définis mais par exemple, depuis dix ou onze ans, Beobasket est largement la première agence au nombre de joueurs en Euroleague. Quarante cette année. Quand il y avait deux équipes françaises, on était tous les agents français confondus fois cinq. En NBA aujourd’hui on représente neuf joueurs, sans compter Livio (Jean-Charles), qui s’est fait couper mais qui a un contrat garanti, et Axel Toupane qui a de bonnes chances d’y retourner. Je pense que personne ne fait mieux en Europe que neuf joueurs et pour une agence américaine, c’est un bon chiffre. En NBA, il y a quatre ou cinq très grosses boîtes qui ont quarante joueurs ou quelque chose comme ça, CAA, Wasserman, Excel* avec qui on est partenaire depuis douze ans. C’est elle qui représente Kevin Love, Paul Pierce, etc. On a cherché à avoir un partenaire qui soit un Beobasket américain.\\n\\nCombien de représentants de l’agence avez-vous et dans quels pays ?\\n\\nMoi, je suis vice-président derrière Misko qui est président. On a six, huit agents qui ont été engagés au fur et à mesure dans différents pays et dans d’autres, on utilise un agent local. Pour toute l’Euroleague on s’en occupe directement. L’important surtout ce n’est pas de couvrir, tout le monde peut le faire, mais de bien couvrir selon les standards de Beobasket. En Espagne, on a fait un partenariat avec le meilleur agent espagnol de la même manière qu’on l’a fait aux Etats-Unis. Ce n’était pas possible de tout faire nous-mêmes aux Etats-Unis car c’est un énorme continent, il y a un décalage horaire de six à neuf heures. Donc soit il fallait déménager aux Etats-Unis comme Bouna Ndiaye (directeur de Comsport installé à Dallas) a fait soit s’engager avec quelqu’un de très bon. Si on s’était installé aux Etats-Unis je crois que nos clients en Europe auraient souffert. Dans notre configuration actuelle on conserve beaucoup de joueurs en Europe tout en étant assuré d’avoir la meilleure présence en NBA.\\n\\nEn NBA et en Europe la concurrence entre agents est-elle sauvage, à coup de surenchères, de coups tordus ?\\n\\nOui et en NBA beaucoup plus qu’en Europe mais je sais que plusieurs de mes concurrents ont dit à des joueurs que les Serbes sont des racistes, « que vas-tu faire là-bas ? », des trucs un peu dégueulasses. Quand l’équipe de France est venue à Belgrade, il y a en qui ont dit « ne sortez pas, vous allez vous faire enlever, tomber dans un guet-apens ». C’est plus un signe de faiblesse de dire ça et je pense que personne n’a écouté ces consignes là.\\n\\n« Tous les Américains actuels de Limoges sont deux fois moins chers que ceux qui lui ont permis d’être champion de France »\\n\\n\\nLa Pro A, un bon championnat\\n\\nPour vous que vaut la Pro A ?\\n\\nC’est le championnat le plus difficile en Europe dans le sens que chaque soir n’importe qui peut battre n’importe qui. Il y a des favoris comme Monaco, l’ASVEL, Nanterre, Le Mans mais ce n’est pas comme en Turquie où il y a quatre équipes où en Russie où le CSKA et Khimki sont certains de gagner contre les équipes de deuxième partie de tableau. La Pro A est un championnat très physique, très particulier où on ne peut pas se reposer un week-end et quand on joue l’Europe c’est encore plus compliqué. Peut-être que pour les jeunes c’est plus difficile de jouer dans un championnat ultra physique car il faut un peu de temps pour qu’ils mûrissent. Il faudrait les faire jouer plus au lieu de faire jouer les Américains. J’ai de bonnes relations avec Pau mais je dois dire que lorsqu’ils se sont retrouvés lors des six dernières journées en situation de ne pas jouer les playoffs ni de descendre (NDLR : saison 2014-15) ils auraient dû faire jouer Alpha Kaba et peut-être Léo Cavalière qui auraient été là l’année suivante. Ils ont préféré faire jouer leurs Américains, ce n’est pas possible ! C’est ça qui est parfois incompréhensible.\\n\\nIl y a très peu de joueurs des pays de l’ex-Yougoslavie en Pro A. Est-ce une question de moyens financiers ou de choix de coaches ?\\n\\nCeux qui peuvent jouer avec succès dans ce style de jeu sont trop chers pour la Pro A. Et ceux qui rentrent dans l’assiette des clubs de Pro A ne sont pas soit assez bons soit assez adaptés à ce style de jeu particulier, athlétique, rapide, explosif. Ça ne me surprend pas et c’est quelque chose que l’on va continuer de voir dans le futur.\\n\\nC’est pourquoi à Limoges où le coach est serbe, Vule Vujosevic, il n’y a qu’un seul joueur slovène, Klemen Prepelic, et pas de Serbes ?\\n\\nExact. Limoges avait, il me semble, 90 000€ par poste pour les étrangers. Avec cette somme là, c’est toujours beaucoup plus facile pour un club, pour un coach, de trouver des joueurs avec un background américain.\\n\\nToujours à propos de Limoges : Vule Vujosevic, qui est chez vous, ne parle que serbo croate. N’est-ce pas l’une des raisons majeures de ses difficultés à s’imposer en Pro A ?\\n\\nNon, je ne pense pas. Après les deux titres de champion, il y a une sorte de changement de génération. Là il y a eu les départs de Léo Westermann, Ali Traoré, Nobel Boungou-colo. Le club n’avait tout simplement pas les mêmes moyens financiers de recrutement. Tous les Américains actuels sont deux fois moins chers que ceux qui lui ont permis d’être champion de France. Pour moi le club vit là une sorte d’année de transition.\\n\\n« Monaco s’est armé avec des mecs physiques, denses, qui mettent beaucoup d’intensité et c’est une sorte de rouleau compresseur »\\n\\n\\nMonaco, c’est solide\\n\\nTout le monde loue le jeu proposé par Monaco, sa solidité, et son coach Zvezdan Mitrovic. Il n’est pas dans votre agence mais pouvez vous donnez votre avis ? Qu’a t’il en plus ?\\n\\nJe vais quasiment à tous les matches à la maison de Monaco. Je le connais bien, c’est un type très bien qui a aussi su s’adapter. Il a été champion de Pro B et puis l’année dernière il a fait sa première année en Pro A où déjà ça s’est bien passé. Avec le propriétaire et le manager général, je crois qu’ils ont été très malins cette année dans le choix de l’effectif. La défaite contre l’ASVEL en demi-finales des playoffs l’année dernière les a convaincus du style de joueurs dont ils avaient besoin car l’ASVEL les avait étouffés physiquement, par des Charles Kahudi, Livio Jean-Charles, David Lighty, Darryl Watkins. Jouer les playoffs ce n’est pas la même chose que lorsque tu joues à chaque fois contre une équipe différente chaque week-end. Tu joues trois, quatre ou cinq matches l’un contre l’autre et ça se décide sur la présence physique, la dureté, le mental. Je parle en tant qu’observateur fan de basket : Monaco s’est armé avec des mecs physiques, denses, qui mettent beaucoup d’intensité et c’est une sorte de rouleau compresseur.\\n\\nAvec un coach serbe et un general manager ukrainien, Monaco a t-il une connaissance supérieure du marché international ?\\n\\nJe pense que leur budget, tout comme pour l’ASVEL, Strasbourg, Le Mans leur donne accès à davantage d’opportunités de joueurs qui jouent l’Europe. Monaco a certainement fait un très bon scouting mais c’est aussi le cas de l’ASVEL, du Mans avec Vincent Loriot qui est très malin, très investi dans le scouting en Europe. D’ailleurs à propos de Timothé Luwawu, quand il était en Pro B, à part Antibes qui voulait le prolonger, il n’y a qu’un club français qui m’a sollicité, c’est Le Mans et Vincent Loriot. Il voulait Luwawu ou Lahaou Konate qui est aussi une très belle signature. En ce qui concerne le general manager ukrainien de Monaco, il a appris à connaître les joueurs et le marché et il a été très malin d’engager Bangaly Fofana, Jordan Aboudou, Zach Wright, comme avant Yakuba Ouattara. Mais tout est volatile, on n’est pas encore en juin. Le fait que Monaco attire de bons joueurs, propose un bon jeu, ça donne de la valeur au championnat. J’ai vu Toulon-Monaco et ça jouait bien, je pense que Toulon va surprendre plus d’une équipe (NDLR : l’interview a eu lieu avant que le HTV s’impose face au Mans, 76-60).\\n\\nLa Pro A n’est-elle pas méprisée en Europe par des grandes ligues comme l’espagnole ou la turque ?\\n\\nJe ne pense pas. Tout le monde a compris qu’il y a beaucoup de talents, du côté des joueurs français mais aussi américains. Avant il y avait pas mal de rookies dans le championnat de France, le niveau a augmenté et aujourd’hui il y en a très peu. C’est plutôt un championnat où passent des joueurs de deuxième ou troisième année et certains font ensuite des cartons en Euroleague et même en NBA. Evidemment c’est presque impossible de jouer en Euroleague quand on a des budgets de 5, 6, 7 millions et d’aller au top-16.\\n\\n*D’après le site Draft Express, Wasserman Media Group est l’agence numéro 1 en NBA avec 1 063 375 234$ de salaires garantis devant Creative Artists Agency 1 021 329 284$ et Excel Sports Management (959 342 143$). Comsport de Bouna Diaye est classée 27e (41 107 498$) et Beobasket 33e (25 621 317). Six agences possèdent 40 joueurs ou plus dans leur portefeuille.\\n\\nLa suite de l’interview\\n\\nPeja Materic et la NBA est à lire sur BasketUSA"
}, 
{"role": "user",     "content":"NM1 : Souffel toujours invaincu"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Relégué en Nationale 1 après une saison en Pro B en 2015/2016 (11v-23d), Souffelweyersheim est, cette année, toujours invaincu après huit journées de NM1.\\n\\nGrâce à un Giedrus Staniulis de gala (14 points et 15 rebonds pour 27 d’évaluation), les hommes de Stéphane Eberlin se sont imposés, ce samedi, aux forceps face au CEP Lorient (62-60).\\n\\nAprès huit matchs de championnat, le BC Souffel est bien parti pour retrouver la Pro B dès l’année prochaine, même si la saison est encore très longue.\\n\\nQuimper, deuxième au classement compte déjà deux défaites à son actif après s’être incliné, hier soir, à Rueil 88-82."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : la SIG débloque son compteur avec Vincent Collet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour son retour à la tête de la formation strasbourgeoise, Vincent Collet s’en sort avec les félicitations puisque son équipe a enregistré sa deuxième victoire de la saison, face à Antibes 85-74.\\n\\nLe sélectionneur de l’Equipe de France a pu compter sur le MVP de la rencontre, A.J. Slaughter qui a compilé 22 points (7/12 aux tirs), 4 rebonds et 4 passes décisives pour une évaluation de 24. Après la rencontre, Vincent Collet est passé par la conférence de presse et a salué la performance de ses joueurs même si avec un seul entraînement en commun, tout n’était pas encore assimilé.\\n\\n« Je souhaitais aussi certains signaux quant à la manière. J’espérais de l’engagement et je l’ai eu, même s’il fut parfois désordonné. La première mi-temps a été intéressante, ensuite le passage en zone nous a gênés. En un seul entraînement on n’a pas pu tout travailler. On a perdu du rythme à ce moment-là et moins bien défendu qu’en première-mi mi-temps. On a été ralenti, on a fait moins de passes, perdu plus de ballons et été moins adroit. La recherche permanente d’agressivité qui nous a donné beaucoup de lancers-francs. J’ai aimé aussi la façon dont A.J. Slaughter a mis les autres en confiance. Il a affirmé un leadership et c’est une bonne chose pour nous »\\n\\nIl reste toutefois conscient qu’il y a encore beaucoup de travail à faire dans cette équipe de la SIG qu’il n’a pas composée, même s’il y retrouve certains joueurs de la saison passée.\\n\\n« L’insuffisance de jeu intérieur en attaque. Il va falloir amener la balle en bas, coûte que coûte. C’est un gros chantier. On s’est donné une petite respiration mais on va continuer à travailler dès demain après-midi. Les deux jours qui viennent doivent nous permettre de progresser pour le match de mardi. J’ai commencé à évaluer le potentiel de cette équipe, j’ai vu des choses, mais certains joueurs auront besoin de temps pour se familiariser avec notre jeu alors que d’autres sont plus à l’aise. Le passage de Matt Howard a souvent coïncidé avec notre plus grande domination »\\n\\nLe sélectionneur national en a aussi profité pour remercier le public pour son engagement et pour l’accueil qui lui a été réservé.\\n\\n« L’accueil m’a fait chaud au cœur pour le moins, j’étais content de coacher. Les gens sont prêts à nous suivre mais la balle est dans notre camp. C’est à nous de leur proposer un meilleur spectacle.»\\n\\nProchain test pour Strasbourg et Vincent Collet, mardi 1er novembre au Rhénus face à Oostende, à l’occasion de la troisième journée de Champions League."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : le chant du Partizan"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’atmosphère à la Dvorana Aleksandar Nikolić de Belgrade pour la rencontre d’hier soir Partizan-Buducnost était exceptionnelle –ou normale si l’on prend comme critère le lieu et le club. En voici un échantillon. Les 5 000 fans chantent, y compris les papys et les cameramen.\\n\\nCe soutien inconditionnel n’a pas empêché Partizan de s’incliner, 61-64. Les Américains Shawn James (12 points et 9 rebonds) et Marcus Williams (13 points et 3 passes) n’ont pas été troublés par les éléments extérieurs.\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Félicitations du jury pour le Limougeaud Ousmane Camara"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’intérieur Ousmane Camara (15 points et 4 rebonds) a reçu les félicitations du jury après la victoire limougeaude face à Nanterre (70-64). C’est ce que rapporte Francebleu.fr. Jury composé de son coach Vule Vujosevic mais aussi de son confrère francilien Pascal Donnadieu.\\n\\n« C’est un joueur qui porte l’équipe de Limoges depuis le début de saison », a déclaré celui-ci. « Cela me fait plaisir pour lui parce qu’il y a des garçons comme lui qui donnent beaucoup. Qui pensent équipe avant tout. Il a été à mes yeux, le joueur dominant de cette équipe du CSP. Il a fait un énorme chantier. Actif en défense. A l’aise en attaque. Il a mis des tirs au poste. Il a fait un très gros match. »\\n\\nL’impact du meneur du CSP DaShaun Wood (9 points, 7 passes, 5 interceptions) a également été souligné."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pas de renfort au Mans dans l’immédiat"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans les colonnes de Ouest France, le président du Mans Sarthe Basket, Christophe Le Bouille, fait part de sa « honte » et de son « inquiétude » après la déroute de son équipe à Hyères-Toulon (60-76). A leur retour du Var, le président a exprimé à ses ouailles son fort mécontentement et répondu par la négative au souhait de son coach Erman Kunter de renforcer à la minute son effectif.\\n\\n« Il me l’avait déjà dit il y a quinze jours. Je lui avais répondu qu’il n’en était pas question. Et c’est toujours le cas. On a construit ce groupe autour de neuf vrais professionnels, avec des postes doublés. Il y a un vrai meneur, avec Olivier (Hanlan) et Pape (Philippe Amagou) qui peuvent le suppléer. Cela a été décidé au mois de juin, y compris par Erman, qui a choisi ses joueurs. Il faut assumer. C’est trop facile de vouloir changer dès qu’il y a un grain de sable. »\\n\\nToutefois la porte n’est pas fermée à des aménagements mais à plus long terme :\\n\\n« Après, on aura peut-être les moyens de se renforcer. Mais là, il est trop tôt dans la saison. On ne va pas prendre un joueur pour cirer le banc, ça ne sert à rien. Il faut quelqu’un qui ait un impact. Lors des deux premières saisons, on a parfois cédé aux demandes d’Erman. Je vous laisse voir les statistiques de ces joueurs... Je suis aussi garant de la pérennité du club. C’est un équilibre sportif et économique. Avec cette équipe, on a les moyens de faire mieux que beaucoup d’autres. Il faut se regarder dans la glace, se battre. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Kenny Gaines (Antibes) apprend le meurtre de son frère aux vestiaires"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est en rentrant aux vestiaires après la défaite au Rhénus face à Strasbourg que l’arrière américain d’Antibes Kenny Gaines, 22 ans, a appris le meurtre de son frère aux Etats-Unis. Formé à Georgia, Gaines effectue en Pro A son année de rookie comme professionnel.\\n\\n\\n\\n\\nRip to my brother... I swear my nephew ain't gone want for nun.\\n\\n\\n— Kenny Gaines Jr. (@KennyGaines12) October 29, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Meilleure évaluation pour Alain Koffi (Pau) depuis six ans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ici même, Alain Koffi affirmait avant les trois coups de la saison qu’il ne ressentait plus de douleurs à son genou meurtri et c’est pourquoi, à 33 ans, il avait voulu poursuivre sa carrière en Pro A à Pau plutôt que de se contenter de la Pro B avec Rouen.\\n\\nBien lui en a pris. L’ancien international a la pèche en ce mois d’octobre et hier soir face à Orléans il a signé une performance de haute volée : 21 points (8/12 aux shoots) et 14 rebonds. Soit 30 d’évaluation. Un total qu’il n’avait pas atteint depuis un Strasbourg-Le Mans le 23 octobre 2010 –il avait obtenu 31- soit juste avant que ne commencent ses ennuis de santé.\\n\\nAvec 20 tout rond, Alain Koffi est actuellement le cinquième de Pro A à l’évaluation et le premier Français. Le numéro un n’est autre que son équipier D.J. Cooper (26,83) qui d’ailleurs avec 33 a fait hier soir encore mieux que lui."
}, 
{"role": "user",     "content":"Isaia Cordinier (Antibes), une faute toutes les trois minutes et demi"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Drafté en juin par les Atlanta Hawks en 44e position alors qu’il avait achevé une saison de Pro B à Denain, Isaia Cordinier (1,96m) doit maintenant apprendre à 20 ans –il les aura le 28 novembre- les subtilités de la Pro A à Antibes. Isaia a du mal à réfréner ses ardeurs si l’on en juge aux fautes qui lui sont sifflées.\\n\\nAprès quatre matches joués, l’Antibois a commis dix-huit fautes. Soit 4,5 par rencontre. Cela fait une faute toutes les trois minutes et demi. Hier face à Strasbourg, les arbitres lui en ont infligé trois en trois minutes et la cinquième fatale après dix minutes passées sur le terrain.\\n\\nIsaia se voit décerner le bonnet d’âne de la classe devançant le Dijonnais Jo Passave Ducteil (4,2/match). Il va lui falloir corriger ses erreurs de jeunesse.\\n\\nPhoto : Sharks Antibes"
}, 
{"role": "user",     "content":"Russie : Jeremy Evans au Khimki Moscou"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ancien poste 4 du Utah Jazz en NBA et vainqueur du Slam Dunk Contest en 2012, Jeremy Evans, s’est engagé avec le Khimki Moscou où il va retrouver le Français Nobel Boungou-Colo.\\n\\nL’ancien pensionnaire de l’université de Western Kentucky vient renforcer la formation de Dusko Ivanovic jusqu’à la fin de la saison, comme l’a rapporté le club moscovite sur son compte Twitter officiel.\\n\\nLa saison dernière, le natif de Monroe en Louisiane a pris part à 30 matchs NBA sous les couleurs des Dallas Mavericks pour des moyennes de 2,3 points et 1,8 rebond en 8 minutes de jeu par rencontre. Il a également été envoyé en D-League à quatre reprises. Dans l’antichambre de la NBA, Evans compilait en moyenne 16,7 points, 9 rebonds et 1 passe décisive en quasiment 36 minutes de jeu par match avec les Texas Legends.\\n\\n\\n\\n\\n#BCKhimki is glad to announce the addition of 2012 @NBA Slam Dunk Contest champ @JeremyEvans40 till the end of season. Welcome to the club! pic.twitter.com/1GerDO2dDX\\n\\n\\n— BC Khimki (@Khimkibasket) 29 octobre 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : le HTV relève la tête"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vendredi soir, à l’occasion de la sixième journée de Pro A, le HTV recevait Le Mans Sarthe Basket. Grâce à un Ryan Evans des grands soirs qui a compilé 18 points (7/11 aux tirs dont 4/4 à trois points), 4 rebonds et 3 passes décisives pour une évaluation de 21, les joueurs de Kyle Milling se sont imposés 76 à 70 face à la formation d’Erman Kunter, qui a tiré la sonnette d’alarme après la rencontre.\\n\\nEn conférence d’après match, son homologue de Hyères-Toulon a reconnu que cette victoire donnait un peu d’air à son équipe qui affichait jusque-là un bilan d’une victoire pour quatre défaites.\\n\\n« Toutes les victoires font du bien à l’équipe mais je pense qu’avec notre équipe, qui est très jeune et qui n’a pas d’expérience dans cette division, gagner des matchs en Pro A donne de la confiance et ça montre que l’on est capable de le faire. »\\n\\nIl en a profité également pour rappeler qu’il mise avant tout sur la défense de son équipe pour faire la différence dans les matchs.\\n\\n« Je pense que l’on ne s’est pas arrêté de défendre pendant 40 minutes, avec bien sûr des séquences un peu moins bonnes, mais dans le quatrième quart temps, on est encore monté dans l’intensité défensive et on n’a pas lâché. Ils ont mis 30 points en première mi-temps et pareil en deuxième, ce qui prouve que l’on a été constant pendant 40 minutes. C’est ce qui va être notre force jusqu’à la fin de saison si l’on veut gagner les matchs. On a moins de talent, on a moins de centimètres, il nous manque un peu de tout donc il faut jouer avec plus d’agressivité et plus d’énergie pour avoir l’occasion de gagner des matchs. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : la SIG récupère Matt Howard"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après l’annonce de la suspension d’Henrik Dettmann suivie du retour de Vincent Collet, le club strasbourgeois rapporte sur son site officiel que Matt Howard devrait effectuer son retour dans l’effectif lors du match face à Antibes, ce samedi à 20h.\\n\\nBlessé lors d’une mauvaise chute dans le match face au Portel datant du 15 octobre, l’intérieur américain était l’un des joueurs importants du dispositif de la SIG la saison dernière, sous les ordres de Vincent Collet. Doté d’un très bon sens du rebond, l’ancien joueur de Roanne va retrouver son ancien coach et va pouvoir tenter d’aider son équipe à (enfin) redresser la barre.\\n\\nL’année dernière, il tournait en moyenne en Pro A à 8,8 points, 5,3 rebonds et 1,3 passe décisives pour 12,8 d’évaluation."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jordan Aboudou (Monaco) et Gravelines, les retrouvailles"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans La Voix du Nord, Jordan Aboudou (2,01m, 25 ans) revient sur ses deux saisons à Gravelines alors que son nouveau club, Monaco, reçoit justement le BCM ce soir. Le natif de Colombes possède des qualités athlétiques exceptionnelles mais s’il réalisa la saison dernière quelques productions de haute volée, comme ses 15 points, 6 rebonds et 23 d’évaluation face à Orléans-, il donna aussi souvent l’impression d’être un pur-sang hors de contrôle.\\n\\n« Personnellement, je n’avais pas de problème avec Christian (Monschau). C’est juste moi, tout seul... J’avais un travail à faire sur moi-même. Il me faisait confiance, j’ai été 34 fois dans le 5 de départ la saison dernière. J’avais un temps de jeu correct. C’était bien de rebondir à Monaco, cet été. Je me suis mis à travailler avec un coach de prépa mentale On parle basket, préparation de match et de la vie quotidienne. Je me suis aussi beaucoup entraîné cet été sur mes points faibles. »\\n\\nA l’AS Monaco, Jordan Aboudou ne possède que le 10e temps de jeu (14’/moyenne) et se voit confier des tâches plus ciblées. Il a aussi gagné en rentabilité offensive : 11/20 aux shoots soit 55%. A confirmer.\\n\\n«Ca se passe très bien pour moi pour l’instant dans un effectif comme celui-là. Il y a de gros gros joueurs devant moi, je rentre, j’ai la confiance du coach. C’est plutôt probant. »\\n\\nSurtout les Monégasques sont à ce jour toujours invaincus en Pro A et en Basketball Champions League."
}, 
{"role": "user",     "content":"Quatrième défaite du Mans, Erman Kunter réclame du renfort"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En triturant ses lunettes, Erman Kunter avait vendredi soir sa tête des très mauvais jours lors de la conférence d’après-match. Le MSB venait de subir un lourd revers à Hyères-Toulon (60-76) qui fait tâche quand on sait que les masses salariales des deux équipes ne sont pas du même tonneau (1 787 500€ contre 700 000€). D’autant que les Manceaux avaient déjà grillé un joker il y a deux semaines chez l’autre promu, Le Portel. Ils accusent aujourd’hui 4 défaites en 6 matches.\\n\\n« Pourquoi on perd à l’extérieur ? C’est très simple, il faut être une équipe, avoir un esprit collectif. Aujourd’hui on n’en a pas. Je suis très déçu par certains joueurs. On peut faire de mauvais matches mais l’attitude doit toujours être là. L’attitude de certains n’est pas bonne. Je l’ai déjà dit il y a plusieurs mois : on a un problème d’effectif. Quand il n’y a pas assez de concurrence dans le groupe ça peut poser des problèmes. Aujourd’hui, je peux dire que 70% des joueurs qui étaient sur le terrain s’en foutent. Quand ils ne jouent pas, ils ne sont pas contents mais quand ils jouent il n’y a aucun impact dans le jeu. Peut-être que le message ne passe pas, il faut que je vois avec le président. J’ai déjà essayé de le voir mais il n’était pas là. »\\n\\nA contrario, Le Mans a gagné ses deux matches à Antarès en Basketball Champions League et en prenant ses aises (deux fois avec le même score de 68-49 contre Venise et Khimik). Il y a aussi vaincu Strasbourg et Pau et poussé l’indomptable Monaco dans ses derniers retranchements.\\n\\n« Quand on joue à domicile, c’est entre guillemets un peu plus facile. Avec le public les choses se collent, ça ne se voit pas. Je parle de vous (journalistes) et du public. Mais moi quand je suis sur le terrain, je vois ça. Il y a un problème dans le groupe. Certains joueurs ne sont pas à leur niveau et de ce que j’ai compris, ça va durer. Défensivement, on n’est pas bon. On essaye de partager les temps de jeu parce qu’on va jouer mercredi en coupe d’Europe, sauf Giordan (Watson) qui a joué un peu plus que les autres. Par contre il y a des problèmes... »\\n\\n\\nYarou et Cornelie à la peine\\n\\nErman Kunter tapote nerveusement ses doigts sur la table :\\n\\n« C’est très inquiétant ! C’était déjà inquiétant il y a un mois. Je disais « on gagne mais ce n’est pas bon ». Bien sûr il y a les blessés mais pour moi il y a une fausse concurrence. Ils disent « moi je peux jouer mieux que lui », par contre quand on voit les statistiques ce n’est pas le cas. Le problème est là. »\\n\\nDepuis leur retour de blessure Mouph Yarou (4,3 pts et 2,7 rbds) et Petr Cornelie (3,0 pts et 2,3 rbds) n’ont pas retrouvé leur niveau de performance de l’an passé. Le coach turc fait clairement un appel du pied à son président Christophe Le Bouille pour que le club se renforce. Le MSB possède règlementairement une marge de manœuvre puisqu’il n’a dans son effectif que trois non-JFL et un Cotonou, mais va-t-il pour autant délier les cordons de la bourse?\\n\\nLe Mans part en Finlande pour affronter Kataj mercredi et samedi, c’est le derby face à Cholet. L’état d’urgence est déclaré."
}, 
{"role": "user",     "content":"A peine arrivé à Strasbourg, Vincent Collet part aux Etats-Unis la prochaine semaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"De nombreux journalistes ont assisté cet après-midi au premier point presse de Vincent Collet intronisé hier coach de Strasbourg, à la place du Finlandais Henrik Dettmann mis à pied.\\n\\nEgalement coach de l’équipe de France, Collet a annoncé notamment qu’il se rendra trois jours aux Etats-Unis la semaine prochaine afin de rendre visite à plusieurs internationaux.\\n\\nUn voyage programmé bien avant son retour aux affaires à la SIG. L’ information a été relayée par Guylaine Gavroy, journaliste aux Dernières Nouvelles d’Alsace.\\n\\n\\n\\n\\nVincent Collet partira trois jours aux USA la semaine prochaine, Lassi Tuovi et @laudolt assureront les entrainements de la @sigstrasbourg\\n\\n\\n— Guylaine Gavroy (@GuylaineG) October 28, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Kukoc, Radja et Maljkovic : le triangle d’or de Split"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« Split, c’était la plus grande équipe de basket-ball amateur de tous les temps », assurait avec recul son coach Bozidar Maljkovic. La seule pour le moins à avoir remporté trois Final Four d’affilée. Malgré une saignée épouvantable dans le roster.\\n\\nOn attendait le Maccabi Tel-Aviv de Kevin Magee. Ce furent des gamins (les six joueurs de base guidés par Dusko Ivanovic avaient au maximum 21 ans) venus de Split, sur la côte Dalmate qui montèrent jusqu’au sommet de l’Europe en ce mois d’avril 1989, à Munich. Victoire en finale, 75-70. À la surprise générale. Sauf de leur coach, un certain Bozidar Maljkovic, qui avait fait ses armes dans trois clubs de Belgrade avant de prendre en main Jugoplastika Split, trois ans auparavant. «\u2009Quand je suis arrivé, cette équipe était en très mauvaise posture. Je n’étais pas arrivé à Split parce que j’étais bon, mais parce que personne ne voulait y aller. Cela a représenté beaucoup de travail\u2009».\\n\\nLe mot est lâché «\u2009travail\u2009». C’est ça le vrai secret de Bozidar Malkovic, qui n’a jamais été un sorcier vaudou susceptible de jeter un sort à ses adversaires. «\u2009Ce n’est pas facile de travailler avec moi. Je suis très dur et de caractère difficile. Mais je parle avec tout le monde\u2009». La Yougoslavie était encore unie et Maljkovic avait pu puiser dans l’immense réservoir national pour recruter des joueurs doués athlétiquement pour le basket, mais aussi avec une tête bien faite.«\u2009J’ai eu avec eux des milliers d’entraînements et, avec aucune équipe aujourd’hui, je ne pourrais arriver à retrouver une qualité et une intensité d’entraînement pareilles\u2009», déclara-t-il au moment où il coachait Limoges. «\u2009A Split, les joueurs étaient de grande qualité, de grande classe, de grand talent naturel quoi. Alors moi coach, je ne pouvais pas dormir parce qu’il fallait que je trouve de la place pour chacun de ces talents, pour que chacun puisse s’exprimer et donner tout ce qu’il avait\u2009».\\n\\nLe Serbe avait tout de même une science du jeu largement au-dessus de la moyenne, et c’est lui qui plaça en deuxième mi-temps le petit meneur Zoran Sretenovic sur Doron Jamchi qui avait planté jusque-là 19 points. L’Israélien en fut fort contrarié. Mais c’est vrai que ces jeunes garçons étaient des surdoués et que ce n’était jamais le même qui jouait le premier rôle. Ce soir-là, Dino Radja, un pivot aux fondamentaux sortis tout droit d’un précis technique, cumula 20 points et 10 rebonds. Et surtout Kevin Magee fut vite privé d’oxygène et s’englua dans le marquage yougoslave. 3/11 aux tirs, c’était indigne de ses standards. «\u2009Split est une bonne équipe, bien coachée, disciplinée, qui ne compte pas de super stars (sic) et où chacun joue pour le groupe\u2009» commenta alors l’Américain à Maxi-Basket. «\u2009En fait, leur force, c’est qu’ils font tout en équipe. Chaque joueur bouge, chaque joueur sait ce que l’autre va faire et est capable de faire, ils se connaissent parfaitement. Ça se voit au niveau de l’aide défensive où ils sont fabuleux, comme en attaque. Ils jouent juste\u2009».\\n\\n«\u2009Chez nous, Kuki portait les sacs. C’est comme ça qu’il a commencé la musculation\u2009!\u2009» Bozidar Maljkovic\\n\\n\\nLa Panthère Rose\\n\\nIl répondait à divers surnoms, «\u2009La Panthère Rose\u2009», «\u2009Alien\u2009», «\u2009L’Araignée de Split\u2009», «\u2009Kuki\u2009». Toni Kukoc avait arrêté de jouer au foot après avoir grandi de quinze centimètres en une année. Il était si long, si maigre, qu’on avait peur qu’au moindre choc, il se casse en deux. Il pouvait se placer à l’intérieur comme mener le jeu, se faire discret, se mettre au service de la collectivité, comme subitement vous assassiner par des flèches lancées à sept mètres. Ses passes décisives étaient de pures merveilles. Comme Radja, comme Divac et Djordevic, il s’était fait connaître lors du Mondial juniors à Bormio, en Italie, à l’été 87. On n’avait jamais vu en Europe une bande de jeunes de ce niveau-là. Les Américains étaient repartis tête basse. «\u2009On l’appelait “La Panthère Rose” parce qu’il était tellement maigre. Chez nous, “Kuki”, c’était celui qui portait les sacs. C’est comme ça qu’il a commencé la musculation\u2009!\u2009» rigolait Maljkovic.\\n\\nÀ Saragosse, pour l’acte 2, Split était opposé au FC Barcelone, jamais consacré, et que tout le peuple catalan voyait déjà au firmament. Maljkovic laissa longuement Toni Kukoc sur le banc afin de cadenasser le jeu intérieur du Barça. «\u2009Vous vous rendez compte\u2009?\u2009» demanda Pierre Seillant, le président de l’Élan Béarnais «\u2009Kukoc attend onze minutes pour rentrer\u2009! Il jouerait à Orthez, nous, on le ferait rentrer sur le terrain avant le match et sortir après\u2009! ». Le Prince Maljko se félicita de son option.\\n\\nKukoc scora 20 points avec un minimum de déchets et fut totalement décisif en fin de match. Avec une rage que le coach de Limoges, Michel Gomez, avait perçue en croisant les Yougoslaves à la sortie du vestiaire avant leur demi-finale. «\u2009On n’existait pas\u2009! Personne n’existait plus\u2009! Ils étaient concentrés comme des bêtes, les yeux exorbités, la mâchoire et les poings serrés, droits comme des “i”. Ils n’auraient pas senti le souffle d’une bombe au napalm\u2009». À sec au rebond aux moments-clés, Barcelone fut privé de sa meilleure arme, la contre-attaque et s’inclina de 5 points (72-67).\\n\\nDurant l’intersaison, le richissime Barça eut recours à une embauche qui devait, croyait-il, déstabiliser Split. Il se paya Bozidar Malkovic\\n\\n\\nLe pillage\\n\\nDurant l’intersaison, le richissime Barça eut recours à une embauche qui devait, croyait-il, déstabiliser Split. Il se paya Bozidar Malkovic dont les systèmes de jeu étaient pillés par l’Europe entière. Les deux équipes se retrouvèrent face à face en finale, à Paris. Dino Radja n’était plus sous le maillot jaune\u2009; il avait rejoint Messagero Rome qui ne regardait pas à la dépense. Dusko Ivanovic était parti monnayer son talent en Espagne et Goran Sobin, un autre solide intérieur, en Grèce. Zoran Tabak avait encore un rôle mineur et Petar Naumoski restait indéfiniment cloué sur le banc. Le nouveau coach Zeljko Pavlicevic avait recruté un Américain Avie Lester, mais comme role player. Les clés de la boutique étaient toujours confiées à Toni Kukoc, au redoutable shooteur Velimir Perasovic et à l’intérieur serbe Zoran Savic que l’on verra plus tard... à Barcelone.\\n\\nC’est lui, Savic, qui fit voler en éclats la défense catalane avec 27 points et 8 fautes provoquées. Toni Kukoc se contenta d’apporter sa fantastique créativité, sa science du placement et c’est lorsqu’il fut sur le banc que Split décrocha Barcelone. Barcelone qui, en hébergeant deux Américains (Norris et Trumbo) et un Portoricain (Ortiz) sous le même toit, avec les produits locaux (San Epifanio, Solozabal, Montero), le tout guidé par Maître Maljkovic, pensait avoir réussi un recrutement déterminant, et qui fit pourtant encore chou blanc.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=8aU2WCN504U\\n\\nL’été suivant, la guerre civile eut raison de la Yougoslavie et du règne de Jugoplastika. Les Serbes étaient devenus indésirables en Croatie. Ainsi, Zoran Stetenovic s’exila-t-il à Antibes. Mais l’esprit Yougo n’était pas mort. En 1992, c’est le Partizan Belgrade de Sasha Djordjevic et Pedrag Danilovic qui s’imposait en finale sur un panier de légende au buzzer du premier nommé. Et l’année suivante, le Limoges CSP entrait dans l’histoire. Avec comme coach Bozidar Maljkovic.\\n\\nArticle paru dans BasketNews en 2009.\\n\\nVisuel : YougoPapir"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Vassilis Spanoulis deuxième meilleur passeur de l’histoire"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Jeudi soir, l’Olympiakos se déplaçait à Vitoria pour le compte de la quatrième journée d’Euroleague. Dans ce match, le meneur grec Vassilis Spanoulis a délivré sa 984e passe décisive, ce qui lui a permis de devenir le deuxième meilleur passeur de l’histoire de la compétition.\\n\\nAlors qu’il est passé deuxième meilleur marqueur de la C1 lors de la deuxième journée, hier soir, il a distribué 15 passes décisives (record en carrière) pour dépasser Theo Papaloukas (977 assists en Euroleague). Il n’est devancé que par Dimitris Diamantidis et ses 1255 passes sur la liste des meilleurs passeurs de la compétition.\\n\\nCette saison en Euroleague, Spanoulis tourne en moyenne à 15 points, 2 rebonds et 8,3 passes décisives pour une évaluation de 18,8."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pierre Tavano veut faire monter Tours dès cette saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que Vincent Collet reprend le poste de pilotage de Strasbourg, son adjoint –presque- éternel Pierre Tavano devient pour deux saisons le coach en chef de Tours, en N2. Dans La Nouvelle République, il n’y va pas par quatre chemins à propos de ses ambitions.\\n\\n« Je veux monter en Nationale 1 dès la fin de la saison. C’est pour ça que je suis venu\u2009! Il y a une grosse attente et tout le monde est au courant. Le projet est très intéressant et personnellement, je veux vraiment retrouver rapidement la LNB, avec une accession en Pro B. Cela fait depuis 1992 que j’évolue en LNB et l’ambition est donc de tout faire pour y revenir avec Tours. Il y a quelque chose à construire ici et une belle histoire à écrire. Tours a été une place forte du basket français. A ce sujet, j’ai reçu un message sympathique de félicitations de Pierre Dao... (Ndlr: entraîneur de l’ASPO Tours dans les années 70) »\\n\\nL’UTBM est actuellement 6e ex-aequo de la poule B avec 2 défaites en 5 matches.\\n\\nL’intégralité de l’interview est à lire ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le retour de Charles Kahudi reporté"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Charles Kahudi (1,99m, 30 ans) s’est fait opérer d’une cheville à l’issue des Jeux Olympiques et son impact physique, son expérience, font cruellement défaut à l’ASVEL qui en est à 3 défaites en 5 matches. Malheureusement pour eux les Villeurbannais, qui viennent d’apprendre par ailleurs que leur meneur américain Trent Meacham est out pour deux mois au minimum, ne pourront pas compter dans l’immédiat sur leur international.\\n\\nLe coach J.D. Jackson a indiqué lors d’un point presse que son arrêt de travail qui s’arrêtait aujourd’hui a été prolongé de quinze jours. Charles Kahudi tournait la saison dernière à 11,3 pts et 4,9 rbds en 27 minutes de moyenne.\\n\\n« On est en sous effectif et on a clairement besoin de gagner demain. Tout le monde va devoir faire de gros efforts, » a annoncé J.D. Jackson. Le champion de France reçoit à l’Astroballe le promu Le Portel."
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie : Bogdan Bogdanovic out deux à trois semaines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mercredi soir, lors du match comptant pour la troisième journée d’Euroleague entre le Fenerbahce et Kaunas, Bogdan Bogdanovic s’est blessé à la cheville lors d’un contact avec Léo Westermann.\\n\\nLe Fener a annoncé sur son site officiel que les examens effectués ont finalement révélé que l’arrière serbe souffrait d’une entorse à la cheville droite et qu’il serait donc indisponible entre deux et trois semaines.\\n\\nCette saison en Euroleague, l’ancien joueur du Partizan Belgrade tourne en moyenne à 13,3 points, 1,7 rebond et 4 passes décisives pour une évaluation de 16,7."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le président d’Orléans répond à Frédéric Forte"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avant le match Orléans-Limoges, Frédéric Forte, président du CSP, avait été critique avec le fonctionnement du club adverse dans une interview donnée à la République du Centre (voir ici). Son homologue d’Orléans Loiret Basket, Laurent Lhomme, a choisi le même support pour lui répondre de façon plutôt feutrée. Et il ne se plaint pas totalement de la charge.\\n\\n« Au moins, la vertu de cet article, c’est qu’il a fédéré tout le monde. Parce qu’il y a eu une réaction collective du public, des partenaires. Et d’ailleurs, le public limougeaud a été plus calme et timoré que d’habitude. Ça a resserré les rangs. Et la preuve, on a gagné en espoirs et gagné en pro (NDLR : 80-74). Avec une belle performance qui a été appréciée par tout le monde. »\\n\\nL’intégralité de l’interview est à lire ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : Trent Meacham indisponible au moins deux mois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Gros coup dur pour l’ASVEL qui perd son capitaine, Trent Meacham.\\n\\nComme le rapporte le site officiel du club, le meneur villeurbannais est blessé à la main et devra rester éloigné des parquets au moins deux mois. Il sera soumis à de nouveaux examens afin de connaitre la durée exacte de son indisponibilité.\\n\\nCette saison avec l’ASVEL, l’ancien joueur de Nanterre compile en moyenne 7,8 points, 2 rebonds et 3,4 passes décisives pour une évaluation de 8,6."
}, 
{"role": "user",     "content":"Nationale 1 : GET Vosges vise plus haut"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sportivement, ça roule du côté de GET Vosges, quatrième la saison dernière de N1 et actuellement troisième. Son président Jérôme Valsésia se félicite du travail de son coach, Laurent Mathis, qui fait confiance aux jeunes. « Le GET, c’est un peu The Voice’s Kid du basket. »\\n\\nLe budget du club est passé de 565 000€ à 930 000€ en quatre ans mais accuse un déficit de quelques milliers d’euros suite à un renforcement de la section amateur forte de 360 licenciés et qui a augmenté ses encadrants.\\n\\n« On ne peut plus gérer ce club avec des bénévole », analyse le président dans Vosges Matin. « On doit pérenniser des emplois administratifs. C’est pourquoi je dis que le club est à la croisée des chemins. Nous ne sommes pas petits mais nous ne sommes pas gros non plus. Par contre, on veut grandir. On veut aller voir au niveau au-dessus. Les résultats sportifs de ce début de saison prouvent que le GET n’est pas en N1 par hasard. »\\n\\nCependant, pour retrouver la Pro B, l’argent reste le nerf de la guerre...\\n\\n« Pour aller plus haut, il nous faut plus de moyens. Cela passe par plus de soutien de la part des partenaires privés et publics. Mais aussi par de nouvelles recettes. C’est pourquoi un réaménagement du palais des sports d’Épinal, pour mieux accueillir les sponsors et le public pourrait nous permettre de dégager des recettes supplémentaires. Je sais, on est gourmand ! Mais dans le sport, pour ne pas végéter voire reculer, il faut être ambitieux. Et nous comptons bien l’être dans les années qui viennent. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Elu MVP de la 3e journée, Nando De Colo reprend ses bonnes habitudes en Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le format de la compétition a changé cet été, et la concurrence est de plus en plus rude en Euroleague, mais le meilleur, c’est toujours et encore Nando De Colo.\\n\\nL’arrière tricolore du CSKA Moscou a effectivement été élu MVP de la troisième journée d’Euroleague après avoir marqué 26 points face à la défense de l’Efes Istanbul. Surtout De Colo a encore fait un sacré chantier en se montrant toujours aussi efficace (7/12 aux tirs) et insaisissable (12/13 aux lancers).\\n\\nAjoutez-y 6 passes et 4 rebonds, et même un contre (comme le dira Nando lui-même, « une fois n’est pas coutume »), et vous obtenez la meilleure évaluation de la 3e journée à 32 ! Sachez également que De Colo en a également profité pour reprendre la tête au classement des scoreurs avec 22,7 points de moyenne."
}, 
{"role": "user",     "content":"Chase Budinger signe à Vitoria"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Shane Larkin et Andrea Bargnani, voilà qu’un troisième joueur des Nets vient de signer à Vitoria. Il s’agit de l’ailier Chase Budinger.\\n\\nFigurant parmi les derniers coupés à la fin du camp d’entraînement de Brooklyn, Budinger va donc essayer de rebondir du côté du Pays Basque. Cette signature renforce considérablement Vitoria dans la course au Top 16, comme en Liga ACB. Le Baskonia se transforme de plus en plus en refuge pour joueurs NBA en quête d’un second souffle.\\n\\nA 28 ans, le joueur passé par Houston et Minnesota tourne tout de même à 8 points et 3 rebonds de moyenne en 7 saisons NBA. Athlétique et bon défenseur, Budinger a peu à peu perdu son adresse de loin à mesure que son temps de jeu s’est réduit à la portion congrue ces deux dernières saisons, entre Phoenix et Indiana.\\n\\n\\n\\n\\nFree agent veteran Chase Budinger has signed with Baskonia in Spain, source tells @TheVertical. Budinger was a final cut with Nets.\\n\\n\\n— Adrian Wojnarowski (@wojespn) October 27, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"[replay] Tout le talent de passeur de Milos Teodosic face à Kazan"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme Sergio Rodriguez qui a effectué un bon début pour son retour en NBA avec les Sixers hier soir face à Oklahoma City, Milos Teodosic fait partie de ces meneurs européens qui ont clairement le niveau pour jouer dans la Grande Ligue.\\n\\nSeulement, le maestro serbe du CSKA Moscou ne veut pas quitter son confortable cocon moscovite sans assurance de pouvoir jouer son jeu librement de l’autre côté de l’Atlantique. Et depuis son sacre européen aux côtés de Nando De Colo la saison passée, il semble jouer encore plus libéré cette année.\\n\\nEn témoigne ce nouveau bijou de passe pour la contre-attaque conclue par Cory Higgins. Une passe déc’ façon bowling quasiment, avec le petit effet qui va bien...\\n\\nEt plus tôt dans le match, Milos Teodosic a délivré un caviar pour un trois points. Attention à cette action par contre, à ne pas montrer dans les écoles de basket. Sauter en l’air pour trouver un coéquipier démarqué dans le coin opposé au dernier moment, voilà une prérogative que seuls les plus grands peuvent s’autoriser...\\n\\n\\n\\n\\nHow?? RT @Eurohoopsnet: Milos sending it through the keyhole pic.twitter.com/cd6YsYeylS\\n\\n\\n— Rafael Barlowe (@Barlowe500) October 27, 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : le programme TV de SFR Sport 2"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque semaine, trois rencontres sont au programme sur les antennes de la nouvelle chaîne SFR Sport 2 qui a obtenu les droits de diffusion du basket français et des équipes de France de basket.\\n\\n\\nLimoges face au défi Nanterre\\n\\nPour commencer cette sixième journée de Pro A sur les antennes de SFR Sport 2, Limoges reçoit Nanterre à Beaublanc, samedi à 18h30. Les deux formations sortent d’une défaite en championnat, le CSP s’est incliné à Orléans 80-74 tandis que Nanterre s’est fait surprendre par l’Elan Chalon (77-92) avant de se rassurer mercredi soir face au FC Porto en Fiba Europe Cup (81-73). A voir si le club francilien pourra confirmer dans la salle surchauffée de Beaublanc qui va tout faire pour pousser la formation de Pascal Donnadieu dans ses derniers retranchements.\\n\\n\\nCholet vers une quatrième victoire consécutive, face à Chalon-sur-Saône ?\\n\\nDimanche, toujours à 18h30 sur SFR Sport 2, l’Elan Chalon, qui reste sur une victoire en Pro A face à Nanterre (92-77) et sur une victoire face au Benfica Lisbonne (90-76) en FIBA Europe Cup, se déplace à la Meilleraie de Cholet. Le CB est, lui aussi, sur une bonne dynamique de victoires après ses succès à Nancy (91-85), à Limoges (79-72) et face au Paris-Levallois (95-87) en championnat. Ce sera l’occasion pour Ilian Evtimov, qui tourne à 14,6 points avec Cholet, de retrouver son ancienne formation, lui qui a évolué six saisons sous les couleurs de l’Elan Chalon.\\n\\n\\nLe duel du fond de la classe entre Dijon et Nancy\\n\\nPour finir, lundi à 20h30 sur SFR Sport 2, Dijon accueille Nancy qui n’a, pour l’instant, remporté qu’un seul match sur cinq cette saison. La JDA reste, elle, sur un échec en championnat, de 18 points face au CCRB (87-69), tout comme le SLUC qui s’est incliné sur son parquet face au BCM Gravelines-Dunkerque 70-65. Quatorzième et seizième au classement de Pro A, c’est le match des mauvais élèves entre les Dijonnais et les Nancéiens.\\n\\nChaque semaine, gagnez des places pour les matchs de ProA diffusés par SFR Sport. Jouez-ici !"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Vincent Collet remplace Henrik Dettmann à la SIG"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"\\nLe club strasbourgeois vient d’annoncer sur son site officiel la mise à pied, à titre conservatoire, de son entraîneur Henrik Dettmann.\\n\\nAprès un début de saison catastrophique (une seule victoire en huit matchs officiels, toutes compétitions confondues), les heures du technicien finlandais à la tête de la SIG étaient comptées et l’on apprend aujourd’hui que le directoire du club est tout proche de le remercier.\\n\\nEn attendant le verdict du président Martial Bellon et l’issue des négociations sur la rupture du contrat, c’est, sans surprise, Vincent Collet qui assurera l’intérim, quatre mois après avoir quitté l’Alsace.\\n\\nLa FFBB, via un communiqué, a annoncé qu’elle approuvait ce choix, rappelant que le sélectionneur des Bleus pouvait porter les deux casquettes."
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Alex Acker signe à Cantu"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un temps annoncé de retour en France et plus précisément à Orléans, Alex Acker vient finalement de s’engager avec le club italien de Cantu.\\n\\nL’ailier américain, qui évoluait à Avellino la saison dernière (8,4 points, 2,8 rebonds et 2,4 passes décisives), a obtenu son passeport italien et vient officiellement renforcer le Pallacanestro Cantu (2v-2d en championnat) avec qui il s’entraînait déjà depuis quelques semaines.\\n\\nEn 113 matchs de Pro A entre Le Mans, Boulazac, Limoges et l’ASVEL, le natif de Compton tournait en moyenne à 13 points, 3,6 rebonds et 3,1 passes décisives pour une évaluation de 12,9.\\n\\n\\n\\n\\nLa Pallacanestro Cantù ingaggia Alex Acker@ackrighthttps://t.co/t1SRhgizof#WelcomeAcker pic.twitter.com/AUzLlB0KWq\\n\\n\\n— Pallacanestro Cantù (@PallCantu) 27 octobre 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe d’Espagne : Sergio Scariolo prolongé jusqu’en 2020"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"D’après le journaliste David Pick, toujours très bien informé, l’Italien Sergio Scariolo voit son contrat à la tête de l’équipe d’Espagne prolongée jusqu’en 2020.\\n\\nL’ancien coach du Real Madrid, de Milan et d’autres clubs européens huppés, âgé de 55 ans, a pris en main l’équipe nationale espagnole de 2009 à 2012 et de nouveau en 2015 pour la conduire au titre européen en 2016 (son troisième après 2009 et 2011) et à la médaille de bronze aux JO de Rio (il avait déjà obtenu l’argent à Londres)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Une statue dans le métro de Moscou en l’honneur de Viktor Khryapa"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tel Michael Jordan au United Center, Viktor Khryapa (2,06m, 34 ans), l’ailier du CSKA Moscou va avoir sa statue dans une station de métro de Moscou à partir de décembre prochain. L’œuvre en bronze du sculpteur Michael Pereyaslvates pèse environ 300 kg (près de trois fois plus que l’original qui affiche 107 kg sur la balance).\\n\\nKhryapa doit cet honneur rarissime à ses deux titres d’Euroleague et ses sept titres nationaux avec le CSKA, sa médaille d’or à l’Euro 2007 et sa médaille de bronze olympique l’année suivante avec l’équipe nationale russe. Le joueur s’est plié de bonne grâce ces derniers mois à la conception et à la réalisation de sa statue.\\n\\n« Je ne peux toujours pas y croire, j’ai une statue alors que je suis un joueur toujours en activité. Je prends ça comme une reconnaissance des efforts de toute une carrière et j’espère être un digne représentant du CSKA », a commenté Khryapa.\\n\\nPhoto : El Mundo deportivo"
}, 
{"role": "user",     "content":"Champions League : la SIG au fond du trou"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mercredi soir, la SIG a essuyé un nouvel échec en Champions League, cette fois, face aux Italiens d’Avellino. A l’occasion de la deuxième journée de la compétition, les Strasbourgeois se sont inclinés 72 à 69 face aux hommes de Stefano Sacripanti.\\n\\nAvec un joli 29 d’évaluation (16 points, 6 rebonds, 10 passes décisives et 3 interceptions), Joe Ragland termine meilleur joueur de la rencontre.\\n\\nAprès le match, Henrik Dettmann, l’entraîneur de la SIG (pour combien de temps encore ?) s’est exprimé sur cette défaite en conférence de presse d’après match.\\n\\n« Dans l’ensemble, je trouve que mon équipe a joué un bon basket. Nous nous améliorons de match en match. Nous avons bien réagi face aux différentes situations qu’a pu avoir l’équipe d’Avellino mais malheureusement la chance n’était pas de notre côté. Nous étions très proches de remporter ce match. Nous avons joué l’une des meilleures équipes de la compétition, ce soir, et c’est très difficile de gagner à l’extérieur.[...] Je pense que la différence s’est faite dans l’expérience. Avellino est une équipe qui a plus d’expérience, plus de vécu, nous, nous sommes une équipe jeune et nous avons encore besoin d’acquérir de l’expérience. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Champions League : Monaco s’impose difficilement face à Helios"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mercredi soir, Monaco recevait les Suns d’Helios pour le compte de la deuxième journée de Champions League. Après 40 minutes de jeu, les hommes de Zvezdan Mitrovic se sont imposés 59-55, non sans mal, face au champion de Slovénie en titre.\\n\\nZach Wright termine meilleur joueur du match avec 11 points, 7 rebonds, 6 passes décisives et 4 interceptions pour 17 d’évaluation.\\n\\nLe technicien monégasque s’est exprimé suite à cette victoire en conférence de presse d’après match.\\n\\n« Dans un match comme celui-ci, où l’on shoote à 1/16 à trois points et où l’on rate 6 lancers francs pour finalement s’imposer, on peut surtout parler des efforts fournis et de l’énergie qui a été donnée en défense. [...] Helios est le champion de Slovénie. La Slovénie est un pays qui a une très forte tradition pour le basket et les gars qui jouent dans cette équipe savent jouer au basket. Ce n’est pas une super-team, nous étions clairement favoris dans ce match et nous ne pouvons pas jouer face à ce genre d’équipe comme on l’a fait ce soir. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"FIBA Europe Cup : le cross d’Heiko Schaffartzik"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans la victoire de Nanterre face au FC Porto mercredi soir, 81-73, comptant pour la deuxième journée de la FIBA Europe Cup, l’Allemand de Nanterre, Heiko Schaffartzik a rendu une belle copie avec 15 points et 6 passes décisives (15 d’éval) mais il a également fait plaisir au public en envoyant son adversaire au sol sur un cross.\\n\\n\\nAction Replay FIBA-J2 : le crossover de Heiko... par JSFNanterreOfficiel"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet de retour à Strasbourg ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vincent Collet, 53 ans, aperçu régulièrement au Mans où il possède une maison en périphérie, devrait faire son retour en Pro A... à Strasbourg. C’est du moins ce qu’annoncent Les Dernières Nouvelles d’Alsace dans leur édition matinale.\\n\\nLa victime de ce come back complètement inattendu serait le coach finlandais Henrik Dettmann qui ne parvient pas à faire gagner son équipe (4 défaites en 5 matches en Pro A, une élimination en Coupe de France, et 2 défaites en 2 matches en Basketball Champions League, la dernière hier soir à Avelino en Italie) et qui propose un basket peu convaincant notamment sur le plan défensif. L’échec de dimanche en terre paloise (82-74) où le manque d’autorité de Dettmann fut flagrant aurait conduit le président Martial Bellon à recontacter celui qui a offert à la SIG ses cinq plus belles années avec quatre finales de playoffs et une finale d’Eurocup. D’après les DNA les deux hommes se seraient rencontrés hier et l’accord serait prêt d’aboutir.\\n\\n« Le choix, de prime abord, peut surprendre puisque les deux camps ne s’étaient pas forcément quittés en bons termes en juin dernier. Le Normand, tenté par une aventure à l’étranger – finalement restée lettre morte – avait tardé à répondre à l’offre de prolongation qui lui avait été faite ; le club, lui, avait mal vécu cet attentisme et avait fini par tourner la page. Et la séparation paraissait bel et bien consommée », rappelle le quotidien alsacien.\\n\\nRappelons que Vincent Collet a été prolongé à la tête de l’équipe de France jusqu’en 2019 et même 2020 en cas de qualification pour les JO de Tokyo, mais que la fédération ne s’oppose pas à ce qu’il prenne parallèlement un club en mains.\\n\\nSi son retour à Strasbourg est confirmé, il faudra à Vincent Collet redresser la barre sans son fidèle adjoint Pierre Tavano qui fut à ses côtés de 2000 à 2016 et qui s’est engagé avec Tours en N2, et avec plusieurs joueurs qu’il n’a pas choisi même s’il demeure dans l’équipe une ossature qu’il a mis lui-même en place (Matt Howard, Paul Lacombe, Jérémy Leloup et Frank Ntilikina)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jean-Denys Choulet : «Il faut que les clubs français arrêtent de prendre les compétitions européennes de haut»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mardi soir, à l’occasion de la deuxième journée de la FIBA Europe Cup, l’Elan Chalon accueillait le Benfica Lisbonne et les hommes de Jean-Denys Choulet se sont imposés 90 à 76. John Roberson termine meilleur joueur du match avec 21 points, 2 rebonds, 13 passes décisives et 3 interceptions pour une évaluation de 32.\\n\\nAprès le match, le coach chalonnais s’est exprimé au micro de l’Elan TV et a avoué ne pas être satisfait de la manière avec laquelle ses joueurs l’ont emporté.\\n\\n« Je ne suis pas content de la façon dont ça s’est passé. On n’a pas du tout sous-estimé cette équipe-là mais on n’a pas du tout abordé le match comme on l’a fait à Nanterre et on a été très, très, mou en deuxième mi-temps. [...] On n’a pas de danger à tous les postes, on n’est pas dangereux dans certains secteurs et c’est quelque chose qui ne me plaît pas. »\\n\\nIl a également profité de cet après-match pour glisser un mot sur la façon dont les clubs français abordent les différentes compétitions européennes.\\n\\n« On gagne chez nous contre Benfica, qui est loin d’être une mauvaise équipe. Je pense que c’est largement du niveau des équipes qu’on a jouées chez nous que ce soit Orléans ou Antibes. Il faut arrêter de prendre les compétitions que l’on joue, nous clubs français, de haut parce que l’Euroleague, déjà, on n’y est pas et les compétitions qu’on joue actuellement on ne les gagne pas. Quand on les aura toutes gagnées, on pourra dire que c’est des compétitions de merde comme la presse spécialisée le dit. Pour l’instant on les joue et quand on les gagnera on pourra dire qu’on veut quelque chose de mieux. »\\n\\n\\nELAN TV – 2e journée phases de poule de FIBA... par elanchalon"
}, 
{"role": "user",     "content":"Championnats nationaux : le Top 10 de la semaine (22 octobre)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque saison depuis maintenant cinq ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nEt c’était le week-end du poster dunk en NM1, à l’image d’Eric Bosc (UTLPB Tarbes, NM1), de Will Felder (RAC Rueil, NM1) et de Kyle Tresnak (GET Vosges, NM1) qui n’ont fait aucun cadeau à leurs adversaires.\\n\\n\\nTop 10 CourtCuts FFBB du 22 Octobre 2016 par FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : le contre de la soirée pour Nando De Colo"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mardi soir, dans la victoire du CSKA Moscou face à l’Anadolu Efes (93-87), à l’occasion de la troisième journée de C1, Nando De Colo a encore une fois brillé pour mener ses coéquipiers vers la victoire en compilant 26 points, 4 rebonds et 6 passes décisives pour une évaluation de 32 en autant de minutes de jeu.\\n\\nMais notre Français ne s’est pas arrêté là puisqu’il s’est également offert le contre de la soirée en Euroleague."
}, 
{"role": "user",     "content":"Champions League : Le Mans sans difficulté face au Khimik Youjne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mardi soir, dans le cadre de la deuxième journée de Champions League, Le Mans recevait les Ukrainiens de Youjne. Dans ce match, les hommes d’Erman Kunter l’ont emporté de 19 points (68-49), notamment grâce aux 20 unités (7/13 aux tirs) de Ryan Pearson qui termine avec la meilleure évaluation mancelle (17).\\n\\nAprès la rencontre, l’entraîneur manceau s’est exprimé sur cette deuxième victoire en Champions League.\\n\\n« C’est un match important parce que c’est une compétition européenne. C’est une victoire mais, pour moi, pas très difficile. Le seul petit problème que j’ai pu relever c’est le manque de concentration dont nous pouvons faire preuve par moments et qui leur a permis d’avoir la chance de revenir à 5 points en première mi-temps. En deuxième mi-temps, nous avons très bien commencé et nous sommes retombés dans nos travers dans le dernier quart temps. Après, c’est quelque chose de compréhensif. Quand vous voyez que vous adversaire n’est pas forcément à votre niveau vous pouvez, par moments, avoir des petits manques de concentration. »\\n\\nDeuxième match et deuxième victoire de 19 points pour le MSB dans cette compétition, rendez-vous mercredi 2 novembre à Joensuu, en Finlande, pour voir si Le Mans est capable de continuer sa série d’invincibilité.\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Monaco – Helios Domzale en direct sur Dailymotion"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Encore une bonne nouvelle pour les amateurs de basket qui ne sont pas abonnés à Canal+ puisque la chaîne diffuse en direct la rencontre Monaco – Helios Domzale sur Dailymotion.\\n\\nRendez-vous à 20h30 via ce lien, ou sur Basket Europe.\\n\\n\\nLigue de Champions de Basket : Monaco/Helios... par CanalPlusSport"
}, 
{"role": "user",     "content":"Champions League : Dragovic sauve l’ASVEL à la dernière seconde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mardi soir, dans le cadre de la deuxième journée de Champions League, l’ASVEL se déplaçait chez les Allemands d’Oldenbourg et les hommes de J.D. Jackson se sont imposés dans les derniers instants (81-79) grâce à une claquette du Serbe, Nikola Dragovic.\\n\\nAprès le match, le technicien franco-canadien de Lyon-Villeurbanne s’est exprimé sur ce bon résultat qui ramène le club présidé par Tony Parker à un bilan équilibré dans la compétition (1v-1d).\\n\\n« Nous sommes très contents d’avoir gagné, nous savions que ça allait être un match compliqué. Oldenbourg est une équipe très agressive. Nous avons fait un bon travail offensivement, surtout en première mi-temps, nous avons trouvé beaucoup de tirs ouverts. C’était une vraie bataille du début à la fin. La semaine dernière nous avons perdu exactement de la même façon en Italie et Oldenbourg avait gagné son match de la même façon aussi. Cette fois c’était notre tour, avoue-t-il en conférence de presse d’après match. Dans l’ensemble je pense que c’était un très bon match pour les deux équipes. Nous avons encore une grande marge de progression à accomplir, il nous manque un de nos joueurs clés (ndlr: Charles Kahudi, blessé à la cheville), c’est un peu tôt, mais je suis très content après cette victoire. »\\n\\nLe héros de la soirée pour l’ASVEL, Nikola Dragovic, a également donné ses impressions sur le match.\\n\\n« C’était un match difficile. Oldenbourg est une belle équipe, encore plus à domicile. Nous leur avons laissé prendre seulement 7 rebonds offensifs donc je pense que nous avons fait un bon travail de ce côté-là. Contrairement à la semaine dernière contre Varèse, je pense que ce soir nous étions concentrés sur le match jusqu’à la dernière seconde et cette fois nous avons eu un peu plus de chance. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Will Solomon (Antibes): «La NBA ne me satisfaisait pas»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cent quinze apparitions en NBA, 82 en Euroleague dont une finale terminée avec 20 points au compteur, deux titres continentaux, un surnom « King Solomon » sans équivoque, d’innombrables orgies offensives entre 2002 et 2008, des dizaines de finale à travers l’Europe... et une Leaders Cup de Pro B.\\n\\nDepuis le temps qu’il est arrivé à Antibes, voir Will Solomon dans le paysage de la Ligue Nationale de Basket est devenu une habitude. Mais que l’on ne s’y trompe pas, celui qui a démarré sa carrière NBA à Memphis en même temps que Pau Gasol est bien une incongruité en France. Rencontre avec un homme tombé amoureux de la Côte d’Azur, meneur titulaire de la sélection étrangère du dernier All-Star Game, preuve qu’il en a encore sous la semelle d’un point de vue sportif...\\n\\nWill, à 38 ans, tu entames ta seizième saison professionnelle. Est-ce que tu arrives à conserver le même enthousiasme que lors de tes débuts ?\\n\\nOui, bien sûr ! Je suis toujours excité quand une saison commence. Je suis toujours aussi heureux de jouer au basket, c’est quelque chose que j’adore. Je vais continuer à le faire jusqu’à ce que je ne sois plus en mesure de jouer. Mais c’est sûr que je me sens différent par rapport à mes débuts. J’ai beaucoup plus d’intelligence de jeu, je comprends beaucoup plus de choses maintenant, que ce soit purement basket ou simplement comment gérer mon énergie et mon corps.\\n\\nQu’est-ce qui t’a motivé à rester une quatrième saison d’affilée à Antibes ?\\n\\nC’est un super club qui met tout en œuvre pour que l’on se sente bien, comme en aidant ma famille. C’est un tout : l’ambiance, le climat, tous les avantages du sud de la France. Tout ne tourne plus autour de moi maintenant, l’important est que ma famille soit à l’aise.\\n\\nQue penses-tu de l’équipe antiboise de cette saison ?\\n\\nOn a un groupe de jeunes et un groupe de vétérans. Je pense que la saison va bien se passer. Les jeunes sont motivés, enthousiastes, ils ont des tas de choses à prouver à l’Europe du basket. Ils ont des rêves de NBA et ils donnent tout pour y arriver. Ça me rappelle ma première saison en Europe, lorsque je donnais tout pour pouvoir retourner en NBA. Nous avons des gars qui sont prêts à travailler, mais aussi à se sacrifier pour l’équipe. Pour eux, sky is the limit !\\n\\n« On va tenter de viser les playoffs et qui sait ce qui peut se passer après ? »\\n\\nQu’est ce que tu penses d’Isaia Cordinier ?\\n\\nC’est un jeune athlétique qui peut faire beaucoup de choses sur un terrain de basket. Et surtout, il travaille ! Sa draft l’a motivé, son objectif est d’aller en NBA. Je m’attends à ce qu’il fasse de grandes choses cette saison.\\n\\nTon entraîneur, Julien Espinosa, a six ans de moins que toi. Ce n’est pas une situation un peu bizarre ?\\n\\nIl est jeune, oui, mais il connait le basket et je respecte les choses qu’il met en place. Ce n’est pas difficile de travailler avec quelqu’un qui s’y connait et qui est prêt à s’investir énormément. Lui aussi est enthousiaste. Quand tu baignes dans une atmosphère où tout le monde est motivé, cela facilite les choses.\\n\\nQuel est votre objectif cette saison ? Un maintien tranquille, les playoffs ?\\n\\nOn ne peut pas simplement se contenter du maintien. On l’a fait l’année dernière sans difficulté, malgré une équipe avec des gars qui ne jouaient pas ou qui n’étaient pas vraiment au niveau. On va tenter de viser les playoffs et qui sait ce qui peut se passer après ? Vous le savez, on ne peut jamais prédire qui remportera le championnat de France...\\n\\nA ton âge, est-ce difficile de continuer à rester performant dans un championnat aussi physique que la Pro A ?\\n\\nJe comprends le basket et ça facilite les choses. Aussi, cela fait trois ans que je suis à Antibes, cette stabilité compte. Je me sens bien, aussi incroyable que cela puisse paraître. Physiquement, je n’ai pas de problèmes, je n’ai jamais eu de blessures extrêmement graves, Dieu merci, donc j’espère que ça va continuer.\\n\\n« L’impression que personne ne pouvait me stopper »\\n\\nRevenons un peu sur ta longue carrière. Il y a quinze ans, tu as été drafté en 33e position par les Vancouver Grizzlies. C’était un rêve qui se réalisait ?\\n\\nBien évidemment, mais tout est arrivé si vite. Dès ma deuxième saison en NCAA à Clemson, je me suis retrouvé meilleur marqueur de la conférence ACC et avec une place dans le cinq idéal. En fait, je n’étais pas du tout préparé à jouer en NBA. J’avais les atouts physiques pour exister en NBA mais pas le bon état d’esprit. Cela m’a amené en Europe. Une fois arrivé ici, je suis tombé amoureux de l’Europe simplement parce que j’avais le temps de jeu que je voulais. Je jouais à nouveau 35 minutes par match comme à l’université, pas 15 comme en NBA. J’aime tellement jouer que je suis resté.\\n\\nDe 2002 à 2008, cela ont été les années les plus fastes de ta carrière ?\\n\\nOui, j’ai commencé par remporter deux coupes européennes : la coupe FIBA (C3) en 2003 avec l’Aris Salonique puis la Coupe ULEB (C2) en 2004 avec l’Hapoel Jérusalem. Cela m’a permis après de découvrir l’Euroleague avec l’Efes Pilsen, on a perdu en playoffs contre le Panathinaikos mais c’était une bonne saison. J’avais tellement envie de remporter l’Euroleague que je suis ensuite parti pour le Maccabi Tel-Aviv. J’étais prêt à sacrifier beaucoup de choses pour gagner l’Euroleague, le seul titre européen des trois qui me manquait. Mais on a perdu en finale contre le CSKA Moscou (69-73 à Prague, 20 points à 8/14 pour Solomon). Si l’on parle d’années fastes, mes deux saisons au Fenerbahçe ont vraiment été les plus belles de ma carrière avec beaucoup de trophées en Turquie. Les supporters m’ont surnommé « King Solomon » et c’était juste incroyable.\\n\\nEst-ce que tu as réalisé que c’était incroyable d’empiler les titres de cette manière-là ou est-ce que cela te paraissait banal ?\\n\\nJ’étais impressionné après le premier titre. Mais en fait, j’ai appris le jeu européen si vite que ma confiance était infinie par la suite, notamment lors de ma deuxième saison. J’avais l’impression que personne ne pouvait me stopper (Ndlr : pour la demi-finale retour de la Coupe ULEB, Solomon est monté jusqu’à 45 d’évaluation). En finale, j’avais tellement de détermination que l’on a pu terrasser le puissant Real Madrid (83-72). Ensuite, pour le reste de mes titres, l’expérience est la clé, elle facilite grandement les choses.\\n\\n« Je ne tenais pas spécialement à retourner en NBA »\\n\\nTu as joué dans certaines des salles les plus chaudes d’Europe que ce soit à Salonique, à Tel-Aviv ou à Istanbul. C’était quelque chose que tu recherchais ?\\n\\nExactement, en plus d’évoluer dans de belles villes, j’ai joué devant les publics les plus impressionnants d’Europe. J’ai appris lors de ma première saison à Salonique à quel point les supporters sont importants ici. Alors ensuite oui, je ne voulais aller que dans des équipes qui avaient de vrais fans. La seule exception à la règle, c’était Efes Pilsen. Il y avait du monde dans la salle mais ce n’était pas des supporters comme à Salonique, Jérusalem ou au Fenerbahçe.\\n\\nEn 2008, tu es retourné en NBA à l’âge de 30 ans. C’est rare de pouvoir décrocher un contrat à cet âge-là. Comment est-ce que tu as su convaincre les Raptors ?\\n\\nHonnêtement, après les deux saisons que je venais de réaliser avec le Fenerbahçe, je n’avais pas à convaincre la NBA de me reprendre. Je ne tenais pas spécialement à y retourner : je me sentais bien en Europe, j’y étais à l’aise aussi bien sur le parquet qu’en dehors. J’ai pris cette décision pour ma famille restée aux Etats-Unis. Ils voulaient vraiment que je signe pour qu’ils puissent me voir jouer, ce qu’ils n’avaient pas pu faire pendant très longtemps. Ils ont insisté donc je suis revenu en NBA mais au fond de moi, j’aurais préféré rester en Europe.\\n\\nTu n’as donc pas tellement apprécié tes deux saisons en NBA ?\\n\\nSi, si ! J’ai vraiment profité de ma première année à Memphis, tout était nouveau pour moi. Mais j’aime tellement la balle orange que ce n’était plus possible d’être dans l’Association pour s’asseoir sur le banc et jouer 14/15 minutes par match. La NBA ne me satisfaisait pas. Ma carrière était en Europe. A la fin de ma deuxième saison à Sacramento, le Fenerbahçe n’arrêtait pas de m’appeler en me disant que les Kings ne savaient pas m’utiliser et qu’il fallait que je revienne. J’ai réussi à convaincre Sacramento de me libérer et je suis revenu au Fener.\\n\\n« Une maison à Antibes, c’est un must ! »\\n\\nAvant de venir à Antibes, tu as eu des moments difficiles en Ukraine et en Turquie non ?\\n\\nJe me suis blessé en Ukraine, j’avais un problème à la jambe et je n’ai pas pu jouer pendant huit mois. Et avant cela, je n’avais pas joué depuis mon départ du Fenerbahçe, soit un an. Cela fait pratiquement deux années sans jouer. Quand je suis arrivé à Mersin, j’étais encore blessé alors mon passage là-bas s’est, en gros, résumé à de la rééducation.\\n\\nJ’imagine que tu es fier de ce que tu as accompli au cours de ta carrière ?\\n\\nJe dirais que je suis content. J’ai réussi à évoluer dans les deux meilleurs championnats du monde, l’Euroleague et la NBA. J’aime vraiment jouer et j’espère que je pourrais continuer. Je veux essayer d’atteindre les 20 saisons professionnelles, comme Kobe (il rit).\\n\\nCela t’emmènerait jusqu’en 2020/21...\\n\\nEh oui mais je ne sais pas. Je prends saison après saison. Tant que je me sens bien, je continuerai. Mais évidemment, il faut avoir une équipe qui t’aime bien et veut te compter dans ses rangs. J’arrêterai quand on ne voudra plus de moi.\\n\\nTu as déjà des idées pour ta reconversion ?\\n\\nJ’en ai plusieurs, pourquoi pas devenir coach ou agent.\\n\\nEn gardant une maison à Antibes ?\\n\\nOui, bien sûr. C’est un must ! C’est ma quatrième saison ici alors Antibes est vraiment ancré dans l’identité de notre famille maintenant. Mais plus que ça, j’aime tout le sud de la France, pas seulement Antibes. Tu peux aller à la mer, tu peux bien manger, tu peux vraiment sortir et profiter de la vie.\\n\\n\\nSa fiche d’identité\\n\\nAméricain – Poste 1 – 1,87 m – Né le 20 juillet 1978 à Hartford (Connecticut).\\n\\nSon parcours : Clemson University (NCAA, 1998/01), Memphis Grizzlies (NBA, 2001/02), Aris Salonique (Grèce, 2002/03), Hapoel Jerusalem (Israël, 2003/04), Efes Pilsen Istanbul (Turquie, 2004/05), Maccabi Tel-Aviv (Israël, 2005/06), Fenerbahçe Istanbul (Turquie, 2006/08), Toronto Raptors (NBA, 2008/09), Sacramento Kings (NBA, 2009), Fenerbahçe Istanbul (Turquie, 2009), Hapoel Jerusalem (Israël, 2010/11), Cherkasky Mavpy (Ukraine, 2011/12), Mersin (Turquie, 2012/13), Antibes (Pro A et Pro B, 2013/16)\\n\\nSon palmarès : Vainqueur de la FIBA Eurocup en 2003, vainqueur de la Coupe ULEB en 2004, triple champion de Turquie (2005, 2007 et 2008), vainqueur de la Coupe d’Israël en 2006, champion d’Israël en 2006, All-Star du championnat turc en 2007, vainqueur de la Coupe du Président en Turquie en 2008, vainqueur de la Leaders Cup Pro B en 2015, All-Star de Pro A en 2015.\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Nobel Boungou-Colo se lance face au Lokomotiv"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Seize joueurs pour neuf pays, le contingent tricolore a bien regonflé ses troupes pendant l’intersaison. De la Lituanie à l’Espagne, de l’Allemagne à la Grèce en passant par la Russie et la Chine (!), Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n\\nThomas Heurtel à nouveau en double double\\n\\nAvec un seul match depuis la rentrée, Nobel Boungou-Colo commençait à s’impatienter du côté de Moscou. Ce weekend, en VTB League, l’ancien de Limoges a donc été aux taquets pour réussir un gros match à 21 points en 24 minutes. Pas beaucoup de déchet pour NBC qui finit meilleur marqueur de son équipe, à égalité avec le revenant Alexei Shved.\\n\\nEn Turquie, ça marche toujours aussi fort pour Thomas Heurtel et Adrien Moerman. Les deux français ont remporté leur match de championnat et Heurtel a encore brillé en finissant à nouveau en double double : un superbe 18 points, 12 passes. Alors que Moerman a été plus discret dans un succès facile : 9 points, 8 rebonds.\\n\\nEn Italie, Amath M’Baye a encore une fois été l’option offensive n°1 pour son équipe de Brindisi. Le bordelais finit à 17 points et 5 rebonds et confirme que son arrivée en Italie pourrait bien lancer une belle carrière européenne. A défaut d’avoir ses highlights du weekend, on se console avec sa grosse perf’ de la semaine passée (22 points à 10/14 aux tirs, 5 rebonds, 2 passes, 3 contres)...\\n\\n\\nJackson et Traoré font trembler le grand Real\\n\\nEn Espagne, Edwin Jackson (21 points, 4 rebonds, 4 passes) et Ali Traoré (14 points, 6 rebonds) ont été tout proche de faire vaciller l’ogre madrilène du Real dans le derby de la capitale espagnole. Longtemps au contact, l’Estudiantes a craqué dans la dernière ligne droite, sous les tirs d’artillerie de Jaycee Carroll notamment.\\n\\nPar ailleurs, Antoine Diot a été sensationnel pour Valence. Le meneur tricolore signe un très solide 15 points et 6 passes, mais il a surtout été le grand artisan de la victoire en enchaînant tout simplement un 11-0 personnel (trois tirs à trois points plus un layup tout en hangtime) dans le dernier quart. A noter également que Tillie et Albicy font partie du Top 7 hebdomadaire de la Liga, le premier au dunk et le second à la passe de alley oop.\\n\\nAprès son gros match en Euroleague dans la semaine, Léo Westermann a été préservé par coach Jasikevicius ce weekend avec 19 minutes de jeu pour 5 points et 5 passes. Fabien Causeur a également pu jouer 20 minutes pour un nouveau succès de Bamberg, encore invaincu en Allemagne...\\n\\n\\nAllemagne\\n\\nFabien Causeur (Bamberg) : 9 points (3/5 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds en 20 minutes (victoire 83-77 face à Oldenburg)\\n\\n\\nChine\\n\\nGuerschon Yabusele (Shanghaï) : pas de match\\n\\n\\nEspagne\\n\\nEdwin Jackson (Estudiantes) : 21 points (6/13 aux tirs), 4 rebonds, 4 passes, 2 interceptions en 27 minutes (défaite 88-96 face au Real)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : 15 points (5/9 aux tirs), 6 passes, 1 rebond en 25 minutes (victoire 92-75 face à Obradoiro)\\n\\nAli Traore (Estudiantes) : 14 points (5/9 aux tirs), 6 rebonds en 17 minutes (défaite 88-96 face au Real)\\n\\nKim Tillie (Vitoria) : 6 points (3/4 aux tirs), 1 interception en 13 minutes (victoire 90-83 face à Badalone)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 3 points (1/7 aux tirs), 6 passes, 2 interceptions en 25 minutes (victoire 85-81 face à Bilbao)\\n\\nRodrigue Beaubois (Vitoria) : n’a pas joué – blessé (victoire 90-83 face à Badalone)\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAngelo Tsagarakis (Trikala) : n’a pas joué (défaite 56-86 face à Lavrio)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Brindisi) : 17 points (8/12 aux tirs), 5 rebonds, 3 contres, 2 passes en 30 minutes (défaite 81-91 face à Varese)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLeo Westermann (Kaunas) : 5 points (2/5 aux tirs), 5 passes, 1 rebond en 19 minutes (victoire 77-67 face à Klaipeda)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNobel Boungou-Colo (Khimki) : 21 points (7/10 aux tirs), 1 rebond, 3 interceptions en 24 minutes (victoire 73-65 face à Krasnodar)\\n\\nNando De Colo (CSKA) : prochain match le 30 octobre (face à Avtodor)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAlpha Kaba (Mega Leks) : 7 points (2/4 aux tirs), 4 rebonds, 3 interceptions en 18 minutes (défaite 86-90 face à Zadar)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nThomas Heurtel (Efes Istanbul) : 18 points (7/10 aux tirs), 12 passes, 1 interception en 26 minutes (victoire 94-77 face à Balikesir)\\n\\nAdrien Moerman (Darussafaka Istanbul) : 9 points (3/5 aux tirs), 8 rebonds, 1 interception en 21 minutes (victoire 81-56 face à Gaziantep)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Thomas Heurtel en double double"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 26 octobre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nSLUC Nancy : Le lundi à Dijon...\\n\\n– Nancy. Alain Weisz a une longue semaine pour préparer le déplacement à Dijon. Le club nancéien a décidé de partir le jour même compte tenu du court... Lire la suite.\\n\\n\\nOn a coutume de dire\\n\\n– On a coutume de dire que les bonnes équipes ont de la chance et que les mauvaises n’en ont pas... Pour le moment, on n’arrive pas à transformer les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’adversaire\\n\\n– En dépit d’un palmarès quasi-vierge, si l’on excepte une Coupe d’Italie en 2008, le Sidigas Avellino (ou SS Felice Scandone) s’est installé parmi les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Tout le monde se pose des questions »\\n\\n– Il s’est « disloqué » l’index gauche, dimanche à Pau, mais tiendra bien sa place ce soir à Avellino. Jérémy Leloup (29 ans, 2,02 m) serre les dents... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa méthode Coué\\n\\n– Imperméable aux critiques, Henrik Dettmann, l’entraîneur de la SIG, justifie les soucis de son équipe par l’absence de Matt Howard et, plus... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPas une partie de plaisir\\n\\n– En plein doute, la SIG se déplace ce soir (20 h 30) pour la deuxième fois de suite en Champions League. Battus il y a une semaine à Utena, les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nGeorges Amarh, la grande trouvaille\\n\\n– Arrivé début septembre au FC Mulhouse, le jeune pivot de 19 ans Georges Amarh (2,15 m), censé évoluer en Régionale 2, pourrait bien rejoindre la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe BCM se met à l’abri en prenant la tête de sa poule\\n\\n– Avec Pietrus, précieux sous le cercle, Cobbs à la baguette et au scoring, le BCM a bien mené sa barque et s’est rapidement mis à l’abri, laissant les Hongroi... Lire la suite.\\n\\n\\nJohn Roberson “and co” assomment Benfica Lisbonne\\n\\n– Alors que le suspense restait entier (69-64, 34e), Roberson a été bien épaulé par Clark et Harris pour venir à bout du Benfica Lisbonne. Plus... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne addition salée pour Le Puy\\n\\n– Comme sur les deux premières journées, le Puy n’aura réussi à rester en vie qu’une mi-temps sur deux, en déplacement dans le Sud, avant de craquer par... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCinq équipes de l’Ain pointent en tête\\n\\n– A la mi-temps de la 1e phase, les résultats des équipes de l’Ain en championnat de ligue sont excellents. Tour d’horizon... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Asvel sur la bonne voie\\n\\n– Après s’être imposés à Antibes, les Villeurbannais ont arraché une précieuse victoire en Allemagne... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nÇa roule pour le Bouchoux\\n\\n– Après 4 journées de championnat de ligue, le baromètre des équipes de l’Ain est plutôt positif... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Révélateur de ce que sera l’équipe »\\n\\n– « Comme à Évreux, cela permet à certains qui pensaient ou qui doutaient du contraire de constater que l’on a rien sans rien. Cela permet aussi à ceux... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBasket > LF2\\n\\n– Toutes les équipes de l’élite se sont qualifiées ce dernier week-end pour les huitièmes de finale de la Coupe de France... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDestins contraires pour deux quatuors\\n\\n– Deux journées se sont égrenées, quatre équipes ont pris les commandes avec deux victoires. En fin de classement quatre clubs sont toujours en quête... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn nouveau départ\\n\\n– Après avoir donné l’image d’une équipe de mercenaires, le FJ Belley a mis à profit sa descente de Nationale 3 en mai dernier pour changer de cap, et... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSatisfaction pour tout le monde\\n\\n– Le vainqueur bressan comme sa victime Évreux étaient pareillement satisfaits du déroulement du match d’hier soir... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa Chorale toujours instable\\n\\n– Tout se jouera à Vacheresse le 1er novembre avec cinq points à remonter pour la Chorale. Hier, il y avait la place mais la Chorale a joué les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Euro basket U16 féminin peut-être à Bourges mais pas à Blois\\n\\n– La ligue du Centre-Val de Loire de basket est candidate pour l’organisation du prochain championnat d’Europe féminin de la catégorie U16, en août 2017. Lors de sa visite à Blois, fin mars 2016, Jean-Pierre Siutat, le président de la fédération française, avait déclaré que Blois, et sa future salle du Jeu de Paume, pourraient parfaiteme... Lire la suite.\\n\\n\\nA chaud\\n\\n– Ruddy Nelhomme (entraîneur de Poitiers)\u2009: « Je suis bien sûr déçu d’avoir perdu ce soir. Mais avec seulement 6 points de retard, tout est possible au match retour. On a fait une première mi-temps cohérente. Ça a été un peu moins le cas en deuxième, où on n’a pas su canaliser Gipson. » Interrogé sur la possibilité d’un plan « \u2009a... Lire la suite.\\n\\n\\nLe PB préserve ses chances\\n\\n– Boulogne – Poitiers\u2009: 73-67 Battus de six points dans le Pas-de-Calais, les Poitevins devront s’imposer de plus au retour pour se qualifier en demi-finale... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : les meilleurs joueurs de la cinquième journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la cinquième journée de Pro A, l’équipe de SFR Sport a dressé le bilan des cinq meilleurs joueurs français et et des cinq meilleurs joueurs étrangers de la semaine.\\n\\nDu côté Français, on retrouve l’Orléanais Antoine Eito à la mène qui, avec 10 points, 2 rebonds et 6 passes décisives pour une éval de 16, a pu aider l’OLB à s’imposer face au CSP Limoges (80-74). Côté étranger, c’est John Roberson qui a été choisi grâce à ses 22 points, 3 rebonds et 8 passes décisives (25 d’évaluation) qui ont permis à l’Elan Chalon de s’imposer au Palais des Sports Maurice Thorez contre Nanterre sur le score de 92 à 77 et ainsi d’infliger sa première défaite de la saison au club francilien.\\n\\nAu poste de deuxième arrière, c’est Nicolas Lang qui figure dans le cinq majeur français de la semaine après avoir inscrit 15 points, pris 1 rebond et délivré 2 passes décisives (12 d’éval) dans la victoire de l’ASVEL face aux Sharks d’Antibes 74-70. Pour les étrangers, c’est Kyle Gibson du BCM qui a été sélectionné. Dans la victoire de son équipe face au SLUC (70-65), l’Américain a compilé 16 points, 4 rebonds et 2 passes décisives pour une évaluation de 19.\\n\\nPour son retour à Nanterre, Jeremy Nzeulie n’a pas fait de cadeau à son ancienne équipe et a enregistré 10 points, 3 rebonds et 6 passes décisives pour une évaluation de 14. Ce qui lui vaut donc d’être élu meilleur ailier français de la semaine. Du côté des JNFL, c’est le Suisse de l’OLB Jonathan Kazadi qui a été choisi grâce à ses 20 points, 4 rebonds et 2 passes décisives pour une éval de 24.\\n\\nAu poste 4, on retrouve côté Français Alain Koffi qui renaît à l’Elan Béarnais et qui a sorti un gros double-double (14 points et 14 rebonds plus 3 passes décisives pour une éval de 25) dans la victoire de l’EBPLO face à la SIG 82 à 74. Pour les étrangers, c’est Steven Smith qui est choisi après le large succès du CCRB face à Dijon (87-69) dans lequel il a inscrit 18 points, pris 6 rebonds et délivré 2 passes décisives pour une évaluation de 17.\\n\\nEnfin, Jerry Boutsiele est élu meilleur poste 5 français de la semaine grâce à la belle victoire de Cholet face au Paris-Levallois (95-87) dans laquelle il a compilé 12 points, 8 rebonds et 4 passes décisives (18 d’éval). Côté étranger, c’est l’intérieur de Monaco, Brandon Davies qui termine meilleur poste 5 de la semaine en compilant 22 points (7/12 aux tirs), 7 rebonds et 1 passe décisive pour une évaluation de 20 dans la victoire de l’ASM face au Mans 83 à 81.\\n\\n\\nCinq majeur français\\n\\n * Antoine Eito (Orléans) : 10 points, 2 rebonds, 6 passes décisives, 16 d’évaluation.\\n * Nicolas Lang (Lyon-Villeurbanne) : 15 points, 1 rebond, 2 passes décisives, 12 d’évaluation.\\n * Jeremy Nzeulie (Chalon-sur-Saône) : 10 points, 3 rebonds, 6 passes décisives, 14 d’évaluation.\\n * Alain Koffi (Pau-Lacq-Orthez) : 14 points, 14 rebonds, 3 passes décisives, 25 d’évaluation.\\n * Jerry Boutsiele (Cholet) : 12 points, 8 rebonds, 4 passes décisives, 18 d’évaluation.\\n\\n\\nCinq majeur étranger\\n\\n * John Roberson (Chalon-sur-Saône) : 22 points, 3 rebonds, 8 passes décisives, 25 d’évaluation.\\n * Kyle Gibson (Gravelines-Dunkerque) : 16 points, 4 rebonds, 2 passes décisives, 19 d’évaluation.\\n * Jonathan Kazadi (Orléans) 20 points, 4 rebonds, 2 passes décisives, 24 d’évaluation.\\n * Steven Smith (Chalons-Reims) : 18 points, 6 rebonds, 2 passes décisives, 17 d’évaluation.\\n * Brandon Davies (Monaco) : 22 points, 7 rebonds, 1 passe décisive, 20 d’évaluation."
}, 
{"role": "user",     "content":"Villeneuve d’Ascq – Bourges : 19 internationales sur le parquet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est tout de même magnifique l’EuroLeague féminine puisque est programmée ce soir, lors de la journée d’ouverture, une rencontre fratricide Villeneuve d’Ascq vs Bourges. Sachant qu’une troisième équipe française, Lattes-Montpellier, participe aussi à l’épreuve reine et entame son parcours à Mersin, en Turquie.\\n\\nCe n’est pas la première fois que pareil affrontement a lieu. Faut-il rappeler que les deux équipes se sont rencontrées il y a quelques mois en finale de l’EuroCup et que les Tangos s’étaient imposées deux manches à zéro.\\n\\nLe plus impressionnant, c’est le nombre d’internationales qui seront présentes sur le parquet du Palacium. Pour aller plus vite, il vaut mieux compter les joueuses qui ne le sont pas. En résumé : ce sont la Villeneuvoise Virginie Brémont, qui a fait des stages de sélection mais qui n’a jamais été retenue et la Berruyère Alexia Chartereau qui n’a que 18 ans et qui ne devrait pas traîner en route.\\n\\n\\n10 à Bourges, 9 à Villeneuve\\n\\nDonc, du côté des internationales nordistes nous avons : les Françaises Marielle Amant (77 sélections), Valériane Ayayi (51), Olivia Epoupa (40), Johanne Gomis (16) et Aby Gaye (6) plus les Ukrainiennes Alina Iagupova et Liudmyla Naumenko, la Tchèque Kamila Stepanova et la Sénégalaise Mame-Marie Sy Diop, qui possède aussi la nationalité française. Cela fait donc 9.\\n\\nBourges fait mieux encore avec 10 unités : Diandra Tchatchouang (51), Paoline Salagnac (42), Ana Maria Filip (37), Marine Johannes (25), Ingrid Tanqueray (20) et Sara Cheveaugeon (1), plus la Britannique Jo Leedham présente aux JO de Londres, la Brésilienne Clarissa Dos Santos, intérieure du Brésil à Rio, la Canadienne Kayla Alexander, qui était dans les 14 pré-sélectionnées pour le Mondial de 2014 mais coupée au dernier moment, et la Serbe Miljana Bojovic, multi couronnée en jeune. Sans oublier la coach des Bleues, Valérie Garnier.\\n\\nMême si nos deux représentants auront du mal à atteindre le Final Four faute d’une ou deux Américaines de haut standing, c’est quand même la preuve ultime de leur vitalité.\\n\\nLe match sera à regarder ici:\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=p70h9wrfJdA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le CSKA Moscou s’impose aux forceps face à l’Efes Istanbul"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Confortablement en contrôle à la pause (49-37), avec notamment 13 points de Nando De Colo, le CSKA Moscou pensait avoir fait le plus dur face à l’Efes Istanbul. Mais les coéquipiers de Thomas Heurtel (7 points, 7 passes) ont donné du fil à retordre aux champions jusqu’en toute fin de dernier quart.\\n\\nAu final, avec De Colo à 26 points, plus 6 passes et 4 rebonds, Moscou a fini par s’imposer (93-87) en résistant parfaitement au retour turc. Le CSKA reste ainsi invaincu.\\n\\n\\nLe CSKA a les nerfs, et les reins, solides !\\n\\nParfois friable dans le crunch, le CSKA Moscou a semble-t-il englouti ses vieux démons pour de bon depuis son sacre de l’an passé. Revenu de -12 à -6 en troisième quart, Istanbul a même remis les compteurs à zéro en revenant à égalité parfaite à trois minutes de la fin du match. Bien inspiré, Heurtel a encore distillé de superbes passes pour ses intérieurs, DeShaun Thomas (16 points) et Derrick Brown (14 points). Malheureusement, le meneur a raté plusieurs tirs qui aurait pu faire trembler encore plus le CSKA.\\n\\nAvec son MVP en titre toujours aussi présent, plus Milos Teodosic (15 points, 8 passes), la troupe de coach Itoudis a montré qu’elle avait les reins, et les nerfs, solides ! A l’image de l’ancien des Spurs, Jeff Ayres, très efficace avec 10 points, 4 rebonds en 15 minutes d’action, le CSKA a fait le métier dans le dernier quart, en encaissant d’abord les coups stambouliotes avant de répliquer sereinement sur la ligne de réparation (pour Nando) ou à trois points (pour Milos).\\n\\n[Highlights à venir]\\n\\n\\n\\n\\n.@MT28APRIL to Dunston.. And one!#7DAYSMagicMoment #EFSCSK pic.twitter.com/mHB4UkOmWV\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) October 25, 2016\\n\\n\\n\\n\\nNANDO. DE COLO. 🚫 [@NandoDeColo]#7DAYSMagicMoment #EFSCSK pic.twitter.com/rV9b89u8gy\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) October 25, 2016\\n\\n\\n\\n\\nThe 2015-16 MVP is still in shape. 😉 [@NandoDeColo] #EFSCSK #GameON pic.twitter.com/GiHwdiqcwe\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) October 25, 2016\\n\\nCrédits photo : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Henrik Dettmann, le coach de Strasbourg, dans l’œil du cyclone"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Dernières Nouvelles d’Alsace suivent de près l’équipe de Strasbourg et délivrent des analyses pertinentes. Celle d’aujourd’hui pose clairement la survie du coach finlandais Henrik Dettmann à la SIG.\\n\\nLes DNA mettent notamment en exergue une séquence qui a pu choquer les téléspectateurs de SFR Sport 2 –et pas seulement Alsaciens- lorsque Henrik Dettmann a laissé à Pau son adjoint et compatriote Lassi Tuovi s’adresser aux joueurs dans le money time alors que lui restait debout, en retrait. Surtout qu’au final la SIG a été défaite 74-82.\\n\\n« Henrik Dettmann, certes, n’est pas réputé pour être très interventionniste. À la manière d’un Claude Onesta, le manager de l’équipe de France de handball, il délègue énormément. Ses prises de parole sont donc souvent très brèves, voire laconiques, et c’est à son adjoint Lassi Tuovi qu’incombe la responsabilité de délivrer les consignes. À tel point que certains ont déjà pu se demander lequel des deux Finlandais tient les rênes. »\\n\\nL’article est à lire ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL : Le Mans sur Canal+ Sport et Dailymotion ; l’Asvel sur Multisport 1"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Que ceux qui sont abonnés à Canal+ sachent que les matches du Mans et de Villeurbanne dans le cadre de la Basketball Champions League seront diffusés ce soir. Pour le MSB en direct, à 20h30, sur Multisport 2 (chaîne 254) et Dailymotion. Puis en différé, à 23h10, sur Canal+ Sport.\\n\\nPour l’ASVEL en direct, à 20h, sur Multisport 1 (chaîne 253)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Belgrade accueillera le Final Four 2018"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon David Pick, Belgrade aurait été choisie pour organiser le Final Four 2018 de l’Euroleague.\\n\\nC’est la première fois de l’histoire de l’Euroleague que la Kombank Arena de Belgrade accueillera les finales de la C1. Toujours selon David Pick, Jordi Bertomeu, le grand patron de l’Euroleague, devrait faire une annonce officielle ce mercredi lors d’une conférence de presse qui se tiendra au Belgrade City Hall en présence du maire de la capitale serbe, Sinisa Mali.\\n\\nCette saison, le Final Four de la C1 aura lieu à Istanbul, comme en 2012.\\n\\n\\n\\n\\nJordi Bertomeu will announce tommorow: BELGRADE to host Euroleague 2018 Final Four. https://t.co/ijiKJ45ZgA\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) 25 octobre 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Chanteuse et musicienne, l’Américaine Kristen Mann revient à Montpellier"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Américaine Kristen Mann (1,86m, 33 ans) qui vient de signer comme pigiste à Lattes-Montpellier est une forte personnalité bien connue en France pour avoir porté les maillots de Tarbes, Charleville, Montpellier (trois saisons) et Toulouse.\\n\\nDe plus, Kristen est une authentique artiste qui avec un ami, Gabriel, avec lequel elle a fréquenté le campus de l’Université de Californie, Santa Barbara, a créé un groupe musical.\\n\\n« Je suis la chanteuse et compositeur... », disait-elle à Basket Hebdo il y a quelques mois. « Nous ne sommes vraiment que tous les deux avec Gabriel, nous faisons tout de A à Z nous même. L’écriture, la production, la partie technique et nous faisons aussi l’intégralité de nos clips. Gabriel est talentueux et doué, on a des qualités différentes et on se complète bien l’un l’autre, donc je pense que l’on travaille bien ensemble. »\\n\\nA l’occasion de l’album « Unlisted », Kristen et Gabriel ont sorti un clip pour le titre « Ready » et la Californienne joue le personnage principal. Un clip très hot avec des scènes de nudité et d’amour entre deux femmes sachant que Kristen assume complètement son homosexualité.\\n\\n« Quand je jouais en WNBA, je n’avais pas vraiment révélé mon homosexualité. Ma famille et mes amis le savaient mais je n’en avais jamais parlé publiquement ou fait des interviews concernant la cause LGBT (Lesbiennes, Gays, Bisexuel et Trans), donc je pense que c’est différent maintenant. Une grande partie de l’exposition que j’ai avec le basket-ball et la musique est en Europe aujourd’hui et maintenant que je suis plus âgée, je suis devenu plus à l’aise avec moi-même et plus confiance en qui je suis. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les images de la belle victoire de Cholet face au Paris-Levallois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A deux victoires pour autant de défaites avant de recevoir le PL dans le cadre de la cinquième journée de Pro A, Cholet Basket passe à un bilan positif (3v-2d) pour la première fois de la saison après sa belle victoire 95-87 face au Paris-Levallois.\\n\\nBien menés par les 19 points, 3 rebonds et 2 passes décisives (20 d’éval) du MVP de la soirée, Angel Rodriguez, les hommes de Philippe Hervé ont pu également compter sur leur très belle réussite à trois points (16/29) pour faire la différence et s’imposer face aux Franciliens.\\n\\nL’entraîneur de CB s’est d’ailleurs exprimé sur ce résultat après la rencontre.\\n\\n«La réussite à trois points nous facilite la tâche. On a fait la totalité des quarante minutes. Ce soir, c’est le basket qui est vainqueur. Paris a confirmé la qualité de son équipe, de ses joueurs, de son staff et de son jeu. Il fallait un grand Cholet pour gagner ce soir. La différence s’est faite à l’évaluation. (...) J’ai retrouvé la Meilleraie, avec le souvenir que j’en avais. Je remercie le public. On voulait une équipe avec un bon état d’esprit, une vraie cohésion. Le résultat est secondaire. On fait un bon début de saison, qui sera très bon si on bat Chalon dimanche.»\\n\\nPour coach Fauthoux, c’est bien sûr l’adresse des Choletais qui a fait la différence mais il souligne également que la performance de Jerry Boutsiele (12 points, 8 rebonds et 4 passes décisives) a été un problème.\\n\\n«On a essayé d’être intenses en défense, mais Cholet a shooté à 55% à trois points, ce qui n’arrive pas tous les jours. (...) Le match de Boutsiele à l’intérieur me dérange. Je relève aussi qu’on a pas assez voulu le ballon.»"
}, 
{"role": "user",     "content":"NM1 : Zygimantas Jonusas en renfort à Caen"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Caen Basket Calvados était à la recherche d’un pigiste médical afin de pallier l’absence du double MVP de Nationale 1 (2014 et 2016), Richie Gordon qui souffre d’une sciatique et qui est donc à l’arrêt pour environ six semaines.\\n\\nCe mardi, le club normand annonce l’arrivée du Lituanien Zygimantas Jonusas dans l’effectif. A Avignon la saison dernière, le natif Klaipeda (Lituanie) compilait en moyenne 13,5 points et 4,6 rebonds par match.\\n\\nLes dirigeants du CBC espèrent pouvoir qualifier le vétéran de 34 ans dans les plus brefs délais et si possible avant la réception d’Orchies prévue ce samedi à 20h, au Palais des Sports de Caen.\\n\\n\\n\\n\\nBienvenue au CBC à Zygimantas Jonusas qui vient renforcer le secteur intérieur. #CBCNation pic.twitter.com/4prc7pZk2U\\n\\n\\n— Caen Basket Calvados (@CaenBC14) 25 octobre 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : Cholet tient son nouveau joueur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après l’épisode Joel Wright, qui devait signer mais qui a finalement été retenu en Asie à cause de son visa, Cholet vient de faire appel à un nouveau renfort, comme le rapporte le Courrier de l’Ouest.\\n\\nPhilippe Hervé et le club, qui commençaient à s’impatienter avec Joel Wright, ont jeté leur dévolu sur un ailier fort de 24 ans qui sort tout juste de l’université de South Florida, le Dominicain Angel Nunez.\\n\\nToujours aux Etats-Unis, l’intérieur de 2,03m qui est attendu dans la semaine à l’entraînement, connaîtra sa première expérience professionnelle en France.\\n\\nLa saison dernière en NCAA avec South Florida, Nunez tournait en moyenne à 9,5 points, 6 rebonds et 1 passe décisive."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les travaux d’Hercule de Sandrine Gruda"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"De Los Angeles où elle fête le titre WNBA aves ses équipières des Sparks, Sandrine Gruda revient sur son été très dense qui inclus une quatrième place aux JO de Rio avec les Bleues.\\n\\n« J’ai fait la préparation olympique, les Jeux, puis je suis rentrée en France et le jour de mon arrivée, je suis allée chercher mon visa à l’ambassade des Etats-Unis. J’ai eu quatre jours, tout le monde me regardait avec des gros yeux, ‘Mais qu’est ce que tu fais, c’est pas possible, c’est inhumain’ », rappelle-t-elle au Point via l’AFP.\\n\\n\\nLa Martiniquaise ne se montre absolument pas déçue par son faible temps de jeu en playoffs (un total de 17 minutes avec aucun tir tenté, un lancer sur deux et cinq rebonds) et elle rejoint maintenant l’équipe turque de Fenerbahçe qui a déjà entamé le championnat national et qui jeudi sera à Schio pour le compte de l’EuroLeague. Sandrine ne fait pas mystère de ses ambitions :\\n\\n« Gagner, gagner, gagner. Chaque année j’ai gagné quelque chose, tout le monde ne peut pas dire la même chose que ce soit dans le foot, le basket ou le volley ».\\n\\n\\nSandrine Gruda a déjà remporté deux fois l’épreuve européenne reine (2013 et 2016 mais sans participer au Final Four). Le 2 novembre elle recevra la visite de ses compatriotes de Lattes-Montpellier qui sont engagées dans le même groupe que le Fener."
}, 
{"role": "user",     "content":"Spanoulis dévoile son Top 5 des joueurs NBA et européens"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans une vidéo pour Olympiakos TV, Vassilis Spanoulis énonce son top 5 des joueurs NBA et son top 5 des joueurs européens.\\n\\nLe meneur grec de l’Olympiakos n’a d’ailleurs pas hésité à nommer Tony Parker comme étant l’un des cinq meilleurs joueurs européens de l’histoire.\\n\\nEn Euroleague, l’ancien joueur du Panathinaikos comptabilise 3 013 points, 446 rebonds, 200 interceptions et 965 passes décisives. Il pourrait, lui aussi, prétendre à une place dans cette liste."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pas de nouvelle Arena à Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avant d’être élu maire de Limoges, en avril 2014, Emile Roger Lombertie affirmait que la ville et le CSP avaient urgemment besoin d’une nouvelle Arena afin de la substituer au vénérable palais des sports de Beaublanc qui date de 1981. Depuis, rien. Dans son édition du jour Le Populaire demande au maire si la construction de l’Arena est toujours d’actualité. Clairement, non.\\n\\n« Au moment de la campagne électorale, nous avions une masse budgétaire donnée. Quinze jours après l’élection, la règle du jeu avait changé. Si les dotations étaient restées identiques, nous pourrions construire l’Aréna. Comme elles ont baissé, la ville doit investir sur ce qui est prioritaire : les écoles mais aussi l’entretien et la rénovation de la ville qui étaient obligatoires. »\\n\\nAussi, une seule alternative, redonner un coup de jeune à Beaublanc qui après la lumière doit disposer d’une nouvelle sono à la fin de l’année.\\n\\n« Ma volonté est de le moderniser et de le compléter avec des installations nécessaires : une salle de musculation, une autre de cryothérapie, un gymnase et des réceptifs... En mutualisant tout ça pour tous les clubs et nos athlètes. Cela sous-entend un travail de collaboration et d’organisation de tout le site de Beaublanc (...) On m’a évoqué la possibilité d’augmenter la capacité du Palais des sports à 6.000 voire 8.000 places. Mais personne ne s’est prononcé précisément. On va les relancer. On ne pouvait pas le faire tant que nous avions la problématique du stade. »\\n\\nL’interview est à lire dans son intégralité ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 25 octobre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nDes fans à cran\\n\\n– Les supporters strasbourgeois ne décolèrent pas (lire aussi DNA du 21/10). Le revers à Pau dimanche s’est ainsi traduit par une nouvelle salve de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nÇa ne marche pas\\n\\n– Henrik Dettmann survivra-t-il au début de saison calamiteux de la SIG ? Ses méthodes de coaching et sa philosophie de jeu font aujourd’hui l’objet de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDes mots sur les maux\\n\\n– Durement pénalisée par ses lacunes intrinsèques, la SIG avance désormais dans un climat de défiance qui ne contribue pas à sa sérénité. Fidèle à son... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa surprise des féminines\\n\\n– La «une» masculine s’est inclinée de peu à Hœnheim : 72-67. La première mi-temps est maitrisée de bout en bout par les visiteurs qui sont en tête au... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nOnze Français sur la ligne de départ\\n\\n– Tony Parker est toujours incontournable à San Antonio, mais le quadruple champion NBA n’est plus le leader incontesté du contingent français en NBA... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn rebond insuffisant\\n\\n– Les Strasbourgeois ont livré leur prestation la plus complète de la saison ce dimanche à Pau. Mais cela n’a pas suffi, la faute, notamment, à un... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa CTC Ondaine se qualifie pour le prochain tour\\n\\n– Les joueuses de l’Ondaine partent avec un handicap de 7 points dans cette rencontre face à Villeurbanne. Après un début de match équilibré, les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTavano coach principal à Tours\\n\\n– Au chômage « pour la première fois depuis mon premier contrat professionnel en 1992 » après la non-reconduction du contrat de Vincent Collet à la Sig... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond ne résiste pas à Montbrison\\n\\n– Montbrison (N2) a fait respecter la hiérarchie pour se qualifier pour les quarts de finale de la coupe de la ligue en dominant nettement le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« On tient à se racheter ! »\\n\\n– Thomas Ville, arrière de la Chorale de Roanne... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCoupe de la Loire\\n\\n– 1/16e Coupe Duverger-Intersport Féminines... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDeux équipes à la recherche d’une motivation\\n\\n– Bressans et Ébroïciens se croisent ce soir pour le match aller de ce quart de finale de Leaders cup. La revanche est programmée mardi prochain... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond déjà dos au mur\\n\\n– Défait à l’occasion de ses deux premiers matchs de championnat face à Fos-Provence et à Poitiers, le Saint-Chamond basket vallée du Gier va aborder un... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Asvel veut s’inspirer de Strasbourg\\n\\n– Avec Nelson et sans doute Uter, les Villeurbannais voudront imiter la Sig, qui s’était imposée la saison dernière en Basse-Saxe... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPluvy: « On ne va pas se plaindre »\\n\\n– L’entraîneur choralien espère que la claque reçue à Evreux en championnat sera salutaire et que son équipe va vite retrouver ses valeurs... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nComme on se retrouve\\n\\n– Mérédis Houmounou et Jérôme Monnet retrouvent ce soir le club d’Évreux, où les deux ont joué ensemble durant deux saisons... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCurry et Durant face à James\\n\\n– Avec l’arrivée de Kevin Durant à l’intersaison, Golden State a conforté son statut de terreur, mais il en faudrait plus pour décourager les champions... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nProA: le Paris-Levallois s’incline devant Cholet 95-87\\n\\n– Le Paris-Levallois s’est incliné à Cholet 95 à 87 lors du match de clôture de la 5e journée du Championnat de France ProA. Au classement, le Paris-Levallois (3 victoires) est 4e, derrière Nanterre et Pau-Orthez (4 v), à 2 victoires du leader Monaco (5 v). Cholet a notamment marqué 16 sur 29 tirs à trois points... Lire la suite.\\n\\n\\nQuand Pierre Tavano arrivera-t-il en Touraine ?\\n\\n– Dans les heures ou les jours qui viennent. Hier soir, le club n’était pas encore en mesure de dire quand le nouvel entraîneur prendrait ses fonctions. Cela pourrait être en cours de cette semaine, ou d’ici quelques jours. Il n’est ainsi pas encore certain qu’il puisse coacher l’UTBM sur le banc dès samedi, pour la venue de Rezé. Cela... Lire la suite.\\n\\n\\nLa semaine chargée du PB\\n\\n– Boulogne – Poitiers Avant de se rendre à Roanne vendredi en championnat, les Poitevins vont tenter de faire un pas vers la qualification en coupe... Lire la suite.\\n\\n\\nCe sera donc... Pierre Tavano\\n\\n– L’UTBM a mis fin au suspense\u2009: Pierre Tavano prend les rênes de l’équipe, après le limogeage de Sébastien Duval... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Fidèle adjoint de Vincent Collet, Pierre Tavano s’engage en N2 à Tours"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tandis que Vincent Collet se consacre entièrement à l’équipe de France, Pierre Tavano a décidé de voler de ses propres ailes et va prendre le coaching en chef de Tours en Nationale 2.\\n\\nPierre Tavano est un fidèle de longue date de Vincent Collet. Ce Lyonnais de 47 ans, qui fut joueur à Vénissieux jusqu’en N4, avait rencontré à Villeurbanne celui qui était alors joueur mais qui avait déjà une âme d’entraîneur. Leur complicité est née à cette époque.\\n\\nIl fut ensuite coach des espoirs de Montpellier et de l’ASVEL avant de rejoindre Vincent Collet au Mans (2000-08) pour être son assistant, puis à l’ASVEL (2008-11) et enfin à Strasbourg (2011-16). Sur le site de la SIG, Collet expliquait pourquoi il avait une totale confiance en son adjoint :\\n\\n« Il y a l’aspect technique, tactique, mais aussi le management, l’aspect humain. Avec Pierre, je n’ai jamais besoin de me retourner parce qu’il n’y aura jamais de couteau dans le dos... Mais c’est bien davantage encore, car lorsqu’il y a des moments difficiles, dans une saison ou une carrière, Pierre est mon premier soutien. Il a de plus la qualité naturelle d’être plus optimiste que moi et c’est un pendant qui fait du bien dans ces moments-là ».\\n\\nSa tâche ne sera pas si aisée que ça car l’UTBM n’a qu’un seul objectif en tête, monter en N1, et a déjà concédé dans la poule B 2 défaites en 5 matches... Or, seuls les deux premiers de chaque poule ont le droit de disputer les playoffs pour la montée."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : Maurice Acker de retour à Hyères-Toulon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Non conservé par le club après la montée en Pro A et sans employeur depuis, Maurice Acker re-signe finalement dans Sud de la France pour renforcer un HTV en grande difficulté après un début de saison compliqué (1v-4d).\\n\\nAprès un exercice 2015/2016 de qualité avec Hyères-Toulon, en Pro B, en compilant des moyennes de 14,2 points, 1,9 rebond et 4,2 passes décisives pour une évaluation de 12,6, l’ancien joueur de Denain est de retour au HTV, comme indiqué sur la page Facebook officielle de la formation de Kyle Milling."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : Jonathan Kazadi, la belle trouvaille d’Orléans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé en juin à l’OLB en provenance de Suisse et plus précisément du club du Fribourg Olympic, Jonathan Kazadi a réalisé un très bon match samedi, face au CSP Limoges.\\n\\nDans un match disputé de bout en bout, les hommes de Pierre Vincent ont finalement réussi à se défaire des Limougeauds, s’imposant de six points (80-74).\\n\\nLors de cette rencontre, le natif de Berne, en Suisse, a brillé au point d’être nommé MVP du match grâce à ses 20 points (8/10 aux tirs dont 4/5 à trois points), 4 rebonds et 2 passes décisives pour une évaluation de 24. Un peu plus discret lors des quatre premiers matchs de championnat, Kazadi s’est lâché face au CSP et a pu montrer l’étendue de son talent.\\n\\nAprès avoir remporté deux fois le championnat Suisse, une fois la Coupe de Suisse et trois fois la Coupe de la Ligue, le MVP des dernières finales du championnat (13,2 points, 4,1 rebonds et 4 passes décisives) a décidé de s’expatrier en France et de rejoindre les rangs de la Pro A comme ont pu le faire avant lui ses compatriotes Thabo Sefolosha et Clint Capela.\\n\\nCette saison en Pro A, Jonathan Kazadi tourne en moyenne à 7,8 points, 2,8 rebonds et 2,4 passes décisives pour une évaluation de 9,8."
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie : l’ancien chalonnais Jeremy Hazell prend la porte"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Jeremy Hazell (1,96m, 30 ans) restera dans l’histoire de la Pro A en général et de l’Elan Chalon en particulier comme un shooteur « no conscience » capable de séries de folie. Le tout avait donné 15,4 pts avec 249 tirs primés (7,5 par match !) tentés pour 89 réussis.\\n\\nParfois, il suffit de changer d’équipe, de contexte, de ne plus avoir vraiment la confiance du coach pour que tout soit chamboulé. L’Américain vient de s’en apercevoir. Après deux matches dans le championnat turc, à Muratbey Usak, il en était à 2/12 à trois-points et 6,5 pts en moyenne. Il vient d’être remercié."
}, 
{"role": "user",     "content":"Retraite de Ronny Turiaf : souvenirs de son passage en Pro A"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A 33 ans, Ronny Turiaf (2,07m) vient d’annoncer officiellement sa retraite.\\n\\nPour le basket professionnel français, le Martiniquais représente un cas d’espèce. Formé à l’INSEP, il enchaîna ensuite directement la NCAA (Gonzaga University) et la NBA et s’il porta le maillot bleu aussi bien en jeune (champion d’Europe juniors en 2000) qu’en A’ et en A (100 matches tout rond) jamais il ne transita par la case LNB. Seul Joakim Noah, mais né à New York et de nationalité américaine tout comme française, est dans une situation analogue puisque s’il fut licencié en jeune à Levallois, il fit toute sa carrière ensuite aux Etats-Unis.\\n\\nEn fait, Ronny Turiaf fait tout de même partie des anciens pensionnaires de la LNB puisqu’il a joué... 4 matches avec l’ASVEL de son ami Tony Parker lors du lockout de la NBA, en 2011. Son entrée en piste fut retardée à cause d’un défaut d’assurances et une première présentation à la presse annulée. Le colosse à l’organisme fragile sortait alors de 58 matches de NBA manqués en deux ans et n’avait pas non plus participé à l’Euro en Lituanie durant l’été avec l’équipe de France. C’est à Los Angeles qu’il attendit le feu vert pour rejoindre Villeurbanne.\\n\\nC’est à l’Astroballe, le 6 novembre, face au SLUC Nancy de Nicolas Batum et avec une lourde défaite à la clé (77-92) que Turiaf joua son premier match et contre Chalon qu’il fit sa meilleure production avec 15 points, 8 rebonds et 26 d’évaluation. Ses stats globales s’établirent à 9,3 pts et 7,3 rbds. Pas si mal pour quelqu’un qui n’avait pas encore le rythme de la compétition.\\n\\nEt puis le lockout fut levé et Ronny Turiaf comme tous les autres Français qui s’étaient réfugiés en France, retourna chez ses employeurs américains, le Miami Heat et les Washington Wizards cette saison là."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Américains de Cholet Basket se mettent au français"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Plusieurs joueurs étrangers de Cholet Basket et leurs femmes sont désireux de se mettre au français. C’est ce que nous apprend Ouest France ce matin. En fait, Ben Dewar (Quimper, Orléans, Villeurbanne et Le Mans mais aussi quatre ans en Espagne) et David Noël (Roanne, Paris, Gravelines, Orléans), qui ont fréquenté nombre de clubs de l’Hexagone, ont déjà de très bonnes bases. Le Portoricain Angel Rodriguez et les épouses de Ben Dewar et d’Isaiah Swann souhaitent également pouvoir communiquer dans la langue de leur pays hôte.\\n\\nDes cours hebdomadaires d’une heure quinze sont ainsi dispensés par Laurence Hervé, la propre femme du coach, ancienne prof d’anglais. Un phénomène rare et la volonté manifestée par Angel Rodriguez, 23 ans, peut être salué car nombre d’Américains peuvent passer une demi-douzaine d’années en France et se révéler toujours incapables de s’exprimer dans la langue de Molière et de Boris Diaw.\\n\\n« Il voulait apprendre le français pour communiquer avec les gens autour de lui et comprendre ce qu’il se passe dans la vie de tous les jours. C’est quelqu’un de très mature pour son âge », explique Laurence Hervé.\\n\\nPhoto : Cholet Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pascal Donnadieu se demande où Monaco va perdre un match"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Samedi, Nanterre 92 a perdu à la cinquième journée son invincibilité face à l’Elan Chalon (77-92) et laisse donc à l’AS Monaco le leadership de la Pro A. Le shooteur allemand Heiko Schaffartzik et le coach Pascal Donnadieu fournissent les explications. En bonus le coach dit pourquoi il est en admiration devant la force de frappe monégasque.\\n\\nVotre début de match a été très laborieux. Pourquoi ?\\n\\nHeiko Schaffartzik : C’est la deuxième fois dans la même semaine que l’on a commencé un match comme ça. Une fois à Sopron et là dans notre maison (Ndlr : A Sopron, en Fiba Cup, Nanterre s’est finalement imposé 79-77). Il faut que l’on change notre attitude pour les débuts de match. On a juste fait quatre fautes en quinze minutes. Il aurait fallu en faire pour éviter que l’adversaire marque 31 points dans le premier quart-temps et peut-être des fautes dures, c’est le basket. Je pense aussi que l’on a oublié les raisons pour lesquelles on a gagné tous les autres matches auparavant. Ce n’était pas par l’attaque, c’était par la défense. On avait joué avec des cojones, je ne connais pas le mot en français, oui, couilles ! Et aujourd’hui, pas. On l’a fait en début de deuxième mi-temps mais avant et après, non. Perdre ce n’est pas la fin du monde mais c’est deux fois le même match à la suite. Je pense aussi que l’on n’a pas suffisamment fait circuler le ballon aujourd’hui. Et Chalon a très bien joué. (John) Roberson fait d’habitude 8 points et aujourd’hui c’est quelque chose comme 20 (Ndlr : 22). Pour moi, on est une meilleure équipe que Chalon et il faut maintenant qu’on le montre mercredi (Ndlr : face au FC Porto) et après à Limoges. Ce n’est pas la fin du monde mais il faut changer d’attitude pour les prochains matches.\\n\\nLes joueurs étaient-ils un peu dans la facilité ?\\n\\nH.S. : Vraiment je ne pense pas car dans le vestiaire avant le match tout le monde était très concentré, personne ne rigolait. On a aussi manqué beaucoup de shoots faciles, en début de match, aussi bien à Sopron qu’aujourd’hui. Ce n’est pas facile aussi de donner aux joueurs de la confiance et c’est très bon pour celle de l’autre équipe.\\n\\n« Quand on gagne, pour un coach c’est la facilité, on a tendance à ne pas changer beaucoup de choses, à rester sur ce qui marche »\\n\\nCoach, votre analyse ?\\n\\nPascal Donnadieu : On n’est pas entré correctement dans le match, on n’a mis aucune agressivité. On ne peut pas être aussi permissifs en début de match surtout à domicile. Ce n’est pas comme si on n’était pas prévenu. Je leur ai dit « attention à l’entame de match !, ne pas renouveler l’erreur de Sopron, ne pas laisser des joueurs comme Roberson, (Lance) Harris ou (Jérémy) Nzeulie prendre confiance » et on a fait exactement le contraire. Après, c’est compliqué. A Sopron on a eu la faculté de revenir face à une équipe à mon avis un peu moins solide que Chalon mais là on a laissé beaucoup de gomme. On était parti pour faire le même coup qu’à Sopron, sauf que Chalon a fait une très bonne partition. Comme l’a dit Jean-Denys (Choulet, coach de Chalon), beaucoup d’équipes sont dans le haut, dans le bas. On a eu la chance jusqu’ici de gagner les matches, à Hyères Toulon, à Sopron, au Havre en coupe de France où c’était très chaud et ce soir ce n’est pas passé. C’est un groupe nouveau avec huit nouveaux joueurs et cette défaite est aussi une source de motivation pour travailler. Quand on gagne, pour un coach c’est la facilité, on a tendance à ne pas changer beaucoup de choses, à rester sur ce qui marche. Ça veut dire que là il y a peut-être des choses à revoir. Je le dis d’autant mieux dans la défaite, c’est un groupe sain et, comme l’a dit Heiko, il était concentré ce soir mais il n’a pas su bien entamer le match. Il faut que l’on s’habitude à avoir deux matches par semaine et un seul entraînement pour mettre en place la stratégie par rapport aux matches du samedi. Attention, Chalon était dans la même configuration et je ne suis pas en train de dire que l’on a perdu à cause de ça. Je pense que l’on a une équipe studieuse qui a besoin de temps pour s’approprier le plan de jeu que l’on veut mettre en place par rapport aux adversaires. Je vois la différence vis à vis du match du Mans où dès le mardi on a travaillé, on savait exactement ce que l’on allait faire. C’est à nous d’être productif et en Coupe d’Europe et en championnat (...) On va créer un peu d’émulation dans les rotations. Chris Warren qui est insaisissable depuis le début de saison, je crois que je l’ai un peu trop sollicité et j’aurais dû tourner, peut-être Mykal aussi. Il faut toujours se servir d’une défaite.\\n\\n« J’ai eu un garçon comme Sergii Gladyr qui avait des problèmes au genou, qui avait des difficultés certaines fois, là c’est une formule 1 ! »\\n\\nMonaco est désormais seul leader invaincu mais ils ont souffert au Mans. Cela démontre t-il qu’ils ne sont pas invincibles ?\\n\\nC’est la force de Monaco... Ils étaient en difficulté durant tout le match face à une équipe du Mans qui, je pense, était remontée et ils ont gagné (83-81). Je pensais que pour eux c’était ce soir un test très important et vu le cheminement du match, ils ont frappé un grand coup. Je ne sais pas où ils vont perdre et c’est bien ça le problème (rire). Ce qu’il faut savoir c’est que c’est une équipe qui a déjà eu un calendrier difficile. Ils ont été gagner à Villeurbanne et au Mans, c’est costaud. Ils ont cette agressivité, cet impact athlétique que l’on n’a pas vu depuis des années. Ils sont préparés physiquement et dans l’intensité de manière exceptionnelle. J’ai eu un garçon comme Sergii Gladyr qui avait des problèmes au genou, qui avait des difficultés certaines fois, là c’est une formule 1 ! Et ils sont dix voir onze comme ça. Ça veut dire que pendant quarante minutes ils vous étouffent. Ils ont fait la même chose contre Francfort et trois jours plus tard ils sont capables de le refaire. Jean-Denys dit que le niveau des équipes s’est amélioré défensivement, je n’ai pas ce sentiment, par contre il y a une équipe qui défend beaucoup mieux, beaucoup plus fort que les autres, c’est Monaco. On a l’impression que c’est un mur. Et avec toutes les rotations ils gardent la même qualité. Ils sont capables de gagner de 20 points contre Francfort avec Shuler à 0/10 alors que nous, si on a un ou deux joueurs majeurs qui passent à la trappe offensivement, si Roberson ne met pas ses tirs... Toutes les autres équipes sont dépendantes de leurs joueurs majeurs.\\n\\n« Ce qui est réellement impressionnant chez eux c’est qu’ils sont très durs sur l’homme, sur le porteur de balle, ils te repoussent en permanence. »\\n\\nL’équipe de Monaco ressemble t-elle aux équipes que vous aviez affrontées en Euroleague il y a trois ans ?\\n\\nPas vraiment. Comme on était atypiques, on avait essayé de perturber certaines équipes en étant très forts sur les lignes de passes, de mettre beaucoup de pression. En Euroleague ça protège beaucoup plus la raquette, il y a une espèce de défense collective. Ce qui est réellement impressionnant chez eux c’est qu’ils sont très durs sur l’homme, sur le porteur de balle, ils te repoussent en permanence. Ça veut dire globalement que lorsqu’il reste dix secondes, tu n’as quasiment pas attaqué. Ils sont ligne de passes très fort, ils sont capables de switcher, de résister sur les mismatchs. C’est très costaud ! On les joue au mois de janvier, ils auront peut-être une baisse de régime. Il n’y a plus qu’à miser là-dessus (rires)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 24 octobre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nBasket : Un air de déjà-vu\\n\\n– Les Nancéiens ne sont pas passés totalement à côté de leur sujet, encore une fois mais n e sont pas parvenus à décrocher leur première victoire à... Lire la suite.\\n\\n\\nOn n’a pas aimé\\n\\n– Le choix de Greg Vargas sur une contre-attaque. Le meneur préférait tenter un tir de loin rapidement au lieu de temporiser, alors que le SLUC menait... Lire la suite.\\n\\n\\nBasket-ball – Pro A : le SLUC Nancy a été plombé par ses rotations contre Gravelines\\n\\n– Trahi par les prestations indignes de Benjamin Sène et Thaddeus McFadden Nancy s’est incliné pour la troisième fois en trois matches à domicile... Lire la suite.\\n\\n\\nLe film du match\\n\\n– Comme face au Portel, Henrik Dettmann renouvelle sa confiance au jeune Ntilikina (18 ans), préféré à Walker pour débuter le match. Leloup, lui... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne claque supplémentaire\\n\\n– Malgré le réveil du tandem Walker-Murphy, la SIG a concédé sa quatrième défaite en cinq journées de Pro A, hier à Pau. Les Strasbourgeois n’ont pas su... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRixheim en lice en Trophée Coupe de France\\n\\n– Rixheim en lice en Trophée Coupe de France. Les Rixheimois du CSSL (N3) accueilleront le CJS Geispolsheim dans le cadre du deuxième tour du Trophée... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSan Antonio ne conserve pas Jean-Charles\\n\\n– San Antonio ne conserve pas Jean-Charles. L’ailier français Livio Jean-Charles n’a pas convaincu les San Antonio Spurs qui ne l’ont pas retenu dans... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPau-Lacq-Orthez 82 SIG 74\\n\\n– Pau , Palais des sports. Les quart-temps : 18-15, 15-20, 24-26, 25-13. Arbitres : MM. Hosselet, Lubienski, Milliot. Spectateurs : 5500... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCoupe du Crédit Mutuel\\n\\n– Reiningue (+20) – Lutterbach 76-93. Quart-temps: 34-17, 10-28, 17-24, 15-24. Arbitrage : MM. Futsch et Gervais... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nWittenheim tient sa référence\\n\\n– L’USW a battu samedi à Coubertin le CTC Paris Basket et l’a détrôné de sa place de leader de la poule G (56-51)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa SIG a encore craqué\\n\\n– L’équipe strasbourgeoise s’est de nouveau inclinée, hier à Pau, à l’issue d’un match âprement disputé, concédant ainsi sa quatrième défaite en cinq... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne semaine de bas en haut\\n\\n– Complètement éteint contre Nancy, Chalon a repris des couleurs à Bruxelles avant de briller de mille feux, samedi, à Nanterre (77-92). Et si l’Elan... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPontarlier-Jura Salins : 57-75\\n\\n– A Pontarlier, Jura Salins bat Pontarlier 75-57... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nOzon n’a pas tenu la distance\\n\\n– Furiani avait entamé très fort les débats pour mener 7-0. Mais pas mal de fautes et de maladresses permettaient aux visiteuses de rester à flot (9–6... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBords du Rhône et la JL Bourg en quarts\\n\\n– La JL Bourg déroule chez les masculins... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nAndrézieux a-t-il trouvé la bonne carburation ?\\n\\n– Après deux victoires consécutives, la première à domicile contre Orchies et la seconde samedi soir à Lorient, l’ALS semble avoir trouvé les clés de la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe BCMF tient « son match référence »\\n\\n– Malmené en championnat, le BCMF sort de la Coupe de France avec la satisfaction du devoir accompli... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« La Leader’s Cup n’est pas une priorité »\\n\\n– Pour Franck Collineau, le coach de Nantes, son équipe cherchera surtout « à bien travailler » contre la Chorale lors de ce quart de finale aller... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Asvel a limité la casse\\n\\n– Malgré les absences, le champion, qui jouera demain soir à Oldenburg (Allemagne), a su relever la tête à Antibes... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nU20 :\\n\\n– Poule A1 : AL Meyzieu 52 – Saint-Just Pontoise (2) 50. Poule A2 : AS Saint-Symphorien-de-Lay 69 – Saint-Just Pontoise 78. Poule A3 : ASVEL 76 – Côte... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPau-Orthez enfonce Strasbourg\\n\\n– Mené par un Alain Koffi à 25 d’évaluation, Pau-Orthez a infligé à Strasbourg sa quatrième défaite en cinq matches de ProA, 82 à 74... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nStrasbourg va vraiment mal Monaco seul en tête\\n\\n– Pour la 5e journée de Pro A, Monaco a été mis en difficulté sur le parquet du Mans. Menés sur les trois premiers quarts temps, les Monégasques se sont difficilement imposés face aux Manceaux (83-81). La défaite de Nanterre face à Chalon-sur-Saône (92-77) laisse s’échapper Monaco en tête du classement. Les Franciliens ont perdu pour la pre... Lire la suite.\\n\\n\\nLe Havre a shooté pour la gagne\\n\\n– L’ADA rejouera vendredi, aux Docks Océane, face à une équipe du Havre qui vient de passer seize ans en Pro A mais qui est descendue d’un cran dans la hiérarchie nationale au terme d’une saison 2015-2016 catastrophique (4 victoires, 30 défaites). Une équipe new look. La formation normande est repartie en Pro B avec un nouveau pré... Lire la suite.\\n\\n\\nEn chiffres\\n\\n– 4. Le nombre d’équipes à 2 défaites\u2009: Blois, Boulogne, Vichy et Saint-Chamond. 5. Le nombre d’équipes à 2 victoires\u2009: Denain et Charleville (les premiers adversaires de l’ADA), Le Havre et Fos (que Blois affrontera d’ici le 12 novembre), ainsi qu’Aix-Maurienne. 5. Le nombre de matchs de la 2e journée qui se son... Lire la suite.\\n\\n\\nLe Poinçonnet passe sans souci\\n\\n– PLBR Tours (R2)\u2009: 52 Le Poinçonnet (N2)\u2009: 101 Malgré la domination dans les airs de Gray et Gomis, les Indriennes faisaient preuve de maladresse en début de rencontre, si bien que le score était toujours favorable aux Tourangelles, parties avec 21 points d’avance, à la fin des dix premières minutes (30-16). La situation allait se comp... Lire la suite.\\n\\n\\nArtannes, dans les dernières minutes\\n\\n– MASCULINS Artannes\u2009: 82 PLBR (+ 7) : 72 Fort de ses 7 points d’avance, le PLBR a tenu tête à Artannes jusqu’à quelques minutes de la fin. Les locaux avaient pourtant refait leur handicap à la fin du premier acte (20-20). Par la suite, les Tourangeaux s’accrochaient. « On a pioché face à leur défense. C’était la première fois de la sai... Lire la suite.\\n\\n\\nL’ADA est attendue au rebond\\n\\n– Difficile de gagner un match en étant dominé dans la raquette. Les Blésois en ont fait l’expérience samedi soir. On espère les voir rebondir rapidement... Lire la suite.\\n\\n\\nDernières secondes fatales\\n\\n– Encore une fois, à l’extérieur, l’ESB a manqué de maîtrise, ne sachant par garder son calme et tombant dans le piège de provocations. Car, après une entame à l’avantage de Luy Adour (15-6, 5e), les joueurs de Della Valentina revenaient au score (20-20, 10e). Puis, avec une défense collectivement en place et des actions conclues souvent dans la raquette avec Kunata, c’était Le Bruilhois qui menait à la pause (29-35). Le troisième acte quart... Lire la suite.\\n\\n\\nEt puis plus rien...\\n\\n– C’est un drôle de match auquel se sont livrés les Gabistes. Après avoir dominé le 1er acte, ils se sont liquéfiés lors des deux périodes suivantes jusqu’à rendre une copie quasi transparente. Si les dix dernières minutes ont été d’un meilleur acabit, la maladresse dont ils firent preuve derrière la ligne des lancers leur a été très préjudiciable (17/33). Les «vert» vont prendre les commandes du match dès le début du 3e acte et ne lâcheront... Lire la suite.\\n\\n\\nL’AGS en pâture\\n\\n– Face à Adour Dax, équipe bien calée en tête de poule, solide sous les cercles et capable de proposer un basket rapide, les Castelfondais sont un peu passés au travers de leur match, loin de leurs prestations habituelles. À la pause, Adour Dax virait en tête (32-25), face au manque d’adresse et de combativité de l’AGS perdant aussi trop de ballons. Pourtant, après des lancers de Biancolin et un primé de Labrousse, les joueurs menèrent (46-43)... Lire la suite.\\n\\n\\nL’ES2BE s’adjuge le derby\\n\\n– On ne dira jamais assez le mérite de cette équipe de Castillonnès diminuée, depuis le début de la saison par cinq joueuses blessées et aussi deux joueuses dont Caroline Bazzoli-Saez grippées mais qui ont tenu leur place lors de cette rencontre. Malgré tout, la première mi-temps fut dans l’ensemble équilibrée et proposa un bon basket. Labouly ouvrit la marque puis Villedieu et Gin mirent les locales en tête (10-5, 5e). Par Paroys et Delrieu (1... Lire la suite.\\n\\n\\nL’USP par à-coups\\n\\n– En recevant Tursan Chalosse, les Puymirolais escomptaient bien rester maîtres à domicile et conforter leur place de coleaders. Mais ce ne fut pas si simple face à des Chalossais très pugnaces en défense et sachant mener des actions rapides. D’autant plus que, inconstants, les joueurs de Nicolas Bourgade, ne jouèrent que par à-coups, surtout en première mi-temps. Dès l’entame, après un primé de Roux et une infiltration de Marlas, l’USP menait... Lire la suite.\\n\\n\\nLa pression était trop forte\\n\\n– Les Foulayronnaises entrent bien dans la partie et parviennent, sous l’impulsion de Marie et Cavelier et par un jeu rapide, à surprendre les locales. Elles atteignent la fin du 1er quart avec un avantage de trois points (11-14, 10e). Elles subissent ensuite les assauts de leurs adversaires qui, n’ayant pas encore remporté la moindre rencontre, souhaitent redresser la barre. Goubet se met en exergue en marquant quatre paniers consécutifs, il... Lire la suite.\\n\\n\\nManque de rigueur défensive\\n\\n– Début de match équilibré. Défensivement, les Lilas récupèrent des ballons, mais mal négociés ne parviennent pas à faire un écart (19-19, 10e). Puis un relâchement défensif permet à Cenon de prendre 7 points d’avance, écart réduit à 4, après un primé d’Arnaud. À la mi-temps, plus de fermeté est demandée à l’équipe mais cela ne se traduit pas sur le terrain, notamment pour contenir Barrimi (ex-VAB) très incisif. Les visiteurs qui mènent (55-67... Lire la suite.\\n\\n\\nQue de fautes !\\n\\n– Déplacement chez le leader invaincu pour Les Passageoises et le début de match confirma le statut des Landaises qui étouffèrent d’entrée les coéquipières de Sandrine Bareille, primés, jeu rapide tout y passa et comme les Lot-et-Garonnaises manquaient cruellement de «pep’s» le score enfla rapidement. Après un changement défensif judicieux, les débats s’équilibrèrent lors du deuxième quart. Mais la sérénité des locales et leur adresse aux... Lire la suite.\\n\\n\\nUn drôle de match que celui-là..\\n\\n– La CTC dordognote, qui ambitionne la montée en Régionale 2, se devait de remporter cette rencontre après son faux pas lors de la précédente journée. Bien équipé dans le secteur intérieur, avec de l’expérience, de la taille et de la verticalité mais aussi des shooteurs fiables et des meneurs qui font leur job, les locaux présentaient bine des arguments. De plus, ils se montraient très actifs et organisés dans le domaine défensif. Malgré cela... Lire la suite.\\n\\n\\nUne seconde mi-temps exceptionnelle\\n\\n– En début de match, le BCLA peu efficace en défense de zone et perdant trop de ballons, était dominé par des Tressois adroits (22-16, 10e). La suite était girondine, prenant le meilleur face à la défense lot-et-garonnaise manquant de dynamisme (45-30, 20e). À la reprise, changement de décor, les visiteurs s’investissaient dans une défense très mobile et agressive, dominant nettement les rebonds tant offensifs que défensifs, notamment par... Lire la suite.\\n\\n\\nVBC : fatale prolongation\\n\\n– Un oubli défensif, un ballon qui fait le tour du cercle mais ne rentre pas, un lay-up raté, une passe qui arrive dans les tribunes, en résumé parmi cette somme de détails qu’une rencontre de basket se nourrit, l’un d’eux a fait, sûrement, pencher la balance du côté des visiteurs. À moins que ce ne soient les 36 points du Landais Dupouy-Sisteron, pensionnaire habituel de la Nationale 3 et inarrêtable samedi soir, qui ont fait la différence. Le... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"A la Vince Carter, Anthony Randolph dunke en sautant par-dessus son adversaire !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le derby madrilène qui se termine actuellement, le Real est en train de faire la différence en deuxième mi-temps face à l’Estudiantes d’Edwin Jackson et Ali Traoré.\\n\\nMais dès le premier quart, Anthony Randolph a réalisé l’action de la partie en allant conclure une interception d’un dunk stratosphérique. Le longiligne intérieur du Real est même passé par-dessus Jamar Wilson, le meneur vétéran international finlandais, dans sa propre adaptation du dunk de Vince Carter par-dessus Fred Weis...\\n\\nL’allonge, et la détente, de Randolph sur le coup sont carrément impressionnantes !"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : la belle performance de Maxime Zianveni"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il entame sa quinzième saison en LNB et qu’il soufflera sa trente-septième bougie le 29 décembre prochain, Maxime Zianveni montre en Pro B qu’il a encore du basket plein les mains.\\n\\nSamedi soir, Boulazac recevait Vichy-Clermont pour le compte de la deuxième journée de Pro B et les joueurs du BBD se sont imposés 82-69 face aux hommes de Stéphane Dao.\\n\\nL’ancien joueur du SLUC Nancy a notamment brillé dans ce match en terminant MVP de la rencontre grâce à ses 15 points (4/6 aux tirs), 11 rebonds, 4 passes décisives et 3 interceptions pour un très joli 27 d’évaluation.\\n\\nEn douze ans de carrière en Pro A entre Nancy, Strasbourg, Le Havre, Hyères-Toulon et Chalon-sur-Saône, Zianveni a compilé en moyenne 8,3 points, 5 rebonds et 1,3 passe décisive pour une évaluation de 10,1."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vassil Evtimov raccroche ses baskets"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après 20 ans passés dans le monde du basket professionnel, Vassil Evtimov annonce sur son compte Instagram qu’il met un terme à sa carrière.\\n\\nFormé à l’université de North Carolina, « Vasco » Evtimov est passé par la France à cinq reprises dans sa longue carrière, à Pau (1997/1998), à l’ASVEL (2002/2003), au Paris-Levallois (2011), à Limoges (2012/2013) et à Orchies (2013/2014). Dans l’Hexagone, le natif de Sofia, en Bulgarie, compilait en moyenne 5 points et 5,6 rebonds pour 7,8 d’éval.\\n\\n« Big Vas » a également fait partie des rares joueurs à avoir disputé l’Eurobasket pour deux pays différents. Titulaire de la double nationalité franco-bulgare, l’ancien joueur de Valladolid a fait partie de l’Equipe de France de basket entre 1999 et 2002, avec qui il a disputé l’Euro 2001, mais il a également été sélectionné par le fédération bulgare en 2009 pour participer à l’Euro avec la Bulgarie, la même année.\\n\\nRentré dans son club de coeur du BC Levski Sofia en février 2015, Evtimov a décidé, ce dimanche, de mettre un terme à sa carrière de joueur professionnel pour se concentrer sur sa carrière d’entraîneur."
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB : Lattes-Montpellier est la bête noire de Bourges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est maintenant sûr, Lattes-Montpellier est la bête noire de Bourges.\\n\\nLa saison dernière, les Héraultaises avaient remporté face à leurs rivales nationales les deux finales, celle de la Coupe de France (68-57) et la belle des playoffs (65-63). A l’Open, les filles de Valéry Demory ont récidivé lors du Match des Champions (63-57). Depuis elles n’étaient pas à leur meilleur, s’imposant de justesse à Lyon (75-74) et chutant à domicile face à Basket Landes (55-67) puis à Villeneuve d’Ascq (59-77).\\n\\nRetrouver les Berruyères a ragaillardi les Lattoises quand bien même elles ont appris la veille que leur équipière néerlandaise Naomi Halman, blessée lors d’un choc à l’entraînement, souffrait d’un traumatisme d’un tendon du poignet de la main droite. Une blessure qui nécessite une opération et le recrutement d’un joker médical. Halman a tout de même passé quatre minutes sur le plancher mais c’est bien à huit que le BLMA a surclassé Bourges dans le dernier quart-temps (20-9) pour s’offrir son scalp une fois de plus, 61-54.\\n\\nGaëlle Skrela, qui a su il y a quelques jours de la bouche de Valérie Garnier, la coach des Bleues et de Bourges, qu’elle n’était pas retenue pour les matches de qualifications à l’Euro 2017 a réagi en championne : 16 points. Elodie Godin a pour sa part réalisé un double double avec 12 points et 10 rebonds."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le retour gagnant de Jérémy Nzeulie à Nanterre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il a rejoint le rond central tout sourire. Par le biais de Frédéric Donnadieu, le frère du coach, la patrie verte reconnaissante lui a offert le maillot du club avec le numéro 258 correspondant au nombre de matches accomplis avec la JSF, alias Nanterre 92. Le public lui a réservé une standing ovation. Sur les neuf bannières accrochées au mur, Jeremy Nzeulie (1,88m, 25 ans) a contribué à en confectionner huit. Plus que tous il était la figure emblématique du club des Hauts-de-Seine.\\n\\nLicencié à Charenton, il avait tapé dans l’œil des frères Donnadieu lors d’un stage de détection alors qu’il était cadet. Jérémy a toujours eu la confiance du clan et il a gravi les échelons jusqu’en Euroleague. Mais depuis l’été, le fils de la maison a changé sa toque verte contre une rouge, celle de l’Elan Chalon.\\n\\n« Je savais que l’accueil allait être très chaleureux. J’ai essayé de le prendre le plus possible comme un match normal, de ne pas me déconcentrer. J’avais surtout envie de gagner ce match et de ne pas me prendre la tête en me disant que je devais mettre trente points ou un truc comme ça. »\\n\\n\\nL’adresse retrouvée\\n\\nDans le premier quart-temps, c’est John Roberson, le petit meneur de Chalon qui a refroidit le palais-des-sports Maurice-Thorez. Onze points. Tout l’Elan était à l’unisson réalisant un 7/10 à trois-points alors qu’une semaine auparavant, face à Nancy, il avait tout mis à côté, finissant sur un piteux 1/18.\\n\\n« Je ne suis pas adepte des matches à 54-50 et j’étais en crise parce que je ne savais pas comment arriver à faire mettre des points à cette équipe là », expliquait le coach Jean-Denys Choulet avec sa verve coutumière. « Il y avait des systèmes où les joueurs étaient ouverts mais où ils ne mettaient rien dedans. J’en perdais mon latin. Que l’on soit la plus mauvaise défense du championnat, ça ne me dérange pas trop mais que l’on soit la plus mauvaise attaque, ça me dérange beaucoup. La défense c’est plus une question d’énergie, de volonté qu’une question de technique. Etre bon défenseur ça tient beaucoup aux joueurs, à leur engagement personnel même s’il y a un travail collectif à côté, l’attaque c’est différent. Ce soir je suis comblé. On met 92 points, ça fait longtemps que ça ne nous était pas arrivé cette saison, depuis la première journée. »\\n\\nJérémy Nzeulie a fait un match très propre. Le Franco-camerounais a planté deux paniers à trois-points d’affilée et un peu plus tard un dunk hyper dynamique sur ce cercle qu’il connaît comme s’il l’avait fait. Mais cette fois sans recevoir les vivats habituels. Au final, il a scoré 10 points et obtenu 14 d’évaluation.\\n\\n« J’avais dit avant le match à tout le monde que Jeremy allait faire un gros match ici car il revenait à la maison et il était en souffrance totale depuis le début du championnat. Il ne mettait pas un tir dedans, pas un pied devant l’autre. Il a humé l’air de Nanterre, qui n’est pas celui que je préfère, mais apparemment ça lui a fait du bien », rigolait Choulet.\\n\\n\\nLes spin moves d’Axel Bouteille\\n\\nCet Elan Chalon 2016-2017 semble avoir une meilleure approche de la défense que la génération précédente et Nanterre, largué à 16 longueurs à un moment, n’a jamais pu passer en tête et s’est fait irrémédiablement décrocher dans le dernier quart (92-77). Jean-Denys Choulet tenait à tresser tout spécialement des lauriers à deux joueurs : le Letton Mareks Mejeris (2,06m, 25 ans, 11 points) et Axel Bouteille (2,00m, 21 ans, 12 points).\\n\\n« Ce n’est pas le cinq de départ qui nous fait gagner ce soir, c’est en particulier Axel Bouteille et Mareks Mejeris. Marek avait un peu de pression car je lui avais un peu botté les fesses dernièrement, je n’étais pas très content de ses prestations. Il pensait qu’il était là en semi retraite ou en vacances. Vingt cinq ans, c’est un peu tôt. Là, il a montré que non seulement il est long, il prend des rebonds, mais il marque des points, il est capable de faire plein de choses. Il faut qu’il arrête de penser qu’il est en Lettonie. Ce n’est pas le même championnat, les mêmes athlètes et il va falloir qu’il s’y mette sérieusement. Forcer un shoot ça m’exaspère mais ne pas prendre un tir ouvert encore plus. Si tu fais ça, tu joues avec l’adversaire, je ne supporte pas. Ça fait deux secondes que ça joue, je m’en fous, le tir ouvert, c’est un bon shoot. Depuis le début, on ne les prenait pas. Marek ne les prenait pas. Axel, lui, a été énorme. Ce qu’il a fait ce gamin, ce n’est pas moi qu’il l’a mis en place c’est du made-in-Axel et c’est lui qui les a amusés pendant un moment avec ses tirs en spin. »\\n\\n\\nJuste quelques sifflets\\n\\nDans le dernier quart-temps, alors que Chalon partait vers une large victoire, Jérémy Nzeulie a eu droit à deux fois deux lancers-francs. Comment le public allait-il réagir ?\\n\\n« J’avais presque envie de rigoler. Vous m’encouragez ou me vous me sifflez ? Je me suis posé la question, comme c’est moi, que vont-ils faire ? Le maillot a changé... »\\n\\nEn fait, quelques supporters l’ont sifflé. Ceux qui brûlent toujours leurs idoles... Mais d’autres sont venus le saluer après le buzzer et tous ont été épatés par sa prestation. Pas question pour autant pour Jérémy de s’enfoncer dans la nuit parisienne ; sa copine l’attendait à Chalon. Lui le Parisien pur jus est maintenant Bourguignon."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jonathan Jeanne (2,18m) cartonne en espoirs mais ne joue pas en Pro A"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La valeur de l’équipe espoirs de l’AS Monaco est inversement proportionnelle à celle de Pro A. Les Monégasques viennent de subir leur cinquième échec en cinq matches au Mans (73-41). A chaque fois c’est dans les grandes largeurs.\\n\\nIl faut donc relativiser le contexte mais noter tout de même que Jonathan Jeanne (2,18m, né en 1997) n’a pas eu besoin de plus de 23 minutes pour s’offrir 16 points, 9 rebonds et 6 contres pour un coquet 24 d’évaluation. Le championnat espoir apparaît trop étriqué pour un joueur qui vise ostensiblement la NBA à court terme. Il en est actuellement le numéro un à l’évaluation (22,6) et aux contres où son envergure phénoménale constitue un paratonnerre (5,2), 2e aux rebonds (12,0) tout en assurant 15,3 pts/match.\\n\\nLe problème, c’est que l’Antillais du MSB n’est pour l’instant rentré que deux minutes en jeu en Pro A. Lorsque Petr Cornélie et le Béninois Mouph Yarou, deux intérieurs, se sont retrouvés hors de service en début de saison à cause de blessures, le coach Erman Kunter a préféré faire appel à un pigiste expérimenté, le Finlandais Gerald Lee, plutôt que de lui faire confiance. Bien entendu, on ne l’a pas vu en piste hier soir avec les pros face à Monaco. Jonathan Jeanne souffre de ne pas avoir encore un corps d’adulte."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 23 octobre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nAlain Weisz : « Certains joueurs se sont cachés »\\n\\n– Alain Weisz : « Après Chalon, c’est un match qui aurait dû nous booster et que je pensais prendre. Cette défaite est donc très embêtante. Certains... Lire la suite.\\n\\n\\nLe SLUC sensibilisé à la sécurité routière\\n\\n– Nancy. « Peut-être une première en France entre un club et les services de l’Etat. » C’est par ses mots que le préfet de Meurthe-et-Moselle, Philippe... Lire la suite.\\n\\n\\nUn air de déjà-vu\\n\\n– Les Nancéiens ne sont pas passés totalement à côté de leur sujet, encore une fois mais n e sont pas parvenus à décrocher leur première victoire à... Lire la suite.\\n\\n\\nErik Murphy\\n\\n– Erik Murphy fêtera ses 26 ans mercredi, soit le jour du match de la SIG à Avellino, en Champions League. À l’heure de vivre le premier road trip de la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe temps est compté\\n\\n– Tancés par leur président Martial Bellon cette semaine, les Strasbourgeois affichent un louable esprit de corps, à l’heure d’affronter Pau dans son... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa Phrase\\n\\n– « Ce que je trouve fascinant chez lui, c’est qu’il a une vraie capacité à positiver et ça fait du bien. »... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSous haute surveillance\\n\\n– Dans le dur après leurs mauvaises prestations de ce début de saison, les Strasbourgeois seront très attendus, ce dimanche en fin de journée (18 h 30),... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe Gravelinois Kyle Gibson : «Une victoire importante pour le groupe»\\n\\n– Nancy n’avait pas encore gagné à la maison, cette saison. Et cela s’est senti quand Gravelines a soufflé dans les nuques lorraines, à la fin du troisième qu... Lire la suite.\\n\\n\\nCoup de tonnerre à Nanterre\\n\\n– Amorphe et battu par Nancy au Colisée dimanche dernier, l’Elan a frappé un grand coup en s’imposant à Nanterre (77-92), co-leader invaincu avant cette... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nAsvel Express\\n\\n– « Coupé » hier par les Spurs, Livio Jean-Charles pourrait-il revenir dans son club formateur ? « C’est sûr que c’est un profil intéressant, mais nous... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLyon fait la différence en fin de match\\n\\n– Chez Montbrison, pensionnaire de deuxième division, le Lyon basket féminin s’est qualifié grâce à un solide dernier quart-temps pour les huitièmes de. Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn derby peu enthousiasmant\\n\\n– Au terme d’un match plein et maîtrisé, les locaux de la Pontoise s’imposent logiquement face à une équipe forézienne bien pâle. Renforcé par la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe choix prometteur de la JL Bourg\\n\\n– Après son succès contre Le Havre (76 à 74), le collectif burgien a un bel avenir. Mais il doit encore beaucoup travailler... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’aventure s’arrête là pour le RBF\\n\\n– Vendredi soir, le RBF a reçu Basket Landes pour les 1/16èmes de finale. Mais les protégés d’Olivier Hirsch s’incline lourdement 41-67... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBCMF : une défaite réconfortante\\n\\n– Contre une équipe plus forte et plus expérimentée, les Foréziennes ont fait jeu égal contre le Lyon Basket Féminin, quatrième de LFB... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nQuand l’histoire se répète...\\n\\n– « On avait à cœur de lancer notre saison après notre faux pas la semaine dernière. Ça nous a mis une bonne claque. Et on a travaillé très dur cette... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe champion du bricolage\\n\\n– Privée de trois joueurs majeurs (Kahudi, Uter et Nelson) l’Asvel a « bricolé » pour s’imposer à Antibes malgré un premier quart-temps raté... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe cœur n’y était pas\\n\\n– Sans dureté, la Chorale a laissé Evreux prendre confiance pour se faire coiffer au poteau, sans maîtrise. Il faut retrouver l’investissement « Leaders... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]"
}, 
{"role": "user",     "content":"2ème journée d’Euroleague : Adrien Moerman et Leo Westermann ravissants, Thomas Heurtel en galère"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque semaine, Basket Europe revient sur les performances des Français en Euroleague. Après la première journée dominée par Nando De Colo, ce sont Adrien Moerman et Leo Westermann qui se sont montrés les plus séduisants, même si le meneur du CSKA continue d’afficher un niveau de jeu très performant. En revanche, pour Thomas Heurtel, cette deuxième journée constitue une grosse déception.\\n\\n\\n\\n\\nEN HAUSSE\\n\\n\\n\\n\\nAdrien Moerman (Darussafaka Istanbul)\\nAprès sa bonne première face à Belgrade, Adrien Moerman prend de l’ampleur à titre individuel : 20 points à 7/12, 5 rebonds et 1 passe ! Malheureusement pour le Français, Milan s’est imposé 81-80, après une domination presqu’intégrale. Le Darussafaka Dogus s’est malgré tout accroché tout au long de la rencontre et Adrien Moerman a largement contribué à maintenir son équipe dans le match, jusque dans les dernières minutes. La récompense n’est pas au bout mais encore une fois, l’ailier-fort français démontre qu’il est taillé pour un rôle d’envergure en Euroleague. La semaine prochaine, son équipe et lui tenteront de renouer avec la victoire sur le parquet de l’Unics Kazan.\\nStats 2016-17 : 15 pts à 57.1%, 40% à 3-pts, 100% aux lancers (2/2), 8 rbds, 1 int en 26.3 min\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou)\\nAprès sa très grosse performance en ouverture face à Galatasaray, Nando De Colo a remis le couvert, hier, dans la victoire de son équipe face au Panathinaikos, 81-77. Avec Andrey Vorontsevich, le Français fut le go-to-guy des Moscovites dans un match difficile. Le MVP en titre de la compétition a ainsi scoré 11 points dans le seul troisième quart-temps mais à chaque fois, les Grecs lui répondaient. Au terme d’un 11-0, le CSKA Moscou a fini par sceller la victoire et Nando De Colo est loin d’y être étranger.\\nStats 2016-17 : 19.5 pts à 53.5%, 62.5% à 3-pts, 87.5% aux lancers, 3 rbds, 4 pds en 27.3 min\\n\\nLeo Westermann (Zalgiris Kaunas)\\nEn difficulté face au Panathinaikos lors de l’ouverture, Leo Westermann et son équipe ont bien rebondi face au Baskonia Vitoria, 78-73. Le meneur français fut tout simplement éclatant avec 20 points à 9/15 au tir, 4 rebonds et 4 passes. Pour lui, c’est un record de points en carrière dans la compétition, une marque atteinte au terme d’un match remarquable : tout au long de la rencontre, le poulain de Sarunas Jasikevicius a porté les siens, comblant le retard de son équipe en deuxième mi-temps avant de donner deux possessions d’avance sur un lay up dans les dernières minutes de la rencontre. Entreprenant, agressif, il a pris ses responsabilités et le résultat le récompense.\\nStats 2016-17 : 12 pts à 45.4%, 22.2% à 3-pts, 100% aux lancers (2/2), 3.5 rbds, 3.5 pds en 24 min.\\n\\n\\n\\n\\nEN BAISSE\\n\\n\\n\\n\\nThomas Heurtel (Anadolu Efes)\\nAprès une mauvaise sortie et une défaite face à Vitoria, l’Anadolu Efes et Thomas Heurtel ont fait pire face à Olympiakos ! Vaincus de 24 poins (90-66), ils entament l’Euroleague de la plus mauvaise manière et le meneur français est clairement touché par ce début de compétition.\\n\\n« Je joue mon plus mauvais basket, actuellement. » a t-il déclaré à Eurohoops. « C’est mon pire basket. Après l’an passé et les Jeux Olympiques, je suis comme ça depuis le début de la saison. Nous avions perdu ce match dans la toute dernière possession, ce qu’il s’est passé ce soir (face à Olympiakos) est bien pire. Ce match était tout simplement très mauvais ! Nous n’étions pas du tout engagés dans le dernier quart-temps. Nous avons perdu notre concentration. Nous avons tout perdu et c’était fini. »\\n\\nAvec 3 points à 1/7 au tir, 4 passes et une évaluation négative (-5), le Français a du mal à s’ajuster à son nouveau rôle, en sortie de banc. Or, le calendrier à suivre n’est guère facile puisque les Stambouliotes recevront le CSKA Moscou.\\nStats 2016-17 : 4.5 pts à 21.4%, 40% à 3-pts, 100% aux lancers (1/1), 1 rbd, 4.5 pds et 3 bps en 19 min\\n\\nFabien Causeur (Brose Bamberg)\\nBattu et limité par Fenerbahce la semaine passée, Fabien Causeur a goûté à la victoire, 89-86. Titulaire, l’arrière français ne fut cependant pas beaucoup responsabilisé à l’image de ses 15 minutes de temps de jeu (4 pts à 1/4, 2 pds, 1 i bp). Pis, il fut même en difficulté contre les Russes et c’est en sa présence que Kazan a réduit la distance avec Bamberg. Évidemment, le succès de son équipe allemande reste le plus important mais le début de saison européenne de Fabien Causeur n’est pas des plus rassurants à titre individuel.\\nStats 2016-17 : 4 pts à 33.3%, 0% à 3-pts, 100% aux lancers (2/2), 0.5 rbd, 1 pd, 0.5 int en 18.3 min\\n\\nKim Tillie (Baskonia Vitoria)\\nTouché à la cuisse lors de la première journée, Kim Tillie a fait sa rentrée face au Kaunas de Leo Westermann. En manque de sensations, l’ailier-fort fut peu responsabilisé (seulement 8 min de jeu) et il n’a pas pesé sur la rencontre, malheureusement pour son équipe, battue par les Lituaniens. La prochaine rencontre face au Real Madrid sera sans doute plus opportune pour se faire une idée de son état de forme.\\nStats 2016-17 : 2 pts, 0/1 à 3-pts, 100% aux lancers (2/2), 1 rbd, 1 pd en 8 min\\n\\nRodrigue Beaubois (Baskonia Vitoria)\\nToujours blessé, Rodrigue Beaubois n’a pas encore effectué sa rentrée en Euroleague. Il pourrait néanmoins faire son retour face à Madrid la semaine prochaine.\\nStats 2016-17 : N/A"
}, 
{"role": "user",     "content":"NM1 : Saint-Vallier convoqué devant les instances de la FFBB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le club a annoncé la mauvaise nouvelle vendredi sur sa page Facebook, le SVBD est convoqué devant les instances de la Fédération suite à des propos injurieux et racistes qui auraient été lancés à l’intention du corps arbitral et des officiels de la table de marque.\\n\\nLors de la victoire de Saint-Vallier face à Angers (84-71) datant du premier octobre et comptant pour la troisième journée du championnat de Nationale 1, les arbitres ainsi que la table de marque auraient été pris pour cibles par certains supporters qui n’auraient pas hésité à afficher leur mécontentement à travers des insultes et des propos racistes.\\n\\nLe club de la Drôme avait déjà été averti la saison dernière et risque, cette fois, une amende et une suspension de salle."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : David Denave débarque à Vichy-Clermont"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cedric Bah blessé au dos, le club auvergnat de Vichy-Clermont rapporte, sur son site officiel, qu’il vient de faire appel à David Denave en tant que pigiste médical.\\n\\nToujours sans club depuis la fin de la saison dernière après son départ de l’Elan Béarnais, David Denave vient de trouver un point de chute en Pro B, division qu’il a connue avec Saint-Vallier de 2009 à 2012 puis avec Pau lors de la saison 2012/2013.\\n\\nLa saison dernière à l’EBPLO, l’arrière de 30 ans compilait en moyenne à 5,6 points, 1,6 rebond et 1,2 passe décisive pour une évaluation de 5,6."
}, 
{"role": "user",     "content":"Olivier Gouez (2,20m) star de la téléréalité"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Olivier Gouez aurait pu devenir une star du basket. Mesurer 2,20m est une denrée extrêmement rare puisque le seul basketteur français qui lui mange la soupe sur la tête est Vincent Pourchot qui fait deux centièmes de mieux.\\n\\nSeulement le Breton, 110kg, passé par l’INSEP et l’ASVEL n’a jamais véritablement percé en 167 matches professionnels malgré une saison prometteuse en Pro B, à Golbey-Epinal, à 21 ans : 8,2 pts et 4,8 rbds. Un homme lui a toujours fait confiance : Philippe Namyst. D’ailleurs le pivot et le coach se retrouvent aujourd’hui au Vendée Challans Basket en N1.\\n\\nCette semaine le géant a atteint une forme de célébrité mais pas pour ses qualités intrinsèques de basketteur ; il a participé à l’émission de téléréalité « Quatre mariages pour une lune de miel » sur TF1. « J’ai un caractère assez pétillant et je suis d’origine africaine. Alors avec un Breton de 2,20m, on ne passe pas inaperçus », a expliqué Meg, sa femme. Seulement les deux jeunes mariés n’ont pas gagné le concours.\\n\\nPeu importe, Olivier Gouez a une autre tâche très importante à remplir : aider son équipe à sortir de l’ornière, elle n’a gagné pour l’instant qu’un seul de ses six matches.\\n\\nPhoto : Ouest France"
}, 
{"role": "user",     "content":"Céline Dumerc et Sandrine Gruda : le Yin et le Yang"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Aujourd’hui Sandrine Gruda est championne WNBA avec les Los Angeles Sparks. Depuis les Jeux de Londres, il y a quatre ans, Céline Dumerc est une icône du basket et du sport féminin français.\\n\\nEn juin 2011, après avoir passé deux saisons ensemble à Ekaterinbourg, au fin fond de la Russie, les deux jeunes femmes sont en pleine compétition, un Euro en Pologne où l’équipe de France décrochera la médaille de bronze. Dans le salon de l’hôtel des délégations à Katowice, elles se montrent extrêmement disponibles pour parler d’elles-mêmes et l’une de l’autre. Deux profils de joueuses et deux personnalités différentes mais complémentaires, le yin et le yang.\\n\\n« Le leader, la capitaine de l’équipe, c’est Céline. Le leader technique, c’est Sandrine. Toutes les deux ont des personnalités qui sont le yin et le yang, ça va du pôle nord au pôle sud. Sandrine, c’est quelqu’un qui est ambitieux, qui veut réussir. Et si elle est passée à côté contre la Lettonie, elle a montré contre la Grèce que lorsqu’il faut être là, elle est là. Céline a toujours eu du mal à assumer ce statut de favori qu’on nous a collé derrière les oreilles, vous media et nous fédération. » Ainsi Pierre Vincent résumait-t-il les personnalités si contrastées des deux moteurs des Bleus.\\n\\nSur le terrain, Céline est en mouvement perpétuel, au service d’autrui et pour démolir la meneuse d’en face. On la voit constamment en train de haranguer, de conseiller, de regrouper ses troupes. C’est une playmaker, une faiseuse de jeu. Parfois, trop souvent, elle oublie de penser aussi à elle, on a toujours les défauts de ses qualités.\\n\\nL’attention est tout de suite captée par les gestes majestueux de Sandrine. Deux fois de suite, elle a bâché Sancho Lyttle que l’Espagne avait positionnée sur son chemin. À la sortie du terrain, la Martiniquaise lâchait : « Ce qui a fait la différence, ce n’est pas tant le physique que le mental. On voulait gagner plus qu’elles. »\\n\\nAssistante des Bleues, Anna Kotocova, au CV aussi long que celui d’un ministre de la IVe République, évoque toutes les grandes intérieures, d’Ouliana Semenova à Malgo Dydek, qui ont fait trembler l’Europe. « Des phénomènes. On peut dire que Sandrine est celui de l’équipe de France. C’est une battante, une gagneuse. Elle a des qualités physiques hors normes. Mais je pense qu’elle est encore jeune, elle n’a que 24 ans. Elle possède un très grand potentiel, elle a des choses encore à travailler dans le domaine technique pour devenir intouchable. Pour le mental, il n’y a pas de soucis. » Pierre Vincent précise que si Sandrine possède un tir efficient à distance, elle n’est pas toujours à l’aise dos au panier, mais que ces dernières semaines, des progrès sont apparus. « Sa limite aussi, c’est la précision dans le jeu, la lecture, des tas de choses que l’on peut apprendre avec le temps. »\\n\\n« On est juste là pour gagner de l’argent, on en devient des fonctionnaires. On vient à l’entraînement de 17h30 à 19h30, c’est bon, on a justifié le fait qu’on gagne des millions. »\\n\\n\\nEnsemble dans l’Oural\\n\\nAucun club de Pro A ne pourrait proposer le salaire gagné par Céline Dumerc à UMMC Ekaterinbourg. À vue de nez, Sandrine Gruda pèse toute la masse salariale de Hyères-Toulon ou du Havre. Quatre ans déjà que Sandrine a gagné l’Oural, deux saisons que Céline l’a rejointe. Le club n’a pas regardé à la dépense pour constituer une variante de la Grande Armée napoléonienne, et pour forcer le destin, Ekaterinbourg a accueilli le Final Four de l’EuroLeague. Encore une fois, l’équipe a fait flop, toujours en demi-finale, toujours face au Sparta&k Moscou. « On n’a pas commencé à se battre dès le début de la rencontre, on a réagi trop tard. Il y avait aussi un ascendant psychologique du Sparta&k (4 fois champion d’Europe d’affilée) sur nous. Je ne veux pas généraliser, mais cela a provoqué chez certaines un stress pour jouer ce match », rapporte Sandrine.\\n\\nLes deux Françaises sont de concert pour évoquer un état d’esprit qui ne favorise pas la performance. « Il faut une discipline d’entraînement, une hygiène de vie, c’est un tout. Il y a eu un manque de rigueur à ce niveau dans cette équipe, que l’on a payé pour ce match-là », dit pudiquement Sandrine. « Toute l’année, tu attends le Final Four », développe Céline. « Tu te dis que ce sont des joueuses qui ont joué des matches importants, qui seront prêtes, t’as confiance. Et là tu te rends compte que sur dix joueuses, neuf sont nulles à chier. Seule Maria Stepanova a fait un match à peu près correct. Ce qui m’a marquée, c’est le peu d’engagement qu’on y a mis, comme si ça allait naturellement nous tomber dans les mains. On l’a vu venir, j’en parlais beaucoup avec Sabine Juras, la kiné. Pour moi, c’est le problème du business. On est juste là pour gagner de l’argent, on en devient des fonctionnaires. On vient à l’entraînement de 17h30 à 19h30, c’est bon, on a justifié le fait qu’on gagne des millions. Tu as de l’expérience alors tu fais bien semblant, hop, hop, hop, pas de pression du coach, du président, du club, des sponsors. Il n’y a aucune exigence, tu fais ce que tu veux. »\\n\\n« Ma mère est comptable, mon père est carreleur. Ils ne gagnent pas des mille et des cents, mais ils ont des petits plaisirs dans la vie. C’est ce à quoi j’aspire. »\\n\\n\\nRetour au nid\\n\\nSandrine a re-signé pour deux ans à Ekaterinbourg. De multiples raisons ont dicté son choix. Elle a envisagé de changer d’air après le titre européen qui lui a échappé mais elle a été un peu prise de cours. Deuxio, UMMC a été convaincant et la Française, déjà riche de trois titres de championne de Russie, est prête à s’investir encore davantage pour décrocher enfin la timbale. Tertio, curieusement, les propositions ne se sont pas bousculées. « En fait, beaucoup de clubs me positionnent en terme de salaire à une échelle supérieure et estiment que je ne suis pas à leur portée. Ce qu’ils ne savent pas, c’est que je suis prête à revoir mon salaire à la baisse. »\\n\\nVivre sous un ciel bleu et au cœur de la Méditerranée ne déplairait pas à l’Antillaise mais elle n’est pas du genre à déprimer pour autant dans les neiges de l’Oural. « Contrairement à ce que l’on peut penser, Ekaterinbourg est une ville active, la plus dynamique de Russie après Moscou. » Sandrine est un peu dans sa bulle mais ne vit pas pour autant en autarcie. « Je fréquente des gens hors de la sphère basket, des Russes. L’année prochaine, je vais me mettre vraiment à apprendre la langue, aussi ça va améliorer la communication. »\\n\\nCéline a noué sur place une vraie complicité avec l’ancienne kiné de Valenciennes, Sabine Juras, qui a exporté son savoir-faire dans l’Oural. Elle regrette l’absence absolue de contacts avec les supporters d’UMMC mais a apprécié le traitement princier offert aux joueuses, voyage en jet privé, descente dans des palaces, chambres individuelles. On savait pourtant qu’elle ne ferait pas construire là-bas une datcha pour ses vieux jours. Déjà, si elle avait prolongé son séjour d’un an, c’est pour faire oublier une première saison amputée de longues semaines suite à des problèmes médicaux. Et de toute façon, elle avait prévenu son entourage, elle reviendrait bientôt à Bourges, son nid. « Mais quand Anaël (Lardy) a signé au club, je l’ai vue dans ma tête faire la progression que j’avais faite là-bas. J’ai eu peur ! Je me suis dit que si ça se trouve quand je vais revenir, il n’y aura plus de place pour moi. »\\n\\nL’humilité, le doute permanent d’elle-même, le besoin de vivre dans un entourage familier sont parmi les principales caractéristiques de la native de Tarbes. Son plan de retour à la maison, elle l’a mûri dès le mois de décembre. « Il était clair dans ma tête que si Bourges voulait encore de moi, je n’irais nulle part ailleurs. Et j’ai dit au président Pierre Fosset que si je revenais, c’était pour toujours. On a discuté et c’est ensuite que l’on a parlé d’une reconversion au club. » Une fois remisées les baskets, Céline entrera au Centre de Droit et d’Economie du Sport de Limoges et c’est le Bourges Basket qui paiera ses études. Lorsque Céline a appris que Pierre Vincent mettait un terme à son aventure berruyère, elle a été « démoralisée » – un sentiment assez fréquent chez elle – mais elle s’en doutait, dit-elle, à partir du licenciement de Vincent Collet. « J’aurais simplement aimé faire un an de plus avec lui. »\\n\\nDans un basket mondialisé, dans un univers professionnel où l’argent est très généralement la priorité absolue, Céline Dumerc est une incongruité. Elle, c’est le plaisir du jeu et du groupe qu’elle recherche. « Je jouais avec des joueuses de très haut niveau, mais ce n’est pas tout, ça ne fait pas le collectif, le plaisir. C’est vrai que c’est simple de jouer avec Cappie Pondexter, Candice Parker, mais ce qui fait ma passion d’équipe, c’est un jeu collectif, un état d’esprit, l’amour du maillot, tu joues pour des supporters. Et quand c’est du business, il n’y a pas tout ça. C’est chacun pour sa poire. Tu viens faire les entraînements car tu es un minimum professionnelle, mais c’est bien trop individualisé pour que j’y trouve mon compte. Pourquoi on a gagné en trois manches contre le Sparta&K Moscou ? Parce qu’il y avait les vacances derrière ! J’ai vu une joueuse, dont je tairai le nom, qui a fait son meilleur match au Game 3, elle ne voulait pas en faire quatre. »\\n\\nCéline Dumerc a presque honte d’avoir ramassé autant d’argent en Russie et c’est comme un gagnant du Loto qui refuserait de prendre un deuxième ticket alors qu’il saurait pourtant qu’il toucherait une deuxième fois le gros lot. Car, pas de doute, c’est l’une des meilleures meneuses d’Europe et si Ekaterinbourg ne lui plaisait plus, Valence, Fenerbahçe ou une autre super armada aurait fait les yeux doux à ce petit Général. « J’ai une joueuse qui m’a dit « mais tu vas gagner au moins la moitié à Bourges ?! » Je lui ai répondu « jamais de la vie ». Elle m’a dit « respect d’avoir les couilles de faire ça. » Mais pour moi trop d’argent, c’est malsain. Je vois la vie de mes parents », poursuit-elle. « Ma mère est comptable, mon père est carreleur. Ils ne gagnent pas des mille et des cents, mais ils ont des petits plaisirs dans la vie. C’est ce à quoi j’aspire. Si j’étais une grande dépensière, très extravagante, peut-être que j’aurais signé ailleurs. Ce n’est pas le cas. Je considère que de toute manière, on n’aura jamais assez d’argent. Celui qui gagne un million en voudra deux, celui qui en gagne dix en voudra vingt. C’est comme une drogue. Si tu gagnes 2.000 euros, soit heureux avec ce que tu as. Je considère que l’argent ne va pas faire mon bonheur, et j’en ai gagné assez. »\\n\\n« J’aime particulièrement les Etats-Unis... Il y a beaucoup de très bonnes joueuses, le niveau est très élevé et j’aime l’atmosphère, l’industrie. »\\n\\n\\nPas d’affinités\\n\\nSandrine est quelqu’un d’ambitieux, qui prétend au meilleur, qui se donne les moyens de sa réussite. Un talent, une grosse bosseuse aussi qui paraît imperturbable sur le terrain. « Je suis une personne qui stresse comme tout le monde à l’approche d’une rencontre importante, mais j’ai appris à le contrôler. Je ne me laisse pas déborder par les émotions extérieures négatives. Il faut avoir des émotions positives pour avoir des pensées claires, pour agir en fonction. Ça s’apprend. »\\n\\nSandrine paraît toujours dans la retenue, sous contrôle, caparaçonnée, sa froideur extérieure est une arme défensive. « Au début en équipe de France, elle faisait peur alors qu’au contraire, elle est très timide. C’est quelqu’un de très complexe », estime Céline à propos de sa coéquipière. « Parfois, je ne la comprends pas. Je ne dis pas qu’elle est dans le faux et moi dans le vrai. D’ailleurs cela arrive que l’on ne s’entende pas car on ne se comprend pas alors qu’on dit la même chose. »\\n\\nSandrine complimente Céline en la décrivant comme une personne généreuse, ouverte, amicale, et qui lui a beaucoup apporté à Ekaterinbourg de par sa science du basket. Elle confirme pour autant que les deux jeunes femmes n’ont pas d’affinités particulières.\\n\\nUn exemple révélateur de leur personnalité à l’opposé. Céline Dumerc est l’anti-joueuse de WNBA. Un peu comme Laurent Sciarra avec la NBA sauf que, sportivement, la Berruyère aurait sa place dans la ligue d’été américaine. Mais ce n’est pas son style, son kiff. « Je ne suis pas une joueuse qui fait la différence, je fédère... C’est ça le paradoxe. Par moment, je suis en plein doute mais je me dois de le faire. Je m’en fous de ne pas être bien perso et même si je ne joue que dix minutes, je vais tout de même ouvrir ma bouche, c’est un besoin. Et je considère que mon impact va être utile à l’équipe. Pas question non plus de parler pour ne rien dire. J’ai aussi une connexion avec Pierre car ça fait longtemps que je travaille avec lui. C’est un plaisir de partager sa vision du jeu. Je ne suis pas une joueuse extraordinaire », ajoute-t-elle. Une phrase qui revient systématiquement dans ses commentaires. « Je suis dans l’exagération de l’autocritique, c’est mon mode de fonctionnement et c’est aussi ce qui me fait avancer. C’est parce que je considère que je ne suis pas une joueuse extraordinaire que j’ai envie tous les jours d’aller travailler. »\\n\\nCéline, c’est un peu la Reine des abeilles et elle a besoin des autres comme les autres ont besoin d’elle. « Moi sans mes copines, je ne peux pas. Si je n’ai pas un écran, je ne vais pas shooter. J’aime le travail collectif. Contre la Grèce, je suis contente de la fin de mon match car je prends l’initiative d’annoncer la fin d’un système tout con qui fait que l’on marque un panier sur ça. Ce sont des satisfactions qui me suffisent, j’ai fait mon boulot. Alors que j’étais ni au panier, ni à la passe. » En WNBA, elle serait aussi à l’aise qu’une ado au milieu de Chippendales.\\n\\nÀ l’inverse, Sandrine se sent pousser des ailes quand elle franchit l’Atlantique. « Il m’a fallu un temps pour m’adapter mais c’est vrai que j’aime particulièrement les Ėtats-Unis. C’est un endroit où c’est l’inconnu et ça m’intrigue de pouvoir faire des performances là-bas. Il y a beaucoup de très bonnes joueuses, le niveau est très élevé et j’aime l’atmosphère, l’industrie. » La Française n’y est pas encore une vraie tête d’affiche mais à 24 ans, tout lui est encore permis, même si son sérieux coup de barre l’été dernier lui a démontré qu’il ne faut pas courir après une multitude de lièvres à la fois.\\n\\nAu niveau de la notoriété, Sandrine et Céline sont à un niveau comparable. La différence, c’est que la Martiniquaise là aussi est plus entreprenante ; elle a contracté avec une boîte de com’ martiniquaise, Market One, et cela a débouché sur une campagne de pub pour Air Caraïbes avec Mike Piétrus et Kevin Séraphin. Cela a intrigué Sport Stratégie et aussi RTL qui l’a invitée dans son émission « On refait le sport » où elle a notamment expliqué qu’elle gagnait plus d’argent en Russie qu’en WNBA. « Ce type d’intervention me plaît énormément, j’aime être près des gens. » Céline aussi, mais plus à l’ancienne, autour d’un capuccino ou d’un mojito.\\n\\nParu dans BasketNews en juin 2011."
}, 
{"role": "user",     "content":"Monaco : l’invincible armada"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tout le monde s’accorde sur le sujet : la défense de Monaco fait peur. Elle n’encaisse que 65,5 points par match et elle étouffe, concasse, dégoûte ses adversaires.\\n\\nOuest France a demandé son avis sur la question à Nikola Antic, le coach de Chalons-Reims qui remarque que tout le monde met la main dans le cambouis dans la Roca Team même ceux qui passaient auparavant pour être complaisants dans ce secteur. Nikola Antic tente une explication.\\n\\n« Pourquoi ce club a réussi à transformer certains en bons défenseurs ? Monaco a peut-être un autre mode de fonctionnement que les autres clubs du championnat. Des primes de match ? Le président peut virer les joueurs sans négocier, ce qui n’est pas le cas pour nous. Un joueur coupé de Monaco ne retrouverait pas facilement d’aussi bonnes conditions de vie ailleurs. »\\n\\nLe côté Mur de l’Atlantique des Monégasques s’expose dans deux catégories statistiques révélatrices, les interceptions et les contres, où ils sont les numéros un de la Pro A avec respectivement 11,5 et 4,25 par match.\\n\\n\\nNuméro 1 au dunk\\n\\nSeulement, les hommes de Zvezdan Mitrovic sont aussi après 4 matches les numéros un en attaque (87,0 pts) avec le sens du collectif (20,0 passes, 2e) et de la précision (56,5% de réussite à deux-points, 2e). On peut même ajouter qu’ils s’amusent et qu’ils font le spectacle puisqu’ils sont en tête du classement des dunks (5,75).\\n\\nC’est Le Mans qui accueille l’ogre monégasque ce soir à 18h30 à Antarès. Le MSB pourra t-il résister à l’invincible armada ? Les deux équipes qui ont eu droit pour l’instant à l’addition la moins salée sont Villeurbanne et Chalon ; ils ont quand même pris chacun 16 points dans la musette."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 22 octobre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nCes jeunes passés par le centre de formation du SLUC Nancy basket et qui jouent en Pro A – Pro B en 2016-2017\\n\\n– Nancy. Le centre de formation du SLUC, géré par l’Association à Gentilly, a formé nombre de joueurs depuis sa création en 2001. On en retrouve... Lire la suite.\\n\\n\\nL’adversaire du SLUC Nancy Basket : le BCM Gravelines en difficulté\\n\\n– Nancy. Après avoir changé toute son équipe ou presque, Christian Monschau peine à lancer son BCM. Et l’objectif de participer aux play-offs est pour... Lire la suite.\\n\\n\\nBasket-ball : A Gentilly, « je me sens un peu chez moi » confie Mathis Keita (BCM Gravelines) quelques heures avant d’affronter le SLUC Nancy\\n\\n– Nancy. Adolescent, le Thionvillois de naissance a passé des dizaines d’heures sur le parquet de Gentilly à s’entraîner, avant de partir pour l’INSEP... Lire la suite.\\n\\n\\nBasket-ball : après son premier succès en Pro A, le SLUC Nancy veut enchaîner face à Gravelines\\n\\n– Enfin vainqueur le week-end dernier à Chalon, le SLUC enchaîne contre Gravelines, une équipe qui a mal démarré le championnat. La défense sera... Lire la suite.\\n\\n\\n28,25\\n\\n– C’est l’évaluation moyenne de DJ Cooper, après quatre rencontres de Pro A. De loin la meilleure du championnat. Quatrième scoreur (17,8 pts) et... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCooper, le maestro\\n\\n– Après quatre journées de Pro A, DJ Cooper (25 ans, 1,83m), le meneur palois, présente des statistiques affolantes. Auteur d’un triple double, samedi... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCoupe du Crédit Mutuel au menu\\n\\n– Les championnats régionaux et départementaux font relâche jusqu’au 5 novembre. Le week-end qui arrive sera consacré à la coupe du Crédit Mutuel de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPfastatt déroule\\n\\n– Les basketteurs pfastattois n’ont pas laissé planer l’ombre d’un suspense jeudi soir à Richwiller au Trophée Coupe de France... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nESSM Le Portel: pas mal du tout ce deuxième Cô-Pinard\\n\\n– Dix-sept matchs à la maison pour un maintien que les uns et autres soupèsent à la (bonne) dizaine de victoires. Pas besoin d’être le frangin d’Einstein pour... Lire la suite.\\n\\n\\nNancy – Gravelines : qui résistera le mieux à la pression?\\n\\n– La pression n’est pas à son paroxysme pour ces deux formations, mais elle apparaît déjà élevée. Nancy a enfin débloqué son compteur à Chalon-sur-Saône, m... Lire la suite.\\n\\n\\nPlus haut que le Rocher ?\\n\\n– Après 4 journées, deux équipes écrasent tout sur leur passage : Monaco et Nanterre. Le premier n’a fait qu’une bouchée de l’Elan il y a trois... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nECHOS\\n\\n– Dans le cadre de la rencontre Aix/Maurienne-Roanne le 18 novembre, Roanne 1 937 organise un déplacement en bus. Tarifs (transport + match) : 25 euros... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTrophée coupe de France : Salins sur la lancée ?\\n\\n– Les Salinois de Redjali Simati se déplacent ce soir à Pontarlier (20h) pour le tour régional du Trophée Coupe de France. Irrésistibles en... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRoche reçoit la JL Bourg\\n\\n– Pas de journée de championnat ce week-end mais les 8es de finale de la Coupe de la Ligue du Lyonnais pour Roche qui reçoit la JL Bourg, ce soir à 20 h... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes filles de l’Entente Ondaine au complet\\n\\n– Les filles de la CTC Ondaine reçoivent à Unieux, ce dimanche, l’équipe de Villeurbanne en Coupe de la Ligue. Les joueuses de l’Entente (Unieux,... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond se frotte à Montbrison\\n\\n– Victorieuse de La Gresle au tour précédent, l’équipe réserve de Saint-Chamond (N3M) défie Montbrison (N2M), dans le cadre des 8es de finale de la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCompliqué pour les équipes de l’Ain\\n\\n– Les équipes de l’Ain auront fort à faire pour passer le cap des huitièmes de finale de la coupe de la Ligue... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe Puy : contrarier les champions en titre\\n\\n– Ce soir, à 18 heures, au gymnase des Rougières, l’équipe du Puy s’en va à Hyères pour y défier le champion de France en titre à l’occasion de la 3e... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL cumule une première victoire et un avertissement sans frais\\n\\n– Le public d’Ekinox a été servi hier soir. Il a vu ses favoris s’imposer (76 à 74). Il a aussi eu droit à un final plein de suspense. À l’ultime... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLyon sur ses gardes à Montbrison\\n\\n– Battu en quarts de finale de la coupe de France la saison dernière par Montpellier, vainqueur de l’épreuve face à Bourges, Lyon Basket retrouvera... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« On n’a rien maîtrisé du tout »\\n\\n– « La manière ne va pas. On démarre très mal. On n’a pas mis l’intensité défensive qu’il fallait. On est plus dans ce que l’on faisait en Leaders Cup... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nConfirmer la victoire de samedi dernier\\n\\n– Andrézieux se rend en Bretagne sans toutes ses armes mais regonflé par son récent succès face à Orchies... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa Chorale les pieds dans le tapis\\n\\n– Roanne n’est plus invaincu. Si les Choraliens ont dominé, ils n’ont jamais su « tuer » le match et Evreux l’a pris avec cran devant un public... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe RBF s’écroule en deuxième mi-temps\\n\\n– Après une première mi-temps maîtrisée face au leader de la Ligue féminine, les Roannaises s’inclinent lourdement 41-67... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBCMF : oublier un soir le championnat\\n\\n– Les Foréziennes encore en course pour le trophée Joé Jaunay n’ont rien à perdre face au Lyon BF. L’occasion de s’exprimer sans stress et d’enflammer... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCopié, collé, coulé\\n\\n– Contre Poitiers, Saint-Chamond a rejoué le mauvais scénario de la semaine dernière contre Fos. En mal d’adresse (38 %), pas assez dur en défense, le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nNelson: « Une décision facile à prendre »\\n\\n– Le remplaçant de Vaughn n’a pas hésité longtemps avant de signer à l’Asvel. Pas qualifié, il suivra le match de ce soir sur le banc... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDijon n’y était pas\\n\\n– En ouverture de la 5e journée de Pro A, Dijon (11e), se déplaçait sur le parquet de Châlons-Reims (6e ). La JDA a d’abord réussi à maintenir un écart... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nGruda triomphe et file en Turquie\\n\\n– Les Los Angeles Sparks et leur internationale française Sandrine Gruda ont remporté le Championnat professionnel nord-américain de basket féminin... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTrophée Coupe de France\\n\\n– MASCULINS > Cajo Vierzon (R2) – UTBM (N2). Face à une formation de Régionale 2 qui débutera la rencontre avec un bonus de 14 points, l’UTBM, coachée ce soir par Nicolas Serdos (qui assure l’intérim dans l’attente de la nomination du successeur de Sébastien Duval, écarté mardi), entend livrer un match sérieux afin d’ass... Lire la suite.\\n\\n\\nA chaud\\n\\n– Christophe Léonard (meilleur marqueur de Poitiers avec 21 points)\u2009: « Ça nous tenait à cœur de lancer notre saison, surtout à domicile. Après, je peux le dire, le gros faux pas à Charleville. On a pris une bonne claque là-bas, on n’a pas joué ensemble. Du coup on a bossé dur cette semaine pour bien préparer la réception de Saint... Lire la suite.\\n\\n\\nLe Poinçonnet en quête de bonus\\n\\n– PLBR Tours (R2) Le Poinçonnet (N2) Boudé par les clubs pendant de nombreuses saisons, le trophée coupe de France est devenu intéressant depuis qu’il permet de distribuer des bonus pour le classement en championnat. Certes, il faut gagner plusieurs matchs avant escompter grappiller une unité ou obtenir un ranking favorable. Néanmoins, le jeu en... Lire la suite.\\n\\n\\nIls ont eu du succès\\n\\n– Poitiers – Saint Chamond\u2009: 75-58 Solides en défense, habiles en attaque, les joueurs du PB ont proposé un jeu intéressant pour la suite. A confirmer... Lire la suite.\\n\\n\\nIl faut lancer la saison\\n\\n– L’ADA Blois joue ce soir son premier match à domicile dans le championnat de Pro B. Une belle occasion de lancer sa saison après sa défaite à Denain... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Léo Westermann brille dans la victoire contre Vitoria"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans une superbe soirée d’Euroleague, Léo Westermann s’est illustré du côté de Kaunas. Le meneur tricolore a mené son équipe du Zalgiris à la victoire face à Vitoria (78-73), en cumulant notamment 20 points (9/15 aux tirs), 4 rebonds et 4 passes pour 24 d’évaluation. Ce sont tout simplement des records en carrière aux points et à l’éval’ !\\n\\nInspiré à la passe décisive, mais aussi incisif en pénétration, avec des finitions à la Rigaudeau, Westermann a régalé. Il a été décisif dès le troisième quart avec son adresse de loin quand le Zalgiris recollait au score. Et encore en fin de partie avec un layup acrobatique que le Roi de Bologne n’aurait pas renié. Bref, une prestation accomplie pour l’ancien limougeaud – et sans la moindre perte de balle – qui était resté discret pour sa première sortie (4 points, 3 passes, 3 rebonds).\\n\\n« Je pense tout simplement qu’on a suivi notre plan de jeu cette fois-ci. Lors des derniers matchs, on a fait pas mal d’erreurs par rapport au plan, et ce soir, on a été plus sérieux. On a joué dur, on a eu pas mal de rebonds offensifs grâce à ça. On s’est bien battu. Et devant ce public, c’était vraiment super ! » savoure Westermann.\\n\\n\\nWestermann « répond présent dans les moments clés »\\n\\nEn face, il n’y avait malheureusement toujours pas de Rodrigue Beaubois (dont le retour continue d’être repoussé, de trois semaines, on est passé à six !). Quant à Kim Tillie, il a été limité à 7 minutes de jeu pour 2 points et 1 rebond. Pas la grande forme pour la colonie française en Pays Basque.\\n\\nPour Vitoria, ce sont Adam Hanga (18 points) et Andrea Bargnani (17 points) qui ont longtemps permis d’y croire. Et même Shane Larkin en fin de match. Mais le Zalgiris a tenu bon dans le sprint final grâce à Westermann. Brock Motum (12 points) est le seul autre joueur en double figure pour Kaunas.\\n\\n« Le coach [Sarunas Jasikevicius] m’a fait venir pour ça », conclut Léo. « Pour que je réponde présent dans les moments clés. Dans les gros matchs. C’est ce que j’ai essayé de faire ce soir. Le coach me fait confiance et je veux lui donner raison. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le CSKA Moscou s’arrache mais s’impose contre le Pana"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"S’ils n’ont plus Dimitris Diamantidis dans leurs rangs, le Panathinaïkos a encore de sérieux arguments pour jouer le haut du tableau en Euroleague cette saison. Ils ont cependant dû s’avouer vaincus sur la toute fin face aux champions en titre du CSKA Moscou, mais les coéquipiers de Demetris Nichols (20 points) ont donné du fil à retordre à l’armada moscovite. Derrière 20 points d’Andrey Vorontsevich et Nando De Colo, le CSKA s’impose pour la deuxième fois en deux matchs (81-77). Une victoire aux forceps, mais qui confirme le maîtrise du tenant du titre.\\n\\n\\nDemetris Nichols motivé contre son ancienne équipe\\n\\nÇa commence fort pour les champions en titre. La balle circule bien et Andrey Vorontsevich enfile les tirs à trois points comme des perles. Il en rentre trois de suite... et provoque même une faute sur une quatrième tentative ! Le CSKA mène facilement 17-5. Mais c’est l’ancien de la maison, Demetris Nichols, qui relance le Pana avec un trois points, et même un contre en deuxième rideau sur James Augustine. Les Greens terminent fort ce premier quart, sur un 14-5 précisément (22-19).\\n\\nLe deuxième quart est d’une autre teneur. Avec 7 points marqués de part et d’autre en 7 minutes, c’est un match à l’étouffée. Les défenses ont nettement pris le dessus. Nando De Colo se fait salement contrer par James Gist mais en face, les grecs n’arrivent pas non plus à trouver la faille, si ce n’est sur de rares incursions telle celle tout en puissance de KC Rivers. Avec 14 points en 9 minutes, Vorontsevich est le seul à surnager à la pause (35-30), avec un bon Aaron Jackson également (9 points). Quant aux leaders habituels, De Colo et Teodosic, ça donne 3 petits points à 1/8 aux tirs en cumulé...\\n\\n\\nA la fin, c’est toujours Nando qui gagne\\n\\nLes moscovites se font même prendre à froid au retour des vestiaires. Au moyen d’un 11-3 d’emblée, le Pana reprend le contrôle du match, et à vrai dire, les grecs sont plus physiques, plus durs sur les contacts. De Colo a beau se réveiller offensivement, le Pana tient bon la barre avec Singleton et Gist qui s’envolent respectivement au alley oop et au dunk. Ce n’est que grâce à un ultime tir primé de Vorontsevich, encore lui, que le CSKA revient à un point avant le dernier quart (58-57).\\n\\nAprès avoir raté ses 5 premiers tirs du match, De Colo va retrouver la foi et porter son équipe du CSKA vers la victoire. Dans cette fin de match serrée jusqu’au bout, face à un Nichols (20 points) survolté face à ses anciens camarades, Nando va refroidir les ardeurs hellènes sur la ligne de réparation. Mais que ce fut compliqué pour Moscou. Nick Calathes (10 points, 9 rebonds, 8 passes) est passé tout près du triple double mais le Pana a manqué d’adresse dans le crunch (81-77).\\n\\n« C’est l’Euroligue. On doit être prêt à une bataille à chaque match », a expliqué De Colo après le match. « On a bien débuté le match, c’est ce qu’il fallait. Derrière, ils sont revenus fort parce qu’ils ont de la fierté. On a dû batailler mais le plus important est la victoire finale. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : le programme TV de SFR Sport 2"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque semaine, trois rencontres sont au programme sur les antennes de la nouvelle chaîne SFR Sport 2 qui a obtenu les droits de diffusion du basket français et des équipes de France de basket.\\n\\n\\nLe Mans accueille l’invincible Monaco\\n\\nCette cinquième journée de championnat commence donc samedi à 18h30 sur SFR Sport 2 avec le match entre Le Mans et Monaco. A Antarès, le MSB est invaincu cette saison avec trois victoires en autant de matchs. Après une défaite de 20 points en championnat face à Nanterre (90-70), les Manceaux ont ensuite enchaîné par une victoire face à Venise à la maison et auront à coeur de garder cette bonne dynamique pour créer la surprise face à l’ASM. De son coté, Monaco est intraitable en ce début de saison, à domicile comme à l’extérieur, les hommes Zvezdan Mitrovic l’emportent à chaque fois. Cinq victoires en cinq matchs pour l’équipe de la principauté qui est invaincue en championnat et en Champions League.\\n\\n\\nStrasbourg en dernière chance à Pau\\n\\nTreizième au classement mais avec le même bilan que la lanterne rouge qui est Orléans (1v-3d), la SIG doit à tout prix se reprendre dimanche à Pau (coup d’envoi de la rencontre à 18h30) d’autant plus que son président Martial Bellon commence à s’impatienter. Pour l’Elan Béarnais, c’est tout le contraire, puisque tout va bien dans le Béarn. Trois victoires en quatre matchs pour la formation d’Eric Bartecheky avec un D.J. Cooper en mode MVP qui assure 17,3 points, 8 rebonds et 12,3 passes décisives (meilleur passeur de Pro A) de moyenne par match pour 28,3 d’éval (meilleure évaluation de Pro A).\\n\\n\\nLe Paris-Levallois se déplace à Cholet\\n\\nEnfin, pour clôturer cette cinquième journée de Pro A, le Paris-Levallois, qui était 14e au classement la saison dernière, démarre cet exercice 2016/2017 de la plus belle des façons avec trois victoires et une seule défaite face au BCM. Avec un Vincent Poirier en pleine progression et qui est actuellement en position de top rebondeur de Pro A avec 11 prises par match, le PL voit plus grand cette saison et aura l’intention de confirmer lundi à 20h30 à Cholet. Le CB qui est 7e au classement avec deux victoires et deux défaites, bien emmené par les 15,3 points d’Ilian Evtimov, aura certainement l’intention de renverser la tendance à domicile et de passer à un bilan positif en engrangeant une troisième victoire en cinq matchs après celle enregistrée lundi à Limoges (79-72)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : la tension monte du côté de Strasbourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Six matchs officiels et seulement une victoire pour la SIG qui était pourtant finaliste des derniers playoffs de Pro A. Dans son édition du jour, les DNA publient une interview dans laquelle Martial Bellon, le président du club, tire la sonnette d’alarme.\\n\\nA la tête du club strasbourgeois depuis 2010, Martial Bellon, avoue être agacé du jeu que propose son équipe depuis le début de saison, entre défaites en championnat et défaite en Champions League.\\n\\n« Nous ne produisons pas du beau basket, voire pas de basket du tout. En tout cas pas du basket qui nous permet de gagner des matchs. C’est préoccupant. »\\n\\nLes résultats tardent à arriver dans le Bas-Rhin et la question du coaching fait, évidemment, vite surface. Henrik Dettmann est-il en danger?\\n\\n« Pas aujourd’hui », assure Mertial Bellon.\\n\\nDu côté des supporters, il semble pourtant être grand temps de changer d’entraîneur et de remercier le sélectionneur Finlandais qui, en plus d’être blessé au genou ce qui l’empêche de participer pleinement aux rencontres, ne trouve pas de solution pour permettre à la SIG d’être à la hauteur des attentes du directoire et des supporters.\\n\\n« J’espère que l’ego des dirigeants ne les poussera pas à garder Henrik Dettmann pour se prouver qu’ils ont eu raison de ne pas continuer avec Vincent Collet... On est au fond du trou là... » envoie Cédric Litzelmann sur la page Facebook de la SIG.\\n\\nCe week-end, pour le compte de la cinquième journée de Pro A, Strasbourg se déplace à Pau le 23 octobre et se rend à Avellino le 26 dans le cadre de la deuxième journée de Champions League. Même s’il a conscience que ce sont des gros morceaux, Martial Bellon annonce qu’il commence à manquer de patience et qu’il serait préférable d’obtenir des résultats sur ces matchs-là.\\n\\n« Il faut rattraper les erreurs qui ont été faites. Et il serait le bienvenu de gagner à Pau, même si c’est une équipe qui est en pleine bourre. Quant à Avellino, contrairement à la Juventus Utna, c’est une bonne équipe et on sait que ce ne sera pas simple. J’espère donc que les joueurs vont nous proposer autre chose que cette bouillie de basket. Ma patience à ses limites et là, on s’en rapproche, a-t-il conclu. »\\n\\nRappelons que lors de la saison 2011/2012, la première de Vincent Collet à Strasbourg, tout n’était pas non plus tout rose. Après cinq matchs, la SIG affichait un bilan négatif avec trois défaites pour deux victoires avant de passer à trois victoires pour autant de défaites. Fin décembre, après le match contre le BCM Gravelines-Dunkerque, l’équipe dirigée par l’actuel sélectionneur de l’équipe de France n’avait toujours pas trouvé l’équilibre (5v-7d). Au terme de la saison, la SIG pointait à la dixième place du classement avec un bilan de 14 victoires et 16 défaites."
}, 
{"role": "user",     "content":"Équipe de France : Thomas Heurtel confiant pour l’avenir"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Malgré la défaite de son équipe face à Olympiakos, hier, en Euroleague, Thomas Heurtel a pris le temps de revenir avec Eurohoops sur l’avenir de l’équipe de France. Pour le meneur, les départs de trois des cadres de l’équipe (Tony Parker, Mike Gelabale et Flo Piétrus) signifie aussi une plus grande place octroyée à sa génération et il est très confiant sur la pérennité des bons résultats de la sélection.\\n\\n« Nous devons sans aucun doute prendre plus de responsabilités mais je pense que de grands succès vont venir pour la France. » estime-il. « Nous avons de grands joueurs, tous très proches les uns des autres. L’atmosphère est vraiment bonne et nous avons un très bon coach. On se connaît très bien, je pense que nous allons réussir. Espérons que cela commence l’été prochain avec l’Eurobasket. »\\n\\nLe meneur de l’Anadolu Efes Istanbul est aussi revenu sur sa relation avec Vincent Collet, récemment prolongé à la tête de la sélection. Depuis le passage de ce dernier à la tête de l’ASVEL, les deux hommes ont connu des épisodes houleux mais l’international assure que c’est désormais de l’histoire ancienne. D’ailleurs, ils furent un temps représentés par la même agence, ce qui ne serait pas étranger au rapprochement des deux hommes. Aujourd’hui, les rapports sont revenus à la normale.\\n\\n\\n« La situation est très bonne entre Vincent Collet et moi »\\n\\n« Nos relations sont bien meilleures avec Vincent Collet. La situation est très bonne entre nous. Il me donne beaucoup de responsabilités et je pense qu’il m’en donnera plus l’été prochain. Entre temps, j’espère que je me serais amélioré et que je serais prêt pour la compétition. »\\n\\nÀ demi-mots, le Biterrois évoque son début de saison compliqué en Euroleague (4.5 pts à 21.4%, 4.5 pds et 3 bps en 19 min et deux matchs) mais la saison est encore longue, et cette mauvaise entame ne remet probablement pas en question son futur rôle au sein de la sélection."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Spanoulis passe la barre des 3 000 points marqués"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Jeudi soir, à l’occasion de la large victoire de l’Olympiakos face à l’Anadolu Efes (90-66), comptant pour la deuxième journée d’Euroleague, l’irrésistible Vassilis Spanoulis a passé la barre symbolique des 3 000 points marqués en C1, comme le rapporte Eurohoops.\\n\\nDevant les supporters du Pirée, Spanoulis est devenu le second joueur de l’histoire de l’Euroleague à inscrire au moins 3 000 points en carrière. Il est seulement devancé par Juan Carlos Navarro qui culmine à 3 992 points marqués en C1 et qui va sans doute devenir le premier joueur à y inscrire 4 000 points en carrière lors de la prochaine journée de la compétition.\\n\\nCette saison, le meneur de jeu grec tourne à 14,5 points, 3,5 rebonds et 7 passes décisives de moyenne en deux matchs d’Euroleague."
}, 
{"role": "user",     "content":"Frédéric Forte révèle les coulisses tendues du Orléans Loiret Basket"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Frédéric Forte, président du Limoges CSP, parle sans langue de bois ce matin dans La République du Centre et révèle publiquement un secret de coulisses sur le Orléans Loiret Basket.\\n\\n« Orléans est un club au moins aussi compliqué en interne qu’en externe. Il y a la moitié des gens en interne qui veut la peau de l’autre moitié. Ça transpire tellement aujourd’hui. Toute la France du basket en parle. À un moment, ça en devient même un peu risible. »\\n\\nForte se demande même si certains ne souhaitent pas la défaite de leur club préféré...\\n\\n« On se demande si tout le monde est derrière son équipe. On a l’impression qu’il y a la moitié du club qui applaudit quand il y a victoire face à Strasbourg et l’autre moitié qui se gratte la tête en se disant : « Oh m... ». C’est lourd. De l’extérieur, c’est lourd. Malgré tout, il y a de quoi faire, des compétences à peu près partout. »\\n\\nLimoges joue à Orléans demain soir.\\n\\nL’intégralité de l’interview est à lire ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview : Marcellus Sommerville (Orléans) est tombé amoureux de la France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cela fera bientôt dix ans que Marcellus Sommerville appartient au paysage de la Ligue Nationale de Basket. Arrivé à Angers lors de la trêve de Noël en 2006, l’ailier-fort n’a plus vraiment quitté les parquets français depuis, hormis une parenthèse de deux ans entre 2013 et 2015. Neuf clubs, 228 matchs et un titre de champion plus tard, l’Orléanais se penche sur sa carrière. Un parcours personnel qui vient de prendre une nouvelle dynamique puisque l’ancien Choletais a découvert dans le Loiret une nouvelle vertu : la stabilité.\\n\\nMarcellus, dix ans après ta sortie de Bradley University, c’est la première fois que tu entames la nouvelle saison dans le même club que la précédente. C’est quelque chose que tu recherchais ?\\n\\n(Il rit) La saison dernière, ma famille a vraiment adoré vivre à Orléans et pour moi, d’un point de vue basket, ça a été un vrai plaisir de jouer à l’OLB. Vous savez, ma famille grandit et a besoin de plus de stabilité. Je voulais rester à Orléans un peu plus d’un an, le club était d’accord donc j’étais plus qu’heureux de prolonger.\\n\\nLa saison n’a pas idéalement démarré avec déjà trois défaites en quatre rencontres...\\n\\nPour l’instant, ce début de saison est un peu difficile en effet. Avec une meilleure gestion du money-time, nous aurions pu aisément gagner le dernier match à Antibes (perdu 70-76). Je pense qu’il faut que l’on trouve un moyen de mieux terminer les matchs.\\n\\nComment définirais-tu cette nouvelle équipe d’Orléans ?\\n\\nJ’aime cette équipe. La plupart des gars de l’année dernière sont revenus. C’est un grand plaisir d’avoir retrouvé les Antoine (Eito et Mendy), Kyle (McAlarney), Luc (Loubaki), Abdel (Kader Sylla) et de pouvoir à nouveau jouer avec eux. Nous avions très bien fini la saison dernière donc je pensais qu’on allait être bons cette année. Voilà, nous ne sommes pas aussi bons que je ne l’imaginais mais on s’améliore et c’est le plus important. Il va falloir continuer à progresser.\\n\\n« Le niveau de la Pro A est beaucoup plus élevé qu’il y a dix ans »\\n\\nD’un point de vue individuel, tu es toujours aussi bon qu’il y a dix ans, voire même plus fort. Comment fais-tu ?\\n\\n(Il rit) Je fais très attention à mon corps. Bien sûr, ma femme m’aide beaucoup avec ça en me nourrissant bien. Je me prépare sérieusement chaque été, je prends soin de mon physique pendant la semaine en saison. Mais cela vient avec l’expérience je pense. Toute cette expérience accumulée me permet de continuer à être bon aujourd’hui.\\n\\nHormis quelques courtes incartades à l’étranger, tu as passé l’immense majorité de ta carrière professionnelle en France. Pourquoi ?\\n\\nParce que la France a été super avec moi. J’ai commencé ma carrière en Hongrie où j’étais dans une mauvaise situation et arriver en France juste après fut un grand plaisir. Je suis tombé amoureux du pays à Angers et je ne suis pas vraiment reparti. La France est comme ma seconde maison maintenant.\\n\\nQue penses-tu de l’évolution de la Pro A depuis tes premiers pas dans le championnat en 2007 ?\\n\\nA mon avis, le niveau est beaucoup plus élevé maintenant qu’il ne l’était il y a dix ans. Il y a beaucoup plus d’équipes qui peuvent prétendre au titre de champion.\\n\\n« Nous voulons que mon fils obtienne la nationalité française »\\n\\nCombien de temps veux-tu continuer à jouer ?\\n\\nJusqu’à ce que je ne puisse plus jouer (il rit). Non, je disais que j’arrêterai dans trois ou quatre ans si mon corps tient jusque-là. J’aurai alors 38/39 ans. Je serai comme Tim Duncan (il rit). Mon fils, Lathan, est un très bon jeune joueur et nous voulons vraiment qu’il obtienne la nationalité française. Donc je vais continuer à jouer quelques années, c’est sûr. Il a 11 ans, il fait déjà 1,77 m et il est très intelligent sur le terrain. Il est bilingue. Il y a une autre chose qui me motive, c’est que je ne me sens pas respecté dans ce championnat car j’ai toujours bien joué mais je n’ai jamais été sélectionné pour le All-Star Game. Bon, il n’y a qu’une seule saison où je voulais vraiment y aller : c’était à Nancy, mais je crois que l’équipe n’était pas assez bonne, même si mon coéquipier Solo Diabaté a été sélectionné. Ma devise, c’est que le travail bat le talent quand le talent n’arrive pas à travailler.\\n\\nTu as des plans pour l’après-carrière ?\\n\\nJ’aimerais bien être un scout, en NBA. J’ai un ami qui est le directeur de la cellule scouting des New Orleans Pelicans. Ou pourquoi pas devenir entraîneur. La seule chose dont je suis sûr, c’est que je veux rester dans le monde du basket. J’ai été à côté d’un ballon pour si longtemps que je ne pourrais pas le jeter quand je ne pourrais plus jouer du tout.\\n\\n\\nLES SOUVENIRS DE MARCELLUS\\n\\n» J’ai beaucoup aimé les supporters roannais, ils étaient toujours chauds »\\n\\nAngers\\n\\nJ’ai fait le choix de la Pro B car c’était la seule option que j’avais en fait. Je suis allé à Angers pour un très petit salaire mais j’avais simplement envie de jouer dans un bon pays. Mon agent, Nicolas Paul, insistait sur le développement que je pourrais connaître si je jouais bien en Pro B donc j’ai commencé à Angers. J’aurais très bien pu débuter en Pro A si cela ne tenait qu’à moi mais il fallait bien démarrer quelque part et le seul job disponible pour moi était à Angers.\\n\\nChalon-sur-Saône\\n\\nJ’ai suffisamment bien joué à Angers afin de décrocher une offre de Chalon pour les playoffs. J’ai pu évoluer sous les ordres de Greg Beugnot. J’ai très bien joué et on est allé jusqu’en demi-finale, contre Roanne.\\n\\nLe Havre\\n\\nNous avions une très bonne équipe avec beaucoup de talents : un Ali Traoré encore jeune, Fabien Causeur, J.K. Edwards avec peut-être un peu moins de kilos (il rit), Wen Mukubu, John Cox... L’équipe était vraiment d’un bon niveau.\\n\\nRoanne\\n\\nC’était sympa de jouer avec Jean-Denys Choulet, l’équipe était très bonne aussi cette année-là mais je me suis gravement blessé après sept matchs. J’ai dû me faire opérer et je n’ai pas pu rejouer avant une pige en Belgique en mars. Mais c’était une très bonne expérience à la Chorale. J’ai beaucoup aimé les supporters roannais, ils étaient toujours chauds.\\n\\nCholet\\n\\nJe suis revenu à Chalon-sur-Saône pour deux mois dans un rôle de pigiste médical avant de partir pour Cholet (Ndlr : afin de remplacer Claude Marquis, parti à Caserte). Il y avait vraiment de très bons joueurs dans cette équipe, le résultat est là pour le prouver : nous avons été champions. C’était vraiment super. Je voulais absolument prolonger à Cholet mais je crois qu’Erman Kunter voulait un joueur plus expérimenté pour l’Euroleague.\\n\\nParis-Levallois\\n\\nAprès mon départ non-souhaité de Cholet, les choses ne se sont finalement pas trop mal goupillées pour moi puisque j’ai pu jouer pour Jean-Marc Dupraz qui est un coach qui a vraiment compté dans ma carrière. Vivre à Paris était vraiment sympa, différent de tout ce que j’avais connu jusque-là : beaucoup de monde et tellement de choses à faire.\\n\\nLe Mans\\n\\nAvec le MSB, on aurait pu surprendre tout le monde car Chalon gagnait absolument tout lors de cette saison. Mais malheureusement, on a raté notre finale contre l’Elan. J’aurais voulu rester au Mans mais on n’a pas pu trouver un terrain d’entente.\\n\\nNancy\\n\\nÇa s’est bien passé au SLUC avec Jean-Luc Monschau même si l’équipe n’a jamais été performante, notamment à cause de plusieurs blessures. Cela nous a empêché d’exploiter notre potentiel.\\n\\nLe joueur le plus fort que tu as affronté en France\\n\\nC’est une bonne question... Les joueurs que je préférais affronter étaient Ricardo Greer et Jawad Williams. Le plus fort, c’était Nicolas Batum, pendant la saison du lock-out.\\n\\nLe coéquipier le plus fort\\n\\nC’est difficile à dire... John Linehan était l’un des meilleurs. John Best et Jermaine Guice étaient vraiment très bons aussi.\\n\\nLe coéquipier qui t’a le plus appris\\n\\nLes trois mêmes que la question précédente : Linehan, Best et Guice. Ils m’ont vraiment beaucoup influencé, que ce soit sur le terrain ou dans la vie de tous les jours.\\n\\nLe coach qui a le plus d’impact sur toi\\n\\nOh, pas simple ! Il y en a plusieurs. Bien sûr, Mickael Hay a été un très bon entraîneur pour moi pendant ma première année à Angers. Sinon aujourd’hui, je parle encore à Greg Beugnot, les frères Monschau, Jean-Marc Dupraz... Raphaël Gaume (assistant de Gregor Beugnot à Chalon) aussi car après mon opération du genou, il m’a aidé avec des exercices supplémentaires de musculation et de tirs. Tous les jours, je faisais ça avec Joffrey Lauvergne : un-contre-un et exercices physiques avant et après chaque entraînement.\\n\\nLa meilleure équipe que tu aies vue en France\\n\\nJe pense à l’ASVEL, à l’époque où ils avaient Chevon Troutman et Ali Traoré. Ils étaient vraiment très bons. Je crois même qu’ils ont gagné le titre (Ndlr : en 2009).\\n\\nLe coéquipier le plus drôle\\n\\nAnthony Christophe, lors de ma première saison à Angers. Le mec le plus fou que je n’ai jamais vu. Mais un bon gars.\\n\\nSa fiche d’identité\\n\\n\\nAméricain – Poste 4 – 2,00 m – Né le 21 février 1982 à Peoria (Illinois)\\n\\nSon parcours :\\n\\nBradley University (NCAA, 2003/06), Atomeromu (Hongrie, 2006), Angers (Pro B, 2007), Chalon-sur-Saône(Pro A, 2007), Le Havre (Pro A, 2007/08), Roanne (Pro A, 2008), Mons-Hainaut (Belgique, 2009), Chalon-sur-Saône (Pro A, 2009), Cholet (Pro A, 2009/10), Paris-Levallois (Pro A, 2010/11), Le Mans (Pro A, 2011/12), Nancy (Pro A, 2012/13), Aliaga Petkim (Turquie, 2013/14), Würzburg (Allemagne, 2014), Regatas Corrientes (Argentine, 2014/15), Orléans (Pro A, 2015/17).\\n\\nSon palmarès :\\n\\nChampion de France en 2010 avec Cholet.\\n\\nPhoto : Pour Info Orléans"
}, 
{"role": "user",     "content":"CSP Limoges : faut-il s’inquiéter pour DaShaun Wood?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Populaire fait régulièrement un état des lieux pertinent du CSP et c’est le cas dans sa livraison de ce matin. Matthieu Marot détaille poste par poste « les carences du Limoges CSP ».\\n\\nAu rayon des meneurs DaShaun Wood (1,85m), l’homme au bandeau banc, est en première ligne des accusés.\\n\\n« Il devait être le joueur capable de sublimer ce CSP sans grande star. Celui susceptible de lui faire gagner des matches mal embarqués. Mais pour le moment DaShaun Wood ne répond pas à toutes les attentes placées en lui. Il donne l’impression de ne pas avoir toutes les cannes qui ont fait de lui un joueur majeur du championnat lors de son époque mancelle ».\\n\\nLe journaliste du Popu évoque la saison 2013-14 lorsque le natif de Detroit fut reconnu par ses pairs et le panel de représentants des médias comme le meneur numéro 1 de la Pro A devant Antoine Diot et Andrew Albicy et le troisième au scratch des joueurs étrangers après Randal Falker et AJ Slaughter.\\n\\nDe fait, ses stats ont régressé depuis. Son évaluation de 13,5 au Mans était passée à 11,2 à Cholet et se fige après quatre matches à Limoges à 9,3 avec un très insuffisant 6/22 à trois-points, pourtant l’une de ses armes favorites.\\n\\nIl ne s’agit peut-être -sinon probablement- que d’une question de mise en jambes. DaShaun Wood n’est pas du genre à décevoir les espoirs mis en lui. Un exemple : pour son retour à Antarès, il y a un an, il s’était montré longtemps discret, peu adroit. Et puis, dans le money time, il avait mis les paniers assassins en se frappant la poitrine de contentement. Wood n’a jamais eu peur de prendre les shoots de la gagne. Au bilan de ce soir-là, presque un triple double : 12 points (à 3/11 seulement), 10 passes et 7 rebonds et une victoire de Cholet de 10 points (79-69).\\n\\nDifficile de croire qu’à 31 ans DaShaun Wood soit cramé. Disons que c’est un diesel. Mais c’est vrai que le CSP a besoin d’un meneur à 100% s’il ne veut pas broyer du noir tout au long de l’hiver."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 21 octobre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nBasket-ball : le passage de Florent Pietrus au SLUC Nancy, une trace qui marque\\n\\n– Florent Piétrus revient à Nancy où il a passé trois saisons. Les Nancéiens qui l’ont côtoyé ou affronté dressent le portrait d’un joueur hors-norme... Lire la suite.\\n\\n\\nDes supporters au bord de la crise de nerfs\\n\\n– La grogne monte dans les rangs des supporters strasbourgeois, excédés par les résultats bien sûr, mais aussi et surtout par la manière. Et tout le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Ma patience a ses limites »\\n\\n– Martial Bellon dresse un tableau sans concession du début de saison strasbourgeois. Si l’entraîneur n’est pas – encore – sur un siège éjectable, le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTransfert : un intérieur en approche\\n\\n– Le président Bellon a annoncé que la SIG avait trouvé un accord avec un nouvel intérieur, sans en dévoiler le nom. « Maintenant, cela ne dépend pas... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDes résultats mitigés pour le club\\n\\n– Si les résultats du basket club de Cernay ont été mitigés le week-end dernier, il y a eu des satisfactions nouvelles du côté des jeunes... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nHuttenheim en coupe\\n\\n– Le week-end à venir sera consacré au premier tour de la coupe du Crédit Mutuel. Congés scolaires obligent, il n’y aura que quelques rencontres de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nKaysersberg s’est bien repris\\n\\n– Plus motivés, les Mulhousiens ont entamé le match tambour battant bien aidés par une défense kaysersbergeoise aux abonnés absents, hier soir en match... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nABC Lutterbach\\n\\n– Pour le deuxième tour de la Coupe du Crédit Mutuel, les brasseurs (D1) se rendront samedi (20 h 30) à Reiningue (D3), qui bénéficiera d’un bonus de 20... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’US Wittenheim s’attaque au leader\\n\\n– L’USW accueille le Paris Basket Avenir, leader de la poule G de NF3, samedi (15 h 30) salle Coubertin à Wittenheim... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBellon : « Ce n’est pas acceptable »\\n\\n– Déçu par le début de saison raté de la SIG en Pro A et Coupe d’Europe, le président strasbourgeois Martial Bellon a décidé de taper du poing sur la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Le match le plus spécial »\\n\\n– Nanterrien pendant 7 ans, Jérémy Nzeulie a été champion en 2013 avec le club francilien. Il y retourne pour la première fois, demain, avec son nouveau... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDerby entre Firminy et Saint-Chamond\\n\\n– Les 8es de finale de la Coupe de la Ligue féminine proposent une belle affiche à l’AL Firminy-Chazeau-Fayol, qui accueille ce soir les pensionnaires... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe RBF face à l’armada landaise\\n\\n– Le RBF reçoit ce soir en 1/16ème de finale de Coupe de France, un club de Ligue Féminine qui n’est autre que Basket Landes, le club de Céline Dumerc... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn contexte à gérer sans complexe\\n\\n– Laurent Pluvy et Joe Burton vont retrouver la salle de leurs exploits. Mais les Choraliens, avec le retour de Kanervo, espèrent bien revenir sans... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Je suis ultra-impatient ! »\\n\\n– Jonathan Hoyaux, ailier du SCB... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPoitiers, le bout du tunnel ?\\n\\n– Pour la première fois cette saison, Saint-Chamond évoluera au grand complet. L’occasion de montrer enfin un meilleur visage chez un adversaire qui lui... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDes « afters » qui font mal à la tête...\\n\\n– Comme en 2009, l’Asvel a de nouveau beaucoup de mal à enchaîner après la conquête d’un titre de champion de France... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nMonaco et Nanterre sur un boulevard\\n\\n– Les deux leaders Monaco et Nanterre sont en mesure de préserver leur invincibilité ce week-end lors de la 5e journée de ProA face à des équipes du... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg en défense toute\\n\\n– Pour remporter leur premier match à domicile, les Bressans vont devoir arrêter les Normands sans complexe... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe Poinçonnet, adversaire de taille pour le PLBR\\n\\n– Le Trophée coupe régionale, antichambre du Trophée Coupe de France, se déroule ce week-end. Plusieurs clubs tourangeaux, en particulier les féminines du PLBR qui reçoivent Le Poinçonnet (N2), sont sur la ligne de départ.FémininesPLBR (PRF) – Le Poinçonnet (N2). C’est un peu le pot de terre contre le pot de fer\u2009! Les Tourangelles sont promues cet... Lire la suite.\\n\\n\\nThinon, le match d’après\\n\\n– Poitiers – Saint-Chamond Après le camouflet à Charleville, le meneur poitevin évoque une prise de conscience qui doit conduire le PB à la victoire... Lire la suite.\\n\\n\\nL’avis du coach\\n\\n– Puymirol (3e-9 pts) – Tursan Chalosse (6e-8 pts).- Les Puymirolais peuvent s’estimer heureux de leur succès à Seyches, le week-end dernier (80-86). Car les joueurs de Nicolas Bourgade n’égalisèrent qu’à la 39e minute (80-80). La réception de Tursan Chalosse sera un autre sommet dans la salle de la Bastide, Puymirol étant annoncé incomplet. Les Chalossais, après deux défaites initiales, face à Préchacq et à Orthez ont retrouvé leur meilleur... Lire la suite.\\n\\n\\nLe derby des mal classées\\n\\n– Régionale 2 Boé-Bon-Encontre (12e-4 pts) – Castillonnès (11e-4 pts).- Après quatre journées, deux équipes n’ont encore pas goûté aux joies de la victoire : Boé-Bon-Encontre et Castillonnès. Les Lot-et-Garonnaises, il va sans dire, sont en fâcheuse posture au classement et, pour l’heure, seraient reléguées en Régionale 3. Ce sera donc un derby sans concession, salle Chaussard, pour une première victoire. Après une brillante saison 2015-2016 et... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Sandrine Gruda, première Française championne WNBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un panier à l’arrache de l’ailière Nneka Ogwumike (1,88m, 26 ans) à 3 secondes du buzzer a changé cette nuit la face de la finale des playoffs WNBA. Les Los Angeles Sparks ont vaincu sur leur sol et devant 19 423 spectateurs atterrés le Minnesota Lynx, champion en titre, 77-76. Avec 28 points et 11 rebonds l’intérieure Candace Parker (1,93m, 30 ans) a rayonné sur ce Game 5 et a été récompensée par un titre de MVP.\\n\\nSandrine Gruda profite de l’aubaine pour devenir la première Française championne WNBA*. Elle est entrée en jeu seulement 2’44 sans prendre d’initiative. Les Sparks n’ont joué qu’à sept et aucune des quatre autres étrangères, la Belge Ann Wauters, la Serbe Ana Dabovic, la Russe Evgenia Belyakova et la Montégrine Jelena Dubljevic n’ont foulé le parquet, ce qui a confirmé la tendance observée tout au long de cette finale.\\n\\nSandrine Gruda avait auparavant joué trois saisons avec le Connecticut Sun (2008-10) avant d’être échangé contre un premier et un second tour de draft. Elle avait déjà porté le maillot jaune des Sparks lors de la saison 2013-14 et cet été elle a fait un break après les JO de Rio avant de les rejoindre et de disputer les 7 derniers matches de saison régulière.\\n\\nLa Martiniquaise ajoute ainsi un trophée à une belle collection qui comprend notamment un titre de championne d’Europe (2009), deux médailles d’argent (2013 et 15), une de bronze (2011) et une médaille d’argent olympique (2012) avec l’équipe de France, et deux Euroleague (2013 et 16) avec les Russes d’Ekaterinbourg.\\n\\nSitôt le titre fêté, elle va rejoindre Fenerbahçe pour une première expérience en Turquie.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=s2wMjQXJoDc\\n\\nLos Angeles b. Minneapolis : 3-2\\n\\nLos Angeles b. Minneapolis* : 78-76\\n\\nMinneapolis* b. Los Angeles : 79-60\\n\\nLos Angeles* b. Minneapolis : 92-75\\n\\nMinnesota b. Los Angeles* : 85-79\\n\\nLos Angeles* b. Minneapolis : 77-76\\n\\n*En 2006 Sabrina Palie (1,70m) avait fait partie en saison régulière (11 matches) de l’effectif du Detroit Shock, champion NBA, mais pas de celui des playoffs."
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce : Xavi Pascual nouvel entraîneur du Panathinaikos"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quelques jours après le départ d’Argyris Pedoulakis, le Panathinaikos lui a trouvé son successeur, et il s’agit de Xavi Pascual.\\n\\nSelon les informations de David Pick, les deux parties se seraient mis d’accord sur un contrat de trois ans.\\n\\nVainqueur de l’Euroleague avec le FC Barcelone qu’il a coaché de 2008 à 2016, Pascual est actuellement en Espagne et devrait faire ses débuts avec le Pana lors de la troisième journée de l’Euroleague face à Bamberg le 26 octobre prochain.\\n\\n\\n\\n\\nSource: Panathinaikos has concluded its coaching search and is hiring Xavi Pascual to three-season deal as new head man.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) 20 octobre 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Champions League : retour sur la première journée des clubs français"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En plus d’avoir obtenu les droits TV de la compétition et donc de diffuser les matchs des représentants français en Champions League, Canal+ Sport propose de courts résumés des rencontres, à retrouver sur leur chaîne Dailymotion.\\n\\nPour leur première sortie en BCL, nos clubs français ont rendu un bilan équilibré, Le Mans (68-49) et Monaco (65-47) se sont imposés, tandis que l’ASVEL (82-83) et la SIG (84-91) se sont, eux, inclinés.\\n\\n\\nBasket Champions League – Résumés des matchs et... par CanalPlusSport\\n\\n\\nBasket Champions League – Retour sur la 1ère... par CanalPlusSport"
}, 
{"role": "user",     "content":"Philippe Legname : « Sur le plan de la densité, la LFB est la meilleure ligue d’Europe »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Philippe Legname a plusieurs facettes. C’est le Directeur Général du Hyères-Toulon Basket, un club de Pro A, et aussi le président de la Ligue Féminine (LFB), tout en étant le père de Laurent, le coach de la JDA Dijon. Sachez aussi qu’il est membre du Comité Directeur de la FFBB et de la LNB. De multiples raisons pour que Basket Europe l’interroge. Voici la deuxième partie de l’interview.\\n\\n« C’est bien pour l’équipe nationale d’avoir un championnat plus serré, plus fort avec des matches au couteau »\\n\\n\\nLa réduction de l’élite et son assainissement\\n\\nUn parallèle peut être fait entre les deux championnats dans lesquels vous êtes impliqués. En Pro A, on dénombre 18 clubs, un record en Europe avec l’Espagne, alors que vous réduisez le nombre en ligue féminine de 14 à 12 ?\\n\\nCe n’est pas le même modèle économique. C’est impossible d’avoir 18 clubs en filles dans une ligue. Pour citer l’exemple des déplacements : un club de Pro A se déplace la veille avec un bus de 50 places avec hôtel le soir et le lendemain alors qu’en ligue féminine, c’est souvent départ le matin dans deux mini bus et retour dans la nuit (NDLR : il est ainsi arrivé à Valéry Demory, coach de Lattes-Montpellier champion de France, de conduire le mini bus de son équipe). On a voulu resserrer l’élite car le calendrier des filles était démentiel. Celles de Bourges ont fait l’année dernière plus de 70 matches entre le championnat, la Coupe de France, la Coupe d’Europe, l’équipe de France. Il y a maintenant des « fenêtres internationales » en novembre et février, ce qui raccourcit le calendrier. Cela implique des rythmes de matches tous les deux ou trois jours. Il faut penser à l’intégrité physique des joueuses de l’équipe de France et de la Ligue Féminine. Cela va permettre aussi au championnat de gagner en qualité et c’est bien pour l’équipe nationale d’avoir un championnat plus serré, plus fort avec des matches au couteau qui peuvent permettre aux joueuses de progresser.\\n\\nEn féminines, c’est marquant : il y a les internationales qui font souvent l’Euroleague, qui jouent un nombre considérable de matches dans une saison et des joueuses du banc d’une équipe de seconde moitié de classement qui n’ont pas beaucoup de minutes à se mettre sous la dent ?\\n\\nC’est vrai et c’est pourquoi on a mis au point une formule de playoffs à huit et une autre de playdown pour permettre à chacun d’avoir plus de matches. La finale est en trois manches gagnantes et ça peut donc aller jusqu’en cinq matches (voir ici). A l’initiative de la ligue féminine et du président de la fédération, on va faire un séminaire sur la ligue féminine où l’on invitera tous les présidents de club afin de définir la politique pour les quatre prochaines années. C’est à dire formule de championnat, formation, etc.\\n\\nQu’en est-il aujourd’hui des finances des clubs ? Il y a peu plusieurs ont disparu de la circulation alors que Lyon Basket a eu chaud aux fesses. Vous avez créé un fonds de réserve pour les clubs de LFB et de Ligue 2.\\n\\nDeux choses. Il y a d’abord eu la mise en place d’un contrôle de gestion qui a fait un excellent travail. On a perdu effectivement plusieurs clubs, Challes, Perpignan, pour raisons financières. A la suite de ces liquidations, on a décidé de créer un fonds de réserve qui oblige les clubs, en quatre ans, à mettre 10% de leur budget de côté, ce qui permet en cas de coup dur, de problème de subvention, de pouvoir faire face immédiatement. Bien souvent la liquidation judiciaire était prononcée car les clubs étaient coincées au niveau trésorerie. Aujourd’hui pas un club est déficitaire et ils ont ce fonds de réserve. Il faut savoir que la Ligue Féminine 2 était pratiquement en cessation de paiement il y a cinq ou six ans. Sur les 14 clubs, 8 ou 9 étaient financièrement dans le rouge. Aujourd’hui aucun n’est en déficit. Il y a eu un très bon travail de la part du contrôle de gestion et de la fédération.\\n\\nCe sont les recettes des clubs qui ont augmenté où y a t’il eu un frein dans les salaires ?\\n\\nLes deux. Tous les clubs ont augmenté leurs budgets que ce soit au niveau des partenariats et de la billeterie et en plus une sagesse s’est établie au niveau des salaires. Lorsque j’ai pris la Ligue Féminine il y a quatre ans, mon discours a été de dire aux présidents de Ligue Féminine 2 que le seul moyen de maîtriser leurs budgets c’est la masse salariale. Les frais fixes, les déplacements, vous ne pouvez pas les bouger. Aujourd’hui l’ensemble des clubs ne dépensent pas plus que ce qu’ils ont.\\n\\n« On va avoir au minimum 12 matches de championnat retransmis dont 4-5 en clair sur Numéro 23 plus les playoffs, ça fera une vingtaine de matches »\\n\\n\\nAffluences et médiatisation\\n\\nL’équipe de France a depuis 2009 des résultats exceptionnels et contrairement à la Pro A, la majorité des joueuses sont dans la LFB. Ça booste les affluences ?\\n\\nLe fait que ces joueuses soient sur le territoire prouve déjà que le championnat est de bon niveau. Sur le plan de la densité, de la valeur des douze équipes, la LFB est la meilleure d’Europe. On a toujours une ou deux internationales à l’étranger (Ndlr : quatre cette année vis à vis du roster des JO de Rio avec Héléna Ciak, Sandrine Gruda, Endy Miyem et Isabelle Yacoubou) mais c’est très important d’en avoir dans notre championnat. Aussi, nous n’avons pas en filles la NBA qui joue pendant la saison, la WNBA c’est durant l’été. Sur le plan des affluences, on note une progression partout avec Bourges et ses 3 500 spectateurs en numéro un. Sa nouvelle salle a permis à Charleville de doubler ses spectateurs. Angers a un public important, Mondeville et Villeneuve d’Ascq font pratiquement le plein à chaque fois. Basket Landes fait toujours entre 2 500/2 600 spectateurs. Il y a vraiment une évolution importante et gratifiante au niveau des clubs féminins.\\n\\nLe contrat avec SFR va permettre la diffusion d’un nombre de matches record de Ligue Féminine sur SFR Sport 2 et Numéro 23 en clair ?\\n\\nOn va avoir au minimum 12 matches de championnat retransmis dont 4-5 en clair sur Numéro 23 plus les playoffs, ça fera une vingtaine de matches. Il faut savoir aussi que l’ont fait des matches en direct sur lfbtv, 15 à 18 par an, et pas mal de gens regardent. C’est vrai que cette exposition permet de développer la ligue féminine.\\n\\nCes matches sur lfbtv constituent un investissement, il faut des moyens de production important ?\\n\\nOui. Nous avons créé à la fédération une ligne budgétaire sur le plan de la féminisation qui permet d’aider les clubs quand il y a des retransmissions.\\n\\nOn constate actuellement un désir de féminiser le sport. Vous le constatez au niveau de la LFB ?\\n\\nC’est déjà une demande des politiques de développer le sport féminin. A la fédération, 38% de nos licenciés sont des féminines et on est à ce niveau là le premier sport collectif en France. Il y a une vraie volonté de développer le basket féminin et d’avoir une ligue féminine très forte. Il faut faire remarquer que dans notre ligue 65% des joueuses sont françaises. En LNB, c’est l’inverse c’est 65% d’étrangers.\\n\\nMême si au fur et à mesure des années l’anglais est devenu en LFB la langue principale ?\\n\\nJe le regrette mais c’est inéluctable. C’est vrai que je préfère entendre parler français sur le banc.\\n\\nA ce propos, et c’est davantage au membre du Comité Directeur de la fédération que je m’adresse : ça ne vous choque pas que les arbitres parlent en anglais aux joueurs dans le championnat de France ?\\n\\nSi... Mais le problème c’est que si un arbitre donne une information à un joueur étranger en français, il ne va pas comprendre. Le débat c’est de savoir si l’arbitre doit donner une information ou pas.\\n\\nMais doit-on nommer comme capitaine un joueur qui ne parle pas français ?\\n\\nÇa dépend du joueur, de sa personnalité... Des joueurs américains ont un charisme, une présence tels qu’ils sont nommés capitaines.\\n\\nLes joueuses sont très proches de leurs supporters, il existe un côté familial plus forts que du côté des garçons. La barrière de la langue n’est-elle pas chez les garçons un frein à cette proximité ?\\n\\nChez les filles existe une certaine stabilité, les mêmes joueuses restent plusieurs années dans le même club, ce qui créé un lien avec les spectateurs et le tissu local. En garçons, on change de joueurs pratiquement chaque année ce qui fait que les spectateurs n’ont plus avec eux de relations durables. Ils ne se côtoient que sur huit mois.\\n\\nC’est inéluctable ?\\n\\nJe le regrette mais je ne vois pas comment on peut revenir en arrière. Prenez le cas de mon club. Si je le pouvais tous les joueurs français que j’ai actuellement, je les garderais chez moi pendant cinq ans. Mais je sais très bien que tous vont partir l’année prochaine car ils vont évoluer, progresser, aller à un niveau où je ne pourrai plus leur assurer un contrat correspondant. Ils vont partir dans un club plus huppé. Limoges a essayé de le faire avec Fréjus Zerbo, Ousmane Camara et Nobel Boungou-colo et ils ont fait signer à Mathieu Wojciechowski un contrat de cinq ans. Mais vous voyez la difficulté, ils n’ont déjà pas pu garder Boungou-colo.\\n\\n« C’est le président de la fédération, Jean-Pierre Siutat, qui désigne le président de la Ligue Féminine »\\n\\n\\nCandidat à sa succession\\n\\nComment se réparti au quotidien votre travail à la Ligue Féminine avec la directrice générale Irène Ottenhof ?\\n\\nElle fait un très bon travail, déjà de part sa formation car elle est professeure de sport, elle a été basketteuse et entraîneur. Elle a le côté technique, éducatif et administratif. On a derrière une équipe de cinq personnes à la ligue féminine très compétente. Mes relations avec la directrice sont très simples, elle s’occupe de l’opérationnel et moi de l’aspect politique. On parle tous les deux de toutes les décisions prises au Bureau Fédéral et au Comité Directeur et c’est appliqué immédiatement sur le terrain.\\n\\nEtes vous impliqué au niveau européen ?\\n\\nJe ne suis pas dans les instances européennes mais lorsque je me déplace à l’occasion des matches de Coupe d’Europe, j’essaye de prendre contact avec les dirigeants des équipes adverses. J’essaye aussi de me déplacer aux Final Four européen afin d’assister au colloque qui a lieu à cette occasion afin de voir les évolutions du basket féminin en Europe.\\n\\nLa présidence de la Ligue Féminine est réattribuée après chaque élection fédérale. Celle-ci s’est tenue le week-end dernier. Alors êtes-vous candidat à votre propre succession ?\\n\\nC’est le président, Jean-Pierre Siutat, qui désigne le président de la Ligue Féminine et il est ensuite proposé au Comité Directeur qui valide. Ça se fera les 4-5 novembre. Je saurai si je suis reconduit dans mes fonctions.\\n\\nVous le souhaitez ?\\n\\nJe suis candidat et je m’en suis ouvert auprès du président. Il sait que je souhaite conserver cette présidence de la ligue féminine, celle du haut niveau et de membre du Comité Directeur de la LNB. C’est lui qui décide et je ferai ce qu’il me demande de faire.\\n\\nPhoto : FFBB/BELLENGER/IS"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro 2017 : France-Pays Bas en clair sur la chaîne 23"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le match de qualification à l’Euro 2017 entre la France et les Pays-Bas, qui se tiendra le samedi 19 novembre à 18h30 à Chalon-sur-Saône, sera diffusé en clair sur la chaîne Numéro 23 (canal 23 de la TNT).\\n\\nA l’aller, les Bleues se sont imposées à Amsterdam, 76-52.\\n\\nPar ailleurs, cette rencontre ainsi que France-Croatie, le mercredi 23 novembre (20h30) à Clermont-Ferrand, seront retransmises sur SFR Sport 2."
}, 
{"role": "user",     "content":"Champions League : la grosse performance d’Alpha Kaba face à Avellino"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mardi soir, pour le compte de la première journée de la Champions League, l’équipe serbe du Mega Leks recevait les Italiens d’Avellino.\\n\\nMalgré la défaite des siens (84-70), un Français a brillé, et il s’agit d’Alpha Kaba qui, en 25 minutes passées sur le terrain, termine meilleur joueur de son équipe en compilant 18 points (5/8 aux tirs et 7/11 aux lancers), 9 rebonds et 3 interceptions pour une évaluation de 21.\\n\\nFormé à l’Elan Béarnais entre 2013 et 2015, le natif de Blois avait choisi d’imiter Léo Westermann ou Joffrey Lauvergne en prolongeant son apprentissage du basket en Serbie. Et c’est plus précisément au Mega Leks qu’Alpha Kaba a atterri la saison dernière, où il a retrouvé un autre Français, Timothé Luwawu, qui va entamer sa carrière en NBA avec les Sixers.\\n\\nHabitué des équipes de France jeunes (U18 en 2014 pour le championnat d’Europe et U20 lors du championnat d’Europe en 2015), Kaba assure en moyenne 10 points et 5 rebonds en Ligue Adriatique avec le club serbe du Mega Leks."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le conflit Euroleague – FIBA du côté des télés"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce matin, dans sa page « Médias », le quotidien L’Equipe revient sur le conflit Euroleague/FIBA vu du côté des diffuseurs français.\\n\\nAinsi, beIN Sports, qui possède les droits jusqu’en 2017, est forcément pénalisé par la défection des clubs français même si sept de nos meilleurs joueurs garnissent des formations étrangères.\\n\\n« En termes d’audience, un match avec un club français fait le double ou le triple par rapport à un match entre le champion d’Europe et son adversaire le plus fort », révèle le consultant de la chaîne Jacques Monclar.\\n\\nEn ce qui concerne le montant des droits, L’Equipe informe que beIN Sports verse environ 1 million d’euros par saison pour l’Euroleague et que le groupe Canal+ aurait mis sur la table un peu plus pour la Basketball Champions League de la FIBA. Le contrat a été signé en dernière minute et l’information n’a pas encore été infusée par le public si l’on se réfère à la faible audience de mardi soir pour Monaco-Francfort sur Canal+ Sport: 20 000 spectateurs en moyenne."
}, 
{"role": "user",     "content":"Barcelone : Petteri Koponen est de retour"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme le club catalan l’a rapporté sur son compte officiel Twitter via une courte vidéo, Petteri Koponen est de retour sur le parquet du Palau Blaugrana pour la première fois depuis son accident de voiture.\\n\\nD’après Sportando, le meneur Finlandais a été autorisé par les médecins à reprendre les activités liées au basketball et devrait même être d’attaque d’ici une semaine pour reprendre la compétition avec le Barca.\\n\\nLa saison passée, Koponen compilait 11,4 points, 2 rebonds et 3,6 passes décisives de moyenne en 35 matches avec le Khimki Moscou.\\n\\n\\n\\n\\nPetteri Koponen, a pista / @KoponenPetteri, en el inicio del entrenamiento / Kop is here! #fcblive pic.twitter.com/FmFWMVJ58g\\n\\n\\n— FCB Basket (@FCBbasket) 20 octobre 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"ASVEL : Amine Noua prend son destin en main"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ASVEL est sortie avec le mal de crâne du Lino Oldrini de Varèse. Le match qu’elle a globalement dominé s’est terminé de la pire des façons. L’Estonien Kristjan Kangur, qui a porté ses couleurs il y a une demi-douzaine d’années, lui a infligé du coin droit, en fin de possession, et à une poignée de dixièmes du buzzer final, un trois-points fatal, 82-83.\\n\\nAu moins, au chapitre des satisfactions les Villeurbannais peuvent-ils ranger la production d’Amine Noua qui a compilé 8 points et 6 rebonds regroupés en 14 minutes.\\n\\nCe Lyonnais pure souche, formé depuis la catégorie poussins à Villeurbanne, est l’un des espoirs du basket français à observer au microscope. Né en février 1997, Amine n’a que 19 ans. Ailier-fort de petite taille (1,99m) mais avec de longs bras, il montre beaucoup d’énergie et il n’a pas froid aux yeux. Des blessures ont jusqu’ici entravé son parcours mais il est désormais d’aplomb.\\n\\nAu Mondial U17 en 2014 n’avait-il pas affiché des chiffres éblouissants : 18,7 points et 8,4 rebonds ! Une performance qui a eu sa confirmation cet été à Helsinki à l’Euro des U20 : 15,8 points et 8,2 rebonds avec la meilleure évaluation des Bleus à 18,7. Son abattage lors des deux derniers matches (21 pts et 15 rbds face à la Finlande et 10 pts et 11 rbds face à la Belgique) sauvèrent l’équipe de France d’une humiliante relégation.\\n\\nAlors qu’Alexandre Chassang ne s’est pas imposé à l’ASVEL et cherche à se relancer à Hyères-Toulon, Amine que le club a envisagé cet été de prêter, prend donc visiblement son destin en main."
}, 
{"role": "user",     "content":"Michel Morandais (ASVEL) : «C’est difficile de perdre comme ça»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mercredi soir, l’ASVEL se déplaçait à Varese pour y affronter l’équipe italienne à l’occasion de la première journée de la Champions League.\\n\\nAprès un match disputé de bout en bout entre les deux formations, ce sont finalement les Italiens qui se sont imposés 83-82 grâce à un tir à trois points assassin de Kristjan Kangur inscrit à 0,6 seconde de la fin du match.\\n\\n\\nCinquième revers en six matches...\\n\\nA l’issue de la rencontre, le coach villeurbannais s’est exprimé sur cette défaite de son équipe, la cinquième en six matchs officiels depuis le début de saison.\\n\\n« C’était un match très serré, des deux côtés du terrain. Nous avons fait un bon travail pour aller rapidement de l’avant et contrôler le tempo. En deuxième mi-temps nous n’avons pas été aussi incisifs pour contrôler le tempo, nous avons trop perdu de ballons et avons laissé trop de rebonds offensifs à nos adversaires, a-t-il avoué en conférence de presse d’après-match. La différence dans les rebonds offensifs et sur les pertes de balles est très importante, à tel point qu’ils ont pu avoir 12 tirs de plus que nous. Evidemment, c’est difficile de gagner à l’extérieur mais nous avons quand même vu des choses intéressantes et nous nous préparons déjà mentalement pour le prochain match. »\\n\\nMichel Morandais a également eu l’occasion de donner son ressenti suite à cette défaite.\\n\\n« C’est toujours difficile de perdre de cette manière mais comme le coach l’a dit, les deux équipes ont tout donné. Ce n’est jamais facile de venir jouer ici. Tout le monde s’est donné à fond et a essayé d’apporter quelque chose à l’équipe mais de perdre comme ça sur un tir difficile dans le corner alors que nous étions devant de deux points, c’est difficile. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Thomas Heurtel en double double"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Seize joueurs pour neuf pays, le contingent tricolore a bien regonflé ses troupes pendant l’intersaison. De la Lituanie à l’Espagne, de l’Allemagne à la Grèce en passant par la Russie et la Chine (!), Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n\\nPas de stress contre Patras pour Tsagarakis\\n\\nEn cette rentrée, les Français qui brillent sont surtout à trouver du côté de la Turquie. Après Adrien Moerman la semaine passée, ce fut au tour de Thomas Heurtel de briller le weekend dernier. Le meneur de l’Efes Istanbul n’avait pas joué la première journée de championnat, mais il s’est largement signalé pour son retour : 10 points, 12 passes, 5 rebonds et 3 interceptions en 23 minutes seulement ! L’ancien palois a noirci la feuille de stats alors que son équipe a explosé Ankara.\\n\\nL’autre performance du weekend est à mettre à l’actif d’Angelo Tsagarakis. Le shooteur de Trikala a été en réussite avec 16 points en 32 minutes, meilleur scoreur du match. Surtout, il a bien aidé son équipe à acquérir sa première victoire en championnat.\\n\\nEn Allemagne, tout roule encore pour Fabien Causeur. Son équipe de Bamberg est invaincu après 6 journées, et à ce premier pointage, l’ancien de Vitoria tourne à 10 points (46% de réussite), 3 rebonds et 3 passes en moyenne. Seul hic, son 25% à trois points !\\n\\n\\nEdwin Jackson toujours en forme\\n\\nDu côté de l’Espagne, c’est encore Edwin Jackson qui est le meilleur scoreur du contingent tricolore. L’arrière de l’Estudiantes finit à 12 points, 4 rebonds et 3 passes dans la victoire de son équipe. On notera le retour à l’action de Kim Tillie (qui est resté capot) pour Vitoria, ainsi que les 10 points (mais 5 balles perdues) d’Andrew Albicy... précisément battu par Vitoria ce weekend !\\n\\nFinalement, et alors que la VTB League en Russie est en pause, il convient de souligner les prestations solides de Léo Westermann (8 points, 4 passes) et Alpha Kaba (9 points, 5 rebonds) respectivement en Lituanie et en Serbie.\\n\\nMerci également à nos lecteurs de nous avoir signalé l’arrivée en Italie d’un autre joueur tricolore. En l’occurrence, Amath M’Baye, ancien d’Oklahoma et des Clippers (en ligue d’été). Le bordelais brille actuellement à Brindisi avec 20 points, 7 rebonds et 3 passes de moyenne pour ses trois premiers matchs en Lega !\\n\\n\\nAllemagne\\n\\nFabien Causeur (Bamberg) :\\n\\n * 12 points (4/8 aux tirs), 2 passes, 1 rebond en 17 minutes (victoire 93-82 face à Göttingen)\\n * 6 points (3/7 aux tirs), 5 rebonds, 2 interceptions, 1 passe en 26 minutes (victoire 93-87 face à Bremerhaven)\\n\\n\\nChine\\n\\nGuerschon Yabusele (Shanghaï) : pas de match\\n\\n\\nEspagne\\n\\nEdwin Jackson (Estudiantes) : 12 points (5/11 aux tirs), 4 rebonds, 3 passes en 25 minutes (victoire 86-74 face à Fuenlabrada)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 10 points (4/9 aux tirs), 2 passes et 5 balles perdues en 23 minutes (défaite 77-95 face à Vitoria)\\n\\nAli Traore (Estudiantes) : 4 points (2/4 aux tirs), 1 contre en 13 minutes (victoire 86-74 face à Fuenlabrada)\\n\\nKim Tillie (Vitoria) : 0 point (0/4 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes en 11 minutes (victoire 95-77 face à Andorre)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : pas de match\\n\\nRodrigue Beaubois (Vitoria) : n’a pas joué – blessé (victoire 95-77 face à Andorre)\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAngelo Tsagarakis (Trikala) : 16 points (5/9 aux tirs), 4 rebonds en 32 minutes (victoire 65-60 face à Patras)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Brindisi) : 22 points (10/14 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 3 contres en 31 minutes (défaite 78-82 face à Reggio Emilia)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLeo Westermann (Kaunas) : 8 points (4/8 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds en 20 minutes (victoire 79-64 face à Dzukija)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA) : prochain match le 30 octobre (face à Avtodor)\\n\\nNobel Boungou-Colo (Khimki) : prochain match le 23 octobre (face à Krasnodar)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAlpha Kaba (Mega Leks) : 9 points (4/10 aux tirs), 5 rebonds, 3 interceptions en 28 minutes (défaite 82-85 face à Zagreb)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nAdrien Moerman (Darussafaka Istanbul) : 12 points (5/11 aux tirs), 7 rebonds et 4 ballons perdus en 37 minutes (défaite 88-93 face à Banvit)\\n\\nThomas Heurtel (Efes Istanbul) : 10 points (5/7 aux tirs), 12 passes, 5 rebonds et 3 interceptions en 23 minutes (victoire 109-60 face à Ankara)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Adrien Moerman se régale en Turquie"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 20 octobre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nSLUC : Benjamin Sène touché au nez\\n\\n– Nancy. Benjamin Sène se souviendra de l’entraînement programmé mardi après-midi. En allant chercher un rebond offensif, le jeune meneur nancéien a... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nNtilikina, l’éclaircie\\n\\n– Les satisfactions strasbourgeoises en ce début de saison se comptent sur les doigts d’une main. Dans le marasme actuel, la confirmation du talent de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’ASCO au bout du suspense\\n\\n– Exempte lors de la première journée (en raison du forfait de Saint-Avold II), l’Asco Mulhouse basket fauteuil a disputé le week-end dernier son... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn inquiétant copier-coller\\n\\n– Les matches s’enchaînent, la compétition change et les Strasbourgeois n’y arrivent toujours pas. Mardi, la défaite en Lituanie face à la Juventus... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSérie noire à Richwiller\\n\\n– Un entraîneur qui s’en va, des blessés, un muté qui n’arrive pas : l’US Richwiller n’est pas épargnée par la malchance en ce début de saison et pointe... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa crème du basket européen sur le gâteau villeneuvois\\n\\n– L’ESBVA-LM a décidé de vivre une grande année qu’elle espérera clôturer par un titre de championne de France. La nouvelle équipe a fière allure mais, à c... Lire la suite.\\n\\n\\nL’Elan aura tremblé jusqu’au bout\\n\\n– Même s’ils ont fait la course en tête, les Chalonnais ont lutté jusqu’à la dernière minute pour faire la différence. Un succès qui n’a pas de prix... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes filles de Caluire dans le dur\\n\\n– On dit souvent que la deuxième saison après une accession est compliquée. Caluire est en train de l’apprendre à ses dépens. Battues à domicile samedi... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCéline Dumerc : « Le public roannais répond toujours présent »\\n\\n– Avant le match de Coupe de France face au RBF, Céline Dumerc, nouvelle meneuse de Basket Landes est revenu pour nous sur son début de saison... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLyon a longtemps résisté\\n\\n– Battu, hier soir dans les Ardennes (78-71) par les Flammes Carolos, qui s’étaient hissées la saison passée dans le Final Four, Lyon, qui a fait acte... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nGranzka : « Pas les mêmes ambitions »\\n\\n– Entre des Ébroïciens dans le doute et des Choraliens invaincus, tout semble opposer les deux formations même si le duo Sciarra-Granzka essaiera de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLyon SO a construit pour durer\\n\\n– Désormais dirigé par un trio Lyon SO, depuis sept ans en N2, présente un organigramme impressionnant... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n«Important de bien démarrer à domicile»\\n\\n– Battus en ouverture du championnat à Charleville (79-69), Poitiers et son entraîneur Ruddy Nelhomme auront à cœur de réagir à l’occasion de la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nQuand ça ne veut pas sourire...\\n\\n– L’Asvel a été poignardée à soixante-neuf centièmes de la fin par un panier à trois points de Kangur, qui porta ses couleurs en 2009-2010... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« On a retenu deux supers entraîneurs. On va les recevoir et on fera notre choix d’ici la fin de semaine. »\\n\\n– Après le limogeage de Sébastien Duval, Bruno de l’Espinay, le président de l’UTBM a passé sa journée d’hier au téléphone. « Ils veulent tous venir à Tours\u2009! plaisante-t-il. J’ai eu entre dix et quinze personnes. » Il n’en reste plus que deux en lice au profil de « très, très haut niveau\u2009: c’est ni la N2, ni la N1. Ce ser... Lire la suite.\\n\\n\\nBASKET Les faits du week-end\\n\\n– Après quatre journées de championnat, il reste onze équipes invaincues et onze formations sans victoire. Ce dimanche, quelques surprises\u2009: la victoire des filles de Boigny à Orléans Basket (39-47), la défaite de l’Agglo à Dreux (56-44), le CES Tours qui bat Olivet (64-34), les masculins de Champhol victorieux aux Montils (59-92), le succè... Lire la suite.\\n\\n\\nMonts et Fondettes toujours invaincus\\n\\n– Ce week-end, la Prénationale s’accorde une mini-trêve pour cause de Trophée coupe de France. C’est l’occasion de se pencher sur le comportement des clubs tourangeaux en ce début de championnat.MASCULINS Fondettes (1er, 4 victoires). L’équipe d’Alex Gauthier ne tremble pas et suit son plan de route. Avec des écarts conséquents à chaque matc... Lire la suite.\\n\\n\\nSaint-Chamond, du papier au parquet\\n\\n– Poitiers – Saint-Chamond L’équipe bâtie par Alain Thinet durant l’intersaison a de l’allure sur le papier. Pour le moment, la réalité est plus compliquée... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : les supporters de l’Etoile Rouge de Belgrade ne feront pas le déplacement à Istanbul"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vendredi, à l’occasion de la deuxième journée de l’Euroleague, le Galatasaray reçoit l’Etoile Rouge de Belgrade dans l’Abdi Ipekci Arena.\\n\\nUne rencontre sous haute tension, et Eurohoops rapporte ce mercredi que les deux clubs se sont mis d’accord pour qu’aucun supporter serbe ne fasse le déplacement à Istanbul pour des raisons de sécurité.\\n\\nUne décision qui fait suite au décès en 2014 de Marko Ivkovic, un supporter serbe, poignardé avant la rencontre lors d’une bagarre entre groupes de supporters.\\n\\nEn conséquence, lors du déplacement du Galatasaray à Belgrade le 23 février 2017, aucun supporter turc ne sera présent en Serbie."
}, 
{"role": "user",     "content":"Zach Wright (Monaco) : «C’est intelligent d’avoir créé cette Champions League»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mardi soir, Monaco recevait l’équipe allemande des Fraport Skyliners pour le compte de la première journée de la Basketball Champions League.\\n\\nAprès 40 minutes de jeu, ce sont les hommes de Zvezdan Mitrovic qui se sont imposés 65 à 47. Zach Wright a été élu MVP de la rencontre avec 9 points, 3 rebonds, 4 passes décisives et 3 interceptions pour 17 d’éval. A la fin du match, le natif d’Austin dans le Texas, s’est exprimé sur cette nouvelle compétition.\\n\\n« Tous ces matchs de coupe sont très bons pour les compétitions européennes, beaucoup d’équipes veulent jouer contre d’autres équipes de différents pays. Je déteste cette guerre entre la FIBA et l’Euroleague mais c’est intelligent d’avoir créé cette compétition pour les équipes qui n’ont pas forcément la possibilité de jouer dans d’autres coupes », a-t-il ajouté lors de la conférence de presse d’après-match. « Cela permet de pouvoir se confronter à d’autres équipes européennes. C’est une compétition relevée. Vous avez l’Euroleague tout en haut, ensuite l’Eurocup et après la Champions League et je pense que cette BCL peut grandir et devenir une très grande compétition avec de très bonnes équipes. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Champions League : Varese – Asvel en direct sur Dailymotion"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le match Varese – Asvel est à suivre en direct sur Canal+ Sport mais aussi sur Dailymotion. C’est à partir de 20h30, et chaque semaine, Dailymotion diffusera des rencontres sur sa plate-forme, via la chaîne de Canal+ Sport.\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Championnats nationaux : le Top 10 de la semaine (15 octobre)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque saison depuis maintenant cinq ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCette semaine au programme, l’impressionnant tir au buzzer de Cédric Leborloch (CS Gravenchon, NM2) qui shoot depuis sa propre moitié de terrain, la magnifique passe aveugle de David Morabito (CCAB Le Cannet, NM2) pour le panier avec la faute de son coéquipier, ou encore l’éclair de génie, ou super coup de chance, de Théo Maledon (CFBB, NM1) qui marque en tirant de derrière le panneau.\\n\\n\\n\\nTop 10 CourtCuts FFBB du 15 Octobre 2016 par FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"La FFBB ajoute une équipe de France A’ chez les filles"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Fédération Française de Basket vient d’annoncer la nouvelle sur son site officiel. Après l’équipe de France A’ chez les garçons en 2014, la fédé crée aujourd’hui l’équipe de France A’ chez les filles.\\n\\nDouze joueuses âgées de 18 à 25 ans auront donc rendez-vous le 14 novembre prochain à Chalon-sur-Saône pour un premier rassemblement d’une durée de six jours. Elles auront également le privilège d’affronter, lors d’un match d’entraînement le 16 novembre, l’équipe de France A qui sera aussi en stage en vue des matchs de qualification à l’Euro 2017.\\n\\nVoici le nom des joueuses qui composeront cette équipe de France A’ et qui seront coachées par Jérôme Fournier, assisté de Grégory Morata, Damien Leroux et Isabelle Fijalkowski.\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\nNom\\nNaissance\\nTaille\\nPoste\\nClub 2016/2017\\n\\n\\nRomane\\nBERNIES\\n27/06/1993\\n170\\nMeneuse\\nUF Angers Basket 49\\n\\n\\nAlexia\\nCHARTEREAU\\n05/09/1998\\n191\\nIntérieure\\nTango Bourges Basket\\n\\n\\nClarince\\nDJALDI TABDI\\n06/12/1995\\n184\\nIntérieure\\nUF Angers Basket 49\\n\\n\\nAlix\\nDUCHET\\n30/12/1997\\n165\\nMeneuse\\nCavigal Nice Basket 06\\n\\n\\nMargaux\\nGALLIOU-LOKO\\n12/04/1993\\n182\\nAilière\\nFCBA Charleville-Mézières\\n\\n\\nMarie\\nMANE\\n12/12/1995\\n182\\nArrière\\nUF Angers Basket 49\\n\\n\\nHhadydia\\nMINTE\\n16/03/1991\\n187\\nAilière\\nFCBA Charleville-Mézières\\n\\n\\nMarie-Michelle\\nMILAPIE\\n06/02/1996\\n192\\nIntérieure\\nBasket Landes\\n\\n\\nMarie-Eve\\nPAGET\\n28/11/1994\\n170\\nMeneuse\\nUF Angers Basket 49\\n\\n\\nAna\\nTADIC\\n21/09/1998\\n193\\nIntérieure\\nUSO Mondeville Basket\\n\\n\\nMamignan\\nTOURE\\n19/12/1994\\n183\\nAilière\\nCavigal Nice Basket 06\\n\\n\\nLidija\\nTURCINOVIC\\n27/08/1994\\n176\\nArrière\\nFCBA Charleville-Mézières\\n\\n\\n\\n\\nPatrick Beesley, le Directeur Technique National, a donné son point de vue sur la création de cette nouvelle équipe qui aura pour but d’être une passerelle entre l’équipe de France U20 et l’équipe de France A.\\n\\n« Nous avons constaté que la transition entre les U20 et les A se passe immédiatement pour les joueuses indiscutables. Mais pour un certain nombre d’autres, il faut plusieurs années avant qu’elles s’intègrent. Désormais, pendant ces années de transition on pourra remplir ce manque en activant un groupe A’. L’intérêt est d’abord de cibler les joueuses qui peuvent être amenées à intégrer l’Équipe de France à moyen terme, et d’essayer de les accompagner et les préparer. Le projet que j’ai confié à Jérôme Fournier se fait en totale collaboration avec Valérie Garnier et le staff des A. Par exemple, la première liste de joueuses sélectionnées a été établie par les deux entraîneurs. Il y aura bien entendu des passerelles entre les deux équipes »."
}, 
{"role": "user",     "content":"Croatie : Pierre Jackson rejoint le Cedevita Zagreb"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Drafté par les Philadelphie Sixers en 2013, Pierre Jackson, vient d’être appelé en renfort par le KK Cedevita, comme le rapporte le site officiel de la Ligue Adriatique.\\n\\nBrièvement passé par le Fenerbahce en 2014, avant d’être victime d’une rupture d’un tendon d’Achille, il avait signé en Turquie en février et avait quitté le club seulement six matchs après, en avril. En six rencontres sous les ordres de Zeljko Obradovic, le natif de Las Vegas tournait en moyenne à 3,3 points et 1,3 passe décisive.\\n\\nPassé brièvement à l’ASVEL en 2013, il a aussi joué huit matchs en D-League la saison dernière pour les Idaho Stampede et a compilé 9 points, 2,5 rebonds et 2,5 passes décisives de moyenne. Cet été, il a également participé à la Summer League de Las Vegas sous les couleurs des Portland Trail Blazers pour des moyennes de 14,5 points, 3,7 rebonds et 5 passes décisives en quatre matchs.\\n\\nEn choisissant de rallier le club croate, il vivra, cette saison, sa première expérience en Eurocup."
}, 
{"role": "user",     "content":"Presse : Boris Diaw en couverture du magazine Basket"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"\\n« Basket » tout simplement. C’est le nom du nouveau magazine signé d’une partie de l’ancienne équipe de Basket Hebdo, et après un numéro 1 consacré au traditionnel Guide de la saison, le numéro de novembre met à l’honneur le capitaine de l’équipe de France : Boris Diaw.\\n\\nDans un grand entretien, le nouveau joueur du Jazz , d’ordinaire si discret, se dévoile avec\\nses passions pour les voyages, la photographie, l’incroyable ambiance qui régnait chez les Spurs,\\nson amitié avec Manu Ginóbili, sans oublier les Bleus.\\n\\nCôté Pro A, le mensuel s’intéresse à deux parcours exceptionnels : celui de Fréjus Zerbo,\\nde l’Afrique à Limoges, et celui d’Ilian Evtimov, qui avant d’arriver à Cholet a vécu bien des aventures.\\n\\nPour les plus anciens, un retour sur la French Team de Pau qui avait fait trembler l’Europe il y a 20 ans. A la même époque, un entraîneur plaçait le CSP Limoges sur la plus haut marche : Božidar Maljković.\\n\\n\\nLa partie américaine est consacrée à Team USA qui semble avoir repris le large dans les compétitions internationales, mais aussi au destin exceptionnel de Sami Ameziane, devenu le Comte de Bouderbala, passé par UConn en NCAA avant de devenir une vedette sur les planches.\\n\\nBasket Le Mag\\n\\nDate de sortie : 20 octobre\\n\\nPrix : 4,9 euros\\n\\nCommande en ligne : basket-mag.com"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le SLUC Nancy à la recherche de son équilibre sportif et économique"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans son édition matinale, L’Est Républicain fournit plusieurs informations sur le SLUC Nancy. Il faut rappeler que le président Christian Fra a récemment démissionné, qu’il n’a pas été pour l’instant remplacé, et que c’est le Directeur général du club, Marc Barbé, qui fait fonction avec trois autres membres du Directoire, Jean-Paul Cruciani, Daniel Cerutti et Gérard Sainpy.\\n\\nMalgré des résultats sportifs probants durant une décennie (2 titres de champion, un total de 5 finales entre 2005 et 2011) et de fortes affluences (4 881 spectateurs en 2015-16, 4e de Pro A, alors que le parcours sportif fut proche de la catastrophe), le SLUC n’est pas au mieux économiquement. Un problème de ressources puisque avec 1 279 000 euros le club n’affiche que la 14e masse salariale de Pro A et que son budget de 4 094 000 euros, une fois de plus, ne sera pas forcément à l’équilibre.\\n\\n« Il faut boucler le budget, challenge difficile à relever puisque depuis des années, nous sommes en déficit. On se doit de présenter à Cyrille Muller (Ndlr : le président Lorrain de la DNCCG) un budget équilibré », insiste Jean-Paul Cruciani. « Ensuite, après avoir consolidé nos partenaires, on pourra progressivement travailler sur le numérique, le merchandising, développer et diversifier nos ressources. »\\n\\nD’autre part, si Alain Weisz a pour priorité absolue de conduire son équipe vers le maintien, c’est sa dernière saison au SLUC et –visiblement- comme coach pro :\\n\\n« Notre équipe découvre le championnat. Elle est encore jeune et tendre », remarque Marc Barbé. « Mais elle montre un état d’esprit irréprochable, elle mouille le maillot », reconnaît Daniel Cerutti. « Alain (Weisz) veut bien terminer sa carrière sur une saison aboutie. Il a trop de respect pour le SLUC Nancy. Après, dès le mois de janvier, on commencera à chercher un nouveau coach », prévient Marc Barbé. « Il faudra trouver un profil qui correspond à nos moyens économiques, à notre nouvelle politique d’ouverture », ajoute Jean-Paul Cruciani.\\n\\nLe déplacement à Chalon a permis au SLUC d’engranger une première victoire (59-69) mais se maintenir dans l’élite sera un long combat tant le championnat apparaît serré."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : les meilleurs joueurs de la quatrième journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la quatrième journée de Pro A, l’équipe de SFR Sport a dressé le bilan des cinq meilleurs joueurs français et et des cinq meilleurs joueurs étrangers de la semaine.\\n\\nDu côté Français, Edouard Choquet a été choisi pour prendre la place de meneur de ce cinq majeur grâce à la grosse victoire du CCRB à l’ASVEL sur le score de 77 à 73. Le meneur champion de France avec Lyon-Villeurbanne en juin dernier a compilé 7 points, 2 rebonds et 2 passes décisives pour une évaluation de 7 en 19 minutes. Côté étranger, D.J. Cooper, qui a mené Pau à la victoire face au BCM (78-65) avec un gros triple-double en compilant 13 points, 13 rebonds et 11 passes décisives pour 24 d’éval, fait logiquement partie du cinq majeur étranger.\\n\\nAu poste de deuxième arrière, on retrouve encore une fois Billy Yakuba Ouattara dans le cinq majeur français de la semaine. Dans la victoire de Monaco 84 à 68 face au HTV, Ouattara a inscrit 16 points, pris 4 rebonds et délivré 1 passe décisive pour une évaluation de 17. Pour les étrangers, c’est l’homme à tout faire de Nanterre, Mykal Riley qui prend la place de meilleur poste 2 de la semaine grâce à ses 9 points, 10 rebonds et 4 passes décisives pour 23 d’évaluation dans le succès de son équipe face au Mans 90-70.\\n\\nDans la victoire d’Antibes 76 à 70 face à Orléans, Isaia Cordinier a compilé 17 points, 1 rebond et 1 passe décisive pour 16 d’éval. Il gagne donc la place de meilleur poste 3 français de la semaine. Du côté JNFL, Ronald Lewis accompagne son coéquipier D.J. Cooper dans le cinq-type de la semaine grâce à ses 23 points et 7 rebonds pour 26 d’évaluation.\\n\\nAu poste 4, Mouhammadou Jaiteh a été sélectionné dans ce cinq suite à la première victoire en championnat de la SIG face au Portel (75-71) dans laquelle il a inscrit 14 points et gobé 13 rebonds pour 22 d’éval. Pour les étrangers, Tim Blue, qui a terminé MVP de la rencontre entre Antibes et Orléans, fait partie du cinq majeur de la semaine grâce à ses 23 points (10/15 aux tirs), 13 rebonds et 5 passes décisives pour 33 d’évaluation.\\n\\nPour finir, Mathias Lessort a été élu meilleur poste 5 français de la semaine en compilant 12 points (5/6 aux tirs), 9 rebonds et 2 passes décisives pour une évaluation de 18 face au MSB. Pour compléter ce cinq majeur 100% américain, Tyler Cain prend la place de meilleur poste 5 avec ses 10 points, 10 rebonds et 4 interceptions pour 17 d’éval.\\n\\n\\nCinq majeur français\\n\\n * Edouard Choquet (Chalons-Reims) : 7 points, 2 rebonds, 2 passes décisives, 7 d’évaluation.\\n * Yakuba Ouattara (Monaco) : 16 points, 4 rebonds, 1 passe décisive, 17 d’évaluation.\\n * Isaïa Cordinier (Antibes) : 17 points, 1 rebonds, 1 passe décisive, 16 d’évaluation.\\n * Mam Jaiteh (Strasbourg) : 14 points, 13 rebonds, 22 d’évaluation.\\n * Mathias Lessort (Nanterre) : 12 points, 9 rebonds, 2 passes décisives, 18 d’évaluation.\\n\\n\\nCinq majeur étranger\\n\\n * D.J. Cooper (Pau-Lacq-Orthez) : 13 points, 13 rebonds, 11 passes décisives, 24 d’évaluation.\\n * Mykal Riley (Nanterre) : 9 points, 10 rebonds, 4 passes décisives, 23 d’évaluation.\\n * Ronald Lewis (Pau-Lacq-Orthez) 23 points, 7 rebonds, 26 d’évaluation.\\n * Tim Blue (Antibes) : 23 points, 13 rebonds, 5 passes décisives, 33 d’évaluation.\\n * Tyler Cain (Chalons-Reims) : 10 points, 10 rebonds, 4 interceptions, 17 d’évaluation."
}, 
{"role": "user",     "content":"Nationale 2 : Tours ne veut plus attendre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion de France et finaliste de la Coupe des Coupes (C2) en 1976 sous les couleurs de l’ASPO, de nouveau champion national en 1980 avec le TBC comme blason, Tours fut longtemps une place forte du basket français. Seulement, sous le poids de la dette le basket a fini par couler et la ville se faire oublier.\\n\\nLe rapprochement en mai 2014 entre le PLLL, qui était en Nationale 2, et le Touraine Basket Club, qui jouait au niveau en-dessous, a donné un coup de fouet aux ambitions. L’Union Tours Basket Métropole née à ce moment-là est présidée par un passionné de longue date et qui a pignon sur rue, Bruno De L’Espinay, s’est doté d’un manager général averti, Romain Régnard, dispose d’une salle idéale pour la N2, la Halle Monconseil, et bénéficie du regard bienveillant de la municipalité. Le club possède un plus très appréciable dans sa manche : malgré la traversée du désert et la concurrence du volley, la culture basket est toujours vivace dans une ville taillée pour le basket pro. D’ailleurs les glorieux anciens sont fidèles au poste dans les tribunes de Monconseil quand ils ne sont pas actifs dans le club.\\n\\nTours paraît être dans les starting blocks pour remonter la pente, à l’image de son vieux rival du Caen BC qui joue maintenant les premiers rôles en N1. L’année dernière, l’UTBM a coincé en barrage (le 1er d’une poule contre le 2e d’une autre, celui qui remporte deux manches monte alors que l’autre reprend la file d’attente ; une formule qui provoque une incroyable pression). Cet été, il a gonflé son budget à 900.000€ et il a effectué un recrutement princier.\\n\\n\\nQuand la realpolitik l’emporte sur l’humain\\n\\nSeulement, rien n’est écrit... A ce jour, l’UTBM a déjà chuté deux fois lors des cinq premières journées et c’est beaucoup, trop, quand on veut absolument monter cette saison d’un cran dans la hiérarchie. Le coach Sébastien Duval avait beau avoir tenu la barre les deux premières saisons après avoir fait ses preuves au préalable avec le PLLL en N3 et N2, être apprécié humainement de tous, il était évident qu’il avait une épée de Damoclès au-dessus de la tête.\\n\\nLa Nouvelle République révèle que les joueurs se sont réunis après la défaite de samedi à Cherbourg (80-90) et mis en cause la faculté du coach à trouver les solutions appropriées. D’ailleurs, à la fin du match, Sébastien Duval tenait un discours de condamné. D’un commun accord, le président et le manager général ont tranché dans le vif. Exit le coach.\\n\\n« Le départ de Sébastien Duval est acté », a confirmé hier Bruno De Lespinay à La NR. « Il n’y aura de conflit entre nous\u2009; nous allons lui verser l’intégralité de son salaire. J’ai beaucoup de respect pour l’humain, c’est une personne que j’apprécie. Mais nous avons été amenés à changer de coach pour deux raisons. Nous avons perdu deux matchs que l’on n’aurait pas dû perdre au Pays des Olonnes et à Cherbourg. Nous sommes 7es, alors que nous devrions être en tête avec La Rochelle avec un bilan de cinq victoires en cinq matchs. Après, il ressort un besoin d’avoir quelqu’un de plus expérimenté, qui a entraîné à plus haut niveau, pour que les joueurs se sentent davantage en confiance. Nous allons donc prendre un coach de top-niveau, plus mature, plus fort technicien, afin qu’il puisse imprégner son basket à l’équipe. Nous avons quelques pistes et on espère que cela avancera vite cette semaine... »\\n\\nLe nouveau coach devra tirer profit d’un effectif très étoffé pour de la N2 et savoir que Tours ne veut plus attendre."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 19 octobre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nBasket-ball : L’après Fra est sous contrôle du côté du SLUC Nancy\\n\\n– Nancy. Ils sont ou ils ont été des patrons ou des cadres d’envergure. La ponctualité, ils connaissent. Et si certains des quatre mousquetaires du... Lire la suite.\\n\\n\\nÇa ne s’arrange pas\\n\\n– Battus par les modestes Lituaniens de la Juventus Utena (91-84) pour leurs débuts en Champions League, les Strasbourgeois n’en finissent pas... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nJuventus Utena 91 Strasbourg IG 84\\n\\n– UTENA. Utena Arena. Mi-temps : 51-41. Les périodes : 30-15, 21-26, 13-15, 27-28. Arbitres : MM. Aunkrogers, Sharapa et Lucis. 1298 spectateurs... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’air européen n’y change rien\\n\\n– Auteurs d’un début de match calamiteux et trop inconstants par la suite, les Strasbourgeois ont débuté la Basketball Champions League, hier, par un... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Europe commence à Bruxelles\\n\\n– Secoué par son faux pas concédé dimanche contre Nancy, l’Elan débute la Fiba Europe Cup par un déplacement à Bruxelles... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLyon Basket sans pression à Charleville\\n\\n– Auteur d’un excellent début de saison Lyon s’est rendu sans pression, hier, à Charleville, où les joueuses d’Étienne Faye disputeront ce soir une... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn gros morceau pour les filles de la JL Bourg ce soir\\n\\n– Les seniors filles de la JL Bourg affrontent ce soir le centre de formation du FC Lyon dans le cadre des 8es de finales de la coupe du Lyonnais. Les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPierre Murtin, médaille d’or de la Fédération\\n\\n– Il promène sa grande silhouette sur les parquets du basket français depuis plus de 40 ans. Une sportivité exemplaire, une gentillesse à toutes... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nMontmorot : « Je m’en excuse auprès de tout le monde »\\n\\n– Après les incidents qui ont émaillé, en tribunes, la rencontre Prénationale masculine entre Montmorot et Jura Dolois samedi soir à la salle des... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nVladica Jovanovic remplace Rytis Biliartas à Feurs\\n\\n– Rytis Biliartas a souhaité quitter le club et s’est envolé pour sa Lituanie natale. Julien Cortey explique : « Depuis plusieurs semaines je sentais... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCoupe de France U17\\n\\n– La JL Bourg sera opposée à Vaulx-en-Velin (équipe évoluant en championnat de France) pour le compte des 32es de finale de la coupe de France. La... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« C’est dommage, mais on n’a pas le choix... »\\n\\n– Michel Morandais Passé par Varèse en 2009-2010... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes premières surprises\\n\\n– La première joute a réservé son lot de surprises avec les revers de certains cadors comme Bourg-en-Bresse, Boulazac, Boulogne-sur-Mer... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa CTC Bresse vise un retour en nationale\\n\\n– Après sa relégation en fin de saison dernière, les Bressanes repartent à l’assaut du championnat de ligue avec l’envie de retrouver très vite les... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Asvel dindon de la farce\\n\\n– Prisonnier du conflit entre l’Euroligue et la Fiba le champion dispute une compétition de seconde zone... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSébastien Duval : » Forcément déçu «\\n\\n– Après voir été informé officiellement de sa mise à l’écart par le président Bruno de L’Espinay, Sébastien Duval préférait ne pas entrer dans les détails à chaud.Il se dit tout de même « forcément déçu, même si cela fait partie du jeu. Dans un projet ambitieux comme celui de l’UTBM, subir deux défaites en cinq matchs, je comprends... Lire la suite.\\n\\n\\n» Luka Doncic joue l’Euroleague avec le Real Madrid à 17 ans. Doumbouya, qui a un an de moins et qui est extrêmement talentueux, peut jouer en Pro A. Je le voudrais à Limoges. «\\n\\n– Cette saillie est de Dusko Vujosevic, l’entraîneur du CSP Limoges (Pro A). Celui qui est considéré comme le plus gros prospect du basket-ball français, Sekou Doumbouya, est désormais l’objet de toutes les convoitises y compris, évidemment, celle du serbo-monténégrin appuyé par son président, Frédéric Forte.Régulièrement utilisé par Poi... Lire la suite.\\n\\n\\nGotagni : » On va se battre «\\n\\n– De retour de blessure, Martial Gotagni, capitaine de la Berrichonne, croit fermement à un déclic après un début de championnat très compliqué... Lire la suite.\\n\\n\\nSébastien Duval écarté\\n\\n– Suite à la deuxième défaite de l’UTBM, samedi à Cherbourg, la direction du club a décidé d’écarter l’entraîneur Sébastien Duval. Un nouveau coach est attendu... Lire la suite.\\n\\n\\nBretenoux. Basket : les filles confirment leur première place\\n\\n– Ce week-end, en régionale 2, pour cette quatrième journée, c’est à Aixe-sur-Vienne que les seniors féminines allaient en découdre, pendant que leurs concurrentes immédiates (première ex æquo), Le Lardin se déplaçait à Auzance. Les deux équipes se sont imposées à l’extérieur : 48-60 pour le Dyba. Prochaines rencontres après les vacances : Le Dyba recevra le CA Brive-Corrèze et Le Lardin les filles de Feytiat. Les seniors garçons du Dyba se font... Lire la suite.\\n\\n\\nCaussens. Belle victoire à l’arraché pour les seniors\\n\\n– Premier plateau poussins pour l’équipe mixte qui a subi deux revers face aux formations de Valence et Auch. A L’Isle-Jourdain, l’entente minimes remporte une victoire sur le score de 49-23. Au fil des matches, cette jeune équipe confirme son sérieux et ses prestations sont de bonne tenue. Malgré un match tendu pour le derby contre les voisins saint-pouyards (équipe II), l’équipe seniors sort victorieuse à domicile, sur le score serré de 68-65... Lire la suite.\\n\\n\\nCapdenac-Gare. L’équipe première poursuit sa bonne marche\\n\\n– La soirée de l’ALBA ne débutait pas de la meilleure des manières, samedi soir, avec la blessure à l’échauffement de Miranda. Déjà privés de Caules et Tressens au poste de meneur, les albaciens perdaient donc une nouvelle option dans ce secteur de jeu. La pression se trouvait donc sur les épaules des réservistes Chiriaux et Delport, qui ont su endosser leurs responsabilités pour mener leur équipe vers un nouveau succès, 71-60. Face à des... Lire la suite.\\n\\n\\nFenouillet. Les ambitions du Basket Club\\n\\n– Après la victoire de l’équipe senior face à Léguevin (70-66), le président du Basket Club, Jean Laurent Lair réaffirme ses objectifs : «Les ambitions sont clairement affichées pour les seniors masculins, qui visent la montée en division supérieure. Une première saison d’apprentissage l’an passé a permis aux seniors de finir avec la meilleure défense de leur championnat. L’équipe participera également à la coupe de la Garonne, avec un 16e de... Lire la suite.\\n\\n\\nVillefranche-de-Rouergue. Basket : les réservistes s’inclinent\\n\\n– Si la formation majeure du BBV a remporté sa quatrième victoire en quatre rencontres, il n’en va pas de même pour réservistes et féminines. L’équipe 2 accueillait Cahors-Sauzet 2. La jeune formation lotoise, dirigée par l’ancien brillant joueur américain Zacharie Jones, a fait forte impression, l’emportant 80-66 face à des Villefranchois qui n’ont jamais donné l’impression de pouvoir remporter un second succès. Maladresse et perméabilité... Lire la suite.\\n\\n\\nTarbes. Un TGB toujours en panne dans le temps\\n\\n– Le match. Démarrant sur un 8-0, le Tarbes-Gespe-Bigorre restait dans le coup durant le premier acte, tournant seulement avec 2 points de retard après dix minutes (20-18), puis sept à mi-parcours (34-27) non sans avoir repris la main (22-27, 15e) dans ce second quart. Mais plombé par les fautes, et laissant trop de points en route, le TGB voyait Nice s’envoler dans ce troisième quart pour attaquer les dix dernières minutes à + 13 (50-37)... Lire la suite.\\n\\n\\nLourdes. L’Union ne réussit pas à Lourdes\\n\\n– L’Union subit sa première défaite, sur son parquet, face à Quimper, mais elle est sévère. Pourra-t-elle réagir à Avignon, samedi soir, le club vauclusien reste sur un succès à l’extérieur, à Chartres... Accueil. La salle de Lourdes n’est pas très «accueillante» pour l’Union. On ne parle pas de l’ambiance, qui, malgré tout et vu la disposition de l’endroit, est moins chaleureuse qu’au Quai, mais des résultats obtenus là. Une victoire sur Gries en... Lire la suite.\\n\\n\\nTarbes. CTC Tarbes/Ossun s’impose à Montauban sans briller\\n\\n– Dès l’entame de ce match face à Montauban, les spectateurs ont compris que les joueuses de Polina Tzekova et Dora Siutat n’étaient pas dans un grand jour. Peu présentes en défense et assez maladroites en attaque, Eva et sa bande balbutiaient leur basket. Montauban, qui ne montrait pas grand-chose non plus, menait d’un point à la fin du premier quart-temps. Après la traditionnelle remontée de bretelles et sous l’impulsion de Camille, la CTC... Lire la suite.\\n\\n\\nMoissac. Le sifflet à l’honneur à Castera pour les seniors garçons 1\\n\\n– A Castera, 4e journée pré national pourles seniors garçons 1 du MCBB : Castera 76, MCBB 59 (quart temps 18/13, 16/19, 25/14, 17/13). Pour le MCBB : Bendahou (2 pts), Tinseau (cap. 16 pts), Y. Azahaf (8 pts), Y. Rouvière (2 pts), Loukili (2 pts), Boude(16 pts), Daguzan (8 pts) , Colombie (5 pts), Peries, coach Bolpaire, adjoint Mataly. Après ses 3 victoires, le MCBB passait un véritable test, face à des Gersois parmi les favoris pour la... Lire la suite.\\n\\n\\nMoissac. Derby gagnant pour les seniors filles\\n\\n– Au Cosec, victoire des seniors filles du MCBB face à Montech 61 à 51 (quarts temps 13/10, 11/9, 18/16, 19/16). Rapidement le jeu s’installe avec une faute sur un shoot de Noémie qui réussira ces deux lancés. Le score est ouvert 2 à 0 très vite rattrapé par Montech. Les deux équipes sont là pour gagner. Cependant pour ce premier QT, elles vont constamment se coller au score, faire jeu égal sans qu’une prenne véritablement le jeu à son compte... Lire la suite.\\n\\n\\nPamiers. Les «UOPéennes» sans complexes\\n\\n– Créer la surprise devient une (bonne) habitude pour les féminines de Mass Gueye. Face à Eaunes, une fois de plus, les «UOPéennes» ne partaient pas favorites. Mais les Ariégeoises jouent d’égal à égal d’entrée avec leurs adversaires (14-15 à la fin du premier quart-temps). Un chassé-croisé qui ne dure pas. Dès le 2e quart, les Appaméennes augmentent la cadence. Même si les banlieusardes toulousaines s’accrochent, les filles de Mass Gueye... Lire la suite.\\n\\n\\nCarla-Bayle. Le Carla laisse échapper la victoire\\n\\n– Cette 4e journée a proposé un scénario à l’opposé des 3 matchs précédents : une première mi-temps de qualité, une fin de rencontre calamiteuse ! Pour le 5 de départ, Drevet mène, Besoa et Olçomendy se partagent les ailes, Bristol et Attivi occupent l’intérieur de la raquette. La motivation est là, les Carlanais entament la partie sur un rythme qui surprend visiblement l’équipe adverse même si c’est Gravier, meilleur réalisateur de la partie... Lire la suite.\\n\\n\\nLézat-sur-Lèze. Le Coquelicot tient enfin sa première victoire\\n\\n– Il est là, le premier succès remporté dans la salle Pedoussaut, à Lézat (93-82). Il aura fallu attendre la quatrième journée pour qu’il pointe le bout de son nez. Une victoire «rassurante et cruciale pour regagner une confiance qui commençait à fuir les gars», réagit l’entraîneur lézatois, Sébastien Subra. «Mentalement, pour sortir de cette phase de questionnement, il fallait franchir le pas de la victoire, et donner du sens au travail... Lire la suite.\\n\\n\\nPamiers. L’UO Pamiers s’installe en tête\\n\\n– Pour cette réception de Castelmaurou, le mot d’ordre de Julien Gomiéro était simple : gagner. D’entrée, les Appaméens donnent le ton, pas question de montrer une quelconque faiblesse. En moins de 2 minutes , ils prennent l’avantage (4-0). Les visiteurs réagissent et un chassé-croisé s’installe. Les locaux se montreront à l’écoute de leur coach. L’UOP prend la main (27-21 à la fin du premier quart). Le deuxième quart commence fort pour les... Lire la suite.\\n\\n\\nLézat-sur-Lèze. Les «Coqueliquettes» enchaînent à domicile\\n\\n– Revanche ratée pour les Saint-Lysiennes. Après la demi-finale perdue du championnat d’Excellence départementale la saison dernière, elles n’ont pas réussi à renverser une équipe lézatoise déterminée à rester invaincue dans son antre (68-60). Dans un match qu’elles dominent de bout en bout, les locales se font pourtant peur en seconde période (perdue 26-30),comme elles en ont la fâcheuse habitude. Alors qu’elles débutent de très belle manière... Lire la suite.\\n\\n\\nLa formation, clé de la réussite élusate\\n\\n– Après seulement trois journées, les promues élusates pointent dans la partie haute de Nationale 3. Ce groupe de copines n’a pas manqué son entrée en matière... Il n’a pas manqué grand-chose à Cécile Ortal et ses coéquipières pour glaner une troisième victoire dans ce premier bloc du championnat de NF3. Face à l’Elan Chalossais, dans leur salle gersoise, les locales ont manqué de profondeur de banc avec l’absence de Baulac et Ricciardi pour venir... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce : Argyris Pedoulakis quitte déjà le Panathinaikos !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce mardi, le Panathinaikos annonce sur son site officiel que Argyris Pedoulakis a décidé de démissionner de ses fonctions après la défaite de son équipe dans le choc face à l’Olympiakos.\\n\\nJoueur du Panathinaikos entre 1986 et 1992, Argyris Pedoulakis avait d’abord retrouvé le club grec, cette fois-ci, en tant qu’entraîneur de 2012 à 2014. Après un passage à l’Unics Kazan, il était à nouveau revenu au Pana en avril pour prendre la suite de Sasha Djordjevic.\\n\\nMalgré une victoire en Euroleague face au Zalgiris Kaunas et un bilan équilibré en championnat (1v-1d), Argyris Pedoulakis a décidé de partir. Pour mieux revenir dans quelques années ?"
}, 
{"role": "user",     "content":"Philippe Legname (DG de Hyères-Toulon): « C’est la première fois que je vais souhaiter que mon fils perde »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Philippe Legname a plusieurs facettes. C’est le Directeur Général du Hyères-Toulon Basket, un club de Pro A, et aussi le président de la Ligue Féminine (LFB), tout en étant le père de Laurent, le coach de la JDA Dijon. Sachez aussi qu’il est membre du Comité Directeur de la FFBB et de la LNB. De multiples raisons pour que Basket Europe l’interroge. Une interview en deux parties.\\n\\nVous avez été réélu ce week-end au Comité Directeur de la FFBB. C’est votre combientième mandat ?\\n\\nJ’ai été élu la première fois en 1998 au cours d’une élection partielle, puis tous les quatre ans depuis 2000. C’est donc mon sixième mandat. La plus ancienne au Comité Directeur c’est Françoise Amiaud, qui a été élue en 1992, et puis le président Jean-Pierre Siutat qui a été élu en 1996 et ensuite c’est moi. Je suis sur le podium (sourire).\\n\\nVous faites également partie du Comité Directeur de la Ligue Nationale de Basket ?\\n\\nA la LNB il y a le Bureau qui est composé de 6-7 personnes et le Comité Directeur. Le président de la fédération désigne trois membres du Comité Directeur pour faire partie du Comité Directeur de la LNB. Avant les élections, il s’agissait de Jean-Marc Jehanno, qui est aussi au Bureau, de Paul Merliot et de moi-même. Je n’y suis donc pas au titre du HTV mais de la FFBB.\\n\\n« Vendredi matin, je pars avec le HTV au Portel, on joue le soir. Je rentre samedi matin, je prends la voiture et je vais voir Montpellier-Bourges »\\n\\n\\nDes journées chargées\\n\\nAu niveau du calendrier, comment faire cohabiter votre fonction de Directeur Général du HTV avec celle de président de la LFB ?\\n\\nAu HTV, je suis salarié, je dois faire fonctionner le club mais je n’ai pas d’horaires fixes. Ça me permet de gérer mon emploi du temps à la fois à la ligue féminine, au Bureau Fédéral et au Comité Directeur de la LNB. Ça fait des journées chargées.\\n\\nVous suivez systématiquement le HTV en déplacement ?\\n\\nJ’étais à Monaco la semaine dernière, je vais au Portel ce week-end, à Orléans pour le déplacement suivant. En gros, sur les 34 du club j’assiste à une vingtaine de matches.\\n\\nEt pour la Ligue Féminine, vous allez voir des matches à Nice et Montpellier ou partout en France ?\\n\\nPartout. L’année dernière, il n’y a que Mondeville, Saint-Amand-les-Eaux et Charleville où je ne suis pas allé mais j’avais fait ces déplacements il y a deux ans. Ce n’est pas tout. Je suis au haut niveau si bien que je vais aussi voir la NM1 et la Ligue Féminine 2. L’année dernière, j’ai fait quatre clubs de NM1 et six clubs de LF2. J’essaye parfois de coupler les déplacements. Ainsi j’ai vu Arras le samedi soir et Calais le dimanche après-midi. Evidemment je me déplace aussi pour les matches de Coupe d’Europe des équipes de Ligue Féminine. Je vous cite un exemple : vendredi matin, je pars avec le HTV au Portel, on joue le soir. Je rentre samedi matin, je prends la voiture et je vais voir Montpellier-Bourges.\\n\\nD’autres personnes dans le basket ont elles comme vous plusieurs fonctions si différentes ?\\n\\nIl y a le président Jean-Pierre Siutat qui est à la fois à la FFBB, à la LNB, au Comité Olympique, à la FIBA et à la FIBA Europe. Ça lui fait un emploi du temps très chargé. Je pense qu’on est les deux personnes qui voyageons le plus. J’estime qu’en tant que président de la Ligue Féminine et responsable du haut niveau je me dois d’aller voir les clubs, pas seulement les matches mais d’être à leur écoute, de savoir quelles sont leurs aspirations, leurs critiques. C’est toujours bon de les entendre, ça permet d’évoluer.\\n\\n« On a une masse salariale de 700 000 euros brut, entraîneurs compris, aussi on ne peut pas faire de miracles »\\n\\n\\nHTV, une pépinière de coaches\\n\\nFaisons un rappel : vous êtes une figure historique du HTV. Vous avez été coach de Hyères pendant 20 ans ?\\n\\nEn tant que basketteur j’ai été formé à Toulouse et je suis arrivé à Hyères à l’âge de dix-neuf ans. Pendant un an, je me suis ennuyé car il n’y avait pas de club de basket. En 1970, j’ai créé l’Omni Sport Hyérois et on est parti en Honneur départemental, on est monté comme ça jusqu’en Nationale 2 et j’ai entraîné jusqu’en 1990. On est passé de zéro à une pointe de 550 licenciés. En 1990, j’ai fait la fusion avec Toulon pour faire le club de Hyères Toulon Var. C’est Jacky Renaud qui a pris l’entraînement et je suis passé Directeur Général du club. Dès la fin de la première année on est monté en Pro B et ensuite en 2001 en Pro A. En 2011 on est redescendu en Pro B et on est remonté cette année.\\n\\nRemonter aussi vite en Pro A était-il dans les plans ?\\n\\nPas du tout. On avait fait l’année dernière une équipe pour se maintenir et il se trouve que l’on est tombé sur de très bons joueurs américains et nos français ont progressé d’une manière extraordinaire. Pour sa première année notre coach a fait un excellent travail, il a été élu Meilleur Entraîneur de Pro B. On n’a pas eu de blessés et c’est important d’avoir un peu de chance dans une saison. Et on s’est retrouvé à dominer le championnat puisqu’on avait cinq victoires d’avance à la fin. Ça a été vraiment une surprise pour nous.\\n\\nVous avez la plus petite masse salariale de Pro A. Comment recruter ? En prenant des paris sur les Américains, en confiant la mène à David Michineau ?\\n\\nEvidemment ce sont des paris. David Michineau, qui a un potentiel énorme, n’est pas encore un meneur de jeu de métier. On a misé sur le potentiel et sur l’envie qu’il avait d’avoir un temps de jeu conséquent. Il est évident que financièrement on ne pouvait pas avoir un meneur de jeu français chevronné. On a pris des Américains pas très chers en essayant de connaître leur parcours en Europe et des Français avides de jouer en Pro A. On a une masse salariale de 700 000€ brut, entraîneurs compris, aussi on ne peut pas faire de miracles. C’est vrai que ce n’est pas facile mais on s’appuie sur un collectif important.\\n\\nJouer en Pro A, est-ce bénéfique sur le plan populaire, médiatique, des sponsors ?\\n\\nBien sûr, on le remarque au niveau de nos recettes partenaires mais le problème que l’on a dans notre aire, c’est le Rugby Club Toulonnais qui cannibalise un peu tous les partenaires. Toulon a une forte histoire rugby. Mais on arrive à faire notre place.\\n\\nIl y a quelque temps, il n’y avait plus d’équipes du Sud Est en Pro A alors qu’il y en a trois aujourd’hui avec Antibes, Monaco et vous. Ce sont des derbys ? Ça créé une émulation ?\\n\\nLe record, c’est lorsqu’il y avait le Nice BC et l’ASPTT Nice, Antibes et Monaco (Ndlr : au début des années 70). Ensuite il y a eu en 2001 Antibes, Montpellier et nous avant que Antibes et Montpellier redescendent l’année suivante. C’est vrai qu’il y a eu une période sans personne avant qu’Antibes, puis Monaco et nous ont reviennent. On remplit davantage notre salle quand ce sont Antibes et Monaco. On sent la notion de derbys mais il y a une très bonne entente entre les clubs.\\n\\nÇa vous permet aussi de faire des déplacements moins longs alors que Toulon est assez excentré ?\\n\\nBien sûr financièrement, c’est beaucoup mieux. Sur le prévisionnel de la Pro A on a moins de frais qu’en Pro B.\\n\\nJean-Louis Borg, votre fils Laurent et maintenant Kyle Milling : le HTV est une pépinière à coach de Pro A ?\\n\\nJe crois et j’en ai encore derrière qui ne sont pas mal. J’en suis un ancien et je fais très attention à la formation des coaches dans la section amateur. Je les suis, je les conseille, j’essaie de les amener au haut niveau. Ce qui les caractérise, c’est le côté battant et le côté collectif du basket. Ce sont trois coaches qui ne sont pas adeptes de la politique de stars, même si de temps en temps quand on a une très bonne équipe, c’est bien d’en avoir.\\n\\nLe 3 décembre, le HTV va recevoir Dijon. Votre fils sera le coach d’en face. Comment allez-vous vivre ce match ?\\n\\nC’est la première fois que je vais être opposé à mon fils et c’est vrai que ça va faire drôle. Et c’est la première fois que je vais souhaiter qu’il perde alors que bien sûr je suis son supporter numéro un ! C’est mon club que je privilégie. Bien sûr, si on perd je serai heureux pour lui. Mais mon choix est fait, je préfère une victoire de Hyères-Toulon. Il y a toute une histoire autour de ce match puisqu’à Dijon il y a donc Jean-Louis Borg qui est Directeur Général de la JDA et qui a été formé à Hyères, Frédéric Wiscard-Goetz qui a été joueur puis entraîneur chez les jeunes à Hyères-Toulon et qui a fait un intérim en équipe première quand Francis Charneux avait été écarté, et qui avait réussi à les maintenir en Pro A, et il y a Axel Jullien qui a été formé chez nous. Avec mon fils qui a été ici coach de Pro B il y a deux ans, cela fait quatre anciens membres de Hyères-Toulon à Dijon. Il faut savoir aussi que Laurent et Kyle Milling sont vraiment des amis proches.\\n\\nDes membres des Los Angeles Clippers suivent David Michineau. Comment sont vos rapports avec eux ?\\n\\nUn préparateur physique et un assistant entraîneur sont là de temps en temps. Le préparateur vient tous les mois passer quatre, cinq jours et il est hébergé par le club. Il y a aussi des observateurs d’autres franchises qui viennent le voir. Ils nous avertissent de leur venue. On avait déjà connu ça avec Alexis Ajinça, Louis Labeyrie et puis Vincent Poirier quand ils jouaient chez nous.\\n\\nLe championnat de Pro A s’annonce une fois de plus serré. Quelles sont les deux équipes que vous voyez finir derrière vous ?\\n\\nJe n’en vois pas deux, j’essaye de faire un championnat à deux vitesses. Dans notre groupe, je considère qu’il y a Nancy, Orléans, Châlons-Reims, Dijon, Cholet, Le Portel, Limoges, pas Paris-Levallois que j’ai vu plusieurs fois et qui va terminer plus haut. Il faut que parmi ces équipes on en laisse deux derrière.\\n\\n« Si on n’arrive pas à un accord l’année prochaine, à mon avis des clubs français iront en Euroleague, on ne pourra pas les empêcher »\\n\\n\\nL’Euroleague, la France et ses coaches\\n\\nIl n’y a plus d’équipes françaises en Euroleague; Quel est votre point de vue sur la question ?\\n\\nJe partage la position prise au niveau de la fédération qui est que l’on est contre le fait d’avoir une ligue fermée, qui empêche les champions d’aller en Euroleague. L’Euroleague, on ne la discute pas, qu’il y est 16, 18, 20 clubs, à la condition qu’il y ait les champions nationaux qui puissent chaque année les intégrer. Par contre, on condamne l’Eurocup qui veut être à terme une deuxième ligue fermée, on est contre cette privatisation du basket, et on souhaite qu’il y ait à côté de l’Euroleague la Basketball Champions League. Ça permettrait au champion de France d’aller en Euroleague et les autres en BCL.\\n\\nAvez-vous un pronostic sur l’évolution de ce dossier ?\\n\\nDifficile. La Cour Européenne n’a pas encore tranché. Là on a demandé aux clubs français d’être solidaires avec d’autres fédérations européennes mais si on n’arrive pas à un accord l’année prochaine, à mon avis des clubs français iront en Euroleague, on ne pourra pas les empêcher.\\n\\nSinon le fossé va se creuser davantage au niveau des joueurs et aussi des coaches ?\\n\\nJe mène une bataille pour la reconnaissance des coaches français et je ne dis pas ça parce que mon fils en est un. Les présidents de club ont tendance à prendre de plus en plus des coaches étrangers en disant qu’ils sont meilleurs. Je pose une question simple : les présidents donnent-ils aux coaches français le même type d’équipe existant au Real Madrid, à Barcelone, Fenerbahçe ou au CSKA Moscou ? Quels sont les budgets des clubs français vis à vis de ceux-ci ? N’est-ce pas là le problème ? Je suis certain que si un entraîneur français coachait le CSKA Moscou ou le Real Madrid, il aurait de très bons résultats puisqu’il aurait de très bons joueurs. Avec les moyens qu’ont les coaches français au niveau européen, ils ne peuvent pas gagner. Loin de moi de critiquer les dirigeants français, je connais les difficultés pour monter un budget en France avec les charges sociales qui ne sont pas les mêmes, etc. Développons le basket français grâce au collectif, à une formation importante pour essayer de gommer l’écart existant avec les clubs d’Euroleague.\\n\\nVous le soulignez : il y a de plus en plus de coaches étrangers en Pro A.\\n\\n\\nJe suis désolé de le dire mais il y a des présidents ne connaissent pas le basket –il y en a qui le connaisse comme Dominique Juillot à Chalon-, même s’ils ont d’autres qualités, de gestionnaire, de meneur d’hommes. Et dans certains clubs, il n’y pas les personnes pour les conseiller au niveau du basket. Regardez en NBA, vous avez les propriétaires qui sont les présidents et avec eux des managers généraux qui sont chargés de s’occuper du fonctionnement du club. En France, je crois que ce lien n’existe pas encore. Le président fait un peu tout et je pense que c’est une erreur. On ne s’improvise pas recruteur dans le basket, c’est un métier. Un président doit donner les ressources nécessaires au développement de son club pour qu’à côté on puisse bâtir une bonne équipe. C’est ça son rôle.\\n\\nJustement, quel est votre rôle, votre pouvoir au sein du HTV ?\\n\\nJe suis le conseiller du président au niveau structures, développement du club. Je suis chargé en exclusivité du recrutement et de l’équipe première. Le président m’assiste mais me laisse libre du choix du coach, des joueurs, de la façon de gérer l’équipe.\\n\\nC’est un peu à l’exemple de Didier Gadou à Pau ?\\n\\nIl a été joueur de très haut niveau, entraîneur, il connaît le basket, il peut gérer à la fois le côté technique et le côté administratif. Thierry Chevrier à Cholet a également cette capacité là. Après je ne veux pas non plus condamner les directeurs généraux qui ne sont pas des ex-entraîneurs, il peut y en avoir de très bons.\\n\\nA ce sujet, très clairement les anciens joueurs de haut niveau ne sont pas très présents dans la ligue professionnelle et aucun ne figure dans la liste des 35 membres du nouveau Comité Directeur de la FFBB où ont été élues tout de même quatre anciennes internationales, Françoise Amiaud, Carole Force, Nathalie Lesdema et Yannick Souvré ?\\n\\nC’est vrai, il n’y en a pas beaucoup. La porte n’est pas fermée mais ils ne sont pas non plus très demandeurs. Les anciennes joueuses qui se sont présentées ont été élues sans problème."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : 12 000 euros d’amende pour le Galatasaray"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Euroleague a annoncé sur son site officiel que le club turc du Galatasaray devra s’acquitter d’une amende s’élevant à 12 000 euros.\\n\\nConformément à l’article 29.2 du règlement de la C1, le club stambouliote qui recevait le CSKA Moscou, est sanctionné pour des jets de projectiles sur le terrain pendant le match.\\n\\nPour le compte de la deuxième journée de l’Euroleague, le vainqueur de l’Eurocup recevra l’Etoile Rouge de Belgrade vendredi soir."
}, 
{"role": "user",     "content":"Amara Sy n’en a toujours pas marre du basket"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme le rapporte le site officiel du club monégasque, Amara Sy est toujours aussi passionné par le basket.\\n\\nToujours en pleine forme à 35 ans, l’Amiral révèle dans Nice Matin que les anciennes gloires du basket français que sont Laurent Sciarra et Yann Bonato, côtoyés à l’ASVEL il y a 15 ans, lui avaient souvent avoué en avoir marre du basket.\\n\\n« Si on m’avait dit que j’en serais là lorsque j’ai commencé, je ne l’aurais pas cru. A mes débuts, j’ai eu la chance d’évoluer avec de grands joueurs comme Laurent Sciarra ou Yann Bonato. Et à l’époque j’étais plutôt étonné, qu’à 33 ans, ils confiaient en avoir marre du basket. A chaque fois, ils me répondaient »Tu verras quand tu auras notre âge ». Et pourtant je suis encore là, je kiffe toujours autant le basket. Mon amour du jeu est resté intact »\\n\\nEn quatre matchs de Pro A cette saison avec Monaco, Amara Sy tourne en moyenne à 8,8 points, 2,8 rebonds et 1,3 passe décisives de moyenne pour une évaluation de 10,5."
}, 
{"role": "user",     "content":"Barcelone : Juan Carlos Navarro indisponible une semaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Touché à la cuisse gauche, Juan Carlos Navarro doit rester sur la touche au moins pour une semaine.\\n\\nEurohoops rappelle que le Barca accueille le Fenerbahce pour le compte de la deuxième journée d’Euroleague, il devra faire sans son capitaine.\\n\\nLors de la première journée de la C1, Navarro avait compilé 13 points, 2 rebonds et 3 passes décisives en 22 minutes face à l’Unics Kazan."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pour le président du Mans, la Basketball Champions League de la FIBA n’est pas une C3"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est parti pour la Basketball Champions League, la dernière création de la Fédération Internationale (FIBA), qui voulait supplanter l’Euroleague et qui au mieux est une C2bis, à égalité avec l’Eurocup.\\n\\nAujourd’hui, dans les médias, on tente d’expliquer aux profanes le pourquoi et le comment de cette nouvelle compétition née du conflit entre la FIBA et l’Euroleague. Ainsi dans Ouest France, Christophe Le Bouille, le président du Mans Sarthe Basket, qui ouvre demain les hostilités à Antarès face à Venise, est mis à contribution :\\n\\n« La BCL n’est en rien une C3. Je suis très clair sur ce point. C’est vrai, il y a peut-être des équipes moins connues et reconnues parmi les 40 engagées mais il y en a une bonne vingtaine qui a le même niveau qu’en Eurocup. Il faut voir aussi que pas moins de 11 équipes ont migré vers la BCL. C’est un signe. Bon, dans le même temps, j’attendais encore plus dans l’action de la FIBA. Elle n’a pas fait complètement le boulot, en laissant notamment les Allemands agir à leur guise (NDLR : des clubs allemands et espagnols sont engagés dans les trois coupes d’Europe majeures, ce qui était a priori totalement interdit par la FIBA)(...) »\\n\\nLe MSB n’est pas mécontent de constater que la BCL offre un ticket d’entrée de 100 000€ et qu’elle va être diffusée sur Canal+ Sport alors que l’Eurocup était globalement invisible et engendrait un coup de production de 20 000€ par match, ce qui à l’échelle française n’est pas anodin. Pourtant au-delà de cette saison le statut-quo n’est pas tenable.\\n\\n« Dans tous les cas, cette situation ne pourra perdurer. Aujourd’hui, il n’y a pas moins d’une centaine de clubs qui sont engagés dans une coupe d’Europe, c’est trop ! (...) Quelque part, nous les clubs, sommes otages de cette situation de conflit. Nous sommes légalistes. Nous avons suivi les recommandations de notre fédération mais à un moment donné, il va falloir que la FIBA avance ! »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 18 octobre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nAprès sa première victoire en championnat, le SLUC Nancy peut respirer\\n\\n– En proie au doute, le SLUC a retrouvé des couleurs en débloquant son compteur victoire. À l’image de Dario Hunt et Alain Weisz, sous pression avant le... Lire la suite.\\n\\n\\nSans Matt Howard\\n\\n– Pour ce premier rendez-vous européen de la saison, la SIG devra composer sans Matt Howard. L’intérieur US est lourdement retombé sur le dos, samedi... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n450 000\\n\\n– Comme, en euros, la somme que touchera le vainqueur de la Basketball Champions League pour l’ensemble de son parcours. Le finaliste, lui, percevra 400... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’adversaire\\n\\n– À l’instar de la SIG, la Juventus Utena est à la peine dans son championnat domestique en ce début de saison... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nEn terre inconnue\\n\\n– C’est une équation à plusieurs inconnues qui attend la SIG à compter de ce soir, en Lituanie, pour ses débuts en Champions League. Entre une épreuve... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCe sera sans Matt Howard\\n\\n– C’est un vrai coup dur. Incertain depuis samedi et sa chute sur le dos face au Portel au Rhénus, Matt Howard est finalement forfait pour ce premier... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa BCL encore à l’épreuve\\n\\n– La nouvelle compétition, née du conflit entre l’Euroligue et la FIBA, doit convaincre les Français qu’ils ont fait le bon choix... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn saut dans l’inconnu\\n\\n– S’ils partent dans l’inconnu, les Strasbourgeois font office de favoris sur la ligne de départ de ce groupe D de la BCL... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPfastatt favori à Richwiller\\n\\n– Les Pfastattois (N2) disputent le premier tour du Trophée Coupe de France jeudi soir (20 h 30) à la salle Pfeffer de l’US Richwiller (Prénationale)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa sérénité de Kaysersberg\\n\\n– Malgré une fin de match quelque peu bâclée, le KABCA a montré face à Tourcoing qu’il possédait à domicile une marge sur les équipes moyennes du... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPape Dieye derrière les grillages\\n\\n– Entraîneur. Pape Dieye, le joueur entraîneur du SRC avait écopé d’un match de suspension suite à trois cartons jaunes. Non seulement, il n’a pas pu... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPremière à l’extérieur\\n\\n– Le premier déplacement de la saison de l’équipe fanion masculine chez coleader invaincu Strasbourg Saint-Joseph ne s’apparentait pas à une partie de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTout recommence en Lituanie\\n\\n– Finaliste de l’Eurocoupe la saison passée, la SIG retrouvera la scène européenne en fin d’après-midi (18 h) sur le parquet des Lituaniens de la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nProA: Limoges s’incline face à Cholet 72-79\\n\\n\\n\\n– Limoges s’est incliné à domicile 72-79 face à Cholet entraîné par Philippe Hervé, dernier coach sacré champion de France avec le CSP en 2015, lundi en clôture de la 4e journée de ProA... Lire la suite.\\n\\n\\nSalins impressionne toujours\\n\\n– Avec un Omar Top impressionnant (30 points), Salins a été mené par le BesAC B de 18 unités dans le premier quart-temps (13-31, 10’) mais a ensuite... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nKillian Larson, c’est mieux\\n\\n– Le pivot américain a obtenu la meilleure évaluation individuelle de l’équipe de Saint-Chamond face à Fos-Provence... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLons à tombeau ouvert\\n\\n– Toujours invaincus, les Lédoniens ont remporté à Décines leur quatrième succès de la saison. Plus d’une simple victoire... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nNantes\\n\\n– Présentée comme l’une des favorites du championnat, l’Hermine de Nantes n’abordait pas son entrée en Pro B dans les meilleures dispositions. Les Nantais accueillaient en effet Bourg, l’un des autres gros bras, sans Ekperigin, Michel et Quiros, trois de ses intérieurs. Cela n’a pas empêché les hommes de Franck Collineau de s’imposer (82-72)... Lire la suite.\\n\\n\\nBoulazac\\n\\n– La mayonnaise tarde décidément à prendre du côté de Boulazac. Annoncés parmi les favoris cette saison, les Dordognots se sont inclinés d’entrée à domicile contre Le Havre (69-85), un ancien pensionnaire de Pro A. Les hommes d’Antoine Michon restent sur six défaites en autant de matchs officiels depuis le démarrage de la saison. Déjà in... Lire la suite.\\n\\n\\n» Comme début, on ne pouvait pas rêver mieux. «\\n\\n– Avec 26 points, 3 passes décisives, 23 d’évaluation en 33 minutes, Martin Hermannsson s’est fait remarquer lors de son premier match avec Charleville contre Poitiers (victoire 79-69). A 22 ans, l’Islandais découvrait la division et s’est montré un poison permanent pour les Poitevins. S’il confirme, il pourrait ê... Lire la suite.\\n\\n\\nNiort peut garder la tête haute\\n\\n– Malgré l’amère défaite de samedi sur le buzzer (55-56, lire NR de dimanche), les joueurs niortais pouvaient garder la tête haute en ayant offert au public, pour la seconde fois consécutive, un très beau spectacle à la salle Barra. Avec une grosse défense et une belle réussite à trois points (10/21), les locaux ont compensé les blessures de leur... Lire la suite.\\n\\n\\n» Mimie » tient la baraque\\n\\n– Massarami Meite, meilleure scoreuse samedi dernier et seule rescapée de l’effectif de l’an passé, prend très à cœur son rôle de capitaine du Thouars Basket... Lire la suite.\\n\\n\\nRoanne évite le piège\\n\\n– Présentés parmi les favoris du championnat, les Roannais ont dû s’employer pour battre une solide équipe lilloise. Le symbole d’une Pro B très dense... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Mickaël Piétrus s’entraîne en Nationale 2 !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que son frère aîné Florent a trouvé un job à Gravelines, Michael Piétrus (1,98m, 34 ans) est toujours sans club mais n’est pas disposé à prendre sa retraite, même s’il reste sur une saison très mitigée au SLUC Nancy (8,7 pts à 37,2% de réussite aux tirs). Pour l’instant, il s’entraîne avec Meilhan-sur-Garonne, une équipe de Nationale 2 ! Mais c’est pour lui juste une étape. Pas question visiblement de signer au GAP, même si un sondage sur le site du club y est favorable.\\n\\n« Allons, soyons sérieux. Vous savez d’où je viens ? Je suis content d’être ici, de m’entretenir. J’attends dans la semaine une réponse de la part d’un club professionnel », a -t-il répondu il y quelques jours à la presse locale, ajoutant : « aujourd’hui, je suis ici, demain je n’en sais strictement rien. Je vis au jour le jour. »\\n\\nL’ASPTT Garonne compte dans ses rangs les anciens pros Thomas Larrouquis (1,98m, 31 ans) et Yannick Galliou (1,94m, 36 ans).\\n\\nMike Pietrus a joué 557 matches en NBA entre 2003 et 2013 avec une moyenne de 8,3 pts."
}, 
{"role": "user",     "content":"Klemen Prepelic (Limoges), l’un des quatre joueurs des Balkans en Pro A"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans Le Populaire, l’international slovène Klemen Prepelic (1,91m), qui fêtera ses 24 ans ce jeudi, confirme qu’il est venu au Limoges CSP essentiellement pour son coach Dule Vusojevic comme lui de «l’école yougoslave». L’ancien joueur d’Oldenbourg affirme vouloir gagner des titres en terre limousine.\\n\\n« En France, c’est sans doute plus facile que dans n’importe quel autre pays. En Allemagne, il y a Bamberg et le Bayern Munich, en Italie, Milan, en Espagne, Barcelone et le Real Madrid, en Turquie Fenerbahçe, Galatasaray... C’est compliqué de gagner là-bas. Ici, il y a plus de chances si on joue bien. »\\n\\nAvec Klemen Prepelic, on ne dénombre que quatre « Yougos » en Pro A –on ne tient pas compte de l’Américain Zach Wright qui joue sous pavillon bosniaque à Monaco-, ce qui est très peu comparé à des ligues comme l’espagnole et l’allemande. Ce sont son compatriote Vasi Miha (Châlons-Reims), le Bosniaque Kenan Bajramovic (Cholet) et le Serbe Nikola Dragovic (Lyon-Villeurbanne). A la question de savoir pourquoi les joueurs des Balkans sont si peu prisés en France, Prepelic répond :\\n\\n« Les gens disent que la Pro A est la ligue la plus physique d’Europe mais je ne sais pas. J’ai joué en Turquie qui est sans doute aujourd’hui le meilleur championnat en Europe. J’ai joué aussi en Allemagne, qui est aussi très physique. La Pro A est très athlétique. Mais il y a beaucoup de bons joueurs des Balkans qui demandent énormément d’argent. Après, c’est peut-être tout simplement un choix des entraîneurs. »\\n\\nL’interview est à lire ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Panathinaikos s’intéresse à D.J. Cooper"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le site Eurohoops annonce que D.J. Cooper (1,83m, 25 ans), le meneur américain de Pau-Lacq-Orthez, intéresse le Panathinaikos qui finalement ne fera pas signer Omar Cook.\\n\\nD.J. Cooper, qui dispose d’un passeport bosnien, a déjà porté le maillot du Pana il y a quelques mois. Il réussit un départ tonitruant en Pro A en étant actuellement le meilleur à l’évaluation (28,2), aux passes (12,2) et le troisième aux points (17,7). Il vient ce week-end de réaliser un triple double face à Gravelines avec 13 points, 13 rebonds et 11 passes.\\n\\nPau acceptera t-il moyennant une somme d’argent de laisser filer celui qui est devenu le parfait remplaçant de Michael Thompson ?"
}, 
{"role": "user",     "content":"Malgré deux défaites, Fati Sacko (Lattes-Montpellier) n’est pas inquiète"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après un premier échec face à Basket Landes à domicile, Lattes Montpellier a échoué ce week-end à Villeneuve d’Ascq. Les Héraultaises ne se sont pas tout à fait remises d’un départ catastrophique (4-20 suite à un 0-14, puis 12-30). Les filles de Valéry Demory ont à leur tour infligé un 14-0 à leurs rivales et sont revenues dans leurs baskets, mais elles n’ont pas pu finalement renverser la table (59-70).\\n\\nA cette occasion, Fati Sacko, qui comme Géraldine Robert, revenait dans le Nord a été efficace sur le plan personnel (16 points et 10 rebonds en 24 minutes). Malgré la défaite, elle ne tire pas pour autant la sonnette d’alarme dans Le Midi Libre :\\n\\n« Pour moi qui n’aime pas perdre face à mes anciennes équipes, c’est dur, mais c’est de notre faute car on a très mal débuté ce match en les laissant s’amuser sur jeu rapide. Cette deuxième défaite de rang est-elle inquiétante pour autant ? Non, car il suffit d’être dans les 8 premiers à la fin du championnat pour jouer les playoffs. Comme nous en fin de saison, l’ESBVA briguera le titre, c’est sûr. »\\n\\nLe 22 octobre, les championnes de France en titre vont recevoir Bourges pour le compte d’un match en retard de la première journée. A l’Open, elles avaient réussi à prendre l’avantage sur les Berruyères lors du Trophée des Champions (63-57). Une récidive leur permettrait de ne pas être décramponnées prématurément du haut du tableau.\\n\\nPhoto : FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jean-Denys Choulet : «Quand on fait 1 sur 18 ce n’est pas un manque d’adresse, c’est une catastrophe»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dimanche soir, l’Elan Chalon, qui était à deux victoires pour une défaite, recevait le SLUC qui n’avait toujours pas remporté le moindre match cette saison.\\n\\nAprès 40 minutes de jeu, les hommes d’Alain Weisz ont enfin pu débloquer leur compteur et ils enregistrent leur première victoire de l’exercice 2016/2017. Mené par un Dario Hunt en double-double avec 12 points et 12 rebonds pour 19 d’éval, le SLUC s’est imposé de dix unités (69-59) face à la formation de Jean-Denys Choulet.\\n\\nLe coach de Chalon-sur-Saône est revenu au micro d’Elan TV sur cette défaite marquée par un manque d’adresse impressionnant des Chalonnais.\\n\\n« Manque d’adresse, c’est le moins que l’on puisse dire. Quand on fait 1/18 ce n’est pas un manque d’adresse, c’est une catastrophe. Alors on peut voir les deux parties de cette défaite, voir que du négatif ou bien se dire qu’il y a quand même un peu de positif à savoir la volonté qu’on a eu de revenir dans le troisième et quatrième quart temps. Par contre un deuxième quart temps catastrophique comme ce fut le cas à Monaco et des joueurs qui, non seulement sont maladroits mais ce n’est pas le plus grave, mais qui n’ose pas prendre les tirs et c’est ça qui me gêne le plus. Quand on ne prend pas de shoot, on ne marque pas de points donc c’est compliqué. On est maladroit certes, mais en plus de ça on ne prend pas les tirs ouverts. On a un gros déficit de points et on ne pourra pas limiter les équipes à 60 points pour gagner des matchs. »\\n\\nL’ancien entraîneur de Roanne a également avoué avoir été à court d’idées pour remettre ses joueurs sur de bons rails.\\n\\n« Surtout un sentiment d’impuissance. C’est la deuxième fois que ça m’arrive. A Monaco au deuxième quart temps et ici au deuxième quart temps. Je me suis demandé quoi faire, s’il fallait faire rentrer un spectateur pour pouvoir marquer un panier parce que parfois les joueurs sur le terrain ne veulent pas prendre les shoots ou n’osent pas les prendre. Ils ont des positions de tirs ouverts mais ils ne les prennent pas. Même si Nancy a très bien joué le jeu en se focalisant sur deux de nos joueurs, comme les autres ne shootaient pas et bien c’était plus simple pour eux. Même s’il n’y a pas le feu au lac, moi je ne suis pas confiant dans l’avenir quand je vois une équipe qui refuse de prendre les tirs et quand je vois certains joueurs qui se cachent et qui, dans l’agressivité offensive, n’osent pas donner tout ce qu’ils pourraient donner. Ça, ça me gène. »\\n\\nIl ajoute aussi qu’il se méfie de Nanterre, chez qui l’Elan se déplace samedi pour le compte de la cinquième journée de championnat.\\n\\n« Ce qui est un peu moins bien c’est qu’on va jouer à Nanterre, vu qu’ils viennent de mettre 20 points au Mans, ça ne va pas être une partie plaisir mais peut-être que les joueurs seront un peu plus décontractés et auront peut-être un peu plus envie de lâcher le bras plutôt que de garder la balle et de partir tête baissée dans la raquette en faisant n’importe quoi. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Brussels prêt à défier Chalon pour son baptême du feu en Coupe d’Europe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Malgré un programme chargé (à Alost, contre Charleroi, à Ostende et face à Mons), le Brussels a réussi son début de saison avec trois succès et une seule défaite. Chalon devra se méfier d’un club en constante progression.\\n\\nVainqueur à domicile face à Mons malgré une entame de match catastrophique, le futur adversaire de Chalon est dans une spirale positive avant le match de Coupe d’Europe ce mercredi, comme le précise le coach Serge Crevecoeur.\\n\\nNous sommes soulagés d’avoir gagné, surtout après la défaite à Ostende. Pas dans le résultat, somme toute logique, mais dans la manière. On a su réagir et à quelques jours du premier match de Coupe d’Europe de notre histoire, c’était important d’aborder le match sur une note positive.\\n\\nUne grande première pour le Brussels\\n\\nCette Coupe d’Europe, c’est un nouveau chapitre du club qui s’ouvre, comme l’expliquait l’entraineur, à l’heure de l’officialisation de cette participation.\\n\\nAprès notre parcours en demi-finale des playoffs belges, nous avions fait notre deuil européen. Mais la Fiba Europe nous a contactés via la ligue belge et le dossier a été rentré et accepté. Ce n’est pas du tout usurpé par rapport à la saison dernière, c’est tout à fait logique.\\n\\n\\n\\n\\n3 days and the Europe Cup is back in Brussels! Are you ready for the game vs. @ELANCHALON ? #OneTeamBrussels pic.twitter.com/LeeXzYBK4P\\n\\n\\n— Circus Brussels Basketball (@BrusselsBasket5) October 16, 2016\\n\\nNe pas se fier aux apparences\\n\\nLe Brussels était un habitué des divisions inférieures et n’est en première division que depuis 2013. On rappellera au passage que la D1 belge est une ligue fermée de facto, nombre de clubs refusant de monter en D1, faute de budget. Ainsi, le Brussels a accédé à l’élite il y a trois ans donc après avoir obtenu une licence pour y participer. Huitième pour sa première saison, le club bruxellois n’a fait qu’évoluer, jusqu’à participer l’année passée aux playoffs pour la première fois de sa jeune histoire. Et sans y faire de la figuration. Le Brussels a en effet éliminé Charleroi avant d’accrocher Alost jusqu’au game 5.\\n\\nSi l’on parle d’apparences, c’est que le club de la capitale joue dans un complexe sportif tout ce qu’il y a de normal. A côté de la salle, c’est la piscine communale où les adultes, enfants et écoles viennent barboter. Les tribunes sont rétractables, les lignes au sol sont cachées lors des matchs de D1 et la salle de presse et le bureau du coach ne font qu’un. Une salle qui a d’ailleurs reçu une dérogation. Une nouvelle salle est un must pour continuer à grandir et le public bruxellois semble prêt à suivre. L’entraineur bruxellois tenait déjà ce discours en novembre 2015.\\n\\nJe souhaite offrir une vraie salle, une vraie sortie en famille avec des possibilités et des facilités de parking et de transports. Je veux y croire. ll y a un consensus sur le lieu mais avec la politique belge et bruxelloise, nous ne sommes jamais à l’abri.\\n\\nPour « The Game », le Brussels a accueilli Charleroi à Forest National, grande salle de concert de la capitale, et y a attiré plus de 6.000 fans. A l’époque déjà, c’était la preuve que le club de la capitale méritait une nouvelle salle.\\n\\nTout le monde l’a vu et je n’ai pas beaucoup de mots. C’est incroyable. Bruxelles mérite une bonne équipe de basket mais aussi et surtout une vraie salle de basket dans laquelle on peut continuer à progresser. Il nous faut un outil pour cela, et pas seulement au niveau sportif mais aussi commercial.\\n\\nD’ici là, il y aura donc ce premier match de Coupe d’Europe de l’histoire du club. Chalon est prévenu, le Brussels n’est pas un oiseau pour le chat. Surtout à domicile où il ne s’est incliné que deux fois la saison dernière."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 17 octobre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nUn grand bol d’air\\n\\n– Admirable en défense et porté par un Ebi Ere décisif en fin de match, le SLUC a ouvert son compteur victoires après trois défaites de rang. Elle fait... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn choix qui peut surprendre\\n\\n– Le cas Erving Walker avait fait débat après la défaite à Orléans. Au meneur strasbourgeois, il était notamment reproché de ne pas suffisamment lâcher... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nEric Girard : « C’était un plaisir de revenir là »\\n\\n– Éric Girard n’est pas resté insensible à l’accueil qui lui a été réservé, samedi soir, au Rhenus. Des applaudissements nourris lors de la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLeloup à point nommé\\n\\n– Jérémy Leloup n’a inscrit que deux paniers avant-hier, mais ce sont ceux qui ont permis à la SIG de filer vers son premier succès de la saison. Le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa phrase\\n\\n– C’était un moment spécial pour moi. De revenir dix ans après et d’avoir cet accueil, cela montre que les Alsaciens n’oublient pas le travail qui a été... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nToupane coupé par les Nuggets\\n\\n– L’Alsacien Axel Toupane ne jouera pas pour les Denver Nuggets cette saison. En compétition pour être le quinzième joueur de l’effectif, il ne débutera... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nWittenheim, c’est du costaud\\n\\n– En début de rencontre, les Silvangeoises font jeu égal avec les Wittenheimoises – contre lesquelles elles avaient perdu de 25 points en juin lors de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nRixheim avec détermination\\n\\n– Les Rixheimois ont enregistré samedi dans le fief du BC Gries-Oberhoffen II leur deuxième victoire et se replacent ainsi dans le milieu du tableau... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe BCBS décolle\\n\\n– Face au leader de la poule, Orly, les joueuses de Jérémy Mercier, appliquées et motivées, ont réussi une réelle performance en s’imposant 53 à 74 à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDessenheim a eu chaud\\n\\n– Dessenheim a failli se faire avoir en toute fin de match, samedi soir à Geispolsheim, face à un adversaire qui a tenté le tout pour le tout (69-74)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Panthères perdent le Nord\\n\\n– Les Mulhousiennes se sont inclinées samedi soir à Trith (56-41)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nNord Sundgau encore battu\\n\\n– Les joueurs de Geoffroy Kaemmerlen ont concédé une quatrième défaite d’affilée, samedi soir face à Weitbruch (74-76), une équipe qui devrait elle... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe FCM battu par la lanterne rouge\\n\\n– Le FCM a concédé sa troisième défaite de la saison, samedi soir au Puy-en-Velay, face à un adversaire qui n’avait pas encore remporté la moindre... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPfastatt cartonne à Besançon\\n\\n– Menés à la mi-temps par le BesAC (48-45), les Pfastattois ont renversé le cours du match pour remporter une large victoire samedi soir à Besançon... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUne forme de soulagement\\n\\n– Conscients de tout le travail qu’il reste encore à accomplir, les Strasbourgeois n’ont pas versé dans l’euphorie samedi soir au Rhénus après la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nKaysersberg sur le podium\\n\\n– Emmené par Sreten Cabarkapa, Willy Berquier et Julien Sauter, Kaysersberg s’est difficilement débarrassé de Tourcoing, insolent de réussite en... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Un crève-cœur »\\n\\n– « Quand tu fais 1/18 à 3 points, tu as beau défendre comme des chiffonniers, comme des chiens, et limiter toutes les équipes en dessous de 70 points... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nFaut-il s’inquiéter pour John Roberson ?\\n\\n– Les matches se suivent et se ressemblent pour le capitaine chalonnais. Hormis ses 20 passes cumulées contre Orléans en Antibes, et une défense plus... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Elan a manqué de talent et de guerriers avant la pause\\n\\n– Aux abonnés absents jusqu’à la pause (19-39), les Chalonnais sont partis de trop loin pour espérer quoi que ce soit. Et leurs carences offensives... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Il va falloir réagir rapidement car nous avons déjà trois défaites »\\n\\n– « Nous sommes dans une mauvaise spirale depuis les matchs amicaux qui n’étaient pas bons. Avec la même équipe pourtant, on ne comprend pas trop. Il va... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes filles de la CTC Bresse sans difficultés\\n\\n– Les Bressanes n’ont pas eu à forcer leur talent face au centre de formation du fameux club de Bourges. Largement supérieur, elles ont eu le mérite de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’ULR manque le coche\\n\\n– Salle des Unchats. Lons-le-Saunier bat ULR 61-56. Score des 1/4 tps : 15-21, 14-8, 12-9, 15-23. Pour ULR : Poncet 19pts, Béal 10, Freycenet 4, Albert... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe CRAP haut la main\\n\\n– Cette rencontre s’est jouée à sens unique, les visiteuses n’ayant jamais pu hausser le ton face à une équipe veauchoise maître de son sujet même si... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond cède après la pause\\n\\n– Saint-Chamond a connu un coup d’arrêt après deux succès de rang, en s’inclinant samedi soir à domicile face à Montélimar (69-80). Emmenés par Samaké... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe Puy : s’incline logiquement face au Cannet\\n\\n– Samedi en fin d’après-midi, le Puy retrouvait son public au Palais des sports pour une affiche très attrayante face, une nouvelle fois, à un poids... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa victoire de la détermination\\n\\n– Le poing en l’air et le cri rageur, Andrew Young peut être satisfait. Si la victoire est toujours collective, l’Américain de Beaujolais peut quand... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg sans trembler face à Vichy\\n\\n– Les cadets de la JL Bourg se sont relancés dans la course à la qualification en s’imposant sans coup férir devant Vichy... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nClar Basket : Tarare a mangé du Lyon\\n\\n– Alors que le Clar était à égalité (17-17) face à un adversaire qui l’avait malmené au premier quart-temps temps (12-17), les hommes de Ludovic... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa mauvaise soirée de Caluire\\n\\n– Mauvaise opération pour les ‘Drôles de Dames’ avec cette défaite inattendue contre le SMUC Marseille. Une rencontre pourtant bien commencée avec une... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nVénissieux coince contre le leader\\n\\n– En possession du ballon à 2, 5 secondes du coup de sifflet final, les Vénissianes n’ont pas su exploiter leur dernière occasion et viennent mourir à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’AL Lons a frappé un grand coup\\n\\n– En déplacement chez le CTC Chassieu-Décines, meilleure défense du championnat lors des trois dernières saisons, l’ALL s’impose et s’octroie la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’euphorie se poursuit à Ozon\\n\\n– Troisième victoire en 4 matchs pour les joueurs d’Ozon qui se hissent à la place du classement... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nVilleurbanne s’impose avec autorité\\n\\n– Samedi soir, les Villeurbannaises ont décroché un précieux succès sur le parquet d’Armentières (54-61) malgré une prestation en demi-teinte... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nVaulx passe (enfin) la première\\n\\n– Il y avait bien des doutes avant le début de cette rencontre entre les deux mauvais élèves de la poule K. Mais il y avait une certitude : au buzzer... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg trop tendre pour Montbrison\\n\\n– Dominés dans tous les compartiments du jeu, les espoirs burgiens n’ont pas existé face à des Foréziens plus aguerris... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe BCMF doit reprendre confiance\\n\\n– Le BCMF, en difficulté en championnat, doit se ressaisir pour préparer au mieux le 1/16 de finale de Coupe de France... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nTriste samedi soir à Montmorot\\n\\n– La rencontre de samedi soir aux Crochères s’est achevée dans la confusion avec une bagarre en tribunes et huit disqualifiantes pour les joueurs... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBressuirais et Chauraisiennes toujours invaincus\\n\\n– Les Chauraisiennes et les Bressuirais poursuivent leur parcours sans faute dans leurs championnats prénationaux. A l’inverse, les Bocaines, toujours à la recherche d’un premier succès, restent sur une spirale négative. > Prénationale féminine Chauray – Semussac\u2009: 89-37. Arbitres : MM. Diop et Ettassi. Bressuire (b) – Mon... Lire la suite.\\n\\n\\nPourquoi la Berrichonne va-t-elle jouer son match face à Pays de Fougères un vendredi ?\\n\\n– Généralement, en Nationale 2, les rencontres ont lieu le samedi soir à 20\u2009h. Mais pour la première fois depuis bien longtemps, la Berrichonne basket disputera son prochain match de championnat face à Pays de Fougères vendredi 28 octobre, à 20\u2009h. En effet, ce week-end-là, la section Sports nature de l’ASPTT Châteauroux, qui partag... Lire la suite.\\n\\n\\nLes Tourangeaux avec leur coeur\\n\\n– n3 masculine St-Laurent-de-la-Plaine\u2009: 77 UTBM (2)\u2009: 84 (ap) Cette rencontre entre le promu local et Tours revêtait un intérêt capital. En effet, l’objectif du maintien passe par des résultats probants dès le début de saison, pour s’éviter le stress inhérent à tout promu. Le président planileurentais résumait bien cette situation\u2009:... Lire la suite.\\n\\n\\nLa star du week-end\\n\\n– Le Nanterrien Mykal Riley, a réalisé une prestation XXL ce week-end. L’ailier américain a été décisif dans le match qui opposait Nanterre au Mans. S’il n’a pas terminé meilleur marqueur de son équipe samedi soir, le Nanterrien a réalisé une démonstration polyvalente pour aider Nanterre à dominer des deux côtés du terrain puisqu’il a été l’a... Lire la suite.\\n\\n\\nVineuil se remet dans l’axe\\n\\n– Cette victoire n’était pas inespérée, mais pas loin, lâche l’entraîneur vinolien Guillaume Dubois. Sans Pierre Brochard ni Kélian Boistard, deux de leurs trois meilleurs pourvoyeurs de points, les Vinoliens sont donc allés s’imposer sur le parquet de la JALT Le Mans (66-70), samedi soir. « On a fait un match d’équipe, poursuit Guillaum... Lire la suite.\\n\\n\\nMonts et Fondettes s’offrent les derbys\\n\\n– Féminines Monts\u2009: 67 Saint-Avertin\u2009: 54 Pascal Papot (Monts)\u2009: « On fait une bonne première mi-temps. Après, les blessures de Julie (Guilbert) et d’Axelle (Bourdin) nous ont un peu perturbés. C’est une victoire pas si facile. » James Deroin (Sas)\u2009: « On a manqué d’expérience pour répondre au jeu physique de Monts. En prenant 47 points en 20... Lire la suite.\\n\\n\\nUn Cest à deux facettes\\n\\n– Cest\u2009: 50 Les Herbiers\u2009: 65 Difficilement compréhensible\u2009! Alors qu’avec 10 points d’avance à la pause, le Cest avait posé la main sur le match, la deuxième mi-temps fut un véritable cauchemar pour les Tourangelles. Maladroites au possible, ne marquant que 13 points en vingt minutes, elles ont laissé filer un match à leur portée. Tout avait do... Lire la suite.\\n\\n\\nBressuire n’a pas tenu la distance\\n\\n– Limoges\u2009: 75 Bressuire\u2009: 52 Au coude à coude en première mi-temps (33-29), Bressuire a finalement craqué face au Limoges ABC... Que se sont dites les joueuses de Schwartz en rentrant aux vestiaires à la mi-temps\u2009? Qu’il y avait un coup à jouer avec si peu d’écart (33-29)\u2009? Qu’il fallait continuer ainsi pour contrecarrer la force de frappe offensiv... Lire la suite.\\n\\n\\nDeuxième victoire à domicile pour Le Poinçonnet\\n\\n– FÉMININE – Le Poinçonnet\u2009: 56 Barjouville\u2009: 48 Quarts-temps\u2009: 15-14, 11-13 (26-27), 13-7, 17-14. Le Poinçonnet\u2009: Ferrier 10, Vincent, Vannieuwkerke, Vandendriessche 4, Massicot 4, Bourgoin 5, Gaborit 12, Vaslin 12, Tixier 4, Marlaud 5. Barjouville\u2009: Chevalier 15, Grall 13, Martin 12, Wellement, Bobet 2, Couasse 2, Neslé 4. En recevant Barjouville,... ... Lire la suite.\\n\\n\\nTroisième succès pour Étrechet\\n\\n– CS Bourges\u2009: 65 Déols\u2009: 47 Les Déolois ont concédé leur troisième défaite en championnat. Pourtant, ils ont pris le match par le bon bout mais n’ont pas réussi à maintenir le rythme. « Nous nous sommes désunis au fil de la rencontre, regrette Yann Vaslin. On peine à acquérir le niveau régional, il y a de bons joueurs dans l’équipe mais on... Lire la suite.\\n\\n\\nLes Thouarsaises devront s’en souvenir\\n\\n– Thouars\u2009: 66 Trégueux\u2009: 71 Battu à la régulière samedi soir par le promu Trégueux (lire NR d’hier), le Thouars Basket 79 a désormais quinze jours pour tirer les enseignements de ce premier accroc dans une saison jusque-là parfaite. Matches de préparation compris, les Thouarsaises avaient enchaîné huit victoires d’affilée. Pour ce group... Lire la suite.\\n\\n\\nGueule de bois pour la Berri\\n\\n– Les Castelroussins ont enchaîné un cinquième revers de rang à Cognac. Au-delà du résultat, le comportement des joueurs n’a pas plu à Régis Racine... Lire la suite.\\n\\n\\nAucune défense à présenter\\n\\n– Cherbourg – UTBM\u2009: 90-80 Le manque d’application défensive et de respect des consignes ont coûté cher à des Tourangeaux désormais à deux défaites... Lire la suite.\\n\\n\\nMonaco rejoint Nanterre\\n\\n– Monaco s’impose face à Hyères-Toulon et rejoint Nanterre en haut du classement. Nancy et Strasbourg enregistrent leur premier succès... Lire la suite.\\n\\n\\nDéficits de taille et d’expérience collective aux Montils\\n\\n– PRÉNATIONALE MASC.Berrichonne\u2009: 62 Vineuil\u2009: 69 Durant les vingt premières minutes, les Castelroussins proposent un jeu construit qui tient tête à Vineuil et les deux équipes sont à égalité à la pause. Le troisième quart est sur le même rythme, les locaux parviennent même à creuser un écart de sept points avant le dernier acte. Mais les vis... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : l’incroyable performance de Facundo Campazzo"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dimanche, à l’occasion de la quatrième journée de Liga Endesa, le Real Madrid recevait Murcia et les hommes de Pablo Laso se sont imposés 93-86 face à la formation d’Oscar Quintana.\\n\\nDans ce match, le meneur argentin de Murcia, Facundo Campazzo a signé une performance inédite.\\n\\nEn compilant 19 points, 6 rebonds et 14 passes décisives, le natif de Cordoba a fait mieux qu’Elmer Bennett, qui évoluait à Vitoria, et qui avait enregistré 15 points, 5 rebonds et 12 passes décisives dans un match face au FC Barcelone le 3 novembre 2001.\\n\\nCette saison, Facu Campazzo tourne en moyenne à 14 points, 4,3 rebonds et 8,8 passes décisives en première division espagnole."
}, 
{"role": "user",     "content":"Un Game 5 nécessaire pour connaître le champion WNBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette nuit au Staples Center, avec ses 31 points, 9 rebonds et 5 passes, Maya Moore (1,83m) a boosté le Minneapolis Lynx vers une victoire sur les Los Angeles Sparks (85-79). Les deux équipes ont ainsi gagné chacune deux manches et la belle se déroulera jeudi dans le Minnesota.\\n\\nLes cinq étrangères des Sparks dont Sandrine Gruda ne sont pas entrées en jeu dans ce Game 4, les minutes étant concentrées sur sept joueuses.\\n\\nLos Angeles b. Minneapolis* : 78-76\\n\\nMinneapolis* b. Los Angeles : 79-60\\n\\nLos Angeles* b. Minneapolis : 92-75\\n\\nMinneapolis b. Los Angeles*: 85-79\\n\\nMinneapolis – Los Angeles le 20/10"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le vilain 1 sur 18 à trois-points de Chalon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chacun se souvient des shooteurs fous de l’Elan Chalon version 2015-16 : John Roberson, Ilian Evtimov, Tyler Kalinowski et bien sûr Jeremy Hazell, un croqueur mais qui réalisait des séries carrément ébouriffantes. Ne vous y trompez pas, les Bourguignons savaient viser juste. Le tout avait donné un pourcentage d’adresse à trois-points de 39,0%. Le meilleur de Pro A.\\n\\nCe rappel va rendre les spectateurs du Colisée nostalgiques après ce qu’ils ont vu cet après-midi. Leur équipe a attendu la dernière minute pour que Jérémy Nzeulie transforme un essai au-delà de la ligne à 6,75m après 17 échecs. L’un des raisons majeures de la défaite des hommes de Jean-Denys Choulet face au SLUC Nancy, 59-69."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A : la SIG débloque son compteur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la 4e journée du championnat de Pro A, la SIG recevait Le Portel emmené par son coach Eric Girard nostalgique de ses moments passés à Strasbourg comme entraîneur entre 2004 et 2008.\\n\\n« C’était un moment spécial pour moi. De revenir dix ans après et d’avoir cet accueil, cela montre que les Alsaciens n’oublient pas le travail qui a été fait, a-t-il confié sur le site officiel de la SIG. Découvrir la salle et ce qu’est devenu ce public... Je n’ai gardé que des bons souvenirs et j’espère revenir souvent... »\\n\\nAu final, les Strasbourgeois se sont imposés face à un promu accrocheur qui ne s’incline que de 4 points (75-71) face au finaliste des playoffs 2016.\\n\\nAvec ses 14 points et 13 rebonds (22 d’évaluation), Mam Jaiteh termine MVP de la rencontre. Du côté de l’ESSM, Frank Hassell rend la plus belle copie 16 points et 10 rebonds pour une évaluation de 20.\\n\\nA l’issue du match, Jeremy Leloup a réagi à cette victoire qui est la première de la SIG cette saison.\\n\\n« On retiendra qu’on a été plus consistant en deuxième mi-temps. Cet effort était indispensable. On progresse mais on cherche encore notre jeu. Il faut travailler. On va enchaîner avec la Coupe d’Europe mardi et ces matches nous permettront de travailler. Cette victoire fait surtout du bien à la tête même si la manière n’y était pas toujours. A titre personnel, j’ai été longtemps maladroit et j’ai essayé d’apporter autre chose ».\\n\\nLe technicien finlandais de la SIG, Henrik Dettman a quant à lui tenu à saluer la performance du Portel ainsi que la progression de son équipe.\\n\\n« Tout d’abord, mes compliments au Portel. Je l’avais dit avant, j’aime leur enthousiasme, la façon dont ils jouent. Ce succès est important pour notre confiance. Il reste beaucoup de travail à faire mais on a gagné parce qu’on a grandi en tant qu’équipe, on a progressé collectivement. Frank (Ntilikina) était malade avant le match, après nous avons perdu Matt(Howard) qui n’a pu jouer que huit minutes. J’espère que nous avons eu notre lot de blessures pour la saison ! On a voulu commencer sans Erving (Walker) pour préserver son potentiel de scoring et lui enlever un peu de responsabilité. J’espère bien sûr que c’est le début d’une série mais c’est surtout pour nous, le début des voyages et de matches bihebdomadaires qui nous laisseront moins de temps pour nous entraîner »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Boulazac fessé au Palio"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite et fin de cette première journée de Pro B avec deux résultats plutôt surprenants, à commencer par la grosse défaite du Boulazac Basket Dordogne à la maison contre Le Havre (69-85). Meilleure équipe de la division dans son antre du Palio la saison passée (15 victoires en 17 matchs), le BBD n’a jamais vu le jour, la faute à une entame de match complètement manquée (14-23 après 10 minutes).\\n\\nRevenus à -4 à la pause (34-40), les Périgourdins n’ont pas réussi à revenir suffisamment près pour semer le doute dans l’esprit des hommes de Jean-Manuel Sousa, emmenés par Bernard King (16pts, 5pds) et Dinma Odiakosa (25 pts, 8 rbds). L’intérieur nigérian, passé par Boulazac en 2014-2015, n’a pas manqué son retour en Dordogne (12/13 au tir, 29 d’évaluation).\\n\\nL’autre résultat de la soirée confirme une fois de plus l’homogénéité de la Pro B puisque le promu Aix-Maurienne, auteur d’une très belle phase de groupe de Leader’s Cup, est allé décrocher son premier succès de la saison à l’extérieur, à Boulogne-sur-Mer (63-71). Les Savoyards n’ont que très peu apprécié les prévisions de nombreux observateurs qui les voient bon derniers de Pro B. Dans leur vestiaire, les classements annonçant l’AMSB en queue de peloton sont affichés au mur pour servir de motivation à tout un groupe, et visiblement, ça marche ! Les intérieurs mauriennais Gide Noël (18pts, 8 rbds) et Andre Williamson, arrivé en cours de pré-saison (13pts, 8 rbds) ont mis Aix-Maurienne sur les bons rails. Dans la dernière ligne droite, c’est le sniper Karim Atamna qui a dégainé à 3 points afin de sécuriser la victoire. Pour leur part, les Boulonnais ont été trop maladroits tout au long de la rencontre (31% d’adresse au tir), à l’image des pourcentages des intérieurs Abdoulaye Loum (1/7 au tir) et Jean-Baptiste Adolphe Michel (1/8). Le meneur Teddy Gipson, désormais à la tête du SOMB, a été l’une des rares satisfactions de la soirée pour Germain Castano (15pts, 3 rbds, 2pds).\\n\\n\\nPremière journée de Pro B\\n\\nJeudi soir\\n\\nCharleville-Mézières – Poitiers : 79-69\\n\\nVendredi soir\\n\\nRoanne – Lille : 99-96\\n\\nSaint-Quentin – Evreux : 87-62\\n\\nDenain – Blois : 68-57\\n\\nNantes – Bourg-en-Bresse : 82-72\\n\\nSaint-Chamond – Fos-sur-Mer : 66-77\\n\\nRouen – Vichy-Clermont : 76-70\\n\\nSamedi soir à 20h\\n\\nBoulazac – Le Havre 69-85\\n\\nBoulogne-sur-Mer – Aix-Maurienne 63-71"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 16 octobre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nChalon au complet\\n\\n– Nancy. L’ordinateur de la Ligue Nationale de Basket aurait-il pété les plombs ? Jean-Denys Choulet, le coach de l’Elan Chalon s’étonne et c’est... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSLUC : il faudra défendre pour réussir un exploit\\n\\n– Alain Weisz a travaillé la défense toute la semaine. Contre Chalon, une équipe d’attaque avec ses shooteurs Harris, Roberson et Nzeulie, c’est... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nHenrik Dettmann cherchait-il à provoquer un électrochoc\\n\\n– Henrik Dettmann cherchait-il à provoquer un électrochoc ? Toujours est-il que le Finlandais a changé trois éléments de son cinq de départ par rapport... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe soulagement\\n\\n– La victoire de la SIG, hier soir, face au Portel, la première de la saison, tombe à pic pour enlever un peu de pression. Mais il serait malvenu, et... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSIG 75 Le Portel 71\\n\\n– Strasbourg. Rhénus Sport. Mi-temps : 43-40. Les périodes : 19-15, 24-25, 18-11, 14-20. Arbitres : MM. Bardera, Thepenier et Murillon. 4 709... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPar un trou de souris\\n\\n– Après trois défaites de suite pour débuter la saison, les Strasbourgeois ont ouvert leur compteur de victoire en Pro A en s’imposant sans briller face... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nGravelines: édifice bancal, peinture fraîche et adresse inconnue...\\n\\n– Le BCM, lui, ne sait pas faire quand ça ne rentre pas. Il avait pourtant proprement lancé l’affaire. Richard Solomon, plein de sève, pesait dessous (10 pts, 8 r... Lire la suite.\\n\\n\\nDresser les barbelés et enquiller quelques paniers en plus\\n\\n– Bien en place défensivement, l’Elan Chalon va tenter de confirmer aujourd’hui ses bons résultats face à Nancy, toujours au point mort. En tâchant de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Nous avons fait l’essentiel »\\n\\n– « Dans ce championnat dense, il faut gagner des matchs et ce soir nous avons donc fait l’essentiel. Angers était venu pour faire un match de »... Lire la suite.\\n\\n\\nRoche trop brouillon\\n\\n– Hier soir, le Phénix a cédé par manque de régularité face à une formation de Nord Ardèche très adroite, avec la volonté d’attaquer le cercle. Roche se... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Choraliens n’ont rien lâché mais s’inclinent\\n\\n– Dans un match très serré, ce sont les joueurs de Saint-Priest qui prennent les devants avant de voir les Choraliens reprendre l’avantage (22-20, 10e... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’U.S. Lentigny victorieuse face à Marzy\\n\\n– L’entraîneur de Lentigny, Romain Perey, se félicite de ce succès 78-64 : « C’est une victoire d’équipe et chaque joueur a apporté. C’était ce qu’on... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond cède en fin de match\\n\\n– Saint-Chamond s’est incliné sur le fil face à Annemasse, samedi soir, au terme d’un féroce mano à mano... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe Puy s’impose aux forceps\\n\\n– Le Puy en s’imposant devant Mulhouse a remporté une victoire essentielle pour enfin lancer sa saison... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes cadets bressans sans joker face à Vichy\\n\\n– Avec déjà deux défaites, les Bressans n’ont pas de temps à perdre s’ils veulent assurer leur maintien dans l’élite... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLyon a relevé le défi à Clermont\\n\\n– La rencontre débutait dans un face-à-face plutôt homogène. Les Puydômois gagnaient le premier quart-temps sur le fil (16-15) face à l’OLB. Ils... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPoligny, déconfiture maison\\n\\n– Parfaitement lancés après un premier quart idéal, les Polinois ont été éteints ensuite par des Bisontins plus intenses... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLyon So Basket s’impose sur le fil\\n\\n– Il a fallu trois prolongations à Lyon So pour s’imposer face à une vaillante équipe de Feurs, qui déjà diminuée, a même fini à quatre... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nGraf’ trop fort pour le BCMF\\n\\n– Nouvelle défaite (59-68) à domicile pour les Foréziennes qui se mettent en mauvaise posture concernant leur avenir... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nL’Asvel s’en remet à Nelson\\n\\n– Au lendemain de l’improbable “crash” contre Châlons-Reims (73-77), le club villeurbannais a annoncé l’arrivée de l’arrière américain DeMarcus Nelson... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nUn test-match avec la victoire\\n\\n– La Chorale n’a pu échapper à la crispation de cette première à domicile mais elle a su mettre toute son énergie pour faire vibrer un public tenu en... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond loin du compte\\n\\n– Malgré de l’envie, les Saint-Chamonais ont montré beaucoup trop de lacunes pour espérer prendre le meilleur sur une solide formation de Fos. Le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLes Lyonnaises à l’usure\\n\\n– Face à des Angevines fatiguées et diminuées, les Lionnes ont fait la différence en seconde mi-temps en montant l’intensité de leur défense... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPrécieuse victoire de Roanne\\n\\n– Maxime Bézin débute le match en faisant un choix. Jouer petit. Ducret est lancée dans le grand bain aux côtés de Mélois et Gorjeu tandis que Day et... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe courage et l’abnégation récompensés\\n\\n– Malgré un deuxième quart temps catastrophique, l’ALS sort vainqueur d’un dur combat avec un Kovanusic impérial... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nNanterre enclenche la quatrième\\n\\n– Nanterre a submergé Le Mans (90-70) pour signer une quatrième victoire en autant de matches et prendre provisoirement seul la première place de la... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nCabioc’h : » Très fier de mon équipe «\\n\\n– Yoann Cabioc’h (entraîneur du Poinçonnet)\u2009: « On a vu une équipe du Poinçonnet avec une attitude irréprochable. Il y a forcément des choses à redire, mais dans l’attitude et l’investissement, on a montré de l’application, de l’envie et de la hargne. Même quand nous avons été en difficulté, nous nous sommes appuyés sur notre défense... Lire la suite.\\n\\n\\nLes bons coups\\n\\n– Les bonnes affaires de la journée sont à mettre à l’actif de Fos-sur-Mer, Aix-Maurienne et Le Havre, les trois équipes à s’être imposées à l’extérieur. Sur le parquet de Saint-Chamond pour Fos (66-77), de Boulogne pour Aix et de Boulazac pour Le Havre. On retiendra parmi ces trois performances à l’extérieur les 50 rebonds pris pa... Lire la suite.\\n\\n\\n» Pas du tout respecté le plan de jeu établi «\\n\\n– Sébastien Duval (entraîneur de l’UTBM)\u2009:« Malheureusement, on n’a pas du tout respecté le plan de jeu établi. En première mi-temps, on fait des erreurs de concentration et d’application, on perd trop de ballons. On savait qu’il fallait contrôler Brusokas, or il fait un chantier au rebond sur ce match... On savait que Kieger s’exprimait... Lire la suite.\\n\\n\\n« Ça joue bien au basket. »\\n\\n– Assis à côté de Mickaël Hay en conférence de presse, Jean-Christophe Prat n’a pas manqué de saluer la performance blésoise vendredi soir. « Sur l’ensemble du match, Blois nous a bien gênés tactiquement. Ça joue bien au basket. Les Blésois nous ont surpris, notamment au niveau de la dureté qu’on ne peut pas voir à la vidéo. Cette éq... Lire la suite.\\n\\n\\nCruel dénouement pour les Niortais\\n\\n– AS Niort\u2009: 55 Saint-Médard\u2009: 56 Malgré les blessures de D. Retkhus et F. Gauthier, les Niortais ont réalisé une fin de match à couper le souffle qui aurait pu leur permettre de s’imposer sans une erreur de gestion dans la dernière minute. La partie était pourtant mal engagée, puisque les joueurs de Saint-Médard exercent un gros rythme... Lire la suite.\\n\\n\\nLa Berrichonne surclassée en Charente\\n\\n– Cognac\u2009: 91 Berrichonne\u2009: 56 Sur le papier, l’écart était immense. Sur le terrain, il s’est confirmé. En déplacement à Cognac, Châteauroux est reparti avec un débours de 35 points (91-56). Un écart de score qui traduit bien la différence de niveau des deux formations entre Cognac, qui vise le haut de tableau, et Châteauroux, qui lutte pour son... Lire la suite.\\n\\n\\nDes regrets pour commencer\\n\\n– L’ADA Blois était toute proche de remporter un succès pour le premier match de son histoire en Pro B. Mais à Denain, il y a eu trois minutes de trop... Lire la suite.\\n\\n\\nPremière pour Strasbourg\\n\\n– Les Strasbourgeois se sont imposés pour la première fois de la saison face au Portel (75-71), hier soir. Une victoire également facile pour Nanterre et Pau... Lire la suite.\\n\\n\\nPremier accroc pour Thouars\\n\\n– Thouars – Trégueux\u2009: 66-71 Moins efficaces en défense et en panne d’adresse, les Thouarsaises ont concédé leur première défaite de la saison hier soir... Lire la suite.\\n\\n\\nVineuil s’impose au Mans\\n\\n– JALT Le Mans – Vineuil\u2009: 66-70. Adroits sur la ligne extérieure et solides défensivement, les Vinoliens se sont imposés au Mans et équilibrent leur bilan... Lire la suite.\\n\\n\\nQuatre à la suite\\n\\n– Le Poinçonnet – Stade Montois\u2009: 64-53 Les joueuses de Yoann Cabioc’h ont enchaîné un quatrième succès même si elles auraient pu gagner plus largement... Lire la suite.\\n\\n\\nL’UTBM piégée\\n\\n– Cherbourg – UTBM\u2009: 90-80 Les Tourangeaux s’inclinent dans le Cotentin face à une équipe cherbourgeoise déterminée et solide à domicile... Lire la suite.\\n\\n\\nDonnadieu, un coach heureux\\n\\n– PASCAL DONNADIEU Le coach charismatique de Nanterre rejoint le staff des Bleus Dans la famille Donnadieu, il y a le père, Jean, et le fils, Pascal. Tous deux sont indissociables dans l’épopée du club de basket de Nanterre qu’ils ont ensemble conduit jusqu’aux sommets (titre de champion de France en 2013). Après avoir mené la JSF vers le haut du... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les recettes internationales de Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’AS Monaco Basket est en tête de la Pro A, invaincue après trois journées –l’ASM reçoit ce soir à 18h30 Hyères-Toulon devant les caméras de SFR Sport 2- et a dégagé jusqu’ici une telle impression de puissance que l’on se demande qui pourra l’empêcher de remporter le premier titre de son histoire. Sachant que l’ASM, bien que victime de moments de dépression, est un dinosaure puisqu’elle fut en finale de la Nationale 1 –l’actuelle Pro A- lors de sa première saison d’existence, en 1950.\\n\\nCe qui fait son originalité ? Le fait d’abord que Monaco soit une Principauté, une minuscule cité-Etat de 2,02 km2 et 35 500 habitants qui est sous la protection de la France, qui garantit l’intégrité du territoire monégasque et qui exclut toute possibilité d’incorporation. Ce qui provoque cette situation paradoxale de voir Monaco disputer le championnat d’Europe des petits Etats avec Andorre et le Liechtenstein et donc d’avoir un club dans le championnat de France. Situation analogue à celle du football. Une présence qualifiée par certains d’intrusion et il y a quelque temps le président de l’UCPB, le syndicat des clubs professionnels de foot, Jean-Pierre Jouvel, avait menacé d’exclure le club de la Ligue 1 car les avantages fiscaux lui paraissaient dépasser la mesure, surtout avec l’arrivée d’un puissant actionnaire russe. Un accord fut conclu. Comme dans la Ligue Nationale de Basket où l’AS Monaco s’est acquittée d’un droit d’entrée afin de compenser les avantages locaux spécifiques.\\n\\n« Un modèle qui a très cours dans l’Europe du basket -Olympiakos repose ainsi sur la fortune des frères Angelopoulos et le Panathinaikos sur celle des frères Giannakopoulos. »\\n\\n\\nUne Tour de Babel\\n\\nAu-delà des joueurs –aucun Monégasque, deux Américains, un Ukrainien, un Américano-Bulgare, un Américano Bosniaque-, un Américano-azerbaïdjanais et des Français- ce qui fait aussi l’originalité du club, c’est l’internationalisation de son staff. On parle bien sûr du coach, le Monténégrin Zvezdan Mitrovic mais si l’AS Monaco est une véritable Tour de Babel, c’est que du côté du propriétaire et de la direction, là aussi les Français sont minoritaires. Car pour l’ancien préfet Paul Masseron (vice-président) et l’ancien joueur Yann Boisson (directeur administratif), on trouve le Belge Willy de Bruyne (administrateur), et les deux Ukrainiens Oleksiy Yefimov (directeur exécutif) et Sergueï Dyadechko (président). Du jamais vu de toute l’histoire du basket français.\\n\\nLe premier fut le manager général, le directeur sportif et le coach du Donetsk BC, ainsi que le manager du Kiev BB et de l’équipe nationale. Le second est un banquier sulfureux, mais discret et réellement passionné, déjà proprio du Donetsk BC, qui s’est d’abord affiché un an comme le « sponsor général » -bref le mécène- de l’équipe monégasque avant d’en prendre aussi la présidence. Un modèle qui a très cours dans l’Europe du basket -Olympiakos repose ainsi sur la fortune des frères Angelopoulos et le Panathinaikos sur celle des frères Giannakopoulos – et dans le football y compris avec le PSG des Qataris – mais que l’on n’avait pas encore observé dans la Ligue Nationale de Basket.\\n\\n« Monaco avait la saison dernière la 27e affluence de la Ligue Nationale de Basket »\\n\\n\\nMoins de 2 000 spectateurs\\n\\nCette internationalisation, sportivement, ça marche. En 2011-12, l’ASM était encore en Nationale 2 et c’est une ascension absolument sans précédent qu’elle a effectué depuis. Seulement, comme on pense que le sport professionnel a tout d’abord comme vocation d’être populaire, on se pince le nez en constatant que l’AS Monaco, avec 1 907 spectateurs, avait la saison dernière la 27e affluence de la Ligue Nationale de Basket. La salle Gaston-Médecin a été depuis aménagée mais il faudra à Monaco édifier un nouveau palais des sports pour avoir un écrin digne de son rang, et soulever davantage d’enthousiasme populaire, pour ne pas donner l’impression que la Roca Team est juste un beau bibelot."
}, 
{"role": "user",     "content":"Elan Bérnais : le triple double de D.J. Cooper plonge Gravelines dans le doute"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Etablir un triple double est un exploit rare dans le jeu FIBA surtout de la part d’un meneur de jeu. C’est ce qu’a réussi hier au Sportica l’Américain D.J. Cooper (1,83m, 25 ans) dans la victoire de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez sur le BCM Gravelines-Dunkerque (78-65) avec 13 points, 13 rebonds et 11 passes. Match parfait ? Non, car lui qui possède un bras gauche exceptionnel n’a pas réussi un seul de ses cinq shoots à trois-points.\\n\\nA l’inverse, si le 2/26 derrière la ligne du BCM n’est pas un record, il démontre tout de même que rien n’a fonctionné chez les Nordistes question adresse avec notamment un global 0/8 de Steven Gray.\\n\\nLe BCM est bien heureux de s’être imposé au Paris-Levallois d’une courte marge (81-79) sinon il serait aujourd’hui fanny. Florent Pietrus qui vient d’arriver cherche à positiver :\\n\\n« Il nous manque du vécu ensemble. J’ai le sentiment que cette équipe se cherche. L’effectif a beaucoup changé cet été, on ne peut pas trouver un jeu bien léché après seulement quatre matchs. On va se réfugier dans le travail quotidien. On a fait un très bon début de match mais ensuite on s’est essoufflé. Je suis vraiment confiant pour cette équipe mais il manque du vécu ensemble pour le moment. »\\n\\nIl n’empêche que ce début de saison chaotique commence à faire grincer des dents. Une partie du public a envoyé des « sifflets nourris et les premiers « Monschau dehors » ont fusé », relate La Voix du Nord.\\n\\nPhoto : DJ Cooper"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jean-Pierre Siutat réélu haut la main président de la FFBB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme annoncé, Jean-Pierre Siutat a été élu cet après-midi président de la Fédération Française de Basket-Ball pour un nouveau mandat de quatre ans.\\n\\nIngénieur de formation, Jean-Pierre Siutat, 57 ans, fut le bâtisseur et le coach du club de Tarbes (LFB) jusqu’en 1995, le directeur de l’organisation de l’Euro 1999 puis le président de la Ligue Féminine. Siutat, qui avait pris la succession d’Yvan Mainini en 2010, est membre du Bureau Central FIBA, du Comité Exécutif FIBA Europe et vice-président du CNOSF.\\n\\nA noter que les ex-internationales Françoise Amiaud, Carole Force, Nathalie Lesdema et Yannick Souvré ainsi que Philippe Legname, président de la Ligue Féminine et directeur général de Hyères-Toulon (HTV), font partie des 36 membres du Comité Directeur, lesquels se sont réunis après le vote pour élire Jean-Pierre Siutat comme président avant que leur proposition soit ratifiée par les délégués à 98,55%.\\n\\n\\nL’humiliation de De Vincenzi\\n\\nL’ancien coach des Bleus aux JO de Sydney et Directeur Technique National, actuellement Directeur de l’INSEP, Jean-Pierre De Vincenzi, qui avait manifesté des velléités pour prendre la présidence, a reçu un véritable camouflet. Arrivé en 41e position du scrutin du premier tour à l’élection au Comité Directeur , il a retiré son nom pour le deuxième tour. Le président du Limoges CSP Frédéric Forte ne fait pas non plus partie des élus.\\n\\nJean-Pierre Siutat va devoir notamment résoudre un dossier épineux, celui de la place des clubs français dans les Coupes d’Europe suite au conflit FIBA-Euroleague. Quatre clubs (Villeurbanne, Strasbourg, Monaco et Le Mans) sont inclus dans la Champions League mais la LNB est la seule ligue majeure européenne à ne pas être représentée en Euroleague et Eurocup.\\n\\nLes 36 membres du Comité Directeur\\n\\nPatrice Alexis, Valérie Allio, Françoise Amiaud, Anne-Marie Antoine, Christian Auger, Thierry Balestrière, Alain Béral (membre de droit), Corinne Chassac, Patrick Collette, Bernard Dannel, Pierre Depetris, Françoise Eito, Agnès Fauchard, Magali Ferrier, Carole Force, Catherine Giscou, Patrick Haquet, Jean-Pierre Hunckler, Réné Kirsch, Stéphane Kroemer, Philippe Legname, Nathalie Lesdema, Anne Luciani, Michel Marguery, Paul Merliot, Christian Misser, Gérard Nivelon, Yannick Olivier, Stéphane Pioger, Alain Salmon, Damien Simmonnet, Jean-Pierre Siutat, Yannick Souvré, Mili Spahic, Luc Valette, Boris Vendran.\\n\\nPhoto : Bellenger/FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"1ère journée de l’Euroleague : les performances des Français"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Au terme de la première journée d’Euroleague, c’est l’occasion de faire un point sur les performances des Français engagés dans la compétition : encore une fois, c’est Nando De Colo qui se montre le plus brillant, faisant honneur à son titre de Joueur français de l’année. Adrien Moerman s’est aussi montré précieux pour Darussafaka mais le reste des troupes fut plus décevant, qu’il s’agisse de Thomas Heurtel, Fabien Causeur ou encore Leo Westermann. Quant à Kim Tillie et Rodrigue Beaubois, leur rentrée européenne est ajournée.\\n\\nThomas Heurtel (Anadolu Efes)\\nDéterminé à rejoindre le Final Four, Thomas Heurtel aura de nouveau beaucoup à porter sur ses épaules cette année. Meilleur passeur de l’Euroleague la saison dernière (7.9 pds), le meneur biterrois est depuis trois ans un cadre de la compétition. Cette année, son coach Velimir Perasovic compte l’associer régulièrement sur le terrain à Jayson Granger, une éventualité à même de décharger un peu le Français de la création et du port du ballon. Également capable de prendre feu au scoring, l’international de 27 ans a toutes les cartes en main pour mener son équipe à son objectif. À nouveau, il lui faudra en revanche faire plus attention à sa gestion du ballon (3.3 bps).\\nPour sa rentrée face à Vitoria, le Français est sorti du banc, une configuration qu’il n’apprécie guère et son tir a flanché dans la défaite de son équipe, 85-84 : 6 pts à 2/7, 1 rbd, 5 pds et 4 bps.\\nStats 2015-16 : 12.7 pts à 49.8%, 42.5% à 3-pts, 80.3% aux lancers, 2.9 rbds, 7.9 pds\\n\\nRodrigue Beaubois (Baskonia Vitoria)\\nAuteur d’une très belle campagne avec la SIG la saison dernière, Rodrigue Beaubois a finalement décliné l’invitation des Mavs pour jouer l’Euroleague avec Vitoria. Club ambitieux à l’image des recrutements d’Andrea Bargnani ou Shane Larkin, le Baskonia a malheureusement vu l’intégration de sa recrue française limitée par une blessure à la cuisse depuis le mois de septembre. Depuis, le combo-guard n’a pas retrouvé les terrains et il n’a pas repris pour le premier match de son équipe, hier, face à l’équipe de Thomas Heurtel. Pour un joueur de ce profil, une telle blessure est toujours handicapante et il faudra sans doute se montrer patient avant de le retrouver en pleine possession de ses moyens.\\nStats 2015-16 : 11.6 pts à 40.7%, 37% à 3-pts, 100% aux lancers, 1.6 rbds, 2.3 pds en 23.7 min\\n\\nKim Tillie (Baskonia Vitoria)\\nBlessé à la cuisse comme son coéquipier et compatriote, Kim Tillie n’a finalement pas joué face à l’Efes, malgré les signaux positifs présentés cette semaine l’ABC.es. Joueur important la saison passée chez les Basques, l’international a largement les moyens de s’imposer puisque seul Tornike Shengelia le barre véritablement à sa position. De plus en plus intéressant dans la défense, opportuniste, Kim Tillie doit cependant stabiliser son shoot extérieur, un point faible délicat dans le basket moderne. Néanmoins, s’il revient sans gêne de sa lésion, tout est possible pour le Français.\\nStats 2015-16 : 6 pts à 45.6%, 26.7% à 3-pts, 71.7% aux lancers, 3.8 rbds, 1 int en 22.4 min\\n\\nFabien Causeur (Brose Bamberg)\\nAncien de Vitoria la saison dernière, Fabien Causeur a été accueilli comme une star en Allemagne. Auteur d’un gros départ dans la ligue allemande avec 3 victoires d’entrée, le Français a désormais les responsabilités d’un joueur phare en Europe : en pleine santé, ce qui est le cas en ce moment, il a tout ce qu’il faut pour les assumer. Excellent shooteur extérieur, bon créateur, solide défenseur d’équipe, Fabien Causeur a, à 29 ans, une belle saison devant lui à titre individuel, même s’il sera difficile d’avoir de grandes ambitions collectives avec Bamberg. L’arrière devra néanmoins se montrer plus entreprenant qu’hier face à Fenerbahce Istanbul : outre la défaite concédée par le plus petit écart possible (67-66), Fabien Causeur fut bien cadenassé par les Stambouliotes : 4 pts à 2/5 au tir, 1 rbd, 1 int, 2 bp en 22 min.\\nStats 2015-16 : 10.3 pts à 44.4%, 39.3% à 3-pts, 81% aux lancers, 3.1 rbds, 2 pds, 1.1 int en 28.2 min\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou)\\nPlus vraiment besoin de présenter celui qui est devenu en deux saisons le patron de la meilleure équipe d’Europe : cumulard de trophées de MVP la saison dernière, Nando De Colo a démarré sa saison comme il l’avait terminée l’an passé, à pleine bourre. Joueur de génie, taillé pour les plus grosses joutes européennes, l’international n’a d’ailleurs pas failli pour sa première en Euroleague, hier, avec 24 pts à 8/12, 5 rbds, 4 pds mais 3 bps en 23 min dans la victoire des siens face à Galatasaray, 109-84.\\nStats 2015-16 : 19.4 pts à 52.6%, 46% à 3-pts, 90.8% aux lancers, 3.6 rbds, 5 pds et 1.1 int en 27.7 min\\n\\nAdrien Moerman (Darussafaka Istanbul)\\nPour la quatrième fois de sa carrière, Adrien Moerman retrouve l’Euroleague mais cette fois, l’ailier-fort français dispute cette compétition au sein de effectif riche et solide du Darussafaka. Avec le club stambouliote, l’ex-limougeaud doit prouver qu’il peut s’imposer comme cadre dans une équipe bien plus dense que Banvit la saison passée. Pour sa première face à Belgrade, le Français n’a pas failli : titularisé, il a rentabilisé son temps de jeu avec 10 pts à 5/9, 11 rbds et 1 int en 25 min. Certes, le club serbe n’est pas le mieux équipe de cette compétition mais pour une rentrée, Adrien Moerman n’aurait pu rêver de mieux. À confirmer dès la semaine prochaine face à Milan.\\nStats 2015-16 (Eurocup) : 13.7 pts à 48.2%, 40.2% à 3-pts, 89.7% aux lancers, 8.7 rbds, 2.4 pds, 1.4 int en 29.3 min\\n\\nLeo Westermann (Zalgiris Kaunas)\\nAprès deux saisons à Limoges, le meneur est parti enrichir sa connaissance basket dans le système de Sarunas Jasikevicius au Zalgiris Kaunas. Très vite intégré au club, le champion de France 2015 a déjà gagné la confiance de son coach, comme l’atteste sa production dans le championnat balte (9.3 pts à 56.4%, 42.3% à 3-pts, 3.7 pds et 1.3 pd en 21.7 min). Il ne fait nul doute que le Français a l’intelligence de jeu et le talent pour confirmer ce bon début de saison. Ce fut plus difficile pour sa rentrée en Euroleague face au Panathinaikos : battu 84-76, le meneur a compilé 4 pts à 1/7 au tir, 3 rbds, 3 pds et 1 bp en 20 min de jeu.\\nStats 2015-16 : 10.1 pts à 46.8%, 34.4% à 3-pts, 88.9% aux lancers, 2.8 rbds, 4.3 pds, 1.1 int en 27.2 min."
}, 
{"role": "user",     "content":"DeMarcus Nelson à l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ASVEL a attiré un gros poisson dans ses filets en la personne de DeMarcus Nelson (1,93m, 30 ans), un vieux routier du circuit européen.\\n\\nCet arrière-ailier réputé pour sa défense est notamment passé par Cholet (2010-12) et a effectué l’année dernière un passage probant à Monaco (9,7 pts, 4,4 rbds et 4,3 pds en 11 matches, ce qui lui donnait avec 14,8 la meilleure évaluation de l’équipe) avant de rejoindre Unicaja Malaga."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro A – Europe Cup : des places à prix très réduit sur Vente Privée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A partir de 7 euros seulement, il est possible d’acheter des places pour des rencontres du Paris-Levallois, de Nanterre et d’Orléans. C’est le site Vente-Privée qui casse les prix avec des places pour des matches de Pro A ou de Coupe d’Europe.\\n\\nPour Paris Levallois, on trouve aussi un package VIP, tandis que Nanterre casse les prix jusqu’en décembre. Côté Orléans, il s’agit de package pour deux rencontres, et c’est à partir de seulement 16 euros."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Paris-Levallois maître chez lui"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Nancy (75-67) et Limoges (87-73), le Paris-Levallois a remporté son troisième succès de rang à la maison face à Dijon et avec un large écart (77-51). L’an dernier, sous l’ère Antoine Rigaudeau, le PL avait démarré par deux échecs à domicile (Rouen puis Villeurbanne).\\n\\nSeul le BCM Gravelines-Dunkerque à Sportica est parvenu jusqu’ici à mater le PL, et d’un souffle (79-81).\\n\\nA la fin du match face à Dijon, le coach Freddy Fauthoux a félicité son rookie américain Tylor Harris (2,06m, 24 ans) auteur de 20 points (7/10) et 7 rebonds. Cet ailier-fort a la particularité d’avoir porté le maillot de trois universités durant son cursus, North Carolina State, Providence et Auburn.\\n\\nQuant à Vincent Poirier (2,13m), c’est la troisième fois en quatre matches qu’il prend au moins 12 rebonds. Le pivot levalloisien fêtera ses 23 ans lundi."
}, 
{"role": "user",     "content":"Sandrine Gruda à un match du titre WNBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette nuit, avec un record de 34 points pour un premier quart-temps dans une finale WNBA, les Los Angeles Sparks ont gagné le troisième match de la série face aux Minnesota Lynx (92-75) avec Candace Parker (1,93m, 30 ans) et Nneka Ogwumike (1,88m, 26 ans) comme leaders offensifs, respectivement 24 et 21 points et 9 rebonds chacune.\\n\\nSandrine Gruda (1,93m, 29 ans) a regardé ce succès du banc puisqu’elle n’est entrée en jeu qu’une minute et vingt et une secondes. C’est moins bien que lors du Game 2 où elle avait joué 3’39 mais mieux que lors du Game 1 où elle n’avait pas quitté son survêtement.\\n\\nLes Sparks et la Française peuvent être sacrés champions NBA dès dimanche."
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de Presse du 15 octobre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nQuel parcours pour les équipes à 0-3 ?\\n\\n– Comme l’a rappelé le site basketeurope.com, les trois équipes sans victoire après la troisième journée l’an passé ont vécu une saison galère : le... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nMartial Bellon : « Ça fait désordre »\\n\\n– Il va sans dire que Martial Bellon a assez peu goûté le début de saison strasbourgeois. « Ça fait désordre. Autant la défaite au Mans pouvait être... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\n« Faim de victoires »\\n\\n– Pour Pape Sy, le manque de vécu commun explique la mise en route laborieuse de la SIG cette saison. L’ailier strasbourgeois table sur le sérieux et... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPas le droit à l’erreur\\n\\n– Si elle veut s’épargner une vilaine migraine, la SIG a grandement intérêt à battre Le Portel, ce soir, au Rhenus. Un nouveau revers la plongerait dans... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nChristel Chaumartin positive\\n\\n– Lors de la rencontre à domicile de l’équipe une masculine du BC Berrwiller Staffelfelden, ce samedi soir, la coach Christel Chaumartin compte poursuivre sa série victorieuse face à Gries 3, également invaincu... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nBerrwiller-Staffelfelden : c’est le moment de décoller !\\n\\n– Dix-sept matchs figurent au programme du Basket club de Berrwiller-Staffelfelden, ce week-end... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe joueur de la semaine\\n\\n– Christel Chaumartin est la nouvelle coach de l’équipe 1 masculine de Berrwiller-Staff, depuis le début de cette saison. Elle succède à Carine Baquet... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa SIG doit passer la première\\n\\n– Toujours sans victoire cette saison, la SIG n’a pas d’autre alternative que de s’imposer ce soir (20 h) au Rhénus lors de la 4e journée de Pro A face... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDenain a brisé non sans mal l’emprise du promu\\n\\n– Il y a d’autres matchs où ça ne pardonnera pas. Ce vendredi, il a fallu 28minutes à Denain pour se mettre dedans. Le promu blésois s... Lire la suite.\\n\\n\\nLille tout près de l’exploit, face à Roanne\\n\\n– Lille peut avoir quelques regrets mais Lille a montré un cœur énorme en passant tout près de l’exploit. Devant à la 36e... Lire la suite.\\n\\n\\nProA: Villeurbanne s’écroule contre Châlons-Reims\\n\\n\\n\\n– Le champion de France en titre Villeurbanne a concédé une troisième défaite en quatre matches en s’écroulant dans le dernier quart-temps sur son parquet contre Châlons-Reims (73-77), vendredi en ouverture de la 4e journée de ProA... Lire la suite.\\n\\n\\nFeurs pour une première à l’extérieur\\n\\n– Dans une poule où, au bout de quatre journées, aucune équipe n’est invaincue, chaque match à son importance. Le déplacement à Oullins-Sainte-Foy sera... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe Puy : sortir de la spirale de la défaite\\n\\n– Ce soir, l’ASMB Le Puy reçoit le FC Mulhouse basket à 20 heures au Palais des sports, dans le cadre de la 5e journée du championnat de France de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe BCM doit rectifier le tir à Bourg-en-Bresse\\n\\n– C’est sans sa dernière recrue Reinholt, jugée peu convaincante, que les Bécémistes se rendent en Bresse pour tenter de redorer leur blason face à une... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLons doit se reprendre dans la Loire\\n\\n– Victoire indispensable pour les amicalistes lédoniennes qui se rendent dimanche après-midi à St Just-St Rambert (Loire)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa quatrième journée\\n\\n– Samedi sans choc majeur : deux des trois invaincues, Roche-Vendée et Chartres, se déplacent avec des chances comparables de le rester. Le troisième... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL veut profiter de la venue de Montbrison pour repartir de l’avant\\n\\n– Stoppés à Feurs, la semaine passée, les espoirs de la JL espèrent rebondir ce soir face à Montbrison... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nAndrézieux : reprendre goût à la victoire\\n\\n– Les Andréziens se doivent de réagir ce soir pour éviter que le doute ne s’installe dans les esprits... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nArthur Rozenfeld taille patron\\n\\n– Première réussie pour le groupe choralien et Arthur Rozenfeld (27 points, 34 d’évaluation) passé d’un rôle en sortie de banc avec Boulogne-sur-Mer à... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nPour qui le rebond ?\\n\\n– Lyonnaises et Angevines sortent toutes les deux de défaites frustrantes. Lesquelles, ce soir, repartiront du bon pied ?... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe BCMF enfin chez lui pour se relancer\\n\\n– Les Foréziennes n’ont pas encore compromis leur avenir. Mais, de retour dans leur salle après un mois d’absence, elles veulent faire contre la SIG... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSaint-Chamond rate son entrée\\n\\n– Saint-Chamond rate son entrée Pour ses débuts à domicile, les Couramiauds se sont montrés trop permissifs en défense pour espérer battre une équipe de... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLa JL Bourg se laisse surprendre à Nantes\\n\\n– Au bout de l’effort, les Nantais, très diminués, ont réussi le petit exploit de croquer des Burgiens saisis à froid et qui n’auront pas eu assez des... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSouffrance et délivrance\\n\\n– Face à une belle équipe de Lille lors d’un match tendu par 55 fautes et 73 lancers, la Chorale a su rester en vie et s’offrir la victoire. Mais que ce... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe champion est nu\\n\\n– L’Asvel s’est inclinée pour la troisième fois en quatre matches de Pro A alors qu’elle menait de 18 points à la 26e minute... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLons et Poligny à un tournant\\n\\n– Cette quatrième journée est essentielle pour les deux clubs jurassiens. Poligny peut se donner de l’air et Lons frapper un grand coup... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nDe Colo meilleur joueur de l’année\\n\\n– Pour la deuxième année consécutive Nando De Colo, auteur d’une saison exceptionnelle avec le CSKA Moscou, a reçu le trophée Alain-Gilles du meilleur... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nParis-Levallois malmène Dijon\\n\\n– Paris-Levallois a signé une troisième victoire en quatre matches en surclassant Dijon (77-51)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nVilleurbanne s’écroule contre Châlons-Reims\\n\\n– Le champion de France en titre Villeurbanne a concédé une troisième défaite en quatre matches en s’écroulant dans le dernier quart-temps sur son... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nSimon renaît à Shanghai\\n\\n– Gilles Simon a confirmé son embellie face à l’Américain Jack Sock (4-6, 6-4, 7-6 (7/4)... Lire la suite. [CONTENU PAYANT]\\n\\n\\nLe PLLL récompensé\\n\\n– Le PLLL s’est vu attribuer le 2e prix national du label « \u2009FFBB Citoyen\u2009 ». Cette reconnaissance fédérale récompense le club pour ses efforts dans le cadre du développement durable et de la citoyenneté.... Lire la suite.\\n\\n\\nUn voyage délicat\\n\\n– Saint-Laurent-de-la-Plaine UTBM L’UTBM a retrouvé le chemin de la victoire en s’imposant face au Havre. Cette semaine, c’est en voyage que les joueurs d’Olivier Bertrand vont tenter de confirmer leur renouveau. « On a ouvert notre saison, il faudrait confirmer dans les Mauges ». Hésitant, le coach tourangeau parle au c... Lire la suite.\\n\\n\\nBASKET La réserve de la Berri doit décoller\\n\\n– Prénationale féminine. Battues à Chartres (69-50), les joueuses de Julien Combaud retrouvent leur salle. A domicile, il s’agira de renouer avec la victoire, elles s’étaient imposées il y a deux semaines face à Saint-Avertin (63-57). Face à Barjouville, invaincu, ce ne sera pas facile.> Le Poinçonnet (2) – Barjouville, dimanche, 15... ... Lire la suite.\\n\\n\\nDéplacement piège pour Bressuire\\n\\n– Tout va pour le mieux pour le BC Chauray. Après avoir facilement dominé La Couronne en ouverture (72-45), les filles de Richard Semur sont allées s’imposer au Pays Mélusin (52-68) et prennent donc la place de coleader avec Pouzioux, le Stade Poitevin et Semussac. Le podium devrait toutefois légèrement changer après cette prochaine journée puis... Lire la suite.\\n\\n\\nCognac, encore une impasse ?\\n\\n– Cognac Berrichonne Après quatre rencontres de championnat, la Berrichonne n’a toujours pas décollé. Battus par trois des plus grosses équipes de la poule (La Rochelle, Tours et Pays des Olonnes), les Castelroussins espéraient lancer leur saison face à Rezé, mais ils ont dû à nouveau rendre les armes. « Notre deuxième quart a été décev... Lire la suite.\\n\\n\\nNiort en est déjà réduit à » bricoler «\\n\\n– La réception de Saint-Médard-en-Jalles, ce soir, devrait permettre de tirer beaucoup d’enseignements sur la capacité de l’AS Niort à bien figurer dans cet exigeant championnat de Nationale 3. Car en l’absence de deux piliers de l’équipe, c’est avec un effectif diminué que les hommes du président Leroux vont tenter d’obtenir une seconde victoire... Lire la suite.\\n\\n\\nLe Cest va devoir défendre\\n\\n– Cest Les Herbiers Le Cest n’est pas au mieux en ce début de saison. Défaites par deux fois en déplacement (Cournon et La Couronne), les Tourangelles ont cependant réussi à écarter Laguenne à domicile. La venue des Herbiers est l’occasion de quitter le fond du classement, même si la tâche est loin d’être évidente. En effe... Lire la suite.\\n\\n\\nLes Vinoliens doivent faire le dos rond\\n\\n– Jalt Le Mans (6e, 4 pts) Vineuil (9e, 4 pts) De pire en pire. Déjà handicapée par les absences de deux de ses chefs de file, Pierre Brochard (mollet) et Kélian Boistard (dos), le week-end dernier à domicile face à Caen Nord (défaite 62-72), dont on sait aujourd’hui qu’ils seront forfaits jusqu’à la fin du mois, Vineuil doit encor... Lire la suite.\\n\\n\\nThouars quatre sur quatre ?\\n\\n– Les Thouarsaises visent un quatrième succès en autant de matchs ce soir contre Trégueux. Mais gare à cette équipe bretonne difficile à manœuvrer... Lire la suite.\\n\\n\\nUne autre paire de Manche\\n\\n– Cherbourg – UTBM Les Tourangeaux vont passer un sérieux test dans la Manche, face à des Cherbourgeois réputés solides et bien organisés... Lire la suite.\\n\\n\\nDéfi physique attendu\\n\\n– Le Poinçonnet – Stade Montois Les joueuses de Yoann Cabioc’h comptent poursuivre leur série d’invincibilité dans leur salle mais elles devront livrer combat... Lire la suite.\\n\\n\\nBienvenue en Pro B...\\n\\n– Denain – ADA Blois\u2009: 68-57 Longtemps devant, l’ADA s’est effondrée dans le dernier quart-temps pour laisser filer une victoire qui lui tendait les bras... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Eric Girard de retour au Rhénus de Strasbourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Même s’il a déjà affronté la SIG avec Le Portel en finale de la Coupe de France en 2015 et s’il est revenu à Strasbourg en vacances, c’est la première fois qu’Eric Girard sera ce soir sur le banc adverse au Rhénus alors qu’il y a onze ans il a emmené le club au titre de champion de France avant de s’en faire virer en 2008.\\n\\nAux DNA, il raconte avoir toujours des contacts réguliers avec plusieurs membres du staff alsacien, le préparateur physique Patrick Tomassi, Olivier Weissler qui à l’époque était son adjoint et dirige aujourd’hui le centre de formation, et bien sûr Aymerik Jeanneau, son meneur de jeu préféré devenu general manager chargé du développement, « un ami fort ».\\n\\nA propos des performances de son ancien club (3 défaites en 3 matches), le coach portelois se montre encourageant :\\n\\n« Je ne me fais pas de soucis pour la SIG. Dans le basket tu peux finir cinquième, sixième, septième, huitième et être champion. On est bien placé pour le savoir. »\\n\\nEn 2005, la SIG s’était classée troisième de la saison régulière, à une victoire du Mans et Villeurbanne mais avait passé la surmultiplié en playoffs pour s’imposer finalement à Nancy en finale, 72-68. Le seul titre national du club strasbourgeois jusqu’ici. Le record du genre est détenu par la JSF Nanterre, 8e de la saison régulière 2013 et qui dévora tout en playoffs, y compris... Strasbourg en finale.\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Joey Wright toujours pas à Cholet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Jamaïcain Joey Wright (2,01m, 26 ans) n’est toujours pas Choletais et le sera t-il un jour ? Il est actuellement bloqué à Kuala Lampur, en Malaisie, pour un problème de visa. « Des agents n’ont pas fait le boulot comme ils devaient le faire », tonne le coach Philippe Hervé dans Ouest-France.\\n\\nLe quotidien avance que le dossier du joueur ne sera pas réglé tant qu’il ne se rendra pas en Jamaïque afin de réunir les pièces nécessaires à la délivrance du visa.\\n\\n« Quand vous souhaitez un visa avec un contrat de travail, pour l’obtenir, c’est parfois compliqué », juge Philippe Hervé. « C’est ce qui pose généralement problème avec les joueurs Cotonou. Les agents ont peut-être pensé qu’il avait un double passeport jamaïcain et américain. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: sans ses pivots, Nantes sort l’exploit de la première journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il n’a pas fallu attendre longtemps avant d’avoir la confirmation que le championnat de Pro B réservait des surprises chaque week-end alors que l’essentiel de la première journée s’est joué ce soir. Le premier beau coup nous arrive de Nantes, où l’Hermine a fait plier l’ogre Bourg-en-Bresse (82-72) alors que ses trois pivots manquaient à l’appel !\\n\\nAinsi, alors qu’ils ne pouvaient compter sur Laurence Ekperigin (entorse à la cheville), Guy-Marc Michel (pied) et le jeune Yannick Quiros (entorse au genou), Franck Collineau et ses troupes ont pris les Bressans à la gorge d’entrée. Après trois paniers consécutifs du nouveau meneur nantais Kwamain Mitchell (8 points en moins de deux minutes), Nantes a compté jusqu’à 18 longueurs d’avance en 2e quart (35-17). Dans le sillage d’un Christopher McKnight précieux sous les panneaux (19pts, 12 rbds en 37 minutes), les coéquipiers de Valentin Bigote (18pts) ont réussi à garder leurs distances et à préserver ce très beau succès.\\n\\nA noter également la victoire de Roanne, également candidat à la première place, qui s’est fait peur à domicile après avoir compté jusqu’à 14 points d’avance en milieu de 3e quart-temps pour finalement l’emporter sur le fil 99-96 contre Lille, une équipe qui pourrait bien être l’un des poil à gratter de la saison. Dans un match offensif où le meneur français titulaire Arthur Rozenfeld a confirmé ses belles prestations en pré-saison (27pts, 10rbds, 34 d’évaluation), les Roannais ont dû attendre les toutes dernières secondes assurer la victoire, le Lillois Deonte Burton ratant sa tentative d’égalisation à 3 points au buzzer. Passé par le Magic d’Orlando en 2012-2013, l’ailier US DeQuan Jones recruté par Lille n’a pas manqué sa première sortie en championnat malgré la défaite (23pts, 9rbds, 7pds, 33 d’éval.)\\n\\nLa première journée se termine ce samedi soir avec les entrées en lice de Boulazac face au Havre, et Boulogne-sur-Mer contre Aix-Maurienne.\\n\\n\\nPremière journée de Pro B\\n\\nJeudi soir\\n\\nCharleville-Mézières – Poitiers : 79-69\\n\\nVendredi soir\\n\\nRoanne – Lille : 99-96\\n\\nSaint-Quentin – Evreux : 87-62\\n\\nDenain – Blois : 68-57\\n\\nNantes – Bourg-en-Bresse : 82-72\\n\\nSaint-Chamond – Fos-sur-Mer : 66-77\\n\\nRouen – Vichy-Clermont : 76-70\\n\\nSamedi soir à 20h\\n\\nBoulazac – Le Havre\\n\\nBoulogne-sur-Mer – Aix-Maurienne"
}, 
{"role": "user",     "content":"3×3 Féminin : la France en quart de finale de la Coupe du monde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après trois succès en quatre matchs, l’équipe de France de 3-contre-3 féminin s’est qualifiée pour les quarts de finale de la compétition.\\n\\nLes Françaises se sont imposées face à la Roumanie (21-10), face à la République Tchèque (21-13) et contre les Îles Cook (21-6). Elles se sont uniquement inclinées face à la Chine sur le score de 21-17.\\n\\nAvec trois victoires pour une seule défaite, les coéquipières de Sandra Dijon (40 ans) terminent à la première place de la Poule D, grâce à leurs 20 points de moyenne par match, et se hissent vers les phases finales du tournoi qui commencent ce samedi."
}, 
{"role": "user",     "content":"Nando De Colo élu Joueur Français de l’année"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nando De Colo, qui a tout gagné en 2015-16 avec le CSKA Moscou (Euroleague, MVP de l’Euroleague, MVP du Final Four), a été élu pour la deuxième fois consécutive Meilleur Joueur français de l’année par un jury de personnalités réunis par la fédération. Le Nordiste a ainsi reçu le Trophée Alain Gilles.\\n\\nLes internationaux Robert Cohu (médaillé de bonze à l’Euro de 1937), Freddy Hufnagel (vainqueur de la Coupe Korac en 1984), Françoise Quiblier-Bertal (10 fois championne de France), Jean-Pierre Staelens (71 points dans un match de première division) et André Vacheresse (3 fois médaillé avec l’équipe de France dans les années 50) ont été élus Académiciens du basket par un autre jury de personnalités.\\n\\nSuivant l’exemple du Hall of Fame américain, l’Académie du basket honore chaque année depuis 2004 des joueurs, coaches, dirigeants et personnalités qui ont marqué le basket français.\\n\\nLes vidéos de la promotion 2016 sont ici.\\n\\nLes résultats du Trophée Alain Gilles\\n\\nJoueur               Points      1ère place\\nNando De Colo         117        11\\nThomas Heurtel        36         –\\nEvan Fournier          29         1\\nMarine Johannes       27         –\\nIsabelle Yacoubou      19         –\\nOlivia Epoupa          19         –\\nTony Parker           12         –\\nCharles Kahudi         5         –"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France: avec Dumerc, sans Gruda"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Valérie Garnier a appelé 16 joueuses pour le groupe France qui doit disputer deux matches de qualification à l’EuroBasket 2017 contre les Pays-Bas, le 19 novembre à Chalon-sur-Saône, et contre la Croatie, le 23 novembre à Clermont-Ferrand.\\n\\nCéline Dumerc et Diandra Tchatchouang absentes à Rio sont de retour dans la liste, à l’inverse d’Isabelle Yacoubou, qui a annoncé hier sa retraite internationale, de Sandrine Gruda qui participe actuellement à la finale des playoffs WNBA avec les Los Angeles Sparks et qui enchaînera ensuite avec son club de Fenerbahçe, et de Gaëlle Skrela.\\n\\n« C’est une configuration que nous avons déjà connue en novembre 2015 puis en février 2016, ce n’est donc pas une raquette à réinventer. Endy Miyem, Aby Gaye, Marielle Amant et Helena Ciak avaient parfaitement répondu à nos attentes à ces occasions. Le but est toujours d’amener des jeunes à s’exprimer en équipe nationale tout en étant encadrées par des joueuses d’expérience. Le groupe France est composé de 24 joueuses et des choix sont faits afin de profiter de cette fenêtre pour voir évoluer certains éléments. C’est par exemple le discours que j’ai pu tenir avec Gaëlle Skrela. »\\n\\nLa France a déjà gagné 4 de ses 6 matches de qualification avec à chaque fois une marge confortable.\\n\\nListe des joueuses retenues\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\nNom\\nNaiss.\\nTaille\\nPoste\\nClub\\n\\n\\nMarielle\\nAMANT\\n1989\\n191\\nIntérieure\\nVilleneuve d’Ascq ESB\\n\\n\\nValériane\\nAYAYI\\n1994\\n185\\nAilière\\nVilleneuve d’Ascq ESB\\n\\n\\nMarième\\nBADIANE\\n1994\\n190\\nIntérieure\\nUSO Mondeville\\n\\n\\nLisa\\nBERKANI\\n1997\\n173\\nMeneuse\\nUSO Mondeville\\n\\n\\nAmel\\nBOUDERRA\\n1989\\n163\\nMeneuse\\nFCBA Charleville-Mézières\\n\\n\\nSara\\nCHEVAUGEON\\n1993\\n175\\nAilière\\nTango Bourges Basket\\n\\n\\nHéléna\\nCIAK\\n1989\\n197\\nIntérieure\\nDynamo Kursk (Russie)\\n\\n\\nCéline\\nDUMERC\\n1982\\n169\\nMeneuse\\nBasket Landes Mont-de-Marsan\\n\\n\\nOlivia\\nEPOUPA\\n1994\\n165\\nMeneuse\\nVilleneuve d’Ascq ESB\\n\\n\\nAna Maria\\nFILIP\\n1989\\n195\\nIntérieure\\nTango Bourges Basket\\n\\n\\nAby\\nGAYE\\n1995\\n195\\nIntérieure\\nVilleneuve d’Ascq ESB\\n\\n\\nMarine\\nJOHANNES\\n1995\\n177\\nMeneuse\\nTango Bourges Basket\\n\\n\\nLaëtitia\\nKAMBA\\n1987\\n187\\nIntérieure\\nCavigal Nice Basket 06\\n\\n\\nSarah\\nMICHEL\\n1989\\n179\\nAilière\\nBasket Lattes Montpellier Agglomération\\n\\n\\nNwal-Endéné\\nMIYEM\\n1988\\n188\\nIntérieure\\nFamila Schio (Italie)\\n\\n\\nDiandra\\nTCHATCHOUANG\\n1991\\n186\\nAilière\\nTango Bourges Basket\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"«Le Talk», l’émission 100% Limoges CSP"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Talk est une émission visible sur Internet entièrement consacrée au Limoges CSP. Elle vaut notamment par sa convivialité, la pertinence des analyses de Claude Bolotny, ancien joueur des années 70, des images de matches en HD -ce n’est pas le cas cette fois-ci-, et les débats comme celui de cette quatrième mouture de la saison d’une durée de... 1h19 !\\n\\nFrédéric Forte y défend Fréjus Zerbo mais lui reproche d’être arrivé hors de forme à la reprise et révèle que Villeurbanne a failli perdre Charles Kahudi « à deux doigts de signer en Espagne tout l’été »."
}, 
{"role": "user",     "content":"Evreux : Laurent Sciarra tacle l’immaturité de ses joueurs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fidèle à sa réputation, Laurent Sciarra, nouveau coach de l’ALM Evreux, parle sans langue de bois quand il s’exprime dans Paris Normandie.\\n\\nPour défendre le préparateur physique du club Matthieu Carel, il n’hésite pas à tacler ses joueurs et leur manque de conscience professionnelle.\\n\\n« J’ai fait trois prépas avec Matthieu. Je peux dire que là, on n’a fait que 70 % de ce qu’on avait prévu au départ. Il faut arrêter de déconner. Le gros problème, c’est que les intersaisons sont longues et qu’il y a de moins en moins de garçons sérieux pendant les vacances. Résultat, quand ils arrivent, la plupart sont hors de forme, ils ont de l’embonpoint voire beaucoup d’embonpoint. Pour certains, le basket professionnel est une façon tranquille de bien gagner sa vie. »\\n\\nParis Normandie demande ensuite si les blessures ont empêché le coach de bien préparer la saison.\\n\\n« Évidemment. Je ne dis pas que chaque jour on attend la mauvaise surprise, mais presque. Lundi, par exemple, Rémi (Dibo) et Pape (Beye) sont arrivés malades. Et pourtant, Dieu sait que j’avais prévenu les joueurs vendredi soir en leur disant que je leur laissais deux jours de repos, mais qu’il fallait qu’ils fassent attention à eux. Mais c’est comme le reste. À chaque fois que tu dis un truc, les mecs te répondent : « T’inquiète coach, je gère. »\\n\\nJ’ai un gamin de 18 ans et je connais le : « T’inquiète papa, je gère, au calme. » C’est dommage. Mais bon, malgré ça, on a tenté de mettre des choses en place, on a gagné des matches (en Leaders Cup), on a été solidaire. »\\n\\nCe soir pour la première journée de Pro B, l’ALM Evreux se rend à Saint-Quentin.\\n\\nL’intégralité de l’interview est à lire ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Charleville-Mézières débute par une victoire"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les joueurs de l’Etoile de Charleville-Mézières se sont imposés 79-69 dans le cadre de la première journée du championnat de Pro B.\\n\\nUn revers de 10 points pour les hommes de Ruddy Nelhomme, où les seuls Christophe Leonard (14 points, 8 rebonds et 3 passes décisives pour 15 d’éval) et Youssoufa Fall (15 points, 10 rebonds et 3 passes décisives pour 21 d’éval) ont surnagé.\\n\\nDu côté des Carolos, Martin Hermannsson (23 d’évaluation) qui a inscrit 26 points (10/16 aux tirs) vole le titre de MVP de la rencontre à Wilbert Brown qui a joué tout le match et compilé 28 points, 5 rebonds et 4 passes décisives pour 30 d’évaluation.\\n\\nCédric Heitz, l’entraîneur de l’Etoile, s’est évidemment réjoui de ce bon résultat, mais il reste prudent pour la suite.\\n\\n“Je suis content qu’on ait pu produire un tel match car on se posait tout de même des questions. Les spectateurs qui ont fait le déplacement ont suivi un match extraordinaire avec des rebondissements, de l’intensité, du beau basket et une fin de rencontre sous tension. La partie se joue sur quelques balles perdues ou tirs ratés. Mais on a fait preuve d’un bon contrôle de la balle. Ça lance bien notre saison mais c’est l’histoire d’un match. On n’est arrivé nulle part”.\\n\\nEn face, Rudy Nelhomme salue la belle performance de ses adversaires qui n’ont pas volé cette victoire.\\n\\n“Charleville a fait un bon match en utilisant ses armes, en faisant vivre la balle, en défendant bien et en trouvant leurs joueurs leaders quand il fallait. Nous, on a été trop permissif sur certaines actions. Et à chaque fois qu’on est revenus dans le match, ils ont eu soit un shoot à trois points, soit en profitant d’erreurs de notre part pour rester devant. Ils étaient plus forts que nous. C’est un faux départ”."
}, 
{"role": "user",     "content":"Ligue féminine : la Franco-malienne, Astan Dabo, nouvelle reine du rebond"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Tarbaise Astan Dabo est jusqu’ici la top-rebondeuse de Ligue Féminine avec 12 prises en moyenne.\\n\\nLe plus surprenant c’est qu’elle triple quasiment ses statistiques dans ce domaine vis à vis de ses deux saisons passées au Cavigal de Nice (3,7 puis 4,4). Sans oublier qu’Astan n’a que 24 ans.\\n\\nLa particularité d’Astan Dabo est d’être de très grande taille (2,03m) avec une ossature charpentée. Des atouts qui lui avaient valu d’être sélectionnée en 9e position, par Connecticut, lors de la draft WNBA en 2011 alors qu’elle portait le maillot de Reims en Ligue 2 et qu’elle tournait à 12,8 rebonds avec un record à 23 contre Strasbourg !\\n\\n« Elle viendra dans un an ou deux. Une fille de 19 ans et 2,03 m qui a progressé chacune de ces trois dernières années est un bon pari pour nous », avait déclaré le coach du Sun Mike Thibault.\\n\\nCe fut sans suite...\\n\\nTient-on pour autant une remplaçante potentielle à Isabelle Yacoubou qui vient d’annoncer sa retraite internationale ? Hélas non, car si Astan possède le passeport français, elle a représenté son pays de naissance le Mali en jeune avant de partir à la conquête d’une médaille de bronze au championnat d’Afrique en 2011.\\n\\nPour ne pas être qu’une simple role player, la Tarbaise doit aussi se montrer plus dangereuse balle en main. Elle se contente pour l’instant de 3,6 points/match."
}, 
{"role": "user",     "content":"J.D. Jackson revient sur le titre 2016 de l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le site lyonnais obuzzer a réalisé une interview intéressante du coach de l’ASVEL, JD Jackson, en lui demandant notamment de revenir sur le titre national 2016.\\n\\n« L’un de mes fils a enregistré le match et a dû le regarder au moins une dizaine de fois les deux mois qui ont suivi. Dès que nous étions à la maison, la vidéo passait à la télé. C’était assez plaisant (sourire). Ce dont je me rappelle surtout, c’est le troisième quart-temps et la manière dont mon équipe a déroulé. C’était comme de la magie. Je n’avais pas besoin d’intervenir. J’ai quand même dû le faire en fin de match. »\\n\\nAprès Le Mans, le Franco-Canadien s’était retrouvé un temps au chômage avant de remplacer à l’ASVEL, en décembre 2014, Nordine Ghrib qui lui même avait assuré un intérim après le licenciement de Pierre Vincent. Le journaliste lui a demandé ce que ce titre lui avait apporté personnellement :\\n\\n« De la crédibilité. Même si j’avais remporté la Coupe de France, la Semaine des As et la Leaders Cup avec Le Mans, il y avait encore des interrogations à mon sujet dans la mesure où j’avais perdu deux finales de championnat. Je me demandais si je n’allais pas être l’un de ces gars qui perd quatre ou cinq fois en finale, comme Grégor Beugnot. J’y ai pensé la saison dernière. Mais c’était tellement inattendu d’arriver en finale que j’ai fait en sorte de positiver et de m’enlever cette pression. Et finalement, nous sommes allés au bout. La boucle est bouclée ! J’ai désormais tout gagné, comme joueur et comme entraîneur. J’avoue me sentir plus confirmé, plus rassuré d’avoir enfin gagné le titre, même si cela ne change pas mon approche, ni ma façon de travailler. »\\n\\nL’interview dans son intégralité est à lire ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Toujours autant de réservations pour le All-Star Game français"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Depuis 2003, le All-Star Game de la LNB s’est toujours disputé à guichets fermés, que ce soit au Palais des Sports de Paris-Bercy jusqu’en 2013, au Zénith de Paris-La Villette de 5 237 places lorsqu’il s’y était réfugié en 2014 durant la métamorphose du POPB, et l’année dernière à l’AccorHôtels Arena. Les organisateurs nous indiquent qu’à ce moment-là de l’année les réservations sont dans les standards de 2013 et 2015. Ainsi une fois de plus l’enceinte parisienne devrait faire le plein de ses 15 500 places le jeudi 29 décembre à partir de 19h.\\n\\nLe match des étoiles de la Ligue Nationale de Basket sera comme à l’accoutumé bonifié par des concours et des attractions de catégorie supérieure qui font de ce show le numéro 1 en Europe pour du basket.\\n\\n\\nBilletterie\\n\\nTarifs\\n\\nCarré Or : 67 eurosCatégorie 1 : 46 eurosCatégorie 2 : 35 eurosCatégorie 3 : 24 eurosCatégorie 4 : 16 euros\\n\\nRenseignements packages VIP au 01 53 33 05 99 ou contact@sportplusconseil.com\\n\\nPar internet : Allstargame.fr – Accorhotelsarena.com – francebillet.com – ticketmaster.fr – digitick.com\\n\\nPoints de ventes habituels : Fnac – Auchan – Carrefour – E-Leclerc – Cultura – Cora\\n\\nVoici le teaser de l’événement :"
}, 
{"role": "user",     "content":"Juan Carlos Navarro a perdu du poids pour prolonger sa carrière"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Diminué physiquement, au point de disputer à peine plus de la moitié des matchs de saison régulière ces deux dernières saison en Liga, Juan Carlos Navarro entame cette nouvelle campagne avec envie. A 36 ans, le sniper catalan se sent encore en forme et il ne veut pas songer à la fin de carrière.\\n\\n\\n« Je ne pense pas à cette saison comme ma dernière »\\n\\nDu haut de son immense expérience, le meilleur scoreur de l’histoire de l’Euroleague pense encore pouvoir contribuer pour son club de coeur barcelonais.\\n\\n« Je n’ai jamais pensé que cette saison serait ma dernière. Je veux d’abord voir comment la saison va se dérouler parce qu’en réalité, je veux encore continuer à jouer. C’est ma condition physique qui déterminera si je dois laisser le ballon ou pas. »\\n\\nAuteur de 14 points, 2 passes et 2 interceptions en 19 minutes, le tout à un très propret 5/9 aux tirs contre Vitoria, Navarro en a encore sous le coude. En fait, la légende du Barça a pris une décision importnate cet été en changeant ses habitudes diététiques.\\n\\n« J’ai perdu beaucoup de poids, de graisse corporelle, en changeant de régime. L’an dernier, j’avais six kilos de plus. Et puis, avec l’âge, il faut savoir prendre encore plus soin de son corps », consent Navarro sur le site de l’ACB. « On peut encore bien jouer au basket à 36 ans. Je n’ai pas de doute là-dessus. Mon ami Pau Gasol l’a prouvé aux derniers Jeux Olympiques. Et en Espagne, Felipe Reyes, Bostjan Nachbar, Carlos Cabeza ou Alex Mumbru ont bien commencé la saison également. Et ils ont tous plus ou moins mon âge. »\\n\\n\\nUn dernier titre avant de raccrocher ?\\n\\nMédaillé de bronze cet été avec la Roja, Navarro voudrait conclure son immense carrière avec un nouveau titre en club. Privé de trophée avec Barcelone ces deux dernières années, « la Bomba » aimerait finir sur une bonne note.\\n\\n« Je sais bien que je ne suis plus aussi rapide qu’il y a dix ans, mais j’ai appris à me préparer différemment. C’est ce qu’on appelle l’expérience. Je veux continuer à aider mon équipe avec des points et des passes. Je pense que mes adversaires me respectent autant qu’avant parce qu’ils savent de quoi je suis capable. Les gens pensent que je suis vieux et que je suis loin de mon meilleur niveau, mais je veux leur prouver sur le terrain que je peux encore jouer. »\\n\\nAlors que le Real Madrid semble plus costaud que jamais en ce début de saison, le Barça de Juanca Navarro aura fort à faire pour aller chercher des titres, que ce soit en Espagne ou sur la scène européenne. Mais le défi ne fait pas peur à Navarro."
}, 
{"role": "user",     "content":"Kwame Vaughn quitte l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ASVEL a annoncé se séparer de son arrière Kwame Vaughn (1,90m, 26 ans) d’un commun accord avec le joueur qui aurait reçu une offre de Francfort.\\n\\nVaughn était passé par la D2 israélienne et Anvers avant d’atterrir en Pro A.\\n\\nRéputé fort scoreur ce combo en était à 7,3 pts (9/24 aux shoots), 3,0 pds et 1,6 rbds en 3 matches avec l’ASVEL."
}, 
{"role": "user",     "content":"Présentation de la Pro B: les joueurs à suivre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après quatre matchs de Leader’s Cup et deux tours de Coupe de France, la Pro B reprend enfin ses droits ce soir avec un match avancé entre Charleville-Mézières et Poitiers à 20h. L’occasion est toute trouvée pour faire un focus sur ce championnat toujours plus dense, intense et homogène. Quelques gros bonnets se détachent comme Bourg-en-Bresse, Roanne ou Le Havre pour prétendre à la première place synonyme de montée en Pro A sans passer par les Playoffs. Mais derrière, rien n’est acquis, et il faudra sans doute encore attendre le soir de la 34e journée avant de tirer quelque conclusion.\\n\\nMathis Keita, Isaia Cordinier, Timothée Luwawu-Cabarrot, Axel Julien, Mam’ Jaiteh ou même l’emblématique ailier nanterrien Mykal Riley... nombreux sont les joueurs qui ont pris leur envol en Pro B ces dernières années. Cette saison, le Bressan Youssou N’Doye, le Lillois DeQuan Jones ou encore le Roannais Arthur Rozenfeld feront partie des joueurs à suivre. État des lieux avec cinq des coachs les plus expérimentés de la division.\\n\\n\\nBurton-Ndoye : le choc des titans\\n\\nPlus gros budget de la Pro B, Bourg-en-Bresse a attiré dans ses rangs un joueur aux dimensions hors norme, Youssou Ndoye, pivot sénégalais de 2,13 m (25ans) plébiscité par Germain Castano, en poste depuis 5 ans à Boulogne-sur-Mer et Laurent Pluvy, nouveau coach de Roanne (8e saison en Pro B). Déjà auteur d’un beau chantier en Leader’s Cup en trois petits matchs (19 pts, 11 rbds de moyenne), ce bijou poli par les hommes de main de Gregg Popovich la saison dernière en D-League sera redoutable des deux côtés du terrain, et risque bien de terroriser bon nombre de raquettes cette saison. « Il fera une très grosse saison, et il ne sera pas qu’une machine à stats », prévient Germain Castano.\\n\\nFace à lui se dressera forcément la révélation de la saison dernière, le pivot massif Joe Burton (2,01, 25 ans). En tournant à 16,2 points et 9,9 rebonds par match (24,7 d’évaluation) lors de l’exercice précédent avec Evreux, « l’Indien » a démontré tout son potentiel et a été le symbole de la réussite du collectif ébroïcien tombé en finale des Playoffs d’accession 2016 contre Le Portel. Épanoui dans un basket offensif, Joe Burton a rejoint son coach Laurent Pluvy à Roanne cet été afin de « viser la montée sur un projet de trois ans ». Ce dernier mise évidemment sur Youssou Ndoye comme principal challenger pour tenter de le détrôner dans ce choc des titans qui s’annonce viril.\\n\\n\\nJones – Palsson : opposition de styles à l’aile\\n\\nPour sa 9e saison en Pro B, Rémy Valin, coach d’un Rouen Métropole Basket de retour à l’échelon inférieur, attire l’attention sur DeQuan Jones (2,03m, 26 ans). L’ailier américain recruté par Lille a déjà fait pas mal de bruit en cette pré-saison. « C’est un joueur qui a quand même fait partie d’une franchise NBA, à Orlando en 2012 (63 matchs disputés en 2012-2013, 17 débutés pour 3,7 pts de moyenne) » précise l’entraîneur rouennais. En 16e de finale de Coupe de France, Strasbourg a déjà fait les frais de cet ailier fantasque (17 points ce soir là) qui pourrait rapidement s’adjuger le titre de meilleur dunkeur de Pro B à en voir ces quelques highlights datant de 2013/2014 en NBA D-League qui confirment tout son potentiel en la matière.\\n\\nDans un style complètement différent, l’ailier international islandais Haukur Palsson (1,97m, 24 ans) sera une autre curiosité en ce début de saison. Après trois matchs plutôt convaincants en phase de groupe de Leader’s Cup avec Rouen (13,3 pts, 5,3 rbds), Rémy Valin espère en faire l’un de ses piliers cette saison au sein du plus jeune effectif de la division. « Il fait partie des joueurs à suivre. De part son profil mais aussi son CV puisqu’il a quand même fait deux ans en Liga ACB (D1 espagnole) à 19 et 20 ans à Manresa après être passé par l’Université de Maryland. Il est meilleur marqueur de l’équipe nationale qui vient de se qualifier pour le prochain Euro. Il sort des matchs avec sa sélection, donc il est arrivé en pleine bourre. Il faudra être attentif à un éventuel coup de mou vers la fin novembre » prévient son coach.\\n\\nLéger aperçu du savoir faire de cet ailier islandais polyvalent qui devrait faire beaucoup de bien au RMB cette saison (capté lors d’un match qualificatif à l’Euro 2015)\\n\\n\\nArthur Rozenfeld, la french touch’ à la mène\\n\\nComme en Pro A, ce sont les meneurs US qui ont toujours la cote en Pro B. Seuls Marco Pellin (Boulazac) et la paire Xavier Gaillou – Loïc Akono (Fos-sur-Mer) feront office de meneur titulaire pour cette première journée, en compagnie d’un certain Arthur Rozenfeld, 21 ans, coup de cœur de cette pré-saison de Rémi Giuitta, ancien meneur et coach de l’équipe première de Fos-sur-Mer depuis 13 ans, dont 7 en Pro B.\\n\\n«C’est sa 2e saison de Pro B en tant que titulaire après Boulogne-sur-Mer. Il va prendre les commandes de l’un des favoris pour la première place. C’est un joueur à suivre, pour voir comment il va aborder les futures étapes qui vont se présenter à lui. Il pourrait très bien avoir un parcours similaire à celui qu’avait connu Edouard Choquet chez nous. Il peut passer un palier sous les ordres de Laurent Pluvy qui est adepte du jeu offensif. Ça peut très bien fonctionner ».\\n\\nEn pré-saison puis en Coupe de France, le couple Pluvy-Rozenfeld a effectivement laissé entrevoir de belles perspectives pour l’exercice à venir.\\n\\nMatch de pré-saison face à Aix-Maurienne. Roanne 81 / 72 Aix-Maurienne. Stats d’Arthur Rozenfeld : 15 points (5/9 à 2 pts – 0/3 à 3 pts – 5/5 aux lfs) 12 passes...\\n\\nMatch de Coupe de France vs Orléans. Roanne 83 / 59 Olb. Stats d’Arthur Rozenfeld : 20 points (6/8 à 2 pts – 1/2 à 3 pts – 5/5 aux lfs) 10 passes décisives 1...\\n\\n\\nPlace aux jeunes !\\n\\nLa Pro B est aussi l’opportunité pour de nombreux jeunes éléments de gagner en temps de jeu et en expérience. Maître en la matière, Ruddy Nelhomme coach de Poitiers va lancer cette saison deux grands espoirs dans le grand bain : Youssoupha Fall (2,21m, 21 ans) en provenance du Mans et Sekou Doumbouya, 15 ans à peine (2,05m), tout droit venu de l’Insep, la belle histoire de ce début d’exercice. « Il sait jouer avec la balle les pick and roll, il peut mettre des coupes dans le dos sans ballon. Il est intelligent, à l’écoute, il comprend vite. Il s’est mis rapidement au niveau que l’on attendait de lui. Il est à la fois patient et agressif sur le terrain. C’est un garçon qui a dominé rapidement avec les jeunes et à lui aussi c’est très intéressant de montrer le basket des adultes. Il a un potentiel énorme », déclarait récemment à Basket Europe Ruddy Nelhomme au sujet de Sekou Doumbouya à qui il a déjà confié 15 minutes en moyenne en Leader’s Cup.\\n\\nÉgalement formé au Centre Fédéral et après une première expérience en Pro A avec l’Asvel (12 matchs), l’intérieur Stéphane Gombauld (2,02 m, 19 ans) va s’aguerrir du côté de Saint-Chamond cette saison sous les ordres d’Alain Thinet. Prêté par Villeurbanne, ses prestations en Leader’s Cup (13pts, 7 rbds, 19 d’éval contre Vichy-Clermont notamment) confirment qu’il a largement le potentiel pour s’éclater cette saison en Pro B.\\n\\n\\nLes matchs de la première journée\\n\\nJeudi à 20h\\n\\nCharleville-Mézières – Poitiers\\n\\nVendredi soir à 20h\\n\\nRoanne – Lille\\n\\nSaint-Quentin – Evreux\\n\\nDenain – Blois\\n\\nNantes – Bourg-en-Bresse\\n\\nSaint-Chamond – Fos-sur-Mer\\n\\nRouen – Vichy-Clermont (20h30)\\n\\nSamedi à 20h\\n\\nBoulazac – Le Havre\\n\\nBoulogne-sur-Mer – Aix-Maurienne\\n\\nPhoto : Bourg en Bresse"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France : jeune retraitée, Isabelle Yacoubou laisse un grand vide"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Isabelle Yacoubou vient d’annoncer sa retraite internationale, à 30 ans, et laisse ainsi un immense vide en équipe de France.\\n\\nPremièrement à cause de sa stature tout à fait spéciale, 1,90m, plus de 100kg, de larges épaules, de puissantes cuisses. Isabelle possède une force herculéenne, elle qui démarra sa carrière sportive en lançant le poids et qui battit le record du Bénin sans vraiment s’entraîner. C’est Tarbes qui assura ensuite sa formation de basketteuse et qui en fit une véritable championne. « Il y a un micro climat pour une Africaine. Franchement, j’adore », disait-elle alors.\\n\\nA l’Euro espoirs, elle récolta une médaille de bronze et aussi un titre individuel de MVP. En 2010 elle porta le TGB vers le titre de champion de France alors que physiquement elle était mal en point. Polyglotte, elle fréquenta ensuite l’Italie (Schio), l’Espagne (Valence, vainqueur de l’Euroleague en 2012), la Russie (Spartak Moscou), la Turquie (Fenerbahçe), la Chine (Chenneng) avant de retourner à Schio dans le pays de son mari et avec qui elle a adopté un enfant.\\n\\nC’est bien sûr l’équipe de France qui a fait sa réputation dans son pays d’adoption. Depuis 2009, elle a raflé l’or (Euro 2009), l’argent (JO 2012, Euro 2013 et 2015 ) et le bronze (Euro 2011). Elle était forcément de la partie aux JO de Rio permettant à la France d’avoir à chaque fois un impact physique redouté dans le concert international et apportant son écot (8,8 pts et 5,8 rbds) à la qualification aux demi-finales.\\n\\n\\nDes soucis aux genoux récurrents\\n\\nSa stature a amené Isabelle à avoir des problèmes aux genoux, à se ménager, à faire parfois l’impasse sur certaines épreuves (Mondial 2010, qualifications à l’Euro 2017) et aujourd’hui à prendre une retraite anticipée.\\n\\n« J’ai eu mal la première fois en 2004, » nous disait-elle il y a quelque temps. « Avant je focalisais là-dessus et maintenant je vis avec. Il y a des moments où c’est plus difficile. Au-delà du fait que ça gonfle, c’est une douleur permanente, comme des coups de couteau, dès que je marche. »\\n\\nIsabelle Yacoubou c’est aussi un formidable charisme. C’est pourquoi la coach Valérie Garnier en fit sa capitaine à Rio lorsqu’il s’avéra que Céline Dumerc devait déclarer forfait. Sa générosité, ses mimiques et ses cheveux multicolores (violet à Tarbes, bleu-blanc-rouge en équipe de France, etc,) plaisent tout particulièrement au public.\\n\\n« Tout est dans le style, non ? », nous répondait-elle quand on l’interrogeait sur ses coiffures. « Je suis une extravagante, je le reconnais, je le revendique. C’est moi quoi... Ce n’est pas toujours beau mais je me fais plaisir, voilà. »\\n\\nSur sa page facebook, elle vient de déclarer:\\n\\n« On ne va pas sortir les mouchoirs ! Mon parcours aura été un miracle permanent. Je le dois grandement à une association d’anciennes joueuses béninoises, dont une certaine Célestine Adjanohoun, mon mentor en quelque sorte. Elle m’a prise sous sous son aile et m’a mené vers le haut niveau. Il y aurait beaucoup à raconter... J’ai été détecté à l’ancienne LoL : avec un vieil enregistrement VHS qui a fini sur la table du Club de Tarbes. Ça aussi c’est une autre belle histoire. Je dois beaucoup aux Pascal Pisan, François Gomez et bien sûr Jean Pierre Siutat. Ce sont aussi des liens indéfectibles que nous avons noué à cette époque. »\\n\\nOui, Isabelle Yacoubou va laisser un grand vide car c’est un modèle unique."
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie – La passion des supporters de Varese"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A quelques jours de son premier match de Basketball Champions League, face à l’ASVEL, le club de Varese en Italie est mis en valeur sur le site officiel de la toute nouvelle compétition européenne organisée par la FIBA.\\n\\nEt c’est à travers la passion de ses supporters que l’on s’intéresse aujourd’hui au club italien de Lombardie.\\n\\nDepuis la création du club en 1945, Enrico Colli a l’habitude de prendre son abonnement à l’année pour pouvoir assister aux matches de son équipe fétiche. Une habitude qui se transmet de génération en génération. Preuve en est, son fils Pietro fait de même depuis les années 50 et son petit-fils les a également suivi quelques années plus tard.\\n\\n« Selon moi, cette loyauté des supporters vient du fait que le club n’a jamais abandonné, même quand il traversait des moments difficiles. Le club n’a pas eu un gros budget lors de ces dernières décennies mais il a toujours su garder les supporters impliqués dans le club, a confié Pietro Colli sur le site de la BCL. « Après les matchs à domicile, les joueurs vont toujours manger dans la même pizzeria et nous pouvons, nous aussi, y aller et passer du temps ensemble et discuter du match avec eux. C’est le genre de choses que les fans de toutes les générations apprécient. »\\n\\nLa FIBA s’est également intéressée à Marco Fanfini qui ne rate jamais un match à domicile du Pallacanestro Varese même s’il doit faire plus de 300 kilomètres à chaque fois. En 2007, il a même rencontré sa fiancée à la Lino Oldrini Arena à l’occasion d’un match de pré-saison.\\n\\n« J’ai vécu un moment à Rome avant de déménager à Pavia (qui se trouve à 100 kilomètres de Varese) et de travailler à Ferrara (qui si situe à 300 kilomètres de Varese). A chaque fois qu’il y a un match à domicile, j’essaye de m’arranger avec le travail afin de pouvoir aller à Varese directement de Pavia et de profiter du match avec ma fiancée. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mouph Yarou (Le Mans) de retour samedi"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La pige au Mans du Finlandais Gerald Lee a pris fin Mans et celui-ci a signé dans la foulée pour les Helsinki Seagulls. Parallèlement, le Béninois Mouphatou Yarou (2,04m), qui avait subi une arthroscopie du genou droit en septembre, a repris hier après-midi l’entraînement de façon modérée et sporadique.\\n\\nLe MSB compte l’utiliser samedi à Nanterre et après Petr Cornelie (2,12m, 21 ans), qui était sur la feuille de match au Portel vendredi dernier mais qui n’est pas entré en jeu, il récupère ainsi ses deux big men qui lui ont fait défaut jusqu’ici. La saison dernière, Yarou et Cornelie ont cumulé 19,5 points et 16,2 rebonds."
}, 
{"role": "user",     "content":"Guerre FIBA/Euroleague : les arbitres italiens interdits d’Eurocup"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que l’on pensait que le conflit entre l’Euroleague et la FIBA n’était plus d’actualité en Italie où la fédération italienne avait l’intention de laisser ses clubs disputer la compétition de leur choix dès la saison prochaine, un nouveau rebondissement vient finalement d’avoir lieu.\\n\\nD’après Sportando, qui cite la Gazzetta Dello Sport, les arbitres italiens auraient signé un contrat avec la FIP (fédération italienne de basket) au mois de juillet dans lequel était écrit qu’ils acceptaient de n’officier que dans les compétitions approuvées par la FIBA et la FIP.\\n\\nAutorisés à assister à l’Euroleague « officiating camp » à Belgrade il y a quelques semaines, ils n’ont en revanche pas reçu l’autorisation de la fédération italienne pour arbitrer en Eurocup. La Fédé’ les a ainsi prévenus que s’ils comptaient siffler dans une compétition estampillée Euroleague, ils pouvaient faire une croix sur la Serie A !\\n\\nCarmelo Paternico, arbitre italien qui ne compte pas en rester là, fera pourtant partie des officiels d’un des matchs de la deuxième journée d’Eurocup. Avant cela, il doit arbitrer le derby entre Milan et Varese, match qui, à en croire la FIP, sera donc son dernier en Serie A.\\n\\nArbitre international depuis 2003, Paternico a officié dans pas moins de 600 matchs de première division italienne.\\n\\nAfin de contrer ce chantage, l’Euroleague compte proposer un contrat de trois ans, sans âge-limite, aux arbitres sanctionnés par leur fédération.\\n\\nDu côté Français, qu’en est-il d’Eddie Viator qui officie en Pro A, dans les grandes compétitions FIBA mais également en Euroleague depuis de nombreuses années ?"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pariez sur la première journée d’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après le match d’ouverture Real Madrid – Olympiakos place à la suite de la première journée d’Euroleague.\\n\\nPronostic Galatasaray – CSKA Moscou\\n\\nLe CSKA Moscou se déplace sur le parquet des Turcs de Galatasaray, vainqueur de l’Eurocup face à Strasbourg en mai dernier ! Les Russes ont remporté 3 des 4 dernières confrontations et devraient encore une fois s’imposer tant le CSKA semble supérieur. A noter également que les rencontres ont souvent été serrées avec un écart qui n’a pas été supérieur à 5 points sur les 3 dernières confrontations.\\n\\nPariez sur la victoire du CSKA par moins de 8 points d’écart cote @1.70 sur www.france-pari.fr\\n\\nPronostic Unics Kazan – Barcelone\\n\\nBarcelone entre en lice ce vendredi face à Kazan, un adversaire qu’il connait bien puisque les Catalans ont gagné leur 5 derniers face-à-face et assez facilement à chaque fois. Cette fois-ci encore, Barcelone va l’emporter malgré la cascade de blessures que l’équipe subit en ce début de saison !\\n\\nPariez sur la victoire de Barcelone par 6 à 10 points d’écart cote @3.70 sur www.france-pari.fr\\n\\n\\nInscrivez-vous sur www.france-pari.fr et profitez du meilleur bonus de paris sportifs avec 200 € offerts. France Pari propose une offre de paris complète sur le basket et vous permet également de parier en direct sur les matchs de vos équipes préférées depuis un ordinateur, une tablette ou un mobile.\\n\\nParis sportifs : Bonus d’inscription de 200 € sur France Pari"
}, 
{"role": "user",     "content":"Quel club en Pro A pour la Normandie ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’heure où son championnat reprend, la Normandie aligne trois représentants en Pro B (Evreux, Le Havre et Rouen) alors qu’un troisième tient bien son rang en Nationale 1 (Caen, 2ème après cinq journées ). Seulement, suite aux descentes du Havre et de Rouen, plus personne ne figure en Pro A. Qui peut émerger ? Une fusion est-elle envisageable ? s’interroge Ouest France.\\n\\n\\nDu côté du STB Le Havre, qui a fait un long passage de seize saisons dans l’élite, le coach Jean-Manuel Souza, qui a été rappelé à bord, a constaté l’étendue des dégâts.\\n\\n« Quand je suis arrivé cet été, il n’y avait pas de joueurs sous contrat, pas d’assistant-coach et tout le monde quittait le centre de formation. C’est difficile d’évaluer le temps qu’il nous faudra pour rebondir. »\\n\\nQuant au Rouen Métropole Basket, qui avait bénéficié d’une wild card en 2014, il n’a jamais convaincu qu’il avait structurellement la capacité de se stabiliser en haut de la pyramide. Rouen avait la saison dernière la 17e affluence (2 028 spectateurs) de Pro A et Le Havre la 14e (2 498) et les deux équipes ont terminé loin des deux concurrents directs, Cholet et Nancy.\\n\\nFinalement, sportivement le plus proche de la Pro A ce fut l’ALM Evreux, qui vient de fêter son 1 000e match chez les pros, 3e de la saison régulière et demi-finaliste de Pro B mais qui depuis a perdu son coach (Laurent Pluvy) et ses joueurs majeurs.\\n\\nQuant au plus dynamique de la bande des quatre, c’est incontestablement le Caen BC, à l’historique très riche, mais qui malgré quelques rafistolages est toujours logé dans un palais des sports d’un autre âge.\\n\\n« Tu ne peux pas vivre à haut niveau si tu n’as pas de public », insiste le directeur sportif Eric Fleury dans Ouest France. « Pour jouer un bon rôle en Pro A, il faut aussi un bel outil. Caen ne l’a pas, Évreux non plus. Rouen l’a avec la Kindarena, Le Havre aussi, mais il n’y a pas la même ferveur qu’à Caen et à Évreux. Aujourd’hui, les subventions des collectivités baissent, un club doit donc avoir recours au privé s’il veut monter un budget conséquent. Pour cela, il faut un accueil digne de ce nom pour les partenaires. »\\n\\nQuant à une fusion entre Evreux, Le Havre et Rouen dans l’air à un moment, cela paraît juste inconcevable...\\n\\nPhoto : Rouen Tourisme"
}, 
{"role": "user",     "content":"Céline Dumerc (Basket Landes) en pleine forme"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"15 points et 7 passes face au Hainaut, puis 8 points et 9 passes aux dépends de Tarbes et enfin 10 points, 7 passes et... 7 interceptions contre Lattes-Montpellier. A 34 ans, Céline Dumerc conserve toute son ardeur.\\n\\nC’est d’autant plus probant que ces performances individuelles se sont traduites par autant de victoires de Basket Landes. Celle obtenu hier soir sur le parquet du champion de France héraultais (67-55) constitue un message adressé à toute la Ligue Féminine. Dumerc and C° ont mené tout le match et ont infligé un 24-14 aux filles de Valéry Demory dans le dernier quart-temps.\\n\\nPetit bémol, quatre joueuses dont Céline ont passé hier soir au moins 33 minutes sur le terrain ; les Landaises sont toujours privées de sa back up au poste de meneuse, Alexia Plagnard (hanche), alors que la pigiste pour deux mois, Touty Gandega, s’est rompu les ligaments croisés du genou au bout d’à peine une semaine. Basket Landes peut viser très haut mais Céline Dumerc va devoir conserver la cadence.\\n\\nPhoto : FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Revue de presse du 13 octobre 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque matin, BasketEurope.com vous propose une revue de presse composée des titres de la PQR du basket français.\\n\\n\\nPrénationale : les Illfurthoises montent en puissance\\n\\n– Après leur contre-performance à domicile face à Furdenheim II (défaite 48-52), les joueuses de Nord Sundgau ont parfaitement réagi le week-end dernier... Lire la suite [Contenu Payant]\\n\\n\\nNord Sundgau n’a plus le choix\\n\\n– À nouveau battu lors de la 3e journée du championnat de Nationale 3, Nord Sundgau pointe à la dernière place de la poule J. Les Sundgauviens doivent à... Lire la suite [Contenu Payant]\\n\\n\\nSaint-Amand ouvre son compteur après une belle frayeur\\n\\n– Entre le premier quart et le dernier, les Amandinoises ont presque proposé tout et son contraire. Et ça aurait pu bien mal tourner sans une défense qui a su reste... Lire la suite.\\n\\n\\nLes Espoirs de l’Elan sont tombés sur plus forts qu’eux\\n\\n– Mangés au rebond (39 prises à 22), dominés physiquement sous le cercle et à tous les postes, les Espoirs de l’Elan ont subi logiquement la loi du... Lire la suite [Contenu Payant]\\n\\n\\nChorale : Kanervo absent\\n\\n– L’arrière finlandais Antti Kanervo, arrêté jusqu’au 15 octobre (adducteurs), sera bien absent pour l’ouverture du championnat. « Il va reprendre pour... Lire la suite [Contenu Payant]\\n\\n\\n« Juste besoin d’un peu de temps »\\n\\n– Trois matchs, trois défaites, dont deux à domicile, Villefranche connaît un début de championnat compliqué, auquel son coach, David Gutknecht... Lire la suite. [Contenu Payant]\\n\\n\\nEchos de N2-N3\\n\\n– Il est toujours difficile de s’imposer à Feurs. Tout leader de la poule D de N2 qu’il était, Bourg-en-Bresse a subi la loi des enfants du Forez... Lire la suite. [Contenu Payant]\\n\\n\\n«Le pire déplacement pour commencer»\\n\\n– Nedeljko Asceric avait largement contribué au redressement et à la bonne fin de parcours de Lille au printemps dernier. Cette saison, la carte jeune... Lire la suite. [Contenu Payant]\\n\\n\\nLes choses sérieuses débutent demain\\n\\n– Passé l’intermède Leaders cup, les équipes n’attendent qu’une chose : attaquer le championnat. Comme tous les ans, difficile de faire des pronostics... Lire la suite. [Contenu Payant]\\n\\n\\nLES PANIERS\\n\\n– Elle se déroulera à Dijon ce week-end. Comme toutes les autres assemblées, cette année sera élective avec renouvellement de tout le comité directeur... Lire la suite. [Contenu Payant]\\n\\n\\nDia : « On sait que l’on va être attendu »\\n\\n– Premiers adversaires du Saint-Chamond basket vallée du Gier ce vendredi, Fos-Provence et son capitaine Mamadou Dia tenteront de démarrer du bon pied... Lire la suite. [Contenu Payant]\\n\\n\\nL’étonnant rebond de l’OLB\\n\\n– Restant sur une saison très traumatisante l’Ouest Lyonnais Basket a remporté trois de ses quatre premiers matches... Lire la suite. [Contenu Payant]\\n\\n\\n« La première victoire est super importante »\\n\\n– Auteur d’un début de saison catastrophique (quatre défaites en quatre matchs), Le Puy doit réagir samedi lors de la réception de Mulhouse. État des... Lire la suite. [Contenu Payant]\\n\\n\\nPOITIERS BASKET 86\\n\\n– Classement 2015-2016\u2009: 8e. Dernier match\u2009: bat Boulazac (91-88) en Leaders Cup. Premier de sa poule, qualifié en quart de finale. Blessé\u2009: Greer (mollet). L’équipe\u2009: 4. Thinon (1,78 m, meneur) 5. McWorther (1,89 m, men. US) 8. Reed (1,94 m, int. US) 9. Grant (1,88 m, arr. SUE) 10. Joseph (2,03 m, pivot) 11. Guillard (2,... Lire la suite.\\n\\n\\nChâtellerault se place au rebond\\n\\n– Une page se tourne à Châtellerault. Après trois années en régionale 2, l’ASBC retrouve cette saison l’échelon inférieur, sous la houlette de Franck Naudin, le tout nouvel entraîneur.... Lire la suite.\\n\\n\\nEncourager la formation à la tourangelle\\n\\n– Depuis des années, le Touraine Basket Club a fait de la formation des jeunes sa marque de fabrique. Cette saison, la création d’une équipe U18 boucle la filière championnat de France déjà en place au sein du club tourangeau. « Malgré les soucis de budget à résoudre, on ne pouvait pas refuser aux gamins de jouer au plus haut nive... Lire la suite.\\n\\n\\nUn départ à ne pas manquer\\n\\n– Charleville – Poitiers Après une préparation encourageante et une qualification en Leaders Cup, le PB ne veut pas rater son entame de championnat... Lire la suite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Hidayet Türkoglu prochain président de la fédération turque"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Harun Erdenay ayant renoncé à se présenter, Hidayet Türkoglu est désormais certain de devenir le prochain président de la fédération turque.\\n\\nHidayet Türkoglu, 37 ans, est connu pour avoir disputé 997 matches en NBA dans six clubs différents et aussi pour avoir gagné deux médailles d’argent à deux époques différentes avec l’équipe nationale, à l’Euro 2001 et au Mondial 2010, deux compétitions organisées en Turquie, ce qui a contribué à en faire une idole dans son pays. Türkoglu a toujours aimé avoir les ballons dans le money time avec une capacité à marquer des paniers improbables. Il a pris sa retraite de joueur à la fin de la saison 2014-15."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Real dispose de l’Olympiakos pour l’ouverture de sa saison d’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Opposé à l’Olympiakos du duo Vassilis Spanoulis – Kostas Papanikolaou, le Real Madrid n’a pas tremblé pour s’imposer sereinement (83-65) derrière un Sergio Llull (22 points à 7/11 aux tirs) de gala. Comme face à Oklahoma City la semaine passée, le meneur madrilène s’est régalé en attaque, avec déjà 15 points à la fin du premier quart, avant de laisser le collectif espagnol terminer le travail défensivement. Côté grec, Matt Lojeski (14 points) et Spanoulis (12 points, 5 passes) ont été trop esseulés face à l’armada espagnole.\\n\\n\\nSergio Llull, 15 points en premier quart !\\n\\nLe premier quart est un festival individuel de Sergio Llull. Ce dernier inscrit la bagatelle de 15 des 24 points de son équipe (24-17). Adroit à trois points, Llull se fait un malin plaisir de placer son accélération en pénétration et Spanoulis est tout simplement dépassé. Sur un tir à trois points de Luka Doncic, le Real commence à creuser l’écart en début de deuxième quart.\\n\\nAvec son banc, plus doué offensivement que celui de l’Olympiakos, le Real s’envole. Mais les Reds ne tardent pas à raccrocher les wagons avec Matt Lojeski et son adresse de loin. Frustré par deux fautes prises rapidement, Anthony Randolph rate un petit tir à trois points mais ne rate pas son dunk planant ! Deux dribbles en partant de la ligne à trois points et voilà l’ancien du Loko qui place un dunk complètement loco !\\n\\nAvec un jeu plus haché, le deuxième quart convient davantage à la troupe héllène qui revient au contact à la pause (42-40), notamment grâce à une belle fin de mi-temps de Spanoulis. Tel le diesel, le meneur de l’Oly monte en température au fil du match, et après une passe nickel pour le alley oop de Giorgios Printezis, le Span conclut la mi-temps sur un layup acrobatique... qui aurait pu mériter le and one !\\n\\n\\n\\n\\nAnthony Randolph drives and rises for a huge dunk! Presented by #7DAYS #RMBOLY pic.twitter.com/GJ4TaKWsFG\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) October 12, 2016\\n\\n\\nLe Real monte les barbelés en 2e mi-temps\\n\\nAu retour des vestiaires, les madrilènes remettent rapidement la main sur le match, notamment grâce à un 9-0 orchestré par les vétérans locaux, Rudy Fernandez en coquin et Felipe Reyes en grand acteur. Le plus dur semble fait avant le dernier quart (62-53)... Matt Lojeski tente bien de réduire l’écart monté à 11 unités mais les Reds n’arrivent pas à faire un rapprocher conséquent, la faute à un Jaycee Carroll qui prend le relais dans le tir de loin, et à un Randolph qui s’impose en force sous les panneaux.\\n\\nA +12 à trois minutes de la fin (75-63), la messe est dite. Sergio Llull, qui dépasse le cap symbolique des 2000 points en Euroleague pour l’occasion, clôture le spectacle d’une dernière bombe à trois points, sa grande spécialité. Plus adroits et plus impliqués défensivement en deuxième mi-temps (seulement 25 points marqués par l’Oly sur les deux derniers quarts !), les joueurs de Pablo Laso s’imposent avec autorité (83-65) pour le premier match de leur saison européenne.\\n\\nPreuve de la marge du Real, ni Andres Nocioni (au repos), ni Jonas Maciulis (en civil) n’ont participé à cette victoire autoritaire...\\n\\n\\n\\n\\n.@23Llull, welcome to the EuroLeague's career 2,000-points club! pic.twitter.com/ykotF4Xjbl\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) October 12, 2016\\n\\n\\nLes highlights du match :"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Alexis Ajinça signe à l’ASVEL jusqu’à la fin de la saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir rencontré Tony Parker et Nicolas Batum à Charlotte il y a quelques jours, Alexis Ajinça a trouvé un accord avec l’ASVEL, annonce l’Equipe qui a eu la confirmation de Tony Parker.\\n\\nSur son site, le quotidien sportif annonce que l’ancien joueur de la SIG s’est engagé jusqu’à la fin de la saison alors que le club, qui retrouvera l’Euroleague en 2018/19, espère également le conserver l’année prochaine. Longuement passé par la NBA (274 matchs à son actif), l’ancien joueur des New Orleans Pelicans n’a pas joué depuis avril 2017 et n’est pas prêt à porter le maillot de l’ASVEL dès le retour de la trève.\\n\\n« On espère qu’il démarrera à la Leaders Cup à la mi-février et sera pleinement opérationnel pour les play-offs », a déclaré Tony Parker."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : JR Reynolds vers Poitiers"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sans club depuis le début de la saison, JR Reynolds (1,88m, 34 ans) aurait trouvé serait proche de rejoindre Poitiers.\\n\\nSelon Fred Weis, le double champion de France (2009 avec l’ASVEL et 2014 avec Limoges) aurait trouvé un accord avec le PB86, en Pro B. Passé par l’Italie, la Pologne, la Turquie, le Monténégro et donc la France, le meneur de jeu américain est sur le point de vivre sa première expérience en deuxième division française.\\n\\nLa saison dernière, JR Reynolds 5,8 points et 2 passes décisives en Jeep Elite avec BCM.\\n\\n\\n\\n\\nJ.R . REYNOLDS et le @pb86officiel auraient trouvé un accord .\\n\\n\\n— Fred Weis_ OLY (@Bigfredstyle) December 27, 2018\\n\\nPhoto : Julie Dumélié/BCM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : clap de fin pour Larry Brown à Turin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La nouvelle défaite de Turin face à Avellino en championnat a eu raison du coach Larry Brown (78 ans) qui va quitter le club.\\n\\nChampion NCAA et NBA, l’entraîneur américain n’a pas eu le succès escompté en Europe pour sa première expérience loin des Etats-Unis. Selon Sportando, les deux partis ont décidé après plusieurs semaines de sursis. Après le match face à Avellino, l’ancien coach des Detroit Pistons a même été sifflé par le public turinois. Le site transalpin indique que c’est son assistant, Paolo Galbiati, qui va prendre les rênes de l’équipe.\\n\\nAvec Turin, Larry Brown n’a pas remporté le moindre match en Eurocup en dix rencontres. En Serie A, le Fiat Torino est douzième (sur seize) avec quatre victoires pour huit défaites.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Jérémy Leloup remplace Charles Kahudi au All Star Game"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Touché au dos, Charles Kahudi (1,99m, 32 ans) n’était pas en tenue pour affronter Levallois mercredi et il ne pourra pas non plus honorer sa sélection pour le All Star Game. Par conséquent, c’est Jérémy Leloup (2,02m, 31 ans) qui a été sélectionné pour le remplacer, annonce la LNB dans un communiqué.\\n\\nDe retour à Dijon cet été, l’ancien strasbourgeois a retrouvé du temps de jeu et des responsabilités sous les ordres de Laurent Legname. C’est une récompense méritée pour le triple vainqueur de la Coupe de France qui, à l’image de son équipe (3e du classement), réalise une très belle saison avec 9,4 points, 2,7 rebonds et 2,4 passes décisives pour une évaluation de 11,1.\\n\\nJérémy Leloup rejoint donc le banc de la sélection française tandis que c’est Yakuba Ouattara qui remplace Charles Kahudi dans le cinq de départ.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Mokoka et Toupane en mode record"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le contingent français ne faiblit pas sur le Vieux Continent. Fort de vingt-cinq joueurs (avec deux représentants de plus récemment, Mam Jaiteh et Landing Sané) répartis sur dix pays, les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment neuf joueurs dans le championnat espagnol, la référence.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nNouveau record de passes pour Adam Mokoka\\n\\nA 11 points, 4 rebonds et 3 passes de moyenne, Adam Mokoka réalise une saison tout à fait correcte avec le Mega Bemax. Ce weekend, il a réussi une performance complète avec 15 points, 7 passes et 6 rebonds dans la victoire contre Igokea. C’est un nouveau record à la passe en l’occurrence pour Mokoka qui continue donc d’élargir sa palette offensive.\\n\\n\\nMam Jaiteh reçu 7/7\\n\\nIl avait déjà fait 4/4 et 5/5 mais Mam Jaiteh a fait encore mieux pour son dernier match avec un nouveau record à 14 points et ce, à 7/7 aux tirs ! Impeccable dans le jeu à mi-distance et près du cercle, Jaiteh grandit à vue d’oeil dans le championnat italien.\\n\\nIl a placé un gros dunk de costaud, à deux mains, avant d’haranguer la foule. Turin s’est imposé sur le fil et Carlos Delfino a mis le parfait point d’exclamation avec un tir à trois points au buzzer... avec la planche !\\n\\n\\nAxel Toupane met son record à 17\\n\\nDe passage dans son ancien club du Zalgiris il y a quelques semaines passée, Axel Toupane a eu droit à un petit reportage et beaucoup de retrouvailles avec d’anciens coéquipiers et vieilles connaissances, dont Léo Westermann. Il a vécu depuis deux matchs compliqués individuellement sur la scène européenne, avec un 0 pointé puis un match à 1 point.\\n\\nMais ce weekend, il a remis la machine en route avec une sortie à 17 points en championnat. C’est son meilleur score aux points et à l’évaluation. Un peu dans la sinusoïde cette saison avec une blessure et un nouveau club, on va suivre si Toupane trouve un peu de constance sur les semaines à venir.\\n\\n\\nAaron Cel proche du triple double\\n\\nDepuis plusieurs semaines, Aaron Cel amoncelle les belles perfs ! A 13 points et 8 rebonds de moyenne, Cel tourne à ses meilleures moyennes en carrière en Pologne avec un très joli 17 d’évaluation. Ce weekend, il a encore fait fort en se rapprochant dangereusement du triple double, 15 points, 12 rebonds, 7 passes.\\n\\nCela fait suite à un mois de matchs en double figure pour l’ancien du Mans ou de Monaco qui est définitivement un des joueurs les plus solides en Pologne. Il est en l’occurrence le 12e meilleur score à l’éval’ !\\n\\n\\nHeurtel et le Barça, premiers de Liga\\n\\nSi tout n’est pas parfait en Euroleague, avec un coup de mou récent, le Barça tient par contre très bien la route en championnat cette saison. Avec 11 victoires pour 2 défaites, la troupe catalane figure au sommet du classement, juste devant Vitoria et le Real Madrid (10 victoires pour 3 défaites).\\n\\nEt Thomas Heurtel (14 points, 5 passes, 4 rebonds) s’est assuré que Barcelone ne ferait pas de sortie de route face à San Sebastian ce weekend. Le meneur tricolore a parfaitement joué son rôle de baromètre, bien aidé par Kevin Séraphin qui revient bien, auteur de 9 points et 8 rebonds.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=uPNpkKOAZ7c\\n\\n\\nBeaubois – Moerman, les siamois de l’Efes\\n\\nDans un match au sommet de la ligue turque, l’Efes Istanbul n’a pas eu à trop forcer son talent pour venir à bout de Tofas Bursa, actuellement 2e au classement derrière l’inamovible Fener (93-81). La phalange française de l’Anadolu a encore fait fort avec 15 points, 7 rebonds pour Adrien Moerman et 15 points, 6 passes pour Rodrigue Beaubois.\\n\\n\\nEspagne\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 14 points (5/8 aux tirs), 5 passes, 4 rebonds, 2 balles perdues en 24 minutes (victoire 104-71 face à San Sebastian)\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 9 points (4/6 aux tirs), 8 rebonds, 3 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 18 minutes (victoire 104-71 face à San Sebastian)\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 8 points (4/5 aux tirs), 8 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 17 minutes (victoire 81-64 face à Malaga)\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 6 points (3/5 aux tirs), 5 rebonds, 1 contre en 21 minutes (victoire 83-79 face à Estudiantes)\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 6 points (3/6 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 1 contre, 3 balles perdues en 22 minutes (défaite 81-64 face à Vitoria)\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 6 points (2/5 aux tirs), 4 rebonds, 1 balle perdue en 17 minutes (défaite 71-69 face à Saragosse)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 4 points (1/4 aux tirs), 3 passes, 3 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 24 minutes (défaite 85-79 face à San Sebastian)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 2 points (1/1 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 balle perdue en 7 minutes (victoire 80-74 face à Murcie)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué (victoire 83-79 face à Estudiantes)\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 17 points (4/7 aux tirs), 3 rebonds, 2 interceptions, 1 passe en 26 minutes (victoire 92-69 face à Peristeri)\\n\\nBoris Dallo (Salonique) : 2 points (0/2 aux tirs), 1 passe, 1 contre, 1 balle perdue en 9 minutes (défaite 71-61 face à Prometheus)\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : 11 points (4/8 aux tirs), 6 passes, 2 rebonds, 1 balle perdue en 31 minutes (victoire 88-66 face à l’Hapoel Be’er Sheva)\\n\\n\\nItalie\\n\\nMam Jaiteh (Turin) : 14 points (7/7 aux tirs), 4 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 16 minutes (victoire 86-80 face à Pistoia)\\n\\nAmath M’Baye (Bologne) : 9 points (4/13 aux tirs), 5 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 2 balles perdues en 29 minutes (défaite 89-81 face à Brindisi)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 10 points (2/9 aux tirs), 4 passes, 1 rebond, 1 interception, 4 balles perdues en 21 minutes (victoire 72-69 face à Utena)\\n\\n\\nMonténégro\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 12 points (4/8 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 25 minutes (défaite 69-64 face à Novo Mesto)\\n\\nLanding Sane (Mornar Bar) : 6 points (2/7 aux tirs), 6 rebonds, 2 contres, 1 passe, 1 interception en 18 minutes (victoire 80-75 face à Ljubljana)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : 15 points (6/10 aux tirs), 12 rebonds, 7 passes, 2 contres, 1 interception, 3 balles perdues en 33 minutes (victoire 96-87 face à Gdansk)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : n’a pas joué (victoire 107-80 face à Riga)\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : n’a pas joué (victoire 73-67 face à Zielona Gora)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAdam Mokoka (Mega) : 15 points (5/11 aux tirs), 7 passes, 6 rebonds, 1 interception, 3 balles perdues en 31 minutes (victoire 93-88 face à Aleksandrovac)\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 8 points (3/7 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 29 minutes (défaite 76-71 face au Cedevita)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : 15 points (5/10 aux tirs), 7 rebonds, 3 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 33 minutes (victoire 93-81 face à Tofas)\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : 15 points (6/14 aux tirs), 6 passes, 2 rebonds, 2 interceptions, 1 contre, 2 balles perdues en 35 minutes (victoire 93-81 face à Tofas)\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 7 points (3/7 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 1 contre, 3 balles perdues en 25 minutes (défaite 84-74 face à Galatasaray)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Bandja Sy s’est imposé au Partizan\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nNouveau record de passes pour Adam Mokoka\\n\\nA 11 points, 4 rebonds et 3 passes de moyenne, Adam Mokoka réalise une saison tout à fait correcte avec le Mega Bemax. Ce weekend, il a réussi une performance complète avec 15 points, 7 passes et 6 rebonds dans la victoire contre Igokea. C’est un nouveau record à la passe en l’occurrence pour Mokoka qui continue donc d’élargir sa palette offensive.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : touché au genou, Leo Westermann est forfait face à Gran Canaria"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mauvaise nouvelle pour Leo Westermann (1,97m, 26 ans) qui rejoint l’infirmerie du Zalgiris Kaunas pour au moins un match.\\n\\nComme l’indique le site 15min, l’ancien joueur du Limoges CSP s’est blessé au genou lors de l’entraînement de ce jeudi matin. Il ne disputera donc pas le match face à Gran Canaria qui comptera pour la 15e journée de l’Euroleague. Mais il n’est pas le seul joueur de Kaunas qui manquera à l’appel dans les Iles Canaries, Paulius Jankunas et Antanas Kavaliauskas seront également absents tandis que Nate Wolters devrait, lui, faire le chemin inverse et revenir au jeu.\\n\\nCette saison, Leo Westermann compile en moyenne 6,1 points, 1,9 rebond et 3,1 passes décisives dans le championnat lituanien, et 6,4 points, 2,1 rebonds et 2,4 passes décisives pour une évaluation de 5,9 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau est toujours dans l’attente d’une décision quant à la prolongation du contrat de Mickey McConnell"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Profitant des Journées de Noël et de la bonne dynamique de l’équipe béarnaise -4 succès d’affilée-, le palais des sports de Pau devrait faire le plein ce soir pour la venue de Nanterre. Le match est d’importance puisque les deux équipes affichent le même bilan: 9 victoires et 5 défaites et occupent avec Dijon la deuxième place derrière l’intouchable Villeurbanne.\\n\\nC’est également l’occasion de revoir « à la maison » le meneur Corentin Carne (1,95m, 22 ans) qui est sorti du centre de formation de l’Elan Béarnais.\\n\\n« Nous étions très contents et surpris de sa signature à Nanterre », commente le coach de l’Elan, Laurent Vila, sur le site du club. « Le début de saison a été très positif pour lui puisqu’il a bénéficié de temps de jeu, profitant de l’absence de quelques joueurs. Maintenant c’est un peu plus difficile pour lui car l’effectif est au complet mais pour autant, il vit une expérience extraordinaire, il découvre un autre style de basket. Il continue à beaucoup travailler , il est bien entouré, ça lui permet de rester au meilleur niveau et de s’aguerrir en vue de poursuivre l’aventure en Jeep® ÉLITE. »\\n\\nPar ailleurs, l’équipe est suspendue à la décision quant à conserver ou pas le meneur américain Mickey McConnell (1,83m, 29 ans) dont le contrat se termine au 31 décembre. Il est peu dire que depuis qu’il a remplacé Jerel Blassingame, l’ancien point guard d’Oldenbourg a transformé l’équipe béarnaise assurant 12,4 points et 6,3 rebonds par match.\\n\\n« Je ne peux pas dire quoi que ce soit. Je sais que tout le monde a envie de le garder. Quand je dis tout le monde, c’est au niveau du club, du staff comme de la direction. Il a envie de rester. Maintenant il y a des intermédiaires, mais je suis sûr que nos dirigeants travaillent avec eux pour finaliser un contrat. Jusqu’à aujourd’hui on a toujours fait abstraction de ces épisodes, parce que c’est vrai que ça peut prendre la tête et à la fois il faut être capable de se concentrer sur le terrain. On est vraiment, lui comme moi et comme l’ensemble de l’équipe, concentrés sur le match ! Si on a une confirmation avant la rencontre, cela sera une très bonne nouvelle mais si c’est après, ce sera aussi une bonne nouvelle ! «"
}, 
{"role": "user",     "content":"«Au bout de mes rêves», le reportage BeIN Sports sur le périple de Jonathan Jeanne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il vient de quitter le club qui lui a donné sa chance au niveau professionnel après la découverte de son syndrome de Marfan, l’Iberojet Palma à Majorque, Jonathan Jeanne (2,18m, 21 ans) avait été avant cela suivi pendant une longue période par une caméra de BeIN Sports.\\n\\nDans ce reportage, l’ancien prospect NBA raconte son périple entre la Draft Combine, l’annonce de son syndrome, son retour en France et la rupture de son premier contrat professionnel avec Le Mans. L’ancien joueur de l’INSEP explique également comment il a réussi à se relever après avoir été en contact avec Isaiah Austin, lui aussi atteint du syndrome de Marfan, et son agent. Le tout jusqu’à son arrivée à Majorque où il a pu vivre pleinement sa première expérience professionnelle.\\n\\nL’intérieur français raconte notamment que toutes les six semaines il a rendez-vous avec un cardiologue spécialiste dans le syndrome de Marfan à Majorque avec lequel il passe une série d’examens pour s’assurer que tout va bien.\\n\\nhttps://www.facebook.com/NBAextra/videos/322024735245756/?__xts__%5B0%5D=68.ARDQGNHdFQQeBwtlReVbQe8jM61VWXRhg9J_KgeWl-sS8sxG6g_S3Xu2Y6WrOvcnZyQYb95ZIFaFY1V5VwFmweFhq4JMG3G3yGhehZn02sals8vSMu8Uu0t2dDU2NPqmlGRVcRV8Ilxw-VtXFTNJOPDZ4mv_Sre11QXGBTfv5eAkyM4MsXCnuyT0gckG2a0vmmntlfcKrEFeHorYSVPzj4JXyv8xXuQfmxu868vymCxLtQ6H2nCg9Tpp88bmWRP_j4p1SOzQEPfyvqEn96kfK9xhWx26Zt0f6iEZU90pmSCDaNFBC-tHuU0glFa8r_oTYVskkTnlf-fdPMyTOEN_DZzysnL35mI2WcJBMVxb4HskCMO6H2thzB8Jv1JCn54XzH_iZXG-l6FEGPC4XpJ2lWsJz6gdA0rbU2gf3y0t9_tkTEJKGUB4yXF25PtLrWWc6eg13JW0Zi0zhGau-pPspcifwSaxdPz1OM1k10hY5gtopz5g3NXPYraOaLRfawpVlqs&__tn__=H-R\\n\\nPhoto : Iberojet Palma"
}, 
{"role": "user",     "content":"[REDIFF]Wilt Chamberlain, les Globies et la France (3ème partie): Wilt à la télé française"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était en juin 1960. Wilt Chamberlain, le joueur le plus dominant de son temps, venait d’être élu MVP de la NBA. Il se retrouva sous le maillot des Harlem Globe Trotters à jouer à Paris, mais aussi anonymement dans la France profonde. Voici en quatre volets cette incroyable histoire.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe 25 mars 1960, une dépêche de l’Associated Press en provenance de Philadelphie tombe sur les téléscripteurs. Elle confirme que The Stilt envisage sérieusement de quitter la National Basketball Association. Une nouvelle qui provoque l’incrédulité puisque c’est du MVP de la saison dont il s’agit. Les commentaires sont laconiques. Sa décision est, d’après l’agence, en rapport avec des problèmes raciaux, « mais pas seulement ».\\n\\nEn fait, le Goliath estime que la lutte sous le cercle ressemble à un combat de rue. Il en a ras-le-bol de la violence et que ses adversaires l’expulsent sans ménagement de la peinture et fassent systématiquement faute sur lui et l’envoient sur la ligne des lancers-francs ; un exercice où il est incroyablement maladroit (51.1% de réussite sur l’ensemble de sa carrière). Il n’a pas du tout apprécié que Clyde Lovellette des St. Louis Hawks lui ait cassé quatre dents du devant en lui balançant vicieusement son coude dans la mâchoire. Il se plaint aussi d’être la cible des fans : « Si je marque 50 points dans un match, ils disent que j’aurais dû en mettre 75. »\\n\\nLe 1er juin, une autre dépêche informe que Wilt a rejoint les Harlem Globe Trotters à Paris, son point de départ qui doit l’emmener en Europe, dans le Proche-Orient et en Afrique du Nord. Il s’agit d’une pige mais Abe Saperstein, le propriétaire des Globies, lui a fait une belle offre de 125 000$ pour qu’il signe pour toute la saison. Wilt réfléchit.\\n\\nVoici pourquoi Wilt Chamberlain, 24 ans, déjà en passe de réécrire à lui seul le Livre des Records de la NBA, se retrouve en France. Ses futurs équipiers sont en provenance de Londres où ils ont enchaîné six spectacles à Wembley. Lui a pris un vol à Los Angeles pour se retrouver au pied de la Tour Eiffel, sur les terrains de Bir-Hakeim, quai Branly. Il porte un beau costume, un chapeau, et explique à des gosses comment tenir la balle –un modèle qui rassemble étrangement à un ballon de foot- à tirer un lancer-franc –ce n’est pourtant pas sa spécialité- et d’un saut il dunke, sans que cela lui demande le moindre effort. Un quart de siècle avant que Michael Jordan et Nike suivent son exemple, Abe Saperstein a compris que l’association de son phénomène et de la Tour Eiffel est la meilleure des publicités pour sa troupe.\\n\\nWilt au Palais des sports\\n\\nDans son édition du jour, L’Equipe indique que les Globies ont trois matches à livrer au Palais des sports de la porte de Versailles, contre les US Stars, et que Chamberlain va recevoir à cette occasion le trophée du meilleur sportif américain offert par Sporting News, un superbe livre relié et un prix de 3 000$.\\n\\nLe Palais des sports, qui succède au Vel’ d’Hiv, démoli un an plutôt, vient d’être inauguré. C’est la seule salle de la capitale pouvant accueillir jusqu’à 5 000 spectateurs et elle dispose d’un dôme composé de 1 100 panneaux d’aluminium qui représente une véritable prouesse technique. Le lendemain, L’Equipe fera part de sa déception quant à l’assistance : « Voilà onze ans que les Harlem reviennent périodiquement à Paris et c’est sans doute pour cela que le Palais des Sports n’a pas fait le plein hier soir », y lit-on.\\n\\nPierre Tessier, trente-sept ans de rubrique basket dans le quotidien sportif, est par contre dithyrambique quand il décrit la production de Chamberlain : « monté sur des longues pattes d’échassier, il est vraiment le phénomène annoncé. Jamais nous n’avions vu un basketteur jouer et surtout smasher la balle dans le panier avec une telle efficacité. En outre, excellent aux jump shots, et bon passeur, Chamberlain a certainement fait rêver hier tous les entraîneurs français qui étaient présents au Palais des sports. » Pour mettre en perspective la taille de Chamberlain (2,15m), il faut savoir qu’en première division, les double mètres se comptent alors sur les doigts d’une main. Le lendemain, Pierre Tessier mettra une deuxième couche signant un portrait de quelques lignes avec un titre à rallonge comme on en raffolait à l’époque : « le meilleur joueur du monde est à Paris. Pour Wilt Chamberlain géant aux bras d’or, le basket est un art... bien payé. »\\n\\nNe croyez pas que la venue de ce Goliath, que d’aucuns considèrent comme sportif le plus exceptionnel de tous les temps, a mis Paris en ébullition. D’ailleurs, en ce début d’été, dans L’Equipe, le basket est noyé au milieu d’autres rubriques nettement mieux nourries. Il faut constater que cinquante-quatre ans plus tard, la présence de Wilt Chamberlain dans la capitale n’a laissé aucun impact, ou presque. Le hasard nous a permis tout de même de discuter avec un témoin de l’époque, l’international Maxime Dorigo. « J’ai vu le match ! », nous a-t-il dit. « Il avait impressionné par sa stature, sa morphologie. Il avait des épaules et des chevilles comme ça, on se demandait comment il tenait debout. C’était impressionnant tellement c’était fin. Une gazelle. » Pour l’anecdote, sachez que Max jouera lui-même plus tard contre les Harlem Globe Trotters, sans Chamberlain. « Avant leur match, ils avaient fait un quart d’heure contre la Racing, le PUC, et Bagnolet, chacun à leur tour », se remémore-t-il. « Le seul qui avait tiré son épingle du jeu, c’est mon frère Laurent, qui avait mis dix-huit points du milieu du terrain ! En dessous-ce n’était pas possible. Tu ne pouvais que tirer à mi-distance. Ils jouaient pour gagner et ils ont battu tout le monde. »\\n\\nWilt en deuxième partie de soirée\\n\\nIl apparaît tout de même mystérieux que la venue dans la capitale de Wilt Chamberlain n’ait pas imprégné la mémoire collective. Car, en poursuivant notre investigation, nous avons découvert que le match du 1er juin fut retransmis par la télévision française !\\n\\nEn 1960, la France commence tout juste à découvrir la télévision, encore réservés à une élite urbaine. A peine trois millions de foyers sont équipés de téléviseurs. Il n’existe qu’une chaîne à la RTF, évidemment en noir et blanc. Les programmes ne sont pas toujours annoncés à l’avance. Ainsi, dans l’un deux, on peut lire que le mercredi 1er juin –en ce jour de grève générale de la SNCF-, sera diffusée à 20h35, « La Piste aux Etoiles », une émission de cirque que nombre de Français encore dépourvus de petit écran vont regarder chez le voisin. Et qu’avant « Lectures pour Tous », à 22h05, est prévu, à 21h35, un reportage d’actualité sans autre précision. Il s’agit en fait du match des Globies.\\n\\nNous nous sommes procuré le reportage sur l’INA. Trente-trois minutes d’une retransmission en direct réalisée par Pierre Mignot et commentée par Etienne Lalou. Lalou est un pionnier de la télé française, un grand reporter, et il a la particularité d’avoir joué au basket au PUC. Première impression : le Palais des sports est superbe, bien plus séduisant que ne l’est aujourd’hui le stade Pierre-de-Coubertin. Il est effectivement à moitié vide. Voici in-extenso comment Etienne Lalou présente le meilleur basketteur de son temps aux Français qui ont décidé de veiller tard : « Nous aurons la primeur d’une vedette nouvelle qui j’espère jouera pendant le temps que la télévision retransmet le match, qui est le fameux Wilt Chamberlain. Wilt Chamberlain qui est le joueur professionnel le mieux payé aux Etats-Unis, qui le mérite par sa classe, par sa forme physique et son adresse au basket-ball. Wilt Chamberlain qui mesure 2,18m et saute très facilement deux mètres en hauteur sans entraînement spécial... » Il n’est donc pas fait référence à la NBA, encore moins à son titre de MVP et aux Philadelphia Warriors. Insistons sur ce point : la National Basketball Association est alors TOTALEMENT inconnu des amateurs de basket. Alors, des profanes...\\n\\nTrès bonne nouvelle, Wilt Chamberlain est dans le cinq de départ. « La couleur de la peau permet d’identifier des deux équipes », lâche Etienne Lalou. Pas faux. Wilt porte le numéro 13 et effectivement, il joue deuxième arrière. C’est juste hallucinant, car s’il descend de l’avion, est sur la réserve, l’Echassier fait preuve d’une mobilité, d’une agilité qui peut inspirer les big men du XXIe siècle. Sur la première action, il fait un « passe et va » à Meadowlark Lemon qui est au piquet –le terme employé alors pour le post-, la reçoit en retour et va dunker après avoir monté la balle haut dans les airs. Deuxième action, il contre. « Lorsque les Harlem veulent jouer, on ne voit pas une équipe qui peut valablement leur être opposé », estime Etienne Lalou qui rit des pitreries de Meadowlark Lemon, lequel cache la balle sous son maillot. C’est le clown du show, celui qui a succédé à Goose Tatum. Chamberlain, lui, fait le job, tranquille, se prêtant aux interminables « huit » (lorsque les arrières se passent latéralement la balle de la main à la main, en tête de raquette, à six-huit mètres). Il prend des rebonds et fait des passes avec des gestes amples « à la Harlem ». Il se prête aussi aux clowneries en juchant la balle au sommet de son bras afin d’empêcher l’arbitre de la récupérer. Rien à voir avec la férocité que nous renvoient ses highlights de NBA de l’époque.\\n\\nAprès un quart d’heure de jeu, un jongleur vient faire un long intermède avec des assiettes qui tournent sur elles-mêmes au bout d’une perche. C’est de l’entertainment, un mélange de sport et de divertissement. La NBA n’a rien inventé. Le tout parait longuet, mais en fait, le public dans la salle est ravi. Une évidence, tout de même : les téléspectateurs français n’ont qu’une vision très imparfaite de qui est vraiment Norman Wilton Chamberlain.\\n\\nDernier épisode :\\n\\nCourgeoust, 479 habitants\\n\\nArticle paru dans Basket Hebdo en 2014\\n\\n[armelse]\\n\\nLe 25 mars 1960, une dépêche de l’Associated Press en provenance de Philadelphie tombe sur les téléscripteurs. Elle confirme que The Stilt envisage sérieusement de quitter la National Basketball Association. Une nouvelle qui provoque l’incrédulité puisque c’est du MVP de la saison dont il s’agit. Les commentaires sont laconiques. Sa décision est, d’après l’agence, en rapport avec des problèmes raciaux, « mais pas seulement ».\\n\\nEn fait, le Goliath estime que la lutte sous le cercle ressemble à un combat de rue. Il en a ras-le-bol de la violence et que ses adversaires l’expulsent sans ménagement de la peinture et fassent systématiquement faute sur lui et l’envoient sur la ligne des lancers-francs ; un exercice où il est incroyablement maladroit (51.1% de réussite sur l’ensemble de sa carrière). Il n’a pas du tout apprécié que Clyde Lovellette des St. Louis Hawks lui ait cassé quatre dents du devant en lui balançant vicieusement son coude dans la mâchoire. Il se plaint aussi d’être la cible des fans : « Si je marque 50 points dans un match, ils disent que j’aurais dû en mettre 75. »\\n\\nLe 1er juin, une autre dépêche informe que Wilt a rejoint les Harlem Globe Trotters à Paris, son point de départ qui doit l’emmener en Europe, dans le Proche-Orient et en Afrique du Nord. Il s’agit d’une pige mais Abe Saperstein, le propriétaire des Globies, lui a fait une belle offre de 125 000$ pour qu’il signe pour toute la saison. Wilt réfléchit.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : les highlights du match de Noël entre l’ASVEL et Levallois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Leader incontesté de Jeep Elite avec 12 victoires en 14 matchs avec son déplacement à Levallois, l’ASVEL se déplaçait en favori et les joueurs de Zvezdan Mitrovic n’ont pas tremblé en s’imposant 88-79.\\n\\nPortés par un Théo Maledon de gala (18 points, 3 rebonds, 5 passes, 26 d’évaluation), les Villeurbannais sont allés chercher leur 13e victoire de la saison et s’ancrent encore un peu plus à la première place du classement de Jeep Elite.\\n\\nDe son côté, Levallois enregistre sa sixième défaite de la saison, mais reste dans le top 8 en étant à la cinquième place (9v-6d), ex-aequo avec Strasbourg qui s’est fait surprendre par le CCRB mercredi soir."
}, 
{"role": "user",     "content":"Sekou Doumbouya (Limoges CSP) suite à sa blessure : «Je suis obligé d’accepter»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à une chute à l’entraînement Sekou Doumbouya (2,05m, 18 ans) va devoir se faire opérer de la main et va manquer entre cinq et sept semaines de compétition.\\n\\nAprès avoir appris cette nouvelle et alors que nous allions l’interviewer, l’ancien joueur de Poitiers s’est montré forcément déçu.\\n\\n« C’est compliqué... Je pense que pour tout joueur c’est compliqué d’accepter une blessure. Je suis un peu obligé d’accepter. Je suis obligé de faire avec. On va avancer comme ça. Il ne faut pas que ce soit perdu, il faut prendre et avancer. Je suis obligé d’accepter ma situation. »\\n\\nCette saison, Sekou Doumbouya compile en moyenne 5 points et 2,8 rebonds pour une évaluation de 5,8 en Jeep Elite, et 6,9 points et 2,8 rebonds pour une évaluation de 5,8 en Eurocup.\\n\\nPhoto : Limoges CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"DeRon Hayes à propos de son fils Killian (Cholet): «Cette période délicate va le faire grandir»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que son copain de promo Théo Maledon épate toute la France du basket -en attendant que ce soit l’Europe puis le monde-, Killian Hayes (1,96m, 17 ans) est un peu en-dessous de ce que l’on attendait du meilleur basketteur européen de sa génération nommé cet été dans la Cinq idéal du Mondial U17 (6,1 points, 3,6 rebonds, 3,3 passes décisives et 2,7 interceptions en moyenne par match.)\\n\\nLe Choletais en est à 6,0 points (seulement 35,1% aux shoots), 3,2 passes et 6,2 d’évaluation en 20′ de moyenne après 14 matches. Il faut probablement mettre ce retard à l’allumage sur le compte d’un collectif longtemps peu inspiré, remodelé et avec un changement de coach en cours de route (Erman Kunter à la place de Régis Boissié). Et aussi, sur le plan individuel, une blessure au dos survenue lors du premier match de préparation suivie d’une autre au gros orteil.\\n\\n« Pendant trois semaines, j’étais dans l’incapacité de courir. Du coup, je n’avais plus les mêmes jambes quand j’ai repris que durant l’été. Même chose pour le cardio. Sur mon premier match face à Strasbourg, ça pouvait encore aller mais par la suite, ce fut plus compliqué, » indique t-il à Ouest France.\\n\\nSon père DeRon, lui-même ancien Choletais, ne regrette pas en tous les cas que son fiston ait continué de porter le maillot du club du Maine-et-Loire.\\n\\n« Je pense que ce qu’il a connu avec cette blessure, il valait mieux le connaître ici qu’à l’étranger. On se dit que c’est un mal pour un bien car Killian vit dans la réussite depuis des années. Donc cette période délicate va le faire grandir. »\\n\\nCe soir, Cholet reçoit Chalon et une victoire lui ferait le plus grand bien dans sa lutte pour le maintien. Quant à Killian Hayes, 2019 doit lui permettre de prendre un nouveau départ.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Julian Wright devrait rester à Levallois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que des rumeurs le voyaient partir de Levallois pour un club européen, Julian Wright (2,05m, 31 ans) devrait rester en France chez les Metropolitans.\\n\\nStar de l’effectif levalloisien en compagnie du Croate Roko Ukic, le natif de Chicago a passé un accord moral avec le club, à l’image de Boris Diaw la saison dernière, lui permettant de quitter les Metropolitans pour un club disputant une coupe d’Europe d’ici le 31 décembre. Passé ce délai, il sera automatiquement un joueur de Freddy Fauthoux jusqu’à la fin de la saison. Et selon nos informations, l’ancien joueur des Charlotte Hornets devrait rester en région parisienne.\\n\\nEn attendant, l’ancien pensionnaire de Kansas, qui fait tout simplement partie des meilleurs joueurs du championnat avec la troisième évaluation de Jeep Elite, sera présent à l’AccorHotels Arena le 29 décembre pour le All Star Game LNB.\\n\\nCette saison, Julian Wright compile en moyenne 13,6 points, 8,4 rebonds et 2,5 passes décisives pour une évaluation de 20,5.\\n\\nPhoto : Karen Mandau"
}, 
{"role": "user",     "content":"Théo Maledon (ASVEL): Record à l’évaluation face à Levallois, 27/27 aux lancers depuis le début de saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Villeurbanne a dominé Levallois (88-79) et un jeune homme de 17 ans et demi (il est né le 12 juin 2001) en est grandement responsable. Le meneur Théo Maledon a réalisé une première mi-temps somptueuse, au plus que parfait: 13 points à 100%, 3 rebonds, 3 passes -dont une majestueuse-, 1 interception pour 20 d’évaluation en 15’42.\\n\\nAu total, le jeune prodige se fend de 18 points, 5/7 aux tirs du champ, 6/6 aux lancers, 3 rebonds, 5 passes, 2 interceptions, pour 26 d’évaluation, son record perso en la matière. C’est la cinquième fois de la saison qu’il score au moins 10 points. Comme le fait remarquer OBuzzer, au même âge, son président Tony Parker n’avait signé que deux fois pareil exploit. Théo Maledon a la pleine confiance de son coach, Zvezdan Mitrovic.\\n\\nUne autre stat qui prouve le sang-froid du Villeurbannais: depuis le début de la saison, en Jeep Elite, il en est à 27/27 aux lancers! En fait, il en a raté deux (sur 12) en Eurocup.\\n\\n\\n\\n\\nC'est l'un des prospects français les plus en vue et une nouvelle fois Théo Maledon a brillé dans la victoire de @LDLCASVEL face aux @LevalloisMetro !\\nSes stats : 18 pts, 5 passes, 3 rbs, 2 interceptions pour 26 d'évaluation\\nPour le plaisir ses highlights en vidéo ⤵️#JeepELITE pic.twitter.com/4ADJFdVksQ\\n\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) December 27, 2018\\n\\n\\n\\n\\nÀ 17 ans et demi, Théo Maledon signe son 5e match de #JeepElite à plus de 10 pts. A titre de comparaison, @tonyparker, au même âge, n’en avait réalisé «que» 2.\\n\\n\\n— OBUZZER (@O_buzzer) December 26, 2018\\n\\nPhoto: ASVEL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg piégé par Châlons-Reims. Vincent Collet: «On n’est pas assez dur»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Strasbourg termine l’année sur une mauvaise note. Une défaite à domicile face à Châlons-Reims n’était pas prévu dans le plan de bataille (90-97).\\n\\nComme l’a fait remarquer le coach Vincent Collet en conférence de presse, la note défensive est bien trop salée.\\n\\n« Il ne faut pas chercher trop loin les raisons de cette défaite : on est coupable de notre apathie défensive. Elle n’est pas systématique, mais c’est le manque de constance qui m’inquiète. On a pris 76 tirs alors qu’on en prend 60 en moyenne : cela renseigne sur la folie offensive qui nous a fait face ce soir. La sortie de Youss nous a handicapé un peu au rebond, mais Ali a très bien scoré en son absence. Mardy avait une contracture au mollet et ne s’est pas entraîné hier. On espérait qu’il irait mieux aujourd’hui, mais en s’entraînant avant le match, il avait trop mal. Avec Mardy, on aurait mieux contrôlé le rythme du match. C’est un élément, mais malgré tout cela n’explique pas le niveau défensif qu’on a affiché. On était beaucoup plus offensif que défensif. Quand on encaissait, on était pressé de mettre un panier mais on ne les empêchait pas assez de marquer. C’est très dangereux contre ce type d’équipe. On se retrouve dans la même situation qu’il y a un mois avant la fenêtre internationale, mais apparemment cela ne nous a pas servi de leçon. Notre mentalité doit évoluer, on n’est pas assez dur. On avait un grand besoin de ce match, car on a déjà laissé échapper celui Monaco. Ça commence à faire beaucoup, et nous met dans une mauvaise situation ».\\n\\nEn fait, Youssoupha Fall n’a pu aider les siens (15 points, 4 rebonds) que pendant 15 petites minutes. L’homme du match fut Blake Schilb avec 31 points (4/6 à trois-points), 5 passes et 3 rebonds.\\n\\n« Gagner à Strasbourg, ça veut dire quelque chose ! », a fait remarquer le coach du CCRB, Cédric Heitz. « On espère que cela donnera de l’élan à notre groupe. C’est compliqué d’arrêter le secteur intérieur strasbourgeois, on le savait. On a quand même fait un travail intéressant sur eux, mais cela reste de très forts joueurs. En l’espace de 10 secondes, ils ont mis deux tirs à 3 points, et ils ont transformé nos pertes de balle en paniers de manière extraordinaire. On a réussi à avoir un pourcentage intéressant à l’intérieur, tout comme eux. C’est une œuvre collective qui fait beaucoup de bien ».\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Asie: Darryl Watkins (ASVEL) se retrouve en Indonésie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ancien pivot de Châlons-Reims et de l’ASVEL, Darryl Watkins (2,10m, 34 ans) vient de signer aux CLS Knights Surabaya, un club basé dans l’est de Java, en Indonésie.\\n\\nL’Américain va ainsi démarrer sa 12e saison professionnelle. Il a joué en Belgique, Bulgarie, Chine, Chypre, Liban, D-League et en NBA.\\nLors de la saison 2017-18, il a tourné à Villeurbanne à 7,1 points et 5,8 rebonds mais celle-ci avait été interrompue après une blessure au genou qui avait nécessité une arthroscopie.\\n\\nPhoto: Eurocupbasketball"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le All-Star Game LNB va faire le plein pour la 16e fois consécutive, 15 988 spectateurs !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme pour chaque édition depuis 2003 à Paris, le All-Star Game LNB organisé par Sports Plus Conseil va se dérouler à guichets fermés à l’AccorHotels Arena de Paris-Bercy soit devant 15 988 spectateurs.\\n\\n« Même si cela devient une habitude depuis 16 ans, le fait de voir un tel engouement autour du All-Star Game LNB est un véritable plaisir. A deux jours de l’évènement, nous sommes ravis de pouvoir annoncer officiellement que nous jouerons à guichets fermés. Rendez-vous samedi à l’AccorHotels Arena pour vivre un véritable moment de sport et de spectacle en famille et entre amis afin de clore en beauté cette année 2018 ! », commente Alain Béral, le président de la LNB.\\n\\nProgrammation TV :\\n– Samedi 29 décembre : Match en direct sur RMC SPORT 2 à partir de 19h25\\n– Samedi 29 décembre : Match en léger différé sur RMC SPORT 1 à 21h30\\n– Dimanche 30 décembre : Rediffusion sur RMC SPORT 2 à 22h30\\n– Lundi 31 décembre : Rediffusion sur RMC SPORT 3 à 11h30"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges CSP: Sekou Doumbouya sera absent entre 5 et 7 semaines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à un chute, Sekou Doumbouya (2,05m, 18 ans) souffre d’une douleur à la main droite. Des examens médicaux complets ont révélés un problème ligamentaire au pouce nécessitant une intervention chirurgicale bénigne mais indispensable, indique le Limoges CSP dans un communiqué.\\n\\n« Après le match contre Boulazac auquel il prendra part, il sera pris en charge par les meilleurs experts sous la supervision du médecin et du staff médical du club. L’indisponibilité du joueur est estimée entre 5 et 7 semaines. »\\n\\nCette saison, Sekou Doumbouya compile en moyenne 5 points et 2,8 rebonds pour une évaluation de 5,8 en Jeep Elite, et 6,9 points et 2,8 rebonds pour une évaluation de 5,8 en Eurocup.\\n\\nPhoto : Limoges CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"TV: Le dispositif de RMC Sport pour le All-Star Game LNB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le All-Star Game LNB, le samedi 29 décembre à l’AccorHôtels Arena, donnera lieu à plus de 3h30 de diffusion en direct sur RMC Sport 2. En voici le détail:"
}, 
{"role": "user",     "content":"Basketball Champions League: La France est le premier pays a dépasser le seuil des 100 victoires"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Même si trois équipes disputent cette saison l’Eurocup, la Basketball Champions League est l’épreuve européenne de prédilection des clubs français comme en atteste l’étude menée par le site Eurohoops.net. Il apparaît que ce sont eux qui ont gagné le plus grand nombre de matches en deux saisons et demies. La France est ainsi le seul pays à avoir dépassé le seuil des 100 victoires.\\n\\nEn revanche, si l’on ne prend que cette saison, le bilan des Français est négatif (17-21) et la Grèce (22-9), l’Espagne (22-11) et l’Italie (21-8) ont remporté davantage de victoires.\\n\\n\\n\\n\\nPays\\nTour\\n\\n\\n\\n\\nqualif\\n\\n\\nV-D\\n\\n\\nSaison\\n\\n\\n\\n\\nRegul. V-D\\n\\n\\nPlayoffs V-D\\nFinal Four\\n\\n\\n\\n\\nV-D\\n\\n\\nTOTAL\\n\\n\\nFrance\\n3-0 (1)\\n92-56\\n9-10 (2)\\n2-2\\n106-68 (3)\\n\\n\\nAllemagne\\n9-0 (1)\\n75-59\\n11-9 (2)\\n0-2\\n95-70 (1)\\n\\n\\nTurquie\\n3-3\\n79-51\\n10-10 (2)\\n1-1\\n93-65 (2)\\n\\n\\nItalie\\n4-4\\n72-67\\n7-7\\n0-2\\n83-80\\n\\n\\nGrèce\\n3-1\\n62-49\\n9-7 (2)\\n2-0\\n76-57 (2)\\n\\n\\nEspagne\\n6-4 (2)\\n57-26\\n6-3 (1)\\n3-1\\n72-34 (3)\\n\\n\\nLituanie\\n5-3\\n36-38\\n2-4\\n\\n43-45\\n\\n\\nBelgique\\n12-6\\n27-33\\n\\n\\n39-39\\n\\n\\nIsraël\\n3-1\\n28-32\\n0-2\\n\\n31-35\\n\\n\\nRep. Tch.\\n0-2\\n23-23\\n2-2\\n\\n25-27\\n\\n\\nRussie\\n9-6 (1)\\n15-22\\n1-1\\n\\n25-29 (1)\\n\\n\\nPologne\\n3-4 (1)\\n19-46\\n0-2\\n\\n22-52 (1)\\n\\n\\nLettonie\\n\\n18-21\\n1-1\\n\\n19-22\\n\\n\\nSerbie\\n\\n12-16\\n1-1\\n\\n13-17\\n\\n\\nFinlande\\n6-5 (1)\\n6-8\\n\\n\\n11-13 (1)\\n\\n\\nRoumanie\\n5-7\\n6-8\\n\\n\\n11-19\\n\\n\\nBiélorussie\\n7-4 (1)\\n\\n\\n\\n7-4 (1)\\n\\n\\nSuisse\\n5-0 (1)\\n2-7\\n\\n\\n7-7 (1)\\n\\n\\nSlovénie\\n\\n7-30\\n\\n\\n7-30\\n\\n\\nBulgarie\\n5-7\\n\\n\\n\\n5-7\\n\\n\\nCroatie\\n\\n5-9\\n\\n\\n5-9\\n\\n\\nDenemark\\n4-2\\n1-13\\n\\n\\n5-15\\n\\n\\nMonténegro\\n1-3\\n3-11\\n\\n\\n4-14\\n\\n\\nHongrie\\n2-4\\n2-12\\n\\n\\n4-16\\n\\n\\nEstonie\\n3-4 (1)\\n\\n\\n\\n3-4 (1)\\n\\n\\nPortugal\\n3-7\\n\\n\\n\\n3-7\\n\\n\\nPays-Bas\\n3-7 (2)\\n\\n\\n\\n3-7 (2)\\n\\n\\nUkraine\\n0-2\\n3-11\\n\\n\\n3-13\\n\\n\\nAustralie\\n2-2\\n\\n\\n\\n2-2\\n\\n\\nSuède\\n2-4\\n\\n\\n\\n2-4\\n\\n\\nMacédoine\\n1-1\\n\\n\\n\\n1-1\\n\\n\\nBosnie\\n1-3\\n\\n\\n\\n1-3\\n\\n\\nKosovo\\n1-3\\n\\n\\n\\n1-3\\n\\n\\nChypre\\n1-5\\n\\n\\n\\n1-5\\n\\n\\nGrande-B.\\n0-2\\n\\n\\n\\n0-2\\n\\n\\nSlovaquie\\n0-2\\n\\n\\n\\n0-2\\n\\n\\nGéorgie\\n0-4\\n\\n\\n\\n0-4\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: Gavin Ware (Dijon, FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Rémi Giuitta (Fos) : «Je n’ai pas pu apprécier à sa juste valeur l’exploit qu’on a réalisé»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si Fos-sur-Mer est actuellement 16e et donc en dehors de la zone de relégation de Jeep Elite, le club est toujours à la lutte pour assurer son maintien en première division. A sa tête, l’entraîneur Rémi Giuitta (41 ans), a réalisé son rêve en menant son club de coeur jusqu’au plus haut niveau français.\\n\\nInterrogé par La Provence, celui qui a fait toute sa carrière à Fos s’est livré sur son quotidien, sur sa vie de père de famille, d’entraîneur, de sélectionneur du Mali ou encore sur ses envies d’ailleurs.\\n\\nVainqueur des playoffs d’accession avec Fos, l’entraîneur français avoue que son plus gros regret à suivi ce titre, car il n’a pas pu savourer autant qu’il le voulait cette victoire.\\n\\n« Je n’ai pas pu apprécier à sa juste valeur l’exploit qu’on a réalisé. Il y a plusieurs raisons à cela. On est monté tardivement, on a tout de suite été plongé dans la gestion et la préparation de la saison, du budget... Il y a aussi eu beaucoup de stress, à tous les niveaux, pour construire le club afin de ne pas faire l’ascenseur. [...] Je m’étais promis de faire une fête en revenant (ndlr, de ses obligations avec le Mali), mais j’ai eu la tête dans le guidon très vite. Ça m’emmerde ! Quand tu as un rêve depuis 15 ans et qu’au moment où tu y arrives, tu n’en profites pas à cause de l’urgence du quotidien, ça fait chier ! »\\n\\nPetit Poucet de Jeep Elite, Fos (4v-10d) est sorti de la zone rouge mais ne compte qu’une victoire d’avance sur les deux relégables, Antibes et Cholet.\\n\\n« C’est la première fois qu’on enchaîne des défaites. Il y a une forme de logique au vu de notre situation. Mais, malgré tout, c’est une expérience que je n’avais jamais vécue. On ne veut pas s’habituer à la défaite, on ne doit pas s’y habituer, mais il faut apprendre à la gérer. Certaines sont logiques quand tu joues contre des équipes de très haut niveau ; mais pour autant, psychologiquement, les réactions sont les mêmes lorsque tu perds en N2 ou en Pro B. »\\n\\nSi sur le terrain, c’est compliqué pour le FPB de se faire une place parmi des équipes ancrées dans le championnat comme l’ASVEL, Strasbourg, Limoges ou Le Mans, le natif de Marseille essaye de ne pas laisser les désagréments de la Jeep Elite empiéter sur sa vie de famille, comme l’indique sa femme Stéphanie.\\n\\n« On ne ressent jamais la pression. Certains me disent parfois : « Tu as dû passer un mauvais week-end... ». Mais pas du tout, et heureusement que ce n’est pas le cas. Il fait bien la part des choses. Alors, forcément, après une défaite, il ne rentre pas avec le sourire aux lèvres, mais sa famille est là. On en parle s’il a besoin d’en discuter. C’est comme quand on raconte sa journée de travail en rentrant le soir. Quand Untel se blesse, on sait qu’Hervé (Gozzi, qui s’occupe du staff médical) va appeler, qu’il va falloir téléphoner à des agents pour trouver un joueur... Et là, je sais que je ne peux plus lui parler de la soirée ! »\\n\\nAprès près de quinze ans à la tête de l’équipe, Rémi Giuitta confie avoir parfois eu envie de quitter la Provence pour découvrir un nouvel environnement. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il a répondu positivement à l’appel de la fédération malienne pour prendre le rôle de sélectionneur national.\\n\\n« J’ai eu envie de partir deux fois par rapport à des sollicitations. J’ai été contacté à plusieurs reprises avant et après, mais j’ai tout le temps eu ce sentiment d’inachevé. C’est ce qui me bloquait, sans parler du timing car on était à chaque fois en play-offs. Finalement, le Mali est venu nourrir ce besoin, cette envie de connaître autre chose. Je ne me vois pas passer toute ma vie à Fos. Toute ma carrière, peut-être, mais si je ne dois plus faire ça, ça ne me gênera pas d’avoir été le coach d’un seul club. Ce sera une histoire d’opportunités. Le problème de nos métiers, et de ma situation, c’est que ça fait quinze ans d’affilée. C’est énormément de sacrifices familiaux. À la fin d’un match, un joueur boit une bière et il passe à autre chose ; un coach, c’est différent. Ce qui m’a donné envie d’aller ailleurs, parfois, ce n’était pas forcément de découvrir un niveau supérieur, mais plutôt de connaître un club où je ne serai que coach. Ce qui peut peser aujourd’hui, et même si je suis très content de la porter, c’est la double casquette. »\\n\\nDans le cadre de la 15e journée de championnat, le Fos Provence Basket se déplace au Mans ce mercredi soir. Entre deux à 20 heures.\\n\\nPhoto : Fos Provence Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Rick Pitino (Panathinaïkos) est arrivé à Athènes : «Je suis prêt pour ce défi»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nommé entraîneur du Panathinaïkos après le départ de Xavi Pascual, Rick Pitino (66 ans) a fait son arrivée à Athènes.\\n\\nAncien entraîneur des New York Knicks et des Boston Celtics en NBA, et de Louisville ou encore Kentucky en NCAA, le technicien new-yorkais a atterri en Grèce le lendemain de Noël et va déjà diriger son premier entraînement cet après-midi.\\n\\n« Je suis excité d’être ici. C’est la première fois en 41 ans de coaching que je vais prendre une équipe au milieu de la saison. J’ai signé avec le Panathinaïkos et je suis prêt pour ce défi. Nous avons entraînement à 17 heures. Le shoot est une faiblesse que nous devons régler. »\\n\\nPremier défi de taille pour le nouvel entraîneur du Pana, la réception du CSKA Moscou dès vendredi dans le cadre de la 15e journée d’Euroleague.\\n\\n« Nous avons un bilan négatif et nous devons travailler là-dessus. Nous ne pouvons pas changer beaucoup de choses. Dans 48 heures nous jouons le CSKA Moscou. Nous devrons essayer de défendre d’une façon qui surprendra l’adversaire. »\\n\\nPropos rapportés par Eurohoops."
}, 
{"role": "user",     "content":"[REDIFF] Wilt Chamberlain, les Globies et la France (2ème partie): Wilt amoureux de l’Europe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était en juin 1960. Wilt Chamberlain, le joueur le plus dominant de son temps, venait d’être élu MVP de la NBA. Il se retrouva sous le maillot des Harlem Globe Trotters à jouer à Paris, mais aussi anonymement dans la France profonde. Voici en quatre volets cette incroyable histoire.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nChanceux celui qui possède un don, Wilt Chamberlain en hérita de multiples. Ce type de 2,15m, aux jambes interminables, était capable de courir le 440 yards en 48 secondes 8 dixièmes, de sauter 6,70m en longueur et encore de franchir une barre à 2,06m de hauteur. Son envergure, son énergie, sa mobilité, sa voracité, tout était effrayant chez lui. Wilt était en avance de deux, quatre, six générations. Observez-le sur l’une des vidéos qui foisonnent sur YouTube. Aucun doute, il aurait sa place derechef dans la NBA du XXIe siècle. On dira de lui qu’il était trop égoïste, incapable de rendre les autres meilleurs à l’inverse de son ennemi intime Bill Russell, mais personne ne peut lui contester d’être la plus forte individualité jamais produite par le basket-ball. Michael Jordan et LeBron James inclus. Ses chiffres parlent pour lui. Qui d’autres a marqué 100 points dans un match, atteint quarante-cinq fois 50 points dans une saison, capturé 22,9 rebonds de moyenne dans une carrière ? Peut-on imaginer qu’il aura un jour un héritier ?\\n\\nA l’université de Kansas, The Stilt, l’Echassier, ravagea les raquettes et fit la connaissance de Goose Tatum, l’ancien clown des Harlem Globe Trotters, qui vivait à Kansas-City. Tatum avait fondé sa propre troupe et proposa à Wilt 100 000$, un magot, pour qu’il en devienne l’attraction numéro un. Gamin, Chamberlain idolâtrait Tatum et les Globies, la référence pour la communauté black de son époque, mais il était trop tôt pour quitter l’université après seulement deux ans d’études.\\n\\nUn nouveau règlement donnait une priorité dans le recrutement à la franchise NBA de la ville où jouait un lycéen. On l’appela du reste la « Loi Chamberlain ». Comme Wilt avait fréquenté une high school de Philadelphie, il était destiné à rejoindre les Warriors, l’équipe NBA de la ville, dont le proprio Eddie Gottlieb, malin, avait justement initié la règle. Mais les joueurs devaient attendre d’en avoir terminé avec leur cursus universitaire avant de pouvoir faire le grand saut. Si bien que Wilt, à l’issue de son année de junior à Kansas, accepta de faire une année de transition avec les Globies. C’était tout sauf une punition. Il vénérait donc la troupe, se vit offrir dans les 65 000$, bonus compris –presque deux fois ce que Abe Saperstein payait Tatum- et il put ainsi enrichir son registre. Lui qui savait déjà dunker de la main droite et récupérer la balle de la gauche pour l’enfourner de nouveau dans le cercle, apprit à dribbler, à mieux voir le jeu, à tirer de loin. Car, incroyable, au sein des Trotters, pour amuser les foules, le Golgot joua arrière !\\n\\n« Durant six ans j’avais vécu dans une cocotte-minute, traqué par les recruteurs de college et les investigateurs de la NCAA, assailli par les fans, les anciens élèves et les journalistes, poussé et bousculé par mes adversaires. » Tout en poursuivant son apprentissage de basketteur, les Globies devaient lui permettre d’évoluer dans une atmosphère plus relax.\\n\\nJamais de femmes mariées !\\n\\nA l’époque, beaucoup de Noirs reprochaient à Abe Saperstein d’exploiter leurs frères de couleur. Wilt rejetait cette accusation, rappelant que Saperstein avait permis aux Blacks de gagner leur vie en jouant au basket lorsque les portes de la NBA leur étaient encore interdites. « Bien sûr que Abe s’est servi de nous pour devenir riche, mais nous nous sommes servis des Globies pour faire de l’argent. Pas autant qu’Abe, naturellement, mais pour beaucoup d’entre nous davantage qu’on aurait pu en avoir ailleurs. » Pas dupe, Chamberlain savait que le boss ne tolérait pas tout ce qui pouvait nuire à son business, y compris que ses joueurs sortent avec des Blanches car il estimait que ça pouvait déplaire à sa clientèle. Et il ne voulait pas que la NBA se mette à signer des Blacks afin que ceux-ci demeurent une exclusivité des Harlem Globe Trotters. Dans sa première biographie, parue en 1973, et intitulé « Wilt », Chamberlain raconte que Saperstein était un fanatique de Napoléon et qu’à Vienne, il avait retrouvé errant en ville, tout excité, car il avait dormi dans le même lit que l’empereur. « Avait-il changé les draps ? », demanda-t-il taquin à son patron.\\n\\nWilt Chamberlain fit ses grands débuts aux Harlem Globe Trotters le 12 juillet 1958, à Milan. Saperstein balisait car l’assurance de son prodige ne prenait effet qu’en octobre et une blessure est vite arrivée lorsque vous évoluez sur des courts de tennis, dans des arènes, des verts pâturages et même des champs de blé. Le quotidien des Globies. Avant chaque exhibition, Saperstein allait inspecter chaque centimètre carré pour déceler un piège fatal pour son géant.\\n\\nAvec les Globbies, Wilt enchaîna 224 victoires de rang. Les foules étaient nombreuses. Une bonne affaire financière pour Wilt car il touchait une prime à chaque fois que l’affluence était supérieure à celle, au même endroit, avant son arrivée. Au compte final, la progression fut estimée à 20%.\\n\\nL’Echassier a aussi multiplié les conquêtes féminines. Avec gourmandise, comme toujours. Sa taille, son style, son argent, sa notoriété étaient de puissants aphrodisiaques. Dans une autre autobiographie, « A view from Above », Wilt Chamberlain lâcha un chiffre à tomber à la renverse : il assura avoir eu dans sa vie des relations sexuelles avec 20 000 femmes différentes ! « A mon âge, cela équivaut à avoir un rapport sexuel avec 1,2 femme par jour, chaque jour, depuis que j’ai quinze ans. »\\n\\nVantardise ? Provocation ? Chamberlain rappela que s’il annonçait à des profanes avoir été capable de marquer plus de 50 points en moyenne dans une saison de NBA, personne ne le croirait. Sauf qu’il y a eu des statistiques officielles pour le constater. Donc, il demandait à être crû sur parole. Il ajoutait qu’il avait aimé des femmes de toutes les couleurs, de toutes les nationalités, à Rome, Paris, en Australie comme en Amérique. Mais que son féroce appétit sexuel digne de l’acteur de film X Rocco Siffredi ne l’avait pas empêché de respecter un principe qui lui était cher : aucune de ces femmes n’était mariée. En était-il vraiment sûr ?\\n\\nD’après Wilt, tous les Globies draguaient sans cesse, y compris pendant les matches. L’un d’entre eux écrivait parfois son nom, celui de son hôtel et de sa chambre sur un bout de papier qu’il apportait benoîtement entre les dents à une jeune femme dans les tribunes. Les Globies s’estimaient irrésistibles et la honte s’abattait sur celui qui était vu en compagnie d’un « mulion ». Dans le langage codé des joueurs, connu d’eux-seuls, ce mot était la traduction d’un cageot.\\n\\nSon grand regret\\n\\nLeur vie au quotidien, les Globies la passaient essentiellement dans les avions, les trains et les bus. « Nous pouvions faire 450km un jour, jouer le soir, faire 250 km le lendemain, jouer de nouveau, se taper encore 120 km après le dîner et jouer de nouveau. Nous jouions presque chaque jour et parfois jusqu’à deux ou trois fois dans la même journée. » Saperstein offrait des bonus de 5, 10 ou 20$ lorsque le rythme était vraiment infernal, mais Wilt estimait que cela ne compensait pas le manque de sommeil, la nourriture avalée à la va-vite, et l’hygiène parfois douteuse. Il a raconté qu’il perdait systématiquement quatre à six kilos par match et qu’il devait compenser en avalant ensuite de sept à douze litres de jus d’orange, de lait ou de 7 Up ! Oui, Wilt était l’homme de tous les records.\\n\\nQuand on lit ces propos, on s’aperçoit que Wilt Chamberlain a adoré cette année passée à parcourir le monde –« la plus heureuse de ma vie »- et qu’il est tombé amoureux de l’Europe. « J’étais un garçon jeune, naïf et brut de décoffrage durant mon année avec les Globies, mais j’ai appris à connaître les meilleurs restaurants et les meilleurs hôtels », a-t-il confié. « J’ai appris la vie dans des villes comme Paris, Rome, Milan et Copenhague. J’ai appris à parler italien presque couramment et le français, l’allemand et l’espagnol suffisamment pour me débrouiller. J’ai même appris des mots de perse, d’arabe, de suédois, de danois et de russe... »\\n\\nL’histoire d’amour aurait pu prendre des proportions plus grandes encore. Une fois, les Globies ont joué trois matches à Milan en trois jours. Des représentants d’Olimpia Milan sont venus vers lui. Il y avait parmi eux le fondateur du club Adolfo Bogoncelli, un visionnaire, qui était considérablement en avance sur son temps et qui avait tout compris du marketing et du sponsoring. « Ils voulaient que je revienne en Italie après mon année avec les Globies et que je joue en pro ici. Nous avions joué devant des foules incroyables à Milan et le basket commençait à devenir populaire. Ils estimaient que je serais une aubaine financière pour eux. » Le club milanais lui proposa un salaire annuel de 35 000$, soit 10 000 de plus que ce que gagnait la star des Boston Celtics, Bob Cousy. Sans impôts et avec des billets gratuits pour voyager à sa guise en Europe. Il refusa. Normal, il avait envie de jouer en NBA, de prouver à chacun sa véritable valeur face aux meilleurs joueurs.\\n\\nIl signa donc avec les Philadelphie Warriors un contrat royal qui, tout compris, lui permit de toucher 100 000$ pour son année de rookie, soit dix fois le salaire moyen en NBA. L’argent n’avait pas été le principal sujet de discussion entre le joueur et le propriétaire de la franchise, Eddie Gottlieb. Wilt avait entendu dire que les Noirs étaient encore victimes de ségrégation en NBA et que, dans le sud du pays, Bill Russell (Celtics) et Elgin Baylor (Lakers) avaient été contraints de dormir dans un autre hôtel que les joueurs blancs. « Ne programmez aucun match où je ne puisse pas manger et dormir avec le reste de l’équipe ou vous pouvez être certain que je ne jouerai pas », avait-il prévenu.\\n\\nCe fabuleux basketteur intégra donc la NBA qui montait en puissance et qui s’ouvrait enfin plus largement aux Noirs. Pourtant dans « Wilt », à propos de son refus de signer à Milan, il fit cette étonnante confidence : « C’est l’une des quelques décisions que j’ai prise dans ma vie et que j’ai par la suite regrettée. Je vais en Europe presque chaque été désormais et j’apprécie vraiment. Cela aurait été super de jouer ici quelques années, d’être sur les parquets du basket-ball européen. »\\n\\nProchain épisode :\\n\\nWilt à la télé française\\n\\nArticle paru dans Basket Hebdo en 2014\\n\\n[armelse]\\n\\nChanceux celui qui possède un don, Wilt Chamberlain en hérita de multiples. Ce type de 2,15m, aux jambes interminables, était capable de courir le 440 yards en 48 secondes 8 dixièmes, de sauter 6,70m en longueur et encore de franchir une barre à 2,06m de hauteur. Son envergure, son énergie, sa mobilité, sa voracité, tout était effrayant chez lui. Wilt était en avance de deux, quatre, six générations. Observez-le sur l’une des vidéos qui foisonnent sur YouTube. Aucun doute, il aurait sa place derechef dans la NBA du XXIe siècle. On dira de lui qu’il était trop égoïste, incapable de rendre les autres meilleurs à l’inverse de son ennemi intime Bill Russell, mais personne ne peut lui contester d’être la plus forte individualité jamais produite par le basket-ball. Michael Jordan inclus. Ses chiffres parlent pour lui. Qui d’autres a marqué 100 points dans un match, atteint quarante-cinq fois 50 points dans une saison, capturé 22,9 rebonds de moyenne dans une carrière ? Peut-on imaginer qu’il aura un jour un héritier ?\\n\\nA l’université de Kansas, The Stilt, l’Echassier, ravagea les raquettes et fit la connaissance de Goose Tatum, l’ancien clown des Harlem Globe Trotters, qui vivait à Kansas-City. Tatum avait fondé sa propre troupe et proposa à Wilt 100 000$, un magot, pour qu’il en devienne l’attraction numéro un. Gamin, Chamberlain idolâtrait Tatum et les Globies, la référence pour la communauté black de son époque, mais il était trop tôt pour quitter l’université après seulement deux ans d’études.\\n\\nUn nouveau règlement donnait une priorité dans le recrutement à la franchise NBA de la ville où jouait un lycéen. On l’appela du reste la « Loi Chamberlain ». Comme Wilt avait fréquenté une high school de Philadelphie, il était destiné à rejoindre les Warriors, l’équipe NBA de la ville, dont le proprio Eddie Gottlieb, malin, avait justement initié la règle. Mais les joueurs devaient attendre d’en avoir terminé avec leur cursus universitaire avant de pouvoir faire le grand saut. Si bien que Wilt, à l’issue de son année de junior à Kansas, accepta de faire une année de transition avec les Globies. C’était tout sauf une punition. Il vénérait donc la troupe, se vit offrir dans les 65 000$, bonus compris –presque deux fois ce que Abe Saperstein payait Tatum- et il put ainsi enrichir son registre. Lui qui savait déjà dunker de la main droite et récupérer la balle de la gauche pour l’enfourner de nouveau dans le cercle, apprit à dribbler, à mieux voir le jeu, à tirer de loin. Car, incroyable, au sein des Trotters, pour amuser les foules, le Golgot joua arrière !\\n\\n« Durant six ans j’avais vécu dans une cocotte-minute, traqué par les recruteurs de college et les investigateurs de la NCAA, assailli par les fans, les anciens élèves et les journalistes, poussé et bousculé par mes adversaires. »\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Edgar Sosa (Gravelines) autorisé à jouer face à Antibes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il a bousculé l’arbitre Eddie Viator en fin de match vendredi lors de la réception de Pau, Edgar Sosa (1,88m, 30 ans) a été autorisé par la LNB à disputer la rencontre face à Antibes, indique La Voix du Nord.\\n\\nCe geste ne restera pas impuni, mais la commission juridique et de discipline de la Ligue Nationale de Basket se réunira le 10 janvier, après la trêve donc. « C’est toujours ça de pris. Après, c’est entre les mains de la Ligue », a déclaré Arnaud Marius, le Directeur Sportif du BCM après avoir été notifié que son joueur pourra jouer ce mercredi.\\n\\nCette saison, Edgar Sosa compile en moyenne 16,1 points, 2,3 rebonds et 5,3 passes décisives pour une évaluation de 12,8.\\n\\nPhoto : Julie Dumélié/BCM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le panier spectaculaire d’Olivia Epoupa dans le championnat turc"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si Fenerbahçe s’est largement imposé ce week-end au Besiktas dans le derby d’Istanbul (77-61), statistiquement, Olivia Epoupa s’est montrée supérieure à Bria Hartley: 16 points, 8 rebonds et 5 passes contre 17 points, 2 rebonds et 3 passes. L’internationale a de surcroit accompli le geste spectaculaire du match avec ce panier après appel sur la ligne à trois-points de son camp.\\n\\nhttps://www.facebook.com/epoupaolivia/videos/1108523959307533/?__tn__=kCH-R&eid=ARCZzcD3Bt694ihgngFyLYmGO6pAkXEJMwaDYv99PmtcEFRaoMXOBUm2zt340M1tvZc87RXFAa06xZiv&hc_ref=ARQxEwd5uJ2X5-b_JzBaqDjlz6DT4ZP3CqFY90Bc97225uHh251NkTIvUPLljXapdAQ&fref=nf&__xts__[0]=68.ARDt7J8sPMJZQODLtc-0ieGwLZSIbyEvspsToYkyhBjRHl7Uy92kTVnLfTKLrfLiK0g3CmGUGZB13Fen5mwr-cLq_LcgCr9DjhIBNURJxsqDU0TSJkhTqEAJCPkAnwee2Y3QIeZTS6xuoXi9d9XQzvhtRlF47vzJiE8WiET7a4q4nxd5MUkB4DoLB08QFXhuca0XrNMpIRr1ny1D40HjFFNcCA3ETi0K00EV9r_Z24IQwxbzJ36r4ojRWzXYcz9M4jsLuXGutbSlQDQi58K3oCr8sNZiRwltQuk-a7jDkhcRmKb7518fv4w4hbaxP8i2NKmwgBrl-zfLogECQ7sMolxSkFlP0tYqJFMo1yUrCyQ0z0dhvsOYEHQMr6kj"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espoirs: Cholet, un brillant premier de la classe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il s’est passé un évènement ce week-end: les espoirs de Cholet Basket ont mordu la poussière à Dijon (76-78), leur première défaite de la saison en 15 matches malgré la tentative de triple double de Karlton Dimanche (16 points, 8 rebonds, 8 passes).\\n\\nKarlton Dimanche (1,94m, 2000) est l’habituel homme fort de CB avec 16,3 points, 9,1 rebonds, 5,2 passes et 3,0 interceptions pour 23 d’évaluation. A l’évaluation justement, six autres Choletais sont à plus de 10: Hugo Robineau (1,90m, 2000, 16,8), Yoan Makoundou (2,05m, 2000, 15,9), Melvyn Govindy (2,12m, 97, 15,5), Warren Woghiren (2,15m, 98, 14,3), Yannis Thalgott (1,93m, 98, 12,2) et Florian Leopold (2,08m, 2000, 10,9). Bien sûr, Killian Hayes ne joue plus en espoirs alors que Karlton Dimanche (8 matches) et Melvyn Govindy (5) ont fait des apparitions en Jeep Elite.\\n\\nDans Ouest France, le coach Sylvain Delorme brosse le portrait de ses joueurs:\\n\\n« Sur la mène, Karlton (Dimanche) a vraiment pris une dimension très grande. Hugo (Robineau), en termes de gestion, de meneur de jeu, a vraiment montré des choses intéressantes, toute une palette. Yannis (Thalgott) devient de plus en plus clutch. L’an dernier, on lui créait ses zones de tir, maintenant, il est capable de se les procurer tout seul. C’est une bonne évolution même s’il a eu un petit temps d’arrêt avec sa blessure. Nos deux postes 4 (Florian Leopold et Yoan Makoundou) commencent à s’aventurer un peu plus à l’extérieur de la raquette, à prendre des initiatives dans le jeu donc c’est encourageant. Ça m’est même arrivé de les mettre sur les postes extérieurs. Et on a Warren Woghiren qui prend vraiment une autre dimension. Depuis le match amical contre Angers (N1), il se rend vraiment compte de son impact que ce soit dans le tir, en défense... Il s’est éveillé. »\\n\\nCholet, qui a été six fois champion de France espoirs dont la dernière fois en 2018, possède toujours deux victoires d’avance sur Bourg et Dijon.\\n\\nPhoto: Karlton Dimanche (CB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le Populaire fait le point sur les joueurs du Limoges CSP"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"CSP Time, l’émission du Populaire du Centre, a invité dans sa dernière mouture le président du Limoges CSP, Youri Verieras, et a fait le point sur chaque joueur de l’équipe. Voici le premier quart-temps.\\n\\nhttps://www.facebook.com/lepopulairesports/videos/274741936494711/UzpfSTEwMDAwOTkzNjAxMDA1Njo3OTM5OTk1NTQyNzQ1NzE/"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie: Avec 12 victoires pour démarrer la saison, Milan établit la 5e meilleure performance depuis 1976"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après sa victoire hier sur Brescia (87-75), Milan est invaincu après 12 matches de championnat, un record absolu pour Olimpia.\\n\\nLa formation dirigée par Simone Pianigiani fait ainsi un parcours supérieur à celui de Varèse en 1980-1981 et de Trévise en 2001-2002 qui s’étaient arrêtés à 11 succès de rang pour débuter le championnat. Depuis 1976, seuls la Virtus Bologne en 1997- 98 (13 victoires) et Sienne, sous la direction du technicien lombard, qui en 2007-08 avait débuté le championnat avec 18 victoires consécutives et les deux saisons suivantes avec 19 ont fait mieux.\\n\\nEn 2008-09, Sienne n’avait perdu qu’un seul de ses 30 matches de saison régulière et remporté le Scudetto -le championnat italien- en battant Milan 4-0 en finale des playoffs.\\n\\nLe record de victoires consécutives de Olimpia Milan est de 26 victoires lors de la saison 1962-63 quand le championnat se disputait en une seule phase.\\n\\nPhoto: Olimpia Milano"
}, 
{"role": "user",     "content":"Taurean Green et Chris Otule prolongent leurs contrats à Antibes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Taurean Green (1,85m, 33 ans) prolonge son contrat aux Sharks d’Antibes jusqu’en juin 2020 et Chris Otule (2,11m, 28 ans) jusqu’en juin prochain annoncent les Sharks d’Antibes.\\n\\nLe meneur américano-géorgien Taurean Green est arrivé au club en novembre. Il est devenu le deuxième marqueur (13,2 points) et le meilleur passeur (5,6) de l’équipe.\\n\\nL’Américano-nigérian Chris Otule était déjà passé par le club lors de la saison 2016-17 avant de transiter par Strasbourg et Gravelines et de revenir aux Sharks en novembre. Il tourne à 11,6 points et 3,6 rebonds.\\n\\nVoici qui sécurise une équipe engagée dans une lutte acharnée pour le maintien en Jeep Elite.\\n\\nPhoto: Sharks"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie: Mam Jaiteh prolongé à Turin jusqu’à la fin de la saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Auxilum Turin a décidé de prolonger jusqu’au mois de juin le contrat du pivot Mouhammadou Jaiteh (2,08m, 24 ans) qui devait expirer le 31 décembre. L’Auxilum aura donc sept étrangers dans son effectif pour six places.\\n\\nPar ailleurs, la société piémontaise a nié toute négociation avec le groupe Leonis pour la vente des actions du club, mais en réalité une nouvelle réunion est prévue samedi. Le groupe serait prêt à ajouter du financement pour terminer la saison et à la fin de la saison, il officialiserait l’achat de la société."
}, 
{"role": "user",     "content":"[REDIFF] Wilt Chamberlain, les Globies et la France (1ère partie): Les Harlem Globe Trotters n°1 mondial"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était en juin 1960. Wilt Chamberlain, le joueur le plus dominant de son temps, venait d’être élu MVP de la NBA. Il se retrouva sous le maillot des Harlem Globe Trotters à jouer à Paris, mais aussi anonymement dans la France profonde. Voici en quatre volets cette incroyable histoire.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDécouverte par Daniel Champsaur, responsable du patrimoine à la fédération française, cette photo en noir et blanc de Wilt Chamberlain, sortie de nulle part, fait écarquiller les yeux. L’échassier, comme on le surnommait, dunke en costard et chaussures de ville devant une ribambelle de marmots avec en toile de fond la Tour Eiffel.\\n\\nOn a appris que ce cliché date de juin 1960 et qu’il est paru dans le mensuel « Sport et Vie » du mois suivant. Nous avons cherché à percer ses mystères. Comment le plus fantastique rapace de l’histoire du basket, qui sortait d’une saison rookie éblouissante en NBA (37,5 pts et 26,9 rbds), a pu se retrouver au cœur de cette mise en scène parisienne commandée par les Harlem Globe Trotters ?\\n\\nTrotters vs. Lakers\\n\\nLa troupe des Harlem Globe Trotters a été montée en 1927 par un ingénieux promoteur juif de Chicago, Abe Saperstein. Elle était exclusivement composée de joueurs noirs interdit de ligues majeures à cause de la ségrégation raciale. La recette des Globies -le diminutif donné aux Etats-Unis auquel les Français préférèrent celui de « Harlem »- était magique : être dominant sur le terrain, tout en faisant des gags afin de séduire un public le plus large possible. Saperstein leur fit sillonner les Etats-Unis et surtout le monde entier. Avec le Coca-Cola, les stars d’Hollywood, le jazz et le rock and roll, les Globies devinrent le meilleur produit d’exportation des Etats-Unis. Ils jouèrent le plus souvent à ciel ouvert et rameutèrent les foules dans des proportions incroyables, jusqu’à 50 000 personnes à l’Estadio Municipal de Rio de Janeiro et 75 000 au stade olympique de Berlin, ce qui resta longtemps un record mondial pour du basket. Leurs maillots lumineux bleus avec l’inscription « Harlem » en grand, leurs shoots rayés blanc et rouge, leurs chaussettes, leurs Converse, contrastaient avec les tenues ringardes portées alors par les européens. Les Globies ne participaient pas seulement à des matches, ils donnaient des shows de music-hall. Saperstein, qui les suivait partout, veillait à tous les détails.\\n\\nLes équipes adverses, dont la version la plus célèbre fut les Washington Generals, tout comme les arbitres, étaient complaisants et laissaient les Harlem Globe Trotters faire leurs pitreries sans se soucier du respect des règles du jeu. Toutefois, à ses débuts, la troupe joua quelques matches sans fantaisie et put être considérée, pendant une décade, comme la meilleure équipe de basket-ball du monde. Les Globies remportèrent ainsi, en 1940, la seconde édition du World’s Professional Basketball Championship. Huit ans plus tard, Arch Ward, un journaliste renommé de Chicago, écrivit que les « Trotters sont toujours la meilleure équipe du monde », mais ils virent alors se former devant eux une équipe, toute blanche, capable de contester leur suprématie : les Minneapolis Lakers. Les Lakers récupérèrent le géant binoclard George Mikan (2,08m) et devinrent hors d’atteinte dans la National Basketball League, l’ancêtre de la NBA.\\n\\nSaperstein et le boss des Lakers, Max Winter, tombèrent d’accord pour organiser un match entre leurs champions, à Chicago, la ville des Trotters, le 19 février 1948, devant 17 823 fans aux trois-cinquièmes blanc. D’après le Minneapolis Morning Tribune, les Globies restaient sur 103 victoires consécutives. Doté de bras interminables, Reece « Goose » Tatum (1,90m), était présenté dans la presse comme une pieuvre et un « Negro pivot clown ». C’est aussi Tatum qui aurait inventé le hook shot, le bras roulé. Les Globies étaient nettement moins bien lotis que les Lakers en taille, mais possédait en Marques Haynes un formidable manieur de balle, sans doute le meilleur arrière de sa génération.\\n\\nGeorge Mikan archi-domina dans la peinture et se retrouva avec 18 points à la mi-temps. Les Globies devinrent alors plus agressifs et firent des prises à deux, frustrant le géant blanc qui se contenta par la suite de 6 points et écopa d’une faute technique après avoir bousculé Tatum. Les deux équipes faisaient un palpitant mano a mano quand Haynes prit le contrôle du jeu, dribblant dans tous les sens, et dans la dernière action, il envoya la balle à Ermer Robinson qui marqua d’un shoot à une main au buzzer. 61-59.\\n\\nDans son livre « Tricksters in the Madhouse » où il décortiqua cette soirée mémorable, l’écrivain John Christgau raconta qu’il alla se coucher terriblement déçu car son équipe favorite venait d’être vaincue, mais qu’il se réveilla avec sous les yeux un monde nouveau. Les Nègres avaient vaincu leurs maîtres blancs. « Lorsque le shoot de Robinson a été déclaré valable, c’était la fin du monde pour des jeunes gosses comme moi et beaucoup d’adultes qui refoulaient au fond d’eux-mêmes des sentiments racistes », écrivit-il.\\n\\nAu même endroit, un an plus tard, les Harlem Globe Trotters récidivèrent, toujours d’extrême justesse, 49-45. Fin de leur domination. De mars 1949 à janvier 1958, les Lakers gagnèrent les six autres tests et parfois assez largement. C’est à cette époque que la NBA ouvrit ses portes, au compte-gouttes, aux joueurs blacks. Les Harlem Globe Trotters n’étaient plus un refuge obligé pour les joueurs à la peau colorée.\\n\\nSeulement pas de tournées, pas de retransmissions par satellite, hors territoire américain, les gens ne voyaient jamais à l’œuvre les Lakers, pas plus que les autres équipes de la ligue. D’ailleurs, ils n’en avaient jamais entendu parlé ! Pour la multitude, et jusqu’au début des années quatre-vingts, la référence américaine en matière de basket fut les Harlem Globe Trotters.\\n\\nLimoges sous le charme\\n\\nEn juin 1951, les Harlem Globbe Trotters sont annoncés sur le terrain d’honneur du Stade Municipal de Limoges. « L’un des plus grands événements sportifs qui se soit jamais déroulé dans la cité de la porcelaine », s’enthousiasme Le Populaire dans sa présentation. « Le basket pratiqué par les Harlem n’est pas un sport mais un art. »\\n\\nLes Globies sont opposés aux Boston Whirlwinds qui ont la particularité de recenser six frères qui forment trois paires de jumeaux. Ils se disputent la... Coupe Dubonnet, une marque de spiritueux en ces temps-là associée au basket. La soirée de gala comprend également un match entre une sélection locale et l’équipe universitaire de Sewanee dans le Tennessee, et des attractions dites internationales avec des danseuses hawaïennes et une exhibition de ping-pong.\\n\\nBien sûr, les Noirs battent les Blancs, 35 à 22, devant un public compact malgré les conditions atmosphériques défavorables. Le commentaire du journaliste local peut être considéré comme un tantinet raciste, bien dans les préjugés de l’époque. « Certes, clowns, ils le sont, avec toute la spontanéité des hommes de leur race, dont le rire, le rire joyeux et sain, semble être le propre», écrit-il. « Tous ces hommes, magnifiques athlètes, jouèrent véritablement avec leurs qualités naturelles... »\\n\\nLes Harlem Globe Trotters subjuguent, y compris les experts du basket français. Voici ce qu’écrit à la même période Robert Busnel, l’entraîneur national. « Ce qu’on voit, une seule fois, en dix matches ordinaires, avec eux, on le voit dix fois, vingt fois dans la soirée : les passes derrière le dos, les passes entre les jambes, les passes à terre, sous le nez de l’adversaire, les feintes incroyables qui ont raison de l’opposant le plus attentif –non seulement elles le prennent à contre-pied, mais elles le lancent irrésistiblement dans une fausse direction. » Busnel parle de morphologie merveilleuse, de mains ventouse, de basketteurs parfaits. Il se dit tout de même choqué par certains gags un peu lourdingues (Tatum allant chercher une casquette parmi les spectateurs, un ballon que l’on retient avec un élastique, un autre truqué qui vole comme un canard blessé) et le manque de respect... aux arbitres. Tout ceci est évidemment de la comédie.\\n\\nLarge victoire sur la France\\n\\nEn juin 1952, la fédération fait preuve d’une audace inouïe : elle organise un match entre l’équipe nationale et les Harlem Globe Trotters, qui sont tout de même le symbole du professionnalisme. Or, personne hors des Etats-Unis n’est censé gagner de l’argent en pratiquant le basket ! La fédé a obtenu la bénédiction de Renato William Jones, le tout-puissant secrétaire-général de la fédération internationale, qui est d’ailleurs présent au Vel d’Hiv. La fédé prend tout de même une disposition hypocrite : même si sur le tableau d’affichage il est écrit « France », l’équipe nationale porte officiellement le nom de sélection de Paris. Comme ça le match passera aux oubliettes de l’Histoire ! Il s’agit d’ailleurs d’un véritable tournoi avec une autre sélection de Paris, une vraie, et la présence des Celtics de New York dont la valeur n’a rien à voir avec leurs collègues de Boston. Le capitaine André Buffière est enchanté par cette confrontation ; c’est un bon test avant les Jeux Olympiques qui vont se tenir à Helsinki.\\n\\nLe manager des Parisiens, Bernard Guiraudet, estime que ces matches devraient « désenfler » la tête de certains joueurs français. « Ils pourront ainsi se rendre compte de leur valeur exacte et j’en connais qui se croient très forts parce qu’ils possèdent quelques feintes et qui s’apercevront après les trois soirées du Palais des Sports qu’ils ont encore beaucoup à apprendre ! »\\n\\nLes Trotters reviennent d’un séjour à Londres et l’Empire Pool de Wembley a affiché complet toute la semaine. « Leurs survêtements de couleur vive font penser à certains costumes des girls des Folies Bergères (...) Ils font leur apparition sur le terrain en sautant à travers un cercle de papier dans la meilleure tradition américaine », relate le correspondant londonien de L’Equipe. Presque incroyable , l’un des Globies, Boyd Buie, est manchot ! Sur la route, les artistes se sont produits de nouveau en plein air, au stade Henri-Jooris de Lille devant 6 000 spectateurs, mais le show a été gâché par la pluie. Le parquet était glissant.\\n\\nRoger Haudegand, Reece « Goose » Tatum et André Buffière.\\n\\n16 000 spectateurs prennent place dans le Vel d’Hiv, ce qui paraît au-dessus de sa capacité maximale, pour une recette jugée copieuse de six millions de francs. « Hors de condition, l’équipe de France a été dominée par les Harlem Globe Trotters », titrera L’Equipe du lendemain. Inactifs depuis cinq semaines, les tricolores ne sont pas prêts physiquement. Jacques Desemmes est maladroit, André Buffière « hésitant », Jean Pernicini « bagarreur mais imprécis », André Vacheresse ne se « retrouve que sur la fin. » « En revanche, on a eu le plaisir de noter l’excellente tenue des jeunes Haudegand et surtout Beugnot, le plus brillant. »\\n\\nVictoire des Trotters sur l’équipe de France, 62-46, et 71-45 face aux Parisiens. On avait demandé aux Américains de jouer sans fantaisie. Ils firent fie des recommandations. On voit d’ailleurs sur une photo Goose Tatum déborder Jean-Paul Beugnot avec un chapeau à larges bords sur le crâne ! « Mais comment peut-on obtenir de joueurs qui ont tiré une grande partie de leur renommée de leurs facéties, qu’ils résistent à la tentation de tourner en ridicule l’adversaire inférieur qui leur est opposé ? », estima le journaliste Marcel Hansenne, qui parla de « malaise ».\\n\\nLe lendemain, le spectacle des Harlem Globe Trotters était programmé à Reims. On the road again.\\n\\nProchain Episode:\\n\\nWilt Chamberlain amoureux de l’Europe\\n\\nArticle paru dans Basket Hebdo en 2014\\n\\n[armelse]\\n\\nDécouverte par Daniel Champsaur, responsable du patrimoine à la fédération française, cette photo en noir et blanc de Wilt Chamberlain, sortie de nulle part, fait écarquiller les yeux. L’échassier, comme on le surnommait, dunke en costard et chaussures de ville devant une ribambelle de marmots avec en toile de fond la Tour Eiffel.\\n\\nOn a appris que ce cliché date de juin 1960 et qu’il est paru dans le mensuel « Sport et Vie » du mois suivant. Nous avons cherché à percer ses mystères. Comment le plus fantastique rapace de l’histoire du basket, qui sortait d’une saison rookie éblouissante en NBA (37,5 pts et 26,9 rbds), a pu se retrouver au cœur de cette mise en scène parisienne commandée par les Harlem Globe Trotters ?\\n\\nTrotters vs. Lakers\\n\\nLa troupe des Harlem Globe Trotters a été montée en 1927 par un ingénieux promoteur juif de Chicago, Abe Saperstein. Elle était exclusivement composée de joueurs noirs interdit de ligues majeures à cause de la ségrégation raciale. La recette des Globies -le diminutif donné aux Etats-Unis auquel les Français préférèrent celui de « Harlem »- était magique : être dominant sur le terrain, tout en faisant des gags afin de séduire un public le plus large possible. Saperstein leur fit sillonner les Etats-Unis et surtout le monde entier. Avec le Coca-Cola, les stars d’Hollywood, le jazz et le rock and roll, les Globies devinrent le meilleur produit d’exportation des Etats-Unis. Ils jouèrent le plus souvent à ciel ouvert et rameutèrent les foules dans des proportions incroyables, jusqu’à 50 000 personnes à l’Estadio Municipal de Rio de Janeiro et 75 000 au stade olympique de Berlin, ce qui resta longtemps un record mondial pour du basket. Leurs maillots lumineux bleus avec l’inscription « Harlem » en grand, leurs shoots rayés blanc et rouge, leurs chaussettes, leurs Converse, contrastaient avec les tenues ringardes portées alors par les européens. Les Globies ne participaient pas seulement à des matches, ils donnaient des shows de music-hall. Saperstein, qui les suivait partout, veillait à tous les détails.\\n\\nLes équipes adverses, dont la version la plus célèbre fut les Washington Generals, tout comme les arbitres, étaient complaisants et laissaient les Harlem Globe Trotters faire leurs pitreries sans se soucier du respect des règles du jeu.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce: Rick Pitino confirme qu’il est le nouveau coach du Panathinaikos"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Rick Pitino, 66 ans, a confirmé sur Twitter qu’il a accepté l’offre du Panathinaikos d’y remplacer comme coach l’Espagnol Xavi Pascual qui a été viré il y a quelques jours. Il y remercie le propriétaire Dimitris Giannakopoulos de cette opportunité.\\n\\nRick Pitino est le seul entraîneur à avoir été champion NCAA avec deux universités différentes: Kentucky en 1996 et Louisville en 2013. Il a été élu coach universitaire de l’année en 1987. Il a également coaché les Boston Celtics et les New York Knicks.\\n\\n\\n\\n\\nWishing everyone a Merry Christmas! I want to thank Dimitris Giannakopoulos for the unique opportunity to coach Panathinaikos -great tradition. I’m fired up to help!\\n\\n\\n— Rick Pitino (@RealPitino) December 25, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: L’UJAP Quimper a sorti un lexique sur le basket en breton"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Une contre-attaque, c’est Enep-argad. Un écran de retard, c’est Skramm daleet et encore un fade away jumper, c’est un Tenn war-gil.\\n\\nA l’occasion du derby contre Nantes -une ville que les Bretons voudraient voir revenir dans leur Région-, l’UJAP Quimper a sorti un lexique « le basket en breton » sous forme d’un livret.\\n\\n« Ce lexique entre dans le cadre du programme d’UJAP Citoyen concernant la langue bretonne. Ce programme tend à favoriser les échanges en breton, en anglais et en français pour montrer que le breton est une langue vivante qui sait s’adapter à tous les pans de la société. L’UJAP remercie Produit en Bretagne, Keven Ar Fur créateur du lexique et Directeur de l’école Diwan à Quimper et son partenaire K Unique qui ont réalisé ce lexique », explique le club.\\n\\nVous pouvez le découvrir ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Ligue Féminine: Mondeville attend un renfort pour sortir de l’ornière"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"10 journées, aucune victoire. Pire attaque, pire défense, pire adresse aux tirs, pire évaluation. Voici le bilan actuel de l’US Mondeville annoncée comme le plus petit budget de la Ligue Féminine et qui compte sur les fruits de son centre de formation pour poursuivre son séjour de deux décennies dans la division.\\n\\nLongtemps handicapée par l’absence de Kim Gaucher (adducteurs), l’USOM a repris du poil de la bête avec son retour. En cinq matches, l’internationale canadienne est à 17,6 points et 4,6 rebonds. Elle tient la baraque avec l’Américaine Kristen Mann (16,7 points). Problème, les jeunes sont encore bien tendres...\\n\\nLa réussite n’est pas toujours normande. Samedi, l’USOM a failli réaliser un exploit retentissant et salvateur à Charleville mais Kristen Mann a loupé le tir de la gagne et l’équipe a lâché prise dans la prolongation (1-10).\\n\\nMême si ses finances ne sont pas resplendissantes, le club du Calvados va profiter de ce break de fin d’année pour trouver un renfort.\\n\\n« Il nous faut une joueuse qui performe, quel que soit son temps de jeu. Une rotation supplémentaire multipliera les dangers, soulagera tout le monde, permettra notamment à Myriam (Djekoundade) et Ana (Tadic) d’apporter plus d’intensité », indique le coach Romain Lhermitte à Ouest France qui donne un nom. Cela pourrait être le pivot US, Courtney Hurt (1,85m, 28 ans), qui a porté le maillot de Mondeville de 2013 à 2015.\\n\\nL’USOM sait que les playdowns peuvent servir de bouée de sauvetage mais pour ça, il lui faudra gagner en saison régulière quelques matches face aux trois équipes qu’elle retrouvera alors.\\n\\n« Je n’ai aucun doute sur le fait qu’on se maintiendra. On aura l’équipe pour... », lâche le coach, foncièrement optimiste."
}, 
{"role": "user",     "content":"[REDIFF] Valéry Demory (coach Lyon ASVEL féminin): «On est un peu la curiosité car on a un patron qui n’est pas n’importe qui»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il y a un an, Valéry Demory quittait Montpellier pour prendre le coaching du Lyon ASVEL Féminin. Un club qui est sous les projecteurs depuis que son président est Tony Parker et qui monte financièrement et sportivement en puissance.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVotre ancien club Lattes-Montpellier a défrayé la chronique en enrôlant plusieurs internationales et des étrangères de grandes qualité. Que pensez-vous de leur recrutement ?\\n\\nJe n’ai pas été surpris car je connais un peu les ambitions du nouveau président et aussi d’Edwige (NDLR : Lawson, la Directrice Sportive). Ils affichent leurs ambitions et c’est bien.\\n\\nVous êtes resté dix ans à Lattes-Montpellier. Ca n’a pas été compliqué de quitter le club, le soleil, la mer ?\\n\\nCe n’est pas le soleil et la mer qu’il a été compliqué de quitter mais tous les amis, tous les liens de travail que j’avais avec cette région, cette ville et ce club. Vous imaginez bien qu’en dix ans on se fait des amis auxquels on tient que ce soit dans le basket ou en dehors. Et d’un seul coup, il faut partir.\\n\\nAu préalable, au cours de votre carrière de joueur puis de coach, vous n’êtes pas resté aussi longtemps dans un club ?\\n\\nLe plus longtemps, c’est Cholet, cinq ans. Dix ans, c’est énorme.\\n\\nC’est Tony Parker qui vous avez appelé pour vous demander de venir à Lyon ? Vous avez dit oui de suite ?\\n\\nNon, pas tout de suite (sourire). J’ai mis quinze jours, trois semaines, à me décider car c’était compliqué de faire un choix entre venir à Lyon ou rester à Montpellier.\\n\\nQuel a été son message ?\\n\\nLe même qu’avec les garçons. Il veut faire un grand club avec les filles ici à Lyon.\\n\\nAvez-vous souvent des discussions avec lui ?\\n\\nOui, quasiment toutes les semaines. C’est sûr qu’il est impliqué dans le club.\\n\\nContinuez avec Guy Prat comme assistant, c’était fondamental ?\\n\\nOui parce que je voulais imposer mon projet à Lyon comme je l’ai fait à Montpellier. Je voulais faire le même travail et réussir de la même manière. Guy était arrivé lors de ma deuxième année à Montpellier donc là c’est notre dixième année ensemble. Je n’avais pas joué avec lui mais contre puisqu’on est de la même génération.\\n\\nAvec un adjoint que l’on a depuis si longtemps, ce sont des relations professionnelles ou plus que ça ?\\n\\nOn s’entend bien dans la vie de tous les jours mais ce sont surtout des relations professionnelles. On ne part pas en vacances ensemble. On a chacun notre vie de notre côté. On a surtout les mêmes idées sur le plan du basket. On n’a pas forcément la même façon de fonctionner mais c’est ça qui est bien, on est complémentaires. En rugby, il y a l’entraîneur des avants et des arrières et je ne vois pas pourquoi en basket il n’y aurait pas un coach spécialisé pour les pivots et un autre pour les joueurs extérieurs.\\n\\nLequel est spécialisé dans les pivots ?\\n\\nOn change assez souvent mais quand on fait du travail spécifique les grandes ne font pas le même travail que les petites.\\n\\n« Le club a fait le maximum pour Marine Johannès mais elle est restée à Bourges »\\n\\nComment doit-on dire pour le club, ASVEL ou Lyon ?\\n\\nLa saison dernière, on a plus dit Lyon Basket Féminin mais je pense que petit à petit l’ASVEL féminin va rentrer dans les mœurs. Encore une fois, c’est dur de bousculer tout ce qui s’est passé à Lyon avant mais malheureusement, si on veut avancer, à un moment, il faut bousculer les barrières.\\n\\nAu moins, vous ne jouiez pas en vert et vous n’avez pas eu à changer de couleurs ?\\n\\nOn joue en rouge et blanc. Le problème c’est qu’il y avait une identité du basket à Lyon mais il stagnait. Il fallait passer à autre chose si on voulait avancer. C’était Lyon Basket Féminin et là c’est en train de changer. Voilà. Les choses se font petit à petit.\\n\\nAvez-vous au quotidien des relations avec le staff des garçons ?\\n\\nTrès peu. On est chacun dans notre monde avec des emplois du temps serrés. De temps en temps on se parle un peu mais on ne se voit pas toutes les semaines.\\n\\nAvez-vous ressenti la saison dernière un grand intérêt pour votre équipe au niveau local et national notamment à l’occasion de l’Open de Paris ?\\n\\nOn est un peu la curiosité car on a un patron qui n’est pas n’importe qui. On est l’équipe de Tony Parker. Sur le plan national, je l’ai ressenti. Sur le plan local, je ne sais pas car ça ne fait pas assez longtemps que je suis dans la ville de Lyon. Tout ce que je peux savoir c’est que le club avance, grandi et la ville de Lyon est en train de voir que c’est un projet qui risque d’aboutir donc ça les intéresse. Je n’ai pas eu plus de sollicitations médiatiques qu’à Montpellier du fait que je suis passé d’un club où ces dernières années on gagnait des titres à un club où tout est nouveau, tout est à faire.\\n\\nJouez au palais des sports de Gerland devant de fortes assistances, c’est valorisant ?\\n\\nOui, c’est valorisant mais on ne peut pas faire tous les matches à Gerland. D’une part parce qu’on n’a pas tout le temps la salle et puis, deux, il faut réfléchir à comment la remplir. 6 000 spectateurs (il siffle), ça ne se remplit pas comme ça pour du sport féminin. Ça change aussi les repères pour les filles notamment au niveau de l’adresse de passer d’une petite salle à une salle immense.\\n\\nVous aviez joué dans ce palais des sports ?\\n\\nUn Tournoi des As, un match contre Jet Lyon et un match avec l’équipe de France. Le toit est très haut, c’est spécial. Je ne sais plus si ça changeait mes repères... C’est trop loin ! (sourire)\\n\\nDonc cette saison, l’objectif c’est le top 3 national et une qualification pour l’Euroleague ?\\n\\nC’est de faire mieux que l’année dernière et si on pouvait décrocher une place en Euroleague, ça serait parfait.\\n\\nAvec la Brésilienne Clarissa Dos Santo et la Canadienne Michelle Plouffe, vous avez recrutez deux étrangères de Ligue Féminine. C’est plus sûr ?\\n\\nNon mais déjà les meilleures françaises, on ne pouvait pas les avoir. Le club a fait le maximum pour Marine Johannès mais elle est restée à Bourges. Aussi après on a pris une orientation différente. On a essayé de prendre des filles qui nous convenaient, des valeurs sûres.\\n\\n« J’ai 55 ans, j’ai un projet ici qui me passionne, je ne me vois plus partir chez les garçons maintenant »\\n\\nVous avez suivi la saison de Alysha Clark en WNBA, elle qui a été sacrée championne avec le Seattle Storm ?\\n\\nJ’ai vu deux matches mais je la connais depuis longtemps, ça fait quatre ans que je la scoute. J’ai vu quelques matches d’elle en Euroleague la saison dernière.\\n\\nVous avez eu Fatimatou Sacko à Lattes-Montpellier. C’est un peu la Florent Pietrus du basket féminin ?\\n\\nC’est tout à fait ça. C’est une joueuse fidèle qui a ses défauts et ses qualités mais j’aime sa générosité et puis je pense qu’elle se sent bien avec nous. Il me fallait des joueuses en qui j’ai une totale confiance et qui ont confiance en mon basket.\\n\\nIngrid Tanqueray, c’est votre petit lutin. S’est-elle pleinement remise de son opération au genou ?\\n\\nComplètement. Physiquement, elle est à 85% de ce qu’elle peut faire et c’est déjà bien. Elle a bien bossé. Elle est très sérieuse, très professionnelle. Elle est récompensée de son travail. Elle est déjà prête.\\n\\nEst-ce un drame lorsqu’on a une telle blessure ?\\n\\nIl y en a de plus en plus, oui. Sur le moment c’est un drame mais après la vie continue et on fait ce qu’il faut pour revenir.\\n\\nY a-t-il un accompagnement, entre guillemets, psychologique ?\\n\\nIl faudrait lui poser la question mais je pense qu’elle n’en a pas eu besoin. Je l’ai vu très vite après son opération dans la rééducation et très vite avec la banane. Elle savait exactement ce qu’elle devait faire. Je ne pense pas qu’elle ait eu besoin de quoi que ce soit.\\n\\nKendra Chery est l’une des vice-championnes du monde U17 comme numéro 4. Vous allez en faire une numéro 3 ?\\n\\nC’est une fille qui a toujours joué poste 4 et on est en train d’essayer de la mettre en 3 mais ça ne va pas se faire en un an mais en trois ou quatre. Elle est jeune, elle n’a pas 18 ans ! Par contre, c’est une énorme bosseuse. Elle est tout le temps à 120%. Si elle vient avant l’entraînement, c’est une demi-heure avant à 120%, si elle continue après, c’est à 120%. Quand elle joue, elle est à 120%. Elle est tout le temps à fond. Techniquement, il y a du boulot mais elle avance. Elle sait ce qu’elle veut, elle a un gros mental et elle bosse comme une folle ; je pense que c’est une fille qui va réussir.\\n\\nLes filles de grande valeur peuvent jouer tôt en Ligue Féminine ?\\n\\nC’est ce que l’on va essayer. La dernière qui s’est vraiment imposée en Ligue Féminine, c’est (Alexia) Chartereau. Celle qui m’avait le plus impressionné, c’est Sandrine Gruda. Elle est arrivée (NDLR : à Valenciennes) et dès la première année, boum !, dans le cinq. C’est encore plus rare.\\n\\nVous avez trois internationales dans trois équipes différentes à la Coupe du monde (Marième Badiane avec la France, Julie Allemand avec la Belgique et Michelle Plouffe avec le Canada). Ça leur laisse peu de temps pour s’intégrer à cette nouvelle équipe avant l’Open ?\\n\\n(Rires) Je sais. Bourges et Montpellier sont dans le même cas. C’est comme ça. Le problème c’est que le championnat du monde est très tard. On le recule tout simplement pour faire plaisir à la WNBA. Alors forcément on paye un peu les pots cassés mais c’est comme ça.\\n\\nEnsuite, les fenêtres internationales en hiver perturbent-elles la saison ?\\n\\nOui. Je pense qu’il y aurait moyen de faire autre chose. Peut-être un jour je serai dirigeant, ce n’est pas encore le cas, aussi je ne réfléchis pas aux solutions mais je pense que c’est à eux, ces dirigeants qui sont rémunérés pour ça, de trouver une solution. C’est chiant, on s’arrête pendant quinze jours, on reprend. C’est comme le rugby qui continue à jouer alors que les internationaux ne sont pas là.\\n\\nAu moins dans le basket les championnats nationaux de club s’arrêtent...\\n\\nOn arrête mais parfois quand trois ou quatre sont parties, on se retrouve à six à l’entraînement. Heureusement qu’il y a les jeunes pour s’entraîner un peu. Tu perds en rythme, c’est terrible. Et quelques fois, tu les récupères blessées (rires).\\n\\nVous êtes passionné de chevaux. Est-ce une activité que vous pouvez poursuivre à Lyon ?\\n\\nJe ne montais pas à Montpellier car il n’y avait pas de centre d’entraînement, je ne monte pas à Lyon. Je n’ai plus le temps. Quand tu es joueur c’est plus simple. Il n’y a rien à préparer. Tu arrives à l’entraînement, tu mets tes godasses et lorsque l’entraînement est terminé, c’est fini. Coach, il faut tout prévoir, tout penser, tu as beaucoup moins de temps. Je ne monte que l’été quand je suis en vacances.\\n\\nD’une façon générale, est-ce que ça change la vie d’être dans une grande métropole ?\\n\\nEnormément. Le moyen de transport change. Les sorties aussi. Quand je parle de sorties, je ne parle pas rentrer à 5h du matin, mais il y a davantage de choses à faire, aller au cinéma, manger en ville. Le centre de Lyon est très beau. Je ne prends presque plus la voiture, je prends les transports en commun comme un Parisien.\\n\\nMaintenant que vous êtes à l’ASVEL, vous allez demeurer dans le basket féminin jusqu’à la fin de votre carrière ?\\n\\nOui... J’ai 55 ans, j’ai un projet ici qui me passionne, je ne me vois plus partir chez les garçons maintenant. J’ai signé cinq ans et j’espère faire plus. La retraite chez les coachs, c’est quand tu n’as plus envie de transmettre ta passion et de partir à droite, à gauche. Pour l’instant, je ne sais pas quand je vais m’arrêter.\\n\\nA Montpellier, vous conduisiez souvent les mini-bus. Ce n’est plus le cas ?\\n\\nJe le faisais quasiment tout le temps à Montpellier. L’année dernière, j’ai encore pas mal conduit les mini-bus mais ça ne me dérange pas. S’endormir après les matchs, c’est impossible et puis j’aime bien conduire.\\n\\n[armelse]\\n\\nVotre ancien club Lattes-Montpellier a défrayé la chronique en enrôlant plusieurs internationales et des étrangères de grandes qualité. Que pensez-vous de leur recrutement ?\\n\\nJe n’ai pas été surpris car je connais un peu les ambitions du nouveau président et aussi d’Edwige (NDLR : Lawson, la Directrice Sportive). Ils affichent leurs ambitions et c’est bien.\\n\\nVous êtes resté dix ans à Lattes-Montpellier. Ca n’a pas été compliqué de quitter le club, le soleil, la mer ?\\n\\nCe n’est pas le soleil et la mer qu’il a été compliqué de quitter mais tous les amis, tous les liens de travail que j’avais avec cette région, cette ville et ce club. Vous imaginez bien qu’en dix ans on se fait des amis auxquels on tient que ce soit dans le basket ou en dehors. Et d’un seul coup, il faut partir.\\n\\nAu préalable, au cours de votre carrière de joueur puis de coach, vous n’êtes pas resté aussi longtemps dans un club ?\\n\\nLe plus longtemps, c’est Cholet, cinq ans. Dix ans, c’est énorme.\\n\\nC’est Tony Parker qui vous avez appelé pour vous demander de venir à Lyon ? Vous avez dit oui de suite ?\\n\\nNon, pas tout de suite (sourire). J’ai mis quinze jours, trois semaines, à me décider car c’était compliqué de faire un choix entre venir à Lyon ou rester à Montpellier.\\n\\nQuel a été son message ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nRappel : le guide magazine de la saison LFB est disponible sur notre boutique\\n\\nPhotos: Valéry Demory (Lyon ASVEL féminin), Ingrid Tanqueray (LFB, Hervé Bellenger)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qui est Alexis Prince (Tarbes), la meilleure marqueuse de Ligue Féminine ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alexis Prince est actuellement la meilleure marqueuse de Ligue Féminine. Son coach à Tarbes, François Gomez, définit cette arrière de grande taille (1,88m), jeune (24 ans) comme un couteau suisse.\\n\\nL’ancienne étudiante à Baylor passée au préalable en Espagne, à El Ferrol, tourne à 18,3 points et devance deux Mondevillaises, la Canadienne Kim Gaucher (17,6 points en 5 matches) et l’Américaine Kristen Mann (16,6 points).\\n\\nLe record cette saison sur un match de Alexis Prince face à une équipe française, Basket Landes en l’occurence, est de 41 points avec 13/21 aux tirs et 10/11 aux lancers. Seulement, c’était en... Eurocup. Il s’agit d’ailleurs d’un record cette saison dans la compétition.\\n\\nAlexis Prince a été championne du monde U18 avec les Etats-Unis. Dans une équipe qui comptait Breanna Steward -MVP de WNBA et de la Coupe du monde cet été-, elle s’était fendue de 10,6 points, 5,6 rebonds et 2,2 passes. Elle n’a joué que deux matches cet été en WNBA avec Atlanta.\\n\\nPhoto: LFB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Possible MVP de la saison, la Villeneuvoise Magali Mendy a t-elle sa place en équipe de France ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pas besoin de faire un référendum pour élire la « Newcomer of the Year » -la meilleure débutante- en Ligue Féminine. C’est Magali Mendy, 1,75m, de Villeneuve d’Ascq qui l’emporterait haut la main. D’ailleurs la néo-Nordiste est une candidate au trophée officielle de MVP de la saison 2018-2019. Question : va t-elle intégrer pour autant automatiquement l’équipe de France l’été prochain pour le championnat d’Europe ?\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nSes statistiques sont extrêmement spectaculaires. En Euroleague, Magali est la meilleure marqueuse (12,1 points), rebondeuse (6,0) et voleuse de ballon (2,2) et la deuxième passeuse (2,8) de son équipe. Et bien sûr la numéro 1 à l’évaluation (14,7). C’est encore plus remarquable en Ligue Féminine dont elle est la numéro un à l’éval (17,9) avec une ligne chiffrée très chargée : 15,9 points, 21/46 à trois-points, 48/50 aux lancers (!), 5,5 rebonds, 1,9 passe, 2,4 interceptions.\\n\\nQuand on pense que personne ne lui avait fait confiance en LFB avant cette saison ! Issue du centre de formation de Reims, la native d’Orly avait effectué deux saisons à Pleyber-Christ et Voiron en L2 avant de se faire une deuxième fois les croisés, ce qui a sérieusement entravé sa carrière. C’est à Chartres, toujours en Ligue 2, qu’elle s’est relancée et surtout en Allemagne, à Keltern, et -comme elle n’avait toujours pas de proposition en Ligue Féminine-, en Espagne, à Gérone, ce qui lui a permis de faire l’Eurocup où elle fut quart-de-finaliste et où elle s’est révélée pour de bon aux yeux des coaches français !\\n\\nAthlétique, vive, agressive et n’ayant pas froid aux yeux balle en main, Magali Mendy référencée comme shooting guard, peut-elle donc prétendre à 28 ans à l’équipe de France ?\\n\\nDépourvue de sélection en jeune, elle a été appelée cinq fois en A’ cet été face à la Hongrie et les Pays-Bas pour un rendement de 13,2 points, 3,0 rebonds et 2,5 passes dont il ne faut pas tirer de conclusion. A la lumière de ce qu’elle réalise en Euroleague, on peut penser que Valérie Garnier va la convoquer au premier stage des Bleues. Y forcer la serrure de la porte ne sera pas une évidence.\\n\\nL’équipe de France est un groupe très peu amovible. Le mot « collectif » n’y est pas galvaudé. Onze des douze joueuses qui ont fait la Coupe du monde cet été ont ensuite assuré le match des qualifs à l’Euro en Roumanie. Seule la meneuse Bria Hartley avait été introduite dans l’équipe en lieu et place d’Alix Duchet, qui de toute façon n’était pas apte physiquement à défendre son rôle. Face à la Slovénie, Valérie Garnier avait lancé avec un statut secondaire l’intérieure landaise Marie-Michelle Milapie préférée à Marième Badiane. Rien de plus.\\n\\nAutre facteur important : Magali Mendy est exclusivement une poste 2 là où l’on trouve les deux Berruyères Marine Johannès et Sarah Michel, qui dans des styles différents sont devenues des cadres en équipe de France. Tout en sachant que Bria Hartley peut aussi occuper ce poste de shooting guard. Une équipe nationale n’est pas une all-star team. C’est un puzzle complexe à constituer avec généralement sept extérieures et cinq intérieures. La coach préféra-t-elle réserver un siège supplémentaire à une shooting guard, une deuxième arrière, et ainsi sacrifier une troisième meneuse toujours utile en cas de blessure en cours de compétition ? C’est une question.\\n\\nLes blessures, c’est aussi parfois une sorte de chamboule-tout qui met en l’air les plans préparés en amont sur le papier. Une nouvelle joueuse peut aussi toujours montrer aux entraînements et lors des premiers matches de préparation qu’elle est plus efficiente qu’une titulaire. Ce sera probablement le défi de Magali Mendy cet été. Elle a à l’évidence les qualités requises pour ça. Et on peut s’en réjouir, l’abondance de biens n’a jamais nui à personne. Et Vincent Collet, si tout le monde est disponible, aura de son côté une sélection encore plus ardue à effectuer.\\n\\nOn notera qu’une autre joueuse pourtant élu MVP française de la Ligue Féminine en 2013 n’a jamais réussi à convaincre Pierre Vincent, le coach national précédent, de son utilité. C’est Géraldine Robert, jugée trop atypique et qui par défaut portera le maillot de l’équipe nationale du Gabon. On pense aussi à Amel Bouderra, deux fois MVP française de la LFB (2016 et 17), qui n’a que 16 sélections à son actif et encore grâce au forfait de Céline Dumerc aux JO de Rio et pour qui, à 29 ans, le train est déjà passé.\\n\\nPour Magali Mendy, trentenaire en puissance, il ne faut pas lambiner. Elle peut se dire aussi que Gaëlle Skrela aura attendu ses 30 ans accomplis avant de décrocher sa première cape et de réaliser ensuite quatre saisons internationales extrêmement fructueuses.\\n\\n[armelse]\\n\\nSes statistiques sont extrêmement spectaculaires. En Euroleague, Magali est la meilleure marqueuse (12,1 points), rebondeuse (6,0) et interceptrice (2,2) et la deuxième passeuse (2,8) de son équipe. Et bien sûr la numéro 1 à l’évaluation (14,7). C’est encore plus remarquable en Ligue Féminine dont elle est la numéro un à l’évaluation (17,7) avec une ligne chiffrée très chargée : 15,7 points, 19/42 à trois-points, 40/42 aux lancers ( !), 5,6 rebonds, 1,9 passe, 2,3 interceptions.\\n\\nQuand on pense que personne ne lui avait fait confiance en LFB avant cette saison ! Issue du centre de formation de Reims, la native d’Orly avait effectué deux saisons à Pleyber-Christ et Voiron en L2 avant de se faire deux fois les croisés, ce qui a sérieusement entravé sa carrière. C’est à Chartres, toujours en Ligue 2, qu’elle a relancé sa carrière et surtout en Allemagne, à Keltern, et -comme elle n’avait toujours pas de proposition en Ligue Féminine- en Espagne, à Gérone, ce qui lui a permis de faire l’Eurocup où elle fut quart-de-finaliste et où elle s’est révélée pour de bon aux yeux des coaches français !\\n\\nAthlétique, agressive balle en main, Magali Mendy référencée comme shooting guard, peut-elle donc prétendre à 28 ans à l’équipe de France ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Belgique: Trois accessits pour les Belgians Cats lors du Gala du Sport"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quatrième de la Coupe du monde cet été, les Belgian Cats ont décroché de belles places d’honneur au Gala du Sport qui s’est tenu à Bruxelles.\\n\\nLes Cats se sont classées troisièmes dans la catégorie Equipe sportive de l’année derrière les Red Lions (hockey) et les Diables Rouges (football). Philip Mestdagh est second au référendum du Coach de l’année derrière l’entraîneur des Diables Rouges, Roberto Martinez. Enfin, Emma Meesseman est troisième au trophée de Sportive de l’année derrière la championne du monde Nina Derwael (gymnastique) et Nafi Thiam (athlétisme).\\n\\nPhoto: Emma Meesseman (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Amel Bouderra et Marine Johannès dans le top 5 des actions de 2018 de l’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La meneuse de Charleville Amel Bouderra et l’arrière de Bourges Marine Johannès se retrouvent dans le top 5 des actions de l’année 2018 choisies par l’Euroleague.\\n\\n\\n\\n\\nLet's finish 2️⃣0️⃣1️⃣8️⃣ with a 💥! Here the last #EuroLeagueWomen 🔝 5️⃣ plays of the year:@KurskBasket @breannastewart @BourgesBasket @MarineJ5 @FlammesCarolo @abouderra @CBAvenida @WBSopron pic.twitter.com/Q0KVTUK6Mv\\n\\n\\n— EuroLeague Women (@EuroLeagueWomen) December 24, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eric Girard (Le Portel): «Les docteurs sont optimistes»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à son intervention chirurgicale, le coach de l’ESSM Le Portel, Eric Girard, a écrit sur les réseaux sociaux un message qui se veut rassurant.\\n\\n« Chers amis, supporters, internautes,\\nJe ne sais comment vous remercier de tous vos incroyables messages. Je ne peux vous répondre individuellement mais je vous promets de vous tenir au courant régulièrement de mon état... Les docteurs sont optimistes donc pas de raison de craindre au pire!\\nJe suis rentré chez moi hier après midi et ce matin j’ai tenu à aller au chaudron pour suivre le practice, voir le staff, les joueurs.\\nJe vous souhaite à tous un merveilleux Noel et nous attendons tous nos fabuleux supporters jeudi soir pour une mobilisation générale contre Dijon...\\nBon Noel »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"ASVEL: Charles Kahudi forfait pour le All-Star Game"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Charles Kahudi (1,99m, 32 ans) sera forfait mercredi pour le match de l’ASVEL à Levallois puis pour le All-Star Game LNB à Paris où il était attendu dans le Cinq de départ annonce Le Progrès.\\n\\nL’international a été victime d’une blessure au dos le 18 décembre à Saint-Pétersbourg mais avait disputé néanmoins le derby face à Bourg. Le capitaine de Villeurbanne a déjà manqué six matches cette saison en raisons de blessures et de raisons familiales.\\n\\nPhoto: ASVEL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Fin du séjour de Jonathan Jeanne à Palma de Majorque"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Sportando, le contrat entre Jonathan Jeanne (2,18m, 21 ans) et le club espagnol de LEB Oro, Iberostar Palma de Majorque est rompu.\\n\\nLe pivot français y avait trouvé refuge après une saison blanche suite à la découverte du syndrome de Marfan par des toubibs américains dépêchés par la NBA.\\n\\nJonathan Jeanne a tourné avec Iberostar à 4,3 points et 2,0 rebonds en 13′ de moyenne en 14 matches.\\n\\n\\n\\n\\nFrench center Jonathan Jeanne and Spanish LEB Oro team Iberojet Palma are parting ways, a source told @Sportando.\\n\\n\\n— Nicola Lupo (@NicolaLupo99) December 24, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Paris s’offre un deuxième succès à Blois. Jean-Christophe Prat: «Je ne vais pas vivre vieux avec cette équipe»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Drôle de match à Blois. Malgré une salle du Jeu de Paume pleine comme un oeuf, l’ADA reste dans les starting blocks. La voici menée 12-23 après un quart-temps. Elle revient à la surface avant que le Paris Basketball sous l’impulsion de son meneur Sylvain Francisco lui inflige un 7-0. Les Parisiens sont tellement bien lancés qu’ils mènent jusqu’à 42-21 à la 16e minute !\\n\\nTerminé? Pas du tout. Omari Gudul score 13 points dans le quart et à la mi-temps Blois a fait la moitié de son retard (36-46). Joe Burton s’est réveillé et à la 27e minute, l’ADA passe devant, 53-52. Ses supporters pensent alors qu’elle va se dégager définitivement. C’est le contraire qui se passe. Paris se maintient une petite avance et sur un dunk de Gary Florimont clos les débats à 82-71.\\n\\nUne vraie victoire collective pour le Paris Basketball. Les 10 joueurs entrés en jeu -ça n’a pas été le cas de Victor Samnick- ont scoré et le meilleur marqueur, Gary Florimont n’est qu’à 12 points. Dustin Sleva, lui, a réalisé un double double (11 points et 11 rebonds).\\n\\n« Je ne vais pas vivre vieux avec cette équipe ! », s’est exclamé le coach Jean-Christophe Prat en conférence de presse, propos rapportés par La Nouvelle République. « Les mêmes scénarios s’enchaînent de match en match. Le groupe est très jeune, donc par essence inconstant. Jusqu’à maintenant, les cadres n’étaient pas toujours là pour remettre les choses en place. D’ailleurs, ce dimanche, ce qui permet à Blois de revenir, ce sont deux pertes de balles consécutives de deux joueurs cadres, ce qui n’est pas acceptable. On savait que Blois allait revenir, cette équipe a des arguments. Le tir qui nous remet dans le match, c’est celui de Kris Joseph qui nous permet de reprendre les devants. On est restés solides mentalement. Pour ma part, j’ai déjà basculé sur le match d’Évreux, on va apprécier le résultat à sa juste valeur mais si on ne gagne pas contre Évreux, il n’aura aucune signification. »\\n\\nIl s’agit de la seconde victoire du Paris Basketball et elle devenait urgente. Il rejoint Caen au classement et la route est évidemment encore longue pour assurer son maintien chez les pros."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : le Final Four 2020 devrait se tenir à Athènes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Treize ans après le sacre européen du Panathinaïkos sur ses terres, le Final Four devrait faire son retour à Athènes.\\n\\nSelon Eurohoops, la capitale grecque sera l’hôte du dernier rendez-vous d’Euroleague de la saison 2019/20. Le deal serait déjà fait et il ne manquerait plus que d’ajuster des détails pour que l’annonce officielle soit faite. L’OAKA Hall est la plus grande salle d’Europe avec une capacité de plus de 19 000 places.\\n\\nCette saison, le Final Four d’Euroleague se tiendra à Fernando Buesa Arena de Vitoria.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nancy: Le même bilan que la saison dernière à même époque"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« La Pro B, c’est une jungle ». C’est l’appréciation de Rémy Valin, le coach de Denain, rapporté par L’Est Républicain.\\n\\nL’ASDV est venu s’imposer à Nancy au SLUC et devant 5 500 spectateurs, 82-68, avec la meilleure évaluation pour Pierrick Poupet (19 pour 12 points, 3 rebonds et 5 passes).\\n\\n« Dans cette division, la cohésion, le combat, l’envie sont des valeurs primordiales. Si vous les avez, vous pouvez faire de bonnes choses, même avec des joueurs plus méconnus », a commenté le coach denaisien qui a 11 saisons en Pro B à son actif et qui a gagné quatre fois en quatre matches à Gentilly.\\n\\nAvec 4 victoires, Denain s’éloigne un peu de la zone rouge. Avec -seulement- 7 succès Nancy, le SLUC possède le même bilan que la saison dernière à même époque. Très peu pour un club qui aspire à remonter au plus vite en Jeep Elite.\\n\\n« Voir au classement que le SLUC n’a pas plus de points que Gries-Oberhoffen. Lorsqu’on connaît le budget et les moyens du méritant petit club alsacien, ça fait froid dans le dos... », écrit L’Est Républicain dans sa rubrique « on n’a pas aimé. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"[REDIFF] Interview Blake Schilb (CCRB) : «Les jeunes avec qui je jouais à l’époque sont aujourd’hui les hommes forts de leur équipe»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il fait partie des meilleurs Américains qui ont foulé les parquets de la Pro A et il a fait son retour en France cette saison. Blake Schilb (2m, 34 ans) a signé pour deux ans garantis avec Châlons-Reims et il prouve depuis le début de saison qu’il reste un joueur de talent. Après le match face au Portel, lors duquel il a frôlé le triple-double (14 points, 13 rebonds, 8 passes, 27 d’évaluation), nous sommes allés à sa rencontre.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nPourquoi ce retour en France à 34 ans ?\\n\\nJ’aime la France. J’ai toujours pris du plaisir à jouer en France pendant ma carrière, j’y ai toujours été bien reçu, y compris par les fans. La ligue et le style de vie ici me conviennent, tout comme à ma famille. Ça a toujours été une expérience positive quand j’ai joué en France. J’ai eu la chance d’avoir l’opportunité de pouvoir revenir en France dans un club où je peux partager mon expérience pour le faire progresser et grandir. A travers les recrutements et le staff je peux voir que c’est une organisation ambitieuse. Nous ne sommes qu’à environ une heure de Disneyland, mes enfants et ma femme adorent ça ! (sourire)\\n\\nPour combien de temps avez-vous signé ?\\n\\nJ’ai signé pour deux ans garantis plus une autre année si nous faisons les playoffs l’année prochaine. Espérons donc qu’on fera les playoffs l’année prochaine. Je ne suis pas encore prêt pour la retraite.\\n\\nQue pensez-vous de votre équipe ?\\n\\nNous avons de bons jeunes comme Sadio (ndlr, Doucouré) qui jouait déjà ici l’année dernière et qui est toujours en train d’apprendre à jouer. Nous avons recruté Yannis Morin qui est un joueur qui a faim. Certains espoirs viennent à l’entraînement donc on peut voir le développement des jeunes pour l’année prochaine. En ce qui concerne les joueurs plus expérimentés, je suis là, il y Jo Passave et Jimmy Baron qui ont aussi signé pour deux ans. Nous savons donc que nous avons ce noyau pour l’alchimie de l’équipe.\\n\\nQue pensez-vous de la ligue par rapport à quand vous l’avez quitté ?\\n\\nBeaucoup de jeunes joueurs qui étaient en train d’apprendre à devenir professionnels quand j’étais au top de la ligue se sont améliorés. C’est ce que j’ai remarqué. Plusieurs jeunes font désormais partie des hommes forts de leur équipe. Par exemple il y a Axel Bouteille à Limoges et il y a Yakuba Ouattara qui est aujourd’hui à Monaco. Les deux jouaient avec moi à Chalon-sur-Saône... Je me sens un peu vieux parfois, mais c’est bien de voir que la ligue et les joueurs ont évolué et c’est important. Même en Coupes d’Europe, il y a des équipes qui se débrouillent très bien en Eurocup ou en Champions League.\\n\\n« Levallois est un club que je porte dans mon cœur, mais malheureusement nous avons dû nous séparer »\\n\\nLa saison 2011-12 avec Chalon est la meilleure de votre carrière ?\\n\\nPeut-être, d’un point de vue personnel. C’est dur à dire parce que nous ne disputions pas l’Euroleague, nous étions engagés en Eurochallenge. Nous avons quand même été jusqu’en finale pour affronter le Besiktas qui était une très bonne équipe. Je dirais que c’est ma meilleure saison concernant les victoires parce que j’ai eu quelques très bonnes saisons au niveau des statistiques, mais remporter trois trophées dans la même année je n’ai pas eu mieux.\\n\\nComment avez-vous réussi à réaliser le triplé en 2012 (championnat, coupe de France, Semaine des As) ? L’osmose entre les joueurs ?\\n\\nC’est ça. Nous avions des gars qui étaient déjà là depuis deux ans. Tout le monde se faisait confiance, on croyait tous en chacun de nous. La philosophie de Greg Beugnot à ce moment-là était la bonne. Nous étions aussi très ambitieux. L’idée était de ne pas faire attention à qui marquait combien de points mais bien de remporter le match. On savait que tout le monde trouverait des contrats, des extensions ou plus d’argent après cela.\\n\\nLa saison à Paris a été avortée. Que s’est-il passé là-bas ?\\n\\nJ’ai quitté Paris parce que mon frère était malade. C’est vraiment la seule raison qui m’a fait partir. Nous étions performants en Eurocup, on a été jusqu’au Top 8, ce qui était une première pour le club, et nous étions en route pour faire les playoffs. Tout allait bien mais mon frère est tombé malade et ce qui a fait tout remettre en question dans ma tête. Ça n’avait rien de personnel avec l’organisation, je regrette juste qu’il y ait des soucis de santé dans ma famille. Levallois m’a accueilli les bras ouverts quand j’ai quitté l’Etoile Rouge. C’est un club que je porte dans mon cœur, mais malheureusement nous avons dû nous séparer.\\n\\nPendant cette saison vous avez eu un petit accrochage avec Johan Passave-Ducteil, c’est finalement un bon coéquipier ?\\n\\n(Rires) Oui ! Nous avons diné ensemble il y a deux ou trois semaines chez un partenaire du club et nous avons parlé de cette histoire ! Nous nous sommes dit qu’il y a quelques années on s’étranglait et que maintenant on trinque ensemble avec du champagne. C’est derrière nous, nous avons d’autres objectifs maintenant. Nous sommes des pères de famille. A l’époque c’était le derby entre Levallois et Nanterre... C’est le genre de joueur que tu veux dans ton équipe. Contre toi c’est une autre histoire, mais dans la même équipe tu sais avec qui tu fais équipe.\\n\\nQuels souvenirs avez-vous de votre saison à l’Etoile Rouge de Belgrade ?\\n\\nJouer l’Euroleague devant un des meilleurs publics d’Europe, avoir été le coéquipier de Boban Marjanovic qui joue pour les Los Angeles Clippers aujourd’hui. Il était là et il est tellement marrant ! Je me rappelle vraiment de lui en train de faire le clown. Quand l’équipe était dans le dur, il était toujours positif et avait la bonne attitude. Je me souviens aussi des derbys contre le Partizan. A ce moment-là Joffrey Lauvergne jouait au Partizan et on avait été coéquipier à Chalon, il y avait aussi Leo Westermann. Je me souviens de l’atmosphère qui régnait à Belgrade.\\n\\nJustement, quel public choisissez-vous entre l’Etoile Rouge et Gatasaray où vous avez aussi joué ?\\n\\nAh... C’est dur. Mais j’ai eu plus de succès avec Galatasaray, comme joueur face à Strasbourg en finale de l’Eurocup devant 17 000 personnes. C’est surement l’endroit dans lequel j’ai joué avec le plus d’ambiance, c’est difficile de faire mieux.\\n\\nVotre plan c’est de terminer votre carrière en France ?\\n\\nC’est possible... Si tout se passe bien, ce n’est pas une mauvaise façon de terminer ma carrière. Dans une ville qui a autant de gens authentiques, trinquer avec du champagne et aller à Disneyland... (sourire)\\n\\nAvez-vous déjà des plans pour votre après carrière ?\\n\\nJe pense au coaching. J’ai un ami qui est coach en Allemagne et il m’a demandé de l’aider dans ce qui est le développement des joueurs... Je suis aussi en contact avec des personnes en NBA qui m’ont demandé de devenir scout international. J’ai plusieurs opportunités, c’est juste une histoire de tout mettre dans l’ordre et de voir ce qui me sera le plus bénéfique.\\n\\nVous serez présent le 30 novembre à Pardubice pour le match contre la France ?\\n\\nMon coach pense que oui. Je lui ai dit qu’on est déjà qualifié et qu’il pouvait me laisser me reposer un peu (rire). Il m’a dit « viens je t’enlève de ta famille un petit peu, tu pourras te relaxer ». On verra dans quelques semaines, ça approche vite maintenant.\\n\\nParlez-vous un peu le tchèque ?\\n\\nOui un peu. Pour moi c’est plus simple de le comprendre que de le parler mais je peux le parler un peu aussi. Ma femme parle tout le temps aux enfants en tchèque. Mes enfants parlent maintenant anglais et tchèque. Les deux plus vieux parlent aussi très bien français, ils ont aussi appris l’espagnol l’année dernière comme on était à Séville. C’est vraiment une bénédiction pour ma famille d’avoir eu toutes ces opportunités.\\n\\nEt le français ?\\n\\nUn petit peu... (sourire)\\n\\n[armelse]\\n\\nPourquoi ce retour en France à 34 ans ?\\n\\nJ’aime la France. J’ai toujours pris du plaisir à jouer en France pendant ma carrière, j’y ai toujours été bien reçu, y compris par les fans. La ligue et le style de vie ici me conviennent, tout comme à ma famille. Ça a toujours été une expérience positive quand j’ai joué en France. J’ai eu la chance d’avoir l’opportunité de pouvoir revenir en France dans un club où je peux partager mon expérience pour le faire progresser et grandir. A travers les recrutements et le staff je peux voir que c’est une organisation ambitieuse. Nous ne sommes qu’à environ une heure de Disneyland, mes enfants et ma femme adorent ça ! (sourire)\\n\\nPour combien de temps avez-vous signé ?\\n\\nJ’ai signé pour deux ans garantis plus une autre année si nous faisons les playoffs l’année prochaine. Espérons donc qu’on fera les playoffs l’année prochaine. Je ne suis pas encore prêt pour la retraite.\\n\\nQue pensez-vous de votre équipe ?\\n\\nNous avons de bons jeunes comme Sadio (ndlr, Doucouré) qui jouait déjà ici l’année dernière et qui est toujours en train d’apprendre à jouer. Nous avons recruté Yannis Morin qui est un joueur qui a faim. Certains espoirs viennent à l’entraînement donc on peut voir le développement des jeunes pour l’année prochaine. En ce qui concerne les joueurs plus expérimentés, je suis là, il y Jo Passave et Jimmy Baron qui ont aussi signé pour deux ans. Nous savons donc que nous avons ce noyau pour l’alchimie de l’équipe.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos : CCRB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep® ÉLITE : le top 5 de Monaco – Strasbourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le match phare de la 14e journée de Jeep® ÉLITE était sans doute celui de dimanche soir entre Monaco et Strasbourg.\\n\\nLa courte victoire de l’ASM (83-79) a été l’occasion de voir du beau spectacle dans la Salle Gaston Médecin. Alley-oop entre Paul Lacombe et le nouveau venu Eric Buckner, shoot au buzzer de Lazric Jones ou passe millimétrée de Sergii Gladyr, il y en a pour tous les gouts.\\n\\nhttps://www.facebook.com/LNBOfficiel/videos/728390877545407/?__xts__[0]=68.ARBdnUQF_PAS9oDMTMr8LNfWMXpXs81M8ibqfURobubUSL23E7ey2ZxBCkP8A8K582tXJYfCvbnLk1ply_xzMa8uYdzt7fHrIlR4__D-z98gNvCu1cMr-50H0umdUjXem2SAB3nbazvUyILopU2NIfo68vSt-Mi1DPrknzGdiRa16eH_m3tqOFl2-is8dekzDs4JVliuucV95m32_GsS7gPIsI75P8QHX0MGwhXDCJdTZULXT7Q8uKlT_BZ5tOFxQ7R8-4dxBBeNgJTMXXsgk7CVyY1tI_Pz7bKkuVaLV6DSmFFKEQsAz6HPd_sHKxy0jlpOO69pfiJaDA9K4qzqXW2Gydo_CpBCoO6kEA&__tn__=-R"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ali Traore après la défaite de Strasbourg à Monaco: «On rate notre dernière minute...»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec son meneur Lazeric Jones (21 points dont 14 en première mi-temps), le renfort de l’ancien pivot de l’ASVEL, Eric Buckner (15 points, 20 d’évaluation) et l’éternel Paul Lacombe (16 points, 7 rebonds et 7 passes), l’AS Monaco a fait dérailler la SIG Strasbourg (83-79) et s’est donnée une chance de participer à la Leaders Cup.\\n\\n« C’était un beau match de basket avec deux belles équipes », a commenté Ali Traore en conférence de presse. « En revanche on fait quelques erreurs qui sont payées cash et qui font, qu’au final, on n’a pas pu remporter cette victoire. Eric Buckner leur fait beaucoup de bien. Il apporte beaucoup de verticalité et de physique. Je pense que c’est une bonne recrue pour eux. Le combat physique dans la raquette était l’une des clés de ce match. Il y a de la déception ce soir car il y avait la place pour gagner. Même quand ils faisaient un petit écart on revenait. C’est vraiment dommage on rate notamment notre dernière minute de match ».\\n\\nL’imposante présence de Youssoupha Fall, qui a réalisé un sans-faute et un double double (20 points à 9/9 aux tirs et 12 rebonds) n’a donc pas été suffisante. Les Alsaciens ont mal négocié le money time comme le constatait Ali Traore aussi bien que le coach Vincent Collet:\\n\\n« On est revenu petit à petit, mais on a mal géré une ou deux possessions à la fin du match, pendant qu’eux mettaient des gros tirs. Celui de Remy Barry par exemple n’était pas forcément prévu au programme mais ça fait partie du jeu... Il faut que l’on rebondisse très vite mercredi. On a que trois jours pour préparer le match pour essayer de gagner. (Il se reprend) Il faut qu’on gagne ! Déjà pour sécuriser la Leaders Cup mais aussi pour rester en haut du classement. On perd notre 2ème place ce soir et on se fait rattraper par la meute et c’est ça le plus embêtant ».\\n\\nPhoto: Ali Traore (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : le Top 10 de la huitième journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après le Top 10 des championnats nationaux et de la Jeep Elite, CourCuts s’attaque au Top 10 de Pro B !\\n\\nPour ce septième numéro, c’est Junior Mbida (Orléans Loiret Basket) qui pointe à la première place du classement grâce à un gros contre qui assure la victoire à son équipe.\\n\\nhttps://www.facebook.com/CourtCuts/videos/656594168070764/?__xts__%5B0%5D=68.ARCcNLBE_Yi8a_HkojGU_kQnV6ngJ7AU1reNTR10D9U9EOmqAeXQAtHWjKEaMCbnKIBd550-l-moBxc0NeJd9r3n56RUYqafc2_fe4nEG_jJTGSrS7dAKipIg1lccBvc9j6bP0DpcAJ9QcZND-LI99NFGhLWBDGia7wlRJToQqDL0kjVkdcJuAulhT1zo3L1-GotCSlIG9rMfyLcSzeFswvD7m6ZRR8KLzWAIDzwkzMTC5TY_MMblHSNkhLmD5d_BvSGm0mTi14wriOyMZZU2JVIQAFG8QVixPs9o_owtx2CZl7SbxwtaIuDwP91yYcPwQToB_-j&__tn__=H-R"
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV: Samedi, All-Star Game LNB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est la semaine du All-Star Game LNB à l’AccorHôtels Arena de Paris-Bercy. A noter également que RMC Sport diffuse quelques matches de Jeep Elite en bonus sur ses chaînes annexes.\\n\\nMercredi 26 décembre:\\n\\n18h00 – Strasbourg/Châlons-Reims – Jeep Elite – RMC Sport Live 5\\n\\n20h45 – Villeurbanne/Levallois – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nJeudi 27 décembre:\\n\\n18h00 – Khimki Moscou/Vitoria – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n18h15 – Darussafaka/Olympiakos – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n20h00 – Limoges/Boulazac – Jeep Elite – RMC Sport Live 5\\n\\n20h00 – Le Mans/Fos – Jeep Elite – RMC Sport Live 6\\n\\n20h00 – Tel-Aviv/Milan – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n20h45 – Pau/Nanterre – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\n21h00 – Barcelone/Efes Istanbul – Euroleague – RMC Sport 3\\n\\nVendredi 28 décembre:\\n\\n18h30 – Fenerbahçe/Madrid – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\n20h00 – Panathinaikos/CSKA Moscou – Euroleague – RMC Sport 1\\n\\n20h30 – Munich/Podgoricia – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n21h00 – Gran Canaria/Kaunas – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\nSamedi 29 décembre\\n\\n19h30 – All Star Game – Jeep Elite – RMC Sport 2"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Elite: Confrontations directes entre mal classés: Fos-sur-mer en ballotage défavorable"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« C’est notre deuxième demi-finale de la saison après celle à Cholet. Il y en aura deux autres qui nous attendent au retour contre ces mêmes équipes, sans oublier Le Portel ».\\n\\nVoici le commentaire qu’a eu le coach des Sharks d’Antibes, Julien Espinosa, après la victoire des siens à Fos-sur-mer, 87-80. A l’heure actuelle, quatre équipes sont directement menacées par la descente: Le Portel et Fos ont 4 victoires, Antibes et Cholet 3.\\n\\nCela se jouera peut-être au point-average particulier, aussi récapitulons les résultats entre ces quatre équipes depuis le début de saison:\\n\\nCholet b. Fos*: 77-70; Le Portel* b. Antibes: 98-87; Le Portel* b. Fos: 85-83; Cholet b. Le Portel*: 92-84; Antibes* b. Cholet: 91-74; Antibes b. Fos*: 87-80.\\n\\nPour l’instant, les confrontations directes ne sont donc pas favorables à Fos qui en n’a pas remporté une seule alors que ses trois rivaux en ont gagné deux chacun. Mais la saison est encore très longue..."
}, 
{"role": "user",     "content":"Belgique: Le Brussels de Serge Crevecoeur a le vent en poupe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tout va pour le mieux pour le Brussels de l’ancien coach de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez, Serge Crévecoeur. Il s’est imposé samedi au VersluysDôme ostendais, ce qu’aucune équipe belge n’avait réussi à faire jusqu’ici, 59-58. Très solide défensivement, le club de la capitale a pu compter de l’autre côté du terrain sur l’ailier-fort américain Amin Stevens (21 points plus 8 rebonds et 2 passes).\\n\\nIl s’agit de la cinquième victoire successive en Euromillions League du Brussels qui a aligné, Charleroi, Anvers et Ostende, trois équipes du top 5. Le Brussels est ainsi quatrième ex-aequo au classement, à une seule victoire de Mons et Charleroi. Pas impossible que Serge Crévecoeur emmène une deuxième fois son équipe en finale des playoffs comme en 2017.\\n\\nLa prochaine journée, mercredi, sera marquée par le choc entre Ostende (1er) et Charleroi (2e)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le témoignage d’Eric Girard (Le Portel) sur son cancer des cordes vocales: «Il ne me restait plus que quatre mois à vivre»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En raison d’une intervention chirurgicale, Eric Girard ne sera pas sur le banc des coaches ce soir face à Nanterre. Le Portelois a été victime il y a quelques années d’un cancer des cordes vocales, le cancer du fumeur lui qui n’avait jamais fumé une clope. Il nous avait livré alors un témoignage sans tabou et émouvant, et aussi un message d’espoir.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nEric, comment allez-vous ?\\n\\nTrès bien. Bien sûr, ma voix a changé, surtout au téléphone, puisque j’ai subi une laryngectomie totale (ablation du larynx), mais ma santé est bonne et mon moral est à 200%. On ne sait jamais avec ces maladies-là, aussi j’espère que c’est derrière moi. J’ai passé un examen il y a quelques jours qui a démontré que tout est nickel. Le problème, c’est la qualité de ma voix -ce qui n’est pas grave, j’ai passé l’âge des roucoulades avec les jeunes femmes !- et surtout la puissance de cette voix. C’est un peu un problème dans la vie de tous les jours et dans mon boulot.\\n\\nEst-ce fatigant de parler ?\\n\\nPas du tout. Pour les entraînements, dans la salle du Portel, j’utilise un micro sans fil qui est relié à de grosses enceintes. Ma voix est amplifiée comme si je faisais une conférence devant deux cents personnes. Lorsque je suis dans une autre salle, je dispose d’un micro sans fil relié par wifi à une petite enceinte, qui est grande à peu près comme la surface d’un ordinateur. Je la trimbale partout et elle fonctionne sur batterie. Je la mets sur la table de marque et je peux parler à mes joueurs de n’importe quel endroit de la salle.\\n\\nLe handicap existe au moment des matches. Ça vous demande une grande complicité avec l’assistant, Frédéric Munch ?\\n\\nTout à fait. Le seul problème, ce sont les temps-morts. Je ne peux pas les faire car il y a trop de bruit. Mon assistant, comme mes joueurs, sont capables de lire quelques mots sur mes lèvres. Il faut quand même savoir qu’il y a des matches notamment d’Euroleague où il y a tellement de bruit que les coaches ne peuvent pas parler aux temps-morts et fonctionnent avec la tablette, en mimant les gestes. Ce n’est donc pas un gros problème. Ça demande de la concentration, de la réaction à mon assistant. On fait le pré-temps-mort ensemble, je lui donne mes consignes, sur un thème défensif que l’on a mis en place ensemble, avec éventuellement une ou deux idées en attaque, et lui redonne ça aux joueurs avec mes idées, mes adaptations, et parfois, sur ce qui lui est attribué avec un ou deux principes à lui. Ça, je le faisais déjà avant avec mes autres assistants. On se leurre un peu tous sur l’efficacité réelle d’un temps-mort, nous les coaches. Je les regarde avec encore plus d’attention à la télé. On s’aperçoit qu’il y a deux mecs qui écoutent sur les cinq qui doivent jouer. En définitive, le vrai impact des temps-morts, c’est de pouvoir casser le rythme des rencontres et donner un break aux joueurs. On se donne de l’importance par rapport à ça, mais ce n’est pas décisif, sauf sur une balle de match. Je serai curieux d’avoir les statistiques pour savoir si les consignes données aux temps-morts sont vraiment appliquées. Ça doit être très faible. Le plus gros problème, c’est la communication avec les arbitres. Soit tu as des arbitres qui ont de l’expérience ou qui humainement sont de grande valeur, et ceux-là sont capables de venir à côté de moi, de tendre l’oreille, de dialoguer rapidement. Soit, et c’est le plus dur pour moi, avec des arbitres de niveau médiocre, pas sûrs d’eux, qui n’ont pas envie de faire d’efforts, et eux passent à deux mètres de moi, et comme ça, ils savent qu’ils seront tranquilles.\\n\\nQuelle réaction ont eu vos joueurs, quand ils ont appris votre maladie, et à ce fonctionnement ?\\n\\nJe crois qu’ils ont réagi comme n’importe quel être humain aurait réagi, avec, je pense, un peu de tristesse, et aussi un respect énorme, une grande concentration. Au début, c’était forcément un peu compliqué, le temps que je trouve mes marques et le fonctionnement avec la sono. Mais la qualité de nos entraînements et le travail accompli n’en ont jamais pâti. Les joueurs ont été d’une intelligence et d’un professionnalisme énormes. Dès que je sifflais, les gars se taisaient, arrêtaient le ballon immédiatement, écoutaient, et retraduisaient par eux-mêmes quand je ne pouvais pas le faire. Ils se relayaient les infos. Ce n’est plus le cas maintenant car le fonctionnement aujourd’hui est, disons, complètement normale.\\n\\nAvez-vous des exemples d’autres coaches qui se sont retrouvés dans une situation analogue ?\\n\\nJ’ai eu des échos de coaches, en foot comme dans d’autres disciplines, qui ont des cancers, et qui ont dû s’adapter. Mais jamais de coaches qui ont eu les mêmes problèmes que moi. Aussi, tous les ajustements, je les ai fait par moi-même en fonction de mes besoins et grâce bien sûr à des idées apportées par certaines personnes de mon entourage. Mon amie a été à la recherche de tout ce qui pouvait m’aider. Il y a bien sûr des demandes à faire, des documents à remplir...\\n\\n« J’ai toujours une grande gueule. Je poussais de temps en temps de vraies gueulantes après mes joueurs, les arbitres, les journalistes, et depuis un an, je m’aperçois que l’on peut coacher à un très bon niveau sans avoir besoin de gueuler. Et ça c’est une belle leçon ! »\\n\\nPouvez-vous nous rappeler quand vous avez eu vos premiers symptômes ?\\n\\nJ’étais très fatigué. J’ai appris que j’avais le cancer et j’ai fait des rayons. Ni ma mère, ni ma fille n’étaient au courant, car ça devait passer comme ça. Seuls deux trois proches, mon frère, mon amie bien sûr, le savaient. A la fin de ma période à Limoges, je n’ai pas retrouvé de travail tout de suite car j’ai dû repousser des appels sans dire que je ne pouvais pas car j’étais malade. Je ne voulais pas que ça constitue un handicap. J’avais déjà repoussé Le Portel une fois sans donc leur dire pourquoi. Un mois après, ils sont revenus à la charge, je leur ai répondu que j’avais des affaires administratives à régler et que je ne serai disponible qu’un mois plus tard. Ils sont encore revenus et avant de signer mon contrat, je leur ai dit pourquoi je n’avais pas pu venir plus tôt. Je leur ai posé la question : « on fait ou on ne fait pas ? » Ils m’ont répondu : « ce n’est pas un problème pour nous, on y va. » A la fin de la saison, ils m’ont proposé de prolonger. L’année dernière, j’ai eu de nouveau des problèmes de voix et en refaisant des examens, on s’est aperçu trop tard que j’avais récidivé et que c’était bien plus grave que la première fois. Le professeur m’a dit qu’il fallait opérer ou qu’il ne me restait plus que quatre mois à vivre. J’ai compris ce que ça voulait dire « être proche de tomber dans les pommes ». J’ai senti le sol s’ouvrir entre mes jambes et tomber dans un trou. J’ai été opéré le jour de la Saint-Valentin, il y a à peu près un an... J’ai connu des moments pas très agréables, humainement, à Limoges avec mon dernier employeur. Là, ce qu’a fait le président du Portel (Yann Rivoal), les gens du directoire, c’est énorme. J’ai demandé à voir le président, le docteur, l’ancien président et le manager, Pascal Jullien, et je leur ai expliqué la situation. Je leur ai dit que je ne savais pas ce que je pourrai faire après. Il me restait un an de contrat. On pouvait tout arrêter... Et tout de suite le président m’a regardé et m’a dit « Eric, on sait ce que tu fais, on connait ton mental, je te redonne deux ans. »\\n\\nCette confiance vous a aidé mentalement à surmonter cette épreuve ?\\n\\nAh ! Oui. Sans prétention, ça pouvait faire bizarre avec le CV que j’ai d’aller coacher en Pro B, mais j’ai une chance fabuleuse d’aller travailler avec ces gens. Je leur serai redevable à vie de la confiance dont ils m’ont témoigné.\\n\\nLe public a également confectionné une banderole quand il a su que vous alliez vous faire opérer. On dit que les gens du Nord sont très hospitaliers. Vous l’avez ressenti ?\\n\\nBien sûr. Durant ma carrière de petit joueur et de coach, j’ai fait le sud, l’est et bien sûr l’ouest et jamais encore le nord. On peut vraiment dire que les gens ici sont très spéciaux avec un sens de l’accueil formidable. Mais je dois dire que lorsque j’ai communiqué ma maladie, la deuxième fois, j’ai reçu des messages de soutien de partout. Ma fille a créé une page facebook pour me permettre deux ou trois fois de donner des nouvelles, et elle m’a communiqué les messages des gens. Je ne pourrai jamais rendre tout ce que les gens du club ont fait pour moi, de me faire immédiatement confiance, sans savoir si je pourrai coacher de nouveau normalement. Le président est un homme exceptionnel.\\n\\nLa ministre déléguée à la famille Dominique Bertinotti a révélé son cancer, brisant une sorte de tabou. C’est un peu le sens de votre démarche ?\\n\\nComplètement. Si ça peut aider les gens à comprendre qu’en se battant, on peut faire les mêmes choses qu’avant. Qui pouvait penser qu’après une telle opération, je pourrais coacher quasiment normalement ? Je n’ai pas de tabou, je n’ai pas honte, vous pouvez poser les questions que vous voulez. Et demain, je suis prêt à repartir en Pro A, en coupe d’Europe, comme je l’ai quasiment toujours fait durant ma carrière.\\n\\nQuelles sont les perspectives données par le professeur qui vous suit ?\\n\\nAu début, je ne pouvais même pas compter jusqu’à cinq. Je suis allé deux, trois par semaine chez l’orthophoniste. J’ai tout repris à zéro et je m’entraînais seul à la maison. Avec la volonté, le désir de ne pas arrêter de coacher, j’ai parlé très rapidement. Donc, je pense que ma voix va progresser en terme d’intensité, de constance. Là, j’ai un autocollant sur lequel j’appuie en même temps que je parle. Je ne sais pas pourquoi, au téléphone, c’est beaucoup plus dur et moins net. En direct et avec la sono, c’est quasiment normal. Je fais le briefing d’avant-match, de mi-temps et d’après-match tout seul, sans haut-parleur, sans crier. Je suis comme tous les coaches, plus que d’autres encore, j’ai toujours une grande gueule. Je poussais de temps en temps de vraies gueulantes après mes joueurs, les arbitres, les journalistes, et depuis un an, je m’aperçois que l’on peut coacher à un très bon niveau sans avoir besoin de gueuler. Et ça c’est une belle leçon !\\n\\nVous êtes moins dans le conflit, davantage dans le respect de l’autre ?\\n\\nTout à fait. C’est vrai que les mots peuvent être plus aiguisés, et souvent en match, quand je suis frustré, c’est la gestuelle qui parle à la place du son de ma voix. Mais je suis fier aujourd’hui de faire mon job avec la même efficacité qu’avant, sans crier, avec la même écoute de mes joueurs, sans problème de discipline.\\n\\nQuelques mois après cette interview, Eric Girard avait écrit un livre en collaboration avec le journaliste Pierre Ballester, « Je n’ai qu’une parole » afin de raconter son histoire.\\n\\nLe message écrit cette semaine par Eric Girard à destination des supporters de l’ESSM Le Portel.\\n\\n[armelse]\\n\\nEric, comment allez-vous ?\\n\\nTrès bien. Bien sûr, ma voix a changé, surtout au téléphone, puisque j’ai subi une laryngectomie totale (ablation du larynx), mais ma santé est bonne et mon moral est à 200%. On ne sait jamais avec ces maladies-là, aussi j’espère que c’est derrière moi. J’ai passé un examen il y a quelques jours qui a démontré que tout est nickel. Le problème, c’est la qualité de ma voix -ce qui n’est pas grave, j’ai passé l’âge des roucoulades avec les jeunes femmes !- et surtout la puissance de cette voix. C’est un peu un problème dans la vie de tous les jours et dans mon boulot.\\n\\nEst-ce fatigant de parler ?\\n\\nPas du tout. Pour les entraînements, dans la salle du Portel, j’utilise un micro sans fil qui est relié à de grosses enceintes. Ma voix est amplifiée comme si je faisais une conférence devant deux cents personnes. Lorsque je suis dans une autre salle, je dispose d’un micro sans fil relié par wifi à une petite enceinte, qui est grande à peu près comme la surface d’un ordinateur. Je la trimbale partout et elle fonctionne sur batterie. Je la mets sur la table de marque et je peux parler à mes joueurs de n’importe quel endroit de la salle.\\n\\nLe handicap existe au moment des matches. Ça vous demande une grande complicité avec l’assistant, Frédéric Munch ?\\n\\nTout à fait. Le seul problème, ce sont les temps-morts. Je ne peux pas les faire car il y a trop de bruit. Mon assistant, comme mes joueurs, sont capables de lire quelques mots sur mes lèvres. Il faut quand même savoir qu’il y a des matches notamment d’Euroleague où il y a tellement de bruit que les coaches ne peuvent pas parler aux temps-morts et fonctionnent avec la tablette, en mimant les gestes. Ce n’est donc pas un gros problème. Ça demande de la concentration, de la réaction à mon assistant. On fait le pré-temps-mort ensemble, je lui donne mes consignes, sur un thème défensif que l’on a mis en place ensemble, avec éventuellement une ou deux idées en attaque, et lui redonne ça aux joueurs avec mes idées, mes adaptations, et parfois, sur ce qui lui est attribué avec un ou deux principes à lui. Ça, je le faisais déjà avant avec mes autres assistants. On se leurre un peu tous sur l’efficacité réelle d’un temps-mort, nous les coaches.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Alexey Shved (Khimki Moscou) absent trois semaines de plus"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Absent depuis un mois après s’être fracturé l’auriculaire gauche, Alexey Shved (1,98m, 30 ans) voit sa durée d’indisponibilité se prolonger.\\n\\nInterrogé par RIA Novosti après le match d’Euroleague face au Darussafaka, Georgios Bartzokas, l’entraîneur du Khimki Moscou n’a pas donné de bonnes nouvelles concernant son meilleur joueur qui aurait initialement dû faire son retour dans les prochains jours.\\n\\n« Je n’ai pas de bonnes nouvelles le concernant. Alexey va avoir besoin de trois semaines de plus pour faire son retour à l’entraînement. Il aura aussi besoin de temps pour se remettre dans le rythme. Anthony Gill, de son côté, est prêt. Nous avons un calendrier compliqué, nous n’avons pas beaucoup de temps pour nous préparer et sans Gill et Shved nous essayons de changer notre plan de jeu, mais ça prend du temps. »\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tywain McKee (ex-Cholet) rebondit en Pologne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le meneur américain Tywain McKee (1,88m, 32 ans) vient de signer dans la ligue polonaise au King Wilki Morskie Szczecin actuellement au 9e rang avec 5 victoires et 6 défaites. McKee a débuté cette saison à Cholet Basket (11,0 points, 2,5 rebonds, 4,8 passes) mais a été remercié après 4 matches pour mauvaise conduite.\\n\\nTywain McKee avait porté le maillot du Mans lors de la saison 2015-16.\\n\\nPhoto: CB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : quasiment un mois avant sa date, le match Kaunas – Panathinaïkos est déjà à guichets fermés"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quand on parle des meilleurs supporters d’Europe, ceux du Zalgiris Kaunas arrivent très vite dans la conversation aux côtés des fans du Panathinaïkos, de l’Olympiakos ou encore du Fenerbahce.\\n\\nUne nouvelle fois cette saison, la ferveur du peuple lituanien se fait ressentir. Sur Twitter, le Zalgiris Kaunas annonce que le match du 18 janvier 2019 contre le Panathinaïkos comptant pour la 19e journée d’Euroleague sera à guichets fermés et que les travées de la Zalgirio Arena seront aux couleurs du vert du Zalgiris.\\n\\nLa capacité de cette salle est de plus de 15 500 places."
}, 
{"role": "user",     "content":"Allemagne: Baisse des affluences, -9,8% au Bayern Munich"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Depuis cinq ans les affluences dans le championnat allemand (easyCredit Basketball Bundesliga) sont en baisse. De 4 675 en 2013-14, la saison record, elles sont passées à 4 404 la saison dernière. A noter que le taux de remplissage demeure très bon (89,0%). Contrairement à une idée reçue, la BBL souffre d’un manque d’... arenas. Si la Mercedes-Benz Arena compte 14 500 places, c’est la seule à dépasser le cap des 10 000 sièges et 7 des 18 clubs de la Ligue ont à disposition une salle de moins de 3 500 places contre 6 en Jeep Elite.\\n\\nLa tendance baissière se confirme cette saison : -2,9% avec 4 276 spectateurs à ce jour. La chute la plus spectaculaire est à observer à Munich avec 9,8% de public en moins soit 5 357 spectateurs à l’Audi Dome contre 5 939 en 2017-18.\\n\\nIl faut probablement mettre ce recul sur le compte de la participation du Bayern à l’Euroleague avec ses 15 matches à domicile.\\n\\nSur le plan sportif, en revanche tout va bien pour le champion d’Allemagne en titre avec 11 victoires et 11 matches. Lors de la dernière journée, le Bayern a imposé sa loi à domicile à son grand rival berlinois, 83-81, avec 26 points de l’ancien NBAer Derrick Williams. Et en Euroleague, il propose un très bon bilan de 7 victoires pour autant de défaites.\\n\\nPhoto: Bayern Munich"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ligue Féminine: Nantes fait tomber le leader Lyon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que dans la semaine Lyon s’était qualifié pour les quarts-de-finale de la Coupe de France, Nantes-Rezé avait chuté à domicile face à Tarbes. Et pourtant hier soir ce sont les Déferlantes qui ont causé la surprise de la journée en Ligue Féminine s’imposant 74-72 malgré un retour des Lyonnaises dans le dernier quart.\\n\\nAvec 20 points réussis grandement grâce à un 4/5 à trois-points, la meneuse espagnole Ana Suarez a poussé les Nantaises vers le haut avec une bonne contribution de Maud Medenou et Shaqwedia Wallace, 14 points chacune. L’assistant-coach nantais Stéphane Jarnoux a mis l’accent sur la versatilité de son équipe:\\n\\n« On est une équipe qui est capable de réagir à tous les stimulis. Parfois très négativement comme on a pu le voir en milieu de semaine et puis là avec beaucoup plus de concentration, avec une énergie retrouvée, on a réussi à casser le rythme de Lyon. Il faut que l’on compose avec ça mais surtout que l’on arrive à le corriger. C’est important pour la suite de la saison. Ces matches là sont bons à prendre mais il faudra aussi prendre les matches couperet. »\\n\\nUne victoire précieuse pour Nantes-Rezé dans un championnat où tout est encore nébuleux entre la 4e et la 11e place. Quant à Lyon ASVEL féminin, il abandonne ainsi la place de leader au seul Bourges.\\n\\nPhoto: Emmanuel Coeuret et Shaqwedia Wallace (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Norris Cole quitte Avellino pour Buducnost en Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme pressenti, Norris Cole (1,88m, 30 ans) a décidé de quitter l’Italie et Avellino pour rejoindre le Buducnost Podgorica qui évolue en Ligue Adriatique et en Euroleague.\\n\\nSuite aux gros problèmes financiers de son club, le propriétaire du club transalpin a annoncé que ses joueurs étaient libres de quitter le club s’ils le voulaient. C’est donc ce qu’a fait le double champion NBA après avoir été approché par le club monténégrin, avant-dernier d’Euroleague (3v-11d). L’ancien joueur du Maccabi Tel-Aviv sera le coéquipier d’Edwin Jackson à Podgorica.\\n\\nL’ancien coéquipier de LeBron James est donc la troisième recrue du Buducnost cette semaine après Gota Bitadze et James Bell.\\n\\nCette saison, Norris Cole compilait en moyenne 16,3 points, 3,2 rebonds et 6,1 passes décisives en Serie A, et 16,1 points, 4,3 rebonds et 6,4 passes décisives en Champions League.\\n\\n\\n\\n\\n@pg30_Cole, dvostruki šampion NBA lige, treće pojačanje u poslednja dva dana. Dobrodošao! pic.twitter.com/jjO4zGg5GA\\n\\n\\n— KK Budućnost VOLI (@KKBuducnostVOLI) December 21, 2018\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le chiffre – Victoire de l’ASVEL pour ses 70 ans et son 2 000e match"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Née de la fusion de l’AS Villeurbanne avec l’Eveil Lyonnais, l’ASVEL, rebaptisée récemment LDLC ASVEL, fête ses 70 ans et selon OBuzzer, la vieille dame a joué hier soir le 2 000e match de son histoire en championnat de France, saison régulière et playoffs confondus. Forcément un record national puisque c’est le seul club à avoir toujours évolué en première division depuis cette date.\\n\\nLes deux anniversaires ont été fêté dignement avec une victoire sur le voisin de la JL Bourg, 81-66. Une fois de plus, le pivot croate Miro Bilan a été dominateur avec 18 points et 7 rebonds et sa grande maladresse à trois-points (1/11) n’a finalement pas été pénalisante pour le club doyen.\\n\\nEn attendant Monaco-Strasbourg, les Villeurbannais sont plus que jamais les solides leaders de la Jeep Elite. Comme il y a soixante-dix ans.\\n\\n\\n\\n\\nAu lendemain de son 70e anniversaire, et pour le 2000e match de championnat de son histoire (saison régulière et playoffs confondus), @LDLCASVEL s’impose devant la @JLBourgBasket (81-66) et conserve son invincibilité à domicile en #JeepElite ainsi que son fauteuil de leader !\\n\\n\\n— OBUZZER (@O_buzzer) December 22, 2018\\n\\n\\n\\n\\n70 années au plus haut niveau, joyeux anniversaire @LDLCASVEL ! 🎂 #LDLCASVEL pic.twitter.com/wz6uNkhCId\\n\\n\\n— LDLC ASVEL (@LDLCASVEL) December 22, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jacky Chazalon parmi les candidats au Hall of Fame américain"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Hall Of Fame de Springfield a dévoilé une centaine de noms de joueurs, de joueuses, de coaches, d’équipes, de dirigeants, d’arbitres et de journalistes qui forment la pré-sélection pour entrer à ce Panthéon du basket américain devenu mondial. Une sélection de finalistes sera rendu public au All-Star Game, et c’est au Final Four NCAA que les lauréats qui entreront au Hall Of Fame seront connus.\\n\\nParmi les prétendants, on trouve notamment Muggsy Bogues, Becky Hammon, le Serbe Vlade Divac, le Croate Toni Kukoc et la Française Jacky Chazalon.\\n\\nJacky Chazalon fut la meneuse de jeu du Clermont Université Club et de l’équipe de France et reconnue comme l’une des meilleures joueuses d’Europe des années soixante-dix."
}, 
{"role": "user",     "content":"Russie: Vassili Karasev n’est plus le coach du Zenit Saint-Petersbourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vassili Karasev, 47 ans, n’est plus le coach du Zenit St. Petersbourg. La victoire de l’ASVEl (84-81) en Russie la semaine dernière a peut-être précipité sa destitution. Ceci dit, le Zenit s’est qualifié à l’arrache au top 16 de l’Eurocup. Il occupe par ailleurs la sixième place en VTB League avec 5 victoire et 4 défaites.\\n\\nL’ancien international russe était entré comme assistant au Zenit en 2010, il avait été promu coach principal deux ans plus tard et il avait reçu le trophée de Meilleur Entraîneur de VTB League en 2016. Il est le père de Sergei (2,01m, 25 ans) qui est le meilleur marqueur de l’équipe en Eurocup avec 18,9 points.\\n\\nL’Espagnol Joan Plaza, 54 ans, remplace Karasev à la tête du Zenit. Il a coaché auparavant le Real Madrid, Zalgiris Kaunas et Unicaja Malaga.\\n\\nPhoto: VTB League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Spécial Limoges – Boute-En-Train ou le voyage à Grenoble des supporters du CSP pour la finale de la Coupe des Coupes en 1988"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il y a trente ans, le 16 mars 1988, le Limoges CSP remportait la Coupe des Coupes, la C2 de l’époque, en battant en finale les Espagnols de la Joventud Badalone. Après Padoue en 1982 et Berlin une année plus tard, le club organisa pour ses supporters un déplacement ferroviaire à Grenoble. C’est ce voyage que nous avions raconté à l’époque.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDu vécu, coco !, comme on dit dans la confrérie des journalistes. Objectif : sortir des terrains battus, quitter notre univers ouaté d’observateur privilégié, vivre de l’intérieur la furia verte, entrer dans la peau d’un supporter ordinaire du CSP. Se rendre à Grenoble par ce fameux « train vert », qui convoya déjà les fans limougeauds pour d’homériques épopées à Padoue et à Berlin. Pouvoir dire, moi aussi, « j’y étais ! ».\\n\\nMercredi, 6h15, gare des Bénédictins. Petits yeux, et bouches pâteuses, ils sont tous là depuis longtemps déjà, armés jusqu’aux dents, parés pour cette énième campagne. Sur un panneau, le nom de tous les voyageurs par ordre alphabétique, avec le numéro de leur compartiment respectif. Tout est parfaitement organisé. On ne cessera de le constater tout au long des sept heures de transhumance.\\n\\nAffréter un train spécial, c’est presque devenu de la routine pour la SNCF. Les partis politiques, les organisations syndicales utilisent souvent ce moyen pour rameuter leurs ouailles à un meeting. Les clubs sportifs, c’est quand même beaucoup plus rare. En basket, Limoges est un cas unique. C’est le rugby qui a eu l’initiative. Pour monter à la capitale, les finalistes du championnat de France en investissent chacun souvent plusieurs. A la SNCF, on commence à se faire tirer l’oreille, car on a déjà eu à déplorer des exactions de type hooliganisme, vitres brisées et sièges lacérés. « Les supporters du CSP ont toujours eu, eux, un comportement exemplaire », certifie un représentant de la SNCF.\\n\\nLa SNCF, qui a demandé 170 000 F pour accrocher les 15 wagons à la loco. Elle se charge de dénicher un parcours, jonglant entre les horaires des trains ordinaires, et préférant les lignes à double-voies pour ne pas perturber le trafic. C’est pourquoi, on est remonté jusqu’à Vierzon avant de plonger vers Lyon et Grenoble, plutôt que de foncer à travers le Massif Central ravitaillé par les corbeaux. Mais, par contre, l’intendance est à la charge du club. Et c’est là que se met en branle « L’armée de l’ombre » du CSP, comme l’appelle si bien le Populaire du Centre.\\n\\nCette armée pacifique est composée de plus de 150 bénévoles. Un record national que les autres clubs sont très loin d’égaler. A sa tête, Roger Joly, un sexagénaire qui ne voulait pas passer sa retraite sur une chaise longue. Joly et ses amis ont dû enregistrer, canaliser, la formidable demande de réservations qui a suivi la qualification du CSP pour la finale. 2 400 billets avaient été alloués par les organisateurs grenoblois. Nettement insuffisant. Une fois vendus 1 108 billets de trains, 102 places d’autocars, affrétées deux caravelles de 114 sièges chacune, et distribué le solde à des gens désirant rallier le Dauphiné en voitures particulières, ou en car spécial comme les pompiers de la ville, le CSP, en désespoir de cause, a dû annoncer par voix de presse que tout était archi complet. « Il est certain que l’on aurait pu louer un second train », assure Roger Joly.\\n\\nSoixante-cinq dirigeants se sont chargés d’encadrer le millier de supporters du train vert. Pour servir de contrôleur dans chaque compartiment, pour organiser un concours de pronostics quasi-obligatoire, pour vendre la panoplie du parfait petit supporter, et pour servir les 2 000 bières, les 500 panachés, les 600 sandwichs, ou encore les 2000 rations de café prévus pour le périple.\\n\\nJean-Luc Thomas, journaliste à L’Equipe, et auteur d’un livre, « Trans Korac Express », sur l’expédition de Padoue, m’avait prévenu : « Tu vas voir, ce qui frappe, c’est la formidable convivialité qui existe dans ce train ».\\n\\nOn avait décidé de jouer le jeu. D’être, nous aussi, des Mimiles, comme on dit péjorativement. On a apporté notre baguette, notre saucisson, notre calendos, et notre litron de rouge. Ce que je n’avais pas prévu, en revanche, c’est que d’emblée nos semblables allaient mettre à rude épreuve les foies des journalistes, qui ont pourtant la réputation d’être blindés. Première mission : faire un aller-retour pour explorer le train de fond en comble. Je l’avoue humblement, j’ai fait demi-tour à mi-parcours. Une question de survie. Car à chaque compartiment, le sourire aux lèvres, et l’œil déjà pétillant, voilà que l’on me proposait, en guise de laissez-passer, du pinard, du scotch ou du pastis. Car nos congénères ont prévu des provisions à profusion. Il y en a même un qui a hissé dans le train une barrique de rouge, qui sera éclusée à gorges déployées. Car personne, ici, n’a le vin triste. Pas question de dire non à un pt’it coup, sous peine de passer pour un affreux petit bourge qui refuse de s’encanailler. Me voilà dans la position délicate du facteur de campagne. Seulement, vous avez déjà avalé un p’tit blanc à 7 h du mat’ ? Moi, non. Et visiblement mon métabolisme ne supporte pas. Il y a des limites aux risques du métier. Il fallait mieux battre en retraite, si je ne voulais pas finir la soirée dans les lavabos du Palais des Sports de Grenoble.\\n\\n« On boit, on mate, on drague, on chante. « oh-é, oh-é, oh-é, oh-é, Limoges, Limoges... »\\n\\nPour 380 F, tout compris, ces gais lurons ont décidé de s’offrir non seulement une finale européenne (et une victoire i-né-vi-table du CSP), mais aussi une bonne tranche de rigolade. Avant l’aube, ils ont donc commencé très fort, trop fort peut-être. Les braves parmi les braves se sont regroupés au wagon-bar transformé en night club ! En boîte du p’tit jour, plutôt. Tout a été prévu. Une piste de danse a été aménagée avec des spots bleu, rouge et jaune. Une cassette enregistrée par un D.J de Limoges est ressassée invariablement. Et voilà que nos supporters, peinturlurés, enrubannés, se lancent dans des farandoles rythmées par France Gall ou Stéphanie de Monac’ et... le roulis du train, qui tangue à chaque aiguillage. On boit, on mate, on drague, on chante. « oh-é, oh-é, oh-é, oh-é, Limoges, Limoges... ».\\n\\nLe club des supporters a embarqué trois énormes sacs de confetti. Bientôt les compartiments sont recouverts d’une épaisse marée blanche. Il neige. Et voilà le Père Noël ! Ce n’est pas une hallucination. Juste un déguisement.\\n\\nA l’arrière du train, les musiciens de la banda de Bessines sortent leurs instruments de leurs étuis, et remontent les compartiments, grosse caisse en tête.\\n\\nIl y a dans ce train vert un échantillonnage représentatif de toutes les couches sociales de la population limousine. Des chômeurs, qui se sont fait offrir le voyage par leurs copains qui se sont cotisés. Des mémères, des pépères. Des cadres moyens. Des étudiants. Beaucoup restent toutefois sagement assis, suivant le spectacle permanent des yeux, parfois du palais. Jouant aux cartes, et prenant les dernières nouvelles de leurs petits préférés dans leurs quotidiens. C’est sympa, très franchouillard. C’est l’ambiance que l’on devait trouver lors des premiers congés payés du front popu. Ca chambre gentiment quand, à l’arrêt de Vierzon, on croise des quidams qui vont au turbin. Un supporter les interpelle : « vous allez au boulot ?! Nous, on va à Grenoble ! ».\\n\\nA Lyon, notre troupe va prendre un peu d’air frais sur le quai. Des costards-cravates BC-BG interloqués regardent, sans rien comprendre, nos Limougeauds danser frénétiquement au son de la Banda. « Qui sont ces barbares ? », doit se demander ce type avec ses lunettes en écailles et son attaché-case, l’air passablement hautain. S’est-il, lui, au moins une fois amusé dans sa vie ?\\n\\n13h30. Xavier Popelier est venu nous accueillir à la gare de Grenoble. Popelier n’avait laissé le soin à personne d’animer les expéditions à Padoue et à Berlin. Le président aime la ferveur populaire, comme Michel Léger à Cholet. Mais cette fois, il a pris la Caravaelle pour accompagner les VIP. Et c’est Jean-Claude Biojout, l’éminence grice, qui s’était mêlé pour l’aller aux supporters, n’hésitant pas à retrousser ses manches au bar-corail.\\n\\nLa Banda donne une aubade sur le parvis de la gare. On chante, on agite les drapeaux. Les caméras d’Antenne 2 n’en perdent pas une miette. Et puis, on s’éparpille. On investit les cafés. On déambule dans les rues piétonnes. On vient porter la bonne parole. Les badauds découvrent ces petits bonhommes verts peu ordinaires dont certains seront même tentés de diriger la circulation à l’un des principaux carrefours de la ville. Mais là encore, même si quelques uns sont victimes de turbulences intérieures ( !), tout ça se fait en rigolant, sans véritables excès. Le speaker, dans le train, avait multiplié les appels au calme, insistant sur la bonne tenue à avoir en ville, sur la réputation du club. Il sera écouté.\\n\\n« Les bouchons des 300 bouteilles de champ’ que le CSP avait emmenées dans les bagages ont sauté joyeusement »\\n\\nLa surprise, en fait, c’est que nos supporters limougeauds vont parfois être submergés par les décibels espagnols. Car la Juventut Badalone a déployé une armada digne de son rival du FC Barcelone. On peut d’ailleurs les confondre. N’ont-ils pas les mêmes drapeaux catalans sang et or, le même genre de répertoire, les mêmes feux de Bengale, la même façon de sautiller sur place au rythme des slogans ? Ce sont eux qui ont pénétré les premiers dans l’arène. Ils sont également en vert, mais le noir qui s’y associe empêche de les confondre avec les nôtres. Et puis, ils sont généralement plus jeunes, beaucoup plus jeunes, et on dénombre presque autant de filles que de garçons. A Limoges, on n’est pas sexiste, mais c’est un dénominateur commun des clubs français, supporter, c’est une affaire d’hommes.\\n\\nLe CSP avait invité sa Banda, et aussi ses majorettes transformées en pom-pom girls et son ours blanc. Mais la Banda et les nanas se replièrent avant le premier entre-deux aux alentours du... 30e rang des tribunes. Perdant ainsi une bonne partie de leur efficacité. Et tandis que le kop de la Juventut ne cessait de s’agiter et d’hurler, on apercevait dans la tribune d’en face, certains de nos Limougeauds, tranquillement assis, applaudir comme au théâtre. « On a été impressionné... par les emplacements réservés aux supporters espagnols », nous dira avec un demi-sourire Jacques Lalande, président du club des supporters. « Heureusement, un groupe d’une cinquantaine de supporters a réussi à s’installer de force derrière le panneau. Ce sont ceux-là qui ont créé l’ambiance ». Supporters par les gestes, par la voix, par les drapeaux ou les cornes de brume, la nuance est importante avec, disons, les supporters de cœur, certes, mais beaucoup moins exubérants, et qui finalement formaient la majorité des trois milliers de Limougeauds. Des gens venus-là pour un événement, mais qui ne ressemblent guère au noyau de durs, qui ont déjà soutenu leur équipe à Lorient ou à Antibes, et qui pour la plupart se sont retrouvés isolés tout en haut des tribunes grenobloises. « Ceux que vous avez vu dans la tribune derrière le panneau, ce sont ceux qui ont pris l’avion à 1 300 balles. Nous avons un public vieillissant », nous dira un supporter de base un peu amer.\\n\\nLa force du public des collèges américains est d’être constitué d’étudiants, et à cet âge-là, que voulez-vous, on a davantage de punch qu’à cinquante balais. C’est la recette reprise – volontairement ou non – par les équipes espagnoles et italiennes. Des jeunes, lycéens, étudiants, mais aussi employés ou ouvriers, nourris dès leur plus tendre enfance par le sport-spectacle. D’un naturel aussi plus extraverti. Comme les Béarnais montés à Coubertin en 84, et qui avaient fait souffler un vent de folie douce sur le vieux gymnase de la Porte de Saint-cloud.\\n\\nAlors, voilà, on a admiré l’organisation de ce voyage par rail, la détermination, l’abnégation, le sourire, avec lesquels ces dames tartinaient les sandwichs pour offrir à déjeuner à tous dans le train, la bonne humeur ambiante, mais, mais, si on se montre un peu difficile, on doit constater que nous, supporters, nous avons pris dans les tribunes une petite leçon d’espagnol.\\n\\nSeulement, c’est NOUS qui avons gagné. Alors, c’est NOUS qui nous nous sommes levés de nos sièges durant la prolongation, qui avons déferlé sur le parquet pour tenter d’approcher NOS héros et leur coupe. Le reste, c’est du bla-bla de journaliste.\\n\\nComme prévu, les cars nous attendaient à la sortie de la salle, et le train est reparti à 11h45, pile. Quelques supporters se sont égarés sur le chemin du retour. Ils ont dû se débrouiller tout seul. Les bouchons des 300 bouteilles de champ’ que le CSP avait emmenées dans les bagages ont sauté joyeusement. Et puis, très vite, le marchand de sable est passé au-dessus du convoi. Tout le monde était heureux, mais crevé. A part quelques irréductibles, infatigables, qui ont continué à chanter et gesticuler sur la piste de danse jusqu’à l’aube. Ceux-là aussi méritent une Coupe.\\n\\nLe klaxon du mécano, en gare de Limoges, a réveillé les derniers endormis. Un millier de Limougeauds, ceux qui avaient suivi le match à la radio, à la télé, ou sur un écran géant en ville, attendaient le train vert sur le quai D. Et surtout, comme au retour de Padoue et de Berlin, les joueurs étaient là, pas rasés, les yeux rougis, mais plus heureux que jamais. Tenant le trophée à bout de bras. Un trophée en porcelaine. Clin d’œil du destin. Encore des chants, une dernière java, et quelques clichés fixés sur la pellicule pour l’éternité. Une ultime communion... avant le grand bal prévu le lendemain soir dans le hall de la gare des Bénédictins.\\n\\nEn attendant, les plus veinards pouvaient aller poser la tête sur leurs oreillers. Les autres avaient tout juste le temps d’aller pointer à l’usine ou au bureau. Ils raconteront tout en détail aux copains.\\n\\nIl était 8 ou 9 heures. Toutes les radios annonçaient : « Limoges a gagné la Coupe des Coupes, alors que Bordeaux... ». Il y a des instants où l’ont est fier d’être supporter de basket.\\n\\nArticle paru dans Maxi-Basket en avril 1988.\\n\\n[armelse]\\n\\nDu vécu, coco !, comme on dit dans la confrérie des journalistes. Objectif : sortir des terrains battus, quitter notre univers ouaté d’observateur privilégié, vivre de l’intérieur la furia verte, entrer dans la peau d’un supporter ordinaire du CSP. Se rendre à Grenoble par ce fameux « train vert », qui convoya déjà les fans limougeauds pour d’homériques épopées à Padoue et à Berlin. Pouvoir dire, moi aussi, « j’y étais ! ».\\n\\nMercredi, 6h15, gare des Bénédictins. Petits yeux, et bouches pâteuses, ils sont tous là depuis longtemps déjà, armés jusqu’aux dents, parés pour cette énième campagne. Sur un panneau, le nom de tous les voyageurs par ordre alphabétique, avec le numéro de leur compartiment respectif. Tout est parfaitement organisé. On ne cessera de le constater tout au long des sept heures de transhumance.\\n\\nAffréter un train spécial, c’est presque devenu de la routine pour la SNCF. Les partis politiques, les organisations syndicales utilisent souvent ce moyen pour rameuter leurs ouailles à un meeting. Les clubs sportifs, c’est quand même beaucoup plus rare. En basket, Limoges est un cas unique. C’est le rugby qui a eu l’initiative. Pour monter à la capitale, les finalistes du championnat de France en investissent chacun souvent plusieurs. A la SNCF, on commence à se faire tirer l’oreille, car on a déjà eu à déplorer des exactions de type hooliganisme, vitres brisées et sièges lacérés. « Les supporters du CSP ont toujours eu, eux, un comportement exemplaire », certifie un représentant de la SNCF.\\n\\nLa SNCF, qui a demandé 170 000 F pour accrocher les 15 wagons à la loco. Elle se charge de dénicher un parcours, jonglant entre les horaires des trains ordinaires, et préférant les lignes à double-voies pour ne pas perturber le trafic. C’est pourquoi, on est remonté jusqu’à Vierzon avant de plonger vers Lyon et Grenoble, plutôt que de foncer à travers le Massif Central ravitaillé par les corbeaux. Mais, par contre, l’intendance est à la charge du club. Et c’est là que se met en branle « L’armée de l’ombre » du CSP, comme l’appelle si bien le Populaire du Centre.\\n\\nCette armée pacifique est composée de plus de 150 bénévoles. Un record national que les autres clubs sont très loin d’égaler. A sa tête, Roger Joly, un sexagénaire qui ne voulait pas passer sa retraite sur une chaise longue.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie: Milos Teodosic pourrait quitter les Los Angeles Clippers pour Anadolu Efes Istanbul"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Anadolu Efes a exprimé son intérêt pour Milos Teodosic (1,96m, 31 ans) afin de le signer immédiatement. Le meneur serbe a de son côté annoncé qu’il souhaite retourner en Europe mais bien sûr, cela ne peut se produire que si les Los Angeles Clippers acceptent de le libérer. L’information vient du magazine serbe Kos.\\n\\nSi l’affaire se fait, Teodosic sera intégralement indemnisé de son contrat avec la NBA, qui expire cet l’été. Un éventuel accord entre Teodosic et Anadolu Efes obligerait l’un des membres actuels de la ligne arrière de Anadolu Efes de quitter le club turc qui se comporte admirablement jusqu’à présent avec le trio Vasilje Micic, Rodrigue Beaubois et Shane Larkin. Il est donc possible que l’un de ces trois joueurs prenne le chemin opposé de Teodosic et se retrouve en NBA.\\n\\nPour sa deuxième saison aux Clippers, le Serbe se contente de 10′ de temps de jeu pour 3,2 points et 2,1 passes.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eric Girard (Le Portel): «Quelle émotion de savoir que toute l’équipe s’est réunie pour prier à mon intention»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il est hospitalisé pour une intervention chirurgicale et qu’il ne sera pas ainsi sur le banc du Portel ce soir pour le match face à Nanterre, le coach de l’ESSM Eric Girard a écrit un mot de remerciement sur sa page facebook et posté une photo où l’on voit un bouquet de fleurs ainsi que des messages et des dessins d’encouragement:\\n\\n« Chers amis, Chers supporters, chers internautes\\nQuelle émotion de savoir que toute l’équipe, au milieu du terrain, en fin de séance mardi, s’est réunie pour prier à mon intention ...\\nEt hier après midi, quelques femmes et enfants de joueurs (en route vers Nanterre) m’ont apporté de la part du groupe, bouquet de fleurs et dessins ...\\nQuel groupe fabuleux, dans cette période sportivement délicate, avec un tel état d’esprit, je suis sûr que ce soir nous allons assister à un grand match...\\nVous le méritez temps Messieurs, respect. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : Milan met le Pana dans la panade"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"5 défaites de rang, ça commençait à faire beaucoup pour Milan qui a enfin mis un terme à sa série noire face au Panathinaikos (86-83). Pour son retour à Athènes, Mike James termine à 12 points et 8 passes contre un Nick Calathes (24 points, 11 passes) très actif mais très seul aussi... Le Pana attend son nouveau coach, Rick Pitino, pour se relever !\\n\\nPar ailleurs, le Real Madrid a calmé l’embellie récente du Bayern Munich (82-72) alors que le Zalgiris et le Khimki ont profité des réceptions respectives du Maccabi Tel Aviv et de Darussafaka Istanbul pour engranger un nouveau succès précieux pour la suite.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nMilan brise sa série noire au Pana\\n\\nPour briser sa série de 5 défaites de rang, Milan est allé chercher un exploit, la 2e victoire seulement de son histoire sur le terrain du Panathinaikos (86-83). Il s’en est fallu de peu pour le club lombard, pourtant à +8 à 3 minutes de la fin, mais Arturas Gudaitis (20 points, 8 rebonds) a été trop fort.\\n\\nCoaché par Giorgos Vovoras, qui avait déjà fait l’intérim en 2016, le Pana a été valeureux, avec un Nick Calathes (24 points, 11 passes) des grands soirs. Mais Milan en voulait plus avec 27 lancers tentés (pour 21 réussis). Pour son retour à Athènes, Mike James termine à 12 points, 8 passes mais aussi 5 balles perdues et 2/13 aux tirs.\\n\\n\\nLe Real calme le Bayern\\n\\nLe Bayern se refaisait la cerise dernièrement avec la résurgence de Derrick Williams. Munich a cependant pris un mur contre le Real Madrid (82-72). Le match était, pour ainsi dire, plié dès le premier quart, avec Sergio Llull (19 points, 6 passes) et Anthony Randolph (22 points, 5 rebonds) en chefs de chantier.\\n\\nLe champion en titre n’a pas été inquiété avec Edy Tavares (4 contres) en ultime rempart, renvoyant justement Williams au sol sur un contre violent ! Fabien Causeur (2 points) a été discret après sa belle sortie plus tôt dans la semaine. A trois points, le contraste est cinglant : 7/24 contre 15/34 !\\n\\n\\nKaunas fait 2/2 cette semaine\\n\\nDans leur Zalgirio Arena, les hommes verts de Kaunas ont retrouvé un peu de la magie des saisons passées. Face au Maccabi, dans un match disputé de bout en bout, le Zalgiris a sorti une vraie prestation collective, avec Aaron White (12 points, 7 rebonds) en finisseur spectaculaire (80-73). Arturas Milaknis a lui rempli le rôle du sniper avec 16 points à 4/6 à trois points.\\n\\nÇa n’est pas compliqué : Kaunas a pu compter sur pas moins de 5 joueurs à 17 d’évaluation ou plus, un fait rare qui souligne la patte de coach Jasikevicius. Léo Westermann a été de la fête, avec une fiche complète au final : 11 points, 5 rebonds et 4 passes. Pour le Maccabi, Scottie Wilbekin (20 points) et Johnny O’Bryant (18 points) ont lutté en vain.\\n\\n\\nMickey sauve le Khimki\\n\\nAvec 17 points sur les 7 dernières minutes du 3e quart, Dee Bost et Charles Jenkins pensaient bien avoir mis Khimki hors de portée du Darussafaka, bon dernier du classement. Mais rien n’est facile en Euroleague.\\n\\nEt quand Ray McCallum intercepte et inscrit le layup, il n’y a plus que 3 points à 25 secondes. L’improbable retour n’aura finalement pas lieu avec un ultime lancer de Jordan Mickey pour faire la différence (85-84).\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes) : 24 points (9/15 aux tirs), 2 passes, 1 rebond, 2 balles perdues en 31 minutes\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 21 points (8/12 aux tirs), 6 passes, 5 rebonds, 3 interceptions, 2 balles perdues en 30 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 17 points (7/12 aux tirs), 6 rebonds, 3 passes, 2 balles perdues en 25 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 14 points (6/7 aux tirs), 1 rebond, 3 balles perdues en 15 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 11 points (4/9 aux tirs), 6 passes, 2 interceptions, 1 rebond en 23 minutes\\n\\nLéo Westermann (Zalgiris Kaunas) : 11 points (3/6 aux tirs), 5 rebonds, 4 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 21 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 7 points (3/6 aux tirs), 4 passes, 1 rebond, 3 balles perdues en 31 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 6 points (2/3 aux tirs), 6 rebonds, 3 passes, 1 contre, 1 balle perdue en 23 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Efes) : 5 points (2/2 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 22 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 5 points (2/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 contre en 17 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 2 points (0/3 aux tirs), 2 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 12 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 1 point (0/4 aux tirs), 4 interceptions, 2 contres, 1 rebond, 1 passe, 1 balle perdue en 21 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nLe Zalgiris a passé une bonne semaine européenne avec deux victoires en quatre jours. A domicile, Aaron White a fait le spectacle avec une claquette dunk monstrueuse dans le deuxième quart.\\n\\nLaissé libre sur l’extérieur, White en a profité pour prendre de la vitesse et enfourner le cuir avec autant de vélocité que de férocité. Après un début de saison poussif, l’intérieur bondissant de Kaunas a trouvé son rythme de croisière avec 4 matchs de suite en double figure en l’occurrence.\\n\\n\\n\\n\\nWhere did @Aaron_White30 come from? 😤#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/Q78xCIF2pT\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) December 21, 2018\\n\\n\\nLes résultats de la 14e journée\\n\\nJeudi 20 décembre :\\nCSKA Moscou – Efes Istanbul (102-84)\\nPodgorica – Fenerbahçe (65-89)\\nOlympiakos – Gran Canaria (98-77)\\nVitoria – Barcelone (70-77)\\n\\nVendredi 21 décembre :\\nKhimki Moscou – Darussafaka (85-84)\\nZalgiris Kaunas – Maccabi Tel Aviv (80-73)\\nPanathinaikos – Milan (83-86)\\nBayern Munich – Real Madrid (72-82)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 15e journée\\n\\nMercredi 27 décembre :\\nKhimki Moscou – Vitoria (18h)\\nDarussafaka – Olympiakos (18h15)\\nMaccabi Tel Aviv – Milan (20h05)\\nBarcelone – Efes Istanbul (21h)\\n\\nJeudi 28 décembre :\\nFenerbahçe – Real Madrid (18h30)\\nPanathinaikos – CSKA Moscou (20h)\\nBayern Munich – Podgorica (20h30)\\nGran Canaria – Zalgiris Kaunas (21h)\\n\\nA lire aussi : De Colo et Beaubois se tirent la bourre\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nMilan brise sa série noire au Pana\\n\\nPour briser sa série de 5 défaites de rang, Milan est allé chercher un exploit, la 2e victoire seulement de son histoire sur le terrain du Panathinaikos (86-83). Il s’en est fallu de peu pour le club lombard, pourtant à +8 à 3 minutes de la fin, mais Arturas Gudaitis (20 points, 8 rebonds) a été trop fort.\\n\\nCoaché par Giorgos Vovoras, qui avait déjà fait l’intérim en 2016, le Pana a été valeureux, avec un Nick Calathes (24 points,\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B – Roanne seul leader. Laurent Pluvy: «Je suis vraiment très fier de ce qu’on fait les garçons»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Devant 4 500 spectateurs enthousiastes, la Chorale de Roanne a remporté le choc des leaders face à Orléans, 82-69. C’est d’autant plus méritoire que les Roannais étaient privés de Matt Carlino et Mathis Keita.\\n\\nLa Chorale possédait déjà une solide avance à la pause (45-29) et l’écart a grimpé jusqu’à 20 points (69-49) avant que l’OLB refasse surface dans le dernier quart-temps.\\n\\nJason Williams (24 points, 6 rebonds), David Jackson (21 points, 5 rebonds, 6 passes) et Ferdinand Prénom (12 points, 9 rebonds) se sont taillés la part du lion alors que l’adresse générale des Orléanais n’est que de 37,1% avec un 4/23 à trois-points.\\n\\nRoanne est ainsi seul leader avec une victoire d’avance sur son adversaire de la soirée.\\n\\n« On avait le coeur à se racheter par rapport à la prestation de mardi à Denain où nous n’avions pas été nous-mêmes », a déclaré le coach Laurent Pluvy sur les ondes de Activ Radio. « Quand il manque deux joueurs, il faut se solidariser, faire plus d’efforts collectivement. On a déjà vécu ça avec ce groupe-là la saison dernière. On savait que l’on était capable de se serrer les coudes et d’emmener un match sur un rythme défensif (...) On a été disciplinés. Même Bryan (Pamba), qui n’avait pas joué avec nous, on lui a expliqué deux ou trois principes et il s’est mis dedans tout de suite. Je suis vraiment très fier de ce qu’on fait les garçons, du comportement et de la qualité de jeu (...) J’aurais signé tout de suite si on m’avait dit que l’on allait gagner de 13 points. Après, il y a un petit regret car ça peut se jouer au panier-average. On aurait pu aller chercher un +18 ou quelque chose comme ça mais c’est faire la fine bouche. »\\n\\nPhoto: Chorale de Roanne"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie: Recrutement bloqué à Turin, le propriétaire a mis la main à la poche à Avellino"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le tribunal de la Fédération Internationale a interdit à Fiat Turin Auxilium de recruter à partir d’hier, vendredi 21 décembre, car le club lombard doit 130 000 dollars à l’arrière-ailier Lamar Patterson, aujourd’hui en Australie. L’Américain demande que lui soit payé les quatre derniers mois de son contrat 2017-18 que Turin ne voulait pas lui verser suite à une mesure disciplinaire survenue avant les quart-de-finale de la Coupe d’Italie qui avait entraîné son exclusion.\\n\\nLe BAT bloque donc tout nouveau recrutement y compris la conversion du contrat d’assistant en head coach de Paolo Galbiati qui a dirigé quatre fois l’équipe en l’absence de Larry Brown avant que Lamar Patteron soit payé entièrement de son contrat y compris les intérêts de pénalité de retard. Toutefois la sanction n’empêchera pas Auxilium d’exercer l’option de prolonger le contrat de Mam Jaiteh qui expire le 31 décembre jusqu’au mois de juin. L’ancien pivot limougeaud tourne à 5,2 points et 5,6 rebonds en seulement 13’ de temps de jeu moyen. Turin fait partie des cinq équipes qui se partagent la dernière place avec 3 victoires en 10 journées.\\n\\nDu côté de Sidigas Avellino, on respire mieux depuis que le patron Gianandrea De Cesare a versé, hier après-midi, comme promis au président de la fédération, Gianni Petrucci, les 230 000 euros de taxes dues pour respecter les délais. Il s’agit d’un signe important de l’intérêt manifesté par le sponsor-propriétaire pour la poursuite de l’activité malgré les problèmes de liquidité de Sidigas. L’appel lancé par De Cesare aux joueurs pour qu’ils recherchent d’autres destinations s’ils le souhaitaient n’a été accepté que par Norris Cole, qui a passé un accord avec Buducnost Podgorica et a déjà quitté l’équipe. Le club a 14 joueurs sous contrat mais seulement 6 Italiens.\\n\\nPhoto: Fiat Torino"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le chiffre: 4 points pour Gravelines dans le quatrième quart-temps face à Pau"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« C’est une honte! », a lancé le coach Julien Mahé en conférence de presse. « On n’a pas respecté le maillot, on ne s’est pas battu,« a ajouté l’Américain Taylor Smith. L’équipe gravelinoise venait de sortir sous les sifflets de Sportica après une trempe mémorable: 52-80. Vingt-huit points d’écart.\\n\\nLe chiffre qui interpelle le plus ce sont les 4 petits points inscrits dans le dernier quart-temps par le BCM après en avoir mis seulement 12 dans le précédent. Il y a aussi les 22 balles perdues et les... 14 interceptions paloises.\\n\\nAu niveau individuel, le meneur Edar Sosa, qui revenait de blessure, a réalisé un piteux 2/16 aux shoots et Scott Wood a obtenu une évaluation négative (-1) après avoir passé 20 minutes sur le terrain. Et les autres Nordistes ce n’est guère mieux.\\n\\nA l’inverse, côté palois, CJ Harris a mis 18 points et Mickey McConnell a fait 9 passes et 4 interceptions.\\n\\nLe BCM a dit peut-être adieu à la Leaders Cup alors que l’Elan Béarnais peut y croire dur comme fer.\\n\\nPhoto: Myles Hesson (BCM)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges: Visiblement, il y a un effet François Peronnet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cinq victoires en cinq matches, une qualification au Top 16 de l’Eurocup, la perspective d’obtenir un billet pour la Leader Cup. Il y a incontestablement un effet François Peronnet à Limoges.\\n\\nHier soir, ce sont les joueurs de Châlons-Reims qui ont fait connaissance avec ce Limoges CSP beaucoup plus en confiance. Ils ont pris une rouste (83-106) si bien que quelques sifflets ont résonné dans la salle René-Tys à la fin du match.\\n\\n« On a vécu une soirée cauchemardesque. On est rentré dans ce concours de tirs. C’était le gros piège. Il ne fallait pas aller sur ce terrain, » a pesté le coach du CCRB Cédric Heitz en conférence de presse, propos repris par L’Union.\\n\\nLe CSP a réalisé un superbe 14/23 à trois-points et surtout sa production n’a pas tenu à une ou deux individualités: 8 Limougeauds ont obtenu entre 10 et 19 à l’évaluation. Il a su aussi bien défendre notamment sur la star locale, Devin Ebanks, qui n’a marqué que 2 points en seconde période après en avoir mis 18 dans la première.\\n\\n« C’était un match sérieux », a confirmé William Howard au micro de France Bleu Limousin. « Offensivement, on a fait le job et défensivement aussi. Tout le monde a apporté. Physiquement, on était un peu entamé avec le match que l’on a eu mercredi. Je pensais que la seconde mi-temps serait difficile mais c’est là où on a tué le match (...) Ca ne fait pas longtemps que l’on travaille avec François mais il a mis des choses en place et petit à petit, on commence à bien les gérer des deux côtés du terrain (...) Maintenant il ne faut pas laisser passer le dernier match à domicile comme ça, ça nous placera bien pour la Leaders Cup. »\\n\\nC’est Boulazac qui sera l’adversaire du CSP jeudi. Une sixième victoire et les nuages noirs qui ont survolé le Limousin ces dernières semaines s’éloigneront pour de bon.\\n\\nPhoto: François Peronnet (CSP)"
}, 
{"role": "user",     "content":"David Blatt (Olympiakos) : «Les coachs sont sous-éstimés»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Entraîneur de l’Olympiakos, David Blatt s’est exprimé sur la décision du Panathinaïkos, l’éternel rival de l’Oly, de se séparer de Xavi Pascual.\\n\\nAprès la large victoire de l’Olympiakos face à Gran Canaria (98-77), l’ancien coach des Cleveland Cavaliers s’est montré solidaire avec l’ancien entraîneur du FC Barcelone qui est resté un peu plus de deux ans à la tête du Pana.\\n\\n« Ce n’est pas mon travail ni l’endroit de commenter les décisions d’autres clubs. Mais je voudrais dire qu’en tant que coach, en tant que collègue, j’ai le plus grand des respects pour Xavi Pascual. Ça me perturbe parce que c’est un grand coach, une bonne personne. Je n’aime pas ça. »\\n\\nL’ancien entraîneur du Maccabi Tel-Aviv s’est également exprimé sur le fait que déjà cinq des seize coachs d’Euroleague ont déjà été remercié.\\n\\n« J’apprécie la question. Les coachs sont sous-évalués et les personnes qui sont en charge de les recruter devraient être plus solidaires, patientes et professionnelles. Ce n’est pas mon rôle de leur dire quoi faire, mais je peux dire comment je ressens cela. Je veux voir mes collègues être respectés et traités équitablement. Plus je pense à ça, plus ça m’énerve. Pour moi, ils méritent mieux. »\\n\\nPropos rapportés par Eurohoops.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cette semaine, Jean Degros été élu Gloire du Sport français"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Jean Degros, 79 ans, fait partie de la promotion des Gloires du Sport 2018. Le titre de Gloire du sport honore les anciens sportifs, dirigeants, entraîneurs et journalistes ayant brillé au service du sport français, à l’instar du Hall of Fame américain.\\n\\nJean Degros fut dans les années 60-70 un meneur de jeu hargneux à la forte personnalité, reconnaissable à sa coupe en brosse, qui était adulé dans le Nord et détesté dans les autres salles françaises. Il fut champion de France avec l’AS Denain-Voltaire en 1965 après avoir gagné la Coupe de France cinq ans auparavant et le meilleur marqueur de Première Division en 1962. Il compte 148 sélections en équipe de France.\\n\\nLes autres basketteurs à avoir été élus Gloire du Sport sont: Roger Antoine (2008), Jean-Paul Beugnot (2013), André Buffière (1995), Robert Busnel (1994), Jacques Cachemire (2016), Jacky Chazalon (2003), Richard Dacoury (2011), Maxime Dorigo (2011), Hervé Dubuisson (2012), Alain Gilles (2007), Irène Guidotti (2014), Antoine Rigaudeau (2017), Elizabeth Riffiod (1993) et Yannick Souvré (2013).\\n\\nFrance 3 Hauts-de-France a réalisé ce reportage à cette occasion:"
}, 
{"role": "user",     "content":"La phrase – Larry Brown (Turin) : «Je suis venu en Europe pour enseigner, mais je suis celui qui apprend»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Âge de 78 ans, passé par, entre autres, les Denver Nuggets, UCLA, Kansas, les San Antonio Spurs, les New Jersey Nets, les Detroit Pistons ou encore les New York Knicks, Larry Brown vit sa première expérience en Europe.\\n\\nLégende vivante du coaching américain, champion NCAA et champion NBA, Larry Brown est arrivé en Europe cette saison, à Turin, mais tout ne se passe pas comme il l’avait imaginé sur le plan sportif. Une nouvelle fois battue en Eurocup par Malaga, Turin est la seule équipe à ne compter aucune victoire cette saison en dix matchs dans la compétition. Après le match en Andalousie, l’ancien entraîneur des Philadelphie Sixers a fait son analyse de son expérience en Europe jusqu’à maintenant.\\n\\n« Je suis venu en Europe parce que j’ai toujours été impressionné par la façon de jouer ici, et depuis que je suis ici mon respect et mon admiration ne font qu’augmenter. Ils jouent de la bonne façon, ils partagent la balle, ils défendent, et j’adore ce style de jeu parce que tout le monde accepte son rôle. Je pense que le jeu est fait pour avoir cinq mecs qui jouent ensemble en défense et en attaque, et c’est ce que j’ai trouvé en Europe. Je suis venu ici pour enseigner, mais je suis celui qui apprend. »\\n\\nLe Fiat Torino, où évolue actuellement Mam Jaiteh, est donc logiquement éliminé de l’Eurocup après la première phase. Le club transalpin pointe à la douzième place en Serie A avec trois victoires pour sept défaites.\\n\\nPropos rapportés par Eurohoops.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Taurean Green devrait rester à Antibes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé début novembre à Antibes en tant que pigiste médical de Viktor Gaddefors, Taurean Green (1,85m, 31 ans) devrait pouvoir continuer l’aventure à Antibes.\\n\\nSelon Vivien Seiller de Nice Matin, le club azuréen pourrait annoncer la prolongation du meneur de jeu avant la réception du BCM Gravelines-Dunkerques le 27 décembre. Passé par Limoges et l’ASVEL en France, l’Américain naturalisé Géorgien a mené les Sharks vers deux succès en quatre matchs depuis son arrivée.\\n\\nAvec Antibes, Taurean Green tourne en moyenne à 14,7 points, 3 rebonds et 5,5 passes décisives pour une évaluation de 16.\\n\\n\\n\\n\\nÇa sent très bon pour Taurean #Green à Antibes. La prolongation du meneur US pourrait tomber avant le match face à Gravelines jeudi prochain. Plus d'infos à venir sur @Nice_Matin ! #JeepELITE\\n\\n\\n— Vivien Seiller (@VSeiller) December 21, 2018\\n\\nPhoto : Antibes Sharks"
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : De Colo et Beaubois se tirent la bourre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un duel franco-français qui sentait bon la brioche, Nando De Colo (21 points, 6 passes) a eu raison de Rodrigue Beaubois sur la longueur. Le CSKA Moscou a effectivement accablé l’Efes Istanbul en 2e mi-temps, malgré 24 points de Beaubois (102-84).\\n\\nDans deux autres duels qui concernent le haut de tableau, Fenerbahçe s’est rendu le match facile à Podgorica (89-65) quand l’Olympiakos s’est montré sans pitié contre Gran Canaria (98-77).\\n\\nEntre Barcelone et Vitoria, pas de McCallister mais un Pangos et un Séraphin. Les Kevin ont fait la différence avec 14 points en 15 minutes du pivot tricolore et 16 points du meneur canadien, dont 13 dans le dernier quart !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe CSKA fait ronfler le moteur\\n\\nSi le match a débuté par un concours de tirs de Rodrigue Beaubois, auteur de 16 de ses 24 points en 1er quart, ce duel de haut de tableau a donné raison à la superpuissance russe du CSKA Moscou (102-84). Avec un gros match de Will Clyburn (24 points, 11 rebonds) et un Nando De Colo (21 points) de nouveau efficace, le CSKA a fait le break en fin de 3e quart.\\n\\nCe match a également été le théâtre de la 1000e passe en carrière de Sergio Rodriguez. Le meneur ibère rejoint ainsi un club très fermé composé de Vassilis Spanoulis, Dimitris Diamantidis, Milos Teodosic et Thomas Heurtel. Le CSKA score plus de 100 points pour la 2e fois de la saison seulement, et solidifie du même coup sa place sur le podium. Adrien Moerman termine à 5 points et 4 rebonds.\\n\\n\\nEt de dix pour le Fener !\\n\\nPorté par son public, Podgorica a longtemps rivalisé avec Fenerbahçe. Mais en fin de 3e quart, l’écart a commencé à se creuser derrière la puissance de Jan Vesely (19 points, 9 rebonds) et Joffrey Lauvergne (17 points, 6 rebonds).\\n\\nLimités à 25 points sur toute la 2e mi-temps, soit moins que les 27 du Fener sur le seul 3e quart, les coéquipiers d’Edwin Jackson (7 points) ont dû abdiquer... avec les honneurs (89-65). Avant d’affronter le Real lors de la prochaine journée, le Fener est donc en pleine bourre avec 10 victoires de rang.\\n\\n\\nL’Olympiakos déroule\\n\\nTitulaire pour son retour dans son ancien club, Kim Tillie a bien entamé la partie avec deux réussites mais il n’a pu que constater la supériorité très nette de l’Olympiakos (98-77). Les Reds ont récité leur basket comme à la parade avec 29 passes, un nouveau record du club. Les tauliers Vassilis Spanoulis (21 points, 8 passes0 et Georgios Printezis (16 points) ont parfaitement géré leur affaire pour une victoire facile.\\n\\nÇa fait désormais 6 victoires sur ses 7 derniers matchs pour l’Oly. Dans le même temps, ça se complique pour Gran Canaria qui a vu Nikola Radicevic sortir sur blessure. Axel Toupane profite de ce succès cavalier seul pour établir un nouveau record aux interceptions à 4.\\n\\n\\nKevin Pangos clutch\\n\\nOn les donnait pour morts après un 3e quart abyssal à 7 points, mais les Barcelonais ont de la ressource. Avec un bon passage du géant Artem Pustovyi et surtout un dernier quart de folie de Kevin Pangos, auteur de 13 de ses 16 points dans la période, le Barça sort vainqueur de ce duel ibère face à Vitoria (77-70).\\n\\nKevin Séraphin (14 points en 15 minutes) et Thomas Heurtel (11 points, 6 passes) ont été essentiels dans ce succès étriqué bien long à se dessiner... Vincent Poirier a connu une soirée frustrante avec seulement 6 points, 6 rebonds et une défense catalane bien préparée à lui bloquer l’accès.\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes) : 24 points (9/15 aux tirs), 2 passes, 1 rebond, 2 balles perdues en 31 minutes\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 21 points (8/12 aux tirs), 6 passes, 5 rebonds, 3 interceptions, 2 balles perdues en 30 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 17 points (7/12 aux tirs), 6 rebonds, 3 passes, 2 balles perdues en 25 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 14 points (6/7 aux tirs), 1 rebond, 3 balles perdues en 15 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 11 points (4/9 aux tirs), 6 passes, 2 interceptions, 1 rebond en 23 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 7 points (3/6 aux tirs), 4 passes, 1 rebond, 3 balles perdues en 31 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 6 points (2/3 aux tirs), 6 rebonds, 3 passes, 1 contre, 1 balle perdue en 23 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Efes) : 5 points (2/2 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 22 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 5 points (2/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 contre en 17 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 1 point (0/4 aux tirs), 4 interceptions, 2 contres, 1 rebond, 1 passe, 1 balle perdue en 21 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nKevin Séraphin est de retour et Thomas Heurtel en est bien conscient avec ce service palace pour un dunk bestial ! Le Barça a pu compter sur 14 points du premier et 11 points – 6 passes du second. Solide !\\n\\n\\n\\n\\nWhat a pass from @MT28APRIL 🔥#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/9CQ3nLimMB\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) December 20, 2018\\n\\n\\nLes résultats de la 14e journée\\n\\nJeudi 20 décembre :\\nCSKA Moscou – Efes Istanbul (102-84)\\nPodgorica – Fenerbahçe (65-89)\\nOlympiakos – Gran Canaria (98-77)\\nVitoria – Barcelone (70-77)\\n\\nVendredi 21 décembre :\\nKhimki Moscou – Darussafaka (18h)\\nZalgiris Kaunas – Maccabi Tel Aviv (19h)\\nPanathinaikos – Milan (20h)\\nBayern Munich – Real Madrid (20h)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 15e journée\\n\\nMercredi 27 décembre :\\nKhimki Moscou – Vitoria (18h)\\nDarussafaka – Olympiakos (18h15)\\nMaccabi Tel Aviv – Milan (20h05)\\nBarcelone – Efes Istanbul (21h)\\n\\nJeudi 28 décembre :\\nFenerbahçe – Real Madrid (18h30)\\nPanathinaikos – CSKA Moscou (20h)\\nBayern Munich – Podgorica (20h30)\\nGran Canaria – Zalgiris Kaunas (21h)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe CSKA fait ronfler le moteur\\n\\nSi le match a débuté sur un concours de tirs de Rodrigue Beaubois, auteur de 16 de ses 24 points en 1er quart, ce duel de haut de tableau a donné raison à la superpuissance russe du CSKA Moscou (102-84). Avec un gros match de Will Clyburn (24 points, 11 rebonds) et un Nando De Colo (21 points) de nouveau efficace, le CSKA a fait le break en fin de 3e quart.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tirage au sort Coupe de France féminine: Le derby du sud-ouest à l’affiche des quarts-de-finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le tirage au sort des 1/4 de finale de la Coupe de France féminine vient d’avoir lieu au siège de la fédération à Paris.\\n\\nBasket Landes / Tarbes\\n\\nChartres (L2) / Bourges\\n\\nLyon ASVEL / Villeneuve d’Ascq\\n\\nCharleville / La Roche Vendée\\n\\nLes matches se dérouleront le 2 février 2019 à 20h.\\n\\nPhoto: FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Bourg chercherait à se séparer de Kerem Kanter et pourrait conserver Fréjus Zerbo"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que la JL Bourg a recruté Mike Moser (2,03m, 28 ans) pour compléter sa raquette, celle-ci pourrait connaître encore quelques changements.\\n\\nLe Progrès rapporte que Kerem Kanter serait sur le point de quitter le club. La JLB serait en train de négocier avec l’agent du joueur turc pour une rupture de contrat à l’amiable. Barré par Youssou Ndoye et Zachery Peacock en attaque et peu présent en défense, le frère du NBAer Etes Kanter a vu son temps de jeu baisser sur les dernières semaines passant d’environ 15 minutes à 5, puis 3 sur les deux derniers matchs.\\n\\nPour combler ce départ, le club songerait à trouver une solution en interne. C’est-à-dire offrir une prolongation pour la saison à Fréjus Zerbo qui est arrivé en tant que pigiste médical de Zachery Peacock il y a quelques semaines et qui est en contrat jusqu’à la fin de l’année civile. Pivot très physique, qui s’exprime exclusivement en défense, il pourrait être une solution pour Julien Desbottes, le président bressan.\\n\\n« Il est probable que nous le conservions. Avec son physique hors norme, il peut nous apporter face à des adversaires comme Miro Bilan ou Youssoupha Fall. »\\n\\nPhoto : Guilherme Amorin"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : le Buducnost Podgorica tente de récupérer Norris Cole (Avellino)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que le club italien d’Avellino fait face à de lourd problèmes financiers, Norris Cole (1,88m, 30 ans) pourrait quitter le navire et le Buducnost Podgorica serait parmi les prétendants pour le récupérer.\\n\\nSelon Sportando, le club monténégrin serait en pleine négociation avec le double champion NBA. Avant dernier d’Euroleague (3v-11d), la formation d’Aleksandar Dzikic vient de recruter Gota Bitadze et serait sur le point d’officialiser l’arrivée de James Bell. Il rejoindrait ainsi le Français Edwin Jackson à Podgorica.\\n\\nC’est le propriétaire du club d’Avellino, Gianandrea De Cesare, qui aura le dernier mot dans cette histoire et qui doit décider s’il laisse partir son meneur de jeu. Mercredi, La Gazette dello Sport révélait que De Cesare aurait indiqué à son Directeur Sportif que les joueurs étaient libres de partir suite aux problèmes de club.\\n\\nCette saison, Norris Cole compile en moyenne 16,3 points, 3,2 rebonds et 6,1 passes décisives en Serie A, et 16,1 points, 4,3 rebonds et 6,4 passes décisives en Champions League.\\n\\nPhoto: BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Réseaux sociaux: Strasbourg est n°10 des clubs français, Bourges n°1 chez les femmes !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Observatoire du Sport & Digital a rendu son rapport sur les clubs français de sport et les réseaux sociaux. Cet observatoire prend en compte différents critères pour les sites web, comptes facebook, twitter, instagram, vidéo, snapachat, applications et diversité des posts facebook de chaque club.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe Paris SG foot arrive premier devant le Stade Rochelais (rugby), puis les Girondins de Bordeaux, l’OGC Nice, Lille OSC, RC Strasbourg, Olympique de Marseille, Section Paloise (rugby), FC Nantes et... la SIG Strasbourg qui est ainsi le 10e club français tous sports confondus. Juste devant l’Olympique Lyonnais ! Une sacrée performance tout de même.\\n\\nSuivent ensuite dans le top 100: les Tango de Bourges (31e), qui est ainsi le premier club féminin français, Orléans Loiret Basket (38e), donc le premier club de Pro B, Limoges CSP (39e), JDA Dijon (40e), JL Bourg (44e), Le Mans Sarthe Basket (49e), Elan Chalon (51e), SLUC Nancy (54e), BCM Gravelines (59e), Sharks Antibes (60e), Lyon ASVEL féminin (66e), Nanterre 92 (68e), Nantes-Rezé Basket (72e), Saint Thomas Le Havre (73e), ALM Evreux (81e), US Mondeville (85e), LDLC ASVEL (89e), Hermine Nantes (96e), ESSM Le Portel (98e) et ADA Blois (99e).\\n\\nLes habitués des réseaux sociaux ne seront pas surpris du positionnement de la SIG Strasbourg et des Tango de Bourges. L’un est particulièrement bien diversifié et le deuxième très créatif avec plein de vidéos mettant en scène les joueuses.\\n\\nL’observatoire a également mis en valeur les clubs ayant le plus progressé au niveau des abonnés. L’Elan Chalon remporte la palme du côté des masculins alors que c’est davantage partagé chez les féminines.\\n\\nL’ensemble de l’étude est à lire ici.\\n\\n[armelse]\\n\\nLe Paris SG foot arrive premier devant le Stade Rochelais (rugby), puis les Girondins de Bordeaux, l’OGC Nice, Lille OSC, RC Strasbourg, Olympique de Marseille, Section Paloise (rugby), FC Nantes et... la SIG Strasbourg qui est ainsi le 10e club français tous sports confondus. Juste devant l’Olympique Lyonnais ! Une sacrée performance tout de même.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Sergio Rodriguez passe le cap des 1000 passes décisives en carrière"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans sa septième saison en Euroleague, Sergio Rodriguez (1,91m, 32 ans) rentre un peu plus dans l’histoire de la compétition.\\n\\nDans la large victoire du CSKA Moscou face à l’Anadolu Efes (102-84), l’international espagnol a compilé 8 points, 3 rebonds et surtout 4 passes décisives, ce qui lui a permis de passer la barre très symbolique des 1000 assists en carrière en Euroleague. En affichant 1002 caviars à son compteur, El Chacho rejoint le club très fermé des meilleurs passeurs de l’histoire. Ils sont seulement cinq à avoir dépassé le nombre avant lui, il s’agit de : Vassilis Spanoulis, Dimitris Diamantidis, Milos Teodosic et Thomas Heurtel.\\n\\nProfessionnel depuis 2003, l’ancien joueur de l’Estudiantes a vécu sa première expérience en Euroleague avec le club madrilène en 2004/05. Il a ensuite retrouvé la C1 en 2010 lorsqu’il s’est engagé avec le Real Madrid après avoir tenté l’aventure NBA. Reparti en NBA en 2016/17, le natif de Tenerife a de nouveau fait son retour en Europe une saison plus tard et a rejoint le CSKA Moscou.\\n\\nCette saison, Sergio Rodriguez compile en moyenne 10,7 points et 5,2 passes décisives pour une évaluation de 10,5 en Euroleague.\\n\\n\\n\\n\\nAssist number 1000 for @SergioRodriguez 👏#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/UzAXSOSZQd\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) December 20, 2018\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"En Direct avec Bastien Pinault, le sniper de l’Elan Chalon : «Défendre sur Giannis Antetokounmpo c’était un peu compliqué»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Shooteur d’élite de l’Elan Chalon depuis la saison dernière, sélectionné pour le concours de tirs à trois points du All Star Game, Bastien Pinault (1,95m, 25 ans) se fait petit à petit une place en Jeep Elite. Formé à Pau, puis passé par La Rochelle et Evreux, le natif de Tarbes a saisi sa chance sous la houlette de Jean-Denys Choulet en Bourgogne. Il se prête au jeu du « En Direct ».\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nMon premier match officiel c’était à l’époque où Pau était en Pro B, en 2012/13, c’était contre Saint-Vallier. J’avais mis mon premier panier dans ce match-là, un tir à trois points. Ils ont changé en défense après un pick and roll, je m’étais retrouvé sur le pivot, j’ai shooté et c’est rentré. J’avais aussi fait un sur deux aux lancers et je suis sorti. C’est un super bon souvenir.\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nIl y en a deux. Quand j’étais en Nationale 1 à La Rochelle, je suis tombé avec Fayçal Sahraoui. Ça a un peu été mon papa sur la saison. Il m’a vachement conseillé. Depuis que je suis à Chalon, je dirais Mike Gelabale. C’est mon voisin dans le vestiaire, il me donne souvent des conseils sur ce que je peux faire de mieux, ce que je fais pas bien. C’est la force calme de l’équipe, il a vécu des centaines de trucs incroyables comme les Jeux Olympiques. Il a tout vu et tout vécu donc je pense que c’est une personne de bon conseil rien que par son passé.\\n\\nLe meilleur joueur actuel de Jeep Elite :\\n\\nJ’aimais bien Zachery Peacock, je le trouve vraiment très, très fort. Mais cette année il y a Justin Robinson qui est incroyable. Je pense qu’actuellement ils sont trois vraiment à dominer avec (Devin) Ebanks.\\n\\nLe coach qui vous a le plus marqué :\\n\\nQuestion chiante... Je dirais Frédéric Fauthoux et Jean-Denys Choulet. Freddy Fauthoux c’était vraiment la meilleure période basket de ma vie, même si ce n’était pas en professionnel. C’est un vrai bon leader d’hommes qui fait des super groupes. Jean-Denys Choulet parce qu’il m’a donné ma chance à Chalon et puis parce que depuis que je suis avec lui j’ai beaucoup progressé.\\n\\nLe club dans lequel vous rêveriez de jouer :\\n\\nBarcelone ! J’aimerais bien pouvoir un jour jouer à Barcelone même si le niveau est vraiment très haut. J’ai toujours eu un petit faible pour cette équipe.\\n\\nLa salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :\\n\\nJe mets les deux à égalité mais le Palais des Sports de Pau et Beaublanc lors des derbys Pau-Limoges. Ce sont deux ambiances différentes mais dans les deux cas c’est quand même chaud à jouer.\\n\\nLe pire souvenir en carrière :\\n\\nQuand j’ai fait toute la préparation avec l’Equipe de France U20, que j’avais réussi à gagner ma place dans l’équipe alors que je n’avais jamais été appelé avant et que je me suis blessé trois jours avant de partir au championnat d’Europe. Une fracture de fatigue après une saison très, très longue. J’étais à Pau, je faisais les matchs de Nationale 2 et ceux des pros. C’était compliqué avec parfois trois entraînements par jour dans la semaine. C’est mon plus grand regret en tout cas.\\n\\nLe meilleur souvenir :\\n\\nLa demi-finale avec Evreux contre Boulazac quand j’ai mis le panier au buzzer de derrière la planche ! Il y a aussi la finale des playoffs de Pro B avec Evreux, même si elle a été perdue, c’était un très bon moment.\\n\\nLe meilleur joueur avec qui vous avez joué :\\n\\nJ’adorais Teddy Gipson à l’époque de Pau. Soit lui, soit Nate Wolters l’année dernière à Chalon.\\n\\nL’adversaire le plus coriace :\\n\\nGiannis Antetokounmpo qui est maintenant en NBA. En tournoi de préparation à Chartres, il était avec la Grèce. C’était déjà quelque chose, il jouait déjà poste 1, 2, 3, 4 et 5. Il avait dû mettre quelque chose comme 35 points, mais en sifflant. C’était chiant. On avait gagné, mais il avait été incroyable. J’avais été amené à défendre sur lui et c’était un petit peu compliqué...\\n\\nTon match référence en carrière :\\n\\nÇa dépend du niveau. J’avais mis 30 points en NM1, mais ça reste la NM1 avec tout le respect que j’ai pour la division. Je dirais l’année dernière contre Monaco (ndlr, 17 points à 6/8 aux tirs dont 3/3 à trois points mais défaite 99-73).\\n\\nSi vous pouviez prendre le move d’un joueur :\\n\\nLa vitesse de sortie d’écran de Jaycee Carroll, le shooteur du Real Madrid. C’est ce que se rapproche le plus de mon jeu et je pense qu’il n’y a peut-être pas mieux en Europe.\\n\\nPourquoi le numéro 7 :\\n\\nC’était le numéro de mon père quand il était pro. Avant j’avais le 9 mais je ne pouvais pas le prendre à Jeremy Nzeulie quand je suis arrivé ici. Du coup j’ai pris le 7 et comme j’ai fait une bonne saison avec je me suis dit que ça deviendrait mon nouveau numéro.\\n\\nVotre meilleur pote dans le basket :\\n\\nJ’en ai plusieurs. Tous les potes avec qui j’étais en centre de formation à Pau. Ils alternent aujourd’hui entre la Pro B et la Nationale 1. Je veux pas faire de jaloux, tous les jeunes avec qui j’étais à Pau au centre de formation.\\n\\nSi vous deviez choisir quatre mecs pour monter une équipe avec vous, qui choisiriez-vous :\\n\\nJe mets Sébastien Cape à la mène, moi au poste 2, Samir Mekdad au poste 3, Pierre Pelos au poste 4 et Ousmane Camara au poste 5.\\n\\nLa ville où vous avez joué que vous préférez :\\n\\nJe dirais La Rochelle parce que après j’ai fait Evreux et Chalon, c’est pas la folie !\\n\\nPrincipale occupation entre deux entraînements :\\n\\nLe golf. C’est génial. J’aime bien aussi traîner à la maison.\\n\\nSi vous pouviez changer une règle dans le basket :\\n\\nJ’en ai aucune idée, tiens ! Jouer des quart-temps de quatre fois douze minutes comme en NBA, comme ça on a plus de temps sur le terrain.\\n\\nSi vous ne jouiez pas au basket :\\n\\nJe n’en sais rien. Je n’étais pas fan de l’école, mais je suis un peu attiré par ce qui est l’immobilier et les placements financiers mais de là à en faire mon métier, je ne sais pas. J’aurais vu où la vie me menait et j’aurais improvisé sur le moment.\\n\\nAprès le basket :\\n\\nJe ne sais pas du tout. Je verrai où j’en suis, la carrière que j’aurais fait et peut-être que ça m’ouvrira des portes pour ma reconversion. Je ne suis pas fermé à reprendre mes études vers mes 30 ans comme il y a beaucoup de sportifs qui le font. Ça pourrait être bien parce que j’ai un BAC+2 en gestion des unités commerciales. Peut-être continuer dans cette lignée-là.\\n\\n[armelse]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nMon premier match officiel c’était à l’époque où Pau était en Pro B, en 2012/13, c’était contre Saint-Vallier. J’avais mis mon premier panier dans ce match-là, un tir à trois points. Ils ont changé en défense après un pick and roll, je m’étais retrouvé sur le pivot, j’ai shooté et c’est rentré. J’avais aussi fait un sur deux aux lancers et je suis sorti. C’est un super bon souvenir.\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nIl y en a deux. Quand j’étais en Nationale 1 à La Rochelle, je suis tombé avec Fayçal Sahraoui. Ça a un peu été mon papa sur la saison. Il m’a vachement conseillé. Depuis que je suis à Chalon, je dirais Mike Gelabale. C’est mon voisin dans le vestiaire, il me donne souvent des conseils sur ce que je peux faire de mieux, ce que je fais pas bien. C’est la force calme de l’équipe, il a vécu des centaines de trucs incroyables comme les Jeux Olympiques. Il a tout vu et tout vécu donc je pense que c’est une personne de bon conseil rien que par son passé.\\n\\nLe meilleur joueur actuel de Jeep Elite :\\n\\nJ’aimais bien Zachery Peacock, je le trouve vraiment très, très fort. Mais cette année il y a Justin Robinson qui est incroyable. Je pense qu’actuellement ils sont trois vraiment à dominer avec Ebanks.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos : Charlotte Geoffray"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Benjamin Sene (Gravelines) et Yannick Bokolo (Pau) en 1 Contre 1"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le nouvel 1 Contre 1 organisé par la LNB oppose aujourd’hui Benjamin Sene (Gravelines-Dunkerque) à Yannick Bokolo (Pau-Lacq-Orthez). Messieurs à vous de jouer !"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les clubs de Jeep Elite et de Pro B ont reçu leurs labels"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors du « Séminaire des Présidents des Clubs de Jeep Elite et de Pro B » qui s’est tenu ce jeudi 20 décembre dans les locaux de la Ligue Nationale de Basket, les Clubs labellisés ont été honorés recevant leurs trophées des mains d’Alain Béral, président de la LNB et de Christian Lemasson, Président de la Commission Label.\\n\\nCette années 18 clubs se sont vu attribuer un Label (1 or, 8 argent et 9 bronze) dont l’ADA Blois et son président Paul Seignolle, qui s’est retrouvé en bisbille avec les instances puisque celles-ci n’ont pas accepté l’engagement du club en Jeep Elite faute d’un centre de formation conforme en temps et en heure.\\n\\nRappel: c’est depuis la saison 2013-14 que le LABEL CLUB LNB a été mis en place. Ce dispositif volontaire a pour buts de valoriser la structuration et la professionnalisation des clubs professionnels sur la base d’un cahier des charges distinguant quatre grandes catégories considérées comme éléments structurants d’un club :\\n\\nLes différentes catégories évaluées :\\n1. Une première partie Gouvernance, Administration, Finance apprécie la structuration salariée du club, sa structure juridique et sa santé financière. Cette partie s’intéresse également à la responsabilité sociétale et environnementale des clubs.\\n\\n2. Une partie Marketing, Commercial, et Communication a également été mise en avant, et est importante pour développer des revenus stables au club face à l’incertitude du résultat sportif. Les aspects commerciaux (nombre et structuration des partenariats), de communication (Marque club, images et vidéos, réseaux sociaux) et Merchandising (Produits boutique, commercialisation...) seront ici appréciés.\\n\\n3 Une troisième partie est consacrée au Sportif et Médical. Elle tend à valoriser le staff technique et médical du club, ainsi que l’organisation de l’effectif sportif et de la formation, notamment en matière de continuité dans les effectifs.\\n\\n4 Enfin la dernière Partie Equipement, Exploitation et Gestion de salle valorise les clubs dont les équipements répondent aux exigences du sport professionnel envers les médias, les délégations sportives, les différents publics (spectateurs, partenaires) et permettent aux clubs de renforcer leur modèle d’exploitation.\\n\\nLes Labels Clubs LNB 2017-18\\nLABEL OR\\nJeep®ÉLITE : SIG Strasbourg (Argent en 2017)\\nPROB : Aucun club\\n\\nLABEL ARGENT\\nJeep®ÉLITE : JL Bourg-en-Bresse – Elan Chalon/Saône – Cholet Basket (Bronze en 2017) – Le Mans Sarthe Basket – Limoges CSP – ASVEL Lyon-Villeurbanne – Nanterre 92 (Bronze en 2017) – EB Pau-Lacq-Orthez\\nPROB : Aucun club\\n\\nLABEL BRONZE\\nJeep®ÉLITE : Antibes Sharks – Boulazac Basket Dordogne – Champagne Châlons-Reims Basket – JDA Dijon – BCM Gravelines-Dunkerque\\nPROB : ADA Blois (Pas labélisé en 2017-NM1) – SLUC Nancy – Orléans Loiret Basket – Chorale Roanne\\n\\nPhoto: Christian Lemasson, Paul Seignolle et Alain Béral (LNB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : Léo Westermann clutch à Istanbul"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« L comme Léo et pas comme Loser »... Le clip montrant Léo Westermann qui pose une question bête et se fait sèchement recadré par son coach, Sarunas Jasikevicius, a déjà fait le tour de la planète Web. Mais l’international tricolore a répondu présent sur le terrain avec un tir qui a permis au Zalgiris de retrouver la victoire à l’extérieur contre le Darussafaka aux abois (11 défaites de rang).\\n\\nDans le duel des grosses maisons, le Real Madrid n’a fait qu’une bouchée du Panathinaikos, qui a depuis viré son coach Xavi Pascual... Par ailleurs, ça ne va toujours pas mieux à Milan qui encaisse un 5e revers de rang, contre le Bayern qui lui engrange un 3e succès d’affilée. Enfin, le Maccabi a profité de la venue du Khimki pour rebondir après sa défaite contre Vitoria la semaine dernière.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nWestermann pour le trois points qui tue\\n\\nIl aura fallu attendre les tous derniers instants du match pour que Zalgiris se détache, et c’est Léo Westermann (12 points) qui s’est montré décisif pour Kaunas avec un trois points pour repasser devant définitivement à 27 secondes de la fin. En l’absence de Nate Wolters, Westermann a pris ses responsabilités.\\n\\nComme Brandon Davies a réalisé l’action défensive dans la foulée, ça fait un nouveau revers (le 11e de suite) pour Darussafaka... Davies termine meilleur scoreur du match à 17 points, tout comme Ray McCallum en face, bien esseulé.\\n\\n\\nLe Real à la relance\\n\\nXavi Pascual vient de se faire remercier au Panathinaikos, et on comprend pourquoi après la performance de la veille. Après un 1er quart foiré et un 18-8 encaissé d’entrée, le Pana n’a jamais pu rivaliser avec le Real (89-68).\\n\\nEn petite forme ces derniers temps, Fabien Causeur a retrouvé tout son peps en sortie de banc avec 14 points en 15 minutes, meilleur scoreur de son équipe qui a fait le spectacle. Rudy Fernandez et Edy Tavares étaient sur la même longueur d’ondes avec notamment 11 points et 7 rebonds pour ce dernier.\\n\\n\\nLe Bayern enfonce Milan\\n\\nIl aura donc fallu 5 matchs à Derrick Williams pour s’adapter pleinement au jeu Euroleague depuis son arrivée en grandes pompes en provenance de NBA. Avec 7 matchs de suite en double figure, et 21 points – 6 rebonds hier soir face à Milan, Williams a propulsé le Bayern vers un 3e succès de suite (et un 4e en 5 matchs) en inscrivant notamment un layup importantissime, plus la faute.\\n\\nLa dernière action a été particulièrement confuse avec Mike James qui rate de peu son layup et une mêlée qui s’ensuit à cause de plusieurs joueurs qui se tombent les uns sur les autres. C’est une défaite d’autant plus frustrante pour Milan qui en est désormais à 5 de suite, que le revenant Nemanja Nedovic avait inscrit un trois points pour donner +4 dans la dernière minute de jeu et que Milan a mené pendant quasiment tout le match...\\n\\n\\nLe Maccabi confirme son regain\\n\\nComme à sa (mauvaise) habitude depuis la blessure d’Alexey Shved, le Khimki Moscou a encore craqué en 3e quart. Derrière Kendrick Ray (17 points) qui réussit son meilleur match en carrière et Scottie Wilbekin (14 points) qui retrouve des couleurs, le Maccabi a facilement dominé la troupe moscovite en pleine descente (3 défaites de suite)...\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes) : 22 points (8/11 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre en 21 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 14 points (6/8 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 15 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Efes) : 13 points (6/9 aux tirs), 6 rebonds, 3 passes, 1 interception en 24 minutes\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 12 points (3/8 aux tirs), 2 passes, 1 rebond, 4 balles perdues en 22 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 11 points (4/7 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 20 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 11 points (5/7 aux tirs), 2 passes, 2 balles perdues en 21 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 8 points (4/11 aux tirs), 3 passes en 26 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 4 points (1/5 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 10 minutes\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 3 points (1/3 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 3 balles perdues en 14 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 2 points (1/3 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 balle perdue en 7 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 1 point (0/7 aux tirs), 12 rebonds, 1 contre en 26 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 0 point (0/3 aux tirs), 3 rebonds, 1 contre, 1 balle perdue en 16 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nMike James est un meneur explosif qui a déjà fait ses preuves sur les parquets NBA et Euroleague... mais sur ce coup-là, Maodo Lo s’est interposé ! Lancé pleine balle, la star de Milan s’est fait rejeter comme il faut par le jeune meneur allemand du Bayern. Propre !\\n\\n\\n\\n\\nWhat. A. Block from @maodolo12!#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/y7GCKho03q\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) December 19, 2018\\n\\n\\nLes résultats de la 13e journée\\n\\nMardi 18 décembre :\\nEfes Istanbul – Podgorica (106-68)\\nFenerbahçe – CSKA Moscou (79-75)\\nBarcelone – Olympiakos (60-69)\\nGran Canaria – Vitoria (71-84)\\n\\nMercredi 19 décembre :\\nDarussafaka – Zalgiris Kaunas (71-75)\\nMaccabi Tel Aviv – Khimki Moscou (79-63)\\nMilan – Bayern Munich (78-80)\\nReal Madrid – Panathinaikos (89-68)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 14e journée\\n\\nJeudi 20 décembre :\\nCSKA Moscou – Efes Istanbul (18h)\\nPodgorica – Fenerbahçe (20h)\\nOlympiakos – Gran Canaria (2oh)\\nVitoria – Barcelone (21h)\\n\\nVendredi 21 décembre :\\nKhimki Moscou – Darussafaka (18h)\\nZalgiris Kaunas – Maccabi Tel Aviv (19h)\\nPanathinaikos – Milan (20h)\\nBayern Munich – Real Madrid (20h)\\n\\nA lire aussi : Rodrigue Beaubois incendiaire\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nWestermann pour le trois points qui tue\\n\\nIl aura fallu attendre les tous derniers instants du match pour que Zalgiris se détache, et c’est Léo Westermann (12 points) qui s’est montré décisif pour Kaunas avec un trois points pour repasser devant définitivement à 27 secondes de la fin. En l’absence de Nate Wolters, Westermann a pris ses responsabilités.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Rick Pitino devrait remplacer Xavi Pascual au Panathinaïkos"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Défait par le Real Madrid de Pablo Laso mercredi soir en Euroleague, Xavi Pascual a été remercié par les dirigeants du Panathinaïkos. Pour combler son départ, le club grec aurait convaincu Rick Pitino (66 ans).\\n\\nÀ l’instar de Larry Brown en Italie, une autre star – pas toujours a son avantage – du coaching américain serait sur le point de découvrir l’Europe pour la première fois. Selon l’insider américain Adrian Wojnarowski, le Pana serait en train de finaliser un accord avec l’ancien entraîneur de Louisville.\\n\\nToujours selon le journaliste américain, l’ancien coach des New York Knicks et des Boston Celtics devrait atterrir à Athènes peu après Noël pour prendre son poste. Il devrait rester pour le reste de la saison mais il songerait toujours à retourner en NBA.\\n\\nComme indiqué un peu plus haut, l’ancien sélectionneur de Porto-Rico n’a pas toujours été en Une pour ses performances sur le parquet. Fin septembre 2017, il a été viré de son poste de coach à Louisville pour un scandale de corruption dans son université. Il lui a été reproché d’avoir « fermé les yeux sur le versement de 100 000 dollars par adidas pour recruter Brian Bowen ».\\n\\nEn attendant l’arrivée du technicien américain à Athènes, c’est Giorgos Vovoras qui assurera l’intérim à la tête du Pana.\\n\\nRick Pitino en chiffres :\\n * 1039 matchs NCAA\\n * 412 matchs NBA\\n * Deux titres NCAA en 1996 avec Kentucky et 2013 avec Louisville\\n * Sept Final Four de NCAA disputés (1987, 1993, 1996, 1997, 2005, 2012, 2013)\\n * Introduit au Basketball Hall of Fame en 2013\\n\\n\\n\\n\\nNaismith Hall of Fame coach Rick Pitino is finalizing a deal to become head coach of EuroLeague power Panathinkaikos of Greece, sources told ESPN.\\n\\n\\n— Adrian Wojnarowski (@wojespn) December 20, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Mike Moser renforce Bourg-en-Bresse"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quatrième de Jeep Elite (8v-5d), Bourg-en-Bresse a décidé de se renforcer avec l’ailier fort américain Mike Moser (2,03m, 28 ans).\\n\\nL’ancien pensionnaire de UCLA est la nouvelle recrue de la JLB, comme l’indique le club sur son site. Passé par Vilnius (Lituanie), Holon (Israël), Pristina (Kosovo) et Reggio Emilia, il évoluait depuis le début de saison au Kauhajoki Karhu, en Finlande. En signant à la JL, il vivra sa première expérience en Jeep Elite.\\n\\nCette saison, Mike Moser compilait en moyenne 17,6 points et 9,1 rebonds dans le championnat finlandais. Lors des matchs de qualification pour la Champions League, il a tourné à 15,6 points et 6,3 rebonds. Face à Nanterre, il avait enregistré 12 points, 7 rebonds et 4 passes.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eric Girard (Le Portel) sera absent à Nanterre en raison d’une intervention chirurgicale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Atteint par deux fois d’un cancer des cordes vocales, Eric Girard (54 ans) ne sera pas sur le banc du Portel samedi à Nanterre.\\n\\nSur Twitter, l’ESSM a partagé un message écrit par l’entraîneur portelois. En raison d’une intervention chirurgicale, l’ancien coach de la SIG doit laisser ses assistants Jacky Perigois et Bertrand Van Butsele s’occuper du match face à Nanterre qui compte pour la quatorzième journée de Jeep Elite. Il sera de retour le 27 décembre pour la réception de Dijon au Chaudron.\\n\\n« Chers amis, chers supporters,\\n\\nNous avons toujours vous et moi joué la carte de la transparence...\\n\\nVous avez toujours été présents dans les moments forts de ma vie sportive à Le Portel mais également lors de ma maladie et, comme vous le savez, la récidive de mon cancer des cordes vocales a été vaincue !\\n\\nJe dois subir sans attendre une intervention et, toujours dans ce souci de transparence, vous tiendrai au courant d’ici 48 heures. C’est donc, « la mort dans l’âme », que je ne pourrai pas coacher notre équipe contre Nanterre !\\n\\nJe vous sais extrêmement déçus de nos résultats actuels mais bien moins que nous tous, joueurs, staff et dirigeants, soyez en assurés. Nous redoublons d’efforts et chacun d’entre nous se donne sans compter, vous pouvez me croire. Mes fidèles assistants Jacky, Bertrand, avec des joueurs qui, j’en suis sûr, vont se surpasser, soutenus pas un maximum d’entre vous qui devrez faire front tous ensemble à Nanterre. Car les meilleurs supporters de France ne doivent rien lâcher et rester fiers derrière leur équipe, sortant dans cette période délicate, avant de tous nous retrouver contre Dijon, pour une communion inoubliable...\\n\\nJe compte sur vous, nous comptons sur vous et quant à moi, j’ai déjà hâte de vous retrouver le 27 décembre au Chaudron pour un grand moment digne de l’ESSM... »\\n\\n\\n\\n\\nCoach Éric Girard tient à s’adresser à vous... pic.twitter.com/zYBPmEvcSn\\n\\n\\n— ESSM Le Portel (@ESSMbasket) December 20, 2018\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : l’incroyable shoot de Lisa Berkani (Bourges) contre Villeneuve d’Ascq"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mercredi soir à l’occasion de la réception de Villeneuve d’Ascq, le Tango Bourges s’est largement imposé 83-62 dans le cadre de la septième journée de championnat d’Euroleague féminine.\\n\\nDans cette rencontre, la jeune meneuse Lisa Berkani (1,76m, 21 ans) s’est faite remarquer grâce à un tir très compliqué. L’ancienne joueuse de Mondeville a la balle en main quand il reste moins de quatre secondes à jouer sur la possession. Elle prend l’écran posé par Iliana Rupert et elle tente un shoot du dernier espoir à une main. Ficelle !\\n\\nCette saison, Lisa Berkani tourne en moyenne à 5,1 points, 1 rebond et 2,1 passes décisives pour une évaluation de 5,6 en LFB, et 3,7 points et 1,2 rebond pour une évaluation de 2,2 en Euroleague.\\n\\n\\n\\n\\n🤩 Le shoot incroyable de @berkani_lisa24, \\+1 pour le style\\ non ? #FiertéTango #EuroleagueWomen #ActionDuMatchIntersport pic.twitter.com/OhCiRrvDPg\\n\\n\\n— Tango Bourges Basket (@BourgesBasket) December 20, 2018\\n\\nPhoto : Anne Perrinet/Tango Bourges"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Vincent Poirier est le meilleur rebondeur de la compétition"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si on a l’habitude de voir des Français en haut des classements d’Euroleague avec Thomas Heurtel à la passe ou Nando De Colo aux points et à l’évaluation, c’est plus rare de voir un joueur tricolore se distinguer aux rebonds et c’est le cas de Vincent Poirier (2,13m, 25 ans).\\n\\nGrâce à douze nouvelles prises face à Gran Canaria, l’international français est passé devant le géant de l’Olympiakos Nikola Milutinoiv pour prendre la première place du classement des rebondeurs d’Euroleague. Le pivot de Vitoria pointe à 7,85 rebonds (4,6 défensifs et 3,2 offensifs) par match tandis que Milutinov est à 7,77. Troisième non loin derrière, Arturas Guidaitis (Milan) est à 7,46.\\n\\nFormé au Paris-Levallois, le natif de Clamart a rejoint les rangs de Vitoria lors de l’été 2017 et il s’épanouit parfaitement dans le système de Velimir Perasovic cette saison en tournant en moyenne à 10,9 points et donc 7,8 rebonds par match pour une évaluation de 15,5.\\n\\n\\n\\n\\n📞🗯 \\This is @viinze_17P, the 👑 of rebounds\\\\nPoirier, the #1 @Euroleague rebounds leader\\n🗞 https://t.co/2qwpLMxyh8#GoazenBaskonia pic.twitter.com/JmadYJKOV0\\n\\n\\n— Baskonia (@Baskonia) December 20, 2018\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"EuroCup : la passe de trois historique du basket français"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour la première fois dans l’histoire de l’EuroCup, les trois clubs français engagés dans la compétition ont passé l’obstacle de la 1ère phase pour se qualifier au Top 16 ! Le CSP Limoges était finalement la seule inconnue après les qualifications assurées de Monaco et l’Asvel les semaines passées. Et Limoges a vaincu pour réaliser cette belle passe de trois tricolore...\\n\\nPour la suite des opérations dans ce Top 16, on aura encore 4 groupes de 4 équipes mais cette fois-ci, seules les 2 meilleures s’en sortiront pour atteindre les quarts de finale des playoffs.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe MVP de la 9ème journée\\n\\nPatrick Miller (23 points, 7 passes, 5 interceptions)\\n\\nLe meneur américain d’Ulm a été le catalyseur de la victoire de son équipe, qualifiée pour le Top 16. L’ancien de Tennessee State a notamment brillé durant le 28-0 qui a totalement changé la partie à cheval sur le 1er et le 2e quarts. Vétéran du circuit européen, passé par Besiktas et le Partizan, Miller a été clutch pour son club.\\n\\n\\nLa meilleure performance\\n\\nAmine Noua (17 points, 6 rebonds, 3 passes, 2 interceptions, 2 contres)\\n\\nDans une nouvelle version de la French Team, l’Asvel a été arracher un succès en prolongation en Russie. Et Amine Noua (2.03m, 21 ans) a été le leader de son équipe avec des records personnels à tous les étages. A 8/13 aux tirs, Noua a réussi à rester efficace bien qu’il ait eu à jouer les marathoniens avec 40 minutes au compteur.\\n\\n\\nLa stat qui tue\\n\\n28-0\\n\\nC’est le score partiel qui a fait la différence pour Ulm face à Brescia entre la fin du 1er quart et le début du 2e, et ce, pour aller arracher la qualification au Top 16 lors de l’ultime journée de la phase régulière. Le club allemand rallie donc la 2e phase pour la 5e fois en 6 participations en EuroCup. La seule saison ratée ? L’an passé !\\n\\n\\nLes clubs français\\n\\nL’Asvel s’impose avec ses jeunes\\n\\nAvec 4 joueurs français entre 17 et 25 ans qui portent son attaque dans un succès arraché à St Pétersbourg en prolongation, l’ASVEL termine sa phase régulière d’EuroCup de la meilleure des manières (84-81). C’est effectivement Amine Noua (17 points, 6 rebonds) qui a mené le retour des villeurbannais contre le Zenit.\\n\\nA ses côtés, Livio Jean-Charles a également apporté, scorant notamment le panier égalisateur. De même, Théo Maledon (13 points, 7 rebonds) n’a pas tremblé sur la ligne des lancers. Alpha Kaba (12 points, 8 rebonds) a lui fait le métier dans la peinture avec un gros contre en fin de match également.\\n\\nLimoges se qualifie\\n\\nIl fallait gagner à Tofas Bursa la semaine passée pour survivre, mais le CSP Limoges devait encore plus conclure à Beaublanc face à la modeste escouade polonaise de Gdynia. Le début de match limougeaud n’a pas rassuré mais Jonathan Rousselle (10 points, 7 passes) a remis de l’ordre dans la maison avant que le CSP prenne définitivement les commandes au retour des vestiaires (103-87).\\n\\nAvec 22 points en 27 minutes, Isaiah Miles a également été en grande forme pour enfoncer le clou, avec de bons apports pour les jeunes Français dont 12 points en 17 minutes pour Sekou Doumbouya. Gdynia ne reviendra pas plus près que 16 points en dernier quart.\\n\\nUne défaite sans conséquence pour Monaco\\n\\nDans le match au sommet du Groupe A, Andorre a profité de la qualification déjà assurée (et la 1ère place) de Monaco pour s’adjuger la 2e place avec une victoire (87-80). John Shurna et David Jelinek ont été les bourreaux de la Roca Team dans les derniers instants, avec un bon match d’Andrew Albicy aussi, à 15 points, 4 passes et 4 interceptions.\\n\\nPour Monaco, rien de spécial à noter dans ce revers sans conséquence, et sans 6 joueurs laissés au repos pour la suite de la compétition. Sergii Gladyr (15 points) et Jarrod Jones (16 points, 9 rebonds) ont tout de même fait belle figure...\\n\\n\\nLes Français de l’EuroCup\\n\\nAmine Noua (Asvel) : 17 points (8/13 aux tirs), 6 rebonds, 3 passes, 2 interceptions, 2 contres, 2 balles perdues en 40 minutes\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 17 points (6/11 aux tirs), 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 23 minutes\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 15 points (5/8 aux tirs), 4 passes, 4 interceptions, 1 rebond, 3 balles perdues en 26 minutes\\n\\nThéo Maledon (Asvel) : 13 points (3/8 aux tirs), 7 rebonds, 3 passes, 1 balle perdue en 29 minutes\\n\\nAxel Bouteille (Limoges) : 13 points (6/8 aux tirs), 5 passes, 4 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 25 minutes\\n\\nAlpha Kaba (Asvel) : 12 points (4/8 aux tirs), 8 rebonds, 2 contres, 2 passes, 1 interception, 3 balles perdues en 28 minutes\\n\\nLivio Jean-Charles (Asvel) : 12 points (5/8 aux tirs), 2 rebonds en 18 minutes\\n\\nSekou Doumbouya (Limoges) : 12 points (4/4 aux tirs), 4 rebonds, 1 interception, 1 passe, 4 balles perdues en 17 minutes\\n\\nWilliam Howard (Limoges) : 9 points (4/6 aux tirs), 5 passes, 4 rebonds, 4 interceptions, 2 balles perdues en 21 minutes\\n\\nLanding Sané (Mornar Bar) : 8 points (3/7 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 25 minutes\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 7 points (3/7 aux tirs), 2 rebonds, 1 interception en 30 minutes\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 6 points (3/7 aux tirs), 6 rebonds, 3 contres, 2 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 20 minutes\\n\\nPaul Lacombe (Monaco) : 5 points (2/6 aux tirs), 6 rebonds, 5 passes, 2 balles perdues en 18 minutes\\n\\nAntoine Diot (Valence) : 5 points (1/2 aux tirs), 1 passe, 3 balles perdues en 14 minutes\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : n’a pas joué\\n\\n\\nLe Top Ten\\n\\n\\nLes résultats de la 10e journée\\n\\nGROUPE A\\nAndorre – Monaco (87-80)\\nGalatasaray – Etoile Rouge (83-100)\\nBrescia – Ulm (80-97)\\n\\nGROUPE B\\nZagreb – Tofas Bursa (92-96)\\nAlba Berlin – Krasnodar (82-92)\\nCSP Limoges – Gdynia (103-87)\\n\\nGROUPE C\\nSt Petersbourg – ASVEL (81-84 ap)\\nTrente – Valence (83-95)\\nPartizan Belgrade – Ankara (87-72)\\n\\nGROUPE D\\nVilnius – Mornar Bar (71-67)\\nFrancfort – Kazan (65-72)\\nMalaga – Turin (89-68)\\n\\n\\nLe classement final de la 1ère phase\\n\\n\\nLes groupes du Top 16\\n\\n\\nDans le rétro :\\n\\nLe bilan de la 9e journée\\n\\nLe bilan de la 8e journée\\n\\nLe bilan de la 7e journée\\n\\nLe bilan de la 6e journée\\n\\nLe bilan de la 5e journée\\n\\nLe bilan de la 4e journée\\n\\nLe bilan de la 3e journée\\n\\nLe bilan de la 2e journée\\n\\nLe bilan de la 1ère journée\\n\\nCrédits photo : EuroCup\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe MVP de la 9ème journée\\n\\nPatrick Miller (23 points, 7 passes, 5 interceptions)\\n\\nLe meneur américain d’Ulm a été le catalyseur de la victoire de son équipe, qualifiée pour le Top 16. L’ancien de Tennessee State a notamment brillé durant le 28-0 qui a totalement changé la partie à cheval sur le 1er et le 2e quarts. Vétéran du circuit européen, passé par Besiktas et le Partizan, Miller a été clutch pour son club.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Quand Kyle Milling félicite le Limoges CSP pour sa qualification au Top 16 d’Eurocup"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Remercié il y a presque un mois par le Limoges CSP, Kyle Milling a passé un peu plus d’une saison à la barre du club limougeaud.\\n\\nSuite à la qualification pour le Top 16 du CSP grâce à sa belle victoire (103-87) face à l’Arka Gdynia, en ayant mené jusqu’à 25 points en milieu de troisième quart-temps, l’ancien entraîneur de Hyères-Toulon a tenu à féliciter le club avec lequel il s’est hissé jusqu’en demi-finale des playoffs de Jeep Elite en 2017/18.\\n\\nUn geste de très grande classe.\\n\\n\\n\\n\\nFélicitations à François, Frank, Yacine et le #CSPNation pour le Top 16!!\\n\\n\\n— Tone vays (#EndLockdown) (@tone1vays) December 19, 2018\\n\\nPhoto : Sébastien Grasset"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jade Sage, 25 ans, assistante-coach aux Sharks d’Antibes: «Je veux m’imposer dans le basket masculin»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lauriane Dolt est la pionnière en étant coach assistante d’une équipe professionnelle masculine française, à Strasbourg. Il y en a une deuxième depuis le début de saison, aux Sharks d’Antibes. En plus de Marc Berjoan et de l’Américano-Suédois Kenny Grant, Julien Espinosa a fait appel à une femme comme assistante, Jade Sage, qui est jeune, 25 ans. C’est son parcours et ses ambitions qu’elle révèle dans cette interview et il apparaît clairement qu’elles sont élevées.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVous êtes originaire de la Gironde et vous avez fait trois centres de formation ?\\n\\nC’est ça. Nantes-Rezé, Arras et le Cavigal de Nice. A Nantes, le projet sportif pour la deuxième année cadette ne me convenait pas. J’ai cherché un autre club pour atteindre mes objectifs de joueuse dans le haut niveau que j’ai trouvé à Arras. Deux semaines après mon arrivée, je m’entrainais avec les pros sous la tutelle de Bruno Blier. Et quand il est parti, je suis parti avec lui car c’est grâce à lui que j’avais pu faire ces deux belles années. Je suis arrivée à Nice et en parallèle j’ai commencé un cursus universitaire. J’ai continué mon petit bonhomme de chemin jusqu’à mon arrivée ici.\\n\\nVous vous êtes blessée ?\\n\\nA Arras, je me suis luxée l’épaule et comme c’était ma troisième récidive, j’ai dû me faire opérer. Ça m’a coûté une saison blanche. Cette blessure m’a freinée dans ma carrière de joueuse. J’ai fait le banc en Ligue 2 mais je ne suis pas rentrée.\\n\\nEtes-vous frustrée de ne pas être allée un peu plus loin en tant que joueuse ?\\n\\nFrustrée, ce n’est pas le mot. Bien sûr, j’aurais aimé aller plus loin dans ma carrière de joueuse mais je savais déjà que c’était une carrière assez éphémère surtout avec des blessures et j’en ai vécu l’expérience. Je voulais très vite savoir ce que j’allais faire après ma petite carrière de joueuse et en fait c’était d’être entraîneur. Je me suis tout de même demandé si je devais aller chercher de la Ligue 2, de la N1 où j’aurais pu continuer ma carrière de joueuse. C’est présenté à moi l’ancien assistant de l’équipe professionnelle de Nice, Grégory Muntzer, qui m’a proposée de me former en tant qu’assistante sur les minimes France. C’était une opportunité de coacher à haut niveau sachant que les places sont très restreintes. Non, ce n’est pas de la frustration. J’ai eu la chance de m’entraîner avec des joueuses qui jouent en équipe de France actuellement et je suis très contente de l’expérience que j’ai vécu. Et maintenant je me fixe d’autres objectifs dans un autre domaine de prédilection.\\n\\nVous-vous étiez fait la réflexion à l’époque qu’il y avait peu de femmes dans les clubs féminins ?\\n\\nQuand j’étais joueuse, je ne m’en rendais pas compte. J’étais focus sur ma carrière, sur mon développement personnel. Bien sûr, on voyait qu’il n’y avait pas beaucoup d’entraîneurs féminines. Il y avait encore Corinne Benintendi, Valérie Garnier et Marina Maljkovic. Ce n’était pas beaucoup mais je ne m’en rendais pas compte à l’époque. Aujourd’hui, je sais que les places sont très restreintes pour les femmes.\\n\\nParallèlement, vous avez obtenu un Master en Préparation Physique et Réathlétisation ?\\n\\nMa blessure à l’épaule m’a beaucoup servi dans mon développement personnel, que ce soit sportif ou humain. Ça m’a permis de me recentrer sur moi-même. Je me suis dit qu’une blessure peut arrêter une carrière alors qu’on n’est pas forcément consciente que ça peut nous arriver à nous du jour au lendemain. Là, on se dit, que va-t-on faire quand il n’y aura plus le basket ? C’est un message que j’essaye de faire passer aux jeunes joueurs que j’entraîne en leur disant que le basket c’est une carrière très éphémère. Sinon les grandes stars, c’est compliqué pour beaucoup de joueurs et de joueuses, qui n’ont pas fait des études à côté, et qui se retrouvent sans rien à la fin de leur carrière et qui font des choses par défaut. Je me suis dit que je voulais un plan B au cas où la carrière que je voulais faire en tant que joueuse n’aboutissait pas. J’ai pu faire STAPS avec des horaires aménagés et la préparation physique, c’est quelque chose qui me branche beaucoup. J’ai passé mes diplômes afin d’avoir la double casquette, préparateur physique et entraîneur.\\n\\nC’est grâce à un stage que vous êtes entrée aux Sharks ?\\n\\nEn fait, dans mon Master 1, je devais trouver un stage pour avoir mon diplôme dans la préparation physique. J’avais déjà fait un stage au Cavigal et la fac de Nice avait beaucoup de contacts avec les Sharks. Je me suis dit, je veux tenter ma chance ! J’ai rencontré Christian Corderas qui est l’actuel responsable du centre de formation et il m’a pris comme stagiaire. Je lui avais dit que j’aimerais rentrée dans une structure professionnelle, que ce soit masculine ou féminine. Il m’a aidée pour démarcher les autres clubs de Pro A, Pro B et Ligue Féminine. Je n’osais pas lui demander pour les Sharks. J’ai eu quelques propositions et lui m’a fait une offre. Il souhaitait m’avoir comme assistante sur les espoirs. J’ai eu un très bon feeling avec lui, il m’a beaucoup appris et je voulais apprendre davantage sur le basket que sur la préparation physique. J’ai accepté son offre et pendant deux ans j’ai été son assistante avant d’arriver à la place que j’occupe aujourd’hui.\\n\\n« Il y a beaucoup de femmes politique, de femme d’affaires, des femmes à hautes responsabilités, qui arrivent à gérer leur vie perso et leur vie professionnelle, alors pourquoi pas des entraîneurs féminins de haut niveau »\\n\\nLe basket masculin de haut niveau, c’est quelque chose qui vous intéressait avant ?\\n\\nComme j’y étais, je regardais davantage le basket féminin. Pour les garçons, je suivais les résultats de Strasbourg, de l’équipe de France, j’aime bien aussi deux ou trois équipes de NBA. Je m’y intéressais toutefois beaucoup moins que maintenant où je suis dedans. Je lis, je relis, je regarde beaucoup de matches d’Euroleague, de NBA, de Pro A, Pro B, du championnat espagnol, serbe, italien. J’ai délaissé un peu la Ligue Féminine mais en ayant toujours un œil dessus.\\n\\nAviez-vous une appréhension d’intégrer une équipe d’hommes ?\\n\\nNon. Au contraire, c’était un challenge que je voulais réussir. Je n’ai pas eu peur sinon une petite appréhension sur les premiers entraînements, les premiers contacts avec les joueurs, c’est tout. Mais j’étais excitée à l’idée de commencer et de prouver que j’étais capable de le faire.\\n\\nLes joueurs ont-ils été surpris d’avoir à faire à une femme qui plus est, une jeune femme ?\\n\\nJ’ai eu la chance d’être un peu sur les entraînements l’année dernière sur du travail individuel, ce qui fait que ceux qui étaient sous deux années de contrat ou qui ont re-signé me connaissaient déjà. Mais je n’ai pas ressenti ça chez les nouveaux et quand j’ai fait les parties d’entraînement, ils étaient très réceptifs, très respectueux, et ils demandaient pas mal de conseils. Pour eux, un entraîneur est un entraîneur, qu’il soit jeune, vieux, une femme ou un homme.\\n\\nComment se fait la répartition des taches avec les deux autres assistants, Marc Berjoan et Kenny Grant ? Vous êtes plus sur la préparation physique ?\\n\\nNon car on a un préparateur physique. J’ai été embauchée dans le staff pour faire du scouting vidéo, de l’analyse statistiques et du développement individuel sur les joueurs. Kenny Grant est sur le développement individuel des joueurs notamment sur le travail du tir et Marc Berjoan a le rôle du premier assistant. Il travaille sur la vidéo, le développement des joueurs, c’est un peu notre référent à Kenny et moi, c’est la première personne à qui on doit rendre des comptes dans notre travail individuel et sur nos missions.\\n\\nVous vous occupez encore un peu des espoirs ?\\n\\nJe suis un peu sur le banc pour faire la passerelle avec les jeunes, ça permet d’avoir du lien avec le centre de formation.\\n\\nLes ajustements dans l’équipe avec le retour de Chris Otule, la venue de Taurean Green ont-ils modifié le mental de l’équipe ? (NDLR : l’interview a eu lieu avant la défaite à domicile face à Boulazac ?)\\n\\nL’arrivée de Taurean Green et Chris Otule a apporté un plus mais malgré le 0-9 que l’on a subi, il n’y a jamais eu de péril en la demeure. On savait que le début de championnat ne serait pas simple. On a eu des pépins physiques qui nous ont privés de certains joueurs sur deux ou trois matches et l’équilibre était compliqué à avoir. Depuis qu’ils sont là, l’équilibre est rétabli, ça a apporté un nouveau souffle, de l’enthousiasme à l’entraînement mais il n’y a jamais eu de soucis avant ça et bien sûr qu’avoir ces deux victoires d’affilée, ça fait du bien au moral. On sait le chemin qu’il nous reste à parcourir, on va faire en sorte de sortir de cette zone rouge et je pense qu’on le fera.\\n\\nAvez-vous eu l’occasion de parler avec Lauriane Dolt ?\\n\\nUn petit peu. On s’est connu quand elle était encore coach des espoirs. Christian Corderas nous avait présenté. On se parle de temps en temps par message même si on n’a pas eu encore vraiment eu le temps de discuter de son parcours. Ça a été une des premières à me féliciter pour mon nouveau poste et je ne m’y attendais pas. Je pense que si elle n’avait pas été là, je ne serais pas aujourd’hui à la place que j’occupe.\\n\\nEn vous écoutant, on se dit que vous n’avez pas de barrière psychologique ?\\n\\nNon. Le ressenti que j’ai c’est qu’il y a encore des anciennes mentalités qui pensent qu’une femme ne peut pas coacher des hommes...\\n\\nVous avez des réflexions à ce sujet ?\\n\\nOn ne m’en a jamais faites mais je sais qu’il y a des coaches qui sont encore réfractaires au fait qu’il y ait des femmes qui coachent des hommes. Ça peut se comprendre mais pour moi ce n’est pas une barrière, au contraire. Je veux montrer qu’une femme est capable de coacher des hommes et que l’on parle de compétence basket et pas de genre masculin ou féminin. Le basket c’est le basket, ça n’a pas de genre. J’ai zéro barrière et j’ai zéro limite. Je suis très ambitieuse comme personne et je jouerai la carte que j’ai à jouer dans le monde masculin. J’ai envie de la jouer très, très forte.\\n\\nVous pensez que votre destinée est de rester chez les garçons ?\\n\\nJe ne ferme pas la porte au basket féminin, c’est là d’où je viens mais si j’ai une carte à jouer dans le basket masculin, je la jouerai. J’ai un pied dedans et je veux y mettre les deux, je veux m’imposer dans le basket masculin. J’ai le temps, je suis jeune mais je suis très enthousiaste, très heureuse de mon début de parcours et je remercie Julien Espinosa de m’avoir donné cette chance. Tous les jours j’apprends et j’adore mon boulot, je m’y épanouie énormément.\\n\\nEtes-vous attentive à la féminisation en NBA, au parcours de Becky Hammon aux Spurs ou le fait que Sue Bird intègre le staff des Nuggets ?\\n\\nBien sûr car je me dis que si la NBA ouvre ses portes à des grandes joueuses -il y a aussi Kristi Toliver qui a intégré le staff de Washington- c’est très bien car on sait que les Américains sont les pionniers de tout. Ça peut nous ouvrir des portes sur la scène européenne. En plus ce sont des joueuses que j’admire et j’ai eu la chance d’en voir quelques-unes sur le parquet et les voir sur les terrains avec la casquette de coach, c’est encore mieux. C’est tout bénéf pour nous. On ne donne pas un poste de coach en NBA pour ses beaux yeux. On lui donne parce qu’elle a des connaissances fortes. Je suis très attentive, très admirative à ça et j’espère un jour pouvoir les rencontrer, ces joueuses-entraîneurs.\\n\\nIl n’y a pas encore beaucoup de femmes dans le coaching en Europe, y compris dans le basket féminin ?\\n\\nNon. Je pense que ça va s’ouvrir de plus en plus, la société actuelle veut ça aussi. Il y a pas mal de femmes qui veulent maintenant coacher. Peut-être qu’avant on ne leur ouvrait pas les portes. Il va y en avoir de plus en plus dans les années qui vont suivre. Encore une fois, le basket ne se limite pas à un genre. Tant que l’on apporte les connaissances aux joueurs, la stratégie, les tactiques, peu importe que l’on soit un homme ou une femme, le joueur n’attend qu’une chose : gagner et pouvoir se développer.\\n\\nVos anciennes équipières sont-elles étonnées par votre parcours ?\\n\\nJe ne peux pas parler pour elles (sourire). Elles sont super contentes mais je ne sais pas si ça les étonne ou pas.\\n\\nLes observateurs du basket féminin font le constat qu’il y a moins de jeunes filles passionnées par le basket que de jeunes garçons, donc qu’il y a moins de vocations. Ils disent aussi que ça demande davantage de sacrifices pour une femme d’être coach que pour un homme ?\\n\\nJe ne peux pas répondre, je suis encore jeune. Bien sûr je pense à un projet de famille mais ce n’est pas aujourd’hui la première question que je me pose. Il n’y a pas encore eu ce « problème » sur le fait de savoir comment ça va se passer si une femme coach tombe enceinte. Pourra-t-elle entraîner ? Peut-être que dans trois ou quatre ans on en reparlera et je pourrai vous dire comment je gère ce type de situation. Aujourd’hui, je gère très bien ma vie perso mais parce que je n’ai pas encore le plan de fonder une famille. Il y a beaucoup de femmes politique, de femme d’affaires, des femmes à hautes responsabilités, qui arrivent à gérer leur vie perso et leur vie professionnelle, alors pourquoi pas des entraîneurs féminins de haut niveau.\\n\\n[armelse]\\n\\nVous êtes originaire de la Gironde et vous avez fait trois centres de formation ?\\n\\nC’est ça. Nantes-Rezé, Arras et le Cavigal de Nice. A Nantes, le projet sportif pour la deuxième année cadette ne me convenait pas. J’ai cherché un autre club pour atteindre mes objectifs de joueuse dans le haut niveau que j’ai trouvé à Arras. Deux semaines après mon arrivée, je m’entrainais avec les pros sous la tutelle de Bruno Blier. Et quand il est parti, je suis parti avec lui car c’est grâce à lui que j’avais pu faire ces deux belles années. Je suis arrivée à Nice et en parallèle j’ai commencé un cursus universitaire. J’ai continué mon petit bonhomme de chemin jusqu’à mon arrivée ici.\\n\\nVous vous êtes blessée ?\\n\\nA Arras, je me suis luxée l’épaule et comme c’était ma troisième récidive, j’ai dû me faire opérer. Ça m’a coûté une saison blanche. Cette blessure m’a freinée dans ma carrière de joueuse. J’ai fait le banc en Ligue 2 mais je ne suis pas rentrée.\\n\\nEtes-vous frustrée de ne pas être allée un peu plus loin en tant que joueuse ?\\n\\nFrustrée, ce n’est pas le mot. Bien sûr, j’aurais aimé aller plus loin dans ma carrière de joueuse mais je savais déjà que c’était une carrière assez éphémère surtout avec des blessures et j’en ai vécu l’expérience. Je voulais très vite savoir ce que j’allais faire après ma petite carrière de joueuse et en fait c’était d’être entraîneur. Je me suis tout de même demandé si je devais aller chercher de la Ligue 2, de la N1 où j’aurais pu continuer ma carrière de joueuse. C’est présenté à moi l’ancien assistant de l’équipe professionnelle de Nice, Grégory Muntzer, qui m’a proposée de me former en tant qu’assistante sur les minimes France. C’était une opportunité de coacher à haut niveau sachant que les places sont très restreintes. Non, ce n’est pas de la frustration. J’ai eu la chance de m’entraîner avec des joueuses qui jouent en équipe de France actuellement et je suis très contente de l’expérience que j’ai vécu. Et maintenant je me fixe d’autres objectifs dans un autre domaine de prédilection.\\n\\nVous-vous étiez fait la réflexion à l’époque qu’il y avait peu de femmes dans les clubs féminins ?\\n\\nQuand j’étais joueuse, je ne m’en rendais pas compte. J’étais focus sur ma carrière, sur mon développement personnel. Bien sûr, on voyait qu’il n’y avait pas beaucoup d’entraîneurs féminines. Il y avait encore Corinne Benintendi, Valérie Garnier et Marina Maljkovic. Ce n’était pas beaucoup mais je ne m’en rendais pas compte à l’époque. Aujourd’hui, je sais que les places sont très restreintes pour les femmes.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Sharks et FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Laurent Legname (Dijon) : «On réagit, mais j’aimerais qu’on agisse dès le départ»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Malgré un tir à la dernière seconde du temps réglementaire de David Holston pour arracher la prolongation, la JDA Dijon n’est pas parvenu à réaliser l’exploit face à Bamberg à domicile en s’inclinante 101-97.\\n\\nAprès le match, Laurent Legname s’est montré déçu du résultat après que ses joueurs aient fait tous les efforts possibles pour revenir dans la rencontre alors qu’ils ont compté jusqu’à 15 points de retard. L’ancien coach du HTV a également souligné le manque défensif de son équipe en début de match.\\n\\n« Je suis très déçu parce que mon équipe a mis toute son énergie pour revenir dans ce match. Bien sûr, on fait des erreurs mais le niveau d’intensité et le coeur qu’on a mis dans ce match c’est incroyable. Je suis très fier de ça. Bamberg a joué un très bon basket, ils ont de très bons joueurs. Nous avons laissé l’équipe dérouler en première mi-temps, ils ont affiché de très bons pourcentages, mais en deuxième mi-temps nous avons essayé de revenir et on n’a rien lâché. La différence se fait sur des détails et ça se ressent tout de suite avec une équipe du niveau de Bamberg. Il faut qu’on arrive à défendre beaucoup plus dur en action et non pas en réaction. Ce n’est pas normal de laisser 25 points dans chaque quart-temps, même face à de bonnes équipes. On réagit, mais j’aimerais qu’on agisse dès le départ. Il faut que les joueurs qui rentrent se mettent plus minable et soient plus en action défensivement. On est capable de le faire. Contre des fortes équipes, qui sont lucides dès le départ, ça ne pardonne pas si on n’est pas dans l’exécution défensive, dans l’agressivité requise, les mecs marquent et quand ils sont confiants c’est très dur. C’est l’étape à franchir à une bonne équipe pour devenir une très bonne équipe. C’est l’apprentissage. J’espère qu’on va apprendre, mais ce n’est pas gagné. »\\n\\nPhoto : FOXAEP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Six mois après son titre de champion de France, Romeo Travis (ex-Le Mans) est devenu champion des Philippines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Six mois après avoir été champion de France avec Le Mans et MVP des finales, Romeo Travis (1,98m, 34 ans) a gagné le titre de champion de la PBA Governors’ Cup avec son club des Magnolia Hotshots.\\n\\nL’intérieur américain a cumulé 32 points, 17 rebonds, 6 passes et 3 interceptions en 44 minutes lors du cinquième match décisif sur les Alaska Aces, 102-86. Il s’agit du 14e titre de Magnolia dans l’histoire de la franchise."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet (Strasbourg) : «Nous avons surpris Bayreuth»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Désormais deuxième du classement du groupe D de Champions League, la SIG n’est qu’à une victoire de Bologne qui reste sur deux revers de suite. Strasbourg s’est imposé mercredi soir (84-76) en déplacement à Bayreuth, en Allemagne.\\n\\nAprès la rencontre, Jeremy Nzeulie a souligné l’agressivité dont ont fait preuve ses coéquipiers pour mettre tout de suite les mains sur le match, en témoigne le 26-7 du début de match en faveur des Alsaciens.\\n\\n« Nous avons très bien commencé, nous avons bien défendu, nous leur avons donné des tirs difficiles. En attaque nous étions aussi très bons. Malheureusement en deuxième mi-temps nous avons eu un creux, ils sont revenus, ils ont mis des gros tirs. Il faut les féliciter pour ça, mais nous avons su faire les stops nécessaires et mettre les paniers importants pour gagner ce match. »\\n\\nMême constat pour l’entraîneur strasbourgeois, Vincent Collet, qui a aussi noté que son adversaire du soir s’est présenté un peu trop confiant sur le parquet alors qu’il restait sur neuf victoires de suite entre le championnat allemand et la coupe d’Europe.\\n\\n« Nous ne pouvions espérer un si bon début. Bayreuth a gagné ses neuf derniers matchs entre le championnat et la Champions League donc nous savions qu’ils avaient une grosse confiance mais nous ne savions pas qu’ils pourraient être, peut-être, trop confiants. Au début nous avons joué beaucoup plus agressivement qu’eux, nous les avons surpris. Ils n’ont pas pu bien commencer offensivement et même après quand ils ont eu des bons tirs ils les ont raté parce qu’ils étaient surpris. Je pense que nous aurions pu éviter ce qui s’est passé dans le dernier quart-temps, mais comme bien souvent dans cette configuration nous nous sommes relâchés un peu et Bayreuth mérite de revenir parce qu’ils ont fait de gros efforts, ils ont beaucoup mieux joué, ils ont mis des gros tirs et de notre côté on est contents d’avoir pu compter sur Mike Green pour mettre deux gros tirs et plier le match. »\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"8e de finale de Coupe de France féminine: L’ASVEL fait chuter Montpellier"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Jusqu’ici Lyon ASVEL féminin n’avait pas réussi à s’imposer face à Lattes-Montpellier, que ce soit par deux fois en Eurocup et une fois en championnat. C’est chose faite. Les filles de Valéry Demory ont fait chuter le BLMA en huitième de finale de Coupe de France notamment grâce au trio Alysha Clark (8 points, 11 rebonds), Clarissa Dos Santos (14 points, 8 rebonds) et Julie Allemand Allemand (14 points, 5 rebonds et 4 passes).\\n\\nPar ailleurs, Basket Landes a eu toutes les peines du monde à se défaire de Montbrison, une équipe de L2.\\n\\n8e de finale\\nReims (LF2) – Roche Vendée (LFB) : 57-68; Calais (LF2) – Chartres (LF2) : 70-74; Lyon (LFB) – Lattes-Montpellier (LFB) : 60-55; Montbrison (LF2) – Basket Landes (LFB) : 64-69; Nantes-Rezé (LFB) – Tarbes (LFB) : 63-74\\n\\nPhoto: Endy Miyem (Lattes-Montpellier) et Fatimatou Sacko (Lyon)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague féminine: Bourges bouscule Villeneuve d’Ascq, Bria Hartley cartonne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bourges est sorti large vainqueur de son duel franco-français avec Villeneuve d’Ascq (83-62) en s’appuyant principalement sur Alexia Chartereau (18 points), Nayo Raincock-Ekunwé (17 points) et Marine Johannès (16 points). Dans le camp nordiste, Magaly Mendy (18 points, 20 d’éval) s’est une nouvelle fois mise en évidence.\\n\\nUne Française a cartonné lors du match Fenerbahçe-Charleville mais elle porte le maillot du club turc. Bria Hartley s’est fendue de 30 points à 10/16 aux shoots, ce qui est la quatrième performance de la saison. Les Flammes ont très bien résisté (28 points de Hailey Peters) mais ont cédé finalement 75-84.\\n\\nPhoto: Bria Hartley (Fenerbahçe, FIBA)\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=FR202Wtvvco"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéos: Les highlights de Bayreuth-Strasbourg et Dijon-Bamberg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La SIG Strasbourg a réussi une excellente opération en s’imposant en Allemagne à Bayreuth grâce à un départ tonitruant (27-6). Les Allemands n’ont pas pu revenir complètement (76-84). Youssoupha Fall est en double double (17 points, 10 rebonds).\\n\\nEn revanche, la JDA Dijon a échoué face à l’ancien club d’Euroleague, Brose Bamberg, ce après prolongation, 97-101. Les nouveaux exploits du meneur David Holston (29 points, 6 passes) n’ont donc pas été suffisants."
}, 
{"role": "user",     "content":"CourtCuts : le Top 10 de la semaine (15 décembre)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque saison depuis maintenant sept ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCette semaine, c’est Guillaume Mérie (Aurore Vitré, NM1) qui pointe à la première place du classement grâce à un énorme shoot du milieu de terrain qui offre la victoire à son équipe face à Toulouse."
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : Rodrigue Beaubois incendiaire"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Euroleague nous propose un programme sacrément chargé cette semaine et ça a commencé très fort avec un gros match de Rodrigue Beaubois (22 points) dans la victoire très nette de l’Efes Istanbul contre Podgorica (106-68).\\n\\nDans le duel des poids lourds qui a opposé le Fenerbahçe et le CSKA Moscou, ce dernier a fini trop court dans la fournaise d’Istanbul, à l’image de cet ultime layup raté de Nando De Colo, dans un soir sans. Par ailleurs, l’Olympiakos et Vitoria continuent de se replacer au classement en attendant la fin de cette 13e journée.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nRodrigue Beaubois met le feu à Podgorica\\n\\nInactif lors des deux derniers matchs de l’Efes, Rodrigue Beaubois avait envie de jouer face à Podgorica, et ça s’est rapidement vu avec 19 de ses 22 points en 1e mi-temps. Les coéquipiers d’Edwin Jackson (11 points) n’ont pas fait le poids en encaissant en plus un incroyable 22-0 en 3e quart !\\n\\nCe très large succès de l’Efes (+38) est tout simplement le plus large du club sur le siècle écoulé. Adrien Moerman (13 points, 6 rebonds) et l’intérieur australien, Brock Motum (17 points, 7 rebonds) ont aussi participé à ce festival offensif à sens unique !\\n\\n\\nLe Fener mate le CSKA\\n\\nDans le duel des superpuissances, le CSKA avait semble-t-il bien préparé son affaire avec un départ canon propulsé par Will Clyburn et Cory Higgins. Mais avec Jan Vesely mis sur orbite par Kostas Sloukas, le Fenerbahçe a peu à peu repris ses esprits. Et c’est dans une fin de match au cordeau que Marko Guduric (15 points) et Vesely (19 points) ont sauvé la série d’invincibilité de leur équipe qui en est désormais à 9.\\n\\nDu côté des Français, Joffrey Lauvergne (4 points, 5 rebonds) et Nando De Colo (3 points) n’ont pas pesé bien lourd, une fois n’est pas coutume. A noter, l’incroyable stat d’1 rebond offensif, une extrême rareté pour le CSKA Moscou en Euroleague...\\n\\n\\nVitoria enchaîne\\n\\nDans un match très important au classement, au sein de la meute des poursuivants, Vitoria a eu raison de son compatriote de Gran Canaria (84-71). Les Basques ont fait la différence au retour des vestiaires avec Matt Janning et Shavon Shields, tous deux à 16 points au final. Luca Vildoza ajoute 13 points et 6 passes dans la 3e victoire de suite de Vitoria...\\n\\nA l’inverse, dans ce qui sonne comme la fin d’une série de 3 succès pour GranCa, Kim Tillie (11 points) a fini meilleur scoreur de son équipe avec un bon petit dunk pour le vétéran. En face, Vincent Poirier n’était pas dans un grand soir d’attaque (0/7 aux tirs) mais il grappille tout de même 12 rebonds.\\n\\n\\nBarcelone continue sa dégringolade\\n\\nRien ne va plus au Barça ! Après leur réveil attendu, et une grosse série de 5 victoires consécutives en début de saison, Barcelone vient de concéder hier soir un 4e revers de rang face à Olympiakos (69-60).\\n\\nDans un match fermé à double tour, avec un dernier quart à la défense étouffante, les Reds ont été portés par Nikola Milutinov (18 points, 14 rebonds) et Vassilis Spanoulis (14 points). Thomas Heurtel (8 points, 3 passes) n’a pas réussi à emballer le match pour les Blaugranas. De retour à l’action, Kevin Séraphin a scoré 2 points en 7 minutes.\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes) : 22 points (8/11 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre en 21 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Efes) : 13 points (6/9 aux tirs), 6 rebonds, 3 passes, 1 interception en 24 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 11 points (4/7 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 20 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 11 points (5/7 aux tirs), 2 passes, 2 balles perdues en 21 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 8 points (4/11 aux tirs), 3 passes en 26 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 4 points (1/5 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 10 minutes\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 3 points (1/3 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 3 balles perdues en 14 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 2 points (1/3 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 balle perdue en 7 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 1 point (0/7 aux tirs), 12 rebonds, 1 contre en 26 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 0 point (0/3 aux tirs), 3 rebonds, 1 contre, 1 balle perdue en 16 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nTrès discret depuis le début de saison, Kim Tillie revient peu à peu dans le rythme sur ces dernières journées. Dans la défaite contre Vitoria hier soir, il a signé un troisième match de suite en double figure avec 11 points à 4/7 aux tirs dont ce bon petit dunk en ligne de fond.\\n\\n\\n\\n\\n🕺🕺@ktillie with the shimmy along the baseline!#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/4JjB3s7JkY\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) December 18, 2018\\n\\n\\nLes résultats de la 13e journée\\n\\nMardi 18 décembre :\\nEfes Istanbul – Podgorica (106-68)\\nFenerbahçe – CSKA Moscou (79-75)\\nBarcelone – Olympiakos (60-69)\\nGran Canaria – Vitoria (71-84)\\n\\nMercredi 19 décembre :\\nDarussafaka – Zalgiris Kaunas (18h15)\\nMaccabi Tel Aviv – Khimki Moscou (20h05)\\nMilan – Bayern Munich (20h45)\\nReal Madrid – Panathinaikos (21h)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 14e journée\\n\\nJeudi 20 décembre :\\nCSKA Moscou – Efes Istanbul (18h)\\nPodgorica – Fenerbahçe (20h)\\nOlympiakos – Gran Canaria (2oh)\\nVitoria – Barcelone (21h)\\n\\nVendredi 21 décembre :\\nKhimki Moscou – Darussafaka (18h)\\nZalgiris Kaunas – Maccabi Tel Aviv (19h)\\nPanathinaikos – Milan (20h)\\nBayern Munich – Real Madrid (20h)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nRodrigue Beaubois met le feu à Podgorica\\n\\nInactif lors des deux derniers matchs de l’Efes, Rodrigue Beaubois avait envie de jouer face à Podgorica, et ça s’est rapidement vu avec 19 de ses 22 points en 1e mi-temps. Les coéquipiers d’Edwin Jackson (11 points) n’ont pas fait le poids en encaissant en plus un incroyable 22-0 en 3e quart !\\n\\nCe très large succès de l’Efes (+38) est tout simplement le plus large du club sur le siècle écoulé. Adrien Moerman (13 points, 6 rebonds) et l’intérieur a\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Russie : Moustapha Fall toujours sur la touche, victime d’une pubalgie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Absent de l’effectif du Lokomotiv Kuban depuis plusieurs semaines, Moustapha Fall (2,18m, 26 ans) sera encore écarté des parquets au moins deux semaines.\\n\\nSur Twitter, le Lokomotiv Kuban annonce que son géant français est victime de ce que l’on appelle une pubalgie. Il a été opéré vendredi dernier et il pourra reprendre les entraînements individuels dans deux semaines.\\n\\nCette saison, Moustapha Fall compile en moyenne 7,2 points et 4 rebonds en VTB League, et 7,8 points et 3,1 rebonds en Eurocup.\\n\\n\\n\\n\\n.@moustaphafall15 was diagnosed with sports hernia and last Friday he had a surgery in a German hospital. He will be able to start individual training in 2 weeks.\\n\\n\\nLet's wish our big man the soonest recovery! pic.twitter.com/PslYFO8lne\\n\\n\\n— Lokomotiv Kuban (@lokobasket) December 19, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : l’énorme cassage de cheville de Jeremy Senglin contre Tenerife"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il arrive parfois que les joueurs, souvent meneurs de jeu, arrivent à faire perdre leurs appuis à leur adversaire direct mais pas au point de glisser jusque dans la raquette comme l’a fait hier le défenseur de Jeremy Senglin.\\n\\nDans la défaite de Nanterre face à Tenerife, le joueur de Pascal Donnadieu n’y a pas été de main morte avec son défenseur.\\n\\n\\n\\n\\nALERTE 🚨 ANKLE BREAKER | Jeremy Senglin n’a pas fait dans la dentelle sur ce crossover ravageur !! | 🇺🇸 | @Jsenglin_30 | @BasketballCL\\n____________#WeAreJSF #Nanterre92 #Basketball #anklebreaker #crossover pic.twitter.com/PCty2NBgaf\\n\\n\\n— Nanterre 92 (@Nanterre92) December 19, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Sergio Scariolo (Espagne) sur les fenêtres internationales : «Je ne pense pas que c’est la bonne voie»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Qualifiée pour la coupe du Monde 2019, l’Espagne fait partie des équipes qui ont dû composer sans de nombreux joueurs majeurs. Même son sélectionneur, Sergio Scariolo, est dans une situation délicate du fait de son nouveau statut d’assistant coach aux Toronto Raptors, en NBA.\\n\\nInterrogé par Eurohoops, le technicien italien déclare qu’il pense qu’il est temps de changer de formule pour les qualifications aux grands événements. Pour lui, l’expérimentation de ces fenêtres a montré de bonnes choses parce que des nouveaux joueurs se sont montrés mais qu’il manquait trop de joueurs majeurs.\\n\\n« Les fenêtres FIBA ont quelques bons aspects, on a fait un bon travail avec une nouvelle bande de joueurs et plusieurs villes espagnols ont pu voir l’équipe nationale, mais dans le même temps il y a trop de problèmes pour les équipes NBA, les joueurs NBA et les joueurs d’Euroleague. Je ne pense pas que c’est la bonne voie, celle à suivre. Nous l’avons expérimenté. Ça nous a appris des choses, mais c’est mieux de changer de formule pour la prochaine campagne de qualification pour les Jeux Olympiques, de répondre aux intérêts de chaque et d’avoir un calendrier plus harmonieux, qui est bon pour tout le monde. »\\n\\nIl a également annoncé que la coupe du Monde 2019 sera d’un très bon niveau.\\n\\n« La prochaine coupe du Monde de la FIBA sera un très bon tournoi parce que les places qualificatives pour les Jeux Olympiques 2020 seront très chères. »\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : les conseils nutrition d’Evan Fournier"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans sa sixième saison en NBA, Evan Fournier fait partie des meilleurs Français en activité. Pour être au top niveau il souligne que la nutrition est très importante.\\n\\nDans sa web-série où il emporte tous les fans dans son quotidien de joueur NBA, l’international tricolore consacre l’épisode quatre de cette série à la nutrition. Il ouvre son intimité et montre ce qu’on peut trouver dans son frigo et ce que son chef personnel, Simon Reverchon, lui prépare chaque jour pour être en forme.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Yannis Morin de retour au CCRB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A Nanterre en début de saison, Yannis Morin (2,08m, 25 ans) s’est engagé en tant que pigiste médical de Pape Badji à Châlons-Reims et il est aujourd’hui de retour au CCRB.\\n\\nSur son site, le club annonce le retour du champion de France 2018 avec le MSB. Il revient une nouvelle fois pour pallier l’absence de Pape Badji qui s’est reblessé au genou. La formation de Cedric Heitz, qui pointe actuellement à la quatorzième place du classement, indique que l’ancien joueur du Havre a signé pour un mois.\\n\\nEn six matchs, Yannis Morin a compilé en moyenne 6,7 points et 3,3 rebonds pour une évaluation de 8,5 en Jeep Elite.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Julian Wright pourrait quitter Levallois d’ici la fin de l’année"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Sportando, l’intérieur américain Julian Wright (2,03m, 31 ans) considère l’option que lui offre son contrat de quitter d’ici la fin de l’année les Levallois Metropolitans pour une équipe disputant une coupe d’Europe.\\n\\nCe serait un coup dur pour le club des Hauts-de-Seine. Julian Wright (14,3 points, 8,5 rebonds, 21,5 d’évaluation) est depuis le début de saison l’un des joueurs les plus performants de Jeep Elite.\\n\\nPhoto: LNB\\n\\n\\n\\n\\nJulian wright is considering whether to opt out of his deal with Levallois Metropolitans to join a team that plays in European cups\\nHe has option to leave by the end of December.\\n\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) December 19, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Rétro: Jeux Olympiques de Séoul’1988: Quand l’URSS abat le chêne américain"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Milwaukee Bucks n’ont pas encore déménagé au Bradley Center. En ce mois d’octobre 1987, ils donnent l’hospitalité à la première édition de l’Open McDonald à La Mecca, une salle surannée édifiée en 1950. Leurs hôtes sont le Tracer Milan, champion d’Europe en titre, et l’URSS que l’on qualifie de meilleure équipe nationale hors États-Unis même si c’est la Grèce qui a été sacrée championne d’Europe à Athènes quelques mois auparavant.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nÀ vrai dire les Bucks ont d’autres chats à fouetter que de focaliser sur un tournoi international, ils ont une saison NBA à préparer ! De plus Sidney Moncrief, John Lucas, Ricky Pierce et Craig Hodges sont inopérants pour différentes raisons, allant des blessures à des contrats pas encore ficelés, et le coach Del Harris n’a ainsi que la moitié de ses huit joueurs majeurs à disposition.\\n\\nL’URSS de Mikhaïl Gorbatchev, patrie du communisme triomphant, qui s’étend sur 11 fuseaux horaires et qui comptabilise 288 millions d’habitants, est à l’agonie, mais on ne le sait pas encore. Elle en est à l’heure de la Glasnost (transparence, liberté d’expression) et de la Perestroïka (reconstruction) et elle a soulevé le rideau de fer pour ses athlètes en les mettant en liberté surveillée. Ainsi quelques-uns de ses basketteurs ont été draftés par les franchises NBA et certains sont allés se tester l’été précédent au summer camp des Atlanta Hawks. Les Hawks ? Ce n’est pas un hasard. Son propriétaire n’est autre que Ted Turner, le boss de la chaine de télé TBS qui a retransmis en 1986 les Goodwill Games, qui ont réuni notamment Américains et Soviétiques. Ils ont déjà un regard tourné vers l’extérieur alors que l’essentiel du pays est encore replié sur lui-même.\\n\\n«\u2009Ils savent ce que c’est, le basket\u2009», complimente Dominique Wilkins, l’étoile des Hawks. «\u2009Il y a des joueurs trompeurs. Lorsque vous les voyez comme ça, en civil, vous ne pouvez pas deviner qu’ils ont autant de talent. Ils ne payent pas de mine. Mais sur le terrain, on se rend compte qu’ils se débrouillent avec la balle. Ils ont de grands shooteurs et de bons jumpeurs. Certains peuvent jouer en NBA dès maintenant.\u2009» Le coach Mike Fratello ajoute : «\u2009Ils contre-attaquent mieux que la plupart de nos joueurs de collège. Cela fait partie de leur système, il y a très peu d’égoïsme. Ils récupèrent la balle, et c’est parti.\u2009» Les Américains se méfient des tirs à longue portée des joueurs au maillot rouge siglé CCCP et Jack Sikma constate que son équipe est dépouillée de ses tireurs d’élite : «\u2009Nous serons privés de nos deux long range shooters, Lucas et Hodges, c’est un handicap.\u2009» Il ajoute toutefois, malicieux : «\u2009Mais j’ai essayé le tir à trois-points à l’entraînement, c’est près... J’aimerais tenter quelques shoots en match.\u2009» Précision utile, pour ce McDo la Fédération Internationale et la NBA ont mixé leurs règles et la ligne à trois-points a été tracée à 6,75 m. L’URSS a un forfait majeur à déplorer, celui d’Arvidas Sabonis, 23 ans, dont on dit alors qu’il est en délicatesse avec son tendon d’Achille. D’une façon générale, les Soviets paraissent fragilisés au poste 5.\\n\\nLe commentateur télé Dick Vitale essaye de faire monter la pression. «\u2009C’est l’uniforme soviétique contre l’américain, et cela implique beaucoup de choses, d’émotions, de fierté.\u2009» Sarunas Marciulionis vient de bénéficier d’une ovation spéciale et il est très motivé : «\u2009je suis de Lituanie et il y a une importante communauté lituanienne à Chicago. J’ai parlé avec ses émigrés et je suis très excité de jouer devant eux. Nous ferons tout notre possible pour battre les Bucks. Nous tâcherons de profiter des leçons apprises avec les Hawks.\u2009»\\n\\nAu Kremlin, on croit sans doute à une intoxication des agences de presse capitalistes et on demande probablement confirmation à l’agence TAS. 100 à 127. Les Soviets viennent de prendre 27 points dans les dents. Et ce n’est pas cher payé car il y en avait QUARANTE-NEUF d’écart à la fin du 3e quart-temps. Les Américains ont fini les mains en haut du guidon avec sur le terrain leur arrière banc en quête de contrat. Au Pentagone on doit rigoler de la supposée précision balistique soviétique ; les Reds ont mis 18 tirs à trois-points de suite à côté de la cible. Intimidés, les Soviets ont fait dans leur froc. Seuls Marciulionis, le bien caréné Alexander Volkov et le débonnaire role player Victor Pankrashkine n’ont pas sombré dans le ridicule. «\u2009Ils sont très costauds. Ils le sont probablement même plus que certaines équipes de la NBA. Mais ils ne font pas les aller-retours sur le terrain aussi vite que nous. Nous sommes beaucoup plus rapides qu’eux. Notre défense leur a posé beaucoup de problèmes. Ils ont seulement un gars (Marciulionis) capable de manier le ballon devant nous, et ce que nous avions à faire, c’était de le neutraliser\u2009», juge Jerry Reynolds.\\n\\nAu complet, quelques mois plus tard, les Bucks ne termineront jamais que 4e ex-æquo sur 6 équipes de la Central Division. L’URSS paraît être un nain face à l’hyperpuissance américaine. Dans un an, à Séoul, se dit-on, la crème du basket universitaire doit avaler l’URSS aussi facilement qu’un Red Neck dévore un Burger King.\\n\\nLa collaboration des Hawks\\n\\nEn cette fin des années quatre-vingt, le basket est en net gain de vitalité dans l’empire soviétique. Son audience dépasse celui du hockey-sur-glace et il se positionne en numéro 2 derrière le foot. Pourtant les infrastructures sont indignes du «\u2009paradis\u2009» du socialisme. Ainsi à Minsk, la salle est située à une trentaine de kilomètres du centre-ville, dans une obscure banlieue. Le correspondant de Maxi-Basket, Jean Bogey, sorte de Tintin chez les Soviets du basket-ball, n’en croit pas ses yeux. «\u2009Le revêtement en tartan est surélevé de 50 cm par rapport au sol de la salle, et ce à un mètre des lignes. Une sorte de ring, quoi.\u2009» Et à Kiev, comme le palais des sports est occupé par un spectacle, les matches sont relégués dans une salle de 500 places. En tant que capitaine du CSKA et chef des Komsomols (Jeunesses Communistes) pour l’équipe nationale, et en vertu des libertés nouvelles de la Glasnost, Sergueï Tarakanov s’insurge contre la légèreté des pouvoirs sportifs.\\n\\nEn fait, le championnat national prend toute sa saveur pour les super-finales qui opposent le CSKA au Zalgiris Kaunas. Les Russes face aux Lituaniens. Les opprimants contre les opprimés. Vladimir Tkachenko vs Arvidas Sabonis. La force brute opposée au génie. L’engouement est si fort que le club de l’Armée décide de réquisitionner le Palais des Sports, situé dans l’enceinte du grand stade olympique Lénine, d’une contenance de 15\u2009000 places.\\n\\nEn avril 87, c’est le Zalgiris qui domine le CSKA et sitôt le championnat soviétique clôturé, l’équipe nationale reprend tous ses droits. Les internationaux sont en stage en Bulgarie, dans le Caucase, disputent quelques tournois, vont en finale de l’Euro à Athènes où ils sont tout autant vaincus par Galis and Co que par le sulfureux public athénien. Ce n’est pas terminé. Les plus jeunes s’envolent pour Atlanta où ils se joignent aux Hawks pour des entraînements et des matchs de préparation. C’est ensuite l’Australie et la Nouvelle-Zélande, dans le but de s’acclimater au décalage et au Pacifique en vue des Jeux de Séoul. Le Tournoi Open de Milwaukee sert alors de cerise sur le gâteau. C’est ce qui s’appelle un été studieux.\\n\\nLa saison suivante, le championnat est interrompu deux mois pour cause de tournée aux USA où l’équipe nationale se frotte aux meilleures universités. Et à l’époque ce sont de sérieux tests. Pour éviter la dispersion, la fédération soviétique prend la décision de ne pas engager ses clubs en Coupes d’Europe. Cette fois le CSKA sort vainqueur du duel sempiternel face à un Zalgiris meurtri par l’absence de Sabonis.\\n\\nLes relations sovietico-américaines se sont définitivement détendues puisque l’URSS reçoit cette fois les Hawks pour une tournée de trois semaines avec trois matches au programme : à Tbilissi en Géorgie, à Vilnius sur les terres de Sarunas Marciulionis, et à Moscou. Relus trente ans ans plus tard les chiffres paraissent surréalistes : 500\u2009000 demandes de places seraient parvenues aux organisateurs pour voir le match à Tbilissi et la barre du million serait atteinte en Lituanie ! Dans ce pays au communisme revendiqué et au pouvoir d’achat étriqué, les places se seraient revendues jusqu’à 10 fois le prix. Six mille privilégiés assistent à un simple entraînement ! «\u2009Une énorme masse, très silencieuse, c’était incroyable, tout juste un discret applaudissement quand il y avait quelqu’un qui smashait\u2009», témoigne le francophile Larry Lawrence embarqué dans cette aventure d’un autre âge. Les Hawks de Do Wilkins et Spud Webb, à la recherche de leur forme, perdent un match, celui à Moscou, 132 à 123. C’est une révolution. Les lignes commencent à bouger. Les conservateurs américains, dont John Thompson, qui a été nommé à la tête de la sélection américaine, n’apprécient pas vraiment ce rapprochement avec l’URSS honnie. De là à parler de «\u2009collaboration\u2009», il n’y a pas si loin.\\n\\nSabonis, ce héros\\n\\nRappel des épisodes précédents : aux Jeux, les États-Unis ont raflé l’or à chaque fois, mais la série a pris fin à Munich, en finale, lors des «\u20093 dernières secondes\u2009» les plus longues et les plus controversées de ce sport. L’URSS a hissé le drapeau rouge sur le toit du Monde. L’Amérique a pris sa revanche en 1976. Quatre ans plus tard, les USA boycottent les J.O. de Moscou et en 1984, l’URSS s’inspire du Code d’Hammourabi, œil pour œil, dent pour dent, en ne se rendant pas à Los Angeles.\\n\\nEn 1988 les pros de la NBA sont toujours tricards aux Jeux Olympiques et les signes d’affaiblissement des universitaires sont visibles une fois la génération Jordan passée. Les États-Unis de David Robinson s’imposent péniblement au Mondial’ 86 en Espagne. Un an plus tard, les Yankees sont vaincus par le Brésil du génial Oscar Schmidt au Pan American Games. Le tournoi de Séoul semble démarrer pour eux sous les meilleurs auspices puisqu’ils pulvérisent l’Espagne, 97-53. Et puis ils hoquettent bizarrement face au Canada (+6) avant d’anéantir quatre autres adversaires et de se retrouver en demi-finale nez à nez avec l’URSS.\\n\\nAbsent depuis deux ans des confrontations internationales le géant Sabonis est de retour. Une incroyable résurrection. On le croyait perdu définitivement pour le basket suite à une rupture du tendon d’Achille et une récidive. C’est le docteur Cook, des Portland Trailblazers, qui a fait un miracle médical, mais en précisant que le pivot soviétique prendrait un risque insensé en participant aux Jeux Olympiques. «\u2009Sabonis est l’exemple même de la prédiction de Lénine qui disait que les capitalistes vendraient un jour aux communistes la corde qui servirait ensuite à les pendre. Je pense que nos adversaires directs nous exploitent. Il ne faut pas préparer Sabonis à jouer contre nous\u2009», éructe alors John Thompson.\\n\\nDe toute façon, il paraît inconcevable qu’un joueur resté dix-huit mois sur la touche, puisse être compétitif pour une compétition comme les J.O. De fait, un Sabonis alourdi, empâté, se traîne les premiers jours sur le terrain coréen et n’est utile que grâce à la force de ses bras et sa science du jeu inégalé. «\u2009Arvidas est arrivé des États-Unis pour passer deux jours à Moscou, puis il s’est entraîné avec nous deux semaines. Très durement. C’est pour ça qu’il n’a pas joué contre Porto Rico. Il était un peu fatigué\u2009», dira ensuite le coach Alexandre Gomelski. «\u2009C’est un garçon très intelligent. Et il ne profite pas seulement de sa force, il est aussi mon deuxième meneur de jeu sur le terrain. C’est lui qui indique où se placer.\u2009» Ce que Sabonis réalise face aux États-Unis (13 points et 13 rebonds) et à la Yougoslavie en finale (20 points et 15 rebonds), pas une bête blessée ne l’aurait fait. Le Lituanien jugule David Robinson et Vlade Divac, porte sur ses puissantes épaules toute l’URSS. Le 28 septembre 1988, les Rouges abattent le chêne américain, 82 à 76.\\n\\nHaro sur John Thompson\\n\\nLes critiques tombent drues sur John Thompson jugé coupable d’autoritarisme et qui a très mauvaise presse. Les langues des joueurs se délient. «\u2009Il ne nous dit pas ce qu’il veut. Il le fait pour l’équipe, mais pas individuellement. C’est confus\u2009», témoigne Charles Smith de Pittsburgh. Trois années plus tard dans Gentlemen’s Quarterly, le si bien élevé David Robinson n’ira pas par quatre chemins : «\u2009Thompson était un dictateur. Vous deviez aller dans SA direction. C’était toujours SA salle, SON équipe, SON ceci, SON cela... Il voulait toujours vous faire peur, vous dégrader. Il me disait que je ne pouvais pas jouer...\u2009» Le terme de dictateur est repris par Alex Wolff, journaliste à Sports Illustrated qui nous commente : «\u2009C’est un coach qui crie aux entraînements, qui dit “vous faites ce que je dis, point final.” Charles Smith (un homonyme de celui de Pittsburgh) qui joue pour lui à Georgetown est habitué à ça. Mais pas David Robinson et Danny Manning, par exemple. Ce sont des joueurs sensibles, des gens sensibles, intelligents. Le coach de Danny à Kansas est quelqu’un qui sait écouter, lui faire confiance. Pas comme Thompson. Pour lui il y a l’Amérique contre le reste du Monde, le capitalisme contre le collectivisme. C’est trop de pression pour des garçons de 20 ans.\u2009» Manning, joueur universitaire de l’Année, vient de rendre copie blanche, zéro point. Bref, la même méthode utilisée avec brio quatre ans auparavant par Bobby Knight à Los Angeles et vantée par tous a échoué en Corée du Sud. Comme quoi...\\n\\nLe style de jeu imposé par Thompson est apparu également en décalage avec les canons internationaux. Il a voulu des joueurs ultra physiques, hyper rapides, capables de défendre comme des damnés tout terrain, comme à Georgetown. Il a rejeté Steve Kerr et Rex Chapman. Il n’a pas sélectionné les meilleurs meneurs. Il n’a retenu qu’un seul vrai shooteur longue distance, Hersey Hawkins, qui par malheur, blessé, n’était pas apte au service. L’équipe américaine a souffert aussi de sa jeunesse (un peu plus de 21 ans de moyenne d’âge), de son inexpérience, de son impréparation, de sa suffisance. «\u2009Thompson a coaché comme un pied. Même les petits vont shooter en dessous\u2009», juge alors le meilleur de nos arbitres, Yvan Mainini. «\u2009Il disait à qui voulaient l’entendre qu’ils gagneraient de 30 points.\u2009» À l’inverse, guidée par le matois Alexandre Gomelski, l’Union Soviétique a joué avec finesse, roublardise, se basant sur un groupe qui a accumulé des heures et des heures de vol au compteur. Cette expérience sera aussi décisive en finale face à une Yougoslavie coriace, mais encore un peu verte.\\n\\nRimas Kurtinaitis (28 points en 33 minutes, 4/10 à trois-points) a fait un récital contre les États-Unis. «\u2009Il n’est pas très fort physiquement, mais nous avons de bonnes combinaisons spéciales pour ce joueur. Il lui faut de bonnes positions de shoots à trois-pts\u2009», commente son coach. Kurtinaitis est Lituanien, comme Sabonis, Marciulionis et Chomicius. Avec l’Estonien Sokk et le Letton Miglinieks, cela fait la moitié de l’équipe qui est balte. Plus deux Ukrainiens et un Ouzbek, pour seulement quatre Russes. L’URSS va tomber quelques mois plus tard dans le Néant, mais son immense exploit est gravé dans le marbre pour l’éternité et les Jeux de Séoul auront aussi permis au Monde entier de savoir combien est grande la Lituanie du basket-ball.\\n\\n[armelse]\\n\\nÀ vrai dire les Bucks ont d’autres chats à fouetter que de focaliser sur un tournoi international, ils ont une saison NBA à préparer ! De plus Sidney Moncrief, John Lucas, Ricky Pierce et Craig Hodges sont inopérants pour différentes raisons, allant des blessures à des contrats pas encore ficelés, et le coach Del Harris n’a ainsi que la moitié de ses huit joueurs majeurs à disposition.\\n\\nL’URSS de Mikhaïl Gorbatchev, patrie du communisme triomphant, qui s’étend sur 11 fuseaux horaires et qui comptabilise 288 millions d’habitants, est à l’agonie, mais on ne le sait pas encore. Elle en est à l’heure de la Glasnost (transparence, liberté d’expression) et de la Perestroïka (reconstruction) et elle a soulevé le rideau de fer pour ses athlètes en les mettant en liberté surveillée. Ainsi quelques-uns de ses basketteurs ont été draftés par les franchises NBA et certains sont allés se tester l’été précédent au summer camp des Atlanta Hawks. Les Hawks ? Ce n’est pas un hasard. Son propriétaire n’est autre que Ted Turner, le boss de la chaine de télé TBS qui a retransmis en 1986 les Goodwill Games, qui ont réuni notamment Américains et Soviétiques. Ils ont déjà un regard tourné vers l’extérieur alors que l’essentiel du pays est encore replié sur lui-même.\\n\\n«\u2009Ils savent ce que c’est, le basket\u2009», complimente Dominique Wilkins, l’étoile des Hawks. «\u2009Il y a des joueurs trompeurs. Lorsque vous les voyez comme ça, en civil, vous ne pouvez pas deviner qu’ils ont autant de talent. Ils ne payent pas de mine. Mais sur le terrain, on se rend compte qu’ils se débrouillent avec la balle. Ils ont de grands shooteurs et de bons jumpeurs. Certains peuvent jouer en NBA dès maintenant.\u2009» Le coach Mike Fratello ajoute : «\u2009Ils contre-attaquent mieux que la plupart de nos joueurs de collège. Cela fait partie de leur système, il y a très peu d’égoïsme. Ils récupèrent la balle, et c’est parti.\u2009» Les Américains se méfient des tirs à longue portée des joueurs au maillot rouge siglé CCCP et Jack Sikma constate que son équipe est dépouillée de ses tireurs d’élite : «\u2009Nous serons privés de nos deux long range shooters, Lucas et Hodges, c’est un handicap.\u2009» Il ajoute toutefois, malicieux : «\u2009Mais j’ai essayé le tir à 3-points à l’entraînement, c’est près... J’aimerais tenter quelques shoots en match.\u2009»\\n\\nParu dans Maxi-Basket en 2012\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture: Sarunas Marciulionis, Rimas Kurtinaitis, Arvydas Sabonis et Valdemaras Chomicius."
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Avellino devrait de l’argent à au moins six anciens joueurs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cinquième de Serie A et quatrième du groupe A de Champions League, le club italien de Sidigas Avellino serait en train de faire face à de sérieux problèmes financiers.\\n\\nMardi, La Gazzetta dello Sport révélait que six joueurs auraient saisi le Tribunal Arbitraire du Basket pour des salaires impayés. Il s’agit de Jason Rich, Maarten Leunen, Kyrylo Fesenko, Dezmine Wells, Bruno Fitipaldo et Shane Lawal. En plus de cela, le marché serait bloqué pour la formation transalpine qui aurait dû payer pour 250 000 euros de taxes lundi mais ne l’aurait toujours pas fait.\\n\\nCe mercredi, le quotidien italien rapporte que le propriétaire du club, De Cesare, a admis que son club a des problèmes d’argent. Il aurait demandé au directeur sportif, Nicola Alberani, de parler avec l’équipe pour expliquer la situation et annoncer aux joueurs qu’ils sont en droit de quitter le club s’ils le veulent.\\n\\nAvellino est un concurrent direct du Mans en Basketball Champions League.\\n\\n\\n\\n\\nSidigas Avellino owner De Cesare admits that there are money problems.\\n\\n\\nHe told sports director Nicola Alberani to talk with the team to explain the situation:\\n\\n\\n\\If players want, they are free to leave”\\n\\n\\nTwo time NBA champion Norris Cole is playing with Avellino\\n\\n\\nvia Gazzetta https://t.co/JZsdWUUSC7\\n\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) December 19, 2018\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : les highlights de l’ASVEL et Monaco en Eurocup"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans des matchs sans enjeu pour leur classement en Eurocup, l’ASVEL et Monaco étaient en déplacement à Saint-Pétersbourg et Andorre. Les deux équipes rentrent avec un bilan mitigé, une victoire pour Villeurbanne et une défaite pour Monaco.\\n\\nCes deux représentants français de l’Eurocup sont déjà qualifiés pour le Top 16 de la compétition depuis deux semaines. Mardi soir, l’ASVEL se déplaçait en Russie sans Miro Bilan et David Lighty mais les joueurs de Zvezdan Mitrovic sont quand même allés chercher une victoire en prolongation (84-81).\\n\\nEn Principauté d’Andorre, la formation de Sasa Filipovski n’a, elle, pas su résister aux 17 points de John Shurna et aux 15 points d’Andrew Albicy qui ont mené leur équipe vers un sixième succès cette saison en Eurocup (87-80).\\n\\nCe mercredi soir, le troisième représentant français, Limoges, jouera sa qualification sur son parquet face aux Polonais de l’Arka Gdynia.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du Monde: Le tirage au sort aura lieu le 16 mars"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le tirage au sort de la Coupe du monde 2019 en Chine aura lieu le samedi 16 mars à Shenzhen, une ville de 10 500 000 habitants située en bordure de Hong Kong, l’une des huit villes hôtes de la compétition.\\n\\nAvant le tirage au sort, la sixième et dernière fenêtre des qualifications pour la Coupe du Monde se tiendra du 18 au 26 février, alors que 26 pays se disputent les 14 dernières places.\\n\\nCes 14 dernières équipes rejoindront les 18 équipes participantes déjà connues:\\n\\nHôtes du tournoi: Chine\\n\\nAfrique: Angola, Nigeria, Tunisie\\n\\nAmériques: Argentine, Canada, États-Unis, Venezuela\\n\\nAsie: Australie, Corée, Nouvelle-Zélande\\n\\nEurope: Allemagne, Espagne, France, Grèce, Lituanie, République Tchèque et Turquie"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : l’ancien monégasque Chris Evans quitte Gran Canaria"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Signataire d’un contrat d’un an avec Gran Canaria cet été, Chris Evans (2,03m, 27 ans) quitte déjà les Iles Canaries.\\n\\nSur son site, le club espagnol annonce que les deux parties sont tombées d’accord pour mettre un terme à leur collaboration. Selon Eurohoops, l’ancien joueur de l’AS Monaco serait sur les tablettes du Buducnost Podgorica où évolue Edwin Jackson.\\n\\nCette saison avec Gran Canaria, Chris Evans compilait en moyenne 9 points et 3,2 rebonds en Liga Endesa, et 10,2 points et 2,5 rebonds en Euroleague.\\n\\nPhoto : Gran Canaria"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Ce soir, Lyon ASVEL et Montpellier s’affrontent cette saison dans une troisième compétition différente"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce soir, suite des huitièmes de finale de la Coupe de France féminine et que trouvons nous à l’affiche? Lyon ASVEL face à Lattes-Montpellier, deux des favoris de la compétition avec Bourges.\\n\\nLe plus étonnant, c’est que c’est déjà la quatrième fois que les deux équipes s’affrontent cette saison et dans la troisième compétition.\\n\\nLe premier choc a eu lieu le 20 octobre en championnat de France mais les deux rivaux se sont retrouvés également face à face deux fois en Eurocup. Le BLMA mène 3-0. Soit 80-63 en championnat avec 11 points, 8 passes et 6 rebonds de Romane Bernies, 79-63 dans l’Hérault pour la manche aller d’Eurocup avec 21 points de Samantha Whitcomb, et 68-62 au retour dans le Rhône avec 41,5% de réussite pour le BLMA et seulement 36,5% pour l’ASVEL.\\n\\nLes Lyonnaises peuvent se dire que le dicton « jamais trois sans quatre » n’existe pas.\\n\\n8e de finale\\nReims (LF2) – Roche Vendée (LFB) : 57-68\\n\\nCalais (LF2) – Chartres (LF2) : 70-74\\n\\nMercredi 19 décembre à 20h00\\nLyon ASVEL (LFB) – Lattes-Montpellier (LFB)\\nMontbrison (LF2) – Basket Landes (LFB)\\nNantes-Rezé (LFB) – Tarbes (LFB)\\n\\nPhoto: Marième Badiane et Endy Miyem (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les équipes du All-Star Game LNB représenteront une association caritative"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La 33ème édition du All Star Game LNB qui se déroulera le samedi 29 décembre sera solidaire. En effet, la Ligue Nationale de Basket et Sport Plus Conseil ont souhaité soutenir deux associations via la création d’un challenge solidaire.\\n\\nChaque équipe jouant le match All-Star représentera une association. Ainsi, l’équipe des All Stars français représentera la Fondation CAP NF tandis que l’équipe des All Stars étrangers représentera l’association PLAY International.\\n\\nChaque association se verra remettre un chèque de 5 000 € à la fin du match. Ce don sera bonifié de 5 000 € supplémentaires en faveur de l’association représentée par l’équipe gagnante.\\n\\n« Je suis très fier que la LNB ait pu monter cette opération autour de son All Star Game. Nous souhaitons que chacun puisse avoir une pensée solidaire en cette période de fêtes pour soutenir les enfants. Je suis persuadé que les All Stars auront à cœur de gagner leur match pour aider financièrement l’association qu’ils représentent et que PLAY International et la Fondation CAP NF bénéficieront d’un bel éclairage médiatique sur leurs actions grâce à ce magnifique show de basket », déclare le président de la LNB, Alain Béral.\\n\\nDavid Denave de Vichy-Clermont, papa d’un garçon porteur de la maladie, se réjouit forcément de cette initiative:\\n\\n« Étant impliqué personnellement, je suis heureux que mon sport puisse être aux côtés des enfants malades. Je suis fier que le monde du basket soit un levier pour dynamiser la recherche contre la Neurofibromatose. A nous d’unir nos forces pour pouvoir trouver des solutions thérapeutiques face à cette maladie. Je tiens à remercier la LNB et les joueurs pour leur engagement auprès de la Fondation CAP NF.»"
}, 
{"role": "user",     "content":"En Direct avec Edgar Sosa (BCM Gravelines-Dunkerque) : «Certains viennent jouer pendant 10, 12 ou 14 ans en Europe sans jamais rien gagner»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Auteur d’un triplé historique (Surpercoupe, Coupe et championnat) en Italie en 2015, passé par Ulm, Sassari, Venise ou encore les New Zealand Breakers dans le championnat australien, Edgar Sosa (1,88m, 30 ans) est arrivé en France cette saison en s’engageant avec le BCM Gravelines-Dunkerque. Après onze matchs de Jeep Elite, il s’impose comme un des meilleurs joueurs du championnat avec plus de 16 points, 2 rebonds et 5 passes décisives par match (14 d’évaluation). Il se prête au jeu du « En Direct ».\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nC’était lors de ma première année en Italie avec Bielle, c’était un bon match. Cette année-là nous n’étions pas considérés comme une bonne équipe mais plutôt comme une jeune équipe qui allait être dans les derniers du championnat. Nous sommes allé à Caserte en ouverture du championnat, une équipe qui avait de gros joueurs passés par la NBA, et nous avons gagné (ndlr, victoire 91-87 et Edgar Sosa a compilé 9 points, 2 rebonds et 1 passe pour 7 d’évaluation en 30 minutes).\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nJe dirais Shana Lawal avec qui j’ai joué au Dinamo Sassari en 2014/15. Il était toujours en train de me pousser vers l’avant en me disant que j’étais un bon joueur, que je pouvais faire ce que je veux sur le terrain, que personne ne pouvait m’arrêter. Ça m’a donné beaucoup de confiance et ça m’a beaucoup aidé. Nous sommes toujours en contact aujourd’hui.\\n\\nUn modèle dans le basket :\\n\\nJ’en ai quelques-uns. Le premier, quand j’ai grandi, était Stephon Marbury. Il vient de New York, comme moi, et je voulais juste être comme lui, un meneur scoreur. Aujourd’hui, mon modèle est aussi mon meilleur ami, Kemba Walker qui joue aux Charlotte Hornets. Il est plus jeune que moi, il a deux ans de moins. Il est, pour moi, un des meilleurs joueurs en NBA. Si j’ai des questions sur le basket, si je veux apprendre quelque chose, c’est à lui que je demande.\\n\\nLe meilleur joueur actuel de Jeep Elite :\\n\\nIl y a beaucoup de joueurs que j’aime dans ce championnat. C’est ma première année, je n’ai pas encore rencontré toutes les équipes, mais je dirais Devin Ebanks (Châlons-Reims). C’est le meilleur marqueur du championnat. Quand il a joué contre nous, nous les avons battus et il donnait l’impression d’avoir fait un mauvais match alors qu’il avait encore marqué 22 points. C’est un très bon joueur, très élégant.\\n\\nLe coach qui vous a le plus marqué :\\n\\nJe dirais mon coach en high school, Moe Hicks. Il m’a toujours préparé à jouer en université pour ensuite être professionnel. Il m’a appris à comment être un meneur de jeu agressif et comment faire le job.\\n\\nLa salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :\\n\\nC’était à l’université avec Louisville. On disputait le Sweet Sixteen et on a dû jouer devant 45 000 ou 50 000 personnes. C’est vraiment incroyable !\\n\\nLe pire souvenir en carrière :\\n\\nQuand je me suis cassé la jambe en 2011. C’était pendant les matchs de qualification pour les Jeux Olympiques avec la République Dominicaine en Argentine. C’est le pire moment que j’ai vécu dans ma carrière.\\n\\nLe meilleur souvenir :\\n\\nJ’en ai beaucoup, mais je dirais avoir fait le triplé avec Sassari en 2014/15. On a gagné la Supercoupe, la Coupe d’Italie et le championnat dans la même année. C’est historique, ça n’avait pas été fait en Italie depuis 27 ans donc c’était incroyable d’avoir réalisé ça.\\n\\nL’adversaire le plus coriace :\\n\\nOuh... J’ai joué contre Kyrie Irving, Stephen Curry... J’ai joué contre Team USA donc j’ai rencontré pas mal de bons joueurs.\\n\\nLe meilleur joueur avec qui vous avez joué :\\n\\nAl Horford, qui est aujourd’hui aux Boston Celtics. On a joué ensemble avec la sélection dominicaine. C’est un joueur impressionnant.\\n\\nLe trophée dont vous êtes le plus fier :\\n\\nJe pense à mes trophées en Italie parce que beaucoup de joueurs viennent en Europe, ils y passent 10, 12 ou 14 ans de leur carrière et ils ne gagnent jamais un championnat. Gagner dans ma sixième année c’était énorme pour moi et j’en suis vraiment très fier.\\n\\nVotre meilleur match en carrière :\\n\\nJ’en ai quelques-uns. Si je dois en choisir un... Un de mes préférés, c’était année dernière dans le championnat australien. Nous étions en déplacement, il y avait égalité, j’ai pris le shoot et j’ai marqué à trois points pour l’emporter. Il n’y avait plus du tout de temps sur l’horloge. C’était un grand moment pour moi.\\n\\nSi vous deviez payer pour voir un joueur :\\n\\nLeBron James... Ou Michael Jordan quand il jouait encore. C’est les deux meilleurs joueurs que je n’ai jamais vu de mes yeux. Je paierais sans aucun problème pour les voir jouer.\\n\\nPourquoi le numéro 4 :\\n\\nPour deux raisons. La première c’est que tout ce que je fais c’est pour les gars. Et la deuxième c’est pour mes frères et ma mère. Ma famille est très proche de moi et ça me permet de toujours les avoir près de moi.\\n\\nSi vous pouviez prendre le move d’un joueur :\\n\\nJe prendrais le step back de Kemba Walker. Il est inarrêtable. Tout le monde sait qu’il va faire ce step back, mais personne n’arrive à défendre dessus. C’est incroyable.\\n\\nVotre occupation principale entre deux entraînements :\\n\\nJ’aime juste me reposer. J’aime lire des livres. Parfois je fais la sieste entre les entraînements ou je regarde un film. Mais j’aime passer mon temps à lire et apprendre de ces lectures.\\n\\nLes principaux sujets de conversation dans le vestiaire :\\n\\nNous parlons beaucoup de sport. On parle aussi beaucoup de chaussures. Il y a pas mal de joueurs dans l’équipe qui aiment les sneakers. Capitaine Jean-Michel (Mipoka) en a quelques unes plutôt bien. Nos conversations tournent bien souvent autour du basket et de la Jeep Elite.\\n\\nSi vous pouviez changer une règle dans le basket :\\n\\nJe mettrais une ligne à quatre points. Une ligne un peu plus loin, où les points compteraient pour quatre si on marque derrière.\\n\\nLa ville dans laquelle vous avez joué que vous préféré :\\n\\nJe dirais Auckland, en Nouvelle-Zélande. J’y étais la saison dernière et c’était vraiment merveilleux. J’aime la nourriture, j’aime manger et ils ont vraiment de très bons restaurants. Il y a de très beaux endroits pour se balader, il y a des lacs. La météo est aussi très bonne donc j’ai vraiment apprécié mon passage là-bas.\\n\\nVotre meilleur pote dans le basket :\\n\\nKemba Walker. Nous étions en high school ensemble pendant deux ans. C’était la meilleure période de ma vie.\\n\\nSi vous ne jouiez pas au basket :\\n\\nJ’aurais essayé d’être chef d’entreprise ou lancer une marque de vêtements. Ce sont les deux choses que j’aime. J’aurais aimé être business man. J’aimerais avoir ma propre marque de vêtements un jour.\\n\\nAprès votre carrière :\\n\\nC’est en tout cas ce que j’essayerai ! Je sais à quel point c’est difficile et c’est un milieu compliqué. Il y a déjà beaucoup de belles marques comme Gucci ou Louis Vuitton... Je pense à quelque chose de plus petit, mais de beaux vêtements que les gens pourraient acheter.\\n\\n[armelse]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nC’était lors de ma première année en Italie avec Bielle, c’était un bon match. Cette année-là nous n’étions pas considérés comme une bonne équipe mais plutôt comme une jeune équipe qui allait être dans les derniers du championnat. Nous sommes allé à Caserte en ouverture du championnat, une équipe qui avait de gros joueurs passés par la NBA, et nous avons gagné (ndlr, victoire 91-87 et Edgar Sosa a compilé 9 points, 2 rebonds et 1 passe pour 7 d’évaluation en 30 minutes).\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nJe dirais Shana Lawal avec qui j’ai joué au Dinamo Sassari en 2014/15. Il était toujours en train de me pousser vers l’avant en me disant que j’étais un bon joueur, que je pouvais faire ce que je veux sur le terrain, que personne ne pouvait m’arrêter. Ça m’a donné beaucoup de confiance et ça m’a beaucoup aidé. Nous sommes toujours en contact aujourd’hui.\\n\\nUn modèle dans le basket :\\n\\nJ’en ai quelques-uns. Le premier, quand j’ai grandi, était Stephon Marbury. Il vient de New York, comme moi, et je voulais juste être comme lui, un meneur scoreur. Aujourd’hui, mon modèle est aussi mon meilleur ami, Kemba Walker qui joue aux Charlotte Hornets. Il est plus jeune que moi, il a deux ans de moins. Il est, pour moi, un des meilleurs joueurs en NBA. Si j’ai des questions sur le basket, si je veux apprendre quelque chose, c’est à lui que je demande.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Julie Dumélié/BCM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Orléans rejoint Roanne à la première place, le face à face est prévu vendredi"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Rouen a cartonné hier soir face à Poitiers. L’OLB avait atteint le cap des 65 points à la mi-temps et le score final, 111-85, est éloquent. Pas de records individuels mais 8 joueurs entre 10 et 15 points avec une remarquable adresse générale à trois-points: 17/29. A l’inverse, Norville Carey (29 points, 10/13 aux shoots) s’est retrouvé un peu seul du côté du PB 86, ses équipiers se contentant d’un maigrichon 17/51.\\n\\nLe coach Germain Castano voulait « dix chiens sur le parquet... et que l’équipe soit « au taquet à 300 000% (sic) ». A priori, le compte est bon.\\n\\nLes Orléannais en profitent pour rejoindre à la première place la Chorale de Roanne, qui a chuté à Denain, 81-87, malgré les efforts de Matt Carlino (26 points, 8/14 à trois-points).\\n\\nQuel match est à l’affiche vendredi ? Roanne-Orléans, pardi !\\n\\nPhoto: OLB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéos: Les highlights de Le Mans et Nanterre en Champions League"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un terrible 7-21 dans les dix dernières minutes a gâché tout un match (68-79) puisque Nanterre menait jusque là 61-58 à Tenerife. L’Islandais Haukur Palsson s’était spécialement mis en évidence (16 points, 4/4 à trois-points). Les Nanterriens en sont désormais à 4 victoires et 5 défaites.\\n\\nEn revanche, Le Mans a pu compter de nouveau sur un Juice Thompson (22 points, 4/8 à trois-points, 6 rebonds et 6 passes) qui a confirmé qu’il a retrouvé son shoot, et a sorti un match d’excellente facture face à Banvit pour s’imposer 85-71 à Antarès. Le MSB (3-6) peut de nouveau croire en une qualification même si la porte est étroite.\\n\\nPhoto: Juice Thompson (Le Mans, FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo – Un président, une coach et deux joueuses internationales"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le président Jean-Pierre Siutat est actuellement à Istanbul où il en profite pour voir deux matches d’Euroleague, l’un masculin, Fenerbahçe-CSKA Moscou et l’autre féminin, Fenerbahçe-Charleville. L’occasion de discuter avec deux internationaux, Joffrey Lauvergne et Nando De Colo et deux internationales, Bria Hartley et sa coach, Valérie Garnier.\\n\\nSur la photo, le trio français est en compagnie d’une autre internationale du Fener, Kelsey Plum, championne du monde cet été avec les Etats-Unis.\\n\\n\\n\\n\\nNon non Kelsey PLUM n'est pas en équipe de France 😂😂😂 malgré ses efforts en français 🇫🇷 @FRABasketball On aime la tenue de @Breezyyy14 au Fener 👍 pic.twitter.com/fVIAuHc6MU\\n\\n\\n— Jean-Pierre SIUTAT (@jpsiutat) December 18, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Dans Buzzer, le président délégué, Gaétan Muller, évoque l’économie de l’ASVEL en Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Très intéressante émission Buzzer cette semaine sur RMC Sport avec un éclairage sur l’ASVEL qui doit faire son entrée en Euroleague nouvelle version la saison prochaine, celle-ci étant portée à 18 équipes.\\n\\nQuelques fondamentaux que les lecteurs de BasketEurope connaissent ont été rappelés. A savoir que si Villeurbanne possède le plus gros budget (9,158M€) et la plus grosse masse salariale (2 966 500€) de la Jeep Elite, c’est un nain à l’échelle de l’Euroleague où le budget moyen est de 21,8M€. Ajoutons qu’avec les distorsions en matière de charges sociales, l’écart est très certainement encore plus important en ce qui concerne les masses salariales net.\\n\\nBuzzer a fait appel à un économiste, Pierre Rondeau, qui en quelque sorte a enfoncé le couteau dans la plaie rappelant quelques vérités déjà exprimées ici même par son confrère Didier Primault, ou encore le président de la LNB Alain Béral, à savoir que « le modèle économique de l’Euroleague marche sur la tête » avec un endettement global de 200 millions d’euros pour les 16 clubs actuels ; le Real (28,9M€ pour la seule saison 2017-18) et le Barça (27,1M€) pouvant prétendre au trophée du plus gros panier percé.\\n\\nPour Pierre Rondeau, l’ASVEL se retrouve face à la quadrature du cercle :\\n\\n« C’est impossible de faire bonne figure, économiquement et sportivement, de prétendre atteindre le Final Four, faire bonne figure dans la compétition et pouvoir performer dans la durée car concrètement si on veut performer dans la durée, il faut dépenser économiquement. Et l’ASVEL ne peut pas dépenser économiquement. Première idée, en France, un club de sport n’a pas le droit de s’endetter, il doit maintenir un budget à l’équilibre alors qu’en Espagne, en Russie, on va dans la gabegie financière pour réussir sportivement. L’ASVEL ne peut pas prétendre performer sportivement si elle ne eut pas performer économiquement. Si son budget resté inchangé l’ASVEL serait 14e au niveau économique de l’Euroleague. Est-ce que l’ASVEL doit prétendre se maintenir à la 14e place de l’Euroleague ? Ce qui serait assez dommageable pour un club français... »\\n\\nPrésent sur le plateau, le président délégué de l’ASVEL, Gaétan Muller, n’a pas contredit l’économiste :\\n\\n« Notre objectif n’est pas du tout d’aller sur ce type de budget avec des pertes de 30M€. C’est un budget qui peut fonctionner pour des clubs omnisports comme le Barça ou le Real Madrid où on sait que c’est le football qui injecte pas mal d’argent et qui vient éponger. On est sur un modèle beaucoup plus fiable. On veut élever nos recettes et surtout réfléchir à différentes choses. La première, c’est la formation (...) A travers la Tony Parker Adequat Academy, par exemple, on a décidé de miser un maximum sur les joueurs français et la formation française. Le deuxième point c’est de pouvoir pérenniser des contrats sur des durées plus longues. La plupart du temps les joueurs sont signés sur un an ou deux ans. On a commencé à le faire avec Charles Kahudi que l’on a signé cinq ans, Livio Jean-Charles que l’on a signé trois ans, la même chose avec Amine Noua (...) On a 250 000 euros de droits TV quand on est résident non permanent mais au bout de deux ans on passe à entre 1M€ et 1,5M€. On veut tenir le coût durant ces deux premières années. On a des recettes ticketing. On va multiplier le nombre de matches donc les recettes et aussi à travers les affiches qui vont être présentées, le fait qu’on va jouer le Real, le Barça, le CSKA, on est en mesure de faire venir du public -pas forcément d’augmenter les prix de manière considérable- mais on peut générer des recettes supplémentaires. »\\n\\nSeul l’avenir dira si l’ASVEL a eu raison de se jeter dans la gueule du loup.\\n\\nPhoto: AJ Slaughter (Eurocupbasketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague – Petteri Koponen: «Le Bayern veut devenir l’une des meilleures équipes d’Europe»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un blog sur le site de l’Euroleague, le meneur finlandais Petteri Koponen (1,94m, 30 ans) met en parallèle le FC Barcelone, où il a passé trois saisons, et le Bayern Munich dont il porte actuellement le maillot :\\n\\n« Ainsi, après trois ans avec le FC Barcelone, je joue maintenant pour le FC Bayern Munich. Ce sont deux grands clubs. Les deux sont connus partout à cause du football. Barcelone a plus de tradition de basket et est l’une des meilleures équipes d’Europe depuis de nombreuses années. Le Bayern Munich veut y arriver, c’est le but! Le club ne cesse de s’améliorer chaque année et le but est d’y arriver, de devenir l’une des meilleures équipes de basket-ball européen. C’est l’une des raisons pour lesquelles j’ai été très excité lorsque nous avons parlé cet été de mon arrivée dans l’équipe. Ils m’ont montré leurs plans et leurs objectifs et ils veulent vraiment être l’un des meilleurs un jour. Ils se dirigent vers cela. Les joueurs de football viennent souvent regarder nos matchs, même si les deux équipes sont occupées toute la saison avec des matchs et des entraînements. Nous avons notre propre salles où nous nous entraînons tout le temps et jouons nos matches. Nous faisons certaines choses ensemble, à peu près comme à Barcelone. Il y a toujours des choses communes. »\\n\\nLe Finlandais insiste par ailleurs sur le fait que la capitale de la Bavière est un endroit central sur la carte ce qui facilite les déplacements en Euroleague :\\n\\n« Pour ce qui est de Munich, j’adore la qualité de son réseau. Bien sûr, la ville se trouve au centre de l’Europe, très proche de toutes les grandes villes du continent. Il y a toujours des voyages difficiles, mais c’est très facile la plupart du temps. Il existe de bonnes connexions partout et cela est très important dans un travail comme celui-ci, dans lequel voyager peut être très difficile. Barcelone avait des vols charters mais ici à Munich, vous n’avez pas toujours besoin de ça. J’ai entendu dire que nous prendrions des vols charters dans des endroits où la connexion n’est pas aussi bonne. La plupart du temps, nous prenons des vols commerciaux en raison des connexions faciles. Nous sommes au centre de l’Europe. Il est facile d’aller n’importe où! »\\n\\nPhoto: Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eurocup – Limoges vs Gdyna demain. Le coach polonais veut une deuxième victoire"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Une victoire demain à Beaublanc face à Arka Gdynia et le Limoges CSP décroche le top 16 de l’Eurocup. Une défaite ne serait pas rédhibitoire; il faudrait pour compenser que les Turcs de Bursa échouent dans le même temps au Cedevita Zagreb.\\n\\nLes Polonais de Gdynia ne sont pas des foudres de guerre puisqu’ils n’ont gagné jusqu’ici qu’un seul match. Seulement, c’était contre Limoges, 87-78. Le pivot américain Robert Upshaw (2,13m, 24 ans, 15 points, 7 rebonds) et le meneur polonais Marcel Ponitka (1,87m, 21 ans, 9 points, 6 passes, 4 rebonds, 3 interceptions) avaient été les plus efficients.\\n\\nHabituellement, Robert Upshaw (11,9 points et 7,0 rebonds) représente le danger numéro 1 de l’équipe avec son compatriote, l’arrière Josh Bostic (1,96m, 31 ans) qui avec 17,1 points est le troisième marqueur de l’Eurocup.\\n\\nMême éliminé de la compétition, Arka Gdynia n’a pas l’intention de venir à Limoges en victime expiatoire comme le confirme le coach Przemysław Frasunkiewicz :\\n\\n« Limoges a la possibilité de se qualifier pour la prochaine étape de l’Eurocup. Ils seront donc doublement motivés pour gagner ce match. Lors de la dernière rencontre, ils ont battu Tofas Bursa et ont prouvé qu’ils formaient une très bonne équipe. Nous devons nous concentrer sur nous-mêmes si nous voulons gagner un deuxième match en Eurocup. Nous sommes énormément déçus parce que nous savons que notre aventure se termine cette année. C’est pourquoi je voudrais dire au revoir à l’Eurocup avec une deuxième victoire. »\\n\\nCe week-end, Gdynia a battu Slam Sta, 86-73, et consolide ainsi sa deuxième place au classement du championnat polonais avec 8 victoires et 2 défaites.\\n\\nPhoto: Marcel Ponitka (Eurocupbasketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"JO de Séoul’88: Trente ans plus tard, les héros de l’Union Soviétique se sont retrouvés"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette photo date du 9 septembre dernier et c’est toujours une... exclusivité.\\n\\nLes champions olympiques de feu l’URSS à Séoul en 1988 se sont réunis trente ans après leur exploit. Ils battirent les Etats-Unis de David Robinson en demi-finale (82-76) et la Yougoslavie de Drazen Petrovic, Toni Kukoc et Vlade Divac en finale (76-63). La cérémonie d’anniversaire s’est déroulée dans le Sports Bar de Sarunas Marciulionis en plein Vilnus, en Lituanie.\\n\\nL’ancien perchiste et membre du Comité International Olympique Sergueï Bubka avait été convié pour remettre une bague à tous les champions olympiques encore vivants (Valery Goborov, Viktor Pankrachkine et Aleksander Belostenny sont décédés en respectivement 1989,1993 et 2010) alors que Tiit Sokk n’avait pu rejoindre à temps Vilnius.\\n\\nLes experts reconnaîtront en haut, de gauche à droite : Valdemaras Chomicius, Valery Tikhonenko, Igor Miglinieks, Serguei Tarakanov, Arvydas Sabonis, Aleksander Volkov, Rimas Kurtinaitis et Sarunas Marciulionis. Au premier rang, le médecin de l’équipe, Serguei Bubka et Vladimir Gomelsky, le fils de l’entraîneur, Alexander, décédé en 2005.\\n\\nCette photo a été prise par Jean Bogey -c’est un pseudo- qui fut le correspondant à Moscou du mensuel Maxi-Basket dans les années quatre-vingts, qui nous régala avec ses reportages inside dans la nébuleuse Union Soviétique et qui a conservé des liens étroits avec certains joueurs, ce qui lui a valu d’être invité à la cérémonie.\\n\\nPour rafraîchir les mémoires, nous publions aujourd’hui en Premium un article paru dans Maxi-Basket sur ce triomphe olympique à Séoul.\\n\\nPhoto: Jean Bogey"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie: Larry Brown en sursis à Turin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Turin a décidé de continuer à faire confiance pour l’instant à son coach Larry Brown, 78 ans, même si l’équipe lombarde sort d’une lourde défaite à Varèse (60-77) -Mam Jaiteh n’a joué que 8’- et partage la dernière place avec quatre autres équipes avec 3 victoires et 7 défaites.\\n\\nC’est ce qui ressort d’un entretien entre le directeur général Massimo Feira et l’ancien coach champion en NBA et NCAA, qui malgré ses soucis de santé n’a pas l’intention de démissionner. Larry Brown estime que le travail à l’entraînement et l’apport des nouveaux joueurs doivent payer. Fiat Turin, qui n’a pas gagné un seul match en Eurocup, va en disputer un dixième contre Valence ce soir et surtout va recevoir Pistoia le week-end prochain, qui propose actuellement le même bilan. Une défaite pourrait interrompre le séjour de la légende américaine dans la Péninsule.\\n\\nPhoto: Eurocupbasketball"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Bryan Pamba pour pallier la défection de Mathis Keita"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Afin de pallier la défection de Mathis Keita jusqu’en février, la Chorale de Roanne a fait appel au meneur Bryan Pamba (1,86 m, 26 ans).\\n\\nCelui-ci a été formé à la fois à Pau et Orléans et en pro, il a joué à Orléans, Lille, Evreux et Nantes. La saison dernière, il tournait en 34 matches à 4,7 points et 2,3 rebonds.\\n\\n«C’est un profil intéressant pour nous de par ses qualités défensives sur le porteur de balle », a commenté sur le site du club le directeur sportif Raphaël Gaume. « Il est capable d’impacter physiquement le meneur adverse, mais possède aussi des qualités de percussion qui se rapprochent de celles de Mathis. C’est donc un choix qui devrait nous permettre de garder ce qui fait notre force aujourd’hui, à savoir une défense solide et un collectif qui use l’équipe adverse.»\\n\\nPhoto: Hermine"
}, 
{"role": "user",     "content":"6/8 à trois-points pour Jarell Eddie (Strasbourg) face à Chalon: «C’était un bon entraînement pour le All Star Game»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Recruté pour sa qualité de shooteur, Jarell Eddie (2,01m, 27 ans) a été conforme hier soir à l’idée que s’en faisait son coach, Vincent Collet. L’homme au bandeau a transformé hier soir 6 de ses 8 tentatives à trois-points dans la victoire de Strasbourg sur Chalon, 90-91, le tout pour 22 points.\\n\\n« Jarell est mieux intégré, il montre d’ailleurs beaucoup de volonté aux entraînements », a commenté le coach en conférence de presse. « C’est pas facile pour un joueur qui découvre l’Europe. Ce soir, il était très bon. Il a également été présent aux rebonds. Il s’est imposé et a essayé de résister« .\\n\\nQuant à l’intéressé, il s’est mis dans la perspective... du rendez-vous du 29 décembre à Paris:\\n\\n« C’était un bon match. Après le 1er quart temps, on a vraiment relevé l’intensité. C’était définitivement mon meilleur match ! Je trouve de plus en plus ma place dans le jeu, et je deviens plus agressif en défense. Je sens que mon équipe me fait confiance en me faisant plus de passes. La clé du jeu, c’était de se concentrer sur Robinson car c’est un très bon scoreur. On a beaucoup travaillé aux entrainements, et ça a marché ! J’ai fait 6/8 à trois points, mais j’étais supposé marquer le 7ème! Je l’ai raté car je n’étais pas assez concentré à ce moment. C’était un bon entraînement pour le All Star Game« .\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Bandja Sy s’est imposé au Partizan"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le contingent français ne faiblit pas sur le Vieux Continent. Fort de vingt-cinq joueurs (avec deux représentants de plus récemment, Mam Jaiteh et Landing Sané) répartis sur dix pays, les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment neuf joueurs dans le championnat espagnol, la référence.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nBandja Sy persiste et signe\\n\\nArrivé en Ligue Adriatique en janvier dernier, et en Serbie pour être plus précis, Bandja Sy a prolongé d’un an avec le Partizan Belgrade. Le jeune ailier français a réalisé une solide performance ce weekend avec 9 points, 4 rebonds et 2 interceptions.\\n\\nEn championnat, il tourne à 7 points, 3 rebonds et 1 passe en 21 minutes de moyenne tandis qu’en EuroCup, il en est à 4 points, 4 rebonds et 1 passe sur le même temps de jeu. Voilà une bonne nouvelle pour Bandja qui trouve un peu de stabilité à Belgrade.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=gxb7QYFA8qY\\n\\n\\nLauvergne encore et toujours\\n\\nA l’image de cette action où il met son adversaire direct au sol avant de déborder facilement l’aide d’une volte, Joffrey Lauvergne a encore joué au rouleau compresseur en championnat turc ce weekend.\\n\\nL’intérieur tricolore a réussi un match plein à 15 points et 7 rebonds en moins de 20 minutes, dans un succès facile du Fener (92-68). Ça devient une habitude avec une 5e sortie de rang en double figure...\\n\\n\\nHeurtel passeur mais le Barça dépassé\\n\\nFace à Malaga, Thomas Heurtel a battu le record de passes décisives délivrées sur un match en Liga ACB avec 14 offrandes. Un record qu’il détenait déjà pour l’avoir établi à 13 la saison passée. Ce match record lui permet pour le coup de rejoindre le Top 5 des meilleurs passeurs de Liga.\\n\\nCela dit, l’équipe andalouse n’a pas paniqué pour s’imposer de 5 points (78-73) avec un bon match de Mathias Lessort à 10 points et 5 rebonds. Avec la défaite encore plus surprenante du Real Madrid face à Lugo, Barcelone reste au sommet du classement avec 10 victoires pour 2 défaites.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=RgsxK8EkLx4\\n\\n\\nDouble défaite face à Zagreb\\n\\nQue ce soit le Cedevita ou le Cibona, nos Français de l’étranger ont buté sur Zagreb ce weekend en Ligue Adriatique. En effet, Edwin Jackson et Podgorica ont dû s’avouer vaincu contre le Cibona malgré 13 points de l’arrière tricolore. Et même sanction pour Landing Sane et Mornar Bar, défaits sur le fil face au Cedevita (103-102)...\\n\\n\\nEspagne\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 11 points (5/8 aux tirs), 6 rebonds, 2 interceptions, 1 passe en 20 minutes (victoire 87-77 face à Burgos)\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 10 points (3/6 aux tirs), 5 rebonds, 1 contre en 22 minutes (victoire 78-73 face à Barcelone)\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 9 points (3/4 aux tirs), 6 rebonds, 1 passe, 1 contre, 1 balle perdue en 23 minutes (défaite 70-63 face à Tenerife)\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 8 points (3/7 aux tirs), 14 passes, 3 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 27 minutes (défaite 78-73 face à Malaga)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 6 points (1/4 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 12 minutes (défaite 84-71 face à Lugo)\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 5 points (1/3 aux tirs), 1 rebond en 17 minutes (victoire 83-68 face à Badalone)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 4 points (0/6 aux tirs), 5 passes, 3 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 25 minutes (défaite 87-76 face à San Sebastian)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué (victoire 87-77 face à Burgos)\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : n’a pas joué (défaite 78-73 face à Malaga)\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 10 points (3/7 aux tirs), 3 rebonds, 3 passes, 2 interceptions en 28 minutes (victoire 86-67 face à Rhodes)\\n\\nBoris Dallo (Salonique) : 3 points (1/5 aux tirs), 4 passes, 3 rebonds, 1 balle perdue en 20 minutes (défaite 71-61 face à Prometheus)\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : 9 points (3/4 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 24 minutes (victoire 88-70 face à Galil)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Bologne) : 11 points (4/8 aux tirs), 4 rebonds, 1 balle perdue en 26 minutes (victoire 81-71 face à Pistoia)\\n\\nMam Jaiteh (Turin) : 2 rebonds, 1 passe en 8 minutes (défaite 76-60 face à Varese)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 3 points (1/2 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 1 interception en 14 minutes (victoire 79-55 face à Kėdainiai)\\n\\n\\nMonténégro\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 13 points (3/9 aux tirs), 3 rebonds, 1 balle perdue en 31 minutes (défaite 83-77 face au Cibona)\\n\\nLanding Sane (Mornar Bar) : 9 points (3/7 aux tirs), 3 rebonds, 1 contre en 17 minutes (défaite 103-102 face à Zagreb)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : 13 points (4/13 aux tirs), 9 rebonds, 5 passes, 1 interception, 1 contre en 29 minutes (victoire 113-98 face à Gliwice)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : pas de match\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : n’a pas joué (victoire 80-69 face à Astana)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 9 points (2/6 aux tirs), 4 rebonds, 2 interceptions, 1 balle perdue en 22 minutes (victoire 83-77 face à Belgrade)\\n\\nAdam Mokoka (Mega) : 7 points (1/6 aux tirs), 6 rebonds, 2 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 32 minutes (défaite 78-68 face à l’Etoile Rouge)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 15 points (7/15 aux tirs), 7 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 20 minutes (victoire 92-68 face à Afyonkarahisar)\\n\\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : pas de match\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : pas de match\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : deux ailiers forts comme des Turcs\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nBandja Sy persiste et signe\\n\\nArrivé en Ligue Adriatique cet été, et en Serbie pour être plus précis, Bandja Sy a prolongé d’un an avec le Partizan Belgrade. Le jeune ailier français a réalisé une solide performance ce weekend avec 9 points, 4 rebonds et 2 interceptions.\\n\\nEn championnat, il tourne à 7 points\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Manuel Diaz (Conseiller du président de Limoges): «On a été jusqu’à me traiter de déchet...»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite et certainement pas fin des soubresauts qui agitent en coulisses le Limoges CSP. Le Populaire a pris le pouls des partenaires du CSP dont certains disent ne pas apprécier certaines errances du club et a interrogé le conseiller du président Youri Verieras, à savoir Manuel Diaz. Celui-ci cristallise de nombreuses critiques. Le Popu lui demande comment il vit le fait d’avoir une cible dans le dos.\\n\\n« Ce n’est pas agréable. Le CSP n’est pas mon travail. Tout un volet du projet 3.0 de Fred (Forte) reposait sur l’innovation et le digital. À sa mort, des personnes au club se sont demandées comment ils allaient faire avancer ces sujets. Du coup, j’ai proposé mes services. J’ai parfois été maladroit. Je suis passé d’un rôle de spectateur et de partenaire du club à un rôle où on scrute tout ce que je dis. Tout ce que je fais. Certains arrivent même à tourner en dérision des contenus professionnels que je mets en ligne. Après, je sais que la critique fait partie du jeu. J’en trouve certaines drôles, d’autres beaucoup moins quand elles se situent sous la ceinture. On a été jusqu’à me traiter de déchet sur fond de racisme parce que j’ai des origines espagnoles... Certaines critiques sont nauséabondes ».\\n\\nLa question lui a été posé de savoir s’il envisage de quitter le directoire du club.\\n\\n« Je suis venu au club de manière désintéressée. Je considère qu’on ne part pas et qu’on n’abandonne pas pendant la tempête. Je ne vais pas laisser des gens que je respecte et pour qui j’ai de la sympathie au milieu de la tempête. Mais si on juge ma présence handicapante pour le club, je ne mettrai aucun frein à mon départ. J’ai assez de choses dans ma vie professionnelle et personnelle pour m’occuper »."
}, 
{"role": "user",     "content":"Serbie : Bandja Sy prolonge une saison avec le Partizan Belgrade"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé à Belgrade en janvier 2018, Bandja Sy est tombé d’accord avec le Partizan pour prolonger l’aventure une saison de plus.\\n\\nSur Twitter, son agent Misko Raznatovic a annoncé la nouvelle. Formé à l’université de New Mexico, passé par l’Elan Béarnais, Nancy et Villeurbanne, le Parisien de naissance a décidé de tenter sa chance à l’étranger à l’intersaison 2017. Signé par l’AEK Athènes, comme son frère Amara dix ans plus tôt, l’ancien joueur du SLUC a finalement été libéré par le club grec puis engagé par le Partizan.\\n\\nCette saison, Bandja Sy tourne en moyenne à 6,8 points et 2,9 rebonds en Ligue Adriatique, et 4,5 points et 3,9 rebonds pour 5,3 d’évaluation en Eurocup.\\n\\n\\n\\n\\nBanja Sy, French SF, extended contract with BC Partizan Belgrade for one more season! #BeoBasket\\n\\n\\n— Misko4Raznatovic (@MiskoRaznatovic) December 17, 2018\\n\\nPhoto : ABA Liga"
}, 
{"role": "user",     "content":"Yannick Bokolo (Pau): «Cette victoire va permettre de souder encore davantage l’équipe»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à la victoire hier soir de son équipe sur Le Mans après un fil haletant et en prolongation (91-90), l’arrière palois Yannick Bokolo a exprimé sa satisfaction en conférence d’après-match :\\n\\n« Ce soir, c’était le grand 8 ! A -4 en toute fin de match, on y croit un petit peu moins mais on a continué à se battre comme eux ont su le faire avant nous dans cette rencontre. On a failli passer du rêve au cauchemar mais au final cela tourne quand même en notre faveur. Cette victoire est importante, elle va nous permettre de poursuivre notre travail dans la sérénité et de souder davantage encore l’équipe. Concernant l’action en fin du temps règlementaire, je pense que Vi (Chikoko) voulait en finir rapidement ! C’est un réflexe, il croit à un air ball et sent quelqu’un dans son dos alors il a voulu assurer. C’était litigieux mais je pense que les arbitres ont pris la bonne décision. En face Will (Yeguete) a été très performant en début de match, Juice (Thompson) a été formidable sur ses shoots, nous aurions été très frustrés en cas de défaite car on n’a pas su le stopper mais finalement on signe une belle victoire d’équipe. Sur la dernière action de la prolongation, c’est cafouillage, on est quatre à courir après lui alors heureusement qu’il ne parvient pas à trouver un coéquipier dans de bonnes conditions ! (A propos de l’objectif Leaders Cup) Il ne faut pas se relâcher, ce n’est qu’une étape. Il reste quatre matches à disputer avant la fin de la phase aller. On savait qu’on avait beaucoup d’énergie lors des rencontres à domicile, celle-ci a quand même failli nous échapper mais bon, il est dans nos mains ! «\\n\\nQuant au coach manceau Eric Bartecheky, il a regretté une mauvaise gestion de l’avance dans la prolongation:\\n\\n« Ce n’est jamais simple de venir gagner ici. Je suis aussi déçu ce soir que fier de l’équipe. Nous nous sommes accrochés, nous avons été présents et l’attitude affichée a été positive. On a rien lâché et on pouvait prendre le match. Dans le contenu, en revanche, il y a trop d’erreurs. On ne doit jamais prendre ce dernier tir à 3 points. Sur notre dernière possession, on ne trouve pas le joueur tout seul....On n’a pas Cameron (Clark) depuis un moment, ce n’est pas simple, on joue avec peu de joueurs. Après, il faut faire attention à ce que l’on dit à chaud, il faut revoir la vidéo mais quand même. Moi je vois des fautes depuis le banc et elles ne sont pas sifflées. Il y a tout un dernier quart temps où on ne leur siffle aucune faute. C’est comme ça. L’important c’est de continuer à avancer, malgré les coups durs, que ce soit les blessures ou les défaites. Mais le sport c’est comme dans la vie, il faut continuer et espérer que cela paye. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : 24 points et record en carrière pour Wilfried Yeguete face à Pau"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"De retour sur son ancien terrain de jeu du Palais des Sports de Pau où il a passé la saison 2015/16, Wilfried Yeguete (2,03m, 27 ans) a été étincelant dimanche soir.\\n\\nDans la très courte défaite en prolongation du Mans face à l’Elan Béarnais (91-90), l’ancien joueur du Havre a battu son record en carrière en Jeep Elite qui était de 17 points (21 points inscrits au All Star Game 2016). En 35 minutes de jeu il a marqué 24 unités et pris 7 rebonds pour une évaluation de 25. Le plus impressionnant dans cette performance, c’est qu’il comptait déjà 16 points et 6 rebonds à la mi-temps (19 d’évaluation).\\n\\nCette saison, Wilfried Yeguete tourne en moyenne à 9,1 points et 6,7 rebonds pour une évaluation de 12,8 en Jeep Elite, et 7,5 points et 6,3 rebonds en Champions League.\\n\\nPhoto : Dominique Breugnot"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Quand deux joueuses du championnat turc échangent des coups"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bousculade, poussette, croc-en-jambes, bourre pif... C’est très rare de voir un échange de coups dans le basket féminin. Cette vidéo est donc dans son style un document.\\n\\nEn blanc, l’Américaine Kahleah Copper. En rouge, la Turque Asena Yalçın. Ces vilains gestes ont eu pour cadre le match Mersin-Orman lors de la 9e journée du championnat turc.\\n\\n\\n\\n\\n🤔\\n\\n\\nAsena Yalçın – Kahleah Copper pic.twitter.com/DcXLymU295\\n\\n\\n— Ugur (@uqurera) December 16, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le chiffre : 198 matchs de suite avec l’ASVEL pour David Lighty qui est laissé au repos ce mardi"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que l’ASVEL se rend en Russie pour affronter le Zenith Saint-Petersbourg dans le cadre de la dernière journée du premier tour de l’Eurocup, elle devra composer sans David Lighty (1,98m, 30 ans) et Miro Bilan (2,13m, 29 ans), annonce le club.\\n\\nPassé par Cantu, Cremone et Nanterre avant d’arriver à Villeurbanne en 2014, l’arrière américain a d’abord effectué deux saisons dans le Rhône avant de boucler l’exercice 2016/17 en Italie. De retour à l’ASVEL à l’intersaison 2017, le natif de Cleveland est donc dans sa quatrième saison avec la formation villeurbannaise.\\n\\nDepuis son arrivée à l’ASVEL, le double champion de France a disputé les 198 rencontres officielles possibles sur cette période. C’est pour la première fois de sa carrière avec Villeurbanne qu’il va manquer un match. Si elle se déplace sans deux de ses joueurs majeurs, l’ASVEL ne prend pas de risque car le match face au Zenith est sans enjeu pour le classement dans le groupe C de l’Eurocup, où l’ASVEL est classée deuxième (6v-3d).\\n\\nCette saison, David Lighty compile en moyenne 9,6 points, 3,1 rebonds et 2,7 passes décisives entre l’Eurocup et la Jeep Elite.\\n\\n\\n\\n\\nPetit événement pour @OSULighty23 qui, depuis son arrivée au club en 2014 (saison 2016-2017 en Italie), avait participé aux 198 rencontres officielles de @LDLCASVEL sans en rater une seule !#LDLCASVEL\\n\\n\\n— LDLC ASVEL (@LDLCASVEL) December 17, 2018\\n\\nPhoto : Infinity Nine Media"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : remercié par Vitoria, Pedro Martinez essaye toujours d’être payé par le club"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Remercié par Vitoria mi-novembre après une cinquième défaite en sept matchs en Euroleague, face au Buducnost, Pedro Martinez (57 ans) est toujours en conflit avec le club.\\n\\nDe passage sur les ondes de Radio Manresa, le champion d’Espagne 2017 avec Valence a révélé ne toujours pas avoir reçu le montant restant de son contrat, lui qui s’était engagé jusqu’en juin 2019 à son arrivée au Baskonia fin octobre 2017.\\n\\n« J’essaye d’être payé pour le contrat que j’avais. C’est mon objectif principal. Pour l’instant ils ne me payent, ensuite, je verrai si d’autres opportunités s’offrent à moi. »\\n\\nCoach depuis presque 30 ans, le natif de Barcelone a effectué l’intégralité de sa carrière en Espagne et est notamment passé par Tenerife, Gran Canaria, Valence, Séville ou encore Salamanque et donc Vitoria.\\n\\nPhoto : Europa Press"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie: Fenerbahçe retrouve un sponsor avec Beko"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En juin l’annonce du retrait du groupe industriel Dogus du sponsoring du Fenerbahçe avait fait l’effet d’un bombe. Il était dû aux terribles difficultés économiques que connaît la Turquie et Dogus Group devait verser 45 millions d’euros sur trois ans, le plus gros montant jamais accordé par un sponsor dans l’histoire du basket-ball européen. D’autant plus grave que le nouveau président Ali Koc avouait un peu plus tard une dette pour la section basket (garçons et filles ensemble) d’environ 8,5 millions d’euros.\\n\\nSix mois plus tard, le Fener annonce que Beko prend la succession de Dogus. Beko est une marque turque d’électroménagers au fort développement international qui a déjà parrainé des clubs et même des ligues comme la BBL allemande.\\n\\nCe partenariat est conclu alors qu’une étude vient de révéler que le club turc fut en novembre le 10e mondial en terme d’interactions sur Instagram après 9 franchises NBA alors que dans le même temps l’équipe féminine de Valérie Garnier et Bria Hartley était numéro 1 mondial sur twitter loin devant les franchises WNBA. Une preuve supplémentaire que Fenerbahçe jouit en Turquie d’une énorme popularité.\\n\\n« Aujourd’hui nous signons le partenariat avec Fenerbahçe. Nous considérons cela comme une étape extrêmement précieuse et importante pour Beko », a commenté le PDG de la marque, Hakan Bulgurlu. « Je veux aborder deux choses. En termes de chiffres, EuroLeague attire environ 2 milliards de téléspectateurs au cours de la saison grâce à sa nouvelle organisation. Rien qu’au Fenerbahçe, nous parlons d’environ 470 millions de personnes, tant sur les réseaux sociaux que sur les chaînes de télévision. C’est une excellente occasion de toucher notre public cible. Fenerbahçe servira de pont ici. La marque Beko est active non seulement en Europe, mais également dans des régions éloignées. En Afrique, en Amérique, au Moyen-Orient... C’est l’une des marques turques les plus efficaces. Nous avons une telle responsabilité. Nous portons cela sur nos épaules. Fenerbahçe est également une marque mondialement connue. »\\n\\nSi la durée du contrat est de 2 ans et demie, les deux parties n’ont pas voulu révéler son montant."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Cela faisait 7 ans que le Real, Barcelone et Vitoria n’avaient pas perdu en même temps"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il faut remonter sept ans en arrière pour retrouver la trace d’une journée de ligue espagnole où les trois meilleures équipes perdent en même temps. En effet, ce week-end, Real Madrid, Barcelone et Vitoria ont toutes perdues en ACB. Les médias espagnols n’ont pas été long à pointer la responsabilité du calendrier très dense imposé par l’Euroleague avec notamment deux journées sur la semaine à venir, le 18 et 19 décembre, puis les 20 et 21 décembre. En clair ? Les gros, en dépit de leurs moyens énormes et des effectifs à rallonge, ont-ils levé le pied en championnat pour se préparer à une semaine d’enfer ?\\n\\nL’équipe de Madrid qui a notamment été menée 73-47 en cours de rencontre contre Breogan était totalement méconnaissable. Jamais le grand Madrid ne s’incline sur un tel écart en championnat en général. L’éditorialiste Vicente Salaner d’El Mundo pointe quant à lui un « cas typique de décompression et de déconnexion entre l’Euroleague et l’ACB » pour le géant madrilène.\\n\\nUn phénomène qui devrait encore s’accentuer l’année prochaine avec le passage à 18 clubs en Euroleague. Un constat qui pourrait d’ailleurs inquiéter l’ASVEL qui va devoir se préparer à des cadences infernales. Et qui devrait également inquiéter les ligues nationales dont la qualité des rencontres pourraient pâtir face à ce genre des choix des clubs. Pour rappel, la semaine dernière l’ACB a décidé d’entrer comme actionnaire, au même titre que dix autres ligues nationales, au sein de la Basketball Champions League."
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Sylvain Francisco (Paris Basketball) : «Après trois mois aux USA, j’étais déjà classé parmi les meilleurs joueurs de Floride»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Jeune meneur de jeu assez peu connu en France, Sylvain Francisco (1,80m, 21 ans) sort d’une saison avec Levallois, sa première en pro. Coaché par Frédéric Fauthoux, il a pu gouter à la Jeep Elite et à l’Eurocup. Après avoir quitté les Métropolitains avant la reprise de la saison et être resté plusieurs semaines sans club, l’ancien pensionnaire de la West Oaks Academy s’est engagé pour toute la saison avec le Paris Basketball, en Pro B.\\n\\nArrivé depuis quelques jours au sein de la formation entraînée par Jean-Christophe Prat, l’ancien joueur des Metropolitans a répondu à nos questions avant l’entraînement de l’après-midi au centre d’entraînement du Paris Basketball, The One Ball, à Noisy-le-Grand. Hier soir, pour sa première sortie, il s’est fendu de 18 points lors de la défaite à Lille, 74-82.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComment s’est faite cette signature ?\\n\\nJe suis resté un bon bout de temps sans club, je suis souvent allé voir Paris jouer. Je me suis dit que Paris est une bonne équipe avec un projet très, très intéressant. Il y a plusieurs mois, le club voulait déjà me signer mais à ce moment-là j’avais d’autres priorités, mais quand ils m’ont recontacté j’ai dit oui tout de suite. Ils n’ont qu’un seul meneur, qui est beaucoup utilisé, donc j’avais vraiment envie de leur apporter mon jeu. J’ai vu les matchs et je me suis dit qu’il y a vraiment quelque chose qui peut se faire ici.\\n\\nAvez-vous suivi la création du club ? Qu’en pensez-vous ?\\n\\nC’est un projet vraiment intéressant. Ils ont créé leur équipe très tard, mais je pense que l’équipe va gravir les échelons au fur et à mesure. Je pense que cette équipe va devenir très sérieuse. Il y a un bon staff et c’est une très bonne organisation.\\n\\nQue pensez-vous du fait de vous entraîner et de jouer vos matchs dans un endroit différent ?\\n\\nÇa ne m’est encore jamais arrivé. Je ne sais pas comment ça va se passer, mais ça me fait un peu bizarre. C’est plutôt des choses qu’on voit en NBA, mais on verra bien. Ici, au One Ball, on a vraiment des installations exceptionnelles. C’est très spécial d’avoir ça en France.\\n\\nVous arrivez dans un club qui est dans une situation difficile, lanterne rouge avec une seule victoire, ce n’est pas trop de pression ?\\n\\nNon pas du tout parce que je sais qu’on n’a qu’une ou deux victoires de retard sur les équipes au-dessus de nous au classement donc je pense qu’on peut faire quelque chose. Personnellement, je pense que je peux amener beaucoup d’intensité que ce soit en attaque ou en défense. Je ne m’inquiète pas du tout, le coach non plus et les joueurs non plus donc il n’y a pas de raison.\\n\\nVous êtes originaire du coin, ça doit être spécial de pouvoir jouer à la maison.\\n\\nC’est vraiment cool de pouvoir jouer à la maison. La famille peut être là, les amis proches aussi, les gens que tu connais depuis le début peuvent être là pour voir ça. Avoir une équipe pro à Paris, il n’y a pas mieux, même s’il y a les « cousins » de Levallois et Nanterre, enfin Paris a de nouveau une équipe à proprement dite.\\n\\nVous avez connu une fin d’été un peu mouvementée, vous aviez signé pro à Levallois puis finalement vous êtes parti, que s’est-il passé ?\\n\\nJe ne peux pas vraiment en parler pour l’instant, mais c’est assez grave.\\n\\nQu’avez-vous fait entre ce départ et votre arrivée au Paris Basketball ?\\n\\nJ’ai travaillé dur tous les jours. Je me levais entre 4 heures et 6 heures du matin pour aller courir. J’aime bien y aller à cette heure-là parce que je vois les gens qui se lèvent aussi pour aller au travail. Je vois leur tête fatiguée et je me dis que je ne veux pas faire ça, me lever à cette heure-là toute ma vie pour aller travailler. C’est quelque chose qui me motive. Il faut que je fasse des sacrifices. Même s’il y a eu des problèmes à Levallois, j’aurais d’autres opportunités un jour ou l’autre. Je bossais tout le temps, le soir de 21 heures à 00h30 voire une heure du matin je m’entrainais à la Hoops Factory. Je m’entraînais tout seul, j’étais vraiment dans ma bulle, il n’y avait aucun coach même si on m’a proposé plusieurs fois, je voulais vraiment travailler seul.\\n\\nVous n’avez pas eu d’autres propositions avant Paris ?\\n\\nIl y avait toujours des propositions que ce soit en Grèce ou en Italie, mais les clubs cherchaient plutôt des meneurs d’expérience, des vétérans.\\n\\n« J’ai fait des demandes à beaucoup de centre de formation, j’envoyais quelques CV, mais c’était toujours non. »\\n\\nPour revenir sur votre parcours, on ne vous connait pas vraiment en France, pouvez-vous nous en parler ?\\n\\nJ’ai commencé en benjamin au Paris Basket Racing et j’ai fait ma deuxième année à Villemomble. Quand je suis passé en minime je suis parti à Saint-Etienne avec mes deux frères, Roger et Bateko. J’ai intégré leur centre de formation. J’ai fait des demandes à beaucoup de centre de formation, j’envoyais quelques CV, mais c’était toujours non. Principalement à cause ma taille, j’étais trop petit et ils disaient que mon jeu était trop américanisé. D’un côté ça m’énervait, mais de l’autre ça me donnait encore plus envie de bosser parce que je savais que je n’allais pas forcément grandir. Passé cadet je suis rentré à Villemomble et ensuite je suis parti aux Etats-Unis.\\n\\nLe début de l’aventure américaine.\\n\\nJe suis d’abord allé à Miami, au Elevate Sport Institute. Il y avait comme coach Ganon Baker, qui est le coach individuel de Kevin Durant. C’est un gros coach, il m’a beaucoup appris. Il y avait aussi Coddy Toppert, qui est aujourd’hui assistant coach aux Phoenix Suns. J’avais vraiment des entraîneurs qui pouvaient me lancer là-bas. Au début c’était difficile parce que je n’avais pas du tout de minutes. Les joueurs qui étaient dans mon équipe étaient vraiment connu là-bas et il fallait que je travaille dur pour gagner ma place. Après ça je suis allé à Liberty Christian où ça s’est bien passé, où j’avais beaucoup de responsabilités, mais malheureusement on a perdu en quart de finale national. Pour la dernière année je suis parti à West Oaks Academy et c’est vraiment là-bas où j’ai été bon.\\n\\nC’est à ce moment-là qu’on a commencé à entendre parler de vous en France en voyant les mixtapes.\\n\\nC’est là qu’en France on a vu les mixtapes, mais j’en avais déjà bien avant. Après trois mois à Elevate, j’étais déjà classé parmi les meilleurs joueurs de Floride et je commençais à être connu. Ensuite j’ai participé aux EYBL, qui sont des ligues d’été. Dans mon équipe j’avais Kevin Knox qui est aujourd’hui aux New York Knicks et à cette époque-là j’ai joué contre les Dennis Smith Jr, Trae Young, Michael Porter Jr, qui sont maintenant en NBA. C’est dans ces ligues-là que tu essayes d’obtenir des offres universitaires. Je devais être classé parmi les meilleurs meneurs de la nation, mais comme je suis rentré pour être avec l’Equipe de France U20 je n’ai pas pu être classé. Il nous restait encore les playoffs à disputer avec mon équipe. L’Equipe de France était ma priorité comme c’était la première fois que l’on m’appelait.\\n\\n« Ce que je n’ai vraiment pas appris, ce que je regrette le plus, c’est de ne pas avoir été formé comme un vrai meneur. Gérer les temps de jeu, le tempo de l’équipe... »\\n\\nN’avez-vous pas été tenté par la NCAA ?\\n\\nJe n’ai pas pu aller en NCAA. Je suis parti aux Etats-Unis en quatrième et j’ai fait exprès de rentrer en France pour ma troisième pour être considéré comme JFL. Je ne voulais pas prendre le risque d’être considéré comme un étranger en France. Pour aller en NCAA, ils regardent les derniers bulletins de tes quatre dernières années. Pour le lycée tout était bon, ce qui a coincé c’était mon dernier trimestre de mon année de troisième. J’avais des notes insuffisantes donc ce n’est pas passé. Ils m’ont dit que soit je ne jouais pas toute la première année soit j’allais en Junior College, qui est une université en deux ans qui te permet d’ensuite être transféré dans une université de quatre ans. Je n’ai pas voulu parce que je voulais signer à Kansas ou à Western Kentucky. C’est à ce moment-là, donc l’été dernier, que je suis rentré en France pour voir... C’est rare qu’un joueur sorte de High School et joue tout de suite en pro mais j’ai tenté. J’ai pu faire un test d’un mois à Levallois. Ça a été concluant et j’ai pu signer un contrat espoir/pro. C’était vraiment important pour moi.\\n\\nQue vous a apporté votre formation aux Etats-unis ?\\n\\nÇa m’a apporté de la confiance. Quand je suis arrivé et que j’ai vu les joueurs contre lesquels j’allais jouer je me suis dit « ok là ça commence à devenir sérieux ». Entraînement après entraînement je gagnais de la confiance. Aux Etats-Unis c’est beaucoup dans l’agressivité, dans les qualités athlétiques. Ce que j’ai vraiment aimé c’est jouer contre des gros joueurs et montrer qu’un étranger peut venir aux Etats-Unis et montrer ce qu’il vaut. Il n’y a pas que les Américains qui sont bons. C’était une belle expérience, mais ce que je n’ai vraiment pas appris, ce que je regrette le plus, c’est de ne pas avoir été formé comme un vrai meneur. Gérer les temps de jeu, le tempo de l’équipe... Quand tu es un meneur scoreur aux Etats-Unis, on te dit « vas-y, vas-y » tout le temps. La personne qui m’a vraiment appris ça et que je remercie beaucoup c’est Jean-Aimé Toupane quand j’étais avec l’Equipe de France. Quand je suis arrivé, tout ce qui était déplacement sans ballon, jouer les pick-and-rolls, faire des passes, je ne connaissais pas. Moi c’était ballon dans les mains et direction le panier (sourire) ! C’est vraiment lui qui m’a appris à être un meneur.\\n\\nComment jugeriez-vous votre saison dernière, votre première en pro ?\\n\\nJ’ai beaucoup appris parce qu’à mes côtés il y avait des joueurs avec qui je ne pensais pas que j’allais jouer. Je pense à Louis Campbell, Klemen Prepelic, Boris Diaw et même Florent Pietrus. Ce sont des joueurs d’expérience qui connaissent le basket. Je les respecte vraiment. Louis a été mon mentor pendant cette année-là. Il y avait aussi coach Fred Fauthoux. Il jouait meneur et il m’a beaucoup appris, il m’a transmis son savoir sur comment jouer meneur. Je ne regrette rien du tout de cette année, j’ai beaucoup appris et j’ai eu la chance de jouer en pro et spécialement en Eurocup, qui est quelque chose que je ne connaissais pas du tout. Il n’y avait rien de mieux pour moi.\\n\\nQuelles sont vos ambitions pour la suite de votre carrière ?\\n\\nJe suis le genre de personne qui est vraiment discret, je n’aime pas faire le buzz, mais ça fait partie du basket. Je pense être comme tout le monde, je veux jouer au plus haut niveau. Pourquoi pas la NBA? L’Euroleague? C’est bien de le dire, mais il faut travailler. Je dois être exemplaire, irréprochable, au niveau du comportement. Je pense que ça peut le faire.\\n\\nSur quels axes pensez-vous devoir travailler en priorité ?\\n\\nSurtout la vision de jeu. Je m’améliore petit à petit, mais ça demande beaucoup de travail encore. L’année dernière, j’ai beaucoup travaillé mon floater. J’ai aussi perfectionné mon tir. Je jouais beaucoup à deux points, mi-distance. A trois points j’ai un tir aussi mais il y a les gens qui savent shooter et il y a les gens qui savent marquer. Avant je savais shooter, mais maintenant je pense savoir marquer aussi. Je pense que cette année ça peut le faire.\\n\\n[armelse]\\n\\nComment s’est faite cette signature ?\\n\\nJe suis resté un bon bout de temps sans club, je suis souvent allé voir Paris jouer. Je me suis dit que Paris est une bonne équipe avec un projet très, très intéressant. Il y a plusieurs mois, le club voulait déjà me signer mais à ce moment-là j’avais d’autres priorités, mais quand ils m’ont recontacté j’ai dit oui tout de suite. Ils n’ont qu’un seul meneur, qui est beaucoup utilisé, donc j’avais vraiment envie de leur apporter mon jeu. J’ai vu les matchs et je me suis dit qu’il y a vraiment quelque chose qui peut se faire ici.\\n\\nAvez-vous suivi la création du club ? Qu’en pensez-vous ?\\n\\nC’est un projet vraiment intéressant. Ils ont créé leur équipe très tard, mais je pense que l’équipe va gravir les échelons au fur et à mesure. Je pense que cette équipe va devenir très sérieuse. Il y a un bon staff et c’est une très bonne organisation.\\n\\nQue pensez-vous du fait de vous entraîner et de jouer vos matchs dans un endroit différent ?\\n\\nÇa ne m’est encore jamais arrivé. Je ne sais pas comment ça va se passer, mais ça me fait un peu bizarre. C’est plutôt des choses qu’on voit en NBA, mais on verra bien. Ici, au One Ball, on a vraiment des installations exceptionnelles. C’est très spécial d’avoir ça en France.\\n\\nVous arrivez dans un club qui est dans une situation difficile, lanterne rouge avec une seule victoire, ce n’est pas trop de pression ?\\n\\nNon pas du tout parce que je sais qu’on n’a qu’une ou deux victoires de retard sur les équipes au-dessus de nous au classement donc je pense qu’on peut faire quelque chose. Personnellement, je pense que je peux amener beaucoup d’intensité que ce soit en attaque ou en défense. Je ne m’inquiète pas du tout, le coach non plus et les joueurs non plus donc il n’y a pas de raison.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Eurocup/InsideTheU"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet: L’effet Erman Kunter"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Y a t-il un effet Erman Kunter à Cholet? Pour l’instant, c’est incontestable.\\n\\nTout d’abord, il y a la façon dont l’équipe des Mauges s’est imposée samedi soir face à Nanterre, 98-92.\\n\\n« On s’est battu, c’est le moins que l’on puisse faire. Le coach nous en demande beaucoup. Il est très structuré, a beaucoup de connaissances. D’après ce que j’ai entendu, c’est plus ou moins une légende ici..., » a commenté à Ouest France le pivot américain Frank Hassell.\\n\\nCholet Basket a du composer pourtant avec un Pape Sy qui n’a pu jouer que 11 minutes en raison d’une cheville douloureuse. Il devrait tenir sa place contre Dijon. Mais les jeunes Killian Hayes (13 points, 19 d’évaluation) et Melvyn Govindy (5 bonnes minutes de jeu) ont repris des couleurs.\\n\\nLe président Didier Barré avance un autre facteur positif au retour du Franco-Turc:\\n\\n« Là, on peut parler d’effet Kunter sur la billetterie et le remplissage de la salle. Ce soir, tout le monde est à féliciter : les joueurs, le staff. »\\n\\nRappelons que Erman Kunter a déjà coaché CB à deux périodes: 2003-2004 et 2006-2012 avec un titre de champion de France en 2010. Lui qui n’a terminé son mandat ni à Villeurbanne ni au Mans est visiblement sacralisé à Cholet."
}, 
{"role": "user",     "content":"Après la défaite à Pau, Antoine Eito (Le Mans): «Comment peut-on siffler une faute là-dessus?»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Non seulement le match Pau vs Le Mans a été d’un très bon niveau mais il a donné lieu à un suspens incroyable et à des décisions arbitrales contestables et contestées.\\n\\nL’intérieur Wilfried Yeguete et le meneur Juice Thompson ont profité de leur retour dans le Béarn, le premier pour battre son record de points en carrière (24 avec 11/17 aux shoots et 7 rebonds), le second pour retrouver -enfin- son shoot (26 points avec un 7/8 derrière la ligne à trois-points).\\n\\nDu côté de l’Elan Béarnais, c’est le quatuor d’Américains qui a fait l’essentiel du job. Mickey McConnell, Donta Smith, CJ Harris et Vitalis Chikoko ont assuré 95 des 102 points de l’évaluation !\\n\\nIntenable en un-contre-un, le pivot Zimbabwéen Vitalis Chikoko a fait une énorme boulette qui a amené une prolongation. Juice Thompson avait shooté au buzzer à trois-points quand il détourna la balle, qui n’allait pas rentrer dans le cercle, alors qu’elle était dans sa phase descendante.\\n\\nC’est donc dans le bonus de cinq minutes que Pau a fait la différence (91-90) alors que Le Mans menait pourtant de quatre points à une poignée de secondes de la fin, mais le trio d’arbitres a pris quelques décisions pour le moins curieuses, ce qui a provoqué l’ire du meneur Antoine Eito sur les réseaux sociaux.\\n\\nhttps://twitter.com/RMCSportBuzzer/status/1074393120429826053\\n\\n\\n\\n\\nComment peut on siffler une faute la dessus??? Vraiment? COMMENT @LNBofficiel Nous passons des heures d’entrainements, de sacrifices.. des enjeux individuels/collectifs/de club... pour une balle de match, ceci est sifflé? On avance quand? https://t.co/oRntINltNi\\n\\n\\n— Ant1 (@AntEito) December 16, 2018\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV – A suivre mercredi, Limoges-Gdynia en Eurocup"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Abondance de matches une fois de plus avec en point d’orgue, mercredi, un Limoges-Gdynia décisif pour la qualification du CSP au top 16 de l’Eurocup.\\n\\nLundi 17 décembre\\n\\n20h45 – Strasbourg/Chalon – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nMardi 18 décembre\\n\\n18h00 – Saint-Petersbourg/ASVEL – Eurocup- RMC Sport 2\\n\\n18h00 – Efes Istanbul/Podgorica – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n18h45 – Fenerbahçe/CSKA Moscou – Euroleague – RMC Sport 3\\n\\n20h00 – Andorre/Monaco – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\n20h30 – Le Mans/Banvit – BCL – Basket+\\n\\n20h30 – Tenerife/Nanterre – BCL – Basket+\\n\\n20h45 – Barcelone/Olympiakos – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n21h30 – Gran Canaria/Vitoria – Euroleague – RMC Sport 7\\n\\nMercredi 19 décembre\\n\\n18h00 – Darussafaka/Kaunas – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n18h30 – Dijon/Bamberg – BCL – Basket+\\n\\n20h00 – Bayreuth/Strasbourg – BCL – Basket +\\n\\n20h00 – Tel-Aviv/Khimki – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n20h30 – Limoges/Gdynia – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\n20h45 – Milan/Munich – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n21h00 – Madrid/Panathinaikos – Euroleague – RMC Sport 3\\n\\nJeudi 20 décembre\\n\\n18h00 – CSKA Moscou/Efes Istanbul – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n20h00 – Podgoricia/Fenerbahçe – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n20h00 – Olympiakos/Gran Canaria – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n21h00 – Vitoria/Barcelone – Euroleague – RMC Sport 1\\n\\nVendredi 21 décembre\\n\\n18h00 – Khimki Moscou/Darussafaka – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n19h00 – Kaunas/Tel Aviv – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n20h00 – Gravelines/Pau – Jeep Elite – RMC Sport Live 5\\n\\n20h00 – Panathinaikos/Milan – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\n20h00 – Munich/Madrid – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\nSamedi 22 décembre\\n\\n18h30 – Chalon/Le Mans – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nDimanche 23 décembre\\n\\n18h30 – Monaco/Strasbourg – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nPhoto: Samardo Samuels (Limoges/Eurocupbasketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines – Basket Landes/Montpellier: Les statistiques complètement folles de Céline Dumerc"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En fin d’après-midi, Basket Landes a perdu face à Lattes-Montpellier à Mont-de-Marsan (81-86), ce qui n’a rien d’infamant. Ce sont les statistiques de Céline Dumerc qui laisse baba.\\n\\nL’ancienne capitaine des Bleues a marqué 21 points (6/16 aux shoots), fait 9 passes, pris 8 rebonds (dont 5 offensifs)... Le triple double, si rare dans le basket féminin, était tout prêt. Et ce n’est pas tout: 6 interceptions. Donc c’est le quadruple double qui était à l’horizon... Et 6 balles perdues.\\n\\nL’ordinateur indique un 28 d’évaluation.\\n\\nPas mal comme activité à 36 ans !\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"La Chine, l’Eldorado du XXIe siècle"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le site Hoopshyde consacre un long dossier à la Chine. Il faut dire que le pays le plus peuplé de la terre est devenu une sorte d’Eldorado pour les basketteurs américains et quelques européens. Edwin Jackson y a fait un passage la saison dernière (24 matches aux Guangdong Tigers).\\n\\nGilbert Arenas, Steve Francis, Stephon Marbury, Tracy McGrady et Metta World Peace ont ainsi joué tour à tour en CBA, la ligue chinoise, qui recense cette année d’autres anciens NBAers, Brandon Bass, Jimmer Fredette, le Lituanien Donatas Motiejunas, Andrew Nicholson, l’Argentin Luis Scola, Marreese Speights, et encore Jason Thompson.\\n\\nC’est bien entendu l’argent qui attire les joueurs comme le miel les oursons. Ainsi Norris Cole a signé un contrat de 5 millions de dollars en 2016 avec les Shandong Golden Stars alors que Dwyane Wade s’est vu proposer 25 millions sur trois ans mais a préféré rester au Miami Heat.\\n\\nJimmer Fredette (1,90m, 29 ans) des Shanghai Sharks, qui accompli sa troisième saison sur place avec des moyennes à chaque fois supérieures à 37 points, reçoit quantité de coups de fil de potes qui se renseignent sur les possibilités de cet immense marché asiatique.\\n\\n« Cela se produit tout le temps. SMS, Instagram, Twitter... Beaucoup de gars veulent savoir comment se rendre en Chine. J’essaie de les aider à trouver un agent chinois car ils ne vous parleront pas si vous n’en avez pas... La Chine est un endroit formidable. Je pense que c’était la meilleure chose qui puisse m’arriver. «\\n\\nA Hoophyde, un agent confirme que les joueurs sont désormais enclin à aller dans l’Empire du Milieu.\\n\\n« Si vous parlez à des joueurs qui ne sont pas dans la NBA, le premier choix de chaque joueur est la Chine. Il y a beaucoup de joueurs qui font sept chiffres en Chine (NDLR : au moins 1 million de dollars). « Même les plus petites transactions sont solides, payant au moins 300 000 $ après impôts. C’est aussi une saison relativement courte par rapport aux autres ligues. La saison de l’Euroleague dure de neuf à dix mois, mais la saison de l’ABC est plus proche de six ou sept mois. À la fin de la saison de CBA, les joueurs peuvent essayer de rejoindre une équipe de la NBA pour le reste de la saison. C’est attrayant pour plusieurs raisons. »\\n\\nPour négocier avec les clubs chinois, les agents américains ont la nécessité d’avoir sur place des représentants ou du moins des traducteurs ou des personnes parlant anglais au sein du club.\\n\\n« La Chine est un très grand pays et il est très différent des pays occidentaux », déclare l’agent Matt Beyer. «La barrière de la langue et le contexte culturel sont également importants. Parfois, les mots que vous dites ne donnent pas le sens. Si vous êtes un agent qui veut s’implanter sur le marché chinois, vous voudrez probablement que l’on ait quelqu’un qui collabore avec vous et qui puisse établir une relation avec le club et vous aider également à naviguer dans le contexte culturel. Une chose que j’ai remarquée ces dernières années, c’est que presque tout le monde semble parler anglais. Un contrat en Chine compte 50 pages car il est écrit en chinois et en anglais. Nous avons une clause stipulant que la partie anglaise du contrat remplace la partie chinoise. Ainsi, en cas de conflit, la partie anglaise prévaudra. «\\n\\nBeaucoup de joueurs profitent des bonus qui sont monnaies courantes dans les contrats.\\n\\n« Certains gars sont vraiment obsédés par ces bonus », témoigne un agent à HoopsHype. «Je veux dire, c’est logique. Supposons qu’un gars gagne 1 million de dollars, puis que son équipe lui verse 200 $ pour chaque rebond offensif qu’il récupère, ce qui explique la manière dont certaines équipes structurent leurs bonus. S’il joue 40 matchs et remporte cinq rebonds offensifs à chaque match, il gagne 40 000 $ supplémentaires. Les gars s’y mettent vraiment. »\\n\\nHum. Pas sûr que ça soit probant pour le collectif.\\n\\nLes conditions d’accueil sont également excellentes : hôtels cinq étoiles, généralement un chauffeur qui fait office d’interprète et qui s’occupe de tâches multiples. Des billets d’avion sont offerts aux membres de la famille. Un chef cuisinier prépare les trois repas de la journée. Gratuitement. De plus certaines équipes offrent 1 500 dollars pour les repas pris au restaurant.\\n\\nLa mission numéro un des Américains : marquer des points, un peu comme en France lors des premières années après le débarquement massif de 1968. C’est ainsi que 9 joueurs sont à plus de 30 points par match. Pierre Jackson atteint les 43 points en moyenne ! L’ancien Manceau Taylor Rochestie en est à 32,7. Il y a certains soirs des cartons qui démontrent que la défense n’est pas dans l’ADN des Chinois. Seulement, si le joueur n’est pas capable de mitrailler à tout va, il ne fait pas long feu.\\n\\n«Il y a tellement de pression sur ces joueurs », confirme un agent. « Chaque année, nous voyons d’anciens joueurs de la NBA se rendre en Chine, se démener, puis être coupés. Il y a actuellement pas mal de joueurs en NBA qui ne seraient pas à l’aise en Chine car ils veulent que vous fassiez des statistiques folles et que vous jouiez dans un certain style de basket-ball pour y réussir. La plupart des gars en NBA et des grands défenseurs ne resteront pas longtemps en Chine. «"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le chiffre – 7 contres pour Bastien Vautier (Nancy)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comment peut-on obtenir 24 à l’évaluation tout en se contentant de 6 points? Le Nancéen Bastien Vautier a le secret.\\n\\nLors de la victoire face à Rouen (81-73), l’intérieur de 2,10m et 20 ans -il les a eu le 15 novembre- a capté 12 rebonds. Ce qui est déjà très respectable. Et surtout il a réalisé 7 contres. Ce qui est énorme. Il a aussi transformé ses deux tirs du champ et 2 lancers sur 3. Il est un peu pénalisé par ses 4 balles perdues.\\n\\nSes stats d’une soirée ne sont pas communes et Bastien Vautier tourne en moyenne à 7,8 points, 7,6 rebonds et... 1,4 contre.\\n\\nPhoto: SLUC"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: 9 défaites en 9 journées, Mondeville n’y arrive pas"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Neuvième journée et toujours pas de victoire pour l’US Mondeville. Très inquiétant. Hier soir, les Normandes ont laissé s’échapper une belle occasion de remporter un premier succès à domicile face à La Roche/Yon.\\n\\nAvec respectivement 26 points, 5 rebonds et 4 passes, et 19 points et 8 rebonds, la Canadienne Kim Gaucher et l’Américaine Kristen Mann ont été héroïques mais Kim Gaucher a loupé le trois-points qui aurait permis à son équipe d’accrocher les prolongations. La défaite, 72-75 est cruelle et le coach Romain Lhermitte était dépité:\\n\\n« Les filles ont tellement été extraordinaires », rapporte Actu.fr. « Ce n’est pas juste. On a vraiment très bien joué au basket et la Roche a très mal défendu pendant 40 minutes. Il nous a peut-être manqué d’énergie, c’est sûr, mais il y a un nombre de fautes sifflées énormes et nos jeunes de 20 ans ne sont pas respectées. J’en ai marre. On ne peut pas gagner le match à partir du moment où les arbitres ne savent pas siffler des jeunes joueuses. Leur bizutage est terminé, c’est bon, c’est fini ! »\\n\\nPhoto: Kim Gaucher (LFB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : Léo Westermann a fait trembler le Bayern"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec un clan français à la fête lors de la première soirée d’Euroleague, Léo Westermann ne voulait pas être en reste. Du coup, le meneur de Kaunas a lui aussi réussi un match de haute volée, son meilleur de la saison, avec 19 points, 6 passes. Malheureusement, Kaunas a subi la loi d’un Derrick Williams (27 points, 7 rebonds) de feu !\\n\\nEdwin Jackson (15 points) et Kim Tillie (10 points) intègrent également ce groupe de 8 joueurs français (sur 10 actifs) à 10 points ou plus, une grosse semaine pour le clan tricolore.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe Bayern résiste à un grand Léo Westermann\\n\\nDans l’impasse en NBA après plusieurs saisons sans saveur, Derrick Williams a finalement décidé de tenter sa chance de l’autre côté de l’Atlantique avec le Bayern Munich. Et s’il lui a logiquement fallu un temps d’adaptation, Williams semble désormais être en pleine capacité d’exprimer son talent avec 6 matchs de suite en double figure.\\n\\nSes 27 points et 7 rebonds face au Zalgiris hier soir l’ont confirmé si besoin en était encore (88-84). Il poste ainsi son meilleur score offensif en plus de sa meilleure évaluation en carrière. Pourtant, Léo Westermann n’a pas ménagé sa monture avec, lui aussi, son meilleur match de la saison à 19 points et 6 passes.\\n\\n\\nGran Canaria à la parade\\n\\nIl n’y a pas eu match entre Gran Canaria et Podgorica (95-85). La troupe insulaire a mené les débats de bout en bout pour un 3e succès de rang, infligeant notamment un insensé 27-5 au coeur du 2e quart.\\n\\nEdwin Jackson (15 points) et Podgorica ont bien essayé de revenir en dernier quart mais c’était trop peu trop tard face à Gran Canaria qui a profité de ce match à sens unique pour établir des records du club aux points, passes et à l’évaluation. Kim Tillie (10 points) enchaîne un 2e match de suite en double figure.\\n\\n\\nLe Pana se redresse\\n\\nKonstantinos Mitoglou (2m10, 22 ans) n’a joué que 16 matchs d’Euroleague en carrière et il se souviendra de sa prestation face au Darussafaka. Avec 20 points en 21 minutes, le jeune intérieur grec a été essentiel, impulsant notamment un 10-2 fatal aux Turcs pour terminer le match (75-67). Le Pana met ainsi fin à une vilaine série de 3 revers d’affilée.\\n\\nLes suspects usuels ont encore produit, avec un double double pour Nick Calathes (10 points, 12 passes) et 15 points, 5 rebonds pour James Gist qui fêtait son 200e match d’Euroleague. En face, Toney Douglas termine à 15 points dans la 10e défaite de rang de Darussafaka.\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nLéo Westermann (Zalgiris) : 19 points (7/9 aux tirs), 6 passes, 3 rebonds, 2 interceptions, 3 balles perdues en 24 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 19 points (6/9 aux tirs), 2 rebonds en 22 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 16 points (7/9 aux tirs), 5 passes, 1 interception, 5 balles perdues en 26 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 15 points (7/9 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes en 19 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 15 points (6/11 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 28 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 12 points (6/9 aux tirs), 12 rebonds, 1 balle perdue en 24 minutes\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 10 points (3/7 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds en 15 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 10 points (3/6 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 21 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Efes) : 9 points (3/6 aux tirs), 8 rebonds, 4 passes, 2 interceptions, 2 contres, 2 balles perdues en 34 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 5 points (2/5 aux tirs), 2 passes, 2 interceptions, 1 balle perdue en 15 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes) : n’a pas joué\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : n’a pas joué\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nAprès la remontée du terrain assurée par Léo Westermann, sous la pression défensive, le meneur tricolore a le bon coup d’oeil pour lancer Aaron White au alley oop. Et l’intérieur américain y ajoute la note artistique avec une conclusion dos au cercle, magnifique !\\n\\n\\n\\n\\n😮😮\\n\\n\\nOH MY @Aaron_White30!#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/TLf8S0oVI8\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) December 14, 2018\\n\\n\\nLes résultats de la 12e journée\\n\\nJeudi 13 décembre :\\nOlympiakos – Efes Istanbul (88-81)\\nCSKA Moscou – Khimki Moscou (88-74)\\nFenerbahçe – Milan (92-85)\\nMaccabi Tel Aviv – Vitoria (79-81)\\nReal Madrid – Barcelone (92-65)\\n\\nVendredi 14 décembre :\\nBayern Munich – Zalgiris Kaunas (88-84)\\nPanathinaikos – Darussafaka (75-67)\\nGran Canaria – Podgorica (95-85)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 13e journée\\n\\nMardi 18 décembre :\\nEfes Istanbul – Podgorica (18h)\\nFenerbahçe – CSKA Moscou (18h45)\\nBarcelone – Olympiakos (20h45)\\nGran Canaria – Vitoria (21h)\\n\\nMercredi 19 décembre :\\nDarussafaka – Zalgiris Kaunas (18h15)\\nMaccabi Tel Aviv – Khimki Moscou (20h05)\\nMilan – Bayern Munich (20h45)\\nReal Madrid – Panathinaikos (21h)\\n\\nA lire aussi : Axel Toupane en tête d’un clan français à la fête\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe Bayern résiste à un grand Léo Westermann\\n\\nDans l’impasse en NBA après plusieurs saisons sans saveur, Derrick Williams a finalement décidé de tenter sa chance de l’autre côté de l’Atlantique avec le Bayern Munich. Et s’il lui a logiquement fallu un temps d’adaptation, Williams semble désormais être en pleine capacité d’exprimer son talent avec 6 matchs de suite en double figure.\\n\\nSes 27 points et 7 rebonds face au Zalgiris\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"ASVEL: Une victoire en prolongation, un spectateur bouscule un arbitre..."
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Deux évènements se sont déroulés à l’Astroballe hier soir.\\n\\nPremièrement, Châlons-Reims a poussé l’ASVEL en prolongation. Avec 32 points (mais avec une adresse insuffisante aux lancers, 13/20), Devin Ebanks a fait encore des siennes. Le pivot croate de l’ASVEL Miro Bilan (32 points, 13 rebonds, 14 fautes provoquées), aussi!\\n\\nC’est donc dans les cinq minutes supplémentaires que les Villeurbannais se sont échappés: 10-3. Victoire 91-84. La septième en championnat à l’Astroballe.\\n\\nDeuxièmement, fait rarissime à ce niveau au XXIe siècle: énervé, un spectateur est venu sur le terrain pour bousculer un des arbitres. Il a été aussitôt exclu.\\n\\nA noter le commentaire du coach Zvezdan Mitrovic, qui a retrouvé ses vieux réflexes monégasques comme le rapporte Obuzzer:\\n\\n« C’est un scandale! C’est la première fois que je vois un spectateur bousculer un arbitre. A cause de quoi selon vous? On sort d’un match d’Eurocup où on est arbitré par les meilleurs arbitres. J’espère que les personnes compétentes analyseront ce qui s’est passé. »\\n\\nQuant au club, il s’est fendu en fin de matinée d’un communiqué:\\n\\n« LDLC ASVEL condamne fermement l’agissement d’un spectateur de la rencontre de ce samedi soir face à Châlons-Reims, pénétrant sur le terrain pour bousculer l’un des trois arbitres officiels. Face à cet acte intolérable, qui n’a pas sa place dans une salle qui est, et doit rester un lieu de convivialité et de partage d’émotions au sein de laquelle le fair-play est roi, la direction de LDLC ASVEL précise que les sanctions appropriées seront prises à l’encontre de la personne ayant commis ce geste. »\\n\\n\\n\\n\\nMitrovic:«C’est un scandale ! C’est la 1re fois de ma vie que je vois un spectateur bousculer un arbitre. A cause de quoi selon vous? On sort d’un match d’Eurocup où on est arbitré par les meilleurs arbitres. J’espère que les personnes compétentes analyseront ce qui s’est passé»\\n\\n\\n— OBUZZER (@O_buzzer) December 15, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie : Gary Neal renforce Banvit"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"De retour en Europe la saison dernière après sept ans passés aux Etats-Unis, Gary Neal (1,93m, 34 ans) était sans club depuis la fin de la saison dernière.\\n\\nFinaliste NBA avec les San Antonio Spurs, passé par les Charlotte Hornets, Minnesota, Atlanta, ou encore le FC Barcelone, Trevise et Malaga en Europe, le natif de Baltimore est sur la phase descendante de sa carrière mais il n’en demeure pas moins efficace. En s’engageant avec Saragosse l’an dernier, l’ancien pensionnaire de La Salle réalisé plusieurs gros matchs en ACB.\\n\\nAujourd’hui, le club turc de Banvit annonce sa signature pour le reste de la saison. C’est un retour en Turquie pour l’ancien joueur d’Izmir qui avait lancé sa carrière professionnelle au Pinar Karsiyaka en 2007/08.\\n\\nLa saison dernière, Gary Neal tournait en moyenne à 20,6 points, 2,9 rebonds et 3,2 passes décisives.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=Ao3zFsSi91Y\\n\\nPhoto : Banvit Basketbol"
}, 
{"role": "user",     "content":"La vidéo: Youri Verieras, président de Limoges, s’exprime sur les déclarations de Stéphane Ostrowski"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur France 3 Limousin, le président du Limoges CSP, Youri Verieras, s’est exprimé sur le conflit qui l’oppose à le veuve du président défunt, Céline Forte, et aussi avec le directeur du marketing, l’ancien international Stéphane Ostrowski. Celui-ci, qui est membre... du directoire de l’actuelle équipe dirigeante a fait part de profonds désaccords avec Youri Verieras dans Le Populaire.\\n\\nhttps://www.facebook.com/france3limousin/videos/715919448792856/UzpfSTEwMDAwOTkzNjAxMDA1Njo3ODczNzM2MzgyNzA0OTY/"
}, 
{"role": "user",     "content":"Olivier Bourgain (Limoges): «Je ne lis plus ce qui se dit sur les réseaux sociaux. Il y a trop de méchancetés»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Directeur Sportif Olivier Bourgain donne ce matin une interview à France Bleu Limousin alors que si le CSP a enchaîné deux victoires consécutives -et espère en récolter une troisième ce soir à Beaublanc face à Fos-, il est secoué par une crise interne avec la volonté de la veuve de Frédéric Forte de prendre la main sur le club.\\n\\n« Je laisse les gens compétents répondre à ça. Ce que j’en pense, ça ne regarde que moi. Je me concentre sur le sportif », répond Olivier Bourgain sur le sujet. « Depuis un certain temps, je ne lis plus ce qui se dit sur les réseaux sociaux. Il y a trop de méchancetés. Trop de choses qui m’attristent énormément. Les personnes qui doutent de mon amitié avec Fred, je leur laisse leurs propos. Cela ne me touche pas. Je suis très concentré sur ma tâche, mon devoir, qui est d’être directeur sportif. »\\n\\nA la question de savoir s’il a des regrets quant à sa communication par rapport aux fans, Olivier Bourgain est direct:\\n\\n« Evidemment ! Mais si vous me connaissiez, vous sauriez que je suis entier. Je vis tout cela avec passion. Quand on ne triche pas, en général, on fait des erreurs. Mais le tweet, je ne le regrette pas. Je regrette la manière dont il a été perçu. Derrière, j’ai pris la foudre. Si à l’époque j’ai fais ce tweet, c’était uniquement pour protéger mon entraîneur. Mais je n’ai pas du tout compris ces sifflets alors que l’on sortait d’une bonne saison, avec Top 16 de l’Eurocup et demies finales en championnat. Avec 10 nouveaux joueurs et 4 nouveaux coaches. J’aurais juste aimé un peu plus de compréhension par rapport à ça. Dans le fond, je regrette tout ça parce que je ne suis pas quelqu’un qui polémique, mais ce tweet a été mal compris. «\\n\\nPhoto: CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Alex Acker va enfin pouvoir jouer avec Evreux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cela fait déjà plusieurs jours que Alex Acker (1,96m, 35 ans) est annoncé à l’ALM Evreux mais hier soir encore lors de la victoire sur Chartres (94-87), l’arrière américain n’était pas sur le terrain. Bonne nouvelle: le club a reçu enfin au même moment l’accord de la FIBA et il fera ses débuts mardi à Rouen pour le derby normand.\\n\\nEvreux est le cinquième club français de Alex Acker après Le Mans, Boulazac, Villeurbanne et Limoges."
}, 
{"role": "user",     "content":"Nanta Diarra (Boulazac): «On est gourmand»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"D’un côté les Sharks d’Antibes demeuraient sur une belle série: une victoire sur Pau, 83-73, une autre à Cholet, 91-74, et une forte résistance à Nanterre, 73-78. De l’autre Boulazac avait échoué face à deux grosses puissances, Villeurbanne, 61-77, puis, Strasbourg 62-79, ce qui n’a rien d’infamant.\\n\\nLe choc à l’Azur Arena était attendu et les Antibois ont loupé le rendez-vous, 79-91. L’Américain de Boulazac Kenny Cherry a été le grand homme du match (26 points, 5 rebonds, 4 passes). D’ailleurs ce sont les étrangers du BBD qui ont fait l’essentiel du job puisque Kenny Cherry, Travis Leslie, Raymond Cowels et Akil Mitchell ont rapporté 86 des 115 de l’évaluation.\\n\\n« On a commencé avec pas mal de fautes, notamment les intérieurs. C’était handicapant. On savait qu’Antibes allait avoir une réaction, on le sentait. La mission maintien est bien entamée, on peut regarder vers d’autres objectifs. On est gourmand, » a déclaré Nianta Diarra en conférence de presse, propos rapportés par Sud Ouest.\\n\\nDe fait, avec 7 victoires, Boulazac en compte à ce jour 5 de plus que Antibes et Cholet, ce qui est énorme après 13 journées et les hommes de Thomas Andrieux sont au bord du top 8 synonyme de Leaders Cup. Un doux rêve ou une possible réalité? La réception de Levallois samedi au Palio en dira plus sur les possibilités des Périgourdins.\\n\\nPhoto: Nianta Diarra (BBD)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Alain Béral (président LNB): «La Basketball Champions League s’est créée une crédibilité»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le président de la Jeep Elite Pro A nous a accordé une interview pour réagir notamment à l’entrée de l’ACB, la ligue espagnole de basket, dans l’actionnariat de la Basketball Champions League. Un signe de reconnaissance de la qualité de la compétition européenne gérée par la FIBA.\\n\\nOn a appris cette semaine que la ligue espagnole de basket, l’ACB, entrait au capital de la Basketball Champions League en tant qu’actionnaire et rejoint dix autres ligues nationales, dont la Jeep Elite, dans ce tour de table. Quelle est votre réaction ?\\n\\nC’est une décision qui me réjouit. C’était une anomalie de ne pas avoir la ligue espagnole avec nous. C’est une ligue très importante au niveau européen. La ligue espagnole hésitait au départ dans les premières discussions, même si elle était présente autour de la table. Elle n’a pas pu rentrer il y a trois ans parce qu’elle a connu en son sein un souci qui a empêché son entrée en tant qu’actionnaire. Mais c’était une anomalie et c’est très bien que ce ne soit plus le cas.\\n\\nQuel est l’intérêt pour une ligue nationale d’être actionnaire d’une compétition européenne ?\\n\\nC’est très important parce que les compétitions internationales sont la prolongation naturelle des compétitions nationales et donc il est très important que nous puissions, nous ainsi que les autres ligues nationales, être partie prenante des décisions. Parce qu’il y a des calendriers à gérer, par exemple. Mais pas seulement des contraintes. On s’est rendu compte au cours d’une grosse enquête auprès de notre public en France que les fans trouvent qu’il est important de valoriser le championnat national avec des résultats qui permettent de décrocher des qualifications aux coupes d’Europe. Et je suis persuadé que c’est la même chose dans les autres pays. Donc il est très important de pouvoir être de ceux qui décident. La Basketball Champions League est une « joint venture » entre les ligues et les fédérations avec un système qui ne prête pas à confusion. Le système de qualification est très clair, nous l’avons voulu très clair et il est basé sur la performance des ligues nationales. C’est une reconnaissance et chaque ligue veut être dans les meilleures. Voilà pourquoi il est très important de participer à cette administration.\\n\\nEst-ce qu’on peut voir l’arrivée de l’ACB comme un signe de crédibilité acquis en deux saisons et demi par la BCL ? Les Espagnols ont sans doute attendu de voir avant de s’engager ?\\n\\nL’ACB a connu en interne quelques éléments confusant au début de la BCL qui ont créé ce retard. Mais la BCL s’est créée une crédibilité par les premières années de compétition, qui malgré la jeunesse du système, ont été très très bien gérées, avec beaucoup de bons résultats, de belles images et une organisation parfaite. L’ACB je pense a aussi vu qu’elle ne pouvait pas ne pas participer à cette compétition qui est aujourd’hui une compétition prestigieuse et qui est menée de main de maître. Les deux parties y trouvent leur compte. L’ACB parce qu’elle fait maintenant partie d’une très très belle compétition européenne qui est justement le reflet d’une véritable ligue des champions, avec beaucoup de clubs champions inscrits dans cette élite. Et la BCL avait besoin de l’ACB aussi, qui est une des plus grandes ligues européennes. Il est hors de question de penser qu’elle reste en dehors.\\n\\nQuand vous dites « menée de main de maître », vous pouvez préciser ?\\n\\nLe travail mené par Patrick Comninos et ses équipes ont placé la barre très haut en termes d’organisation de la compétition. La première saison avait déjà été une première saison très réussie. Les objectifs sont clairs, l’équipe de la BCL a mis tout de suite la barre très haut et a réussi depuis à la faire grimper encore. En une saison, elle était très solide. Aujourd’hui, cette compétition est indiscutable. Ils sont bons, c’est clair.\\n\\nEst-ce que le tour de table est complet désormais ? Ou faut-il aller chercher encore d’autres ligues ?\\n\\nCe sera complet quand il y aura toutes les ligues seront à bord. Aujourd’hui, nous avons quand même autour de la table toutes les ligues qui présentent les meilleurs champions et qui travaillent avec les fédérations pour qu’il y a une fusion non seulement des idées mais aussi des objectifs. Evidemment, on n’est jamais vraiment complet quand quelques ligues ne souhaitent pas être encore dedans parce qu’elles considèrent qu’elles ne sont pas assez fortes. Le message qu’on veut leur faire passer, c’est : travaillez, travaillez et vous serez bien accueillies.\\n\\nLe public et les fans sont très sensibles au spectacle produit sur le terrain. Comment avez-vous vu évoluer le niveau de jeu et des équipes qui participent à la BCL ?\\n\\nIl suffit de regarder les résultats des matches. La plupart des matches se jouent sur de très petits écarts, ce qui prouve la cohésion du système. Et quand on voit le nom des équipes prestigieuses qui participent aujourd’hui en BCL, on ne peut que s’en féliciter. Beaucoup de clubs et de joueurs s’engagent à fond dans cette compétition qu’ils jugent être un contexte très favorable pour leur image. C’est ce qu’ils recherchent. Et l’organisation de la compétition est solide et valorisante. Le niveau de jeu que je perçois est digne d’une ligue des champions.\\n\\nPhoto: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet: Les débuts d’Erman Kunter à La Meilleraie face à Nanterre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour son troisième contrat avec le club, Erman Kunter est attendu comme le sauveur à Cholet Basket actuellement dernier de Jeep Elite, à égalité avec Antibes avec seulement deux victoires.\\n\\nLe coach franco-turc a eu des entretiens individuels avec ses joueurs et dresse un premier constat dans Ouest France:\\n\\n« Il n’y a pas que la défense. Beaucoup de choses nous manquent, c’est un vrai chantier. À domicile, les joueurs se mettent la pression. C’est psychologique. Ils jouent un peu mieux à l’extérieur, mais un peu, ça ne suffit pas. Il faut jouer vraiment comme une équipe qui reçoit pour gagner enfin un match à la maison. Après ça va venir (...) On est l’équipe qui offre le meilleur pourcentage de réussite à ses adversaires : 52% d’adresse, alors que ça devrait osciller entre 42 et 44 %. On les laisse en moyenne à 40% à trois points. On offre aussi beaucoup de rebonds à nos adversaires et ils ont toujours de très bonnes évaluations. On est la pire équipe sur toutes ces stats-là. On est aussi les plus maladroits à 2 et à 3-points. On est 16e au rebond et 17e à l’évaluation. Il y a énormément de choses à travailler. On est mobilisé avec le staff mais on manque de temps. »\\n\\nErman Kunter va coacher pour la première fois ce soir à La Meilleraie face à Nanterre et c’est un évènement. CB sera sans son ailier américain Antywane Robinson, qui sera absent au moins jusqu’à mi-janvier. Va t-il signer un 14e contrat (sur 16) alors que son pivot Frank Hassell dispose d’une clause de sortie avant la fin de l’année. A voir."
}, 
{"role": "user",     "content":"Alexis Ajinça à l’ASVEL, la piste est chaude"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Le Progrès, Alexis Ajinça (2,16m, 30 ans) pourrait arriver à Villeurbanne après la trêve de fin d’année. Le Stéphanois a déjeuné cette semaine à Charlotte avec le président de l’ASVEL Tony Parker et son directeur des opérations basket, Nicolas Batum, avec qui il a fait le sélections en équipe de France en jeune.\\n\\nAlexis Ajinça a joué 293 matches en NBA (5,3 points et 3,9 rebonds) mais demeure inactif depuis la fin de la saison 2016-17 en raison d’une blessure au genou. La garantie que possède désormais l’ASVEL de jouer deux saisons (2019-21) en Euroleague pourrait être un élément décisif dans la signature d’un contrat de plusieurs années."
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet s’impose à Nanterre. Erman Kunter: «Tout le monde s’est donné à 100%»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette fois, en queue de classement, la bonne opération est pour Cholet puisque Antibes et Fos ont échoué dans le même temps. Les Choletais ont cravaché pour l’emporter 98-92 sur Nanterre en prolongation.\\n\\nLe pivot américain Frank Hassell a fait un match comme du temps du Chaudron du Portel emmagasinant 25 points et 11 rebonds. Michael Young (17 points, 6 rebonds), Killian Hayes (13 points, 6 passes) et London Perrantes (20 points) lui ont apporté un solide soutien.\\n\\n« Il y a des signes positifs pour nous », s’est réjouit le coach Erman Kunter en conférence de presse. « On n’a pas bien démarré, après on est revenu et on a très bien défendu. Je pense que Melvyn Govindy a tout changé et après derrière on est passé devant. Ils sont passés devant et on est revenu. Techniquement, il y a des choses positives et négatives, mais la seule chose qui m’intéresse, c’est l’envie que l’on a mise. Après avec Pape Sy blessé, on était un peu diminué, je pense qu’il va être opérationnel pour Dijon. Tout le monde s’est donné à 100 %. Tout le monde doit participer, si tout le monde participe, comme ce soir, on gagnera des matchs. Je leur ai dit aux gars que quand ils rentraient chez eux, ils devaient se dire qu’ils avaient tout donné sur le terrain et ce soir c’est une soirée comme ça. Le bruit oui, c’est sûr que si on gagne, comme d’habitude, ici (la Meilleraie) ce sera l’enfer pour les adversaires. Le match de samedi prochain, ce sera la finale pour nous. On est encore dans la zone rouge pour l’instant, il faut faire attention. »\\n\\nMalgré encore une fois une forte adresse à trois-points (15/32), Nanterre n’a pas mis la pression suffisante pour se sortir indemne de la confrontation.\\n\\n« Il y avait tous les ingrédients pour que ce soit comme ça. Avec le contexte du retour d’Erman Kunter, c’était écrit. Pour moi, on perd deux fois le match, en première mi-temps, car on était endormi et on repère le match en début de prolongation. En terme d’intensité, ils nous ont marché dessus. Même en étant moyen à la fin du match, on aurait pu passer. On n’a pas fait une bonne semaine d’entraînement pour un match de cette dimension-là », a estimé le coach Pascal Donnadieu."
}, 
{"role": "user",     "content":"Eric Buckner suite à sa signature à Monaco : «Le cadre a aussi compté dans mon choix»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après deux mois passés à l’ASVEL, Eric Buckner (2,08m, 28 ans) n’est pas tombé d’accord avec le club villeurbannais pour une prolongation et il s’est engagé avec l’AS Monaco.\\n\\nSuite à son arrivée en Principauté, l’ancien joueur de l’iris Salonique a répondu à quelques questions sur le site du club. Il a notamment justifié son choix de préférer Monaco à Villeurbanne.\\n\\n« Je suis très heureux et motivé d’arriver à Monaco. je voulais rester dans un club ambitieux, qui joue le championnat et le Top 16 de l’Eurocup. La Roca Team a de gros objectifs sur les deux tableaux. Le cadre a aussi compté dans mon choix. En effet, mon épouse va me rejoindre en Europe et ce sera sa première expérience outre-atlantique. Nous nous sommes mariés en août dernier. Je pense que Monaco est un bon endroit pour effectuer la transition. »\\n\\nCelui qui a bien connu le championnat turc pour y avoir passé cinq saisons a comparé la BSL et la Jeep Elite.\\n\\n« Le championnat français est beaucoup plus athlétique que la ligue turque, au sens vertical du terme. En Turquie, de mon opinion, le jeu est plus physique, et il y a plus de joueurs de talent. Mais en France il y beaucoup de joueurs athlétiques capables de jouer vraiment dur. Aussi, dans la Jeep Elite, la concurrence est très forte, tout le monde peut battre tout le monde sur un match, ce qui est beaucoup moins le cas en Turquie. »\\n\\nA l’ASVEL, Eric Buckner tournait en moyenne à 8,8 points et 4,4 rebonds pour une évaluation de 11,6 en Jeep Elite. En Eurocup, il affichait 7,7 points et 3,9 rebonds pour 10,7 d’évaluation par match.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Spécial Limoges – Le Populaire, le compagnon fidèle du CSP"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à un reportage sur place, nous consacrons toute cette semaine, du dimanche à vendredi, au Limoges CSP. Le club le plus prestigieux, le plus titré et aussi le plus turbulent du basket français, qui possède une saveur unique.\\n\\nCe quatrième chapitre est consacré au Populaire du Centre, le quotidien de Limoges, et à son journaliste spécialisé basket, Mathhieu Marot.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nSur son compte twitter, Matthieu Marot, 34 ans, a indiqué deux villes à propos de sa localisation, Limoges et Dallas. Dallas, en référence au feuilleton des années quatre-vingts et de son univers impitoyable. Ne surnomme-t-on pas d’ailleurs Limoges, Dallas-sur-Vienne vu que le CSP depuis une trentaine d’années est agité constamment par des tempêtes internes qui en font un lieu singulier dans le paysage des clubs du basket français où c’est -du moins en apparence- le calme plat qui règne.\\n\\nMatthieu Marot est ce que les Américains appellent un beat writer. Pur Limougeaud, titulaire d’un Master de Journalisme Sciences Politiques, il est entré comme pigiste au Populaire du Centre en 2006 et il a été titularisé trois ans plus tard. Il a pris la suite de Jean-Christophe Bourdin comme journaliste attaché au Limoges CSP et il a accumulé sur le sujet des connaissances comme nul autre.\\n\\nLe Populaire du Centre, alias Le Populaire ou Le Popu, est vendu dans les départements de la Creuse et de la Haute-Vienne et il relate depuis toujours les aventures du Cercle Saint-Pierre. C’est un organe d’information central dans le Limousin d’autant que les articles sur le plus prestigieux des clubs de basket français sont abondants, variés et informatifs. On peut dire que le CSP est couvert comme une franchise NBA par un journal local américain. De plus, son apparence est valorisée depuis son passage au format tabloïd il y a dix ans.\\n\\nLes spectateurs du match France-Bulgarie à Beaublanc ont eu entre les mains un exemplaire d’un hors-série de 24 pages entièrement consacré à Frédéric Forte, le président du CSP brutalement décédé le 31 décembre dernier.\\n\\nEn ouverture, on y trouve sur une demi-page et photos à l’appui, l’interception légendaire à Athènes de celui qui était alors le meneur de jeu de l’équipe limougeaude. Une action décisive dans la conquête du titre de champion d’Europe en 1993. En tournant les pages, on découvre des articles sur les différentes facettes de Frédéric Forte, de multiple témoignages dont ceux de sa famille, des clichés originaux, des infographies, des chiffres, et encore une interview datant d’il y a deux ans où il déclarait notamment que son plus gros échec était d’avoir accepté la démission de son coach en 2008... lui-même. Frédéric Forte était un personnage unique dans le basket français mais on n’imagine pas un autre quotidien consacré un tel hors-série à un basketteur.\\n\\nMatthieu Marot mérite bien à son tour d’être celui à qui on pose les questions.\\n\\nAuparavant, vous couvriez tous les matches du CSP mais cette saison ce n’est plus le cas pour les matches d’Eurocup à l’extérieur ?\\n\\nDepuis que Le Populaire couvre le CSP, c’est la première année que nous ne faisons pas tous les matches sinon l’année dernière pour des matches européens qui n’avaient plus d’enjeu. On continue de couvrir tous les matches de Pro A, la Leaders Cup, la Coupe de France, tous les déplacements mais malheureusement pas tous les matches de coupe d’Europe.\\n\\nC’est vous qui couvrez tous ces matches ?\\n\\nOui et sur les grosses affiches à domicile, on est deux avec mon collègue Kevin (Cao). Je n’étais pas loin de la soixantaine de matches la saison dernière et c’est à peu près ça tous les ans.\\n\\nVous avez le temps de faire autre chose ?\\n\\nHonnêtement, quasiment pas. Le CSP, c’est 90-95% de mon temps. Je trouve même que je n’en fait pas assez. Je voudrais faire plus de portraits de joueurs, plus d’humain mais le problème c’est qu’à Limoges une actualité en chasse une autre. Ce n’est pas nous qui avons à nous creuser la tête. Généralement les sujets, les angles de papier arrivent tout seul et c’est encore plus vrai avec deux matches par semaine. Le temps arrive quand tu es éliminé de l’Eurocup. J’ai fait deux papiers hors basket depuis le début de la saison. Le vendredi, je fais aussi la Nationale 3 de basket.\\n\\nY a-t-il beaucoup de confrères de PQR qui viennent à Beaublanc ?\\n\\nIl y en a encore pas mal même si Limoges est assez mal desservi. Je ne vais pas les énumérer mais sinon les clubs du Sud-Est, Le Progrès pas trop car ils ont pas mal d’équipes, les autres sont souvent présents. Mais je pense que la couverture du Populaire du Centre pour le basket est unique en France. En plus du print, on a une grosse présence sur le web. Il y a même une volonté d’avoir du web first et du web only. Il y a systématiquement un retour papier du match le lendemain matin et un autre le jour du match qui dans la grande majorité des cas sont du web only. Dans la mesure du possible on essaie de différencier les articles pour le journal et pour le web. Auparavant tous nos papiers remontaient directement sur le web et là ce n’est plus le cas, il y a plus de choix éditoriaux, il y a une vraie volonté de diversifier.\\n\\n« Lorsque tu écris pour le CSP, tu es lu, commenté et partagé ! »\\n\\nCombien de journalistes ont travaillé sur ce Hors-Série Frédéric Forte ?\\n\\nOn l’a fait à plusieurs car on n’a pas eu énormément de temps. On a bossé avec Jean-Christophe Bourdin (NDLR: le chef des sports), Pascal Ratineau (NDLR : le rédacteur en chef), qui était présent à Athènes en 1993, Kevin Cao, Jean-François Darthoux. C’est vraiment une œuvre collective sur une quinzaine de jours, c’était rapide. Il y a quatre milliers d’exemplaires qui ont été distribués à Beaublanc lors de France-Bulgarie, il a été en vente le lendemain dans tous les kiosques de la Haute-Vienne et on a une boutique centrefrance.fr où on peut le commander. C’est un hors-série. Au Popu, on est plus habitué aux suppléments. Avec Jean-Christophe, on en a fait plusieurs de 16 pages quand le CSP était à une époque tout le temps en finale à Bercy, en Pro B contre Poitiers, Pau-Orthez, finale de Coupe de France contre Chalon. On en fait aussi d’avant-saison et quand il y a eu le premier titre de champion, c’était 16 pages le surlendemain après une journée démente. On a fini la soirée en posant les pages par terre dans le service des sports du Popu pour les regarder et éviter le plus d’erreurs possibles et pour que les titres ne se ressemblent pas.\\n\\nUn hors-série sur un président d’un club de basket décédé un an auparavant, c’est inimaginable ailleurs qu’à Limoges ?\\n\\nIl est décédé un 31 décembre et donc c’était difficile de faire une couverture par rapport à tout ce qu’il méritait, ce qu’il a fait pour le Limoges CSP, que l’on aime ou pas, il y a eu des périodes pas toujours faciles avec lui. Ce n’est pas pour le sanctifier aujourd’hui, loin de là. C’est un personnage ultra marquant et Limoges une ville 100% basket aussi on a jugé bon de faire ça un an après, à têtes reposées, avec de nouveaux éléments car la famille nous a beaucoup aidés à faire ce supplément en nous confiant des documents inédits, avec le témoignage de ses filles. On pense qu’il a sa place, qu’il y avait des choses à dire en plus que l’on n’avait pas pu faire à l’époque dans la soudaineté de sa disparition. Frédéric Forte, c’est un destin incroyable. Il commence sa carrière à Caen, il fait un aller-retour à Limoges, il y a cette interception en finale de l’Euroleague 93, un destin de président qui est quand même fou avec la reprise du club, il est prési-coach, il ramène le CSP en Euroleague, il fait des saisons très galère, etc. Il décède soudainement un 31 décembre. Il y avait vraiment matière, on n’a pas eu besoin de tirer à la ligne pour faire un 24 pages sur la vie de Frédéric Forte.\\n\\nAvez-vous la sensation que du fait de l’histoire du CSP le lecteur de la Haute-Vienne a un degré d’exigence supérieur à celui de celui de la plupart des autres départements ?\\n\\nC’est difficile de répondre car je n’ai pas été confronté à d’autres départements. Ce que je sais, c’est que lorsque tu écris pour le CSP, tu es lu, commenté et partagé ! Que les gens aiment ou n’aiment pas. Aussi, je pense effectivement qu’il y a une exigence du public.\\n\\nLes réseaux sociaux ont-ils changé votre façon de travailler, à la fois dans la quête de l’information et dans la réaction du public ? Vous êtes exposé comme un journaliste de football dans une ville comme Marseille ou Saint-Etienne ?\\n\\nJ’ai toujours été avec les réseaux sociaux et c’est vrai qu’il y a une communauté autour du CSP. Ils ont récupéré #cspnation qui a été lancé par Nobel Bougou colo. Fred (Forte) était sur twitter et il y a une vraie communauté limougeaude sur twitter. Je ne dirai pas que ça a changé ma façon de travailler mais ce qui a changé, c’est que tu vois en direct les avis des gens, comment a été reçu ton papier, un tweet. Plus que jamais j’essaye de réfléchir à deux fois avant de tweeter et pas le premier truc qui me passe par la tête ! Les relations avec le club sont un peu compliquées, ça pourrait être l’escalade, tout peut être sujet à « enflamades ». C’est comme lorsque tu écris, chacun peut avoir sa propre lecture. Tu ne penses pas forcément à mal et tu en as toujours un qui va t’interpréter le truc.\\n\\nA Limoges, chaque évènement est une affaire d’Etat ?\\n\\nTout prend des proportions assez folles. On en a vu beaucoup de joueurs, de coaches arriver à Limoges en se disant que ça ne doit pas être si terrible que ça et que ça va le faire. Quand tout se passe bien, c’est parfois merveilleux mais parfois c’est une lessiveuse. Jonathan (Rousselle) pensait y être préparé mais cette année, plus que d’autres encore, il se passe beaucoup, beaucoup de choses et il faut être solide pour évoluer dans le contexte limougeaud !\\n\\n« 54% de ventes supplémentaires sur Limoges pour le titre de champion de 2014 »\\n\\nVous avez aussi désormais sur le web une émission, CSP Time ?\\n\\nC’est ce que je disais, il y aujourd’hui une volonté d’être présent sur le print car ça reste important mais aussi d’avoir un développement sur internet. Comme il y a toute une communauté des fans du CSP on estime qu’il y a la place pour faire plein de choses. On a lancé CSP Time qui est enregistré une à deux fois sur le web suivant l’actualité avec un invité à chaque fois. Ça peut être un ancien joueur, un agent de joueurs, on a de la chance car pas mal d’anciens sont restés là. Malheureusement le club aujourd’hui ne veut pas envoyer de joueurs à CSP Time. C’est dommage... CSP Time c’est tous les quinze jours et en alternance on devrait normalement offrir bientôt un autre contenu sur internet.\\n\\nY a-t-il beaucoup de connexions ?\\n\\nFranchement, ça marche pas mal du tout. On est même en train de le sponsoriser, ce qui est quand même assez fou car on n’a pas fait ça avec d’énormes moyens même si ça progresse.\\n\\nComme vous traitez le CSP en permanence, pensez-vous que ce qui est une proximité débouche forcément sur une promiscuité ?\\n\\nJe vais dire non car depuis le décès de Fred, l’arrivée de nouveaux dirigeants, le fait que le club -ils ont développé une appli ce qui ne pose pas de problème- a la volonté de fermer sa communication. N’importe quel journaliste de France peut appeler n’importe quel joueur alors qu’à Limoges c’est fini. Les joueurs ont pour consigne de ne plus répondre aux sollicitations des journalistes par téléphone, il faut passer par l’attaché de presse. Même les conférences de presse d’avant-match jusqu’il y a peu c’était un joueur imposé par le club et le coach, ce qui est problématique car Le Populaire et aussi France Bleu Limousin, qui fait tous les déplacements du CSP, ont besoin de matière pour travailler quand il y a une telle couverture. Donc la proximité ne favorise pas la promiscuité. Après, on a gardé de très bons contacts avec les anciens. Lorsque les joueurs et les entraîneurs sortent du tourbillon de Limoges on garde généralement d’excellentes relations. On fait souvent appel à eux car il y a une vraie mémoire du public et comme cette année c’est compliqué de travailler et d’avoir les nouveaux facilement, on les appelle d’autant plus. J’ai d’excellentes relations avec Nobel Boungou colo -même si ça n’a pas été toujours facile quand il était là-, Adrien Moerman, Léo Westermann, Philippe Hervé, Jean-Marc Dupraz. Quand les gens ont travaillé à Limoges, ça laisse personne indifférent. Quand ils partent, il y a toujours ce lien qui les rattache au CSP, ils regardent ce qu’il devient. Parfois c’est même eux qui m’appellent en me disant « tu as vu ça, c’est chaud chez vous. »\\n\\nLa situation au CSP n’a jamais été aussi turbulente que depuis quelques mois ?\\n\\nA la fois turbulente et floue. Ça n’a jamais été aussi compliqué de suivre l’actualité du Limoges CSP. Avec Fred, il y a eu des moments de divergence assez importants mais il n’y avait aucun interventionnisme de sa part. Lorsque les joueurs avaient été mauvais, c’était le premier à le dire. Jamais un coup de fil pour demander pourquoi j’avais écris ceci ou cela. Et même lorsque les relations ont été tendues -et elles l’ont été à la fin-, on a toujours échangé, la discussion n’a jamais été complètement rompue. Ce qui pose problème aujourd’hui ce ne sont pas que les relations club-presse mais aussi les relations entre le club et ses supporters. Ça peut paraître anecdotique, mais quand on voit que c’est la première fois depuis 2012, année du CSP dans l’élite, que le public n’a pas envoyé un seul Limougeaud au All-Star Game, tu te poses des questions. C’est un joueur du Portel (Benoît Mangin) et de Chalon (Justin Robinson) qui vont à Bercy alors que les années précédentes le public limougeaud mettait un point d’honneur à envoyer un de ses joueurs, là il n’a pas jugé bon de le faire. Après que Bozidar Maljkovic ait été interviewé dans L’Equipe, il y a eu un communiqué de presse du CSP où Maljkovic, Richard Dacoury et Yann Bonato en prennent pour leur grade. Ça fait mal au cœur. Un autre communiqué du président du CSP que je ne veux pas stigmatiser a fait mal aussi. Il commence à y avoir un désamour d’une partie du public et ce vote pour le All-Star Game n’est pas pour moi anecdotique, il est révélateur. Là, on aurait pu imaginer qu’Axel Bouteille ou Samardo Samuels -qui est aimé du public- soit envoyé mais il n’y a pas eu cette mobilisation alors que d’habitude on voit sur les réseaux sociaux des messages genre « les gars, on bourre les urnes ». Je n’ai pas vu passer un seul tweet en ce sens.\\n\\nUn éditorial de votre rédacteur en chef a également mis en lumière des tensions entre le journal et le club ?\\n\\nC’est un secret de Polichinelle depuis un petit moment. Cela date de la fin de saison dernière. Il y avait quelques tensions et tout a explosé soit disant parce que j’ai annoncé le futur départ d’Axel Bouteille. Ils l’ont très mal pris car le timing -je veux bien le reconnaître- n’était pas forcément excellent. En fait, la veille d’un match de playoffs, ils font visiter les installations à Sekou Doumbouya pendant un point presse au vu de tout le monde. Ils le mettent sur l’appli, en vidéo. Du coup, obligé de faire un papier sur le CSP qui vise Sekou Doumbouya et c’est là que j’écris que Axel Bouteille devrait partir. Selon mes infos, il devait partir. Je reste persuadé que le club voulait qu’il parte, le joueur voulait absolument partir. Pour une question de buyout ça ne s’est pas fait. A partir de là, on a été suspendu de point presse d’avant-match. L’été est passé, ça s’est arrangé. En tous les cas, ça n’a jamais été aussi compliqué de travailler avec le CSP depuis que je m’en occupe.\\n\\nIl y a trente ans, un match européen important du CSP entraînait un millier de ventes supplémentaires du Populaire. C’est toujours le cas ?\\n\\nCe n’est plus vrai. Aujourd’hui, heureusement ou malheureusement, le Limoges CSP, qu’il aille bien ou mal, ne fait pas vendre beaucoup plus de canards au Populaire du Centre. La seule chose -et c’est pour cela que l’on est les premiers supporters du CSP-, c’est quand il y a un titre où là il y a une vraie plus-value sur les ventes. 54% de ventes supplémentaires sur Limoges pour le titre de champion de 2014. Mais au quotidien ou pour un simple match de coupe d’Europe, ça ne provoque pas de pic. Le Populaire du Centre n’est pas dépendant du CSP. Ce qui n’empêche pas le CSP d’être très important pour nous et on fait notre boulot en suivant son actualité. On considère que leur appli est plus complémentaire que concurrente. Eux vont faire de l’information heureuse et nous juste de l’information. Aucun problème vis-à-vis de ça et ce que l’on veut juste et c’est ce que Pascal (Ratinaud) a voulu exprimer dans sa lettre, c’est qu’ils développent leur appli, ok, mais sans tarir la source de la PQR. On ne demande pas de faveur mais juste faire notre boulot comme ça se passe dans les autres clubs de Jeep Elite.\\n\\n[armelse]\\n\\nSur son compte twitter, Matthieu Marot, 34 ans, a indiqué deux villes à propos de sa localisation, Limoges et Dallas. Dallas, en référence au feuilleton des années quatre-vingts et de son univers impitoyable. Ne surnomme-t-on pas d’ailleurs Limoges, Dallas-sur-Vienne- vu que le CSP depuis une trentaine d’années est agité constamment par des tempêtes internes qui en font un lieu singulier dans le paysage des clubs du basket français où c’est -du moins en apparence- le calme plat qui règne.\\n\\nMatthieu Marot est ce que les Américains appellent un beat writer. Pur Limougeaud, titulaire d’un Master de Journalisme Sciences Politiques, il est entré comme pigiste au Populaire du Centre en 2006 et il a été titularisé trois ans plus tard. Il a pris la suite de Jacques Deglane comme journaliste attaché au Limoges CSP et il a accumulé sur le sujet des connaissances comme nul autre journaliste.\\n\\nLe Populaire du Centre, alias Le Populaire ou Le Popu, est vendu dans les départements de la Creuse et de la Haute-Vienne et il relate depuis toujours les aventures du Cercle Saint-Pierre. C’est un organe d’information central dans le Limousin d’autant que les articles sur le plus prestigieux des clubs de basket français sont abondants, variés et informatifs. On peut dire que le CSP est couvert comme une franchise NBA par un journal local américain. De plus, son apparence est valorisée depuis son passage au format tabloïd il y a dix ans.\\n\\nLes spectateurs du match France-Bulgarie à Beaublanc ont eu entre les mains un exemplaire d’un hors-série de 24 pages entièrement consacré à Frédéric Forte, le président du CSP brutalement décédé le 31 décembre dernier.\\n\\nEn ouverture, on y trouve sur une demi-page et photos à l’appui, l’interception légendaire à Athènes de celui qui était alors le meneur de jeu de l’équipe limougeaude. Une action décisive dans la conquête du titre de champion d’Europe en 1993. En tournant les pages, on découvre des articles sur les différentes facettes de Frédéric Forte, de multiple témoignages dont ceux de sa famille, des clichés originaux, des infographies, des chiffres, et encore une interview datant d’il y a deux ans où il déclarait notamment que son plus gros échec était d’avoir accepté la démission de son coach en 2008... lui-même. Frédéric Forte était un personnage unique dans le basket français mais on n’imagine pas un autre quotidien consacré un tel hors-série à un basketteur.\\n\\nMatthieu Marot mérite bien à son tour d’être celui à qui on pose les questions.\\n\\nAuparavant, vous couvriez tous les matches du CSP mais cette saison ce n’est plus le cas pour les matches d’Eurocup à l’extérieur ?\\n\\nDepuis que Le Populaire couvre le CSP, c’est la première année que nous ne faisons pas tous les matches sinon l’année dernière pour des matches européens qui n’avaient plus d’enjeu. On continue de couvrir tous les matches de Pro A, la Leaders Cup, la Coupe de France, tous les déplacements mais malheureusement pas tous les matches de coupe d’Europe.\\n\\nC’est vous qui couvrez tous ces matches ?\\n\\nOui et sur les grosses affiches à domicile, on est deux avec mon collègue Kevin (Cao). Je n’étais pas loin de la soixantaine de matches la saison dernière et c’est à peu près ça tous les ans.\\n\\nVous avez le temps de faire autre chose ?\\n\\nHonnêtement, quasiment pas. Le CSP, c’est 90-95% de mon temps.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ancien coach chez les jeunes à l’ASVEL et Limoges, Mehdy Mary devient l’entraîneur de Neuchâtel en Suisse"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Désireux de se lancer dans le monde professionnel en coachant des adultes, Mehdy Mary vient d’obtenir son premier poste d’entraîneur principal en Suisse, à Neuchâtel.\\n\\nSur Facebook, le club annonce la signature de l’ancien entraîneur des Espoirs du Limoges CSP qui devrait pouvoir effectuer ses grands débuts sur le banc suisse samedi 15 décembre face à Monthey. Egalement passé par l’ASVEL, il a été assistant sur l’Equipe de France U18 aux championnats d’Europe l’été dernier.\\n\\nCe n’est pas une première en Suisse pour Mehdy Mary qui était l’assistant de Damien Leyrolles de 2006 à 2013 au sein du Fribourg Olympic."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Jonathan Jeanne (Palma de Majorque): «Je ne me sens pas malade au point de mourir»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Une page complète de basket dans le quotidien Le Monde. C’est si rare. Surtout qu’il ne s’agit pas d’un sujet autour de la NBA. Et même pas sur un club ou un joueur de Jeep Elite. Mais la mésaventure de Jonathan Jeanne, immense albatros de 2,18m et 21 ans intéresse les médias généralistes depuis que ses rêves de jouer en NBA -il était attendu au premier tour malgré un manque évident de vécu- se sont brisés sur un constat terrible: le Syndrome de Marfan, une maladie héréditaire des tissus conjonctifs potentiellement mortelle surtout quand on pratique intensément un sport comme le basket.\\n\\nLes spécialistes français ont confirmé le diagnostic des médecins américains consultés par la NBA mais un autre professeur de l’université de Stanford lui a donné le feu vert pour reprendre son activité de toujours. Alors que son agent d’alors Bouna Ndiaye lui avait proposé une reconversion dans sa société tout comme son club, Le Mans SB, l’Antillais a changé de « conseiller » et signé dans une équipe moyenne (12e, 6 victoires et 6 défaites) de LEB Gold, Iberostar Palma de Majorque.\\n\\n« Je ne me sens pas malade au point de mourir ; je ne me sens pas malade du tout. Le basket, c’est tout ce que j’ai fait de ma vie. Je ne l’envisage pas sans cela », indique Jonathan au reporter du quotidien du soir. « Grâce à Dieu, je me sens bien, je n’ai pas de problème. Je m’entraîne normalement, je n’y pense jamais en fait. Je dois juste éviter de manger salé et prendre des bêtabloquants. Toutes les six semaines, je fais un check-up complet. On mesure mon aorte abdominale. Il y a un spécialiste de Marfan sur l’île, on dirait que tout était planifié. Il m’assure que le risque d’avoir un problème est de 0% à 1 %. Mais il ne faut pas penser au drame. La vie est un combat: soit tu perds, soit tu gagnes. »\\n\\nJonathan Jeanne rêve toujours des sommets mais pour l’instant son temps de jeu se limite à 14′ par match pour 4,6 points et 3,5 rebonds. Et beaucoup de ceux qui l’ont côtoyé croisent les doigts en espérant qu’il n’a pas fait le mauvais choix."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : revivez les six dernières minutes de Tofas Bursa – Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mené de sept points à six minutes de la fin du match, le Limoges CSP était à quelques minutes de voir leurs derniers espoirs de qualification pour le Top 16 d’Eurocup s’envoler.\\n\\nLes Limougeauds ont serré la vis en défense, ont trouvé la mire en attaque et sont parvenus à renverser le match pour s’imposer 98-92. Les joueurs de François Peronnet ont donc leur futur en Eurocup entre les mains. Ils doivent s’imposer à domicile mercredi 19 décembre à Beaublanc contre l’Arka Gdynia.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Enceinte, la Tarbaise Adja Konteh met un terme à sa saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Tarbaise Adja Konteh (1,78m, 26 ans) n’a disputé cette saison que 5 matches de Ligue Féminine. L’explication se trouve dans La Nouvelle République des Pyrénées: l’internationale (1 sélection) attend un heureux évènement.\\n\\n«J’aurais aimé continuer la saison, je n’abandonne pas l’équipe, je serai toujours là, mais il s’avère que je suis enceinte et que je dois terminer là ma saison. Le basket me manque déjà, les supporters tarbais aussi... », a commenté la joueuse au quotidien.\\n\\nEn 5 matches, Adja Konteh avait atteint 10,0 points et 8,2 d’évaluation. Et aussi 10,3 points, 5,3 rebonds et 5,7 passes en 3 matches d’Eurocup. Un coup dur sportivement pour le TGB qu’a connu cet été Nantes-Rezé avec le forfait pour la même raison d’Elodie Bertal-Christmann.\\n\\nPhoto: FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde: Malgré son conflit avec l’Euroleague, la FIBA en fait un bilan positif"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Fédération Internationale (FIBA) tire un premier bilan des fenêtres internationales qui ont été instituées pour les qualifications à la Coupe du Monde 2019. Voici ses conclusions.\\n\\nLe chiffre: 30 000 000\\n\\nEn euros, l’implication financière de la FIBA pour que le nouveau système de qualification et le nouveau calendrier se passe au mieux lors de ce premier cycle 2017-21 qui concerne donc la coupe du monde 2019, sa phase de qualifications, ensuite les Jeux Olympiques et enfin les phases de qualifications pour les tournois continentaux de 2021, notamment l’EuroBasket 2021 qui concerne la France. La fédération internationale prend à sa charge avec cette somme le gros des opérations de production télévisuelle ainsi que le coût des officiels et de l’arbitrage. Enfin, cette somme sert également à prendre en charge les assurances des joueurs mobilisés. Autant de frais qui incombaient jusqu’alors aux fédérations nationales.\\n\\nLe bilan après 18 mois ?: Très positif pour la FIBA\\n\\nPour la FIBA, le système fonctionne aujourd’hui bien. La fédération est très contente du système au niveau mondial et aurait été ravie si ce n’était le problème avec l’Euroleague qui a porté préjudice aux qualifications européennes. Cela a été une véritable surprise. La fédération a essayé de travailler avec l’Euroleague qui a apposé un refus dès le début. L’intention de la FIBA était de construire, et non pas de prendre quoi que ce soit à qui que ce soit. Il est difficile de comprendre par ailleurs, pourquoi certains des plus grands clubs d’Europe autorisent certains de leurs joueurs de football à rejoindre les sélections alors que les mêmes clubs ne l’autorisent pas à leurs joueurs de basket ? L’objectif de la FIBA est d’aider toutes les structures, en premier lieu les fédérations nationales, pour favoriser le développement du basket dans leur pays. Et cela concerne également les compétitions de clubs pour aider les ligues nationales.\\n\\n« Nous sommes très satisfaits de ce système et nous serions comblés si nous n’avions pas ces problèmes avec l’Euroleague », estime le Président de la FIBA Horacio Muratore. « Cela nous a vraiment surpris. Nous avons essayé de travailler ensemble et dès le début, ils n’ont pas voulu. Nous voulions construire quelque chose, sans rien enlever à personne. Je n’arrive pas à comprendre comment certains des plus grands clubs d’Europe, qui autorisent leurs footballeurs à rejoindre leurs équipes nationales, ne font pas pareil avec leurs basketteurs. Ce sont les mêmes entités. Notre objectif est d’aider toutes les structures – en commençant par les fédérations nationales – pour permettre le développement du basketball dans leurs pays respectifs. Cela inclut les compétitions de clubs, afin de renforcer les ligues nationales. Nous voulons des fédérations nationales solides, mais nous souhaitons également avoir des compétitions de clubs très relevées. »\\n\\nQuelle Coupe du Monde ?: Ambitieuse\\n\\n\\nL’objectif est de mettre sur pied la meilleure coupe du monde de l’histoire. Le nombre de participants est passé de 24 à 32 sélections. La visibilité du basket et de l’événement sera donc plus forte sur la planète. L’excitation autour de l’événement est déjà palpable, notamment chez les joueurs. Il faut voir la Coupe du Monde comme le point d’orgue d’un processus de deux ans de construction et de montée en puissance au cours des phases de qualifications. Jamais on n’avait parlé autant de la Coupe du Monde de basket avant les précédentes éditions, dans 80 pays engagés pour se qualifier partout sur la planète. Dans cette optique, les ambassadeurs de la compétition, les icônes mondiales Kobe Bryant et Yao Ming donnent une dimension inédite au tournoi de basket.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"CourtCuts : le Top 10 de la semaine (8 décembre)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque saison depuis maintenant sept ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCette semaine, c’est Ibrahim Djambo (CB Calais, NM2) qui pointe à la première place du classement grâce à un énorme dunk que l’on peut déjà placer dans les posters de l’année."
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : Axel Toupane en tête d’un clan tricolore à la fête !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"S’il faudra patienter jusqu’à l’an prochain pour retrouver un club français en Euroleague, les joueurs français n’ont pas attendu pour briller dans la plus prestigieuse compétition du Vieux Continent. Cette semaine, le clan tricolore a été particulièrement saignant avec Axel Toupane à 19 points, meilleur marqueur de l’Olympiakos victorieux de l’Efes Istanbul (où Adrien Moerman termine à 22 d’évaluation).\\n\\nEn double double pour la 4e fois de la saison, Vincent Poirier (12 points, 12 rebonds) a surtout été décisif pour Vitoria en enfournant le dunk de la gagne sur deux joueurs du Maccabi. Dans la défaite face au Real Madrid, Thomas Heurtel a tout de même termine à 16 points et 5 passes (et 5 balles perdues).\\n\\nDe son côté, Joffrey Lauvergne (15 points, 4 passes) a de nouveau été essentiel dans le 8e succès de rang du Fenerbahçe qui caracole en tête du classement. Juste devant le CSKA de Nando De Colo (10 points en 15 minutes), facile vainqueur du derby moscovite.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nAxel Toupane torpille l’Efes Istanbul\\n\\nRevenu de blessure le weekend passé, Axel Toupane a retrouvé toutes ses sensations. Et c’est l’Efes Istanbul qui paye l’addition ! L’ailier international s’est fendu d’un match très propre : 19 points à 6/9 aux tirs en 22 minutes. Il a été très précis de loin à 4/6 et avec un petit tir à 5 mètres a permis à l’Olympiakos de faire le break définitivement sous les 2 minutes (88-81).\\n\\nLes Reds ont pu compter sur 6 joueurs en double figure alors que l’Efes, sans Rodrigue Beaubois, s’est trop reposé sur sa traction arrière composée de Vassilije Micic (24 points, 6 passes) et Shane Larkin (20 points). Adrien Moerman termine tout de même à 22 d’évaluation avec 9 points, 8 rebonds, 4 passes, 2 interceptions et 2 contres. Une véritable usine !\\n\\n\\nVincent Poirier pour le dunk de la gagne !\\n\\nComme il l’affirmait tout récemment, Vincent Poirier croit dur comme fer que Vitoria peut à nouveau inverser la tendance d’une saison mal engagée, comme l’an passé. Face au Maccabi, l’intérieur tricolore a mis ses actes au niveau de ses paroles avec un double double à 12 points, 12 rebonds... et le dunk qui a fait la différence au score final (81-79).\\n\\nPlusieurs fois repoussés à -10, les Basques ne se sont jamais démobilisés, et ils enchaînent un 2e succès de rang après leur victoire face au CSKA. Tornike Shengelia (20 points, 5 passes) et Matt Janning ont aussi été deux grands artisans de ce succès crucial et historique pour Vitoria. En effet, le Baskonia ne s’était pas imposé au Maccabi Tel Aviv depuis plus de cinq ans.\\n\\n\\nLe Real met une fessée au Barça\\n\\nLe Clasico a accouché d’une souris. Le Barça n’a pu tenir le rythme que durant le 1er quart ; la suite a été un broyage en règle, à commencer par un 31-13 en 2e quart ! C’est l’infernal Jaycee Carroll qui est encore sorti de sa boîte avec 15 points à 5/6 en 8 minutes. Ça, plus le tir de folie de Facundo Campazzo (voir plus bas), la coupe était déjà pleine à la pause...\\n\\nMalgré les efforts de Thomas Heurtel (16 points), Barcelone ne reviendra pas (92-65). En face, Fabien Causeur (5 points, 2 passes, 2 interceptions) retrouve quelques couleurs après plusieurs semaines dans le creux de la vague.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=XWHxCF5N7Xo\\n\\n\\nLe CSKA facile dans le derby de Moscou\\n\\nDe retour à la maison après un road trip de 3 matchs, dont 2 défaites, le CSKA Moscou a profité de la réception du voisin du Khimki pour renouer avec le succès, et facilement (88-74). Un 12-0 impulsé par Kyle Hines en 3e quart aura suffi à faire la bascule définitivement.\\n\\nNando De Colo (10 points) n’a pas eu à forcer son talent alors que Daniel Hackett (14 points) et Sergio Rodriguez (12 points, 5 passes) se sont occupés de repousser les faibles assauts des jaunes et bleus. Stefan Markovic termine à 18 points pour le Khimki qui dérive de plus en plus cette saison.\\n\\n\\nJoffrey Lauvergne reçu 7/7 à deux points\\n\\nOn vous prévenait récemment que Joffrey Lauvergne était lancé avec le Fenerbahçe. Eh bien, l’intérieur français nous donne raison semaine après semaine dernièrement ! Avec 15 points et 4 rebonds en 9 tirs seulement, Lauvergne enchaîne les prestations de très haut niveau depuis un mois. Milan n’a pas fait le poids face à son duo avec Jan Vesely (17 points)...\\n\\nC’est pour le coup la 4e défaite de rang des Milanais qui retombent à 6 victoires pour 6 défaites. Mike James (31 points, 6 passes) a encore fait des pieds et des mains mais Marko Guduric (20 points à 7/8 aux tirs) lui a répondu de deux tirs consécutifs pour plier l’affaire en fin de match.\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 19 points (6/9 aux tirs), 2 rebonds en 22 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 16 points (7/9 aux tirs), 5 passes, 1 interception, 5 balles perdues en 26 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 15 points (7/9 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes en 19 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 12 points (6/9 aux tirs), 12 rebonds, 1 balle perdue en 24 minutes\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 10 points (3/7 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds en 15 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Efes) : 9 points (3/6 aux tirs), 8 rebonds, 4 passes, 2 interceptions, 2 contres, 2 balles perdues en 34 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 5 points (2/5 aux tirs), 2 passes, 2 interceptions, 1 balle perdue en 15 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes) : n’a pas joué\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : n’a pas joué\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nOn aurait pu vous sortir le dunk de la gagne, dans le trafic, de Vincent Poirier... mais ce tir de sa zone de défense est tout bonnement invraisemblable de la part de Facundo Campazzo ! Le meneur argentin n’en est pas à son coup d’essai à très longue distance puisqu’il avait déjà frappé contre le CSKA plus tôt dans la saison. Et son ancien coéquipier du Real, Luka Doncic, lui-même auteur d’un tir similaire en Euroleague, a bien suivi tout ça depuis Dallas !\\n\\n\\n\\n\\nCAMPAZZO!! 😱\\n\\n\\nHe beats the 🚨 all the way from 🇦🇷! #7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/ZH26OLmyXo\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) December 13, 2018\\n\\n\\nLes résultats de la 12e journée\\n\\nJeudi 13 décembre :\\nOlympiakos – Efes Istanbul (88-81)\\nCSKA Moscou – Khimki Moscou (88-74)\\nFenerbahçe – Milan (92-85)\\nMaccabi Tel Aviv – Vitoria (79-81)\\nReal Madrid – Barcelone (92-65)\\n\\nVendredi 14 décembre :\\nBayern Munich – Zalgiris Kaunas (20h30)\\nPanathinaikos – Darussafaka (20h30)\\nGran Canaria – Podgorica (21h)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 13e journée\\n\\nMardi 18 décembre :\\nEfes Istanbul – Podgorica (18h)\\nFenerbahçe – CSKA Moscou (18h45)\\nBarcelone – Olympiakos (20h45)\\nGran Canaria – Vitoria (21h)\\n\\nMercredi 19 décembre :\\nDarussafaka – Zalgiris Kaunas (18h15)\\nMaccabi Tel Aviv – Khimki Moscou (20h05)\\nMilan – Bayern Munich (20h45)\\nReal Madrid – Panathinaikos (21h)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nAxel Toupane torpille l’Efes Istanbul\\n\\nRevenu de blessure le weekend passé, Axel Toupane a retrouvé toutes ses sensations. Et c’est l’Efes Istanbul qui paye l’addition ! L’ailier international s’est fendu d’un match très propre : 19 points à 6/9 aux tirs en 22 minutes. Il a été très précis de loin à 4/6 et avec un petit tir à 5 mètres a permis à l’Olympiakos de faire le break définitivement sous les 2 minutes (88-81).\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eurocup féminine: 40 points et 10/14 à trois-points pour Samantha Withcomb (Montpellier)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lattes-Montpellier avec sa Dream Team française est davantage formaté pour l’Euroleague que pour l’Eurocup. Pas étonnant que le BLMA ait mis hier soir une rouste au VBW CEKK Ceglèd, en Hongrie: 96-66.\\n\\nMais, attention, l’équipe n’est pas forte que de ses Françaises. Ainsi Samantha « Sami » Whitcomb (1,78m, 30 ans) possède un beau CV. N’a t-elle pas été championne WNBA 2018 avec le Seattle Storm ? Dans un rôle mineur, c’est vrai (2,9 points en 9′ de moyenne).\\n\\nAméricaine de naissance, elle a pris la nationalité australienne et disputé ainsi la Coupe du monde cet été en remplacement d’une autre Américano-australienne bien connue en France, la meneuse Leilani Mitchell. C’est ainsi qu’une médaille d’argent a pris place dans son armoire à trophées. Sami Whitcomb a par ailleurs depuis longtemps fait son coming out et elle est mariée avec sa girlfriend de long date, Kate.\\n\\nDonc, la Montpelliéraine a cartonné hier soir réussissant un étonnant 10/14 derrière la ligne à trois-points et en ajoutant un 4/5 à deux points et un 2/2 aux lancers, cela nous donne 40 points en 30 minutes, et ses 6 balles perdues ne l’ont pas empêché d’atteindre 39 à l’évaluation.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Adrien Moerman, guide touristique à Istanbul"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après ses deux expériences à Banvit puis au Darussafaka, Adrien Moerman est tombé amoureux de la Turquie. Au point de signer à nouveau à Istanbul, à l’Efes cet été.\\n\\nEt l’intérieur international réussit une de ses meilleures saisons en carrière, à 12 points, 7 rebonds et 2 passes de moyenne, après une campagne un poil décevante en Catalogne.\\n\\n« J’adore la Turquie, et j’adore Istanbul », affirme Moerman sur le site de l’Euroleague. « Les Turcs sont des gens qui passent beaucoup de temps en famille et qui aiment aider les autres. Même si tout le monde ne parle pas anglais, on essaiera de t’aider avec un grand sourire. Dans d’autres pays, ce n’est pas forcément comme ça. En France par exemple, on ne t’aidera pas forcément. Mais les Turcs sont très ouverts. Ma femme et moi on adore ça. »\\n\\n\\n« Rodrigue a adoré son premier petit déj’ turc »\\n\\nLe néo-trentenaire a en l’occurrence développé un intérêt pour l’histoire locale dans une ville qui regorge de pépites.\\n\\n« Quand je jouais pour Banvit, dès que j’avais du temps libre, je prenais le bateau avec AJ Slaughter et on allait visiter des monuments d’Istanbul. Il y a tellement d’histoire dans cette ville et je pense qu’il est important de se familiariser avec l’histoire du pays dans lequel on vit. Surtout dans cette ville avec autant d’histoire. Quand on comprend le passé d’un lieu, on s’y sent plus connecté. Pendant la saison, c’est difficile mais quand on a un jour off, j’essaie de sortir en famille. Maintenant, je m’y connais pas mal et je peux me retrouver dans Istanbul sans le GPS. »\\n\\nMoerman joue du coup le rôle du guide touristique auprès de son compatriote, Rodrigue Beaubois qui découvre quant à lui le pays après plusieurs années au Pays Basque.\\n\\n« Je viens d’amener Rodrigue à son premier petit déjeuner turc. Il n’avait jamais essayé et il voulait essayer donc je l’ai amené à Bebek, dans un beau quartier près du Bosphore. C’est un de mes restaurants préférés. Il y avait du yaourt, du miel, du fromage, du thé turc et plein de pains différents. On avait tellement de nourriture qu’on n’a pas pu finir ! Rodrigue a adoré et on va y retourner ! »\\n\\nCrédits photo : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eurocup féminine: ASVEL, Basket Landes, Montpellier, Nantes et Tarbes qualifiés pour les playoffs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison régulière d’Eurocup féminine s’est terminée hier soir. Les deux meilleures équipes de chaque groupe ainsi que les deux meilleures troisièmes par Conférence se sont qualifiées pour les playoffs. C’est le cas de Basket Landes, Lattes-Montpellier, Lyon-ASVEL, Nantes-Rezé et Tarbes.\\n\\nLes huit meilleures équipes dont Lattes-Montpellier et Tarbes sont directement qualifiées pour le Top 16. Les autres doivent disputer un tour supplémentaire.\\n\\nLe classement:\\n\\n(1) Lattes-Montpellier\\n\\n(2) Cukurova Basketbol\\n\\n(3) Spar Citylift Girona\\n\\n(4) Tarbes GB\\n\\n(5) InvestInTheWest ENEA Gorzow\\n\\n(6) KSC Szekszard\\n\\n(7) Wisla CANPACK Krakow\\n\\n(8) DVTK Miskolc\\n\\n1er tour de playoffs\\n\\n(9) Galatasaray v (24) Lointek Gernika Bizkaia\\n\\n(10) Energa Torun v (23) Nantes Rezé\\n\\n(11) Artego Bydgoszcz v (22) Basketball Nymburk\\n\\n(12) Lyon ASVEL Feminin v (21) Sparta&K M.R. Vidnoje\\n\\n(13) WBC Enisey v (20) MBK Ruzomberok\\n\\n(14) Botas Spor v (19) MBA Moscow\\n\\n(15) Orman Genclik v (18) Besiktas JK\\n\\n(16) Reyer Venezia v (17) Basket Landes\\n\\nLe match aller se déroulera le 3 janvier et le retour la semaine suivante.\\nPhoto: Nantes-Rezé (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"EuroCup : le bilan complet de la 9e journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était déjà l’avant-dernière journée de la première phase en EuroCup et les trois clubs français sont encore en vie. Si Monaco et l’Asvel sont déjà qualifiés et vont respectivement terminer 1er et 2e de leur groupe respectif, le CSP Limoges s’est également offert un sursis en arrachant une victoire fondamentale en Turquie face à Tofas Bursa, pour la première de François Peronnet aux manettes.\\n\\nPar ailleurs, la bonne nouvelle de la semaine nous vient de Valence avec Antoine Diot qui a enfin retrouvé les parquets après 444 jours d’attente. Il a joué 4 petites minutes pour se dégourdir les jambes dans la victoire de Valence face à St Pétersbourg.\\n\\nWilliam Howard est l’homme de la 9e journée avec son tir incroyable qui termine au sommet du Top 10 et, surtout, une performance à 29 d’évaluation qui tombe bien pour entretenir l’espoir d’une qualification in extrémis pour le CSP.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe MVP de la 9ème journée\\n\\nWilliam Howard (19 points, 7 rebonds, 3 passes, 2 interceptions)\\n\\nSon tir de l’autre bout du terrain a déjà fait le tour de la planète plusieurs fois sur les réseaux sociaux mais William Howard a fait bien plus pour son équipe face à Tofas Bursa. Le jeune ailier français a été l’élément stabilisateur pour Limoges tout au long d’un match pas facile. Avec des tirs opportuns pour remettre son équipe sur les bons rails, Howard a été exemplaire.\\n\\nIl termine à 19 points, 7 rebonds, 3 passes et 2 interceptions pour 29 d’évaluation, son record en carrière. A 11 points, 4 rebonds, 2 passes, 2 interceptions de moyenne par match, Howard est clairement en train de passer un cap pour sa 2e campagne en EuroCup. Pour ne rien gâcher, il tourne à 48% de réussite à deux points et un excellent 46% à trois points !\\n\\n\\nLa meilleure performance\\n\\nRok Stipcevic (31 points, 5 rebonds, 4 passes, 3 interceptions)\\n\\nBien qu’ils aient laissé filer un avantage de 16 points, Vilnius a réussi à s’imposer pour une victoire en prolongation face à Turin. Et le Rytas peut remercier Rok Stipcevic. Le meneur vétéran a établi deux records en carrière aux points et à l’évaluation (41). Pour son 3e match sous ses nouvelles couleurs, Stipcevic a été étincelant, avec 16 points en 1ère mi-temps et un excellent 9/15 aux tirs, et 7/7 aux lancers.\\n\\n\\nLa stat qui tue\\n\\n+43\\n\\nC’est l’écart, nouveau record en EuroCup, qui séparait l’Etoile Rouge de Belgrade de Brescia à la mi-temps de leur match (65-22). La troupe transalpine n’a rien pu faire face à la démonstration de force de l’Etoile Rouge, avec un 2e quart édifiant au passage (34-8).\\n\\n\\nLes clubs français\\n\\nLimoges reste en vie\\n\\nAvec leur vie européenne en jeu, et pour la première sur le banc de François Peronnet, les joueurs de Limoges se sont arrachés et ont fini par décrocher une victoire à Tofas Bursa (98-92). Un succès qui maintient encore la possibilité d’une qualification qui se jouera lors de la 10e et ultime journée, face à Gdynia.\\n\\nWilliam Howard (19 points) et Jordan Taylor (21 points, 4 passes, 3 interceptions) ont été les fers de lance du CSP. Howard a notamment inscrit un trois points miraculeux de sa ligne des lancers pour relancer Limoges à la mi-temps. Axel Bouteille (14 points) a également été clutch avec un trois points fatal à Tofas Bursa à 15 secondes du gong.\\n\\nL’Asvel surpris par le Partizan\\n\\nMalgré les retours à l’action d’Alpha Kaba (4 points, 5 rebonds) et Livio Jean-Charles (6 points, 4 rebonds), l’Asvel s’est fait surprendre par le Partizan à l’Astroballe (78-75). C’est une défaite qui condamne Villeurbanne à la 2e place de son groupe derrière Valence.\\n\\nMiro Bilan (17 points) a pourtant fait le boulot mais le Partizan a été plus agressif tout du long, à l’image de Jock Landale (15 points, 10 rebonds). Il faut dire que Belgrade jouait sa survie. De retour au bercail, Bandja Sy a dévissé avec 0/6 aux tirs, mais 5 rebonds tout de même !\\n\\nMonaco, 1er de son groupe\\n\\nDans un duel des extrêmes de ce groupe A, Monaco a parfaitement su dompter le Galatasaray. Paul Lacombe (13 points, 8 rebonds, 4 passes) a insufflé la bonne dynamique en 3e quart, avec un 19-5 qui a permis de décrocher définitivement le club turc, déjà éliminé (76-71).\\n\\nElmedin Kikanovic et Ian Hummer terminent tous deux à 14 points pour équilibrer l’attaque de la Roca Team. Monaco est la première équipe « rookie » depuis 5 ans à terminer première de son groupe, depuis Ljubljana et Nizhny Novgorod en 2013-14. Un beau petit exploit !\\n\\n\\nLes Français de l’EuroCup\\n\\nWilliam Howard (Limoges) : 19 points (6/11 aux tirs), 7 rebonds, 3 passes, 2 interceptions en 28 minutes\\n\\nAxel Bouteille (Limoges) : 16 points (5/8 aux tirs), 6 rebonds, 1 contre en 27 minutes\\n\\nPaul Lacombe (Monaco) : 13 points (6/11 aux tirs), 8 rebonds, 4 passes, 1 interception, 1 contre, 2 balles perdues en 33 minutes\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 9 points (3/11 aux tirs), 4 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 24 minutes\\n\\nLanding Sané (Mornar Bar) : 8 points (2/3 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe, 4 balles perdues en 29 minutes\\n\\nCharles Kahudi (Asvel) : 7 points (1/4 aux tirs), 1 rebond, 1 interception, 1 balle perdue en 18 minutes\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 6 points (3/6 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 1 interception, 2 balles perdues en 15 minutes\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 2 points (0/2 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception en 18 minutes\\n\\nAmine Noua (Asvel) : 2 points (1/4 aux tirs), 2 rebonds, 2 balles perdues en 18 minutes\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 0 point (0/6 aux tirs), 5 rebonds, 1 contre, 2 balles perdues en 24 minutes\\n\\nYakuba Ouattara (Monaco) : 0 points (0/3 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe en 9 minutes\\n\\nAntoine Diot (Valence) : 1 rebond, 1 passe, 1 balle perdue en 4 minutes\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : n’a pas joué\\n\\n\\nLe Top Ten\\n\\n\\nLes résultats de la 9e journée\\n\\nGROUPE A\\nUlm – Andorre (88-80)\\nEtoile Rouge Belgrade – Brescia (103-67)\\nMonaco – Galatasaray (76-71)\\n\\nGROUPE B\\nTofas Bursa – Limoges (92-98)\\nGdynia – Alba Berlin (64-76)\\nKrasnodar – Zagreb (80-76)\\n\\nGROUPE C\\nASVEL – Partizan Belgrade (75-78)\\nValence – St Petersburg (97-89)\\nAnkara – Trente (84-77)\\n\\nGROUPE D\\nTurin – Vilnius (96-101 ap)\\nKazan – Malaga (87-84)\\nMornar Bar – Francfort (83-87)\\n\\n\\nLe classement\\n\\n\\nLe programme de la 10e journée\\n\\n(matchs les 18 et 19 décembre)\\n\\nGROUPE A\\nAndorre – Monaco\\nGalatasaray – Etoile Rouge\\nBrescia – Ulm\\n\\nGROUPE B\\nZagreb – Tofas Bursa\\nAlba Berlin – Krasnodar\\nCSP Limoges – Gdynia\\n\\nGROUPE C\\nSt Petersbourg – ASVEL\\nTrente – Valence\\nPartizan Belgrade – Ankara\\n\\nGROUPE D\\nVilnius – Mornar Bar\\nFrancfort – Kazan\\nMalaga – Turin\\n\\n\\nDans le rétro :\\n\\nLe bilan de la 8e journée\\n\\nLe bilan de la 7e journée\\n\\nLe bilan de la 6e journée\\n\\nLe bilan de la 5e journée\\n\\nLe bilan de la 4e journée\\n\\nLe bilan de la 3e journée\\n\\nLe bilan de la 2e journée\\n\\nLe bilan de la 1ère journée\\n\\nCrédits photo : EuroCup\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe MVP de la 9ème journée\\n\\nWilliam Howard (19 points, 7 rebonds, 3 passes, 2 interceptions)\\n\\nSon tir de l’autre bout du terrain a déjà fait le tour de la planète plusieurs fois sur les réseaux sociaux mais William Howard a fait bien plus pour son équipe face à Tofas Bursa. Le jeune ailier français a été l’élément stabilisateur pour Limoges tout au long d’un match pas facile. Avec des tirs opportuns pour remettre son équipe sur les bons rails, Howard a été exemplaire.\\n\\nIl termine à 19 points, 7 rebonds, 3 passes et 2 interceptions pour 29 d’évaluation, son record en carrière. A 11 points, 4 rebonds, 2 passes, 2 inter\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Une étude statistiques sur les salaires de Jeep Elite et de Pro B"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Ligue Nationale de basket a rendu publique une étude sur les salaires de Jeep Elite en calculant les moyennes suivant le statut et le poste.\\n\\nA lire en complément de notre enquête avec les salaires de tous les joueurs et de tous les coaches.\\n\\n\\nJEEP ELITE\\n\\n\\nPro B\\n\\nPhoto: Mantas Kalnietis (ASVEL, Eurocupbasketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Noah Klieger, le décès d’un personnage unique du basket européen"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Décédé à l’âge de 92 ans, Noah Klieger était un immense personnage bien au-delà du basket-ball.\\n\\nNé à Strasbourg, Noah Klieger a connu l’enfer des camps de concentration, à Auschwitz où il parvint à survivre en pratiquant des matches de boxe. Il émigra en 1947 en Israël sur L’Exodus. Il devint journaliste et fut dès 1953 le correspondant en Israël pour le journal L’Equipe. Il a couvert le procès Adolf Eichmann, l’architecte de la Solution Finale et n’a cessé de témoigner toute sa vie pour raconter la Shoah.\\n\\nIl avait écrit ses mémoires sous le titre La boxe ou la Vie.\\n\\nTout ceux qui l’on côtoyé connaissent leur chance d’avoir pu échanger avec ce polyglotte charmant à l’humour parfois acide.\\n\\nNoah Klieger fut par ailleurs un contributeur important au développement du basket européen pendant plus d’un demi-siècle.\\n\\n-Il a assisté à 30 championnats d’Europe, 11 Championnats du monde et 8 Jeux Olympiques.\\n\\n-Il fut le président du Maccabi Tel-Aviv de 1951 à 1969 et du Maccabi Ramat-Gan de 1970 à 1998.\\n\\n-Il fut le président de la Commission des médias de la FIBA pendant 25 ans.\\n\\n-Il a été impliqué dans d’autres activités de la FIBA à partir de 1951.\\n\\nA sa famille, BasketEurope présente ses sincères condoléances.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=hkhIvwkyQDE"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce : Ivan Aska (ex Nancy) quitte Rhodes, Tweety Carter (ex Le Portel) arrive"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un ancien joueur LNB en chasse un autre en Grèce. Ivan Aska (2,03m, 28 ans), ancien joueur du SLUC, quitte Rhodes tandis que Tweety Carter (1,80m, 32 ans), passé par Le Portel, arrive.\\n\\nSur son site, le club de première division grecque annonce le départ de l’ancien nancéien. Après six matchs, il tournait pourtant à 11,1 points et 5,6 rebonds mais son club pointe à la douzième place du classement (sur quatorze) avec une seule victoire pour six défaites et n’a qu’une victoire sur les deux derniers d’Esake.\\n\\nDans le même temps, Rhodes officialise la signature de Tweety Carter. La saison dernière au Portel, ce petit meneur de jeu passé par l’ASVEL, Nymburk, Zagreb ou encore Wurzburg, était jusqu’alors sans club. Ancien pensionnaire de l’université de Baylor, il compilait en moyenne 7,4 points et 3,2 passes décisives avec l’ESSM en Jeep Elite.\\n\\nPhoto : ESSM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Spécial Limoges – Jonathan Rousselle dans un tourbillon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à un reportage sur place, nous consacrons toute cette semaine, du dimanche à vendredi, au Limoges CSP. Le club le plus prestigieux, le plus titré et aussi le plus turbulent du basket français, qui possède une saveur unique.\\n\\nCe troisième chapitre est consacré au meneur Jonathan Rousselle, à la fois néo-international et néo-limougeaud qui de son propre aveu a été plongé dans un tourbillon.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe basket de haut niveau est souvent une affaire de filiation. Décédé il y a trois ans, Jean-Pierre Rousselle était ce que l’on qualifie une « grande figure » du basket nordiste. Joueur, il le fut à l’AS Denain à l’époque de Jean Degros et aussi son entraîneur. Avant de devenir moniteur et entraîneur au Stade Roubaisien, il fit un crochet par le Clermont Université Club, référence absolue du basket féminin français dans les années soixante-dix dont il fut le coach et avec qui il devint champion national en 1979. La même année il fut adjoint en équipe de France féminine au championnat du monde à Séoul.\\n\\n« Peu de monde est au courant de ça mais oui il a un passé qui n’est pas neutre dans le basket. Il a été très important pour moi. C’était vraiment un guide, il avait une vraie expérience et on a beaucoup parlé de basket. On est une famille de basketteurs et ça vient essentiellement de lui. Il a fait un nombre de kilomètres et d’heures incroyables, » résume Jonathan. Et quand on demande au fils si le père a évoqué avec lui la frénésie qui s’était emparée de Denain, petit ville toute acquise aux rouges et blancs, il précise: « On en parlait mais lui ça se passait bien. Quand il m’en parlait, c’était vraiment des souvenirs très positifs. »\\n\\nJonathan Rousselle est né à Seclin, il y a vingt-huit ans, et s’est longtemps cantonné au Nord : à Roubaix, forcément, à Gravelines, son club formateur, à Boulogne où il se classa en deuxième position, derrière son équipier Mam Jaiteh, au référendum qui désignait en 2013 les meilleurs joueurs français de Pro B, avant d’effectuer une dernière saison au BCM. C’est là qu’il s’est forgé ce shoot si caractéristique, si peu académique mais si efficace que son adresse à trois-points fut de 51,7% à Cholet Basket, il y a deux ans. On l’a vu notamment réaliser quelques shoots « clutch » avec beaucoup de sang-froid. Mais tout de même, sa façon d’agripper la balle défie les lois de la balistique et Jonathan, n’a-t-il pas envisagé d’y apporter quelques corrections ?\\n\\n« On ne me l’a jamais vraiment proposé parce que l’efficacité était là et ça ne m’a jamais posé de soucis, de barrière, je n’ai jamais été bloqué en montant de niveau pour tirer. J’arrive à tirer assez vite et à partir du moment où tu arrives à le faire avec de l’opposition pourquoi changer un truc qui marche correctement ? Je l’ai perfectionné, je me le suis approprié. Ça vient de moi et je suis très à l’aise avec ça. C’est plutôt efficace et ça ne me pose pas de soucis à haut niveau. L’esthétisme, c’est... une question de goût. Quand j’étais jeune, j’étais gringalet, je n’avais pas assez de force mais je m’entêtais à tirer de loin et j’allais chercher de la force là où je pouvais. Et c’est resté. En montant de niveau, ça m’a peut-être permis de tirer un peu plus de loin. »\\n\\nD’apparence, le néo-Limougeaud n’est pas un pur-sang. Il a presque le gabarit de M. Tout-le-Monde si ce n’est une taille avantageuse (1,92m) pour un meneur. Seulement, méfiez-vous de l’eau qui dort. Balle en main, Jo est une sorte de dragster et on l’a vu déborder des vis-à-vis qui ont été surpris par sa vitesse balle en main.\\n\\n« C’est Philippe Hervé qui m’a ouvert les yeux là-dessus. On a fait un entretien avec la fameuse question : quelles sont tes forces et tes faiblesses ? C’est dur de parler de soi et par défaut, je lui ai répondu que j’étais quelqu’un d’adroit. Il m’a dit, « tu te considères comme un shooteur ? » Moi, « oui ». Et lui de dire, « moi je ne pense pas. Tu ne construis pas tes matches avec ton shoot. Kyle McAlarney est un shooteur. Quand il rate, on est surpris. Quand tu rates, on n’est pas surpris plus que ça. » A la Philippe Hervé ! Comme ça, pah ! » (rires). Il n’a pas tort car je peux exister dans un match sans mettre un tir. Et il m’a dit, « pour t’avoir vu évoluer un mois ou deux, ta force c’est la rapidité balle en main ». En me regardant jouer, en ouvrant les yeux, c’est vrai que je suis capable de déborder. Il m’a beaucoup aidé là-dessus et j’essaie de m’en servir beaucoup plus souvent qu’avant. »\\n\\n« Tu te sens forcément coupable »\\n\\nC’est à Cholet qu’il a atteint sa maturité, gagné l’estime de tous, y compris du coach Vincent Collet qui l’a convoqué pour les fameuses fenêtres internationales lorsque les titulaires de NBA et d’Euroleague étaient indisponibles. L’équipe de France, il la connaissait tout de même un peu puisqu’il fut champion d’Europe U20 et qu’il a transité par le sas des A’. Un chiffre significatif : en quatre ans, son évaluation a grimpé de 5,2 au BCM à 12,1. Il était si populaire dans les Mauges qu’un club de fans s’est créé sur les réseaux sociaux, ce qui est rarissime en Jeep Elite.\\n\\n« Je crois savoir qui c’est mais je ne les connais pas personnellement. Ce n’est pas quelqu’un de ma famille ! C’est sympa et ça démontre que j’ai pu laisser une bonne image à Cholet. C’est toujours agréable que l’on reconnaisse que tu ne triches pas, que tu donnes tout ce que tu as. »\\n\\nSon transfert dans le Limousin est apparu naturel car il lui offrait la possibilité de jouer l’Eurocup alors que Cholet était sevré de coupes d’Europe et a priori le haut du panier français. Lui qui connaissait la ferveur de Sportica et de La Meilleraie est aussi monté d’un grade au niveau de l’ambiance avec Beaublanc. Question : cela décuple les forces ou cela tétanise de se retrouver au milieu du parquet quand l’équipe n’est pas à la hauteur des espérances du peuple vert ?\\n\\n« Ca peut t’inhiber de temps en temps surtout quand on est dans la situation actuelle où l’on ne surfe pas sur une grande vague de confiance. Tu démarres tes matches avec deux-trois paniers contre toi. Tu sens tout de suite... le truc. Ça, il faut savoir le gérer car ce n’est pas forcément évident. Ce n’est pas donné à tout le monde. Il faut un temps d’adaptation quand tu n’as pas l’habitude. » Jonathan confie que les joueurs évoquent entre-eux cette atmosphère si particulière. « On essaye de se donner confiance entre nous car ça ne viendra pas forcément de l’extérieur. On se parle mais ce n’est pas évident. Mais a contrario, quand on arrive à aller chercher ce public-là, c’est une vraie force. Tu te laisses porter, tu peux être amené à surfer là-dessus mais pour atteindre cet état-là, il y a un boulot à faire avant. »\\n\\nLa fameuse pression est-elle encore plus forte qu’à Cholet, qui est une sorte de grand village, dans une région, les Mauges, qui est avec les Landes et le Roannais, ce qui se fait de mieux en France en matière de pratique du basket-ball ?\\n\\n« En toute honnêteté, je pensais être préparé à ça. Je pensais pouvoir maîtriser ça rapidement car je l’avais vu de l’extérieur. Mais une fois que tu y es, tu es pris dans un tourbillon. Et cette année, il se passe beaucoup de choses. Emotionnellement c’est vraiment prenant. C’est vrai que c’est récurrent mais je trouve que cette année on atteint un niveau de péripétie -pour employer un mot soft- qui est important. »\\n\\nN’allez pas croire pour autant qu’être basketteur à Limoges peut devenir aussi terrifiant que d’être footballeur à Marseille lorsque les défaites s’accumulent. Pas d’agressions verbales dans la rue les lendemains de défaite.\\n\\n« Pas moi en tous les cas. J’ai la chance de vivre un peu retiré mais même quand je suis en ville, tu es reconnu mais tu n’es pas importuné, alpagué. Ca ne m’est jamais arrivé et pour en discuter avec les collègues, il n’y a pas de tout ça. Les gens sont forcément déçus et nous aussi, les premiers, et on est dans le même truc. Ils ont envie de nous voir gagner, réussir. Ils sont à fond, certes extrémistes, mais pour le bien de leur équipe et de leur club. »\\n\\nCe qui a donc changé aussi pour Jonathan, c’est les cadences de matches avec deux rendez-vous hebdomadaires et les rassemblements en équipe de France alors que la majorité de ses équipiers peuvent souffler quelque peu dans ces moments-là.\\n\\n« C’est sûr qu’il y a un temps d’adaptation surtout au niveau mental, au niveau rythme. Surtout quand tu n’as pas des résultats très positifs. Tu enchaînes et tu n’as pas forcément le temps de travailler. C’est éprouvant mentalement mais aussi physiquement parce que Limoges, ce n’est pas super bien desservi. On passe du temps dans les transports et c’est fatigant ! On a pris une fois le jet privé pour aller à Strasbourg. On en a pris 20 et du coup je ne pense pas que l’on va rééditer ça. Pour la Coupe d’Europe, on va souvent chercher un avion à Toulouse, à Bordeaux ou même à Paris. On a toujours trois-quatre heures de bus pour prendre un premier avion puis un deuxième. »\\n\\nDans la morosité actuelle du paysage limougeaud, l’équipe de France n’apparait pas pour lui comme une vraie bouffée d’air pur.\\n\\n« Ça serait mentir de dire que mon esprit est à 100% avec l’équipe de France. Forcément, tu ne coupes pas surtout dans la situation dans laquelle on est. Ça ne serait pas sérieux. Je suis concerné ici mais sans oublier le CSP car c’est quand même pour moi le plus important. L’équipe de France c’est une parenthèse. »\\n\\nD’ailleurs, s’il était apparu à son affaire face à la Finlande en septembre (6 points, 3 rebonds et 2 passes), il n’a pas eu la même pèche lors des matches face à la République Tchèque et la Bulgarie ratant ses 4 shoots.\\n\\nLes défaillances collectives du CSP pèsent d’ailleurs sur l’aura des internationaux limougeauds puisqu’aucun des trois n’a été retenu pour le All-Star Game du 29 décembre.\\n\\n« J’ai été déçu qu’il n’y ait pas de Limougeaud surtout en pensant à Axel Bouteille qui fait une saison incroyable et qui nous aide beaucoup. J’ai été déçu pour lui parce que je pense qu’il le méritait. Par contre, je ne suis pas forcément surpris de ne pas l’être parce que je ne pense pas le mériter cette année. »\\n\\nSans livrer de secte-défense, précisons que Axel Bouteille fut l’un des derniers « coupés » par le jury lors de la sélection -on le jure- très démocratique.\\n\\nQuand on s’est entretenu la semaine dernière avec Jonathan Rousselle à l’hôtel de l’équipe de France, à Limoges, l’ombre du coach Kyle Milling, qui venait d’être remercié par le CSP, planait au-dessus des têtes.\\n\\n« Tu te sens forcément coupable. Je l’ai dit à Kyle. Nous les joueurs, on est les premiers fautifs. Malheureusement c’est ce qui se passe souvent quand les résultats ne suivent pas, il y a un fusible, c’est le coach. On a essayé de changer des joueurs, ça n’a pas marché. Je savais que ça pouvait arriver, je ne suis pas surpris mais déçu, de moi-même et de nous les joueurs car on n’a pas réussi à éviter ça. »\\n\\n[armelse]\\n\\nLe basket de haut niveau est souvent une affaire de filiation. Décédé il y a trois ans, Jean-Pierre Rousselle était ce que l’on qualifie de « grande figure » du basket nordiste. Joueur, il le fut à l’AS Denain à l’époque de Jean Degros et aussi son entraîneur Avant de devenir moniteur et entraîneur au Stade Roubaisien, il fit un crochet par le Clermont Université Club, référence absolue du basket féminin français dans les années soixante-dix dont il fut le coach et avec qui il fut champion national en 1979. La même année il fut adjoint en équipe de France féminine au championnat du monde à Séoul.\\n\\n« Peu de monde est au courant de ça mais oui il a un passé qui n’est pas neutre dans le basket. Il a été très important pour moi. C’était vraiment un guide, il avait une vraie expérience et on a beaucoup parlé de basket. On est une famille de basketteurs et ça vient essentiellement de lui. Il a fait un nombre de kilomètres et d’heures incroyables, » résume Jonathan. Et quand on demande au fils si le père a évoqué avec lui la frénésie qui s’était emparée de Denain, petit ville toute acquise aux rouges et blancs, il précise: « On en parlait mais lui ça se passait bien. Quand il m’en parlait, c’était vraiment des souvenirs très positifs. »\\n\\nJonathan Rousselle est né à Seclin, il y a vingt-huit ans, et s’est longtemps cantonné au Nord :\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Eurocupbasketball et Limoges CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges: La mise au point du président Youri Verieras"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un communiqué, Youri Verieras a réagi aux commentaires de Céline Forte -la veuve de l’ancien président du club, Frédéric Forte, décédé le 31 décembre 2017- qui conteste sa légitimité comme président du Limoges CSP.\\n\\n“Frédéric Forte a repris le Limoges CSP en 2004. Il connaissait parfaitement la vie d’un club et l’aléa sportif. Certains ont d’ailleurs demandé sa démission dans les moments difficiles, pour mieux l’encenser dans la victoire. Tout cela le faisait beaucoup sourire. C’est pour cela que Fred avait mis en place des instances de gouvernance assurant au club la stabilité et la sérénité nécessaire à toute société.\\n\\nPour cela, il s’est appuyé sur sa famille, sur ses amis les plus proches dont il connaissait la loyauté, et sur des professionnels qu’il estimait compétents.\\n\\nAu moment de l’engagement de la procédure de divorce avec son épouse, Frédéric Forte a décidé que cette situation ne devait pas risquer de remettre en cause l’équilibre et le développement du Club.\\n\\nEn tant que chef d’entreprise responsable, il a donc organisé la répartition des pouvoirs au sein des instances de gouvernance afin de garantir la pérennité de la société.\\n\\nC’est ainsi, à sa demande et dans ces conditions que je suis devenu membre de l’association Elite courant 2017, étant par ailleurs membre du Directoire de la SASP au côté de Frédéric Forte depuis 2016.\\n\\nJe rappelle que les membres de l’association à cette époque, étaient les suivants : Céline Forte, Alexandre Gabriel, son frère, Jocelyne Achard, sa mère, Antonio Lopez, Jean-Léonard Picot et Frédéric Forte.\\n\\nL’assemblée générale de l’association qui s’est tenue le 22 décembre 2017, a pris acte de cette situation. Céline Forte et sa famille, dûment convoqués et informés de cette situation, ne se sont pas déplacés à l’assemblée générale, n’ont pas donné mandat à quiconque de les représenter, et n’ont absolument pas contesté mon adhésion.\\n\\nMa présence dans l’association ELITE est donc le résultat de l’accomplissement des formalités nécessaires à la réalisation de la volonté de Frédéric Forte, de son vivant et en parfaite régularité.\\n\\nC’est dans ce contexte qu’est survenue la tragique disparition de Fred.\\n\\nC’est presqu’un an plus tard que Céline Forte prétend remettre en cause ma qualité de membre de l’association, contestant donc par là-même les dernières décisions de son mari, auxquelles elle ne s’était pas opposée en son temps, en prenant prétexte des résultats sportifs actuels, pour se présenter comme actionnaire majoritaire, et prendre « les commandes du Limoges CSP ».\\n\\nOr, la situation est la suivante : Céline Forte est l’un des 6 membres de l’association ELITE, laquelle association est l’actionnaire principale de la SASP, représentée par son bureau directeur, et détient par ailleurs avec ses filles, les 14,5 % de parts que détenait Frédéric Forte dans la SASP.\\n\\nCéline Forte n’est donc pas actionnaire majoritaire de la SASP.\\n\\nToutefois, sa qualité d’actionnaire de la SASP LIMOGES CSP depuis le décès de Frédéric Forte, lui confère le droit d’être convoquée aux assemblées générales de la SASP, tout comme sa qualité de membre de l’association ELITE, lui confère le droit d’être convoquée à l’assemblée générale de l’association, ce qui a toujours été le cas et le sera encore.\\n\\nCéline Forte ne peut donc pas prétendre être écartée de la direction du Club ; il ne faut pas confondre actionnariat et direction.\\n\\nSi la volonté réelle de Céline Forte est de contribuer à soutenir le club, rien ne l’en a empêchée jusqu’alors, et rien ne l’en empêche encore aujourd’hui dans le cadre de ses attributions d’actionnaire.\\n\\nJe ne crois néanmoins pas que les propos virulents tenus dans les médias soient favorables aux intérêts du Club.\\n\\nJe suis prêt à entendre toutes les critiques, à discuter avec l’ensemble des parties qui ont envie de contribuer à faire avancer le club.\\n\\nJe suis prêt à assumer, tout comme mes équipes proches, les caricatures, à subir les attaques, juste et moins justes, et même à subir la tempête médiatique actuelle virulente à l’encontre de la direction du Club et de l’équipe que Frédéric Forte avait pourtant lui-même désignée pour être à ses côtés.\\n\\nJe ne suis néanmoins pas prêt à trahir la mémoire d’un homme qui a tant donné à cette institution, dont notamment, l’équipe qui l’entourait en 2017, laquelle lui rend hommage tous les jours en tentant de poursuivre son action.\\n\\nJe regrette et ne partage pas la position de Céline Forte, pas plus que celle de Stéphane Ostrowski dont les propos attisent la tempête médiatique, que j’estime injuste moralement, mal fondée juridiquement, et nuisible sportivement.\\n\\nLa réussite de toute société dépend notamment de la capacité de ses différents acteurs, à bâtir une stratégie et à la mettre en œuvre, sans nécessairement la remettre en question, à chaque difficulté, sportive notamment, inhérente à la vie de tout club.\\n\\nJe suis donc déterminé à poursuivre, avec mes équipes, dans cette voie tracée par Frédéric, sous le contrôle du Conseil de Surveillance.”\\n\\nPhoto: CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Spécial Limoges – Interview Youri Verieras (président), 2e partie: «L’objectif c’est de se stabiliser à haut niveau en Jeep Elite et en Eurocup»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à un reportage sur place, nous consacrons toute cette semaine, du dimanche à vendredi, au Limoges CSP. Le club le plus prestigieux, le plus titré et aussi le plus turbulent du basket français, qui possède une saveur unique.\\n\\nCe deuxième chapitre est une interview en deux parties du président Youri Verieras, 29 ans, qui suite au décès de son mentor Frédéric Forte, il y a un peu moins d’un an, s’est vu confier la présidence d’un directoire qui comprend également Manuel Diaz (1) et Stéphane Ostrowski (2). Juriste de formation, initialement adepte du football et du cyclisme malgré sa grande taille, passé par Le Havre, il était auparavant le Directeur Général du club et en connaissait ainsi les ressorts. Mais devenir président du CSP, c’est une toute autre aventure. La volonté de la veuve de Frédéric Forte de prendre la main sur le club promet de nouvelles péripéties.\\n\\nVoici la deuxième partie de l’interview.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nA propos de CSP 3.0, où en est-on des aménagements dans la salle ?\\n\\nUn éclatement a été fait en 16 tarifs afin de faire une offre plus en phase avec les attentes des uns et des autres. La saison dernière, on a fait cinq ou six de sold out, ce qui est plutôt bien.\\n\\nCombien avez-vous de places ?\\n\\nEn plan préfectoral et avec une billetterie électronique, on est à 5 516 places au global dont 500 debout. On est souvent plein assis mais un guichets fermés pur et dur c’est quand on est plein assis et debout. On a mis en place cette année à côté des loges des sièges cinéma pour avoir une expérience un peu plus proche pour certains partenaires. Ça permet de voir le match en étant assis au bord du parquet ce qui est plutôt sympa. On parlait de l’inside où l’on peut entendre le temps-mort avec des oreillettes. On a fait des essais mais techniquement ce n’était pas exceptionnel. Par contre, on a lancé un inside vestiaire, à savoir que deux partenaires rentrent dans le vestiaire pour entendre le brief du coach avant le match. Et dès qu’il est fini, le directeur sportif voit le partenaire plus un groupe de la même société invitée pour leur débriéfer précisément ce qui a été dit mais en vulgarisant. Et idem à la fin du match.\\n\\nLes partenaires sont extrêmement friands de ce type de proximité mais les coaches et les joueurs prennent-ils bien ce qu’ils peuvent considérer comme une violation de l’intimité du vestiaire. Certains coaches se plaignent déjà que des caméras de TV puissent filmer ça ?\\n\\nNos joueurs et nos coaches n’ont pas fait de retours négatifs sur la question. Ils ont aussi conscience que ce genre de prestation peut faire rentrer des fonds qui sont in fine à leur service. C’est aussi pour les aider à avoir de bonnes conditions de travail et des salaires supérieurs. Sur le parquet, on a aussi un peu changé la chartre graphique en essayant d’épurer et de mettre un joli contour vert. Tout ça a été accompagné en amont par les changements de luminaire de la mairie il y a trois ans pour être dans les standards de l’Euroleague. La sono a changé également sous l’impulsion de la mairie. On a une activité restauration puisqu’on ouvre tous les midis hors match du lundi au vendredi. C’est à nous désormais, on avait remporté l’appel d’offre. La première année a été celle du lancement, c’est une vraie activité à part. On a cinq salariés avec un directeur de restauration, deux cuisiniers et deux serveurs plus de nombreux intérimaires les soirs de match car il y a aussi des points de vente buvettes. Sur la deuxième année d’exploitation, ça commence à devenir satisfaisant. On a trouvé notre gamme de clientèle que ce soit hors match que soirs de match.\\n\\nQuel est le type de clientèle ?\\n\\nTrès diverse.\\n\\nÇa peut être une clientèle qui se fiche du basket ?\\n\\nC’est ça. On a ouvert les fenêtres de la brasserie et c’est devenu là-aussi un produit vendable aux matches pour les suivre en direct. A l’américaine ou à l’allemande puisque c’est le cas à la Mercedes Benz Aréna de Berlin. Il y a une estrade, des tablettes et des tabourets hauts. Vous pouvez suivre le match avec une prestation de snacking et des boissons soft ou pas d’ailleurs.\\n\\nVous avez le droit de vendre de l’alcool dans la salle ?\\n\\nOui. On a une licence III que l’on a rachetée à quelqu’un et que l’on a transférée. Il faut l’approbation de la préfecture et de la ville, à la fois d’où la licence part et où elle arrive. On ne va pas résumer l’expérience client au fait d’avoir une licence avant le match mais le fait d’avoir l’outil restauration dans la salle permet aux gens d’avoir un parcours qui n’est pas uniquement d’arriver trois minutes avant le coup d’envoi et de repartir trente secondes après le match. Il y a comme ça un peu de temps de vie, d’échanges, dans le palais des sports. C’est là aussi où les liens se font et on devient de plus en plus une place de rencontre.\\n\\nC’est certainement une voie de développement importante mais on a l’impression que ce n’est pas toujours bien perçu d’une tranche de vos supporters de longue date plus conservateurs ? N’est-ce pas difficile à gérer pour qu’ils ne se sentent pas déposséder de leur patrimoine ?\\n\\nOn tâche réellement de préserver les équilibres. Dans la salle, oui, il y a un « carré Minitaux », c’est un courtier en crédit qui a acheté le naming de l’espace, c’est un courtside, qui a pu être décrié mais un, ces capacités d’entrées supérieures nous permettent de réinjecter les sommes sur le parquet. Tout le projet 3.0 est là pour renforcer le professionnel. On n’est pas en train de créer une société de service et d’abandonner le basket. On créé des services pour derrière réinjecter les fonds vers le parquet, le cœur de notre activité. On tâche de garder les équilibres. La partie brasserie, les buvettes, on reste sur des tarifs fondamentalement accessibles. On a éclaté les points de vente pour que tous les gens qui sont dans la salle puissent aller consommer sans faire la queue pendant une demi-heure et rater la moitié du match. On garde évidemment les tarifs avantageux pour les groupes de supporters car on sait qu’ils ont un impact considérable sur la motivation de l’équipe et sur le côté très compliqué de venir jouer à Limoges quand on est l’équipe adverse. Ça se voit aussi sur les parties sono où on laisse beaucoup de moments sans musique car on a les chants de supporters et on ne veut pas casser ça.\\n\\nLes explications que vous nous donnez, vous les faites à vos supporters ?\\n\\nOn a des échanges évidemment notamment avant le match de Nanterre avec les présidents de groupes de supporters. Et une fois ou deux ans l’année avec tous les groupes de supporters réunis où on va sous notre réceptif VIP. On est dans un temps d’échanges en questions/réponses de façons informelle.\\n\\n« En Premium, ce ne sont pas tant des informations qu’on y met mais des contenus comme un inside vestiaire sur un brief de coach avant match, une interview d’un joueur, un déplacement. C’est quasiment exclusivement du contenu vidéo sur des instants de vie. »\\n\\nIl y avait le projet d’un nouveau VIP et d’un restaurant ?\\n\\nLe nouveau VIP ne sera pas édifié car il y a des capacités réceptives dans le nouveau stade et on est dans une volonté commune d’y aller. On travaille avec la mairie et on est en phase de test. On prend plusieurs dates et on fait différentes propositions de produits à nos partenaires. On va récupérer les retours des uns et des autres pour pouvoir créer le produit le mieux taillé et qui correspond le mieux à leurs attentes. Et pour la partie restaurant, elle s’est recentrée sur la brasserie.\\n\\nCombien y a-t-il de distance entre Beaublanc et les espaces VIP du stade de football ?\\n\\nQuand vous êtes en loges et que vous sortez, il faut trente secondes, en trois pas c’est fait. C’est plus proche que la tente VIP. Il y a une sorte de sas à l’entrée qui permet de faire rentrer les gens pour qu’ils puissent poser leurs manteaux aux vestiaires sans attendre sous la pluie.\\n\\nL’avenir voudrait que toutes vos réceptions se fassent là ?\\n\\nC’est la tendance. On a un autre projet centre de formation/bureaux sur lequel on travaille. On a avancé avec les cabinets d’architecte et les banques pour avoir les capacités de financement, on est dans les derniers chiffrages que l’on validera ou invalidera d’ici la fin du mois normalement. Le but c’est d’avoir un bâtiment club multimodal avec des surfaces commerciales en bas mais pas forcément sur du petit commerce, des sociétés qui seraient en mesure de prendre des niveaux entiers. Une partie bureaux, une autre centre de formation/restauration et quelques appartements clubs au-dessus. Ca sera à 400m de Beaublanc. On abandonnera notre siège ici (NDLR : 2, rue Haute-Vienne) sachant que l’on a une boutique en cœur de centre-ville (NDLR : 7 rue Ferrerie).\\n\\nA propos de votre boutique, d’où viennent les commandes ? Uniquement du département ou de toute la France voire de l’étranger ?\\n\\nDe façon significative, il y a une vraie frange nationale et ça nous arrive de recevoir des demandes de l’étranger. C’est plus marginal. Au niveau national, il y a une vraie diaspora limougeaude.\\n\\nIl existe notamment un club de supporters à Paris ?\\n\\nOui, le CSP fans Paris que l’on a vu lors du match à Levallois. Ce sont des Limougeauds ou des non-Limougeauds qui ont l’amour du Limoges CSP et qui par le truchement du club se réunissent et vont voir les matches ensemble à Paris et même vont regarder nos matches dans des bars.\\n\\nLes clubs disent que les revenus de la boutique sont marginaux. Est-ce le cas pour vous qui êtes le club numéro 1 en terme d’image ?\\n\\nC’est très important en terme de diffusion d’image et de marque mais par contre d’un point de vue financier, il ne faut pas se faire d’illusion ça reste marginal.\\n\\nQue vendez-vous le plus ?\\n\\nT-shirts, écharpes, quelques produits type survêtements et après du maillot. En fait, en « floqué joueur » on vend assez peu, on est plus sur du « floqué personnalisé ». Les demandes ne sont pas hyper soutenues. On serait même plus sur du produit type doudounes, survêtements, T-shirts, écharpes que sur du maillot floqué au nom des joueurs.\\n\\nVous avez lancé également une application avec un service Premium, ce qui est une grande première dans le basket en France. Où en êtes-vous ?\\n\\nOn a toute une partie généraliste accessible à tous avec un peu de vidéos, de textes et de photos, c’est le relai du site internet puisque les gens aujourd’hui fonctionnent plus avec leur téléphone qu’avec leur ordinateur. Moi le premier, c’est la petite chose qui me suit le plus dans mon quotidien. En Premium, ce ne sont pas tant des informations qu’on y met mais des contenus comme un inside vestiaire sur un brief de coach avant match, une interview d’un joueur, un déplacement. C’est quasiment exclusivement du contenu vidéo sur des instants de vie. On fait des vidéos d’un format relativement court pour que ça soit « regardable » par le public puisque l’on sait que l’on capte l’attention des gens sur une courte durée. Ça va être par exemple le déplacement de la montée dans le bus, l’arrivée à l’hôtel, le repas du soir, le joueur au massage...\\n\\nQuel est le tarif d’abonnement et les gens mordent-ils à ce Premium ?\\n\\nOn est à 11,99 euros par an. Ça marche plutôt bien. C’est un outil qui est très nouveau et dans une première phase, il faut que ça soit admis, accepté, bien accueilli et le deuxième travail, c’est d’avoir en interne une personne qui s’occupe de ça, tout en gérant les réseaux sociaux et toute la com’ hors marque, une personne qui a l’imagination pour que ce ne soit pas du contenu rébarbatif. Si jamais on diffuse dix-sept fois dans l’année de l’inside de vestiaire, je ne pense pas que vous y trouviez votre compte. Il a fallu un peu de temps entre le lancement, le bon accompagnement en interne pour avoir les bonnes grilles et les bons contenus, et pour enfin trouver la vitesse de croisière. Ce n’est pas un chantier qui se mène d’un claquement de doigt. Ce qui est bien, c’est qu’avec des joueurs plutôt jeunes, ils se prêtent bien au jeu.\\n\\n« On considère que l’Eurocup est la deuxième compétition derrière l’Euroleague et on voulait la jouer »\\n\\nA Limoges, le sport numéro un, c’est le football, ce qui n’est pas le cas à Lyon-Villeurbanne où c’est le football, à Pau où c’est le rugby ou au Mans où ce sont les sports mécaniques. Partagez-vous l’idée que les médias locaux, Le Populaire, France Bleu Limousin, France 3, sont fondamentaux dans la popularité du club dans le département malgré le fait qu’il y ait désormais les réseaux sociaux ?\\n\\nOn sait que l’on a une population de Limoges qui est attachée à ces moyens d’information, à sa presse locale. Il faut être très clair, sur notre application, on fait de la communication. Eux c’est un moyen d’information. Ils font bien sûr partie des suiveurs et des relais majeurs sur le club. On a ses séquences basket, pages ou interventions à la radio, qui sont plus que récurrentes. En parallèle, on revient à la question du début, les gens sont en attente de ça, du Limoges CSP.\\n\\nFaire un hors-série comme l’a fait Le Populaire sur Frédéric Forte, qui n’était plus joueur et qui est décédé il y a un an, c’est inimaginable ailleurs qu’à Limoges pour du basket ? Cela montre l’intérêt des lecteurs mais aussi l’investissement du journal ?\\n\\nBien sûr. Il y a une attente du lectorat et de l’autre côté une vraie attention des médias envers le club car une fois de plus, c’est quelque chose de plutôt central et on a énormément de choses qui gravitent autour. Et, encore une fois, la population est attachée à ces médias traditionnels car une partie est d’un certain âge.\\n\\nIl est de notoriété publique que les rapports entre le club et les médias sont parfois difficiles ? N’est-ce pas dû au fait qu’ils ont envie d’avoir des infos que certains confrères dans d’autres villes ne cherchent pas obtenir tout simplement par peu d’intérêt pour le club de basket concerné ? Avez-vous tendance aujourd’hui à vouloir contrôler l’information venant du CSP ?\\n\\nContrôler l’information, non. Il y a eu des points de crispation, ça a donné lieu à des échanges très constructifs avec les différentes parties prenantes. Ils sont à la recherche d’informations et c’est fort logique puisque, une fois de plus, c’est sur quelque chose de majeur, de central. On n’est pas sur une logique de contrôle et plus sur une logique, entre guillemets, de cadre de fonctionnement. C’est aussi ma méthode pour éviter toute forme de crispation, de conflits qui ne doivent pas exister.\\n\\nSi l’on compare avec il y a vingt ou trente ans, on assiste à un paradoxe. Le basket des clubs en France n’est plus à son âge d’or mais les sources d’information se sont multipliées avec Internet. Auparavant, il y avait la presse locale et deux, trois médias nationaux autour du basket. Aujourd’hui, il y a différentes sites internet et les réseaux sociaux. Sentez-vous au niveau du CSP que c’est très diffus ?\\n\\nC’est effectivement très diffus et c’est attaché à la démultiplication des supports et avant on avait seulement deux ou trois références. Aujourd’hui, elles existent toujours mais autour il y a, pas une profusion car le mot est trop fort, mais une vraie diversité tant de « titres » que de supports. Et paradoxalement, le basket souffre d’une sous exposition.\\n\\nFrédéric Forte était un trublion au niveau de la Ligue Nationale de Basket et était en bisbille avec son président Alain Béral. Quels sont vos rapports avec les instances ?\\n\\nIls sont courtois, on n’a pas de soucis majeurs avec les instances. On a d’ailleurs vu que la LNB se dotait d’un plan stratégique et c’est quelque chose que Frédéric réclamait par ses coups de gueule ou son côté trublion. Il mettait en avant un déficit de vision. On a des relations très courtoises avec la ligue et leurs services puisque in fine c’est avec ceux-ci que ce font les relations de façon régulière plus qu’avec la présidence.\\n\\nIl y avait à Limoges, et c’était repris par les supporters, un côté « nous contre le reste du monde », d’autant que Alain Béral a été le président de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez, le club rival, ennemi, de certains ultras. C’est en voie d’apaisement ?\\n\\nJe ne me transpose pas à la place de Frédéric Forte. Ce que l’on regarde nous, c’est mécaniquement les actions de la LNB, et savoir si elles vont dans un sens cohérent par rapport à l’évolution de notre sport qui en a cruellement besoin... ou pas. Je n’ai pas de guerre d’hommes personnelle avec Alain Béral.\\n\\nPourquoi avez-vous choisi de jouer l’Eurocup ? Vous estimez que c’est une compétition plus prestigieuse que la Basketball Champions League ou plus rentable ?\\n\\nOn l’a choisi pour deux raisons majeures. Un, j’avais posé la question notamment à Olivier Bourgain, on considère que c’est sportivement la deuxième compétition derrière l’Euroleague et qu’on voulait la jouer. Deux, il ne faut pas oublier que la saison d’avant ils nous ont tendu la main en nous invitant alors que l’on sortait de deux saisons sportivement très compliquées. On a fait une prestation correcte en allant au top 16 malgré le drame du 31 décembre. Aujourd’hui dans les échanges que l’on a avec eux de façon régulière, ils croient réellement à notre projet. Je pense que l’on est dans un rôle d’accompagnement mutuel.\\n\\nA la Basketball Champions League, ils disent que leur compétition est plus rentable financièrement. Vous avez certainement étudié les deux projets ?\\n\\nLa BCL reverse sur les premiers tours un peu plus que l’Eurocup mais ça dépend comment le club s’approprie ça. Je ne m’engage pas en Eurocup parce qu’il y a un prize money, une prime à l’entrée, au deuxième et au troisième tour. On y va parce qu’il y a un prestige de compétition et qu’avec derrière notre politique billetterie et marketing, on va pouvoir faire des choses intéressantes et le levier financier, on le retrouve là. C’est la responsabilité des clubs de s’approprier le produit.\\n\\nA Limoges, étant donné que le CSP a gagné la Coupe des Coupes en 1988, et que vous avez disputé l’Euroleague juste avant, ça parle peut-être davantage de jouer l’Eurocup que la BCL ?\\n\\nIl y a une forme de continuité puisque les deux années où on a disputé l’Euroleague, on a basculé en Eurocup à une époque où il y avait encore les vases communicants. Certains noms de clubs d’Eurocup parlent aux oreilles des gens qui suivent le club depuis très longtemps.\\n\\nVilleurbanne va participer à l’Euroleague, Strasbourg va avoir une aréna de 8-10 000 places et vise aussi l’Euroleague avec prudence. Quel objectif à terme peut avoir le CSP quand on connaît le montant des budgets en Euroleague ? Certains supporters qui ont connu à Limoges le titre de 1993 ont peut-être du mal à comprendre que c’était une autre époque ?\\n\\nOn ne se cache pas que l’objectif c’est de se stabiliser à haut niveau en Jeep Elite car il y existe une vraie concurrence. Il ne faut pas avoir des œillères, on vit dans un monde et dans un sport et des clubs qui bougent. Un club comme Bourg-en-Bresse se met en place plutôt bien. Le deuxième objectif majeur c’est de se stabiliser en Eurocup avec quelques ambitions car c’est du haut niveau européen. Pour ce qui est d’une bascule en Euroleague, sur le système actuel, ça me paraît très compliqué car c’est un championnat à dix-huit et donc les places sont éminemment rares. Si demain l’Euroleague faisait re-évoluer sa formule sur par exemple un retour à trente clubs en deux championnats, pourquoi pas être candidat. Mais pour ça, quoiqu’il arrive, il faut que l’on soit d’abord très stable en France et très stable en Eurocup. Sinon ça ne sert à rien de penser à plus haut.\\n\\n[armelse]\\n\\nA propos de CSP 3.0, où en est-on des aménagements dans la salle ?\\n\\nUn éclatement a été fait en 16 tarifs afin de faire une offre plus en phase avec les attentes des uns et des autres. La saison dernière, on a fait cinq ou six de sold out, ce qui est plutôt bien.\\n\\nCombien avez-vous de places ?\\n\\nEn plan préfectoral et avec une billetterie électronique, on est à 5 516 places au global dont 500 debout. On est souvent plein assis mais un guichets fermés pur et dur c’est quand on est plein assis et debout. On a mis en place cette année à côté des loges des sièges cinéma pour avoir une expérience un peu plus proche pour certains partenaires. Ça permet de voir le match en étant assis au bord du parquet ce qui est plutôt sympa. On parlait de l’inside où l’on peut entendre le temps-mort avec des oreillettes. On a fait des essais mais techniquement ce n’était pas exceptionnel. Par contre, on a lancé un inside vestiaire, à savoir que deux partenaires rentrent dans le vestiaire pour entendre le brief du coach avant le match. Et dès qu’il est fini, le directeur sportif voit le partenaire plus un groupe de la même société invitée pour leur débriéfer précisément ce qui a été dit mais en vulgarisant. Et idem à la fin du match.\\n\\nLes partenaires sont extrêmement friands de ce type de proximité mais les coaches et les joueurs prennent-ils bien ce qu’ils peuvent considérer comme une violation de l’intimité du vestiaire. Certains coaches se plaignent déjà que des caméras de TV puissent filmer ça ?\\n\\nNos joueurs et nos coaches n’ont pas fait de retours négatifs sur la question.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: William Howard et Brasserie (Limoges CSP), Dwight Hardy (Eurocupbasketball)\\n\\nDEMAIN: JONATHAN ROUSSELLE"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ACB rejoint la Basketball Champions League en tant qu’actionnaire"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mardi, un nouveau jalon important dans l’histoire de la Basketball Champions League a été officialisé, avec l’inclusion de la Ligue espagnole de basketball, l’Asociación de Clubs de Baloncesto (ACB), parmi ses actionnaires.\\n\\nA l’occasion de la deuxième Assemblée Ordinaire de la Basketball Champions League à Strasbourg, l’Espagne a rejoint les 10 autres ligues nationales européennes et l’Union des Ligues Européennes de Basketball (ULEB) en tant que membres de la Basketball Champions League, un partenariat innovant à parts égales (50-50) entre la FIBA et les ligues européennes de basketball créé en mars 2016.\\n\\nCette décision souligne le développement de la Basketball Champions League en tant que compétition de clubs véritablement européenne, pas moins de 30 pays participant aux différentes étapes de la compétition. Elle reflète également les principaux objectifs de la Basketball Champions League, à savoir apporter cohérence, transparence et unité aux compétitions européennes de clubs, et protéger et promouvoir les ligues nationales.\\n\\n« Nous sommes très heureux de participer, en tant qu’actionnaire, à une compétition de plus en plus importante telle que la Basketball Champions League, au même titre que 10 autres ligues européennes et l’ULEB », a déclaré Antonio Martín, président de l’ACB. « Les équipes de Liga Endesa ont réalisé d’excellentes performances et joué un rôle très important au cours des trois saisons de la Basketball Champions League », a-t-il ajouté.\\n\\n« Nous sommes ravis d’accueillir l’ACB parmi nos actionnaires. En tant que véritable pays de basketball, l’Espagne est un ajout significatif pour nous, en ligne avec les valeurs de la Basketball Champions League, comme l’inclusion et la représentation européenne. Avec les 10 autres ligues signataires et l’ULEB, la ligue espagnole va nous aider à grandir et à développer encore plus notre compétition », a déclaré Patrick Comninos, directeur général de la Basketball Champions League.\\n\\nPhoto: Patrick Comninos et Antonio Martin (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le chiffre – 32 points pour Kaleena Lewis (Charleville), record d’Euroleague sur un match"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Belle victoire de Charleville-Mézières hier soir en Euroleague féminine sur Olympiakos Le Pirée, 73-68, grâce à un gros coup d’accélérateur dans le troisième quart-temps (24-12).\\n\\nA cette occasion, l’Américaine Kaleena Mosqueda-Lewis (1,80m, 25 ans) a réalisé une performance de choix avec 32 points (10/15 aux shoots). Avec de surcroit 7 rebonds, elle a atteint 32 en évaluation. Il s’agit de la meilleure marque de la saison en Euroleague. La Flamme Carolo est sixième scoreuse de la compétition (16,5 points) alors que la Berruyère Marine Johannès est 8e (16,0 points).\\n\\nKaleen Mosqueda-Lewis a été trois fois championne universitaire avec Connecticut avec notamment comme équipière Bria Hartley et a complété cet été son palmarès avec un titre WNBA avec le Seattle Storm.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eurocup: Monaco consolide sa première place"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mal en point en Jeep Elite (12e, 5 victoires pour 7 défaites), l’AS Monaco tourne toujours rond en Eurocup. L’ASM a repoussé les assauts de Galatasaray à Gaston-Médecin, 76-71, et est assurée de terminer première du Groupe A puisqu’elle possède deux victoires d’avance sur l’Etoile Rouge de Belgrade et Andorre.\\n\\n« Je suis très heureux pour mon équipe. On avait perdu trois matches en championnat après avoir mené de 10-12 points, cela a pesé dans les têtes. Cette fois, on n’a pas lâché, tout le mérite en revient à mes joueurs. Malgré les aléas, les blessures, mon groupe reste soudé. C’est une belle chose de terminer premier. On va continuer à travailler. Comme on dit en français, après la pluie vient le beau temps, » a commenté le coach Sasa Filipovski en conférence de presse.\\n\\nPaul Lacombe (13 points, 8 rebonds, 4 passes) a été encore une fois remarquable alors que l’Ukrainien Sergii Gladyr, alias le Gladyator, n’a pas manqué son retour sous les couleurs de l’ASM (6 points, 3 rebonds).\\n\\n» Je remercie les fans, le public, c’était une très belle soirée. On a gagné, c’était le plus important. Mon retour ? Du bonheur. J’ai. »\\n\\nSamedi la Roca Team reçoit la JDA Dijon pour le compte de la 13e journée de Jeep Elite et elle n’a plus de joker si elle veut se qualifier à la Leaders Cup.\\n\\nPhoto: Lazeric Jones (Eurocupbasketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Croatie: Justin Cobbs en partance du Cedevita Zagreb ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Sportando, le meneur de jeu américain Justin Cobbs (1,91m, 27 ans) pourrait quitter le Cedevita Zagreb dans les semaines à venir et Buducnost, qui dispute l’Euroleague, serait possiblement sa prochaine destination.\\n\\nChampion de France 2018 avec Le Mans, le Californien réalise une très bonne saison en Eurocup avec 15,8 points et 5,3 passes. Cette semaine, lors de la défaite du Cedevita à Krasnodar (76-80), il a marqué 20 points et fait 2 passes.\\n\\nAvec 5 victoires et 4 défaites dans le groupe de Limoges, le Cedevita est qualifié pour le top 16. Buducnost est 15e de l’Euroleague avec 3 victoires et 8 défaites.\\n\\nPhoto: Eurocupbasketball"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague féminine: Bourges a fait un pas de plus vers les quarts-de-finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A la mi-temps, les carottes étaient cuites pour les Castors de Braine menées 49 à 32. Solides en défense, les Berruyères faisaient preuve d’une belle adresse. L’intérieure Nayo Raincock-Enkunwe (14 points) et Marine Johannès (13 points, 3/6 à trois-points) ont été les plus efficaces offensivement sur l’ensemble du match.\\n\\nLes Tango étaient privées de Katherine Plouffe, malade, alors que les Belges jouaient sans leur pivot Ruth Hamblin, Canadienne également. Elles se sont ensuite quelque peu relâchées, le score passant de 54-34 à 69-62 (36e) mais n’ont jamais été réellement en danger et ont remporté le match avec une bonne marge, 78-65\\n\\n«On revient à -7 et puis on encaisse deux paniers au buzzer des Françaises » a commenté la Belge Manu Mayombo. «On gagne la seconde mi-temps, c’est la preuve qu’on peut le faire. Lors de la première, nous n’étions pas dans le focus, dans l’intensité. Pourtant, on avait travaillé toutes ces choses à l’entraînement. »\\n\\nAvec 4 victoires en 6 journées, les Berruyères ont fait un grand pas vers une qualification aux quarts-de-finale.\\n\\nPhoto: Iliana Rupert (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France: Bria Hartley attendue au championnat d’Europe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans sa livraison matinale, L’Equipe confirme l‘information que nous vous donnions la semaine dernière, à savoir que la meneuse franco-américaine Bria Hartley sera bien présente à l’Euro 2019 avec les Bleues même si cela lui fera manqué une bonne partie de la saison WNBA.\\n\\n« A priori, il n’y a jamais eu aucune ambiguïté avec Bria quant à la WNBA. C’est une chic fille vraiment, et une joueuse sincèrement et sainement motivée », explique le président fédéral Jean-Pierre Siutat.\\n\\nLequel Jean-Pierre Siutat sera la semaine prochaine en Turquie pour voir Valérie Garnier, coach des Bleues et de Fenerbahçe, et il pourra ainsi « caler les choses avec elle et Bria. »\\n\\nLa saison WNBA commence généralement vers la mi-mai alors que le championnat d’Europe est prévu du 27 juin au 7 juillet.\\n\\nBri Hartley a accompli les cinq dernières saisons en WNBA (151 matches, 21′, 7,6 points et 2,6 passes). Enceinte, elle n’avait disputé que 24 matches en 2016.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL: Quand Nanterre cartonne face à Opava"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’issue du match Nanterre-Opava de Basketball Champions League, les chiffres impressionnants en faveur des hommes de Pascal Donnadieu se ramassent à la pelle.\\n\\nDéjà le score final, 110-64. A ce niveau, 46 points d’écart, ce n’est pas commun. Il y avait 33-11 après un quart-temps. Et 60-24 à la mi-temps. Ce n’est que dans les dix dernières minutes que les Nanterriens ont mis les mains en haut du guidon, en défense, parce qu’au niveau offensif, ils ont continué à turbiner, 26-24.\\n\\nIls ont tourné à 63,4% à l’adresse à deux-points et fait un superbe 15/30 à trois-points. Même aux lancers, ils n’ont pas gâché, 13/16. Aux passes, ils ont été deux fois plus prolixe que les Tchèques, 31-16, tout comme aux interceptions, 15-7.\\n\\nAu niveau individuel, pas de réel carton car la marque a été partagée. A noter toutefois les 19 points en 19 minutes de Dominic Waters.\\n\\nPhoto: Jean-Marc Pansa (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tirage EuroBasket féminin 2019: Les commentaires de Valérie Garnier et Jacky Commères"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La coach Valérie Garnier et le Directeur de la Performance des Equipes de France Jacques Commères ont réagi suite au tirage au sort de l’EuroBasket féminin qui s’est tenu aujourd’hui à 2019 à Belgrade, en Serbie. La France est dans un groupe à Riga avec la Suède, la République Tchèque et le Monténégro.\\n\\nLes seize équipes participantes sont divisées en quatre groupes de quatre équipes chacun. La première équipe de chaque groupe est directement qualifiée pour les quarts de finale. Les équipes classées aux 2e et 3e rangs de chaque groupe disputeront des qualifications pour les quarts de finale.\\n\\n« Il faut s’attendre à un Eurobasket de grande qualité avec beaucoup d’équipes en retrait au dernier Euro, comme la Russie, la République Tchèque, ou la Serbie qui reviennent sur le devant de la scène. Nous sommes dans un groupe qui doit nous permettre d’atteindre directement un quart de finale qui sera sans nul doute très difficile, » estime Jacky Commères.\\n\\nValérie Garnier envisage déjà un quart-de-finale relevé:\\n\\n« Pour aller dans le même sens que les observations de Jacques Commères et situer les forces en présence pour la 1ère phase, la Suède, emmenée par François Gomez et les sœurs Eldebrink, qui connaissent parfaitement l’Équipe de France, sera un adversaire contre lequel nous devrons être très vigilants. La République Tchèque, dont la plupart des joueuses jouent à Prague en Euroleague, vient de finir première de son groupe de qualification devant la Belgique. Quant au Monténégro, avec l’arrivée d’une nouvelle génération de joueuses encadrées par leur star Jelena Dublejevic et le renfort très important de Glory Johnson dans la raquette, il peut nourrir des ambitions. Dans tous les cas, le croisement en quart de finale se fera très certainement avec une équipe d’un groupe D très relevé qui comprend la Biélorussie, la Russie, la Belgique et la Serbie ».\\n\\nGlory Johnson (1,91m, 28 ans) est une Américaine naturalisée, qui a 176 matches en WNBA à son actif à 12,7 points et 8,1 rebonds en moyenne.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Poirier : «J’ai tout ce dont j’ai besoin à Vitoria»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A 12 points et 7 rebonds de moyenne pour sa deuxième saison en Euroleague, Vincent Poirier (2m13, 25 ans) est pleinement épanoui à Vitoria.\\n\\nSi son équipe cherche encore la bonne carburation avec 4 victoires en 11 matchs, l’ancien Parisien continue de progresser au sein du collectif basque. Tout roule pour le natif de Clamart !\\n\\n« Je me sens très bien. Mes coéquipiers ont confiance en moi et me donnent le ballon. Je sais que je peux être dominant et aider mon équipe. J’ai tout ce dont j’ai besoin ici, tout est parfait ! », confie Poirier sur le site de l’Euroleague. « J’essaie toujours de m’améliorer d’une saison à l’autre. J’essaie d’être agressif à chaque instant quand je suis sur le terrain. Avec la confiance, tout est possible. En ce moment, tout se passe bien pour moi et j’espère que ça va continuer comme ça pour le reste de la saison. »\\n\\nAuteur d’un gros match à 18 points, 8 rebonds pour surprendre le CSKA Moscou la semaine passée, Poirier affirme qu’il ne craint personne en Euroleague.\\n\\n« D’abord, je me sens chanceux de pouvoir jouer face aux meilleurs joueurs d’Europe. J’adore ça parce que je peux montrer ce que je sais faire chaque semaine et je veux toujours dominer mon adversaire. Un des joueurs les plus compliqués à défendre pour moi, c’est Ante Tomic, surtout l’an passé en Liga. Il est costaud et il a beaucoup de mouvements au poste bas. Mais honnêtement, je n’ai peur de personne. C’est aussi difficile de jouer contre [Edy] Tavares car il est tellement grand, mais je joue beaucoup de pick & roll pour ne pas être toujours contre lui. Comme je l’ai dit, je n’ai peur de personne. »\\n\\n\\n« Tout le monde peut battre tout le monde en Euroleague »\\n\\nMembre éminent d’un clan français bien répandu au plus haut niveau européen, Poirier voit évidemment d’un bon oeil l’arrivée de l’Asvel en Euroleague la saison prochaine.\\n\\n« C’est très très important. C’est une étape essentielle pour faire progresser le basket dans notre pays. On a beaucoup de joueurs français dans les meilleures équipes d’Euroleague. Ça prouve que le basket français a le potentiel pour être meilleur que ce qu’il est. L’Asvel va être une bonne addition à l’Euroleague car ça va montrer que les équipes françaises peuvent être compétitives en Europe. Ça va faire progresser le basket en France. »\\n\\nEn attendant, Vincent Poirier et Vitoria ont encore du pain sur la planche pour rallier les playoffs, et encore plus loin, participer au Final Four qui aura lieu dans leur salle, la Buesa Arena...\\n\\n« On sait tous que la saison est encore longue, et qu’il y a beaucoup de matchs à jouer. On a commencé par 4 défaites d’affilée et on a fait les playoffs l’an passé. A 4 victoires pour 7 défaites, on va devoir se battre, c’est clair ! Mais les playoffs sont notre objectif. On doit se concentrer sur chaque match et gagner en confiance au fur et à mesure. Tout le monde peut battre tout le monde dans cette compétition. On doit simplement rester concentré sur notre objectif et travailler dur. »\\n\\nCrédits photo : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les clubs de Jeep Elite et de Pro B sont prêts pour les Journées de Noël"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour la 8ème édition des Journées de Noël LNB, les clubs de basket espèrent une nouvelle fois attirer un grand nombre de spectateurs et supporters sur tous les parquets de Jeep® ÉLITE et Pro B durant 14 jours, et obtenir le le même succès solidaire que les éditions précédentes.\\n\\nLes salles vont se mettre aux couleurs de Noël et les clubs vont organiser pendant ces Journées diverses animations durant les matches. Cette année encore le public retrouvera le traditionnel arbre de Noël, le spectaculaire dunk du Père Noël, l’incontournable jet de peluches et la distribution de bonnets rouges. Sans oublier le symbolique bonnet vert porté par les joueurs et la présence des pères Noël.\\n\\nComme lors des saisons précédentes, des bacs seront disponibles dans toutes les salles afin de collecter des jouets neufs en faveur des enfants soutenus par le Secours Populaire.\\n\\nLES JOURNÉESDE NO\\n\\nË\\n\\nL LNB ENCHIFFRES\\n * 8 – 8ème édition de cette opération lancée en 2011\\n * + 70 000 – Nombre de cadeaux récoltés par la LNB depuis 2011\\n * 157 671 – Nombre de spectateurs présents l’an dernier pour les Journées de Noël\\n * 88,5% – Taux de remplissage des salles lors des Journées de Noël (contre 81,5% en saison régulière)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Tirage au sort EuroBasket féminin 2019: La France avec le Monténégro, la République Tchèque et la Suède"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Monténégro, la République Tchèque et la Suède, coachée par le Tarbais François Gomez, seront les trois adversaires de l’équipe de France lors du premier tour de l’Eurobasket 2019, qui se tiendra du 27 juin au 7 juillet en Serbie et Lettonie.\\n\\nGroupe A : Ukraine, Grande-Bretagne, Lettonie, Espagne\\n\\nGroupe B : Suède, France, République Tchèque, Monténégro\\n\\nGroupe C : Hongrie, Turquie, Italie, Slovénie\\n\\nGroupe D : Biélorussie, Russie, Belgique, Serbie\\n\\nRiga, la capitale de la Lituanie accueillera les Groupe A et B alors que les matches des Groupes C et D se joueront respectivement à Nis et Zrenjanin sachant que la phase finale se tiendra à Belgrade, capitale de la Serbie.\\n\\nPhoto: Diandra Tchatchouang et mascottes (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le chiffre: 25 millions d’euros, le budget de Olimpia Milan"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"25M€, c’est le budget cette saison d’Olimpia Milan selon La Gazzetta dello Sport. Dans un article récemment publié nous avons donné les principaux salaires du club de Lombardie.\\n\\nLe quotidien italien explique comment est articulé ce budget. Douze millions sont dus à plus de 200 sponsors, plus de trois millions de la billetterie, deux millions des produits dérivés et des droits TV. Les sept ou huit millions restants viennent de la poche du propriétaire, le styliste Giorgio Armani.\\n\\nLes Milanais sont actuellement sixièmes de l’Euroleague avec 6 victoires et 5 défaites. Bénéficiant d’une invitation, l’ASVEL envisage de s’engager avec un budget de 10M€ pour la saison 2019-20.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Robert Arnold (ex Dijon) rebondit en Allemagne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Remercié par la JDA Dijon il y a quelques jours, Robert Arnold (1,98m, 30 ans) vient de trouver refuge chez les Crailsheim Merlins, en Allemagne.\\n\\nSur son site, le club allemand annonce l’arrivée de l’ancien joueur du HTV pour le reste de la saison. Derniers du classement avec seulement deux victoires pour dix-huit défaites, les Merlins sont en difficulté en Bundesliga.\\n\\nDepuis le début de la saison, Robert Arnold compilait en moyenne 5,5 points et 2,3 rebonds pour 4 d’évaluation entre la Jeep Élite et la Champions League.\\n\\nPhoto : FOXAEP"
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo: 444 jours plus tard, Antoine Diot a joué hier soir quatre minutes avec Valence"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Antoine Diot (1,93m, 29 ans) a joué hier soir 4 minutes et 4 secondes à l’occasion de la venue de Saint-Pétersbourg à Valence. Le meneur international n’avait pas foulé les parquets depuis le 23 septembre 2017 en raison de problèmes récurrents au genou.\\n\\nLe Bressan a eu le temps de prendre un rebond, de faire une passe, une faute et de commettre une balle perdue. Valence a gagné le match 97-89.\\n\\nPhoto: Eurocupbasketball"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Ilian Evtimov en pigiste médical à Lille"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En raison de la blessure au genou de Thomas Ceci-Diop, Lille fait appel à Ilian Evtimov (2,01m, 35 ans) comme pigiste médical.\\n\\nLe petit frère de Vasco possède une longue carrière derrière lui, aussi bien à l’étranger (NCAA, Italie, Espagne, Allemagne, Chypre, Bulgarie) qu’à Chalon (6 saisons) et Cholet (2 saisons).\\n\\nSes stats avaient chuté à 4,3 points, 1,7 rebond et 1,4 passe en 2017-18. Il était sans club depuis le début de cet exercice.\\n\\nPhoto: CB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Youssoupha Fall suite à l’attentat à Strasbourg: «On a été mis au courant à la mi-temps»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La SIG Strasbourg s’est imposée hier soir au Rhénus à Ljubljana, 81-73, en Champions League mais c’est insignifiant quand on sait qu’au même moment un homme a ouvert le feu en ville, sur le marché de Noël, tuant trois personnes et en blessant onze autres. Il est ce matin toujours activement recherché.\\n\\n« C’est une victoire, OK, mais on n’y pense pas », a commenté Youssoupha Fall, rapporte les DNA. « On a été mis au courant à la mi-temps. Ça nous a perturbés. Tout le monde est inquiet. On a essayé de faire le boulot, mais c’est difficile de penser au basket. Il y a des choses beaucoup plus importantes dans la vie. »\\n\\nLes joueurs et les spectateurs ont eu obligation de ne pas quitter la salle avant que les autorités estiment que leur sécurité n’était plus en danger.\\n\\n«C’est une situation très particulière », a lâché le coach Vincent Collet. « Je peux juste dire que c’est une bonne décision de ne pas avoir affolé le public en continuant à jouer. J’ai une pensée pour les victimes, c’est terrible...»\\n\\nPhoto: Youssoupha Fall (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le panier du Limougeaud William Howard de sa ligne des lancers-francs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors de la victoire hier soir du Limoges CSP en Eurocup à Tofas Bursa, 98-92, William Howard a réussi un incroyable panier en prenant appel de sa propre ligne des lancers-francs."
}, 
{"role": "user",     "content":"Attentat à Strasbourg : les spectateurs de la SIG confinés au Rhénus et chantent la Marseillaise."
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que le match entre Strasbourg et Ljubljana est terminé depuis environ 22h15 (victoire 81-73 de la SIG), les spectateurs qui ont fait le déplacement n’ont pas pu quitter la salle avant 00h45.\\n\\nLa raison de cette attente, l’attaque meurtrière en plein coeur de Strasbourg qui a fait au deux morts et quatorze blessés selon les dernières informations officielles. Les 5034 supporters strasbourgeois n’ont donc pas eu d’autre choix que d’attendre dans les gradins et les coursives du Rhénus que la zone soit de nouveau sécurisée.\\n\\nAprès s’être changés, les joueurs ont rejoint les spectateurs dans la salle. Ali Traoré a même pris le micro et interprété « Petit Papa Noël » pour tenter de redonner un peu le sourire mais aussi la Marseillaise.\\n\\n\\n\\n\\nLes spectateurs confinés au Rhenus rendent hommage aux victimes des fusillades. @dnatweets @lequipe @strasbourg pic.twitter.com/YzC9eo5ABY\\n\\n\\n— SIG Strasbourg (@sigstrasbourg) 11 décembre 2018\\n\\n\\n\\n\\nLe Rhenus commence à être évacué tribune par tribune. Des zones de covoiturage ont été mises en place.\\n\\n\\n— SIG Strasbourg (@sigstrasbourg) December 11, 2018\\n\\n\\n\\n\\n🔙 @bomaye12 et ses talents d’animateur 👌🏻\\n\\n\\nMerci d’avoir redonné le sourire à tout le monde 😃 pic.twitter.com/ngfawlGwuy\\n\\n\\n— SIG Strasbourg (@sigstrasbourg) December 11, 2018\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges : bientôt une rénovation du Palais des Sports Beaublanc ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur pied depuis 1981, le mythique Palais des Sports de Beaublanc de Limoges pourrait bénéficier d’un coup de jeune, dans l’idéal à partir de 2020.\\n\\nLe Populaire du Centre révèle que la ville de Limoges songe à apporter quelques modifications à l’antre du CSP. Les trois changements principaux que souhaite aborder la municipalité sont : augmenter sa capacité, moderniser le palais des sports et en faire « une salle de match ». Ce sont les mots de l’adjointe aux sports de Limoges, Sylvie Rosette.\\n\\n« On veut voir comment on peut augmenter cette salle au maximum. L’idée serait aussi que Beaublanc ne serve plus aux entraînements »\\n\\nLa ville veut donc offrir une salle dédiée aux entraînements pour le CSP Limoges et qui serait également utilisée par la section amateur du club, indique l’élue limougeaude.\\n\\n« Cela fait longtemps qu’on planche sur le sujet. Le maire est convaincu de la nécessité de construire une salle adjacente au Palais des sports. Cela résoudrait pas mal de problèmes. Le CSP pourrait s’y entraîner et elle serait également disponible pour l’association »\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : deux ailiers forts comme des Turcs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le contingent français ne faiblit pas sur le Vieux Continent. Fort de vingt-cinq joueurs (avec deux représentants de plus récemment, Mam Jaiteh et Landing Sané) répartis sur dix pays, les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment neuf joueurs dans le championnat espagnol, la référence.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLauvergne et Moerman épanouis en Turquie\\n\\nAuteur de son plus gros match de la saison au scoring en Euroleague cette semaine, avec 16 points plus 3 rebonds et 3 passes, Joffrey Lauvergne a remis le couvert ce weekend en championnat. Il a réussi un match plein à 20 points et 7 rebonds, égalant donc son record aux points. Sur ses 4 dernières sorties en ligue turque, Lauvergne tourne à 18 points (65% aux tirs) et 6 rebonds de moyenne !\\n\\nEt dimanche soir, un autre ailier fort tricolore a brillé en Turquie. Adrien Moerman s’est effectivement fendu d’un énorme double double à 24 points, 13 rebonds et 5 passes pour 35 d’évaluation, nouveau record en Turquie. L’intérieur de l’Efes Istanbul s’épanouit complètement dans son rôle, et il établit aussi coup sur coup deux records après sa pointe à 33 face au Real en Euroleague.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=4nriaMIHJpQ\\n\\n\\nMam Jaiteh reçu 5/5\\n\\nMVP de Pro B en 2013 et quelque peu décevant après des débuts prometteurs, Mam Jaiteh semble retrouver tout son mordant depuis qu’il a quitté le cocon hexagonal. En sortant de sa zone de confort à Turin, sous l’autorité du légendaire Larry Brown, Jaiteh est performant.\\n\\nDans la victoire sur le fil face à Trente, il a encore signé un très bon match en sortie de banc à 10 points à 5/5 aux tirs plus 7 rebonds. Il tourne à un peu plus de 6 points et 6 rebonds de moyenne depuis son arrivée en Italie. Au contact des Carlos Delfino, Marco Cusin et même James Michael McAdoo (double champion NBA avec les Warriors), Jaiteh côtoie en tout cas du beau monde pour engranger de l’expérience.\\n\\n\\nPetit weekend en Liga\\n\\nLes héros d’Euroleague étaient fatigués ce weekend en Liga. Kim Tillie (2 points) a été très discret dans le revers de Gran Canaria, Vincent Poirier (11 minutes) a lui été ménagé dans le facile succès, tout comme Kevin Séraphin et Fabien Causeur.\\n\\nLe duel du weekend s’est déroulé entre deux anciens parisiens : Andrew Albicy et Louis Labeyrie. Et c’est ce dernier qui l’a emporté avec Valence, avec une solide contribution à 11 points et 8 rebonds dont un énorme alley oop plein axe ! Albicy (13 points) a été très adroit aux tirs (4/5) mais ça n’a pas suffi face à une belle prestation collective de Valence qui reste dans le Top 8.\\n\\n\\nAxel Toupane de retour à la compétition\\n\\nPrivé de jeu depuis une vilaine entorse survenue face au Fenerbahçe le 15 novembre dernier, Axel Toupane a enfin pu retrouver les parquets ce weekend. Dans une victoire facile contre Rethymno, l’ailier international a été très sérieux avec 7 points et 4 rebonds, ne ratant rien aux tirs (2/2) ni aux lancers (2/2).\\n\\nVassilis Spanoulis et Janis Timma au repos, l’Olympiakos se concentre surtout sur la grosse affiche de la semaine en Euroleague, face à l’Efes Istanbul. Toupane retrouvera ses compatriotes Moerman et Beaubois pour l’occasion !\\n\\n\\nNando De Colo, 15 points en moins de 16 minutes\\n\\nAuteur d’une passe magique dans le dos, peut-être un hommage à Larry Bird qui fêtait son anniversaire cette semaine, Nando De Colo a en tout état de cause été redoutablement efficace sur son temps de jeu avec 15 points en moins de 16 minutes. Le MVP du mois en VTB League a été à la hauteur de sa réputation !\\n\\n\\nDuel Jackson – Mokoka en Ligue Adriatique\\n\\nLe Mega a longtemps fait peur à Podgorica, mais les locaux ont fini par avoir raison des jeunes visiteurs du soir. Les coéquipiers de George Bitadze (23 points) ont subi la loi de Nemanja Gordic (16 points, 6 passes) et Earl Clark (20 points). Edwin Jackson (13 points, 4 interceptions) et Adam Mokoka (11 points, 4 passes) se sont livrés à un beau duel franco-français !\\n\\n\\nEspagne\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 13 points (4/5 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 1 interception, 3 balles perdues en 23 minutes (défaite 91-72 face à Valence)\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 11 points (5/6 aux tirs), 8 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 1 contre, 1 balle perdue en 19 minutes (victoire 91-72 face à Andorre)\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 11 points (5/7 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 4 balles perdues en 17 minutes (victoire 77-73 face à Tenerife)\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 9 points (1/3 aux tirs), 7 rebonds, 3 passes, 2 contres, 3 balles perdues en 25 minutes (défaite 93-86 face à Badalone)\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 4 points (2/2 aux tirs), 5 rebonds, 1 passe, 1 contre en 11 minutes (victoire 100-78 face à Lugo)\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 2 points (1/5 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 25 minutes (défaite 87-63 face au Real Madrid)\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : n’a pas joué (victoire 77-73 face à Tenerife)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : n’a pas joué (victoire 87-63 face à Gran Canaria)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué\\n\\n\\nGrèce\\n\\nBoris Dallo (Salonique) : 7 points (3/6 aux tirs), 4 passes, 3 rebonds, 3 balles perdues en 23 minutes (défaite 81-77 face à l’AEK Athènes)\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 7 points (2/2 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 15 minutes (victoire 84-60 face à Rethymno)\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : 10 points (3/8 aux tirs), 2 passes, 1 interception en 25 minutes (victoire 85-68 face au Maccabi Ashdod)\\n\\n\\nItalie\\n\\nMam Jaiteh (Turin) : 10 points (5/5 aux tirs), 7 rebonds, 1 contre, 1 balle perdue en 12 minutes (victoire 86-84 face à Trente)\\n\\nAmath M’Baye (Bologne) : 4 points (0/1 au tir), 4 rebonds, 4 balles perdues en 16 minutes (défaite 86-74 face à Sassari)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 9 points (3/5 aux tirs), 6 passes, 2 rebonds, 1 balle perdue en 19 minutes (victoire 95-86 face à Rytas)\\n\\n\\nMonténégro\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 13 points (3/10 aux tirs), 4 interceptions, 1 passe, 1 balle perdue en 30 minutes (victoire 91-85 face à Mega)\\n\\nLanding Sane (Mornar Bar) : 8 points (3/7 aux tirs), 7 rebonds, 3 passes, 3 interceptions, 2 balles perdues en 19 minutes (victoire 84-82 face à Belgrade)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : 17 points (6/11 aux tirs), 5 rebonds, 1 balle perdue en 29 minutes (victoire 93-89 face à Zielona Gora)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 15 points (4/7 aux tirs), 3 rebonds, 3 passes, 2 balles perdues en 16 minutes (victoire 101-71 face à Enisey)\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : n’a pas joué (défaite 90-71 face à Astana)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAdam Mokoka (Mega) : 11 points (4/8 aux tirs), 4 passes, 1 rebond, 1 interception en 21 minutes (défaite 91-85 face à Podgorica)\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 7 points (2/4 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 3 balles perdues en 22 minutes (victoire 97-84 face à Aleksandrovac)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : 24 points (11/18 aux tirs), 13 rebonds, 5 passes en 38 minutes (victoire 87-81 face à Bahcesehir)\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 20 points (9/12 aux tirs), 7 rebonds, 3 passes, 2 balles perdues en 24 minutes (victoire 103-86 face à Istanbul)\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : n’a pas joué (victoire 87-81 face à Bahcesehir)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Joffrey Lauvergne est bien lancé\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLauvergne et Moerman épanouis en Turquie\\n\\nAuteur de son plus gros match de la saison au scoring en Euroleague cette semaine, avec 16 points plus 3 rebonds et 3 passes, Joffrey Lauvergne a remis le couvert ce weekend en championnat. Il a réussi un match plein à 20 points et 7 rebonds, égalant donc son record aux points. Sur ses 4 dernières sorties en ligue turque, Lauvergne tourne à 18 points (65% aux tirs) et 6 rebonds de moyenne !\\n\\nEt dimanche soir, un autre ailier fort tricolore a brillé en Turquie. Adrien Moerman s’est effectivement fendu d’un énorme double double à 24 points, 13 rebonds et 5 passes pour 35 d’évaluation, nouveau record en Turquie. L’intérieur de l’Efes Istanbul s’épanouit complètement d\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Solo Diabaté (Nancy) déclaré apte à jouer, le club réagit"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Signataire d’un contrat avec le SLUC Nancy mi-septembre, puis recalé lors des tests médicaux quelques jours plus tard, Souleyman Diabaté (1,83m, 31 ans) peut finalement porter le maillot nancéien cette saison.\\n\\nSelon nos informations, l’ancien joueur du CCRB a été déclaré apte à jouer suite à une contre-expertise de la Ligue Nationale de Basket. Passé par Dijon, Roanne, Gravelines ou encore Rouen, le natif de Cocody a aussi connu des destinations plus exotiques comme la Macédoine ou la Slovaquie. Il a également déjà porté le maillot du SLUC en 2012/13, année où il a été All Star.\\n\\nLa saison dernière à Levice, Solo Diabaté compilait en moyenne 10,5 points, 3,2 rebonds et 6,5 passes décisives par match.\\n\\nFace à cette situation complexe, le club s’est exprimé via un communiqué de presse.\\n\\n« Le 26 septembre dernier le meneur de jeu Souleymane Diabaté, n’avait pas satisfait aux conditions de passage d’un examen médical approfondi d’embauche.\\n\\nLe joueur a souhaité, ensuite, recourir à une contre-expertise médicale, dont le dispositif est régi très précisément par l’article 9 de la convention collective du basket professionnel\\n\\nPlacée sous l’égide de la commission médicale de la Ligue Nationale de Basket, cette contre-expertise a été effectuée par les services médicaux, ainsi désignés, à compter du 16 Octobre 2018.\\n\\nLa LNB a notifié au club le 7 décembre, qu’ «une décision collégiale a été entérinée concernant le joueur spécifiant qu’il ne présente pas de contre-indication à la pratique du basket-ball en compétition ».\\n\\nSur le plan personnel et pour le joueur, le SLUC Nancy Basket se félicite de cette aptitude.\\n\\nPour sa part, il tient, néanmoins, à observer une attitude prudente et attentive quant à l’évolution de la situation. »\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Altercation avec Jimmy Vérove : Jean-Denys Choulet ne fera pas appel et manquera les trois prochains matchs de Chalon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sanctionné deux deux matchs de suspension plus un match pour violation de son sursis datant du 5 mars 2017, Jean-Denys Choulet (60 ans) ne fera pas appel de cette décision.\\n\\nC’est en raison d’une altercation entre lui et le staff technique de l’Elan Béarnais le 24 novembre dernier que l’entraîneur chalonnais est passé sous les griffes de la commission juridique et de discipline de la LNB. Tout comme l’assistant de l’EBPLO, Jimmy Vérove.\\n\\n« La commission de discipline a fait preuve de son indépendance et a réfuté toute accusation de coup dans les testicules et me sanctionne de deux matchs pour comportement antisportif. Je ne ferai donc pas appel de cette décision », rapporte le Journal de Saône et Loire.\\n\\nL’ancien entraîneur de la Chorale de Roanne manquera donc les déplacements à Strasbourg et Cholet, puis la réception du champion en titre, Le Mans.\\n\\nPhoto : Charlotte Geoffray"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le chiffre : 444 jours depuis son dernier match, Antoine Diot va faire son retour ce soir"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Touché au genou depuis de très longs mois, Antoine Diot (1,93m, 29 ans) va enfin pouvoir faire son retour sur les parquets avec Valence.\\n\\nOpposé au Zenith Saint Petersbourg ce mardi en Eurocup, Valence annonce le retour de l’ancien meneur de la SIG Strasbourg qui n’a pas foulé les parquets en match officiel depuis le 23 septembre 2017, soit 444 jours. Ça fait même 543 jours que l’ancien joueur du Paris-Levallois n’a pas joué devant les supporters valenciens.\\n\\nEn 2016/17, Antoine Diot tournait à 7,9 points, 1,9 rebond et 4 passes décisives entre la Liga Endesa et l’Eurocup.\\n\\n\\n\\n\\n🧡 DIOT ➡ EL DÍA D\\n\\n\\nCAS 👉 Es el día. Hoy, @DiotAntoine volverá a vestirse de corto en un partido oficial. 444 días después, 543 días después de la última en la Fonteta\\n\\n\\n🏆 J9 7Days @EuroCup@valenciabasket\\n🆚 @zenitbasket\\n📆 20:30h\\n📺 TDP\\n🎟 https://t.co/kezPcCND0w pic.twitter.com/wEguplHdwK\\n\\n\\n— Valencia Basket Club (@valenciabasket) December 11, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Lahaou Konaté élu joueur du mois de novembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Injouable depuis le début de saison, homme à tout faire de Nanterre 92, Lahaou Konaté (1,96m, 27 ans) a été élu joueur du mois de novembre.\\n\\nSur le mois écoulé, l’ancien joueur du MSB a été présent dans tous les secteurs de jeu et a compilé en moyenne à 17,8 points, 6,4 rebonds et 2,2 passes décisives pour 22,4 d’évaluation. International français, il a été préféré à Youssou Ndoye et Youssoupha Fall.\\n\\nAuparavant uniquement considéré comme un fort défenseur, le natif de Créteil a ajouté un arsenal offensif impressionnant à son jeu. Nous l’avons interrogé il y a quelques jours, interview à retrouver ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"ASVEL : Livio Jean-Charles de retour dans le groupe pour le match face au Partizan Belgrade"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ASVEL va enfin être au complet pour un match cette saison avec le retour de Livio Jean-Charles (2,06m, 25 ans) pour le match de ce mardi face au Partizan Belgrade.\\n\\nDepuis plusieurs jours l’infirmerie du club villeurbannais se vide enfin. Après le retour d’Alpha Kaba face au Portel, c’est maintenant Livio Jean-Charles qui va pouvoir lancer sa saison, lui qui était blessé au genou. Deuxième du groupe B d’Eurocup (6v-2d) avec le même bilan que le premier, Valence, la formation de Zvezdan Mitrovic va pouvoir, en pleine possession de ses moyens, tenter d’accrocher un septième succès dans la compétition face à Belgrade.\\n\\nLa saison dernière en G-League, Livio Jean-Charles compilait en moyenne 11,3 points et 5,6 rebonds.\\n\\n\\n\\n\\nInfo effectif : retour de @Jclifio dans le groupe prévu demain soir pour la rencontre face au @PartizanBC #LDLCASVEL\\n\\n\\n— LDLC ASVEL (@LDLCASVEL) December 10, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie: Le MVP belge Jean Salamu rejoint Varèse"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"MVP du championnat belge lors de la saison 2017-18, l’ailier Jean Salumu (1,93m, 28 ans) vient de s’engager avec Openjobmetis Varèse.\\n\\nJean Salumu a réalisé l’essentiel de sa carrière au BC Ostende avant de rejoindre cette saison la Turquie et Sakarya dont il était l’un des joueurs phare avec 13,8 points et 10,7 d’évaluation.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Spécial Limoges – Youri Verieras (président), 1ère partie: «Le contexte limougeaud a ses exigences, mais il sait rendre au centuple»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à un reportage sur place, nous consacrons toute cette semaine, du dimanche à vendredi, au Limoges CSP. Le club le plus prestigieux, le plus titré et aussi le plus turbulent du basket français, qui possède une saveur unique.\\n\\nCe deuxième chapitre est une interview en deux parties du président Youri Verieras, 29 ans, qui suite au décès de son mentor Frédéric Forte, il y a un peu moins d’un an, s’est vu confier la présidence d’un directoire qui comprend également Manuel Diaz (1) et Stéphane Ostrowski (2). Juriste de formation, initialement adepte du football et du cyclisme malgré sa grande taille, passé par Le Havre, il était auparavant le Directeur Général du club et en connaissait ainsi les ressorts. Mais devenir président du CSP, c’est une toute autre aventure. La volonté de la veuve de Frédéric Forte de prendre la main sur le club promet de nouvelles péripéties (3).\\n\\nVoici la première partie de l’interview.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVotre vie a-t-elle changé depuis que vous êtes le président du CSP ? Pouvez-vous prendre un café en ville tranquillement comme auparavant ?\\n\\nDans la tranquillité, oui. On est une ville de basket et forcément il y a toujours plein de questions sur le sujet. Lorsque comme l’année dernière, sportivement ça va plutôt bien, il y a des formes d’euphorie. Quand comme cette année c’est sportivement plus compliqué, il y a forcément des gens un peu plus touchés mais on reste sur des échanges qui sont bon enfant, imprégnés de basket. Les gens veulent, ont besoin de savoir. C’est là que l’on mesure que le Limoges CSP est une institution. C’est une sorte d’emblème partagé par tous.\\n\\nJo Rousselle, qui vient de villes basket, Gravelines et Cholet, dit que l’on a beau être préparé, on ne mesure pas de l’extérieur l’impact du basket ici. Bien qu’étant auparavant le Directeur Général du club, aviez-vous bien mesuré cet impact ?\\n\\nLe statut est différent et on passe forcément de l’ombre à la lumière. Je suis Limougeaud donc le poids du basket dans la ville et même au-delà, je le connaissais. C’est une ville qui vit basket. Réellement.\\n\\nQuand vous entrez dans un lieu public, tout le monde vous regarde ?\\n\\nÇa peut arriver ! (rire). Evidemment, ça fait partie des changements mais encore une fois, sans animosité. Les gens ici ont de l’amour, de la passion, et même de la ferveur pour le CSP. Le CSP, c’est quelque chose d’identitaire et de partagé. Tout le monde est réuni autour de ce club.\\n\\nC’est la partie disons humaine où vous pouvez rencontrer les gens mais désormais, il y a les réseaux sociaux où beaucoup de personnes s’expriment vertement sachant que la présence des supporters du CSP au moins sur facebook et twitter est beaucoup, beaucoup plus forte que pour les autres clubs. Etes-vous un adepte des réseaux sociaux et n’est-ce pas dur de lire parfois des commentaires acides ?\\n\\nJe lis de temps en temps les réseaux sociaux même si je n’y passe pas le cœur de mes journées parce que je suis aussi un président opérationnel. Il y a des commentaires acides, virulents. Je pense que ça fait partie de l’ADN des réseaux sociaux aujourd’hui. Si je veux en tirer une conclusion, c’est que ça me pousse et ça doit nous pousser à toujours faire plus et à toujours avancer. C’est comme un vecteur de motivation. Je suis quelqu’un qui est plutôt à l’écoute des critiques considérant qu’elles doivent être constructives. C’est humain, je n’aime pas par contre spécialement les insultes gratuites et la haine.\\n\\nC’est cela qui vous a fait réagir dans un communiqué ?\\n\\nTout à fait. Vu avec un peu de recul, on avait eu aussi une mauvaise séquence avec l’épisode du Portel avec Samardo Samuels. Au milieu le tweet d’Olivier (NDLR : Bourgain, le Directeur Sportif) qui ne pense en aucun cas à mal...\\n\\nQui a été impulsif ?\\n\\nVoilà. Je pense qu’il n’envisageait pas une seule seconde à quel point cela allait être repris négativement. Et pour moi c’était aussi une façon de dire « stop ! », on siffle la fin de la récré et on se recentre sur ce que l’on avait à faire. Et c’était destiné uniquement aux quelques personnes qui avaient des propos violents, insultants.\\n\\nVous les connaissez ?\\n\\nPas du tout.\\n\\n« Pour Samardo Samuel, dans la mesure où il y avait en face de nous des faits graves, on était obligé de lancer une procédure disciplinaire avec un temps administratif à respecter pour ménager toutes les hypothèses, à savoir soit le réintégrer avec une sanction ou soit le licencier pour faute grave. »\\n\\nD’une façon générale, qu’est-ce qui fait que depuis les années quatre-vingt-dix, le CSP est toujours au bord de la crise de nerf, que beaucoup de choses sont publiques alors qu’il y a des clubs où il doit y avoir des problèmes du même ordre mais on a l’impression qu’ils arrivent à laver leur linge sale en famille ?\\n\\nIl y a deux explications majeures. La première, c’est que dans les années quatre-vingt-dix, c’est un club qui a gagné de nombreux titres. Ça a créé de l’exigence et de l’attente de la part des personnes qui sont fans du club et j’intègre dans le mot fan une communauté très large. Le fait que tout puisse paraître épidermique c’est aussi mécaniquement par l’attente qu’il y a autour du club. Il y a une telle importance du club dans la ville que c’est une affaire de passion. Le CSP, c’est un vrai point central. J’en reviens au mot institution. Tout ce qui peut s’y passer est commenté, analysé et peut parfois être interprété comme une situation de crise alors que ça ne l’est pas.\\n\\nÇa doit vous changer du Havre, qui est un peu aux Antipodes ?\\n\\nC’est fondamentalement différent. J’y ai passé une très belle année et j’y ai rencontré des dirigeants et des gens très bien. C’était un club programmé pour se maintenir. Forcément, il y avait beaucoup moins de pression avec une institution à côté, le HAC football, le club doyen en France. Le plan de route, c’était de se maintenir et il n’y avait pas grand-chose derrière et en back office pour le Directeur Général que j’étais, c’était de stabiliser le club, de faire qu’administrativement, financièrement, ça puisse rouler comme il faut.\\n\\nFrédéric Forte était un président unique de par sa qualité d’ancien international, champion d’Europe, propriétaire du club, le fait qu’il a pris la présidence en Nationale 1, il a été au bureau directeur de la FFBB, à la FIBA etc. En plus du drame humain, n’avez-vous pas eu peur que tout s’écroule ?\\n\\nLe drame humain a été terrible. On a vécu quelque chose de brutal. Au début, c’était incroyable. Je ne pouvais pas y croire. Après, je travaillais au quotidien avec lui et j’avais tous les dossiers en partage. Dès le lendemain, en tant que Directeur Général, je savais qu’il fallait se mettre au travail pour faire en sorte que le club avance. On avait toute la feuille de route du projet. Ça a été humainement très dur sur le plan affectif, mais sur le plan professionnel on s’est immédiatement remis dans le bain. Le lendemain, le 1er janvier au matin, on repartait en Italie pour jouer en Eurocup. Toutes les pierres étaient posées. Je sais pourquoi et pour qui je suis là.\\n\\nSi vous faites un bilan, les satisfactions à aujourd’hui sont supérieures pour vous aux désagréments ?\\n\\nOui. C’est forcément pas évident aujourd’hui ne serait-ce qu’en raison de la situation sportive. Si on revient quatre mois en arrière, quand on finit quatrième de la saison régulière et demi-finaliste des playoffs, il y a eu mécaniquement plein de satisfactions. Aujourd’hui, ça travaille en interne, on travaille sur les projets, c’est foncièrement satisfaisant, on ne va pas se plaindre. Après, il y a des passages agités mais ça fait partie à la fois de la fonction et de Limoges (sourire).\\n\\nLa constitution du triumvirat du directoire et votre prise de présidence se sont-elles fait naturellement et rapidement ? Manuel Diaz est chef d’entreprise, il n’aurait pas pu être président ?\\n\\nD’un point de vue légal, il n’y avait pas d’incompatibilité. Dans ces conditions, le Conseil de Surveillance s’est réuni rapidement et il a nommé l’organisation rapidement et naturellement aussi avec le partage de tâche qui a été dévolue à chacun.\\n\\nQuand vous voyez qu’il y a trois Limougeauds en équipe de France (Axel Bouteille, William Howard et Jonathan Rousselle) pour le match à Beaublanc contre la Bulgarie, vous vous dites que le recrutement français a été bon ?\\n\\nOui et au-delà du recrutement en lui-même, ça veut aussi dire que la politique qui a été mise en place par Olivier Bourgain depuis un an et demi est la bonne et que l’on en récolte les fruits aujourd’hui. Ce n’était pas forcément gagné à cette époque-là de signer de jeunes JFL à potentiel. Limoges n’était pas connu pour sa capacité à prendre des jeunes et à les former. C’est très satisfaisant car si on a ces jeunes avec nous c’est que derrière on a une bonne structure d’encadrement avec des coaches individuels, de prépa physique, une structure médicale,. Tout ça a permis d’avoir ces joueurs, qu’ils restent, c’est le cas de Axel et William qui sont là depuis l’an dernier.\\n\\nLe CSP a eu le premier centre de formation du temps de Pierre Dao avec notamment Franck Butter mais après ça été le calme plat pendant trente ans. Votre ambition est de réamorcer la pompe pour avoir un centre de formation comme à Cholet, Chalon, Pau, l’ASVEL avec la TP Academy ?\\n\\nOn a une vraie volonté de travailler sur la formation. On sait que l’on arrive dans un secteur plutôt concurrentiel avec des clubs qui pratiquent cette politique depuis longtemps. On tâche de mettre l’accent sur les cadets pour différentes raisons. Un, on a le temps de les faire travailler comme il faut sur une longue durée. Deux, Limoges c’est à part culturellement, en terme de contexte. Ça permet de diffuser cette culture limougeaude aux jeunes. Trois, sur des éléments plus court-termistes, on a quand même Timothée Bazile qui sort de l’INSEP, qui a encore du travail devant lui, et Sekou Doumbouya, qui fait le grand écart entre la Pro B et Limoges qui évolue en Jeep Elite et en Eurocup. C’est ce vers quoi on veut tendre.\\n\\nCe n’est pas facile de donner du temps de jeu à un jeune comme Timothée Bazile quand on a son lot d’internationaux et d’Américains ? Faudra-t-il le prêter pour qu’il puisse jouer ?\\n\\nOn verra toutes les options possibles avec Olivier Bourgain là-dessus. On l’avait signé sur une contrat longue durée de quatre ans. On voulait le faire bosser et c’est un gamin qui bosse dur et qui s’aguerri aussi au contact du groupe. Très sincèrement, on rêve de voir Tim Bazile jouer sur les couleurs du CSP. S’il y a besoin d’un prêt en cours de route -il attaque sa deuxième année- pour le récupérer mieux armé, ça fait partie de la politique de formation globale.\\n\\nEn ce qui concerne Sekou Doumbouya, est-ce le deal avec son agent Bouna Ndiaye qu’il ne va rester ici qu’un an et qu’il se présentera à la prochaine draft NBA ? Ou ce n’est pas certain à 100% ?\\n\\nJe pense qu’il va se présenter à la draft. En tous les cas, tous les observateurs le disent aujourd’hui. La venue de Sekou est effective pour de multiples raisons. Le fait qu’il y ait la capacité d’entraînements individuels avec des coaches individuels qu’on offre aux joueurs. Un encadrement médical aussi pour prendre soin d’un jeune de dix-sept ans. Et pour le coup, il a du temps de jeu et par moments en ce début de saison, il est un élément plus que moteur de notre équipe pro.\\n\\nDans l’encadrement technique, il y a Frank Kuhn, le préparateur physique, qui est aussi celui de l’équipe de France, que vous avez fait basculer sur les espoirs. C’était son envie ?\\n\\nEvidemment. C’est une proposition qu’on lui a faite et à laquelle il a souscrit. Quand on veut faire de la formation, il faut aussi une imbrication forte entre les staffs, les coaches, l’équipe médicale pour avoir un vrai projet d’accompagnement longue durée depuis les cadets jusqu’à ce qui doit être le but, l’équipe professionnelle. C’est la société qui gère le secteur pro, les U18, Elite et le Centre de formation.\\n\\nYacine Aouadi est un coach individuel. Il est salarié au club où fait-il ça en free lance ?\\n\\nIl est prestataire pour le club. Il est basé ici et il est sur les séances de l’équipe professionnelle en permanence. Au-delà d’un certain travail sur la vidéo, il anime des séances individuelles tous les jours avant ou après les séances collectives. On ne l’empêche pas d’avoir des contrats ailleurs.\\n\\nIl y a aussi le cas de Joseph Gomis à l’ASVEL et...\\n\\nJe ne veux pas dire de bêtise mais je crois que c’est tout.\\n\\nCombien de personnes sont attachées à l’équipe professionnelle ?\\n\\nOn a quatre entraîneurs, le principal (NDLR: François Peronnet) et les assistants. Yacine comme entraîneur individuel et Frank qui nous fait la prépa physique. On a aussi un peu de monde autour en terme d’intendance et bien sûr Olivier Bourgain, le directeur sportif. Je pense qu’aujourd’hui on fait partie des clubs référents en la matière. C’était la volonté prise il y a un an et renforcée à l’inter-saison avec Yacine que l’on n’avait pas l’an dernier. On fonctionnait à trois et maintenant à quatre.\\n\\nPourquoi avez-vous attendu quinze jours pour réintégrer Samardo Samuels après sa mise à pied suite à des propos injurieux envers le coach Kyle Milling ?\\n\\nParce qu’on était dans une procédure disciplinaire légale. Le temps de respecter tous les délais, on arrive à cette date-là.\\n\\nVous avez hésité entre le réintégrer et le licencier ?\\n\\nOn a mis en place une procédure disciplinaire conforme au Code du Travail avec un entretien individuel où l’on a eu l’occasion de se dire beaucoup de choses. Derrière on a rendu la décision mais le timing n’est pas ahurissant entre le moment où les faits sont commis, le moment où on le convoque, le délai de notification à respecter qui est sommes toutes raisonnable.\\n\\nTout le monde s’attendait à ce qu’il soit licencié ?\\n\\nC’était un pronostic mais il y a eu forcément de nombreux échanges avec Olivier et Kyle à ce sujet-là. Il n’était pas question de prendre une décision unilatérale bête et méchante et déconnectée de tout sens. Mais une fois de plus, dans la mesure où il y avait en face de nous des faits graves, on était obligé de lancer une procédure disciplinaire avec un temps administratif à respecter pour ménager toutes les hypothèses, à savoir soit le réintégrer avec une sanction ou soit le licencier pour faute grave. Et eu égard les échanges qu’il y a eu avec le joueur, la décision a été prise de le réintégrer.\\n\\nIl a eu une amende ?\\n\\nIl a eu une mise à pied disciplinaire... sans solde.\\n\\nEt depuis, ça se passe bien ?\\n\\nÇa se passe bien. On n’a pas d’écart comportemental à signaler de son côté.\\n\\nIl a un contrat de deux ans ?\\n\\nOui avec une option pour lui au bout de la première année.\\n\\nPour Mam Jaiteh, c’est un choix sportif de ne plus l’avoir fait jouer les derniers matches mais le reproche du club, c’est d’avoir manqué de gnaque ?\\n\\nC’est un choix sportif qui a été pris au niveau du sportif. Entre-temps on avait signé Damien Inglis qui rajoutait une personne à l’intérieur. Il y avait des équilibres tant de gestion sportive que financier qui ont amené le sportif à envisager de se séparer de Mam. Sincèrement, je n’ai pas de griefs humains à son égard.\\n\\n« Pour appuyer la rumeur, il a même été dit qu’il avait été vu avec moi. Je le dis, je l’affirme, je n’ai pas eu l’occasion de rencontrer JD Jackson »\\n\\nKyle Milling a eu longtemps de la part d’Olivier Bourgain des commentaires bienveillants et tout d’un coup ça a basculé. C’est l’échec face à Dijon qui a entraîné sa mise à l’écart ou c’était tout de même en germe ?\\n\\nJ’ai rencontré le sportif trois jours avant le match à Levallois. Tous les coaches d’une part en présence d’Olivier Bourgain puis les joueurs de façon collective. Je leur ai fixé un ultimatum de réaction immédiate et prolongée. Je n’aurais tiré aucune conclusion si on avait gagné à Levallois comme d’en tirer aucune du fait d’y avoir perdu. Mais ils avaient un temps de travail de deux semaines qui commençait par ce match à Levallois, on avait au milieu Krasnodar, on avait Nanterre, on avait Berlin, et on jouait Dijon. Ils savaient qu’à ce moment-là, on ferait un bilan. La même chose avait été formulée aux joueurs. Je ne suis pas un technicien sportif mais j’attendais une réaction de fond en terme de comportement, d’agressivité, et force était de constater qu’elle n’était pas là. On fait un match à Levallois avec un léger mieux mais il y a défaite et on est encore dans les standards qui nous mettent en difficulté depuis le début de la saison. Puis on a un peu mieux à la maison contre Krasnodar malgré la défaite. On fait un bon match contre Nanterre que l’on gagne assez largement. On fait une première mi-temps plutôt bonne à Berlin et une deuxième plus compliquée. Et on retombe complètement dans nos affres et nos travers sur le match de Dijon. C’était le moment du bilan et aussi la nomination de François Perronet est mise en place avec une demande de changement au fond et la trêve internationale -même s’il n’a pas eu trois joueurs pendant quelques jours- lui permet aussi de commencer à travailler sur son plan de bataille, de mener les entretiens avec les joueurs et de ne pas le considérer comme un pompier de service.\\n\\nAvez-vous envisagé de prendre un coach à l’extérieur ?\\n\\nC’était une vraie volonté que de nommer François.\\n\\nLà aussi, il y a eu beaucoup de rumeurs comme celle concernant JD Jackson qui aurait été aperçu en ville ?\\n\\n(Rires) Qui était absolument infondée ! Peut-être était-il à Limoges... Et pour appuyer la rumeur, il a même été dit qu’il avait été vu avec moi. Je le dis, je l’affirme, je n’ai pas eu l’occasion de rencontrer JD Jackson.\\n\\nLe tout fait qu’il y a un coût financier pour vous avec tous ces départs. Ça risque de perturber l’avancée du club ?\\n\\nNon. On a un budget sur le sportif et on fonctionne comme les autres années, à savoir qu’il y a eu des saisons avec encore plus de changements en cours de route, et que ce budget est maîtrisé et fortement borné. On ne vient pas appauvrir ou menacer le club pour injecter sur le sportif.\\n\\nLe club dispose de réserves ?\\n\\nOui mais le but n’est pas du tout de toucher aux capitaux propres du club. Le but c’est d’avoir un budget de fonctionnement dans un exercice et d’être dans les clous.\\n\\nDepuis longtemps, spécialement ces dix dernières années, le club a battu le record de changement de coaches. Comment ça s’explique ? C’est un peu comme dans le foot à Marseille où il y a beaucoup de renouvellement (4)?\\n\\nJe ne suis pas un grand suiveur du foot et on est aussi sur des modèles un peu différents. A Limoges et ailleurs dans le basket c’est aussi une « coutume » d’avoir l’entraineur comme fusible et électrochoc. Il a en face de lui des groupes bien plus restreints que dans le football. Il y a plus de pression ici qu’ailleurs, une nécessité très forte de résultats, et je pense qu’il y a davantage de turnovers au niveau des joueurs sur les dernières années ici qu’ailleurs.\\n\\nVous prévenez les joueurs de cette pression en amont ?\\n\\nIls sont forcément au courant puisque les joueurs échangent beaucoup entre eux et c’est bien logique. Evidemment quand ils arrivent en début de saison lors des briefings, on leur explique le club, son histoire, en quoi c’est une institution forte et majeure et pourquoi il y aura de la pression. C’est pourquoi on attend d’eux du combat, de l’agressivité, du respect car ce sont des choses qui sont dans l’ADN de Limoges.\\n\\nPeut-on expliquer ce turnover par le fait que beaucoup de joueurs craquent mentalement et ne remplissent pas ce genre de mission ?\\n\\nJe pense que pour certains joueurs ce n’est pas forcément évident mais ça fait partie de votre métier quand vous signez à Limoges. On ne peut pas être si négatif que ça car on sait pertinemment que si ça va bien, c’est une force absolue. Le contexte limougeaud a ses exigences mais il sait rendre au centuple. Il faut être prêt quand on arrive.\\n\\nEn NBA, avant de drafter les joueurs, ils demandent leur avis sur les joueurs à des dizaines de personnes et ils leur font faire des tests très approfondis pour mieux connaître leur personnalité. C’est le cas chez vous ?\\n\\nTant Olivier Bourgain que l’entraîneur passent des coups de téléphone à droite, à gauche, pour avoir des renseignements sur un joueur qui les intéresse. Ils ont aussi des échanges avec le joueur en question. Ils passent ensuite des tests médicaux avant de signer le contrat.\\n\\nMais pas de tests psychologiques ?\\n\\nNon.\\n\\nVous pensez que ça viendra un jour ?\\n\\nJe pense que ça viendra un jour.\\n\\nA suivre demain.\\n\\n(1) 39 ans. Un pionnier du numérique. En 1997, à 18 ans, avec son frère Carlos, il a créé à Limoges groupeReflect, l’une des premières agences web française. En 2007, l’agence prend le nom de Emakina qui représente aujourd’hui plus de 900 collaborateurs dans le monde. Le RECMA classe Emakina dans le Top 3 des groupes de communication digitaux en Europe. Il est le Conseiller spécial du club particulièrement en charge des sujets stratégiques, de communication et d’innovation.\\n\\n(2) 56 ans. Ancien international, joueur de Pro A de 1982 à 2005. Vainqueur de la Coupe des Coupes avec le CSP en 1988. Il est responsable marketing commercial.\\n\\n(3) Selon RMC Sport, Céline Forte souhaiterait faire appel à d’anciens joueurs du club dont Richard Dacoury et que Stéphane Ostrowski en devienne le président. Depuis que nous avons réalisé cette interview la semaine dernière, Youri Verieras a déclaré dans différents médias « être parfaitement légitime » à la présidence du CSP.\\n\\n(4) Depuis quatre décennies, le CSP a eu 32 entraîneurs et et l’OM 49.\\n\\n[armelse]\\n\\nVotre vie a-t-elle changé depuis que vous êtes le président du CSP ? Pouvez-vous prendre un café en ville tranquillement comme auparavant ?\\n\\nDans la tranquillité, oui. On est une ville de basket et forcément il y a toujours plein de questions sur le sujet. Lorsque comme l’année dernière, sportivement ça va plutôt bien, il y a des formes d’euphorie. Quand comme cette année c’est sportivement plus compliqué, il y a forcément des gens un peu plus touchés mais on reste sur des échanges qui sont bon enfant, imprégnés de basket. Les gens veulent, ont besoin de savoir. C’est là que l’on mesure que le Limoges CSP est une institution. C’est une sorte d’emblème partagé par tous.\\n\\nJo Rousselle, qui vient de villes basket, Gravelines et Cholet, dit que l’on a beau être préparé, on ne mesure pas de l’extérieur l’impact du basket ici. Bien qu’étant auparavant le Directeur Général du club, aviez-vous bien mesuré cet impact ?\\n\\nLe statut est différent et on passe forcément de l’ombre à la lumière. Je suis Limougeaud donc le poids du basket dans la ville et même au-delà, je le connaissais. C’est une ville qui vit basket. Réellement.\\n\\nQuand vous entrez dans un lieu public, tout le monde vous regarde ?\\n\\nÇa peut arriver ! (rire). Evidemment, ça fait partie des changements mais encore une fois, sans animosité. Les gens ici ont de l’amour, de la passion, et même de la ferveur pour le CSP. Le CSP, c’est quelque chose d’identitaire et de partagé. Tout le monde est réuni autour de ce club.\\n\\nC’est la partie disons humaine où vous pouvez rencontrer les gens mais désormais, il y a les réseaux sociaux où beaucoup de gens s’expriment librement et vertement sachant que la présence des supporters du CSP au moins sur facebook et twitter est beaucoup, beaucoup plus forte que pour les autres clubs. Etes-vous un adepte des réseaux sociaux et n’est-ce pas dur de lire parfois des commentaires acides ?\\n\\nJe lis de temps en temps les réseaux sociaux même si je n’y passe pas le cœur de mes journées parce que je suis aussi un président opérationnel. Il y a des commentaires acides, virulents.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Supporters et Youri Verieras (Limoges CSP), Samardo Samuels et Axel Bouteille (Eurocupbasketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eurocup: Monaco veut conserver sa première place"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le dur en Jeep Elite (12e, 5 victoires et 7 défaites), l’AS Monaco est plus pimpante en Eurocup puisqu’elle occupe seule la première place du Groupe A avec 6 victoires et 2 défaites. Pour son avant dernier match de poule, la Roca Team reçoit demain le Galatasaray Istanbul avec une opération spéciale pour remplir la salle Gaston-Médecin puisque les billets du match de Ligue des Champions de football, Monaco-Dortmund, donneront droit à l’entrée.\\n\\nGalatasaray enregistre jusqu’ici 3 victoires pour 5 défaites. Lors du match aller, à Istanbul, les Monégasques s’étaient imposés sur le fil 86 à 85. En difficulté loin de ses bases, Galatasaray n’a jamais gagné à l’extérieur et s’est même incliné deux fois par plus de 20 points d’écart.\\n\\nNigel Hayes, meilleur joueur de l’équipe turque, culmine à 14,1 points avec 6,1 rebonds et devra être surveillé de prés. D’autant plus que Galatasaray est la meilleure équipe au rebond de la compétition (37,3 par match) et deuxième dans le domaine des rebonds offensifs (13,9 en moyenne).\\n\\n« Galatasaray est une équipe pleine de talent. Ils ont un entraîneur qui travaille depuis de nombreuses années avec de jeunes joueurs talentueux » analyse le coach monégasque, Sasa Filipovski « Ils peuvent changer de défense et jouer avec une petite ligne d’arrières pour accélérer le jeu. Pour gagner le match, nous devons jouer très bien en défense et en équipe. »\\n\\nLa Roca Team pourra compter sur ses deux nouvelles recrues lors des prochaines échéances: le pivot Eric Buckner (2,08m, 28 ans), en provenance de Villeurbanne, signé jusqu’à la fin de la saison, et l’arrière-ailier ukrainien Sergii Gladyr, qui a participé à toutes les campagnes de l’ASM depuis 2015, et qui a signé en tant que pigiste médical de Gerald Robinson un contrat d’un mois avec une option de prolongation.\\n\\n« Nous avons déjà obtenu notre billet pour le Top 16, mais nous allons nous battre vaillamment pour la première place du groupe, » assure Elmedin Kikanovic avant le match de mercredi.\\n\\nPhoto: Elmedin Kikanovic (ASM)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le 2 décembre 2017... Mam Jaiteh (Limoges) : «Pour moi, Limoges c’est quitte ou double»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il y a un an jour pour jour, Mam Jaiteh était interrogé par Le Populaire et il évoquait son arrivée à Limoges. Un an plus tard et alors qu’il s’était engagé pour deux ans, l’ancien joueur de la JSF Nanterre a quitté le CSP pour Turin, en Italie.\\n\\nIl faut lire l’interview que le pivot Mam Jaiteh (2,08m) a donné au Populaire car l’international joue franc-jeu sur ses difficultés la saison précédente à Strasbourg (9,5 points, 5,7 rebonds, 11,5 d’évaluation tout de même) sachant que l’on s’était montré très exigeant avec lui après sa saison de feu en Pro B à Boulogne alors qu’il n’avait que 17-18 ans; il avait élu alors MVP français, du jamais vu à cet âge.\\n\\n« Je suis quelqu’un qui cherche toujours à bien faire et à respecter les consignes », explique t-il. « Mais à Strasbourg, je n’étais pas à la hauteur de ce que je voulais faire et des raisons pour lesquelles j’étais parti là-bas. Je ressentais la déception de mon entraîneur (Vincent Collet). Et comme je suis trop gentil, j’ai parfois tendance à m’écraser et à disparaître dans ce genre de situation. C’est pour cette raison que je voulais à tout prix me prouver que j’étais capable de bien jouer face à de grosses équipes de ProA mais aussi en Eurocup. »\\n\\nMam n’avait pas choisi le plus facile en signant au Limoges CSP où le contexte est à la fois le plus valorisant et aussi sans pitié. Et devinez ce que le colosse craignait le plus:\\n\\n« J’avais une phobie en signant à Limoges : me retrouver au milieu du terrain et me faire huer par Beaublanc. Je me répétais qu’il fallait que le public m’accepte. J’en avais la boule au ventre. Je fais tout pour que cela se passe bien. Je sais que quand je doute ou que je suis fébrile, j’ai tendance à être moins combatif. Mais je dois le rester. Peu importe que je sois bon ou pas. »\\n\\nAprès 10 matches, Mam Jaiteh proposait les mêmes stats qu’à Strasbourg et il avait conscience que son futur était en jeu:\\n\\n» Pour moi, Limoges, c’est quitte ou double. Je ne pense pas encore avoir surmonté mon anxiété mais je suis sur le bon chemin. Maintenant, je dois m’y accrocher. Ce n’est pas de la prétention mais si j’y parviens, je serai très bon et tout se passera bien. C’est mon défi. »\\n\\nOn connait la suite.\\n\\nNe pas oublier que s’il compte déjà six saisons en Ligue, Mam Jaiteh a tout juste 23 ans. Il vient de les fêter le 27 novembre.\\n\\nPhoto: Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eurocup : le Top 10 des contres du mois de novembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque mois, l’Eurocup publie le meilleur de la compétition dans chaque catégorie. Cette fois, c’est au tour du top 10 des contres.\\n\\nA noter la présence de Louis Labeyrie à la dixième place, de Sekou Doumbouya à la septième place et de DeMarcus Nelson à la troisième place. C’est le joueur américain d’Andorre, Dylan Ennis, qui est en vedette de ce top 10 ce mois-ci."
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo – Le staff de l’équipe de France. Après l’effort..."
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de France est donc qualifiée pour la Coupe du monde 2019 et le staff des Bleus s’est offert un restau à Limoges pour fêter ça avant le match demain face à la Bulgarie à Beaublanc.\\n\\nLe président de la FFBB, Jean-Pierre Siutat, en profite pour saluer Boris Diaw, toujours capitaine mais désormais sur un bateau, qui est actuellement au large des Canaries et qui va rejoindre bientôt le staff de l’équipe de France.\\n\\nPhoto: FFBB\\n\\n\\n\\n\\nBonne traversée @theborisdiaw Le bonjour du staff des bleus pic.twitter.com/TxaxkP2bf9\\n\\n\\n— Jean-Pierre SIUTAT (@jpsiutat) December 1, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : le Top 10 de la septième journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après le Top 10 des championnats nationaux et de la Jeep Elite, CourCuts s’attaque au Top 10 de Pro B !\\n\\nPour ce septième numéro, c’est Thomas Ville (Chorale Roanne) qui pointe à la première place du classement grâce à un gros poster dunk face à Quimper.\\n\\nhttps://www.facebook.com/CourtCuts/videos/290870434878699/"
}, 
{"role": "user",     "content":"(Rediff) Que sont-ils devenus ? Roger Esteller, MVP de la Pro A en 2002"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"(Article publié le 4 janvier 2016.\\n\\nEn septembre 2000 débarque à Pau-Orthez l’international espagnol Roger Esteller, alias El Tigre de Sants, un arrière-ailier pas très grand (1,91m) mais à la fois hyper puissant (101 kgs) et rapide. Avec l’Elan Béarnais de Boris Diaw et des frères Pietrus, il sera champion de France la première année et MVP étranger la seconde. BasketEurope revient avec lui sur cette époque dorée et il nous explique sa reconversion. L’interview est en deux parties.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuinze ans après votre titre de meilleur joueur de Pro A, que devenez-vous ?\\n\\nJe viens de lancer ma propre entreprise, Roger Esteller Full Court. Il s’agit d’être consultant pour des entreprises de différents secteurs. Je travaille également sur certains domaines du sport mais cela dépend des demandes. Je fais aussi des conférences, des workshops et toutes les choses qui ont à voir avec la formation, la motivation en entreprise.\\n\\nC’est quelque chose que vous aviez déjà en tête à la fin de votre carrière ?\\n\\nCela a fait partie d’un processus de changement de ma mentalité. J’ai d’abord fait une formation en business management parce que mon rêve était de gérer des entreprises -j’ai réussi ce challenge avec notamment mon ancien poste chez Novaelite Sports Performance Innovation qui fut une très belle expérience- et je sentais qu’il me manquait quelque chose. Et cette chose c’était d’avoir ma propre entreprise, de travailler pour moi donc cela a été un changement dans ma vie, j’ai quitté mon travail, j’ai divorcé. Je pensais que c’était le bon moment pour faire ce dernier pas, créer ma propre entreprise, mon propre projet. Je suis à la tête d’une équipe de professionnels, de psychologues, de consultants, d’informaticiens, de community managers. Je me suis entouré de personnes qui veulent vraiment travailler à 100%.\\n\\nCette entreprise a-t-elle un rapport avec le basket ?\\n\\nJ’ai créé un outil de diagnostic motivationnel qui s’appelle « la balance motivationnelle». C’est comme une balance parce que c’est basé d’une part, sur les satisfactions qu’on a dans la vie et qui ont une incidence sur notre motivation mais qui ne dépend pas de nous-même à 100%, et d’autre part sur la motivation qui dépend seulement de nous-même. J’ai créé un test avec des questions qui montrent quel est le degré de motivation de chaque patron ou de l’entreprise au niveau global. On peut voir avec ce test les points forts et les points faibles d’une entreprise et selon ce rapport on établit le plan d’action. Mais cet outil que j’ai créé fonctionne aussi avec le sport professionnel, pour la formation des Espoirs mais malheureusement quand tu essayes de rentrer dans le monde sportif, en tout cas ici en Espagne, c’est très dur parce qu’on ne te comprend pas.\\n\\n« J’étais énervé contre mon club non pas parce que je ne voulais pas de la France et de Pau qui était une super équipe mais parce que j’avais l’offre de l’Olympiakos qui me proposait quatre ans de contrat »\\n\\nPetit aparté, vous parlez très bien français... Vous l’avez appris rapidement ? (NDLR : L’entretien qui a tout d’abord commencé en anglais a finalement été dans sa quasi-totalité mené en français.)\\n\\nAprès cinq ou six mois à Pau. J’ai réussi tout seul, sans professeur. En regardant la télévision, en parlant et en écoutant les coéquipiers... En plus, je parle catalan et c’est très similaire au français\\n\\nRetour en 2000 désormais, comment une pointure comme vous est arrivée à Pau ?\\n\\nC’était un prêt de deux ans. J’ai passé de très bons moments à Pau, je crois que cela fait partie des deux meilleures années de ma vie de sportif. Au début j’étais en conflit avec mon ancien club, Tau Vitoria, parce que j’avais une offre de l’Olympiakos et le coach grec disait qu’il me voulait mais après mon club me disait que c’était faux et c’était un peu le bordel. Moi je voulais juste jouer, j’avais 27 ans, j’étais au meilleur moment de ma carrière et c’est clair que je ne voulais pas être au milieu de problèmes, je voulais juste avoir une solution pour jouer.\\n\\nOn se souvient que vous étiez un joueur majeur en Espagne, et vous rejoignez pourtant la France...\\n\\nJ’avais des offres très importantes en Espagne, par exemple de Madrid. Mais j’avais aussi cette offre de l’Olympiakos et je voulais y aller. Au final Vitoria m’a fait attendre tout l’été et m’a dit après qu’ils avaient une proposition d’un club –pas l’Olympiakos, je ne sais pas pourquoi, surement pour l’argent- qui est Pau-Orthez. A l’époque je jouais avec Laurent Foirest –un de mes meilleurs amis- et j’étais énervé contre mon club non pas parce que je ne voulais pas de la France et de Pau qui était une super équipe mais parce que j’avais l’offre de l’Olympiakos qui me proposait quatre ans de contrat donc j’avais forcément plus envie d’aller chez eux que dans une autre équipe. Mais finalement ils m’ont convaincu, Lolo m’a super bien parlé du club.\\n\\nComment s’est passé la vie en France ?\\n\\nMa femme qui était enceinte a failli accoucher à Pau puisque dix jours après la naissance de ma fille, elles sont toutes les deux venues me rejoindre en France. Ma fille a donc passé les deux premières années de sa vie à Pau. J’étais dans une période où je voulais changer de championnat pour pouvoir travailler dur et retrouver le succès et finalement à Pau c’était vraiment super. Dès que je suis arrivé, j’ai vu que nous avions une équipe unique. Il y avait des jeunes avec un talent extraordinaire comme Mickaël Pietrus, Boris Diaw ou Artur Drozdov. Il y avait aussi des vétérans comme (Didier) Gadou et j’ai passé un très bon moment là-bas avec mes coéquipiers, avec Monsieur Seillant, Claude Bergeaud, Gérard Bouscarel. Avec tout le monde dans le club c’était merveilleux. Je garde de très bons souvenirs de ce temps-là. « Je reviens à Pau tous les deux ou trois ans parce que j’ai vraiment de très bons souvenirs »\\n\\nA vous écouter, Pau n’était donc pas une priorité...\\n\\nAu début c’est vrai que c’était un peu dur comme j’avais une offre de l’Olympiakos et c’est clair que c’était un club fait pour gagner l’Euroleague. Avec le Barça on était tous les ans au Final Four avec une vraie chance de gagner l’Euroleague donc c’est sûr que si tu compares Pau à l’Olympiakos, tous les joueurs choisissent l’Olympiakos mais quand j’ai vu que finalement c’était impossible, pour moi Pau était une très bonne option. C’était un très bon choix pour prendre un nouveau départ dans ma carrière et je n’ai jamais plus pensé à l’Olympiakos en venant à Pau.\\n\\nEt finalement au bout de deux ans, vous devenez carrément le meilleur joueur du championnat !\\n\\nJ’étais très heureux en France. A chaque fois que tu changes de championnat c’est forcément un peu dur au début mais mon adaptation s’est passée très vite et très bien. C’était une très belle récompense pour moi d’être la première année le meilleur étranger et la deuxième année être le MVP total du championnat ça montre que j’ai fait du bon boulot, j’étais super-motivé. Nos jeunes étaient tellement talentueux et athlétiques que c’était clair que nous ne pourrions pas les retenir mais si nous avions pu retenir les frères Pietrus et Boris Diaw trois ou quatre ans de plus je crois qu’on aurait eu nos chances pour aller au Final Four d’Euroleague. Nous avions une équipe qui a quand même été capable de gagner contre le CSKA, Fortitudo Bologne, le Real ou encore le Panathinaïkos.\\n\\nAvez-vous encore des relations avec certains équipiers de Pau de l’époque ?\\n\\nAvec Laurent Foirest, oui, et Fred Fauthoux aussi qui est un très bon ami. Fred quand il vient à Barcelone il m’appelle et on passe du temps ensemble et c’est extraordinaire de le retrouver. Je reviens à Pau tous les deux ou trois ans parce que j’ai vraiment de très bons souvenirs, j’ai des très bons amis là-bas. Mais ce qui est dommage c’est qu’avec Flo je n’ai parlé que quelques fois et les joueurs NBA qui sont Boris ou Mickaël ça fait très longtemps que je ne leur ai pas parlé. Je les ai dans mon cœur et je sais que je suis dans le leur mais je n’ai pas trop de nouvelles. Mais ça me ferait vraiment, vraiment, vraiment plaisir de les retrouver.\\n\\n[armelse]\\n\\nQuinze ans après votre titre de meilleur joueur de Pro A, que devenez-vous ? Je viens de lancer ma propre entreprise, Roger Esteller Full Court. Il s’agit d’être consultant pour des entreprises de différents secteurs. Je travaille également sur certains domaines du sport mais cela dépend des demandes. Je fais aussi des conférences, des workshops et toutes les choses qui ont à voir avec la formation, la motivation en entreprise.\\n\\nC’est quelque chose que vous aviez déjà en tête à la fin de votre carrière ? Cela a fait partie d’un processus de changement de ma mentalité. J’ai d’abord fait une formation en business management parce que mon rêve était de gérer des entreprises -j’ai réussi ce challenge avec notamment mon ancien poste chez Novaelite Sports Performance Innovation qui fut une très belle expérience- et je sentais qu’il me manquait quelque chose. Et cette chose c’était d’avoir ma propre entreprise, de travailler pour moi donc cela a été un changement dans ma vie, j’ai quitté mon travail, j’ai divorcé. Je pensais que c’était le bon moment pour faire ce dernier pas, créer ma propre entreprise, mon propre projet. Je suis à la tête d’une équipe de professionnels, de psychologues, de consultants, d’informaticiens, de community managers. Je me suis entouré de personnes qui veulent vraiment travailler à 100%.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nLire la deuxième partie de l’interview"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Euro 2021 : 40 points en une mi-temps pour Sylven Landesberg avec l’Autriche !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir reçu son passeport autrichien il y a seulement quelques jours, Sylven Landersberg (1,98m, 28 ans) a déjà fait parler la poudre lors de sa première sortie avec la sélection autrichienne.\\n\\nA l’occasion des préqualifications pour l’Eurobasket 2021, les joueurs de Michael Coffin étaient en déplacement à Manchester pour affronter la Grande-Bretagne. Dans la victoire de sa sélection (96-82) face aux Anglais, le natif de Brooklyn a fait trembler les filets avec 47 points au total, en plus de 10 rebonds et 5 passes décisives (46 d’évaluation). Mais ce qui est exceptionnel, c’est que l’ancien joueur de l’Estudiantes a inscrit 40 unités rien que dans les vingt premières minutes. Cette saison avec Ankara, Sylven Landesberg compile en moyenne 18,3 points, 3 rebonds et 2,2 passes décisives entre le championnat et l’Eurocup.\\n\\nNul doute que l’ancien joueur du Maccabi Tel Aviv va pouvoir faire un bien considérable à l’Autriche. Enfin, s’il est disponible pour toutes les fenêtres internationales puisqu’avec de telles qualités de scoreur il se pourrait très bien qu’il fasse son retour en Euroleague dès la saison prochaine.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France: Avec 18 points, Amath Mbaye est le 5e meilleur marqueur de tous les temps pour un rookie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Amath Mbaye a réalisé trois performances pour sa première sélection en équipe de France. Premièrement, il a été introduit par Vincent Collet dans le Cinq de départ face à la République Tchèque. Deuxièmement, il a marqué son premier panier sur un dunk au bout de trois secondes. Troisièmement, il a scoré 18 points. Est-ce un record pour un débutant sous le maillot national ?\\n\\nDéjà, situons le contexte et relativisons l’exploit. L’ailier de Bologne n’est pas un jeunot. Il a dû patienter jusqu’à l’âge respectable de 28 ans (il va même en avoir 29 le 14 décembre) pour son intronisation chez les Bleus, et doit sa sélection à une pléthore d’absences.\\n\\nSi l’on compare avec les quinze meilleurs marqueurs de tous les temps en équipe nationale, ses 18 points sont évidemment spectaculaires:\\n\\nPour leur première sélection, Hervé Dubuisson -il s’est bien rattrapé ensuite-, Stéphane Ostrowski, Philip Szanyiel, Alain Gilles et Boris Diaw, n’avaient pas marqué un seul point, Jean-Claude Bonato et Laurent Foirest 2, Tony Parker, Richard Dacoury et Florent Pietrus 4, Nando De Colo 7 (22 à son deuxième !), Jacques Cachemire, Antoine Rigaudeau et Nicolas Batum 8, mais Eric Beugnot 14 (et son père Jean-Paul, 15).\\n\\nEt nous en avons trouvé un qui a frôlé l’exploit de Amath Mbaye dans la période « moderne » avec 17 points totalisés. C’était pour un match amical contre l’Allemagne le 8 juillet 1998. Son nom: Tariq Abdul Wahad alias Olivier Saint-Jean. Lui aussi était un rookie très spécial puisqu’il avait 24 ans et portait la saison en club le maillot des Sacramento Kings.\\n\\nSuite à cette annonce, le journaliste Yann Casseville a fait des fouilles et découvert que quatre joueurs ont fait mieux que Amath Mbaye avec un record pour Robert Busnel à 30 points le 6 mai 1935 contre le Portugal. Curieusement le futur président de la FFBB et de la FIBA ne rejouera avec les Bleus que quatre ans plus tard et... ne marquera pas un point lors des trois matches suivants.\\n\\n\\n\\n\\nDans l'histoire de l'équipe de France (j'ai regardé les 462 joueurs ; chacun ses vices), 16 joueurs ont marqué 15 points ou plus lors de leur première sélection. Amath M'Baye a réussi hier la cinquième performance historique.\\ncc @FRABasketball pic.twitter.com/a0xYXNFyiW\\n\\n\\n— Yann Casseville (@Kasvilovic) December 1, 2018\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du monde: Lundi, la Bulgarie va jouer gros à Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’elle affronte lundi la France à Limoges, la Bulgarie est toujours en course pour se qualifier à la Coupe du monde.\\n\\nAvec leur victoire à domicile sur la Bosnie-Herzégovine (89-82), les Bulgares sont désormais quatrièmes à égalité avec la Finlande. Ils comptent quatre victoires alors que la Russie en est à cinq après avoir fait chuter la Finlande, 77-75.\\n\\nHier soir, trois joueurs se sont mis en valeur: Stanimir Marinov (13 points, 8 rebonds, 5 passes, 20 d’évaluation), Bozhidar Avramov (20 points, 5/9 à trois-points, 18 d’éval) et Aleksandar Yanev (14 points, 15 d’éval).\\n\\nLes Bulgares seront forcément très motivés pour s’imposer face à la France, et répéter ainsi leur performance du match aller à Botevgrad (74-68). Ce sont les seuls à avoir réussi à faire tomber les Bleus dans ces qualifications à la Coupe du monde.\\n\\nLors de la dernière fenêtre en février, la Bulgarie recevra la Russie. Un match qu’elle espère décisif.\\n\\nPhoto: Bozhidar Avramov (Bulgarie)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Blois fait appel à Alhaji Mohammed (ex-Limoges)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour compenser l’absence jusqu’à la mi-février de Charles-Noé Abouo (entorse à la cheville avec arrachement osseux), l’ADA Basket fait appel à un joueur connu en France, Alhaji Mohammed (1m93, 37 ans).\\n\\nLe shooting guard américano-ghanéen a joué au Limoges CSP de 2008 et 2010 et avait emmené son équipe vers la Pro A. Durant la saison 2014-2015, il avait fait par ailleurs une pige au SLUC Nancy. Il portait ces deux dernières saisons le maillot du club hongrois de Alba Fehervar pour 10,5 points, 2,6 rebonds et 2,3 passes en 2017-18."
}, 
{"role": "user",     "content":"Erman Kunter est le nouveau coach de Cholet Basket"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Franco-Turc Erman Kunter est le nouveau coach de Cholet Basket en remplacement de Régis Boissié qui a été démis de ses fonctions cette semaine.\\n\\nErman Kunter, 62 ans, bénéficie d’une aura importante dans les Mauges car il a emmené CB en finale de l’EuroChallenge en 2009 et au titre de champion de France l’année suivante.\\n\\nAncien international turc, le Stambouliote a coaché plusieurs clubs turcs et aussi Villeurbanne et Le Mans où son séjour (2014 février 2017) s’est terminé par un départ précipité. Il a ensuite pris en main Galatasaray (2017-18) et se retrouvait depuis sur le marché.\\n\\nIl aura pour mission de donner aux Choletais un grinta nécessaire pour sauver leur place en Jeep Elite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les meilleurs moments de la victoire des Bleus sur la République Tchèque"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les highlights de République Tchèque vs France avec la victoire des Bleus, 79-65.\\n\\nPhoto: Mathias Lessort (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Lahaou Konaté : «À Nanterre, Pascal Donnadieu m’exploite très bien»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En stage de préparation avec l’Equipe de France avant le match contre la République Tchèque cet après-midi à 18h, Lahaou Konaté (1,96m, 27 ans) a répondu à nos questions après l’entraînement matinal de mercredi. L’homme à tout faire de Nanterre 92 s’exprime sur son expérience avec les Bleus et sur le début de saison avec le club des Hauts-de-Seine.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVous retrouvez donc une nouvelle fois l’Equipe de France, ça commence à être une habitude.\\n\\nUne habitude je n’irai pas jusque-là encore... En tout cas, c’est un plaisir d’être là, c’est toujours un plaisir d’être appelé, de faire partie d’une fenêtre internationale. On a une mission, c’est de qualifier l’équipe pour la coupe du Monde.\\n\\nIl y a toujours des absents et de la fatigue. On peut penser que votre rôle sera un peu plus important encore ?\\n\\nC’est possible... A voir aussi avec les choix du coach. J’espère pouvoir apporter à ce groupe ce qu’il a besoin et donc réussir ma mission. De toute façon, moi je suis là pour une mission !\\n\\nN’est-ce pas trop frustrant de venir pour les qualifications et de savoir que pour la compétition finale il a des chances que finalement vous ne soyez pas sélectionné ?\\n\\nNon, pas du tout. Je prends ce qu’il y a à prendre, je ne suis pas la pour me plaindre. Je sais que c’est une opportunité pour moi de porter le maillot tricolore. C’est plus une fierté qu’autre chose. On verra ce qui se passera à la coupe du Monde, mais dans tous les cas je serai très content de voir ce groupe défendre les couleurs de la France.\\n\\nVous êtes beaucoup utilisé depuis le début de saison, comment vous sentez-vous ?\\n\\nÇa va bien. C’est vrai que j’ai beaucoup été utilisé jusqu’à maintenant, mais j’essaye de faire en sorte de bien récupérer, mais ce n’est pas toujours facile. On engrange beaucoup de fatigue, surtout dans cette période. C’est une période souvent compliquée pour les sportifs. À part ça, mentalement je vais bien donc c’est cool.\\n\\nVous ne cessez de progresser, vous êtes une pièce maitresse de Nanterre cette saison, comment voyez-vous la suite de ta carrière ?\\n\\nFranchement je ne sais pas du tout. Pour l’instant je n’y pense pas... Je suis focalisé sur ma saison, sur le fait de performer pour rendre mon équipe meilleure et essayé de rester dans le top 4 de Jeep Elite. Ce serait déjà énorme. J’essaye de ne pas penser trop loin.\\n\\nEn début de saison vous avez même dépanné à la mène, où est-ce que vous vous sentez le mieux sur le terrain ?\\n\\nAh très bonne question ! Je me sens très bien à l’aile, en poste 2/3. Je suis vraiment à l’aise dans ce poste là. Je sais que je peux dépanner au poste 1 comme en début de saison et l’année dernière j’ai même dépanner au poste 4 (sourire) ! Je peux donner un coup de main au poste 1, mais ce n’est pas vraiment ma zone de confort, mais j’aime bien être dans ce rôle parce que j’aime bien faire jouer l’équipe. Dépanner au poste 1 ça me dérange pas mais mon poste de prédilection c’est le 2/3.\\n\\nAvant vous étiez considéré comme un fort défenseur et petit à petit vous avez su développer une capacité à être aussi bon des deux côtés du terrain. Il y a eu un déclic particulier ?\\n\\nC’est à force de travail. Je savais aussi que j’avais des capacités offensives très honorables donc je savais que tôt ou tard j’allais avoir ma chance. J’ai continué à bosser pour progresser et je pense que tant que tu essayes de surpasser tes limites et que tu essayes de travailler au maximum ça paye. J’ai la chance à Nanterre de pouvoir m’exprimer avec Pascal Donnadieu qui m’exploite très bien et avec mes coéquipiers qui me mettent bien en valeur.\\n\\nVous êtes le meilleur joueur de la deuxième équipe du championnat, même s’il est encore tôt et qu’il peut se passer beaucoup de choses, est-ce que vous pensez aussi aux récompenses personnelles ?\\n\\nCe n’est pas du tout mon truc ! Je n’y pense même pas. Finir MVP c’est tellement loin, la saison est tellement longue, il peut se passer tellement de choses... Je n’ai jamais eu de récompense individuelle sauf le titre de MVP du match des champions en 2017. J’avais terminé deuxième au vote de meilleure progression de Pro B. Je ne porte pas d’attention à ce genre de récompense. Je vis au jour le jour, je suis juste heureux de pouvoir faire de ce sport mon métier. Tout le reste, c’est du bonus.\\n\\nAvec une seule défaite sur les six derniers matchs de championnat, pensez-vous que l’équipe a trouvé son rythme ?\\n\\nFranchement oui. On a récupéré tout le monde, on a un bon rythme, on a de vrais bon gars. Tout le monde est très motivé, les gars sont très impliqués. On s’entend aussi très bien en dehors du terrain donc ça aide vachement. J’espère qu’on va continuer sur cette lancée et continuer à progresser en écoutant les consignes du coach pour pouvoir avancer sereinement jusqu’à la fin de saison.\\n\\nQuels sont les objectifs que vous vous êtes fixés ?\\n\\nA Nanterre c’est très simple. On veut participer à la Leaders Cup, essayer d’aller le plus loin possible en Coupe de France et faire les playoffs, tout simplement. On verra ce qui se passera parce qu’une saison c’est très, très long. L’année dernière on voyait Monaco tout beau et finalement c’est Le Mans qui termine champion. On sait que tout est possible dans notre championnat.\\n\\nQue pensez-vous de votre nouveau surnom « Black Jesus » ?\\n\\nJe déteste ce surnom... Je n’aime pas trop, ça fait un peu caricatura. A la base c’est juste un petit délire avec mes coéquipiers et puis c’est sorti dans les journaux donc je n’ai pas trop kiffé. Ça me met plus mal à l’aise qu’autre chose. Dans l’équipe, entre nous c’est marrant, mais je n’aime pas qu’on m’appelle comme ça. Je préfère qu’on m’appelle Lahaou (sourire).\\n\\n[armelse]\\n\\nVous retrouvez donc une nouvelle fois l’Equipe de France, ça commence à être une habitude.\\n\\nUne habitude je n’irai pas jusque-là encore... En tout cas, c’est un plaisir d’être là, c’est toujours un plaisir d’être appelé, de faire partie d’une fenêtre internationale. On a une mission, c’est de qualifier l’équipe pour la coupe du Monde.\\n\\nIl y a toujours des absents et de la fatigue. On peut penser que votre rôle sera un peu plus important encore ?\\n\\nC’est possible... A voir aussi avec les choix du coach. J’espère pouvoir apporter à ce groupe ce qu’il a besoin et donc réussir ma mission. De toute façon, moi je suis là pour une mission !\\n\\nN’est-ce pas trop frustrant de venir pour les qualifications et de savoir que pour la compétition finale il a des chances que finalement vous ne soyez pas sélectionné ?\\n\\nNon, pas du tout. Je prends ce qu’il y a à prendre, je ne suis pas la pour me plaindre. Je sais que c’est une opportunité pour moi de porter le maillot tricolore. C’est plus une fierté qu’autre chose. On verra ce qui se passera à la coupe du Monde, mais dans tous les cas je serai très content de voir ce groupe défendre les couleurs de la France.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Bellenger/IS/FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"C’est fait: vainqueur de la République Tchèque (79-65), la France est qualifiée pour la Coupe du Monde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est désormais mathématique: l’équipe de France a son visa pour la Coupe du Monde en Chine. Une qualification collective dans le sens que 28 des 43 joueurs du Team France ont participé jusqu’ici aux éliminatoires que la FFBB avait parfaitement anticipées. A chaque fois la France a présenté une équipe à géométrie variable et les absences des NBAers et des joueurs d’Euroleague plus les forfaits d’autres cadres n’ont pas empêché celle constituée pour cette fenêtre de faire le job en République Tchèque et d’envisager sérieusement de terminer première du groupe, ce qui serait important pour le tirage au sort.\\n\\nMême si les Bleus ont manqué d’un shooteur extérieur fiable à Pardubice, on a découvert un épatant Amath Mbaye (18 points, 5 passes, 21 d’évaluation) alors que le Limougeaud Axel Bouteille (13 points) est sorti de son nid au meilleur moment.\\n\\nVincent Collet alignait au départ Andrew Albicy, Paul Lacombe, Lahaou Konate, Amath Mbaye et Mathias Lessort et après trois secondes de jeu Amath Mbaye dunkait! Un signe. L’intérieur de la Virtus Bologne scorait peu après à trois-points et marquait 10 points en 6 minutes. Aussi à l’aise que s’il était un abonné à l’équipe de France alors que c’était sa première sélection.\\n\\nLes Français apparaissaient tout de suite plus physiques et athlétiques que les Tchèques et ils profitaient de la défense laxiste de ceux-ci pour marquer 26 points -contre 19 à leurs adversaires- après un quart-temps avec 62,5% de réussite.\\n\\nSeulement, portés par un public de Pardubice bien chaud mais bon enfant, qui tapait dans ses mains au son du... french cancan, les Tchèques, organisés autour des joueurs du CEZ Nymburk, faisaient bien circuler le ballon et profitaient de leur adresse générale (57,1% de réussite en première mi-temps) et de celle de l’ailier Vojtech Hruban (2,02m, 29 ans) en particulier (15 points à 3/4 à trois-points et 5 rebonds sur ses 19 premières minutes), capable de scorer démarqué ou pas, pour revenir dans la course. Surtout les Bleus se retrouvaient d’un seul coup bloqués devant la défense hybride des Tchèques, encaissaient un 7-0, voyaient ceux-ci revenir sur leur ligne (28-28 après 13′) et ne possédaient que deux points d’avance (39-37) à la mi-temps. Leur adresse générale était tombée à 42,4%, la paire Albicy/Lacombe étant à 3/12.\\n\\nL’estocade de Axel Bouteille\\n\\nEn confiance, adroits, les Tchèques passaient en tête au début de la deuxième mi-temps. Heureusement Ousmane Camara était très solide au rebond (8 prises en 15′ de jeu total) permettant aux Français d’avoir deux ou trois chances de shoot en attaque. Le score favorable aux Français de 52-51 après trois quart-temps démontrait que l’incertitude quant au résultat était toujours totale.\\n\\nLes Bleus ne montaient pas assez sur les shooteurs longue distance tchèques et se retrouvaient à cinq points après 32 minutes (54-59). C’est peu après que les Tchèques se sont éteints, la défense des Français les étouffait. Axel Bouteille a apporté cinq points vivifiants pour permettre à la France de prendre les commandes. Un lancer et un trois-points de Amath Mbaye lui ont donné un premier petit matelas de sept points. Le money time était complètement en faveur des Bleus. Deux lancers francs de Paul Lacombe, un contre majestueux de Mathias Lessort et deux paniers avec la planche de Axel Bouteille, brillant dans ces cinq dernières minutes, concluaient l’affaire.\\n\\nLa boxscore est ici\\n\\nLE PRORAMME\\n\\nA Limoges\\n\\nLundi 3 décembre – France-Bulgarie\\n\\nStage en Finlande – février 2019 (lieu à déterminer)\\nJeudi 21 février – Finlande-France\\n\\nStage en France – février 2019 (lieu à déterminer)\\nDimanche 24 février – France-République Tchèque\\n\\nCoupe du Monde en Chine du 31 août au 15 septembre 2019 à Pékin, Nankin, Shanghai, Wuhan, Canton, Shenzhen, Foshan et Dongguan1\\n\\n32 équipes. Les équipes les mieux classées à la coupe du monde (une pour l’Afrique, l’Asie et l’Océanie, deux pour l’Amérique et l’Europe) sont directement qualifiés pour les Jeux, soit 7 équipes. L’équipe du Japon est directement qualifiée pour les Jeux. Quatre autres équipes seront déterminés selon les tournois de qualifications préolympiques.\\n\\nPhoto: Amath Mbaye (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Après Antibes et Cholet, Danny Gibson file en Turquie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pigiste médical à Antibes puis appelé en renfort par Cholet, Danny Gibson (1,78m, 34 ans) va connaître son troisième club cette saison après seulement trois mois.\\n\\nSur Twitter, le club turc de Buyukcekmece annonce la signature du meneur de jeu Cotonou. Passé par l’Allemagne, les Pays-Bas, la Bulgarie ou encore la Pologne, il portait le maillot du Limoges CSP la saison dernière pour vivre sa première expérience en France.\\n\\nEn début de saison avec Antibes, Danny Gibson tournait à 13,6 points, 6,6 passes décisives et 3,2 rebonds pour 16 d’évaluation, mais il est retombé à 6 petits points et un peu plus de 2 passes par match avec Cholet (3,3 d’évaluation).\\n\\n\\n\\n\\n\\DANNY GIBSONArel Üniversitesi Büyükçekmece Basketbol'da\\\\n\\n\\nVideo :https://t.co/MfYCZ4euNd\\n\\n\\nGİBSON ' A \\ BÜYÜK BÜYÜKÇEKMECE AİLESİNE HOŞ GELDİN \\diyoruz.\\n\\n\\nArel Üniversitesi\\n\\n\\nBüyükçekmece Basketbol pic.twitter.com/Ty0CF6orT6\\n\\n\\n— Onvo Büyükçekmece Basketbol (@BuyukcekmeceBK) November 30, 2018\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du monde – Jeff Van Gundy après le camouflet des Etats-Unis: «L’Argentine nous a donnés un coup de pied aux fesses»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Etats-Unis ne sont toujours pas qualifiés pour la Coupe du monde 2019 et après leur défaite face au Mexique en juin dernier, ils ont lourdement chuté face à l’Argentine, qui était à domicile, 80-63.\\n\\nLes Américains avaient pourtant bien démarré le match mais ils ont été ensuite secoués par la détermination de la Rioja qui a répondu avec un 31-10. Le meilleur marqueur argentin a été Nicolás Laprovittola (17 points), devant Lucio Redivo (14) et le vénérable Luis Scola, 38 ans (10).\\n\\n« L’Argentine est une équipe formidable et après les cinq premières minutes, elle nous a donné un coup de pied aux fesses », a déclaré l’entraîneur des États-Unis, Jeff Van Gundy. «Et, donnez-leur tout le crédit, ils ont joué un match fantastique des deux côtés du terrain. Nous avons passé une soirée difficile dans tous les sens du terme. Je ne pense pas qu’il y ait eu beaucoup de points positifs pour nous dans ce match alors qu’on est censé répondre quand on se fait botter le dernière. Nous sommes ensemble trois jours de plus, nous avons une autre chance dimanche (contre l’Uruguay) j’espère que nous jouerons beaucoup mieux. »\\n\\nAvec 8 victoires en 9 matches, l’Argentine est en tête du groupe 3 et déjà qualifiée pour la Coupe du monde. Les Américains, qui sont représentés par une sélection de joueurs de G-League sont encore loin d’être éliminés puisque les trois premiers de chaque groupe ainsi que les meilleures quatrièmes de la zone américaine seront qualifiés pour la Coupe du Monde. Il reste trois matches aux USA pour assurer leurs arrières.\\n\\nPhoto: Luis Scola (Argentine)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague féminine: Bourges et Marine Johannès tiennent la cadence"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Malgré un spectaculaire retour dans le troisième quart-temps après une entame catastrophique (13 points de marqués en 20′!), Villeneuve d’Ascq s’est incliné au Palacium face aux Polonaises de Polkowice (45-48), alors que Charleville se faisait plumer (62-93) en Lettonie face au TTT Riga. C’est une fois encore Bourges qui permet aux clubs français de ne pas être fanny avec un match maîtrisé en Italie face à Schio (66-55), l’équipe coachée par Pierre Vincent où Sandrine Gruda a été discrète (4 points, 2/7 aux tirs, 4 rebonds).\\n\\nC’est une bonne habitude: Marine Johannès a été la top scoreuse des Berruyères avec 16 points à 6/11 aux tirs et ajoutant 3 passes.\\n\\nEn quatre matches d’Euroleague, l’étoile du basket féminin français est la numéro 1 aux points de son équipe (17,0) avec un remarquable 72,2% de réussite à deux-points, à l’évaluation (15,3) et la deuxième aux passes (3,0).\\n\\nAvec 2 victoires, Villeneuve et Charleville demeurent en course pour un ticket pour les playoffs alors qu’avec 3 succès Bourges est bien positionné. Les Tango sont à égalité dans leur groupe avec Prague, qui a subi cette semaine comme prévu la loi de Ekaterinbourg en Russie (59-97) avec 5 points, 6 rebonds... 6 balles perdues de l’ancienne Berruyère Valériane Ayayi.\\n\\nPar ailleurs, la néo internationale Bria Hartley a effectué son premier match d’Euroleague avec le Fenerbahçe de Valérie Garnier qui a frôlé l’exploit à Kourks (63-64) qui peut dire merci à Tina Charles (22 points, 9 rebonds). Bria Hartley a inscrit 11 points mais à 3/11 et fait 5 passes.\\n\\nMarine Johannès (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : le CSKA remporte le combat des chefs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sans son général en chef, Sergio Llull encore gêné au genou, le Real Madrid est actuellement dans le creux de la vague. En l’espace de quelques jours, ils ont perdu la main sur leur 1ère place en Liga ACB, et en Euroleague ! Et hier soir face au CSKA Moscou, son rival au sommet du classement, le Real a de nouveau chuté !\\n\\nPar ailleurs, le Zalgiris Kaunas et le Maccabi Tel Aviv se sont offerts leur premier succès de la saison à domicile, lors de la 10e levée ! Dans le dernier match de la soirée, Gran Canaria a engrangé un 3e succès cette saison en réalisant le hold up face au Darussafaka.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe CSKA abat le Real\\n\\nDans le duel au sommet des superpuissances, privées de leur Sergio (Llull et Rodriguez), c’est le CSKA qui a le moins ressenti l’absence de son meneur espagnol dans un succès autoritaire (93-88). Le Real s’est pris les pieds le tapis d’entrée, avec un 17-3 bientôt absorbé, mais doublé d’un 19-6 en 3e quart qui s’est révélé insurmontable.\\n\\nCory Higgins (24 points, 4 passes) et Will Clyburn (18 points, 6 rebonds) ont à nouveau porté l’essentiel de la charge pour le CSKA. Nando De Colo (15 points, 5 passes) n’a pas laissé sa part au chien avec des shoots importants dans le final.\\n\\nPour le Real, Facundo Campazzo inscrira des paniers plus fous les uns que les autres avec un premier tir au buzzer de sa partie de terrain, puis 8 points avec deux trois points plus la faute dans les ultimes secondes pour finir meilleur marqueur à 23 unités.\\n\\n\\nPremière victoire à domicile du Zalgiris\\n\\nLa quatrième tentative aura été la bonne pour le Zalgiris Kaunas. C’est la réception de Milan qui a mis fin à la série noire de 3 défaites de rang (et sur le fil) à domicile des Baltes. Brandon Davies (27 points, 10 rebonds) a été l’immense bonhomme du match avec des dunks à gogo et un ultime layup pour assurer définitivement ce succès qui fait le plus grand bien au Zalgiris (83-78).\\n\\nC’est un 18-0 sanglant en 2e quart qui a mis les Milanais à genoux. Mike James a pourtant tenu son rang avec 17 points, 7 passes, en remobilisant ses troupes ; tout comme les deux Lituaniens, Arturas Gudaitis (16 points, 7 rebonds, 3 interceptions, 3 contres) et Mindaugas Kuzminskas (14 points). Mais après son coup de chaud, Milan rentre bel et bien dans le rang avec une 2e défaite de suite.\\n\\n\\nGran Canaria fait le hold up !\\n\\nAncien grand espoir du Barça, Marcus Eriksson (23 points dont 5/8 à trois points) a réussi son meilleur match en carrière dans la victoire de Gran Canaria à Istanbul, face au Darussafaka (75-71).\\n\\nC’est la première victoire à l’extérieur de GranCa et, à l’inverse, le 8e revers de rang du Darussafaka. Le match s’est décidé pour de bon sur un 11-0 impulsé par DJ Strawberry en dernier quart. Anzejs Pasecniks (17 points, 8 rebonds) confirme qu’il a passé un cap cette saison avec un gros match.\\n\\n\\nLe Maccabi à la relance\\n\\nSous les yeux de Dikembe Mutombo, en Israël pour inaugurer un centre sportif pour enfants, le Maccabi a parfaitement entamé sa nouvelle ère avec Ioannis Sfairopoulos par une victoire face au Bayern Munich (95-71).\\n\\nAprès 6 défaites de rang, ce succès autoritaire face aux Bavarois est bon signe pour le Maccabi qui a compté sur un bel effort collectif, avec 7 joueurs en double figure à l’évaluation dont 14 points, 4 rebonds, 4 passes pour Michael Roll.\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 15 points (5/8 aux tirs), 5 passes, 3 rebonds, 3 balles perdues en 29 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 5 points (2/4 aux tirs), 2 passes, 1 rebond, 1 balle perdue en 16 minutes\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 0 point (0/2 aux tirs), 6 passes, 1 balle perdue en 15 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 1 balle perdue en 6 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nObservez le travail de Nando De Colo, au poste bas pendant quasiment 15 secondes à torturer Facundo Campazzo. Mais avec toute son intelligence et son feeling pour le jeu, De Colo arrive pile poil à la rescousse de Cory Higgins pour déclencher un trois points plus vite que son ombre. Ça tombe dedans sur la cloche. Du très grand art !\\n\\n\\n\\n\\nShot clock running down?\\n\\n\\nNo problem for @NandoDeColo #7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/ZzRtESYMzV\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) November 29, 2018\\n\\n\\nLes résultats de la 10e journée\\n\\nJeudi 29 novembre :\\nDarussafaka – Gran Canaria (71-75)\\nZalgiris Kaunas – Milan (83-78)\\nMaccabi Tel Aviv – Bayern Munich (95-71)\\nReal Madrid – CSKA Moscou (88-93)\\n\\nVendredi 30 novembre :\\nKhimki Moscou – Panathinaikos (18h)\\nEfes Istanbul – Vitoria (18h30)\\nOlympiakos – Podgorica (20h30)\\nBarcelone – Fenerbahçe (21h)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 11e journée\\n\\nJeudi 6 décembre :\\nPodgorica – Barcelone (19h)\\nDarussafaka – Maccabi Tel Aviv (19h)\\nZalgiris Kaunas – Olympiakos (19h)\\nBayern Munich – Khimki Moscou (20h30)\\nMilan – Gran Canaria (20h45)\\n\\nVendredi 7 décembre :\\nEfes Istanbul – Real Madrid (18h30)\\nVitoria – CSKA Moscou (20h30)\\nPanathinaikos – Fenerbahçe (20h30)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe CSKA abat le Real\\n\\nDans le duel au sommet des superpuissances, privées de leur Sergio (Llull et Rodriguez), c’est le CSKA qui a le moins ressenti l’absence de son meneur espagnol dans un succès autoritaire (93-88). Le Real s’est pris les pieds le tapis d’entrée, avec un 17-3 bientôt absorbé, mais doublé d’un 19-6 en 3e quart qui s’est révélé insurmontable.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualification Coupe du Monde: Le triste sort de la Slovénie, championne d’Europe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est une très mauvaise nouvelle pour la Slovénie et aussi pour tout le basket: le champion d’Europe en titre n’ira pas à la Coupe du monde 2019 en Chine victime du système de qualification et aussi de son peu de réserves. Sans leurs cadres et notamment leur génie Luka Doncic (Dallas Mavericks) et leur meneur Goran Dragic (Miami Heat), les Slovènes ont été pulvérisés hier en Ukraine (54-82), l’avant-dernier du groupe I et consolident ainsi leur dernière place (2 victoires pour 7 défaites).\\n\\nAinsi, après avoir remporté le titre de championne d’Europe l’année dernière avec quinze victoires consécutives – six en qualifications et neuf à l’Eurobasket en Finlande et en Turquie -, la Slovénie a gagné le premier match de ces qualifications contre la Biélorussie et le troisième au Monténégro et échoué deux fois contre l’Espagne, en Biélorussie, à domicile face au Monténégro, en Lettonie, à domicile face à la Turquie et donc en Ukraine.\\nIl faut savoir que c’est la première fois que l’Ukraine a vaincu la Slovénie après onze défaites consécutives échelonnées en vingt-et-un ans. L’écart de vingt-huit points est par ailleurs le plus important concédée par l’équipe slovène depuis 1992.\\n\\n« Les Ukrainiens ont commencé le match fermement et très motivés. Par ailleurs, je n’avais pas la bonne réponse. Je crois que les garçons avaient une motivation, mais ils ne l’ont pas montrée sur le terrain. Bien que nous soyons jeunes, nous devrons faire preuve de plus de volonté, de puissance et de caractère à l’avenir. J’espère que c’était une bonne école pour nous tous et que nous en montrerons beaucoup plus lors du prochain match de dimanche. Les joueurs devront d’abord se remettre de ce choc, car ils sont clairement déçus. Ils sont fièrement entrés dans l’équipe nationale puis ont subi une grande défaite. Durant ces trois jours, nous devons retrouver nos esprits et montrer que nous pouvons jouer au basketball, » a commenté le coach Radovan Trifunović.\\n\\nSi elle n’ira pas à la Coupe du Monde, la Slovénie pourra toujours se qualifier pour les JO de Tokyo en 2020 via le Tournoi de Qualification Olympique.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet (sélectionneur Equipe de France) : «Le public de Limoges va nous aider à gagner le match face à la Bulgarie»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A quelques jours du déplacement en République Tchèque et de la réception de la Bulgarie à Limoges, l’Equipe de France s’est réunie en stage de préparation à Nanterre.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès l’entraînement matinal de mercredi, le sélectionneur des Bleus, Vincent Collet s’est exprimé face à la presse sur les deux rencontres de qualification à venir pour la Coupe du Monde 2019.\\n\\n« On a une bonne atmosphère de travail. Les joueurs présents s’investissent beaucoup. La cascade de forfaits est quand même un coup dur à surmonter donc il faut qu’on en appelle à l’énergie, la détermination. Il faut revenir sur les deux fenêtres de novembre et février derniers où on avait la meilleure défense de toutes les poules confondues. On a un peu lâché ça sur la dernière fenêtre, en juillet, on a été un peu moins performants dans ce domaine-là. Pour s’en sortir, il va falloir une défense de plomb. Le message a été passé, j’espère qu’il va être entendu. C’est la défense qui peut nous permettre de nous en sortir vendredi en République Tchèque. Il n’y a pas de raison de s’inquiéter parce que notre situation est quand même bonne. On sait qu’on a besoin que d’une seule victoire pour assurer notre qualification donc on veut le faire le plus vite possible, mais au-delà de ça on ne se projette jamais dans les matchs suivants. On est vraiment concentrés sur une fenêtre et on est un peu obligé de le faire parce que les équipes sont tellement différentes à chaque fois. On ne sait jamais avec quelle équipe on va jouer. Gagner les deux prochains matchs, c’est le challenge de cette équipe-là. On n’est pas inquiets mais on est conscients qu’il nous manque des forces sur lesquelles compter. A l’intérieur, il manque trois joueurs parmi ceux qui étaient sélectionnés au départ : Moustapha Fall, Louis Labeyrie et Amine Noua. Des cinq sélectionnés, il ne reste que Mathias Lessort et Alain Koffi. On espère que les remplaçants seront à la hauteur mais on sait que c’est une situation qui peut être difficile à gérer. »\\n\\nLundi à Limoges, l’Equipe de France recevra la Bulgarie. Seule équipe qui a fait chuter les joueurs de Vincent Collet jusqu’à maintenant.\\n\\n« C’est surtout l’état d’esprit défensif qui n’était pas suffisant. Il y avait eu une baisse même entre le tournoi à Paris et le premier match contre la Bulgarie. On sait que la République Tchèque n’a encore perdu aucun match à la maison, qu’elle joue toujours au même endroit, loin de Prague, dans une petite salle. On s’attend à une réception difficile donc on veut y aller avec beaucoup de détermination défensive en particulier. On sait qu’il nous manque des joueurs, mais eux aussi. Par conséquent, si on défend très fort sur les extérieurs, ils peuvent aussi être en difficulté. La qualification n’est pas encore acquise, il faut gagner un match et il faut très clairement éviter d’avoir à le faire au mois de février. C’est sur cette fenêtre-là qu’il faut le faire parce qu’après on va en Finlande et on reçoit la République Tchèque. Il faut le faire maintenant, même si ça ne dépend pas que de nous. La Bulgarie va en Bosnie cette semaine et une défaite nous qualifierait également. »\\n\\nC’est dans la ville du basket en France, Limoges, que les Bleus recevront les Bulgares. Une rencontre particulière au Palais des Sports Beaublanc, qui sera un hommage à Frédéric Forte.\\n\\n« Ça me parait normal, naturel, pour ce qu’il a fait, pour sa carrière. Je pense que ce choix-là est tout à fait judicieux. Ça sera ma première en tant que coach de l’Equipe de France à Limoges, oui, mais ça ne pourra pas être pire qu’avec la SIG. Je ne peux pas savoir comment ça se passera, on n’en parlera une fois que ça sera fait. De toute façon, je ne pense pas que ça aille plus loin qu’avec la SIG. Pour l’instant je n’y pense pas vraiment, mais je pense sincèrement que de jouer à Limoges va nous aider si par mésaventure on ne gagne pas en République Tchèque. Le public va nous aider à gagner le match face à la Bulgarie. »\\n\\nPour ce stage de préparation, Vincent Collet a fait appel à deux partenaires d’entraînement, il s’agit des jeunes Jean-Marc Pansa (21 ans) et Théo Maledon (17 ans). Les deux joueurs sont en course pour les prochaines fenêtres internationales, même si l’entraîneur de l’EDF n’exclut pas d’en garder un pour les deux matchs à venir.\\n\\n« Jean-Marc Pansa et Théo Maledon sont au diapason du groupe. Ils se comportent très bien. Ils sont totalement dans l’esprit. Globalement le groupe travaille très bien, il faut le dire. Et les deux jeunes sont très bien. A priori ils ne devraient pas prendre une place pour les matchs à venir, mais on se réserve toujours cette possibilité. Leur progression fait qu’ils vont être des candidats potentiels pour la prochaine fenêtre, très clairement. »\\n\\nPour terminer, l’entraîneur de la SIG Strasbourg, a évoqué le retour en Euroleague de l’ASVEL qui fournit régulièrement des joueurs en Equipe de France.\\n\\n« C’est une bonne nouvelle pour le basket français d’avoir un club de retour dans la meilleure compétition. Tony (Parker) m’a encore dit en début de semaine qu’il ferait en sorte de libérer les joueurs même si l’ASVEL est en Euroleague... Je ne peux que le croire. »\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès l’entraînement matinal de mercredi, le sélectionneur des Bleus, Vincent Collet s’est exprimé face à la presse sur les deux rencontres de qualification à venir pour la Coupe du Monde 2019.\\n\\n« On a une bonne atmosphère de travail. Les joueurs présents s’investissent beaucoup. La cascade de forfaits est quand même un coup dur à surmonter donc il faut qu’on en appelle à l’énergie, la détermination. Il faut revenir sur les deux fenêtres de novembre et février derniers où on avait la meilleure défense de toutes les poules confondues. On a un peu lâché ça sur la dernière fenêtre, en juillet, on a été un peu moins performants dans ce domaine-là. Pour s’en sortir, il va falloir une défense de plomb. Le message a été passé, j’espère qu’il va être entendu. C’est la défense qui peut nous permettre de nous en sortir vendredi en République Tchèque. Il n’y a pas de raison de s’inquiéter parce que notre situation est quand même bonne. On sait qu’on a besoin que d’une seule victoire pour assurer notre qualification donc on veut le faire le plus vite possible, mais au-delà de ça on ne se projette jamais dans les matchs suivants.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde: Australie, Espagne, Etats-Unis et France à une victoire de la qualification"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quatre des nations dominantes du basketball mondial – Australie, Espagne, Etats-Unis et France – peuvent décrocher leur qualification pour la Coupe du Monde 2019 en cas de victoire lors de leur premier match de la cinquième fenêtre qualificative. Toutes ces nations n’ont perdu qu’un seul match depuis les débuts des Éliminatoires.\\n\\n\\nAUSTRALIE\\n\\n\\nLes Boomers se sont nettement imposés à chacune de leurs sorties en Zone Asie, à l’exception de la défaite d’un point au Japon lors de la troisième fenêtre. L’Australie se qualifiera pour la Coupe du Monde si elle gagne contre l’Iran vendredi à la Margaret Court Arena de Melbourne. Ils ont battu les Iraniens en finale de la FIBA Asia Cup 2017 au Liban. Si l’Iran remporte la confrontation, l’Australie aura encore une chance d’assurer sa participation à la compétition mondiale à 32 équipes en prenant le meilleur sur le Qatar lundi à Melbourne.\\n\\n\\nFRANCE\\n\\n\\nLa France entrera vendredi sur le terrain de Pardubice en sachant qu’une victoire contre la République tchèque – une des quatre nations européennes déjà qualifiées pour la Coupe du Monde – lui offrirait une participation à la compétition mondiale en Chine. Les Bleus, qui ont pris part aux trois dernières éditions de la Coupe du Monde, accueilleront la Bulgarie lundi à Limoges pour le second match de cette fenêtre qualificative.\\n\\n\\nESPAGNE\\n\\n\\nSi l‘Espagne s’impose jeudi à Ankara contre la Turquie et que dans le même temps l’Ukraine s’incline à domicile contre la Slovénie, elle assurera sa place à la prochaine Coupe du Monde. L’Espagne recevra encore l’Ukraine dimanche à Tenerife.\\n\\n\\nUSA\\n\\n\\nEn cas de succès contre l’Argentine vendredi à La Rioja, les USA se qualifieront pour la Coupe du Monde. Les Américains affronteront ensuite l’Uruguay dimanche à Montevideo pour le compte du deuxième match de cette fenêtre."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jean-Pierre De Vincenzi (ex-DTN): «Avec le recul, les fenêtres sont une réussite»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Jean-Pierre De Vincenzi, 61 ans, a été le coach de l’équipe de France entre 1995 et 2000, décrochant notamment la médaille d’argent aux Jeux Olympiques de Sydney. DTN puis directeur de l’INSEP, il est depuis 2017 Inspecteur général de la jeunesse et des sports. Il porte un regard sur le nouveau système des compétitions internationales, à la fois de l’intérieur mais également avec un certain recul.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe nouveau système de qualification pour la coupe du monde de basket 2019, les fameuses fenêtres, a soulevé des incompréhensions en France. Quel est votre sentiment sur ce nouveau format ?\\n\\nDéjà, quand on propose quelque chose de nouveau, il y a toujours des interrogations et forcément, des sujets qui ne sont pas clarifiés d’entrée de jeu parce qu’ils sont soumis à des paramètres, à des fluctuations, à des choses mal maîtrisées. Donc, on peut toujours comprendre la première critique. Seulement, la vraie question, c’est de savoir pourquoi ce format a été proposé ? En fait, selon l’endroit où on se place, l’appréciation n’est pas la même. Si on se place côté FIBA, on regarde le basket dans son ensemble et on se pose la question du développement du basket mondial, avec un gros partenaire qui est la NBA, qui est une locomotive qui travaille dans le secteur commercial de l’activité. Soit on se place côté fédération et organisation de la constitution des équipes nationales pour ces qualifications et à ce moment-là, on voit les choses différemment. Les fenêtres ont été proposées dans un but de développement du basket mondial parce qu’il est difficile de vendre une activité et de travailler à son développement si on ne la montre pas, si on ne l’expose pas. Donc il fallait montrer plus les équipes nationales. Plus souvent, pas seulement quinze jours l’été. Et les montrer à domicile, lors de matches à enjeux. Tout cela tombe sous le coup de l’évidence.\\n\\nPourquoi cette contestation alors ?\\n\\nLe deuxième point, c’est comment faire pour que tout le monde participe ? Pour qu’il y ait une vraie adhésion et une vraie dynamique globale. Il fallait que tout le monde soit concerné, pas seulement les grosses nations d’un côté qui se partagent toujours le gros morceau du gâteau et les petits de l’autre côté qui sont considérés comme les deuxième, troisième et quatrième niveaux. Aujourd’hui, avec l’ouverture des frontières et la mobilité des joueurs – des joueurs de petites nations vont jouer pour de gros clubs dans des championnats forts parce que ce sont de bons joueurs et que la réglementation le permet – on a des équipes nationales de petites nations qui peuvent s’avérer être compétitives. L’idée, c’était donc de favoriser cela et de permettre à ces gens-là de participer à la coupe du monde, à travers un système de qualifications avec des fenêtres. En même temps, l’idée était de se dire : si on fait participer tout le monde et que les joueurs NBA ne sont pas toujours disponibles, ça permet à des jeunes joueurs d’émerger, parce qu’on donne leur chance à beaucoup de joueurs et cette chance, on ne leur aurait pas donné dans d’autres conditions. Au départ, cet argument, qui était celui de Patrick Baumann, que les fenêtres allaient pousser sur le devant de la scène de nouveaux joueurs, les observateurs n’y croyaient pas. Aujourd’hui, il s’avère totalement vrai.\\n\\nQuel premier bilan vous faîtes de cette première année de fenêtres ?\\n\\nAvec du recul, on se dit que c’est quand même une réussite. Cela a permis à des jeunes joueurs d’éclore, ça a permis à des nations qui se disaient en danger – la France, la Grèce et d’autres – de se qualifier tout de même ou d’être en très bonne voie. On ne peut pas dire que cela a été un gros handicap. Les petites nations participent et sont contentes. Il était nécessaire de passer à autre chose et ce genre de transition se fait souvent dans la douleur. Mais tout le monde n’a pas été clair sur le sujet. La disposition qui mettait en place le nouveau système avec les fenêtres est quand même passée à l’unanimité lors du vote à la FIBA. Tout le monde a voté pour. Certains vont me dire : oui mais on ne pouvait pas faire autrement ! Si, on peut toujours faire autrement, je suis désolé. Donc, ce n’est pas quelque chose qui est tombé du ciel. J’étais encore à la fédération française de basket quand les choses ont commencé à être discutées, j’ai assisté à deux réunions à l’époque, tout le monde participait à la discussion. Rien n’empêchait les gens de lever la main et de dire : je suis contre et voilà pourquoi.\\n\\n« Quand j’étais entraîneur de l’équipe de France, on a connu ces fenêtres. On jouait en novembre, en février, on avait toujours les mêmes problèmes – pas encore avec la NBA – mais déjà les grands clubs européens qui avaient du mal à libérer leurs joueurs. »\\n\\nEst-ce que la France du basket, grâce à une génération exceptionnelle au niveau sportif et beaucoup plus fidèle à l’équipe nationale que d’autres joueurs de même calibre, a été gâtée par son équipe de basket et que le passage à un système nouveau est d’autant plus difficile ?\\n\\nDéjà, il faut savoir que ce système de fenêtres de qualification n’est pas totalement nouveau. Quand j’étais entraîneur de l’équipe de France, on a connu ces fenêtres. On jouait en novembre, en février, on avait toujours les mêmes problèmes – pas encore avec la NBA – mais déjà les grands clubs européens qui avaient du mal à libérer leurs joueurs. Ils préféraient mettre les joueurs au repos plutôt que de les voir rejoindre la sélection. Mais bon, on passait par les qualifications, cela ne nous a pas empêché de nous qualifier pour l’Euro 1997 par exemple, on avait gagné nos dix matches. Et quand la FIBA a décidé d’interrompre cela et de ne garder qu’une seule fenêtre à l’année, l’été, pour les équipes nationales, je me souviens de mon homologue italien qui me disait : Jean-Pierre, c’est une catastrophe pour le basket ! Le hand, le football et les autres sports vont avoir des fenêtres et nous, on va exposer nos joueurs qu’une fois par an, et encore pour ceux qui voudront venir car certains choisiront toujours de se reposer... Il y a eu une forme d’incompréhension à l’époque.\\n\\nFaire venir les meilleurs en sélection a toujours été compliqué ?\\n\\nOn a toujours galéré et on galèrera toujours parce qu’au final, ce n’est pas une histoire de galère mais c’est l’histoire de l’équipe de France d’avoir du mal à rassembler ses meilleurs joueurs. Et je vois que c’est la même chose au tennis et dans d’autres sports. Quand on a une équipe nationale, il faut se battre pour avoir les joueurs le jour J. Mais on ne les a pas toujours, ils ont leur vie professionnelle, leurs blessures, leur repos. C’est un vrai combat et c’est vrai qu’avec la génération de Parker et Diaw, qui a eu du mal à monter en puissance, mais arrivés au sommet de leur gloire, ces mecs ont été hyper disponibles – notamment Boris. Des gens qui ont donné l’exemple, qui ont dit et montré leur envie de venir. Et qui ont également vite pris conscience qu’en raison de leur niveau en NBA, ils pouvaient imposer leur point de vue aux franchises en disant : l’été, je joue avec mon équipe nationale. C’est vrai qu’on a été gâté. Mais il ne faut pas se leurrer. Le problème n’avait pas disparu et ne disparaitra pas, fenêtres ou pas fenêtres. Il faudra toujours qu’il y ait un VRP de la fédération pour maintenir le contact avec les GM, les coaches, les joueurs en permanence. Parce que 100% des joueurs ne seront pas toujours disponibles pour l’équipe de France. Pour tout un tas de raison. Qu’on ait une ou trois fenêtres dans l’année.\\n\\n« Vu notre état de performance au plan du top niveau européen, je pense qu’on peut imaginer réduire le nombre d’étrangers tout un maintenant un équilibre économique »\\n\\nLa clé pour traverser sans trembler ce nouveau format, c’est donc le réservoir de joueurs ?\\n\\nLa France a cette richesse particulière par rapport à d’autres nations, c’est que s’il nous manque trois ou quatre joueurs NBA, on peut faire jouer des jeunes joueurs. Et à charge aussi pour la ligue française et les clubs pros qui veulent une vitrine « équipe de France » de réduire un peu le nombre d’étrangers autorisés par équipe. Je ne dis pas totalement mais un peu quand même ! Vu notre état de performance au plan du top niveau européen, je pense qu’on peut imaginer réduire le nombre d’étrangers tout un maintenant un équilibre économique. Et donner plus de places à quelques joueurs français – il suffit de peu parfois – pour qu’on ait une équipe de France encore plus performante. On aura alors un embouteillage pour la sélection.\\n\\nAndrei Kirilenko, ancien All-Star NBA devenu président de la fédération russe, parle de « sabotage » pour qualifier l’attitude de l’Euroleague. Non seulement ECA, l’entreprise privée qui gère la coupe d’Europe, n’a pas aménagé son calendrier, mais elle a programmé des chocs frontaux comme trois affrontements entre clubs turcs et espagnols le jour de Turquie-Espagne ou encore Milan-Kaunas le jour de Lituanie-Italie. Que pensez-vous de ce constat ?\\n\\nC’est délicat et dramatique en même temps. Je suis le premier à regarder l’Euroleague, c’est là que se passent beaucoup de choses intéressantes. C’est vrai que la FIBA, il y a très longtemps, avait une attitude hégémonique et cela agaçait tout le monde. Ensuite, l’Euroleague s’est créée. Il y a eu la SuproLeague de la FIBA en face, puis la FIBA a lâché du lest. Normalement, si tout s’était bien passé, la FIBA devrait faire la maîtrise d’ouvrage et l’Euroleague la maîtrise d’œuvre. Pour la FIBA l’organisation générale et pour l’Euroleague la gestion de la compétition sous la coupe de la FIBA. Aujourd’hui, au-delà des conflits de personnes, on a perdu l’origine des choses. L’Euroleague aurait tout à gagner à jouer le jeu, à respecter les fenêtres et tout pourrait se passer correctement. Et pour le basket, c’est dramatique. On est à un stade où on n’y comprend plus rien.\\n\\n[armelse]\\n\\nLe nouveau système de qualification pour la coupe du monde de basket 2019, les fameuses fenêtres, a soulevé des incompréhensions en France. Quel est votre sentiment sur ce nouveau format ?\\n\\nDéjà, quand on propose quelque chose de nouveau, il y a toujours des interrogations et forcément, des sujets qui ne sont pas clarifiés d’entrée de jeu parce qu’ils sont soumis à des paramètres, à des fluctuations, à des choses mal maîtrisées. Donc, on peut toujours comprendre la première critique. Seulement, la vraie question, c’est de savoir pourquoi ce format a été proposé ? En fait, selon l’endroit où on se place, l’appréciation n’est pas la même. Si on se place côté FIBA, on regarde le basket dans son ensemble et on se pose la question du développement du basket mondial, avec un gros partenaire qui est la NBA, qui est une locomotive qui travaille dans le secteur commercial de l’activité. Soit on se place côté fédération et organisation de la constitution des équipes nationales pour ces qualifications et à ce moment-là, on voit les choses différemment. Les fenêtres ont été proposées dans un but de développement du basket mondial parce qu’il est difficile de vendre une activité et de travailler à son développement si on ne la montre pas, si on ne l’expose pas. Donc il fallait montrer plus les équipes nationales. Plus souvent, pas seulement quinze jours l’été. Et les montrer à domicile, lors de matches à enjeux. Tout cela tombe sous le coup de l’évidence.\\n\\nPourquoi cette contestation alors ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"All Star Game : les noms de tous les sélectionnés dévoilés"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à la réunion du jury d’experts ce jeudi matin, la LNB vient de dévoiler tous les noms des joueurs qui seront présents le 29 décembre prochain pour le All Star Game LNB. Lors de cette soirée charnière de la saison se tiendront le concours de tirs à trois points, le concours de meneurs, le concours de dunks ainsi que le traditionnel match des étoiles qui opposera les meilleurs joueurs français aux meilleurs joueurs étrangers.\\n\\nDans ces deux listes on retrouve, sans surprise, les meilleurs joueurs du championnat à l’évaluation comme Youssoupha Fall, Julian Wright, Devin Ebanks ou encore Lahaou Konaté. Pour rappel, Benoit Mangin et Justin Robinson ont tous les deux été élus par le public, mais nul doute que le meneur de l’Elan Chalon aurait été sélectionné dans tous les cas. A noter également la présence du jeune Théo Malédon qui, même pas majeur, va vivre son premier All Star Game LNB et il aura la chance de prendre part au match ainsi qu’au concours des meneurs où il retrouvera son compagnon d’armes en sélection, Killian Hayes.\\n\\nEn revanche, plusieurs absents sont à souligner comme Zachery Peacock, Zack Wright, Vincent Sanford, Mantas Kalnietis, Jeremy Leloup, Miro Bilan ou encore Pierre Pelos. Touché par un début de saison très compliqué, Limoges est le grand absent de cette sélection puisqu’aucun représentant du CSP ne sera à Bercy le 29 décembre prochain.\\n\\nL’année dernière, la sélection française s’était imposée 181-175 après prolongation et Amara Sy avait été élu MVP de cette rencontre.\\n\\nLes 12 All Stars Français\\n\\nCinq de départ : Paul Lacombe (Monaco), Charles Kahudi (Lyon-Villeurbanne), Lahaou Konaté (Nanterre), Amine Noua (Lyon-Villeurbanne), Youssoupha Fall (Strasbourg)\\n\\nThéo Maledon (Lyon-Villeurbanne), Nicolas De Jong (Boulazac), Yakuba Ouattara (Monaco), Antoine Eito (Le Mans), Alain Koffi (Gravelines-Dunkerque), Ali Traoré (Strasbourg), Benoit Mangin (Le Portel, Vote du Public)\\n\\nEntraineurs : Zvezdan Mitrovic (Monaco) et Laurent Pluvy (Roanne, PRO B)\\n\\nLes 12 All Stars Étrangers\\n\\nCinq de depart : Justin Roberson (Chalon-sur-Saône, Vote du Public), David Lighty (Lyon-Villeurbanne), Devin Ebanks (Châlons-Reims), Julian Wright (Levallois), Youssou Ndoye (Bourg-en-Bresse)\\n\\nDonta Smith (Pau-Lacq-Orthez), Karvel Anderson (Gravelines-Dunkerque), David Holston (Dijon), Vitalis Chikoko (Pau-Lacq-Orthez), Roko-Leni Ukic (Levallois), Mardy Collins (Strasbourg), Mouphtaou Yarou (Levallois)\\n\\nEntraineurs : Laurent Legname (Dijon) et Germain Castano (Orléans, PRO B)\\n\\n * Concours à 3 points : Bastien Pinault, Jarell Eddie, Scott Wood, Adas Juskevicius\\n * Concours de meneurs : Benjamin Sene, Theo Maledon, Killian Hayes, Justin Robinson\\n\\nLes noms des participants au concours de dunks seront dévoilés plus tard.\\n\\nPhoto : Catherine Steenkeste"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Chris McKnight pigiste médical de Tyren Johnson à Blois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Touché au genou gauche, Tyran Johnson va être tenu écarté des parquets pendant de longues semaines, c’est pourquoi Blois a fait appel à Christopher McKnight (2m01, 31 ans) en qualité de pigiste médical.\\n\\nSur son site, l’ADA annonce que Tyren Johnson a passé des examens à Paris et qu’il va devoir suivre un protocole de renforcement pour son genou gauche qui le rend forfait jusqu’au mois de février et que Chris McKnight s’est donc engagé pour cette période.\\n\\nDepuis trois ans en France, d’abord une saison à Charleville-Mézières, puis deux ans à Nantes, le natif de Lancaster évoluait depuis le début de saison en deuxième division israélienne. Le club espère pouvoir l’aligner sur la feuille de match dès la réception de Nancy, le 8 décembre.\\n\\nLa saison dernière, Chris McKnight compilait en moyenne 10,9 points et 6,1 rebonds en Pro B.\\n\\nPhoto : Gregory Leroy"
}, 
{"role": "user",     "content":"Hedo Turkoglu (Président de la fédération turque) : «J’espère que les fenêtres internationales vont s’arrêter»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Interviewé par le site espagnol AS, Hedo Turkoglu est une nouvelle fois revenu sur le nouveau système de la FIBA concernant les fenêtres internationales.\\n\\nL’ancien joueur du Orlando Magic fait partie de ceux qui sont totalement contre les fenêtres internationales au vu de l’absence de tous les joueurs évoluant en NBA ou en Euroleague pendant ces trêves.\\n\\n« J’espère que ça ne continuera pas. J’espère que la FIBA et l’Euroleague vont trouver une solution cet été. Il y a un conflit entre les deux et ce genre de bagarres n’est pas bon. Je comprends que pour certains pays c’est bien d’avoir l’équipe nationale pendant des fenêtres internationales mais cela affecte les grosses fédérations : Espagne, Turquie, France, Lituanie, Serbie. Nos meilleurs joueurs sont en Euroleague ou en NBA. Ils ne peuvent pas jouer les fenêtres. Ça nous affecte dans les ventes de tickets, ça nous joue des tours avec nos sponsors. La FIBA et l’Euroleague doivent penser au bien du basket européen. J’ai vu qu’il y aura 18 équipes en Euroleague. Nous ne voulons pas nous battre contre nos clubs ! Ils nous représentent aussi sur le plan européen. Je ne sais pas... Ce n’est pas facile. J’espère que tôt ou tard il y aura une solution et que nous ferons ce que nous faisions auparavant: jouer en été et organiser de grands tournois.”"
}, 
{"role": "user",     "content":"LNB : Benoit Mangin (Le Portel) et Justin Robinson (Elan Chalon) sont les deux All Stars choisis par le public"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce jeudi à l’Accorhotels Arena, le jury du All Star Game s’est réuni pour sélectionner les joueurs qui participeront au match et aux concours du All Star Game LNB 2018.\\n\\nEn amont de ce jury, le public avait la possibilité d’envoyer deux joueurs directement au All Star Game. Après plusieurs joueurs de votes, les supporters de Jeep Elite ont choisi que Benoît Mangin (Le Portel) et Justin Robinson (Elan Chalon) participeront au célèbre match des étoiles. C’est la première fois depuis 2012 qu’aucun joueur du Limoges CSP n’est envoyé au All Star Game grâce aux votes du public.\\n\\nRendez-vous à 17h30 pour connaître tous les joueurs sélectionnés par le jury d’experts.\\n\\nhttps://twitter.com/LeSPORTbySFR/status/1068110940598607872\\n\\nPhoto : ESSM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Cholet aurait remercié son entraîneur Régis Boissié"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lanterne rouge de Jeep Elite avec seulement deux victoires en onze matchs de championnat, Cholet aurait décidé de se séparer de son entraîneur.\\n\\nSelon Le Courrier de l’Ouest, le club choletais aurait démis Régis Boissié de ses fonctions d’entraîneur principal de CB, mais il devrait rester au club dans un autre rôle. Assistant de Philippe Hervé la saison dernière, l’ancien entraîneur des espoirs de Cholet est passé entraîneur principal fin mai.\\n\\nLe nom de son remplaçant n’est pour l’instant pas connu."
}, 
{"role": "user",     "content":"François Peronnet (Limoges CSP) : «On attend de l’investissement»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Passé de coach assistant à coach principal de Limoges il y a quelques jours suite au départ de Kyle Milling, François Peronnet (45 ans) a la lourde tâche de redresser la barre du mythique CSP dont les résultats sont loin des attentes des dirigeants et des supporters.\\n\\nVia une vidéo du club, l’ancien entraîneur d’Orléans s’est exprimé sur le futur du club limougeaud.\\n\\n« Le plan de bataille c’est d’abord de retravailler avec l’ensemble du groupe en permettant à Jordan Taylor de s’intégrer. Globalement, nous avons trois priorités. La première c’est d’insister sur les notions d’engagement et de combativité, sur le plan défensif il nous faut responsabiliser des individus sur le un contre un ou sur les rotations défensives, et sur le plan offensif il faut travailler pour trouver une meilleure circulation du ballon et ainsi se créer des opportunités qui sont peut-être meilleures et plus facilement réalisables. On attend du groupe de l’investissement et de la concentration. »\\n\\nIl a également glissé un mot aux supporters du CSP.\\n\\n« Je suis bien conscient que les résultats sont insuffisants, ils sont en deçà des attentes du club et de l’ensemble de ses supporters. Il nous appartient de changer les choses. On ne pourra le faire que si notre investissement est total, que notre détermination est totale, mais au-delà des mots la seule réalité c’est ce qui va se passer sur ce parquet-là. »\\n\\n\\n\\n\\n🎙️ Prise de fonction de François Peronnet 🎙️\\n\\n\\n💬 \\Il nous appartient de changer les choses\\#CSPnation pic.twitter.com/rLAH9Nr7MI\\n\\n\\n— Limoges CSP (@limogescsp) November 29, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Alain Béral (Président LNB) : «L’ASVEL sera l’ambassadeur de notre championnat»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mardi, l’ASVEL a obtenu l’officialisation de sa participation à l’Euroleague pour les deux prochaines saisons. C’est la première fois depuis 2015/16 qu’un club français va disputer cette compétition et c’est dix ans après (2009/10) que Villeurbanne va faire son retour en Euroleague. Le Président de la LNB, Alain Béral, s’est exprimé sur cette nouvelle sur le site de la ligue.\\n\\n« On est très content qu’il y ait un club français à ce niveau-là. Tous les autres clubs vont en bénéficier en France. L’ASVEL sera l’ambassadeur de notre championnat. Et des joueurs qui partaient dans des pays étrangers vont peut-être revenir ou rester pour jouer l’Euroleague. On a toujours dit que c’était nécessaire pour que le basket français monte un palier (...) Bien sûr, on aurait bien aimé que ce soit le champion qui soit qualifié, mais quand on a compris que l’Euroleague ne reviendrait pas sur son principe d’invitation, on a dit qu’on espérait qu’on aurait 2 équipes et que le deuxième serait le champion. À l’ASVEL de démontrer maintenant qu’on a le niveau. L’ASVEL a travaillé sur le sujet en amont en termes de gouvernance, de budget et de sportif. On l’a fait en bonne communication avec eux. On s’est tout dit et on a regardé ensemble avec Gaëtan et Tony tous les enjeux de l’Euroleague. »\\n\\nSi le club a travaillé sur ce retour en Euroleague, Alain Béral souligne qu’il va falloir continuer de faire des efforts extra-sportifs en engageant notamment plus de joueurs que d’habitude.\\n\\n« Pour jouer deux championnats à 18, plus les playoffs, il faudra plutôt avoir deux équipes, parce qu’il y aura parfois trois matches par semaine, et peut-être plus. Il faut aussi des moyens de se déplacer rapidement et un staff extra-sportif et médical très solide. L’ASVEL est prêt à cela aujourd’hui. On a toujours dit qu’on pourrait faire des aménagements de calendrier, à la marge, uniquement pour l’Euroleague. On ne le ferait pas pour l’EuroCup. Il est clair que le diffuseur va avoir des demandes. Il ne s’agit pas de fausser le championnat avec une équipe qui va jouer des matchs en retard 8 mois après. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eurocup : Mathias Lessort squatte le Top 10 des dunks du mois de novembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Actuellement avec l’Equipe de France, Mathias Lessort (2m, 23 ans) a, comme à son habitude, martyrisé les cercles d’Eurocup pendant le mois de novembre.\\n\\nLe Martiniquais apparaît deux fois dans le Top 10 des dunks du mois de novembre en Eurocup. Une première fois à la cinquième place et une deuxième fois tout en haut du classement, à la première place. A noter également la présence de deux autres français dans ce top : Yakuba Ouattara à la neuvième place et Landing Sané à la huitième place.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet cherche un successeur à Régis Boissié comme coach. Nikola Antic en haut de la pile des prétendants?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nikola Antic? Nedeljko Asceric? Greg Beugnot? Christophe Denis? Erman Kunter? Qui pour succéder à Régis Boissié démis de ses fonctions cette semaine à Cholet Basket?\\n\\n« Nous souhaitons un coach référencé, avec de l’expérience en Jeep Élite », confie le président Didier Barré dans Ouest France. « Il faut qu’il soit libre tout de suite, et qu’il puisse amener une dynamique au club. »\\n\\nLe quotidien précise que le club du Maine-et-Loire a déjà eu des contacts avec Nikola Antic, 59 ans, qui a sept saisons à Châlons-Reims et une montée en Pro A derrière lui et qui, dit-il, a choisi la saison dernière de ne pas coacher pour des raisons familiales.\\n\\nDécision en principe ce week-end.\\n\\nPhoto: CCRB"
}, 
{"role": "user",     "content":"CourtCuts : le Top 10 de la semaine (24 novembre)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque saison depuis maintenant sept ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCette semaine, c’est Namory Boundy et Loic Gigant (GET Vosges, NM1) qui pointent à la première place du classement grâce à un gros contre suivi d’un dunk en contre attaque face à Recy Saint-Martin."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pourquoi l’équipe de République Tchèque, c’est... le CEZ Basket Nymburk"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La République Tchèque qui va affronter demain l’équipe de France aura une ossature constituée de six joueurs du CEZ Basket Nymburk, le club d’une ville de seulement 14 600 habitants située dans la métropole de la capitale Prague, qui est dominant dans son championnat national comme très peu de clubs en Europe.\\n\\nSponsorisé par CEZ, une entreprise tchèque spécialisée dans l’énergie, et présidé par l’influent Miroslav Jansta, ce club de la région de Bohème, est champion national sans discontinué de 2004 à 2018 soit 15 titres. A cela s’ajoute 12 coupes nationales sur la même période.\\n\\nCette domination sans partage se poursuit cette saison puisque le CEZ en est à 10 victoires en autant de journées et en compte ainsi 3 d’avance sur son dauphin Pardubice. Le week-end dernier, il a atomisé le USK Prague, 101-56 !\\n\\nOn doit quand même sacrément se barber quand on est fan de basket en République Tchèque et seules les compétitions européennes peuvent donner du sel à la saison. Curiosité: le champion tchèque a participé à l’ULEB Cup, l’Eurocup, et même l’Euroleague -un court passage- et aussi à l’Adriatic League et à la VTB League ! Pour ses matches européens, le CEZ quitte son Sportovni Centrum et ses deux milliers de place pour la Tipsport Arena de Prague forte de 11 650 places.\\n\\nLe CEZ est positionné cette saison dans le groupe C de la Basketball Champions League et il fait moins le malin qu’en championnat puisqu’il est septième au classement avec deux victoires ne précédant que... la JDA Dijon.\\n\\nLe meilleur élément de Nymburk est l’ailier Vojtech Hruban (2,02, 29 ans) qui compile 16,7 points et 7,0 rebonds pour 16 d’évaluation en BCL.\\n\\nSi l’on prend en compte les absences de joueurs majeurs, ce sont... cinq joueurs du CEZ Nymburk qui possèdent les meilleures évaluations de l’équipe nationale dans ces qualifications à la Coupe du monde: Vojtech Hruban et Jaromic Bohacik (11,9 chacun), Martin Kris (7,9), Tomas Vyoral (6,8), et Pavel Pumpria (5,0).\\n\\nVu de France, le plus célèbre des joueurs passés par Nymburk est Blake Schilb, qui y a séjourné de 2007 à 2009 et qui, blessé, est forfait pour cette fenêtre internationale.\\n\\nPhoto: Vojtech Hruban (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Cholet remercie Régis Boissié et cherche un nouveau coach"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme annoncé précédent, Régis Boissié rend son tablier de coach principal de Cholet Basket.\\n\\nSur son site, le club des Mauges annonce être à la recherche d’une nouvelle personne extérieure pour reprendre l’équipe. En ce qui concerne Régis Boissié, l’ancien entraîneur des espoirs reprendra sa place dans le staff technique mais avec un autre rôle."
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde: Quand l’attaque fait la loi"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est un adage bien connu des coaches du monde entier, qu’ils ressortent fréquemment à leurs joueurs, car dans les moments plus délicats, c’est l’intensité défensive qui décide en général de l’issue d’une rencontre. Or les résultats de l’Allemagne, de la Lituanie et de la Grèce – trois équipes déjà qualifiées pour la prochaine Coupe du Monde alors qu’il reste deux fenêtres à disputer – dans les Éliminatoires Zone Europe font un peu mentir cet adage.\\n\\nL’Allemagne, la Lituanie et la Grèce sont les trois seuls pays parmi les 32 qui ont lancé leur campagne qualificative en novembre 2017 à être toujours invaincus. Ils sont aussi les trois les plus prolifiques en attaque et les plus adroits à trois points. Ce sont aussi eux les meilleurs aux évaluations (celles-ci tiennent toutefois compte des ballons récupérés et des contres). Une chose est sûre : l’attaque peut faire gagner des matches.\\n\\nAprès quatre fenêtres dans la Zone Europe, les statistiques montrent que c’est l’Allemagne qui détient la meilleure attaque. La sélection dirigée par Henrik Rödl tourne à 88,3 points de moyenne par match. Elle a même réussi le plus haut total de la compétition en scorant 112 points lors du succès après prolongation contre Israël le 16 septembre.\\n\\nL’Allemand Dennis Schröder est le second meilleur marqueur des Éliminatoires Zone Europe avec 23,5 points de moyenne par match, qu’il complète avec 7,5 assists et 4,5 rebonds. Il n’a pris part qu’à quatre matches. Il n’est pas le seul leader de cette Allemagne post-Nowitzki.\\n\\nLe capitaine Robin Benzing affiche une moyenne de 17,0 points par match et il fait partie du club très exclusif des “50-40-90” (pourcentages aux tirs d’au moins 50% à deux points, 40% à trois points et 90% aux lancers francs). En effet, l’unique autre joueur à faire partie de ce club est le Finlandais Sasu Salin.\\n\\nCe qui a certainement contribué à l’efficacité des extérieurs allemands est la qualité du secteur intérieur avec des joueurs comme Maik Zirbes et Danilo Barthel, qui attirent beaucoup d’attention dans la raquette. Ainsi, ils créent de grands espaces pour les fines gâchettes de l’équipe telles Benzing, Maxi Kleber, Niels Giffey et Ismet Akpinar.\\n\\nL’attaque de l’Allemagne est 4ème aux tirs à deux points (55,7%) et 3ème à trois points (40,1%). Les équipes qui ont commis des fautes sur les protégés de Rödl sont passées à la caisse, puisque l’Allemagne est 1ère aux lancers francs (81,1%) et 5ème au nombre de lancers-francs tentés avec 201.\\n\\nAvec une belle profondeur de banc et quelques excellents joueurs, l’Allemagne semble armée pour revivre des moments aussi intenses que ceux vécus lors de l’obtention de la 3ème place de la Coupe du Monde FIBA 2002.\\n\\nComme l’Allemagne, la Lituanie n’a pas encore goûté à l’amertume de la défaite, grâce à une attaque très bien huilée tout au long des Éliminatoires. Les Baltes sont seconds au scoring (86,3 points par match), seconds aux assists (20,6), premiers au pourcentage à trois points (40,9%), premiers aux rebonds (42,3), seconds aux rebonds offensifs (13,0) et premiers aux évaluations (105,4).\\n\\nL’équipe du coach Darius Adomaitis a été impressionnante au cours du premier tour, gagnant de 38 points son premier match au Kosovo, de 20 à domicile contre la Pologne, de 56 chez elle contre le Kosovo et enfin de 23 en Hongrie. Ces résultats ont été acquis en dépit des nombreux changements dans l’effectif et sans vraiment de ‘go-to-guy’, puisque seuls trois joueurs – Adas Juskevicius, Eimantas Bendzius, Rokas Giedraitis – ont pris part à tous les huit matches des Éliminatoires.\\n\\nLa Lituanie a été excellente, même si elle n’a pu compter sur ses intérieurs Jonas Valanciunas (Toronto Raptors) et Domas Sabonis (Indiana Pacers) que pour deux rencontres. Elle a confirmé son statut de nation dominante en se défaisant d’une Croatie au complet lors de la dernière fenêtre, sous l’impulsion de Mantas Kalnietis. Le distributeur prend une dimension supplémentaire quand il porte le maillot national. Il a cumulé 15 points – dont 5 dans les 35 dernières secondes du match – et 5 assists dans la victoire à Osijek, puis scoré 21 points, avec un cinq tirs primés, dans le succès après une double-prolongation contre les Pays-Bas qui leur a ouvert les portes de la compétition mondiale en Chine en 2019.\\n\\nComparée à l’Allemagne et à la Lituanie, la Grèce a connu un parcours un peu différent, mais elle a été tout aussi efficace.\\n\\nLe fait que la Grèce soit la troisième meilleure attaque (83,5 points par match), seconde aux tirs à trois points (40,7%) et cinquième aux assists (19,5) n’est que la confirmation de son niveau d’excellence. Elle a réussi à obtenir ces statistiques tout en étant une des équipes qui tentent le moins de tirs (seules la Belgique, la Bosnie-Herzégovine et la Croatie en ont pris moins), mais elle a été redoutable d’adresse.\\n\\nLes problèmes rencontrés lors du tout premier match remporté en Grande-Bretagne avaient suscité l’inquiétude des fans de la Grèce. Il avait en effet fallu le travail titanesque d’Ioannis Bourousis (27 points et 8 rebonds), une performance surprise de Giannoulis Larentzakis (22 points) et un incroyable tir à trois points d’Ioannis Athinaiou à la fin de la prolongation pour s’imposer 95-92 au terme d’une prolongation à Leicester. La suite a été un crescendo à la Rossini.\\n\\nEt l’arrivée de Nick Calathes lors de la dernière fenêtre a conduit à l’une des plus belles performances individuelles des Éliminatoires Zone Europe. Dans le succès arraché à la dernière seconde en Géorgie, qui a qualifié la Grèce, Calathes a réussi un fantastique 7-sur-11 à trois points, pour un total de 31 points. Parmi ses 8 assists, il y a eu celui en contre-attaque qui a permis à Kostas Papanikolaou d’inscrire le panier de la victoire (86-85).\\n\\nSi Giannis Antetokounmpo est également du voyage en Chine, on comprend bien que les Grecs pourraient même se mêler à la lutte pour une place sur le podium l’été prochain...\\n\\nPhoto: Allemagne, FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Qui va gagner l’Euro 2019 ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Spécialiste du basket féminin, Paul Nilsen a écrit pour le site de la FIBA un article intitulé: « qui va gagner l’EuroBasket féminin FIBA 2019? »\\n\\nComme il l’avait déjà déclaré précédemment, le style de l’équipe de France ne lui plaît pas et le résultat à la Coupe du monde cet été avec la lourde défaite en quart-de-finale face à la Belgique, a conforté son sentiment.\\n\\nA l’heure de faire des prévisions, Paul Nilsen place l’Espagne comme favorite de l’Euro -c’est un choix peu osé- devant la Belgique alors que la France est troisième. Bref, l’ordre des équipes européennes au Mondial.\\n\\n« La cinquième place à Tenerife a été le pire résultat possible, car elles peuvent se convaincre, ainsi que tout le monde, qu’elles sont parmi les 5 meilleures équipe de la planète et que tout va bien. Faux. Elles étaient à des miles (pardon des kilomètres) du top 4. Pourtant, j’adore beaucoup de leurs joueuses avec comme leader Marine Johannes. – probablement l’une des 10 joueuses les plus divertissantes que j’ai jamais vues. En craignant de vous ennuyer à nouveau, je pense à ce dont elles pourraient être capables si elles retiraient les chaînes et se libéraient offensivement. Mais, je suppose qu’après avoir participé à tant de finales, leur approche conservatrice sera maintenue et elles espéreront pouvoir se démarquer et remporter leur premier titre en une décennie. Surtout avec l’ajout de Bria Hartley. »\\n\\nPour info, la Serbie -qui sera à domicile- est annoncé par Paul Nilsen à la quatrième place précédant la Russie et l’Italie.\\n\\nPhoto: Helena Ciak (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Allemagne: Bamberg licencie son General Manager pour irrégularités financières"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le club allemand de Brose Bamberg, engagé en Basketball Champions League et qui était la saison dernière en Euroleague, a annoncé qu’il mettait fin immédiatement à sa coopération avec son General Manager, Rolf Beyer, indique Infranken.\\n\\nLa raison de la décision du club est «des irrégularités financières». Aucun autre détail n’est inclus dans l’annonce, qui mentionne également le soutien financier constant de Brose Group (sponsor principal du club) et de son président Michael Stoschek, l’aide des sponsors étant la seule chose qui puisse sauver le club allemand de la faillite.\\n\\nLe directeur commercial du groupe Brose, Niklas Beyes, a été nommé PDG par intérim.\\n\\nNous avions interviewé Rolf Beyer il y a quelques jours."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les Bleus en préparation à Nanterre avant le départ en République Tchèque"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Bleus étaient à Nanterre pour un stage de préparation avant la double confrontation face à la République Tchèque, première ex-aequo du groupe et invaincue chez elle, et la Bulgarie, seule équipe à avoir battu l’Equipe de France lors de ces qualifications. L’objectif est de gagner au moins un des deux matches pour se qualifier à la Coupe du Monde 2019 en Chine.\\n\\nVoici quelques images inside dans l’Episode 7 de la Web Série de la FFBB.\\n\\nPhoto: Andrew Albicy (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"République Tchèque-France et France-Bulgarie : Première sélection pour Ousmane Camara et Amath Mbaye"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ousmane Camara et Amath Mbaye vont connaître leur première sélection en équipe de France à l’occasion des deux matches de qualification à la Coupe du Monde 2019, le premier face à la République Tchèque (vendredi 30 novembre à 18h00 à Pardubice) et le second face à la Bulgarie (lundi 3 décembre à 19h00 à Limoges).\\n\\nLes Bleus décollent demain jeudi pour Pardubice. Après le match face aux Tchèques, ils rejoindront Limoges pour préparer la réception de la Bulgarie et à cette occasion, Théo Maledon et Jean-Marc Pansa retrouveront le Groupe France en qualité de partenaires d’entraînement.\\n\\nLes 12 joueurs retenus :\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\nNom\\nNaissance\\nTaille\\nSélec.\\nClub\\n\\n\\nAndrew\\nALBICY\\n21/03/1990\\n1,78\\n42\\nAndorre\\n\\n\\nAxel\\nBOUTEILLE\\n14/04/1995\\n1,97\\n2\\nLimoges\\n\\n\\nOusmane\\nCAMARA\\n12/05/1989\\n2,02\\n–\\nChalon\\n\\n\\nWilliam\\nHOWARD\\n25/10/1993\\n2,02\\n1\\nLimoges\\n\\n\\nAxel\\nJULIEN\\n27/07/1992\\n1,84\\n7\\nDijon\\n\\n\\nAlain\\nKOFFI\\n23/11/1983\\n2,06\\n45\\nGravelines\\n\\n\\nLahaou\\nKONATE\\n17/11/1991\\n1,96\\n6\\nNanterre\\n\\n\\nPaul\\nLACOMBE\\n12/06/1990\\n1,9\\n10\\nMonaco\\n\\n\\nMathias\\nLESSORT\\n29/09/1995\\n2,05\\n5\\nMalaga\\n\\n\\nAmath\\nM’BAYE\\n14/12/1989\\n2,03\\n–\\nBologne\\n\\n\\nYakuba\\nOUATTARA\\n24/01/1990\\n1,91\\n6\\nMonaco\\n\\n\\nJonathan\\nROUSSELLE\\n07/02/1990\\n1,95\\n5\\nLimoges\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: Amath Mbaye"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Tony Parker et Nicolas Batum avec les politiques locaux lors de l’annonce des deux ans en Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le board de l’EuroLeague a officialisé l’intégration de LDLC ASVEL à la plus prestigieuse des compétitions européennes pour une durée initiale de deux saisons, et ce, dès l’exercice 2019-2020. L’occasion d’un nouvel échange entre la direction du club, Tony Parker, Nicolas Batum, Gaétan Muller, et les acteurs de la Métropole lyonnaise dont le maire de Lyon, Gérard Collomb."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Élite : Dijon se sépare de Robert Arnold"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé à Dijon cet été en provenance de Hyères-Toulon, Robert Arnold (1,98m, 30 ans) va quitter prématurément la JDA.\\n\\nSur son site, le club bourguignon annonce que les deux parties ont décidé de mettre un terme à leur collaboration d’un commun accord. Le champion de Finlande 2015 avec Kataja n’est jamais parvenu à trouver une vraie place dans l’effectif de Laurent Legname. Il a aussi été gêné par une blessure au coude.\\n\\nDepuis le début de la saison, Robert Arnold compilait en moyenne 5,5 points et 2,3 rebonds pour 4 d’évaluation entre la Jeep Élite et la Champions League.\\n\\nPhoto : FOXAEP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Affaire Choulet/Vérove: La commission de discipline va se réunir le 6 décembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à l’altercation survenue lors du match Pau-Chalon entre le coach de l’Elan Chalonnais, Jean-Denys Choulet, et l’assistant coach de l’Elan Béarnais Jimmy Vérove, la commission de discipline de la Ligue Nationale de Basket va se réunir le jeudi 6 décembre à 19h.\\n\\nJimmy Vérove affirme qu’il a été victime d’un coup dans les testicules de la part de Jean-Denys Choulet, ce qui motive sa réaction à savoir de l’avoir pris par le cou. Le coach de Chalon nie farouchement cette version des faits."
}, 
{"role": "user",     "content":"Bulgarie: Pas de Dee Bost contre la France, Alexander Vesenkov incertain"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Bulgarie ne pourra pas compter sur le meneur de jeu d’origine américaine Dee Bost (1,88m, 29 ans) pour les matches décisifs contre la Bosnie-Herzégovine et la France, lundi 3 décembre à Limoges, comptant pour la qualification à la Coupe du monde 2019.\\n\\nC’est par la voie d’une lettre officielle du Khimki Moscou que la fédération a eu la confirmation de la nouvelle. L’équipe russe a un match d’Euroleague de programmé le 30 novembre contre le Panathinaikos et il n’est pas question de libérer l’ancien joueur de Monaco et Strasbourg. Dee Bost, c’est 10,8 points (mais à seulement 30,6% de réussite aux tirs), 5,5 passes et 3,8 rebonds en 4 matches de qualification.\\n\\nLe club a ajouté que l’interdiction s’appliquait également à l’arrière du Khimki, Alexexey Shved, qui est la star de la Russie, ce malgré tous les efforts du président de la fédération Andrei Kirilenko pour présenter la meilleure équipe possible. Les Russes sont les principaux concurrents des Bulgares pour la phase finale en Chine, et ils vont se rendre en Finlande avant d’accueillir la République Tchèque.\\n\\nLe président de la Fédération bulgare, l’ancien international et NBAer Georgi Glushkov, a déclaré qu’il restait une chance pour Alexander Vesenkov (2,06m, 23 ans) de faire partie de l’équipe nationale pour les matches contre la Bosnie-Herzégovine vendredi à Botevgrad et le déplacement à Limoges.\\n\\nAlors que Dee Bost s’était fendu de 17 points, 6 rebonds et une seule passe lors de la victoire, 74-68, des Bulgares à Botevgrad lors du match aller contre les Bleus, Alexander Vesenkov avait souvent manqué la cible (9 points à 4/14 dont 1/6 à trois-points) mais pris 8 rebonds.\\n\\n« Il y a aussi un problème avec l’équipe nationale grecque parce qu’elle ne joue pas aussi bien sans ses joueurs de l’Euroleague », a déclaré Georgi Glouckov. « Quelque chose est attendu à la dernière minute. Il est clair que si Olympiakos libère quelqu’un de l’équipe nationale grecque, il libérera peut-être Vezenkov. Mais ils reportent leur décision jusqu’au dernier moment. J’espère que Vezenkov sera libéré. Ça serait sympa. Pour lui et pour nous. Cette guerre qui est menée (NDLR : par l’Euroleague contre la FIBA) est désagréable. Certaines équipes comme la France, par exemple, comptent de nombreuses défections et c’est une tragédie pour elle. Ce n’est pas moins pour nous parce que deux joueurs majeurs, c’est beaucoup (...) Nous avons montré que nous jouions bien contre la France et la Russie . Nous devons maintenant renforcer ce sentiment parmi la population, car jusqu’à présent, c’était seulement en nous. J’espère que nous le ferons. Comme tout le monde, nous rencontrons des difficultés et ce ne sera pas facile ».\\n\\nLe capitaine de l’équipe Pavel Marinov, a également fait part de ses attentes :\\n\\n« Le rêve est vivant. Nous sommes réunis pour essayer de le concrétiser et de faire de notre mieux. Nous avons peu de temps pour nous préparer, même si nous nous connaissons bien. J’ai été avec d’autres entraîneurs de l’équipe nationale et l’une des grandes différences est que tous les garçons sont venus ici avec un grand désir de jouer. »\\n\\n\\n\\n\\n\\nMATCHES\\nGAME POINTS\\nPOINTS\\n\\n\\n#\\nEquipe\\nP\\nV\\nD\\n%\\nPour\\nContre\\n+/-\\nFA\\nAA\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\nFrance\\n8\\n7\\n1\\n87.5\\n630\\n518\\n112\\n78.8\\n64.8\\n15\\n\\n\\n2\\nRépublique tchèque*\\n8\\n7\\n1\\n87.5\\n629\\n583\\n46\\n78.6\\n72.9\\n15\\n\\n\\n3\\nRussie\\n8\\n4\\n4\\n50.0\\n613\\n581\\n32\\n76.6\\n72.6\\n12\\n\\n\\n4\\nFinlande\\n8\\n4\\n4\\n50.0\\n605\\n613\\n-8\\n75.6\\n76.6\\n12\\n\\n\\n5\\nBulgarie\\n8\\n3\\n5\\n37.5\\n613\\n621\\n-8\\n76.6\\n77.6\\n11\\n\\n\\n6\\nBosnie Herzégovine\\n8\\n2\\n6\\n25.0\\n561\\n651\\n-90\\n70.1\\n81.4\\n10\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: Dee Bost (FIBA) et Georgi Glouchkov."
}, 
{"role": "user",     "content":"République Tchèque – France: Blake Schilb (Châlons-Reims) est forfait !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si l’équipe de France ne compte plus les forfaits pour le match face à la République Tchèque (vendredi, 18h, à Pardubice), son hôte sera également handicapé par l’absence de deux joueurs majeurs, blessés, le pivot Patrik Auda (2,06m, 29 ans) et l’ailier de Châlons-Reims, Blake Schilb (1,99m, 34 ans).Les deux joueurs avaient disputé jusqu’ici les huit matches de qualification et Blake Schilb avait obtenu la meilleure ligne statistique de l’équipe avec 13,9 points (60,3% aux shoots), 3,6 rebonds et 2,1 passes alors que Patrik Auda en était à 7,3 points et 2,6 rebonds.\\n\\n« Les deux sont forfaits à cause de blessures. Chez Blake, c’est une blessure au dos qui date depuis longtemps. La blessure à un doigt de Patrick a été soignée mais les deux joueurs ont subi un examen médical et après avoir consulté nos médecins, nous avons décidé de ne pas les mettre dans l’équipe « , a déclaré Michal Šob, responsable de l’équipe nationale.\\n\\nComme les Bleus, les Tchèques seront également privés de leurs joueurs de NBA et d’Euroleague soit Tomáš Satoransky (Washington Wizards), Jan Veselý (Fenerbahçe) et Ondřej Balvín (Gran Canaria).L’entraîneur Ronen Ginzburg a dû faire appel à Ondrej Kohout pour compléter son effectif qui est basé sur la meilleure équipe du pays, le CEZ Basketball Nymburk.\\n\\n\\n\\n\\n\\nNom\\nPoste\\nTaille\\nAnné.\\nClub\\n\\n\\nJaromír Bohačík\\nailier\\n197\\n1992\\nNymburk\\n\\n\\nVojtech Hruban\\nailier\\n202\\n1989\\nNymburk\\n\\n\\nOndřej Kohout\\npivot\\n201\\n1991\\nPardubice\\n\\n\\nMartin Kříž\\npivot\\n200\\n1993\\nNymburk\\n\\n\\nLukáš Palyza\\nailier\\n202\\n1989\\nOlomoucko\\n\\n\\nMartin Peterka\\npivot\\n205\\n1995\\nNymburk\\n\\n\\nViktor Půlpán\\narrière\\n195\\n1996\\nPardubice\\n\\n\\nPavel Pumprla\\nailier\\n198\\n1986\\nNymburk\\n\\n\\nŠimon Puršl\\npivot\\n204\\n1997\\nDEKSTONE\\n\\n\\nOndřej Sehnal\\narrière\\n190\\n1997\\nUSK Prague\\n\\n\\nPetr Šafarčík\\nailier\\n193\\n1994\\nKolín\\n\\n\\nJakub Širina\\narrière\\n186\\n1987\\nOpava\\n\\n\\nTomáš Vyoral\\narrière\\n190\\n1992\\nNymburk\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: Blake Schilb (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jordi Bertomeu (Président Euroleague) : «Il y a eu une progression de 23% du côté du business»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la réunion de mardi à Tel Aviv en présence des onze actionnaires de l’Euroleague qui a vu l’ASVEL officiellement intégrer la compétition à partir de l’année prochaine, Jordi Bertomeu s’est également exprimé sur la partie business de l’Euroleague.\\n\\n« La réunion d’aujourd’hui avait pour but d’analyser le côté business de la ligue. Nous travaillions sur quelques statistiques et nous sommes heureux de voir la progression de la ligue. Quand je parle de progression, je ne parle pas seulement de l’Euroleague en tant que ligue mais en tant que ligue et les clubs. Il y a une progression d’environ 23% en une année sur la partie business et c’est une bonne nouvelle. C’est le résultat de la mise en place du nouveau format de l’Euroleague avec la réduction à 16 clubs et nous pensons que c’est la raison principale de cette progression. Mais nous ne sommes jamais satisfaits. Les données nous donnent une idée d’où nous devons travailler. »\\n\\nLe président de la compétition a donné quelques détails sur les axes de travail de cette réunion. Il a notamment parlé d’une nouvelle initiative qui sera mise en place pour toujours aller de l’avant.\\n\\n« Nous avons examiné tous les éléments de notre business sur lesquels nous pourrions travailler avec les clubs dans le but de progresser encore. Nous n’avons pas seulement parlé de la vente des tickets, du digital, des revenus des jours de match. Il s’agissait d’un ensemble de plans et d’initiatives soumis aux membres du conseil d’administration, qui ont tous été approuvés. Je tiens à insister sur l’un des éléments qui, à mon avis, sera crucial à l’avenir, à savoir l’implantation de ce service des opérations commerciales et des clubs, que nous appelons BOCS, qui est une nouveauté. Aucun autre sport en Europe n’a cette initiative. Le BOCS est conçu pour fournir aux clubs des services de conseil et de consultation dans le domaine des affaires tout en veillant à ce que leurs stratégies s’alignent sur celles de la ligue. En collaboration avec les clubs, nous travaillerons à la vente de billets, au numérique, à l’amélioration de nos revenus tirés des matchs, à nos programmes de fidélité. C’est une initiative que nous n’avons pas inventée – nous ne prétendons pas avoir inventé quoi que ce soit – c’est quelque chose que la NBA a fait il y a 25 ans ... C’est toujours très actif, très rentable. Et nous appliquons maintenant ce concept en Europe, en tant que premier sport de cette taille mettant en œuvre cette initiative. Nous pensons que cela nous aidera, ainsi que nos clubs, à améliorer nos pratiques commerciales au cours des deux ou trois prochaines années. C’est notre objectif principal. Nous croyons que notre produit est bon. Comme toujours, nous pouvons améliorer les choses. L’expansion de l’année prochaine est un signe que quelque chose peut être amélioré. Nous avons un très bon produit. Maintenant, nous voulons le rendre meilleur. »\\n\\nPropos rapportés par Eurohoops."
}, 
{"role": "user",     "content":"Levallois opte pour un défenseur confirmé, Durand Scott, comme pigiste de Rasheed Sulaimon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Le Parisien, Durand Scott (1,96m, 28 ans) va remplacer à Levallois comme pigiste médical Rasheed Sulaimon qui est indisponible pour deux à trois mois.\\n\\nNé à New York, Durand Scott possède également le passeport jamaïcain. Issu de l’université de Miami, élu meilleur défenseur de l’ACC en 2013, il a suite joué en Espagne, Israël, Italie, Porto Rico, en G-League et en Allemagne. La saison dernière, il a obtenu 6,0 points et 7,6 d’évaluation avec Oldenbourg puis 12,0 points et 13,9 d’éval en G-League avec le Memphis Hustle."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le chiffre: 10 M€, le budget de l’ASVEL la saison prochaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors d’une visioconférence en compagnie de son équipier aux Charlotte Hornets, Nicolas Batum, directeur des opérations basket de l’ASVEL, le président Tony Parker a confirmé qu’il se base sur un budget de 10 millions d’euros pour les deux prochaines années en Euroleague suite à la décision du board de leur accorder une wild card.\\n\\nEn tant qu’invité l’ASVEL ne recevra ainsi que 200 000 euros de droits TV et ce n’est que si le club se voit octroyer une franchise de dix ans qu’il pourra obtenir davantage. La condition sine qua non est l’édification d’une aréna, qui d’après les politiques locaux est en bonne voie. L’objectif de TP est d’atteindre alors 15M€, un budget loin de ceux des grandes puissances européennes, ce qui ne l’empêche pas d’être optimiste:\\n\\n« Là, si tu arrives à faire cela, tu peux vraiment rivaliser et essayer d’atteindre le Final Four un jour, comme Kaunas l’a fait l’année dernière. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: L’Américano-Congolais Bambale Osby à la rescousse d’Evreux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Devant faire face à plusieurs blessures, dont celui du pivot Ruphin Kayembe, l’ALM Evreux fait appel comme pigiste médical à l’américano-congolais Bambale Osby (2,03m, 32 ans).\\n\\nNé aux Etats-Unis, formé à l’université de Maryland, Bambale Osby est déjà passé par quantité de clubs et de pays dont Aix-Maurienne en Pro B où il avait frappé fort (15,0 points, 9,5 rebonds et 19,1 d’évaluation en 2011-12) et Orléans en Pro A pour une pige de 7 matches (6,7 d’éval) la saison suivante.\\n\\nCe pivot puissant a porté la saison dernière le maillot du Kalev Tallinn en Estonie où il tournait à 13,0 points et 9,0 rebonds avant de rejoindre Israël et le Maccabi Kiryat Motzkin avec lequel il a disputé 13 rencontres (14,8 points et 12,7 rebonds)."
}, 
{"role": "user",     "content":"All-Star Game LNB 2018: La liste des All-Stars révélée demain"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il ne reste plus qu’aujourd’hui pour voter pour votre « All Star Français » et votre « All Star Etranger » préférés. Vous pouvez voter ICI.\\n\\nDéroulé de la journée de jeudi et des différentes annonces\\n\\n * En matinée, un jury d’experts (composé de représentants de la presse spécialisée et des instances du basket français) se réunira pour la réunion du jury All Star Game à l’Accorhotels Arena.\\n * Rendez-vous ensuite dès 12h sur les réseaux sociaux du « Sport by SFR » pour découvrir le All Star français et All Star étranger du public\\n * Pour finir et dès 17h30, les équipes complètes 2018 du All Star Game LNB seront dévoilés en direct sur le Facebook RMC SPORT.\\n\\nINFOS BILLETTERIE\\nTarifs Catégorie 4 : 19 euros\\nCatégorie 3 : 26 euros\\nCatégorie 2 : 37 euros\\nCatégorie 1 : 49 euros\\nCarré Or : 75 euros\\n\\nRenseignements packages VIP au 01 53 33 05 99 ou contact@sportplusconseil.com\\n\\nPar internet\\nAccorhotelsarena.com – fnac.com – ticketmaster.fr – digitick.com\\n\\nPoints de ventes habituels\\nFnac – Auchan – Carrefour – E-Leclerc – Galeries Lafayettes – Cultura – Cora"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: De Boulazac, Lasan Kromah passe à Rouen"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A peine coupé à Boulazac que Lasan Kromah (1,98m, 27 ans) retrouve un job, cette fois-ci en Pro B, à Rouen, en quête d’un remplaçant à Chima Moneke informe Sportando.\\n\\nLasn Kromah est un Américano-Libérien qui a été champion NCAA avec Connecticut en 2014 et qui a joué en Hongrie, Turquie, Grèce, D-League, Australie et Roumanie. A Boulazac il s’est contenté de 3,8 points et 1,6 rebond en 5 matches. La saison précédente à Napoca, en Roumanie, il était à 12,4 points et 12,3 d’évaluation."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Brandon Brown renforce Poitiers"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quatorzième du classement de Pro B (2v-5d) avec seulement une victoire d’avance sur les deux relégables, Poitiers a décidé d’apporter du sang neuf dans son effectif en la personne de Brandon Brown (1,80m, 27 ans), annonce le club.\\n\\nFormé à Loyola Marymount, le natif de Phoenix va vivre sa première expérience professionnelle en France. La saison dernière, sa première en tant que pro, il évoluait sous les couleurs de Boncourt, en première division suisse. Après un exercice de qualité, il a rejoint le Panionios, en Grèce. Seulement après quatre matchs, le voilà parti et il rejoint les rangs du PB86, en Pro B.\\n\\nLa saison dernière, Brandon Brown tournait à 27 points, 4 rebonds et 3,3 passes décisives en Suisse.\\n\\nPhoto : Basket-Club Boncourt"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: L’ALM Evreux s’offre Alex Acker !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ALM Evreux Basket s’offre comme pigiste médical une ancienne pointure européenne, l’ailier américain Alex Acker (1,96m), qui aura 36 ans en janvier.\\n\\nAlex Acker a notamment joué pour les Detroit Pistons, les LA Clippers, Olympiakos, Barcelone, Milan avant de rejoindre la France, au Mans, Boulazac, Limoges avec qui il sera champion de France en 2014 en étant élu MVP de la finale et Villeurbanne. Il a ensuite fait carrière en Italie, en Turquie et était la saison dernière en Grèce, à Apollon Patras où ses stats étaient encore de qualité: 14,8 points, 5,6 rebonds, 3,2 passes.\\n\\nLe Californien possède des gestes très esthétiques mais est apparu parfois un peu trop soft dans ses attitudes."
}, 
{"role": "user",     "content":"Andrew Albicy : «Si je ne participe pas aux Jeux Olympiques 2020 en 5×5, j’irai en 3×3»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En stage de préparation avec l’Equipe de France pour les deux rencontres de qualification pour la coupe du Monde 2019 qui auront lieu dans les prochains jours (30 novembre en République Tchèque et 3 novembre contre la Bulgarie à Limoges), Andrew Albicy était l’invité de l’émission Buzzer lundi soir sur RMC Sport 2.\\n\\nInterrogé par Stephen Brun, le meneur de jeu d’Andorre est notamment revenu sur son parcours ou sur sa participation aux Jeux Olympiques 2020 à Tokyo avec l’Equipe de France.\\n\\n« J’ai dit depuis un petit moment, depuis que j’ai découvert cette discipline que si je ne pouvais pas faire les Jeux Olympiques en 5 contre 5, je serai avec le 3 contre 3. C’est une discipline que j’adore, il y a beaucoup d’espace. Je trouve que ça me convient parfaitement. Donc si je ne suis pas sélectionné, je me décalerai avec le 3×3, oui. »\\n\\nMême si sa valeur intrinsèque ne fait guère de doute, il faudra toutefois qu’Andrew Albicy participe à quantité de tournois officiels en amont pour être sélectionnable en équipe de France. Une obligation de la FIBA.\\n\\n\\n\\n\\n🏀 AlbiSI ou AlbiNON : Belle séquence Quiz dans #Buzzer avec @andrewalbicy cuisiné par le diabolique @StephBrun41 😂😂\\n\\n\\n📺 Votre émission basket sur #RMCSport 2 à suivre toute l'année avec @DavidCozette, @Bigfredstyle, @StephBrun41 et @PaulinePioche 📺#RMClive pic.twitter.com/SM4myc4Gvm\\n\\n\\n— RMC Sport Basket (@RMCSportBasket) November 26, 2018\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : le légendaire coach Larry Brown (Turin) sur le départ ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une nouvelle défaite de Turin, la dixième de suite et la quinzième en dix-huit matchs cette saison, les dirigeants songeraient à changer de coach.\\n\\nSelon Sportando, Larry Brown, 78 ans, ne serait plus tellement en odeur de sainteté du côté de la formation turinoise. Toujours en proie à des soucis de santé, l’ancien champion NBA et NCAA, doit retourner aux Etats-Unis pour des soins mais pas sûr qu’il revienne coacher le Fiat Torino. Les dirigeants étudieraient toutes les options pour retrouver des couleurs, même changer d’entraîneur.\\n\\nEn Eurocup, le club transalpin n’a toujours pas remporté le moindre match après huit journées. Il est le seul dans ce cas-là."
}, 
{"role": "user",     "content":"Altercation à Pau avec Jean-Denys Choulet: L’avocat de Jimmy Verove expose sa version des faits"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur Facebook, Maitre Xavier Lecerf Galle, qui défend les intérêts de Jimmy Verove, expose sa version des faits qui se sont déroulés à la fin du match Pau-Chalon lorsqu’une vive altercation a eu lieu entre le coach de l’Elan Chalonnais, Jean-Denys Choulet, et son client qui est assistant à l’Elan Béarnais. Au texte, il joint un montage des photos issues de RMC Sport.\\n\\n« Aux commentateurs qui commentent en sachant sans le dire et à ceux qui commentent sans savoir.\\n\\n1- : JDC réduit la distance et met un coup d’épaule dans le torse de JV en lui disant « mais t’es qui toi Verove ? » alors que Jimmy Verove n’est venu au contact que pour défendre Laurent Vila qui a lui même reçu un coup d’épaule grossier, volontaire et inacceptable outre des propos « inappropriés » ;\\n\\n2- : JDC glisse sa main gauche dans l’entrejambe de JV et lui frappe les parties\\n\\n3-4-5-6 : JV recule et réagit en prenant JCD par la nuque et JDC est contraint de retirer sa main gauche de l’entrejambe de JV, ce que vous pouvez clairement voir sur les photos 5 et 6\\n\\nOui la commission de discipline va se réunir et elle doit se réunir car cela ne doit jamais arriver sur un parquet.\\n\\nJimmy Verove s’y rendra sereinement et espère y recevoir les excuses sans réserve de JDC.\\n\\nOn pourra toujours disserter sur la réaction de Jimmy qui se prend un coup de poing volontaire dans les parties. Comment doit-on réagir dans de telles circonstances ? Surtout après deux gestes violents préalables. Que celui qui prétend ne pas réagir quand on lui frappe les c.... en public en le dénigrant, se lève.\\n\\nJ’invite ceux qui ont appelé à la sanction de Verove, ou même à son « bannissement du basket Français » (!) à effacer leur post et à retirer leur propos.\\n\\nMaître Xavier Le Cerf Galle aux intérêts de Jimmy Verove »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : l’ASVEL  intègre l’Euroleague pour les deux prochaines saisons !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était un secret de polichinelle, mais l’ASVEL vient d’obtenir la confirmation officielle qu’elle évoluera en Euroleague lors des deux prochaines saisons (2019/20 et 2020/21).\\n\\nAprès trois ans de disette, la France va donc de nouveau avoir un représentant dans la plus prestigieuse compétition européenne. Les derniers en date furent Limoges et Strasbourg en 2015/16. Ce mardi, les onze actionnaires de l’Euroleague se sont retrouvés à Tel-Aviv et ont officiellement approuvé le passage de 16 à 18 clubs et ainsi l’intégration de l’ASVEL via une wild card.\\n\\nPour le moment, l’ASVEL réalise une belle saison en Eurocup et est déjà qualifiée pour le Top 16.\\n\\nPhoto : Infinity Nine Media"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : l’historique président de Lille, Servais Tomavo, passe la main"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après s’être réuni la semaine dernière, le Conseil d’Administration du Lille Metropole Basket a adopté quelques changements dans son organisation. Le Président Servais Tomavo, en place depuis 23 ans, a décidé de changer de rôle au sein du club.\\n\\nEn charge de la stratégie financière et au club depuis 17 ans, Bienvenue Djomatin a été élu nouveau président du LMBC et ce pour une durée de trois ans. Il a réagi à cette élection sur le site du club.\\n\\n« Il faut noter qu’il ne s’agit pas d’une révolution mais plutôt d’une réorganisation qui doit permettre au LMB de s’étoffer dans sa manière de fonctionner. C’est une équipe qui se met en place, des personnes qui se connaissent et travaillent ensemble depuis longtemps, même si Servais était au premier plan, de part sa fonction de Président. Pour ma part, cela fait 17 ans que je prends part à l’aventure. J’ai connu la N2 puis la N1 et maintenant la Pro B. J’ai occupé différents rôles au sein de la structure depuis l’agent d’accueil en passant par la billetterie et enfin la stratégie financière. Ce que je veux dire par là, c’est que je ne découvre pas l’organisation.\\n\\nMa mission, pour un mandat de 3 ans, qui m’a été confiée, s’inscrira dans la continuité mais aussi le renforcement des moyens juridiques et structurels du club, pour la promotion du basket professionnel masculin métropolitain.\\n\\nJe tiens enfin à saluer l’équipe qui va m’entourer, à commencer par Servais Tomavo, Luc Kowalzyk, David Alapini mais aussi tous les autres administrateurs. Beaucoup de monde va nous rejoindre pour étoffer le club et avoir des relais au niveau économique dans la région. »\\n\\nServais Tomavo s’est également exprimé sur sa décision de prendre un peu de recul.\\n\\n« Le changement de Présidence était une volonté, un souhait. Je ne quitte pas le club mais je souhaitais restructurer sa gouvernance. J’ai proposé au Conseil d’Administration des modifications avec une nouvelle présidence, une vice-présidence et l’entrée de nouveaux visages. Après 23 ans de présidence, je devais commencer à prendre du recul. Mais je suis toujours dans le club dont je reste l’actionnaire principal.\\n\\nÊtre à la tête d’un club pendant autant d’années exige un enthousiasme sans cesse renouvelé et surtout une équipe autour, aussi bien sur le plan sportif qu’administratif. On ne peut rien faire seul. Ces années de présidence ont été possibles parce que les personnes qui m’entouraient souhaitaient que je continue. Le basket évolue, l’usure du temps est une réalité. Tout le monde prend de l’âge. il faut pouvoir se régénérer. C’était mon souhait pour moi-même et pour le Conseil d’Administration. »\\n\\nVoici la liste des changements adoptés :\\n\\n * Élection de M. Bienvenue DJOMATIN en tant que nouveau Président du LMB SASP\\n * Nomination de M. Servais TOMAVO en tant qu’Administrateur Chargé de la Politique Stratégique et des Partenariats\\n * Nomination de M. Luc KOWALCZYK en tant qu’Administrateur Chargé du Marketing, de la Communication et du secteur sportif\\n * Nomination de M. David ALAPINI en tant qu’Administrateur Chargé du Centre de Formation"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France – Vincent Collet: «Pour être qualifié, il faut encore gagner un match»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que l’équipe de France qui va se présenter face à la République Tchèque et la Bulgarie sera rapiécée suite à de multiples forfaits de joueurs NBA et Euroleague, non disponibles, et de blessés, le coach Vincent Collet met les points sur les i sur le site fédéral: non, les Bleus n’ont pas encore composté leur billet pour la Coupe du monde 2019 en Chine:\\n\\n« Il faut effectivement retirer l’idée de la tête des gens qui pensent que nous sommes déjà qualifiés, ce n’est pas vrai. Pour être qualifié, il faut encore gagner un match. Et pour l’instant, il n’est pas encore gagné. On peut aussi se qualifier en comptant sur la défaite de nos adversaires directs, mais il vaut mieux ne rien attendre et que la qualification vienne de nous en nous imposant face aux Tchèques ou aux Bulgares. Mieux vaut ne pas attendre les derniers matches en février, nous qualifier le plus rapidement possible et nous éviter une pression inutile. Surtout lorsqu’on voit la difficulté que nous avons à rassembler les joueurs. Quand on voit l’équipe que nous avons annoncé il y a quelques semaines, et celle qui est finalement réunie, on a dû faire face à de nombreux forfaits et ce n’est plus du tout la même. C’est pour cela que ce serait vraiment bien de terminer le travail le plus vite possible. »\\n\\nPhoto: Paul Lacombe (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Joffrey Lauvergne est bien lancé !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le contingent français ne faiblit pas sur le Vieux Continent. Fort de vingt-cinq joueurs (avec deux représentants de plus récemment, Mam Jaiteh et Landing Sané) répartis sur dix pays, les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment neuf joueurs dans le championnat espagnol, la référence.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nJoffrey Lauvergne en double double\\n\\nAuteur d’un début de match tonitruant, Joffrey Lauvergne a fini la rencontre face à Tofas Bursa avec un joli double double : 20 points, 13 rebonds. Dans la victoire du Fener, Lauvergne a déployé tout son arsenal offensif avec des gros dunks mais aussi des finitions habiles près du cercle, dont un circus shot main gauche en passant sur la ligne de fond !\\n\\nC’est surtout le signe que Lauvergne est parfaitement intégré dans le jeu du Fener désormais. L’intérieur tricolore vient effectivement d’enchaîner un match à 16 points, 4 rebonds lors de la dernière journée de championnat, puis deux solides performances en Euroleague à 13 points – 7 rebonds, puis 8 points – 8 rebonds. Après des débuts timorés, Joffrey Lauvergne est bien lancé !\\n\\n\\nBarcelone mange le Real\\n\\n« Le travail commence à porter ses fruits », philosophait Thomas Heurtel après la grosse victoire de Barcelone face au Real Madrid (86-69). Derrière 11 points de son meneur tricolore, le Barça a effectivement donné la leçon au Real dans ce Clasico mené de main de maître à domicile.\\n\\nSolide en défense et décisif dans le dernier quart, avec un 23-10 fatal au Real, Barcelone confirme sa grande forme du moment. Kevin Séraphin ajoute pour sa part 6 points et 8 rebonds dans ce succès de prestige.\\n\\nPar ailleurs, on notera les belles victoires de Vitoria, Valence et Andorre avec de très belles copies pour Vincent Poirier (12 points), Louis Labeyrie (10 points) et Andrew Albicy (11 points).\\n\\n\\nBoris Dallo très complet\\n\\nC’est dans une défaite, mais Boris Dallo (13 points, 9 passes, 4 rebonds) a réalisé son meilleur match de la saison pour l’Aris Salonique. Avec 25 d’évaluation, le meneur français établit même son record en carrière en Ligue Grecque. Dallo tourne à 8 points, 4 rebonds et 3 passes cette saison pour l’Aris qui reste pour le moment dans la 2e partie du classement.\\n\\n\\nLe club des 16\\n\\nNotons pour finir les trois performances à 16 points d’Edwin Jackson en Ligue Adriatique, d’Amath M’Baye en Italie et d’Aaron Cel en Pologne. Malheureusement, seul Jackson s’en sort également avec la victoire mais c’est un signe positif pour M’Baye notamment.\\n\\nL’intérieur bondissant de Bologne cumule de fait 16 points, 4 rebonds et 3 contres pour ce qui est son meilleur match de la saison en championnat d’Italie. Espérons que cela le débloque pour de bon...\\n\\n\\nEspagne\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 12 points (5/6 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre en 18 minutes (victoire 81-74 face à Obradoiro)\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 11 points (4/9 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 interception, 2 balles perdues en 22 minutes (victoire 86-69 face au Real Madrid)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 11 points (4/6 aux tirs), 3 passes, 2 interceptions, 1 rebond, 5 balles perdues en 24 minutes (victoire 85-79 face à Fuenlabrada)\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 10 points (4/4 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 19 minutes (victoire 77-62 face à San Sebastian)\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 8 points (2/4 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 2 interceptions en 22 minutes (victoire 89-82 face à Murcie)\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 6 points (2/4 aux tirs), 8 rebonds, 1 interception, 3 balles perdues en 19 minutes (victoire 86-69 face au Real Madrid)\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 6 points (2/7 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe en 20 minutes (victoire 85-79 face à Estudiantes)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 2 points (1/1 au tir) en 10 minutes (défaite 86-69 face à Barcelone)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué\\n\\n\\nGrèce\\n\\nBoris Dallo (Salonique) : 13 points (4/7 aux tirs), 9 passes, 4 rebonds, 2 interceptions, 4 balles perdues en 30 minutes (défaite 95-79 face au PAOK)\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : n’a pas joué (défaite 79-70 face au Panionios)\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : 8 points (3/6 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 21 minutes (victoire 77-71 face à Nahariya)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Bologne) : 16 points (5/10 aux tirs), 4 rebonds, 3 contres, 2 passes, 2 balles perdues en 28 minutes (défaite 89-86 face à Pesaro)\\n\\nMam Jaiteh (Turin) : 4 points (1/5 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 20 minutes (défaite 83-76 face à Brescia)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 13 points (5/8 aux tirs), 6 rebonds, 3 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 21 minutes (victoire 109-68 face à Pasvalys)\\n\\n\\nMonténégro\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 16 points (6/9 aux tirs), 5 passes, 2 balles perdues en 24 minutes (victoire 89-69 face à Zadar)\\n\\nLanding Sane (Mornar Bar) : match ce soir face à Igokea\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : 16 points (5/8 aux tirs), 3 rebonds, 1 balle perdue en 20 minutes (défaite 93-84 face à Dabrowa Gornicza)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : pas de match\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : n’a pas joué (victoire 93-86 face à Enisey)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 12 points (4/6 aux tirs), 3 interceptions, 2 passes, 2 rebonds, 2 balles perdues en 30 minutes (défaite 77-71 face à l’Etoile Rouge)\\n\\nAdam Mokoka (Mega) : 11 points (4/7 aux tirs), 4 passes, 1 interception, 3 balles perdues en 28 minutes (victoire 82-80 face à Zagreb)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 20 points (7/12 aux tirs), 13 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 27 minutes (victoire 74-69 face à Tofas Bursa)\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : 14 points (4/6 aux tirs), 4 rebonds, 3 passes en 24 minutes (victoire 88-81 face à Gaziantep)\\n\\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : n’a pas joué (victoire 88-81 face à Gaziantep)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Thomas Heurtel, le baromètre du Barça\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nJoffrey Lauvergne en double double\\n\\nAuteur d’un début de match tonitruant, Joffrey Lauvergne a fini la rencontre face à Tofas Bursa avec un joli double double : 20 points, 13 rebonds. Dans la victoire du Fener, Lauvergne a déployé tout son arsenal offensif avec des gros dunks mais aussi des finitions habiles près du cercle, dont un circus shot main gauche en passant sur la ligne de fond !\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Basket Landes: Alexia Plagnard out pour plusieurs mois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La meneuse de Basket Landes Alexia Plagnard (1,72m, 28 ans) s’est blessée face à Lyon et des examens ont révélé une lésion grave à la voûte plantaire.\\n\\n« Une blessure déjà présente et contraignante au cours des dernières semaines pour Alexia qui sera désormais malheureusement écartée des terrains pour une longue période de convalescence de plusieurs mois », indique le club.\\n\\nBasket Landes s’est mis à la recherche d’une remplaçante alors qu’Alexia Plagnard tournait à 2,5 points et 3,3 passes en 21′ de moyenne.\\n\\nPhoto: LFB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Après la déroute face à Antibes, Régis Boissié (Cholet): «Ce soir, j’ai honte de ce qu’on a fait et de ce que j’ai pu faire»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Non seulement Cholet Basket a perdu face à Antibes un match capital pour la survie en Jeep Elite (74-91) mais l’équipe des Mauges a manqué totalement de grinta, d’âme, alors qu’on s’attendait, à l’image d’Antibes, qu’elle jette toutes ses forces dans la bataille.\\n\\n«Ce soir, j’ai honte de ce qu’on a fait et de ce que j’ai pu faire. On n’a pas joué. Je nous ai senti fébriles. On a été sur la retenue sans arriver à se libérer. On va avoir besoin de nous appuyer sur quelques garçons. On n’a pas reconnu l’équipe. Il faut qu’on prenne nos responsabilités », a lâché le coach Régis Boissié en conférence de presse. Il a ensuite essayé de positiver: « On est capables de mieux. Nous avons régulièrement des coups d’arrêt énormes qui nous font mal. On a montré une grosse capacité de réaction après la défaite à Rouen (en Coupe de France, 63-73, le 6 novembre), il faut espérer la même chose après le match de ce soir. Il faut féliciter Antibes. Il y a une grosse partie mentale pour expliquer un tel match. On démarre la partie en étant stressés. La première prestation de London (Perrantes) était intéressante. On doit réagir pour sauver le club. Il faut faire profil bas, montrer de l’orgueil et ne pas accepter cette image-là. Je ne peux pas accepter ce que j’ai vu.»\\n\\nCertains cadres de CB sont passé complètement à côté de la plaque: Pape Sy (2 d’évaluation), Michael Young (5/14 aux shoots), Olivier Troisfontaines (1/6 à trois-points). Et dans la tempête, Killian Hayes, 17 ans, n’a pas non plus surnagé (2 d’évaluation). Même le public de La Meilleraie est apparu amorphe. Que faire maintenant alors que Cholet a déjà changé plusieurs joueurs?\\n\\nLe son de cloche était évidemment différent du côté de Julien Espinosa. Les Sharks avaient les dents aiguisés pour obtenir ce deuxième succès de rang qui les relance complètement. Le pivot Chris Otule (18 points, 7 rebonds, 27 d’éval), l’intérieur Tim Blue (15 points, 8 rebonds) et le meneur Taurean Green (19 points, 7 passes) ont été parfaits alors que l’on a assisté à la résurrection d’Isaia Cordinier (18 points, 5 rebonds, 3 passes).\\n\\n«Les demandes faîtes aux joueurs étaient défensives: il fallait stopper les un contre un et bloquer la raquette. Offensivement, on joue mieux, match après match. On va continuer à s’améliorer, match après match. Nous nous sommes concentrés sur nous. C’était un match où nous étions dans l’obligation de gagner. C’est bon pour la confiance d’enchaîner deux victoires après les neuf défaites initiales, ça permet une situation plus confortable. Nous avions beaucoup de match perdus dans la tête, c’était mieux ce soir. On a manqué de certitudes pendant la préparation du match. Malgré l’enchaînement de défaites, on a continué à croire que nous pouvions avancer. Pour nous, ce soir, la situation était plus facile que pour Cholet, car nous étions dans la peau du chasseur. Cholet avait la pression du public, pas nous. On a eu une adresse qui nous a permis d’avoir de bonnes dispositions mentales. Nous étions dans un match avec, tandis que notre adversaire était dans un jour sans.»\\n\\nPhoto: Régis Boissié (CB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"La LNB lance LNB Stories pour sensibiliser aux paris sportifs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Ligue Nationale de Basket lance LNB STORIES, un programme de sensibilisation interactif et ludique dédié aux paris sportifs. Ce dispositif qui cible l’ensemble des acteurs du basket est désormais disponible depuis ordinateur, téléphone et tablette.\\n\\n\\n\\n\\nLa lutte pour l’intégrité des compétitions est au cœur de ses préoccupations certifie Ligue Nationale de Basket. Afin de la préserver, la sensibilisation de tous les acteurs (en particulier des joueurs et des entraîneurs) est essentielle et ce, pour prévenir tout risque de manipulation des rencontres.\\n\\n\\n\\n\\nPour faire face à cette problématique, la LNB a d’abord organisé des séminaires d’information avec les cadres et les dirigeants de clubs, puis demandé à chaque organisation sportive de Jeep®ÉLITE et de Pro B de désigner en son sein un « délégué intégrité», relais essentiel et garant des messages véhiculés par la LNB.\\n\\n\\nDans cette continuité, la Ligue Nationale de Basket a œuvré depuis le début de la saison pour développer «LNB STORIES», son nouveau programme interactif dédié aux paris sportifs pour sensibiliser au mieux les joueurs, entraîneurs et staffs de ses clubs.\\n\\n\\nDans un monde de plus en plus digital, développer des programmes innovants et interactifs est devenu indispensable pour capter l’attention des individus.\\n\\n\\n\\n\\n\\nC’est pourquoi la Ligue Nationale de Basket a développé un mini-site proposant 4 histoires: un joueur confirmé, un Espoir, un intendant et un entraîneur font face à des situations complexes autour des paris sportifs. Chaque scénario, imaginée à partir du quotidien du monde du basket professionnel, est un défi pour le joueur qui doit marquer le plus de points en évitant à chaque personnage de commettre un faux-pas.\\n\\n\\nChaque histoire implique l’utilisateur, par des questions, des choix, afin d’appréhender au mieux les paris sportifs. Ce dispositif s’inspire ainsi des techniques de narration des réseaux sociaux (story), le programme a d’ailleurs été pensé pour être consulté sur support mobile (smartphone et tablette), et est également disponible sur ordinateur.\\n\\n\\nLe but est d’effectuer un rappel ludique des règles en vigueur en matière de paris sportifs, à destination des acteurs du basket professionnel (joueurs, membres du staff, entourage). Le site est également conçu comme une boîte à outils pour les délégués intégrité de chaque club, dans laquelle ils trouveront les ressources pédagogiques utiles à leur mission d’information.\\n\\n\\nCette démarche est soutenue par la Fédération Française de Basketball (FFBB), l’Union des Clubs Professionnels de Basket (UCPB) et de l’Autorité de Régulation des Jeux En Ligne (ARJEL).\\n\\n\\n«La Ligue Nationale de Basket se doit d’accompagner activement tous les acteurs du basket professionnel et d’agir sur le sujet de l’intégrité des compétitions», estime Alain Béral, le président de la LNB «Nous attachons donc une forte importance à la sensibilisation des joueurs qui peuvent parfois ignorer ou méconnaitre leurs obligations sur les paris sportifs. Ce dispositif des LNB Stories est adapté aux usages de notre cible ce qui nous permet de mieux la sensibiliser et s’inscrit dans la continuité de notre politique de transformation digitale.»\\n\\n\\nQuant au Limougeaud Sekou Doumbouya, qui va être majeur dans quelques jours, il ajoute:\\n\\n« Je vous invite à aller voir le site LNB Stories qui est bien fait et qui a pour but de sensibiliser les joueurs et les coachs par rapport aux paris. Je sais qu’en tant que joueur, on n’a pas le droit d’aller parier sur des matchs de basket.»\\n\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéos: Benoît Dujardin explique ce que sont les réseaux sociaux et le Storytelling et présente un «pitch» pour le Paris Basketball"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Au fil du temps, Benoît Dujardin est devenu un expert en réseaux sociaux et tout spécialement appliqués au basket. Ces trois vidéos nous permettent d’en savoir davantage sur sa démarche.\\n\\n« J’ai été invité par l’IAE de Poitiers à faire une conférence sur le storytelling et les réseaux sociaux auprès de ses étudiants en Master 2 Marketing. Ça a été l’occasion pour moi de revenir sur des expériences réussies, notamment avec le Poitiers Basket 86 (2007-2014), mais aussi de projeter mon intervention sur ce que serait un marketing moderne et efficace avec les outils d’aujourd’hui (2019). Je leur ai donc présenté un pitch que j’avais préparé pour le Paris Basketball au cas où ils chercheraient à aborder différemment le développement du basket dans la capitale (pas uniquement à travers des résultats sportifs : ça ne suffit pas !). Ce pitch pour le Paris Basketball fait partie des Études de cas. Troisième partie de la conférence qui débute par des rappels « théoriques » sur le storytelling (communication narrative) d’une part et l’utilisation des réseaux sociaux d’autre part. »\\n\\nLa conférence « Communiquer en 2019 » :\\n\\n1- Le storytelling\\n\\n2- Les réseaux sociaux\\n\\n3- Communiquer en 2019 : Étude de cas"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep® ÉLITE : Zabian Dowdell renforce Châlons-Reims"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En difficulté sur le poste 1 avec le Portoricain Alex Abreu qui ne parvient pas à faire la bascule entre la Pro B et la Jeep Elite, le CCRB a décidé de faire appel au meneur Zabian Dowdell (1,91m, 34 ans).\\n\\nSur son site, le club de la Marne annonce donc l’arrivée du joueur passé par Vilnius, Gran Canaria, Malaga, Cantu, Saint Petersbourg ou encore Charleroi. Le Floridien s’est engagé pour toute la saison. Déjà passé par la France, l’ancien joueur de Malaga a porté le maillot de Nancy en 2007/08 et a terminé champion de France cette saison-là. Au CCRB, il retrouvera Cédric Heitz qui était assistant coach au SLUC en 2007/08.\\n\\nLa saison dernière, il compilait en moyenne 11,2 points, 2,6 rebonds et 3,9 passes décisives entre la VTB League et la Champions League.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France: Amine Noua forfait, William Howard appelé"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est un nouveau coup du sort pour l’équipe de France qui est depuis aujourd’hui en rassemblement à Paris. Le Villeurbannais Amine Noua a été jugé inapte médicalement à la compétition. Il n’est pas remplacé poste par poste mais par un numéro 3, le Limougeaud William Howard.\\n\\nLes Bleus décolleront jeudi pour la République Tchèque et affronteront l’équipe nationale tchèque vendredi à Pardubice. Ils rejoindront ensuite Limoges pour préparer la réception de la Bulgarie au Palais des Sports de Beaublanc, le lundi 3 décembre à 19h00. Lors de ce match, un hommage sera rendu à Frédéric Forte.\\n\\nPhoto: William Howard (FFBB)\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\nNom\\nNaissance\\nTaille\\nSélec.\\nClub\\n\\n\\nAndrew\\nALBICY\\n21/03/1990\\n1,78\\n42\\nAndorre\\n\\n\\nAxel\\nBOUTEILLE\\n14/04/1995\\n1,97\\n2\\nLimoges\\n\\n\\nOusmane\\nCAMARA\\n12/05/1989\\n2,02\\n–\\nChalon\\n\\n\\nWilliam\\nHOWARD\\n25/10/1993\\n2,02\\n1\\nLimoges\\n\\n\\nAxel\\nJULIEN\\n27/07/1992\\n1,84\\n7\\nDijon\\n\\n\\nAlain\\nKOFFI\\n23/11/1983\\n2,06\\n45\\nGravelines\\n\\n\\nLahaou\\nKONATE\\n17/11/1991\\n1,96\\n6\\nNanterre\\n\\n\\nPaul\\nLACOMBE\\n12/06/1990\\n1,9\\n10\\nMonaco\\n\\n\\nMathias\\nLESSORT\\n29/09/1995\\n2,05\\n5\\nMalaga\\n\\n\\nAmath\\nM’BAYE\\n14/12/1989\\n2,03\\n–\\nBologne\\n\\n\\nYakuba\\nOUATTARA\\n24/01/1990\\n1,91\\n6\\nMonaco\\n\\n\\nJonathan\\nROUSSELLE\\n07/02/1990\\n1,95\\n5\\nLimoges\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Mickey McConnell prolonge un mois à Pau"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Appelé mi-octobre pour remplacer Jerel Blassingame, touché au genou droit, Mickey McConnell (1,82m, 29 ans) a très vite su se rendre indispensable dans l’effectif de Laurent Vila.\\n\\nSi le club ne semble pas pouvoir lui offrir un contrat pour la saison pour des raisons financières, il vient néanmoins de lui proposer un mois supplémentaire dans les Pyrénées-Atlantiques. Une bonne nouvelle pour les supporters de l’Elan Béarnais, qui sort d’une belle victoire à domicile face à Chalon-sur-Saône.\\n\\nAvec Pau, Mickey McConnell tourne à 11,7 points, 4,3 rebonds et 5,6 passes décisives pour une évaluation de 16,9.\\n\\n« Je suis vraiment heureux de pouvoir prolonger l’aventure avec l’Elan car je me sens très bien ici et cela se passe à merveille avec l’encadrement, mes coéquipiers ou les supporters du club. On joue bien et surtout je suis sûr que nous pouvons encore progresser tous ensemble. On va j’espère pouvoir le montrer à l’occasion d’un mois de décembre qui s’annonce costaud mais excitant aussi avec le match face au CCRB, forcément spécial pour moi, puis les combats face à des « top teams » de la ligue. Ce n’est qu’un mois de plus et personnellement je ne peux pas dire que c’est une situation simple à gérer mais je fais en sorte d’être le plus professionnel possible et depuis que je suis arrivé, je me suis concentré sur ce que j’avais à faire sur le terrain et dans le vestiaire. Pour l’heure, je sais que je vais passer Noël ici et c’est déjà une super nouvelle », a commenté le meneur Vert et Blanc sur le site du club.\\n\\nPhoto :Vincent Cordeboeuf"
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo : voici à quoi ressemblera le futur Crédit Mutuel Forum Strasbourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Annoncée pour l’été 2021, le Crédit Mutuel Forum qui doit faire passer le Rhénus de 6 150 à 8 007 sièges avec une extension ultérieure à 10 100, se dévoile un peu plus aujourd’hui.\\n\\nAccompagné par Nicolas Chabanne (architecte) et Pierre Schlienger (directeur du développement de VINCI Construction France), Martial Bellon a donné quelques détails sur sa future salle, dont le design extérieur. Le permis de construire sera déposé le 10 décembre prochain tandis que les travaux commenceront en juin 2019."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Rouen s’intéresse à Lasan Kromah, libre depuis son départ de Boulazac"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé en été à Boulazac pour une saison, Lasan Kromah n’a pas fait de vieux os en Dordogne. Libéré après quatre matchs, il pourrait s’engager à l’étage du dessous, en Pro B.\\n\\nSelon Paris Normandie, Rouen serait intéressé par la venue suite au départ prochain de Chima Moneke qui ne fait plus partie des plans d’Alexandre Menard depuis plusieurs semaines.\\n\\nEn quatre matchs de Jeep Elite, Lasan Kromah a compilé 4,8 points et 1,3 rebond pour une évaluation de 2 avec le BBD."
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview des auteurs de «Plus près des étoiles», 90 ans d’histoires de Graffenstaden à Strasbourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Jean-Claude Frey et Dominique Wendling sont les auteurs d’un livre sur les 90 ans de la SIG Strasbourg. Voici leur interview.\\n\\nPouvez-vous vous présenter ?\\n\\nCorrespondant puis journaliste, diplômé du CUEJ (Centre universitaire d’enseignement du journalisme), Dominique Wendling fut en charge de la rubrique basket des DNA et a ainsi suivi la SIG à Graffenstaden pendant une douzaine d’années. Il a ensuite rejoint Adidas à la communication puis au marketing. Il a ainsi suivi de nombreux événements sportifs pour la marque avant d’en devenir le directeur des ressources humaines. Il opta ensuite pour le conseil en devenant dirigeant d’un cabinet leader sur le marché des RH jusqu’en 2016 avant de devenir conseiller d’une autre structure nationale dans le management. Ancien joueur, entraîneur puis président de l’AU Schiltigheim (N3), il est depuis 2011, membre du directoire de la SIG Strasbourg. Jean-Claude Frey a été joueur à Colmar, puis journaliste diplômé du CUEJ, il a intégré la rédaction des DNA, suivant notamment l’ascension du Mulhouse BC, vainqueur du Tournoi des As et demi-finaliste de la Coupe Korac. Il prit le relais de Dominique Wendling comme responsable de la rubrique basket pour suivre la SIG et son passage vers Strasbourg. Nommé rédacteur en chef adjoint du quotidien, il termina sa carrière professionnelle à ce poste en 2011. Dans la foulée, à la demande de Dominique Wendling qui venait d’intégrer le directoire et de Martial Bellon, il prit en charge les contenus rédactionnels du site internet du club (sigstrasbourg.fr), commenta les matches de ProA puis de Jeep Élite jusqu’aux playoffs 2018 et suivit l’équipe dans les compétitions européennes pendant trois saisons, assurant également les fonctions de Media directeur, en charge des relations avec les medias.\\n\\nComment avez-vous construit votre livre ? Chronologiquement, par thèmes ?\\n\\nNous voulions proposer aux fans un ouvrage, certes complet, mais surtout rythmé, fait de textes courts et variés, truffé d’anecdotes souvent inédites, de portraits des joueurs et des coaches « historiques », d’échos, illustré de plus de 300 photos, d’infographies et de documents « vintage » (affiches, billets, programmes, ballons, trophées, médailles, etc). L’idée étant de s’adresser tant à l’expert qu’au profane. Nous avons choisi de découper les 90 ans d’histoire en périodes les plus cohérentes possibles. L’époque des pionniers (1929 à 1957), la montée en régime (1957 à 1962) avec les sélections en équipe de France de Jérôme Christ, joueur légendaire, entraîneur, puis... président du club et l’arrivée du premier Américain, Frank Jackson, ponctuée des premiers exploits « nationaux ». Puis les années de yo-yo (1962 à 1971), d’autres plus fastes avec Francis Jordane (1971 à 1976), la traversée du désert et la descente jusqu’en N3 (1976 à 1989), le passage à Strasbourg, la professionnalisation avec la montée en Nationale 1b, devenue ProB, puis en ProA (1989 à 1998). De 1998 à 2004, les saisons où le club se cherche (titre en ProB, arrivée de Fred Forte, coupes d’Europe, etc.). Un chapitre entier est consacré au seul titre national décroché jusque là, sous la houlette d’Éric Girard, celui de 2005. Enfin, la période Bellon-Collet (2011 à aujourd’hui), qui occupe une très large partie du livre, a fait l’objet de plusieurs chapitres : la privatisation du club, les cinq finales perdues, dix portraits de la Dream Team du coach, les exploits européens, etc. Frank Ntilikina, fleuron du club, a droit à un chapitre particulier d’une dizaine de pages qui introduit un plaidoyer pour la formation. Nous consacrons également des chapitres aux coulisses (les salariés), aux soutiens fidèles, aux supporters, à l’association support, la SI Graffenstaden, 5e club de France en termes de licenciés, à l’Arena, avant de terminer par les bonus (statistiques avec les classements et les meilleurs marqueurs de... 57 saisons consécutives, liste de tous les étrangers passés à la SIG, des MVP ou des internationaux, etc.)\\n\\nAvez-vous travaillé à partir de documents et/ou par le biais de témoignages et si oui lesquels ?\\n\\nLes deux. Nous avons bénéficié des archives, peu nombreuses au demeurant, conservées par Jérôme Christ et l’association SIG, des plaquettes éditées lors de précédents anniversaires, de la revue fédérale Basket-ball, puis de nos propres souvenirs. Enfin, les archives du quotidien régional nous ont également été précieuses, en particulier pour les illustrations. Nous avons également rencontré des dizaines de témoins, en particulier Jérôme Christ, les présidents successifs, les joueurs et les entraîneurs qui ont fait la légende de Graffenstaden puis de Strasbourg, et tous les acteurs contemporains du club.\\n\\nAvez-vous une ou deux anecdotes savoureuses qui figurent dans le livre ?\\n\\nNous racontons par exemple comment Vincent Collet a failli ne pas signer au club, comment un joueur en arrivant au club a voulu duper le médecin du club lors du contrôle médical en lui remettant un faux flacon d’urine, les coulisses de certains matches clés.\\n\\nD’où proviennent les archives photographiques ?\\n\\nL’Association SIG, toujours basée à Illkirch-Graffenstaden, dispose d’une belle galerie de photos anciennes dans son club-house, dont nous avons pleinement profité. D’autres illustrations proviennent d’anciens joueurs ou dirigeants. Et nous avons passé un accord avec les DNA pour bénéficier de photos. Enfin, nous avons sollicité le concours de l’Euroleague, de la LNB, de la FFBB qui nous ont mis à disposition des images précieuses que nous n’avions pas. Et nous avons également acheté quelques documents spécifiques.\\n\\nEn quelques lignes, pouvez-vous résumer les 90 ans de la SIG ? Quel type de club était-ce et qu’est-il devenu ?\\n\\nPatronage né dans le giron du cercle catholique, longtemps cantonné aux fédérations affinitaires, le club a grandi lentement, sans jamais avoir la folie des grandeurs. Une grande stabilité à la tête du club (sept présidents seulement en 90 ans !), du sérieux dans les finances, même lorsqu’elle avait peu de moyens, la SIG a toujours conservé une partie de ces valeurs, typiquement « alsaciennes », misant sur la formation et le développement de jeunes joueurs (Gregor Beugnot, Daniel Haquet, les frères Occansey, Marc Bousinière, Bruno Hamm, Axel Toupane et bien sûr Frank Ntilikina, sont notamment passés par là). Aujourd’hui, avec un mode de gouvernance unique, coopératif, un projet d’agrandissement du Rhenus (le Crédit Mutuel Forum) financé par des fonds propres ou privés, elle ambitionne de rejoindre l’élite européenne. En gravissant les marches une à une. Dans ce cadre et sous l’impulsion de Martial Bellon, le club travaille actuellement à un nouveau projet stratégique.\\n\\nComment voyez-vous la SIG Strasbourg lorsqu’elle fêtera ses 100 ans ?\\n\\nLaissons la parole à Martial Bellon, le président, qui répond à cette question dans « Plus près des étoiles » : « Qu’en 2030, elle participe durablement à la meilleure compétition européenne dans une salle configurée à 10 000 places avec une moyenne entre 8 et 9 000 spectateurs. Et dotée d’un budget entre 15 et 18 M€ par an (9M€ la saison passée) dans la moyenne des grands clubs européens. Mais dans le même modèle et dans le respect des fondamentaux »."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : c’est terminé pour Jared Newson à Evreux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé au chevet de l’ALM Evreux mi-octobre pour pallier l’absence de Drake Reed, Jared Newson (1,96m, 34 ans) est arrivé à la fin de sa pige et quitte le club.\\n\\nSur son site, la formation ébroïcienne annonce que l’ancien joueur de Bamberg n’a pas été prolongé suite à son contrat d’un mois et qu’il a quitté Evreux ce week-end. En sept matchs de Pro B, Jared Newson a compilé 4,3 points, 1,7 rebond et 1,3 passe décisive pour une évaluation de 6,1.\\n\\nSuite à son passage, celui qui portait le maillot de Lorient lors des deux dernières saisons a tenu à montrer son attachement au club.\\n\\n« Merci Evreux, Merci pour l’opportunité. Je me sens comme si j’avais fait mon travail pour aider les jeunes joueurs et apporter de la cohésion à l’équipe. Je sais que certaines personnes m’ont demandé pourquoi je partais. Pour le moment, ma famille est plus importante. Ce n’est peut-être pas la dernière fois que vous me voyez. La flamme brûle encore à l’intérieur de moi »\\n\\nPhoto : Sabine De Leest/ALM Evreux"
}, 
{"role": "user",     "content":"Denis Masseglia (président du Comité National Olympique Français): «L’équipe nationale est le moteur essentiel de promotion du sport dans un pays»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Denis Masseglia est le président du CNOSF. Le 9 novembre, Thomas Bach président du CIO invitait ses homologues nationaux à œuvrer pour la défense du modèle sportif européen, notamment la défense des équipes nationales, face à la tentation d’un modèle d’organisation privé du sport. Et sur ce dossier, le basket est au centre du jeu. Nous avons donc fait le point avec le boss de l’olympisme français.\\n\\nThomas Bach a indiqué que le modèle européen du sport est « menacé » par les entreprises privées qui s’insèrent dans l’organisation des compétitions sportives de très haut niveau. Est-ce que vous partagez ce constat ?\\n\\nOui. Parce que toute entreprise commerciale qui veut organiser des compétitions à des fins qui lui permettent de gagner de l’argent ne peut pas miser sur quelque chose où il y a l’incertitude d’un système ouvert avec des montées et des descentes. Le modèle américain qui est construit sur des ligues fermées est tout autre. Les retombées en termes commerciaux sont supérieures à ce qui se fait en Europe. Ce sont deux conceptions différentes de la pratique. Mais la question mérite d’être posée : est-ce uniquement parce que ces ligues sont fermées et qu’elles génèrent de l’argent ? On parle de deux contextes, de deux économies, de deux cultures différentes. Il faut prendre les deux dans leur globalité. La société américaine, par exemple, possède une très forte culture du sport universitaire. Vraiment très forte, ce qui n’est pas le cas en France. On ne peut pas sortir le contexte sportif du modèle sociétal globale. Et le modèle européen est axé sur des systèmes de montées et descentes et donc une organisation ouverte. Voilà ce qui explique le mot menace. Après, tels que nous sommes organisés, un système fermé ou seuls les intérêts financiers seraient pris en considération se ferait forcément au détriment de tout ce qui est formation, clubs et équipe nationale. Sans clubs et sans formation, il n’y a pas d’équipe nationale. C’est vrai dans tous les sports.\\n\\nEst-ce qu’une greffe d’une ligue fermée, au sommet de la pyramide du modèle sportif européen est envisageable ou les deux logiques sont incompatibles ?\\n\\nAujourd’hui, ce sont les fédérations qui organisent. Elles ne sont pas parfaites mais elles ont au moins le mérite d’être dirigées par des gens qui ont une fibre « mouvement sportif ». Si le système est dirigé par des intérêts commerciaux, les intérêts du mouvement sportif, développement de la formation, des clubs, du développement des disciplines au profit de toutes les populations, ne pourront pas être pris en compte de la même manière. Ce ne seront pas des objectifs comme c’est le cas aujourd’hui avec notamment une forme de solidarité.\\n\\nThomas Bach invitait également chaque comité olympique à travailler avec son gouvernement. Qu’est-ce que vous avez mis en place avec le gouvernement français et quelle écoute vous obtenez auprès du ministère sur cette question-là ?\\n\\nAu début de l’année 2018, le CNOSF a déjà travaillé avec le ministère pour apporter quelques éléments à la commission européenne pour éviter qu’on puisse éviter, par des aspects législatifs, de faciliter l’implantation de ligues fermées ou de ligues organisées autrement que par l’intermédiaire des fédérations. Le propos de Thomas Bach évidemment vise à rassembler l’autorité étatique, qui a plus de poids vis-à-vis de l’Europe, et l’autorité sportive pour qu’elles parlent d’une même voix. Aujourd’hui, pour la France, CNO et ministère des sports, nous parlons d’une même voix pour qu’effectivement il y ait une prise de politique française allant dans le sens de la protection du modèle sportive européen.\\n\\nLe basket est au cœur de ces questions, avec une ligue quasi-fermée, l’Euroleague, dirigée par une entreprise de droit privée, insérée au cœur du basket européen. Est-ce que ce qui se passe en basket peut être vu comme une expérience concrète des dangers que vous décriviez jusque-là ?\\n\\nOn pourrait même dire que le basket est le seul véritablement touché aujourd’hui. On voit le problème : il y a désormais une réelle difficulté pour les équipes nationales européennes à rassembler leurs joueurs pour les qualifications aux grandes compétitions. Les qualifications nécessitent la présence d’une forte équipe, pas seulement lors des tournois finaux mais aussi toute l’année pour gagner le droit de jouer ce tournoi final. Le basket amène une preuve supplémentaire que la priorité, pour une entreprise privée qui cherche à faire du profit avec son produit, n’est pas la même que pour le reste de la discipline. Pour une fédération nationale ou internationale, la participation à une coupe du monde ou aux Jeux Olympiques est une priorité. Pour une entreprise comme l’Euroleague, non. C’est un vrai danger pour les équipes nationales et pour les tournois internationaux.\\n\\nEn quoi le fait de toucher aux équipes nationales est si problématique pour une discipline ?\\n\\nParce qu’une équipe nationale est le moteur essentiel de promotion du sport dans un pays. On n’a pas mieux aujourd’hui que l’équipe nationale pour faire du prosélytisme et de la promotion pour que les jeunes s’inscrivent dans un club pour être les champions de demain, et aussi pour la pratique du plus grand nombre. Et donc pour l’économie du sport aussi.\\n\\n« Aujourd’hui, le basket est observé, parce que l’Euroleague existe, parce qu’il y a eu une tentative de la FIBA de reprendre en main les choses avec la Basketball Champions League »\\n\\nEst-ce que le basket et ses problèmes peut servir de projection ou d’avertissement de ce qui pourrait arriver si ce genre de situations avec des entrepreneurs privés qui veulent fermer des ligues ou des événements – on voit bien la tentation dans le football ?\\n\\nIl y a toujours un sport en avance. Sur cette question, il s’agit du basket. Le foot l’a été avec l’arrêt Bosman par exemple. Il y a toujours un sport qui est touché plus précocement. Aujourd’hui, le basket est observé, parce que l’Euroleague existe, parce qu’il y a eu une tentative de la FIBA de reprendre en main les choses avec la Basketball Champions League. Un équilibre doit être trouvé mais c’est plus difficile à faire quand un des deux parties a avant tout en tête ses intérêts commerciaux.\\n\\nEst-ce que l’Union Européenne peut légiférer et à quelle échéance pour statuer définitivement sur cette question qui touche le basket de plein fouet ?\\n\\nJe ne saurai pas répondre à cette question. A partir du moment où l’UE a considéré le sport comme une activité ordinaire, position qui a prévalu sur certains arrêts qui ont par la suite complètement désorganisé le sport, comme l’arrêt Bosman pour ne citer que celui-là, je ne sais pas ce qui peut être fait aujourd’hui dans ce cadre de la libre circulation et de la libre concurrence. C’est normal que le mouvement sportif défende ses fondamentaux. On n’est pas là pour empêcher les athlètes de gagner de l’argent ni pour empêcher les clubs de se développer. On est là pour veiller à ce que le sport reste au service du plus grand nombre, de la population, de la jeunesse.\\n\\nJean-Pierre Siutat, président de la fédération française de basket-ball, est aussi vice-président du CNOSF. Est-ce que le dossier du basket est au centre des préoccupations du CNOSF ?\\n\\nAu centre, je ne sais pas, mais Jean-Pierre nous informe régulièrement des difficultés que la FIBA a pu rencontrer par rapport aux autres organisations qui veulent s’occuper du basket en Europe. Il a été leader dans l’approche gouvernementale en saisissant le ministère des sports et en saisissant les plus hautes autorités de l’eEtat, pour qu’il y ait une réaction française et que la France puisse être leader dans la défense du modèle européen. Les propos de Thomas Bach vont évidemment dans le sens de ce que Jean-Pierre a défendu depuis le début et dans ce qu’on a relayé aussi de notre côté.\\n\\nPhoto: Nicolas Batum (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet-Antibes: Déjà un match à la vie, à la mort"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cholet est avant-dernier avec deux victoires. Antibes lanterne rouge avec une seule. Les deux équipes s’affrontent ce soir à La Meilleraie. La consigne du coach antibois, Julien Espinosa est claire:\\n\\n« On va y aller avec une mentalité de guerriers, on doit être vidé d’énergie à la fin de ce match », lâche t-il à Nice Matin.\\n\\nLa victoire sur Pau (83-73) a mis du baume au coeur des Antibois surtout que Tim Blue a retrouvé toute sa verve (33 points, 39 d’évaluation). Ils peuvent aussi compter désormais sur deux renforts à des postes-clé: le meneur Taurean Green (1,83m, 32 ans) et le pivot Chris Otule (2,11m, 28 ans).\\n\\nL’urgence de la victoire s’est encore accentuée avec le succès de Fos/Mer, à Levallois. Il faut être lucide, il y a des places réservées en Pro B pour deux de ces trois équipes là.\\n\\n« Décisif serait peut-être fort parce que le gagnant ne va pas forcément se maintenir et le perdant ne va pas forcément descendre », nuance Julien Espinosa. « Il y a encore du temps mais on est dans les matchs qui comptent double. »\\n\\nDe fait, si les Antibois ne gagnent pas ce soir, ils ne seront pas encore pendus mais ils auront la corde autour du cou.\\n\\nPhoto: Tim Blue (Antibes)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines – Nantes-Bourges: Quand les Nantaises se prennent une déferlante dans la tête, 52-108"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"52-108. Il y a des scores qui piquent les yeux comme celui de ce Nantes-Bourges qui suivait la trêve.\\n\\nC’est après le premier quart-temps et tout spécialement dans le troisième (8-32) que les Nantaises ont pris une... déferlante dans la tête. Celle qui leur a fait le plus de mal, c’est leur ancienne coéquipière, l’internationale canadienne Nayo Raincok Ekunwe qui n’a pas gâché la marchandise (21 points à 9/10 aux shoots plus 7 rebonds). Quant à Lisa Berkani, elle s’est offert un double-double (10 points et 11 rebonds). L’évaluation finale est épouvantable: 157 à 30 ! Les Berruyères ont tourné à 70,4% de réussite aux tirs, les dix joueuses présentant au final un taux de réussite positif.\\n\\n« Je ne sais pas vous mais je n’ai pas vu de cadres aujourd’hui sur le terrain ! » a lâché le coach du NRB, Emmanuel Coeuret en conférence de presse. « Ce score me fait mal, j’espère qu’aux filles aussi, j’attends une réaction. Maintenant, nous allons nous pencher sérieusement sur la rencontre de Venise et celle de Mondeville dans une semaine. Je peux vous dire que les nuits à venir seront courtes, nous allons beaucoup travailler. »\\n\\nA l’inverse, son collègue Olivier Lafargue ne pouvait être que satisfait du travail accompli:\\n\\n« C’est très satisfaisant, nous avons eu une adresse exceptionnelle malgré nos 4, 5 pertes de balles dans le jeu rapide en première mi-temps, ce que nous avons bien rectifié en seconde mi-temps. Nous avions peur en venant ici car nous connaissons Emmanuel et savons ce qu’il peut faire face à des grandes équipes, les filles ont été vigilantes comme le montre l’entame du 3ème quart-temps. »\\n\\nPhoto: Sarah Michel et Cristina Ouvina (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le chiffre: 49 des 76 points du Mans contre Monaco pour les Français"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Faut-il voir le verre à moitié vide ou à moitié plein? Mettre le doigt sur le fait que les Américains du MSB ne sont pas totalement convaincants depuis le début de saison ou insister sur la performance hier des joueurs français face à Monaco? Un peu des deux.\\n\\nAvec 4 paniers sur 8 shoots et 11 points, Juice Thompson a eu un rendement honnête mais toujours loin de ses standards palois. Jonathan Tabu (7 points) a été disons moyen alors que Richard Hendrix (9) n’est pas assez servi. Quant au quatrième étranger, Cameron Clark, il souffre d’un oedème au pied et il était forfait. Il n’est même pas certain qu’il soit d’aplomb le 8 décembre pour la venue de Limoges.\\n\\nCe sont donc Valentin Bigote (13), Antoine Eito (11), Terry Tarpey (5), Will Yeguete (4 points et aussi 10 rebonds) et plus encore Petr Cornelie (16) qui ont essentiellement alimenté la marque et permis au Mans de s’assurer une précieuse victoire sur Monaco, 76-64.\\n\\n« Petr, c’est notre joueur le plus régulier, le meilleur depuis le début de l’année. Ce soir, il est titulaire, il répond présent. Quand on va récupérer Cam, ce sera intéressant, » a commenté le coach Eric Bartecheky en conférence de presse.\\n\\nAucun des cinq Manceaux n’est convié aujourd’hui au rassemblement de l’équipe de France mais en ces temps de pénurie, ils sont tous plus ou moins candidats pour la prochaine fenêtre et si Petr Cornelie poursuit sur sa lancée, sa taille (2,11m), son âge (23 ans), sa vitesse, son agilité et son adresse à trois-points (47,4%) sont de sérieux atouts qui peuvent séduire VincentCollet.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV: La France joue sa qualification à la Coupe du monde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Une semaine sans Jeep Elite à partir de mardi, Eurocup et BCL -mais avec l’Euroleague- puisque nous entrons dans la fenêtre internationale avec deux matches de l’équipe de France décisifs pour sa qualification à la Coupe du monde 2019.\\n\\nLundi 26 novembre:\\n\\n20h45 – Cholet/Antibes – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\n22h45 – Buzzer – Emission – RMC Sport 2\\n\\nJeudi 29 novembre:\\n\\n19h00 – Kaunas/Milan – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\n21h00 – Madrid/moscou – Euroleague – RMC Sport 4\\n\\nVendredi 30 novembre\\n\\n18h00 – Rép. Tchèque/France – Qual. CM – Canal+Sport\\n\\n18h00 – Khimki Moscou/Panathinaikos – Euroleague- RMC Sport Live 5\\n\\n18h30 – Efes Istanbul/Vitoria – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n20h30 – Olympiakos/Podgoricia – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n23h00 – Barcelone/Fenerbahçe – Euroleague – RMC Sport 2 Diff.\\n\\nLundi 3 décembre\\n\\n19h00 – France/Bulgarie – Qual. CM – Canal+ Sport\\n\\nPhoto: Andrew Albicy (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : les highlights du match entre Le Mans et Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dimanche soir à Antares, c’était le remake de la dernière finale des playoffs de Jeep Elite entre le champion, Le Mans, et le finaliste, Monaco.\\n\\nLa LNB a compilé les meilleures images de ce match qui a vu le MSB s’imposer (76-64) et ainsi un peu plus s’ancrer dans le top 8 (sixième place avec sept victoires et quatre défaites). De l’autre côté, Monaco continue de douter en Jeep Elite et reste figé à une très timide douzième place (5v-6d).\\n\\nMVP de la rencontre, Petr Cornelie a enregistré 16 points et 6 rebonds pour une évaluation de 15.\\n\\nPhoto : Dominque Breugnot"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France: Sekou Doumbouya forfait, Jean-Marc Pansa appelé comme partenaire d’entraînement"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il n’y a pas que les titulaires qui sont indisponibles quand ils jouent en NBA, en Euroleague ou qu’ils sont blessés, même l’un des partenaires d’entraînement déclare forfait.\\n\\nActuellement blessé, le Limougeaud Sekou Doumbouya (2,05m, 17 ans) est remplacé par Jean-Marc Pansa (2,08m, 21 ans) de Nanterre 92 en tant que partenaire d’entraînement de l’Equipe de France, qui est rassemblée demain lundi en vue des deux matches de qualification à la Coupe du monde 2019 face à la République Tchèque et la Bulgarie.Photo: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges: L’assistant François Perronet succède à Kyle Milling comme coach"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A la suite de la défaite face à la JDA Dijon hier soir à Beaublanc, le président du Limoges CSP, Youri Verieras, a convoqué les équipes d’encadrement sportif et annoncé que le club se sépare de son coach Kyle Milling arrivé à l’été 2017 et dont le contrat courait jusqu’à juin 2020.\\n\\n“Comme je l’avais annoncé il y a plusieurs semaines, le comportement sur courant alternatif de ce collectif cette saison est très décevant. Nous avons laissé le temps raisonnable au coach pour corriger ce qui devait l’être. Force est de constater que les résultats ne suivent pas. Après concertation avec le directeur sportif, j’ai pris la décision de se séparer de Kyle Milling. Je tiens néanmoins à le remercier pour son engagement et les résultats qu’il a su apporter au club la saison dernière.”\\n\\nC’est son assistant François Peronnet, 48 ans, qui est nommé coach du CSP. Né à Chaumont, celui-ci a été auparavant coach chez les jeunes à Nancy et Chalon, assistant à Chalon et Villeurbanne, coach à Châlons, Bourg et Quimper, puis assistant et coach à Orléans avant d’avoir une expérience en tant que coach principal au Japon, aux Tokyo Hachioji Trains. Il était assistant au CSP depuis l’été 2017. Il a été élu en 2006 meilleur entraîneur de Pro B.\\n\\n“François est un tacticien reconnu, » souligne Olivier Bourgain, le directeur sportif. « Il connaît très bien la politique sportive du club et la soutient activement. Aussi discret que perfectionniste, il n’en est pas moins un meneur d’hommes. Il met de l’intensité dans tout ce qu’il fait. Il est aujourd’hui la meilleure personne pour nous aider à rebondir dans un bilan de mi saison compliqué. Le lien individuel qu’il a avec chaque joueur sera un atout considérable pour recréer une dynamique positive.”\\n\\nFrançois Peronnet va bénéficier de la trêve due à la fenêtre internationale pour prendre son équipe en main:\\n\\n“J’ai bien sûr une pensée particulière pour Kyle avec qui j’ai pris plaisir à travailler et au contact duquel j’ai découvert d’autres facettes de mon métier. J’ai ma part de responsabilité dans la situation sportive actuelle et je ne m’en défausse pas. Il n’y a plus de temps à perdre. Nous allons utiliser la trêve pour travailler avec intensité et humilité, revenir aux fondamentaux. Cette équipe a un potentiel qui mérite de meilleurs résultats. Mais les qualités individuelles ne sont rien sans engagement et un collectif qui combat les uns pour les autres. C’est notre challenge.”\\n\\nPhoto: CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce: Six joueurs du Panathinaikos victimes d’une gastro-entérite"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Six joueurs du Panathinakos sont actuellement victimes d’une gastro-entérite et si Stephane Lasme a pu rester à la maison, Nick Calathes, James Gist, Ian Vougioukas, Konstantinos Mitoglou et DeShaun Thomas sont hospitalisés.\\n\\nPour le match du championnat national à Rhodes, le coach Xavi Pascual peut encore compter sur Keith Langford, George Papagiannis, Evangelos Sakellariou, Ioannis Papapetrou, Nikos Pappas, Lukas Lekavicius, Matt Lojeski et Thanasis Antetokoumpo. Quelques juniors vont compléter l’équipe de la capitale grecque.\\n\\nPhoto: Nick Calathes"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau-Chalon: C’est un temps-mort de Laurent Vila à 14 secondes de la fin qui a mis Jean-Denys Choulet en colère"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est le dernier temps-mort pris à 14 secondes de la fin du match par le coach palois Laurent Vila qui a eu le don de mettre son collègue de Chalon, Jean-Denys Choulet, en colère. Choulet a donné un premier coup d’épaule à Laurent Vila puis un deuxième à l’assistant Jimmy Vérove qui l’a ensuite pris par le cou, ce qui a entraîné un début d’échauffourée.\\n\\n« Pau a été bon à des moments importants du match où nous, nous n’étions pas très présents défensivement », a t-il commenté en conférence de presse. « On a laissé beaucoup trop de liberté à leurs shooteurs extérieurs. Chikoko a aussi fait un gros match dessous. C’est un match qui ne se joue pas à grand chose et on ne peut être que déçu de l’issue mais charge à nous de défendre un peu mieux car quand on prend 101 points à l’extérieur, c’est difficile de gagner. Même si on marque beaucoup de points, il va falloir un jour où l’autre se faire violence en défense et certains n’ont pas encore bien compris la leçon. La rentrée de certains, en matière d’engagement, est un peu douteuse. Il n’y a pas grand chose à dire sur l’arbitrage. Juste un peu déçu du temps mort à 14 secondes de la fin à +6. C’est vraiment des choses qui ne se font pas entre coaches. Quand on a un peu de respect pour les gens, on ne fait pas de chose comme cela. On peut toujours donner les excuses que l’on veut mais j’ai trouvé cela irrespectueux. Après, chacun fait comme il veut, moi je ne le fais pas. Je m’en rappellerai. Après, concernant l’attitude de Jimmy Verove, je n’en fais pas des tonnes. C’est dommage car il y a beaucoup de respect entre les clubs de Chalon et de Pau. J’aime bien ce club, cette ambiance. J’estime juste que ce temps mort là ne se justifiait pas. »\\n\\nInterrogé, Laurent Vila s’est justifié en quelques mots:\\n\\n« Le match est serré, on est à + 6, il me semble important de bien gérer ces 14 dernières secondes, afin de faire retomber la tension et de remettre le ballon en zone avant. C’est ce qu’il y avait de mieux à faire. Que Jean-Denys Choulet apprécie ou pas, cela le concerne. »\\n\\nRMC Sport a pour sa part contacté Jimmy Verove qui explique sa réaction:\\n\\n« Lors de la poignée de main, il menace Laurent Vila, puis il le pousse deux fois. A ce moment-là, je m’interpose. Il s’en prend à moi en disant: ‘T’es qui toi Vérove?’ Derrière, il se rapproche de moi et ne me mets pas un coup d’épaule comme il a dit. Il me met un coup de poing dans les testicules. J’ai crié ‘Putain il m’a tapé dans les c...!’. J’ai réagi directement. J’ai eu un geste d’auto-défense, très instinctif. J’ai réagi en tant qu’ami de Laurent Vila, pas en tant qu’assistant. Si Ousmane Camara (pivot de Chalon) ne vient pas (pour les séparer), je ne sais pas ce que j’aurais pu faire. J’assume mon geste. J’en assumerai les conséquences. Il me porte un coup, j’ai réagi. »\\n\\nLe président Alain Béral a confirmé qu’il y aura des suites à cette bousculade au niveau de la commission de discipline de la LNB.\\n\\nPhoto: LNB\\n\\nhttps://twitter.com/benduj/status/1066412149591945216"
}, 
{"role": "user",     "content":"Lattes-Montpellier: Licencié ou réintégré ? Rachid Méziane attend de connaître son sort"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lattes-Montpellier a ce dimanche un déplacement sans danger apparent à Mondeville. C’est toujours l’assistant, le Belge Thibault Petit qui servira de head coach.\\n\\nL’entraîneur Rachid Méziane ne connait pas encore son sort puisque s’il a été reçu en fin de semaine dernière, au retour de son périple avec l’équipe de France où il sert comme adjoint, par le président du BLMA, Franck Manna, celui-ci s’est donné quelques jours de réflexion pour savoir s’il doit s’en séparer ou le conserver.\\n\\n« Une décision choc qui serait motivée par des conflits avec la directrice sportive, Edwige Lawson et l’assistant coach Thibault Petit », écrit le Midi Libre à propos de la mise à l’écart de Rachid Méziane.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"La phrase – Paul Lacombe (Monaco): «Ne pas défendre un trophée que l’on a gagné trois fois ferait un peu désordre»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Le Mans/Monaco de cette fin d’après-midi est beaucoup plus que la revanche des playoffs 2018 car les deux équipes ont un besoin urgent de points et encore plus l’ASM qui est à une victoire du MSB au classement. Comme le fait remarquer Paul Lacombe dans Nice Matin, la qualification à la Leaders Cup est loin d’être acquise pour la Roca Team, 12e avec un bilan de 5 victoires et autant de défaites :\\n\\n« Avant le départ de la saison, on aurait pu se dire, cette journée de saison régulière au Mans n’est pas si importante que ça. Aujourd’hui, on voit bien que c’est un match que l’on ne peut pas lâcher. Ne pas défendre un trophée que l’on a gagné trois fois, ce ne serait pas une catastrophe, mais cela ferait un peu désordre. »\\n\\nAlors qu’Antoine Eito, touché aux adducteurs pourrait faire son retour à cette occasion côté manceau, les Monégasques déplorent les absences de trois éléments majeurs: Amara Sy, qui ne sera pas d’aplomb avant le début de l’année prochaine, Lazeric Jones après la trêve international, alors que Gerald Robinson en a encore pour environ un mois et demi. Pourtant, l’ASM prouve en Eurocup qu’elle est toujours compétitive malgré ses désagréments.\\n\\nPhoto: Paul Lacombe (Eurocupbasketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le chiffre: 7 paniers à trois-points pour David Holston (Dijon) et CJ Harris (Pau)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le petit meneur américain de la JDA Dijon David Holston (1,73m, 32 ans) a fait pleurer Beaublanc hier soir. Il a planté les paniers à trois-points qui ont fait craquer le CSP en fin de match alors que celui-ci avait effectué un retour qui avait mis à mal l’avance des Bourguignons.\\n\\nAu total, David Holston a inscrit 7 paniers à trois-points sur 10 tentatives pour 23 points, plus 6 rebonds et 6 passes.\\n\\nIl ne s’agit pourtant pas du record de la journée de Jeep Elite -qui a encore deux matches au programme- puisque le Palois CJ Harris (1,93m, 27 ans) en a inscrit tout autant face à Chalon mais en seulement 8 tentatives pour 31 points plus 5 rebonds et 4 passes.\\n\\nRappelons que le record de paniers à trois-points dans un match de Pro A/Jeep Elite sans en rater un seul est la propriété de Darnell Harris qui, en avril 2015, en avait cumulé 8 lors du match Orléans-Limoges.\\n\\n\\n\\n\\nIl était de retour... et il n'a rien perdu de son talent !! Avec 23 points (7/10 à 3-points), 6 passes décisives et 6 rebonds pour 26 d'évaluation, David (@Dcash_11) Holston est le joueur du match !\\n\\n\\nSes 3 derniers tirs primés sont 🤩🤩🤩#CSPJDA #JeepELITE #Dijon pic.twitter.com/yE7xoR9w39\\n\\n\\n— JDA Dijon Basket (@jdadijonbasket) November 25, 2018\\n\\nCJ Harris (Elan Béarnais)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Kim Gaucher (Mondeville): «Au Canada, on n’a pas d’argent pour les sportifs sauf pour le hockey»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Kimberley Smith Gaucher (1,82m) fait son retour dimanche sur les parquets face à Lattes-Montpellier. Elle était hors circuit depuis le début de saison en raison d’une fracture de fatigue. C’était très handicapant pour l’US Mondeville car à 34 ans, Kim est une capitaine rassurante pour la bleusaille normande. Arrivée en France en 2012 à Tarbes, avec juste une infidélité d’une saison, l’internationale canadienne est aussi devenue l’une des figures de la Ligue Féminine.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComment est arrivée cette fracture de fatigue ?\\n\\nÇa s’est produit au cours d’un choc, aussi ce n’est pas une fracture de fatigue normale. Lorsque je suis revenue en France après la Coupe du monde, j’avais encore des douleurs aussi on a fait des examens et on a trouvé ça.\\n\\nParliez-vous français avant d’arriver en France ?\\n\\nUn tout petit peu. Comme je viens du Canada, j’avais eu des cours à l’école élémentaire et puis la première année, j’avais joué en Belgique (NDLR : au Dexia Namur). En France, j’essaye de ne parler que français et ça vient doucement.\\n\\nLe français est-il une matière importante dans le Canada anglophone ?\\n\\nMoi je viens de la partie la plus à l’ouest aussi il n’y a pas beaucoup de français. Tous les Canadiens peuvent dire quelques mots, « bonjour », « je m’appelle... » mais j’aime bien dire maintenant que je parle français.\\n\\nExiste-t-il au Canada une rivalité entre les Anglophones et les Francophones ?\\n\\nÇa dépend avec qui tu parles. Il y a des Québécois qui ont un peu ce sentiment mais pour moi, pas du tout. J’adore Montréal, c’est l’une de mes villes préférées au Canada. Je sais qu’au cours de notre Histoire le Québec a eu l’envie de se séparer du Canada mais j’espère que c’est fini maintenant (NDLR : Le parti québécois est indépendantiste mais les Québécois ont rejeté les propositions d’indépendance à 59,5 % en 1980 et à 50,4 % en 1995).\\n\\nVous êtes de Colombie Britannique comme l’ancien coach de Villeurbanne, JD Jackson, qui est aujourd’hui assistant avec l’équipe masculine du Canada. Vous le connaissez ?\\n\\nJackson ? Non, je ne le connais pas.\\n\\nIl n’y a pas de championnat professionnel au Canada ?\\n\\nNon, on n’a rien. Au Canada, on n’a pas d’argent pour les sportifs sauf pour le hockey. C’est dommage. Il y a du basket au niveau universitaire pour les femmes mais tous les bons basketteurs partent aux Etats-Unis (NDLR : Kim a été étudiante à l’université d’Utah) car il n’y a pas beaucoup d’argent. Il y a des bourses mais pas complètes comme aux Etats-Unis et ce n’est pas un haut niveau pour les femmes. Et après, tu peux jouer des pickup à la salle avec tes amies et c’est tout. Il y a rien d’autre aussi plein de joueuses arrêtent. Soit tu restes, soit tu es obligée d’aller loin de ta famille et de tes amies et apprendre de nouvelles langues.\\n\\nAvez-vous fait une carrière en France pour le basket ou pour le pays ?\\n\\nC’était plutôt parce que mon agent me l’a proposée et quand je suis arrivée, j’ai bien aimé le pays et aussi c’est un championnat qui est très fort. Ce sont les deux raisons qui m’ont fait rester.\\n\\nVisitez-vous la France ?\\n\\nUn peu même si on n’a pas beaucoup de temps. J’adore le ski et avec mon mari on est allé à Chamonix pendant la trêve internationale. Sinon, on visite surtout la Normandie, les plages du débarquement, le Mont Saint-Michel, tout ça. Et puis parfois Paris.\\n\\nVotre mari est avec vous en France ?\\n\\nOn était marié avant que j’arrive en France et oui, il est avec moi depuis que je suis là. Il entraîne les jeunes filles du centre de formation du club.\\n\\n« Il n’y a pas eu une fille qui est venue ici et qui a eu une mauvaise expérience »\\n\\nPourquoi y a-t-il autant de Canadiennes dans le championnat de France ?\\n\\nJe crois que l’on a un style de jeu qui correspond beaucoup au championnat de France. Tout a commencé, je crois, avec Lizanne Murphy. Elle a bien joué et depuis les clubs français ont regardé plutôt les Canadiennes pour avoir une étrangère pour leur équipe. On en parle souvent entre nous. On est toutes très contentes. Il n’y a pas eu une fille qui est venue ici et qui a eu une mauvaise expérience. Ça aide pour les jeunes qui recherchent un pays.\\n\\nOn dit qu’en France les clubs payent les salaires, ce qui n’est pas le cas dans tous les pays ?\\n\\nOui. Ça peut être moins cher mais tu sais que tu vas recevoir ton argent. Bien sûr, c’est important ! Oui, il y a eu beaucoup de mauvaises expériences dans d’autres pays. En Turquie.\\n\\nLorsque Liz Murphy (NDLR : MVP étrangère de la LFB en 2014-15) s’est blessée au genou, avec votre mari vous avez fait la route Caen-Angers pour aller la voir ?\\n\\nOui. C’est une très bonne amie et quand elle a été blessée, j’ai eu l’impression moi aussi d’y être. J’étais vraiment déçue pour elle et j’ai voulu aller l’encourager pour lui dire de tout faire pour aller aux JO. C’est une fille extraordinaire, qui travaille tellement dur et elle a été remise pour les Jeux de Rio.\\n\\nElle est étudiante en médecine ?\\n\\nElle a besoin de quelques cours par correspondance mais actuellement elle travaille pour le comité olympique canadien et c’est un très bon boulot.\\n\\n« J’avais déjà dit que je prenais ma retraite après les JO de Londres mais j’avais continué »\\n\\nBattre la France lors de la dernière Coupe du monde en Espagne, c’était une revanche pour vous ?\\n\\nNon ! On a battu la France dans un match de poule, ça ne représente rien. Et là c’était une autre année, une autre équipe. Ce ne sont que les journalistes qui disent ça mais en fait il n’y avait rien pour faire une revanche de 2016. Pour nous, c’était un autre match pour gagner la poule. Rien d’autre que ça.\\n\\nFinir septième a représenté une grosse déception ?\\n\\nBien sûr. On n’a pas fait un bon quart-de-finale, on n’a pas joué en équipe. Notre but était d’avoir une médaille, aussi quand tu ne réussis pas, c’est une déception. On a perdu ensuite contre la Chine mais il n’y a pas une grande différence entre la septième et la cinquième place. Il n’y avait pas beaucoup de temps entre les matchs et on n’a pas bien joué, mais le match qui te saoule (sic), c’est celui contre l’Espagne pas celui contre la Chine.\\n\\nCe n’est pas facile de jouer l’équipe hôte en quart-de-finale ?\\n\\nOui mais si tu veux gagner une médaille, tu dois gagner contre les grosses équipes et là on n’a pas réussi à le faire. C’était de notre faute dans le quatrième quart-temps. Oui.\\n\\nDepuis quand êtes-vous en équipe nationale du Canada ?\\n\\nDepuis 2001.\\n\\nVous détenez le record de sélections ?\\n\\nJe ne sais pas. Je suis peut-être parmi celles qui en ont le plus, je ne sais pas trop. Ce n’est pas important. J’avais dit que j’arrêtais et j’ai fait une pause l’été précédent, c’était la première fois. J’avais déjà dit que je prenais ma retraite après les JO de Londres mais j’avais continué.\\n\\nEt là, vous continuez encore ?\\n\\nJe ne sais pas. Je vois ça mois par mois.\\n\\nVous avez resigné pour trois ans à Mondeville en 2017. Vous n’avez pas eu envie de jouer pour une équipe qui fait une coupe d’Europe ?\\n\\nJe me sens bien à Mondeville. Mon mari et moi sommes bien placés. J’aime bien les valeurs du clubs et aussi le fait de vouloir faire grandir de jeunes joueuses. Je trouve ça cool. Je peux aussi les aider à l’entraînement. On a vraiment du talent avec ces jeunes cette année et tu te sens fière quand tu vois leur progression. J’aime ça !\\n\\nOn dit que vous avez un gros QI basket. Vous voulez être coach plus tard ?\\n\\nOh ! Je ne sais pas. On va voir. J’aime bien le basket mais je ne sais pas ce que je vais faire après.\\n\\n[armelse]\\n\\nComment est arrivée cette fracture de fatigue ?\\n\\nÇa s’est produit au cours d’un choc, aussi ce n’est pas une fracture de fatigue normale. Lorsque je suis revenue en France après la Coupe du monde, j’avais encore des douleurs aussi on a fait des examens et on a trouvé ça.\\n\\nParliez-vous français avant d’arriver en France ?\\n\\nUn tout petit peu. Comme je viens du Canada, j’avais eu des cours à l’école élémentaire et puis la première année, j’avais joué en Belgique (NDLR : au Dexia Namur). En France, j’essaye de ne parler que français et ça vient doucement.\\n\\nLe français est-il une matière importante dans le Canada anglophone ?\\n\\nMoi je viens de la partie la plus à l’ouest aussi il n’y a pas beaucoup de français. Tous les Canadiens peuvent dire quelques mots, « bonjour », « je m’appelle... » mais j’aime bien dire maintenant que je parle français.\\n\\nExiste-t-il au Canada une rivalité entre les Anglophones et les Francophones ?\\n\\nÇa dépend avec qui tu parles. Il y a des Québécois qui ont un peu ce sentiment mais pour moi, pas du tout. J’adore Montréal, c’est l’une de mes villes préférées au Canada. Je sais qu’au cours de notre Histoire le Québec a eu l’envie de se séparer du Canada mais j’espère que c’est fini maintenant (NDLR : Le parti québécois est indépendantiste mais les Québécois ont rejeté les propositions d’indépendance à 59,5 % en 1980 et à 50,4 % en 1995).\\n\\nVous êtes de Colombie Britannique comme l’ancien coach de Villeurbanne, JD Jackson, qui est aujourd’hui assistant avec l’équipe masculine du Canada. Vous le connaissez ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ASVEL toujours dans l’attente d’une réponse de l’agent de Eric Buckner pour une prolongation de contrat"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dixième succès d’affilée cette saison de l’ASVEL à l’Astroballe après la victoire hier soir sur Boulazac, 77-61.\\n\\nLe pivot Eric Buckner (2,08m, 28 ans) a assuré 10 points (5/6) aux tirs et 4 rebonds en 23 minutes.\\n\\nL’ancien meilleur contreur de l’EuroChallenge avait fait l’essentiel de sa carrière professionnelle en Turquie avant d’arriver dans le Rhône pour combler un déficit à l’intérieur suite aux blessures de Alpha Kaba et Livio Jean-Charles. Doté de qualités athlétiques exceptionnelles, Eric Buckner apporte 8,8 points et 4,4 rebonds en moyenne en Jeep Elite.\\n\\nL’ASVEL lui a fait une proposition de prolongation de contrat et le coach Zvezdan Mitrovic a répondu hier soir en conférence d’après-match que le club est toujours dans l’attente d’une réponse de son agent.\\n\\nPhoto: ASVEL\\n\\n\\n\\n\\nMitrovic, le coach de @LDLCASVEL, à propos de Buckner: «Il a une proposition entre les mains et nous n’avons pas encore eu de retour de sa part. Son agent nous a dit qu’il voulait jouer dans une équipe d’Euroligue. Eric se sent bien dans l’équipe, mais il ne maîtrise pas tout»\\n\\n\\n— OBUZZER (@O_buzzer) November 24, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: L’échauffourée entre Jean-Denys Choulet (Chalon) et Jimmy Verove (Pau)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Visiblement, Jean-Denys Choulet n’a pas apprécié la défaite de son équipe (96-101) à Pau et après quelques mots échangés avec le coach palois Laurent Villa, c’est l’assistant de celui-ci Jimmy Vérove qui est venu à la rescousse et nous avons assisté à un début d’échauffourée. Ce sont les joueurs qui ont calmé leurs entraîneurs!\\n\\nhttps://twitter.com/benduj/status/1066412149591945216"
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : Podgorica renverse le CSKA Moscou !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Incroyable scénario pour cette 9e journée d’Euroleague ! Après la défaite du Real Madrid face à l’Olympiakos, c’est le CSKA Moscou qui a aussi dû tomber les armes à la main face à Podgorica. Il n’y a ainsi plus aucune équipe invaincue cette saison !\\n\\nPar contre, ça continue de marcher très fort pour l’Efes Istanbul de Rodrigue Beaubois (24 points) et Adrien Moerman (9 points, 12 rebonds). Du côté des Français, on retrouve pour le coup de belles prestations dans le sillage de Beaubois, avec notamment 20 points, 6 passes de Thomas Heurtel et 19 points, 6 passes de Nando De Colo.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nPodgorica se paye le CSKA\\n\\nLargué à -13 en début de 2e mi-temps, Podgorica s’est sorti les trip(l)es pour retourner une situation bien mal embarquée. Et derrière un tir de barrage à 12 tirs à trois points, le Buducnost a réussi à renverser l’ogre moscovite, s’arrachant jusqu’au bout sur une claquette victorieuse de Danilo Nikolic.\\n\\nCe dernier a été le héros du match pour Podgorica avec 14 points dont 4 tirs à trois points. A ses côtés, Nemanja Gordic ( points) et Earl Clark ont aussi été fondamentaux dans ce succès improbable. Pour le CSKA Moscou, Nando De Colo (19 points, 6 passes, 3 interceptions) n’aura pas réussi à éteindre l’incendie.\\n\\n\\nL’Olympiakos fait chuter le Real !\\n\\nLe champion en titre n’est plus invaincu ! Il aura fallu attendre la 9e journée mais c’est bien l’Olympiakos qui a réussi à faire chuter le Real Madrid, à la plus grande joie de son coach David Blatt, très disert en conférence de presse (88-83). Nigel Williams-Goss (23 points, 6 rebonds, 4 passes) et Vassilis Spanoulis (20 points) ont porté le gros du fardeau mais c’est surtout Janis Strelnieks qui a fait la différence, avec 7 de ses 15 points dans le finish !\\n\\nAvec quasiment 8 minutes sans panier en début de dernier quart, le Real a encaissé un 15-5 fatal. Facundo Campazzo (14 points, 13 passes) avait pourtant réalisé un sacré numéro en l’absence de Sergio Llull. Jaycee Carroll (16 points) termine meilleur scoreur de son équipe qui a manqué d’options dans le sprint final.\\n\\n\\nRoddy Beaubois allume le Darussafaka !\\n\\nIl en était à 0 point à la pause... mais Rodrigue Beaubois peut prendre feu à tout instant ! Face au Darussafaka, il a commencé son carnage de loin et a lancé un 22-4 en compagnie de Tibor Pleiss, avec deux tirs de suite derrière l’arc et un 6/7 qui a tout simplement fini par dégoûter son adversaire (93-88).\\n\\nAvec 24 points et 5 passes au final, Beaubois a atteint la barre des 1000 points inscrits en carrière en Euroleague. Et son équipe se porte toujours aussi bien avec un 4e succès d’affilée ! Adrien Moerman frôle le double double avec 9 points et 12 rebonds.\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nRodrigue Beaubois (Istanbul) : 24 points (8/14 aux tirs), 5 passes, 2 rebonds, 1 interception, 1 contre, 1 balle perdue en 28 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 20 points (8/11 aux tirs), 6 passes, 4 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 21 minutes\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 19 points (8/12 aux tirs), 6 passes, 3 interceptions, 1 rebond en 29 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 10 points (5/11 aux tirs), 9 rebonds, 1 passe, 3 balles perdues en 33 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Istanbul) : 9 points (4/12 aux tirs), 12 rebonds, 2 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 26 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahce) : 8 points (4/8 aux tirs), 8 rebonds, 1 passe, 1 contre en 20 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 7 points (2/6 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 interception, 3 balles perdues en 33 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 6 points (3/6 aux tirs), 7 rebonds, 1 contre, 3 balles perdues en 17 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 4 points (2/7 aux tirs), 3 rebonds, 1 balle perdue en 19 minutes\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 1 point (0/3 aux tirs), 1 rebond, 2 balles perdues en 11 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 0 point (0/2 aux tirs), 1 balle perdue en 10 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : n’a pas joué (blessé à la cheville)\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nLa folle action finale de Podgorica conclue par Danilo Nikolic résume parfaitement le combat de titan remporté par le Petit Poucet du Monténégro. Edwin Jackson envoie un air ball sous la pression du chrono, et de très loin, et Nikolic lui sauve la mise d’une claquette des plus opportunes !\\n\\n\\nLes résultats de la 9e journée\\n\\nJeudi 22 novembre :\\nDarussafaka – Efes Istanbul (88-93)\\nOlympiakos – Real Madrid (88-83)\\nMaccabi Tel Aviv – Fenerbahçe (70-74)\\nGran Canaria – Bayern Munich (74-89)\\n\\nVendredi 23 novembre :\\nZalgiris Kaunas – Khimki Moscou (83-84)\\nVitoria – Panathinaikos (86-77)\\nPodgorica – CSKA Moscou (93-92)\\nBarcelone – Milan (90-80)\\n\\n\\nLe programme de la 10e journée\\n\\nJeudi 29 novembre :\\nDarussafaka – Gran Canaria (18h15)\\nZalgiris Kaunas – Milan (19h)\\nMaccabi Tel Aviv – Bayern Munich (20h05)\\nReal Madrid – CSKA Moscou (21h)\\n\\nVendredi 30 novembre :\\nKhimki Moscou – Panathinaikos (18h)\\nEfes Istanbul – Vitoria (18h30)\\nOlympiakos – Podgorica (20h30)\\nBarcelone – Fenerbahçe (21h)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nPodgorica se paye le CSKA\\n\\nLargué à -13 en début de 2e mi-temps, Podgorica s’est sorti les trip(l)es pour retourner une situation bien mal embarquée. Et derrière un tir de barrage à 12 tirs à trois points, le Buducnost a réussi à renverser l’ogre moscovite, s’arrachant jusqu’au bout sur une claquette victorieuse de Danilo Nikolic.\\n\\nCe dernier a été le héros du match\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Chine: Une basketteuse de 2,10m à... 11 ans !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Elle s’appelle Zhang Ziyu, elle est Chinoise et basketteuse, mesure 2,10m et elle a 11 ans!\\n\\nC’est l’information donnée par Pear, qui précise que la jeune fille a de qui tenir puisque ses parents mesurent tous les deux plus de deux mètres. En Chine, on la surnomme « La femme Yao Ming » du nom de l’ancien joueur des Houston Rockets qui mesure 2,30m.\\n\\nLa taille moyenne des Chinoises à son âge est de 1,38m."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Jean-Baptiste Lecrosnier (Nantes): «C’est très important pour nous de prendre ce match à l’extérieur»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sous l’impulsion de Jermaine Marshall (16 points, 6 rebonds) et Jeremiah Wilson (12 points, 14 rebonds), Nantes a obtenu un précieux succès à Saint-Chamond, 79-74. Les Nantais sont ainsi aujourd’hui à la troisième place en compagnie de Nancy et Vichy-Clermont.\\n\\n« C’est très important pour nous de prendre ce match à l’extérieur et qui plus est ici, à Boulloche ou cette équipe était invaincue en championnat », a commenté le coach nantais Jean-Baptiste Lecrosnier en conférence de presse. « Nous savions qu’il faudrait réaliser un match rude et ce durant quarante minutes pour espérer ramener quelque chose ! Les joueurs y ont mis beaucoup de volonté et de détermination en étant cohérent défensivement et respectueux des consignes. Nous devons encore évoluer et progresser offensivement pour monter en puissance. Le travail doit continuer à nous bonifier au fil des semaines. Je parle souvent de l’état d’esprit, mais il est évident que pour s’imposer ici, c’est la confirmation que le groupe est en train de s’en forger un solide ! Nous apprenons à faire le dos rond dans nos temps faibles et chacun est capable d’apporter au groupe à tout moment. Dee Davis a été patraque toute la semaine et ce soir Thibault (Desseignet) a su faire le boulot pour l’aider et le suppléer pour faire jouer ses partenaires. C’est cela une équipe ! Mais attention, restons lucides et attentifs sur le chemin qu’il nous reste à parcourir ensemble ! Nous coupons un peu puisque nous ne jouons que le 7/12 contre Aix-Maurienne à la maison ! Mais nous reprendrons mardi après-midi, Mercredi midi, Jeudi avec deux séances et vendredi nous jouerons à La Meilleraye contre Cholet Basket ! »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Non, Joyce Cousseins-Smith (Landerneau) n’est pas une mercenaire"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans une interview au Télégramme, la meneuse de Landerneau Joyce Cousseins-Smith (1,68m, 29 ans) tort le cou à deux rumeurs.\\n\\nPremièrement, elle n’est pas Américaine:\\n\\n« Pas du tout. Même si ma mère est d’origine anglo-saxonne et si mon père est né au Sénégal, je suis bien française, originaire du sud de la France. Je suis née à Sète et j’ai toute ma famille à Agde dans l’Hérault ».\\n\\nDeuxièmement, ce n’est pas parce qu’elle a porté le maillot de 11 clubs différents de Ligue Féminine (Nice et Villeneuve d’Ascq la saison dernière) qu’elle estime avoir la bougeotte.\\n\\n« Alors, dit comme cela, c’est vrai que ça fait un peu mercenaire. Mais, j’ai toujours quitté ces équipes, dont certaines au sein desquelles j’ai évolué pendant trois ans, en bons termes. Après, ce sont des concours de circonstances qui font que l’on change de club. Tout est une question de projet et d’opportunités. Le nombre de clubs fréquenté s’explique aussi par le fait j’ai commencé à être professionnelle à 14 ans. Et j’aurai bientôt 30 ans, le 31 décembre prochain (avec entraînement en matinée !). J’approche ainsi les 300 matches au sein de l’élite ».\\n\\nJoyce est donc une experte quand il s’agit de comparer le public de La Cimenterie avec les autres de LFB.\\n\\n« Pour avoir fait toutes les salles de France, je peux vous dire que celle de Landerneau est l’une des meilleures. Ici, il y a vraiment un peu de magie. Mais, c’est aussi à double tranchant. Ça nous met une petite pression supplémentaire car nous n’avons pas envie de décevoir les spectateurs. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Levallois: Une défaite face à Fos qui fait tâche et Rasheed Sulaimon out pour au moins trois mois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Deux mauvaises nouvelles coup sur coup pour les Metropolitans de Levallois.\\n\\nPremièrement, une défaite à domicile, qui n’était pas prévisible, face à Fos-sur-Mer, 81-90. Les 25 points (9/11 aux shoots) de Maxime Roos et le double double de Julian Wright (11 points, 10 rebonds) n’ont pas suffi à compenser la performance du trio Ron Lewis (24 points, 5 rebonds, 4 passes), Pierre Pelos (22 points, 10/14 aux tirs), Marcus Dove (12 points, 11 rebonds). Il faut savoir que les hommes de Fredy Fauthoux qui ont pêché par suffisance ont été à un moment largués de 21 points (25-46).\\n\\nVoici une mauvaise manière de mettre un terme à une série de sept victoires en dix matches juste avant la trêve.\\n\\nDeuxièmement, son arrière américano-nigérian Rasheed Sulaimon (1,93m, 24 ans, 8,1 points, 3,3 rebonds, 3,0 passes) souffre de la cuisse et sera absent des parquets entre deux et trois mois. Le club lui cherche un pigiste.\\n\\nPhoto: Metropolitans"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les highlights de Youssou Ndoye (Bourg) contre Le Portel"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Très grosse performance du pivot sénégalais de la JL Bourg Youssou Ndoye (2,13m, 27 ans) face à l’ESSM Le Portel. Son carnet de notes contient un 29 aux points, un 12/14 aux tirs, un 11 aux rebonds et un 39 à l’évaluation.\\n\\nVoici ses highlights.\\n\\nPhoto: JL Bourg\\n\\n\\n\\n\\n🔥 Youssou Ndoye de la @JLBourgBasket était en feu ce soir avec 29 points et 39 d'éval !! On vous a compilé ses highlights 🤩 #JeepELITE pic.twitter.com/okhTJzqpUW\\n\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) November 23, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet (Strasbourg): «C’est une semaine très dure»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les deux équipes sortaient d’une grosse déception en BasketBall Champions League et c’est Nanterre qui a réussi à se refaire la cerise hier soir au Rhénus (85-75) grâce à une bonne deuxième mi-temps, limitant la SIG à 26 points et en scorant 40.\\n\\nLe pivot nantérrien Julian Gamble (19 points, 8/9 aux tirs, 4 rebonds, 24 d’évaluation) a tenu la dragée haute à Youssoupha Fall (21 points, 10/15 aux tirs, 6 rebonds, 23 d’évaluation).\\n\\n« C’est une semaine très dure », a reconnu le coach alsacien, Vincent Collet en conférence de presse. « Dans les deux compétitions, on n’est pas désespéré, mais on est pas tout à fait là où on voudrait être. Nous ne sommes pas éliminés, mais nous ne sommes pas encore qualifiés. On sortait de plusieurs matches très rassurants en terme de progression d’équipe, mais ceux de cette semaine font peur. On était en droit d’espérer à une prestation à la hauteur ».\\n\\nSi Vincent Collet va enchaîner avec l’équipe de France, la majorité des joueurs va pouvoir faire un break bienvenu comme le souligne Florent Piétrus:\\n\\n« La trêve va nous faire du bien, on va décompresser et se reposer. Après cette pause, il va falloir être prêt physiquement ! Ce qu’on a produit cette semaine, ça ne reflète pas vraiment notre travail avec Vincent. On a présenté du très bon basket pendant pas mal de temps, à nous de retrouver ça ! Je reste optimiste sur la suite de la saison, il faudra juste se remobiliser et se remettre au travail ! »\\n\\nVincent Collet (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Selon Le Populaire, Limoges aurait décidé de se séparer de Kyle Milling"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’information vient de Matthieu Marot du Populaire et est à mettre au conditionnel. La défaite d’hier (67-79) à Beaublanc face à la JDA Dijon aurait été la goutte d’eau qui fait déborder le vase et les dirigeants du CSP auraient pris la décision de se séparer de leur entraîneur Kyle Milling.\\n\\nLe Limoges CSP en est cette saison à 4 victoires pour 7 défaites en Jeep Elite et 2 victoires pour 6 défaites en Eurocup.\\n\\n« La première mi-temps, c’était n’importe quoi », a par ailleurs commenté Kyle Milling en conférence d’après-match, propos recueillis par Le Bien Public. « On avait dit que Dijon allait nous rentrer dedans, mais on a joué comme des superstars. (NDLR: le CSP était mené 11-25 après un quart-temps). Ensuite, ils étaient vraiment en confiance, ils ont mis des tirs difficiles... Les joueurs ont compris à la fin, on a enfin trouvé des solutions... Mais au début du match, ils n’étaient pas prêts, ils n’ont pas écouté les consignes. Je suis vraiment déçu du comportement de l’équipe ce (samedi) soir. »Photo: Eurocupbasketball\\n\\n\\n\\n\\nLe Limoges CSP aurait décidé de se séparer de Kyle Milling. https://t.co/akhuAkBsZv pic.twitter.com/vevLoS4wd2\\n\\n\\n— Matthieu Marot (@MatthieuMarot7) November 24, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: A la rencontre de Julie Allemand, meneuse de l’ASVEL et de l’équipe de Belgique"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"ASV’elle fait rencontrer Aline Picard, journaliste à TLM, qui réalisait auparavant des reportages pour Elan TV, la chaîne du club de Chalon, et Julie Allemand (1,68m, 22 ans), la meneuse de l’ASVEL, qui a fait si mal à l’équipe de France à la Coupe du Monde 2018 (13 passes décisives et 11 points).\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Alain Koffi fête aujourd’hui ses 35 ans. Gravelines et l’équipe de France ont plus que jamais besoin de lui !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Aujourd’hui, Alain Koffi (2,05m) fête ses 35 ans. Un âge qui est généralement synonyme pour un joueur de retraite sportive ou du moins de statistiques sérieusement sur la pente déclinante. Pas pour l’intérieur de Gravelines qui en est à sa 16e saison parmi l’élite française, plus une autre en ACB espagnole.\\n\\nAprès 11 journées, Alain Koffi affiche 11,2 points (61,3% aux tirs) et 5,7 rebonds. Son évaluation (14,1) est la 35e de Jeep Elite et la 9e pour un Français. Pour retrouver un rendement supérieur, il faut remonter à ses années au Mans, avant sa blessure au ménisque et une longue rééducation (16,1 lors de la saison 2008-09 lorsqu’il fut élu MVP français de Pro A).\\n\\nAlors que l’équipe de France est décimée par les absences des joueurs de NBA et d’Euroleague ainsi que par quelques forfaits sur blessure, c’est lui qui présente le plus de sélections (45) parmi les douze joueurs sélectionnés par Vincent Collet pour les deux matches qualificatifs à la Coupe du monde 2019 contre la République Tchèque et la Bulgarie.\\n\\nLe BCM Gravelines et l’équipe de France ont plus que jamais besoin du vieux grognard.\\n\\nPhoto: Julie Dumilié (BCM)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Blois sur la piste d’un joker médical pour compenser l’absence de Charles Noe Abouo"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Coup dur pour l’ADA Blois actuellement à la neuvième place de Pro B avec autant de victoires (3) que de défaites. Victime d’une entorse de la cheville gauche à l’entraînement, l’ailier ivoirien Charles Noe Abouo sera indisponible pour au minimum deux mois. Des examens ont révélé un trait de fracture au niveau du coup de pied.\\n\\nLe club a décidé de se mettre à la recherche d’un joker médical sachant que Charles Noe Abouo apporte 10,4 points et 4,0 rebonds en moyenne.\\n\\nPhoto: ADA Blois"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Eric Fleury (directeur sportif Caen): «On doit faire le dos rond»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Caen BC partage actuellement la dernière place de Pro B avec le Paris Basketball contre qui il a perdu 96-99 après prolongation. Son bilan est d’une victoire en sept journées. Interrogé par Ouest France, le directeur sportif Eric Fleury dit accorder sa confiance au coach Antoine Michon et prône la patience:\\n\\n« Dans l’entourage du club, je trouve que le degré d’exigence est élevé, que le curseur est placé un peu haut. La plupart des gens oublient d’où l’on vient. Après 20 ans de disette, on n’a retrouvé la Ligue nationale qu’il y a un an et demi. Les gens ont été habitués à nous voir gagner et pensaient peut-être qu’on monterait directement en Pro A. Mais cela ne se passe pas comme ça. Quand tu es tout neuf dans une division, il faut accepter de vivre des moments compliqués. On en traverse un, et on doit faire le dos rond plutôt que de tomber dans la panique et la destruction. Regardez Évreux, s’ils sont en LNB depuis 32 ans, ce n’est pas un hasard. Ils ont su traverser les périodes délicates sans paniquer. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le coup de gueule de Zeljko Obradovic"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Voici à quoi ressemble de près une grosse colère de Zeljko Obradovic, le coach de Fenerbahçe. C’est le combo guard grec Kostas Sloukas qui en fait les frais et on n’aimerait pas être à sa place !\\n\\n\\n\\n\\nKostas Sloukas demande quoi faire, car il est en difficulté.\\n\\n\\nObradovic lui «répond» en disant que c’est que maintenant que tu demandes ? Quand t’es en difficulté ? Quoi que vous fassiez dans la vie, vous demandez à moi !\\nhttps://t.co/uj8wWzdjHy\\n\\n\\n— Fenerbahçe SK France 🇫🇷 (@Fenerbahce__FR) November 22, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau: Vers le départ de Mickey McConnell"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon La République des Pyrénées, le meneur américain Mickey McConnell (1,83m, 29 ans) pourrait porter demain le maillot de l’Elan Béarnais Pau-Orthez pour la dernière fois.\\n\\nVenu dans le Béarn en pigiste médical de son compatriote Jerel Blassingame, Mickey McConnell a apporté un coup de booster à l’équipe de Laurent Vila (11,3 points, 5,8 passes et 4,3 rebonds) mais le club n’a semble t-il pas les moyens de lui proposer une prolongation de contrat. Et ce n’est pas pour autant que Jerel Blassingame va être bientôt sur pied...\\n\\nPhoto: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Au coeur de l’équipe de France féminine avec Bria Hartley obligée de pousser la chansonnette"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette vidéo de la FFBB nous emmène au coeur des Bleues à Charleville. Où l’on voit notamment la rookie Bria Hartley obligée de pousser la chansonnette à table."
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet: Trois semaines d’arrêt pour Antywane Robinson"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Trois semaines. C’est le temps d’arrêt estimé pour l’ailier américain de Cholet Basket Antywane Robinson (2,01m, 34 ans) qui est victime d’une déchirure des ischio-jambiers.\\n\\nAntywane Robinson fera ainsi défaut lors des matches face à Nanterre, Dijon et Chalon, ce qui est un handicap certain pour une équipe qui occupe la dernière place de Jeep Elite à égalité avec Antibes avec deux victoires.\\n\\nL’Américain tourne à 10,0 points et 2,7 rebonds en 11 matches.\\n\\nPhoto: CB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Châlons-Reims/Pau – Cédric Heinz (coach CCRB): «On s’est fait battre par Chikoko à lui tout seul»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« Il y a beaucoup de satisfaction avec cette victoire et la manière. On avait pointé le début du match qui était capital, car on s’était planté sur nos deux dernières sorties. Châlons-Reims aime ce jeu de un-contre-un qui ne nous va pas très bien. Il y a eu une bonne maîtrise tant que nos leaders ont été sur le terrain mais ensuite, il a été plus difficile de résister. On a manqué de densité défensive, mais on a su composer avec notre avance. »\\n\\nAinsi le coach palois Laurent Vila a résumé l’affrontement entre son équipe et le CCRB en conférence de presse, des propos repris par le quotidien L’Union. Devant 2 115 spectateurs champenois, le pivot de l’Elan, Vitalis Chikoko (30 points, 14/18 aux tirs, dont 22 en première mi-temps) a été époustouflant en attaque. Le meneur Mickey McConnell (12 points, 8 passes), l’ancien du CCRB, a prouvé une fois de plus qu’il est l’homme de la situation alors que l’ailier CJ Harris a ajouté 18 points mais à 7/21.\\n\\nMenés 54-69 après trois quart-temps, les Champenois ont tenté le tout pour le tout avec Blake Schilb à 23 points et 7/11 aux shoots, mais le retard était trop conséquent et ils se sont inclinés, 88-95.\\n\\nCédric Heinz, le coach du CCRB, a lâché:\\n\\n« On s’est fait clairement battre par Chikoko à lui tout seul ».\\n\\nPhoto: Elan Béarnais"
}, 
{"role": "user",     "content":"Spécial Limoges – Attention, zone de turbulences !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à un reportage sur place, nous consacrons toute cette semaine, du dimanche à vendredi, au Limoges CSP. Le club le plus prestigieux, le plus titré et aussi le plus turbulent du basket français, qui possède une saveur unique.\\n\\nPremier chapitre: le rappel des faits, la victoire au Mans samedi soir, et Céline Forte, femme du président défunt, qui veut faire un putsch.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nPlus de 2 500. S’il y a un chiffre qui illustre la passion des Limougeauds pour leur CSP, c’est celui du nombre de personnes présentes à Beaublanc pour le premier entraînement ouvert au public à la fin août.\\n\\n« On veut transmettre aux joueurs un échantillon de ce qu’il va se passer grandeur nature à Beaublanc. On veut leur faire peur, » lâcha Olivier Bourgain, le directeur sportif au Populaire.\\n\\nAprès l’entraînement traditionnel, le coach Kyle Milling organisa un concours de tirs à trois-points et un autre de dunks en demandant au public de voter. Lauréat : Sekou Doumbouya, 17 ans, auteur de tomars retentissants et qui eut droit pour son arrivée au club à deux chansons écrites par les Ultras.\\n\\nBienvenue au Cercle Saint-Pierre. Le paradis pour les uns, l’enfer pour les autres.\\n\\nLes bannières rappellent aux visiteurs l’étendue de la moisson sur quatre décennies avec comme victoire majeure un titre de champion d’Europe en 1993. Le premier pour un club de basket français et le dernier avant peut-être plusieurs générations. Tout ici est réuni pour que l’atmosphère soit enivrante et unique. Le palmarès donc. L’acoustique d’une salle inaugurée en 1981 à la fois magnifique, tarabiscotée, bouillante et vieillissante. Quatre groupes de supporters dont depuis une demi-douzaine d’années les Ultras Green, à la fois créatif, bourdonnants et sans pitié. 900 membres à eux tous. Un jour, un expat nous avait montré son tatouage sur le poignet où était écrit en grosses lettres les trois lettres magiques, CSP. Les anciens se plaisent à raconter aux plus jeunes des anecdotes sur leurs virées à Padoue, Berlin, Grenoble ou Athènes. Suivant son âge et son vécu, chacun a sa référence, son idole, de Ed Murphy à Michael Young, de Yann Bonato à Adrien Moerman en passant par Richard Dacoury qui transcende les générations. Les Limougeauds ont connu la gloire mais aussi l’abstinence et la souffrance avec une longue traversée du désert dans les années 2000 qui a permis de régénérer le public et l’appétence.\\n\\nL’ambiance a toujours été électrique à Beaublanc mais les Ultras ont su la « professionnaliser » et ont un effet d’entraînement. Les médias locaux les plus actifs de France en charge de contenter une demande inextinguible en infos des fans de tout poil. Pas de réelle concurrence du foot et du rugby même si l’édification d’un demi grand stade à quelques mètres de Beaublanc peut être interprétée comme une ridicule provocation. La présence dans les gradins des anciennes gloire du club, de Claude Bolotny à Yann Bonato, en passant par Apollo Faye et Franck Butter. Le boss de l’équipementier du CSP, c’est son ancien pivot, Frédéric Weis. Stéphane Ostrowski a la haute main sur le marketing du club et a été propulsé au Directoire. Il n’y a pas si longtemps Jim Bilba était assistant-coach. La culture basket dans la ville et le département est sans nulle autre pareille. S’il y avait quatre ou cinq Limoges, le basket serait le sport numéro deux en France.\\n\\nLe Limoges du basket peut être mis en parallèle avec le Saint-Etienne du foot -et pas seulement à cause de la couleur des maillots- ou à Marseille pour l’amour que ses trois villes portent à leur club. Ici, rien n’est aseptisé, tout y est excessif mais jamais insignifiant. On est évidemment les meilleurs quand on gagne, mais les joueurs ne sont pas dignes de porter le maillot sacré du CSP s’ils perdent trop souvent surtout s’ils ne le mouillent pas comme il faut. Le public de Beaublanc donne la force à son équipe mais gare à ceux qui sont mis au piquet. Il faut s’être retrouvé sur le parquet pour savoir ce que c’est que de recevoir en pleine face huées et quolibets qui tombent des tribunes. Chaque échec, sportif, de direction, de communication, est une affaire d’Etat. Chaque sujet touchant le CSP est hautement inflammable, chaque détail passe sous une loupe grossissante. Quand ça va mal sur le terrain, le peuple vert demande des têtes. Le CSP dispose de la plus forte communauté de fans sur les réseaux sociaux, beaucoup sont des inconditionnels, quelques-uns déterrent la hache de guerre à la moindre contrariété. L’histoire du CSP regorge de coaches et de joueurs écartés, et fut un temps, dans les années quatre-vingt-dix, il commit des dérapages financiers fatales, des dirigeants furent condamnés, un ancien joueur devenu agent tout puissant (Didier Rose) incarcéré. Le club en a crevé mais il est ressuscité.\\n\\nFrédéric Forte incarnait le CSP. Comme Pierre Seillant l’Elan Béarnais. Passionné, malin, érudit, champion d’Europe, président et principal actionnaire du club, frustré de ne pas avoir poursuivi son éphémère carrière de coach, « The Brain » avait fréquenté la fédé, la FIBA, noué des relations avec l’Euroleague, dans toute l’Europe du basket, était en bataille avec Alain Béral, président de la LNB, sur twitter avec Didier Gadou, le directeur général du rival béarnais exécré -mais là, il y avait une bonne part de jeu-, il était à la fois intéressé par le sport et le business, son verbe et son humour étaient recherchés par les médias, il était devenu expert en réseaux sociaux, était à l’écoute des supporters, fin analyste, manœuvrier et à son aise dans le conflit, ange et démon à la fois, il ne comptait plus ses amis et ses ennemis. Vainqueur du cancer, il disait dormir de trois à cinq heures par nuit et il était aussi probablement très stressé. Après son décès brutal le 31 décembre 2017, son cercueil a été exposé tel un roi sur le parquet de Beaublanc. Sans lui la vie a forcément continué mais ce n’est pas une page qui a été tournée, c’est un livre épais qui a été refermé.\\n\\nQuand les fans ne se mobilisent pas pour envoyer un Limougeaud au All-Star Game\\n\\nFrédéric Forte était aussi un coupeur de têtes et la tradition ne s’est pas éteinte avec son décès. Le meneur London Perrantes encore immature a été remercié. Sa photo publiée sur Instagram en compagnie de Dwight Hardy et Isaiah Miles dans un bar à chicha après la lourde défaite à Monaco (68-87) a irrité le staff de dirigeants. Pendant que Perrantes passait à Cholet, Jordan Taylor a pris la mène. Mam Jaiteh, jugé peu combattif a été placardisé avant d’être invité à aller voir ailleurs, en l’occurrence à Turin. Il y a eu l’épisode du sanguin Samardo Samuels qui a envoyé une bordée d’injures à son coach Kyle Milling, qui a été mis à pied avant d’être réintégré dans l’effectif deux semaines plus tard à la surprise générale.\\n\\nLes relations avec les supporters se sont également envenimées. Pour répondre aux critiques enflammées de certains ultras sur les réseaux sociaux, le directeur sportif Olivier Bourgain s’est fendu d’un tweet impulsif conclu par un énigmatique « Nous n’aurons pas la mémoire courte ». Le jeune, 29 ans, président Youri Verieras est alors monté au filet et dans un communiqué, il a voulu jeter un seau d’eau sur les braises en ne voulant pas mettre tout le monde dans le même sac et ciblant les plus vindicatifs.\\n\\n« Cette minorité se considère certainement Président, dirigeant mésestimé, directeur de l’innovation, stratège, directeur sportif, coach voire joueur. Mais vous ne l’êtes qu’accoudés au comptoir de vos rêves embrumés. A la lumière de la réalité, je ne peux constater que critiques gratuites, déraison, passion destructrice et volonté de nuire voire de romancer la réalité pour espérer exister. »\\n\\nLes relations avec les médias locaux ne sont pas non plus au beau fixe, et nous allons les décortiquer plus en avant avec Mathieu Marot, le journaliste du Populaire qui suit en permanence le CSP.\\n\\nCe sont les résultats sportifs qui font le plus mal. Le quatrième masse salariale de Jeep Elite (2 189 500 euros) occupait à la trêve la 14e place avec seulement deux victoires de plus que les relégables, Cholet et Antibes. Le CSP était 13e au rebond, 17e aux interceptions et encore 10e à l’évaluation. Son peu d’entrain en défense faisait rire sous cape. Si Vincent Collet a sélectionné en équipe nationale Axel Bouteille, William Howard et Jo Rousselle pour les deux matches de la récente fenêtre internationale, le jury du All-Star Game a sanctionné les individualités en ne retenant aucun Limougeaud pour la grande messe annuelle du 29 décembre. Pire peut-être : contrairement à l’accoutumée, les fans cerclistes ne se sont pas mobilisés pour plébisciter l’un de leurs chouchous laissant ceux du Portel élire Benoît Mangin. En Eurocup, le bilan n’est pas plus fameux avec deux victoires pour six défaites et une perspective de qualification au top 16 qui s’est considérablement éloignée. Si les Limougeauds sont toujours redoutables à Beaublanc avec le soutien de leur public, ils sont comme apeurés à l’extérieur où ils n’ont gagné qu’un seul de leurs 10 matches, les deux compétitions confondus. C’était à Antibes lors de la journée d’ouverture, ce qui ne relève pas de l’exploit.\\n\\nLe directeur sportif Olivier Bourgain avait affirmé quelque temps auparavant son soutien au coach mais le camouflet reçu par la JDA Dijon à Beaublanc (67-79) a balayé les promesses et précipité la mise à l’écart de Kyle Milling qui ne parvenait pas à transmettre son énergie à ses joueurs. François Peronnet, 46 ans, longtemps connu pour avoir été l’adjoint de Philippe Hervé, à Chalon, Villeurbanne et Orléans, head coach en Pro A et Pro B, et aussi, c’est plus original, au Japon, est donc devenu le 31e coach du club depuis son entrée en Première division. Soit grosso-modo une nouvelle tête par saison. Un record national de plus pour le CSP.\\n\\nQuand Céline Forte veut prendre le pouvoir\\n\\nAvec le CSP, à peine écrit un article est déjà périmé. Un nouvel épisode des aventures si spéciales du Limoges CSP s’est joué dans la journée de samedi et est loin d’avoir trouvé son épilogue. Céline Forte, femme de Frédéric, que l’on a vu lundi en pleine lumière avec deux de ses filles à Beaublanc à l’occasion de l’hommage rendu par la fédération à son mari, souhaite prendre le poste de pilotage du club. Elle se dit en désaccord avec sa politique, son management qu’elle estime despotique, délaissée.\\n\\n« Aujourd’hui, je veux faire entendre ma voix et faire reverdir l’âme du Limoges CSP. Je n’arrive pas comme une sauveuse mais je veux être dans la continuité du travail entrepris avec Fred en 2004 », déclare t-elle au Populaire.\\n\\nPour ce, il lui faut réussir un putsch en prenant la main sur l’association Limoges CSP Elite actionnaire à 84% de la SASP Limoges. Elle a tenté hier d’y parvenir lors d’une Assemblée Générale pour laquelle elle avait convoqué six membres, Jean-Léonard Picot, Tonio Lopez, Youri Verieras, Jocelyne Achard (sa mère), Alexandre Gabriel (son frère) et elle-même. Echec. Mais l’épouse du président défunt conteste la présence de Youri Verieras l’estimant illégitime alors que le président du Conseil de Surveillance, Jean-Léonard Picot déclare le contraire. Youri Verieras aurait été placé par Frédéric Forte afin que sa belle-famille ne soit pas majoritaire au sein de l’association sachant que les deux époux étaient de notoriété publique séparés. Si l’actuel président du CSP devait se retirer de l’association, la famille Forte deviendrait majoritaire.\\n\\n« Si elle ne veut pas encore s’épancher sur le sujet, Céline Forte a même déjà planché sur le futur du Limoges CSP, » écrit Le Popu. « Elle souhaiterait notamment nommer un président délégué et s’entourer de plusieurs anciens qui ont contribué à faire la gloire du club limougeaud. »\\n\\nCéline Forte ira-t-elle jusque devant les tribunaux ? Ce qui est certain, c’est qu’au Limoges CSP tout est toujours possible.\\n\\n« Je fais 1,77m, je suis face aux joueurs, sur le terrain. Il n’y a rien qui a changé »\\n\\n« C’est moi que vous attendez ?, » a lancé hier soir François Peronnet à la cantonade en entrant dans la salle de presse d’Antarès. De fait, on était impatient d’avoir une explication du nouveau coach après la victoire, 68-60, du CSP au Mans. La deuxième de la saison donc, la première significative puisque acquise chez le champion en titre.\\n\\nMatch du rachat ? Effet psychologique ? Effet durable ou pas? En tous les cas, les Limougeauds ont réalisé un premier quart-temps au plus que parfait. Avec les quatre premiers shoots réussis, ils menaient déjà 10-4. Puis 19-8. La circulation était belle, l’adresse magnifique avec 7 points de Dwight Hardy en 4’30 et un diabolique 7/7 à trois-points pour toute l’équipe dont deux de William Howard réussis de downtown. Résultat : 32-17. Les Manceaux voyaient trente-six chandelles. Les Limougeauds étaient hargneux à l’image de Jerry Boutsiele qui récupérait en force un rebond offensif dans le meute. Une pointe à +21 (41-20) était notée à la 14e minute sur un nouveau panier primé de William Howard. Le coach manceau Eric Bartecheky reconnaissait ensuite la loi du plus fort de la soirée :\\n\\n« Il faut donner sur la prestation beaucoup de crédit à l’équipe de Limoges qui, on le sait, est armée pour disputer le haut de la Jeep Elite. Ils ont un effectif pléthorique avec tous les postes doublés, de très bons joueurs que ce soit les internationaux français ou les Ricains. Forcément, je craignais le contexte de ce changement d’entraîneur. Parfois il y est, parfois il y est pas mais la plupart du temps sur le premier match il y a le fameux choc psychologique. Je n’ai pas vu les joueurs de Limoges défendre de cette façon-là sur les matches d’avant. Des joueurs qui plongent sur la balle. On a vu aussi une bonne organisation. »\\n\\nFrançois Peronnet, qui a récupéré ses trois internationaux le mardi soir après seulement une matinée de break est fier du comportement de son groupe :\\n\\n“Ce soir l’équipe a montré un beau visage dans son engagement et sa détermination. Bravo à l’ensemble des membres de l’équipe et donc des joueurs d’avoir dans des circonstances particulières d’avoir réussi à être focalisé sur le degré de détermination. On avait décidé de dire que c’était un élément prioritaire ce soir, il a été respecté. La volonté aussi de faire circuler le ballon était une priorité. Ça a été mis en application sur le début du match (...) Il y avait un niveau de concentration partagé par l’ensemble du groupe qui permet de commencer dans de meilleures conditions nos entames de match et de mi-temps. »\\n\\nEncaisser 60 points au final pour une défense que l’on disait poreuse, c’est très bien. Par sa seule présence debout le long de la ligne de touche, François Peronnet a-t-il changé les mentalités ?\\n\\n« Ce sont les joueurs les premiers responsables de ce qui s’est déroulé sur le terrain. Ce n’est pas ce que j’ai insufflé. Comment on peut faire cette analyse que l’on a apporté sa patte en ayant travaillé trois jours avec le groupe. Et j’ajoute que j’étais là avant. Il ne faut pas l’oublier. C’est le résultat d’une prise de conscience des individus qui composent l’équipe, des joueurs. Et pas autre chose. Je suis toujours le même. Je fais 1,77m, je suis face aux joueurs, sur le terrain. Il n’y a rien qui a changé. »\\n\\nAttention aussi aux victoires en trompe l’œil. Le CSP a perdu les trois quart-temps suivants. Il n’a réussi que 12 paniers sur 38 durant cette période. Le Mans a réagi à l’image de Wilfried Yeguete irréprochable (12 points, 11 rebonds) mais déjà privé de Cameron Clark, il a dû composer avec un quatuor Juice Thompson, Jonathan Tabu, Antoine Eito, Petr Cornelie, qui a presque tout mis à côté de la cible y compris les tirs ouverts (5/32 !) alors que Richard Hendrix un temps plein d’allant s’est évaporé au fil des minutes. Sa maladresse a empêché le MSB de prétendre à une remontada. Dwight Hardy (15 points), un trois-points dans l’aile de Jonathan Rousselle, Damien Inglis en jouant des épaules, et un peu de passes à dix pour manger le chrono ont assuré le coup.\\n\\n« C’est la réalité de ce soir. On ne peut que souhaiter que ça se renouvelle mais on en est pas sûr », a commenté avec modestie François Peronnet. « Je ne crois pas au déclic. Si on est capable de répéter les choses dans la durée, là on peut ambitionner que ça dure. Aujourd’hui, il y a un bon résultat que les joueurs ont mérité mais il est ponctuel. On verra dans trois matches si on est capable d’avoir le même niveau de détermination, d’engagement, de volonté de faire circuler le ballon. Là, on pourra éventuellement se dire que l’on est dans une bonne direction. Mais le déclic, je n’y crois pas. »\\n\\nAu fait, l’équipe ou du moins son coach étaient-il au courant avant le match de la décision de Céline Forte de monter au créneau ?\\n\\n« Pas du tout. Vous m’apprenez la nouvelle... »\\n\\nMais ce dimanche, c’est sûr, tout la ville en parle...\\n\\nLes coaches du CSP en Première Division\\n\\n[table id=168 /]\\n\\nNB: Ce tableau ne tient pas compte des intérimaires comme Bertrand Parvaud et Jim Bilba.\\n\\n[armelse]\\n\\nPlus de 2 500. S’il y a un chiffre qui illustre la passion des Limougeauds pour leur CSP, c’est celui du nombre de personnes présentes à Beaublanc pour le premier entraînement ouvert au public à la fin août.\\n\\n« On veut transmettre aux joueurs un échantillon de ce qu’il va se passer grandeur nature à Beaublanc. On veut leur faire peur, » lâcha Olivier Bourgain, le directeur sportif au Populaire.\\n\\nAprès l’entraînement traditionnel, le coach Kyle Milling organisa un concours de tirs à trois-points et un autre de dunks en demandant au public de voter. Lauréat : Sekou Doumbouya, 17 ans, auteur de tomars retentissants et qui eut droit pour son arrivée au club à deux chansons écrites par les Ultras.\\n\\nBienvenue au Cercle Saint-Pierre. Le paradis pour les uns, l’enfer pour les autres.\\n\\nLes bannières rappellent aux visiteurs l’étendue de la moisson sur quatre décennies avec comme victoire majeure un titre de champion d’Europe en 1993. Le premier pour un club de basket français et le dernier avant peut-être plusieurs générations. Tout ici est réuni pour que l’atmosphère soit enivrante et unique. Le palmarès donc. L’acoustique d’une salle inaugurée en 1981 à la fois magnifique, tarabiscotée, bouillante et vieillissante. Quatre groupes de supporters dont depuis une demi-douzaine d’années les Ultras Green, à la fois créatif, bourdonnants et sans pitié. 900 membres à eux tous. Un jour, un expat nous avait montré son tatouage sur le poignet où était écrit en grosses lettres les trois lettres magiques, CSP. Les anciens se plaisent à raconter aux plus jeunes des anecdotes sur leurs virées à Padoue, Berlin, Grenoble ou Athènes. Suivant son âge et son vécu, chacun a sa référence, son idole, de Ed Murphy à Michael Young, de Yann Bonato à Adrien Moerman en passant par Richard Dacoury qui transcende les générations. Les Limougeauds ont connu la gloire mais aussi l’abstinence et la souffrance avec une longue traversée du désert dans les années 2000 qui a permis de régénérer le public et l’appétence.\\n\\nL’ambiance a toujours été électrique à Beaublanc mais les Ultras ont su la « professionnaliser » et ont un effet d’entraînement. Les médias locaux les plus actifs de France en charge de contenter une demande inextinguible en infos des fans de tout poil. Pas de réelle concurrence du foot et du rugby même si l’édification d’un demi grand stade à quelques mètres de Beaublanc peut être interprétée comme une ridicule provocation.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Sekou Doumbouya et William Howard (Limoges CSP), Céline Forte (FIBA).\\n\\nLUNDI ET MARDI: Interview Youri Verieras, président."
}, 
{"role": "user",     "content":"Selon RMC Sport, l’ancien NBAer Alexis Ajinça est en pourparlers avec Villeurbanne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon RMC Sport, Alexis Ajinça (2,15m, 30 ans) est en négociations avancées avec l’ASVEL.\\n\\nAlexis Ajinça compte 293 matches en NBA pour 5,3 points et 3,9 rebonds mais sa dernière saison remonte à 2016-17 aux New Orleans Pelicans. En octobre, il a été transféré aux LA Clippers mais ceux-ci ne l’ont pas signé et il est depuis sans club.\\n\\nLe Stéphanois était revenu en France, à Strasbourg, de janvier 2012 à décembre 2013, disputant la finale de Pro A 2013 et assurant 22,3 points et 9,2 rebonds au cumul de la Pro A et de l’Euroleague pour la saison 2013-14.\\n\\nIl est de la génération en jeune de Nicolas Batum, qui est désormais le directeur des opérations basket de l’ASVEL.\\n\\n\\n\\n\\n[#JeepElite] 🏀 @RMCsport\\n\\n\\nSelon nos informations, Alexis Ajinça est en négociations avancées pour rejoindre @LDLCASVEL afin de remplacer Eric Buckner.\\n\\n\\n— Alex Biggerstaff (@AlexBiggerstaff) December 10, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Stéphane Ostrowski (membre du directoire du Limoges CSP): «Il y a eu la volonté de m’exclure de tout le système de prise de décisions»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nouvel épisode du feuilleton qui s’annonce interminable au Limoges CSP avec la volonté de Céline Forte, veuve de l’ancien président du club, Frédéric Forte, de prendre la main. L’ancien joueur Stéphane Ostrowski, qui est à la fois directeur du marketing et membre du Directoire du CSP et... dans le projet de Mme Forte, s’exprime ce soir sur le site du Populaire.\\n\\n« Je suis mis sur la touche. Céline Forte a dit que j’étais « maltraité », mais il faut bien prendre cette affirmation par rapport au non respect de mes fonctions en tant que membre du directoire du Limoges CSP. Aujourd’hui, Youri Verieras et Manuel Diaz se réservent la gouvernance du club. Très vite, il y a eu des décisions pour lesquelles il n’y a pas eu de concertation et pour lesquelles je n’ai pas été consulté en tant que membre du directoire. J’ai contesté la méthode mise en place, mais je n’ai pas été entendu. Il y a eu la volonté de m’exclure de tout le système de prises de décisions. Quand j’ai vu comment ça fonctionnait, je m’en suis ouvert à Youri Verieras et Jean-Léonard Picot. Cela a été le cas à plusieurs reprises sur des faits objectifs et concrets. Mais personne n’a jugé bon d’intervenir. J’en ai pris acte et face à l’obstination, je l’ai fait par voie d’un avocat. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"EuroBasket féminin 2019: La France tête de série pour le tirage au sort de mercredi"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme on pouvait s’y attendre, la France sera tête de série lors du tirage au sport du championnat d’Europe féminin 2019 qui se tiendra en Serbie et Lettonie du 27 juin au 7 juin, à Riga, Nis et Zrenjanin pour la phase préliminaire et Belgrade pour la phase finale.\\n\\nLes 16 participants seront répartis en quatre groupes de quatre équipes chacun. La Lettonie a choisi d’être dans le groupe de la Suède et la Serbie de la Slovénie.\\n\\nLe tirage au sort sera organisé mercredi à 13h au City Hall de Belgrade et pourra être suivi sur FIBA YouTube channel. Les anciennes internationales Anete Jekabsone-Zogota et Natasa Kovacevic y représenteront les deux pays organisateurs.\\n\\n\\n\\n\\nPlace\\nEquipe\\nRanking 2017\\nRanking 2019\\nMoy. Ranking\\n\\n\\n1\\nEspagne\\n1\\n2\\n1.5\\n\\n\\n1\\nFrance\\n2\\n3\\n2.5\\n\\n\\n1\\nTurquie\\n5\\n5\\n5\\n\\n\\n1\\nRussie\\n9\\n1\\n5\\n\\n\\n2\\nBelgique\\n3\\n9\\n6\\n\\n\\n2\\nLettonie\\n6\\nn/a\\n6\\n\\n\\n2\\nItalie\\n7\\n6\\n6.5\\n\\n\\n2\\nRép. Tchèque\\n13\\n4\\n8.5\\n\\n\\n3\\nSerbie\\n11\\nn/a\\n11\\n\\n\\n3\\nUkraine\\n10\\n13\\n11.5\\n\\n\\n3\\nHongrie\\n12\\n12\\n12\\n\\n\\n3\\nMontenegro\\n16\\n8\\n12\\n\\n\\n4\\nSlovénie\\n14\\n11\\n12.5\\n\\n\\n4\\nBiélorussie\\n15\\n10\\n12.5\\n\\n\\n4\\nGrande-Bret.\\n21\\n7\\n14\\n\\n\\n4\\nSuède\\n18\\n14\\n16\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Sylvain Francisco renforce le Paris Basketball"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sans club depuis le début de la saison, Sylvain Francisco (1,80m, 21 ans) vient de s’engager avec le Paris Basketball.\\n\\nVia un communiqué le club parisien annonce l’arrivée de l’ancien joueur des Levallois Metropolitans pour soulager Daniel Dillon qui est surutilisé à 32 ans avec plus de 35 minutes de jeu par match. Essentiellement formé aux Etats-Unis, ce meneur de jeu très athlétique, capable d’aussi évoluer au poste 2, arrive dans un club qui n’a remporté qu’un seul match de championnat en huit rencontres.\\n\\nEn Jeep Elite l’an dernier, l’ancien joueur de la West Oaks Academy sera plus à même d’obtenir un temps de jeu régulier et des responsabilités en Pro B que Nathan Mepandy qui vit sa première expérience professionnelle et qui ne tourne qu’à un peu plus de deux minutes par match.\\n\\nL’entraîneur parisien, Jean-Christophe Prat, s’est exprimé sur cette arrivée.\\n\\n« Sylvain est un joueur que j’ai suivi toute la saison dernière, c’est une opportunité pour le club et pour l’équipe de signer un jeune joueur Parisien potentiel. De plus, l’équipe avait besoin d’un autre meneur de jeu pour partager le temps de jeu sur le poste 1 avec Daniel. »\\n\\nLa saison dernière avec Levallois, Sylvain Francisco compilait en moyenne 3,5 points et 2 passes décisives en Jeep Elite, et 20,6 points, 4,8 rebonds et 3,6 passes par match dans le championnat Espoirs.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Sergii Gladyr de retour à Monaco !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Parti après trois saisons avec la Roca Team, Segii Gladyr (1,96m, 30 ans) fait aujourd’hui son retour au sein de l’effectif de l’AS Monaco.\\n\\nSur son site, le club monégasque annonce le retour du pistolero qui a été engagé en tant que pigiste médical de Gerald Robinson. L’ancien international ukrainien a signé pour un mois avec une option de prolongation. Gêné par son genou la saison dernière, il était sans club depuis la fin de l’exercice 2017/18 dans le but de se soigner. L’ASM indique que l’ancien joueur de Nanterre s’entraîne avec l’équipe de Sasa Filipovski depuis trois semaines et qu’il sera opérationnel dès mercredi pour la réception de Galatasaray en Eurocup.\\n\\nLa saison dernière, Sergii Gladyr compilait en moyenne 5,9 points et 2,1 rebonds entre la Champions League et la Jeep Elite.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau: Taqwa Pinero sur le chemin du retour"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que le pivot seychellois Abdel Sylla (8 matches, 3,3 points, 2,6 rebonds) ne fait plus partie de l’effectif, que le meneur américain Mickey McConnell a vu son contrat prolonger le temps que Jerel Blassingame revienne à la compétition, en principe fin décembre, Taqwa Pinero (5 matches, 5,2 points, 27,6% de réussite) devrait faire bientôt être opérationnel, sans qu’une date précise soit pour autant déterminée.\\n\\n« Taqwa est sur le chemin du retour », confirme le coach Laurent Vila sur le site du club. « Il a retrouvé ses coéquipiers et le Palais des Sports cette semaine après son passage au CERS de Capbreton. Il va poursuivre sa réathlétisation sans que l’on sache encore exactement sa date de reprise. J’aurais souhaité conserver Abdel Sylla en pige le temps qu’il revienne complètement, mais cela n’a pas pu se faire et du coup, ce dernier est parti aux Seychelles rejoindre sa sélection. J’ai pu m’entretenir en direct avec lui et le remercier 1 000 fois pour son investissement. C’était quelque chose d’important pour moi et pour tous les joueurs aussi vis à vis d’un élément qui apportait beaucoup de lien dans le vestiaire. Avec le départ d’Abdel, Akos (Keller), qui a pu ainsi revenir progressivement sur le poste 4, va retrouver son poste 5 et l’on va donner un peu plus de responsabilités à Thibault (Daval-Braquet). »\\n\\nLa Leaders Cup à laquelle l’Elan Béarnais n’a pas participé la saison dernière est son objectif:\\n\\n« Avant la fin de la phase Aller, il nous reste quatre matches à disputer en décembre plus deux en janvier après les fêtes. On a tous en ligne de mire un objectif commun: se qualifier pour la Leaders Cup et pour cela, il nous faudra selon moi être en mesure de décrocher au minimum quatre succès. Nous ne sommes pas là pour choisir les matches et le plus important est celui face au CCRB car sinon il faudra réaliser un 4 sur 5 pour atteindre l’objectif. »\\n\\nOutre l’aspect prestige d’être invité à Disneyland, le coach béarnais veut éviter un chômage technique trop long:\\n\\n« Etre à Disney voudrait dire aussi avoir une deuxième « coupure internationale » plus courte. Sinon, entre cette compétition, la fenêtre internationale et le tournoi de tennis prévu au Palais fin février – début mars qui va entraîner un changement de programmation de la rencontre face à Boulazac, cela signifierait un mois sans jouer ! On va se donner les moyens pour accomplir cet objectif, et vu le tempérament de l’équipe, la concentration observée à l’entraînement, ce que je vois est très intéressant. »\\n\\nPhoto: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ligue Féminine: Bria Holmes remplace Shayla Cooper à Landerneau"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Landerneau Bretagne Basket annonce la venue de l’Américaine Bria Holmes (1,85m, 24 ans) afin de compenser le départ de sa compatriote Shayla Cooper.\\n\\nBria Holmes est une ailière américaine qui sort d’une maternité. Elle a joué en Euroleague pour le club polonais de Polkowice (10,8 points, 2,8 rebonds) et compte à son actif 65 matches en WNBA (2016 et 17), à Atlanta, pour 7,6 points et 2,7 rebonds.\\n\\n« En tant qu’athlète professionnelle, il est difficile de fonder une famille en jouant toute l’année, mais ce petit humain en moi est vraiment une bénédiction pour moi, ma famille et mon petit ami », avait écrit la joueuse en annonçant qu’elle devait tirer un trait sur la saison WNBA 2018."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : le Bayern Munich privé de Devin Booker (ex Chalon) pour plusieurs semaines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mauvaise nouvelle pour le Bayern Munich qui perd son pivot titulaire Devin Booker (2,05m, 27 ans) pour plusieurs semaines.\\n\\nSur son site, le club bavarois indique que son joueur avait dû quitter le terrain lors du match face au Khimki Moscou à cause d’une blessure à la cheville gauche et après examens cette blessure va écarter des parquets le MVP de Pro A 2016 pendant plusieurs semaines. Passé par Nancy, Bourg-en-Bresse et Chalon, l’ancien pensionnaire de Clemson dispute sa troisième saison au sein de l’effectif du Bayern Munich.\\n\\nCette saison, Devin Booker compile en moyenne 10,1 points et 4,8 rebonds en Bundesliga, et 8,6 points et 3,9 rebonds en Euroleague."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Portel : revenu de blessure, Jeffrey Crockett doit vite faire ses preuves"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"De retour aux affaires après de longues semaines de convalescence, Jeffrey Crockett (2m, 27 ans) va enfin pouvoir lancer sa saison avec Le Portel. Mais le joueur est surveillé de près par son entraîneur Eric Girard.\\n\\nDans La Voix du Nord, l’entraîneur portelois a révélé que son joueur, recruté pour avoir un rôle majeur, a jusqu’à la trêve de Noël pour revenir à son meilleur niveau.\\n\\n« Crockett est encore loin de son niveau de l’an passé pour lequel on l’a recruté. S’il reste à 60 % de ses qualités, ça va être compliqué. On ne peut pas attendre éternellement. On ne peut pas pénaliser l’équipe parce qu’il tarde, malgré sa bonne volonté et ses séances d’athlétisation. (Il insiste). Physiquement, il est loin d’être à son niveau. Son sort nous mobilise, staff et président, et on a débuté une vraie réflexion. Si son souci dure quelques jours, pas de problème. On veut l’aider car on apprécie l’homme mais si on voit pour x raisons qu’il mettait trop de temps, alors on prendra une décision. À la trêve de Noël, soit il est à 100 %, soit on prendra un autre joueur. »\\n\\nFace à l’ASVEL pour son premier match de championnat, il a été très peu utilisé mais il a eu le mérite d’être rentable avec 5 points (2/2 aux tirs et 1/1 au lancer) et 1 rebond en sept minutes de jeu. La saison dernière, Jeffrey Crockett compilait en moyenne 13,6 points et 6,1 rebonds avec le club danois des Bakken Bears. Il était particulièrement à son avantage en FIBA Europe Cup, compétition dans laquelle il a croisé l’ESSM à deux reprises.\\n\\nPhoto : ESSM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : le très gros poster dunk d’Axel Julien (Dijon)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans la courte victoire de Dijon face à Levallois (79-75), Axel Julien (1,85m, 26 ans) a été inspiré.\\n\\nEn plus de ses 13 points, 4 rebonds et 9 passes décisives (20 d’évaluation), l’international français a infligé le poster dunk du week-end à Maxime Roos.\\n\\nCette saison, Axel Julien compile en moyenne 8,9 points, 2 rebonds et 5,5 passes décisives pour une évaluation de 12,8.\\n\\n\\n\\n\\n⚠️⚠️ Le poster d'@julienaxel5 sous un autre angle, pour apprécier encore une fois cette violence ! ⚠️⚠️#JeepELITE #Dijon pic.twitter.com/618HAtlCb1\\n\\n\\n— JDA Dijon Basket (@jdadijonbasket) December 9, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Xavier Forcada, le passeur-intercepteur de Gries"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Espagnol de Gries-Oberhoffen Xavier Forcada (1,94m, 31 ans) est à ce jour le meilleur passeur de Pro B avec un joli total de 8,6 assists.\\n\\nCe meneur de jeu de grande taille confirme ainsi sa saison de Nationale 1 qui l’a vu élevé au statut de MVP avec (seulement) 6,5 passes. C’est sa première sortie à l’étranger lui qui a été médaillé de bronze au championnat d’Europe U18 en 2015 mais qui a du se contenter d’une carrière dans les divisions espagnoles inférieures. C’est au CB Prat, en LEB Oro, que les Alsaciens sont allés le chercher.\\n\\nDans les top performances de la Pro B, Xavier Forcada fait coup double puisqu’il est aussi le meilleur intercepteur à égalité avec l’Américain Quinton Hooker de Vichy-Clermont: 2,3 steals.\\n\\nL’Espagnol propose par ailleurs une belle efficacité à trois-points (41,5% de réussite). Son talon d’Achille? Ses pertes de balle: 4,1. Seul l’Américain de Chartres Jaysean Paige fait pire (4,3).\\n\\nPour sa première saison en Pro B, le BGO est neuvième avec autant de victoires (4) que de défaites. Il peut aussi se féliciter d’avoir enrôlé un deuxième Espagnol, l’ailier Asier Zengotitabengoa (2,01m, 30 ans), le top scoreur de l’équipe avec 15,3 points.\\n\\nDans ce portrait réalisé par le club, on découvre aussi qu’après quelques mois dans notre pays, Xavier Forcada parle français et qu’il est très heureux de découvrir la culture de notre pays.\\n\\nhttps://www.facebook.com/Bcgoofficiel/videos/green-zoom-n4-xavier-forcada/895652620599986/\\n\\nPhoto: BCGO"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le panier à trois-points de la gagne de Mantas Kalnietis"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le match Le Portel vs Villeurbanne s’est joué au finish. Si le pivot croate Miro Bilan (15 points, 9 rebonds) a sorti un grand match, c’est le meneur lituanien Mantas Kalnietis qui a offert la victoire à l’ASVEL (72-69) sur un trois-points plein de sang-froid.\\n\\nA noter que si les Portelois ont marqué 23 points dans le premier quart et 20 dans le second, ils ont été mis ensuite au pain sec et à l’eau: 11 et 15.\\n\\nPhoto: ASVEL\\n\\n\\n\\n\\nMVP du match @MantasKalnietis a notamment inscrit le panier à 3 PTS décisif dans la victoire de @LDLCASVEL sur le parquet de l'@ESSMbasket #JeepELITE pic.twitter.com/8Q7km4wIec\\n\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) December 9, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV: Le clasico Real-Barça en Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Parmi les affiches de la semaine, le clasico espagnol à la sauce Euroleague, Real Madrid vs FC Barcelone.\\n\\nLundi 10 décembre:\\n\\n20h45 – Châlons-Reims/Pau – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\n22h45 – Buzzer – Magazine – RMC Sport 2\\n\\nMardi 11 décembre\\n\\n18h45 – Limoges/Bursa – Eurocup – RMC Sport 4\\n\\n18h20 – Nymburk/Dijon – BCL – Canal+ Sport\\n\\n20h30 – Strasbourg/Ljubljana – BCL – Canal+ Sport\\n\\n20h30 – Villeurbanne/Partizan Belgrade – Eurocup – RMC Sport 4\\n\\nMercredi 12 décembre\\n\\n18h45 – Monaco/Galatasaray – Eurocup – RMC Sport 4\\n\\n20h30 – Le Mans/Murcie – BCL – Canal+ Sport\\n\\nJeudi 13 décembre\\n\\n21h00 – Madrid/Barcelone – Euroleague – RCM Sport 4\\n\\nVendredi 14 décembre\\n\\n20h45 – Munich/Kaunas – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\nSamedi 15 décembre\\n\\n18h30 – Monaco/Dijon – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nDimanche 16 décembre\\n\\n18h30 – Pau/Le Mans – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nLundi 17 décembre\\n\\n20h45 – Strasbourg/Chalon – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nPhoto: Thomas Heurtel"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Brisco vs Marine Johannès et Lisa Berkani"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Youtubeur Brisco, as du free style, lance des défis aux deux artistes du Tango Bourges Basket, Marine Johannès et Lisa Berkani. Dribbles, un-contre-un et shoots dans tous les sens, le tout placé sous le signe de la bonne humeur et de l’humour."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep® ÉLITE : le salaire de tous les joueurs et de tous les coaches"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pendant un peu plus de deux semaines, Basket Europe vous a fait part de son enquête sur les montants des contrats des joueurs et des coachs de chaque équipe de Jeep Elite. Le magazine « spécial salaires Jeep Elite » qui récapitule tout est toujours disponible à la commande ici.\\n\\nVous pouvez retrouver tous les salaires de toutes les équipes avec les liens suivants :\\n\\n * Antibes : Les sans-grade, sans le sou\\n * Boulazac : Le contrat gagnant-gagnant avec Nicolas De Jong\\n * Bourg-en-Bresse : La belle progression salariale de Zach Peacock\\n * Chalon-sur-Saône : Justin Robinson, la nouvelle trouvaille de Jean-Denys Choulet\\n * Châlons-Reims : Devin Ebanks, Blake Schilb et Jimmy Baron, un bon investissement\\n * Cholet : Frank Hassell, le juste prix\\n * Dijon : Le bond spectaculaire de Laurent Legname\\n * Fos-sur-Mer : La bonne affaire Pierre Pelos\\n * Gravelines-Dunkerque : Le gros salaire de Edgar Sosa\\n * Le Mans : Des recrues phare qui posent question\\n * Le Portel : Le principe de l’égalité\\n * Levallois : Le rebond de Mouphtaou Yarou\\n * Limoges : Damien Inglis, un salaire divisé par dix. Sekou Doumbouya, l’espoir de le multiplier par dix\\n * Lyon-Villeurbanne : La dernière marche avant l’Euroleague\\n * Monaco : Quelques salaires princiers\\n * Nanterre : La success story Lahaou Konate\\n * Pau-Lacq-Orthez : Le risque Jerrel Blassingame\\n * Strasbourg : Le nouveau statut de Jérémy Nzeulie\\n * Les salaires des coaches en Jeep Elite – Zvezdan Mitrovic rejoint Vincent Collet comme numéro 1\\n\\nPhoto : Infinity Nine Media"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Bourges et Marine Johannes sont en pleine forme"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bourges a été sans pitié hier soir pour Basket Landes et les légendes du club berruyer, Cathy Melain et Céline Dumerc. 100 à 65. C’est une sacrée piquette. Le deuxième quart-temps (28-11) a provoqué une différence irrémédiable.\\n\\nA noter les 16 points de KB Sharp, les 12 points et 8 passes de Sarah Michel et surtout les 24 points avec un 5/7 à trois-points de Marine Johannès.\\n\\nIl s’agit du record de points cette saison de Marine Johannès dont les statistiques sont en hausse vis à vis de l’exercice précédent avec 15,1 points (22/47 à trois-points) et 14,6 d’évaluation. Dans un effectif replet, elle est ainsi la septième marqueuse du championnat et la deuxième française derrière son adversaire de la soirée, Mamignan Touré (15,3 points).\\n\\nMarine Johannès et Bourges, qui cette semaine a tenu la dragée haute à Ekaterinbourg sont en pleine forme. Avec la montée en puissance de Lattes-Montpellier et de l’ASVEL, le championnat national est plus palpitant que jamais.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\n😱 @MarineJ5 casse des chevilles sur un eurostep magnifique ! #AllezTango pic.twitter.com/9Y2TOSK719\\n\\n\\n— Tango Bourges Basket (@BourgesBasket) December 8, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Chalon: 100, Gravelines 102. 30 points pour Edgar Sosa"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sa victoire sur Chalon au Colisée permet aujourd’hui à Gravelines de passer devant son adversaire du soir avec 7 victoires contre 6. Il faut dire que SEPT équipes sont au même niveau que ces deux équipes.\\n\\nComme l’atteste le score final (102-100), le match fut très offensif, ce qui chagrine le coach de l’Elan, Jean-Denys Choulet:\\n\\n« On sait que l’on ne peut pas gagner des matches en prenant 102 points, c’est compliqué. On avait déjà pris beaucoup de points à Pau, on a recommencé ce soir alors qu’on a fait une première mi-temps à peu près correct au niveau de l’engagement défensif. En deuxième mi-temps, ça a été opération portes ouvertes sur le tir à trois-points. Ils ont été très bons, on n’a pas été très bons défensivement. Après, on met 100 points, on est talentueux en attaque, on n’a pas la volonté de se faire mal en défense. Je pense que certains n’ont pas bien compris, je ne sais pas comment on va faire pour leur faire bien comprendre (...) Je trouve qu’il y a quelques problèmes d’égos, quelques personnes qui ont oublié quelque peu le rôle qu’ils avaient et je leur ai rappelé dans les vestiaires et je leur rappellerai toute la semaine. »\\n\\nC’est le meneur du BCM Edgar Sosa qui s’est particulièrement distingué avec 30 points avec un remarquable 12/17 aux shoots, tout en distribuant 5 passes.\\n\\n« Le plus important c’est de gagner », résume le coach du BCM, Julien Mahé. « C’était un match très difficile. Après une première mi-temps où Chalon a plutôt dominé, on a réussi à faire un petit écart dans le troisième quart-temps notamment par l’adresse à trois-points d’Edgar Sosa et puis le quatrième quart-temps a été d’un niveau de jeu très haut avec des équipes qui se sont rendues coup pour coup. L’Elan Chalon n’a jamais rien lâché alors qu’on pouvait avoir match gagné dans la dernière minute. On a encaissé beaucoup de tirs à trois-points. On arrive à repartir avec la victoire, c’est le principal. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet: Pas de défense et plus de Antywane Robinson"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tout juste arrivé à Cholet et après la défaite hier soir à Bourg-en-Bresse (95-86), le coach Erman Kunter dit avoir cerné le mal choletais.\\n\\n« Un match, ça me suffit. Le problème est très simple : on a encaissé 95 points, c’est impossible de gagner dans ces conditions, » a t-il lâché en conférence de presse, des propos repris par Ouest-France. « Certains joueurs n’ont aucune idée de ce que veut dire défendre, aucune idée ! Ils ne croient pas à ça, en disant que ce n’est pas le basket... La défense, c’est quelque chose qu’il faut désirer, c’est la volonté. Je dois jouer les yeux dans les yeux avec mon adversaire... Je ne l’ai pas vue chez certains. »\\n\\nLes deux intérieurs de la JL ont fait des dégâts dans la défense choletaise. 28 points (4/7 à trois-points) pour Zach Peacock, 20 points et 14 rebonds pour Youssou Ndoye.\\n\\nLa soirée a été noire pour CB si l’on sait que son américain Antywane Robinson n’a joué que dix minutes. Il avait été victime d’une blessure aux ischio-jambiers de la cuisse droite lors du match au Portel, le 16 novembre, et il a ressenti une vive douleur au même endroit. Il devrait être absent plusieurs semaines.\\n\\nPhoto: CB"
}, 
{"role": "user",     "content":"14 rebonds contre Boulazac. Florent Pietrus (Strasbourg): «Ca prouve qu’à 37 ans, je peux toujours être utile»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors de la victoire à Boulazac, 79-62, en 25 minutes, Florent Pietrus a apporté 8 points et surtout 14 rebonds, à une unité de son record en carrière. Il a été évidemment élu MVP du match. Un exploit qui tombe bien pour Strasbourg car en plus de Jacques Alingue définitivement out pour la saison à cause d’une nouvelle rupture du tendon d’Achille, les Strasbourgeois étaient privés d’un autre intérieur, Ali Traore.\\n\\n« On est pleinement satisfait », a t-il commenté en conférence de presse, des propos que l’on retrouve sur le site de la SIG. « Le coach avait mis un point d’honneur sur le fait que l’on devait être meilleur en défense. Défensivement on doit faire des progrès même si ce soir on a fait pas mal d’efforts. C’est dans la continuité que l’on pourra juger. Mais c’est un bon point de départ d’avoir réussi à tenir cette équipe à 62 points. C’est une victoire importante car on sortait de deux défaites pas très agréables. Cette victoire fait du bien au moral. A titre personnel, je me sens en forme. J’essaye juste de faire mon job du mieux possible. Je suis pleinement satisfait car c’était surtout un combat d’équipe. Aujourd’hui mon activité a permis de gagner, c’est bien, mais ce soir c’était moi et demain ce sera quelqu’un d’autre. Il faut juste continuer à travailler et on fera le point en fin de saison. Mais très clairement c’est une victoire qui fait du bien au moral... Même si je n’avais pas perdu le moral ; mais ça prouve qu’à 37 ans je peux toujours être utile, donc ça fait plaisir. J’ai peut-être 38 ans dans un mois mais c’est avant tout l’envie qui me pousse à me donner à fond. Le basket ce n’est pas qu’une question de paniers, c’est d’abord une question d’envie et l’envie je l’ai toujours ! Au-delà de ça, ce soir on a pensé à Jacques (NDLR: Allingue). Hier, ce qui lui est arrivé nous a donné un vrai coup au moral. On est attristé pour lui, car c’est un gars qui a tout fait pour revenir en forme. Ce sont les aléas d’une carrière mais je pense que mentalement c’est quelqu’un de fort. Il faut juste qu’il soit patient. Le basket n’est pas fini pour lui. En tout cas nous penserons à lui lors de chaque match. Il sera peut-être loin du terrain mais en même temps il sera toujours avec nous ! »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Monaco officialise l’arrivée de l’ex-Villeurbannais Eric Buckner"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’AS Monaco confirme l’arrivée du pivot américain qui possède le passeport du Libéria Eric Buckner (2,08m, 28 ans). Celui-ci vient de terminer sa pige à Villeurbanne et s’est engagé jusqu’à la fin de saison.\\n\\nJusque là, Eric Buckner avait joué en Turquie et en Grèce. Il avait signé à Villeurbanne pour deux mois et en 8 matches, il a cumulé 8,8 points et 4,4 rebonds faisant étalage de qualités athlétiques hors normes.\\n\\n« Je suis très heureux de rejoindre l’AS Monaco Basket où nous aurons de gros objectifs à atteindre », commente Eric Buckner, qui joue comme Cotonou. « Mon secteur de jeu préféré ? Je vous répondrais en premier lieu, la défense. J’essaye d’être efficace. Seule la victoire d’équipe m’intéresse. Mes stats personnelles passent au 2e plan. Je suis très motivé pour apporter toute mon énergie à Monaco »."
}, 
{"role": "user",     "content":"Bria Hartley confirme son attachement à l’équipe de France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le mensuel fédéral BasketBall donne la parole à la néo-internationale Bria Hartley dans sa dernière livraison. La Newyorkaise revient notamment sur le timing nécessaire pour récupérer la nationalité française qu’elle doit à sa grand-mère maternelle. Un long processus.\\n\\n« Oui, très long, » dit-elle. « Je me rappelle que ma mère avait effectué toutes ces démarches il y a quelques années, récupérant son certificat de naissance, son livret de famille, etc. Cela avait pris plus de deux ans. De mon côté, ce n’était pas évident car je n’étais pas en France et j’ai dû prendre contact avec l’administration française depuis la Turquie... J’ai dû me rendre plusieurs fois à l’ambassade de France à Istanbul depuis 2016. Puis je suis entrée en contact avec la FFBB au début de l’année 2017 pour les informer que je voulais jouer pour l’Equipe de France. »\\n\\nBria Hartley sait que sa sélection en bleu a provoqué un début de polémique. Elle a reçu quelques tweets à ce sujet.\\n\\n« Chacun a son opinion. Je sais que je représente à la fois les Etats-Unis et à la fois la France. Ces deux origines font partie intégrante de moi, de ma vie et de ce que je suis. Personne ne changera cela. Je vais juste essayer de faire de mon mieux pour défendre le maillot de l’Equipe de France féminine et aider l’équipe à aller le plus haut possible. »\\n\\nBria a mis ses actes en accord avec ses paroles en contribuant à la victoire des Bleues sur la Slovénie à Charleville (16 points à 7/8 aux tirs, 23 d’évaluation). Une source fédérale nous a confirmé qu’elle sera bien présente à l’Euro 2019 qui va se tenir en Serbie et Lettonie, du 27 juin au 7 juillet, soit en pleine saison WNBA. Sachant que la Franco-Américaine est meneuse titulaire du New York Liberty, voici un témoignage irréfutable de son investissement avec l’équipe de France.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : Vincent Poirier fait tomber le CSKA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Rien n’est encore fait pour Vitoria, mais ce succès de prestige arraché de haute lutte face au CSKA Moscou ressemble fort bien à une victoire de référence. Vincent Poirier (18 points, 8 rebonds) a été le meilleur élément de la troupe basque qui se replace au classement.\\n\\nPlus tôt dans la soirée, le Real Madrid a renversé une situation bien mal embarquée face à l’Efes Istanbul. Et peut remercier Gustavo Ayon pour le revirement ! Quant au Fenerbahçe, il a été sans pitié contre le Panathinaikos. 7e succès de rang pour le Fener et 3e revers de rang pour le Pana pour des dynamiques opposées !\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nUn succès référence pour Vitoria\\n\\nPas en grande forme depuis le début de saison, Vitoria a changé de coach et cherche encore son identité. Ce succès face au CSKA, arraché avec les tripes au bout d’un combat de chaque instant, est une référence pour ce collectif en formation (76-73).\\n\\nEt c’est Vincent Poirier (18 points, 8 rebonds) qui a été le héros de la partie, auteur de la claquette qui sera l’ultime panier du match après le trois points manqué par Alec Peters (20 points) qui aurait pu égaliser. A l’image de sa traction Nando De Colo (2 points à 1/8 aux tirs) et Sergio Rodriguez (3 points à 1/7 aux tirs), le CSKA n’avait pas l’étincelle en attaque.\\n\\n\\nGustavo Ayon à la rescousse du Real\\n\\nA -15 au 3e quart, le Real Madrid était carrément dans la panade sur le parquet de l’Efes à Istanbul. Mais un 24-8 de folie en dernier quart, sur les épaules de Gustavo Ayon (20 points, 11 rebonds), a permis au Real d’arracher une victoire improbable (84-82). Et un poil controversée, car Ergin Ataman a déjà promis de demander un « re-match » aux instances de l’Euroleague...\\n\\nEn tout état de cause, Adrien Moerman (19 points, 10 rebonds) a établi son record en carrière à l’évaluation, à 33. Rodrigue Beaubois (7 points, 2 passes) a lui été plus discret, tout comme Fabien Causeur, capot pour une 2e semaine consécutive.\\n\\n\\n7e succès de rang pour le Fener\\n\\nSur les 12 rencontres de saison régulière entre ses deux puissances historiques du Vieux Continent, Fenerbahçe n’avait jamais vaincu à Athènes. C’est désormais chose faite (81-69), grâce à un grand match de Nikola Kalinic (18 points dont 4/5 à trois points, 4 rebonds, 4 passes).\\n\\nLe duo intérieur composé de Joffrey Lauvergne (16 points) et Jan Vesely (15 points) a également fait des ravages dans la peinture grecque. Il faut dire qu’avec un 13/21 à trois points, dont 3/3 pour Kostas Sloukas, le Fener ne craignait pas grand-chose. C’est la 3e défaite de rang du Pana qui n’y arrive pas cette saison (5 victoires – 6 défaites)...\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nAdrien Moerman (Efes) : 19 points (8/10 aux tirs), 10 rebonds, 3 interceptions, 1 passe, 1 contre en 32 minutes pour 33 d’évaluation\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 18 points (6/11 aux tirs), 8 rebonds, 2 interceptions, 1 passe en 29 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 16 points (6/11 aux tirs), 3 rebonds, 3 passes, 1 contre, 2 balles perdues en 27 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 12 points (5/7 aux tirs), 6 rebonds en 18 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 9 points (4/6 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds, 4 balles perdues en 19 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes) : 7 points (3/6 aux tirs), 2 passes, 1 rebond, 1 balle perdue en 17 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 6 points (1/8 aux tirs), 5 passes, 3 rebonds, 1 interception, 4 balles perdues en 32 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 3 points (1/2 aux tirs), 2 rebonds, 2 balles perdues en 10 minutes\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 2 points (1/8 aux tirs), 5 passes, 2 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 21 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 0 point (0/2 aux tirs), 3 passes, 2 interceptions, 1 rebond, 1 balle perdue en 18 minutes\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 0 point (0/4 aux tirs), 2 rebonds, 1 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 12 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nC’est un classique de l’Euroleague depuis maintenant deux saisons à Vitoria. Vincent Poirier est un généreux donateur pour les Top 10 hebdomadaires et ce nouveau dunk en coup de hache, parfaitement servi par Jayson Granger, ajoute à sa collection personnelle.\\n\\n\\n\\n\\nNutmeg 🚨@jaygranger11 dishes it to @viinze_17P for the SLAM!#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/28weFPARhi\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) December 7, 2018\\n\\n\\nLes résultats de la 11e journée\\n\\nJeudi 6 décembre :\\nPodgorica – Barcelone (67-64)\\nDarussafaka – Maccabi Tel Aviv (71-73)\\nZalgiris Kaunas – Olympiakos (83-75)\\nBayern Munich – Khimki Moscou (72-65)\\nMilan – Gran Canaria (86-94)\\n\\nVendredi 7 décembre :\\nEfes Istanbul – Real Madrid (82-84)\\nVitoria – CSKA Moscou (76-73)\\nPanathinaikos – Fenerbahçe (69-81)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 12e journée\\n\\nJeudi 13 décembre :\\nOlympiakos – Efes Istanbul (17h45)\\nCSKA Moscou – Khimki Moscou (18h)\\nFenerbahçe – Milan (19h30)\\nMaccabi Tel Aviv – Vitoria (20h05)\\nReal Madrid – Barcelone (21h)\\n\\nVendredi 14 décembre :\\nBayern Munich – Zalgiris Kaunas (20h30)\\nPanathinaikos – Darussafaka (20h30)\\nGran Canaria – Podgorica (21h)\\n\\nA lire aussi : Veni, Vidi, Vici pour GranCa !\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nUn succès référence pour Vitoria\\n\\nPas en grande forme depuis le début de saison, Vitoria a changé de coach et cherche encore son identité. Ce succès face au CSKA, arraché avec les tripes au bout d’un combat de chaque instant, est une référence pour ce collectif en formation (76-73).\\n\\nEt c’est Vincent Poirier (18 points, 8 rebonds) qui a été le héros de la partie, auteur de la claquette qui sera l’ultime panier du match après le trois\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"FFBB: Les entraîneurs des équipes de France 5×5 et 3×3 pour 2019"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion du Comité Directeur de la FFBB qui s’est déroulé ce week-end à l’INSEP, le Directeur de la Performance et des Équipes de France, Jacques Commères et Alain Contensoux (DTN-DG) ont dévoilé la liste des entraîneurs qui auront la charge des Équipes de France jeunes 5×5 pour les campagnes 2019 et la composition des staffs des Équipes de France 3×3.\\n\\nEntraîneurs des Équipes de France jeunes 5×5 2019\\n\\n\\n\\n\\n\\nÉQUIPES DE FRANCE FÉMININES\\nÉQUIPES DE FRANCE MASCULINES\\n\\n\\n\\nU20\\nU20\\n\\n\\nEntraîneur\\nJérôme FOURNIER\\nAimé TOUPANE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nU18\\nU19\\n\\n\\nEntraîneur\\nArnaud GUPPILLOTTE\\nFrédéric CRAPEZ\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nU16\\nU18\\n\\n\\nEntraîneur\\nJulien EGLOFF\\nLamine KEBE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nU15\\nU16\\n\\n\\nEntraîneur\\nVincent BOURDEAU\\nBernard FAURE\\n\\n\\nAssistant\\nPierre Laurent BALIELLO\\n\\n\\n\\n\\n\\nU15\\n\\n\\nEntraîneur\\n\\nStanislas HACQUARD\\n\\n\\n\\n\\nStaff technique des Équipes de France 3×3 2019\\n\\n\\n\\n\\nÉQUIPES DE FRANCE FÉMININES & MASCULINES 3X3\\n\\n\\nDirecteur des Équipes de France 3X3\\nRichard BILLANT\\n\\n\\n\\nSenior Femmes & Hommes\\n\\n\\nEntraîneur\\nRichard BILLANT\\n\\n\\nAssistant\\nKarim SOUCHU\\n\\n\\nAssistant\\nGwenaël PESTEL\\n\\n\\nAssistante\\nAnna KOTOC\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nU23 Femmes\\nU23 Hommes\\n\\n\\nEntraîneur\\nYann JULIEN\\nKarim SOUCHU\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nU18 Filles\\nU18 garçons\\n\\n\\nEntraîneur\\nAnna KOTOC\\nGwenaël PESTEL\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nEnsemble des équipes de France 3X3\\n\\n\\nAssistant\\nAnthony PLOYEZ\\n\\n\\nAssistant\\nSylvain MAURICE\\n\\n\\nAssistante\\nAlexandra ARENA\\n\\n\\nResponsable vidéo\\nYann JULIEN\\n\\n\\nPréparateur Physique\\nThibaud PINSON\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B – Antoine Michon (Caen): «C’est bon pour le moral de tout le monde»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Caen BC a récolté sa deuxième victoire de la saison en s’imposant dans son palais des sports d’un souffle à Poitiers, 86-85. Le pivot Jordan Tolbert (2,00m, 26 ans) a été le plus fort contributeur caennais avec 18 points et 15 rebonds.\\n\\n« On était dans une phase où il fallait à tout prix gagner car c’était bon pour le moral de tout le monde : des joueurs, des dirigeants, des supporters et du club dans son ensemble », a commenté le coach normand Antoine Michon en conférence de presse, propos rapportés par actu.fr. « C’est un match que l’on n’a pas forcément pris par le bon bout face à une équipe qui a beaucoup de talents offensifs. Nous, offensivement, on est en progrès mais cela ne suffit pas, ce n’est pas comme ça que l’on gagne ce genre de matchs. J’ai aimé la réaction que l’on a eu en seconde période, notamment défensivement. »\\n\\nUne victoire qui compte double pour le CBC qui rejoint ainsi son adversaire du soir à la 15e place à laquelle se situe également Denain, en attendant le match Quimper-Chartres.\\n\\nQuant au Paris Basketball, il détient désormais seul la lanterne rouge avec un seul succès en huit journées."
}, 
{"role": "user",     "content":"Fin de sa pige, Yakhouba Diawara va quitter Le Portel"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon La Voix du Nord, la pige de Yakhouba Diawara (2,00m, 36 ans) s’achève au Portel avec le retour de l’Américain Jeffrey Crockett.\\n\\nL’ancien NBAer a joué 9 matches avec l’ESSM pour 4,5 points (32,0% de réussite aux tirs), 1,6 rebond et 2,1 d’évaluation. Il dit dans l’article avoir apprécié la chaleur du public portelois."
}, 
{"role": "user",     "content":"L’Olympique Lyonnais envisage l’édification d’une aréna... et un rapprochement avec l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors de l’assemblée générale d’OL Groupe, le président Jean-Michel Aulas a déclaré que son club envisage la construction d’une aréna afin d’organiser des manifestations sportives et des spectacles. Un projet qui apparaît concurrentiel à celui de l’ASVEL qui veut bâtir une aréna de 12 000 places sur le territoire de Villeurbanne.\\n\\nDans un communiqué, l’Olympique Lyonnais semble cependant tendre la main à Tony Parker plutôt que de s’opposer aux visées du club de basket:\\n\\n« Concernant sa réflexion d’un projet de salle multifonction, l’Olympique Lyonnais tient à préciser que cette enceinte pourrait-être un complément ou une alternative éventuelle à la salle de l’ASVEL et non une concurrence. Par ailleurs, l’Olympique Lyonnais confirme qu’il est prêt à collaborer avec les dirigeants de l’ASVEL à tous les niveaux. Ce projet d’infrastructure permettrait au Territoire de disposer d’un nouvel équipement en matière culturelle, artistique et sportive tout en diversifiant l’offre de l’Olympique Lyonnais basée sur un savoir-faire acquis et démontré au sein du Groupama Stadium. Par ailleurs, l’Olympique Lyonnais se tient à la disposition des représentants des collectivités locales pour échanger sur ce projet et ainsi mettre en place les bases d’une collaboration entre secteur public et secteur privé comme cela avait déjà été fait de manière exemplaire pour le Groupama Stadium-OL City. »\\n\\nDélocaliser le projet de l’Aréna à Lyon? Pas de quoi réjouir la municipalité villeurbannaise..."
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview – Clément Vauchel (responsable marketing digital de la Ligue Nationale de Basket): «Dès que Justin Robinson fait une perf, on poste, ça marche»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour terminer notre immersion dans les réseaux sociaux des clubs de Jeep Elite, voici un entretien en deux parries avec Clément Vauchel qui est le responsable marketing digital de la Ligue Nationale de Basket.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLa NBA, qui est la ligue sportive numéro 1 en matière de digital, sert-elle d’exemple pour la Jeep Elite ?\\n\\nForcément, oui, on s’en inspire, mais il faut que l’on ait nos propres idées car on ne peut pas s’exprimer de la même façon. Déjà, tous leurs matches sont à la télé et ils ont des images à foison. Ils n’ont pas de risques de descente et chez nous, il y a des clubs qui se battent pour leur survie et ça a forcément un impact sur la communication. La NBA, c’est une grosse machine, on essaye de prendre leurs bonnes idées mais on ne joue pas dans la même cour. Je ne connais pas le staff d’une franchise sur le plan du digital mais je pense qu’elles sont davantage armées que nous tous réunis. Mais pour rien cacher, pour notre chaîne YouTube que l’on vient de lancer, on s’inspire de ce qu’ils font car il y a des choses sympas qui peuvent être appliquées.\\n\\nA la base, la marque NBA est très puissante, plus puissante que la plus puissante des franchises, Lakers, Warriors ou Bulls, alors que la marque Limoges CSP est par exemple plus puissante que la LNB ?\\n\\nOn essaye que ce ne soit plus le cas, de progresser. Notre président (NDLR : Alain Béral) dit souvent que c’est important que la LNB soit plus forte que le plus fort de ses clubs.\\n\\nLe digital est un bon moyen de renforcer votre marque ?\\n\\nOui, même si on a eu pas mal de soucis avec notre site internet. On a lancé un nouveau site qui n’est pas encore au top. On a un gros retard notamment en ce qui concerne les statistiques et je pense que c’est là où on peut vraiment progresser. On a la base de données avec toutes les infos depuis toujours sauf qu’on ne sait pas les traiter. On n’est pas capable de faire comme la NBA en disant « untel vient de marquer son 1000e point ». On n’a pas ce que l’on appelle les milestones.\\n\\nVous avez l’ambition de rattraper votre retard à ce niveau ?\\n\\nBien sûr. Je ne connais pas le timing, mais oui, le basket est un sport de stats et on est obligé d’être bon là-dedans. Au basket, dans n’importe quel match on peut trouver quelque chose au niveau des stats. On a ce problème d’identification avec les joueurs qui changent souvent de club, aussi si on peut trouver un autre angle pour intéresser les gens, c’est peut-être par les stats. On a commencé par développer les vidéos et je pense que la prochaine étape c’est de tirer partie des stats, de présenter les choses différemment.\\n\\n« On sait que les gens vont venir sur notre site pour le calendrier, les résultats, les stats du match, éventuellement celles de la saison, les meilleurs marqueurs, etc. Ils ne vont pas venir pour un article ou une interview. »\\n\\nVos connections au site ont-elles progressé depuis que vous avez mis en place ce nouveau site à la rentrée ?\\n\\nOn n’a pas assez de recul pour juger et les habitudes des gens ont beaucoup évolué. Avant, un site était jugé à son trafic, maintenant ce n’est plus forcément le cas. C’est pour ça que l’on a décidé de mettre des moyens dans la vidéo. Je préfère que quelqu’un voit une vidéo, même si ce n’est pas sur notre site, mais sur YouTube ou Facebook. L’important c’est que les gens entendent parler du basket, vu du basket et qu’ils aient eu l’info qu’ils voulaient. On sait que les gens vont venir sur notre site pour le calendrier, les résultats, les stats du match, éventuellement celles de la saison, les meilleurs marqueurs, etc. Ils ne vont pas venir pour un article ou une interview. C’est bien s’il y en a mais ce n’est pas le plus important aujourd’hui. On met plus en valeur les stats de la saison, les leaders, qui ressortent dès la page d’accueil. Et puis la vidéo ressort beaucoup plus sur le site et ça avait été décidé avant même que l’on investisse dans un logiciel. J’arrive à faire des highlights par soirée, des top 5 et des top 10 à chaque journée alors qu’avant on en faisait juste un mensuel. Ça progresse.\\n\\nAvez-vous des retours des fans ?\\n\\nOui sur les réseaux. Les gens se rendent compte qu’il y a plus de vidéos qu’avant. On en fait plus donc forcément il y a plus de vues. Je pense que la moyenne de vues par vidéo augmente. On a un phénomène cette année en Jeep Elite qui s’appelle Justin Robinson et ses vidéos cartonnent. Lorsque j’ai publié ses deux paniers à trois-points contre Monaco qui sortent de nulle part, c’est la deuxième vidéo la plus vue après celle de AJ Slaughter. Slaughter, c’était lors de la première journée, pour un gros choc, Monaco-Villeurbanne, les gens sortaient de trois mois sans basket français. Dès que Justin Robinson fait une perf, on poste une vidéo et ça marche. C’est un très bon client pour ça.\\n\\nY a-t-il un rapport direct entre le club du joueur et le nombre de vues ? On sait que Limoges, Strasbourg, Chalon, sont les clubs qui génèrent le plus d’audience.\\n\\nForcément mais ces clubs-là font déjà du très bon travail, beaucoup de vidéos. Strasbourg n’a pas besoin de nous pour faire des vidéos. Par contre, je ne suis pas sûr que Boulazac ou Le Portel mettent beaucoup de moyens dans la vidéo. Nous, on leur donne la possibilité d’avoir des vidéos. Après, ils les utilisent ou pas, ils font ce qu’ils veulent. Avec ce logiciel, chaque club reçoit une quinzaine de vidéos cinq minutes après son match. C’est un système automatique. Je peux créer les vidéos que je veux. On s’est réuni avec quelques clubs qui avaient déjà utilisé la vidéo l’année dernière en BCL pour savoir ce qu’ils voulaient recevoir. Après, plein de clubs n’utilisent pas ces vidéos mais au moins, ils les ont. Ils ont notamment une vidéo avec tous les paniers à trois-points du match, une autre avec les dunks, et aussi les contres, les passes décisives, les meilleures actions de leur équipe, un résumé, du match, une vidéo qui marque au moins 10 points dans le match.\\n\\nEt tout ceci est fait par le logiciel en quelques secondes ?\\n\\nExactement. Il est relié à nos stats et au flux vidéo de Keemotion ou de RMC Sport et il mixe les deux. Les clubs n’ont pas accès à ce logiciel, ils utilisent ce qu’on leur envoie.\\n\\nC’est tout de même extraordinaire comme logiciel ?\\n\\nC’est génial. C’est très cher aussi et ça n’a pas été facile à faire accepter. C’est un logiciel israélien que j’ai découvert via la NBA mais je ne savais pas que c’était eux puis la BCL. Des clubs m’ont dit qu’ils recevaient des vidéos après le match et que c’était top. Soit on poste les vidéos telle qu’elle soit on les retravaille. Des clubs comme Strasbourg et Chalon sont capables de sortir une vidéo juste avec les actions dont ils ont envie. La seule que l’on demande de ne pas toucher c’est celle du résumé car c’est un peu officiel. Imaginons que Boris Diaw joue encore cette année avec nous et prenne sa retraite l’année prochaine, je serais capable de faire une vidéo avec tous les paniers de la saison ou son top 10 ou ses 10 plus beaux dunks. Je mise beaucoup là-dessus pour l’été, c’est-à-dire une période creuse, pour pouvoir continuer à m’exprimer. Alors que pour l’instant, l’été, à part les transferts, on n’a pas grand-chose à raconter.\\n\\nCe qu’ils font depuis des décennies en NBA, c’est un best of des actions les plus fun...\\n\\nLes bloopers. C’est un peu plus dur car ce n’est pas une stat. Ça peut être fait mais que manuellement. Il faut se rappeler à quel moment il y a eu une action et découper l’image.\\n\\nIl faut donc regarder tous les matches ?\\n\\nOui. En tant que community manager, je suis d’astreinte le week-end et je suis tous les matches. J’essaye quand je peux de noter des choses comme, par exemple, un joueur qui tombe et va renverser la caméra. Je peux aller ensuite découper l’action dans le logiciel et comme ça en fin de saison, on pourra faire une vidéo avec les bloopers. Ce que je n’ai pas dit, c’est que la machine note toutes les actions avec cinq étoiles maximum. Le logiciel prend en compte le timing -si c’est un buzzer beater, elle va avoir plus d’étoiles-, le type d’action -un dunk va être mieux noté qu’une perte de balle-, le public par le son -s’il voit que les gens hurlent c’est qu’il se passe quelque chose-, l’intonation des commentateurs quand il y en a -si David Cozette s’enflamme, ça peut aider à hausser la note. Globalement, il y a peu d’erreurs sur la qualité et on peut faire des highlights des journées sans avoir vu l’ensemble de tous les matches. Je peux bien sûr corriger, changer une note, ajouter une action qui n’est pas dans le résumé, faire plein de choses.\\n\\nVous regardez combien d’heures de match par semaine ?\\n\\nJe suis d’astreinte pour tous les matches télé et les soirs de match, je suis à côté de mon PC et je zappe sur les différents matches, en fonction des affinités, des matches que j’estime plus intéressants que d’autres. Ce système-là, on ne l’utilise que pour la Jeep Elite, aussi je regarde aussi la Pro B. La Pro B, ce n’est que du Keemotion. Ça marche bien mais on privilégie toujours les images RMC Sport à Keemotion. Les actions de la semaine sont issues à 90% de RMC Sport parce qu’on a des commentaires, un ralenti, plusieurs vues possibles. L’exception, encore une fois, c’est Boris Diaw, on ne pouvait pas ne pas la mettre action de la semaine. Parfois le club filme lui-même une action intéressante et si on peut la récupérer, on peut faire un montage mais ça prendra plus de temps alors que si c’est RMC Sport, en deux clics, j’ai l’action, le ralenti, je les mets ensemble et ma vidéo est prête. Comme ça, je gagne énormément de temps. Aujourd’hui, on poste pas mal de top performances, les highlights d’un joueur, une dizaine par week-end, souvent c’est le MVP du match, ça prend deux clics. Un pour mettre le nom du joueur, un autre pour le match en question, et je reçois la vidéo dans ma boîte mail. L’année dernière, quand j’essayais de le faire, ça prenait trois jours ! Même si tout n’est pas toujours parfait, c’est un gain de temps monumental. Aujourd’hui 14 clubs sur 18 utilisent ces vidéos. Mon but est de comprendre pourquoi les quatre ne le font pas. J’attends de voir. On est encore en phase de rodage avec cet outil et les clubs se contentent d’utiliser ce qu’on leur donne alors que dès le début, je leur ai dit qu’ils ont la possibilité de me faire des demandes. Par exemple pour faire un focus sur un joueur, ils ont besoin de tous ses paniers depuis le début de saison ? C’est possible. Le but final c’est que le basket soit montré beaucoup plus, que les gens voient des images.\\n\\nAvez-vous la sensation que vous captez ainsi un public qui n’est pas dans les salles et qui n’est pas abonné à RMC ?\\n\\nC’est un peu tôt pour le dire mais oui, forcément. A petite échelle, on le voit sur notre chaîne YouTube que l’on vient de lancer. En deux semaines, on a réussi à avoir mille personnes qui sont abonnées. On ne s’attendait pas à ce que ça monte aussi vite alors qu’on n’a pas lancé pleinement la communication car au début on n’avait pas encore assez de contenu. Là, on commence à avoir des playlists avec pas mal de vidéos, c’est intéressant. On a fait des vidéos autour du media day et on en a une que l’on appelle un-contre-un avec deux joueurs qui se parlent. La première c’est avec Sekou Doumbouya et Killian Hayes. Or images de match, c’est la vidéo qui marche le mieux sur tous nos réseaux, notamment sur YouTube où elle a déjà été vue 20 000 fois alors qu’on n’a pas beaucoup de fans. C’est énorme, la deuxième vidéo doit être à 500 ou 600. Elle parle à la population YouTube, c’est-à-dire aux 15-25 ans.\\n\\nCela touche aussi un public fan de NBA étant donné que ce sont deux joueurs annoncés rapidement dans la ligue américaine ?\\n\\nOn a une rubrique top prospects. D’habitude on met en avant ceux qui font entre 20 et 30 d’éval mais on parle aussi régulièrement de (Théo) Maledon, de Hayes, de Doumbouya et d’autres. S’ils mettent dix points, on va les mettre car ça fait parler. Notre ambition cette année par rapport à tout le digital, c’est la vidéo. On a mis les moyens et on veut la développer. On pense que c’est le meilleur moyen d’attirer les gens. OK RMC Sport n’est peut-être pas facile d’accès à tout le monde mais si on abreuve le Net de vidéo, les gens auront moins d’excuses. On essaye de leur présenter de belles actions, de belles images. On ne va pas les faire rêver comme la NBA mais c’est bien que nos championnats soient vus un peu différemment. En plus, on a de la chance, cette année les matches sont bien plus excitants que par le passé.\\n\\n« On a prévu aussi de faire des vidéos avec Léa François, une actrice de Plus Belle la Vie et qui touche donc des gens encore plus différents, pour que sa communauté se rapproche un peu du basket »\\n\\nLa LNB et SFR ont diffusé les quarts de finale de playoffs de la saison dernière en clair sur différentes plate-formes. Alain Béral a parlé d’un million de connexions. C’était globalement positif ?\\n\\nC’était sur Facebook, YouTube, Yahoo et sur le site SFR Sport. Oui, c’était positif puisque les gens ont pu tout voir. Ça venait un peu en compensation qu’il n’y avait pas d’autres matchs en clair dans la saison et c’est contractuel, SFR était obligé de diffuser des matches en clair. Comme ce fut très compliqué avec Numéro 23, la chaîne du groupe, c’est la solution qui a été choisie et on pense que c’est mieux car on a plus de chances de toucher un grand nombre de personnes en diffusant des matches en clair sur le web plutôt que sur une chaîne de la TNT, en tous les cas une chaîne qui à la base n’est pas dédiée à ça. On est quand même dans une génération ultra-connectée. J’ai entendu une étude comme quoi les gens regardent par jour vingt minutes de moins la télé que l’année dernière parce qu’ils regardent leurs smartphones, leurs tablettes ou alors du Netflix ou du Replay.\\n\\nPourquoi avoir constitué une équipe d’influenceurs ?\\n\\nOn a commencé l’année dernière. L’idée de base était de constituer un Cinq LNB en prenant des gens qui avaient une affinité avec le basket et qui avaient une communauté assez importante dans leurs différents domaines. A aucun moment on a voulu leur imposer quoi que ce soit. Que les Youtubeurs fassent des vidéos comme ils ont l’habitude de faire ce qui plaît à leurs fans. Le but c’est de toucher une cible différente surtout de jeunes. On les invite à des événements, ils montrent qu’ils aiment le basket. On a monté des opés, des rencontres entre un joueur et un Youtubeur, par exemple. Ça a marché avec certains moins avec d’autres mais on a eu de bonnes retombées et eux sont contents car ils sont invités à plein de choses et ils profitent de leur passion. Cette année, on a changé un peu le casting, en conservant ceux qui étaient bon public et changé ceux dont on n’était pas satisfaits et qui ne montraient pas un grand enthousiasme pour ça. On a pris des gens plus basket avec Brisco et Hoopsydia. Brisco, c’est du free style et il continue de faire ça et demain peut-être en fera-t-il avec un joueur de LNB. On a prévu aussi de faire des vidéos avec Léa François, une actrice de Plus Belle la Vie et qui touche donc des gens encore plus différents, pour que sa communauté se rapproche un peu du basket. C’est une vraie fan. Léa François, les gens la reconnaissent comme actrice de Plus Belle la Vie. Ils l’appellent par le nom du personnage dans la série (NDLR : Barbara). Ils seront évidemment présents à nos événements, All-Star Game et Leaders Cup plus pour certains pour des animations ou des vidéos. Evidemment, on va mêler les clubs à tout ça. Brisco a en tête de faire le tour de tous les clubs en faisant des concours free style. On réfléchit actuellement à tout ça. C’est tout le sens de notre stratégie comme avec YouTube : toucher les 15-25 ans. Ces jeunes-là utilisent YouTube comme nous Google.\\n\\nLe media day avant le début du championnat est devenu important pour la LNB. Outre les journalistes, ça vous permet de réunir les capitaines des dix-huit équipes de Jeep Elite qui sont totalement disponibles et vos influençeurs ?\\n\\nCette année, on a changé le format et les retours sont plutôt bons. On a fait un focus photos/vidéos le matin sans les journalistes en faisant tout le contenu que l’on avait besoin. Et ensuite, c’était le moment avec les journalistes, les interviews, la conférence de presse. La vidéo Hayes-Doumbouya a été faite à ce moment-là et il y en aura plein d’autres, neuf de ce type-là. Ça fera des binômes avec tous les clubs. Oui, c’est un événement important car ça marque le lancement de la saison avec tout ce que cela implique. On a aussi un media day à la Leaders Cup où on fait faire aux joueurs un tour du parc Disney. Ils peuvent rencontrer les journalistes, faire des photos, des vidéos pour faire le lien avec Disney.\\n\\n[armelse]\\n\\nLa NBA, qui est la ligue sportive numéro 1 en matière de digital, sert-elle d’exemple pour la Jeep Elite ?\\n\\nForcément, oui, on s’en inspire, mais il faut que l’on ait nos propres idées car on ne peut pas s’exprimer de la même façon. Déjà, tous leurs matches sont à la télé et ils ont des images à foison. Ils n’ont pas de risques de descente et chez nous, il y a des clubs qui se battent pour leur survie et ça a forcément un impact sur la communication. La NBA, c’est une grosse machine, on essaye de prendre leurs bonnes idées mais on ne joue pas dans la même cour. Je ne connais pas le staff d’une franchise sur le plan du digital mais je pense qu’elles sont davantage armées que nous tous réunis. Mais pour rien cacher, pour notre chaîne YouTube que l’on vient de lancer, on s’inspire de ce qu’ils font car il y a des choses sympas qui peuvent être appliquées.\\n\\nA la base, la marque NBA est très puissante, plus puissante que la plus puissante des franchises, Lakers, Warriors ou Bulls, alors que la marque Limoges CSP est par exemple plus puissante que la LNB ?\\n\\nOn essaye que ce ne soit plus le cas, de progresser. Notre président (NDLR : Alain Béral) dit souvent que c’est important que la LNB soit plus forte que le plus fort de ses clubs.\\n\\nLe digital est un bon moyen de renforcer votre marque ?\\n\\nOui, même si on a eu pas mal de soucis avec notre site internet. On a lancé un nouveau site qui n’est pas encore au top. On a un gros retard notamment en ce qui concerne les statistiques et je pense que c’est là où on peut vraiment progresser. On a la base de données avec toutes les infos depuis toujours sauf qu’on ne sait pas les traiter. On n’est pas capable de faire comme la NBA en disant « untel vient de marquer son 1000e point ». On n’a pas ce que l’on appelle les milestones.\\n\\nVous avez l’ambition de rattraper votre retard à ce niveau ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Justin Robinson (Chalon, LNB). Hoopsydia, Léa François et Brisco (LNB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ligue Féminine: Shayla Cooper quitte Landerneau"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"D’un commun accord avec le club, l’intérieure américaine Shayla Cooper (1,88m, 23 ans) quitte Landerneau. Elle a participé à sept rencontres (8,8 points à 36 % au tir, 4,4 rebonds) en Ligue Féminine mais sans jamais convaincre.\\n\\nLe club breton est partie à la recherche d’une remplaçante."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Elite: Battu à Fos, c’est la troisième défaite de suite de Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Triple vainqueur de la Leaders Cup, l’AS Monaco sera t-elle en mesure de défendre son trophée en 2019? Dit autrement, les Monégasques peuvent-ils se classer dans les huit premiers à l’issue de la phase aller? Après ce qu’ils ont démontré hier soir à Parsemain face à Fos-sur-Mer, rien n’est moins sûr.\\n\\nDevant 1 900 spectateurs, les Provençaux ont joué avec beaucoup d’énergie et ont pu compter sur l’ancien NBAer Malik Hairston (23 points, 24 d’évaluation) et le pivot Marcus Dove (12 points à 6/8 aux tirs et 9 rebonds) pour les emmener vers la victoire (80-77). Paul Lacombe eut beau se démener (21 points, 28 d’éval), la Roca Team parut bien friable notamment à l’intérieur où le renfort probable de Eric Buckner (ex-Villeurbanne) ne sera pas de trop.\\n\\nMême si l’ASM était privée de Amara Sy, Gerald Robinson, Georgi Joseph et Luc Loubaki, se faire voler dans les plumes par un promu est indigne de son standing.\\n\\n« On encaisse 26 points dans le troisième quart-temps, 23 dans le dernier, c’est beaucoup trop », a commenté le coach Sasa Filipovski en conférence de presse, des propos relayés par Nice Matin. »Fos-sur-Mer a profité de notre manque de dureté et de concentration. Il faudra changer d’attitude. Je ne suis pas satisfait en premier lieu de la manière dont on défendu. Cela aurait pu basculer en notre faveur, mais on a commis trop d’erreurs. Il faut relever la tête, en professionnels. »\\n\\nLes Monégasques en sont à 5 victoires pour 7 défaites. Après Levallois et Le Mans, c’est la troisième fois qu’ils mordent la poussière de suite. Il faudra renouer avec le succès la semaine prochaine face à Dijon. Sinon...\\n\\nPhoto: Yakuba Ouattara (ASM)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Jérémy Leloup vs Hugo Invernizzi"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette fois ce sont Jérémy Leloup de la JDA Dijon et Hugo Invernizzi de Nanterre 92 qui se retrouvent dans l’affrontement verbal et détendu sous la direction de la LNB.\\n\\nL’un est plus Michael Jordan et l’autre Kobe Bryant...\\n\\nPhoto: Jérémy Leloup (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nationale 1: Les joueurs de Brissac toujours dans l’incertitude quant à leur avenir"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le 10 août dernier, le secrétaire du club démissionnait en raison d’une situation économique alarmante. Le 19 septembre, la commission de contrôle de gestion de la FFBB refusait l’engagement des trois recrues, Glenn Duro, Rafael Huertas et Michel Nsimba. Le Bab n’avait plus que sept joueurs dans son effectif et devait se contenter de 2 victoires et 9 défaites. Début octobre, le président Jean-Pierre Flao s’en allait, le duo Christophe Javelot-Guy Gerlei tentait de prendre le relais. En vain. Le 23 novembre, la nouvelle tombait: Le Brissac Anjou Basket déposait le bilan.\\n\\nEt les joueurs que deviennent-ils? Le Syndicat National des Basketteurs s’est déplacé la semaine dernière dans le Maine-et-Loire assisté de Maître Anthony Mottais, son avocat, afin de répondre à leurs interrogations.\\n\\n« Nous faisons face à une véritable épreuve puisque nous avons été privés brutalement de notre travail et de notre passion. Nous sommes dans une incertitude totale quant à notre avenir, à notre carrière et au devenir de nos proches. Heureusement, le soutien du SNB nous a permis d’appréhender plus précisément les prochaines étapes de cette procédure. Nous attendons désormais que la machine juridique se mette en route... » indique le capitaine Moïse Diamé, sur le site du SNB.\\n\\nLe Tribunal de Commerce doit statuer sur le devenir du Bab dans les prochains jours."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Gustavo Ayon obtient un passeport espagnol"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Né au Mexique, Gustavo Ayon (2,08m, 33 ans) vient d’obtenir un passeport espagnol, lui permettant de ne plus évoluer en tant que joueur étranger en ACB.\\n\\nAu Real Madrid depuis 2014, le double champion d’Euroelague pourra désormais être considéré comme joueur espagnol sur les feuilles de marque de Liga Endesa. Son entraîneur Pablo Laso pourra donc utiliser son intérieur en plus de l’Américain Trey Thompkins et de l’Argentin Gabriel Deck, qui évoluent également à l’intérieur.\\n\\nCette saison, Gustavo Ayon compile en moyenne 7,5 points, 6,2 rebonds et 2,7 passes décisives entre l’Euroleague et la Liga Endesa.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : KC Rivers renforce Reggio Emilia"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite au départ de Spencer Butterfield, Reggio Emilia était à la recherche d’un nouvel arrière et avait en tête le recrutement de KC Rivers (1,96m, 31 ans).\\n\\nSelon Eurohoops, le champion d’Euroleague 2015 a signé un très bon contrat avec le club transalpin et a négocié des clauses lui permettant de rejoindre un club d’Euroleague. Sans club depuis la fin de saison dernière, l’ancien joueur du Bayern Munich avait du faire face au diagnostic d’une pathologie auto-immune. Ce diagnostic avait finalement été écarté, mais selon lui, les clubs ont eu peur de le contacter suite à cela.\\n\\nLa saison dernière, KC Rivers compilait en moyenne 7,8 points et 2,3 rebonds avec le Panathinaïkos.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Grec Andreas Zagklis devient le numéro 1 du basket mondial en remplacement de Patrick Baumann"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Grec Andreas Zagklis, 38 ans, -à droite sur la photo- a été nommé aujourd’hui à l’unanimité secrétaire-général de la Fédération Internationale par le Central Board en remplacement du Suisse Patrick Baumann décédé le 14 octobre dernier.\\n\\nAndreas Zagklis a joint la FIBA en 2016 comme directeur juridique après l’avoir été pendant neuf ans en externe. Diplômé de l’université de droit d’Athènes, il avait passé deux semestres comme étudiant visiteur aux universités de Salamanque (Espagne) et de Western Ontario (Canada), puis il a suivi le programme de droits de Harvard.\\n\\nAu cours de sa carrière professionnelle, M. Zagklis a conseillé joueurs, coaches et clubs. Il a officié comme assistant au Tribunal Arbitral du Sport lors de trois Jeux Olympiques (2004, 2006 et 2008). Il a travaillé aux côtés d’avocats pionniers dans le sport tels que Pantelis Dedes (Grèce, 2004-2008) et Dirk-Reiner Martens (Allemagne, 2008-2016), avant sa nomination au poste de directeur du Département juridique de la FIBA. Il a joué un rôle prépondérant dans le développement du Tribunal Arbitral du Basketball, supervisant plus de 1’000 cas en rapport avec le basketball, ainsi que dans les changements de gouvernance adoptés par le Congrès extraordinaire de la FIBA en 2014.\\n\\nIl a publié de nombreux articles scientifiques à propos de thèmes tels que la bonne gouvernance, la résolution des conflits et les droits commerciaux dans le sport. Il donne également fréquemment des cours de management du sport aux Universités de Neuchâtel et Zurich en Suisse.\\n\\nLe nouveau secrétaire-général a été joueur, coach et dirigeant en Grèce. Marié avec deux enfants, il parle grec, anglais, espagnol, allemand et français.\\n\\n“Je tiens à remercier les membres du Bureau central pour la confiance qu’ils placent en moi, »a t-il commenté. « La mission est claire, développer notre sport partout dans le monde et unir la communauté du basket. Je l’accomplirai en conformité des valeurs et de la riche histoire de la FIBA. La FIBA va continuer à travailler main dans la main avec ses fédérations nationales membres, dans les catégories féminines et masculines, dans ses deux disciplines olympiques ainsi qu’en soutenant le basketball en fauteuil roulant. Dans l’environnement compétitif actuel, nous devons être des administrateurs modernes, des régulateurs prudents et d’excellents organisateurs d’événements, afin de répondre aux grandes attentes de la famille du basketball, en particulier de nos joueurs, de nos clubs, de nos ligues, de nos fans et de nos partenaires.”\\n\\nAndreas Zagklis est ainsi le quatrième secrétaire-général de la FIBA après l’Italien Renato William Jones (1932-76), le Serbe Borislav Stankovic (1976-2002) et le Suisse Patrick Baumann (2002-2018).\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"La réaction de l’avocat de Jimmy Verove (Pau) suite à sa suspension pour deux matches fermes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’avocat de Jimmy Vérove, Maître Xavier Le Cerf-Galle, nous a fait parvenir sa réaction suite à la suspension pour deux matches par la Commission de discipline de la LNB de son client, assistant coach à Pau. Celui-ci était venu s’interposer après que le coach palois Laurent Vila ait été bousculé par celui de Chalon, Jean-Denys Choulet. Maître Le Cerf-Galle nous a également transmis les images commentées par ses soins de l’altercation.\\n\\n« Jeudi soir Jimmy VEROVE et moi sommes sortis plutôt sereins de la Commission de discipline de la LNB. Son Président et ses membres ont reconnu, après un fin séquençage des images, qu’après que Monsieur Vila a été bousculé, Monsieur Verove a lui même été bousculé et avait pris un coup de poing dans les testicules de la part de Jean-Denis Choulet. La Commission a explicitement reconnu en séance que ce coup de poing sournois dans l’intimité constituait le motif de la réaction réflexe de Jimmy VEROVE et que le seul petit soucis serait éventuellement le fait qu’après que Laurent Vila a été bousculé, il était venu les séparer. Lorsque j’ai posé la question à la Commission « si L’assistant de Laurent Vila n’avait pas été Jimmy VEROVE mais une femme, par exemple Lauriane Dolt » où en serait-on ? Une éminente ancienne basketteuse membre de la Commission a spontanément répondu « moi, ça aurait été un coup de boule, direct ». A l’issue de l’entretien, la Commission s’est « excusée d’avoir dû faire venir à Paris Jimmy Verove et son Conseil ». Les services administratifs de la LNB ont appelé Jimmy VEROVE en fin de matinée pour lui faire part des décisions (nous attendons les notifications et surtout la motivation) : – Jimmy VEROVE suspendu deux matchs fermes. – Jean-Denis CHOULET suspendu deux matchs fermes. Ce n’est pas tant les deux matchs de suspension qui heurtent Jimmy VEROVE, mais le fait que la Commission se dédise aussi rapidement et le mette sur un pied d’égalité avec celui qui, après avoir agressé Laurent Vila, l’a insulté et l’a frappé très volontairement dans son intimité tout en soutenant avoir lui-même été agressé. Soit je suis un très mauvais Avocat, soit il y a quelque chose qui n’est pas net en ce royaume. Nous attendons que la LNB fasse elle-même appel de cette curiosité disciplinaire. L’hypothèse d’une plainte pénale pour violences et dénonciation calomnieuse n’est plus à exclure. »\\n\\nPhoto: Elan Béarnais"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : terrible nouvelle pour Jacques Alingue (Strasbourg), victime d’une nouvelle rupture du tendon d’Achille"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il avait manqué la fin de saison dernière et le début de l’exercice en cours à cause d’une rupture du tendon d’Achille gauche, Jacques Alingue (2,01m, 30 ans) vient d’être victime de la même blessure ce vendredi matin à l’entraînement.\\n\\nParmi les meilleurs joueurs à son poste l’année dernière, l’ancien joueur de la JDA Dijon voit sa saison se terminer très prématurément puisqu’il n’a eu le temps de disputer que deux matchs sous les couleurs de la SIG (un en Jeep Elite et un en Champions League).\\n\\nSur son site, le club strasbourgeois indique que son intérieur sera opéré prochainement.\\n\\nPhoto : SIG Strasbourg/P.Gigon"
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : Veni, Vidi, Vici pour GranCa !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avant de retrouver les cadors ce vendredi soir avec un alléchant Efes Istanbul – Real Madrid notamment, Gran Canaria a profité de la première de son nouveau coach, Victor Garcia, pour venir conquérir Milan dans un match mené de main de maître, avec un bon Kim Tillie (12 points, 6 rebonds).\\n\\nLe comeback était visiblement le thème de la soirée en Euroleague, avec le Maccabi Tel Aviv qui a coiffé le Darussafaka sur le poteau ou le Zalgiris Kaunas qui s’est défait de l’Olympiakos dans une 2e mi-temps à sens unique.\\n\\nEnfin, Podgorica a aussi joué avec les nerfs de ses supporters en s’imposant sur le fil face à Barcelone (67-64). C’est la 3e victoire de suite de Podgorica à domicile !\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nGran Canaria conquiert Milan\\n\\nVictor Garcia vient d’arriver aux commandes de Gran Canaria et il n’a pas mis longtemps à attendre sa première victoire européenne. Loin d’être donné favori de cette rencontre en Lombardie, les coéquipiers de Kim Tillie (12 points, 6 rebonds) ont surpris Milan sur son parquet avec une victoire solide de bout en bout (94-86).\\n\\nDe plus en plus en confiance, Marcus Eriksson a été encore très efficace avec 17 points en moins de 16 minutes ! Depuis 3 matchs, l’arrière suédois est en grande forme avec 18 points de moyenne et un rutilant 10/16 à trois points. En face, Mike James (26 points, 8 passes) a encore beaucoup artillé de loin (3/11) alors qu’Arturas Gudaitis (16 points, 17 rebonds) n’aura malheureusement pas été récompensé de ces efforts sous les panneaux...\\n\\n\\nPodgorica pour un hold up à domicile\\n\\nBien que première au classement de l’adresse à trois points, Podgorica n’était pas réglée pour la réception de Barcelone. A 7/24 à trois points, les coéquipiers d’Edwin Jackson (6 points, 5 passes) ont dévissé sérieusement... mais pas autant que leur adversaire du soir qui finit à 6/26 ! Et dans un match aussi défensif, Podgorica en a profité pour s’imposer sur le fil, derrière un 10-0 fatal au Barça en fin de dernier quart (67-64).\\n\\nNemanja Gordic (12 points, 5 rebonds) a été l’homme du comeback pour Podgorica, avec l’aide d’Earl Clark (12 points, 5 rebonds, 3 contres). Après des débuts très compliqués, le Buducnost enchaîne là un 3e succès de rang à domicile et semble enfin s’être adapté au niveau de la compétition.\\n\\n\\nL’Olympiakos pris au piège balte\\n\\nAlors qu’Axel Toupane (toujours blessé) a reçu un petit hommage de la part de son ancien club en lever de rideau, l’Olympiakos ne fait lui aucun cadeau au Zalgiris avec un 6/6 à trois points d’entrée de jeu. Georgios Printezis est étincelant avec 14 points en 1er quart. Mais petit à petit, Kaunas revient dans son match grâce à 19 points de Marius Grigonis, son record en carrière.\\n\\nEt puis, Nate Wolters (14 points, 7 rebonds, 6 passes) donne l’avantage à son équipe pour la première fois du match sur le buzzer du 3e quart. Bien plus féroces défensivement, les hommes de coach Jasikevicius prennent même jusqu’à 9 points d’avance en dernier quart. Ils s’imposent au terme d’une 2e mi-temps à sens unique (83-75).\\n\\n\\nLe Bayern au rebond\\n\\nToujours privé d’Alexey Shved, le Khimki Moscou a souffert mille maux face au Bayern Munich. Et derrière la grinta de Nihad Dedovic (14 points, 4 rebonds) et de Stefan Jovic (9 points, 9 passes), Munich a fini par s’imposer aisément à domicile (72-65).\\n\\nAprès leur très lourde défaite face au Maccabi la semaine passée, le Bayern a parfaitement su rebondir. Vladimir Lucic (13 points) et Derrick Williams (10 points, 4 rebonds) ont également participé à ce succès qui rapproche le Bayern des playoffs.\\n\\n\\nLe Maccabi finit fort !\\n\\nLe Maccabi était bien mal embarqué à Istanbul. Heureusement, John DiBartolomeo était dans un grand soir. C’est lui qui inscrit un trois points sur le buzzer du dernier quart. Avec ses 13 points en sortie de banc, il a largement contribué à un retour fulgurant du Maccabi, pourtant largué à -16 en fin de 3e quart.\\n\\nJohnny O’Bryant (12 points, 14 rebonds) termine avec la meilleure évaluation (20) tandis que Scottie Wilbekin (11 points, 4 rebonds) a fait très mal à son ancien club dans le final. Ça fait 9 défaites de rang pour le Darussafaka !\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 12 points (5/7 aux tirs), 6 rebonds en 18 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 9 points (4/6 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds, 4 balles perdues en 19 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 6 points (1/8 aux tirs), 5 passes, 3 rebonds, 1 interception, 4 balles perdues en 32 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 3 points (1/2 aux tirs), 2 rebonds, 2 balles perdues en 10 minutes\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 0 point (0/4 aux tirs), 2 rebonds, 1 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 12 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nFugace membre du Thunder à sa sortie de la fac d’Arizona, Kaleb Tarczewski a bien fait de traverser l’Atlantique pour la suite de sa carrière. A Milan, il est l’un des pivots les plus physiques d’Europe depuis plusieurs saisons. Il en a encore donné une superbe illustration sur ce gros dunk les deux pognes dans la marmite face à Gran Canaria.\\n\\n\\n\\n\\nThe behind-the-back dime for the big Kaleb Tarczewski SLAM!#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/JaczDfMjYl\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) December 6, 2018\\n\\n\\nLes résultats de la 11e journée\\n\\nJeudi 6 décembre :\\nPodgorica – Barcelone (67-64)\\nDarussafaka – Maccabi Tel Aviv (71-73)\\nZalgiris Kaunas – Olympiakos (83-75)\\nBayern Munich – Khimki Moscou (72-65)\\nMilan – Gran Canaria (86-94)\\n\\nVendredi 7 décembre :\\nEfes Istanbul – Real Madrid (18h30)\\nVitoria – CSKA Moscou (20h30)\\nPanathinaikos – Fenerbahçe (20h30)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 12e journée\\n\\nJeudi 13 décembre :\\nOlympiakos – Efes Istanbul (17h45)\\nCSKA Moscou – Khimki Moscou (18h)\\nFenerbahçe – Milan (19h30)\\nMaccabi Tel Aviv – Vitoria (20h05)\\nReal Madrid – Barcelone (21h)\\n\\nVendredi 14 décembre :\\nBayern Munich – Zalgiris Kaunas (20h30)\\nPanathinaikos – Darussafaka (20h30)\\nGran Canaria – Podgorica (21h)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nGran Canaria conquiert Milan\\n\\nVictor Garcia vient d’arriver aux commandes de Gran Canaria et il n’a pas mis longtemps à attendre sa première victoire européenne. Loin d’être donné favori de cette rencontre en Lombardie, les coéquipiers de Kim Tillie (12 points, 6 rebonds) ont surpris Milan sur son parquet avec une victoire solide de bout en bout (94-86).\\n\\nDe plus en plus en confiance, Marcus Eriksson a été encore très efficace avec 17 points en moins de 16 minutes ! Depuis 3 matchs, l’arrière suédois es\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Jean-Denys Choulet suspendu trois matchs, Jimmy Verove deux matchs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à son altercation avec Laurent Vila et Jimmy Verove fin novembre à Pau, le coach de l’Elan Chalon Jean-Denys Choulet a été sanctionné mais Jimmy Verove aussi.\\n\\nLe Journal de Saône et Loire informe que la commission juridique et de discipline de la Ligue Nationale de Basket a rendu son jugement et que Jean-Denys Choulet est suspendu trois matchs, alors que RMC Sport relate que Jimmy Verove a écopé de deux matches.\\n\\nLes deux hommes peuvent faire appel de cette décision.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du monde 2019: 20 joueurs d’Euroleague ont participé à la fenêtre de décembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’évènement est passé inaperçu en France mais 20 joueurs ont été libérés par leurs clubs respectifs pour participer avec leurs équipes nationales à la fenêtre de décembre.\\n\\nLa « compréhension » de certains clubs n’est pas neutre puisqu’ainsi la Turquie a récupéré sept(!) internationaux dont l’Américain naturalisé Scottie Wilbekin et qu’ainsi elle a battu l’Espagne, 71-67, qui elle a du faire sans ses joueurs d’Euroleague, les clubs espagnols se montrant intransigeants.\\n\\nOn remarque aussi que le CSKA Moscou a donné un bon de sortie à trois joueurs et le Khimki à un autre supplémentaire, ce qui a permis à la Russie de s’imposer largement à la République Tchèque (81-61) et de peu en Finlande (75-77). L’appel du président Andrei Kirilenko a été entendu.\\n\\nLequel CSKA n’a pas crû bon dans le même temps de permettre à Nando De Colo de rejoindre les Bleus qui ont donc dû se débrouiller -et gagner leurs deux matches- sans NBAers et sans joueurs d’Euroleague.\\n\\nCe traitement adapté à chaque équipe, à la carte, suivant les intérêts nationaux, les pressions locales, ne fait qu’ajouter à la confusion et à l’injustice qui caractérisent ces qualifications à la Coupe du monde 2019.\\n\\nPhoto: Scottie Wilbekin (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\nItalie\\nCinciarini\\nAndrea\\nArmani Milan\\n\\n\\nItalie\\nFontecchio\\nSimone\\nArmani Milan\\n\\n\\nLettonie\\nBertans\\nDairis\\nArmani Milan\\n\\n\\nMontenegro\\nBarovic\\nFilip\\nKK Buducnost\\n\\n\\nMontenegro\\nIvanovic\\nNikola\\nKK Buducnost\\n\\n\\nMontenegro\\nPopovic\\nPetar\\nKK Buducnost\\n\\n\\nMontenegro\\nSehovic\\nSuad\\nKK Buducnost\\n\\n\\nRussie\\nGubanov\\nPetr\\nKhimki Moscou\\n\\n\\nRussie\\nUkhov\\nIvan\\nCSKA Moscou\\n\\n\\nRussie\\nVorontsevich\\nAndrey\\nCSKA Moscou\\n\\n\\nRussie\\nBolomboy\\nJoel\\nCSKA Moscou\\n\\n\\nTurquie\\nBalbay\\nDogus\\nAnadolu Efes\\n\\n\\nTurquie\\nBirsen\\nJames Metecan\\nAnadolu Efes\\n\\n\\nTurquie\\nGuler\\nSinan\\nFenerbahce\\n\\n\\nTurquie\\nSanli\\nSertac\\nAnadolu Efes\\n\\n\\nTurquie\\nSavas\\nOguz\\nDarüssafaka\\n\\n\\nTurquie\\nTuncer\\nBugrahan\\nAnadolu Efes\\n\\n\\nTurquie\\nWilbekin\\nScottie\\nMaccabi Tel-Aviv\\n\\n\\nSerbie\\nMicic\\nVasilije\\nAnadolu Efes\\n\\n\\nSerbie\\nJovic\\nStefan\\nBayern Munich\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview – Clément Vauchel (responsable marketing digital de la Ligue Nationale de Basket): «Le plus gros carton, c’est le buzzer beater de Boris Diaw. 800 000 vues»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour terminer notre immersion dans les réseaux sociaux des clubs de Jeep Elite, voici un entretien en deux parties avec Clément Vauchel qui est le responsable marketing digital de la Ligue Nationale de Basket.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuel est votre parcours professionnel et éventuellement celui de basketteur ?\\n\\nIl faut remettre dans le contexte. Je suis le responsable digital à la ligue, aussi le community management, qui n’est pas à la base mon métier, est une petite partie de ma fonction. J’ai joué de l’âge de 5 à 20 ans au basket à l’ASPTT Caen et j’ai arrêté lorsque je suis arrivé à Paris. J’ai commencé ma carrière professionnelle dans les paris sportifs en travaillant près de dix ans pour Bwin, l’un des plus gros opérateurs au monde. J’étais responsable marketing des paris sportifs pour la France. Bwin a fermé ses bureaux en France, aussi j’ai postulé à la ligue et j’ai été pris au tout début 2017, quelques mois après l’arrivée d’Isabelle Collette (NDLR : Directrice Générale Adjointe).\\n\\nQuelles sont vos différentes tâches ?\\n\\nJe suis responsable du site internet, des réseaux sociaux, c’est-à-dire Facebook, Twitter, Instagram, on vient de lancer aussi une chaîne YouTube, je m’occupe de la partie CRM du site, et tout ce qui est en rapport avec le digital. On utilise plutôt Instagram et Snapchat lorsqu’on est présent sur site pour nos événements, le All-Star Game, la Leaders Cup et les finales car au quotidien depuis nos bureaux, on n’a pas grand-chose à montrer à nos fans, on ne peut pas mettre du contenu vraiment exclusif avec des insides. Alors que quand on est sur place, on peut facilement faire des stories, mettre du contenu.\\n\\nLes cibles sont-elles différentes suivant le support ?\\n\\nOn a des données mais qui ne sont pas encore précises mais on essaye d’adapter le contenu au réseau, à ses pratiques. On se rend compte que sur facebook, tout ce qui est vidéo va fonctionner et le reste beaucoup moins. L’algorithme facebook met en valeur les vidéos au détriment d’autres posts quels qu’ils soient. Aujourd’hui la ligue a 104 000 fans sur facebook mais une publication, quelle qu’elle soit va avoir une portée d’environ 10 000 personnes. Evidemment, si le « reach » est bon, elle va bien fonctionner car les gens likent, commentent, partagent, ce qui fait que l’algorithme facebook va la mettre en avant. Par exemple, le buzzer beater de AJ Slaughter en début de saison (NDLR : Monaco-Villeurbanne) est monté à 40 000 vues sur facebook.\\n\\nhttps://www.facebook.com/LNBOfficiel/videos/buzzer-beater-boris-diaw/1626073044098611/\\n\\n« J’ai pu poster le buzzer beater d’AJ Slaughter en début de saison deux minutes après qu’il ait eu lieu alors que l’an passé, il m’aurait fallu trois jours »\\n\\nEt celui de Boris Diaw, la saison dernière à Bourg ?\\n\\nDepuis que je suis là, c’est le plus gros carton que l’on ait fait et de loin. C’est autour de 800 000 vues toutes plateformes confondues. Ça a été partagé par des sites étrangers, notamment par Manu Ginobili sur twitter et forcément ça a une portée totalement différente lorsqu’un joueur NBA de ce calibre en parle. Nous, on touche notre base de fans mais après ce sont les partages qui font que ça devient plus important. Ce panier, c’est Boris, il donne la gagne, la vidéo, on a réussi à la poster les premiers. Ce n’était pas gagné d’avance et c’était des images Keemotion (donc pas de ralentis, pas de commentaires) mais ça prouve que ça fonctionne malgré tout. Les gens de Bourg ont été sympas car, même si c’était en leur défaveur, ils nous ont donnés quelques images puisqu’ils avaient filmé eux-mêmes. On avait quand même beaucoup de choses qui faisaient que ça allait être une belle histoire. C’est Boris et je pense que même avec un bon joueur de notre élite aujourd’hui, on n’aurait pas le même retentissement. Pour revenir à Facebook, ça ne sert à rien de vouloir faire dix posts dans la journée car ils ne seront pas forcément mis en avant. Il faut se limiter à trois, quatre posts par jour. Sur Twitter, on va être plus dans l’instantanéité, le live, aussi on fait du live tweet sur les matches. On poste des vidéos mais il faut être assez réactif. On ne peut pas trop parler de la performance d’un joueur trois ou quatre jours après, les gens sont passés à autre chose. Boris avait davantage cartonné sur Twitter. L’avantage c’est qu’il y a moins de contraintes. On fait des tweets en dix secondes. On peut y poster une belle action ou des belles performances de joueur mais on ne va pas y poster le résumé d’un match. Il sera sur le site et si c’est un super match, il peut être posté sur Facebook et sur YouTube où l’on met tout. La chaîne YouTube, c’est la nouveauté de la saison car avant on n’avait pas beaucoup de contenu vidéo à part nos résumés de match. Aujourd’hui, on s’est équipé d’outils qui nous permettent d’avoir plein de choses.\\n\\nVous avez un logiciel qui permet de sélectionner les actions importantes d’un match ?\\n\\nOui. On peut faire un focus sur un joueur sur un match, sur plusieurs matchs, faire un top 10. C’est le même outil qu’utilise la NBA, la FIBA et l’Euroleague, toutes les grandes ligues de basket. J’ai pu poster le buzzer beater d’AJ Slaughter en début de saison deux minutes après qu’il ait eu lieu alors que l’an passé, il m’aurait fallu trois jours. Il m’aurait fallu récupérer les images de RMC Sport le lendemain ou deux jours après, faire le montage vidéo, envoyer la vidéo brut à un presta qui l’aurait retravaillée pour que l’on puisse la poster. Sauf pour le buzzer beater de Boris Diaw car c’était du Keemotion, qui nous permet de récupérer assez facilement une action mais notre volonté n’était pas de mettre en avant des actions filmées par Keemotion mais plus du RMC Sport car on a des ralentis, des commentaires.\\n\\nLe basket français est constamment comparé à la NBA depuis vingt-cinq ans et aujourd’hui, il y a également de très belles images sur l’Euroleague et la BCL, aussi lorsque les matches sont filmés avec le système Keemotion, le rendu est forcément bien inférieur ?\\n\\nDans son cahier des charges, la FIBA oblige à ce que tous les matches soient filmés en broadcast via un opérateur dans chaque pays, ce qui n’est pas notre cas en Jeep Elite. Ils sont tous filmés par Keemotion au minimum et RMC Sport en diffuse trois. Ce qui est déjà bien puisque le contrat en prévoit deux. Les six autres sont effectivement en qualité réduite mais au moins ont le mérite d’exister.\\n\\nEst-ce envisageable qu’à terme tous les matches soient filmés en broadcast ?\\n\\nLes clubs payent Keemotion, on peut difficilement leur demander -ou que nous on le fasse- de payer une production supplémentaire. Six matches par journée, au final ça monterait financièrement assez haut. On essaye constamment avec Keemotion d’améliorer le produit. La qualité est inégale. Il y a des salles où ça passe très bien. Ça dépend de plusieurs choses comme l’emplacement de la caméra, dans certaines salles, c’est trop haut. Parfois les connexions ne sont pas terribles et ça saute. A l’inverse, à Boulazac, à Nanterre, c’est plutôt agréable à regarder. En tous les cas, tous les matches sont diffusés et ce n’est pas le cas de toutes les ligues. Nous, le fan de Bourg, s’il est abonné à RMC, il peut voir tous les matches de son équipe.\\n\\nhttps://www.facebook.com/LNBOfficiel/videos/354423331999343/\\n\\n« On organise régulièrement des séminaires où les clubs sont conviés. On partage des choses, sur ce que nous on fait et aussi on les met en situation par rapport à d’autres clubs pour qu’ils voient ce qui est fait et pour que ça leur donne des idées »\\n\\nDepuis la rentrée, on sent une poussée des clubs vis-à-vis des réseaux sociaux. C’est aussi votre impression ?\\n\\nForcément. Nous aussi on les sensibilise. A la Ligue, on est là pour les clubs. On organise régulièrement des séminaires où les clubs sont conviés. On partage des choses, sur ce que nous on fait et aussi on les met en situation par rapport à d’autres clubs pour qu’ils voient ce qui est fait et pour que ça leur donne des idées. Par exemple, au dernier séminaire, on a fait venir l’équipe de community management du PSG foot. Ça a beaucoup intéressé les clubs car ils se sont rendus compte que même au PSG l’équipe de community management n’est que de deux ou trois personnes alors qu’ils s’attendaient sans doute qu’il y en ait dix ou quinze. Et avec cette équipe-là, ils arrivent à produire énormément de contenu. Ainsi, ils peuvent se dire « je suis tout seul, mais je ne suis pas si mal loti. » On essaye aussi de les rapprocher de clubs d’autres sports qui peuvent avoir les mêmes problèmes, les mêmes ressources. L’idée, c’est que même si les clubs sont concurrents entre eux, les community managers ont intérêt à se parler plutôt que d’être concurrents. Quand un club fait quelque chose qui marche, les autres essaient de prendre le pli et ça tire tout le monde vers le haut.\\n\\nY a-t-il un responsable digital pour chacun des dix-huit clubs de Jeep Elite ?\\n\\nNon. Il n’y a même pas un responsable com’ partout. Parfois c’est une boîte de com’ externe. En gros, on va dire qu’il y a une personne dédiée à la communication. Cela peut être pour la relation avec les journalistes, les partenaires, un community manager..\\n\\nEt si l’on compare avec les autres sports ?\\n\\nJe pense que l’on n’a pas grand-chose à envier à nos concurrents directs, le hand, et à degré moindre le volley. On est moins bien loti que le foot où je pense qu’ils ont au minimum un community manager par club. Il y a pas mal de choses à améliorer mais on n’est pas trop mal.\\n\\nA suivre\\n\\n[armelse]\\n\\nQuel est votre parcours professionnel et éventuellement celui de basketteur ?\\n\\nIl faut remettre dans le contexte. Je suis le responsable digital à la ligue, aussi le community management, qui n’est pas à la base mon métier, est une petite partie de ma fonction. J’ai joué de l’âge de 5 à 20 ans au basket à l’ASPTT Caen et j’ai arrêté lorsque je suis arrivé à Paris. J’ai commencé ma carrière professionnelle dans les paris sportifs en travaillant près de dix ans pour Bwin, l’un des plus gros opérateurs au monde. J’étais responsable marketing des paris sportifs pour la France. Bwin a fermé ses bureaux en France, aussi j’ai postulé à la ligue et j’ai été pris au tout début 2017, quelques mois après l’arrivée d’Isabelle Collette (NDLR : Directrice Générale Adjointe).\\n\\nQuelles sont vos différentes tâches ?\\n\\nJe suis responsable du site internet, des réseaux sociaux, c’est-à-dire Facebook, Twitter, Instagram, on vient de lancer aussi une chaîne YouTube, je m’occupe de la partie CRM du site, et tout ce qui est en rapport avec le digital. On utilise plutôt Instagram et Snapchat lorsqu’on est présent sur site pour nos événements, le All-Star Game, la Leaders Cup et les finales car au quotidien depuis nos bureaux, on n’a pas grand-chose à montrer à nos fans, on ne peut pas mettre du contenu vraiment exclusif avec des insides. Alors que quand on est sur place, on peut facilement faire des stories, mettre du contenu.\\n\\nLes cibles sont-elles différentes suivant le support ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Boulazac prolonge Travis Leslie pour toute la saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Appelé en renfort à Boulazac début octobre pour pallier l’absence de Stephan Gauthier, Travis Leslie (1,93m, 28 ans) va continuer l’aventure avec le BBD.\\n\\nLa LNB a qualifié l’ancien joueur de Nanterre, Levallois et Villeurbanne pour le reste de la saison. Sa prolongation va de pair avec le départ pour Rouen de Lasan Kromah. Bien connu en France, notamment pour ses qualités athlétiques, Travis Leslie compile en moyenne depuis son arrivée 9,3 points, 5,2 rebonds et 1,3 passe décisive pour une évaluation de 11,8.\\n\\nPhoto : Boulazac Basket Dordogne"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : après 80 matchs de suite, Will Clyburn (CSKA Moscou) est forfait une semaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une impressionnante série de 80 matchs de suite disputés en Euroleague, Will Clyburn (2,01m, 28 ans) va manquer pour la première fois un match dans cette compétition.\\n\\nSur son site, le club moscovite annonce que son ailier est victime d’une blessure au genou et qu’il sera écarté des parquets pour une durée d’une semaine. Il ne jouera donc pas le match prévu ce vendredi face à Vitoria. Passé par Ulm, l’Hapoel Holon et le Darussafaka, le natif de Detroit avait disputé les 34 matchs de la saison 2016/17 et les 36 matchs de la saison 2017/18, en plus des dix matchs de cette saison.\\n\\nCette saison, Will Clyburn tourne en moyenne à 9,4 points et 4,4 rebonds pour une évaluation de 11,6 en VTB League, et 13,2 points et 6,9 rebonds pour une évaluation de 18,7 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines – Charleville: Géraldine Robert, IN. Queralt Casas, OUT"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Flammes de Charleville-Mézières sont mal en point en ce début de saison. En Ligue Féminine, elles sont reléguées à la 10e place avec 2 victoires et 5 défaites. En Euroleague, après un lourd échec à domicile face à Salamanque (62-75), elles en sont à 2 victoires pour 3 défaites.\\n\\nAfin de tonifier son effectif, le coach Romuald Yernaux a fait le choix de recruter la Franco-Gabonaise Géraldine Robert (1,84m, 38 ans), une intérieure bien connue en LFB dont elle fut élue MVP française en 2013 et qui la saison dernière jouait à l’ASVEL après être passée par Nice. Sans club, elle était rentrée au Gabon.\\n\\nSeulement, pour faire de la place à Géraldine Robert, les Flammes se séparent de l’Espagnole Queralt Casas (1,80m, 26 ans) sacrifiée sur l’autel des règlements alors qu’elle tournait en Ligue Féminine à 11,0 points, 3,0 rebonds et 2,6 passes pour 12,5 d’évaluation... la deuxième de l’équipe carolo.\\n\\n« Ce sont des choix qu’on n’a pas envie de faire, mais on se doit de modifier quelque chose pour essayer de créer une stabilité », a commenté Romuald Yernaux dans L’Ardennais.\\n\\nPhoto: Queralt Casas (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ranking FIBA masculin: La France en lutte pour conserver sa troisième place"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les résultats lors des fenêtres internationales servent aussi à consolider ou modifier la hiérarchie mondiale au ranking FIBA. Si les Etats-Unis et l’Espagne sont solidement implantées aux deux premières places, la France doit batailler avec la Serbie pour conserver la troisième marche du podium. Voici le top 100 à ce jour.\\n\\nPhoto: William Howard (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\nCLASSEMENT\\nPAYS\\nZONE\\nABR\\nPOINTS\\n+/-\\n\\n\\n\\n\\n1.\\nEtats-Unis\\n1.\\nUSA\\n783.0\\n0\\n\\n\\n2.\\nEspagne\\n1.\\nESP\\n702.6\\n0\\n\\n\\n3.\\nFrance\\n2.\\nFRA\\n650.2\\n0\\n\\n\\n4.\\nSerbie\\n3.\\nSRB\\n645.0\\n0\\n\\n\\n5.\\nArgentine\\n2.\\nARG\\n627.1\\n0\\n\\n\\n6.\\nLituanie\\n4.\\nLTU\\n621.0\\n0\\n\\n\\n7.\\nSlovénie\\n5.\\nSLO\\n611.7\\n0\\n\\n\\n8.\\nGrèce\\n6.\\nGRE\\n587.9\\n+1\\n\\n\\n9.\\nCroatie\\n7.\\nCRO\\n586.2\\n-1\\n\\n\\n10.\\nAustralie\\n1.\\nAUS\\n509.9\\n0\\n\\n\\n11.\\nRussie\\n8.\\nRUS\\n508.8\\n+1\\n\\n\\n12.\\nBrésil\\n3.\\nBRA\\n502.2\\n-1\\n\\n\\n13.\\nItalie\\n9.\\nITA\\n480.5\\n+1\\n\\n\\n14.\\nMexique\\n4.\\nMEX\\n478.8\\n-1\\n\\n\\n15.\\nLettonie\\n10.\\nLAT\\n453.4\\n+1\\n\\n\\n16.\\nPorto Rico\\n5.\\nPUR\\n449.0\\n-1\\n\\n\\n17.\\nTurquie\\n11.\\nTUR\\n432.0\\n0\\n\\n\\n18.\\nRépublique dominicaine\\n6.\\nDOM\\n426.8\\n0\\n\\n\\n19.\\nUkraine\\n12.\\nUKR\\n415.8\\n0\\n\\n\\n20.\\nVenezuela\\n7.\\nVEN\\n403.3\\n0\\n\\n\\n21.\\nFinlande\\n13.\\nFIN\\n395.1\\n0\\n\\n\\n22.\\nAllemagne\\n14.\\nGER\\n393.7\\n0\\n\\n\\n23.\\nCanada\\n8.\\nCAN\\n387.7\\n0\\n\\n\\n24.\\nRépublique tchèque\\n15.\\nCZE\\n357.7\\n0\\n\\n\\n25.\\nPologne\\n16.\\nPOL\\n351.6\\n+2\\n\\n\\n26.\\nIran\\n2.\\nIRI\\n348.8\\n-1\\n\\n\\n27.\\nGéorgie\\n17.\\nGEO\\n346.5\\n-1\\n\\n\\n28.\\nBelgique\\n18.\\nBEL\\n321.6\\n0\\n\\n\\n29.\\nMontenegro\\n19.\\nMNE\\n313.6\\n+2\\n\\n\\n30.\\nChine\\n3.\\nCHN\\n313.6\\n-1\\n\\n\\n31.\\nPhilippines\\n4.\\nPHI\\n310.3\\n-1\\n\\n\\n32.\\nCorée\\n5.\\nKOR\\n293.6\\n+1\\n\\n\\n33.\\nNigeria\\n1.\\nNGR\\n292.8\\n-1\\n\\n\\n34.\\nUruguay\\n9.\\nURU\\n276.9\\n0\\n\\n\\n35.\\nIsraël\\n20.\\nISR\\n273.5\\n0\\n\\n\\n36.\\nAngola\\n2.\\nANG\\n266.0\\n+1\\n\\n\\n37.\\nHongrie\\n21.\\nHUN\\n264.3\\n+2\\n\\n\\n38.\\nNouvelle-Zélande\\n6.\\nNZL\\n262.3\\n0\\n\\n\\n39.\\nSénégal\\n3.\\nSEN\\n261.2\\n-3\\n\\n\\n40.\\nMacédoine\\n22.\\nMKD\\n248.0\\n0\\n\\n\\n41.\\nBosnie Herzégovine\\n23.\\nBIH\\n245.6\\n+1\\n\\n\\n42.\\nPays-Bas\\n24.\\nNED\\n242.2\\n+2\\n\\n\\n43.\\nGrande Bretagne\\n25.\\nGBR\\n241.4\\n-2\\n\\n\\n44.\\nPanama\\n10.\\nPAN\\n240.2\\n-1\\n\\n\\n45.\\nBulgarie\\n26.\\nBUL\\n228.1\\n+4\\n\\n\\n46.\\nIles Vierges\\n11.\\nISV\\n223.4\\n0\\n\\n\\n47.\\nJapon\\n7.\\nJPN\\n223.0\\n+3\\n\\n\\n48.\\nEstonie\\n27.\\nEST\\n222.0\\n0\\n\\n\\n49.\\nJordanie\\n8.\\nJOR\\n218.7\\n-2\\n\\n\\n50.\\nIslande\\n28.\\nISL\\n214.4\\n-5\\n\\n\\n51.\\nTunisie\\n4.\\nTUN\\n206.3\\n0\\n\\n\\n52.\\nEgypte\\n5.\\nEGY\\n197.1\\n0\\n\\n\\n53.\\nLiban\\n9.\\nLBN\\n193.8\\n+1\\n\\n\\n54.\\nSuède\\n29.\\nSWE\\n189.1\\n-1\\n\\n\\n55.\\nAutriche\\n30.\\nAUT\\n185.9\\n0\\n\\n\\n56.\\nBélarus\\n31.\\nBLR\\n179.9\\n0\\n\\n\\n57.\\nTaipei chinois\\n10.\\nTPE\\n175.5\\n0\\n\\n\\n58.\\nCameroun\\n6.\\nCMR\\n166.1\\n+5\\n\\n\\n59.\\nBahamas\\n12.\\nBAH\\n164.7\\n-1\\n\\n\\n60.\\nMaroc\\n7.\\nMAR\\n157.8\\n+1\\n\\n\\n61.\\nRoumanie\\n32.\\nROU\\n153.3\\n-2\\n\\n\\n62.\\nPortugal\\n33.\\nPOR\\n149.8\\n-2\\n\\n\\n63.\\nQatar\\n11.\\nQAT\\n148.7\\n-1\\n\\n\\n64.\\nSuisse\\n34.\\nSUI\\n138.6\\n+2\\n\\n\\n65.\\nCuba\\n13.\\nCUB\\n137.3\\n-1\\n\\n\\n66.\\nInde\\n12.\\nIND\\n133.6\\n-1\\n\\n\\n67.\\nMali\\n8.\\nMLI\\n132.5\\n0\\n\\n\\n68.\\nCote d’Ivoire\\n9.\\nCIV\\n132.2\\n+3\\n\\n\\n69.\\nDanemark\\n35.\\nDEN\\n131.8\\n0\\n\\n\\n70.\\nKazakhstan\\n13.\\nKAZ\\n127.8\\n0\\n\\n\\n71.\\nJamaïque\\n14.\\nJAM\\n125.8\\n+3\\n\\n\\n72.\\nAntigua\\n15.\\nANT\\n123.0\\n+3\\n\\n\\n73.\\nrépublique Centrafrique\\n10.\\nCAF\\n122.7\\n0\\n\\n\\n74.\\nSlovaquie\\n36.\\nSVK\\n121.6\\n-6\\n\\n\\n75.\\nParaguay\\n16.\\nPAR\\n121.0\\n-3\\n\\n\\n76.\\nGuam\\n14.\\nGUM\\n120.3\\n0\\n\\n\\n77.\\nMozambique\\n11.\\nMOZ\\n120.2\\n0\\n\\n\\n78.\\nIrak\\n15.\\nIRQ\\n118.0\\n0\\n\\n\\n79.\\nChili\\n17.\\nCHI\\n116.2\\n+1\\n\\n\\n80.\\nArménie\\n37.\\nARM\\n115.6\\n+5\\n\\n\\n81.\\nColombie\\n18.\\nCOL\\n115.5\\n-5\\n\\n\\n82.\\nRépublique Démocratique du Congo\\n12.\\nCOD\\n113.7\\n+2\\n\\n\\n83.\\nAndorre\\n38.\\nAND\\n113.6\\n+11\\n\\n\\n84.\\nRwanda\\n13.\\nRWA\\n112.9\\n-5\\n\\n\\n85.\\nMalte\\n39.\\nMLT\\n111.8\\n+10\\n\\n\\n86.\\nIndonésie\\n16.\\nINA\\n110.7\\n+11\\n\\n\\n87.\\nBarbade\\n19.\\nBAR\\n109.9\\n-1\\n\\n\\n88.\\nNorvège\\n40.\\nNOR\\n107.1\\n+20\\n\\n\\n89.\\nCap-Vert\\n14.\\nCPV\\n105.6\\n+2\\n\\n\\n90.\\nSyrie\\n17.\\nSYR\\n105.5\\n-3\\n\\n\\n91.\\nKosovo\\n41.\\nKOS\\n104.8\\n-9\\n\\n\\n92.\\nPalestine\\n18.\\nPLE\\n103.2\\n-2\\n\\n\\n93.\\nAlgérie\\n15.\\nALG\\n102.4\\n0\\n\\n\\n94.\\nChypre\\n42.\\nCYP\\n101.7\\n-5\\n\\n\\n95.\\nCosta Rica\\n20.\\nCRC\\n101.1\\n-7\\n\\n\\n96.\\nOuganda\\n16.\\nUGA\\n99.9\\n-4\\n\\n\\n97.\\nTahiti\\n19.\\nTAH\\n99.8\\n0\\n\\n\\n98.\\nLuxembourg\\n43.\\nLUX\\n98.4\\n-17\\n\\n\\n99.\\nTchad\\n17.\\nCHA\\n96.7\\n+2\\n\\n\\n100.\\nBermudes\\n21.\\nBER\\n96.1\\n-2\\n\\n\\n101.\\nHong Kong\\n20.\\nHKG\\n94.9\\n-18\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: A Sandrine Gruda le record de points en équipe de France pour son premier match"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Passionné d’histoire du basket, Vincent Janssen a pris le temps de répertorier les joueuses qui ont marqué le plus de points lors de leur première sélection en équipe nationale.\\n\\nC’est la très précoce Sandrine Gruda qui est la lauréate avec 21 points obtenus le 5 août 2006 lors d’un match amical contre la Chine. La Martiniquaise avait alors tout juste 19 ans et portait le maillot de Valenciennes. Elle fut la meilleure marqueuse française du match. Son record a été établi avec 28 points contre la Lituanie le 25 mai 2015.\\n\\nLa deuxième au palmarès, Lily Colin a totalisé 19 points lors d’un championnat d’Europe et n’a d’ailleurs eu que quatre sélections, toutes lors de cette compétition, en 1938. Il faut dire qu’un an plus tard, c’était la seconde guerre mondiale.\\n\\nMarine Johannès est troisième au palmarès, ce qui renforce son côté prodige. Il lui a fallu toutefois attendre son 27e match en bleu pour faire mieux (19 points), le 31 mai 2017.\\n\\nPhoto: Sandrine Gruda (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\nPour prolonger le travail de @Kasvilovic, voici le palmarès des meilleures marques lors d'une 1ère sélection en EDF Féminine A... 17 joueuses sur 351 sélectionnées ont scoré 10pts+ lors de leur 1ère sélection.@basketeurope @Basket_Retro @ArnoLecomte @P_Legendre @LaurentRullier pic.twitter.com/1fVjrjveZ7\\n\\n\\n— Vincent Janssen (@vinnyjanssen) December 6, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : fin de pige pour Giovan Oniangue, il quitte Gravelines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé fin octobre au BCM, Giovan Oniangue (1,96m, 27 ans) est arrivé au terme de sa pige médicale et quitte donc le club.\\n\\nSur son site, le club nordiste indique qu’avec le retour à la compétition de son capitaine Jean-Michel Mipoka, le contrat de l’ancien joueur du Paris-Levallois n’a pas été prolongé et qu’il a ainsi été libéré par le club pour lequel il a porté le maillot à cinq reprises.\\n\\nDurant son passage à Gravelines, Giovan Oniangue a compilé en moyenne 3,6 points pour 11 minutes de jeu.\\n\\nPhoto : Julie Dumélié/BCM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"All Star Game : les participants au concours de dunks sont connus !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ils sont chaque années les plus attendus et ils sont maintenant connus, les quatre joueurs qui participeront au concours de dunks du All Star Game LNB le 29 décembre prochain.\\n\\nDeux joueurs de Jeep Elite et deux joueurs de Pro B. Ce ne sont pas forcément les plus connus, ni les plus médiatisés de nos championnats, mais ces quatre hommes ont des qualités athlétiques bien présentes. Le seul Français de cette liste, Kevin Harley, martyrise les cercles depuis le début de la saison avec Poitiers. Il a notamment été présent à plusieurs reprises dans les top 10 CourtCuts.\\n\\nQui succèdera au marsupilami DJ Stephens qui avait mis des étoiles dans les yeux aux plus de 15 000 personnes présentes à l’AccorHotels Arena l’année dernière ?\\n\\nLes quatre participants au concours de dunk :\\n\\n * Travis Cohn (1,88 m, 29 ans, Quimper)\\n * Kévin Harley (1,92m, 24 ans, Poitiers)\\n * Jaron Johson (1,98m, 26 ans, Levallois)\\n * Akil Mitchell (2,03m, 26 ans, Boulazac)\\n\\n\\n\\n\\nVoici les 4 joueurs sélectionnés au @JeepFrance #DunkContest du #ASG2018\\n➡️ Travis Cohn de l'@UJAPQuimper29\\n➡️ Kevin Harley du @pb86officiel\\n➡️ Jaron Johnson des @LevalloisMetro\\n➡️ @ajmitchell25 du @BoulazacBasketD\\nQui succèdera à DJ Stephens vainqueur l'an dernier ? pic.twitter.com/r1WyukZ9op\\n\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) December 6, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : les coulisses de la victoire de l’Equipe de France à Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec sa maintenant traditionnelle web série, la FFBB nous amène dans les coulisses de la victoire de l’Equipe de France à Limoges. Le bizutage des rookies, le point presse d’avant match à l’hôtel, les images du match face à la Bulgarie ou encore les mots de Vincent Collet, tout y est.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Spencer Butterfield (ex Nanterre) quitte Reggio Emilia, le club vise KC Rivers"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Depuis le début de saison à Reggio Emilia, Spencer Butterfield (1,91m, 26 ans) a décidé de quitter le club italien pour des raisons personnelles. Le club est maintenant à la recherche d’un remplaçant et vise KC Rivers (1,96m, 31 ans).\\n\\nVainqueur de la FIBA Europe Cup et de la Coupe de France avec Nanterre, le shooteur américain possédait un contrat garanti jusqu’en juin 2020 mais a décidé de tout laisser tomber et de quitter le club. Après sa saison à Nanterre, l’ancien pensionnaire de Utah State a passé l’exercice 2017/18 à l’ALBA Berlin. Doté d’un shoot très fiable, il a battu le record de panier à trois points inscrits sur un match en FIBA Europe Cup avec 11 réalisations.\\n\\nPour rebondir suite à cette déconvenue, le club transalpin aurait fait une offre à KC Rivers, selon Sportando. Champion d’Euroleague en 2015, le natif de Charlotte, reconnu en Europe, est toujours sans club. Passé par Trévise, Roanne, Kuban, le Real Madrid ou encore le Bayern Munich, le double champion d’Espagne n’aurait pas décidé s’il accepte la proposition du club ou non. Toujours selon le site italien, la proposition de contrat disposerait de clause pour rejoindre l’Euroleague.\\n\\nLa saison dernière, KC Rivers compilait en moyenne 7,8 points et 2,3 rebonds avec le Panathinaïkos.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les clubs et les réseaux sociaux – Alexis Dilas (Bourg): «Même avec l’ASVEL, qui est à 60km de chez nous, il n’y a pas de concurrence»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’avez-vous remarqué, depuis quelques mois les clubs de Jeep Elite sont davantage performants sur les réseaux sociaux ? La grande majorité -et aussi certains clubs de Pro B et de Ligue Féminine- ont pris conscience de leur importance pour leur communication externe et atteindre de nouvelles cibles. Pour tout savoir, nous avons interrogé quatre responsables en la matière : Thibault Daignez (chargé de communication digitale au BCM Gravelines-Dunkerque), Anthony Marques (responsable marketing et communication à Nanterre 92), Alexis Dilas (responsable communication à la JL Bourg) et Clément Vauchel (responsable marketing digital de la Ligue Nationale de Basket).\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuel est votre parcours professionnel et celui de basketteur ?\\n\\nJe suis né à Bourg-en-Bresse et j’y ai été toute ma vie sauf durant mes études. J’ai joué au basket depuis l’âge de cinq ans et jusqu’à mes dix-huit ans jusqu’en N3. Le basket ne m’a jamais vraiment quitté. J’ai fait un Master 2 en école de commerce en communication-marketing sur Lyon et pour le préparer, je me suis dit « si j’alliais mon passion à mon métier ? ». J’ai envoyé une candidature spontanée à la JL Bourg. C’était au moment où Ekinox arrivait. Le hasard a fait qu’ils étaient justement à la recherche de quelqu’un pour reprendre la partie com’. J’ai été pris et j’ai fait mon Master 2 en alternance à la JL Bourg et ensuite j’ai été embauché et ça fait quatre ans que j’y suis.\\n\\nCombien êtes-vous à la communication du club ?\\n\\nA l’époque, on était deux dont un bénévole, Hugues, qui avait seize ans. J’ai dû plus ou moins mettre tout en place. Aujourd’hui, on est quatre avec Hugues qui est à temps plein et deux stagiaires qui nous aident à mi-temps.\\n\\nQuelles sont vos différentes taches ?\\n\\nIl y en a énormément. Pour être synthétique, le service communication est garant de l’image du club et des joueurs, de tous les messages qui vont sortir dans la presse, toute l’image que l’on va donner à nos supporters par le biais de nos campagnes de communication, les affiches 4×3, les posters, les réseaux sociaux, le ton que l’on va employer, le positionnement que l’on va avoir. On se positionne comme une entreprise et on réfléchit comme une marque. Sur les réseaux sociaux, on fait la promotion des matches car l’objectif premier est de remplir la salle. On essaye de proposer au maximum des contenus inside, varier nos services sur toutes les plateformes digitales. On ne va pas avoir le même ton sur les sites internet que sur les réseaux sociaux où on va s’adresser davantage aux jeunes. Snapchat, c’est un public encore plus jeune et on va être beaucoup moins formel avec du contenu parfois plus délirant. On donne par exemple un smartphone à l’un de nos joueurs et il fait ce qu’il veut avec pendant tout son déplacement. Sur le site internet, on va être beaucoup plus classique sachant que l’on va parler à des gens un peu plus âgés, qui vont rechercher des informations pures et dures.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=BLCFzW1kF98\\n\\n« On a vu un boom ces cinq dernières années avec l’arrivée d’Ekinox. On a touché un public différent en partant sur le digital, plus américanisé, qui va donc correspondre davantage aux jeunes »\\n\\nSur votre site internet, vous avez ainsi une collaboration avec une radio locale, Radio Scoop ?\\n\\nOn a décidé, il y a trois ans, de les intégrer pleinement à notre site internet. C’est un partenariat qui marche. On se rend compte qu’à l’heure des vidéos, les gens sont très attachés à ce live radio. Les conférences de presse, on les enregistre en son.\\n\\nVous faites des retransmissions radio de tous les matches ?\\n\\nOui. Le public est plus présent pour les matches à l’extérieur qu’à domicile mais il y a quand même des personnes qui suivent les matches à domicile. Il y a aussi parfois des supporters adverses qui vont écouter le live. Je pense que c’est une population un peu plus âgée. Il en faut pour tout le monde. Cela fait longtemps que l’on a ça. Il y a vingt ans, on écoutait les matches à la radio. Ces gens ont cette habitude-là et ne sont pas prêts de la lâcher. On est un club à la fois jeune et historique. Ça fait quand même 23 ans que l’on est professionnel.\\n\\nCe qui a changé votre image, c’est la construction d’Ekikox et l’américanisation du spectacle ?\\n\\nBien sûr. On se positionne toujours comme un club convivial, historique, proche de ses supporters et les plus anciens commencent à être très âgés car ça fait des années que ce club se construit et on a vu un boom ces cinq dernières années avec l’arrivée d’Ekinox. On a touché un public différent en partant sur le digital, plus américanisé, qui va donc correspondre davantage aux jeunes, qui sont plus ouverts sur le monde, le côté fun, délirant. Forcément, les anciens du club se sont moins identifiés là-dedans et il a fallu un temps d’adaptation et d’acceptation de leur part. Il a fallu qu’ils comprennent que le club avait besoin de grandir et que pour le faire il était nécessaire de passer par ce genre de prestation.\\n\\nQu’est-ce qui fonctionne le mieux aujourd’hui ?\\n\\nToutes les petites vidéos un peu décalées, les tutos JL, toutes les opérations un peu fun que l’on a fait avec l’ASVEL et les mascottes. Tout ce qui est fun, léger, simple, ça marche du feu de Dieu sur les réseaux sociaux. On a fait des tutos basket pour expliquer les règles à un public qui ne connaissait pas le basket et aussi ceux qui le connaisse. On a utilisé les joueurs pour faire ça pour les mettre en scène, on les a pratiquement toutes faites. On a eu énormément de clubs qui les ont partagées. On a touché des personnes dans la France voire dans le monde entier. Cette année, on a un autre projet en cours qui va parler des métiers du basket -le métier de meneur, de pivot, le coach, le directeur sportif, etc- pour faire découvrir le club et l’envers du décor. Toujours de façon décalé, humoristique.\\n\\nLes joueurs apprécient-ils d’être acteurs de ces vidéos ?\\n\\nPour pouvoir faire ce genre de contenu, il faut forcément que le sportif soit d’accord. Le processus a été assez long pour faire comprendre aux joueurs et aux coaches que ça fait aussi partie du package. Un joueur ne doit pas en 2018 juste aller à l’entraînement et faire ses matches. C’est aussi se mettre à disposition pour améliorer le produit marketing et permettre au club de communiquer de la meilleure manière. Ça demande de la logistique et de l’organisation pour les solliciter le moins de temps possible. Il y en a certains qui vont se prêter au jeu plus que d’autres. On ne va pas se mentir : ce n’est pas facile parfois de les manœuvrer ! Ça fait partie de mon boulot de gagner leur confiance pour les convaincre que l’on n’est pas là pour se foutre de leurs gueules. Dans le basket et dans certains sports pros, il y a encore une certaine méfiance vis-à-vis de tout ce qui est journalistes et communicants. Ils ne sont pas encore formés à ce genre de chose. Certains préfèrent ne pas participer de peur que l’on reprenne de manière négative ce qu’ils disent.\\n\\nA l’inverse, qui a été le plus efficace, le plus drôle ?\\n\\nIl y en a eu beaucoup ! Je me rappelle de Simon Darnauzan qui se prêtait énormément au jeu. Mathieu Wojciechowski avec qui on a rigolé, Méridis Homounou. Souvent des Français. Les Américains ont moins cette appétence-là même si on se marrait bien aussi avec O’Darien Bassett. On évite au maximum de les faire parler car on part du principe que ce ne sont pas des acteurs. On les met juste dans une situation la plus simple possible. Une fois, on les a fait danser pour expliquer les gestes des arbitres. C’était sympa.\\n\\nQui trouve les idées ?\\n\\nLa source d’information de base c’est qu’on s’était dit que l’on voulait communiquer auprès d’un public généraliste, pas spécialisé dans le basket. On est parti au début sur le principe des tutos que Canal+ faisait dans Le Petit Journal. On s’est dit que l’on pouvait le retranscrire au basket et les scénarios, on les travaille à plusieurs avec notre agence vidéo. Par contre le côté basket, les choses un peu rigolotes, c’est plus nous en interne, Hugues et moi. La valeur ajoutée que je peux avoir c’est que je suis basketteur depuis des années, je connais très bien le basket, je sais comment les joueurs vont se prendre au jeu. Donc je m’occupe un peu de la direction artistique, des scénarios et l’agence est sur la partie technique, comment on va filmer ça, avec quels moyens.\\n\\n« Les réseaux sociaux permettent à tout le monde de s’exprimer et le CSP a un public assez virulent qui peut parfois être très critique et créer des polémiques »\\n\\nAvez-vous la sensation que tout ce qui touche aux réseaux sociaux est devenu quelque chose d’important pour les clubs notamment pour recruter un nouveau public ?\\n\\nLorsque j’étais étudiant, mon sujet de thèse était justement « comment les outils digitaux peuvent aider les clubs dit de seconde zone à communiquer auprès de leurs supporters ? » C’était déjà un sujet important il y a six, sept ans. Pour moi, aujourd’hui, c’est juste impossible pour un club de ne pas utiliser les réseaux sociaux pour communiquer auprès de ses supporters. Le consommateur de sport est quelqu’un d’engagé, de passionné, et le sport, ça prend aux tripes, il y a une vraie valeur sentimentale, et tous les supporters veulent avoir une proximité avec leurs joueurs. Si on écoute les supporters, ils voudraient avoir accès H24, 7 jours sur 7, aux vestiaires, ce qui se passe sur le terrain. Ils voudraient avoir le maximum d’informations pour être plus proches de leur club. Il y a ce côté voyeuriste qui s’est développé avec internet. Pour moi, les réseaux sociaux sont un outil parfait pour répondre à ce genre d’attente. Les réseaux sociaux, ça donne la parole à nos supporters alors qu’auparavant c’était impossible. On peut impliquer les supporters dans nos communications. En plus, les réseaux sociaux sont des outils gratuits même si de plus en plus Facebook encourage à payer, mais ça reste encore abordable, et on peut communiquer sans. Ça permet de toucher une cible énorme alors qu’avant c’était impossible avec de la communication dans la presse, du poster, du 4×3. Et on peut toucher une cible beaucoup plus jeune. On va les faire réagir, leur demander leur avis. Ce n’est pas quelque chose qui est propre au basket ni au sport, c’est quelque chose qui a révolutionné la communication de manière générale.\\n\\nQuel est le potentiel public que vous pouvez toucher aujourd’hui vis-à-vis d’il y a quatre ans ?\\n\\nIl y a quatre, cinq ans, c’était très hétérogène. Tous les clubs n’avaient pas conscience de ça. Certains faisaient des trucs super et d’autres clubs ne faisaient rien du tout. C’est le travail de la ligue et des clubs qui étaient un peu précurseurs qui ont montré l’exemple aux autres clubs. Nous, on a une base de fans de 15 000, ce qui n’est pas énorme par rapport à d’autres clubs mais on est à Bourg-en-Bresse. Sans payer, Facebook va nous laisser 10-20% soit entre 1 500 et 3 000 personnes que l’on peut toucher de manière naturelle. Si on met un billet de 10 ou 20 euros, on va pouvoir toucher 20-30 000 personnes. Je tiens à souligner que l’on est une ville de 40 000 personnes ! Après, on peut segmenter nos cibles de manière plus précise par rapport à leur âge, ce qu’ils peuvent faire le week-end.\\n\\nAvez-vous l’impression que les fans de Limoges sont surreprésentés dans le milieu du basket en France surtout qu’ils commentent souvent de façon passionnelle et parfois même violente ?\\n\\nC’est ce que je disais précédemment : le côté affectif, appartenance que l’on a sur les réseaux sociaux et le fait que les gens peuvent s’exprimer, à Limoges qui est un club qui compte énormément de fans de par leur histoire, ils respirent tous le CSP là-bas, aussi ils sont hyper attachés à leur club et ils le montrent sur les réseaux sociaux. C’est clair que l’on a l’impression qu’il n’y a qu’eux et je suis d’accord pour dire que les plus actifs, les plus virulents sont ceux de Limoges. C’est un peu le côté face de la pièce ; les réseaux sociaux permettent à tout le monde de s’exprimer et le CSP a un public assez virulent qui peut parfois être très critique et créer des polémiques. D’ailleurs, il n’y a pas si longtemps, une polémique a été créée à cause d’un tweet et on connaît les conséquences qui ont suivi. Il faut savoir gérer ce genre de communication, faire attention à ce que l’on dit parce qu’aujourd’hui le moindre petit faux-pas peut avoir des conséquences assez importantes. Ça va être repris, mal compris, commenté...\\n\\nAvez-vous ce type de problème à Bourg ?\\n\\nOn n’a pas eu de soucis vis-à-vis de ça car je pense que l’on a la chance d’avoir un public très compréhensif. Il y a un côté cocon, famille, à Bourg, qui fait que la communication avec nos supporters est bienveillante. Quand je parle avec mes collègues des autres clubs, à Chalon, Dijon, Nanterre, et que je vois les messages qu’ils reçoivent sur les réseaux sociaux où ils se font insulter, nous, on n’a jamais eu ce problème-là. Je ne sais pas si c’est parce qu’on a réussi à se faire intégrer, à donner une bonne image ou si c’est juste nos supporters qui sont différents. Par contre, on a dû éteindre le feu urgemment sur certains sujets pour éviter de créer une polémique et éviter de mettre le club dans une situation particulière. Forcément, ça mérite une veille de tous les instants, que ce soit sur nos joueurs ou nos supporters, sur certaines informations qui ne devraient pas sortir.\\n\\n« Je pense que tous sports confondus il n’y a pas une ligue qui communique aussi bien que la NBA sur les réseaux sociaux »\\n\\nVous formez une petite communauté entre responsable des réseaux sociaux de la Jeep Elite ?\\n\\nOn a un petit groupe de responsables com’ qui a été créé il y a un an et demi suite au premier séminaire communication de la ligue. On avait toujours été un peu cloisonné entre clubs sans avoir l’occasion de se rencontrer et quand ça a été le cas, il y a eu une sorte de Big Bang. On s’est dit que l’on avait tous les mêmes problématiques et qu’il y avait quelque chose à faire entre nous pour progresser. Au début c’était assez pro et aujourd’hui on est devenu amis. On communique au quotidien sur les mêmes sujets.\\n\\nVous êtes tous de la même tranche d’âge ?\\n\\nDans notre groupe, ça va entre 24 et 34 ans. On a tous fait le constat que le basket est énormément en retard sur énormément de choses en terme de communication et notamment sur les réseaux sociaux, la vidéo. Que ce soit vis-à-vis du rugby et du foot en France et malheureusement on a en plus la concurrence de la NBA qui est juste LA référence en terme de communication digitale au monde. Je pense que tous sports confondus il n’y a pas une ligue qui communique aussi bien que la NBA sur les réseaux sociaux. Même la NFL, le football américain, communique pas aussi bien qu’elle. Il y a un côté positif dans le sens où l’on parle de basket, de ce qui peut se faire outre-Atlantique, ça peut donner envie à un public de venir au basket, mais on souffre beaucoup de la comparaison en France où les moyens sont totalement différents. Ils ont 15-20 ans d’avance sur nous. Ils ont sorti un casque de réalité virtuelle pour assister aux matches, on en est à des années-lumière. Dans le foot, ils n’ont pas ce problème-là. En terme de communication, de marketing, il n’y a pas tant d’écart que ça entre les pays, les ligues. C’est pour ça que nous on s’est dit que nous sommes tous amoureux de basket et on travaille au quotidien dans un club de basket, autant se serrer les coudes et faire le maximum pour pousser la ligue et d’autres clubs vers le haut. On ne se voit pas comme des concurrents dans le sens que l’on ne communique pas vers les mêmes cibles. Même avec l’ASVEL qui est à 60km de chez nous, il n’y a pas de concurrence, au contraire on essaye de créer une rivalité saine comme on a pu faire avec nos mascottes.\\n\\nY a-t-il un club qui est un peu la référence en matière digitale en Jeep Elite ?\\n\\nJe ne pense pas qu’il y en ait un véritablement en avance sur les autres. Il y a un peloton de tête mais pas d’échappée. Limoges a de mon point de vue développé beaucoup d’outils, peut-être trop vite. Ils sont en avance sur ce sujet-là. Leur application mobile est juste géniale et leur site internet est très bien fait. Ce sont les seuls à avoir une partie Premium et je crois que c’est aussi l’un des seuls à pouvoir le faire, ils ont la communauté, les supporters qu’il faut. Limoges est différent des autres clubs. J’ai été en réunion avec Manuel Diaz (NDLR : membre du directoire du Limoges CSP), il est très bon, il sait de quoi il parle. Je pense qu’ils vont dans le bon sens mais malheureusement ce n’est pas compris aujourd’hui de leurs supporters. Ils n’ont pas été dans l’explication, ils ont peut-être fait ça sans solliciter leurs supporters et ça a été mal accepté. C’est du moins ce que je lis sur les réseaux sociaux.\\n\\nQuelles évolutions pensez-vous que l’on va vivre sur le plan digital dans les prochains mois ? Ça va continuer à se développer ?\\n\\nJe pense que oui puisque déjà on voit que tous les clubs se sont sensibilisés à ces sujets-là. Il suffit de voir l’évolution du nombre de responsables com’, de community managers en quatre ans dans les clubs. Quand je suis arrivé à Bourg, nous étions en Pro B, et je devais être la seule personne salariée à la communication de tout le championnat. Aujourd’hui, il doit bien y en avoir la moitié. A Nantes, Aix-Maurienne, Blois, Poitiers, Orléans, il y en a, au Paris Basket c’est prévu, etc. Parfois une personne est commercial, merchandising et communication. Elle fait tout et n’importe quoi.\\n\\nA Châlons-Reims, il y a par exemple de bons résumés de match ?\\n\\nOui et c’est important de le souligner : certains travaillent avec des agences de communication ou spécialisée dans les sites web. Je le répète, il y a 4-5 ans, la communication-marketing, ce n’était pas du tout à l’ordre du jour dans les clubs de basket. On réfléchissait come des clubs sportifs, on mettait l’argent dans le sportif et pas du tout pour structurer le club de manière professionnelle et réfléchir comme une entreprise. Il faut pour ça recruter des personnes compétentes dans leur domaine ou s’appuyer sur des gens experts dans leur domaine. Si aujourd’hui on est un club assez reconnu pour notre manière de communiquer, l’image que l’on a pu donner c’est grâce aux dirigeants qui ont compris qu’il fallait capitaliser là-dessus. On est Bourg-en-Bresse, pas Paris, pas Lyon, on pourrait souffrir de l’image de l’ASVEL qui est à côté, et ce n’est pas le cas. On est à guichets fermés à chaque match, on a eu des résultats média l’année dernière complètement dingues. L’objectif c’est que ce soit tout le basket qui en soit bénéficiaire. Est-ce que dans les prochains mois ça va évoluer ? Oui car la ligue a vraiment compris ça. Plein de sujets sont en cours. On a cinq, six années de retard sur les autres sports et il va falloir cravacher pour rattraper ça.\\n\\n[armelse]\\n\\nQuel est votre parcours professionnel et celui de basketteur ?\\n\\nJe suis né à Bourg-en-Bresse et j’y ai été toute ma vie sauf durant mes études. J’ai joué au basket depuis l’âge de cinq ans et jusqu’à mes dix-huit ans jusqu’en N3. Le basket ne m’a jamais vraiment quitté. J’ai fait un Master 2 en école de commerce en communication-marketing sur Lyon et pour le préparer, je me suis dit « si j’alliais mon passion à mon métier ? ». J’ai envoyé une candidature spontanée à la JL Bourg. C’était au moment où Ekinox arrivait. Le hasard a fait qu’ils étaient justement à la recherche de quelqu’un pour reprendre la partie com’. J’ai été pris et j’ai fait mon Master 2 en alternance à la JL Bourg et ensuite j’ai été embauché et ça fait quatre ans que j’y suis.\\n\\nCombien êtes-vous à la communication du club ?\\n\\nA l’époque, on était deux dont un bénévole, Hugues, qui avait seize ans. J’ai dû plus ou moins mettre tout en place. Aujourd’hui, on est quatre avec Hugues qui est à temps plein et deux stagiaires qui nous aident à mi-temps.\\n\\nQuelles sont vos différentes taches ?\\n\\nIl y en a énormément. Pour être synthétique, le service communication est garant de l’image du club et des joueurs, de tous les messages qui vont sortir dans la presse, toute l’image que l’on va donner à nos supporters par le biais de nos campagnes de communication, les affiches 4×3, les posters, les réseaux sociaux, le ton que l’on va employer, le positionnement que l’on va avoir. On se positionne comme une entreprise et on réfléchit comme une marque. Sur les réseaux sociaux, on fait la promotion des matches car l’objectif premier est de remplir la salle. On essaye de proposer au maximum des contenus inside, varier nos services sur toutes les plateformes digitales. On ne va pas avoir le même ton sur les sites internet que sur les réseaux sociaux où on va s’adresser davantage aux jeunes. Snapchat, c’est un public encore plus jeune et on va être beaucoup moins formel avec du contenu parfois plus délirant.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: JL Bourg"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : le Top 10 du mois de novembre en Jeep®ÉLITE"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Gros contre d’Eric Buckner, énorme dunk de Jeremy Nzeulie, shoot à dix mètres pour Jonathan Rousselle ou encore magnifique contre de Maxime Roos, voici ce qui vous attend dans le top 10 du mois de novembre en Jeep Elite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Eric Buckner (ASVEL) serait proche de Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé à l’ASVEL début octobre pour renforcer une raquette décimée par les blessures, Eric Buckner (2,08m, 28 ans) pourrait quitter Villeurbanne suite aux retours d’Alpha Kaba et Livio Jean-Charles.\\n\\nSelon Matthieu Marot, l’intérieur américain devrait rejoindre les rangs de l’AS Monaco, un concurrent direct au titre de champion de France donc. Depuis plusieurs semaines, l’agent du joueur et le club villeurbannais négociaient un contrat pour prolonger l’ancien de l’Aris Salonique, cependant celui-ci se serait montré trop gourmand pour les finances de la formation de Zvezdan Mitrovic.\\n\\nDepuis son arrivée dans le Rhône, Eric Buckner tourne en moyenne à 8,8 points et 4,4 rebonds pour une évaluation de 11,6 en Jeep Elite. En Eurocup, c’est quasiment pareil avec 7,7 points et 3,9 rebonds pour 10,7 d’évaluation.\\n\\n\\n\\n\\nAperçu à son avantage sous le maillot de Villeurbanne depuis début octobre, le pivot US Eric Buckner devrait prochainement s’engager avec Monaco.\\n\\n\\n— Matthieu Marot (@MatthieuMarot7) December 5, 2018\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans: Cameron Clark toujours indisponible"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La trêve n’a pas été suffisante pour le remettre sur pied: Le Mans ne pourra disposer de son ailier Cameron Clark (1,98m, 27 ans) pour la réception de Limoges samedi.\\n\\nL’Américain a été victime d’un trait de fracture à un orteil face à Villeurbanne, et il n’est toujours pas remis. Il pourrait aussi être forfait pour le match de BCL contre Murcie mardi.\\n\\nCameron Clark tourne à 13,5 points (51,4%) et 2,5 rebonds pour 10,8 d’évaluation en Jeep Elite.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague féminine: Les Berruyères battues par Ekaterinbourg mais... heureuses !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Match de très haut niveau hier soir entre Bourges et Ekaterinbourg. Les Berruyères ont poussé la Dream Team russe à la prolongation et ce n’est que dans celle-ci qu’elle a fait la différence, 70-74.\\n\\nLa géante américaine Brittney Griner (2,06m, 28 ans) a été l’arme fatale des Russes avec 19 points, 10 rebonds et 27 d’évaluation.\\n\\nSi Katherine Plouffe (17 points) et Marine Johannès (15), qui a eu une balle de la victoire mais son tir à trois-points n’est pas rentré, ont été les meilleures marqueuses côté tango, l’internationale espagnole Cristina Ouvina (8 points, 7 rebonds, 6 passes, 3 interceptions) a tenu la mène d’une main de fer.\\n\\nLes commentaires ont été peu habituels après une défaite, chacune se félicitant de la hauteur de la performance obtenue face au champion d’Europe en titre. Bourges est troisième du Groupe A avec 3 victoires et 2 défaites. Ekaterinbourg est ainsi toujours invaincu.\\n\\nPhoto: Cristina Ouvina (FIBA)\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=_4z7f-TF3eY\\n\\n\\n\\n\\n«Ce soir, c’est de la Fierté uniquement, on peut aller très loin avec ce genre de match !» #FiertéTango #EuroleagueWomen #LeDéfi pic.twitter.com/bVSVQXJDGu\\n\\n\\n— Tango Bourges Basket (@BourgesBasket) December 5, 2018\\n\\n\\n\\n\\nProud of my team!! 💪💪🏀\\n\\n\\n— Cristina Ouviña (@cristi106) December 5, 2018\\n\\n\\n\\n\\n«On est forcément déçues, mais qu’est ce que c’est motivant de jouer de tels matchs !» #LeDéfi #EuroleagueWomen #AllezTango pic.twitter.com/76iEZGSbuI\\n\\n\\n— Tango Bourges Basket (@BourgesBasket) December 5, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo: Bria Hartley et Valérie Garnier"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors du derby turc d’Euroleague qui a vu la victoire de Fenerbahçe sur Hatay, 87-74, a été réalisée cette superbe photo où l’on voit la coach Valérie Garnier encourager sa joueuse, Bria Hartley, qui est aussi la sienne désormais en équipe de France.\\n\\nBria Hartley a contribué hier soir à la victoire du Fener avec 5 points et 6 passes en 19′.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges CSP: modifications de fonction dans le staff sportif"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à la mise à l’écart de son coach Kyle Milling, remplacé par son adjoint François Peronnet, le Limoges CSP a remodelé son staff sachant que Olivier Bourgain en est le directeur sportif.\\n\\nYacine Aouadi :assistant coach en charge du développement individuel\\n\\nFrank Kuhn :assistant coach en charge de la préparation physique et coach espoir\\n\\nBenjamin Villeger :assistant coach du groupe pro aux cotés de François Peronnet\\n\\nJulien Mahé, ancien assistant de Mehdy Mary devient coach des U18 France.\\n\\nPhoto: Frank Kuhn (CSP)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les clubs et les réseaux sociaux – Anthony Marques (Nanterre): «On nous laisse développer nos idées, accéder aux joueurs et surtout les joueurs aiment ça»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’avez-vous remarqué, depuis quelques mois les clubs de Jeep Elite sont davantage performants sur les réseaux sociaux ? La grande majorité -et aussi certains clubs de Pro B et de Ligue Féminine- ont pris conscience de leur importance pour leur communication externe et atteindre de nouvelles cibles. Pour tout savoir, nous avons interrogé quatre responsables en la matière : Thibault Daignez (chargé de communication digitale au BCM Gravelines-Dunkerque), Anthony Marques (responsable marketing et communication à Nanterre 92), Alexis Dilas (responsable communication à la JL Bourg) et Clément Vauchel (responsable marketing digital de la Ligue Nationale de Basket).\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuel est votre parcours professionnel et éventuellement celui de basketteur ?\\n\\nJ’ai intégré la JSF Nanterre en 2010 quand le club était encore en Pro B, en tant que stagiaire. J’étais à l’époque étudiant, en licence. Le club qui venait de monter en Pro A m’a proposé un contrat d’alternance pour réaliser mon Master. J’ai suivi depuis l’évolution avec le club. J’ai joué au basket très longtemps avant une blessure.\\n\\nEn quoi constituent vos différentes tâches ?\\n\\nIl y a une grande multitude de tâches puisque je ne m’occupe pas que des réseaux sociaux. D’ailleurs, à part au Mans, je ne pense pas qu’il y ait des personnes qui s’occupent en Jeep Elite que des réseaux sociaux. Je m’occupe de tout ce qui est graphisme puisqu’on n’a pas d’agence de communication, ce qui est une particularité de notre club. C’est une bonne chose car on peut être plus imprégné de l’image que l’on renvoie puisqu’on la décide nous-mêmes. Je gère le site internet, les réseaux sociaux. Je coordonne le projet vidéo. C’est la seule partie pour laquelle j’ai une prestation via une cadreuse-monteuse. Je gère d’autres missions plus marketing comme l’équipementier, le digital. Donc en résumé, je gère la communication dans son ensemble, les plans de com, le digital, le print, le web, etc.\\n\\nQuel est le secteur qui intéresse le plus les fans ?\\n\\nAujourd’hui, on va tous dans le même sens : à fond dans le digital. Lorsque je suis arrivé au club, on était encore sur une phase de transition. Les sites Web avaient encore une part très importante dans la communication des clubs et il y avait beaucoup d’affichage, de print. Aujourd’hui, pour un club comme Nanterre qui a très peu de budget de communication, c’est assez inintéressant de faire du print, de l’affichage, tout ce qui est un peu média traditionnel puisqu’on a des médias sociaux qui marchent très bien et que c’est là où on va toucher le plus de monde. Aujourd’hui, notre site web fait 10 à 15 fois moins de vues que nos médias sociaux. Il y a dix ans, c’était forcément inimaginable. Je pense que tous les clubs sont en train de muter là-dessus. Pour certains c’est depuis quelques années, d’autres c’est en cours, et pour quelques-uns malheureusement ce n’est pas encore amorcé.\\n\\nL’année dernière, en amont du match contre Villeurbanne à l’U-Arena, vous avez réalisé des clips de promotion qui étaient très originaux notamment avec Heiko Schaffartzik...\\n\\nHeiko en a fait plusieurs. Il a fait le danseur, le rappeur... On me pose très souvent la question pour savoir comment c’est venu et est-ce que c’était difficile à faire? Honnêtement, c’était l’un des projets les plus faciles à monter. On avait prévenu en réunion Pascal (NDLR : Donnadieu, le coach) et le staff que l’on avait besoin que l’équipe se mette un peu à notre service pour quelques semaines puisque c’était le plus gros enjeu du club de son histoire, en dehors évidemment des enjeux sportifs. L’UArena, c’était extraordinaire mais un peu périlleux financièrement. On avait couché sur le papier dix idées qui fassent marrer les gens car à la base je voulais faire dix épisodes vidéo. Au final, c’était un peu trop ambitieux et on en a fait la moitié. On s’est dit que l’on allait prendre toutes les facettes de ce qui était un grand évènement à notre sens. Les côtés show, musical, speaker, danse, etc. Parmi les clips qui n’ont pas été tournés, il y en avait un avec notre mascotte où l’on faisait faire à Lahaou Konate des danses dans le costume et à la fin, on voyait que c’était lui. Avec ma presta vidéo, Amélie, on a proposé aux joueurs toutes les idées en leur disant qu’il fallait que chacun s’implique. En quelques minutes ça a été réglé, chacun s’est mis dans un projet. On a tourné ça en deux semaines et on a balancé ça sur les réseaux sociaux.\\n\\n« Sur les cinq clips, on a fait quasiment 300 000 vues et pour un club comme nous c’est énorme »\\n\\nAvez-vous pu mesurer les retombées ?\\n\\nC’est évidemment parmi nos records de vues en vidéo. Sur les cinq clips, on a fait quasiment 300 000 vues et pour un club comme nous c’est énorme sachant que sur l’année on a fait à peu près un million de vues au global sur nos vidéos. Chaque vidéo a touché 30-40 000 personnes. Avec le changement d’algorithme de facebook, qui souhaite réorienter sur les profils privés, il faut maintenant qu’une marque paye pour avoir autant de « reachs » qu’auparavant. La promotion pour le match d’U Arena est tombée à cette période où chaque club a vu son « reach » descendre en flèche. Ce sont des chiffres énormes sur 2018, très peu de publications font encore ça.\\n\\nEn ce qui concerne vos reportages vidéos, c’est Amélie et vous qui imaginez les scénarios ?\\n\\nAmélie n’est pas salariée du club donc pas au quotidien avec moi. On fonctionne par Whatsapp en échangeant beaucoup d’idées. Cette année, on a beaucoup de mini-formats un peu plus originaux que ce que l’on faisait avant sur des portraits de joueurs. Amélie apporte sa pierre à l’édifice, et les idées, je les valide toutes. On regarde un peu ce qui se fait ailleurs, on prend les idées de chacun et on fait en fonction de nos moyens et du temps que l’on peut passer là-dessus. Avec la difficulté supplémentaire que nos bureaux administratifs ne sont pas au palais des sports. C’est un peu difficile d’aller filmer les joueurs à l’improviste, il faut tout caler à l’avance.\\n\\nEst-ce le même public sur chaque réseau social ?\\n\\nEvidemment, non. Quand on parle de marketing digital, c’est souvent de personnalisation grâce à la quantité de données qu’il peut y avoir sur les personnes et leurs consommations. Ça devient difficile de faire de la communication de masse. Tout le monde est touché par ça, entreprises, municipalités, clubs, n’importe quelle marque. C’est pour ça que l’affichage est une communication qui marche beaucoup moins bien qu’avant. La force des médias sociaux, c’est que l’on peut communiquer sur des cibles, des fragments de cible de manières différenciées. Aussi, les reportages longs c’est forcément pour les fans du club, les vidéos courtes pour toucher le plus grand public possible. C’est pour ça que l’on s’ouvre énormément sur les sujets life style, la vie des joueurs, leur carrière en dehors des clubs, leur vie de famille, de tout. C’est important de se dissocier du basket sur une cible qui est un peu moins connaisseuse du club. On a aussi des formats sur Instagram avec des créas sympas, plus que le fond c’est beaucoup la forme. On a une difficulté méconnue à Nanterre et en Ile-de-France. Tout le monde pense que c’est simple parce qu’il y a beaucoup de monde et que les gens sont dynamiques mais en fait les consommateurs de médias sociaux en Ile-de-France sont très strictes et très timides par rapport à tout ce qui est interaction. C’est un public qui commande peu, qui partage peu les contenus, qui va peu commenter. Quand je vois ce qui passe avec mes collègues de Chalon ou de Limoges, avec des centaines de commentaires sur les publications, ça me fait rêver. Ça ne se passera jamais à Nanterre. Depuis qu’il y a eu le changement d’algorithme, je me suis vraiment penché sur la question, sur les autres clubs franciliens, afin de développer la meilleure solution pour Nanterre, j’ai vu que c’était partout pareil. J’ai contacté Kantar pour avoir un peu plus d’infos sur des modes de consommation franciliens et même s’il n’y a pas d’études précises là-dessus, il apparaît qu’il y a ce côté « on est dans le métro, tous collés et que l’on n’a pas forcément envie que le voisin voit ce que l’on fait sur notre téléphone ».\\n\\nAvez-vous la sensation que votre club considère désormais les réseaux sociaux comme un facteur important dans son développement notamment pour recruter un nouveau public ?\\n\\nTotalement et plus que les médias sociaux, le marketing digital. Je pense que ça se ressent dans tout ce que l’on fait. Avec mon collègue des partenaires, de la billetterie, de l’événementiel, on réfléchit beaucoup avec le terme « expérience » que l’on va donner à nos différents publics. Et donc on réfléchit à ce qui va le plus plaire, toucher, notre public et aujourd’hui c’est certain que ça prend la direction du digital. Plutôt que de balancer de l’affichage partout dans Nanterre, il vaut sans doute mieux aujourd’hui se concentrer sur les médias sociaux, pourquoi pas sur une application mobile, etc.\\n\\nC’était une performance de mettre autant de spectateurs dans l’UArena pour le match face à Villeurbanne. Quel a été la part du digital dans l’affluence ?\\n\\nOui, c’était une performance, un bel évènement. C’est un évènement que l’on a géré à 90% en interne, on n’a pas pris d’agence pour le médiatiser ou l’organiser. Pour être honnête, c’est un évènement que l’on a subi sur quelques secteurs dans le sens que l’on n’était pas capable de penser à tout. Je pense que l’on aurait pu faire beaucoup mieux en terme de digital. On n’a pas pu mettre toutes les pièces de notre côté car on a dû faire d’autres choses plus importantes pour cet évènement-là. Mais on a fait un bond extraordinaire que ce soit sur la billetterie, les médias sociaux, la consultation du site internet. On a mis en place une campagne digitale très forte avec les mini-vidéos et des petits clips. Ça nous a déjà permis de toucher notre public qui n’était pas forcément dans notre portefeuille à la base et en montrant aussi que Nanterre est un club qui sait faire les choses.\\n\\nLes joueurs sont-ils disponibles pour tout ce que vous leur demandez ?\\n\\nClairement oui. A Nanterre, on a cette notion de famille qui nous colle à la peau et qui existe vraiment. Si on a besoin de demander quelque chose à quelqu’un, on lui demande. Bien sûr, on ne va pas demander tout et n’importe quoi aux joueurs. On nous laisse développer nos idées, accéder aux joueurs et surtout les joueurs aiment ça. Ils adorent être une partie intégrante à la vie du club. A part s’ils ont un empêchement, ils se rendent disponibles. On a balancé deux ou trois clips un peu plus marrants sur le thème de Noël -on va essayer d’en sortir un par semaine-, ils ont trouvé ça marrant et ils attendent avec impatience le prochain. On a un projet vidéo qui est assez complet et assez contraignant pour les joueurs car on les sollicite beaucoup avec une vidéo toutes les deux semaines et ils répondent présents. Ils aiment que l’on montre d’autres facettes que le basketteur.\\n\\n« On est en train de faire une grosse étude marketing pour essayer de connaître profondément notre public avec des questionnaires à chaque match dans un cadre très précis afin de définir le profil type de clients, de consommateurs que l’on peut avoir à Nanterre »\\n\\nY a-t-il une concurrence, une émulation, avec les autres clubs de Jeep Elite pour avoir le plus de followers ou tout simplement pour avoir le meilleur contenu possible ?\\n\\nConcurrence, non. Chalon-sur-Saone ne peut pas être concurrent, par exemple, puisqu’on n’est pas sur le même territoire. En plus, on est amis avec beaucoup de responsables com’ de Jeep Elite et quelques clubs de Pro B et on communique entre nous. C’est justement parce que nous ne sommes pas concurrents que l’on peut échanger sur nos contenus et nos idées. Ça m’est arrivé de soumettre des idées auprès de certains de mes amis d’autres clubs car je sais qu’à Nanterre, je ne peux pas le faire pour x raisons, alors, autant en faire profiter les autres. On est sur un groupe Whattsapp et tous les jours on échange ensemble. Cette émulation nous pousse à nous améliorer afin de rattraper telle ou telle personne qui est super forte sur tel ou tel contenu mais ce n’est pas dans l’idée d’être le meilleur ou en concurrence. Chacun à son ADN par rapport à sa personne et aussi au club dont les structures sont différente de l’un à l’autre. Par exemple, avoir la communauté de Limoges à Nanterre, ce n’est pas possible. Tout comme avoir autant de contenu qu’eux, ça nous paraît impossible car ils bossent avec deux ou trois agences différentes. Pourtant, on produit énormément à Nanterre. Eux ont une partie Premium réservée aux abonnés, ce sont les seuls à faire ça. A Strasbourg, il bosse avec une agence pour la créa graphique, ce qui fait que Franklin (Tellier) peut beaucoup se concentrer sur la vidéo où ils sont très bons. Ils font aussi beaucoup de rédactionnel. A Gravelines aussi, ils font des articles très longs, très complets, journalistiques pour la présentation des matches. Un club comme Chalon est plus sur de la vidéo avec Elan TV, ils se sont aussi lancés sur une web série immersion. Nous, on a longtemps été très reconnus pour tout ce qui est infographies. On a levé le pied là-dessus car on essaye de développer au maximum les contenus. Chaque club prend son créneau en fonction de son public. C’est sûr que l’on n’a pas encore touché le public du Grand Paris qui n’est pas forcément connaisseur.\\n\\nC’est le constat que l’on peut faire : contrairement à la NBA où tout est formaté, en Jeep Elite, chacun a ses caractéristiques ?\\n\\nA la limite, c’est une volonté de la ligue qui veut laisser cette part-là de créativité au club. On n’a pas la même histoire à Nanterre qu’à Gravelines. Cette faiblesse de ne pas avoir de « presta » pour ce qui est création graphique, en réalité c’est un peu une force car on peut décider de A à Z de l’image que l’on va donner. Notre nouveau site web on l’a designé totalement en interne, ce n’est pas une agence qui l’a fait pour nous. Cette souplesse permet aux clubs d’avoir leur propre identité et de développer leur propre image.\\n\\nQu’est-ce que vous aimeriez faire de plus dans les prochains mois ? Avez-vous des clubs de basket hors France ou d’autres sports comme exemples à suivre ?\\n\\nLe niveau global est très supérieur à ce qu’il était il y a quelques mois ou quelques années. A Nanterre, si on ne prend pas trop de risques, on va essayer de se renforcer sur l’idée de l’expérience fan. On est en train de faire une grosse étude marketing pour essayer de connaître profondément notre public avec des questionnaires à chaque match dans un cadre très précis afin de définir le profil type de clients, de consommateurs que l’on peut avoir à Nanterre. Ça va nous permettre de définir un contenu, une ligne directrice en marketing et en communication pour pouvoir améliorer cette expérience avant, pendant et après le match aux différentes cibles. Pour parler de futur plus globalement et en prenant plus de risques, à mon sens -à voir si ça va être développé à Nanterre-, il y a l’aspect technologique qui est à prendre en compte, qui va vraiment faire partie de l’avenir.\\n\\nUn exemple ?\\n\\nLa réalité virtuelle, des choses qui se font déjà dans le foot et pas encore dans le basket, des ralentis vidéo, pouvoir choisir son angle en fonction de l’action, vivre son match de manière digitale en plus de l’expérience de vivre son match dans la salle. Certaines bribes de tout ça existent déjà mais qui ne fonctionnent pas encore totalement au service du sport. En NBA, ils ont déjà essayé des choses sur la réalité virtuelle et ce n’est pas encore tout à fait ça. Au football américain, ils ont déjà essayé de faire revivre des actions en 3D sur Enap après qu’elles aient eu lieu.\\n\\nLa NBA demeure t-elle un exemple en la matière ?\\n\\nOui pour ceux qui le font mais pas forcément pour comment ils le font. Je pense qu’en Europe on a aussi une identité propre avec des manières de faire, de raconter des histoires qui sont assez différentes. En NBA, ce sont plus les idées qui sont bonnes.\\n\\n[armelse]\\n\\nQuel est votre parcours professionnel et éventuellement celui de basketteur ?\\n\\nJ’ai intégré la JSF Nanterre en 2010 quand le club était encore en Pro B, en tant que stagiaire. J’étais à l’époque étudiant, en licence. Le club qui venait de monter en Pro A m’a proposé un contrat d’alternance pour réaliser mon Master. J’ai suivi depuis l’évolution avec le club. J’ai joué au basket très longtemps avant une blessure.\\n\\nEn quoi constituent vos différentes tâches ?\\n\\nIl y a une grande multitude de tâches puisque je ne m’occupe pas que des réseaux sociaux. D’ailleurs, à part au Mans, je ne pense pas qu’il y ait des personnes qui s’occupent en Jeep Elite que des réseaux sociaux. Je m’occupe de tout ce qui est graphisme puisqu’on n’a pas d’agence de communication, ce qui est une particularité de notre club. C’est une bonne chose car on peut être plus imprégné de l’image que l’on renvoie puisqu’on la décide nous-mêmes. Je gère le site internet, les réseaux sociaux. Je coordonne le projet vidéo. C’est la seule partie pour laquelle j’ai une prestation via une cadreuse-monteuse. Je gère d’autres missions plus marketing comme l’équipementier, le digital. Donc en résumé, je gère la communication dans son ensemble, les plans de com, le digital, le print, le web, etc.\\n\\nQuel est le secteur qui intéresse le plus les fans ?\\n\\nAujourd’hui, on va tous dans le même sens : à fond dans le digital. Lorsque je suis arrivé au club, on était encore sur une phase de transition. Les sites Web avaient encore une part très importante dans la communication des clubs et il y avait beaucoup d’affichage, de print. Aujourd’hui, pour un club comme Nanterre qui a très peu de budget de communication, c’est assez inintéressant de faire du print, de l’affichage, tout ce qui est un peu média traditionnel puisqu’on a des médias sociaux qui marchent très bien et que c’est là où on va toucher le plus de monde. Aujourd’hui, notre site web fait 10 à 15 fois moins de vues que nos médias sociaux. Il y a dix ans, c’était forcément inimaginable. Je pense que tous les clubs sont en train de muter là-dessus. Pour certains c’est depuis quelques années, d’autres c’est en cours, et pour quelques-uns malheureusement ce n’est pas encore amorcé.\\n\\nL’année dernière, en amont du match contre Villeurbanne à l’U-Arena, vous avez réalisé des clips de promotion qui étaient très originaux notamment avec Heiko Schaffartzik...\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"CourtCuts : le Top 10 de la semaine (1er décembre)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque saison depuis maintenant sept ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCette semaine, c’est Yanique Boteko (Stade Montois, NM3) qui pointent à la première place du classement grâce à un gros contre sur son adversaire qui partait au dunk en contre-attaque."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague le top 10 des passes décisives du mois de novembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque début de mois, il est temps de revenir sur les meilleures actions des quatre dernières semaines en Euroleague. Cette fois, ce sont les meilleurs passes décisives de novembre.\\n\\nC’est le turc Dogus Ozdemiroglu qui pointe la première place grâce à sa magnifique passe dans le dos pour le dunk de Jeremy Evans face au Fenerbahce.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : le top 10 des contres du mois de novembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque début de mois, il est temps de revenir sur les meilleures actions des quatre dernières semaines en Euroleague. Cette fois, ce sont les meilleurs contres de novembre.\\n\\nGrâce à un gros contre sur l’international italien Luigi Datome, Ilimane Diop se place sur la première marche du podium."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Alpha Kaba et Livio Jean-Charles ont fait leur retour à l’entraînement"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’ils n’ont toujours pas disputé le moindre match cette saison avec l’ASVEL, Alpha Kaba (2,05m, 22 ans) et Livio Jean-Charles (2,03m, 25 ans) ont enfin repris le chemin de l’entraînement.\\n\\nLe Progrès annonce la bonne nouvelle aux supporters du club villeurbannais, les deux joueurs sont sur le retour. Même s’ils ont pu reprendre l’entraînement après avoir passé de longues semaines à l’infirmerie à cause, respectivement, d’une blessure au coude gauche et au genou gauche, les deux joueurs ne sont pas sûrs d’être utilisés par Zvezdan Mitrovic pour le match au Portel prévu dimanche.\\n\\nLa saison dernière, Alpha Kaba compilait en moyenne 5,2 points et 5,3 rebonds entre la Jeep Elite et l’Eurocup. En G-League, Livio Jean-Charles tournait, lui, à 11,3 points et 5,6 rebonds.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"5e édition de l’Opération Kinder + Sport Basket Day pour toucher 100 000 enfants"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Du 8 au 22 décembre, les jeunes licenciés de la FFBB auront la possibilité d’inviter un proche non initié à partager leur passion, le temps d’une demi-journée. Plus de 1 000 clubs seront mobilisés dans toutes les régions de France.\\n\\nEnviron 100 000 enfants partout en France participeront à l’initiative « Kinder + Sport Basket Day », née en 2014 de la collaboration entre la FFBB et Kinder, et auront l’occasion de vivre de véritables moments de convivialité et de découverte.\\n\\nDans chaque club participant à l’opération, les enfants licenciés auront la possibilité d’offrir à un proche un programme d’entraînement de basket gratuit qu’ils effectueront ensemble.\\n\\nUn programme créatif et dynamique réservé aux basketteurs en herbe, comprenant des cours théoriques pour connaître les règles basiques de ce sport, ainsi que des sessions pratiques pour découvrir des techniques de jeu différentes – des dribbles, aux passes en passant par les sauts. L’objectif ? accompagner les enfants dans la découverte de cette discipline... jusqu’à leur premier panier !\\n\\nUn engagement de longue durée\\n\\nCette initiative d’envergure nationale a désormais touché des milliers d’enfants dans tout le pays et représente un engagement de long terme pour la Fédération Française de basket-ball et Kinder. En effet, pour la FFBB, le « Kinder + Sport Basket Day » représente une occasion unique pour rapprocher les jeunes à la pratique du basket. Pour Kinder, cette initiative s’inscrit dans le programme Kinder + Sport, engagé depuis des années aux côtés des acteurs du monde sportif, pour faciliter l’accès des jeunes au sport et les sensibiliser au plaisir de pratiquer une activité sportive.\\n\\n« Depuis maintenant plus de 10 ans, le Groupe Ferrero nous accompagne pour développer et permettre la pratique du BasketBall par le plus grand nombre. Kinder est le Partenaire Officiel du MiniBasket dans son ensemble. Le « Kinder + Sport Basket Day » est LE rendez- vous de fin d’année pour plus de 1 000 clubs qui ouvriront leurs portes à cette occasion » a déclaré Jean-Pierre Siutat, Président de la Fédération Française de basket-ball.\\n\\n« Nous sommes fiers de lancer cette 5ème édition de « Kinder + Sport Basket Day » avec la Fédération Française de basket-ball. Ce partenariat représente pour nous une belle réussite, qui a déjà permis à des milliers d’enfants de se rapprocher de la pratique sportive et d’en découvrir les bienfaits. L’engagement de Kinder pour l’accès au sport s’inscrit dans la durée et ce partenariat en représente un pilier structurant » a ajouté Christophe Mouro, Responsable des relations institutionnelles et des partenariats chez Ferrero France.\\n\\nPhoto: FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : le top 10 des dunks du mois de novembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque début de mois, il est temps de revenir sur les meilleures actions des quatre dernières semaines en Euroleague. Cette fois, ce sont les meilleurs dunks de novembre.\\n\\nAvec une énorme action qui a démarré au contre et qui s’est terminé à la claquette dunk, Thanasis Antetokounmpo rafle la première place du classement. A noter également la présence du Français Joffrey Lauvergne à la dixième place."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : l’ex NBAer Toney Douglas arrive au Darussafaka"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dernier du classement d’Euroleague (1v-9d), le Darussafaka a fait appel au scoreur Toney Douglas (1,88m, 32 ans).\\n\\nPassé par New-York, Houston, Sacramento, Memphis ou encore New Orleans, le Floridien est arrivé en Europe la saison dernière en s’engageant avec l’Anadolu Efes. Après une saison en Euroleague, il a rejoint les rangs de Sakarya. Après quelques semaines, l’ancien pensionnaire de Florida State s’est fait enrôler par le Dacka Tekfen.\\n\\nA Sakarya depuis le début de saison, Toney Douglas compilait en moyenne 15,4 points, 4,6 rebonds, 6,6 passes décisives et 2,3 interceptions entre le championnat turc et la FIBA Europe Cup.\\n\\n\\n\\n\\nToney Bernard Douglas Darüşşafaka Tekfen’de! pic.twitter.com/dVhI44v1cw\\n\\n\\n— Darüşşafaka Basket (@dackabasket) 5 décembre 2018\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : «Deux nuits avec Florent Pietrus»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir séjourné dans l’intimité de Mathias Pogba, Umut Bozok ou encore Marjorie Mayans, Florian Gautier a passé deux nuits chez l’intérieur de la SIG, Florent Pietrus (2,01m, 37 ans).\\n\\nTriple champion de France avec Pau, champion d’Espagne avec Malaga ou encore médaillé d’or au championnat d’Europe 2013 avec l’Equipe de France, le Guadeloupéen fait partie des monuments du basket français.\\n\\nDurant l’espace de deux jours, l’ancien joueur du SLUC s’est ouvert en toute sincérité à la caméra de Florian Gautier qui l’a suivi de l’entraînement au supermarché en passant par les rues strasbourgeoises.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Chima Moneke en renfort à Denain pendant l’absence de Jonathan Augustin-Fairell"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A Rouen depuis le début de la saison, le rookie Chima Moneke (1,90m, 22 ans) quitte la Normandie pour s’engager avec Denain en tant que pigiste médical de Jonathan Augustin-Fairell.\\n\\nSur Facebook, l’ASCDVPH annonce que l’ancien joueur de Cholet s’est blessé à l’entraînement. Après examens, il va devoir passer sur le billard et va manquer trois mois de compétition. C’est un nouveau coup dur pour le club nordiste qui a du mal avec son secteur intérieur cette saison.\\n\\nCette saison, Chima Moneke a disputé trois matchs de Pro B avec Rouen pour 4,3 points et 3,3 rebonds pour une évaluation de 5.\\n\\nhttps://www.facebook.com/ascdvph/photos/a.137476313130041/940441262833538/?type=3&theater\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Naturalisés en équipe de France: Firmin Onissah, le tout premier"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A lire sur BasketRétro un dossier sur les naturalisés/ées qui ont porté le maillot de l’équipe de France.\\n\\nOutre le récapitulatif toujours intéressant à consulter, l’auteur rappelle que le premier naturalisé de l’histoire fut le Togolais Firmin Onissah (2,00m, né en 1946), le 14 septembre 1973 face à l’Espagne:\\n\\n« Repéré en 1969 par Robert Busnel lors d’une tournée en Afrique, le Togolais a d’abord défendu les couleurs du Togo aux jeux Africains de Brazzaville en 1965. Arrivé en France, il fit les beaux jours de l’ASPTT Nice qui profita de la loi du 9 janvier 1973 modifiant le code de la nationalité pour naturaliser Onissah. Cette modification du code de la nationalité intervenait pour tenir compte des différentes indépendances des pays de l’ancien empire colonial français. Nombre d’Africains nés avant les indépendances utiliseront ainsi ce biais pour obtenir leur naturalisation. Firmin Onissah honora 12 sélections chez les Bleus et participa à l’Euro 1973. »\\n\\nLes 12 sélections de Firmin Onissah -en haut à droite sur la photo- ont toutes été obtenues lors des mois de septembre et octobre 1973 avec une pointe à 17 points lors d’un deuxième match contre l’Espagne le 1 octobre 1973. Une période creuse de l’équipe nationale puisque avec Onissah les Bleus ne gagnèrent que 3 rencontres."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Le coach de Grand Canaria paye les pots cassés"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"HerbalifeGran Canaria a viré son coach Salva Maldonado et c’est son assistant Victor Garcia qui va servir d’intérimaire.\\n\\nNouveau participant à l’Euroleague, le club espagnol réalise un parcours disons attendu avec 3 victoires en 10 journées, ce qui le positionne à la 12e place avec un autre club du pays, Vitoria. Le problème, c’est que Gran Canaria paye ses efforts européens dans le championnat national où il occupe une peu reluisante 15e place avec exactement les mêmes performances: 3 victoires en 10 matches."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le chiffre: 31 600, le don de la MAIF au Téléthon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La MAIF, partenaire maillot des équipes de France, a fait don de sa visibilité pour quatre matches dont le France-Bulgarie de Limoges. Dominique Mahé, son président, explique pourquoi :\\n\\n\\n« Les plus belles idées sont les idées les plus simples. Nous avons décidé en accord avec Jean-Pierre (Siutat) et la fédération de basket d’abandonner la face avant du maillot pour substituer notre logo à celui du Téléthon parce que nous considérons que ce mois de novembre mérite pour une mutuelle comme la MAIF non seulement de s’y intéresser mais aussi de s’impliquer. On a décidé de soutenir le Téléthon à travers quatre matches, ceux de l’équipe féminine contre la Roumanie et la Slovénie et deux matches de l’équipe masculine, face à la Tchéquie et celui de ce soir sachant que la MAIF a abondé à chaque panier marqué par nos internationaux à 40 euros. Ca nous a permis d’avoir une médiatisation très sympathique avec des vedettes, François Berleand, Yannick Noah, etc*, qui dans une salle de Levallois-Perret se sont employés à marquer quelques paniers qui avaient beaucoup plus de valeur puisqu’ils valaient 200 euros. Au total, j’ai remis ce soir un chèque de 31 600 euros. »\\n\\n*Yannick Noah, Moundir, François Berléand, Richard Anconina, Laurent Baffie, Yannick Agnel, Patrick Timsit, Marc-Olivier Fogiel, Estelle Denis, Vincent Moscato, Sidney Govou, Jessica Houara, Marie-José Pérec, Brahim Asloum ou encore Samuel Etienne ont participé, dans l’enceinte du Palais des Sports Marcel Cerdan de Levallois-Perret, à un concours de lancers- francs.\\n\\nPhoto: FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague féminine : Bourges – Ekaterinbourg diffusé et commenté en direct sur Facebook"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce mercredi est un jour particulier à Bourges puisque les Tango affrontent l’ogre russe d’Ekaterinburg pour le compte de la cinquième journée d’Euroleague.\\n\\nEt à match exceptionnel, dispositif exceptionnel. Alors que le coup d’envoi sera donné à 20 heures au Prado, cette rencontre sera diffusée en clair et en direct sur la page Facebook du champion de France. Aux commentaires, Aurélie Bonnan et Benoit Roumet. A la mi-temps du match, le freestyleur et champion du monde de la discipline, Brisco, sera présent pour un show.\\n\\nA l’aube de cette cinquième journée d’Euroleague, Bourges est troisième du groupe A (3v-1d) à seulement une victoire de son rival du soir qui est en tête du groupe. Lors de la dernière journée, les joueuses d’Olivier Lafargue se sont imposées à Schio.\\n\\nQuelques places sont encore disponibles à cette adresse.\\n\\n\\n\\n\\n📺 #LeDéfi en #EuroLeagueWomen diffusé en Facebook Live, commenté par @Aurebonnan1 & Benoit Roumet ! https://t.co/j4QMfJMmqL#FiertéTango pic.twitter.com/AsIHZu6rAI\\n\\n\\n— Tango Bourges Basket (@BourgesBasket) December 5, 2018\\n\\nPhoto : Anne Perrinet"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les dirigeants espagnols fiers de comment leur sélection s’est qualifiée pour la coupe du Monde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Défaite par la Turquie la semaine dernière, l’Espagne a dû attendre le match de dimanche face à l’Ukraine pour valider son ticket pour la coupe du Monde. En septembre 2019, la Roja sera bien présente en Chine pour disputer son dixième championnat du Monde de suite.\\n\\nSélectionneur de l’Espagne entre 2009 et 2012 puis de retour en 2015, Sergio Scariolo a, comme beaucoup de sélectionneurs, dû composer avec un groupe de joueurs qu’il n’avait pas l’habitude de voir avant. Maintenant que la qualification est acquise, il a tenu à les félicité chaleureusement.\\n\\n« Je me souviens quand nous avons commencé il y a un an et demi avec notre premier camp d’entraînement avec la plupart de ces joueurs-là. Il y avait tant de doutes, tant questions sur comment ça allait se passer. Grâce au coeur et au talent de ce groupe de joueurs, maintenant nous pouvons célébrer notre qualification pour la coupe du Monde. Tout le crédit revient à ces joueurs parce que du premier au dernier match, ils n’ont pas seulement fait le travail mais il l’ont fait avec passion, enthousiasme et union. Je suis vraiment fier d’eux. »\\n\\nLe président de la fédération Jorge Garbajosa a lui aussi remercié les joueurs qui ont qualifié l’Espagne.\\n\\n« Quand nous avons commencé cette magnifique aventure il y a un an nous savions que ça allait être difficile, mais pas dans quelle mesure. Un infini merci à ces joueurs et ce coaching staff. Ce qu’ils ont fait dans un moment si difficile, pas seulement pour la fédération mais pour le basket espagnol, d’envoyer l’Espagne à la coupe du Monde, je l’espère, jusqu’au Jeux Olympiques, c’est grâce à eux. »\\n\\nPropos repris du site de la FIBA.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Alex Abreu quitte Châlons-Reims"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec l’arrivée de Zabian Dowdell dans l’effectif de Cedric Heitz, il semblait clair que les heures d’Alex Abreu (1,80m, 27 ans) étaient comptées. C’est aujourd’hui officiel, le meneur de jeu quitte le CCRB.\\n\\nMême si son entraîneur lui renouvelait sa confiance il y a quelques semaines, les besoins de résultats (ndlr, le CCRB est treizième avec cinq victoires et six défaites) ont eu raison du portoricain. Sur son site, le club annonce que les deux parties sont parvenues à trouver un accord pour mettre un terme prématurément à leur collaboration. Irrésistible en Pro B la saison dernière à Orléans, le natif de Bayamon n’a pas réussi à faire la transition entre la deuxième et la première division française.\\n\\nCette saison, Alex Abreu compilait en moyenne 5,2 points, 1,7 rebond et 2,9 passes décisives pour une évaluation de 5,5 en 20 minutes de jeu.\\n\\nPhoto : CCRB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep® ÉLITE : votez pour le joueur du mois de novembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Youssou Ndoye (Bourg-en-Bresse), Lahaou Konaté (Nanterre) ou Youssoupha Fall (Strasbourg). Lequel de ces trois joueurs-là sera élu joueur du mois de novembre en Jeep Elite ? Pour voter, il faut se rendre ici et commenter le post de la LNB avec l’emoji associé au joueur que vous souhaitez soutenir.\\n\\nSur le mois de novembre, ces trois joueurs ont été irrésistibles avec des évaluations par match comprises entre 22 et quasiment 29 !\\n\\nDéjà très bon la saison dernière mais dans l’ombre de son coéquipier Zachery Peacock, élu MVP, Youssou Ndoye est irrésistible depuis le début de saison et son mois de novembre est encore plus épatant. En novembre, l’international sénégalais compilé 22,2 points, 11,5 rebonds et 2,2 contres pour une incroyable évaluation de 28,7. Il est le meilleur rebondeur et la troisième évaluation du championnat cette saison.\\n\\nOù s’arrêtera Lahaou Konaté ? Homme à tout faire de Nanterre, international français, le pote d’Evan Fournier est injouable depuis de longues semaines. Identifié comme fort défenseur, il a su progresser de l’autre côté du terrain et démontre désormais toute l’étendue de son talent tout en étant le joueur le plus régulier de son équipe qui n’a perdu qu’un seul match de Jeep Elite en novembre. Sur le mois écoulé, l’ancien du MSB 17,8 points, 6,4 rebonds et 2,2 passes décisives pour 22,4 d’évaluation. Nous l’avons interrogé il y a quelques jours, interview à retrouver ici.\\n\\nChampion en juin dernier avec Le Mans, Youssoupha Fall continue sa progression du côté de la SIG Strasbourg tout en dominant les raquettes adverses chaque week-end. En novembre, le géant strasbourgeois a cumulé 19,2 points, 9 rebonds et 2,25 contres pour 23,7 d’évaluation. Il est premier à l’évaluation, aux contres et aux pourcentages à deux points en Jeep Elite cette saison.\\n\\nhttps://www.facebook.com/LNBOfficiel/videos/2010366189043974/"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : le top 5 des derniers matchs de qualification de novembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La cinquième fenêtre internationale s’est terminé hier soir et la FIBA propose aujourd’hui le Top 5 des derniers matchs.\\n\\nC’est le Georgien Giorgi Shermadini qui pointe à la première place grâce à son panier au buzzer qui donne la victoire à son pays face à l’Israël. Grâce à cette victoire, la Géorgie reste en course pour la qualification à la coupe de Monde.\\n\\nÀ la deuxième place, ce sont nos Français Jonathan Rousselle et Yakuba Ouattara qui sont présents. Le meneur de jeu limougeaud envoie l’arrière monégasque en orbite pour un gros alley-oop dans la victoire des Bleus face à la Bulgarie.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=uW6Yg14vBQ8\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tous les qualifiés pour la coupe du Monde 2019 après la cinquième fenêtre internationale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La quatrième fenêtre internationale terminée, il est temps de faire le point sur tous les qualifiés pour la coupe du Monde 2019 qui se déroulera en Chine.\\n\\nSi on connait la majorité des équipes qui participeront aux championnats du monde, il reste encore treize places à prendre entre les quatre zones mondiales. Avec le nouveau système de qualification qui a vu les fenêtres internationales faire leur retour après plus d’une décennie d’absence, de nombreuses équipes ont été privées de leurs joueurs évoluants en NBA ou encore en Euroleague, voire même en Eurocup dans certains cas. C’est la raison pour laquelle on voit des équipes comme le Brésil, la Serbie ou encore la Russie lutter pour obtenir leur spot.\\n\\nLa Slovénie, championne d’Europe en titre, a même payé le prix fort puisqu’elle n’a pas pu compter sur Luka Doncic, Anthony Randolph ou encore Klemen Prepelic, pointe tout en bas du groupe A (2v-8d) et voit ses chances de participer la coupe du Monde réduites à zéro.\\n\\nVoici un point sur les qualifiés à l’heure actuelle et ceux qui joueront leur qualification en février prochain.\\n\\n * Zone Afrique :\\n   \\n   * Angola\\n   * Nigéria\\n   * Tunisia\\n   \\n\\nIl reste encore donc deux places pour la zone Afrique. Elles se joueront entre le Senegal, le Cameroun et l’Egypte.\\n\\n * Zone Amérique :\\n   \\n   * Argentine\\n   * Venezuela\\n   * Etats-Unis\\n   * Canada\\n   \\n\\nIl reste encore trois spots dans la zone Amérique. L’Uruguay, Porto-Rico, le Brésil et la République Domicaine sont encore en course.\\n\\n * Zone Asie\\n   \\n   * Chine\\n   * Australie\\n   * Corée du Sud\\n   * Nouvelle-Zélande\\n   \\n\\nComme pour l’Amérique, il reste trois places à prendre dans la zone Asie. Le Liban, la Jordanie, l’Iran, le Japon, les Philippines et le Kazakhstan peuvent encore espérer une qualification.\\n\\n * Zone Europe\\n   \\n   * République Tchèque\\n   * France\\n   * Allemagne\\n   * Grèce\\n   * Lituanie\\n   * Espagne\\n   * Turquie\\n   \\n\\nLa zone Europe sera la plus représentée à cette coupe du Monde et il reste encore cinq places à prendre. Le Monténégro, la Lettonie, l’Ukraine, l’Italie, la Pologne, la Hongrie, la Russie, la Finlande, la Serbie et la Géorgie sont encore en balance.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"France-Bulgarie – Vincent Collet: «Ces joueurs ont montré des choses et pas seulement du point de vue de l’état d’esprit»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce soir, à Limoges, l’équipe de France, déjà qualifiée pour la Coupe du monde en Chine, va livrer un nouveau match, face à la Bulgarie, la seule équipe qui a réussi jusqu’à présent à la faire chuter dans ces qualifications (68-74). Au Novotel où les Bleus sont descendus, le coach Vincent Collet a donné hier midi avant de passer à table ses impressions sur ce nouveau défi et aussi les futures échéances.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe fait d’être qualifié pour la Coupe du monde va-t-il changer l’approche des trois matches de qualification qui demeurent au programme. Peut-on les considérer comme des matches de préparation pour la Coupe du monde, un moyen déjà de sélectionner les joueurs ?\\n\\nUne préparation, ça me paraît difficile. On ne va pas avoir davantage les joueurs de NBA et d’Euroleague mais par contre continuer à travailler, oui, car certains joueurs qui ont fait les fenêtres ont montré des choses et sont susceptibles d’être des joueurs de complément dans l’équipe qui ira en Chine cet été. On peut s’en servir et aussi intégrer en février deux ou trois jeunes en plus dont Théo (NDLR : Maledon, ASVEL, 17 ans), qui est déjà partenaire d’entraînement sur cette fenêtre et qui pourrait devenir titulaire à la prochaine fenêtre s’il confirme d’ici là mais il n’y a pas de raison. Mais surtout continuer à gagner des matches et de montrer un visage conquérant quelle que soit l’équipe en place. On n’a jamais eu la même équipe au cours de ces fenêtres. On veut continuer avec cette idée-là et dès demain. Ce que l’on a dit aux joueurs hier et surtout ce matin, c’est que le challenge c’est d’essayer de battre les Bulgares qui sont pour l’instant la seule équipe qui nous ait battus dans cette fenêtre alors qu’on avait Nicolas Batum, Nando De Colo et Vincent Poirier en plus de l’équipe actuelle.\\n\\nEux n’ont pas Dee Boost et Aleksandar Venzenkov. Pas de raison qu’ils soient là demain ?\\n\\nD’après ce que l’on sait, non. On est allé à la pêche aux infos auprès d’Axel Toupane (NDLR: son équipier à Olympiakos) et Vezenkov ne fera pas le voyage et moi j’avais eu Dee il y a une dizaine de jours et il m’avait dit qu’a priori le Khimki (Moscou) ne le laisserait pas partir.\\n\\nVous pourriez aussi vous retrouver en position d’arbitre vis-à-vis de la Finlande et de la Russie au mois de février ? Vous irez en Finlande pour gagner ?\\n\\nBien sûr ! C’est le respect des adversaires. On n’est pas tout seul. Même la Bulgarie en ayant battu la Bosnie peut encore prétendre se qualifier même si c’est compliqué. Ils reçoivent les Russes. Si on va gagner en Finlande, qu’ils gagnent demain et tous les autres matches, ils peuvent encore se qualifier. On a effectivement un rôle que l’on doit tenir avec le plus grand sérieux. Pour notre statut, on veut aussi gagner les matches.\\n\\nLa Slovénie ne sera pas à la Coupe du monde, la Serbie, la Croatie, la Russie, l’Espagne ne sont pas encore qualifiées...\\n\\nSurtout les Serbes ! Comme toujours je pense que ces fenêtres ce n’est pas bien car ça ne reflète pas la réalité de notre sport. La deuxième chose c’est que l’on a la chance d’avoir un réservoir qui nous a permis jusqu’à présent de garder une compétitivité mais jusqu’à quand ? Les choses vont encore évoluer. Villeurbanne sera en Euroleague l’an prochain et ils auront un certain nombre de joueurs qui actuellement jouent pour nous et qui ne pourront plus venir. Tout cela risque de compliquer encore plus la situation.\\n\\nComment expliquez-vous le fait que l’équipe de France est à géométrie variable et on a l’impression qu’elle donne à chaque fois 100% ?\\n\\nCe n’est pas qu’une impression. Il faut rendre hommage -j’en profite pour le faire- à tous les joueurs qui constituent ce groupe depuis la première fenêtre de novembre (2017). On leur avait demandé de venir sans état d’âme mais fallait-il encore qu’ils le fassent. Beaucoup ne seront pas à la coupe du monde. Ils le savent, il n’y a pas de trahison, c’est ce qui a été dit dès le premier jour. Ce qui est remarquable chez eux c’est qu’ils ont toujours su mettre leur égo de côté et ils ont joué avec un altruisme incroyable, une abnégation, un enthousiasme sans faille. Notamment lors de cette fenêtre et depuis le premier entraînement du lundi soir à Nanterre. J’espère qu’on va finir le travail en beauté, que derrière on va faire un bon match pour justement concrétiser ce que l’on a fait depuis lundi dernier. Entre ceux que j’avais sélectionné il y a quinze jours et ceux qui ont démarré lundi dernier, il y avait encore beaucoup de changements. On avait trois intérieurs différents de ceux que l’on avait sélectionné et malgré tout à chaque fois on a affiché le même état d’esprit. C’est une vraie réussite. On le doit à nos joueurs et c’est eux qu’il faut féliciter.\\n\\n« Je ne veux surtout pas polémiquer mais je pense que Tony (Parker) a été maladroit quand il a parlé d’équipe 6 »\\n\\nCeux qui ont fait tous les matches, Andrew Albicy et Paul Lacombe transmettent cet état d’esprit aux nouveaux ?\\n\\nBien sûr. Il y a des leaders qui s’installent. (Alain) Koffi aussi, qui est un peu le papa de l’équipe. Il sait très bien qu’il a peu de chance d’aller en Chine et il s’est malgré tout investi pour communiquer sa flamme. Je crois qu’ils sont potes entre eux comme ils le disent très bien et ils ont plaisir à montrer des choses. Je ne veux surtout pas polémiquer mais je pense que Tony (Parker) a été maladroit quand il a parlé d’équipe 6 (NDLR : en fait F). C’est pareil, c’est la sixième lettre de l’alphabet (sourire). Ce qu’il faut retenir c’est que ces joueurs ont montré des choses et pas seulement du point de vue de l’état d’esprit mais aussi du basket. Si on est qualifié c’est qu’ils ont démontré qu’avec un état d’esprit ET des qualités de basketteurs -même s’ils en ont moins que d’autres-, ils ont su afficher un niveau intéressant. On a quand même battu la Russie et c’était une perf’ basket. Pour gagner en République Tchèque, même s’il n’y a pas (Tomas) Vesely et (Tomas) Sotoransky -mais ils avaient gagné pratiquement tous les autres matches sans eux- il a fallu afficher du basket. C’est plutôt rassurant sur notre réservoir de joueurs français.\\n\\nJe suppose que vous scoutiez Amath Mbaye depuis longtemps mais son passé en France est déjà lointain. Avez-vous été surpris par son niveau ?\\n\\nOn a déjà failli le prendre l’année dernière, on était très proche. On le regarde depuis qu’il est en Italie. On avait été interpellé par ses performances avant qu’il aille à Milan. Il était un joueur dominant en Italie. C’est la deuxième performance pour un débutant depuis Bob Riley il y a quarante ans (NDLR : en fait, la cinquième, toutes générations confondues). Je ne suis pas sûr non plus qu’il va faire ça à chaque fois. Malgré tout, c’était super et ça nous a permis de gagner le match de vendredi. Depuis le début du stage son intégration a été bluffante. Il est arrivé là avec beaucoup de respect et aussi beaucoup d’aisance. On ne l’a jamais senti bloqué mais je crois aussi que c’est le groupe qui permet ça. L’accueil des autres est toujours très bon envers les nouveaux. C’est le cas aussi jusqu’à Jean-Marc Pansa (Nanterre) dont il n’a jamais été question qu’il puisse jouer les matches. Il s’est aussi fondu dans le moule très aisément. Je pense que ça aurait le cas avec (Sekou) Doumbouya (Limoges) qui devait être le deuxième partenaire d’entraînement s’il n’y avait eu son petit problème au genou.\\n\\nC’est peut-être aussi plus facile de s’intégrer avec toutes ces absences ? Il y a peut-être moins d’égos ?\\n\\nJe crois que les statuts sont aussi moins marqués. Même les leaders comme Paul (Lacombe) et Andrew (Albicy) savent aussi ce que c’est d’arriver dans un groupe où tu n’es pas tout de suite reconnu. C’est moins tranché que lorsque l’été, on accueillait les nouveaux joueurs aux côtés des stars, et qu’ils devaient faire leur place. Il y a aussi la notion de temps. Là, tout va tellement vite. On n’a pas le choix, il faut que tout se fasse vite. On va au plus simple. On s’est entraîné cinq fois avant de partir en Tchéquie et on ne peut pas installer un jeu comme en club. On limite les options défensives et on utilise au maximum les qualités de nos joueurs, à savoir la vitesse, la valeur athlétique et puis aussi leur niveau de jeu. Ça reste de bons joueurs qui sont capables très vite de produire des choses ensemble.\\n\\nL’équation pour l’été prochain, c’est de concilier les talents de ceux qui vont constituer l’essentiel de l’équipe et conserver cet état d’esprit. C’est une équation compliquée ?\\n\\nOui. Pour l’instant, elle n’est pas résolue. On a clairement l’exemple de 2017 où on ne l’avait pas totalement résolue. Il faut que l’on fasse mieux, on le sait. Il est hors de question de faire un clivage... Si les fenêtres vont servir à quelque chose c’est qu’elles nous montrent que même avec moins de qualités basket, on est capable de faire de belles choses. On a la chance d’avoir des joueurs de grand talent et bien sûr que l’on va s’appuyer sur eux. Il est hors de question de vouloir faire l’inverse. Mais par contre effectivement, il faut que l’on essaye de conserver cet état d’esprit. Le travail ne commencera pas fin juillet avec le début de la préparation mais bien avant. Il faut faire un travail pour que les joueurs s’approprient cette notion-là. L’état d’esprit va être ce qui va bonifier toutes les qualités qu’ils peuvent avoir qui sont réelles et incontestées. Mais on sait très bien que ce n’est pas seulement avec des basketteurs de talent que l’on fait une grande équipe. Une grande équipe c’est d’abord son état d’esprit qui la fait vivre. Et c’est pour cela qu’il faut absolument résoudre cette équation.\\n\\n[armelse]\\n\\nLe fait d’être qualifié pour la Coupe du monde va-t-il changer l’approche des trois matches de qualification qui demeurent au programme. Peut-on les considérer comme des matches de préparation pour la Coupe du monde, un moyen déjà de sélectionner les joueurs ?\\n\\nUne préparation, ça me paraît difficile. On ne va pas avoir davantage les joueurs de NBA et d’Euroleague mais par contre continuer à travailler, oui, car certains joueurs qui ont fait les fenêtres ont montré des choses et sont susceptibles d’être des joueurs de complément dans l’équipe qui ira en Chine cet été. On peut s’en servir et aussi intégrer en février deux ou trois jeunes en plus dont Théo (NDLR : Maledon, ASVEL, 17 ans), qui est déjà partenaire d’entraînement sur cette fenêtre et qui pourrait devenir titulaire à la prochaine fenêtre s’il confirme d’ici là mais il n’y a pas de raison. Mais surtout continuer à gagner des matches et de montrer un visage conquérant quelle que soit l’équipe en place. On n’a jamais eu la même équipe au cours de ces fenêtres. On veut continuer avec cette idée-là et dès demain. Ce que l’on a dit aux joueurs hier et surtout ce matin, c’est que le challenge c’est d’essayer de battre les Bulgares qui sont pour l’instant la seule équipe qui nous ait battus dans cette fenêtre alors qu’on avait Nicolas Batum, Nando De Colo et Vincent Poirier en plus de l’équipe actuelle.\\n\\nEux n’ont pas Dee Boost et Aleksandar Venzenkov. Pas de raison qu’ils soient là demain ?\\n\\nD’après ce que l’on sait, non. On est allé à la pêche aux infos auprès d’Axel Toupane (NDLR: son équipier à Olympiakos) et Vezenkov ne fera pas le voyage et moi j’avais eu Dee il y a une dizaine de jours et il m’avait dit qu’a priori le Khimki (Moscou) ne le laisserait pas partir.\\n\\nVous pourriez aussi vous retrouver en position d’arbitre vis-à-vis de la Finlande et de la Russie au mois de février ? Vous irez en Finlande pour gagner ?\\n\\nBien sûr ! C’est le respect des adversaires. On n’est pas tout seul. Même la Bulgarie en ayant battu la Bosnie peut encore prétendre se qualifier même si c’est compliqué. Ils reçoivent les Russes. Si on va gagner en Finlande, qu’ils gagnent demain et tous les autres matches, ils peuvent encore se qualifier. On a effectivement un rôle que l’on doit tenir avec le plus grand sérieux. Pour notre statut, on veut aussi gagner les matches.\\n\\nLa Slovénie ne sera pas à la Coupe du monde, la Serbie, la Croatie, la Russie, l’Espagne ne sont pas encore qualifiées...\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"France-République Tchèque en février à Nantes. De nouvelles fenêtres pour l’Euro 2021 ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« J’ai vécu une très belle fenêtre, » a déclaré hier soir à Limoges le président Jean-Pierre Siutat suite à la victoire de l’équipe de France sur la Bulgarie. « On a vu un groupe fantastique. Ça me rappelle la première mi-temps en Belgique lors du premier match où c’était catastrophique, on se demandait où on allait. Et là on va en Chine et surtout avec la manière. Ce que l’on a montré ce soir est magique. On le sent, les joueurs, le public sont contents. Tout le monde est content. C’est bon signe. »\\n\\nAlors que les joueurs de NBA et d’Euroleague ont mis les mains dans le cambouis selon leurs disponibilités, on remarque que ce sont 9 joueurs de la Jeep Elite sur 12 qui étaient présents sur le terrain de Beaublanc.\\n\\n« C’est tout le basket français qui en sort grandi y compris la Ligue Nationale et les clubs professionnels. On sait que l’on n’a pas les moyens d’avoir des joueurs de très haut niveau sur le plan européen mais le travail de formation est fait. On a retrouvé des gens qui n’étaient pas à ce niveau depuis quelques années mais qui étaient dans les équipes de France de jeune, qui ont été médaillés et qui ont continué leur carrière en Jeep Elite. Ce que l’on peut souhaiter, c’est que lors des prochaines fenêtres, il y ait deux équipes françaises en Euroleague et qu’elles puissent libérer les joueurs pour qu’ils puissent jouer (en équipe de France). Cela voudrait dire que l’on aurait réglé tous nos problèmes. »\\n\\nLes Bleus ont désormais pour mission de terminer les phases de qualification à la place la plus élevée dans le ranking FIBA, afin d’être tête de série lors du tirage des groupes de la Coupe du Monde.\\n\\nLeur prochain rendez-vous est fixé le jeudi 21 février 2019 en Finlande et c’est à Nantes qu’ils affronteront la République Tchèque le dimanche 24 février à 17h00 pour le dernier match de ces fenêtres. C’est la salle sportive métropolitaine de Rezé de Nantes Métropole connue également sous le nom de La Trocardière qui servira d’écrin.\\n\\n« Nantes et tout le territoire, c’est un territoire de basket. Symboliquement, ça nous a porté chance avec l’équipe de France féminine. On y avait gagné un ticket olympique. J’espère que l’on va y montrer une belle image comme ce soir, » a commenté le président fédéral.\\n\\nLa Fédération Internationale a dans ses cartons d’utiliser la même formule des fenêtres internationales pour l’Euro 2021 sachant que celle-ci est loin d’avoir fait l’unanimité pour ces qualifications à la Coupe du monde et que le décès brutal de son secrétaire-général Patrick Baumann, dont le successeur n’est toujours pas connu, a eu l’effet d’un tremblement de terre au sein de l’instance. Cette formule sera-t-elle ainsi appliquée pour le prochain Euro ?\\n\\n« Joker ! » répond Jean-Pierre Siutat. « Aujourd’hui, il se passe des choses au niveau international. Il y a un bureau mondial le week-end prochain. Je n’y serai pas puisque j’ai privilégié le comité directeur de la fédération mais on va voir ce qui s’y passe. Je suis incapable de dire si c’est encore d’actualité ou pas. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les clubs et les réseaux sociaux – Thibault Daignez (Gravelines): «Le club sent qu’il y a un virage à prendre là-dessus...»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’avez-vous remarqué, depuis quelques mois les clubs de Jeep Elite sont davantage performants sur les réseaux sociaux ? La grande majorité -et aussi certains clubs de Pro B et de Ligue Féminine- ont pris conscience de leur importance pour leur communication externe et atteindre de nouvelles cibles. Pour tout savoir, nous avons interrogé quatre responsables en la matière : Thibault Daignez (chargé de communication digitale au BCM Gravelines-Dunkerque), Anthony Marques (responsable marketing et communication à Nanterre 92), Alexis Dilas (responsable communication à la JL Bourg) et Clément Vauchel (responsable marketing digital de la Ligue Nationale de Basket).\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuel est votre parcours professionnel et celui de basketteur ?\\n\\nJ’ai joué au basket pendant quinze ans, à Orchies puis en minimes et cadets France à Calais Basket. Je me suis arrêté à ce niveau donc rien d’extraordinaire à raconter sur ma carrière de basketteur. J’ai été diplômé l’année dernière, un Master 2 en communication digitale que j’ai obtenu à l’ISTC de Lille. Pendant ce parcours, j’ai eu l’occasion d’aller six mois aux Etats-Unis à Marquette University pour apprendre le marketing et la communication. J’ai fait un stage au club de Pro B de Lille. J’ai rejoint le BCM il y a un an et demi dans un premier temps en tant que stage de fin d’études et puis ils m’ont pris pour gérer les réseaux sociaux, les développer. Je suis maintenant parti sur des missions plus globales, 360, avec une vraie vision marketing à apporter au club pour développer nos offres aux partenaires et aux particuliers.\\n\\nVous collaborez avec Julie Dumelié dont le frère Xavier est kiné au club de Limoges ?\\n\\nExactement. Julie est de Dunkerque et elle a suivi une formation d’attachée de presse et de communication globale à l’EFAS à Lille et elle a aussi un Master 2 en poche. Elle entame sa quatrième année au club. A la base, elle est arrivée au BCM pour gérer la web radio, un service que l’on a supprimé ensuite. On se réparti les missions et elle est en charge de tous les multimedias, la prise de photos, création vidéo, graphique et aussi contenu rédactionnel.\\n\\nVous avez fait notamment des reportages inside ?\\n\\nOn a fait ça l’année dernière, c’était un projet sur une saison. Le but est de créer le contenu qui est adapté à chaque réseau social. Facebook, c’est vraiment du grand public. C’est très informatif et il faut choisir les bons mots pour parler à une cible très large. Sur Twitter, on sait que l’on va s’adresser à des professionnels donc on peut se permettre d’avoir un langage un peu plus technique et un peu plus poussé, plus à l’intérieur du basket. Pour Instagram, on part sur quelque chose d’un peu plus ludique, des stories, de la préparation, des vestiaires. C’est basé sur une population plus jeune, 15-30 ans. On a une communauté d’à peu près 11 000 personnes sur Twitter et d’un peu moins de 6 000 sur Instagram. Le community management c’est 20-30% de notre travail. On touche à plein d’autres choses. On a aussi la charge de créer l’ensemble des supports pour les commerciaux, de leur mettre à disposition tous les outils dont ils ont besoin, les plaquettes commerciales, etc. On a aussi une mission marketing au moment de lancer les nouveaux produits. On a en charge les missions citoyennes avec les joueurs et relayer le fait que le club est ancré dans la communauté. On gère aussi la boutique, les animations pendant les matches, mettre toutes les infos sur le site internet, les encarts pour la billetterie, etc.\\n\\nCherchez-vous l’originalité ou prenez-vous ce qui se fait à gauche, à droite ?\\n\\nBien sûr on fait du benchmark de façon régulière, tous les jours. On regarde ce qui se fait dans les clubs NBA ou NFL, etc. Donc, on s’inspire beaucoup de ce qui se fait ailleurs. On l’adapte à notre public et aussi aux formats que l’on souhaite créer. Cette saison, on a des formats plus ludiques pour mettre en avant les à côtés des joueurs que ne voient pas forcément les supporters qui viennent à Sportica. L’objectif c’est donc de s’inspirer des contenus fait par les autres pour pouvoir réaliser les contenus qui nous correspondent réellement.\\n\\n« On veut créer un contenu plus inside pour nos supporters. C’est là où on va pouvoir se démarquer dans la communication du club »\\n\\nLe BCM considère t-il aujourd’hui les réseaux sociaux comme un facteur important pour son développement et notamment conquérir un nouveau public ?\\n\\nJe pense très sincèrement que c’est le cas et je pense en être la preuve puisqu’ils ont investi sur moi pour pouvoir développer ça. Ils avaient un réel besoin à mon arrivée d’un développement sur les plateformes digital, que ce soit le site internet ou les réseaux sociaux. On commence à mettre un peu plus de moyens humains et financiers sur les réseaux sociaux. Le club sent qu’il y a un virage à prendre là-dessus surtout sur le renouvellement et le rajeunissement de notre fréquentation. On a un public qui est historique à Sportica. Il ne faut surtout pas le mettre de côté et on communique de façon très régulière auprès de lui. On essaye aussi d’aller séduire une population un peu plus jeune avec des messages plus fun sur les réseaux sociaux.\\n\\nLes joueurs sont-ils disponibles pour tout ce que vous leur demandez et cela les amuse-t-il ou sont-ils chagrinés que vous les surprenez dans leur intimité ?\\n\\nA partir du moment où on rentre dans leur intimité et qu’on leur fait comprendre qu’on ne montrera pas leurs moments les plus forts, les plus intimes, ils comprennent qu’une relation de confiance est en train de se créer. La plupart des joueurs savent aujourd’hui l’intérêt des réseaux sociaux et de l’utilisation de leur image, que ce soit pour les clubs ou pour eux. Lorsqu’on a fait les insides l’année dernière, ça été très bien accueilli par Arnaud Marius, notre directeur sportif, et Julien Mahé qui nous a laissés un accès important aux vestiaires et à la vie de tous les jours. Les joueurs ont bien joué le jeu et ils sont allés chercher la caméra à certains moments. C’est ce qu’on essaye de faire maintenant sur notre communication sur Instagram. On les sollicités de façon régulière avec un ton un peu plus informel. On a donné par exemple notre portable à Giovan Oniangue, qui nous a rejoint dernièrement, en lui disant : « peux-tu passer un message à nos supporters ? en disant ‘j’ai hâte de vous voir’, etc .» On leur donne l’accès directement et on essaye de casser cette barrière entre le joueur et le supporter. On veut qu’il s’adresse directement à lui. Ça fait partie de notre stratégie de créer un lien direct et les joueurs ont pris conscience de ça et les supporters en sont friands.\\n\\nC’est un rapport direct joueurs-supporters que l’on connaît depuis quelques années sans transiter par les médias ?\\n\\nL’idée n’est pas tant que squeezer les médias mais pour moi de créer un contenu qui est tout autre que ce que les médias peuvent proposer. On sait très bien que dans la façon d’écrire, de faire des résumés de match, les journalistes le feront toujours bien mieux que nous. On veut créer un contenu plus inside pour nos supporters. C’est là où on va pouvoir se démarquer dans la communication du club.\\n\\nOn peut constater que vos commentaires d’après-match sont peu importants comparativement à par exemple celui de la SIG Strasbourg qui est très riche ?\\n\\nC’est parfaitement ça. On a aussi décidé de laisser la place aux journalistes. On a la chance d’avoir de très bons journalistes qui nous suivent, que ce soit à La Voix du Nord, Le Phare Dunkerquois, Nord Littoral, etc, une presse très spécialisée basket comme BasketEurope. On se dit que les supporters, les fans de basket pourront trouver ce contenu quoiqu’il arrive. On veut montrer le côté humain de nos joueurs, le côté spectacle.\\n\\nEtes-vous en concurrence avec les autres clubs de Jeep Elite pour savoir lequel a le plus de followers ou pour avoir le meilleur contenu possible ?\\n\\nOn s’adresse tous plus ou moins aux mêmes personnes car la communauté basket n’est pas énorme en France. Il y a des clubs qui se démarquent et je pense notamment à Nanterre qui fait un contenu graphique très proche de ce qu’il faut créer à mes yeux. Je pense aussi à certains formats mis en place par Chalon ou Strasbourg. Je ne pense pas qu’il y ait une réelle concurrence entre nous. Je pense que l’on essaye plus de se tirer vers le haut. Je suis très souvent en contact avec certains responsables de communication. Céline Malosse, qui est notre responsable de la communication, et Julie, sont aussi très proches de responsables de communication des clubs de Jeep Elite. On essaye de travailler ensemble pour plus mettre le basket sur le devant de la scène plutôt que de se tirer dans les pattes et de mettre un club plus en avant que d’autres.\\n\\n« Comme dans les facs américaines, ce qui peut faire la différence en Jeep Elite, c’est la liberté de mouvement que l’on a »\\n\\nCe qui est marquant, c’est qu’autant en NBA il y a une certaines uniformité, en Jeep Elite chacun à sa spécificité ? Par exemple, le BCM produit beaucoup de photos.\\n\\nOn essaye chacun de proposer un contenu différent. Nanterre, c’est beaucoup de créations graphiques très bien faites, très fun, basées sur les jeunes. Nous, on propose du contenu pour chaque cible, chaque réseau que ce soit des photos, des textes. On prend le temps d’écrire, de raconter des histoires. On est très dans le story telling. Strasbourg va mettre beaucoup de vidéos, d’images d’actions de basket. Chacun a ses spécificités et c’est ce qui fait l’intérêt de nos réseaux sociaux en Jeep Elite. On va tous pouvoir développer nos propres histoires et mettre en avant nos propres contenus pour mettre le basket français sur le devant de la scène, prendre ce virage qui est très important pour l’avenir.\\n\\nOn sent un coup de booster depuis le début de la saison ?\\n\\nTout le monde prend conscience de l’importance des réseaux sociaux et y met sa patte. En plus d’être champion, Le Mans a mis beaucoup de moyens sur sa communication notamment avec le travail de Momentum Productions. Ils ont sorti un reportage quand ils sont devenus champions contre Monaco. Les clubs recrutent de plus en plus des personnes dotées d’une réelle compétence digitale pour une stratégie sur le court, moyen et long terme. Certains clubs qui sont un peu en retard prennent conscience que la présence sur les réseaux sociaux est incontournable.\\n\\nQu’aimeriez-vous faire de plus dans les prochains mois ? Comme vous avez fait un stage à Marquette, vous avez pu faire un stage aux Etats-Unis et on sait que ce sont les précurseurs à la fois dans le basket et le digital. Que font-ils de plus que nous ?\\n\\nLà où ils sont très forts c’est qu’ils arrivent à ramener le fun qu’ils ont sur leurs réseaux sociaux à l’intérieur de leur salle. Nous, on pêche un peu sur les prestations que l’on propose en terme d’animations dans nos enceintes, des choses fun, décalées, qui sortent des méthodes des années quatre-vingt-dix qui sont encore très présentes dans le basket en France. Pour avoir travaillé un peu pour Marquette et fait un peu de bénévolat pour les Milwaukee Bucks, c’est très impressionnant de voir ce qu’ils mettent en place à l’intérieur de leur salle, que ce soit en services à la personne, les animations sur l’écran géant. Si on veut développer les animations dans nos salles, il faut absolument avoir des outils adaptés à la création de contenus pour nos fans. Si tout le monde dispose d’un écran géant, l’expérience in Stadium sera complètement différente demain. On pourra proposer un contenu aux supporters et aussi aux « non fans » qui viennent au basket pour voir du spectacle quelque chose de tout autre. C’est un outil dans lequel nous devons investir pour développer la communication de demain.\\n\\nMarquette, qui est une université lambda parmi les major colleges, a t-elle un service pour les réseaux sociaux de grande qualité au même niveau que la NBA ?\\n\\nC’est très avancé. Ils ont beaucoup d’étudiants -donc de turnovers- qui se mettent au service du développement de leurs réseaux. Ils ont des communautés avec des étudiants et des fans de longue date dans le Wisconsin. Marquette développe un contenu très jeune, très décalé, que la NBA ne peut pas forcément proposer car c’est très formalisé et aseptisé. Je pense que c’est ça l’avantage des petites universités. Les gens se retrouvent dans cette communication, c’est un peu leur Madeleine de Proust, et c’est aussi ce que l’on doit proposer à nos supporters. J’aime beaucoup ce que fait la NBA, ils travaillent avec des personnes très en avance sur leur temps, mais c’est devenu très informatif et on perd tout le côté spectacle. Adam Silver (NDLR : le Commissionner) prend un autre virage en terme de communication, ça fonctionne puisque la NBA est toujours la première ligue au monde. Mais comme dans les facs américaines, ce qui peut faire la différence en Jeep Elite, c’est la liberté de mouvement que l’on a.\\n\\n[armelse]\\n\\nQuel est votre parcours professionnel et celui de basketteur ?\\n\\nJ’ai joué au basket pendant quinze ans, à Orchies puis en minimes et cadets France à Calais Basket. Je me suis arrêté à ce niveau donc rien d’extraordinaire à raconter sur ma carrière de basketteur. J’ai été diplômé l’année dernière, un Master 2 en communication digitale que j’ai obtenu à l’ISTC de Lille. Pendant ce parcours, j’ai eu l’occasion d’aller six mois aux Etats-Unis à Marquette University pour apprendre le marketing et la communication. J’ai fait un stage au club de Pro B de Lille. J’ai rejoint le BCM il y a un an et demi dans un premier temps en tant que stage de fin d’études et puis ils m’ont pris pour gérer les réseaux sociaux, les développer. Je suis maintenant parti sur des missions plus globales, 360, avec une vraie vision marketing à apporter au club pour développer nos offres aux partenaires et aux particuliers.\\n\\nVous collaborez avec Julie Dumelié dont le frère Xavier est kiné au club de Limoges ?\\n\\nExactement. Julie est de Dunkerque et elle a suivi une formation d’attachée de presse et de communication globale à l’EFAS à Lille et elle a aussi un Master 2 en poche. Elle entame sa quatrième année au club. A la base, elle est arrivée au BCM pour gérer la web radio, un service que l’on a supprimé ensuite. On se réparti les missions et elle est en charge de tous les multimedias, la prise de photos, création vidéo, graphique et aussi contenu rédactionnel.\\n\\nVous avez fait notamment des reportages inside ?\\n\\nOn a fait ça l’année dernière, c’était un projet sur une saison. Le but est de créer le contenu qui est adapté à chaque réseau social. Facebook, c’est vraiment du grand public. C’est très informatif et il faut choisir les bons mots pour parler à une cible très large. Sur Twitter, on sait que l’on va s’adresser à des professionnels donc on peut se permettre d’avoir un langage un peu plus technique et un peu plus poussé, plus à l’intérieur du basket. Pour Instagram, on part sur quelque chose d’un peu plus ludique, des stories, de la préparation, des vestiaires. C’est basé sur une population plus jeune, 15-30 ans.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Equipe et Jean-Michel Mipoka (BCM)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet: «Si on conserve les valeurs vues sur ces fenêtres, on pourra avoir un destin à la Coupe du monde»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Contrat rempli pour les Bleus et leur coach Vincent Collet qui participera en Chine l’été prochain à sa troisième Coupe du monde.\\n\\nVos conclusions suite à cette victoire contre la Bulgarie ?\\n\\nJe trouve qu’on a fait le job. Cette fenêtre, du début à la fin, a été très bonne. J’ai vraiment apprécié l’investissement des joueurs sur ces huit jours. Comme Andrew (Albicy) l’a dit, ce soir, on voulait terminer sur une victoire. Chacun de ces jours a été intéressant, pas seulement le match contre la République Tchèque mais chaque entraînement, ils étaient prêts. Prêts à donner le meilleur d’eux- mêmes et on ne voulait rien gâcher. Notamment parce que ce match était spécial. On venait ici pour honorer la mémoire de Fred Forte. Et les gars l’ont fait. On a raté quelques shoots mais c’étaient des tirs ouverts. On aurait pu être un peu meilleurs en attaque mais défensivement, l’investissement a été très intéressant. Très peu d’erreurs et je pense qu’on peut féliciter les joueurs pour tout ce qu’ils ont donné sur ces fenêtres. Cette équipe est magnifique. Parce qu’elle a toujours tout donné avec ses capacités. Et on s’aperçoit que ça produit quand même des choses très intéressantes. Quand bien même on sait très bien qu’il nous manque de grands joueurs. Mais malgré tout, on est vraiment contents de ce que les joueurs ont produit et il faut leur rendre hommage. Ils ont accompli un travail admirable et avec la grande qualité de ne pas avoir d’états d’âme. Il n’y en a aucun qui se préoccupe de la suite. Et puis ce que j’ai adoré ce soir, c’est la joie du banc lorsque Yakuba Ouattara a commencé à marquer des paniers. Pour moi, ça c’est la marque d’une grande équipe. Et bien sûr on peut trouver une plus forte équipe d’un point de vue basket que celle-là mais ils ont des comportements de grande équipe. Ils jouent les uns pour les autres. Ils sont heureux quand leur coéquipier brille et ça c’est formidable. A chaque panier de Yakuba, ils se tapaient dans les mains, ils sautaient du banc et ils attendaient le prochain. Ça fait plaisir à voir. Je me suis régalé toute la semaine. J’attends la prochaine fenêtre avec impatience. C’était vraiment une semaine où on a pris beaucoup de plaisir. J’aurai été déçu qu’on ne gagne pas ce soir. Après avoir gagné vendredi et le sérieux affiché depuis, notamment les deux séances d’entrainement, renseigne sur ce groupe : son humilité, sa volonté, son enthousiasme. Ce sont des valeurs qui nous ont aidé à accomplir ça. On sait très bien qu’il faudra d’autres valeurs pour essayer de performer à la coupe du Monde mais ce n’est pas grave. Il ne faut pas se priver de dire que c’était bien et que ça fait plaisir.\\n\\nQu’est-ce que représente pour vous et pour le basket français cette qualification à la coupe du Monde ?\\n\\nOn a de bons souvenirs sur la dernière édition. Déjà, c’était notre objectif. Malgré des conditions qui étaient difficiles dès le départ, on n’a jamais envisagé de ne pas y être. On est content d’y être avant la dernière fenêtre et les trois derniers matches. On est premiers de notre poule, on va essayer de continuer à y mettre la manière. Je pense que le basket français se devait d’y être. On est troisième nation mondiale, même si on a raté notre dernier championnat d’Europe, on sait que les choses vont très vite en sport mais on a malgré tout un réservoir qui est vraiment important. Et on a la capacité à construire une équipe vraiment performante, mais au même titre que d’autres. Il faudra les valeurs qu’on a affiché depuis le début de ces fenêtres. Il faudra qu’on essaye de les conserver quelque soit notre effectif en Chine l’été prochaine. A ce prix, on pourra espérer se mesurer aux grandes nations et avoir un destin. Mais on sait que c’est compliqué. Et si on n’y parvient pas, ce sera très dur. A nous de faire en sorte de conserver ces valeurs et renforcer l’équipe avec quelques très grands joueurs que le basket a la chance de posséder aujourd’hui.\\n\\nPhoto: Matthias Lessort, FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les photos: L’hommage à Frédéric Forte à Beaublanc"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le match France-Bulgarie a servi de prétexte à la FFBB pour honorer la mémoire de l’ancien président du Limoges CSP Frédéric Forte décédé le 31 décembre dernier. Sa femme et deux de ses filles ont reçu le Ballon de Crystal, une distinction fédérale de haut rang et le maillot géant de l’ancien international a été exposé au public de Beaublanc."
}, 
{"role": "user",     "content":"Andrew Albicy: «On veut défier les grandes nations et la Coupe du monde est le meilleur endroit pour le faire»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec Paul Lacombe, le meneur d’Andorre est le seul joueur à avoir participé aux dix matches des qualifications à la Coupe du monde 2019, ce qui lui a permis de retrouver un statut abandonné il y a quelques années.\\n\\nEst-ce que vous pouvez nous dire ce que représente, pour vous qui l’a déjà jouée en 2010, la qualification à la coupe du Monde 2019, pour cette équipe, pour le basket français, pour vous ?\\n\\nDéjà, jouer les plus grandes compétitions, c’est vraiment important pour la France, on veut défier les plus grandes nations et je pense que la coupe du Monde, c’est le meilleur endroit pour le faire. Et je pense aussi qu’on a nos chances de gagner une médaille. Les fenêtres, c’est un contexte différent, peut-être qu’on n’a pas non plus le même effectif, mais tous les joueurs qui ont été là ont tout donné. On est vraiment vraiment content d’être qualifiés.\\n\\nComment expliquez vous cette capacité à être compétitif à chaque fenêtre avec à chaque fois des joueurs différents ?\\n\\nOn travaille bien déjà. On est un groupe assidu qui écoute ce qu’on lui demande. Et puis tout le monde est mort de faim. On a envie de bien faire, de mouiller le maillot. Et je pense que c’est le plus important sur de courtes périodes comme ça. C’est l’envie, l’énergie et surtout la concentration qui font le gros du travail. Après, ce sont les qualités des joueurs évidemment, mais ces qualités de groupe fait qu’on peut être au-dessus de certaines équipes.\\n\\nTout le monde accepte le fait qu’il n’ira peut-être pas à la coupe du Monde ?\\n\\nOn a tous accepté ce rôle. Si on n’avait pas eu envie, on l’aurait dit et on ne serait pas venu. On est venu et on sait pourquoi. On a accompli notre mission, on est tous content comme ça.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Paul Lacombe: «Aller en Chine pour faire une médaille»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Paul Lacombe (4 points, 6 rebonds, 7 passes, 12 d’évaluation) a encore une fois été très précieux lors de la victoire de la France sur la Bulgarie à Limoges. Révélation des fenêtres de qualification pour la coupe du Monde, il se confie justement sur le grand rendez-vous du basket mondial de l’été prochain.\\n\\nEst-ce que vous pouvez nous dire ce que représente la qualification à la coupe du Monde de l’équipe de France ?\\n\\nDéjà pour le basket français, c’est énorme. Sur ces qualifications, on a vu une équipe de France avec différentes configurations, on a eu l’équipe type sur la fenêtre de juin, mais sinon on a fait plus ou moins avec les moyens de la Jeep Elite avec des joueurs, comme moi, qui n’avaient encore jamais porté le maillot Bleu, donc c’est vraiment énorme ce qu’on a fait en allant chercher notre ticket pour la Chine. On a fait vraiment beaucoup de choses positives. On a montré de belles choses.\\n\\nIndividuellement, vous avez vraiment franchi un cap, c’est également votre avis ?\\n\\nIndividuellement, ça m’a permis de mettre un pied en équipe de France et de me montrer encore davantage parce que c’est vrai les fenêtres permettent une exposition différente, une exposition sous une autre lumière. Les gens peuvent voir ce qu’on fait en sélection à côté d’autres bons joueurs ou contre d’autres bons joueurs et nous regardent différemment je pense. Et sur ce match contre la Bulgarie, on a pris énormément de plaisir, je crois que ça se voit et on l’a transmis au public, aux fans. Ça a été une belle soirée.\\n\\nLa coupe du Monde, ça vous évoque quoi ?\\n\\nCe que je vais dire peut paraître un peu naïf mais la coupe du Monde, c’est magique. Il ne va y avoir que 12 joueurs qui vont partir en Chine, c’est vrai, mais c’est tout un groupe qui est dans l’aventure avec l’équipe. Ça transporte plus que 12 joueurs et on le voit sur le parquet quand on joue. Toute une équipe va soutenir de loin les gars sur place. Je ne sais pas si j’aurai la chance d’y être, j’espère. Forcément, je me suis battu toutes les fenêtres pour ça. La coupe du Monde pour moi, ça représente l’exposition du basket français. Ça montre que le basket français est riche. On peut faire confiance à beaucoup de joueurs et garder un certain niveau de jeu en sélection. Maintenant, il va falloir aller là- bas pour faire une médaille.\\n\\nNicolas Batum avait dit à Montpellier que vous aviez gagné ta place dans le groupe ? Comment acceptez-vous ce respect de la part des cadres ?\\n\\nCe qui m’avait fait énormément plaisir, que ce soit en juillet ou en septembre, c’est que j’avais eu la reconnaissance de certains joueurs, notamment Nico Batum, Fabien Causeur ou d’autres, qui disaient qu’à leurs yeux, j’étais un bon joueur. Donc, déjà, ça me suffit pour mon estime. Ça m’a fait vraiment du bien. En fait, toute cette campagne de qualification avec l’équipe de France m’a fait vraiment du bien. Je pense avoir fait quelque chose de bien dans ces fenêtres. Après, je ne suis pas le seul à avoir montré des choses. Ce soir, j’ai pris énormément de plaisir encore une fois, sur l’ensemble de ces fenêtres, j’ai pris énormément de plaisir, j’espère que ça va me permettre d’aller en Chine.\\n\\nPour la coupe du Monde 2019, la plupart des grosses stars du basket mondial ont déjà confirmé leur présence, ça va être un rendez-vous spécial non ?\\n\\nOui, ça va être très spécial. On a une nation de basket qui peut se permettre d’avoir des ambitions. On va être armé. Dans l’équipe, tout le monde a l’intention de venir. Il y a vraiment moyen de faire quelque chose à condition de mettre tous les ingrédients. On a les moyens, on l’a vu en juillet sans être en grande forme, maintenant, c’est encore un peu loin, mais on a de l’ambition. Mais d’abord, il y a une dernière fenêtre, on va encore prendre du plaisir à jouer.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Salaires en Italie: Pour se refaire une santé, Milan s’est offert trois joueurs à plus de 1M€ la saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quelles sont les top-salaires d’une équipe moyenne d’Euroleague ? Nous prenons comme exemple AX Armani Exchange Olimpia Milan.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nMoyenne ? La saison dernière, le club lombard qui possède la fameuse garantie de dix ans dans la compétition reine d’Europe appartenait à la queue du peloton : 15e sur 16 avec 10 victoires en 30 matches. On rappellera que le Lituanien Mantas Kalnietis de l’ASVEL était alors le meneur d’Armani mais qu’il était tombé en disgrâce. Déjà privé de ligue italienne par choix du coach, Kalnietis avait vu son rendement fondre en Euroleague : 4,5 points et 2,2 passes pour 5,1 d’évaluation.\\n\\nMilan est un club historique. Le premier en Europe à porter le nom de son sponsor (le Simmenthal fut une référence, de 1956 à 1973), qui fit venir dans les années soixante la superstar du basket universitaire américain Bill Bradley et remporta trois titres européens et 25 championnats nationaux. Plus tard, il associa le Monument National Dino Meneghin avec l’ancien MVP de NBA (en 1975) Bob McAdoo. Il eut par ailleurs l’idée avant-gardiste, il y a trente ans, de créer une ligue européenne fermée avec des clubs de capitales sans que le projet aboutisse.\\n\\nCette année, visiblement, ça va mieux. Six victoires après dix journées.\\n\\nSelon nos informations -pas plus qu’en France et contrairement à la NBA, il n’y a de chiffres officiels-, Armani Milan a dû se payer cet été trois joueurs à un million d’euros et plus pour être compétitif.\\n\\nLe combo guard serbe Nemanja Nedovic (1,91m, 27 ans), qui a goûté un peu à la NBA via les Golden State Warriors (24 matches), et qui revient d’un séjour prolongé en Espagne (Valence et Malaga) est à 1M€.\\n\\nL’ailier international italien Mindaugas Kuzminskas (2,06m, 29 ans) qui avait fait le chemin inverse (trois saisons à Malaga avant de rejoindre les New York Knicks pour 69 matches) touche un peu plus : 1,2M€.\\n\\nC’est pour le combo guard américain Mike James (1,85m, 28 ans) que l’état-major milanais a cassé le petit cochon rose. Celui-ci a un CV pour plaire avec des passages en NBA (pas plus de 36 matches, ceci dit), à Vitoria et au Panathinaikos. Son contrat de trois ans lui rapporte 1,5M€ cette saison.\\n\\nPour compléter, Milan a sous contrat l’arrière-ailier Jeff Brooks (2,03m, 29 ans) à 700 000€ et le meneur international italien Andrea Cinciarini (1,93m, 32 ans), qui émarge à 400 000€.\\n\\nN’oublions pas... Mantas Kalnietis puisque Villeurbanne ne paye que la moitié de son contrat de 650 000€ et donc Milan doit lui verser 325 000€ alors qu’il n’est plus dans l’effectif !\\n\\nPour information, les plus gros salaires dans les autres équipes italiennes sont probablement le meneur américain de Scandone Norris Cole (1,88m, 30 ans) avec 500 000€ et l’ailier-fort de Venise Austin Daye (2,11m, 30 ans) avec 400 000€.\\n\\nLes charges sociales ? Ayez cet exemple en tête : pour le footballeur français Paul Pogba, les cotisations patronales sont de 340 000 euros en Italie pour un salaire de 4,5M€. En France, elles seraient de 1,3M€. Soit 3,8 fois plus. On ne serait pas loin de la même proportion pour Mike James et consorts.\\n\\n[armelse]\\n\\nMoyenne ? La saison dernière, le club lombard qui possède la fameuse garantie de dix ans dans la compétition reine d’Europe appartenait à la queue du peloton : 15e sur 16 avec 10 victoires en 30 matches. On rappellera que le Lituanien Mantas Kalnietis de l’ASVEL était alors le meneur d’Armani mais qu’il était tombé en disgrâce. Déjà privé de ligue italienne par choix du coach, Kalnietis avait vu son rendement fondre en Euroleague : 4,5 points et 2,2 passes pour 5,1 d’évaluation.\\n\\nMilan est un club historique. Le premier en Europe à porter le nom de son sponsor (le Simmenthal fut une référence, de 1956 à 1973), il fit venir dans les années soixante la superstar du basket universitaire américain Bill Bradley et remporta trois titres européens et 25 championnats nationaux.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Armani Milano"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde : Une équipe de France généreuse bouscule la Bulgarie, 77-53"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Bleus ont rempli leur mission, s’imposer à la Bulgarie à Limoges ce qui leur permet à la fois de se venger de la désillusion du match aller et de préserver leur première place dans le groupe. Par leur engagement sans faille ces Bleus majoritairement de Jeep Elite (9/12) sont dignes du maillot national !\\n\\nAvant le match, le public a longuement applaudi le nom de Frédéric Forte, le président du CSP décédé le 31 décembre dernier et à qui la FFBB a voulu rendre hommage dans SA salle. Le président Jean-Pierre Siutat a remis à sa femme et à deux de ses filles présentes à Beaublanc le Ballon de Crystal, une récompense fédéral de haut rang.\\n\\nAndrew Albicy, Lahaou Konate, Paul Lacombe, AmathMbaye et Matthias Lessort constituaient le cinq de départ français. Les Bleus indiquaient tout de suite aux Bulgares qu’ils comptaient rendre l’accès à leur périmètre défensif extrêmement difficile. Aussi le score était de 7-0 puis 11-3 après 3’30. Evidemment les entrées en jeu de Axel Bouteille puis de Jonathan Rousselle étaient saluées avec encore davantage de chaleur -le troisième Limougeaud, William Howard, allait apparaître dans le deuxième quart-temps. Mais les Bulgares après avoir courbé le dos refaisaient surface pour revenir à 16-17 (9e) en optimisant les failles trouvées dans la défense des Bleus (6/9 aux shoots dans le quart-temps).\\n\\nLes Français repartaient ensuite à la conquête du panier Bulgare et refaisaient un nouvel écart : 32-18 (16e) sur un panier de William Howard qui évidemment enchantait Beaublanc. Comme contre la République Tchèque, cette équipe de France là faisait bloc.\\n\\nA la mi-temps, onze des douze joueurs français -seul Axel Julien était encore à sec mais il se mettra au diapason un peu plus tard- avaient déjà scoré avec un maximum de 6 points pour William Howard contre cinq joueurs du côté bulgare avec 11 points œuvre de Hristo Zahariev. La marge avait un peu été réduite dans les derniers échanges pour atteindre 10 points (29-39) après 20 minutes. L’adresse à trois-points (3/13 dont 2/3 pour William Howard) faisait un peu tâche.\\n\\nAlors que les Bleus paraissaient s’échapper, les Bulgares maintenaient une distance convenable (45-39, 23e). Le Bulgare est dangereux dans les tirs à plus de 6,25m ! Les Français faisaient toujours la course en tête et c’était grâce à leur générosité défensive qu’ils maintenaient le cap. Yakuba Ouattara réalisait ainsi un contre magnifique avant d’aligner un trois-points sur l’action suivante. Le Monégasque faisait ensuite chavirer le public de bonheur sur un alley oop avec une passe millimétrée de Jo Rousselle. C’était incontestablement l’homme du match avec ses jumps de feu et ses 17 points, son record en sélection.\\n\\nComme en Tchéquie, les Bleus imposaient leur puissance athlétique et les Bulgares cédaient peu à peu du terrain. 70-47, 36e. Cette fois, ils ne revenaient pas."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Tarence Kinsey en renfort à Dijon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite au départ de Robert Arnold, la JDA Dijon s’est mise à la recherche d’un renfort et a décidé de faire appel à Tarence Kinsey (2m, 34 ans).\\n\\nSur son site, le club bourguignon annonce la signature du Floridien jusqu’à la fin de la saison. Formé à l’université de South Carolina, le natif de Tampa compte 109 matchs NBA à son actif pour douze minutes de jeu en moyenne. Passé par les Memphis Grizzlies et les Cleveland Cavaliers, le natif de Tampa a majoritairement construit sa carrière en Europe en passant par des grands clubs comme le Fenerbahce, l’Anadolu Efes, l’Etoile Rouge, Malaga ou encore le Partizan Belgrade.\\n\\nA Dijon, Tarence Kinsey va vivre sa première expérience en France alors qu’il a commencé l’exercice 2018/19 à Breogan, en Espagne, où il compilait jusque-là 5,7 points et 3,5 rebonds pour une évaluation de 3,2.\\n\\nL’entraîneur dijonnais, Laurent Legname s’est exprimé sur son nouveau joueur.\\n\\n« Suite au départ de Reggie, nous cherchions un joueur évoluant sur les postes 3 et 2 qui puisse apporter une plus-value au groupe. L’équipe – après 1/3 de championnat – est en place. Il ne s’agissait pas d’aller chercher un « sauveur ». Aussi, l’arrivée de Tarence s’inscrit dans cette logique : joueur d’expérience et connaissant le jeu Européen (la preuve avec son CV), nous espérons qu’il apporte ce dont l’équipe a besoin, à travers toutes ses qualités de basketteur. »\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : le trick shot de l’année pour Axel Julien ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Actuellement avec l’Equipe de France pour les deux matchs de qualification pour la coupe du Monde 2019, Axel Julien (1,85m, 26 ans) a profité du voyage en République Tchèque pour faire apprécier ses qualités techniques.\\n\\nDu milieu de terrain, le meneur de la JDA Dijon est parvenu à marquer de dos et du pied en faisant une talonnade. Pas sûr que l’on puisse faire mieux !\\n\\n\\n\\n\\nIl est de retour le coquin.. !\\n\\n\\n📽 @FRABasketball pic.twitter.com/3u2ERccvxG\\n\\n\\n— JDA Dijon Basket (@jdadijonbasket) December 3, 2018\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : une nouvelle arena pour Levallois d’ici 2024"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Même si le projet d’une nouvelle salle sur l’Ile Seguin pour les Métropolitains est tombé à l’eau, le club des Hauts-de-Seine aura bien une nouvelle arena dans les prochaines années.\\n\\nLe Parisien révèle que le club levaloisien va s’installer dans une nouvelle salle à Boulogne-Billancourt qui doit voir le jour entre 2022 et 2023, « en fonction des possibilités immobilières ». Maire de Boulogne-Billancourt, Pierre-Christophe Baguet s’est exprimé sur cette nouvelle dans les colonnes du quotidien.\\n\\n« Le palais des sports sera construit sur le territoire de GPSO (NDLR : communauté d’agglomérations composée de Meudon, Boulogne-Billancourt, Chaville, Issy-les-Moulineaux, Marne-La Coquette, Vanves, Sèvres, Ville-d’Avray, soit plus de 300 000 habitants). Cela représente un potentiel de 3 000 licenciés basket. Nous souhaitons devenir un grand club formateur. »\\n\\nEn coulisses, les Levallois Metropolitans et Boulogne-Billancourt continuent leur rapprochement depuis la nomination d’Alain Weisz en tant que vice-président des Metropolitans. L’ancien sélectionneur de l’Equipe de France est un ami de Pierre-Christophe Baguet.\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : l’Efes et le Fener en pleine bourre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Opérant une révolution de palais durant l’intersaison, l’Efes Istanbul voulait ouvrir un nouveau chapitre de son histoire. Et il s’avère que ce dernier est plus prometteur qu’espéré.\\n\\nAvec une 5e victoire de rang face à Vitoria, l’Efes réalise pour le coup sa meilleure série depuis 2013. Rodrigue Beaubois (14 points, 6 passes) et Adrien Moerman (10 points) peuvent avoir le sourire, ils ont fait le bon choix l’été passé !\\n\\nLe Fenerbahçe n’est pas mal non plus avec un 6e succès d’affilée face à Barcelone. L’Olympiakos a fait le métier sérieusement pour venir à bout de Podgorica, tandis que son rival du Pana a lui été défait par un Khimki Moscou solidaire sans son leader, Alexey Shved.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nL’Efes reçu 5/5\\n\\nEn contrôle après un 17-6 initial, l’Efes a su maîtriser les tentatives timorées de retour des Basques. Johannes Voigtmann (15 points, 7 rebonds) ou Matt Janning (20 points) ont bien essayé de relancer Vitoria mais les locaux n’ont jamais paniqué, avec Dogus Balbay (11 points) qui a su rentrer les tirs importants. Vassilije Micic (16 points, 6 passes) a encore été très solide, tout comme Rodrigue Beaubois (14 points, 6 passes) et Adrien Moerman (10 points) au combat.\\n\\nBien que victorieux de la bataille des rebonds (35-27), Vitoria a surtout péché dans son exécution offensive, avec 20 balles perdues qui coûtent très cher ! Vincent Poirier termine à 6 points et 9 rebonds dans la nouvelle défaite du Baskonia.\\n\\n\\nLe Fener poursuit sa moisson !\\n\\nAu contact en début de 2e mi-temps, le Barça s’est inéluctablement fait décrocher par le Fener au cours d’un 14-2 en 3e quart. Après avoir shooté à 12/19 avant la pause, les coéquipiers de Kevin Séraphin (6 points, 3 rebonds) ont craqué face à la montée en pression de la défense turque en 2e mi-temps, à 6/18.\\n\\nDerrière un très bon Ali Muhamed (16 points) et Marko Guduric qui a fait un peu de tout (13 points, 5 rebonds, 4 passes, 3 interceptions), la troupe de coach Obradovic engrange un 6e succès d’affilée. Dans la victoire, Joffrey Lauvergne (8 points) a été plutôt discret, tout comme Thomas Heurtel (2 points, à 1/5 aux tirs) l’a été pour Barcelone. Mais comme on l’écrivait les semaines passées, Heurtel est le baromètre de son équipe, et en l’occurrence, c’était un soir sans !\\n\\n\\nC’était la journée de Zach LeDay\\n\\n28 points, 8 rebonds à 7/8 aux tirs dont 2/3 à trois points : Zach LeDay a marqué la 10e journée d’Euroleague d’un énorme 42 d’évaluation ! En face, Podgorica n’a pu que constater les dégâts ! Victime d’un cinglant 32-14 en 3e quart, l’équipe monténégrine a pris la foudre et ne s’en est jamais relevée. Outre LeDay, les tauliers Vassilis Spanoulis (17 points, 4 passes) et Georgios Printezis (11 points, 8 rebonds) ont également mis la main à la pâte.\\n\\n\\nLe Khimki solidaire\\n\\nMalgré l’absence sur blessure d’Alexey Shved, le Khimki Moscou n’a pas laissé le Panathinaikos briser sa belle dynamique. Au contraire, le Khimki a été solidaire avec 21 points d’Anthony Gill et 14 de Jordan Mickey pour faire la passe de trois (76-68). Dans un match à couteaux tirés, les deux équipes ont cumulé 18 points en 3e quart (11-7) !\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 15 points (5/8 aux tirs), 5 passes, 3 rebonds, 3 balles perdues en 29 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes) : 14 points (5/10 aux tirs), 6 passes, 2 rebonds, 2 interceptions, 2 balles perdues en 30 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 12 points (4/10 aux tirs), 2 passes, 1 rebond, 1 contre en 28 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Efes) : 10 points (4/7 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 20 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 8 points (4/6 aux tirs), 1 rebond, 1 interception, 1 contre, 2 balles perdues en 19 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 6 points (3/6 aux tirs), 9 rebonds, 2 contres, 1 passe, 1 balle perdue en 24 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 6 points (2/4 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 17 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 5 points (2/4 aux tirs), 2 passes, 1 rebond, 1 balle perdue en 16 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 2 points (1/5 aux tirs), 4 passes, 2 balles perdues en 17 minutes\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 0 point (0/2 aux tirs), 6 passes, 1 balle perdue en 15 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 1 balle perdue en 6 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nPodgorica n’a malheureusement pas pesé bien lourd face à l’Olympiakos au Pirée. Et Nikola Milutinov continue de montrer qu’il a passé un cap cette année. Le jeune pivot serbe de l’Oly finit à 10 points et 7 rebonds, soit sa moyenne sur l’année exactement. Soit aussi 17 d’éval’ par match, du lourd !\\n\\n\\n\\n\\nANOTHER 🔨 from @NMilutinov!#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/Kjrt4pV9aM\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) November 30, 2018\\n\\n\\nLes résultats de la 10e journée\\n\\nJeudi 29 novembre :\\nDarussafaka – Gran Canaria (71-75)\\nZalgiris Kaunas – Milan (83-78)\\nMaccabi Tel Aviv – Bayern Munich (95-71)\\nReal Madrid – CSKA Moscou (88-93)\\n\\nVendredi 30 novembre :\\nKhimki Moscou – Panathinaikos (76-68)\\nEfes Istanbul – Vitoria (96-85)\\nOlympiakos – Podgorica (92-70)\\nBarcelone – Fenerbahçe (65-84)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 11e journée\\n\\nJeudi 6 décembre :\\nPodgorica – Barcelone (19h)\\nDarussafaka – Maccabi Tel Aviv (19h)\\nZalgiris Kaunas – Olympiakos (19h)\\nBayern Munich – Khimki Moscou (20h30)\\nMilan – Gran Canaria (20h45)\\n\\nVendredi 7 décembre :\\nEfes Istanbul – Real Madrid (18h30)\\nVitoria – CSKA Moscou (20h30)\\nPanathinaikos – Fenerbahçe (20h30)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nL’Efes reçu 5/5\\n\\nEn contrôle après un 17-6 initial, l’Efes a su maîtriser les tentatives timorées de retour des Basques. Johannes Voigtmann (15 points, 7 rebonds) ou Matt Janning (20 points) ont bien essayé de relancer Vitoria mais les locaux n’ont jamais paniqué, avec Dogus Balbay (11 points) qui a su rentrer les tirs importants. Vassilije Micic (16 points, 6 passes) a encore été très solide, tout comme Rodrigue Beaubois (14 points, 6 passes) et Adrien Moerman (10 points) au combat.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le Jeremy Nzeulie show face au Cameroun"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les quelques spectateurs d’Egypte-Cameroun, match comptant pour la zone africaine des qualifications à la Coupe du monde 2019 ont pu apprécier la virtuosité du Strasbourgeois Jérémy Nzeulie auteur de 30 points à 12/20 aux tirs avec un 5/11 à trois-points, 4 rebonds, 5 passes, 2 interceptions et... 6 balles perdues. Nzeulie a emmené le Cameroun vers la victoire, 80-60. Pour sa part, Gédéon Pitard (Châlons-Reims) a cumulé 6 points, 4 rebonds et 3 passes.\\n\\nLe Cameroun en profite pour chiper à l’Egypte la troisième place du groupe.\\n\\nVoici les meilleurs moments du Jeremy Nzeulie show.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=Ke2hlAcHcrI"
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV: France-Bulgarie ce soir sur Canal+ Sport"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fin de la fenêtre internationale ce soir avec France-Bulgarie à Limoges et sur Canal+ Sport.\\n\\nLundi 3 décembre:\\n\\n19h00 – France/Bulgarie – Quali. Coupe du monde – Canal+ Sport\\n\\n20h00 – Buzzer – Magazine – RMC Sport 2\\n\\nMardi 4 décembre\\n\\n18h45 – Barcelone-Fenerbahçe – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\nJeudi 6 décembre\\n\\n19h00 – Kaunas/Olympiakos – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\n20h45 – Milan/Gran Canaria – Euroleague – RMC Sport Live 8\\n\\nVendredi 7 décembre\\n\\n20h30 – Panathinaikos/Fenerbahçe – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\nSamedi 8 décembre:\\n\\n18h30 – Boulazac/Strasbourg – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nDimanche 9 décembre:\\n\\n18h30 – Le Portel/Villeurbanne – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nLundi 10 décembre:\\n\\n20h45 – Châlons-Reims/Pau – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nPhoto: Axel Bouteille (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du Monde: 17 équipes qualifiées dont l’Espagne et les Etats-Unis"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"17 équipes -la Chine, pays organisateur l’était d’office- sont qualifiées à ce jour pour la Coupe du monde 2019. Les Etats-Unis, tenants du titre, et l’Espagne ont validé leur ticket hier.\\n\\nLes USA, formés de joueurs de G-League sont allés gagner en Uruguay, 78-70 avec 10 points et 13 rebonds de Eric Moreland. A domicile, l’Espagne a réussi à contenir avec difficulté l’Ukraine, 72-68. Avec 17 points, Jaime Fernandez s’est révélé le meilleur marqueur espagnol.\\n\\n« Franchement, c’est un soulagement », a commenté le coach Jeff Van Gundy à propos de la qualification des Etats-Unis à la Coupe du Monde. « C’est un soulagement de le faire et je suis heureux pour tout le monde à USA Basketball, mais surtout pour Sean Ford (NDLR : le directeur de l’équipe masculine américaine), qui a tout investi dans ce projet pour que Gregg Popovich puisse entraîner nos meilleurs joueurs à la Coupe du monde en Chine. Je suis vraiment content pour ces deux gars. «\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\nAllemagne\\n\\nAngola\\n\\nArgentine\\n\\nAustralie\\n\\nChine\\n\\nCorée du Sud\\n\\nEspagne\\n\\nFrance\\n\\nGrèce\\n\\nLituanie\\n\\nNouvelle Zélande\\n\\nNigéria\\n\\nRépublique Tchèque\\n\\nTunisie\\n\\nTurquie\\n\\nUSA\\n\\nVénézuela"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le Best of de Marine Johannès lors de Schio-Bourges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Euroleague a sorti ce Best of de Marine Johannès lors du match Schio-Bourges en Euroleague et c’est éblouissant !\\n\\n\\n\\n\\n❤️️ and 🔃 if you think @MarineJ5 is playing the best 🏀 of her career! #EuroLeagueWomen@BourgesBasket @FraBasketball pic.twitter.com/QYFVLuvrt7\\n\\n\\n— EuroLeague Women (@EuroLeagueWomen) December 2, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Montpellier se fait humilier à Villeneuve d’Ascq: -30 !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le score paraît surréaliste: Lattes-Montpellier et sa Dream Team ont pris une dégelée monumentale à Villeneuve d’Ascq, 68-98.\\n\\nOn sentait bien que l’équipe de l’Hérault n’était plus très sereine depuis que son coach Rachid Méziane a été mis à l’écart, mais de là à imaginer qu’elle allait se faire pareillement humilier dans le Nord... Le BLMA a tourné à 32% de réussite aux tirs (56% pour l’ESBVA) et la seule joueuse qui présente une bonne évaluation (18) c’est... Ornella Bankole. Diandra Tchatchouang est à 0 et Alix Duchet à -1...\\n\\nA l’inverse, huit Nordistes ont atteint au moins 10 à l’éval avec 22 pour Magali Mendy encore une fois remarquable (17 points, 5 rebonds, 4 interceptions et 3 passes). Villeneuve a infligé un violent 26 à 10 à son adversaire dans le troisième quart-temps.\\n\\nPendant ce temps, Bourges a déroulé au Hainaut: 70-50.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Erman Kunter (Cholet): «On a besoin de s’entraîner plus dur que les autres équipes»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour la troisième fois après les périodes 2003-04 et 2006-12, Erman Kunter, 62 ans, a donc signé à Cholet Basket et c’est tout une ville, une région, qui espère qu’il sera le sauveur d’une équipe très mal en point.\\n\\n« Le club est en difficulté mais j’avais très envie de revenir », a t-il déclaré à Ouest France. « Si on refait ce qu’on a fait en 2006 (défaite en quarts des playoffs), ce sera bien. L’avantage qu’on a cette année, c’est qu’il n’y a pas de Coupe d’Europe. Pendant la semaine, on aura du temps pour travailler. Il va falloir que les joueurs se mettent en tête que pour sortir le club de cette situation, être à 100 % ne sera pas suffisant. Vous savez, je connais déjà la ville, je ne reviens pas pour visiter Cholet (rires). Je suis en mission (...) Tout le monde à fait des efforts. Dans ce genre de situation, c’est tout à fait normal. On va travailler, travailler, plus que d’habitude. Chaque match sera une finale. Il va falloir très vite gagner. En gagnant, le futur sera plus simple. Mais on n’en est pas encore là. Pour l’instant, on a la pression. Moi aussi. Les dirigeants ont fait suffisamment d’efforts pour me faire revenir, je ne peux surtout pas les décevoir. »\\n\\nLe Franco-Turc va t-il -peut-il aussi car Cholet Basket a déjà fait des dépenses depuis le début de saison- modifier son effectif suivant ses désirs?\\n\\n« On va mettre des choses en place et si des faiblesses persistent, nous réajusterons. On va démarrer avec cet effectif, travailler des systèmes, mettre en place une philosophie. On a besoin de s’entraîner plus dur que les autres équipes. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: La joie dans le vestiaire des Bleus, la découverte de Amath Mbaye"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette vidéo de la FFBB nous conte la victoire des Bleus à Pardubice contre la République Tchèque avec la joie INTENSE dans le vestiaire, elle contient un portrait du rookie Amath Mbaye et elle commence par un exploit peu banal...\\n\\nPhoto: Amath Mbaye (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"[REDIFF] En direct avec Benoit Mangin (Le Portel) : «Sans Eric Girard,  je n’en serais pas où j’en suis aujourd’hui»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Article publié le 28 juillet 2017.\\n\\nAuteur d’une magnifique saison en Pro A avec son club du Portel qu’il a mené jusqu’en playoffs, Benoît Mangin (1,89m, 29 ans) va découvrir la Coupe d’Europe la saison prochaine. En attendant, le capitaine de l’ESSM a accepté de plonger dans ses souvenirs pour BasketEurope.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe premier match que tu as joué en pro : C’était avec le Reims Champagne Basket contre Paris. On avait perdu, mais ce qui m’avait le plus marqué c’est que le coach, Francis Charneux, m’avait mis dans le cinq majeur. C’était assez délicat pour moi parce que j’allais être confronté à John Linehan, et à cette époque c’était déjà quelqu’un.\\n\\nLe joueur qui t’a rendu meilleur : Il y en a eu plusieurs ... J’ai envie de dire Régis Boissie lors de mon année à Nantes. Ensuite, Ismaila Sy lorsque je suis arrivé au Portel et Mehdi Labeyrie qui m’a beaucoup apporté à Nantes et au Portel.\\n\\nUn modèle dans le basket : Antoine Rigaudeau.\\n\\nLe meilleur joueur actuel de ton championnat : Moustapha Fall avec son envergure. Que ce soit défensivement ou offensivement il était partout sur le terrain.\\n\\nLe plus râleur de ton équipe : Je ne vais pas me faire des copains là (rires). Il y a une bonne brochette, mais les deux qui râlaient le plus c’était Frank Hassell et Jessie Bégarin.\\n\\nLe coach qui t’a le plus marqué : Il y en a plusieurs parce que lorsque j’ai commencé ma carrière professionnelle c’est Francis Charneux qui m’a lancé dans le bain. Puis il y a eu Nikola Antic que j’ai eu deux ans à Charleville-Mézières et que j’ai suivi à Châlons-Reims. J’ai beaucoup appris à ses côtés. Et enfin celui que j’ai actuellement, Eric Girard. Sans lui, je n’en serais pas où j’en suis aujourd’hui.\\n\\nLe club où tu aimerais jouer : Barcelone.\\n\\nLa salle dans laquelle tu as joué avec le plus d’ambiance : Le Chaudron du Portel.\\n\\nTon pire souvenir de joueur : La descente de Pro B en NM1 avec Reims.\\n\\nTon meilleur souvenir : J’ai été champion d’Europe juniors avec l’équipe de France. Ensuite nous avons fini à la troisième place du Championnat du Monde. C’est pas rien ! Et bien sûr, la montée en Pro A avec Le Portel.\\n\\nL’adversaire le plus coriace : John Linehan, dès mon premier match. Je m’en souviendrai toute ma vie. Et Jason Rowe de Hyères-Toulon aussi.\\n\\nLe trophée que tu es le plus fier d’exposer : Champion de playoffs avec Le Portel.\\n\\nTon match référence en carrière : Je ne suis pas quelqu’un qui pense aux stats ... Cette année je fais un match avec zéro points, mais avec un double-double avec les passes et les rebonds. Mais contre qui, je ne m’en souviens plus (ndlr : contre Nancy, avec 10 rebonds et 13 passes).\\n\\nLe match dont tu as le plus honte : Il y a quatre ans avec Le Portel, on joue le premier match de la saison contre Antibes ... Non, je ne me souviens plus contre qui c’était. On perd de 30 points à domicile (ndlr : c’était bien contre Antibes en 2012, défaite 109-72).\\n\\nSi tu pouvais prendre le move d’un joueur : J’aime beaucoup Nando de Colo pour tout ce qu’il a apporté au basket français. C’est un exemple. Il n’y a pas de move particulier que j’aimerais avoir, mais juste m’approcher de lui.\\n\\nQuel joueur ou quelle équipe rêverais-tu de voir jouer : J’aimerais bien aller voir San Antonio. C’est une équipe que j’affectionne particulièrement en NBA par rapport à son style de jeu. Si un jour j’ai l’occasion d’y aller ...\\n\\nPourquoi portes-tu ce numéro : Parce que je ne l’ai jamais quitté depuis que j’ai commencé le basket. Ca a toujours été le numéro 6. Mon père avait joué avec le numéro 6 aussi.\\n\\nSi tu avais une règle à changer dans le basket : Que les arbitres puissent être pénalisés pendant les matchs. Nous, joueurs, on reçoit des fautes. Pourquoi pas les arbitres ? Eux aussi font certaines erreurs pendant les matchs.\\n\\nQuel est le principal sujet de conversation entre joueurs : Un peu de tout ... Il y a beaucoup de basket, de conversations sur les Antilles. Avec Mo Hachad je parle beaucoup de tout ce qui est financier.\\n\\nTon meilleur pote dans le basket : Ceux qui m’ont marqué le plus, Mehdi Labeyrie, Ismaila Sy, Moustapha N’Diaye, Charles-Henri Bronchard et actuellement Mo Hachad.\\n\\nTa principale occupation entre deux entraînements : Je suis un adepte du body board. J’aime faire des sorties sur la Manche. J’aime aussi passer du temps avec ma copine. On sort beaucoup.\\n\\nLa ville où tu as joué que tu préfères : Nantes.\\n\\nSi tu ne jouais pas au basket : Footballeur. A un certain âge j’ai dû choisir entre le basket et le foot. Si j’avais choisi le foot j’aurais peut-être pu prétendre à quelque chose.\\n\\nToi après le basket : Il me reste encore quelques années devant moi. Il n’y a rien de concret. J’en parle beaucoup à ma copine et à Mohamed Hachad. Je regarde ce que je peux faire, mais on verra en temps voulu.\\n\\n[armelse]\\n\\nLe premier match que tu as joué en pro : C’était avec le Reims Champagne Basket contre Paris. On avait perdu, mais ce qui m’avait le plus marqué c’est que le coach, Francis Charneux, m’avait mis dans le cinq majeur. C’était assez délicat pour moi parce que j’allais être confronté à John Linehan, et à cette époque c’était déjà quelqu’un.\\n\\nLe joueur qui t’a rendu meilleur : Il y en a eu plusieurs ... J’ai envie de dire Régis Boissie lors de mon année à Nantes. Ensuite, Ismaila Sy lorsque je suis arrivé au Portel et Mehdi Labeyrie qui m’a beaucoup apporté à Nantes et au Portel.\\n\\nUn modèle dans le basket : Antoine Rigaudeau.\\n\\nLe meilleur joueur actuel de ton championnat : Moustapha Fall avec son envergure. Que ce soit défensivement ou offensivement il était partout sur le terrain.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : ESSM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : le Top 10 de Nanterre en novembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Deuxième du championnat, Nanterre est en forme ces dernières semaines avec cinq victoires sur les six derniers matchs de Jeep Elite. Le club des Hauts-de-Seine propose son top 10 du mois de novembre à ses supporters.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"N1: En liquidation, Brissac jette l’éponge après 11 journées"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est définitivement terminé pour le Brissac Anjou Basket qui est en liquidation et qui ainsi stoppe son parcours en Nationale 1 après 11 journées (2 victoires et 9 défaites en poule B). Le derby face au voisin Angers est ainsi annulé.\\n\\nNé en 1939 sous le nom de Saint-Vincent Sport, devenu l’ESA Basket dans les années 70, puis le BAB aujourd’hui, le club est monté en N1 en 2017 et il a intégré le Complexe du Marin de 1 200 places, géré par la Communauté de Communes Loire-Layon-Aubance et bénéficiait d’un fort soutien populaire.\\n\\n« Amis supporters du Brissac Anjou Basket, nous avons le regret de vous annoncer que le derby de samedi contre l’EAB est annulé ! En effet, la partie professionnelle du club est en cessation de paiement, avec liquidation auprès du Tribunal de Grande Instance d’Angers. Une grosse pensée pour les joueurs, le staff technique et nos bénévoles. Toutefois, nous saurons rebondir avec notre secteur amateur du Brissac Aubance Basket. Merci de votre soutien indéfectible et de votre compréhension », écrit le club sur les réseaux sociaux."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Antoine Eito (Le Mans) vs Jeremy Nzeulie (Strasbourg)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans sa série de 1 contre 1, la LNB oppose cette fois le meneur du Mans Antoine Eito et le Strasbourgeois Jérémy Nzeulie. Qui va être le plus percutant?"
}, 
{"role": "user",     "content":"EuroCup : Monaco et l’ASVEL au Top 16 !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette 8e journée d’EuroCup a souri aux clubs français avec deux victoires et deux qualifications au Top 16 pour l’Asvel et Monaco. Villeurbanne a fait le métier sérieusement en lever de rideau alors que Monaco a dû s’arracher jusqu’au bout mais est parvenu à composter son ticket d’extrême justesse.\\n\\nPar contre, ça coince encore pour Limoges qui avait pourtant une belle opportunité à saisir à Berlin. En panne sèche en 2e mi-temps, le CSP doit de nouveau s’incliner et ses espoirs de qualification, encore vivants, s’amenuisent tout de même assez radicalement.\\n\\nOn notera enfin le belles prestations de nos Français d’EuroCup menés par le duo monégasque Yakuba Ouattara (22 points) – Paul Lacombe (21 points). A la fête avec Andorre, Andrew Albicy (19 points) a également été excellent dans le succès de son équipe.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe MVP de la 8ème journée\\n\\nMiro Bilan (23 points, 7 rebonds)\\n\\nMiro Bilan a non seulement inscrit 23 points à 10/12 aux tirs, faisant valoir (comme souvent) sa main sûre près du cercle. Mais le pivot croate a aussi fait un peu de tout pour l’Asvel face à Ankara avec 7 rebonds, 2 passes, 2 interceptions et 2 contres. Il a notamment placé un contre ultra-important dans la fin de match, alors que l’escouade turque tentait un comeback. Avec ses 33 d’évaluation, Bilan a tout simplement réussi son meilleur match en carrière sur la scène européenne.\\n\\n\\nLa meilleure performance\\n\\nJustin Cobbs (28 points, 7 passes, 4 rebonds)\\n\\nL’ancien meneur du Mans a livré un sacré duel face à Josh Bostic. Si ce dernier a terminé avec la meilleure évaluation de la journée à 38 grâce à 28 points, 8 passes, 6 rebonds, Cobbs a lui aussi planté 28 pions, en sus de 7 passes et 4 rebonds. Surtout, le meneur américain a permis à son équipe du Cedevita de s’imposer et de se qualifier au Top 16. Justin Cobbs est en grande forme, avec 22 points de moyenne sur ses 3 dernières sorties !\\n\\n\\nLa stat qui tue\\n\\n27-8\\n\\nC’est le score du 3e quart entre Kazan et Turin, en faveur de l’équipe russe. En tête de 7 longueurs à la pause, la troupe de Larry Brown a complètement explosé en vol au retour des vestiaires, finissant la période menée de 12 points ! L’Unics a même passé un 23-3 des plus cinglants pour débuter ce 3e quart de la mort !\\n\\n\\nLes clubs français\\n\\nL’ASVEL file au Top 16\\n\\nPris à la gorge d’entrée à Ankara avec un 27-18, l’Asvel n’a pas paniqué et a refait son retard petit à petit. Derrière un Mantas Kalnietis (11 points, 9 passes, 8 rebonds) au four et au moulin, les joueurs de Mitrovic ont trouvé leur rythme avec 11 tirs réussis sur 13 afin de reprendre les devants à la pause au moyen d’un 29-13 en 2e quart.\\n\\nMiro Bilan (23 points, 7 rebonds) a ensuite fait le métier, avec un gros dunk au passage en contre-attaque, et un contre décisif sur Reggie Redding afin d’éviter un retour turc. L’Asvel décroche ainsi son ticket pour le Top 16 après 8 journées et un bilan de 6 victoires et 2 défaites. Du bon boulot !\\n\\nMonaco arrache aussi son ticket\\n\\nComme son équipe en général, Yakuba Ouattara a lutté pour scorer 2 points sur les 24 premières minutes du match. Mais avec 20 points sur ses 9 minutes d’action en 2e mi-temps, pour finir à 22 points, 8 rebonds, Ouattara a su réglé la mire au moment important.\\n\\nDe -12 en 3e quart, Monaco a réussi le comeback furibard conclu par Paul Lacombe sur une ultime interception et un layup au buzzer. La Rocca Team s’impose sur le fil pour décrocher son ticket pour le Top 16 (84-81). Elmedin Kikanovic (22 points, 6 rebonds) est le troisième membre du Big Three monégasque sur ce match fou !\\n\\nLe CSP rate une belle occasion à Berlin\\n\\nFace à une équipe de l’Alba privée de Peyton Siva et Martin Hermannsson, le CSP Limoges a compté jusqu’à 15 points d’avance en 1ère mi-temps contre Berlin. Mais l’Alba a su se remobiliser pour faire le métier au retour des vestiaires.\\n\\nLa sortie pour cinq fautes de Samardo Samuels (12 points) a signé l’arrêt de mort du CSP, incapable de tenir dans le final (84-76). C’est une belle occasion ratée pour Limoges qui aurait pu revenir sur Tofas Bursa au classement... Axel Bouteille (13 points) et William Howard (11 points) ont encore été performants malgré la défaite.\\n\\n\\nLes Français de l’EuroCup\\n\\nYakuba Ouattara (Monaco) : 22 points (8/13 aux tirs), 8 rebonds, 2 rebonds, 2 balles perdues en 33 minutes\\n\\nPaul Lacombe (Monaco) : 21 points (8/16 aux tirs), 8 rebonds, 3 passes, 2 interceptions, 4 balles perdues en 35 minutes\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 19 points (6/10 aux tirs), 3 passes, 1 rebond, 1 balle perdue en 25 minutes\\n\\nAxel Bouteille (Limoges) : 13 points (5/10 aux tirs), 2 rebonds, 2 contres, 1 passe, 1 balle perdue en 25 minutes\\n\\nWilliam Howard (Limoges) : 11 points (3/8 aux tirs), 6 interceptions, 3 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 28 minutes\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 10 points (4/5 aux tirs), 4 rebonds, 4 passes, 3 interceptions, 2 contres, 2 balles perdues en 18 minutes\\n\\nLanding Sané (Mornar Bar) : 8 points (3/8 aux tirs), 6 rebonds, 2 passes, 2 balles perdues en 27 minutes\\n\\nAmine Noua (Asvel) : 8 points (3/7 aux tirs), 2 rebonds, 1 contre, 1 balle perdue en 24 minutes\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 2 points (1/4 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 2 interceptions, 2 contres, 3 balles perdues en 21 minutes\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 0 point (0/2 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 2 interceptions, 1 balle perdue en 20 minutes\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : n’a pas joué\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué\\n\\n\\nLe Top Ten\\n\\n\\nLes résultats de la 8e journée\\n\\nGROUPE A\\nMonaco – Ulm (84-81)\\nAndorre – Etoile Rouge (91-80)\\nBrescia – Galatasaray (86-65)\\n\\nGROUPE B\\nTofas Bursa – Krasnodar (99-105 ap)\\nZagreb – Gdynia (94-87)\\nAlba Berlin – Limoges (84-76)\\n\\nGROUPE C\\nAnkara – ASVEL (78-83)\\nZenit St Petersburg – Trente (99-102 ap)\\nPartizan Belgrade – Valence (61-69)\\n\\nGROUPE D\\nFrancfort – Vilnius (65-63)\\nTurin – Kazan (72-82)\\nMalaga – Mornar Bar (113-76)\\n\\n\\nLe classement\\n\\n\\nLe programme de la 9e journée\\n\\n(matchs les 11 et 12 décembre)\\n\\nGROUPE A\\nUlm – Andorre\\nEtoile Rouge Belgrade – Brescia\\nMonaco – Galatasaray\\n\\nGROUPE B\\nTofas Bursa – Limoges\\nGdynia – Alba Berlin\\nKrasnodar – Zagreb\\n\\nGROUPE C\\nASVEL – Partizan Belgrade\\nValence – St Petersburg\\nAnkara – Trente\\n\\nGROUPE D\\nTurin – Vilnius\\nKazan – Malaga\\nMornar Bar – Francfort\\n\\n\\nDans le rétro :\\n\\nLe bilan de la 7e journée\\n\\nLe bilan de la 6e journée\\n\\nLe bilan de la 5e journée\\n\\nLe bilan de la 4e journée\\n\\nLe bilan de la 3e journée\\n\\nLe bilan de la 2e journée\\n\\nLe bilan de la 1ère journée\\n\\nCrédits photo : EuroCup\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe MVP de la 8ème journée\\n\\nMiro Bilan (23 points, 7 rebonds)\\n\\nMiro Bilan a non seulement inscrit 23 points à 10/12 aux tirs, faisant valoir (comme souvent) sa main sûre près du cercle. Mais le pivot croate a aussi fait un peu de tout pour l’Asvel face à Ankara avec 7 rebonds, 2 passes, 2 interceptions et 2 contres. Il a notamment placé un contre ultra-important dans la fin de match, alors que l’escouade turque tenta\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéos – Basketball Champions League: La triste semaine des clubs français"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Strasbourg qui s’est fait surprendre au Rhénus par Ostende (61-64) et Dijon qui n’a pu résister à l’Hapoel Jerusalem en Israël (72-86), les deux autres clubs français engagés en Basketball Champions League ont mordu hier soir la poussière.\\n\\nLe Mans a toujours été à la traîne à Wloclawek et s’est fait battre, 64-76. Le double double de Will Yeguete (12 points et 15 rebonds) n’a pas été suffisant.\\n\\nLa plus grosse déception est venue de Nanterre, terrassée sur son terrain par Hapoel Holon, 70-82. Ce malgré un 14/27 à trois-points.\\n\\nPhoto: Haukur Palsson (Nanterre, FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le chiffre: 2 millions d’abonnés à RMC Sport"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Altice Groupe a annoncé hier que RMC Sport, lancé le 8 août, compte à ce jour deux millions de clients via la box et le mobile SFR, la plateforme OTT (numérique) RMC Sport et l’offre satellite de Canal+.\\n\\nC’est bien entendu la diffusion de la Ligue des Champions et la Ligue Europa de football qui a amené un afflux d’abonnements pour un prix de 9 euros pour les abonnés SFR et 19 euros pour les non abonnés.\\n\\nRMC Sport possède également pour l’instant –Canal+ les a récupérés pour la période 2019-22- les droits de la Premier League de foot et aussi... le basket (sauf la NBA, la Champions League et les phases finales des compétitions d’équipes nationales), et qui ainsi peut booster ses audiences. La chaîne ne fait cependant aucune communication à ce sujet."
}, 
{"role": "user",     "content":"Edwin Jackson confirme que revenir à l’ASVEL est une option"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans une interview au quotidien L’Equipe, Edwin Jackson (1,90m, 29 ans) confirme que l’ASVEL est pour lui une option pour la saison prochaine.\\n\\n« Sans l’Euroleague, j’aurais réfléchi. Après, il ne faut pas se leurrer, même dans un petit club, tu gagnes deux fois plus après impôts ou pas loin. Mais c’est chez moi. Je suis proche de Tony (NDLR: Parker, le président du club), de Charles (Kahudi), d’Amine (Noua). L’aventure humaine, ça ne se remplace pas. L’an prochain avec l’Euroleague, il y a une vraie chance. On en a déjà parlé avec Tony. Mais beaucoup de choses peuvent arriver d’ici là. On verra. »\\n\\nL’international a porté le maillot villeurbannais de 2010 à 2014. Il a ensuite fait carrière à l’étranger. Dans l’ordre: FC Barcelone, Unicaja Malaga, Estudiantes Madrid, Guangdong Southern Tigers (Chine), FC Barcelone de nouveau, et il joue cette saison au Buducnost Podgorica.\\n\\nL’international français tourne en Euroleague à 10,8 points (26,9% à deux-points... mais 56,4% à trois-points), 2,9 rebonds et 1,4 point.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les 16 équipes qualifiées pour l’Euro féminin 2019"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les 16 participants au championnat d’Europe (27 juin au 7 juillet 2019 en Serbie et Lettonie) sont désormais connus après les fenêtres internationales qui se sont tenues en novembre 2017, février 2018 et novembre 2018 avec 32 équipes sur la ligne de départ.\\n\\nLa Lettonie et la Serbie sont qualifiés en tant que pays organisateurs.\\n\\nLes 8 premiers de chaque groupe sont automatiquement qualifiés soient: Espagne, France, Grande-Bretagne, Italie, Monténégro, République Tchèque, Russie et Turquie.\\n\\nLes 6 meilleurs deuxièmes sont Belgique, Biélorussie, Hongrie, Slovénie, Suède et Ukraine.\\n\\nCe sont la Grèce et la Bosnie qui font les frais des règlements en ce qui concerne les deuxièmes places, ce qui paraît un tantinet injuste puisque les équipes n’avaient pas les mêmes adversaires... A l’inverse, la Suède coachée par le Tarbais François Gomez réussit donc à s’immiscer de justesse parmi les élus.\\n\\n\\n\\n\\nEquipe\\nPlace\\nV-D\\n+/-\\n\\n\\nBelgique\\n2e Groupe G\\n5-1\\n+129\\n\\n\\nBiélorussie\\n2e Groupe B\\n5-1\\n+90\\n\\n\\nSlovénie\\n2e Groupe E\\n5-1\\n+51\\n\\n\\nHongrie\\n2e Groupe C\\n4-2\\n+196\\n\\n\\nUkraine\\n2e Groupe F\\n4-2\\n+108\\n\\n\\nSuède\\n2e Groupe H\\n4-2\\n+93\\n\\n\\nGrèce\\n2e Groupe D\\n4-2\\n+52\\n\\n\\nBosnie\\n2e Groupe A\\n4-2\\n+41\\n\\n\\n\\n\\nLe tirage au sort aura lieu le 12 décembre à Belgrade. Quatre groupes de quatre équipes seront alors constitués et la France sera tête de série.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Andrei Kirilenko (président fédération russe): «Pour moi c’est du sabotage»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le cadre du match entre les sélections féminines de Russie et de Lituanie pour les qualifications à l’Euro le 16 novembre, Andrei Kirilenko, président de la fédération russe, est longuement revenu dans le cadre d’un point presse, sur l’attitude de l’Euroleague par rapport au nouveau système de compétition internationale. L’accusation est sévère. Mais en juillet, au moment de publier son calendrier sur la saison 2018-19, il n’aurait échappé à personne que l’Euroleague a programmé des matches en conflit direct avec les oppositions des équipes nationales lors de la cinquième fenêtre de fin novembre/début décembre. Par exemple, les trois équipes turques jouent contre des équipes espagnoles le jour même où la Turquie doit jouer l’Espagne dans le cadre des qualifications. De même, Zalgiris Kaunas joue contre Armani Milan le même jour où l’Italie joue la Lituanie. Il semble donc clair que d’une incompatibilité de calendrier, l’attitude de Jordi Bertomeu, président de ECA, l’entreprise privée qui gère l’Euroleague et l’EuroCup, soit passée à de la provocation directe.\\n\\nLa Russie, qui affiche pour l’instant un bilan de 4v-4d dans ces qualifications va jouer deux matches particulièrement importants au cours de la prochaine fenêtre du 29 et du 30 novembre prochain. Kirilenko a tenté ces derniers mois de mettre la pression sur le CSKA et Khimki Moscou pour qu’ils laissent les joueurs rejoindre leur sélection.\\n\\nMalgré un risque réel de non-qualification, Andrei Kirilenko approuve le nouveau système.\\n\\n« Le plus gros avantage, c’est que les fans ont l’opportunité de voir l’équipe nationale pendant toute la saison. Et ils adorent ça. Par exemple, les fans à Nizhny Novgorod étaient comme des fous, les billets pour le match sont tous partis en quelques jours. Les audiences télé ont été énormes. Tout ceci prouve que les fans veulent et méritent de voir la sélection plus que l’été seulement. »\\n\\n« Il ne faut pas oublier que le nouveau système a été présenté en 2010, il y a huit ans maintenant », poursuit Kirilenko. « Et tout le monde l’avait accepté. Mais au dernier moment, l’Euroleague a choisi de programmer des matches face à ceux des sélections. Ne vous méprenez pas. J’aime l’Euroleague et j’aime le basket qui est joué en Euroleague. Je suis également sûr que l’Euroleague peut facilement faire deux breaks dans son calendrier. Cela ne léserait personne. Au contraire ! D’avoir Nando De Colo qui joue pour la France, Sergio Rodriguez pour l’Espagne ou Nikita Kurbanov pour la Russie attirerait encore plus de fans vers les matches d’Euroleague. Des fans qui auraient vu l’équipe nationale le dimanche et qui regarderaient les matches d’Euroleague quelques jours après. Et pour les joueurs, le volume de travail serait le même, mais ils auraient une chance de rentrer chez eux, de se rafraîchir mentalement, peut-être même d’en tirer de l’énergie positive. On devrait essayer et voir comment cela fonctionnerait. Mais ECA ne veut même pas essayer. Ils ont brutalement rejeté la proposition. Pour moi, c’est du sabotage. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : Vincent Poirier brille mais Vitoria chute encore"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Meilleure évaluation de la 8e journée avec Alexey Shved à 30, Vincent Poirier (18 points, 10 rebonds) n’aura pas eu le bonheur de connaître la victoire comme l’arrière russe. Vitoria s’est inclinée pour la première en Euroleague de Velimir Perasovic contre le Milan de Mike James.\\n\\nEn haut du classement, le CSKA Moscou et le Real Madrid ont conservé leur invincibilité avec diverses fortunes. Moscou a dû s’arracher en prolongation pour se défaire du Zalgiris Kaunas alors que le Real a logiquement disposé de Gran Canaria.\\n\\nCôté Français, on a eu droit à un beau tir groupé avec 7 performances en double figure, avec un Kevin Séraphin très affûté à 15 points, 5 rebonds en 15 minutes et Joffrey Lauvergne à 13 points, 7 rebonds en 18 minutes.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nMilan résiste à un très bon Vincent Poirier\\n\\nMalgré un excellent Vincent Poirier (18 points, 10 rebonds) qui a délivré un clinic au alley oop, Vitoria n’a pas réussi à s’imposer pour le retour de coach Perasovic aux manettes face à Milan (93-90). Derrière Vladimir Micov (22 points) et Mike James (20 points, 8 passes), le club lombard a mené le jeu du début à la fin, repoussant un retour à 3 points d’un tir du même montant de James dans le coin.\\n\\nVitoria peut nourrir quelques regrets avec un vilain 4/11 aux lancers, dont 0/6 pour Tornike Shengelia. Cumulé à un 8/23 à trois points, les Basques partaient de trop loin pour rivaliser avec Milan en pleine bourre. Ça fait désormais 5 victoires sur ses 6 derniers matchs pour Milan !\\n\\n\\nLe CSKA échappe de justesse au Zalgiris\\n\\nIl y aura forcément débat ! Dans une fin de match serrée, l’horloge des 24 s’est écoulée plus rapidement pour le Zalgiris. Un litige qui devrait faire couler beaucoup d’encre... Et ce d’autant plus que ça intervient dans une défaite en prolongation de Kaunas à Moscou (99-97). L’effort valeureux des joueurs de Jasikevicius a été anéanti par Sergio Rodriguez (24 points, 6 passes).\\n\\nEl Chacho a profité de ce match pour dépasser Théo Papaloukas au classement historique des passeurs (979). Cory Higgins (23 points) et Will Clyburn (15 points, 13 rebonds) ont également été décisifs dans ce succès à l’arraché. Nando De Colo (13 points, 4 rebonds) a été maladroit (4/16). Léo Westermann (11 points) s’est lui illustré d’un tir du milieu de terrain face à son ancien club.\\n\\n\\nLe Pana brise la série du Barça\\n\\nDans un match tenu de bout en bout, le Panathinaikos a eu raison de Barcelone (76-70). Les deux clubs se retrouvent ainsi dos à dos avec le même bilan de 5 victoires et 3 défaites, avec une fin de série pour le Barça, alors sur 5 succès de suite. DeShaun Thomas (14 points) et Nick Calathes (9 rebonds, 12 passes) ont été les catalyseurs de cette victoire qui relance les Grecs.\\n\\nKevin Séraphin (15 points, 5 rebonds) et Thomas Heurtel (12 points, 5 rebonds, 4 passes) présentent deux des trois meilleures évaluations de leur équipe, avec le shooteur Kyle Kuric (17 points). Barcelone a couru après le score pendant les trois quarts du match, incapables de surmonter sa première mi-temps à 25 points...\\n\\n\\nL’Efes Istanbul enchaîne\\n\\nL’Efes Istanbul est sur une bonne dynamique en ce moment, et ce n’est pas le Maccabi Tel Aviv en crise (qui vient de changer de coach) qui a pu la briser. Istanbul engrange de fait une 3e victoire de rang et une 5e en 6 matchs avec un bon Bryant Dunston (15 points, 4 rebonds, 2 contres).\\n\\nRodrigue Beaubois (10 points, 2 passes) et Adrien Moerman (6 points) n’ont pas eu à forcer leur talent dans ce succès qui s’est dessiné en 3e quart, avec 6 joueurs en double figure dont 12 points et 8 passes pour Vasilije Micic.\\n\\n\\nLa 300e victoire de coach Obradovic\\n\\nLe derby stambouliote entre le Fener et le Darussafaka a rapidement tourné à la démonstration de force des locaux. A l’image de l’efficacité de Melih Mahmutoglu (16 points en 19 minutes) et de Joffrey Lauvergne (13 points, 7 rebonds en 18 minutes), le Fener n’a fait qu’une bouchée de son adversaire, menant de bout en bout pour une victoire cavalier seul (100-79). C’est la 300e victoire de coach Obradovic à la tête du Fenerbahçe, où il est arrivé en juillet 2013.\\n\\n\\nL’Olympiakos retrouve la lumière\\n\\nA domicile, le Bayern Munich avait l’occasion d’enfoncer encore davantage l’Olympiakos, sur 3 défaites de rang. Mais ce sont les Reds qui ont réagi avec orgueil, et avec un très bon Zach LeDay (12 points, 12 rebonds) en sortie de banc pour s’imposer en Bavière (72-62).\\n\\nAinsi que le score le laisse entendre, ce match s’est gagné en défense pour l’équipe de David Blatt qui a notamment tenu Munich à 3/19 à trois points. En plus d’inscrire son premier trois points en carrière, Nikola Milutinov a ajouté 11 points et 7 rebonds pour l’Oly qui a fait le break en dernier quart pour ne plus se retourner. Vladimir Lucic et Derrick Williams terminent tous deux à 15 points dans la défaite.\\n\\n\\nLe Real serein sans Llull\\n\\nDerrière 20 points et 10 rebonds d’Anthony Randolph, le Real a fait le métier face à Gran Canaria pour s’imposer malgré l’absence de Sergio Llull (98-76). Kremen Prepelic en a profité pour se mettre en lumière avec 13 points.\\n\\nAprès sa première victoire de la saison, Podgorica est tombé sur un os à Moscou. Dans ce duel de bas de tableaur, Alexey Shved (22 points, 7 rebonds, 7 passes) a été magistral pour guider le Khimki vers la victoire (85-69). Edwin Jackson et ses coéquipiers sont revenus de -19 à -9 mais ça ne suffira pas...\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 18 points (8/10 aux tirs), 10 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 contre en 31 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 15 points (5/7 aux tirs), 5 rebonds, 1 balle perdue en 15 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahce) : 13 points (6/8 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe en 18 minutes\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 13 points (4/13 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes en 28 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 12 points (5/10 aux tirs), 5 rebonds, 4 passes, 2 interceptions, 2 balles perdues en 26 minutes\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 11 points (3/7 aux tirs), 2 passes en 18 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Istanbul) : 10 points (4/8 aux tirs), 2 passes, 1 balle perdue en 21 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 8 points (2/6 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 interception en 31 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 7 points (3/5 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 1 balle perdue en 14 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 6 points (2/7 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 16 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Istanbul) : 6 points (3/7 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 interception, 2 balles perdues en 27 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : n’a pas joué (blessé à la cheville)\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nLéo Westermann à trois points du milieu de (son ancien) terrain était un beau candidat, mais on a penché pour ce bon gros dunk des familles de Joffrey Lauvergne. On reste dans le clan tricolore et on souligne la belle prestation de Lauvergne, de plus en plus à l’aise dans son équipe.\\n\\n\\n\\n\\nThe Joffrey Jam\\n\\n\\nThe Spin & SLAM from @1JOLOLO #7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/nDPWcE8SJa\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) November 20, 2018\\n\\n\\nLes résultats de la 8ème journée\\n\\nMardi 20 novembre :\\nEfes Istanbul – Maccabi Tel Aviv (90-77)\\nFenerbahçe – Darussafaka (100-79)\\nBayern Munich – Olympiakos (62-72)\\nReal Madrid – Gran Canaria (89-76)\\n\\nMercredi 21 novembre :\\nKhimki Moscou – Podgorica (85-69)\\nCSKA Moscou – Zalgiris Kaunas (99-95 ap)\\nPanathinaikos – Barcelone (76-70)\\nMilan – Vitoria (93-90)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 8e journée\\n\\nJeudi 22 novembre :\\nDarussafaka – Efes Istanbul (18h15)\\nOlympiakos – Real Madrid (19h45)\\nMaccabi Tel Aviv – Fenerbahçe (20h05)\\nGran Canaria – Bayern Munich (21h30)\\n\\nVendredi 23 novembre :\\nZalgiris Kaunas – Khimki Moscou (18h45)\\nVitoria – Panathinaikos (20h30)\\nPodgorica – CSKA Moscou (20h30)\\nBarcelone – Milan (21h)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nMilan résiste à un très bon Vincent Poirier\\n\\nMalgré un excellent Vincent Poirier (18 points, 10 rebonds) qui a délivré un clinic au alley oop, Vitoria n’a pas réussi à s’imposer pour le retour de coach Perasovic aux manettes face à Milan (93-90). Derrière Vladimir Micov (22 poin\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: La France lamine la Slovénie (+44) et se qualifie pour l’Euro en terminant première de son groupe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est désormais officiel: la France est qualifiée pour le prochain championnat d’Europe et elle n’a pas fait de quartiers pour composter son billet. Il lui fallait gagner de 6 points pour se venger du match aller, prendre la tête de son groupe et être tête de série au tirage au sort et les Bleues ont mis une grosse claque aux Slovènes, 88-44. Bria Hartley a obtenu la meilleure évaluation du match (23 avec 16 points, 7/8 aux shoots, 5 passes et 3 rebonds) en donnant l’impression d’être une vétérante de l’équipe. Endy Miyem a réussi un double double (17 points et 11 rebonds).\\n\\nOlivia Epoupa, Marine Johannes, Valériane Ayayi, Endy Miyem et Sandrine Gruda formaient de nouveau le cinq de départ de l’équipe de France. Les Bleues ont tout de suite imposé une défense de fer et avec trois paniers à trois-points, elles menaient déjà 18-5 après 6’30. On n’avait encore rien vu. Totalement débordées par l’agressivité française, les Slovènes étaient larguées à 22 points à l’issue du premier quart-temps: 9-31. Bria Hartley faisait une entrée remarquée pour son premier match sur le sol français compilant 7 points, 3 passes, 1 rebond et 1 interception en 7’30.\\n\\nDéterminées, en pleine forme et bien préparées pour cette échéance, les Bleues faisaient monter l’addition à 38-11 (14e). Et après quelques imprécisions, elles repartaient à l’assaut pour mener 47-18 à la mi-temps avec un 68...4 à l’évaluation avec deux fois plus d’adresse (50 à 25%) et de rebonds (28 à 14).\\n\\nBria Hartley était intronisée dans le cinq de départ du troisième quart-temps et le numéro 32 faisait étalage de son immense savoir-faire. Sa vitesse de course et de bras est stupéfiante et elle faisait autant admirer la sureté de son shoot que ses passes lumineuses. Quel duo d’étoiles avec Marine Johannès ! 59-24 à la 26e. Les Bleues jouaient tous les ballons à fond et étaient déjà en quelque sorte en préparation pour l’Euro, Valérie Garnier faisant passer Bria Hartley en 2 avec Olivia Epoupa comme meneuse.\\n\\nLe dernier quart-temps permettait à la Landaise Marie-Michelle « Michou » Milapie d’étrenner sa première sélection et de marquer son panier. Et à la France d’empiler deux fois de plus de points que la Slovénie avec un... 129 à 27 à l’évaluation !\\n\\nLa 37e édition championnat d’Europe se tiendra du 27 juin au 7 juillet 2019 à Belgrade, Nis et Zrenjanin (Serbie) et Riga (Lettonie) et regroupera 16 équipes. Le tirage au sort aura lieu le 12 décembre à Belgrade.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Bria Hartley et Sarah Michel (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Yves de La Fouchardière nouveau Président du Conseil de surveillance du Mans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’issue de l’Assemblée Générale du club qui s’est tenue hier, Yves de La Fouchardière (Directeur de la coopérative des Fermiers de Loué) a été désigné nouveau Président du Conseil de surveillance du Mans Sarthe Basket.\\n\\nIl succède à Dominique Payen (Président d’Opti Finance) qui s’est retiré pour des raisons personnelles et de santé. Il reste au Conseil de surveillance et un partenaire important du club.\\n\\nSarthois d’adoption mais très attaché à ce territoire, Yves de La Fouchardière travaille dans le secteur avicole depuis plus de 30 ans et dirige Les Fermiers de Loué depuis 22 ans. Grand fan de basket, il est l’un des premiers supporters du MSB, qu’il souhaite maintenir au plus niveau dans le respect des hommes et de ses valeurs.\\n\\n« Je mesure la responsabilité qui m’est confiée », commente t-il. « Les Sarthois, les Manceaux sont fiers de leur club et ils ont raison. Ce club a une âme et des pères qui veillent sur lui. Il est géré de manière remarquable en alliant ambition et humilité, passion et partage, respect et exemplarité.Merci aux collectivités, aux partenaires privés, aux supporters, aux bénévoles, à toute l’équipe administrative et sportive. Je ferai mon possible pour aider Christophe Le Bouille dans le domaine de mes responsabilités. Enfin, un grand merci à Dominique Payen, Président Champion de France. Je suis heureux qu’il reste au Conseil de surveillance. Nous avons besoin de ses compétences. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Didier Primault (3e partie): «La stratégie de la FIBA est très pertinente»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le magazine Basket numéro 24 de novembre, actuellement en vente, a été publié une interview passionnante de Didier Primaut, économiste du sport, sur l’économie du basket européen, les dérives du système de fonctionnement par mécénat des plus grands clubs du Continent, et les chances des clubs français de se mêler à la compétition et de se développer dans ce contexte. Nous avons décidé de pousser la discussion avec lui. Dans la première partie de l’interview, disponible ici (insérer le lien), nous avons évoqué la question plus actuelle que jamais des ligues d’élite européennes fermées ou semi-fermées, telles que l’Euroleague en basket ou la Super League qu’envisagent actuellement les plus grands clubs de football. Dans la deuxième partie, le directeur du CDES parle de la stratégie que le basket français doit adopter dans un contexte européen compliqué. Enfin, aujourd’hui, Didier Primault donne son regard sur la réforme du calendrier international mis en place par la FIBA\\n\\nVoici la troisième et dernière partie de l’interview. La première est ici et la deuxième ici.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuel est votre point de vue sur le nouveau calendrier des compétitions internationales mis en place par la FIBA ?\\n\\nJe sais qu’il y a eu une levée de boucliers en France et d’une certaine manière, ce qui est parfaitement compréhensible. Mais la stratégie de la FIBA sur l’ensemble, non seulement elle n’est pas idiote, mais elle est même très pertinente. Le constat de dire : dans notre système de compétitions internationales, les équipes nationales ne jouent jamais à domicile. Donc on ne peut pas engager les fans derrière l’équipe nationale, ils ne la voient jamais à domicile, avec un système de qualifications pendant l’été, avec des tournois qualifications olympiques ou des tournois qui qualifient à d’autres tournois, etc... Il y a avait ce gros inconvénient dans le système précédent de ne pas entretenir de lien très fort entre l’équipe nationale. Ce diagnostic est intéressant. Cela veut dire aussi : donner des opportunités à des fédérations de développer des revenus. Moi, je trouve que le constat est plutôt intelligent. Et le fait de se dire : le football fonctionne bien sur ce point-là est peut-être un exemple à suivre.\\n\\nPourquoi la France ce constat est difficile à entendre en France ?\\n\\nClairement, dans ce nouveau système, il y a quatre pays qui sont défavorisés : les Etats-Unis, en premier quand même, la France, la Serbie, l’Espagne. Ce sont les principaux pays affectés, parce qu’ils ont énormément de joueurs NBA et énormément de joueurs en Euroleague. Pour la NBA, on peut toujours s’agiter tout ce qu’on veut, on ne changera rien à cette affaire-là. La disponibilité des joueurs NBA est de toute façon hypothétique, on l’a vu aussi ces dernières années, avant même la réforme du système de compétition. Par contre, la chose impardonnable, c’est de ne pas avoir trouvé de solution pour que les joueurs d’Euroleague participent à ces compétitions. Pour moi, ce n’est pas « entendable » que des gens qui jouent sur notre continent ne puisse pas être disponible pour l’équipe nationale. Il y a une faute collective puisqu’il y avait obligation de se mettre d’accord là-dessus.\\n\\nQue faire alors ?\\n\\nPeut-être que la FIBA n’a pas eu les moyens de le faire, mais après avoir menacé de sanctionner durement ceux qui ne permettraient pas que les joueurs participent, il ne s’est rien passé. La FIBA avait promis des sanctions qui ne sont jamais venues. Là, pour moi, je ne peux pas comprendre. Sinon, il ne fallait pas l’annoncer. Cela honore le président de la fédération française d’avoir joué le jeu de la FIBA, mais au final, les sanctions n’ayant pas été adoptées, je comprends le mécontentement des Français sur ce coup. La sanction est toujours la dernière des solutions. Je regrette d’abord qu’il n’y ait pas eu d’accord.\\n\\n[armelse]\\n\\nQuel est votre point de vue sur le nouveau calendrier des compétitions internationales mis en place par la FIBA ?\\n\\nJe sais qu’il y a eu une levée de boucliers en France et d’une certaine manière, ce qui est parfaitement compréhensible. Mais la stratégie de la FIBA sur l’ensemble, non seulement elle n’est pas idiote, mais elle est même très pertinente. Le constat de dire : dans notre système de compétitions internationales, les équipes nationales ne jouent jamais à domicile. Donc on ne peut pas engager les fans derrière l’équipe nationale, ils ne la voient jamais à domicile, avec un système de qualifications pendant l’été, avec des tournois qualifications olympiques ou des tournois qui qualifient à d’autres tournois, etc...\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Thomas Heurtel (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les conseils de Rudy Gobert pour mieux récupérer"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le magazine Men’s Fitness a mis en couverture ce mois-ci l’international des Utah Jazz Rudy Gobert qu’il a par ailleurs interviewé. Plutôt que le basket, les questions sont orientées sur la musculation, les exercices pour améliorer l’explosivité, la nutrition et aussi la meilleure façon de s’habiller quand on mesure 2,15m.\\n\\nQue privilégie le meilleur défenseur de l’année 2018 pour la récupération ?\\n\\n« Déjà, le plus important, c’est le sommeil. Bien dormir, ça paraît tout bête, mais c’est super important. Cela permet de bien récupérer, de se régénérer musculairement et mentalement. Après, il faut s’hydrater. Je me force à boire beaucoup, que ce soit le matin, le soir, et même dans la journée, y compris quand je n’ai pas spécialement soif. Et puis il y a la nutrition. Depuis que je vis aux États-Unis, j’ai une cuisinière attitrée. En ce moment, je travaille avec une chef qui est vraiment au top niveau. Elle me fait des plats avec des bons produits, ce qui est important, surtout aux États-Unis où c’est plus dur de les trouver. J’ai fait une analyse complète de mon sang et j’ai pu constater à quel point la nutrition à un impact sur le comportement, le niveau d’énergie ou l’attitude. Les gens ne le réalisent pas assez. Je prends rarement des médicaments, car si tu manges bien équilibré, que ce soit des fruits, des légumes ou des épices, ton corps à tout ce dont il a besoin pour travailler tranquillement. »\\n\\nRudy Gobert précise que plutôt que de manger beaucoup d’un coup, il préfère s’alimenter toutes les deux ou trois heures, qu’il emporte toujours de la nourriture avec lui, qu’il mange toujours après la muscu et qu’il se fait des petits shakes de protéine.\\n\\n« Nous avons tous une morphologie différente, donc pas les mêmes besoins », précise-t-il.\\n\\nDe fait, tout le monde ne fait pas 2,15m."
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: L’Ukrainienne Olesia Malashenko pour suppléer Marielle Amant à Lattes-Montpellier"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Marielle Amant opérée au genou, Lattes-Montpellier fait appel à Olesia Malashenko (1,91m, 27 ans), qui a déjà joué en France, à Arras en 2009-11 et 2012-13 où elle a côtoyé celle qu’elle remplace.\\n\\nL’Ukrainienne a débuté la saison en Turquie, à l’Adana Basket où son rendement était de 5,6 points et 3,8 rebonds par match.La saison dernière, elle a porté le maillot du Castor de Braine pour 9,3 points et 2,3 rebonds en Euroleague.Photo: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines – France/Slovénie: Ce qu’il faut absolument savoir"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce soir, c’est France-Slovénie à Charleville. Un match décisif pour la qualification à l’EuroBasket 2019 (du 27 juin au 7 juillet en Serbie et Lettonie). Voici par les chiffres ce qu’il faut absolument savoir.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n3\\n\\nBria Hartley est la troisième Franco-Américaine à porter le maillot bleu après Géraldine Saintilus (12 matches en 1987) et KB Sharp (1 sélection en 2013). C’est la première à le faire en compétition officielle.\\n\\n8\\n\\nAu minimum, huit membres de la famille de Bria Hartley, de sa branche maternelle, seront présents lors de ce France-Slovénie à Charleville, nous indique sa mère. Des oncles, tantes, cousins, cousines.\\n\\n6\\n\\nA Celje, dans une sorte de COSEC, les Françaises sont tombées dans le piège slovène. Après un départ correct, elles ont été pris à la gorge par leurs hôtes dans le deuxième quart-temps (12-19) et ont dû concéder une défaite de six points (62-68) ce malgré les 24 points à 11/15 aux tirs de Sandrine Gruda. Leur 3/16 à trois-points et les 18 balles perdues leur ont fait très mal. Derrière Gruda, la meilleure marqueuse fut Valériane Ayayi avec 7 points, ce qui est peu. Voici pourquoi la France est actuellement devancée dans le Groupe E par la Slovénie qui comme elle a gagné l’ensemble de ses autres matches. Blessées, Nika Baric et Eva Lisec étaient absentes de ce match alors que Tina Trebec (10 points et 5 rebonds) et Rebeka Abramović (7 points) ne sont pas sélectionnées pour cette manche retour.\\n\\n6 sur 8\\n\\nSi la France s’impose à la Slovénie d’au moins 6 points (soit l’égalité parfaite sur les deux manches, mais les Bleues possèdent un point-average largement supérieur), c’est simple, elle est qualifiée automatiquement à l’EuroBasket et sera tête de série lors du tirage au sort. Normal, elle est finaliste -contre l’Espagne- en titre. Sinon, il faudra faire partie des six meilleures deuxièmes sachant qu’il y aura huit groupes. Au classement, la France aura soit une défaite si elle gagne mais de moins de 6 points et deux si elle perd le match. A l’heure actuelle, parmi les deuxièmes, la Biélorussie (groupe B), la Hongrie (C), l’Ukraine (E), la Belgique (G) et la Suède (H) ont une victoire, la Grèce (D) et le Monténégro (A), deux. Conclusion : si la France gagne face à la Slovénie mais de moins de 6 points, elle a son billet validé pour l’Euro mais sans être tête de série. Si elle perd, il faudra avoir connaissance de l’ensemble des résultats de la dernière journée pour connaître son sort.\\n\\n3\\n\\nLa Slovénie est un pays jeune né de l’explosion de la Yougoslavie en 1991 et il n’y a eu que 3 rencontres dans les deux pays. Avant le revers à Celje, les Bleues avaient remporté les deux premiers matches. De 16 points en 1997 mais seulement de deux à l’Euro 2017 (70-68) qui était le premier de leur histoire pour les Slovènes.\\n\\n7 sur 12\\n\\nSept des douze Slovènes évoluent à l’étranger. Parmi elles, quatre sont particulièrement percutantes. La pivot Eva Lisec, plus grande de l’équipe avec son 1,92m, 23 ans, qui porte le maillot de Schio (Italie) a tourné à 17 points (59,0% aux shoots), 9 rebonds et 26,7 d’évaluation en 3 matches. L’ailière Shante Evans (1,86m, 27 ans) de Villeneuve d’Ascq est à 15,6 points et 7, 4 rebonds. La meneuse de Prague Teja Oblak (1,72m, 27 ans) est très complète avec 13,0 points, 6,2 passes, 4,0 rebonds et 1,8 interception tout comme l’autre meneuse de Ekaterinbourg (Russie), Nika Baric (1,69m, 26 ans) qui cumule 11,3 points, 5,7 passes, 4,3 rebonds et 1,7 interception. Bien sûr -et c’est valable pour les Françaises- ces chiffres ont été obtenus essentiellement face à la Roumanie et la Finlande, deux équipes faibles.\\n\\n14 et 12\\n\\nAvec 14 points et 12 rebonds, Shante Evans avait fait un malheur dans la peinture lors du match aller. Il s’agit bien sûr d’une américaine naturalisée qui avait d’ailleurs disputé les Jeux Panaméricains en 2011 avec les Etats-Unis. Elle a profité d’un passage à Celje lors de la saison 2016-17 pour se voir proposer le passeport slovène. La solide Américano-Slovène (105 kg) est bien connue en France pour avoir porté le maillot d’Aix-en-Provence lors de la saison 2014-15 et pour se retrouver actuellement à Villeneuve d’Ascq. Ce sera donc elle la Régionale de l’étape. Son rendement à l’ESBVA est disons moyen : 7,6 points (41% aux shoots), 5,0 rebonds pour 9,6 d’évaluation. A sa sortie de l’université d’Hofstra, elle avait été draftée par le New York Liberty, l’équipe actuelle de Bria Hartley mais n’avait pas été signée.\\n\\n51,6\\n\\nAvec 51,6 points encaissés, l’équipe de France possède la deuxième meilleure défense des 32 équipes engagées dans ces qualifications derrière... l’Espagne (48,2).\\n\\n10 sur 12\\n\\n10 des 12 Françaises ayant participé à la Coupe du Monde cet été ont été conservées par Valérie Garnier. Les seuls changements sont le remplacement de Alix Duchet -elle était médicalement inapte à rejoindre le rassemblement- par Bria Hartley et de Marième Badiane -qui a joué le match de samedi en Roumanie- par la Landaise Marie-Michelle Milapie dont c’est la première sélection.\\n\\n2 358\\n\\nEndy Miyem est la plus capée des internationales actuelles avec 193 sélections et se positionne à la 18e place de tous les temps. Sandrine Gruda (182, 23e) est sur ses talons. Avec un total de 2 358 points, celle-ci est 4e au scratch et elle devrait rapidement déloger Isabelle Fijalkowki (2 567) du premier rang.\\n\\nLe commentaire de Damir Grgić, le coach de la Slovénie :\\n« Etant donné que nous sommes déjà qualifiés pour le championnat d’Europe, nous pouvons jouer ce dernier match encore plus détendu, ce qui ne signifie nullement que nous allions en France avec un drapeau blanc. Nous sommes également conscients de la force de notre équipe, ainsi que du fait que les Françaises bénéficient d’une basketteuse américaine (NDLR : Bria Hartley) pour la première fois, et elles feront tout ce qui est en leur pouvoir pour nous battre et nous punir pour la défaite à Celje. Pour aller à l’Euro, elles doivent remporter ce match. Nous connaissons bien l’équipe de France car nous nous nous sommes rencontrés deux fois au cours des deux dernières années, nous avons joué deux matchs difficiles, une fois nous l’ avons gagné, une fois ce sont elles. Nous avons toutes les informations sur la manière de jouer contre elles. Nous allons nous en tenir à notre système et essayer de jouer agressivement et avoir le rythme qui pourrait nous donner la chance de les surprendre à nouveau. »\\n\\n[armelse]\\n\\n3\\n\\nBria Hartley est la troisième Franco-Américaine à porter le maillot bleu après Géraldine Saintilus (12 matches en 1987) et KB Sharp (1 sélection en 2013). C’est la première à le faire en compétition officielle.\\n\\n8\\n\\nAu minimum, huit membres de la famille de Bria Hartley, de sa branche maternelle, seront présents lors de ce France-Slovénie à Charleville, nous indique sa mère. Des oncles, tantes, cousins, cousines.\\n\\n6\\n\\nA Celje, dans une sorte de COSEC, les Françaises sont tombées dans le piège slovène. Après un départ correct, elles ont été pris à la gorge par leurs hôtes dans le deuxième quart-temps (12-19) et ont dû concéder une défaite de six points (62-68) ce malgré les 24 points à 11/15 aux tirs de Sandrine Gruda. Le 3/16 à trois-points et les 18 balles perdues leur ont fait très mal. Derrière Gruda, la meilleure marqueuse fut Valériane Ayayi avec 7 points, ce qui est peu. Voici pourquoi la France est actuellement devancée dans le Groupe E par la Slovénie qui comme elle a gagné l’ensemble de ses autres matches.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Sandrine Gruda, Bria Hartley et Endy Miyem (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les qualifications au Top 16 de l’Eurocup de Villeurbanne et Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec des victoires, respectivement sur Ankara (83-78) en Turquie et sur les Allemands de Ulm dans la Principauté (84-81), Villeurbanne et Monaco se sont qualifiés pour le Top 16 de l’Eurocup.\\n\\nLe pivot croate de l’ASVEL Miro Bilan a régné dans la peinture et autour avec 25 points et 7 rebonds alors que le meneur lituanien Mantas Kalnietis a frôlé le triple double avec 11 points, 9 passes et 8 rebonds.\\n\\nLa Roca Team a mal démarré son match (16-27) mais c’est elle qui l’a mieux fini (26-16). Trois joueurs ont été dominants: Yakuba Ouattara (22 points, 8 rebonds), Elmedin Kikanovic (22 points, 6 rebonds) et Paul Lacombe (21 points, 6 rebonds, 3 passes).\\n\\nPhoto: Yakuba Ouattara (Monaco, Eurocupbasketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL: Vincent Collet enrage face à l’arbitrage infligé à Youssoupha Fall"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Menée tout au long du match suite à un départ très poussif (8-20), la SIG Strasbourg s’est fait piéger par Ostende au Rhenus (61-64), ce qui n’était pas prévu dans son tableau de marche puisque les Belges en étaient jusque là à cinq défaites en six journées.\\n\\nEn conférence de presse, le coach Vincent Collet a parlé de « péché de suffisance » et rien ne sert de courir... La révolte n’est survenue que lorsque les Alsaciens ont compté quinze points de retard.\\n\\nCe que le coach de la SIG n’a pas apprécié non plus, c’est l’arbitrage vis à vis de son géant Youssoupha Fall, qui a joué moins de 11 minutes et s’est vu siffler 5 fautes.\\n\\n« Nous n’avons pas été bons, mais nous n’étions pas les seuls », rapporte les DNA. « Nous sommes bien sûr les premiers responsables de cette défaite, mais j’ai quand même, par moments, dû me pincer pour ne rien dire. Youss était clairement une cible pour ses adversaires, qui lui massaient les côtes, et pendant longtemps, c’est lui qui était sanctionné alors qu’il ne s’agissait que de la réponse aux agressions qu’il endurait... »\\n\\nUne bonne nouvelle toutefois pour la SIG, la participation de Jacques Alingue qui pour son retour à la compétition a assuré 10 minutes de temps de jeu, 6 points et 3 rebonds.\\n\\nPhoto: Youssoupha Fall (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Roanne rejoint Rouen en finale de la Leaders Cup"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les six points collectés à l’aller (83-77) n’ont pas suffi à Orléans pour se qualifier à la finale de la Leaders Cup Pro B. La Chorale de Roanne a largement remporté la manche retour dans la Loire: 90-72.\\n\\nClément Cavallo (18 points, 6 rebonds), David Jackson (17 points), Ferdinand Prénom en double double (10 points, 10 rebonds) et Mathis Keita (9 points, 7 passes) ont été les principaux maîtres d’oeuvre de la victoire de l’équipe de Laurent Pluvy.\\n\\nLa finale se tiendra le 17 février 2019 à Disneyland Paris.\\n\\nPhoto: Chorale de Roanne\\n\\nhttps://www.facebook.com/choraleroannebasket/videos/268485843855588/"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Mantas Kalnietis (ASVEL) : «Nous serons prêts pour l’Euroleague»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mantas Kalnietis (1,96m, 32 ans) a rejoint cet été le club de l’ambitieux de Tony Parker qui vise l’Euroleague dès la saison prochaine et il en est devenu le patron. Le meneur lituanien est donc le joueur le mieux payé de France comme le démontre notre enquête sur les salaires. Après le succès face à Valence en Eurocup, c’est un Mantas Kalnietis pleinement satisfait que nous avons pu interroger.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQu’est-ce qui fait que l’ASVEL démarre si fort sa saison malgré les blessures ?\\n\\nNous avons une très belle équipe et malgré toutes les blessures auxquelles on doit faire face nous continuons de travailler dur et nous croyons en ce que nous faisons. Le coach a construit son système, que nous suivons et auquel il croit et auquel on croit. Mais le plus important est certainement le fait que nous jeunes joueurs progressent tellement vite... Nous avons des blessés, mais on a pu le voir sur le match contre Valence que les jeunes nous aident énormément. C’est certainement l’explication de notre succès jusqu’à maintenant.\\n\\nQue pensez-vous de Théo Maledon ?\\n\\nQue dire... Je vais certainement répéter tout ce que tout le monde dit sur lui. C’est un très gros prospect, il a un grand talent de joueur. On s’en fiche et lui aussi d’avoir que 17 ans, il nous aide beaucoup sur le terrain. Au quotidien il travaille dur et il progresse vraiment très vite.\\n\\nAvez-vous eu des discussions avec Tony Parker avant de signer à l’ASVEL ?\\n\\nOui nous avons discuté. La personne de l’ASVEL qui m’a appelé cet été c’était lui. C’était intéressant d’avoir une conversation avec lui parce que c’est une légende du basket. Il m’a parlé des objectifs de l’équipe, du roster qu’il voulait construire, de comment fonctionne le club. Cela a bien facilité mon arrivée.\\n\\nPour combien de temps avez-vous signé à l’ASVEL ?\\n\\nJ’ai signé pour une seule saison.\\n\\nQue pensez-vous de votre coach Zvezdan Mitrovic ? Le connaissiez-vous avant de signer ?\\n\\nJe ne connaissais rien du tout du coach avant d’arriver. J’ai dû jouer une ou deux fois contre lui dans ma carrière, mais je le connaissais pas du tout. Nous gagnons donc c’est évidemment un très grand plaisir de travailler pour lui (rires). Tout le monde comprend ce qu’il attend de nous et il sait exactement ce qu’il peut obtenir de chacun de nous.\\n\\n« Le club souhaite aller rendre visite à d’autres équipes d’Euroleague pour voir comment elles fonctionnent, quelles sont les installations, etc... »\\n\\nSouhaiteriez-vous continuer avec le club si l’ASVEL va en Euroleague ?\\n\\nQui sait ? C’est encore tôt. Nous jouons bien mais nous ne sommes qu’en novembre. Les situations peuvent changer tellement vite dans notre sport. On verra. Je prends beaucoup de plaisir actuellement, mais je veux simplement me concentrer sur le moment et sur les matchs à venir. Pas trop sur le futur.\\n\\nComment vous sentez-vous dans l’équipe ?\\n\\nTrès, très bien ! Je sens que j’ai un rôle important. J’essaye de faire de mon mieux, j’essaye d’apporter au maximum à mes coéquipiers en tant que meneur de jeu. Je ressens la confiance de mon coach et de mes coéquipiers. Je suis vraiment content, surtout quand je re-pense à ma saison compliquée à Milan l’an dernier.\\n\\nQue pensez-vous des salles que vous avez pu voir en France ? Et des fans ?\\n\\nCe n’est pas ce qui m’importe le plus... A Villeurbanne, les fans viennent nous voir tous les soirs de match. C’est quasiment plein tout le temps ! Que l’on joue en Eurocup ou en Jeep Elite. C’est le plus important que notre salle soit pleine.\\n\\nL’ASVEL veut jouer en Euroleague, vous avez connu plusieurs clubs d’Euroleague, que pensez-vous de l’organisation villeurbannaise. Est-elle loin du niveau de structure de l’Euroleague ?\\n\\nJe pense qu’il manque quelques personnes qui travaillent dans l’équipe, qui apportent un peu plus d’aide. Mais les choses évoluent déjà rapidement. Depuis mon arrivée jusqu’à aujourd’hui, le club a déjà franchi un nouveau cap. Le club souhaite aller rendre visite à d’autres équipes d’Euroleague pour voir comment elles fonctionnent, quelles sont les installations, etc... Je peux dire que nous serons prêts pour l’Euroleague, c’est une certitude !\\n\\nVous avez déjà gagné l’Eurocup, que pensez-vous qu’une équipe ait besoin pour remporter cette compétition ?\\n\\nPour être honnête c’est un très long voyage. Beaucoup de bonnes équipes disputent cette compétition, actuellement nous jouons très bien mais nous devons continuer. Ne pas penser au futur et juste nous concentrer sur ce qui arrive, match après match. Sinon nous allons perdre la confiance, commencer à rêver de finale ou je ne sais quoi et ça serait une erreur. Nous devons encore progresser si nous voulons faire face aux meilleures équipes d’Eurocup. Au fur et à mesure on verra où est-ce qu’on se situe mais il faut laisser les choses venir.\\n\\nVous semblez plus confortable en Eurocup cette saison. Vous n’aviez pas rencontré le style de jeu français auparavant ?\\n\\nJe pense que c’est plutôt que lors des matchs de championnat de France on joue un peu différemment. On fait encore un peu plus tourner l’effectif. Après les matchs d’Eurocup, le coach essaye de nous donner plus de repos et de faire jouer plus les joueurs qui ne sont pas forcément très utilisés en coupe d’Europe. Personnellement, je ne vois en réalité pas de grandes différences entre les deux jeux. Même si ce n’est pas exactement la même chose, je peux m’ajuster. Ce n’est pas un problème.\\n\\nPour parler un peu de la Lituanie, comment êtes-vous arrivé au basket ?\\n\\nJe ne suis pas sûr mais probablement de la même façon que les Français atterrissent dans le football (rires). Le basket est vraiment le sport favori en Lituanie, et de loin ! C’est le seul sport qui a un bon niveau. Tous les enfants commencent par jouer au basket. On entend souvent dire que c’est comme une seconde religion et c’est vraiment le cas.\\n\\nLe football est vraiment si peu populaire en Lituanie ?\\n\\nNon, vraiment pas. En fait, nous sommes très nuls au foot (rires). Forcément, la plupart des enfants jouent au basket. En plus, pour ma génération, nous avons eu des exemples et de très bons joueurs avant nous.\\n\\nAvez-vous eu envie rapidement d’essayer de faire carrière ?\\n\\nNon pas du tout. Après l’école il fallait que je m’occupe et c’est ce qui m’a poussé vers les entraînements de basket. Je n’ai commencé à penser à avoir une carrière professionnelle qu’autour de mes 16 ou 17 ans. Tu vois que tu es bon et que ça continue, que tu peux devenir professionnel donc c’est devenir mon rêve.\\n\\nConnaissez-vous le Lituanien de Nanterre, Adas Juskevicius ?\\n\\nOui, oui ! Il a plusieurs fois porté le maillot de l’Equipe Nationale quand j’y étais aussi. On a eu l’occasion de jouer ensemble quelques fois.\\n\\nLa ferveur est-elle présente dans les toutes les autres salles comme à Kaunas ?\\n\\nNon. Kaunas est le meilleur endroit du pays, le Zalgiris est une équipe vraiment historique. C’est là où il y a le plus de fans et c’est l’équipe qui a le plus de fans dans le pays. Je dirais que c’est pour les matchs du Zalgiris Kaunas et pour les matchs de l’équipe nationale qu’il y a vraiment le plus de support de la part des fans.\\n\\nLes gens aiment-ils la NBA ou regarde principalement le jeu européen ?\\n\\nNous avons quelques joueurs qui évoluent en NBA donc les gens suivent leurs résultats et s’intéressent à ce qu’ils font, mais c’est vrai que la plupart des gens est d’abord passionnée par l’Euroleague.\\n\\nComment êtes-vous vu là-bas ? Vous êtes invités dans des émissions télé ?\\n\\nOui. Ils adorent nous inviter. En réalité, les gens adorent et connaissent les joueurs qui évoluent en équipe nationale, mais nous essayons de rester en dehors de tout ça (sourire).\\n\\n[armelse]\\n\\nQue pensez-vous de votre coach Zvezdan Mitrovic ? Le connaissiez-vous avant de signer ?\\n\\nJe ne connaissais rien du tout du coach avant d’arriver. J’ai dû jouer une ou deux fois contre lui dans ma carrière, mais je le connaissais pas du tout. Nous gagnons donc c’est évidemment un très grand plaisir de travailler pour lui (rires). Tout le monde comprend ce qu’il attend de nous et il sait exactement ce qu’il peut obtenir de chacun de nous.\\n\\nQue pensez-vous de Théo Maledon ?\\n\\nQue dire... Je vais certainement répéter tout ce que tout le monde dit sur lui. C’est un très gros prospect, il a un grand talent de joueur. On s’en fiche et lui aussi d’avoir que 17 ans, il nous aide beaucoup sur le terrain. Au quotidien il travaille dur et il progresse vraiment très vite.\\n\\nAvez-vous eu des discussions avec Tony Parker ?[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos : Infinity Nine Media et FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Les 12 Bleues pour France-Slovénie, première sélection pour Marie-Michelle Milapie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Landaise Marie-Michelle Milapie va honorer demain sa première sélection en équipe de France à l’occasion du match France-Slovénie comptant pour les qualifications à l’Euro 2019. Elle prend la place de la Lyonnaise Marième Badiane.\\n\\n\\n\\n\\nN°\\nPrénom\\nNom\\nNaissance\\nTaille\\nPoste\\nSélec.\\nPoints\\nClub\\n\\n\\n11\\nValériane\\nAYAYI\\n29/04/1994\\n1.85\\n3\\n85\\n458\\nUSK Prague\\n\\n\\n47\\nRomane\\nBERNIES\\n27/06/1993\\n1.70\\n1\\n22\\n56\\nMontpellier\\n\\n\\n12\\nAlexia\\nCHARTEREAU\\n05/09/1998\\n1.91\\n4\\n32\\n218\\nBourges\\n\\n\\n8\\nHelena\\nCIAK\\n15/12/1989\\n1.97\\n5\\n88\\n510\\nMontpellier\\n\\n\\n0\\nOlivia\\nEPOUPA\\n30/04/1994\\n1.65\\n1\\n71\\n349\\nBesiktas\\n\\n\\n7\\nSandrine\\nGRUDA\\n25/06/1987\\n1.97\\n4-5\\n182\\n2358\\nSchio\\n\\n\\n32\\nBria\\nHARTLEY\\n30/09/1992\\n1.76\\n1-2\\n1\\n9\\nFenerbahçe\\n\\n\\n17\\nMarine\\nJOHANNES\\n21/01/1995\\n1.77\\n2\\n58\\n487\\nBourges\\n\\n\\n10\\nSarah\\nMICHEL\\n10/01/1989\\n1.80\\n2\\n76\\n346\\nBourges\\n\\n\\n13\\nM.Michelle\\nMILAPIE\\n06/02/1996\\n1.92\\n4\\n–\\n–\\nB. Landes\\n\\n\\n5\\nEndy\\nMIYEM\\n15/05/1988\\n1.88\\n4\\n193\\n1702\\nMontpellier\\n\\n\\n93\\nDiandra\\nTCHATCHOUANG\\n14/06/1991\\n1.86\\n3\\n82\\n482\\nMontpellier\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: Marie-Michelle Milapie (FFBB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France: Ousmane Camara, Amath MBaye et Yakuba Ouattara appelés en renfort"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’intérieur Ousmane Camara (2,02m, 29 ans, Chalon), l’ailier Amath MBaye (2,06m, 28 ans, Virtus Bologne) et l’arrière Yakuba Ouattara (1,90m, 26 ans, Monaco) ont été appelés par le coach Vincent Collet afin de rejoindre l’équipe de France le 26 novembre à Paris dans l’optique des deux matches de qualification à la Coupe du Monde 2019 contre la République Tchèque et la Bulgarie.\\n\\nCes trois joueurs remplacent numériquement trois joueurs majeurs, Moustapha Fall (Krasnodar), Charles Kahudi (Villeurbanne)et Louis Labeyrie (Valence) qui sont forfaits pour raisons médicales.\\n\\nNé à Bordeaux, Amath MBaye a fait carrière à l’étranger, en NCAA (Wyoming, Oklahoma), au Japon et en Italie (Brindisi, Milan et Bologne). Comme Ousmane Camara il n’a jamais été sélectionné en équipe de France A mais le fut en moins de 20 ans en 2009. Avec Segafredo Virtus Bologne, il dispute cette saison la BCL et tourne à 10,0 points, 3,5 rebonds et 11,7 d’évaluation.\\n\\n\\n\\n\\nAndrew\\nALBICY\\n\\n\\n\\n21/03/1990\\n\\n\\n\\n\\n1,78\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\n\\n42\\n\\n\\n\\n\\n88\\n\\n\\n\\nAndorre\\n\\n\\nAxel\\nBOUTEILLE\\n\\n\\n\\n14/04/1995\\n\\n\\n\\n\\n1,97\\n\\n\\n\\n\\n3\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\n\\n12\\n\\n\\n\\nLimoges\\n\\n\\nOusmane\\nCAMARA\\n\\n\\n\\n12/05/1989\\n\\n\\n\\n\\n2,02\\n\\n\\n\\n\\n4/5\\n\\n\\n\\n\\n–\\n\\n\\n\\n\\n–\\n\\n\\n\\nChalon\\n\\n\\nAxel\\nJULIEN\\n\\n\\n\\n27/07/1992\\n\\n\\n\\n\\n1,84\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\n\\n7\\n\\n\\n\\n\\n21\\n\\n\\n\\nDijon\\n\\n\\nAlain\\nKOFFI\\n\\n\\n\\n23/11/1983\\n\\n\\n\\n\\n2,06\\n\\n\\n\\n\\n4/5\\n\\n\\n\\n\\n45\\n\\n\\n\\n\\n207\\n\\n\\n\\nGravelines\\n\\n\\nLahaou\\nKONATE\\n\\n\\n\\n17/11/1991\\n\\n\\n\\n\\n1,96\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\n\\n6\\n\\n\\n\\n\\n6\\n\\n\\n\\nNanterre\\n\\n\\nPaul\\nLACOMBE\\n\\n\\n\\n12/06/1990\\n\\n\\n\\n\\n1,90\\n\\n\\n\\n\\n1/2\\n\\n\\n\\n\\n10\\n\\n\\n\\n\\n96\\n\\n\\n\\nMonaco\\n\\n\\nMathias\\nLESSORT\\n\\n\\n\\n29/09/1995\\n\\n\\n\\n\\n2,05\\n\\n\\n\\n\\n4\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n26\\n\\n\\n\\nMalaga\\n\\n\\nAmath\\nM’BAYE\\n\\n\\n\\n14/12/1989\\n\\n\\n\\n\\n2,03\\n\\n\\n\\n\\n3\\n\\n\\n\\n\\n–\\n\\n\\n\\n\\n–\\n\\n\\n\\nBologne\\n\\n\\nAmine\\nNOUA\\n\\n\\n\\n07/02/1997\\n\\n\\n\\n\\n2,00\\n\\n\\n\\n\\n4\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n15\\n\\n\\n\\nVilleurbanne\\n\\n\\nYakuba\\nOUATTARA\\n\\n\\n\\n24/01/1990\\n\\n\\n\\n\\n1,91\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\n\\n6\\n\\n\\n\\n\\n13\\n\\n\\n\\nMonaco\\n\\n\\nJonathan\\nROUSSELLE\\n\\n\\n\\n07/02/1990\\n\\n\\n\\n\\n1,95\\n\\n\\n\\n\\n1/2\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n27\\n\\n\\n\\nLimoges\\n\\n\\n\\n\\nPartenaires d’entraînement :\\nSékou Doumbouya (2.05m, 18 ans – Limoges) et Théo Malédon (1,91m, 17 ans – Villeurbanne)\\n\\nPhoto: Amath Mbaye (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Laissé libre par Cholet, Jonathan Augustin-Fairell signe à Denain"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Jonathan Augustin-Fairell (2.01 m, 25 ans), pivot américain qui possède aussi la nationalité bahaméenne, a signé à Denain en Pro B après avoir débuté la saison en Jeep Elite à Cholet.\\n\\nA Cholet, Jonathan Augustin-Fairell n’a pas réellement convaincu (7,0 points, 4,7 rebonds), alors que cela avait été le cas à Rouen -où il avait Rémy Valin comme coach- et à Blois où il fut très actif dans la montée -sportive- en Jeep Elite. Il a aussi effectué deux matches de playoffs la saison dernière avec Dijon.\\n\\nPhoto: ASDV"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le Top 10 de la 5e journée de Pro B"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Courtcuts propose le Top 10 de la 5e journée de Pro B avec un festival de contres..."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: 48 paniers de suite à trois-points pour KB Sharp (Bourges) à l’entrainement"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Combien de paniers à trois-points d’affilée peut inscrire une joueuse professionnelle? La meneuse franco-américaine du Tango Bourges, KB Sharp apporte un élément de réponse: 48. Une partie de sa performance a été filmée par son club.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\n🔥🔥🔥 RECORD 🔥🔥🔥\\n\\n\\n48 TROIS POINTS DE SUITE POUR @KBkristen326 !#FiertéTango pic.twitter.com/UT2ppPyI8N\\n\\n\\n— Tango Bourges Basket (@BourgesBasket) November 20, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France – Bria Hartley: «Ma famille m’a racontée combien la France était un pays magnifique»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Depuis que son nom a été cité pour rejoindre l’équipe de France, Bria Hartley est devenue le centre d’attention du basket féminin. Il lui faut convaincre ceux qui sont sceptiques quant à son engagement à porter le maillot bleu. Le site de la fédération lui consacre ce matin une interview et elle évoque son rapport avec son deuxième pays.\\n\\n« Je posais un tas de question sur le pays à ma grand-mère, ma mère. Je leur disais souvent que je voulais apprendre le français. Mais ce n’était pas évident aux Etats-Unis de prendre des cours. Ma famille m’a racontée combien la France était un pays magnifique, ma grand-mère m’a expliquée toutes ces histoires ici, comment elle a rencontré mon grand-père qui était un soldat américain, et ensuite quand ils ont quitté la France pour les Etats-Unis. Et puis, j’ai toujours suivi le basket et les joueurs français, notamment Céline Dumerc qui est une de mes joueuses favorites et une excellente meneuse de jeu. J’aime beaucoup aussi Tony Parker et Boris Diaw, surtout quand ils jouaient ensemble aux Spurs de San Antonio. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Thanasis Skourtopoulos (coach Grèce): «Je pense que Giannis sera avec nous en 2019»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le 30 novembre, la Grèce reçoit l’Allemagne à Patras dans le cadre de la cinquième fenêtre de qualification à la coupe du monde FIBA 2019. Un choc au sommet entre deux équipes toujours invaincues (8-0) depuis le début de la campagne et donc déjà qualifiées pour la Chine l’été prochain. Le sélectionneur fait le point sur les enjeux importants de cette campagne.\\n\\nQuels sont les joueurs qui ont été déterminants dans le succès que vous avez rencontré lors des qualifications ?\\n\\nTout le monde a été utile. Tout le monde a fait ce qu’il avait à faire. Une sélection forte et bien organisée doit avoir un réservoir de joueurs, doit être prête en permanence et doit également avoir des jeunes qui poussent derrière. Avant, on n’avait qu’une période de préparation courte avant un événement majeur et il était très difficile de mettre ça en place, d’organiser une équipe avec un réservoir important. Maintenant, grâce aux fenêtres et au nouveau système, on a ça. On a une deuxième ligne prête à aller au combat. Et les fenêtres de qualification, ça n’a rien à voir avec des matches amicaux, qui sont toujours ennuyeux et sans intérêt. Il s’agit de matches officiels, de matches à enjeux, et tous les joueurs veulent rejoindre la sélection. On peut tirer le meilleur des gars parce qu’ils sont prêts à donner le meilleur. C’est ainsi que l’équipe a atteint son objectif. Tous les 26 joueurs concernés ont répondu de façon impressionnante.\\n\\nD’autres sélections ont connu plus de difficultés sans leurs joueurs d’Euroleague ?\\n\\nVous voulez parler de la Slovénie ? Après la fête de leur titre à l’Euro 2017, je ne sais pas si les Slovènes ont vraiment pensé à la suite. Evidemment, la retraite de Goran Dragic est une perte énorme pour la sélection. Et puis Luka Doncic est en NBA, toutes les sélections connaissent ça. Mais je crois qu’ils ont été pris par surprise. Ils n’étaient pas prêts, et derrière, ils n’ont pas pu s’en remettre. En Grèce, on a réussi à dépasser la perte de certains joueurs. Peut-être que de l’extérieur ça a semblé facile, mais ce ne l’a pas été du tout. Cela a été très dur. D’autres ont été surpris, et aujourd’hui, ils essayent vraiment de se renforcer, comme les Serbes ou les Israéliens, qui veulent absolument jouer avec les joueurs des équipes d’Euroleague.\\n\\nEn quoi est-ce différend de jouer pour l’équipe nationale ?\\n\\nIl y a beaucoup de gars qui sont de grands joueurs. Et puis il y a ceux qui ont un grand cœur. Dans une équipe nationale, il est déterminant et de se mettre au service de l’équipe, de donner son maximum au coach et à ses coéquipiers. Il faut le vouloir, il faut aimer le maillot, il ne faut pas le faire parce qu’on vous le demande, ou par obligation ou par contrat. Si un joueur n’est pas capable de s’en rendre compte, alors... Je l’ai souvent répété. En équipe nationale, il y a un contrat très lourd. Il s’agit d’un contrat d’honneur. Mais les 26 gamins qui ont joué au cours des qualifications ont montré des signes très positifs.\\n\\nQuelle est votre position par rapport à Giannis Antetokounmpo, la star des Milwaukee Bucks ? Sera-t-il avec vous à la coupe du monde 2019 ?\\n\\nJ’entretiens des contacts avec son entourage. On avait fait l’effort pour qu’il soit présent lors des derniers matches, mais nous n’avons pas réussi à l’avoir. J’avais pourtant vraiment exprimé ma conviction qu’il devait venir, j’y croyais fort mais ça n’a pas marché. Il faut respecter ses choix. Je ne vais pas être langue de bois. Giannis bénéficie d’un statut à part. Et c’est très nouveau pour nous. Le pays et l’équipe nationale n’ont jamais eu un joueur de ce calibre, de ce niveau. En plus il va continuer à progresser. Donc à nous de nous adapter à sa situation. La NBA domine le monde du basket. On veut continuer à entretenir de bonnes relations avec lui, à comprendre ses obligations, à nous adapter à ce qu’il attend de l’équipe nationale. Mon objectif n’est pas de lui coller plus de pression qu’il n’en a déjà. Il faut qu’on travaille en confiance par rapport à ce qu’il a déjà à gérer avec les Bucks. Et si tout va bien, il viendra avec nous en équipe nationale pour un gros événement. Je pense que c’est ce qu’il veut. Je pense qu’il sera avec nous l’année prochaine. »\\n\\nPhoto:Giannis Antetokounmpo (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eurocup : Les paradoxes de Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En championnat, l’AS Monaco est à la peine: 5 victoires et autant de défaites. Le club de la Principauté nous a habitué à beaucoup mieux depuis qu’il est monté en Pro A/Jeep Elite puisqu’il a terminé trois fois premier de la saison régulière.\\n\\nEn Eurocup, c’est très différent. La Roca Team est première du groupe A avec 5 victoires et 2 défaites. Encore que sa particularité, c’est d’être invaincu à l’extérieur (Brescia, Etoile Rouge de Belgrade, Galatasaray et Ulm) et d’avoir chuté deux fois à la maison (Brescia et Etoile Rouge). Il est vrai que le bonus de jouer dans sa salle est moindre étant donné le calme qui règne à Gaston-Médecin.\\n\\nA l’évidence, remplacer Zvezdan Mitrovic n’est pas une sinécure même si le nouveau coach Sasa Filipovski présente un bon CV. Il doit aussi faire avec plusieurs blessures. Ce soir, l’ASM reçoit Ulm en cas de victoire, sa place dans le top 16 serait sécurisé, mais les arrières Gerald Robinson et Lazeric Jones ainsi que Amara Sy sont indisponibles. Heureusement, elle pourra compter sur Yakuba Ouattara remis de sa blessure à la cuisse.\\n\\nAttention aux Allemands. Ils ont remporté deux victoires sur les trois derniers matches et emmenés par l’ailier américain Javonte Green (1,96m, 25 ans, 14,7 points, 6,0 rebonds et... 3,8 interceptions), ils viennent dans la Principauté pour s’imposer afin de gagner eux aussi leur ticket au top 16.\\n\\n« La grande victoire en déplacement à Belgrade nous a offert la première place du groupe. À nous de la protéger » rappelle Elmedin Kikanovic. « Ulm est une équipe extrêmement dangereuse, on s’en est aperçu à l’aller malgré notre victoire. Il faut éviter de les laisser jouer avec du rythme. Ils aiment utiliser la transition. Le résultat dépendra de notre faculté à contrôler la peinture. »\\n\\nUne fois la mission accomplie, l’ASM pourra se concentrer sur la prochaine en Jeep Elite: gagner au Mans, son bourreau lors de la dernière finale de playoffs.\\n\\nPhoto: Paul Lacombe (Eurocupbasketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Thomas Heurtel, le baromètre du Barça"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le contingent français ne faiblit pas sur le Vieux Continent. Fort de vingt-cinq joueurs (avec deux représentants de plus – Mam Jaiteh et Landing Sané – depuis une semaine) répartis sur dix pays, les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment neuf joueurs dans le championnat espagnol, la référence.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nThomas Heurtel a trouvé son rythme\\n\\nA part pour sa première sortie en double double (13 points, 11 passes), Thomas Heurtel était plutôt en-dedans sur ce début de saison avec Barcelone. A 7 points, 5 passes et 2 rebonds de moyenne sur les 6 premières journées de Liga, Heurtel cherchait encore son rythme de croisière.\\n\\nMais sur ces 3 dernières journées, l’international tricolore a clairement haussé le ton pour retrouver ses standards des années passées. Il tourne de fait à 16 points, 6 passes et 2 rebonds de moyenne avec 3 victoires de rang. Le Barça reste même sur 6 victoires de suite en Liga et 5 en Euroleague ! Ça marche très fort !\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=bo9TUJQA-ws\\n\\n\\nMam Jaiteh très efficace pour Turin\\n\\nUtilisé en sortie de banc par Larry Brown revenu aux affaires du côté de Turin, Mam Jaiteh n’a malheureusement pas pu empêcher la défaite de son club face au Bologne d’Amath M’Baye (10 points, 5 rebonds). Mais l’ancien Limougeaud a été très efficace sur son temps de jeu avec 10 points et 7 rebonds, le tout à 4/4 aux tirs.\\n\\n\\nBeaubois et De Colo à 1 point par minute !\\n\\nLes anciens espoirs de Cholet Basket ont bien grandi : Rodrigue Beaubois et Nando De Colo sont désormais des stars en puissance en Europe. Et ils l’ont encore prouvé ce weekend avec 12 points en 12 minutes pour Beaubois et 15 points en 15 minutes pour De Colo, dans la victoire de leur club respectif.\\n\\nComme son rival éternel du Khimki, le CSKA reste invaincu en VTB League alors que l’Efes Istanbul se classe tranquillement 3e pour le moment en Turquie. Beaubois tourne en moyenne à 12 points et 2 passes tandis que son compère, Adrien Moerman, au repos ce weekend, cumule quant à lui 15 points et 9 rebonds en championnat turc.\\n\\n\\nLéo Westermann retrouve du temps de jeu\\n\\nAlors que Nate Wolters et Derrick Walton Jr. squattent la plupart des minutes sur le poste de meneur, Léo Westermann a pu avoir droit à un temps de jeu plus important ce weekend en championnat. Face à la modeste équipe de Siaulai, le meneur Bleu a mis à profit ses 25 minutes de jeu avec 8 points et 8 passes dans la victoire facile du Zalgiris.\\n\\n\\nEspagne\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 17 points (8/9 aux tirs), 9 passes, 1 rebond, 1 interception, 3 balles perdues en 22 minutes (victoire 101-84 face à Estudiantes)\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 12 points (4/4 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 1 contre, 3 balles perdues en 20 minutes (victoire 95-84 face à Andorre)\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 10 points (4/8 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 1 interception, 2 balles perdues en 19 minutes (défaite 91-76 face à Malaga)\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 8 points (2/5 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe en 14 minutes (victoire 91-76 face à Gran Canaria)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 8 points (3/6 aux tirs), 1 passe, 5 balles perdues en 21 minutes (défaite 95-84 face à Malaga)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 4 points (1/1 au tir), 5 passes, 3 interception, 1 rebond, 1 balle perdue en 16 minutes (victoire 104-91 face à San Sebastian)\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 4 points (2/4 aux tirs), 2 rebonds, 2 balles perdues en 10 minutes (victoire 101-84 face à Estudiantes)\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 2 points (1/2 aux tirs), 2 rebonds, 2 balles perdues en 15 minutes (défaite 100-66 face à Tenerife)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué\\n\\n\\nGrèce\\n\\nBoris Dallo (Salonique) : 12 points (4/11 aux tirs), 4 rebonds, 1 balle perdue en 23 minutes (défaite 68-62 face à Peristeri)\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : n’a pas joué (défaite 79-70 face au Panathinaikos)\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : 3 points (1/3 aux tirs), 2 rebonds, 1 balle perdue en 17 minutes (victoire 99-83 face à Hapoel Jérusalem)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Bologne) : 10 points (3/9 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 contre, 3 balles perdues en 26 minutes (victoire 82-79 face à Turin)\\n\\nMam Jaiteh (Turin) : 10 points (4/4 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 15 minutes (défaite 82-79 face à Bologne)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 8 points (3/8 aux tirs), 8 passes, 1 rebond, 1 balle perdue en 23 minutes (victoire 102-61 face à Siaulai)\\n\\n\\nMonténégro\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 11 points (3/8 aux tirs), 4 passes, 1 rebond, 1 interception, 1 contre, 1 balle perdue en 29 minutes (victoire 75-71 face au Partizan)\\n\\nLanding Sane (Mornar Bar) : 7 points (2/4 aux tirs), 5 rebonds, 1 passe, 1 interception, 3 balles perdues en 21 minutes (défaite 104-71 face à l’Etoile Rouge)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : 12 points (5/9 aux tirs), 9 rebonds en 25 minutes (victoire 95-70 face à Krosno)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 15 points (5/5 aux tirs), 4 passes, 1 rebond, 1 interception, 1 balle perdue en 15 minutes (victoire 119-88 face à Minsk)\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : n’a pas joué (victoire 93-75 face à Perm)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAdam Mokoka (Mega) : 16 points (5/9 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 2 interceptions, 4 balles perdues en 25 minutes (défaite 82-69 face à Novo Mesto)\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 7 points (3/4 aux tirs), 8 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 30 minutes (défaite 75-72 face à Podgorica)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : 12 points (6/12 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 12 minutes (victoire 90-72 face à Buyukcekmece)\\n\\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : n’a pas joué (victoire 90-72 face à Buyukcekmece)\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : pas de match\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Nando De Colo prend feu face au Loko\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nThomas Heurtel a trouvé son rythme\\n\\nA part pour sa première sortie en double double (13 points, 11 passes), Thomas Heurtel était plutôt en-dedans sur ce début de saison avec Barcelone. A 7 points, 5 passes et 2 rebonds de moyenne sur les 6 premières journées de Liga, Heurtel cherchait encore son rythme de croisière.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jean-Denys Choulet (Chalon): «On n’a pas une équipe qui peut rester toute la journée dans la chambre d’un hôtel avec le chauffage à fond»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour remporter ce match contre l’autre Chalon (91-87), Châlons-Reims a du résister à un impressionnant rush final de son adversaire. Le CCRB a mené 53-32 grâce à une belle réussite et à une léthargie généralisée du côté des hommes de Jean-Denys Choulet, lequel a eu cette phrase en conférence de presse rapportée par L’Union:\\n\\n« On n’a pas une équipe qui peut rester toute la journée dans la chambre d’un hôtel en zone industrielle avec le chauffage à fond », ajoutant, « Chez les joueurs, il n’y en a pas eu un pour rattraper l’autre. »\\n\\nAvec un beau jeu de contre-attaque, le CCRB a pu compter sur un Blake Schilb particulièrement saignant face à son ancien club: 30 points, 10 rebonds et 5 passes. Jo Passave-Ducteil a été lui aussi très en vue avec 14 points, 6 rebonds et 4 passes.\\n\\nL’Elan a donc rattrapé, dans un dernier quart-temps disputé à un rythme échevelé (30-18), une bonne partie de son retard. Longtemps maladroit, Justin Robinson a retrouvé la direction du filet mais a loupé un trois-points qui aurait pu peut-être faire définitivement basculer le match.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Rouen en finale de la Leaders Cup"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Rouen est le premier qualifié à la finale de la Leaders Cup Pro B. Alors qu’ils s’étaient inclinés 72-77, à l’aller en Normandie, les hommes d’Alexandre Ménard ont renversé le SLUC Nancy au retour en Lorraine, 75-59.\\n\\nLe RMB avait déjà creusé un écart à la mi-temps (37-24) puis à la fin du troisième quart-temps (54-36). Jessie Bégarin (22 points, 5 rebonds) et Zimmy Nwogbo (15 points et 10 rebonds) ont été les deux principaux artisans de cette victoire. Seul John Cox a obtenu une évaluation correcte (12) du côté du SLUC.\\n\\nOn connaîtra le deuxième finaliste suite à la manche retour qui opposera, aujourd’hui dans la Loire, Roanne à Orléans vainqueur 83-77 à l’aller."
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg: Six mois après sa rupture du tendon d’Achille, Jacques Alingue revient à la compétition"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Victime d’une rupture du tendon d’Achille le 12 mai dernier contre Gravelines alors qu’il portait le maillot de la JDA Dijon, l’ailier-fort de Strasbourg Jacques Alingue (2,01m, 30 ans) a repris les entraînements collectifs et sera même sur la feuille de match lors de la confrontation à Ostende en Basketball Champions League.\\n\\nAvant sa blessure, Jacques Alingue avait apporté 9,4 points et 5,6 rebonds à la JDA Dijon et aussi une forte contribution en défense. La SIG avait ensuite décidé de concrétiser un accord verbal alors qu’elle savait qu’il ne serait pas opérationnel les premières semaines de l’actuelle saison.\\n\\n\\n\\n\\nSemaine importante pour la @sigstrasbourg avec deux matches à domicile face à @FILOU_Oostende et @Nanterre92, et le retour de @JacquesAlingue à l’entraînement 👍 Il sera sur la feuille de match dès demain. #Gosig #basketballcl #SIGFIL pic.twitter.com/7VF6nXWeIL\\n\\n\\n— SIG Strasbourg (@sigstrasbourg) November 19, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: La décision écologique de Céline Dumerc"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ancienne capitaine des Bleues, Céline Dumerc, qui porte le maillot de Basket Landes a pris une mesure écologique radicale valable dans la vie de tous les jours et spécialement à l’entraînement:\\n\\n« Je relève le grand défi du climat : plus de bouteille en plastique pour l’entraînement mais une gourde !! Il est tant de changer de comportement », scande t-elle sur Instagram, (petite) vidéo à l’appui.\\n\\nQue sa décision serve d’exemple à ses fans (près de 18 000 sur Instagram et... 153 000 sur Twitter) et aux autres !\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\nhttps://www.instagram.com/p/BqXenuyHb00/?utm_source=ig_twitter_share&igshid=1njnzhndbkl6a"
}, 
{"role": "user",     "content":"Allemagne: Adversaire de Limoges cette semaine, l’ALBA Berlin signe l’ancien NBAer Jordan Crawford"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Adversaire de Limoges mercredi en Eurocup, l’Alba Berlin reçoit le renfort de Jordan Crawford (1,93m, 30 ans).\\n\\nCe combo guard américain a un long passé en NBA de 281 matches répartis en six saisons et pour une bonne moyenne de 12,2 points et 3,1 passes. Il n’a joué que 5 matches aux New Orleans Pelicans la saison dernière. On trouve également sa trace en Chine et en G-League (28,4 points en moyenne en 2016-17)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV: Le Mans-Monaco et France-Slovénie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans une semaine toujours aussi dense, on trouve notamment la revanche de la dernière finale de Jeep Elite, Le Mans/Monaco et un France/Slovénie décisif pour la qualification à l’Euro 2019 féminin.\\n\\nLundi 19 novembre\\n\\n20h45 – Châlons-Reims/Chalon – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\n22h45 Buzzer – Magazine – RMC Sport 2\\n\\nMardi 20 novembre\\n\\n19h00 – Fenerbahçe/Darussafaka – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n19h40 – Monaco/Ulm – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\n20h00 – Hapoel Jerusalem/Dijon – BCL – Basket+\\n\\n20h30 – Strasbourg/Ostende – BCL – Canal+ Sport\\n\\n20h30 – Munich/Olympiakos – Euroleague – RMC Sport 1\\n\\n21h00 – Madrid/Gran Canaria – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n21h45 – Ankara/Villeurbanne – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\nMercredi 21 novembre\\n\\n18h00 – Wloclawek/Le Mans – BCL- Canal+ Sport\\n\\n18h00 – Khimki Moscou/Buducnost -Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n18h45 – Moscou/Kaunas – Euroleague – RMC Sport 3\\n\\n20h00 – Berlin/Limoges – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\n20h30 – Nanterre/Holon – BCL – Canal+ Sport\\n\\n20h45 – France/Slovénie – Qualif. Euro fem. – RMC Sport 2\\n\\n20h45 – Milan/Vitoria – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n22h00 – Panathinaikos/Barcelone – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\nJeudi 22 novembre\\n\\n18h15 – Darussafaka/Efes – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n19h45 – Olympiakos/Madrid – Euroleague – RMC Sport 1\\n\\n20h00 – Tel-Aviv/Fernerbahçe – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n21h30 – Gran Canaria/Bayern – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\nVendredi 23 novembre\\n\\n18h45 – Olympiakos/Madrid – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\n20h25 – Vitoria/Panathinakos – Euroleague – RMC Sport 3\\n\\nSamedi 24 novembre\\n\\n18h30 – Pau/Chalon – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nDimanche 25 novembre\\n\\n18h30 – Le Mans/Monaco – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nLundi 26 novembre\\n\\n20h45 – Cholet/Antibes – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\n22h45 Buzzer – Magazine – RMC Sport 2\\n\\nPhoto: Jonathan Tabu (Le Mans)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Portel: Eric Girard montre le bâton"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le moins que l’on puisse dire, c’est que le coach Eric Girard a peu goûté la défaite au Chaudron de son équipe porteloise face à Cholet, 84-92, qui jusqu’à présent n’avait pas réussi grand chose de bon.\\n\\nC’est surtout l’aspect défensif de l’ESSM qui déplaît au coach et il montre son bâton comme le rapporte La Voix des Sports:\\n\\n« Ils ont vu un coach Girard sympathique, tolérant, qui essayait de s’adapter et qui acceptait les lacunes de certains. Aujourd’hui, il y a le maintien à obtenir et si je dois prendre des décisions drastiques, on passera pas là »\\n\\nPour sa troisième saison parmi l’élite, Le Portel peut-il viser plus haut que ce maintien? Les victoires ce week-end de Cholet donc mais aussi Antibes ont quelque peu redistribué les cartes. L’ESSM compte deux victoires de plus que Cholet Basket et Fos-sur-mer et trois vis à vis des Sharks d’Antibes. Ceci dit, elle en a autant que Limoges et seulement une de moins que les équipes à égalité à la huitième place. Bref, tout est encore possible.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Laurent Foirest (Quimper) ne veut pas que son équipe soit dépendante de Bernard King"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans la deuxième victoire de la saison de l’UJAP Quimper obtenue à la maison face à Lille (85-84), le vieux routier américain Bernard King (37 ans) a pesé de tout son poids avec 27 points dont un 6/8 à trois-points, 12 passes, 3 rebonds et 3 interceptions pour 37 d’évaluation. Plus les lancers de la victoire.\\n\\nMais le coach breton, Laurent Foirest ne veut pas que son équipe soit hyper dépendante de son Roi.\\n\\n« Bernard, on le connaît, » a t-il déclaré à Ouest France. « Mais ce que je souhaiterais, c’est qu’on arrête d’attendre qu’il prenne les choses en main. Il faut arrêter de le chercher systématiquement. Il y a des systèmes en place, faits pour tout le monde. Il faut que tout le monde en profite. »\\n\\nPhoto: UJAP"
}, 
{"role": "user",     "content":"ASVEL: Théo Maledon mieux que Tony Parker au même âge !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Théo Maledon, 17 ans depuis le 12 juin, meneur de jeu de 1,92m de Villeurbanne, a fait preuve d’une incroyable maturité hier soir contre Le Mans signant une copie remarquable : 20 points (son record perso) à 5/7 aux tirs du champ, 10/10 aux lancers, 4 passes et 1 rebond pour 23 d’évaluation (là aussi son record). Quand il s’est agit de donner définitivement la victoire à l’ASVEL à cinq secondes de la fin (80-76), son bras sur la ligne n’a pas tremblé.\\n\\nSon coach Zvezdan Mitrovic lui a ainsi offert davantage de temps de jeu (21’ à 16) que le titulaire, le Lituanien Mantas Kalnietis pourtant meneur de jeu de son équipe nationale. Théo Maledon a pris ça avec un naturel désarmant :\\n\\n« J’étais le seul meneur sur le terrain, j’adore ça. J’ai travaillé tout l’été pour avoir un rôle aussi important. Cela porte ses fruits et il faut juste continuer maintenant », a-t-il déclaré au micro de RMC Sport.\\n\\nDepuis le début de saison, Théo Maledon est sensiblement en avance sur ses camarades de promo, Killian Hayes de Cholet et Malcolm Cazalon de Bourg. En 10 matches de Jeep Elite, il s’est vu offrir 17’ de temps de jeu moyen pour 8,0 points, 2,3 rebonds, 1,8 passe et 9,4 d’évaluation.\\n\\nOn observe que c’est beaucoup mieux que son président à l’ASVEL, un certain Tony Parker. Lors de la saison 1999-2000, l’actuel meneur de jeu des Charlotte Hornets, qui est né en mai 1982, et qui sortait de l’INSEP, portait le maillot du PSG Racing et était la doublure de Laurent Sciarra. Ses stats finales : 3,9 points, 0,9 rebond, 1,7 passe et 3,2 d’évaluation en 10’ de moyenne. C’est la saison suivante que Parker explosa pour être drafté dans la foulée par les San Antonio Spurs. De plus Théo Maledon est inclus dans l’équipe actuellement leader du championnat de France qui est sensiblement supérieure au Paris de Tony Parker.\\n\\nLa comparaison est identique avec Frank Ntilikina (New York Knicks), né en juillet 1998, et qui lors de la saison 2015-16 avait affiché avec Strasbourg 1,6 point, 0,7 rebond et 0,7 passe pour 2,0 d’évaluation.\\n\\nDurant le match, l’ASVEL a projeté sur l’écran de l’Astroballe une vidéo d’Alain Gilles décédé il y a quatre ans. L’icône de l’ASVEL eut sa première sélection en équipe de France à 17 ans et demi. S’il continue sur sa lancée, Théo Maledon pourrait égaler son prestigieux aîné lors des fenêtres internationales de février. Qu’en pense Vincent Collet ?"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les 8 paniers à trois-points de Arnauld Thinon face à Evreux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On vous a parlé des 29 points marqués par le meneur de Poitiers Arnauld Thinon contre Evreux avec un remarqué 8/15 à trois-points. Les voici présentés par le Poitiers Basket 87.\\n\\nhttps://www.facebook.com/poitiersbasket86/videos/1330758630392263/UzpfSTc2NjU0ODE4MjoxMDE1NjM1OTA4NDUyODE4Mw/"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel: London Perrantes (ex-Limoges) à Cholet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cholet Basket a confirmé la venue du meneur de jeu London Perrantes (1,88m, 24 ans) qui a débuté la saison à Limoges.\\n\\nAprès les intermèdes de Tywain McKee et Danny Gibson, le club du Maine-et-Loire était à la recherche d’un meneur de jeu et a choisi London Perrantes qui sort de 9 matches de Jeep Elite avec le CSP pour 5,7 points, 5,8 passes en 19′. Il a joué deux minutes hier soir contre Nanterre.\\n\\nLondon Perrantes était passé au préalable par les Cleveland Cavaliers (14 matches) et la G-League.\\n\\nPhoto: CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Etats-Unis: Entrée dans le staff des Denver Nuggets, Sue Bird n’arrête pas pour autant sa carrière de joueuse"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La nouvelle est de la plus haute importance même si ce n’est pas réellement une surprise : Sue Bird va rejoindre le staff des Denver Nuggets.\\n\\nSue Bird est une icône mondiale du basket féminin. Meneuse de jeu de l’équipe américaine, elle a été notamment quatre fois championne olympique, quatre fois championne du monde, et aussi quatre fois vainqueur de l’Euroleague, trois fois championne WNBA et onze fois All-Star, et deux fois championne NCAA.\\n\\nSue Bird sera employée à faire du scouting tout en se familiarisant avec le front office de la franchise du Colorado. Elle suit donc l’exemple de Becky Hammon, qui est devenue à San Antonio la première femme assistante-coach dans un sport américain majeur et aussi de Nancy Lieberman et Kristi Toliver qui sont également assistantes en NBA, à respectivement Sacramento et Washington.\\n\\n« Vous avez une paire d’yeux, si vous connaissez le jeu, si vous voyez le jeu, peu importe la couleur que vous êtes, peu importe le sexe que vous avez. Vous connaissez le jeu ou vous ne le connaissez pas. Sue Bird connaît le jeu. Elle a un QI incroyable, un excellent feeling pour le jeu, elle connaît le talent, elle connaît les joueurs et je pense qu’elle sera assurément un atout à cet égard », a déclaré le coach Michael Malone.\\n\\nMais Sue Bird ne prend pas pour autant sa retraite de joueuse. Elle se préparera en même temps à sa 17e saison en WNBA pour défendre le titre conquis cet été avec le Seattle Storm. Et pourquoi pas en ayant dans le viseur les Jeux de Tokyo en 2020. Elle aura presque 40 ans mais rien ne paraît impossible à L’Oiseau rare. D’ailleurs l’intéressée ne dit pas le contraire.\\n\\n« Si je pouvais passer quelques années de plus sur le terrain, ça serait génial.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le chiffre – Limoges a encaissé seulement 18 points sur deux quart-temps"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"18 points encaissés lors des deuxième et troisième quart-temps (9+9), soit en vingt minutes. C’est la performance accompli par le Limoges CSP face à Nanterre hier soir.\\n\\nAvec 83,4 points concédés en moyenne à ce jour (13e de Jeep Elite), le CSP n’est pourtant pas réputé pour sa défense alors que Nanterre 92 possède quelques gâchettes notamment à trois points: Dominic Waters (61,1% de réussite, 1er de Jeep Elite), Jeremy Senglin (54,2%, 5e), Adas Juskevicius (46,8%, 12e) et encore Lahaou Konate (44,7%, 17e) et Hugo Invernizzi (39,5%, 31e).\\n\\nA Beaublanc, seul le Lituanien Adas Juskevicius a cartonné: 6/8 derrière la ligne. Les autres Nanterriens ont été contrôlés à 5/21. A l’inverse, les Limougeauds ont tourné à un bon 53,8% dans les tirs du champ et Jonathan Rousselle (21 points, 5 rebonds, 5 passes, 28 d’évaluation) a envoyé en fin de match deux missiles qui ont mis le public en transes.\\n\\nCette large victoire (80-62) après cinq insuccès en comptant l’Eurocup fait du bien partout, au moral, au bilan comptable, aux joueurs et... au coach. Mais demande de faire rapidement des petits.\\n\\nPhoto: Jonatan Rousselle (CSP)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : Rodrigue Beaubois et Adrien Moerman en tauliers"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Efes Istanbul était la grande inconnue en début de saison. Mais, plus les semaines passent, et plus le club stambouliote semble renaître de ses cendres, et ce, derrière le duo français composé par Rodrigue Beaubois et Adrien Moerman. Le combo tricolore a frappé fort pour faire chuter le Panathinaikos, avec 19 points pour l’arrière et 17 pour l’intérieur.\\n\\nPar ailleurs, le CSKA Moscou et Barcelone poursuivent sur leur grosse dynamique du moment, respectivement à 7 et 5 succès d’affilée ! Gran Canaria a quant à elle réussi à doubler son total de victoire avec un 2e succès cette saison, pour la réception du Maccabi Tel Aviv.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nL’Efes prend tournure\\n\\nL’Efes Istanbul annonçait une révolution de palais après sa saison cata et ça commence à prendre belle tournure cette année ! Istanbul a remporté une deuxième victoire de suite, et surtout une 4e sur ses 5 dernières sorties, face au Panathinaikos (78-62). Le duo français de l’Efes a encore frappé fort avec Rodrigue Beaubois à 19 points et Adrien Moerman à 17.\\n\\nBeaubois y ajoute même 4 contres pour ce qui est un record personnel. Dans le même registre, Bryant Dunston est devenu le 2e meilleur contreur de l’histoire de l’Euroleague en égalant Ioannis Bourousis à 194. Maintenant, c’est Fran Vasquez qui est en ligne de mire (mais loin) à 249 contres.\\n\\n\\n5e succès de rang pour Barcelone\\n\\nSi Adam Hanga et le Barça se sont compliqués la tâche avec une fin de match cafouillée qui a permis au Zalgiris d’arracher la prolongation, Kevin Pangos (12 points, 5 passes) a bel et bien remporté son match de retour à Kaunas (88-85). Son successeur en Lituanie, Nate Wolters, a réussi un bon match à 19 points et 6 passes, tout comme Aaron White (21 points, 8 rebonds). Mais ça n’a pas suffi !\\n\\nAvec ses beaux « gilets jaunes », Barcelone enchaîne là un 5e succès d’affilée avec 8 joueurs entre 7 et 15 points marqués. A 5/6 à trois points, Kyle Kuric a été le meilleur scoreur catalan en apportant sa menace derrière l’arc. Et Ante Tomic (14 points) a lui frappé près du cercle ! Thomas Heurtel (11 points) et Kevin Séraphin (7 points) ont aussi apporté leur pierre à l’édifice.\\n\\n\\nLe CSKA reçu 7/7\\n\\nComme le Real Madrid s’est imposé la veille, le CSKA Moscou ne voulait pas être de reste et s’est également imposé pour rester avec un bilan de 7 victoires et 0 défaite. Face au Bayern Munich, le CSKA n’a pas laissé la place au hasard en démarrant sur un 26-16 en scorant sur 11 de ses 12 premières possessions durant les 7 premières minutes.\\n\\nPas tellement en réussite à 2/8 aux tirs, Nando De Colo termine à 9 points mais à +16 à la pause, le CSKA a facilement mené sa barque tandis que le Bayern n’a pas réussi à régler la mire de loin, à 3/17 à trois points. Derrick Williams et Nihad Dedovic scorent 14 points chacun tandis que Cory Higgins (18 points, 5 passes) et Will Clyburn (10 points, 8 rebonds, 4 passes).\\n\\n\\nGran Canaria double la mise\\n\\nBien lancé par un 8-0 initial propulsé par Chris Evans et Kim Tillie, Gran Canaria a fait la course en tête pendant quasiment tout le match. Le Maccabi a bien fait une intrusion en 4e quart, mais un 14-8 amené par Anzejs Pasecniks et le héros de ce match, Eulis Baez (16 points dont 8/9 aux lancers francs, 10 rebonds, 4 passes pour 32 d’évaluation).\\n\\nAu bout d’un gros combat marqué par 28 fautes du Maccabi, GranCa décroche donc sa 2e victoire de la saison (84-78). Chris Evans (17 points) et Clevin Hannah (15 points) ont été les parfaits lieutenants de Baez, alors que Kim Tillie ajoute lui 5 points.\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 24 points (8/15 aux tirs), 4 rebonds, 4 passes, 1 interception en 32 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Istanbul) : 19 points (8/14 aux tirs), 5 rebonds, 4 contres, 3 passes, 3 balles perdues en 35 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Istanbul) : 17 points (7/15 aux tirs), 6 rebonds, 2 passes, 2 interceptions, 4 balles perdues en 31 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 13 points (5/9 aux tirs), 4 passes, 3 rebonds en 17 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 11 points (5/10 aux tirs), 3 passes, 1 rebond, 1 interception en 24 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 10 points (5/6 aux tirs), 1 rebond, 1 balle perdue en 16 minutes\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 9 points (2/8 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 23 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 7 points (3/5 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 13 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahce) : 6 points (3/5 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 contre, 1 balle perdue en 21 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 6 points (2/4 aux tirs), 1 rebond, 1 passe en 12 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 5 points (2/3 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 17 minutes\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 0 point (0/1 au tir), 1 passe, 1 balle perdue en 7 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nKaunas a chèrement vendu sa peau face à Barcelone, s’inclinant au bout d’une prolongation. Mais les Catalans ont fait montre de sang-froid, tout en gardant leur style. Thomas Heurtel et Victor Claver ont parfaitement combiné sur cette contre-attaque pour un dunk les deux mains dans la marmite !\\n\\n\\n\\n\\n.@MT28APRIL takes the steal and sets up @Victor_Claver for a high-flying fastbreak slam!#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/k6ZR2XBhud\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) November 16, 2018\\n\\n\\nLes résultats de la 7ème journée\\n\\nJeudi 15 novembre :\\nDarussafaka – Milan (92-98)\\nPodgorica – Vitoria (99-84)\\nOlympiakos – Fenerbahçe (72-73)\\nReal Madrid – Khimki Moscou (79-74)\\n\\nVendredi 16 novembre :\\nEfes Istanbul – Panathinaikos (78-62)\\nZalgiris Kaunas – Barcelone (85-88)\\nBayern Munich – CSKA Moscou (79-93)\\nGran Canaria – Maccabi Tel Aviv (84-78)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 8e journée\\n\\nMardi 20 novembre :\\nEfes Istanbul – Maccabi Tel Aviv (18h)\\nFenerbahçe – Darussafaka (19h)\\nBayern Munich – Olympiakos (20h30)\\nReal Madrid – Gran Canaria (21h)\\n\\nMercredi 21 novembre :\\nKhimki Moscou – Podgorica (18h)\\nCSKA Moscou – Zalgiris Kaunas (18h45)\\nPanathinaikos – Barcelone (20h)\\nMilan – Vitoria (20h45)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nL’Efes prend tournure\\n\\nL’Efes Istanbul annonçait une révolution de palais après sa saison cata et ça commence à prendre belle tournure cette année ! Istanbul a remporté une deuxième victoire de suite, et surtout une 4e sur ses 5 dernières sorties, face au Panathinaikos (78-62). Le duo français de l’Efes a encore frappé fort av\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Albert de Monaco : «Je n’ai pas pu voir un seul match de basket depuis le début de la saison»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que c’est Fête Nationale en Principauté, Monaco Matin a réalisé une interview de SAS le Prince Albert II avec un chapitre consacré à l’ASM basket.\\n\\n\\n« Le début de saison a été un peu inégal mais il y a beaucoup de qualités dans cette équipe. Heureusement, certains piliers sont restés, Amara Sy, Paul Lacombe et d’autres. Le dernier match européen a été de très grande qualité paraît-il. Malheureusement, je n’ai pas pu voir un seul match de basket depuis le début de la saison. Je suis fautif, je sais, mais il faut peut-être qu’on arrête de m’inviter à d’autres manifestations pour que je puisse aller au basket [rires]. J’irai dès que je peux car c’est un beau sport et une équipe qui, elle aussi, fait honneur à la Principauté. Je souhaite qu’elle fasse une très belle saison ».\\n\\nHier soir, ce sont les Levallois Metropolitans qui ont gâché les festivités en s’imposant après prolongation 89-87 dans la Principauté. L’Américain Julian Wright a été l’homme du match avec 13 points et 16 rebonds. Le bilan de la Roca Team est à présent tout juste équilibré (5 victoires, 5 défaites) donc loin de ses standards des saisons passées.\\n\\nLe Prince Albert pose sur la photo en compagnie du président ukrainien Sergey Dyadechko. C’est davantage celui de la section football, le Russe Dimitri Rybolovlev, qui lui donne actuellement du soucis...\\n\\nPhoto: ASM"
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo – «Johannès, épouse moi !»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’américaine, un des supporters probablement français -il s’agit d’un maillot de rugby des Bleus- présents hier à Cluj pour le match France-Roumanie a confectionné une pancarte pour faire une demande en mariage à Marine Johannès... En inscrivant deux cases. OUI et NON.\\n\\nL’internationale de Bourges a visiblement pris la demande avec le sourire. L’histoire ne dit pas quelle case elle a coaché ou... si elle s’est contentée de dédicacer la pancarte.\\n\\nPhotos: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Jay Threatt parti, Arnauld Thinon cartonne (8/15 à trois-points)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans la semaine, le meneur américain Jay Threatt avait lâché son équipe pour partir en Lituanie. Threatt, c’était 15,8 points et 8,0 passes en moyenne... Que s’est-il passé face à Evreux ?\\n\\nLe Poitiers Basket 86 a connu une superbe réussite générale à trois-points (16/32), a fait tout de suite la différence pour s’imposer largement, 104-84. Et qui a été élu MVP du match? Arnauld Thinon (1,70m, 31 ans), son remplaçant, qui a réalisé un véritable récital: 8/15 à trois-points, un record évidemment, qui lui a permis en outre de battre d’autres records, de points (29) et d’évaluation (30).\\n\\n« On ne va pas se lamenter pendant des jours parce qu’il y a un joueur qui est parti », a t-il commenté. « C’est comme s’il y avait un blessé. On fait avec (...) Oui j’avais la pression mais c’est aussi pour ça que l’on fait du sport de haut niveau. Une, je n’avais pas le droit de décevoir parce qu’il y avait la situation avec Jay et deux, il fallait que je rassure mes coéquipiers, que je leur montre que j’étais capable de les emmener, même s’ils ont confiance en moi. Oui j’ai mis les shoots ouverts mais la balle a tellement bien tourné, ce ballon on l’a fait vivre. C’est vraiment une victoire collective comme on les aime dans les sports collectifs. C’est pas un mec qui a gagné, c’est l’équipe ensemble. »\\n\\nPhoto: PB 86"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Voir ou revoir France-Roumanie dans son entier"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Voici la possibilité de voir ou de revoir la totalité du match France-Roumanie qui s’est déroulé en fin d’après-midi à Cluj dans le cadre des qualifications à l’EuroBasket féminin 2019.\\n\\nPhoto: Romane Bernies (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Euro féminin 2019: La France sans trembler face à la Roumanie, 90-61"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme espéré, l’équipe de France a passé sans encombre (90-61) l’obstacle roumain à Cluj dans cet avant-dernier match de qualification à l’EuroBasket 2019 qui se tiendra en Lettonie et Serbie.\\n\\nValérie Garnier a aligné au départ un cinq traditionnel avec Olivier Epoupa, Marine Johannès, Diandra Tchatchouang, Endy Miyem et Sandrine Gruda. Dans un ambiance pour le moins feutrée, dans une salle d’un autre âge et sur un terrain où apparaissaient les lignes de hand et de volley, les Bleues en manque de réussite offensive et pas assez vigilantes sous le cercle, se sont retrouvées menées 4-10 puis 8-14. Avec une meilleure agressivité elles ont -enfin- pris la tête au score, 19-18, à une trentaine de secondes de la fin du premier quart-temps.\\n\\nGrâce à leur montée en régime en défense, une circulation de balle plus vivace, une Helena Ciak très dominante (15 points, 7 rebonds et 21 d’évaluation au total) et une Sandrine Gruda toujours aussi solide à l’intérieur, les Françaises passaient un 15-0 aux Roumaines et se retrouvaient ainsi avec une dizaine de points d’avance. Trop d’imprécisions les empêchaient cependant de creuser tout de suite un gros écart (42-31, 20e).\\n\\nLa reprise s’est faite sur la pointe des pieds, les Bleues s’empêtrant dans la défense roumaine. C’est en fin du troisième quart-temps que la France a multiplié interceptions et contre-attaques s’autorisant ainsi une marge de plus en plus importante (69-45, 30e). La fin de match était peu distrayante... Tout ceci peut être qualifié de bon match d’entraînement.\\n\\nLa vitesse de Bria Hartley\\n\\nPour sa première sélection en bleu, Bria Hartley a été sollicitée dès la sixième minute au poste 1, a mis tout de suite de l’intensité défensive et de la vitesse balle en mains. Le moins que l’on puisse dire c’est que la Newyorkaise n’a pas froid aux yeux et elle donne l’impression de faire tout plus vite. L’histoire retiendra qu’elle a mis ses deux premiers points en contre-attaque après deux échecs. Au final, la Franco-Américaine a cumulé 9 points, 5 passes et 4 interceptions en 19’ mais a quelque peu failli à la finition (4/10 aux tirs). Comme Bria Hartley a joué presque exclusivement en meneuse, le temps de jeu de Romane Bernies a été limité à 6’ et essentiellement dans le garbage time.\\n\\nL’équipe de France a désormais comme mission de gagner de plus de six points mercredi prochain à Charleville contre la Slovénie, vainqueur ce soir de la très faible Finlande, 88-68. Une condition indispensable pour se qualifier automatiquement à l’EuroBasket de 2019 et être tête de série lors du tirage au sort. Comme pour le vol aller, les Bleues vont bénéficier d’un avion privé pour retourner demain dans les Ardennes.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhotos: Sandrine Gruda et équipe de France, FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Bria Hartley: «Je suis honorée de jouer pour l’équipe de France féminine»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est le grand joueur pour la Franco-Américaine Bria Hartley. Sur Twitter et Instagram, la meneuse du New York Liberty et de Fenerbahçe se dit honorée de jouer pour l’équipe de France féminine et fait référence à sa grand-mère alsacienne.\\n\\nLa France affronte la Roumanie ce soir à 18h à Cluj.\\n\\nLire ICI notre point de vue.\\n\\nPhoto: FFBB\\n\\n\\n\\n\\n🇫🇷: Je suis honoré de jouer pour L'équipe de France feminine. Aujourd'hui, nous jouons contre la Roumanie. C'est pour toi grand-mère, je t'aime.\\n\\n\\n🇺🇸: I am honored to play for the Women’s... https://t.co/Ynj8pHU1JQ\\n\\n\\n— Bria Hartley (@Breezyyy14) November 17, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Champion de France 2018 avec Le Mans, le néo-retraité Pape Philippe Amagou rebondit dans la finance"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il a mis un terme à sa carrière de basketteur professionnel suite à une hernie discale, Pape Philippe Amagou, est désormais en stage dans un cabinet de Conseil, Capgemini, afin de valider son Master en Finances.\\n\\n” Pendant 16 ans, j’ai vécu ma passion. Mais aujourd’hui, quelque part, je me sens très chanceux de travailler pour ce genre d’entreprise. Tous les jours, c’est vraiment stimulant sur le plan intellectuel. J’apprends des choses. Je suis plutôt gâté par ces deux métiers, espérons que ça dure!”, explique t-il à France Bleu.\\n\\nLe champion de France 2018 est toujours sur Le Mans et il gère par ailleurs un magasin de produits multimédias avec son ancien équipier et ami, Alain Koffi. Pape Philippe Amagou n’a pas tiré un trait sur le basket, informe le site Sportmania et pourrait devenir à terme agent de joueurs.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: L’équipe de France est sur place à Cluj, Roumanie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Bleues sont arrivées hier soir à Cluj où les attend un match contre la Roumanie en fin d’après-midi (18h) pour le compte des qualifications à l’Euro 2019. Le voyage n’a pas été de tout repos comme le raconte la coach Valérie Garnier dans ce reportage de la FFBB."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Jay Threatt ne portera plus le maillot de Poitiers"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un communiqué, le Poitiers Basket 86 informe que le meneur Jay Threatt (1,80m, 29 ans) ne portera plus son maillot:\\n\\n« Arrivé à l’inter-saison en provenance de Denain, le meneur américain ne portera plus les couleurs du PB86. Depuis plusieurs jours, Jay THREATT a fait part de son souhait de départ pour un club étranger (en Lituanie / 1ère division). Devant le refus ferme du club et après plusieurs tentatives de conciliation pour le ramener à ses devoirs et ses engagements, le joueur s’est alors montré méprisant et insultant envers le club et ses valeurs, rendant toute collaboration future impossible. Le club est extrêmement déçu de l’attitude de Jay THREATT, et de son manque de respect pour l’institution. Contre Evreux, l’équipe évoluera donc dans une configuration inédite, et tentera de renouer avec la victoire sur ses terres. Le staff et les dirigeants du club, sont d’ores et déjà en recherche d’un nouveau meneur pour rejoindre l’équipe dans les meilleurs délais. »\\n\\nJay Threatt était le meilleur marqueur (15,8 points) et à l’évaluation (19) de l’équipe poitevine.\\n\\nPhoto: PB86"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le chiffre: 39 d’évaluation pour Tim Blue (Antibes)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que la situation passait de l’orange au rouge, du grave au désespéré, Antibes a retrouvé SON Tim Blue (2,05m, 34 ans) et la victoire.\\n\\nC’est peu dire que le fidèle intérieur américain a porté les Sharks vers ce succès sur Pau. C’est lui par exemple qui a donné le coup de rein nécessaire dans le troisième quart-temps lorsque les Antibois se laissaient aller: deux trois-points et un layup. L’écart était porté à 16 points (53-37, 24e) et Pau ne s’en est jamais totalement remis même s’il est revenu à trois points (57-60). Une première victoire antiboise était au bout de la soirée: 83-73.\\n\\nBilan comptable du maître des lieux américain: 33 points à 11/15 aux tirs, 9 rebonds, 3 passes, soit 39 d’évaluation sur les 97 de son équipe. Ses 33 points constituent le record absolu de Tim Blue en Pro A/Jeep Elite mais il a déjà fait mieux à l’éval: 44.\\n\\nLa bonne nouvelle c’est qu’il a visiblement retrouvé toutes ses sensations après son AVC de la saison dernière.\\n\\nLes Sharks sont désormais à une victoire de Fos et toujours de Cholet, qui a été gagner hier soir au Portel, et à deux de... Limoges, qui a un match en retard.\\n\\nPhoto: Sharks"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Elite – Le baromètre des jeunes pousses, épisode 2: Avantage Théo Maledon (ASVEL) sur Killian Hayes (Cholet)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Deuxième épisode de notre « baromètre » scrutant les performances des U21 en Jeep Élite. Qui enregistre de très beaux « hauts » mais aussi pas mal de « bas »...\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nRéalisé après la deuxième journée de Jeep Élite, notre premier « baromètre » avait donné une tendance sur l’utilisation des joueurs de 21 ans et moins dans le championnat de France de basket-ball. Sept journées plus tard, quelles évolutions peut-on constater ?\\n\\nPlus de joueurs, mais...\\n\\nPremière constatation : alors qu’ils n’étaient « que » 32 à avoir foulé les parquets de Jeep Élite (au moins une minute) à la deuxième journée, ils sont désormais 46 dans ce cas. Soit 50 % de plus.\\n\\nUn chiffre « brut » impressionnant mais qui cache une tout autre réalité : pour la plupart de ces nouveaux joueurs, hors ceux qui reviennent de blessure (comme Melvyn Govindy à Cholet), il ne s’est agi que de passer en coup de vent sur le terrain, une minute ou deux sur un ou deux matchs – c’est le cas d’une douzaine de joueurs (Théo Jouvin à Chalon, Jules Rambault et Quentin Losser à Châlons-Reims, Endar Poladkhandi à Cholet, Nicolas Dorez et Damien Archinard à Dijon, Louis Marnette à Gravelines-Dunkerque, Vanly Meite au Portel, Thimotée Bazille et Damien Larribeau à Limoges, Kevin Cham à Monaco, Armand Mensah à Nanterre, Florent Pouaveyoun à Pau-Lacq-Orthez). Outre Govindy cité plus haut, un « cas particulier » est à relever, dans cette même catégorie des « nouveaux entrants » : Yohann Choupas (Pau-Lacq-Orthez) est entré quatre fois en jeu depuis la 5e journée (dont 11 minutes lors de la journée 7).\\n\\nDes « anciens » mi-figue mi-raisin\\n\\nPour ceux qui avaient déjà joué lors des deux premières journées, les destinées sont variées.\\n\\nEn ce qui concerne les « anciens », joueurs ayant déjà un passé en Jeep Élite, la tendance n’est pas différente : tout va bien pour certains, beaucoup moins pour d’autres.\\n\\nEn hausse : avant de se blesser, Amine Noua a montré qu’il avait l’étoffe d’un joueur majeur d’une équipe de haut de tableau. Sur les quatre matchs qu’il a pu jouer, il a passé 24,5 minutes sur le parquet pour une évaluation de 16,5 (et plus de 20 d’éval moyenne sur les trois derniers matchs !). De son côté, Abdoulaye Ndoye tire son épingle du jeu dans le marasme choletais, se retrouvant parfois seul meneur. Il en a profité sur la période pour jouer 21,3’ par match, tournant à 7,1 d’éval (avec trois matchs à 14 ou plus d’éval). Très solide. Enfin, Digué Diawara semble, lors de ses derniers matchs, avoir résolu au moins en partie ses problèmes d’adresse du début de saison. Ce qui lui vaut de passer 15,2’ sur le terrain pour 7,0 d’éval (dont le dernier match à 19’ et 13 d’éval).\\n\\nStables : ceux-là sont dans la continuité de leur début de saison. Sekou Doumbouya est l’une des rares satisfactions du début de saison limougeaud, offrant 4,8 d’éval en 13,8 minutes lors des cinq matchs qu’il a pu jouer (dont le dernier à 12 d’éval en 20’). Peu utilisé en début de saison, Ivan Février (Levallois) alterne passages éclair et prestations un peu plus étoffées, mais pour un résultat moyen : 0,6 d’éval en 5,1’. De même, Luc Loubaki (Monaco) grappille comme en début de saison quelques minutes par-ci par-là sans grand impact : 1 d’éval en 7,7’ (à noter deux matchs à 21 et 23 minutes, pour des éval de 8 et... -6 !).\\n\\nEn baisse : pour eux, le bon début de saison n’est qu’un souvenir. À Bourg-en-Bresse, Bathiste Tchouaffé continue à bénéficier d’un temps de jeu assez important (14,7’, en baisse face aux 23,5’ des deux premiers matchs) mais son évaluation dégringole : 3,0 sur les sept derniers matchs contre 9,5 sur les deux premiers. Le constat est encore plus rude pour Jean-Marc Pansa (Nanterre) : le retour de blessure de Treadwell lui vaut de voir son temps de jeu diminuer et ses prestations ne vont sans doute pas l’aider à gagner des minutes. De 17,5 d’éval en 14,5’, l’intérieur est passé 4,8 d’éval en 10,8’ sur cinq matchs (Nanterre a un match en retard et Pansa n’est pas entré lors de la J8). Enfin, Alexandre Aygalenq (Boulazac) subit le régime de la douche froide : quatre matchs sur le banc (sur 7 possibles), deux fois 1’ de jeu et une entrée de 15’ (pour -2 d’éval) lors de la grosse défaite à Chalon (97-65).\\n\\nDes « novices » aux fortunes diverses\\n\\nDu côté de ceux qui font peu ou prou leurs premiers pas en Jeep Élite lors de cette saison, le bilan est tout aussi contrasté. Certains se sont installés dans la rotation de leur équipe, d’autres progressent, mais un certain nombre de ces « novices » souffre.\\n\\nLe haut du panier : ce n’était pas forcément le plus attendu à ce niveau, surtout parce que la concurrence est féroce à LDLC Asvel, mais Théo Maledon est sans contestation possible celui des « petits nouveaux » qui s’en sort le mieux, avec ses 8,1 d’éval en 16,3’ (et une pointe à 22 d’éval en 22’) et ses quatre titularisations dans le cinq majeur. Dans un environnement similaire, Ludovic Beyhurst (Strasbourg) tire aussi son épingle du jeu : il joue entre 3 et 23’ pour des évals entre -1 et 11, pour une moyenne de 5,7 en 16,4’. Pas mal, non ? En revanche, on reste quelque peu dubitatif sur le cas Killian Hayes (Cholet). Certes, son équipe est bien malade, ce qui n’aide certainement pas à la confiance, mais on attendait mieux que ses 5,1 d’éval alors que son coach lui accorde 19,1’ par match. Cela reste très honnête, bien sûr, mais la comparaison avec Maledon n’est pour l’instant pas à l’avantage du Choletais.\\n\\nEn hausse : on ne les attendait pas forcément, mais ils grappillent petit à petit des minutes et s’installent régulièrement dans la rotation. Premier d’entre-eux, Mathis Dossou-Yovo (Chalon-sur-Saône), qui passe désormais 9,0’ sur le terrain (contre 6,5 sur les deux premiers matchs). Mais après trois matchs entre 11 et 17’, son temps de jeu a décru (3 à 6’ sur les trois derniers matchs) et son rendement est moyen : 2,6 d’éval. À Strasbourg, Quentin Goulmy a profité de l’absence du poste 4 longtemps cherché par la SIG pour montrer quelques belles choses : en 6 matchs, il produit 2,6 d’éval pour 6,0’. Quant à Louis Cassier (Châlons-Reims), il tire parti de la blessure de Pape Badji pour trouver du temps de jeu, allant jusqu’à passer 21’ sur le parquet (pour 7 d’éval) lors de la défaite à Monaco (83-59). Mais l’arrivée comme pigiste de Yannis Morin a coïncidé avec une baisse de son temps de jeu.\\n\\nMention passable : ceux-là n’ont pas « explosé » mais montrent plus ou moins régulièrement de belles choses. Au Portel, Samir Gbetkom « profite » de la blessure du meneur titulaire Brandyn Curry pour s’offrir 7,4’ par match et 1,3 d’éval. À Villeurbanne, Sofiane Briki souffre plus que Maledon. Il n’entre en jeu qu’un match sur deux, entre 3 et 14’, pour des moyennes de 3,0 d’éval en 8,0’. Dans le terrible début de saison antibois, Isaac Mayembo arrive à trouver des minutes, mais son rendement est limité : 0,8 d’éval en 7,8’. Le contexte n’aide certainement pas... Dans un cadre un peu similaire, Melvyn Govindy a foulé trois fois le parquet (de retour de blessure) avant de retrouver le banc de touche lors du dernier match. S’il a fait une sortie à 10 d’éval en 12 minutes, ses deux autres prestations ont été moins convaincantes : 3,0 d’éval en 5,1’ en moyenne. Quant à Yohann Choupas (Pau-Lacq-Orthez), l’environnement est meilleur, et le jeune meneur pointe le bout du nez : 1,0 d’éval en 6,1’ sur quatre matchs joués. Enfin, Louis Weber (Dijon) s’est vu octroyer quatre occasions de jouer sur les sept dernières journées, pour 1,5 d’éval en 4,7’.\\n\\nDans le dur : certains joueurs « novices » ont vu leur temps de jeu et/ou leur rendement sérieusement diminuer, pour diverses raisons. Ainsi Khadim Sow (LDLC Asvel) paye le fait de l’arrivée d’Eric Buckner et de son statut de non-JFL (il devient le septième non-JFL du club) : depuis la troisième journée et un match à 10 d’éval en 12’, il n’est même plus sur la feuille de match, sans pourtant avoir failli. Cruel contexte...\\n\\nÀ Chalon, Étienne Ca se voit proposer des bribes de match (trois apparitions, dont deux de 6’, pour une moyenne de 4,0’ et 2,1 d’éval), alors que Tom Wiscart-Goetz (Antibes) n’a pas continué sur la lancée de son deuxième match (17’) : deux entrées pour 0 d’éval en 6,0’. Il en est de même pour Thibault Daval-Braquet, dont le temps de jeu s’est réduit comme peau de chagrin : 5 matchs sur sept, 2,5’ et 1,0 d’éval contre 11,5’ et 5,0 d’éval sur les deux premiers matchs. De son côté, Karlton Dimanche pâtit du mauvais début de saison de Cholet : il a joué les cinq premiers matchs de la saison et n’est plus entré en jeu depuis. Et pour des prestations anecdotiques : 2,0 d’éval en 3,0’. Enfin, Malcolm Cazalon (Bourg-en-Bresse) n’a pas forcément trouvé le temps de jeu qu’il espérait. La faute en partie à des blessures qui l’ont tenu éloigné des parquets. Mais aussi de statistiques très moyennes : 0,6 d’éval en 6,0’ (trois matchs).\\n\\nEn se livrant à l’exercice tout à fait subjectif du « cinq majeur des jeunes pousses », ces sept dernières journées donnent la sélection suivante, peu équilibrée il faut bien l’avouer, avec ses trois meneurs et son seul intérieur :\\n\\nLudovic Beyhurst (meneur, Strasbourg)\\n\\nAbdoulaye Ndoye (meneur-arrière, Cholet)\\n\\nThéo Maledon (meneur-arrière, LDLC Asvel)\\n\\nDigué Diawara (ailier, Pau-Lacq-Orthez)\\n\\nAmine Noua (intérieur, LDLC Asvel – MVP de la période).\\n\\nBons et mauvais points des clubs\\n\\nEt lorsque l’on regarde les clubs, quels sont ceux qui donnent ou non du temps de jeu à leurs « jeunes pousses » ?\\n\\nLe bonnet d’âne peut être attribué à Fos-sur-Mer, qui n’en a pas mis un seul sur la feuille de match depuis le début de l’année, une démarche excusable par la situation d’un club qui accède juste à la Jeep Élite. Quant à Gravelines-Dunkerque, qui a « royalement » accordé une minute à Louis Marnette sur sept journées ou Le Mans (2’ à Louis Rucklin), difficile d’en dire plus de bien sur ce sujet.\\n\\nÀ l’autre bout de l’échelle, quatre clubs se distinguent en offrant un gros temps de jeu à leurs « jeunes pousses » : Cholet (45,8’ par match), LDLC Asvel (35,7’, un chiffre qui serait supérieur sans la blessure de Noua et l’impossibilité de jouer de Sow), Strasbourg (21,6’) et Pau-Lacq-Orthez (19,7’).\\n\\nEntre les deux, la plupart des clubs accordent leur confiance à leur « perle » (Sekou Doumbouya à Limoges, Mathis Dossou-Yovo à Chalon ou Louis Cassier à Châlons-Reims par exemple), sans offrir trop d’opportunités à d’autres éléments.\\n\\nÀ tous ces jeunes joueurs sans trop de temps de jeu de travailler encore et encore pour montrer qu’ils méritent mieux...\\n\\n[armelse]\\n\\nRéalisé après la deuxième journée de Jeep Élite, notre premier « baromètre » avait donné une tendance sur l’utilisation des joueurs de 21 ans et moins dans le championnat de France de basket-ball. Sept journées plus tard, quelles évolutions peut-on constater ?\\n\\nPlus de joueurs, mais...\\n\\nPremière constatation : alors qu’ils n’étaient « que » 32 à avoir foulé les parquets de Jeep Élite (au moins une minute) à la deuxième journée, ils sont désormais 46 dans ce cas. Soit 50 % de plus.\\n\\nUn chiffre « brut » impressionnant mais qui cache une tout autre réalité : pour la plupart de ces nouveaux joueurs, hors ceux qui reviennent de blessure (comme Melvyn Govindy à Cholet), il ne s’est agi que de passer en coup de vent sur le terrain, une minute ou deux sur un ou deux matchs – c’est le cas d’une douzaine de joueurs (Théo Jouvin à Chalon, Jules Rambault et Quentin Losser à Châlons-Reims, Endar Poladkhandi à Cholet, Nicolas Dorez et Damien Archinard à Dijon, Louis Marnette à Gravelines-Dunkerque, Vanly Meite au Portel, Thimotée Bazille et Damien Larribeau à Limoges,\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Théo Maledon (ASVEL, Eurocupbasketball), Ludovic Beyhurst (Strasbourg, FIBA), Malcolm Cazalon (Bourg, JL)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: La première victoire de Paris à Caen"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est fait! Le Paris Basketball a remporté sa première victoire de la saison donc de son histoire. Il était temps puisqu’on en est à la 6e journée et que les joueurs de ce club champignon étaient toujours jusqu’ici dans les starters. Et que ce fut dur, long, crispant.\\n\\n50 minutes ont été nécessaires pour départager le Caen BC et son hôte en Normandie (96-99). Et encore, l’intérieur caennais Jordan Tolbert aurait pu tout remettre en question et imposer une troisième prolongation s’il avait enfilé son trois-points.\\n\\nDans ce match déjà hyper important pour le maintien dans la division, le meneur Daniel Dillon (1,93m) a été primordial avec 28 points et 10 rebonds et il faut aussi noter la sortie du nouveau Parisien, l’ailier Kris Joseph (2,01m), 22 points et 9 rebonds.\\n\\n« Dans les moments importants, on n’a pas de maîtrise. On a fait un espèce de yoyo même lorsque l’on mène; on n’a pas su appuyer tactiquement sur les choses qui auraient pu les embêter. Nos choix n’ont pas été toujours été très justes. On a parfois joué à l’inverse du jeu », a commenté le coach caennais Antoine Michon en conférence de presse, propos rapportés par Actu.fr. « C’est un ensemble de détails qui a donné ce résultat. Il faut se servir de ce match là pour essayer de grandir mais ce n’est pas évident car pendant deux ou trois jours, on ne pensera qu’à la défaite et à la mauvaise opération comptable. Je ne veux surtout pas qu’une pression négative s’installe dans le groupe. »\\n\\nLe CBC est ainsi rejoint au classement par son adversaire du soir. Les deux équipes ont encore un long chemin pour sauver leur place en Pro B.\\n\\nPhoto: Daniel Dillon (Paris Basketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet: Précieuse victoire au Portel, London Perrantes dans le viseur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pendant que Fos-sur-Mer s’inclinait en Provence face à Strasbourg (74-82), Cholet Basket a engrangé une victoire au Portel, ce qui relève toujours de l’exploit: 92-84.\\n\\nAvec 30 points et 27 d’évaluation, Michael Young a été le fer de lance de l’équipe des Mauges mais deux Français n’ont pas laissé leur part aux chiens: Pape Sy qui a cumulé 17 points, 5 rebonds et 4 passes et Abdoulaye Ndoye auteur de 19 points avec un 7/11 aux shoots et 20 d’évaluation. Il s’agit du record de points du joueur de 20 ans.\\n\\nA remarquer du côté des vaincus la perf du meneur Benoît Mangin, qui s’est fendu de 20 points à 9/12 aux tirs, 9 passes et 5 rebonds.\\n\\nPar ailleurs, selon Ouest France, Cholet, qui est démuni de meneur après les passages éclair de Tywain McKee et Danny Gibson, est sur la piste de London Perrantes (1,88m, 24 ans), laissé libre par Limoges et qui a tourné au CSP à 6,3 points et 6,5 passes.\\n\\nPhoto: Abdoulaye Ndoye (Cholet Basket)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Top 8 Coupe de France 2019 à Trélazé: Ouverture de la billetterie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Fédération Française de BasketBall et l’Arena Loire ont ouvert officiellement la billetterie du Top 8 Coupe de France 2019 qui se déroulera le samedi 16 et le dimanche 17 mars 2019 à l’Arena Loire de Trélazé dans le Maine-et-Loire.\\n\\nPour la seconde année consécutive, l’Arena Loire de Trélazé accueillera le Top 8 Coupe de France (quarts et demi-finales). Durant deux jours, le samedi 16 et dimanche 17 mars 2019, les 8 dernières équipes encore en course s’affronteront pour décrocher les deux places pour la finale de la Coupe de France qui se déroulera le samedi 11 mai 2019 à l’AccorHotels Arena.\\n\\nSamedi 16 mars 2019\\n\\n13h00 : Quarts de Finale 1\\n\\n15h30 : Quarts de Finale 2\\n\\n18h00 : Quarts de Finale 3\\n\\n20h30 : Quarts de Finale 4\\n\\nDimanche 17 mars 2019\\n\\n14h30 : Demi-finale 1\\n\\n17h00 : Demi-finale 2\\n\\n*sous reserve de modification TV\\n\\nInformations Billetterie\\n\\n\\n\\n\\nCatégories\\nPass 2 jours\\nPass 1 jour\\n\\n\\nVIP\\n130 €\\n80 €\\n\\n\\nCarré Or\\n50 €\\n30 €\\n\\n\\nCat 1\\n30 €\\n20 €\\n\\n\\nCat 2\\n25 €\\n15 €\\n\\n\\nCat 3\\n20 €\\n10 €\\n\\n\\n\\n\\nRéservez vos places en cliquant ici"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vitoria : Pedro Martinez out, Velimir Perasovic in"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Troisième à 6 victoires et 2 défaites en Liga ACB, Vitoria ne marche par contre pas très fort en Euroleague, avec 2 victoires et 5 défaites.\\n\\nEt le revers d’hier soir face à Podgorica a visiblement été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase basque puisque le coach Pedro Martinez a été remercié, à peine un an après avoir été engagé...\\n\\nC’est le technicien croate, Velimir Perasovic, qui revient pour une troisième expérience au club en tant que coach après sa dernière pige en 2015-16. Perasovic aura pour mission de redresser la barre sur le front européen.\\n\\nIl sera sur le banc dès ce weekend pour le match de championnat face à Gran Canaria."
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France féminine: Pas de Aby Gaye et Marie-Michelle Milapie face à la Roumanie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Valérie Garnier a fait son choix pour le match de demain de l’équipe de France face à la Roumanie, à Cluj: elle a reconduit 11 des 12 joueuses ayant évolué cet été à la Coupe du monde en Espagne. Alix Duchet, qui n’était pas apte physiquement à participer au stage de Charleville, laisse numériquement sa place à la Franco-Américaine Bria Hartley, qui va ainsi connaître sa première sélection avec les Bleues.\\n\\nAby Gaye et Marie-Michelle Milapie demeurent susceptibles d’être appelées pour le match de mercredi prochain contre la Slovénie à Charleville.\\n\\nLes 12 joueuses qui affronteront la Roumanie demain à Cluj (18h00, heure française) sont : Valériane Ayayi, Marième Badiane, Romane Bernies, Alexia Chartereau, Helena Ciak, Olivia Epoupa, Sandrine Gruda, Bria Hartley, Marine Johannes, Sarah Michel, Endy Miyem et Diandra Tchatchouang.\\n\\nPhoto: Sandrine Gruda (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Yannick Noah, Richard Anconina et d’autres stars marquent des lancers-francs pour le Téléthon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"18 200€ ont déjà été récoltés pour le #Telethon2018. Ce grâce à la performance de quelques célébrités dont le chanteur/tennisman Yannick Noah et l’acteur Richard Anconina, qui avaient pour mission de mettre un maximum de lancers-francs dans un temps imparti, sous la baguette de l’ancien international Jacques Monclar.\\n\\nC’est maintenant aux Équipes de France de basket de relever le défi #ChaquePanierCompte. Une raison supplémentaires pour que les Bleues engrangent les paniers demain face à la Roumanie."
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : un premier succès historique pour Podgorica"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"21/36, c’est le bilan record de tirs à trois points réussis par Podgorica dans sa première victoire de la saison... et la première victoire de son histoire en Euroleague ! Face à Vitoria, Edwin Jackson (24 points à 6/9 à trois points) et ses coéquipiers ont sorti les tireurs d’élite, dont Danilo Nikolic (18 points à 4/5 à trois points) et Earl Clark (20 points à 4/6 à trois points).\\n\\nDans les autres matchs de la soirée, Fenerbahçe s’en sort sur le fil sur le terrain de l’Olympiakos (73-72) tandis que le Real Madrid et Milan ont logiquement disposé de leur adversaire du soir pour rester dans le haut du tableau.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nPodgorica brise enfin la glace\\n\\nPodgorica l’attendait depuis l’entame de la saison, début octobre. Et ce premier succès a été historique à plus d’un égard ! Le Buducnost a effectivement mis le feu au Moraca avec 21 tirs à trois points réussis dans sa première victoire de la saison face à Vitoria (99-84).\\n\\nEdwin Jackson (24 points, 4 rebonds, 4 passes) a été magistral dans cette soirée mémorable. Il termine à 31 d’évaluation, un nouveau record perso, tout comme pour ses 24 points. Vincent Poirier (10 points) n’aura pas pu empêcher un nouveau naufrage du navire basque qui est décidément en eaux troubles (2 victoires – 5 défaites). Podgorica n’est pas mieux avec une seule victoire, mais la glace est brisée.\\n\\n\\nKostas Sloukas encore clutch pour le Fener\\n\\nDans le choc de poids lourds de la soirée, Fenerbahçe a dû s’arracher jusqu’au bout, mais grâce à un tir clutch de Kostas Sloukas, s’est imposé face à Olympiakos (73-72). Sloukas termine à 20 points dont un parfait 7/7 aux lancers face à son ancienne équipe. Et sur leur terrain.\\n\\nNikola Kalinic (16 points, 4 rebonds) a également été très important dans le succès de l’équipe turque qui était privée de Jan Vesely (nouveau papa). Joffrey Lauvergne y a également contribué avec 6 points, 4 rebonds et 2 passes. Pour l’Oly, Kostas Papanikolaou (18 points) a été très efficace et a permis de tenir son équipe dans le match, tout comme Georgios Printezis toujours fidèle au poste en double double : 10 points, 10 rebonds. Axel Toupane termine lui à 6 points en 12 minutes.\\n\\n\\nLe Real reste invaincu\\n\\nSans Alexey Shved malade, le Khimki Moscou a tout de même vendu chèrement sa peau face au champion en titre. Le Real Madrid n’a cependant pas craqué pour rester invaincu (79-74). Jaycee Carroll (15 points) a fini meilleur scoreur pour les Madrilènes, avec des tirs de très haut niveau en sortie d’écran (comme à son habitude). Fabien Causeur (13 points) a également réussi un match intéressant alors qu’en face, Tony Crocker et Anthony Gill inscrivent 16 points dans la défaite.\\n\\n\\nMilan enchaîne un 3e succès de rang\\n\\nAvec le retour de Nemanja Nedovic à l’action, Milan a logiquement vaincu Darussafaka (98-92). Mike James (21 points, 5 passes) a montré la voie pour les Lombards, bien aidé par Vladimir Micov (20 points). Dans son retour, Nemanja Nedovic a été plutôt convaincant avec 17 points au compteur. Milan a surtout été énorme derrière l’arc avec 18 réussites, un record pour le club, dont 4/4 pour Dairis Bertans (et un shoot improbable dans le coin !).\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 24 points (8/15 aux tirs), 4 rebonds, 4 passes, 1 interception en 32 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 13 points (5/9 aux tirs), 4 passes, 3 rebonds en 17 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 10 points (5/6 aux tirs), 1 rebond, 1 balle perdue en 16 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahce) : 6 points (3/5 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 contre, 1 balle perdue en 21 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 6 points (2/4 aux tirs), 1 rebond, 1 passe en 12 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nÇa n’a pas été la soirée de Vitoria qui encaisse déjà une cinquième défaite en sept matchs, mais Vincent Poirier (10 points) aura au moins pu laisser échapper un peu de sa frustration (0/4 aux lancers) sur ce dunk ébouriffant main gauche. Un vrai coup de hache.\\n\\n\\n\\n\\nHow to save the play...\\n\\n\\n👀 @viinze_17P#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/FcAENXW1VE\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) November 15, 2018\\n\\n\\nLes résultats de la 7ème journée\\n\\nJeudi 15 novembre :\\nDarussafaka – Milan (92-98)\\nPodgorica – Vitoria (99-84)\\nOlympiakos – Fenerbahçe (72-73)\\nReal Madrid – Khimki Moscou (79-74)\\n\\nVendredi 16 novembre :\\nEfes Istanbul – Panathinaikos (18h30)\\nZalgiris Kaunas – Barcelone (19h)\\nBayern Munich – CSKA Moscou (20h30)\\nGran Canaria – Maccabi Tel Aviv (21h)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 8e journée\\n\\nMardi 20 novembre :\\nEfes Istanbul – Maccabi Tel Aviv (18h)\\nFenerbahçe – Darussafaka (19h)\\nBayern Munich – Olympiakos (20h30)\\nReal Madrid – Gran Canaria (21h)\\n\\nMercredi 21 novembre :\\nKhimki Moscou – Podgorica (18h)\\nCSKA Moscou – Zalgiris Kaunas (18h45)\\nPanathinaikos – Barcelone (20h)\\nMilan – Vitoria (20h45)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nPodgorica brise enfin la glace\\n\\nPodgorica l’attendait depuis le début de saison début octobre. Et ce premier succès a été historique à plus d’un égard ! Le Buducnost a effectivement mis le feu au Moraca avec 21 tirs à trois points réussis dans sa première victoire de la saison face à Vitoria (99-84).\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL: Julian Gamble (Nanterre) élu MVP de la 6e journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le pivot de Nanterre Julian Gamble (2,08m) a été élu MVP de la 6e journée de BasketBall Champions League. Pas surprenant quand on sait qu’il a pris une large part dans la large victoire de son équipe à Venise, 99-87. Le natif de Caroline du Nord a assuré 28 points (11/14 aux shoots), 11 rebonds, 3 passes et 3 contres pour 35 d’évaluation.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Dijon a fait appel de la suspension de Ryan Pearson qui sera présent ce soir pour la réception de Gravelines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un communiqué, la JDA Dijon informe qu’elle a fait appel de la décision de suspendre son Américain Ryan Pearson (1,98m, 28 ans), pour un match:\\n\\n« À la suite des incidents qui se sont déroulés lors de la rencontre JDA Dijon Basket / JL Bourg le 22 octobre 2018 et à la suite des rapports des officiels de match, une procédure disciplinaire a été ouverte à l’encontre de Ryan Pearson. Pour ces motifs, la Commission Juridique et de Discipline a décidé de prononcer à l’encontre de notre joueur une suspension d’un match ferme assortie d’une suspension d’un match avec sursis.\\n\\nToutefois, le club a fait appel de cette décision et le Président de la Chambre d’Appel a décidé de faire droit à la demande d’effet suspensif de la décision de la Commission Juridique et de Discipline de la Ligue Nationale de Basket datée du 22 octobre 2018. Ainsi, notre joueur Ryan Pearson est à la disposition de son coach pour cette rencontre comptant pour la 10ème journée de championnat de France Jeep ELITE. »\\n\\nLa JDA reçoit ce soir le BCM Gravelines et pourra donc aligner Ryan Pearson.\\n\\nPhoto: JDA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Didier Primault (2e partie): «La BCL a le mérite de proposer une compétition où les clubs français peuvent exister et grandir»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le magazine Basket numéro 24 de novembre, actuellement en vente, a été publié une interview passionnante de Didier Primaut, économiste du sport, sur l’économie du basket européen, les dérives du système de fonctionnement par mécénat des plus grands clubs du Continent, et les chances des clubs français de se mêler à la compétition et de se développer dans ce contexte. Nous avons décidé de pousser la discussion avec lui. Dans la première partie de l’interview, nous avons évoqué la question plus actuelle que jamais des ligues d’élite européennes fermées ou semi-fermées, telles que l’Euroleague en basket ou la Super League qu’envisagent actuellement les plus grands clubs de football. Aujourd’hui, dans cette deuxième partie, le directeur du CDES parle de la stratégie que le basket français doit adopter dans un contexte européen compliqué.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nParallèlement aux compétitions gérées par l’Euroleague, la FIBA propose depuis trois ans la Basketball Champions League une alternative aux clubs. Que pensez-vous de la situation ?\\n\\nC’est mortifère d’avoir ces deux systèmes de compétitions. C’est l’héritage d’une histoire un peu malheureuse depuis le début des années 2000 sur laquelle je ne vais pas m’attarder. Les torts sont partagés je dirai. L’important, c’est qu’il est catastrophique de ne pas avoir réussi à unifier le système des compétitions européennes. Et surtout c’est catastrophique d’avoir cette situation au moment où la FIBA a lancé un grand train de réformes et de stratégies nouvelles qui me parait vraiment intéressantes par rapport aux compétitions qui concernent les équipes nationales. Mais avoir ce nouveau dispositif pour les équipes nationales dans ce contexte européen, c’est vraiment problématique. Aujourd’hui, on voit un impact de cette situation des compétitions européennes sur la qualité des équipes nationales. C’est dramatique.\\n\\nQuelle stratégie adopter pour les clubs français ?\\n\\nPour la stratégie des clubs français dans cette situation, on voit effectivement que la Champions League a le mérite de proposer une compétition où les clubs français peuvent exister alors qu’on a vu que sur les dernières campagnes d’Euroleague, les clubs français avaient beaucoup de mal à exister. Et le sport reste du sport. Donc, le fait que la possibilité de jouer en BCL existe, c’est plutôt bien pour les clubs français d’exister dans une compétition européenne, ce qui leur donne une possibilité de construire, de grandir, sans se cramer les ailes en Euroleague. Mais quand on sort du milieu des spécialistes du basket, les gens ne comprennent pas. Ils ne comprennent pas où sont les clubs français, pourquoi ils ne sont pas en Euroleague. Les clubs français ont raison d’être pragmatiques et de saisir ces opportunités-là de progresser petit à petit, en espérant que cela leur permettra d’aller au plus haut.\\n\\nComme le dit le président Martial Bellon, est-ce une « hérésie » pour les clubs français de vouloir jouer l’Euroleague aujourd’hui ?\\n\\nMais, dans les réflexions que j’ai menées dans le cadre des travaux de la ligue national de basket, je pense que le système européen est aujourd’hui trop compliqué à maîtriser, de savoir exactement ce qu’il va se passer dans les années qui viennent pour qu’on accorde trop d’importance, qu’on mette trop d’éléments par rapport à la stratégie du basket français, des ambitions et des objectifs trop élevés collectivement sur la réussite dans les compétitions européennes. Depuis pas mal d’années, on a trop adapté les règles pour aller chercher une réussite en Euroleague et c’est inaccessible. Par exemple, sur la question du nombre de joueurs américains, sur une certaine souplesse du marché du travail, je pense qu’on s’est laissé embarqué parce qu’on nous a tendu un miroir aux alouettes. Collectivement, ce rêve d’Euroleague était dangereux. Ce qui ne veut surtout pas dire qu’il faut couper les ailes des clubs qui veuillent y aller. En revanche, est-ce qu’on doit organiser tout le système français pour permettre à ce club d’accéder à ça, je ne pense pas. Par exemple, qu’est-ce qu’on fait de la répartition de l’argent ? Est-ce qu’on donne des primes aux clubs qui vont en Euroleague ? Je pense qu’il s’agit d’un leurre. Un, ça ne suffira jamais. Et ensuite, on créé de l’inégalité dans notre propre championnat pour un objectif inatteignable. On s’est trop laissé embarquer sur le côté purement sportif des choses par rapport à l’Euroleague. Je comprends qu’un joueur, qu’un coach, qu’un journaliste ait envie de cette compétition. Mais stratégiquement, que tout soit organisé au niveau du basket français pour que ce soit l’objectif à atteindre, je ne crois pas. Il s’agit d’une erreur. Je n’abandonne pas cette ambition-là, mais il faudra y revenir plus tard, quand on aura bâti un modèle très costaud. Soit pour concurrencer, soit pour attendre patiemment que les autres modèles, qui ne sont pas pérennes, se cassent la figure pour que cela rétablisse les choses. Mais il faut reconnaitre qu’on va peut-être devoir attendre longtemps.\\n\\n[armelse]\\n\\nParallèlement aux compétitions gérées par l’Euroleague, la FIBA propose depuis trois ans la Basketball Champions League une alternative aux clubs. Que pensez-vous de la situation ?\\n\\nC’est mortifère d’avoir ces deux systèmes de compétitions. C’est l’héritage d’une histoire un peu malheureuse depuis le début des années 2000 sur laquelle je ne vais pas m’attarder. Les torts sont partagés je dirai. L’important, c’est qu’il est catastrophique de ne pas avoir réussi à unifier le système des compétitions européennes. Et surtout c’est catastrophique d’avoir cette situation au moment où la FIBA a lancé un grand train de réformes et de stratégies nouvelles qui me parait vraiment intéressantes par rapport aux compétitions qui concernent les équipes nationales. Mais avoir ce nouveau dispositif pour les équipes nationales dans ce contexte européen, c’est vraiment problématique. Aujourd’hui, on voit un impact de cette situation des compétitions européennes sur la qualité des équipes nationales. C’est dramatique.\\n\\nQuelle stratégie adopter pour les clubs français ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Ali Traore (Strasbourg, FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges: Jordan Taylor remplace London Perrantes comme meneur de jeu"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon le journaliste de RMC Sport David Cozette, l’Américain Jordan Taylor (1,85m, 29 ans) va remplacer London Perrantes à Limoges.\\n\\nA l’époque de l’université et alors qu’il fréquentait Wisconsin (2008-12), Jordan Taylor était considéré comme l’un des meilleurs meneurs de jeu de NCAA mais il n’a pas été drafté et n’a jamais joué en NBA. En Europe, il est passé par Rome, deux fois à l’Hapoel Holon, à l’ALBA Berlin et il portait la saison dernière le maillot de Galatasaray.\\n\\nLors de la saison 2017-18, en 24 matches, il a compilé 6,4 points, 3,0 passes et 1,6 rebond dans le championnat turc et 5,8 points (41,8% aux shoots), 2,8 passes et 1,6 rebond en Eurocup.\\n\\nPhoto: Eurocupbasketball\\n\\n\\n\\n\\nInfo basket : Le meneur du @limogescsp London Perrantes quitte le club, il est remplacé par Jordan Taylor. Ce joueur américain de 29 ans jouait la saison dernière à Galatasaray, aux côtés de Dwight Hardy notamment. Il ne sera pas qualifié à temps pour le match de Nanterre demain\\n\\n\\n— David Cozette (@DavidCozette) November 16, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Châlons-Reims: Cédric Heitz croit toujours en son meneur Alex Abreu"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le meneur portoricain Alex Abreu (1,77m, 27 ans) avait réalisé une saison d’excellente facture en Pro B sous le maillot d’Orléans. Seulement, son rendement a sérieusement chuté depuis qu’il est arrivé à Châlons-Reims et en Jeep Elite.\\n\\nDe 14,8 d’évaluation (11,8 points à 52,9% et 6,5 passes), Alex Abreu est descendu à 5,5 (5,4 points à 29,5%, 3,4 passes).\\n\\nUn problème d’acclimatation? Ou a t-il tout simplement pas le niveau? Dans la Marne, on se demande si un changement de meneur ne serait pas opportun. Son coach Cédric Heitz prend sa défense.\\n\\n« J’y crois dur comme fer, jusqu’au moment où je n’y croirai plus. On essaie de faire confiance aux gens sur qui on a misé » répond-il dans L’Union, L’Ardennais. « Sur les aspects techniques et tactiques, sur ce qu’il est comme joueur et ce que j’aimerais qu’il soit, sur comment il a l’habitude de jouer et comment j’aimerais qu’il joue, il y a encore un décalage. Mais, il faut également resituer le contexte. Il a été arrêté deux bons mois. L’aspect physique rentre aussi en ligne de compte. C’est difficile, en Jeep Elite, de ne pas être à 100% physiquement. Tous ces éléments additionnés font que ça prend plus de temps. »\\n\\nPhoto: CCRB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Le président de Montpellier suite à la mise à l’écart du coach Rachid Méziane: «Ce n’est pas totalement irréversible»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de France féminine s’envole aujourd’hui pour la Roumanie où l’attend un match comptant pour les qualifications à l’Euro 2019. Rachid Méziane fait partie de la délégation comme assistant-coach alors qu’il a été écarté de ses fonctions de coach principal de Lattes-Montpellier pour « fait graves ». A l’issue de la parenthèse équipe de France, il va être convoqué par son président du BLMA, Frank Manna, pour un entretien préalable au licenciement le vendredi 23 novembre, ce qui est la procédure légale dans ce cas.Sans indiquer le motif qui a amené cette décision qui ne peut être sportive puisque le BLMA est leader de Ligue Féminine et de sa poule d’Eurocup, Frank Manna précise dans le Midi Libre qu’il ne s’agit ni de harcèlement sexuel, de paris sportifs ou d’argent détourné.\\n\\n«J’ai des questions à lui poser, en fonctions des réponses, j’ai deux options, soit le réintégrer, soit le licencier. J’ai été mis devant des faits qui m’ont été communiqués, d’où cet entretien dans un cadre juridique. J’aurais ensuite une réflexion lourde de conséquences et, je préfèrerai que ça se passe bien, dans l’intérêt de tout le monde. Mais ce n’est pas totalement irréversible. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"EuroCup : Le bilan complet de la 7e journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Kazan, trois nouveaux clubs se sont qualifiés cette semaine au Top 16 de l’EuroCup: le Lokomotiv Kuban, Unicaja Malaga et l’ALBA Berlin.\\n\\nL’AS Monaco a fait une bonne affaire en prenant le dessus sur l’Etoile Rouge à Belgrade, alors que l’ASVEL a perdu une occasion d’asseoir sa position et que Limoges voit le Top 16 s’éloigner.\\n\\nChez les Français, Landing Sané a été très bon pour sa nouvelle équipe de Mornar Bar pendant que Théo Maledon, 17 ans, poursuit son ascension fulgurante.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe MVP de la 7ème journée\\n\\nLanding Sané (23 points, 10 rebonds, 3 interceptions)\\n\\nA peine arrivé au Monténégro, Landing Sané s’est déjà parfaitement adapté à sa nouvelle équipe de Mornar Bar avec un match très complet à 23 points, 10 rebonds et 3 interceptions. L’ancien du Paris-Levallois a frappé fort dès la 1ère mi-temps, avec 15 points et 5 rebonds !\\n\\nEt ça aurait même pu être 18 points pour une fraction de seconde sur son tir au buzzer... En tout état de cause, Sané établit pour l’occasion quatre nouveaux records personnels : aux points (23), aux rebonds (10), au rebond offensif (6) et à l’évaluation (30) ! Petit clin d’oeil à l’ancien MVP de Pro A avec Cholet, Sammy Mejia auteur également d’un gros match...\\n\\n\\nLa meilleure performance\\n\\nErrick McCollum (26 points à 9/13 aux tirs))\\n\\nLe frangin de la star des Blazers en NBA, Errick McCollum, est lui aussi un arrière très combustible ! Avec 18 de ses 26 points dans le dernier quart, McCollum a pris feu au moment opportun pour Kazan. Il a permis à son club de passer l’embûche posée par Vilnius avec un sacré festival dans le final !\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=8BEuzcaN3BA\\n\\n\\nLa stat qui tue\\n\\n7/12\\n\\nC’est le nombre de succès emportés à l’extérieur sur cette 7e journée d’EuroCup. Si le plus impressionnant a été celui de Kazan derrière les exploits personnels d’Errick McCollum, on soulignera quant à nous la victoire de Monaco à Belgrade ou encore celle d’Andorre à Brescia (leur 1ère de la saison en déplacement)...\\n\\n\\nLes clubs français\\n\\nMonaco en pôle position de son groupe\\n\\nEn déplacement à Belgrade, face à l’Etoile Rouge, Monaco n’a pas tremblé pour emporter sa 5e victoire en 7 matchs d’EuroCup (91-75). Avec un cinglant 30-7 en 3e quart, derrière Derek Needham (21 points, 6 passes) et Elmedin Kikanovic (17 points), la Rocca Team a fait monter l’écart à 20 pions !\\n\\nPaul Lacombe et Yakuba Ouattara ont également été présents, avec 16 points par tête (et chacun leur style au dunk). Lacombe y ajoute pour le coup 6 rebonds, 6 passes et 4 interceptions ! Un sacré chantier !\\n\\nCoup d’arrêt pour l’Asvel\\n\\nL’ancien monégasque Aaron Craft est revenu dans son ancien club de Trente il y a dix jours à peine, et il a déjà été décisif en EuroCup face à Villeurbanne (79-77). Dans le rouge avec 5 défaites de rang, Trente a retrouvé la victoire sur le fil grâce à un ultime layup renversé de Craft (11 points, 4 passes) qui a envoyé bouler le dernier ballon alors que le chronomètre écoulait ses dernières secondes.\\n\\nMiro Bilan (16 points, 10 rebonds) termine en double double, et Charles Kahudi (15 points) a également été costaud dans ce déplacement transalpin, mais l’Asvel doit bien concéder sa première défaite depuis la 1ère journée, et sa série de 5 succès de rang. Théo Maledon a lui réussi un match très intéressant à 10 points à 5/6 aux tirs en 21 minutes !\\n\\nLimoges chute encore\\n\\nAlors que son adversaire du soir a décroché la victoire et sa qualification au Top 16, ce dernier s’éloigne de plus en plus pour le CSP Limoges (2 victoires en 7 matchs). Le club limousin n’a pas pu résister à l’expérience de Dorell Wright (16 points) et Dmitry Kulagin (15 points).\\n\\nLe Loko a fait la différence dans le 3e quart. C’est dommage car Limoges avait bien pris ce match. Mais les coéquipiers d’Axel Bouteille (17 points) ont été dominés aux rebonds (40-28), autorisant notamment 17 rebonds offensifs !\\n\\n\\nLes Français de l’EuroCup\\n\\nLanding Sané (Mornar Bar) : 23 points (9/15 aux tirs), 10 rebonds, 3 interceptions, 1 passe, 1 contre, 1 balle perdue en 28 minutes\\n\\nAxel Bouteille (Limoges) : 17 points (7/10 aux tirs), 4 rebonds, 2 contre, 1 passe, 1 interception en 23 minutes\\n\\nYakuba Ouattara (Monaco) : 16 points (5/13 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 34 minutes\\n\\nPaul Lacombe (Monaco) : 16 points (6/12 aux tirs), 6 rebonds, 6 passes, 4 interceptions, 1 balle perdue en 34 minutes\\n\\nCharles Kahudi (Asvel) : 15 points (5/8 aux tirs), 2 interceptions, 1 rebond en 29 minutes\\n\\nThéo Maledon (Asvel) : 10 points (5/6 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception, 3 balles perdues en 21 minutes\\n\\nDamien Inglis (Limoges) : 9 points (3/6 aux tirs), 7 rebonds, 5 interceptions, 3 passes, 4 balles perdues en 21 minutes\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 9 points (4/6 aux tirs), 7 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 24 minutes\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 9 points (4/5 aux tirs), 3 rebonds, 2 passe, 1 contre, 1 balle perdue en 18 minutes\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 7 points (3/4 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 contre, 2 balles perdues en 21 minutes\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 6 points (0/7 aux tirs), 5 passes, 3 balles perdues en 24 minutes\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : 2 rebonds, 1 balle perdue en 6 minutes\\n\\nMam Jaiteh (Turin) : n’a pas joué\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué\\n\\n\\nLe Top Ten\\n\\n\\nLes résultats de la 7ème journée\\n\\nGROUPE A\\nGalatasaray – Ulm (77-69)\\nEtoile Rouge – Monaco (75-91)\\nBrescia – Andorre (73-79)\\n\\nGROUPE B\\nGdynia – Tofas Bursa (77-87)\\nAlba Berlin – Zagreb (102-109)\\nLimoges – Krasnodar (64-72)\\n\\nGROUPE C\\nTrente – ASVEL (79-77)\\nSt Petersbourg – Partizan (75-71)\\nValence – Ankara (101-83)\\n\\nGROUPE D\\nVilnius – Kazan (81-87)\\nFrancfort – Malaga (78-84)\\nMornar Bar – Turin (86-83)\\n\\n\\nLe classement\\n\\n\\nLe programme de la 8e journée\\n\\n(matchs les 20 et 21 novembre)\\n\\nGROUPE A\\nMonaco – Ulm\\nAndorre – Etoile Rouge\\nBrescia – Galatasaray\\n\\nGROUPE B\\nTofas Bursa – Krasnodar\\nZagreb – Gdynia\\nAlba Berlin – Limoges\\n\\nGROUPE C\\nAnkara – ASVEL\\nZenit St Petersburg – Trente\\nPartizan Belgrade – Valence\\n\\nGROUPE D\\nFrancfort – Vilnius\\nTurin – Kazan\\nMalaga – Mornar Bar\\n\\n\\nDans le rétro :\\n\\nLe bilan de la 6e journée\\n\\nLe bilan de la 5e journée\\n\\nLe bilan de la 4e journée\\n\\nLe bilan de la 3e journée\\n\\nLe bilan de la 2e journée\\n\\nLe bilan de la 1ère journée\\n\\nCrédits photo : EuroCup\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe MVP de la 7ème journée\\n\\nLanding Sané (23 points, 10 rebonds, 3 interceptions)\\n\\nA peine arrivé au Monténégro, Landing Sané s’est déjà parfaitement adapté à sa nouvelle équipe de Mornar Bar avec un match très complet à 23\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce: Le Premier Ministre Alexis Tsipras défend les frères Antetokounmpo qui ont subi des insultes racistes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Premier Ministre Alexis Tsipras a écrit un message de soutien aux deux frères Antetokounmpo, Giannis (Milwaukee Bucks) et Thanasis (Panathinaikos), suite à des insultes racistes lancées à leur propos à la télévision par un journaliste supporter de l’Olympiakos à l’issue du derby de la capitale athénienne entre l’Olympiakos et le Panathinaikos .\\n\\n«Respect et fierté pour les personnes nées et élevées ici, qui ont fait de la Grèce leur propre pays. Pas de tolérance vis-à-vis du racisme et de la haine », a écrit Tsipras sur sa page officielle Instagram. Le message contient une photo de Tsipras portant le maillot de l’équipe nationale grecque de Giannis Antetokounmpo.\\n\\nLe supporter de l’Olympiakos, âgé de 60 ans, qui est une personnalité célèbre de la télévision grecque est poursuivi pour avoir traité Giannis Antetokounmpo de singe."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: La séance de cryothérapie des Bleues"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vidéo intéressante puisque dans la « Minute Inside », on voit les Bleues profiter d’une séance de pressothérapie et de cryothérapie à Charleville-Mézières où elles sont réunies en stage. Un procédé bénéfique pour la récupération. Alors, c’est froid ?« On sent bien après », assure Helena Ciak."
}, 
{"role": "user",     "content":"Russie: «Plus jamais je ne jouerai pour une équipe dans laquelle le père entraîne le fils!» écrit Brandon Jennings"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Plus jamais Brandon Jennings (1,85m, 29 ans) ne jouera pour un coach qui a son fils dans l’équipe. C’est ce que le meneur du Zenit St. Petersbourg a écrit sur son compte Instagram... avant de l’effacer. Seulement son commentaire n’a pas échappé aux journalistes russes.\\n\\n« Leçon de vie. Je ne jouerai jamais plus pour une équipe dans laquelle le père entraîne le fils. Jamais! »\\n\\nL’ancien meneur de NBA a comme coach Vasilij Karasev et comme équipier son fils Sergeï (2,01m, 25 ans), qui a passé trois saisons en NBA, à Cleveland et Brooklyn. On imagine que les propos acides de l’Américain sont remontés jusqu’aux oreilles des deux Russes. Et Jennings ne pourra pas dire qu’ils ont été déformés par des journalistes !\\n\\nPhoto: VTB League"
}, 
{"role": "user",     "content":"16e de finale Coupe de France: Trois affiches avec des duels d’équipes de Jeep Elite"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Trois affiches concernant deux équipes de Jeep Elite seront au programme des 16e de finale de la Coupe de France qui se tiendront le mercredi 23 janvier 2019: Levallois vs Châlons-Reims, Le Portel vs Antibes et Pau vs. Chalon.\\n\\nLes huit équipes qui ont participé aux playoffs 2018 de Jeep Elite sont dispensées de ce tour."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B – Officiel: l’international islandais Kris Acox quitte Denain"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un communiqué, l’ASC Denain confirme le départ de l’international islandais Kris Acox (1,98m, 25 ans).\\n\\n« Arrivé au club en début de saison, le joueur de 25 ans venant du KR Reykjavik aura joué trois matchs en championnat de Pro B avec une moyenne de 7,3 points par match. Il a fait part de sa volonté de suivre une trajectoire différente pour la suite de sa carrière. L’ASC Denain Voltaire tient à remercier le joueur pour son travail et son engagement pour le club. Le club lui souhaite bonne chance pour la suite de sa carrière. »\\n\\nKris Acox n’avait joué jusqu’ici que dans son pays, au KR Reykjavik. En trois matches de Pro B, outre 7,3 points, il a tourné à 4,7 rebonds.\\n\\nPhoto: ASDV"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Rolf Beyer (manager général de Bamberg): «La BCL? Un modèle sportif et économique fondé sur des idées saines»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"\\n\\n\\nAu printemps dernier, Bamberg, huit fois champion d’Allemagne, notamment en 2015, 2016 et 2017, neuf participations en Euroleague depuis 2005, décide avant la fin du championnat de s’engager pour les cinq prochaines saisons en BCL, à condition bien entendu que le club se qualifie sur le terrain. Le club explique pourquoi il quitte le giron d’ECA, l’entreprise privée qui gère Euroleague et Eurocup, pour rejoindre la Basketball Champions League. Un éclairage intéressant au moment où des clubs français ambitionnent le retour dans cette compétition. Pour y faire quoi sportivement ? Pour s’y développer comment économiquement ?\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan=»registered,» type=»show»]\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPourquoi le choix de la Basketball Champions League et non plus l’Euroleague ?\\n\\n\\nAu printemps, nous avons commencé nos discussions avec Patrick Comninos (CEO de la BCL) qui nous a expliqué le projet de la BCL. Et tout à coup, nous avons découvert qu’il existait dans le basket européen un homme, un dirigeant, qui avait une vision différente de ce que nous avions expérimenté jusque-là. En 2017, nous avons gagné le championnat allemand, la coupe. Cela nous a ouvert les portes de l’Euroleague, pas en tant que détenteur d’une « licence A » (qui garantie 10 ans de participation) mais en tant que vainqueur du championnat d’Allemagne. En 2017-18, on a subi un calendrier très dur avec la nouvelle formule de l’Euroleague à 16 équipes. On a augmenté le budget de 5 millions d’euros, et ça n’a pas suffit à être compétitif au niveau sportif mais surtout, on a fini par comprendre qu’il n’y avait en face aucun revenu, aucun sponsor, aucune exposition médiatique ou aucun partenariat qui ne pouvait couvrir ces dépenses supplémentaires. Il était temps de faire autrement.\\n\\n\\nLe club n’était pas dimensionné pour l’Euroleague ?\\n\\n\\nNous ne correspondons pas à ce que l’Euroleague recherche vraiment. Jordi Bertomeu cherche des opportunités dans les plus grandes villes, les plus gros marchés. Moscou, Munich, Berlin, Paris ou Londres. L’Euroleague veut des marchés, des grandes marques. Nous, nous faisons partie d’un grand marché, l’Allemagne, mais nous ne sommes pas Munich ou Belin.\\n\\n\\nQuel était votre objectif en entrant en Euroleague ?\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNotre plan était qu’au bout de 5 ou 6 ans, nous nous serions installés parmi le Top 10 des équipes européennes. Mais ça n’est pas aussi facile que ça. Nous avons compris au début de la saison dernière que notre objectif maximum se situait entre la 10e et la 13e place. Et il ne faut jamais oublier que les résultats amènent les sponsors et l’argent. Et non l’inverse. En décembre 2017, nous avons compris que l’environnement dans lequel on était censé évoluer et être en compétition avec d’autres n’était pas sain. Et nous sommes également tombés d’accord sur le fait que la plus grosse erreur que nous pourrions faire serait de perdre notre passion pour le sport, la victoire.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nQue vous a proposé Patrick Comninos, président de la BCL, pour vous convaincre ?\\n\\n\\n\\n\\n\\nIl avait une vision différente, un autre modèle sportif et économique, fondé sur des idées saines, un esprit ouvert et une méritocratie au centre de tout. Plus important que tout à nos yeux: cette compétition est construite sur le mérite sportif, un classement rationnel et les ligues nationales. Cela correspond à notre vision des compétitions européennes. C’est d’ailleurs ainsi que nous avons débuté en Euroleague. En remportant le championnat. Il n’y avait pas de contrat de dix ans garantis pour nous. On sait aujourd’hui qu’on a fait le meilleur choix possible pour que le club reste sain dans les années à venir. On développe une approche très raisonnable et rationnelle. Ce changement nous permet aussi de restructurer le club, une renaissance. Avec un budget spécifique, cela nous donne également une opportunité de donner confiance à de supers gamins qui sortent de notre centre de formation. On peut arriver à faire plus de choses en étant en BCL. On a décidé de regarder les choses différemment. On sait que le niveau des équipes n’est pas le même qu’en Euroleague, qu’il y a moins de paillettes. Mais comme vous le voyez, le fait qu’on vienne d’Euroleague les années précédentes ne garantie pas qu’on gagne facilement en BCL. Les autres clubs sont forts aussi, on n’est pas tout seul. Notre objectif réaliste est de jouer les quarts de finale. Notre rêve, c’est le Final Four. Mais surtout, nous voulons des fondations saines et solides pour le club. Une structure qui puisse survivre, même quand les résultats sportifs ne sont pas bons. C’est la seule façon pour un club de bâtir son futur.\\n\\n\\nSelon vous, c’est impossible en Euroleague ?\\n\\n\\n\\n\\nEcoutez, peut-être qu’on pourrait investir de l’argent, on l’a déjà fait, mais pour quoi faire ? Pour quelle raison ? Comment générer cet argent pour présenter une situation financière saine ? Même si vous avez un budget de 10 millions d’euros, comment être compétitif face à des équipes qui ont 25, 30 ou 40 millions ? Pour nous, le modèle du propriétaire très riche, comme Olympiacos ou Panathinaikos, qui perdent 10 ou 15 millions d’euros par an, qui en mettait d’ailleurs 20 ou 25 il y a quelques années, ce n’est pas un modèle. C’est une impasse. Il y a aussi des clubs comme Zalgiris Kaunas, qui ont une super structure de club, un état qui les aide beaucoup, une Arena énorme, a réussi à atteindre le Final Four. Ils ont investi dans un coach génial et une équipe qui est devenue très forte. Mais des clubs comme ça, il n’y en a pas beaucoup. Le CSKA ou Khimki Moscou sont financés par l’état. Barcelone ou Madrid, l’argent vient du foot. Et puis je ne parle pas des équipes qui perdent 10 millions par an, tous les ans. Mais pour les clubs normaux, qui sont des entreprises normales, qui ne sont pas soutenues par l’argent public ou un mécène ? Ce modèle ne va nulle part. Ce n’est pas viable, ce n’est pas fonctionnel. Le futur, c’est d’attirer les sponsors, de construire des budgets raisonnables qui correspondent à des recettes, de créer un environnement d’exposition médiatique. Le modèle d’une ligue fermée n’est pas le bon pour l’Europe. L’Euroleague doit travailler ensemble avec la FIBA. La ligue fermée accueillera des grands noms de clubs, oui, mais elle ne donne pas leur chance aux autres de se développer. Est-ce que l’on veut ? Depuis deux ans, on discute avec beaucoup de clubs et beaucoup sont d’accord sur le fait qu’il faut changer les choses. Mais au final, personne ne bouge. Patrick Comninos dit que le basket a besoin d’une organisation qui appartiennent aux équipes. Et je lui fais confiance.\\n\\n\\n\\n\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nPourquoi le choix de la Basketball Champions League et non plus l’Euroleague ?\\n\\n\\nAu printemps, nous avons commencé nos discussions avec Patrick Comninos (CEO de la BCL) qui nous a expliqué le projet de la BCL. Et tout à coup, nous avons découvert qu’il existait dans le basket européen un homme, un dirigeant, qui avait une vision différente de ce que nous avions expérimenté jusque-là. En 2017, nous avons gagné le championnat allemand, la coupe. Cela nous a ouvert les portes de l’Euroleague, pas en tant que détenteur d’une « licence A » (qui garantie 10 ans de participation) mais en tant que vainqueur du championnat d’Allemagne. En 2017-18, on a subi un calendrier très dur avec la nouvelle formule de l’Euroleague à 16 équipes. On a augmenté le budget de 5 millions d’euros, et ça n’a pas suffit à être compétitif au niveau sportif mais surtout, on a fini par comprendre qu’il n’y avait en face aucun revenu, aucun sponsor, aucune exposition médiatique ou aucun partenariat qui ne pouvait couvrir ces dépenses supplémentaires. Il était temps de faire autrement.\\n\\n\\nLe club n’était pas dimensionné pour l’Euroleague ?\\n\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan=»unregistered,» type=»show»][arm_setup id=»2′′ hide_title=»true»][/arm_restrict_content]\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"A 37 ans, Tremmell Darden, champion de France avec Nancy en 2011, signe en Allemagne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Samedi, l’arrière Tremmell Darden (1,94m) va fêter ses 37 ans et il a toujours bon pied bon oeil puisqu’il vient de signer en Allemagne, au Mitteldeutscher BC.\\n\\nLe Californien -il est né à Inglewood, là où les Lakers avaient leur Forum- a joué dans sept pays et treize clubs différents dont Strasbourg (2009-10) et Nancy (2010-11) avec qui il a été champion de France et élu deuxième meilleur joueur de Pro A, et aussi Malaga, Kaunas, le Real Madrid et Olympiakos. Il était la saison dernière en Belgique, à Anvers où ses stats étaient de 5,8 points et 3,0 rebonds."
}, 
{"role": "user",     "content":"La phrase – Valérie Garnier: «Il est hors de question que l’on parle une autre langue...»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le Réveil Matin Céline, la coach des Bleues Valérie Garnier a confirmé que le français est et restera la langue unique d’expression en équipe de France même si la Newyorkaise Bria Hartley n’en comprend pour l’instant que des bribes.\\n\\n« Il est hors de question que l’on parle une autre langue pendant le regroupement de notre équipe nationale. Elle le sait, elle a commencé les cours à Istanbul. Je vois les joueuses parfois se rapprocher d’elle pour lui glisser deux mots en anglais mais on travaille ensemble depuis un mois et demi à Fenerbahçe et elle sait ce que j’attends, mes principes, c’est une basketteuse de talent, elle voit aussi les autres faire et elle peut refaire. Tout simplement. Il n’y a pas de vraies complications pour l’instant. »\\n\\nPhoto: FFBB\\n\\n\\n\\n\\n\\Il est hors de question qu'on parle une autre langue (que le français)\\, Valérie Garnier évoque l'intégration de l'Américaine Bria Hartley avec les Bleues dans #ReveilMatinCeline pic.twitter.com/2gBnMoJHst\\n\\n\\n— velocyclo (@velocyclo) November 15, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les highlights de Bologne-Strasbourg et Avellino-Le Mans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Hier soir, la double confrontation franco-italienne en Basketball Champions League a tourné en faveur des Transalpins.\\n\\nLa SIG a fait de la résistance à Bologne grâce notamment à un Mardy Collins complet (20 points, 5 rebonds, 4 passes) pour s’incliner 81-87. Scénario comparable au Mans. Le MSB a cédé dans les derniers échanges face à Avellino (74-77) malgré les 20 points et 11 passes de Juice Thompson.\\n\\nVoici les highlights des deux matches.\\n\\nPhoto: Mardy Collins (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Paul Lacombe et la Coupe du monde 2019: «Je suis convaincu de notre capacité à frapper un grand coup»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La France est actuellement en tête du Groupe K de la zone européenne des qualifications pour la Coupe du Monde 2019, en compagnie de la République tchèque. Les deux équipes sont à 7 victoires pour 1 défaite. Les Bleus ont encore besoin d’un succès pour assurer leur place en Chine à l’été prochain. Ils vont affronter les Tchèques le 30 novembre à Pardubice, puis la Bulgarie le 3 décembre à Limoges pour finir le travail.\\n\\nLe Monégasque Paul Lacombe est l’un des trois Français à avoir participé aux huit matches avec Andrew Albicy et Moustapha Fall. Il tourne à 9,9 points, 3,3 rebonds, 2,0 passes et 2,3 interceptions.\\n\\n« J’essaie toujours de donner le meilleur de moi-même », assure le Monégaque sur le site de la FIBA. « Représenter mon pays est quelque chose de très important et une occasion unique pour moi, raison pour laquelle je laisse à chaque fois tout sur le terrain. Mon style de jeu est intense, mais je ne le conçois pas autrement. Défendre, essayer d’avoir un impact sur le jeu et être un coéquipier modèle. L’équipe est ce qui importe le plus à mes yeux. »\\n\\nMême avec le retour des joueurs NBA et d’Euroleague, Paul Lacombe peut très sérieusement envisager d’être sélectionné par le coach Vincent Collet pour le voyage en Chine s’il est confirmé. Il a déjà participé à une Coupe du monde, c’était en 2009 avec les U19.\\n\\n« Je pense que l’objectif sera de réaliser un bon tournoi et de continuer à démontrer que nous sommes l’une des meilleures équipes nationales au monde. Nous avons du potentiel et nous avons des raisons de nous montrer ambitieux. Nous voulons toujours nous battre pour les premières places. Il reste encore pas mal de temps avant le tournoi de l’été prochain, et toutes les équipes qui s’y rendront seront ambitieuses, mais je suis convaincu de notre capacité à frapper un grand coup. »\\n\\nCependant il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué dit le dicton.\\n\\n« Je ne pense qu’à ces deux rencontres et aux moyens d’aider l’équipe à se qualifier pour la Coupe du Monde. Bien sûr, ce serait génial de jouer une compétition telle que la Coupe du Monde FIBA. Il nous reste quatre matches à gagner pour terminer cette phase qualificative, c’est la seule chose que j’ai à l’esprit pour le moment. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie: En faillite, le président russe de Cantu cède gratuitement ses actions"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un communiqué de presse choc vient d’être publié sur le site du Pallacanestro Cantù, équipe de Serie A italienne: le patron de l’équipe, le russe Dmitry Gerasimenko, y annonce qu’il cède gratuitement ses actions. L’homme d’affaires russe motive sa décision en expliquant que sa société en Russie, l’Octobre Rouge de Volgograd, spécialisée dans le travail des métaux, a été saisie.\\n\\n« Chers amis de Pallacanestro Cantú – Chefs d’entreprise, équipes techniques, joueurs, supporters, tous les supporters – je suis obligé de vous informer que mon entreprise Red October Volgograd a fait l’objet d’une saisie (...) Ceci détermine l’impossibilité éventuelle de ma part de conserver la société Pallacanestro Cantú. J’espère que les problèmes seront résolus rapidement. J’ai retroussé mes manches pour trouver une solution adaptée aux attentes de l’équipe et à mon personnel et je fais appel à la volonté de tous ceux qui aiment Pallacanestro Cantú afin de donner une continuité aux activités de l’équipe, en mettant gratuitement sur le marché mon actionnariat »\\n\\nPallacanestro Cantu est un club historique qui a notamment remporté deux Coupe d’Europe des clubs champions (C1), quatre Coupe des Coupe (C2), quatre Coupe Korac (C3) et trois titres de champion d’Italie. De la fragilité de ne dépendre que d’un seul mécène.\\n\\nSur Twitter, l’ancien Limougeaud Randy Culpepper, qui a porté le maillot de Cantu la saison dernière, indique que le club italien lui doit de l’argent et qu’il n’est pas prêt d’être payé!\\n\\n\\n\\n\\nCome on Cantu fans...don’t be in my inbox talking crazy. Just like you all aren’t happy about the situation I’m not either...I’m owed a lot of money from Cantu and I probably won’t be getting that now 🤦🏾\u200d♂️ https://t.co/1eEfRROrfK\\n\\n\\n— ʀᴀɴᴅʏ ᴄᴜʟᴘᴇᴘᴘᴇʀ (@R_culpepper_) November 14, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du monde : Mantas Kalnietis (ASVEL) et Adas Juskevicius (Nanterre) avec la Lituanie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Villeurbannais Mantas Kalnietis et le Nanterrien Adas Juskevicius sont sélectionnés parmi les 15 joueurs convoqués pour les deux prochains matchs de l’équipe de Lituanie dans le cadre des qualifications à la Coupe du monde 2019 (contre l’Italie le 29 novembre et la Croatie le 2 décembre).\\n\\n\\n\\n\\n\\nPRÉNOM, NOM\\nPOSITION\\n\\n\\n\\n\\n1\\nMantas Kalnietis\\nPG\\n\\n\\n2\\nŠarūnas Vasiliauskas\\nPG\\n\\n\\n3\\nMindaugas Girdžiūnas\\nPG\\n\\n\\n4\\nArnold Kulboka\\nSG\\n\\n\\n5\\nJonas Mačiulis\\nSF / PF\\n\\n\\n6\\nRenaldas Seibutis\\nSG\\n\\n\\n7\\nAdas Juškevičius\\nSG / PG\\n\\n\\n8\\nArnas Butkevičius\\nSF\\n\\n\\n9\\nRock Giedraitis\\nSF\\n\\n\\n10\\nEdgar Želionis\\nPF / C\\n\\n\\n11\\nEimantas Bendis\\nPF / SF\\n\\n\\n12\\nGytis Masiulis\\nSF / PF\\n\\n\\n13\\nMartin Geben\\nC\\n\\n\\n14\\nEvaldas Kairys\\nC\\n\\n\\n15\\nMartynas Echodas\\nC\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce: Le Français Matt Gamberoni signe en deuxième division"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Son nom fait davantage penser à un Américain aux racines italiennes, mais Matt Gamberoni (2,05m, 27 ans, 120 kg) est bien français, de Mulhouse.\\n\\nAprès avoir porté le maillot du FC Mulhouse, il est passé par les centres de formation d’Orléans et de Limoges avant de suivre la filière américaine : prep school, junior college, NCAA (Barry à Miami, Trevecca Nazarene, à Nashville) et il a ensuite fait carrière en Europe : Danemark, Portugal et ensuite Autriche (15,5 points, 7,6 rebonds et 1,9 passe en première division à l’UBSC Graz la saison dernière).\\n\\nMatt Gamberoni poursuit son périple puisqu’il vient de signer en A2 grecque à Enosi Kalathosfairisis Kavalas."
}, 
{"role": "user",     "content":"Fréjus Zerbo (ex-Limoges) vers la JL Bourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon David Cozette de RMC Sport, le pivot ivoirien Fréjus Zerbo (2,06m, 29 ans) va renforcer la JL Bourg si les examens médicaux qu’il doit passer cet après-midi sont positifs.\\n\\nPivot très physique mais sans grande dextérité, Fréjus Zerbo a passé sept saisons à Limoges où il était le chouchou du public. Il a fait par ailleurs une pige de 18 matches la saison dernière à Antibes (2,4 points et 2,4 rebonds). Libéré de son contrat avec le CSP, il était sans club depuis le début de saison.\\n\\nRapport de cause à effet: le MVP de la saison 2017-18 Zachery Peacock a été opéré de l’appendicite ce week-end et son absence est estimée à au moins trois semaines.\\n\\nPhoto: CSP\\n\\n\\n\\n\\nInfo basket : Fréjus Zerbo rejoint la @JLBourgBasket (sous réserve de validation des examens médicaux qu’il doit passer cet après-midi). Cc @RMCSportBuzzer @RMCsport\\n\\n\\n— David Cozette (@DavidCozette) November 14, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Juice Thompson (Le Mans): «C’est la première fois que je vis une telle période dans ma carrière»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le meneur américain du Mans Michael « Juice » Thompson (1,77m, 29 ans) est en froid avec son shoot à longue distance. A trois-points, il affiche 23,4% de réussite en Jeep Elite et 23,5% en Basketball Champions League. Jamais Juice n’était tombé aussi bas. Sur les cinq dernières années, il tournait ainsi dans une fourchette comprise entre 38,7 et 45,5%. Aussi Ouest France lui a posé la question qui s’impose: pourquoi?\\n\\n« J’aimerais avoir une explication ! Si cela avait déjà été le cas, j’aurais rentré plus de tirs. Il faut rester concentré, garder confiance. Venir avant l’entraînement, rester après l’entraînement pour se donner les chances de mettre ces paniers. »\\n\\nLe meneur américain confirme que cette maladresse est totalement inhabituelle:\\n\\n« Oui, c’est la première fois que je vis une telle période dans ma carrière. Pour m’en sortir, j’essaie de rester dans ma routine, de garder confiance. Même si je n’arrive pas à mettre ces tirs, j’essaie toujours d’aider l’équipe d’une autre manière. En tant que meneur de jeu, je dois rester un leader, en faisant une bonne défense, en impliquant les gars, en réussissant la bonne passe... »\\n\\nDe fait, à l’exception de sa saison exceptionnelle à Pau, l’évaluation de l’Américain au MSB (12,0) est dans ses standards habituels comme le démontre le site Proballers.\\n\\nLe Mans affronte ce soir l’équipe italienne de Avellino à Antarès pour le compte de la BCL avant de se rendre à Villeurbanne. On aura un oeil sur la réussite de Juice Thompson qui forcément conditionne la qualité des résultats du MSB.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Quand les Nanterriens Julian Gamble et Adas Juskevicius cartonnent à Venise"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Superbe performance en Basketball Champions League de Nanterre qui est allé s’imposer à Venise en Italie, 99-77, avec une énorme contribution du pivot américain Julian Gamble (28 points, 11/14 aux tirs, 11 rebonds) et de l’arrière lituanien Adas Juskevicius (31 points, 6/10 à trois-points, 9 rebonds). Voici les highlights du match.\\n\\nPhoto: Julian Gamble (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe de France: Chalon en 16e de finale, tirage au sort demain"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Elan Chalon a éliminé la JL Bourg, 92-83, en 32e de finale de la Coupe de France, Trophée Robert Busnel.Le tirage au sort des 16e de finale se tiendra le jeudi 15 novembre au siège de la FFBB à Paris.\\n\\nRésultats des 32e de finale:\\n\\n*Chalon-sur-Saône (Jeep Elite) bat Bourg-en-Bresse (Jeep Elite) : 92-83\\n*Souffelweyersheim (NM1) bat Gravelines (Jeep Elite) 71-63\\nChâlons-Reims (Jeep Elite) bat *Boulogne (NM1) 89-57\\nBoulazac (Jeep Elite) bat *Orléans (Pro B) 72-56\\nPoitiers (Pro B) bat *Tours (NM1) 77-76\\n*Rouen (Pro B) bat Cholet (Jeep Elite) 73-63\\nLevallois (Jeep Elite) bat *Quimper (Pro B) 93-77\\nNancy (Pro B) bat *Orchies (NM1) 92-72\\n*Gries (Pro B) bat Denain (Pro B) 88-56\\n*Aix-Maurienne (Pro B) bat Roanne (Pro B) 83-67\\nAntibes (Jeep Elite) bat *Saint-Chamond (Pro B) 79-65\\n*Challans (NM1) bat Evreux (Pro B) 90-52\\nBlois (Pro B) bat *Bordeaux (NM1) 74-59\\nLe Portel (Jeep Elite) bat *Lille (Pro B) : 80-73\\nVichy-Clermont (Pro B) bat *Oullins Ste Foy (NM2) : 55-93\\n*Sorgues (NM1) bat Fos (Jeep Elite) : 85-84\\nPau-Lacq-Orthez (Jeep Elite) bat *Toulouse (NM1) : 87-77\\nCaen (Pro B) bat *Lorient (NM1) : 83-73"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eurocup: Monaco dans l’antre de l’Etoile Rouge de Belgrade"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le cadre de la 7ème journée d’EuroCup, l’AS Monaco est aujourd’hui à Belgrade pour se mesurer à l’Etoile Rouge. Les deux équipes sont à égalité au classement avec 4 victoires mais les Serbes ont le point average sur les Roca Boys puisqu’ils ont gagné à l’aller en Principauté, 66-63.\\n\\nEvidemment, le coach de l’ASM Sasa Filipovski mesure la dangerosité du déplacement.\\n\\n« L’Etoile Rouge est une équipe très physique. Belgrade a montré qu’elle était très bien armée grâce à ses postes doublés. Depuis le début de la saison, cette situation leur a permis de faire tourner tout en restant agressif à tous les matchs. »\\n\\nComme les Serbes, les Monégasques restent sur une défaite en EuroCup. Mercredi dernier, à domicile, ils se sont fait surprendre par Brescia (86 à 80).\\n\\nPour Eldemin Kikanovic, ce déplacement en Serbie aura une saveur particulière, lui qui a évolué trois ans sous le maillot de l’Etoile Rouge :\\n\\n« Ce sera un match très important dans une des salles les plus difficiles d’Europe, que je connais bien... Après la dernière journée, tout est relancé dans notre groupe. Mais si nous voulons finir premiers, il est temps de montrer notre meilleur visage dans les endroits les plus difficiles. »\\n\\nA l’aller, le pivot de la sélection de Bosnie avait été le Monégasque le plus efficace avec 22 points à 10/17 aux shoots et 7 rebonds pour 21 d’évaluation sur les 67 de son équipe. Autant dire qu’il aura besoin d’aide si l’ASM veut s’imposer dans la capitale serbe.\\n\\nA propos, ce ne sont pas des Serbes les plus menaçants de l’Etoile Rouge mais le pivot sénégalais de 2,08m Mouhammad Faye (10,3 points et 8,3 rebonds), et les arrières américains Joe Ragland (15,2 points) et Billy Baron (14,2 points).\\n\\nPhoto : Manuel Vitali (ASM)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les basketteurs, les équipes de France et des personnalités se mobilisent pour le Téléthon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion du Téléthon 2018 (les 7 et 8 décembre), la MAIF et la Fédération Française de BasketBall dévoilent un dispositif inédit, intitulé #ChaquePanierCompte. Jusqu’au 4 décembre, chaque panier marqué par les Équipes de France de Basket, mais aussi par des personnalités bien connues des Français, sera valorisé par la MAIF au profit du Téléthon. Une initiative originale et solidaire qui souligne l’engagement de l’assureur militant pour le Téléthon et le Basket français.\\n\\nPlus que jamais, et grâce aux Équipes de France de Basket, cette fin d’année sera placée sous le signe de la solidarité. Et pour cause : lors de 4 matchs disputés par les équipes de France féminine et masculine, la MAIF cèdera de façon exceptionnelle son emplacement sur la face avant du maillot tricolore au profit du logo de l’AFM-Téléthon. En complément de cette visibilité, chaque point marqué par les joueur(se)s français(es) rapportera des fonds au Téléthon.\\n\\nLa collecte grimpera ainsi au rythme de 40 euros par point sur les matchs suivants :\\n\\nÉquipe de France féminine\\n-Samedi 17 novembre 2018 à Cluj-Napoca (Roumanie) : Roumanie/France\\n-Mercredi 21 novembre 2018 à Charleville-Mézières (Caisse d’Epargne Arena) : France/Slovénie\\n\\nÉquipe de France masculine\\n\\n-Vendredi 30 novembre 2018 à Pardubice (Rép. Tchèque) : République Tchèque/France -Lundi 3 décembre 2018 à Limoges (Palais des Sports de Beaublanc) : France/Bulgarie.\\n\\nDes personnalités se mobilisent à leur tour\\n\\nDans la continuité de son engagement vis-à-vis du Téléthon, la MAIF a souhaité amplifier son action en proposant à des personnalités de différents univers de relever à leur tour le défi #ChaquePanierCompte. C’est ainsi que Yannick Noah, Moundir, François Berléand, Richard Anconina, Laurent Baffie, Yannick Agnel, Patrick Timsit, Marc-Olivier Fogiel, Estelle Denis, Vincent Moscato, Sidney Govou, Jessica Houara, Marie-José Pérec, Brahim Asloum ou encore Samuel Etienne ont participé, dans l’enceinte du Palais des Sports Marcel Cerdan de Levallois-Perret, à un concours de lancers-francs. A la clé : 200€ supplémentaires apportés à la collecte du Téléthon pour chaque lancer-franc réussi dans un temps imparti de 2 minutes ! De quoi motiver ces basketteurs d’un jour qui ont étrenné pour l’occasion le maillot de l’Équipe de France de Basket floqué du logo de l’AFM-Téléthon. Le montant total déjà apporté au Téléthon grâce à leur mobilisation, ainsi que des images inédites du concours, seront dévoilés dans quelques jours !\\n\\nAdditionnés aux points marqués par les Équipes de France durant leurs matchs, ce sont en tout près de 30 000€ que la MAIF ambitionne de reverser à l’AFM-Téléthon à l’issue de l’opération.\\n\\nDes moments de partage avec des enfants\\n\\nCette initiative est aussi l’occasion d’offrir des moments de partage et d’échange uniques à quelques enfants concernés par une maladie rare. Ainsi, Enzo et Léo, 6 et 8 ans, ont pu assister au concours de lancers-francs à Levallois-Perret en présence de quelques-unes des personnalités participant au Challenge. Mathilde, 11 ans, ira à la rencontre de l’Équipe de France féminine à la veille de son match à Charleville-Mézières le 20 novembre, et Antonin, 11 ans, aura la chance de passer un moment avec les Bleus le 2 décembre à Limoges. La remise officielle du chèque aura lieu le lendemain, au cours du match France-Bulgarie, en présence de Dominique Mahé, Président du Groupe MAIF, et de Jean-Pierre Siutat, Président de la FFBB.\\n\\nLa MAIF, un acteur engagé du sport\\n\\nCette initiative novatrice témoigne de l’engagement croissant de la MAIF aux côtés des principaux acteurs du sport français, avec un soutien apporté à plusieurs fédérations olympiques ou plus récemment au mouvement olympique français. Un engagement historique et fondateur puisque la MAIF est aujourd’hui premier assureur du monde associatif en France avec plus de 142 000 associations, parmi lesquelles plus de 37 000 groupements sportifs, mais aussi les clubs sportifs assurés via les Fédérations assurées à la MAIF. Soit au final plus de 2,5 millions de pratiquants.\\n\\nPour soutenir le #Téléthon2018, c’est ICI.\\n\\nPhoto: FFBB\\n\\n\\n\\n\\nJusqu’au 4 décembre, avec les Équipes de France de basket, tous mobilisés pour le #Telethon2018. Chaque panier compte ! #ChaquePanierCompte #VaincreLaMaladie @ffbasketball @MAIF @Telethon_France pic.twitter.com/r106vPKI2Z\\n\\n\\n— Fédération Française de BasketBall (@ffbasketball) November 9, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Les 14 Roumaines pour affronter la France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Roumanie que la France va affronter samedi à Cluj dans le cadre des qualifications à l’EuroBasket 2019 n’appartient pas au Gotha du basket féminin européen et on se rappelle de l’écrasante victoire des Bleues à l’aller, à Villeneuve d’Ascq, 87-45.\\n\\nCependant, si les Roumaines n’ont pour l’instant remporté qu’un seul match face aux modestes Finlandaises (80-59 à Helsinki), on note qu’elles ont donné du fil à retordre aux Slovènes sur le terrain de Celje (70-78).\\n\\nLe coach Dragan Petricevic a convoqué 14 joueuses dont la naturalisée Ashley Walker, une ailière de 1,87m et 31 ans, qui tourne à 16,5 points et 6,5 rebonds dans ces qualifications, la meneuse Annemarie Godri Parau (1,74m, 34 ans) qui elle est à 11,8 points et 3,8 passes, ainsi que la pivot Elisabeth Pavel (1,91m, 28 ans), auteure de 8,0 points et 5,0 rebonds) connue en France pour porter le maillot de Reims en Ligue 2.\\n\\n * Gabriela MARGINEAN (Adana Basket – Turquie)\\n * Adina STOIEDIN (Scrivia – Italie)\\n * Ashley WALKER (Mersin BSB – Turquie)\\n * Elisabeth PAVEL (Reims – France)\\n * Annemarie GODRI PARAU (Sepsi SIC Sf. 1 Gheorghe)\\n * Tunde KILIN (CSM Targoviste)\\n * Carla POPESCU (CSM Targoviste)\\n * Ancuta STOENESCU (CSM Targoviste)\\n * Ioana GHIZILA (SIC Sepsi St. George)\\n * Alina PODAR (Olimpia CSTBv CSU Brasov)\\n * Catherine ARMANU (Phoenix Stiinta Constanta)\\n * Gabriela IIRIMIA (CSM Targoviste)\\n * Teodora NEAGU (FCC CSB ICIM Arad)\\n * Irina PARAU (NBS Cluj Napoca / Universitatea Cluj-Napoca)\\n\\nPhoto: Ashley Walker (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"WNBA: James Wade, mari de Edwige Lawson, nommé coach du Chicago Sky"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ascension fulgurante du Franco-Américain James Wade continue. Ancien joueur de divisions inférieures notamment en France, « Coco » s’est reconverti avec bonheur dans le coaching et il vient d’être nommé coach principal du Chicago Sky en WNBA.\\n\\nJames Wade a entraîné le centre de formation de Lattes-Montpellier avant d’être assistant-coach aux San Antonio Stars et au Minnesota Linx avec qui il a été champion WNBA en 2017, tout en occupant la même fonction à UMMC Ekaterinbourg, champion d’Europe en 2018.\\n\\nJames Wade, 43 ans, est marié à l’ancienne internationale Edwige Lawson actuellement directrice sportive de Lattes-Montpellier. Le couple a eu récemment un enfant et il y a quelques mois, la maman nous disait:\\n\\n« Je sais que maintenant qu’il est entraîneur on n’aura pas de visibilité sur quatre ou cinq ans. Ce sont toujours des contrats de deux ans, trois ans si on a de la chance. C’est la vie que l’on va mener. Pour l’instant le petit apprend le russe car c’est important qu’il puisse le parler à l’école. Là, il est à la crèche. A son âge, il apprend très, très vite. Tant que je vois que lui est épanoui, c’est le plus important. Comme il est très heureux partout où on est, ça me va. »\\n\\nLire Les mille et une vie de Edwige Lawson-Wade."
}, 
{"role": "user",     "content":"Remercié au Mans, Demitrius Conger rebondit en Australie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il vient tout juste d’être remercié par Le Mans, l’ailier Demetrius Conger (1,98m, 28 ans) rebondit en Australie, aux Adélaïde 36ers.\\n\\nDemetrius Conger est apprécié en NBL suite à son passage la saison dernière aux Illawarra Hawks où il a assuré 19,7 points par match, ainsi que 5,6 rebonds et 2,7 passes. Il avait ainsi terminé deuxième au vote pour l’élection du MVP.\\n\\nLe Newyorkais n’a pas démérité au Mans (10, 9 points, 11,2 d’évaluation) mais le coach Eric Bartecheky a estimé qu’il n’était pas en phase avec le jeu de l’équipe.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les highlights de Levallois-Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Victoire hier soir au palais des sports Marcel-Cerdan des Levallois Metropolitans sur le Limoges CSP, 98-90, avec 20 points et 4 rebonds de Jarod Johnson. Voici les highlights du match."
}, 
{"role": "user",     "content":"Aube: Une coach de 77 ans agressée par le père d’un joueur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était un match anonyme de U15 à Saint-André-les-Vergers dans l’Aube qui a donné lieu à une agression pour le moins ignoble.\\n\\nComme le rapporte L’Est Eclair, un père de famille estimant que son fils n’avait pas assez joué a violemment projeté contre un mur la coach du BCSA , Colette Méan, âgée de... 77 ans ! Transportée à l’hôpital la dame souffre d’une clavicule cassée et de plusieurs côtes fracturées. Son certificat fait état de 60 jours d’ITT.\\n\\nL’homme a été interpellé hier et placée en garde à vue."
}, 
{"role": "user",     "content":"Didier Primault, directeur du Centre de Droit et d’Economie du Sport de Limoges: «Des tickets garantis en Euroleague, une atteinte gravissime à l’intégrité sportive»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le magazine Basket numéro 24 de novembre, actuellement en vente, a été publié une interview passionnante de Didier Primaut, économiste du sport, sur l’économie du basket européen, les dérives du système de fonctionnement par mécénat des plus grands clubs du Continent, et les chances des clubs français de se mêler à la compétition et de se développer dans ce contexte. Nous avons décidé de pousser la discussion avec lui, notamment sur la question plus actuelle que jamais des ligues d’élite européennes fermées ou semi-fermées, telles que l’Euroleague en basket ou la Super League qu’envisagent actuellement les plus grands clubs de football. Sa réflexion sur l’affaiblissement de la ligue espagnole par rapport à la façon de qualifier ses équipes pour l’Euroleague est notamment très intéressante. Voici la première partie de l’interview.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nUn assainissement de la situation financière en Euroleague est-elle possible ?\\n\\nOui, parce qu’il y a une prise de conscience des risques que fait peser sur ce modèle qui n’est pas fondé sur la capacité des clubs à générer des revenus provenant de leur activité basket. L’Euroleague n’est pas étrangère à ces questions-là. Je sais qu’ils réfléchissent pour avoir des clubs plus pérennes et plus solides. On a vu il y a quelques années les difficultés des clubs grecs, on voit aujourd’hui l’Italie, un bastion du basket dans les années 70-80 qui s’est carrément écroulée, dans l’Europe de l’Est aussi. C’est un problème pour un championnat. Ça porte atteinte à l’équité de la compétition et à sa crédibilité. Dans une période où l’économie est un peu moins florissante, ce qui est le cas de quelques années en Europe, si avant des gens mettaient de l’argent sans trop regarder, aujourd’hui, ils sont plus enclins à resserrer la vis. La question de la pérennité du modèle économique des clubs est forcément en question.\\n\\nAlain Béral, président de la Jeep Elite française, critiquait la position de l’Euroleague, qui pour dégager plus de revenus, se dirige vers une saison régulière plus longue et qui lorgne sur le créneau du week-end pour obtenir de meilleurs revenus de droits télés, créneau qui est d’ordinaire l’apanage des ligues nationales. L’Euroleague représente-t-elle un danger pour les championnats nationaux ?\\n\\nJe ne suis pas sûr que l’Euroleague fait ça pour pallier au modèle économique de ses clubs. Le modèle des mécènes, quelques soient les revenus que vous générez, l’argent tombe quoi qu’il arrive. Je ne suis pas sûr que ce soit qui pousse cette réflexion. Sans doute que c’est fait pour renforcer les modèles économiques des clubs d’Euroleague qui veulent réellement générer des revenus mais je ne suis pas sûr que le CSKA Moscou, ça leur changera la vie si les matches d’Euroleague se jouent le week-end et que la ligue génère plus de droits télévisuels. En revanche, effectivement on constate que tous les organisateurs de compétitions aujourd’hui sont en concurrence sur la question des dates. Et au sein d’une même discipline la compétition est encore plus farouche. Mais on le voit en football aussi entre l’UEFA, la Champions League et la FIFA. En basket, en rugby, c’est la même chose. L’Euroleague essaye de trouver les meilleures dates pour ses compétitions. Une des concurrences les plus farouches dans le sport d’aujourd’hui, c’est l’accès aux dates, notamment pour vendre les droits. En général, c’est celui qui a le plus de pouvoir qui capte les meilleures dates. En basket, c’est actuellement le rapport de force.\\n\\nDans votre interview pour le magazine Basket, vous sembliez lier la stagnation et les problèmes du championnat espagnol au fait que quatre clubs espagnols bénéficiaient de tickets garantis pour l’Euroleague. Pouvez-vous développer ?\\n\\nLà où ça pose un problème, c’est que ça porte une atteinte très très forte à la crédibilité du championnat, à sa légitimité. Dans nos systèmes de montées et de descentes, il y a un enjeu fort qui est de terminer dans les 3-4 premiers d’un championnat pour accéder à la compétition européenne, mais grâce à vos résultats dans le championnat national. Dans le cas de l’Espagne où quatre places sont déjà acquises à un certain nombre de clubs, quelque soit leur classement en championnat à la fin de la saison, ça veut dire que tous les autres concurrents ne sont pas dans une situation d’équité totale. Même en étant dans les tous premiers, vous n’aurez pas accès à l’Euroleague. On pourrait même aller très loin si on pousse ce système. Un club pourrait même vendre ses matches ! Une fois que vous êtes dans les trois premiers, que vous savez que vous n’aurez accès à rien du tout, vous pouvez commencer à lâcher des matches, il n’y a plus d’intérêt sportif. Pour moi, c’est une atteinte gravissime à l’intégrité sportive. Et le public, les partenaires sont sensibles à ça. Vous enlevez une partie de l’enjeu de votre compétition. Je pense que si le championnat est moins fort – bon, ce n’est pas la situation qu’on a connu en Italie ou en Grèce – mais si le championnat espagnol est aujourd’hui moins fort qu’il ne l’était il y a dix ans, pour moi, c’est notamment lié à cette question de la fermeture de l’accès à l’Euroleague. Le championnat a perdu en crédibilité tout simplement. Quand on porte atteinte à la crédibilité sportive de la compétition, il y a toujours un moment ou à un autre où il y a des conséquences économiques. A court terme, pour le club qui est invité pour plusieurs années, il y a des avantages à faire partie d’une ligue semi-fermée comme ça. Sauf que quand c’est mauvais pour tout un championnat national, cela finira aussi par être mauvais pour les clubs concernés. Après, en Espagne, le Barca et le Real, c’est compliqué, ils ne vivent pas sur les revenus générés du basket, eux non plus. Ils vivent aux crochets du football. Et si leur économie n’était pas artificielle, peut être qu’eux aussi subiraient les conséquences de cette moins bonne santé du championnat national espagnol. Voilà le problème majeur : décrédibiliser le championnat national impacte la capacité à générer des revenus et au final touche tout le monde. Ce que disent au contraire les Américains, c’est que la maximisation du profit ne se fait pas au niveau d’un club, elle se fait collectivement sur un championnat.\\n\\n[armelse]\\n\\nUn assainissement de la situation financière en Euroleague est-elle possible ?\\n\\nOui, parce qu’il y a une prise de conscience des risques que fait peser sur ce modèle qui n’est pas fondé sur la capacité des clubs à générer des revenus provenant de leur activité basket. L’Euroleague n’est pas étrangère à ces questions-là. Je sais qu’ils réfléchissent pour avoir des clubs plus pérennes et plus solides. On a vu il y a quelques années les difficultés des clubs grecs, on voit aujourd’hui l’Italie, un bastion du basket dans les années 70-80 qui s’est carrément écroulée, dans l’Europe de l’Est aussi. C’est un problème pour un championnat. Ça porte atteinte à l’équité de la compétition et à sa crédibilité.\\n\\nA suivre\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Sergio Llull (Real Madrid)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Elite: Le meneur de Chalon Justin Robinson élu Meilleur Joueur du Mois d’octore"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le meneur de l’Elan Chalon Justin Robinson (1,73m, 23 ans) a été élu par le public Joueur du Mois d’Octobre. Avec 45% des voix, il précède Ali Traore (35%) de Strasbourg et Devin Ebanks (20%) de Châlons-Reims.\\n\\nJustin Robinson est actuellement le meilleur passeur de Jeep® ÉLITE (8,8 passes), et grâce à sa force offensive (3e marqueur avec 17,1 points), il possède la 2ème meilleure évaluation du championnat (21,2) derrière le pivot de Strasbourg Youssoupha Fall.\\n\\nPhoto: Elan Chalon"
}, 
{"role": "user",     "content":"Point de vue: Bria, bienvenue chez toi !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Bleues se regroupent pour un mini stage à Charleville. Deux matches sont au menu ensuite, l’un en Roumanie samedi puis un autre dans les Ardennes face à la Slovénie, le mercredi de la semaine prochaine. Objectif affiché : gagner les deux et récupérer le point average face aux Slovènes après le faux-pays de l’aller (62-68). Ainsi la qualification à l’Euro 2019, en Lettonie et Serbie, serait automatique et la France deviendrait tête de série lors du tirage au sort. C’est précieux.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nL’évènement, c’est la présence parmi les quinze pré-sélectionnées d’un visage inconnu. La joueuse n’a aucune sélection en équipe de France, y compris en jeune, et n’a jamais joué sur le territoire français. Bria Nicole Hartley, 1,73m, 26 ans, par ailleurs maman d’un petit garçon, est l’été la meneuse de jeu titulaire du New York Liberty en WNBA et elle joue le reste de l’année en Turquie. Après Mersin, elle porte le maillot du Fenerbahçe Istanbul.\\n\\nUn début de polémique est née à l’annonce de son souhait d’intégrer l’équipe de France, certains la suspectant de vouloir être « naturalisée » sachant que l’Europe du basket principalement sur son flanc Est a été le cadre d’une invasion de joueurs/joueuses américain(e)s qui ont rejoint diverses sélections nationales en bénéficiant de passeports de complaisance. La FFBB n’était-elle pas complice d’une quelconque magouille, elle qui s’insurge habituellement d’une telle pratique? Cela pouvait remettre à jour une période peu glorieuse du basket français -il y a 30-40 ans- lorsque plusieurs joueurs américains ont obtenu le passeport bleu via des naturalisations et des mariages blancs. Une procédure frauduleuse devenue quasi impossible tant la loi et les contrôles se sont durcis depuis.\\n\\nRépétons-le : Bria Hartley n’est pas une naturalisée. Bien que née dans l’Etat de New-York à North Babylon et possédant par ailleurs la nationalité américaine, elle est française par filiation, par son sang, comme la grande majorité de ses compatriotes. De par sa grand-mère maternelle (1).\\n\\nBria a évoqué la possibilité de candidater pour les Bleues à l’époque de l’université quand elle était une surdouée. Son agent a débuté des démarches mais la procédure en reconnaissance de filiation est parfois parsemée d’embuches administratives lorsque vous êtes né à l’étranger. La coach des Bleues Valérie Garnier a été alertée de son souhait il y a un an, la fédération a pris le dossier en main, le ministère a donné un coup de pouce, et pourtant Bria n’a obtenu gain de cause qu’après la Coupe du monde alors que l’objectif était qu’elle rejoigne le groupe à l’issue de la saison régulière de WNBA.\\n\\nSa motivation est de rendre la branche maternelle de se famille fière de la voir en bleu. Dans une interview au magazine Buzzer sur RMC Sport 2, elle a dit vouloir aider l’équipe de France à gagner.\\n\\n« J’ai toujours regardé la France jouer. Je suis beaucoup les joueuses même si elles ne me connaissent pas forcément. Elles sont très talentueuses et j’espère les aider à rendre l’équipe encore meilleure. »\\n\\nSur twitter, Bria Hartley suit la FFBB, la LFB, les clubs de Lattes-Montpellier, Villeneuve d’Ascq, Helena Ciak, Marine Johannes et encore Olivia Epoupa. Plein d’autres comptes français.\\n\\nPourquoi douter de sa démarche, même si -à l’évidence- sa préférence initiale allait naturellement à l’équipe nationale américaine? Elle a d’ailleurs porté le maillot étoilé avec brio dans des différentes compétitions en jeune et en 3×3 (2). Le règlement international lui aurait interdit de rejoindre l’équipe de France si elle avait continué à l’âge adulte.\\n\\nUne valeur sportive indéniable\\n\\nPersonne ne met en doute la valeur de sportive de Bria Hartley. Réputée pour sa polyvalence, la Newyorkaise a fait des débuts en fanfare en WNBA avant qu’une fracture de fatigue et la naissance de son enfant ralentissent quelque peu sa montée en puissance. Elle a été 44 fois -en 68 matches- meneuse titulaire du Liberty sur les deux dernières saisons. Rappel : alors qu’il y a 30 franchises en NBA, il n’y en a que 12 en WNBA. C’est vous dire son calibre. Ni Céline Dumerc et pas même Edwige Lawson ont pu approcher son rendement statistique dans la ligue américaine. L’été dernier c’était 8,5 points -soit la troisième marqueuse de l’équipe sachant que l’internationale américaine Tina Charles en met 19,7- et 3,6 passes -deuxième de l’équipe. Son expérience européenne l’a conduit à être la meilleure marqueuse du championnat turc la saison dernière avec Mersin et la quatrième de l’Eurocup (17,6 points) et elle a donc été recrutée par le Fenerbahçe. Si elle ne participe pas actuellement à l’Euroleague, c’est que le club compte quatre joueuses d’origine américaine -dont la championne du monde Kelsey Plum- et il a dû faire un choix (Kiah Stokes est également sur la touche pour les matches européens). Mais rassurez-vous, Bria est bien titulaire en championnat et tient parfaitement sa place.\\n\\n« C’est une joueuse agressive balle en main, qui aime créer pour elle et pour les autres. C’est un poste 1-2. Elle joue ici au Fener sur les deux. Ce n’est pas une meneuse de jeu classique dans l’organisation mais c’est quelqu’un qui aime créer beaucoup de jeu et qui met beaucoup d’intensité dans la course vers l’avant, la volonté du jeu rapide », a disséqué Valérie Garnier pour Buzzer.\\n\\nIl demeure que nous avons lu quelques réactions de rejet à son égard, par exemple de l’ancienne internationale Cathy Malfois ou du blogueur Dominique B. Pour avoir sondé deux joueuses de l’équipe nationale, disons qu’elles sont pour le moins réservées sur sa venue.\\n\\nhttps://www.facebook.com/nyliberty/videos/10155515161662918/\\n\\nOn est Français(e) à 100%, jamais à moitié\\n\\nMais venons-en à la question fondamentale : à partir du moment où sa qualité de française ne découle pas d’une tricherie, pour quel motif Bria Hartley ne serait pas sélectionnée en équipe de France ?\\n\\nA l’inverse par exemple de la Lituanie, la double nationalité est permise en France et nous pouvons rappeler le cas de joueurs qui ont porté le maillot bleu en jeune et d’autres pays en senior. Pape-Philippe Amagou en est l’un des meilleurs exemples. International en cadets, juniors et U20, deux fois élu Meilleur Espoir de la Pro A, il est devenu international ivoirien chez les adultes à défaut d’avoir eu la possibilité de l’être en France. Il y a même eu le cas de Vasco Evtimov, international A en France... et en Bulgarie. Si on a bien compris, ce passe-droit a été obtenu grâce au pouvoir discrétionnaire du secrétaire-général de la FIBA (oui, ça c’est scandaleux car la Fédération Internationale bafoue à la carte ses propres règlements)(3).\\n\\nLe fait qu’elle n’a jamais joué en France, qu’elle ne soit pas passée par la filière fédérale ?... Ce serait une voie sacrée? C’est sérieux comme argument ? Il faudrait être français ET Joueur/Joueuse Formé(e) Localement pour être accepté(e) en équipe nationale ? Le moindre juriste vous démonterait l’iniquité d’un tel règlement en deux effets de manche. Et au passage, Joakim Noah n’aurait alors jamais dû revêtir le même maillot que son père.\\n\\nBria ne parle pas français ? Ou si peu. Ce n’est pas un motif d’interdiction. Ceci dit, Valérie Garnier a bien compris le danger. On n’a aucune statistique à disposition, mais on imagine que très peu d’internationaux/nales toutes disciplines confondues se sont retrouvé(e)s dans ce cas de figure, et la voir s’exprimer en anglais/américain à la télévision, surtout qu’elle va être l’object d’une curiosité légitime, ne sera pas du meilleur effet. Alors, la coach des Bleues et du Fener lui a trouvé un prof à Istanbul pour que sa joueuse prenne des cours. Ceci dit, ce n’est pas en un claquement de doigt que Bria va employer l’imparfait du subjonctif, avoir la richesse de vocabulaire de Jean D’Ormesson et la rapidité d’élocution d’Antoine De Caunes (par contre elle pourra être envoyée en première ligne au conférences d’après match en anglais de la FIBA !). Et la coach nationale a prévenu : le français restera la langue de l’équipe. Surtout au temps-mort. Dans les coulisses, pas de problème, toutes les joueuses savent s’exprimer en anglais.\\n\\nDonc, je résume: on est toujours français à 100%. Pas à moitié, ou que pour ceci et pas pour cela. C’est la loi.\\n\\nSportivement, Valérie Garnier est la maîtresse d’œuvre. C’est elle qui a choisi de pré-sélectionner Bria Hartley. En toute connaissance de cause puisqu’elle l’a sous la main au Fener. La faiblesse des Bleues à la Coupe du monde a éclaté au grand jour. Personne n’a pu enfiler les baskets de Céline Dumerc. Trop grandes. Olivia Epoupa est très douée mais atypique. Pas une vraie meneuse. Romane Bernies n’est pas de la même trempe. Alix Duchet est encore très jeune. Bria Hartley peut à la fois bonifier ce poste de meneuse et doubler Marine Johannès comme shooting guard. Alors pourquoi se priver de cette joueuse française tombée du ciel ?\\n\\nFinalement, nous n’avons qu’une interrogation : qui est Bria Hartley, la femme ? Est-elle humble ou hautaine ? Ouverte aux autres ou enfermée dans ses certitudes ? (loin de moi de penser que tous les Américains ressemblent à leur président actuel!). Compatible au groupe France ? Ou pas ?\\n\\n« J’espère que les gens m’accepteront... Je veux en savoir davantage sur la France, apprendre la culture, la langue pour apprécier le plus possible mes séjours en France », a-t-elle déclaré à Buzzer ajoutant qu’elle avait demandé conseil cet été avec Endy Miyem lorsque celle-ci jouait pour le Minnesota Lynx.\\n\\nC’est en fait de son adaptabilité à la France, ses mœurs et à des joueuses inconnues -qui elles à l’inverse se connaissent pour certaines depuis l’adolescence-, de sa personnalité, que dépend son intégration. La Newyorkaise va numériquement prendre la place de Romane Bernies ou d’Alix Duchet et ça fait grincer quelques dents en interne, surtout quand on sait que celles-ci sont Montpelliéraines comme trois autres internationales. Sans parler du fait que le public de Charleville aurait préféré que ce soit l’icône locale Amel Bouderra qui soit retenue.\\n\\nOn reste persuadé que si tout le monde y met du sien, la greffe va prendre parfaitement. En ce qui nous concerne, on lui dit du fond du cœur, « Bria, bienvenue chez toi ! »(4).\\n\\n(1) Un enfant (qu’il soit né en France ou à l’étranger) est français de naissance, c’est-à-dire par filiation, si au moins l’un de ses parents est français. Dans le cas de Bria, elle a pu prouver sa nationalité française car sa mère Simone, née elle-même aux Etats-Unis, est française via sa propre mère, Christiane Beyer, née à Paris le 12 mars 1939, et qui a quitté la France pour vivre aux Etats-Unis avec son mari, un soldat américain.\\n\\n(2) Son palmarès: New York Miss Basketball (2010). Ce trophée honore la meilleure joueuse de lycée de l’Etat de New York. Sue Bird, Tina Charles et Breanna Stewart sont également au palmarès. Big East Rookie of the Year (2011). 2 fois championne NCAA avec Connecticut (2013 et 2014), WNBA All-Rookie Team avec les Washington Mystics (2014). Médaille d’or aux Jeux Mondiaux Universitaires (2013), au championnat du monde de 3×3 (2012), au championnat du monde U19 (2011) et au championnat des Amériques U18 (2010). Au championnat du monde U19, elle fut la deuxième marqueuse des Etats-Unis (11,1 points) juste derrière Breanna Stewart (11,2).\\n\\n(3) Les joueurs/joueuses né(e)s à l’étranger, et ayant un lien de sang avec le pays qu’ils veulent représenter, doivent prouver leur nationalité légale par le biais d’un passeport obtenu avant l’âge de 16 ans. Les joueurs/joueuses qui ont obtenu leur passeport par la suite -c’est le cas de Bria Hartley- peuvent toujours jouer, mais ils/elles seront considéré(e)s comme des joueurs/joueuses « naturalisé(e)s » par la FIBA. La FIBA permet à un seul(e) joueur/joueuse naturalisé(e) de figurer dans l’effectif d’une équipe nationale par match.\\n\\n(4) De la famille française de Bria sera présente au match face à la Slovénie à Charleville. « Ils seront si heureux de la voir surtout les enfants », nous dit sa mère, Simone.\\n\\n[armelse]\\n\\nL’évènement, c’est la présence parmi les quinze pré-sélectionnées d’un visage inconnu. La joueuse n’a aucune sélection en équipe de France, y compris en jeune, et n’a jamais joué sur le territoire français. Bria Nicole Hartley, 1,73m, 26 ans, par ailleurs maman d’un petit garçon, est l’été la meneuse de jeu titulaire du New York Liberty en WNBA et elle joue le reste de l’année en Turquie. Après Mersin, elle porte le maillot du Fenerbahçe Istanbul.\\n\\nUn début de polémique est née à l’annonce de son souhait d’intégrer l’équipe de France, certains la suspectant de vouloir être « naturalisée » sachant que l’Europe du basket principalement sur son flanc Est a été le cadre d’une invasion de joueurs/joueuses américain(e)s qui ont rejoint diverses sélections nationales en bénéficiant de passeports de complaisance. La FFBB n’était-elle pas complice d’une quelconque magouille, elle qui s’insurge habituellement d’une telle pratique? Cela pouvait remettre à jour une période peu glorieuse du basket français -il y a 30-40 ans- lorsque plusieurs joueurs américains ont obtenu le passeport bleu via des naturalisations et des mariages blancs. Une procédure frauduleuse devenue quasi impossible tant la loi et les contrôles se sont durcis depuis.\\n\\nRépétons-le : Bria Hartley n’est pas une naturalisée. Bien que née dans l’Etat de New-York à North Babylon et possédant par ailleurs la nationalité américaine, elle est française par filiation, par son sang, comme la grande majorité de ses compatriotes. De par sa grand-mère maternelle (1).\\n\\nBria a évoqué la possibilité de candidater pour les Bleues à l’époque de l’université quand elle était une surdouée. Son agent a débuté des démarches mais la procédure en reconnaissance de filiation est parfois parsemée d’embuches administratives lorsque vous êtes né à l’étranger. La coach des Bleues Valérie Garnier a été alertée de son souhait il y a un an, la fédération a pris le dossier en main, le ministère a donné un coup de pouce, et pourtant Bria n’a obtenu gain de cause qu’après la Coupe du monde alors que l’objectif était qu’elle rejoigne le groupe à l’issue de la saison régulière de WNBA.\\n\\nSa motivation est de rendre la branche maternelle de se famille fière de la voir en bleu. Dans une interview au magazine Buzzer sur RMC Sport 2, elle a dit vouloir aider l’équipe de France à gagner.\\n\\n« J’ai toujours regardé la France jouer.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: New York Liberty et Uconn. Bria est la n°14."
}, 
{"role": "user",     "content":"All Star Game LNB: Le vote du public est ouvert"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le traditionnel All-Star Game de la LNB se tiendra à l’AccorHôtels Arena le samedi 29 décembre et le public est invité à exprimer son choix.\\n\\n2 joueurs sont désignés par le public :\\n\\n– Du 12 au 28 novembre, le public a la possibilité de voter sur allstargame.fr pour son « All Star Français » et son « All Star Etranger » préféré (choisis parmi tous les joueurs de Jeep® ÉLITE, sous réserve d’un temps de jeu moyen minimum de 15 minutes depuis le début de la saison 2018-2019).\\n\\n– Le « All Star Français » et le « All Star Etranger » ayant reçu le plus grand nombre de votes du public seront sélectionnés pour le All Star Game.\\n\\nVous pouvez VOTER ICI.\\n\\n10 joueurs sont désignés par les rédactions de RMC SPORT et RMC :\\n\\n– La rédaction basket de RMC SPORT désigne « le Cinq All Stars Français » et « le Cinq All Stars Etrangers » après chacune des 11 premières journées du Championnat de France Jeep® ÉLITE.\\n\\n– Les 5 « All Stars Français » et les 5 « All Stars Etrangers » ayant reçu le plus grand nombre de désignations (3 extérieurs / 2 Intérieurs) seront sélectionnés pour le All Star Game.\\n\\nDans le cas où les 2 All Stars désignés par le public font aussi partie des 10 joueurs désignés par « les Cinq de des rédactions SFR SPORT et RMC, leurs 2 suivants poste pour poste au classement des désignations seront sélectionnés.\\n\\n12 joueurs sont désignés par un jury d’experts :\\n\\nLe 29 novembre, après les 11 journées, un jury d’experts (composé de représentants de la presse spécialisée et des instances du basket français) se réunit pour :\\n\\n * statuer sur les éventuels ex aequo dans le classement des désignations des « Cinq des rédactions basket de RMC Sport ».\\n * compléter les sélections en désignant les 6 autres « All Stars Français » et les 6 autres « All Stars Etrangers ».\\n * désigner les deux « Cinq de Départ » qui débuteront la rencontre.\\n * désigner les participants aux concours de meneurs de jeu et de tirs à 3 points\\n\\nLes sélections du Concours de Dunks seront annoncées ultérieurement."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le derby Chalon-Dijon en immersion"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Revivre le derby bourguignon, Chalon-Dijon, en immersion avec ce reportage réalisé par l’Elan TV."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Nando De Colo prend feu face au Loko !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le contingent français ne faiblit pas sur le Vieux Continent. Fort de vingt-cinq joueurs (avec deux représentants – Mam Jaiteh et Landing Sané – de plus cette semaine) répartis sur dix pays, les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment neuf joueurs dans le championnat espagnol, la référence.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nAndrew Albicy remet ça face à Vitoria !\\n\\nComme la semaine passée face au Real Madrid, Andrew Albicy (19 points, 6 passes) a encore lâché une prestation de très haut niveau face à un club Euroleague, Vitoria. Andorre a balayé les Basques avec 20 points d’écart au final (93-73) et le meneur français a fait la chanson aux stars de Vitoria. En face, Vincent Poirier (6 points, 7 rebonds) n’a pu que constater les dégâts causés par la vague jaune et rouge des Andorrans.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=vrzQA-7DgPw\\n\\nThomas Heurtel (15 points, 6 passes) et Kevin Séraphin (9 points, 6 rebonds) ont quant à eux bien participé à la victoire facile de Barcelone contre Murcie (105-73). Avec 7 victoires et 1 défaite, le Barça est à égalité avec le Real Madrid en haut du classement de la Liga.\\n\\n\\nNando De Colo monstrueux\\n\\nAvec 30 points, 8 rebonds et 39 d’évaluation, Nando De Colo a fait très fort face au Lokomotiv Kuban. L’arrière tricolore a tout simplement établi son record de saison en VTB League et il a même égalé son record en carrière à l’évaluation ! A 11/15 aux tirs, De Colo n’a pas gâché ! Pas de Moustapha Fall pour Krasnodar par contre...\\n\\n\\nLauvergne et Moerman à 17 d’éval’\\n\\nÇa va de mieux en mieux pour Joffrey Lauvergne au Fenerbahçe ! Arrivé sur la pointe des pieds chez le dernier finaliste Euroleague, Lauvergne s’impose petit à petit dans son rôle. Après sa belle prestation dans la semaine en Euroleague, l’intérieur français a confirmé avec 16 points, 4 rebonds, 2 contres et 2 interceptions. Ça lui vaut une belle évaluation de 17, comme Adrien Moerman (16 points, 8 rebonds), seul représentant français pour l’Efes Istanbul également victorieux ce weekend.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=ZR56p38Tpzw\\n\\n\\nAmath M’Baye se rebiffe\\n\\nPas forcément très en vue depuis le début de saison, et son arrivée à Bologne en provenance de Milan, Amath M’Baye a enfin réalisé un match intéressant. Face à Cantu, il a signé une prestation complète à 14 points, 7 rebonds et 3 contres, plus la victoire au bout (90-81). A 9 points et 4 rebonds de moyenne, dont 35% de réussite à deux points, M’Baye est un élément important mais il peut encore faire mieux avec la Virtus !\\n\\n\\nEspagne\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 19 points (6/9 aux tirs), 6 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 27 minutes (victoire 93-73 face à Vitoria)\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 15 points (5/6 aux tirs), 6 passes, 3 interceptions, 2 rebonds, 2 balles perdues en 22 minutes (victoire 105-73 face à Murcie)\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 9 points (2/4 aux tirs), 6 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 12 minutes (victoire 105-73 face à Murcie)\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 6 points (2/5 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe, 1 contre, 2 balles perdues en 18 minutes (défaite 93-73 face à Andorre)\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 4 points (2/3 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 contre, 1 balle perdue en 13 minutes (victoire 89-76 face à Manresa)\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 3 points (1/4 aux tirs), 2 passes, 1 rebond, 1 balle perdue en 16 minutes (victoire 78-72 face à Lugo)\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 3 points (1/2 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 1 contre, 1 balle perdue en 15 minutes (défaite 91-77 face à Tenerife)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : n’a pas joué (victoire 95-80 face à Fuenlabrada)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 4 points (1/1 au tir), 2 rebonds en 14 minutes (victoire 102-63 face à Lavrio)\\n\\nBoris Dallo (Salonique) : 3 points (0/4 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 1 interception, 3 balles perdues en 18 minutes (victoire 72-61 face à Rhodes)\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : 5 points (2/3 aux tirs), 1 passe, 1 contre, 1 balle perdue en 17 minutes (victoire 105-85 face à Nes Ziona)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Bologne) : 14 points (5/9 aux tirs), 7 rebonds, 3 contres, 1 interception, 2 balles perdues en 30 minutes (victoire 90-81 face à Cantu)\\n\\nMam Jaiteh (Turin) : 2 points (1/3 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 1 contre, 1 balle perdue en 11 minutes (défaite 66-72 face à Brindisi)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 3 points (1/6 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 1 balle perdue en 18 minutes (victoire 94-65 face à Alytus)\\n\\n\\nMonténégro\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 8 points (2/5 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 balle perdue en 21 minutes (victoire 99-95 face à Mornar Bar)\\n\\nLanding Sane (Mornar Bar) : 2 points (1/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe en 12 minutes (défaite 99-95 face à Podgorica)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : 5 points (2/7 aux tirs), 9 rebonds, 3 interceptions, 1 passe, 1 contre, 3 balles perdues en 28 minutes (défaite 68-63 face à Varsovie)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 30 points (11/15 aux tirs), 8 rebonds, 5 passes, 2 interceptions, 2 balles perdues en 29 minutes (victoire 93-76 face à Krasnodar)\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : n’a pas joué (défaite 93-76 face au CSKA)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAdam Mokoka (Mega) : 10 points (3/7 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 25 minutes (victoire 84-80 face à Zadar)\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 7 points (3/4 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 1 contre, 1 balle perdue en 29 minutes (victoire 86-67 face à Zagreb)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : 16 points (5/10 aux tirs), 8 rebonds, 2 interceptions en 24 minutes (victoire 87-59 face à Ankara)\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 16 points (7/11 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 2 interceptions, 1 contre en 23 minutes (victoire 84-77 face à Bahcesehir)\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : n’a pas joué (victoire 87-59 face à Ankara)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Andrew Albicy fait chuter le Real !\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nAndrew Albicy remet ça face à Vitoria !\\n\\nComme la semaine passée face au Real Madrid, Andrew Albicy (19 points, 6 passes) a encore lâché une prestation de très haut niveau face à un club Euroleague, Vitoria. Andorre a balayé les Basques avec 20 points d’écart au final (93-73)\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’appel aux dons de l’ancien Palois Paul Henderson pour sa famille californienne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"\\n\\nPaul Henderson, 62 ans, est depuis près de quarante ans en France. Il fut une figure majeur d’Orthez -meilleur marqueur du championnat de France en 1980-81 avec 27,2 points en moyenne- puis longtemps assistant-coach à Pau. Mariée à une Française, naturalisée, Paul Henderson est à la base Californien et il a d’ailleurs joué pour USC. On n’est donc pas surpris qu’il ait quantité de parents aux Etats-Unis mais désolé d’apprendre que certains sont victimes des terribles incendies qui ravagent actuellement cet Etat de la Côte Ouest.\\n\\nDepuis dimanche, Paul Henderson et sa famille ont lancé une cagnotte sur la plateforme Gofundme afin de récolter des fonds pour leur venir en aide et avec ce texte en français et en anglais.\\n\\n«Les membres de notre famille qui vivaient à Paradise, Californie ont vu leur ville détruite par le feu. Nos cousins, Kevin, Crystal et leurs enfants, Sheila, Jeremy et leurs enfants, Dereck, Angeleen, Dove, Krissy, Camillia et tant d’autres ont perdu leurs maisons, ils n’ont plus rien. Nous essayons de récolter de l’argent pour des vêtements, des produits de première nécessité etc. Ils ont dû s’enfuir tellement vite qu’ils n’ont rien pu sauver. S’il vous plaît aidez-nous en faisant un don si c’est possible ou en partageant la cagnotte»."
}, 
{"role": "user",     "content":"L’équipe de France féminine en stage à Charleville, Alix Duchet forfait"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alix Duchet (1,63m, 20 ans) est forfait pour les deux matches de qualification à l’Euro 2019. La raison: un état général déficient constaté par le médecin du club de Lattes-Montpellier et avalisé par le médecin fédéral, la Direction Technique Nationale et le staff de l’Équipe de France féminine.\\n\\nAlix Duchet ne sera pas remplacée au sein du Groupe France, désormais composé de 14 joueuses, et actuellement en stage de préparation à Charleville-Mézières. La ligne arrière s’est enrichie de la meneuse du Fenerbahçe, Bria Hartley.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nN°\\nPrénom\\nNom\\nNaissance\\nTaille\\nPoste\\nSélec.\\nPoints\\nClub\\n\\n\\n11\\nValériane\\nAYAYI\\n29/04/1994\\n1.85\\n3\\n84\\n449\\nPrague\\n\\n\\n21\\nMarième\\nBADIANE\\n24/11/1994\\n1.90\\n4-5\\n17\\n22\\nASVEL\\n\\n\\n47\\nRomane\\nBERNIES\\n27/06/1993\\n1.70\\n1\\n21\\n56\\nMontpellier\\n\\n\\n12\\nAlexia\\nCHARTEREAU\\n05/09/1998\\n1.91\\n4\\n31\\n212\\nBourges\\n\\n\\n8\\nHelena\\nCIAK\\n15/12/1989\\n1.97\\n5\\n87\\n495\\nMontpellier\\n\\n\\n0\\nOlivia\\nEPOUPA\\n30/04/1994\\n1.65\\n1\\n70\\n344\\nBesiktas\\n\\n\\n14\\nAby\\nGAYE\\n04/02/1995\\n1.95\\n5\\n13\\n58\\nTarbes\\n\\n\\n7\\nSandrine\\nGRUDA\\n25/06/1987\\n1.97\\n4-5\\n181\\n2350\\nSchio\\n\\n\\n32\\nBria\\nHARTLEY\\n30/09/1992\\n1.76\\n2\\n–\\n–\\nFenerbahçe\\n\\n\\n17\\nMarine\\nJOHANNES\\n21/01/1995\\n1.77\\n2\\n57\\n477\\nBourges\\n\\n\\n10\\nSarah\\nMICHEL\\n10/01/1989\\n1.80\\n2\\n75\\n335\\nBourges\\n\\n\\n13\\nMarie-M.\\nMILAPIE\\n06/02/1996\\n1.92\\n4\\n–\\n–\\nB. Landes\\n\\n\\n5\\nEndy\\nMIYEM\\n15/05/1988\\n1.88\\n4\\n192\\n1691\\nMontpellier\\n\\n\\n93\\nDiandra\\nTCHATCHOUANG\\n14/06/1991\\n1.86\\n3\\n81\\n480\\nMontpellier\\n\\n\\n\\n\\nProgramme de l’Équipe de France féminine lors des qualifications à l’Euro 2019\\nGroupe E\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDates\\nMatch\\nLieu (Ville – Salle)\\n\\n\\nSamedi 11 novembre 2017 à 18h30\\nFinlande – France (44-103)\\nHelsinki (Töölön Kisahalli)\\n\\n\\nMercredi 15 novembre 2017 à 20h30\\nFrance – Roumanie (87-45)\\nVilleneuve-d’Ascq (Palacium)\\n\\n\\nSamedi 10 février 2018 à 17h00\\nSlovénie – France (68-62)\\nCelje (Gimnazija Celje – Center)\\n\\n\\nMercredi 14 février 2018 à 20h30\\nFrance – Finlande (90-40)\\nBrest (Brest Arena)\\n\\n\\nSamedi 17 novembre 2018 à 18h00\\nRoumanie – France\\nCluj (Horia Demian Sports Hall)\\n\\n\\nMercredi 21 novembre 2018 à 20h45\\nFrance – Slovénie\\nCharleville-Mézières (Caisse d’Epargne Arena)\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: Alix Duchet, FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tony Parker: «Je pense que Théo Maledon est meilleur que Frank Ntilikina au même âge»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tony Parker et Nicolas Batum sont associés sur le terrain des Charlotte Hornets mais aussi à l’ASVEL comme dirigeants et forcément cela intrigue NBA.com qui leur consacre un article intitulé « Les Partenaires in Basketball, Business ». Le site de la ligue américaine leur a notamment demandé leur avis sur le vice-champion du monde U17, le meneur Théo Maledon (1,91m).\\n\\n«Je pense que Maledon figurera [un jour] parmi les 15 premiers de la draft de la NBA. Je pense qu’il est meilleur que Frank Ntilikina (l’arrière des Knicks de New York) au même âge », a déclaré Parker, faisant référence au huitième choix de l’été 2017. «Théo est vraiment très bon. Il a déjà commencé sa carrière avec nous et a très bien joué dans la ligue française et en EuroCup. »\\n\\nNicolas Batum complète l’analyse :\\n\\n«Lorsque vous rencontrez un gars comme [Théo], qui est jeune et qui a beaucoup de potentiel, nous voulons le faire entrer sur le terrain tout de suite. Il peut faire toutes les erreurs et en tirer les leçons dès maintenant. Il commence presque chaque match. Il a fait du bon travail jusqu’à présent. Nous voulons le mettre dans la meilleure position pour avoir la meilleure carrière possible. ”\\n\\nThéo Maledon, 17 ans, affiche 6,7 points, 2,4 rebonds et 1,6 passe après 9 matches de Jeep Elite. En 2015-16, Frank Ntilikina, qui est son aîné de trois ans exactement, avait conclu sa saison avec 1,6 point, 0,7 rebond et 0,7 passe.\\n\\nPhoto: BasketUSA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : les 29 points de Derek Needham (Monaco) face à Galatasaray"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans la très courte victoire de Monaco face à Galatasaray, Derek Needham (1,80m, 28 ans) était incandescent !\\n\\nSans Gerald Robinson, Amara Sy et Paul Lacombe, la Roca Team allait avoir besoin d’autres options au scoring et c’est l’international Monténégrin qui s’est chargé de la marque. En plus de 37 minutes de jeu, l’ancien meneur du Mornar Bar a enregistré 29 points, 3 rebonds et 5 passes décisives pour une évaluation de 28. Il s’est notamment fait remarquer par une adresse insolente derrière l’arc (7/12) avec des tirs venus d’ailleurs. Il a été bien aidé par Yakuba Ouattara (24 points).\\n\\nCette saison, Derek Needham compile en moyenne 8,3 points, 2 rebonds et 4,2 passes décisives entre l’Eurocup et la Jeep Elite.\\n\\n\\n\\n\\nDerek Needham (29 points) was lights out from behind the arc in @ASMonaco_Basket victory over @GSBasketbol last night! pic.twitter.com/Hese39qt9F\\n\\n\\n— 7DAYS EuroCup (@EuroCup) October 25, 2018\\n\\nPhoto : AS Monaco"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo Eurocup: L’exploit de Monaco à Galatasaray, 86-85"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dos-à-dos tout le long de la rencontre, la Roca Team a fait céder le club turc en fin de match.\\n\\nDéjà privé de Robinson (blessure au dos) et d’Amary Sy (poignet), Sasa Filipovski devait également faire sans Paul Lacombe, récemment touché aux adducteurs. Mais les pépins physiques n’ont pas trop handicapé l’ASM. La ligne arrière Derek Nedham – Yakuba Ouattara (53 points à eux deux) a mis au supplice la défense stambouliote qui a n’a pas su complètement rattraper son retard dans le dernier quart.\\n\\nGrâce à cette victoire à l’extérieur, Monaco est provisoirement 1er de son groupe d’EuroCup.\\n\\nPhoto: Lazeric Jones (Eurocupbasketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eurocup féminine: Lattes-Montpellier confirme sa supériorité sur Lyon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Drôle d’entrée en matière européenne pour Lattes-Montpellier et Lyon puisque les deux équipes se sont retrouvées nez à nez hier soir dans l’Hérault. Le BLMA a confirmé sa supériorité. Déjà vainqueur samedi, 80-63, en Ligue Féminine, il a infligé pour cette deuxième rencontre de suite aux filles de Valéry Demory un score quasi équivalent, 79-63.\\n\\nC’est l’Américano-australienne Samantha Whitcomb qui a été la plus prolixe avec 21 points alors que Héléna Ciak a réalisé un double double avec 12 points et 11 rebonds. Côté lyonnais, à noter que Alysha Clark a été bien tenue (6 points) et si Paoline Salagnac s’est révélée la top scoreuse (16 points) c’est avec beaucoup de shoots à côté de la cible (6/15).\\n\\nD’après Le Midi Libre, la qualité du jeu n’a pas été du niveau de samedi. Le coach héraultais Rachid Méziane a fait remarquer que c’était plus rude.\\n\\n« Il y avait aussi la question du goal-average à ne pas négliger. Vu nos ambitions, l’un des défis est de tenter de rester invaincu à domicile. »\\n\\nPhoto: Samantha Whitcomb (Lattes-Montpellier, FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague féminine: Bourges et Charleville OK, Villeneuve d’Ascq KO"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bourges et Charleville sont excellemment entrés dans la compétition alors que Villeneuve d’Ascq a subi la loi du plus fort au Palacium, c’est à dire Ekaterinbourg.\\n\\nLes Berruyères ont été étincelantes à Polkowice où elles ont copieusement dominé l’équipe locale. Elles menaient déjà 43 à 22 à la mi-temps sur un panier du milieu du terrain de leur capitaine Elodie Godin. C’est Marine Johannès qui s’est révélée la top scoreuse (19 points, 4/9 à trois-points) lors de cette victoire, 73-56.\\n\\nPendant ce temps, Charleville n’a pas manqué ses débuts en Euroleague face aux Hongroises de Sopron (80-74) autour du quatuor formé de Hailey Peters (19 points), Queralt Casas (18), Zofia Hruscakova (18) et Kaleena Lewis (15).\\n\\nEn revanche, Villeneuve d’Ascq a été terrassé par la puissance de feu de Ekaterinbourg (51-99). Les Nordistes ont été dominées 23-47 au rebond. Le pivot US Brittney Griner a obtenu un double double (11 points, 10 rebonds) alors que Magali Mendy a été une fois de plus la Guerrière la plus efficace (10 points, 5 rebonds, 2 passes).\\n\\nPhoto: Queralt Casas (Charleville, FIBA)\\n\\n\\n\\n\\n.@GodinElodie59 from the logo 🔥🔥🔥🔥! #EuroLeagueWomen @BourgesBasket\\n\\n\\n📲 https://t.co/gOiiayRywa\\n📺 https://t.co/TT0ctpn8xy\\n📝 https://t.co/AZ1aNBPXWi pic.twitter.com/uvs3k4CvJa\\n\\n\\n— EuroLeague Women (@EuroLeagueWomen) October 24, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupes d’Europe: 6/7, les clubs français frôlent le sans-faute"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec les 29 points et 5 passes de son arrière Derek Needham et les 24 points de Yakuba Ouattara, l’AS Monaco s’est imposé au Galatasaray pendant que la SIG Strasbourg faisait de même à Istanbul face au Besiktas avec un Youssoupha Fall décisif pour son retour: 17 points et 10 rebonds.\\n\\nCes deux dernières victoires ont porté à six le total des clubs français en coupes d’Europe cette semaine. Seule la JDA Dijon sur le fil face à Fuenlabrada (85-87), malgré les efforts de deux Français qui sortent du terrain avec la meilleure évaluation (22): Axel Julien (18 points, 5 passes et 4 rebonds) et Alexandre Chassang (16 points et 7 rebonds).\\n\\nUne performance globale rare et qui a été accomplie face à des adversaires qui n’étaient pas en carton pâte et quatre fois à l’extérieur.\\n\\nEurocup:\\n\\nLimoges CSP* b. Tofas Bursa: 89-81\\n\\nASVEL Villeurbanne b. Partizan Belgrade*: 99-78\\n\\nAS Monaco b. Galatasaray Istanbul*: 86-85\\n\\nChampions League:\\n\\nLe Mans SB* b. MHP Ludwigsbourg: 64-54\\n\\nNanterre 92 b. Telekom Bonn*: 81-57\\n\\nSIG Strasbourg b. Besiktas Istanbul*: 78-71\\n\\nMontakit Fuenlabrada b. JDA Dijon*: 85-87"
}, 
{"role": "user",     "content":"CourtCuts : le Top 10 de la semaine (20 octobre)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque saison depuis maintenant sept ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCette semaine, c’est Mahamadou Drame (EF Feurs, NM1) qui pointe à la première place du classement grâce à un très gros poster dunk en contre-attaque."
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie : Erick Green pigiste médical de Tyler Ennis au Fenerbahce"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tyler Ennis victime d’une méchante fracture du tibia, le Fenerbahce était à la recherche d’un joueur capable de pallier son absence. Le club turc a misé sur Erick Green (1,91m, 27 ans), c’est le joueur lui-même qui a annoncé son arrivée.\\n\\nPassé par Sienne, Denver, Utah ou encore l’Olympiakos, le Californien évoluait la saison dernière en Espagne, à Valence. Formé à Virginia Tech, le meneur/arrière américain a remporté en Europe une Supercoupe d’Espagne, dont il a été MVP, et la Supercoupe d’Italie. Il a également disputé le Final Four d’Euroleague avec l’Olympiakos en 2017.\\n\\nLa saison dernière, Tyler Ennis compilait en moyenne 13 points, 1,5 rebond et 1,3 passe décisive entre l’Euroleague et le championnat espagnol.\\n\\n\\n\\n\\nExcited to be heading to FENER 🙌🏽\\n\\n\\n— Erick Green (@ErickGreen) October 24, 2018\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nate Wolters (Zalgiris Kaunas): «En Lituanie, c’est plus calme qu’à l’Etoile Rouge de Belgrade»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après son séjour de quelques mois à Chalon où il a permis à l’Elan de sauver sa peau, le meneur américain Nate Wolters (1,96m, 27 ans) évolue cette saison au Zalgiris Kaunas alors qu’il a porté le maillot de l’Etoile Rouge de Belgrade lors de la saison 2016-17. L’occasion pour le site de l’Euroleague de lui demander de comparer les deux atmosphères:\\n\\n« Eh bien, ce sont deux endroits où ils adorent le basket-ball », répond-il. « Le soutien des supporters dans ces deux endroits est incroyable. L’atmosphère à Belgrade est plus ... tendue, je suppose que vous pouvez appeler ça comme ça! En Lituanie, c’est un peu plus comme aux Etats-Unis, ce à quoi je suis plus habitué, en ce qui concerne la façon dont les fans réagissent. Ils sont très costauds, mais à part ça, c’est plus calme qu’à l’Etoile Rouge. Au début du match, vous ne pouvez jamais vous entendre, c’est une acclamation constante, un peu comme pour un match de football, dirais-je. Ici, on peut dire que les fans sont vraiment passionnés et qu’ils ont toujours l’air très positifs. Cela nous motive à bien jouer! «\\n\\nNate Wolters aime t-il s’immerger dans différentes cultures et styles de vie?\\n\\n« Oui, c’est bien. Jouer en Europe vous donne la chance de voir beaucoup d’endroits que je n’aurais pas vus si je n’avais pas joué au basket. J’ai vraiment apprécié mon équipe à Istanbul, c’est une grande ville. Cela a été agréable de voir différentes parties du monde et, évidemment, en jouant en Euroleague vous aurez la chance de voir beaucoup des principales villes d’Europe, ce qui est amusant, même si c’est pour une courte période en plus de jouer au basket. «"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague féminine: Soirée des clubs français sur Youtube"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme nous l’a expliqué Pierre Fosset, le président de Bourges, les clubs d’Euroleague féminine ont l’obligation de produire les matches avec cinq caméras. Si cela a un coût de 40 000 euros, le fan est gagnant puisque en l’absence de contrat TV, les matches sont visibles gratuitement sur YouTube.\\n\\nLa première soirée des clubs français comporte Polkowice-Bourges, Charleville-Sopron et Villeneuve d’Ascq-Ekaterinbourg.\\n\\nPhoto: Tango Bourges"
}, 
{"role": "user",     "content":"John Cox (SLUC Nancy) : «Kobe devrait venir à un de nos matchs»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"De retour à Nancy depuis quelques semaines, John Cox (1,95m, 37 ans) est déjà passé par le SLUC entre 2008 et 2010. En plus d’être un joueur de talent et un homme très sympathique, l’international vénézuélien est connu pour être le cousin de l’ancienne superstar des Los Angeles Lakers en NBA, Kobe Bryant.\\n\\nDans une interview réalisée par nos soins (à retrouver ici en intégralité), l’ancien joueur du Havre nous a confié vouloir tenter de faire venir son cousin à Nancy lors de son prochain passage en France.\\n\\n« On va voir ! Il vient en France en décembre je crois pour le travail. Il vient tous les ans pour Nike, donc il devrait venir à un de nos matchs. On va essayer d’organiser ça, je vais essayer de faire mon possible pour qu’il vienne avant Noël. J’espère qu’il viendra, mais je pense que ça va se faire. »\\n\\nCette interview est également à retrouver dans notre Guide Pro B 2018/19 en compagnie de la présentation de toutes les équipes de Pro B avec des focus sur Joe Burton, le club de Gries mais aussi une interview de Killian Hayes, Alain Béral et un article sur l’économie de l’Euroleague.\\n\\nProfitez d’une promo pour commander les 3 guides de la saison (JeepElite, LFB et ProB) pour 15€ au lieu de 18 frais de port inclus.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo: Tony Parker et Nicolas Batum regardent l’ASVEL dans le bus"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Respectivement président et directeur des opérations basket de LDLC Asvel, Tony Parker et Nicolas Batum suivent leur équipe des Etats-Unis comme l’atteste cette photo prise dans le bus de l’équipe des Charlotte Hornets à Chicago. Les Villeurbannais les ont récompensés de leur assiduité avec une victoire sur le Partizan à Belgrade, 89-78."
}, 
{"role": "user",     "content":"Richard Hendrix (Le Mans) à propos de Mykal Riley (Chalon): «C’est un super joueur... Un super mec»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Richard Hendrix (2,03m, 31 ans) a succédé au Mans à Mykal Riley (1,98m, 33 ans) qui a rejoint Chalon. Mais les deux joueurs se connaissent pour avoir fréquenté ensemble l’université d’Alabama. Dans les colonnes du Maine Libre, Richard Hendrix revient sur leur complicité.\\n\\n« On vivait au même endroit, on est vite devenu bons amis. C’est un super joueur. On a évolué deux ans ensemble. C’est drôle car quand on nous regarde tous les deux, on comprend l’expression, « les opposés s’attirent » (rires). Nos personnalités sont totalement différentes. C’était un peu une relation grand-frère-petit frère sauf que même s’il a deux ans de plus, c’était moi qui était toujours à le surveiller, c’était moi le grand frère (sourire). C’est vraiment un super mec. »\\n\\nRichard Hendrix narre un épisode de la carrière de Mykal Riley devenu célèbre: en 2008, en plein tournoi SEC au Georgia Dome, une tornade a secoué la ville d’Atlanta alors que les spectateurs étaient encore dans l’enceinte... grâce à un panier du Chalonnais qui a permis une prolongation face à Mississippi State.\\n\\n« Cette rencontre était vraiment serrée. Mykal a pris le ballon et a shooté de très loin. Sur les photos on me voit en train d’exulter car ça nous permettait de croire encore en nos chances de gagner le titre de conférence. Mais ce qu’on n’a pas réalisé tout de suite, c’est que toutes les bannières, les panneaux en haut de la salle commençaient à se balancer. On a pensé que comme Kentucky jouaient après nous et qu’ils avaient des centaines de fans, que c’était eux qui faisaient ce vacarme. Mais quand le bâtiment a commencé à trembler et que les gens tombaient dans les tribunes, on a pris conscience que c’était une tornade qui venait de frapper la salle. Si Mykal n’avait pas mis ce tir, ça aurait pu être vraiment dramatique car les gens seraient sortis. »\\n\\nMississippi State a gagné le match.\\n\\nPhoto: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Victor Samnick (Paris Basketball) : «J’ai signé à Paris parce qu’on m’avait parlé du projet il y a deux ans»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A 38 ans et alors qu’il avait été aperçu pour la dernière fois chez les pros en 2016 sous les couleurs de Vichy-Clermont, Victor Samnick (2,03m) a fait son retour dans le monde professionnel pour porter le maillot de l’intrigant Paris Basketball.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLa première fois que vous avez concrètement entendu parler de ce projet Paris Basket mené par David Kahn, c’était quand ?\\n\\nC’était il y a deux ans. C’est d’ailleurs pour ça que j’ai signé au club à l’été 2017, parce qu’on m’avait parlé de ce projet. J’ai signé pour participer sur le terrain et pour faire mes formations pour devenir coach dans la continuité.\\n\\nComment s’est déroulée votre première rencontre avec David Kahn ?\\n\\nC’était très intéressant. C’est finalement comme quand tu rencontres une nouvelle personne. Tu apprends à la découvrir, tu essayes de comprendre le projet de sa propre voix pour savoir ce qu’il en pense et comment il voit les choses. C’était intéressant et on voit bien les choses évoluer depuis le début.\\n\\nVous avez été de l’aventure Paris Basket Racing, quels souvenirs gardez-vous ?\\n\\nC’est très différent parce qu’évidemment les choses étaient déjà mises en place et l’équipe était déjà en Pro A. C’était des approches différentes. A l’époque Gordon Herbert (ndlr, entraîneur du PBR) ne voulait pas que les joueurs soient trop impliqués dans l’administratif. Il concentrait juste les joueurs sur le fait de gagner les matchs pour rester crédible au niveau sportif avant tout. Dans ma situation, c’est encore plus différent parce que je suis en phase de reconversion. Maintenant, je suis un peu plus impliqué du fait de la formation que je passe à la FFBB qui est supposée aider dans le projet sportif.\\n\\nVous avez arrêté votre carrière pro en 2016 à Vichy-Clermont. A-t-il fallut vous convaincre de repartir en Pro B ?\\n\\nÇa s’est fait plutôt naturellement en raison de plusieurs facteurs. D’abord je pouvais encore jouer, physiquement je me sens bien. Pour moi cette opportunité allait avec la reconversion, pouvoir un peu jouer et échanger mon expérience.\\n\\nQuels ont été les premiers mots que vous avez échangés avec le coach à son arrivée ?\\n\\nJe le connaissais déjà, mais il m’a dit qu’il s’attend à ce que j’amène mon expérience, que je sois un exemple pour les jeunes. Ce n’est pas exactement ce qu’il m’a dit mais je pense que le fait que je sois dans les lignes, que je participe à fond, ça va encourager les jeunes à faire pareil.\\n\\nQuel est votre sentiment sur le groupe construit cet été ?\\n\\nJe suis comme un nouveau joueur dans une nouvelle équipe. Je découvre les joueurs avec leurs qualités et après c’est le coach qui gère tout. Je n’ai pas à juger quoi que ce soit. Je trouve qu’on a beaucoup de talent, on a beaucoup de jeunes et quelques joueurs d’expérience. Il ne manque plus que l’alchimie prenne entre les joueurs et le style de jeu que le coach veut développer. On se découvre tous, le plus important est d’abord d’apprendre à se connaître.\\n\\nLa présaison vous a conforté dans l’idée que vous êtes sur le bon chemin ?\\n\\nOui, on apprend à se connaitre. Ça évolue, on a intégré beaucoup de choses par rapport à ce que le coach propose. On se comprend mieux, il y a encore beaucoup de boulot, mais on ne va pas garder les résultats de présaison et de Leaders Cup comme exemple. On va juste dire qu’on progresse, qu’on évolue. Je ne peux pas me projeter, mais on a encore du travail.\\n\\nL’objectif sera de se maintenir pour cette saison ?\\n\\nJe pense que c’est ce qui est dans la tête de tout le monde. On va essayer d’aller le plus haut possible. On va prendre les matchs les uns après les autres et on verra où ça nous mène. Le but est de gagner le plus de matchs possible.\\n\\nComment vous voyez votre avenir ? Encore une petite saison après celle-là si tout va bien ou direction le coaching ?\\n\\nC’est du 50/50. L’opportunité de coacher serait la priorité, mais pas en tant que head coach. D’abord en assistant, surtout si je veux aller vers le haut niveau. Mais s’il faut continuer de jouer un an même après avoir eu le diplôme, pourquoi pas. Je pense que je peux encore donner une année, mais il ne faut pas pousser (sourire).\\n\\nAu cours de votre immense carrière, vous avez fait six belles années à Nancy. Vous avez déjà coché la date de votre retour là-bas ?\\n\\nNon, j’essaye de ne pas me projeter comme ça, j’ai déjà beaucoup de choses à faire. Mais c’est sûr que c’est très spécial pour moi Nancy. J’en garde beaucoup de bons souvenirs entre la ville, le public, les titres... Mais je ne veux pas rester là-dessus. Je suis dans une autre phase et je dois me concentrer sur le projet actuel. Ça me fera très plaisir de rentrer à Nancy et de jouer à Gentilly.\\n\\nQu’est-ce qui vous a le plus marqué là-bas d’un point de vue basket ? D’avoir remporté les deux seuls titres de l’histoire du club, l’Euroleague avec Nicolas Batum, le public...\\n\\nIl y a tellement de choses... Je pense que le public est le numéro un. C’est un des publics qui m’a le plus porté. Les clubs de supporters étaient géniaux, les dirigeants aussi. J’y ai tellement de souvenir je ne peux pas sortir une seule chose. J’y ai eu de super coéquipiers, j’ai eu beaucoup d’expériences de vie à Nancy, dans les vestiaires. C’était vraiment un passage rempli de bons souvenirs et d’expériences qui m’ont à la fois permis d’évoluer en tant que personne et tant que joueur. Avec Nancy chaque titre a été spécial à sa manière, en Euroleague on avait une belle équipe. Ça a été vraiment très riche.\\n\\n[armelse]\\n\\nLa première fois que vous avez concrètement entendu parler de ce projet Paris Basket mené par David Kahn, c’était quand ?\\n\\nC’était il y a deux ans. C’est d’ailleurs pour ça que j’ai signé au club à l’été 2017, parce qu’on m’avait parlé de ce projet. J’ai signé pour participer sur le terrain et pour faire mes formations pour devenir coach dans la continuité.\\n\\nComment s’est déroulée votre première rencontre avec David Kahn ?\\n\\nC’était très intéressant. C’est finalement comme quand tu rencontres une nouvelle personne. Tu apprends à la découvrir, tu essayes de comprendre le projet de sa propre voix pour savoir ce qu’il en pense et comment il voit les choses. C’était intéressant et on voit bien les choses évoluer depuis le début.\\n\\nVous avez été de l’aventure Paris Basket Racing, quels souvenirs gardez-vous ?\\n\\nC’est très différent parce qu’évidemment les choses étaient déjà mises en place et l’équipe était déjà en Pro A. C’était des approches différentes. A l’époque Gordon Herbert (ndlr, entraîneur du PBR) ne voulait pas que les joueurs soient trop impliqués dans l’administratif. Il concentrait juste les joueurs sur le fait de gagner les matchs pour rester crédible au niveau sportif avant tout. Dans ma situation, c’est encore plus différent parce que je suis en phase de reconversion.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Paris Basketball"
}, 
{"role": "user",     "content":"Chine: Le superbe triple double de Taylor Rochestie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tout va très bien pour Taylor Rochestie (1,88m) ! Le meneur américain qui possède un passeport du Monténégro a réalisé une brillante carrière en Europe puisqu’après Le Mans, il a notamment porté les maillots de Vitoria, Sienne, du Maccabi, de Krasnodar et de l’Etoile Rouge de Belgrade. A 33 ans, il s’en est allé dans le faible mais lucratif championnat chinois et avec son club de Tianjin, il a cartonné face à Guangzhou.\\n\\nAttention à la ligne de stats: 30 points, 17 passes et 13 rebonds avec davantage de temps de jeu qu’en Europe, il est vrai, 45 minutes.\\n\\nCela n’a pas empêché son équipe de chuter, 103-114. Il est vrai qu’en face son compatriote Kyle Fog (1,93m) a planté 32 points, pris 10 rebonds et fait 8 passes.\\n\\nDe toute façon, la nouvelle la plus importante de la semaine pour Taylor Rochestie, c’est qu’il est devenu papa. Sa femme est une mancelle qu’il a rencontré quand il jouait au MSB.\\n\\n\\n\\n\\nJoy Li Rochestie. (October 15, 2018). 3.2kg. 50cm. My daughter is my angel and my wife is my hero! “Joy” has made us a family! Blessed to be a husband and a father. https://t.co/mVHnBOuvGx\\n\\n\\n— Taylor Rochestie (@Trochestie) October 22, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Le nouveau palais des sports de Caen fera de 4 200 à 4 400 places"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Plutôt que Ifs, Colombelles, Bretteville-sur-Odon ou Fleury-sur-Orne, le nouveau palais des sports sera construit sur le territoire de la ville de Caen à côté de l’ancien.\\n\\nCe palais des sports sera modulable afin d’accueillir différentes disciplines dont le basket avec l’équipe du Caen BC actuellement en Pro B, les gradins seront sur deux étages, et sa capacité s’établira entre 4 200 et 4 400 places (l’actuel fait un peu plus de 3 000). Son coût sera de 35 millions d’euros et il sera disponible en 2022.\\n\\n« On ne peut que se féliciter de cette nouvelle », déclare le président du CBC, Franck Danet à Ouest France. « Le Caen BC est attaché à son palais des sports. Le fait que la future enceinte soit construite à côté est une très bonne nouvelle. La jauge nous semble bonne, on ne voulait surtout pas qu’elle soit supérieure. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéos: Les victoires de Limoges et de Villeurbanne en Eurocup"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Coup double en Eurocup pour les clubs français avec les victoires de Limoges à Beaublanc face aux Turcs de Tofas Bursa (89-81) et de LDLC ASVEL à Belgrade sur le compte du Partizan (89-78).\\n\\nD’un côté, notons les performances de Isaiah Miles auteur de 23 points (6/6 à trois-points) et 7 rebonds et de Samardo Samuels qui a réalisé un double double (15 points et 11 rebonds).\\n\\nDe l’autre, c’est plus spécialement le Lituanien Mantas Kalnietis qui s’est mis en évidence avec 11 points et 10 passes.\\n\\nPhoto: Axel Bouteille (Limoges, Eurocupbasketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le basket français vu par les Américains"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le basket français vu par les Américains de Vice Sports avec Boris Diaw, l’INSEP, la salle de la Rue de Trévise, le Quai 54, Sekou Doumbouya, Marine Fauthoux, Frank Ntilikina, et quelques autres. C’est en anglais... avec des passages en français."
}, 
{"role": "user",     "content":"Belgique: Les filles de Braine battues après une série de 136 victoires"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Wavre-Sainte Catherine a mis un terme à la très longue invincibilité des Castors de Braine dans le championnat belge grâce à sa victoire 63-61. Leur infériorité au rebond (20-35) a coûté cher aux Castors.\\n\\nLes Brainoises étaient invaincues intra muros depuis le 17 novembre 2013 à Namur et avaient aligné depuis 136 victoires d’affilée en championnat. Leur seule défaite au cours de cette période fut une finale de Coupe de Belgique en 2016 toujours face à Namur.\\n\\nLes Castors joueront demain leur premier match d’Euroleague face à Schio au Spiroudôme de Charleroi alors que Wavre Ste-Catherine sera à Basket Landes pour le compte de l’Eurocup.\\n\\nPhoto: Castors"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague féminine: La FIBA classe Bourges 7e, Villeneuve d’Ascq 11e et Charleville 13e"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que la compétition va démarrer demain, la FIBA a réalisé son Power Ranking en classant et en commentant les 16 équipes qui sont sur la ligne de départ. Pas de surprise: UMMC Ekaterinbourg (Courtney Vandersloot, Emma Meesseman, Alba Torrens, Brittney Grinerest...) est classée numéro 1 devant le Dynamo Koursk qui s’est enrichi de la MVP de la WNBA et de la Coupe du monde, Breanna Stewart, et le club turc de Hatay.\\n\\nBourges, Villeneuve d’Ascq et Charleville-Mézières sont respectivement classés 7e -juste derrière le Fenerbahçe de Valérie Garnier et Bria Hartley-, 11e et 13e. A propos du club du Cher, la FIBA écrit:\\n\\n« Perdre Valeriane Ayayi était sans aucun doute un coup dur puisque l’ailière était sa meilleure joueuse la saison dernière. Cependant, elles ont déjà fait preuve d’adaptabilité en remportant récemment le Match des Champions à l’Open LFB. Katherine Plouffe a l’air forte, Marine Johannes voudra rallumer la flamme après une Coupe du monde médiocre – ou du moins du fait de ses standards extrêmement élevés. Pendant ce temps, la star montante Iliana Rupert fera ses débuts. »\\n\\nPour l’ESBVA, voici le commentaire:\\n\\n« Les qualifications ont été un rappel brutal des qualités d’ESBVA-LM à ne pas prendre à la légère. Elles ne comptent peut-être pas un nombre important d’étoiles, mais elles ont une continuité aux postes clés, notamment l’entraîneur en chef Fred Dusart, qui est un guerrier aguerri dans cette compétition. Ses équipes sont bien préparées et sont souvent difficiles à défendre. Cela a été démontré quand ils ont éliminé KSC Szekszard dans les qualifications. L’émergence de Magali Mendy est également prometteuse. »\\n\\nEt enfin pour les Flammes:\\n\\n« Le Carolo Basket, qui connaît très bien l’EuroCup se dirige vers l’inconnu et ne sera pas au courant de sa montée en grade tant qu’il n’aura pas sauté à l’eau. Elles seront dirigées par la brillante Amel Bouderra, qui orchestrera les séquences de jeu. Kaleena Lewis fera le travail sur les ailes, avec Zofia Hruscakova à la position d’ailière. C’est aussi un retour bienvenu dans cette compétition pour la star espagnole, Queralt Casas. »\\n\\nPhoto: Virginie Brémont (Villeneuve d’Ascq)\\n\\n."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : les tickets pour le Final Four en vente le 6 novembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Belgrade en 2018, c’est Vitoria qui accueillera le Final Four d’Euroleague dans l’enceinte de la Fernando Buesa Arena du 17 au 19 mai.\\n\\nCe mardi, l’Euroleague a annoncé que les places pour l’événement seront en vente à partir du 6 novembre et disponibles sur www.f4tickets.com. Sur plus de 15 000 places disponibles, 80% seront à la disposition des fans et les 20% restants seront réservés pour les médias, les sponsors et les dirigeants.\\n\\nIl existera 14 catégories de prix différentes pour le week-end allant de 185€ à 535€ pour chacun des quatre matchs.\\n\\nPhoto : ACB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Basket Europe Tour: Etape numéro cinq, Ljubljana!"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Bologne, j’ai eu la chance d’aller plus à l’est, en Slovénie. Terre des champions d’Europe de basketball. J’ai décidé de me rendre dans la capitale, Ljubljana. Ville verte et agréable, c’est la grotte du dragon. Symbole de la ville et du plus grand club de Slovénie. L’Olimpija Ljubljana. Gagnant d’une coupe Saporta, six titres de champion de Slovénie et d’une Ligue Adriatique. Dobar dan !\\n\\nAprès avoir pris deux trains (correspondances à Venise et Trento) et un bus. Je suis enfin arrivé dans la capitale slovène. Malgré la roue de ma valise qui me lâche entre la gare de bus et l’auberge de jeunesse, j’arrive à destination avec le sourire. Les diverses restaurants et ginguettes que j’ai croisés m’ont régalé les yeux. C’est donc tout naturellement qu’après avoir déposé mes affaires dans le dortoir, je dévale les escaliers pour aller déguster quelques spécialités locales. Mon choix se porte tout de suite sur un burek, sorte de feuilleté, cousin de notre sacro-sain pâté Lorrain, qui peut être fourré avec de la viande, de l’épinard ou encore du fromage. Pour rendre l’expérience la plus complète possible, je décide de le déguster en marchant pour profiter de Ljubljana la nuit.\\n\\nVille calme, colorée et attractive, la capitale slovène m’a séduit de nuit comme de jour. Le réseau de transport est efficace, les maisons slovènes de toutes les couleurs égaient la ville, la Ljubjanica, rivière nourricière permet de trouver facilement une balade pittoresque. Bref, je partais avec un excellent à priori et mon expérience dans cette ville si agréable, a enfoncé le clou.\\n\\nMalgré une incompréhension avec les horaires de bus le lendemain, j’ai réussi à atteindre l’Arena Stožice. Monumentale, se tenant fièrement dans le quartier du même nom, elle m’a tout de suite impressionné. A peine arrivé, je suis rejoint par le chargé des relations publiques du club, Tine, un ancien joueur. Souriant et bavard, c’est le guide parfait pour me faire découvrir le légendaire club de l’Olimpija Ljubljana.\\n\\n« Malheureusement l’entraînement vient de se terminer donc on ne pourra pas prendre des images de l’équipe en train de jouer. Mais ne t’en fais pas, on va pouvoir interviewer quelques joueurs et le coach. Ils partent demain pour un tournoi à l’étranger donc pour les images de jeu, cela va être compliqué », me confie Tine devant l’entrée de l’Arena. Puis un défilée de bus nous interrompt. Des équipes de volley-ball se croisent, nous rencontrons notamment les équipes des Etats-Unis et d’Iran en attendant la sortie des joueurs des vestiaires. Bojan Radulović et Jan Rebec, jeunes étoiles slovènes et Zoran Martić, l’entraîneur s’approchent. Très souriants et disponibles, Jan Rebec et Zoran Martić acceptent de répondre à mes questions. L’ambiance est bon enfant malgré le peu de temps dont ils disposent. Après avoir répondu à mes questions ils s’engouffrent dans un tunnel pour rejoindre le reste de l’équipe tandis que Tine et moi nous nous dirigeons vers les gigantesques vitrines de trophées. Championnats de Slovénie, de Yougoslavie, coupe Saporta et coupe Adriatique figurent fièrement dans l’antre du dragon.\\n\\nEmerveillé, je suis Tine vers le parquet de cette magnifique salle. Les volleyeurs que nous avons croisés plus tôt s’y entrainent. Même s’il est difficile de s’y projeter, je m’imagine tout de même rugir cette arène monumentale un soir de compétition européenne. Comme ce 4 novembre 2010 lorsque le club au Dragon réussit l’exploit de gagner par la plus petite des marges contre le grand Panathinaïkos Athènes dans cette arène pleine à craquer. La salle, en configuration volley-ball est tout de même magnifique, bien organisée et séduisante. C’est en montant dans les tribunes que l’on se rend réellement compte de la magnificence de l’endroit, des places les moins chères aux places privilèges, tout est bien pensé. La chargée de marketing du club nous a rejoint et me détaille les prestations impressionnantes disponibles lors d’une réservation d’un espace privatif notamment (voiturier, champagne, buffet...). L’expérience de l’Arena Stožice un soir de match est quelque chose qui me plairait beaucoup.\\n\\nRetour aux bureaux où mes interlocuteurs me présentent le magnifique maillot de la saison 2018-2019 de l’équipe au Dragon. Noir et vert, arborant un magnifique dragon en fond, je suis tout de suite séduit par ce maillot flambant neuf. Le logo de la Basketball Champions League étant sérigraphié sur le maillot, c’est donc tout naturellement que nous en venons à parler de la compétition. Connaissant bien deux clubs de la poule de l’Olimpija, à savoir la SIG Strasbourg et la Virtus Bologne, nous discutons des futures oppositions du club vert : « tu n’aurais pas les systèmes de Strasbourg ou de Bologne ? On peut te payer si tu veux ! », plaisante Tine.\\n\\nNous faisons un dernier tour des bureaux de l’arène ce qui nous donne l’occasion d’évoquer l’exploit de la Slovénie couronnée championne d’Europe au dernier championnat d’Europe mais également de ses difficultés à se qualifier pour la coupe du monde. Puis des exploits du club slovène notamment en championnat de Yougoslavie ou lors de ses épopées européennes. Tine est un guide parfait ! Adorable, bavard et précis, il me brosse un tableau passionnant du basket-ball des Balkans. Un basketball que j’ai toujours rêvé de vivre et dont le souhait se concrétise aujourd’hui. Nous discutons également des terrains de basket à Ljubljana, terrains qui furent fréquentés plus tôt par les jeunes Doncić, Dragić, Zdovc ou encore Nesterović. « Ecoute, le meilleur terrain pour toi sera celui du parc Tivoli. Ailleurs, cela peut être assez compliqué car certains joueurs jouent de l’argent sur les matchs ». Prenant en compte les conseils de mon ange gardien je décide donc de m’y rendre dès le lendemain. Puis vient le moment de se quitter. Emu d’avoir vécu un aussi beau moment, je remercie vivement Tine, en espérant le voir lorsque Ljubljana se déplacera à Strasbourg pour une soirée de coupe d’Europe bouillante.\\n\\nHeureux, les yeux encore remplis d’étoiles, je me dirige vers l’arrêt de bus. Un peu perdu devant des indications en slovène, je décide de demander des informations à une jeune femme. Celle-ci, aimable et pratiquant un anglais parfait m’indique le bus à prendre et l’arrêt où descendre. Venant d’un petit village près de Maribor (ville de naissance de Klemen Prepelić, ancien joueur des verts de Ljubljana, de Limoges et de Levallois), elle me décrit le paysage culturel slovène. « Ici on a de nombreux dialectes, c’est marrant pour un si petit pays en taille. Parfois, il est même difficile de se comprendre entre nous. Quand je suis arrivé à Ljubljana j’ai eu beaucoup de mal, mais aujourd’hui heureusement tout va bien. Cela a été long mais j’ai réussi à m’adapter ». Pédagogue et enthousiaste, elle m’indique que mon arrêt de bus approche. Je me lève donc de mon siège, la remercie vivement et quelques secondes plus tard je descends du bus. Pendant la demie heure de trajet que nous avons partagé, je n’ai même pas eu le temps de lui demander son nom, la faute à une discussion passionnante.\\n\\nUne fois rentré à l’auberge, je décharge mes affaires dans ma chambre pour aller déjeuner. Stratégiquement située, l’auberge est un point de départ parfait pour découvrir le centre de la ville de la capitale slovène. En me baladant dans les agréables rues de la vieille ville, je vois défiler sous mes yeux les bateaux voguant paisiblement sur la Ljubljanica avec les maisons roses, rouges, jaunes et blanches en fond. Puis je suis arrivé en face du mythique pont aux dragons. Car ici ce n’est pas un Graoully impressionnant qui accueille les visiteurs mais pas moins de quatre dragons verts. Car à l’image de Metz ou encore Krasnodar (tiens, une autre ville de basket), Ljubljana est une ville au dragon. Et cela se voit partout ; sur les guides touristiques, les bières, les échoppes et le maillot de l’Olimpija Ljubljana quel que soit le sport.\\n\\nGuidé vers quelques restaurants pittoresques par le fleuve tranquille qui sillonne la ville, je jette mon dévolu vers une Kranjske kolbase, une saucisse traditionnelle accompagnée d’une soupe. Tranquille je décide de continuer à flâner dans autour du marché jusqu’à atteindre, surpris, le funiculaire amenant au château de Ljubljana. Ancienne garnison de défense, prison, arsenal et hôpital militaire c’est un témoin de choix sur l’histoire de cette capitale décidément pas comme les autres. La vue y est magnifique et le temps semble s’y arrêter. Le temps de capturer quelques images de la splendeur de l’endroit et il commence à pleuvoir. Cette averse me rappelle que le temps est venu pour moi de redescendre dans la ville après être resté presque 5 heures sur place. Demain ma journée sera bien remplie, je dois donc être prêt.\\n\\nIl est 10 heures du matin, lorsque reposé et motivé, je sors de l’auberge pour me rendre au parc Tivoli. Je traverse la ville l’esprit léger à l’idée de trouver un endroit silencieux et luxuriant pour me balader. Après 20 minutes de marche je découvre ce parc magnifique. Né de l’esprit de Jean Blanchard, un ingénieur français le parc actuel s’étend sur près de 5 kilomètres carrés. Doté d’un étang, d’une rangée d’arbres et de terrains de sport, le parc accueille en son sein le manoir de Tivoli. C’est le poumon vert de la ville et un lieux très apprécié par les Slovènes.\\n\\nJ’ai passé la matinée à découvrir la magnificence de ce parc : pelouses, sentiers géométriques, carrés de fleurs et allées d’arbres ont un certain effet sur moi. Et c’est donc heureux et concentré que je découvre le magnifique terrain de basket du parc. Il est malheureusement vide à cette heure-ci mais son positionnement et l’entretien méticuleux dont il a fait l’objet en font un théâtre d’exploit passés, futurs et présents que je ressens naturellement lorsque je foule des pieds l’asphalte.\\n\\nAprès avoir suffisamment exploré cet endroit magnifique, je décide d’aller déjeuner tout en me promettant de revenir l’après-midi même pour tâter du ballon. Motivé à l’idée de rentrer quelques tirs dans un lieu si mythique je m’en vais me sustenter dans un restaurant typique puis je passe me changer à l’auberge de jeunesse. Lorsque je reviens sur le terrain, deux heures plus tard, un couple de slovène s’affronte dans un contre un mixte. Puis très vite ils disparaissent pour laisser place à un solide gaillard aux bonnes mains. Bon shooteur, il enfile les perles à trois points sous mes yeux médusés. Je décide donc d’aller discuter avec lui, malheureusement il ne parle pas anglais et ne veut pas disputer une petite partie avec moi. J’en profite donc pour répéter mes gammes. Un peu rouillé depuis ma dernière partie bolognaise, j’ai besoin de reprendre du rythme dans l’éventualité d’un match. Malheureusement personne ne se présentera pour jouer avec nous ce jour-là. Déçu mais pas abattu, je rentre à 20 heures à l’auberge ce soir-là, fatigué mais échauffé par une belle séance d’entraînement.\\n\\nHeureux d’avoir vécu un séjour slovène enchanteur, mon esprit se tourne désormais vers le lendemain puisque je me rendrai à Zagreb pour découvrir le basket croate, mais ça c’est une autre histoire !\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Giovan Oniangue en pigiste médical de Jean-Michel Mipoka à Gravelines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Touché à la cheville et gêné depuis plusieurs semaines, Jean-Michel Mipoka est mis au repos et est remplacé par Giovan Oniangue (1,96m, 27 ans).\\n\\nSur son site, le BCM Gravelines-Dunkerque annonce que son capitaine est mis à l’arrêt pour une durée de quatre semaines. C’est donc l’ancien joueur du Paris-Levallois qui arrive au chevet du club nordiste le temps de cette indisponibilité. Sans club depuis la fin de saison dernière, le natif de Brazzaville a vécu un exercice compliqué du côté du BBD alors qu’il était à la relance. Au BCM, il aura l’occasion de montré qu’il a encore sa place au plus haut niveau français.\\n\\nLa saison dernière, Giovan Oniangue compilait en moyenne 4,9 points et 1,8 rebond pour une évaluation de 3,4.\\n\\nPhoto : BCM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Adrien Moerman (Anadolu Efes) : «Encore trois-quatre ans en Euroleague avant de terminer ma carrière en France»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Passé de Barcelone à l’Anadolu Efes cet été, Adrien Moerman donne de ses nouvelles à travers une interview réalisée par Matthieu Marot du Populaire du Centre. Interview à retrouver en intégralité ici.\\n\\nL’ancien limougeaud a notamment expliqué comment s’est déroulé son été. Lui qui venait de disputer une deuxième saison de suite en Euroleague faisait partie des plans de son entraîneur Svetislac Pesic au Barça, mais il a quand même quitté la Catalogne pour retrouver une ville qu’il connait, Istanbul.\\n\\n« Dès la fin de la saison dernière, je me suis entretenu avec le coach de Barcelone (Svetislav Pesic). J’étais dans ses plans. Mais l’Anadolu Efes s’est vite positionnée. Je n’ai pas pu attendre la proposition de Barcelone et j’ai signé un contrat d’un an plus un an avec Efes. Je tenais vraiment à disputer une troisième saison de suite en Euroleague. Après la NBA, c’est la meilleure compétition du monde. Affronter les meilleurs joueurs d’Europe jusqu’à trois fois par semaine t’aide à grandir. »\\n\\nLe triple champion de France (deux fois avec Limoges et une fois avec Roanne) a notamment confié vouloir terminer sa carrière, mais d’abord il a encore des choses à faire au plus haut niveau européen.\\n\\n« Même à 30 ans, j’ai le sentiment que je continue de grandir. À Barcelone, j’ai beaucoup appris sous les ordres de Pesic. Et c’est encore le cas aujourd’hui avec Ergin Ataman (le coach de l’Anadolu). Il accorde beaucoup de confiance et de liberté à ses joueurs. Il me laisse m’exprimer et met en valeur mes points forts. Je suis content de jouer pour lui. L’objectif de l’équipe est d’atteindre le Final Four de l’Euroleague. On en a les moyens si on évolue à notre meilleur niveau. Sur le plan personnel, j’aimerais bien rester au moins deux saisons dans la même équipe d’Euroleague et m’y épanouir. [...] J’espère encore rester trois-quatre ans au niveau auquel je suis avant de revenir en France pour y terminer ma carrière. »\\n\\nEn attendant, il suit toujours les performances de ses anciens clubs et notamment ceux du CSP.\\n\\n« Je suis mes anciennes équipes. Je regarde leur résultat du week-end et la feuille de match pour savoir qui a bien joué. Je vois que le début de saison du CSP est difficile mais l’équipe doit encore trouver son rythme de croisière. »\\n\\nCette saison, Adrien Moerman tourne en moyenne à 11,7 points et 6,2 rebonds entre le championnat turc et l’Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Dijon – Laurent Legname: «La blessure de Ryan Pearson, c’est un gros problème»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que la JDA Dijon semblait tenir la victoire, la JL Bourg lui est passé sous le nez (76-73) portée par le MVP de la dernière saison, Zachery Peacock (24 points dont un 4/5 à trois-points).\\n\\nLe coach Laurent Legname était en colère après ses joueurs comme le rapporte Le Bien Public.\\n\\n« C’est une défaite cruelle. Il y a de la colère, on ne doit jamais perdre ce match. Il y a deux problèmes actuellement, c’est la blessure de Ryan (Pearson), c’est un gros, gros problème. Et le manque de rotation. A part les deux premiers matches où on a joué à neuf, depuis on joue à huit parce qu’il y a des blessés à chaque fois. On joue à quatre ou cinq parce qu’il y a toujours un, deux ou trois qui passent au travers. Ce n’est pas les mêmes parce que ça change à chaque fois. Mais on ne peut pas tenir 40 minutes à 4 ou 5. Il faut que tout le monde se remette en question et qu’ils jouent tous à leur niveau et ça ira beaucoup mieux. On ne respecte plus les consignes, on laisse Peacock tout seul trois fois à trois points et il les remet tout seul dans le match. Il n’y a rien à expliquer d’autre. »\\n\\nRyan Pearson est touché aux adducteurs depuis le 6 octobre. Hier soir, il a compilé 12 points à 6/14 aux tirs.\\n\\nPhoto: JDA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Vincent Poirier au presque parfait !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le contingent français ne faiblit pas sur le Vieux Continent. Fort de vingt-trois joueurs (à l’heure de ces lignes) répartis sur dix pays, les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment neuf joueurs dans le championnat espagnol, la référence.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nVincent Poirier, joueur de la 5e journée en ACB\\n\\nCe n’est que la 5e journée de Liga mais Vitoria a déjà engrangé deux victoires de plus de 40 pions ! La dernière en date est intervenue ce weekend face à Murcie, avec Vincent Poirier (17 points à 7/8 aux tirs plus 6 rebonds en 16 minutes pour 26 d’évaluation) élu meilleur joueur de la journée. Tout simplement dominateur avec Luca Vildoza qui a aussi fait le show, le Baskonia s’est vengé d’une large défaite en Euroleague durant la semaine face au Real...\\n\\nPar ailleurs, on soulignera la belle performance de Mathias Lessort (15 points, 5 rebonds) dans le succès de Malaga. Sans de grandes performances tricolores, ni d’un côté ni de l’autre, Barcelone a battu Valence sur le fil (86-85) pour rivaliser avec le Real au sommet du classement, avec 5 victoires en autant de rencontres.\\n\\n\\nRodrigue Beaubois garde le cap\\n\\nAprès son gros match à 26 points en fin de semaine en Euroleague, Rodrigue Beaubois a enchaîné avec une nouvelle prestation solide en championnat turc. Avec 16 points dans la victoire de l’Efes face à Banvit, Beaubois a de nouveau été le fer de lance de son équipe en attaque.\\n\\nSon coéquipier Adrien Moerman a été laissé au repos après une grosse semaine d’Euroleague... tout comme Joffrey Lauvergne avec le Fenerbahçe.\\n\\n\\nLéo Westermann sort le Zalgiris d’un mauvais pas\\n\\nDans le dur face à la 7e équipe du championnat, Dzükija, Kaunas a reçu un coup de main décisif de Léo Westermann dans le dernier quart. Avec 8 de ses 11 points dans les 3 dernières minutes du match, le meneur tricolore a gardé la tête froide pour écarter définitivement cet adversaire plus accrocheur que prévu.\\n\\n\\n\\n\\nBounce-back win for the title holders! 💚💪\\n\\n\\nA late fourth quarter push was enough for @bczalgiris to fend off @bcdzukija in a close-fought 88-75 contest in Kaunas. #BetsafeLKL\\n\\n\\n📰 https://t.co/CUV7JnGV1d 📊https://t.co/NRhNlFMat3 pic.twitter.com/2AYFA6TK67\\n\\n\\n— Betsafe LKL (@betsafeLKL) October 22, 2018\\n\\n\\nAdam Mokoka toujours aussi spectaculaire\\n\\nEn Ligue Adriatique, si Edwin Jackson a été laissé au repos et Bandja Sy est resté discret, le jeune Adam Mokoka a encore fait le show avec Mega. L’ancien du BCM a encore noirci la feuille de stats à 11 points, 6 rebonds, 4 passes et 2 interceptions.\\n\\nCe sont peu ou prou ses moyennes sur ce début de saison. A part pour son pourcentage à trois points (21%) et ses balles perdues (4), Mokoka obtient bien l’exposition qu’il était venue chercher. Ses qualités athlétiques font\\n\\n\\nEspagne\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 17 points (7/8 aux tirs), 6 rebonds, 2 passes, 1 interception en 16 minutes (victoire 93-49 face à Murcie)\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 15 points (6/6 aux tirs), 5 rebonds, 2 balles perdues en 22 minutes (victoire 96-87 face à Manresa)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 8 points, 2 passes, 1 interception, 3 balles perdues en 23 minutes (défaite 106-80 face à Gran Canaria)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 7 points (3/6 aux tirs), 2 passes, 1 rebond en 21 minutes (victoire 86-73 face à Obradoiro)\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 4 points (2/7 aux tirs), 3 passes, 1 rebond en 20 minutes (victoire 86-85 face à Valence)\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 3 points (1/4 aux tirs), 1 rebond en 16 minutes (victoire 106-80 face à Andorre)\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 3 points (1/4 aux tirs), 2 rebonds en 13 minutes (défaite 86-85 face à Barcelone)\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 2 points (0/1 au tir), 1 rebond, 1 passe, 2 balles perdues en 14 minutes (victoire 86-85 face à Valence)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué\\n\\n\\nGrèce\\n\\nBoris Dallo (Salonique) : 7 points (2/7 aux tirs), 7 rebonds, 4 passes, 1 interception, 3 balles perdues en 28 minutes (défaite 70-66 face à Panionios)\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 5 points (2/4 aux tirs), 3 rebonds, 3 passes, 1 interception en 16 minutes (victoire 83-46 face à Limnou)\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : 10 points (4/10 aux tirs), 5 rebonds, 3 passes, 2 interceptions, 1 balle perdue en 25 minutes (défaite 108-102 face à Hapoel Holon)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Bologne) : 9 points (2/9 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 21 minutes (victoire 96-90 face à Avellino)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 11 points (3/5 aux tirs), 3 rebonds, 3 passes, 1 interception en 20 minutes (victoire 88-75 face à Dzükija)\\n\\n\\nMonténégro\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : n’a pas joué (victoire 79-59 face à Belgrade)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : 13 points (5/12 aux tirs), 6 rebonds, 3 passes, 1 interception en 26 minutes (victoire 94-69 face à Spojnia)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 9 points (3/6 aux tirs), 3 passes, 2 interceptions, 1 rebond, 2 balles perdues en 16 minutes (victoire 102-75 face à Tallinn)\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : 5 points (2/2 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 balle perdue en 9 minutes (victoire 92-63 face à Riga)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAdam Mokoka (Mega) : 11 points (3/12 aux tirs), 6 rebonds, 4 passes, 2 interceptions, 4 balles perdues en 35 minutes (victoire 81-77 face à Ljubljana)\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 4 points (2/3 aux tirs), 3 rebonds, 1 balle perdue en 22 minutes (défaite 80-76 face à Novo Mesto)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : 16 points (6/14 aux tirs), 1 passe, 1 interception, 1 contre en 26 minutes (victoire 86-62 face à Banvit)\\n\\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : n’a pas joué (victoire 86-62 face à Banvit)\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : n’a pas joué (victoire 98-69 face à Buyukçekmece)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Adrien Moerman a les nerfs solides\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : avec 20 points et 10 passes, David Holston a mis le feu au Palais des Sports de Dijon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il s’en est fallu de peu pour que David Holston (1,73m, 32 ans) offre une nouvelle victoire à la JDA Dijon face à Bourg-en-Bresse dans le cadre de la sixième journée de Jeep Elite.\\n\\nPassé par la JDA entre 2015 et 2017, l’ancien pensionnaire de Chicago State est revenu en Bourgogne en janvier 2018 et a prolongé avec le club dijonnais. Face à la JL Bourg, l’ancien joueur d’Izmir a mené son équipe d’une main de maître en inscrivant 20 points et en offrant 10 caviars à ses partenaires. Malheureusement pour Dijon, c’est finalement la « Jeu » et son MVP Zachery Peacock qui ont eu le dernier mot (76-73).\\n\\nDepuis le début de la saison, David Holston compile en moyenne 11,8 points, 2,2 rebonds et 6 passes décisives pour une évaluation de 14 en Jeep Elite.\\n\\n\\n\\n\\n20 points, 10 passes, 29 d'évaluation ! La grosse perf' de @Dcash_11 en images#JDAJL #JeepELITE #Dijon pic.twitter.com/0YRcjH6CsW\\n\\n\\n— JDA Dijon Basket (@jdadijonbasket) October 23, 2018\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’Américano-Nigérian O.D. Anosike arrive au Portel"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Américano-nigérian Oderah « O.D. » Anosike (2,03m, 27 ans) arrive au Portel. Il est -un peu- connu en France pour avoir participé aux playoffs en 2014 sous le maillot de Strasbourg (4,5 points et 3,3 rebonds en 6 matches) à sa sortie de fac.\\n\\nEn NCAA, il s’était fait du rebond une spécialité avec 11,4 prises par match, ce qui en avait fait le numéro 1 du pays. Anosike a joué depuis essentiellement en Italie (Pesaro, Avellino, Brindisi, Varese) et aussi en Grèce (AEK Athènes) et il était la saison dernière en Espagne à Séville avec qui il a assuré 10,2 points et 6,2 rebonds. Il a terminé meilleur rebondeur de NCAA en 2012 et 2013, et meilleur rebondeur du championnat italien en 2014, 2015, 2017.\\n\\nO.D. a sept frères et soeurs dont Nicky qui a été deux fois championne universitaire et qui a joué en WNBA.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=Jnv8bn98J2Y\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Yannis Morin rebondit au CCRB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Libéré par Nanterre après être arrivé à la fin de son contrat, Yannis Morin (2,08m, 25 ans) vient de trouver refuge à Châlons-Reims.\\n\\nLe CCRB annonce l’arrivée de l’ancien joueur de Cholet via un contrat de 35 jours en tant que pigiste médical de Pape Badji qui est blessé au genou. Aussi passé par Denain et Le Havre, le Martiniquais a été sacré champion de France avec Le Mans en juin dernier. C’est après avoir passé la saison en G-League que l’ancien pensionnaire de l’INSEP a rejoint le MSB. C’est d’ailleurs un nouveau spot en G-League que vise le natif de Fort-de-France pour l’exercice 2018/19 qui démarre le 3 novembre.\\n\\nCette saison, Yannis Morin compile en moyenne 3,6 points et 3,2 rebonds en Jeep Elite.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le teaser du All-Star Game LNB avec les infos pour réserver sa place"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La 16ème édition du all-Star Game LNB -en ce qui concerne celles disputées à Paris- se déroulera le samedi 29 décembre à l’AccorHotels Arena. Toutes les éditions sauf la première se sont jouées à guichets fermés sachant que 15 500 places sont désormais disponibles. On peut d’ores et déjà réserver sa place... C’est même indiqué de ne pas tarder!\\n\\nTarifs Catégorie 4 : 19 euros\\nCatégorie 3 : 26 euros\\nCatégorie 2 : 37 euros\\nCatégorie 1 : 49 euros\\nCarré Or : 75 euros\\n\\nRenseignements packages VIP au 01 53 33 05 99 ou contact@sportplusconseil.com\\n\\nPar internet\\nAccorhotelsarena.com – fnac.com – ticketmaster.fr – digitick.com\\n\\nPoints de ventes habituels\\nFnac – Auchan – Carrefour – E-Leclerc – Galeries Lafayettes – Cultura – Cora\\n\\nhttps://www.facebook.com/allstargamelnb/videos/352883742128243/"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le chiffre du scandale: Le Real Madrid et le FC Barcelone sont prêts à perdre cette saison 53 millions d’euros en cumulé !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nos confrères de As viennent de publier les détails des budgets pour la saison à venir des deux géants du basket espagnol : le Real Madrid et le FC Barca. Deux ogres gonflés au déficit ! Edifiant.\\n\\nDans cet article très intéressant, notamment pour ses infographies qui permettent de bien visualiser le problème, les journalistes de As présentent pour la saison 2018-19 les budgets des deux plus gros clubs du basket espagnol, bastion également de l’Euroleague. Le moins que l’on puisse dire, c’est que la réalité des chiffres est effrayante.\\n\\nLes deux géants s’apprêtent à perdre pour la saison à venir plus de 53 millions d’euros. 28,2 millions de déficit annoncé pour Madrid, 24,9 pour Barcelone !\\n\\nQuand on prend en compte les recettes des deux clubs, qui seraient égales à leur budget si par exemple le Real et le Barca évoluaient en Jeep Elite où il existe un contrôle de gestion sérieux qui oblige les clubs à ne dépenser que ce qu’ils gagnent, et bien, leur budget ne serait finalement pas si éloigné que ça des meilleurs clubs français.\\n\\nMadrid génère ainsi 13,1 millions de revenus\\n\\n * 5,7 en billetterie et abonnés\\n * 5,3 en sponsors\\n * 1,2 en droits télés\\n * 0,8 autres\\n\\nLe Barca génère 11,1 millions de revenus :\\n\\n * 2,5 en billetterie et abonnés\\n * 5,2 en sponsors\\n * 2,7 en droits télés\\n * 0,7 autres\\n\\nEnfin, l’évolution sur les quatre dernières saisons de ce déficit montre qu’il ne s’agit pas d’un accident de parcours mais bel et bien d’un modèle économique. Les chiffres (négatifs) annoncés sont ceux finaux après le résultat final comptable des saisons passées.\\n\\nSaison    2014-15  2015-16  2016-17  2017-18\\n\\nMadrid   27,9     24,5     22,3     28,9\\n\\nBarca    22,6     22,5     23,3     27,1\\n\\nComment un club français ou allemand ou n’importe quelle entreprise sérieuse qui évolue dans un championnat régulé peut espérer se mesurer à armes égales avec de telles machines à perdre de l’argent ? De la réponse à cette question dépend l’avenir du basket de très haut niveau européen.\\n\\nA noter qu’à l’issue de la saison 2016-17, la dette du FC Barcelone football était de 247 M€.\\n\\nA lire ou relire notre article sur le sujet: L’Euroleague, un miroir aux alouettes pour les clubs français?\\n\\nPhoto: Ante Tomic (Euroleague)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eric Bartecheky (Le Mans): «Cameron Clark est encore loin de ce qu’il a pu faire à Chalon»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Mans Sarthe Basket a obtenu face à Gravelines sa cinquième victoire en Jeep Elite de suite (89-87) et est toujours ainsi positionné dans la roue de Villeurbanne. Pourtant on sent que l’équipe mancelle ne tourne pas encore à fond comme en atteste ses deux échecs en Basketball Champions League à Murcie (-12) et Banvit (-29). Juice Thompson et Richard Hendrix sont ainsi en-dessous de leurs standards. Avant d’affronter demain à Antarès les Allemands de Ludwigsbourg dans un match déjà clé, le coach Eric Bartecheky a conscience de tout ça.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVotre équipe possède une marge de progression défensivement mais ça n’avance pas très vite (NDRL : les champions de France en titre possèdent la 3e attaque mais seulement la 10e défense de Jeep Elite) ?\\n\\nCe n’est pas simple car il y a forcément toute une réorganisation à avoir sans que l’on soit sûr que ça va fonctionner. Il faut défendre d’une autre façon compte tenu du profil des joueurs. Il faut que l’on trouve cette formule qui permettra d’être un petit peu moins permissif. C’est tout un travail à faire sur la longueur mais qui a été handicapé par une préparation très perturbée. C’est difficile de tout changer, il faut que ça se fasse par des ajustements progressifs tout au long de la campagne européenne et du championnat avec peu d’entraînements. Ça va être un sacré chantier pour essayer de trouver quelque chose qui fonctionne un peu mieux. Et c’est relatif car il faut que l’on s’adapte au profil de l’adversaire. Mais ça ne nous a pas aidé, Cameron (Clark) qui arrive sur le tard, Richard (Hendrix) qui n’a jamais été là, Terry (Tarpey) qui a été tout le temps absent, etc. Avec des semaines complètes, on aurait plus de temps alors que là on est dans une espèce de lessiveuse, on enchaîne tout le temps, mais il va bien falloir qu’on essaye de progresser. On montre par moment que l’on est capable de faire des choses intéressantes. On a joué Boulazac à l’extérieur, on en a pris que 69. Là sur un quart-temps on en prend 9, mais on est capable d’en prendre 27, 28.\\n\\nRichard Hendrix est un pivot référencé en Europe, l’une des plus grosses recrues de l’inter-saison mais a-t-il des problèmes d’adaptation à la Jeep Elite ? Là, il a joué seulement 10 minutes et fait 4 fautes ?\\n\\nEffectivement, défensivement, ça va vite en Jeep Elite. C’est un profil d’intérieur massif et c’est un peu difficile. Comme on ne l’a pas trop eu en préparation (NDLR : le joueur a rejoint la sélection de la Macédoine lors de la fenêtre internationale de septembre et aussi fait un aller-retour aux Etats-Unis), on n’a pas pu essayer beaucoup de choses que ce soit en défense et en attaque. Au fil des matches, on observe, on découvre. Ça fait partie des questionnements que l’on a. On se demande comment être plus efficaces avec lui sur les picks, sur quel type de défense aller. Oui, c’est forcément une préoccupation comme il y en a d’autres.\\n\\nJuice Thompson a-t-il un problème de confiance dans son shoot (NDLR : 9/44 à trois-points en cumulé Jeep Elite et BCL)?\\n\\nLà, avec 2/5, 40%, c’est un peu mieux. C’est vrai que sur les pourcentages à trois-points, que ce soit sur l’ensemble de l’équipe ou sur le cas de Juice, on a un niveau très faible. 2/5, ce n’est pas encore tout à fait ce qu’il est capable de faire. C’est un joueur qui est capable d’en prendre 6-7 en moyenne et d’en mettre 4-5. Je crois que tout ça rentre dans un équilibre d’équipe global. On a un équilibre d’équipe particulier, on n’est pas tout à fait hiérarchisé, organisé de façon complémentaire aux exigences de la Jeep Elite. On s’en sort quand même, on est à cinq victoires de suite. On va essayer de bonifier les choses (...) L’année dernière, on avait une autre identité à cette époque-là. On n’est pas loin de faire le même début que la saison dernière indépendamment des adversaires que l’on a rencontré puisque à part Gravelines et Paris (Levallois) lors du premier match et qui nous a un peu bousculé, on a rencontré des équipes qui étaient un peu en difficulté et qui sont aujourd’hui en bas de la Jeep Elite. Mais toutes les équipes font des ajustements, travaillent, progressent et ça ne veut pas dire qu’elles ne seront pas plus haut dans quelque temps. Là on rentre dans un enchaînement de match où on va jouer Nanterre, l’ASVEL, Strasbourg. Derrière cette période-là, on en saura beaucoup plus. Chaque saison il y a des problématiques à résoudre.\\n\\nEn dehors du fait qu’il a marqué 25 points contre Gravelines avec des paniers décisifs dans le money time, Cameron Clark a-t-il récupéré toutes ses capacités physiques après un an d’absence des terrains ?\\n\\nPas encore. Un an d’absence, c’est énorme. Ce soir, il a fait un gros match au niveau des points. On l’a vu parfois... C’était lié à l’opposition. Quand il a (Taylor) Smith dessus, il y a un sacré client. Un défenseur qui est costaud et le jouer à l’arrêt ce n’est pas forcément évident. Il a mieux réussi avec (Mike) Hesson à la fin. Il monte mais il est encore loin de ce qu’il a pu faire à Chalon*. C’est un peu normal après autant d’absence. En tous les cas, on est vraiment content qu’il ait fait cette prestation là ce soir. Franchement, il nous tient. On lui a filé la balle à la fin et voilà. Il a mis des shoots...\\n\\n*Après 6 matches en Jeep Elite, Cameron Clark en est à 13,3 points (52,3% aux tirs) et 2,2 rebonds pour 10,0 d’évaluation en 24′ contre 18,6 points (54,5%), 5,9 rebonds pour 19,2 d’éval en 30′ avec Chalon lors de la saison 2016-17.\\n\\n\\n\\n\\n.@CamClark_21 is on fire 🔥🔥\\n\\n\\n25 pts | 60 % aux tirs | 4 rebds | 1 passe | 22 éval. pic.twitter.com/6gOGO4iDxC\\n\\n\\n— MSB_Officiel 🦁 (@MSB_Officiel) October 22, 2018\\n\\n[armelse]\\n\\nVotre équipe possède une marge de progression défensivement mais ça n’avance pas très vite (NDRL : les champions de France en titre possèdent la 3e attaque mais seulement la 10e défense de Jeep Elite) ?\\n\\nCe n’est pas simple car il y a forcément toute une réorganisation à avoir sans que l’on soit sûr que ça va fonctionner. Il faut défendre d’une autre façon compte tenu du profil des joueurs. Il faut que l’on trouve cette formule qui permettra d’être un petit peu moins permissif. C’est tout un travail à faire sur la longueur mais qui a été handicapé par une préparation très perturbée. C’est difficile de tout changer, il faut que ça se fasse par des ajustements progressifs tout au long de la campagne européenne et du championnat avec peu d’entraînements. Ça va être un sacré chantier pour essayer de trouver quelque chose qui fonctionne un peu mieux. Et c’est relatif car il faut que l’on s’adapte au profil de l’adversaire. Mais ça ne nous a pas aidé, Cameron (Clark) qui arrive sur le tard, Richard (Hendrix) qui n’a jamais été là, Terry (Tarpey) qui a été tout le temps absent, etc. Avec des semaines complètes, on aurait plus de temps alors que là on est dans une espèce de lessiveuse, on enchaîne tout le temps, mais il va bien falloir qu’on essaye de progresser. On montre par moment que l’on est capable de faire des choses intéressantes. On a joué Boulazac à l’extérieur, on en a pris que 62. Là sur un quart-temps on en prend 9, mais on est capable d’en prendre 27, 28.\\n\\nRichard Hendrix est un pivot référencé en Europe, l’une des plus grosses recrues de l’inter-saison mais a-t-il des problèmes d’adaptation à la Jeep Elite ? Là, il a joué seulement 10 minutes et fait 4 fautes ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Cameron Clark (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Fracture du tibia pour Tyler Ennis (Fenerbahce), le club cherche un remplaçant"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vilaine image du côté de la Turquie. Quelques minutes après le début du match face à Büyükçekmece, Tyler Ennis (1,88m, 24 ans) s’est blessé à la jambe gauche.\\n\\nSur une attaque du cercle, le meneur canadien termine sa course au sol. Si à première vue on pourrait croire que l’ancien joueur des Los Angeles Lakers s’est tordu la cheville, les images montrent vite que la blessure est survenue plus haut sur la jambe. Les examens réalisés à l’hôpital dans la foulée ont révélé une fracture du tibia gauche, annonce le club.\\n\\nSelon Eurohoops, la formation turque est déjà à la recherche d’un remplaçant le temps que l’ancien des Bucks se remette sur pied. Jusqu’à maintenant, Tyler Ennis a compilé en moyenne 7 points et 1,2 rebond en 7 matchs avec le Fenerbahce.\\n\\nVoici les images de sa blessure, âmes sensibles s’abstenir.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les highlights de Villeurbanne – Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Villeurbanne a dominé Limoges hier soir à l’Astroballe, 82-68. Voici quelques morceaux choisis de la rencontre."
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV: Toujours varié et copieux, Pau-ASVEL dimanche"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Semaine toujours variée et copieuse avec notamment un Pau-Villeurbanne dimanche.\\n\\nLundi 22 octobre\\n\\n20h45 – Dijon/Bourg – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nMardi 23 octobre\\n\\n19h00 – Partizan Belgrade/ASVEL – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\n20h00 – Bonn/Nanterre – BCL – Basket +\\n\\n20h30 – Le Mans/Ludwigsbourg – BCL – Canal+ Sport\\n\\n20h45 – Limoges/Tofas Bursa – Eurocup – RMC Sport 4\\n\\nMercredi 24 octobre\\n\\n18h00 – Galatasaray/Monaco – Eurocup – RMC Sport 3\\n\\n18h00 – Besiktas/Strasbourg – BCL – Canal+ Sport\\n\\n20h30 – Dijon/Fuenlabrada – BCL – Canal+ Sport\\n\\nJeudi 25 octobre\\n\\n21h00 – Olympiakos/Tel Aviv – Euroleague – RMC Sport 4\\n\\nVendredi 26 octobre\\n\\n19h15 – Darussafaka/Barcelone – Euroleague – RMC Sport live 6\\n\\n20h00 – Panathinakos/Kaunas – Euroleague – RMC Sport 4\\n\\n21h30 – Gran Canaria/CSKA Moscou – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\nSamedi 27 octobre\\n\\n18h30 – Chalon/Monaco – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nDimanche 28 octobre\\n\\n18h30 – Pau/Villeurbanne – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nLundi 29 octobre\\n\\n20h45 – Bourg/Levallois – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nPhoto: Eric Buckner (ASVEL, Eurocupbasketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nanterre: Fin de pige pour Yannis Morin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme convenu, la pige de Yannis Morin (2,08m, 25 ans) à Nanterre se termine. Le Martiniquais a apporté 3,6 points et 3,2 rebonds à l’équipe de Pascal Donnadieu en 5 matches de Jeep Elite.\\n\\nYannis Morin a l’intention de poursuivre sa carrière en G-League. Il a déjà porté le maillot du Blue d’Oklahoma City avant de rejoindre Le Mans en fin de saison dernière avec qui il a été champion de France."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: L’audience de Barcelone-Moscou inférieure... à du basket féminin !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le premier match du Barca contre le CSKA en Euroleague a enregistré une audience très faible sur la plateforme de Pay Per View Movistar. Presque deux fois moins que la journée d’ouverture de la ligue féminine espagnole.\\n\\nD’après Mundodeportivo, l’audience sur la plateforme de Pay Per View Movistar pour les débuts du FC Barcelone de Thomas Heurtel en Euroleague, qui s’est déplacé au CSKA Moscou de Nando De Colo n’a vraiment pas été bonne. En effet, la moyenne a été de 40 000 spectateurs. Le match a représenté seulement la huitième audience des programmes spécialisés de sport sur la télévision thématique à péage. Plus préoccupant, la journée d’ouverture de la ligue espagnole féminine a obtenu un score sensiblement supérieur. Toujours selon notre confrère espagnol, Valencia-Perfumerias Avenida a été suivi par 70 000 spectateurs et même Mann-Filter-Girona a réussi à rassembler davantage avec 48 000 personnes.\\n\\nUne nouvelle preuve qu’en dépit de « marques » établies comme ces deux grands clubs, de stars internationales, le sport spectacle de très haut niveau peut avoir des audiences inférieures à des matches nationaux. L’Euroleague est un business qui doit impérativement adopter un modèle économique rationnel et sain pour se développer.\\n\\nPhoto: Thomas Heurtel (Euroleague)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Gravelines au Mans: Si près, si cruel"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La courte défaite (87-89) du BCM Gravelines s’est joué samedi soir au Mans par épisodes. Rembobinons le film.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLE SHOW EDGAR SOSA\\n\\nPendant un quart-temps, on n’a vu que lui, Edgar Sosa, le combo guard dominicain du BCM, né à New York. Pour commencer, un service magnifique à Bangaly Fofana qui est allé au dunk. Un trois-points suivi d’un autre à deux-points sur la tête d’Antoine Eito. Une contre-attaque ponctuée d’un layup avec la faute du même Eito en prime. Encore un trois-points à 2’52 de la fin de ce quart-temps pour donner une belle petite marge au BCM, 22-14. Huit points au total pour celui qui est aujourd’hui le 6e marqueur de la Jeep Elite.\\n\\nLE BCM TOMBE DANS LE COMA\\n\\nCe que l’on ignore alors, c’est que les Gravelinois et Edgar Sosa vont subitement perdre leur superbe. Plus de rythme offensif, une première technique à Jean-Michel Mipoka, la balle qui glisse des mains de Scott Wood, une passe de quaterback de Edgar Sosa qui traverse le terrain mais qui est trop longue pour que le receiver Alain Koffi qui a filé vers le panier manceau puisse la réceptionner. Tout faux.\\n\\nAlors que le BCM a tourné à 56% de réussite dans le premier quart, il est tombé en panne sèche. Il encaisse un 10-0 à cheval sur les deux quart-temps et pire, il ne marque qu’un lancer pendant sept minutes trente jusqu’à ce que Scott Wood lève un œil après ce long coma en ajustant un panier primé.\\n\\nMême si le MSB a loupé pas mal d’occases pendant ce temps, il a filé devant et s’est retrouvé avec une première avance confortable de 11 points (34-23). L’ancien apprenti gravelinois Valentin Bigote (11 points en première mi-temps) lui a fait très mal avec ses missiles millimétrés alors que Will Yeguete a fait preuve de sa vaillance coutumière. Après une rémission, le BCM est retombé dans ses travers. Un écart maximal est constaté à la 18e minute (44-28). A tel point que l’on s’est demandé si les Gravelinois n’allaient pas connaître la même banqueroute (-40) qu’en ouverture de la saison précédente ici même à Antarès. Deux exploits de Edgar Sousa leur permettent de mettre un garrot à l’hémorragie (32-46, 20e).\\n\\nL’adresse générale du BCM est tombée à 11/32. Il n’a mis que 8 paniers dans la peinture pendant que le trio Anderson-Sene-Hesson affiche un piteux 1/10. Pourquoi s’est-il soudainement affaissé ?\\n\\n« C’est une histoire de défense pour nous », répond Alain Koffi. « On commence le match assez bien défensivement et on creuse un peu l’écart. Et malheureusement pour nous on relâche nos efforts un peu tôt et eux prennent de la confiance, ce qui explique le +16 à la mi-temps. Pourquoi ce trou d’air ? Je n’ai pas d’explications à ça, ça fait plusieurs fois que ça nous arrive. Si on n’a pas ce trou d’air on n’a pas à revenir d’un écart de -16. On peut même agrandir l’écart et derrière c’est une autre musique. Défensivement, ce n’est pas la première fois que ça nous arrive. Quand on n’est pas bien défensivement, automatiquement on ne peut pas prendre de rebonds et on ne peut pas courir. Notre force généralement c’est de courir. Quand on court, on est dur à arrêter et ça nous créé des tirs à trois-points, des paniers faciles à l’intérieur. Et quand on n’est pas agressifs, on ne trouve pas de rythme et chacun essaye de trouver une solution, ce qui n’est jamais bon pour nous. Quand on joue comme ça on n’est pas beau à voir et ce n’est pas efficace du tout. Il faut croire que jouer Monaco à domicile ça nous a un peu plus motivé que de jouer Le Mans qui est champion de France en titre à l’extérieur. Je pense que la base défensive est là, c’est juste qu’il faut que l’on évite le trou d’air. Si on n’a pas ces trous d’air, on peut mettre 10-15 points faciles à tous nos adversaires. »\\n\\nLa défense, oui, mais pas que... Le coach Julien Mahé constate que durant cette période de disette, c’est des deux côtés du terrain que son équipe a fauté :\\n\\n« On perd des ballons très très bêtes. On en envoie dans les gradins alors qu’il n’y a pas de pression. Dans le deuxième quart-temps, on a vraiment subi la pression et l’intensité défensives du Mans. On a été inconstants dans le match. Ca ne s’est pas du tout passé comme on aurait aimé que ça se passe dans le scénario. Nos rotations sont complètement perturbées et on ne peut pas jouer le match que l’on aimerait faire. »\\n\\nLA COLERE DE JULIEN MAHE\\n\\nAu final, quatre joueurs du BCM terminent avec quatre fautes chacun mais c’est la sortie précipitée de son capitaine Jean-Michel Mipoka qui a mis Julien Mahé dans une colère sourde.\\n\\n« Il y a un tournant du match, je pense que tout le monde l’a vu. Jean-Michel Mipoka, c’est un garçon en qui j’ai une énorme confiance. Il a 33 ans, beaucoup d’expérience. Je pense qu’il n’a jamais été considéré comme un mauvais garçon. Quand on est troisième arbitre en Pro A et que l’on prend la responsabilité de sortir un joueur -car il sait ce qu’il fait, j’espère-, j’espère que ce coup de sifflet est mérité. En ayant échangé deux mots avec Jean-Michel Mipoka, j’en doute clairement. Quand on prend la décision de sortir quelqu’un définitivement du match, il faut vraiment qu’il y ait une raison forte. Je ne suis pas sûr. C’est une décision forte qui évidemment nous met en grosse difficulté pour la suite puisque on n’a pas compris et les joueurs non plus. On était déjà en difficulté et il est clair que ça, ça ne nous a pas aidé puisqu’en plus on a dû jouer avec les fautes de certains. Vous avez vu comme moi l’arbitrage de la deuxième mi-temps n’est pas le même que celui de la première mi-temps. Ce qui veut dire qu’il y a peut-être eu un petit problème en première mi-temps. »\\n\\nChacun est libre de son appréciation. Le fait, c’est que Jean-Michel Mipoka n’a passé que 4 minutes et 27 secondes sur le parquet d’Antarès. Mais ce n’est pas l’explication majeure à la défaite du BCM. D’ailleurs retenons le commentaire d’Alain Koffi :\\n\\n« On savait qu’il ne fallait pas parler à l’arbitrage. Quand c’est sifflé, c’est fait. Il faut passer à autre chose. Ca nous a permis justement de nous focaliser sur nous et pas l’arbitrage. On passe à autre chose et on joue. »\\n\\nLE RETOUR EXPRESS\\n\\nEt le BCM a rejoué. Est-ce le sentiment d’injustice qui a servi d’aiguillon aux Maritimes ? Ou celui de ne plus rien avoir à perdre sauf l’honneur ? En tous les cas, au lieu de s’enfoncer plus bas que terre, ils ont relevé la tête, à commencer par Scott Wood qui a pris feu pendant un moment et ce sont les Manceaux, tout aussi inexplicablement, qui ont joué tout d’un coup petit bras et qui ont semblé être contaminé par la mouche tsétsé qui aurait changé de camp.\\n\\n« Il faut déjà mettre du crédit à cette équipe de Gravelines qui est revenue des vestiaires avec beaucoup plus d’énergie défensive, a été beaucoup plus impactantes défensivement », analyse le coach du MSB, Eric Bartecheky. « Stratégiquement, comme ils savent le faire, ils sont sortis sur les écrans, ont changé par moment et on a été en difficulté pour trouver des solutions en attaque. C’est toujours un peu lié et bien sûr qu’en défense on a commis beaucoup d’erreurs et on a donné beaucoup de trois-points à l’adversaire et c’est vraiment une force chez eux cette année puisqu’avant le match on avait noté qu’ils sont à 43% sur l’ensemble de l’équipe, ce qui est vraiment très bon avec des joueurs qui excellent dans ce domaine là. Anderson à 50% avec 7 tentatives, Mipoka était à 53% sur 4 tentatives, Sosa 40, Wood, Hesson qui peut mettre dedans, Sené. C’était vraiment l’une des clés sur lesquelles on a voulu se focaliser et en première mi-temps, ça a été plutôt bien fait. 4/11. Ils finissent à 36% à trois-points, c’est un peu mieux que ce qu’ils ont l’habitude de faire. »\\n\\nIl ne fallait pas quitter son siège pour aller déambuler quelques minutes dans les travées de la salle car on aurait manqué l’essentiel du spectacle. En neuf minutes, le BCM avait non seulement refait son retard mais comptait un matelas de cinq points (60-55). Dans ce quart-temps, c’est Le Mans qui avait foiré offensivement en convertissant seulement cinq de ses quinze shoots. Parfois l’évolution d’un match sort du rationnel.\\n\\n« On a eu des choses très positives car il faut revenir », se félicite Julien Mahé. « Il faut que l’on prenne conscience que l’on est capable de faire de gros écarts rapidement. Vous vous rendez compte de mettre 26 points au Mans en 15 minutes... Maintenant, il faut que l’on comprenne qu’il va falloir que l’on défende plus dur, que l’on n’attende pas d’être malmené pour défendre et du coup ça nous permettra de créer des avantages en notre faveur et de ne pas avoir besoin de revenir au score. »\\n\\nCAMERON CLARK FACON CHALON\\n\\nUn temps le BCM a tenu en mains sa demi-douzaine de points d’avance avant que le BCM repasse en tête sur un trois-points de Valentin Bigote, décidemment dans tous les « mauvais coups ». Qui allait faire la décision ? Edgar Sosa ? Non. Cameron Clark.\\n\\nBlessé au tableau tibial, l’ailier américain a connu une saison entièrement blanche avant de signer au Mans. Forcément, il n’a pas encore pleinement récupéré la possession de ses immenses moyens mais dans le money time, c’est bien le tueur de Chalon que l’on a vu à l’œuvre, l’as du shoot à distance intermédiaire.\\n\\nCameron Clark a mis deux paniers successifs pour donner trois-points d’avance au Mans annulé aussitôt par Karvel Anderson. Il en a mis un troisième à 85-87 mais encore une fois Anderson a mis les deux équipes à égalité. C’est une faute de Edgar Sosa qui a donné à l’Américain deux lancers à 14 secondes et 8 dixièmes de la fin et sa main n’a pas tremblé. Pas comme celle de Terry Tarpey, qui a loupé ses deux essais, donnant une ultime chance à Scott Wood de réussir un incroyable hold up d’un tir du milieu du terrain au buzzer. Mais Terry Tarpey, revenu du diable vauvert avec l’ambition de se racheter, l’a contré... sans faire faute.\\n\\n« On revient dans le match mais malheureusement pour nous, pas assez fort pour empêcher Clark de prendre feu. C’est vraiment lui qui nous tue en fin de match. On a fait le nécessaire pour gagner le match, malheureusement ce sont des erreurs défensives qui une fois de plus nous tuent », répète sans relâche Alain Koffi.\\n\\nEric Bartecheky tresse quant à lui des lauriers à son joueur.\\n\\n« On a su aussi s’appuyer sur les joueurs qu’il fallait à la fin et mettre aussi l’énergie collective pour mettre les stops. Mais dans ces moments-là, ça peut tourner d’un côté comme de l’autre. Cameron Clark a été très précieux, ultra talentueux quand on lui a donné la balle dans les mains. Heureusement car collectivement on a beaucoup de travail à faire compte tenu du profil de l’équipe. »\\n\\n« Oui, cruel, » répétait Julien Mahé à notre consoeur de La Voix du Nord. Au lieu de rejoindre Le Mans au classement, le BCM est maintenant relégué à deux victoires de son adversaire de la journée. Rien de démoralisant et de définitif quand on sait qu’au cours d’une programmation très relevée, il a déjà accroché Nanterre (+4), Limoges (+4) et Monaco (+9) à son palmarès alors qu’il est tombé face au Mans (-2) après Villeurbanne (-8) et Levallois (-3). Comme on peut le constater, le sort de ses matchs face à des supposés équipes de première partie de tableau s’est souvent joué à des petits riens. Et c’est la constance sur quarante minutes qu’il va lui falloir maintenant acquérir pour éviter de jouer avec le feu. A Strasbourg samedi ?\\n\\n[armelse]\\n\\nLE SHOW EDGAR SOSA\\n\\nPendant un quart-temps, on n’a vu que lui, Edgar Sosa, le combo guard dominicain du BCM, né à New York. Pour commencer, un service magnifique à Bangaly Fofana qui est allé au dunk. Un trois-points suivi d’un autre à deux-points sur la tête d’Antoine Eito. Une contre-attaque ponctuée d’un layup avec la faute du même Eito en prime. Encore un trois-points à 2’52 de la fin de ce quart-temps pour donner une belle petite marge au BCM, 22-14. Huit points au total pour celui qui est aujourd’hui le 6e marqueur de la Jeep Elite.\\n\\nLE BCM TOMBE DANS LE COMA\\n\\nCe que l’on ignore alors, c’est que les Gravelinois et Edgar Sosa vont subitement perdre leur superbe. Plus de rythme offensif, une première technique à Jean-Michel Mipoka, la balle qui glisse des mains de Scott Wood, une passe de quaterback de Edgar Sosa qui traverse le terrain mais qui est trop longue pour que le receiver Alain Koffi qui a filé vers le panier manceau puisse la réceptionner.\\n\\nAlors que le BCM a tourné à 56% de réussite dans le premier quart, il est tombé en panne sèche.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Alain Koffi, BCM"
}, 
{"role": "user",     "content":"Villeurbanne: Le nouveau record de Zvezdan Mitrovic"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le site Obuzzer compile les chiffres en rapport avec LDL ASVEL et nous apprend que sitôt arrivé le coach monténégrin Zvezdan Mitrovic vient de battre un nouveau record.\\n\\nLes Villeurbannais se sont imposés hier soir nettement à l’Astroballe, 82-68. Amine Noua a été tout spécialement en verve réalisant le deuxième double double de sa carrière avec 15 points et 10 rebonds. Et donc l’ASVEL en est à 6 victoires en 6 journées, ce qui permet à Mitrovic d’être le premier coach rookie du club à réaliser cette performance.\\n\\nElu deux fois Coach de l’Année en Jeep Elite, trois fois lauréat de la Leaders Cup, trois fois premier de la saison régulière, une fois finaliste des playoffs, deux fois participant au Final Four de la Basketball Champions League, le tout avec l’AS Monaco, Coach Z sera t-il enfin champion avec le club du Rhône?\\n\\n\\n\\n\\nGrâce au succès remporté par @LDLCASVEL devant @limogescsp (82-68), Zvezdan Mitrovic entre dans l’histoire du club. Il est le 1er coach villeurbannais à débuter son mandat par 6 victoires de rang en championnat. Il fait mieux qu’Yves Baratet (5 succès en 2006-2007) ! #JeepElite\\n\\n\\n— OBUZZER (@O_buzzer) October 21, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Villeneuve d’Ascq: Magali Mendy, la révélation de la saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cet été, son coach à Villeneuve d’Asq, Frédéric Dusart, nous avait dit:\\n\\n« Elle n’a jamais joué en Ligue Féminine mais elle est paradoxalement quart-de-finaliste de l’Eurocup. C’est un semi pari car je l’ai joué, il y a trois ans, quand elle était avec Chartres en Ligue 2 et elle m’avait déjà impressionné. Elle a mis 15 points contre Galatasaray au match retour, une équipe que l’on a joué l’année dernière, ce qu’elle a réussi dans cette compétition de manière régulière, fait que c’est un pari très peu risqué. Elle a un potentiel. »\\n\\nFrédéric Dusart parlait de Magali Mendy (1,75m, 28 ans). Et il apparaît que le coach nordiste a eu du pif. La native d’Orly vient d’obtenir la meilleure évaluation (17) lors de la victoire ce week-end sur Charleville (73-70) avec 12 points, 8 rebonds, 3 passes et 3 interceptions.\\n\\nPlus en amont dans la semaine, elle avait porté l’ESBVA sur ses épaules lors du match retour de qualification à la saison régulière d’Euroleague réalisant 21 points, 11 rebonds, 5 passes et 4 interceptions pour 34 d’évaluation contre les Hongroises de Szekszard. Et déjà à l’aller c’est elle encore qui avait obtenu la meilleure évaluation du match (18) en remplissant encore et toujours toutes les cases de stats: 15 points, 7 passes, 5 rebonds, 3 interceptions et... 5 balles perdues.\\n\\nMagali Mendy est totalement sortie de l’obscurité et elle est d’ores et déjà la révélation de la saison de la Ligue Féminine.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Youssoupha Fall (Strasbourg): «Ca aurait pu être beaucoup plus grave»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il a repris l’entraînement aujourd’hui et qu’il va re-goûté à la compétition mercredi à Istanbul face au Besiktas, Youssoupha Fall (2,21m, 24 ans) donne de ses nouvelles sur le site de la SIG revenant sur son entorse au genou.\\n\\n« Quand je me suis blessé, j’ai directement relativisé en me disant que ça aurait pu être beaucoup plus grave. J’aurais pu avoir une rupture des croisés et là ça n’aurait pas été la même chose. Quand j’ai passé l’IRM et qu’on m’a donné le diagnostic, j’ai vraiment relativisé et cela m’aidé à m’armer de patience. Depuis, j’ai énormément travaillé avec Louis (ndlr: Louis Feuillas, le kiné de la SIG Strasbourg). J’ai été immobilisé totalement la première semaine, je n’ai fait que des soins pendant deux semaines et après, j’ai fait un gros travail de renforcement musculaire et de gainage« .\\n\\nLe géant de la SIG en était à 18 points (81% de réussite) et 10 rebonds en 2 matches avant son arrêt.Photo: SIG"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Cholet-Pau, la réaction des coaches"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la victoire de Pau à Cholet (70-63), les coaches Laurent Vila et Régis Boissié ont donné leur point de vue en conférence de presse."
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Olivia Epoupa rejoint Besiktas Istanbul"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’elle était jusqu’ici sans club, le meneuse internationale Olivia Epoupa (1,65m, 24 ans) vient de signer un contrat avec le Besiktas Istanbul.\\n\\nLa saison dernière, la Parisienne réputée pour sa défense, sa vista et... sa capacité à prendre des rebonds, stationnait déjà en Turquie à Galatasaray avec qui elle avait assuré 8,4 points, 5,1 rebonds, 3,6 passes et 3,0 interceptions (n°1 de la ligue turque) et elle avait contribué à la victoire en Eurocup après l’élimination en Euroleague.\\n\\nBesiktas a remporté ses deux premiers match de championnat.\\n\\nAprès l’INSEP, Olivia Epoupa avait porté les maillots de Basket Landes, Toulouse et Villeneuve d’Ascq. Lors de la Coupe du monde à Ténérife, elle était meneuse titulaire de l’équipe de France pour 5,0 points, 5,1 rebonds, 4,4 passes et 1,4 interception.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"La phrase: Kyle Milling (Limoges)): «Ici tu es en danger tout le temps»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est la phrase prononcée par le coach du Limoges CSP à notre consoeur de L’Equipe, Liliane Trévisan. Kyle Milling connaît aussi deux chiffres: 11 coaches en 12 ans pour le carnivore de la Jeep Elite.\\n\\nCes rappels tombent à un moment où le CSP est de nouveau dans la tourmente. Alors qu’il paraît sur le papier capable d’intégrer le top 4 du championnat, il en est pour l’instant à 2 victoires et 3 défaites. Or, en fin d’après-midi, il sera face à face avec le leader invaincu, Villeurbanne, dans son antre de l’Astroballe.\\n\\nLe coach et le directeur sportif Olivier Bourgain veulent être patients avec une équipe dont l’ossature est constituée de Français. Certes. Mais rien n’est simple à Limoges et l’épisode Samardo Samuels qui a fait pénitence trois semaines après avoir insulté son coach avant d’être réintégré à la surprise générale en est le dernier épisode. Le CSP doit aussi se battre chaque semaine sur le front de l’Eurocup (1 victoires et 2 défaites).\\n\\nEn cas de défaite à l’Astroballe, l’équipe limougeaude devra absolument se refaire la cerise samedi prochain à Beaublanc face à Cholet. Sinon Kyle Milling sera probablement encore plus en danger qu’à l’ordinaire.\\n\\nPhoto: CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Boulazac vainqueur de Nanterre: Merci Nicolas De Jong !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On s’en doutait, c’est confirmé sur le terrain: Boulazac a fait une excellente affaire en enrôlant le pivot franco-néerlandais Nicolas De Jong (2,10m, 30 ans). Depuis le début de saison, c’est à dire en 6 matches, il tourne à 16,7 points (71,2% aux shoots!), 5,3 rebonds et 1,5 passe en 27′.\\n\\nLe néo-Boulazacois est ainsi le 7e marqueur et le 2e français derrière Ali Traoré, le 3e à l’adresse au tirs et le 24e rebondeur.\\n\\nLe site de la LNB est revenu récemment sur la trajectoire de l’international néerlandais qui avait effectué une bonne saison avec Saragosse (8,7 points et 3,8 rebonds) et qui paraissait devoir rester en Espagne.\\n\\n« Oui, c’est vrai. Mais comme j’avais connu cette année un peu difficile au niveau du club, j’avais aussi le souci de ne pas signer à n’importe quelle condition. Parce qu’en Espagne, il y a deux univers : celui des gros clubs et l’autre, celui des plus petits clubs. Ce que je cherchais, c’était donc une équipe de milieu de tableau, sachant que chez les gros, je suis lucide, je n’y ai pas ma place. J’ai eu pas mal de touches, mais ça ne s’est pas concrétisé. J’aurais pu signer dans un club de bas de tableau, mais j’ai 30 ans, je viens d’avoir mon deuxième enfant, je n’étais pas prêt à prendre les risques liés à ce type de clubs : les retards de paiement éventuels, tout ça. »\\n\\nLa raison de sa venue à Boulazac répond simplement à la loi de l’offre et de la demande:\\n\\n« En fait, Andorre m’a invité à venir faire la prépa avec eux en proposant d’abord un contrat jusqu’à fin septembre, en me disant, ça peut continuer après. J’y suis allé, en me disant on verra bien où ça mène. Là, Thomas Andrieux m’a appelé en me décrivant le projet de Boulazac. J’ai de suite bien aimé leur projet, mais surtout la manière de me le présenter. Lui m’a dit : on cherchait un Américain sur le poste 5, mais on a découvert que tu étais encore sur notre marché. Alors, Claude Bergeaud et lui se sont dit : autant prendre un Français alors que Nicolas, qui correspond au profil, est disponible ? La démarche m’a plu, parce que ça me touche qu’il y ait encore des clubs qui se soucient de donner une orientation plus axée sur les JFL ou française... Je suis donc arrivé à Boulazac fin août, en plein milieu de la préparation. »\\n\\nHier soir, le BBD s’est offert Nanterre (83-78) et son « steal » de l’été est sorti du match avec la couronne de MVP avec 21 points à 8/14 aux tirs, 3 rebonds et 2 passes, alors que l’Américain d’en face, Julian Gamble, s’est contenté de 11 points et 1 rebond. Merci qui? Merci Nicolas De Jong !"
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : Rodrigue Beaubois retrouve du poil de la bête"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il n’y a plus que trois clubs invaincus en Euroleague. Olympiakos a dû mettre un genou à terre face à Milan et il n’y a donc plus que le Real Madrid, le CSKA Moscou et Fenerbahçe seuls au sommet. Les champions en titre madrilènes ont de nouveau justifié leur rang face à Vitoria (97-79) quand Fenerbahçe a davantage lutté pour se débarrasser du Zalgiris (82-75).\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLa bonne nouvelle de la soirée est la belle performance de Rodrigue Beaubois qui se remet en selle avec 26 points dans la victoire sur le fil d’Istanbul contre le Khimki Moscou (85-84). Adrien Moerman (12 points, 9 rebonds) et Fabien Causeur (11 points) ont également bien contribué à la victoire de leur équipe.\\n\\n\\nDogus Balbay sauve l’Efes sur un tir miraculeux !\\n\\nLe Khimki pensait bien obtenir sa première victoire de la saison face à l’Efes Istanbul. A +2 à 10 secondes de la fin, Moscou avait le match en mains, mais Rodrigue Beaubois remonte le terrain à toute allure et sert Dogus Balbay qui décoche une flèche qui perce le coeur du Khimki (85-84). Malgré un énorme effort pour revenir en dernier quart, dont 14 points en 4 minutes d’Alexey Shved, c’est bien Istanbul qui s’en sort d’une courte tête.\\n\\nAprès deux rencontres ratées, Rodrigue Beaubois a retrouvé la marche avant, avec 26 points, 4 rebonds et 4 passes. Il termine à un brillant 30 d’évaluation, bien accompagné par Adrien Moerman à 12 points et 9 rebonds (pour 18 d’éval’). Les deux Français de l’Efes ont les deux meilleures notes de leur équipe !\\n\\n\\nMilan confirme\\n\\nPas loin de faire tomber le Real Madrid, Milan a confirmé sa bonne forme de ce début de saison en faisant chuter l’Olympiakos sur son parquet (99-75). Mike James (22 points, 5 passes) et Nemanja Nedovic (20 points dont 18 en 2e mi-temps, plus 4 rebonds, 4 passes, 3 interceptions) ont été au diapason pour étriller des Reds pas dans leur assiette. Vladimir Micov (19 points) a également été diabolique derrière l’arc pour cette victoire fleuve.\\n\\nPour la troupe hellène, ça a coincé à trois points pour le coup : 2/13 au final ! Nikola Milutinov (15 points, 10 rebonds) continue quant à lui son début de saison canon. Axel Toupane (2 points) a lui bu la tasse avec son équipe.\\n\\n\\nLe Real déroule\\n\\nMénagé avec seulement 10 minutes de jeu mercredi, Sergio Llull a éclaboussé de toute sa classe ce duel espagnol contre Vitoria hier soir. Avec 23 points et 4 passes, le meneur madrilène a été le maestro de la soirée, avec des tirs arc en ciel dont il a le secret. Le Real a placé un coup d’accélérateur en fin de 3e quart avec un 9-0. Et pour faire le trou définitivement, c’est un 17-3 qu’a encaissé Vitoria en dernier quart pour assurer une 3e victoire de rang du Real (97-79).\\n\\nRudy Fernandez (14 points à 4/5 à trois points) a été saignant derrière l’arc et le tout récent joueur français de l’année, Fabien Causeur (11 points) a lui aussi retrouvé de l’éclat après un 0 pointé au dernier match. Petit match pour Vincent Poirier à 8 points et 2 rebonds. Vitoria ne rassure pas en ce début de campagne...\\n\\n\\nLe Zalgiris encore trop court\\n\\nÇa partait bien pour le Zalgiris face au poids lourd Fenerbahçe. Avec un bel avantage de 16 unités (38-22) en 2e quart, les coéquipiers d’un Nate Wolters survolté menaient la vie dure à un prétendant. Mais un 9-0 du Fener a de nouveau inversé la tendance. En dernier quart, Kostas Sloukas (20 points, 5 passes) et Luigi Datome (11 points) ont fait la différence pour garder leur équipe invaincue (82-75).\\n\\nLe Fener a surtout été d’une précision chirurgicale en 2e mi-temps avec un 17/25 aux tirs dont 7/10 à trois points ! Dans le duel des Alsaciens, Joffrey Lauvergne (8 points) l’a donc emporté sur Léo Westermann (5 points). A une victoire en trois matchs, Kaunas se cherche encore à l’image d’Aaron White, Edgaras Ulanovas ou Antanas Kavaliauskas, des piliers du groupe encore aux abonnés absents en ce début de saison...\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nRodrigue Beaubois (Istanbul) : 26 points (7/16 aux tirs), 4 rebonds, 4 passes, 1 balle perdue en 31 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 13 points (5/8 aux tirs), 2 rebonds, 2 balles perdues en 22 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Istanbul) : 12 points (5/9 aux tirs), 9 rebonds, 3 interceptions, 1 contre, 1 balle perdue en 30 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 11 points (4/7 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 2 balles perdues en 20 minutes\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 10 points (3/11 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 29 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 8 points (2/4 aux tirs), 2 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 1 balle perdue en 18 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 8 points (3/5 aux tirs), 2 passes, 1 rebond, 1 balle perdue en 14 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 6 points (3/4 aux tirs), 1 rebond en 6 minutes\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 5 points (2/4 aux tirs), 3 rebonds, 2 balles perdues en 16 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 3 points (1/3 aux tirs), 2 interceptions, 1 passe en 17 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 2 points (1/6 aux tirs), 4 passes, 3 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 14 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 2 points (1/4 aux tirs), 1 passe, 1 interception en 13 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nLuca Vildoza est un virtuose. Sur cette action, le jeune meneur argentin de Vitoria se lance dans un slalom très spécial avec petit pont sur Gustavo Ayon avant d’éliminer Fabien Causeur pour le layup main gauche. Une action de soliste, mais du grand art tout de même !\\n\\n\\n\\n\\nThrough the legs from @LucaVildoza 👀#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/IPcXVDxf1X\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) October 19, 2018\\n\\n\\nLe programme de la 3ème journée\\n\\nJeudi 18 octobre :\\nCSKA Moscou – Darussafaka (79-75)\\nPanathinaikos – Gran Canaria (102-87)\\nPodgorica – Maccabi Tel Aviv (68-78)\\nBarcelone – Bayern Munich (83-73)\\n\\nVendredi 19 octobre :\\nKhimki Moscou – Efes Istanbul (84-85)\\nZalgiris Kaunas – Fenerbahçe (75-82)\\nOlympiakos – Milan (75-99)\\nReal Madrid – Vitoria (97-79)\\n\\n[armelse]\\nLa bonne nouvelle de la soirée est la belle performance de Rodrigue Beaubois qui se remet en selle avec 26 points dans la victoire sur le fil d’Istanbul contre le Khimki Moscou (85-84). Adrien Moerman (12 points, 9 rebonds) et Fabien Causeur (11 points) ont également bien contribué à la victoire de leur équipe.\\n\\n\\nDogus Balbay sauve l’Efes sur un tir miraculeux !\\n\\nLe Khimki pensait bien obtenir sa première victoire de la saison face à l’Efes Istanbul. A +2 à 10 secondes de la fin, Moscou avait le match en mains, mais Rodrigue Beaubois remonte le terrain à toute allure et sert Dogus Balbay qui décoche une flèche qui perce le coeur du Khimki (85-84). Malgré un énorme effort pour revenir en dernier quart, dont 14 points en 4 minutes d’Alexey Shved, c’est bien Istanbul qui s’en sort d’une courte tête.\\n\\nAprès deux rencontres ratées, Rodrigue Beaubois a retrouvé la marche avant, avec 26 points, 4 rebonds et 4 passes.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nCrédits photo : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Lattes-Montpellier/Lyon: La belle soirée de Romane Bernies"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La meneuse Romane Bernies (1,70m, 25 ans) n’est pas la plus connue des internationales qui peuplent l’équipe de Lattes-Montpellier mais hier soir elle a été remarquable dans le large succès (80-63) sur Lyon qui venait de tomber Bourges.\\n\\nSa ligne de stats: 11 points, 8 passes, 6 rebonds et 5 interceptions. Elle peut simplement regretter d’avoir manqué un peu trop souvent la cible (3/9).\\n\\nAlors que l’on a joué La Marseillaise en ouverture du match et que la (petite) salle était comble de 1 300 spectateurs, les Gazelles ont mené du début à la fin mais ce n’est que dans le dernier quart-temps (21-8) qu’elles se sont détachées. La paire lyonnaise Clarissa Dos Santos (10 points mais à 3/11, 13 rebonds)-Alysha Clark (18 points) leur a donné du fil à retordre.\\n\\n« Comment ne pas être satisfait après une telle soirée... Il y a tout eu, la victoire notamment et les filles ont été solides face à un rival de très haut niveau », a commenté le coach Rachid Meziane au Midi Libre.\\n\\n\\n\\n\\n🤩 Cette année, le BLMA innove et devient le premier club pro à instaurer l’hymne nationale à chaque début de rencontre #Fierté #BLMA #GoGazelles 🔵⚪️ pic.twitter.com/ppTnLwmWdT\\n\\n\\n— BLMA (@BasketLMA) October 20, 2018\\n\\nPhoto: BLMA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce: Le Panathinaikos annonce 9 702 abonnements"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Panathinaikos annonce avoir vendu 9 702 abonnements, un record de tous les temps en Grèce détenu depuis 2009 par l’ennemi juré, l’Olympiakos avec 8 900 en 2009. Le Pana a installé des appareils à l’entrée de l’OAKA afin de permettre aux spectateurs d’entrer dans la salle en se servant de leur téléphone pour montrer leur billet de match.\\n\\nA priori le record des clubs d’Euroleague est l’apanage de Baskonia Vitoria avec environ 10 000 abonnements."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pierre Fosset (président de Bourges): «On a des internationales aussi parce qu’on a des conditions de travail exceptionnelles»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à notre dossier paru hier sur la Ligue Féminine, il est intéressant de demander ses commentaires à Pierre Fosset, 65 ans, l’immuable président du Tango Bourges Basket, trois fois vainqueur de l’Euroleague et qui a accroché en fin de saison dernière une 14e étoile nationale à son palmarès. Il nous parle de la concurrence qui est féroce cette saison -on l’a constaté mercredi avec la large défaite des Tango à Lyon-, de l’envie d’avoir encore davantage de spectateurs, du contrat de Marine Johannès, plein d’autres choses encore.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLes clubs affichent une moyenne de 1,8 million d’euros de budget avec une augmentation de 17% en quatre ans. C’est un signe d’une vivacité générale ou ce sont des locomotives qui font augmenter ce budget moyen ?\\n\\nLes deux. Il y a des gens, des nouveaux présidents, qui sont arrivés dans les clubs et qui veulent développer le basket féminin. Cette saison, il y a de plus en plus d’équipes qui vont vouloir vraiment aller chercher le titre. On ne l’a pas trop vu à l’Open car les grosses écuries ont plutôt joué contre des équipes qui n’étaient pas prêtes, si bien qu’on n’a pas vu vraiment la valeur de Montpellier et Lyon, mais de ces deux équipes là plus Bourges, Charleville voire Villeneuve, je ne sais pas qui va gagner les matches. Et en plus on peut supposer qu’il y en a une que l’on ne connaît pas trop et qui va arriver dans la boucle comme Tarbes l’an dernier.\\n\\nIl y a vingt ans, le budget moyen n’était que de 400 000€, ça fait un sacré boom ?\\n\\nOui. Quoi que les gens puissent dire ou penser, il y a eu une dynamique du basket féminin parce que Bourges a eu des résultats et puis il y a eu un mouvement sur le sport féminin en général même si ça ne progresse pas aussi vite qu’on le voudrait.\\n\\nVotre club a initié en 2013 des assises pour participer à la reconnaissance du sport féminin. Ressentez-vous depuis quelques années une prise de conscience de l’intérêt de mettre en valeur la femme sportive ?\\n\\nHonnêtement, on a envie de développer le sport féminin et tout ce qui est autour de la femme sauf qu’à un moment donné, on ne va pas assez vite dans les prises de décision. On a envie de faire une vitrine mais on n’ose pas trop y aller quand même. Le foot féminin progresse. L’équipe nationale, Lyon, Montpellier passent à la télé. L’équipe nationale de hand y a toujours été. Sauf qu’on y va quand même à petit pas, on met le frein. C’est comme si on se disait, « on va développer le sport féminin, c’est dans l’air du temps, il y a des choses intéressantes à faire mais les gonzesses, elles ne vont quand même pas nous faire chier tout de suite ! » Lorsqu’on a fait les assises et que Thierry Braillard était ministre des sports et que l’on discutait, j’ai dit qu’il fallait rendre les choses obligatoires par la loi. Sinon, on aura froid à un moment donné, il faudra mettre un manteau. On a envie de le faire mais on n’ose pas. Mais dans les salles, il y a du monde. Et quand on fait Charleville-Bourges à l’Open, on voit un match de basket quand même ! Et il y a des clubs qui n’ont pas fait de préparation à cause des championnats du monde. Nous, on n’avait que huit jours d’entraînement. On a récupéré nos filles le vendredi soir pour un entraînement et le samedi après-midi on était au pré-Open à Tours. On a une qualité de jeu parce qu’on n’a pas beaucoup changé l’effectif de la saison dernière.\\n\\nIl y a 54 internationales dans le championnat dont 19 qui ont participé à la Coupe du monde en Espagne. C’est pas mal du tout ?\\n\\nA Bourges, en plus des étrangères sur les 10, on a 7 internationales entre les A et Iliana Rupert qui est en jeune puisqu’elle n’a que 17 ans. Et l’Espagnole (Cristina Ouvina) et les deux Canadiennes (Katrine Plouffe et Nayo Raincock-Ekunwe) sont aussi internationales. A Bourges, on a des internationales aussi parce qu’on a des conditions de travail exceptionnelles. Il y a des garçons qui n’ont pas du tout le matériel que l’on a avec les vestiaires, les jacuzzi, la salle de muscu.\\n\\nÇa joue beaucoup dans le recrutement ?\\n\\nOui. Quand on a discuté avec Iliana, l’année d’avant elle avait été championne d’Europe (U16) à Bourges et elle avait vu les vestiaires de l’équipe et les installations. Je ne compare pas avec l’INSEP mais par rapport aux autres clubs. Elle s’est dit, si je viens ici, j’ai du matériel pour travailler et pour progresser. Je suis persuadé que ça joue. Médicalement, le club a investi dans un centre, qui s’appelle Orthocentre, qui a ouvert au mois de mars où on a des chirurgiens, des kinés, des médecins. Toutes nos filles vont faire des examens sur place, des prises de sang, tout. Elles ont été stupéfaites des installations. C’est un kiné qui a monté ça avec nous et d’autres actionnaires. On est associé avec la clinique à Bourges et le centre se trouve à côté. C’est au top niveau. Le kiné est celui de l’équipe de France de BMX. On y va quand on veut. On a une kiné à plein temps mais si on a problème, tac, on monte là-haut.\\n\\n« Je pense que la mentalité et l’ambiance dans le groupe a été pour moitié dans nos victoires de l’an dernier »\\n\\n+42% d’augmentation de partenariat privés sur la même période. Ca veut dire que les clubs sont beaucoup moins sous l’assistanat du public ?\\n\\nJe pense qu’il y a des clubs qui ont augmenté leur partenariat privé et d’autres beaucoup moins, ce qui fait une moyenne de 42. Je pense que sur Montpellier ce n’est pas le cas ! Par contre sur Bourges, ça l’est.\\n\\nUn moment, vous aviez la plus petite subvention des collectivités de la Ligue Féminine ?\\n\\nJe crois. Aujourd’hui on est à 34%. Je crois que c’est encore le cas. Je n’ai pas vu tous les chiffres car je n’étais pas à l’Assemblée Générale mais on va nous les envoyer par mail et je vais scruter ça. J’ai un DG et c’est lui qui fait les réunions maintenant (rires).\\n\\nQuelles sont les fonctions de ce Directeur Général, Valentin Cavelier ?\\n\\nQuand je ne suis pas là, c’est lui qui prend les décisions. Il n’est pas que sur le sportif mais sur tout le fonctionnement du club. Depuis qu’il est là, ce n’est plus moi qui gère le personnel.\\n\\nVous, vous êtes un président salarié ?\\n\\nOui depuis 2013. Lui, c’est le numéro 2 ou le numéro 1bis.\\n\\nAutre chiffre : il y a cette saison trois championnes WNBA en Ligue Féminine. Un record assez étonnant ?\\n\\nCe n’est pas ma tasse de thé (rires).\\n\\nVous pensez que les Américaines ont une mentalité à part ?\\n\\nOui. On n’en a pas eu énormément à Bourges. Si on nous en propose une et même si le coach est d’accord, je veux regarder. L’an dernier, on a eu un super groupe. Je l’ai dit et redit et parfois on me prend pour un vieux con car je répète les choses mais ça fait des années que je n’avais pas eu un plaisir comme celui de gérer l’équipe de l’an dernier, hormis les résultats. Dans la mentalité, le fonctionnement, c’était un groupe super. Et cette année, c’est parti pour être la même chose. Je ne veux pas prendre une joueuse qui fout le bordel là-dedans. Je pense que la mentalité et l’ambiance dans le groupe ont été pour moitié dans nos victoires de l’an dernier. Je ne vais pas être non plus négatif à 100%, on a eu de bonnes Américaines, mais bon, elles ont une autre culture que celle que l’on a en Europe.\\n\\nVous avez KB Sharp ?\\n\\nKB c’est l’exception (rires). C’est une fille hyper sympa !\\n\\n« Marine a besoin de faire l’Euroleague. Lyon va faire l’Eurocup. Quand ils feront l’Euroleague, Marine ne sera pas forcément loin de Lyon ou elle partira à l’étranger »\\n\\nAvez-vous été surpris d’apprendre que le salaire moyen des joueuses est légèrement supérieur à celui des joueurs de Pro B ?\\n\\nJe ne suis pas trop étonné. J’avais vu les salaires de Pro B sur votre site. La Ligue Féminine a augmenté ses budgets et ses salaires. A mon avis, ça vient du fait que Lyon veut faire des résultats avec l’arrivée de Tony (Parker) qui, je pense, est un mec sérieux. Il a trouvé des moyens. Ça fait des années que Charleville veut gagner un trophée et ils se structurent de plus en plus. Montpellier avec l’arrivée d’un nouveau président qui met des moyens dans le basket féminin. Je pense que la ville de Montpellier est pro basket féminin. On est aussi pour quelque chose dans le fait que tout ça est tiré vers le haut.\\n\\nSur les dernières années, c’est plutôt le salaires des Françaises qui ont augmenté ou celui des étrangères ?\\n\\nLes salaires des Françaises, pas mal, je pense. Les étrangères aussi mais en 1995, à quelque chose prêt, j’avais les mêmes salaires pour les étrangères.\\n\\nVous aviez à l’époque ce qui était quasiment de mieux en Europe ?\\n\\nOui. Avec une joueuse comme (Elena) Koudashova, on avait le top niveau. On n’avait pas en face des Ekaterinbourg et des Orenbourg qui ont fait exploser les salaires.\\n\\nCe qui fait la différence entre Montpellier et Bourges et les gros clubs d’Euroleague, c’est que vous ne pouvez pas vous offrir les joueuses de Team USA ?\\n\\nIl n’y a pas un club en France qui a les moyens. Elles sont à 1,5 million de dollars. Breanna Stewart, qui a signé à Koursk, je ne peux pas donner un chiffre exact, mais c’est au moins 1,3M pour sept mois de l’année. Et c’est en net. Plus les primes, les machins, les trucs. Si nous on donne 1,5 million, ça coûte quasiment 90% en plus toutes charges comprises. On n’est pas prêt de les avoir.\\n\\nAvez-vous eu un choc quand vous avez eu connaissance du recrutement de Montpellier ?\\n\\nOn se pose toujours des questions même si j’aime m’occuper de ce qui me regarde. On sait à peu près ce que l’on donne aux joueuses françaises... Que Montpellier monte une grosse équipe, c’est très bien pour le basket mais on a tellement eu l’habitude de voir dans le basket féminin des gens qui montaient des équipes et puis deux ans après on apprenait qu’il y avait des problèmes derrière... Je fais confiance et en plus, il y a des contrôles de gestion. Je souhaite que Montpellier fasse un beau championnat, s’ils le gagnent pas de soucis... Je ne connais pas les gens, je ne sais pas. Mais je ne suis pas le seul à avoir cette réflexion-là. Ce qu’il faut se rappeler c’est qu’à Montpellier, avant que René Comes arrive (NDLR : l’ancien président), ils ont été dans l’œil du cyclone et ils ont failli disparaitre. Ce n’est pas Montpellier qui disparait, ce sont des gens qui déconnent. Mais là, je ne vois pas pourquoi je ne ferais pas confiance aux dirigeants de Montpellier.\\n\\nC’est financièrement que vous n’avez pas pu conserver Diandra Tchatchouang ?\\n\\nC’est elle qui a souhaité partir pour un nouveau challenge. Je ne suis pas persuadé qu’elle soit partie pour des raisons financières. Je ne pense pas qu’elle gagne plus qu’à Bourges.\\n\\nLyon était intéressé par Marine Johannès. Vous avez dû vous aligner pour la conserver ?\\n\\nJe ne pense pas qu’il y ai eu de guerre avec Lyon sur Marine. Je pense que sportivement à l’heure actuelle on est au-dessus de Lyon. Marine a besoin de faire l’Euroleague. Lyon va faire l’Eurocup. Quand ils feront l’Euroleague, Marine ne sera pas forcément loin de Lyon ou elle partira à l’étranger.\\n\\nElle a resigné cette année ?\\n\\nDeux ans avec évidemment une clause au bout d’une année.\\n\\nPour l’étranger ?\\n\\nPas forcément. C’est 1+1.\\n\\nDe combien est votre budget cette saison et avez-vous l’impression d’être au taquet ?\\n\\nOn est à 3,4 presque 3,5M€. C’est pour ça aussi que j’ai pris un DG, pour qu’il arrive à développer un peu plus le club notamment au niveau du marketing. On a quelques idées mais on reste dans une économie départementale où on n’a pas énormément de grosses entreprises et faut aller chercher du financement ailleurs.\\n\\nAu niveau spectateurs, à combien êtes-vous ?\\n\\n3 600* de moyenne en comptant le championnat et l’Euroleague. On part toujours sur une moyenne de 25 matches. On veut augmenter le public. On est en train de travailler avec d’autres villes à côté de nous. On met en place un système de bus pour aller chercher des gens dans des villes proches de Bourges, 30-40km, en faisant un package entrée-trajet. Ça évite aux gens de prendre leur voiture. On a Vierzon, Sancerre, Saint-Amand-Montrond, Aubigny. Ce ne sont pas des villes de 200 000 habitants, évidemment, mais de grosses villes du département.\\n\\n« A Bourges, les gens étaient contents que l’on gagne ce 14e titre. On a été accueilli à la mairie, c’était bourré »\\n\\nEtes-vous satisfait de la couverture médiatique du basket féminin en France si on le compare avec 2008 ou 1998 ?\\n\\nNon. Ça a très peu progressé. On a peu de télévision même s’il y a du développement au niveau de l’équipe nationale. C’est pour ça que je dis qu’à un moment il faut imposer par la loi au service public. Une chaîne privée qui n’a pas envie de passer du sport féminin, ça appartient à des actionnaire, ok, mais le service public ça appartient à tout le monde. On a France 2, France 3, France 4, d’autres chaînes. Qu’on ne me dise pas que l’on ne peut pas passer du basket féminin.\\n\\nOù en êtes-vous de la couverture de l’Euroleague ?\\n\\nOn n’a rien. La première année, on a eu SFR. Je pensais avoir signé pour deux ans et ils n’ont pas été cool sur le respect de leur parole. La deuxième année, ils nous ont dit non. On leur a demandé pourquoi. Parce qu’ils ont pris du basket masculin, l’Eurocup, l’Euroleague. C’est bien pour le basket mais pas le basket féminin. Et là, après le 31 mai et notre passage en contrôle de gestion, la FIBA nous impose une production télé. Avant, on faisait ça avec KeeMotion et ça nous coûtait quand même du blé et là, on nous a envoyé une belle lettre pour nous dire que KeeMotion, ce n’est pas assez performant et que l’on est obligé d’avoir une production avec cinq caméras. On a été chercher une boîte de production à Mont-de-Marsan et ça va me coûter 40 000 euros. Voilà.\\n\\nEt vous ne récupérez pas d’argent de la part de télévisions étrangères ?\\n\\nQue dalle ! La FIBA nous donne 10 000 euros pour la participation sauf qu’à un moment donné ils nous ont obligés à prendre K-Motion qui coûtait plus que ça. On avait des contrat de trois ans avec eux qu’on est obligé d’assumer jusqu’à la fin avant de remettre donc 40 000 euros sur une autre production. On en a pour 55 000 de production.\\n\\nVos matches seront visibles Dailymotion gratuitement ?\\n\\nOui et on va essayer de les faire commenter en français, ça ne nous coûtera pas plus cher. Pour l’instant ils ne nous ont pas encore obligés à avoir des commentateurs en anglais, ça va peut-être venir. Je pense qu’à l’avenir la production avec cinq caméras sera aussi obligatoire en Eurocup.\\n\\nPour vous, c’était très important de gagner un 14e titre de champion de France car vous avez ainsi battu le record du Clermont Université Club. Est-ce que ça représentait quelque chose pour les gens autour ?\\n\\nOn va nous honorer lors de l’Assemblée Générale de la Fédération à Avignon pour ces 14 titres où je serai présent. Je suis content pour mon club car ça va se savoir. On va être reconnu par nos pairs. A Bourges, les gens étaient contents que l’on gagne ce 14e titre. On a été accueilli à la mairie, c’était bourré. Le journal d’ici, Le Berry, il s’en occupe du basket féminin. Il y a eu les journalistes Hervé Le Fellic et Christian Ragot et les jeunes qui sont arrivés derrière s’en occupent aussi. Il y a une bonne couverture médiatique locale aussi les gens du département du Cher étaient au courant que l’on battait un record historique. J’ai une voiture de fonction par un partenaire qui a été changée au mois de juin et ils ont mis les 14 étoiles dessus. Je n’avais rien demandé.\\n\\nVous avez aussi ces 14 étoiles sur le maillot, de côté. Vous avez toujours aussi les 3 d’Euroleague ?\\n\\nBien sûr. Pas sur les maillots d’Euroleague car c’est contrôlé et on n’a pas pu mettre les 7 et 7 et puis ça n’aurait pas de sens. Mais on met les 3 d’Euroleague.\\n\\n*10 des 18 clubs de Jeep Elite présentent une moyenne de spectateurs inférieure et sur moins de matches.\\n\\n[armelse]\\n\\nLes clubs affichent une moyenne de 1,8 million d’euros de budget avec une augmentation de 17% en quatre ans. C’est un signe d’une vivacité générale ou ce sont des locomotives qui font augmenter ce budget moyen ?\\n\\nLes deux. Il y a des gens, des nouveaux présidents, qui sont arrivés dans les clubs et qui veulent développer le basket féminin. Cette saison, il y a de plus en plus d’équipes qui vont vouloir vraiment aller chercher le titre. On ne l’a pas trop vu à l’Open car les grosses écuries ont plutôt joué contre des équipes qui n’étaient pas prêtes, si bien qu’on n’a pas vu vraiment la valeur de Montpellier et Lyon, mais de ces deux équipes là plus Bourges, Charleville voire Villeneuve, je ne sais pas qui va gagner les matches. Et en plus on peut supposer qu’il y en a une que l’on ne connaît pas trop et qui va arriver dans la boucle comme Tarbes l’an dernier.\\n\\nIl y a vingt ans, le budget moyen n’était que de 400 000€, ça fait un sacré boom ?\\n\\nOui. Quoi que les gens puissent dire ou penser, il y a eu une dynamique du basket féminin parce que Bourges a eu des résultats et puis il y a eu un mouvement sur le sport féminin en général même si ça ne progresse pas aussi vite qu’on le voudrait.\\n\\nVotre club a initié en 2013 des assises pour participer à la reconnaissance du sport féminin. Ressentez-vous depuis quelques années une prise de conscience de l’intérêt de mettre en valeur la femme sportive ?\\n\\nHonnêtement, on a envie de développer le sport féminin et tout ce qui est autour de la femme sauf qu’à un moment donné, on ne va pas assez vite dans les prises de décision. On a envie de faire une vitrine mais on n’ose pas trop y aller quand même. Le foot féminin progresse. L’équipe nationale, Lyon, Montpellier passent à la télé. L’équipe nationale de hand y a toujours été. Sauf qu’on y va quand même à petit pas, on met le frein. C’est comme si on se disait, « on va développer le sport féminin, c’est dans l’air du temps, il y a des choses intéressantes à faire mais les gonzesses, elles ne vont quand même pas nous faire chier tout de suite ! »\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Sarah Michel, Katherine Plouffe, Marine Johannès (FIBA) et Nayo Raincock-Ekunwe (LNB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"FFBB: L’Assemblée Générale valide la mise en place du plan stratégique FFBB et Club 3.0"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Assemblée Générale de la FFBB s’est tenue au Palais des Papes à Avignon. Le rapport moral et le budget ont été votés à l’unanimité ainsi que la modification des statuts de la fédération permettant l’affiliation de nouvelles structures, indispensable à la mise en place du plan stratégique FFBB 2024 et Club 3.0.\\n\\nLe président Jean-Pierre Siutat a souhaité rendre hommage à Yvan Mainini. Il a annoncé la transformation de la plus haute distinction du basket français, la médaille Robert Busnel, qui devient le « Trophée Robert Busnel – Yvan Mainini » ainsi que le changement de nom du CFBB en « Pôle France BasketBall – Yvan Mainini ». Il a ensuite centré son discours sur la transformation du sport et de sa consommation. L’Assemblée Générale a ainsi validé la modification des statuts de la fédération, autorisant des structures privées à s’affilier à la FFBB et de permettre à un plus grand nombre de personnes de pratiquer librement le basket.\\n\\nLe 3×3 fait également partie des évolutions de la FFBB qui structurent et organisent le basket sur l’ensemble du territoire avec le lancement du premier championnat de 3×3 en France dès novembre 2018. Le projet prend en compte également toutes les pratiques non compétitives, appelées Vivre Ensemble, comme le Basket Santé, le Basket Tonic, le Basket Entreprise, etc.\\n\\nIl est à noter l’augmentation significative du budget de la FFBB : +13,6 M d’€ en 6 saisons."
}, 
{"role": "user",     "content":"Radiographie de la Ligue Féminine: Une joueuse gagne désormais autant qu’un joueur de Pro B !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sportivement et financièrement, la Ligue Féminine de Basket et ses 12 clubs sont sur une pente ascendante. Au point que les joueuses sont aujourd’hui autant payées que les joueurs de Pro B. Voici pourquoi.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n« Le niveau est monté d’un cran cette année, c’est impressionnant. Il y a de gros effectifs partout, il n’y a pas de petits. Il y a des années où l’on pouvait presque faire l’impasse sur certaines équipes alors que cette année il n’y a pas une contre qui on peut se relâcher. Et les grosses sont vraiment très grosses. Je ne sais pas si j’ai connu une saison où il y a eu autant de grosses équipes, une telle homogénéité. Cette année, on ne peut pas dire qui va être champion de France. Ça démontre qu’il y a une grosse concurrence. »\\n\\nC’est une experte qui porte ce jugement. Avant d’être la coach de Basket Landes, Cathy Melain a passé douze saisons comme joueuse en Ligue Féminine. La double championne d’Europe, trois fois vainqueur de l’Euroleague, reflète le sentiment général.\\n\\nLa LFB est sportivement et financièrement en bonne santé et ses décideurs ont pu faire part à l’auditoire, vendredi lors de la conférence de presse d’avant-saison, d’une kyrielle de chiffres impressionnants pour du basket féminin en Europe. 37 officiels, arbitres, table de marque, statisticiens, et 100 bénévoles, ainsi que les services de la FFBB et de la LFB ont été réquisitionnés pour le 14e Open à Coubertin qui réunit les douze équipes du championnat et qui s’est associé à la MAIF, une société d’assurance mutuelle. Chaque année, c’est un total de 6 000 spectateurs qui investissent la salle du XVIe arrondissement parisien, même si les gradins apparaissent parfois clairsemés du fait que les supporters ne sont souvent attentifs qu’à leur équipe favorite. En marge des matches, l’Open est aussi propice pour certains au business comme l’explique ce reportage de France 3 Nouvelle Aquitaine à propos de Basket Landes.\\n\\nDurant les trois jours de l’Open, la Ligue Féminine a été fière de communiquer sur trois chiffres phare : 54 internationales dont 19 ayant participé cet été à la Coupe du monde en Espagne garnissent ses rangs plus trois Américaines ayant remporté le titre WNBA 2018 avec le Seattle Storm : Alyssa Clark (Lyon) -membre du 5 majeur avec 7,4 points et 3,5 rebonds-, Kaleena Mosqueda-Lewis (Charleville) et Samantha Whitcomb, laquelle en tant que naturalisée a pu en sus gagner une médaille d’argent avec l’Australie quelques jours plus tard à la Coupe du monde. Avec les retours en France d’Helena Ciak (ex-Koursk) et Endy Miyem (ex-Schio), ce sont 9 internationales françaises sur 12 qui sont intégrées au championnat national.\\n\\nPour compléter le tableau, il faut savoir que les racines françaises sont spécialement solides puisque 51 des 81 joueuses listées ont remporté au moins une médaille européenne dans les compétitions de jeune. Une étude qui exclue les double nationalités comme KB Sharp (Bourges) ou Mame Marie Sy Diop (Villeneuve d’Ascq). Et si, par exemple, la meneuse de La Roche/Yon, Caroline Hériaud, n’a pas de médaille de 5×5 autour du cou, elle a été plusieurs semaines cet été en tête du ranking mondial 3×3.\\n\\nUn autre record a été battu récemment, c’est celui du nombre de spectateurs pour la finale de la Ligue 2 entre Landerneau et Angers : 7 620 en trois matches dont 3 500 pour celui joué dans le Maine-et-Loire. A rendre jalouses certaines équipes d’Euroleague.\\n\\n« Le visuel de l’Open a été créé en discutant avec les capitaines et les clubs. » Irène Ottenhof\\n\\nLa directrice de la Ligue Féminine, Irène Ottenhof insiste sur le fait que l’instance travaille main dans la main avec ses clubs.\\n\\n« Le visuel de l’Open a été créé en discutant avec les capitaines et les clubs. C’est une vraie réussite collective. Un gros chantier a été fait sur les tenues des joueuses et plus particulièrement dans la volonté de mettre en valeur les sponsors des clubs. Un travail de longue haleine, de deux ans, en collaboration entre la LFB et les clubs. »\\n\\nUne autre coopération, sous l’égide fédérale, entre employeurs -les clubs- et employés -les joueuses et coachs- est en passe de mettre sur pied une convention collective.\\n\\n« Si on aboutit à la rédaction du texte, le basket féminin sera le premier sport collectif féminin à se doter d’un accord sectoriel. »\\n\\nMême si le basket féminin est très loin de l’éclairage médiatique du basket masculin -Jeep Elite et aussi Euroleague, Eurocup et Champions League sans parler de la NBA et de la NCAA-, il peut se targuer d’avoir été diffusé vingt fois par SFR/RMC Sport, en comprenant les matches de l’équipe de France, plus la couverture effectuée par le groupe Canal+ à l’occasion de la Coupe du monde en Espagne. A l’avenir, tous les matches de LFB, soit environ 150, seront diffusés sur LFBTV grâce au système KeeMotion. Les fans du premier cercle ne peuvent qu’être ravis.\\n\\n« Nos contenus de basket féminin, nos reportages, pastilles vidéos ont représenté 634 000 vues en cumulé », précise Irène Ottenhof.\\n\\nAutre nouveauté notable en 2018 : la Ligue Féminine a co-organisé avec la Ligue Nationale de Basket la Soirée des Trophées, en acceptant de calquer son règlement avec celui des hommes en élisant une MVP sans distinction de nationalité, en l’occurrence la Canadienne Nayo Raincock-Ekunwe de Nantes-Rezé. Pareille association est rare dans le sport mondial, celle entre la NBA et la WNBA ayant valeur d’exemple. L’opération va être reconduite le 20 mai 2019.\\n\\n« Une équipe de haut de tableau peut être en difficulté voir perdre contre une équipe de bas de tableau, ce qui est beaucoup, beaucoup plus rare en Russie ou en Italie où il y a un gap de niveau très important. » Endy Miyem\\n\\nLe niveau sportif de la Ligue Féminine a-t-il déjà atteint un tel niveau ?\\n\\n« Je n’ai pas connu l’époque où l’USVO et Bourges dominaient l’Euroleague. A priori ces années-là c’est ce qui se faisait de mieux en Europe », rappelle l’entraîneur de Bourges Olivier Lafargue, qui était au Stade Montois lorsque son club et Valenciennes s’étaient retrouvés en finale de l’Euroleague à Messine. « Actuellement ce qui se fait de mieux en Europe ce n’est malheureusement pas en France pour l’instant. Est-ce que ce sont les plus gros rosters depuis sept-huit ans ? C’est possible. Mais avoir des rosters, c’est bien, mais ce qui est important, c’est ce que l’on en fait. Je pense que chacun travaille pour avoir du beau basket et ce soir (Match des Champions face à Charleville) c’était plutôt un bon match. »\\n\\nSon collègue de Charleville-Mézières, Romuald Yernaux complète la vision d’ensemble :\\n\\n« Il n’y a pas de petites équipes. Il y a de gros effectifs et des équipes qui sont moins pléthoriques mais tout autant problématiques avec de vrais numéros 5. Tactiquement, ça va être très intéressant pour les coaches. Je pense que les matches à l’extérieur vont être durs à aller chercher. C’est un championnat qui sera plus serré peut-être que par le passé. »\\n\\nIntéressant aussi de connaître l’avis de Endy Miyem, qui vient de passer une saison en Russie, à Koursk, et deux autres en Italie, à Schio :\\n\\n« Je n’ai fait qu’un match pour l’instant mais en en parlant avec les filles, ce qui en ressort ici c’est que le championnat est beaucoup plus dense. Une équipe de haut de tableau peut être en difficulté voir perdre contre une équipe de bas de tableau, ce qui est beaucoup, beaucoup plus rare en Russie ou en Italie où il y a un gap de niveau très important. »\\n\\nDe fait, Famila Wüber Schio n’a perdu que six matches de saison régulière au cours des deux dernières saisons.\\n\\nLa capitaine des Bleues a donc rejoint les Gazelles de Lattes-Montpellier où figurent cinq internationales françaises ayant participé à la Coupe du monde (les meneuses Romane Bernies et Alix Duchet, l’ailière Diandra Tchatchouang et les intérieures Helena Ciak et Endy Miyem), plus une ancienne internationale de fraîche date (Marielle Amant), une championne WNBA, médaillée d’argent à la Coupe du monde (Samantha Whitcomb), une autre américaine (Taylor Wurtz) et une internationale slovène (Tina Trebec). Une véritable Dream Team, voire un épouvantail. Un retour en force au premier plan pour le double champion de France (2014 et 2016) qui s’est contenté de la septième place en 2018.\\n\\nComme Olivier Lafargue, son collègue de Bourges, adjoint comme lui de Valérie Garnier en équipe de France, Rachid Méziane a récupéré ses internationales juste quelques jours avant l’Open mais il les avait en fait déjà sous la main durant la campagne estivale des Bleues.\\n\\n« Oui, c’est plus facile car je connais les joueuses et on n’est pas sur un terrain inconnu mais j’ai à cœur de ne pas faire d’amalgame entre la fonction que j’occupe en équipe de France et celle au sein du BLMA. Evidemment, le fait qu’elles soient en équipe de France, ça aide d’avoir une meilleure connexion entre elles aussi avec leur équipe de club. J’ai eu la chance aussi de rencontrer à Tenerife Samantha Whitcomb qui était avec l’équipe australienne et c’est un entretien qui a permis de ne pas partir à zéro. »\\n\\nOutre Lattes-Montpellier, Bourges, qui a dominé Charleville (75-67) samedi lors du Match des Champions remportant ainsi pour la quatrième fois ce trophée en cinq ans d’existence, voit une autre armée se lever pour le concurrencer, celle du Lyon ASVEL féminin du président Tony Parker. Car si ses internationales françaises sont disons de deuxième niveau (Marième Badiane, Paoline Salagnac et Ingrid Tanqueray), l’équipe lyonnaise peut se prévaloir de la meneuse titulaire de Belgique, qui a fait des éclats à la Coupe du monde (Julie Allemand), d’une internationale canadienne excellente avec Tarbes (Michelle Plouffe) et d’une internationale brésilienne qui a précédemment montré tout son savoir-faire à Bourges et Charleville (Clarissa Dos Santos).\\n\\n« Plus forte que l’année dernière ? Sur le papier, oui. Maintenant il va falloir le prouver sur le terrain », commente Ingrid Tanqueray, qui revit après une saison quasi blanche à cause d’une blessure ligamentaire au genou. « Quand je vais sur le terrain, ça me donne envie et je suis vraiment heureuse d’être là. »\\n\\nOn ne l’a pas oublié : avec Alysha Clark (1,81m, 31 ans), qui jusque-là à passer l’hiver beaucoup de temps en Israël puis en Turquie et en Pologne, l’ASVEL a déniché une perle.\\n\\n« Ce n’est pas une surprise. Ça fait cinq ans que je suis sur elle. Je la connais par cœur. Je sais que c’est une joueuse complète, qui peut défendre, prendre des rebonds, qui fait des passes, qui peut scorer. Elle a besoin d’un collectif. Ce n’est pas une fille qui va prendre la balle et jouer toute seule. Il faut construire un collectif autour d’elle et pas pour elle, » détaille le coach Valérie Demory.\\n\\nLattes-Montpellier et l’ASVEL sont engagés cette saison en Eurocup et les deux équipes peuvent ambitionner d’y faire leur place au soleil et parallèlement de gagner leur billet pour l’Euroleague de 2019-2020.\\n\\n« On ne va pas se mentir, on ne cherche pas le top 4, mais c’est une compétition qui peut nous apporter un peu plus d’expérience, d’intensité. » Amel Bouderra\\n\\nEn attendant, l’édition 2018-19 concerne Bourges, Charleville et Villeneuve d’Ascq. Des trois, c’est forcément le club du Cher qui est le mieux armé pour viser les quarts-de-finale. Il y a dans l’effectif des joueuses talentueuses et aux dires du président Pierre Fosset une bonne alchimie.\\n\\n« On sait que quand tu es à Bourges, il faut que tu sois performant en championnat et en Euroleague, » rappelle Olivier Lafargue. « On va commencer la saison en se connaissant, ce qui est mieux par rapport à l’an dernier où il a fallu que l’on créé notre identité, notre groupe. Ceci dit, on n’a plus Ayayi, Tchatchouang et Palau. Il y a Lisa (Berkani) qui arrive et qui va apprendre à connaître ce qu’on lui demande, pareil pour Iliana (Rupert) qui n’était pas là ce soir (NDLR : face à Charleville). Avant de croire que l’on va être encore plus ambitieux en Euroleague, il va falloir que l’on avance dans notre équipe et savoir ce que l’on fait de notre basket. J’ai bon espoir que l’on soit prêt plus tôt que l’année dernière mais on sait que l’Euroleague c’est très costaud et cette année on sait que l’on en aura aussi des matches costauds en championnat. »\\n\\nBourges est inscrit en Euroleague sans discontinué depuis la saison 1995-96 ; un record d’Europe. A l’opposé, les Flammes Carolos de Charleville-Mézières vont la découvrir dans quelques jours.\\n\\n« Il y a forcément de l’excitation car c’est quelque chose que l’on voulait », apprécie Amel Bouderra, qui était déjà la meneuse du club en Nationale 1. « On ne va pas se mentir, on ne cherche pas le top 4, mais c’est une compétition qui peut nous apporter un peu plus d’expérience, d’intensité. Des choses que l’on peut apprendre pour les reproduire ensuite en championnat le week-end. On joue l’Euroleague, on joue le championnat français avec aussi des grosses équipes. On est content d’avoir un championnat aussi intense dès le début. Ça va nous mettre dans le bain tout de suite. »\\n\\nLe message du coach Romuald Yernaux est similaire :\\n\\n« C’est une expérience supplémentaire dans celle du club pour le sportif mais aussi pour tout ce qui est administratif. On prend ça avec beaucoup d’humilité. On sait que l’on va être dans le dur, qu’il va falloir jouer beaucoup à l’énergie. Il faut être à la fois ambitieux et raisonnable. Peu importe que l’on gagne ou perdre des matches, il faut que ça renforce l’équipe. Et peut-être que comme ça dans la deuxième partie de saison, ça nous permettra de jouer sur un niveau de dureté qui soit supérieur à ce que l’on a connu sur les années passées. On le prend comme un outil pour pouvoir progresser. Beaucoup de joueuses et moi-même qui allons découvrir. Il faut accepter de relever le niveau de difficulté pour pouvoir apprendre tous ensemble, amener l’équipe à rester sous pression quelque soit le résultat. On a une équipe valeureuse, capable d’embêter des équipes qui certes au départ sont talentueuses mais le talent n’amène pas tout. »\\n\\n« Moi je suis là pour gagner des matches, je ne suis pas là pour tenir une mi-temps. » Emmanuel Coeuret\\n\\nLe titre national ne devrait pas échapper à Bourges, Lattes-Montpellier, Lyon ou Charleville avec Villeneuve comme outsider. Les autres vont avoir l’ambition de résister à ces seigneurs. C’est le cas de Nantes-Rezé qui a fait bonne figure face à Lattes-Montpellier avant de céder au retour des vestiaires, 69-85.\\n\\n« On a tout fait pour rendre ce match accessible », analysait le coach Emmanuel Coeuret. « On a bien commencé en première mi-temps et on a tout cassé en cinq minutes. Tout le monde va dire « oui, mais Montpellier... vous ne jouez pas dans la même cour... » On ne sait pas dans quelle cour on joue pour l’instant. Peut-être que notre équipe, elle est moins forte mais sur la première mi-temps, ce n’était pas flagrant. Montpellier est bon à prendre actuellement, davantage que dans quatre semaines. Et on a tout cassé en cinq minutes ! Moi je suis là pour gagner des matches, je ne suis pas là pour tenir une mi-temps. Il faut être ambitieux et ce que je retiens c’est que l’on a été audacieux et ambitieux en première mi-temps et ça s’est arrêté. Je sais pourquoi ça s’est arrêté. Elles sont sympas... et mon erreur a été d’être un peu trop positif à la mi-temps. Et après c’est parti à vau-l’-eau. On dirait un poulet sans tête dans une basse-cour. Il faut que l’on soit ambitieux et là je ne suis pas spécialement très content. C’est Montpellier, mais Montpellier sur un premier match et ils ont dû jouer trois matches (de préparation). »\\n\\nPlus inquiétante a été la première sortie du finaliste 2018, Tarbes, qui s’est fait hacher menu par Lyon (40-68). Et c’est le sentiment du coach du TGB, François Gomez.\\n\\n« On repart avec un groupe d’inexpérimenté, très jeune, en apprentissage. Aby Gaye a beaucoup souffert aujourd’hui mais elle est jeune, elle a 23 ans. J’ai des meneuses de 17 (Marine Fauthoux) et 19 ans (Tima Pouye) donc on n’est pas du tout dans le même contexte et la même catégorie. On n’a plus des joueuses d’expérience que l’on avait l’an dernier sur le poste 1 ou Michelle Plouffe qu’évidemment on ne voit pas mais qui a une ligne de stats comme d’habitude magnifique. Je ne vais pas les culpabiliser, elles sont là pour apprendre. Je sais à quoi je me suis engagé avec ces deux jeunes joueuses. Peut-être qu’à court terme c’est compliqué mais j’ai confiance à moyen terme avec ces deux filles. J’espère qu’un jour je participerai à l’éclosion de jeunes talents. C’est la place du club du TGB. On n’est pas malheureusement dans la possibilité d’avoir Mlle Clark, Mlle Dos Santos ou de garder Mlle Plouffe. Moi je souhaite avoir de futures internationales A. Il faut être réaliste : il y a des équipes construites pour gagner le titre et d’autres pour travailler. A nous de prouver que l’on est plutôt fait pour aller titiller les gros. »\\n\\nCar de fait, s’il y a des gros, comme ils disent, il n’y a pas une équipe vouée d’office à la relégation. Si bien que chacun peut aspirer jouer les playoffs (8 places) mais devra tout autant avoir un œil dans le rétro et éviter les playdowns (4 derniers de la saison régulière).\\n\\n1,8M€ de budget en moyenne contre 400 000 il y a vingt ans\\n\\nSi la Ligue Féminine est aussi dense, c’est que le budget moyen est passé à 1,8m€. Une progression de 17% sur les quatre dernières saisons, sachant qu’il était de 400 000 euros il y a vingt ans, à la création de la LFB. Le partenariat privé a augmenté de 42% en quatre ans.\\n\\nTout ça fait que les joueuses de Ligue Féminine gagnent aujourd’hui en moyenne davantage que leurs homologues de la Pro B masculine : 4 800€ en brut contre 4 700€. Un fait INIMAGINABLE il y a vingt ans et qui démontre que même s’il n’y a pas globalement une parité absolue, la basketteuse de haut niveau n’est plus une laissée pour compte. On observe en revanche, que les coaches de LFB -11 hommes et Cathy Melain- sont encore en retrait vis-à-vis de leurs collègues de Pro B (4 700 contre 5 100€).\\n\\n« Il y a un travail qui a été mené entre la fédération et les clubs de Ligue féminine avec la constitution d’un fond de réserves. C’était lors de la saison 2013-14, » commente Irène Ottenhof. « Ce travail qui n’a pas été simple au départ parce qu’il a fallu que la fédération oblige les clubs à consolider leur situation financière jusqu’à 10% de leurs ressources propres. Donc potentiellement une et pour certains deux joueuses en moins à signer. Après les clubs ont compris l’intérêt général de cela. Il y avait des clubs qui explosaient en plein vol de championnat. Sur le plan médiatique, mettre la clé sous la porte en plein championnat, c’est catastrophique. Les clubs de ligue féminine ont réussi à se constituer ce fond de réserve, ce qui permet de se prémunir au cas où un partenaire pour x raison se retire. Dans ce cas, il n’y a pas péril en la demeure, le club peut continuer à tourner. On savait qu’avec la réforme territorial, l’agent public allait se raréfier. Les clubs ont travaillé d’arrache-pied pour inverser la tendance. Il y a un peu plus de trois ans, on avait globalement 40% de partenariats privés et 60% d’argent public. Non seulement ça s’est inversé mais le gap s’est élargi. Le partenariat privé a explosé. »\\n\\nUn bon exemple est celui de Basket Landes. Lorsque le club a accédé à la Ligue Féminine, il y a dix ans, son budget était de 600 000€ avec plus de 80% de financement par les subventions publiques. Le club compte aujourd’hui près de 400 partenaires et son budget a fait un bond de 1 million. Les Landais ont l’intention d’atteindre les 2 millions d’ici 2022 et de participer eux-aussi à l’Euroleague. La soirée au O’Fam de Levallois-Perret en marge de l’Open fait partie de la stratégie de développement (voir la vidéo ci-dessus).\\n\\nUne moyenne de spectateurs stationnaire mais beaucoup moins de gratuité\\n\\nEn Europe, les matches de basket féminin se jouent souvent devant des gradins vides. Ce n’est pas le cas en France. L’équipe nationale attire même souvent les foules. D’apparence, avec 1 600 spectateurs en moyenne, la Ligue Féminine est dans un état stationnaire. Seulement le profil des spectateurs n’est plus le même.\\n\\n« Les affluences sont quasi similaires depuis quatre ans », fait remarquer Irène Ottenhof. « Il y a une époque où il y avait beaucoup de gratuit, il fallait du monde dans la salle, et en plus les affluences avaient un peu diminué. Il y a eu alors un travail d’éducation qui a été fait par les clubs et non seulement les personnes reviennent à la salle mais elles acceptent de payer. Il n’y a donc pas de grosses augmentations sur l’affluence mais une augmentation sur les tarifs. Les gratuits sont devenus très faibles. Ils existent notamment sur des opérations comme celles menées à Gerland (NDLR : pour des matches de gala de l’ASVEL avec un record de 6 152 spectateurs pour la venue de Bourges en février 2017). Le gratuit est fait pour attirer une nouvelle cible. Si le spectacle sportif et la structure du club séduisent ces nouvelles personnes, elles vont revenir. Tous les clubs n’ont pas la même stratégie autour de ça. »\\n\\nContrairement à la Jeep Elite, qui subit de plein fouet la concurrence de la NBA et des clubs d’Euroleague au financement souvent artificiel, la Ligue Féminine peut marcher main dans la main avec l’équipe nationale. L’une fournit l’essentiel des joueuses, l’autre assure sa promotion par le biais de ses brillants résultats sur la durée. Et après le demi-échec de la Coupe du monde -davantage dans la manière en quart-de-finale face à la Belgique que dans le résultat sec, une cinquième place étant très honorable-, le président fédéral, Jean-Pierre Siutat, ne lésine pas sur le prochain challenge :\\n\\n« Notre ambition l’année prochaine, c’est d’aller chercher le titre. D’être champion d’Europe ne qualifie plus directement pour les Jeux Olympiques, ça passera automatiquement par des tournois qualificatifs. Alors il s’agira de se faire plaisir, de gagner un titre uniquement pour gagner un titre. »\\n\\n[armelse]\\n\\n« Le niveau est monté d’un cran cette année, c’est impressionnant. Il y a de gros effectifs partout, il n’y a pas de petits. Il y a des années où l’on pouvait presque faire l’impasse sur certaines équipes alors que cette année il n’y a pas une contre qui on peut se relâcher. Et les grosses sont vraiment très grosses. Je ne sais pas si j’ai connu une saison où il y a eu autant de grosses équipes, une telle homogénéité. Cette année, on ne peut pas dire qui va être champion de France. Ça démontre qu’il y a une grosse concurrence. »\\n\\nC’est une experte qui porte ce jugement. Avant d’être la coach de Basket Landes, Cathy Melain a passé douze saisons comme joueuse en Ligue Féminine. La double championne d’Europe, trois fois vainqueur de l’Euroleague, reflète le sentiment général.\\n\\nLa LFB est sportivement et financièrement en bonne santé et ses décideurs ont pu faire part à l’auditoire, vendredi lors de la conférence de presse d’avant-saison, d’une kyrielle de chiffres impressionnants pour du basket féminin en Europe. 37 officiels, arbitres, table de marque, statisticiens, et 100 bénévoles, ainsi que les services de la FFBB et de la LFB ont été réquisitionnés pour le 14e Open à Coubertin qui réunit les douze équipes du championnat et qui s’est associé à la MAIF, une société d’assurance mutuelle. Chaque année, c’est un total de 6 000 spectateurs qui investissent la salle du XVIe arrondissement parisien, même si les gradins apparaissent parfois clairsemés du fait que les supporters ne sont souvent attentifs qu’à leur équipe favorite. En marge des matches, l’Open est aussi propice pour certains au business comme l’explique ce reportage de France 3 Nouvelle Aquitaine à propos de Basket Landes.\\n\\nDurant les trois jours de l’Open, la Ligue Féminine a été fière de communiquer sur trois chiffres phare : 54 internationales dont 14 ayant participé cet été à la Coupe du monde en Espagne garnissent ses rangs plus trois Américaines ayant remporté le titre WNBA 2018 avec le Seattle Storm : Alyssa Clark (Lyon) -membre du 5 majeur avec 7,4 points et 3,5 rebonds-, Kaleena Mosqueda-Lewis (Charleville) et Samantha Whitcomb, laquelle en tant que naturalisée a pu en sus gagner une médaille d’argent avec l’Australie quelques jours plus tard à la Coupe du monde. Avec les retours en France d’Helena Ciak (ex-Koursk) et Endy Miyem (ex-Schio), ce sont 9 internationales françaises sur 12 qui sont intégrées au championnat national.\\n\\nPour compléter le tableau, il faut savoir que les racines françaises sont spécialement solides puisque 51 des 81 joueuses listées ont remporté au moins une médaille européenne dans les compétitions de jeune. Une étude qui exclue les double nationalités comme KB Sharp (Bourges) ou Mame Marie Sy Diop (Villeneuve d’Ascq). Et si, par exemple, la meneuse de La Roche/Yon, Caroline Hériaud, n’a pas de médaille de 5×5 autour du cou, elle a été plusieurs semaines cet été en tête du ranking mondial 3×3.\\n\\nUn autre record a été battu récemment, c’est celui du nombre de spectateurs pour la finale de la Ligue 2 entre Landerneau et Angers : 7 620 en trois matches dont 3 500 pour celui joué dans le Maine-et-Loire. A rendre jalouses certaines équipes d’Euroleague.\\n\\nLa directrice de la Ligue Féminine, Irène Ottenhof insiste sur le fait que l’instance travaille main dans la main avec ses clubs.\\n\\n« Le visuel de l’Open a été créé en discutant avec les capitaines et les clubs.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nDemain : Interview de Pierre Fosset, président du Tango Bourges Basket\\n\\nPhotos, de haut en bas: Alexia Plagnard (Basket Landes), Endy Miyem (Lattes-Montpellier), Amel Bouderra (Charleville), Shaqwedia Wallace (Nantes), Mame Marie Sy Diop (Villeneuve d’ascq) et Alexia Chartereau (FFBB).\\n\\nPhotos FFBB Bellenger/Lecoq sauf Amel Bouderra, FIBA."
}, 
{"role": "user",     "content":"Boutique: Le Media Guide de la Ligue Féminine est en vente sur Basket Europe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fruit d’une collaboration entre la LFB et Basketeurope.com, le Guide de la saison 2018-19 de la Ligue Féminine est en vente sur le site.\\n\\nCe Guide comporte 100 pages où vous trouverez la présentation des 12 équipes avec un commentaire sur chacune, un coup de projecteur sur deux joueuses et quantité d’infos et de chiffres: les coordonnées, les effectifs, les entrées/départs, les staffs, les salles, les parcours en LFB, les partenaires, et les fiches de toutes les joueuses et les coaches.\\n\\nAu menu également, une interview du président de la LFB, Philippe Legname, une présentation générale, le calendrier, les palmarès, les records et des archives.\\n\\nLe guide est vendu au prix de 6€ dans notre boutique."
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel: Un nouveau record de licenciés à 681 584 pour la saison 2017-18"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de son Assemblée Générale, la FFBB a entériné son record de licenciés à 681 584 pour la saison 2017-18. Il s’agit de la neuvième augmentation successive.\\n\\nLes licences compétition sont de 449 761 avec 65% d’hommes et 35% de femmes.\\n\\nA la date du 20 octobre, le nombre de licenciés est légèrement en baisse (-1,9%).\\n\\nVoir les chiffres ici.\\n\\nA titre de comparaison, le nombre de licenciés au handball était de 549 295 en 2017."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les maillots bleus de Pau"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Eux aussi sacrifient leur célèbre tenue vert et blanc pour la couleur de deux de leurs sponsors, Essor et Banque Pouyanne. L’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez sera en bleu face à Cholet Basket ce soir à La Meilleraie. Et c’est forcément un événement.\\n\\n\\n\\n\\n🚨 Avant première\\n🎥 Découvrez les maillots avec lesquels l'Elan Béarnais affrontera demain @CB_officiel salle de la Meilleraie ! Des tuniques aux couleurs de nos sponsors, @ESSORGroupe et Banque Pouyanne #CBEBPLO #ELANpartners #ELANation pic.twitter.com/Ax7OXmVmHy\\n\\n\\n— EBPLO (@EBPLO) October 19, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg – Vincent Collet: «Normalement, Youssoupha (Fall) devrait reprendre l’entraînement dimanche et jouer mercredi»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bien que sa cheville soit douloureuse, Florent Pietrus, 37 ans, a joué 31 minutes hier soir face à Levallois pour 9 points et 11 rebonds. Pourtant cela n’a pas suffi, la SIG Strasbourg a été dominée par les Metropolitans: 65-80. En face, le pivot béninois Mouphtaou Yarou a été l’auteur de 22 points et 6 rebonds et le Croate Roko-Uni Ukic a fait une fois de plus un match très complet avec 17 points (3/6 à trois-points), 5 passes et 3 rebonds.\\n\\nStrasbourg compte aujourd’hui 3 victoires et 3 défaites et il est temps que son géant Youssoupha Fall (2,21m), écarté des terrains depuis le déplacement au Portel à cause d’une entorse au genou, revienne en piste. C’est le cas comme l’a annoncé le coach Vincent Collet.\\n\\n« On a eu des possessions pour se rapprocher un peu plus, mais sans jamais vraiment donner l’impression finalement. Je ne pense pas qu’on aurait pu inverser la tendance vu la domination de l’adversaire ce soir. Avant de venir j’avais dit aux joueurs que Paris avait fait un mauvais match face à Pau et qu’il fallait s’attendre à une réaction mais malheureusement on n’a pas été capable de s’opposer. Il y avait deux degrés d’écart dans l’agressivité entre les deux équipes. Il faut que l’on rebascule. Normalement Youssoupha devrait reprendre l’entraînement dimanche et devrait jouer mercredi. C’est un point très positif parce que bon là... Je n’avais jamais fait jouer Flo plus de 30 minutes. Mais franchement ce qu’il a fait ce soir est remarquable comme cela l’était déjà sur les matches précédents. Il a montré l’exemple au reste de l’équipe. Maintenant nous allons surtout récupérer et retravailler pour Besiktas mercredi et Gravelines samedi »."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le shoot à trois-points victorieux de Pierre-Etienne Drouault au buzzer"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fos-sur-Mer pensait tenir sa première victoire de la saison et pas n’importe où, dans le Chaudron du Portel. Les Provençaux menaient 83-82...\\n\\nLe pivot américain Marcus Dowe avait tout particulièrement mis du sien avec 14 points et 12 rebonds. Jaraun Burrows (17 points), Corey Fischer (16 points) et encore Ron Lewis (15 points) avaient eux aussi répondu présents. Dans le camp portelois Darrell Williams (16 points et 9 rebonds) s’était montré le plus efficace.\\n\\nQuant à Pierre-Etienne Drouault, il a avait jusqu’ici raté ses deux tentatives longue portée. C’est alors que le barbu gaucher reçoit une passe en or et démarqué il envoie la flèche qui fait mouche. Avec une quatrième victoire, Le Portel respire un bon bol d’air. Après trois journées, Fos est toujours fanny.\\n\\n\\n\\n\\nQuelle fin de match dans le Chaudron ! Mal embarqué, l'@ESSMbasket parvient à s'imposer dans les dernières secondes sur un panier à 3 pts de Pierre-Etienne Drouault. Toujours pas de victoire en #JeepELITE pour @FosProvenceBB\\nDarrell Williams MVP du match avec ses 23 d'éval pic.twitter.com/MkgF2IVbbF\\n\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) October 19, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Fabien Causeur élu Meilleur basketteur français de l’année 2018"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fabien Causeur (1,96 m, 31 ans) a été élu meilleur basketteur français de l’année 2018 par un jury de spécialistes et à ce titre a reçu le Trophée Alain Gilles. Le Breton a réussi le doublé championnat d’Espagne/Euroleague pour sa première saison au Real Madrid, tout en retrouvant l’Équipe de France après six ans d’absence lors des qualifications à la Coupe du Monde 2019.\\n\\nL’élection du joueur français de l’année a vite tourné au duel entre deux anciens choletais. Fabien Causeur et Rudy Gobert ont trusté toutes les premières places auprès des 13 votants. Chaque membre du jury était invité à présenter son tiercé de tête afin de distribuer les 10 points (1ère place), 7 points (2e place) et 5 points (3e place). Les performances des joueurs et des joueuses lors de la saison de club 2017/18 et lors des compétitions internationales 2018 ont été prises en compte pour déterminer l’identité du lauréat. Plus encore que les chiffres bruts, c’est la collection de trophées remportés par Fabien Causeur qui a penché dans la balance, avec en prime une partition déterminante lors de la finale du Final Four face à Fenerbahçe : 17 points en 24 minutes. Individuellement et malgré les blessures, Rudy Gobert a raflé le titre de défenseur de l’année en NBA. Son impact sur le Jazz est immense et le Français a désormais le statut de franchise player. Paul Lacombe, impressionnant avec l’Équipe de France lors des fenêtres FIBA, complète le podium.\\n\\nLes résultats\\nFabien Causeur 102 points, 9 première place\\nRudy Gobert 80 points, 4 première place\\nPaul Lacombe 20 points\\nSandrine Gruda 19 points\\nMarine Johannes 19 points\\nEvan Fournier 12 points\\nNando De Colo 10 points\\nOlivia Epoupa 7 points\\nValériane Ayay 7 points\\nKillian Hayes 5 points\\nNicolas Batum 5 points\\n\\nLe jury\\nJean-Pierre Siutat (représentant FFBB), Patrick Beesley (DTN), Philippe Legname (LFB), Isabelle Fijalkowski (Club des Internationaux), George Eddy (personnalité), Arnaud Lecomte (L’Equipe), François Bontoux (AFP), Stéphane Bois (Ouest France), Yann Casseville (Basket), David Cozette (SFR Sport), Pascal Legendre (www.basketeurope.com), Gabriel Pantel Jouve (www.bebasket.com), le public."
}, 
{"role": "user",     "content":"Frédéric Forte parmi les 6 nouveaux membres de l’Académie du Basket"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Six nouveaux membres ont fait leur entrée au sein de l’Académie du Basket français, à l’occasion de l’Assemblée Générale de la FFBB, qui se déroule à Avignon. Ils rejoignent ainsi les grands noms qui constituent les 14 promotions précédentes de ce « hall of fame » du basket français.\\n\\nLe Comité d’Honneur de l’Académie s’est réuni au printemps pour procéder à l’élection de la nouvelle promotion. Les noms des nouveaux académiciens ont été dévoilés au public en ouverture de l’Assemblée Générale de la Fédération, ce vendredi 19 octobre, dans la salle du Conclave du Palais des Papes.\\n\\nCollège « Pionniers » :\\n\\nVal BOURYSCHKINE (1913-1968) : né d’un père émigré russe et d’une mère américaine, il entre à l’Académie du Basket au sein du collège « Pionniers ». Co-fondateur du BBC Russe, joueur, technicien, journaliste, résistant au sein de réseaux internationaux pendant la Seconde Guerre mondiale... Le colonel Val Williams, son nom au sein du réseau d’évasion Oaktree, blessé dans sa chair et son humanité pendant la guerre, est mort à 55 ans. Son élection à l’Académie vient rendre hommage à ce sportif au destin extraordinaire...\\n\\nCollège « joueurs/joueuses » :\\nLaurent FOIREST (Né le 18 septembre 1973) : près de 20 ans au plus haut niveau, pour ce gaucher bondissant, dont l’adresse et la régularité ont fait de lui un joueur incontournable des équipes dans lesquelles il a évolué (6 titres avec Antibes, Pau-Orthez et l’ASVEL). Il a également été précurseur avec une expérience réussie en championnat d’Espagne, avec Vitoria. Ses qualités furent précieuses à l’Équipe de France et il fut un pilier de l’aventure olympique en 2000 (médaille d’argent aux JO de Sydney).\\n\\nFrédéric FORTE (1970-2017) a réussi une grande carrière de joueur, en club et en Équipe de France. Son parcours est riche, mais son nom restera indissociable de celui du CSP Limoges. Il en fut un joueur majeur au cours des années 1990 et il devient un symbole de la victoire en Coupe des Champions en 1993. Frédéric Forte a cumulé 73 sélections en Équipe de France avec 320 points marqués. Profondément attaché aux couleurs limougeaudes, il est l’artisan du retour au premier plan du club dont il devint président en 2004. Décédé le 31 décembre dernier, un hommage lui a été rendu lors des dernières finales de Coupe de France et l’Équipe de France viendra jouer à Limoges le 3 décembre prochain, en sa mémoire.\\n\\nGeneviève GUINCHARD (Née le 7 février 1940) compte 189 sélections en Équipe de France entre 1960 et 1973. Elle fait partie de l’équipe vice-championne d’Europe en 1970 aux Pays-Bas. En club, c’est l’Evreux AC qui a bénéficié de son talent, de ses qualités défensives et de sa volonté. Au service du basket français, la discrétion et la compétence ont caractérisé son parcours de conseillère technique et d’entraineur nationale adjointe. Son œil avisé a permis de détecter de précieux talents, tel Olivier Saint- Jean, devenu plus tard Tariq Abdul-Wahad, le premier joueur français à intégrer la NBA.\\n\\nNathalie LESDEMA (Né le 17 janvier 1973) : championne de France, de Russie, d’Allemagne, vice- championne en Italie...Elle remporte également l’Euroleague avec Valenciennes et propose ainsi un palmarès parfait en club. Cette joueuse intérieure fut également indispensable en Équipe de France (222 sélections) avec qui elle fut vice-championne d’Europe en 1999 et championne d’Europe en 2001 en France. En plus de ses qualités techniques, son sens du collectif et sa détermination en ont fait une joueuse incontournable, désormais vice-présidente de la FFBB.\\n\\nMoustapha SONKO (Né le 14 juin 1972) : remarqué alors qu’il évoluait sous les couleurs de Sceaux, Moustapha Sonko a renouvelé le poste de meneur de jeu par son jeu spectaculaire et débridé tout en étant efficace. A une époque où les joueurs français ne s’exportaient pas encore en NBA, il a fait une carrière de premier plan en Europe et en équipe nationale. Meneur de jeu très athlétique, capable de marquer, de défendre fort, il a su faire évoluer son jeu tout au long de sa carrière pour s’adapter à différents styles.\\n\\nLes académiciens déjà élus :\\nPromotion 2004 : Mme Jacky CHAZALON, MM. Roger ANTOINE, Christian BALTZER, Jean-Paul BEUGNOT, André BUFFIERE, Maxime DORIGO, Hervé DUBUISSON et Alain GILLES.\\nPromotion 2005 : Mmes Anne-Marie COLCHEN et Irène GUIDOTTI, MM. Robert BLANCHARD, Robert BUSNEL, Richard DACOURY, Jacques DESSEMME, et Jacques MARCHAND.\\nPromotion 2006 : Mmes. Elisabeth RIFFIOD et Edith TAVERT, MM. Marcel BARILLE, Raphaël DE BARROS, Robert MONCLAR et Jacques PERRIER.\\nPromotion 2007 : Mme. Yannick STEPHAN, MM. Jacques CACHEMIRE, Michel CANQUE, Jean DEGROS, Roland ETIENNE, Henri GRANGE et l’Equipe de France Féminine – Médaille de bronze – Championnat du Monde 1934 ; Equipe de France Masculine – Médaille d’argent – JO de Londres 1948.\\nPromotion 2008 : Mmes Georgette COSTE-VENITIEN et Catherine MALFOIS, MM. Louis BERTORELLE, Bernard GASNAL, Jean-Michel SENEGAL et M. Pierre TESSIER.\\nPromotion 2009 : Mme Odile SANTANIELLO, MM. André TONDEUR, Joë JAUNAY, Jean-Claude BONATO, et Jean PERNICENI.\\nPromotion 2010 : MM. Jacques FLOURET, Eric BEUGNOT, Antoine RIGAUDEAU, Pierre SEILLANT et l’Equipe de France Masculine – Médaille d’argent – JO de Sydney 2000.\\nPromotion 2011 : Mme Yvonne SANTAIS-HOUEL, Yannick SOUVRE-VACHERON, Isabelle FIJALKOWSKI, MM. Philip SZANYIEL, Jacques MONCLAR, Yvan MAININI, et l’Equipe de France Féminine – Médaille d’or – CE 2001.\\n\\nPromotion 2012 : Mme Lucienne VELU-CHAPILLON, Jacqueline DELACHET, Paoline EKAMBI, MM. Jacques HUGUET, René CHOCAT, Roger HAUDEGAND.\\nPromotion 2013 : Mme Ginette MAZELLE, MM. Emile FREZOT, Stéphane OSTROWSKI, Jean BAYLE-LESPITAU et Max MAMIE.\\nPromotion 2014 : Mmes Martine CAMPI et Cathy MELAIN, MM. Jim BILBA, Gérard BOSC, Wladimir FABRIKANT, Henry FIELDS, Michel RAT\\nPromotion 2015: Mmes Sandra LE DREAN et Colette PASSEMARD, MM. Jean-Claude BIOJOUT, Charles BOIZARD, Yann BONATO, Xavier POPELIER et Michel LE RAY\\nPromotion 2016: Mme Françoise QUIBLIER, MM. Robert COHU, Freddy HUFNAGEL, Jean-Pierre STAELENS et André VACHERESSE\\nPromotion 2017: Mmes Danielle PETER et Loëtitia MOUSSARD, MM. Louis DEVOTI, Jean-Pierre DUSSEAULX, Henry LESMAYOUX et Laurent SCIARRA\\n\\nLe Comité d’Honneur 2018 :\\n\\nM. Gérard BOSC (Président), Le Président de la FFBB ou son représentant, Mmes Jacky CHAZALON, Isabelle FIJALKOWSKI et Nicole PIERRE-SANCHEZ, MM. Christian BALTZER, Jean-Claude BOIS, Maxime DORIGO, Bernard GROSGEORGE, Jean-Marie JOUARET, Pascal LEGENDRE et Michel OSNI.\\n\\n\\n\\n\\nSon nom restera à jamais lié au @limogescsp, joueur et dirigeant exceptionnel, Frédéric Forté intègre l'Académie du Basket français #AG2018 pic.twitter.com/zDAtQISBzI\\n\\n\\n— Fédération Française de BasketBall (@ffbasketball) October 19, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : le Top 10 de la première journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après le Top 10 des championnats nationaux et de la Jeep Elite, CourCuts s’attaque au Top 10 de Pro B !\\n\\nPour ce premier numéro, c’est Kevin Harley (Poitiers Basket 86) qui pointe à la première place du classement grâce à un très gros poster dunk.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=ZSm4taepBGo&feature=youtu.be"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le directeur des JO de Los Angeles’2028 estime que le basket peut devenir le sport numéro 1 au monde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Même s’il faudra encore attendre dix ans pour que les Jeux Olympiques s’implantent à Los Angeles, l’excitation et l’anticipation sont déjà palpables autour de ces Jeux d’été et Casey Wasserman, son directeur, estime que le basket-ball et le 3×3 seront des disciplines privilégiées.\\n\\n« Vous pouvez bien imaginer comment cela sera dans un endroit comme Los Angeles, où le basketball est roi. La ville offre des terrains de rue à la fois historiques, excitants et beaux, dont la réputation dans le monde du basketball n’est plus à faire, » dit-il. « Ce que nous espérons des JO de 2028, c’est qu’ils réuniront les meilleurs athlètes mondiaux. Et nous imaginons bien sûr que le basket-ball – au Staples Center, antre des équipes NBA des Lakers et des Clippers – ou le tournoi de 3×3 dans des endroits très symboliques, avec des équipes du monde entier, contribueront à l’essor de ces disciplines. »\\n\\nWasserman avance qu’au cours de la prochaine décennie, Los Angeles va développer, investir et mettre en valeur des sports de toutes les sortes, en particulier ceux capables de franchir un palier décisif et que le 3×3, qui va faire ses débuts olympiques aux JO de Tokyo dans deux ans sera en tête de liste.\\n\\n« Mes enfants, quand ils sont dans la cour de notre maison, jouent une sorte de basket-ball qui ressemble davantage au 3×3 qu’au basket-ball traditionnel 5×5 sur un terrain entier. L’espace est restreint, ils s’amusent avec leurs amis, ils font des concours de tirs – c’est une pratique commune partout dans le monde. Le niveau général du basket-ball à l’échelle mondiale ne cesse de progresser, » note-t-il. « Le 3×3 va énormément bénéficier de ça, car les gens qui aiment ce sport, notamment pour sa plus grande accessibilité, ont vraiment des chances d’être compétitifs. »\\n\\nFaisant référence à la popularité grandissante du basket-ball, Casey Wasserman estime qu’il n’apparaît pas utopique qu’il devienne dans un futur relativement proche le sport n° 1.\\n\\n« S’il fallait parier sur un sport aujourd’hui, il faudrait parier sur le basket-ball, » suggère-t-il. « Si vous observez l’écosystème du basket-ball, il est probablement plus grand que le football, parce qu’il faut tenir compte des autres pièces du puzzle. Il faut prendre en considération les audiences, l’économie et les salaires des joueurs. Il faut considérer les marques de chaussures et le business qu’elles ont bâti autour du basket-ball, (quelque chose de) bien plus grand que le football. Sa progression est rapide aux USA, c’est le sport n° 2 derrière la NFL, qui est elle en régression. Et le basket-ball est un sport majeur en Chine. S’il fallait anticiper l’essor économique mondial au cours des cent prochaines années, je pense qu’il faudrait plutôt regarder à l’Ouest qu’à l’Est : les USA devraient avoir les yeux plutôt tournés vers l’Asie que vers l’Europe. Il ne me semble pas compliqué d’imaginer un monde dans dix ans où le basket-ball est le sport mondial dominant. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau à Cholet pour une deuxième victoire à l’extérieur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce soir, l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez sera à Cholet et le coach Laurent Vila se méfie d’un adversaire en mal de victoires d’autant que son américain Taqwa Pinero devrait lui faire défaut à cause de soucis au dos. Les Béarnais comptent notamment sur leur défense (71,4 points encaissés jusqu’ici, 2e de Jeep Elite) pour faire la différence alors que celle des Choletais est beaucoup plus friable (91 points, la pire du championnat sinon Antibes).\\n\\n« Ce match à Cholet est un rendez-vous important pour équilibrer notre bilan victoires-défaites », déclare Laurent Vila sur le site du club. « Ce n’est pas évident d’appréhender ce genre de match car on reste sur une victoire, eux aussi mais on sait qu’ils sont plutôt en fond de classement avec une équipe de jeunes....le danger se situe ici. Charge à nous de faire passer les bons messages aux joueurs afin de respecter cette équipe et que le plan soit bien mis en place. Hassel est arrivé, Gibson aussi. On connaît bien Antywane Robinson également, Pape Sy est aussi un élément majeur pour eux et ils disposent de joueurs polyvalents qui apportent de la densité physique et des jeunes qui ont du potentiel, peut être en attente d’un déclic, d’un peu de confiance mais qui sont déjà impliqués et qui ont du talent. L’idée est de contrôler le tempo dans un premier temps, de gérer le ballon, d’être capables de faire de bons replis défensifs. Il faut qu’on soit aussi efficaces sur notre jeu de passes, qu’on contrôle leur jeu rapide et qu’on sache trouver nos joueurs intérieurs. »\\n\\nPau s’est déjà imposé une fois à l’extérieur cette saison, à Strasbourg (65-70).\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Valériane Ayayi, Héléna Ciak et Sarah Michel parmi les 357 sportifs qui ont adressé une lettre ouverte à Emmanuel Macron"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"357 sportifs, dont 19 champions olympiques, ont adressé une lettre ouverte au président de la République, Emmanuel Macron, afin de protester contre la réduction du budget des sports et des suppressions d’emploi (1600 cadres techniques).\\n\\nParmi les signataires, on relève les noms des trois internationales Valériane Ayayi, Héléna Ciak et Sarah Michel mais aucun basketteur ne figure dans la liste alors que l’escrime compte par exemple 64 représentants!\\n\\nVoici cette lettre ouverte:\\n\\n« Monsieur le Président,La famille du sport français est en danger !La France accueillera les jeux olympiques de Paris 2024 avec un objectif de 80 médailles.Tokyo, c’est demain, sans oublier les jeux de Pékin pour les sports d’hiver en2022 !Tous les grands rendez-vous internationaux (Championnats du monde et d’Europe), c’est maintenant au quotidien.L’annonce de la suppression de 1600 cadres techniques d’Etat d’ici 2022 et la réduction du budget Sport pour 2019 sont contradictoires avec l’objectif des performances attendues et désastreuses pour l’héritage qu’on laissera aux nouvelles générations.Nous, sportifs et sportives de haut niveau, nous sommes très inquiets.Nos victoires, nos médailles ont contribué au rayonnement de la France dans le monde entier.Elles ont servi d’exemples, suscité des vocations, un engouement pour la pratique sportive et surtout une transmission des valeurs citoyennes auprès des nouvelles générations.Elles ne sont pas le fruit du hasard. Elles sont totalement liées à la qualité, à l’engagement et la passion des cadres techniques sportifs qui ont œuvré au quotidien pendant nos carrièresAlors, nous souhaitons toutes et tous le maintien d’un encadrement public au sein de nos disciplines sportives afin de garantir la réussite de demain lors des prochaines échéances sportives internationales et olympiques pour la France. »\\n\\nPhoto: Héléna Ciak (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : la troisième tentative est la bonne pour Barcelone !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On a droit à une double ration d’Euroleague cette semaine, avec la troisième des quatre soirées de matchs européens hier soir. Et l’information principale nous vient de Catalogne avec la première victoire de Barcelone, face au Bayern Munich (83-73). Le CSKA Moscou est quant à lui resté invaincu, mais a dû s’arracher pour préserver cette invincibilité contre le Darussafaka (79-75).\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nA l’inverse, Podgorica a de nouveau chuté à domicile, cette fois-ci face au Maccabi Tel Aviv (78-68). Et ça fait 3 défaites en 3 matchs, un départ chaotique pour les nouveaux venus... Enfin, contre Gran Canaria, le Panathinaikos a offert sa 200e victoire en Euroleague à son coach, Xavi Pascual. Et dans les grandes largeurs (102-87).\\n\\n\\nLe CSKA à l’arrachée\\n\\nDepuis son ample victoire initiale face à Barcelone, le CSKA Moscou doit lutter pour s’imposer. C’était le cas face au Maccabi Tel Aviv (89-86) plus tôt dans la semaine, et ce fut encore le cas hier soir face au Darussafaka Istanbul (79-75). A la rue en 2e quart (21-12), les hommes de Dimitris Itoudis ont remis les choses au clair au retour des vestiaires (26-10).\\n\\nMais ça a été compliqué jusqu’au bout, avec ce diable de Jon Diebler qui a ramené son équipe à -4 dans la dernière minute. A l’expérience, derrière Cory Higgins (14 points) et Nikita Kurbanov (13 points, 8 rebonds), le CSKA reste invaincu : 3/3 ! Après son festival à 27 points, Nando De Colo est retombé de son nuage avec un 3/11 aux tirs pour 10 points, 3 passes, 2 rebonds.\\n\\n\\nBarcelone gagne enfin !\\n\\nAprès deux défaites pour débuter la saison, Barcelone voulait retrouver la marche avant en accueillant le Bayern Munich. Et à l’image de Kevin Séraphin qui pose un parpaing dès son premier ballon, le Barça a démarré pied au plancher : 24-8 ! Ante Tomic (18 points, 5 rebonds, 5 passes) et Chris Singleton (15 points, 5 rebonds) ont ensuite pris les choses en mains offensivement et le Bayern n’a pas pu suivre le rythme (83-73).\\n\\nBien qu’il ait enchaîné deux tirs à trois points d’affilée en 3e quart, Derrick Williams n’est pas le coup de boost attendu pour l’instant, tout comme Petteri Koponen qui termine capot face à son ancien club. Maodo Lo (16 points) est le seul rayon de soleil dans le ciel bavarois. En face, Thomas Heurtel (2 points, 4 passes) n’était pas non plus dans un grand soir.\\n\\n\\nPodgorica n’y arrive pas...\\n\\nA portée de fusil dans les cinq dernières minutes, Podgorica n’a jamais réussi à reprendre le dessus face au Maccabi Tel Aviv (78-68). Pire, à l’image d’Edwin Jackson (13 points à 5/8 aux tirs) pourtant en réussite mais qui n’a pas pris sa chance, la troupe monténégrine n’a pas semblé capable d’élever son niveau de jeu dans le crunch. Ça fait désormais 3 défaites en 3 matchs, et un écart moyen de 9 points qui semble à chaque fois plus insurmontable...\\n\\nPour le Maccabi, c’est un premier succès qui fait du bien. Un succès dans lequel Scottie Wilbekin (28 points, 5 passes, 4 rebonds mais 4 balles perdues pour 31 d’éval’) a été le grand bonhomme. La grosse recrue estivale répond parfaitement aux attentes placées en lui pour le moment avec 21 points, 6 passes et 3 rebonds de moyenne. Il tourne même à 67% de réussite à deux points et 50% derrière l’arc ! Son seul point noir : plus de 4 balles perdues par match.\\n\\n\\n200e victoire pour Xavi Pascual\\n\\n« On a clairement des choses à améliorer, mais on a produit 30 minutes de bon basket plus ou moins, offensivement et défensivement ». Pour sa 200e victoire en Euroleague, un sacré palier, Xavi Pascual s’est montré satisfait. Il faut dire que son Pana a été sérieux face à Gran Canaria. Keith Langford (16 points à 8/11 aux tirs) a été très efficace dans une victoire qui n’a pas souffert de contestations (102-87). Seul le départ grec a manqué de réactivité (6-12) mais par la suite (15-2), ça a coulé de source.\\n\\nIoannis Papapetrou (15 points, 7 rebonds) a signé son meilleur match sous ses nouvelles couleurs, pour bien rebondir de la défaite surprise face au Bayern dans la semaine. Pour Gran Canaria, la bonne nouvelle est venue de Marcus Eriksson qui a pris feu avec 15 points en 13 minutes, à 5/8 à trois points ! Kim Tillie (3 points) a été très discret dans la défaite.\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 13 points (5/8 aux tirs), 2 rebonds, 2 balles perdues en 22 minutes\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 10 points (3/11 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 29 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 6 points (3/4 aux tirs), 1 rebond en 6 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 3 points (1/3 aux tirs), 2 interceptions, 1 passe en 17 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 2 points (1/6 aux tirs), 4 passes, 3 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 14 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nEspérons que ce soit simplement son programme de reprise progressive... Car on voudrait voir Kevin Séraphin plus longtemps que 6 petites minutes ! Quand on voit le type d’action qu’il peut produire sur sa première possession...\\n\\n\\n\\n\\nThe Savage is here!@kslife7 throws it down WITH AUTHORITY!#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/k1wxpMEdtj\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) October 18, 2018\\n\\n\\nLe programme de la 3ème journée\\n\\nJeudi 18 octobre :\\nCSKA Moscou – Darussafaka (79-75)\\nPanathinaikos – Gran Canaria (102-87)\\nPodgorica – Maccabi Tel Aviv (68-78)\\nBarcelone – Bayern Munich (83-73)\\n\\nVendredi 19 octobre :\\nKhimki Moscou – Efes Istanbul (19h)\\nZalgiris Kaunas – Fenerbahçe (19h45)\\nOlympiakos – Milan (20h)\\nReal Madrid – Vitoria (21h)\\n\\n[armelse]\\n\\nA l’inverse, Podgorica a de nouveau chuté à domicile, cette fois-ci face au Maccabi Tel Aviv (78-68). Et ça fait 3 défaites en 3 matchs, un départ chaotique pour les nouveaux venus... Enfin, contre Gran Canaria, le Panathinaikos a offert sa 200e victoire en Euroleague à son coach, Xavi Pascual. Et dans les grandes largeurs (102-87).\\n\\n\\nLe CSKA à l’arrachée\\n\\nDepuis sa victoire initiale dans les grandes largeurs face à Barcelone, le CSKA Moscou doit lutter pour s’imposer. C’était le cas face au Maccabi Tel Aviv (89-86) plus tôt dans la semaine, et ce fut encore le cas hier soir face au Darussafaka Istanbul (79-75). A la rue en 2e quart (21-12), les hommes de Dimitris Itoudis ont remis les choses au clair au retour des vestiaires (26-10).\\n\\nMais ça a été compliqué jusqu’au bout, avec ce diable de Jon Diebler qui a ramené son équipe à -4 dans la dernière minute. A l’expérience, derrière Cory Higgins (14 points) et Nikita Kurbanov (13 points, 8 rebonds), le CSKA reste invaincu : 3/3 !\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet avant Levallois-Strasbourg: «Julian Wright est un joueur exceptionnel»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’ils sortent à peine d’une victoire sur Bayreuth en Champions League (67-63), les Strasbourgeois remettent le couvert dès ce soir face à Levallois. Leur coach Vincent Collet se méfie tout particulièrement du trio Roko Ukic (1,96m, 33 ans), Julian Wright (2,03m, 31 ans), Mouphtaou Yarou (2,08m, 28 ans) comme il l’explique sur le site de la SIG:\\n\\n« Ukic est un meneur de grand talent avec un back-up qui est aussi très bon depuis le début de saison. C’est un grand attaquant, très talentueux. Il sait tout faire, il fait des passes lumineuses et peut marquer tous les types de paniers et même faire du post-up. C’est un excellent shooteur à 3-pts. C’est un très fort joueur...Au même titre que Julian Wright qui lui est un joueur exceptionnel ! Il a failli priver la SIG Strasbourg de la finale d’Eurocup il y a trois ans. Il avait été très dominateur à l’aller. Il nous avait mis la misère avant de beaucoup mieux le contenir au retour à Trento. C’est un très (il insiste !) TRÈS bon joueur ! C’est un grand qui manie la balle comme un meneur de jeu. Et le troisième larron de ce trio fantastique c’est Yarou. Il est très dominateur au scoring et au rebond ».\\n\\nLe coach alsacien ne néglige pas pour autant les ailiers des Metropolitans:\\n\\n« On connait leur dangerosité. (Jarod) Johnson avait laissé entrevoir de vraies qualités en fin de saison dernière et surtout (Rasheed) Sulaimon avait été très bon avec Dijon. Ils sont en dessous des attentes donc attention ».\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B- Gaëtan Clerc (Caen): «Tu peux être très bon sans rouler des mécaniques, conduire une BMW et écouter du rap à fond avec une belle fille à tes côtés»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Gaëtan Clerc (1,89m, 27 ans), le meneur du Caen BC est atypique. C’est du moins l’impression que l’on a en lisant son interview dans Ouest France.\\n\\nIl y a trois ans alors qu’il était à Fos-sur-Mer, il décide de stopper sa carrière professionnelle. A cela deux raisons:\\n\\n« Le basket est un sport collectif mais c’est en fait l’un des sports les plus individuels qui existent. Tout est quantifié avec des statistiques, des chiffres, des virgules alors que ce devrait être un sport de relations, de liens, de liant. Il y a tout un tas de choses importantes qui ne se quantifient pas : des regards, de la compréhension entre les hommes. Sauf que les joueurs sont jugés sur des statistiques et qu’ils ne pensent qu’à cela pour pouvoir décrocher un contrat derrière. Être coach ou joueur, c’est dur, ça ne se résume pas à des chiffres. J’ai souffert de ça. »\\n\\nLa deuxième?\\n\\n« Je m’intéresse à plein de choses : la musique, le cinéma, la politique, ce qui se passe dans le monde. Parfois, j’arrivais à la salle et je me demandais sur quelle planète les autres habitaient. Leurs discussions autour du rap étaient fermées, stériles. Je me disais : « Il est basketteur mais à 35 ans, sa carrière sera terminée. Et il n’aura pas gagné assez d’argent pour se permettre de ne rien faire de sa vie. » J’en avais marre aussi de ces trajets en bus de 10 h. J’avais l’impression de perdre mon temps, de ne pas être utile. »\\n\\nAprès avoir passé son Diplôme d’Etat, entraîné des filles à Voiron, et continué à jouer en N3 avec des copains, il a ensuite réintégré le milieu professionnel par le biais d’Antoine Michon, coach de Boulazac, celui qui l’avait lancé à Aix-Maurienne et qui est de nouveau le sien aujourd’hui à Caen.\\n\\n« Pour moi, c’est important de casser les codes. Les joueurs donnent souvent une vision un peu triste du métier de basketteur.Tu peux pourtant être très bon sans rouler des mécaniques, conduire une BMW et écouter du rap à fond avec une belle fille à tes côtés. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Hommage: L’interview de Patrick Baumann, secrétaire-général de la Fédération Internationale: «Il y a autour de 125 millions de personnes qui jouent au moins une fois par mois au basket»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce week-end, le secrétaire-général de la Fédération International, Patrick Baumann est décédé à Buenos Aires d’une crise cardiaque, à l’âge de 51 ans. Nous l’avions rencontré à son bureau de Genève en décembre 2012. Nous reproduisons ici l’interview dans son entier. Il avait évoqué son propre parcours, la place du basket dans le monde, en France, la révolution à venir avec les matches des équipes nationales en hiver, le problème des naturalisations bidon, le 3×3, les changements de règle, les rapports avec la NBA. Une rétro en forme d’hommage toujours d’actualité.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVous êtes Suisse, mais à y regarder de près votre cursus est international avec même un passage en France, à Lyon. Ce sont les circonstances ou le résultat d’une véritable envie ?\\n\\nJ’avais sept ans quand on m’a dit que l’on partait en Italie, donc c’est une circonstance. Ma famille était polyglotte, on parlait déjà le français, l’allemand et l’italien à la maison. Après aller faire un cursus à Lyon et puis à Chicago, c’était mon choix personnel, je voulais acquérir d’autres connaissances. A Lyon, c’était lié au programme du Memos qui existe toujours, un Master Européen en Management des Organisations Sportives. C’est le CIO, M. Samaranch, qui a poussé mon prédécesseur (le Serbe Borislav Stankovic) a lui envoyer un étudiant. J’ai terminé mes études de droit mais je n’ai jamais réussi à finir mes études économiques car je suis parti à la FIBA avant, mais cette partie économique je l’ai reprise en faisant un MBA à l’université de Chicago. Ensuite je me suis marié avec une Espagnole, comme ça j’ai aussi acquis cette langue. Et ainsi mes enfants parlent déjà quatre langues. D’un côté c’est une énorme richesse, de l’autre on se pose toujours la question « où est-on à la maison ? »\\n\\nQuelle est la fréquence de vos voyages ?\\n\\nSi vous ne faites pas lire l’article à ma femme, je vais vous donner le chiffre exact (rire). Il y a plus de deux cents jours de voyage dans une année. Avec le président (Yvan Mainini) on s’est partagé les continents. Parfois les compétitions se chevauchent, il y a dix compétitions en 6-8 semaines, vous ne pouvez pas être partout, or on a besoin d’être vu par nos membres. Par exemple, si tout va bien, on va en Afrique au moins une fois par an. Le 21, trois jours avant Noël, je serai à un comité de FIBA Asie en Malaisie. On a cinq antennes, cinq sièges sur des continents différents. L’Asie c’est à Kuala Lumpur et ils ont célébré leur 50e anniversaire il n’y a pas longtemps, comme FIBA Afrique installée entre Abidjan et Le Caire qui l’a fait cette année. FIBA Amériques c’est à Porto-Rico, et en Océanie c’est à une heure et demie de Sydney. Et donc l’Europe à Munich.\\n\\nQuel distinguo doit-on faire entre le président et le secrétaire général ? Lui est élu alors que vous, vous êtes salarié ?\\n\\nC’est correct. Le secrétaire général est nommé par le comité directeur, le bureau central, avec un contrat de travail. Dans mon cas précis, c’est un contrat à durée déterminée qui vient d’être renouvelé pour une échéance à 2022 (NDLR : le contrat avait été prolongé en juin dernier jusqu’en 2031). Il n’y a donc eu que trois secrétaires généraux (Renato William Jones et Borislav Stankovic) alors que pour les présidents il y a une rotation et une limite dans la durée, un mandat de quatre ans. Si le secrétaire général ne fait pas de bêtise, il reste en place et c’est un peu la pièce centrale. On peut être pour ou contre ce système mais ce n’est pas fondamentalement différent de ce qui existe dans toutes sortes d’autres sociétés avec un président du conseil d’administration et un directeur exécutif ou général. Dans les autres fédérations, on est davantage dans un système présidentiel, le président étant le PDG. Les textes de la FIBA sont assez clairs : le rôle exécutif par rapport aux décisions prises par le bureau central sont du ressort du secrétaire général qui doit les mettre en œuvre. C’est le bureau central qui commande et il est dirigé par le président. Après, c’est toujours une question de rapports humains, l’harmonie est nécessaire. Je suis toujours extrêmement honoré d’être dans cette position mais il est très utile d’avoir un président qui s’engage dans les affaires et qui participe à la création des dix prochaines années du basket. Avec le président Mainini on a de sacrés caractères, qui nous font de sacrées discussions à quatre yeux, mais une fois qu’on en sort on a des idées extrêmement claires de ce que l’on veut faire pour le basket. Il n’y a pas une question de primauté de l’un vis à vis de l’autre.\\n\\nCombien de personnes sont-elles staffées ici à Genève et est-ce un personnel multi culturel ?\\n\\nUne quarantaine. On a toutes sortes de nationalités, une quinzaine, et comme on est en Europe une prédominance européenne, mais pas plus de cinq ou six Suisses.\\n\\nA l’Euro en Lituanie, on a constaté la multiplication de joueurs Américains –comme Bo McCalebb avec la Macédoine – qui sont littéralement achetés et viennent renforcer des sélections nationales, de l’Est notamment. La FIBA limite à un seul par équipe nationale le nombre de ces naturalisés, et auparavant un naturalisé devait patienter trois ans avant de pouvoir jouer avec son équipe nationale. Vous n’avez jamais été attaqué pour discrimination ?\\n\\nC’est vrai qu’il y avait à une époque ce que l’on appelait la « période d’attente de trois ans » afin d’éviter les naturalisations hâtives ou faites pour une compétition précise. On a opté pour l’élimination de cette clause sous recommandation de juristes. Un joueur, aussi bien qu’il puisse être, ne peut pas vous faire gagner durant neuf matches de suite pendant deux semaines. A deux, ils peuvent vous faire 40-50 points et vous auriez un changement immédiat dans la hiérarchie du sport qui ne serait pas acceptable. Pour un petit pays comme celui que vous mentionnez, on peut comprendre ce choix. Un, la règle l’autorise, deux vous essayez d’aller avec lui au niveau suivant. La FYROM (le nom donné par la FIBA à la Macédoine) a profité des capacités de ce joueur, cela a provoqué de l’engouement. Par contre on peut questionner le choix de certains pays de plusieurs millions d’habitants de la nécessité d’utiliser cette règle. Chacun doit faire son examen de conscience. Est-ce bon de prendre un naturalisé ?\\n\\nLes cas qui viennent à l’esprit son ceux de J.R. Holden et Becky Hammon, qui ne parlent pas la langue et dont l’attachement à la Russie est très suspect...\\n\\nCe n’est pas tout à fait l’esprit mais la règle est là, on ne peut pas trop se permettre de juger. Utiliser la règle est dans leur droit, mais je ne peux pas comprendre comment il ne peut pas y avoir de meneurs de jeu en Russie. Nous, en Suisse, on a eu des meneurs de jeu naturalisés mais on est un petit pays de sept millions d’habitants. La Russie, ils sont bien organisés, de bons entraineurs même si c’est l’ancienne école, ils ont le droit à un naturalisé, mais pour moi ce n’est pas la Russie... Bonne chance aux autres meneurs qui essayent d’aller dans l’équipe nationale russe !\\n\\n« Nous avons eu un championnat d’Asie là-bas cet été qualificatif pour Londres que la Chine a gagné. Sur six rencontres des Chinois il y a eu une audience moyenne de 64 millions de téléspectateurs avec une pointe à 101 millions. »\\n\\nDes chiffres de plusieurs centaines de millions de pratiquants circulent à propos du basket. Qu’en est-il réellement ?\\n\\n(Il se lève et va chercher dans ses documents). On distingue entre ceux qui aiment le basket, ils sont 600 millions, ceux qui regardent les infos de basket au moins une fois par semaine, ils sont 200 millions, ceux qui le jouent au moins une fois par mois, c’est 125 millions, ceux qui sont licenciés à travers les fédérations nationales, c’est autour de 25 millions, et ceux qui sont des stars, et au total on avoisine donc le milliard. Ce sont des extrapolations à partir de statistiques sorties de recherches sur plusieurs marchés. Bien sûr on peut aimer le basket et d’autres sports. Ainsi en Allemagne le sport le plus apprécié chez les moins de 18 ans, c’est le basket.\\n\\nSait-on ce qu’il en est en Chine ?\\n\\nOn a la chance d’être le sport le plus populaire en Chine. Nous avons eu un championnat d’Asie là-bas cet été qualificatif pour Londres que la Chine a gagné. Sur six rencontres des Chinois il y a eu une audience moyenne de 64 millions de téléspectateurs avec une pointe à 101 millions. La passion pour le basket est extraordinaire alors que Yao Ming ne jouait pas, il était commentateur à la télévision. Les statistiques chinoises sont faites de manière un peu particulière du fait que dans les écoles tout le monde fait du basket, c’est une obligation, un plaisir aussi, ça fait partie du cursus du curriculum. Donc le chiffre est énorme. Quand on vous dit qu’il y a 250 millions de basketteurs en Chine cela inclus tous ses jeunes qui le jouent à l’école. Après c’est très difficile de dissocier ceux qui jouent dans des ligues. Il y a notamment une ligue universitaire qui comprend 3 000 universités. Une ligue gérée par la fédération, la CBA, qui comprend une 1ère division, 2e division, etc, comme chez vous la Pro A, la Pro B, avec des multi-millionnaires qui sont propriétaires des clubs ! Il existe une seconde ligue... Le système d’organisation est extrêmement complexe. Il y a en dessous tout ce qui concerne les régions, comme chez vous les départements, mais ce sont des Etats en soi, ça va très vite dans les millions.\\n\\nLe basket peut se positionner comme 2e sport au Monde derrière le foot ?\\n\\nSi on prend la Chine, on est les premiers (rires). En Chine, le foot n’est pas au niveau du basket. C’est clair que le foot est à une autre dimension, mais comme sport global pratiqué dans le monde entier, on fait la paire avec le foot.\\n\\nLa Chine, c’est le nombre, mais depuis quelque temps on se rend compte qu’ils peuvent bénéficier de pas mal d’argent et faire venir des joueurs étrangers, notamment de NBA. Quand Yao Ming était candidat au All-Star Game on constatait qu’il arrivait toujours en tête des suffrages car il bénéficiait des votes de ses compatriotes. C’est un pays en plein essor ?\\n\\nQuand la Chine joue on a aussi des pics à la télévision ou sur le site web. Quand les Chinois veulent quelque chose et s’y mettent, ils dépassent tout le monde et de loin. C’est vrai, il y a davantage d’argent, ils commencent à payer des droits TV correctement, ils engagent des joueurs étrangers, ils les payent ce qu’ils demandent ce qui n’était pas toujours le cas jusqu’à présent, ils commencent à y avoir des sponsors chinois qui s’intéressent au basket et la NBA étant sur place, elle en a pris quelques uns, il y a beaucoup de sociétés de production de matériel et d’équipement sportifs dédiés au basket. Il y a une bonne économie pour le basket. Ça été soutenu par des succès de l’équipe nationale avec les premiers joueurs qui sont allés en NBA, mais actuellement c’est le déclin. Ils ont réussi à se qualifier directement pour Londres mais la suprématie qu’ils ont eue ces dix dernières années en Asie s’affaiblit et ils risquent de la perdre. Il faudra voir si ça n’aura pas d’effet sur l’économie du basket et peut-être que cela va permettre à d’autres sports de reprendre du souffle car pour l’instant le basket tue à peu près tout, sinon les sports typiquement chinois, tennis de table, arts martiaux.\\n\\nIls ne parviennent pas à former leurs joueurs de haut niveau ?\\n\\nIls ont un énorme problème de détection de talents, de filtrage de la masse pour aller vers le haut. Deuxièmement ils manquent cruellement d’entraîneurs comme il faut. Et troisièmement le niveau de la ligue chinoise reste assez faible. Si le niveau des clubs n’est pas suffisamment bon, c’est difficile de bien former les joueurs. Il n’y a pas la relève derrière les Wang Zhizhi et Yao Ming. En plus les échanges avec l’étranger ne sont pas dans leurs cordes.\\n\\n« Si l’on prend la moyenne de taille et de taille des mains des femmes, elles sont clairement différentes de celles de hommes. Donc on a pris la décision d’avoir un ballon plus petit –ça a pris je ne sais pas combien d’années à en discuter-, la logique voudrait que le panier soit baissé. »\\n\\nLe basket international vient de changer la configuration de son terrain, la distance de sa ligne à 3-pts, un pas vers la NBA, mais celle-ci fait-elle vraiment des efforts pour unifier les règles ?\\n\\nLe but n’est pas de savoir qui copie qui, mais de savoir où l’on va avec les changements. Si vous avez une locomotive, ce n’est qu’en allant le plus avant possible, ensemble, que vous allez développer le basket. Nos changements de règles n’ont pas été dictés d’une manière ou d’une autre par celles de la NBA, on a estimé que le moment était venu pour faire l’étape suivante à ce sujet. Les Etats-Unis ne dominent plus comme auparavant et j’ai hâte de voir les effets de nos changements de règle sur le terrain. Et je suis sûr que dans dix ans on fera encore un pas en avant dans les règles et qu’il n’y aura plus de différences. Déjà aujourd’hui, il y en a très peu, 50cm de ligne à 3-pts, oui, mais le reste c’est peanuts, que le joueur soit autorisé à demander lui-même un temps-mort en NBA et pas dans le jeu FIBA, c’est un détail... Nous ne sommes pas un sport où l’individu prévaut sur l’équipe, donc on a quand même encore une différence de philosophie et je ne pense pas qu’elle changera, mais à part cette manière d’interpréter le jeu, je pense que ça sera la même chose.\\n\\nPensez-vous que les règles seront unifiées pour les professionnels masculins ou pour tous les niveaux jusqu’aux amateurs ?\\n\\nC’est un débat que l’on a au moins une fois par an quand on se réunit dans une commission particulière qui discute de ça la moitié de la réunion. Faut-il ou pas ? On a tranché régulièrement dans le sens qu’il faut un règlement de haut en bas. Il y a eu un débat solide pour savoir si le déplacement de la ligne à 3-pts devait se faire au dépend du jeu féminin, des jeunes. Au final on s’est dit qu’on ne peut pas avoir trois terrains, trois lignes, trois paniers différents. Le tir à 3-pts doit rester une exception. Quel sera le prochain changement ? On pense qu’à un moment le terrain risque de devenir un peu étroit.\\n\\nAprès le championnat du Monde vous avez évoqué la possibilité de baisser la hauteur du panier pour les filles afin de rendre le jeu plus spectaculaire. Où en est-on ?\\n\\nSi l’on prend la moyenne de taille et de taille des mains des femmes, elles sont clairement différentes de celles de hommes. Donc on a pris la décision d’avoir un ballon plus petit –ça a pris je ne sais pas combien d’années à en discuter-, la logique voudrait que le panier soit baissé. C’est une idée qui m’a été utile pour provoquer le débat. On a énormément de discussions pour savoir comment promouvoir le basket des femmes. Mais soyons honnête, notre milieu n’est pas très chaud pour baisser la hauteur des paniers, et ce ne sont certainement pas les filles qui jouent au plus haut niveau et qui s’entraînent depuis des années, qui y sont favorables. Alors que regardez au volley, c’est tout à fait normal que le filet soit plus bas, au tennis que la raquette soit plus petite.\\n\\nIl y aurait aussi des problèmes techniques colossaux à résoudre ?\\n\\nPour le haut niveau, non, les paniers ce sont des ascenseurs, vous pouvez les arrêter où vous voulez, au millimètre près. Par contre, c’est vrai, c’est impossible de mettre ça partout en pratique. Il faudrait changer les paniers dans le monde entier. Ce n’est pas une solution praticable mais ça nous a permis d’ouvrir le débat, d’avoir une conférence sur les femmes, de remettre en question les tenues, la pratique du basket par les femmes de culture musulmane... Notre position sur ce point, c’est qu’on ne changera pas.\\n\\n« Un propriétaire de NBA va dire, « mon joueur a joué 80 matches, il doit encore aller s’entraîner, jouer une dizaine de matches officiels, autant de non officiels, il n’a pas de vacances, vous êtes en train de l’user au-delà de ce que je le paye, il risque de se blesser. » Il faut que l’on trouve une solution à chaque fois mais sur le fond on a une vraie divergence d’opinion. »\\n\\nIl n’a été question que de business, de dollars pendant le lockout NBA, d’une bataille de chiffonniers entre millionnaires et milliardaires. Votre mentalité d’Européen n’a pas été choquée ?\\n\\nOn vient d’une structure qui est basée sur l’amateurisme, sur la vie associative volontaire. En NBA, ce n’est pas le cas, en plus ils ont tout le système scolaire qui leur fournit la matière première. J’ai été arbitre mais surtout volontaire dans un club, un jour officiel de table, le lendemain on s’entraînait, et après on arbitrait. Le basket international ne peut pas couper avec son histoire et sa base qui le rend fort. Sans ses fédérations nationales la fédération internationale n’est rien. La NBA, c’est un business. Et on sait qu’avec eux on a des discussions qui sont ramenées en permanence aux dollars. La discussion la plus difficile c’est la mise à disposition des joueurs pour l’équipe nationale car elle nous oppose. Le joueur a été formé dans un pays, dans mon esprit, il est tout à fait normal, dans la mesure où il le veut, qu’il est en forme, qu’il aille jouer pour son pays. Un propriétaire de NBA va dire, « mon joueur a joué 80 matches, il doit encore aller s’entraîner, jouer une dizaine de matches officiels, autant de non officiels, il n’a pas de vacances, vous êtes en train de l’user au-delà de ce que je le paye, il risque de se blesser. » Il faut que l’on trouve une solution à chaque fois mais sur le fond on a une vraie divergence d’opinion. Le reste c’est du business aussi pour nous. S’il prenne un joueur en Inde, par exemple, ça va développer le basket là-bas.\\n\\nAvez-vous passé un contrat avec la NBA ?\\n\\nOui, il prévoit que les joueurs doivent être mis à disposition de leur équipe nationale dans la mesure où les compétitions ne se font pas pendant la saison NBA. La seule condition c’est que les joueurs doivent avoir une assurance adéquate. On sait que ce n’est pas aussi simple dans la réalité. On a eu le cas en Suisse de Thabo Sefolosha qui après sa première année en NBA n’est pas venu en sélection. Ils lui ont dit gentiment « il vaut mieux que tu t’entraînes. » On peut le comprendre, mais si le joueur ne vient jamais, je ne comprends plus. Cette pression existe aussi dans l’Europe des clubs sur ses joueurs.\\n\\nLà, vous pouvez intervenir plus facilement ?\\n\\nJe pense que les fédérations gèrent ces problèmes relativement bien en général. Il n’y a pas de clubs au Monde, ni en NBA ni ailleurs, qui puisse refuser à un joueur qui le veut d’aller jouer avec son équipe nationale. Il n’y a pas de papier ou de pression qui tienne. Après un été un joueur peut être fatigué et un autre été il peut être en position délicate vis à vis de son contrat, c’est normal... Mais pour revenir à la question d’avant : eux voient les joueurs comme de la matière première pour faire de l’argent alors que nous c’est un être humain qui a reçu une éducation, un entrainement ici, et c’est normal qu’il ait la volonté, l’orgueil, de jouer pour son équipe nationale, et aussi qu’il redonne quelque chose à son pays. L’effort que fait Dirk Nowitzki pour sa patrie est un exemple pour les autres. Mais vous ne pouvez pas non plus construire votre équipe nationale sur un joueur. Ce n’est pas bien pour lui ni pour la génération future. Nowitzki a dû faire 7 ou 8 étés de suite, à un moment il est fatigué, il va dire « merci, c’est terminé » et l’équipe nationale va décliner.\\n\\n« Nous le milieu du basket, on est extrêmement fragmenté. Ça n’aide pas dans notre perception de l’extérieur même si le basket continue de grandir. »\\n\\nLes saisons et pas seulement en NBA sont de plus longues, éprouvantes, et on a la sensation que chaque ligue, fédération, essaye de se positionner en poussant les autres. Jordi Bertomeu, le directeur de l’Euroleague, a déclaré dans El Mundo du 20 octobre 2011 que le format de l’Euroleague va changer (2 groupes de 8 donc 14 matches au lieu de 6) et ainsi que la compétition allait rogner sur celui des équipes nationales. Qu’en pensez-vous ?\\n\\nC’est une question très importante pour le basket européen. Avoir une forte Euroleague est nécessaire, mais là où je ne partage pas leur avis c’est dans la recherche de quantité. C’est plutôt une fuite en avant. Il y a certains clubs qui estiment que les championnats nationaux n’ont pas leur raison d’être, ne sont plus porteurs, et que c’est plus facile de jouer le CSKA Moscou régulièrement. Le problème est plutôt au niveau des championnats nationaux qui ne sont pas suffisamment forts. Aujourd’hui c’est assez confus, on ne sait plus très bien qui joue, qui qualifie vers quoi, il y a des ligues régionales dont l’une qualifie pour l’Euroleague, il y a le Maccabi dans la ligue Adriatique, ça ne tient plus la route. Est-ce que trois compétitions de clubs c’est une bonne chose ? Il faut y réfléchir. Parfois il vaut mieux resserrer qu’élargir et que la qualité ne réside pas dans le nombre. Et là où on ne va pas être d’accord du tout c’est si ça se fait au dépend des équipes nationales, la situation pourrait être difficile comme il y a dix ans.\\n\\nAvez-vous les moyens d’intervenir sur l’Euroleague qui est une entreprise privée...\\n\\n... Dont les membres sont les clubs qui sont membres de nos fédérations. Il faut que la famille du basket européen se retrouve autour d’une table pour peindre les dix prochaines années du basket, et pour l’instant ça ne s’est pas fait d’une manière constructive et commune. Nous, on est en train de réviser le calendrier mondial de nos équipes nationales et ça aura un impact dans toute cette situation. Les compétitions des équipes nationales prennent de l’envergure, ça obtient de bonnes audiences, et ça permet de refinancer le basket. Alors que beaucoup de championnats nationaux qui ont été historiquement très forts sur les vingt dernières années sont en déclin assez sérieux. La crise économique accélère le processus et le basket ne peut pas être trop dépendant des cycles économiques.\\n\\nAu basket, il y a les Jeux Olympiques qui restent l’épreuve principale, un championnat du Monde tous les quatre ans, un championnat d’Europe tous les deux ans, et un pré-olympique. N’est-ce pas beaucoup, trop ? Et paradoxalement, les meilleurs joueurs étant en NBA, les équipes nationales sont dans un long tunnel de septembre à l’été ?\\n\\nNous le milieu du basket, on est extrêmement fragmenté. Ça n’aide pas dans notre perception de l’extérieur même si le basket continue de grandir. Ce n’est pas évident de trouver une vraie voie commune, les intérêts des uns et des autres sont tellement différents. La NBA, c’est un pays, un chef, trente propriétaires, c’est très clair. Ici ce n’est pas clair. Une grande société a son siège ici à Genève. Un jour le directeur est en rendez-vous avec le président de la FFBB qui lui demande de faire un sponsoring, le lendemain c’est Jordi Bertomeu, le mercredi c’est moi qui y va, et le jeudi ça sera Heidi Ueberroth la présidence de NBA marketing. Le gars en face a son chéquier et il se dit « qu’est-ce que je fais ? » Chacun a le droit à son indépendance mais on ne s’aide pas beaucoup dans ce milieu, on ne donne pas une bonne image d’unité. Vous prenez ça et vous l’appliquez au calendrier, le résultat est le même. C’est très confus. Nous on a le tournoi pré-olympique. En Europe il y a le « tournoi de la dernière chance » deux semaines avant le championnat d’Europe pour qualifier une équipe. En Asie, il y a la Stankovic Cup qui qualifie aussi en partie pour le championnat d’Asie et pas uniquement. On est absolument maîtres à confondre les gens !\\n\\nOn parle d’un Euro uniquement tous les 4 ans, sachant que les joueurs NBA sont enclins à faire l’impasse sur celui qui ne qualifie pas pour les Jeux Olympiques, faut-il aussi maintenir le tournoi pré-olympique ?\\n\\nLe tournoi pré-olympique a été organisé pour atténuer un peu l’esprit d’universalité des Jeux, pour améliorer la qualité du tournoi olympique, alors qu’avant on attribuait des quotas par continent. C’est vrai que ça permet aussi de positionner une compétition FIBA dans l’année olympique et de donner une exposition à nos partenaires. Ce n’est pas idéal de mille points de vue. On a beaucoup débattu de ce sujet ces derniers mois et lors de notre dernier comité directeur au bureau central début décembre à Madrid. Notre vision c’est que l’on a besoin d’alléger le calendrier, le clarifier et donner plus d’opportunités à nos fédérations nationales de pouvoir voir leurs équipes nationales à la maison. Si je résume, c’est de déplacer l’année du championnat du Monde de 2018 à 2019, les Jeux c’est en 2020, le championnat d’Europe en 2021, pas de compétition en 2022, probablement le championnat du Monde féminin, et puis en 2023 le championnat du Monde, en 2024 les JO, etc. Donc on fera un championnat continental et un championnat du Monde tous les quatre ans, et deux années de qualification pour le Mondial et l’Euro avec des rencontres à la maison dans la plus grande partie du Monde sauf là où logistiquement c’est un peu compliqué. La qualification pour les Jeux Olympiques se faisant à travers le championnat du Monde. Donc le pré-olympique et un championnat continental tombe aussi. Après il y a 25,000 détails... Il faut trouver des dates pour jouer. Dans notre esprit on a bloqué quatre fenêtres, février, juin, septembre et novembre, et on va réfléchir comment les utiliser. Il faut s’entendre avec les ligues et les clubs et trouver aussi une fenêtre où les joueurs NBA puissent jouer. Si tout va bien on prendra une décision en 2012.\\n\\nCela comblerait l’envie des fans de voir leur équipe nationale à domicile ?\\n\\nSi vous faîtes des groupes de six, cela fait dix matches sur deux ans, régulièrement. Et ça c’est de la propriété de la fédération française, donc la possibilité de construire des partenariats de long terme avec la télévision. On a fait faire une étude économique et c’est très clair qu’avec ce système les fédérations nationales vont ressortir bénéficiaires. Après c’est à elles de mettre ça en musique pour que ce ne soit pas que de l’argent mais aussi un bénéfice d’image de marque, pour construire la prochaine génération de talents, impliquer les clubs. Les ligues nationales auront peut-être un trou d’une semaine ou deux mais la pression sur les joueurs sera moindre. En Afrique ce n’est pas évident de faire des matches aller-retour aussi peut-être faut-il envisager une étape intermédiaire.\\n\\n« En France les statistiques disent que s’il y a 450,000 licenciés, il y a 1,5 million ou 2 millions de personnes qui jouent au basket. En Slovénie c’est 7 fois, en Allemagne 3,5 fois. »\\n\\nVous êtes membres du CIO, quelle est véritablement la place du basket aux Jeux Olympiques ?\\n\\nOn est dans les 3-4 premiers sports derrière l’athlétisme qui est le sport roi. Il y a la natation, la gymnastique et le basket. Ce sont les Américains qui financent en grande partie les Jeux Olympiques. Pour eux la natation et la gymnastique ont une grande valeur, le basket aussi mais ils ont déjà la NBA... Par contre pour la NBA c’est un événement très important. A Pékin, on était à égalité avec la natation en terme d’audience et même meilleur sur certains matches. On se bagarre avec la fédération de natation pour dire qui est le meilleur (rires). On est clairement le sport d’équipes le plus important. Le foot joue aux JO avec des joueurs plus jeunes... On a d’ailleurs posé la question à nos fédérations pour savoir si elles voulaient aller dans cette même direction compte tenu des problèmes de calendrier dont on parlait, c’est non. Pour revenir au foot, alors que nous on joue dans des salles de 12/20,000 spectateurs, eux c’est dans des stades de 80,000. Pour un comité d’organisation c’est beaucoup de billets vendus pour financer les Jeux. A cause de cette importance économique pour les organisateurs ça reste un sport majeur aux JO, pas en terme de qualité de joueurs ou de jeu. Pour nous, c’est un peu un casse-tête chinois car du fait que le basket est un sport mondial, douze équipes ça ne nous satisfait pas. C’est aussi dans ce sens que l’on veut réorganiser les priorités après les Jeux de Rio. Les joueurs choisissent un peu les compétitions qu’ils veulent jouer, s’il y a une qualification olympique au bout, j’y vais... Alors que pour une qualification pour un championnat du Monde à 24, il estime que l’on peut y arriver sans lui, ou alors c’est carrément moins important pour lui. Avec l’option d’effectuer les qualifications pour les Jeux à travers le championnat du Monde, c’est une manière de faire de cette compétition la clé du système. On a besoin de développer le championnat du Monde pour agrandir le gâteau pour tout le monde.\\n\\nEst-ce possible d’obtenir davantage que 12 places ?\\n\\nOn continuera à se bagarrer pour en avoir davantage. En 2013, pour les Jeux de Rio de 2016, on posera deux requêtes sur la table du CIO, avoir 16 équipes et introduire le 3×3.\\n\\nIl y a une vingtaine d’années lorsque le phénomène 3×3 est arrivé en France, la fédération était un peu décontenancée. Aujourd’hui cela fait partie des préoccupations prioritaires de la FIBA ?\\n\\nC’est du basket mais ce n’est pas une préoccupation majeure. Seulement pour revenir à ce dont on parlait toute à l’heure, on sait que le 3×3 concerne un multiple de ceux qui sont licenciés. En France les statistiques disent que s’il y a 450,000 licenciés, il y a 1,5 million ou 2 millions de personnes qui jouent au basket. En Slovénie c’est 7 fois, en Allemagne 3,5 fois. Même si le multiple n’est que de 2, il y a une masse de gens qui jouent en dehors de nous au basket et on veut les intégrer dans notre système de la manière la plus libre qui soit, pour qu’ils jouent quand, où et avec qui ils le veulent. Aujourd’hui il existe des organisateurs de 3×3 dans chaque pays, des municipalités, des écoles, des universités, des privés comme le Quai 54 à Paris, des sociétés comme Adidas ou Reebok. On n’a pas l’habitude de travailler avec des gens comme ça, c’est un vrai défi. Il faut le réussir si on veut se moderniser et comprendre que la famille du basket est large.\\n\\nC’est un phénomène mondial ?\\n\\nPartout. Kentucky Fried Chicken est le plus grand organisateur de tournoi 3×3 en Chine, ce sont des milliers d’équipes qui jouent. On joue des 3×3 dans les favelas à Rio-de-Janeiro. Nene joue là-bas. En Tunisie c’est une société de télécom qui organise un tournoi. Le basket reste un message porteur, les sociétés l’utilisent pour aller directement à leurs clients, c’est une relation commerciale. Et pour des pays en développement c’est beaucoup plus facile d’organiser du 3×3 que du 5×5. On a organisé un championnat du Monde à Rimini en huit semaines, on a voulu faire un test. On voulait inviter 24 ou 32 équipes, on a terminé à 56 équipes de 40 pays du monde entier. Il y avait le Népal, le Sri Lanka, Guam... Avec cinq billets d’avion on peut aller à un championnat du Monde même si on est un petit pays. C’est la Nouvelle-Zélande, qui n’a jamais la chance de jouer dans les championnats du Monde de jeunes, qui a gagné le tournoi (NDLR : cinq ans après cette interview, le 3×3 est devenu sport olympique).\\n\\nDéjà paru dans BasketNews en janvier 2013\\n\\n[armelse]\\n\\nVous êtes Suisse, mais à y regarder de près votre cursus est international avec même un passage en France, à Lyon. Ce sont les circonstances ou le résultat d’une véritable envie ?\\n\\nJ’avais sept ans quand on m’a dit que l’on partait en Italie, donc c’est une circonstance. Ma famille était polyglotte, on parlait déjà le français, l’allemand et l’italien à la maison. Après aller faire un cursus à Lyon et puis à Chicago, c’était mon choix personnel, je voulais acquérir d’autres connaissances. A Lyon, c’était lié au programme du Memos qui existe toujours, un Master Européen en Management des Organisations Sportives. C’est le CIO, M. Samaranch, qui a poussé mon prédécesseur (le Serbe Borislav Stankovic) a lui envoyer un étudiant. J’ai terminé mes études de droit mais je n’ai jamais réussi à finir mes études économiques car je suis parti à la FIBA avant, mais cette partie économique je l’ai reprise en faisant un MBA à l’université de Chicago. Ensuite je me suis marié avec une Espagnole, comme ça j’ai aussi acquis cette langue. Et ainsi mes enfants parlent déjà quatre langues. D’un côté c’est une énorme richesse, de l’autre on se pose toujours la question « où est-on à la maison ? »\\n\\nQuelle est la fréquence de vos voyages ?\\n\\nSi vous ne faites pas lire l’article à ma femme, je vais vous donner le chiffre exact (rire). Il y a plus de deux cents jours de voyage dans une année. Avec le président (Yvan Mainini) on s’est partagé les continents. Parfois les compétitions se chevauchent, il y a dix compétitions en 6-8 semaines, vous ne pouvez pas être partout, or on a besoin d’être vu par nos membres. Par exemple, si tout va bien, on va en Afrique au moins une fois par an. Le 21, trois jours avant Noël, je serai à un comité de FIBA Asie en Malaisie. On a cinq antennes, cinq sièges sur des continents différents. L’Asie c’est à Kuala Lumpur et ils ont célébré leur 50e anniversaire il n’y a pas longtemps, comme FIBA Afrique installée entre Abidjan et Le Caire qui l’a fait cette année. FIBA Amériques c’est à Porto-Rico, et en Océanie c’est à une heure et demie de Sydney. Et donc l’Europe à Munich.\\n\\nQuel distinguo doit-on faire entre le président et le secrétaire général ? Lui est élu alors que vous, vous êtes salarié ?\\n\\nC’est correct. Le secrétaire général est nommé par le comité directeur, le bureau central, avec un contrat de travail. Dans mon cas précis, c’est un contrat à durée déterminée qui vient d’être renouvelé pour une échéance à 2022 (NDLR : le contrat avait été prolongé en juin dernier jusqu’en 2031). Il n’y a donc eu que trois secrétaires généraux (Renato William Jones et Borislav Stankovic) alors que pour les présidents il y a une rotation et une limite dans la durée, un mandat de quatre ans. Si le secrétaire général ne fait pas de bêtise, il reste en place et c’est un peu la pièce centrale. On peut être pour ou contre ce système mais ce n’est pas fondamentalement différent de ce qui existe dans toutes sortes d’autres sociétés avec un président du conseil d’administration et un directeur exécutif ou général. Dans les autres fédérations, on est davantage dans un système présidentiel, le président étant le PDG. Les textes de la FIBA sont assez clairs : le rôle exécutif par rapport aux décisions prises par le bureau central sont du ressort du secrétaire général qui doit les mettre en œuvre. C’est le bureau central qui commande et il est dirigé par le président. Après, c’est toujours une question de rapports humains, l’harmonie est nécessaire. Je suis toujours extrêmement honoré d’être dans cette position mais il est très utile d’avoir un président qui s’engage dans les affaires et qui participe à la création des dix prochaines années du basket.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: supporter chinois, Marine Johannès, Rudy Gobert, Patrick Baumann avec Jordi Bertomeu (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"La billetterie de la Leaders Cup est ouverte"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"\\n\\n\\nLa Disneyland® Paris Leaders Cup LNBrassemblera pendant 3 jours, du 15 au 17 février 2019, les 8 meilleures équipes de Jeep® ÉLITE selon le classement établi à la fin de la phase aller. A noter que lafinale de la Disneyland®Paris Leaders Cup Pro B aura lieu le dimanche 17 février 2019en lever de rideau de la FinaleJeep® ÉLITE.\\n\\n\\n\\n\\nPour cette nouvelle édition, la Disney Events Arena se transformera à nouveau en une enceinte sportive unique en Europe et entraînera chaque jour près de 5000 spectateurs dans l’ambiance magique de Disney.\\n\\nLa billetterie est officiellement lancée pour l’édition 2019 avec de nombreuses offres.\\n\\nPour les visiteurs souhaitant profiter pleinement de cet événement, un pack 3 jours Basket + 2 jours Parcs Disney donne accès à tous les matches de la Leaders Cup* ainsi qu’aux Parcs Disney (Disneyland® Park et Walt Disney Studios®) les journées du samedi 16 et dimanche 17 février 2019.\\n\\nComment acheter sa place ?\\nPar Internet : www.leaderscup.fr et www.digitick.com\\nPar téléphone : 0 892 0 892 700 840 (0,34€/min)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Fabien Causeur : «Aucune équipe ne peut dominer en Euroleague»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En verve pour l’ouverture de la saison la semaine passée avec 13 points au compteur, Fabien Causeur a été plus discret cette semaine à Milan. Le gaucher du Real a effectivement terminé à 0 point en 10 minutes mais cela n’a pas empêché le champion en titre de s’imposer avec autorité en déplacement.\\n\\nTout comme Causeur, Sergio Llull a été ménagé et a fini capot, la preuve ultime que la troupe madrilène est suréquipée !\\n\\n« On a un super groupe de joueurs encore, et tout le monde de retour, on est prêt à défendre notre titre. On a bien commencé face à Darussafaka mais on doit continuer à progresser. Sergio Llull a joué comme s’il n’avait jamais été blessé. On a eu des flashbacks de son Final Four à Belgrade. Plus rien ne m’étonne avec lui ! », commente Causeur dans son blog sur le site de l’Euroleague. « Si vous regardez bien, sur son tir au buzzer, on a déjà les mains en l’air car on savait que ça rentrerait ! »\\n\\nChampion d’Europe puis d’Espagne en l’espace de quelques jours, Causeur a vécu une saison de rêve ponctuée d’un été qui a été tout aussi féérique.\\n\\n« Cet été a été exceptionnel pour moi : je me suis marié ! Trois jours après le titre en Liga, j’étais avec l’équipe nationale pour jouer deux matchs. Et huit jour plus tard, je me mariais ! Ce fut un été plutôt rempli mais ce fut surtout une très grande fête. Je pense que c’était la plus grosse fête de ma vie ! On s’est marié près de Madrid car ma femme est madrilène. J’ai invité beaucoup de coéquipiers : Boris Diaw et Edwin Jackson, beaucoup de mes coéquipiers du Real, quasiment toute l’équipe de Bamberg et des gars de Vitoria aussi. Et tous mes amis français étaient là. Ça faisait du monde : 150 personnes ! »\\n\\n\\n« Il faut s’attendre à des moments difficiles cette saison aussi »\\n\\nAprès avoir gravi les échelons un à un, sans brûler les étapes, Fabien Causeur compte bien profiter à fond de cette saison au sommet : en tant que tenant du titre. « Je n’embrasse plus mon trophée chaque matin, mais je vais peut-être commencer à le refaire car je l’adore ! »\\n\\nL’ancien choletais sait d’expérience que tout ne sera pas toujours rose pour son équipe, si blindée soit-elle en talents individuels...\\n\\n« On a connu pas mal de blessures la saison passée et il faut s’attendre à d’autres complications cette saison aussi. On ne devient pas champion d’Euroleague sans des moments difficiles. Aucune équipe ne peut dominer facilement en Euroleague, ce n’est pas possible ! On doit continuer à bien jouer, avec confiance et garder ça en tête quand ça sera plus difficile. On a une bonne alchimie et on a déjà gagné avec cette équipe, ça nous aidera pendant ces temps faibles. »\\n\\nAvec Anthony Randolph et Walter Tavares qui ont sorti la boîte à gifles à Milan, le Real a su trouver d’autres solutions pour s’imposer. Et cela devrait être le cas pendant toute l’année. Avis à ses poursuivants, le champion en titre sera difficile à aller chercher !\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=D2Z-JI-YcSg"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eurocup : le bilan complet de la 3e journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après trois journées de compétition, il y a quatre clubs encore invaincus. Et comme le hasard fait bien les choses, il y en a un dans chaque groupe : l’Etoile Rouge de Belgrade dans le groupe A, Krasnodar dans le B, Valence dans le C et Kazan dans le D.\\n\\nCela dit, Monaco et l’Asvel ne sont pas trop mal non plus avec deux victoires et une défaite. La troupe monégasque a été particulièrement convaincante avec un deuxième succès à l’extérieur alors que l’Asvel se repose pour le moment sur une belle série à domicile. Ça coince par contre pour le CSP Limoges qui a mordu la poussière violemment face à l’Alba Berlin.\\n\\nDu côté des Français en action, on a deux double-doubles à signaler avec Andrew Albicy (10 points, 12 passes, 5 interceptions pour la 4e meilleure évaluation de la 3e journée à 26) et Mathias Lessort (11 points, 10 rebonds) qui ont rempli la feuille de stats. Cela aurait même pu être bien mieux pour le second sans quelques soucis sur la ligne de réparation (5/12 aux lancers)...\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe MVP de la 3ème journée\\n\\nMantas Kalnietis (19 points, 8 passes, 3 rebonds, 2 interceptions)\\n\\nIl ne fait certes pas partie des meilleures évaluations de la 3e journée mais on voulait marquer le coup ! Car le meneur lituanien de l’Asvel de 32 ans a été le parfait leader pour venir à bout (facilement) d’Ankara à l’Astroballe. Avec 19 points et 8 passes, l’ancien de Kaunas ou Milan a su impulser le bon rythme à l’attaque de l’Asvel, multipliant les offrandes pour ses coéquipiers en réussite. Issu d’une génération dorée avec son équipe nationale, Kalnietis apporte tout son savoir-faire depuis son arrivée dans la banlieue lyonnaise.\\n\\n\\nLa meilleure performance\\n\\nGiorgi Shermadini (26 points, 7 rebonds, 2 contres)\\n\\nGiorgi Shermadini rend encore de fiers services à Malaga. Le géorgien (2m17, 29 ans) a signé une évaluation de 34 avec un gros match à 26 points (à 12/15 aux tirs), 7 rebonds, 2 contres, 2 interceptions et 1 passe. Dans la victoire de Malaga, Shermadini a fait un peu de tout et il a tout simplement établi quatre records perso : aux points, aux contres, aux interceptions, et à l’évaluation !\\n\\n\\nLa stat qui tue\\n\\n33\\n\\nC’est l’écart final entre St Petersbourg et Trento. L’équipe transalpine a pris la foudre à la maison avec un écart abyssal (93-60). Ça la fout mal pour Maurizio Buscaglia et ses hommes qui font grise mine dans le Groupe C (1 victoire – 2 défaites). Sept joueurs ont fini en double double pour le Zenith, dont 11 points et 10 passes pour Gal Mekel, le dernier arrivant.\\n\\n\\nLes clubs français\\n\\nMonaco voyage bien\\n\\nDéfait à domicile la semaine passée contre l’Etoile Rouge, Monaco a bien rebondi face à Ulm, engrangeant au passage une deuxième victoire en déplacement (75-65). Si Elmedin Kikanovic (14 points) a encore été fidèle au poste, c’est Yakuba Ouattara (15 points) qui a particulièrement brillé, un très bon signe pour l’international qui est à la relance cette saison. Face à son ancien club, Ian Hummer (13 points, 10 rebonds dont 7 offensifs) a été héroïque, surtout quand l’écart a fondu de 21 à 7 en dernier quart. Monaco voyage bien en ce début de saison européenne.\\n\\nL’Asvel reste intraitable à l’Astroballe\\n\\nRemonté comme un coucou après un trois points dans le dernier quart, Mantas Kalnietis (19 points, 8 passes) pouvait exulter : l’affaire était dans le sac pour l’Asvel ! A l’image de cette ultime bâche d’Eric Buckner, Ankara ne passera pas à Villeurbanne (84-63). A.J. Slaughter (16 points) a également été saignant derrière l’arc dans une attaque équilibrée et intelligente avec 23 passes au total. Cinq joueurs terminent en double figure, dont 13 points et 8 rebonds d’Amine Noua qui confirme sa grande forme du moment.\\n\\nLimoges s’incline à domicile\\n\\n30-19, le score du 2e quart a de quoi faire pâlir les fans limougeauds ! Le CSP a craqué et ne s’en est jamais remis (102-93). Malgré 17 points de Damien Inglis et Axel Bouteille, l’équipe de Kyle Milling n’a fait que courir après le score. Berlin a pour le coup carburé en attaque, derrière un énorme Peyton Siva (18 points, 13 passes) à la baguette. L’ancien de Châlons Reims, Martin Hermannsson (16 points) et l’ailier lituanien Rokas Giedriaitis (23 points à 8/11) ont torturé Limoges dans le finish.\\n\\n\\nLes Français de l’EuroCup\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 12 points (4/6 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe en 19 minutes\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 11 points (3/6 aux tirs), 10 rebonds, 1 contre, 2 balles perdues en 18 minutes\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 10 points (4/6 aux tirs), 12 passes, 5 interceptions, 2 rebonds, 2 balles perdues en 29 minutes\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : 6 points (3/3 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 contre, 2 balles perdues en 17 minutes\\n\\nBandja Sy (Partizan) : n’a pas joué\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué\\n\\n\\nLe Top Ten\\n\\n\\nLes résultats de la 3ème journée\\n\\nGROUPE AGalatasaray – Brescia (84-76)\\nEtoile Rouge Belgrade – Andorre (85-79)\\nUlm – Monaco (65-75)GROUPE BKrasnodar – Tofas Bursa (95-72)\\nGdynia – Zagreb (61-78)CSP Limoges – Berlin (93-102)GROUPE CLyon-Villeurbanne – Ankara (84-63)Trente – St Petersburg (60-93)Valence – Partizan Belgrade (79-71)GROUPE DVilnius – Francfort (61-70)Mornar Bar – Malaga (85-96)Kazan – Turin (92-78)Pour rappel : le bilan complet de la 2e journée\\n\\n\\nLe programme de la 4ème journée\\n\\n(matchs les 23 et 24 octobre)\\n\\nGROUPE A\\nGalatasaray – Monaco\\nAndorre – Ulm\\nBrescia – Etoile Rouge\\n\\nGROUPE B\\nAlba Berlin – Gdynia\\nLimoges – Tofas Bursa\\nZagreb – Krasnodar\\n\\nGROUPE C\\nPartizan – Asvel\\nTrente – Ankara\\nZenith St Petersbourg – Valence\\n\\nGROUPE D\\nMalaga – Kazan\\nVilnius – Turin\\nFrancfort – Mornar Bar\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe MVP de la 3ème journée\\n\\nMantas Kalnietis (19 points, 8 passes, 3 rebonds, 2 interceptions)\\n\\nIl ne fait certes pas partie des meilleures évaluations de la 3e journée mais on voulait marquer le coup ! Car le meneur lituanien de l’Asvel de 32 ans a été le parfait leader pour venir à bout (facilement) d’Ankara à l’Astroballe. Avec 19 points et 8 passes, l’ancien de Kaunas ou Milan a su impulser le bon rythme à l’attaque de l’Asvel, multipliant les offrandes pour ses coéquipiers en réussite. Issu d’une génération dorée avec son équipe nationale, Kalnietis apporte tout son savoir-faire depuis son arrivée dans la banlieue lyonnaise.\\n\\n\\nLa meilleure performance\\n\\nGiorgi Shermadini (26 points, 7 rebonds, 2 contres)\\n\\nGiorgi Shermadini rend encore de fiers services à Malaga. Le géorgien (2m17, 29 ans) a signé une évaluation de 34 avec un gros match à 26 points (à 12/15 aux tirs), 7 rebonds, 2 contres, 2 interceptions et 1 passe. Dans la victoire de Malaga, Shermadini a fait un peu de tout et il a tout simplement établi 4 records perso : aux points, aux contres, aux interceptions, et à l’évaluation ![/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Danny Gibson débarque à Cholet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme annoncé il y a quelques jours, Danny Gibson (1,78m, 34 ans) rejoint Cholet Basket et disputera son premier match samedi face à l’Elan Béarnais.\\n\\nArrivé au terme de sa pige médicale à Antibes, l’ancien meneur de Limoges n’a pas été conservé par le club azuréen et arrive donc dans une formation choletaise en difficulté en ce début de saison de Jeep Elite. Même si sa signature semble annoncer le départ de l’autre meneur US Tywain McKee, le club n’a pas communiqué à ce sujet.\\n\\nEn cinq matchs de Jeep Elite cette saison, Danny Gibson a compilé 13,6 points, 6,6 passes décisives et 3,2 rebonds pour 16,0 d’évaluation en 31 minutes de jeu.\\n\\nPhoto : Antbibes Sharks"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Laurent Pluvy prolonge à Roanne jusqu’en 2021"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé en 2016 à Roanne, Laurent Pluvy (45 ans) vient de prolonger son contrat jusqu’en 2021, annonce le club.\\n\\nFinaliste des derniers playoffs d’accession face à Fos, le technicien et la Chorale s’entendent à merveille. L’objectif du club à travers l’ancien entraîneur d’Evreux est de replacer le club parmi les meilleurs de France dans les années à venir et par conséquent de remonter en Jeep Elite rapidement.\\n\\nL’entraîneur s’est exprimé suite à sa prolongation.\\n\\n« Je ressens beaucoup de plaisir de pouvoir poursuivre l’aventure dans ce club, une grande satisfaction et une grande fierté du fait que l’on ait envie de continuer avec moi. C’est un club qui me tient à coeur, j’ai de très bonnes relations avec l’ensemble des composantes, avec le staff technique où il y a beaucoup de compétences comme avec l’administratif. On a plaisir à venir tous les jours et à écrire l’histoire ensemble. Le projet initial était de remonter, c’est une satisfaction de voir que le club se donne les moyens d’avoir cette ambition, tout en connaissant la difficulté de la tâche et la qualité de la concurrence. »\\n\\nPhoto : Chorale de Roanne"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France : billetterie ouverte pour le match du 3 décembre à Limoges face à la Bulgarie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le 3 décembre prochain, l’Equipe de France masculine sera présente à Limoges pour affronter la Bulgarie sur le parquet de Beaublanc.\\n\\nAprès le tragique décès de Frédéric Forte, la FFBB avait souhaité lui rendre hommage en programmant un match de qualification pour la Coupe du Monde 2019 dans sa ville, Limoges. Aujourd’hui, la Fédération annonce que la billetterie pour cet événement est ouverte à cette adresse : https://billetterie.ffbb.com"
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : Léo Westermann remet le Zalgiris sur les bons rails"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après deux journées, quatre équipes sont invaincues et il ne fallait pas être savant pour les retrouver. Il s’agit de fait des grands favoris : Fenerbahçe, Real Madrid, CSKA Moscou, et Olympiakos. Les Reds s’invitent dans ce quatuor qui comprend trois participants du dernier Final Four, et ils l’ont fait avec autorité à Vitoria (85-80).\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe Real Madrid a également fait le métier en patron du côté de Milan, avec un excellent Anthony Randolph (91-85). Fenerbahçe s’est aussi facilité la tâche en faisant rapidement l’écart contre Khimki (93-85). Et c’est précisément le quatrième larron du dernier Final Four, Zalgiris Kaunas, qui complète le tableau des vainqueurs du soir. La troupe balte a été menée par Léo Westermann (17 points) pour venir à bout de l’Efes Istanbul (93-79).\\n\\n\\nLe Real Madrid renverse Milan en 2e mi-temps\\n\\nMené de 9 points à la pause, derrière un excellent duo Mike James – Vladimir Micov pour Milan, le Real Madrid s’est réveillé à la pause. Le retour des vestiaires a été chaotique pour les Lombards qui n’ont jamais pu reprendre l’avantage en 2e mi-temps (91-85). Anthony Randolph (25 points, 11 rebonds pour 33 d’éval’) a porté le Real jusqu’au bout, avec deux lancers importants dans le crunch time.\\n\\nAlors que Sergio Llull (0/3 en 9 minutes) a été ménagé, Facundo Campazzo a assuré avec 21 points et 7 passes, et une défense de peste sur James. Ce dernier a certes inscrit deux trois points pour revenir dans la fin de match mais Milan s’est heurté à un mur par la suite. Fabien Causeur termine capot en 10 minutes, mais le Real enchaîne.\\n\\n\\nL’Olympiakos en patron à Vitoria\\n\\nLes Français ont brillé dans ce match entre Olympiakos et Vitoria. Vincent Poirier (10 points, 9 rebonds) a d’abord bâché méchamment Nikola Milutinov (23 points, 11 rebonds) avant de jouer les pickpockets sur Vassilis Spanoulis et de filer au dunk. Mais en face, Axel Toupane a également été étincelant avec 11 points dont un parfait 3/3 à trois points dans la victoire d’Olympiakos (85-80).\\n\\nLes Reds ont mené pendant la quasi totalité de la partie, avec cinq joueurs en double figure. Si Jayson Granger (17 points à 4/5 à trois points) a sorti le tir du mois au buzzer, Vassilis Spanoulis y a lui été de son tir à trois points (quasiment) sur le buzzer à la pause, comme la semaine passée ! La troupe de David Blatt enchaîne à l’extérieur, un bon présage pour la suite... Dans la défaite, Vitoria perd également Darrun Hilliard, touché à la cheville.\\n\\n\\nFenerbahçe sans souci\\n\\nÇa s’engage mal pour le Khimki Moscou cette saison ! Malgré les nouvelles prouesses offensives d’Alexey Shved (26 points), les Moscovites sont tombés de haut face au Fenerbahçe (93-85). Jan Vesely (18 d’éval’) a encore plané sur la rencontre avec plusieurs dunks de mammouth, tout comme Nicolo Melli (16 points).\\n\\nLa puissance de feu du Fener a mis au supplice la fébrile défense russe, avec la dernière couche appliquée par Ali Muhammed (14 points en 12 minutes). Joffrey Lauvergne (4 points, 4 rebonds) a eu droit à dix petites minutes de temps de jeu... De son côté, coach Bartzokas a encore du boulot...\\n\\n\\nKaunas à la relance\\n\\nIl n’y a pas eu match entre Kaunas et l’Efes Istanbul. Les hommes de Sarunas Jasikevicius ont fait le break en 2e quart (27-13), sous la houlette de Léo Westermann (17 points) notamment, et ils n’ont plus été inquiétés. Un deuxième non-match de Rodrigue Beaubois (capot avec 4 passes) est cela dit plus inquiétant ; alors qu’Adrien Moerman (14 points) a encore été très actif, auteur d’une belle claquette dunk (sur un raté de Beaubois) !\\n\\nPour le Zalgiris, c’est une première victoire importante cette saison, à l’extérieur qui plus est, et un bon présage pour Westermann qui n’avait plus scoré autant de points en Euroleague depuis novembre 2016, et sa dernière pige à Kaunas précisément.\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 27 points (11/16 aux tirs), 5 passes, 4 interceptions, 3 rebonds, 1 balle perdue en 33 minutes\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 17 points (4/8 aux tirs), 2 passes, 1 interception, 5 balles perdues en 19 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Istanbul) : 14 points (7/11 aux tirs), 4 rebonds, 3 interceptions, 1 passe, 2 balles perdues en 30 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 13 points (5/7 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 3 balles perdues en 20 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 11 points (4/5 aux tirs), 5 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 2 balles perdues en 23 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 10 points (4/8 aux tirs), 9 rebonds, 2 interceptions, 1 contre, 1 balle perdue en 27 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 9 points (3/7 aux tirs), 2 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 23 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 8 points (4/7 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 1 interception, 2 balles perdues en 10 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 8 points (2/6 aux tirs), 4 passes, 3 rebonds, 2 balles perdues en 21 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 4 points (2/2 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 1 contre, 1 balle perdue en 9 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Istanbul) : 0 point (0/6 aux tirs), 4 passes en 14 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 1 rebond, 2 balles perdues en 10 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nIl y a eu concours de gros shoots dès la 2e journée d’Euroleague ! Avec Vassilis Spanoulis, Rudy Fernandez, Alexey Shved et Axel Toupane, il y avait des clients... mais c’est Jayson Granger qui décroche la timbale ! L’arrière vétéran de Vitoria déclenche de son camp au buzzer du 3e quart, et ça tombe dedans !\\n\\n\\n\\n\\n👀👀@jaygranger11 from WAY downtown! #7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/sMcUYI8dfN\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) October 17, 2018\\n\\n\\nLe programme de la 2ème journée\\n\\nMardi 16 octobre :\\nDarussafaka – Podgorica (71-63)\\nMaccabi Tel Aviv – CSKA Moscou (86-89)\\nBayern Munich – Panathinaikos (80-79)\\nGran Canaria – Barcelone (87-86)\\n\\nMercredi 17 octobre :\\nEfes Istanbul – Zalgiris Kaunas (79-93)\\nFenerbahçe – Khimki Moscou (93-85)\\nMilan – Real Madrid (85-91)\\nVitoria – Olympiakos (80-85)\\n\\nA lire aussi – Nando De Colo en feu pour le CSKA\\n\\n\\nLe programme de la 3ème journée\\n\\nJeudi 18 octobre :\\nCSKA Moscou – Darussafaka (19h)\\nPanathinaikos – Gran Canaria (20h)\\nPodgorica – Maccabi Tel Aviv (20h)\\nBarcelone – Bayern Munich (21h)\\n\\nVendredi 19 octobre :\\nKhimki Moscou – Efes Istanbul (19h)\\nZalgiris Kaunas – Fenerbahçe (19h45)\\nOlympiakos – Milan (20h)\\nReal Madrid – Vitoria (21h)\\n\\n[armelse]\\n\\nLe Real Madrid a également fait le métier en patron du côté de Milan, avec un excellent Anthony Randolph (91-85). Fenerbahçe s’est aussi facilité la tâche en faisant rapidement l’écart contre Khimki (93-85). Et c’est précisément le quatrième larron du dernier Final Four, Zalgiris Kaunas, qui complète le tableau des vainqueurs du soir. La troupe balte a été menée par Léo Westermann (17 points) pour venir à bout de l’Efes Istanbul (93-79).\\n\\n\\nLe Real Madrid renverse Milan en 2e mi-temps\\n\\nMené de 9 points à la pause, derrière un excellent duo Mike James – Vladimir Micov pour Milan, le Real Madrid s’est réveillé à la pause. Le retour des vestiaires a été chaotique pour les Lombards qui n’ont jamais pu reprendre l’avantage en 2e mi-temps (91-85). Anthony Randolph (25 points, 11 rebonds pour 33 d’éval’) a porté le Real jusqu’au bout, avec deux lancers importants dans le crunch time.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nCrédits photo : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pablo Laso (Real Madrid) : «Je ne vais pas me coucher tard pour regarder Luka Doncic»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Entraîneur de Luka Doncic pendant trois ans, Pablo Laso a vu partir sa pépite slovène chez les Dallas Mavericks lors de la dernière Draft NBA.\\n\\nAprès avoir remporté trois fois la Liga Endesa et une fois l’Euroleague, l’entraîneur espagnol ne doute absolument pas des capacités de son poulain à performer en NBA.\\n\\n« Avec lui, j’ai toujours le sentiment qu’il va bien faire, c’est un gars qui, comme nous l’avons dit ici, a une étoile, il se passe des choses pour qu’il puisse bien faire. On dirait qu’il a toujours bien joué. J’ai beaucoup de confiance en lui, pas à cause de cette étoile, mais parce que je pense que c’est un excellent joueur », a-t-il déclaré à Marca.\\n\\nNéanmoins, le technicien madrilène ne passera pas ses nuits dans son canapé pour regarder l’international slovène évoluer en NBA.\\n\\n« Je ne vais pas rester éveillé tard pour le voir, je vais dormir tard car je ne dors pas et je vais regarder des matchs, mais ce n’est jamais mon idée de rester tard pour les voir, à la fin ça m’arrive, mais la vérité est que je préfère dormir »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : le Zalgiris Kaunas se renforce avec Derrick Walton"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après quelques semaines de compétition, le Zalgiris Kaunas procède déjà à quelques ajustements avec l’arrivée de Derrick Walton (1,85m, 23 ans) dans son effectif.\\n\\nFormé à l’université de Michigan, le natif de Detroit va entamer sa deuxième saison en tant que professionnel, sa première en Europe. L’année dernière, il a été signé par le Miami Heat en NBA via un two-way contract. Il a pu disputer quelques rencontres en NBA mais pour peu de minutes. Il a donc passé le plus clair de son temps en ligue de développement. Meneur de jeu, il aura pour mission de prêter main-forte à Nate Wolters et Leo Westermann sur la ligne arrière.\\n\\nLa saison dernière, Derrick Walton a compilé en moyenne 1,8 point, 1 rebond et 1 passe en 16 matchs NBA et 16,1 points, 3,9 rebonds et 7 passes en G-League."
}, 
{"role": "user",     "content":"Bientôt un complexe Hoops Factory à Bordeaux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Paris-Aubervilliers, Evry, Lille et Toulouse, un cinquième complexe Hoops Factory verra le jour au début de l’année 2019 à Bordeaux.\\n\\nSitué à proximité du centre de Bordeaux, ce nouveau complexe disposera de deux terrains de 5×5 et quatre terrains de 3×3 et s’étendra sur plus de 2 700 m2.\\n\\nLe Hoop Factory rencontre un véritable succès depuis son ouverture. De nombreux joueurs professionnels dont Evan Fournier qui y organise son Academy le fréquentent et des partenariats ont été noués avec la FFBB et la LNB.\\n\\nLire ici l’interview de son directeur, Gilles Bravo."
}, 
{"role": "user",     "content":"Champions League : Dijon tout près de l’emporter sur le parquet de Bamberg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ça aurait pu être la performance de la semaine en Champions League, Dijon qui vient à bout de l’un des ogres de la compétition, la formation allemande de Bamberg qui évoluait encore en Euroleague la saison dernière. Malheureusement la troupe de Laurent Legname s’est incliné de peu (73-64).\\n\\nDevant quasiment tout le match, les Bourguignons ont flanché en fin de rencontre, dans le dernier acte. Face à un Tyrese Rice de haut niveau (20 points et 5 passes), les coéquipiers d’Axel Julien n’ont pas su trouver les réponses dans les dernières minutes alors qu’ils tenaient le match en main. Malgré tout, les Dijonnais ont rendu une belle copie avec en leader Gavin Ware et ses 21 points et 7 rebonds (19 d’évaluation).\\n\\nEn conférence de presse d’après match, Laurent Legname, l’entraîneur dijonnais a regretté la courte défaite mais a reconnu le talent adverse qui a fait la différence et il retient du positif de cette rencontre.\\n\\n« Franchement on fait un vrai bon match. On a retrouvé notre défense, on les laisse revenir par huit rebonds offensifs dans le deuxième quart-temps. Ensuite, on manque de rotation il ne faut pas l’oublier. Ryan Pearson ne joue pas, Jeremy Leloup fait trois fautes très rapidement donc il ne joue pas de la première mi-temps donc ça fait beaucoup. On paye le manque de rotation à la fin ça c’est sûr, mais on paye aussi le talent. C’est juste le talent de Tyrese Rice. On défend bien mais il met des shoots... On le sait, c’est un joueur de niveau Euroleague et il a joué comme tel dans le dernier quart-temps. C’est vraiment dommage parce qu’on tenait ce match et on le perd sur des détails, mais ça va. Il faut regarder dans le bon sens, on peut garder beaucoup de positif. »\\n\\nMême chose pour Gavin Ware qui a souligné le fait que l’équipe a respecté le plan de jeu mais a perdu sur des détails.\\n\\n« Nous avons fait ce que nous avions prévu de faire dès le début du match. Dans le dernier quart-temps nous n’étions pas capables de mettre un shoot et c’est pour ça qu’on perd. Mais nous avons fait une solide performance, c’est un endroit où il est difficile de jouer mais nous sommes venus et nous avons joué dur. »\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Patrick Baumann (secrétaire général de la FIBA) début octobre: «Nous voulons que le basket-ball devienne la communauté sportive la plus populaire au monde»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Hier, nous avons publié en Premium une longue interview de Patrick Baumann, le secrétaire-général de la FIBA décédé d’une crise cardiaque ce week-end à Buenos Aires. Elle date d’il y a six ans mais elle est toujours d’actualité. Le patron du basket mondial a prononcé un discours en ouverture du tout premier ‘FIBA World Basketball Summit’ à Xi’an, le 3 octobre en Chine et ses propos font désormais figure d’héritage pour la FIBA.\\n\\nEn voici quelques extraits:\\n\\n« Nous avons une vision : nous voulons que le basketball devienne la communauté sportive la plus populaire au monde. Je pense que nous sommes en bonne voie pour y arriver, entre ici à Xi’an maintenant et les JO de Los Angeles en 2028. Aujourd’hui, le basketball est un sport global, il est le N° 1 des sports d’intérieur. »\\n\\nPour Baumann, le moyen le plus efficace et le plus évident d’y parvenir est de commencer dans chaque pays.\\n\\n« Quand vous voulez voir un sport se développer, le moteur réside dans le fait d’avoir le nom du pays écrit ici (il passe sa main sur son torse), peu importe la discipline. Le basketball ne fait pas exception. L’équipe nationale est le moteur. Bien sûr, il faut que beaucoup de choses soient en place pour qu’il y ait une équipe nationale, mais c’est ça, le moteur. Cela parle aux fans inconditionnels, mais cela parle aussi aux gens qui ne suivent peut-être d’habitude pas le basketball tous les jours. Cela permet de faire croître le nombre de personnes qui aiment le basketball et en plus elles continueront à le faire si leur équipe a du succès. »\\n\\nC’est pour cette raison que Patrick Baumann fut moteur dans l’adoption et à l’implantation du nouveau système de compétition des équipes nationales FIBA, avec notamment les Éliminatoires pour la Coupe du Monde FIBA 2019 actuellement en cours.\\n\\n« C’est grâce à ça que vous avez 80 pays à travers le monde, sur cinq continents, qui luttent simultanément pour essayer d’obtenir une place à la Coupe du Monde. C’est une fantastique vitrine pour le basketball, quelque chose qu’il est très difficile à réussir autrement qu’avec les équipes nationales. Comme dans le football, l’équipe nationale est la base de tout. »\\n\\n« Alors, quel est le rôle d’une fédération nationale. À l’évidence de protéger, de promouvoir et de pousser son équipe nationale. C’est indispensable. Si vous ne le faites pas, si nos fédérations nationales ne travaillent pas, nous n’aurons aucune chance de devenir le sport le plus populaire au monde. Bien sûr, cela ne se produit pas du jour au lendemain, cela demande beaucoup de travail. Il faut beaucoup discuter. Il faut affronter certaines craintes, surmonter des obstacles, aller au-delà de difficultés que allez rencontrer selon que vous êtes en Chine, en Suisse, au Mali, en Amérique du Sud ou encore en Papouasie-Nouvelle Guinée. C’est partout pareil.\\n\\n« Il n’y a rien de plus important que d’investir dans la jeunesse et dans les coaches. Parfois, l’absence de coaches qualifiés est un grand handicap pour de nombreux pays. Les coaches, ils ne sont pas juste là pour enseigner la technique. Certes, il faut qu’ils soient compétents techniquement, mais il faut qu’ils sachent transmettre la passion pour le basketball. C’est comme ça que vous pouvez façonner vos nouveaux joueurs, vos futurs talents qui un jour seront champions NBA, champions avec leurs équipes nationales ou champions locaux. C’est la clé – investir dans la formation des coaches et des jeunes. Nous devons préparer la prochaine génération, pas seulement sur le terrain, mais à ses abords aussi. »\\n\\n« Le sport doit toujours passer en premier. Une ligue peut avoir des intérêts financiers, certes, mais en tant que fédération, vous devrez peut-être lui rappeler qu’il faut réinvestir dans le sport, » met-il en garde. « Et si des gens dans notre famille utilisent le basketball pour faire de l’argent, ce n’est pas un problème en soi si vous arrivez à vous entendre pour qu’ils investissent dans le développement de notre sport, que ce soit à l’échelle mondiale ou nationale. »\\n\\n« Nous devons changer. Nous devons continuer à évoluer. La structure que la FIBA avait depuis 1932 n’allait pas fonctionner jusqu’à 2028. Il fallait faire des ajustements, l’adapter au monde moderne. Pour y parvenir, il faut également que les fédérations nationales se penchent sur la question. Réinventez-vous, trouvez des nouvelles manières de vous organiser. Intégrez tous vos partenaires. Créez de nouvelles disciplines comme nous l’avons fait avec les 3×3, même s’il faut pour cela ‘secouer le cocotier’ et interpeller les croyances des gens. Il est important de continuer à évoluer car si nous ne le faisons pas, d’autres le feront à notre place et nous n’atteindrons pas notre objectif de devenir le sport N° 1 dans le monde. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Lyon s’offre le scalp de Bourges, 67-53"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le millier de spectateurs présent hier soir au match à Lyon a assisté à un évènement: c’est la deuxième fois en dix-neuf matches que Lyon/ASVEL a vaincu le champion de France en titre, le Tango Bourges Basket.\\n\\nC’est surtout la manière qui a étonné car les Berruyères ont été à la rue durant la rencontre. Suite à un 13-0, l’ASVEL menait 43-20 à la mi-temps pour s’imposer au final 67-53. Sur sa lancée de l’Open, la championne WNBA Alysha Clark a été épatante avec 16 points et 6 rebonds tout comme Michelle Plouffe, 17 points, 7 rebonds, 5 passes, qui a nettement dominé sa jumelle Katherine auteure de seulement 6 points et 2 rebonds. Les Tango ont été dominées au rebond, 28 à 41.\\n\\nUne preuve définitive que le championnat de LFB sera cette saison très disputé.\\n\\nPhoto: Alysha Clark"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague Féminine: Villeneuve d’Ascq qualifié pour la saison régulière, Magali Mendy éblouissante"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Villeneuve-d’Ascq s’est qualifié hier soir pour la saison régulière d’Euroleague en dominant les Hongroises de Szekszard (77-61) après avoir perdu le match aller de trois points (68-71).\\n\\nLa nouvelle recrue, l’arrière Magali Mendy (1,75m, 28 ans) s’est mise une nouvelle fois en évidence avec un 36 d’évaluation obtenu avec 21 points (8/12 aux tirs), 11 rebonds, 5 passes et 4 interceptions !\\n\\nPour sa quatrième participation d’affilée, l’ESBVA se retrouve ainsi dans le groupe A avec notamment Bourges et Ekaterinbourg.\\n\\nPhoto: Magali Mendy (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges tombe face à l’Alba Berlin et... réintègre Samardo Samuels !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Samardo Samuels (2,04m, 29 ans) va être réintégré au sein de l’équipe du Limoges CSP, annonce le club... après trois semaines de mise à pied. Un spectaculaire retournement de situation car le pivot jamaïcain avait été écarté après avoir tenu des propos injurieux à l’égard de son coach Kyle Milling lors d’un match au Portel et semblait devoir être licencié. Une drôle de situation pour Kyle Milling, qui déjà n’avait pas véritablement souhaité la venue du joueur.\\n\\n« Depuis la pré-saison cette année, je n’ai pas reconnu le Samardo Samuels avec lequel nous avons travaillé l’an dernier, » a déclaré Kyle Milling sur le site du club. » Mon équipe et moi-même avons dû gérer plusieurs situations conflictuelles à répétition. Cela devenait problématique vis à vis du groupe. Mon job de coach est de travailler dans l’intérêt du collectif plus que dans l’intérêt individuel. On ne va jamais bien loin si on oublie cela dans notre sport. Aujourd’hui Samardo a présenté ses excuses au club comme à moi. Nous avons eu une franche discussion et j’estime que nous devons désormais aller de l’avant et se remettre au boulot tous ensemble pour exploiter toutes les qualités de l’équipe au maximum ».\\n\\nQuant à Olivier Bourgain, le directeur sportif, il a précisé:\\n\\n« Il y a parfois des décisions complexes à expliquer au plus grand nombre. Qui plus est quand pour arriver à l’objectif il vaut mieux rester silencieux et ne pas répondre aux critiques même les plus injustes. Samardo a dépassé la ligne. Il a été sanctionné et aujourd’hui il démontre qu’il a compris et qu’il ne veut pas renouer avec les démons de son passé. Cette situation a pénalisé le groupe dans sa globalité et il faut maintenant regarder devant. Indépendamment de l’envie de résultats il y a des valeurs auxquelles on ne peut pas toucher. A Limoges, on n’est pas n’importe où. On ne tolèrera jamais cela et cet épisode malheureux aura le mérite de l’avoir démontré. »\\n\\nC’est tout de même une situation qu’on ne voit qu’à Limoges !\\n\\nCe soir, le CSP a été vaincu à domicile par l’Alba Berlin en Eurocup (93-102). Après avoir été balloté en première mi-temps (56 points encaissés en 20′), les Limougeauds sont revenus à 7 points après un 13-0 à cheval entre les troisième et quatrième quart-temps mais sans pouvoir réellement opérer la jonction.\\n\\nLe meilleur moment des Limougeauds a été le début de troisième quart-temps de Sekou Doumbouya, 17 ans, qui s’est démultiplié et qui au final affiche 11 points. Ce sont toutefois Jonathan Rousselle (11 points, 7 passes, 4 rebonds), Damien Inglis et Axel Bouteille (17 points chacun) qui ont été les plus efficaces sur la durée... Que des Français.\\n\\nPhoto: CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : Nando De Colo en feu pour le CSKA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La 1ère journée n’avait pas laissé beaucoup de place aux surprises mais la 2e a déjà délivré son lot de suspense et de déconvenues ! Si Nando De Colo a été impérial avec 27 points pour permettre au CSKA Moscou de tenir son rang face au Maccabi Tel Aviv, ça n’a pas été le cas du Barça et du Pana qui ont tous deux dû s’avouer vaincu dans des fins de match serrés, respectivement face à Gran Canaria et le Bayern Munich.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nL’Euroleague garde la main toute la semaine avec 4 nouvelles affiches ce soir, ainsi qu’une nouvelle double ration en fin de semaine. Ce soir, le Milan – Real et le Vitoria – Olympiakos sont ainsi particulièrement alléchants...\\n\\n\\n\\nNando De Colo monstrueux !\\n\\nL’ancien des Lakers, Tarik Black (14 points), aura eu beau s’envoler une myriade de fois pour des alley oops plus puissants les uns que les autres, c’est Nando De Colo qui a régné sur la rencontre entre le Maccabi et le CSKA Moscou. L’arrière français a été inarrêtable avec 27 points à 11/16 aux tirs, plus 5 passes et 4 interceptions pour 32 d’évaluation !\\n\\nAccrochés jusqu’au bout par le Maccabi, le CSKA a dû puiser dans ses ressources pour s’imposer en Terre Sainte. A 19 points à la pause, De Colo a été le métronome mais il a aussi obtenu un bon coup de main de la part de Will Clyburn en double double (11 points, 10 rebonds) et Cory Higgins (13 points). Ces trois larrons ont imposé le 7-0 qui a fait la différence en dernier quart (89-86).\\n\\n\\nAlléluia pour Gran Canaria\\n\\nDans un duel de Liga, Gran Canaria a arraché la première victoire de son histoire en Euroleague face à Barcelone grâce à deux lancers sans trembler de Clevin Hannah dans le money time. A moins de 3 secondes, Kevin Pangos a eu le shoot de la gagne au bout des doigts mais son tir a été un poil trop long (87-86).\\n\\nL’ancien de Monaco, Chris Evans (19 points, 5 passes, 4 rebonds) a trusté les honneurs pour Gran Canaria, apportant l’étincelle nécessaire en dernier quart durant lequel il a inscrit 10 de ses 19 points. Kim Tillie (13 points) a également été solide pour les insulaires, avec son meilleur total de points depuis mars 2017. Kevin Séraphin et Thomas Heurtel terminent quant à eux à 8 points chacun, Kyle Kuric (24 points à 8/10 aux tirs) ayant été le plus saignant dans la défaite catalane.\\n\\n\\nLe Bayern s’offre le Pana !\\n\\nDevant son public, et pour le premier match de Derrick Williams, le Bayern Munich s’est offert le Panathinaikos dans un match tendu de bout en bout (80-79). Devin Booker a bien raté un lancer mais après le rebond, James Gist a perdu la balle du dernier espoir sur la relance...\\n\\nNihad Dedovic (19 points) a été le principal artificier pour les Bavarois qui ont compté sur 5 joueurs en double figure. Keith Langford (18 points) est le meilleur scoreur du match mais le Pana a commis trop d’erreurs, notamment avec 17 balles perdues. C’est sur l’une d’entre elles que Vladimir Lucic (11 points, 5 rebonds, 3 interceptions) a pu refaire passer le Bayern devant au score pour de bon !\\n\\n\\nPas encore cette fois-ci pour Podgorica\\n\\nDans un match de bas de tableau, le Darussafaka a eu le meilleur de Podgorica (71-63) pour grappiller sa première victoire de la saison en Euroleague. Il faut dire qu’après un départ canon en 1er quart (25-14), Podgorica a ensuite connu une panne de 6 minutes, encaissant un 19-0 qui leur a pesé tout le match. Edwin Jackson (9 points) n’aura malheureusement pas pu inverser la tendance pour son équipe...\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 27 points (11/16 aux tirs), 5 passes, 4 interceptions, 3 rebonds, 1 balle perdue en 33 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 13 points (5/7 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 3 balles perdues en 20 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 9 points (3/7 aux tirs), 2 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 23 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 8 points (4/7 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 1 interception, 2 balles perdues en 10 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 8 points (2/6 aux tirs), 4 passes, 3 rebonds, 2 balles perdues en 21 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nOn vous avait dit qu’à défaut de porter son équipe, Derrick Williams serait bon pour au moins une action d’éclat à chaque match. L’ancien NBAer a débuté sa carrière en Euroleague avec un sacré coup de pétard !\\n\\n\\nLe programme de la 2ème journée\\n\\nMardi 16 octobre :\\nDarussafaka – Podgorica (71-63)\\nMaccabi Tel Aviv – CSKA Moscou (86-89)\\nBayern Munich – Panathinaikos (80-79)\\nGran Canaria – Barcelone (87-86)\\n\\nMercredi 17 octobre :\\nEfes Istanbul – Zalgiris Kaunas (19h)\\nFenerbahçe – Khimki Moscou (19h45)\\nMilan – Real Madrid (20h45)\\nVitoria – Olympiakos (20h45)\\n\\n\\n[armelse]\\n\\nL’Euroleague garde la main toute la semaine avec 4 nouvelles affiches ce soir, ainsi qu’une nouvelle double ration en fin de semaine. Ce soir, le Milan – Real et le Vitoria – Olympiakos sont ainsi particulièrement alléchants...\\n\\n\\n\\nNando De Colo monstrueux !\\n\\nL’ancien des Lakers, Tarik Black (14 points), aura eu beau s’envoler une myriade de fois pour des alley oops plus puissants les uns que les autres, c’est Nando De Colo qui a régné sur la rencontre entre le Maccabi et le CSKA Moscou. L’arrière français a été inarrêtable avec 27 points à 11/16 aux tirs, plus 5 passes et 4 interceptions pour 32 d’évaluation !\\n\\nAccrochés jusqu’au bout par le Maccabi, le CSKA a dû puiser dans ses ressources pour s’imposer en Terre Sainte. A 19 points à la pause, De Colo a été le métronome mais il a aussi obtenu un bon coup de main de la part de Will Clyburn en double double (11 points, 10 rebonds) et Cory Higgins (13 points).\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France féminine: Bria Hartley parmi les 15 joueuses convoquées pour les matches de novembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La meneuse du New York Liberty, qui porte cette saison le maillot de Fenerbahçe, Bria Hartley, qui vient d’obtenir les documents officiels prouvant sa nationalité française par filiation, fait partie des 15 joueuses convoquées par Valérie Garnier (entraîneur) et Jacques Commères (Directeur de la Performance et des Équipes de France) pour les matches des 12 au 22 novembre comptant pour la qualification à l’Eurobasket 2019.\\n\\nles Bleues effectueront un stage à Charleville-Mézières du 12 au 15 novembre avant de se rendre en Roumanie pour y disputer leur premier match le samedi 17 novembre. Elles reviendront ensuite à Charleville-Mézières, pour y jouer la Slovénie le mercredi 21 novembre à 20h45.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\nNom\\nNaissance\\nTaille\\nPoste\\nSélections\\nPoints\\nClubs\\n\\n\\nValériane\\nAYAYI\\n29/04/1994\\n1.85\\nAilière\\n84\\n449\\nPrague\\n\\n\\nMarième\\nBADIANE\\n24/11/1994\\n1.90\\nIntérieure\\n17\\n22\\nLyon\\n\\n\\nRomane\\nBERNIES\\n27/06/1993\\n1.70\\nMeneuse\\n21\\n56\\nMontpellier\\n\\n\\nAlexia\\nCHARTEREAU\\n05/09/1998\\n1.91\\nIntérieure\\n31\\n212\\nBourges\\n\\n\\nHelena\\nCIAK\\n15/12/1989\\n1.97\\nIntérieure\\n87\\n495\\nMontpellier\\n\\n\\nAlix\\nDUCHET\\n30/12/1997\\n1.63\\nMeneuse\\n16\\n27\\nMontpellier\\n\\n\\nOlivia\\nEPOUPA\\n30/04/1994\\n1.65\\nMeneuse\\n70\\n344\\n–\\n\\n\\nAby\\nGAYE\\n04/02/1995\\n1.95\\nIntérieure\\n13\\n58\\nTarbes\\n\\n\\nSandrine\\nGRUDA\\n25/06/1987\\n1.97\\nIntérieure\\n181\\n2350\\nSchio\\n\\n\\nBria\\nHARTLEY\\n30/09/1992\\n1.76\\nArrière\\n–\\n–\\nFenerbahçe\\n\\n\\nMarine\\nJOHANNES\\n21/01/1995\\n1.77\\nArrière\\n57\\n477\\nBourges\\n\\n\\nSarah\\nMICHEL\\n10/01/1989\\n1.80\\nAilière\\n75\\n335\\nBourges\\n\\n\\nMarie-Michelle\\nMILAPIE\\n06/02/1996\\n1.92\\nIntérieure\\n–\\n–\\nB.Landes\\n\\n\\nEndy\\nMIYEM\\n15/05/1988\\n1.88\\nIntérieure\\n192\\n1691\\nMontpellier\\n\\n\\nDiandra\\nTCHATCHOUANG\\n14/06/1991\\n1.86\\nAilière\\n81\\n480\\nMontpellier\\n\\n\\n\\n\\nQualifications Championnat d’Europe 2019\\n\\nSamedi 11 novembre à Helsinki à 18h30 : Finlande / France : 44-103\\nMercredi 15 novembre à Villeneuve d’Ascq à 20h30 : France / Roumanie : 87-45\\n\\nSamedi 10 février : Slovénie / France (68-62)\\nMercredi 14 février à Brest : France / Finlande (90-40)\\n\\nSamedi 17 novembre à Cluj-Napoca (Roumanie) : Roumanie/France\\nMercredi 21 novembre à Charleville-Mézières (Caisse d’Epargne Arena) à 20h45 : France/Slovénie"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les emblématiques et actuels joueurs de Jean-Denys Choulet lui souhaitent un joyeux soixantième anniversaire en vidéo"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"AJ Slaughter, John Roberson, Jeremy Nzeulie, Assane Ndoye, Juan Palacios, Mike Gelabale, Cameron Clark Axel Bouteille ou même Marc Salyers, ils sont tous là ! Anciens ou actuels joueurs de Jean-Denys Choulet, ils ont tous souhaité un joyeux soixantième anniversaire à leur coach.\\n\\nChampions de France en 2017 avec Chalon, champions de France en 2007 avec Roanne, actuels éléments de l’effectif ou présent lors de la saison catastrophe 2017/18, tous ces joueurs ont tenu à laisser un mot à l’emblématique Jean-Denys Choulet.\\n\\n\\n\\n\\nJOYEUX ANNIVERSAIRE COACH @jdccoach ! #RougeEtBlanc #60bougies pic.twitter.com/7EHgp0mx3F\\n\\n\\n— Elan Chalon (@ELANCHALON) October 16, 2018\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"JO de la Jeunesse: Les Françaises en argent au 3×3"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Aux Jeux Olympiques de la Jeunesse, l’équipe de France féminine a obtenu la médaille d’argent en 3×3. Après leur victoire sur l’Australie 20-19 après prolongation et dans un final ébouriffant, les Bleues se sont inclinées en finale, 4-18, face aux Etats-Unis qui comptaient dans ses rangs quatre joueuses championnes du monde U17 en 5×5.\\n\\nMardi 9 octobre\\nAndorre – France : 7-21\\nArgentine – France : 18-13\\n\\nSamedi 13 octobre\\nMexique – France : 15-8\\nFrance – Indonésie : 22-12\\n\\nMardi 16 octobre\\nQuarts de finale : France – Hongrie : 13-12\\n\\nMercredi 17 octobre\\nDemi-finales : France – Australie : 20-19\\nFinale à 18h30 : France – Etats-Unis: 4-18\\n\\n\\n\\n\\nAu terme d'un match complètement fou face à l'Australie, les Bleues se qualifient pour la finale des Jeux Olympiques de la jeunesse (20-19, a.p) !! Quelle belle victoire !! 💪💪🇫🇷🇫🇷 #JOJ #BuenosAires2018 #basketball pic.twitter.com/4Nm6tn9HH3\\n\\n\\n— francetvsport (@francetvsport) October 17, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Landing Sané quitte Levallois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé au terme de sa pige, Landing Sané (2,07m, 27 ans) ne verra pas son contrat prolongé par les Levallois Metropolitans.\\n\\nAvec le club levalloisien pour la préparation, puis signé pour un mois à la mi-septembre en l’absence d’Ekene Ibekwe, le natif d’Ermont ne passera pas pour autant toute la saison dans les Hauts-de-Seine. La saison dernière, il avait commencé la saison du côté de Reggio Emilia avant de la terminer aux côtés de son ami Andrew Albicy, à Andorre. Nous avions été à la rencontre de l’ancien pensionnaire de l’INSEP lorsqu’il était à Andorre.\\n\\nCette saison, Landing Sané a compilé 6,8 points et 2,8 rebonds pour une évaluation de 5,6 en cinq match de Jeep Elite.\\n\\n\\n\\n\\nLe contrat de Ada Sané, (@Lsane_11) a pris fin hier soir et ne sera pas renouvelé. Les @LevalloisMetro tiennent à remercier chaleureusement Ada pour son investissement, son état d’esprit exemplaire. Nous lui souhaitons de retrouver rapidement un club. pic.twitter.com/yW2wg2SKjI\\n\\n\\n— Boulogne-Levallois Metropolitans 92 (@Metropolitans92) October 17, 2018\\n\\nPhoto : Karen Mandau"
}, 
{"role": "user",     "content":"Céline Dumerc (Basket Landes): «Moi qui ai tendance à toujours ouvrir ma gueule, je suis obligée de me taire»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec 18 points et 10 passes lors de la victoire face à Landerneau (84-68) lors de l’Open de Paris, Céline Dumerc a prouvé qu’elle a toujours des jambes à 36 ans et que son efficacité pour Basket Landes peut être aussi remarquable en arrière shooteuse qu’en meneuse.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nC’est l’expérience de l’évènement qui vous a permis de vous imposer à Landerneau lors de l’Open ?\\n\\nJe pense que l’année dernière, la claque que l’on avait pris à l’Open était restée dans la tête des filles qui étaient déjà à Basket Landes. Pour les autres, on a pris deux petites claques au Pré-Open le week-end dernier donc on avait de quoi être réveillées. On savait que Landerneau allait nous poser beaucoup de problèmes parce que je trouve que cette année la Ligue Féminine va être assez dense, il n’y a pas de petites équipes, il y en a qui sont très grosses et il y a un noyau qui va être compliqué à manœuvrer. On savait que Landerneau, c’était leur premier Open, l’excitation de monter. Elles n’avaient rien à perdre et du coup elles allaient jouer un peu libérées. C’était un match très dangereux et je suis vraiment super contentes de ce que l’équipe a fait, dans l’engagement. On les laisse à 68 points alors que depuis le début de la prépa, on encaisse 80-85 points. Défensivement, on a su être solides et c’est ce qui a dessiné cette victoire.\\n\\nAvez-vous été surprise de la première demi-heure de Landerneau ? Elles ont mis de l’intensité.\\n\\nPendant quarante minutes. Le score n’est pas toujours révélateur mais sur le terrain, tu sens qu’elles sont là. Je n’ai pas été surpris. On ne les avait pas jouées mais je les avais vues durant le scouting. On savait que Landerneau était solide, qu’elles pouvaient nous poser des problèmes partout, que chaque joueuse avait des qualités importantes. Ce qui m’a fait sourire, c’est que parfois elles étaient un peu perdues entre elles et je me suis dit, « ça va, elles ne sont pas aussi carrées que nous. » C’est le début de saison et je pense que c’est une équipe qui va progresser et je suis contente qu’elles n’étaient pas super prêtes aujourd’hui. Je ne pense pas qu’elles soient montées pour redescendre. Il fallait se méfier et honnêtement, on le savait et c’est pour ça que l’on a mis du cœur, de l’intensité plus que ce que l’on avait fait jusqu’à présent dans les matches amicaux.\\n\\nVous aviez plus aussi de banc ?\\n\\nPeut-être dans les rotations, sur la durée, elles sont un peu plus courtes. Il faut laisser du temps à tout le monde de trouver sa place.\\n\\nCe sont un peu des fausses débutantes : il y a quelques joueuses qui ont déjà joué en Ligue ?\\n\\nOui et l’année dernière, elles ont vécu une super saison, tu gardes de l’énergie. Entre celles qui ont fait monter l’équipe et les recrues qui ont joué en Ligue, il y a un super amalgame et ça peut faire de belles choses. Elles l’ont montré par séquence. Elles manquent encore un peu d’habitude, il faut trouver le rythme de la Ligue Féminine. Désolé pour Landerneau, je connais très bien leur coach, mais je suis super contente pour Cathy (NDLR : Melain, sa coach), qui vient gagner à l’Open.\\n\\n« On joue mieux au basket, on est plus physique, plus technique. Le basket féminin s’améliore, c’est bien pour notre Ligue »\\n\\nOn a le sentiment que le niveau s’est élevé ces dernières années. Est-ce le vôtre ?\\n\\nComplètement. On a de meilleures joueuses. Avant, il y avait peut-être deux ou trois joueuses par équipe qui étaient au-dessus du lot. Là, à chaque fois, on a cinq ou six joueuses qui sont de grande qualité. On a beaucoup d’internationales. 54. C’est énorme. Le basket évolue dans le bon sens. On joue mieux au basket, on est plus physique, plus technique. Le basket féminin s’améliore, c’est bien pour notre Ligue. C’est pour ça que ça va être super compétitif. Les résultats qu’il y a à l’Open sont toujours un peu faussés. Je pense à Tarbes face à Lyon. Je pense que ce n’est pas du tout l’équipe de Tarbes que l’on va rencontrer. L’année dernière, elles avaient pris une rouste (45-74)... et elles ont fini en finale. Il ne faut pas non plus se baser sur ce match-là. C’est pour ça que Landerneau va gagner des matches. Je suis satisfaite de ce match-là mais mercredi on en a un autre. C’est une saison où il y aura beaucoup de surprises chaque week-end.\\n\\nSur un plan personnel, le fait de jouer au poste 2 vous va bien ?\\n\\nÇa me plaisait, ça ne me plaisait plus, ça me re-plaît... Ce n’est pas évident. Je pensais que ça serait une transition un peu plus simple car j’avais eu l’occasion de jouer pas mal 2 la première année à Basket Landes avec les blessures qu’il y avait eu sauf que j’étais un, deux. Alors que là je ne suis que deux (elle souffle). C’est pas mal frustrant. Moi qui ai tendance à toujours ouvrir ma gueule, ce n’est pas facile, e suis obligée de me taire. C’est un autre poste de jeu, il faut s’acclimater. C’était un choix, une discussion, voilà.\\n\\n[armelse]\\n\\nC’est l’expérience de l’évènement qui vous a permis de vous imposer à Landerneau lors de l’Open ?\\n\\nJe pense que l’année dernière, la claque que l’on avait pris à l’Open était restée dans la tête des filles qui étaient déjà à Basket Landes. Pour les autres, on a pris deux petites claques au Pré-Open le week-end dernier donc on avait de quoi être réveillées. On savait que Landerneau allait nous poser beaucoup de problèmes parce que je trouve que cette année la Ligue Féminine va être assez dense, il n’y a pas de petites équipes, il y en a qui sont très grosses et il y a un noyau qui va être compliqué à manœuvrer. On savait que Landerneau, c’était leur premier Open, l’excitation de monter. Elles n’avaient rien à perdre et du coup elles allaient jouer un peu libérées. C’était un match très dangereux et je suis vraiment super contentes de ce que l’équipe a fait, dans l’engagement. On les laisse à 68 points alors que depuis le début de la prépa, on encaisse 80-85 points. Défensivement, on a su être solides et c’est ce qui a dessiné cette victoire.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"CourtCuts : le Top 10 de la semaine (13 octobre)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque saison depuis maintenant sept ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCette semaine, c’est Ludovic Laurent (CBC Caen, NM3) qui pointe à la première place du classement grâce à un très gros poster dunk. Recrue estivale du Caen Basket Calvados le champion de France en titre avec les U17 de Cholet Basket n’a que 18 ans..."
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Jason Rich (ex Paris-Levallois) signe au Besiktas"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était une rumeur depuis plusieurs jours mais c’est maintenant officiel, Jason Rich (1,91m, 32 ans) s’est engagé avec le Besiktas, en Turquie.\\n\\nSur son site, le club turc annonce la signature de l’ancien joueur du Paris-Levallois pour toute la saison. Meilleur marqueur et MVP du championnat italien la saison dernière alors qu’il portait le maillot d’Avellino, l’ancien joueur de l’Elan Chalon va apporter toute son expérience et son talent au service d’une équipe qui semble déjà bien construite.\\n\\nInterrogé par Eurohoops, son nouvel entraîneur en Turquie, Dusko Ivanovic, n’a rien caché, son but est de remporter la Champions League. Avec l’arrivée de Jason Rich, c’est un nouveau palier que franchit la formation stambouliote.\\n\\n« Nous allons essayer de gagner la Champions League. C’est notre plus grand objectif. Nous avons bien joué et gagné notre premier match. Nous allons continuer de jouer match après match. Comme je l’ai dit, c’est notre objectif le plus important. Nous allons faire de notre mieux. J’espère que nous pourrons faire de bonnes choses dans la compétition. »\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : le très gros contre d’Eric Buckner face à Ankara"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Depuis son arrivée à l’ASVEL, Eric Buckner (2,08m, 28 ans) ne cesse de faire apprécier ses qualités athlétiques en Jeep Elite et en Eurocup.\\n\\nDans le match face à son ancienne équipe d’Ankara en Eurocup mardi soir, l’ancien pensionnaire de Georgia State a été l’auteur d’un très gros contre sur Sylven Landesberg qui pensait avoir le champ libre pour monter au dunk. Signataire d’un contrat de deux mois en attendant le retour d’Alpha Kaba et Livio Jean-Charles, le pivot américain a confié vouloir rester à Villeurbanne même s’il doit faire des efforts financiers, rapporte Le Progrès.\\n\\n« Il y a vraiment beaucoup de talents dans ce groupe. Mais aussi beaucoup de joueurs qui peuvent défendre dur. Honnêtement, j’ai été surpris. J’aime beaucoup ce club et cette équipe. J’aimerais rester et je suis prêt à faire des efforts financiers pour cela. »\\n\\nSous le maillot de l’ASVEL, Eric Buckner compile en moyenne 8,5 points et 3 rebonds pour une évaluation de 10,5 en Jeep Elite, et 6,5 points et 3 rebonds pour une évaluation de 9,5 en Eurocup.\\n\\n\\n\\n\\n😱🚫\\n\\n\\nSylven Landesberg goes for a massive dunk, but @LDLCASVEL’s Eric Buckner was having NONE of it! #7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/3TN4qRuKsp\\n\\n\\n— 7DAYS EuroCup (@EuroCup) October 16, 2018\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Gran Canaria enregistre la première victoire de son histoire au détriment du FC Barcelone"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ça ne s’est joué qu’à un point mais c’est finalement Gran Canaria qui l’a emporté face à Barcelone mardi soir dans le cadre de la deuxième journée d’Euroleague (87-86).\\n\\nBattus de 25 points par le Fenerbahce la semaine dernière en Turquie (97-72), les hommes de Salva Maldonado faisaient leur première de la saison à domicile en coupe d’Europe face au Barça. Et c’est notamment grâce à un ancien joueur d’Evreux et du SLUC Nancy, Clevin Hannah, que les joueurs des Iles Canaries ont enregistré leur première victoire de leur histoire en Euroleague.\\n\\nAlors qu’il ne reste que treize secondes sur l’horloge, l’ancien meneur nancéien se retrouve sur la ligne des lancers francs et ne tremble pas. Celui qui évoluait à Murcia l’année dernière rentre ses deux tirs et permet à son équipe de prendre l’avantage. De l’autre côté, Kevin Pangos tente le tir de la dernière chance pour faire gagner son équipe au buzzer, mais c’est manqué. L’ancien Ebroïcien a inscrit au final 14 points et a été bien aidé par l’ancien Monégasque, Chris Evans, qui a ajouté 19 points à la marque.\\n\\nC’est donc un début de saison compliqué pour le club barcelonais. Ambitieux durant l’intersaison après un recrutement de qualité (Chris Singleton, Kevin Pangos, Kyle Kuric...), les hommes de Svetislav Pesic comptent désormais deux défaites en Euroleague pour autant de matchs. Même s’il est toujours invaincu en ACB (4v-0d), le Barça compte bien retrouver ses lettres de noblesse sur la scène européenne. Le prochain match se jouera à domicile face au Bayern Munich, jeudi. Les Allemands sortent, eux, d’une victoire d’un point face au Panathinaïkos.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : Nando De Colo en mode MVP face au Maccabi Tel-Aviv"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour son deuxième match d’Euroleague de la saison, le CSKA Moscou s’est défait non sans mal du Maccabi Tel-Aviv (89-86).\\n\\nLe club moscovite a pu compter sur son Français Nando De Colo pour trouver le chemin de la victoire. En 33 minutes de jeu, l’ancien choletais a compilé 27 points, 3 rebonds, 5 passes décisives et 4 interceptions pour une évaluation de 32.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=xqq1gEri0W8\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Quand CSP Time débriefe les matches du Limoges CSP"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Populaire, le quotidien de la Haute-Vienne, propose sa propre émission de basket: CSP Time avec les deux journalistes spécialisés du journal: Jean-Christophe Bourdin et Matthieu Marot et cette fois en guest star, un supporter inconditionnel, Karim Djellali, alias Sergent Hartman.\\n\\nLes deux journalistes reviennent notamment sur la défaite 61-81 à Strasbourg. Ici, pas de langue de bois.\\n\\nLa deuxième partie sera consacrée aux rapports entre les supporters et le club, qui ne sont pas actuellement au beau fixe. Ca promet!"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : les highlights de ASVEL – Ankara"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une première défaite en Eurocup face à Valence puis une victoire face à Trento, l’ASVEL continue de marquer son territoire en s’imposant face à Ankara à domicile.\\n\\nSous l’impulsion de Mantas Kalnietis (19 points, 3 rebonds, 8 passes, 23 d’évaluation) et AJ Slaughter (16 points), la formation de Zvezdan Mitrovic a corrigé l’équipe turque 84-63.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Landerneau compte 1 000 abonnés, la moitié de sa salle"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’engouement populaire pour le Landerneau Basket Bretagne ne se dément pas. Pour sa première saison en Ligue Féminine, le club breton affiche un budget modeste d’environ un million d’euros mais peut se targuer de 200 partenaires et d’un millier d’abonnés soit la moitié de la capacité de La Cimenterie. Ce soir, la salle devrait être pleine pour la venue de Tarbes, le finaliste des playoffs 2018.\\n\\nDe quoi donner de l’appétit au club et à son président Erwan Croguennec, qui dit avoir une coupe européenne à terme en ligne de mire.\\n\\n« L’idéal serait d’assurer le maintien le plus tôt possible pour, pourquoi pas, finir dans les six, » confie t-il au Télégramme. « Je souhaite que le club se pérennise sereinement en Ligue féminine. Sur ses bases. Ses valeurs. Sans jamais oublier d’où il vient. Ce n’est pas une joueuse toute seule qui nous fera gagner un jour la coupe d’Europe mais ce collectif que nous continuerons de développer »."
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL – Petr Cornelie: «On a tout gâché en deux minutes trente»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tous les chiffres font mal à la tête. Banvit: 96. Le Mans: 67. 34,2% de réussite aux tirs pour les Manceaux. 1/9 au passif d’Antoine Eito, 2/11 à celui de Cameron Clark, 1/7 à trois-points pour Juice Thompson qui a complètement perdu la mire depuis le début de saison. 16 balles perdues.\\n\\nPourtant les Manceaux n’étaient qu’à quatre points (32-36) des Turcs à la mi-temps.\\n\\n« Quatre points à la mi-temps, c’était un peu en trompe-l’oeil. Ils nous avaient quand même dominés dans beaucoup de choses : dans l’impact, le rebond offensif, les courses... Des choses qu’ils avaient déjà montrées avant. On le savait mais on n’a été en mesure de les ralentir », a commenté le coach adjoint Dounia Issa à Ouest France.\\n\\nC’est la suite qui fut tragique comme le conte Petr Cornelie:\\n\\n« On s’est fait découper dans le troisième quart-temps. On a tout gâché en deux minutes trente. Il n’y a pas à chercher plus loin. Il y a eu des pertes de balle, des rebonds pas pris, on fait des défenses de merde... C’est un tout. Eux ont fait leur match, mais nous n’avons pas su avoir la dureté qu’il fallait pour contrôler le match. Ils ont fait leurs rotations, ils étaient toujours dans l’énergie. On n’a pas eu de moments où le ballon a bien tourné. »\\n\\nL’intérieur Jordan Morgan (2,03m, 27 ans) a été le principal bourreau du MSB avec 23 points.\\n\\n« Eux ont joué plus durement que nous. Nous avons beaucoup de travail, » résume Cameron Clark.\\n\\nDe fait, si le MSB a ramené une victoire de son road trip (Boulazac), il a concédé deux défaites de rang en Champions League avec celle de Murcie et il va falloir très vite relever la tête à Antarès sinon la saison européenne va être bien longue.\\n\\nPhoto: Juice Thompson (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les highlights de Strasbourg-Bayreuth"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est à 55 secondes du buzzer que la SIG est passée pour la première fois devant le Medi Bayreuth. Deux lancers-francs plus tard de Jeremy Nzeulie, elle remportait le match dans un Rhénus survolté, 67-63.\\n\\nTrois Alsaciens ont été au-dessus du lot. Nicolas Lang auteur de 19 points à 5/8 à trois-points, l’habituel Ali Traoré, qui a cumulé 17 points à 8/15 aux tirs, et Mike Green. Le meneur américain, élu MVP du Final Four de la BCL 2018 sous le maillot de l’AEK Athènes, a réalisé un mini-triple double avec 12 points, 8 rebonds et 7 passes (et aussi 4 balles perdues).\\n\\nPhoto: Mike Green (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Portrait – Charles Kahudi: Le guerrier de l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"17A 32 ans depuis juillet, Charles Kahudi fait partie des meubles de la Jeep Elite. C’est sa 13e saison auxquelles il faut en ajouter deux en Pro B, à Evreux. Avec 13,0 points et 13,8 d’évaluation en cinq matches, il est sur ses meilleures moyenne en carrière. Et surtout son équipe est reçu cinq sur cinq en Jeep Elite. On a pu constater que son impact physique est toujours impressionnant lors du match de mardi dernier en Eurocup contre Trento.\\n\\nRécemment, la fédération lui a offert un maillot bleu avec le chiffre 100 pour célébrer son nombre de sélections en équipe de France. Ils ne sont que trente-neuf à appartenir à ce club, toutes générations confondues. C’est aussi depuis son arrivée à Villeurbanne en 2015 le joueur français le mieux payé de France avec 250 000 euros annuels. Il a prolongé son contrat et il a encore devant lui quatre saisons à LDLC ASVEL, autant dire jusqu’à sa retraite professionnelle.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nCharles Kahudi est un guerrier à la puissance physique exceptionnelle. Un tank et aussi une fusée quand il se met à décoller pour aller chercher un rebond dans les cieux. Son intrusion dans la peinture provoque souvent un chamboule-tout. Des coups, il en donne et il en reçoit et même s’il n’est pas en cristal, il a plusieurs fois payé les pots cassés et sa carrière est parsemée de bulletins médicaux.\\n\\nEn février 2013, il souffre de douleurs récurrentes au genou et doit se faire opérer. Il se contenta de 19 matches cette saison-là. Suivirent deux entorses à la cheville. Lors d’un match de coupe de France, il reçoit un coup à la tempe, est pris de vertiges et doit être emmené à l’hôpital. Plus problématique pour le timing : après avoir éliminé l’ASVEL en quart, Le Mans est privé de son féroce soldat pour les demi-finales 2015 face à Strasbourg. Charles Kahudi souffre d’une fracture du cartilage costal et ne peut revêtir une dernière fois le maillot tango. Le MSB est balayé en trois manches.\\n\\n« Je prends beaucoup de chocs en général et j’en mets aussi. Ce sont souvent des blessures qui sont des conséquences de déséquilibres, de grosses prises de risque sur une course, une hyper extension. Ce n’est pas un jeu à l’économie donc forcément il y a des choses qui ne sont parfois pas contrôlées donc plus risquées. »\\n\\nSa plus grave blessure remonte à deux ans quand au retour des Jeux de Rio, il doit passer sur le billard pour « nettoyer » l’articulation de sa cheville droite qui ne cesse de le faire souffrir. Un premier retour précipité en décembre fut éphémère. La rééducation va en fait durer six mois. Il ne joua que 16 matches sous le maillot vert à 6,8 d’évaluation, son moins bon total depuis sa première saison au Mans. Fin du supplice ? Pas encore tout à fait. Une blessure musculaire à la cuisse va lui faire manquer la fenêtre de novembre 2017 avec les Bleus.\\n\\nComment le grand Charles vit-il ses longs moments sans ballon ?\\n\\n« Ça dépend. Certaines blessures passent rapidement. D’autres font forcément stresser avec des moments de doute. Ca dépend comment tu traites ta blessure, comment tu en prends soin pour éviter qu’elle revienne. Ca passe parfois par de la rééducation comme des choses bêtes comme la course. Les coureurs en athlé apprennent à bien courir alors que nous c’est plus à l’instinct. Bien courir, ça s’apprend sur les pistes d’athlétisme pour éviter les chocs. L’athlé c’est un travail de pied. Ce sont des bases primordiales pour les sportifs. Savoir comment courir, être en économie sur les articulations. Ne pas être toujours en train de taper, taper. C’est toujours un challenge personnel de se remettre en route, de trouver des sensations, des automatismes. J’ai un jeu qui demande beaucoup à mon corps et s’il n’est pas prêt à encaisser le choc, forcément ce n’est pas gage de performance. Actuellement, je retrouve de l’impact physique, des canes, des sensations positives.»\\n\\nOn dit que dans les moments de souffrance les kinés sont les meilleurs amis des sportifs. Le capitaine villeurbannais confirme :\\n\\n« Les kinés en général sont là pour parler avec toi, t’écouter quand tu n’es pas bien. Ils sont là pour avoir le petit mot juste. »\\n\\nToujours apprendre\\n\\nSa première sélection en équipe de France remonte à août 2010. Comme 12e homme, pour des tâches obscures essentiellement défensives. C’est comme rôle player qu’il a participé à trois championnats d’Europe -avec l’or en 2013 à la clé-, une Coupe du monde et aux Jeux de Rio ; il avait été coupé juste avant ceux de Londres au profit de Yakhouba Diawara, ce qui avec le recul était apparu comme une injustice.\\n\\n« Aujourd’hui, j’ai un rôle forcément différent », commente t-il. « J’ai plus d’expérience, je connais les systèmes du coach, je sais comment il fonctionne, ce qu’il attend de chacun et surtout de moi. Je suis beaucoup plus sûr de moi qu’à l’époque où j’étais plus jeune. Pour les fenêtres où il n’y a pas tous les joueurs, je suis plus haut dans la hiérarchie. Je dois jouer mon jeu comme avec l’ASVEL, je dois être moi-même. Quand il y avait la « grande équipe », je me mettais dans un rôle, en retrait par rapport au groupe, alors que là même s’il y a tout le monde, je joue mon jeu. Le temps de jeu, ça sera au coach de décider mais ce qui est sûr c’est que je jouerai mon jeu avec l’expérience, une meilleure connaissance de moi-même. Je sais que le coach attend ça de moi, que je joue mon jeu et que je ne sois pas que dans un rôle précis. Je ne suis pas de toutes façons un joueur qui va prendre vingt shoots et mettre vingt points par match. »\\n\\nEt quand on lui fait remarquer qu’il se lance désormais dans des drives, ce qui représentait l’une de ses faiblesses auparavant, le Villeurbannais répond :\\n\\n« J’ai toujours dit que pour avancer, il faut travailler donc je bosse, avec Jo Gomis que l’on a la chance d’avoir sur Lyon et avec qui on fait du bon boulot. Je n’ai que 32 ans et je peux encore ajouter des choses à mon basket »\\n\\nDes revanchards\\n\\nDe par son ancienneté, sa nationalité et son statut, Charles Kahudi est la référence de l’ASVEL qui est en mal de résultats probants depuis le 18e titre national de 2016. La saison dernière a été synonyme de fiasco et le remplacement en cours d’exercice du coach JD Jackson par TJ Parker s’est avéré peu judicieux. La blessure pour les playoffs de Amine Noua est une explication, pas une excuse surtout que Le Mans, son vainqueur en quart, déplorait celle de Terry Tarpey.\\n\\n« On avait une équipe qui sur le papier avait beaucoup de fortes individualités mais qui n’étaient pas complémentaires. La mayonnaise n’a pas pris. La direction que l’on a prise n’était pas forcément la même pour tout le monde. On a été performants sur une courte période mais à la longue, les carences se sont vues. C’est important d’avoir un groupe uni, solide, qui va dans la même direction pour pouvoir affronter ces moments de remous, de moins bien et pas se disperser. On n’a pas su se fédérer comme ça. Le coach en a fait les frais. Et malgré ça, on a eu une période de sursaut d’orgueil mais pas suffisante. On aime tous mettre des points mais la défense est très importante pour gagner », relance t-il. « Un titre, tu ne l’as pas forcément en attaque, tu l’as en défense. Même Golden State, c’est l’une des meilleures défenses de la ligue. »\\n\\nPour le coaching, Villeurbanne a embauché depuis ce qui se fait de mieux en France, Zvezdan Mitrovic, deux fois consécutivement élu Entraîneur de l’Année de la Jeep Elite avec l’AS Monaco. Une gueule. Un caractère. Des nerfs à vif qui ont fait tomber sur la tête du Monténégrin une cascade de fautes techniques et qui lui ont aussi coûté un titre de champion de France en juin. Un bon mec aussi d’après son entourage, ce que Charles Kahudi confirme.\\n\\n« Pour l’instant, je suis agréablement surpris. Il a une rigueur particulière et une vision de ce qu’il veut faire produire à son équipe. C’est un sanguin donc il y a forcément des moments où il va partir au quart de tour sur des choses qui lui tiennent à cœur ou qui paraissent évidentes pour lui. Mais à côté de ça c’est quelqu’un qui est très ouvert, qui est chambreur, qui déconne, qui aime la vie, la bonne bouffe, le bon vin. C’est vraiment quelqu’un de super ouvert. Sur le terrain il a forcément l’image de quelqu’un tout feu, tout flamme parce qu’il est vraiment investi dans ce qu’il veut. Il peut dire quelque chose et après il a oublié tellement il est concentré sur ce qu’il veut faire. »\\n\\nCette équipe 2018-19 est là pour assurer à l’ASVEL une montée en puissance avant le grand saut qui doit l’envoyer à la rentrée 2019 dans une Euroleague conçue pour clubs XXXL.\\n\\n« La saison d’après est très importante, c’est certain, mais on ne va pas mettre la charrue avant les bœufs. Cette année est très importante aussi parce qu’avant l’Euroleague, on joue l’Eurocup. On a une revanche à prendre vis-à-vis de la saison dernière. Il y a des joueurs qui sont revanchards. Le coach est revanchard après avoir perdu avec Monaco. Tout le monde a envie de faire mieux. L’Euroleague, c’est dans un coin de notre tête, ça va arriver, c’est un projet pour le club et pour certains joueurs mais la priorité c’est la saison qui arrive. Le but c’est d’aller chercher au moins un trophée cette année. »\\n\\nNuméro 55\\n\\nCharles n’échappe à la question à propos de la polémique qui a suivi l’annonce du club d’abandonner la couleur verte. Sa réponse est diplomatique.\\n\\n« Pour les maillots, ce n’est pas une grande différence puisque ça fait deux ans que l’on joue en noir et blanc. Blanc à domicile et noir à l’extérieur. Qu’il n’y ait plus le vert, la couleur historique, sur le logo, c’est juste un changement. Malheureusement cette évolution ne plait pas à tout le monde. On verra au fur et à mesure de la saison. Si tu gagnes, que tu es performant, ça passera peut-être au second plan. »\\n\\nOn notera tout de même que le chiffre 70 qui y figure et qui est là pour symboliser l’anniversaire du doyen des clubs français en première division est... en vert. Le natif de Kinshasa élucide par ailleurs un mystère. Pourquoi porte t-il le numéro 55 ?\\n\\n« C’est un hommage à mes filles. Quand je suis arrivé à l’ASVEL, j’en avais une, j’ai pris le 28 et j’en ai eu une deuxième qui est né le 27. Donc 55. »\\n\\nPas sûr que la machine Enigma aurait permis de déchiffrer cette information !\\n\\n[armelse]\\n\\nCharles Kahudi est un guerrier à la puissance physique exceptionnelle. Un tank et aussi une fusée quand il se met à décoller pour aller chercher un rebond dans les cieux. Son intrusion dans la peinture provoque souvent un chamboule-tout. Des coups, il en donne et il en reçoit et même s’il n’est pas en cristal, il a plusieurs fois payé les pots cassés et sa carrière est parsemée de bulletins médicaux.\\n\\nEn février 2013, il souffre de douleurs récurrentes au genou et doit se faire opérer. Il se contenta de 19 matches cette saison-là. Suivirent deux entorses à la cheville. Lors d’un match de coupe de France, il reçoit un coup à la tempe, est pris de vertiges et doit être emmené à l’hôpital. Plus problématique pour le timing : après avoir éliminé l’ASVEL en quart, Le Mans est privé de son féroce soldat pour les demi-finales 2015 face à Strasbourg. Charles Kahudi souffre d’une fracture du cartilage costal et ne peut revêtir une dernière fois le maillot tango. Le MSB est balayé en trois manches.\\n\\n« Je prends beaucoup de chocs en général et j’en mets aussi. Ce sont souvent des blessures qui sont des conséquences de déséquilibres, de grosses prises de risque sur une course, une hyper extension. Ce n’est pas un jeu à l’économie donc forcément il y a des choses qui ne sont parfois pas contrôlées donc plus risquées. »\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"FFBB : Boris Diaw rejoint le staff du Team France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Même s’il a pris sa retraite sportive, Boris Diaw, 36 ans, ne pouvait pas quitter l’Equipe de France aussi facilement. C’est ainsi qu’il rejoint le staff du Team France Basket.\\n\\nSur son site, la FFBB annonce que l’ancien capitaine de l’Equipe de France endossera le rôle de Manager General adjoint, aux côtés de Patrick Beesley à partir de janvier 2019. »\\n\\n« Il sera en charge des relations avec les joueurs du Team France et leurs clubs respectifs, notamment en NBA et en Euroleague. Il poursuivra la mise en œuvre des relations avec la NCAA et les universités américaines. Il interviendra également au Centre Fédéral (CFBB) à l’Insep », indique la Fédération.\\n\\nBoris Diaw s’est exprimé sur ce nouveau défi qui se présente à lui.\\n\\n« C’est un véritable honneur d’avoir la possibilité de rester au sein du Team France, je vais tout mettre en œuvre pour apporter mon expérience et me mettre au service du staff pour accompagner Patrick Beesley et l’Équipe de France dans ses prochaines échéances. »\\n\\nPrésident de la FFBB, Jean-Pierre Siutat a également donné son ressenti sur cette nouvelle.\\n\\n« C’est une bonne nouvelle pour le basket français que Boris souhaite s’investir auprès de l’Équipe de France. Il n’avait jamais fait mystère de cette envie et j’ai toujours souhaité intégrer des joueurs et des joueuses au sein du projet fédéral. L’expérience de Boris et ce qu’il représente en France comme à l’étranger sera un plus notoire pour le Team France Basket et ses prochaines échéances. Nous avions souvent discuté de cela ensemble et avec Patrick Beesley. Boris a une autorité naturelle, une aura et un palmarès tout à fait exceptionnels. Il est intelligent et saura s’adapter pour réussir dans ce nouveau rôle, j’en suis convaincu. »\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Danny Gibson pourrait prendre la place de Tywain McKee à Cholet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur le point d’être licencié par Cholet, Tywain McKee (1,88m, 32 ans) pourrait être remplacé par Danny Gibson (1,78m, 34 ans) qui vient de terminer sa pige à Antibes.\\n\\nSelon Fred Weis, le natif de Madison serait très proche de s’engager avec le club des Mauges. Arrivé en septembre à Antibes, l’ancien pensionnaire de Southern Indiana a passé un peu plus d’un mois sur la Côte d’Azur en tant que pigiste médical d’Isaïa Cordinier. Champion de Bulgarie et MVP des finales en 2017, ce meneur de jeu américano-camerounais évoluait à Limoges la saison dernière.\\n\\nEn cinq matchs de Jeep Elite cette saison, Danny Gibson a compilé 13,6 points, 6,6 passes décisives et 3,2 rebonds pour 16,0 d’évaluation en 31 minutes de jeu.\\n\\n\\n\\n\\nDanny Gibson serait très proche de @CB_officiel en remplacement de McKee\\n\\n\\n— Fred Weis_ OLY (@Bigfredstyle) October 16, 2018\\n\\nPhoto : Antibes Sharks"
}, 
{"role": "user",     "content":"Antibes : Gibson s’en va, Cordinier revient"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un peu de mouvement du côté de la Côte d’Azur. Antibes a dit au revoir à Danny Gibson (1,78m, 34 ans) tandis qu’Isaïa Cordinier (1,96m, 21 ans) fait son retour dans la troupe de Julien Espinosa, annonce le club.\\n\\nLe premier, arrivé début septembre en tant que pigiste médical d’Isaïa Cordinier, est arrivé au terme de son contrat et n’a pas été prolongé par les dirigeants des Sharks. En cinq matchs, il a compilé 13,6 points, 6,6 passes décisives et 3,2 rebonds pour 16,0 d’évaluation en 31 minutes de jeu.\\n\\nDe son côté, Cordinier, qui a été opéré d’une tendinopathie chronique des genoux et qui était en programme de soins et de rééducation, va pouvoir disputer son premier match de la saison face à l’Elan Chalon, vendredi.\\n\\nPhoto : Antibes Sharks"
}, 
{"role": "user",     "content":"Un livre pour les 90 ans de la SIG Strasbourg: Plus près des Etoiles"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un livre va bientôt sortir pour les 90 ans de la SIG Strasbourg, « Plus près des Etoiles ». Il s’annonce riche et bien documenté.\\n\\nDu modeste patronage d’Illkirch-Graffenstaden à un club professionnel de basket à Strasbourg, devenu une référence en France et disputant régulièrement une coupe d’Europe, revivez la lente, mais méthodique transformation de la SIG à l’aune de ses 90 ans. A travers ses hommes (dirigeants, entraîneurs, joueurs), mais aussi l’environnement propre à chacune des époques traversées. A la faveur de textes courts, rythmés et très variés dans la forme et de nombreuses illustrations inédites, « Plus près des étoiles » est une immersion attachante dans le temps avec une projection vers le futur de cette Strasbourgeoise qui a mis du temps à se faire belle..\\nLes auteurs : Passionnés par le basket et l’écriture, Dominique Wendling et Jean-Claude Frey ont couvert l’actualité et la vie de la SIG durant une belle tranche de vie, en tant que journaliste et/ou dirigeant du club. Ils ont souhaité apporter une vision documentée, mais aussi variée pour toucher tant les experts que les profanes.\\nFormat : 215×260, 304 pages.\\nParution : Fin novembre 2018.\\nVente : Le livre sera vendu via le bon de commande ci-joint mais aussi au Rhenus (soirs de match et en semaine).\\nLancement : Une soirée de lancement de l’ouvrage est prévue le lundi 26 novembre à 19h30 dans la salle historique d’Illkirch, rue de la Poste. Elle est ouverte à tous les fans.POUR ACCEDER AU BON DE COMMANDE CLIQUEZ ICI : BON DE COMMANDE"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le reportage de France 3 Grand Est sur Ali Traore (Strasbourg)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un reportage sur Ali Traore sur France 3 Grand Est (re)venu à la SIG Strasbourg faire une pige médicale suite à la blessure de Jacques Alingue et qui s’est montré suffisamment convaincant pour signer une prolongation de contrat jusqu’en 2020."
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminine: Retraite internationale pour Stella Kaltsidou"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Styliana « Stella » Kaltsidou, 1,88m, est un monument du basket féminin grec et européen, bien connue en France à la fois pour avoir porté les maillots de Bourges (trois titres de championne de France), Tarbes et Villeneuve d’Ascq et aussi pour s’être retrouvée à plusieurs reprises sur le chemin des Bleues.\\n\\nJoueuse de tempérament, toujours en activité et dotée d’un fort QI Basket, l’ailière de Polkovnik en Pologne vient d’annoncer qu’elle va prendre sa retraite internationale à l’issue des deux prochains matches de qualification à l’Euro 2019 face à la Grande-Bretagne et Israël. Elle aura 36 ans en janvier. Cela lui fera 149 sélections au compteur, cinq participations à l’EuroBasket et deux Coupe du Monde.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Gran Canaria au bord du gouffre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison exceptionnelle en 2017-18, le club qui a choisit d’aller se frotter à l’Euroleague sans en avoir les moyens est en train de le payer très cher sur tous les tableaux. Un avertissement pour les clubs français ambitieux ?\\n\\nEn 2017-18, Gran Canaria a brillé. Quatrième du championnat espagnol, demi-finale contre Madrid au cours des playoffs de ACB. Au final, le club a gagné sa qualification sur le terrain pour l’Euroleague et a accepté l’invitation. Sauf que le budget ne suit pas, la longueur d’effectif non plus et après 14 matches (2v-6d en Lega Endesa, 1v-5d en Euroleague), le premier bilan de la saison est particulièrement préoccupant. Ce week-end, la défaite à domicile dans le derby des Îles contre Tenerife (77-91), la sixième toutes compétitions confondues, est venu mettre du sel sur les plaies d’une équipe et d’un club en difficulté comme jamais ces dernières années.\\n\\n« Le week-end en ACB, nous payons nos efforts de la semaine », explique le coach Salva Maldonaldo qui s’est fait copieusement siffler et qui fait référence à l’Euroleague. « Nos rivaux arrivent en pleine forme et nous n’arrivons pas à gagner en dépit de nos efforts. On touche nos limites. Et ce vendredi, nous allons jouer contre le Maccabi puis recommencer la ronde de cinq matches en neuf jours. Le club est alerté sur le fait qu’on doit renforcer notre effectif. Le public peut me siffler mais j’ai la force de continuer. »\\n\\nPas assez solide pour l’Euroleague ?\\n\\nAprès six saisons de suite de playoffs en ligue espagnole et une belle consolidation de son statut, il est terrible de voir que la première participation de l’histoire de Gran Canaria à la compétition reine d’Europe pourrait provoquer une véritable cassure dans son développement. La marche entre des clubs normaux et les dix pensionnaires titulaires de licence pour 10 ans en Euroleague, dont l’économie et le financement marchent sur la tête, est trop haute. Et l’allongement du calendrier de l’Euroleague avec toujours plus de matches rend ce pari encore plus hasardeux, comme le rappelait Martial Bellon, président de la SIG en mai.\\n\\n« Aujourd’hui, je considère qu’avec notre budget actuel, jouer l’Euroleague est une hérésie », avant de rajouter en septembre. « Nous restons ambitieux de jouer cette nouvelle Euroleague qui va passer de 16 à 18 mais nous ne voulons pas y aller pour tuer le club. Bamberg a failli être tué par cette compétition sur le plan économique et a été en partie tué sur le plan sportif la saison dernière puisqu’ils ont terminé 8 ou 9e de leur championnat. » Bamberg a désormais choisi, comme Strasbourg, de se développer lentement mais sûrement à travers la BCL.\\n\\nEst-ce que c’est ce dont parlait le président Bellon est en train de se passer pour Gran Canaria ? Est-ce que l’Asvel a bien réfléchit à son ambition de vouloir se frotter à cette compétition, dans de telles conditions de non-fair play économique ?\\n\\n« C’est dangereux pour les clubs français », prévenait Alain Béral en le 3 octobre dans une interview pour Basket Europe. « J’en connais aucun qui soit prêt à assumer ce type de challenge », confirme Alain Béral. « Enchaîner des pertes de match plus des pertes d’argent, je pense qu’à un moment ça va être très lourd pour le public et pour le club. »\\n\\nPhoto: Albert Oliver (Euroleague)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV: Trois fois Limoges dans la semaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nouvelle profusion de matches cette semaine, avec la Jeep Elite et les coupes d’Europe, ce qui permet de suivre tout le parcours du Limoges CSP, sans oublier le Roumanie-France comptant pour les qualifications à l’Euro féminin 2019.\\n\\nLundi 12 novembre\\n\\n20h45 – Levallois/Limoges – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nMardi 13 novembre\\n\\n20h30 – Dijon/Anvers – BCL – Canal+ Sport\\n\\n20h30 – Venise/Nanterre – BCL – Basket +\\n\\n20h30 – Trente/ASVEL – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\nMercredi 14 novembre\\n\\n20h30 – Le Mans/Avelino – BCL – Canal+Sport\\n\\n20h30 – Bologne/Strasbourg – BCL – Basket+\\n\\n20h45 – Limoges/Krasnodar – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\nJeudi 15 novembre\\n\\n18h15 – Darussafaka/Milan – Euroleague – RMC Live 5\\n\\n19h00 – Pogdroricia/Vitoria – Euroleague – RMC Live 6\\n\\n20h00 – Olympiakos/Fenerbahçe – Euroleague – RMC Sport 1\\n\\n21h00 – Madrid/Khimki Moscou – Euroleague – RMC Sport 7\\n\\nVendredi 16 novembre\\n\\n18h30 – Efes Istanbul/Panathinaikos – Euroleague- RMC Sport 2\\n\\n19h00 – Kaunas/Barcelone – Euroleague – RMC Live 5\\n\\n20h30 – Munich/CSKA Moscou – Euroleague -RMC Sport 6\\n\\n21h00 – Gran Canaria/Tel-Aviv – Euroleague- EMC Sport 7\\n\\nSamedi 17 novembre\\n\\n18h00 – Roumanie/France – Qual. Euro fem. – RMC Sport 2\\n\\n20h00 – Limoges/Nanterre – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nDimanche 18 novembre\\n\\n18h30 – Villeurbanne/Le Mans – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nLundi 19 novembre\\n\\n20h45 – Châlons-Reims/Chalon – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nPhoto: Samardo Samuels (Limoges, Eurocupbasketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Chine: Les 75 points de l’Américain Jimmer Fredette"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les statistiques, notamment en matière de points, ne veulent pas dire grand chose dans le championnat chinois (CBA) mais pour l’anecdote sachez que l’Américain Jimmer Fredette vient de mettre 75 points dans un match.\\n\\nAncien NBAer (2011 à 2007), James Taft « Jimmer » Fredette est un shooting guard de 1,88m et 29 ans qui connaît désormais bien la Chine puisque c’est la troisième saison qu’il porte le maillot des Shangai Sharks.\\n\\nLe championnat chinois permet d’aligner deux étrangers et l’équipier de Fredette est l’ancienne superstar de l’Argentine, Luis Scola. Les Sharks affrontaient donc Beikong propulsé par un autre Américain, le meneur Pierre Jackson (1,77m, 27 ans), qui fut un éphémère villeurbannais.\\n\\nVictoire de Beikong 137 à 136 ! Jimmer Fredette a compilé 75 points en 43 minutes avec un 17/24 à deux-points, un 7/10 à trois-points et un presque parfait 20/21 aux lancers, ce qui constitue malgré la faiblesse de l’opposition un exploit d’autant qu’il faut ajouter 8 rebonds, 7 passes et 4 interceptions!\\n\\nPierre Jackson s’est quant à lui contenté de 63 points avec un croquignolet 13/22 à trois-points.\\n\\nEn 10 matches, Jimmer Fredette tourne à 38,3 points en moyenne et 39,0 d’évaluation ! Un performance d’un autre âge."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jean-Denys Choulet (coach Chalon): «Ce soir, beaucoup d’équipes auraient perdu contre un Dijon de ce niveau-là»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce fut à l’image du meneur américain David Holston (13 points, 13 passes), qui a dominé son vis à vis Justin Robinson (8 points à 1/9, 7 passes), la JDA Dijon s’est imposée à l’Elan Dijon dans une derby bourguignon qui avait rempli le Colisée, 89-81.\\n\\nAvec 27 points (11/17), Ryan Pearson a réussi un match offensif de haute volée et c’est toute la JDA qui a été en réussite (61,1%). Le coach de l’Elan Jean-Denys Choulet a reconnu la supériorité d’un jour des Dijonnais.\\n\\n« Ils étaient meilleurs que nous ce soir, il n’y a pas à discuter. On n’avait pas les bonnes jambes, on était en retard sur les rotations défensives. On a donné des tirs ouverts à (Jeremy) Leloup en début de match qui l’ont mis en confiance. Ils shootent à 63%. C’est une très belle prestation de Dijon ce soir. On n’a pas fait un mauvais match, eux ils ont fait un excellent match. Ce soir, on a eu David Holston qui a été excellent défensivement dans un premier temps et après qui a su peser sur le match à la fin. J’ai trouvé que l’on avait abordé le match pas avec la tête des bons jours, pas avec le sourire sur le visage et ce n’est pas normal parce que ce soir on jouait la première place. J’ai trouvé qu’ils manquaient un peu d’enthousiasme, de joie de vivre. Je ne sais pas à quoi ça tient. Certainement la fatigue. C’est un coup d’arrêt, mais encore une fois, on est allé chercher une victoire à Levallois, Antibes, au Portel. Ce soir, beaucoup d’équipes auraient perdu contre un Dijon de ce niveau-là. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les highlights de Bourg-Antibes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Large victoire de la JL Bourg sur les Sharks d’Antibes ce week-end à Ekinox (82-57) dont voici les highlights."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Portel: Robert Rothbart retourne en Israël"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était un secret de polichinelle, c’est confirmé: le pivot israélo-bosniaque Robert Rothbart (2,17m, 32 ans) quitte l’ESSM Le Portel pour retourner en Israël à l’Hapoel Be’er Sheva où il va retrouver l’ancien Portelois Jakim Donaldson.\\n\\nGrand mais filiforme, Rothbart a cumulé 5,7 points et 4,7 rebonds avec l’ESSM.\\n\\nPhoto: ESSM\\n\\n\\n\\n\\n🛫 #DEPART #OFFICIEL\\n\\n\\nRobert Rothbart quitte le club et rejoint Jakim Donaldson à l’Hapoel Be’er Sheva !\\nL’israëlien qui a manqué son début saison avec l’@ESSM_LePortel retourne donc dans son pays, en @WinnerLeague.\\n\\n\\nMerci et bonne continuation @RobRothbart !! 🍀 pic.twitter.com/Tc4RyVQ7M7\\n\\n\\n— ESSM Le Portel – news (@ESSMPortel_news) November 11, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ligue Féminine: Lattes-Montpellier confirme que Rachid Méziane est convoqué à un entretien préalable de licenciement"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un communiqué, le club de Lattes-Montpellier confirme qu’il a convoqué son coach Rachid Méziane à un entretien préalable de licenciement sans expliquer pourquoi celui-ci est écarté du coaching se contentant d’évoquer des « faits graves ».\\n\\nHier soir, très probablement perturbées par ce coup de tonnerre, les Gazelles ont eu beaucoup de difficultés à se défaire à domicile de La Roche Vendée ne faisant la différence que dans le quatrième quart-temps (26-11) pour l’emporter 81-66. C’est l’assistant, le Belge Thibaut Petit qui a coaché l’équipe.\\n\\nRachid Meziane est par ailleurs assistant de Valérie Garnier en équipe de France laquelle se réunit demain à Charleville dans l’optique de deux matches de qualifications à l’Euro 2019, face à la Roumanie et la Slovénie. Rachid Méziane sera t-il de ce rassemblement?\\n\\n« Au regard des articles parus dans la presse, le BLMA tient à apporter les éclaircissements suivants. En raison de faits graves, le BLMA a convoqué Rachid Méziane à un entretien préalable de licenciement et ce dans le but de recueillir ses observations sur les faits qui lui sont reprochés. Dans l’attente de l’issue de cette procédure, il lui a été notifié une mise à pied conservatoire, mesure qui le suspend provisoirement de ses fonctions d’entraineur de l’équipe première. En raison de la procédure en cours, il ne sera fait aucun autre commentaire. »\\n\\nAutre mauvaise nouvelle pour le BLMA, l’ancienne internationale Marielle Amant, qui souffrait d’un genou, a dû être opérée.Photo: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le chiffre: Avant le derby de cet après-midi, Chalon mène 31 victoires à 11 face à Dijon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Elan Chalon rappelle sur son site un chiffre qui fait mal aux fans de la JDA Dijon à quelques heures du derby bourguignon: le club chalonnais a remporté 74% des matchs entre les deux rivaux.\\n\\nEn détail, cela donne 31 victoires et 11 défaites pour les rouge et blanc. A domicile : 18 victoires, 3 défaites. A l’extérieur : 13 victoire, 8 défaites. Le plus gros écart fut de 28 points en faveur de l’Elan lors de la saison 2003-2004.\\n\\nLa saison dernière, chacun avait gagné chez soi mais ce fut serré. 88-86 pour Dijon, 81-77 pour Chalon.\\n\\nLe match de cet après-midi est tout spécialement important puisque Chalon est 2e et Dijon 3e au classement de la Jeep Elite et qu’une seule victoire sépare les deux clubs. Le Colisée affiche guichets fermés."
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: -61, la dégelée des gamines de Mondeville à Bourges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sans ses cadres Kim Gaucher, Kristen Mann et Shona Thorburn, l’USO Mondeville a pris une dégelée à Bourges: 98-37. Soixante-et-un point d’écart. Un écart rarissime en Ligue Féminine.\\n\\nLa marge est ENCORE plus impressionnante à l’évaluation: 133-14. Un peu comme chez des benjamines. Il faut dire que ce sont des joueuses issues directement de l’excellent centre formation normand que le coach Romain L’Hermitte a envoyé sur le parquet. Les Berruyères se sont régalées à trois-points (13/21) en faisant un festival de jeu collectif (28 passes). Olivier Laffargue a beaucoup fait jouer son banc. Manque de chance pour les Normandes, il a été performant: 56 points.\\n\\nSeule du côté mondevillais l’intérieure Ana Tadic a atteint les 10 points. Pourtant Romain L’Hermitte a envoyé un message positif après le match.\\n\\n« A aucun moment j’ai coaché en regardant le score, je m’en fiche... On a fait une très bonne entame de match. On sait qu’on ne peut pas rivaliser avec cette équipe là mais on a vu de très belles choses ».\\n\\nAprès cinq journées, l’USOM est la seule équipe à ne pas avoir gagné un match. Sa survie dans l’élite française se jouera sur d’autres terrains qu’à Bourges.\\n\\nPhoto: Romain L’Hermitte (FFBB, Hervé Bellenger)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Salaires en France: En vingt ans, une révolution !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avant de dévoiler ceux de la saison 2018-19 à partir de samedi, un retour en arrière nous permet de constater que les plus gros salaires de la Pro A/Jeep Elite ont peu augmenté depuis dix ans. Le record date même de 2019-10 avec le pivot américain de l’ASVEL, Curtis Borchardt. Un investissement financier qui s’avéra peu rentable.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVilleurbanne est d’ailleurs le club qui revient régulièrement dans le top 5 alors que Monaco est le nouveau riche de la Jeep Elite. On s’aperçoit aussi que Amara Sy a souvent été l’un des joueurs les mieux rémunérés du championnat.\\n\\nPlus loin, on vous propose trois top 10 français et étrangers. A commencer par celui d’il y a vingt ans. A l’époque, la NBA et l’arrêt Bosman n’avaient pas encore totalement chamboulé le paysage du basket européen. La majorité des meilleurs joueurs français portaient le maillot des clubs de Pro A. Plus pour longtemps quand on se souvient que les médaillés de Sydney s’envolèrent aux quatre coins de l’Europe sitôt les Jeux clôturés.\\n\\nAntoine Rigaudeau faisait partie des exceptions et gagnait 730 000 F par mois à Bologne soit 143 000 euros/mois ou 1,7M€ par an ! Davantage que Tariq Abdul-Wahad à Sacramento (680 000 F). Incroyable, non ? Yann Bonato était à 150 000 F à Reggio Emilia, Hugues Occansey à 100 000 à Peristeri, Frédéric Forte à 75 000 à Iraklio, en Grèce, et Olivier Bourgain à 60 000 à Roseto, en Italie.\\n\\nOn notera que d’après l’étude de Basket Hebdo, le salaire moyen le plus élevé était donné en Grèce avec 110 000 francs, devant l’Italie (100 000), la Turquie et l’Espagne (90 000) et la France (50 000). Et avec ce salaire, le basketteur était alors mieux payé que le footballeur de D2 (45 000) et le rugbymen (25 000). Le handballeur (12 000) était aux pâquerettes.\\n\\nOui, les temps ont changé en vingt ans! D’ailleurs à cette époque, Basket Hebdo se faisait le rapporteur des difficultés des clubs français à soutenir la concurrence internationale :\\n\\n« (...) Chacun rivalise d’astuces (légales le plus souvent) pour tenter de réduire les différences avec les tarifs pratiqués dans les autres grandes ligues et tenter de minimiser le poids des charges sociales pesant sur les salaires. Citons, pêle-mêle, le paiement d’indemnités transactionnelles lors des transferts entre clubs (le joueur licencié par son ancien employeur, touche une somme qui compense un salaire inférieur dans son nouveau club), le paiement d’une partie de la rémunération par un sponsor (sous forme de droit d’image le plus souvent) ou encore les « solutions » proposées par certains agents via des sociétés basées à l’étranger. »\\n\\nDepuis, la Grèce s’est liquéfiée, l’Italie a perdu de sa superbe, les clubs d’Euroleague ont gonflé leurs dépenses et pas toujours leurs recettes, les meilleurs joueurs français se sont exportés en masse, la NBA domine plus que jamais le monde orange, les footeux de D2 et les rugbymen du top 14 ont largement dépassé les basketteurs de Jeep Elite et les handballeurs se sont rapprochés de leurs revenus.\\n\\nCes salaires sont des estimations à + ou -10% et ont figuré dans les deux versions de BasketHebdo, Maxi-Basket, BasketNews et BasketEurope. Ils sont en Euros net annuels sauf ceux de 1998-99 qui sont en net mensuels.\\n\\nTOP 5 DES SALAIRES DEPUIS DIX ANS\\n\\n[table id=164 /]\\n\\nSALAIRES DE 2017-18\\n\\nFrançais\\n\\n[table id=65 /]\\n\\nEtrangers\\n\\n[table id=66 /]\\n\\nSALAIRES DE 2012-13\\n\\n[table id=162 /]\\n\\nSALAIRES DE 1998-99\\n\\n[table id=161 /]\\n\\n[armelse]\\n\\nVilleurbanne est d’ailleurs le club qui revient régulièrement dans le top 5 alors que Monaco est le nouveau riche de la Jeep Elite. On s’aperçoit aussi que Amara Sy a souvent été l’un des joueurs les mieux rémunérés du championnat.\\n\\nPlus loin, on vous propose trois top 10 français et étrangers. A commencer par celui d’il y a vingt ans. A l’époque, la NBA et l’arrêt Bosman n’avaient pas encore totalement chamboulé le paysage du basket européen. La majorité des meilleurs joueurs français portaient le maillot des clubs de Pro A. Plus pour longtemps quand on se souvient que les médaillés de Sydney s’envolèrent aux quatre coins de l’Europe sitôt les Jeux clôturés.\\n\\nAntoine Rigaudeau faisait partie des exceptions et gagnait 730 000 F par mois à Bologne soit 143 000 euros/mois ou 1,7M€ par an ! Davantage que Tariq Abdul-Wahad à Sacramento (680 000 F). Incroyable, non ? Yann Bonato était à 150 000 F à Reggio Emilia, Hugues Occansey à 100 000 à Peristeri, Frédéric Forte à 75 000 à Iraklio, en Grèce, et Olivier Bourgain à 60 000 à Roseto, en Italie.\\n\\nOn notera que d’après l’étude de Basket Hebdo, le salaire moyen le plus élevé\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Mous Sonko"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Nancy dévaste Vichy-Clermont"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vichy-Clermont, jusque là invaincu, tombeur de Lille et Denain dans le Nord, c’était un véritable test pour Nancy à Gentilly et le SLUC l’a réussi avec la mention très bien. Personne n’imaginait un tel écart final: 88-52.\\n\\nLe déluge de feu à trois-points (12/25) et l’intensité défensive ont eu raison des espérances des visiteurs. Le deuxième quart a été dévastateur: 32-10.\\n\\n« On a montré une ardente volonté à défendre. Et ça me plaît »a commenté le coach Christian Monschau rapporte L’Est Répubicain. « L’adresse permet de faire des écarts, mais cette louable agressivité défensive nous a d’abord permis d’empêcher Vichy-Clermont, qui n’était pas leader pour rien, de développer son jeu. Nous avons aussi parfaitement alterné le jeu à l’intérieur et le shoot extérieur. C’est une belle victoire. »\\n\\nStatistiquement, ce sont les Français qui se sont mis en valeur avec en tête de pont Bastien Vautier auteur de 15 points et 6 rebonds.\\n\\nLes Lorrains n’ont pas le temps de savourer ce succès puisqu’après Orchies mardi pour le compte de la coupe de France, Vichy-Clermont hier pour le championnat, ils ont au programme Rouen en Normandie pour la demi-finale aller de la Leaders Cup... dès demain !\\n\\nPhoto: SLUC"
}, 
{"role": "user",     "content":"Paul Lacombe (Monaco): «Si Cholet trouve son rythme, ils vont gagner plus de matchs»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour prétendre rivaliser avec les premiers de la classe, l’AS Monaco avait absolument besoin d’un succès à Cholet. C’est fait mais pas avec aisance.\\n\\nLes Choletais ont mené 25-19 après dix minutes et ont représenté jusqu’au bout un danger pour la Roca Team. L’ancien pivot du Portel Frank Hassell a fait du... Frank Hassell avec 27 points et 8 rebonds alors que l’ASM a pu compter sur le trio Jarrod Jones (17 points, 7 rebonds), Elmedin Kikanovic (16 points, 5 rebonds, 3 passes), Yakuba Ouattara (15 points, 6 rebonds, 3 passes) pour finalement prendre le dessus, 82-87.\\n\\n«Une victoire, ça fait toujours du bien quelle qu’elle soit », a commenté Paul Lacombe en conférence de presse. « On savait que ce ne serait pas un match facile. Cholet a une équipe intéressante. Si elle trouve son rythme, ils vont gagner plus de matchs. On n’avait gagné qu’un match à l’extérieur. Pour nous, c’est bien pour nous relancer après la défaite en coupe d’Europe. On les a laissé jouer pendant les quarts-temps 1 et 3. On a su accélérer et mieux jouer pour prendre l’ascendant. Nous n’avons pas étés surpris mais ce sera à nous de faire mieux pour monter notre niveau et nous rendre la tache plus facile. (A propos de Hayes et N’Doye) C’est encourageant de voir deux meneurs se donner comme ils l’ont fait. Laisser les jeunes jouer comme le fait Cholet, c’est encourageant.»\\n\\nQuant à au coach de CB, Régis Boissié, il peut constater les progrès de son équipe mais aussi l’impossibilité pour l’instant de concrétiser par des victoires.\\n\\n« On montre du cœur, mais on ne gagne pas les matchs. A nous de faire en sorte que les petits détails ne nous coûtent plus les matchs. Défensivement, on doit être capables de mieux. Le rebond défensif nous coûte très cher ce soir. Les jeunes montrent des choses. On attend d’eux un rendu professionnel. Il y a trop de variations de niveau. On a besoin d’eux pour gagner les matchs. Je suis globalement satisfait de ce que dégage le groupe. La situation est frustrante pour les jeunes. A un moment donné il va falloir gagner les matchs. Il y a un discours positif à leur donner, mais aussi leur expliquer que tout ne va pas totalement bien. Il faut trouver de l’efficacité, individuellement et collectivement.»\\n\\nPhoto: ASM"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet après la victoire sur l’ASVEL: «C’est le match le plus abouti depuis le début de la saison»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Match de haute volée hier en fin d’après-midi entre les deux seigneurs de la Jeep Elite et force est restée au maître des lieux, la SIG Strasbourg qui s’est imposée à l’ASVEL sur un score fleuve, 97-92.\\n\\nLes quatre hommes clés de la SIG ont été le meneur Mike Green (25 points), le all-around player Mardy Collins (17 points, 5 rebonds, 4 passes), le pivot Youss Fall (18 points, 8 rebonds et 3 contres) et le nouvel ailier Jarell Eddie qui a tout de suite prouvé qu’il est effectivement un shooteur (15 points, 4/4 à trois-points).\\n\\n« Pour mon premier match en Europe, je ne pouvais pas imaginer mieux ! », s’est réjouit celui-ci en conférence de presse. « Je suis très reconnaissant d’être ici. J’aime beaucoup ma nouvelle équipe, j’aime la façon dont on joue en groupe et on se bat ensemble pour défendre. J’espère pouvoir avoir les tirs et marquer à 3 points à tous les matches, si ça peut aider mon équipe. J’aime beaucoup le challenge, et je suis très excité de participer à cette compétition en Europe ! J’étais assez nerveux aujourd’hui quand on m’a dit que je débutais face à la meilleure équipe. Mais je me suis dit « que tout irait bien, tu vas juste jouer du basketball ! ». L’intensité du jeu était assez élevée, et très différente de là où je viens ».\\n\\nEn face, le meneur lituanien Mantas Kalnietis a sorti son habit de gala (16 points, 10 passes), les Américains (AJ Slaughter, DeMarcus Nelson, Eric Buckner et David Lighty) de l’ASVEL ont été excellents, mais ce ne fut donc pas suffisant et le coach de la SIG Vincent Collet a pu montrer sa satisfaction:\\n\\n« On a battu une équipe qu’on craignait, en se hissant à leur niveau. C’est le match le plus abouti depuis le début de la saison. Il y a eu une entame magnifique un peu comme face à Patras : du sérieux et de l’agressivité. Mais, très vite, cela s’est enraillé, on a souffert offensivement. Ce qu’on voulait éviter s’est produit : beaucoup trop de pénétration... Mais par rapport à Patras, on ne s’est pas affolé et on est arrivé à la mi-temps avec un écart non rédhibitoire. Par rapport à Jarell Eddie ? Il faisait des séries impressionnantes à l’entraînement, mais dans un tel match il aurait été possible qu’il soit un peu inhibé. En l’occurrence, il a été le déclencheur de notre avance. Même si l’ASVEL a repris les commandes, ils n’ont pas été aussi dominateurs que dans le 1er quart temps. Mardy Collins a été très inspiré dès la 1ère mi-temps, même s’il a loupé un ou deux lay-up. Il avait la vitesse et l’engagement. Mike Green a fait un grand match en attaque. Son stop défensif face à DeMarcus Nelson, c’est la balle du match ! Green nous a montré sa capacité à élever son niveau dans les grands matches, maintenant j’aimerais qu’il le fasse un peu plus sur les autres. Youssoupha Fall a eu un impact terrible, il a dominé Miro. L’écart n’était que du rebond offensif donc il fallait à tout prix verrouiller ce secteur. Maintenant, pour progresser, on doit défendre encore plus dur. C’est une victoire très satisfaisante ! »\\n\\nPhoto: Vincent Collet (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo – Le reconnaissez-vous?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ancien entraîneur de l’équipe de France Francis Jordane aime diffuser sur les réseaux sociaux ses riches archives. Cette photo ne manque pas de sel. Il s’agit de la Sélection cadets d’Alsace vainqueur du Tournoi National inter Régions à Paris en 1974 dont il fut le coach.\\n\\nLes experts auront reconnu en haut à droite, plus grand que tout le monde, l’ancien international, Daniel Haquet.\\n\\nEt le chevelu qui porte le numéro 4, de qui s’agit-il? De Christian Monschau, qui fit ensuite carrière comme pro à Mulhouse -il était en même temps ingénieur chimiste- puis comme coach et qui est actuellement entraîneur du SLUC Nancy en Pro B. Il y a dossier!"
}, 
{"role": "user",     "content":"Bourg: Zachery Peacock opéré de l’appendicite"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Zachery Peacock ne peut être présent ce soir contre Antibes puisque l’intérieur de la JL Bourg a été opéré hier suite à une crise d’appendicite indique Le Progrès.\\n\\nLe MVP de Jeep Elite en titre tournait jusqu’ici à 17 points, 4,6 rebonds et 2,1 passes en moyenne.\\n\\nLa durée d’hospitalisation est de 2 à 4 jours, celle de la convalescence de 10 à 21 jours... suivant le métier exercé.\\n\\nPhoto: JL Bourg"
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : Thomas Heurtel en pleine bourre à Moscou"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le derby de feu entre le Panathinaikos et l’Olympiakos a fait honneur à sa réputation. Au terme d’un beau combat, dont celui héroïque du vétéran Georgios Printezis (26 points), c’est bien le Pana qui sort vainqueur sur son terrain (93-80). Le score est net et sans bavure, avec Thanasis Antetokounmpo qui a été le détonateur de la victoire verte !\\n\\nL’affiche opposant Vitoria au Fenerbahçe n’a pas déçu elle non plus avec un match serré de bout en bout et le duel franco-français dans la raquette en bonus, Vincent Poirier – Joffrey Lauvergne. Ce dernier s’en tire avec les honneurs, 15 points, et la victoire sur le fil (74-72).\\n\\nPar ailleurs, le Zalgiris Kaunas n’a laissé aucune chance à Podgorica qui reste toujours à la recherche de son premier succès (72-60). Enfin, le Barça d’un excellent Thomas Heurtel (18 points, 8 passes) a enchaîné une quatrième victoire d’affilée face au Khimki Moscou (87-80).\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe Pana, maître à l’OAKA\\n\\nL’Olympiakos s’était bien préparé pour ce derby face au rival historique du Panathinaikos. En tête à la pause, les coéquipiers d’Axel Toupane (9 points) étaient dans les clous. Mais outre Lukas Lekavicius (17 points), c’est Thanasis Antetokounmpo qui a apporté l’étincelle.\\n\\nIl a enchaîné dunk et claquette durant un 12-1 qui a plié l’affaire en 2e mi-temps. En face, Georgios Printezis lâche un énorme 34 d’évaluation, avec 26 points, 4 rebonds et 3 passes, le tout à 10/12 aux tirs. Quelle classe !\\n\\n\\nDuel de gros bras à Vitoria\\n\\nBousculé pendant trois quarts temps au Pays Basque, avec un secteur intérieur bardé de fautes, le Fener a néanmoins fini le travail en champion. Intraitable en dernier quart, la troupe de Zeljko Obradovic continue de gagner ses matchs à l’arraché, à l’expérience (74-72).\\n\\nTitulaire, Joffrey Lauvergne a cette fois pu profiter à plein de son temps de jeu avec 15 points à 6/7 aux tirs et un énorme contre (voir plus bas). Luigi Datome (16 points) a inscrit les lancers de la gagne en fin de match. Vitoria aura bien lutté avec Ilimane Diop à 17 points ou encore Lucas Vildoza, auteur d’un tir insensé à trois points de sa moitié de terrain au buzzer du 1er quart.\\n\\n\\nThomas Heurtel pour le 4 à la suite\\n\\nBarcelone va mieux, merci pour eux ! Après leur départ coton, les Catalans sont bel et bien de retour en pleine forme, victorieux pour la 4e journée d’affilée, cette fois-ci chez le Khimki Moscou (87-80). Thomas Heurtel (18 points, 8 passes) a livré un duel à distance de haute voltige face à Alexey Shved (27 points, 6 passes). Tony Crocher ajoute 17 points mais le Khimki manque toujours cruellement de diversité dans ses options offensives...\\n\\nLe duo Ante Tomic (16 points, 6 rebonds) et Chris Singleton (16 points, 4 rebonds) a parfaitement su se faire respecter sous les panneaux. Le retour à l’orgueil de Moscou, de -9 en début de 4e quart, n’aura pas suffi et confirme que le Barça retrouve du clinquant.\\n\\n\\nKaunas enfonce Podgorica\\n\\nPodgorica devra encore attendre pour engranger sa première victoire de la saison. Pour la réception de Kaunas, l’équipe monténégrine a subi la foudre de Brandon Davies (20 points, 5 rebonds) et a ainsi dû concéder sa 6e défaite de rang (72-60). Seul Alen Omic (16 points, 6 rebonds) a surnagé pour Podgorica...\\n\\nLéo Westermann termine capot mais ramasse 6 rebonds et délivre 5 passes dans la victoire alors qu’Edwin Jackson est toujours aussi mal dans ses baskets avec seulement 5 points à 1/6 aux tirs.\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 18 points (6/9 aux tirs), 8 passes, 2 rebonds, 1 interception, 3 balles perdues en 28 minutes\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 18 points (7/12 aux tirs), 4 rebonds, 4 passes, 2 balles perdues en 29 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahce) : 15 points (6/7 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 2 interceptions, 1 contre en 21 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Istanbul) : 11 points (4/9 aux tirs), 4 passes, 4 balles perdues en 33 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 9 points (3/9 aux tirs), 2 rebonds, 1 balle perdue en 21 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 7 points (2/4 aux tirs), 5 rebonds, 1 balle perdue en 17 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 7 points (2/4 aux tirs), 4 rebonds, 1 balle perdue en 21 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 5 points (1/6 aux tirs), 4 rebonds, 3 passes, 1 balle perdue en 28 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Istanbul) : 2 points (1/5 aux tirs), 9 rebonds, 3 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 24 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 2 points (1/7 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes en 18 minutes\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 0 point (0/2 aux tirs), 6 rebonds, 5 passes en 18 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : n’a pas joué\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nLe Top 10 devrait être plutôt dense au vu des actions de ces deux dernières soirées européennes, mais notre faible va à Joffrey Lauvergne. L’intérieur du Fener surgit sur l’aide défensive pour venir contrer Shavon Shields. Après plusieurs matchs discrets, Lauvergne a été saignant contre Vitoria !\\n\\n\\n\\n\\nDon't bring that here when @1JOLOLO is around ❌#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/cfq3947wI3\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) November 9, 2018\\n\\n\\nLes résultats de la 6ème journée\\n\\nJeudi 8 novembre :\\nBayern Munich – Darussafaka (116-70)\\nMaccabi Tel Aviv – Real Madrid (66-87)\\nMilan – CSKA Moscou (85-90)\\nGran Canaria – Efes Istanbul (90-94)\\n\\nVendredi 9 novembre :\\nKhimki Moscou – Barcelone (80-87)\\nPodgorica – Kaunas (60-72)\\nPanathinaikos – Olympiakos (93-80)\\nVitoria – Fenerbahçe (72-74)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 7e journée\\n\\nJeudi 15 novembre :\\nDarussafaka – Milan (18h15)\\nPodgorica – Vitoria (19h)\\nOlympiakos – Fenerbahçe (20h)\\nReal Madrid – Khimki Moscou (21h)\\n\\nVendredi 16 novembre :\\nEfes Istanbul – Panathinaikos (18h30)\\nZalgiris Kaunas – Barcelone (19h)\\nBayern Munich – CSKA Moscou (20h30)\\nGran Canaria – Maccabi Tel Aviv (21h)\\n\\nA lire aussi : Avalanche de points et de records pour le Bayern !\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe Pana, maître à l’OAKA\\n\\nL’Olympiakos s’était bien préparé pour ce derby face au rival historique du Panathinaikos. En tête à la pause, les coéquipiers d’Axel Toupane (9 points) étaient dans les clous. Mais outre Lukas Lekavicius (17 points), c’est Thanasis Antetokounmpo q\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Thomas Bach, président du CIO, plaide en faveur des équipes nationales et fustige l’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A Marbella en Espagne, Thomas Bach, président du Comité International Olympique, a délivré un message très fort hier au cours de l’assemblée générale du comité olympique européen, en faveur de la défense du modèle européen du sport menacé par les intérêts privés. Au centre des débats, le basket.\\n\\nThomas Bach est un des hommes les plus puissants du monde sportif. Hier, il a clairement tiré la sonnette d’alarme. « Le modèle européen du sport est sous pression, pour ne pas dire menacé. » Il a fermement invité tous les comités olympiques nationaux du vieux continent à travailler directement avec leurs gouvernements pour qu’au niveau européen, des décisions soient prises pour protéger le modèle européen du sport face aux appétits des entreprises privées qui propose « des modèles de compétitions principalement construit sur l’argent et qui traitent les athlètes comme de purs produits. »\\n\\nL’Union Européenne, en dépit d’une déclaration unie des ministres des sports des pays membres en mai dernier, n’a pas encore légiféré sur la question, mais les informations apportés la semaine dernière par les Football Leaks relatives à l’organisation autonome d’une ligue fermée regroupant sur invitations les clubs les plus prestigieux du football européen, pousse un peu plus encore le sujet sur le devant de la scène.\\n\\n« Ces organisations ne s’intéressent qu’à la cerise sur le gâteau »\\n\\nCes revendications d’une nouvelle façon de voir et d’organiser le sport vient écraser la conception historique de ce domaine en Europe.\\n\\n« Notre engagement dans le sport est construit sur la solidarité, l’inclusivité et s’appuie sur l’engagement de millions de bénévoles et de volontaires partout sur le continuent », a poursuivi Thomas Bach. « Nous percevons une tendance venant de certains gouvernements, et en particulier au niveau de l’Union Européenne, soutenant que la valeur d’une organisation et d’une activité n’est plus définie par les valeurs qui l’animent et par sa contribution à rendre la société meilleure, mais qu’elle est définie désormais par l’argent et le marché. Cette approche ignore purement et simplement la contribution sociale partout en Europe. Ces organisations privées ne s’intéressent qu’à la cerise sur le gâteau. Elles veulent récolter les fruits d’un arbre que d’autres ont planté et entretenu pendant tant d’années. C’est exactement ce qu’on voit dans le basket européen avec l’Euroleague et la façon dont elle s’est introduite dans le basket européen, d’une façon qui rend aujourd’hui impossible d’organiser les événements pour les équipes nationales. Il y a bien d’autres exemples. »\\n\\nLe patinage, le hockey sur glace, la natation et peut être demain le football.\\n\\nAu niveau de l’Union Européenne, le cas du basket est actuellement étudié de près. Thomas Bach alerte donc contre une législation qui pourrait « détruire les valeurs olympiques sous- jacente au sport ». Selon lui, il est indispensable que les missions de formations, les missions sociales, et la défense d’un réseau très important du mouvement bénévole sportif continue à être défendu et encadré par des fédérations, des structures à but non-lucratif, aujourd’hui attaqués par des entreprises mues par la recherche du profit à court terme. « C’est dans l’intérêt de la société européenne. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Selon RMC Sport, Lattes-Montpellier se sépare de son coach Rachid Méziane !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La nouvelle fait l’effet d’une bombe dans le milieu du basket féminin. Selon RMC Sport, Lattes-Montpellier se sépare de son entraîneur Rachid Méziane alors que l’équipe de l’Hérault est resplendissante en championnat (1ère avec 3 victoires et 1 défaite) comme en Eurocup (1ère avec 3 victoires et 0 défaite).\\n\\nLe président Franck Manna aurait dispensé Rachid Méziane de l’entraînement de jeudi, d’hier et du match de ce soir contre La Roche et une procédure de licenciement, forcément pas liée avec les résultats, serait en cours. Le club n’a pas confirmé.\\n\\nRachid Méziane, 38 ans, a été assistant à Challes-les-Eaux puis coach à Nice de 2012 avant de prendre en mains le BLMA en 2017. Il est par ailleurs assistant de Valérie Garnier en équipe de France.\\n\\nC’est son assistant, le Belge Thibaud Petit (38 ans), qui sera ce soir à la tête des Gazelles.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\n🚨 Info @RMCsport @RMCSportBuzzer 🏀 Selon nos informations, le président du @BasketLMA Franck Manna a dispensé le coach Rachid Meziane de l'entrainement d'hier, de ce jour et du match de demain contre La Roche sur Yon. Une procédure est en cours.\\n\\n\\n— Cyril Méjane (@CyrilMejane) November 9, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Quimper Passion Streetball devient le premier club français de 3×3"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quelques semaines après son Assemblée Générale qui avait validé les modifications statutaires permettant la mise en place de clubs 3.0, dans le cadre de son Plan FFBB 2024, la Fédération salue aujourd’hui l’affiliation du Quimper Passion Streetball.\\n\\nC’est en effet le Bureau Fédéral de la FFBB réuni vendredi soir à Paris qui a validé l’affiliation du Quimper Passion Streetball comme premier club de 3×3 en France.\\n\\nCette association a pour objectif l’organisation de tournois de 3×3 et l’engagement d’équipes dans le championnat 3×3, nouvellement créé par la FFBB.\\n\\n« Le premier club 3×3 de France est particulièrement engagé dans le développement de la pratique dans son département. Née sur les playgrounds de Quimper, l’association du Président Yohann Le Du rejoint la grande famille du basket, qui partage plus que jamais la volonté de développer cette nouvelle discipline olympique », indique la FFBB dans un communiqué."
}, 
{"role": "user",     "content":"Gravelines: Douche froide à Sportica"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après l’élimination en coupe de France plutôt honteuse car concédée face à une équipe de N1, Souffelweyersheim, chacun s’attendait à ce que le BCM relève la tête à Sportica au détriment de Boulazac, et d’ailleurs, il menait 59-31, à la 31e minute.\\n\\nEt puis les lumières se sont éteintes. Les Boulazacois ont passé un 26 à 12 à leurs hôtes dans le dernier quart-temps. Akil Mitchell (12 points, 10 rebonds, 3 passes) a été élu MVP du match et éclipsé la performance d’Alain Koffi (15 points à 7/10 aux shoots, 7 rebonds). La gabegie à trois-points des Maritimes (3/20) a consterné le public et le coach.\\n\\n« On joue en marchant, ça fait deux fois de suite qu’on ne court pas, »a lâché Julien Mahé en conférence de presse, propos repris par La Voix du Nord. « On rentre sur le terrain et son se regarde, » a ajouté Benjamin Sene.\\n\\nAlerte rouge? Evidemment pas à ce stade. Le BCM compte 4 victoires pour 5 défaites. Seulement, si on veut bien exclure de la course Fos, Cholet et Antibes, les places en playoffs vont valoir cher, très cher, et cette défaite n’était pas prévue au tableau de marche. A l’inverse, Boulazac (5 victoires et 4 défaites) paraît à l’abri d’une saison tordue comme la précédente et peut rêver du Grand 8.\\n\\nPhoto: Benjamin Sene (BCM)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans: Jonathan Tabu arrive en force, Demitrius Conger va partir"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après sa déconvenue à Antarès face à Strasbourg et sa large défaite en BCL à Novgorod, Le Mans a relevé la tête dans la Marne face à Châlons-Reims contre qui il n’est jamais facile de gagner: 91-77.\\n\\nAlors que Cameron Clark a scoré 16 points et Juice Thompson réussi un double double (10 points, 11 passes), c’est la première sortie de l’international belge Jonathan Tabu (1,90m, 33 ans) qui a épaté alors qu’il n’avait qu’un entraînement avec l’équipe. Il a perforé la défense du CCRB avec 14 points (4/5 à trois-points) en 28′.\\n\\n« Jonathan Tabu a apporté de la créativité, de la maîtrise, de l’expérience. Il a du leadership, une connaissance du jeu, » a commenté Eric Bartecheky, comblé, en conférence de presse, propos repris par l’Union.\\n\\nLe coach du CCRB Cédéric Heitz était quant à lui un peu abasourdi par la tournure du match:\\n\\n« C’était un match incroyable. On a été dominés là où d’habitude on est dominants, les rebonds. On a montré des choses intéressantes mais sans réussir à baisser leur pourcentage. Il s’est passé des choses incroyables comme Bigote insolent de réussite même si on connaît ses qualités. Tabu à 4 sur 5 alors que ce n’est pas censé être son point fort, pour son premier match c’est une démonstration de force. »\\n\\nA l’inverse, l’ailier US Demetrius Conger a probablement livré son dernier match avec le MSB. Son rendement n’est pas vilain (11,2 d’évaluation en 27′) mais son profil ne convient pas au coach. D’après Ouest France, il aurait déjà trouvé un autre club.\\n\\nPhoto: Demitrius Conger (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel: Demetrius Conger quitte Le Mans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un communiqué, Le Mans Sarthe Basket a confirmé le départ de l’ailier Demitris Conger. Le club précise que c’est l’arrivée de Jonatan Tabu, souhaité par le coach Eric Bartecheky, qui entraîne la séparation d’avec son Américain.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\n📄Communiqué officiel ⬇️ pic.twitter.com/nvYRKFRGZk\\n\\n\\n— MSB_Officiel 🦁 (@MSB_Officiel) November 10, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"La phrase: Zvezdan Mitrovic (coach ASVEL): «Fall? Tout dépendra des arbitres...»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le coach de l’ASVEL Zvezdan Mitrovic n’a toujours pas digéré son échec en finale des playoffs 2018 (2 manches à 3) face au Mans alors qu’il était le patron de l’AS Monaco. La cible de son courroux? L’arbitrage, évidemment.\\n\\nAlors que Le Progrès évoque avec lui le cas Youssoupha Fall (2,21m), le géant de Strasbourg -l’adversaire en fin d’après-midi au Rhénus de Villeurbanne-, qui était celui du Mans la saison passée, le Monténégrin assène un crochet au foie:\\n\\n« Fall ? Tout va dépendre des arbitres, s’ils lui permettent de rester dans la raquette. S’ils font leur travail, ce ne sera pas un problème. C’est une question très importante. En finale, la saison dernière, il est souvent resté huit ou dix secondes dans la raquette ! »\\n\\nHum... Un autre facteur décisif permettrait à l’ASVEL, en pleine carburation en ce début de saison, de s’imposer en terre alsacienne, que son coach soit zen pendant quarante minutes. Il y a une chose dont les arbitres ont horreur, qu’on leur dise comment arbitrer!\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Youri Verieras (président Limoges): «J’ai demandé à notre directeur sportif de prendre toutes les mesures nécessaires, fussent elles drastiques...»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un communiqué paru sur le site du club ce vendredi, Youri Verieras, président du directoire du Limoges CSP a convoqué les équipes d’encadrement sportif et les joueurs face aux mauvaises performances de ce début de saison et leur a fait part de sa colère.\\n\\n« Au delà des mauvais résultats, je ne reconnais pas ce qui constitue l’ADN du Limoges CSP dans les équipes sportives en ce moment. Attitude, engagement, combat, nous sommes en dessous de l’acceptable. Certes notre calendrier est particulièrement défavorable. Mais cela n’explique pas tout. J’ai jugé qu’il était temps de le faire savoir avec beaucoup de fermeté aux coachs comme aux joueurs.\\n\\nNous ne pouvons pas aller jusqu’à la trêve sans procéder aux adaptations nécessaires. Nous sommes en dessous du niveau que Limoges doit à son public et pour lequel cette équipe a été construite.J’ai demandé à notre directeur sportif (NDLR: Olivier Bourgain) de prendre toutes les mesures nécessaires, fussent elles drastiques, sur ou autour du parquet. Je comprends la grogne et l’impatience de nos supporters. Nous voulons voir du basket et arrêter d’avoir le sentiment que nous aurions pu gagner avec un peu plus d’implication.\\n\\nContrairement aux idées reçues, le public et le club peuvent pardonner beaucoup de choses à l’équipe. Mais nous ne pouvons, et ne pourrons jamais, tolérer le manque d’engagement et d’intensité.\\n\\nIl est temps que le sportif nous montre un tout autre visage.\\n\\nJe serai particulièrement attentif aux prochaines échéances. »\\n\\nYouri Verieras, Président du directoire du Limoges CSP."
}, 
{"role": "user",     "content":"ASVEL: Retour de Amine Noua et Charles Kahudi à Strasbourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour le match au sommet de samedi à Strasbourg, l’ASVEL va récupérer l’intérieur Amine Noua et probablement l’ailier Charles Kahudi, indique Le Progrès.\\n\\nLes deux joueurs étaient sur la touche en raison d’une blessure à la cheville. Charles Kahudi a ainsi manqué trois matches et Amine Noua quatre matches. Alpha Kaba est indisponible depuis fin août en raison d’une blessure au coude et devait patienter trois mois.\\n\\nPhoto: Amine Noua (ASVEL)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Antibes: Le président Freddy Tacheny ne perd pas le moral"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le président belge des Sharks d’Antibes Freddy Tacheny a été interrogé par Nice Matin et se montre confiant, à la fois sur le plan sportif -son équipe n’a pas encore gagné un match en huit journées- et financier alors que le club a été longtemps criblé de dettes.\\n\\n« J’ai repris ce club en très grave difficulté financière avec des dettes de plusieurs millions d’euros. Nous allons doubler le budget sportif en cinq ans (de 2016 à 2020). Le budget alloué à l’équipe sportive était d’environ 800 000 euros brut en 2016 et est aujourd’hui d’environ 1,3 million d’euros. C’est une progression importante, » explique t-il, soulignant que le club compte 50% d’abonnements en plus.\\n\\nIl dit accorder toute sa confiance au coach Julien Espinosa, répète que le club s’est déjà sorti de situations difficiles et ne veut pas évoquer une possible relégation en Pro B.\\n\\n« Nous sommes dans un processus à long terme. Nous n’avons pas le début de saison espéré mais nous allons encore augmenter le budget l’année prochaine de manière significative. »\\n\\nLe pivot américano-nigérian Chris Otule (2,11m, 28 ans) est désormais qualifié alors que le meneur américain Taurean Green (1,83m, 31 ans) a été embauché jusqu’au mois de décembre pour suppléer le Suédois Viktor Gaddefors, blessé."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : après Antibes et Cholet, Danny Gibson pourrait arriver à Châlons-Reims"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A Antibes en début de saison en tant que pigiste médical, Danny Gibson (1,78m, 34 ans) n’a pas pu être prolongé par les Sharks et a donc fait ses valises direction Cholet, mais il serait déjà prié de partir.\\n\\nCelui qui a fait le bonheur des Sharks en début de saison avec 13,6 points, 6,6 passes décisives et 3,2 rebonds pour 16 d’évaluation est loin de donner satisfaction aux dirigeants choletais depuis quelques semaines. Cholet Basket où l’état d’urgence a été déclaré après huit matchs pour une seule victoire.\\n\\nSelon le consultant de RMC Sport Frédéric Weis, l’ancien joueur du Limoges CSP, qui ne tourne qu’à un peu plus de 6 points et 2 passes à CB, pourrait rebondir à Châlons-Reims.\\n\\n\\n\\n\\nDanny Gibson , plus vraiment en odeur de sainteté a @CB_officiel pourrait rebondir tres vite au @CCRBASKET\\n\\n\\n— Fred Weis_ OLY (@Bigfredstyle) November 9, 2018\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"CourtCuts : le Top 10 de la semaine (3 novembre)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque saison depuis maintenant sept ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCette semaine, c’est Jordan Semple (CEP Lorient, NM1) qui pointe à la première place du classement grâce à une claquette qui donne la victoire à son équipe au buzzer face à Toulouse."
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo: Le mariage de l’Américaine de Mondeville, Kristen Mann"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme Sue Bird, Diana Taurasi ou encore Elodie Godin, l’Américaine de Mondeville, Kristen Mann (1,86m, 35 ans), en noir sur les photos, assume depuis longtemps son homosexualité, et elle a obtenu de son club de se marier cette semaine aux Etats-Unis.\\n\\nAvant de porter le maillot de l’USOM, la Californienne est passée par Tarbes, Charleville, Montpellier (deux fois), Toulouse et La Roche/Vendée.\\n\\nNos voeux de bonheur aux deux épouses !\\n\\n\\n\\n\\nOne of my fav pics... had to put on the Js for this!!! 😝 #Married #JsOnMyFeet pic.twitter.com/7Om9jYbh0G\\n\\n\\n— Kristen Mann (@dreamingtree44) November 8, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview de l’auteur du Livre d’Or du Basket 2018"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En plus de quarante ans d’âge, Le Livre d’Or du Basket est devenu une institution. Un cadeau idéal pour les fêtes de fin d’année et un ouvrage que l’on aime ressortir périodiquement de sa bibliothèque.\\n\\nL’édition 2018 évoque évidemment la rivalité entre les Warriors de Stephen Curry et les Cavs de LeBron James, les quatre finales NBA consécutives et la naissance d’une dynastie avec le troisième titre en quatre ans pour Golden State, dont deux d’affilée depuis l’arrivée de Kevin Durant (en couverture), l’homme qui a fait basculer la NBA.\\n\\nLe Livre d’or du Basket 2018 dresse également un bilan complet de la saison avec Rudy Gobert meilleur défenseur du monde, le titre de champion de France pour une équipe du Mans au cœur énorme, la retraite de Boris Diaw, capitaine éternel des Bleus en bonne position pour se qualifier pour la Coupe du monde 2019, la fin des Spurs avec les départs de Tony Parker, Manu Ginobili et Kawhi Leonard, les 15 200 spectateurs à Nanterre, une cuvée rookie NBA exceptionnelle, un hommage au regretté Fred Forte et un éclairage sur Zach Peacock, MVP fidèle de Bourg-en-Bresse.\\n\\nOn en a profité pour faire une interview de son auteur, Thomas Berjoan.\\n\\nQuel est votre parcours de journaliste basket et combien d’ouvrages avez-vous publié ?\\n\\nJ’ai débuté dans le journalisme basket fin 2004. Grand lecteur de Basket News et de toutes les publications touchant au basket, un sport qui m’a accompagné toute ma vie, j’ai été recruté à cette période par Didier Le Corre, Pierre Matigot et Thierry Bretagne pour remplacer Julien Guérineau qui partait pour la fédération. D’abord journaliste reporter puis rédacteur en chef à partir de 2008 quand nous avons fusionné les rédactions avec les équipes de Maxi-Basket. J’avais alors la charge de BAM, BasketNews America, un mensuels dont les 12-13 premiers numéros restent pour moi de grands souvenirs. On avait les moyens de traiter le basket américain pour de vrai, avec des gars sur place, une équipe exceptionnelle, Fred Gonella, Pascal Giberné, Rémi Reverchon, Jérémy Barbier, Gaétan Scherrer. On sortait vraiment des choses incroyables. J’étais aussi rédacteur en chef adjoint de Fabien Friconnet sur l’hebdo. Tout cela a duré sous diverses formes jusqu’en avril 2016 pour moi où je démissionne de la dernière mouture de Basket Hebdo pour me lancer dans d’autres aventures. Depuis, j’écris toujours sur le basket, en publiant des bouquins. Depuis 2010, en solo depuis 2013, je suis l’auteur du Livre d’Or du Basket chez Solar, une collection qui est une véritable institution dans l’édition de sport. Encore un en 2019 et ce sera donc le dixième ! J’ai aussi signé chez le même éditeur en 2016 American Dream, qui raconte l’épopée des Français en NBA, de Jean-Claude Lefebvre et Hervé Dubuisson à la période contemporaine. Enfin, le 14 mars 2018, pile pour le jour de ses 30 ans, est sorti ma biographie de Stephen Curry, Révolution chez Hachette. Bref, ça fait donc 11 bouquins. Bill Russell et le CSP Limoges ont autant de titres de champions !\\n\\nQuel est pour vous le fait le plus marquant de l’année écoulée dans le basket français?\\n\\nLa retraite de Boris Diaw. Fort heureusement, on a appris récemment qu’il allait rester dans le giron des Bleus, et c’est vraiment une très bonne chose pour tout le monde, mais Bobo va énormément manquer. Sa dernière saison avec Levallois a réservé des moments sympas (j’étais à Bourg pour son incroyable buzzer-beater), il a quitté les Bleus en faisant le job jusqu’au bout pour mettre l’équipe sur les rails pour la coupe du monde 2019, il s’arrête au même nombre de sélections que sa mère, son annonce de retraite est parfaitement unique, avec ses potes de toujours et un débardeur qui passera à la postérité. Sans même parler de son immense carrière, de sa personnalité hédoniste et généreuse, de son intelligence et sa curiosité, je dirai qu’il a réussi sa sortie. J’ai eu la chance que ma carrière journalistique coïncide pratiquement à sa carrière pro. C’était un privilège de le côtoyer.\\n\\nEt dans le basket européen?\\n\\nIl semble évident que le phénomène Luka Doncic a tout arraché sur son passage. Le niveau de précocité et de maturité de ce gamin, de l’Euro 2017 à la saison de la saison 2017-18 est sidérant. Je ne vais enfoncer des portes ouvertes, mais il faut remonter à Drazen Petrovic, Arvydas Sabonis pour chercher des éléments de comparaison solides. Ce qui est génial avec la période actuelle, c’est qu’il peut désormais se mesurer immédiatement aux meilleurs du monde, ce qui n’a pas été possible pour les premières générations d’Européens. Son début de saison NBA est très prometteur et j’ai vraiment hâte de découvrir la suite de cette histoire fantastique.\\n\\nPourquoi avez-vous choisi le spationaute Thomas Pesquet pour réaliser la Préface?\\n\\nEn fait, ça fait un moment que j’essayais de le joindre, mais son emploi du temps est démentiel. Pour une préface, on cherche évidemment quelqu’un de connu pour permettre à l’éditeur de communiquer sur le nom du préfacier. Mais pour avoir lu pas mal de ses interventions, je savais que Thomas était également un vrai fan de basket. Un connaisseur. D’ailleurs, quand on a commencé à parler de LeBron, il était intarissable et très pertinent. Pointu. Il apportait des éclairages vraiment intéressants, dressait des parallèles avec son activité d’astronaute. Une Préface n’occupe que deux pages mais je ne me résolvais pas à couper plus dans son texte. Donc j’ai demandé à l’éditeur si on pouvait prendre quatre pages et le résultat est dans le bouquin.\\n\\n22 x 28 cm – 128 pages\\n29,99 euros\\nParution le 15 novembre 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Garlon Green arrive au Khimki Moscou"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec les New Orleans Pelicans lors de la Summer League cet été, Garlon Green (2,01m, 27 ans) vient d’être engagé par le Khimki Moscou. Il est le frère de Gerald Green, actuellement aux Houston Rockets.\\n\\nPassé par l’Australie, le Japon et l’Allemagne, il évoluait la saison dernière à Mons-Hainaut, en Belgique. Sur son site, le club russe annonce que le natif de Houston s’est engagé pour toute la saison, mais qu’il dispose d’une clause pour quitter le club plus tôt.\\n\\nLa saison dernière, Garlon Green compilait en moyenne 15,7 points et 4,4 rebonds entre le championnat belge et la FIBA Europe Cup.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : le Top 10 de la quatrième journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après le Top 10 des championnats nationaux et de la Jeep Elite, CourCuts s’attaque au Top 10 de Pro B !\\n\\nPour ce deuxième numéro, c’est Brandon Spearman (Orléans Loiret Basket) qui pointe à la première place du classement grâce à un gros alley-oop face à Saint-Chamond.\\n\\nhttps://www.facebook.com/CourtCuts/videos/206540436888983/?__tn__=kCH-R&eid=ARD8mHNbqY4-nC8PWM0Hqttiob0iUBeFR2DOKNSyYWC2FtAKHyKjk3cqRcBgzXTm979jhl2WWXpSNYx7&hc_ref=ARRRjP2MHw-ljtMXiP5V7k5VlQ0yqlrBIqaFuuC1VV9lSKcMHCyeIgUc2YKWCXmB6IU&fref=nf&__xts__%5B0%5D=68.ARBPfXkg6Mhs67xQeMxrG8BHK_yYauS3aBwmVHHKj-tdCUz6eOHh5qVjt8Keoq0vulbGOe4TdgUyfafQBZnDMlk1PW3XipZHZ87OPJpabEemA9AZoD5ddlKNtyYMN9d6UfkXHkjiJf4MF88LFKl1WafFf2Ce8qE-Zj7-nZPIkNnHBuJOCw7XJPXYFEviUU60t7MlgvvEvV8todVk-t0"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Rodrigue Beaubois et la renaissance de l’Efes Istanbul"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A 11 points, 3 passes et 2 rebonds de moyenne, Rodrigue Beaubois est dans ses standards de carrière en Euroleague. Passé de Vitoria à Istanbul à l’intersaison, l’arrière tricolore s’est rapidement adapté à son nouveau club.\\n\\n« Je devais prendre une décision par rapport à mon avenir », précise Rodrigue dans ce petit sujet concocté par l’Euroleague. « Et j’ai eu de bons retours sur le club. C’est pour ça que j’ai fait le choix de signer ici. On a beaucoup de bons éléments et maintenant, il faut créer une alchimie. C’est un club qui a gagné beaucoup de trophées et qui veut retrouver les sommets. On a tout ce qu’il faut pour y arriver. »\\n\\nTimoré sur ses deux premières sorties, avec 6 points à 2/11 aux tirs, Beaubois a réglé la mire pour les 3e et 4e journées, avec 26 points, 4 passes et 4 rebonds face au Khimki Moscou, puis 17 points et 4 passes face au Fenerbahçe.\\n\\n« C’est un super joueur. Un gros scoreur », souligne Shane Larkin. « Il est athlétique et peut courir très vite. Je suis content de pouvoir évoluer avec lui. C’est Roddy Buckets [rires] ! J’ai hâte de voir ce qu’on pourra faire ensemble cette saison. »\\n\\n\\nRoddy Buckets, le vétéran expérimenté\\n\\nA 30 ans, le natif de Pointe-à-Pitre arrive à maturité dans son jeu et Ergin Ataman l’a bien compris. Au moment de faire le grand ménage de l’été dans son effectif, le technicien turc a su trouver les bons mots pour convaincre Beaubois de poser ses valises à Istanbul.\\n\\n« Chaque année, il a amélioré son jeu », apprécie coach Ataman. « Il a engrangé beaucoup d’expérience, et il est très fort mentalement. C’est un gros scoreur mais surtout un joueur qui met l’équipe avant tout. »\\n\\nScoreur de haut niveau, mais encore un tantinet maladroit sur ce début de campagne, Beaubois est désormais un des cadors du Vieux Continent depuis deux-trois saisons. Il a encore prouvé son étoffe récemment, notamment dans la victoire de prestige de l’Efes face au Fenerbahçe le 25 octobre dernier.\\n\\n« J’ai vu qu’il avait l’instinct du tueur sur ce match. C’est un des gars sur lesquels l’équipe repose », conclut le doyen Bryant Dunston avant d’ajouter. « L’ambiance est complètement différente cette saison. Il y a une meilleure énergie dans les vestiaires et sur le terrain. Les gars sont plus ouverts et ça se passe bien entre nous. »\\n\\nCrédits photo : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Mam Jaiteh quitte Limoges pour Turin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’épisode Mam Jaiteh (2,11m , 23 ans) est enfin terminé à Limoges, le joueur quitte officiellement le Limousin et file en Italie\\n\\nSur son site, le CSP annonce le départ de l’ancien joueur de la SIG qui a passé un an et quelques mois au club. C’est au terme de quelques jours de négociations que les deux parties ont réussi à s’entendre.\\n\\n« Au service du groupe lors de tous les entraînements jusqu’à encore hier matin, Mam a montré des qualités humaines exceptionnelles à toute épreuve, pleines de maturité et de sagesse », a déclaré le club.\\n\\nDe son côté, le club italien du Turin a annoncé l’arrivée de l’intérieur français via un contrat jusqu’au 31 décembre avec la possibilité de signer une prolongation pour le reste de la saison.\\n\\nCette saison, Mam Jaiteh tournait en moyenne à 5,6 points et 4,6 rebonds entre l’Eurocup et la Jeep Elite.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Taurean Green (ex ASVEL et Limoges) est Antibois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme annoncé plus tôt dans la journée, Taurean Green (1,85m, 31 ans) rejoint les Sharks d’Antibes.\\n\\nSur son site, le club azuréen officialise l’arrivée du champion de France 2014 en tant que pigiste médical de Viktor Gaddefors. Passé par Limoges et l’ASVEL en France, il est attendu à Antibes dimanche et devrait disputer son premier match officiel sous les couleurs des Sharks le vendredi 16 novembre lors de la réception de l’Elan Béarnais.\\n\\nLa saison dernière, Taurean Green compilait en moyenne 8,3 points, 2 rebonds et 3,5 passes décisives dans le championnat israélien, et 12,6 points, 2,2 rebonds et 3,6 passes décisives en FIBA Europe Cup.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Nouvel exploit de Bourges... Septième club mondial sur twitter !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On est habitué avec le Tango Bourges Basket aux exploits sportifs. Le club du Cher possède un palmarès unique avec cinq coupes d’Europe dont trois Euroleague mais le voici devenu l’un des meilleurs clubs féminins de basket sur les réseaux sociaux ... du monde!\\n\\nD’après Deporters & Finanzas, le compte du Tango Bourges Basket arrive en septième position des interactions sur twitter. Que Fenerbahçe (le club de Valérie Garnier et Bria Hartley) soit numéro 1 n’étonnera personne quand on connaît le fanatisme des Turcs. Il devance 4 franchises WNBA -normal étant donné la puissance de feu américaine- et le club espagnol de Avenida Salamanque. Mais Bourges s’impose ainsi à toutes les autres franchises de la ligue américaine, y compris celle de Las Vegas, huitième.\\n\\nLe Tango Bourges Basket ne compte pourtant à ce jour que 7 164 followers contre plus de 16 000 aux Las Vegas Aces (45 000 pour le Seattle Storm). A croire que ceux-ci sont beaucoup plus concernés et dynamiques !"
}, 
{"role": "user",     "content":"EuroCup : le bilan complet de la 6e journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La réception de Valence à l’Astroballe était un vrai test pour l’Asvel. Et malgré de nombreuses absences sur blessures, Villeurbanne a tenu bon avec ses vétérans, DeMarcus Nelson (20 points) en tête (73-69). Avec ce succès de prestige, la troupe de coach Mitrovic prend seule les commandes de son groupe.\\n\\nÇa n’a par contre pas aussi bien marché pour Monaco et Limoges, respectivement défaits de peu par Brescia à domicile (86-80), et de beaucoup par Zagreb en déplacement (91-71).\\n\\nHeureusement pour le moral, le clan français d’EuroCup a brillé sur cette 6e journée. Yakuba Ouattara (19 points) mène encore la fine équipe avec Louis Labeyrie à 17 points – 9 rebonds, Andrew Albicy et Mathias Lessort à 18 points. Et puis Bandja Sy a assuré le show avec un alley oop en très haute altitude !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe MVP de la 6ème journée\\n\\nErik Murphy (33 points à 13/16 aux tirs, 7 rebonds)\\n\\nL’ancien Strasbourgeois et Nanterrien, Erik Murphy, se plaît bien à Francfort. Il tourne à 17 points et 4 rebonds de moyenne en EuroCup, et ce à des pourcentages hallucinants de 58% à deux points et 73% à trois points. Face à Turin, il a fait péter les records avec 35 points dont 5/6 à trois points et une évaluation à 35. Toujours en mouvement, et avec ses bonnes mains, Murphy a été étincelant !\\n\\n\\nLa meilleure performance\\n\\nMathias Lessort (18 points à 8/8 aux tirs)\\n\\nUtilisé avec parcimonie, Mathias Lessort est performant pour Malaga. L’intérieur martiniquais a encore fait des ravages face à Vilnius, avec 18 points à un parfait 8/8 aux tirs ! Il faut dire qu’avec 6 dunks dont des finitions rageuses au cercle, Lessort s’est facilitée la tâche. N’empêche, à 11 points et 4 rebonds de moyenne, le Bleu d’Andalousie réalise un solide début de saison.\\n\\n\\nLa stat qui tue\\n\\n13-0\\n\\nC’est le partiel infligé par le seul Dorell Wright pour écarter Gdynia pour de bon en dernier quart. L’ancien des Blazers et du Heat était jusqu’alors resté muet offensivement, mais il a pris feu avec 13 de ses 19 points au cours d’un 16-0 rédhibitoire.\\n\\n\\nLes clubs français\\n\\n5e victoire de rang pour l’Asvel\\n\\nMalgré des absences de marque (Kahudi, Noua), l’Asvel a tenu la dragée haute à Valence dans ce duel au sommet du Groupe C. Derrière 20 points de DeMarcus Nelson, les Villeurbannais ont réussi à faire la différence dans les dernières minutes. Louis Labeyrie (17 points, 9 rebonds) claquera bien un alley oop pour revenir tout près. Mais dans un match où l’écart n’a jamais dépassé les 8 unités, c’est bien l’Asvel qui s’impose en patron (73-69).\\n\\nMonaco cale à domicile\\n\\nA 75-67 à 6 minutes de la fin derrière un trois points de Yakuba Ouattara, après avoir mené pendant quasiment tout le match, Monaco pensait avoir fait le break définitivement face à Brescia. Mais l’équipe transalpine a été décrocher le premier succès à l’extérieur de son histoire derrière le génie de Luca Vitali, auteur de 11 de ses 17 points en dernier quart. Il a été le détonateur dans un 12-0 fatal à la Rocca Team. Et ce malgré les efforts de Ouattara (19 points)...\\n\\nLimoges perd gros à Zagreb\\n\\nAvec 20 points dans les valoches, le CSP Limoges a non seulement perdu son match à Zagreb mais il a également perdu le point average avec le Cedevita, en cas d’égalité au bilan (91-71). Mais avec un CSP en crise ouverte et une équipe de Zagreb qui a fait le métier, menant de bout en bout, la logique a été respectée.\\n\\nLe trident américain du Cedevita : Elgin Cook (19 points), Jacob Pullen (17 points), Justin Cobbs (17 points) a dominé le CSP. Un retour idéal pour Pullen qui ne fait pas du tout les affaires de Limoges.\\n\\n\\nLes Français de l’EuroCup\\n\\nYakuba Ouattara (Monaco) : 19 points (7/14 aux tirs), 3 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 1 balle perdue en 30 minutes\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 18 points (4/11 aux tirs), 4 interceptions, 3 passes, 2 rebonds, 4 balles perdues en 32 minutes\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 18 points (8/8 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 contre, 1 balle perdue en 19 minutes\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 17 points (8/15 aux tirs), 9 rebonds, 1 contre, 1 balle perdue en 24 minutes\\n\\nAxel Bouteille (Limoges) : 13 points (5/11 aux tirs), 3 rebonds, 1 balle perdue en 20 minutes\\n\\nWilliam Howard (Limoges) : 11 points (5/10 aux tirs), 4 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 1 balle perdue en 27 minutes\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 7 points (3/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre en 16 minutes\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : n’a pas joué\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué\\n\\nCharles Kahudi (Asvel) : n’a pas joué\\n\\nAmine Noua (Asvel) : n’a pas joué\\n\\n\\nLe Top Ten\\n\\n\\nLes résultats de la 6ème journée\\n\\nGROUPE A\\nUlm – Etoile Rouge de Belgrade (95-80)\\nMonaco – Brescia (80-86)\\nAndorre – Galatasaray (95-87 ap)\\n\\nGROUPE B\\nTofas Bursa – Alba Berlin (101-106 ap)\\nKrasnodar – Gdynia (96-72)\\nZagreb – Limoges (91-71)\\n\\nGROUPE C\\nAnkara – St Petersbourg (81-75)\\nPartizan Belgrade – Trente (76-71)\\nAsvel – Valence (73-69)\\n\\nGROUPE D\\nTurin – Francfort (75-85)\\nKazan – Mornar Bar (90-73)\\nMalaga – Vilnius (95-76)\\n\\n\\nLe programme de la 7e journée\\n\\n(matchs les 13 et 14 novembre)\\n\\nGROUPE A\\nGalatasaray – Ulm\\nEtoile Rouge – Monaco\\nBrescia – Andorre\\n\\nGROUPE B\\nGdynia – Tofas Bursa\\nAlba Berlin – Zagreb\\nLimoges – Krasnodar\\n\\nGROUPE C\\nTrente – ASVEL\\nSt Petersbourg – Partizan\\nValence – Ankara\\n\\nGROUPE D\\nVilnius – Kazan\\nFrancfort – Malaga\\nMornar Bar – Turin\\n\\n\\nDans le rétro :\\n\\nLe bilan de la 5e journée\\n\\nLe bilan de la 4e journée\\n\\nLe bilan de la 3e journée\\n\\nLe bilan de la 2e journée\\n\\nLe bilan de la 1ère journée\\n\\nCrédits photo : EuroCup\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe MVP de la 6ème journée\\n\\nErik Murphy (33 points à 13/16 aux tirs, 7 rebonds)\\n\\nL’ancien Strasbourgeois et Nanterrien, Erik Murphy, se plaît bien à Francfort. Il tourne à 17 points et 4 rebonds de moyenne en EuroCup, et ce à des pourcentages hallucinants de 58% à deux points et 73% à trois points. Face à Turin, il a fait péter les records avec 35 points dont 5/6 à trois points et une évaluation à 35. Toujours en mouvemen\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet: Danny Gibson et Jonathan Fairell sur le départ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que le coach Régis Boissié ne semble pas menacé, ce sont deux Américains de Cholet Basket qui paraissent être sur la sellette, le meneur Danny Gibson (1,80m, 33 ans) et l’ailier-fort Jonathan Fairell (2,01m, 25 ans).\\n\\nLe président Didier Barré a déclaré à Ouest France qu’il n’est pas satisfait de Danny Gibson dont l’évaluation est passée de 16,0 en cinq matches à Antibes à... 3,3 en trois matches à CB !\\n\\nLe club est par ailleurs favorable à un départ du Bahaméen Jonathan Fairell qui a déjà été désavoué avec l’arrivée de Frank Hassell et dont le temps de jeu a diminué depuis.\\n\\nPhoto: Jonathan Fairell (CB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : avalanche de points et de records pour le Bayern !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme en NBA, les attaques ont le vent en poupe en Euroleague ! Le Bayern Munich a offert un feu d’artifice à son public pour la réception du Darussafaka : 116-70 ! De même, le Real Madrid a comme d’habitude roulé des mécaniques avec une victoire facile en Israël (87-66).\\n\\nEt puis, on a également eu droit à notre dose de suspense avec la victoire étriquée du CSKA Moscou qui reste invaincu malgré son déplacement périlleux en Lombardie (90-85). L’Efes Istanbul a quant à lui été décrocher une victoire bien improbable à Gran Canaria (94-90), un véritable hold up ! Nando De Colo (18 points, 4 rebonds, 4 passes) et Rodrigue Beaubois (11 points, 4 passes) ont bien participé aux victoires de leur équipe.\\n\\nDemain soir, deux gros chocs à ne pas manquer : le derby chaud brûlant Panathinaikos – Olympiakos et un très alléchant Vitoria – Fenerbahçe. Mettez les bières au frais...\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nSoirée record pour le Bayern\\n\\nAvec 64% de réussite aux tirs, dont 69% à trois points, le Bayern Munich a lâché l’artillerie lourde face à Darussafaka (116-70). Le Bayern termine à 116 points, à +46 au final, soit deux records pour le club bavarois !\\n\\nL’attaque munichoise a été rutilante avec Devin Booker qui termine à 18 points à 7/8 aux tirs, et Petteri Koponen qui livre une copie parfaite à 16 points à 6/6 ! 9 des 12 joueurs du Bayern finissent en double figure à l’évaluation, dont le score final est tout bonnement irréel : 156-56 !\\n\\n\\nLe CSKA doit s’employer en Lombardie\\n\\nC’était l’affiche de la soirée en Euroleague : entre le CSKA invaincu et Milan qui monte en puissance avec 3 succès de rang, il y a eu match de bout en bout. Ce n’est que sur la toute fin de partie que Cory Higgins (23 points) et Nando De Colo (18 points) ont fait la différence pour Moscou (90-85). Higgins a notamment inscrit 16 de ses 23 points lors des 12 dernières minutes du match, dont un énorme dunk main gauche pour emporter la décision.\\n\\nVladimir Micov (24 points) aura pourtant été héroïque pour Milan, inscrivant un trois points avec la planche pour repousser le CSKA à -8 en beau milieu de 3e quart. Mike James termine quant à lui avec un double double, 16 points – 12 passes, toujours en l’absence de son partenaire de crime, Nemanja Nedovic.\\n\\n\\nGran Canaria coiffé au poteau\\n\\nIls ont mené pendant 38 minutes, mais les joueurs de Gran Canaria ont craqué dans le finish (94-90). A l’image de plusieurs tentatives de Kim Tillie qui ricochent sur le cercle, les insulaires n’ont pas pu obtenir leur 2e victoire à domicile de la saison, coiffé au poteau par l’Efes Istanbul de Krunoslav Simon (18 points, 4 passes).\\n\\nCe dernier a inscrit le trois points pour repasser devant, après avoir compté 10 points de débours à 4 minutes du terme. Rodrigue Beaubois (11 points, 4 passes) et Adrien Moerman (2 points, 9 rebonds) ont apporté leur pierre à l’édifice. L’Efes en est désormais à 4 victoires et 2 défaites, un bon départ pour l’ancienne lanterne rouge ! Côté perdant, Kim Tillie termine tout de même à 7 points et 4 rebonds.\\n\\n\\nLe Real tranquille\\n\\nLes déplacements à Tel Aviv, ce n’est plus ce que c’était ! Le Real Madrid n’aura eu besoin que deux petits coups d’accélérateur (certes brutaux) pour rester invaincu (87-66).\\n\\nD’abord, ce fut un 16-0 en 2e quart initié par Jaycee Carroll (14 points de ses 16 points) et puis, un 14-0 en 3e quart jugulé par Sergio Llull (14 de ses 17 points) pour décrocher définitivement le Maccabi. Le club nation a compté jusqu’à 24 points de débours à domicile, et présente un bilan peu glorieux de 1 victoire en 6 matchs.\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 18 points (7/12 aux tirs), 4 rebonds, 4 passes, 2 balles perdues en 29 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Istanbul) : 11 points (4/9 aux tirs), 4 passes, 4 balles perdues en 33 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 7 points (2/4 aux tirs), 4 rebonds, 1 balle perdue en 21 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Istanbul) : 2 points (1/5 aux tirs), 9 rebonds, 3 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 24 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 2 points (1/7 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes en 18 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nÇa fait plusieurs semaines qu’on l’élimine parmi les derniers, mais cette fois-ci, Will Clyburn passe le cut du jury BasketEurope. L’ailier américain du CSKA Moscou est un formidable athlète, dans la veine d’un Sonny Weems. Et il l’a encore prouvé sur cette contre-attaque menée tambour battant et conclue en planeur !\\n\\n\\n\\n\\n🗣'The rim wont forget this one in a hurry'@Da_Thrill21 takes it ALL the way!#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/EmQFBjG9ed\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) November 8, 2018\\n\\n\\nLes résultats de la 6ème journée\\n\\nJeudi 8 novembre :\\nBayern Munich – Darussafaka (116-70)\\nMaccabi Tel Aviv – Real Madrid (66-87)\\nMilan – CSKA Moscou (85-90)\\nGran Canaria – Efes Istanbul (90-94)\\n\\nVendredi 9 novembre :\\nKhimki Moscou – Barcelone (18h)\\nPodgorica – Kaunas (19h)\\nPanathinaikos – Olympiakos (20h)\\nVitoria – Fenerbahçe (20h30)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 7e journée\\n\\nJeudi 15 novembre :\\nDarussafaka – Milan (18h15)\\nPodgorica – Vitoria (19h)\\nOlympiakos – Fenerbahçe (20h)\\nReal Madrid – Khimki Moscou (21h)\\n\\nVendredi 16 novembre :\\nEfes Istanbul – Panathinaikos (18h30)\\nZalgiris Kaunas – Barcelone (19h)\\nBayern Munich – CSKA Moscou (20h30)\\nGran Canaria – Maccabi Tel Aviv (21h)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nSoirée record pour le Bayern\\n\\nAvec 64% de réussite aux tirs, dont 69% à trois points, le Bayern Munich a lâché l’artillerie lourde face à Darussafaka (116-70). Le Bayern termine à 116 points, à +46 au final, soit deux records pour le club bavarois !\\n\\nL’attaque munichoise a été rutilante\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le un-contre-un Sekou Doumbouya (Limoges) vs Killian Hayes (Cholet)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion du Media Day, la LNB a réalisé cette vidéo où deux des plus grands espoirs du basket français s’affrontent verbalement et avec humour.\\n\\nDe Sekou Doumbouya à propos de Killian Hayes: « Il est smouth. Il a les skills. Il a le truc que beaucoup de gens n’ont pas. »\\n\\nDe Killian à propos de Sekou: « J’étais dans la même équipe avec Sekou. Il fait ‘passe-moi la balle! passe-moi la balle! Killian, Killian. Passe-moi la balle! »\\n\\nhttps://www.facebook.com/LNBOfficiel/videos/1714342568676842/?__tn__=kCH-R&eid=ARBwf_Mlj-nHkTaOH5YzncSm3XYu5HXodlqY5Qplmd1FH-yoOFKQxk_t8vAGjTsEdHzmrLPy6JGvYQ-R&hc_ref=ARSAPk_sN0dh3eIAlvogBd9UxCOFAqpKzglA65j_7qqR45i5BGhS7-GquvkVKbHzugg&fref=nf&__xts__[0]=68.ARCpWUTInUiAU-JPbpxH6If795R29Sau-gPxZbzp0fyW6f39ekd4jyhyPQjbSpeyd3enXfcOhrnnldtykl6-FQHFOyrsCT2VShmVRAOKIMveggiZkm-nRdS0RBlh8v3pOrUrQnh_ZVHalaw93ivYJqCB9-4zz0dH5TnGanh14B682Gkqjg9l6jsZfU79ISusvzcfMfRMDheX13ZDr4qKl52XNm7vHdqaMPpHaLge37oDMewdfI1ae2l_gtYb7bOQLKBqmGE"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL: La belle soirée de Strasbourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Superbe retournement de situation hier soir au Rhénus. La SIG a longtemps été menée au score face au Promitheas Patras: 29-41 à la mi-temps, 51-59 après trente minutes...\\n\\nUne fois encore le jeune meneur Ludovic Beyhurst a joué un rôle admirable avec ses jambes de feu pour dynamiser son équipe. C’était ensuite au tour du meneur titulaire Mike Green de prendre les choses en mains et de donner l’égalité à la SIG à 75. Après un 2-14 encaissé, Patras reprenait du poil de la bête et la fin de match était haletante. Deux lancers d’Ali Traore et un troisième trois-points de Mike Green plus tard et Strasbourg prenait trois points d’avance à 38 secondes du buzzer et s’imposait finalement 83-78. De quoi rejoindre les Grecs au classement avec 4 victoires en 5 matches.\\n\\nA noter les 19 points de Jeremy Nzeulie et les 18 de Nicolas Lang et aussi côté grec les 30 points et 34 d’évaluation de l’Américain Rion Brown, qui a fléchi dans le money time.\\n\\nDeuxième partie de la mission des Sigmen de la semaine: s’imposer ce week-end au Rhénus à Villeurbanne qui lui aussi a montré ses muscles en Eurocup face à Valence.\\n\\nPhoto: Nicolas Lang (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: La Française Alyssa Lawrence carbure en Suède"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bria Hartley n’est pas la seule Franco-Américaine à jouer dans un championnat européen (au Fenerbahçe) en Turquie. C’est également le cas de l’ailière Alyssa Lawrence (1,85m, 23 ans) que nous vous avons présenté en début d’année. Fille de l’ancien joueur américain naturalisé français, Larry Lawrence, qui a fréquenté la Pro A et la Pro B dans les années 80-90, Alyssa est née à Dunkerque et joue comme française en Suède et en Eurocup. Et ça se passe bien.\\n\\nAlyssa s’était entraînée quelques jours avec le Cavigal Nice en cours de saison dernière mais elle n’avait pu obtenir une lettre de sortie de la fédération roumaine pour intégrer l’effectif. Cette fois, elle porte le maillot du club de A3 Basket Umea -une ville à 600km au nord de Stokholm!- dans le championnat suédois et en Eurocup.\\n\\nAlyssa est la meilleure marqueuse (15,0 points), la meilleure rebondeuse (8,8) et la numéro 1 à l’évaluation (17,6) de son équipe. Très complète, elle est la 7e rebondeuse du championnat, la 6e aux interceptions (2,2) et la 4e aux contres (1,2). Son équipe est invaincue après cinq matches. En revanche, en Eurocup, A3 Basket Umea peine (3 défaites en 3 matches dans le Groupe E où il n’y a pas de club français) mais Alyssa est là encore la meilleure de son équipe à l’évaluation."
}, 
{"role": "user",     "content":"Kyle Milling (Limoges): «Leur attitude va changer sinon la porte est ouverte»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Limoges a lourdement perdu face au Cedevita Zagreb (71-91), y compris le point average et certains ont même perdu leur honneur si l’on en croit les commentaires du coach Kyle Miling au micro de France Bleu Limousin.\\n\\n« C’est frustrant de continuer de parler des attitudes, de l’envie de jouer ensemble et de jouer dur, agressif, intense. Il y en a certains qui... Déjà on manque de leadership avec les trois leaders que l’on a pris. Ils ne montent pas leur niveau, ils ne montent pas leur leadership. Leur attitude va changer sinon la porte est ouverte. On ne peut pas continuer comme ça avec certains qui presque ils s’en foutent. London Perrantes, il faut qu’il change son attitude (...) On a certains joueurs qui sont là pour venir en voyage, en Croatie, en Pologne, ils ne sont pas là pour faire leur job. »\\n\\nLe meneur London Perrantes est donc le premier visé (5 points, 5 passes, alors qu’en face l’ancien Manceau Justin Cobbs a emmené son équipe avec 17 points, 6 passes et 3 interceptions), mais aussi visiblement Dwight Hardy (8 points, 3 passes).\\n\\nLe CSP a pris un bouillon dans le premier quart-temps (17 à... 29) et le Cedevita en a mis une deuxième couche dans le quatrième (24-16). Ce sont les Français Axel Bouteille (13 points) et William Howard (11) qui ont été les meilleurs marqueurs au CSP.\\n\\nL’heure est grave à Limoges. Voici les Limougeauds relégués à la 4e place du groupe avec une victoire de retard sur le Cedevita et donc un point average négatif et qui lundi prochain se rend à Levallois qui a besoin de se racheter après sa défaire face à Nanterre lors du derby du 92.\\n\\nPhoto: London Perrantes et Justin Cobbs (Eurocupbasketball)\\n\\nhttps://www.facebook.com/francebleulimousinofficiel/videos/2455986961085016/"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Les deux matches de l’équipe de France sur RMC Sport"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les fans de l’équipe de France féminine ne manqueront pas ses deux prochains rendez-vous. Le premier, le samedi 17 novembre à 18h contre la Roumanie à Cluj-Napoca. Il sera diffusé sur RMC Sport 2. Le second, le mercredi 21 à 20h45 contre la Slovénie à Charleville. Il sera diffusé sur RMC Sport 3.\\n\\nSi les Bleues part largement favorites face à la Roumanie -elles ont remporté le match aller à Villeneuve d’Ascq de 42 points-, il leur faudra rattraper un retard de 6 points face à la Slovénie après leur défaite à Celje (62-68). La France est quasiment assurée de terminer au pire « meilleure deuxième » mais en réalisant cette mission, elle serait tête de série lors du tirage au sort, ce qui n’est pas négligeable.\\n\\nCette fenêtre internationale devrait permettre de voir à l’oeuvre la Franco-Américaine Bria Hartley qui a été pré-sélectionnée par Valérie Garnier.\\n\\nPhoto: Endy Miyem (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"FFBB: Un partenariat avec le CNDS pour la création et la réhabilitation de terrains de basket 3×3"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans la continuité des orientations prises en Assemblée Générale fédérale avec notamment la mise en place du plan stratégique FFBB 2024 et Club 3.0, la directrice générale du CNDS (Centre National pour le Développement du Sport) Armelle Daam et le président de la FFBB, Jean-Pierre Siutat, ont signé une convention-cadre historique, validant le soutien financier du CNDS, pour la création ou la réhabilitation de terrains de basket 3×3.\\n\\nLa Fédération Française de BasketBall met en œuvre un plan stratégique, FFBB 2024 et Club 3.0, afin de développer notamment la pratique du basket 3×3, nouvelle discipline olympique à partir des Jeux de Tokyo 2020. Ce plan permettra de réduire les inégalités territoriales et les disparités de pratique du basket 3×3.\\n\\nCe plan prévoit également la conception d’une plateforme digitale qui facilitera la création de communautés de pratiquants et pratiquantes, notamment non licenciés, sur des terrains de jeux extérieurs ou des équipements de proximité.\\n\\nSignée ce mercredi entre le CNDS et la FFBB, la convention-cadre fixe les conditions de financement de la réhabilitation ou construction d’équipements de basket 3×3 dans le cadre d’un Plan INFRA validé par la FFBB. Ce plan sera d’ailleurs présenté lors du Salon des Maires à Paris le 20 novembre prochain.\\n\\nLe CNDS s’engage ainsi à examiner en priorité les demandes de subventions afin de financer des créations ou des réhabilitations de terrains de basket 3×3 qui s’inscrivent dans le cadre du plan stratégique FFBB 2024.\\n\\nEn complément, la FFBB s’engage à soutenir le financement de ces mêmes projets dans le cadre d’un fonds dédié et au bénéfice de ses clubs.\\n\\nBien entendu, le financement des travaux est subordonné à la faisabilité technique et financière des opérations ainsi qu’au respect des règles relatives à l’accessibilité des personnes à mobilité réduite et à leur conformité aux impératifs d’environnement et de développement durable.\\n\\nLes dossiers de demande de financement seront constitués par les collectivités ou les associations sportives, maîtres d’ouvrage, et déposés pour instruction auprès des services déconcentrés de l’État en charge du sport.\\n\\n« La signature de cette convention est un moment important de notre plan stratégique FFBB 2024 et Club 3.0′′, déclare Jean-Pierre Siutat. « Le « Plan INFRA » que nous avons élaboré est une pierre angulaire de notre projet novateur et visionnaire. Le soutien du CNDS légitime nos choix et symbolise la confiance de l’Etat, des Collectivités Locales et du Mouvement Olympique et Sportif dans notre engagement fort pour la création et la réhabilitation de terrains de basket 3×3. Nous sommes convaincus que ces équipements faciliteront l’accès à la pratique de notre sport sous toutes ses formes. Cette première étape va très certainement permettre à de nombreux projets locaux de se concrétiser. »\\n\\nQuant à Armelle Daam, elle a ajouté:\\n\\n« Cette convention-cadre avec la FFBB rentre dans le cadre que nous souhaitons, d’impulsion et d’accompagnement des démarches innovantes. C’est la marque du soutien réitéré du CNDS, et de son conseil d’administration, à des initiatives fédérales d’ampleurs qui permettront de renforcer le sport pour tous et dans les territoires qui en ont le plus besoin. »\\n\\nPhoto: FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Jordan Tolbert (ex-Hyères-Toulon) à Caen"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Ouest France, le Caen BC fait appel à Jordan Tolbert (2,00m, 26 ans) afin de remplacer Brad Waldow peu convaincant (4,5 points, 3,8 rebonds)\\n\\nTolbert a fréquenté Texas Tech, puis à Southern Methodist avant de rejoindre Casale en 2e division italienne. Il était la saison passée, en Jeep Elite à Hyères-Toulon où il s’est fendu de 7,5 points, 5,4 rebonds et 10,5 d’évaluation moyenne.\\n\\nLe club espère qu’il sera qualifié pour le match face à Lille samedi."
}, 
{"role": "user",     "content":"Zvezdan Mitrovic après ASVEL – Valence : «Mon équipe me surprend à chaque match»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après l’énorme victoire de l’ASVEL face à l’un des cadors de l’Eurocup, Valence, Zvezdan Mitrovic s’est exprimé en conférence de presse.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe technicien monténégrin a tenu à souligner la jeunesse de son effectif et l’envie qu’on mit les joueurs.\\n\\n« Je suis très content ce soir, je pense que nous avons fait un très gros match avec cette équipe de jeunes garçons. On pouvait difficilement faire plus jeune que l’effectif de ce soir (NDLR, Khadim Sow et Sofiane Briki ont 19 ans et Théo Maledon a 17 ans). Valence est une grosse équipe, une des meilleures d’Eurocup. Je ne sais pas depuis combien de temps ils jouent cette compétition ni quel est leur budget, c’est une équipe de très haut niveau, mais nos mecs ont montré un énorme cœur ce soir et ils ont fait un très bon match. Lors du match aller, c’était notre premier match d’Eurocup de la saison. Je tiens à rappeler qu’on a livré 30 minutes de très bon basket, mais c’est une équipe de calibre Euroleague et si on s’oublie, ça peut être terminé en deux minutes. Dans ce match-là par exemple on n’avait pas Buckner et on avait déjà les absences de Kaba et Jean-Charles, peut-être que ça peut expliquer des choses. Mais ce soir on rajoute Noua et Kahudi a la liste des absents aussi. On s’entraîne dur en ce moment et c’est pour ça que l’on livre de bons matchs. »\\n\\nMalgré une infirmerie pleine à craquer, Zvezdan Mitrovic continue de faire tourner son équipe et de remporter des matchs.\\n\\n« Mon équipe me surprend à chaque match, mais positivement. Il y a des choses qui ne sont pas normales comme voir Khadim Sow jouer 28 minutes alors qu’il est en espoir. Ça peut me surprendre mais quand je vois la manière dont travaille mon groupe à l’entraînement, ça donne ce genre de match. Le plus important est de montrer une belle énergie et que tout le monde se donne au maximum. J’aime jouer avec de gros rosters, même si actuellement c’est compliqué avec toutes ces blessures. Mais les joueurs travaillent dur et c’est la seule raison pour laquelle on gagne autant. C’est ma philosophie. Travailler dur pour avoir du résultat. C’est le cas depuis le début de la saison, mais je dois avouer qu’être à cinq victoires et une défaite en Eurocup ce n’est pas forcément ce à quoi je m’attendais. »\\n\\n[armelse]\\n\\nLe technicien monténégrin a tenu à souligner la jeunesse de son effectif et l’envie qu’on mit les joueurs.\\n\\n« Je suis très content ce soir, je pense que nous avons fait un très gros match avec cette équipe de jeunes garçons. On pouvait difficilement faire plus jeune que l’effectif de ce soir (NDLR, Khadim Sow et Sofiane Briki ont 19 ans et Théo Maledon a 17 ans). Valence est une grosse équipe, une des meilleurs d’Eurocup. Je ne sais pas depuis combien de temps ils jouent cette compétition ni quel est leur budget,[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Infinity Nine Media"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Charles Kahudi (ASVEL) toujours incertain pour le match face à Strasbourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Absent dimanche à Pau puis mardi soir en Eurocup face à Valence, Charles Kahudi (1,99m, 32 ans) a rejoint l’infirmerie déjà bien remplie de l’ASVEL à cause d’une blessure à la cheville.\\n\\nMalheureusement pour le club villeurbannais, la durée de l’indisponibilité de son capitaine n’est pas connue. Après le match face à Valence, l’entraîneur lyonnais n’avait aucune indication sur la présence ou non de Charles Kahudi lors du déplacement à Strasbourg prévu samedi 10 novembre en Jeep Elite.\\n\\n« Je ne sais pas du tout s’il sera là. C’est une affaire de médecin. Pour le moment il ne s’entraîne pas, on verra bien. Je laisse les docteurs s’en occuper », a déclaré Zvezdan Mitrovic après le match contre Valence.\\n\\nCette saison, Charles Kahudi tourne en moyenne à 13 points et 3,5 rebonds pour une évaluation de 13,2 en Jeep Elite, et 13,6 points et 6,2 rebonds pour une évaluation de 16 en Eurocup.\\n\\nPhoto : Infinity Nine Media"
}, 
{"role": "user",     "content":"8e de finale Coupe de France féminine: Un choc ASVEL-Montpellier"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"ASVEL Lyon et Lattes-Montpellier sont inséparables. Après s’être déjà affrontées en championnat et en EuroCup, les deux équipes vont se retrouver en 8e de finale de la Coupe de France féminine (Trophée Joe Jaunay) dont le tirage a été effectué ce matin au siège de la FFBB.Les matches auront lieu le mardi 18 et le mercredi 19 décembre 2018.\\n\\nMardi 18 novembre – 20h00\\nReims (LF2) – Roche Vendée (LFB)\\nCalais (LF2) – Chartres (LF2)\\n\\nMercredi 19 novembre – 20h00\\nLyon (LFB) – Lattes-Montpellier (LFB)\\nMontbrison (LF2) – Basket Landes (LFB)\\nNantes Rezé (LFB) – Tarbes (LFB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ouverture de la billetterie pour les finales de Coupe de France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FFBB a ouvert officiellement, ce mercredi, la billetterie des Finales de la Coupe de France 2019.\\n\\nLe vendredi 10 et le samedi 11 mai 2019, les finales de la Coupe de France se tiendront à l’AccorHotels Arena de Paris. Chaque année ces finales offrent un spectacle mêlant le show, l’ambiance, l’émotion et la performance sportive révélant souvent les stars de demain. La FFBB a ouvert la billetterie et dévoilé le visuel de cet évènement ainsi que la vidéo de présentation de ce rendez-vous incontournable.\\n\\nLe programme\\n\\nVendredi 10 mai 2019\\n\\n18h00 : Finale Trophée féminin\\n\\n20h30 : Finale Trophée masculin\\n\\nSamedi 11 mai 2019\\n\\n11h30 : Finale U17 féminines\\n\\n14h00 : Finale U17 masculins\\n\\n16h30 : Finale Pro féminines – Trophée Joé Jaunay*\\n\\n19h00 : Finale Pro masculins – Trophée Robert Busnel*\\n\\n*sous réserve de modification TV\\n\\nRéservez vos places ICI."
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges : Mam Jaiteh sur le départ, ça se précise..."
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cloué sur le banc depuis plusieurs matchs, Mam Jaiteh (2,11m, 23 ans) n’est plus du tout désiré à Limoges et il serait de plus en plus proche d’un départ.\\n\\nAnnoncé en partance pour Turin par la presse italienne pour effectuer une pige d’un mois, l’ancien joueur de la SIG est tout proche de quitter le Limousin selon Le Populaire du Centre. Le quotidien limougeaud annonce que le club lui a confirmé être en train de discuter avec l’agent de l’ancien Nanterrien dans l’objectif d’une sortie. Cependant, si le MVP français de Pro B 2012/13 dispose d’une offre il ne l’aurait pas encore accepté, toujours selon le journal.\\n\\nCette saison, Mam Jaiteh compile en moyenne 5,6 points et 4,6 rebonds entre l’Eurocup et la Jeep Elite.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges: Mam Jaiteh devrait prendre la direction de Turin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il ne fait plus partie des plans de Kyle Milling, le pivot international Mam Jaiteh (2,08m, 24 ans) va très probablement prendre la direction de Turin comme l’annonce la presse italienne dont La Stampa.\\n\\nMam Jaiteh a tourné à 6,5 points et 4,5 rebonds en 6 matches de Jeep Elite avec le CSP mais il est désormais cloué sur le banc étant considéré en quelque sorte comme le pivot de trop de l’équipe depuis la réintégration de Samardo Samuels.\\n\\nFiat Torino en est actuellement à 2 victoires pour 3 défaites dans le championnat d’Italie. L’équipe lombarde est coachée par la légende du basket américain Larry Brown qui est revenu en Italie après un mois d’absence en raison d’une intervention chirurgicale effectuée dans son pays.\\n\\nPhoto: CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL: Les highlights de Lietkabelis-Dijon et Novgorod-Le Mans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dijonnais et Manceaux reviennent la tête basse de leurs voyages, les premiers en Lituanie, les seconds en Russie. La JDA s’est inclinée 62-78 face à Lietkabelis Panevėžys et le MSB 71-85 à Novgorod. Voici les highlights de ces deux matches de Basketball Champions League.\\n\\nPhoto: Gavin Ware (JDA, FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Gaëtan Muller (Président Délégué ASVEL) : «La route est encore longue»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la grosse victoire de l’ASVEl sur son parquet face à Valence en Eurocup, le Président Délégué du club, Gaëtan Muller a donné son ressenti en conférence de presse.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n« C’est une satisfaction ce soir. D’abord par le fait de battre une grosse équipe d’Eurocup mais aussi de voir la cohésion de l’équipe. C’est encore une fois une vraie victoire d’équipe et c’est ce qui me satisfait le plus. On ne va pas parler des blessés mais il y en a quand même un certain nombre. On sent que l’ensemble de l’équipe adhère à la stratégie, à la vision que le coach peut avoir du basket : l’envie de se partager la balle, l’envie de se donner les uns pour les autres et l’envie de prendre un maximum de plaisir. De voir ça, c’est satisfaisant et important. Avec cette victoire on passe véritablement premier dans le groupe et je suis très satisfait de voir comment l’équipe a abordé ce match et l’ensemble de ses matchs. La constance est une chose très importante et j’espère qu’on va pouvoir continuer dans cette direction sachant que ce genre de matchs et de victoires sont importants pour cette année mais aussi pour les années futures de par le projet qu’on a. Il ne faut pas s’enflammer, la route est encore très longue, mais ce qui est pris n’est plus à prendre. C’est important de faire une bonne saison d’Eurocup mais aussi en championnat pour montrer qui nous sommes. On le sait l’an prochain l’Euroleague nous tend les bras, en tout cas on espère pouvoir y aller. Au-delà de ça il faut montrer qu’on est aussi capable d’amener des choses et qu’on mérite. »\\n\\n[armelse]\\n\\n« C’est une satisfaction ce soir. D’abord par le fait de battre une grosse équipe d’Eurocup mais aussi de voir la cohésion de l’équipe. C’est encore une fois une vraie victoire d’équipe et c’est ce qui me satisfait le plus. On ne va pas parler des blessés mais il y en a quand même un certain nombre. On sent que l’ensemble de l’équipe adhère à la stratégie, à la vision que le coach peut avoir du basket :[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"La Phrase – Régis Boissié (Cholet): «C’est une honte ce que l’on a fait dans le deuxième quart-temps»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Abimé en championnat (une victoire pour sept défaites), Cholet Basket ne pourra pas compter sur la Coupe de France pour se refaire la cerise. Les Choletais ont été sortis hier soir par Rouen, club de Pro B, 63-73.\\n\\n\\nLes 14 points d’Olivier Troisfontaines et encore les 11 points et 8 rebonds de Frank Hessel n’ont pas été suffisants. Et alors que Killian Hayes a passé 22 minutes sur le terrain comme meneur mais pour -4 d’évaluation, Danny Gibson s’est vu accorder 11 minutes et a été totalement transparent.\\n\\nEvidemment, le coach Régis Boissié était furax:\\n\\n« On sort énervé d’un tel match. C’est une honte ce que l’on a fait dans le 2e quart-temps. Il n’y avait rien. On n’a pas joué pendant dix minutes », rapporte Ouest France. « On ne peut pas laisser ça dans l’état. Je ne nie pas ma responsabilité, j’ai fauté moi aussi. Maintenant, il faut que les garçons comprennent qu’il y a des choses à faire. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Clarisse Berranger: des espoirs de Bourges à la direction de la chambre de commerce franco-américaine de Los Angeles !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vosges Matin raconte l’histoire tout à fait étonnante de Clarisse Berranger, ancienne intérieure dans les équipes espoirs de Valenciennes et Bourges, puis du Limoges ABC en Nationale 2, qui a toujours mis les études au-dessus du basket.\\n\\nAprès avoir obtenu une licence de sciences du langage et de communication Clarisse Berranger a changé de cap:\\n\\n« Je ne voyais pas vraiment de porte de sortie après le basket. Les options sont limitées, à savoir devenir coach ou préparatrice physique. J’aime le jeu et être sur le parquet, mais l’encadrement n’est pas pour moi. Les sportives sont souvent placées dans un registre exclusif, alors que nos capacités vont au-delà du terrain. »\\n\\nDirection les Etats-Unis et l’université de Wake Forest, en Caroline du Nord. Au programme: un lever à 5h du matin, deux entraînements journaliers et des études en Politique Internationale avec un Master au bout du chemin. Et alors qu’elle avait envisagé un temps de jouer en Italie ou en Espagne, elle décide de stopper le basket, se met à la recherche d’un job, et se voit proposer d’entrer à l’antenne de Los Angeles de la chambre de commerce franco-américaine. Elle en devient la directrice!\\n\\n« La chambre de commerce compte 300 adhérents que nous aidons dans leurs démarches pour installer leur entreprise en Californie du Sud. Nous leur proposons des solutions juridiques, comptables ou immobilières. C’est un poste riche et intéressant. J’y trouve la même adrénaline et préparation que dans le basket : rigueur, stress, respect des consignes et de la deadline (...) Mes intérêts sont désormais professionnels. J’aimerais rejoindre une grande organisation non gouvernementale ou même un parti politique. De cette manière, j’aimerais faire passer aux jeunes joueuses : ‘’Vous avez du talent en dehors du basket : ne lâchez pas vos études !’’ »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe de France, 32e de finale: Souffel sort Gravelines !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Hier soir avait lieu la première partie des 32e de finale de la Coupe de France et les Alsaciens de Souffelweyersheim ont réussi l’exploit d’éliminer Gravelines, 71-63. Cédric Bah (12 points et 12 rebonds), Anthony labanca (21 points) et aussi l’ancien Gravelinois Aldo Curti (11 passes) ont été les plus performants du côté de Souffel qui a mené tout le match.\\n\\n*Souffelweyersheim (NM1) bat Gravelines (Jeep Elite) 71-63\\n\\nChâlons-Reims (Jeep Elite) bat *Boulogne (NM1) 89-57\\n\\nBoulazac (Jeep Elite) bat *Orléans (Pro B) 72-56\\n\\nPoitiers (Pro B) bat *Tours (NM1) 77-76\\n\\n*Rouen (Pro B) bat Cholet (Jeep Elite) 73-63\\n\\nLevallois (Jeep Elite) bat *Quimper (Pro B) 93-77\\n\\nNancy (Pro B) bat *Orchies (NM1) 90-72\\n\\n*Gries (Pro B) bat Denain (Pro B) 88-56\\n\\n*Aix-Maurienne (Pro B) bat Roanne (Pro B) 83-67\\n\\nAntibes (Jeep Elite) bat *Saint-Chamond (Pro B) 79-65\\n\\n*Challans (NM1) bat Evreux (Pro B) 90-52\\n\\nBlois (Pro B) bat *Bordeaux (NM1) 74-59\\n\\nMercredi 7 novembre à 20h00\\n\\nLille (Pro B) – Le Portel (Jeep Elite)\\nOullins Ste Foy (NM2) – Vichy-Clermont (Pro B)\\nSorgues (NM1) – Fos (Jeep Elite)\\nToulouse (NM1) – Pau-Lacq-Orthez (Jeep Elite)\\nLorient (NM1) – Caen (Pro B)\\n\\nMardi 13 novembre à 20h00\\nChalon-sur-Saône (Jeep Elite) – Bourg-en-Bresse (Jeep Elite)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie: Deux mois de contrat pour Mam Jaiteh à Turin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Turin a réussi à convaincre le pivot Mouhammadou Jaiteh (6,5 points et 4,5 rebonds) d’accepter une pige de deux mois -jusqu’au 31 décembre en fait- avec une option dans le contrat d’une prolongation jusqu’en juin pour compenser la double blessure de James McAdoo (au moins un mois d’absence suite à une blessure à la cheville) et Marco Cusin (au moins 15 jours d’arrêt pour des problèmes musculaires).\\n\\nMam Jaiteh (2,08m), qui va avoir 24 ans dans quelques jours, voit ainsi la possibilité de relancer sa saison jusqu’ici bien morose et de confirmer les espoirs mis en lui à l’époque de l’INSEP, de Boulogne et de Nanterre. Il aura comme coach la sommité américaine Larry Brown et donc un statut qui ne permet pas le relâchement.\\n\\nPhoto: CSP\\n\\n\\n\\n\\nNow it is official (nothing was signed before this night and no agreement was found with Limoges) ! Mam Jaiteh @mamjaiteh14 signed with Fiat Torino @FiatTorinoAux in Italy until December 31st 2018 ! He is flying now to Torino and the team hopes him to be qualified for Sunday !!\\n\\n\\n— Olivier MAZET (@OlivierMAZET) November 8, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"En direct avec Yannick Bokolo (Pau): «J’ai regardé mon premier match NBA à la TV l’année dernière»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un interview avec Yannick Bokolo (1,93m), c’est joyeux. A 33 ans, il effectue sa 16e saison en Jeep Elite en ayant porté seulement trois maillots, ceux du Mans, de Gravelines et de Pau depuis 2014. Offensivement ses statistiques ont fondu mais il demeure un chien de garde en défense que les attaquants apprécient peu d’avoir sur le dos. Il s’est soumis au questionnaire du « En Direct ».\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe premier match que vous avez joué en pro :\\n\\nAvec Le Mans à Reims en 2003. Je crois que l’on avait souffert mais je pense que l’on avait gagné. C’était mon premier match, je n’avais pas trop joué NDLR : (il joua tout de même 13’ en moyenne cette saison-là et entra 6 fois dans le Cinq Majeur).\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nBen Woodside, un Américain à Gravelines. Il me faisait venir à la salle tous les jours. Il m’a fait comprendre que les abdos c’est le muscle qui récupère le plus rapidement (rires).\\n\\nLe joueur le plus râleur en Jeep Elite :\\n\\nIl y en a pas mal. On a Amara Sy, Jerel Blassingame. Ce sont les vieux qui râlent, même moi ! On peut me mettre dans ce classement.\\n\\nLe coach qui vous a le plus marqué :\\n\\nMon premier coach au Mans, Vincent Collet. J’ai vu son évolution puisque je l’ai eu après comme coach de l’équipe de France. On voit l’aura qu’il a encore aujourd’hui.\\n\\nLe club où vous aimeriez jouer :\\n\\nMaintenant je n’ai plus trop de clubs où j’aimerais jouer. Je me sens très bien à Pau. A Barcelone. A cause des couleurs du club (rires). Par rapport à la vie, au club, à l’histoire.\\n\\nLe club où vous n’aimeriez pas jouer :\\n\\nN’importe quel club des pays de l’Est. Ça doit être très dur, très rude. La vie aussi. Un club russe, ça non.\\n\\nVotre pire souvenir de joueur :\\n\\n-60 contre Saint-Quentin avec la Nationale 1 quand j’étais à l’INSEP. On ne gagnait pas tant de matches que ça mais on ne prenait pas trop de doudounes non plus. Là c’était pour ma première année en Nationale 1 avec Rony Turiaf, Julien Doreau, Noël Nijean. Et heureusement qu’ils avaient mis les jeunes sinon ça partait à -70.\\n\\nVotre adversaire le plus coriace :\\n\\nJason Rowe, un meneur de Hyères-Toulon (NDLR : MVP étranger de Pro A en 2006) et celui qui l’a remplacé, Sean Colson. Et sinon lors de ma première année, j’ai défendu sur Rowan Barrett et j’en avais fait des cauchemars !\\n\\nLe trophée dont vous êtes le plus fier :\\n\\nLa Semaine des As à Pau avec Gravelines. C’était la dernière édition.\\n\\nSi vous deviez prendre le move d’un joueur :\\n\\nLe step back de James Harden.\\n\\nSi vous deviez payer votre place pour voir un joueur :\\n\\nSteph Curry. Je n’ai jamais eu l’occasion de voir un match NBA sur place. Ce n’est pas une frustration car je ne suis pas l’un de ces fans avérés qui aiment regarder du basket non-stop. La preuve en est, j’ai regardé mon premier match NBA à la TV l’année dernière ! Je ne regarde jamais les matches en entier, que des résumés, des highlights, des émissions. Je ne suis pas celui qui se lève à 2h du mat.\\n\\nLe numéro 3 que vous portez a-t-il une histoire :\\n\\nJ’ai eu le 21, le 9, le 10. Le 3 parce que l’on est une petite famille maintenant de quatre mais quand j’ai choisi on était trois.\\n\\nL’exercice que vous faites en plus des autres à l’entraînement :\\n\\nÇa va être dur à trouver (rire). Pour les appuis défensifs, c’est ma petite routine à moi, pour savoir à quel niveau sont mes genoux.\\n\\nSi vous aviez une règle à changer dans le basket :\\n\\nJe mettrai peut-être un peu plus de temps pour les matches. Une minute de plus pour chaque quart-temps ou plutôt deux pour être à douze comme en NBA. Ça forcerait les coaches à utiliser tout leur banc.\\n\\nEst-ce que ça vaut la peine de discuter avec les arbitres :\\n\\nNon mais je continue à le faire parce que ce sont des êtres humains et ils peuvent être influencés, mais en fait si on discute trop on peut se les mettre à dos.\\n\\nAvez-vous déjà eu envie de rentrer dans le lard d’un coach :\\n\\nOui ! (long rire) Deux fois. La première fois, c’était pour une chose absurde qu’il m’avait dit. La deuxième fois, je ne m’en souviens plus pourquoi mais je sais qu’il m’avait poussé à bout.\\n\\n« Maintenant, il leur faut de l’argent tout en considérant que l’argent c’est rien et ils le dilapident pour des bêtises »\\n\\nLe principal sujet de conversation entre joueurs :\\n\\nL’argent. Plus qu’avant. Ma génération, on parlait surtout d’avenir et de la musique. Maintenant, c’est plus l’argent. Ça dénature un peu le jeu dans le sens où si on n’est là que pour l’argent, on oublie le plaisir. Pour moi l’argent ça ne rend pas heureux mais ça y contribue quand même un peu. Moi quand je parle d’argent avec les jeunes, c’est plus pour leur dire de faire attention car j’ai eu la chance d’avoir ces conseils-là quand j’étais jeune. Alors que maintenant, il leur faut de l’argent tout en considérant que l’argent c’est rien et ils le dilapident pour des bêtises. C’est bizarre. Moi, j’ai investis.\\n\\nVotre meilleur pote dans le basket :\\n\\nJe ne vais pas faire de jaloux, je vais en mettre trois : Amara (Sy), Alain (Koffi) et Philippe (Amagou). Amara c’était le mouton noir et il a fallu qu’il parte pour que l’on soit champion de France avec Le Mans (rire).\\n\\nAimez-vous lire ou regardez des reportages sur vous :\\n\\nSur moi ? Je préfère lire, je n’arrive pas à me regarder. Je ne vois que mes défauts. Par contre, pour les autres, je préfère regarder des reportages que lire.\\n\\nVotre principal occupation entre deux entraînements :\\n\\nLa famille et maintenant ma reconversion. Je fais une formation sur Internet pour être webmaster. Pour l’instant je cherche à maîtriser les bases et après on verra bien dans quoi je vais me lancer. Tout est en ligne, pas de déplacement à faire. Par contre, j’ai des auditions à faire en direct sur Internet avec des juges pour voir la façon dont on s’exprime et aussi un travail à faire chez soi.\\n\\nLa ville où vous avez joué que vous avez préféré :\\n\\nPau.\\n\\nSi vous deviez vous résumer en quelques mots :\\n\\nJe suis timide mais le basket m’a forcé à ne pas l’être. Et je dirai aussi que je suis ambitieux mais je n’aime pas le montrer.\\n\\nSi vous ne jouiez pas au basket :\\n\\nJe serai dans l’informatique ou dans un métier artistique, la musique, quelque chose comme ça.\\n\\n[armelse]\\n\\nLe premier match que vous avez joué en pro :\\n\\nAvec Le Mans à Reims en 2003. Je crois que l’on avait souffert mais je pense que l’on avait gagné. C’était mon premier match, je n’avais pas trop joué NDLR : (il joua tout de même 13’ en moyenne cette saison-là et entra 6 fois dans le Cinq Majeur).\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nBen Woodside, un Américain à Gravelines. Il me faisait venir à la salle tous les jours. Il m’a fait comprendre que les abdos c’est le muscle qui récupère le plus rapidement (rires).\\n\\nLe joueur le plus râleur en Jeep Elite :\\n\\nIl y en a pas mal. On a Amara Sy, Jerel Blassingame. Ce sont les vieux qui râlent, même moi ! On peut me mettre dans ce classement.\\n\\nLe coach qui vous a le plus marqué :\\n\\nMon premier coach au Mans, Vincent Collet. J’ai vu son évolution puisque je l’ai eu après comme coach de l’équipe de France. On voit l’aura qu’il a encore aujourd’hui.\\n\\nLe club où vous aimeriez jouer :\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eurocup : l’ASVEL surpasse Valence !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était le « match de l’année » à l’Astroballe selon le speaker villeurbannais et ce choc de la sixième journée d’Eurocup entre l’ASVEL et Valence a tenu toutes ses promesses. Et ce malgré les absences plus ou moins récentes du côté lyonnais avec Alpha Kaba, Livio Jean-Charles, Amine Noua et le dernier arrivé à l’infirmerie Charles Kahudi. Pour les Espagnols, seul Antoine Diot manque à l’appel mais cela depuis un bon bout de temps. C’était un vrai test pour un club qui ambitionne de jouer en Euroleague dès la saison prochaine.\\n\\nLe début de match côté ASVEL est une fois de plus marqué par la jeunesse avec la présence de Khadim Sow (19 ans) et Théo Maledon (17 ans) dans le cinq de départ. Sans oublier la présence sur le banc de Sofiane Briki (19 ans) qui sera brièvement utilisé par Zvezdan Mitrovic dans le deuxième quart-temps. Après un début un peu poussif (8-14), la formation villeurbannaise s’en remet à son jeune Théo Maledon qui débloque la situation avec un très gros tir à trois points au buzzer de la possession, une grosse interception suivie d’une passe décisive dans le dos pour DeMarcus Nelson. L’ASVEL est de retour 13-14 à une minute de la fin du premier quart-temps. C’est à nouveau Nelson, qui sera omniprésent dans ce match, qui fait passer son équipe devant grâce à un panier plus la faute (17-16). Pour couronner le tout, A.J. Slaughter trouve la mire à trois points quasiment au buzzer de la période comme il les aime avec la main de l’adversaire devant les yeux. 20-17 pour l’ASVEL après 10 minutes.\\n\\nDe retour sur le terrain, les Villeurbannais commencent par prendre six points de suite. Zvezdan Mitrovic, plutôt calme jusqu’ici décide alors de stopper le match avec un temps mort. C’est une nouvelle fois MVP DeMarcus Nelson (parfait à la pause avec 13 points à 6/6 et 2 passes décisives pour une évaluation de 16) qui ramène l’ASVEL à 27 partout et lui permet de prendre la tête. Le chassé-croisé entre les deux équipes continue jusqu’à la pause avec une égalité parfaite (37-37). A la mi-temps l’ASVEL est touchée par les fautes avec deux joueurs à 3 fautes (Miro Bilan et Khadim Sow) et David Lighty a deux fautes depuis la moitié du premier quart-temps et qui a passé tout le reste de la mi-temps sur le banc.\\n\\nAprès la pause, le mano a mano continue et les Villeurbannais se reposent toujours sur Demarcus Nelson et AJ Slaughter, agressif en défense, qui parvient à voler un ballon pour filer au lay-up. De retour aux affaires après quinze minutes sur le banc, David Lighty croit être récompensé par un trois points au buzzer de la possession mais après verification la balle est partie après la sonnerie (50-49). Derrière une Astroballe qui monte en température, les joueurs de Zvezdan Mitrovic mettent la pression aux Valenciens avec notamment deux contres de Demarcus Nelson et Eric Buckner, et avec en cerise sur le gâteau un deux points plus la faute au buzzer de Mantas Kalnietis. L’ASVEL mène de six points (60-54) après 30 minutes.\\n\\nDe retour sur le terrain, les Villeurbannais commencent par une grosse défense conclue par une interception de David Lighty qui s’envole lâcher toute sa rage avec un gros dunk en contre-attaque (62-54). Derrière, l’ancien Nanterrien provoque une nouvelle perte de balle de Valence, le temps passé sur le banc lui a fait du bien visiblement. Malheureusement pour lui, il écope d’une nouvelle faute, sa quatrième à un peu moins de neuf minutes du terme, et retourne sur le banc en vue de la fin du match. Huit points devant, l’ASVEL grille des jokers et voit remonter petit à petit son adversaire. Après cinq minutes, l’ASVEL ne mène plus que 62-60. Avant un trois points d’AJ Slaughter qui réveille l’Astroballe et son équipe par la même occasion (67-60). Les trois dernières minutes sont irrespirables et l’ASVEL n’est que quatre points devant à 43 secondes du buzzer final. A.J. Slaughter intercepte la remise en jeu espagnole et il ne reste plus que 36 secondes avant que l’ASVEL tienne son énorme victoire. Balle ASVEL. Sur la ligne des lancers, le numéro 23 de la formation Villeurbannaise, David Lighty. Un sur deux et les Lyonnais ont deux possessions d’avance. Louis Labeyrie réduit la marque de l’autre côté (70-67). Vient le tour du patron de l’ASVEL, Mantas Kalinetis de s’adonner au jeu des lancers francs grâce à une faute antisportive des Valenciens. L’ancien joueur du Zalgiris Kaunas tremble sur la ligne et manque ses deux tirs, mais la balle reste dans les mains de l’ASVEL. De retour sur la ligne de réparation, David Lighty fait honneur à son numéro et offre cinq points d’avance à son équipe (72-69). Louis Labeyrie marque une nouvelle fois mais Demarcus Nelson marque un nouveau lancer franc (73-69). Plus que trois petites secondes à jouer. Victoire de l’ASVEL !\\n\\nPhoto : Infinity Nine Media"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : le Final Four 2019 (déjà) à guichets fermés !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que tous les tickets disponibles au public ont été mis en vente ce mardi 6 novembre à 12 heures, il a fallu attendre moins de quatre heures pour qu’ils soient tous vendus.\\n\\nLa Fernando Buesa Arena de Vitoria, qui a une capacité de plus de 15 000 places, sera pleine à craquer du 17 au 19 mai prochain pour accueillir les quatre meilleures équipes de la saison d’Euroleague qui se disputeront le titre suprême. Qui succèdera au Real Madrid, sacré à Belgrade en mai dernier ?\\n\\nL’Euroleague annonce que les places ont été principalement vendues à des fans venant naturellement d’Espagne, puis de Grèce, de Turquie, d’Israël et (surprise?) de France alors qu’aucun club de Jeep Elite n’aura la possibilité d’y participer."
}, 
{"role": "user",     "content":"Philippines : tout va bien pour Romeo Travis (ex Le Mans) qui a signé son premier triple-double en carrière"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion de France en titre avec Le Mans, Romeo Travis (2,01m, 33 ans) fait aujourd’hui les beaux jours de sa nouvelle équipe des Magnolia Hotshots, aux Philippines.\\n\\nDans la victoire de son équipe (103-99 contre les Blackwater Elite), l’ancien Manceau était au four et au moulin avec 18 points, 20 rebonds et 12 passes décisives. Aux Philippines, Romeo Travis compile en moyenne 22,7 points, 15 rebonds et 4,3 passes décisives après onze matchs.\\n\\n\\n\\n\\n.@RomeTrav led the @MagnoliaHShots' 🐔 attack to eliminate the @BWEliteForce in the quarterfinals of the 2018 PBA Governors' Cup, registering his first PBA triple-double of 18 points, 20 rebounds, and 12 assists! 💪#PBAonESPN5 #PBALaroMoTo pic.twitter.com/043Zxc2NxJ\\n\\n\\n— One Sports (@OneSportsPHL) November 6, 2018\\n\\nPhoto :Magnolia Hotshots"
}, 
{"role": "user",     "content":"Joffrey Lauvergne de retour en Equipe de France : «Joker, on verra»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Depuis l’Eurobasket 2017, Joffrey Lauvergne (2,11m, 27 ans) n’a plus porté le maillot de l’Equipe de France et, selon ses dires, son retour en Bleu n’est pas gravé dans le marbre.\\n\\nDe retour en Europe cette saison au Fenerbahce après avoir passé trois ans en NBA, l’ancien joueur du Partizan Belgrade a été interrogé par les journalistes de Buzzer, sur RMC Sport. S’il devrait pouvoir être disponible au moins pour la Coupe du Monde 2019, le natif de Mulhouse ne sait pas s’il fera son retour en Equipe de France un jour.\\n\\n« Je ne sais pas, on verra. Je ne sais pas. Chaque personne réagit différemment et je pense que des fois c’est mieux de ne rien dire plutôt que de ne pas dire ce qu’on pense. Ou au moins, si on ne peut pas dire ce qu’on pense, il vaut mieux rien dire. Je ne suis pas quelqu’un qui ment, je ne suis pas quelqu’un qui parle mal des choses sauf quand vraiment c’est trop et c’est arrivé une fois dans ma carrière, c’était à Chalon. On verra la suite. »\\n\\nEt à la question « si on t’appelle, tu viens? », le pivot stambouliote a préféré passer son tour.\\n\\n« Joker, on verra. »\\n\\nCette saison, Joffrey Lauvergne compile en moyenne 7,8 points et 5,1 rebonds entre l’Euroleague et le championnat turc.\\n\\n\\n\\n\\nJoffrey Lauvergne reviendra-t-il en équipe de France ? 🏀\\n\\n\\n\\Joker, on verra\\ 😬 pic.twitter.com/ASMduRP6LW\\n\\n\\n— RMC Sport Basket (@RMCSportBasket) November 5, 2018\\n\\nPhoto : Fenerbahce"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : les deux Islandais de Denain vont quitter le club, Akeem Williams arrive en renfort"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le mal du pays a donc eu raison des deux Islandais de Denain, Elvar Fridriksson (1,83m, 23 ans) et Kris Acox (1,98m, 25 ans) qui vont quitter le club.\\n\\nSi le premier n’a pas forcément répondu aux attentes du club avec une timide évaluation de 5,5 en plus de ne pas se sentir dans les meilleures conditions dans le Nord de la France, le deuxième se sentait, lui, mal à Denain, en plus d’être blessé. Acox a déclaré au site islandais MBL ne pas être heureux à Denain, une ville « où il y a peu de choses à faire et où personne ne parle anglais », en plus de s’être tordu la cheville deux fois en quatre semaines.\\n\\nPour le meneur de jeu international, ce départ est plus compliqué. Il souhaitait terminer la saison en France, a-t-il indiqué au même site internet.\\n\\n« C’est un pas en arrière. J’avais prévu de rester ici cette saison, bien que la ville dans laquelle nous vivions et les conditions n’étaient pas les plus agréables. J’allais finir la saison, mais le club veut faire des changements, alors je dois trouver un autre endroit. »\\n\\nDepuis le début de saison, Elvar Fridriksson et Kristofer Acox compilent respectivement 7,3 points et 4,7 rebonds, et 5,5 points et 3,8 passes décisives en Pro B.\\n\\nPour pallier ces départs, l’AS Denain a réagi rapidement en engageant le meneur Akeem Williams. Sur son site, le club nordiste annonce l’arrivée de l’ancien joueur de Charleville-Mézières. Il était sans club depuis le début de la saison et il était à Aix-Maurienne l’année dernière. Williams a également vécu une expérience en Jeep Elite en passant l’exercice 2016/17 à Hyères-Toulon.\\n\\nPhoto : Pascal Thurotte/ASCDVPH"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : votez pour le joueur du mois d’octobre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Justin Robinson, Ali Traoré ou Devin Ebanks. Lequel de ces trois joueurs-là sera élu joueur du mois d’octobre en Jeep Elite ? Pour voter, il faut se rendre ici et commenter le post de la LNB avec l’emoji associé au joueur que vous souhaitez soutenir.\\n\\nSur le mois d’octobre, ces trois joueurs ont été irrésistibles avec des évaluations par match comprises entre 19 et 22.\\n\\nLe micro meneur de l’Elan Chalon, Justin Robinson (1,73m), fait sensation depuis le début de saison. La nouvelle trouvaille de Jean-Denys Choulet fait oublier la saison 2017/18 cauchemardesque du club bourguignon. En octobre, l’ancien joueur du Saratov a compilé 18,1 points, 8,4 passes et 3,4 rebonds pour une évaluation 22,1 d’évaluation. Il est le meilleur passeur et la deuxième évaluation du championnat.\\n\\nQue dire d’Ali Traoré ? Sans club en début de saison et arrivé en renfort à Strasbourg en tant que pigiste médical de Youssoupha Fall, l’ancien joueur de Monaco vient déjà d’être récompensé pour son début de saison flamboyant en étant prolongé d’un an et demi par la SIG. Sur le mois écoulé, « Bomayé » a tourné à 16,5 points, 5,1 rebonds et 1,6 passe pour 19,1 d’évaluation.\\n\\nPassé par la NBA et les Los Angeles Lakers, Devin Ebanks confirme les espoirs qui ont été placés en lui par Châlons-Reims. En Italie la saison dernière, il est tout simplement le meilleur scoreur du championnat pouvant marquer d’à peu près partout sur un parquet que ce soit à trois points ou dans la raquette. En octobre, le New-yorkais a cumulé 22,1 points, 8,3 rebonds et 1,4 passe pour une évaluation de 21.\\n\\nhttps://www.facebook.com/LNBOfficiel/videos/307419776757661/"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : les tickets pour le Final Four sont en vente"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la présente réservée aux supporters de Vitoria, où se déroulera le prochain Final Four d’Euroleague, la billetterie officielle est ouverte.\\n\\nPlusieurs packages sont disponibles dont les prix varient de 185 à 535 euros pour chaque match. La Fernando Buesa Arena, qui accueillera ce Final Four, peut recevoir plus de 15 000 spectateurs en configuration basket. Elle fait partie des plus belles salles d’Europe.\\n\\nLa billetterie est à retrouver ici.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo – Migna Touré, championne d’Europe 3×3, joueuse de Basket Landes et prof"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Championne d’Europe 3×3 cet été et MVP de la compétition, championne d’Europe U18 et U20 en 5×5, joueuse de Basket Landes, Migna Touré (1,83m, 23 ans) est également titulaire du CAPES et professeur stagiaire. Elle raconte dans cette vidéo sa double vie.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg bientôt à pleine puissance"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec Youssoupha Fall revenu de blessure et qui va bientôt tourner à plein régime et l’ailier américain Jarell Eddie en bonus, la SIG Strasbourg est plus que jamais un cacique de la Jeep Elite. Dans une semaine, la venue au Rhénus de Villeurbanne aura valeur de test ultime.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe club avait demandé au public de lui réserver une ovation. Présenté comme un champion de France en titre, Youssoupha Fall a eu droit à un mélange d’applaudissements et de huées. Une partie des Manceaux ne lui pardonne pas d’être membre pour un an des Sigmen via l’achat de ses droits par Vitoria.\\n\\n« Je n’appréhendais pas mais c’est un match spécial pour moi puisqu’on m’a formé ici, tout a commencé ici. C’est un peu normal. Mais je l’ai pris comme tous les autres matches. Le Mans, c’est une équipe difficile à jouer surtout ici à Antarès. Je pense que c’est une minorité, » a commenté le géant à propos de ses détracteurs. « Ce n’est pas un problème. Il y a aussi beaucoup de gens qui me soutiennent et moi je retiens ça. Les gens qui sifflent, ils n’ont pas tout compris. »\\n\\nDe fait, le Franco-Sénégalais n’a fait que profiter de la loi du marché et d’une belle opportunité, lui qui n’était qu’à 60 000 euros au MSB la saison dernière. Son retour à Antarès et son face à face avec Richard Hendrix, pivot côté en Europe mais en-dessous de ses standards depuis son arrivée au Mans, était forcément très attendu. Hendrix, qui lui rend quinze bons centimètres mais qui compense en partie ce handicap avec des bras de pieuvre. Hendrix qui marquait les cinq premiers points de son équipe mais à qui Fall piquait ensuite un rebond offensif des mains, tout là-haut dans les nuages... et qui ainsi se faisait siffler par certains de ses anciens supporters à la mémoire courte.\\n\\nRichard Hendrix a en quelque sorte lâché tout son venin dans les premiers échanges avant de s’éteindre rapidement. Le coach Eric Bartecheky ne lui a confié que 17 minutes de jeu et il en fait un usage pas spécialement rentable : 7 points et 5 rebonds. Youssoupha Fall a fait beaucoup mieux : 13 points à 6/7 aux tirs, 13 rebonds, et une présence dans la peinture toujours aussi dissuasive que n’exprime pas le seul contre comptabilisé.\\n\\n« Je ne me suis pas trop concentré sur mettre les paniers mais plus comme comment défendre, comment gagner le match. C’est plus efficace. J’ai essayé d’aider l’équipe au mieux pour gagner ce match. »\\n\\nQuestionné sur son ancien équipier, Petr Cornelie, ne pouvait que lui envoyer des fleurs :\\n\\n« A partir du moment où il a la balle dans la raquette, c’est très compliqué de le gérer. Il n’a pas fait un match de fou mais il met 13 points, 13 rebonds. On voit son impact. Et puis défensivement, ça fait la différence quand il y a un grand comme ça dans la raquette. Il est dans le même registre que les saisons passées et je dirai qu’il monte en puissance. »\\n\\nIl ne faut pas oublier que Youssoupha Fall revient d’une blessure au genou datant du déplacement au Portel, qui aurait pu lui coûter très cher.\\n\\n« Je ne suis pas encore à 100%. Quand je me suis blessé, j’ai compensé avec ma jambe droite et j’ai joué avec une tendinite ce soir. J’ai fait avec. Je ne suis pas à 100% mais ça va venir avec le temps. »\\n\\nCelui qui résume le mieux le match du néo-Strasbourgeois, c’est le professeur Vincent Collet :\\n\\n« Je pense qu’il a été très sérieux. On avait parlé ce matin du côté émotionnel qui s’est senti sur ses premiers lancers-francs (NDLR : il a raté les deux premiers puis en a mis un sur deux en deuxième mi-temps avec un geste devenu beaucoup plus académique). « Mais par contre, il a eu un impact très important en première mi-temps dans le domaine du rebond. Il a confisqué tous les rebonds alors qu’il sortait d’un mauvais match à Klaipeda dans ce domaine-là. Il en avait pris que deux. Là, il a vraiment dominé sous le cercle et il a attendu son heure. En attaque, il en n’a pas trop fait mais le peu qu’il a eu, il l’a bien utilisé. A mon sens notre paire d’intérieurs a été ce soir la clé du match avec le petit (Ludovic Beyhurst) qui fait son travail de sape sur le meneur adverse. »\\n\\nUne défense coffre-fort\\n\\nSans doute que Le Mans était bon à prendre samedi soir. Cameron Clark et Terrence Tarpey, revenus de longues indisponibilités -un an pour le premier, six mois pour le second- sont toujours en convalescence. Juice Thompson traverse une crise de confiance qui s’éternise et qui rend son adresse à longue distance pathétique (16/69 à trois-points au total de la Jeep Elite et de la Champions League). Le profil de l’ailier Demetrius Conger ne sied pas au coach Eric Bartecheky. La blessure à l’adducteur d’Antoine Eito, jusque là à son meilleur, a fini de déstabiliser le jeu extérieur en attendant le renfort du Belge Jonathan Tabu pour la semaine à venir.\\n\\nSamedi, Juice Thompson a passé 38 minutes sur le parquet d’Antarès, le coach ne voulant pas accorder plus de deux minutes de relai à l’ancien strasbourgeois Louis Rucklin, sans expérience. Le meneur américain fut une fois de plus l’ombre du meilleur marqueur de la Pro A 2016. Il en a tout spécialement bavé lorsque Ludovic Beyhurst et ses jambes de feu se sont occupés de son cas. Une suite de séquences marquantes : lorsqu’après avoir scoré à trois points, le lutin se saisit d’un rebond offensif, puis récupéra un ballon pour le transmettre à un équiper d’une passe dans le dos. Ça non, le trublion n’est pas impressionné par les peupliers qui boisent les terrains de basket.\\n\\nDans le deuxième quart-temps, Le Mans se retrouva en panne sèche et sur les six points à son actif durant la période, un seul panier, celui de Will Yeguete à la 18e minute pour 12 hors de la cible.\\n\\n« Pendant 35 minutes, on était plutôt en place en particulier défensivement, » euphémisa Vincent Collet. « On avait pris 51 points seulement sur les 35 premières minutes avant d’en prendre 20 dans les 5 dernières. Mais il y a la satisfaction d’avoir gagné dans un endroit difficile et puis surtout la méthode. Les joueurs se sont investis dans le travail défensif. On voulait faire un gros travail de sape sur Thompson et entourer beaucoup Cameron Clark et gêner les tireurs. Pendant très longtemps on l’a plutôt bien fait à l’image de Beyhurst qui a fait un match défensif de haut vol sur Thompson à tel point qu’il a même loupé un lancer-franc à un moment donné car tu sentais qu’il était cramé. »\\n\\nOffensivement, on avait vu aussi de belles choses comme la main gauche magique d’Ali Traoré (10 points en première mi-temps), les percées de l’athlétique Quentin Serron, quelques paniers assassins du meneur Mike Green.\\n\\n« Offensivement, on a pu s’appuyer sur un Ali (Traoré) très inspiré à nouveau », confirmait Vincent Collet. « Dès qu’il est rentré il a scoré et ça nous a permis de faire un premier écart. Et puis aussi en première mi-temps Quentin (Serron) était très à son aise. Jérémy (Nzeulie) a pris un bon relai en deuxième mi-temps avant que Mardy Collins à la fin mette des paniers importants. »\\n\\nCinq minutes de frayeurs\\n\\nCe qui fut moins joli à voir fut le coupable relâchement des Alsaciens car la SIG ne sut pas conserver son imposant avantage de dix-neuf points (46-27). Elle faillit même tout perdre en cinq minutes. Le Mans revint à 56-66 à 4’25 de la fin puis à 66-70 à 1’33 alors que le dynamique Will Yeguete groggy par un coup au menton dû sortir du terrain. C’est le géant Youssoupha Fall qui profitant à fond de sa taille enleva une épine du pied à son équipe avant que Juice Thompson rate une tentative à trois-points de plus. Terminé ? Pas tout à fait. Jérémy Nzeulie manqua deux lancers. Cameron Clark frappa coup sur coup, à trois-points tout d’abord avant de ramener le MSB à 71-73 en trouvant la cible dans un angle réduit. L’Américain allait-il refaire le même coup que face à Gravelines ? Pas cette fois. Mike Green, lui, ne trembla pas sur la ligne donnant une victoire méritée à son équipe (75-71).\\n\\n« Il y avait vraiment deux visages. Les 35 premières minutes on a globalement fait ce que l’on souhaitait faire. Et les 5 dernières, par manque de sérieux, l’effort du Mans aussi qu’il ne faut pas sous-estimer, une équipe qui joue son va-tout, qui prend des risques et qui a eu de la réussite à ce moment-là. On a des choses à se reprocher. Quand il (Eric Bartecheky) prend un temps-mort à quatre minutes, c’est le troisième, on leur dit « ils vont tenter quelque chose » car quand tu le prends aussi loin c’est que tu joues ton va-tout. Tu en n’as plus après, tu es obligé de donner tes dernières consignes. On a prévenu, sans savoir ce qui allait exactement venir. Ils ont fait trap sur les picks. On a redemandé temps-mort tout de suite. Notre meneur était un peu trop tranquille car il a perdu des ballons. Ça a alimenté le retour du Mans. On aurait pu s’éviter les frayeurs des quarante dernières secondes. Jusqu’à +6 à 29 secondes... Les deux lancers ratés, on laisse tirer à trois-points plutôt facile, c’était bien ouvert en face des poteaux. Tout ça ce sont des choses qu’il faut éviter de faire. Mais ça ne remet pas en cause ce qui a été fait auparavant. »\\n\\nVoici aujourd’hui Le Mans et Strasbourg sur la même ligne avec 5 victoires et 3 défaites.\\n\\n« C’était un mini-tournant car on était à une victoire du Mans et il fallait que l’on gagne avant de jouer l’ASVEL samedi. C’était important pour nous, » lâchait Youssoupha Fall.\\n\\nDeux rendez-vous d’importance\\n\\nLa SIG va recevoir samedi en fin d’après-midi l’ASVEL. Un match entre deux équipes très ambitieuses. Strasbourg peut l’être maintenant qu’elle a récupéré son géant franco-sénégalais qui bouleverse la physionomie de la Jeep Elite comme le nez de Cléopâtre a changé l’Histoire de l’Antiquité. Elle a aussi apporté avec la signature de l’ailier américain Jarell Eddie la dernière pièce à son effectif. Mais en attendant ce rendez-vous, les Alsaciens en ont un autre tout aussi important face aux Grecs du Promithéas Patras en Champions League. Ils en sont actuellement à un bon bilan de 3 victoires et 1 défaite qui ne demande qu’à être consolidé.\\n\\n« On va se projeter sur le match de Patras qui est invaincu en BCL », indique Vincent Collet. « Pour nous c’est important car on s’est déplacé trois fois sur quatre en BCL. On a perdu à Klaipeda mais il faut savoir qu’ils ont battu Kaunas il y a quinze jours, à Kaunas, de quinze points. Et ce soir ils ont battu rytas Vilnius, à Vilnius, de douze. Même si on était déçu d’avoir perdu à Klaipeda, c’est une très bonne équipe. Par contre, en BCL, il faut que l’on gagne à la maison. C’est pourquoi le match de Patras est très important. La BCL c’est intéressant. On voit d’autres baskets. Le basket lituanien, même à scouter, c’est du régal. Le match Kaunas-Klaipeda, c’est vraiment sympa. On sait comme tout le monde que Villeurbanne est très fort et qu’en ce début de saison, c’est l’équipe qui domine, » a-t-il enchaîné. « Ce qui est intéressant dans ce que l’on a fait ce soir c’est la prestation défensive sur une trentaine de minutes. C’est le minima pour espérer quelque chose contre Villeurbanne. Il faut le faire quarante. Il faut produire le même type d’effort qu’eux produisent. Et en plus il faut être bon en attaque. En championnat de France, ce qui frappe c’est la façon dont ils essorent l’adversaire par la pression défensive incessante. Ils ont beaucoup de qualités, de joueurs qui peuvent poster, en particulier les extérieurs comme (David) Lighty, (Charles) Kahudi ou (DeMarcus) Nelson. Sans parler des intérieurs, bien entendu. Mais pour moi leur grande domination provient de cette qualité défensive qui est largement au-dessus du niveau moyen de notre championnat. Si tu veux pouvoir résister un peu, il faut faire des efforts supplémentaires. On va essayer de monter en puissance. Le fait de recevoir une équipe de ce niveau-là, c’est souvent très motivant. On essaiera d’être à la hauteur. »\\n\\nOn le répète, avec Youssoupha Fall, Strasbourg l’est, à la hauteur. Et ce n’est pas qu’un jeu de mots.\\n\\n[armelse]\\n\\nLe club avait demandé au public de lui réserver une ovation. Présenté comme un champion de France, Youssoupha Fall a eu droit à un mélange d’applaudissements et de huées. Une partie des Manceaux ne lui pardonne pas d’être membre pour un an des Sigmen via l’achat de ses droits par Vitoria.\\n\\n« Je n’appréhendais pas mais c’est un match spécial pour moi puisqu’on m’a formé ici, tout a commencé ici. C’est un peu normal. Mais je l’ai pris comme tous les autres matches. Le Mans, c’est une équipe difficile à jouer surtout ici à Antarès. Je pense que c’est une minorité, » a commenté le géant à propos de ses détracteurs. « Ce n’est pas un problème. Il y a aussi beaucoup de gens qui me soutiennent et moi je retiens ça. Les gens qui sifflent, ils n’ont pas tout compris. »\\n\\nDe fait, le Franco-Sénégalais n’a fait que profiter de la loi du marché et d’une belle opportunité, lui qui n’était qu’à 60 000 euros au MSB la saison dernière. Son retour à Antarès et son face à face avec Richard Hendrix, pivot côté en Europe mais en-dessous de ses standards depuis son arrivée au Mans, était forcément très attendu. Hendrix, qui lui rend quinze bons centimètres mais qui compense en partie ce handicap avec des bras de pieuvre. Hendrix qui marquait les cinq premiers points de son équipe mais à qui Fall piquait ensuite un rebond offensif des mains, tout là-haut dans les nuages... et qui ainsi se faisait siffler par certains de ses anciens supporters à la mémoire courte.\\n\\nRichard Hendrix a en quelque sorte lâché tout son venin dans les premiers échanges avant de s’éteindre rapidement.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Youssoupha Fall, Quentin Serron et Ludovic Beyhurst (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Portel-Chalon: Quand les deux coaches grognent contre les arbitres"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un Chaudron en ébullition de la première à la 45e minute, l’affrontement entre l’ESSM Le Portel et l’Elan Chalon a donné lieu à un match engagé et à de multiples rebondissements. Une prolongation a été nécessaire pour que la victoire aille aux Bourguignons, 85-82.\\n\\nLe petit meneur américain de l’Elan Justin Robinson (19 points, 11 passes) a été le grand homme du match variant passes au cordeau et paniers dans des positions acrobatiques. Mais Eric Girard, le coach de l’ESSM a estimé en conférence de presse qu’il est « protégé par les arbitres avec des décisions inadmissibles » n’admettant pas qu’il ait pu bénéficier de 8 fautes provoquées alors que Benoît Mangin en a récolté 5, et que celui-ci mérite « davantage de respect et de considération ».\\n\\nBien que victorieux, le coach de l’Elan, Jean-Denys Choulet, était lui aussi en colère. Avec deux fautes techniques, il s’est fait expulser. Mais cela eu le don de réveiller ses joueurs qui menés un temps de 14 points ont alors entamé une remontée victorieuse.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Elite: Antibes à la recherche d’un nouveau meneur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Toujours à sec après huit journées, les Sharks d’Antibes vont pouvoir désormais bénéficier des services du pivot américano-nigérian Chris Otule (2,11m, 28 ans) qui leur avait fait tant de bien lors de la saison 2016-17. Ce n’est pas tout, le club azuréen est à la recherche d’un meneur avec Louis Campbell sérieusement blessé à la cuisse.\\n\\n« On a besoin d’un détonateur... On a une enveloppe qui peut nous permettre de trouver ce joueur », indique le coach Julien Espinosa dans les colonnes de Nice Matin.\\n\\nJulien Espinosa est sur trois joueurs dont deux connaissent déjà le championnat de France mais veut se prémunir contre le risque de blessures cachées."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Andrew Albicy fait chuter le Real !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le contingent français ne faiblit pas sur le Vieux Continent. Fort de vingt-trois joueurs (à l’heure de ces lignes) répartis sur dix pays, les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment neuf joueurs dans le championnat espagnol, la référence.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nAndorre tape le Real !\\n\\nAndorre aime se frotter au Real Madrid. Comme en février dernier, l’équipe de la petite principauté pyrénéenne a fait tomber l’ogre madrilène (107-105). Avec 7 joueurs en double figure, dont 17 points pour Dylan Ennis qui a inscrit le layup de la gagne, Andorre a bien résisté aux 32 points de Jaycee Carroll.\\n\\nAndrew Albicy (14 points, 9 passes) a commencé son match tambour battant avec un rutilant 4/4 à trois points. Bien frustré à sa sortie pour 5 fautes en dernier quart, il a néanmoins pu exulter au coup de sifflet final après une résistance héroïque face aux derniers coups de boutoir de Felipe Reyes et Sergio Llull ! Fabien Causeur finit à 7 points dans ce premier revers royal.\\n\\n\\nVincent Poirier s’impose contre Louis Labeyrie\\n\\nPar ailleurs, mais toujours en Espagne, Thomas Heurtel (16 points, 4 passes) a été bon pour Barcelone. Mais son équipe a dû s’incliner pour la première fois de la saison contre Fuenlabrada (79-73). Défaite également pour Valence dans un duel franco-français (et feu francilien) entre Louis Labeyrie (3 points, 8 rebonds, 3 passes) et son copain Vincent Poirier (8 points, 3 rebonds). Si ce dernier remporte donc le match, le premier se consolera avec sa meilleure évaluation en carrière (13). Et ce gif malicieux...\\n\\n\\n\\n\\nTRIPLEEEEEEEEEE @Louis_Labeyrie\\n\\n\\n¡Recuperamos y anota Vives!\\n\\n\\n🏆 J7 #LigaEndesa@Baskonia 23\\n🆚 @valenciabasket 20 pic.twitter.com/q4Pe4OtU7l\\n\\n\\n— Valencia Basket Club (@valenciabasket) November 4, 2018\\n\\n\\nLe Fener s’en sort en prolongation face à l’Efes\\n\\nBattu en Euroleague par l’Efes Istanbul lors de la 4e journée, le Fenerbahçe a obtenu sa revanche hier soir en championnat (86-79 après prolongation). Jan Vesely a finalement eu le meilleur du rival stambouliote mais il a dû batailler face à un Adrien Moerman des grands soirs : 18 points et 12 rebonds. Il inscrira un trois points pour revenir tout près dans la dernière minute, mais en prolongation, l’Efes a craqué. Alors que Joffrey Lauvergne n’a pas vu le terrain, Rodrigue Beaubois termine lui à 12 points, 4 passes dans cette défaite d’un rien.\\n\\n\\nDuel franco-français en Serbie\\n\\nMalgré un match de mammouth de Goga Bitadze (28 points à 10/10 à deux points, 11 rebonds, 4 contres pour 43 d’évaluation !), Mega a dû s’incliner face au Partizan Belgrade (81-74). Bandja Sy (12 points en 17 minutes) et sa bande sont venus s’imposer à l’extérieur avec un bon passage en dernier quart de l’ailier français. En face, Adam Mokoka (9 points, 4 passes, 3 rebonds) n’a pas démérité mais il a beaucoup dérapé avec 3/12 aux tirs.\\n\\nIl était le dernier en piste ce weekend mais Edwin Jackson (11 points en 22 minutes) n’a pas manqué son match face à Ljubljana (85-69). Malheureux en Euroleague, le Buducnost s’est donc refait une petite santé en Ligue Adriatique au moins.\\n\\n\\nNando De Colo se rebiffe\\n\\nAprès son premier match en carrière à 0 pointé en Euroleague cette semaine, Nando De Colo a remis les choses au clair en VTB League. L’arrière français du CSKA Moscou a signé un match à 19 points, 5 passes pour rebondir rapidement. De Colo a même profité de cette large victoire pour inscrire son premier dunk de la saison.\\n\\nEnfin, tout roule pour Aaron Cel en Pologne qui a signé un super match à 17 points, 7 rebonds et 4 passes. Son club de Torun est encore invaincu après 5 journées, tout comme Zielona Gora.\\n\\n\\nEspagne\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 16 points (4/9 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds, 1 balle perdue en 31 minutes (défaite 79-73 face à Fuenlabrada)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 14 points (4/9 aux tirs), 9 passes, 4 rebonds, 1 balle perdue en 23 minutes (victoire 107-105 face au Real Madrid)\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 8 points (4/5 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception en 22 minutes (victoire 77-56 face à Valence)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 7 points (3/5 aux tirs), 1 rebond, 1 passe en 15 minutes (défaite 107-105 face à Andorre)\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 6 points (3/7 aux tirs), 4 rebonds en 13 minutes (défaite 79-73 face à Fuenlabrada)\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 5 points (2/4 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 1 interception, 2 balles perdues en 26 minutes (défaite 88-79 face à Burgos)\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 5 points (2/4 aux tirs), 2 rebonds, 1 contre, 1 balle perdue en 15 minutes (défaite 86-79 face à Manresa)\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 3 points (1/3 aux tirs), 8 rebonds, 3 passes, 2 interceptions, 1 balle perdue en 18 minutes (défaite 77-56 face à Vitoria)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué\\n\\n\\nGrèce\\n\\nBoris Dallo (Salonique) : pas de match\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : pas de match\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) :\\n\\n– 9 points (3/5 aux tirs), 4 passes, 3 rebonds, 2 interceptions, 2 contres, 3 balles perdues en 32 minutes (victoire 81-75 face à Herzliya)\\n– 0 point (0/1 à trois points), 2 rebonds, 2 passes, 2 balles perdues en 17 minutes (victoire 75-72 face au Maccabi Rishon)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Bologne) : 8 points (3/10 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe en 28 minutes (défaite 94-75 face à Venise)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 8 points (3/6 aux tirs), 3 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 18 minutes (victoire 93-68 face à Siaulai)\\n\\n\\nMonténégro\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 11 points (3/5 aux tirs), 2 passes, 1 balle perdue en 22 minutes (victoire 85-69 face à Ljubljana)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : 17 points (7/13 aux tirs), 7 rebonds, 4 passes en 22 minutes (victoire 92-56 face à Radom)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 19 points (7/10 aux tirs), 5 passes, 3 rebonds, 3 balles perdues en 19 minutes (victoire 110-76 face à Avtodor)\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : n’a pas joué (défaite 85-80 face à Kalev)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 12 points (4/6 aux tirs), 2 rebonds, 2 balles perdues en 17 minutes (victoire 81-74 face à Mega)\\n\\nAdam Mokoka (Mega) : 9 points (3/12 aux tirs), 4 passes, 3 rebonds, 1 interception, 3 balles perdues en 19 minutes (défaite 81-74 face au Partizan)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : 18 points (7/14 aux tirs), 12 rebonds, 1 interception, 1 contre, 3 balles perdues en 41 minutes (défaite 86-79 ap face au Fenerbahçe)\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : 12 points (5/15 aux tirs), 4 passes, 1 rebond, 1 interception, 3 balles perdues en 34 minutes (défaite 86-79 ap face au Fenerbahçe)\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : n’a pas joué (victoire 86-79 ap face à Efes)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Moustapha Fall impeccable\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nAndorre tape le Real !\\n\\nAndorre aime se frotter au Real Madrid. Comme en février dernier, l’équipe de la petite principauté pyrénéenne a fait tomber l’ogre madrilène (107-105). Avec 7 joueurs en double figure, dont 17 points pour Dylan Ennis qui a inscrit le layup de la gagne, Andorre a bien résisté aux 32 points de Jaycee Carroll.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe de France: Des équipes de Jeep Elite entrent en piste ce soir"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Douze matches de 32e de finale de la Coupe de France, Trophée Robert Busnel, sont au programme ce soir avec les équipes de Jeep Elite qui n’ont pas participé aux playoffs 2018. Mardi ce tiendra le seul choc entre équipes équipes de Jeep Elite, Chalon-Bourg. A noter par ailleurs la présence de Oullins Ste Foy, le dernier club de NM2 encore en course.\\n\\nMatches à suivre en livestats sur live.ffbb.com\\n\\nMardi 6 novembre à 20h00\\nOrchies (NM1) – Nancy (Pro B)\\nGries Oberhoffen (Pro B) – Denain (Pro B)\\nSouffelweyersheim (NM1) – Gravelines-Dunkerque (Jeep Elite)\\nBoulogne (NM1) – Châlons-Reims (Jeep Elite)\\nAix-Maurienne (Pro B) – Roanne (Pro B)\\nSaint Chamond (Pro B) – Antibes (Jeep Elite)\\nOrléans (Pro B) – Boulazac (Jeep Elite)\\nTours (NM1) – Poitiers (Pro B)\\nRouen (Pro B) – Cholet (Jeep Elite)\\nQuimper (Pro B) – Levallois (Jeep Elite)\\n\\nMardi 6 novembre à 20h30\\nBordeaux (NM1) – Blois (Pro B)\\nChallans (NM1) – Evreux (Pro B)\\n\\nMercredi 7 novembre à 20h00\\nLille (Pro B) – Le Portel (Jeep Elite)\\nOullins Ste Foy (NM2) – Vichy-Clermont (Pro B)\\nSorgues (NM1) – Fos (Jeep Elite)\\nToulouse (NM1) – Pau-Lacq-Orthez (Jeep Elite)\\nLorient (NM1) – Caen (Pro B)\\n\\nMardi 13 novembre à 20h00\\nChalon-sur-Saône (Jeep Elite) – Bourg-en-Bresse (Jeep Elite)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Manuel Diaz dément le remplacement de Kyle Milling par JD Jackson: «Cela s’appelle une erreur. Ca fait du dégât, surtout à Limoges»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur le plateau de Buzzer et en présence de Frédéric Weis qui avait tweeté l’information au conditionnel, le conseiller au président du Limoges CSP, Manuel Diaz, a affirmé qu’il n’y a pas de contact avec JD Jackson pour remplacer l’actuel coach Kyle Milling.\\n\\n« C’est un démenti total. Youri Vérieras n’a pas rencontré JD Jackson. L’agent de JD Jackson (Pedja Materic) l’a confirmé. On pourrait appeler JD Jackson qui le confirmerait lui-même qu’il n’est pas venu à Limoges, etc. Cela s’appelle une erreur. Ca peut arriver. Ca fait du dégât, surtout à Limoges (...) Je trouve que c’est particulièrement maladroit en ce moment. Je comprends qu’il y ait une course à l’information permanente. Là, c’est plutôt une désinformation. C’est particulièrement maladroit vis à vis d’un coach qui on le sait tous est dans le dur. Nous-mêmes à Limoges on n’est pas satisfait des résultats en ce moment et ce n’est pas agréable de voir des trucs comme ça sortir du chapeau, qui plus est quand on les a mal vérifiés puisque le club n’a pas été contacté pour vérifier cette information »\\n\\n\\n\\n\\n🚨 Kyle Milling remplacé par JD Jackson ? Manuel Diaz, conseiller du président de @limogescsp, dément l'information dans #Buzzer ! 🏀\\n\\n\\n📺 #RMCSport 2 📺#RMClive #Limoges #CSP #JeepElite pic.twitter.com/64PuQrg6hH\\n\\n\\n— RMC Sport Basket (@RMCSportBasket) November 5, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : le derby Panathinaïkos – Olympiakos à guichets fermés"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Au sommet du basket européen, c’est le derby le plus chaud de Grèce et du continent, le Panathinaïkos face à l’Olympiakos.\\n\\nVendredi 9 novembre à 20 heures, les deux rivaux historiques ont rendez-vous sur le parquet de l’Olympic Indoor Hall dans le cadre de la sixième journée d’Euroleague. Sur Twitter, le Pana a annoncé que sa salle sera pleine à craquer et que plus de 19 000 personnes assisteront à ce gros match.\\n\\nActuellement, les deux clubs sont toujours invaincus dans le championnat grec avec quatre victoires. Ils comptent également le même bilan en Euroleague avec trois victoires et deux défaites.\\n\\n\\n\\n\\n☘️SOLD OUT☘️\\n\\n\\nO #paobc ενημερώνει τους φιλάθλους του ότι εξαντλήθηκαν τα εισιτήρια για την αναμέτρηση της προσεχούς Παρασκευής με αντίπαλο τoν Ολυμπιακό για τη @EuroLeague & αισθάνεται την ανάγκη να τους ευχαριστήσει από καρδιάς για την έμπρακτη πίστη και αφοσίωση στην ομάδα! pic.twitter.com/Kuyr4WbOaY\\n\\n\\n— Panathinaikos BC (@paobcgr) November 5, 2018\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : record en carrière pour Théo Maledon (ASVEL) face à Dijon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si le choc attendu entre le leader de Jeep Elite, l’ASVEL, et son dauphin, Dijon, n’a pas tenu toutes ses promesses avec une large victoire des Villeurbannais, il aura au moins permis à Théo Maledon de montrer encore un peu plus l’étendue de son talent.\\n\\nDans le cinq majeur et utilisé l’équivalent d’un peu plus de trois quart-temps (31 minutes), la pépite villeurbannaise a compilé 16 points, 4 rebonds, 1 passe et 2 interceptions pour une évaluation de 15. Soit ses records aux points et aux rebonds.\\n\\nCette saison, Théo Maledon tourne à 6,6 points, 2,5 rebonds et 1,8 passe décisive pour une évaluation de 7,8.\\n\\nPhoto : LDLC ASVEL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Et si la Catalogne se séparait de l’Espagne ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Depuis quelque temps, la Catalogne réclame son indépendance. Si cela se concrétisait, quel serait l’impact de cette séparation sur les sélections espagnole et catalane de basket ?\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nL’Histoire de l’Espagne n’a jamais été simple, notamment au cours du siècle dernier, avec la terrible guerre civile qui opposa Républicains et troupes fascistes du général Franco (1936-1939). Depuis la mort du dictateur, l’Espagne est redevenue une monarchie constitutionnelle dans laquelle chaque région (Pays basque, Catalogne, Castille, etc.) dispose de nombreuses prérogatives. Ce qui n’empêche pas, depuis plusieurs années, la Catalogne – ou tout du moins une partie non-négligeable de ses habitants – de souhaiter acquérir son indépendance – les Catalans de la péninsule ibérique parlent volontiers de « République indépendante ».\\n\\nUn site consacré au basket-ball tel que BasketEurope n’est évidemment pas là pour disserter sur le pourquoi et le comment de ces velléités, encore moins pour donner un quelconque avis sur la question. En revanche, cette situation ouvre la porte à une amusante (du moins le croyons-nous) gymnastique de l’esprit, qui prend la forme de la question : « Et si la Catalogne prenait son indépendance, quel serait l’impact sur le basket dans la péninsule ? »\\n\\nHormis le fait que la ligue ACB (le championnat national espagnol) se verrait du jour au lendemain amputé d’équipes telles que Malaga, Badalone et, surtout, Barcelone, c’est au niveau des sélections nationales que cette « séparation » aurait le plus d’effets. Mais quels seraient-ils, concrètement ?\\n\\nUne Espagne solide\\n\\nCôté Espagne, donc amputée de tous les joueurs catalans, il n’est pas sûr que la séparation aurait de grandes conséquences sur le niveau de l’équipe nationale. Pour s’en convaincre, il suffit de regarder à quoi ressemblerait une équipe d’Espagne de 12 joueurs :\\n\\nCinq majeur\\n\\nSergio Rodriguez – Sergio Llull – Alex Abrines – Juancho Hernangomez – Willy Hernangomez\\n\\nRemplaçants\\n\\nJuan Calderon – Joan Sastre – Alberto Diaz – Daniel Diez – Fernando San Emeterio – Victor Claver – Felipe Reyes\\n\\nPas mal, non ? Et encore cette sélection n’inclut-elle pas l’un ou l’autre des naturalisés espagnols (un seul possible dans l’équipe) : Nikola Mirotic, Serge Ibaka, Ilmane Diop.\\n\\nMême sans un seul joueur catalan, l’équipe d’Espagne aurait fière allure et pourrait prétendre à la victoire en championnat d’Europe, même si son banc aurait logiquement un peu moins de profondeur que celui de l’équipe « réelle ».\\n\\nLe réservoir catalan\\n\\nEt côté Catalogne ? Un chiffre, pour commencer : actuellement, l’Espagne « unie » compte 48,9 millions d’habitants, dont environ 7 millions en Catalogne. Autrement dit, la Catalogne représente 1/7e de la population totale de l’Espagne. Ce qui a un impact évident sur le réservoir de joueurs susceptibles d’évoluer sous une éventuelle bannière catalane.\\n\\nPour autant, une hypothétique sélection catalane ne manquerait pas d’allure :\\n\\nCinq majeur\\n\\nRicky Rubio – Rudy Fernandez – Pierre Oriola – Pau Gasol – Marc Gasol\\n\\nRemplaçants\\n\\nGuillem Vives – Oriol Pauli – Sergio Vidal – Pau Ribas – Nacho Llovet – Xavi Rabaseda – Albert Oliver\\n\\nLe cinq majeur catalan n’a rien à envier à celui d’une Espagne « non catalane », si ce n’est un peu de jeunesse (Rudy et les frères Gasol ne sont plus des perdreaux de l’année...). Il y a dans ce cinq de quoi faire bien des misères à bon nombre d’équipes nationales. En revanche, il est clair que le banc catalan ne serait pas du même niveau. Et, surtout, qu’il serait plutôt dépourvu à l’intérieur.\\n\\nGlobalement, l’Espagne aurait moins à souffrir, au niveau basket, d’une scission que la Catalogne. Pour autant, cette dernière pourrait proposer un niveau de jeu tout à fait appréciable, supérieur à celui de bien des « vraies » nations.\\n\\nResterait à voir comment ces équipes évolueraient dans les années suivantes, en fonction de la capacité des deux entités à former et « sortir » de nouveaux talents du niveau de Sergio Llull ou des frères Gasol. Et cette question peut se poser même si la Catalogne reste espagnole...\\n\\n[armelse]\\n\\nL’Histoire de l’Espagne n’a jamais été simple, notamment au cours du siècle dernier, avec la terrible guerre civile qui opposa Républicains et troupes fascistes du général Franco (1936-1939). Depuis la mort du dictateur, l’Espagne est redevenue une monarchie constitutionnelle dans laquelle chaque région (Pays basque, Catalogne, Castille, etc.) dispose de nombreuses prérogatives. Ce qui n’empêche pas, depuis plusieurs années, la Catalogne – ou tout du moins une partie non-négligeable de ses habitants – de souhaiter acquérir son indépendance – les Catalans de la péninsule ibérique parlent volontiers de « République indépendante »\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Marc Gasol (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Ali Traoré prolonge jusqu’en juin 2020 !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si l’on pensait voir Ali Traoré (2,08m, 33 ans) prolongé pour le reste de la saison avec la SIG au vu de ses performances flamboyantes, l’ancien Monégasque a finalement re-signé pour le reste de la saison ainsi que pour l’exercice 2019/20.\\n\\nSur son site, la SIG indique que l’ancien international français a pleinement satisfait le staff strasbourgeois et au-delà du point de vue sportif. Passé par l’ASVEL, Le Havre, Limoges, Monaco, Rome ou encore Berlin, le natif d’Abidjan n’est pas parvenu à se poser plus d’un an dans un club depuis Villeurbanne entre 2008 et 2010.\\n\\nCette saison, Ali Traoré compile en moyenne 16,5 points et 5,1 rebonds en Jeep Elite, et 12,7 points et 4,5 rebonds en Champions League. Il s’est exprimé sur sa prolongation.\\n\\n« Je suis très heureux. C’était un pari en début de saison de venir ici en tant que pigiste mais c’est un pari gagnant. Mais il faut être honnête, ce n’était pas non plus un pari très risqué parce que je savais où je mettais les pieds. Pour moi c’est un réel plaisir de resigner ici et jusqu’en 2020 en plus. Pouvoir évoluer devant la SIGArmy, porter les couleurs de ce club et continuer à travailler avec Vincent. Jetzt geht’s los ! »\\n\\nSon entraîneur en Alsace, Vincent Collet a également donné son ressenti.\\n\\n« c’est une excellente chose. On a vu ce qu’il a pu faire depuis le début de saison et en particulier quand Youss’ n’était pas là. Mais même avant il avait fait deux bons matches et il en a encore fait un très bon samedi. La complémentarité entre les deux est vraiment bonne. Le signer en plus pour l’année suivante, c’est l’assurance d’avoir encore un fort pivot. Je trouve que c’est une très bonne nouvelle pour le club. Il s’épanouit dans le jeu comme ça avait déjà été le cas il y a trois ans. Donc je suis très content qu’on ait pu le conserver cette année mais aussi pour la saison prochaine. »\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Jean-Pierre Bouchout: «Les ligues fermées peuvent tuer le sport en Europe»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Jean-Pierre Bouchout est aujourd’hui inspecteur général de la jeunesse et des sports honoraire. Il a notamment passé dix années de sa carrière à la direction des sports au ministère chargé des sports, donc cinq années comme chef du bureau chargé du sport de haut niveau. Aujourd’hui retraité, celui qui a été dans sa jeunesse basketteur à Autun jusqu’en N2 (deuxième division de l’époque) est toujours un observateur rigoureux et expert des évolutions de l’organisation du sport en France et en Europe. Aujourd’hui, il revient pour nous sur la tentation des ligues fermées au plus haut niveau du sport en Europe et les conséquences sur le modèle en place.\\n\\nLes football leaks ont montré ce week-end que clubs les plus puissants de foot ont la tentation de se couper des autres dans une compétition européenne presque fermée, sur invitation, qui ressemble beaucoup à ce que connait le basket avec l’Euroleague. Quels sont les enjeux généraux de ces mouvements sur le sport tel qu’on le connait aujourd’hui ?\\n\\nIl n’y a rien de simple dans le sport aujourd’hui. Mais je trouve qu’il n’y a, actuellement, pas beaucoup de débats sur les choses essentielles. Par exemple, la main mise par des puissances d’argent, des organisations privées qui cherchent le profit, essentiellement, dans le cadre des compétitions fermées, est vraiment une des préoccupations du moment. Il me semble que l’atomisation du sport, alors que celui-ci doit rester global du plus haut niveau jusqu’au sport amateur, et jusqu’au sport santé, est une tendance constatée contre laquelle il faut lutter.\\n\\nLe sport est indissociable de toutes ses composantes (éducatives, compétitives, récréatives). Ceux qui pensent par exemple qu’on ne fait du sport-éducation uniquement à l’école dans le cadre de l’EPS, se trompent. On fait de l’éducation dans les clubs de sports, évidement. Aimé Jacquet, champion du monde de foot en 1998 avec les Bleus l’a toujours dit : je suis d’abord un éducateur. Il n’y a pas de frontière nette entre les différentes composantes du sport. Le mouvement sportif ne sait pas assez le mettre en avant. Personne ne parle véritablement du fond. Les médias s’intéressent beaucoup au sport, mais ils parlent des résultats, du croustillant, je peux le comprendre, mais le fond est essentiel. Et les envies d’élite des clubs, en foot ou basket, oblige à revenir au fond. Face au rouleau compresseur de la dimension économique du sport, il faut en parler.\\n\\nDés le départ, la France était visionnaire dans l’organisation du sport. Une cohérence a été recherchée entre l’éducatif, le loisir et la compétition. Il faut absolument garder une unité de ce trépied du sport. Cela passe par des fédérations délégataires puissantes (l’Etat, par la délégation, confie la gestion monopolistique d’une discipline sportive à une seule fédération) et une action d’accompagnement de l’Etat. Le modèle olympique l’a compris en acceptant les basketteurs « professionnels » en 1992, par exemple, ce qui était interdit avant. Le sport doit être approché de façon globale. Le système français a été organisé sur cet objectif. Est-ce que c’est une utopie aujourd’hui ? On voudrait nous le laisser entendre, parce qu’il y a un business gigantesque autour du sport professionnel, mais je ne pense pas qu’il s’agisse d’une utopie. Le traitement du sport doit rester global.\\n\\nQuel sont les dangers de l’organisation du sport d’élite par des entreprises privées, hors des girons des fédérations ?\\n\\nIl y en a plusieurs. D’abord, il y a la question de la formation. Tous les joueurs professionnels ont d’abord commencé et appris à jouer en étant dans un club en étant amateurs. Avec des entraîneurs, des parents, des bénévoles, une structure où rien ne se fait pour l’argent. Je ne vois pas le sport pro tourner tout seul. En tout cas, pas longtemps. Il va falloir que le secteur privé trouve un modus vivendi avec les centres de formation qui vont alimenter en force de frappe des joueurs pour les grands clubs. Certes, à la rigueur, ça peut se régler en signant des accords avec des clubs formateurs... Mais la formation, la détection, c’est toujours très compliqué. Ça marche au final quand le maillage est très large, avec différents chemins possibles pour arriver au plus haut niveau.\\n\\nL’autre problème, c’est que le jour où les ligues privées seront complètement séparées du reste de l’organisation sportive dont s’occupe les fédérations, que se passera-t-il pour les équipes nationales ? On voit déjà le problème qui existe en basket pour les qualifications à la coupe du monde. Or les équipes nationales, c’est quand même la vitrine des nations et des disciplines, même en football ou en basket. Quand on ne peut pas mettre les meilleurs joueurs en équipe nationale, il y a vraiment un souci. C’est pour ça que le sport doit rester organisé par les fédérations, au niveau international et au niveau national. Une ligue professionnelle dispose d’une grande autonomie mais dépend toujours de sa fédération de référence. Le basket montre que le pouvoir sportif doit être fort pour pouvoir résister au pouvoir économique. Et dans une discipline, on sait que lorsque on touche à l’équipe nationale, c’est toute la mécanique derrière qui est grippée. Que ce soit pour les fédérations, les ligues nationales, les clubs, toute l’organisation du sport...\\n\\nAu-delà de la question des revenus, qu’est-ce qu’implique la fermeture de l’élite de la pyramide d’une discipline, comme en basket ou en foot, par rapport au modèle européen sportif de montée/descente qui permet, sur le papier, à tous les clubs d’avoir l’ambition d’aller plus haut ?\\n\\nSi vous fermez la possibilité d’aller au plus haut, ça entraine une démotivation certaine et inévitable de ceux qui pourraient y prétendre un jour. Encore une fois, je reviens à des choses assez simples. La compétition, c’est vouloir être le meilleur. C’est vrai à tous les niveaux. Tous les clubs veulent monter dans la catégorie supérieure. Là est la motivation de l’organisation du sport. Dès qu’on ferme, on tue le sport. On joue pour gagner et au bout de la saison, cela se concrétise par une conséquence, on monte. Ou on descend. Sinon, on fait du 3×3 dans la rue. C’est une autre logique. Mais si vous êtes dans la logique de compétition, il faut que le résultat ait un impact. C’est l’essence même de la compétition. Et au niveau des ligues professionnelles, c’est aussi ça qui motive les clubs à progresser, y compris financièrement. Une ligue fermée casse cette logique. A terme on peut se poser la question de savoir si on ne va pas tuer le sport, tout simplement."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : 7/10 à 3pts pour Jimmy Baron (CCRB) face à Antibes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On savait à quoi s’attende lors de l’officialisation de sa signature par Châlons-Reims. Jimmy Baron (1,91m, 32 ans) possède un sacré bras et est capable d’artiller dans à peu près toutes les positions derrière la ligne à trois points.\\n\\nEn déplacement à Antibes, le CCRB est allé chercher une quatrième victoire en Jeep Elite et l’arrière américain n’est pas étranger à ce succès avec 23 points (8/13 aux tirs dont 7/10 à trois points) et 5 rebonds pour une évaluation de 24. Depuis le début de la saison, l’ancien joueur du Lokomotiv Kuban compile en moyenne 13,1 points (45,5% à trois points), 2,4 rebonds et 2,6 passes décisives pour une évaluation de 13,4.\\n\\nVoici en images ses sept tirs primés.\\n\\nPhoto : CCRB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Aaron Craft retourne à Trento"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Malheureusement pour le Limoges CSP qui rêvait de le faire signer, Aaron Craft (1,88m, 27 ans) a bel et bien décidé de faire son retour dans son ancien club italien de Trento, annonce la formation transalpine.\\n\\nCelui qui a été nommé meilleur défenseur de Jeep Elite la saison dernière sous le maillot de Monaco aurait fait un bien fou au club limougeaud qui est en recherche active d’un nouveau meneur de jeu. Passé par Trento en 2016/17, avant son arrivée en France, l’ancien pensionnaire d’Ohio State vivait un début de saison compliqué avec le Buducnost Podgorica alors qu’il avait fait forte impression avec la Roca Team la saison dernière.\\n\\nDepuis le début de saison, Aaron Craft tournait timidement à 3 points, 2 rebonds et 2 passes au Monténégro.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV: Deux tests pour l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ASVEL a deux rendez-vous importants: avec Valence qui l’avait corrigée lors du match aller puis avec Strasbourg, l’une des rares équipes de Jeep Elite capables de lui donner du soucis.\\n\\nLundi 5 novembre\\n\\n20h45 – Le Portel/Chalon – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nMardi 6 novembre\\n\\n18h00 – Novgorod/Le Mans – BCL – Canal+ Sport\\n\\n18h00 – Panevezis/Dijon – BCL – Basket+\\n\\n20h30 – Nanterre/Fribourg – BCL – Canal+ Sport\\n\\n20h30 – Villeurbanne/Valence – Eurocup – RMC Sport 4\\n\\nMercredi 7 novembre\\n\\n19h30 – Monaco/Brescia – Eurocup – RMC Sport 4\\n\\n20h30 – Strasbourg/Patras – BCL – Canal+ Sport\\n\\n21h30 – Zagreb/Limoges – Eurocup – RMC Sport 4 (différé)\\n\\nJeudi 8 novembre\\n\\n20h00 – Tel-Aviv/Madrid – Euroleague- RMC Sport 4\\n\\nVendredi 9 novembre\\n\\n18h00 -Khimki Moscou/Barcelone – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n19h00 – Podgoricia/Kaunas – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n20h00 – Panathinaikos/Olympiakos – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\n20h30 – Vitoria-Fenerbahçe – Euroleague – RMC Sport 7\\n\\nSamedi 10 novembre\\n\\n18h30 – Strasbourg/Villeurbanne – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nDimanche 11 novembre\\n\\n18h30 – Chalon/Dijon – Jeep Elite -RMC Sport 2\\n\\nLundi 12 novembre\\n\\n20h45 – Levallois/Limoges – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nPhoto: Eric Buckner (ASVEL, Eurocupbasketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Andrew Albicy en quasi double-double et Andorre infligent sa première défaite au Real Madrid"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est une sacrée performance qu’a réalisé le Morabanc Andorra dimanche face au Real Madrid. Le club andorran a infligé sa première défaite au mastodonte madrilène sur son parquet (107-105).\\n\\nLe meneur international tricolore Andrew Albicy a été l’un des grands artisans de cette victoire avec une performance de haut niveau avec 14 points, 4 rebonds et 9 passes décisives pour une évaluation de 15. Il a notamment été parfait dans le premier quart-temps avec un 4/4 à trois points et 5 passes décisives.\\n\\nAvec cette victoire, Andorre se place à la dixième place du classement d’ACB (3v-4d) tandis que le Real Madrid (6v-1d) perd sa première place et laisse passer Vitoria.\\n\\nPhoto : Morabanc Andorra"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Jordan Theodore proche du Darussafaka"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Annoncé proche de Buducnost ou encore en contact avec le Limoges CSP, Jordan Theodore serait finalement en train de prendre la direction de la Turquie et d’Istanbul.\\n\\nLoin d’être dans les plans de son entraîneur Simone Pianigiani, le meneur américain n’a disputé aucun match avec Milan cette saison et, selon Eurohoops, il serait tout proche de s’engager avec le Darussafaka. L’ancien joueur de la JL Bourg n’a besoin que d’attendre de trouver un accord avec le club milanais pour être officiellement libéré de tout engagement.\\n\\nLa saison dernière, Jordan Theodore compilait en moyenne 11,1 points, 2,5 rebonds et 3,7 passes décisives entre l’Euroleague et le championnat italien.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges: Mam Jaiteh ne devrait plus jouer avec le CSP"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le coach Kyle Milling ne fait plus appel à Mam Jaiteh. C’est une évidence que le pivot de 2,06m et 24 ans est devenu indésirable au Limoges CSP. En 6 matches et 17′ de temps de jeu moyen, l’ancien nanterrien tournait à 6,5 points et 4,5 rebonds en Jeep Elite avant d’être mis au piquet.\\n\\nLe Populaire confirme que le club veut se séparer de son joueur avant le terme du contrat:\\n\\n« Aux yeux des dirigeants et du staff, entre le retour de Samardo Samuels et le recrutement de Damien Inglis, Mam Jaiteh est aujourd’hui de trop au sein de l’effectif limougeaud. Olivier Bourgain aurait même annoncé devant les joueurs et le staff que le club était disposé à dédommager financièrement son pivot pour réparer son erreur. C’est de toute façon la seule manière de parvenir à s’en séparer. Le départ de Mam Jaiteh pourrait permettre au Limoges CSP de poursuivre le réajustement de son effectif. Un meneur est toujours activement recherché. Problème, le marché ne regorge pas de joueurs actuellement. »\\n\\nPhoto: CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Le Paris Basketball toujours en cale sèche"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"800 spectateurs et quelques VIP ont assisté hier à la grande première du Paris Basketball à la Halle Carpentier pour la venue du SLUC Nancy... qui a quelque peu gâché la fête.\\n\\nL’homme du match fut l’Américain du SLUC Anthony Goods qui a marqué dix des quatorze points de son équipe en prolongation pour donner la victoire aux Lorrains, 93-87.\\n\\nLes deux boss américains du nouveau club parisien, David Khan et Eric Schwartz, étaient présents dans les tribunes. Ce dernier a fait fortune à Wall Street avec Goldman Sachs et il a répondu aux questions du quotidien L’Equipe notamment à celle-ci: « êtes-vous prêt à risquer beaucoup d’argent? »\\n\\n« La réponse est oui, mais... Je suis prêt à investir ce qu’il faudra. Je suis conscient que c’est du long terme. Mais je ne viendrais pas si je n’étais pas persuadé qu’on va y arriver... »\\n\\nLe club ambitionne l’Euroleague lorsque Paris sera doté d’une aréna de 7 500/8 000 places, qui va être construite pour les Jeux Olympique de 2024. Mais en attendant, il est après quatre journées et quatre défaites seule lanterne rouge de Pro B."
}, 
{"role": "user",     "content":"Lahaou Konate (Nanterre): «De voir les fans scander mon nom à la fin c’est magnifique»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans la victoire (92-85) de Nanterre sur Levallois lors du derby des Hauts-de-Seine, on a vu beaucoup de paniers à trois-points en première mi-temps (10/22 pour Levallois contre 9/14 à Nanterre au total) et surtout un homme: Lahaou Konate qui a brillé des deux côtés du terrain. Ses stats (24 points à 8/9 aux tirs, 7 rebonds, 2 interceptions, 29 d’évaluation) ne traduisent évidemment pas son immense boulot défensif.\\n\\n« Maintenant que le match est terminé, je peux dire que je suis fatigué », a t-il déclaré en conférence de presse, propos repris par Basket Actu. « Jouer quarante minutes sur ce genre de match ça n’est facile. J’étais en mission sur (Roko) Ukic. Il y avait une double motivation. On savait que Levallois était très bon sur le rebond offensif, on a su bloquer ça. Nous, on a su aussi aller chercher des deuxième chances. On a vraiment bien suivi le plan de match. Ce genre de match je suis super motivé de les jouer. L’année dernière, je l’avais loupé à cause de ma blessure donc il y avait une motivation encore plus forte. La petite anecdote c’est qu l’année dernière le maire (de Nanterre, Patrick Jarry) n’était pas venu parce que je ne jouais pas. Juste après le match du Mans, il m’a dit ‘je viens le week-end prochain te voir jouer et j’espère que l’on va gagner’. Donc j’étais super motivé. De voir les fans scander mon nom à la fin c’était magnifique. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Limoges dément que JD Jackson va remplacer Kyle Milling"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est la tempête au Limoges CSP. Après avoir suspendu puis réintégré Samardo Samuels, après s’être mis à la recherche d’un nouveau meneur pour remplacer London Perrantes puis après avoir notifié à Mam Jaiteh qu’il ne jouerait plus, les dirigeants limougeauds seraient sur le point de remercier leur coach, Kyle Milling... mais ceux-ci ont apporté un démenti.\\n\\nSelon Frédéric Weis, le Limoges CSP serait en contact avec l’ancien entraîneur de l’ASVEL, JD Jackson. Ancien joueur professionnel passé par Antibes ou encore Le Mans, il s’est reconverti dans le coaching d’abord comme assistant, au MSB, puis comme entraîneur principal, toujours au Mans. A la tête du club sarthois entre 2008 et 2014, il a rejoint l’ASVEL en 2014. Il a d’ailleurs été sacré champion de France avec le club Villeurbannais en 2016. Il était cet été assistant-coach auprès de l’équipe du Canada, son pays d’origine.\\n\\nCependant, quelques minutes après que l’ancien pivot du CSP désormais consultant sur RMC Sport, a donné cette information sur les réseaux sociaux, le CSP a apporté un démenti officiel. L’agent de JD Jackson, Pedja Materic, a fait de même.\\n\\n\\n\\n\\nDu nouveau a @limogescsp , kyle Milling serait remplacé par JD JACKSON sur le banc.\\n\\n\\n— Fred Weis_ OLY (@Bigfredstyle) November 5, 2018\\n\\n\\n\\n\\nLe Limoges CSP dément formellement les propos de @Bigfredstyle selon lesquels @MillingKyle serait partant. @MillingKyle est le coach du Limoges CSP et a toute la confiance du club pour mener à bien sa mission ! pic.twitter.com/dihQSbmMLz\\n\\n\\n— Limoges CSP (@limogescsp) November 5, 2018\\n\\n\\n\\n\\nIl n'y a jamais eu aucune discussion avec CSP Limoges concernant JD Jackson. Fake news.\\n\\n\\n— Pedja Materic (@PedjaMateric) November 5, 2018\\n\\nPhoto : ASVEL"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Bourges en deux temps face à Charleville"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En match en retard de la première journée -les deux équipes s’étaient affrontées lors du Match des Championnes à l’Open-, Bourges s’est imposé hier soir à Charleville, 73-68. Menées 30-44 à la mi-temps, les Flammes ont flambé dans le troisième quart-temps, 26-9, avant donc que les championnes de France en titre remettent les choses au point.\\n\\nMarine Johannès a encore fait des siennes: 20 points à 7/11 aux tirs, 4 passes et aussi 6 balles perdues. C’est toutefois une Ardennaise bien connue dans le Cher qui est sortie du terrain avec la meilleure évaluation: 32 pour Ana Maria Filip suite à ses 27 points (9/11 aux tirs du champ, 9/10 aux lancers), et 6 rebonds.\\n\\nPhoto: Alexia Chartereau (Bourges), FFBB/Hervé Bellenger.\\n\\n\\n\\n\\n😱 Mesdames et messieurs, le trio @berkani_lisa24, @MarineJ5 & Sarah Michel pour la contre-attaque de l’année 🔥 #AllezTango #FiertéTango pic.twitter.com/143BVS6zUQ\\n\\n\\n— Tango Bourges Basket (@BourgesBasket) November 4, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Russie: Sasa Obradovic n’est plus le coach de Krasnodar"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Lokomotiv Kuban Krasnodar de l’international français Moustapha Fall va changer de coach. Le Serbe Sasa Obradovic est sur le départ a annoncé le club russe.\\n\\nAncien joueur de haut niveau, notamment à Limoges en 1993, Sasa Obradovic, 49 ans, connait depuis quelques années une solide carrière de coach, passant notamment par l’Alba Berlin. Il avait pris le coaching du Lokomotiv il y a exactement deux ans en remplacement de Fotis Katsikaris.\\n\\nVlada Jovanovic sera le coach intérimaire.\\n\\n\\n\\n\\n⚠ Lokomotiv Kuban and head coach Saša Obradović terminated the contract.\\n\\n\\nWe thank Saša for his work and the results the team achieved under his guidance. We wish him all the best in his future career. #Lokofamily will never forget you! pic.twitter.com/IhrZIHmFNc\\n\\n\\n— Lokomotiv Kuban (@lokobasket) November 4, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel: Jarell Eddie est le nouvel ailier de la SIG Strasbourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La SIG Strasbourg a confirmé la venue de Jarell Eddie (2,01m, 27 ans). Issu de Virginia Tech, non drafté, le Floridien a derrière lui 34 matches en NBA répartis en trois saisons (2015-18) où il a été discret (2,6 points en 6′ de temps de jeu moyen).\\n\\nJarell Eddie a surtout joué en D-League remportant en 2015 le concours de trois-points du All-Star Game. En 4 saisons, il s’est fendu de 14,4 points avec une réussite de 44,2% à trois-points, plus 4,1 rebonds.\\n\\n« Suivi depuis longtemps par Lassi Tuovi, qui l’avait déjà remarqué en Summer League lorsqu’il était assistant au Besiktas Istanbul, Jarell Eddie a une nouvelle fois tapé dans l’œil de l’assistant de Vincent Collet cette été à Las Vegas », indique le site du club.\\n\\nQuant au coach Vincent Collet, il précise:\\n\\n« On cherchait depuis longtemps un joueur complémentaire à l’équipe qu’on avait constituée. Il nous fallait un shooteur. De façon idéale on souhaitait un stretch 4 pour donner plus d’espace en attaque de par la dangerosité qu’il peut apporter à trois points. Jarell a le profil. Il a fait des piges en NBA au poste 3, a joué aussi 4 avant, mais c’est d’abord un shooteur. C’est ce dont on a besoin et en particulier en Jeep® ÉLITE où on ne marque pas assez de trois points. On est à cinq en moyenne mais il faudrait être à sept minimum. Le fait d’ajouter un spécialiste va forcément nous aider. C’est un joueur qui va prendre des shoots et obliger les défenses adverses à se déployer. Cela donnera plus d’espace à nos intérieurs et permettre à Mardy (Collins) et Jérémy (Nzeulie) de mettre en avant leur jeu de pénétration« .\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=uqKHsQXjY8Q"
}, 
{"role": "user",     "content":"Rémi Giuitta (Fos): «On est en train de trouver une âme»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec un Pierre Pelos dans la lignée de la finale de Pro B contre Roanne (15 points, 9 rebonds), Fos-sur-Mer a remporté une très précieuse victoire sur Bourg (78-76) laissant ainsi à Cholet la peu enviable avant-dernière place du classement de Jeep Elite.\\n\\n« C‘est une belle soirée surtout qu’il y a le résultat qu’on espérait », a commenté en conférence de presse le coach Rémi Giuitta. « Il y a aussi la manière surtout défensivement. J’ai trouvé qu’il y a eu beaucoup de solidarité dans notre équipe, surtout qu’on était très diminué avec les absences de Jaron Burrows, Jordan Aboudou. On savait qu’en face il y avait un client à défendre avec (Zachery) Peacock mais tout le monde s’est sacrifié. Tactiquement, je pense que l’on a fait ce que l’on voulait. On fait un match très plein. Juste avec un peu plus d’adresse aux lancers-francs, je pense qu’on n’aurait pas vécu une fin de match stressante comme on l’a vécu. Ce qui compte c’est de gagner à l’heure actuelle. Je suis entièrement satisfait de la soirée. Il y a eu l’engagement, le cœur, des valeurs que l’on a souvent eu ici. On est en train de trouver une âme. On intègre les nouveaux et ce soir, c’est une vraie victoire collective (...) J’espère que l’on est lancé même si être lancé, je ne sais pas ce que ça veut dire dans ce championnat. Il y a tellement de bonnes équipes. J’ai l’impression que tout le monde peut battre tout le monde à part les trois, quatre cadors. Nous, il faut que l’on engrange les victoires. Il faut essayer de rattraper les une ou deux victoires que l’on aurait pu prendre pour s’éloigner si possible de la zone rouge. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Romain Duport (Cholet): «Il faudrait gagner rapidement»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le constat est cruel: suite à la victoire de Fos-sur-Mer sur Bourg-en-Bresse (78-76), Cholet Basket est relégable. Les Choletais n’ont toujours gagné qu’un match contre deux aux Provençaux alors que les Antibois sont en cale sèche.\\n\\nVendredi, les hommes de Régis Boissié ont vendu chèrement leur peau à Gravelines (83-87) mais ils ont fini par rendre les armes et ça ne rapporte pas de points. Le double-double de Frank Hassell (12 points, 13 rebonds) ou encore le 4/5 à trois-points du Belge Olivier Troisfontaines n’ont pas été suffisants.\\n\\n« Ils ont des gros shooteurs et on les a laissés prendre confiance », a commenté Romain Duport à Ouest-France. « Après, c’était beaucoup mieux. Maintenant, il nous manque de la constance, de la concentration et il faut croire en nous aussi. On peut faire de belles choses quand on joue tous les cinq ensemble, aussi bien en défense qu’en attaque. Inconsciemment, il y a du doute qui peut s’installer. Même si on n’est pas loin, on reste toujours à une seule victoire et le championnat commence à avancer. Il faudrait gagner rapidement. On va encore jouer des grosses équipes et ce n’est jamais facile, encore plus pour nous, cette saison. Il va falloir que l’on aille chercher les détails qui nous manquent. »\\n\\nPhoto: CB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans: Antoine Eito va manquer au minimum sept matchs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Une IRM a révélé qu’Antoine Eito (1,86m, 30 ans) souffre d’une déchirure de l’adducteur avec décollement de l’aponévrose et son absence est estimée à un mois. Le meneur manceau pourrait revenir pour le match face à Limoges soit au-delà de la fenêtre internationale qui se terminera le 4 décembre. Cela représente au minimum sept matches. Un coup dur pour le MSB tant Antoine Eito s’est avéré prépondérant depuis la rentrée (9,2 points, 4,7 rebonds).\\n\\nL’international belge Jonathan Tabu signé pour toute la saison aura pour mission de le suppléer mais ne sera pas du déplacement à Novgorod en Russie pour un problème de visa.\\n\\nPhoto: MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Laurent Legname (Dijon): «On n’a pas la capacité pour lutter avec ces équipes-là»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pas deux fois de suite ! Tombée à Pau lors de la journée précédente, l’ASVEL s’était relevée face à Saint-Petersbourg en Eurocup et dans la foulée elle a donné un coup de marteau hier soir sur la tête de la JDA Dijon (80-62) même si elle est toujours privée de Charles Kahudi -il va revenir mardi contre Valence-, Amine Noua, Livio Jean-Charles et Alpha Kaba. Ses ressources sont immenses et l’ASVEL de Zvezdan Mitrovic est au moins aussi impressionnante que le Monaco du même coach.\\n\\nSi le Croate Miro Bilan a été le MVP du match avec 14 points, 7 rebonds et 6 passes, c’est la sortie du meneur Théo Maledon, 17 ans, qui a crevé l’écran puisqu’il a battu son record de points en Jeep Elite, 16.\\n\\nA l’image de Ryan Pearson (2/10), la JDA a butté face à la meilleure défense du championnat.\\n\\n« Ce qui m’a le plus chagriné, c’est le manque de réaction en début de deuxième mi-temps », a commenté Laurent Legname en conférence de presse, propos repris par Le Bien Public. « On est seulement à -10 à la pause, alors qu’on doit être plus loin, mais au lieu d’être intense d’entrée, on prend un éclat. Plus globalement, on a bénéficié d’un calendrier favorable sur les 7 premiers matches, avec 5 équipes de notre niveau de masse salariale, mais on n’avait pas rencontré de gros. On a certes fait de très belles choses en BCL comme à Bamberg, contre Fuenlabrada ou Athènes, mais le championnat est athlétique et on n’a pas la capacité pour lutter avec ces équipes-là. »\\n\\nPhoto: JDA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Rémi Lesca (Boulazac): «Je ressens vraiment la mentalité du Sud-Ouest»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Hier soir, Rémi Lesca (1,80m, 28 ans) a joué face à SON Elan Béarnais. Ce n’était évidemment pas une première puisqu’il en est parti en 2014 pour Châlons-Reims (2 ans) puis Levallois (2 ans) avant de revenir dans le Sud Ouest cet été, à Boulazac.\\n\\nAviez-vous eu du mal à quitter Pau en 2014?, lui a demandé La Dordogne Libre.\\n\\n« Un peu. Car, une fois que j’ai mis le pied à l’Élan Béarnais, à 45 minutes de chez moi, je me suis dit que jamais je n’en partirais. Depuis tout petit, je ne voyais que par l’Élan. C’était un rêve d’y jouer. Mais le club a fait des choix et je n’avais alors plus de réelle place dans l’effectif. Or, il fallait que je joue pour prouver ce que je savais faire. Et donc que je parte, sinon mon temps de jeu aurait été trop limité. Mais je redoutais de partir. Finalement, cela s’est très bien passé. Le plus dur a été pour ma compagne qui, elle, n’a pu me suivre qu’après la première année. »\\n\\nA Boulazac, dans la banlieue de Périgueux, le Landais se sent-il comme chez lui?\\n\\n« Oui, au niveau de l’ambiance générale au club, je ressens vraiment la mentalité du Sud-Ouest. Par exemple avec la Bodega : souvent, ailleurs, les joueurs passent juste dix minutes au VIP alors que, là, on reste à table, on discute avec tout le monde. Il y a vraiment une alchimie et je suis content d’avoir retrouvé ça. On va chercher les supporters, ils répondent. Ici, les gens vivent pour ça. Chaque jour, on m’interpelle en me parlant du match passé ou à venir. Cela fait plaisir mais ça oblige à se donner encore plus pour ces gens qui laissent vraiment leur argent au club. Pour leur rendre, il faut au moins mouiller le maillot. »\\n\\nHier soir, Boulazac a largement remporté le derby du Sud-Ouest, 90-77, et Rémi Lesca a rendu une belle copie avec 11 points et 7 passes.\\n\\nPhoto: BBD"
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : Mike James, nouveau Roi de Lombardie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pas loin de la perte de balle fatale, Mike James n’a pas paniqué pour rentrer le trois points de la gagne face à l’Efes Istanbul (81-80). Avec 15 points, 6 passes et 5 rebonds, James n’a pas été le plus heureux aux tirs mais sa persévérance a payé ! Milan enchaîne ainsi un 3e succès d’affilée et se replace au classement.\\n\\nPar ailleurs, pas de surprise avec les victoires logiques du Panathinaikos face à Podgorica (72-67) et celle du Real Madrid à Kaunas (90-79). Les coéquipiers de Fabien Causeur restent invaincus pendant que le Khimki perd sa virginité avec un premier succès face à Gran Canaria (87-72).\\n\\nCôté français, c’est Adrien Moerman qui remporte la palmes avec 23 points... mais en vain face à la maestria de James.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nMike James à la rescousse\\n\\nL’Efes Istanbul pourra nourrir de sacrés regrets face à Milan. Défaits sur le fil, sur un tir à trois points de Mike James, L’Efes a tout simplement encaissé trois tirs à trois points au buzzer dans ce match fou. Et c’est d’autant plus rageant pour l’Efes que Vassilije Micic avait deux opportunités pour sceller la victoire turque sur la ligne des lancers à 16 secondes du terme à +2 !\\n\\nDans la défaite, Adrien Moerman a encore livré une partition de haute voltige. L’intérieur tricolore termine à 23 points à 10/12 à deux points mais ça ne suffira pas. Rodrigue Beaubois apportera 9 points pour son équipe qui restait sur deux victoires. A 13 points, 11 rebonds et 3 interceptions, Arturas Gudaitis a été le facteur X pour Milan en sortie de banc.\\n\\n\\nLe Real résiste à Kaunas\\n\\nSecoués en premier quart (32-18) dans le chaudron balte, les Madrilènes n’ont pas perdu leur sang froid. Et ce même s’ils ont été bousculés jusqu’en fin de dernier quart ! Le Real a su tenir bon derrière Gustavo Ayon (13 points, 10 rebonds, 4 passes) et Rudy Fernandez (15 points), auteur de deux tirs à trois points qui font mal en fin de match. C’est un 18-3 au finish qui a refroidi le bouillant public lituanien (90-79).\\n\\nPaulius Jankunas (17 points, 7 rebonds) et Nate Wolters (16 points, 5 passes) ont mené l’effort du Zalgiris, avec un super 1er quart de l’intérieur vétéran et un petit bijou de finger roll pour le second ! Kaunas a tout simplement de réalisme dans le sprint final. Dans le duel des Français, Fabien Causeur (7 points) a eu le dessus sur Léo Westermann (3 points).\\n\\n\\nPremière victoire de Khimki\\n\\nLe Khimki Moscou a profité de la venue de Gran Canaria pour grappiller sa première victoire de la saison en Euroleague (87-72). Et il n’y a pas eu match ! Avec un 2e quart complètement maîtrisé, le Khimki a fait l’écart et ne s’est plus jamais retourné. Alexey Shved (24 points, 7 passes) a encore été le principal artificier, bien assisté par Tony Crocker (17 points).\\n\\nLes deux équipes présentent désormais le même bilan de 1 victoire et 4 défaites en bas de tableau. Et ça s’annonce bien compliqué pour Gran Canaria. Hier soir, c’était encore morne plaine avec le seul Anzejs Pasecniks à 26 d’évaluation (9 points, 9 rebonds, 3 interceptions, 2 contres) et le désert autour.\\n\\n\\nLe Pana sans pitié à Podgorica\\n\\nPodgorica est la dernière équipe encore capot après 5 journées. Et pour la réception du Panathinaikos, l’histoire du début de saison s’est répétée. Dans un duel à l’étouffée à domicile, Podgorica a tenu le choc pendant trois quarts temps mais a manqué de gaz dans le final (72-67). Un 18-6 du Pana a été fatal aux coéquipiers d’Edwin Jackson (6 points, 4 rebonds).\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nAdrien Moerman (Istanbul) : 23 points (10/14 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 31 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 10 points (4/6 aux tirs), 10 rebonds, 3 interceptions, 2 passes, 1 contre, 2 balles perdues en 28 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 10 points (5/6 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe en 10 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Istanbul) : 9 points (4/11 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 21 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 7 points (2/5 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre, 1 balle perdue en 16 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 6 points (2/9 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 1 interception, 2 balles perdues en 26 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 6 points (3/8 aux tirs), 5 passes, 3 rebonds, 1 interception, 5 balles perdues en 19 minutes\\n\\nKevin Seraphin (Barcelone) : 6 points (3/5 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 contre, 1 balle perdue en 11 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 5 points (2/6 aux tirs), 2 rebonds, 2 interceptions, 3 balles perdues en 18 minutes\\n\\nLeo Westermann (Kaunas) : 3 points (1/3 aux tirs), 2 passes, 1 rebond, 1 interception, 1 balle perdue en 6 minutes\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 0 point (0/2 aux tirs), 2 passe, 1 balle perdue en 10 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 0 point (0/5 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 15 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nComment pourrait-il en être autrement ? Mike James a été le Roi de Milan hier soir ! Avec plusieurs shoots venus d’ailleurs, dont celui-ci pour assassiner définitivement l’Efes Istanbul, le meneur américain a confirmé ses velléités du début de saison. Il veut porter Milan au sommet, et c’est ce genre d’actions qui le lui permettront...\\n\\n\\n\\n\\nUnbelievable! 👀@TheNatural_05 loses it, gets it back and NAILS the game-winning 3!#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/jefZIW0TWa\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) November 2, 2018\\n\\n\\nLes résultats de la 5ème journée\\n\\nJeudi 1er novembre :\\nCSKA Moscou – Olympiakos (69-65)\\nVitoria – Darussafaka (82-56)\\nFenerbahçe – Bayern Munich (88-84)\\nBarcelone – Maccabi Tel Aviv (74-58)\\n\\nVendredi 2 novembre :\\nKhimki Moscou – Gran Canaria (87-72)\\nPodgorica – Panathinaikos (67-72)\\nKaunas – Real Madrid (79-90)\\nMilan – Efes Istanbul (81-80)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 6e journée\\n\\nJeudi 8 novembre :\\nBayern Munich – Darussafaka (20h)\\nMaccabi Tel Aviv – Real Madrid (20h05)\\nMilan – CSKA Moscou (20h45)\\nGran Canaria – Efes Istanbul (21h45)\\n\\nVendredi 9 novembre :\\nKhimki Moscou – Barcelone (18h)\\nPodgorica – Kaunas (19h)\\nPanathinaikos – Olympiakos (20h)\\nVitoria – Fenerbahçe (20h30)\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nMike James à la rescousse\\n\\nL’Efes Istanbul pourra nourrir de sacrés regrets face à Milan. Défaits sur le fil, sur un tir à trois points de Mike James, L’Efes a tout simplement encaissé trois tirs à trois points au buzzer dans ce match fou. Et c’est d’autant plus rageant p\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Monténégro: Landing Sane vers Mornar Bar"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Sportando, l’intérieur Landing Sane (2,07m, 31 ans) est proche de signer au KK Mornar Bar, un club du Monténégro.\\n\\nFormé au Centre Fédéral et dans les équipes de jeunes de Levallois, Landing Sane avait joué en pro pour l’équipe du 92 avant de s’expatrier en Italie (Reggio Emilia) puis en Espagne (Andorre). Il est revenu disputer 5 matches en début de saison aux Metropolitans pour 6,8 points et 2,8 rebonds."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: le top 10 des actions de l’ASVEL en septembre/octobre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"LDLC ASVEL présente le top 10 des actions de son équipe pour la période septembre/octobre en cumulant la Jeep Elite et l’Eurocup."
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges: Pas de Aaron Craft et réunion de crise avant d’affronter Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En déshérence à Podgorica (1,5 point et 2,3 rebonds), Aaron Craft (1,90m, 27 ans) était en contact avec le Limoges CSP mais le meilleur défenseur de la saison dernière en Jeep Elite avec Monaco a visiblement choisi l’Italie et Aquila Basket Trento comme prochain point de chute. Le CSP doit donc encore patienter avant d’avoir un remplaçant à la mène à London Perrantes.\\n\\nCe soir, les Limougeauds vont se confronter à Monaco sur le Rocher et d’après Le Populaire, le climat est tendu. Il est vrai qu’avec 3 victoires et 4 défaites, le CSP a mauvaise mine en Jeep Elite alors qu’il sort d’une défaite (78-87) en Pologne face à Gdynia pour le compte de l’Eurocup :\\n\\n« Selon nos informations, Olivier Bourgain aurait convoqué une cellule de crise sur le Rocher suite au revers en Pologne. Histoire que chacun vide son sac pour que tout le monde puisse repartir sur de meilleures bases et remonter la pente. À voir si cela porte ses fruits. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg est sur la piste du shooteur Jarell Eddie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Sportando, la SIG Strasbourg cherche à enrôler l’ailier Jarell Eddie (2,01m, 27 ans). Issu de Virginia Tech, non drafté, le Floridien a derrière lui 34 matches en NBA répartis en trois saisons (2015-18) où il a été discret (2,6 points en 6′ de temps de jeu moyen).\\n\\nJarell Eddie a surtout joué en D-League remportant en 2015 le concours de trois-points du All-Star Game. En 4 saisons, il s’est fendu de 14,4 points avec une réussite de 44,2% à trois-points, plus 4,1 rebonds.\\n\\n\\n\\n\\nSIG Strasbourg is negotiating a deal with former NBA player Jarell Eddie, a source told Sportando.\\nEddie has played 34 games in the NBA averaging 2.5 points\\n\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) November 2, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Julien Espinosa (Antibes): «On a eu le comportement qui va nous permettre de nous maintenir en Pro A»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette fois, les Sharks d’Antibes ont fait de la résistance et menaient 28-17 après un quart-temps et encore 38-28 à la 15e minute. Feu de paille. Châlons-Reims leur a passé un 16-2 et sous la houlette du meilleur marqueur de Jeep Elite, Devin Ebanks (20 points et 12 rebonds) et de Jimmy Baron (23 points, à 7/10 à trois-points) les Champenois ont pris pour de bon les commandes.\\n\\nSans le pivot Chris Otule non qualifié, ni Trevor Thompson et Viktor Gaddefors, les Antibois étaient bien trop diminués et se sont inclinés 78-87. Avec 22 points et 10 rebonds, Tim Blue a été le plus productif. Le coach Julien Espinosa a salué le courage de ses garçons en conférence de presse, des propos repris par L’Union.\\n\\n« Je pense qu’on était court dans les ressources que nous avions dans l’équipe ce soir. On avait que deux intérieurs et c’est dur de conserver le rythme, l’intensité. Elle a fabriqué de la cohésion entre-temps, par rapport au match face à Chalon-sur-Saône. Il faut être capable de distinguer le résultat d’un comportement d’une équipe. Les garçons se sont entraidés, ont collaboré, ne se sont pas repliés sur eux-mêmes. »\\n\\nEt même si son équipe est toujours sans victoire en huit journées, le coach des Sharks se veut optimiste:\\n\\n« On a eu le comportement qui va nous permettre de nous maintenir en Pro A. »\\n\\nMéthode Coué?\\n\\n.Photo: Louis Campbell (Sharks)"
}, 
{"role": "user",     "content":"3×3: Les qualifications pour les Jeux Olympiques de Tokyo sont lancées"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le 3×3 sera sport olympique à Tokyo en 2020 et depuis hier et jusqu’au 1er novembre 2019, chaque pays doit cumuler un maximum de points au ranking FIBA 3×3 des fédérations. Ce classement sera le point central de tout le système de qualification pour les Jeux.\\n\\nLa FFBB indique qu’il existe trois façons de se qualifier pour les Jeux:\\n\\n– Via le ranking FIBA 3×3 des fédérations (4 places)\\n– Via un tournoi de qualification Olympique en 2020 TQO (3 places)\\n– Via un tournoi de qualification Olympique pour l’Universalité* en 2020 (1 place)\\n\\nLes 8 équipes (4 équipes féminines, 4 équipes masculines) qui seront directement qualifiées pour les Jeux Olympiques via le ranking FIBA 3×3 sont celles qui seront le mieux classées au ranking des Fédérations le 1er novembre 2019.\\n\\nLe ranking FIBA 3×3 d’une fédération est calculé en additionnant les points du ranking FIBA 3×3 individuel des 100 meilleurs joueurs du pays. Ce ranking individuel est calculé sur la base des 9 meilleurs résultats dans un tournoi homologué par la FIBA lors des 12 derniers mois. En clair, à partir d’aujourd’hui, les points marqués par les joueurs vont compter pour le classement final des fédérations au 1er novembre 2019.\\n\\nLes 4 pays les mieux classés au ranking des fédérations décrochent leur billet pour les Jeux Olympiques de Tokyo 2020 (maximum 2 équipes d’un même continent).\\n\\nLe système de qualification pour le tournoi de qualification Olympique et le tournoi de qualification Olympique pour l’Universalité (Universality Olympic Qualifying Tournament) seront également basés sur le ranking FIBA 3×3 des fédérations.\\n\\nLes équipes qui participeront au Tournoi de qualification Olympique sont les suivantes :\\n– Le pays hôte des JO (Japon)\\n– Les 3 meilleures équipes de la Coupe du Monde 3×3 2019\\n– 16 équipes en fonction de leur classement au ranking FIBA 3×3\\n\\nLe tournoi de qualification Olympique pour l’Universalité regroupera les 6 nations les mieux classées au ranking FIBA 3×3 des fédérations parmi celles qui n’auront pas été qualifiées directement pour les Jeux au 1er Novembre 2019 ou lors du tournoi de qualification Olympique. Les pays ayant participé aux tournois Olympiques de basket aux J0 2012 et 2016 ne sont pas éligible au UOQT.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le monde du basket et du sport dit adieu à Patrick Baumann"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les funérailles de Patrick Baumann, Secrétaire général de la FIBA et membre du Comité International Olympique (CIO), ont eu lieu vendredi après-midi à la cathédrale Notre-Dame de Lausanne, en Suisse. M. Baumann est décédé le 13 octobre dernier.\\n\\nDe très nombreuses personnes étaient présentes aux côtés de la famille de M. Baumann, notamment : une délégation de la FIBA, avec ses cadres supérieurs et des membres de son staff à la Maison du Basketball ainsi que dans les bureaux régionaux ; des représentants des partenaires de la FIBA ; des collègues du CIO ; des officiels de la ‘Global Association of International Sports Federations’ (GAISF) et du Comité d’organisation des Jeux olympiques d’hiver de la jeunesse de Lausanne 2020 – deux entités dont M. Baumann était le président.\\n\\nHoracio Muratore, Président de la FIBA, Thomas Bach, Président du CIO, Grégoire Junod, syndic de Lausanne, Philippe Leuba, conseiller d’État du canton de Vaud et Guy Parmelin, conseiller fédéral en charge des sports, ont tous prononcé d’émouvants discours au sujet de leur ancien collègue et ami.\\n\\n« Pour moi, avant tout, il était un ami, un vrai ami sur lequel je pouvais toujours compter », a déclaré Horacio Muratore, Président de la FIBA. « C’était un mari et un père, pour qui la famille était la priorité. Comme Patrick se plaisait à continuellement le répéter : ‘Nous sommes et nous serons toujours un sport d’équipe. Je le ressens au plus profond de moi. Pour avoir du succès, nous devons travailler ensemble. Sans Patrick, le basketball ne serait pas ce sport global qu’il est aujourd’hui. Grâce à sa passion, son engagement de tous les instants, son éthique du travail et sa merveilleuse personnalité, Patrick a marqué l’histoire de la FIBA et du monde du basketball. Patrick était convaincu que le sport avait le pouvoir de changer des vies. »\\n\\nPhotos: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jorge Garbajosa (président de la fédération espagnole): «Pas d’envie de compromis de la part de l’Euroleague»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Au cours d’une interview fleuve chez nos confrères espagnols d’El Mundo, la légende Jorge Garbajosa, ancien international au palmarès long comme le bras avec la Roja devenu depuis président de la fédération espagnole, est revenu sur l’évolution de la situation dans le basket européen. Morceaux choisis.\\n\\nSon accession à la présidence de la fédération\\n\\n« C’était quelque chose que je n’avais jamais envisagé. Mais j’ai donné ma vie et ma santé, au sens premier du terme, à l’équipe nationale. J’ai abandonné un bon contrat en NBA pour jouer un été de plus avec la Roja. Le maillot espagnol, c’était ma vie. Et donc dans une situation très délicate, j’ai saisi cette opportunité de rassembler toutes les bonnes volontés pour sauver la fédération qui traversait une passe très difficile et dangereuse. J’espère que je n’ai pas eu tort. »\\n\\nLe nombre croissant d’anciens joueurs à la tête des fédérations européennes\\n\\n« Nous aimons notre sport et nous ne voulons pas le quitter. Après, il s’agit d’un travail très difficile et très ingrat. Nous sommes vraiment dans les bureaux. Effectivement, on voit de plus en plus d’anciens joueurs au sommet des fédérations. Teletovic, Turkoglu, Kirilenko, Nesterovic, Sabonis... Les réunions à la FIBA ressemblent à une réunion d’anciens combattants ! A nous de gagner le respect en tant que gestionnaires. »\\n\\nLe conflit qui traverse le basket européen\\n\\n« C’est quelque chose que j’ai du mal à comprendre. Quand je suis arrivé, j’ai proposé quelque chose que je n’ai pas su accomplir : j’avais promis d’aller voir les médias pour enfin donner de bonnes nouvelles, mais cela a été impossible. Le basket, historiquement, est un sport familial, attachant. Avec ces histoires, nous gâchons beaucoup de choses. Toute la journée, on ne parle que ce cette guerre, on ne peut pas se le permettre. A la fédération, nous entretenons désormais des relations exceptionnelles avec tout le monde, arbitres, joueurs, entraineurs. Avec l’ACB, les choses se sont également améliorés. Le problème avec le conflit avec l’Euroleague, c’est qu’on a une entreprise privée face au monde fédéral. Ce qui me dérange beaucoup, c’est qu’aux Etats-Unis par exemple, ils sont capables de mettre sur pied un calendrier où tous les sports majeurs disposent de son moment fort et de sa visibilité. Et ici on n’y arrive pas ? On marche main dans la main, fédération et ligue nationale et nous avons des propositions à faire mais pour trouver un compromis, il faut qu’il y ait un minimum d’envie de conciliation de l’autre côté. Et ce n’est pas le cas. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du monde 2019: Les matchs de septembre ont battu tous les records sur les réseaux sociaux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Fédération Internationale a fait ses comptes: 26 rencontres disputées à guichets fermés, l’attribution des six premiers billets qualificatifs et quelques records sur les réseaux sociaux ont marqué en septembre le début du second tour des Éliminatoires pour la Coupe du Monde 2019.\\n\\n357 millions de personnes ont suivi la fenêtre qualificative de septembre, soit le nouveau plus grand total depuis le début des éliminatoires en novembre 2017.\\n\\nLe chiffre record de 2,4 milliards d’impressions ont été enregistrées sur les réseaux digitaux.\\n\\nDepuis la fin du premier tour en juillet, il y a eu 60 000 téléchargements de plus de l’application ‘FIBA Basketball World Cup 2019’ et 1 million de nouveaux fans suivent désormais les comptes @FIBAWC sur Facebook, Weibo, Instagram et Twitter.\\n\\nPour renforcer la relation avec leurs équipes nationales, les fans ont été invités à dévoiler les noms de leurs joueurs préférés des Éliminatoires sur Instagram. Si le joueur en question répondait, du contenu avec le label #ThisIsMyHouse était créé pour eux. Avec plus de 90 réponses, le post annonçant cette campagne est devenu la publication la plus commentée du compte Instagram @FIBAWC.\\n\\nAu moment d’aborder la cinquième fenêtre qualificative, il reste encore 25 billets en jeu pour la Coupe du Monde FIBA 2019. Les prochains matches auront lieu aux quatre coins du monde entre le 29 novembre et le 3 décembre. La France affrontera la République Tchéque à Pardubice puis la Bulgarie à Limoges. Une victoire lui suffit pour assurer définitivement sa qualification.\\n\\nPhoto: Arena Sud de Montpellier (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Chris Otule (Antibes) non qualifié à cause de la fédération chinoise"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pigiste médical de Trevor Thompson, Chris Otule (2,11m, 28 ans) ne pourra finalement pas disputer son premier match de la saison avec les Sharks ce vendredi face au CCRB.\\n\\nLa faute revient à la fédération chinoise qui n’a toujours pas transmis la lettre de sortie de l’ancien joueur de Strasbourg à la Fédération Française malgré plusieurs relances de la FFBB, de la LNB et des Sharks, indique le club. La formation antiboise rajoute que la FFBB a saisi la FIBA pour palier aux manquements de la Fédération Chinoise.\\n\\nEn 31 matchs de deuxième division chinoise sous les couleurs du Guizhou Senhang, Chris Otule a compilé 21,7 points et 14,3 rebonds pour une évaluation de 33,1.\\n\\nPhoto : BCM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Le Belge Jonathan Tabu renforce Le Mans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Antoine Eïto blessé aux adducteurs et Demitrius Conger dans une situation délicate, Le Mans a fait appel à Jonathan Tabu (1,90m, 33 ans).\\n\\nOuest France a donné le premier l’information, le club l’a ensuite confirmée: l’international belge est attendu dans la Sarthe ce vendredi et pourrait faire ses débuts avec le MSB vendredi 9 novembre contre Châlons-Reims. Sans club depuis de début de saison, il sort de deux ans à Bilbao et il s’entraînait avec Ostende dans l’attente d’un nouveau contrat. Triple champion de Belgique avec le Spirou Charleroi, il est également passé par Cantu, Saragosse, Berlin ou encore Milan.\\n\\n« Aussi à l’aise au poste de meneur de jeu qu’à celui d’arrière, Jonathan reste sur deux campagnes frustrantes à Bilbao, un club qui a connu d’innombrables problèmes financiers en dépit d’un soutien sans faille de ses fans et l’appui du Pays basque », écrit le MSB dans un communiqué. « Habitué à partager les responsabilités et les rôles au milieu de coéquipiers de renom, il a aussi su montrer qu’il pouvait briller individuellement lorsque le besoin s’en faisait sentir. Ses 11 passes décisives contre le Real Madrid il y a un an sont un record du club de Bilbao. Ses 27 points lors d’un succès contre Valencia en avril 2017 démontrent aussi qu’il peut assumer la marque face aux meilleurs. Autant d’arguments qui ont tapé dans l’œil de notre coach, convaincu que l’expérience, le caractère, le professionnalisme et la capacité à se fondre dans les systèmes proposés seront des atouts supplémentaires pour aborder le très corsé calendrier à venir. »\\n\\nLa saison dernière, Jonathan Tabu compilait en moyenne 9,7 points, 2,1 rebonds et 3,4 passes décisives entre le championnat espagnol et l’Eurocup.\\n\\n« Je suis très content à l’idée de faire partie de l’équipe », a déclaré le joueur. « Le MSB est un club historique qui a sorti pas mal de joueurs dans le passé et c’est le champion en titre. Je veux apporter mon expérience, mon leadership et ma créativité. Je me décrirais comme un joueur all-around. Je sais que refaire une saison comme l’an dernier sera très difficile mais une chose est sûre, je vais devoir me fondre dans le collectif le plus rapidement possible et on va devoir travailler dur tous ensemble pour s’améliorer journée après journée. La Jeep Élite est un championnat très disputé et, à la fin, ce n’est pas forcément l’équipe avec le plus de talent qui gagne. Donc à nous de jouer ! »\\n\\nRepères\\n\\nClubs : Charleroi (Belgique) de 2005 à 2010. Cantù (Italie) en 2011. Cremona (Italie) en 2012. Cantù (Italie) en 2013. Zaragoza (Espagne) en 2014. Alba Berlin (Allemagne) puis EA Milano (Italie) en 2015. Fuenlabrada (Espagne) en 2016. Bilbao (Espagne) en 2017 et 2018.\\n\\nPalmarès en club : Champion de Belgique en 2008, 2009 et 2010. Coupe de Belgique en 2010. Vainqueur de la Supercoupe d’Italie en 2013.\\n\\nExpérience européenne : Euroleague en 2013 et 2015. Eurocup en 2006, 2008, 2009, 2010, 2011, 2014, 2017 et 2018.\\n\\nStatistiques Espagne 2018 : 10,0 points à 40.7% aux tirs, dont 41/124 à 3pts, et 74.7% aux lancers-francs, 2,2 rebonds, 3,5 passes décisives et 9,0 d’évaluation en 23 min/m (31 matches)\\n\\nStatistiques Eurocup 2018 : 9,0 points à 43.9% aux tirs, dont 8/18 à 3pts, et 90.5% aux lancers-francs, 1,7 rebond, 2,9 passes décisives et 7,6 d’évaluation en 23 min/m (7 matches)\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : la passe de trois pour le Barça"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bien mal parti avec deux défaites initiales, Barcelone a parfaitement redressé la barre depuis. La preuve hier soir encore avec un 3e succès d’affilée pour Kevin Séraphin et Thomas Heurtel, face au Maccabi Tel Aviv (74-58). Dans les autres affiches de la soirée, ce fut beaucoup plus serré, notamment entre le CSKA Moscou et Olympiakos (69-65) ou entre Fenerbahçe et le Bayern Munich (88-84).\\n\\nLes Français d’Euroleague ont marché par paires cette semaine : avec Vincent Poirier et Joffrey Lauvergne à 10 points, les copains du Barça Kevin Séraphin et Thomas Heurtel à 6 unités, et enfin, Nando De Colo et Axel Toupane qui ont fini à un 0 pointé !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nBarcelone enchaîne\\n\\nBousculé à la pause par le Maccabi, Barcelone a mis les bouchées double au retour des vestiaires et a passé un cinglant 25-7 en 3e quart pour plier le match (74-58). C’est la troisième victoire de rang pour le Barça qui retrouve des couleurs au classement (6e). Le grand moment de ce match a été le record d’Ante Tomic (12 points, 8 rebonds), nouveau n°1 au classement des paniers réussis en carrière (il a dépassé la légende du Pana, Mike Batiste).\\n\\nKevin Séraphin et Thomas Heurtel ont tous deux apporté 6 points dans la victoire. Scottie Wilbekin a par contre été transparent pour le Maccabi avec -1 d’évaluation en 21 minutes de jeu. Le Maccabi a manqué d’agressivité, avec seulement 8 lancers francs provoqués et le seul Alex Tyus (9 points, 8 rebonds) en double figure à l’éval’...\\n\\n\\nLe Bayern échoue de peu à Istanbul\\n\\nBien lancé par un Joffrey Lauvergne (10 points) saignant en début de match – mais scotché sur le banc par la suite, Fenerbahçe a dû lutter jusqu’au bout pour se débarrasser d’accrocheurs Bavarois (88-84). Jan Vesely (16 points, 5 rebonds) a encore été au centre des attentions avec un gros contre sur Derrick Williams et un gros dunk pour finir le match. Il a été bien aidé par le gaucher Marko Guduric (10 points), clutch dans les coins.\\n\\nC’est dommage pour le Bayern qui a fait jeu égal avec les derniers finalistes malgré un très bon Luigi Datome (19 points). Devin Booker (15 points, 7 rebonds) et Vladimir Lucic (13 points) pourront nourrir quelques regrets sur cette fin de match, avec des tirs qui restent courts et une défense qui s’est réveillée un peu tard... Munich termine également à -1 dans son ratio passes – balles perdues (16-17).\\n\\n\\nThriller à Moscou\\n\\nL’Olympiakos et le CSKA Moscou se sont rencontrés à 4 reprises en Final Four depuis 2012, et leurs duels sont devenus des classiques d’Euroleague. Et ce dernier opus n’a pas échappé à la règle des bras de fers ! Avec seulement 6 et 7 joueurs qui parviendront à scorer de part et d’autre, ce sommet entre les deux mastodontes a accouché du match défensif attendu.\\n\\nA l’image de nos deux Français engagés qui terminent tous deux à 0 point (une première en carrière pour De Colo, diminué par une migraine), il ne fallait pas manquer de rythme aux tirs ! Sergio Rodriguez (20 points) a d’abord testé la défense hellène avant que Vassilis Spanoulis (16 points, 6 passes) ne sonne la révolte pour les Reds. Malheureusement, ce baroud d’honneur bien honorable terminera trop court (69-65) avec Will Clyburn (17 points) qui termine le travail. Difficile, au final, de revenir d’un 3e quart à 9 points marqués !\\n\\n\\nVitoria atomise Darussafaka\\n\\nToujours capot à la maison, Vitoria a profité de la venue du Darussafaka pour engranger son premier succès à domicile (82-56). Ainsi que le score final en atteste, le match a été plié assez rapidement, notamment en fin de 1ère mi-temps avec un 10-0 conclu par un gros dunk de Vincent Poirier (10 points, 10 rebonds). Le Baskonia a fini le match en échappé solitaire, avec un écart qui a gonflé à 22 en 3e quart !\\n\\nTornike Shengelia (13 points, 6 rebonds) et Darun Hilliard (12 points) ont bien participé à cette victoire qui fait du bien au mental basque, mettant fin à une série de 3 défaites de rang. Côté turc, les vétérans Michael Eric et Oguz Savas, 12 points chacun, ont été bien esseulés dans une prestation offensive bien triste (5/25 à trois points par exemple)...\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 10 points (4/6 aux tirs), 10 rebonds, 3 interceptions, 2 passes, 1 contre, 2 balles perdues en 28 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 10 points (5/6 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe en 10 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 6 points (3/8 aux tirs), 5 passes, 3 rebonds, 1 interception, 5 balles perdues en 19 minutes\\n\\nKevin Seraphin (Barcelone) : 6 points (3/5 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 contre, 1 balle perdue en 11 minutes\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 0 point (0/2 aux tirs), 2 passe, 1 balle perdue en 10 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 0 point (0/5 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 15 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nIl ne paye pas de mine avec ses faux-airs de bûcheron mal rasé, mais Danilo Barthel commence à se fournir une belle galerie de posters cette saison. Après son coup de marteau en Catalogne, l’intérieur allemand du Bayern a ajouté Luigi Datome à son tableau de chasse hier soir, sur un dunk puissant pour conclure le jeu rapide !\\n\\n\\n\\n\\nPoster time from Barthel!#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/0OJJX9ttGY\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) November 1, 2018\\n\\n\\nLes résultats de la 5ème journée\\n\\nJeudi 1er novembre :\\nCSKA Moscou – Olympiakos (69-65)\\nVitoria – Darussafaka (82-56)\\nFenerbahçe – Bayern Munich (88-84)\\nBarcelone – Maccabi Tel Aviv (74-58)\\n\\nVendredi 2 novembre :\\nKhimki Moscou – Gran Canaria (18h)\\nPodgorica – Panathinaikos (19h)\\nKaunas – Real Madrid (19h)\\nMilan – Efes Istanbul (20h45)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 6e journée\\n\\nJeudi 8 novembre :\\nBayern Munich – Darussafaka (20h)\\nMaccabi Tel Aviv – Real Madrid (20h05)\\nMilan – CSKA Moscou (20h45)\\nGran Canaria – Efes Istanbul (21h45)\\n\\nVendredi 9 novembre :\\nKhimki Moscou – Barcelone (18h)\\nPodgorica – Kaunas (19h)\\nPanathinaikos – Olympiakos (20h)\\nVitoria – Fenerbahçe (20h30)\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nBarcelone enchaîne\\n\\nBousculé à la pause par le Maccabi, Barcelone a mis les bouchées double au retour des vestiaires et a passé un cinglant 25-7 en 3e quart pour plier le match (74-58). C’est la troisième victoire de rang pour le Barça qui retrouve des couleurs au classement\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Hervé Beddeleem (Gravelines) : «DJ Cooper se vantait auprès du groupe qu’il ne pouvait rien lui arriver, puisqu’il se baladait toujours avec une pipette d’urine sur lui»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il a quitté Monaco début septembre pour des « raisons personnelles », DJ Cooper (1,83m, 27 ans) a en réalité été attrapé par la FIBA et suspendu deux ans pour contrôle positif à l’hormone gonadotrophine chorionique (HCG).\\n\\nCette histoire reste malgré tout marquée par une grande zone d’ombre concernant le résultat de ce test. L’HCG n’est produite que par les femmes enceintes – ce qui était le cas de sa femme au moment du test – ou les hommes souffrant d’un cancer des testicules. Elle est également utilisée pour ses effets anabolisants dans le monde du bodybuidling. Seulement, l’ancien joueur de l’Elan Béarnais était plus connu pour son attrait pour l’herbe que pour ses performances athlétiques.\\n\\nInterrogé par l’Équipe, Hervé Beddeleem, le Directeur Exécutif du BCM Gravelines-Dunkerque, ne s’est pas dit étonné par cette sanction tant son ancien joueur jouait avec le feu.\\n\\n« Ce n’est pas vraiment une surprise. On avait eu des problèmes chez nous également. On avait fait des tests en présaison, qui ont révélé qu’il était positif au cannabis. Mais les résultats sont arrivés trop tard pour qu’on puisse prendre une sanction. On savait qu’il allait lui arriver quelque chose un jour. Il était trop accro, tellement qu’il a entraîné d’autres joueurs dans son vice. En déplacement, ça sentait dans les couloirs de l’hôtel. »\\n\\nLe dirigeant nordiste révèle également que l’ancien MVP de Pro A avait tout prévu.\\n\\n« Je suis heureux, d’un point de vue moral, qu’il ait été pris. Parce qu’en coulisses il se vantait auprès du groupe qu’il ne pouvait rien lui arriver puisqu’il se baladait toujours avec une pipette d’urine sur lui. »\\n\\nDu côté de Monaco, le Directeur Exécutif du club, Oleskiy Yefimov s’étonne également du résultat de ce contrôle antidopage.\\n\\n« On a eu souvent des joueurs contrôlés à Monaco. On a eu des contrôles en Championnat, en saison régulière, en play-offs, on a été contrôlés au Final Four de la Ligue des champions. Et je dirais que, six fois sur sept, c’était D.J. Cooper qui était ciblé. Mais ce sont des contrôles inopinés. Ça me paraît impossible qu’il puisse faire une substitution d’urine, comme je l’ai lu et entendu. Et je ne vois pas pourquoi il prendrait ce risque d’être pris pour quelque chose de plus grave alors que la sanction pour du cannabis court sur quelques mois... »\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : le Top 10 de la troisième journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après le Top 10 des championnats nationaux et de la Jeep Elite, CourCuts s’attaque au Top 10 de Pro B !\\n\\nPour ce deuxième numéro, c’est Norville Carey (Poitiers Basket 86) qui pointe à la première place du classement grâce à un gros contre qui empêche à Paris d’égaliser et d’arracher la prolongation.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=ZmquqRanmwU&feature=youtu.be"
}, 
{"role": "user",     "content":"Maxime Roos (Levallois): «C’est une grosse marque de confiance de mettre un jeune dans un cinq majeur»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans cette vidéo, Maxime Roos (2,02m) parle du derby de dimanche face à Nanterre, du fait qu’il se retrouve à 23 ans dans le Cinq de départ des Levallois Metropolitans et du bon démarrage de l’équipe actuellement dauphine de l’ASVEL à égalité avec Chalon, Dijon et Le Mans\\n\\nMaxime Roos tourne à 5,2 points et 2,4 rebonds en 16′ en Jeep Elite.\\n\\nPhoto: Metropolitans"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eurocup féminine: Première victoire européenne de Lyon depuis 43 ans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quarante-trois ans que Lyon n’avait pas gagné un match de coupe d’Europe. C’est fait depuis hier et la victoire en Eurocup sur le VBW CEKK Cegled, un club hongrois (76-62). Malgré la petite soirée de Alysha Clark (3 points à 1/6 aux tirs), les Lionnes ont fait le job autour de Michelle Plouffe (13 points et 7 rebonds).\\n\\nPendant ce temps, Lattes-Montpellier a impressionné en Allemagne face à Keltern (94-86) avec 31 points et 8 rebonds de Samantha Whitcomb.\\n\\nTarbes a remporté de justesse le duel fratricide face à Basket Landes (71-69) avec Alexis Prince en double double (10 points et 11 rebonds), tandis que Nantes-Rezé s’est incliné à la maison devant les Hongroises du DVTK (87-97) malgré les 28 points et 8 passes de la meneuse espagnole Ana Suarez.\\n\\nPhoto: Michelle Plouffe (Lyon, FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans: Antoine Eito blessé aux adducteurs, le MSB serait sur la piste d’un nouvel arrière"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La soirée face aux Lettons de Ventspils ne va pas laisser que de bons souvenirs à Antoine Eito. Auteur de 20 points avec un remarquable 5/6 à trois-points, le combo guard s’est aussi blessé aux adducteurs:\\n\\n« Je n’ai pas glissé. C’est venu progressivement au niveau de l’adducteur gauche. Je pense que j’ai au moins une contracture et peut-être un peu plus. J’ai essayé, essayé. Quand j’ai vu qu’il restait 1’58 à jouer au 3e quart-temps, j’ai voulu finir. Mais 50 secondes après, stop. Je me suis mis par terre en demandant le changement. Ce n’était pas raisonnable de continuer. Je ne pense pas avoir perdu plus de temps que ça s’il y a un truc. J’espère qu’on pourra passer une IRM directe vendredi pour bien interpréter la blessure. Pour samedi, c’est mort. C’est chiant car j’aime bien jouer Strasbourg, » déclare t-il à Ouest France.\\n\\nLe quotidien précise par ailleurs que le MSB serait à la recherche d’un nouveau joueur pour consolider son secteur arrière mais que celui-ci ne serait pas Chris Lofton qui a d’autres priorités que le basket.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: La révélation Magali Mendy (Villeneuve d’Ascq)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Magali Mendy (1,75m, 28 ans) est la révélation de cette saison en Ligue Féminine qu’elle découvre et maintenant en Euroleague. WeBasket TV a réalisé ce best of face à Szekszárd (77-61) où la Villenevoise a aligné 21 points, 11 rebonds, 5 passes décisives et 4 interceptions pour une évaluation de 36. La shooting guard avait ainsi largement participé à la qualification de son équipe pour la saison régulière."
}, 
{"role": "user",     "content":"EuroCup : le bilan complet de la 5e journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ça se passe plutôt bien pour les clubs français dans l’antichambre de l’Euroleague. Si ça coince pour Limoges qui s’est incliné en Pologne, Monaco et l’Asvel ont enchaîné un nouveau succès chez eux, le 3e de suite pour la Rocca Team et le 4e d’affilée pour les Rhodaniens. Yakuba Ouattara (19 points, 9 rebonds) et Mantas Kalnietis (22 points) ont été très performants pour leur équipe respective.\\n\\nPour le suspense, il fallait suivre Ulm, Kazan et Malaga qui ont réchappé de peu à la correctionnelle. Jaime Fernandez a notamment sauvé les Andalous dans les ultimes secondes d’un floater clutch. Et puis, il n’y a plus d’équipe invaincue en EuroCup ! Malgré 14 points à 7/7 de Moustapha Fall, Krasnodar a chuté !\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe MVP de la 5ème journée\\n\\nYakuba Ouattara (19 points, 9 rebonds, 5 passes)\\n\\nAprès deux matchs pour retrouver le rythme, Yakuba Ouattara fait des étincelles en EuroCup. L’arrière tricolore a effectivement réussi un énorme match à 19 points, 9 rebonds et 5 passes hier soir dans la victoire de Monaco face à Andorre.\\n\\nOuattara a été très adroit de loin, à 4/6 à trois points, et il a surtout réussi son meilleur match en EuroCup avec 27 d’évaluation et des records personnels en pagaille (à l’évaluation, aux rebonds, à la passe et même au contre). Sur ses trois derniers matchs, Ouattara tourne à 19 points et 22 d’éval’ ! Du lourd pour celui qui a joué de malchance dans sa tentative américaine l’an passé...\\n\\n\\n\\n\\nWhat a way to start the game! @GRJR22 to Yak Ouattara for a big alley-oop slam!@ASMonaco_Basket | #7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/xfdnuzYMrv\\n\\n\\n— 7DAYS EuroCup (@EuroCup) October 31, 2018\\n\\n\\n\\n\\n💥 Une victoire et du spectacle ce soir à Gaston-Médecin ! 🔥 Pour son retour, @GRJR22 Robinson (20 pts) a mis tout le monde d'accord et @YakubaOuattara a encore martyrisé les cercles de la salle ! 😱 pic.twitter.com/JEH3sBxsVB\\n\\n\\n— AS Monaco Basket 🇲🇨 (@ASMonaco_Basket) October 31, 2018\\n\\n\\nLa meilleure performance\\n\\nLuke Sikma (18 points, 9 rebonds, 4 passes)\\n\\nLe fiston de l’ancien All Star NBA poursuit sa belle petite carrière européenne du côté de Berlin. Et face au Lokomotiv Krasnodar, Sikma a signé un énorme 31 d’évaluation pour infliger sa première défaite de la saison au club russe. Sikma a été au four et au moulin pour l’Alba qui évoluait sans son meneur star, Peyton Siva.\\n\\n\\nLa stat qui tue\\n\\n-86\\n\\nC’est l’écart à l’évaluation entre l’Etoile Rouge de Belgrade et Galatasaray, dans la victoire écrasante du premier sur le second (87-57). Et la stat est encore plus colossale à l’éval’ : -86 (119-33) ! Cinq joueurs finissent à 10 ou plus pour l’Etoile Rouge quand le seul Zach Auguste dépasse la dizaine pour le Gala qui replonge dans le négatif au bilan (2 victoires – 3 défaites)...\\n\\n\\nLes clubs français\\n\\n4e succès de rang pour l’Asvel !\\n\\nA part pour leur défaite initiale à Valence, l’Asvel poursuit sa saison parfaite en EuroCup. Hier face à l’armada de St Petersbourg, les hommes de coach Mitrovic ont su faire la différence en 2e mi-temps pour enchaîner une 4e victoire d’affilée (89-68). Mantas Kalnietis (22 points) a de nouveau battu son record personnel dans la compétition, avec 6 tirs de suite et 15 points en 3e quart notamment. DeMarcus Nelson (14 points) et David Lighty (12 points) ont équilibré l’attaque rhodanienne.\\n\\nMonaco gagne sur son Rocher\\n\\nSerré de bout en bout, ce match s’est joué sur quelques détails. Et à ce petit jeu, Monaco a encore réussi à s’en tirer vainqueur derrière Lazeric Jones qui a sorti le tir à trois points qui fait mal dans la dernière minute. Pour sa première victoire à domicile en EuroCup, la Rocca Team a été portée par Gerald Robinson (20 points, 5 passes) et Yakuba Ouattara (19 points, 9 rebonds, 4 passes) qui ont également fait le spectacle. En face, Andrew Albicy (6 points, 4 passes) est resté discret dans la défaite d’Andorre qui n’y arrive toujours pas à l’extérieur...\\n\\nUn CSP sur l’alternatif\\n\\nA l’image de Samardo Samuels qui ratera ses 5 premiers tirs, le CSP Limoges a raté son entame de match et n’a jamais vraiment réussi à revenir après ça... Samuels (20 points, 7 rebonds) finira plus fort mais le mal était déjà fait et Limoges n’a pu faire mieux qu’un match sur courant alternatif, avec un 1e et un 3e quarts largement déficitaires (-14 puis -12)... William Howard et Jonathan Rousselle apportent 15 points dans cette défaite décevante.\\n\\n\\nLes Français de l’EuroCup\\n\\nYakuba Ouattara (Monaco) : 19 points (7/11 aux tirs), 9 rebonds, 4 passes, 1 contre en 30 minutes\\n\\nWilliam Howard (Limoges) : 15 points (4/8 aux tirs), 3 rebonds, 2 interceptions, 1 passe en 32 minutes\\n\\nJonathan Rousselle (Limoges) : 15 points (6/8 aux tirs), 7 passes, 2 interceptions, 1 rebond, 1 balle perdue en 31 minutes\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : 14 points (7/7 aux tirs), 6 rebonds, 1 contre en 19 minutes\\n\\nDamien Inglis (Limoges) : 10 points (4/7 aux tirs), 9 rebonds, 1 passe, 1 interception, 2 balles perdues en 29 minutes\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 7 points (3/3 aux tirs), 7 rebonds, 1 interception, 1 contre en 20 minutes\\n\\nCharles Kahudi (Asvel) : 6 points (3/7 aux tirs), 4 rebonds, 1 balle perdue en 22 minutes\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 6 points (3/11 aux tirs), 4 passes, 2 interceptions, 1 rebond, 2 balles perdues en 26 minutes\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 6 points (3/4 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 2 contres, 2 balles perdues en 19 minutes\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 2 points (1/5 aux tirs), 5 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 19 minutes\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué\\n\\nAmine Noua (Asvel) : n’a pas joué\\n\\n\\nLe Top Ten\\n\\n\\nLes résultats de la 5ème journée\\n\\nGROUPE A\\nEtoile Rouge – Galatasaray (87-57)\\nUlm – Brescia (83-82)\\nMonaco – Andorre (81-73)\\n\\nGROUPE B\\nTofas Bursa – Zagreb (94-89)\\nKrasnodar – Alba Berlin (75-83)\\nGdynia – Limoges (87-78)\\n\\nGROUPE C\\nAsvel – St Petersbourg (89-68)\\nValence – Trente (87-66)\\nAnkara – Partizan Belgrade (77-72)\\n\\nGROUPE D\\nKazan – Francfort (83-80)\\nMornar Bar – Vilnius (69-92)\\nTurin – Malaga (104-105)\\n\\n\\nLe programme de la 6e journée\\n\\n(matchs les 6 et 7 novembre)\\n\\nGROUPE A\\nUlm – Etoile Rouge de Belgrade\\nMonaco – Brescia\\nAndorre – Galatasaray\\n\\nGROUPE B\\nTofas Bursa – Alba Berlin\\nKrasnodar – Gdynia\\nZagreb – Limoges\\n\\nGROUPE C\\nAnkara – St Petersbourg\\nPartizan Belgrade – Trente\\nAsvel – Valence\\n\\nGROUPE D\\nTurin – Francfort\\nKazan – Mornar Bar\\nMalaga – Vilnius\\n\\n\\nDans le rétro :\\n\\nLe bilan de la 4e journée\\n\\nLe bilan de la 3e journée\\n\\nLe bilan de la 2e journée\\n\\nLe bilan de la 1ère journée\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe MVP de la 5ème journée\\n\\nYakuba Ouattara (19 points, 9 rebonds, 5 passes)\\n\\nAprès deux matchs pour retrouver le rythme, Yakuba Ouattara fait des étincelles en EuroCup. L’arrière tricolore a effectivement réussi un énorme match à 19 points, 9 rebonds et 5 passes hier soir dans la victoire de Monaco face à Andorre.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Croatie : problèmes de paiements pour plusieurs joueurs étrangers du Cedevita Zagreb"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après seulement environ deux mois de compétition, le club croate du Cedevita Zagreb serait déjà en difficulté financière à tel point que plusieurs joueurs étrangers n’auraient pas été payés où n’auraient pas reçu tous leurs salaires.\\n\\nSelon Eurohoops, la situation du quintuple champion de Croatie est critique et Sito Alonso – remercié il y a quelques jours -, Josh Magette ainsi que Augusto Lima n’auraient pas reçu un seul centime ou auraient plus d’un mois de retard. Certains joueurs étrangers auraient été payés pour les deux premiers mois de compétition pendant que d’autres, dont ceux cités plus haut, viendraient juste de recevoir leur premier salaire.\\n\\nDans un même temps, Sito Alonso serait toujours à Zagreb en train de négocier une indemnité de départ puisqu’il s’était engagé pour deux ans garantis plus une saison optionnelle, rapporte encore le site internet.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"CourtCuts : le Top 10 de la semaine (27 octobre)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque saison depuis maintenant sept ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCette semaine, c’est Clifford Colimon (TBC Toulouse, NM1) qui pointe à la première place du classement grâce à une magnifique passe aveugle au dessus de la tête."
}, 
{"role": "user",     "content":"Alessandro Gentile sur son arrivée en Espagne : «Je voulais vivre cette expérience»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sans club depuis le début de saison, Alessandro Gentile (2,01m, 25 ans) a trouvé refuge dans le club madrilène de l’Estudiantes avec lequel il s’est engagé pour tout le reste de la saison.\\n\\nArrivé à Madrid, l’international italien s’est exprimé pour la première fois depuis sa signature et le club a rapporté ses propos sur son site. Passé par Trévise, Milan ou encore le Panathinaïkos, le double champion d’Italie va vivre sa première expérience en Espagne. Une expérience qu’il tenait à tenter.\\n\\n« Quand j’ai eu la chance de signer avec l’Estudiantes j’ai parlé avec mon grand ami Pietro Aradori et avec Omar Cook avec qui j’ai joué il y a plusieurs années. Et j’ai décidé d’accepter parce que je crois en ce projet. Rejoindre l’un des meilleurs championnats d’Europe et une équipe avec l’histoire de l’Estudiantes est une grande opportunité pour moi. J’ai joué contre l’Estudiantes il y a quelques années en Eurocup. Je voulais avoir une expérience en Espagne où j’ai joué plusieurs fois contre des équipes d’ACB. J’adore comment vous vivez le basket ici, l’atmosphère dans les arenas et je voulais vivre cette expérience. »\\n\\nLa saison dernière en Italie, Alessandro Gentile compilait en moyenne 16,5 points, 6,1 rebonds et 3,4 passes décisives.\\n\\nPhoto : Estudiantes Madrid"
}, 
{"role": "user",     "content":"Serbie : Andrea Trinchieri est le nouvel entraîneur du Partizan Belgrade"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir remercié Nenad Canak, le Partizan Belgrade était à la recherche d’un nouveau coach et ce n’était plus qu’une question d’heures avant que le club annonce la signature d’Andrea Trinchieri (50 ans).\\n\\nLundi, l’ancien entraîneur de Bamberg s’est entretenu avec les dirigeants serbes et les deux parties ont trouvé un accord pour la saison. Passé par Milan, Kazan ou encore Cantu et Bamberg, le technicien italien a aussi été le sectionneur de la Grèce en 2013/14. Sans club depuis plusieurs mois, le meilleur entraineur de l’Eurocup en 2014 avait été écarté par le club allemand en février dernier après avoir enregistré 12 défaites sur les 15 derniers matchs.\\n\\nSur Twitter, l’entraîneur italien a déjà adopté les couleurs du club en changeant sa photo de profil par le logo du Partizan Belgrade.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague féminine: Feu vert pour Bourges et Villeneuve d’Ascq, feu rouge pour Charleville"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Villeneuve d’Ascq est venu à bout des Castors Braine et ont dû résister à un fougueux retour des Belges pour y parvenir. Les Françaises ont mené de 21 points dans le deuxième quart-temps (30-9) mais leur avance n’était plus que de 10 unités (32-22) à la pause.\\n\\nDans le dernier quart-temps, Braine est revenu plusieurs fois à deux points mais sans jamais opérer la jonction. Antonia Delaere puis Albina Razheva ont manqué la balle de l’égalisation. Villeneuve s’est imposé 51-49. L’Américaine Angela Bjorklund a été la top scoreuse de l’ESBVA avec 15 points.\\n\\nDe son côté, Bourges a parfaitement maîtrisé sa deuxième mi-temps face aux Russes de Nadezhda. Menées à la mi-temps 38-41, les Tango ont gagné le match 74-59. Marine Johannès s’est fendue de 18 points, 4 rebonds et 3 passes.\\n\\nEn revanche et comme anticipé, Charleville n’a pas fait le poids face au Dynamo Koursk (62-83). C’est la Serbe Sonja Petrovic qui a fait le plus de dégâts avec 23 points et 11 rebonds. Hailey Peters a été productive avec 21 points, 6 rebonds et 4 passes.\\n\\nPhoto: Mame Marie Sy Diop (Villeneuve, FIBA)\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=s-B2zzvU8dQ&list=PLCXERy73Oiz-UlTcepMVKS1cSQWwd0GJ-&index=3"
}, 
{"role": "user",     "content":"Champions League : Amar’e Stoudemire piétine Fuenlabrada"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour sa 4e apparition en FIBA Champions League, Amar’e Stoudemire (2,08m, 35 ans) n’a pas fait dans la dentelle. Dans la victoire facile de son équipe contre Fuenlabrada (105-75), l’ancien All Star NBA de l’Hapoel Jérusalem a été dominateur avec 24 points et 7 rebonds, le tout à 10/16 aux tirs... en 13 minutes !\\n\\nÇa fait quasiment 2 points la minute et une rentabilité de tous les instants pour l’intérieur vétéran qui a enchaîné les paniers près du cercle (à une main sur l’un d’entre eux) dans une raquette désertée.\\n\\nA 5 points et 6 rebonds de moyenne sur ce début de saison, Stoudemire ne semble pas tellement forcer son talent, mais cette prestation a bien prouvé qu’il a encore de beaux restes.\\n\\n\\n\\n\\nAmar'e Stoudemire was unstoppable as Hapoel Jerusalem got the win over Montakit Fuenlabrada... #BasketballCL\\n\\n\\n24 PTS\\n7 REBS\\n10-16 FGs\\n4-5 FTs\\n\\n\\nIn 13 MINUTES (Yes, 13)pic.twitter.com/XpaBMa0yP5\\n\\n\\n— Sportando (@Sportando) October 31, 2018\\n\\nCrédits photo : FIBA Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Christophe Le Bouille (Président du Mans) : «Il manque quelque chose à cette équipe»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Malgré un bon début de saison en Jeep Elite pour Le Mans (5v-2d), tout n’est pas tout rose chez le Champion de France en titre qui a eu du mal au démarrage en Champions League avant de se reprendre par deux fois à domicile.\\n\\nPrésident du club, Christophe Le Bouille s’est exprimé dans les colonnes du Maine Libre sur l’état actuel de son équipe et selon lui il y a des défaillances qui l’empêchent d’être digne de son standing.\\n\\n« Il manque quelque chose à cette équipe pour qu’elle soit très compétitive. Il faut qu’on trouve... On parle régulièrement avec Eric Bartecheky et Vincent Loriot afin d’améliorer l’équipe, ça passe surement par des ajustements tactiques. Ça peut être aussi l’arrivée d’un joueur supplémentaire. »\\n\\nLe problème réside-t-il dans la solidarité des joueurs entre eux ?\\n\\n« C’est la réalité. Je ne vois pas de solidarité entre les uns et les autres. On n’est pas assez compétiteurs pour l’instant. Je pense qu’on est en mesure de le faire, mais on a vu aussi qu’on est capables d’être relativement éteints sur une période assez longue. Ce qui explique des écarts aussi importants. Cette instabilité me gêne terriblement. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Final Four de l’Euroleague à Vitoria: Un millier de places vendu en 10 minutes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les abonnés de KirolBet Baskonia ont reçu ces derniers jours un code préférentiel pour accéder au site Web que l’Euroleague a mis en place pour acheter des billets pour le Final Four, qui se tiendra à Vitoria du 17 au 19 mai 2019. Un peu plus de 1 000 places entre 180 et 535 euros étaient mises en vente et elles se sont envolées en seulement 10 minutes.\\n\\n« Certaines personnes concernées se sont plaintes de recevoir des messages tels que « code expiré » ou « siège réservé » alors qu’elles s’apprêtaient à effectuer le paiement par carte de crédit », a indiqué As.\\n\\nL’arène de Buesa compte plus de 15 500 sièges, mais l’Euroleague réservera 20% de sa capacité aux sponsors, institutions, logistique et médias. En résumé, les spectateurs s’accapareront entre 11 000 et 12 000 billets .\\n\\nIl est possible d’acheter des places avec fauteuils et des box; ces emplacements dépassent respectivement 3 000 et 4 000 euros."
}, 
{"role": "user",     "content":"Chez les Miyem, le basket est une affaire de famille"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Longtemps le nom Miyem s’est résumé médiatiquement à l’international Nwal-Endéné plus connu par son diminutif, Endy. Puis il y a eu Mounadou, joueur de N2 et de N3, et Essomé, international U18. Le basket est donc une affaire de famille chez les Miyem et Les Sportives ont demandé à la joueuse de Lattes-Montpellier comment elle a chopé le virus.\\n\\n« Ma mère a joué au volley et mon père a été basketteur dans sa jeunesse, au Cameroun », a répondu Endy. « Ensuite, quand il est arrivé en France, il a continué à pratiquer et à coacher des amateurs, à Reims. C’est un réel passionné. Quand il jouait et qu’il entraînait, je l’accompagnais. Puis, j’ai commencé à pratiquer. Au départ, c’était pour être avec mes copines et pour faire plaisir a mon père. Et après, j’ai fini par aimer ça. Mon père m’entraînait pendant les vacances et je rechignais un peu parfois. Mais maintenant, je ne cesse de répéter que j’en suis là grâce à lui. A côté de ça, j’ai aussi deux oncles qui ont entraîné et joué au basket. C’est vraiment un héritage familial. »\\n\\nPar ailleurs, Endy révèle qu’elle va reprendre ses études et suivre l’exemple de son équipière, Diandra Tchatchouang.\\n\\n« Le début de saison a été assez mouvementé, avec mon départ de la WNBA et le Mondial, mais je prévois de reprendre mes études. J’ai un BTS en communication et je m’étais lancée dans un bachelor mais depuis, j’ai réfléchi : j’envisage aujourd’hui d’intégrer la filière de Sciences Po dédiée aux sportifs de haut-niveau. Ca va me permettre d’acquérir d’autres compétences pour pouvoir me démarquer et me cultiver. Le but, ce sera d’avoir autre chose dans ma vie que le basket. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau: Abdel Sylla prolongé un mois supplémentaire"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La prolongation de contrat pour un mois supplémentaire d’Abdel Sylla (2,06m, 28 ans) a été officialisée ce mercredi par l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez.\\n\\nMême si ses stats sont maigrelettes (3 points, 1.5 rebond en près de 13 min/m), le Seychellois est précieux de part sa présence physique. Par ailleurs, le pivot hongrois Akos Keller fera son apparition dans l’effectif béarnais ce week-end à Boulazac après une opération de l’appendice. En revanche, Taqwa Pinero est indisponible pour plusieurs semaines en raison de problèmes de dos.\\n\\n« Abdel a parfaitement accompli sa mission et largement contribué au bon état d’esprit actuel du groupe », a commenté le coach Laurent Vila sur le site de l’Elan Béarnais. « Le conserver nous permet de préserver notre dynamique d’équipe. Son arrivée, conjuguée à celle de Mickey (McConnell) correspond à une bonne phase et il a tout de suite trouvé ses marques dans un vestiaire au sein duquel il est vraiment apprécié de tous. Avec l’absence de Taqwa Pinero à gérer, son maintien au sein du groupe va nous permettre de faire revenir Akos (Keller) d’abord sur le poste 4 au lieu du poste 5, pour qu’il puisse retrouver ses sensations et de la force physique après 6 semaines d’arrêt. Il va nous permettre de densifier le secteur intérieur tout en laissant comme cela un peu de temps à Akos. On prend un petit risque dans le secteur extérieur mais Donta (Smith) nous a déjà prouvé qu’il pouvait assurer au poste 3 et puis cela va nous permettre d’offrir plus de responsabilités à Digué (Diawara) et Yohan (Choupas). »\\n\\nAbdel Sylla est heureux de ce prolongement:\\n\\n« Tout s’est très bien passé depuis mon arrivée, que ce soit avec le coach ou mes coéquipiers et puis il faut le dire, gagner, ça aide ! Je suis heureux de pouvoir poursuivre sur cette bonne dynamique. Même si l’Asvel aurait dû être mon dernier match, j’ai joué comme d’habitude, sans calculer et en donnant tout. J’ai toujours essayé d’apporter ce que je sais faire sur le parquet dans un très bon état d’esprit. Je ne me pose pas de question et je vis l’instant présent. J’espère que ce mois de novembre sera dans la continuité d’octobre mais attention, il débute par un match compliqué à Boulazac. Il faudra rester sur nos gardes. »\\n\\nPhoto: Elan Béarnais"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL: La SIG Strasbourg est numéro 2 sur les réseaux sociaux, Le Mans 13e, Nanterre 15e et Dijon 18e"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La SIG Strasbourg se positionne deuxième des clubs de Basketball Champions League en ce qui concerne les réseaux sociaux indique la FIBA, en prenant compte facebook, twitter et instagram.\\n\\nC’est le club turc de Besiktas Istanbul qui est de très loin le numéro 1 avec 469 193 abonnés au total. La SIG est donc deuxième avec 114 388. Le Mans est 13e (51 190), Nanterre 15e (43 851) et Dijon 18e (37 146).\\n\\nPhoto: Nicolas Lang (SIG, FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : les 10 meilleures passes du mois d’octobre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme après chaque mois de compétition, l’Euroleague propose différents top 10 des meilleures actions, voici celui des meilleures passes décisives.\\n\\nOn y retrouve notamment l’ancien levalloisien Klemen Prepelic à la sixième place tandis que c’est le meilleur passeur de la compétition, Nick Calathes, qui trône à la première place.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL: Strasbourg-Klaipeda sur Dailymotion à 18h"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le match de Basketball Champions Lague, Neptunas Klaipeda/SIG Strasbourg sera diffusé non seulement à 18h sur Canal+ Multisport, chaîne 253, mais aussi en live sur la chaîne Dailymotion de Canal+ Sport.\\n\\nPhoto: Ali Traore (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mantas Kalnietis (LDLC ASVEL): «Dans le basket européen et en EuroCup, il y a plus d’équipes qui jouent avec leur tête»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"ASVEL Time a demandé au meneur lituanien Mantas Kalnietis de comparer son équipe avec les autres de la Jeep Elite et celle-ci avec la façon de jouer dans les coupes européenne. Voici sa réponse:\\n\\n« Si l’on compare aux autres formations du championnat, je dirais que l’on pratique un basket un peu différent, d’un meilleur niveau. Bien sûr, je n’ai pas vu toutes les équipes mais pour être honnête, on joue un basket un peu plus intelligent que les autres équipes. Et je pense que c’est l’une des raisons qui expliquent nos succès. De ce que je vois actuellement, la principale différence est qu’en championnat, la majorité des équipes joue un peu plus vite et pratique un basket plus physique. On est moins dans la lecture du jeu mais davantage dans le un-contre-un, le physique, le saut, la course, etc. Dans le basket européen et en Eurocup, il y a plus d’équipes qui jouent avec leur tête et qui comprennent ce qu’elles font, qui ont beaucoup d’expérience et c’est la grande différence entre le championnat français et les compétitions européennes. »\\n\\nOutre un retour sur la carrière de Mantas Kalnietis, ce numéro d’octobre d’ASVEL Time revient sur la présentation de LDLC ASVEL et de Lyon ASVEL Féminin au centre commercial de la Part-Dieu et prend des nouvelles d’Harold Mrazek, champion de France 2002 avec l’ASVEL.Photo: Eurocupbasketball"
}, 
{"role": "user",     "content":"Sarunas Jasikevicius (Zalgiris Kaunas) : «L’organisation du basket européen est à ce jour un désastre absolu»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Légende vivante du basket européen en tant que joueur, Sarunas Jasikevicius (42 ans) est aujourd’hui en train de se construire un nom dans le monde relevé du coaching.\\n\\nInterrogé par Eurohoops, l’entraîneur du Zalgiris Kaunas s’est notamment exprimé sur la situation du basket européen.\\n\\n« Je pense que c’est un objectif d’être tous sous les ordres d’un même corps gouvernant et d’avoir les mêmes règles. Aujourd’hui, l’organisation et la situation du basket européen sont un désastre absolu. C’est ainsi, je pense que nous devons faire affaire la meilleure situation possible. Nous comprenons tous que cette situation entre la FIBA, la NBA et l’Euroleague est complètement ridicule et ils vont devoir changer parce qu’il n’y a pas d’autre moyen. »\\n\\nLa saison dernière, l’ancien international lituanien a mené le Zalgiris vers son premier Final Four d’Euroleague depuis 1999 en surprenant toutes les équipes les unes après les autres. Cette saison, Sarunas Jasikevicius ne compte pas changer de recette.\\n\\n« Je m’en fiche de savoir où on en est actuellement. Il faut s’en ficher. Il faut prendre les jours les uns après les autres. On va voir les mois passer, notre seul problème sera de progresser, il faudra voir ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas avec chez nous. »\\n\\nPendant l’intersaison, l’ancien joueur du Panathinaïkos a longtemps été associé à des rumeurs l’envoyant en NBA en tant qu’assistant coach ou même parfois coach principal. Seulement, cette situation n’est pas forcément un objectif pour le technicien lituanien.\\n\\n« Je ne sais pas. Ce n’est pas important pour moi de travailler en NBA, en Australie ou sur la Lune. Il faut travailler avec des personnes qui partagent la même mentalité, des gens pensent la même chose. Je n’abandonnerai pas mes valeurs pour aller en NBA, c’est la chose la plus importante. Je n’irai pas en NBA juste pour dire que je l’ai fait. Même quand j’étais joueur et que je suis allé NBA ça faisait partie de mes rêves, mais au moment où j’ai signé le contrat j’y allais pour essayer de gagner et d’amener l’organisation au niveau qui lui permettrait de gagner. »\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Laurent Legname (Dijon) : «C’est dommage il y avait la place pour faire l’exploit»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mardi soir, la JDA Dijon recevait le champion en titre de la Basketball Champions League, l’AEK Athènes. Si les joueurs de Laurent Legname ont fait forte impression en première mi-temps, ils se sont fait surprendre en seconde et se sont inclinés 90-80.\\n\\nAprès la rencontre, le coach Laurent Legname n’avait qu’un seul regret : le troisième quart-temps. Dans cette seule période, les Dijonnais ont encaissé 32 points alors qu’ils menaient de huit unités à la pause.\\n\\n« Franchement, je n’ai pas d’explication pour ce troisième quart-temps. Le seul regret que je peux avoir en première mi-temps c’est quand on est à plus douze, qu’on a deux ou trois shoots ouverts sur transition et qu’on peut passer à plus quinze ou plus 20 vraiment facilement. Et on l’aurait mérité parce que ce qu’on a fait en première mi-temps, c’est notre meilleure mi-temps depuis le début de la saison que ce soit offensivement ou défensivement. On ne doit pas rentrer au vestiaire avec seulement huit points d’avance, on n’est pas assez tueurs. Le fait de ne pas être assez tueurs leur laisse reprendre confiance. Après, ça n’explique pas le troisième quart-temps où on prend 32 points, on est battus défensivement sur tout. Face à une équipe comme ça qui reprendre confiance avec le niveau des joueurs qu’ils ont, c’est mission impossible. C’est dommage il y avait la place pour faire l’exploit. »\\n\\nPhoto : FOXAEP"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL- Pascal Donnadieu (Nanterre): «J’ai besoin de revoir l’action à la vidéo...»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pascal Donnadieu n’a pas tardé à la conférence d’après-match. Visiblement l’échec de son équipe au PAOK Salonique, sur la plus petite des marges (83-82), lui est resté sur l’estomac et il a été peu bavare.\\n\\n« Le scénario du match est cruel. On a fait une bonne deuxième mi-temps et après, c’est le basket. On n’a pas été heureux sur la fin de match malgré un contenu notamment en deuxième mi-temps de qualité. »\\n\\nInterrogé sur les deux lancers-francs accordés à quatre secondes de la fin à Vangelis Margaritis -le Grec en a transformé un-, il a répondu:\\n\\n« Déjà je pense que la faute n’y est pas. J’ai besoin de revoir l’action à la vidéo. Je pense que le joueur du PAOK joue bien le coup, il se jette sur le tir. L’arbitre siffle faute... »\\n\\nNanterre a donc frôlé l’exploit en Grèce grâce à un troisième quart-temps (19 à 12) où l’équipe des Hauts-de-Seine est passée en tête. Adas Juskevicius (19 points, 5/10 à trois-points), Haukur Palsson (16 points, 4 rebonds), Lahaou Konate (15 points, 5 rebonds, 4 passes) et Dominic Wauters (14 points, 3 rebonds, 4 passes) avaient fait le maximum, l’équipe avait une fois de plus fait des étincelles à trois-points (13/24), mais c’est donc sur un coup de dé que tout s’est joué...\\n\\nPhoto: Lahaou Konate (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : le Top 5 des contres de la 7e journée de Jeep®ÉLITE"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La septième journée de Jeep® ÉLITE s’est terminée lundi soir et la LNB vient de publier le top 5 des contres de cette journée. On y retrouve Johan Passave-Ducteil, Akil Mitchell, Jarrod Jones, Nicolas De Jong et Mickael Gelabale.\\n\\n\\n\\n\\nCa vous dit un petit TOP 5 des contres de la J7 de #JeepELITE ? 🔝\\nEnjoy ! 🍿\\nAvec @JOPASSAVEDUC13, @ajmitchell25, @JarrodJones45, @NicodeJong14 et @Mickaelgelabale pic.twitter.com/2rsqvNIzOl\\n\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) October 30, 2018\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Leaders Cup Pro B: Roanne, Nancy, Orléans et Rouen en demi-finales"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pas de véritables surprises lors des quarts-de-finale de la Leaders Cup Pro B. A noter tout spécialement les 26 points, 11 rebonds, 4 interceptions pour 35 d’évaluation du Rouennais Zimmy Nwogo.\\n\\nRoanne* b. Paris: 77-69, Nancy* b. Evreux: 84-56, Orléans* b. Poitiers: 84-69, Rouen* b. Lille: 89-81.\\n\\nDemi-finales :\\n\\nAller le 13 novembre, retour le 20 novembre\\n\\nOrléans – Roanne\\n\\nRouen – Nancy"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: La belle victoire de l’ASVEL face à Saint-Petersbourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Superbe victoire hier soir de LDLC ASVEL face au Zénith Saint-Petersbourg, 89-68. Avec 22 points et 5 passes, le Lituanien Mantas Kalnietis a une fois de plus exposé son talent alors que le Croate Miro Bilan a réalisé un double double (10 points, 10 rebonds).\\n\\nAprès cinq journées, les Villeurbannais se retrouvent ainsi en tête de leur groupe avec 4 victoires et une seule défaite face à Valence, avec qui ils partagent cette première place. Ils sont pourtant privés actuellement de leur trio d’intérieurs français Amine Noua, Livio Jean-Charles et Alpha Kaba. Le meneur Théo Maledon, 17 ans, a joué 19 minutes pour 6 points, 3 rebonds et 2 passes.\\n\\nEn conférence de presse, le coach Zvezdan Mitrovic a indiqué souhaiter conserver le pivot américain Eric Buckner (2,08m, 28 ans) enrôlé comme pigiste.\\n\\nPhoto: Théo Maledon (Eurocupbasketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Kobe Bryant ambassadeur de la Coupe du monde 2019"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ancien joueur star de la NBA et de l’équipe nationale des Etats-Unis Kobe Bryant a été présenté mercredi comme ambassadeur mondial de la Coupe du Monde FIBA 2019.\\n\\nAu cours des 20 ans de sa carrière, Bryant a remporté cinq titres NBA avec les Los Angeles Lakers et deux médailles d’or olympique avec les USA. Il est considéré comme l’un des meilleurs joueurs de l’histoire du basket-ball et l’un des plus grands athlètes de tous les temps.\\n\\nSa popularité en Chine est énorme et il est actuellement encore le joueur NBA le plus suivi sur les réseaux sociaux chinois, où il compte 6,84 millions de followers.\\n\\nBryant rejoint Yao Ming au rang des ambassadeurs de la plus grande compétition du basket-ball mondial.\\n\\nEn tant qu’ambassadeur, Bryant assurera la promotion de la Coupe du Monde et il prendra part à différentes activités tournant autour de celle-ci (‘Road to China 2019’). Il sera présent à cette toute première édition à 32 équipes du tournoi FIBA.\\n\\n« Ayant grandi en Italie et passé de nombreuses années à visiter la Chine, j’ai toujours apprécié l’impact du basket à l’échelle mondial et ses répercussions positives sur le développement des jeunes, » dit Bryant. « Je suis honoré d’avoir été choisi par la FIBA pour être un des ambassadeurs de la Coupe du Monde FIBA 2019. J’espère que ma participation motivera les meilleurs joueurs des 32 équipes qualifiées à venir représenter leurs pays respectifs à l’occasion de la plus grande compétition mondiale. Je me réjouis de voir qui soulèvera le trophée l’an prochain. »\\n\\nLe président de la FIBA Horacio Muratore est très heureux d’accueillir ce nouvel ambassadeur de la Coupe du Monde FIBA 2019.\\n\\n« Nous sommes très excités et honorés de pouvoir compter sur la présence d’une légende du sport du calibre de Kobe Bryant pour la Coupe du Monde de l’année prochaine, » souligne-t-il. « Ceci démontre toute l’importance de ce tournoi. Avec un nombre record d’équipes participantes et comme point culminant des Éliminatoires actuellement en jeu, la Coupe du Monde FIBA 2019 en Chine sera à n’en pas douter un événement unique et un des moments forts de l’année sportive 2019. Kobe a porté avec fierté les couleurs des USA, avec lesquels il a réalisé de fantastiques résultats. Ainsi, il semble logique de lui confier ce rôle d’ambassadeur de cette édition, qui sera la plus grande jamais organisée. »\\n\\nL’annonce de la participation de Bryant en tant qu’ambassadeur mondial est la dernière d’une liste d’initiatives en vue de la Coupe du Monde. Auparavant, il y a déjà eu la présentation de Yao Ming comme premier ambassadeur, le dévoilement du logo et de la mascotte de la compétition, le lancement des Éliminatoires pour la Coupe du Monde pour déterminer les 31 nations qui accompagneront la Chine dans le tournoi et le lancement du compte à rebours des 100 jours avant le début de la compétition, avec les présentations des compte à rebours Tissot installés dans chacune des huit villes hôtes.\\n\\nAvant le début de la compétition le 31 août 2019, d’autres activités pour marquer les étapes importantes qui mènent en Chine en 2019 seront organisées, avec notamment le lancement du ‘Trophy Tour’ et le tirage au sort le 16 mars à Shenzhen.\\n\\nPhotos: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"La FFBB lance le premier championnat 3×3"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le cadre de son plan stratégique « FFBB 2024 », la Fédération Française de BasketBall a décidé de créer le premier championnat 3×3 FFBB. Ce championnat, qui se déroulera en deux phases, débutera le 1er novembre.\\n\\nLa première saison du championnat 3×3 FFBB débutera officiellement le 1er novembre 2018 et ce jusqu’au 31 mars 2019. Tous les clubs formés en associations sportives ou structures privées, affiliées à la FFBB pourront participer à ce championnat de niveau départemental, accessible aux hommes comme aux femmes. Cinq catégories permettront la répartition des pratiquants : U15, U18, U23, Séniors (+18) et Séniors Plus (+35).\\n\\nLa première phase, qui débutera le 1er novembre, se nomme les « Séries ». Elle permettra d’établir un classement qui conditionne la répartition des équipes pour la seconde phase. Lors de cette deuxième phase, les meilleures équipes joueront en « Masters » et les autres équipes en « Defenders ». A l’issue de cette deuxième phase, le vainqueur des poules « Masters » sera déclaré champion.\\n\\nLe championnat 3×3 FFBB sera dans les années à venir étendu au niveau régional et national. Il complète le dispositif 3×3 sur l’ensemble du territoire avec la « Superleague 3×3 FFBB ». Les « Opens Start » ont déjà commencé. Les « Opens Plus », eux, se dérouleront d’avril à mi-juillet avant « l’Open de France », fin juillet. Ce dernier regroupant les meilleures équipes du circuit « Open Plus ».\\n\\nNouvelle discipline aux Jeux Olympiques de Tokyo 2020, le 3×3 est un des points majeurs du plan stratégique « FFBB 2024 ».\\n\\nPlus d’infos sur le 3×3 :www.ffbb.com/3×3"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Moustapha Fall impeccable pour le Loko"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le contingent français ne faiblit pas sur le Vieux Continent. Fort de vingt-trois joueurs (à l’heure de ces lignes) répartis sur dix pays, les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment neuf joueurs dans le championnat espagnol, la référence.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe Barça garde le rythme\\n\\nSi ça ne va pas forcément très fort en Euroleague avec 2 victoires en 4 matchs, Barcelone parvient par contre à tenir le rythme infernal du Real Madrid en Liga ACB. Face à Badalone dans le derby catalan, le Barça a dû recourir à une prolongation mais a fini par s’imposer derrière un énorme Kevin Pangos (32 points). Kevin Séraphin (12 points) semble de plus en plus en jambes, avec un gros dunk et un beau contre dans ce 6e succès d’affilée !\\n\\nMathias Lessort (13 points, 7 rebonds et 26 d’évaluation, nouveau record personnel) a également réussi un gros match pour Malaga qui s’accroche également avec 5 victoires en 6 matchs. Face au cubain Justiz, Lessort a enchaîné interception et gros pétard pour finir également dans le Top 7 !\\n\\n\\nDuel franco-français en Grèce\\n\\nLes deux Français de Grèce se retrouvaient ce dimanche pour le match entre l’Aris Salonique et l’Olympiakos. Si Boris Dallo (7 points, 5 rebonds) a été le plus en vue individuellement, c’est bien Axel Toupane (3 points) et les Reds qui s’en sortent avec la victoire (68-64). L’Oly reste ainsi invaincu en Esake après 4 journées.\\n\\n\\n\\n\\nΟ Ολυμπιακός συνέχισε αήττητος και στη Θεσσαλονίκη #basketleaguehttps://t.co/bJ6Ag2OEYD pic.twitter.com/PLqOItuDQm\\n\\n\\n— ΕΣΑΚΕ (@esakegr) October 29, 2018\\n\\n\\nMoustapha Fall reçu 5/5 !\\n\\nDernier club invaincu en EuroCup, le Lokomotiv Krasnodar ne l’est certes plus en VTB League, mais le club de Moustapha Fall continue son début de saison très sérieux avec un 3e succès en 4 rencontres en championnat. Le pivot tricolore a pour le coup été reçu 5/5 aux tirs dans cette victoire, avec 10 points et 5 rebonds et 2 contres pour 17 d’évaluation, son record personnel.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=vALLrIpklH0\\n\\n\\nJoffrey Lauvergne à un souffle du double double\\n\\nPeu utilisé dans la défaite en Euroleague face à l’Efes dans la semaine, Joffrey Lauvergne a eu droit aux honneurs du cinq majeur ce weekend en championnat turc. Et l’intérieur français a été solide avec 9 points et 10 rebonds, à un souffle du double double. Le Fener n’a pas eu à trop forcer son talent pour venir à bout de Gaziantep (67-55).\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=IvklyI3ODAc\\n\\n\\nAdam Mokoka toujours aussi aérien\\n\\nEn Ligue Adriatique enfin, Adam Mokoka (11 points, 6 passes, 3 rebonds) a de nouveau fait parler la poudre. Le jeune Français a effectivement été plus efficace qu’à l’accoutumée avec 5/7 aux tirs, dont deux finitions spectaculaires (voir ci-dessous). Il ne reste plus qu’à nettoyer ces balles perdues en pagaille (5)...\\n\\n\\nEspagne\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 13 points (5/6 aux tirs), 7 rebonds, 3 passes, 2 contres, 1 interception, 1 balle perdue en 19 minutes (victoire 98-82 face à Saragosse)\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 12 points (6/8 aux tirs), 3 rebonds, 1 contre, 1 balle perdue en 18 minutes (victoire 94-92 ap face à Badalone)\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 9 points (3/6 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes en 20 minutes (victoire 86-67 face à Fuenlabrada)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 8 points (3/9 aux tirs), 6 passes, 2 rebonds, 1 interception, 4 balles perdues en 30 minutes (défaite 96-81 face à Tenerife)\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 6 points (2/5 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 15 minutes (victoire 100-67 face à Estudiantes)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 5 points (2/6 aux tirs), 1 rebond, 1 balle perdue en 16 minutes (victoire 90-77 face à Burgos)\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 4 points (2/6 aux tirs), 1 passe, 1 contre en 13 minutes (défaite 74-63 face à San Sebastian)\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 0 point (0/2 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 balle perdue en 7 minutes (victoire 94-92 ap face à Badalone)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué\\n\\n\\nGrèce\\n\\nBoris Dallo (Salonique) : 7 points (3/8 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 18 minutes (défaite 68-64 face à l’Olympiakos)\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 3 points (1/2 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 balle perdue en 15 minutes (victoire 68-64 face à Salonique)\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : match ce soir face à Herzeliya\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Bologne) : 8 points (3/10 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 27 minutes (défaite 84-66 face à Cremona)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 5 minutes (victoire 71-58 face à Panevezys)\\n\\n\\nMonténégro\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 6 points (2/7 aux tirs), 5 rebonds, 2 contres, 1 balle perdue en 23 minutes (défaite 63-58 face à Zagreb)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : 9 points (4/12 aux tirs), 8 rebonds, 3 interceptions, 1 passe, 1 balle perdue en 26 minutes (victoire 79-76 face à Anwil)\\n\\n\\nRussie\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : 10 points (5/5 aux tirs), 5 rebonds, 2 contres, 1 interception, 1 balle perdue en 15 minutes (victoire 88-75 face à Nizhny Novgorod)\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : n’a pas joué (victoire 108-84 face à Perm)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAdam Mokoka (Mega) : 11 points (5/7 aux tirs), 6 passes, 3 rebonds, 2 interceptions, 5 balles perdues en 32 minutes (victoire 84-80 face à Bar)\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 5 points (2/3 aux tirs), 3 rebonds, 3 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 22 minutes (défaite 95-85 face à Zadar)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 9 points (4/8 aux tirs), 10 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 contre, 1 balle perdue en 25 minutes (victoire 67-55 face à Gaziantep)\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : 6 points (2/3 aux tirs), 2 passes, 1 rebond en 10 minutes (défaite 96-86 face à Sakarya)\\n\\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : n’a pas joué (défaite 96-86 face à Sakarya)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Vincent Poirier au presque parfait\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe Barça garde le rythme\\n\\nSi ça ne va pas forcément très fort en Euroleague avec 2 victoires en 4 matchs, Barcelone parvient par contre à tenir le rythme infernal du Real Madrid en Liga ACB. Face à Badalone dans le derby catalan, le Barça a dû recourir à une prolongation mais a fini par s’imposer derrière un énorme Kevin Pangos (32 points). Kevin Séraphin (12 points)\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie : 11 joueurs d’Euroleague présélectionnés pour la prochaine fenêtre internationale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Fédération turque ne porte visiblement que très peu d’importance au conflit qui oppose la FIBA et l’Euroleague puisque Ufuk Sarica, le sélectionneur, a fait appel à pas moins de onze joueurs d’Euroleague.\\n\\nPas encore qualifiée pour la Coupe du Monde 2019 qui aura lieu en Chine, la Turquie est tout de même bien embarqué avec six victoires pour deux défaites. Le 29 novembre prochain, elle affrontera l’Espagne à Ankara et elle se déplacera au Monténégro le 2 décembre. En vue de cette nouvelle fenêtre de qualification, le sélectionneur turc a uniquement fait appel à des joueurs qui évoluent en Turquie, à part Scottie Wilbekin qui est à Tel-Aviv.\\n\\nVoici la présélection complète avec donc onze joueurs d’Euroleague provenant de quatre clubs différents :\\n\\n * Doğuş Balbay (Anadolu Efes)\\n * Sertaç Şanlı (Anadolu Efes)\\n * Buğrahan Tuncer (Anadolu Efes)\\n * Metecan Birsen (Anadolu Efes)\\n * Tolga Geçim (Banvit)\\n * Rıdvan Öncel (Banvit)\\n * Kenan Sipahi (Beşiktaş)\\n * Kartal Özmızrak (Darussafaka)\\n * Berk Demir (Darussafaka)\\n * Oğuz Savaş (Darussafaka)\\n * Ali Muhammed (Fenerbahce)\\n * Melih Mahmutoğlu (Fenerbahce)\\n * Sinan Güler (Fenerbahce)\\n * Göksenin Köksal (Galatasaray)\\n * Ege Arar (Galatasaray)\\n * Kadir Bayram (Gaziantep)\\n * Semih Erden (İstanbul BBSK)\\n * Berk Uğurlu (Pınar Karşıyaka)\\n * Metin Türen (Türk Telekom)\\n * Muhsin Yaşar (Tofas Bursa)\\n * Yiğit Arslan (Tofas Bursa)\\n * Barış Ermiş (Tofas Bursa)\\n * Berkan Durmaz (Tofas Bursa)\\n * Scottie Wilbekin (Maccabi Tel Aviv)\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep® ÉLITE : l’action de la semaine signée Georgi Joseph !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si le match entre Chalon et Monaco s’est terminé en folie grâce aux exploits du micro meneur chalonnais Justin Robinson, Georgi Joseph a aussi assuré le spectacle du côté de Monaco.\\n\\nDans la défaite de la Roca Team au Colisée, l’ancien joueur de l’ASVEL est monté au dunk sur Ousmane Camara. C’est l’action de la semaine en LNB.\\n\\n\\n\\n\\n📢 @DLSI_Officiel vous présente l'Action de la Semaine de la J7 de #JeepELITE ! Georgi Joseph de l'@ASMonaco_Basket nous offre ce \\tomar monumental\\ (dixit @FredMazeas) dans la défaite au Colisée face à l'@ELANCHALON. Et oui @Bigfredstyle c'est possible ! 😜 pic.twitter.com/8EjecpzZDO\\n\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) October 30, 2018\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : Jonathan Rousselle (Limoges) plutôt Beaublanc ou la Meilleraie ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un nouveau contenu publié sur Twitter, le Limoges CSP a demandé à son capitaine Jonathan Rousselle de devoir faire des choix parfois difficiles comme celui de choisir entre Beaublanc et La Meilleraie de Cholet.\\n\\n\\n\\n\\n🎞️COAST TO COAST #1 🎞️\\n\\n\\n📲🎥 #CSPnation, la semaine dernière vous avez choisi @JoRousselle pour ce premier épisode de la saison 2018/2019 👇\\n\\n\\nC’est cadeau 🎁 #BoulettedAvesnes 🧀🤣#CSPnation💚 pic.twitter.com/5WL5vGzvXQ\\n\\n\\n— Limoges CSP (@limogescsp) October 29, 2018\\n\\nPhoto : Limoges CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nos guides Jeep Elite, Pro B et LFB toujours disponibles à la commande"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nouvelle saison rime avec nouveaux joueurs et joueuses. C’est pourquoi Basket Europe a réalisé les guides des trois grands championnats français : la Jeep Elite, la Pro B et la LFB.\\n\\nAu programme du guide de Jeep Elite, une présentation de chaque joueur de chacune des 18 équipes du championnat avec en plus des interviews de Paul Lacombe, Alain Koffi, Nicolas Batum ainsi que les portraits des deux équipes de France U17 de l’été 2018.\\n\\nPour la Pro B, en plus de nos commentaires et de celui des coachs, nous vous présentons le joueur à suivre dans chaque club, avec un focus sur Joe Burton (Blois), Gries et Nancy, et des interviews de Killian Hayes, Sekou Doumbouya et du président de la LNB, Alain Béral, notamment à propos de l’Euroleague.\\n\\nEn LFB, nous vous proposons une interview du président de la Ligue, Philippe Legname, les chiffres clés de la première division féminine française, ainsi que la présentation de chaque équipe et un focus sur deux joueuses par équipe. Il s’agit du guide officiel de la Ligue Féminine réalisé en partenariat avec elle.\\n\\nLe prix de vente à l’unité est de 6€ et nous vous proposons une offre à 15€ pour les trois guides. Pour les commander il suffit de vous rendre sur la boutique en ligne en cliquant ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Assane Ndoye (Elan Chalon) : «Je ne veux plus qu’on dise que je suis juste un jeune potentiel»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Formé à l’Elan Chalon, vainqueur du Trophée du Futur et du championnat Espoirs en 2013, Assane Ndoye (2m, 22 ans) a été prêté à l’ADA Blois entre janvier 2016 et juin 2018 pour progresser en vue de faire son retour dans l’Elite plus aguerri. Après avoir été sacré champion de France de Pro B en juin 2018, le natif de Nogent-sur-Marne est revenu au bercail et s’est engagé trois nouvelles années avec Chalon-sur-Saône.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComment s’est passé votre saison et demie à Blois ?\\n\\nAu début c’était spécial parce que je suis parti de Chalon en cours de saison. Je ne jouais pas avec l’Elan donc c’était compliqué. Je voulais jouer absolument et se lancer dans une équipe comme ça en cours de saison ce n’est pas facile parce que tous les joueurs se connaissent déjà depuis longtemps. Il y aussi toujours des à priori quand tu ne sais pas. Dans mon cas, je descendais en Pro B, mais je ne savais pas quand je pourrais remonter. C’était un risque à prendre, je l’ai pris et je suis content parce tout s’est super bien passé quand je suis arrivé là-bas. Les gars étaient très accueillants et ils m’ont tout de suite mis en confiance. Ça a été une super expérience parce que j’ai pu progresser. La première année, je n’avais pas trop de responsabilité, je sortais du banc et j’essayais de m’adapter au championnat. La deuxième année j’ai pu monter crescendo en température et j’ai pu jouer comme je le voulais. J’ai pu me lâcher, j’avais de la liberté.\\n\\nVous avez été champion de France Pro B mais ce n’était pas le plan initial pour Blois ?\\n\\nLa saison de mon arrivée, on était aux portes des playoffs donc pour une équipe qui venait de monter c’était pas mal. La saison dernière, l’objectif clair c’était les playoffs. Finalement, on a joué les matchs les uns après les autres et on s’est rendu compte, surtout après la phase aller, qu’on jouait les yeux dans les yeux avec toutes les équipes. Donc on s’est dit pourquoi pas aller chercher quelque chose. En janvier quand on commençait déjà à être pas mal on s’est dit qu’on ne voulait plus les playoffs mais tout simplement la première place. D’autant plus qu’en Pro B quand t’es premier tu ne fais pas les playoffs et tu es en vacances plus tôt, c’était bénéfique pour tout le monde (rires).\\n\\nUne saison et demie à Blois, c’était le programme ou il n’y avait pas vraiment de plan ?\\n\\nIl n’y avait pas de plan du tout. J’y suis allé d’abord pour six mois et on ne savait pas ce que je devais faire à la fin de l’année. Mon souhait était de continuer en Pro B parce que selon moi je n’avais pas assez prouvé et je n’avais pas assez joué donc je ne voulais pas remonter pour cirer le banc. Pendant la deuxième année j’ai été beaucoup suivi par l’Elan. J’avais le droit à des retours et ils ont été très vite intéressés pour me récupérer et monter un projet avec moi. J’ai dit au club que si le but était de me récupérer, je voulais construire quelque chose sur le long terme. J’ai signé trois ans pour espérer avoir beaucoup plus de temps de jeu sur la troisième année.\\n\\n« Tu ne peux pas dire à Mike Gelabale : « passe-moi la balle et laisse-moi shooter »\\n\\nSeriez-vous resté à Blois si le club avait pu monter en Jeep Elite ?\\n\\nNon, je ne pouvais pas parce que l’Elan avait déjà mis une option sur moi. Avant d’être champion de Pro B, je savais déjà que je devais retourner à Chalon parce que mon contrat était déjà écrit et j’avais déjà presque signé. J’ai juste laissé traîner tout ça parce que je voulais faire les choses dans l’ordre : d’abord le championnat avec Blois et après on parle de l’année suivante. Je ne voulais pas mélanger les choses. Je savais avant la fin du championnat que j’allais retourner à Chalon, mais il n’y a que mes proches qui étaient au courant.\\n\\nComment s’est passé votre retour à Chalon ? Quel projet vous a proposé Jean-Denys Choulet ?\\n\\nJe n’ai pas vraiment parlé avec Jean-Denys, je sais déjà ce qu’il attend de moi. Je sais que le club aussi compte sur moi parce que l’année dernière a été difficile et les dirigeants voulaient repartir sur de meilleures bases et s’aider du centre de formation pour avoir des joueurs qui ont les valeurs du club. L’Elan voulait aussi créer une vraie passerelle entre le centre de formation et le monde pro et c’est pour ça que je suis souvent avec les plus jeunes. Je leur parle beaucoup, je fais des interventions... Et sur le terrain le but est que je m’affirme vraiment en Jeep Elite pour qu’on ne dise plus que je suis juste un jeune potentiel mais que je suis un joueur à part entière du championnat. Si je montre les bons signes, j’aurai de plus en plus de responsabilités pour espérer dans trois ans être dans le cinq de départ. Je ne sais pas, mais c’est un souhait.\\n\\nVous faites la passerelle entre les jeunes et les pros. Les plus anciens sont-ils, à leur tour, là pour vous ?\\n\\nOui, très ! J’ai la chance de jouer avec Mike Gelabale qui a un gros CV et c’est un gars qui te parle tout le temps. Ça ne se voit pas forcément quand on regarde un match parce qu’il n’est pas très expressif, mais derrière il n’hésite pas à venir te voir après les matchs si t’es pas bien. C’est une anecdote mais en pré-saison, à un moment il voit que je vais rentrer pour lui il m’a dit « quand c’est comme ça tu me le dis. Je fais une faute comme ça je sors ». Il est très cool. C’est pareil pour Ousmane Camara, il est toujours dans notre délire donc c’est beaucoup plus facile. Pareil pour Mykal Riley. En plus c’est un Américain qui parle français donc il est toujours en train de donner des conseils. Je n’ai vraiment pas à me plaindre parce que les plus anciens font vraiment tout pour qu’on réussisse.\\n\\nJusqu’à maintenant que pensez-vous de votre rôle dans l’équipe ?\\n\\nJe ne serai jamais assez satisfait de ce que je fais mais je pense que ce que je propose depuis le début de saison c’est plutôt positif. J’ai des bons retours. C’est un changement de statut. L’année dernière j’avais un peu plus de shoots et c’était plus facile pour mettre des points. Là, j’arrive dans un effectif avec des gros CV. Tu ne peux pas dire à Mike Gelabale : « passe-moi la balle et laisse-moi shooter ». C’est beaucoup plus compliqué pour moi de m’imposer, mais je trouve ma place. Défensivement j’ai toujours été un pitbull donc je continue et offensivement ça vient petit à petit. Je me sens bien et je pense que ça ne peut que s’améliorer.\\n\\nAvez-vous suivi la saison 2017/18 de l’Elan Chalon ?\\n\\nJ’ai suivi de loin. T’es obligé parce que tout est rattaché au club. Tu te dis que t’es dans ta dernière année de contrat avec eux après, s’ils te rappellent et qu’ils descendent en Pro B... Moi mon objectif c’était vraiment de rejouer en Jeep Elite cette saison. Si j’avais continué en Pro B j’avoue que ça m’aurait un peu embêté.\\n\\nQue pensez-vous de l’équipe cette année ?\\n\\nAu-delà du basket, je pense que le plus important c’est d’avoir une bonne cohésion et d’être une bonne équipe en dehors du terrain. A chaque fois que ça s’est bien passé hors du terrain, ça s’est toujours bien passé sur le terrain. Là, en dehors du terrain on s’entend super bien et ça se transmet sur le terrain donc c’est normal que tout se déroule bien. On a aussi des gros talents comme Justin Robinson. Il est jeune, ce n’est pas un gars qui a la grosse tête, il veut toujours prouver et il déconne avec tout le monde. Ce n’est pas parce que c’est un Américain et qu’il marque 20 points par match qu’il va te snober.\\n\\nJustement, saviez-vous que Justin Robinson était capable de prendre feu comme ça ?\\n\\nAh oui, oui ! Quand on fait des matchs en 21 points, il est capable de planter quatre trois points d’affilée pour tuer le match. Déjà à l’entraînement il est capable de le faire alors ça ne nous surprend pas forcément de le voir se lâcher comme ça en match. Il est discret, quand tu le vois tu te dis que c’est un petit meneur qui va avoir peur des contacts mais pas du tout. Il en a rien à faire que tu fasses 2,10m, que tu sois un gros nom ou pas. Il s’en fiche que le mec soit réputé dans le championnat ou pas, il va tout faire pour le défoncer. Il a une bonne mentalité, faut qu’il continue comme ça.\\n\\nQuels sont les objectifs cette saison ?\\n\\nOn vise les playoffs. Ça faisait plusieurs années de suite que le club allait en playoffs et l’année dernière ça n’a pas été le cas, ça a été un coup dur pour le club donc il faut y retourner maintenant. La Leaders Cup, si possible, mais on pense vraiment d’abord aux playoffs.\\n\\nSur quels points pensez-vous devoir progresser en priorité ?\\n\\nSur le tir. Ça a toujours été ma bête noire. J’ai progressé l’année dernière, il faut que je continue dans cette lancée.\\n\\n[armelse]\\n\\nComment s’est passé votre saison et demie à Blois ?\\n\\nAu début c’était spécial parce que je suis parti de Chalon en cours de saison. Je ne jouais pas avec l’Elan donc c’était compliqué. Je voulais jouer absolument et se lancer dans une équipe comme ça en cours de saison ce n’est pas facile parce que tous les joueurs se connaissent déjà depuis longtemps. Il y aussi toujours des à priori quand tu ne sais pas. Dans mon cas, je descendais en Pro B, mais je ne savais pas quand je pourrais remonter. C’était un risque à prendre, je l’ai pris et je suis content parce tout s’est super bien passé quand je suis arrivé là-bas. Les gars étaient très accueillants et ils m’ont tout de suite mis en confiance. Ça a été une super expérience parce que j’ai pu progresser. La première année, je n’avais pas trop de responsabilité, je sortais du banc et j’essayais de m’adapter au championnat. La deuxième année j’ai pu monter crescendo en température et j’ai pu jouer comme je le voulais. J’ai pu me lâcher, j’avais de la liberté.\\n\\nVous avez été champion de France Pro B mais ce n’était pas le plan initial pour Blois ?\\n\\nLa saison de mon arrivée, on était aux portes des playoffs donc pour une équipe qui venait de monter c’était pas mal. La saison dernière, l’objectif clair c’était les playoffs. Finalement, on a joué les matchs les uns après les autres et on s’est rendu compte, surtout après la phase aller, qu’on jouait les yeux dans les yeux avec toutes les équipes. Donc on s’est dit pourquoi pas aller chercher quelque chose. En janvier quand on commençait déjà à être pas mal on s’est dit qu’on ne voulait plus les playoffs mais tout simplement la première place. D’autant plus qu’en Pro B quand t’es premier tu ne fais pas les playoffs et tu es en vacances plus tôt, c’était bénéfique pour tout le monde (rires).\\n\\n« Tu ne peux pas dire à Mike Gelabale : « passe-moi la balle et laisse-moi shooter »[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos : Charlotte Geoffray"
}, 
{"role": "user",     "content":"La NBA pourrait retarder sa saison 2019-20 pour laisser de la place à la Coupe du monde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon différentes sources, il apparaît que la saison régulière de NBA 2019-20 pourrait commencer une semaine plus tard, soit le 22 octobre.\\n\\nL’une des raisons de cette décision est la Coupe du monde qui se tiendra en Chine du 31 août au 15 septembre et à laquelle participeront l’équipe américaine et aussi de nombreux NBAers. Si tel est le cas, cela constituerait un geste fort dans les rapports entre la ligue américaine et les instances internationales.\\n\\n\\n\\n\\nThe 2019-20 NBA season will move back one week next year and begin October 22, per league sources. This means the playoffs will also begin a week later. The change is to prevent opening night from occurring too early moving forward each year. The FIBA World Cup was also a factor.\\n\\n\\n— Kevin O'Connor (@KevinOConnorNBA) October 29, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jordan Theodore: Buducnost plutôt que Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bien qu’il soit encore sous contrat, le meneur américain au passeport macédonien Jordan Theodore (1,83m, 28 ans) pourrait bientôt quitter Armani Milan.\\n\\nLe KK Buducnost, qui cherche un remplaçant à l’ancien Monégasque Aaron Craft, est intéressé par Theodore tout comme Darussafaka et Limoges, indique Sportando. Le CSP est donc sur la piste des deux joueurs mais le site précise que l’éventualité d’une venue de Theodore à Limoges est faible car le joueur souhaite jouer l’Euroleague. Il peut aussi se tourner vers le lucratif championnat chinois.\\n\\nToutes ces informations confirment le fait que London Perrantes (1,88m, 24 ans) ne devrait pas faire long feu dans le Limousin."
}, 
{"role": "user",     "content":"Savo Vucevic (Bourg): «L’absence de Garrett Sim a été visible chez nous»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est une victoire qui pourrait s’avérer primordiale dans le décompte final. Les Metropolitans de Levallois sont allés s’imposer dans la salle Ekinox de Bourg-en-Bresse, à l’issue d’un match disputé comme le démontre le score final, 80-78.\\n\\nPour le coach burgien, Savo Vucevic, le forfait de son meneur Garrett Sim (1,88m, 28 ans) a été un lourd handicap.\\n\\n« C’est dommage parce que ça été un match serré », a t-il déclaré après la rencontre. « On n’a pas profité dans les moments où il fallait pour faire un break plus important. Il manquait un peu plus d’expérience dans les moments-clés pour gérer le match, le contrôler. L’absence de Garrett Sim a été très visible chez nous. C’est l’un des plus faibles pourcentages à trois-points. Ce soir, on a pratiquement rien mis (NDLR: 4/18). Garrett Sim est aussi très bon en défense et ce soir on a eu tellement de problèmes contre Ukic. L’expérience de Garrett aurait été indispensable pour gagner ce match. »\\n\\nLe meneur croate Roko-Leni Ukic (19 points et 7 rebonds) a de fait été épatant démontrant son immense science du jeu.\\n\\n« On sait que c’est une salle difficile, » a réagi le coach levalloisien Freddy Fauthoux » Ils étaient invaincus chez eux, on savait qu’ils mettaient beaucoup de points. Je pense qu’on a pris le match par le bon bout surtout en terme de solidarité de groupe. On savait que Bourg-en-Bresse allait beaucoup marquer surtout sur leur jeu rapide de transition. Je pense qu’ils ont marqué 60% de leurs points là-dessus. Malgré ça on est resté ensemble, ça prouve que l’équipe a du caractère et que l’on peut gagner aussi à l’extérieur. »\\n\\nPhoto: Garrett Sim (JL)"
}, 
{"role": "user",     "content":"La FFBB diffuse une vidéo contre le racisme, «Notre victoire ce sont nos différences»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’issue de son Assemblée Générale au cours de laquelle la Fédération Française de BasketBall a validé son plan de développement FFBB 2024, la fédération a souhaité également réaffirmer ses valeurs à travers son engagement dans le programme « FFBB Citoyen » et la diffusion d’une vidéo contre le racisme.\\n\\nDans le cadre du programme FFBB Citoyen, la FFBB mène des actions qui reposent sur les valeurs fondamentales du basket que sont le Fair-Play, la Solidarité et l’Intégration. C’est dans ce cadre que la fédération s’engage aujourd’hui contre toute forme de racisme et d’intolérance dans le sport à travers une vidéo mettant en scène les joueurs et les joueuses des Équipes de France ainsi que leurs coachs, et le rappeur Manu Key.\\n\\nCette vidéo sera diffusée sur les réseaux sociaux et utilisée comme support pédagogique dans les clubs, les formations et les événements organisés par la fédération.\\n\\nDes actions de sensibilisation sont régulièrement menées par la FFBB depuis plusieurs saisons sur la lutte contre les discriminations en général, et contre le racisme en particulier : intégration de cette thématique dans les stages de présaison des officiels et dans les formations des entraineurs ou des dirigeants fédéraux ; sensibilisation sur le terrain via la campagne « un différend ou une différence » ou par la lecture d’un texte avant les rencontres lors de « La semaine d’éducation contre le racisme et l’antisémitisme » ; diffusion d’outils réalisés par le Ministère en Charge des Sports concernant les conséquences juridiques relatives aux actes et comportements à caractère raciste.\\n\\n« Cette vidéo montre l’engagement fort de la fédération pour lutter contre toute forme de discrimination, » commente Jean-Pierre Siutat, président de la FFBB. « Je remercie sincèrement les joueurs, les joueuses et les coachs qui ont pris part à sa réalisation et notamment Diandra Tchatchouang et Aby Gaye qui ont porté ce projet. Le basket et la fédération peuvent être fiers d’incarner des valeurs de tolérance et d’intégration. Il faut tout faire pour les préserver et les transmettre à nos jeunes générations, c’est aussi la vocation de notre programme FFBB Citoyen. Les différences font la force d’une équipe lorsque les joueurs sont unis. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eric Girard (Le Portel) : «Je salue la bravoure de mes joueurs»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Défait à Reims face au CCRB vendredi soir de douze points (70-82), l’ESSM Le Portel a payé le prix fort de sa courte rotation, comme l’a déploré son entraîneur Eric Girard après le match.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n« Vous savez il faut mesurer l’équipe qu’on avait ce soir. D’abord on joue contre une bonne équipe de Châlons-Reims. A domicile c’est une belle équipe qui n’a pas encore perdu, c’est une équipe qui a sans doute, dans les budgets de milieu de tableau, fait des recrutements de très haut standing avec des garçons de très haut niveau. Quand nous on se présente avec sept pros et le jeune espoir Samir Gbetkom, avec un secteur intérieur plus que limité et diminué, évidemment même si on dit aux joueurs de garder le même jeu, les mêmes habitudes, la même agressivité, il y a automatiquement une protection naturelle pour ne pas faire de fautes. Ce qui fait qu’en défense on est catastrophique puisqu’on tolère tout, à part Benoit Mangin qui a été capable de s’opposer physiquement, les autres consciemment ou inconsciemment ont été bien trop softs. Et on a vu la différence quand on a dit aux gars à la mi-temps de jouer on n’encaisse que 32 points et encore le dernier panier c’est un cadeau qu’on leur fait, qui j’espère ne va pas nous coûter cher au niveau du goal-average. On encaisse 32 points en deuxième mi-temps et je crois qu’Ebanks ne met que 5 points. Mais je comprends aussi que quand il y a une avalanche de cascades comme ça, que les joueurs, même s’ils ne le montrent pas ou ne le disent pas, que ça pèse énormément. On est faibles à l’intérieur et on est dominés outrageusement au rebond et les fautes nous pénalisent parce que sur un match de 40 minutes il faut être capable de tenir le rythme sauf qu’on n’avait pas de quoi tenir le rythme sur 40 minutes même si je salue la bravoure de mes joueurs spécialement en deuxième mi-temps parce qu’on aurait pu en prendre 40 et qu’on est revenus à sept points avec l’équipe qu’on avait ce soir. Ça montre bien, une fois encore, qu’on est là malgré tous les avatars que l’on peut subir. Mais ça va aller mieux et on a quand même quatre victoires et il n’y a pas beaucoup d’équipes qui peuvent se targuer d’avoir quatre victoires avec trois joueurs américains ou étrangers blessés et avec neuf pros au départ de la saison. Sincèrement, aujourd’hui avec les avatars que l’on a, finir à une dizaine de points ici et être à quatre victoires et trois défaites, c’était inespéré et c’est excellent pour nous. »\\n\\nDe fait, malgré un effectif raccourci par les blessures, les Portelois ont fait douter les joueurs de Cedric Heitz en deuxième mi-temps et notamment dans le dernier quart-temps en revenant à sept points seulement.\\n\\n« A cinq minutes de la fin c’est vrai qu’on est bien, le CCRB commence à douter, leur fluidité n’est plus là et puis nous on retrouve de l’agressivité et puis là sur une erreur on prend un trois points de Blake Schilb. Attention, ce joueur c’est du très haut niveau, il a encore une partie de ses jambes et surtout de sa tête, et il est capable de faire la différence par séquence avec Ebanks et puis mon ami Passave-Ducteil – que j’aime beaucoup – qui a rendu la vie difficile à nos intérieurs par son impact physique. Le résultat du match est logique. J’ai juste hâte qu’on récupère un joueur de plus et dès le prochain entraînement avec Anosike. J’espère qu’un de nos deux autres Américains va revenir très vite. Et là, on aura une belle équipe. Pour l’instant il ne faut pas qu’on se satisfasse de perdre et c’est pour ça que je reste intransigeant avec les joueurs même quand on est que sept. Il faut jouer pour gagner, pas seulement pour perdre du moins de points que l’on peut. Nous pouvons tout de même être satisfait de notre début de saison et prochainement on sera au complet et ça sera plus facile pour les joueurs et pour le staff »\\n\\nAvec un bilan de quatre victoires et trois défaites, le club de la Côte d’Opale réalise toutefois un très bon début de saison et se classe actuellement à la huitième place de la Jeep Elite. Dès cette semaine, l’ESSM va donc pouvoir compter sur le renfort de l’ancien strasbourgeois O.D. Anosike. Connu pour sa qualité de rebondeur, il va pouvoir apporter dans un secteur qui fait mal au Portel.\\n\\n« L’arrivée d’un nouveau joueur intérieur va faire du bien surtout vu comment nous avons été dominés au rebond ce soir et Anosike est un vrai rebondeur donc ça va vraiment nous aider. Jean-Victor Traoré et Yakhouba Diawara font ce qu’ils peuvent, mais on voit qu’on est quand même dominés dans ce secteur-là. Avec Anosike, qui a été trois fois de suite meilleur rebondeur en Italie, je pense qu’il va bien nous aider en défense et au rebond parce qu’à l’extérieur, même s’il nous manque deux joueurs, on arrive à tourner correctement. »\\n\\nAutre satisfaction du côté du Portel, Benoit Mangin. Le capitaine portelois n’a pas lâché une seule seconde. Avec 16 points, 2 rebonds et 3 passes décisives pour une évaluation de 15, il a été le meilleur joueur de son équipe face au CCRB.\\n\\n« Benoit Mangin est très bon. Il vient d’enchaîner un troisième match de haut niveau, avec la tête. Malgré des fautes très rapides, il a été capable de tenir. Il a montré l’exemple par son intensité, son agressivité et son intelligence de jeu. C’est bien, c’est un vrai et bon capitaine et on est très contents, moi le premier, de le retrouver à ce niveau-là. »\\n\\n[armelse]\\n\\n« Vous savez il faut mesurer l’équipe qu’on avait ce soir. D’abord on joue contre une bonne équipe de Châlons-Reims. A domicile c’est une belle équipe qui n’a pas encore perdu, c’est une équipe qui a sans doute, dans les budgets de milieu de tableau, fait des recrutements de très haut standing avec des garçons de très haut niveau. Quand nous on se présente avec sept pros et le jeune espoir Samir Gbetkom, avec un secteur intérieur plus que limité et diminué, évidemment même si on dit aux joueurs de garder le même jeu, les mêmes habitudes, la même agressivité, il y a automatiquement une protection naturelle pour ne pas faire de fautes. Ce qui fait qu’en défense on est catastrophique puisqu’on tolère tout, à part Benoit Mangin qui a été capable de s’opposer physiquement, les autres consciemment ou inconsciemment ont été bien trop softs. Et on a vu la différence quand on a dit aux gars à la mi-temps de jouer on encaisse que 32 points et encore le dernier panier c’est un cadeau qu’on leur fait, qui j’espère ne va pas nous couter cher au niveau du goal-average. On encaisse 32 points en deuxième mi-temps et je crois qu’Ebanks ne met que 5 points. Mais je comprends aussi que quand il y a une avalanche de cascades comme ça, je comprends que les joueurs, même s’ils ne le montrent pas ou ne le disent pas, que ça pèse énormément. On est faibles à l’intérieur et on est dominés outrageusement au rebond et les fautes nous pénalisent parce que sur un match de 40 minutes il faut être capable de tenir le rythme sauf qu’on n’avait pas de quoi tenir le rythme sur 40 minutes même si je salue la bravoure de mes joueurs spécialement en deuxième mi-temps parce qu’on aurait pu en prendre 40 et qu’on est revenus à sept points avec l’équipe qu’on avait ce soir.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Quelques heures après une gamelle sur le parquet du palais des sports de Pau, elle accouche d’un garçon!"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ceux qui l’ont vu se gaufrer lors de l’Amazon Shoot à 1 000€ au Palais des Sports de Pau lors du match Elan Béarnais/ASVEL ont eu peur pour elle car Laurie était enceinte. Ils peuvent être rassurés.\\n\\nTrois heures plus tard, Laurie a donné naissance à Lucas ! Amazon.fr et l’Elan Béarnais ont offert au nouveau-né et à ses parents, un bon d’achat de 1 000€ et Yohan Choupas et Digué Diawara ont effectué cette après-midi une petite visite à la maternité !\\n\\nDans quelques années, si Lucas visionne le shoot -raté- de sa maman, il n’en croira pas ses yeux!\\n\\n\\n\\n\\n🏀🇫🇷 L'histoire incroyable de ce week-end à l'@EBPLO : une chute qui aurait pu être très grave... mais qui termine merveilleusement bien 😲\\n\\n\\n📺 #Buzzer sur #RMCSport 2 à suivre tout au long de l'année avec @DavidCozette, @Bigfredstyle, @StephBrun41 et @PaulinePioche 📺#RMClive pic.twitter.com/hTe9LmfEAt\\n\\n\\n— RMC Sport Basket (@RMCSportBasket) October 29, 2018\\n\\nPhoto: Elan Béarnais"
}, 
{"role": "user",     "content":"CJ Harris (Pau): «On a un des meilleurs publics de la ligue»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pau a donc fait tomber hier soir le leader invaincu, Villeurbanne. Une performance même si l’ASVEL était déplumée à l’intérieur, y compris son capitaine Charles Kahudi, absent en raison d’une blessure à la cheville.\\n\\nAvec 24 points, 7 passes et 5 rebonds, CJ Harris a été performant dans tous les secteurs.\\n\\n« C’est une grande victoire ce soir, tout le monde a bien joué ensemble et nous avons su rester soudés lorsque l’ASVEL est revenu en fin de match », a t-il déclaré en conférence de presse. « Les jeunes Thibault (Daval-Braquet) et Yohan (Choupas) ont vraiment bien joué lorsqu’ils sont rentrés et ils nous ont vraiment beaucoup aidés. AJ Slaughter a mis des gros shoots mais il est connu pour cela et il aurait fallu que nous soyons encore plus concentrés sur lui. Nous n’avons pas eu peur pour autant, quand tu es joueur de basket pro, tu aimes ce genre de match car cela te pousse à donner le meilleur de toi-même. L’atmosphère était incroyable ce soir. On a un des meilleurs publics de la ligue, qui nous pousse dans les bons comme dans les mauvais moments. Ce soir, les fans nous ont beaucoup aidés. »\\n\\nAvec 12 points en 17 minutes, Léo Cavalière a quant à lui optimisé son temps de jeu:\\n\\n« C’est de très bon augure pour la suite des événements. On était en confiance car on a vraiment senti se mettre en place une alchimie lors des dernières victoires et aujourd’hui c’est confirmé en s’imposant face au leader invaincu dans ce magnifique Palais. Ce soir, je remercie tous les supporters car c’était vraiment quelque chose de génial. C’ est pour cela que nous faisons ce sport. Tout cela confirme nos ambitions. »\\n\\nBref, de quoi satisfaire le coach Laurent Vila:\\n\\n« Cette victoire est due à un collectif, une équipe, un projet qui consiste à faire progresser les jeunes. Les anciens leur donnent beaucoup de conseils, les encouragent et ça leur donne beaucoup de confiance et d’audace, on l’a vu avec Yohan (Choupas) et Thibault (Daval-Braquet) qui ont assumé leurs rôles en rotation et même Digué (Diawara) qui ose faire des choses et cela donne de l’agressivité à l’équipe. On peut gérer comme cela 40 minutes même si on a eu un trou d’air dans le dernier quart-temps. Globalement on a plutôt bien géré les possessions et le ballon. On manquait peut-être d’un peu de jus en fin de match mais avec l’avance que nous avions, ce soir c’était suffisant. On savait que cela pouvait revenir à tout moment mais heureusement qu’on a des joueurs qui savent gérer ces possessions, provoquer des fautes et cela nous a conduit sur la ligne des lancers-francs et on a eu un très bon pourcentage. On continue à progresser dans notre basket, mais au classement aussi avec aujourd’hui un bilan positif. Certes il manquait des joueurs importants face à nous mais cela reste une victoire face à l’ASVEL. Tout le monde ne gagnera pas contre eux. Cela nous donne pas mal de sérénité pour préparer les prochaines échéances. Je pense aussi que le public a pu apprécier le jeu et puis le suspense à la fin ! »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Dans les coulisses de la victoire de Nanterre sur Le Mans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Plongée dans les coulisses de la large victoire (98-77) de Nanterre 92 sur Le Mans Sarthe Basket avec cette vidéo réalisée par le club des Hauts-de-Seine."
}, 
{"role": "user",     "content":"Champions League: Le Mans veut séduire ses jeunes fans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le cadre du programme d’animations que le MSB met en place lors de ses matchs à Antarès, le club propose cette saison à l’occasion des soirées de Basketball Champions League une nouvelle Fan Zone réservée aux moins de 25 ans.\\n\\nLe club souhaite ainsi leur faire vivre une nouvelle expérience lors des matchs de Coupe d’Europe en intégrant la « MSB FAN TEAM ».\\n\\nRegroupés dans la Tribune I autour de l’ambianceur Mokbel, les fans pourront participer à toute une série d’animations inédites avant, pendant et après-match :\\n\\n * Ambiance musicale : commencer la soirée sur une bonne note\\n * Quizz basket : répondre aux questions de Mokbel, le roi du Quizz\\n * Concours de lancer-francs sur un mini-panier : défier un ami et devenir le King d’Antarès\\n * Concours photos : se déguiser avec les équipements MSB fournis sur place. Se prendre en photo avec ses potes. Poster la photo sur FB et Instagram avec le #MSBTEAM. Les clichés les plus « crazy » seront récompensés\\n * Léo Contest : aller sur le paquet d’Antarès au cours d’un temps-mort défier la mascotte officielle du MSB\\n * Rencontrer un joueur du MSB après-match : quelques minutes après le coup de sifflet final, un pro du MSB viendra débriefer le match avec les fans\\n * Nombreux lots à gagner : places, tee-shirts, micro-paniers...\\n\\nInfos pratiques :\\nOffre réservée uniquement aux personnes de moins de 25 ans\\n\\nPlace numérotée en Tribune I (située dans le virage au-dessus du tunnel joueurs)\\nTarif spécial « MSB FAN TEAM » : 8€ (au lieu de 11€)\\nPlaces en vente aux guichets d’Antarès les soirs de match ou au siège du MSB\\nAbonnement – 25 Ans à 70€ encore disponible pour toute la saison régulière de Championnat de France et de Coupe d’Europe au siège du club.\\n\\nLe MSB reçoit mercredi le club letton de Ventspils.\\n\\nPhoto: Petr Cornelie (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les highlights de Bria Hartley (Fenerbahçe) face à Galatasaray"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En profitant de sa filiation française, Valérie Garnier a pré-sélectionné la combo guard Bria Hartley (1,73m, 26 ans) en équipe de France pour la fenêtre de novembre où elle devra assurer sa qualification pour l’EuroBasket 2019 contre la Roumanie puis la Slovénie.\\n\\nLa joueuse du New York Liberty (WNBA) porte désormais l’hiver le maillot du Fenerbahçe Istanbul coaché par la même Valérie Garnier. En attendant de la découvrir en bleu, voici un échantillon de son talent lors de la victoire (77-60) face à Galatasaray. Bria Hartley a assuré 14 points (2/4 à trois-points), 5 passes, 2 rebonds et 1 interception en 27′.\\n\\n\\n\\n\\n🏀 @Breezyyy14\\n\\n\\n📝 14 Pts – 5 Ast – 2 Reb – 1 Stl@WNBAOverseas: @fbkadinbasket#WNBA: @nyliberty pic.twitter.com/6bs5ozmLcD\\n\\n\\n— Charles 'Aga' Monroe (@Charles33Monroe) October 29, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eurocup : l’ALBA Berlin sans Peyton Siva pour plusieurs semaines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Gros coup dur pour l’ALBA Berlin qui perd son meilleur joueur Peyton Siva (1,83m, 28 ans) pour une durée estimée à plusieurs semaines.\\n\\nMeilleur passeur de l’Eurocup, le natif de Seattle est le maître à jouer du club allemand depuis le début de saison. Vendredi soir face à Ludwisburg en championnat, l’ancien pensionnaire de Louisville s’est fracturé une côte, annonce l’Eurocup sur son site. Le 17 octobre face à Limoges, il avait d’ailleurs signé une très belle performance avec 18 points et 13 pour une évaluation de 26 en Coupe d’Europe. Pour le clan du CSP, cette blessure est une bonne nouvelle puisque la formation de Kyle Milling qui se rendra à Berlin le 21 novembre pour le match retour.\\n\\nCette saison, Peyton Siva compile en moyenne 16,2 points et 10,2 passes décisives entre le championnat allemand et l’Eurocup.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Antibes: Retour du pivot américano-nigérian Chris Otule"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon le journaliste Vivien Seiller, les Sharks d’Antibes vont faire revenir l’Américano-Nigérian Chris Otule (2,12m, 28 ans) afin de compenser l’absence jusqu’à la fin de l’année de Trevor Thompson blessé à la cheville.\\n\\nChris Otule a laissé de très bons souvenirs sur la Côte d’Azur puisqu’il a assuré 13,6 points et 6,1 rebonds lors de la saison 2016-17 avant de rejoindre Strasbourg puis Gravelines où son efficacité fut nettement moindre.\\n\\nLes Sharks n’ont toujours pas gagné un match après 7 journées.\\n\\n\\n\\n\\nLe rookie Trevor #Thompson à l'arrêt jusqu'à la fin de l'année (cheville), les @SharksAntibes font revenir Chris #Otule dans la peinture. Il pourrait jouer vendredi face au CCRB sous réserve de qualification #JeepELITE\\n\\n\\n— Vivien Seiller (@VSeiller) October 29, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges serait prêt à enrôler l’ancien meneur américain de Monaco, Aaron Craft"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le KK Buducnost Podgorica n’a pas encore gagné un match en Euroleague et son meneur Aaron Craft n’est plus en odeur de sainteté. D’après le site Sportando, le Limoges CSP serait prêt à en profiter pour faire venir dans le Limousin l’ancien Monégasque qui fut élu la saison dernière meilleur défenseur de la Jeep Elite.\\n\\nAaron Craft (1,88m, 27 ans) cumule actuellement 5,7 points, 3 rebonds et 2,7 passes en Euroleague.\\n\\nCette info confirme par ailleurs que Limoges n’est pas satisfait de son meneur actuel, London Perrantes, et cherche ainsi à s’en séparer.\\n\\nPhoto: Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet: Le président Didier Barré maintient sa confiance au coach Régis Boissié"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après sept journées de Jeep Elite, trois équipes sont détachées du peloton: Antibes, qui est toujours fanny et dont le comportement est très inquiétant (pire défense avec 91,9 points encaissés et avant-dernière attaque avec 72,7 points juste devant... Monaco), Fos-sur-Mer, qui s’est donné un peu d’air avec une première victoire ce week-end sur Boulazac, et Cholet, qui justement a été gagné au préalable un précieux succès à Fos, 77-70.\\n\\nLa situation du club des Mauges n’inquiète pas outre mesure son président, Didier Barré:\\n\\n« Il ne faut pas paniquer », déclare t-il à Ouest-France. « Bien sûr que nous aimerions avoir davantage de victoires mais il ne faut pas oublier que l’on a souhaité bâtir une équipe avec des jeunes et qu’il faut lui laisser un peu de temps. Cette équipe va monter en puissance et cela va nous permettre d’engranger d’autres succès. »\\n\\nLe président en profite pour apporter son soutien au coach rookie, Régis Boissié:\\n\\n« Il garde mon entière confiance. Il faut lui laisser le temps pour faire progresser son équipe. Je pense qu’il a un oeil très lucide par rapport à ce qu’il faut faire et l’équipe est vraiment derrière lui. Et même s’il ne faut pas se cacher derrière ça, il faut aussi rappeler que notre calendrier de début de saison n’était pas facile. »\\n\\nSur le plan sportif, le départ de Ty McKee pour raisons disciplinaires et son remplacement par Danny Gibson n’a pas été payant (12 d’évaluation contre 3,5) mais en revanche, l’arrivée de Frank Hassell (13,2 points et 5,7 rebonds pour 15 d’éval) parait être une garantie pour éviter l’une des deux places fatidiques.\\n\\nPhoto: CB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV – Dimanche, le derby Levallois-Nanterre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Beaucoup de matches encore au programme cette semaine dont le derby francilien Levallois/Nanterre.\\n\\nLundi 29 octobre\\n\\n20h45 – Bourg/Levallois – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nMardi 30 octobre\\n\\n18h30 – PAOK Salonique/Nanterre – BCL – Basket+\\n\\n20h30 – Dijon/AEK Athènes – BCL – Basket +\\n\\n20h30 – Villeurbanne/St. Petersbourg – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\nMercredi 31 octobre\\n\\n18h00 – Kleipeida/Strasbourg – BCL -Basket+\\n\\n19h45 – Monaco/Andorre – Eurocup -RMC Sport 2\\n\\n20h30 – Le Mans/Ventspils – BCL – Basket+\\n\\nJeudi 1er novembre\\n\\n18h00 – Moscou/Olympiakos – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\n18h30 – Vitoria/Darussafaka – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n18h45 – Fenerbahçe/Munich – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n21h00 – Barcelone/Tel-Aviv – Euroleague – RMC Sport 1\\n\\nVendredi 2 novembre\\n\\n18h00 – Khimki Moscou/Gran Canaria – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n19h00 – Kaunas/Madrid – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\n19h00 – Podgorica/Panathinaikos – Euroleague -RMC Sport Live 6\\n\\n20h45 – Milan/Efes Istanbul – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\nSamedi 3 novembre\\n\\n18h30 – Villeurbanne/Dijon – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nDimanche 4 novembre\\n\\n18h30 – Levallois/Nanterre – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nLundi 5 novembre\\n\\n20h45 – Le Portel/Chalon – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nPhoto: Dominic Waters (Nanterre, FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : Nando De Colo en mode MVP"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les semaines passent et les équipes invaincues trépassent... Après 4 journées, il n’en reste plus que deux : le CSKA Moscou et le Real Madrid. Nando De Colo (22 points) et sa troupe ont dû batailler mais ils s’imposent à Gran Canaria tandis que le Real avait déjà fait le boulot sereinement face à Podgorica jeudi soir.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nOutre la belle victoire de Barcelone qui enchaîne un 2e succès après ses deux défaites initiales, on notera la grosse performance de Kaunas qui va s’imposer pour la première fois de son histoire sur le parquet de l’OAKA Arena du Panathinaikos. Dans un combat qui ira jusqu’en prolongation, le Zalgiris s’en tire avec une victoire de prestige à l’extérieur (surtout avant de recevoir le Real) !\\n\\n\\nDe Colo dégoûte Gran Canaria\\n\\nA domicile, Gran Canaria s’est bien défendu face au CSKA Moscou. Encore dans le match dans le dernier quart, les coéquipiers de Clevin Hannah (17 points, 6 passes) n’ont pas pu résister au talent de Nando De Colo, auteur de 13 de ses 22 points dans les 11 dernières minutes du match ! Elu MVP de la 4e journée d’Euroleague avec ses 27 d’évaluations, dont 4 interceptions (record égalé), De Colo a permis au CSKA de rester invaincu (106-91).\\n\\n\\nLe Barça enchaîne\\n\\nAprès sa première victoire la semaine passée, le Barça a enchaîné un 2e succès d’affilée sur le parquet du Darussafaka (79-71). Cette victoire a mis du temps à se dessiner, notamment après un tir de sa ligne des lancers pour Berk Demir au buzzer du 3e quart. Mais c’est aux rebonds offensifs (avec 20) que l’équipe catalane s’est imposée. Ante Tomic (17 points) et Chris Singleton (18 points, 5 rebonds offensifs) ont été les catalyseurs pour Barcelone. Thomas Heurtel (13 points, 5 passes) et Kevin Séraphin (9 points, 6 rebonds) ont également apporté leur pierre à l’édifice.\\n\\n\\nPremière pour Kaunas au Pana\\n\\nSarunas Jasikevicius est l’homme de tous les défis à Kaunas. La légende balte a de nouveau écrit l’histoire du Zalgiris en menant son club à sa première victoire sur le parquet du Panathinaikos, après prolongation (87-83). Brandon Davies a égalisé à quelques secondes du terme avant que Nick Calathes ne rate le tir de la gagne. Et le Pana n’y arrivera pas plus dans le temps supplémentaire, avec des ratés pour Langford, Papapetrou ou Calathes. Davies et Ulanovas closent le score pour un succès de prestige à l’extérieur !\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 24 points (10/16 aux tirs), 11 rebonds, 2 contres, 1 passe, 3 balles perdues en 28 minutes\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 22 points (7/12 aux tirs), 6 passes, 4 interceptions, 2 rebonds, 3 balles perdues en 27 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Istanbul) : 17 points (7/11 aux tirs), 4 passes, 1 interception, 1 contre, 1 balle perdue en 25 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Istanbul) : 15 points (5/11 aux tirs), 10 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 30 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 15 points (4/5 à trois points), 1 passe en 14 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 13 points (4/10 aux tirs), 5 passes, 4 rebonds, 2 interceptions, 1 balle perdue en 22 minutes\\n\\nKevin Seraphin (Barcelone) : 9 points (4/7 aux tirs), 6 rebonds, 1 contre, 2 balles perdues en 18 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 9 points (4/7 aux tirs), 1 rebond, 1 interception, 5 balles perdues en 19 minutes\\n\\nLeo Westermann (Kaunas) : 5 points (2/5 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 9 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 4 points (1/3 aux tirs), 1 passe, 2 balles perdues en 13 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 4 points (2/2 aux tirs) en 8 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 3 points (1/6 aux tirs), 4 rebonds, 3 balles perdues en 19 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nC’est aisément le tir de la soirée en Euroleague. Sur un rebond défensif, Berk Demir ne se pose pas de question : il envoie la cacahuète de sa moitié de terrain et sa prière est exaucée !\\n\\n\\n\\n\\nFrom the free throw line...\\n\\n\\nAt the OTHER END of the court!@berkkdemir 👏#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/LyaIB3vpc1\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) October 26, 2018\\n\\n\\nLes résultats de la 4ème journée\\n\\nJeudi 25 octobre :\\nEfes Istanbul – Fenerbahçe (89-83)\\nBayern Munich – Vitoria (77-71)\\nMilan – Khimki Moscou (81-80)\\nReal Madrid – Podgorica (89-55)\\nOlympiakos – Maccabi Tel Aviv (88-80)\\n\\nVendredi 26 octobre :\\nDarussafaka – Barcelone (71-79)\\nPanathinaikos – Kaunas (83-87 ap)\\nGran Canaria – CSKA Moscou (91-106)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 5e journée\\n\\nJeudi 1er novembre :\\nCSKA Moscou – Olympiakos (18h)\\nVitoria – Darussafaka (18h30)\\nFenerbahçe – Bayern Munich (18h45)\\nBarcelone – Maccabi Tel Aviv (21h)\\n\\nVendredi 2 novembre :\\nKhimki Moscou – Gran Canaria (18h)\\nPodgorica – Panathinaikos (19h)\\nKaunas – Real Madrid (19h)\\nMilan – Efes Istanbul (20h45)\\n\\nA lire aussi : Beaubois et Moerman font chuter le Fener !\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\nOutre la belle victoire de Barcelone qui enchaîne un 2e succès après ses deux défaites initiales, on notera la grosse performance de Kaunas qui va s’imposer pour la première fois de son histoire sur le parquet de l’OAKA Arena du Panathinaikos. Dans un combat qui ira jusqu’en prolongation, le Zalgiris s’en tire avec une victoire de prestige à l’extérieur (surtout avant de recevoir le Real) !\\n\\n\\nDe Colo dégoûte Gran Canaria\\n\\nA domicile, Gran Canaria s’est bien défendu face au CSKA Moscou. Encore dans le match dans le dernier quart, les coéquipiers de Clevin Hannah (17 points, 6 passes) n’ont pas pu résister au talent de Nando De Colo, auteur de 13 de ses 22 points dans les 11 dernières minutes du match !\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"ASVEL: La scoumoune continue à l’ASVEL, Charle Kahudi blessé à la cheville"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’elle est déjà privée de Amine Noua, Livio Jean-Charles et Alpha Kaba, l’ASVEL enregistre un quatrième forfait du côté de ses joueurs français, celui de l’ailier international Charles Kahudi (1,99m, 32 ans), blessé à la cheville, indique le journaliste du Progrès Luc Paganon.\\n\\nInvaincue en Jeep Elite, l’ASVEL affronte ce soir à 18h30 l’Elan Béarnais à Pau.\\n\\nPhoto: ASVEL\\n\\n\\n\\n\\n#BASKET#Kahudi forfait à Pau! Après Kaba, Jean-Charles et Noua, un autre Français est out à l'Asvel. Touché à la cheville mardi à Belgrade Charles Kahudi ne jouera pas ce dimanche soir à Pau. Incroyable hécatombe!\\n\\n\\n— Luc Paganon (@LucPaganon) October 28, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Arrivée à Estudiantes de Alessandro Gentile"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’arrière-ailier italien Alessandro Gentile (2,00m, 25 ans) a choisi Estudiantes Madrid pour poursuivre sa carrière indique La Gazzetta dello Sport. L’accord est valable jusqu’à juin prochain mais avec une clause lui permettant de rejoindre d’ici un mois une équipe disputant une coupe d’Europe.\\n\\nAlessandro Gentile a porté la saison dernière le maillot de la Virtus Bologne pour 16,8 points, 6,3 rebonds et 3,4 passes."
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Philippe Durst (Président SLUC Nancy) : «On vise la première place»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il y a quasiment un an jour pour jour, Philippe Durst, 67 ans, devenait président du SLUC. Même si ce processus était prévu de par sa proximité avec Christian Fra, sa nomination a été accélérée suite à la tragique disparition de son prédécesseur, Marc Barbé. Nous sommes allés en savoir plus sur l’homme à la tête du club nancéien ainsi que sur ses ambitions pour le club.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuel a été votre parcours professionnel ?\\n\\nJe suis ingénieur informaticien de formation. J’ai travaillé pour un leader mondial du logiciel avant de créer Factum Finance il y a 24 ans avec un associé du nom de Benoit Zimmermann. Société qui, à l’heure actuelle, fait 150 millions de chiffres d’affaires et 70 personnes travaillent au siège à Nancy. Je suis sponsor du SLUC depuis 27 ans. J’étais déjà sponsor avant de créer mon entreprise et depuis que j’ai créé mon entreprise je suis toujours resté sponsor du club.\\n\\nVous avez vendu 90% de vos parts cet été à un fonds d’investissement, était-ce prévu ?\\n\\nCe n’était pas vraiment planifié. Ce sont des démarches qui prennent du temps. Pour ce type d’entreprise on ne peut pas revendre rapidement. C’était une démarche globale et la prise de position à la présidence du SLUC en faisait partie. Aujourd’hui je garde un rôle stratégique et d’accompagnement dans l’entreprise donc je reste très occupé mais j’ai moins de charge de travail opérationnelle.\\n\\nLes chefs d’entreprises présidents ont parfois une vision tronquée du basket pro, comment avez-vous vécu cette première année ?\\n\\nC’est effectivement ce qui s’est passé dans le sens où j’ai très clairement observé au début et j’ai agi rapidement sur les choses qui n’étaient pas normales par rapport au fonctionnement d’une entreprise classique. J’ai pu de façon opérationnelle, en dehors du côté sportif, agir sur certaines choses.\\n\\nComment sont réparties les taches avec le Manager General Jean-Charles Bregeon ?\\n\\nTout ce qui est opérationnel en terme de budget, de finances ou de comptabilité, je délègue absolument tout à Jean-Charles Bregeon qui est très compétent et avec qui je travaille en grande confiance depuis le début. Personnellement, je travaille plus sur toutes les questions liées au marketing, à la commercialisation et aux relations avec les grands comptes qu’ils soient privés ou publics.\\n\\nVous conservez un nombre de spectateurs conséquent pour la Pro B, le public est donc toujours fidèle. Est-ce que la gestion de la billetterie est toujours un chantier pour le club ?\\n\\nJe suis content des chiffres d’affluence de l’année dernière, mais effectivement la gestion de la billetterie est toujours un chantier pour nous. Il y a une personne au club qui est dédiée à cela, qui gère la billetterie, les abonnements... Nous sommes en train de mettre en place des outils d’optimisation de la billetterie.\\n\\n« L’année prochaine nous aurons un nouveau maillot et nous apporterons beaucoup d’innovation de ce point de vue-là »\\n\\nSuivez-vous le projet « What if ? » qui a relooké les maillots de plusieurs clubs pros ?\\n\\nNous avons changé d’équipementier cet été et malheureusement nous avons été pris par le temps pour pouvoir faire toutes les évolutions que nous aurions souhaitées au niveau du design du maillot. En espérant que nous ayons de bonnes performances sportives cette année, l’année prochaine nous aurons un nouveau maillot et nous apporterons beaucoup d’innovation de ce point de vue-là. Bien sûr nous suivons les projets dont vous avez parlé et ça nous intéresse.\\n\\nOù en est le club sur la question concernant Valentin Chery qui a été qualifié comme étant joueur du Paris Basketball ?\\n\\nA l’heure actuelle le club a touché zéro euro alors que nous avons demandé au départ une indemnité pour les coûts de formation de Valentin Chery au SLUC. C’est la manière de procéder qui m’a dérangé dans le sens où un autre club qui visait la montée en Jeep Elite a fait la même démarche que Paris. C’est-à-dire a demandé si Valentin Chery était disponible et s’il pouvait le recruter. Nous avons répondu que non, qu’il n’était pas question de se séparer de lui à l’heure actuelle. Le club en question nous a donc répondu que si jamais nous changions d’avis il fallait leur faire signe. Paris n’a pas fait ça, mais à leur décharge peut-être que le club était dans la précipitation et qu’ils ont donc agi de la sorte.\\n\\nConnaissiez-vous John Cox avant son arrivée il y a quelques semaines ?\\n\\nJe me souvenais du joueur quand il avait joué à Nancy. Depuis qu’il est arrivé c’est un gentleman, en dehors du terrain il m’a fait très bonne impression et sur le terrain il a tout de suite montré face à Quimper que c’est un joueur de grande classe, de grande qualité, qu’il allait être très important pour l’équipe cette saison. Il est en plus à environ 50% de ses capacités puisqu’il est en retard sur la préparation et il travaille de son côté pour rattraper ce retard.\\n\\nVotre ambition affichée est d’être premier de la saison régulière pour garantir la montée en Jeep Elite, c’est rare d’afficher des ambitions aussi claires.\\n\\nJ’ai l’habitude d’être franc et honnête, je ne vais pas mentir en disant qu’on a construit une équipe pour être quatrième ou cinquième. L’équipe est clairement plus équilibrée que l’année dernière, on l’a faite comme on voulait avec Jean-Charles Bregeon, Christian Monschau et moi-même. Elle a été construite pour être première, pas pour être quatrième ou cinquième. Ce serait malhonnête de dire ça. Ce qu’on dit et ce qui est vrai c’est qu’on veut être à la première place. On a fait en sorte d’avoir les moyens de construire une équipe qui vise cette première place. L’équipe démarre beaucoup mieux que l’année dernière parce que l’équipe a pu être construite dans de meilleures conditions.\\n\\n[armelse]\\n\\nQuel a été votre parcours professionnel ?\\n\\nJe suis ingénieur informaticien de formation. J’ai travaillé pour un leader mondial du logiciel avant de créer Factum Finance il y a 24 ans avec un associé du nom de Benoit Zimmermann. Société qui, à l’heure actuelle, fait 150 millions de chiffres d’affaires et 70 personnes travaillent au siège à Nancy. Je suis sponsor du SLUC depuis 27 ans. J’étais déjà sponsor avant de créer mon entreprise et depuis que j’ai créé mon entreprise je suis toujours resté sponsor du club.\\n\\nVous avez vendu 90% de vos parts cet été à un fonds d’investissement, était-ce prévu ?\\n\\nCe n’était pas vraiment planifié. Ce sont des démarches qui prennent du temps. Pour ce type d’entreprise on ne peut pas revendre rapidement. C’était une démarche globale et la prise de position à la présidence du SLUC en faisait partie. Aujourd’hui je garde un rôle stratégique et d’accompagnement dans l’entreprise donc je reste très occupé mais j’ai moins de charge de travail opérationnelle.\\n\\nLes chefs d’entreprises présidents ont parfois une vision tronquée du basket pro, comment avez-vous vécu cette première année ?[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : SLUC Nancy"
}, 
{"role": "user",     "content":"Serbie: Le Partizan Belgrade très intéressé par le coach italien Andrea Trinchieri"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"D’après le site serbe Zurnal.rs, le Partizan Belgrade est fortement intéressé par la venue du coach italien Andrea Trinchieri. Il y a déjà eu des contacts entre les deux parties et le Partizan espère conclure rapidement.\\n\\nAndrea Trinchieri, 50 ans, a notamment déjà coaché Cantu, Kazan, l’équipe de Grèce et Bamberg avec qui il a été trois fois champion d’Allemagne. En février dernier, l’Italien avait été licencié du club allemand après 12 défaites sur les 15 derniers matches."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le chiffre: 14/26 à trois-points, ça c’est Nanterre !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il y a le Nanterre sans Dominic Waters (1,85m, 32 ans) et Jeremy Senglin (1,85m, 23 ans). Et le Nanterre avec. C’est ce dont ont pu s’apercevoir les Manceaux hier soir dans les Hauts-de-Seine. Ils ont pris ce que l’on peut appeler une plumée, 77-98.\\n\\nLes deux meneurs américains ont planté 23 points chacun et Waters s’est autorisé un 100% (9/9 aux tirs). L’ensemble de l’équipe a réalisé un 14/26 à trois-points avec un 8/9 pour la paire Waters-Senglin. Ca, c’est Nanterre! Cela tranche avec le 4/17 de l’équipe mancelle où Juice Thompson (1/6) continue son chemin de croix dans l’exercice.\\n\\n« Je suis arrivé de l’équipe de France, avec trois blessés. On a depuis enchaîné avec la Coupe d’Europe, nous nous sommes peu entraînés. Ce match contre Le Mans, on a eu la chance d’avoir deux jours pour le préparer. C’est l’équivalent d’une longue semaine pour nous ! », a commenté le coach nanterrien, Pascal Donnadieu. » Senglin est un joueur qui a beaucoup de talents d’abord. J’ai toujours aimé jouer avec deux arrières créatifs. C’est adapté à notre style de jeu, j’ai toujours pensé qu’il était plus facile de jouer avec deux manieurs de ballons. On s’aperçoit d’ailleurs que Dominic (Waters) est mieux depuis le retour de Senglin. C’est dû à la complémentarité de l’équipe. »\\n\\nPhoto: Dominic Waters (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: A la rencontre de la Lyonnaise Lidija Turcinovic sur TLM"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Huitième émission « ASV’Elles – La Performance au féminin » sur TLM – Télé Lyon Métropole avec le Groupe Adéquat. La basketteuse de l’ASVEL Lidija Turcinovic (1,76m, 24 ans) rencontre Valérie Vausselin, co-fondatrice d’Aroma-Zone au sein de sa boutique à Lyon. Elles échangent sur l’importance du bien-être dans la vie personnelle et professionnelle."
}, 
{"role": "user",     "content":"Ligue Féminine: L’immense exploit de Landerneau face à Lattes-Montpellier"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est la sensation du week-end et assurément ça restera comme l’un des exploits de la saison de Ligue Féminine: Le Landerneau Bretagne Basket, rookie de la division, a fait tomber dans le Finistère le leader Lattes-Montpellier et toutes ses internationales, 65-62.\\n\\nLe match s’est déroulé en deux parties. Alors que Joyce Cousseins Smith avait dû déclarer forfait, les Bretonnes ont tout d’abord creusé l’écart (26-13) avec une Kariata Daby des grands soirs: 22 points à 10/16 aux tirs et 5 rebonds pour l’intérieure ivoirienne (1,92m, 23 ans). A l’inverse,Helena Ciak et Marielle Amant se contentaient à elles deux de 6 points à 2/9 (plus respectivement 9 et 4 rebonds). A la mi-temps, Landerneau était toujours en tête, 38-28.\\n\\nDeuxième acte. Montpellier resserrait sa défense et comblait son retard. Landerneau ne craquait pas pour autant. L’Américaine Maggie Lucas (18 points) mettait un trois-points décisif. Plus tard, sa compatriote du BLMA Taylor Wurtz ratait le tir de l’égalisation.\\n\\n« Avant le match, on ne s’est pas ce qui va se passer », a commenté le coach Stéphane Leite au Télégramme. « On joue Montpellier, une grosse écurie, des joueuses internationales, un coach international, pour lequel j’ai beaucoup de respect. Et en fait, dès le début on respecte notre plan de jeu et ça se passe bien, très très bien ! On les a embêtées, on a autorisé certains points, refusé d’autres. Les filles ont su le faire à la perfection, même si tout n’a pas été parfait. Sur les deuxièmes, troisième et même quatrième (quart-temps), on a eu plus de mal à remonter la balle parce qu’elles ont monté l’intensité défensive. Ça a failli nous coûter mais, à la fin, on arrive à marquer des paniers un petit peu fous. Il faut avoir un peu de réussite dans ces cas-là. Le tir de Maggie (Lucas) est contré et il entre. On aurait pu perdre ce match, ça a tourné dans notre sens. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Quentin Serron (Strasbourg): «Gravelines était très bon, ils n’ont jamais lâché»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est comme la semaine dernière au Mans et plus en amont à Levallois, le BCM Gravelines a fait un bon match mais revient bredouille de Strasbourg. C’est même pire puisque les Nordistes menaient 84-83 avant de se faire infliger un 7-0 qui a amené un score final défavorable de 84-90.\\n\\nTout comme Mardy Collins (21 points, 5 rebonds, 5 passes), le Belge Quentin Serron a fait mal à son ancienne équipe avec ses 17 points et 5 passes.\\n\\n« Ce qui fait la différence ? » a t-il demandé en conférence de presse. « On a mieux géré nos pertes de balles à partir du dernier quart temps et Mardy (Collins) a mis les gros tirs. Le fait de jouer contre mon ancienne équipe ? J’essaie de faire mon boulot. J’ai bien commencé, du coup j’ai pris confiance. Gravelines ou pas, c’est un match de basket. Chacun prend sa part. Le danger peut venir de n’importe qui ce qui complique la tâche de nos adversaires. Gravelines était très bon, ils n’ont jamais lâché. Dans le 4° quart – temps, on a mieux contrôlé le match face à leurs tireurs à 3 points, leur point fort. C’était une semaine très importante pour nous. Au final, elle a été bien négociée ».\\n\\nEvidemment le coach gravelinois Julien Mahé ne pouvait être satisfait du money time:\\n« Je félicite Strasbourg qui a su chercher sa victoire, mais nous les avons poussés dans leurs retranchements. Il a fallu, notamment le talent de Mardy Collins. Oui, j’ai des regrets au sujet de notre dernier quart que nous débutons et finissons mal en prenant trop de points (28). On doit mieux défendre dans ces moments-là. On est passé près à Levallois, puis au Mans. Ici on mène encore 83-84. En prendre une de ces trois n’aurait pas été volé. Mais on progresse. Si on veut jouer les playoffs, il faudra bien en chercher l’une ou l’autre victoire contre des adversaires directs. On va recevoir deux fois, mais ce ne sera pas facile ».\\n\\nPhoto: Quentin Serron et Mardy Collins (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce: L’Américano-Grec Tyler Dorsey rêve de médailles et de titres"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Américano-Grec Tyler Dorsey* est l’un des jeunes joueurs les plus talentueux à avoir porté le maillot de la Grèce, mais il n’est pas pressé d’endosser un rôle central en sélection nationale.\\n\\nCette équipe, qui a déjà son billet pour la Coupe du Monde FIB 2019 en poche, regorge de stars et de leaders.\\n\\nPièce maîtresse du collectif grec qui a décroché la quatrième place de la Coupe du Monde U19 FIBA 2015 en Crète, Dorsey a fait ses débuts en sélection senior à l’occasion du dernier tour des Éliminatoires Zone Europe, même s’il n’a en fait pas passé beaucoup de temps sur le terrain.\\n\\nAlors que l’arrière de 1,96m s’est contenté de quelques minutes par-ci par-là, les vétérans Ioannis Bourousis et Nick Calathes ont pris les choses en main lors du succès 70-63 en Serbie et ensuite Calathes a permis à son pays de s’imposee 86-85 n Géorgie.\\n\\nLes Grecs affichent actuellement un bilan de 8-0 et à la faveur de celui-ci, ils sont déjà assurés de participer à la Coupe du Monde à 32 équipes en Chine l’an prochain.\\n\\n« J’ai énormément appris et le plus important reste les victoires obtenues, donc honnêtement, peu importe que j’aie beaucoup joué ou pas, » dit-il. « Je voulais juste aider les gars, porter le maillot de l’équipe nationale et continuer mon apprentissage, car je suis conscient que nous comptons de nombreux joueurs talentueux. Je suis encore très jeune et pouvoir passer du temps avec des mecs comme Ioannis Bourousis, Nick Calathes et les autres, n’a pas de prix. Tu peux tellement apprendre d’eux, ils connaissent si bien le basket que le simple fait de les voir s’entraîner te permet de t’améliorer. Cela m’a vraiment plu et j’ai le sentiment que je peux faire partie de cette équipe pour un bon moment. Je n’ai que 22 ans, il me reste beaucoup à apprendre. »\\n\\nDorsey vient d’entamer sa seconde saison NBA avec les Atlanta Hawks, mais il est au courant de ce qui se passe au niveau européen. Il est conscient que Bourousis a été un grand joueur sur le Vieux-Continent et que Calathes, qui est passé par la NBA, a excellé en Russie et en Grèce au cours de sa carrière.\\n\\nQu’a appris Dorsey au contact de Calathes ?\\n\\n« Oh mec, tellement ! », s’exclame-t-il. « Nick a un tel QI basket, c’est un vrai leader sur le terrain et j’essaie de lire, apprendre et observer tout ce qu’il fait. Il est très expérimenté et c’est un leader naturel, le côtoyer te permet donc d’apprendre et de progresser. Nick a eu une si belle carrière et son parcours est une source d’inspiration pour moi, car il a aussi grandi aux USA et il y a passé tellement d’années. Il est l’un des piliers de la sélection nationale et c’est un mec que tu veux absolument avoir dans ton équipe. »\\n\\nDorsey espère qu’il pourra faire partie du voyage en Chine en 2019, même s’il sait que la lutte pour les places dans le contingent sera intense et acharnée.\\n\\n« C’est à l’évidence mon objectif pour l’été prochain, » avoue-t-il. « J’adore évoluer en équipe nationale et je veux aider la Grèce à atteindre un niveau très élevé. Nous en parlons tous et nous sommes vraiment très heureux de nous être qualifiés durant cet été. »\\n\\nLa Grèce entend bien se faire remarquer lors de la compétition mondiale.\\n\\n« Nous ne nous y rendrons pas pour y faire de la figuration, » indique-t-il. « Nous voulons montrer à tout le monde que la Grèce appartient à l’élite mondiale. L’équipe sera très motivée et affronter les meilleurs joueurs et équipes du monde est certainement une expérience à laquelle j’aimerais prendre part. Nous savons que nous pourrons compter sur le soutien de notre pays tout entier et nous voulons que tous les Grecs soient fiers de leur sélection nationale. Je me réjouis de l’été prochain et je vais continuer à travailler dur pour gagner ma place dans l’équipe qui se rendra en Chine en 2019. »\\n\\nDorsey estime que l’objectif au cours de cette toute première Coupe du Monde à 32 équipes sera de monter sur le podium.\\n\\n« Je rêve de gagner des médailles et des titres avec le maillot de la Grèce et de partager ces moments avec les fans, mes coéquipiers et ma famille, » note-t-il.\\n\\nS’il va en Chine, il fera d’une pierre deux coups : en effet, quand il ne joue pas au basketball, il adore voyager.\\n\\n« J’essaie de voyager durant l’intersaison et de passer du temps avec ma famille, » déclare-t-il quand on lui demande ce qu’il aime faire à côté du basketball. « Je suis proche de ma famille et je fais en sorte de la voir et de passer du temps avec elle. Je suis par exemple allé cet été à Paris, et ça a été un beau voyage et une formidable expérience. Mon travail me permet de découvrir le monde et de voyager, je tente donc d’en profiter un maximum quand j’en ai le temps. »\\n\\n*Né en Californie, Tyler Dorsey a été entièrement formé aux Etats-Unis et il a été invité en 2015 au camp de sélection de l’équipe nationale grecque des moins de 19 ans. Il s’est avéré être un atout essentiel enregistrant 15,9 points et 5,0 rebonds par match."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo rétro: Une minute de CSKA Moscou vs ASVEL en 1970"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il existe sur l’INA des matches européens de cette époque là mais ils ne sont pas en accès libre. Aussi on ne résiste pas au plaisir de vous offrir cette minute du match CSKA Moscou-ASVEL de 1970.\\n\\nC’est l’époque d’Alain Gilles, Michel Le Ray, Christian Petit, Bernard Magnin... et côté russe, de Sergueï Belov, qui sera champion olympique à Munich deux ans plus tard.\\n\\nCe jour-là, les Villeurbannais ont été battus 109 à 70.\\n\\nCette vidéo a été dénichée par Hugues Blondeau, l’historien du basket que nous vous avons présenté il y a quelques mois. Et d’après le site russe où elle se trouvait, il s’agit du plus vieux document sur un match européen de basket en URSS. Aussi, apprécions.\\n\\nhttps://www.facebook.com/100002121796733/videos/1905099989570709/UzpfSTc4MjUzOTM3NToxMDE1Njc1MDIyNzA0NDM3Ng/?notif_id=1540656837396022&notif_t=feedback_reaction_generic"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le baromètre des non-JFL «fidèles» de Jeep Elite, épisode 1"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après les non-JFL arrivés cette saison en Jeep Élite (voir ici), nous nous intéressons aujourd’hui à ceux qui fréquentaient déjà les salles françaises l’an dernier, qu’ils soient restés fidèles à leur club, qu’ils en aient changé ou qu’ils arrivent de Pro B.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAu total, 96 joueurs non-JFL ont signé un contrat pour une équipe de Jeep Élite cette saison (dont certains, blessés, ne sont pas encore entrés en jeu). Parmi eux, 53 arrivent de l’étranger – nous en avons parlé hier. Les 43 autres se répartissent en trois catégories : ceux qui sont restés dans le même club que l’an dernier (c’est le cas de 18 d’entre-eux, dont Jaraun Burrows qui grimpe de Pro B en Jeep Élite avec Fos-sur-Mer), ceux qui étaient en ProB (cinq, dont Burrows) et ceux qui ont changé de club de Jeep Élite (les 21 restants).\\n\\nUne fois installés dans leur nouvelle équipe, quelles performances produisent ces joueurs qui connaissent donc bien, désormais, les spécificités du championnat français ? Les situations sont assez variées...\\n\\nIls viennent de Pro B\\n\\nLe passage de la Pro B à la Jeep Élite n’est pas simple pour la plupart des non-JFL. Si Ron Lewis (Fos-sur-Mer) produit de meilleures statistiques qu’au Havre, son équipe empile les défaites – et le shooter est un habitué de ce qui était la Pro A, qu’il a fréquentée avec Pau-Lacq-Orthez pour des statistiques similaires à celles de cette année. En revanche, pour Jonathan Augustin-Fairell (Cholet), Alex Abreu (Châlons-Reims), Obi Emegano (Dijon) et Jaraun Burrows (Fos), le « tarif » est à peu près le même : une évaluation moyenne divisée par deux d’une année sur l’autre, une adresse en baisse (29 % contre 52,7 % l’an dernier à Orléans pour Abreu, par exemple). Le fossé entre Pro B et Jeep Élite n’est pas facile à franchir... Mais ces joueurs peuvent sans doute s’adapter au fil des semaines.\\n\\nLes cas particuliers\\n\\nTravis Leslie est arrivé à Boulazac suite aux mauvaises performances de Lasan Kromah, produisant deux bons matchs dans la lignée de ce qu’il faisait l’an dernier à Levallois. Lamonte Ulmer (Bourg-en-Bresse) a lui commencé l’année à l’infirmerie et revient progressivement, alors que Danny Gibson vient de passer d’Antibes, où il a bien suppléé la blessure de Louis Campbell, à Cholet, où ses premiers pas ont été hésitants (4 d’éval). À ces trois joueurs de montrer qu’ils vont rapidement s’installer dans leur collectif.\\n\\nÇa ne va pas...\\n\\nIls ne sont que quatre, mais ces joueurs, deux ayant changé d’équipe, deux dans le même club que l’an dernier, voient leurs stats en baisse considérable sur ce début de saison. À Antibes, Louis Campbell a été blessé et n’a pas encore retrouvé toutes ses sensations. De même, Robert Arnold (Dijon, 3,4 d’éval et 1/11 à 3 pts sur les 6 premiers matchs contre 16,3 d’éval l’an dernier à Hyères-Toulon) paye le fait de jouer blessé au bras. Pour sa part, le Levalloisien Jaron Johnson voit ses stats s’effondrer d’une année sur l’autre : 5,5 pts (à 34,9 %) et autant d’éval contre 12,1 pts (à 51,7 %) et 13,0 d’éval l’an dernier. Plus impressionnant encore est le déclin de Taqwa Pinero à Pau-Lacq-Orthez : en 2016/2017, il tournait à 11,0 d’éval, en 2017/2018, à 8,2 d’éval et cette saison à... 2,0 ! Le joueur de 35 ans semble vraiment, pour le moment, en fin de parcours...\\n\\nEn baisse\\n\\nUne douzaine de joueurs présente des stats en baisse sur celles produites l’an dernier, dans des proportions moins importantes que les précédents. Pour certains, il s’agit du contrecoup de soucis de santé, comme Tim Blue qui reprend doucement après son AVC de l’an dernier (10 d’éval contre 16,7 en 2017/2018), Myles Hesson (Gravelines-Dunkerque), qui n’en finit pas de revenir de blessures, ou Jerel Blassingame, qui a payé le fait de jouer blessé les premiers matchs de la saison pour voir ses stats dégringoler avant d’être arrêté. Pour d’autres, le contexte influe certainement : dans le début de saison galère d’Antibes, Viktor Gaddefors voit son éval passer de 11,4 à 7,5 ; de son côté, passé d’un HTV en perdition à un Boulazac plutôt solide et complet en ce début de saison, Raymond Cowels a vu sa moyenne de points quasi-divisée par deux (8,5 contre 15,1). En ce qui concerne Mykal Riley (Chalon) ou Rasheed Sulaimon (Levallois), la baisse statistique s’explique par une adresse en berne et, pour Sulaimon, par un changement de rôle : de « première gâchette » à Dijon, l’ancien de Duke est devenu un « joueur à tout faire » à Levallois, suppléant Ukic dans la gestion du jeu ou alimentant son impressionnante raquette Yarou-Wright.\\n\\nD’autres joueurs voient leurs stats baisser dans de faibles proportions, sans pour autant que leur influence sur leur équipe diminue vraiment. Ainsi, Garrett Sim (Bourg-en-Bresse) marque un peu moins que la saison passée mais il est sans doute mieux entouré sur les lignes arrières tout en bénéficiant toujours de la formidable raquette Peacock-Ndoye, qui plus est renforcée par Kanter. Aucune raison de forcer, donc. C’est également le cas pour Miro Bilan à LDLC Asvel : même si plusieurs joueurs sont blessés à l’intérieur (Kaba, Jean-Charles), l’équipe de Tony Parker maîtrise actuellement suffisamment son sujet pour que les errances aux lancers francs (58,3 % contre 78,6 % l’an dernier) de son pivot croate ne prêtent pas à conséquence. Quant à son coéquipier A.J. Slaughter, c’est son adresse en berne (36,8 % contre 46,8 %) qui explique sa productivité en baisse. Le manque d’adresse joue aussi des tours à Gerald Robinson (Monaco), même s’il a compensé par un meilleur rendement au rebond et à la passe avant de se blesser (absent les trois derniers matchs). Enfin, deux joueurs semblent avoir mis du temps à s’insérer dans leur nouveau collectif, sans doute plus dense que celui qu’ils avaient l’habitude de fréquenter la saison passée. À Nanterre, Haukur Palsson a vu son temps de jeu diminuer par rapport à Cholet en même temps que son adresse, mais ses dernières prestations montrent qu’il y a du mieux. Pour Quentin Serron (Strasbourg), c’est à 3-points que l’adresse pêche : 22,7 % contre 40,2 % l’an dernier. Et le Belge se montre très irrégulier : en dehors d’un match à 13 d’éval, soit il a dépassé 20 d’éval, soit plafonné à moins de 5.\\n\\nDans la continuité\\n\\nQu’ils aient changé d’équipe ou qu’ils soient restés dans le même club, ceux-là produisent peu ou prou les mêmes stats que l’an dernier. Et, dans l’ensemble, d’excellentes stats !\\n\\nÀ Bourg-en-Bresse, les « deux Zack », Peacock et Wright, sont des armes essentielles de leur équipe, tout comme Gavin Ware à Dijon ou Mouph’ Yarou à Levallois. De son côté, à Levallois également, Ekene Ibekwe produit les mêmes stats qu’à Chalon l’an dernier tout en jouant 6 minutes de moins par match. Quant à Samardo Samuels, lorsqu’il n’est pas au centre d’une énième crise à Limoges, il rend une copie parfaite de la saison précédente : 11,5 d’éval contre 11,4. Enfin, Frank Hassell, arrivé sur le tard à Cholet, a mis un match à trouver ses marques avant de redevenir le « tank » portelois de l’an dernier.\\n\\nEn hausse\\n\\nLa dernière catégorie est celle des joueurs dont les stats ont progressé d’une saison à l’autre. Avec des profils variés. Ainsi, Julian Gamble (Nanterre) ne pouvait guère faire pire que les 3,7 d’éval réalisés sur trois matchs de play offs l’an dernier avec l’Asvel. Mais ses prestations restent irrégulières et la JSF attend sans doute mieux que les 11,4 d’éval qu’il produit.\\n\\nSeuls deux joueurs, outre Gamble, ont vu leurs stats progresser tout en changeant de club : Karvel Anderson (Gravelines-Dunkerque) bénéficie des caviars d’Edgar Sosa pour faire parler son adresse à 3-pts (47,4 % contre 37,9 % l’an dernier), Vincent Sanford se régalant lui des passes de Justin Robinson pour afficher 16,0 d’éval contre 12,6 à Antibes précédemment.\\n\\nLes autres joueurs en progrès sont au moins dans leur deuxième année dans la même équipe, une fidélité récompensée. Youssou Ndoye (Bourg-en-Bresse, 17,0 d’éval) améliore pratiquement toutes ses stats, tout comme Ryan Pearson à Dijon (16,0 d’éval contre 13,4), David Lighty (Asvel, d’une superbe adresse : 65,1 % dont 58,3 % à 3 pts !) ou son coéquipier Demarcus Nelson, dont l’adresse en hausse compense la baisse de temps de jeu. À Monaco, Emeldin Kikanovic se montre principalement plus performant au rebond (7,0 rbds contre 4,2 pour 4 mn de temps de jeu moyen en plus), tout comme Taylor Smith à Gravelines-Dunkerque.\\n\\nQuant à la « palme du progrès », elle peut être sans hésitation décernée à Vitalis Chikoko, passé de 11,8 d’éval à 18,3 avec pratiquement toutes ses statistiques en hausse (points, rebonds, temps de jeu...). L’absence d’un autre pivot de métier et la présence d’un poste 4 très clairvoyant (Donta Smith) contribuent sans aucun doute à ce progrès – tout comme bien évidemment la qualité intrinsèque du joueur.\\n\\nSix journées seulement de championnat se sont déroulées, il est donc encore temps pour ceux qui ont commencé plus ou moins doucement de redresser la barre. Et pour ceux qui ont démarré sur les chapeaux de roue de confirmer. Ou non... Les prochaines journées nous le diront. Et nous vous en ferons part dans notre prochain baromètre.\\n\\n[armelse]\\n\\nAu total, 96 joueurs non-JFL ont signé un contrat pour une équipe de Jeep Élite cette saison (dont certains, blessés, ne sont pas encore entrés en jeu). Parmi eux, 53 arrivent de l’étranger – nous en avons parlé hier. Les 43 autres se répartissent en trois catégories : ceux qui sont restés dans le même club que l’an dernier (c’est le cas de 18 d’entre-eux, dont Jaraun Burrows qui grimpe de Pro B en Jeep Élite avec Fos-sur-Mer), ceux qui étaient en ProB (cinq, dont Burrows) et ceux qui ont changé de club de Jeep Élite (les 21 restants).\\n\\nUne fois installés dans leur nouvelle équipe, quelles performances produisent ces joueurs qui connaissent donc bien, désormais, les spécificités du championnat français ? Les situations sont assez variées...\\n\\nIls viennent de Pro B\\n\\nLe passage de la Pro B à la Jeep Élite n’est pas simple pour la plupart des non-JFL. Si Ron Lewis (Fos-sur-Mer) produit de meilleures statistiques qu’au Havre, son équipe empile les défaites – et le shooter est un habitué de ce qui était la Pro A, qu’il a fréquentée avec Pau-Lacq-Orthez pour des statistiques similaires à celles de cette année. En revanche, pour Jonathan Augustin-Fairell (Cholet), Alex Abreu (Châlons-Reims), Obi Emegano (Dijon) et Jaraun Burrows (Fos), le « tarif » est à peu près le même :\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Gavin Ware (Dijon), Quentin Serron (Strasbourg) et Julian Gamble (Nanterre), FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jonathan Rousselle et la passion pour le CSP à Limoges: «Au moins une voiture sur trois à des fanions du club aux rétroviseurs»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Jonathan Rousselle va revoir Cholet Basket ce soir à Beaublanc mais dans le camp d’en face. Il est devenu en un été le capitaine du Limoges CSP. Ouest France l’interroge bien évidemment sur la passion qui anime la ville pour son équipe de basket.\\n\\n« J’étais parti pour vivre de nouvelles choses, de nouvelles expériences et des émotions : je suis servi. On connaît tous la ferveur des Limougeauds pour leur équipe. C’est très plaisant de pouvoir faire partie de ça, de pouvoir le vivre et d’en profiter les soirs de match parce que c’est un vrai appui, ça transcende. En ville, c’est frappant aussi : c’est tout bête, mais quand tu es aux feux, tu regardes les voitures : au moins une sur trois a des fanions du club aux rétroviseurs. Ça, ce sont les bons côtés. Après, il y a la pression qui va avec. Tu prends un package, pas que le positif. »\\n\\nFort de leur victoire sur Tofas Bursa en Eurocup (89-81), les Limougeauds veulent récidiver en championnat. Pas question pour Jonathan Rousselle de faire de cadeau à son ancien club qui en cas de défaite du CSP reviendrait à son niveau.\\n\\n« Oui, on a besoin de victoires en championnat. Mardi, on s’est relancé en coupe d’Europe. On voulait faire 2 sur 2 cette semaine, il reste à finir le boulot. »\\n\\nPhoto: CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les highlights de Châlons-Reims vs Le Portel"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Toujours bien réalisés par le CCRB, les highlights de Châlons-Reims vs Le Portel avec la victoire des Champenois, 82-70, avec deux rendements d’excellence: 28 points, 13 rebonds et 3 passes pour Devin Ebanks et le presque triple double de Blake Schilb, 14 points, 13 rebonds et 8 passes."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B – Laurent Pluvy (Roanne): «En deuxième mi-temps, on a montré le visage d’une équipe ambitieuse»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après trois journées, et en attendant le match de Nancy ce soir, la Chorale de Roanne est toujours co-leader invaincue de Pro B avec Orléans, Saint-Chamond et Vichy-Clermont. Menés 34-35 à la mi-temps, les hommes de Laurent Pluvy n’ont pas fait de quartiers par la suite s’imposant 80-61. Avec 16 points, 7 rebonds et 20 d’évaluation, Alexis Thangue a été particulièrement séduisant.\\n\\n« Le 1er quart-temps est intéressant excepté la première minute », a analysé Laurent Pluvy en conférence de presse. « Derrière, le 1er quart-temps est maîtrisé malgré quelques balles perdues qui nous coûtent un peu. On est inexistant en 2ème quart-temps mais il y a une bonne réaction en 2ème mi-temps. On est peut-être un peu rentrés avec le frein à main. En 2ème mi-temps, on a montré le visage d’une équipe ambitieuse. Les 15 dernières minutes dans l’attitude sont exceptionnelles. Mais ce doit être notre engagement. On redevient une équipe lambda si chacun ne joue pas à son meilleur niveau. On a besoin que chacun trouve un niveau minimum comme David Jackson a su le faire en 2ème mi-temps. On ne peut pas se reposer et on a une grosse étiquette dans le dos. ll nous faut donc une exigence de tous les instants. Le road trip a fait le plus grand bien à Alexis Tanghe. A la mi-temps, les joueurs avaient conscience qu’ils n’avaient pas fait le travail et ils ont su réagir ensuite. »\\n\\nPhoto: Chorale Roanne"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet (Strasbourg): «On est dans une situation qui est très compliquée»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Trois matches, trois victoires. La SIG Strasbourg fait le taf en Champions League. La dernière au Besiktas Istanbul a été probante, 78-71. Seulement, la Coupe d’Europe, ça tire sur la couenne. Il y a 14 matches au programme. Alors que la SIG reçoit Gravelines, le coach Vincent Collet qui revenait d’un entraînement a fait part de ses inquiétudes au site du club.\\n\\n« On n’était pas totalement investi. On est dans une situation qui est très compliquée. Un retour de déplacement européen interminable, on est parti à 7h du matin de l’hôtel et on est arrivé à 18h au Rhenus... Après avoir fait la même chose dans l’autre sens mardi. Ça entraîne de la lassitude et tu perds souvent plus que de la fatigue physique : de la concentration mentale, de l’influx et tu commences à faire les choses par habitude. C’est ce qui était entrain de se passer lors de cette séance. C’est ce contre quoi il faut lutter car là où Gravelines a eu toute la semaine pour préparer le match, nous on a un entraînement. Donc il ne peut pas être galvaudé. Même si ce n’est pas facile il faut faire les efforts nécessaires pour qu’en une séance on arrive demain soir à s’opposer à Gravelines car c’est un match très important pour nous ».\\n\\nDe fait, la situation des Alsaciens est moins confortable en Jeep Elite avec autant de défaites (3) que de victoires, un bilan égal à celui du BCM. Il n’est donc pas question de lambiner surtout que les prochains adversaires seront Le Mans dans la Sarthe et Villeurbanne au Rhénus. C’est déjà l’heure de vérité.\\n\\nPhoto: Ali Traore (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie: Brescia serait intéressé par Mam Jaiteh (Limoges)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"De source italienne, il apparait que Germani Brescia étudie la possibilité d’enrôler le pivot du Limoges CSP, Mouhammadou Jaiteh (2,08m, 24 ans).\\n\\nLe club italien est à la recherche d’un remplaçant à Eric Mika et parmi les pistes, il y a celle qui mène à Mam Jaiteh. Avec moins de 19’ de temps de jeu moyen en Jeep Elite, l’ancien nanterrien est le 9e joueur de l’équipe pour 6,5 points et 4,5 rebonds. Son plus faible rendement depuis sa première saison à Nanterre. Avec le retour en grâce de Samardo Samuels, son statut ne s’améliore pas et lors de la victoire sur Tofas Bursa cette semaine en Eurocup, il a eu droit à moins de 6 minutes de temps de jeu.\\n\\nMais le problème, c’est que Brescia, également engagé en Eurocup, ne pourrait utiliser le Français dans cette coupe européenne avant la deuxième phase, ce qui incite le club italien à solliciter un pivot américain. Un éventuel transfert de Mam Jaiteh en Italie impliquerait évidemment un accord entre le joueur, le CSP et Germani Brescia.\\n\\nPhoto: CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Russie: Andrei Kirilenko maintient la pression avec 8 joueurs d’Euroleague pré-sélectionnés"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ancien All-Star NBA Andrei Kirilenko, devenu président de la fédération, ne relâche pas la pression sur les deux clubs d’Euroleague russe, le puissant CSKA Moscou et Khimki Moscou. La pré-selection publiée jeudi par la fédération compte 19 joueurs, dont 8 joueurs des deux clubs d’Euroleague.\\n\\nLa Russie est à 4 victoires pour autant de défaites depuis le début des qualifications pour la coupe du monde 2019. La prochaine fenêtre, la cinquième, qui se tiendra en novembre, est donc décisive pour l’avenir de la sélection coachée par Serguei Bazarevich. Depuis plusieurs mois, Kirilenko pèse de tout son poids pour que les deux clubs majeurs russes libèrent leurs joueurs pour la sélection nationale, ce que ne permet pas actuellement le calendrier fixé par l’Euroleague.\\n\\n« Si on ne se qualifie pas pour la coupe du monde, on n’a aucune chance non plus d’être aux Jeux Olympiques », a confié le président de la fédération russe à nos confrères de sports.ru.* « Ce qui signifie que le prochain grand tournoi international pour nous serait l’EuroBasket 2021. Je ne cherche pas le catastrophisme, mais la prochaine fenêtre est la plus importante pour nous. Et l’impossibilité pour les joueurs de rejoindre la sélection pourrait mettre en danger notre équipe nationale pour les trois prochaines années. »\\n\\nLa liste de joueurs sélectionnés pour novembre compte actuellement 19 noms dont 8 joueurs du CSKA et de Khimki, dont évidemment Alexei Shved, Andrei Vorontsevich et Nikita Kurbanov. Fin septembre, Kirilenko prévenait déjà :\\n\\n« Si les clubs ne le voient pas et ne le comprennent pas, ce serait très étrange. Pourquoi avoir la VTB League et à quoi ça sert de développer le basket dans le pays si la sélection ne peut pas compter sur les meilleurs joueurs des clubs russes ? Les deux matches à venir sont les plus importants de l’histoire récente de notre basket. »\\n\\nIl est évident aussi que l’ancien joueur NBA joue gros sur ses qualifications et que son bilan, en cas de non-qualification, serait grevé significativement.\\n\\nA titre plus égoïstement français, si Kirilenko parvient à faire libérer les joueurs, le CSKA ne sera-t-il pas alors tenu de libérer Nando De Colo ?\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde féminine 2018: La percée digitale des filles"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FIBA vient de publier son rapport sur l’impact digital de la dernière coupe du monde féminine jouée en Espagne. Les résultats sont très impressionnants.\\n\\nLes chiffres généraux\\n\\n+315% de fréquentation sur le site de la compétition par rapport aux résultats de l’édition 2014. Avec un temps moyen de surf bien plus importants.\\n\\n64 millions de vidéos visionnées. Soit 1 016 fois plus que pour l’édition 2014. Highlights des matches, mixtapes sur des joueuses, matches en direct, gif animés, stories sur Instagram.\\n\\n167 millions d’impressions sur les réseaux sociaux\\n\\nLes autres chiffres remarquables\\n\\n35 millions. Pour le match Chine-Australie, le nombre de téléspectateurs rassemblés sur la chaîne CCTV-5. Evidemment, le chiffre est relatif à la population de la Chine, mais le score reste particulièrement impressionnant.\\n\\n219 000. Le nombre d’impressions sur Tweeter pour le tweet de @FIBA pour la première victoire historique pour un club du continent africain, le Nigéria.\\n\\n9,7 millions. Le nombre de vues pour le gif animé de l’Espagnole Laura Nicholls qui fait non du doigt. L’élément le plus vu de toute la compétition !\\n\\nPhoto: Etats-Unis (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Diandra Tchatchouang (Lattes-Montpellier): «Je suis Française et Camerounaise»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Diandra Tchatchouang (1,89m, 27 ans) est l’un des piliers de l’équipe de France. Avec cinq autres internationales, elle fait de Lattes-Montpellier un épouvantail cette saison en ligue féminine. Interview d’une jeune femme qui porte le numéro 93, un rappel de son département de naissance -elle est née à Villepinte-, et qui est fière de ses origines africaines.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVous êtes plusieurs internationales à avoir choisi de rejoindre Lattes-Montpellier. En avez-vous discuté ensemble avant de prendre votre décision ?\\n\\nOui. On peut le dire maintenant car ça serait mentir de dire que c’est du hasard. A un moment donné, en discutant les unes avec les autres en équipe de France, on s’est rendu compte que c’était un projet, un club qui pouvaient nous intéresser. On a communiqué un peu plus ensemble et on s’est dit « pourquoi pas s’y retrouver ? » On a été coéquipières à un moment donné que ce soit à Bourges et en équipe de France et surtout on est des amies. On a apprécié de jouer et de gagner ensemble. Edwige Lawson (NDLR : Directrice Sportive) et Rachid Méziane (coach) y sont aussi pour beaucoup car ce sont eux qui nous ont contactées. Honnêtement, au départ, on se disait que c’était impossible que l’on soit les cinq joueuses sur le même choix car au niveau de la carrière on a des attentes différentes. Au final ça s’est fait et on était super contentes mais toujours avec en tête cet objectif de se réunir pour gagner.\\n\\nPour vous, ce n’était pas un problème de ne pas faire l’Euroleague ?\\n\\nSi. Quand on nous a montré le projet, on était intéressé à la condition que le club fasse l’Euroleague. Au final, en discutant un peu toutes ensemble, en se disant qu’en jouant l’Eurocup -qui n’est clairement pas au niveau de l’Euroleague-, il y avait peut-être quelque chose à aller chercher sur cette compétition-là, que c’était un challenge de plus d’aller chercher l’Euroleague pour la saison d’après. Ce qui aurait été extrêmement compliqué pour nous ça aurait été de jouer une seule fois par semaine et là on s’est dit qu’on aura le rythme de deux matches par semaine même si ce n’est pas la même compétition. Je pense aussi que le championnat de France est en train de grimper, on est des compétitrices, on aime ça.\\n\\n« C’est paradoxal car il y a tellement de sports que l’on entend peu parler du basket féminin à Montpellier mais le maire, que j’ai pu rencontrer, est très présent et il a vraiment envie de faire grandir le club »\\n\\nLe basket à Bourges et dans le Cher, c’est très important. Ça ne fait pas un chaud et froid de passer à Montpellier où son impact est bien moindre avec beaucoup d’autres sports et quantité de distractions ?\\n\\nJe connaissais Montpellier et je m’en rends compte depuis que j’y suis revenue. A Bourges, on n’est pas anonymes car la ville vit vraiment autour des basketteuses, c’est le club titré, il y a la culture de la gagne. Quand tu arrives à Bourges, tu n’as pas besoin de demander les objectifs, ce sont les mêmes chaque année. Gagner, gagner, gagner. Montpellier est un club qui a déjà écrit de très belles pages de son histoire en gagnant aussi des titres mais c’est complètement différent de Bourges. A Montpellier, on est complètement anonymes. Bien sûr ça va passer par des titres, des victoires mais l’un des objectifs c’est aussi de faire entendre le basket féminin à Montpellier car sa place y est encore petite même si les collectivités ont une grande part dans le budget. Il n’y aurait pas de club sans eux. Il faut peut-être gagner plusieurs choses pour montrer que le basket existe à Montpellier, qu’il y a des Françaises et que l’on veut porter haut et fort les couleurs du BLMA dans toute la ville alors qu’à Bourges c’était déjà fait.\\n\\nVous pourriez bénéficier dans le futur d’une véritable aréna* ?\\n\\nOui, une salle partagée avec le club de hand. C’est paradoxal car il y a tellement de sports que l’on entend peu parler du basket féminin à Montpellier mais le maire, que j’ai pu rencontrer, est très présent et il a vraiment envie de faire grandir le club. Aujourd’hui la salle de Montpellier peut se transformer en chaudron mais elle reste très petite -c’est la plus petite de la ligue, je pense- et une salle digne de ce nom c’est important dans un projet que Montpellier veut mettre en place.\\n\\nEt en ce qui concerne les installations notamment médicales ?\\n\\nJe peux faire la différence puisque j’y étais il y a sept ans. On a un kiné à chaque déplacement, il est disponible quasiment tout le temps durant la semaine. C’est vrai que j’ai été habituée à Bourges à avoir un kiné à plein temps H 24 ! Mais à Montpellier, si les filles ont besoin d’examens, elles les ont en moins de 24 heures. On sent qu’ils mettent tout en œuvre pour que l’on soit dans les meilleures conditions.\\n\\n« L’année dernière, il y avait Céline et que c’était le cas depuis beaucoup d’années et que tu ne l’as remplace pas comme ça »\\n\\nAutre chapitre plus douloureux. Avez-vous senti que les Belges étaient plus qu’euphoriques, possédées, lors de la Coupe du monde et pas seulement contre vous ?\\n\\nJ’ai regardé le match aussi douloureux que ça pouvait l’être. Les Belges étaient sur un nuage, ont joué avec les tripes et avec le cœur. Il ne faut pas enlever le fait qu’on n’a pas fait ce qu’il fallait. On n’est pas rentré dans le match comme on doit rentrer dans un quart-de-finale. On a mis beaucoup moins d’intensité qu’elles alors que c’était censé être l’une des clés du match et que l’on a des joueuses plus physiques. Elles ont super bien joué et avec du recul tu te dis en regardant la demi-finale contre les Etats-Unis et le match pour la troisième place contre l’Espagne que si, comme le disait le président (NDLR : de la FFBB, Jean-Pierre Siutat), c’est la manière qui blesse, mais on est à notre place.\\n\\nOn a l’impression de l’extérieur qu’avec la retraite de Céline Dumerc, il manque un leader. Est-ce la sensation que vous avez eu de l’intérieur ?\\n\\nSur le coup, on ne pense pas à ça mais avec du recul, tu te dis que l’année dernière, il y avait Céline et que c’était le cas depuis beaucoup d’années et que tu ne l’as remplace pas comme ça. C’est clairement un leader vocal sur le terrain. Dans les moments durs, on a essayé chacune de faire notre truc de notre côté mais il n’y a pas eu quelqu’un -ça aurait pu être moi, Endy (Miyem), Sandrine (Gruda), les plus anciennes peut-être- qui a réussi -je ne dirais pas « rester ensemble » car on ne s’est pas complètement désolidarisé- à ramener l’équipe ensemble. Oui on a eu du mal à gérer la crise comme Céline le faisait les années précédentes, naturellement.\\n\\nLes deux prochaines échéances, ce sont la Roumanie et la Slovénie. Pour assurer la qualification, il faut reprendre six points aux Slovènes. Le match aller là-bas, vous l’aviez raté ?\\n\\nSi mes souvenirs sont bons, on a très bien commencé. On gagne de plus 10/15 et elles reviennent à la mi-temps et on est méconnaissables en deuxième, on est à leur niveau alors qu’on sait que ces matches à l’extérieur, il faut les tuer car les fins de match sont compliqués. On ne le fait pas et je pense que rien qu’en défendant un petit peu mieux -je ne sais plus combien de rebonds offensifs elles nous avaient pris mais c’était juste exagéré- et même en n’ayant pas de réussite, ça aurait suffi. On va se remettre sur ce match retour car c’est important de se qualifier en terminant premières pour être ensuite tête de série.\\n\\nQue pensez-vous du fait que Bria Hartley soit maintenant dans le groupe de l’équipe de France ?\\n\\nJe n’ai pas trop d’avis sur la question. Je pense que c’est une très belle joueuse mais sur le fait qu’elle vient en équipe de France, non, je n’ai pas d’avis.\\n\\nVous attendez déjà de la connaître ?\\n\\nOui, c’est vrai que je ne la connais pas du tout personnellement. Je sais juste que c’est une super joueuse. On aura l’occasion de la rencontrer en novembre. Même si Bria arrive et découvre l’équipe de France, l’objectif commun passera toujours avant autre chose. En tous les cas, ça se passera bien.\\n\\n« J’étais super contente de partir de la maison. C’était pour ma mère que ça a été dur et je ne m’en suis pas rendue compte tout de suite »\\n\\nVous étiez invité à L’Elysée lors de la venue de George Weah, l’ancien footballeur qui venait d’être élu président du Libéria avec d’autres sportifs français d’origine africaine. C’est important pour vous de valoriser vos racines africaines ?\\n\\nC’est important. Je suis née en France et j’ai grandi en France mais je connais aussi le Cameroun et la culture d’origine de mes parents. Ils sont nés là-bas et ils sont arrivés en France un peu avant leurs vingt ans. J’ai la chance d’avoir cette double culture car on a été éduqués à l’africaine. Même si j’ai mes bases ici, comme c’est une population qui est parfois en difficulté, dès que je peux j’essaye de faire de mon possible pour aider les gens qui sont là-bas. J’ai toujours dit que je suis française et camerounaise.\\n\\nNicolas Batum a un père camerounais. Avez-vous échangé là-dessus ?\\n\\nOui. On n’a pas fait des choses communes mais je discute souvent avec sa maman qui est très portée sur les projets associatifs au Sénégal. C’est vrai que l’on a cet attachement là en commun pour le Cameroun et l’Afrique en général. On s’est dit avec la mère de Nico, « pourquoi pas faire quelque chose pour la jeunesse africaine à un moment donné ? »\\n\\nVous faites des études de journalisme à Sciences Po. Vous avez l’objectif de devenir journaliste ?\\n\\nOui. J’aimerais bien faire du global pas que du sportif. J’aime bien échanger sur plein de choses, écrire. Quand je vois ce que vous faites, vous, ou les autres médias pas uniquement sportifs, je me verrais bien dans ce monde-là que je ne connais pas en détails.\\n\\nCe sont des études par correspondance ?\\n\\nOui. Je suis en train de faire un certificat préparatoire pour pouvoir faire un master après en sciences po. Il me reste trois semestres à faire.\\n\\nVous étiez très précoce en jeune et vous êtes partie de la maison familiale à 12 ans. C’est vraiment très tôt ?\\n\\nJe suis partie au pôle d’Eaubonne quand j’avais 12 ans. J’avais deux ans d’avance puisque je suis rentrée avec les 89 alors que je suis de 91. J’étais super contente de partir de la maison. C’était pour ma mère que ça a été dur et je ne m’en suis pas rendue compte tout de suite. Ce n’est pas facile de laisser partir son enfant de 12 ans même si je rentrais le week-end. On se voyait très peu. Je passais la semaine en sport-études et le week-end j’avais match avec le club. A partir du moment où le basket est devenu ma passion et que l’on m’a expliqué le cheminement, que l’on m’a dit qu’en entrant au pôle j’étais parmi les meilleures de l’Ile-de-France, c’est devenu mon objectif. Pareil quand on m’a dit que si j’entrais à l’INSEP, j’étais parmi les meilleures françaises. Je n’ai pas senti que je partais un peu trop tôt. J’étais plus jeune mais je me sentais prête et ça m’a permis de grandir un peu plus vite. Je ne regrette pas et j’ai parfois des personnes, des mamans qui n’osent pas trop laisser partir leurs enfants en centre de formation ou en pole et qui m’en parlent, et je ne peux que leur dire de surtout les laisser partir même si pour elles c’est un peu trop tôt. A partir du moment où l’enfant se sent prêt, qu’il a envie de le faire, il faut le laisser faire car moi ça ne m’a pas apporté que « baskettement » mais à tous les niveaux et surtout humainement.\\n\\n*La Métropole de Montpellier a lancé des études pour l’édification d’un nouveau palais des sports dans le futur quartier Cambacérès, près de la gare TGV Sud de France. C’est également sur cette zone que la Métropole prévoit de construire son nouveau stade de foot « Louis Nicollin », dont la première pierre sera posée le 7 juin 2019. Le nouveau palais des sports comptera entre 5 000 et 6 000 places et son coût sera d’environ 50M€. Champion d’Europe de handball en titre, le MHB en sera le club résident et le BLMA pourrait y disputer ses matches les plus importants.\\n\\n[armelse]\\n\\nVous êtes plusieurs internationales à avoir choisi de rejoindre Lattes-Montpellier. En avez-vous discuté ensemble avant de prendre votre décision ?\\n\\nOui. On peut le dire maintenant car ça serait mentir de dire que c’est du hasard. A un moment donné, en discutant les unes avec les autres en équipe de France, on s’est rendu compte que c’était un projet, un club qui pouvaient nous intéresser. On a communiqué un peu plus ensemble et on s’est dit « pourquoi pas s’y retrouver ? » On a été coéquipières à un moment donné que ce soit à Bourges et en équipe de France et surtout on est des amies. On a apprécié de jouer et de gagner ensemble. Edwige Lawson (NDLR : Directrice Sportive) et Rachid Méziane (coach) y sont aussi pour beaucoup car ce sont qui nous ont contactées. Honnêtement, au départ, on se disait que c’était impossible que l’on soit les cinq joueuses sur le même choix car au niveau de la carrière on a des attentes différentes. Au final ça s’est fait et on était super contentes mais toujours avec en tête cet objectif de se réunir pour gagner.\\n\\nPour vous, ce n’était pas un problème de ne pas faire l’Euroleague ?\\n\\nSi. Quand on nous a montré le projet, on était intéressé à la condition que le club fasse l’Euroleague. Au final, en discutant un peu toutes ensemble, en se disant qu’en jouant l’Eurocup -qui n’est clairement pas au niveau de l’Euroleague-, il y avait peut-être quelque chose à aller chercher sur cette compétition-là, que c’était un challenge de plus d’aller chercher l’Euroleague pour la saison d’après. Ce qui aurait été extrêmement compliqué pour nous ça aurait été de jouer une seule fois par semaine et là on s’est dit qu’on aura le rythme de deux matches par semaine même si ce n’est pas la même compétition. Je pense aussi que le championnat de France est en train de grimper, on est des compétitrices, on aime ça.\\n\\n« C’est paradoxal car il y a tellement de sports que l’on entend peu parler du basket féminin à Montpellier mais le maire, que j’ai pu rencontrer, est très présent et il a vraiment envie de faire grandir le club »\\n\\nLe basket à Bourges et dans le Cher, c’est très important. Ça ne fait pas un chaud et froid de passer à Montpellier où l’impact du basket est bien moindre avec beaucoup d’autres sports et quantité de distractions ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: FIBA et FFBB/Hervé Bellenger"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau: Pas de retour de Taqwa Pinero avant plusieurs semaines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon le journaliste de La République des Pyrénées, Jean Fauret, l’arrière-ailier américain de Pau Taqwa Pinero (1,91m, 35 ans), absent en raison d’une blessure au dos, ne fera pas son retour avant plusieurs semaines et le club n’a pas prévu de faire appel à un pigiste.\\n\\nEn 4 matches, Taqwa Pinero n’a tourné qu’à 5,2 points à 27,6% de réussite.\\n\\nLe Hongrois Akos Keller (2,08m, 29 ans), qui a été opéré de l’appendicite et qui n’a pas encore joué de la saison, devrait faire son retour sous huit jours et Yannick Bokolo dès ce week-end contre l’ASVEL.\\n\\n\\n\\n\\nInfos @EBPLO Taqwa Pinero (dos) toujours à l'arrêt, a priori pour plusieurs semaines encore. Pas de Joker en vue selon la direction. En revanche Yannick Bokolo (dos aussi) jouera vs @LDLCASVEL Quant à Akos Keller, retour prévu dans 8 jours à @BoulazacBasketD\\n\\n\\n— Jean Fauret (@JeanFauret) October 26, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coup dur pour l’ASVEL: Amine Noua indisponible un mois en raison d’une entorse à la cheville"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Livio Jean-Charles et Alpha Kaba, c’est un troisième intérieur villeurbannais qui est sur le carreau. En raison d’une blessure à la cheville survenue lors du match d’Eurocup à Belgrade mardi, Amine Noua a passé des examens complémentaires cette semaine qui ont révélé une entorse sévère. Il sera éloigné des parquets durant un mois.\\n\\nAmine Noua tourne à 11,1 points et 5,5 rebonds en Jeep Elite.\\n\\nL’ASVEL a embauché en pigiste le pivot américain Eric Buckner. Elle est invaincue en Jeep Elite après 6 journées et compte 3 victoires pour 1 défaite en Eurocup.\\n\\nPhoto: LDLC ASVEL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague féminine: La championne du monde Tina Charles au Dynamo Koursk"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans sa course effrénée pour être numéro 1 en Russie et en Europe à la place de UMMC Ekaterinbourg, le Dynamo Koursk vient d’enrôler la pivot américaine Tina Charles (1,93m, 29 ans).\\n\\nTina Charles est une membre active de Team USA, championne olympique en 2012 et 2016 et championne du Monde en 2014 et 2018. Elle était la 3e marqueuse (10,3 points) et la meilleure rebondeuse (7,3) au Mondial cet été en Espagne alors qu’elle venait de cumuler 19,7 points et 7,0 rebonds avec le New York Liberty -l’équipe de Bria Hartley- en WNBA. Elle a déjà joué en Russie, en Turquie, en Pologne et en Chine.\\n\\nLe Dynamo Koursk s’est récemment renforcé avec la MVP de la WNBA et de la Coupe du Monde 2018, Breanna Stewart.\\n\\nEn revanche, le Dynamo a annulé l’accord conclu avec Candace Parker, celle-ci étant devenue consultante pour Turner Sports.\\n\\nCharleville doit affronter le Dynamo à Koursk le mercredi 31 octobre.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : Beaubois et Moerman font chuter le Fener !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec une belle marge de manoeuvre durant ses trois premiers succès, Fenerbahçe s’est cette fois fait surprendre par l’Efes Istanbul lors de la 4e journée d’Euroleague. La troupe stambouliote a été emmenée par Rodrigue Beaubois (17 points, 4 passes) et Adrien Moerman (15 points, 10 rebonds) pour infliger un premier revers au dernier finaliste (89-83).\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nPar ailleurs, Milan s’en est tiré d’un rien face à Khimki alors que le Bayern a enfoncé Vitoria derrière le gros match de sa dernière recrue, Derrick Williams (22 points). Le Real Madrid a facilement disposé de Podgorica, toujours sans victoire et l’Olympiakos a pu compter sur un très bon Axel Toupane (15 points) pour battre le Maccabi. A propos des Français, Vincent Poirier (24 points, 11 rebonds) a réalisé un énorme match malgré la défaite du Baskonia.\\n\\n\\nRodrigue Beaubois et Adrien Moerman héroïques\\n\\nAprès un très mauvais départ sur son parquet face au Fenerbahçe (26-12), on ne donnait pas cher de la peau de l’Efes à la mi-temps de ce derby d’Istanbul (52-38). Mais le discours a dû être musclé dans les vestiaires, car les joueurs de coach Ataman ont complètement inversé la tendance. Rodrigue Beaubois a confirmé son gros match de la semaine passée avec 17 points et 4 passes dans une victoire de référence pour l’Efes Istanbul (89-83).\\n\\nBlessé à la cheville en première mi-temps, Adrien Moerman (15 points, 10 rebonds) s’est démultiplié dans le final, avec une belle moisson aux rebonds. Il a laissé quelques lancers en route mais l’Efes est revenu du diable vauvert pour infliger la première défaite de sa saison au Fener, tenu à 31 points en 2e mi-temps. Peu utilisé, Joffrey Lauvergne termine à 4 points en 8 minutes de jeu.\\n\\n\\nDerrick Williams et Vincent Poirier se tirent la bourre\\n\\nAvec 11 points à 4/13 aux tirs sur ses deux premières apparitions en Euroleague, Derrick Williams se faisait attendre. Mais devant son public, pour la réception de Vitoria, l’ancien NBAer a délivré une superbe partition à 22 points (11 par mi-temps) plus 3 rebonds et 3 contres pour une victoire de prestige (77-71). Williams a été bien aidé par Maodo Lo (15 points) et Nihad Dedovic (14 points).\\n\\nCôté basque, Vincent Poirier a été immense avec 24 points et 11 rebonds. Le pivot tricolore a été le meilleur scoreur de son équipe qui a peiné comme jamais à trois points : 4/25 ! Ça ne fonctionne toujours pas pour le Baskonia à 1 victoire en 4 matchs, et sans le peps de la fin de saison dernière...\\n\\n\\nVictoire sur le fil dans la capitale de la mode\\n\\nMilan a misé gros sur le marché des transferts durant l’intersaison et ça commence à payer sur le terrain. Privé de son compère Nemanja Nedovic, le meneur américain Mike James a été clutch pour le club lombard, avec six lancers francs décisifs dans les derniers instants d’une victoire sur le fil contre le Khimki Moscou (81-80).\\n\\nJordan Mickey (26 points, 7 rebonds) et Alexey Shved (19 points) ont longtemps donné du fil à retordre à Milan. Mais les locaux ont su tenir leurs nerfs, portés par une grosse dynamique en 2e mi-temps, notamment grâce à l’adresse de Dairis Bertans (16 points). Mike James (25 points, 8 passes) a terminé le travail sans trembler. Auteur d’un double double, Arturas Gudaitis (13 points, 13 rebonds) aura aussi droit à quelques points de suture après ce combat !\\n\\n\\nAxel Toupane : 15 points en 14 minutes !\\n\\nAvec 15 points en 14 minutes face au Maccabi Tel Aviv, Axel Toupane est ce qu’on appelle de l’attaque instantanée en anglais (‘instant offense’). L’ailier tricolore en est à 7/10 à trois points sur ce début de saison, et hier soir, il a encore été essentiel dans la victoire de l’Olympiakos sur son parquet (88-80). Le Maccabi n’a jamais pu se remettre d’un 2e quart en-deçà (27-16), malgré les efforts de DeAndre Kane (22 points, 6 passes). Sans Scottie Wilbekin, Tel Aviv a manqué de création en attaque...\\n\\n\\nLe Real étrille Podgorica\\n\\nLe chemin de croix de Podgorica se poursuit pour leur première saison en Euroleague. Face aux champions en titre, il n’y a pas eu match ! Le Real Madrid a étrillé les rookies, les tenant à 16 points ou moins à chaque quart temps ! Walter Tavares (10 points, 14 rebonds, 3 contres) termine avec la meilleure évaluation tandis que Fabien Causeur (4 points) et Edwin Jackson (9 points) n’ont pas vraiment fait de vagues.\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 24 points (10/16 aux tirs), 11 rebonds, 2 contres, 1 passe, 3 balles perdues en 28 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Istanbul) : 17 points (7/11 aux tirs), 4 passes, 1 interception, 1 contre, 1 balle perdue en 25 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Istanbul) : 15 points (5/11 aux tirs), 10 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 30 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 15 points (4/5 à trois points), 1 passe en 14 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 9 points (4/7 aux tirs), 1 rebond, 1 interception, 5 balles perdues en 19 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 4 points (1/3 aux tirs), 1 passe, 2 balles perdues en 13 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 4 points (2/2 aux tirs) en 8 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nDans sa 16e saison en Euroleague, Georgios Printezis, dit l’imprimeur, a encore bon pied bon oeil ! L’intérieur vétéran de l’Olympiakos l’a de nouveau prouvé face au Maccabi. Au physique, avec un ultime coup d’épaule pour se libérer du marquage et enfin avec la main gauche qui peut encore écraser le cuir, Printezis termine à 13 points dans la victoire.\\n\\n\\n\\n\\nThe POWER move from Printezis!#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/h8Pjqg6WoL\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) October 25, 2018\\n\\n\\nLes résultats de la 4ème journée\\n\\nJeudi 25 octobre :\\nEfes Istanbul – Fenerbahçe (89-83)\\nBayern Munich – Vitoria (77-71)\\nMilan – Khimki Moscou (81-80)\\nReal Madrid – Podgorica (89-55)\\nOlympiakos – Maccabi Tel Aviv (88-80)\\n\\nVendredi 26 octobre :\\nDarussafaka – Barcelone (19h15)\\nPanathinaikos – Kaunas (20h)\\nGran Canaria – CSKA Moscou (21h30)\\n\\n\\nLe classement provisoire\\n\\n\\nLe programme de la 5e journée\\n\\nJeudi 1er novembre :\\nCSKA Moscou – Olympiakos (18h)\\nVitoria – Darussafaka (18h30)\\nFenerbahçe – Bayern Munich (18h45)\\nBarcelone – Maccabi Tel Aviv (21h)\\n\\nVendredi 2 novembre :\\nKhimki Moscou – Gran Canaria (18h)\\nPodgorica – Panathinaikos (19h)\\nKaunas – Real Madrid (19h)\\nMilan – Efes Istanbul (20h45)\\n\\n[armelse]\\n\\nPar ailleurs, Milan s’en est tiré d’un rien face à Khimki alors que le Bayern a enfoncé Vitoria derrière le gros match de sa dernière recrue, Derrick Williams (22 points). Le Real Madrid a facilement disposé de Podgorica, toujours sans victoire et l’Olympiakos a pu compter sur un très bon Axel Toupane (15 points) pour battre le Maccabi. A propos des Français, Vincent Poirier (24 points, 11 rebonds) a réalisé un énorme match malgré la défaite du Baskonia.\\n\\n\\nRodrigue Beaubois et Adrien Moerman héroïques\\n\\nAprès un très mauvais départ sur son parquet face au Fenerbahçe (26-12), on ne donnait pas cher de la peau de l’Efes à la mi-temps de ce derby d’Istanbul (52-38).\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le best of de Marine Johannès (Bourges) contre Polkowice"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FIBA a mis en exergue dans cette vidéo la performance de la Berruyère Marine Johannès (19 points, 4 rebonds et 3 passes) face au CCC Polkowice en Euroleague. Et comme d’habitude, il y a des actions de grande classe.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\n.@MarineJ5 was on a different level on Wednesday 🔥! #EuroLeagueWomen@bourgesbasket @FRABasketball @jumpman23 pic.twitter.com/2sY8UrL1fZ\\n\\n\\n— EuroLeague Women (@EuroLeagueWomen) October 26, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Sekou Doumbouya (Limoges) absent une semaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Légèrement touché à la cheville à son arrivée à Limoges, Sekou Doumbouya (2,05m, 17 ans) soufre de nouveau au même endroit et va devoir être tenu écarté des parquets pendant une semaine.\\n\\nLe club annonce que son ailier a réveillé sa douleur à la cheville en marchant sur le pied d’un coéquipier jeudi à l’entraînement et que le staff médical a demandé de mettre le joueur au repos quelques jours. Le directeur sportif Olivier Bourgain a déclaré que l’ancien joueur de Poitiers sera donc absent face à Cholet et vraisemblablement face à Gdynia.\\n\\nCette saison, Sekou Doumbouya compile en moyenne 5,2 points et 3,1 rebonds entre la Jeep Elite et l’Eurocup.\\n\\n\\n\\n\\n💬🎙 Réaction du directeur sportif du @limogescsp , @BOURGAINO pic.twitter.com/3GOUbivUM4\\n\\n\\n— Limoges CSP (@limogescsp) October 26, 2018\\n\\nPhoto : CSP Limoges"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le basket et l’énorme potentiel chinois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A travers sa vice-présidente Caitlyn Chen, le géant chinois des médias digitaux Tencent a déclaré lors d’un colloque de la FIBA que le marché de son pays de 1,2 milliard d’habitants est quasi illimité pour le basket.\\n\\n« Il n’y a pas si longtemps, une étude est parue et elle démontrait que les enfants nés après 2000 sont intelligents, indépendants et confiants. En Chine, nous avons environ 160 millions de jeunes nés entre 2000 et 2010. Nous sommes contents de voir que 70 % d’entre eux suivent de près au moins une activité sportive. Nous pouvons donc en déduire qu’ils n’utilisent pas seulement leurs smartphones ou leurs tablettes pour jouer. Au cours de notre étude de marché, beaucoup ont désigné le basket-ball comme le principal sport en Chine et dans le monde. Ils sont nombreux à être fans de basket-ball et à suivre de près les résultats, ou ils le pratiquent eux-mêmes. Nous considérons que le marché chinois représente un énorme potentiel. »\\n\\nQuelques chiffres qui ne peuvent laisser indifférents:\\n\\nÀ peu près 71 % des utilisateurs de mobiles regardent les matches ou suivent les événements. De ces 71 %, environ 41 % sont des grands fans de basket-ball. Et si trois garçons sur dix aiment le basket, ce sont la moitié des filles qui sont à mettre dans cette catégorie.\\n\\nComme les occidentaux de leur génération, les jeunes Chinois font plusieurs choses à la fois:\\n\\n« Seuls 22 % disent suivre le match en entier sans se laisser distraire. La majorité d’entre eux chattent, regardent des vidéos de films ou ont une autre activité en parallèle. Ce qui veut dire qu’en tant qu’organisateurs de matches, nous devons leur offrir plus d’occasions d’interagir, d’autres angles de vue et du contenu pour susciter et assouvir l’intérêt des utilisateurs et de notre audience. »\\n\\nUne anecdote: lorsque Kobe Bryant a pris sa retraite, il y a eu en Chine plus d’un million de posts et de discussions sur les réseaux sociaux.\\n\\nPhoto: Caitlyn Chen (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’évolution du nombre de coaches étrangers en Italie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La série A italienne s’ouvre à nouveau aux entraîneurs étrangers. Il y a actuellement trois head coachs: le Russe Evgeni Pashutin à Cantù, le Serbe naturalisé néo-zélandais Nenad Vucinic à Avellino et l’Américain Larry Brown, de façon incertaine étant donné ses problèmes de santé actuels, à Turin.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAu cours de la décennie précédente, la présence étrangère sur les bancs de la Serie A avait été beaucoup plus nombreuse, atteignant le record en 2006-07 de 7 entraîneurs (pas en même temps puisque Teo Alibegovic avait remplacé Aza Petrovic à Scafati) sur les 18 bancs de Série A. La liste n’inclut pas Mike D’Antoni, qui avait conduit Trévise en 2001-02 avec un passeport italien, alors que Zare Markowski avait été naturalisé en 2005 et depuis lors, il n’est plus considéré comme un étranger.\\n\\nA remarquer aussi la présence à cette époque de Greg Beugnot qui demeure avec Robert Busnel (Real Madrid) et Michel Gomez (PAOK Salonique) l’un des trois seuls coaches français à avoir eu en main une équipe d’une ligue étrangère majeure. Ce qui est infiniment peu.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2018-19\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLarry Brown (Usa/Torino)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nEvgeny Pashutin (Rus/Cantù)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNenad Vucinic (N.Zel/Avellino)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2017-18\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nKirill Bolshakov (Ucr/Cantù)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2016-17\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nRimas Kurtinaitis (Lit/Cantù)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJasmin Repesa (Cro/Milano)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nKirill Bolshakov (Ucr/Cantù)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2015-16\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSergei Bazarevich (Rus/Cantù)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJasmin Repesa (Cro/Milano)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2014-15\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n0\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2013-14\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n0\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2012-13\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n0\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2011-12\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAleksandar Djordjevic (Ser/Treviso)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSharon Drucker (Isr/Montegranaro)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nTomo Mahoric (Slo/Cremona)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2010-11\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSharon Drucker (Isr/Montegranaro)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSasa Filipovski (Slo/Roma)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nTomo Mahoric (Slo/Cremona)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDan Peterson (Usa/Milano)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJasmin Represa (Cro/Treviso)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2009-10\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJasmin Represa (Cro/Treviso)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2008-09\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nOktay Mahmuti (Tur/Treviso)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJasmin Repesa (Cro/Roma)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDragan Sakota (Ser/Fortitudo BO)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2007-08\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nTeoman Aligegovic (Slo/Scafati)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nOktay Mahmuti (Tur/Treviso)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nVeljko Mrsic (Cro/Varese)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJasmin Repesa (Cro/Roma)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDragan Sakota (Ser/Fortituto BO)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2006-07\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n7\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nTeoman Aligegovic (Slo/Scafati)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nErgin Ataman (Tur/Fortitudo BO)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDavid Blatt (Usa/Treviso)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAleksandar Djordjevic (Ser/Milano)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nRuben Magnano (Arg/Varese)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAza Petrovic (Cro/Scafati)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJasmin Repesa (Cro/Roma)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2005-06\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDavid Blatt (Usa/Treviso)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAleksandar Djordjevic (Ser/Milano)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nRuben Magnano (Arg/Varese)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSvetislav Pesic (Ser/Roma)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJasmin Repesa (Cro/Fortitudo BO)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2004-05\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n6\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nTeoman Alibegovic (Slo/Udine)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nRuben Magnano (Arg/Varese)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSvetislav Pesic (Cro/Roma)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJasmin Repesa (Cro/Fortitudo BO)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNeven Spahija (Cro/Roseto)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSlobodan Subotic (Slo/Jesi)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2003-04\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n4\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nTeoman Aligegovic (Slo/Udine)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nZare Markovski (Mac/Avellino)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJasmin Repesa (Cro/Fortitudo BO)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNeven Spahija (Cro/Roseto)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2002-03\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nErgin Ataman (Tur/Siena)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nGregor Beugnot (Fra/Varese)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nZare Markovski (Mac/Avellino)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJasmin Repesa (Cro/Fortitudo BO)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nBogdan Tanjevic (Mtn/Virtus BO)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2001-02\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nErgin Ataman (Tur/Siena)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nGregor Beugnot (Fra/Varese)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n[armelse]\\n\\nAu cours de la décennie précédente, la présence étrangère sur les bancs de la Serie A avait été beaucoup plus nombreuse, atteignant le record en 2006-07 de 7 entraîneurs (pas en même temps puisque Teo Alibegovic avait remplacé Aza Petrovic à Scafati) sur les 18 bancs de Série A.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Nenad Vucinic (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le SLUC Nancy sort sa propre bière, la All-Star Beer"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Original: le SLUC Nancy lance sa bière au nom de All-Star Beer. Ce sont les Brasseurs de Lorraine, partenaires du club et comme leur nom l’indique producteurs de bière artisanale à Pont-à-Mousson qui sont à la base de cette initiative.\\n\\n« La ALL STAR BEER sera disponible dans les points de restauration du Palais des Sports à l’occasion des matchs du SLUC Nancy Basket à domicile. Elle sera également disponible dans l’ensemble du réseau de distribution des BRASSEURS DE LORRAINE, » indique le club.\\n\\nEt selon la formule consacrée:\\n\\n« L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, consommez avec modération. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualification Coupe du monde: 12 joueurs retenus en équipe de France, aucun d’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les noms des 12 joueurs qui participeront aux matchs de qualification à la Coupe du Monde 2019 contre la République Tchèque, le vendredi 30 novembre à Pardubice, et face la Bulgarie à Limoges, le lundi 3 décembre ont été communiqués par la FFBB. Il est à remarquer qu’aucun joueur d’Euroleague ne figure dans la liste toujours en raison du conflit FIBA-Euroleague et de l’incompatibilité des calendriers et que l’ossature (8 joueurs) est fournie par la Jeep Elite.\\n\\nLes Bleus seront réunis à Paris du lundi 26 au mercredi 28 novembre avant de décoller le jeudi 29 pour la République Tchèque. L’Équipe de France rejoindra ensuite Limoges pour préparer la réception de la Bulgarie au Palais des Sports de Beaublanc. Pendant les deux stages de préparation (26-28 novembre à Paris et 1-3 décembre à Limoges), Vincent Collet et son staff ont décidé de faire appel, comme partenaires d’entrainement, à deux joueurs évoluant en équipe de France jeunes : Sékou Doumbouya (2,05m, 18 ans – Limoges) et Théo Malédon (1,91m, 17 ans – Lyon Villeurbanne).\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\nNom\\nnaissance\\nTaille\\nPoste\\nSélections\\nPoints\\nClub\\n\\n\\nAndrew\\nALBICY\\n21/03/1990\\n1,78\\n1\\n42\\n88\\nAndorre\\n\\n\\nAxel\\nBOUTEILLE\\n14/04/1995\\n1,97\\n3\\n2\\n12\\nLimoges\\n\\n\\nMoustapha\\nFALL\\n23/02/1992\\n2,18\\n5\\n10\\n76\\nKrasnodar\\n\\n\\nAxel\\nJULIEN\\n27/07/1992\\n1,84\\n1\\n7\\n21\\nDijon\\n\\n\\nCharles\\nKAHUDI\\n19/07/1986\\n1,97\\n3\\n102\\n282\\nVilleurbanne\\n\\n\\nAlain\\nKOFFI\\n23/11/1983\\n2,06\\n4/5\\n45\\n207\\nGravelines\\n\\n\\nLahaou\\nKONATE\\n17/11/1991\\n1,96\\n2\\n6\\n6\\nNanterre\\n\\n\\nLouis\\nLABEYRIE\\n11/02/1992\\n2,09\\n4/5\\n16\\n100\\nValence\\n\\n\\nPaul\\nLACOMBE\\n12/06/1990\\n1,90\\n1/2\\n10\\n96\\nMonaco\\n\\n\\nMathias\\nLESSORT\\n29/09/1995\\n2,05\\n4\\n5\\n26\\nMalaga\\n\\n\\nAmine\\nNOUA\\n07/02/1997\\n2,00\\n4\\n5\\n15\\nVilleurbanne\\n\\n\\nJonathan\\nROUSSELLE\\n07/02/1990\\n1,95\\n1/2\\n5\\n27\\nLimoges\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"EuroCup : le bilan complet de la 4e journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est une belle semaine d’EuroCup pour les trois clubs français engagés, tous trois vainqueurs. L’Asvel et Monaco ont été s’imposer à l’extérieur, respectivement à Belgrade et à Istanbul ; alors que Limoges a retrouvé le chemin de la victoire à Beaublanc face à Tofas Bursa.\\n\\nLa surprise de cette 4e journée est venue de Brescia. Le club lombard a effectivement remporté le premier succès de son histoire en EuroCup, et ce, en revenant d’un écart abyssal de -22 pour s’imposer à l’arraché (69-61) face à l’Etoile Rouge de Belgrade, notamment tenu à 7 points en 2e quart !\\n\\nDu côté des joueurs français, Charles Kahudi (21 points) et surtout Andrew Albicy (17 points, 11 passes) ont brillé pour leur club victorieux. Deuxième meilleur passeur de la compétition, le meneur d’Andorre confirme son excellent début de saison en EuroCup, tout comme Amine Noua (14 points) qui a clairement passé un cap avec l’Asvel.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe MVP de la 4ème journée\\n\\nIsaiah Miles (23 points dont 6/6 à trois points, 7 rebonds)\\n\\nLe CSP Limoges broyait du noir avec deux défaites d’affilée en EuroCup mais Isaiah Miles a répondu présent pour relancer son club. Avec un insensé 6/6 à trois points, dont une action à 4 points en fin de match qui a fait très mal à ses adversaires turcs, Miles a réussi un match plein avec 23 points et 7 rebonds pour 31 d’évaluation.\\n\\n\\nLa meilleure performance\\n\\nAndrew Albicy (17 points, 11 passes)\\n\\nParmi les meilleurs passeurs de Liga depuis deux saisons, Andrew Albicy a justifié sa réputation sur cette 4e journée d’EuroCup. Avec un très beau double à 17 points et 11 passes, le meneur tricolore a distribué le caviar pour ses copains d’Andorre. Moussa Diagne a même reçu 5 offrandes pour ses 5 paniers de la part d’Albicy !\\n\\nA 10 points et 8 passes de moyenne et 18 d’évaluation, Albicy réalise un très bon début de saison, surtout si on excepte son premier match raté face à Galatasaray (3 d’éval’). Il figure actuellement à la 2e place des meilleurs passeurs d’EuroCup, juste derrière Peyton Siva de Berlin (10,2) et devant Mantas Kalnietis (7,5). Et à la 7e place à l’évaluation (à égalité avec Charles Kahudi d’ailleurs !).\\n\\n\\nLa stat qui tue\\n\\n1\\n\\nIl ne reste plus qu’un club invaincu en EuroCup, et il s’agit de Krasnodar. Le club russe de Moustapha Fall a battu Zagreb en Croatie cette semaine et il est ainsi en tête du Groupe B avec son bilan immaculé. Avec ses anciens de NBA (Whitehead, Wright ou Johnson) et des vétérans européens (Ponitka, Fridzon, Kulagin), le Lokomotiv sera difficile à arrêter cette saison.\\n\\n\\nLes clubs français\\n\\nMonaco sur un petit miracle\\n\\nSi Derek Needham (29 points) et Yakuba Ouattara (24 points) ont été les principaux artificiers de la Roca Team, c’est Lazeric Jones qui a été le héros de ce déplacement périlleux à Galatasaray. Jones a effectivement été l’auteur du panier de la gagne à 3 secondes du terme, sur une pénétration et un tir qui lobe la défense d’Augusto Lima. Monaco vient infliger la première défaite à domicile du Gala et continue de rester invaincu à l’extérieur (86-85) !\\n\\nA 7/12 à trois points dont des tirs plus compliqués les uns que les autres, Needham a été exceptionnel d’adresse. Et Ouattara a de nouveau été fidèle au poste, confirmant son renouveau cette saison. Solides dans les têtes, les Monégasques n’ont jamais paniqué, même après le 5/5 à trois points d’Aaron Harrison en début de match. Et ils sont désormais en tête de leur Groupe A.\\n\\nL’Asvel enchaîne un 3e succès de rang\\n\\nTout roule pour l’Asvel avec une troisième victoire en quatre matchs. Charles Kahudi (21 points) a encore été le métronome pour Villeurbanne qui s’impose cette fois sur la route (89-78). A ses côtés, Amine Noua (14 points) a également délivré une superbe prestation, notamment marquée par un immense contre sur Jock Landale.\\n\\nLes vétérans Eric Buckner (12 points) et Mantas Kalnietis (11 points, 10 passes) ont aussi été au diapason pour venir à bout du Partizan. Face à son ancienne équipe, Bandja Sy a fini à 6 points et 4 rebonds mais Belgrade n’a jamais vraiment réussi à menacer l’Asvel en 2e mi-temps.\\n\\nLimoges se relance\\n\\nFace à deux vieilles connaissances de Pro A, Sammy Mejia (16 points) et Kyle Weems (12 points, 6 rebonds), Limoges a réussi à retrouver le chemin de la victoire à Beaublanc. C’est grâce à un énorme match d’Isaiah Miles (élu MVP de la journée avec 23 points et 7 rebonds) et un 16-1 à cheval sur le 3e et le 4e quart que le CSP a fait la différence (89-81).\\n\\nLimoges a réussi un grand match d’adresse avec 13/28 à trois points, parfaitement incarné par Miles à 6/6 derrière l’arc. Les jeunes Français, Axel Bouteille (11 points) et Sekou Doumbouya (8 points), ont également bien participé à ce succès important pour se relancer dans le Groupe B. Samardo Samuels termine quant à lui en double double : 15 points, 11 rebonds en 18 minutes seulement !\\n\\n\\nLes Français de l’EuroCup\\n\\nCharles Kahudi (Asvel) : 21 points (8/15 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 32 minutes\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 17 points (6/9 aux tirs), 11 passes, 1 rebond, 1 balle perdue en 25 minutes\\n\\nAmine Noua (Asvel) : 14 points (6/8 aux tirs), 2 contres, 1 rebond, 1 passe en 21 minutes\\n\\nAxel Bouteille (Limoges) : 11 points (5/13 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 1 contre en 23 minutes\\n\\nSekou Doumbouya (Limoges) : 8 points (4/5 aux tirs), 2 interceptions, 1 passe en 14 minutes\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 7 points (0/4 aux tirs), 6 rebonds, 2 contres, 1 passe, 1 interception, 2 balles perdues en 26 minutes\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 6 points (1/3 aux tirs), 6 rebonds, 1 interception, 1 contre en 21 minutes\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 6 points (3/4 aux tirs), 4 rebonds, 1 interception, 1 contre, 2 balles perdues en 30 minutes\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : 2 points (2/2 aux lancers), 1 rebond, 1 interception, 2 balles perdues en 6 minutes\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué\\n\\n\\nLe Top Ten\\n\\n\\nLes résultats de la 4ème journée\\n\\nGROUPE A\\nGalatasaray – Monaco (85-86)\\nAndorre – Ulm (103-95)\\nBrescia – Etoile Rouge (69-61)\\n\\nGROUPE B\\nAlba Berlin – Gdynia (82-68)\\nLimoges – Tofas Bursa (89-81)\\nZagreb – Krasnodar (81-85)\\n\\nGROUPE C\\nPartizan – Asvel (78-89)\\nTrente – Ankara (77-81)\\nSt Petersbourg – Valence (104-93)\\n\\nGROUPE D\\nMalaga – Kazan (82-80)\\nVilnius – Turin (86-79)\\nFrancfort – Mornar Bar (98-75)\\n\\n\\nLe programme de la 5ème journée\\n\\n(matchs les 30 et 31 octobre)\\n\\nGROUPE A\\nEtoile Rouge – Galatasaray\\nUlm – Brescia\\nMonaco – Andorre\\n\\nGROUPE B\\nTofas Bursa – Zagreb\\nKrasnodar – Alba Berlin\\nGdynia – Limoges\\n\\nGROUPE C\\nAsvel – St Petersbourg\\nValence – Trente\\nAnkara – Partizan Belgrade\\n\\nGROUPE D\\nKazan – Francfort\\nMornar Bar – Vilnius\\nTurin – Malaga\\n\\n\\nDans le rétro :\\n\\nLe bilan de la 3e journée\\n\\nLe bilan de la 2e journée\\n\\nLe bilan de la 1ère journée\\n\\nCrédits photo : EuroCup\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eurocup : Isaiah Miles (Limoges) élu MVP de la 4e journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Limoges CSP a fait sensation mercredi en l’emportant en Eurocup face aux Turcs du Tofas Bursa (89-81). C’est le Limougeaud Isaiah Miles (2,01m, 24 ans) qui a été élu MVP de la journée.\\n\\nSorti du banc, l’ancien joueur de Dijon a passé 30 minutes sur le terrain et a réalisé un match presque parfait. Poste 4 fuyant, il a compilé 23 points et 7 rebonds pour une évaluation de 31. Avec un 6/6 derrière la ligne à trois points, le natif de Baltimore a égalé une performance datant de 2012. C’est également la première fois de l’histoire du club qu’un joueur de Limoges est élu MVP de la journée d’Eurocup.\\n\\nCette saison, Isaiah Miles compile en moyenne 12,7 points et 5 rebonds pour une évaluation de 14,7.\\n\\nPhoto : CSP Limoges"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Elite: Le baromètre des nouveaux non-JFL, épisode 1"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque saison, de nouveaux joueurs non-JFL arrivent en France pour évoluer en Jeep Élite. Et, chaque année, excellentes surprises alternent avec bides retentissants, certains de ces basketteurs ne passant que quelques semaines en France avant de repartir vers d’autres contrées. Qu’en est-il en ce début de saison 2018-2019 ?\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nÀ l’heure où ces lignes sont écrites, ils sont 53 joueurs non-JFL arrivant de l’étranger (nous aborderons dans une deuxième partie ceux qui étaient en France l’an dernier) à avoir signé un contrat avec une équipe de Jeep Élite. Et cette notion de « avoir signé un contrat » est importante, car certains de ces joueurs, blessés, n’ont pas encore foulé les parquets de l’ancienne ProA lors d’un match officiel : c’est le cas de Jeffrey Crockett (Le Portel), Demetrius Treadwell (Nanterre – qui vient de reprendre en BCL) et Akos Keller (Pau-Lacq-Orthez, en convalescence d’une appendicectomie).\\n\\nDéjà ou bientôt repartis\\n\\nLes cinquante autres sont entrés en jeu, au moins une minute, avec des fortunes variées.\\n\\nCommençons par ceux qui n’ont pas fait l’affaire, ou dont les performances (et parfois le comportement) laissent supposer qu’ils ne feront pas de vieux os en Jeep Élite.\\n\\nLe premier joueur coupé a été Daniel Dixon (Bourg-en-Bresse), « victime » à la fois de l’arrivée au club de Zack Wright et de ses propres prestations : -2 d’évaluation en 5 minutes cumulées sur deux matchs...\\n\\nÀ Cholet, Tywain McKee a à la fois pâti de son attitude et des mauvais résultats du club : 4 matchs (à 12 d’éval en moyenne) et puis s’en va...\\n\\nAu vu de leurs prestations, d’autres devraient bientôt suivre, on pense à Lasan Kromah (Boulazac, 2 d’éval en 4 matchs, sur le banc depuis l’arrivée de Travis Leslie), à Louis Adams (Châlons-Reims, 22 mn en 4 matchs, 4 d’évaluation en cumulé) ou à Robert Rothbart (Le Portel) qui, après un bon premier match (19 d’éval en 23 mn), joue peu et, surtout, semble agacer son coach par son manque d’investissement.\\n\\nIls doivent mieux faire\\n\\nVient ensuite la catégorie des joueurs aux performances médiocres, voire insuffisantes. C’est le cas du pivot d’Antibes, Trevor Thompson, dont le temps de jeu diminue progressivement et qui alterne quelques bonnes sorties (18 d’éval contre Limoges, 16 contre Le Mans) et faibles prestations (0 d’éval contre LDLC Asvel, 6 contre Chalon). De son côté, Olivier Troisfontaines (Cholet) connaît une reprise très pénible après sa blessure, cumulant 7 d’éval en trois matchs et surtout un horrible 19,2 % de réussite au shoot (5/26).\\n\\nD’autres ont réussi des prestations globalement d’un niveau supérieur tout en laissant un goût de « trop peu ». C’est par exemple le cas de deux figures connues du championnat français, Akil Mitchell (Antibes, 10,5 d’éval) et Antywane Robinson (Cholet, 9,2). D’autres ne justifient pas pleinement leur pedigree, comme Malik Hairston (Fos-sur-Mer, qui sort d’une année sans jouer), Dwight Hardy (Limoges), Lazeric et Jarrod Jones (Monaco), Adas Juskevicius (Nanterre) ou Mardy Collins (Strasbourg). Limoges attend également mieux de London Perrantes (8,7 d’éval, 5 puis 1 d’éval sur les deux derniers matchs) alors que Le Mans espère sans doute plus de Richard Hendrix, ancien joueur d’Euroleague (14,8 d’éval mais 7,8 pts seulement en 21 mn).\\n\\nEn progrès\\n\\nPlusieurs joueurs commencent à trouver leurs marques après des débuts compliqués, liés à des circonstances diverses. Ainsi, Marcus Dove, arrivant du faible championnat japonais (D2), a sorti un très bon dernier match (25 d’éval) après un démarrage douloureux (6 d’éval moyenne sur les trois premiers matchs). Revenant d’une lourde blessure, Cameron Clark (Le Mans) a mis un peu de temps avant de trouver la bonne carburation mais semble avoir pratiquement récupéré le niveau qu’on lui avait connu à l’Élan Chalon. Quant à Dominic Waters (Nanterre), ses dernières prestations montrent quelques améliorations, d’autant que le retour de blessure de Jeremy Senglin semble lui être profitable. Un Jeremy Senglin qui, comme Corey Fischer à Fos, n’a qu’un seul match de Jeep Élite au compteur et ne peut donc être jugé (tout comme Mickey McConnell à Pau, même si ses deux premières sorties ont redonné du tonus à son équipe).\\n\\nBonnes pioches\\n\\nLe contingent des nouveaux non-JFL donnant satisfaction est plutôt fourni. Pape Badji (Châlons-Reims) devrait en faire partie s’il confirme, à son retour de blessure, ce qu’il avait montré lors de ses deux premiers matchs. Pour certaines « vieilles connaissances » de la Jeep Élite, la nouvelle saison les voit au niveau auquel on les attendait : Blake Schilb (Châlons-Reims), Michael Thompson (Le Mans), même si on adresse à trois-points est pour l’instant médiocre, Isaiah Miles (Limoges) ou Mike Green (Strasbourg). D’autres joueurs, moins connus, donnent satisfaction, comme Aigars Skele (l’une des rares lueurs à Antibes), Kenny Cherry (le playmaker de Boulazac), Kerem Kanter (qui alterne bon et moins bon à Bourg-en-Bresse mais est capable de belles prestations), Michael Young (l’un des rares à surnager à Cholet), Ian Hummer (joueur « de l’ombre » capable de briller par séquences à Monaco) ou Derek Needham (qui fait tourner la boutique à Monaco et a supplanté Lazeric Jones). Il en va de même de joueurs plus cotés comme Jimmy Baron (shooter très régulier de Châlons-Reims), Scott Woods (parfait joueur d’équipe et belle gâchette – 44,4 % à 3 pts, de Gravelines-Dunkerque) ou Eric Buckner (rentable en pigiste backup intérieur à l’Asvel).\\n\\nFélicitations du jury\\n\\nDernière catégorie, celle des joueurs qui réussissent un excellent début de saison, que cela soit attendu ou non. La liste est fournie, comprenant pas moins de 13 joueurs.\\n\\nÀ Chalon, Juan Palacios (inquiétant en préparation mais très bon depuis le début de la saison régulière) et, surtout, Justin Robinson, pétaradant meneur, font oublier les erreurs de recrutement du début de saison dernière. À Châlons-Reims, Devin Ebanks se révèle être un fort attaquant alors qu’Edgar Sosa (Gravelines-Dunkerque) fait plus que justifier sa belle réputation, même si une blessure, qui lui a fait manquer un match, semble un peu le freiner dernièrement. Les dirigeants du Mans doivent pour leur part se féliciter d’avoir signé Demetrius Conger, capable de grosses parties et toujours solide. Au Portel, hormis Rothbart cité plus tôt, le recrutement ne peut que donner satisfaction : Brandyn Curry (avant sa blessure), Anthony Hilliard et Darrell Williams produisent de très belles statistiques après un premier match hésitant. Levallois ne se plaint pas plus, au contraire, d’avoir en son équipe Roko-Leni Ukic et Julian Wright, maître à jouer de haut niveau pour le premier et intérieur très complet pour le second. De même, Pau-Lacq-Orthez a toutes les raisons de se réjouir des prestations de l’hyper-régulier CJ Harris (six matchs entre 12 et 16 d’éval) et de celles de Donta Smith, annoncé comme « sur le retour » mais prouvant qu’il a toujours du talent à revendre. Dernier joueur de ce baromètre, Mantas Kalnietis ne brille pas spécialement par ses statistiques (7,7 pts et 10 d’éval en 25 mn) mais il n’est certainement pas pour rien dans les résultats de LDLC Asvel, seule équipe encore invaincue et proposant un jeu jusque là plutôt séduisant.\\n\\nGlobalement, une bonne partie de ces nouveaux non-JFL donne satisfaction et il semble qu’il y ait eu peu d’erreurs de recrutement sur ces joueurs provenant d’horizons variés. Ce qui n’augure en rien de ce que sera la suite de cette passionnante saga qu’est la Jeep Élite !\\n\\n[armelse]\\n\\nÀ l’heure où ces lignes sont écrites, ils sont 53 joueurs non-JFL arrivant de l’étranger (nous aborderons dans une deuxième partie ceux qui étaient en France l’an dernier) à avoir signé un contrat avec une équipe de Jeep Élite. Et cette notion de « avoir signé un contrat » est importante, car certains de ces joueurs, blessés, n’ont pas encore foulé les parquets de l’ancienne ProA lors d’un match officiel : c’est le cas de Jeffrey Crockett (Le Portel), Demetrius Treadwell (Nanterre – qui vient de reprendre en BCL) et Akos Keller (Pau-Lacq-Orthez, en convalescence d’une appendicectomie).\\n\\nDéjà ou bientôt repartis\\n\\nLes cinquante autres sont entrés en jeu, au moins une minute, avec des fortunes variées.\\n\\nCommençons par ceux qui n’ont pas fait l’affaire, ou dont les performances (et parfois le comportement) laissent supposer qu’ils ne feront pas de vieux os en Jeep Élite.\\n\\nLe premier joueur coupé a été Daniel Dixon (Bourg-en-Bresse), « victime » à la fois de l’arrivée au club de Zack Wright et de ses propres prestations : -2 d’évaluation en 5 minutes cumulées sur deux matchs...\\n\\nÀ Cholet, Tywain McKee\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Mike Green (Strasbourg, FIBA) et Ian Hummer (Monaco, FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Croatie : le Cedevita Zagreb remercie son coach Sito Alonso"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé à Zagreb cet été via un contrat de deux ans, Sito Alonso (42 ans) n’est finalement resté que trois mois à la tête de l’équipe.\\n\\nSur son site, le club croate annonce que le technicien espagnol quitte le club et est remplacé par Slaven Rimac qui était le coach de l’équipe B du Cedevita. Passé par Badalone, San Sebastian, Bilbao ou encore Vitoria, le natif de Madrid a déjà été remercié avant la fin de son contrat la saison dernière lorsqu’il était à Barcelone.\\n\\nAvec Zagreb, il termine avec un bilan de deux victoires et deux défaites en Eurocup et une victoire pour trois défaites en Ligue Adriatique.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL: Le 5/5 aux lancers de Youssoupha Fall (Strasbourg)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quelle est la performance la plus étonnante de Youssoupha Fall face au Besiktas Istanbul hier en Champions League?\\n\\nSes 17 points? Ses 10 rebonds? Ses 25 d’évaluation? Son impact défensif? Le tout alors que le géant (2,21m) de Strasbourg revenait d’une blessure au genou?\\n\\nNon. C’est son parfait 5/5 aux lancers-francs quand on sait que le Franco-Sénégalais était la saison dernière avec 39,4% de réussite (43/109) et avec son équipier au Mans Wilfried Yeguete le plus médiocre de toute la Jeep Elite dans cet exercice.\\n\\nS’il parvient à confirmer au fur et à mesure des matches ses progrès en la matière, Youssoupha Fall sera tout simplement injouable. Fini le Hack a Shaq! La faute volontaire pour l’obliger à aller sur la ligne plutôt que de marquer un panier sous le cercle.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eurocup : 17 points et 11 passes, le match de patron d’Andrew Albicy face à Ulm"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Opposé au Ratiopharm Ulm, le MoraBanc Andorra a dû compter sur un Andrew Albicy (1,78m, 28 ans) de gala pour s’imposer de 8 points à domicile (103-95).\\n\\nEn quasiment 25 minutes de jeu, l’international tricolore a compilé 17 points (3/3 à deux points et 3/6 à trois points) et 11 passes décisives pour une évaluation de 28. Andorre compte donc maintenant deux victoires pour autant de défaites et pointe à la quatrième et dernière place qualificative pour le Top 16 dans le groupe A.\\n\\nCette saison, Andrew Albicy compile en moyenne 6,4 points et 2,2 passes en Liga Endesa, et 10 points, 8,2 passes décisives et 2,5 interceptions en Eurocup.\\n\\n\\n\\n\\n.@morabancandorra continue to impress at home and leading the side last night was @andrewalbicy who posted a double-double 17pts and 11 assists. pic.twitter.com/jYYGxUvijH\\n\\n\\n— 7DAYS EuroCup (@EuroCup) October 25, 2018\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview John Cox (SLUC Nancy) : «Ça serait bien de terminer en France, la où ça a commencé»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il fait partie des plus fidèles étrangers à avoir foulé les parquets de LNB. John Cox (1,94m, 37 ans) a passé un peu plus de dix ans en Pro A en passant par Le Havre, Paris-Levallois, Cholet, Chalon, Pau et le revoilà à Nancy où il a déjà séjourné deux ans.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComment vous sentez-vous en revenant en France ?\\n\\nJe suis content parce que je connais particulièrement ce club pour y avoir joué entre 2008 et 2010, je connais déjà le coach Christian Monschau pour avoir joué pour lui pendant quelques années. Je connais aussi déjà quelques joueurs avec qui j’ai déjà joué dans ma carrière comme Anthony Goods, Philippe Braud et Meridis Houmounou. Je suis très à l’aise ici donc tout va bien.\\n\\nComment s’est fait votre signature à Nancy ?\\n\\nCe n’était pas vraiment prévu... En réalité j’étais en train de préparer des choses pour le futur, je pensais à devenir scout pour la NBA. J’ai eu une opportunité avec Philadelphie mais j’ai vu que j’étais bien, que je pouvais toujours jouer, que j’étais en bonne santé donc j’ai signé. C’est aussi une décision prise pour ma famille. J’ai deux petites filles qui sont nées en France, une à Cholet et l’autre au Havre. Je pense que c’est bien pour elles de passer du temps dans le pays où elles sont nées, d’aller à l’école ici et s’imprégner de la culture.\\n\\nC’est le coach qui vous a appelé ?\\n\\nOui, ce sont Christian Monschau et mon agent Nicolas Paul qui m’ont appelé et proposé cette opportunité. Mais avec Christian nous avions déjà parlé dans le passé. Lorsque j’étais à Pau l’année dernière on s’était parlé, nous avons une très bonne relation.\\n\\nQu’est-ce qui vous a convaincu ?\\n\\nSimplement le fait de revenir ici, la situation ici. L’idée de venir passer au moins une nouvelle année en France, pouvoir vivre ici, retrouver cette culture. Je peux toujours jouer, j’ai eu la possibilité de revenir ici donc je suis venu. Je prends année après année maintenant (rires).\\n\\nQue pensez-vous de l’environnement ici, êtes-vous content de revenir ?\\n\\nOui, très ! Nancy est une très bonne ville, une belle ville de basket avec un très bon public. C’est une organisation très professionnelle, une des meilleures de LNB. Tout le monde le sait, tout le monde connaît le SLUC. C’est une superbe ville pour jouer au basket dans tous les aspects.\\n\\n« Je vais essayer de faire mon possible pour qu’il (Kobe Bryant) vienne voir un de nos matchs »\\n\\nQue pensez-vous de l’équipe ?\\n\\nJ’aime notre équipe ! Nous avons une équipe généreuse, il y a un bon mélange entre de jeunes bons joueurs et des vétérans qui connaissent le basket français. Je pense que c’est important. Je pense que nous avons des chances de réaliser une belle saison en Pro B.\\n\\nComment vous sentez-vous dans l’équipe ?\\n\\nJe suis en forme physiquement mais j’ai encore besoin d’un peu de temps pour être à 95%-100%. Je sens que je progresse au fur et à mesure des jours, je pense être à 20% de mon meilleur niveau. Je n’ai jamais joué en Pro B auparavant donc je suis encore en apprentissage, j’ai besoin de voir comment les autres équipes jouent. J’ai encore besoin d’apprendre, chaque match sera en quelque sorte un petit test pour moi. On verra à la moitié de la saison comment je serai, quand j’aurai vu tout le monde.\\n\\nAvez-vous prévu de terminer votre carrière ici ?\\n\\nÇa serait bien de terminer en France, là où tout a commencé (sourire) ! On dirait que ça en prend le chemin... Mais on verra, si je peux rester, si je peux rester en bonne santé. J’ai eu vraiment beaucoup de chance dans ma carrière, je n’ai jamais connu de grave blessure et je pense bien que c’est pour ça que je peux toujours jouer à 37 ans. J’espère pouvoir terminer ici, en France.\\n\\nQuelle est votre relation avec la France ?\\n\\nJ’aime la France, elle m’a plutôt réussi. Elle a aussi fait du bien à ma famille. J’ai appris la culture, j’aime être en France.\\n\\nDans quel club vous êtes-vous senti le mieux en France ?\\n\\nOh ! C’est compliqué... J’ai joué pour de tellement bons clubs, je ne peux pas en choisir qu’un... Ma première année à Chalon était très bien. C’est un très bon club. J’ai passé de belles années à Nancy, on a joué l’Euroleague, l’Eurocup. A Levallois aussi c’était bien. Le Havre pendant cinq ans c’était aussi très bien pour moi. Je dirais donc Nancy, Paris-Levallois, Chalon et Le Havre... (rires)\\n\\nParlez-vous un peu français maintenant ?\\n\\n« Oui, oui... Un petit peu. J’essaye... »\\n\\nVos filles parlent français ?\\n\\n« Actuellement non, mais j’espère plus tard. Après quelques mois ». C’était un peu compliqué jusqu’à maintenant. Elles sont nées en France, elles y ont un peu vécu, elles sont parties aux Etats-Unis, l’année dernière nous étions en Allemagne. Elles sont allées à l’école en Allemagne donc elles ont commencé à apprendre à parler allemand. Ma plus grande fille parlait un petit peu français avant que nous partions, mais comme elle est partie pendant deux ans c’est pas facile. Là elles vont à l’école ici, je pense qu’après un an, ou deux si je reste, elles le parleront bien. Je pense que c’est important.\\n\\nKobe Bryant, votre cousin, va venir vous voir à Nancy ?\\n\\nOn va voir ! Il vient en France en décembre je crois pour le travail. Il vient tous les ans pour Nike, donc il devrait venir à un nos de matchs. On va essayer d’organiser ça, je vais essayer de faire mon possible pour qu’il vienne avant Noël. J’espère qu’il viendra, mais je pense que ça va se faire.\\n\\n[armelse]\\n\\nComment vous sentez-vous en revenant en France ?\\n\\nJe suis content parce que je connais particulièrement ce club pour y avoir joué entre 2008 et 2010, je connais déjà le coach Christian Monschau pour avoir joué pour lui pendant quelques années. Je connais aussi déjà quelques joueurs avec qui j’ai déjà joué dans ma carrière comme Anthony Goods, Philippe Braud et Meridis Houmounou. Je suis très à l’aise ici donc tout va bien.\\n\\nComment s’est fait votre signature à Nancy ?\\n\\nCe n’était pas vraiment prévu... En réalité j’étais en train de préparer des choses pour le futur, je pensais à devenir scout pour la NBA. J’ai eu une opportunité avec Philadelphie mais j’ai vu que j’étais bien, que je pouvais toujours jouer, que j’étais en bonne santé donc j’ai signé. C’est aussi une décision prise pour ma famille. J’ai deux petites filles qui sont nées en France, une à Cholet et l’autre au Havre. Je pense que c’est bien pour elles de passer du temps dans le pays où elles sont nées, d’aller à l’école ici et s’imprégner de la culture.\\n\\nC’est le coach qui vous a appelé ?[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nCrédit : Com1Sport / SLUC Nancy Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : le Top 10 de la deuxième journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après le Top 10 des championnats nationaux et de la Jeep Elite, CourCuts s’attaque au Top 10 de Pro B !\\n\\nPour ce deuxième numéro, c’est Ywen Smock (BC Gries Oberhoffen) qui pointe à la première place du classement grâce à un gros poster dunk.\\n\\nhttps://www.facebook.com/CourtCuts/videos/265397930787640/"
}, 
{"role": "user",     "content":"Rasheed Sulaimon (Levallois) : «On est loin d’avoir montré tout notre potentiel»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé de Dijon cet été pour vivre sa deuxième saison en Jeep Elite à Levallois, Rasheed Sulaimon (1,93m, 24 ans) revient sur le début de saison de son équipe et sur ses premières sensations sous ses nouvelles couleurs.\\n\\n« La Jeep Elite est une ligue difficile, gagner quatre des six premiers matchs est une bonne chose. On sait que l’on doit encore beaucoup s’améliorer. Ce qui est formidable c’est que nous sommes à 4-2 et que l’on est loin d’avoir montré tout notre potentiel. »\\n\\nLa clé du succès pour le natif de Houston est tout simplement la défense. Même si l’équipe est complète, il faut faire les efforts en défense pour continuer de gagner des matchs.\\n\\n« Gagner beaucoup de matchs passe par la défense. En même temps on a beaucoup de talent offensivement. On peut scorer sur tous les postes, même si on n’a pas encore atteint notre meilleur niveau. Mais la différence entre les bonnes et les grandes équipes, c’est la défense. Si on continue à marquer nos paniers et que l’on arrive à élever notre niveau défensif, ça va devenir assez fun de venir nous voir jouer. »\\n\\nSur un point plus personnel, l’ancien joueur de la JDA n’est pas encore au top avec 8 points, 3 rebonds et 3,7 passes décisives pour une évaluation de 6,8. La saison dernière avec Dijon, il tournait à 12,2 points, 2,5 rebonds et 2,8 passes décisives pour une évaluation de 10,1.\\n\\n« Je sais que je peux montrer beaucoup plus de choses. Je suis déjà heureux d’aider mon équipe à gagner. Je vais continuer à m’investir dans le collectif pour que l’on remporte encore plus de matchs. Je sais que tôt ou tard dans la saison on verra mon vrai niveau. »\\n\\nLe Texan n’a pas seulement changé de club, il est passé de Dijon, une ville d’environ 155 000 habitants, à Paris qui compte plus de 2,2 millions d’habitants.\\n\\n« Paris est une ville incroyable. La capitale mondiale de la mode avec beaucoup d’endroits à visiter. C’est incroyable que le basket offre la possibilité de vivre ici. Pour nous Américains et pour moi, venir pour la première fois à Paris est une superbe expérience. J’apprécie de jouer à Levallois et la meilleure façon de remercier nos fans reste de continuer à gagner des matchs. »\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : Dimitris Itoudis a un plan pour le CSKA Moscou"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Itoudis’ Fifteen. C’est le titre de la vidéo que vient de publier le CSKA Moscou sur sa chaîne Youtube. A l’image du film Ocean’s Eleven, Dimitris Itoudis a un plan pour le club russe.\\n\\nA l’aide d’Andrey Vorontsevich, le plus ancien joueur de l’effectif moscovite, l’entraîneur grec recrute un à un les quatorze autres membres de l’équipe qui aura pour but de braquer l’Euroleague et d’aller chercher le titre européen."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : les images du match de Jonathan Jeanne face à Coruña"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Touché par le syndrome de Marfan, Jonathan Jeanne (2,18m, 21 ans) a repris la compétition depuis quelques semaines après une interruption de 17 mois.\\n\\nCe week-end, l’ancien Manceau a disputé son troisième match sous les couleurs de l’Iberojet Palma, club de deuxième division espagnole basé à Majorque. Dans la courte victoire de son équipe face à Coruña (79-76), le Guadeloupéen a compilé 10 points, 5 rebonds et 2 contres pour une évaluation de 9 en 16 minutes de jeu.\\n\\nAprès trois matchs, l’ancien joueur du MSB et du SLUC Nancy tourne à 5,7 points, 3 rebonds et 1 contre pour une évaluation de 4."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Adrien Moerman a les nerfs solides"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le contingent français ne faiblit pas sur le Vieux Continent. Fort de vingt-trois joueurs (à l’heure de ces lignes) répartis sur dix pays, les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment neuf joueurs dans le championnat espagnol, la référence.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nKevin Séraphin retrouve des sensations\\n\\nAprès la victoire facile de Barcelone face à Saragosse (99-55), Kevin Séraphin a posté un message expliquant qu’il retrouvait peu à peu ses jambes et ses mouvements. On le voit notamment récupérer la balle en sortie d’écran avant de réussir un tir main gauche après une volte rapide et bien maîtrisée. A 8 points, 5 rebonds en 15 minutes, l’ancien des Wizards et des Knicks monte en puissance au sein d’un Barça encore invaincu en Liga.\\n\\nDe même, Vincent Poirier et Vitoria ont cartonné ce weekend. Ils ont littéralement atomisé Fuenlabrada avec 50 points d’écart (110-60) ! C’est la plus grosse victoire du Baskonia ces 22 dernières années et le 3e plus gros écart de leur histoire. Par ailleurs, Vitoria a rentré 19 tirs à trois points dans ce festival offensif, là aussi un record pour le club en Liga. Dans ce carnage, Poirier termine à 8 points, 4 rebonds et 2 contres.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=ndyRw0bOv3s\\n\\n\\nAxel Toupane se venge en championnat\\n\\nPeu utilisé en Euroleague durant la semaine, Axel Toupane a eu droit à un temps de jeu conséquent (26 minutes) ce weekend en Ezake. Face à Kymis, l’ancien club d’Angelo Tsagarakis (désormais en 2e division grecque, à Nikaia), Toupane a été très actif avec 12 points, 4 rebonds et 2 interceptions. L’Olympiakos a dû bûcher jusqu’au bout mais la victoire a été au rendez-vous (77-74).\\n\\n\\nPodgorica rebondit en Adriatique\\n\\nMalheureux pour leur entrée en Euroleague, Edwin Jackson et Podgorica ont rectifié le tir en Ligue Adriatique ce weekend. A l’image de ce trois points arc en ciel dans le coin de l’international tricolore, le Buducnost a réussi son match face à Aleksandrovac (85-78). Jackson termine à 7 points dans ce 2e succès en 3 matchs de Podgorica.\\n\\n\\nAdrien Moerman ne tremble pas\\n\\nIl n’y avait pas de Rodrigue Beaubois sur la feuille de match, mais Adrien Moerman (10 points, 8 rebonds) a fait le boulot pour l’Anadolu Efes ce weekend. Dans un duel d’Euroleague face au Darussafaka, l’Efes s’est imposé de justesse (75-72), et Moerman, s’il a été maladroit à 2/9 aux tirs et 4 balles perdues, a tout de même assuré la victoire en inscrivant deux lancers cruciaux en fin de match. L’homme du match a surtout été Vassilije Micic avec 28 points et 7 passes !\\n\\nJoffrey Lauvergne effectuait lui ses premiers pas en Ligue turque ce weekend et, à défaut de briller, l’ancien Spur a été costaud avec 7 points, 6 rebonds et 2 contres. Il aurait pu faire bien mieux s’il n’y avait pas eu ces ratés aux lancers (3/8) !\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=dA-Ua_jqZTE\\n\\n\\nBourdillon et Cel en double figure\\n\\nDans sa deuxième saison en Israel, Frédéric Bourdillon semble de plus en plus à l’aise. L’ancien d’Antibes n’a pas vraiment réussi à percer au Maccabi Haifa l’an passé, mais cette saison avec le Hapoel Eilat, il est plutôt solide ainsi qu’en attestent ces 11 points, 5 rebonds, 3 interceptions, 2 passes du weekend. Si c’est une défaite au final, Bourdillon a tout de même bien choisi son moment pour briller face au Maccabi Tel Aviv.\\n\\nDe même, Aaron Cel est un pion essentiel de son équipe de Torun en Pologne. L’ailier passé par Gravelines Dunkerque récemment a signé une performance à 10 points et 6 rebonds pour aider son équipe à s’imposer... et faire partie d’un groupe de cinq invaincus après deux journées de championnat.\\n\\n\\nEspagne\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 8 points (4/7 aux tirs), 5 rebonds, 1 interception, 1 contre en 15 minutes (victoire 99-55 face à Saragosse)\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 8 points (2/3 aux tirs), 4 rebonds, 2 contres, 1 passe en 15 minutes (victoire 110-60 face à Fuenlabrada)\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 8 points (3/3 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 balle perdue en 13 minutes (victoire 89-76 face à Gran Canaria)\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 7 points (3/8 aux tirs), 4 passes, 3 rebonds, 1 interception, 5 balles perdues en 21 minutes (victoire 99-55 face à Saragosse)\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 7 points (3/4 aux tirs), 4 rebonds, 2 balles perdues en 16 minutes (défaite 89-76 face à Malaga)\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 6 points (2/3 à trois points), 1 rebond en 10 minutes (victoire 81-78 face à Obradoiro)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 5 points (1/8 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 3 balles perdues en 28 minutes (défaite 77-82 face à Manresa)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : n’a pas joué (victoire 92-69 face à Badalone)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 12 points (4/6 aux tirs), 4 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 1 balle perdue en 26 minutes (victoire 77-74 face à Kymis)\\n\\nBoris Dallo (Salonique) : 8 points (3/6 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 1 interception en 17 minutes (défaite 84-70 face au Panathinaikos)\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : 11 points (4/7 aux tirs), 5 rebonds, 3 interceptions, 2 passes, 1 balle perdue en 24 minutes (défaite 83-70 face au Maccabi Tel Aviv)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Bologne) : 7 points (3/8 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 2 interceptions, 2 balles perdues en 26 minutes (défaite 88-79 face à Milan)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 0 point (0/1 au tir), 1 rebond, 1 passe, 1 interception, 2 balles perdues en 10 minutes (défaite 75-60 face à Neptunas)\\n\\n\\nMonténégro\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 7 points (3/7 aux tirs), 1 passe, 1 balle perdue en 21 minutes (victoire 85-78 face à Aleksandrovac)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : 10 points (5/9 aux tirs), 6 rebonds, 1 interception, 1 passe, 2 balles perdues en 23 minutes (victoire 82-73 face à Koszalin)\\n\\n\\nRussie\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : 7 points (3/5 aux tirs), 6 rebonds, 2 passes, 1 contre, 2 balles perdues en 19 minutes (défaite 79-75 face à Kazan)\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : n’a pas joué (victoire 84-78 face à Nizhny Novgorod)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAdam Mokoka (Mega) : 8 points (3/7 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 4 balles perdues en 20 minutes (victoire 95-86 face à Zagreb)\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 2 points (1/2 aux tirs), 1 rebond en 5 minutes (défaite 97-94 face à Bar)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : 10 points (2/9 aux tirs), 8 rebonds, 2 passes, 2 interceptions, 1 contre, 4 balles perdues en 36 minutes (victoire 75-72 face à Darussafaka)\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 7 points (2/5 aux tirs), 6 rebonds, 2 contres, 1 balle perdue en 20 minutes (victoire 80-72 face à Turk)\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : n’a pas joué (victoire 75-72 face à Darussafaka)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Axel Toupane démarre bien en Grèce\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nKevin Séraphin retrouve des sensations\\n\\nAprès la victoire facile de Barcelone face à Saragosse (99-55), Kevin Séraphin a posté un message expliquant qu’il retrouvait peu à peu ses jambes et ses mouvements. On le voit notamment récupérer la balle en sortie d’écran avant de réussir un tir main gauche après une volte rapide et bien maîtrisée. A 8 points, 5 rebonds en 15 minutes, l’ancien des Wizards et des Knicks monte en puissance au sein d’un Barça encore invaincu en Liga.\\n\\nDe même, Vincent Poirier et Vitoria ont cartonné ce weekend. Ils ont littéralement atomisé Fuenlabrada avec 50 points d’écart (110-60) ! C’est la plus grosse victoire du Baskonia ces 22 dernières années et le 3e plus gros écart de leur histoire. Par ailleurs, Vitoria a rentré 19 tirs à trois points dans ce festival offensif, là aussi un record pour le club en Liga. Dans ce carnage, Poirier termine à 8 points, 4 rebonds et 2 contres.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=ndyRw0bOv3s\\n\\n\\nAxel Toupane se venge en championnat\\n\\nPeu utilisé en Euroleague durant la semaine, Axel Toupane a eu droit à un temps de jeu conséquent (26 minutes) ce weekend en Ezake. Face à Kymis, l’ancien club d’Angelo Tsagarakis (désormais en 2e division grecque, à Nikaia), Toupane a été très actif avec 12 points, 4 rebonds et 2 interceptions. L’Olympiakos a dû bûcher jusqu’au bout mais la victoire a été au rendez-vous (77-74).[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le maire de Villeurbanne a  boycotté jusqu’ici l’ASVEL à cause du changement de couleur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le maire de Villeurbanne Jean-Paul Bret ne vient plus aux matches de l’ASVEL à l’Astroballe car il est fâché avec le changement de couleur du club.\\n\\n«J’ai voulu manifester ma désapprobation par rapport à l’histoire des maillots», a t-il confié au site OBuzzer. «Je leur ai dit que c’était une faute technique et même antisportive par rapport à l’histoire du club.»\\n\\nLe maire assure toutefois qu’il ne ne va pas boycotter l’ASVEL indéfiniment et il sera présent dimanche prochain pour la venue de Limoges, précisant qu’il aura beaucoup de plaisir à voir le CSP jouer... en vert!"
}, 
{"role": "user",     "content":"DJ Cooper (ex-Monaco) suspendu pour dopage jusqu’en juin 2020"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’information a été passée sous silence en France et c’est de l’Italie qu’elle nous parvient. Si le meneur américain DJ Cooper (1,83m, 27 ans) n’a pas honoré son contrat avec l’AS Monaco cette saison, ce n’est pas en raison d’un geste d’humeur.\\n\\nLe MVP de la saison 2016-17 a été suspendu par la FIBA pour dopage jusqu’au 24 juin 2020. Il a fait appel de la décision afin d’annuler la sanction mais le club de Cantu qui était intéressé par sa venue ne souhaite pas patienter car le délai sera trop long.\\n\\nLa FIBA annonce la présence de l’hormone gonadotrophine chorionique (HCG) dans l’organisme du MVP 2016/17 de Pro A. Voici les effets que produit cette hormone, qui est généralement utilisée dans le monde du body building, sur le corps :\\n\\n * Anabolisant\\n * Augmentation de la masse musculaire (même principe que la testostérone)\\n * Amélioration de la force et légère amélioration de l’endurance\\n * Amélioration de la récupération\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les premiers points de Bria Hartley avec le Fenerbahçe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était aussi ce week-end la première journée du championnat turc féminin. Le Fenerbahçe Istanbul, champion en titre et coaché par Valérie Garnier, s’est imposé face au OGM Orman, 79-62. La désormais pleinement française Bria Hartley (1,73m, 26 ans) a assuré 10 points (2/2 à trois-points), 6 passes et 1 rebond.\\n\\n\\n\\n\\n🏀 @Breezyyy14\\n\\n\\n📝 10 Pts (2/2 3Pts) – 6 Ast – 1 Reb@WNBAOverseas: @FBBasketbol #WNBA: @nyliberty pic.twitter.com/0rx4XWct6C\\n\\n\\n— Charles 'Aga' Monroe (@Charles33Monroe) October 15, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo: Quand le palais des sports de Pau s’habille de lumières"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Depuis le match Pau-Monaco du 27 septembre, le palais des sports de Pau bénéficie d’un éclairage LED qui accroît le confort grâce à une qualité unique de lumières et de couleurs réduisant les nuisances lumineuses. Il permet de faire le noir total dans la salle pour intégrer différents scénarios. Il est renforcé par des projecteurs scéniques motorisés permettant de transformer le match en un véritable spectacle. Ce système complémentaire est financé (115 000 euros) par l’Elan Béarnais.\\n\\n«Grâce aux 56 luminaires en technologie LED, la consommation d’éléctricité du Palais des sports sera divisée par quatre pour un niveau d’éclairage multiplié par deux. Soit une facture d’électricité réduite d’environ 20 000 euros par an.Les anciens appareils d’éclairage seront quant à eux réutilisés au gymnase Clermont», indique la ville de Pau.\\n\\nInauguré en 1991, le palais des sports de Pau dispose toujours vingt-sept ans plus tard de la capacité la plus importante des salles de Jeep Elite avec 7077 places. Et c’est donc plus que jamais la plus belle arène.\\n\\nPhotos: mairie de Pau"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Jean-Michel Mipoka prolonge avec le BCM Gravelines-Dunkerque"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à la victoire de Gravelines-Dunkerque face à Monaco ce week-end à l’occasion de la cinquième journée de Jeep Elite, Jean-Michel Mipoka (1,98m, 33 ans) a accepté de prolonger son contrat d’une saison.\\n\\nSur son site, le BCM annonce que l’ancien joueur de l’Elan Béarnais qui était dans sa dernière année de contrat restera sous le maillot maritime jusqu’en juin 2020. Cette saison après quatre matchs de championnat, le capitaine gravelinois compile en moyenne 11,8 points, 2,5 rebonds et 1,5 passe décisive pour une évaluation de 13.\\n\\nLe principal intéressé s’est exprimé sur sa prolongation.\\n\\n« C’est la continuité du processus. Le but pour moi c’est de continuer à évoluer dans ce club, à progresser et à faire évoluer les résultats. Je me sens bien ici. Je suis quelqu’un qui a envie de gagner et je pense qu’ici au BCM toutes les conditions sont réunies pour pouvoir aller chercher des résultats. On garde un même noyau, je pense que c’est important aussi dans l’évolution d’un club. »\\n\\nPhoto : Julie Dumélié/BCM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Fos-sur-Mer engage Corey Fisher"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Update:\\n\\nC’est désormais officiel, Corey Fisher rejoint Fos-sur-Mer en qualité de pigiste médical de Tariq Kirskay qui souffre du dos.\\n\\nAprès cinq défaites en autant de journées de Jeep Elite, Fos-sur-Mer serait sur le point d’annoncer l’arrivée d’un nouveau joueur, l’Américain Corey Fisher (1,85m, 30 ans).\\n\\nSelon Matthieu Marot, les dirigeants provençaux seraient sur le point de boucler le recrutement de ce meneur de jeu qui viendrait apporter main-forte à Edouard Choquet et Xavier Gaillou. Né dans le Bronx, l’ancien pensionnaire de l’université de Villanova n’a jamais évolué en France mais est passé par la Turquie, l’Espagne, la Russie, la Croatie, la Lituanie ou encore des championnats plus exotiques comme Porto-Rico et la Chine.\\n\\nLa saison dernière, Corey Fisher compilait en moyenne 10,8 points et 2,6 passes décisives dans le championnat espagnol.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Freddy Fauthoux (Levallois) : «Cette équipe, c’est exactement ce que je voulais»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite aux départs de Boris Diaw, Klemen Prepelic ou encore Petr Cornelie (retour de prêt) et Louis Campbell, Frederic Fauthoux a dû se creuser la tête cet été pour construire une nouvelle équipe à Levallois. Et c’est plutôt réussi avec les étincelants recrutements de Roko Ukic et Julian Wright ou les arrivées de Mouphtaou Yarou, Rasheed Sulaimon et Ekene Ibekwe.\\n\\nDe retour dans son club de toujours l’Elan Béarnais mais en tant que visiteurs, l’ancien international français a répondu aux questions de la République des Pyrénées, comme le rapporte le club sur Twitter. L’ancien Palois s’est notamment exprimé sur la façon dont il a construit son équipe qui bataille actuellement en tête du classement de Jeep® ÉLITE.\\n\\n« C’est exactement ce que je voulais par rapport au basket que je souhaite mettre en place ; un intérieur dominant dans la raquette, avec Yarou c’est fait ; des gars complémentaires sur le poste 4, avec Wright et Ibekwe, c’est coché ; à l’extérieur il fallait des joueurs complémentaires dans la création, dans la défense, dans la taille... Aujourd’hui je suis très content. »\\n\\nSurnommé Petitou à son époque de joueur, l’entraîneur des Metropolitans est également revenu sur le recrutement du Croate Roko Ukic.\\n\\n« Je cherchais depuis plusieurs semaines un profil de joueur particulier qui correspond parfaitement à Ukic. Quand on me l’a proposé et qu’on a vu qu’il entrait dans nos tarifs, il est devenu la priorité. Je suis très heureux de son choix. Il cherchait une ville idéale pour une bonne scolarité pour ses enfants. Il a aussi été séduit par notre projet entre Levallois et Boulogne à moyen terme. On s’est beaucoup parlé au téléphone et au final toutes les planètes étaient alignées pour qu’il vienne. Pour nous, c’est une superbe opportunité avec un autre grand gagnant de cette venue, David Michineau, le second meneur, très athlétique et physique, qui va énormément gagner en connaissance du poste. Pour lui, c’est une formation accélérée. »\\n\\nCe lundi soir, Levallois affronte l’Elan Béarnais au Palais des Sports de Pau et Freddy Fauthoux ne s’est toujours pas imposé à l’extérieur face à son ancien club.\\n\\n« Ce n’est plus du tout comme les deux premières fois où je voulais absolument gagner. Cette année, je suis beaucoup plus dans un état d’esprit collectif. Ce n’est pas Fred Fauthoux qui veut gagner à Pau mais Levallois qui vient à Pau pour continuer à gagner et rester en haut du classement. »\\n\\nPhoto : Karen Mandau"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: L’Open LFB de Paris résumé en deux mini-movies"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec de belles images, et en profitant des ralentis, voici le résumé des deux jours de l’Open LFB à Paris-Coubertin grâce à ces deux mini-movies.\\n\\nPhoto: Alexia Plagnard, Basket Landes (FFBB, Hervé Bellenger)"
}, 
{"role": "user",     "content":"10 points, 10 rebonds et 6 contres, Taylor Smith a fait sa loi dans la raquette contre Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chouchou du Sportica depuis son arrivée à l’été 2017, Taylor Smith (1,98m, 27 ans) est nouvelle fois précieux dans le dispositif de Julien Mahé cette saison. C’est tout simplement le meilleur joueur du BCM Gravelines-Dunkerque depuis le début de saison.\\n\\nFace à Monaco, le Texan a une nouvelle fois fait un chantier notamment grâce à ses qualités athlétiques impressionnantes. Petit intérieur qui culmine à moins de deux mètres, il a été contrer à six reprises les joueurs de Monaco ce week-end. Au total, l’ancien joueur de Ravenne (Italie) a compilé 10 points, 10 rebonds et 6 contres pour une évaluation de 25 en 26 minutes de jeu.\\n\\nCette saison, Taylor Smith tourne en moyenne à 9,4 points, 8 rebonds, 2,8 passes décisives et 1,8 contre pour une évaluation de 18,8. Il est le meilleur contreur du championnat, sixième rebondeur et huitième à l’évaluation.\\n\\n\\n\\n\\nC'était le festival @Tplusha hier soir lors du match entre le @BCMBasket et l'@ASMonaco_Basket !\\nLe maritime a d'ailleurs terminé MVP du match grâce à ses 10 pts, 10 rbds et 6 contres 💪#JeepELITE pic.twitter.com/aIi6tzRWd6\\n\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) October 14, 2018\\n\\nPhoto : Julie Dumélié/BCM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV: Un record de matchs en France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"27 matchs télévisés cette semaine ; il s’agit très probablement d’un record de France pour une semaine de compétition de clubs. On le doit principalement à l’Euroleague et à RMC Sport qui est contraint d’utiliser toutes ses chaînes pour assumer cette prolongation.\\n\\nLundi 15 octobre\\n\\n20h45 – Pau/Levallois – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nMardi 16 octobre\\n\\n18h00 – Banvit/Le Mans – BCL – Canal+ Sport\\n\\n19h15 – Darussafaka/Podgorica – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n19h30 – Ulm/Monaco – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\n20h05 – Tel-Aviv/CSKA Moscou – Euroleague – RCM Sport 3\\n\\n20h30 – Villeurbanne/Ankara – Eurocup – RMC Sport 1\\n\\n20h30 – Munich/Panathinaikos – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n20h40 – Strasbourg/Bayreuth – BCL – Canal+Sport\\n\\n21h00 – Gran Canaria/Barcelone – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\nMercredi 17 octobre\\n\\n19h00 – Efes Istanbul/Kaunas – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n19h45 – Fenerbahçe/Khimki Moscou – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n20h00 – Bamberg/Dijon – BCL – Basket+\\n\\n20h30 – Limoges/Berlin – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\n20h30 – Vitoria/Olympiakos – Euroleague – RMC Sport 3\\n\\n20h45 – Milan/Madrid – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n20h50 – Nanterre/Ténérife – BCL – Canal+ Sport\\n\\nJeudi 18 octobre\\n\\n19h00 – Moscou/Darussafaka – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n20h00 – Podgorica/Tel-Aviv – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n20h00 – Panathinaikos/Gran Canaria – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n21h00 – Barcelone/Munich – Euroleague – RMC Sport 1\\n\\nVendredi 19 octobre\\n\\n19h00 – Khimki Moscou/Efes Istanbul – Euroleague – RMC Sport Live 7\\n\\n20h00 – Kaunas/Fenerbaçe – Euroleague – RMC Sport Live 5\\n\\n20h00 – Olympiakos/Milan – Euroleague – RMC Sport Live 6\\n\\n21h00 – Madrid/Vitoria – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\nSamedi 20 octobre\\n\\n18h30 – Le Mans/Gravelines – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nDimanche 21 octobre\\n\\n18h30 – Villeurbanne/Limoges – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nLundi 22 octobre\\n\\n20h45 – Dijon/Bourg – Jeep Elite – RMC Sport 2"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet (SIG) après la victoire face à Limoges : «Il était indispensable de ne pas les laisser jouer leur jeu»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dimanche soir au Rhénus, la SIG Strasbourg a donné une leçon au Limoges CSP en l’emportant 81-61. Avant de croiser la route des Alsaciens, le club limougeaud marquait plus de 90 points par match. Après la rencontre, Vincent Collet a félicité ses joueurs qui ont respecté le plan du match : être intense en défense et ne pas laisser jouer les adversaires.\\n\\n« On a bien respecté ce qu’on voulait faire. C’est très bien ! Lors de notre scouting, nous avons remarqué la différence de leur comportement en fonction de l’intensité adverse. On les a impactés physiquement sur la durée du match. Il était indispensable de ne pas les laisser jouer leur jeu. On a travaillé le repli défensif. C’était le match où ils avaient le moins de jeu rapide. Ils restaient sur 93 points de moyenne et 44% aux trois points. On a su les empêcher. C’est notre meilleur match défensif alors qu’il nous manque notre tour de contrôle, Youssoupha Fall. Florent Pietrus a été remarquable ce soir et on a eu la confirmation de Jérémy Nzeulie dans la percussion. On résiste dans une situation pas facile. Mais ça va s’améliorer. Youssoupha va revenir en attendant Jacques (Alingue). Il était important de ne pas trop lâcher en route. On a mal commencé en se tirant une balle dans le pied contre Pau. Depuis on a assuré, on progresse collectivement, c’est intéressant. De plus, dans la perspective du match de mardi (réception de Bayreuth en BCL), personne n’a joué plus de 30’ ».\\n\\nAutre bonne nouvelle pour la SIG, c’est le retour en forme de Jeremy Nzeulie. A 2/20 aux tirs après quatre journées de Jeep Elite, l’ancien Chalonnais a retrouvé des couleurs en inscrivant 14 points (6/10 aux tirs) pour 13 d’évaluation.\\n\\n« N’encaisser que 61 points a clairement été décisif. Nous leur rendions ce soir à la fois des centimètres et des kilos, mais notre défense a été la clé. Elle nous a permis de prendre confiance. Nous avons fait un très bon travail collectif à ce niveau-là. C’était une belle semaine. A titre personnel, je ne vais pas m’enflammer. J’ai essayé d’être patient et de laisser le jeu venir à moi. L’équipe gagne, c’est le meilleur des scénarios ».\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Pro B 2018-19 – Vichy-Clermont: Des sang et or en quête de sang-froid"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la Leaders Cup en guise de tour de chauffe, le championnat 2018/19 de Pro B débute le 12 octobre et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur un joueur à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment).\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLa saison passée, la JAVCM a été illustration parfaite qu’un championnat se joue parfois à un rien. Dotée d’un effectif toujours compétitif à l’image de son trio expérimenté Denave-Broncharrd-Koné, la formation de Guillaume Vizade a laissé échapper un nombre incroyable de matchs sur le fil. Au total, Vichy-Clermont s’est incliné sept fois par une possession d’écart, dont certains sur des tirs au buzzer. Si la moitié de ces défaites avaient tourné dans le bon sens, les Sang et Or auraient fait les Playoffs. Au final, après une 14e place en 2016-2017, l’exercice 2017-2018 a encore été décevant (12e avec le même bilan de 14 victoires pour 20 défaites).\\n\\nLa tentation de repartir d’une feuille blanche aurait pu pousser la direction à revoir son effectif en profondeur. Mais les qualités sont bien là et Guillaume Vizade s’est attelé à bonifier son groupe pour éviter de revivre une troisième saison compliquée. « On a cherché à améliorer trois aspects : renforcer la vitesse, le secteur défensif et trouver un meneur avec des qualités d’adresse. Avec Quinton Hooker, on récupère un joueur qui a une bonne culture basket et qui a les qualités recherchées au poste 1. On voulait aussi un 4-5 shooteur. Mais on n’en a pas trouvé, donc on est resté sur l’intensité avec William Adala Moto. Medhy Ngouama, qui arrive de Denain, est égalament dans ce registre sur les postes arrières », explique le coach de Vichy-Clermont qui a également rajeuni son effectif au passage. « Sorti du trio Denave-Bronchard-Koné, les autres ont entre 19 et 25 ans », poursuit-il.\\n\\nSi on croise les doigts pour que le facteur chance bascule cette fois du côté de la JAVCM, notons tout de même que la Leaders Cup a déjà fait des dégâts en ce sens avec encore deux revers qui se sont joués à un et deux points d’écart lors des deux premiers matchs de la saison (77-78 contre Saint-Chamond et 72-74 contre Roanne).\\n\\nLe joueur à suivre : Andell Cumberbatch\\n\\nL’ailier américain de 25 ans tout juste champion de D2 israélienne avec l’Hapoel Beer Sheva suscite la curiosité. Réputé fort scoreur, Andell Cumberbatch n’a pas tardé à prendre ses marques sous ses nouvelles couleurs comme en témoigne son match à 23 points contre Saint-Chamond en Leaders Cup. « C’est un swingman 3-2 assez complet qui a un beau volume de jeu », analyse Guillaume Vizade au sujet de sa dernière recrue de l’été. « Il est déjà passé par trois pays, la République Tchèque, l’Autriche et Israël et à chaque fois, il a tourné à entre 15 et 17 points par match et 3 et 4 passes décisives. Il aura un rôle majeur cette saison. Pour l’instant son acclimatation se passe bien. Il est passé au travers contre Roanne mais sinon il a été dedans sur toute la prépa. Il a été productif, il s’exprime pas mal sur le jeu de relance. Il ne se cache pas, c’est ce qu’on attend de lui ».\\n\\nLes ambitions du club, par Guillaume Vizade :\\n\\n« Sur un plan économique, il y a un premier chapeau, qui est composé de Roanne, Nancy, Orléans, Nantes, Blois et Lille. Ce sont des équipes plus solides et mieux armées. Ensuite, il y a un second chapeau, avec des formations comme Evreux, Caen, Saint-Chamond... On se situe plutôt dans ce groupe là . On sait qu’il y aura beaucoup d’équipes qui vont prétendre aux deux-trois dernières places restantes pour disputer les Playoffs. C’est notre ambition. »\\n\\nArrivées : Arnaud-William Adala Moto (Logrogno, Espagne D2), Andell Cumberbatch (Hapoem Beer Sheva, Israël D2), Quinton Hooker (GTK Gliwice, Pologne), Mehdy Ngouama (Denain)\\n\\nDéparts : Omar Krayem, Grégory Lessort (Pays d’Olonnes, N2), Kwamain Mitchell, T.J. Sapp, Chris Smith (Bruxelles, Belgique)\\n\\nEffectif 2018-2019 : Quinton Hooker, Mehdy Ngouama, David Denave, Grégory Bengaber, Andell Cumberbatch, Romuald Morency, Charles-Henri Bronchard, Arnaud-William Adala Moto, Mohamed Kone, Serge Mourtala\\n\\nCoach : Guillaume Vizade Assistant : Jonathan Nebout\\n\\nCinq majeur probable : Quinton Hooker, David Denave, Andell Cumberbatch, Charles-Henri Bronchard, Mohamed Kone\\n\\n[armelse]\\nLa saison passée, la JAVCM a été illustration parfaite qu’un championnat se joue parfois à un rien. Dotée d’un effectif toujours compétitif à l’image de son trio expérimenté Denave-Broncharrd-Koné, la formation de Guillaume Vizade a laissé échapper un nombre incroyable de matchs sur le fil. Au total, Vichy-Clermont s’est incliné sept fois par une possession d’écart, dont certains sur des tirs au buzzer. Si la moitié de ces défaites avaient tourné dans le bon sens, les Sang et Or auraient fait les Playoffs. Au final, après une 14e place en 2016-2017, l’exercice 2017-2018 a encore été décevant (12e avec le même bilan de 14 victoires pour 20 défaites).\\n\\nLa tentation de repartir d’une feuille blanche aurait pu pousser la direction à revoir son effectif en profondeur. Mais les qualités sont bien là et Guillaume Vizade s’est attelé à bonifier son groupe pour éviter de revivre une troisième saison compliquée. « On a cherché à améliorer trois aspects : renforcer la vitesse, le secteur défensif et trouver un meneur avec des qualités d’adresse.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto :Andell Cumberbatch/FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jonathan Rousselle: «On est de bons petits joueurs, pas forcément une équipe»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La SIG Strasbourg a copieusement dominé le Limoges CSP hier au Rhénus (81-61). Alors que Ali Traore est toujours sur sa lancée (17 points à 7/8 aux tirs), Jérémy Nzeulie a retrouvé ses sensations, obtenant 14 points. Mais c’est bien en défense que les Alsaciens ont imposé leur griffe.\\n\\n« N’encaisser que 61 points a clairement été décisif, » a commenté Jérémy Nzeulie en conférence de presse. « Nous leur rendions ce soir à la fois des centimètres et des kilos, mais notre défense a été la clé. Elle nous a permis de prendre confiance. Nous avons fait un très bon travail collectif à ce niveau-là. C’était une belle semaine. A titre personnel, je ne vais pas m’enflammer. J’ai essayé d’être patient et de laisser le jeu venir à moi. L’équipe gagne, c’est le meilleur des scénarios. »\\n\\nA Limoges, on se demandait pourquoi l’équipe a sombré pareillement avec une terrible différence à l’évaluation: 104 à 57 !\\n\\n« Encore une entame difficile ! », a constaté Jonathan Rousselle. « On se le dit, on le sait, on le répète. Et pourtant, il n’y a pas de réaction ! A chaud, je n’ai pas de réponse. On est des bons petits joueurs, pas forcément une équipe. On n’est pas ensemble, notamment en termes d’agressivité et de mentalité. En voyant Strasbourg diminué, on se dit qu’il y a un coup à jouer. Mais on ne le traduit pas. C’est calamiteux avec des un contre un. Pas beau à voir. Faut réagir vite sinon la saison va être longue... ».\\n\\nLe coach Kyle Milling était lui aussi interrogatif:\\n\\n« Le problème est identifé depuis longtemps, mais je n’ai aucune idée pourquoi on commence comme ça ! Pourtant on en parle. Il y avait deux fois plus d’intensité hier à l’entrainement à Limoges que ce soir. Je ne comprends pas. On s’est fait marcher dessus des deux côtés du terrain. Avec des erreurs pas possibles. Les joueurs pensent plus à marquer leur panier qu’à arrêter leur adversaire. Il faut rebondir vite ! L’an passé on en a pris 30 ici, ce soir on a joué comme de la merde. Nos 5 lancers-francs ? On a joué à dix mètres du panier, du coup, difficile de chercher la faute. Il faut faire quelque chose, vite ».\\n\\nStrasbourg en est à 3 victoires et 2 défaites, Limoges à 2 victoires et 3 défaites.\\n\\nPhoto: CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Open féminin: Le Hainaut supplante Roche Vendée, 73-65"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le dernier match de l’Open de Paris, Saint Amand Le Hainaut a supplanté Roche Vendée, 73-65. Un résultat qui pourrait peser lourd dans le décompte finale, les deux équipes étant vouées en principe à lutter pour le maintien.\\n\\nL’Américaine Ashley Brunner (22 points, 7 rebonds, 4 interceptions) et l’Espagnole Laura Garcia (19 points, 7 passes) se sont mises en exergue du côté nordiste.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Ashley Brunner (FFBB, Hervé Bellenger)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Open féminin: Lattes-Montpellier croque Nantes-Rezé, 85-69"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec dans son cinq de départ quatre internationales en activité (Romane Berniès, Diandra Tchatchouang, Endy Miyem et Helena Ciak) et une championne WNBA, médaillée d’argent à la Coupe du monde en septembre (l’Américano-Australienne Samantha Whitcomb), Lattes-Montpellier peut donner des peurs bleues à ses adversaires. Pourtant les Nantaises sont entrées dans le match sans complexe à l’image de l’arrière américaine Shaqwedia Wallace (8 points en 6 minutes).\\n\\nAvec une autre internationale à la mène (Alix Duchet), une ancienne du maillot bleu (Marielle Amant) et une seconde américaine (Taylor Wurtz), les Héraultaises pouvaient ensuite envoyer, sous les yeux de Boris Diaw installé une mi-temps au centre de la tribune présidentielle, la deuxième vague d’assaut. Animées par l’impétueuse meneuse espagnole Ana Suarez, les Nantaises restaient combattives et évitaient de se faire trop distancer (28-33, 15e, 35-44, 20e).\\n\\nLe temps en fait s’est gâté à la reprise, obligeant le coach Emmanuel Coeuret a commandé un temps-mort au bout de quelques minutes, mais il y avait partout des voies d’eau. Pour leur retour en Ligue Féminine, Endy Miyem (15 points) et Helena Ciak (17 points, 5 rebonds) étaient avec Diandra Tchatchouang (12 points, 5 rebonds, 5 passes) particulièrement intraitables. Mais si les Nantaises n’eurent à aucun moment un quelconque espoir de retour, elles concédèrent tout au long de la seconde mi-temps le même type d’écart: 58-36 (25e), 66-46 (30e) et donc 85-69 (40e).\\n\\nEvidemment, il y a un monde entre une équipe bâtie pour être championne -et pourquoi pas gagner l’Eurocup- et une autre qui aura à la fois un oeil sur les playoffs et le maintien.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Romane Bernies (Hervé Bellenger, FFBB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Open féminin: Basket Landes prive Landerneau d’une première victoire en Ligue Féminine. 18 points et 10 passes pour Céline Dumerc"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Landerneau est un novice en Ligue féminine car seules trois joueuses ont fréquenté cette division dans différents autres clubs. Et c’est une ancienne joueuse de Ligue 2, l’intérieure Kariata Diaby, internationale ivoirienne (1,93m, 23 ans, ex-Voiron et Charnay) qui a été la top scoreuse avec 18 points.\\n\\nLes Bretonnes n’ont pourtant pas connu de période d’adaptation et les deux équipes se sont rendues longtemps coup sur coup. 21-21 après un quart-temps. 40-38 en faveur de Basket Landes à la fin du deuxième avec le poids de la meneuse Joyce Cousseins-Smith (8 points, 5 rebonds, 3 passes, 1 interception) dans le jeu de Landerneau.\\n\\nBasket Landes a longtemps mené dans le troisième quart-temps mais pour se faire rejoindre à 52 (27e). C’est donc dans le dernier quart-temps que Landerneau a cédé et le score final (84-68) ne reflète pas sa résistance. C’est à ce moment-là que l’ancienne pivot du Seattle Storm, l’imposante Markeisha Gatling (1,96m, 26 ans), restée un an sans jouer, et que l’on n’avait pas vu jusque là, a montré le bout de son nez (4 points, 5 rebonds en 16′). Landerneau a cruellement souffert de son manque de compétitivité au rebond, 26-41.\\n\\nSinon, c’est fait, on a découvert Céline Dumerc en numéro 2, elle a inscris le premier panier d’un coast to coast en tranchant la défense bretonne et en concluant d’un layup. Et de récidiver quatre minutes plus tard. Au total, l’ancienne capitaine des Bleues a scoré 18 points dont un trois-points -qui a mis la tête des Bretonnes sous l’eau- après avoir annoncé un système pour elle-même et qui si, l’on se fie à son cri de guerre, l’a mis en joie. Elle a ajouté 10 passes à son actif, ce qui lui a permis de réaliser un double double. Ses fans peuvent être rassurés; elle est toujours en jambes, Mamy, et la patronne sur le terrain, c’est toujours elle !\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Joyce Cousseins-Smith (Hervé Bellenger, FFBB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: «Couronnement en Principauté» ou Le Mans champion de France 2018"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Mans Sarthe Basket est au coeur du documentaire « Couronnement en Principauté » qui retrace sa saison d’Anthologie qui l’a amené au titre de champion de France 2018."
}, 
{"role": "user",     "content":"Décès à 51 ans de Patrick Baumann, secrétaire-général de la FIBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le secrétaire-général de la Fédération Internationale de Basketball, Patrick Baumann, est décédé à l’âge de 51 ans d’une crise cardiaque survenue à Buenos-Aires apprend on ce matin.\\n\\nAncien joueur, coach et arbitre, juriste de formation, polyglotte, le Suisse avait rejoint la FIBA en 1994 et il occupait la fonction de secrétaire-général depuis 2002 à la suite du Serbe Borislav Stankovic. Le secrétaire-général est en fait le numéro 1 de la FIBA.\\n\\nMembre du CIO, il avait été le président de la Commission d’évaluation des Jeux d’été de 2024 puis se retrouvait à la tête de la Commission de coordination des JO de Los Angeles. Il était également sous les feux de l’actualité avec le conflit qui l’opposait à l’Euroleague et à son directeur, Jordi Bertomeu.\\n\\n« Je viens d’apprendre le décès de Patrick Baumann, c’est terrible! « , a déclaré Jean-Pierre Siutat, président de la FFBB. « Je connaissais Patrick depuis plus de 20 ans. J’ai toujours été très impressionné par sa capacité de travail et sa facilité à échanger avec l’ensemble des acteurs de la planète basket. Infatigable passionné, il s’était donné comme challenge de développer énormément notre sport, réussissant brillamment à intégrer le basket 3×3 au programme olympique. C’est une très grande perte pour le monde du sport international. Je présente mes plus sincères condoléances à sa famille, ses proches et aux familles du basket et de l’olympisme. Une minute de silence sera tout de suite respectée en son honneur cet après-midi à Coubertin lors du MAIF Open LFB. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le panier à trois-points d’une main de Marine Johannès"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"RMC Sport a capturé le shoot à trois-points d’une main et au buzzer de Marine Johannès, l’arrière de Bourges, face à Charleville, dont nous vous parlions hier. Spectaculaire !\\n\\nhttps://twitter.com/RMCsport/status/1051191372353552384"
}, 
{"role": "user",     "content":"Lahaou Konate (Nanterre) bat tous ses records statistiques"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"23 points, 9 rebonds et 5 passes pour Lahaou Konate (1,96m, 26 ans) dans la victoire de Nanterre sur le co-leader invaincu de ce début de saison, la JDA Dijon, 77-73. Et le travail défensif n’est pas compris dans ces chiffres.\\n\\nIl est peu dire que le Nanterrien effectue un mois d’octobre en boulet de canon. C’est bien simple: son évaluation moyenne est actuellement de 21,8. Plus encore que sa moyenne de points (17,0) c’est celle au rebond qui est très spectaculaire (7,8) pour un shooting guard.\\n\\nPoints, rebonds, passes (3,5), interceptions (1,5), contres (0,3) et bien sûr évaluation : c’est bien simple, Lahaou Konate bat pour l’instant tous ses records en carrière en Jeep Elite/Pro A.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Ligue Féminine 2018-19 – Villeneuve d’Ascq: Toujours le carré d’as dans le viseur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Ligue Féminine débute les 13 et 14 octobre avec l’Open de Paris et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur deux joueuses à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment) et vous pouvez commander le Guide en version papier sur notre boutique.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nArrivée en 2000, l’ESBVA fait partie des meubles de la Ligue Féminine et a connu trois années extrêmement fructueuses avec une victoire en Eurocup (2015), une place en finale (2016) et un premier titre de champion de France (2017). De l’aveu même de son coach, le club nordiste qui possédait il y a deux ans le deuxième budget de la LFB est quelque peu rentré dans le rang financièrement se faisant dépasser par Charleville-Mézières, Lyon et Lattes-Montpellier. Comme Laetitia Kamba n’a finalement pas été retenue en équipe de France, il n’y a plus qu’une seule internationale à bord, la Franco-Sénégalaise Mame Marie Sy Diop, réputée pour sa vaillance et pleinement remise de ses douleurs aux ischio-jambiers qui lui a valu trois mois d’inactivité en fin de saison dernière. Pour rappel, Villeneuve d’Ascq avait neuf internationales la saison du titre. Sur le marché des transferts, Frédéric Dusart a été contraint de viser un peu plus bas. « On a l’obligation d’avoir six Françaises et même sept car je garde toujours la possibilité d’avoir une étrangère sous le coude au cas où une Française se blesse. Comme toutes les internationales sont à Bourges, Montpellier, Charleville et Lyon, on s’est rabattu sur des joueuses forcément un peu moins référencées voire quelques paris. » Christelle Diallo, qui a bien progressé à Tarbes (8,1 points et 3,3 rebonds) et Magali Mendy, qui pourrait être une des révélations majeures de la saison, sont les deux recrues françaises. Le coach peut par ailleurs toujours compter sur les chevronnées et fidèles Johanna Gomis-Halilovic (6e saison au club), Virgine Brémont (5e saison) et Laetitia Kamba (5e saison en deux fois). L’Allemande Romy Bär connaît très bien la Ligue Féminine (8e saison) alors que l’Américaine Shante Evans, qui était la saison dernière à Girone avec Magali Mendy, a la particularité d’être en possession d’un passeport slovène. Elle en avait profité pour aligner 7,7 points et 4,7 rebonds à l’Euro 2017. Si l’ESBVA n’en fait plus partie financièrement, elle compte bien demeurer sportivement dans le carré d’as de la Ligue Féminine.\\n\\nMagali Mendy\\n\\nLa native d’Orly est à 28 ans une rookie en Ligue Féminine. A son actif jusqu’ici de la Ligue 2 (3e marqueuse avec 17,7 points plus 7,8 rebonds sous le maillot de Chartres en 2017) et deux ans à l’étranger, à Keltern en Allemagne et à Girone en Espagne. « Elle n’a jamais joué en Ligue Féminine mais elle est paradoxalement quart-de-finaliste de l’Eurocoupe », rappelle Frédéric Dusart. « C’est un semi pari car je l’ai joué, il y a trois ans, quand elle était avec Chartres en Ligue 2 et elle m’avait déjà impressionné. En Eurocoupe, elle a mis 16 points au retour contre Galatasaray, une équipe que l’on a joué l’année dernière, ce qu’elle a réussi dans cette compétition de manière régulière fait que c’est un pari très peu risqué. Elle a un potentiel. » En fait, avec 13,5, Magali Mendy avait la troisième évaluation de Girone la saison dernière en Eurocoupe grâce à ses 11,3 points (42,5% de réussite à trois-points), 4,4 points, 2,0 passes et 1,7 rebond, la preuve qu’elle sait faire plein de choses sur un terrain. Issue d’une famille sportive avec six frères footballeur et une sœur handballeuse.\\n\\nRomy Bär\\n\\nUne internationale allemande qui apprécie la France puisque l’ESBVA est son cinquième club en LFB depuis 2010 avec juste une infidélité d’une saison qu’elle passa à Kosice où elle joua l’Euroligue. « Je recherchais une poste 3 qui soit de grande taille. On a contacté une Française mais elle est partie à Montpellier. C’est rare une poste 3 d’1,90m. On a pris Romy car elle a joué le haut de tableau avec Challes-les-Eaux et Lyon. Elle a connu l’Euroleague avec Montpellier. On voulait quelqu’un qui ait de l’expérience, elle parle français, elle a un fort QI basket. C’est une fille qui va tout équilibrer dans notre jeu. Même si physiquement elle est parfois en déficit, en terme de dureté, elle est grande et peut jouer aux postes 2, 3, 4. C’est une joueuse très altruiste qui se fiche totalement de ses stats en terme de scoring », apprécie Frédéric Dusart. 3,5 passes en moyenne la saison dernière à Lattes-Montpellier.\\n\\nL’effectif de Villeneuve d’Ascq est disponible est ici.\\n\\n[armelse]\\n\\nArrivée en 2000, l’ESBVA fait partie des meubles de la Ligue Féminine et a connu trois années extrêmement fructueuses avec une victoire en Eurocup (2015), une place en finale (2016) et un premier titre de champion de France (2017). De l’aveu même de son coach, le club nordiste qui possédait il y a deux ans le deuxième budget de la LFB est quelque peu rentré dans le rang financièrement se faisant dépasser par Charleville-Mézières, Lyon et Lattes-Montpellier. Comme Laetitia Kamba n’a finalement pas été retenue en équipe de France, il n’y a plus qu’une seule internationale à bord, la Franco-Sénégalaise Mame Marie Sy Diop, réputée pour sa vaillance et pleinement remise de ses douleurs aux ischio-jambiers qui lui a valu trois mois d’inactivité en fin de saison dernière. Pour rappel, Villeneuve d’Ascq avait neuf internationales la saison du titre. Sur le marché des transferts, Frédéric Dusart a été contraint de viser un peu plus bas. « On a l’obligation d’avoir six Françaises et même sept car je garde toujours la possibilité d’avoir une étrangère sous le coude au cas où une Française se blesse.\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Mame Marie Sy Diop (FFBB/Hervé Bellenger), Shante Evans et Magali Mendy (FIBA)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Eric Bartecheky salue l’état d’esprit de son équipe et de Antoine Eito"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après son échec à Murcie en Champions League, Le Mans est allé gagner hier soir à Boulazac, 74-69, et le coach Eric Bartecheky est fier de ses troupes comme il l’a confié en conférence d’après-match:\\n\\n« On a baissé les stats offensives de Boulazac à domicile. Une équipe accrocheuse, » rapporte Ouest France. » On a été devant à chaque quart-temps mais avec un tout petit matelas de rien du tout. Cela aurait pu tourner. On a su rester solides défensivement. En attaque, on est resté lucides. J’ai vraiment bien aimé l’état d’esprit, notre réaction immédiate après la défaite à Murcie alors qu’on avait eu qu’une seule séance pour préparer ce match. Je suis content de leur attitude en équipe, de leur combativité, de leur solidarité. »\\n\\nUne mention spéciale à Antoine Eito, qui a passé 28 minutes sur le terrain (7 points, 6 rebonds, 3 passes) alors qu’il était victime d’une luxation du pouce.\\n\\n« Il a fait l’effort de rejouer. Un exemple de plus de l’état d’esprit combatif et solidaire. »\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\nJouer un game avec un pouce luxé ✅\\nAller aux urgences pour la radio apres 6h de bus, et à 5h du mat: bientôt ✅\\nEnchainer avec départen Turquie dès lundi matin 8h bientôt bientôt ✅\\nWhat else ?!😡 #vdm #maislawin #nopainnogain\\n\\n\\n— Ant1 (@AntEito) October 13, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jean-Denys Choulet (Chalon) à propos de Charles Kahudi: «Quelqu’un qui fait 25′ sur le terrain sans faire de faute, c’est un génie pour moi»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la défaite de ses troupes face à l’ASVEL (89-92), le coach chalonnais Jean-Denys Choulet est revenu en zone mixte -propos repris par Elan TV– sur ce qu’il estime être une différence de traitement de la part des arbitres entre ses jeunes d’un côté et les Villeurbannais de l’autre.\\n\\n« C’est un match disputé. Ils méritent leur victoire sur l’ensemble du match. Je ne suis pas fâché de la défaite. Je pense que les gars ont donné tout ce qu’ils avaient à donner. Je ne suis pas très content de la différence de traitement d’une équipe qui joue style Euroleague, c’est à dire qui fait faute sur pratiquement toutes les montées de balle mais effectivement les arbitres ne sifflent pas. Si ça ne siffle pas au début, ça ne siffle plus et donc on est pénalisé. Je demande simplement que le traitement soit le même entre Matis Dossou-Yovo et Assane Ndoye et Charles Kahudi. Parce que quelqu’un qui fait 25′ sur le terrain sans faire de faute, c’est un génie pour moi. Alors c’est sûr qu’on ne lui siffle pas les fautes à lui. Par contre Matis Dossou-Yovo et Assane Ndoye les prennent les fautes! Ce soir l’ASVEL a gagné son match sans rien voler. Je dis seulement que le traitement n’est pas identique. Et si ce n’est pas vrai, je suis prêt à me mettre devant la vidéo. Je ne dis pas qu’il y a malhonnêteté, qu’il y a vol, je dis simplement qu’il faut siffler les fautes aux jeunes de Chalon mais aussi les mêmes fautes aux autres. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo: Les trois championnes WNBA honorées à l’Open"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette saison, la Ligue Féminine compte dans ses rangs trois championnes WNBA 2018 avec le Seattle Storm: Kaleena Mosqueda-Lewis (Charleville), Alysha Clark (Lyon) et Samantha Whitcomb (Lattes-Montpellier), ici entourées des anciennes internationales Isabelle Fijalkowski et Yannick Souvré. Les trois Américaines ont été honorées à l’occasion de l’Open à Paris et une vidéo de leur triomphe a été diffusée sur écran géant ce qui a fait frissonner Alysha Clark.\\n\\nPhoto: FFBB/Hervé Bellenger\\n\\n\\n\\n\\nSo nice of the @basketlfb to honor @SamBam32 @kaleena_23 & I for winning the championship this summer! ☺️The video they played gave me chills watching it all over! pic.twitter.com/myPw0YbM2P\\n\\n\\n— Alysha Clark (@Alysha_Clark) October 13, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Match des championnes LFB: Et un trophée de plus pour Bourges, un !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors de ce Match des Championnes, les Flammes Carolos de Charleville ont apporté la preuve qu’elles forment une équipe digne de l’Euroleague qu’elles vont disputer pour la première fois de l’histoire du club. Mais les Ardennaises vont devoir encore patienter avant de fêter leur premier titre au plus haut niveau car, même encore remodelé, le Tango Bourges Basket est d’un calibre apparement supérieur. Après avoir été accrochées une mi-temps, les filles d’Olivier Lafargue ont fait une démonstration par la suite avec une palette offensive variée et cette éternelle possibilité de serrer de trois crans supplémentaires la ceinture défensive quand il le faut.\\n\\nSi les Berruyères n’étaient menées que de deux points (40-42) à la mi-temps, elles le devaient pour beaucoup au génie -le mot n’est pas trop fort si on veut bien le mettre dans le dictionnaire des sportifs- de Marine Johannès. La ballerine tango avait enfilé quatre paniers à trois-points esthétiquement parfaits dont un d’une main en déséquilibre au buzzer et après une série de dribbles qui a bluffé tout Coubertin.\\n\\nPour le reste, c’est davantage Charleville qui avait impressionné avec son jeu fluide avec l’Américaine Haley Peters (ex-Lyon) en lance-flammes (13 points) et une adresse globale montée à 62,1%. De quoi compenser la domination des Berruyères au rebond (18-11).\\n\\nEn durcissant leur défense, les Tango sont parvenues à faire chuter la belle réussite offensive des Ardennaises (cinq petits points durant cette tranche de 10′) et à conduire le score dans le troisième quart-temps; Katherine Plouffe (19 points au total) prouvant qu’elle s’est bien remise psychologiquement de sa non-sélection à la Coupe du monde avec le Canada.\\n\\nSinon Lisa Berkani et Iliana Rupert, restée sur le banc, tout le monde participait à la marque côté berruyère y compris KB Sharp (10 points). Les Flammes ont eu le mérite de donner un coup de collier en fin de match ce qui leur a permis de revenir à 8 points (67-75) alors que le sol paraissait un temps se dérober sous leurs pieds.\\n\\nPhoto: KB Sharp (Hervé Bellenger, FFBB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Open féminin: Villeneuve d’Ascq sans pitié pour les jeunettes de Mondeville, 86-58"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme lors du match d’ouverture, il n’y a pas eu de suspense. Villeneuve d’Ascq poussé par les tambours, les cuivres et les chants des Z’hurlants a infligé à Mondeville un 11-0 dont 3 paniers à trois-points en moins de 2 minutes.\\n\\nLes Normandes avaient perdu 7 balles en 10 minutes et celles-ci avaient donné lieu à autant de contre-attaques meurtrières. Le 34 à 20 avec 65% de réussite aux tirs après un quart-temps avait de sérieux airs de déroute.\\n\\nMondeville va alors être porté par la rageuse Kristen Mann (18 de ses 20 points dans la première mi-temps avec un presque parfait 8/9 aux shoots) et revenir dans le match pour être à 38-47 après 20’, alors qu’il y avait eu un écart de 16 points à 26-42, ce qui avait eu le don de faire bondir le coach de Villeneuve, Frédéric Dusart.\\n\\nSeulement dans le troisième quart-temps, tout rentra dans l’ordre villeneuvois qui a fait une sacrée bonne pioche avec Magali Mendy -elle était la saison dernière en Espagne- et qui en était à 4/4 à trois-points après trois quart-temps. Le score de 72-48 était déjà sans appel. Le coach Romain L’Hermitte a terminé le match avec un cinq de jeunettes fruit du superbe centre de formation du club mais l’USOM s’apprête à vivre une saison délicate d’autant que Kim Gaucher est pour l’instant out en raison d’une fracture de fatigue.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Mame Marie Sy Diop (FFBB, Hervé Bellenger)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Open féminin: Large vainqueur de Tarbes, 68-40, Lyon marque son territoire"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le premier choc de la 14e édition du MAIF Open LFB proposait une affiche alléchante avec Tarbes, finaliste et Lyon, demi-finale des playoffs 2018 mais l’après-midi a vite tourné au cauchemar pour les filles de François Gomez.\\n\\nPrivées de leur recrue américaine Cierra Bravard (ex-Basket Landes), les Tarbaises n’ont marqué que 13 points en première mi-temps avec un terrible 5/29 aux shoots pour en encaisser 40. Les Lyonnaises étaient juste trop rapides et surtout trop agressives avec des prises à deux mortelles. Pas une position à peu près confortable. On a vu souvent les Sudistes repoussées très loin au-delà de la ligne à 6,25m et une fois Aby Gaye entourées de sangsues obligée de prendre un tir à 12 mètres en fin de possession.\\n\\nDans cette mise à mort, la championne WNBA Alysha Clark (1,80m, 31 ans) s’en est donnée à cœur joie par petites touches (16 points en 18’).\\n\\nLes Tarbaises ont dû attendre la 27e minute pour atteindre la barre des 20 points. Le reste n’est qu’anecdotique. Avec 20 points de Alysha Clark et 19 de l’ancienne Tarbaise Michelle Plouffe, Lyon s’est assuré une large victoire dans laquelle les deux vice-championnes du monde U17 Kendra Chery (16′, 5 points) et Marie Mardon (16′, 2 points) ont largement contribué. L’adresse générale des Tarbaises est tout juste remontée à 22% au final.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Paoline Salagnac (Hervé Bellenger/FFBB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : le Fener déjà très impressionnant pour sa première"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après les victoires faciles du Real et du CSKA la veille, Fenerbahçe n’a pas été en reste en s’imposant tout aussi sereinement face à Gran Canaria (97-72). Jan Vesely (19 points, 11 rebonds) et Joffrey Lauvergne (12 points, 4 rebonds) ont été les fers de lance d’une escouade stambouliote déjà sacrément impressionnante des deux côtés du terrain. Ça promet pour la suite...\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDans le même temps, Vitoria et Olympiakos n’ont pas tremblé pour disposer respectivement de Kaunas et du Khimki Moscou. Les coéquipiers de Vincent Poirier sont allés s’imposer dans l’antre du Zalgiris (87-79) quand la troupe de David Blatt a triomphé sans trop d’opposition à Moscou (87-66). Quant à Podgorica, les débuts ont été douloureux avec un revers à domicile contre le Milan 2.0 (82-71).\\n\\nEnfin, on notera avec plaisir cinq performances en double figure pour nos Français. Comme très souvent, Nando De Colo (17 points) mène la danse ; Joffrey Lauvergne et Edwin Jackson, tous deux à 12 points, ont été plutôt bons pour leurs débuts respectifs sous leurs nouvelles couleurs. Fabien Causeur (13 points) boucle ce cinq majeur en profitant à plein du festival offensif madrilène.\\n\\n\\nFenerbahçe sans pitié pour Gran Canaria\\n\\nUn 13-2 a mis les choses au clair d’entrée et le Fenerbahçe a ensuite gentiment fait tourner son impressionnante rotation pour s’imposer très sereinement face aux rookies de Gran Canaria (97-72). Les coéquipiers de Kim Tillie (9 points) n’ont jamais pu inquiéter leurs adversaires du soir, mis sur orbite par Jan Vesely (19 points à 7/8 aux tirs, 11 rebonds pour 34 d’évaluation).\\n\\nZeljko Obradovic a ensuite fait étalage de son effectif en béton armé avec Nikola Kalinic (16 points), Luigi Datome et Joffrey Lauvergne à 12 points, et Kostas Sloukas au four et au moulin en 1ère mi-temps (8 points, 7 passes, 5 rebonds). L’intérieur français a été convaincant avec ses 12 points, mais aussi 4 rebonds, 3 passes et 2 interceptions. L’une d’elle lui a notamment permis de péter un dunk main gauche en contre-attaque. On notera tout de même la belle prestation du pivot letton, Anzejs Pasecniks (12 points) pour les insulaires.\\n\\n\\nVitoria sans problème\\n\\nPrésent au Final Four la saison passée, le Zalgiris Kaunas est bien conscient qu’il s’agissait d’un petit miracle. Et cette défaite reçue des mains de Vitoria hier soir (87-79) a jeté un froid d’entrée de jeu sur la Zalgirio Arena encore pleine comme un oeuf (15 000 spectateurs). Jayson Granger (15 points à 5/7 à trois points) a parfaitement su doucher les espoirs baltes en dernier quart, rentrant notamment deux tirs assassins (et très compliqués) derrière l’arc. Le nouveau venu Shavon Shields (14 points) a bien assuré, tout comme Tornike Shengelia (12 points, 6 rebonds), le capitaine du bateau.\\n\\nVincent Poirier a également été très complet avec 8 points, 4 rebonds et 4 passes et un gros alley oop en contre-attaque. En face, Léo Westermann a été plus discret avec 6 points et 4 passes en sortie de banc. C’est son titulaire, l’ancien chalonnais Nate Wolters (19 points) qui aura été le meilleur joueur de Kaunas dans la défaite. Les hommes de coach Jasikevicius ont du pain sur la planche pour retrouver la magie de l’an passé...\\n\\n\\nBons débuts pour l’Olympiakos de coach Blatt\\n\\nA part pour son 12-0 initial, le Khimki Moscou n’a pas vraiment posé problème à l’Olympiakos, en déplacement dans la capitale russe. Malgré 34 points d’Alexey Shved (dont 8/16 à trois points !), les hommes de coach Bartzokas n’ont pas fait le poids, forçant le coach à gronder en postgame : « on ne peut pas gagner en jouant à 1 contre 5 ! ».\\n\\nPour les Reds, Zach LeDay termine à 14 points et 5 passes tandis que le taulier, Vassilis Spanoulis (auteur d’un gros tir au buzzer de la mi-temps) a tranquillement fait tourner la boutique avec 8 points et 7 passes. Axel Toupane n’a par contre eu droit qu’à 5 petites minutes de jeu. L’ère Blatt à l’Oly commence en tout cas par une victoire autoritaire.\\n\\n\\nFaux-départ pour Podgorica\\n\\nMis dans les cordes d’entrée après un départ cata, Podgorica s’est bien battu pour son premier match d’Euroleague depuis plus de 15 ans ! Revenus à -3 à trois minutes de la fin du match, les coéquipiers d’Edwin Jackson (12 points) n’ont malheureusement pas réussi à placer le dernier coup de rein pour passer le col (82-71). Le Milan nouveau s’impose derrière 14 points, 5 rebonds et 5 passes de Nemanja Nedovic et 13 points, 5 passes de Mike James.\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 17 points (5/11 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 1 interception, 4 balles perdues en 23 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 13 points (5/12 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 19 minutes\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : 12 points (4/7 aux tirs), 4 rebonds, 3 passes, 2 interceptions en 24 minutes\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 12 points (4/7 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 23 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Istanbul) : 11 points (3/6 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe en 15 minutes\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : 9 points (2/7 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 18 minutes\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 8 points (4/5 aux tirs), 4 rebonds, 4 passes, 2 interceptions, 1 contre, 2 balles perdues en 18 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 6 points (3/7 aux tirs), 7 rebonds, 3 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 19 minutes\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) : 6 points (2/4 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds, 2 balles perdues en 13 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 5 points (2/11 aux tirs), 12 passes, 1 rebond, 1 interception, 4 balles perdues en 26 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Istanbul) : 5 points (2/6 aux tirs), 3 passes, 1 rebond, 2 balles perdues en 21 minutes\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 2 rebonds, 2 balles perdues en 5 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nLe Fenerbahçe est à nouveau armé jusqu’aux dents pour retourner au Final Four, et reconquérir son bien à Vitoria en mai prochain. Joffrey Lauvergne et Jan Vesely ont déjà démontré que leur duo fonctionnait à merveille sur le terrain. La preuve en images sur ce alley oop puissant !\\n\\n\\n\\n\\nThere goes @JanVesely24 AGAIN!#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/1hj0Xdx2IW\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) October 12, 2018\\n\\n\\nLe programme de la 1ère journée\\n\\nJeudi 11 octobre :\\nCSKA Moscou – Barcelone (95-75)\\nPanathinaikos – Maccabi Tel Aviv (89-84)\\nBayern Munich – Efes Istanbul (71-90)\\nReal Madrid – Darussafaka (109-93)\\n\\nVendredi 12 octobre :\\nPodgorica – Milan (71-82)\\nKhimki Moscou – Olympiakos (66-87)\\nKaunas – Vitoria (79-87)\\nFenerbahçe – Gran Canaria (97-72)\\n\\nA lire aussi – Récap Euroleague : rentrée sérieuse pour le Real et le CSKA\\n\\nCrédits photo : Euroleague\\n\\n[armelse]\\n\\nDans le même temps, Vitoria et Olympiakos n’ont pas tremblé pour disposer respectivement de Kaunas et du Khimki Moscou. Les coéquipiers de Vincent Poirier sont allés s’imposer dans l’antre du Zalgiris (87-79) quand la troupe de David Blatt a triomphé sans trop d’opposition à Moscou (87-66). Quant à Podgorica, les débuts ont été douloureux avec un revers à domicile contre le Milan 2.0 (82-71).\\n\\nEnfin, on notera avec plaisir cinq performances en double figure pour nos Français. Comme très souvent, Nando De Colo (17 points) mène la danse ; Joffrey Lauvergne et Edwin Jackson, tous deux à 12 points, ont été plutôt bons pour leurs débuts respectifs sous leurs nouvelles couleurs. Fabien Causeur (13 points) boucle ce cinq majeur en profitant à plein du festival offensif madrilène.\\n\\n\\nFenerbahçe sans pitié pour Gran Canaria\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Freddy Fauthoux parle de l’Elan Béarnais"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lundi, Levallois se déplace à Pau. Même si ce n’est plus une première pour lui, c’est toujours un moment spécial pour Freddy Fauthoux, le coach des Metropolitans qui fut l’un des symboles de l’Elan Béarnais. Dans cette vidéo, il revient sur ses meilleurs souvenirs et ses rapports avec l’ancien président, Pierre Seillant."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Le président Paul Seignolle ne veut pas que ce qui est arrivé à Blois touche les autres clubs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le président de l’ADA Blois Paul Seignolle dit à La Nouvelle République ne pas regretter le combat qu’il a mené contre les instances du basket (FFBB et LNB) pour tenter d’obtenir ce que son équipe avait acquis sur le terrain mais qui lui était refusé pour des raisons d’agrément du centre de formation, à savoir la montée en Jeep Elite.\\n\\n« J’ai pris la parole lors de l’AG de la LNB en septembre pour expliquer qu’il ne fallait pas que ce qui nous était arrivé se reproduise. Aujourd’hui, un certain nombre d’équipes de Pro B n’ont pas de centre de formation. Exemples : Chartres, Gries-Oberhoffen, Saint-Chamond. Et il y en a d’autres, sans compter celles dont le centre n’est pas agréé, comme nous aujourd’hui. Si le règlement n’évolue pas, on fait disputer un championnat à des équipes qui, dès le départ, ne pourront pas accéder à la Jeep Élite. Il faut vraiment que les instances, et notamment la FFBB, revoient cette problématique. »\\n\\nLa FFBB ne devait pas envoyer un représentant à Blois pour remettre l’oriflamme du titre de champion de France de ProB.\\n\\n« Je leur ai répondu “vous faites bien comme vous voulez, si ce n’est que depuis trois-quatre jours, on communique sur le fait que vous allez venir nous remettre cette oriflamme. S’il n’y a personne, je pense que le public risquerait une fois de plus de mal l’interprêter.” Ils ont donc finalement envoyé quelqu’un lors du match contre Chartres. Le public, les spectateurs ont été très corrects, il n’y a pas eu de sifflement, rien du tout. »\\n\\nPaul Seignolle est par ailleurs membre de l’UCPB, L’Union des Clubs Professionnels de Basket, et avec d’autres il s’est fait auprès d’Alain Béral le porte-voix des clubs de Pro B:\\n\\n« On lui a dit qu’en l’état actuel des choses, on risquait de ne pas voter le budget de la LNB lors de l’assemblée générale. Il faut savoir que dans le budget de la LNB, il y a 1.800.000 € de partenariat. Peu... très très peu de cette somme était reversée, notamment aux clubs de Pro B. Amazon, on a zéro de redistribution. A côté de ça, la LNB nous oblige, à travers son cahier des charges, à mettre Amazon sur le short et au bord du terrain... A mettre SFR sur les panneaux leds. Tout ça est au détriment de partenaires locaux qui nous versent des fonds. »\\n\\nLe conflit est visiblement en voie de résolution.\\n\\nPhoto: Tuan Nguyen"
}, 
{"role": "user",     "content":"Antibes et Fos: La gueule de bois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il ne faut pas se mentir: on a beau être seulement en octobre, il y avait deux matches qui comptaient double hier soir: Le Portel-Antibes et Fos-Cholet et les deux équipes du Sud ont ce matin la gueule de bois.\\n\\nLes Antibois ont failli réussir l’exploit de s’imposer dans le fameux Chaudron du Portel. Ils n’ont cédé qu’après deux prolongations (87-98). Avec 26 points, 8 rebonds et 3 passes l’ailier Anthony Hilliard (1,95m, 32 ans) a sorti l’ESSM du pétrin.\\n\\nCholet Basket peut lui se féliciter d’avoir embaucher... l’ancien pivot portelois Franck Hassell (2,08m, 30 ans), qui a repris ses bonnes habitudes avec 16 points et 8 rebonds en 33′.\\n\\nLes Choletais ont su sprinter dans la dernière ligne droite puisqu’ils étaient encore menés 65-70 à la 37e minute. Pape Sy avec un parfait 3/3 aux tirs du champ et 7/7 aux lancers a été alors déterminant. Les efforts de Ron Lewis (1,93m, 34 ans, 26 points et 24 d’évaluation) ont été vains.\\n\\nCB s’était déplacé en Provence sans son meneur Ty McKee mis à pied et qui doit rencontrer ses dirigeants lundi avec probablement un licenciement à la clé.\\n\\nAntibes et Fos sont donc toujours à quai après cinq journées. Le premier reçoit Chalon alors que le deuxième se déplace au Portel le week-end prochain. Il y a urgence.\\n\\nPhoto: Danny Gipson (Sharks)\\n\\n\\n\\n\\nClutch et classe : le panier de Pierre-Etienne Drouault, tout en toucher, pour arracher une deuxième prolongation. pic.twitter.com/30tKv5GuVr\\n\\n\\n— Yann Casseville (@Kasvilovic) October 13, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Boris Diaw: «Quand tu n’arrives plus à faire ce que tu voudrais, parce que tu n’as plus les jambes de tes 20 ans, le plaisir n’est plus le même»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans une longue interview à L’Equipe Magazine, Boris Diaw explique pourquoi il a pris sa retraite sportive. Et c’est finalement tout simple.\\n\\n« (...) L’autre aspect, c’était le plaisir personnel que j’aurais pu prendre sur le terrain par rapport au niveau qui était devenu le mien. Quand tu n’arrives plus à faire ce que tu voudrais, parce que tu n’as plus les jambes de tes 20 ans, le plaisir n’est plus le même. Tu repenses aux finales NBA 2014 et tu te dis que tu ne peux plus... Même si tu as envie, que tu visualises ce qu’il faut faire pour gagner le match, tu n’as plus les qualités physiques pour créer la différence. Car l’adrénaline, c’était ça: pouvoir jouer dans ces sphères, être compétitif, avoir le niveau! Et là, je n’arrivais plus à produire autant. »\\n\\nSon retrait de l’équipe de France ?\\n\\n« Si j’avais signé dans un club, j’aurais pu continuer jusqu’à la Coupe du monde 2019. Mais là, sans club, je trouvais joli le symbole de m’arrêter à 247 (NDLR sélections), comme ma mère. »\\n\\nL’ancien capitaine des Bleus fait évidemment preuve d’humour dans l’interview :\\n\\n« Aujourd’hui, ce qui me fait le plus kiffer, c’est de répondre à cette question qu’on me pose tous les jours depuis vingt ans : « Vous êtes drôlement grand, vous jouez au basket ? » Maintenant, je peux dire non. J’adore ! « Vous faites quoi ? » «Oh, je suis instructeur de plongée, photographe...»\\n\\nSon éventuel futur dans le basket ? Ce ne sera pas comme proprio d’un club (il a déjà donné avec les JSA Bordeaux), ni comme manager ou coach mais une porte est ouverte pour l’équipe de France :\\n\\n« Mais je n’ai pas envie d’être dans le staff sportif, dans le coaching, la prise de décision. Par contre, être au contact de l’équipe, des joueurs, s’ils ont besoin... »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo – Les capitaines des 12 équipes de la Ligue Féminine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Rassembler les 12 capitaines d’une compétition à la veille de la première journée de championnat, c’est une performance que la Ligue Féminine peut accomplir grâce à l’Open de Paris-Coubertin qui réunit ses 12 équipes.\\n\\nLes matches vont se tenir demain samedi et dimanche mais la veille se tient le media day avec notamment une séance de photos avec les joueuses de toutes les équipes.\\n\\nDe gauche à droite, en haut: Virginie Brémont (Villeneuve d’Ascq), Elodie Godin (Bourges), Céline Dumerc (Basket Landes), Paoline Salagnac (Lyon), Diandra Tchatchouang (Lattes-Montpellier), Kim Gaucher (Mondeville), Laura Garcia (Saint-Amand).\\n\\nEn bas: Adja Konteh (Tarbes), Caroline Hériaud (Roche Vendée), Marie Butard (Landerneau), Ana Suarez (Nantes) et Amel Bouderra (Charleville).\\n\\nPhoto: LFB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Champions League : Norris Cole MVP de la première journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour sa première journée de Champions League en carrière, Norris Cole (1,88m, 29 ans) a complètement répondu aux attentes et a été élu MVP de cette journée.\\n\\nDouble champion NBA avec le Miami Heat, le meneur de jeu américain qui évoluait la saison dernière au Maccabi Tel-Aviv sera l’attraction de la saison en Champions League sous les couleurs du club italien d’Avellino. Face au Nizhny Novgorod, l’ancien joueur des New Orleans Pelicans a compilé 34 points, 5 rebonds et 7 passes décisives pour une évaluation de 28.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : le dunk de la nuit pour l’ancien chalonnais Devin Booker"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour son premier match d’Euroleague en carrière, Devin Booker (2,05m, 27 ans) a fait apprécier ses qualités athlétiques.\\n\\nMalgré la défaite du Bayern Munich face à l’Anadolu Efes, l’ancien joueur de l’Elan Chalon a claqué le dunk de la soirée en Euroleague. Sur le match, il a compilé 9 points et 2 rebonds, 4 passes et 3 interceptions pour une évaluation de 16.\\n\\nFormé à l’université de Clemson, a lancé sa carrière professionnelle en 2013 en France, à Nancy, Bourg-en-Bresse, puis Chalon-sur-Saône avant de partir en Allemagne pour disputer l’Eurocup, puis l’Euroleague. Il a même été élu MVP de Pro A en 2016.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jason Rich (ex Paris-Levallois) en route pour la Turquie ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison dernière à Avellino, Jason Rich (1,91m, 32 ans) est toujours sans club alors que tous les championnats ont déjà repris et que les coupes d’Europe reprennent leurs droits.\\n\\nSelon Sportando, l’ancien joueur du Paris-Levallois (2015-17) serait en train de négocier un contrat avec le Besiktas qui dispute la Champions League. En Italie en 2017/18, l’ancien arrière de l’Elan Chalon (2014/15) a été élu MVP de la saison de Serie A. Dans sa carrière, le Floridien est également passé par Cantu, le Maccabi Haifa, Oostende, Cremona et Krasnoyarsk. Il a été All Star LNB en 2017.\\n\\nLa saison dernière, Jason Rich compilait en moyenne 17,8 points, 2,8 rebonds et 2,9 passes décisives entre le championnat italien et la Champions League.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Récap Euroleague : une rentrée sérieuse pour le Real et le CSKA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’attente est terminée : la saison d’Euroleague est arrivée ! En lever de rideau, le CSKA Moscou recevait Barcelone pour une belle affiche, mais l’opposition a tourné court avec le Moscou de Nando De Colo (17 points) qui a dominé les débats de la tête et des épaules (95-75).\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDe même, le champion en titre n’a pas tremblé face à Darussafaka (109-93). La troupe de Sergio Llull (13 points, 8 passes) a facilement maîtrisé son sujet. Six joueurs terminent en double figure avec Fabien Causeur qui s’en tire pour 13 points et 3 passes. Le Real Madrid n’a donc rien perdu de sa puissance de feu en attaque !\\n\\nPour l’Efes Istanbul, le coup d’essai n’a pas nécessairement été un coup de maître mais la victoire est au bout. Rodrigue Beaubois (5 points) et Adrien Moerman (11 points) ont lancé le nouveau cycle entamé par leur équipe de la meilleure des façons. Enfin, malgré 24 points et 8 passes de Scottie Wilbekin, le Maccabi Tel Aviv a dû s’incliner sur le fil face au Pana (89-84).\\n\\n\\n\\nLe Real impérial pour son entrée\\n\\nRay McCallum (18 points, 6 rebonds, 6 passes) se sera bien démené mais son équipe de Darussafaka n’a jamais pu lutter face au champion en titre (109-93). Dépassés dès le 1er quart, les hommes de coach Caki ont pris la foudre madrilène avec un 14-4 initial conclu d’un trois points de Fabien Causeur.\\n\\nLe Real a été dominateur du début à la fin, ainsi qu’en dénotent les 6/9 aux tirs d’Anthony Randolph (pour 16 points) et 6/8 de Jaycee Carroll (pour 14 points). Sergio Llull (13 points) y a ajouté la note artistique avec deux paniers venus d’ailleurs (voir plus bas). Dans le même registre, Facu Campazzo a rentré un tir de funambule, sur le mauvais pied et en total déséquilibre. Dans ce festival offensif, Fabien Causeur a eu donc sa part du gâteau.\\n\\n\\nNando De Colo coule le Barça\\n\\nLe Barça n’aura tenu qu’un quart temps face à l’armada du CSKA. Derrière Cory Higgins (18 points à 5/6 à trois points, record personnel) et Will Clyburn (13 points, 7 rebonds), Moscou a fait l’écart en 2e quart et la troupe de coach Itoudis n’a plus été inquiétée. En sortie de banc, Nando De Colo a encore été très performant avec 17 points et 5 rebonds. Avec tout de même un peu de déchet, au tir (5/11 dont 0/3 à trois points) et à la baguette (4 balles perdues). Mais c’est encore la rentrée des classes...\\n\\nCôté Barça, c’est une prestation décevante pour une première sortie. A l’image de Kevin Pangos qui termine à -8 à l’évaluation, les Catalans n’ont jamais trouvé leur rythme de croisière, trop perturbée par la défense moscovite. Thomas Heurtel a distribué 12 passes mais, là aussi, avec du déchet (2/11 aux tirs et 4 balles perdues). Kevin Séraphin (6 points, 7 rebonds) a fait une belle entrée avant de disparaître un peu du match en 2e mi-temps. L’équipe menée par coach Pesic balbutie encore son basket et il faudra rapidement veiller à ne pas refaire le coup de la panne de l’an passé...\\n\\n\\nLe nouvel Efes naît bien à Munich\\n\\nAvec leur effectif remanié pour ainsi dire de fond en comble, l’Efes Istanbul se déplaçait à Munich pour entamer sa saison du rachat. Et avec cinq joueurs en double double, dont Adrien Moerman à 11 points et 4 rebonds, Istanbul s’est imposé facilement sur le terrain du Bayern (90-71).\\n\\nBrock Motum (14 points) et Shane Larkin (13 points, 5 passes) ont été les plus en vue, mais l’Efes n’a pas eu à forcer son talent, à l’image de Rodrigue Beaubois à 5 points et 3 passes en 21 minutes. Sans Derrick Williams, c’est Nihad Dedovic (17 points) qui a été le meilleur joueur du Bayern.\\n\\n\\nMatt Lojeski tire le Pana d’un mauvais pas\\n\\nLe Maccabi Tel Aviv se sera bien battu, notamment avec son nouveau meneur Scottie Wilbekin (17 points, 8 passes). Mais au moment des comptes, c’est le Panathinaikos qui s’en tire avec la victoire (89-84). Et celle-ci doit beaucoup à Matt Lojeski (20 points) qui a apporté tout le punch offensif nécessaire pour se défaire de vaillants joueurs de Tel Aviv. Un 12-4 en dernier quart aura suffi à créer la rupture.\\n\\n\\nLes Français d’Euroleague\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : 17 points (5/11 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 1 interception, 4 balles perdues en 23 minutes\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 13 points (5/12 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 19 minutes\\n\\nAdrien Moerman (Istanbul) : 11 points (3/6 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe en 15 minutes\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : 6 points (3/7 aux tirs), 7 rebonds, 3 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 19 minutes\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 5 points (2/11 aux tirs), 12 passes, 1 rebond, 1 interception, 4 balles perdues en 26 minutes\\n\\nRodrigue Beaubois (Istanbul) : 5 points (2/6 aux tirs), 3 passes, 1 rebond, 2 balles perdues en 21 minutes\\n\\n\\nL’action de la soirée\\n\\nSergio Llull est le roi incontesté du tir impossible. Le meneur du Real est de retour au sommet de son art cette saison et il nous lâche déjà deux petits bijoux de tir à très longue distance pour la 1ère journée d’Euroleague.\\n\\n\\n\\n\\nThat's his range!@23Llull knocking it down from DEEP!#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/22KxIL05X2\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) October 11, 2018\\n\\n\\n\\n\\nAnother circus shot from @23Llull!#7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/c8hCL7lDiL\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) October 11, 2018\\n\\n\\nLe programme de la 1ère journée\\n\\nJeudi 11 octobre :\\nCSKA Moscou – Barcelone (95-75)\\nPanathinaikos – Maccabi Tel Aviv (89-84)\\nBayern Munich – Efes Istanbul (71-90)\\nReal Madrid – Darussafaka (109-93)\\n\\nVendredi 12 octobre :\\nPodgorica – Milan (18h45)\\nKhimki Moscou – Olympiakos (19h)\\nKaunas – Vitoria (19h)\\nFenerbahçe – Gran Canaria (19h45)\\n\\n[armelse]\\n\\nDe même, le champion en titre n’a pas tremblé face à Darussafaka (109-93). La troupe de Sergio Llull (13 points, 8 passes) a facilement maîtrisé son sujet. Six joueurs terminent en double figure avec Fabien Causeur qui s’en tire pour 13 points et 3 passes. Le Real Madrid n’a donc rien perdu de sa puissance de feu en attaque !\\n\\nPour l’Efes Istanbul, le coup d’essai n’a pas nécessairement été un coup de maître mais la victoire est au bout. Rodrigue Beaubois (5 points) et Adrien Moerman (11 points) ont lancé le nouveau cycle entamé par leur équipe de la meilleure des façons. Enfin, malgré 24 points et 8 passes de Scottie Wilbekin, le Maccabi Tel Aviv a dû s’incliner sur le fil face au Pana (89-84).\\n\\n\\n\\nLe Real impérial pour son entrée\\n\\nRay McCallum (18 points, 6 rebonds, 6 passes) se sera bien démené mais son équipe de Darussafaka n’a jamais pu lutter face au champion en titre (109-93). Dépassés dès le 1er quart, les hommes de coach Caki ont pris la foudre madrilène avec un 14-4 initial conclu d’un trois points de Fabien Causeur.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nCrédits photo : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Mélanie Plust en pigiste médicale de Kim Gaucher à Mondeville"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Victime d’une fracture de fatigue, l’internationale canadienne Kim Gaucher (1,84m, 34 ans) sera absente des terrains durant six à huit semaines indique Ouest France. Une absence problématique dans le sens que sa capitaine est l’un des piliers de l’USO Mondeville. Elle vient de participer à la Coupe du monde en Espagne (4,8 points, 4,2 rebonds, 2,5 passes).\\n\\nLe club normand fait appel à une pigiste médicale en la personne de Mélanie Plust (1,73m, 29 ans), qui portait ces six dernières années le maillot de Lyon.\\n\\nPhoto: Kim Gaucher (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Pro B 2018-19 – Saint-Chamond: Impossible n’est pas couramiaud !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la Leaders Cup en guise de tour de chauffe, le championnat 2018/19 de Pro B débute le 12 octobre et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur un joueur à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment).\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAvec Rouen, Saint-Chamond a été la belle surprise de la saison 2017-2018. L’équipe d’Alaint Thinet a longtemps flirté avec le top 5 mais contrairement au RMB, l’aventure en Playoffs s’est arrêtée dès le premier tour face à Lille, la blessure du pivot Grismay Paumier, point d’ancrage essentiel du collectif saint-chamonais, ayant réduit les chances du SCBVG. Les satisfactions sont tout de même nombreuses, à commencer par l’exercice irréprochable de Jonathan Hoyaux, meilleur marqueur français avec 15,4 points par match. On retiendra aussi la force du collectif (six joueurs à 8 points et plus par match) et une menace équilibrée entre l’intérieur et l’extérieur. Quand le danger vient de partout, ça complique forcément la tâche des adversaires.\\n\\nMalgré cet exercice exceptionnel, le groupe bâti par l’entraîneur doyen de Pro B ne se prendra pas pour ce qu’il n’est pas. « Le mot exceptionnel est de rigueur. On a surpris pas mal de monde, on s’est surpris nous mêmes mais on a tenu la distance », confie Alain Thinet qui a basé son intersaison sur la continuité cet été. « L’objectif était de garder l’ossature de six joueurs qui a fonctionné l’an passé. Jean-Stéphane Rinna qui va partir pour sa 11e saison au club, Mathieu Guichard, Grismay Paumier, Jonathan Hoyaux, des joueurs d’expérience qui connaissent bien le club et deux U23 Lucas Hergott et Matteo Legat. On a voulu asseoir cette base et corriger un peu les manques de l’an dernier, d’un point de vue physique notamment ».\\n\\nAu niveau des arrivées, on note trois beaux CV aux côtés de Bodian Massa, jeune pivot prometteur en provenance de Fos-sur-Mer : l’ailier US Malik Cooke, dominant en D2 israélienne l’an passé et deux internationaux tunisiens, le meneur Omar Abada qui s’est déjà distingué par son sang-froid en Leaders Cup sur le parquet de Vichy Clermont, et l’intérieur Makram Ben Romdhane.\\n\\nContrairement à l’an dernier, la préparation a été perturbée par de nombreux pépins, entre le retour de blessure retardée de Grismay Paumier, l’arrivée hors de forme de son pigiste médical, Marvin Jefferson, la blessure au mollet de Jean-Stéphane Rinna, la luxation de l’épaule de Lucas Hergott ou encore l’absence ponctuelle des internationaux tunisiens lors des fenêtres internationales. « On pensait être en avance et au final, on a pris du retard ».\\n\\nPas mal d’imprévus à l’aube d’une saison où tous les matchs se joueront encore sur des détails. Mais impossible n’est pas couramiaud ! Le visage montré par l’équipe en Leaders Cup l’a prouvé. Rendez-vous d’ici quelques semaines pour voir ce que peut donner ce groupe une fois au complet.\\n\\nLe joueur à suivre : Makram Ben Romdhane\\n\\nL’intérieur international est assurément l’une des bonnes pioches de l’intersaison. Le SVBVG a mis la main sur un joueur au palmarès long comme le bras roulé, en club comme en sélection. Le joueur voulait découvrir un nouveau championnat après avoir fait le tour des ligues tunisiennes, égyptiennes et libanaises (d’où il arrive en tant que champion en titre). Les planètes se sont alignées et voilà « le gladiateur » au sein de l’effectif saint-chamonais. « Un agent me l’a proposé mais ce n’était pas d’actualité pour nous. On ne se pensait pas en mesure de le faire venir chez nous au vu des contrats qu’ils avaient et qui n’avaient rien à voir avec le calibre de la ProB. Lui, avait envie de venir en France pour suivre sa femme, mutée à Lyon. Du coup, l’idée a fait son chemin, à la fois au niveau basket que familial. Quand on a vu qu’on pouvait trouver un terrain d’entente, on a foncé,» raconte Alain Thinet.\\n\\nSi sa pré-saison a été compliquée, notamment par la présence des fenêtres internationales, l’intérieur a montré de quoi il était capable en Leaders Cup. De plus, ses qualités humaines en font un appui de choix pour Alain Thinet. « Au niveau humain, c’est quelqu’un de très bien. Il a la classe comme on dit », poursuit coach Thinet. « Et sur le plan sportif, il a un QI basket au dessus de la moyenne. C’est toujours intéressant d’avoir un tel joueur, qui parle français, qui peut jouer 4 et 5 et qui est un guerrier. Son volume de jeu, son registre très complet, devrait nous apporter beaucoup. Il aura un rôle majeur dans une raquette intéressante où le petit Bodian Massa a prouvé qu’il était capable d’avoir un rôle à jouer. Donc il y aura une rotation importante. Makram devra rentrer dans le collectif et se faire sa place. Mais je n’ai pas de souci là-dessus car c’est un joueur intelligent ».\\n\\nLes objectifs du club, par Alain Thinet :\\n\\n« L’objectif restera le maintien. Il faut être très prudent dans ce championnat et surtout vu les conditions dans lesquelles on va démarrer. On est un peu dans la spirale inverse de la saison dernière où on s’était bien senti rapidement. Là, si on joue avec moins de confiance, le match peut vite basculer. Assurons le maintien et après on verra. Il ne faut pas être trop ambitieux même si les gens en veulent plus. Ça peut être risqué. Prenons l’exemple de Nantes, qui s’est bien placé et qui a fait finale de Playoffs en 2017 mais qui a fini par jouer le maintien sur le dernier match la saison dernière. Tout cela nous pousse à garder les pieds sur terre. »\\n\\nArrivées : Omar Abada (Etoile Sportive Radès, Tunisie), Makram Ben Romdhane (Homenetmen Beyrouth, Liban), Malik Cooke, Bodian Massa (Fos-sur-Mer, prêt)\\n\\nDéparts : Salim Jaiteh (Saint-Quentin, N1), Tanner McGrew, Andreja Milutinovic, Mohamed Queta (Saint-Quentin, N1), Juwan Staten\\n\\nEffectif 2018-2019 : Omar Abada, Mathieu Guichard, Jules Fontaine, Jonathan Hoyaux, Mattéo Legat, Lucas Hergott, Malik Cooke, Makram Ben Romdhane, Jean-Stéphane Rinna, Grismay Paumier, Bodian Massa.\\n\\nCoach : Alain Thinet Assistant : Matthias Manca\\n\\nCinq majeur probable : Omar Abada, Jonathan Hoyaux, Malik Cooke, Makram Ben Romdhane, Grismay Paumier.\\n\\n[armelse]\\n\\nAvec Rouen, Saint-Chamond a été la belle surprise de la saison 2017-2018. L’équipe d’Alaint Thinet a longtemps flirté avec le top 5 mais contrairement au RMB, l’aventure en Playoffs s’est arrêtée dès le premier tour face à Lille, la blessure du pivot Grismay Paumier, point d’ancrage essentiel du collectif saint-chamonais, ayant réduit les chances du SCBVG. Les satisfactions sont tout de même nombreuses, à commencer par l’exercice irréprochable de Jonathan Hoyaux, meilleur marqueur français avec 15,4 points par match. On retiendra aussi la force du collectif (six joueurs à 8 points et plus par match) et une menace équilibrée entre l’intérieur et l’extérieur. Quand le danger vient de partout, ça complique forcément la tâche des adversaires.\\n\\nMalgré cet exercice exceptionnel, le groupe bâti par l’entraîneur doyen de Pro B ne se prendra pas pour ce qu’il n’est pas. « Le mot exceptionnel est de rigueur. On a surpris pas mal de monde, on s’est surpris nous mêmes mais on a tenu la distance », confie Alain Thinet qui a basé son intersaison sur la continuité cet été.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto :Makram Ben Romdhane/FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jordi Bertomeu : «Le FC Barcelone possède la pire arena d’Europe»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Invité sur les ondes de Rac1, une radio espagnole, Jordi Bertomeu, le président de l’Euroleague a fait savoir qu’il serait préférable pour le FC Barcelone de jouer dans une nouvelle salle.\\n\\n« C’est urgent que Barcelone quitte une arena qui est aujourd’hui la pire d’Europe et qui ne leur permet pas de tirer le meilleur parti de ces opportunités. Elle a d’énormes limites. Je veux que Barcelone ait une salle qui leur permettra de générer des ressources dans le but d’être compétitifs sans le support du club de foot. »\\n\\nLa salle résidente des sections basket, hockey, handball et foot en salle a été inaugurée en 1971 et pouvait accueillir un peu moins de 6 000 personnes à son ouverture. Le Palau Blaugrana a été rénové en 1994 pour installer jusqu’à 8 250 spectateurs. Après un nouvel agrandissement prévu pour 2020, il devrait compter 12 000 places en configuration basket.\\n\\nPhoto : FC Barcelone"
}, 
{"role": "user",     "content":"La LNB lance les «Spécial Game» pour la Jeep Elite"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Afin de rythmer la saison régulière de Jeep® ÉLITE, la LNB a identifié 6 matches pour mettre en avant des rencontres entre des clubs qui ont fait l’histoire du basket professionnel, rivalités historiques ou naissantes.\\n\\n * Strasbourg vs Limoges (J5)\\n * Le Mans vs Monaco (J11)\\n * Limoges vs Pau-Lacq-Orthez (J17)\\n * Le Portel vs Gravelines-Dunkerque (J20)\\n * Nanterre vs Levallois (J22)\\n * Lyon-Villeurbanne vs Monaco (J29)\\n\\nOn remarque que si Nanterre/Levallois et Le Portel/Gravelines sont des derbies géographiques, Limoges/Pau est considéré comme LE clasico du basket français depuis les années 80. Le Mans/Monaco et encore plus Lyon-Villeurbanne/Monaco existent depuis des décennies mais ont été réactualisés avec le retour de l’ASM parmi l’élite. Strasbourg/Limoges est davantage une rivalité née avec les playoffs de 2014 et 2015.\\n\\nCe dernier match est proposé dès ce dimanche sur RMC Sport 2."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Elite: Comment suivre les matchs du week-end"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"RMC Sport retransmettra ce week-end trois rencontres en direct mais les autres rencontres de la journée sont également disponibles. Voici comment:\\n\\nMatches sur RMC Sport 2\\n\\nSamedi 13 octobre 2018 à 18h30\\nElan Chalon/Saône – LDLC ASVEL Lyon-Villeurbanne\\nDimanche 14 octobre 2018 à 18h30\\nSIG Strasbourg – Limoges CSP\\nLundi 15 octobre 2018 à 20h45\\nEB Pau-Lacq-Orthez – Levallois Metropolitans\\nSuivi du magazine Buzzer.\\n\\nAutres matches\\n\\n * sur RMC Sport Live (canaux 316 à 327)*\\n * sur l’Application RMC Sport*\\n * sur l’Appli RMC Sport pour les Smart TV*\\n * ou sur l’Application SFR TV (onglet Sport) pour Iphone et Android\\n\\n(seules les rencontres BCM Gravelines-Dunkerque / AS Monaco Basket, Nanterre 92 / JDA Dijon seront accessibles sur ces canaux)"
}, 
{"role": "user",     "content":"EuroCup : le bilan complet de la 2e journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après deux journées européennes, les trois clubs français engagés en EuroCup sont à l’équilibre. Il y a là une forme de logique mais aussi une pointe d’amertume pour Monaco qui avait le match en main avant de le laisser filer, à la maison, face à l’Etoile Rouge de Belgrade. Charles Kahudi (16 points, 9 rebonds) s’est assuré quant à lui de ne pas laisser l’Asvel encaisser un 2e revers d’affilée en battant Trente. Quant au CSP, il n’a pas fait le poids face à un des favoris de la compétition, le Lokomotiv Krasnodar de Moustapha Fall (13 points).\\n\\nComme chaque semaine, BasketEurope vous propose un bilan complet de la journée d’EuroCup, avec de l’émotion et des belles actions. Respectivement avec une double prolongation entre Ulm et Galatasaray et notamment une passe dans le dos d’Andrew Albicy pour une équipe d’Andorre qui se réveille !\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe MVP de la 2ème journée\\n\\nKenneth Kadji (27 points, 10 rebonds)\\n\\nDéfait par l’Alba Berlin lors de la journée d’ouverture, le Tofas Bursa partait en conquête pour la 2e journée. Et son leader n’a été autre que Kenneth Kadji (211m, 30 ans) qui termine à un record personnel de 34 d’évaluation, avec 27 points et 10 rebonds. L’intérieur camerounais formé en Floride (à Florida puis à l’université de Miami) a bien bourlingué depuis sa carrière NCAA mais il semble avoir trouvé son bonheur en Turquie. Dans sa deuxième saison avec Bursa, et sa troisième en EuroCup, Kadji a plus d’une corde à son arc avec un bon jeu dos au cercle mais aussi la capacité de faire mouche de loin.\\n\\n\\nLa meilleure performance\\n\\nRade Zagorac (16 points, 6 passes, 5 rebonds, 5 interceptions)\\n\\nCe n’est pas le fameux « five by five » qui est un des Graal du basketteur, mais Rade Zagorac (2m06, 23 ans) s’est tout de même démultiplié pour le Partizan face à St Petersbourg. Le jeune ailier serbe termine à 16 points, 6 passes, 5 rebonds et 5 interceptions dans la belle victoire de son équipe (89-82). Drafté par les Celtics en 2016, Zagorac revient au pays après une expérience mi-figue mi-raisin à Séville l’an passé (4 points, 1 rebond en 10 minutes de jeu). Et ça semble plutôt bien marcher pour lui !\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=Nl4Uxa4XtcQ\\n\\n\\nLa stat qui tue\\n\\n18-7\\n\\nC’est le score de la seconde prolongation entre Ulm et Galatasaray, un match qui s’est terminée en apothéose pour l’équipe allemande et en eau de boudin pour les Turcs... Malgré les efforts de Nigel Hayes (26 points, 13 rebonds), Galatasaray a dû s’incliner au bout de la nuit derrière les coups de boutoir d’Isaac Fotu. L’international Kiwi a terminé à 19 points, dont 11 sont intervenus dans l’ultime prolongation. Fotu a dégoûté ses adversaires exténués avec 9 points d’affilée en début de 2e OT.\\n\\n\\nLes clubs français\\n\\nL’Asvel peut remercier Charles Kahudi\\n\\nEn contrôle du match pendant trois quarts temps, l’Asvel s’est fait une belle frayeur face à Trente. L’équipe italienne a effectivement commandité un retour furibard en dernier quart pour revenir à un petit point de l’Asvel. Mais Charles Kahudi (16 points, 9 rebonds) a parfaitement joué son rôle de leader, en initiant un 15-2 sur les 7 dernières minutes du match. Le club de Tony Parker s’en sort bien et emporte son premier succès en EuroCup. Amine Noua et Mantas Kalnietis ont tous deux apporté 15 points dans un bel effort collectif.\\n\\nLimoges n’a pas fait le poids\\n\\nDeux chiffres évocateurs : 64% de réussite à trois points pour le Loko, et 21 balles perdues pour le CSP. Krasnodar n’a pas fait dans la dentelle face aux limougeauds qui s’inclinent lourdement (82-64). Il y avait un fossé entre les derniers finalistes de la compétition et le CSP. Un 15-2 initial a parfaitement lancé l’escouade russe qui a pu compter sur 15 points de Dmitry Kulagin et 13 de Moustapha Fall. En face, la bonne nouvelle vient de Sekou Doumbouya à 9 points à 4/5 aux tirs... et le seul limougeaud à ne pas perdre une balle !\\n\\nMonaco se fait griller au poteau\\n\\nComme pour le CSP, Monaco n’a clairement pas pris le meilleur départ. Plombés à 17-6 en 1er quart, les monégasques sont par contre revenus très forts face à l’Etoile Rouge de Belgrade en 3e quart (20-8). Derrière leur métronome Elmedin Kikanovic (22 points, 7 rebonds), Monaco a compté jusqu’à 11 points d’avance avant de se faire griller au poteau, notamment sur un trois points assassin de Joe Ragland dans la dernière minute (66-63). Rageant pour le premier match à la maison de leur saison européenne.\\n\\n\\nLes Français de l’EuroCup\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : 13 points, 2 contres, 1 rebond, 1 passe, 1 interception, 2 balles perdues en 19 minutes (victoire 82-64 face à Limoges)\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 12 points (2/4 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 1 contre en 28 minutes (victoire 89-82 face à St Petersbourg)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 8 points (3/7 aux tirs), 9 passes, 4 interceptions, 1 balle perdue en 28 minutes (victoire 110-91 face à Brescia)\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 8 points (2/5 aux tirs), 4 rebonds, 1 contre, 1 balle perdue en 16 minutes (victoire 91-64 face à Francfort)\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : n’a pas joué\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué\\n\\n\\nLe Top Ten\\n\\n\\nLes résultats de la 2ème journée\\n\\nGROUPE AUlm – Galatasaray (103-92)\\nMonaco – Etoile Rouge (63-66)Andorre – Brescia (110-91)GROUPE BBursa – Gdynia (96-79)Krasnodar – Limoges (82-64)Zagreb – Berlin (75-73)GROUPE CPartizan – St Petersbourg (89-82)Asvel – Trente (75-61)Ankara – Valence (67-72)GROUPE DMalaga – Francfort (91-64)Kazan – Vilnius (86-73)Turin – Mornar Bar (80-84)\\n\\nPour rappel : le bilan complet de la 1ère journée\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe MVP de la 2ème journée\\n\\nKenneth Kadji (27 points, 10 rebonds)\\n\\nDéfait par l’Alba Berlin lors de la journée d’ouverture, le Tofas Bursa partait en conquête pour la 2e journée. Et son leader n’a été autre que Kenneth Kadji (211m, 30 ans) qui termine à un record personnel de 34 d’évaluation, avec 27 points et 10 rebonds. L’intérieur camerounais formé en Floride (à Florida puis à l’université de Miami) a bien bourlingué depuis sa carrière NCAA mais il semble avoir trouvé son bonheur en Turquie. Dans sa deuxième saison avec Bursa, et sa troisième en EuroCup, Kadji a plus d’une corde à son arc avec un bon jeu dos au cercle mais aussi la capacité de faire mouche de loin.\\n\\n\\nLa meilleure performance\\n\\nRade Zagorac (16 points, 6 passes, 5 rebonds, 5 interceptions)\\n\\nCe n’est pas le fameux « five by five » qui est un des Graal du basketteur, mais Rade Zagorac (2m06, 23 ans) s’est tout de même démultiplié pour le Partizan face à St Petersbourg.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nCrédits photo : EuroCup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Joffrey Lauvergne (Fenerbahce) : «Je veux gagner au moins un titre d’Euroleague avant la retraite»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"De retour en Europe après trois ans passés aux Etats-Unis, Joffrey Lauvergne (2,11m, 27 ans) n’est pas rentré sur le Vieux Continent pour faire de la figuration. Interrogé par l’Euroleague, l’international français a clairement fait savoir qu’il veut gagner.\\n\\n« Je suis heureux d’être de retour en Europe. Je veux gagner au moins un titre d’Euroleague avant la fin de ma carrière, donc j’ai toujours su que j’allais revenir en Europe à un moment. Et j’ai vraiment voulu jouer au Fener depuis que j’ai joué au Partizan Belgrade.\\n\\nEn signant au Fenerbahce, l’ancien joueur du Partizan Belgrade a fait la connaissance de l’un des – si ce n’est le – meilleurs entraîneurs de l’histoire du basket européen, Zeljko Obradovic.\\n\\n« Je sais qui il est et ce qu’il attend. Je connais beaucoup de ses amis en Serbie et beaucoup de joueurs qui ont joué pour lui, et ils m’ont tout dit de son état d’esprit et de ce qu’il attend de ses joueurs. J’ai besoin du genre d’atmosphère qu’il apporte à l’équipe. Il veut tout gagner et il a de grandes attentes, mais ce qu’il demande à ses joueurs est toujours très clair et il parle de la même façon à tout le monde, peu importe qui vous êtes. En gros, c’est un gars honnête, il sera juste avec vous et s’assurera que vous sachiez exactement ce que vous devez faire. »\\n\\nAprès trois matchs de championnat turc, Joffrey Lauvergne compile en moyenne 8,3 points et 6 rebonds. Pour le premier match de la saison en Euroleague, le Fenerbahce affrontera Gran Canaria. L’occasion pour l’ancien joueur de Chalon de retrouver son compatriote Kim Tillie.\\n\\nPhoto : Fenerbahce Basketbol"
}, 
{"role": "user",     "content":"[GRATUIT] Petite-fille d’une Alsacienne, Bria Hartley, meneuse du New York Liberty, veut jouer en équipe de France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Fédération a annoncé aujourd’hui, 11 octobre, que la meneuse du New York Liberty, Bria Hartley, est sélectionnable en équipe de France. Cet été nous avions enquêté et découvert que c’est par sa grand-mère maternelle que Bria est française.\\n\\nNous publions en accès libre l’article que nous avions réalisé pour nos abonnés Premium.\\n\\nDepuis que L’Equipe a officialisé ce qui n’était encore qu’une rumeur sur la toile, un mini tremblement de terre a secoué la planète du basket féminin français. Une Américaine avec les Bleues ! Fichtre. Et pas n’importe qui. Bria Hartley (1,73m, 25 ans) est une meneuse de très haut niveau. Commençons d’ailleurs par étudier son pedigree.\\n\\nPremière distinction : son titre de Miss Basketball de l’Etat de New York en 2010 décerné par la New York Basketball Coaches Association. Bria, qui est aussi bonne à l’école, n’a que l’embarras du choix pour poursuivre études et basket. Plutôt que Duke, Kentucky, Tennessee, Georgetown, North Carolina et Louisville, elle choisit les Huskies du Connecticut. Une usine à championnes, dix fois vainqueur du titre NCAA dans les années 2000. Sue Bird, Diana Taurasi, Tina Charles, Maya Moore, Breanna Stewart ; elles sont toutes passés par là.\\n\\nBria réalise une saison de freshman exceptionnelle avec par exemple 29 points face à Notre Dame. Après une année junior plus quelconque, elle conclue son cycle universitaire en senior avec la moyenne de 16,2 points et 4,3 passes décisives. Elle est l’une des trois Huskies avec Maya Moore et Diana Taurasi à avoir cumulé au moins 1 500 points, 500 rebonds, 500 passes et 200 interceptions au cours de son cursus. Elle rafle aussi deux titres NCAA, en 2013 et 2014.\\n\\nAvec le trophée de Champion NCAA et à La Maison Blanche avec le Président Obama.\\n\\nParallèlement, Bria Hartley suit un parcours dans différentes équipes nationales américaines. Elle sera ainsi la meilleure marqueuse des Etats-Unis avec 13,5 points lors d’un Mondial Universitaire avec notamment comme coéquipière Kaleen Mosqueda-Lewis actuellement à Charleville. Plus significatif encore : sa contribution (11,1 points, 3,2 passes) à la médaille d’or américaine au Mondial U19 en 2011. En quart-de-finale, les Etats-Unis éliminèrent... la France. De justesse. 70-64. 10 points et 5 passes pour Bria qui eut le plus fort temps de jeu de son équipe. Pour info, en face, on retrouvait Valériane Ayayi et Adja Konteh. Précision ultra importante pour la suite des évènements : revêtir le maillot d’une équipe nationale en jeune n’interdit pas d’en porter en senior d’un autre pays à la condition d’avoir le feu vert de la fédération concernée.\\n\\nEtape suivante : la WNBA. Bria Hartley réalise une brillante saison de rookie : 9,7 points et 3,1 passes avec les Washington Mystics. Cela la conduira à être élue dans la WNBA Rookie Team en 2014. La suite fut un peu plus quelconque mais cet été, Bria est meneuse titulaire du New York Liberty avec 8,5 points (32,6% à trois-points), 4,0 passes, 2,8 rebonds et 0,9 interception. Pour comparer, ce sont des standards bien supérieurs à ceux de Edwige Lawson et Céline Dumerc quand elles ont fréquenté les parquets de la ligue américaine.\\n\\nUn événement de la plus haute importance survient durant l’été 2016 : Bria tombe enceinte et forcément interrompt sa saison de WNBA en cours. Cela ne va pas forcément de soi dans la société américaine. Lorsque Candace Parker des Los Angeles Sparks annonça sa grossesse avant la saison 2009, des critiques l’ont accusée d’égoïsme et prédirent qu’elle aurait beaucoup de mal à retrouver ensuite le même niveau de jeu. Foutaise.\\n\\nSur le sujet, Bria Hartley fut interrogée par le prestigieux New York Times :\\n\\n« Je pense que souvent dans le sport les femmes sont méprisées lorsqu’elles tombent enceintes et ont des enfants. Les gens disent à quel point ça va être dur mais j’ai la mentalité quand je mets mon esprit à quelque chose pour que ça se fasse par tous les moyens nécessaires. Je pense que les femmes devraient pouvoir avoir des familles et pratiquer leurs sports simultanément si elles le souhaitent. Amener un enfant au monde est une grande bénédiction. »\\n\\nLe Times a affirmé que le Liberty est l’un des « vestiaires » les plus progressistes dans les sports professionnels et que ses équipières ont été enchantées que Bria ait un baby.\\n\\nPour la saison 2014-2015, la Newyorkaise choisit de s’expatrier à Sopron, en Hongrie. Elle turbine à 12,7 points, 3,3 rebonds et 2,8 passes, est championne national et elle est élue MVP des finales. Elle passe ensuite en Turquie, au Mersin BC. Bria s’est distinguée en tournant à 17,6 points (36,2% à trois-points) en Eurocup et en étant la meilleure marqueuse de la Ligue Turque (19,4 points). De quoi être recrutée pour la saison prochaine par Fenerbahçe, champion de Turquie, et de jouer ainsi l’Euroleague avec comme coach... celle des Bleues, Valérie Garnier.\\n\\nEn haut, deux grands-oncles de Bria dans leur jeunesse devant la maison familiale en Alsace. En bas, avec Stephen Curry.\\n\\nQuand sa grand-mère a rencontré un soldat américain\\n\\nLa suspicion est tombée sur les épaules de Bria Hartley -même si elle n’a pas dû être touchée véritablement puisque loin de la France- car depuis quelques années, plusieurs pays européens essentiellement situés à l’Est regorgent d’Américaines naturalisées dont la plupart n’avaient jamais mis les pieds préalablement dans le pays. Pas de lien du sang, pas plus de cœur. Un phénomène malsain que l’on retrouve chez les garçons. C’est simplement la perspective lucrative de se voir délivrer un passeport européen qui leur fait franchir le pas.\\n\\nNous avons mené notre petite enquête pour savoir exactement ce qu’il en est des origines françaises de Bria Hartley auprès de sa mère, Simone Hartley-Churchill qui sur le profil de sa page facebook a inscrit un prometteur « Brooklyn born – French heritage from Strasbourg, France. Granddaughter of an icon Savannah Churchill. »\\n\\nEn fait, c’est la mère de Simone donc la grand-mère de Bria qui est française. Son nom de jeune fille est Christiane Beyer. Elle est l’un des cinq enfants de Louis Lutz-Beyer. Tous les oncles et cousins de la branche maternelle sont français. Christiane Beyer est née à Paris le 12 mars 1939 mais elle a grandi à Mietesheim, un village de 669 habitants à la lisière de la forêt de Haguenau dans le nord de l’Alsace. La famille a déménagé ensuite à Strasbourg après la deuxième guerre mondiale lorsque la maison familiale a été détruite avant d’être reconstruite. En 1959, Christiane rencontre un soldat américain, en tombe amoureuse, ils se marient à Strasbourg et -comme majoritairement dans ce cas-, elle le suit en Amérique pour vivre sa vie. C’est simple finalement. Simone Hartley nous précise :\\n\\n« Mon père est décédé plusieurs années plus tard et ma mère s’est remariée. Ma mère a enregistré toutes les naissances de ses neufs enfants auprès du consulat de France et quand elle a pu dans le Livret de Famille. J’ai obtenu mon passeport français et je me suis inscrite pour voter par la suite. Le processus et la paperasserie prenaient beaucoup de temps, c’est le moins que l’on puisse dire. »\\n\\nEt pourquoi Churchill ? La grand-mère de Simone donc l’arrière-grand-mère de Bria était une célèbre chanteuse dans les années 30 jusqu’au début des années 50. « I want to be loved but only by you » fut un véritable tube qui demeura huit semaines dans les charts.\\n\\nNous avons demandé à Simone quand sa fille a eu l’idée de rejoindre l’équipe de France. Voici sa réponse :\\n\\n« L’idée de jouer pour l’équipe de France aux Jeux Olympiques est apparue alors que Bria jouait au college, à UCONN. Ce serait un honneur de représenter ma famille et notre pays d’origine. Bria a visité la France. Elle parle très peu le français mais cela n’enlève en rien la fierté de notre patrimoine. Mon frère et moi parlons des différents niveaux de français. Ma mère, moi-même, toute la famille sommes très excités quand cela est devenu une possibilité après des années de travail. L’agent de Bria travaille avec nous depuis au moins quatre ou cinq ans dans l’espoir d’avoir cette opportunité. »\\n\\nLa Fédération Française a confirmé que la démarche vient de la joueuse et qu’elle n’a jamais cherché à dénicher une Américaine naturalisée. Ce que Bria Hartley n’est pas. C’est une Franco-Américaine. Comme par exemple le journaliste George Eddy. Ou, c’est moins connu, Tony Parker et Edwin Jackson qui ont aussi le passeport américain. Bria Hartley a obtenu le feu vert de la fédération américaine et il lui faut désormais avoir l’aval de la FIBA. La FFBB cherche à réunir les pièces indispensables mais nous a indiqué ne pas vouloir « communiquer » davantage sur le dossier.\\n\\nLe premier stage de l’équipe de France est prévu fin juillet et la fédération française vient de communiquer une liste de 17 joueuses pré-sélectionnées sans qu’il soit fait mention de Bria Hartley. La saison régulière de WNBA se termine le 19 août. Le Liberty est actuellement 11e sur 12 et donc mal positionné pour faire les playoffs. La Coupe du Monde en Espagne débutera le 22 septembre. Bria fera t-elle son apparition d’ici là ? Attendre et voir.\\n\\nUne anecdote pour terminer : En septembre 2014, l’équipe de France obtint au Stade Pierre-de-Coubertin à Paris une victoire de prestige sur une équipe américaine incomplète (76-72). Quelques jours plus tard, ce sont bien les Américaines qui furent médaillées en or au championnat du monde. Bria Hartley avait cherché à gagner sa place dans la sélection US mais fut « coupée » juste avant ce rendez-vous à Paris. Donc pas de match face aux Bleues sur la terre d’une partie de ses ancêtres. Mais si elle s’était glissée dans l’équipe américaine qui fut couronnée en Turquie, il ne serait pas question aujourd’hui qu’elle puisse s’engager avec l’équipe de France.\\n\\n\\nGéraldine Saintilus, l’autre Franco-Américaine qui est venue passer quelques jours avec les Bleues\\n\\nDeux joueuses d’origine américaine ont déjà porté le maillot de l’équipe de France. L’actuelle meneuse de jeu de Bourges KB Sharp comme naturalisée. Une sélection en 2013. KB est si fière de sa double appartenance qu’elle s’est fait tatouer les drapeaux français et américain sur son biceps. L’autre c’est Géraldine Saintilus en 1987. Et ce fut une histoire rapide qui se termina en queue de poisson.\\n\\nC’est le Dijonnais Madicke Mbaye qui avait averti le coach de l’équipe de France d’alors, Michel Bergeron. Une Américaine dotée du passeport français jouait pour l’université de Setton Hall. Geraldine Saintilus. Elle était forte, très forte. 17,4 points et 7,0 rebonds en junior. Elle avait même fait les pré-sélections pour entrer dans l’équipe américaine. Son père est haïtien mais sa mère guyanaise. Alors la fédération pris la décision de la faire venir en France pour la tester. Nous étions à quelques semaines d’un championnat d’Europe en Espagne.\\n\\nAvant son arrivée, Michel Bergeron nous déclarait :\\n\\n« On aurait eu tort de ne pas l’essayer. Elle peut apporter un sérieux plus. Il n’y aura pas de concurrence dans le sens que je la sélectionnerai pour Cadix qu’à la seule condition qu’elle démontre qu’elle est d’un niveau supérieur aux autres. Sinon elle retournera directement aux Etats-Unis. »\\n\\nQuand les pré-sélectionnées réunies à Vittel apprirent que cette ailière venue de nulle part allait se joindre au groupe, il y eu comme un froid. Une concurrente en plus.\\n\\nGéraldine Saintilus disputa 12 matches amicaux entre le 21 juillet et le 30 août avec une moyenne honorable de 7,0 points.\\n\\nGéraldine repartit chez elle a priori quelques jours pour faire un break. Dans un article paru alors dans la presse américaine, elle indiquait qu’à sa grande surprise, elle faisait partie de l’équipe nationale française et prévoyait de rester là-bas au moins jusqu’à la fin du championnat d’Europe prévu du 5 au 11 septembre. Et que si la France se classait dans les quatre premiers, il y avait la possibilité de disputer un tournoi qualificatif pour les Jeux Olympiques de Séoul.\\n\\n« Je dois admettre que ma maison me manque. J’ai eu du mal avec la langue. Tout ce que je fais est affecté par cela, sur et en dehors du terrain. Les autres filles de l’équipe parlent un peu l’anglais et elles sont très utiles, mais c’est toujours très difficile. »\\n\\nGeraldine Saintilus ne reviendra jamais en France. Que s’est-il passé ? Une histoire bien dans les mœurs de l’époque. Juste avant le Tournoi d’Orléans, on apprit à Gee qu’elle n’était pas qualifiable car elle n’avait pas opté pour l’équipe de France avant 19 ans. La fédération n’était pas au courant de ce point de règlement avant de la solliciter. Michel Bergeron était en pétard :\\n\\n« Gee est une fille qui ne se pose pas de questions. Grâce à son rythme, sa percussion offensive, elle aurait pu apporter un plus contre les matches contre la Suède et l’Italie, » dira-t-il après coup.\\n\\nL’équipe de France s’imposa à la Roumanie et la Pologne mais perdit ses cinq autres matches et termina à une anonyme huitième place.\\n\\nOn n’entendit plus parler de Geraldine Saintilus en France mais elle figure toujours dans le Livre d’Or de Setton Hall comme étant la meilleure marqueuse de l’histoire de la fac."
}, 
{"role": "user",     "content":"La meneuse du New York Liberty, Bria Hartley est désormais sélectionnable en équipe de France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un communiqué, la FFBB indique que Bria Hartley (1,76m, 26 ans) est désormais sélectionnable en équipe de France.\\n\\n« Après avoir effectué les démarches auprès de l’administration française, Bria Hartley, basketteuse américaine et française de filiation, a obtenu son certificat de nationalité française. Suite à ces démarches, la FFBB vient d’obtenir l’accord de la FIBA pour que Bria Hartley puisse évoluer avec la sélection nationale. »\\n\\nSélectionnée dans les équipes des Etats-Unis en jeune, Bria Hartley cherche depuis plusieurs années à faire valoir ses origines françaises de part sa grand-mère comme nous l’avions expliqué dans un article cet été. Il ne s’agit donc pas d’une « naturalisée » même si la joueuse sera considérée comme telle par la FIBA puisqu’elle n’a pas opté pour la nationalité « française basket » avant ses 19 ans. Ce qui est par exemple le cas de Alain Koffi chez les hommes.Cette reconnaissance est donc survenue un peu en aval de la Coupe du monde mais Bria peut désormais rejoindre les Bleues qui sont en piste pour la qualification à l’Euro 2019. Elles ont deux matches encore au programme, l’un en Roumanie et l’autre à Charleville face à la Slovénie qui les a battues de 6 points à l’aller. Une victoire avec une marge supérieure permettrait à la France de se qualifier à coup sûr pour l’Euro (les meilleurs deuxièmes seront repêchés) et d’être tête de série lors du tirage au sort.Bria Hartley possède à 26 ans un copieux palmarès et cet été elle a tourné à 8,5 points (30,8% à trois-points), 3,6 passes et 2,9 rebonds avec le New York Liberty dont elle est la meneuse titulaire. La Newyorkaise connait bien l’Europe pour avoir passé une saison à Sopron, en Hongrie, et deux autres en Turquie, au Mersin BBSK. Elle a terminé meilleure marqueuse du championnat turc avec 19,4 points de moyenne plus 4,9 passes décisives.Valérie Garnier et la Franco-Américaine font actuellement pleinement connaissance puisque celle-ci a rejoint le Fernerbahçe Istanbul, l’équipe que la coach des Bleues a emmené au titre turc 2018, et elle peut ainsi la convaincre de l’utilité de la sélectionner. Le championnat national débute ce week-end.Bria Hartley paraît a priori représenter un renfort de choix pour l’équipe de France qui a démontré à la Coupe du Monde que l’héritage de Céline Dumerc aussi bien à la mène qu’au leadership est difficile à assumer.\\n\\nBRIA HARTLEY\\nNée le 30 septembre 1992 (26 ans) à North Babylone\\nTaille : 1,76m\\nPosition : 1/2\\nClub 2018/2019 : Fenerbahçe (Turquie) – Club WNBA : New York Liberty\\n\\nParcours en club :\\n2014-2015 : Uniqa Sopron (Hongrie)\\n2015-2016 : Mersin (Turquie)\\n2017-2018 : Mersin (Turquie)\\n2018-... : Fenerbahçe (Turquie)\\n\\nParcours en WNBA :\\n2014-2016 : Washington Mystics (WNBA)\\n2017-... : New York Liberty (WNBA)\\n\\nPalmarès : Championne de Hongrie en 2015, Championne NCAA en 2014 et 2013, Championne du Monde universitaire en 2013, Championne du Monde 3X3 en 2012, Championne du Monde U19 en 2011, Championnes U18 des Amériques en 2010\\n\\nProgramme de l’Équipe de France féminine lors des qualifications à l’Euro 2019\\nGroupe E\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDates\\nMatch\\nLieu (Ville – Salle)\\n\\n\\nSamedi 11 novembre 2017 à 18h30\\nFinlande – France (44-103)\\nHelsinki (Töölön Kisahalli)\\n\\n\\nMercredi 15 novembre 2017 à 20h30\\nFrance – Roumanie (87-45)\\nVilleneuve-d’Ascq (Palacium)\\n\\n\\nSamedi 10 février 2018 à 17h00\\nSlovénie – France (68-62)\\nCelje (Gimnazija Celje – Center)\\n\\n\\nMercredi 14 février 2018 à 20h30\\nFrance – Finlande (90-40)\\nBrest (Brest Arena)\\n\\n\\nSamedi 17 novembre 2018 à 18h00\\nRoumanie – France\\nCluj (Horia Demian Sports Hall)\\n\\n\\nMercredi 21 novembre 2018 à 20h45\\nFrance – Slovénie\\nCharleville-Mézières (Caisse d’Epargne Arena)\\n\\n\\n\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=3QelJriA-4s"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eurocup : la superbe passe dans le dos d’Andrew Albicy face à Brescia"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans la large victoire 110-91 d’Andorre face à Brescia, Andrew Albicy s’est fait remarquer par une passe dans le dos pleine d’inspiration.\\n\\nDans sa troisième année au Morabanc Andorra, l’international français fait toujours partie des joueurs majeurs de son équipe. En 27 minutes de jeu, l’ancien joueur du Paris-Levallois a frôlé le double-double avec 8 points, 9 rebonds et 4 interceptions pour une évaluation de 18.\\n\\nAprès deux matchs d’Eurocup, Andrew Albicy tourne à 6,5 points, 5 passes décisives et 2,5 interceptions pour une évaluation de 10,5.\\n\\n\\n\\n\\nTake a bow, @andrewalbicy!\\n\\n\\nAlbicy goes behind the back to Oliver Stevic for an easy two! #7DAYSMagicMoment pic.twitter.com/YzUj4pbyC2\\n\\n\\n— 7DAYS EuroCup (@EuroCup) October 10, 2018\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : les highlights de Monaco-Etoile Rouge"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après sa victoire face à Brescia lors de la première journée d’Eurocup, l’AS Monaco recevait un gros morceau avec l’Etoile Rouge de Belgrade mercredi soir sur Le Rocher.\\n\\nMalgré un match disputé de bout en bout, les joueurs de Sasa Filipovski ne sont pas parvenus à renverser les Serbes et se sont inclinés d’une courte tête 66-63 notamment grâce aux 13 points de Joe Ragland et Stratos Perperoglou. Du côté de la Roca Team Elmedin Kikanovic a compilé 22 points et 7 rebonds tandis que Ian Hummer a enregistré 11 points et 12 rebonds.\\n\\nPour la troisième journée d’Eurocup, l’ASM se déplacera chez les Allemands du Ratiopharm Ulm, qui sortent d’une victoire face au Galatasaray.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Pro B 2018-19 – Roanne: Le même refrain pour la Chorale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la Leaders Cup en guise de tour de chauffe, le championnat 2018/19 de Pro B débute le 12 octobre et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur un joueur à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment).\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLa formation de Laurent Pluvy a réalisé un retour au premier plan sensationnel entre 2017 et 2018 en passant de la 15e à la 2e place du classement. Son plus beau fait d’arme ? Sans aucun doute d’être passé de l’avant dernière à la meilleure défense du championnat (80,9 points encaissés par match en 2017 à 67,4 la saison passée) excellant ainsi des deux côtés du terrain, la réputation de coach « offensif » de l’entraîneur de la Chorale n’étant plus à faire. Tout aurait été parfait si Roanne ne s’était pas incliné en finale des Playoffs d’accession contre Fos-sur-Mer (qui avait déjà sorti le club vainqueur de la Leaders Cup lors de la campagne 2017). Le dernier duel en deux manches d’une saison riche a basculé sur des détails (68-72 à l’aller, 76-70 au retour) alors que les Provençaux s’étaient inclinés à deux reprises face aux Choraliens durant la saison régulière (dont un retentissant -35 à Vacheresse). « C’est le basket » comme dirait l’autre, et c’est aussi pour ça qu’on l’aime.\\n\\nLa déception passée, l’objectif de l’intersaison a rapidement sonné comme une évidence et le staff a misé sur la continuité pour parvenir à ses fins cette année et retrouver l’élite du basket français. Seules deux recrues (de choix) sont arrivées : le meneur Matt Carlino, déjà aperçu à Boulazac, et l’intérieur Ferdinand Prénom qui apportera une nouvelle dimension à la raquette de la Chorale.\\n\\n« On avait parié sur des JFL la saison dernière avec des contrats de deux ans et ils ont donné satisfaction. On a également été très contents de l’apport de nos étrangers qu’on a essayé de reconduire très vite car même en cas de montée, on aurait aimé continuer avec eux. C’est pour ça qu’on a gardé ce groupe. On a vécu une belle saison, il était hors de question de tout bouleverser, mais plutôt de bonifier cet effectif, à petites touches, » explique Laurent Pluvy.\\n\\nEn plus d’avoir un temps d’avance sur ses adversaires en terme de cohésion, l’entraîneur roannais voulait surtout préserver « cet état d’esprit de compétiteur, cette envie de performer, de gagner collectivement » au sein de son vestiaire. « Il a fallu un peu de temps pour digérer une grosse prépa, car le championnat est encore long. On commence seulement à être en forme, à retrouver nos forces, défensives notamment », poursuit-il.\\n\\nInvaincu en phase de groupe de Leaders Cup, Roanne s’est même payé le luxe de battre sa bête noire (qui lui a coûté l’accession, dans un sens), son voisin Saint-Chamond et cela à deux reprises. Un bon signe de plus à ne pas négliger, s’il en fallait un, pour les coéquipiers de Clément Cavallo.\\n\\nLe joueur à suivre : Matt Carlino\\n\\nLes qualités de Ferdi Prénom étant connues de tous, c’est Matt Carlino qui a été choisi comme joueur à suivre au sein du bel effectif roannais. Meneur de grande taille (comme Mathis Keita), l’Américano-italien connaît la division pour avoir évolué à Boulazac pendant cinq mois sous les ordres d’Antoine Michon. Brillant avec Roseto (Serie A2) la saison passée (18.9 points, 5.1 rebonds et 3.2 passes décisives par match) le gaucher va à nouveau tenter sa chance en France dans une équipe de haut de tableau.\\n\\n« C’est un fort attaquant, capable de mettre des points en peu de temps », assure Laurent Pluvy. « Il présente beaucoup de qualités et de possibilités, avec un vrai bras, un tir dans le périmètre, du drive, de la passe. Il va constituer un vrai danger pour nos adversaires. On avait aussi besoin de mettre un créateur pour épauler David Jackson dans ce domaine. Aujourd’hui, il fait énormément d’efforts défensifs, ce qui faisait partie des lacunes qu’ont avait identifiées lors de son passage à Boulazac et en Italie. Il est rentré dans le moule de l’équipe, il est à l’écoute, attentif. Comme il me l’a dit lors de nos discussions d’avant saison, il veut être un vrai plus pour l’équipe. Et aujourd’hui, c’est ce qu’il est ».\\n\\nSes performances en Leaders Cup ont effectivement confirmé que Roanne ne s’est pas trompé en misant sur lui, Matt Carlino étant pour l’instant l’un des meilleurs éléments de cette phase de groupes (17 points à 58% à 2 points, 42% à 3points, 3,7 rebonds, 2.3 passes décisives pour 16 d’évaluation en 23 minutes en moyenne après trois matchs).\\n\\nMatt Carlino scoreur:\\n\\nMatt Carlino passeur:\\n\\nLes objectifs du club, par Laurent Pluvy :\\n\\n« Quand on fait la finale des Playoffs et qu’on veut s’inscrire dans la continuité, on ne peut vouloir faire qu’aussi bien. L’objectif sera donc d’être dans le haut du classement et de monter. Beaucoup de clubs ont cette volonté, ce ne sera pas simple. On l’assume sans vouloir se mettre plus de pression que ça. On sait qu’il y aura des surprises, comme Saint-Chamond... qu’on aura une étiquette de favori dans le dos au même titre qu’Orléans, Nancy ou Blois. Tout le monde va vouloir nous battre. On se prépare à ça et on fera tout pour répondre présent. »\\n\\nArrivées : Ferdinand Prénom (Hyères-Toulon, Jeep ÉLITE), Matt Carlino (Roseto, Italie D2)\\n\\nDéparts : Mathieu Brun (arrêt), Benoit Mbala (Séoul, Corée du Sud), Roger Zaki (GET Vosges, N1)\\n\\nEffectif 2018-2019 : Matt Carlino, Mathis Keïta, David Jackson, Thomas Ville, Clément Cavallo, Jason Williams, Robert Nyakundi, Pierre Brun, Alexis Tanghe, Ferdinand Prénom.\\n\\nCoach : Laurent Pluvy Assistant : Maxime Boire\\n\\nCinq majeur probable : Mathis Keita, David Jackson, Clément Cavallo, Robert Nyakundi, Ferdinand Prenom\\n\\n[armelse]\\n\\nLa formation de Laurent Pluvy a réalisé un retour au premier plan sensationnel entre 2017 et 2018 en passant de la 15e à la 2e place du classement. Son plus beau fait d’arme ? Sans aucun doute d’être passé de l’avant dernière à la meilleure défense du championnat (80,9 points encaissés par match en 2017 à 67,4 la saison passée) excellant ainsi des deux côtés du terrain, la réputation de coach « offensif » de l’entraîneur de la Chorale n’étant plus à faire. Tout aurait été parfait si Roanne ne s’était pas incliné en finale des Playoffs d’accession contre Fos-sur-Mer (qui avait déjà sorti le club vainqueur de la Leaders Cup lors de la campagne 2017). Le dernier duel en deux manches d’une saison riche a basculé sur des détails (68-72 à l’aller, 76-70 au retour) alors que les Provençaux s’étaient inclinés à deux reprises face aux Choraliens durant la saison régulière (dont un retentissant -35 à Vacheresse). « C’est le basket » comme dirait l’autre, et c’est aussi pour ça qu’on l’aime.\\n\\nLa déception passée, l’objectif de l’intersaison a rapidement sonné comme une évidence et le staff a misé sur la continuité pour parvenir à ses fins cette année et retrouver l’élite du basket français. Seules deux recrues (de choix) sont arrivées : le meneur Matt Carlino, déjà aperçu à Boulazac, et l’intérieur Ferdinand Prénom qui apportera une nouvelle dimension à la raquette de la Chorale.\\n\\n« On avait parié sur des JFL la saison dernière avec des contrats de deux ans et ils ont donné satisfaction.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Quentin Anton/Chorale Roanne"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague féminine: Villeneuve d’Ascq sur la bonne voie pour se qualifier à la saison régulière"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En ne s’inclinant que de trois points en Hongrie, face au KSC Szekszard (68-71), Villeneuve d’Ascq a ménagé toutes ses chances de se qualifier pour la saison régulière d’Euroleague.\\n\\nLes Nordistes avaient même pris un départ de choix (23-10, 10e) avant de subir le retour fulgurant de leurs hôtes dans le deuxième quart-temps (5-24). Après une troisième période également laborieuse (39-52 après 30′), les Guerrières ont ensuite effectué un come back marquant 29 points en 10 minutes pour revenir sur les talons des Hongroises.\\n\\nMagali Mendy a effectué un match très complet avec 15 points, 7 passes et 5 rebonds.\\n\\nLe match retour aura lieu le mercredi 17 octobre au Palacium.\\n\\nPhoto: Virginie Brémont (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les highlights de Krasnodar-Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme c’était craint, le Limoges CSP n’a pas été à la hauteur du Lokomotiv Kuban Krasnodar en Russie (64-82), équipe digne de l’Euroleague. On aura pu apprécier la performance de Moustapha Fall qui a obtenu la meilleure évaluation de son équipe (17 avec 13 points à 5/6 aux shoots). Il est apparu parfois quasiment irrésistible.\\n\\nA noter que les 10 Limougeauds ont marqué mais pas plus que les 11 points de Dwight Hardy. Et malgré une réussite globale de 53,1%, le CSP se retrouve dominé à l’évaluation: 56-103.\\n\\nPhoto: Jerry Boutsiele (Eurocupbasketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Pro B 2018-19 – Rouen: Le RMB démasqué"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la Leaders Cup en guise de tour de chauffe, le championnat 2018/19 de Pro B débute le 12 octobre et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur un joueur à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment).\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAvec le plus jeune effectif de la division, le club rouennais n’a cessé de surprendre la saison dernière alors qu’il était promis au maintien par l’ensemble des observateurs. A l’arrivée, même avec une rotation serrée, le RMB a développé un basket cohérent dans lequel Obi Emegano et Amin Stevens se sont démarqués, terminant meilleurs de la division avec 17,5 et 17,9 points par match, du jamais vu. Toute la saison, Rouen a navigué en milieu de tableau et a fini par accrocher un spot pour les Playoffs avec un bilan à l’équilibre (17v-17d) synonyme de 8e place. La saison était d’ores et déjà réussie, mais la formation d’Alexandre Ménard (pour sa première année à la tête de l’équipe) a fait durer le plaisir, se hissant jusqu’en demi-finale après avoir surpris Orléans à l’issue d’une série à suspense.\\n\\nL’effervescence a ainsi fait son retour à la Kindarena où plus de 4 000 personnes s’étaient réunies pour assister au dernier match de la saison à domicile (perdu contre Fos-sur-Mer), laissant naître un fol espoir et une dynamique qu’il faudra conserver cette saison avec un budget plus conséquent, même si il a fallu composer avec les départs de joueurs majeurs.\\n\\n« Après une aventure aussi incroyable, les attentes sont très élevées », prévient Alexandre Ménard. « Tout le monde attend de nous qu’on fasse la même chose, ce qui est pour moi une grosse erreur. On l’a vu la saison dernière, Nantes et Charleville-Mézières ont vécu des saisons compliquées alors qu’ils avaient été brillants l’année précédente. On a eu plus de budget pour le recrutement, mais on n’a pas marqué de points pour cette saison. On repart à zéro dans un championnat qui s’est densifié je trouve. On a voulu bonifier l’équipe et garder la plupart des joueurs, ce qui n’a pas été simple. Amin et Obi ont triplé leur salaire par exemple. On a pérennisé nos joueurs français à l’image d’Earvine Bassoumba et Emmanuel Monceau. On a également essayé d’afficher un effectif plus costaud, plus homogène afin de moins dépendre d’un ou deux joueurs. Au niveau des étrangers on avait déjà ciblé des joueurs comme Al’Lonzo Coleman ou Zimmy Nwogbo depuis pas mal de temps. Chima Moneke sort de la fac. Il n’était pas pour nous puisqu’il aurait dû se présenter à la draft, faire le draft combine, mais un souci extra-sportif a brisé son élan. Il cherchait un endroit pour exposer tout le talent pressenti en lui sur le poste 4 comme sur le poste 5 et c’est ce que nous voulons lui offrir. On est bien content de l’avoir chez nous ».\\n\\nLe RMB sait désormais qu’il avance démasqué, ce qui ne l’empêche pas d’avoir montré un visage toujours aussi conquérant durant la prépa. « L’état d’esprit général correspond à ce qu’on attend. On a aussi des cadres qui aliment ça dans le groupe et je crois que notre mini-stage à Dallas a aussi porté ses fruits en ce sens. On n’a pas encore la cohésion collective qu’on voudrait afficher sur 40 minutes des deux côtés du terrain, mais l’ensemble est plutôt consistant. »\\n\\nLe joueur à suivre : Jean-Baptiste Maille\\n\\nLe joueur de 25 ans passé de la N1 à la première division en trois saisons attendait des propositions en Jeep ELITE, mais ceux-ci ne s’étant pas bousculés, Rouen s’est fait un plaisir de l’accueillir pour le relancer. Brillant à Fos-sur-Mer entre 2015 et 2017 dans un rôle de chien de garde, l’arrière n’a pas eu l’occasion de s’exprimer à l’échelon supérieure du côté de Limoges en 2017-2018, la faute à une rupture des ligaments croisés en août 2017. JB Maille et Alexandre Ménard (qui partagent le même agent) se sont connus au Mans il y a a bientôt dix ans. Autant dire que le coach saura en tirer le meilleur et que le joueur savait où il mettait les pieds. Plus qu’une ligne de stats, l’ancien joueur du Portel, sera un élément incontournable de la réussite du RMB cette année.\\n\\nPour ce qui est de son profil, c’est encore son coach qui le décrit le mieux :\\n\\n« Je ne me rappelle plus précisément de l’année où on s’est rencontrés. Mais je me rappelle d’un gars dont on disait qu’il passait souvent plus de temps par terre que debout, ce qui était loin d’être péjoratif, car il se jetait sur tous les ballons. On n’avait tendance à dire qu’il ne passait pas une semaine sans qu’il aille se faire recoudre quelque chose, ce qui en dit long sur son investissement. C’est un joueur qui ne calcule pas, qui noircit toutes les cases mais il fait aussi des choses qu’on ne voit pas forcément au niveau statistique, dans la cohésion, la dureté défensive. C’est aussi ce qu’on appelle un « coach player ». Il a une connaissance du basket assez extraordinaire. Il mange, il dort, il vit basket. Depuis que je le connais, c’est sans doute le joueur que j’ai vu le plus travailler. Tout ce qu’il a aujourd’hui, il le mérite. Il n’avait peut-être pas autant de talent que certains, mais grâce à son travail, il est arrivé bien au delà de joueurs à qui on aurait pu prêter un avenir bien plus radieux. Depuis le début de la présaison, je crois bien que je l’ai vu à la salle tous les jours, même le dimanche. C’est un plaisir pour un coach et c’est assez rare pour être souligné. On a beaucoup travaillé sur le tir et je peux dire qu’il met dedans. Je n’avais aucune crainte sur son retour de blessure parce que je savais qu’il avait travaillé pour revenir plus fort. Quand on l’a signé, je voulais pouvoir l’associer à un autre meneur. C’est pour ça qu’on a choisi Jamar Diggs, un combo-guard. Leur association sera intéressante ».\\n\\nMVP du premier match de Leaders Cup, JB Maille a déjà oublié la mésaventure limougeaude et a débuté la saison sur les chapeaux de roue. Prometteur.\\n\\nLes objectifs du club, par Alexandre Ménard :\\n\\n« On voulait rendre cette équipe plus dure, plus intense comme Blois, Fos ou Roanne qui m’avaient impressionné sur ce point. Des équipes comme Lille ou Saint-Chamond aussi, on a voulu s’inspirer de ça, faire une équipe avec 10 vrais joueurs. On aimerait atteindre les Playoffs. C’est ambitieux, mais ce n’est pas manquer d’humilité que de faire mieux que la saison dernière. Une fois en Playoffs, tout peut arriver. Ça faisait longtemps que le club ne les avait pas faits. Si on peut pérenniser ça, ce sera très bien. Quand on regarde bien, beaucoup d’équipes vont prétendre à les faire. Donc notre projet est ambitieux, mais avec beaucoup d’humilité ».\\n\\nArrivées : Jessie Bégarin (Le Portel, Jeep ÉLITE), Al’Lonzo Coleman (Maccabi Rehovot, D2 Israël), Jamar Diggs (Nantes), Jean-Baptiste Maille (Limoges), Chima Moneke (Cal-Davis, Etats-Unis), Zimmy Nwogbo (Brissac, N1)\\n\\nDéparts : Rémi Dibo, Obi Emegano (Dijon), Félix Michel (arrêt), Amin Stevens (Bruxelles, Belgique), Ovidijus Varanauskas, Desmond Williams\\n\\nEffectif 2018-2019 : Jamar Diggs, Jean-Baptiste Maille, Jessie Bégarin, Benoît Injai, Emmanuel Monceau, Carl Ponsar, Zimmy Nwogbo, Chima Moneke, Earvine Bassoumba, Al’Lonzo Coleman.\\n\\nCoach : Alexandre Ménard Assistants : Mathieu Latard, Clément Veyronnet\\n\\nCinq majeur probable : Jamar Diggs, Jessie Begarin, Carl Ponsar, Zimmy Nwogbo, Al’Lonzo Coleman\\n\\n[armelse]\\n\\nAvec le plus jeune effectif de la division, le club rouennais n’a cessé de surprendre la saison dernière alors qu’il était promis au maintien par l’ensemble des observateurs. A l’arrivée, même avec une rotation serrée, le RMB a développé un basket cohérent dans lequel Obi Emegano et Amin Stevens se sont démarqués, terminant meilleurs de la division avec 17,5 et 17,9 points par match, du jamais vu. Toute la saison, Rouen a navigué en milieu de tableau et a fini par accrocher un spot pour les Playoffs avec un bilan à l’équilibre (17v-17d) synonyme de 8e place. La saison était d’ores et déjà réussie, mais la formation d’Alexandre Ménard (pour sa première année à la tête de l’équipe) a fait durer le plaisir, se hissant jusqu’en demi-finale après avoir surpris Orléans à l’issue d’une série à suspense.\\n\\nL’effervescence a ainsi fait son retour à la Kindarena où plus de 4 000 personnes s’étaient réunies pour assister au dernier match de la saison à domicile (perdu contre Fos-sur-Mer), laissant naître un fol espoir et une dynamique qu’il faudra conserver cette saison avec un budget plus conséquent, même si il a fallu composer avec les départs de joueurs majeurs.\\n\\n« Après une aventure aussi incroyable, les attentes sont très élevées », prévient Alexandre Ménard.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Rouen Metropole Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Des extraits du documentaire «Tony Parker, le bâtisseur»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Deux extraits de « Tony Parker, le bâtisseur » consacrés aux filles du Lyon ASVEL féminin, un documentaire co-produit par Infinity Nine Media et RMC Sport, qui a été diffusé hier sur RMC Sport 1 dans l’émission Transversales.\\n\\n\\n\\n\\n📽 Tony Parker, le bâtisseur\\n\\n\\nLa star du basket français a de très grandes ambitions pour l'ASVEL, et pas seulement pour la section masculine 💪🏀#Transversales pic.twitter.com/Lmu7fBU5lX\\n\\n\\n— RMC Sport (@RMCsport) October 10, 2018\\n\\n\\n\\n\\nLe superbe discours réconfortant de Tony Parker après une défaite des filles de l'ASVEL, dont il est le président ! 💬💥#Transversales pic.twitter.com/usaII49Ngz\\n\\n\\n— RMC Sport (@RMCsport) October 10, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Ligue Féminine 2018-19 – Tarbes: Le vice-champion de France à la relance"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Ligue Féminine débute les 13 et 14 octobre avec l’Open de Paris et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur deux joueuses à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment) et vous pouvez commander le Guide en version papier sur notre boutique.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nL’euphorie est de retour sur les quais de l’Adour ! Relégué administrativement en LF2 à l’issue de la saison 2015-2016, le TGB a retrouvé les sommets à vitesse grand V avec une remontée dans l’élite dès la saison suivante, un an de transition habilement négocié (10e) et enfin un exercice 2017-2018 d’exception. Sixièmes à l’issue de la saison régulière, les Tarbaises ont déjoué tous les pronostics en se hissant jusqu’en finale des Playoffs face à Bourges contre qui elles ont cédé avec les honneurs (3-1).\\n\\nHuit ans après le premier titre de champion du club, ce « come-back » express dans les hautes sphères du basket français avec, cerise sur le gâteau, une qualification en Eurocup la saison prochaine, est notamment l’œuvre d’un coach : François Gomez. L’actuel sélectionneur de l’équipe nationale de Suède est revenu au chevet de son club de cœur en 2015 et a su, avec sa science du jeu et sa personnalité singulière, redonner au TGB ses lettres de noblesses. Le tout en proposant un basket des plus séduisants des deux côtés du parquet avec un état d’esprit conquérant, la fraîcheur apportée par le trio Tima Pouye – Adja Konteh – Aby Gaye venant parfaitement compléter les qualités d’Ana Suarez, Angie Bjorklund ou encore Michelle Plouffe, auteure de sa meilleure saison en France au niveau statistique (14 points, 10 rebonds par match).\\n\\nCes trois dernières ont quitté le navire cet été, mais Tarbes s’est encore renforcé astucieusement avec l’arrivée en provenance du CFBB de Marine Fauthoux (17 ans), meneuse très prometteuse qui sort d’un gros championnat du monde avec l’équipe de France U17 médaillée d’argent (10,1 points, 4,4 passes décisives par match). Aux côtés d’Aby Gaye, Jodie Cornelie-Sigmundova (Nice) et l’ex landaise Cierra Bravard viendront compléter la raquette. Alexis Sade Prince, recrue estampillée WNBA, Margaux Gaillou-Loko, de retour en LFB après une escapade en Allemagne (Wasserburg) et Nathalie Fontaine, issue de la filière suédoise supervisée par François Gomez, se partageront les responsabilités sur les ailes.\\n\\nCe groupe sera mis en concurrence par plusieurs éléments du centre de formation. Avec quel objectif ? Jouer à nouveau les poils à gratter, au moins aussi bien que la saison dernière !\\n\\nJodie Cornélie-Sigmundova :\\n\\nL’intérieure de 25 ans formée à l’Insep entre 2008 et 2011 a tous les atouts pour franchir un cap sous ses nouvelles couleurs. Après quatre ans à Dayton en NCAA et deux saisons du côté de Nice en LF2 puis en LFB, la grande sœur de Petr Cornélie a fini l’exercice 2017-2018 en boulet de canon avec plusieurs performances remarquées dont plusieurs doubles-doubles. En plus de son envergure dissuasive en défense, la poste 5 d’1,93m maîtrise tous les fondamentaux offensifs, capable de jouer dos au panier, de représenter une menace à mi-distance et même à 3-points.\\n\\nSes bonnes prestations sur la deuxième partie de saison dernière ont notamment tapé dans l’oeil de Richard Billant, sélectionneur de l’Equipe de France 3×3 qui l’avait pré-sélectionnée pour les championnats du monde en juin dernier. François Gomez a, lui aussi, été séduit par le profil de la vice-championne du monde U17 en 2010 et vice-championne d’Europe U18 en 2011, soulignant son « potentiel énorme. C’est une joueuse adroite, ultra-motivée avec de belles qualités athlétiques ». Jodie Cornélie-Sigmundova sera une rotation de choix pour la raquette du TGB.\\n\\nMarine Fauthoux :\\n\\nCe qui devait arriver, arriva ! La fille de Freddy Fauthoux, légende du basket palois (aujourd’hui coach aux Levallois Metropolitans), va retrouver son sud-ouest natal pour débuter sa carrière professionnelle. La jeune prodige tout juste sortie de l’Insep était très convoitée, mais c’est le projet tarbais qui a retenu son attention. Figure de proue de la génération 2001 avec Iliana Rupert, Marine Fauthoux s’est bâtie une belle réputation sur la scène internationale lors des deux dernières campagnes en équipe de France jeunes (championne d’Europe U16 en 2017 puis vice-championne du monde en juillet 2018). L’ex capitaine des Bleuettes a fait l’étalage de tout son talent, entre ses qualités de scoreuse pure, son adresse extérieure mais aussi sa créativité et son sens du leadership, le tout avec le même culot que son père. Ça promet de faire des étincelles !\\n\\nMarine Fauthoux devrait poursuivre son apprentissage en toute sérénité pour cette première saison dans le grand bain. Elle évoluera sous les ordres d’un coach reconnu pour sa capacité à développer les futures « pépites » du basket français, comme Tima Pouye ou encore Adja Konteh avec qui elle partagera le temps de jeu au poste 1.\\n\\nL’effectif de Tarbes est disponible est ici.\\n\\n[armelse]\\n\\nL’euphorie est de retour sur les quais de l’Adour ! Relégué administrativement en LF2 à l’issue de la saison 2015-2016, le TGB a retrouvé les sommets à vitesse grand V avec une remontée dans l’élite dès la saison suivante, un an de transition habilement négocié (10e) et enfin un exercice 2017-2018 d’exception. Sixièmes à l’issue de la saison régulière, les Tarbaises ont déjoué tous les pronostics en se hissant jusqu’en finale des Playoffs face à Bourges contre qui elles ont cédé avec les honneurs (3-1).\\n\\nHuit ans après le premier titre de champion du club, ce « come-back » express dans les hautes sphères du basket français avec, cerise sur le gâteau, une qualification en Eurocup la saison prochaine, est notamment l’œuvre d’un coach : François Gomez. L’actuel sélectionneur de l’équipe nationale de Suède est revenu au chevet de son club de cœur en 2015 et a su, avec sa science du jeu et sa personnalité singulière, redonner au TGB ses lettres de noblesses.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Tima Pouye (FFBB/Hervé Bellenger) et Marine Fauthoux (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans: La crise de confiance de Juice Thompson, 5/28 à trois-points depuis le début de la saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Mans a ouvert sa campagne européenne par une défaite à Murcie, 62-74. La faillite offensive de son meneur Michael « Juice » Thompson (1,77m, 29 ans) lui a coûté cher.\\n\\nAu total, l’Américain a transformé 2 shoots sur 11 avec un vilain 1/7 à trois-points. Le problème, c’est que Juice a poursuivi en Espagne une série entamée en Jeep Elite, ce qui fait qu’il en est aujourd’hui après cinq matches à 5/28 dans les tirs primés, soit à 17,8%.\\n\\nIl s’agit très probablement d’un cruel manque de confiance, le pire ennemi du shooteur. Et si Thompson est d’apparence imperturbable, ça doit sérieusement cogiter dans sa tête. Son plus mauvais résultat à trois-points remonte à sa saison à l’ASVEL (2012-13) avec 33,9% et la saison dernière au Istanbul BBSK, il en était à 38,7%. Autre indice de cette crise de confiance, il en est à 68,4% aux lancers-francs, lui qui est un implacable d’ordinaire sur la ligne et qui est monté jusqu’à 96,2% de réussite avec Besiktas il y a deux ans.\\n\\nUn motif d’espoir? Ses moyennes en Jeep Elite aux passes (6,5) et aux rebonds (2,8) n’ont jamais été aussi élevées de toute sa carrière en Europe. Il s’agit donc probablement d’un (très) mauvais moment à passer.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Pro B 2018-19 – Quimper: Le retour des irréductibles"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la Leaders Cup en guise de tour de chauffe, le championnat 2018/19 de Pro B débute le 12 octobre et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur un joueur à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment).\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLa saison a été très dure mais son issue heureuse l’a rendue d’autant plus savoureuse. Avec Laurent Foirest aux commandes pour sa première saison en Pro B, l’Ujap a proposé un jeu attrayant mais avec les défauts de ses qualités, à savoir un basket basé sur la vitesse d’exécution, la prise de risque, le collectif mais avec quelques carences au niveau athlétique. « La Pro B, ça court, mais ça joue aussi très dur, c’est le principal enseignement que j’ai tiré de cette saison », analyse l’ex international français aux 150 sélections. « On avait misé sur de beaux joueurs de basket, mais quand ça devenait un peu physique, on avait tendance à disparaître. On voulait trouver le bon compromis pour être mieux armé cette saison ».\\n\\nComme il l’avait reconnu en milieu de saison, son choix initial sur les joueurs étrangers lui avait aussi joué quelques mauvais tours. Mais l’arrivée de Bernard King en cours de saison a changé la donne, même s’il a fallu attendre la dernière journée pour sauver le club, sur le parquet du Havre, au détriment de ce dernier. C’est là l’autre belle histoire de Quimper dans cette opération maintien puisque ce sont « les renforts » Bozo Durasovic et Bernard King (joueur majeur au Havre pendant trois saisons) qui ont brillé ce soir là, permettant aux « irréductibles » de l’emporter 71-77 et de résister (encore et toujours) à l’envahisseur.\\n\\nPour ne pas revivre pareille mésaventure, Laurent Foirest a donc fait un choix plus sage pour épauler une base de JFL toujours aussi « joueuse » : Travis Cohn, qui a déjà fait quelques dégâts en Leaders Cup, à la mène, l’international autrichien Bryce Douvier aux postes 4-3 et le robuste pivot Joaquim Valdelicio accompagneront ainsi le très précieux Bernard King, reparti pour une saison. « L’objectif était de recruter des joueurs plus aguerris de cette division bien particulière. Joaquim connaît la division, on sera moins surpris. Travis et Bryce ont encore besoin de s’adapter, mais pour l’instant c’est plutôt positif », poursuit Laurent Foirest.\\n\\nL’ensemble s’est effectivement montré assez cohérent depuis la reprise. Il faudra à présent se battre pour aller chercher ce petit supplément d’âme qui a parfois manqué l’an dernier (six défaites à moins de 5 points d’écart en 2017-2018) pour forcer la décision dans les moments importants de la saison afin de basculer du bon côté. Sur ce point, Bryce Douvier a montré la voie en Coupe de France en allant décrocher la victoire au buzzer sur le parquet de Pays de Fougère (N2) alors qu’il restait 0.4 secondes sur l’horloge.\\n\\nLe panier au giga-buzzer de Bryce Douvier\\n\\nhttps://www.facebook.com/CourtCuts/videos/663337344051633/\\n\\nLe joueur à suivre : Joaquim Valdelicio\\n\\nS’il sera intéressant de suivre la progression de Lucas Dussoulier, en provenance de Charleville-Mézières, c’est l’arrivée de Joaquim Valdelicio qui a retenu notre attention. Car c’est peut-être là que réside le principal changement au niveau du profil de l’équipe quimpéroise. Avec l’international angolais, l’Ujap s’est dotée d’une dimension physique et d’une certaine verticalité dont elle ne disposait pas dans son effectif la saison passée. Arrivé au Havre en cours de saison dernière, le poste 5 de 2,08m a prouvé qu’il avait toutes les capacités pour être dominant (10 pts à 55.8% de réussite, 6 rbds pour 12 d’évaluation en 22 minutes par match).\\n\\n« Le profil de Joaquim est différent d’un DeMarco Cox (pivot qui a débuté la saison dernière à l’Ujap) qui était costaud mais plus petit et qui en plus était arrivé hors de forme. Avec Joaquim, c’est différent. Il est aussi costaud mais également mobile pour un grand comme lui. Il sait être efficace près du cercle, il a un shoot intéressant à mi-distance... Il n’est pas tout jeune, mais il n’est pas vieux non plus (28 ans), donc on peut encore bosser pour améliorer certains points car son jeu est encore perfectible. S’il joue sur ses qualités, on a le sentiment qu’il peut faire des dégâts cette saison », souligne Laurent Foirest.\\n\\nJoaquim Valdelicio n’a pas attendu longtemps pour donner raison à son coach puisqu’il a rendu 21 points, 12 rebonds pour 25 d’évaluation lors du premier match de Leaders Cup (99-83 contre Nantes). A noter qu’un autre « joueur d’impact » est récemment arrivé dans le secteur intérieur : Jimmy Djimrabaye, pigiste médical en attendant le retour de l’arrière Alexis Desespringalle (fracture de la malléole).\\n\\nLes objectifs du club, par Laurent Foirest :\\n\\n« On vise toujours le maintien. Contrairement à la saison dernière, on va essayer de s’éviter un sprint final sous tension. Donc prendre un maximum de matchs le plus tôt possible pour ne pas se faire de frayeur et bosser dans la sérénité. Par rapport à notre budget aussi, on ne peut pas vraiment viser plus haut, même si on va essayer de faire grandir cette équipe. Si la mayonnaise prend, on peut faire partie des surprises de la saison. A nous, le staff, de tirer le maximum de ce groupe. »\\n\\nArrivées : Travis Cohn (Al Arabi Doha, Qatar), Alexis Desespringalle (Lille), Bryce Douvier (Aris Salonique, Grèce), Lucas Dussoulier (Charleville-Mézières), Joaquim Valdelicio (Le Havre), Daryl Nérée (Saint-Quentin, N1).\\n\\nDéparts : Jean-Dieudonné Biog, Abdou Diallo, Bozo Djurasovic (Tübingen, Allemagne D2), Pau-Lou Duwiquet (Caen), Kammeon Olsey, Mathieu Tensorer\\n\\nEffectif 2018-2019 : Maxime Choplin, Thomas Prost, Travis Cohn, Alexis Desespringalle, Bernard King, Lucas Dussoulier, Thibaud Gottin, Bryce Douvier, Daryl Nérée, Joaquim Valdelicio, Kévin Mondésir.\\n\\nCoach : Laurent Foirest Assistant : Sebastien Auffret\\n\\nCinq majeur probable : Maxime Choplin, Travis Cohn, Lucas Dussoulier, Bryce Douvier, Joaquim Valdelicio\\n\\n[armelse]\\n\\nLa saison a été très dure mais son issue heureuse l’a rendue d’autant plus savoureuse. Avec Laurent Foirest aux commandes pour sa première saison en Pro B, l’Ujap a proposé un jeu attrayant mais avec les défauts de ses qualités, à savoir un basket basé sur la vitesse d’exécution, la prise de risque, le collectif mais avec quelques carences au niveau athlétique. « La Pro B, ça court, mais ça joue aussi très dur, c’est le principal enseignement que j’ai tiré de cette saison, analyse l’ex international français aux 150 sélections. On avait misé sur de beaux joueurs de basket, mais quand ça devenait un peu physique, on avait tendance à disparaître. On voulait trouver le bon compromis pour être mieux armé cette saison ».\\n\\nComme il l’avait reconnu en milieu de saison, son choix initial sur les joueurs étrangers lui avait aussi joué quelques mauvais tours. Mais l’arrivée de Bernard King en cours de saison a changé la donne, même s’il a fallu attendre la dernière journée pour sauver le club, sur le parquet du Havre, au détriment de ce dernier.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"D’après une étude de la FIBA, la Jeep Elite est une ligue cosmopolite où l’on marque peu de points mais où les plaintes devant les tribunaux sont rares"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Centre international d’études sur le sport (CIES) et la Fédération Internationale ont publié la septième édition du Rapport sur la migration du basket-ball international (IBMR), un aperçu saisonnier des tendances migratoires de ce sport, et qui couvre la saison 2017-18 (du 1er juillet 2017 au 30 juin 2018).\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nOn y observe une diminution du nombre de transferts au niveau planétaire pour les hommes et les femmes pour la première fois depuis 2010-11. De 8 737, ils sont tombés à 8 478, ce qui est toutefois supérieur au chiffre d’il y a deux ans, 8 282. Cela suppose qu’en raison de la conjoncture économique difficile, les clubs sont plus susceptibles de s’en tenir à leurs choix de joueurs d’origine.\\n\\nLes États-Unis restent les principaux exportateurs de joueurs. La France est à la fois un pays qui en exporte et en importe beaucoup (4e sur le plan mondial dans les deux catégories).\\n\\nDans chaque pays, le nombre de joueurs étrangers reste élevé, 7 des 16 ligues figurant dans le rapport comptant plus d’étrangers que de nationaux. L’Espagne reste la ligue avec la plus forte proportion de joueurs étrangers (68,2%) et le plus grand nombre de nationalités différentes représentées (46). À l’opposé, la Ligue brésilienne affiche à nouveau la plus faible proportion d’étrangers (18,6%) et de nationalités différentes (9).\\n\\nEn général, le temps de jeu des joueurs étrangers reste élevé dans les 16 ligues et renforce l’idée que leur présence contribue au développement limité des joueurs nationaux. L’inclusion du Japon dans cette édition du rapport entraîne une baisse significative des moyennes pour les joueurs de moins de 21 ans formés localement. Au Japon, 1,2% seulement des joueurs appartiennent à cette catégorie et ne jouent en moyenne que 2 minutes par match, tandis que la ligue devient progressivement une destination attrayante pour les joueurs étrangers de haut niveau.\\n\\nA noter que pour la première fois depuis le lock-out de la NBA en 2011, le nombre de joueurs internationaux dans la plus grande ligue du monde est en baisse. Les joueurs américains de la NBA sont passés de 75% à 80%, et les joueurs internationaux de 25% à 20%.\\n\\nAvec 546, le nombre d’agents certifiés FIBA n’a jamais été aussi élevé et la France est au septième rang avec 15 représentants.\\n\\nUn chiffre intéressant est celui du nombre de plaintes déposées auprès du Tribunal Arbitral du Basket (Basketball Arbitral Tribunal). La Turquie est de très loin le pays le plus touché (251) devant l’Italie (118), la Russie (75) et la Grèce (74). La France n’apparait pas dans le top 10. La réputation que les clubs de la LNB payent leurs joueurs et respectent les contrats n’est pas usurpée.\\n\\nLe Portel, une équipe âgée\\n\\nAu niveau du nombre de clubs, la Jeep Elite fait partie des quatre ligues avec 18 clubs (Allemagne, Espagne et Japon sont les trois autres) alors que deux en comptent 20 (Argentine et Chine). La Jeep Elite organise 306 matches et se positionne au troisième rang. En revanche, avec 78,9 points, elle n’est que 13e au nombre de points marqués.\\n\\nElle est 8e à la moyenne d’âge (26,4) et à la moyenne de taille (1,969m). On n’est pas surpris d’apprendre que c’est la Ligue Adriatique qui est la plus élevée (1,986m) devant... la Chine (1,984m). Dans un pays de 1,3 milliard d’habitants, il y a forcément des géants ! L’ESSM Le Portel était la saison dernière au quatrième rang des clubs ayant la moyenne d’âge la plus élevée (29,9 ans) !\\n\\nAvec 54,4% la Jeep Elite est à la sixième place des ligues faisant appel à la plus forte main d’œuvre étrangère. C’est l’Espagne qui tient la corde avec un pourcentage (68,2) qui est carrément dramatique. Suivent l’Italie (58,5%), l’Allemagne (55,7%), Israël (55,2%) et la Grèce (54,9%). Avec 85,7%, Andorre détient le record mondial alors qu’un club brésilien, un chinois et un polonais en ont aucun. 37 nationalités sont représentées en France. Le même chiffre que l’an dernier. Seule l’Espagne (46) est encore plus cosmopolite.\\n\\nEn accordant 4’ de moyenne aux joueurs français de 21 ans et moins, la Jeep Elite est numéro 10. La plus généreuse est la Ligue Adriatique avec 10’. Avec 35’7 de moyenne, Hyères-Toulon s’est classé au 6e rang mondial... mais n’a pas été récompensé de ses efforts ! A noter toutefois que la Jeep Elite était 2e au nombre de joueurs de 21 ans et moins (55 avec seulement 6 étrangers), juste derrière l’Argentine (87). Sauf donc qu’ils ne jouent pas beaucoup.\\n\\nLe turnover dans les équipes de Jeep Elite est dans la moyenne basse. 67,4% des joueurs étaient déjà en France la saison précédente (8e) mais 28,9% dans le même club (12e). Les effectifs de la Jeep Elite comportaient en moyenne 15,6 joueurs (11e) et 1,9 sont arrivés en cours de saison (6e). On remarque que l’AEK Athènes et Trikala ont fait jouer 22 joueurs différents et Ulm en a enrôlé 8 nouveaux en cours de saison !\\n\\nL’étude est à télécharger ici.\\n\\n[armelse]\\n\\nOn y observe une diminution du nombre de transferts au niveau planétaire pour les hommes et les femmes pour la première fois depuis 2010-11. De 8 737, ils sont tombés à 8 478, ce qui est toutefois supérieur au chiffre d’il y a deux ans, 8 282. Cela suppose qu’en raison de la conjoncture économique difficile, les clubs sont plus susceptibles de s’en tenir à leurs choix de joueurs d’origine.\\n\\nLes États-Unis restent les principaux exportateurs de joueurs. La France est à la fois un pays qui en exporte et en importe beaucoup (4e sur le plan mondial dans les deux catégories).\\n\\nDans chaque pays, le nombre de joueurs étrangers reste élevé, 7 des 16 ligues figurant dans le rapport comptant plus d’étrangers que de nationaux. L’Espagne reste la ligue avec la plus forte proportion de joueurs étrangers (68,2%) et le plus grand nombre de nationalités différentes représentées (46). À l’opposé, la Ligue brésilienne affiche à nouveau la plus faible proportion d’étrangers (18,6%) et de nationalités différentes (9).\\n\\nEn général, le temps de jeu des joueurs étrangers reste élevé dans les 16 ligues et renforce l’idée que leur présence contribue au développement limité des joueurs nationaux.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Jérémy Nzeulie (Strasbourg) et Le Portel 2017-18 (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Allemagne : après Nancy, DeWayne Russell signe à Crailsheim"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé à Nancy en pigiste médical de DaShaun Wood en début de saison dernière, DeWayne Russell (1,80m, 24 ans) a finalement passé tout l’exercice 2017/18 au SLUC. Après une saison en France, il s’est engagé en Allemagne.\\n\\nSur leur site, les Merlins de Crailsheim annoncent la signature du natif de Philadelphie pour cette saison. Après deux matchs, Crailsheim pointe à une timide quinzième place du classement de Bundesliga avec deux défaites en autant de matchs.\\n\\nLa saison dernière, DeWayne Russell compilait en moyenne 13,5 points, 3,1 rebonds et 5,7 passes décisives pour une évaluation de 14,5.\\n\\nPhoto : SLUC Nancy"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Ligue Féminine 2018-19 – Saint-Amand: Le Hainaut veut viser plus haut"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Ligue Féminine débute les 13 et 14 octobre avec l’Open de Paris et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur deux joueuses à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment) et vous pouvez commander le Guide en version papier sur notre boutique.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe glorieux passé n’est pas toujours facile à honorer, d’autant plus lorsqu’il concerne Saint-Amand Hainaut Basket, fruit de la fusion entre l’Union Saint-Amand Porte du Hainaut et la mythique US Valenciennes Olympic qui a régné sur le basket français au début des années 2000 (six titres de champion de France entre 2001 et 2007 et deux Euroleague). Bâtie pour jouer les premiers rôles lors de la fusion en 2008, l’équipe a progressivement reculé dans la hiérarchie et joue désormais le maintien. Jusqu’à présent, les Hennuyères sont passées entre les gouttes, évitant la relégation de peu à l’issue de la saison 2014-2015 malgré leur dernière place en saison régulière (repêchées à la place de Tarbes). Lors du dernier exercice en revanche (9e place à l’issue de la saison régulière), il a fallu passer par les Playdowns, « une source de pression » que Fabrice Fernandes et son groupe essaieront d’éviter cette année. « Même si on a fait le job, ça montre que rien n’est jamais acquis et que tous les matchs de la saison sont importants, et certains encore plus ».\\n\\nAu cours de l’été, le staff a étudié les raisons de ce contre-coup, comme ces 12 défaites consécutives à partir de janvier dernier qui ont saboté la suite des événements, afin de ne pas réitérer les mêmes erreurs. Si l’ossature n’a pas été chamboulée, les arrivées des tandems Hortense Limouzin-Bérangère Dinga M’Bomi sur les postes arrières et Batabe Zemparé – Pauline Akonga-Nsimbo (de retour au club) à l’intérieur vont apporter un nouvel élan aux « Green Girls ». L’idée générale sera d’avoir un maximum de mobilité, sur les postes 3 et 4 notamment, avec des joueuses polyvalentes capables de constituer une menace dans différents compartiments du jeu (impact, tir extérieur, spacing). Reste maintenant à grappiller une place au classement par rapport à l’an dernier pour éviter les Playdowns et rebasculer dans la bonne partie du tableau.\\n\\n« On ne veut pas paraître prétentieux, mais on va essayer de viser un peu plus haut que le maintien. L’objectif reste de ne pas descendre, mais on espère mieux gérer les moments importants de la saison, être intraitable à domicile, tenter des coups, tenir les grosses équipes le plus longtemps possible et bien négocier les rendez-vous face à nos concurrents directs », conclut coach Fernandes.\\n\\nAshley Bruner :\\n\\nArrivée l’été dernier en provenance de la première division italienne où elle a fait forte impression, l’Américaine a été l’un des motifs de satisfaction en 2017-2018. Intérieure mobile, polyvalente, elle a su répondre présente durant les Playdowns et rentre parfaitement dans le schéma de jeu désiré par Fabrice Fernandes qui lui reconnaît également « une belle lecture de jeu, offensivement comme dans le placement en défense. Elle a le profil pour s’ajuster par rapport à ses adversaires directs. Elle sait performer dans la raquette mais peut aussi s’en écarter. Enfin, c’est une joueuse qui ne lâche jamais. Même dans les moments difficiles, elle est là et on est très content de l’avoir avec nous cette année encore », poursuit-il. Parmi les leaders statistiques des « Green Girls » la saison dernière, Ashley Bruner (14,5 points, 6,7 rebonds, 2,5 passes décisives par match) va tout faire pour confirmer ce bel exercice cette année. « Elle doit bosser ses lancer-francs, son adresse étant encore un peu en dessous des standards de la LFB. Je dirais aussi qu’elle a les moyens de gagner en régularité », souligne Fabrice Fernandes.\\n\\nHortense Limouzin :\\n\\nExit Elise Deprez, pur produit de la formation hennuyère parti s’aguerrir en LF2. Cette saison, c’est Hortense Limouzin qui sera chargée de soulager Bintou Marizy à la mène. Après Denek Bat Urcuit, Anglet et Basket Landes où elle a déjà acquis une belle expérience chez les pros ces deux dernières années, l’internationale U20 avec l’équipe de France fait le grand saut pour le Hainaut où elle arrive en prêt. Elle incarne la relève tricolore au poste au même titre qu’Ewl Guennoc, Caroline Hériaud, Océane Monpierre ou encore Marine Fauthoux qui vont hériter d’un nouveau rôle en LFB en 2018-2019. Ce choix de quitter son nid et traverser la France a été « mesuré et pensé », affirme Fabrice Fernandes, confiant quant à la capacité de sa nouvelle protégée à tenir l’équipe sur de courtes séquences. « Elle se rapproche d’une partie de sa famille qui habite Paris, où elle est née. Elle ne se sent pas isolée et connaît bien Ludivine Marie grâce à l’équipe de France jeunes ». L’environnement du club « très agréable et professionnel à la fois », dixit l’intéressée, a aussi joué dans la balance. Le compromis parfait pour lancer une carrière prometteuse.\\n\\nL’effectif de Saint-Amand est disponible ici.\\n\\n[armelse]\\n\\nLe glorieux passé n’est pas toujours facile à honorer, d’autant plus lorsqu’il concerne Saint-Amand Hainaut Basket, fruit de la fusion entre l’Union Saint-Amand Porte du Hainaut et la mythique US Valenciennes Olympic qui a régné sur le basket français au début des années 2000 (six titres de champion de France entre 2001 et 2007 et deux Euroleague). Bâtie pour jouer les premiers rôles lors de la fusion en 2008, l’équipe a progressivement reculé dans la hiérarchie et joue désormais le maintien. Jusqu’à présent, les Hennuyères sont passées entre les gouttes, évitant la relégation de peu à l’issue de la saison 2014-2015 malgré leur dernière place en saison régulière (repêchées à la place de Tarbes). Lors du dernier exercice en revanche (9e place à l’issue de la saison régulière), il a fallu passer par les Playdowns, « une source de pression » que Fabrice Fernandes et son groupe essaieront d’éviter cette année. « Même si on a fait le job, ça montre que rien n’est jamais acquis et que tous les matchs de la saison sont importants, et certains encore plus ».\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Bintou Mariry-Dieme (FFBB/Hervé Bellenger), Pauline Akonga et Hortense Limouzin (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"CourtCuts : le Top 10 de la semaine (6 octobre)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque saison depuis maintenant sept ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCette semaine, c’est Jermel Kennedy (KABCA Kaysersberg, NM1) qui pointe à la première place du classement grâce à un très gros poster dunk."
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Pro B 2018-19 – Poitiers: Opération reconquête"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la Leaders Cup en guise de tour de chauffe, le championnat 2018/19 de Pro B débute le 12 octobre et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur un joueur à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment).\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nMarquée par un épisode 2017-2018 éprouvant, l’équipe poitevine va se présenter cette saison avec une grande détermination et l’envie de redorer son blason. Après Youssoupha Fall l’été précédent, l’autre pépite du club, Sékou Doumbouya, a quitté le cocon du PB86, direction Limoges. Un crève-coeur pour Ruddy Nelhomme mais aussi l’occasion pour l’entraîneur emblématique de Poitiers de remodeler ses forces en présence. Après avoir assuré son maintien à la dernière journée, la formation poitevine se voudra « plus stable », ce qui ne signifie pas que les jeunes éléments comme Yanik Blanc, Kevin Harley (et dans une moindre mesure Jim Seymour, Clément Desmonts et Christopher Dauby) n’auront pas leur mot à dire.\\n\\n« On ne change pas spécialement de cap », assure l’entraîneur. « On sort d’une saison compliquée, qui a mal débuté, avec une équipe qui s’est retrouvée dans une spirale négative assez longtemps et qui ne s’en est sortie qu’au dernier match. On a quand même gardé un socle, comme on le fait habituellement. Et sur les joueurs étrangers, on a voulu plus de stabilité, ce qui explique les arrivées de joueurs comme Jay Threatt qui connaît la maison, Ron Anderson ou Warren Niles qui arrive de N1. L’avenir nous dira si ces choix étaient les bons ».\\n\\nLa pré-saison réussie a été suivie d’une phase de Leaders Cup mitigée, avec une première place du groupe D acquise à la différence particulière mais un dernier revers de 19 points à Quimper qui fait tâche.\\n\\n« On arrive au début du championnat mais on a toujours des choses à bosser, » poursuit Ruddy Nelhomme. « On a réalisé une pré-saison intéressante pour la confiance parce qu’on a gagné des matchs. On a mis en place un système défensif assez constant au fil des matchs. L’attention se porte maintenant davantage sur le jeu offensif. On devra faire attention à ne pas perdre trop de ballons car l’intensité des matchs va rapidement s’élever ».\\n\\nAvec un nouveau logo et de nouvelles ambitions, Poitiers espère avoir son mot à dire dans la première partie de tableau. Dans un championnat toujours plus homogène, les détails (qui ont parfois coûté cher la saison dernière) auront plus que jamais leur importance.\\n\\nLe joueur à suivre : Kevin Harley\\n\\nL’arrière de 24 ans sort d’une très grosse pré-saison avec près de 11 points par match en moyenne en Leaders Cup et un beau carton à 32 points en prépa contre Pau-Lacq-Orhez. Hormis une parenthèse à Denain en 2016-2017, il est resté fidèle à son club formateur et pourrait bien hériter de davantage de responsabilités cette saison, sa sixième sous le maillot du PB 86\\n\\n« C’est un joueur qui arrive à maturité même s’il est encore jeune. C’est un véritable athlète, capable de faire beaucoup de choses. De défendre fort, de driver... Avec le temps, il a réussi à stabiliser son shoot. Il a toutes les cartes en main pour faire une bonne saison car on va compter sur lui », explique Ruddy Nelhomme au sujet de son joueur capable d’évoluer sur les trois poste extérieurs. « C’est un arrière de formation mais il peut aussi monter la balle pour soulager le meneur, driver, jouer les pick&roll et ses capacités athlétiques lui permettent de défendre sur des postes 3. C’est un joueur polyvalent, mais ce qu’on attend surtout de lui cette saison, c’est de la constance ».\\n\\nLes objectifs du club, par Ruddy Nelhomme :\\n\\n« C’est encore difficile de s’évaluer parce qu’on n’a pas encore joué beaucoup d’équipes de Pro B. Je dirais avec humilité qu’on aimerait se mêler à la lutter pour les Playoffs et parvenir à nous y faire une place. On sait que ce championnat est très dense, très compliqué. On espère aussi ramener plus de sérénité à la maison. Qu’on puisse engranger les victoires, se faire plaisir devant notre public afin d’être plus sereins pour pouvoir tenter des coups sur les matchs à l’extérieur. Les Playoffs, c’est un objectif qui nous plaît bien ».\\n\\nArrivées : Kévin Mendy (Aix-Maurienne), Warren Niles (Boulogne-sur-Mer, N1), Jay Threatt (Denain)\\n\\nDéparts : Rémi Barry, Sharaud Curry, Sekou Doumbouya (Limoges), Ibrahima Fall Faye (retour prêt Chalon), Anthony Goods (Nancy), Christophe Léonard, Sekou Doumbouya (Limoges)\\n\\nEffectif 2018-2019 : Jay Threatt, Arnauld Thinon, Kévin Harley, Yanik Blanc, Warren Niles, Kévin Mendy, Pierre-Yves Guillard, Ron Anderson Jr,\\n\\nCoach : Ruddy Nelhomme Assistants : Antoine Brault et Andy Thornton-Jones\\n\\nCinq majeur probable : Jay Threatt, Kevin Harley, Kevin Mendy, Ron Anderson, Pierre-Yves Guillard\\n\\n[armelse]\\nMarquée par un épisode 2017-2018 éprouvant, l’équipe poitevine va se présenter cette saison avec une grande détermination et l’envie de redorer son blason. Après Youssoupha Fall l’été précédent, l’autre pépite du club, Sékou Doumbouya, a quitté le cocon du PB86, direction Limoges. Un crève-coeur pour Ruddy Nelhomme mais aussi l’occasion pour l’entraîneur emblématique de Poitiers de remodeler ses forces en présence. Après avoir assuré son maintien à la dernière journée, la formation poitevine se voudra « plus stable », ce qui ne signifie pas que les jeunes éléments comme Yanik Blanc, Kevin Harley (et dans une moindre mesure Jim Seymour, Clément Desmonts et Christopher Dauby) n’auront pas leur mot à dire.\\n\\n« On ne change pas spécialement de cap », assure l’entraîneur.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Franck Fetis/Poitiers Basket 86"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Valentin Chery officiellement joueur du Paris Basketball"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Formé à Nancy, Valentin Chery (1,98m, 21 ans) à quitté le SLUC cet été pour rejoindre Paris.\\n\\nCe mardi, l’ancien nancéien a officiellement été qualifié par la LNB en tant que joueur du Paris Basketball, rapporte l’Est Républicain et il a d’ailleurs disputé ses premières minutes officielles face à Denain, en Leaders Cup.\\n\\nFace à la volonté de son joueur de quitter Nancy pour la capitale, le SLUC s’était résigné à signer sa lettre de sortie en échange d’une contrepartie financière. Finalement suite à la décision de la LNB de qualifier le joueur avant même que le SLUC ait rendu sa lettre de sortie, le club ne devrait pas non plus recevoir l’indemnité qu’il attend.\\n\\nLa saison dernière, Valentin Chery compilait en moyenne 3,2 points et 4 rebonds pour une évaluation de 6,3.\\n\\nPhoto : SLUC Nancy"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe de France féminine: Tirage au sort des 16e de finale avec 4 équipes de LFB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le tirage au sort des 16e de finale de la Coupe de France féminine (Trophée Joe Jaunay) a été effectué ce matin au siège de la FFBB. Les matches auront lieu le samedi 3 novembre prochain à 20h.\\n\\nMontbrison (LF2) – Aulnoye (LF2); Roche Vendée (LFB) – Saint Amand (LFB); Chartres (LF2) – Landerneau (LFB); Reims (LF2) – Mondeville; (LFB) La Tronche Meylan (NF1) – Calais (LF2).\\n\\n*Sous réserve des procedures en cours"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eurocup : le dunk de la soirée pour Mathias Lessort"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison à l’Etoile Rouge de Belgrade, Mathias Lessort (2m, 23 ans) a décidé de quitter la Serbie pour l’Espagne afin de signer à Malaga.\\n\\nPhysique intérieur qui a fait parler de lui en Euroleague la saison dernière, l’ancien joueur de Nanterre continue de faire apprécier ses qualités athlétiques en Eurocup. Mardi soir dans la large victoire de son équipe face à Francfort, l’international tricolore a claqué un gros dunk sur son adversaire en attaque placée. C’est d’ailleurs cette action qui a été désigné dunk de la soirée par l’Eurocup.\\n\\nDepuis le début de la saison, Mathias Lessort compile en moyenne 7,3 points et 7,6 rebonds en ACB, et 12 points et 2,5 rebonds en Eurocup.\\n\\n\\n\\n\\n😱😱😱@unicajaCB's @ThiasLsf flexed as he threw it down for yesterday's Dunk of the Night! pic.twitter.com/9ze2IF5jPu\\n\\n\\n— 7DAYS EuroCup (@EuroCup) October 10, 2018\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet: Vers un licenciement de Tywain McKee"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La présence du meneur américain Tywain McKee (1,88m, 32 ans) à Cholet Basket ne tient plus qu’à un fil.\\n\\nCe qui est reproché à l’ancien joueur du Mans, ce sont des propos acerbes à l’égard de ses équipiers au retour du match à Châlons-Reims. McKee s’est ensuite excusé et est prêt à payer un amende mais le coach Régis Boissé a déjà pris sa décision:\\n\\n« Son comportement va à l’encontre de la cohésion du groupe, de la confiance que l’on peut avoir les uns dans les autres. Ce sont des choses hyper importantes dans une équipe donc à partir du moment où on les casse, on n’est plus dans le projet de l’équipe », a t-il déclaré à Ouest France.\\n\\nLe club a mis à pied son meneur à titre conservatoire. Un entretien est prévu en début de semaine prochaine. Ty McKee peut encore être réintégré à l’équipe mais on se dirige donc davantage vers un licenciement pour faute grave.\\n\\nC’est à la paire Killian Hayes (17 ans) – Abdoulaye Ndoye (20 ans) à qui sera confiée la mène samedi à Fos.\\n\\nPhoto: CB"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL: 20 d’évaluation pour Alexandre Chassang (Dijon) face à Nymburk"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La JDA Dijon n’a pas manqué ses débuts en Basketball Champions League en battant le CEZ Nymburk, 15 fois de suite champion de République Tchèque: 74-63.\\n\\nL’homme du match, c’est Alexandre Chassang (2,04m, 24 ans) auteur de 14 points et 8 rebonds pour la meilleure évaluation de la JDA, 20.\\n\\nIntérieur puissant, formé au Centre Fédéral et à l’ASVEL, Alexandre Chassang a passé deux saisons à Hyères-Toulon avant d’arriver cet été en Bourgogne. Ses records en carrière en Jeep Elite sont de 18 points et 14 rebonds mais cette saison il n’avait pas fait mieux jusque là que 4 points et 5 rebonds.\\n\\n« On a joué une très bonne équipe, qui joue vite en transition, mais on a fait le travail, puisqu’ils n’ont mis que 63 points. On a essayé d’être intenses et de faire ce qu’il fallait, face à une équipe au jeu compliqué à stopper, » a t-il commenté au Bien Public.\\n\\nPhoto: BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les highlights de ASVEL-Trento"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ASVEL a remporté hier soir une précieuse victoire (75-61) sur les Italiens du Dolomiti Energia Trento pour le compte de la deuxième journée d’Eurocup.\\n\\nAvec 16 points, 9 rebonds et une superbe défense, Charles Kahudi a été le joueur le plus complet du match. Mantas Kaltnietis et Amine Noua ont ajouté chacun 15 points.\\n\\nPhoto: Amine Noua (Eurocupbasketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau: Mickey McConnell remplace Jerel Blassingame, blessé"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour suppléer Jerel Blassingame, touché au genou droit, l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez fait appel à un autre meneur américain, Richard « Mickey » McConnell (1,82m, 29 ans).\\n\\nCelui-ci a derrière lui deux saisons en Italie (Jesi et Vérone), une en D-League (Texas Legends) une première en Allemagne (Bonn), une en Pro A avec Châlons-Reims (10,6 points et 5,6 passes), une en Espagne (Obradoiro, meilleur passeur de la ligue avec 6,4 unités), et il était la saison dernière à Oldenbourg en Allemagne où il a assuré 10,2 points et 5,3 rebonds en Basketball Champions League et fait preuve de ses qualité d’organisateur.\\n\\n« Face à l’indisponibilité de Jerel (Blassingame), nous nous sommes mis en quête d’un joueur au profil similaire », a commenté le coach Laurent Vila. « On connaissait Mickey (McConnell) depuis son passage au CCRB, alors dirigé par Nikola Antic, lors de la meilleure saison de ce club depuis sa remontée dans l’élite (2015-2016). Il a confirmé ses belles prestations en devenant l’année suivante le meilleur passeur de la ligue ACB avec Obradoiro et en affichant les mêmes statistiques ou presque la saison dernière avec Oldenbourg en Allemagne. S’il n’est pas doté d’un gros physique, ce meneur peut s’appuyer sur sa vitesse et connait parfaitement le jeu. On va attendre de lui qu’ il organise et dynamise le jeu, qu’il soit agressif pour délivrer de bons ballons et qu’ il puisse aussi prendre ses responsabilités en matière de scoring quand il le faut, vu qu’il dispose d’ une belle adresse à trois points. Charge à nous désormais de l’intégrer au mieux et ce, dès cette fin de semaine. »\\n\\nRichard McConnell doit son surnom Mickey en référence à un célèbre joueur de baseball, Mickey Mantle.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=6upcvCEfUAY\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Derrick Williams pourra-t-il se transformer en leader au Bayern ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Deuxième choix de la draft 2011, Derrick Williams a déjà dû quitter la NBA alors qu’il n’a que 27 ans. L’ailier fort sorti de la fac d’Arizona n’a malheureusement pas confirmé son immense potentiel et après six campagnes sans grande saveur dans la Grande Ligue, il a dû se réfugier l’an passé en Chine pour une quinzaine de matchs (à 20 points et 7 rebonds de moyenne).\\n\\nRapidement aperçu chez les Lakers en fin de saison passée, Williams réapparaît cette fois de l’autre côté de l’Atlantique, en Bavière plus précisément. Officiellement signé au Bayern Munich il y a une semaine, l’ancien meilleur joueur de la Pac 10 en NCAA s’estime heureux de pouvoir intégrer un club d’une telle envergure... même si c’est en Europe !\\n\\n« Venir au Bayern, c’est un pas en avant pour moi. C’est là où je voulais être », assure Williams au micro d’EuroHoops. « Je voulais faire partie d’un grand club. Le Bayern Munich est une de ces marques que tout le monde connaît, comme le Real ou le Barça, ou les Lakers, les Knicks ou les Bulls en NBA. Une de mes motivations principales était de trouver ce type de situation où je pourrai associer mon nom à un grand club. Et puis, le Bayern est en Euroleague donc ça a également aidé ma décision. »\\n\\nAvant de franchir le pas, Williams a demandé conseil à gauche et à droite parmi ses contacts. Et il a rapidement été rassuré !\\n\\n« Je sais que l’Euroleague est une superbe compétition. J’ai plusieurs amis qui m’en ont parlé : Jason Thompson qui était au Fenerbahçe, Quincy Miller qui a été à l’Etoile Rouge, Kevin Séraphin avec Barcelone... »\\n\\n\\n« On n’est pas attendu parmi les meilleurs et ça me motive encore plus »\\n\\nRapidement mis au parfum de l’Euroleague, Williams est actuellement en pleine préparation avec son nouveau club. Et selon l’ancien NBAer, le Bayern va proposer un jeu séduisant, avec beaucoup de courses et de tirs de loin.\\n\\n« C’est un jeu de type NBA à vrai dire, avec beaucoup de rythme. Le coaching staff veut qu’on prenne beaucoup de tirs à trois points et qu’on pousse le ballon en contre-attaque. J’ai hâte de commencer à jouer car je sais que la compétition va être très intéressante. En championnat, tout le monde veut nous faire tomber et en Euroleague, il y a beaucoup de bonnes équipes. Et comme on n’est pas vraiment attendu parmi les meilleurs, ça me motive encore plus. Je veux apporter cette mentalité d’underdog. Mais on a simplement besoin d’engranger quelques victoires et les gens verront qu’on peut être bon. »\\n\\nClairement pas favori en Euroleague avec un plateau toujours plus relevé, le Bayern Munich comptera en tout cas beaucoup sur sa nouvelle recrue américaine. Derrick Williams devrait rayonner physiquement face à une concurrence moindre. A voir par contre s’il s’adaptera rapidement à la finesse tactique du jeu européen...\\n\\nMais c’est l’histoire de sa carrière : finisseur spectaculaire et formidable athlète, Derrick Williams nous gâtera pour sûr de dunks en haute altitude. Mais réussira-t-il à être un véritable leader, lui qui n’a jamais réussi à percer à cause de son inconstance chronique ?\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=Yq1V3hna9gA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Pro B 2018-19 – Orléans: Destin brisé"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la Leaders Cup en guise de tour de chauffe, le championnat 2018/19 de Pro B débute le 12 octobre et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur un joueur à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment).\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQue de regrets pour l’OLB ! Il s’en est fallu de quelques grains de sable sur le parcours quasi-parfait des hommes de Germain Castano pour que le train orléanais ne quitte sa trajectoire. Grand favori annoncé pour la (re)montée après avoir entamé la saison avec onze victoires (14 sur les 15 premiers matchs), Orléans a flanché à des moments clés, en finale de la Leaders Cup face à Denain après deux prolongations (98-87), puis début mars lors de la défaite à domicile contre son poursuivant Blois (81-98). Le coup de grâce est venu des blessures successives d’Alex Abreu et Miralem Halilovic au pire moment, privant l’OLB de deux de ses éléments majeurs pour les Playoffs. Le reste fait désormais partie de l’histoire : sur deux matchs perdus au buzzer, Orléans s’est incliné au premier tour face à Rouen, laissant un goût amer à cette saison qui avait si bien commencé.\\n\\nComme l’a confirmé Germain Castano, « il n’a pas été facile de se relever d’une telle saison », d’autant plus que le collectif a vu partir deux joueurs majeurs, Marcellus Sommerville, parti en D2 israélienne et Kyle McAlarney (retraite). Six joueurs (plus deux jeunes) ont ainsi été conservés, facilitant les intégrations des trois recrues les Américains Brandon Jefferson et Brandon Spearman sur les postes arrières et Michael Fakuade à l’intérieur.\\n\\n« On était bien obligés de repartir avec de bonnes intentions et de tirer aussi du positif d’un championnat qui ne s’est pas déroulé comme on le voulait, dans lequel on s’est écroulé pour des raisons qu’on connaît », rappelle l’entraîneur de l’OLB. « Il y avait une base de joueurs qui nous avait donné satisfaction, qui connaissait le niveau de la Pro B et qui avait eu un vrai impact. Ce qu’on a voulu combler principalement comme lacune, c’est le manque de dureté, de caractère, qui nous a cruellement fait défaut l’an passée, sur la fin de saison notamment. On ne sera peut-être pas au point pour la première journée de championnat, mais qui le sera ? J’espère quand même qu’on sera un peu en avance. Il faut progresser jour après jour. Les matchs vont très rapidement s’enchaîner, il faudra faire en sorte de ne pas trop en laisser en route. C’est encore difficile de désigner des favoris. Ce que je sais en revanche, c’est que ce sera très difficile et que le premier perdra des matchs. »\\n\\nLa chute a été rude et la concurrence le sera sans doute tout autant cette saison dans la lutte pour accéder à la Jeep ELITE. Mais, sauf séisme, l’OLB aura un rôle à jouer dans le haut du panier. Porté par la philosophie offensive de son coach et animé par cette soif de revanche, le groupe orléanais ne sera pas à sous-estimer.\\n\\nLe joueur à suivre : Brandon Jefferson\\n\\nAncien meneur, Germain Castano a déjà sorti un beau petit lot de meneurs de jeu qui évoluent aujourd’hui dans l’Elite. A Boulogne-sur-Mer, il y a eu Jonathan Rousselle qui y a débuté sa carrière professionnelle (prêté par Gravelines-Dunkerque) et qui évolue aujourd’hui à Limoges, Arthur Rozenfeld et Garrett Sim, tous deux à la JL Bourg, et plus récemment Alex Abreu (parti cet été à Châlons-Reims). Autant de bonnes raisons pour s’attarder sur la nouvelle pépite de l’entraîneur de l’OLB qui arrive de D2 italienne, Trapani plus précisément où il a tourné à 15,7 points à 42% à 3-points, 3,2 rebonds et 4,3 passes décisives par match après s’être distingué en ligue adriatique à Ljubjana il y a deux ans (16,1 points par match).\\n\\nParmi ses différences avec Alex Abreu, Germain Castano identifie la variété du jeu offensif de sa recrue. « Alex avait une vraie qualité de passe, mais offensivement, il brille plus dans le pick&roll alors que Brandon n’en a pas forcément besoin pour faire une passe, pas forcément décisive, qui va faire la différence. Il a aussi un bras extraordinaire. Alex avait également une qualité de tir, mais c’est vraiment un gars qui peut faire un 8/10 sur un match. Dès qu’il voit la lumière, il arme vite. Ce sera notre premier meneur et il sera un de mes leaders offensivement. Pour l’instant il le remplit tous les jours. Je lui vois aussi une belle complémentarité avec Malela Mutuale qui est plus dans la percussion, plus grand, plus défenseur. Les deux peuvent parfaitement évoluer sur le terrain ».\\n\\nLes objectifs du club, par Germain Castano :\\n\\n« Il a fallu digérer et repartir très vite sur cette nouvelle saison. L’objectif, c’est de faire mieux que l’an dernier. Tout le monde me parle de Jeep ELITE mais prenons les choses les unes après les autres. Si on fait mieux que troisième déjà ce sera bien. Après en Playoffs, si on fait mieux, on sera dans le dernier carré. A partir de là, on sait que ça se joue à rien, sur un coup de dés pour faire la différence et qu’on peut à ce moment là jouer notre chance. L’objectif, c’est donc d’arriver à faire mieux que la saison dernière ».\\n\\nArrivées : Michael Fakuade (San Sebastian, Espagne), Brandon Jefferson (Trapani, A2 Italie), Brandon Spearman (Pardubice, République tchèque)\\n\\nDéparts : Alex Abreu (Châlons-Reims), Loïc Akono (Boulogne-sur-Mer, N1), Keydren Clark, Jimmy Djimrabaye, Kyle McAlarney (arrêt), Marcellus Sommerville\\n\\nEffectif 2018-2019 : Brandon Jefferson, Malela Mutuale, Brandon Spearman, Kadri Moendadze, Gaylor Curier, Marc Judith, Mouhamed Diagne, Miralem Halilovic, Michael Fakuade, Clément Dézallé, Junior Mbida, Vincent Vent\\n\\nCoach : Germain Castano Assistant : Thomas Drouot\\n\\nCinq majeur probable : Brandon Jefferson, Brandon Spearman, Kadri Moendadze, Miralem Halilovic, Junior Mbida\\n\\n[armelse]\\n\\nQue de regrets pour l’OLB ! Il s’en est fallu de quelques grains de sable sur le parcours quasi-parfait des hommes de Germain Castano pour que le train orléanais ne quitte sa trajectoire. Grand favori annoncé pour la (re)montée après avoir entamé la saison avec onze victoires (14 sur les 15 premiers matchs), Orléans a flanché à des moments clés, en finale de la Leaders Cup face à Denain après deux prolongations (98-87), puis début mars lors de la défaite à domicile contre son poursuivant Blois (81-98). Le coup de grâce est venu des blessures successives d’Alex Abreu et Miralem Halilovic au pire moment, privant l’OLB de deux de ses éléments majeurs pour les Playoffs. Le reste fait désormais partie de l’histoire : sur deux matchs perdus au buzzer, Orléans s’est incliné au premier tour face à Rouen, laissant un goût amer à cette saison qui avait si bien commencé.\\n\\nComme l’a confirmé Germain Castano, « il n’a pas été facile de se relever d’une telle saison »,\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Miralem Halilovic (OLB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le reportage de Buzzer sur la JDA Dijon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans son émission Buzzer, RMC Sport a diffusé un reportage sur la JDA Dijon, en tête du championnat de Jeep Elite conjointement avec l’ASVEL après quatre journées et qui va entamer ce soir sa campagne européenne face à Nymburk. Le titre: JDA Dijon, les clés du succès."
}, 
{"role": "user",     "content":"David Logan (ex Strasbourg) vers la Corée du Sud"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sans club depuis cet été après son départ de Strasbourg, David Logan (1,85m, 35 ans) serait en partance pour la Corée du Sud.\\n\\nSelon Emiliano Carchia de Sportando, l’ancien joueur de la SIG serait proche de trouver un accord avec les KT Sonics pour l’exercice 2018/19. Double champion de Pologne, il est également passé par l’Italie, la Grèce, l’Espagne, Israël, l’Allemagne ou encore la Lituanie avant d’arriver en France, à Strasbourg.\\n\\nLa saison dernière, David Logan compilait en moyenne 13,9 points, 1,8 rebond et 2 rebonds entre la Jeep Elite et la Champions League.\\n\\n\\n\\n\\nDavid Logan is close to signing a deal in South Korea with KT Sonics, a source told Sportando\\n\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) October 9, 2018\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Sur la voie du succès, Whatif va bientôt sortir ses propres collections de maillots"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Romuald Coustre est à la fois le Directeur Général Opérationnel du Paris Basketball, en Pro B, et le fondateur de Whatif, qui a signé le design de cinq équipes de Jeep Elite (Limoges, Gravelines-Dunkerque, Chalon, Cholet, Pau) et une de Ligue Féminine (Charleville).\\n\\nWhatif a travaillé avec trois équipementiers (Spalding, Peak et Big Sports de Frédéric Weis). A Sportbuzzbusiness, Romuald Coustre déclare que le succès aidant, son entreprise va prochainement devenir une marque:\\n\\n« Les retours sont réellement unanimes chez les fans, ce qui vaut à l’agence d’être plébiscitée et régulièrement interpellée comme une sorte « d’influencer » en termes de design sportif. La question de la suite se pose donc clairement et je crois pouvoir vous annoncer que Whatif va devenir très prochainement une marque, en allant au-delà du design, mais en sortant également ses propres collections sur des maillots premium très orientés Lifestyle. »\\n\\nA lire ou relire notre article sur les équipementiers européens avec une interview de Romuald Coustre."
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Ligue Féminine 2018-19 – La Roche Vendée pour confirmer"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Ligue Féminine débute les 13 et 14 octobre avec l’Open de Paris et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur deux joueuses à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment) et vous pouvez commander le Guide en version papier sur notre boutique.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nOn le constate à chaque fin de saison, il n’est jamais aisé pour un promu de se maintenir en LFB. Le RVBC en a fait le dur apprentissage. Dernières de la saison régulières, les protégées du président Philippe Provost ont fini par tirer leur épingle du jeu en Playdowns après avoir terminé la saison régulière à la dernière place. A l’aube de « l’an II » au sein de l’élite du basket français, le club de La Roche-sur-Yon s’est armé en conséquence en composant un groupe solide qui tâchera de rester éloigné de la zone rouge. Avec notamment trois recrues étrangères qui ont fait leur preuves en Italie (Jasmine Bailey) en Pologne (Uju Ugoka) et en NCAA (Cynthia Petke, en provenance de Georgetown). Au trio Hériaud-Dia-Ngoyisa conservé cet été, s’ajoute également deux éléments majeurs de LF2 (Clémentine Samson et Soana Lucet) ainsi que l’explosive Océane Monpierre, qui arrive de Bourges et partagera la mène avec Caroline Hériaud.\\n\\nDe quoi transiter vers un nouveau statut ? « Il faudra le confirmer sur le terrain car toutes les équipes se sont renforcées et sont globalement mieux armées. Le championnat sera plus relevé », rétorque l’entraîneur, Emmanuel Body. Cet été, ce dernier s’est attelé à renforcer les qualités athlétiques et l’assise défensive de son groupe qu’il a également voulu rajeunir. La Roche Vendée Basket Club va aussi bénéficier d’un atout de choix avec une enceinte rénovée, dans l’ancien parc des expositions des Oudairies. Celle-ci sera désormais dédiée au basket et dotée de 2 500 places aux couleurs du club, « un bel outil pour la promotion de notre sport à La Roche-sur-Yon », ajoute Emmanuel Body. « On a franchi un cap avec la montée la saison dernière et cette saison c’est la nouvelle salle qui arrive. On continue d’aller de l’avant en s’étoffant un peu plus chaque année, c’est important vis à vis des supporters et des partenaires ».\\n\\nTous les ingrédients sont réunis pour aborder l’exercice 2018-2019 avec sérénité et viser « un maintien amélioré ». Reste au coach du RVBC de faire monter la sauce !\\n\\nCaroline Hériaud :\\n\\nUne joueuse tout terrain ! Championne du monde universitaire 3×3 en 2016 et n°1 du classement mondial 3×3 depuis début juillet après la victoire de l’Equipe de France U23 aux Jeux Méditerranéens, la meneuse de jeu fait la fierté du basket vendéen. Avec le RVBC aussi, son ascension a été « fulgurante » rappelle Emmanuel Body. « Il y a trois ans, elle est arrivée de La Garnache en tant que 10e joueuse, au bout du banc, et elle a réussi à intégrer le 5 majeur. La saison suivante, elle nous a permis de monter en devenant l’une des meilleures meneuses titulaires de LF2. Et pour sa première année en LFB, elle a poussé la meneuse titulaire (Tamara Radocaj) vers la sortie au bout de trois semaines ». A 21 ans, sa marge de progression reste immense. Son objectif cette saison serai ainsi de gagner en maturité mais aussi en leadership auprès de ses coéquipières. A noter qu’elle occupera le poste 1 avec une autre jeune meneuse, Océane Monpierre qui fêtera ses 18 ans le 31 octobre. « Un beau petit pari, mais pas si risqué quand on voit l’évolution de Caroline et le parcours d’Océane malgré son âge ».\\n\\nSoana Lucet\\n\\n« Jamais deux sans trois », l’adage s’est vérifié pour Soana Lucet qui est de retour en LFB après deux épisodes avortés en cours de saison, à Arras (2011-2012) et Angers (2013-2014). De retour en Anjou en 2017, à l’échelon inférieur, la native de Nouméa (Nouvelle-Calédonie) s’est érigée en cadre de l’UFAB 49, tournant à 13 points, 8,2 rebonds et 2,2 passes décisives pour 17 d’évaluation. A 31 ans, la poste 3-4 formée aux Wildcats d’Arizona (2009-2011), également passée par Braine (Belgique), Fribourg et Wasserburg (Allemagne), est prête à relever ce nouveau défi. « Soana est une joueuse très polyvalente, elle peut faire de bonnes choses dans beaucoup de compartiments du jeu », analyse Emmanuel Body. « Elle va être revancharde par rapport à ses premières expériences en LFB et devra s’en servir pour franchir un nouveau palier. J’espère qu’elle va arriver avec cet état d’esprit et prouver qu’elle a la capacité d’évoluer à ce niveau. Elle sort de deux grosses saisons, en Allemagne puis l’an dernier en Ligue 2. Elle a bien rebondi de cet échec il y a quelques années et va revenir mieux armée, avec d’autres intentions ».\\n\\nL’effectif de La Roche Vendée est disponible ici.\\n\\n[armelse]\\n\\nOn le constate à chaque fin de saison, il n’est jamais aisé pour un promu de se maintenir en LFB. Le RVBC en a fait le dur apprentissage. Dernières de la saison régulières, les protégées du président Philippe Provost ont fini par tirer leur épingle du jeu en Playdowns après avoir terminé la saison régulière à la dernière place. A l’aube de « l’an II » au sein de l’élite du basket français, le club de La Roche-sur-Yon s’est armé en conséquence en composant un groupe solide qui tâchera de rester éloigné de la zone rouge. Avec notamment trois recrues étrangères qui ont fait leur preuves en Italie (Jasmine Bailey) en Pologne (Uju Ugoka) et en NCAA (Cynthia Petke, en provenance de Georgetown).\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Johanna Tayeau (FFBB/Hervé Bellenger)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Pro B 2018-19 – Paris Basketball: Bienvenue dans le futur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la Leaders Cup en guise de tour de chauffe, le championnat 2018/19 de Pro B débute le 12 octobre et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur un joueur à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment).\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nL’ex « Paris Basket Avenir » portait si bien son nom. Propulsé en Pro B après avoir racheté les droits sportifs du HTV, le Paris Basketball désormais sorti de terre représente bel et bien l’avenir du basket parisien. Avec un dirigeant ambitieux (David Kahn) et un potentiel de développement inégalable en France, le club ne se donne aucune limite et voit déjà un destin à l’échelle nationale et parle même d’EuroLeague à moyen terme.\\n\\nMais pour ce qui est de sa première saison en Pro B, Paris Basketball ne s’attend pas à brûler les étapes. Comme l’entraîneur Jean-Christophe Prat l’a confirmé sur le plateau de l’émission Buzzer, David Kahn ne lui a donné qu’un seul objectif, celui de se maintenir. Le coach parisien, qui a bâti un groupe en trois semaines pour y parvenir, disposera de deux meneurs expérimentés (Daniel Dillon et Benjamin Obouh Fegue), de sérieuses menaces sur les postes extérieurs avec Denis Gauthier, Nick Kellogg, Jevohn Sheperd, et d’une solide raquette composée du quatuor Dustin Sleva, Garry Florimont, Victor Samnick, Moustapha Diarra.\\n\\nS’il reste difficile de positionner cette formation inédite en tous points par rapport au reste des forces en présence, notons la victoire référence acquise par les Parisiens sur le parquet de Lille (73-76), demi-finaliste des derniers Playoffs, lors de la phase de groupe de Leaders Cup, quatre jours après un premier succès à Denain (64-71). Le signe que la formation de Jean-Christophe Prat est dans le vrai et sera à prendre très au sérieux dès cette saison. « Tout le monde parle du maintien, allons le plus haut possible », la phrase de Victor Samnick ferait un parfait slogan pour ce Paris Basketball version 2018-2019.\\n\\nTrois questions à Victor Samnick :\\n\\nQuel plaisir de retrouver un joueur emblématique du basket français. L’intérieur de 38 ans est sorti de sa retraite professionnelle pour accompagner Paris Basketball vers le haut-niveau. Avec sa précieuse expérience, ses mains toujours aussi efficaces et son humilité, l’ancien nancéien constituera également une garantie pour son coach au sein d’un groupe qui continue de se découvrir à l’aube du premier match de Pro B de l’histoire du nouveau club parisien.\\n\\nVictor Samnick, vous rappelez-vous de la première fois où vous avez entendu parler du projet de Paris Basketball et de votre première rencontre avec David Kahn ?\\n\\nLa toute première fois, c’était il y a deux ans. C’est ce qui m’a poussé à signer pour le club lors de l’été 2017, car le projet dont on m’avait parlé semblait plutôt cohérent. J’ai signé pour y participer, sur le terrain, mais aussi faire mes formations afin de devenir coach et de poursuivre dans la continuité. Ma première rencontre avec David Kahn a été très intéressante. Très simplement, quand tu rencontres une nouvelle personne, tu apprends à la connaître. C’était bien de comprendre le projet de sa voix, la façon dont il voit les choses, ce qu’il pense. J’en garde un bon souvenir et au niveau du discours, les choses évoluent plutôt bien depuis le début.\\n\\nVous avez arrêté votre carrière pro en 2016 avec Vichy-Clermont. A-t-il fallu vous convaincre pour repartir en Pro B ? Combien de temps vous voyez-vous encore jouer ?\\n\\nNon, ça s’est fait naturellement, je pense pour plusieurs facteurs. Déjà, j’avais toujours le niveau pour jouer en Pro B. Quand tu as fait autant d’années en pro, c’est plus simple. Physiquement je me sentais bien. Et pour moi, c’était plus en phase avec ma reconversion, de pouvoir partager mon expérience avec les plus jeunes. (...) Le coach s’attend à ce que j’amène mon expérience, que je sois un exemple pour eux. Le fait d’avoir été dans l’élite et que je participe toujours à fond, ça va encourager les encourager à faire pareil. Pour l’an prochain ? C’est kif-kif. Pour l’instant, l’opportunité de coacher reste une priorité. Pas forcément en tant que head coach, mais plutôt comme assistant. S’il faut continuer à jouer pour attendre d’avoir le diplôme encore un an, pourquoi pas ? Physiquement, je sens que je peux encore, mais il ne faut pas pousser ! (rires)\\n\\nQuel est votre sentiment sur le groupe construit cet été ?\\n\\nJe suis comme un nouveau joueur dans une nouvelle équipe, je découvre les uns et les autres avec leurs qualités. Après c’est le coach qui gère tout ça, je n’ai pas à juger quoi que ce soit. Je trouve qu’on a beaucoup de talent, de jeunes, des joueurs d’expérience aussi. Il faut que l’alchimie prenne entre les joueurs et la philosophie que le coach a envie de développer. Parce qu’on se découvre tous, les joueurs, le coachs, les étrangers, les jeunes, moi le vétéran. C’est plus ça, apprendre à se connaître, qui est le plus important. La saison n’a pas encore commencé, mais je pense qu’on est sur le bon chemin. Ça évolue, on intègre les choses que le coach propose, On ne regarde pas les résultats de pré-saison ou de Leaders Cup pour affirmer quoi que ce soit. Il y a du travail, mais on progresse.\\n\\nArrivées/Effectif 2018-2019 : Théo Bouteille (Espoirs Hyères-Toulon), Gauthier Denis (Le Havre), Moustapha Diarra (Denain), Daniel Dillon (Waverley Falcons, Australie), Gary Florimont (Nancy), Nick Kellogg (Lapuan Koripojat, Finlande), Dustin Sleva (Shippensburg, NCAA II)\\n\\nCoach : Jean-Christophe Prat Assistant : Pierre-André Boucher\\n\\nCinq majeur probable : Daniel Dillon, Nick Kellogg, Jevohn Sheperd, Dustin Sleva, Moustapha Diarra\\n\\n[armelse]\\n\\nL’ex « Paris Basket Avenir » portait si bien son nom. Propulsé en Pro B après avoir racheté les droits sportifs du HTV, le Paris Basketball désormais sorti de terre représente bel et bien l’avenir du basket parisien. Avec un dirigeant ambitieux (David Kahn) et un potentiel de développement inégalable en France, le club ne se donne aucune limite et voit déjà un destin à l’échelle nationale et parle même d’EuroLeague à moyen terme.\\n\\nMais pour ce qui est de sa première saison en Pro B, Paris Basketball ne s’attend pas à brûler les étapes.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Jean-Christophe Prat (Paris Basketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Yakuba Ouattara (Monaco) : «Notre plus grand objectif c’est d’aller au Top 16 de l’Eurocup»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Parmi les joueurs de confiance de Sasa Filipovski à Monaco cette saison avec 22 minutes de moyenne depuis le début de la saison, Yakuba Ouattara a lancé son blog sur le site de l’Eurocup.\\n\\nCelui qui a déjà foulé quelques minutes les parquets de la petite soeur de l’Euroleague en 2013/14, sous les couleurs de l’Elan Chalon, alors que c’était un très jeune joueur revient sur son retour et celui de son équipe en Eurocup.\\n\\n« L’Eurocup a commencé ! Nous avons joué notre tout premier match en Eurocup et nous l’avons remporté à Brescia. Nous avons commencé de la façon dont nous le souhaitions, et tout le monde était excité parce que c’était le premier match de Monaco dans une nouvelle compétition. Nous voulions vraiment rentrer avec une victoire et nous en sommes vraiment contents. Nous avons bien joué en défense et c’était la plus grande clé du match. C’est notre identité. Peu importe ce qui se passe, nous devons jouer dur en défense. »\\n\\nL’ancien joueur de Denain s’est aussi exprimé sur les objectifs de la Roca Team dans la compétition.\\n\\n« Je suis très content d’être de retour en Eurocup. J’ai déjà disputé cette compétition avec Chalon, mais j’étais très jeune et je n’ai eu le droit qu’à quelques minutes par match. C’était la première que je jouais vraiment à ce niveau. L’Eurocup est la deuxième compétition en Europe et c’est un challenge très excitant. Pour nous, notre objectif principal actuellement c’est d’essayer de nous qualifier pour le Top 16. Si nous voulons y arriver, nous devons prendre les matchs les uns après les autres et continuer de progresser en équipe. Si nous pouvons progresser de la façon dont nous le souhaitons, nous serons une très bonne équipe. Il y a beaucoup de bonnes équipes dans ce groupe comme l’Etoile rouge, Galatasaray ou Andorre, mais si vous voulez être une grosse équipe, vous devez battre toutes les meilleures équipes. Peu importe, nous devons nous donner au maximum. Nous avons une belle équipe et un bon coach, Sasa Filipovski, qui nous aide beaucoup grâce à son expérience. Il connait bien cette compétition et c’est important d’avoir un coach comme lui qui peut mener cette équipe. »\\n\\nC’est mercredi soir qu’aura lieu le premier gros test pour Monaco. A 19h45, en direct sur RMC Sport 3, la Roca Team reçoit l’Etoile Rouge de Belgrade qui évoluait encore en Euroleague la saison dernière.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : le champion de France DJ Stephens signe un two-way contract en NBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion de France avec Le Mans en juin dernier, DJ Stephens (1,96m, 27 ans) avait d’abord prolongé son contrat avec le MSB avant de faire jouer sa clause de départ pour signer en NBA.\\n\\nSous les couleurs des Memphis Grizzlies lors de la Summer League, le bondissant ailier a décroché le précieux contrat qui lui permettra de toucher son rêve du doigt : rejouer en NBA. La ligue américaine annonce qu’à l’image de Yakuba Ouattara la saison dernière avec les Brooklyn Nets, l’ancien joueur du Mans s’est engagé avec les Grizzlies via un two-way contract. Cet engagement lui permet de pouvoir faire la navette entre la G-League et la NBA pendant toute la saison.\\n\\nLa saison dernière, DJ Stephens a remporté le concours de dunks du All Star Game et a compilé en moyenne 9,1 points et 3,7 rebonds en Jeep Elite. Nous avons été à sa rencontre en début d’année civile, vous pouvez retrouver son portait ici.\\n\\nPhoto : Catherine Steekeste"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Axel Toupane démarre bien en Grèce"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le contingent français ne faiblit pas sur le Vieux Continent. Fort de vingt-trois joueurs (à l’heure de ces lignes) répartis sur dix pays, les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment neuf joueurs dans le championnat espagnol, la référence.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLes deux superpuissances espagnoles continuent leur bon début de saison avec une 3e victoire de rang, respectivement contre Malaga pour le Real et contre Andorre pour le Barça. Après un très bon match (12 points, 4 rebonds) plus tôt dans la semaine, Fabien Causeur a été très discret ce weekend. Un peu comme Thomas Heurtel qui termine à 5 points, 7 passes face à Andrew Albicy et Andorre. Maladroit malgré son état d’esprit entreprenant, à 2/11 aux tirs, Mathias Lessort a encore été très actif avec 9 rebonds pour Malaga.\\n\\nSachant que Kevin Séraphin et Kim Tillie sont encore en phase de reprise, et que Louis Labeyrie est malheureusement sur le flanc, la performance majeure de ce weekend en Espagne nous vient à nouveau de Vincent Poirier qui a noirci toutes les colonnes avec 13 points, 7 rebonds, 4 contres et 3 interceptions. Après le faux-pas face à Burgos durant la semaine, Vitoria a bien relevé la tête en explosant San Sebastian de 19 points !\\n\\n\\nAxel Toupane démarre bien en Grèce\\n\\nAxel Toupane n’est clairement pas un joueur de statistiques, avec son travail de l’ombre et un apport offensif qui dépend souvent de la physionomie du match. Mais pour ses débuts en Grèce avec l’Olympiakos, l’ailier tricolore a répondu présent avec 12 points et 4 rebonds en 21 minutes. Encore du très propre pour l’ancien de Kaunas qui s’intègre en douceur chez les Reds de David Blatt.\\n\\nDe même, du côté de Bologne, Amath M’Baye a réalisé un match solide pour la première journée du championnat italien. Avec 10 points à 4/5 aux tirs, l’ancien milanais débute bien avec son nouveau club.\\n\\n\\nNando De Colo comme si de rien n’était\\n\\nLaissé au repos ce weekend, Nando De Colo est toujours aussi facile en VTB League. L’arrière français du CSKA Moscou a effectivement cumulé 14 points et 5 passes en 16 minutes de jeu seulement pour la première journée. Et le CSKA est naturellement invaincu en ce début de saison... avec 25 points d’écart à chaque fois !\\n\\nPour Moustapha Fall, les débuts ont aussi été costauds en Russie. Avec Krasnodar, Fall a terminé son premier match (en tant que titulaire) avec 7 points, 4 rebonds... et 5 balles perdues ! On mettra ça sur le compte de la pression et l’envie de trop bien faire...\\n\\nNotons pour finir le beau double double d’Aaron Cel en Pologne : 17 points, 10 rebonds dans une victoire sur le fil face à Sopot.\\n\\nEt pour la fine bouche : terminons en beauté avec un petit dunk en contre-attaque pour Adam Mokoka (16 points, 7 rebonds, 4 interceptions) qui continue de se montrer en Serbie (et en fluo) en vue de la prochaine draft NBA !\\n\\n\\nEspagne\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) :\\n\\n– 4 points (1/3 aux tirs), 9 rebonds, 3 contres, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 24 minutes (défaite 82-79 face à Burgos)\\n– 13 points (5/8 aux tirs), 7 rebonds, 4 contres, 3 interceptions, 1 passe, 2 balles perdues en 24 minutes (victoire 85-66 face à San Sebastian)\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) :\\n\\n– 13 points (5/9 aux tirs), 7 passes, 1 interception, 3 balles perdues en 25 minutes (victoire 88-78 face à Manresa)\\n– 5 points (2/5 aux tirs), 7 passes, 3 rebonds, 3 interceptions, 3 balles perdues en 21 minutes (victoire 67-63 face à Andorre)\\n\\nMathias Lessort (Malaga) :\\n\\n– 12 points (6/9 aux tirs), 10 rebonds, 3 interceptions, 1 passe, 2 balles perdues en 23 minutes (victoire 93-79 face à Fuenlabrada)\\n– 5 points (2/11 aux tirs), 9 rebonds, 3 balles perdues en 20 minutes (défaite 89-82 face au Real Madrid)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) :\\n\\n– 12 points (4/9 aux tirs), 4 rebonds, 2 interceptions, 1 passe en 25 minutes (victoire 88-70 face à Valence)\\n– 5 points (2/5 aux tirs), 1 balle perdue en 15 minutes (victoire 89-82 face à Malaga)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) :\\n\\n– 6 points (3/10 aux tirs), 3 interceptions, 2 passes, 1 rebond, 1 balle perdue en 26 minutes (victoire 75-65 face à Badalone)\\n– 4 points (1/7 aux tirs), 1 passe, 1 rebond, 1 interception, 4 balles perdues en 29 minutes (défaite 67-63 face à Barcelone)\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) :\\n\\n– 2 points (1/1 au tir), 3 rebonds, 3 passes en 11 minutes (victoire 88-78 face à Manresa)\\n– 5 points (2/2 aux tirs), 1 balle perdue en 5 minutes (victoire 67-63 face à Andorre)\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) :\\n\\n– 2 points (1/5 aux tirs), 1 rebond, 1 balle perdue en 15 minutes (défaite 93-92 ap face à Obradoiro)\\n– 1 point (0/4 au tirs), 4 rebonds en 16 minutes (victoire 96-72 face à Lugo)\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) :\\n\\n– 2 points (1/3 aux tirs) en 7 minutes (défaite 88-70 face au Real Madrid)\\n– n’a pas joué (blessé à l’adducteur de la jambe gauche)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : 12 points (3/5 aux tirs), 4 rebonds en 21 minutes (victoire 88-78 face à Cholargos)\\n\\nBoris Dallo (Salonique) : 3 points (1/3 aux tirs), 1 rebond en 10 minutes (victoire 73-70 face à Lavrio)\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : 3 points (1/2 aux tirs), 3 passes, 1 interception en 18 minutes (défaite 100-81 face à Hapoel Tel Aviv)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Bologne) : 10 points (4/5 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 1 interception, 2 balles perdues en 21 minutes (victoire 92-88 face à Trieste)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) :\\n\\n– 2 points (1/2 aux tirs), 5 rebonds, 4 passes, 2 interceptions, 7 balles perdues en 21 minutes (victoire 81-68 face à Kėdainiai)\\n– 0 point (0/1 au tir), 1 rebond, 1 passe, 2 balles perdues en 10 minutes (victoire 76-69 face à Vilnius)\\n\\n\\nMonténégro\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 6 points (0/4 aux tirs), 5 rebonds, 1 balle perdue en 24 minutes (défaite 87-71 face à l’Etoile Rouge)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : 17 points (6/12 aux tirs), 10 rebonds, 1 interception en 27 minutes (victoire 75-72 face à Sopot)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) :\\n\\n– 14 points (6/9 aux tirs), 5 passes, 2 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 16 minutes (victoire 91-66 face à Enisey)\\n– n’a pas joué (victoire 86-61 face à Astana)\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) :\\n\\n– 7 points (3/5 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 1 interception, 5 balles perdues en 16 minutes (victoire 96-64 face à St Petersburg)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAdam Mokoka (Mega) : 16 points (5/14 aux tirs), 7 rebonds, 4 interceptions, 2 passes, 1 contre, 4 balles perdues en 31 minutes (victoire 89-61 face à FMP)\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 3 points (1/2 aux tirs) en 12 minutes (victoire 82-79 face à Ljubljana)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : n’a pas joué (victoire 78-73 face à Besiktas)\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : n’a pas joué (victoire 73-70 face à Galatasaray)\\n\\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : n’a pas joué (victoire 73-70 face à Galatasaray)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : une rentrée en fanfare pour Vincent Poirier\\n\\n[armelse]\\n\\nLes deux superpuissances espagnoles continuent leur bon début de saison avec une 3e victoire de rang, respectivement contre Malaga pour le Real et contre Andorre pour le Barça. Après un très bon match (12 points, 4 rebonds) plus tôt dans la semaine, Fabien Causeur a été très discret ce weekend. Un peu comme Thomas Heurtel qui termine à 5 points, 7 passes face à Andrew Albicy et Andorre. Maladroit malgré son état d’esprit entreprenant, à 2/11 aux tirs, Mathias Lessort a encore été très actif avec 9 rebonds pour Malaga.\\n\\nSachant que Kevin Séraphin et Kim Tillie sont encore en phase de reprise, et que Louis Labeyrie est malheureusement sur le flanc, la performance majeure de ce weekend en Espagne nous vient à nouveau de Vincent Poirier qui a noirci toutes les colonnes avec 13 points, 7 rebonds, 4 contres et 3 interceptions.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Russie : Brandon Jennings absent deux semaines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"De retour en Europe dix ans plus tard, Brandon Jennings (1,85m, 29 ans) a signé au Zenith Saint Petersbourg pour une saison. Le club annonce aujourd’hui qu’il sera indisponible deux semaines.\\n\\nLégèrement touché à la main, l’ancien joueur des Detroit Pistons ne pourra pas aider ses coéquipiers sur le terrain face au Partizan Belgrade. Dans le même temps, le club russe s’est renforcé en engageant Gal Mekel pour toute la saison.\\n\\nCette saison, Brandon Jennings compile en moyenne 17,5 points, 6,5 rebonds et 5,5 passes décisives après un match d’Eurocup et un match de VTB League.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo – Vincent Collet ouvre la 66e édition de la Fête des vendanges de Barr"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quand on est le coach de la SIG Strasbourg et de surcroit celui de l’équipe de France, on est une personnalité locale. C’est pourquoi il a été demandé à Vincent Collet d’ouvrir la 66e édition de la Fête des vendanges de Barr, une commune de 7 500 habitants du Bas-Rhin.\\n\\n\\n\\n\\nL'entraineur Vincent Collet a ouvert la 66e édition de la Fête des #vendanges de Barr @sigstrasbourg @FRABasketball @PaysdeBarr #DrinkAlsace pic.twitter.com/v6YYYidWNB\\n\\n\\n— VinsAlsace (@VinsAlsace) October 9, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"CourtCuts : premier Top 10 Youngblood de l’année"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Parce que les adultes ne sont pas les seuls à être scrutés par les yeux de CourtCuts, les joueurs de moins de 22 ans ont aussi leur Top 10.\\n\\nPour sa rentrée, le Top 10 Youngblood marque les esprits. Entre gros dunks, posters, alley-oop, gros contres ou encore tirs clutchs, il y a tout dans ce top.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=2i0TvdR18f0&feature=youtu.be"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet: Sanctionné, Tywain McKee ne sera pas du déplacement à Fos"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec quatre lourdes défaites en autant de matches, Cholet Basket est mal en point et alors qu’elle doit se rendre vendredi à Fos/Mer pour disputer un match « qui compte double », l’équipe des Mauges vient d’écarter son meneur américain Tywain McKee (1,88m, 32 ans) pour « mauvais comportement à l’entraînement de dimanche » nous apprend Ouest France.« Depuis, il a présenté ses excuses mais son avenir sur les bords de Moine reste en pointillé. Une décision devrait être prise très rapidement », précise le quotidien.Meneur de caractère, l’Américain avait réalisé une très bonne saison 2015-16 au Mans et paraissait être une recrue de choix pour l’équipe de Régis Boissié. Sa moyenne de stats s’établit à 11,0 points, 4,8 passes et 2,5 rebonds en 29′ à Cholet.Photo: CB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV: Un menu très copieux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Menu très copieux cette semaine avec le démarrage de la BasketBall Champions League et deux matchs de l’Open féminin en sus de la Jeep Elite, de l’Euroleague et de l’Eurocup.\\n\\nLundi 8 octobre\\n\\n20h45 – Levallois/Gravelines – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nMardi 9 octobre\\n\\n18h30 – Ljubljana/Strasbourg – BCL – Canal+ Sport\\n\\n20h30 – Dijon/Nymburk – BCL- Canal+ Sport\\n\\n20h30 – Villeurbanne/Trentino -Eurocup – RMC Sport 2\\n\\nMercredi 10 octobre\\n\\n19h00 – Krasnodar/Limoges – Eurocup – RMC Sport 2\\n\\n19h45 – Monaco/Etoile Rouge Belgrade – Eurocup – RMC Sport 3\\n\\n20h30 – Murcie/ Le Mans – BCL – Canal+ Sport\\n\\nJeudi 11 octobre\\n\\n19h00 – CSKA Moscou/Barcelone – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\n21h00 – Real Madrid/Darussafaka Istanbul – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\nVendredi 12 octobre\\n\\n15h30 – Tarbes/Lyon – LFB – RMC Sport 2\\n\\n19h00 – Kaunas/Vitoria – Euroleague – RMC Sport 2\\n\\nSamedi 13 octobre\\n\\n18h30 – Chalon/Villeurbanne – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\n20h30 – Bourges/Charleville – LFB – RMC Sport 2\\n\\nDimanche 14 octobre\\n\\n18h30 – Strasbourg/Limoges – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nLundi 15 octobre\\n\\n20h45 – Pau/Levallois – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nPhoto: London Perrantes (Limoges/Eurocupbasketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Youri Verieras (président de Limoges) s’insurge contre les critiques de certains supporters"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le président du Limoges CSP, Youri Verieras, publie sur le site du club un communiqué intitulé « Mise au point » où il s’insurge contre le comportement de certains supporters. Le voici in-extenso:\\n\\n« Ces derniers jours, j’ai eu à observer un petit nombre d’individus qui tentent de prendre la parole au nom de tous. Pire encore, ils colportent de fausses informations, amplifient ou déforment la réalité sur les réseaux sociaux comme sur les forums. Le débat dans le sport est souvent passionnel. Mais il ne doit pas glisser vers les attaques personnelles, corrompre la réalité ou excuser les comportements inacceptables de certains. Mise au point.\\n\\nLe Limoges CSP, une entreprise comme un symbole\\n\\nPuisqu’il semble nécessaire de le rappeler, le Limoges CSP est une entreprise privée sportive. Elle appartient à ses actionnaires et est entourée de fidèles soutiens. En tant que Président, je suis le garant de son développement à moyen et long terme. Une entreprise qui n’intéressait personne en 2004. A la différence de beaucoup qui se plaisent à, au delà de toute pudeur, faire parler les morts, je peux en témoigner.\\n\\nBien sûr, le Limoges CSP est une entreprise particulière. Elle a une immense valeur patrimoniale, sociale, territoriale, symbolique, affective pour nombre d’entre nous. Elle a aussi pour vocation de fournir du bonheur, des émotions, de l’engouement, de la fierté de l’appartenance par son activité sportive et son rayonnement. On lui en demande beaucoup, bien plus qu’à une autre. C’est en cela qu’elle s’entoure de l’indispensable soutien de ses partenaires publics et privés, de son public, qui se retrouvent tous dans ses valeurs et lui donnent les forces de ses ambitions.\\n\\nC’est peut être inhabituel pour vous de l’entendre sous cette forme, mais si nous voulons un club fort, il faut que l’entreprise Limoges CSP soit forte. La compétition n’est pas que sportive, elle est aussi économique. Nous nous devons d’être innovants, conquérants, audacieux, avant gardistes, rupturistes. Le tout dans un contexte de compétitivité internationale particulièrement soutenu. Et la passion sportive n’est pas raison en la matière. Dois-je vraiment rappeler la liste trop longue des clubs, dont Limoges, qui ont pris des décisions par passion plus que par raison ? Dois-je véritablement rappeler ce qui leur en a couté ?\\n\\nUn groupuscule n’est pas la #CSPnation\\n\\nJe suis peut être jeune mais pas naïf. J’ai été à bonne école. Je ne confonds pas les quelques uns bruyants et agités avec la majorité de notre public, de nos partenaires. J’ai bien trop de respect pour ce formidable public qui est celui de Limoges.\\n\\nA visages découverts pour certains, cachés par l’anonymat très relatif des réseaux sociaux pour d’autres, vous dissimulez à peine la volonté qui vous anime à vouloir blesser ce club que je vous imagine pourtant tant aimer avec sincérité. Est ce de la jalousie ou simplement de la convoitise ?\\n\\nCette minorité se considère certainement Président, dirigeant mésestimé, directeur de l’innovation, stratège, directeur sportif, coach voire joueur. Mais vous ne l’êtes qu’accoudés au comptoir de vos rêves embrumés. A la lumière de la réalité, je ne peux constater que critiques gratuites, déraison, passion destructrice et volonté de nuire voire de romancer la réalité pour espérer exister.\\n\\nLe Limoges CSP ne nous appartient pas. Et nous n’avons jamais imaginé que cela puisse être le cas. Il appartient à ses actionnaires. Il appartient également à la #CSPnation, ce public sincère, ces supporters uniques, soucieux de contribuer, d’aider, de critiquer constructivement voire de proposer leur aide. Ce public et ses partenaires desquels je vous distingue aisément tant vous ne partagez rien de ce qui nous unit et nous anime, dans nos succès comme dans nos échecs, nos accords ou nos désaccords.\\n\\nSi une décision sportive vous émeut au point de vous rendre menaçant et violent. Si vous n’êtes pas capables de contrôler vos mots et prenez un plaisir systématique à harceler le club sur les réseaux sociaux, alors oui, je ne vous reconnais pas comme appartenant à la #CSPnation et je veillerai à ce que vous ne gâchiez pas la fête et la joie que représente ce club pour tant d’autres personnes dont vous essayez, en vain, de vous faire les porte-paroles autoproclamés.\\n\\nUne stratégie d’entreprise et une politique sportive solides\\n\\nTant sur le plan économique que sportif, la politique de développement du club que nous mettons en place est solide et porteuse de beaucoup d’ambitions à court et moyen terme.\\n\\nVous jugez sans connaitre le travail de Manuel et Olivier* qui sont une chance immense pour le Limoges CSP ; beaucoup de choses ne pourraient pas avoir lieu sans eux. Tout comme l’ensemble des équipes dirigeantes, salariées ou bénévoles que j’ai le plaisir et le privilège de diriger. Mes équipes et moi même prenons des décisions difficiles. Nous ne sommes motivés que par l’intérêt général et la volonté de bâtir. Notre popularité individuelle ne nous importe peu. J’assume pleinement l’ensemble des décisions que nous prenons, animés par le seul et unique intérêt collectif. »\\n\\nManuel Diaz, membre du directoire, et Olivier Bourgain, directeur sportif."
}, 
{"role": "user",     "content":"Gal Mekel vient renforcer le Zenit St Pétersburg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"International israélien passé subrepticement par la NBA, Gal Mekel (1m91, 30 ans) évoluait la saison passée à Gran Canaria. Il vient de s’engager en faveur du Zenit St Petersburg pour la saison à venir, pour ce qui sera sa deuxième pige en VTB League.\\n\\nAprès son expérience à Novgorod en 2014-15, Mekel continue donc son tour d’Europe des clubs après avoir connu le Maccabi Tel Aviv, l’Etoile Rouge de Belgrade ou encore le Maccabi Haifa avant son départ pour les Etats-Unis.\\n\\nA 7 points et 3 passes de moyenne la saison passée en Liga ACB, Mekel apportera son expérience et son scoring en sortie de banc pour St Petersburg qui évolue également en EuroCup cette année.\\n\\nCrédits photo : EuroCup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Pro B 2018-19 – Nantes, une nouvelle ère pour l’Hermine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la Leaders Cup en guise de tour de chauffe, le championnat 2018/19 de Pro B débute le 12 octobre et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur un joueur à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment).\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nFinaliste des Playoffs 2017, l’Hermine de Nantes a dû attendre début mai pour assurer son maintien la saison dernière. La faute à un début d’exercice raté (7 défaites sur les 10 premiers matchs) et à des pépins physiques qui ont touché des joueurs majeurs comme Laurence Ekperigin. Dans un championnat « aussi dense » que la Pro B, comme le rappelle l’entraîneur Jean-Baptiste Lecrosnier, ça ne pardonne pas. Quoi de mieux pour oublier ce triste épisode que de repartir sur un nouveau projet ? Avec 70% de l’effectif renouvelé, l’arrivée d’Audrey Sauret pour occuper le poste de GM, mais aussi une nouvelle salle, la tant attendue Trocardière.\\n\\nLes Nantais se sont tout de même assurés quelques garanties, que ce soit chez les JFL (Gary Chathuant, Vafessa Fofana de retour, Babacar Niang) ou les étrangers avec deux joueurs conservés (Jeremiah Wilson pigiste en fin de saison dernière et Laurence Ekperigin) et deux arrières référencés en Europe : Jermaine Marshall et Dee Davis.\\n\\n« On ne repart pas de A à Z mais on voulait entamer un nouveau cycle », explique Jean-Baptiste Lecrosnier. « Par conséquent, on s’est attelé à construire une base JFL qui nous semblait intéressante et motivée sur du moyen-terme. C’est pour ça que Vafessa (Fofana), Gary (Chathuant) et Thibault (Desseignet) ont signé deux ans. Je souhaitais aussi valoriser la formation avec un joueur formé au club comme Mathis Guillou. Il faut être exigeant avec les jeunes, mais leur développement nécessite aussi du temps et de la patience. A côte de ça, il y a les signatures de Babacar Niang et Ludovic Negrobar. Babacar revient d’une longue blessure. C’est toujours intéressant de mettre un gars avec une telle soif de revanche dans un groupe. Quant à Ludo, il a une trajectoire pas commune. Il découvre la division, c’est un underdog qui apporte de la fraîcheur, de l’envie et qui a cette volonté de progresser. C’est un bosseur. Il s’adapte, il est très à l’écoute et a vraiment toutes les qualités pour s’imposer à ce niveau. Maintenant, ça n’est que le début de saison. On est ensemble depuis un mois et demi et on a encore beaucoup à faire pour progresser ».\\n\\nL’autre recrue de choix sera donc le nouvel écrin de la Trocardière (4 200 places). Dans bien des aspects, elle participera à faire progresser le club. « Dans le travail au quotidien, c’est très fonctionnel, on est d’excellentes conditions. Ça permet aussi de travailler autour de l’environnement de cette équipe. L’objectif est d’y prendre nos marques pour permettre au club d’évoluer dans le temps, pas seulement d’un point de vue sportif », conclut coach Lecrosnier.\\n\\nLe joueur à suivre : Dee Davis\\n\\nIl fait partie des nouveaux meneurs de la division sur lesquels il faudra avoir un œil attentif. A sa sortie de la Fac de Xavier où il a réalisé son cursus complet, Dee Davis a réalisé deux saisons abouties en Slovénie (où il a été élu arrière de l’année) avant de confirmer en 2017-2018 en première division allemande avec Giessen (13,5 points 4,7 passes décisives).\\n\\n« Il s’en est sorti avec des statistiques intéressantes, et son équipe a terminé 11e dans un championnat relevé », assure son nouvel entraîneur qui le présente comme un « meneur complet ». « Il a cette capacité à être présent des deux côtés du terrain. Avec de vraies qualités défensives et une volonté de faire jouer l’équipe. Ce n’est pas un joueur égoïste. Maintenant, il lui faudra trouver le juste milieu. Il a encore une marge de progression, dans l’expression de son leadership notamment afin de s’approprier le rôle de patron. Mais c’est un meneur talentueux, assez complet, capable de jouer vite, de faire des différences dans les duels et avec un tir extérieur très fiable ».\\n\\nComme le reste de l’équipe, Dee Davis, qui remplace Jamar Diggs (parti à Rouen), n’a pas encore montré l’étendue de son potentiel en Leaders Cup. Il faudra sans doute encore quelques matchs pour le situer dans la hiérarchie de la Pro B. A en voir ses meilleures actions en Allemagne, le potentiel est en tout cas indéniable.\\n\\nLes objectifs du club, par Jean-Baptiste Lecrosnier :\\n\\n« On pense avoir les armes pour ne pas revivre la mésaventure de la saison dernière avec un effectif qui me semble vraiment intéressant. Mais on sait aussi que le championnat de Pro B est très dense. On veut se mêler à ces équipes qui vont vouloir jouer les Playoffs. Sur les 18 équipes de Pro B, il y en aura une bonne quinzaine qui aura cet objectif. C’est bien de le dire, à nous de mettre en place ce qu’il faut. Le plus important, ce sera les moyens qu’on se donnera au quotidien pour y arriver. Entre les dernières places qualificatives pour les Playoffs et le maintien, l’écart est souvent minime, il ne faut pas l’oublier. L’objectif qu’on se fixe est important. Notre progression dépendra de la suite. On est dans la dynamique d’être prêt le jour J, pour le premier match du championnat ».\\n\\nArrivées : Darwin Davis (Giessen, Allemagne), Garry Chathuant (Le Portel), Thibault Desseignet (Bourg-en-Bresse), Vafessa Fofana (Hyères-Toulon), Jermaine Marshall (Helsinki, Finlande), Ludovic Negrobar (Gries-Oberhoffen, N1), Babacar Niang (sans club)\\n\\nDéparts : Luka Antic, Waverly Austin (Alytus, Lituanie), Jamar Diggs (Rouen), Lamine Kante, Guy-Landry Edi, Chris McKnight (Ashkelon, Israël), Carl Ona-Embo, Bryan Pamba, Zoran Vrkic (Oviedo, Espagne)\\n\\nEffectif 2018-2019 : Darwin Davis, Thibault Desseignet, Jermaine Marshall, Garry Chathuant, Mathis Guillou, Jeremiah Wilson, Vafessa Fofana Laurence Ekperigin, Ludovic Negrobar, Babacar Niang\\n\\nCoach : Jean-Baptiste Lecrosnier Assistant : Maxime Chiron\\n\\nCinq majeur probable : Dee Davis, Jermaine Marshall, Vafessa Fofana, Gary Chathuant, Laurence Ekperigin\\n\\nPhoto: Jermaine Marshall (Nantes Basket Hermine)\\n\\n[armelse]\\n\\nFinaliste des Playoffs 2017, l’Hermine de Nantes a dû attendre début mai pour assurer son maintien la saison dernière. La faute à un début d’exercice raté (7 défaites sur les 10 premiers matchs) et à des pépins physiques qui ont touché des joueurs majeurs comme Laurence Ekperigin. Dans un championnat « aussi dense » que la Pro B, comme le rappelle l’entraîneur Jean-Baptiste Lecrosnier, ça ne pardonne pas. Quoi de mieux pour oublier ce triste épisode que de repartir sur un nouveau projet ? Avec 70% de l’effectif renouvelé, l’arrivée d’Audrey Sauret pour occuper le poste de GM, mais aussi une nouvelle salle, la tant attendue Trocardière.\\n\\nLes Nantais se sont tout de même assurés quelques garanties, que ce soit chez les JFL (Gary Chathuant, Vafessa Fofana de retour, Babacar Niang) ou les étrangers avec deux joueurs conservés (Jeremiah Wilson pigiste en fin de saison dernière et Laurence Ekperigin) et deux arrières référencés en Europe : Jermaine Marshall et Dee Davis.\\n\\n« On ne repart pas de A à Z mais on voulait entamer un nouveau cycle », explique Jean-Baptiste Lecrosnier.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie: Cantu est (toujours) intéressé par la venue de DJ Cooper"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon La Provincia, Dimitri Gerasimenko, le propriétaire de Cantu souhaite enrôler le meneur de jeu DJ Cooper (1,83m, 27 ans).\\n\\nDéjà cet été, le club italien faisait de l’ancien MVP de Pro A sa cible numéro 1. Le petit plus de la formation transalpine est que l’ancien joueur de l’Elan Béarnais a déjà des antécédents avec le président Gerasimenko qui était son employeur en 2015 au Krasny Okytabr Volgograd, en VTB League. Depuis le MVP de la saison 2016-17 de Pro A avec Pau a sérieusement terni sa réputation en France en faisant faux-bond à Gravelines la saison dernière puis à Monaco au début de celle-ci.\\n\\nLa saison dernière, DJ Cooper tournait en moyenne à 6,7 points, 2,3 rebonds et 7,2 passes décisives pour une évaluation de 11,8 en Jeep Elite, et 6,3 points, 2,6 rebonds et 6,8 passes pour une évaluation de 11,9 en Champions League.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Pro B 2018-19 – Nancy: Le SLUC de retour au top"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la Leaders Cup en guise de tour de chauffe, le championnat 2018/19 de Pro B débute le 12 octobre et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur un joueur à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment).\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès une saison de transition (7e place, sorti au premier tour des Playoffs) suite à la descente de ce club historique du basket français, le Sluc Nancy a construit un groupe impressionnant cet été dans l’optique de jouer la montée. Avec Christian Monschau de retour aux commandes en lieu et place de Greg Beugnot, le staff dirigeant a recruté deux arrière-ailiers forts scoreurs, parmi les révélations de la saison 2017-2018 arrivent en Lorraine : Yunio Barrueta en provenance de Denain (12.8 pts par match la saison dernière, 17.8 pts sur la phase de Leaders Cup) et Anthony Goods de Poitiers (17.2 pts par match à 41% à 3-pts en 2017-2018). A cela viennent s’ajouter trois joueurs qui ont l’expérience de ce niveau, l’arrière explosif Meredis Houmounou (9 saisons en Pro B), l’imposant pivot Dinma Odiakosa (14 pts, 10 rbds avec le Havre en 2016-2017) et l’international vénézuelien John Cox, bien connu du championnat de France (11 saisons en Jeep ELITE dont deux à Nancy entre 2008 et 2010). Les cinq recrues estivales incarnent cette ambition retrouvée et propulsent de fait les Nancéiens parmi les favoris pour la première place alors que les jeunes éléments (Enzo Goudou-Sinha, Williams Narace et Bastien Vautier) continuent de progresser à vue d’œil.\\n\\n« On va avoir une équipe très axée sur le tir extérieur », prévoit Philippe Braud, capitaine de la formation nancéienne avec ses 15 saisons au compteur. « Le but c’est de varier et de ne pas dépendre que de ça même si on a beaucoup de shooteurs. Il y aura Yunio Barrueta qui est un scoreur même si tout le monde est capable d’apporter dans ce secteur, Anthony Goods et John Cox qui sont plus des facilitateurs, des créateurs... Dans les moments chauds en fin de match, on pourra compter sur eux. Il y a aussi les jeunes qui ont pas mal progressé. Ça va être un travail d’équipe, il faudra être solidaire ».\\n\\nChristian Monschau aussi, va apporter son expérience du plus haut-niveau. « Il essaye de nous transmettre sa façon de voir le jeu afin qu’on puisse tous aller dans son sens », poursuit Philippe Braud. « Il est très axé sur les chiffres, les statistiques, les études des ratios. Il va beaucoup s’en servir pour étudier ce qui fonctionne, ce qui ne fonctionne pas et il va davantage privilégier les systèmes qui marchent mieux « scientifiquement ». Ça ne veut pas dire pour autant qu’on va rester dans des cases et quand on nous voit jouer, on ressent aussi une certaine liberté dans le jeu, un lâcher-prise. Il est pointilleux sur pas mal de choses, mais en même temps, on a une certaine liberté de jouer, tant qu’on reste dans ce cadre ».\\n\\nLe cocktail semble déjà porter ses fruits au vu de la Leaders Cup avec quatre victoires en quatre matchs malgré une préparation perturbée par le remplacement tardif de Solo Diabaté par John Cox ou le cas Valentin Chery. Une fois la machine lancée, nul ne sait qui pourra l’arrêter. Gare à l’armada du Sluc Nancy cette saison !\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=IkD03nqPcGA\\n\\nTrois questions à Philippe Braud, capitaine du Sluc Nancy :\\n\\nJoueur emblématique de LNB, Philippe Braud devrait mettre un terme à sa magnifique carrière à l’issue de la saison. Remarquable arrière shooteur (40% de réussite à 3 points en cinq saisons en Pro B), le capitaine de la formation de Christian Monschau sera l’un des éléments clés dans la réussite du Sluc qui vise la remontée.\\n\\nPhilippe Braud, comme analysez-vous la saison dernière ?\\n\\nIl y a eu plein de petites choses. Un début compliqué avec cet épisode Deshaun Woods, une équipe un peu jeune et un manque d’expérience, le vrai faux-départ de notre intérieur Ivan Aska alors qu’on avait signé un autre joueur qui n’a pas été libéré. Plein de petits détails comme ça. Et puis il y a des saisons comme ça où ça ne veut pas le faire, tout simplement. J’aime rarement revenir en arrière, je ne pense plus à tout ça. (...) La majorité des joueurs est restée même si on a vécu une saison compliquée sur le plan basket, sur le plan humain. C’était difficile. On avait tous à cœur de revenir un peu plus motivés. Les jeunes ont un an d’expérience en plus, ça aide aussi. Et puis le fait de changer de coach, ça apporte quelque chose de nouveau. On a fait une très bonne préparation. Je pense qu’on est prêts.\\n\\nVous qui avez connu la montée avec Bourg, vous pensez que Nancy a les moyens d’en faire de même cette saison ? Quels seront vos principaux concurrents ?\\n\\nOui, c’est réalisable, mais la saison n’a pas encore commencé et il y a tellement d’équipes qui peuvent également y prétendre. Il faudra voir quand on va jouer des grosses équipes, quand on va perdre, parce que ce sont aussi des choses qui arrivent dans une saison. On verra comment l’équipe se gère, si on arrive à rester solidaires, face à la pression, la frustration, les blessures. Il y a tellement de paramètres. Je pense qu’on en est capable, mais il y a plein d’éléments qui rentrent en compte. Roanne a gardé la même équipe qu’elle a renforcée avec deux gros joueurs que sont Matt Carlino et Ferdinand Prénom. Je les vois bien même si ça peut être un risque de repartir avec la même équipe et un certain laisser-aller ou un trop-plein de confiance. C’est le discours que j’ai envie d’avoir pour ne pas me dire qu’ils sont injouables (sourire). Blois est un peu dans la même situation. Ils restent sur une grosse saison, ça c’est bien renforcé aussi avec Noé-Charles Abouo et Burton, mais pareil, le fait de ne pas monter, pour eux ça peut être compliqué de rejouer, après une telle déception. Il y a aussi Orléans, qui a de gros joueurs, un gros budget et qui va être difficile à jouer avec un style de basket qui lui est propre. Nantes, c’est costaud aussi et il y a toujours au moins une surprise par année. Sur le papier, avant que la saison commence, il y a 3-4 équipes qui se détache, mais après, tout est possible.\\n\\nVotre objectif, c’est aussi de rejouer en Jeep Elite ?\\n\\nJ’ai envie d’y ramener le club. Moi, dans mon esprit c’est ma dernière année. Je vais certainement arrêter de jouer en pro à la fin de la saison. En tout cas dans mon esprit, je joue cette saison comme ça. Donc non, je n’ai pas forcément envie d’y rejouer. J’ai eu la chance de jouer en première division pendant huit ans. J’adorerais finir sur un titre ou une montée. Ça serait génial.\\n\\nLes objectifs du club, par Philippe Braud, capitaine du Sluc :\\n\\n« L’objectif du club, c’est de monter le plus rapidement possible en Jeep ELITE. Donc soit de terminer premier soit de se positionner de façon préférentielle pour les Playoffs. Si on peut monter tout de suite, on le fera. Maintenant on sait que c’est tellement difficile avec toutes les équipes de Pro B qui sont bien armées. On va essayer de monter, quelle que soit la façon. On a gardé une bonne ossature avec des joueurs qui connaissent la Pro B. Il y a un peu plus d’expérience comparée à l’année dernière et aussi un nouveau coach. Pour l’instant, ça correspond bien à ce que le coach demande et l’équipe correspond à son profil de jeu. On a eu des petits soucis sur le poste de meneur, comme l’année dernière. On vient de signer John Cox, on va voir comment ça va tourner ».\\n\\nArrivées : Yunio Barrueta (Denain), Anthony Goods (Poitiers), Dinma Odiakosa (Le Portel), Christian Monschau (sans club, coach), Meredis Houmounou, John Cox (Bayreuth)\\n\\nDéparts : Ivan Aska (Kolossos Rhodes, Grèce), Alexandre Chassang (Dijon), Gaëtan Clerc (Caen), Gary Florimont (Paris Basket), Brynton Lemar, Jevohn Shepherd (Paris), DeWayne Russell, Gregor Beugnot (coach)\\n\\nEffectif 2018-2019 : John Cox, Enzo Goudou-Sinha, Anthony Goods, Philippe Braud, Yunio Barrueta, Williams Narace, Mickaël Var, Bastien Vautier, Dinma Odiakosa\\n\\nCoach : Christian Monschau Assistant : Pierre Verdière\\n\\nCinq majeur probable : John Cox, Anthony Goods, Yunio Barrueta, Williams Narace, Dinma Odiakosa\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès une saison de transition (7e place, sorti au premier tour des Playoffs) suite à la descente de ce club historique du basket français, le Sluc Nancy a construit un groupe impressionnant cet été dans l’optique de jouer la montée. Avec Christian Monschau de retour aux commandes en lieu et place de Greg Beugnot, le staff dirigeant a recruté deux arrière-ailiers forts scoreurs, parmi les révélations de la saison 2017-2018 arrivent en Lorraine : Yunio Barrueta en provenance de Denain (12.8 pts par match la saison dernière, 17.8 pts sur la phase de Leaders Cup) et Anthony Goods de Poitiers (17.2 pts par match à 41% à 3-pts en 2017-2018). A cela viennent s’ajouter trois joueurs qui ont l’expérience de ce niveau, l’arrière explosif Meredis Houmounou (9 saisons en Pro B), l’imposant pivot Dinma Odiakosa (14 pts, 10 rbds avec le Havre en 2016-2017) et l’international vénézuelien John Cox, bien connu du championnat de France (11 saisons en Jeep ELITE dont deux à Nancy entre 2008 et 2010). Les cinq recrues estivales incarnent cette ambition retrouvée et propulsent de fait les Nancéiens parmi les favoris pour la première place alors que les jeunes éléments (Enzo Goudou-Sinha, Williams Narace et Bastien Vautier) continuent de progresser à vue d’œil.\\n\\n« On va avoir une équipe très axée sur le tir extérieur », prévoit Philippe Braud, capitaine de la formation nancéienne avec ses 15 saisons au compteur.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Philippe Braud (SLUC)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nicolas Batum: «Je suis fier de représenter mon pays»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour le site de la fédération internationale, Nicolas Batum (2,03m, 29 ans) a réaffirmé son attachement au maillot bleu, lui qui a participé aux matches de juin et de septembre comptant pour la qualification à la Coupe du Monde 2019.\\n\\n« Cela fait longtemps que je joue avec l’équipe nationale senior, et je le fais à chaque fois avec la même passion et la même motivation. Je suis fier d’être Français et je suis fier de représenter mon pays. Ma carrière NBA est très importante, mais mes obligations internationales aussi. Je suis l’un des vétérans de la sélection et je prends mon rôle vraiment au sérieux, car je veux continuer à gagner des médailles et des titres avec la France. Jouer cet été a été une excellente expérience. C’est génial de retrouver les gars, de passer du temps ensemble, d’apprendre à connaître de nouveaux joueurs et d’évoluer au sein d’un groupe où la bonne ambiance règne. Nous avons beaucoup de talent et faire partie de cette équipe est toujours un plaisir. »\\n\\nL’équipe de France a besoin d’une seule victoire pour se qualifier à la Coupe du monde. Elle sera en République tchèque le 30 novembre et à Limoges contre la Bulgarie le 3 décembre mais sans Nicolas Batum et les autres NBAers.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Ligue Féminine 2018-19 – Nantes-Rezé: Avec un nouvel écrin, La Trocardière"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Ligue Féminine débute les 13 et 14 octobre avec l’Open de Paris et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur deux joueuses à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment) et vous pouvez commander le Guide en version papier sur notre boutique.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nCoup dur pour les Déferlantes. Durant l’été, Elodie Bertal-Christmann les a averties qu’elle était enceinte et donc inapte à disputer la saison. Le plan d’utiliser quatre joueuses françaises à l’intérieur a été mis à la poubelle. Heureusement, le club nantais n’avait pas utilisé son quota de joueuses extra-communautaires et a ainsi pu embaucher une Américaine, Briana Day, en provenance de Namur. A l’inverse, bonne nouvelle : Clarince Djaldi-Tabi, arrêtée en principe six mois suite à une opération au genou, sera remise dès la rentrée.\\n\\n« On a eu beaucoup de turnovers cette année avec les étrangères qui partent, les Françaises qui vont se monnayer ailleurs », constate le coach Emmanuel Coeuret. Au premier rang des départs, l’internationale canadienne Nayo Raincock-Ekunwe recrutée par Bourges. La saison précédente, c’est Katherine Plouffe, qui avait rejoint le Cher après avoir été élue MVP étrangère. « On a eu la chance d’avoir Katherine Plouffe deux années et elle a éclaté la deuxième. Nayo, on savait qu’on ne pourrait pas la conserver. Ce ne sont pas des surprises qu’elles partent, c’était des joueuses d’exception. On est surtout déçu que ça soit aussi le cas des Françaises. On aurait aimé continuer l’aventure avec Lidija Turcinovic. On les expose, elles en profitent, elles font une bonne saison et elles vont ailleurs. Il ne faut pas avoir peur des mots : Nantes n’est pas une équipe de haut de tableau. C’est une équipe de milieu de tableau et de temps en temps plutôt vers le bas. Il faut assumer. »\\n\\nA l’inverse, les Déferlantes peuvent se féliciter d’avoir mis la main sur Ana Suarez dans le bon timing, de conserver Maud Medenou, de jouer la sécurité avec Shaqwedia Wallace, tout en prenant un risque assumé avec Michaela Stejskalova qui sort d’une saison laborieuse.\\n\\nLa grande nouveauté, c’est que le club s’est installé dans un nouvel écrin, La Trocardière, une salle de 4 185 places située sur la commune de Rezé, à partager avec l’Hermine en Pro B, et qui va faire bien des envieux.\\n\\nMaud Medenou\\n\\nDe parents béninois, Maud a grandi à Courcouronnes et elle a remporté un titre national en minimes avec comme équipière, Sarah Michel. Formée à l’INSEP, elle a alterné sa carrière professionnelle entre la Ligue Féminine et la Ligue 2 notamment à Aulnoye-Aymeries. Emmanuel Coeuret est enchanté de sa première saison avec les Déferlantes : « Elle a fait une saison qui n’était pas attendue. C’est une fille qui jouait en Ligue 2 et qui s’adapte au niveau. C’était une pierre angulaire ; la preuve on a eu beaucoup de difficultés quand elle était blessée. On a eu la bonne idée de la signer deux ans car sinon on n’aurait pas pu la garder. » Ses points forts ? De longs bras, la défense, le QI basket. Sa petite faiblesse ? « Elle a besoin d’avoir un leader à côté d’elle. C’est quelqu’un de l’ombre, comme dans la vie, pas expansive. L’autre est plus important qu’elle et ce n’est pas elle qui va briller. » Etudiante en psychologie, elle se dit curieuse de tout, de la lecture, du cinéma, de la gastronomie, de cultures diverses, et adore voyager.\\n\\nAna Suarez\\n\\nInternationale espagnole en U18 et U20, elle a débuté une longue carrière à 16 ans, en Espagne passant notamment parValence et Ros Casares et aussi en Argentine l’été et un petit détour par l’Italie. La saison dernière à Tarbes. Rapide, dynamique, bonne shooteuse à trois-points. Se définit aussi comme une travailleuse et une fille qui aime la notion de groupe et apporter sa joie de vivre. « Lorsque j’ai pris la décision de me séparer de Shona Thoburn, qui était une joueuse emblématique et que j’appréciais sur et en dehors du terrain, ça s’est vite conclu avec Ana que j’avais déjà repéré », raconte le coach. « Elle a fait un début de saison dernière en demi-teinte, elle est montée crescendo et elle a fait une finale de bonne facture. On l’a signée en mars et je pense que si on avait voulu le faire plus tard, on n’aurait pas pu s’aligner. Ce que j’ai apprécié, c’est qu’elle n’a mis qu’une journée à dire oui. » 7,6 points, 3,9 passes et 4,0 passes avec Tarbes la saison passée.\\n\\nL’effectif de Nantes-Rezé est disponible ici.\\n\\n[armelse]\\n\\nCoup dur pour les Déferlantes. Durant l’été, Elodie Bertal-Christmann les a averties qu’elle était enceinte et donc inapte à disputer la saison. Le plan d’utiliser quatre joueuses françaises à l’intérieur a été mis à la poubelle. Heureusement, le club nantais n’avait pas utilisé son quota de joueuses extra-communautaires et a ainsi pu embaucher une Américaine, Briana Day, en provenance de Namur. A l’inverse, bonne nouvelle : Clarince Djaldi-Tabi, arrêtée en principe six mois suite à une opération au genou, sera remise dès la rentrée.\\n\\n« On a eu beaucoup de turnovers cette année avec les étrangères qui partent, les Françaises qui vont se monnayer ailleurs », constate le coach Emmanuel Coeuret. Au premier rang des départs, l’internationale canadienne Nayo Raincock-Ekunwe recrutée par Bourges.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Boulazac fait venir Travis Leslie (ex-Levallois)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Boulazac Basket Dordogne annonce la venue du shooting guard Travis Leslie (1,95m, 28 ans).\\n\\nL’Américain est bien connu en France pour avoir porté les maillots de Villeurbanne (2013-14) et de Levallois, la saison dernière (12,3 points, 4,5 rebonds et 1,4 passe).\\n\\nNé à Atlanta, Travis Leslie a joué 10 matches pour les Los Angeles Clippers lors de la saison 2011-12. Il a également évolué en D-League, Lituanie, Allemagne et Australie. Il est connu pour son explosivité et ses qualités défensives."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pour Eurohoops, la Jeep Elite est la cinquième ligue d’Europe et dépasse ainsi la ligue allemande"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le site Eurohoops* a classé comme chaque année les différentes ligues européennes et la Jeep Elite progresse d’une place dans la hiérarchie au détriment de la ligue allemande qui chute de trois places.\\n\\n« L’été 2018 s’est révélé plus que tumultueux pour les ligues européennes de basketball », estime Eurohoops. « Tandis que le sport progresse au niveau continental, le paysage des ligues nationales a beaucoup changé et la plupart des changements ne sont pas positifs. Par rapport à la saison dernière, il convient de noter qu’une fois de plus, le Top 10 des ligues reste inchangé. Des pays comme la Belgique ou la Pologne manquent le coche. Bien qu’ils aient des clubs solides, ils ne font pas encore partie des ligues de haut niveau. Par ailleurs, il est évident que le Top 10 peut être divisé en trois niveaux. L’Espagne, la VTB United League et la Turquie sont les trois ligues qui appartiennent au top 3. L’Italie, la Grèce, la France et l’Allemagne constituent le deuxième rang, tandis que la Ligue Adriatique, la Lituanie et Israël se situent au troisième rang. Cependant, si quelque chose ne change pas radicalement, il semble que la Turquie se dirige vers le deuxième niveau, alors que l’ambition allemande pour BBL de devenir la première division domestique en Europe d’ici 2020 ne peut pas être une réalité. Cela dit, les différences entre la 4ème et la 7ème place sont minimes et les ligues qui semblent progresser réellement dans leur ensemble semblent être la France et l’Italie. »\\n\\nA propos de la Ligue allemande, Eurohoops écrit :\\n\\n« En 2012, l’Allemagne visait le sommet et elle a essayé de l’atteindre correctement. Ils construisent des installations, des infrastructures et constituent des équipes de jeunes. Le résultat final après cinq ans est une ligue solide mais peu spectaculaire qui manque encore de stars. Le fait que Brose Bamberg ait décidé de réduire son budget après avoir perdu sa place en EuroLeague n’a pas aidé, même si le club a signé Tyrese Rice. Le Bayern Munich, qui a ajouté un grand nom avec Derrick Williams, et une rivalité possible avec Alba Berlin peuvent renverser la situation. Cependant, pour le moment, le BBL ne peut pas attirer le public moyen, allemand ou international. »\\n\\nA propos de la Jeep Elite, les commentaires sont positifs :\\n\\n« La France fait tout ce qui est juste et la principale raison de leur retard sur l’Italie est qu’ils n’ont toujours pas d’équipe en EuroLeague. Cela devrait changer la saison prochaine avec ASVEL. La France devrait donc faire un pas de plus. Pour mettre les choses en perspective, la France dispose de clubs solides, comme Monaco et Strasbourg, qui produisent de bons résultats en Europe. La ligue a également un contrat de télévision solide – à égalité avec les droits de télévision des matchs de l’équipe nationale – et, comme cela se produit dans la VTB United League, les budgets sont également annoncés officiellement. Le niveau de jeu n’est pas mauvais du tout, même si la plupart des équipes sont réputées pour leur aptitude à être athlétiques et moins pour leur tactique. Ce qui manque vraiment en France, c’est une véritable puissance – à Paris peut-être? – Cela créerait un intérêt général pour la ligue. »\\n\\nToujours intéressant d’avoir le regard des autres porté sur soi, n’est-ce pas ?\\n\\n 1.  ACB Liga Endesa – Espagne (-)\\n 2.  VTB United League (+1)\\n 3.  BSL – Turquie (-1)\\n 4.  Lega Basket Serie A– Italie (+1)\\n 5.  Jeep ELITE ProA – France (+1)\\n 6.  HEBA Basket League – Grèce (+1)\\n 7.  Easy credit BBL -Allemagne (-3)\\n 8.  Adriatic League (+1)\\n 9.  LKL – Lituanie (+1)\\n 10. Winner’s League – Israël (-2)\\n\\n*Eurohoop est un site partenaire de l’EuroLeague et qui publie des informations en six langues : allemand, anglais, espagnol, grec, russe et turc."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Jaycee Carroll prolonge jusqu’en 2020 avec le Real Madrid"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’histoire d’amour entre le Real Madrid et le shooteur Jaycee Carroll (1,91m, 35 ans) continue.\\n\\nArrivé au Real Madrid en 2011, l’arrière américain qui arrivait en fin de contrat a trouvé un accord avec le club pour prolonger jusqu’en 2020, annonce la formation madrilène. Formé à Utah State, le double champion d’Euroleague a d’abord lancé sa carrière professionnelle à Teramo, en Italie, avant de signer en Espagne. Il a passé deux saisons à Gran Canaria avant d’atterrir dans la capitale espagnole.\\n\\nLa saison dernière, Jaycee Carroll compilait en moyenne 10,9 points (47% à trois points) et 1,3 rebonds entre le championnat et l’Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Portel: Eric Girard fustige la défense de ses joueurs et l’incohérence de l’arbitrage"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Certain que le mardi 23 avril prochain, on n’aura pas droit au même type de match lorsque ça sera au Portel de recevoir Le Mans. Dans leur chaudron, les Portelois sont sublimés, jouent avec du cœur et trois poumons. Strasbourg et Limoges en ont déjà fait les frais cette saison. A l’inverse, hier soir à Antarès, ils ont été surclassés par le champion de France en titre (102-82) et à part quelques flashs, ce qu’ils ont proposé était bien morose.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe MSB est mieux bâti à chaque poste. Le public manceau a pu apprécier les qualités de shooteur de Cameron Clark même avec un adversaire collé à lui (16 points à 7/10 aux tirs en 23’), quand bien même l’ex-Chalonnais manque encore d’endurance, l’agressivité offensive de Demetrius Conger (24 points à 7/9), qui l’a gratifié d’une pénétration dans la peinture porteloise avec dribble dans le dos et finition acrobatique. Il a été aussi rassuré par la condition de Terry Tarpey, de retour à la compétition après six mois d’absence, qui n’a rien perdu de ses aptitudes à défendre dur et à courir. Les Manceaux étaient brillants offensivement mais c’est bien leur défense qui a stoppé l’ESSM dans son élan ; une série de quatre contres sous le cercle dans le deuxième quart-temps en a été la meilleure illustration. Le 51-35 après la première tranche de 20’ était déjà quasi irrémédiable.\\n\\n« C’est une grosse équipe, ils ont très bien joué. On leur a facilité la tâche car on a été vraiment absents dans le combat en première mi-temps. Ce n’est pas notre identité, ce n’est pas notre style de jeu. Après ils ont déroulé, ils ont mis de gros paniers. Quand on leur donne la confiance comme ça, je comprends qu’après ça rentre, » ne pouvait que constater Jean-Victor Traoré.\\n\\nLe problème, c’est que l’ESSM en a pris tout autant en deuxième mi-temps et que 51 fois 2, ça fait 102. Les Portelois en n’avaient jamais concédé autant depuis leur entrée en Pro A/Jeep Elite. Leur record du genre datait de leur premier match dans la première division du basket français : 95 à Dijon, il y a exactement deux ans.\\n\\n« C’est mission impossible de gagner en donnant plus de 100 points. C’est la première fois qu’une de mes équipes au Portel prend plus de 100 points même s’il ne faut rien enlever au mérite, au talent de l’équipe du Mans », confirmait le coach Eric Girard. « C’est beaucoup trop pour espérer faire quelque chose de plus que jouer le maintien cette saison (...) En attaque, même si on manque de partage et que l’on a des balles perdues qui nous coûtent très cher, on est à peu près dans le tempo. En défense, on est loin du compte par rapport à une équipe comme ça. Alors oui, on met 80 points à la meilleure défense de l’année dernière, chez elle, mais défensivement on n’est pas capable de l’arrêter. On a concédé un nombre incalculable, inqualifiable et assez surprenant de lancers-francs. L’écart est plutôt justifié entre un club champion de France et un club qui lutte pour le maintien (...) On n’a pas contrôlé le tempo. On n’a pas joué sur les points faibles du Mans qui étaient prévus surtout en première mi-temps et puis eux, ont eu un pourcentage (57,9%) à l’image du dernier shoot que prend leur intérieur à trois-points (NDLR : Will Yeguete). Quand tout va bien, on sait ce que ça fait, la confiance est là, ça nous est arrivé. »\\n\\nSûr que dans ce match, le géant israélo-bosnien Robert Rothbart (2,16m) porté par deux allumettes est apparu bien frêle physiquement, Yakouba Diawara a fait ses 36 ans, le courageux Pierre-Etienne Drouault est quand même limité, Benoit Mangin a été très discret. L’efficacité de l’ESSM a essentiellement tenu à ses trois Américains, le meneur Brandyn Curry (22 points), le très actif intérieur Darrell Williams (16 points, 4 rebonds, 4 passes, 3 interceptions) et l’ailier Anthony Hilliard (13 points dont 10 en première mi-temps)). Ce sont eux -et un très bon passing game- qui ont permis aux Portelois de bien débuter le match (14-9) puis la seconde mi-temps, ce qui les a autorisés à revenir à six points (50-56). Mais les deux fois une accélération mancelle a remis très vite les choses au point.\\n\\nUn rappel à l’ordre\\n\\nIl existe bel et bien deux ESSM. Celle qui fait tomber les cadors à domicile (Strasbourg, +3, et Limoges, +9) et celle qui se liquéfie en dehors de ses bases (Boulazac, -25, et Le Mans, -20).\\n\\n« On ne méritait pas de gagner », tranche Eric Girard. « On n’a pas l’intensité aujourd’hui pour lutter à l’extérieur contre ce type d’équipe. Sans doute pas le talent non plus. C’est un nouveau rappel à l’ordre après celui de Boulazac. Evidemment, avec tout le respect que j’ai pour Boulazac, la marche était encore plus haute par rapport à cette équipe du Mans qui a un titre à défendre, qui est une belle équipe de nouveau. On a du travail, on n’est pas découragé. On est aujourd’hui à deux victoires pour deux défaites. Deux victoires chez nous contre des équipes prestigieuses et deux défaites à l’extérieur. On est dans les clous, dans le barème d’une équipe qui veut survivre en Pro A et qui doit gagner à peu près un match sur trois. On a maintenant un match contre un concurrent direct, Antibes. A nous de retravailler, de monter notre niveau de jeu qui n’était pas suffisant ce soir surtout en défense. En attaque, on a oublié de jouer par rapport à notre philosophie de partage. Quand on oublie quelques minutes contre des équipes et des joueurs de ce niveau-là, ça ne pardonne pas. »\\n\\nEric Girard en avait visiblement gros sur la patate. De voir que Le Mans s’est vu accorder deux fois plus de lancers-francs que son équipe (32 à 16) et de s’être fait infliger une technique. En conférence de presse, il a expliqué son courroux.\\n\\n« C’est bien M. Le commissaire est là. Il va pouvoir noter », a-t-il commencé. « On a une telle différence d’arbitrage entre le dernier match que l’on a joué et celui de ce soir. Je ne dis pas que les arbitres ont été bons la semaine dernière et là mauvais ou l’inverse. Je dis simplement qu’en terme de cohérence, ce sont deux matches totalement différent. Je ne dois pas être assez intelligent pour apprendre à mes joueurs que ça doit arriver cette différence d’arbitrage et de fautes sifflées, qui n’aurait rien changé par rapport au score final, mais quand même. Je veux bien que Le Mans ait une défense fabuleuse et que nous on soit très mauvais. Il faut juste pas oublier qu’il y a deux ans on était la première défense du championnat et l’année dernière, la deuxième. Donc on sait à peu près faire les choses mais être sanctionné de la sorte, ça me paraît énorme. Et qu’en plus qu’un arbitre à l’opposé de moi, à qui je tourne le dos, me siffle une faute technique parce que je regarde le commissaire... Si maintenant, il faut dire amen à tout, il faut que l’on arrête, il n’y a même plus besoin de coach. A un moment donné, il faut être sérieux. C’est un peu désobligeant de subir ce genre de chose. »\\n\\nEt en sortant de la salle de conférence de presse, le coach portelois a été rejoint par le dit commissaire et il a ainsi pu lui expliquer en tête à tête ce qu’il avait pensé de la façon d’arbitrer des trois refs.\\n\\nLe Portel a maintenant au programme deux adversaires totalement à sa portée qu’il va jouer coup sur coup à domicile, Antibes et Fos.\\n\\n« Antibes, c’est tôt pour dire que c’est un match de maintien. On va les attendre comme on a joué Strasbourg et Limoges, pas comme on a joué ici. »\\n\\nCette promesse de Jean-Victor Traoré sera d’autant plus facile à tenir que le public du Chaudron sera là pour le lui rappeler.\\n\\n[armelse]\\n\\nLe MSB est mieux bâti à chaque poste. Le public manceau a pu apprécier les qualités de shooteur de Cameron Clark même avec un adversaire collé à lui (16 points à 7/10 aux tirs en 23’), quand bien même l’ex-Chalonnais manque encore d’endurance, l’agressivité offensive de Demetrius Conger (24 points à 7/9), qui l’a gratifié d’une pénétration dans la peinture porteloise avec dribble dans le dos et finition acrobatique. Il a été aussi rassuré par la condition de Terry Tarpey, de retour à la compétition après six mois d’absence, qui n’a rien perdu de ses aptitudes à défendre dur et à courir. Les Manceaux étaient brillants offensivement mais c’est bien leur défense qui a stoppé l’ESSM dans son élan ; une série de quatre contres sous le cercle dans le deuxième quart-temps en a été la meilleure illustration. Le 51-35 après la première tranche de 20’ était déjà quasi irrémédiable.\\n\\n« C’est une grosse équipe, ils ont très bien joué. On leur a facilité la tâche car on a été vraiment absents dans le combat en première mi-temps. Ce n’est pas notre identité, ce n’est pas notre style de jeu. Après ils ont déroulé, ils ont mis de gros paniers. Quand on leur donne la confiance comme ça, je comprends qu’après ça rentre, » ne pouvait que constater Jean-Victor Traoré.\\n\\nLe problème, c’est que l’ESSM en a pris tout autant en deuxième mi-temps et que 51 fois 2, ça fait 102. Les Portelois en n’avaient jamais concédé autant depuis leur entrée en Pro A/Jeep Elite. Leur record du genre datait de leur premier match dans la première division du basket français : 95 à Dijon, il y a exactement deux ans.\\n\\n« C’est mission impossible de gagner en donnant plus de 100 points.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie: Le coach de légende de Turin Larry Brown retourne aux Etats-Unis pour se faire opérer"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A la fin de la conférence de presse qui a suivi la défaite de son équipe, Fiat Turin, face à Reyer Venise, le coach Larry Brown a annoncé qu’il retournait aux Etats-Unis pour se faire opérer la semaine prochaine et qu’il ne sait pas quand il reviendra en Italie.\\n\\nLarry Brown, 78 ans, a pris en mains l’équipe de Turin en ce début de saison et son arrivée avait été différée quelque peu en raison d’une petite intervention chirurgicale.\\n\\nLarry Brown est le seul coach de l’histoire à avoir été champion NBA (Detroit Pistons en 2004) et NCAA (Kansas en 1988)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: 17 mois après la découverte du Syndrome de Marfan, Jonathan Jeanne a rejoué avec Palma de Majorque"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après 17 mois d’interruption de sa carrière suite au Syndrome de Marfan, Jonathan Jeanne (2,15m, 21 ans) a rejoué en compétition officielle pour la première fois avec son club de Iberostar Palma de Majorque en LEB Oro (Espagne).\\n\\nLe Guadeloupéen a passé 11 minutes sur le terrain, mis deux lancers, pris un rebond offensif et fait trois fautes. Son équipe a lourdement chuté à Forca Lleida, 66-86.\\n\\n« J’aime l’île. Ici, il fait beau et chaud, comme chez moi dans les Caraïbes », a déclaré récemment au Mallorca Zeitung le joueur qui s’est installé à l’hôtel et qui est examiné chaque mois par un cardiologue. « N’ayant aucun symptôme de ma maladie, je continue d’être le joueur qui a presque réussi à entrer en NBA. »\\n\\nLe chemin paraît toutefois encore long avant que le Français qui n’a jusqu’ici grappillé que quelques minutes de jeu avec les pros au Mans et à Nancy soit compétitif."
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Pro B 2018-19 – Lille : Un groupe en mission"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la Leaders Cup en guise de tour de chauffe, le championnat 2018/19 de Pro B débute le 12 octobre et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur un joueur à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment).\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nA l’image de Blois, le LMBC est l’un des bons exemples de la division, un club qui se structure et qui franchit les étapes à son rythme dans le but de monter un jour dans cette Jeep tant convoitée. Troisièmes de la saison régulière en 2016 mais sortis au premier tour des Playoffs, les Lillois (cinquièmes en 2017-2018) ont cette fois atteint les demi-finales, perdant avec les honneurs face à Roanne au terme d’une série en trois manches complètement folle. Autre bon signe, la formation de Jean-Marc Dupraz a joué la carte de la stabilité cette saison, comme Fos-sur-Mer a pu le faire ces dernières années avec un certain succès. Comment pouvait-il en être autrement ? Le groupe ayant donné satisfaction à son coach. Celui a tout de même ajusté son effectif à petites doses, intégrant un meneur confirmé qui va découvrir la division (Gilles Duro en provenance d’Aubenas en N1) et un jeune intérieur de 19 ans pour faire le 10e homme (Curtis Larousse, ex-espoir au CCRB). 10 et non pas 12, comme l’an dernier et c’est peut-être là le principal changement cette saison pour le LMBC qui comptait 12 joueurs dans son roster la saison dernière.\\n\\n« Durant l’intersaison, on s’est dit que le fait d’avoir été 12, ça nous a pas mal apporté mais pas ce qu’on attendait, c’est à dire la montée, puisqu’on voulait aller au bout. Donc il y eu une volonté de resserrer l’effectif. Pour apporter plus de confiance, de sérénité aux joueurs, moins de rotations. Il y a aussi un facteur économique qui a dicté ce choix. Pour conserver les joueurs qui ont donné satisfaction, il faut un peu les augmenter. Vu qu’on n’est pas les plus riches, on a fait un choix. Il y aura plus de responsabilité et moins de turnover », précise Jean-Marc Dupraz, assurant par ailleurs que cette décision n’a aucun rapport avec l’imbroglio Stéphane Gombauld en fin de saison dernière (parti à Trévise sans l’accord de son club engagé en Playoffs !).\\n\\nCette carte de la stabilité entre deux saisons devrait permettre aux Lillois de démarrer très fort, même si ce fameux « temps d’avance » sur les autres a quelque peu été mis à mal par quelques pépins physiques pour Gilles Duro et Marcos Suka-Umu et un heureux événement pour Rakeem Buckles, brièvement rentré aux USA.\\n\\n« Je ne sais pas si on sera en avance. Il y a effectivement des bases qui sont là même si on a intégré deux joueurs. Ce n’est plus vraiment la même équipe, ce n’est pas la même saison non plus. Même s’il y a des automatismes, ça n’empêche pas qu’il a fallu revenir aux bases en préparation. On ne saura qu’à la fin si ça aura fait une différence. C’est un avantage, mais pas une garantie. On ne peut pas s’endormir là-dessus », poursuit Jean-Marc Dupraz.\\n\\nLe joueur à suivre : Thomas Ceci-Diop\\n\\nLa logique aurait voulu que Gilles Duro soit le joueur à suivre dans ce nouvel effectif où les forces en présence sont déjà identifiées. Mais la bonne surprise pourrait venir de Thomas Ceci-Diop qui va hériter de davantage de responsabilités cette année. Auteur d’un très bon début de saison (MVP du match face à Denain avec 15 points à 5/9 aux tirs, 9 rebonds, 19 d’évaluation et précieux dans la double-confrontation face à Paris), Thomas Ceci-Diop va alterner entre les postes 3 et 4 où il aura un vrai rôle à jouer comme le confirme son coach :\\n\\n« Il fait partie des plus values de l’équipe même s’il était déjà là la saison dernière. En 2017-2018, il a repris début janvier après une opération des croisés. On ne lui a pas mis la pression, il est revenu en douceur tout en apportant de précieuses minutes et il a bien fini car physiquement, il sentait bien. Cette année, il arrive dans de meilleures dispositions, avec cinq mois de compétition dans les jambes. Il a déjà montré il y a deux ans dans effectif qui gagnait déjà des matchs qu’il pouvait être un élément importante. Sa polyvalence sur les postes 3-4 est intéressante. L’an dernier, on avait quatre intérieurs de métier car même si Stéphane Gombauld est encore jeune, il avait déjà de belles références en Pro B. Là on part avec trois vrais intérieurs (Rakeem Buckles, Nicolas Taccoen et Corey Remekun) et Curtis Larousse qui est encore très jeune. Thomas a déjà un peu joué en quatre la saison dernière, il va encore switcher sur les deux postes cette année ».\\n\\nDécouvrez le parcours de Thomas Ceci-Diop à travers ce podcast diffusé en décembre dernier\\n\\nLes objectifs du club par Jean-Marc Dupraz :\\n\\n« L’objectif, on l’a fixé tous ensemble. On ne s’est pas positionné en fonction du reste de la division. Au vu de notre budget, on se classe dans le milieu de tableau, pareil pour la masse salariale. Si on regarde ça, si on joue les Playoffs, ce sera déjà bien. Mais l’objectif est plus ambitieux que ça. On s’est plutôt basé sur ce qu’on a fait la saison dernière, on espère que tous les joueurs de cette équipe vont encore monter d’un cran. Le but, c’est donc de faire mieux. C’est ambitieux, c’est sûr, mais je ne me voyais pas repartir avec un groupe quasi-inchangé et leur dire : « on va essayer de faire moins bien ». Faire mieux, ça veut dire finir dans les trois premiers, on l’espère. Et pourquoi pas l’accession ? Ni les joueurs ni moi-même, nous ne serions reconnus dans un discours moins ambitieux que celui-là ».\\n\\nArrivées : Gilles Duro (Aubenas, N1), Curtis Larousse (espoir CCRB)\\n\\nDéparts : Alexis Desespringalle (Quimper), Charles Galliou, Stéphane Gombauld (Chartres), Elias Kherzane (Le Havre, N1)\\n\\nEffectif 2018-2019 : Maurice Acker, Gilles Duro, Marcos Suka-Umu, Maël Lebrun, Florent Tortosa, Thomas Ceci-Diop, Curtis Larousse Rakeem Buckles, Nicolas Taccoen, Cory Remekun\\n\\nCoach : Jean-Marc Dupraz Assistant : Maxime Bézin, Tony Dorangeville\\n\\nCinq majeur probable : Maurice Acker, Marcos Suka Umu, Florent Tortosa, Rakeem Buckles, Nicolas Taccoen\\n\\n[armelse]\\n\\nA l’image de Blois, le LMBC est l’un des bons exemples de la division, un club qui se structure et qui franchit les étapes à son rythme dans le but de monter un jour dans cette Jeep tant convoitée. Troisièmes de la saison régulière en 2016 mais sortis au premier tour des Playoffs, les Lillois (cinquièmes en 2017-2018) ont cette fois atteint les demi-finales, perdant avec les honneurs face à Roanne au terme d’une série en trois manches complètement folle. Autre bon signe, la formation de Jean-Marc Dupraz a joué la carte de la stabilité cette saison, comme Fos-sur-Mer a pu le faire ces dernières années avec un certain succès. Comment pouvait-il en être autrement ? Le groupe ayant donné satisfaction à son coach. Celui a tout de même ajusté son effectif à petites doses, intégrant un meneur confirmé qui va découvrir la division (Gilles Duro en provenance d’Aubenas en N1) et un jeune intérieur de 19 ans pour faire le 10e homme (Curtis Larousse, ex-espoir au CCRB). 10 et non pas 12, comme l’an dernier et c’est peut-être là le principal changement cette saison pour le LMBC qui comptait 12 joueurs dans son roster la saison dernière.\\n\\n« Durant l’intersaison, on s’est dit que le fait d’avoir été 12, ça nous a pas mal apporté mais pas ce qu’on attendait, c’est à dire la montée, puisqu’on voulait aller au bout.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Christophe Delrue/Lille Metropole Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde 3×3 U23: La France qualifiée pour les demi-finales"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de France U23 s’est qualifiée, ce matin à Xi’an en Chine, pour les demi-finales de la Coupe du monde 3×3 en battant l’Ukraine, 19-17. Elle sera opposée à la Lettonie.\\n\\nElle est composée de Florian Fortas, Charly Pontens, Mickaël Regina et Franck Segula.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Ligue Féminine 2018-19 – Mondeville: Roulez jeunesse !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Ligue Féminine débute les 13 et 14 octobre avec l’Open de Paris et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur deux joueuses à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment) et vous pouvez commander le Guide en version papier sur notre boutique.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDepuis le départ d’Hervé Coudray en 2013 et la promotion de Romain L’Hermitte sur le banc de l’Union Sportive Ouvrière de Mondeville, le club rouge et blanc a retrouvé son identité première : la formation ! « C’est notre façon de fonctionner, même si le rôle de nos joueuses cadres est également primordial », explique Romain L’Hermitte. « On travaille la performance, mais aussi la compréhension et l’accompagnement de nos jeunes. C’est le plus important. L’objectif global, c’est de mettre un maximum de nos joueuses en équipes de France. On veut être l’institution de formation de la Ligue Féminine ».\\n\\nCertes, les Normandes ont perdu quelques places dans la hiérarchie et se sont éloignées des joutes européennes (quatre participations à l’Euroleague entre 2006 et 2011), mais le public de la Halle-Bérégovoy peut être fier d’avoir vu progresser une classe biberon qui va faire le bonheur des Bleues pendant de longues années. L’histoire retiendra en effet que c’est à Mondeville que Marine « made in Pont-l’Evêque » Johannès, Marième Badiane et Lisa Berkani se sont révélées en professionnelles.\\n\\nLe départ de Lisa Berkani vers Bourges offre à la relève une belle opportunité de reprendre le flambeau. Les « prospects » ne manquent pas cette année encore, entre Ewl Guennoc et Kenza Salgues sur les postes arrières, Louise Bussière sur les ailes ou encore le quatuor Myriam Djekoundadé-Camille Hirigoyen-Prescilla Colombo-Ana Tadic dans la raquette. A leur tour de briller !\\n\\nPour ce qui est de l’expérience, le club mondevillais pourra s’appuyer sur un trio bien connu des parquets de LFB et dont la fiabilité n’est plus à prouver. L’internationale canadienne Shona Thorburn a ainsi rejoint sa compatriote Kim Gaucher pour former avec Kristen Mann une triplette étrangère des plus solides.\\n\\nAvec le plus petit budget du championnat, il sera avant tout question de maintien. Si possible sans passer par la case Playdowns comme ce fut le cas la saison dernière. Pourvu que la relève pousse et que le groupe progresse. Roulez jeunesse !\\n\\nEwl Guennoc\\n\\nLa génération qui ne doute pas ! La meneuse de jeu de 17 ans franchit les étapes à une vitesse folle. Fraîchement auréolée d’une médaille d’argent au championnat du monde U17, Ewl Guennoc va hériter de belles responsabilités à la rentrée. « Elle en a déjà eu beaucoup et l’arrivée de Shona Thorburn ne fera que l’accompagner en ce sens, dans la gestion notamment », tempère son entraîneur. Il s’agira notamment de compenser le départ de Lisa Berkani, un pari osé qu’elle a déjà tenu la saison passée par séquences. Alors âgée de 16 ans à peine, la pépite bretonne, d’une précocité déconcertante, avait marqué les esprits par sa vision de jeu et son agressivité. Contre Villeneuve d’Ascq notamment, le 19 novembre 2017, cumulant 10 points, 3 passes décisives pour 14 d’évaluation). « Elle devra être capable de rentrer en cours de match et d’être agressive tout en faisant jouer son équipe. Elle aborde cette saison avec une grande confiance et on sait tout le culot qu’elle peut avoir », poursuit Romain L’Hermitte. La nouvelle pépite de l’USOM sera accompagnée par Kenza Salgues pour concurrencer Shona Thorburn au poste 1. Avec Ewl Guennoc, la relève frappe déjà à la porte !\\n\\nKristen Mann\\n\\nLibérée par la Roche Vendée en décembre, l’ailière américaine a retrouvé un second souffle à son arrivée à Mondeville, en février dernier, remplaçant au pied levé l’Australienne Stéphanie Talbot et participant activement au maintien du club en LFB. Mieux, Kristen Mann a réalisé une fin de saison impressionnante d’un point de vue statistique, tournant à 12,7 points, 5,2 rebonds et 3,2 passes décisives pour 15,1 dévaluation en moyenne sur les 13 derniers matchs. Mais c’est aussi dans sa capacité à tirer le reste du groupe vers le haut qu’elle a marqué des points auprès de Romain L’Hermitte alors à la recherche de cadres dignes de ce rang. De quoi nourrir une envie commune de poursuivre l’aventure. Sa présence offre de nombreuses garanties à son entraîneur : de l’expérience et de la polyvalence sur les postes 3 et 4 mais aussi une certaine idée du leadership, un rôle qu’elle partagera avec Shona Thorburn et Kim Gaucher pour la septième saison en France et peut être la dernière de cette joueuse, également chanteuse, compositrice et musicienne pour son groupe nommé « Sapphica ».\\n\\nL’effectif de Mondeville est disponible ici.\\n\\n[armelse]\\n\\nDepuis le départ d’Hervé Coudray en 2013 et la promotion de Romain L’Hermitte sur le banc de l’Union Sportive Ouvrière de Mondeville, le club rouge et blanc a retrouvé son identité première : la formation ! « C’est notre façon de fonctionner, même si le rôle de nos joueuses cadres est également primordial », explique Romain L’Hermitte. « On travaille la performance, mais aussi la compréhension et l’accompagnement de nos jeunes. C’est le plus important. L’objectif global, c’est de mettre un maximum de nos joueuses en équipes de France. On veut être l’institution de formation de la Ligue Féminine ».\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Ewl Guennoc et Kim Gaucher (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Théo Maledon (Villeurbanne), 15 points et 22 d’évaluation à 17 ans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’évidence, il y a une marge entre l’escouade de LDLC ASVEL et le promu Fos-sur-mer, même quand Livio Jean-Charles, Alpha Kaba et DeMarcus Nelson, victime d’une chute à l’entraînement, font défaut aux Villeurbannais. Les Provençaux sont repartis chez eux avec une « douloureuse »: 64-88.\\n\\nL’homme du match est un adolescent de 17 ans -il les a eus le 12 juin-, le meneur Théo Maledon auteur de 15 points à 6/7 aux tirs, 4 rebonds, 4 passes, 1 interception pour 22 d’évaluation en 22 minutes.\\n\\n« Faire ce qu’il fait, à son aussi jeune âge, c’est impressionnant ! » a commenté son adversaire direct du soir, Edouard Choquet limité à 3 points et 9 d’éval.\\n\\nVice-champion du monde U17 cet été, Théo Maledon rentre sans frayeur dans le milieu des adultes. En 4 matches, il en est ainsi à 6,5 points, 3,0 rebonds et 2,5 passes. Les débuts de ses compagnons d’arme cet été en Argentine sont plus timides. Avec Cholet, qui est bon dernier, Killian Hayes, qui est très attendu, se contente de 4,7 points et 2,2 passes, alors que Malcolm Cazalon en est à 0,6 point et 0,3 rebond avec Bourg.\\n\\nPhoto: ASVEL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Pro B 2018-19 – Gries-Oberhoffen – Ludovic Pouillard: «Cette culture de jeu peut exister»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la Leaders Cup en guise de tour de chauffe, le championnat 2018/19 de Pro B débute le 12 octobre et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur un joueur à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment).\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nGries-Oberhoffen sera la belle histoire de cette saison en Pro B. L’ascension fulgurante de ce petit club alsacien passé de la N2 à l’antichambre du basket français est notamment l’œuvre de son coach, Ludovic Pouillard, dont la philosophie de jeu est résolument tournée vers l’offensive. Avec la culture de jeu espagnole comme philosophie, son collectif a brillé de mille feux la saison dernière. Avec 31 victoires pour seulement 3 défaites, Gries-Oberhoffen a ainsi battu le record de Monaco en 2014, aucun club n’ayant concédé aussi peu de revers sur une saison en Nationale 1.\\n\\nC’est avec le même état d’esprit, la même volonté de jouer « up-tempo » de la première à la dernière seconde que Gries-Oberhoffen va attaquer sa nouvelle aventure. « On nous promet l’enfer, on verra bien », assure coach Pouillard, prêt à relever un défi fou, celui de participer à la révolution en marche d’un nouveau basket, plus offensif, plus spectaculaire, plus ambitieux.\\n\\nLudovic Pouillart, avez-réalisé que vous avez marqué l’histoire de la Nationale 1 la saison dernière et que votre performance ne sera peut-être jamais égalée ?\\n\\nAu quotidien, on ne s’en aperçoit pas forcément. Même l’année dernière, on nous le disait : « C’est historique », mais ça n’allait pas au delà de ça. On s’en est rendu compte avec les joueurs qui sont arrivés cette année. C’est souvent les premiers à m’en parler. Ça a marqué les esprits. Ils nous disent qu’on a fait un truc énorme, et c’est comme ça qu’on le réalise. Après, je suis quelqu’un d’assez terre-à-terre. Et quand je suis arrivé à l’entraînement cette saison, je n’y pensais déjà plus. Je suis surtout concentré sur le présent. Je ne veux pas vivre dans cette nostalgie de la saison dernière où on a proposé un niveau de jeu qui était très bon et être sans arrêt dans la comparaison avec. Ce qu’on a fait, c’est génial. On a vécu une saison merveilleuse et je n’en revivrai peut-être plus une comme ça de toute ma vie. On a essayé d’en profiter un petit peu cet été. Mais il faut absolument se concentrer sur la saison qui arrive, passer à autre chose.\\n\\nS’il ne devait en rester qu’un, quel match retiendrez de cette folle saison en NM1 ?\\n\\nSaint-Vallier chez nous je pense (66-60, le 17 mars dernier). Parce que c’est celui qui nous a fait changer de statut. Tant qu’on n’avait pas battu Saint-Vallier, les gens pensaient qu’on allait craquer. Toute la saison, on a entendu, « Gries c’est bien, c’est beau ce qu’ils font mais ça ne va pas tenir ». Au mois de janvier on ne perdait pas le fil, mais on ne nous voyait pas poursuivre comme ça. Le jour où on a joué Saint-Vallier, on était toujours qu’à deux défaites alors qu’eux commençaient déjà à lâcher du terrain. Le match a été rempli d’engagement, d’intensité, un vrai match d’hommes. Et ce jour-là, après la victoire face à un ogre du championnat, on a senti cette crédibilité, ce regard extérieur qui a changé et que notre saison était entrain de basculer. On est passé de, « on va s’essouffler » à « c’est bon c’est eux qui montent ». Du jour au lendemain, alors qu’il restait encore 9 matchs. Il a fallu 40 minutes pour basculer de l’autre côté. Ça va vite quand même ! Alors que moi j’étais même plus que méfiant par rapport au match d’après et à juste titre puisqu’on en a pris 30 à saint-Quentin dans une ambiance de folie. Paradoxalement même si on perd là-bas avec un bel écart ça reste aussi un super souvenir, dans une salle pleine, 4 000 personnes et plus une place à vendre. Mais le match contre Saint-Vallier reste particulier. Ce qui m’a marqué aussi, c’est qu’après ce match, il y avait des agents qui m’appelaient pour me dire qu’on leur demandait davantage de joueurs espagnols, ce qui était plutôt rare d’habitude. Là aussi, ça a marqué un peu l’histoire. Il y a eu des coachs qui se sont dits : « On va aller chercher d’autres joueurs », différents du stéréotype qui était recherché habituellement : Américain, très fort dans le duel, très costaud. On a rouvert cette porte du basket de vitesse, d’intelligence, d’adresse. Et ça marche, alors qu’on nous prédisait l’inverse au début. C’est le cas aussi en Pro B. On nous promet l’enfer, qu’on va se faire dominer physiquement. On verra. L’année dernière, on nous pronostiquait 12e de N1. J’aime bien, j’essaie de m’en servir aussi. Pour la prépa, c’est motivant.\\n\\nQuel était l’objectif de cette intersaison ?\\n\\nIl y avait deux priorités. La première était de conserver les cadres : nos deux joueurs espagnols (Xavier Forcada et Asier Zengotitabengoa) et Romain Hillotte. Ce trio devait former la base que je voulais absolument garder. Je voulais également garder Glenn Duro, un garçon que je connais depuis 12 ans et qui incarne vraiment ce que j’aime bien. On a pu pour les trois premiers, pas pour le quatrième. Et quand je vois la situation dans laquelle il se retrouve (retour à Brissac), ça m’attriste encore plus. La deuxième étape était de bonifier notre identité de jeu, ce style de basket. J’en ai tiré quelques enseignements la saison passée et Demon Watt, que j’adore comme joueur, me semblait un peu juste pour jouer en poste 5 en Pro B. Le reste, ça a été un puzzle composé avec cette ligne directrice de vouloir bonifier notre style de basket avec des joueurs capables de l’incarner.\\n\\nLe bilan est satisfaisant ?\\n\\nOn garde quatre joueurs sur onze avec Noé Schott qui a commencé à prendre un peu de temps de jeu. Il rentrait dans les U23 et je voulais absolument lui donner un contrat pro cette année. L’équipe repart reconstruite à 70%, mais c’était déjà le cas l’année dernière où je n’avais pu garder qu’un joueur après notre super saison et c’est ce qui a rendu notre montée en Pro B d’autant plus belle, après être reparti d’une feuille blanche. Là, c’est encore un cran au dessus. A nous de construire et de faire évoluer ce nouveau groupe.\\n\\nComment on gère ces étés mouvementés ?\\n\\nC’est le lot des petites équipes, à faible budget. Quand tu réalises de belles saisons c’est très compliqué de garder tes joueurs parce qu’ils sont énormément sollicités. Mais c’est aussi valorisant pour un entraîneur et un joueur de partir d’un point A et de progresser jusqu’au plus haut-niveau. J’ai conscience aussi d’une chose vis à vis des joueurs et il m’arrive de le leur dire : ils ne m’appartiennent pas. Je fais le maximum avec eux pour qu’ils progressent le plus possible, mais je reste lucide sur le monde du sport professionnel et du basket en l’occurrence, pour des joueurs qui ont des carrières de 10-15 ans et qui vont peut-être bien gagner leur vie pendant 5-6 ans. Je peux comprendre certains choix. J’ai appris à faire avec même si j’appréhende souvent mes fins de saison. Parce qu’on est souvent pillés et que ce n’est jamais facile de repartir à zéro.\\n\\nAu niveau des arrivées, on note celles d’Olivier Cortale, Ywen Smock et Gide Noël, trois beaux gabarits. C’était également une priorité, de se renforcer dans ce secteur ?\\n\\nC’est ça. Il y a surtout le fait que le secteur intérieur représentait notre point faible la saison passée. On était souvent dominés sur le poste bas et dans la raquette, notamment lors de nos trois défaites contre Rueil, Saint-Quentin et Saint-Vallier. On avait été ultra-dominés. Il nous fallait plus de densité car le niveau athlétique de la Pro B est encore un peu plus haut. Je voulais de la taille mais garder aussi de la mobilité. Olivier et Ywen le représentent à la perfection. Ils peuvent être physiques mais aussi très mobiles et capables de shooter à l’extérieur. C’était aussi important, afin de bonifier notre jeu offensif. Je voulais aussi responsabiliser des jeunes joueurs français. Ils savent qu’avec moi, ils ne sont pas considérés comme des U23 ans mais des joueurs à part entière, avec des responsabilités. Quant à Gide, c’est un garçon que je connais depuis pas mal d’années. Je l’avais eu sur le camp de Nando De Colo il y a six ans. Pour moi, c’est le profil parfait pour coller à ce qu’on propose, pas très verticale mais très intelligent, de bonnes mains, il peut shooter de loin, il comprend très vite le basket. Ça m’a semblé comme une évidence quand j’ai vu que je pouvais le faire venir. Vu que financièrement je ne pouvais pas me permettre de doubler les postes, il fallait être malin par rapport aux caractéristiques des garçons.\\n\\nVous avez perdu Ludovic Negrobar en revanche (parti à Nantes), un intérieur dont le profil correspondait bien avec votre style. Un regret ?\\n\\nIl collait parfaitement à notre jeu, il s’entendait hyper bien avec notre meneur de jeu espagnol, Xavier Forcada. Oui, c’est un regret. Quand je l’ai récupéré il y a un an, il devait jouer en N2. Il n’avait pas 36 000 offres en Nationale 1. Il a fait une très belle saison et je voulais qu’on continue à travailler ensemble. Au fond, ce n’est peut-être pas lui mais plus ses représentants qui ont eu cette volonté de le mettre dans une plus grosse structure que la nôtre en Pro B. J’ai très vite compris que ça allait être difficile de le garder et je ne me suis pas trop trompé. Au final, tout n’a pas été très clean mais c’est la trêve qui est comme ça. Ça reste un regret, parce que je pense qu’il aurait pu encore énormément progresser dans notre projet de jeu, s’éclater pour une première année en Pro B. Après, j’aurais tout à fait compris qu’il parte. Ça a été un coup dur, mais je l’avais senti relativement vite. Aujourd’hui, je suis quand même content d’avoir récupéré Olivier Cortale. Dès le lendemain de la décision de Ludovic, je me suis dirigé vers lui. A 20 ans, c’est un formidable joueur. Il a du basket plein les mains, plein la tête.\\n\\nC’est la polyvalence d’Olivier Cortale qui vous a attiré ?\\n\\nIl correspondait tout à fait à ce qu’on recherchait. Des mains extras, un tir extérieur, il peut bouger comme un joueur de moins de deux mètres... Il peut shooter, une vraie qualité de passe, il est assez mature pour son âge et c’est aussi quelqu’un d’hyper intelligent. Un gros QI Basket qu’il avait déjà à l’Insep, qu’il a cultivé à la Sig avec Vincent Collet. Il est également intéressant parce qu’il aime attaquer. Il a la palette offensive d’un vrai attaquant. Je suis allé voir trois matchs de la Sig mais je n’avais pas pu le voir à l’œuvre. Il y avait aussi ce challenge là qui pouvait nous intéresser tous les deux, de l’aider à franchir la barre de monde professionnel.\\n\\nQuel va être son rôle cette saison ?\\n\\nLe but, c’est de montrer que c’est un bon joueur de basket, qu’il est performant et qu’il a les qualités pour jouer en Jeep ELITE. Je n’aime pas enfermer les joueurs dans des cases. Tu construis des murs. Et si le garçon va plus haut, tu es bloqué derrière. Il y a une base, s’adapter au projet collectif, un seuil minimum de performance à respecter. Un bon comportement et du travail. Le max, c’est à eux de le fixer et à nous de les aider pour y arriver. On a beaucoup travaillé pendant la prépa. Ça a parfois été dur mais ils en tireront profit pendant la saison. Le travail finit toujours par payer.\\n\\nQu’est ce qui caractérise votre identité ?\\n\\nElle se base beaucoup sur l’agressivité, de la vitesse d’exécution. On dit souvent de nous qu’on accélère le tempo et ça a été notre force, d’être capable de mettre des gros runs. Il y a aussi l’adresse et le QI Basket. J’aime mettre beaucoup de joueurs qui ont cette caractéristique. Où le ballon a peu besoin de toucher le sol. La saison dernière, on avait cette identité très forte. A nous de la bonifier cette année et d’exploiter encore plus punition de la moindre erreur de l’adversaire.\\n\\nPeut-on dire que Chartres, l’autre promu, a un style similaire au votre dans l’utilisation du tempo ?\\n\\nChartres a aussi cette culture de vitesse, portée sur l’attaque. Mais c’est une équipe beaucoup plus lourde que nous, avec des intérieurs plus pesants et plus de puissance que nous globalement. Ils avaient beaucoup de qualités individuelles avec l’un des meilleurs meneurs, Olivier Romain, qui n’avait rien à faire en N1 et qui va montrer qu’il a largement le niveau de la Pro B. Et à l’intérieur, on n’avait pas ces quatre joueurs interchangeables très physiques. La principale différence, c’est que Chartres ne pratiquait pas le même jeu à l’extérieur, où ils pouvaient jouer davantage sur demi-terrain, avec cet impact, En tout cas on a vu sur la Leaders Cup que c’était encore une équipe qui allait marquer beaucoup de points cette saison.\\n\\nCette promotion de deux équipes dites offensives, est-ce le fruit du hasard ou de quelque chose de plus profond ?\\n\\nJ’espère que ce sera révélateur d’une vraie tendance. Je l’ai dit la saison dernière, j’étais super content que Chartres soit monté et que deux des trois meilleures attaques de N1 soient récompensées. Je pense que ça peut contribuer à faire évoluer les mentalités sur le sujet. Aujourd’hui, on est en perpétuel mouvement en terme de règlement, qui bouge tout le temps. Je trouve qu’il favorise de plus en plus les attaques. C’est dommage de ne pas s’en servir pour essayer de promouvoir ce jeu offensif. Les gens viennent aussi voir un spectacle et mêmes les joueurs prennent du plaisir. Bien entendu qu’il faut conserver un bon équilibre avec la défense même si j’estime qu’elle n’était pas en dessous des autres la saison dernière (...). Forcément, quand tu shootes 15 tirs de plus que la moyenne, tu dois t’attendre à défendre 15 possessions de plus et encaisser plus de points mathématiquement. Ça ne veut pas dire que tu n’es pas bon en défense. Tout dépend du pourcentage que tu donnes à cet adversaire. Le chiffre référence sur 100 possessions sera peut-être plus facile à trouver en Pro B. Au lieu de parler de défense, on parle de tempo. Est ce que le tempo lent est plus efficace que le rapide ? On va voir. Notre premier match de Leaders Cup nous a en tout cas renforcé dans nos convictions. A Nancy, qui sera sûrement une top équipe de Pro B, on a pu jouer les yeux dans les yeux au niveau du tempo. On a encore beaucoup de travail, mais cette culture de jeu peut exister.\\n\\nOn parle d’identité, le fait que vous n’ayez qu’un seul joueur américain rappelle le passage de Souffelweyersheim en Pro B. La aussi, c’est une réelle conviction ?\\n\\nTout à fait. Je n’ai rien contre les joueurs américains. Mais quand tu en prends, tu sais dans quoi tu t’engages. Ce sont des joueurs qui arrivent avec des convictions très fortes et ma culture est davantage européenne. C’était une volonté, d’ailleurs le joueur américain que je suis allé chercher, Mike Miklusak, évoluait en Hollande et son style se rapproche beaucoup plus du style de jeu européen. Il a davantage besoin d’un collectif autour de lui. J’ai deux joueurs espagnols, ce n’est pas le fruit du hasard non plus. Je suis assez fan de leur jeu. Après, on n’a pas la puissance financière pour attirer des joueurs comme Yunio Barrueta ou Anthony Goods des profils que j’aime beaucoup, mais si je pouvais un jour les entraîner, ce serait avec plaisir ! (rires) Je ne suis pas réfractaire aux joueurs US, c’est juste une question d’identité de jeu.\\n\\nQuel va est l’objectif de la saison ?\\n\\nBien évidemment, on vise le maintien. C’est la priorité. Après, on verra si notre façon de jouer nous offres plus de possibilités. En tout cas, on gardera nos idéaux quoiqu’il arrive. Je ne renierai pas cette façon de jouer et on va tout faire pour faire bonne figure.\\n\\nArrivées : Olivier Cortale (Strasbourg), Mike Miklusak (Den Bosch, Pays-Bas), Frédéric Loubaki (Lorient, N1), Gide Noel (Aix-Maurienne), Yann Siegwarth (SAP Vaucluse Sorgues, N1), Zygimantas Skucas (Liatkebelis Panevezys), Ywen Smock (Denain)\\n\\nDéparts : Simon Crétaux (Orchies, N1), Rony Delar (Lons-le-Saunier, N2), Glenn Duro (Brissac, N1), Ludovic Negrobar (Nantes), Oumarou Sylla (Challans, N1), Demond Watt (Le Havre, N1)\\n\\nEffectif 2018-2019 : Xavier Forcada, Yann Siegwarth, Frédéric Loubaki, Asier Zengotitabengoa, Noé Schott, Romain Hillotte, Zygimantas Skucas, Gide Noel, Ywen Smock, Olivier Cortale\\n\\nCoach : Ludovic Pouillard Assistant : Maxime Bureau\\n\\nCinq majeur probable : Xavier Forcada, Romain Hillotte, Asier Zengotitabengoa, Gide Noel, Olivier Cortale\\n\\n[armelse]\\n\\nGries-Oberhoffen sera la belle histoire de cette saison en Pro B. L’ascension fulgurante de ce petit club alsacien passé de la N2 à l’antichambre du basket français est notamment l’œuvre de son coach, Ludovic Pouillard, dont la philosophie de jeu est résolument tournée vers l’offensive. Avec la culture de jeu espagnole comme philosophie, son collectif a brillé de mille feux la saison dernière. Avec 31 victoires pour seulement 3 défaites, Gries-Oberhoffen a ainsi battu le record de Monaco en 2014, aucun club n’ayant concédé aussi peu de revers sur une saison en Nationale 1.\\n\\nC’est avec le même état d’esprit, la même volonté de jouer « up-tempo » de la première à la dernière seconde que Gries-Oberhoffen va attaquer sa nouvelle aventure. « On nous promet l’enfer, on verra bien », assure coach Pouillard, prêt à relever un défi fou, celui de participer à la révolution en marche d’un nouveau basket, plus offensif, plus spectaculaire, plus ambitieux.\\n\\nLudovic Pouillart, avez-réalisé que vous avez marqué l’histoire de la Nationale 1 la saison dernière et que votre performance ne sera peut-être jamais égalée ?\\n\\nAu quotidien, on ne s’en aperçoit pas forcément. Même l’année dernière, on nous le disait : « C’est historique », mais ça n’allait pas au delà de ça. On s’en est rendu compte avec les joueurs qui sont arrivés cette année. C’est souvent les premiers à m’en parler. Ça a marqué les esprits. Ils nous disent qu’on a fait un truc énorme, et c’est comme ça qu’on le réalise. Après, je suis quelqu’un d’assez terre-à-terre. Et quand je suis arrivé à l’entraînement cette saison, je n’y pensais déjà plus. Je suis surtout concentré sur le présent. Je ne veux pas vivre dans cette nostalgie de la saison dernière où on a proposé un niveau de jeu qui était très bon et être sans arrêt dans la comparaison avec. Ce qu’on a fait, c’est génial. On a vécu une saison merveilleuse et je n’en revivrai peut-être plus une comme ça de toute ma vie. On a essayé d’en profiter un petit peu cet été. Mais il faut absolument se concentrer sur la saison qui arrive, passer à autre chose.\\n\\nS’il ne devait en rester qu’un, quel match retiendrez de cette folle saison en NM1 ?\\n\\nSaint-Vallier chez nous je pense (66-60, le 17 mars dernier). Parce que c’est celui qui nous a fait changer de statut. Tant qu’on n’avait pas battu Saint-Vallier, les gens pensaient qu’on allait craquer. Toute la saison, on a entendu, « Gries c’est bien, c’est beau ce qu’ils font mais ça ne va pas tenir ». Au mois de janvier on ne perdait pas le fil, mais on ne nous voyait pas poursuivre comme ça. Le jour où on a joué Saint-Vallier, on était toujours qu’à deux défaites alors qu’eux commençaient déjà à lâcher du terrain. Le match a été rempli d’engagement, d’intensité, un vrai match d’hommes. Et ce jour-là, après la victoire face à un ogre du championnat, on a senti cette crédibilité, ce regard extérieur qui a changé et que notre saison était entrain de basculer. On est passé de, « on va s’essouffler » à « c’est bon c’est eux qui montent ».\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : BC Gries Oberhoffen"
}, 
{"role": "user",     "content":"-69: Nantes-Rezé a pris une dégelée par Lattes-Montpellier au Pré-Open féminin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"105 à 36. C’est un score très rare au XXIe siècle entre deux équipes de Ligue Féminine. Il s’agit du résultat hier soir au Pré-Open entre Lattes-Montpellier et Nantes-Rezé.\\n\\nCet écart de 69 points s’explique par la qualité du roster du club de l’Hérault et si c’est Helena Ciak (21 points et 7 rebonds) qui s’est le plus régalée, c’est tout le collectif qui s’en est donné à coeur joie avec un 50 à 33 au rebond ou encore 14 interceptions. A l’inverse, les Nantaises n’ont converti que 16 de leurs 61 shoots avec notamment un 2/19 à trois-points.\\n\\nUne circonstance atténuante tout de même. Quatre des cadres nantaises -Ana Suarez, Qwedia Wallace, Michaela Stejskalova et Maud Medenou- avaient été remis au repos.\\n\\nOn verra le week-end prochain lors de l’Open à Paris s’il s’agit d’un simple incident de début de saison. Ou pas."
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du Monde 3×3 U23: Pas de médaille pour les Bleus"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Parvenue dans le dernier carré de la Coupe du Monde 3×3 U23 grâce à une victoire sur l’Ukraine (19-17), l’équipe de France ne rapportera pas de médaille de Chine. Après avoir été vaincus en demi-finale par la Lettonie (14-21), les Bleus ont échoué d’un rien contre la Hongrie pour le bronze (14-15).\\n\\nPhoto: Charly Pontens (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\nMadness in OT 😲 France play their 2nd overtime in a row and come out winners with the @TISSOT Buzzer Beater 🇫🇷 #3x3U23 pic.twitter.com/Szzt78zQk4\\n\\n\\n— FIBA3x3 (@FIBA3x3) October 7, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Liga ACB : Fabien Causeur gagne quand Louis Labeyrie se blesse"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mise à jour : selon Sportando, Louis Labeyrie va bien manquer un peu de temps après sa blessure. En l’occurrence, l’ailier français va devoir observer une dizaine de jours de repos après une blessure (une distension) dans l’adducteur de sa jambe gauche.\\n\\nAprès les débuts très attendus de Kevin Séraphin, la deuxième journée de Liga ACB s’est poursuivie avec deux beaux matchs, dont la deuxième victoire du Real Madrid d’un très bon Fabien Causeur à 12 points contre Valence (88-70).\\n\\nLes madrilènes ont fait le break en 3e quart, dans lequel ils ont passé un violent 21-5 à Valence. Sergio Llull (17 points, 6 passes) a poussé le vice jusqu’à réussir un tir à trois points sur un pied, et sur le buzzer ! Le Real a pu compter sur une attaque bien équilibré, avec 6 joueurs en double figure.\\n\\nEn face, Louis Labeyrie a dû sortir en 2e quart après avoir ressenti une gêne à la jambe gauche. On espère que ce n’est qu’un mauvais coup pour l’international tricolore qui s’intègre bien à Valence.\\n\\nAndrew Albicy et Andorre ont également vaincu Badalone (75-65). Le meneur français a cumulé 6 points, 3 interceptions et 2 passes dans la 2e victoire de son équipe. Andorre fait ainsi partie du groupe de cinq clubs encore invaincus avec le Real, le Barça, Malaga et Obradoiro."
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde 3×3 U18: Les Bleus en quart, les Bleues éliminées"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de France masculine s’est qualifiée pour les quarts-de-finale de la Coupe du Monde 3×3 U23, qui se tient actuellement à Xi’an, en Chine.\\n\\nBien que battus par la Russie, les Bleus ont réussi à s’inscrire dans le top 8 avec une victoire en prolongation sur les Pays-Bas. Ils affronteront demain l’Ukraine en quart.\\n\\nEn revanche, les filles n’ont pas eu le coup de pouce de la réussite puisqu’elles ont été battus au buzzer par le Japon et l’Argentine et sont donc éliminées de la compétition.\\n\\nOn peut constater sur la vidéo qu’une qualification, ça tient parfois à trois fois rien...\\n\\nJeudi 4 octobre\\nFemmes : France – Mongolie : 22-6\\nFemmes : France – République Tchèque : 21-10\\nHommes : France – Kirghizistan : 22-4\\nHommes : Egypte – France : 10-22\\n\\nSamedi 6 octobre\\nFemmes : Japon – France : 11-10\\nFemmes : Argentine – France : 16-15\\nHommes : France – Russie : 17-21\\nHommes : Pays-Bas – France : 14-16 a.p.\\n\\nDimanche 7 octobre\\nHommes – 7h25 : France-Ukraine\\n\\nPhoto: Charly Pontens (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans: Retour de Terry Tarpey face au Portel"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Absent des parquets depuis le 14 avril à Pau, Terry Tarpey (1,96m, 24 ans) va faire son retour dans l’effectif du Mans ce soir contre Le Portel.\\n\\nLe Franco-Américain, qui est désormais sous contrat avec le MSB jusqu’en 2022, avait été blessé au genou, était revenu en condition, mais c’est une blessure aux ischio-jambiers qui a différé son retour.\\n\\n« Il ne peut pas encore apporter sur de très longues séquences de jeu. Mais il apportera, quand il sera sur le terrain, de l’énergie en défense. C’est une rotation supplémentaire même si on sait qu’il ne peut pas jouer vingt ou vingt-cinq minutes, » a indiqué le coach Eric Bartecheky à Ouest France."
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Pro B 2018-19 – Evreux: A l’heure du juste choix"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la Leaders Cup en guise de tour de chauffe, le championnat 2018/19 de Pro B débute le 12 octobre et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur un joueur à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment).\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nC’est le lot de plusieurs équipes : chaque année, des paris sur certains joueurs US se transforment en saison cauchemar pour celles qui ont misé sur le mauvais cheval. Ça a été le cas pour Quimper, qui a su modifier son roster au fil de l’année pour se sauver au final. Evreux en a aussi fait les frais, miné l’an passé par le choix de son meneur de jeu. Finaliste des Playoffs 2016, demi-finaliste en 2017, le club ébroïcien a vécu un épisode 2017-2018 inattendu. Mettre toute la responsabilité de cet échec sur le meneur rookie Xavier Moon serait réducteur, mais force est de constater que lorsque celui-ci a été remplacé par Jerrold Brooks en janvier dernier, la formation de Fabrice LeFrançois a montré un autre visage. Il a fallu du temps pour se remettre des dix défaites sur les quatorze premiers matchs. Mais à force d’application et de solidarité, Evreux a pu terminer à une honorable 9e place, se faisant chiper le dernier spot pour les Playoffs par Denain (qualifié grâce à sa victoire en Leaders Cup).\\n\\nPour envisager cette nouvelle saison sous de meilleurs auspices, l’ALM a recruté deux forts shooteurs (Antawn Scott et Frank Booker) pour former sa ligne arrière et une valeur sûre (Drake Reed) de retour dans une maison qu’il connaît bien.\\n\\n« L’idée c’était déjà de garder un maximum de joueurs dans la mesure de nos moyens et en sachant qu’on ne pouvait pas conserver Jerrold Brooks et Calebb Walker. L’objectif, c’était de construire une équipe complémentaire. Le résultat est plutôt intéressant. On a notamment ajouté un peu plus d’expérience sur le poste de meneur en la personne d’Antawn Scott, un joueur qui a été dominant aux Pays-Bas et en Finlande. Et puis on enregistre aussi le retour de Drake Reed dont on connaît bien la régularité et l’investissement au quotidien puisqu’il a joué ici pendant quatre saisons. On est satisfait, même si sur la prépa on a pris un peu de retard pour diverses raisons », explique Fabrice Lefrançois.\\n\\nA noter également l’arrivée de Romain Poinas (20 ans), ancien espoir en provenance de Monaco présenté comme un fort potentiel. Même s’il est toujours en phase d’apprentissage, le Marseillais arrive dans l’Eure avec pour but de lancer sa carrière en professionnelle (52 minutes disputées en Jeep ELITE avec Monaco). Enfin, il faudra patienter pour observer le retour en Pro B du pivot Kevin Dinal, victime d’une fracture du pied fin août. En attendant, son pigiste médical, Fabien Paschal (ex Le Havre), offre de belles garanties à l’équipe.\\n\\nLe joueur à suivre : Frank Booker\\n\\nAttention, sniper ! Dans un basket où l’adresse à 3 points prend de plus en plus d’importance, l’ALM Evreux aura du répondant en la matière cette saison alors qu’elle tournait à 32,8% d’adresse en la matière l’an dernier (16e de la division, juste devant Caen et Charleville-Mézières). Arrivé de South Carolina (NCAA) où il a bouclé son cursus universitaire (12,7 points à 41% à 3 points), 3,5 rebonds et 1,2 passe décisive en moins de 27 minutes par match), Frank Booker est « un gros bras » selon les dires de son nouvel entraîneur, doté d’une mécanique de tir ultra-rapide. « Il est ce qu’on appelle un « Three and D » aux Etats-Unis, à savoir gros défenseur et gros shooteur », poursuit-il. « Il ne fait pas que ça, il commence à développer pas mal de choses, c’est un joueur vraiment intéressant. Il possède un passeport islandais et il commence à toucher du doigt le niveau international puisque il a été appelé la saison dernière mais sa fac l’a empêché de se rendre au rassemblement en cours de saison. Il débutera au poste d’arrière. On compte s’appuyer dessus mais on va lui laisser le temps de prendre ses marques ».\\n\\nLes objectifs du club, par Fabrice Lefrançois :\\n\\n« Honnêtement, c’est encore un peu tôt pour le dire. Ce qui est sûr c’est que la division va encore être très homogène et qu’il va falloir se battre à tous les matchs. On va attendre encore un peu pour voir où on en est, où est ce qu’on pourrait se situer par rapport aux autres. Surtout, en ce qui concerne l’objectif principal, ce sont les joueurs eux-mêmes qui vont se le fixer. On veut vraiment les rendre acteurs de ce projet et de cette équipe. A eux de l’emmener le plus haut possible ».\\n\\nArrivées : Frank Booker (South Carolina, Etats-Unis), Kévin Dinal (Bourg-en-Bresse), Romain Poinas (Espoirs Monaco), Drake Reed (Saint-Vallier, N1), Antwan Scott (Keravnos, Chypre)\\n\\nDéparts : Soriah Bangura, Jerrold Brooks (Caen), Alexandre Gavrilovic, Rihards Kuksiks, Gytis Sirutavicius, Caleb Walker (Bruxelles, Belgique)\\n\\nEffectif 2018-2019 : Antwan Scott, Théo Léon, Frank Booker, Damien Bouquet, Drake Reed, Gary Michel, Romain Poinas, Steeve Ho You Fat, Ruphin Kayembe, Kévin Lavieille, Kevin Dinal\\n\\nCoach : Fabrice Lefrançois Assistant : Sylvain Grzanka\\n\\n[armelse]\\n\\nC’est le lot de plusieurs équipes : chaque année, des paris sur certains joueurs US se transforment en saison cauchemar pour celles qui ont misé sur le mauvais cheval. Ça a été le cas pour Quimper, qui a su modifier son roster au fil de l’année pour se sauver au final. Evreux en a aussi fait les frais, miné l’an passé par le choix de son meneur de jeu. Finaliste des Playoffs 2016, demi-finaliste en 2017, le club ébroïcien a vécu un épisode 2017-2018 inattendu. Mettre toute la responsabilité de cet échec sur le meneur rookie Xavier Moon serait réducteur, mais force est de constater que lorsque celui-ci a été remplacé par Jerrold Brooks en janvier dernier, la formation de Fabrice LeFrançois a montré un autre visage. Il a fallu du temps pour se remettre des dix défaites sur les quatorze premiers matchs.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Sabine De Leest/ALM Evreux"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ali Traoré (Strasbourg): 12/16 aux tirs à Antibes, 59,7% en carrière"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On sait que Ali Traoré (2,08m, 33 ans) est un finisseur hors pair, des deux mains. Il l’a prouvé avec brio hier soir à Antibes: 30 points à 12/16 aux tirs, plus 6 rebonds et 6 passes pour un énorme 37 d’évaluation.\\n\\nLa SIG se serait-telle sorti du piège antibois (86-81) sans Bomaye? Rien n’est moins sûr.\\n\\n« Par la force des choses on joue diminué », a rappelé le coach Vincent Collet en conférence de presse. « On n’a pas notre pivot depuis deux matches et le joueur que l’on attend n’est toujours pas là, à partir de là on joue avec une équipe qui est beaucoup moins complète qu’habituellement. Donc on doit en tenir compte. Dans ce contexte, la gestion du ballon est fondamentale. Ils sont revenus à 57 partout à un moment où j’avais fait souffler les cadres, mais on a très vite repris le large après. Ce soir nous étions très soucieux de donner un peu de repos à nos joueurs majeurs pour pouvoir avoir encore de l’essence pour le dernier quart-temps. Notre mauvaise entame de match est la conséquence de nos balles perdues qui leurs donnent des paniers faciles. Après on n’en perd plus, une seule en deuxième mi-temps, cela a permis de nous économiser et surtout de ne pas donner à l’adversaire des choses faciles. On s’est relâché un peu défensivement dans les cinq dernières minutes mais au final on fait 25 passes pour 6 balles perdues. Ce n’est pas souvent qu’on fait ce type de ratio. On doit bricoler actuellement mais on le fait très bien avec Ali. Mais ce n’est quand même pas le même jeu. »\\n\\nOn le sait, Strasbourg est privé de son géant Youssoupha Fall, n’a donc toujours pas son poste 4 étranger qui ne court pas les rues, et Jacques Alingue est out jusqu’à la fin de l’année. D’ailleurs c’est en tant que pigiste médical que Ali Traore est arrivé en Alsace.\\n\\nLa précision de Traore est légendaire. Il en est à 33/50 depuis le début de saison. Plus remarquable encore, il avait réalisé un 38/47 en playoffs la saison dernière sous le maillot de Monaco. Cela veut dire qu’il en est à 73,1% sur les 15 derniers matches!\\n\\nTout aussi impressionnant: en carrière en Pro A/Jeep Elite, il en est à 59,7% en 237 matches !\\n\\nPhoto: SIG\\n\\n\\n\\n\\nQuelle prestation de @bomaye12 ce soir sur le parquet des @SharksAntibes !\\n\\n\\n📽️Retrouvez en vidéo les 30 points inscrits par le pivot de la @sigstrasbourg ⤵️ pic.twitter.com/TXf0RRKX3q\\n\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) October 5, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Ligue Féminine 2018-19 – Lyon: L’an II de l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Ligue Féminine débute les 13 et 14 octobre avec l’Open de Paris et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur deux joueuses à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment) et vous pouvez commander le Guide en version papier sur notre boutique.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe club de la capitale des Gaules est tout spécialement exposé depuis que son président est Tony Parker, qui l’a associé à l’ASVEL, et qui lui a donné comme présidente déléguée, une femme, Marie-Sophie Obama. TP a décidé aussi l’un des coaches les plus réputés de la Ligue Féminine à rejoindre pour cinq ans le projet, Valéry Demory, qui était depuis dix ans à Montpellier qu’il a drivé deux fois au titre de champion de France. Après avoir épongé quelques dettes, l’actuel meneur de jeu des Charlotte Hornets a bâti un budget déjà conséquent et appelé à prendre encore plus de volume. En se qualifiant pour la demi-finale des playoffs et pour l’Eurocoupe, la fusée lyonnaise a atteint son premier objectif. Les expériences au palais des sports de Gerland ont attiré jusqu’à 6 000 spectateurs et prouvé qu’un potentiel populaire existe pour le basket féminin à Lyon.\\n\\nLa prochaine étape, c’est le top 3 national et une participation à l’Euroligue. Si le club n’a pas réussi à embaucher une internationale française de renom -espérée, Marine Johannès a préféré demeurer à Bourges-, il a recruté ce qu’il y a de mieux en France au niveau des étrangères avec la Canadienne Michelle Plouffe et la Brésilienne Clarissa Dos Santos, ex-Bourges et Charleville. « Je l’appelle mon petit pivot de Pro B. Un pivot de petite taille mais très mobile. Les objectifs sont élevées donc on ne peut pas se permettre de trop se tromper sur les étrangères », confie Valéry Demory. Avec l’Américaine Alysha Clark, solide joueuse d’Euroligue avec les Polonaises de Polkowice (15,3 points, 6,9 rebonds et 3,0 passes) et championne WNBA cet été avec le Seattle Storm (7,5 points, 3,4 rebonds en 26’, ce qui n’est pas rien), le coach lyonnais ne prend pas de risques. Tout comme il a choisi de faire venir auprès de lui Fati Sacko, le pendant au féminin de Florent Pietrus qu’il a déjà dirigé comme Ingrid Tanqueray à Montpellier. Lidija Turcinovic et plus encore la vice-championne du monde U17 Kendra Chery, un joueuse talentueuse et bosseuse, sont promis à un bel avenir. Au total, Valéry Demory dispose de six internationales de quatre pays différents, l’assurance d’avoir une équipe qui ne tremblera pas dans le money time.\\n\\nIngrid Tanqueray\\n\\nSon coach qui l’a eu sous sa direction deux saisons à Montpellier avec un titre de champion de France à la clé en 2014, la surnomme affectueusement « Petit Lutin ». La Normande est une meneuse de taille réduite très vive avec une adresse diabolique dans les tirs à longue distance -jusqu’à 47,3% de réussite à trois-points lors de sa première année à Bourges. Elle a un gros vécu derrière elle y compris un championnat du monde avec les Bleues en 2014. Arrivée entre Saône et Rhône l’été dernier alors que Bourges lui proposait de prolonger son contrat, elle est devenue meneuse titulaire (8,9 points, 6,7 passes et 3,1 rebonds)mais a été victime d’une rupture du ligament croisé du genou droit en décembre. « Physiquement, elle est à 85% de ce qu’elle peut faire et c’est déjà bien. Elle a bien bossé. Elle est très sérieuse, très professionnelle. Elle est récompensée de son travail. Elle est déjà prête », rassure son coach.\\n\\nMichelle Plouffe\\n\\nSœur jumelle de la Berruyère Katherine. Elle avait choisi d’effectuer sa formation à l’université d’Utah alors que Katherine était à Marquette et leur aînée Andrea à Washington. Sa première destination pour sa carrière professionnelle a été la France avec Arras puis Mondeville et enfin Tarbes où elle a accompli la saison dernière sa meilleure saison statistique en LFB avec 14 points, 10,6 rebonds pour 21,1 d’évaluation. Finaliste du championnat de France, elle a affronté Katherine en finale. L’internationale canadienne a été élue dans le meilleur cinq de la saison avant de disputer la Coupe du monde avec la sélection nationale, à laquelle Katherine n’a pas été cette fois conviée. Michelle avait déjà participé aux Jeux Olympiques de Londres à moins de 20 ans avant d’enchaîner avec ceux de Rio quatre ans plus tard. « C’est un poste 4-3. Une joueuse très intelligente, qui passe bien la balle, qui peut scorer à trois-points, qui joue bien sans ballon. Une joueuse complète », se félicite Valéry Demory.\\n\\nL’effectif de Lyon est disponible ici.\\n\\n[armelse]\\n\\nLe club de la capitale des Gaules est tout spécialement exposé depuis que son président est Tony Parker, qui l’a associé à l’ASVEL, et qui lui a donné comme présidente déléguée, une femme, Marie-Sophie Obama. TP a décidé aussi l’un des coaches les plus réputés de la Ligue Féminine à rejoindre pour cinq ans le projet, Valéry Demory, qui était depuis dix ans à Montpellier qu’il a drivé deux fois au titre de champion de France. Après avoir épongé quelques dettes, l’actuel meneur de jeu des Charlotte Hornets a bâti un budget déjà conséquent et appelé à prendre encore plus de volume. En se qualifiant pour la demi-finale des playoffs et pour l’Eurocoupe, la fusée lyonnaise a atteint son premier objectif. Les expériences au palais des sports de Gerland ont attiré jusqu’à 6 000 spectateurs et prouvé qu’un potentiel populaire existe pour le basket féminin à Lyon.\\n\\nLa prochaine étape, c’est le top 3 national et une participation à l’Euroligue. Si le club n’a pas réussi à embaucher une internationale française de renom -espérée, Marine Johannès a préféré demeurer à Bourges-, il a recruté ce qu’il y a de mieux en France au niveau des étrangères avec la Canadienne Michelle Plouffe et la Brésilienne Clarissa Dos Santos, ex-Bourges et Charleville. « Je l’appelle mon petit pivot de Pro B.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Paôline Salagnac (FFBB, Hervé Bellenger) et Michelle Plouffe (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Pro B 2018-19 – Denain: Rémy Valin réactive la piste islandaise"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la Leaders Cup en guise de tour de chauffe, le championnat 2018/19 de Pro B débute le 12 octobre et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur un joueur à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment).\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nL’exercice 2017-2018 des Dragons denaisiens restera dans les annales. 52 ans après son dernier titre (champion de France en 1965), le club nordiste a soulevé la Leaders Cup, un trophée fêté à sa juste valeur par tous les supporters de ce monument du basket français. La victoire acquise en double-prolongation face à Orléans, encore favori pour la montée à cette époque de la saison, restera dans toutes les mémoires (98-87). Elle a surtout permis aux hommes de Rémy Valin de valider leur ticket pour les Playoffs et de s’assurer une fin de saison sans frayeurs (10e place). Roanne a rapidement mis fin à leurs ambitions (2-0 en quarts de finale), mais la saison reste satisfaisante. Et sans la grave blessure de Lance Goulbourne (MVP de la finale de Leaders Cup), l’issue aurait pu être tout autre. Plusieurs talents ont tout de même pu se révéler, de Yunio Barrueta à Mehdy Ngouama en passant pas Ywen Smock. Tout ça pour dire qu’il faudra sortir une grosse saison pour faire mieux avec un budget revu à la baisse !\\n\\nPour ce faire, Rémy Valin a de nouveau activé la piste islandaise. Le coach qui était allé chercher Haukur Palsson avec Rouen a cette fois misé sur deux autres internationaux issus de la terre de glace : le meneur Elvar Fridriksson et le poste 4-3 Kristofer Acox, un showman double champion d’Islande en titre avec Reykjavik (16.6 points, 10 rebonds en moyenne par match) qui se plaît à martyriser le cercle. Marquis Addison (16 points à 42% d’adresse à 3-pts, 5.8 rebonds et 3.8 passes décisives en moyenne par match aux Lions de Genève) à l’arrière et Denzel Gregg (16.9 points, 7.6 rebonds et 2.5 passes décisives à Oberwart en Autriche) à l’intérieur complète ce quatuor d’étrangers prometteur même si encore inconnu sur le sol français. Au niveau des cadres, l’axe Poupet-Cazenobe sera encore à la manœuvre pour encadrer les plus jeunes notamment. Ces derniers auront un vrai rôle à jouer cette saison.\\n\\n« On était dans l’obligation d’avoir quatre joueurs de moins de 23 ans, puisqu’on n’a pas de centre de formation. On est vraiment heureux d’avoir pu garder Jean-Philippe Dally et d’avoir Rigo (Edzata), Youri Morose et Maxence Dadiet pour l’accompagner. Ça fait un noyau vraiment intéressant. On sait que les clubs comme nous sont obligés d’avoir d’énormes turnovers chaque année, ça fait partie du jeu. Mais l’équipe qu’on a construite est plutôt sympa. Elle a une grosse marge de progression parce qu’elle est très jeune. On l’a vu durant la prépa, on a encore tout à apprendre », analyse Rémy Valin.\\n\\nLe joueur à suivre : Elvar Fridriksson\\n\\nIntense, tel est l’adjectif qui qualifie le mieux le jeu de ce meneur de 23 ans tout droit sorti de NCAA II, division qu’il a survolé la saison dernière (19.8 pts, 3.1 rbds et 7.1 passes décisives et MVP de sa conférence avec Barry). Amis depuis le plus jeune âge, Martin Hermannsson (ex Charleville-Mézières, Châlons-Reims, aujourd’hui à l’Alba Berlin) et Elvar, se tirent la bourre et font le bonheur de l’équipe nationale depuis cinq ans déjà (deux EuroBasket au compteur). De quoi engranger une belle expérience qu’il va tâcher de confirmer dans une ligue professionnelle.\\n\\n« C’est un joueur capable de mettre beaucoup de rythme, qui est scoreur. Il va falloir qu’il s’adapte, car il est encore jeune. Il sort de la fac donc il y aura forcément un temps d’adaptation. Il a beaucoup d’envie, mais il va falloir un peu de temps », prédit Rémy Valin qui avait fait du meneur islandais son choix numéro un. L’idée, c’est de ne pas mettre lui mettre trop de pression d’entrée... Et surtout d’éviter toute comparaison avec son homologue en sélection qui a fait sensation en Pro B puis en Jeep ELITE ces deux dernières saisons. « Le meilleur moyen de se planter, c’est toujours de se comparer aux autres. Même s’ils se connaissent depuis qu’ils sont tout petits, chacun a son histoire. On verra où celle d’Elvar le mènera », poursuit son nouvel entraîneur.\\n\\nLes objectifs du club, par Rémy Valin :\\n\\n« L’an dernier, on avait plus de budget mais aussi plus d’expérience. On a remporté la Leaders Cup et on a atteint les quarts de finale de la Coupe de France (défaite face à Nanterre 92). Cette année, on va miser sur notre marge de progression. A part l’objectif du maintien et de s’améliorer au fil des matchs, on ne se fixe aucune barrière. On verra jusqu’où on peut aller. En tout cas j’y crois beaucoup. Travaillons, progressons et pour le reste, on verra ».\\n\\nArrivées : Marquis Addison (Genève, Suisse), Kristofer Acox (KR Reykjavik), Maxence Dadiet (Espoirs Nanterre), Rigo Edzata (Espoirs Cholet), Elvar Fridriksson (Barry University, Etats-Unis), Denzel Gregg (Oberwart, Autriche), Youri Morose (Espoirs Cholet)\\n\\nDéparts : Kyle Austin, Yunio Barrueta (Nancy), Thomas Bropley (Real Batis, Espagne D2), Moustapha Diarra (Paris), Mehdy Ngouama (Vichy-Clermont), Ywen Smock (Gries-Oberhoffen), Jay Threatt (Poitiers), Antoine Wallez (Angers, N1)\\n\\nEffectif 2018-2019 : Elvar Fridriksson, Maxence Dadiet, Marquis Addison, Pierric Poupet, Youri Morose, Jean-Philippe Dally, Kristofer Acox, Rigo Edzata, Jérôme Cazenobe, Denzel Gregg\\n\\nCoach : Rémy Valin Assistant : Dominique Roinard\\n\\nCinq majeur probable : Elvar Fridriksson, Marquis Addison, Jean-Phillipe Dally, Denzel Gregg, Jérôme Cazenobe\\n\\nPhoto: Pierrick Poupet (LNB)\\n\\n[armelse]\\n\\nL’exercice 2017-2018 des Dragons denaisiens restera dans les annales. 52 ans après son dernier titre (champion de France en 1965), le club nordiste a soulevé la Leaders Cup, un trophée fêté à sa juste valeur par tous les supporters de ce monument du basket français. La victoire acquise en double-prolongation face à Orléans, encore favori pour la montée à cette époque de la saison, restera dans toutes les mémoires (98-87). Elle a surtout permis aux hommes de Rémy Valin de valider leur ticket pour les Playoffs et de s’assurer une fin de saison sans frayeurs (10e place). Roanne a rapidement mis fin à leurs ambitions (2-0 en quarts de finale), mais la saison reste satisfaisante. Et sans la grave blessure de Lance Goulbourne (MVP de la finale de Leaders Cup), l’issue aurait pu être tout autre. Plusieurs talents ont tout de même pu se révéler, de Yunio Barrueta à Mehdy Ngouama en passant pas Ywen Smock. Tout ça pour dire qu’il faudra sortir une grosse saison pour faire mieux avec un budget revu à la baisse !\\n\\nPour ce faire, Rémy Valin a de nouveau activé la piste islandaise.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : bande annonce de la nouvelle saison d’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A quelques jours du début de son édition 2018/19, l’Euroleague a publié une nouvelle bande-annonce.\\n\\nDans cette vidéo, deux légendes de la compétition, Theodoros Papaloukas et Joe Arlauckas, présentent leur équipe de All Star qui disputeront l’Euroleague cette saison. Dans l’équipe de Papaloukas figure notamment Thomas Heurtel tandis que Rodrigue Beaubois, Nando De Colo et Edwin Jackson ont été sélectionnés par Joe Arlauckas."
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Pro B 2018-19 – Caen: Vaincre la malédiction"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la Leaders Cup en guise de tour de chauffe, le championnat 2018/19 de Pro B débute le 12 octobre et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur un joueur à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment).\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nChaotique, voilà ce qui résume le mieux l’exercice 2017-2018 vécu par le CBC. Sur le papier, le club promu s’était doté d’un groupe de grande qualité bonifié par l’arrivée de Bastien Vautier en prêt en provenance de Nancy. Mais sur le terrain, l’effectif cébéciste a été miné par les blessures. L’infirmerie a affiché complet pendant de longs mois et la mission maintien n’en a été que plus compliquée même si les Caennais l’ont assurée à deux journées de la fin face au voisin rouennais. L’entraîneur, Hervé Coudray, a payé les pots cassés à l’issue de la saison en étant remercié et remplacé par Antoine Michon. Dans la lignée de son prédécesseur, ce dernier disposera d’un groupe de qualité et tentera de faire mieux que la 12e place décrochée la saison passée.\\n\\nLà encore, sur le papier, Caen paraît bien armé. Antoine Michon a récupéré deux joueurs qu’il connaît bien et qui font office de valeurs sûres en Pro B (Gaëtan Clerc et Aurélien Salmon). Sur les lignes arrières, Jerrold Brooks et Paul-Lou Duwiquet ont fait partie des révélations de l’année passée respectivement à Blois puis Evreux et à Quimper. Enfin, l’association Ramseyer-Waldow sur le poste 5 sera assurément l’une des plus dissuasives de la division.\\n\\nReste maintenant à confirmer sur le parquet et à vaincre cette malédiction de blessures qui s’est abattue sur le club et qui fait encore des dégâts. Récemment, le pauvre BJ Monteiro a été victime d’une rupture du tendon d’Achille quasiment synonyme de saison blanche. Une terrible nouvelle pour le club et pour le joueur, élément essentiel de la montée il y a deux ans dont le profil de créateur et polyvalent va manquer, qui s’était déjà retrouvé sur le flanc la saison passée (touché au tendon rotulien). L’arrivée de l’ailier international bulgare Pavel Marinov (auteur de 13 points il y a trois semaines dans la victoire contre la France) pour le remplacer représente toutefois un beau renfort pour Antoine Michon.\\n\\nL’éclaircie bienvenue dans cette pré-saison est arrivée lors de la quatrième journée de la phase de groupe de Leaders Cup. Le CBC a décroché son premier succès dans la compétition en double prolongation après un match renversant contre Rouen (101-98). Peut-être le déclic qui va véritablement sceller ce nouveau départ.\\n\\nhttps://www.facebook.com/CaenBasketCalvados/videos/508586809616299/\\n\\nLe joueur à suivre : Paul-Lou Duwiquet\\n\\nFormé au BCM Gravelines-Dunkerque, le natif de Calais a lancé sa carrière pro à Lille où il a passé deux saisons avant de s’envoler pour l’Ujap Quimper la saison dernière. En Bretagne, il a pu s’épanouir en répondant présent dans un rôle plus important. Sous les ordres de Laurent Foirest, Paul Lou Duwiquet a effectivement doublé ses statistiques, tournant à 9.4 points (11e meilleur marqueur français de la division), 3.5 rebonds et 2.9 passes décisives pour 10.5 d’évaluation par match. Arrière gaucher qui a prouvé sa fiabilité au tir extérieur (37.3% en 2017-2018), pouvant évoluer aussi au poste 1, il a également démontré sa capacité à résister face à la pression au cours de la rude saison quimpéroise. Il a notamment sorti son meilleur match dans la victoire cruciale face à Poitiers lors de l’avant dernière journée (77-75) en réalisant au passage l’interception de la victoire dans les tous derniers instants (18 points, 7 rebonds, 5 passes décisives, 24 d’évaluation). Pour toutes ces raisons, son évolution sera à suivre de près dans un nouvel environnement et une structure qui se voudra plus ambitieuse cette année.\\n\\nLes objectifs du club, par Antoine Michon :\\n\\n« Dans la construction, il a fallu bâtir une équipe qui j’espère va être compétitive en Pro B. Il y a de l’impact athlétique, des fondamentaux de basket sur la division. J’attache également beaucoup d’importance à l’aspect humain pour la construction des groupes. Après, l’expérience dans la division, l’expérience des play-offs, font que l’on peut penser que l’équipe sera compétitive. Je dis toujours que l’on ne sait jamais ce qui va arriver donc il faut être prudent, il faut être humble mais on est armé pour affronter cette saison. »\\n\\n* propos recueillis par France Bleu Normandie lors de la reprise de la saison.\\n\\nArrivées : Louis-Marin Alix (Limoges), Jerrold Brooks (Evreux), Gaëtan Clerc (Nancy), Paul-Lou Duwiquet (Quimper), Mel Esso Essis (Le Mans), Aurélien Salmon (Boulazac), Brad Waldow (Zgorzelec, Pologne), Antoine Michon (coach)\\n\\nDéparts : Sébastien Cape (Bordeaux), Ludovic Chelle (Saint-Vallier), Thomas Cornely (Blois), Eddy Djedje, Johan Clet (GET Vosges), Brynton Lemar (Sopron, Hongrie), Ibrahima Sidibé, Greg Smith, Gregg Thondique, Bastien Vautier (retour prêt Nancy), Jarvis Williams (Rieti, Italie D2), Hervé Coudray (coach, Le Havre)\\n\\nEffectif 2018-2019 : Jerrold Brooks, Louis-Marin Alix, Gaëtan Clerc, Paul-Lou Duwiquet, BJ Monteiro, Bryson Pope, Mel Esso Essis, Aurélien Salmon, Marc-Eddy Norelia, Brad Waldow, David Ramseyer\\n\\nCoach : Antoine Michon Assistant : Steeve Essart\\n\\nCinq majeur probable : Jerrold Brooks, Paul-Lou Duwiquet, Bryson Pope, Aurélien Salmon, Brad Waldow\\n\\n[armelse]\\n\\nChaotique, voilà ce qui résume le mieux l’exercice 2017-2018 vécu par le CBC. Sur le papier, le club promu s’était doté d’un groupe de grande qualité bonifié par l’arrivée de Bastien Vautier en prêt en provenance de Nancy. Mais sur le terrain, l’effectif cébéciste a été miné par les blessures. L’infirmerie a affiché complet pendant de longs mois et la mission maintien n’en a été que plus compliquée même si les Caennais l’ont assurée à deux journées de la fin face au voisin rouennais. L’entraîneur, Hervé Coudray, a payé les pots cassés à l’issue de la saison en étant remercié et remplacé par Antoine Michon. Dans la lignée de son prédécesseur, ce dernier disposera d’un groupe de qualité et tentera de faire mieux que la 12e place décrochée la saison passée.\\n\\nLà encore, sur le papier, Caen paraît bien armé.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ranking FIBA Féminin: La France perd une place au profit de l’Australie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Défaite en quart-de-finale de la Coupe du Monde par la Belgique, la France perd sa troisième place au ranking FIBA au profit de l’Australie qui s’est accaparée la médaille d’argent.\\n\\nA noter la progression de la Chine, qui a gagné trois places, le bond des Belges qui sont passées de la 28e à la 16e place alors que le record est obtenu par le Nigeria qui grimpe de 15 places, sautant du 34e au 19e rang.\\n\\nLe classement est ici.\\n\\nPhoto: Endy Miyem (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Pro B 2018-19: Chartres, cathédrale imprenable ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la Leaders Cup en guise de tour de chauffe, le championnat 2018/19 de Pro B débute le 12 octobre et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur un joueur à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment).\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nPensionnaire de N1 depuis 2011, le CCBM a réussi à franchir le pas du monde professionnel ! Vainqueur du CEP Lorient en finale des Playoffs d’accession, la formation de Sébastien Lambert va baser ce premier exercice dans le monde pro sur deux axes, avec un groupe de joueurs au profil plutôt revanchard et une volonté farouche de rester maître des débats à la maison.\\n\\nD’abord, sur la construction de l’équipe : « l’idée c’était de pouvoir surtout bâtir un groupe dans lequel l’individu avait des choses à montrer. Entre ceux qu’on a conservés qui ont un petit passé en Pro B (Romain, Bichard, Racine, Saaka) mais qui ont dû quitter la division sur des choix de carrière ou autre et ceux qui n’ont pas encore eu l’opportunité d’y jouer (Paige, Felder, Walker) », explique l’entraîneur. « On a gardé 50% de l’effectif qui a joué la montée et on a renouvelé avec trois étrangers et deux jeunes. On se découvre encore. Jusqu’à présent c’est plutôt positif, on apprend tous les uns des autres. On essaie de se jauger un peu, de voir les qualités des uns et des autres, de trouver les complémentarités les plus efficaces. Le groupe vit bien humainement. On doit encore progresser, comme pour tout le monde à l’heure d’aujourd’hui. Mais globalement on est satisfait ».\\n\\nL’autre volonté du CCBM sera de s’inspirer de l’identité du club qui a fait son succès jusqu’à présent, à savoir de l’agressivité (dans le bon sens du terme), la volonté de mordre le ballon à chaque possession et surtout, se faire respecter à la Halle Jean-Cochet, l’autre cathédrale imprenable de la ville. « On sait que notre maintien passera par le visage qu’on va montrer devant notre public », conclut Sébastien Lambert. Son équipe n’a pas tardé à afficher la couleur en collant 93 points à Blois, champion de Pro B en titre, lors de son premier match à domicile. Prometteur !\\n\\nLe joueur à suivre : Olivier Romain\\n\\nPar son style de jeu emprunt d’une grande classe, Olivier Romain ne laisse pas les amateurs de basket insensibles. Son parcours aurait pu être tout autre, mais c’est en N1 que le meneur formé à l’Insep (2004-2006) a fait le choix de poursuivre sa carrière en 2016. Après quatre saisons en Pro B entre Monaco et Saint-Quentin où il a connu Sébastien Lambert, il s’est épanoui à Chartres en ayant plus de responsabilités. Son dernier match la saison dernière a été le bouquet final d’une belle aventure en troisième division. Avec 27 points, 7 rebonds et 9 passes décisives pour 37 d’évaluation face à Lorient, il a été le grand artisan de la montée. Le voilà de retour dans le monde pro avec un nouveau défi d’envergure à relever.\\n\\n« Il a voulu retrouver de la confiance au niveau N1, c’est pour ça qu’il est venu avec moi à Chartres. Après deux grosses saisons, il va avoir l’opportunité de confirmer tout ça sur la Pro B », assure Sébastien Lambert qui avait fait d’Olivier Romain sa « priorité » cet été. « On avait axé notre base sur cinq joueurs pour la saison à venir et il en faisait forcément partie. C’est certainement celui pour qui il va y avoir le plus de changement. Non pas dans le rôle mais dans la façon de l’exploiter. Depuis deux saisons, il n’avait personne sur son poste dernière lui. Il avait totalement les clés, le temps de s’installer dans ses matchs. Aujourd’hui c’est un peu différent puisqu’on a un groupe de 10. Il a largement les qualités pour évoluer en Pro B et c’est complémentaire d’un Jaysean Paige et d’Antho Racine. Il peut nous apporter de la création, du scoring... On le connaît. Il est important dans notre effectif. Au niveau de la concurrence entre lui et Paige ? On optera en fonction des besoins de l’équipe. Jaysean n’est pas forcément un vrai meneur, même si on l’a installé à ce poste. Avec plus de vécu collectif on pourra le décaler plus facilement au poste 2. A nous d’effectuer les bons réglages et à eux de trouver les bonnes affinités sur le terrain pour pouvoir évoluer ensemble ».\\n\\nA voir ou à revoir, le festival d’Olivier Romain lors de la finale retour des Playoffs de N1 contre Lorient (n°8 bleu marine):\\n\\nLes objectifs de la saison, par Sébastien Lambert :\\n\\n« On a fait en sorte de construire une équipe capable d’atteindre les objectifs du club qui sont très simples, maintenir le CCBM en Pro B. Il ne faut pas espérer autre chose. On découvre le niveau, il va falloir s’adapter à un nouvel environnement. On veut défendre les valeurs qu’on a défendues en N1 notamment sur nos matchs à domicile. On a un style de jeu qui est porté vers l’avant. C’est comme ça qu’on est arrivés en Pro B, il ne faut pas qu’on essaie de faire autre chose. La saison dernière on a fait 18/20 à domicile. Si on est efficace à domicile déjà, ce sera bien. On devra aussi prouver que ce style de jeu peut s’exporter avec succès sur les matchs à l’extérieur. Ce sera peut-être un peu plus dur ».\\n\\nArrivées : Stéphane Gombauld (Lille), Jaysean Paige (Newcastle Eagles, Angleterre), Amu Saaka (Al Wakrah, Qatar), Franck Séguéla (Cognac, N2), Maurice Walker (Saint-Quentin)\\n\\nDéparts : Patrick Clerence (Boulogne-sur-Mer, N1), Harry Disy (LyonSO, N2), Romain Haie, Jérémy Ricard-Dorigo (Orchies, N1), Mantas Ruikis\\n\\nEffectif 2018-2019 : Olivier Romain, Jaysean Paige, Anthony Racine, Amu Saaka, Kévin Bichard, Franck Séguéla, Will Felder, Jason Jones, Stéphane Gombauld Maurice Walker\\n\\nCoach : Sebastien Lambert Assistant : Guillaume Le Pape\\n\\nCinq majeur probable : Olivier Romain, Jaysean Paige, Kevin Bichard, Will Felder, Maurice Walker\\n\\n[armelse]\\n\\nPensionnaire de N1 depuis 2011, le CCBM a réussi à franchir le pas du monde professionnel ! Vainqueur du CEP Lorient en finale des Playoffs d’accession, la formation de Sébastien Lambert va baser ce premier exercice dans le monde pro sur deux axes, avec un groupe de joueurs au profil plutôt revanchard et une volonté farouche de rester maître des débats à la maison.\\n\\nD’abord, sur la construction de l’équipe : « l’idée c’était de pouvoir surtout bâtir un groupe dans lequel l’individu avait des choses à montrer. Entre ceux qu’on a conservés qui ont un petit passé en Pro B (Romain, Bichard, Racine, Saaka) mais qui ont dû quitter la division sur des choix de carrière ou autre et ceux qui n’ont pas encore eu l’opportunité d’y jouer (Paige, Felder, Walker) », explique l’entraîneur.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : C’Chartres Basket Masculin"
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo: Yao Ming avec Adam Silver et Patrick Baumann"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Réunis à Xi’An au FIBA World Basketball Summit, les dirigeants de la NBA, de la FIBA et de la fédération chinoise, qui accueille l’an prochain la coupe du monde, ont parlé d’une même voix pour affirmer que, dans le contexte actuel, les matches des sélections nationales constituent un enjeu de premier plan pour la croissance mondiale du basket.\\n\\nAdam Silver, le commissionner de la NBA et Patrick Baumann, secrétaire-général de la FIBA, ont ensuite posé au côté de Yao Ming, l’ambassadeur de la Coupe du monde 2019, un géant de 2,29m. Une photo d’autant plus spectaculaire quand on sait que Adam Silver mesure 1,92m.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Un grand club féminin à Paris? Patience..."
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors des premières décennies, Paris a dominé le basket féminin français mais depuis Sceaux lors de la saison 2001-02, aucun club de l’Ile-de-France n’a pris place en Ligue Féminine. Actuellement, les deux équipes les mieux classées sont Sceaux et Sannois Saint-Gratien en Nationale 1.\\n\\nUne situation qui inquiète le quotidien Le Parisien qui a consacré un article à ce dossier rappelant que la mairie parisienne a initié il y a quelques mois une alliance entre le Stade Français (N2) et le Paris Basket XVIIIe spécialisé dans la formation des jeunes. De plus, une salle de 1 000 places sera attenante à la future aréna de la porte de la Chapelle pour abriter le club. En attendant, le budget du Stade Français est de 200 000 euros avec seulement 10 à 20 000 euros de subvention.\\n\\n« On vise toujours la Ligue 2 dans trois ans, puis la Ligue féminine, mais on a des soucis de salle et, sans argent, c’est compliqué. C’est à se demander si on veut du sport féminin, » commente Franck Lebailly, le vice-président de la section basket du Stade Français, qui fonctionne avec 200 000 € de budget (dont 10 000 à 20 000 € de subvention). »\\n\\nJean-François Martins, adjoint aux Sports à la mairie de Paris, se veut rassurant pour... le long terme:\\n\\n« On aura à Paris un grand club féminin, mais il faut se donner le temps de construire les bases. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Ligue Féminine 2018-19 – Lattes-Montpellier: Les dents longues"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Ligue Féminine débute les 13 et 14 octobre avec l’Open de Paris et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur deux joueuses à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment) et vous pouvez commander le Guide en version papier sur notre boutique.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nSevré de titre national depuis deux ans après une belle razzia entre 2011 et 2016 (deux championnats, quatre coupes de France), le Basket Lattes-Montpellier Agglomération a mis les moyens pour officialiser son retour au premier plan. Aux côtés de Romane Bernies et Ornella Bankolé, seules joueuses conservées cet été, le club héraultais s’est attaché les services de sept recrues de haut-niveau dont cinq internationales françaises : Alix Duchet, révélation de la saison passée en LFB, Endy Miyem, capitaine de l’Equipe de France, Marielle Amant (91 sélections en Bleu), ainsi que deux joueuses révélées à Lattes-Montpellier qui effectueront leur grand retour, Diandra Tchatchouang et Héléna Ciak.\\n\\nA ce beau casting s’ajouteront deux nouvelles « Gazelles » au profil redoutable : l’arrière shooteuse Sami Whitcomb, américaine au passeport australien et l’ailière US Taylor Wurtz en provenance de Telge (Suède), « une joueuse qui évoluera sur un poste 3-2, qui apportera beaucoup de dureté, de densité physique », décrit son nouvel entraîneur Rachid Méziane. « Elle est aussi cataloguée comme shooteuse. On va avoir besoin de sa polyvalence. Son profil vient bien compléter le reste de l’équipe ».\\n\\nCoach Méziane aura pour mission de tirer le meilleur de ce groupe pétri de talent tout en faisant progresser trois arrières parmi les plus prometteuses de la nouvelle génération, les meneuses Alix Duchet et Romane Bernies mais aussi l’ailière Ornella Bankolé, victime d’une rupture des ligaments croisés du genou en novembre dernier.\\n\\n« Le projet du BLMA, c’est bien sûr de gagner et de retrouver la finale du championnat de France, mais c’est aussi de construire l’avenir et c’est aussi pour ça qu’on a misé sur ces jeunes joueuses » poursuit-il.\\n\\n« On a des joueuses emblématiques, d’expérience, qui ont la culture de la gagne, qui ont gagné et qui savent gagner », résume le président Franck Manna, remarquablement assisté dans sa tâche par Edwige Lawson-Wade, légende du basket français aujourd’hui directrice sportive du club où elle a terminé sa carrière de joueuse pro.\\n\\nFort d’un budget en hausse de 20%, d’une nouvelle identité visuelle et d’une mascotte qui répond désormais au doux nom de « Gazou », le BLMA affiche clairement ses ambitions : retrouver le sommet de la hiérarchie.\\n\\nEndy Miyem\\n\\nLe retour en LFB de l’emblématique poste 4, loin de Bourges, son club de cœur, a été l’événement de l’intersaison. Après avoir trusté tous les titres pendant neuf ans dans le Cher (2006-2015), l’internationale est allée acquérir de l’expérience à l’étranger ces dernières années. Au sein de l’armada du Dynamo Koursk (Russie) puis à Famila Schio (Italie) depuis l’été 2016 où elle a rejoint Isabelle Yacoubou. La saison passée, le club transalpin désormais sous les ordres de Pierre Vincent (sélectionneur de l’équipe de France entre 2007 et 2016) a réalisé le doublé Coupe-Championnat. Malgré ce bel accomplissement, Endy Miyem n’a pas chômé depuis, entre une nouvelle aventure de l’autre côté de l’Atlantique en WNBA au sein ses Minnesota Lynx (championnes en titre) puis le Mondial à Ténérife avec les Bleues en tant que capitaine.\\n\\nBrillante par son efficacité et sa polyvalence, Endy Miyem sera l’une des pièces maîtresses de ce BLMA version 2018-2019. « C’est une très forte joueuse, on a beaucoup de chance de l’avoir avec nous. C’est une très grande fierté parce que c’est aussi une personne extraordinaire », souligne Edwige Lawson-Wade.\\n\\nDiandra Tchatchouang\\n\\nMême si elle n’y est restée qu’un an, Lattes-Montpellier a toujours gardé une place particulière dans son cœur. Et pour cause, après des cursus remarqués à l’Insep puis aux Terrapins du Maryland, c’est dans l’Hérault que Diandra Tchatchouang a débuté sa carrière pro, en 2011-2012, une saison marquée par une finale de championnat de France perdue face à Bourges.\\n\\nDiscrète au sein d’un BLMA emmené à l’époque par une certaine Edwige Lawson-Wade, c’est la saison suivante, du côté de Perpignan, que s’est pleinement révélée cette poste 3-4 de caractère. L’exercice 2012-2013 représente l’autre tournant de sa jeune carrière puisqu’il l’a propulsée à Bourges où elle est restée cinq saisons. Tant sur le plan national (deux championnats, trois coupes de France) que continental (victoire en Eurocoupe en 2016), son histoire chez les Tango a été riche en émotions et s’est terminée par un sacre extraordinaire, le 14e titre de champion de France du club (un de plus que les légendaires « demoiselles de Clermont »).\\n\\nSéduite par le projet ambitieux du BLMA, l’internationale française, également engagée dans plusieurs projets sociétaux, va à présent effectuer son retour par la grande porte.\\n\\nL’effectif de Lattes-Montpellier est disponible ici.\\n\\n[armelse]\\nSevré de titre national depuis deux ans après une belle razzia entre 2011 et 2016 (deux championnats, quatre coupes de France), le Basket Lattes-Montpellier Agglomération a mis les moyens pour officialiser son retour au premier plan. Aux côtés de Romane Bernies et Ornella Bankolé, seules joueuses conservées cet été, le club héraultais s’est attaché les services de sept recrues de haut-niveau dont cinq internationales françaises : Alix Duchet, révélation de la saison passée en LFB, Endy Miyem, capitaine de l’Equipe de France, Marielle Amant (91 sélections en Bleu), ainsi que deux joueuses révélées à Lattes-Montpellier qui effectueront leur grand retour, Diandra Tchatchouang et Héléna Ciak.\\n\\nA ce beau casting s’ajouteront deux nouvelles « Gazelles » au profil redoutable : l’arrière shooteuse Sami Whitcomb, américaine au passeport australien et l’ailière US Taylor Wurtz en provenance de Telge (Suède), « une joueuse qui évoluera sur un poste 3-2, qui apportera beaucoup de dureté, de densité physique », décrit son nouvel entraîneur Rachid Méziane.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Romane Bernies et Endy Miyem (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Décès à 48 ans de l’ancien joueur de Pro A, Ron Curry"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Son ancienne université, Marquette, annonce le décès de Ron Curry à 48 ans.\\n\\nRon Curry (2,03m) a porté les maillots de Villeurbanne, Cholet et Strasbourg de 1993 à 1997. En association avec le meneur Delaney Rudd, il a notamment permis à l’ASVEL de retrouver le succès. Il était connu pour ses qualités athlétiques qui lui permettaient de réaliser des alley-oops époustouflants.\\n\\nAprès avoir poursuivi sa carrière de basketteur en Europe et en Argentine, Ron Curry s’était reconverti en homme d’affaires\\n\\n« Curry était un athlète d’élite qui a séduit les foules avec des dunks athlétiques lors des contre-attaques. Mais Curry était encore plus impressionnant en dehors du terrain. Il était silencieux mais avait une personnalité magnétique. Il prenait ses études au sérieux, exploitant au maximum ses possibilités académiques et dans le domaine des affaires après sa carrière à Chicago, puis en Arizona, » écrit 247sports.com.\\n\\n\\n\\n\\nPour ceux qui n'ont pas connu Ron Curry. Lors de ce match de playoffs contre Evreux à la Maison des sports de Villeurbanne, il avait inscrit 34 pts et capté 22 rebonds ! Avec @Steph_Garabed69 aux commentaires. https://t.co/ki1Ru0myC2 via @YouTube\\n\\n\\n— OBUZZER (@O_buzzer) October 5, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : l’international bulgare Pavel Marinov renforce Caen"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A quelques jours du lancement officiel de sa saison 2018/19 à Blois, Caen vient de faire appel à Pavel Marinov (1,99m, 30 ans) pour lui prêter main forte, annonce le club.\\n\\nDéjà passé par la France, il a été aperçu le temps de six matchs à Lille. Après ces six rencontres, il affichait une superbe ligne de stats avec 17,3 points, 4 rebonds et 4,3 passes décisives pour une évaluation de 18,5. L’international bulgare passé par la Bulgarie et la Roumanie est une recrue de choix pour le CBC.\\n\\nLa saison passée, Pavel Marinov compilait en moyenne 9,7 points, 3,1 rebonds et 3 passes décisives en Roumanie.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Basketball Champions League: les 32 équipes de la saison régulière sont connues, Nanterre qualifié"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nanterre 92 n’a laissé aucune chance hier soir aux modestes finlandais de Karhu Basket (91-58) et se retrouve ainsi parmi les 32 équipes qualifiées pour la saison régulière de Basketball Champions League. Le pivot Yannis Morin a profité de ce match pour établir une performance de choix: 18 points à 7/10 aux tirs, 6 rebonds et 4 passes.\\n\\nLe Mans, Strasbourg et Dijon sont les trois autres équipes françaises qualifiées pour la saison régulière qui va se tenir du 9 octobre au 6 février."
}, 
{"role": "user",     "content":"EuroCup : le bilan complet de la 1ère journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison d’EuroCup 2018-19 est bel et bien lancée ! Avec le carton de Brandon Jennings et les belles victoires de Monaco et du CSP Limoges, la compétition européenne a déjà présenté son lot d’émotions et de spectacle.\\n\\nChez nos Français, Mathias Lessort (16 points) et Louis Labeyrie (13 points) ont également réalisé de belles entrées. BasketEurope tire le bilan complet de cette première journée très animée.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe MVP de la 1ère journée\\n\\nBrandon Jennings (20 points, 9 rebonds, 8 passes)\\n\\nA 14 points, 6 rebonds et 5 passes pour 24 d’évaluation à la mi-temps, Brandon Jennings n’a pas raté ses débuts européens avec le Zénith St Pétersbourg. L’ancien meneur NBA a terminé tout proche du huitième triple double de l’histoire de la compétition avec 20 points, 9 rebonds et 8 passes pour 30 d’éval’. Ce n’est pas sans rappeler son mythique coup de chaud lors de sa saison rookie avec Milwaukee, avec 55 points face aux Warriors. Jennings a fait le show avec un trois points plus la faute, puis un nouveau tir de loin sur le gong du 3e quart.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=FeZahTJojn0\\n\\n\\nLa meilleure performance\\n\\nMaurice Ndour (29 points à 11/12 aux tirs, 8 rebonds, 2 passes)\\n\\nAu total, ça fait une performance monstre de 43 à l’évaluation, et une énorme impression pour Maurice Ndour qui débute parfaitement sa deuxième saison à Kazan. L’intérieur sénégalais a été d’une efficacité redoutable avec de nombreux assauts sur le cercle. Et comme il a également été parfait sur la ligne des lancers à 7/7, il n’y a rien à jeter dans cette performance de Ndour.\\n\\n\\nLa stat qui tue\\n\\n14. C’est le total de passes de Peyton Siva (qui finit à 9 points à 3/3 aux tirs pour ne rien gâcher). Le meneur de l’Alba Berlin a été magistral dans la victoire de son équipe face à Tofas Bursa. Il s’est rapidement mis en lumière avec deux passes spectaculaires, dont une entre les jambes pour lancer le contre. Et cela a été contagieux avec une passe aveugle de Luke Sikma pour le gros dunk de Clint Chapman en bouquet final.\\n\\n\\nLes clubs français\\n\\nLimoges se donne de l’air\\n\\nSans Samardo Samuels mis à pied après sa prise de bec avec Kyle Milling, Limoges a joué crânement sa chance pour l’ouverture de sa saison européenne face à Zagreb. A domicile, porté par une grosse adresse de William Howard (21 points à 8/13 aux tirs) et Axel Bouteille (21 points à 8/12 aux tirs), le CSP s’est donné une bonne bouffée d’air pur avec cette victoire (82-68). Mam Jaiteh (9 points, 9 rebonds) et London Perrantes (8 points, 9 passes) ont tous deux flirté avec le double double.\\n\\nMonaco remporte sa première victoire en EuroCup\\n\\nPour sa première participation à la compétition, Monaco a su négocier le court voyage à Brescia en s’imposant au terme d’un match plein de maîtrise (80-68). Elmedin Kikanovic (20 points, 6 rebonds) a été le métronome habituel dans la peinture. Et Paul Lacombe (13 points à 6/8 aux tirs, plus 8 rebonds, 4 passes) a été le symbole de ce collectif monégasque en réussite. Gerald Robinson (16 points) et Ian Hummer (11 points, 8 rebonds) ont également été très solides.\\n\\nL’Asvel subit la loi de Valence\\n\\nMalgré un bon début de match, l’Asvel a subi la loi de Valence pour son premier déplacement de la saison en EuroCup (84-62). Derrière Guillen Vives (8 points, 4 rebonds, 6 passes, 3 interceptions), Valence a lentement mais sûrement fait son retard pour prendre le contrôle des opérations, et ce de manière définitive, en 4e quart derrière un 11-2 initial (et 20-6 sur la période !). Louis Labeyrie (13 points, 4 rebonds) a été plutôt convaincant face à une opposition qu’il connaît bien. Pour l’Asvel, c’est Charles Kahudi (13 points, 6 rebonds) qui obtient la meilleure évaluation...\\n\\n\\nLes Français de l’EuroCup\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 16 points (7/8 aux tirs), 2 interceptions, 1 rebond, 1 contre, 2 balles perdues en 24 minutes(défaite 80-72 face à Vilnius)\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 13 points (6/8 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 1 contre, 1 balle perdue en 26 minutes (victoire 84-62 face à l’Asvel)\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : 12 points (4/4 aux tirs), 5 rebonds, 1 passe en 15 minutes (victoire 80-73 face à Gdynia)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 5 points (2/4 aux tirs), 1 passe, 1 interception, 3 balles perdues en 17 minutes (défaite 84-73 face à Galatasaray)\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 0 point (0/2 aux tirs), 1 rebond, 1 contre, 1 balle perdue en 6 minutes (défaite 82-73 face à Trente)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué\\n\\n\\nLe Top Ten\\n\\n\\nLes résultats de la 1ère journée\\n\\nBrescia – Monaco (68-80)\\n\\nLimoges – Cedevita Zagreb (82-68)\\n\\nTrente – Partizan (82-73)\\n\\nMornar Bar – Unics Kazan (74-97)\\n\\nZenit St Petersbourg – Turk Telekom (91-80)\\n\\nFrancfort – Turin (88-85)\\n\\nValence – Lyon-Villeurbanne (84-62)\\n\\nAlba Berlin – Tofas (107-91)\\n\\nGdynia – Lokomotiv Kuban (73-80)\\n\\nEtoile Rouge – Ulm (88-73)\\n\\nGalatasaray – Andorre (84-73)\\n\\nLietuvos Rytas – Malaga (80-72)\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe MVP de la 1ère journée\\n\\nBrandon Jennings (20 points, 9 rebonds, 8 passes)\\n\\nA 14 points, 6 rebonds et 5 passes pour 24 d’évaluation à la mi-temps, Brandon Jennings n’a pas raté ses débuts européens avec le Zénith St Pétersbourg. L’ancien meneur NBA a terminé tout proche du huitième triple double de l’histoire de la compétition avec 20 points, 9 rebonds et 8 passes pour 30 d’éval’. Ce n’est pas sans rappeler son mythique coup de chaud lors de sa saison rookie avec Milwaukee, avec 55 points face aux Warriors. Jennings a fait le show avec un trois points plus la faute, puis un nouveau tir de loin sur le gong du 3e quart.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=FeZahTJojn0\\n\\n\\nLa meilleure performance\\n\\nMaurice Ndour (29 points à 11/12 aux tirs, 8 rebonds, 2 passes)\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nCrédits photo : EuroCup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Liga ACB : Kevin Séraphin et Kim Tillie de retour à l’action !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après six mois d’attente depuis son opération au genou en mars dernier, Kevin Séraphin (2,08m, 28 ans) a de nouveau refoulé les parquets de la Liga ACB. Le pivot tricolore s’est rapidement mis en action avec un contre mais il a finalement été plutôt discret avec 2 points, 3 rebonds et 3 passes en 11 minutes de jeu.\\n\\nDans le même temps, Barcelone a engrangé une deuxième victoire en autant de matchs, contre Manresa (88-76), profitant à plein de la forme actuelle de Thomas Heurtel (13 points, 7 passes) et d’Ante Tomic (15 points, 7 rebonds). Le transfuge du Panathinaikos, Chris Singleton, a lui ajouté 14 points et 6 rebonds et progresse donc bien dans son intégration au groupe catalan.\\n\\n\\nMathias Lessort en double double\\n\\nEgalement sur la touche jusqu’à présent, Kim Tillie a effectué ses débuts avec Gran Canaria. L’intérieur vétéran a bouclé sa première sortie à 2 points, 1 rebond en 15 minutes de jeu. Les coéquipiers de Tillie ont dû baisser pavillon en prolongation face à Obradoiro qui reste invaincu. A l’inverse, Gran Canaria reste capot.\\n\\nMathias Lessort a signé un double double avec 12 points et 10 rebonds pour 21 d’évaluation dans la victoire de Malaga, face à Bebe Nogueira qui débutait aussi avec Fuenlabrada (93-79). Malaga enchaine un deuxième succès assez large.\\n\\nPetite surprise par contre pour Vincent Poirier et Vitoria qui s’inclinent face à Burgos (82-79). Après une première journée facile, les Basques se sont pris les pieds dans le tapis. Le match a été serré de bout en bout et Tornike Shengelia (18 points, 7 rebonds) a encore sorti le grand jeu. Mais Vitoria doit accuser sa première défaite de la saison dès la 2e journée. Poirier termine à 4 points, 9 rebonds et 3 contres, toujours actif et véloce.\\n\\n\\n\\n\\n¡@kslife7 vuelve a pisar el parqué! Y, para empezar... tapón #LigaEndesa\\n🎥 En directo en @MovistarPlus pic.twitter.com/TjawiR3n0n\\n\\n\\n— Liga Endesa (@ACBCOM) October 4, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Académiciens, Trophée Alain-Gilles, Médaille Robert Busnel... Le palmarès des récompenses fédérales"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que le nom du lauréat ou de la lauréate 2018 du Trophée Alain Gilles, qui récompense le meilleur basketteur ou la meilleure basketteuse de la saison, sera révélé lors de l’Assemblée Générale de la FFBB, à Avignon, les 20 et 21 octobre, voici un récapitulatif des récompenses fédérales.\\n\\nLa Médaille Robert Busnel\\nPlus haute distinction de la FFBB, la médaille Robert Busnel est remise à l’occasion de l’Assemblée Générale de la FFBB a une personnalité qui a marqué notre sport et qui a contribué à son développement et/ou sa promotion.\\n\\nLes Coqs d’Or et d’Argent\\nLes Coqs sont également remis chaque année par le Président de la FFBB à l’occasion de l’Assemblée Générale. Ces distinctions ont pour but de mettre à l’honneur des personnes ayant œuvré pour le basket.\\n\\n\\n\\n\\nAnnée\\nMEDAILLE ROBERT BUSNEL\\nCOQ D’OR\\nCOQ D’ARGENT\\n\\n\\n\\n\\n2016\\nMickaël Gélabale\\n\\nFlorent Pietrus\\nIsabelle Yacoubou\\nStéphanie Pioger\\n\\nCathy Salmon\\n\\nJean-Claude Brière\\n\\nPhilippe Legname\\n\\nValérie Garnier\\n\\n\\n2015\\nPatrick Beesley\\nPierre Collomb\\nThierry Balestrière\\n\\nNadine Paris\\n\\nYannick Supiot\\n\\n\\n2014\\nSandrine Gruda\\nJean-Pierre Goisbault\\nYolaine Costes\\n\\nEddie Viator\\n\\nFrédéric Forte\\n\\n\\n2013\\nCéline Dumerc\\nPierre Vincent\\nDaniel Bes\\n\\nJean Donnadieu\\n\\n\\n2012\\nBoris Diaw\\nJean-Marc Jehanno\\n\\nJean-Yves Guincestre\\nVincent Collet\\n\\nJean-Marie Floret\\n\\n\\n2011\\nYvan Mainini\\nMarie-Noëlle Servage\\nJean-Pierre Hunckler\\n\\nJean-François Beaulieu\\n\\nCathy Giscou\\n\\n\\n2010\\nTony Parker\\nSandra Le Dréan\\nGérard Berger\\n\\nGoran Radonjic\\n\\n\\n2009\\nRené Le Goff\\nCathy Melain\\nFrancis Flamme\\n\\nDaniel Sorrentino\\n\\n\\n2008\\nJacques Perrier\\n\\nChantal Julien\\nJean-Pierre Siutat\\nBernard Gosselin\\n\\nMorvan Merkling\\n\\n\\n2007\\nChristian Baltzer\\nColette Passemard\\nPatrick Beesley\\n\\nJacqueline Palin\\n\\nGinette Gotte\\n\\nPaul Santin\\n\\nJean-Yves Guincestre\\n\\n\\n2006\\nJacques Dorgambide\\nRobert Blanchard\\nFrançoise Amiaud\\n\\nFrancis Denis\\n\\n\\n2005\\nAndré Buffière\\nJacques Deneux\\nGeneviève Hartmann\\n\\nGeorges Esteve\\n\\n\\n2004\\nJean-Claude Bois\\nLucien Legrand\\nBernard Gava\\n\\nGeorges Crosetto\\n\\n\\n2003\\nAlain Pelletier\\nElie Baranger\\nPhilippe Mailhabiau\\n\\nRoland Bliekast\\n\\n\\n2002\\nAlain Jardel\\nYannick Souvré\\nNicole Verlaguet\\n\\nJean-Marc Jehanno\\n\\n\\n2001\\nJean-Pierre de Vincenzi\\nRémy Gautron\\n\\nFrédéric Jugnet\\nFrançois Fournier\\n\\nRolande Naveck\\n\\n\\n2000\\nAndré Vacheresse\\nYvan Mainini\\nSerge Gérard\\n\\nJean Forno\\n\\n\\n1999\\nPierre Seillant\\nRichard Dacoury\\nMichel Chateau\\n\\nClaude Authié\\n\\n\\n1998\\nJacques Huguet\\nPhilippe Restout\\nBernard Lejade\\n\\nAntoine Molinari\\n\\n\\n1997\\nGérard Bosc\\nMaurice Chavinier\\nJean Goujon\\n\\nPierre Fosset\\n\\n\\n1996\\nJean Bayle Lespitau\\nAlbert Chaminade\\nPierre Collomb\\n\\nChristian Tersac\\n\\n\\n1995\\nRaymond Baude\\nJean-Pierre Guesdon\\nMichel Leger\\n\\nLucien Peugeot\\n\\n\\n1994\\nJackie Chazalon\\nJean-Claude Bois\\nMichel Rat\\n\\nNoël Mazucotelli\\n\\n\\n1993\\nRené David\\nJean Bayle Lespitau\\nSimone Riottot\\n\\nHenri Darricarrere\\n\\n\\n1992\\nGuy Marie\\nJean Compagnon\\nElie Chauvet\\n\\nRené Dupret\\n\\n\\n1991\\nGeorges Blondelle\\nJean Dubois\\nGuy Marie\\n\\nEdmond Parfait\\n\\n\\n\\n\\nLe Ballon de Cristal\\nTrophée fédéral remis aux acteurs majeurs du basket français appartenant aux quatre grandes familles : Joueurs, Dirigeants, Officiels et Techniciens, pour l’engagement dont ils ont fait preuve tout au long de leur carrière. Cette récompense créée en 2005 est remise à l’occasion de différents évènements de la Fédération.\\n\\n2016 : Nicole Antibe, Francis Flamme, Goran Radonjic, Jean-Luc Monschau\\n2015 : Jérôme Fournier, Christian Fra\\n2014 : Lucien Legrand, Jean-Luc Desfoux, Pascal Dorizon, Laurent Foirest\\n2013 : Pierre Vincent, Edwige Lawson-Wade, Paoline Ekambi, Jean-Michel Sénégal, Aymeric Jeanneau, Cathy Malfois\\n2012 : Irène Guidotti, Philip Szanyiel, Yannick Souvré\\n2011 : Odile Santaniello\\n2010 : Alain Gilles\\n2009 : Isabelle Fijalkowski, Hervé Dubuisson\\n2008 : Laure Savasta, Chantal Julien\\n2006 : Antoine Rigaudeau, Cathy Melain\\n2005 : Loëtitia Moussard\\n\\nL’Académie du Basket\\nC’est le Hall of Fame du Basket français. Créée en 2004, l’Académie du Basket a pour vocation de célébrer tous ceux qui ont marqué l’histoire du basket-ball français, qu’ils soient joueurs, joueuses, entraineurs, arbitres, dirigeants, personnalités diverses... Chaque année, une nouvelle promotion entre à l’Académie du Basket français.\\n\\n\\n\\n\\nPromotion 2017 :\\n\\n\\n\\n\\n * Henri LESMAYOUX\\n * Jean-Pierre DUSSEAULX\\n * Louis DEVOTI\\n * Danielle PETER\\n * Laurent SCIARRA\\n * Loëtitia MOUSSARD  \\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPromotion 2016 :\\n\\n\\n\\n\\n * Robert COHU\\n * Jean-Pierre STAELENS\\n * Françoise QUIBLIER\\n * André VACHERESSE\\n * Freddy HUFNAGEL\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPromotion 2014 :\\n\\n\\n\\n\\n * Wladimir FABRIKANT\\n * Henry FIELDS\\n * Cathy MELAIN\\n * Martine CAMPI\\n * Michel RAT\\n * Jim BILBA\\n * Gérard BOSC\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPromotion 2013 :\\n\\n\\n\\n\\n * Emile FREZOT\\n * Stéphane OSTROWSKI\\n * Ginette MAZEL\\n * Jean BAYLE-LESPITAU\\n * Max MAMIE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPromotion2012 :\\n\\n\\n\\n\\n * Lucienne VELU-CHAPILLON\\n * Jacques HUGUET\\n * René CHOCAT\\n * Jacqueline DELACHET\\n * Roger HAUDEGAND\\n * Paoline EKAMBI\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPromotion2011 :\\n\\n\\n\\n\\n * Yvonne SANTAIS-HOUEL\\n * Yannick SOUVRE-VACHERON\\n * Isabelle FIJALKOWSKI-TOURNEBIZE\\n * Philip SZANYIEL\\n * Jacques MONCLAR\\n * Yvan MAININI\\n * Equipe de France Féminine – Médaille d’or – Championnat d’Europe en 2001\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPromotion2010 :\\n\\n\\n\\n\\n * Jacques FLOURET\\n * Eric BEUGNOT\\n * Antoine RIGAUDEAU\\n * Pierre SEILLANT\\n * Equipe de France Masculine – Médaille d’argent – JO de Sydney en 2000\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPromotion2009 :\\n\\n\\n\\n\\n * André TONDEUR\\n * Jean-Claude BONATO\\n * Odile SANTANIELLO\\n * Joë JAUNAY\\n * Jean PERNICENI\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPromotion2008 :\\n\\n\\n\\n\\n * Georgette COSTE-VENITIEN\\n * Catherine MALFOIS\\n * Bernard GASNAL\\n * Louis BERTORELLE\\n * Pierre TESSIER\\n * Jean-Michel SENEGAL\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPromotion2007 :\\n\\n\\n\\n\\n * Jacques CACHEMIRE\\n * Michel CANQUE\\n * Jean DEGROS\\n * Roland ETIENNE\\n * Henri GRANGE\\n * Yannick STEPHAN\\n * Equipe de France Féminine – Médaille d’or – Championnat du Monde en 1934\\n * Equipe de France Masculine – Médaille d’argent – JO de Londres en 1948\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPromotion2006 :\\n\\n\\n\\n\\n * Marcel BARILLE\\n * Raphaël DE BARROS\\n * Robert MONCLAR\\n * Jacques PERRIER\\n * Elisabeth RIFFIOD\\n * Edith TAVERT\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPromotion2005 :\\n\\n\\n\\n\\n * Robert BLANCHARD\\n * Robert BUSNEL\\n * Anne-Marie COLCHEN\\n * Richard DACOURY\\n * Jacques DESSEMME\\n * Irène GUIDOTTI\\n * Jacques MARCHAND\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPromotion2004 :\\n\\n\\n\\n\\n * Roger ANTOINE\\n * Christian BALTZER\\n * Jean-Paul BEUGNOT\\n * André BUFFIERE\\n * Jacqueline CHAZALON\\n * Maxime DORIGO\\n * Hervé DUBUISSON\\n * Alain GILLES\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLe Trophée Alain Gilles\\n\\nLe trophée Alain Gilles récompense les performances des joueurs et des joueuses lors de la saison de club et des compétitions internationales.\\n\\n2017: Céline Dumerc, 2016: Nando De Colo, 2015: Nando De Colo.\\n\\nPhoto: Céline Dumerc (Hervé Bellenger/FFBB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’Efes Istanbul s’offre le Fenerbahçe en finale de la Coupe du Président"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A la relance après une saison catastrophique l’an passé, l’Efes Istanbul a déjà remporté un trophée dès le mois d’octobre. Il s’agit de la Coupe du Président, soulevée hier soir après une victoire étriquée face au Fenerbahçe (65-62).\\n\\nEn contrôle après un 16-1 en début de 3e quart, l’Efes a réussi à tenir son résultat en fin de match, notamment derrière 13 points et 9 rebonds d’Adrien Moerman. L’ancien de Zalgiris, Vassilije Micic n’a pas tremblé sur la ligne des lancers dans le money time, signant quant à lui 8 points et 4 passes pour sceller le sort du match.\\n\\nRodrigue Beaubois (6 points, 3 interceptions, 2 passes) n’a pas été dans un grand soir au niveau de l’adresse, avec seulement 2/10 aux tirs. En face, Joffrey Lauvergne a lui terminé sa soirée à 8 points et 2 rebonds en 22 minutes en sortie de banc.\\n\\nAlors que la saison d’Euroleague débute dans une semaine, cette finale de Coupe était une bonne répétition générale pour deux écuries qui viseront le Top 16 au printemps prochain.\\n\\nManquaient néanmoins à l’appel : côté Efes, Shane Larkin, Brock Motum, Tibor Pleiss et James Anderson ; côté Fener, Jan Vesely, Marko Guduric et Tyler Ennis.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=-65-AKLa1rw"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : le show Brandon Jennings (Zenith St Petersbourg) face à Ankara"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"De retour en Europe pour la première fois depuis sa saison rookie qu’il a effectué en Italie, à Rome, en 2008/09, Brandon Jennings (1,87m, 29 ans) n’a pas mis trop de temps à retrouver ses marques.\\n\\nPour son premier match d’Eurocup avec le Zenith Saint Petersbourg face au Turk Telekom Ankara, l’ancien joueur des Milwaukee Bucks a compilé 20 points, 9 rebonds et 8 passes décisives pour une évaluation de 30. Face à lui sur le poste de meneur, il avait affaire à l’ancien Nanterrien T.J. Campbell qui a été beaucoup plus discret (5 points, 5 passes, 4 d’évaluation).\\n\\nLe Zenith Saint Petersbourg fait partie du groupe C, le même que l’ASVEL.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Pro B 2018-19 – Aix-Maurienne: Le parfait poil à gratter"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la Leaders Cup en guise de tour de chauffe, le championnat 2018/19 de Pro B débute le 12 octobre et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur un joueur à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment).\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDe retour en Pro B depuis 2016, les Savoyards avaient frôlé la cata sur 2016-2017 (premier non relégable sauvé à la dernière journée, à la différence particulière). La saison dernière, l’AMSB a remarquablement appris de ses erreurs en parvenant à déjouer les pronostics, avec à la clé un exercice conclu à la 11e place, à deux petits matchs d’une participation aux Playoffs. Cet accomplissement a été rendu possible par l’entraîneur Fabien Romeyer, arrivé l’été dernier en provenance de Vichy-Clermont, et dont le mix entre expérience et jeunesse a porté ses fruits.\\n\\nDu coup, la formule sera presque la même cette saison. Avec une base de deux cadres, Karim Atamna sur les postes arrières et Kevin Corre à l’intérieur, leaders techniques mais également garants d’un état d’esprit irréprochable et des jeunes aux dents longues pour les entourer à l’image des arrivées de Thomas Hieu-Courtois en provenance de Blois (champion de Pro B) et Sullivan Hernandez prêté par Fos-sur-Mer (vainqueur des Playoffs d’accession) qui occupera le poste 3 avec un autre très jeune, Junior Zéro (ex espoir au Mans).\\n\\nLe changement majeur a été opéré à la mène puisque le bouillonnant Akeem Williams a été remplacé par Jarred Ogungbemi-Jackson qui aura là une belle opportunité de se montrer dans un championnat de référence en Europe. Jarred est peut-être moins exubérant qu’Akeem (quoique), capable de prendre feu à tout moment, mais sa régularité apportera peut-être davantage à l’AMSB sur une saison. Les deux autres joueurs étrangers (DJ Richardson et Brandon Peterson) espèrent se relancer après un exercice 2017-2018 compliqué.\\n\\n« On voulait également partir avec trois étrangers en cas de pépin physique durant l’année, comme pour beaucoup de mes collègues », note également Fabien Romeyer. « Le vivier de joueurs français n’étant pas extensible, on pourra alors disposer d’un panel beaucoup plus large si nécessaire ».\\n\\nLes blessures à successives en prépa (Suhard, Nkounkou, Atamna...) et l’arrivée tardive de Sullivan Hernandez n’ont pas mis le groupe dans les meilleures dispositions, et ça s’en est ressenti sur une Leaders Cup traversée sans ambition. Mais nul doute que le groupe une fois au complet et débarrassé de ses problèmes d’ordre physique donnera du fil à retordre à bon nombre d’équipes de la division. Attention à cet AMSB, toujours prêt à déjouer les pronostics.\\n\\nLe joueur à suivre : Jarred Ogungbemi-Jackson\\n\\nLe meneur canadien aura la lourde tâche de faire oublier Akeem Williams, meneur référencé de Pro B. Jusque-là, Jarred Ogungbemi-Jackson a brillé dans des championnats mineurs au Portugal (Galitos-Barreiro) où il a tourné à près de 15 et 19 points par match, puis en deuxième division espagnole (13,5 pts à 48% à 3pts, 3,1 pds par match), un championnat qui « a retrouvé son niveau depuis deux ans, avec une identité de jeu collectif », assure coach Romeyer. « Si son équipe n’a pas fait une grosse saison, j’ai trouvé que lui avait été performant », poursuit l’entraîneur de l’AMSB qui scoutait un autre joueur avant de changer son fusil d’épaule.\\n\\n« Le profil m’intéressait. Sur le match, il a été bon et il a stoppé le meneur que je regardais en face. Je l’ai revu sur d’autres matchs et j’ai pris contact. J’ai commencé à parler en anglais, il m’a dit « on peut parler en français coach, il n’y a pas de problème ». On a beaucoup discuté de l’investissement et aujourd’hui je suis particulièrement satisfait d’avoir un joueur qui met notre intensité à l’entraînement à un très haut niveau. Il est toujours à fond, peu importe les exercices. Dans l’investissement il répond présent. Après, il doit encore bosser la gestion de l’équipe, l’utilisation de son dribble, mais en tout cas il a envie de progresser, d’avancer. Pour un coach, c’est le minimum ».\\n\\nL’objectif de la saison par Fabien Romeyer :\\n\\n« On veut axer la saison sur l’investissement et le partage, des valeurs sur lesquelles on a rencontré beaucoup de difficultés l’an dernier, notamment en première partie de saison. Le recrutement a été basé sur des joueurs qui veulent s’investir, qui ont envie de progresser et de partager des choses. Que ce soit humainement, des émotions, des victoires mais aussi des défaites, partager le ballon, les aides défensives. Pour moi, c’est tout ça le partage. On est forcé à l’humilité au vu de notre budget. On est à 1,3 1,4 million et le budget moyen est autour de 2 millions. On se retrouve parmi les plus petits budgets voire le plus petit. Notre logique, c’est de se dire qu’il faut qu’on prenne 14 victoires. Le club s’est construit comme ça. Il faut qu’on soit capable d’assurer ça, c’est le chiffre pour se maintenir sans frayeur. Ensuite, on fonctionne toujours avec un double objectif. Il y a cet objectif chiffré et un objectif sur la façon d’y parvenir. Et sur ce point-là, on ne se fixe aucune limite. On peut être le dernier budget mais on ne peut pas être la dernière équipe en terme d’état d’esprit, d’investissement, de partage. Sur ça, rien ne doit nous empêcher d’être parmi les premiers ».\\n\\nArrivées : Thomas Hieu-Courtois (Blois), Jarred Ogungbemi-Jackson (Lleida, Espagne D2), Brandon Peterson (Bruxelles, Belgique), DJ Richardson (Trikalla, Grèce), Junior Zero (espoirs Le Mans)\\n\\nDéparts : Jonathan Kazadi (Genève, Suisse), Curtis Kelly (Philippines), Kévin Mendy (Poitiers), Gide Noël (Gries-Oberhoffen), Moses Sonko (arrêt), Tony Turam-Ullien, Akeem Williams\\n\\nEffectif 2018-2019 : Jarred Ogungbemi-Jackson, Hugo Suhard, DJ Richardson, Karim Atamna, Junior Zero, Kévin Corre, Thomas Hieu-Courtois, Karl-David Nkounkou, Brandon Peterson\\n\\nCoach : Fabien Romeyer Assistants : Julien Cros, Marti Zamora-Mas, Ludovic Guibert\\n\\nCinq majeur probable : Jarred Ogungbemi-Jackson, Karim Atamna, DJ Richardson, Thomas Hieu-Courtois, Brandon Peterson.\\n\\n[armelse]\\n\\nDe retour en Pro B depuis 2016, les Savoyards avaient frôlé la cata sur 2016-2017 (premier non relégable sauvé à la dernière journée, à la différence particulière). La saison dernière, l’AMSB a remarquablement appris de ses erreurs en parvenant à déjouer les pronostics, avec à la clé un exercice conclu à la 11e place, à deux petits matchs d’une participation aux Playoffs. Cet accomplissement a été rendu possible par l’entraîneur Fabien Romeyer, arrivé l’été dernier en provenance de Vichy-Clermont, et dont le mix entre expérience et jeunesse a porté ses fruits.\\n\\nDu coup, la formule sera presque la même cette saison. Avec une base de deux cadres, Karim Atamna sur les postes arrières et Kevin Corre à l’intérieur, leaders techniques mais également garants d’un état d’esprit irréprochable et des jeunes aux dents longues pour les entourer à l’image des arrivées de Thomas Hieu-Courtois en provenance de Blois (champion de Pro B) et Sullivan Hernandez prêté par Fos-sur-Mer (vainqueur des Playoffs d’accession) qui occupera le poste 3 avec un autre très jeune, Junior Zéro (ex espoir au Mans).\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Jarred Ogungbemi-Jackson (F. Pietrzak, Aix Maurienne)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie: Vers un retour de Alessandro Gentile en Europe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quelle va être la prochaine destination de l’arrière/ailier Alessandro Gentile (2,02m, 26 ans) ? Probablement l’Europe.\\n\\nLes Houston Rockets ont proposé à l’Italien un two way contrat avec la G-League pour commencer. Pas question pour les Rockets de l’enrôler tant qu’ils n’ont pas coupé l’un de leurs 15 joueurs sous contrat, ce qui n’est pas envisagé actuellement. Les droits de la franchise du Texas expirent le 15 octobre et après cette date, Gentile pourra chercher un autre point de chute aux Etats-Unis ou en Europe.\\n\\nL’ancien capitaine d’Olimpia Milan ne semble pas pour l’instant intéressé par les propositions de l’Italie, mais donne la priorité à une destination étrangère et de préférence dans une coupe ECA (Euroleague ou Eurocup). Alessandro Gentile a eu un parcours en zigzags ces derniers temps. En décembre 2016, il avait quitté Milan d’un commun accord avec le club. Il avait signé alors au Panathinaikos pour le restant de la saison avant d’être licencié en mars. En avril, il avait rejoint Hapöl Jérusalem puis à la rentrée 2017 Virtus Bologne et ainsi retrouvé son frère Stefano. Il est inactif depuis quatre mois à cause d’une blessure au pouce."
}, 
{"role": "user",     "content":"CourtCuts : le Top 10 de la semaine (29 septembre)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque saison depuis maintenant six ans, CourtCuts réunit chaque mercredi les dix meilleures actions de la semaine des championnats nationaux.\\n\\nCette semaine, c’est Adama Diouf (VAB Val d’Albert, NM2) qui pointe à la première place du classement grâce à un très gros poster dunk en contre attaque."
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Ligue Féminine 2018-19 – Landerneau: Le retour de la Bretagne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Ligue Féminine débute les 13 et 14 octobre avec l’Open de Paris et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur deux joueuses à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment) et vous pouvez commander le Guide en version papier sur notre boutique.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe Landerneau Bretagne Basket est depuis trois ans l’émanation d’une fusion entre le Pleyber-Christ Basket Club, issu d’un village de 3 000 habitants dont l’équipe évoluait en Ligue 2, et de l’Elorn Olympique Landerneau, ce qui dans un premier temps avait donné le Léon Tregor Basket 29.\\n\\nEn évinçant Angers en finale des playoffs de Ligue 2 suite à trois manches d’anthologie, Landerneau est devenu le premier club breton de Ligue féminine depuis l’Avenir de Rennes, il y a vingt ans. De quoi rendre fiers ses nombreux supporters. La salle de la Cimenterie est à guichets fermés depuis décembre 2017 et quatre cents d’entre-eux avaient fait le déplacement pour la manche retour dans le Maine-et-Loire.\\n\\n« Le budget va dépasser légèrement le million », rapporte le président Erwan Croguennec. « C’est un petit budget de Ligue Féminine mais il faut savoir qu’il y a trois, quatre ans, il était autour de 350/400 000€. On ne dépensera pas l’argent que l’on n’a pas. Le très gros travail de la cellule de recrutement, c’est de réussir à trouver les profils de joueuses les plus complémentaires possibles. »\\n\\nSi quatre héroïnes de L2 ont été conservées dont l’emblématique Marie Butard, cinq nouvelles joueuses ont été embauchées. « On a fait un état des lieux et on s’est dit que l’on est assez jeune à part Marie (Butard) qui a la trentaine et on n’a pas forcément beaucoup d’expérience de la Ligue féminine. C’est pour ça que l’on a fait le choix de Joyce Cousseins-Smith à la mène et de Kamilia Stepanova. Maggie Lucas, c’est une bonne pioche parce qu’elle était blessée au genou. Sinon, il ne faut pas se mentir, elle ne serait pas venue chez nous. Elle s’est dit, pourquoi pas repartir en Europe dans un club où j’aurai du temps de jeu, de la confiance. Elle n’avait pas de club l’année dernière mais là elle a rejoué en WNBA, à Atlanta et Dallas (NDLR : un total de 8 matches). » Le staff a par ailleurs préféré se séparer de Asia Logan, partie à Reims avec l’assistante-coach, Marie-Julie Levant, et recruter Shayla Cooper, qui a pour elle une vraie expérience européenne, en Hongrie et en Espagne, et l’Ivoirienne Kariata Diaby, qui avait fait des étincelles contre les Bretonnes avec Charnay en demi-finale des playoffs de L2.\\n\\nJoyce Cousseins-Smith\\n\\nUne baroudeuse puisque Landerneau est son 11e club de Ligue Féminine. Le premier fut son club formateur, Montpellier. La saison dernière, elle l’a débutée à Nice qu’elle quitta pour « raisons personnelles », ce qui donna beaucoup de temps de jeu à Alix Duchet et favorisa ainsi son éclosion, pour la finir à Villeneuve d’Ascq comme joker médical de Virginie Brémont. En18 matchs, Joyce a affiché 3,2 points, 3,4 rebonds et 1,9 passe. Une joueuse et une femme mâture dont le passage à l’ESBVA a été très apprécié. Un père Sénégalais qui parle wolof, un grand-père qui a travaillé sur des plates-formes pétrolières, une mère avec des racines anglo-saxonnes et une sœur qui vit à Singapour. Joyce est présidente de l’association « Le ballon du bonheur » qui a pour objectif de venir en aide aux enfants de pays en voie de développement. Elle a obtenu des diplômes de design graphique et fait construire des chambres d’hôte près de Lisbonne.\\n\\nPauline Lithard\\n\\nL’Alsacienne a été formée à l’INSEP et au centre de formation de Bourges. Championne d’Europe U18 en 2013 et vice-championne du monde U19 l’année suivante avec le huitième temps de jeu de l’équipe. Elle ne put participer à l’Euro U20 à cause d’une blessure à un doigt. Après trois saisons à Reims en Ligue 2, elle a été la doublure de Amel Bouderra à Charleville avant d’arriver en Bretagne en 2016. « C’est quelqu’un qui est remarquable par son talent basket. Elle sait où mettre le ballon, c’est une joueuse très intelligente. Elle a une énorme qualité de tir à trois-points. C’est quelqu’un de souriant, qui a besoin de confiance, que les choses se passent bien autour d’elle dans son environnement basket. C’est quelqu’un qui déteste perdre et qui mettra tout en œuvre pour gagner », estime Stéphane Leite. Elle a profité fin mai de la blessure de Clarince Djaldi-Tabdi pour être sélectionnée en équipe de France A’ sous la direction de Jérôme Fournier qui fut déjà son coach en U17.\\n\\nL’effectif de Landerneau est disponible ici.\\n\\n[armelse]\\n\\nLe Landerneau Bretagne Basket est depuis trois ans l’émanation d’une fusion entre le Pleyber-Christ Basket Club, issu d’un village de 3 000 habitants dont l’équipe évoluait en Ligue 2, et de l’Elorn Olympique Landerneau, ce qui dans un premier temps avait donné le Léon Tregor Basket 29.\\n\\nEn évinçant Angers en finale des playoffs de Ligue 2 suite à trois manches d’anthologie, Landerneau est devenu le premier club breton de Ligue féminine depuis l’Avenir de Rennes, il y a vingt ans. De quoi rendre fiers ses nombreux supporters. La salle de la Cimenterie est à guichets fermés depuis décembre 2017 et quatre cents d’entre-eux avaient fait le déplacement pour la manche retour dans le Maine-et-Loire.\\n\\n« Le budget va dépasser légèrement le million », rapporte le président Erwan Croguennec.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Marie Butard et Pauline Lithard (LBB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges: Quand William Howard et Axel Bouteille scorent 21 points chacun"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ah! Limoges... Hier soir le Palais des Sports de Beaublanc a hué le coach Kyle Milling et des supporters ont marqué leur soutien à Samardo Samuels, mis à pied, par des chants et des drapeaux jamaicains. Mais tous ont salué comme il se doit la victoire des hommes de... Kyle Milling qui ont -largement- vaincu le Cedevita Zagreb dans le cadre de la première journée d’Eurocup, 82-68.\\n\\nLe CSP se veut une équipe qui met les Français en exergue et deux d’entre eux ont été tout spécialement performants hier soir face aux Croates. William Howard (5/7 aux shoots) et Axel Bouteille (6/9) ont chacun marqué 21 points. Le premier avec notamment des paniers à trois-points (3/6) les pieds dans le béton à huit mètres et le second comme si le ballon était toujours aimanté par le cercle. Howard a battu son compère à l’évaluation avec 28 contre 26. Sachant qu’un troisième Français, Mam Jateih a obtenu 19. A trois, ils ont donc totalisé 73 des 103 d’éval de l’équipe!\\n\\nPhoto: William Howard (Eurocupbasketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: La projection au Mans de «Couronnement en Principauté»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Hier soir avait lieu dans un cinéma du Mans l’avant-première du documentaire « Couronnement en principauté » qui raconte la conquête du titre de champion de France 2018 du Mans Sarthe Basket.\\n\\nEn attendant le docu lui-même qui doit être diffusé sur les réseaux sociaux, voici quelques images volées par le réalisateur lui-même, Benoît Dujardin."
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Pro B 2018-19 – Joe Burton à Blois: «Heureux d’être de retour»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la Leaders Cup en guise de tour de chauffe, le championnat 2018/19 de Pro B débute le 12 octobre et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur un joueur à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment).\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nBlois a réalisé l’un des gros coups de l’intersaison en faisant revenir Joe Burton en France. Pour sa première saison en Pro B en 2015-2016, le poste 5 avait fait un carton, remportant le titre de MVP de la division (16,2 points, 9,9 rebonds, 24,7 d’évaluation en moyenne par match) à Evreux sous les ordres de Laurent Pluvy, coach qu’il a suivi à Roanne la saison suivante avec la même réussite (17 points, 9 rebonds, 22,4 d’évaluation). Le nouveau pivot de l’ADA est reconnu pour son gabarit, plutôt imposant, son efficacité mais aussi pour sa gentillesse en dehors des terrains. Partout où il est passé, Joe Burton a laissé le souvenir d’une personne souriante et attachante, aussi cool dans la vie que déterminée sur un parquet. Lors de son retour sur le parquet de l’ALM en octobre 2016, il a ainsi reçu une standing ovation poignante, à la hauteur du personnage et de l’empreinte qu’il a laissée.\\n\\nLe nouveau blésois, de retour après une saison passée en D2 Japonaise (aux Aomori Wat’s), s’est également fait connaître pour être celui que l’on surnommait « l’indien de Pro B ». Né sur dans une « réserve » (territoire réservé aux tribus amérindiennes), à Soboba (Californie) où vivent la tribu des Luiseños, d’un père bahaméen et d’une mère améridienne. A lui tout seul, il est le fruit de ce que l’Amérique a produit de pire (le massacre des indiens d’Amérique) mais aussi de ce qu’elle peut offrir de meilleur avec ce parcours hors du commun qui a fait de lui un joueur professionnel, reconnu à l’étranger. Avec une telle histoire, un entretien avec le n°11 de l’ADA ne pouvait être que passionnant. Au menu à l’aube de ce nouveau chapitre : un peu d’histoire, du sociétal mais aussi du basket ! Sur ce sujet, un sacré défi attend la formation de Mickaël Hay : faire oublier la triste issue de la saison dernière (montée invalidée). Pour cela, il faudra faire aussi bien, à savoir une saison exceptionnelle. Pari tenu ?\\n\\nLa vie de natif et le regard des Etats-Unis sur sa propre histoire\\n\\nComment décririez-vous la vie d’un « natif » américain aux USA aujourd’hui ?\\n\\nÇa ressemble à la vie normale. Nous sommes traités de la même façon que tout le monde. J’ai grandi dans une réserve et j’y vis toujours en dehors de la saison. J’ai une maison là-bas et toute ma famille y est restée. Ma mère, mes oncles, tantes... On forme une communauté assez proche. Durant ma jeunesse, ça n’a pas toujours été facile, car il y avait pas mal de violence, de drogue, d’alcoolisme. Mais j’en ai toujours été protégé par ma famille. Je suis issue d’un milieu très sportif et c’est pour ça que j’ai choisi le basket. Dans l’ensemble, je dirais que c’est une vie normale. Chacun a sa propre culture et elle est ancrée chez nous aussi. Mais comme c’est le cas ici où la culture française et d’autres comme celles venues d’Afrique arrivent à cohabiter. La culture « native américaine », c’est comme un petit pays, un petit état avec un style de vie différent. Pour autant, on ne reste pas entre nous. En Californie, toutes les ethnies, toutes les communautés du monde sont présentes. C’est un mélange de cultures, de religions, d’ethnies. Tout le monde est différent, mais ça ne cause pas de problème et chacun peut faire sa vie de la façon dont il l’entend.\\n\\nQuelle est le poids de cette communauté « native » dans le débat américain ?\\n\\nChaque réserve possède son fonctionnement, ses élus et son gouvernement (le bureau des affaires indiennes, NDLR). Les représentants des réserves de Californie se rendent régulièrement à Sacramento, la capitale de l’état, pour participer à une assemblée. C’est là qu’ils nous représentent, que nos intérêts sont défendus et que nos affaires sont gérées. On évoque ce qui a été fait pour notre communauté, et ce qui peut encore être amélioré. C’est assez bien réglementé. Nous sommes représentés, nous avons notre mot à dire dans le débat sur la vie quotidienne et les sujets qui animent notre territoire. De la même façon, nous votons pour les maires, les membres du congrès, les sénateurs, les gouverneurs. Tout le monde a le droit de s’exprimer aux Etats-Unis et c’est aussi le cas pour nous.\\n\\nComment l’Amérique d’aujourd’hui se comporte-t-elle vis à vis de son histoire et du génocide qui a été commis sur ses terres ?\\n\\nBien évidemment, je connais la vraie histoire, à savoir que les Indiens étaient là avant Christophe Colomb qui cherchait avant tout à rejoindre la route des Indes et qui s’est perdu. Il est arrivé sur le continent américain, où nous étions installés. Il s’est approprié cette terre et vous connaissez la suite. A partir du collège, on nous apprenait ceci dans les livres d’histoire : « Christophe Colomb a découvert l’Amérique. Les Indiens d’Amérique étaient là. C’est ainsi que le « nouveau monde » a commencé ». Et sur la page suivante, c’est le début de l’histoire de la création des Etats-Unis. Il y a comme un vide. Donc, au collège on ne nous apprend pas vraiment cette partie, c’est comme ça que les livres d’histoire sont écrits. Mais lorsque tu grandis, que tu vas au lycée, à l’université, si tu t’intéresses à la vérité, tu finis par la trouver. Le plus marrant dans tout ça, c’est que d’un côté, les USA n’apprennent pas la vraie histoire à nos enfants, et de l’autre, lorsque je suis arrivé en Europe, pour ma première année en tant que joueur professionnel, au Danemark, beaucoup de gens me demandaient : Pourquoi les Américains délivrent une fausse version de l’histoire vis à vis des Indiens d’Amérique ? Car lorsque je suis arrivé, je me suis présenté comme « natif », j’ai expliqué un peu mon histoire. Et c’est la première chose qui est ressortie : pourquoi ce mensonge ? C’est comme ça. Je connais la vérité, la plupart des gens la connaît, mais une petite partie a son propre point de vue et veut que ce soit celui-là qui soit enseigné.\\n\\nUn combat est-il mené pour que cette partie de l’histoire soit davantage reconnue ? Des les livres d’histoire par exemple...\\n\\nEn Californie et même dans tous les réserves de natifs du pays, il y a des gens qui parcourent le pays pour se battre contre ça. Aux States, il y a le « Christopher Colombus Day » tous les deuxièmes lundis du mois d’octobre, qui est un jour férié. Et bien évidemment, on ne célèbre pas cette date. On essaie même de se débarrasser de ce jour parce qu’il ne reflète pas la réalité. La vérité, c’est que nous étions là bien avant lui. Les Américains de cette terre, c’est nous. Et nous avons été déracinés, et parqués dans des réserves dans lesquelles nous vivons encore aujourd’hui. En gros, on nous a pris notre terre, on nous en a redonné une petite partie, loin de chez nous. Et en plus, cette terre appartient au gouvernement américain, et on doit payer pour pouvoir y vivre, ce qui est assez ridicule.\\n\\nQu’est ce qui pourrait rendre la vie des « natifs » un peu meilleure ? Si vous pouviez améliorer quelque chose, qu’est ce que ce serait ?\\n\\nJe dirais plus d’égalité entre toutes ces réserves disséminées à travers le pays. Pour parler de ce que je connais le mieux, à savoir ma réserve, la vie est plutôt agréable. J’ai le sentiment que beaucoup d’opportunités sont offertes à la jeunesse, il existe beaucoup de programmes, de choses mises en place pour les aider à s’épanouir, qu’ils aient accès à l’éducation, aux livres, aux grandes études. Nous avons des ressources, mais il y a des réserves qui n’en bénéficient pas, qui n’ont pas ces aides. Je crois que le gouvernement pourrait faire un meilleur boulot et devrait débloquer des fonds afin d’aider les réserves qui sont vraiment dans le besoin, en Californie notamment, où la vie est très chère. Il y a des endroits non loin de chez moi où les gens ont besoin d’aide.\\n\\nColin Kaepernick, la question des inégalités aux Etats-Unis\\n\\nVous avez mentionné le combat de la communauté « native » sur le « Christopher Colombus Day ». Quel est votre point de vue sur celui de Colin Kaepernick contre les violences policières et les inégalités aux Etats-Unis ?\\n\\nCe n’est un secret pour personne. L’Amérique est raciste et les inégalités sont évidentes. On le voit tous les jours en opposant par exemple au slogan « Black lives matter » (la vie des Noirs compte) « All lives matter » (toutes les vies comptent). Il y a beaucoup de racisme aux Etats-Unis, mais aussi dans le monde. Partout où tu vas, il y a toujours du racisme, une population opprimée... Je crois que ce serait déjà une bonne chose de pouvoir le dire : les droits doivent être égaux pour tout le monde. On l’entend dans les grands discours des dirigeants. Mais ils disent ça d’un côté et de l’autre, leurs actions sont différentes. Pour la question des violences policières, je dirais simplement qu’il y a des bons flics et des mauvais flics. Si tu te fais arrêter, la première des choses à faire est de coopérer et ne surtout pas te mettre dans une position où un recours à la force pourrait être nécessaire. Il faut parfois savoir ravaler sa fierté, surtout si tu n’as rien fait de mal, et se soumettre à ce qu’ils disent et, normalement, tout rentrera dans l’ordre. Il y a d’autres cas pour lesquels la police est confrontée à des gens éduqués, qui connaissent leurs droits et le font savoir aux agents. C’est là que ça peut devenir compliqué, parce que leur autorité est remise en question et la température peut très vite grimper. Ce sont des choses basiques, mais le gouvernement doit faire mieux sur ce sujet pour éviter ces drames. Il devrait y avoir plus d’égalité, les mêmes opportunités pour tout le monde.\\n\\nLa communauté « native » se bat-elle aux côtés des « Afro-américains » sur ce sujet ?\\n\\nOn se bat à leurs côtés depuis des années, que ce soit au sujet des violences policières, de l’esclavage, ou sur la question du racisme. J’ai le sentiment que ce que Colin Kaepernick a fait ne concerne pas uniquement la communauté « afro-américaine », mais toutes les minorités. Et je suis derrière lui pour ça. Tout le monde doit être traité avec respect. Pour moi, tout le monde est pareil, et quand je sors dans la rue, je ne vais pas maudire une personne à cause de sa couleur de peau. Je n’ai pas été éduqué comme ça. Ça joue aussi, la façon dont tu as grandi et l’environnement dans lequel tu as évolué. Si tu as été entouré de racistes toute ton enfance, tu vas probablement le devenir.\\n\\nVous trouvez que le monde du sport professionnel en général l’a suffisamment soutenu ?\\n\\nLe truc, c’est que la liberté d’expression existe. Tu as le droit de dire et de faire à peu près ce que tu veux. Donc s’il veut s’agenouiller en signe de protestation, il peut le faire. C’est aussi ça, l’égalité, d’avoir la possibilité de s’exprimer. Et les gens qui le soutiennent ne devraient pas être victimisés et être traités d’ingrats ou d’ignorants pour ça. Maintenant, le vrai problème de ce sujet, c’est que s’est surtout une question d’argent. Comme je l’ai dit, le pays est raciste. Et si des stars soutiennent Kaepernick, ils vont s’opposer à la NFL et à une partie du public qui est contre ce combat. Il va y avoir le poids de la NFL, des médias qui vont le relayer et ils n’en récolteront que de la mauvaise publicité. La NFL, la NBA... ces ligues ont un vrai poids, une forte influence. La NFL a du mal à choisir son camp sur la question, se retrouve un peu piégée. Elle dit : « Oui, la liberté d’expression existe, mais ce geste est un manque de respect ». Et pour revenir sur la question du soutien, je dirais qu’en gros, les voix du sports les plus écoutées comme LeBron James peuvent supporter quelqu’un de tout leur cœur, mais jusqu’à un certain point.\\n\\nVous mentionnez le pouvoir de l’argent, mais le pouvoir politique semble aussi très influent...\\n\\nBien sûr, voilà autour de quoi ça tourne. Vous vous rappelez de Donald Sterling, le propriétaire des Clippers qui avait un discours ouvertement raciste, y compris à propos de ses propres joueurs. C’était un cas connu et ça a pris du temps (de le faire virer, NDLR), mais c’est quelque chose qui devait vraiment être fait. Il n’y avait pas d’autre alternative et la NBA a réussi à le faire, pour les Clippers, mais aussi pour sauver son honneur. Je suis d’accord sur le fait que la NBA est essentiellement constitué de joueurs issus des minorités, mais la NBA a avant tout réagi pour se protéger. Elle a raisonné en terme de marque, d’entreprise et c’est à ce moment qu’ils s’en sont débarrassés. Pour pouvoir se sauver la face et dire : « Vous voyez, la NBA n’est pas raciste ».\\n\\nEn NBA, on n’a effectivement pas vu beaucoup de joueurs mettre leur genou à terre en guise de soutien...\\n\\nOui et ce qui explique le mieux cette situation, c’est que Colin Kaepernick n’a plus de job. Voilà pourquoi personne ne pose son genou à terre. Tout est question d’argent. C’est triste mais c’est comme ça. On devrait pouvoir faire ce qu’on semble juste et se battre pour les valeurs qu’on estime importantes. Les stars supportent Colin, mais ils ont aussi des responsabilités et des gens de leurs familles, des amis qu’ils doivent aussi « assumer » si on peut dire. Les gens ont protesté, de tout temps, pour l’égalité. Mais malgré tout, Colin a gagné dans le sens où il représente une voix à présent.\\n\\nVous poseriez le genou à terre sur le sol américain si vous en aviez l’opportunité ?\\n\\nOui, mais je ne suis personne, ça ne fera pas les gros titres des journaux. Si Colin Kaepernick le fait, ou LeBron James le fait ou une quelqu’un d’aussi important, alors on en parlera. Il faudrait que je joue en NBA pour que ça ait de l’impact ! Si c’est un lycéen qui le fait, il ne se passera rien. Il faut avoir un certain statut, sinon ça ne changera pas grand-chose, ou alors ça prendra du temps. Ça pourrait même te causer plus de souci qu’autre chose. Ce combat ne date pas de la première fois où Colin Kaepernick a posé son genou à terre, mais on en est presque toujours au même point... Mais ça ne veut pas dire que je vous déconseillerais de vous battre pour ce qui vous semble juste.\\n\\nBlois, un nouveau départ\\n\\nQuels souvenirs gardez-vous de votre expérience au Japon la saison dernière ?\\n\\nJe retiendrais les fans en premier lieu. Ils étaient incroyables. C’est une culture différente, une autre façon de vivre. Il y a beaucoup de respect entre les gens et c’est quelque chose de vraiment marquant. Au niveau basket, c’est... différent. Complètement différent de ce qu’on peut trouver en Europe. Je peux dire que je suis heureux d’être de retour (rires).\\n\\nLa France vous a manqué ?\\n\\nOui et pas qu’à moi. Ma femme me disait souvent « Et pourquoi on ne retournerait pas en France ? ». Le jour où je le lui ai dit qu’on allait à Blois, c’était la plus heureuse ! (rires)\\n\\nAvez-vous eu d’autres offres provenant de France, et si c’est le cas, pourquoi avoir chois Blois ?\\n\\nEn fait, je ne sais pas parce que je n’en ai pas vraiment discuté avec mes agents. Ils m’ont dit que Blois avait fait une offre et j’ai accepté parce que je voulais revenir en France. Je crois qu’il y a eu d’autres offres mais celle-ci était la plus intéressante. Et puis j’ai choisi Blois parce qu’ils avaient été champions de Pro B. Le projet était bien, l’équipe aussi. Le coach (Mickaël Hay) m’a dit qu’il voulait faire de moi un meilleur joueur et qu’ensemble, on ferait en sorte d’arriver en première division. Ce serait super si on arrivait à reproduire le même parcours et monter tous ensemble. C’est l’objectif.\\n\\nVous connaissiez les problèmes que Blois rencontrait au sujet de la montée avant de signer ?\\n\\nOui, le GM (Julien Monclar) et le coach m’avaient bien expliqué la situation. Mais j’ai répondu : « Aucun souci pour moi. Pro B ou Pro A, je signe » (rires). Je voulais juste jouer. D’avoir un contrat déjà, c’était top.\\n\\nComment le groupe a réagi lorsque la décision finale est tombée ?\\n\\nBien sûr, il y avait beaucoup de déception. Les joueurs, le staff, tout le club a travaillé dur pour en arriver là la saison dernière et ça n’a pas payé. Il faut essayer de le prendre de la meilleure façon possible et se dire : « OK, allons leur prouver une deuxième fois » et c’est ce que les joueurs présents l’an dernier vont tâcher de faire. Bien sûr, ils sont déçus de ce qu’il s’est passé, mais ils ne peuvent rien y changer. Le club a essayé tant qu’il a pu. A nous de renouer avec la victoire et prouver à la ligue qu’ils ont eu tort.\\n\\nVous continuez de découvrir vos nouveaux coéquipiers. Comment ça se passe jusqu’à présent ?\\n\\nÇa se passe très bien. Le style est différent, on fait beaucoup plus de pick&rolls. Je continue d’assimiler la façon de jouer, les atouts des uns et des autres, les spécificités de ce genre. On n’a pas gagné un match de la pré-saison, mais j’ai eu le sentiment qu’on progressait à chaque partie, qu’on apprenait à se connaître. C’était compliqué aussi parce que l’équipe n’était pas au complet durant la prépa. Il y avait toujours un absent entre les sélections nationales, les tournois 3×3... Charly (Pontens) n’est pas avec nous actuellement et Noé (Abouo) nous a manqué avant car il jouait avec la Côte d’Ivoire. Ça n’a pas été facile mais on va gérer ça. C’est encore la pré-saison, on ne s’inquiète pas pour la Coupe de France et la phase de groupe de la Leader’s Cup. L’objectif pour nous, c’est d’être prêt le 12 octobre.\\n\\nTyren Johnson vous a succédé en tant que MVP de Pro B la saison dernière, voilà qui forme une belle raquette...\\n\\nBien sûr, on a les moyens de dominer à l’intérieur. Il faudra s’assurer qu’il existe une bonne relation entre le poste haut et le poste bas, se créer des automatismes, instaurer une routine pendant les matchs pour s’assurer des points faciles et ça devrait le faire. Il est plus efficace aux abords de la raquette et moi à l’intérieur, donc en effet ça peut bien fonctionner. On a des styles différents et je fais toujours en sorte de pouvoir jouer avec tout le monde. A nous de trouver le bon rythme.\\n\\nQuel va être l’objectif cette saison ?\\n\\nSimplement de s’améliorer chaque jour, individuellement mais aussi en tant qu’équipe. On veut remporter la Pro B et être en mesure de monter à nouveau. Pour y arriver, que ce soit collectivement ou individuellement, on devra travailler sur tous les aspects du jeu. On veut grandir ensemble.\\n\\nArrivées : Charles-Noé Abouo (Fos-sur-Mer), Joe Burton (Aomori Watts, Japon), Thomas Cornely (Caen), Tim Eboh (Espoirs Limoges), Omari Gudul (Levski Sofia, Bulgarie)\\n\\nDéparts : Jonathan Augustin-Fairell (Cholet, Jeep ÉLITE), Drissa Ballo, Ahmed Doumbia (Tours, N1), Thomas Hieu-Courtois (Aix-Maurienne), Julyan Motti (Tarbes-Lourdes, N1), Assane Ndoye (retour prêt Chalon-sur-Saône), Torey Thomas (Etoile Sportive Rades, Tunisie)\\n\\nEffectif 2018-2019 : Thomas Cornely, Charly Pontens, Benjamin Monclar, Florian Thibedore, Charles-Noé Abouo, Tim Eboh, Tyren Johnson, Joe Burton, Omari Gudul.\\n\\nCoach : Mickaël Hay Assistant : Benjamin Avon\\n\\nCinq majeur probable : Thomas Cornély, Benjamin Monclar, Noé-Charles-Abouo, Tyren Johnson, Joe Burton\\n\\n[armelse]\\n\\nBlois a réalisé l’un des gros coups de l’intersaison en faisant revenir Joe Burton en France. Pour sa première saison en Pro B en 2015-2016, le poste 5 avait fait un carton, remportant le titre de MVP de la division (16,2 points, 9,9 rebonds, 24,7 d’évaluation en moyenne par match) à Evreux sous les ordres de Laurent Pluvy, coach qu’il a suivi à Roanne la saison suivante avec la même réussite (17 points, 9 rebonds, 22,4 d’évaluation). Le nouveau pivot de l’ADA est reconnu pour son gabarit, plutôt imposant, son efficacité mais aussi pour sa gentillesse en dehors des terrains. Partout où il est passé, Joe Burton a laissé le souvenir d’une personne souriante et attachante, aussi cool dans la vie que déterminée sur un parquet. Lors de son retour sur le parquet de l’ALM en octobre 2016, il a ainsi reçu une standing ovation poignante, à la hauteur du personnage et de l’empreinte qu’il a laissée.\\n\\nLe nouveau blésois, de retour après une saison passée en D2 Japonaise (aux Aomori Wat’s), s’est également fait connaître pour être celui que l’on surnommait « l’indien de Pro B ». Né sur dans une « réserve » (territoire réservé aux tribus amérindiennes), à Soboba (Californie) où vivent la tribu des Luiseños, d’un père bahaméen et d’une mère améridienne. A lui tout seul, il est le fruit de ce que l’Amérique a produit de pire (le massacre des indiens d’Amérique) mais aussi de ce qu’elle peut offrir de meilleur avec ce parcours hors du commun qui a fait de lui un joueur professionnel, reconnu à l’étranger. Avec une telle histoire, un entretien avec le n°11 de l’ADA ne pouvait être que passionnant. Au menu à l’aube de ce nouveau chapitre : un peu d’histoire, du sociétal mais aussi du basket ! Sur ce sujet, un sacré défi attend la formation de Mickaël Hay : faire oublier la triste issue de la saison dernière (montée invalidée). Pour cela, il faudra faire aussi bien, à savoir une saison exceptionnelle. Pari tenu ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Adam Silver, le patron de la NBA, soutient les fenêtres FIBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le patron de la NBA pose un regard très positif sur le nouveau format de qualification pour la coupe du monde FIBA.\\n\\n« Nous, la NBA, en tant que partenaire de la FIBA, percevons des signes très encourageants », annonce Adam Silver, le patron de la NBA. « Ce système va vraiment permettre d’accélérer la croissance du basket partout dans le monde. »\\n\\nDemain vendredi 4 octobre se tient en Chine le Basketball World Summit, une série de conférences où seront présents Adam Silver, commissionnaire de la grande ligue américaine de basket, ainsi que son numéro 2 Mark Tatum, aux côtés notamment de Patrick Baumann, secrétaire général de la FIBA. Le 1er octobre, la FIBA a publié une vidéo* de Silver et Baumann qui échangent lors de l’événement, Basketball Without Borders, sur un premier bilan pour le nouveau format de qualification à la coupe du monde FIBA qui se tiendra l’année prochaine en Chine, les fameuses fenêtres.\\n\\nFin septembre, le cabinet de consulting Wasserman, référencé pour son expertise du sport au niveau mondial publiait une note* sur les résultats obtenus lors des trois premières fenêtres. Un bilan global positif sur l’impact mondial. « Qui aurait pu penser que ces fenêtres de qualifications auraient pu booster à ce point le basket ? », commence ainsi le papier sur Linkedin* par Ben Treadaway, vice-président de Wasserman Europe, Moyen-Orient et Afrique. A partir d’une large étude centrée sur les consommateurs menée par l’équipe de Wasserman international, les conclusions de l’expert par rapport au nouveau format proposé par la FIBA, qui pour le moins interroge notamment en Europe, sont positives. « Nos recherches montre que cette structure qui assure à chaque équipe de jouer des matches à enjeux à domicile, génère une meilleure exposition pour la discipline, remplit les salles et fait grandir la base de fans du sport. »\\n\\nL’importance des équipes nationales dans l’intérêt pour le basket\\n\\n« Depuis de nombreuses années, je sais que de nombreux joueurs NBA m’ont dit qu’ils ne connaitraient pas grand-chose du basket si leur équipe nationale n’avait pas disputé les grandes compétitions internationales, la coupe du monde ou les Jeux Olympiques », reprend ainsi Adam Silver. « C’est lors des grands tournois internationaux que dans la plupart des pays, le basket obtient la même attention que le football par exemple. Et je trouve que ce nouveau format de tournoi de qualification pour la coupe du monde, ces fenêtres, permet d’élargir le réservoir de joueurs potentiels, cela créé plus d’intérêt dans les différents pays pour leurs équipes nationales en leur permettant de jouer des matches à enjeu à domicile, partout dans le monde. »\\n\\n« On essaye d’accélérer la croissance du basket dans le monde », enchaîne Patrick Baumann. « Ces fenêtres de qualification, ce sont 80 pays qui jouent en même temps sur la planète pour tenter de se qualifier pour une même compétition, la coupe du monde. Les équipes nationales jouent ainsi tous les quatre mois. C’est une opportunité de concentrer l’attention des médias, des spectateurs et de toute la communauté basket au même moment, partout dans le monde. Ces qualifications constituent un accélérateur de croissance, une façon de détecter de nouveaux talents, d’accélérer la production de nouveaux joueurs pour les fédérations dont les stars sont en NBA ou qui manquent de joueurs. On a démarré en novembre dernier et on voit les premiers résultats dès maintenant. Notre objectif est de pouvoir passer nos responsabilités à nos successeurs en leur laissant entre les mains le sport le plus populaire du monde. »\\n\\nOnt attend maintenant que le soutien de Adam Silvert à ces fenêtres se concrétise dans les actes car pour le moment les joueurs NBA n’ont pas tous été disponibles pendant les fenêtres estivales, loin de là. Un geste fort serait de voir des joueurs NBA traverser l’Atlantique pour les matchs en hiver pendant que l’Euroleague continuera sans doute de bloquer les siens. On peut rêver...\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=C4w2VhU83Qg&feature=youtu.be"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’Euroleague, un miroir aux alouettes pour les clubs français?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les compétitions européennes pour la saison 2018-19 sont lancées. L’ASVEL, qui a parfaitement négocié ses trois premières journées de Jeep Elite, se fait une fois de plus les dents en Eurocup avant, probablement d’intégrer l’Euroleague. Mais la reine des compétitions européennes n’est-elle pas un terrain miné pour les clubs français qui sont économiquement à la traîne des armadas continentales mais qui ont le mérite et l’obligation d’être vertueux. Eléments de réponse avec Alain Béral, président de la Ligue Nationale de Basket.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nIl n’y a pas encore d’équipe française en Euroleague, il n’y en a plus en FIBA Europe Cup. Les sept clubs français engagés en coupes d’Europe se partagent entre la Basketball Champions League (Dijon, Le Mans, Nanterre et Strasbourg) placée sous le patronage de la FIBA et l’Eurocup (Limoges, Monaco et Villeurbanne) gérée par ECA. Les deux épreuves se disputent l’appellation officieuse de C2 pour prendre un repère du foot. Si la Champions League prend en compte les classements nationaux pour garnir son plateau et a donc la bénédiction de la Ligue Nationale de Basket, l’Eurocup a recours aux invitations, la LNB laissant faire par impuissance. Ce qui brouille les pistes, c’est que l’AS Monaco, deux fois qualifiée au Final Four de la BCL et finaliste de la Jeep Elite, a rejoint l’Eurocup cette saison, tandis que le champion de France manceau estime qu’une participation à la Champions League est plus légitime. Tout ceci se fait sur le dos du fan qui en a attrapé le vertige d’autant que l’une des épreuves est diffusée par Canal+ Sport et l’autre par RMC Sport.\\n\\nDeuxième volet du dossier : L’Euroleague. Lors de la saison 2015-16, les clubs français interrompaient leur programme après un parcours bien dans la tradition des dernières années (3 victoires pour 7 défaites pour Limoges et Strasbourg). L’Euroleague passait alors à la vitesse supérieure avec la constitution d’une saison régulière pour 16 équipes triées sur le volet dont 11 ont l’assurance de dix ans de présence : Anadolu Efes Istanbul, CSKA Moscou, EA7 Emporio Armani Milan, FC Barcelone Lassa, Fenerbahçe Istanbul, Laboral Kutxa Vitoria Gasteiz, Maccabi FOX Tel Aviv, Olympiacos Le Pirée, Panathinaikos Athènes, Real Madrid et Zalgiris Kaunas. SFR Sport devenu RMC Sport récupérait un peu plus tard les droits télévisuels de l’épreuve mais donc sans un club français pour servir de booster.\\n\\nAlain Béral, président de la LNB, veut être clair sur le sujet :\\n\\n« On n’a jamais dit qu’on était contre. On souhaite même qu’il y ait deux clubs en Euroleague et que l’on fera ce qu’il faut pour qu’ils puissent y jouer normalement. Ce que l’on critiquait fortement c’est que les champions n’aient pas accès à l’Euroleague et que c’était uniquement sur invitation. On a compris que le public estime que participer à l’Euroleague est une bonne chose pour le basket français. »\\n\\nCe n’est donc pas la compétition de club numéro 1 qui gêne l’instance mais l’autre gérée par ECA de Jordi Bertomeu.\\n\\n« Le problème c’est l’Eurocup où les tendances commencent à être les mêmes, c’est-à-dire que c’est aussi plutôt sur invitation. Ça ne nous va pas du tout. On avait couvé avec bienveillance la création de la BCL parce qu’elle n’a pas ce genre de structures et qu’elle donne accès aux champions des pays. Je trouve ça beaucoup plus sain. Oui pour l’Euroleague et non pour avoir une deuxième ligue que sur invitation. »\\n\\nSeulement, Jordi Bertomeu et son équipe n’en font qu’à leur tête et c’est bien sur dossier -ou si vous préférez, à la tête du client- que sont invités les clubs à participer à l’Eurocup. Une deuxième source de conflit était à craindre : que le calendrier de l’Eurocup chevauche les plages réservées aux équipes nationales durant la saison.\\n\\n« Pour l’instant, ils respectent les fenêtres. Sur ce plan-là, il n’y a pas de conflit. Si l’Eurocup décide de ne pas respecter les fenêtres, ça sera le problème des clubs qui s’y engagent. Ils devront libérer leurs joueurs pour l’équipe de France. Sinon, ils seront sanctionnés, ils se feront virer de la ligue ou de la fédération. On ne passera pas là-dessus. On n’acceptera pas qu’un club nous dise, non je ne libèrerai pas mes joueurs pour l’équipe de France. Notre priorité c’est le basket professionnel et la protection de l’équipe de France. On ne peut pas vivre sans alors que Bertomeu, il s’en fout complètement de l’équipe de France. Ce n’est pas son problème. On a dit à nos clubs, si vous voulez allez en Eurocup, allez-y, on ne vous en empêchera pas. La preuve... Mais s’il y a un conflit de calendrier, vous le gérez. On sait qu’il n’y aura pas de conflit avec la BCL car elle respecte les fenêtres, la ligue, le All-Star Game. »\\n\\nA voir donc ce qui se passera demain si le dit Jordi Bertomeu impose une nouvelle épreuve de force pour sa C2 cette fois.\\n\\nLa volonté d’avoir un ou deux clubs en Euroleague\\n\\nLa nouveauté, c’est que pour la saison 2019-20, LDLC ASVEL Lyon-Villeurbanne devrait rejoindre l’Euroleague. De 16 le nombre d’équipes doit passer à 18. Une augmentation qui inquiète Alain Béral :\\n\\n« Je ne sais pas si l’ASVEL sera en Euroleague. Peut-être. Si elle y ait, j’ai compris que c’était pour deux ans. Qu’il n’y aura qu’une seule poule de 18. C’est Bertomeu qui l’a dit. C’est critiquable aussi dans le sens que Bertomeu nous a toujours dit qu’une bonne ligue doit avoir 14 clubs et maximum 16. Et il fait 18. C’est peut-être aussi parce que le bon format sur le plan économique c’est 16-18 et pas 14. L’Euroleague ne peut vivre que si elle a des revenus plus importants qu’aujourd’hui. Je pense qu’aujourd’hui le format n’est pas bon. Il faut qu’ils trouvent beaucoup plus de recettes et la seule façon d’en avoir ce sont des sponsors et aussi des droits de télévision plus importants. Donc il y a le risque de tuer les ligues nationales en récupérant leurs droits TV, c’est-à-dire ceux de l’Allemagne, de la France et de l’Espagne. L’autre solution, c’est de vendre des droits TV à l’étranger (NDLR/ Asie du Sud Est et Amérique du Sud). Pour cela il faut des villes marques. On a très bien compris depuis toujours pourquoi Bertomeu parle de Paris, de Lyon et Strasbourg. Ce sont des marques, Paris notamment, qui sont vendables au niveau mondial dans n’importe quel pays intéressé au basket. Ce sont des choses vertueuses que l’on peut comprendre. »\\n\\n« Nous voulons avoir absolument des clubs en Euroleague car c’est la meilleure compétition européenne. Point, » reprend Alain Béral. « Parce que ça nous permettra de faire de la rétention de joueurs qui vont revenir chez nous pour jouer dans les clubs français d’Euroleague. Pour l’image de marque du basket français, c’est très important. Et pour l’image de l’Euroleague aussi à cause du nombre d’habitants en France, des droits TV. Par contre je veux absolument que les clubs les plus performants de la ligue hors Euroleague puissent accéder à une coupe d’Europe, que ça puisse être dans leur projet. Il faut que l’on ait maximum sept clubs en coupe d’Europe. Après s’il y a des tireurs francs ou des passagers clandestins, ils se démerderont. »\\n\\nLe président de la LNB ne paraît pas inquiet quant à la compatibilité entre le calendrier d’une Euroleague à 18 clubs avec une Jeep Elite qui doit être réduite dans deux ans à 16.\\n\\n« On sait que ça sera compatible avec l’Euroleague car il n’y aura pas de trêve. Ils joueront le 2 janvier, etc. S’il n’y a que deux clubs, ce n’est pas très grave. On se débrouillera pour caler des matches à droite et à gauche pour pouvoir assumer l’Euroleague. Mais c’est tout. On n’assumera pas la même chose pour un deuxième championnat car le plus important pour nous, c’est la ligue française. »\\n\\nL’ASVEL en Euroleague : un nain\\n\\nEn définitive, l’incompatibilité peut davantage se situer au niveau de l’économie. Les chiffres qui sont tombés récemment à propos des dérapages vertigineux des clubs d’Euroleague (200 millions pour l’ensemble des clubs, près de 30 millions pour le seul Real Madrid, champion d’Europe, 8,5 millions pour Fenerbahçe, trois fois finaliste d’affilée) font froid dans le dos à qui veut une bonne gestion saine et équilibrée.\\n\\nVilleurbanne aspire à entrer en Euroleague avec un budget voisin de 10M€. D’après des chiffres disponibles pour la saison 2016-17, cela situerait le club français en queue de peloton, sachant que les clubs du top 8 sont à plus de 15M€. On ne parle évidemment pas du CSKA Moscou et de son budget de 42,6M€ sachant que d’après Sportando celui du rival moscovite, le Khimki est monté à 23M€. Et encore, il faut prendre les budgets avec des pincettes. Les masses salariales sont plus révélatrices. Ainsi, d’après Basket Le Mag, si le Zalgiris Kaunas avait la saison dernière un budget de 8,5M€, sa masse salariale était de 5,5M€ contre 2,6M€ à celle de l’ASVEL. La distorsion entre les charges sociales est également spectaculaire comme l’avait montré une étude de l’Expansion, la masse salariale de l’ASVEL convertie aux règles sociales en Turquie passerait à 6,1 millions d’euros.\\n\\nAutre comparaison qui interroge : la moyenne de spectateurs en Euroleague pour 15 matches à domicile était la saison dernière de 8 393 alors que la capacité de l’Astroballe n’est que de 5 560 places. Il faut bien se rendre compte que l’Euroleague que les clubs français ont quittée il y a deux saisons n’est plus la même aujourd’hui.\\n\\nA terme, avec une aréna, ADLC ASVEL peut viser une quinzaine de millions... soit le budget recettes du Real mais pas ses dépenses ! Et qu’est-ce que cela représentera si les clubs européens continuent de progresser ou... poursuivent leur fuite en avant, c’est selon. L’Euroleague dont la compétitivité sportive est à louer n’est-elle pas économiquement un miroir aux alouettes ?\\n\\n« Complètement. Notre discours est de dire que ça ne pourra pas durer. Deux clubs tucs sont déjà passés à travers, ils ne démarrent pas la saison. Bamberg qui a dit, ça suffit, je ne veux plus de ce pain-là, je rejoins la BCL, je suis certain d’être qualifié si je termine dans les cinq premiers, et je ne dépense plus des millions pour des déplacements privés en avion car on fait par semaine deux matches d’Euroleague plus un match dans le championnat allemand. »\\n\\nTony Parker et le staff de dirigeants du club villeurbannais vont se retrouver face à une équation pas évidente du tout à résoudre. Avec un budget de 10 millions, l’ADLC ASVEL risque fort de ne pas pouvoir bâtir une équipe compétitive en Euroleague, d’enchaîner les revers, d’être reléguée en queue de classement, de plomber le moral des troupes qui pourraient devenir moins performantes dans le championnat national, et encore plus de lasser spectateurs et sponsors. Un club français peut-il attirer du monde comme en NBA même si son équipe est au fond du trou ? En France où la « culture Euroleague » est faible, cela reste à démontrer. A l’inverse, faire du déficit pour améliorer les résultats mettrait Villeurbanne en porte à faux avec les règles draconiennes de la DNCG qui n’existent pas dans les autres pays d’Europe.\\n\\n« Oui c’est dangereux pour les clubs français. J’en connais aucun qui soit prêt à assumer ce type de challenge », confirme Alain Béral. « Au niveau sportif, il peut se passer des trucs. On n’est pas à l’abri de gagner des matches. Nanterre l’a prouvé par le passé contre Barcelone. Mais un championnat aller-retour ce n’est pas pareil. Enchaîner des pertes de match plus des pertes d’argent, je pense qu’à un moment ça va être très lourd pour le public et pour le club. Et quand au bout de la saison, ils vont venir à la ligue en disant « on a 5 ou 6 millions de déficit », on leur dira, « Nationale 3, direct. »\\n\\n[armelse]\\n\\nIl n’y a pas encore d’équipe française en Euroleague, il n’y en a plus en FIBA Europe Cup. Les sept clubs français engagés en coupes d’Europe se partagent entre la Basketball Champions League (Dijon, Le Mans, Nanterre et Strasbourg) placée sous le patronage de la FIBA et l’Eurocup (Limoges, Monaco et Villeurbanne) gérée par ECA. Les deux épreuves se disputent l’appellation officieuse de C2 pour prendre un repère du foot. Si la Champions League prend en compte les classements nationaux pour garnir son plateau et a donc la bénédiction de la Ligue Nationale de Basket, l’Eurocup a recours aux invitations, la LNB laissant faire par impuissance. Ce qui brouille les pistes, c’est que l’AS Monaco, deux fois qualifiée au Final Four de la BCL et finaliste de la Jeep Elite, a rejoint l’Eurocup cette saison, tandis que le champion de France manceau estime qu’une participation à la Champions League est plus légitime. Tout ceci se fait sur le dos du fan qui en a attrapé le tournis d’autant que l’une des épreuves est diffusée par Canal+ Sport et l’autre par RMC Sport.\\n\\nDeuxième volet du dossier : L’Euroleague. Lors de la saison 2015-16, les clubs français interrompaient leur programme après un parcours bien dans la tradition des dernières années (3 victoires pour 7 défaites pour Limoges et Strasbourg). L’Euroleague passait alors à la vitesse supérieure avec la constitution d’une saison régulière pour 16 équipes triées sur le volet dont 11 ont l’assurance de dix ans de présence :\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: ASVEL 2018-19 (Eurocupbasketball), Real Madrid champion d’Europe (Real), Zalgiris Arena (Zalgiris), Mantas Kalnietis (ASVEL)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Jeep®ÉLITE : retrouvez toutes les présentations des équipes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Entre le 3 et le 20 septembre, nous vous avons présenté chacune des dix huit équipes de Jeep Elite en vous proposant un descriptif détaillé sur chacun des joueurs et des coachs.\\n\\nCe guide de présentation est également disponible en version magazine papier. Vous pouvez commander le Magazine « Guide de la saison » sur notre boutique en ligne (frais de port offert).\\n\\nEt voici le lien de chaque article de présentation dont l’accès est réservé à nos abonnés :\\n\\n * Sharks Antibes: Un recrutement modeste\\n * Boulazac Basket Dordogne: L’an 1 de Thomas Andrieux\\n * Bourg-en-Bresse: Objectif, les playoffs\\n * Elan Chalon: Des jeunes pousses prêts à éclore\\n * Châlons-Reims: De quoi briller davantage ?\\n * Cholet Basket: Les projecteurs braqués sur Killian Hayes\\n * Dijon: La Champions League en bonus\\n * Fos Provence Basket : Sur la pointe des pieds\\n * Gravelines-Dunkerque: Un profond renouvellement\\n * Le Mans Sarthe Basket : Enfin une belle aventure européenne ?\\n * Le Portel, le début d’un nouveau cycle\\n * Levallois Metropolitans: Une solide doublette d’intérieurs\\n * ASVEL Lyon-Villeurbanne: Dans un an, c’est l’Euroleague\\n * Limoges, l’après Frédéric Forte\\n * Monaco, enfin la consécration ?\\n * Nanterre 92: Une tradition de shooteurs respectée\\n * Pau-Lacq-Orthez, mélange de jeunesse et d’expérience\\n * SIG Strasbourg: Et si c’était la bonne année ?\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Derrick Williams, 2e choix de Draft NBA 2011, est un joueur du Bayern Munich"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était dans les tuyaux depuis plusieurs semaines, mais c’est aujourd’hui officiel, annonce le club. Le Bayern Munich est parvenu à convaincre Derrick Williams (2,03m, 27 ans) de s’engager pour toute la saison.\\n\\nPassé par Minnesota, Sacramento, New-York, Miami, Cleveland et les Los Angeles Lakers, le Californien va vivre sa première expérience européenne sous les couleurs de la formation bavaroise. Depuis deux semaines au sein du club et gêné par une infection, l’ancien des Timberwolves vient de terminer de passer les tests médicaux permettant d’officialiser sa signature. Choisi en deuxième position de la Draft NBA 2011, il arrive en provenance de la CBA (Chine), où il évoluait en 2017/18.\\n\\nOfficiellement Bavarois, l’ancien joueur des Lakers s’est exprimé sur son arrivée chez le champion d’Allemagne.\\n\\n« Je sais que le processus du Bayern Munich est toujours très jeune et que le club rejoue pour la première fois l’Euroelague. Je voulais rejoindre une équipe d’Euroleague, c’est une grande compétition, une des meilleures du monde. C’est pourquoi le Bayern Munich m’a paru être une bonne opportunité. Et bien sûr, nous souhaitons être champions, c’est pourquoi nous jouons, c’est pourquoi nous travaillons dur. Je veux aider l’équipe à gagner des matchs. Pour cela je donne tout. Mon objectif personnel est de m’améliore, d’évoluer. Je sais que je vais devoir m’adapter à d’autres règles, mais ça ne sera pas une excuse. Je veux retrouver le terrain et je serai prêt dans peu de temps. »\\n\\nLa saison dernière, Derrick Williams a compilé en moyenne 20 points et 6,6 rebonds en Chine. En 428 matchs NBA, il a tourné en moyenne à 8,9 points et 3,9 rebonds."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Pierre-Antoine Gillet (ex Chalon) rejoint Tenerife"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sans club depuis la fin de saison dernière, Pierre-Antoine Gillet (2,01m, 27 ans) vient de s’engager avec l’Iberostar Tenerife pour la saison 2018/19.\\n\\nSur son site, le club canarien annonce que l’international belge doit atterrir jeudi soir à Tenerife et passer sa visite médicale vendredi. Passé par Liège et Oostende, l’ailier fort a vécu la catastrophique saison de l’Elan Chalon, alors champion de France en titre, l’an dernier.\\n\\nLa saison dernière, Pierre-Antoine Gillet compilait en moyenne 6,9 points et 3,8 rebonds entre la Jeep Elite et la Champions League.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Ligue Féminine 2018-19 – Charleville-Mézières : Flamboyantes Carolos"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Ligue Féminine débute les 13 et 14 octobre avec l’Open de Paris et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur deux joueuses à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment) et vous pouvez commander le Guide en version papier sur notre boutique.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nL’évolution du club de Charleville-Mézières fait office de référence depuis son arrivée en LFB il y a huit ans déjà. La recette de ce succès fulgurant repose sur trois principaux axes : une dynamique sportive saine, illustrée par un tandem historique (le coach Romuald Yernaux et sa meneuse de jeu Amel Bouderra, respectivement au club depuis 17 et 11 ans), une structure qui a su grandir à son rythme avec pour symbole la Caisse d’Epargne Arena, nouvel écrin des Flammes depuis 2015 et enfin un engouement populaire sans pareil qui donne une saveur unique à cette formidable aventure.\\n\\nMême s’il n’y a toujours pas eu de titre majeur au bout lors de l’exercice 2017-2018 (défaite en finale de la Coupe de France contre Bourges et demi-finaliste des Playoffs), les Carolos peuvent se féliciter d’avoir conforté la place du club dans le top 4 du basket français pour la troisième saison consécutive en terminant la saison régulière à la 2e place. De plus, l’objectif de participer à l’Euroleague d’ici 2020 est d’ores et déjà atteint puisque les Flammes vont disputer la plus prestigieuse des compétitions continentales dès la saison à venir. Un bonus qui permettra aux joueuses de « gagner en expérience, s’endurcir, s’aguerrir afin de continuer à performer le week-end en championnat » selon l’entraîneur.\\n\\nPour relever le défi, « Coach Romu » et son staff ont composé un effectif de haut-niveau avec un socle de six joueuses conservées cet été autour duquel sont venues se greffer cinq recrues de choix : l’internationale espagnole Queralt Casas, la prometteuse intérieure Catherine Mosengo-Masa, la polyvalente Haley Peters, ainsi que deux intérieures, Zofia Hruscakova, habituée de l’Euroleague et Djéné Diawara, de retour « à la maison » cinq ans après son départ.\\n\\nSur le papier, ce groupe élargi à 11 joueuses a les moyens de faire bonne figure sur la scène européenne tout en visant les premiers rôles en championnat et en coupe de France. Les autres équipes de LFB sont prévenues, gare aux retours de Flammes !\\n\\nAmel Bouderra\\n\\nL’âme du club et la fierté de toute une ville est en route pour une douzième saison consécutive sous les couleurs ardennaises. Impossible de dissocier la montée en puissance des Flammes de sa capitaine emblématique. Amel Bouderra a tout connu avec son club de cœur, de la NF1 hier au top 4 français aujourd’hui jusqu’à l’Euroleague dès demain. A chaque étape, la capitaine carolo a réussi à élever son niveau de jeu, avec des stats en hausse saison après saison (culminant à plus de 12 points et 7 passes décisives par match depuis trois ans), deux titres consécutifs de meilleure joueuse française en 2016 et 2017, sans oublier une participation aux Jeux de Rio avec les Bleues, la consécration d’un parcours aussi extraordinaire qu’atypique.\\n\\nUn véritable conte de fées qui nous réserve sans doute encore de bien belles histoires alors que la meneuse carolo fêtera ses 30 printemps en mars prochain. Garante de l’ADN des Flammes, son ambition reste toujours intacte et le plus beau des cadeaux serait de lui offrir un titre majeur\\n\\nQueralt Casas\\n\\nL’histoire d’amour entre la France se poursuit pour Queralt Casas, championne d’Europe 2013 avec l’Espagne en terre orchésienne et qui vient d’obtenir le bronze à la Coupe du monde (13′ de temps de jeu moyen pour 4,1 points). Après le Nord Ouest et Nantes en 2015-2016 puis le Sud Ouest avec Basket Landes ces deux dernières saisons, la dynamique arrière continue son tour de l’Hexagone en prenant la route du Nord-Est. A Charleville-Mézières, elle pose ses valises au sein d’une belle écurie, prétendante légitime au top 4, dans laquelle apportera sa polyvalence mais aussi sa rage de vaincre, son esprit de compétition et son tempérament de gagneuse insatiable qui ne manquera pas de déteindre sur le reste du groupe. « Elle a cette grinta qui nous a parfois manqué par le passé. Nous avions besoin de ce profil avec beaucoup de créativité, de jeu rapide et d’intensité défensive. Queralt a ce trait de caractère qui peut enflammer un match. En plus, malgré son jeune âge, elle dispose de l’expérience du plus haut niveau », analyse son nouvel entraîneur. Capable de scorer, de créer pour les autres mais aussi d’aller prendre des rebonds, Queralt Casas tentera de surfer sur son brillant exercice 2017-2018 dans les Landes (12,8 points, 6,3 rebonds, 15,85 d’évaluation).\\n\\nL’effectif de Charleville est disponible ici.\\n\\n[armelse]\\n\\nL’évolution du club de Charleville-Mézières fait office de référence depuis son arrivée en LFB il y a huit ans déjà. La recette de ce succès fulgurant repose sur trois principaux axes : une dynamique sportive saine, illustrée par un tandem historique (le coach Romuald Yernaux et sa meneuse de jeu Amel Bouderra, respectivement au club depuis 17 et 11 ans), une structure qui a su grandir à son rythme avec pour symbole la Caisse d’Epargne Arena, nouvel écrin des Flammes depuis 2015 et enfin un engouement populaire sans pareil qui donne une saveur unique à cette formidable aventure.\\n\\nMême s’il n’y a toujours pas eu de titre majeur au bout lors de l’exercice 2017-2018 (défaite en finale de la Coupe de France contre Bourges et demi-finaliste des Playoffs), les Carolos peuvent se féliciter d’avoir conforté la place du club dans le top 4 du basket français pour la troisième saison consécutive en terminant la saison régulière à la 2e place.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Hhadydia Minte et Queralt Casas (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe de France: les 32e de finale sont connus avec Chalon-Bourg en tête d’affiche"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le président de la FFBB, Jean-Pierre Siutat a procédé au tirage au sort des 32e de finale de la Coupe de France masculine, qui se tiendront le mercredi 7 novembre. 11 clubs de Jeep Elite. Les clubs de Jeep Elite qui ont participé aux playoffs 2018 en sont exemptés.\\n\\n\\n\\n\\nORCHIES\\nNM1\\n\\nNANCY\\nPRO B\\n\\n\\nLILLE\\nPRO B\\n\\nLE PORTEL\\nJeep® Elite\\n\\n\\nGRIES OBERHOFFEN\\nPRO B\\n\\nDENAIN\\nPRO B\\n\\n\\nSOUFFELWEYERSHEIM\\nNM1\\n\\nGRAVELINES DUNKERQUE\\nJeep® Elite\\n\\n\\nBOULOGNE SUR MER\\nNM1\\n\\nCHALONS REIMS\\nJeep® Elite\\n\\n\\nCHALON SUR SAONE\\nJeep® Elite\\n\\nBOURG EN BRESSE\\nJeep® Elite\\n\\n\\nAIX MAURIENNE\\nPRO B\\n\\nROANNE\\nPRO B\\n\\n\\nOULLINS SAINTE FOY\\nNM2\\n\\nVICHY CLERMONT\\nPRO B\\n\\n\\nSORGUES\\nNM1\\n\\nFOS SUR MER\\nJeep® Elite\\n\\n\\nSAINT CHAMOND\\nPRO B\\n\\nANTIBES\\nJeep® Elite\\n\\n\\nTOULOUSE\\nNM1\\n\\nPAU LACQ ORTHEZ\\nJeep® Elite\\n\\n\\nORLEANS\\nPRO B\\n\\nBOULAZAC\\nJeep® Elite\\n\\n\\nTOURS\\nNM1\\n\\nPOITIERS\\nPRO B\\n\\n\\nBORDEAUX\\nNM1\\n\\nBLOIS\\nPRO B\\n\\n\\nROUEN\\nPRO B\\n\\nCHOLET\\nJeep® Elite\\n\\n\\nCHALLANS\\nNM1\\n\\nEVREUX\\nPRO B\\n\\n\\nLORIENT\\nNM1\\n\\nCAEN\\nPRO B\\n\\n\\nQUIMPER\\nPRO B\\n\\nLEVALLOIS\\nJeep® Elite\\n\\n\\n\\n\\n*Sous réserve des procédures en cours\\n\\nTirage au sort par zone géographique (4 zones). Le club de la division inférieure reçoit."
}, 
{"role": "user",     "content":"LNB : les budgets et masses salariales des clubs de Jeep®ÉLITE et de Pro B dévoilés, Villeurbanne est numéro 1"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque début de saison, la LNB dévoile les différents budgets et les masses salariales des clubs professionnels.\\n\\nToujours en tête des budgets, la LDLC ASVEL dispose de 9 158 000€ soit quasiment un million de plus que la saison dernière (8 272 000€). En revanche, elle est devancée d’une courte tête par Monaco en ce qui concerne la masse salariale avec 2 995 000€ contre 2 966 500€ pour le club villeurbannais. La Roca Team est deuxième du classement des budgets avec 8 089 000€. C’est presque deux millions de plus que pour l’exercice 2017/18 lors duquel le club de la Principauté affichait un budget de 6 326 000€ !\\n\\nDerrière ces clubs, Strasbourg (7 705 000€) et Limoges (7 029 000€) ferment le top 4 des plus gros budgets et des plus grosses masses salariales avec un peu plus de deux millions d’euros. Le Champion de France, Le Mans, dispose également d’une masse salariale de deux millions et affiche un budget de 6 589 000€ donc plus d’un million que la saison passée (5 496 000€).\\n\\nEn bas du classement, Fos, Antibes, Boulazac et Le Portel sont les quatre seuls clubs à afficher un budget inférieur à quatre millions d’euros.\\n\\nLa Jeep ÉLITE a vu son budget moyen faire un bond de 10,4% passant de 4 876 333€ à 5 343 333€.\\n\\n« A l’entame de cette nouvelle saison 2018/2019, la Direction Nationale du Conseil et du Contrôle de Gestion des Clubs Professionnels (DNCCGCP) et ses clubs peuvent se féliciter de la bonne santé financière du basket professionnel français. Le plus bel indicateur de cette bonne situation d’ensemble est la situation nette cumulée des deux divisions, Jeep® ÉLITE et PRO B, qui franchit pour la première fois la barre des 7 millions d’euros au 30 juin 2018, pour se situer à environ 7,3 millions d’euros », commente Cyrille Muller, Président de la Direction Nationale du Conseil et du Contrôle de Gestion des Clubs Professionnels.\\n\\nEn Pro B, c’est logiquement Orléans et Nancy qui sont les clubs les plus riches de la division. Comme la saison dernière. Le club orléanais dispose d’un budget de 3 717 000€ et d’une masse salariale de 1 074 000€. Pour le SLUC, c’est un budget de 3 519 000€ et une masse salariale de 905 000€ que rend publique la LNB.\\n\\nChampion de France la saison dernière, Blois reste dans la course avec 2 559 000€ de budget et 801 000€ de masse salariale.\\n\\nNouveau venu en Pro B après avoir racheté les droits sportifs du HTV, le Paris Basketball dispose d’un budget de 2 356 000€ et 772 000€ de masse salariale. Promus, Chartres se fond dans la masse avec un budget de 1756 000€ tandis que Gries est le petit poucet de la division avec à peine un million d’euros de budget."
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Ligue Féminine 2018-19 – Bourges : La carte jeune"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Ligue Féminine débute les 13 et 14 octobre avec l’Open de Paris et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur deux joueuses à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment) et vous pouvez commander le Guide en version papier sur notre boutique.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe Tango Bourges Basket a gagné à la fin mai son 14e titre de champion de France -record du Clermont UC battu- et sa 10e Coupe de France. C’est l’étalon or du basket féminin français et sa série de participation à l’Euroleague -sans interruption depuis la saison 1995-96- est sans égal en Europe-. Pourtant le club s’apprête à être chahuté sur le sol national. Il n’a pu retenir deux de ses internationales françaises majeures, Valériane Ayayi partie à Prague et Diandra Tchatchouang, dans le Cher depuis 2014, qui renforce un concurrent direct, Lattes-Montpellier.\\n\\nPour compenser ces départs, le club du président Pierre Fosset joue la carte jeune avec les arrivées de Lisa Berkani (21 ans) et Iliana Rupert (17 ans) dans un groupe où se trouvent déjà Marine Johannès (23 ans) et Alexia Chartereau (20 ans). « Lisa a prouvé il y a deux ans qu’elle était capable de réaliser de très bonnes choses. Pour franchir de nouvelles étapes elle doit aller dans des club toujours plus haut. En plus, pour elle, Bourges c’est un retour puisqu’elle est allée au centre de formation. C’est quelqu’un qui a beaucoup de talent mais qui doit épurer les choses qu’elle fait. Entourée d’excellentes joueuses, elle doit voir ce qui est important pour être efficace », décrit le coach Olivier Lafargue. « Quant à Marine, elle a gagné en régularité, en confiance en elle en étant capable de réaliser de grosses performances. Ce qui n’enlève pas le fait qu’elle peut parfois passer à côté de certains matchs. Elle a un gros talent et encore une grosse marge de manœuvre devant elle. » Tout comme Alexia Chartereau, évidemment, déjà forte de deux saisons en Euroleague et qui fait preuve d’une étonnante maturité pour son âge.\\n\\nBourges conserve en définitive une ossature de six joueuses et disposera de sept internationales en exercice de trois nationalités différentes dont une paire d’intérieures canadiennes de grande valeur puisqu’à Katherine Plouffe, MVP étrangère de la LFB en 2017, est venue s’ajouter Nayo Raincock-Ekunwe, désignée meilleure joueuse de la LNB en 2018.\\n\\nNayo Raincock-Ekunwe\\n\\nL’internationale canadienne a été élue MVP de la Ligue Féminine pour la saison 2017-18 sous le maillot de Nantes-Rezé (15,9 points et 10,4 rebonds). C’est la première fois que le trophée ne fait pas de distinction entre nationalités. Avec 12,3, elle a obtenu la meilleure évaluation de son équipe à la Coupe du monde. Nayo a effectué sa formation universitaire dans son pays, à Simon Fraser. Elle a commencé sa carrière professionnelle en Suisse, en Australie puis en Allemagne. Elle a été championne et gagné la coupe d’Allemagne en 2016 avec Wasserbourg. En février 2017, elle a effectué une pige de deux matches à Charleville et surtout elle a été signée par les New York Liberty et joué durant l’été 32 matches en WNBA (3,7 points en 9’ de moyenne). « En perdant Diandra, on perdait beaucoup de qualités athlétiques et dans la ligue et l’Euroleague, c’est important d’avoir quelqu’un qui en a au-dessus de la norme. C’est le cas de Nayo. Elle va nous permettre de sécuriser le rebond des deux côtés du terrain car elle est vraiment attiré par ça. Elle a un jeu sans ballon qui est très bon. Même si elle a joué intérieure à Nantes la saison dernière, en équipe nationale, elle joue forward, 3 ou 4 mais très éloignée du cercle », indique Olivier Lafargue.\\n\\nIliana Rupert\\n\\nFille de l’ancien international Thierry Rupert, Iliana a été formée au départ dans le même club que Alexia Chartereau, les JS Coulaines, près du Mans, avant d’intégrer l’INSEP. C’est la perle européenne de sa catégorie d’âge. MVP de l’Euro U16 2017 et dans le Cinq idéal du Mondial U17 cet été. Son coach en U17, Arnaud Guppillotte estime que Sandrine Gruda ne disposait pas de la moitié de ses qualités techniques au même âge, ce qui n’avait pas empêché l’Antillaise d’être élue MVP française de Ligue Féminine à 19 ans. Une présence intimidante, un fort QI basket. C’est une 5 qui joue comme une 4 et qui pourrait même être placée en 3. « C’est parfait de démarrer pour elle avec cette vision de l’Euroleague car elle va devoir se confronter aux meilleures joueuses seniors internationales pour apprendre de plus en plus vite », analyse Olivier Lafargue. Arnaud Guppillotte précise qu’il lui avait fallu deux mois pour s’adapter à la densité physique des intérieures de la Ligue 2 avant d’enchaîner les double double avec le Centre Fédéral.\\n\\nL’effectif de Bourges est disponible ici.\\n\\n[armelse]\\n\\nLe Tango Bourges Basket a gagné à la fin mai son 14e titre de champion de France -record du Clermont UC battu- et sa 10e Coupe de France. C’est l’étalon or du basket féminin français et sa série de participation à l’Euroleague -sans interruption depuis la saison 1995-96- est sans égal en Europe-. Pourtant le club s’apprête à être chahuté sur le sol national. Il n’a pu retenir deux de ses internationales françaises majeures, Valériane Ayayi partie à Prague et Diandra Tchatchouang, dans le Cher depuis 2014, qui renforce un concurrent direct, Lattes-Montpellier.\\n\\nPour compenser ces départs, le club du président Pierre Fosset joue la carte jeune avec les arrivées de Lisa Berkani (21 ans) et Iliana Rupert (17 ans) dans un groupe où se trouvent déjà Marine Johannès (23 ans) et Alexia Chartereau (20 ans). « Lisa a prouvé il y a deux ans qu’elle était capable de réaliser de très bonnes choses.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Marine Johannès et Nayo Raincok-Ekunwe"
}, 
{"role": "user",     "content":"Olivier Bourgain (directeur sportif de Limoges) à propos de Samardo Samuels: «Se faire insulter par un employé, ce n’est pas acceptable»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"France Bleu Limousin a obtenu des précisions d’Olivier Bourgain, le directeur sportif, quant au cas de Samardo Samuels, le pivot jamaïcain qui a été mis à pied par le Limoges CSP suite à des insultes à l’encontre du coach Kyle Milling.\\n\\n« A Orléans (en pré saison), il y a eu un 1er accroc sur son comportement avec Kyle. Je lui avais demandé de revenir avec de bonnes dispositions et je lui ai dit qu’il n’y aurai pas de 2e chance. Donc aujourd’hui, il est mis à pied. Bien évidemment, cela peut aller plus loin. Repartir chez lui, repartir ailleurs et être sanctionné très lourdement donc licencié. Pour moi, c’est le collectif qui est le plus important. Et ce qu’il a fait devant tout le monde au temps-mort à Bourg-en-Bresse est inacceptable. Insulter son coach, c’est une faute grave. Il y a une hiérarchie. Il y a un coach qui coach et on doit le respecter malgré les choix qu’il fait. Le timing n’est pas bon. Mais se faire insulter par un employé, ce n’est pas acceptable. Ce n’est pas moi qui ai prémédité ça. Ce n’est personne d’ailleurs. C’est lui qui a décidé de ce moment là. Ce n’est pas une bonne nouvelle mais je me devais de sanctionner Samardo. »\\n\\nIl apparaît peu probable que l’on revoit Samardo Samuels sous le maillot du CSP qui entame ce soir à Beaublanc sa campagne européenne face au Cedevita Zagreb.\\n\\nPhoto: CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"La Coupe du monde 3×3 U23 s’ouvre aujourd’hui en Chine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A partir d’aujourd’hui et jusqu’au 7 octobre, se déroule à Xi’an en Chine la première Coupe du Monde FIBA 3 × 3 U23 avec 20 équipes masculines et 20 équipes féminines.\\n\\nLa France est représentée dans les deux compétitions. Florian Fortas (1,90m, 18 ans), Charly Pontens (1,90m, 23 ans), Mickaël Regina (2,00m, 22 ans) et Franck Seguela (2,00m, 21 ans) composent l’équipe masculine. Caroline Hériaud (1,65m, 21 ans), Assitan Koné (1,90m, 23 ans), Victoria Majekodunmi (1,71m, 21 ans) et Marie Mané (1,84m, 22 ans) la féminine.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les highlights de Valence-Villeurbanne en Eurocup"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir tenu bon pendant 28 minutes, LDLC ASVEL s’est totalement effondrée en fin de match à Valence pour le compte de la première journée d’Eurocup: 8-28. Une panne de courant qui a amené les Villeurbannais à une lourde défaite, 62-84.\\n\\nAlors que le meneur de 17 ans Théo Maledon a été placé dans le cinq de départ, ce sont Charles Kahudi (13 points et 6 rebonds) et Miro Bilan (12 points et 7 rebonds) qui s’en sont le mieux tirés statistiquement. Will Thomas (16 points) a été le meilleur marqueur côté espagnol, Louis Labeyrie assurant 13 points et 4 passes.\\n\\nPhoto: David Lighty (Eurocupbasketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Élite : Abdel Sylla pigiste médical d’Akos Keller à Pau"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Privé du pivot hongrois Akos Keller, victime d’une appendicite et absent encore un mois, l’Elan Béarnais a fait appel à Abdel Kader Sylla (2,05m, 28 ans).\\n\\nDéjà palois entre 2013 et 2015, l’ancien joueur du SLUC Nancy retrouve le Béarn en tant que pigiste médical. La saison dernière, Abdel Kader Sylla a compilé en moyenne 1,4 point et 1,7 rebond entre Monaco et Bourg.\\n\\nAncien joueur d’Orléans, Abdel Kader Sylla s’est exprimé suite à son retour à l’EBPLO.\\n\\n« Cela fait vraiment plaisir de revenir à l’Elan. Au moins ici, je ne vais pas avoir de problème d’intégration ! Je me sens comme à la maison et prêt à aider l’équipe. J’ai la chance de connaitre déjà bien Yannick Bokolo, Léo Cavalière et Digué Diawara. J’ai effectué la préparation estivale avec le BCM Gravelines-Dunkerque qui voulait un joueur pour compenser l’absence d’Alain Koffi, parti rejoindre les Bleus. C’est vrai que j’aspire à plus de stabilité mais je fais avec et j’entends bien tout donner avec l’Elan et relever ce nouveau défi. »\\n\\nSon nouvel entraîneur, Laurent Vila, s’est également exprimé sur sa nouvelle recrue.\\n\\n« Depuis l’annonce de l’absence d’Akos Keller, nous souhaitions un renfort et nous sommes forcément très contents de l’arrivée d’Abdel Sylla. Cela va à la fois nous permettre de soulager Vitalis Chikoko et de défendre encore plus dur dans la raquette. Abdel va nous apporter de l’énergie, ses qualités de combattant et son fighting spirit. Nous sommes aussi satisfaits de pouvoir offrir à un joueur comme lui une nouvelle opportunité au sein de la Jeep® ÉLITE. »\\n\\nPhoto : Éric Traversié"
}, 
{"role": "user",     "content":"Sortie de route surprise pour le Maccabi Tel Aviv en Winner Cup"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec 52 titres de champion d’Israël, plus 44 coupes nationales, le Maccabi Tel Aviv porte bien son surnom de Club Nation. Les jaunes et bleus archi-dominent leur pays historiquement... mais cela ne les met pas à l’abri d’une contreperformance de temps à autre !\\n\\nEn l’occurrence, le Maccabi s’est fait surprendre dès les quarts de finale de la Winner Cup hier soir, face à Rishon LeZion (86-77). Tel Aviv a subi la loi du duo DeShawn Stephens (19 points, 7 rebonds, 4 interceptions) et Cameron Long (17 points).\\n\\nCollés dans les starting blocks en 1er quart (28-18), les coéquipiers de Scottie Wilbekin (9 points, 3 passes, 3 balles perdues) et du nouveau venu Tarik Black (8 points, 7 rebonds) ont réagi en 2e mais ont de nouveau perdu le fil au retour des vestiaires.\\n\\n« Je dois féliciter Rishon et leur coach, ils ont réalisé un super match. Ils ont réussi 15 tirs à trois points [sur 28 tentatives !] et ils ont joué en équipe. Et nous, on est encore très loin de ça », a conclu coach Spahija en conférence de presse d’après match.\\n\\nC’est forcément une surprise, et probablement un mal pour un bien pour la troupe de Neven Spahija qui devra se remettre en question avant le début de sa saison européenne en Euroleague..."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Jimmy Djimrabaye en renfort à Quimper"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sans club depuis la fin de saison dernière, Jimmy Djimrabaye (2,02m, 26 ans) vient de trouver refuge en Bretagne, à Quimper, annonce le club.\\n\\nPrésent au Camp SNB pour les joueurs toujours sans contrat à la rentrée, l’international centrafricain s’est engagé en tant que pigiste médical d’Alexis Desespringalle avec la formation de Laurent Foirest. Passé par Vichy, Denain, Gravelines-Dunkerque, Le Portel, Berck et Charleville-Mézières, il évoluait la saison dernière à Orléans. En 2017/18, il tournait à 2,5 points et 1,8 rebond par match en 9 minutes de jeu.\\n\\nL’entraîneur quimpérois, Laurent Foirest s’est exprimé sur son nouveau joueur.\\n\\n« C’est un joueur d’impact ! Comme il n’y avait pas de joueurs du même profil qu’Alexis, on a décidé de prendre un joueur comme Jimmy à ce poste et décaler Bryce Douvier sur le poste 3. »\\n\\nPhoto : Juli Dumélié/BCM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Ligue Féminine 2018-19 – Basket Landes : Céline Dumerc en arrière-shooteuse"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Ligue Féminine débute les 13 et 14 octobre avec l’Open de Paris et nous vous proposons une présentation complète avec une analyse de chaque équipe, un focus sur deux joueuses à suivre plus particulièrement, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment) et vous pouvez commander le Guide en version papier sur notre boutique.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe grand changement dans les coulisses ? Basket Landes s’est donnée une femme comme présidente, Marie-Laure Lafargue, sachant que c’est par ailleurs le seul club à avoir confié le coaching à une personne du sexe dit faible, Cathy Melain, elle-même secondée par Julie Barennes. Ce qui sera visible sur le terrain, c’est que Céline Dumerc passe du poste de meneuse de jeu à celui de deuxième arrière. Alexia Plagnard et Camille Aubert sont appelées à se relayer à la mène.\\n\\nQuatrième et quart-de-finaliste en 2018, Basket Landes, qui est dans le top 6 depuis six ans, est une valeur sûre de la Ligue Féminine habitué à l’Eurocup mais ses moyens financiers ne sont pas encore à la hauteur des plus gros calibres. Le fait de ne pas disputer l’Euroleague lui a fait perdre l’internationale espagnole Queralt Casas (12,9 pts, 6,4 rbds, 3,4 pds) et il lui faut aussi tenter des coups comme avec Markeisha Gatling, un pivot américain massif de 1,95m et 115kg, 81 matches en WNBA en trois saisons comme backup, mais qui reste sur une saison blanche. « Durant l’été 2017, elle s’est blessée en WNBA. Elle a pris le temps de se soigner et derrière elle a eu des propositions de contrat qui ne l’intéressaient pas. En parallèle, elle souhaitait finir sa formation scolaire et obtenir ses diplômes. C’est ce qui a fait qu’elle a eu une année blanche. Ce n’est pas pour autant que le basket ne lui a pas manqué. Effectivement c’est un risque. Jouer, avoir des repères, c’est une habitude et on a quelqu’un qui malgré toute la bonne volonté qu’elle peut avoir, est un peu en retard. Elle a prouvé par le passé qu’elle est capable de jouer. Il faut juste être patient. Et en plus, comme on a pas mal de nouvelles joueuses, il faut que tout le monde se découvre. »\\n\\nParmi les nouveautés, on trouve l’expérimentée tchèque Romana Hedjova, qui a tout connue avec son équipe nationale, installée en France depuis 2013 (13, 9 points, 4,9 rebonds et 2,4 passes avec Mondeville), Mamignan Touré, qui est devenue parallèlement l’une des meilleures joueuses de 3×3 du monde, et l’Estonienne Mailis Pokk qui a fait l’essentiel de sa carrière professionnelle en Allemagne et qui est capable du meilleur comme du pire dans sa production offensive.\\n\\nSOUS LES PROJECTEURS\\n\\nCéline Dumerc\\n\\nComme Tony Parker, Céline Dumerc continue à 36 ans sa carrière professionnelle pour au moins un an. Seulement pour sa troisième saison à Basket Landes, l’ancienne capitaine des Bleues, qui a été désignée comme LA joueuse française des 20 ans de Ligue Féminine, change de positionnement sur le terrain. « L’année dernière, ce sont des circonstances qui nous ont amenées à jouer avec nos deux meneuses, Alexia Plagnard et Cap’s. On l’avait plus organisé comme deux arrières. C’est-à-dire que la première qui récupère le ballon joue à la mène », explique Cathy Melain. « Cette année, on la repositionne uniquement sur un poste 2. Pour plusieurs raisons. Ça fait vingt ans qu’elle joue et qu’elle fait la même chose et arrivés à un certain âge, il faut trouver un petit challenge pour que les gens continuent à être motivés, à s’entraîner. Il y avait une forme d’usure et il fallait quelque chose qui la stimule, qui la relance, qu’on la challenge. C’était aussi utiliser son agressivité, sa capacité à créer des choses. Sans se soucier à réfléchir quel système on joue et ce que fait l’adversaire. C’était lui libérer l’esprit pour la mettre plus dans un rôle où elle réagit à l’action qui est en train de se passer. » La moyenne de points de l’icône des JO de Londres est tombée en un an de 12,7 à 8,2 points. Ce positionnement va-t-il lui permettre de scorer davantage ?\\n\\nCamille Aubert\\n\\nC’est un retour dans les Landes pour la Lavalloise qui y avait joué seulement 10 matches lors de la saison 2011-12 à cause d’une rupture des ligaments croisés. Elle possède une solide expérience de sept saisons en LFB mais pour le dernier exercice elle avait fait le choix de la LF2 à Angers (4,7 points et 4,4 rebonds), qui a loupé d’un rien la remontée par la faute de Landerneau. N’est-ce pas un handicap de replonger dans l’élite après une saison à l’étage inférieur ? « Tout dépend de sa façon de jouer », juge la coach qui prend Mamignan Touré comme exemple positif. « Ce qui est sûr c’est que comme tout passage d’une division à une autre, tout est un petit peu plus grand, un peu plus fort, un peu plus vite, un peu plus haut. Il faut se réhabituer à certaines choses. » Camille a donc à la mène le lourd héritage de Céline Dumerc à co-gérer.\\n\\nL’effectif de Basket Landes est disponible ici.\\n\\n[armelse]\\n\\nLe grand changement dans les coulisses ? Basket Landes s’est donnée une femme comme présidente, Marie-Laure Lafargue, sachant que c’est par ailleurs le seul club à avoir confié le coaching à une personne du sexe dit faible, Cathy Melain, elle-même secondée par Julie Barennes. Ce qui sera visible sur le terrain, c’est que Céline Dumerc passe du poste de meneuse de jeu à celui de deuxième arrière. Alexia Plagnard et Camille Aubert sont appelées à se relayer à la mène.\\n\\nQuatrième et quart-de-finaliste en 2018, Basket Landes, qui est dans le top 6 depuis six ans, est une valeur sûre de la Ligue Féminine habitué à l’Eurocup mais ses moyens financiers ne sont pas encore à la hauteur des plus gros calibres. Le fait de ne pas disputer l’Euroleague lui a fait perdre l’internationale espagnole Queralt Casas (12,9 pts, 6,4 rbds, 3,4 pds) et il lui faut aussi tenter des coups comme avec Markeisha Gatling, un pivot américain massif de 1,95m et 115kg, 81 matches en WNBA en trois saisons comme backup, mais qui reste sur une saison blanche. « Durant l’été 2017, elle s’est blessée en WNBA. Elle a pris le temps de se soigner et derrière elle a eu des propositions de contrat qui ne l’intéressaient pas.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Céline Dumerc et Alexia Plagnard (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : une rentrée en fanfare pour Vincent Poirier"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le contingent français ne faiblit pas sur le Vieux Continent. Fort de vingt-trois joueurs (à l’heure de ces lignes) répartis sur dix pays, les basketteurs français sont toujours aussi omniprésents en Europe, avec notamment neuf joueurs dans le championnat espagnol, la référence.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nVincent Poirier déjà en grande forme\\n\\nVincent Poirier a été percutant pour sa rentrée avec Vitoria... et c’est peu de le dire ! Empressez-vous de regarder ses highlights dans la très large victoire de son club face à Saragosse (99-76) et vous comprendrez que le pivot tricolore a été ultra violent près du cercle ! Enchaînant les dunks en attaque et les contres en défense, Poirier a terminé à 17 points, 6 rebonds et 4 contres pour marquer les esprits d’entrée de jeu.\\n\\nToujours aussi véloce dans ses courses, et de plus en plus en place dans les sorties d’écran pour rouler fort vers le cercle, Poirier a été dominateur. Une action résume bien son match : en début de 3e quart, il récupère la balle au poste bas. Deux dribbles forts sur sa main gauche pour enfoncer Javier Justiz et la même mimine gauche enfourne le cuir dans l’arceau avec autorité ! Pourvu que ça dure...\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=4vLqS61VePo\\n\\n\\nBonne reprise pour Léo Westermann\\n\\nIndécis durant l’été après une saison des plus compliquées au CSKA Moscou, Léo Westermann a retrouvé la Lituanie et le Zalgiris Kaunas à la fin septembre. Et il n’a pas chômé depuis avec déjà deux matchs de championnat en LKL. Ses débuts ont été plutôt intéressants avec 10 points et 2 passes. Et il a enchaîné avec un autre match à 8 points, 2 passes et 3 interceptions.\\n\\nDe retour dans un club et une philosophie de jeu qu’il connaît bien, Westermann est à la relance cette saison. Et c’est une très bonne chose de pouvoir le revoir évoluer en Euroleague sous la houlette de coach Jasikevicius qui apprécie son jeu et sa polyvalence au poste de meneur.\\n\\n\\nDes débuts encourageants pour le rookie Mokoka\\n\\nC’est le rookie de l’année : Adam Mokoka a quitté le cocon du BCM Gravelines-Dunkerque pour s’envoler au Mega Bemax. Comme Timothé Luwawu-Cabarrot ou Alpha Kaba avant lui, Mokoka est venu chercher de l’exposition et du temps de jeu avant de se présenter à la draft NBA l’an prochain.\\n\\nEt le jeune Français a plutôt été bon pour ses grands débuts en Ligue Adriatique. Dans la victoire étriquée de son équipe (80-79) face à Aleksandrovac, Mokoka a compilé 8 points, 8 rebonds, 3 passes et 2 interceptions. Côté revers, il a par contre perdu 4 balles et shooté à 3/9. Des débuts encourageants néanmoins...\\n\\nEgalement en Ligue Adriatique, Edwin Jackson a plutôt bien démarré sa saison avec Podgorica. Le sniper termine à 10 points dans une large victoire (86-64) face à Novo Mesto. Il a aussi pu décoller pour un petit dunk qui va bien en contre-attaque !\\n\\n\\nEspagne\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 17 points (7/9 aux tirs), 6 rebonds, 4 contres, 1 passe, 1 balle perdue en 24 minutes (victoire 99-76 face à Saragosse)\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 13 points (5/8 aux tirs), 11 passes, 6 rebonds, 2 balles perdues en 22 minutes (victoire 98-78 face à Gran Canaria)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 9 points (3/6 aux tirs), 1 rebond, 1 balle perdue en 16 minutes (victoire 88-73 face à Tenerife)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 9 points (3/9 aux tirs), 3 passes, 1 rebond en 22 minutes (victoire 78-76 face à Murcie)\\n\\nMathias Lessort (Malaga) : 5 points (2/6 aux tirs), 5 passes, 4 rebonds, 1 interception, 1 contre, 1 balle perdue en 23 minutes (défaite 86-73 face à Valence)\\n\\nLouis Labeyrie (Valence) : 5 points (2/3 aux tirs), 1 rebond en 10 minutes (victoire 86-73 face à Malaga)\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué\\n\\nKim Tillie (Gran Canaria) : n’a pas joué\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : n’a pas joué\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAxel Toupane (Olympiakos) : premier match le 7 octobre face à Cholargos\\n\\nBoris Dallo (Salonique) : premier match le 7 octobre face à Lavrio\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) :\\n\\n– 3 points (1/4 aux tirs), 5 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre, 2 balles perdues en 21 minutes (défaite 78-74 face à Hapoel Jerusalem – Winner Cup)\\n– premier match face à Hapoel Tel Aviv le 6 octobre\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Bologne) : premier match le 7 octobre face à Trieste\\n\\n\\nLituanie\\n\\nLéo Westermann (Kaunas) :\\n\\n– n’a pas joué (victoire 103-66 face à Pasvalys)\\n– 10 points (3/5 aux tirs), 2 passes, 1 rebond, 1 interception, 2 balles perdues en 16 minutes (victoire 74-53 face à Prienu)\\n– 8 points (3/3 aux tirs), 3 passes, 2 interceptions en 14 minutes (victoire 87-80 face à Utenas)\\n\\n\\nMonténégro\\n\\nEdwin Jackson (Podgorica) : 10 points (5/10 aux tirs), 3 interceptions, 1 passe, 1 rebond, 2 balles perdues en 17 minutes (victoire 86-64 face à Novo Mesto)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : 4 points (2/5 aux tirs), 3 rebonds en 18 minutes (victoire 72-68 face à Włocławek – SuperCoupe de Pologne)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : premier match le 5 octobre face à Enisey\\n\\nMoustapha Fall (Krasnodar) : premier match le 5 octobre face à St Petersburg\\n\\n\\nSerbie\\n\\nAdam Mokoka (Mega) : 8 points (3/9 aux tirs), 8 rebonds, 3 passes, 2 interceptions, 4 balles perdues en 26 minutes (victoire 80-79 face à Aleksandrovac)\\n\\nBandja Sy (Partizan) : n’a pas joué\\n\\n\\nTurquie\\n\\nJoffrey Lauvergne (Fenerbahçe) : premier match le 6 octobre face à Besiktas\\n\\nRodrigue Beaubois (Efes Istanbul) : premier match le 7 octobre face à Galatasaray\\n\\nAdrien Moerman (Efes Istanbul) : premier match le 7 octobre face à Galatasaray\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nVincent Poirier déjà en grande forme\\n\\nVincent Poirier a été percutant pour sa rentrée avec Vitoria... et c’est peu de le dire ! Empressez-vous de regarder ses highlights dans la très large victoire de son club face à Saragosse (99-76) et vous comprendrez que le pivot tricolore a été ultra violent près du cercle ! Enchaînant les dunks en attaque et les contres en défense, Poirier a terminé à 17 points, 6 rebonds et 4 contres pour marquer les esprits d’entrée de jeu.\\n\\nToujours aussi véloce dans ses courses, et de plus en plus en place dans les sorties d’écran pour rouler fort vers le cercle, Poirier a été dominateur. Une action résume bien son match : en début de 3e quart, il récupère la balle au poste bas. Deux dribbles forts sur sa main gauche pour enfoncer Javier Justiz et la même mimine gauche enfourne le cuir dans l’arceau avec autorité ! Pourvu que ça dure...\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=4vLqS61VePo\\n\\n\\nBonne reprise pour Léo Westermann\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Damien Inglis signe à Limoges pour toute la saison !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si le mot tension semble définir l’environnement limougeaud ces derniers jours avec le conflit entre le club et Samardo Samuels, Olivier Bourgain (Directeur Sportif) vient d’annoncer la signature de Damien Inglis (2,06m, 23 ans).\\n\\nA Strasbourg la saison dernière, l’ancien joueur des Milwaukee Bucks était sans club jusqu’à aujourd’hui. Dans une vidéo postée sur la chaine YouTube du club, Olivier Bourgain indique que le natif de Cayenne s’est engagé pour toute la saison. La grande interrogation est de savoir si son arrivée est synonyme de départ de Samardo Samuels...\\n\\nLa saison dernière, Damien Inglis compilait en moyenne 6,8 points et 3,1 rebonds en championnat et 10,6 points et 4,3 rebonds en Champions League.\\n\\n“ Une belle annonce aujourd’hui avec la signature de Damien Inglis jusqu’à la fin de la saison. On veut avoir les meilleurs JFL de l’hexagone. Ce n’était pas le seul critère bien sûr. On voulait surtout un bon joueur de basket et le hasard fait qu’il est JFL. Nous voulions un poste 4 avec de vraies qualités. Damien arrivera vraisemblablement demain à Limoges pour voir le match face au Cedevita Zagreb en EuroCup,” a commenté le Directeur Sportif, Olivier Bourgain.\\n\\nQuant au coach Kyle Milling, il a précisé:\\n\\n“ Nous cherchions un poste 4 avec des qualités athlétiques et une vraie présence physique. Un poste 4 capable de défendre sur plusieurs postes et Damien Inglis rentre parfaitement dans ce profil. On n’a pas cherché un joueur français, américain ou cotonou, on a cherché le meilleur joueur disponible sur le marché. On est très content d’avoir Damien Inglis dans l’effectif.”\\n\\nPhoto : Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : l’incroyable claquette dunk de LaMonte Ulmer (Bourg) face à Chalon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Derrière l’inévitable Zachery Peacock (20 points, 8 rebonds, 27 d’évaluation), un autre homme a été crucial dans la victoire de Bourg-en-Bresse face à l’Elan Chalon. Il s’agit de LaMonte Ulmer (1,98m, 32 ans).\\n\\nEn plus d’avoir sorti des shoots incroyables, l’ancien joueur du CCRB, qui a compilé 18 points, 5 rebonds et 2 passes décisives (21 d’évaluation), a inscrit une énorme claquette dunk. Alors que son équipe est en difficulté et voit l’Elan être de retour, l’ailier américain a quasiment scellé le sort du match sur cette action. La LNB a même choisi d’en faire l’action de la semaine en Jeep Elite.\\n\\nLaMonte Ulmer vivait son premier match officiel avec Bourg, et quel match !\\n\\n\\n\\n\\n📢 @DLSI_Officiel vous présente l’Action de la Semaine de la J3 de #JeepELITE! Dans une fin de match serrée, LaMonte Ulmer @DaTruth1986 de la @JLBourgBasket réalise la claquette dunk de ce début de saison. Spectaculaire et décisive dans la victoire contre l’@ELANCHALON ! 👌 pic.twitter.com/ei8XOUHiIX\\n\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) October 2, 2018\\n\\nPhoto : Jacques Cormarèche"
}, 
{"role": "user",     "content":"Chris Singleton : «Je veux être sûr que le FC Barcelone est prêt à gagner»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Recrue phare du FC Barcelone cet été, Chris Singleton (2,06m, 28 ans) arrive en provenance du Panathinaïkos et il sait pourquoi il a fait le déplacement.\\n\\nDominant à son poste depuis plusieurs saisons, il était, avec Nick Calathes, le leader du Pana l’an passé sous les ordres de Xavi Pascual. Arrivé en Catalogne via un contrat d’un an, l’ancien joueur du Lokomotiv Kuban a expliqué son choix de ne signer qu’une saison dans une interview accordée au Mundo Deportivo.\\n\\n« Je veux gagner. Et je veux être sûr que le Barça est prêt à gagner. Les dernières saisons ont été compliquées pour le Barça. Je veux aider à changer cela. Je veux que le Barça se remette à gagner et je veux qu’il y ait un noyau dur de joueurs importants qui resteront ensemble plusieurs saisons. Je suis enclin à reste au club, mais je ne veux pas faire partie d’une équipe qui change constamment de joueurs, qui aura six nouveaux joueurs la saison prochaine... Je ne veux pas faire partie de ça, je veux faire partie d’un noyau de joueurs, qui vont construire une équipe et gagner des titres. »\\n\\nAmbitieux avec son nouveau club pour lequel il n’a jamais joué auparavant, l’ancien joueur des Wizards présente un discours qui n’est pas habituel dans le monde professionnel où les « one and done » (une saison puis s’en va) pour, par exemple, trouver un plus gros contrat ont la cote ces dernières années.\\n\\nLa saison dernière, Chris Singleton compilait en moyenne 9,4 points et 5 rebonds en championnat, et 10,3 points et 5,8 rebonds pour une évaluation de 12,5 en Euroleague.\\n\\nPhoto : FC Barcelone"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Eric Buckner pour deux mois à l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme pressenti hier, Eric Buckner (2,08m, 28 ans) est bien la nouvelle recrue de la LDLC ASVEL.\\n\\nSur son site, le club villeurbannais annonce la signature pour deux mois de l’ancien pensionnaire de Georgia State. Il arrive principalement pour pallier les absences de Livio Jean-Charles et Alpha Kaba en apportant un coup de main dans la raquette aux deux intérieurs présents, Amine Noua et Miro Bilan. Il arrive en provenance du club de Istanbul Buyuksehir Belediyesi, en première division turque.\\n\\nLa saison dernière, Eric Buckner compilait en moyenne 12,1 points et 5,2 rebonds entre le championnat turc et la FIBA Europe Cup.\\n\\nGeneral Manager du club, Yohann Sangare s’est exprimé sur cette nouvelle arrivée.\\n\\n« L’arrivée d’Eric est devenue une évidence après la blessure de Livio, il nous fallait un joueur supplémentaire dans la raquette, compte tenu des échéances européennes qui arrivent et de l’enchaînement des matchs. Son gabarit va nous servir dans le secteur intérieur, et nous allons tout faire pour que son adaptation soit la plus rapide et efficace possible. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges: Selon Le Populaire, Kyle Milling ne voulait plus de Samardo Samuels cet été"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Limoges CSP sera fortement handicapé pour débuter sa saison en Eurocup demain face au Cedevita Zagreb puisque Isaiah Miles est blessé aux cervicales alors que Samardo Samuels (2,06m, 29 ans) a été mis à pied pour avoir injurié son coach Kyle Milling lors du match au Portel.\\n\\nSelon Le Populaire, le pivot jamaïcain pourrait ne plus porter le maillot du CSP alors qu’il a resigné pour deux ans. Le feu couvait depuis quelque temps puisque Kyle Milling ne voulait plus, semble-t-il, du joueur malgré ses qualités de basketteur évidentes.\\n\\n« Selon nos informations, le coach du CSP aurait tenté jusqu’au bout de faire changer d’avis Olivier Bourgain (NDLR: le directeur sportif). Sans succès, » écrit Le Populaire. « Mais si Kyle Milling a fini par céder cet été, son avis au sujet de Samuels n’a pas évolué d’un iota. D’ailleurs, si le coach du CSP avait voulu avoir le dernier mot, il ne s’y serait pas pris autrement au Portel. Car en rendant public cette affaire, il a forcé ses dirigeants à sanctionner un joueur dont il ne voulait pas cet été. En attendant, c’est le club limougeaud qui paie le prix fort. »\\n\\nEn trois matchs de Jeep Elite, Samardo Samuels possède la troisième évaluation de l’équipe (12) pour 13,6 points et 7,0 rebonds, ce alors qu’il n’a joué que six minutes au Portel.\\n\\nCa se passe à Limoges et nulle part ailleurs.\\n\\nPhoto: CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Marcellus Sommerville retrouve un job en Israël"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A Orléans depuis 2015, Marcellus Sommerville (2m, 36 ans) a fait ses adieux au club orléanais qu’il ne sera pas parvenu à faire retourner en Jeep Elite la saison dernière.\\n\\nSon agent, David Pick, a depuis annoncé sa signature dans le club d’Elitzur Netanya, en deuxième division israélienne. Passé par Angers, Chalon, Le Havre, Roanne, Cholet, Paris-Levallois, Le Mans et Nancy, en France, l’ailier fort va donc connaitre un nouveau club et un nouveau championnat. Certainement pour la dernière fois de sa carrière qui approche de la fin.\\n\\nLa saison dernière dans le Loiret, Marcellus Sommerville tournait encore à 15,5 points, 5,7 rebonds et 2,8 passes décisives en Pro B.\\n\\n\\n\\n\\nBradley HOFer, former EuroCup forward, ProA Champion and a beast in France: THRILLED to announce that client Marcellus Sommerville has signed in Israel with Elitzur Netanya. 🔥📝🥇📰🏀📸\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) September 28, 2018\\n\\nPhoto : Orléans Loiret Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ancien limougeaud Randy Culpepper signe en Corée du Sud"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Drôle de destination pour Randy Culpepper qui vient de signer au KGC, en Corée du Sud, alors qu’il était encore dominant en première division italienne la saison dernière.\\n\\nMeilleur scoreur de l’Eurocup en 2015, le natif de Memphis s’envole pour le pays du matin calme, comme le rapporte Sportando. Passé par Limoges en 2015, il a également évolué sous les couleurs du Besiktas, de Balikesir ou encore Cantu.\\n\\nLa saison dernière, Randy Culpepper tournait à 17,2 points, 3,3 rebonds et 3,6 passes décisives en Italie.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Sergio Llull continue d’écrire l’histoire au Real Madrid"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Auteur d’un match tranquille pour lui, à 12 points et 5 passes face à Tenerife, Sergio Llull (1m92, 30 ans) continue de renforcer son statut de légende vivante au Real Madrid.\\n\\nLe meneur international a effectivement inscrit 3 tirs à trois points, sur 6 tentatives, et il devient ainsi le meilleur shooteur de l’histoire du club madrilène derrière l’arc.\\n\\nIl dépasse Alberto Herrerros, son actuel directeur technique au Real... mais il lui faudra bosser davantage pour rattraper Herrerros en carrière (1 233 tirs à trois points).\\n\\nPour rappel, Llull est déjà le meilleur passeur de l’histoire du Real, et le deuxième aux minutes et aux matchs joués, et le troisième aux points.\\n\\nLes meilleurs shooteurs à trois points de l’histoire du Real\\n\\n1. Sergio Llull, 662\\n\\n2. Alberto Herreros, 661\\n\\n3. José Biriukov, 579\\n\\n4. Jaycee Carroll, 537\\n\\n5. Louis Bullock, 472\\n\\n\\n\\n\\nEl triple número 662 de Sergio @23Llull en #LigaEndesa, para convertirse en líder histórico del @RMBaloncesto, superando a Alberto Herreros. pic.twitter.com/4trHgt0sGG\\n\\n\\n— Liga Endesa (@ACBCOM) September 30, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Champions League: Nanterre est déjà presque qualifié pour la saison régulière"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après sa nette victoire (91-54) en fin d’après-midi en Finlande face au Karhu Basket, Nanterre 92 possède 99% de chances de se qualifier pour la saison régulière de Champions League. Il faudrait une pluie de forfaits pour que les hommes de Pascal Donnadieu ne conservent pas au minimum une partie de cet avantage lors du match retour jeudi au palais des sports Maurice-Thorez.\\n\\nAvec 18 points et 22 d’évaluation, l’Islandais Haukur Palsson a été le Nanterrien le plus en vue de cette première manche. Les banlieusards parisiens ont tiré à 51,5% de réussite contre 27,9% aux Finlandais.\\n\\nPhoto: Adas Juskevicius (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : trois nouvelles semaines d’absence pour Antoine Diot"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur le chemin du retour début septembre, Antoine Diot (1,93m, 29 ans) ne reverra finalement pas la compétition tout de suite.\\n\\nAbsent depuis le 23 septembre 2017, souffrant du genou gauche, l’ancien joueur de la SIG s’est une nouvelle fois blessé. Sur son site, Valence indique que son meneur souffre d’une rupture fibrillaire de grade 1 des ischio-jambiers de la jambe gauche, contractée jeudi. Après avoir passé des examens, il a été décidé de laisser l’ancien meneur du Paris-Levallois au repos trois nouvelles semaines.\\n\\nEn 2016/17, Antoine Diot compilait en moyenne 7,9 points et 4 passes décisives entre l’Eurocup et la Liga Endesa."
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges : Samardo Samuels mis à pied !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pendant un temps-mort lors du match qui opposait le Limoges CSP au Portel, Samardo Samuels (2,04m, 29 ans) a insulté son coach Kyle Milling qui a donc décidé de se passer de ses services pour le reste du match. Aujourd’hui, les dirigeants du CSP ont décidé de suspendre leur joueur, a indiqué le club sur Youtube.\\n\\nConnu pour avoir un tempérament explosif avant d’arriver dans le Limousin en fin de saison dernière, l’ancien joueur du FC Barcelone est vite devenu le chouchou du public limougeaud et était souvent complimenté par le Directeur Sportif du club, Olivier Bourgain. Ce lundi, son avenir serait en suspens.\\n\\nSelon Le Populaire du Centre, Olivier Bourgain aurait annoncé à son pivot qu’il ne serait pas assuré de terminer la saison au CSP en raison du froid qui plane entre lui et son coach. Il devrait déjà manquer le premier rendez-vous de Limoges en Eurocup, mercredi face à Zagreb.\\n\\nCette saison, Samardo Samuels tourne à 13,7 points et 4 rebonds pour une évaluation de 12.\\n\\n« Samardo a eu des mots très durs à l’encontre de son coach et je ne peux pas tolérer ça. Il n’y a pas un joueur au dessus du collectif. Pour moi c’est le collectif avant tout. J’ai pris la décision de le sanctionner et il ne jouera forcément peut-être pas contre le Cedevita pour lui faire comprendre qu’ici il y a des règlements, il y a une hiérarchie et qu’il n’y a rien de plus important que la CSP Nation », a indiqué Olivier Bourgain.\\n\\nPhoto : Limoges CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Cholet confirme la venue de l’ex pivot du Portel, Frank Hassell"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec le pire bilan possible de trois défaites en trois matchs, Cholet Basket est dans l’urgence et devait se renforcer pour relever la tête.\\n\\nLe club du Maine et Loire a confirmé l’information d’Emiliano Carchia de Sportando qui a annoncé dans l’après-midi que CB avait mis la main sur un gros poisson, Frank Hassell (2,03m, 29 ans). Cet été, l’ancien joueur du Portel avait décidé de quitter l’ESSM pour, selon Fred Weis, s’engager en Pologne, mais c’est finalement en France qu’il va une nouvelle fois évoluer.\\n\\nPassé par la Turquie, l’Italie, la G-League ou encore Israël, « The Tank » a débarqué en France à Boulazac en 2015/16, il a ensuite rejoint Le Portel où il a passé les deux dernières saisons. A Cholet, l’intérieur originaire de la Virginie disposerait d’une clause de sortie à la mi-saison.\\n\\nLa saison dernière, Frank Hassell compilait en moyenne 14,1 points et 8 rebonds entre la Jeep Elite et la FIBA Europe Cup.\\n\\n« Frank est un joueur très physique, qui sort de 2 grosses saisons avec Le Portel. Très fort rebondeur, doué sur le jeu poste bas avec notamment une très forte main gauche », a commenté le coach choletais Régis Boissié.\\n\\n\\n\\n\\nFrank Hassell returns to France. The big man penned a one-year deal with Cholet, a source told Sportando. The contract has mid-season out\\n\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) October 1, 2018\\n\\nPhoto : ESSM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Eric Buckner dans le viseur de Villeurbanne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Toujours privée de Livio Jean-Charles et Alpha Kaba dans son secteur intérieur, la LDLC ASVEL aurait un oeil sur Eric Buckner (2,08m, 28 ans).\\n\\nSelon Matthieu Marot, le club villeurbannais pourrait engager l’ancien pensionnaire de Georgia State pour apporter du soutien à Amine Noua et Miro Bilan dans la raquette de Zvezdan Mitrovic. Toujours sans club, l’intérieur originaire de la Caroline du Sud, passé professionnel en 2012, a principalement évolué en Turquie entre l’Usak Sportif, Istanbul BB, le Turk Telekom et Buyukcekmece. Il a aussi disputé 19 matchs en Grèce, sous les couleurs de l’Aris Salonique.\\n\\nLa saison dernière, Eric Buckner compilait en moyenne 12,1 points et 5,2 rebonds entre le championnat turc et la FIBA Europe Cup.\\n\\n\\n\\n\\nConfrontée aux blessures de Livio Jean-Charles et d’Alpha Kaba, Villeurbanne pourrait engager l’intérieur US Eric Buckner.\\n\\n\\n— Matthieu Marot (@MatthieuMarot7) October 1, 2018\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ancien du Thunder Kyle Singler revient en Espagne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Promis à une belle carrière NBA après sa draft par les Pistons en 2011, Kyle Singler (2m03, 30 ans) a de nouveau décidé de repasser par l’Espagne pour se relancer. L’ancien de Duke ne jouait plus ces dernières saisons dans la rotation chargée du Thunder d’Oklahoma City, et il s’est carrément fait couper cet été.\\n\\nDéjà passé par l’Espagne avec Alicante et le Real Madrid, Singler débarque à Saint Jacques de Compostelle pour retrouver du temps de jeu et des responsabilités.\\n\\n« C’est une superbe opportunité pour renforcer notre équipe », a affirmé José Luis Mateo sur le site du club. « Kyle est un joueur intelligent, polyvalent et d’une grande technique individuelle et il va pouvoir nous aider de nombreuses manières. On est convaincu qu’il va parfaitement s’adapter à notre style de jeu. »\\n\\nVictorieux de Burgos ce weekend (91-81) derrière 20 points de Konstantinos Vasileiadis, le club de Saint Jacques de Compostelle va donc intégrer un nouveau joueur à fort potentiel dans son effectif, après le recrutement de Tryggvi Hlinason à l’été.\\n\\nA 14 points de moyenne avec Alicante, et 8 avec le Real Madrid, lors de ses précédentes expériences en ACB, Singler va apporter un coup de fouet à sa nouvelle équipe. Malin, Singler dispose dans son contrat d’une clause de sortie NBA mais aussi d’une autre pour un club Euroleague..."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Daniel Dixon quitte Bourg-en-Bresse"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Depuis l’arrivée de Zack Wright à Bourg-en-Bresse, ce n’était plus qu’une question de temps avant de voir partir Daniel Dixon (1,94m, 24 ans) en raison du nombre trop élevé de joueurs américains dans l’effectif.\\n\\nSur son site, la JLB indique avoir été en négociation avec l’ancien pensionnaire de William & Mary pendant plusieurs semaines pour rompre son contrat. Recruté cet été en provenance de G-League, l’ancien joueur des Maine Red Claws n’a finalement pas répondu aux attentes du staff burgien.\\n\\nEn deux petits matchs de championnat, Daniel Dixon a été très discret avec 0,5 point et 0,5 passe décisive pour une évaluation de -1 en 2,5 minutes de jeu.\\n\\nPhoto : Jacques Cormarèche"
}, 
{"role": "user",     "content":"Romain Duport (Cholet): «Je sais que je ne suis pas au niveau»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir attendu l’appel d’un club tout l’été, Romain Duport (2,15m, 32 ans) a trouvé un job à Cholet mais ses premières prestations sont à la fois réduites et poussives. Ainsi face à Levallois, il n’a passé que sept minutes sur le terrain et en trois matches, le voici à 1,7 point, 2,3 rebonds pour une utilisation inférieure à 11 minutes.\\n\\nA Ouest France, l’Angevin reconnaît ses propres difficultés en marge de celles de son équipe qui pour l’instant n’est pas compétitive :\\n\\n« Si on n’est pas dans l’intensité, on est une équipe qui n’a pas le même talent que d’autres. Donc si on n’est pas à les gêner, à les repousser loin de la raquette, on prend des paniers faciles et des éclats. Et c’est ce qu’il s’est passé. Après, pour mon cas personnel, je sais que je ne suis pas au niveau. Je suis loin de ce que je peux faire. Je ne suis arrivé qu’il y a deux semaines, et j’essaie de faire ce que je peux pour aider l’équipe, mais ça ne passe pas, je n’y arrive pas. Il me faut encore un peu de temps pour assimiler tous les efforts à l’entraînement. On se donne, toute l’équipe se donne aux entraînements, mais j’ai l’impression qu’en match, on ne retranscrit pas ça sur les moments clés. Les entraînements sont beaucoup plus intensifs que ce qu’on produit en match. Et je ne sais pas quel est le problème, pourquoi on n’arrive pas à retranscrire la même intensité. »\\n\\nPhoto: CB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg: 1/11 aux shoots, le cauchemar de Jérémie Nzeulie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vous savez à quoi ressemble une soirée de cauchemar ? Demandez à Jeremy Nzeulie (1,88m, 27 ans), il en a vécu une hier en fin de journée au Rhénus face à Pau. Déjà son équipe, privée de Youssoupha Fall et toujours sans le fameux 4 que la SIG recherche en vain depuis des semaines, a perdu 65-70. Ce n’est pas bon pour le tableau de marche des Strasbourgeois que l’on voit a minima dans le top 3. Deuxio, le Franco-Camerounais a réalisé une farandole de cagades.\\n\\nLe chiffre qui tue, c’est le 1 sur 11 aux shoots. Il lui a fallu attendre huit tirs ratés et le milieu du troisième quart-temps pour mettre enfin dedans, dans une acrobatie certes mais quasi à bout pourtant. Sinon, il a tout foiré y compris 3 lancers sur 4 dans le money time et la tentative à trois-points de la dernière chance. Toujours dans ce scénario noir, on l’a vu faire un marché et dans la continuité tenter un dunk pour se défouler. Et le rater. On l’a surpris aussi en train de s’énerver alors qu’il venait de commettre une faute offensive évidente dans un moment crucial.\\n\\nPourtant, Vincent Collet lui fait confiance. Jérémy Nzeulie a joué 31 minutes face à Pau. Le deuxième temps de jeu de l’équipe derrière celui de Quentin Serron. Soyons juste, il a apporté tout de même 4 rebonds, une passe et une interception. Seulement le bilan à l’évaluation est sans appel : -6.\\n\\nLe problème, c’est que cette contre-perf s’ajoute aux autres depuis la rentrée. Nzeulie en est à 3,3 points avec un piteux 2/19 aux shoots... et -3 d’éval en 3 matches. Est-ce la fameuse pression qui touche certains joueurs quand il change de statut ? La confiance, c’est comme les économies, ça s’évapore parfois en moins de temps qu’il a fallu pour la constituer.\\n\\nSans vouloir lui mettre la tête sous l’eau, rappelons ses chiffres de la saison dernière à Chalon : 14,0 points et 13,5 d’éval.\\n\\nDans le dernier quart-temps, toute l’équipe a été à son diapason, encaissant un irrémédiable 9-24.\\n\\n« Comment expliquer notre effondrement ?, » s’est demandé Ali Traoré en conférence de presse. « A +13, notre jeu collectif s’est délité. On a perdu notre solidarité défensive et en attaque, c’était la sècheresse. Et ça a basculé. Il ne nous était pas permis de nous relâcher. C’est une déception, mais pas une désillusion, car c’est tôt dans la saison. Donc pas de catastrophisme ! Mais il reste beaucoup de travail ! En face, le coach a été malin, il s’est appuyé sur Chikoko car, en l’absence de Youss (Fall), nous ne comptions qu’un pivot de métier. Ce n’est pas une excuse, car on avait réussi à tenir jusque-là. Nous aurons l’obligation de gagner à Antibes pour équilibrer notre bilan ».\\n\\nSe refaire la cerise, c’est la mission de la SIG et de sa recrue française phare. Quand on est au fond de la piscine, on ne peut que remonter.\\n\\nPhoto: SIG"
}, 
{"role": "user",     "content":"Croatie : l’ancien NBAer Glen Davis aurait signé à Zadar"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Connue pour avoir vu l’Equipe de France U18 de Tony Parker et Boris Diaw sacrée championne d’Europe en 2000, la ville de Radar abrite également l’une des meilleures équipes de Croatie. Le club serait d’ailleurs en passe d’officialiser l’arrivée de Glen Davis (2,06m, 32 ans).\\n\\nChampion de la BIG 3 cet été, l’ancien joueur des Boston Celtics s’était dit prêt à s’expatrier en Europe ou en Chine pour relancer sa carrière et, selon Sportando, c’est vers la Croatie qu’il se dirige. D’après le site italien, le natif de Bâton-Rouge aurait signé un contrat pour la saison prochaine avec Zadar. Après huit ans passés en NBA, c’est la première fois que l’ancien intérieur du Orlando Magic évoluera à l’étranger.\\n\\nChampion NBA en 2008 avec Boston, Glen Davis a disputé 514 matchs NBA entre 2007 et 2015 pour 8 points et 4,3 rebonds. Pendant la Big 3, il compilait en moyenne 11,6 points et 5,1 rebonds."
}, 
{"role": "user",     "content":"Etats-Unis: Sue Bird et Breanna Stewart, 14 ans les séparent, la gloire les réunit"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Depuis les Jeux d’Atlanta en 1996, l’équipe des Etats-Unis a remporté 100 matches pour une seule défaite lors des compétitions officielles majeures avec six médailles d’or consécutives aux Jeux Olympiques (1996, 2000, 2004, 2008, 2012 et 2016), cinq autres à la Coupe du monde (1998, 2002, 2010, 2014, 2018), une autre de bronze (2006) et aussi un trophée au championnat des Amériques (2007).\\n\\nPlusieurs des Américaines sont décorées comme des maréchaux de l’URSS car elles ont remporté des titres à l’université, en WNBA et en Europe. La meneuse Sue Bird, 38 ans, est la plus gâtée de toutes pour avoir gagné deux titres universitaires, trois de WNBA et quatre Euroleague. Et on vous fait grâce de tous les trophées individuelles.\\n\\n« Cela signifie beaucoup, » a-t-elle commenté après le nouveau couronnement à Ténérife. « Hier, lors de la conférence de presse, je disais que c’est une idée fausse de penser que c’est facile pour nous. Je comprends ça parce que les scores peuvent le dire parfois. Mais ce n’est pas facile. Nous devons atteindre notre point culminant au bon moment. C’est extrêmement satisfaisant lorsque vous le faites. »\\n\\nL’équipe des Etats-Unis est une mécanique infernale qui broie ses adversaires alors qu’elle n’a même pas le temps de faire des tours de chauffe. Elle s’est préparée, notamment au tournoi d’Antibes, sans toutes ses joueuses. Sue Bird, Breanna Stewart et Jewell Loyd se sont un tout petit peu reposées après avoir gagné le championnat de WNBA avec le Seattle Storm, tout comme Elena Delle Donne qui faisait partie des finalistes, et qui était handicapée en Espagne par une blessure au genou.\\n\\nLe fabuleux triplé de Breanna Stewart\\n\\nBreanna Stewart, 24 ans, 1,93m mais 2,16m d’envergure ( !) est évidemment loin d’avoir le palmarès de son aînée Sue Bird mais elle met les bouchées doubles. Formée comme Sue Bird dans l’usine à championnes de l’université de Connecticut, elle a réussi l’immense exploit de gagner quatre titres NCAA et quatre trophées de MVP du Final Four lors de son cursus.\\n\\nAprès s’être vu attribuer cet été les oscars de MVP de la saison régulière et de la finale WNBA, elle a reçu celui de MVP de la Coupe du monde.\\n\\n« Cela fait des mois incroyables, c’est sûr », a déclaré Stewart. « Le plus important de tout ça est que l’équipe est concentrée et qu’elle gagne. J’ai simplement essayé d’apporter tout ce que je pouvais à cette équipe. Avec USA Basketball, il y a tant d’autres grandes joueuses autour de vous. Vous devez juste faire ce qu’il faut pour remporter l’or. L’année a été excellente, surtout après le début du championnat WNBA. C’est le meilleur que cela puisse être. Et chaque fois que j’ai l’occasion de représenter les États-Unis, le but est évidemment de remporter la médaille d’or, en particulier avec ce groupe, avec ces vétérans. Elles nous montrent la voie à suivre. »\\n\\nStewart a rapidement gravi les échelons sur la scène internationale depuis ses débuts en Coupe du monde avec l’équipe américaine en 2014. Cette année-là, la junior de Connecticut était reléguée au bout du banc de l’équipe avec 1,8 point par match. Aux Jeux olympiques de 2016, Stewart était la plus jeune de l’équipe US et celle qui a joué le moins de minutes. Elle a prouvé -une fois de plus- à Ténérife qu’elle possède des fondamentaux parfaits et qu’elle est aussi à l’aise de la main gauche que de la main droite.\\n\\nJusque-là, elle monnayait son talent l’hiver en Chine. On va avoir le privilège de la découvrir cette saison en Euroleague. Elle a signé à Koursk. Et comme tout ce qu’elle touche se transforme en or, le club russe fait partie des grands favoris de la compétition.\\n\\nPhotos: En haut, Sue Bird avec la princesse Letizia d’Espagne et en bas Breanna Stewart."
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV: Le retour de l’Eurocup sur RMC Sport 4"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Eurocup reprend ses droits cette semaine. Attention, c’est sur RMC Sport 4 que sont diffusés les matchs.\\n\\nLundi 1er octobre:\\n\\n20h45 – Bourg/Chalon – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\n22h30 – Magazine Buzzer – RMC Sport 2\\n\\nMardi 2 octobre\\n\\n20h45 – Valence/ASVEL – Eurocup – RMC Sport 4\\n\\nMercredi 3 octobre\\n\\n20h30 – Limoges/Cedevita Zagreb – Eurocup – RMC Sport 4\\n\\nSamedi 6 octobre\\n\\n18h30 – Dijon/Pau – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nDimanche 7 octobre\\n\\n18h30 – Monaco/Nanterre – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nLundi 8 octobre\\n\\n20h45 – Levallois/Gravelines – Jeep Elite – RMC Sport 2"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’Américaine Breanna Stewart élue MVP de la Coupe du monde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Diana Taurasi (Etats-Unis), Breanna Stewart (Etats-Unis), Emma Meesseman (Belgique), Liz Cambage (Australie) et Astou Ndour (Espagne) ont été élues dans le Cinq All-Stars de cette Coupe du Monde sans qu’il soit tenu compte des postes. Un peu dur tout de même pour l’Américaine Brittney Griner qui a été élue MVP de la finale.\\n\\nSuite à sa finale loupée, Liz Cambage n’a pas été élue MVP et la couronne est revenue à l’ailière américaine Breanna Stewart (1,94m) déjà élue cet été MVP de la WNBA et de la finale. Pas mal à 24 ans !\\n\\nBreanna Stewart a tourné à 16,3 points (58,0% aux shoots), 6,3 rebonds et 2,5 passes en 27′ de moyenne au cours de ce tournoi.\\n\\nPhoto: Breanna Stewart (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Large vainqueur de l’Australie (73-56), les Américaines sont toujours les maîtresses du monde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Etats-Unis ont remporté ce soir leur dixième titre mondial et le troisième d’affilée. C’était écrit. Leur extraordinaire richesse d’effectif et leur détermination sont sans équivalent. Elles ont dominé leurs adversaires alors que la coach Dawn Staley n’avait eu en amont toutes ses joueuses que pour deux entraînements. C’est la 8e médaille d’or de la meneuse Sue Bird au cumulé JO/Mondial. Un record évidemment.\\n\\nL’Australie n’a pas pu compter pleinement sur sa Superwoman Liz Cambage (14 rebonds et 5 contres mais seulement 7 points à 2/10 aux tirs) bien en-dessous de ses standards habituels et ses équipières sont apparues comme des petites filles face à des adultes.\\n\\nLes Américaines ont voulu montrer tout de suite qu’elles sont les maîtresses de la planète: 10-0 avec notamment un contre de Brittney Griner sur Liz Cambage. L’Australie est resté 4′ sans marquer. Heureusement, leur montée en puissance défensive et l’augmentation de leur vitesse d’exécution permettaient aux Opals d’infliger à leur tour un 7-0 aux filles de Dawn Staley et de revenir à 15-18.\\n\\nLes deux coaches faisaient pas mal tourner leurs effectifs et les Etats-Unis restaient à portée de fusil des Australiennes: 23-17 (16e) et 27-35 (20e). Le problème majeur pour elles, c’était que Liz Cambage -huée par le rancunier public espagnol- était tenue (2/7 aux tirs) et aussi qu’elles étaient en échec à trois-points (1/12). Curiosité: si 9 Opals avaient scoré au cours de cette première mi-temps, aucune n’était montée au-delà de 4 points. D’un autre côté, si les Américaines ne s’étaient pas envolées, c’est qu’elles n’avaient réussi qu’un shoot sur quatre (9/36), ce qui était franchement médiocre, à l’image de Diana Taurasi, Brittney Griner et Tina Charles qui totalisaient un bien vilain 3/20 à elles trois !\\n\\nA leur train les Américaines prenaient ensuite le large (44-27) alors que les Australiennes ne marquaient rien pendant cinq minutes. Liz Cambage sous l’eau, elles étaient orphelines. L’ambidextre Brenna Stewart démontrait pourquoi elle est la MVP de la WNBA et d’un layup, Brittney Griner (meilleure marqueuse de cette finale avec 15 points et élue MVP de la finale) augmentait la note, 58-38 (29e). C’est tout le banc américain qui prenait ensuite possession du terrain pour ce qui a été une finale à sans unique. Les Australiennes avaient l’air épuisées. Pas les Américaines qui ont fait le job avec sérieux et sans forcer leur immense talent.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Brittney Griner et Sue Bird (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde: L’Espagne s’offre la médaille de bronze, la Belgique force une fois de plus le respect"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En battant ce soir la Belgique 67-60, l’Espagne a obtenu la médaille de bronze à la Coupe du monde qu’elle a organisé chez elle à Ténérife.\\n\\nLes deux équipes étaient à égalité après un quart-temps et les Espagnoles ont ensuite accéléré pour mener 55-43 après trois-quart-temps. Pourtant l’affaire n’était pas encore dans le sac car les Belges leur ont infligé un violent 11-0 avant de céder dans le money time.\\n\\nAvec 10 rebonds, Laura Nicholls a lourdement pesé dans la victoire ibérique, tout comme Marta Xargay, meilleure marqueuse avec 17 points. Dans les rangs belges, Emma Meesseman a été une fois de plus excellente (24 points à 9/13 aux shoots, 9 rebonds et 28 d’évaluation). La meneuse de Lyon Julie Allemand a pour sa part réussi 8 passes, 8 points et 4 rebonds.\\n\\nAprès leur exceptionnel parcours, les Belges reviennent bredouilles de leur séjour espagnol mais ont épaté tout le monde pendant cette compétition.\\n\\nPhoto: Anna Cruz (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le baromètre des jeunes pousses de Jeep Elite, épisode 1"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"De nombreux jeunes joueurs arpentent les parquets de Jeep Elite. Quel est leur apport ? BasketEurope va suivre leur progression tout au long de la saison au travers de ce « baromètre ».\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nPendant l’intersaison, nombre de clubs ont clamé leur intention de favoriser l’éclosion des « jeunes pousses » du basket français, autrement dit de joueurs de 21 ans ou moins (et de 17 ans pour les plus jeunes). Louable. Mais, dans les faits, qu’en est-il ? Ces jeunes jouent-ils ? Et, si oui, quel est leur apport ?\\n\\nPour tenter de le savoir et suivre leur progression tout au long de la saison, BasketEurope lance un « baromètre des jeunes pousses de Jeep Elite » permettant de mesurer leur évolution.\\n\\nPour commencer, notons qu’ils sont trente-deux U21 (21 ans et moins) à avoir foulé un parquet de Jeep Elite lors des deux premières journées du championnat.\\n\\nParmi eux, neuf joueurs que l’on peut considérer comme des « anciens », ayant déjà eu une présence significative en Jeep Elite (ou Pro B) la saison dernière, voire les précédentes également.\\n\\nDes « anciens » qui pèsent\\n\\nDans cette catégorie des « anciens », âgés de 18 (Sekou Doumbouya, en décembre) à 21 ans, deux tendances se dessinent : d’un côté des joueurs qui bénéficient d’un vrai temps de jeu, de l’autre des jeunes qui jouent (un peu) pour un rendement peu important.\\n\\nDans la première catégorie, le meilleur départ a été effectué par Jean-Marc Pansa (Nanterre, 21 ans), qui profite de ses 14,5 minutes de moyenne pour présenter une superbe évaluation de 17,5. L’absence de Treadwell et la discrétion actuelle de Yannis Morin lui profitent !\\n\\nDe son côté, Amine Noua (LDLC Asvel, 21 ans) surfe sur son été passé en Bleu (et sur la blessure de Livio Jean-Charles) pour continuer sur sa lancée de la saison passée. Avec 10,5 d’évaluation en 24,5 minutes, il fait partie des pièces majeures du rutilant effectif villeurbannais.\\n\\nQuant à Bathiste Tchouaffé (JL Bourg, 20 ans), il semble, pour le moment au moins, avoir trouvé dans sa nouvelle équipe le temps de jeu qu’il n’avait pas réussi à arracher à Nanterre : 23,5 minutes, pour 9,5 d’évaluation.\\n\\nAbdoulaye Ndoye (Cholet, 20 ans) et Sekou Doumbouya (Limoges, 18 ans), arrivant tous deux de ProcB, montrent qu’ils arrivent à passer le cap entre les deux divisions : 20 minutes et 7 d’éval pour le premier, 14 mn et 6,5 d’éval pour le second.\\n\\nEnfin, Diegué Diawara (Pau-Lacq-Orthez, 20 ans) souffre, tout comme son équipe : 13 mn par match mais 2,5 d’éval seulement.\\n\\nDans la seconde catégorie se situent des joueurs qui affichent leurs propres limites, doivent composer au sein d’un effectif pléthorique ou sont encore en phase de maturation. Alexandre Aygalenq (Boulazac, 21 ans) produit 1 d’éval en 4,5 mn, Ivan Février (Levallois, 19 ans) 0,5 dans le même temps de jeu et Luc Loubaki (Monaco, 21 ans), 2 d’éval en 8’. Il faudra voir s’ils arrivent à « percer » dans les journées à venir...\\n\\nDe (très) jeunes qui jouent\\n\\nParmi les joueurs plus novices en Jeep Elite, découvrant la division ou n’ayant joué que quelques matchs précédemment, plusieurs catégories se dessinent (en étant amenées à évoluer, bien sûr).\\n\\nLa première, c’est celle des joueurs ayant un vrai rôle dès leur arrivée « réelle » en Jeep Elite. Dans ce cadre, celui qui tire le mieux son épingle du jeu à l’évaluation (critère à nos yeux plus significatif que le nombre de points) est Ludovic Beyhurst (Strasbourg, 19 ans), qui a profité de la grosse victoire de son club face à Cholet pour produire un match très solide (15 d’éval en 15’), lui assurant une éval moyenne de 8,5 en 12’ sur les deux premières journées.\\n\\nVient ensuite la doublette de LDLC Asvel, Théo Maledon (17 ans)-Khadim Sow (19 ans), qui affichent 7 d’éval moyenne pour un temps de jeu respectif de 14,5 et 7,5 mn. L’écrasante victoire de Villeurbanne face à Antibes a eu un impact, mais Maledon a eu droit à 14’ sur le terrain face à Monaco (et Sow 4’).\\n\\nDe son côté, Killian Hayes (Cholet, 17 ans) se voit offrir de belles responsabilités à Cholet mais souffre un peu, à l’instar de son club : 5 d’éval pour 20,5 mn. Enfin, Thibault Daval-Braquet (Pau-Lacq-Orthez, 21 ans) surprend agréablement son monde en produisant 5 d’éval en 11,5 mn.\\n\\nCe n’est qu’un début...\\n\\nVient la deuxième catégorie, celle des joueurs n’ayant pas encore un gros temps de jeu ni un rendement énorme. Et dont l’évolution reste à voir (comme celle de tous les joueurs cités ici, bien sûr). À Antibes, Tom Wiscart-Goetz (19 ans) joue 10,5’ mais son éval est négative : -0,5. Pour l’instant, à Bourg-en-Bresse, Malcolm Cazalon (17 ans) n’a pas encore obtenu le temps de jeu qu’il était venu chercher : 5’ de moyenne pour -0,5 d’éval. À Chalon/Saône, Mathis Dossou Yovo (18 ans) fait bonne impression : 4 d’éval en 6,5’. De même Sofiane Briki (19 ans) à Villeurbanne : 3,5 d’éval en 9’. Et Karlton Dimanche (Cholet, 18 ans) fait poindre le bout de son nez dans la « pouponnière » choletaise : 4,5’ et 1 d’éval.\\n\\nDans une troisième catégorie, nous trouvons deux joueurs ayant eu du temps de jeu à une seule reprise, dans un match très déséquilibré : Isaac Mayembo (Antibes, 19 ans) a eu droit à 17 minutes (4 d’éval) lors de la déroute des Sharks à Villeurbanne alors que Quentin Goulmy (Strasbourg, 20 ans) a pu, lui, gambader 11 minutes (et un beau 14 d’éval) lors de l’écrasante victoire de la SIG face à Cholet.\\n\\n... Continuez le combat...\\n\\nVient enfin la catégorie des jeunes pousses ayant eu très peu ou pas joué, pour un apport logiquement anecdotique. Ils sont treize à figurer dans cette liste, sans compter Melvin Govindy, blessé. Les prochaines semaines permettront sans doute à certains d’en montrer un peu plus, à d’autres de mesurer le travail qu’il leur reste à accomplir pour pouvoir se frotter au plus haut niveau français.\\n\\nDeux clubs en pointe\\n\\nDernier point à souligner : à eux seuls, deux clubs aux effectifs et objectifs bien différents en ce début de saison se détachent nettement en matière de temps de jeu accordé aux jeunes pousses. L’un ne surprendra personne, il s’agit de Cholet. Ses trois U21 passent en moyenne 44,5’ sur le parquet pour 13 d’évaluation. L’autre est peut-être moins vu comme tel mais fait pourtant la part belle à ses espoirs, LDLC Asvel. Ses quatre U21 – Maledon, Briki, Noua, Sow – passent 57,5’ par match sur le parquet (plus de 25 % du temps de jeu total !) pour 28 d’éval moyenne. Dans un club disposant d’un effectif haut de gamme et à rallonge, le temps de jeu accordé à ces jeunes est à noter (même si les blessures de Jean-Charles et Kaba ont évidemment une influence sur le temps de jeu de Noua et Sow). Reste à voir comment il évoluera au fil du temps.\\n\\nEn conclusion de ce premier épisode de notre « baromètre », on ne peut que se réjouir de voir de jeunes joueurs de 17 ou 18 ans pouvoir exprimer leur talent sur les parquets de la Jeep Elite. Finalement, le basket français n’est peut-être pas si « frileux » que certains le pensent...\\n\\n[armelse]\\n\\nPendant l’intersaison, nombre de clubs ont clamé leur intention de favoriser l’éclosion des « jeunes pousses » du basket français, autrement dit de joueurs de 21 ans ou moins (et de 17 ans pour les plus jeunes). Louable. Mais, dans les faits, qu’en est-il ? Ces jeunes jouent-ils ? Et, si oui, quel est leur apport ?\\n\\nPour tenter de le savoir et suivre leur progression tout au long de la saison, BasketEurope lance un « baromètre des jeunes pousses de Jeep Elite » permettant de mesurer leur évolution.\\n\\nPour commencer, notons qu’ils sont trente-deux U21 (21 ans et moins) à avoir foulé un parquet de Jeep Elite lors des deux premières journées du championnat.\\n\\nParmi eux, neuf joueurs que l’on peut considérer comme des « anciens », ayant déjà eu une présence significative en Jeep Elite (ou Pro B) la saison dernière, voire les précédentes également.\\n\\nDes « anciens » qui pèsent\\n\\nDans cette catégorie des « anciens », âgés de 18 (Sekou Doumbouya, en décembre) à 21 ans, deux tendances se dessinent : d’un côté des joueurs qui bénéficient d’un vrai temps de jeu, de l’autre des jeunes qui jouent (un peu) pour un rendement peu important.\\n\\nDans la première catégorie, le meilleur départ a été effectué par\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Jean-Mars Pansa et Malcolm Cazalon (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde féminine: La France cinquième. Beaucoup de bons soldats, pas de général"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La France demeure dans le top 3 européen, une place qu’elle occupe depuis 2009. Elle se classe cinquième nation mondiale après sa probante victoire sur la Chine (81-67), ce qui ne fera pas tâche au palmarès. Encore une fois les Canadiennes sont les dindons de la farce.\\n\\nC’est pourtant un goût amer de frustration qui demeure dans la bouche. A cause de la déroute face aux Belges (65-86) qui ont évolué sur un nuage rose durant cette Coupe du monde. Appartenir au carré d’as était totalement inaccessible.\\n\\nLes Français ont la critique facile et il serait injuste et stupide de mettre à la poubelle ce qui a été accompli par cette équipe de France 2018. Il ne faut pour autant pas se voiler la face: les Bleues ont manqué de leadership. D’une joueuse capable de les sublimer. Beaucoup de soldats pas de général.\\n\\nSi Sandrine Gruda a été globalement égale à elle-même, c’est à dire talentueuse et métronomique (12,6 points à 57,6%, 7,0 rebonds, 1,9 passe), elle a flanché comme les autres le Jour J (2 points à 1/11 contre les Belges). Trop introvertie, la Martiniquaise n’est pas une capitaine de route et le problème, c’est qu’il n’y en a pas une dans l’équipe. Ce n’est pas dans le tempérament de celles-qui forment le cinq majeur. C’est apparu si criant que l’on finit par se demander si Céline Dumerc n’aurait pas dû prendre sa retraite un an plus tard, surtout quand on sait que Evina Maltsi et Laia Palau ont trois ans de plus qu’elle.\\n\\nComme craint, l’équipe de France -cela va de paire- à manquer d’une playmaker sachant que Olivia Epoupa est une sorte de trublion sur le terrain mais pas une organisatrice. Romane Bernies et Alexis Duchet sont arrivées à ce Mondial vierges d’expérience internationale et ça ne pardonne pas. Marine Johannès (10,6 points mais à 40%) et Valériane Ayayi (5,1 points) sont par ailleurs demeurées en retrait. On attendait tellement du diamant de Bourges. Des kilomètres au compteur afin de se forger un mental de tueuse pour la compétition et pas seulement pour les matches de préparation, voilà ce qui lui manque.\\n\\nSe qualifier direct à l’Euro 2019\\n\\nLa prochaine échéance, c’est l’EuroBasket 2019 qualificatif pour les Jeux Olympiques de Tokyo. Pour avoir son laissez-passer sans avoir recours à une « meilleure deuxième place », les Bleues devront reprendre à la Slovénie les 6 points concédés à l’aller. La confrontation est programmée le 21 novembre à Charleville. Comme il n’y a pas chez les dames de conflit vénéneux FIBA/Euroleague/WNBA, ce sont les mêmes qui seront sur le pont avec juste éventuellement quelques ajustements voire le bonus que constituerait la reconnaissance en filiation française de la meneuse du New York Liberty, Bria Hartley, qui si elle ne connait pas ses éventuelles équipières aura au moins l’avantage d’avoir Valérie Garnier comme coach au Fenerbahçe.\\n\\nUn quart et ça repart\\n\\nCette cinquième place a mis une trentaine de minutes à se dessiner. D’entrée les Chinoises s’infiltraient intelligemment avec des passes parfaitement dosées dans les brèches françaises que ce soit sur jeu placé ou en contre-attaques. Si bien que Valérie Garnier était obligée de commander un premier temps-mort à 12-7 après 3’30 de jeu. L’ailière Ting Shao (1,84m) s’amusait comme une petite folle... Comme sur un tableau noir, les Chinoises proposaient un beau jeu collectif face à des Bleues amorphes. Avec un 11/14 dans la peinture, l’écart montait jusqu’à 25-11. Surprenant: les Bleues se faisaient passer plus d’une fois en un-contre-un.\\n\\nLes Françaises mettaient beaucoup plus d’intensité dans le deuxième quart et malgré nombre d’approximations, elles refaisaient leur retard pour mener à 29-28 (16e). Du tout à l’attaque, les Chinoises surprises par le nouveau rythme du match étaient passées à la pénurie offensive (6’25 sans marquer!). Mais un moment dans les cordes (28-35), elles revenaient au score en fin de quart-temps (36-37).\\n\\nLe troisième quart donnait lieu à un chassé-croisé au tableau de marque et puis grâce à un alliage agressivité/puissance/vitesse, les Bleues prenaient le large pour mener 61-50 (30e). C’est par le biais de trois-points qu’elles donnaient un nouveau coup de collier (73-55, 36e). Les Chinoises subissaient de plus en plus l’impact physique. La France tenait solidement sa cinquième place.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Alexia Chartereau, FIBA\\n\\n\\n\\n\\nGrâce à ses 16 points inscrits face à la Chine ce dimanche, @Sandrine_Gruda est devenue la 4⃣ème meilleure marqueuse de l'Histoire du basket féminin français 🇫🇷 👏 #FIBAWWC pic.twitter.com/VjWvV0y8un\\n\\n\\n— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) September 30, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Si elle se qualifie pour la Coupe du monde, l’équipe de France participera à un tournoi en Chine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si elle se qualifie pour la Coupe du Monde 2019 en Chine (du 31 août au 15 septembre dans huit villes), l’équipe de France effectuera un tournoi de préparation dans ce pays en amont. C’est ce que le président de la FFBB, Jean-Pierre Siutat, a annoncé sur les réseaux sociaux en marge de la Coupe du monde féminine qui se tient actuellement à Ténérife.\\n\\nAvec 7 victoires pour 1 défaite dans le Groupe K de qualification, les Bleus sont très bien positionnés pour se qualifier à cette Coupe du monde qui réunira 32 équipes.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\nSignature d'un partenariat pour un tournoi de préparation en Chine (août 2019) en cas de qualification des bleus #FIBAWC @FRABasketball Maintenant que c'est signé, on part encourager nos bleues qui jouent leur dernier match face à la... Chine 👍😉 #FIBAWWC pic.twitter.com/jVLCGQEHUp\\n\\n\\n— Jean-Pierre SIUTAT (@jpsiutat) September 30, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Français Yohan Rosso va arbitrer la finale de la Coupe du monde féminine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Yohan Rosso a été désigné par la FIBA pour arbitrer la finale de la Coupe du Monde féminine, qui va opposer ce soir à 21h, à Ténérife, les Etats-Unis à l’Australie.\\n\\nSelon la FFBB, Yohan Rosso est le septième arbitre français à officier lors d’une finale mondiale après Robert Blanchard (Finale masculine Jeux Olympiques 1956), Jean-Claude Bois (Finale féminine Mondial 1979), Yvan Mainini (Finales masculines Mondial 1982 et 1986), Philippe Mailhabiau (Finale féminine Mondial 1994), Chantal Julien (Finale féminine Mondial 2002, Finales féminines Jeux Olympiques 2004 et 2008) et Eddie Viator (Finale masculine Mondial 2014 et finale féminine Jeux Olympiques 2016).\\n\\nPhoto: FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde féminine: France-Chine sur Dailymotion à 15h"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bonne nouvelle pour ceux qui ne possèdent pas le bouquet Canal+. Le match qui va déterminer la cinquième place de la Coupe du monde féminine est diffusé à partir de 15h en accès libre sur Dailymotion.\\n\\nPhoto: Romane Bernies (FIBA)\\n\\nhttps://www.dailymotion.com/video/x6ueloo"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges: Quand Samardo Samuels insulte son coach..."
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Samardo Samuels (2,06m, 29 ans) n’a joué que 6 minutes lors de la défaite de Limoges au Portel, 81-90. Le coach Kyle Milling a donné l’explication en conférence de presse:\\n\\n« Il m’a dit d’aller me faire... Je vous laisse deviner la suite. La façon dont il m’a parlé, c’est interdit, » rapporte Le Populaire.\\n\\nEvidemment, cet « incident » est particulièrement inquiétant quand on connait le lourd passé du pivot jamaïcain, qui est visiblement un sanguin. Il y a deux ans, il avait été suspendu par le Partizan Belgrade pour violation du code disciplinaire du club après l’avoir critiqué en public ainsi que le coach et fait des critiques sexistes à l’égard d’une femme journaliste.\\n\\nA la fin de la saison dernière, le directeur sportif Olivier Bourgain nous avait dit tout le bien qu’il pensait de son joueur. Toute une ville espère maintenant qu’il s’agit juste d’un dérapage temporaire alors que le CSP va débuter sa saison d’Eurocup et qu’avec deux défaites en trois matches, il a besoin de se refaire rapidement la cerise en Jeep Elite.\\n\\nCommandez le Guide de JeepElite avec la présentation de chaque équipes, joueurs et coachs : 6€ frais de port compris\\n\\nPhoto: CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Trois matches, trois défaites: Cholet Basket se fait déjà siffler par son public"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Trois défaites en trois matches dont deux à domicile. Un déficit de -27 face à Levallois (69-96) qui a eu de quoi réfrigérer La Meilleraie et la faire siffler ses joueurs.\\n\\nMalgré un meneur Ty McKee fidèle à ses standards (18 points, 6 passes, 3 rebonds), Cholet Basket n’a pas pesé lourd face aux Metropolitans où Mouphatou Yarou prouve que lorsqu’il dispose de tous ses moyens physiques, il est un pivot dominant (22 points, 7/10 aux tirs, 16 rebonds). Et comme Julian Wright (20 points, 8 rebonds) a été lui aussi performant, quelle doublette dans la peinture pour les banlieusards parisiens !\\n\\n«Le problème, ce sont les éclats que l’on encaisse pendant de courtes périodes, comme après l’antisportive dans le premier quart ou dans la dernière minute avant la mi-temps. Tout cela fait mal à la tête, c’est extrêmement dur psychologiquement. On a très vite été résignés, on s’est sentis plus faibles que l’adversaire. C’est inquiétant de perdre une nouvelle fois de 25 points à la maison. Il manque beaucoup de choses, à nous de travailler pour gommer les erreurs les unes après les autres », a commenté le coach Régis Boissié en conférence de presse.\\n\\nCB va t-il connaître une autre saison galère? On le saura bientôt. Il s’est attaqué d’emblée à Strasbourg, Le Mans et Levallois. Trop fort pour lui. Le programme à venir est plus abordable mais ne laisse plus le choix:\\n\\n« Il va falloir gagner pour retrouver la confiance et capitaliser sur du positif. Les matches à venir contre Châlons-Reims et Fos-sur-mer vont être importants pour nous donner une autre image de nous-mêmes. On va travailler pour aider les jeunes. Le niveau entre le championnat Espoirs et la Jeep Elite est très différent. Il faudra passer par une grosse défense pour aller mieux. On laisse trop l’adversaire s’installer et scorer dans notre raquette.»\\n\\nLe coach fait référence à Killian Hayes (4 points en 17′) et Karlton Dimanche (7′, 2 interceptions et 1 rebond), qui ne sont encore pour l’instant que du blé en herbe."
}, 
{"role": "user",     "content":"61-77: Le gros bouillon de Monaco à Boulazac"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On n’est pas habitué à voir l’AS Monaco prendre un bouillon. Et c’est bien ce qui lui est arrivé à Boulazac, jugé a priori comme une équipe qui vise le maintien en Jeep Elite.\\n\\nAprès un quart-temps, la Roca Team était menée 7 à 22 ! Les Monégasques sont certes revenus à -6 dans le troisième quart mais poussé par son public, le BBD est reparti de plus belle. Finalement, c’est avec un déficit de 16 points (61-77) que l’ASM a quitté le Périgord.\\n\\nLe pivot franco-néerlandais Nicolas De Jong dont personne ne voulait à l’inter-saison a compilé 18 points à 8/12 et 4 rebonds alors que Elmedin Kikanovic se contentait d’un pauvre 1/5 aux tirs pour 4 points et 4 rebonds. 37% de réussite aux tirs pour toute l’équipe, ce n’est pas beau à voir ! Personne a été capable de marquer plus de 10 points.\\n\\nLes explications? Les absences de Amara Sy et Georgi Joseph sont à prendre en compte mais l’effectif monégasque est profond et par le passé l’ASM a plusieurs fois dominé ses adversaires avec des absents dans ses rangs. Elle a d’ailleurs pu compter sur le retour de Yakuba Ouattara qui a marqué 6 points.\\n\\nLe fait d’avoir joué Pau vingt-quatre heures au préalable était-ce un handicap insurmontable?\\n\\n« Boulazac a mérité sa victoire. On a eu du mal à se trouver, à faire des passes. Il ont eu le mérite d’imposer le rythme dès le début du match. Le fait qu’on ait joué jeudi n’est pas une excuse, » a répondu Paul Lacombe.\\n\\nMonaco en est maintenant à deux défaites en trois matches. La succession de Zvezdan Mitrovic n’est peut-être pas aussi évidente que ça pour Sasa Filipovski.\\n\\nLes Monégasques se rendent cette semaine à Brescia pour l’ouverture de l’Eurocup avant d’enchaîner avec la réception de Nanterre. La pression du résultat est désormais sur leurs épaules.\\n\\nPhoto: Elmedin Kikanovic (ASM)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: A 37 ans, John Cox revient en France, à Nancy"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On pouvait croire que l’Américano-Vénézuélien John Cox, qui a fêté ses 37 ans en juillet, avait fait ses adieux à la France. Pas du tout!\\n\\nComme Solo Diabaté a été recalé à la visite médicale, le coach Christian Monschau a fait appel à celui qui avait déjà porté le maillot du SLUC de 2008 à 2010 alors que c’est Jean-Luc, le frère de Christian, qui était l’entraîneur de l’équipe, et qu’il connaissait depuis l’époque du Havre.\\n\\nJohn Cox est arrivé en France par Chalon en 2005 et il a porté les maillots du Havre, Nancy, Le Havre de nouveau, Paris-Levallois, Cholet, Le Havre encore, et Pau en 2016-17 (12,0 points, 5,6 rebonds, 4,2 passes en 5 matches).\\n\\nJohn Cox a fait une infidélité à la France la saison dernière puisqu’il était en Allemagne, à Bayreuth, pour 4,7 points et 1,3 rebond.\\n\\nJohn Cox est le cousin de l’ancienne superstar de NBA, Kobe Bryant."
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde féminine: Formidable Liz Cambage !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce qu’a fait Liz Cambage (2,03m, 27 ans) face à l’Espagne en demi-finale de la Coupe du monde est digne de Pantagruel ou de Wilt Chamberlain. La pivot australienne a compilé 33 points à 11/16 aux tirs du champ, 11/12 aux lancers, 15 rebonds, 4 contres, 2 passes (et aussi 7 pertes de balle) pour 41 d’évaluation (49 pour le reste de l’équipe). Quand elle était positionnée sous le cercle, personne ne pouvait l’arrêter. Elle a sorti du terrain pour cinq fautes les deux intérieures Astou Ndour et Laura Nicholls et bien secondée par l’autre pivot Cayla Francis-George (9 points et 11 rebonds) et l’ancienne lyonnais Bec Allen (8 points, 6 rebonds, 2 passes, 2 interceptions), elle a porté l’Australie vers la finale dans un match acharné, passionnant, magnifique, 72-66.\\n\\n« C’est le plus loin que j’ai été à ce niveau. Je n’ai jamais disputé de match pour la médaille d’or », a déclaré Liz Cambage qui a joué avec émotion pendant 31 minutes. « C’était dur. Nous savions que les 40 minutes allaient s’écouler durement et durement. Elles (les Espagnoles) forment un groupe de superstars. Nous avons joué avec notre cœur et l’avons laissé sur le terrain »\\n\\nSa coach Sandy Brondello a louangé sa géante après le match:\\n\\n« Liz ne cesse de m’impressionner. Elle adore ces grands moments et a été une source de motivation pour toute l’équipe. J’ai beaucoup de chance d’entraîner cette équipe et d’avoir une si grande joueuse. Liz et Lauren (Lauren) sont sur un pied d’égalité », a t-elle répondu quand il lui a été demandé de comparer l’actuel phénomène australien avec celle qui fut l’une des meilleures joueuses du monde de sa génération.\\n\\nPour la première fois, l’Australie va s’attaquer aux Etats-Unis en finale d’une Coupe du Monde. Quand elles avaient été championnes du monde en 2006, c’est la Russie qui avait sorti les Américaines en demi-finale.\\n\\n«Savoir que nous avons le pays à l’écoute à 5 heures du matin nous encourage, cela signifie que le monde est derrière nous. S’il y a une chose que je veux faire pour mon pays, c’est de remporter une médaille d’or », a déclaré Cambage.\\n\\nCette finale a été aussi marquée par la prestation de la meneuse Laia Palau, qui a 39 ans depuis le 10 septembre, a joué comme une jeunette, réussissant 7 points, 8 passes et 2 interceptions. Seulement la championne de France 2018 a flanché dans le money time.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du Monde féminine: Héroïques, les Belges cèdent en deuxième mi-temps face aux Etats-Unis"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La postérité retiendra le score final, déjà honorable (77-93), mais qui ne reflète pas l’héroïque résistance des Belges. Celui à la mi-temps (39-40) davantage. Les équipières de Ann Wauters -qui symboliquement a joué moins de cinq minutes à cause de ses douleurs au genou- ont tout jeté dans la bataille. Enthousiastes mais jouant aussi un beau basket, elles n’ont eu aucun complexe face à la Dream Team américaine.\\n\\nEmma Meesseman (23 points et 6 rebonds) a été comme d’habitude remarquable et indispensable, mais il faut aussi noter la performance de la meneuse de Lyon Julie Allemand, qui a totalisé 12 passes ! Ce fut tout autant la soirée de la très charpentée pivot Kyara Linskens (1,93m), auteure de 10 points et 14 d’éval.\\n\\nLes Etats-Unis peuvent dire thanks à Diana Taurasi (26 points avec un 5/10 à trois-points) qui a été à la hauteur de sa réputation tout au long de la demi-finale et qui a été prolifique quand ses équipières étaient dans le dur. Et puis, en deuxième mi-temps, le rouleau compresseur US s’est mis en branle. La paire de pivots Breanna Stewart (20 points et 7 rebonds)-Brittney Griner (16 points et 6 rebonds) est unique sur la planète.\\n\\nPhoto: Diana Taurasi (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde féminine: La Chine comme adversaire de la France pour la cinquième place"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de France n’aura pas la possibilité de prendre sa revanche sur le Canada puisque c’est la Chine qui lui sera opposée demain à 15h pour le match qui va déterminer la 5e place de cette Coupe du monde 2018.\\n\\nCet après-midi, sans doute usées par leur demi-finale face à l’Espagne, les Canadiennes ont cédé dans le quatrième quart-temps en ne scorant que 9 points pour le double pour les Chinoises qui se sont imposées 76-71.\\n\\nC’est la pivot de 2,05m et seulement 18 ans, Xu Han qui a été la plus efficace dans le camp asiatique avec 12 points et 9 rebonds. Celle-ci est d’ailleurs la principale arme de la Chine depuis le début du tournoi (9,5 points et 6,5 rebonds) avec l’ailière Ting Shao (1,84m, 28 ans, 11,0 points et 3,3 passes).\\n\\nSi elles ont échoué face aux Etats-Unis, de seulement 12 points (88-100) et lourdement face à l’Australie (-41), les Chinoises ont remporté tous leurs autres matches: Lettonie (+3), Sénégal (+9), Japon (+6) et donc Canada (+5). L’équipe possède avec 36,3% la deuxième adresse du tournoi dans les tirs à trois-points.\\n\\nNon, ça ne sera pas une partie de plaisir.\\n\\nPhoto: Xu Han (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Quand Moussa Diagne d’Andorre lance la Moussa Dance sur une remise en jeu"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour tenter de déstabiliser le joueur qui fait une remise en touche, il est nécessaire d’agiter ses bras. Mais le pivot sénégalo-espagnol Moussa Diagne (2,11m) fait beaucoup, beaucoup plus. Avant et pendant. C’est son équipier à MoraBanc Andrew Albicy qui fait partager la vidéo. Et nous le remercions !\\n\\n\\n\\n\\nJe suis obligé de partager ce grand moment de basket 🤣🤣🤣🤣🤣 merci moussa 🙌🏾🙌🏾 #moussadance pic.twitter.com/sXsMYWvLIP\\n\\n\\n— Andrew Albicy (@andrewalbicy) September 29, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde féminine: La France fait le job face au Nigeria, 84-62, et jouera demain pour la 5e place"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après leur déconvenue face aux Belges, les Françaises avaient la gueule de bois pour ce match de classement programmé à l’heure du déjeûner. Elles ont laissé les Nigérianes scorer 20 points en première mi-temps mais elles ont su ensuite prendre le bon rythme en mettant de l’ardeur à la tâche. Les Africaines n’ont jamais su trouver l’antidote aux deux 5, Sandrine Gruda et Helena Ciak (31 points à 13/16 aux shoots à elles deux). L’ensemble de l’équipe tournant à 52% dans l’adresse aux tirs.\\n\\nLa différence au score est montée peu à peu en faisant un bond dans le troisième quart-temps (23-10) pour atteindre 63-44 après trois quart-temps. Alix Duchet et Marième Badiane ont alors pu participer à la victoire.\\n\\nL’équipe de France affrontera demain le vainqueur de Canada-Chine pour l’obtention de la cinquième place.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Helena Ciak (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde féminine: France-Nigeria aujourd’hui à 12h30 sur Dailymotion"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FIBA juge utile de programmer des matchs de classement pour les équipes classées de 5 à 8 à cette coupe du monde, ce qui fait que la France va jouer le Nigeria aujourd’hui à... 12h30. Le match est retransmis sur Dailymotion. On verra si les Bleues ont le coeur à l’ouvrage.\\n\\nLe Nigeria est la première équipe africaine à intégrer le top 8 mondial. Plusieurs joueuses sont nées aux Etats-Unis et ont été formées en NCAA. Elles ont été justement éliminées en quart-de-finale par les Américaines, 40-71.\\n\\nLes demi-finales sont dans la soirée, Etats-Unis vs Belgique à 18h30 et Espagne vs Australie à 21h.\\n\\nhttps://www.dailymotion.com/video/x6ueloo"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les mots de Valérie Garnier et de Diandra Tchatchouang après l’élimination en quart-de-finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le debriefing de Valérie Garnier dans le vestiaire et les commentaires de Diandra Tchatchouang après la défaite face aux Belges en quart-de-finale. C’est la Minute Inside de la journée.\\n\\nPhoto: Diandra Tchatchouang (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague: Le Final Four 2020 à Athènes à l’air libre ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Final Four de l’Euroleague 2020 pourrait se tenir à Athènes à révélé lors d’une interview à la radio Sport FM, Dimitris Giannakopoulos, propriétaire du Panathinaikos.\\n\\n« C’est quelque chose dont on discute et il y a de la bonne volonté de la part de l’EuroLeague. Il ne se tiendra peut-être pas à OAKA, mais à Athènes. Je ne peux rien dire de plus. »\\n\\nLe PDG de l’Euroleague, Jordi Bertomeu, a confirmé qu’il y a une volonté de ramener les Final Four en Grèce après celui de 2007, mais la véritable information vient du site SDNA qui indique que ce Final Four pourrait se tenir au Stade Panathénaïque alias le Stade de Marbre situé au coeur de la ville. Celui ci a été construit à l’occasion des premiers Jeux Olympiques de l’ère moderne en 1896. Il a servi aussi aux épreuves de tir à l’arc et à l’arrivée des deux marathons de ceux de 2004. Il fut aussi le cadre de plusieurs matches dantesques de coupe d’Europe de basket de l’AEK Athènes notamment face à l’Olympique d’Antibes et la JA Vichy dans les années soixante/début soixante-dix. Le nombre de spectateurs tourna autour de 70 000 sans plus de précision.\\n\\nUn tel lieu constituerait une promotion particulière pour le Final Four mais le Stade de Marbre a tout de même la particularité d’être à l’air libre... Si les températures nocturnes sont douces à Athènes en mai et l’ensoleillement abondant durant la journée, le risque de pluie n’est pas égal à zéro et quid du vent?\\n\\nSDNA précise que le projet en est encore à ses balbutiements !"
}, 
{"role": "user",     "content":"Votez pour le joueur ou la joueuse français(e) qui a le plus marqué la saison 2017-18"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FFBB met en jeu depuis 2015 le Trophée Alain Gilles qui désigne le joueur ou la joueuse qui a marqué le plus la saison. Nando De Colo (2015 et 2016) et Céline Dumerc (2017) ont été ainsi élus pour les trois premières éditions.\\n\\nLe public est amené à voter. Son vote apportera 10 points au joueur/joueuse classé(e) en tête à l’issue des votes, 7 points au second, 5 points au troisième. Le vote du public sera comptabilisé comme une voix lors de la désignation du vainqueur du trophée Alain Gilles par le jury.\\n\\nUn jury composé de 14 votants se réunira à Paris le 3 octobre pour procéder aux votes : 8 représentants des médias et 6 représentants des institutions du basket (FFBB, LNB, Club des internationaux...).\\n\\nVous pouvez voter ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les highlights de France-Belgique"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dure soirée pour les Bleues vaincues par la Belgique, 86-65, en quarts de finale de la Coupe du Monde. Voici quelques extraits du match.\\n\\nPhotos: Romane Bernies (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde féminine: La France humiliée par la Belgique, -21, sort la tête basse"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"31-53. La première mi-temps de ce quart-de-finale de la Coupe du monde est la pire jamais effectuée par l’équipe de France depuis au moins vingt ans. La magnifique Belgique n’est quand même pas Team USA. Une oeuvre collective pour les Belges d’une solidarité exemplaire même si l’ancienne ailière de Charleville Kim Mestdagh, l’une des deux filles du coach, était la principale responsable offensivement avec 18 points à 70% de réussite. 17 à 33 dans le deuxième quart-temps. Non, ce n’était pas une blague. Les Françaises avaient laissé le fameux label bleu défensif au vestiaire.\\n\\nEnfin dans le rythme, les Françaises sont revenues à dix points dans le troisième quart-temps, mais elles ont de nouveau complètement flanché pour échouer dans les grandes largeurs (65-86). Les Braqueuses, c’est du passé. A l’image de Sandrine Gruda en perdition (1/11 aux shoots), les Bleues ont failli tout le match offensivement (29% de réussite sur l’ensemble du match) même quand elles se sont réveillées pour défendre enfin convenablement leur camp. Au bilan de ce Mondial, on notera leur manque de caractère. Céline Dumerc a laissé une paire de baskets vides. L’échec en Slovénie cet hiver lors des qualifications pour l’Euro était finalement annonciateur de ce fiasco, à l’inverse de la victoire en trompe l’oeil sur l’Australie à Coubertin en amont de cette coupe du monde.\\n\\nIl reste des matches de classement sans gros intérêt à faire.\\n\\nPour une fois les Françaises démarraient péniblement. Nerveuses, elles manquaient quantité de shoots en bonne position sous le cercle pour commencer (1/7) alors que les Belges, toujours aussi enthousiastes, paraissaient plus à l’aise dans ce match où elles avaient tout à gagner. Elles menaient 9-4 puis 15-8 (5e) grâce à la paire habituelle Emma Meesseman/Kim Mestdagh. Les fautes de mains... c’est la plaie du basket et les Françaises perdaient cinq balles dans le quart-temps contre une seule aux Belges. Mais les Bleues revenaient tout de même au score (17-17) quand les titulaires belges passaient le relais.\\n\\nLa France tentait un pressing tout terrain mais le jeu belge était toujours fluide. Le meneuse de l’ASVEL Julie Allemand régalait ses équipières (9 passes en 11′) et la Belgique se retrouvait à 39-25 à la 17e minute avec 61% de réussite aux tirs ! Marjorie Carpréaux (ex-Mondeville, Villeneuve et Bourges) se permettait même des passes audacieuses. Une démonstration. De l’autre côté du terrain, les Belges faisaient des prises à deux parfaites sur Sandrine Gruda, qui perdait tous ses repères (1/7 aux tirs en première mi-temps). Deux trois-points de Julie Vanloo donnaient dix-sept points d’avance (44-27) aux Belges euphoriques. Sur un autre trois-points de Kim Mestdagh (6/12), celles-ci obtenaient 20 points d’avance (49-29) et perforaient la barre des 50 points avant la mi-temps (53-31). Une humiliation pour la deuxième nation du basket européen... jusque là.\\n\\nUn retour en vain\\n\\nLes errements défensifs des Bleues se poursuivaient au début de la deuxième mi-temps. 33-61. Il manquait tout: le rythme, la concentration, l’orgueil, la jugeotte...\\n\\nToutefois, les Belges étaient asphyxiées et les Françaises revenaient un peu au score mais n’en profitaient pas complètement en vendangeant des paniers faciles, et puis si ses équipières étaient muettes, Emma Meesseman (16 points et 9 rebonds au final) rentrait les paniers indispensables. 48-67 à la 30e minute.\\n\\nLes Françaises jouaient de plus en plus vite avec Romane Berniès comme moteur et donc mieux. Les Belges étaient aphones en attaque, leur coach s’énervait, et sur un 9-0, les Bleues revenaient à 67-57 alors qu’il restait encore 7’14 au chrono. Marine Johannès (17 points, 9/10 aux lancers) et Endy Miyem (15 points) étaient enfin dans le coup. Une illusion. Les Belges reprenaient du poil de la bête, leur zone fonctionnait, les Françaises s’affaissaient, et sur un trois-points de la teigne Julie Vanloo, la porte se fermait définitivement.\\n\\nLes Belges sont entrées dans la légende et cette fois elles peuvent chambrer les Français(se).\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Marjorie Carpréaux (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\nL'émotion de @MarineJ5 😢\\n\\n\\nVous reviendrez plus fortes @FRABasketball 👏#FIBAWWC #FRABEL 🇫🇷🇧🇪😔 pic.twitter.com/9qTTQRL4pN\\n\\n\\n— CANAL+ Basket (@CanalplusBasket) September 28, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tornike Shengelia prêt à retourner au combat avec Vitoria"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A Vitoria, ce début de saison ressemble étrangement à la fin de la dernière campagne. De nouveau battu par le Real Madrid en finale, de Supercopa cette fois-ci, le Baskonia veut néanmoins reprendre la compétition avec des ambitions élevées.\\n\\nAvec un effectif quasiment reconduit intégralement, autour de son leader Tornike Shengelia (2,07m, 26 ans) qui a resigné pour quatre ans, Vitoria veut poursuivre sa progression sous la houlette de Pedro Martinez.\\n\\n« On peut être encore meilleur que la saison passée », affirme ainsi Shengelia sur une radio espagnole. « On approche cette saison avec de bonnes sensations. Pas seulement dans les vestiaires mais dans la ville en général avec l’énergie du Final Four. C’est quelque chose de spécial et on doit utiliser ça comme une motivation supplémentaire. N’en retirer que l’énergie positive plutôt que de s’ajouter de la pression. »\\n\\nHôte du Final Four Euroleague, Vitoria voudra aussi briller sur la scène nationale. Et pour le coup, retenir Shengelia sur le long-terme est déjà une belle garantie de succès.\\n\\n« On sait ce qu’on doit faire pour être encore meilleur »\\n\\nCar l’international géorgien (qui n’a seulement que 26 ans et faisait partie du meilleur cinq Euroleague l’an passé) était convoité par le Real et d’autres clubs turcs notamment...\\n\\n« Ma relation avec Baskonia est excellente, et ce des deux côtés. Je me sens très bien dans ce club et ma famille est très heureuse ici. J’ai reçu aussi beaucoup d’affection de la part du club et des fans. Ça fait trois ans que je suis ici et c’est ce que j’ai dit à mes représentants comme aux dirigeants du club, je veux être un leader de cette équipe. Je voulais rester dans ce club pour que mon nom soit associé à son histoire. »\\n\\nPour écrire l’histoire, les coéquipiers de Shengelia devront cette fois passer le cap et abattre le Real Madrid... mais aussi Barcelone voire Valence qui seront également dans la course au titre.\\n\\n« Aller en finale est très difficile et perdre en finale l’est encore davantage. Il faut qu’on apprenne des erreurs qu’on a commises et qu’on continue à progresser », martèle Toko. « Mais ce que j’apprécie, c’est que notre équipe est quasiment restée la même. On a gardé la plupart de nos joueurs et tout le monde est donc sur la même longueur d’ondes. On sait ce qu’on doit faire pour être encore meilleur. Ce sont les équipes qui ont une bonne alchimie qui sont les plus dangereuses. »\\n\\nSeulement brisée par le Real sur l’ultime marche la saison dernière, la dynamique positive de Vitoria devrait effectivement se poursuivre sur ce nouvel exercice. Tornike Shengelia pourra compter sur les Huertas, Voigtmann, Vildoza et Poirier pour garder le rythme et finir encore plus haut et plus fort au printemps prochain."
}, 
{"role": "user",     "content":"Règle des 14 secondes: Un pas vers l’unification FIBA-NBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La NBA a décidé de trois nouvelles règles pour la saison 2018-19. Pourtant, la ligue la plus puissante du monde est en général très conservatrice pour ne pas trop perturber son « produit » qui se vend si bien. Le principal changement va dans le sens d’un rapprochement de tous les baskets. Une bonne nouvelle.\\n\\n« Désormais, après un rebond offensif, nous ne remettrons plus que 14 secondes sur l’horloge, contrairement aux 24 secondes que nous remettions jusqu’à présent », expliqué Adam Silver, le commissionnaire de la NBA dans un communiqué sur les nouvelles règles pour la saison à venir*. « Il s’agit d’une règle qui existe dans le basket FIBA depuis plusieurs années maintenant, cela a été mis en place en WNBA et on l’a testé en G-League et on estime que cela va améliorer l’attractivité du jeu et le spectacle. »\\n\\nCette règle est en vigueur dans le basket FIBA depuis 2014. A terme, si d’autres petits pas comme celui-là pouvaient être effectués pour arriver au final à un règlement le plus commun possible entre tous les baskets de très haut niveau, ce serait une bonne nouvelle pour les fans et la compréhension du sport. La fédération internationale travaille dans ce sens à travers son « Rule Advisory Group » qui compte notamment parmi ses membres un représentant de la NBA, pour optimiser l’échange de connaissances et d’expériences.\\n\\nEn plus de ce changement principal, la NBA propose encore deux nouveautés. Le règlement apporte des précisions et une clarification sur la faute personnelle de type « clear path foul », une violation commise sur un joueur au cours d’une phase de transition avec une opportunité de marquer très nette (pas de défenseur entre le jouer et le panier). Et elle va également étendre sa définition de « l’acte hostile » qui permet de déclencher un recours au ralenti vidéo pour les arbitres."
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications pour la coupe du monde 2019: Le président Andrei Kirilenko met la pression sur le CSKA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Russie (4v-4d), que la France a battu deux fois lors du premier tour, est en ballotage pour rejoindre la Chine en 2019. Et Kirilenko, président de la fédération russe, met la pression sur les clubs pour que ces derniers laissent les joueurs rejoindre la sélection.\\n\\nLa semaine dernière, une rumeur a circulé : le CSKA et Khimki auraient demandé à ECA, l’entreprise dirigeant l’Euroleague et l’EuroCup, de décaler les matches autour de la cinquième fenêtre de qualifications pour la coupe du monde de novembre 2018. Les clubs ont démenti depuis. Mais un journaliste du journal russe Izvestia a tout de même interrogé Andrei Kirilenko à ce sujet il y a quelques jours, information reprise notamment par le site Eurohoops.\\n\\nVoici les deux questions de notre confrère russe sur le sujet :\\n\\nIzvestia : la question principale que se posent les fans : est-ce que vous avez un accord avec le CSKA et Khimki qui permettrait aux joueurs de rejoindre la sélection pour les matches décisifs ?\\n\\nAndrei Kirilenko : nous n’avons pas trouvé d’accord pour ces matches mais nous sommes en discussion permanente. La saison dernière, nous avons laissé les clubs décider s’ils laissaient leurs joueurs rejoindre les sélections ou non. On a pris un paris. On a donné une chance à de jeunes joueurs de se montrer en vue de la coupe du monde. On a perdu quelques matches et aujourd’hui, nous sommes dans une situation où il n’y a plus de place pour l’erreur. La prochaine fenêtre sera décisive pour nous. Si l’équipe ne joue pas bien, ça va nous coûter non seulement la coupe du monde 2019 mais aussi les Jeux 2020. Si les clubs ne le voient pas et ne le comprennent pas, ce serait très étrange. Pourquoi avoir la VTB League et à quoi ça sert de développer le basket dans le pays si la sélection ne peut pas compter sur les meilleurs joueurs des clubs russes ?\\n\\nIzvestia : les clubs disent qu’ils ont eux aussi des objectifs, et qu’une défaite en Euroleague en raison de l’absence de leurs joueurs majeurs serait difficile à expliquer aux sponsors...\\n\\nAndrei Kirilenko : je comprends, et on va continuer à discuter dans les deux mois à venir. Mais je répète, si le CSKA et Khimki ne laissaient pas venir leurs joueurs, je ne le comprendrais pas. Les deux matches à venir sont les plus importants de l’histoire récente de notre basket."
}, 
{"role": "user",     "content":"L’impact mondial des fenêtres FIBA, une bonne réforme?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En Europe et notamment en France, le nouveau système de qualification pour la coupe du monde FIBA 2019 ne fait pas l’unanimité. Si tout le monde s’accorde sur l’importance des rendez-vous de la sélection sur le territoire, l’émergence de nouveaux joueurs, l’absence des meilleurs joueurs dans les équipes au cours des qualifications fait tiquer. Mais quel est l’impact sur la discipline au niveau mondial. Le cabinet de consulting Wasserman, référencé pour son expertise au niveau mondial, livre un bilan intéressant.\\n\\n« Qui aurait pu penser que ces fenêtres de qualifications auraient pu booster à ce point le basket ? » Ainsi commence le papier publié il y a quelques jours sur Linkedin* Ben Treadaway, vice-président de Wasserman Europe, Moyen-Orient et Afrique. A partir d’une large étude centrée sur les consommateurs menée par l’équipe de Wasserman international, les conclusions de l’expert par rapport au nouveau format proposé par la FIBA, qui pour le moins interroge notamment en Europe, sont très positives. « Nos recherches montrent que cette structure qui assure à chaque équipe de jouer des matches à enjeux à domicile, génère une meilleure exposition pour la discipline, remplit les salle et fait grandir la base de fans du sport. »\\n\\nL’analyse de Wasserman porte sur les trois premières fenêtres qualificatives. La première donnée, c’est l’échelle de ce nouveau format, précise l’analyse. 200 matches impliquant 80 équipes nationales dans 149 salles autour du monde. « Ce dispositif place de fait les qualifications dans une petite élite de compétitions offrant une portée global mondiale et simultanée. »\\n\\nWasserman insiste ensuite sur l’importance pour les nouvelles générations de grand public sportif de l’expérience en live. Et ce dispositif a permis de faire venir 939 000 fans dans les salles, ce qui constitue d’après lui un élément déterminant dans la construction à venir d’une audience plus large pour le sport.\\n\\nLes audiences ont également été impressionnantes. « Les matches de fenêtres ont été regardés en direct à la télé sur 150 marchés différents et plus d’un milliard de fans ont été touchés à travers les plates formes digitales. Les highlights des matches et la campagne #thisismyhouse ont généré plus de 7,2 milliards d’engagements sur les réseaux sociaux et plus de 202 millions de vidéos vues. » D’après l’analyse toujours, il semblerait que ces fenêtres intéressent les amateurs habituels du basket mais que ces campagnes ont également touché un public plus large que d’habitude, de nouveau supporters, ce que Wasserman appelle « une audience secondaire. » 24% de l’audience ne seraient ainsi pas des fans de basket mais auraient de l’intérêt pour leurs équipes nationales, tous sports confondus, notamment sur des rendez-vous réguliers. Ces fans seraient également plus jeunes, et d’un profil plus équilibré en termes de genre (plus de femmes).\\n\\nLa dynamique en vue de la coupe du monde, dont on parle du coup beaucoup plus que lors des cycles précédents, serait donc positive mondialement pour la discipline.\\n\\nPhoto: Equipe de Chine (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Lorient: A 44 ans, l’ancienne championne d’Europe Dominique Tonnerre exerce toujours en NF3"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ancienne championne d’Europe 2001, Dominique Tonnerre (1,92m), est toujours en piste à 44 ans. Elle entame sa deuxième saison avec le CEP Lorient en Nationale 3 après une interruption de compétition de dix ans. La première année a été consacrée à la réadaptation explique t-elle à Ouest France.\\n\\n« Je sens que mon rôle dans l’équipe s’est étoffé cette saison, et je fais tout pour transmettre mon savoir. »\\n\\nDe 1997 à 2005, Dominique Tonnerre a joué pour Rennes, Mondeville, Tarbes, Lattes-Montpellier, porté 83 fois le maillot bleu et accessoirement participé à l’émission Fort Boyard en 2002."
}, 
{"role": "user",     "content":"Bosnie: Mirza Teletovic prend sa retraite sportive et devient président de la fédération de Bosnie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Bosnien Mirza Teletovic (2,06m), qui vient d’avoir 33 ans, a annoncé qu’il prend sa retraite sportive à contre-coeur en raison d’une embolie pulmonaire et il a accepté dans la foulée de répondre favorablement à une proposition de devenir président de la fédération de son pays.\\n\\nMirza Teletovic a derrière lui 324 matches en NBA où il s’est fait remarquer par ses qualités de shooteur (8,1 points, 37,1% à trois-points). Il a porté les maillots de Brooklyn, Phoenix et Milwaukee mais aussi Tulsa, Ostende et Vitoria."
}, 
{"role": "user",     "content":"Joffrey Lauvergne en intégration express au Fenerbahçe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Joffrey Lauvergne (2,11m, 26 ans) est de retour en Europe cette saison. Le pivot international a décidé de renoncer à sa dernière année de contrat garanti avec les Spurs pour intégrer le grand Fenerbahçe.\\n\\nLauvergne voulait absolument retrouver un défi digne de ce nom après plusieurs saisons décevantes en terme de temps de jeu. Et avec le Fener qui veut récupérer sa couronne en Euroleague, l’intérieur tricolore va être servi !\\n\\n« Ce n’était pas une décision difficile à prendre, car je voulais jouer au Fenerbahçe », avance-t-il sur Eurohoops. « J’avais encore une année de contrat mais j’ai dit à mon manager que si j’avais une bonne offre du Fenerbahçe, je serai d’accord pour quitter la NBA. Comme on l’a reçu, j’ai accepté de signer. J’avais d’autres offres mais c’est celle du Fener que j’attendais. »\\n\\n« Je suis très heureux de travailler avec Obradovic »\\n\\nDe plus, Lauvergne va être coaché par Zeljko Obradovic à Istanbul. Après Gregg Popovich à San Antonio, le jeune Français continue donc de peaufiner sa connaissance du jeu auprès d’un des plus brillants entraîneurs de l’histoire.\\n\\n« Je suis très heureux de travailler avec lui. Une des raisons principales pour lesquelles je voulais jouer ici, c’est qu’Obradovic est le coach. On travaille ensemble depuis un mois et j’en suis déjà reconnaissant. J’ai déjà progressé et je me sens bien pour la saison. J’ai hâte de commencer. »\\n\\nAbsent de la sélection en septembre, Lauvergne voulait se concentrer sur la préparation de sa nouvelle équipe. Plus particulièrement, il veut accélérer son intégration par rapport à un groupe déjà formé de longue date autour des Sloukas, Vesely, Kalinic ou encore Datome et Melli.\\n\\n« C’était important pour moi d’être ici tôt dans la saison parce que beaucoup d’autres joueurs sont dans l’équipe depuis plusieurs années. Ils connaissent déjà tous les systèmes de jeu et savent exactement ce qu’ils doivent faire sur le parquet. J’ai énormément appris sur ce premier mois d’entraînement. J’ai encore besoin de plus de temps pour être vraiment au point. Je veux m’adapter le plus tôt possible pour être le plus performant quand la saison débutera. »\\n\\nImpatient de commencer à jouer sous ses nouvelles couleurs, et pour son nouveau public bouillant, Joffrey Lauvergne sera incontestablement une des stars d’Euroleague cette année. On a tout aussi hâte que lui d’assister à ses grands débuts..."
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde féminine: Pour les Belges, les Françaises sont moins fortes que l’Espagne !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Belgique est fière de ses Cats qui se sont qualifiées mardi en battant largement l’Espagne à domicile (72-63). Un énorme exploit qui n’est pas sans rappeler celui des Bleus à la Coupe du Monde 2014.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nSi Kim Mestdagh (1,78m, 28 ans) a été la top scoreuse de l’équipe (21 points), la production de l’intérieure flandrienne d’UMMC Ekaterinbourg Emma Meesseman (1,93m, 25 ans) a été encore une fois déterminante (19 points et 8 rebonds) d’autant qu’elle a inscrit le panier de la qualif au buzzer.\\n\\nUne séquence qui va entrer dans la légende du basket belge. Une seconde à jouer alors que Marta Xargay vient de donner l’avantage aux Espagnoles sur deux lancers-francs. Remise en jeu dans le camp espagnol pour le play de la dernière chance. Le coach Philip Mestdagh estime que les Espagnoles vont focaliser sur sa fille Kim. Les Belges tendent un piège. Antonia Delaere s’écarte pour ouvrir la raquette et Kim fait une feinte de course pour aller elle-même poser un écran et libérer ainsi Emma Meesseman qui se retrouve totalement libre pour marquer en layup. La meneuse Julie Allemand a confirmé le stratagème à La Dernière Heure.\\n\\n“J’ai très vite vu que cela allait marcher. J’ai fait une feinte de passe à gauche pour déporter Palau qui s’agitait devant moi avec ses longs bras, ensuite c’était simple, il n’y avait qu’à faire la passe à Emma qui était seule ! Quel bonheur !”\\n\\nD’émotion, Emma Meesseman en avait oublié après coup une partie du déroulé :\\n\\n« Sur le moment, nous étions vraiment très concentrées. Il fallait rester le plus focus possible malgré l’ambiance, malgré l’enjeu, sur l’exécution de la phase de jeu demandée par le coach. Il pensait que celle-là pouvait fonctionner. Je ne me souviens alors plus très bien de la suite, parce qu’il y a l’euphorie des supporters, des joueuses, du coach. C’est une telle explosion de joie. »\\n\\nEmma Meeseman est fondamentale dans dans le jeu belge. Elle possède la deuxième meilleure évaluation de la Coupe du monde après la phase de poule derrière l’Australienne Liz Cambage (24.3 contre 30.3 ) en étant la top rebondeuse avec 13.3 rebonds de moyenne par match. L’ancienne joueuse de Villeneuve d’Ascq avait choisi de tirer un trait cet été sur la WNBA dont elle fut all-star en 2015 afin de se consacrer pleinement à la préparation de l’équipe nationale ; elle est récompensée de son investissement.\\n\\n« Nous étions persuadées déjà avant le match que quelque chose était possible. On a bien étudié l’Espagne et déjà contre le Japon, nous avons joué avec une grosse énergie en revenant plusieurs fois dans le match. On a utilisé cette énergie aujourd’hui. C’est historique pour le basket féminin belge, quand on voit le nombre de supporters qui sont venus jusqu’ici, c’est incroyable !, a-t-elle commenté en zone mixte.\\n\\nJulie Allemand ne veut pas se faire chambrer à son retour à Lyon\\n\\nEn proie à de sévères douleurs aux genoux, Ann Wauters, bientôt 38 ans, a participé à la victoire neuf petites minutes.\\n\\n« Nous avions deux chances pour aller en quart de finale, une aujourd’hui (mardi) et une autre en barrage. On l’a prise aujourd’hui, c’est incroyable ! Je n’ai pas les mots ! (...) Quand j’ai vu Emma toute seule, c’était incroyable, surtout que je fais la faute juste avant (NDLR: celle qui permis à l’Espagne de passer en tête sur les deux lancers), je me dis: ‘oh non ce n’est pas vrai !’. Mais Emma a été exceptionnelle, elle profite d’un super écran de Kim Mestdagh et se retrouve toute seule. On va vraiment profiter maintenant de ce moment historique pour le basket belge ! »\\n\\nLa France est donc l’adversaire demain des Belgian Cats. Une rencontre qui va concerner tout spécialement la meneuse Julie Allemand qui porte en club le maillot de Lyon.\\n\\n“Je serai hyper-motivée. Pas question de perdre contre elles sinon ma vie va être un enfer à mon retour. Entre les Diables (NDLR : l’équipe de Belgique battue par la France à la Coupe du monde de foot) et nous, elles n’arrêteraient pas de me chambrer !”, a-t-elle déclaré à La Dernière Heure.\\n\\nLes Belges ne font plus aucun complexe. La preuve : ce commentaire relevé dans le quotidien francophone émanant du staff des Cats.\\n\\n“On les a vues à Valence et ensuite à la télé. La France est une bonne équipe, solide, physique mais on a ce qu’il faut pour répondre. Elles sont tout de même moins fortes que l’Espagne. Quand on a battu la Roja chez elle, on ne doit avoir peur de personne. Et puis, derrière, il y a la motivation suprême : jouer les USA en demi-finales, c’est le Graal absolu.\\n\\nPère de Kim et aussi de Hanne qui fait aussi partie des Cats -quelle belle histoire de famille-, le coach Philip Mestdagh était visiblement aux anges :\\n\\n“Je suis super heureux pour les filles. Qualifiées direct pour un quart de finale à côté de géants comme les USA, l’Australie et le Canada, tout cela lors d’une première participation, c’est du jamais vu ! On est sur la carte du monde maintenant !”\\n\\n[armelse]\\n\\nSi Kim Mestdagh (1,78m, 28 ans) a été la top scoreuse de l’équipe (21 points), la production de l’intérieure flandrienne d’UMMC Ekaterinbourg Emma Meesseman (1,93m, 25 ans) a été encore une fois déterminante (19 points et 8 rebonds) d’autant qu’elle a inscrit le panier de la qualif au buzzer.\\n\\nUne séquence qui va entrer dans la légende du basket belge. Une seconde à jouer alors que Marta Xargay vient de donner l’avantage aux Espagnoles sur deux lancers-francs. Remise en jeu dans le camp espagnol pour le play de la dernière chance. Le coach Philip Mestdagh estime que les Espagnoles vont focaliser sur sa fille Kim. Les Belges tendent un piège. Antonia Delaere s’écarte pour ouvrir la raquette et Kim fait une feinte de course pour aller elle-même poser un écran et libérer ainsi Emma Meesseman qui se retrouve totalement libre pour marquer en layup. La meneuse Julie Allemand a confirmé le stratagème à La Dernière Heure.\\n\\n“J’ai très vite vu que cela allait marcher. J’ai fait une feinte de passe à gauche pour déporter Palau qui s’agitait devant moi avec ses longs bras, ensuite c’était simple, il n’y avait qu’à faire la passe à Emma qui était seule ! Quel bonheur !”\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Ann Wauters, Kim Mestdagh et Emma Meesseman (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau: Yannick Bokolo, troisième joueur en activité à franchir le cap des 2 800 points en Jeep Elite"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le site ProBallers note que Yannick Bokolo (1,95m, 33 ans) a passé hier soir la barre des 2 800 points en Jeep Elite et il rejoint dans ce cercle restreint ses anciens équipiers du Mans, Amary Sy et Alain Koffi. Il s’agit de la 16e saison de Bokolo à ce niveau avec 5 au Mans, 6 à Gravelines et c’est sa 5e à Pau.\\n\\nEn 12 minutes face à Monaco, le Palois a ajouté 6 points à son total. Seulement l’Elan s’est incliné au Palais 68 à 70. C’est Paul Lacombe qui a mis le panier de la victoire, le meneur palois Jerel Blassingame loupant ensuite celui de l’égalisation.\\n\\n« Comme nous, ils étaient en plein réglage. C’est passé pour eux ce soir, » a déclaré Yannick Bokolo en conférence de presse, des propos captés par La République des Pyrénées. « On a forcément des regrets par rapport au match en lui-même avec beaucoup d’erreurs comme on a pu le voir à la fin de la première mi-temps. Il y a beaucoup de choses à travailler mais aussi à garder, des qualités. Je pense que les choses à rajouter ce n’est pas les plus dures. La concentration et un peu de logique dans ce qu’on fait. On a des moments de trous, de relâchements complets où on ne défend pas l’adversaire du tout. Il faut de la concentration et après les choses techniques viendront par-dessus. »\\n\\nPhoto: Elan Béarnais\\n\\n\\n\\n\\nUne légende de #JeepELITE a passé un cap ce soir : Yannick Bokolo a dépassé les 2800 points dans la ligue ! Il est le troisième marqueur en activité derrière @AmarouXX et Alain Koffi.https://t.co/oFJFFnHAkQ#SNB #Proballers @EBPLO pic.twitter.com/HWS5XTjmaX\\n\\n\\n— Proballers (@Proballers_FR) September 27, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Liga ACB : Thomas Heurtel en double double dès la 1e journée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison de basket espagnol est officiellement lancée ! Le Barça a disposé de Gran Canaria (98-78) pour l’ouverture des hostilités en Liga ACB hier soir. Et Thomas Heurtel n’a pas tardé à trouver ses marques.\\n\\nLe meneur tricolore a effectivement signé un double double dans la victoire catalane : 13 points, 11 passes et 6 rebonds. A 5/8 aux tirs et 2 balles perdues seulement, Heurtel a livré une copie très propre alors que c’est Ante Tomic (21 points) qui a fini meilleur scoreur.\\n\\nPar contre, Kevin Séraphin et Kim Tillie devront encore patienter un peu pour leurs débuts cette saison...\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=3qbRMI5h29U"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le teasing de «Couronnement en Principauté», le film qui retrace la saison des champions de France du Mans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Mans Sarthe Basket annonce la sortie pour le 3 octobre d’un film intitulé « Couronnement en Principauté » qui raconte du recrutement estival, au sacre du 24 juin en Principauté de Monaco, en passant par le All Star Game et la Leaders Cup, une saison exceptionnelle.\\n\\nLa réalisation est de Momentum Productions. Le film sortira le mercredi 3 octobre en avant-première dans un cinéma de la ville avant d’être diffusé sur les réseaux sociaux."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les réactions des Bleues après la qualification en quart-de-finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La « Minute Inside » d’aujourd’hui est consacrée aux réactions de Olivia Epoupa et Sandrine Gruda après la qualification pour les quarts de finale obtenue face à la Turquie.\\n\\nPhoto: Sandrine Gruda (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde féminine: Le programme des quarts de finale à la TV"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le groupe Canal+ a communiqué le programme de demain des quarts-de-finale de la Coupe du monde. On remarque toutefois une incertitude pour le match des Bleues.\\n\\n12h30 – Etats-Unis/Nigéria – Canal + Décalé\\n\\n15h00 – Australie/Chine – Canal+ Décalé\\n\\n18h30 – France/Belgique – Canal+ Décalé ou Canal+ sport (selon Ryder Cup)\\n\\n21h00 – Espagne/Canada – Canal+ Sport\\n\\nPhoto: Endy Miyem (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg: Youssoupha Fall absent un mois en raison d’une entorse au genou"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Hier soir, la SIG Strasbourg a été emportée par l’ESSM dans le Chaudron du Portel, 79-82. Par moment dominateur, le pivot franco-sénégalais Youssoupha Fall (2,21m, 23 ans) n’a pu jouer que 22 minutes pour 11 points et 8 rebonds. Après avoir chuté, il est demeuré au sol quelques instants et il ne s’est relevé en grimaçant qu’avec l’aide de coéquipiers.\\n\\n« Youssoupha a peut-être une petite entorse au genou, je ne sais pas trop et je ne connaîs pas la gravité pour le moment. Il a eu le pied bloqué sur une action et le genou a un peu tourné. On espère que ce n’est pas trop méchant, » avait indiqué le coach Vincent Collet en conférence de presse.\\n\\nCet après-midi, le club a confirmé le premier diagnostic:\\n\\n« Il présente une entorse du ligament collatéral médial, sans atteinte du ligament croisé antérieur, diagnostic confirmé par une IRM. En conséquence, l’indisponibilité de Youssoupha sera d’environ un mois. »\\n\\nAnthony Hilliard (14 points et 7 passes) ainsi que Jean-Victor Traore en double double (12 points et 11 rebonds) se sont mis particulièrement en évidence côté portelois alors que l’Américain de la SIG Mardy Collins avait pris le chemin d’un triple double (12 points, 9 rebonds et 7 passes).\\n\\n« Le Portel a fait un très gros match avec des joueurs qui ont totalement inversé la tendance par rapport à samedi, à l’image de Traoré, de Hilliard et d’autres qui ont été très bons ce soir dans leur rôle respectif », a commenté Vincent Collet. « Le Portel a joué tout le match comme il fallait, a défendu fort et nous, nous avons commis pas mal d’erreurs. On a été insuffisant sur leurs actions de drive and kick. On a eu beau le répéter, on a été en retard tout le match et manqué de vigilance. On en a payé le prix, même si on a longtemps été en mesure de pouvoir gagner. Ca se joue sur peu mais ça nous pendait au nez sachant qu’on n’a pas été capable, à aucun moment, de faire la différence. »\\n\\nhttps://www.instagram.com/p/BoPOCMFhkZ9/?utm_source=ig_twitter_share&igshid=14umygptro136"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : tout un pays derrière Podgorica"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sacré champion de la ligue Adriatique la saison passée, le Buducnost Podgorica a enfin atteint le Graal du basket européen : l’Euroleague.\\n\\nPour Suad Sehovic (1,97m, 31 ans), le capitaine du navire monténégrin, c’est un aboutissement extraordinaire, mais aussi le début d’une grande aventure. Et pas question de se rater !\\n\\n« Collectivement, on a grandi saison après saison et on a raté l’Euroleague de peu à plusieurs reprises. Finalement, on a remporté la ligue Adriatique la saison passée et on a gagné notre place en Euroleague », savoure Sehovic sur le site officiel de la ligue. « La saison passée a été la meilleure du club sur ces quinze dernières saisons. C’est un succès pour chacun des joueurs, pour le club, pour les fans et pour le pays ! On est extrêmement fier de jouer cette compétition, et on a super hâte de commencer ! »\\n\\nAvec dix joueurs monténégrins, dont son frangin Sead, Sehovic compte bien saisir à pleines pognes cette opportunité d’affronter les meilleurs du Vieux Continent.\\n\\nMalgré son statut de Petit Poucet, Podgorica veut regarder les grands d’Europe les yeux dans les yeux. Un défi de taille, forcément !\\n\\n« A 31 ans, j’ai enfin la chance de faire mes débuts dans la meilleure compétition européenne. C’est un grand honneur. Surtout en étant le capitaine d’une équipe de mon pays, le Monténégro. C’est le résultat de nombreuses années de travail. Tout le monde attend avec impatience de voir défiler les quinze clubs de la ligue à la Moraca Arena. C’est énorme pour la ville et pour le basket en général au Monténégro. On s’attend à ce que ce soit difficile, entre les voyages et le rythme des matchs. On espère rester en bonne santé et on va donner notre meilleur, c’est certain ! »\\n\\nAvec Edwin Jackson, Aaron Craft et Earl Clark, plus le pivot slovène Alen Omic recruté tout récemment, Podgorica présente un effectif clairement armé pour faire des coups. Surtout, il ne fera pas bon défier tout un pays uni derrière son équipe à la Moraca...\\n\\nCrédits photo : EuroCup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les Belges Emma Meesseman, Julie Vanloo et les soeurs Mestdagh dans un vestiaire"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tout a commencé en 2010 lorsque la Belgique a pris la quatrième place du championnat du Monde U17. La saison suivante, les Belges devenaient championnes d’Europe U18 en battant la France en finale. Depuis elles ont obtenu la médaille de bronze à l’Eurobasket 2017.\\n\\nJulie Vanloo, Emma Meesseman et les soeurs Kim & Hanne Mestdagh se retrouvent dans un vestiaire pour évoquer leur épopée. La conversation est en flamand mais c’est traduit en anglais et en français !\\n\\nDemain, les Belges affronteront la France en quart-de-finale de la Coupe du monde. Le vainqueur fera partie pour la première fois du carré d’as d’un Mondial.\\n\\nPhoto: Kim Mestdagh (FIBA)\\n\\nhttps://www.facebook.com/itsthelockerroom/videos/721542104861263/?hc_ref=ARTjwm4lvop_mczom-J5xBDKZ9vY8qhxvgBAjxMKI6bMoUeWkxSL6R88B83GulYtAmQ&__xts__[0]=68.ARBkIwR2O9dkFmO4IsONZ5SvYOMaO2nW6q4HoP8ubdXRN06_LjCq_PO9U910V_Tg8ywRph3nWxpsfwRpeIAL7niuMIY6AoG_3tdSKYWRnIKB516JfFSV4A2ug55RvJbbuVyI9ISY-kU2tKgKpyUWjn6EP0sw6SnkQnDGNaRcg1d_kQOT0Dg5MKY&__tn__=kCH-R"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Le pivot brésilien Lucas Nogueira veut retrouver le sourire avec Fuenlabrada"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A Toronto ces quatre dernières saisons, Lucas Nogueira (2,13m, 26 ans) a plus souvent squatté le banc de touche que les parquets NBA. Le pivot brésilien a donc décidé cet été de revenir en Espagne, du côté de Fuenlabrada pour retrouver du temps de jeu... et également le sourire !\\n\\nSelon Marca, Nogueira a effectivement connu la dépression dans la métropole canadienne. Avec un temps de jeu en dents de scie et une perspective bouchée dans la Grande Ligue, la liane brésilienne veut avant tout se remettre la tête à l’endroit en revenant en Liga Endesa.\\n\\n« Je suis content d’être ici après quatre saisons difficiles en NBA. Je viens pour ainsi dire en mission spirituelle parce que ces deux dernières saisons, j’ai perdu mon identité. Et j’ai aussi lutté contre la dépression. Je veux laisser tout ça derrière moi et être à nouveau heureux. Fuenlabrada est un club qui respecte ses joueurs. Je veux leur montrer mon appréciation sur le terrain et aider l’équipe à briller. »\\n\\nPassé par l’ACB à ses débuts, à l’Estudiantes Madrid de 2009 à 2014, Lucas Nogueira sera évidemment une des attractions majeures du championnat s’il parvient à bien récupérer. Actuellement sur le flanc avec un souci au genou, Nogueira devrait être en tenue pour la 2e journée de Liga."
}, 
{"role": "user",     "content":"Basket Europe Tour : Etape numéro quatre, Bologne !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Milan, allons plus au sud, en Emilie Romagne. Terre très dangereuse pour tout gourmand qui se respecte. Cœur culinaire de l’Italie c’est aussi une terre de basket ! Avec deux équipes en Lega A et de nombreuses équipes en Lega Due. L’Emilie Romagne a pour capitale Bologne, ville surnommée « Basket city ». Je m’y rends pour vous la faire découvrir.\\n\\nMon train en provenance de Milan aura été rapide et animé par le passage dans des gares évocatrices, Parme, Modène ou encore Reggio Emilia. Tant de villes regorgeant d’histoires fascinantes ! Au bout d’une poignée d’heures me voilà à Bologne. Après m’être muni d’un plan, je me rends à l’auberge de jeunesse pour déposer mes affaires. Je me rends ensuite dans le centre-ville pour le découvrir.\\n\\nSiège de l’une des plus anciennes université européennes, Bologne est une ville avec une vie culturelle intense et un patrimoine historique impressionnant. En se baladant dans la ville, on croise l’époque étrusque, romaine, moyenâgeuse et la Renaissance. Comme Marseille plus tard, Bologne aura été capitale européenne de la culture en l’an 2000. C’est donc des magnifiques portiques qui nous accueille dans la ville; elle compte environ 38 kilomètres de portico. Mais aussi de nombreuses tours. Sur la centaine qu’elle dénombrait durant l’ère médiévale, la ville en conserve une vingtaine aujourd’hui. Et c’est avec un peu de vertige que je les découvre au fur et à mesure de mon avancée dans la ville « rouge ». Bologna la rossa a obtenu ce qualificatif grâce à la couleur de ses tuiles mais aussi grâce au statut de place forte de la gauche italienne.\\n\\nLa rivalité Virtus-Fortitudo\\n\\nUne fois arrivé sur la Piazza Maggiore, place centrale de la ville, je me sens animé d’une furieuse envie de vivre, vivre au rythme de cette ville étudiante (80 000 étudiants, un habitant sur cinq de la ville). Et c’est ainsi qu’avec une certaine voracité, j’avale les pavés de la ville pour découvrir ses monuments. Fontaine de Neptune, Tour des Asinelli, basilique San Petronio et San Stefano. Pour autant je n’en oublie pas le basket.\\n\\nJe questionne chaque habitant que je connais sur la rivalité Virtus-Fortitudo et j’essaie de m’arrêter à chaque boutique de sport pour découvrir ce qu’elles proposent comme articles de basket. Bologne c’est la ville de deux géants du basket italien. La Virtus Bologna et la Fortitudo Bologna. Ces deux noms étant communs dans le basket italien (voir Fortitudo Agrigento ou Virtus Imola). Ces deux termes latins en disent long sur les valeurs des clubs. Virtus signifiant vertu, c’est-à-dire la force morale tandis que Fortitudo signifie courage, bravoure ou vaillance. On y trouve plusieurs références dans la ville sous forme de graffitis ou de stickers. On m’a d’ailleurs fortement conseillé de ne pas évoquer l’un ou l’autre club dans certains établissements. Ambiance.\\n\\nDe retour à l’auberge, je me mets en quête des terrains de basket que la ville abrite. Ils sont très nombreux et ont une fréquentation variable. A Basket City, comme ailleurs il faut connaître les playgrounds les plus en vue pour maximiser ses chances de rencontrer des joueurs. Mon choix se porte donc sur celui du Parc Giardino Graziella Fava qui est un des plus fréquenté à cette période de l’année. Demain j’irai donc y faire un tour. Pour le moment je dois reposer mon genou douloureux et pourquoi pas déguster le fameux ragu alla bolognese, oubliez donc les spaghettis à la bolognaise !\\n\\nLe lendemain c’est à neuf heures que je me lève pour aller découvrir le reste de la ville. J’emboite les pas de Dante, Pétrarque et Umberto Eco pour aller me balader du côté de l’université, des Piazze et des Palazzi. Mais surtout visiter la torre Asinelli, un des symboles de la ville. Quinze minutes d’ascension pour autant de bonheur. Du haut de la tour on voit toute la ville, les autres tours et certains disent même que les jours de beau temps, on peut apercevoir la mer. Le temps de redescendre, de me restaurer et de me changer et à moi le terrain du Parc Giardino Graziella Fava.\\n\\nEntrée au Paladozza\\n\\nA peine arrivé, il y a déjà pas mal de monde sur le terrain, la grande diversité culturelle attire mon attention. Philippins, Africains et bien sur Italiens ! On parle toutes les langues et on se charrie beaucoup ! Mais après 30 minutes de jeu, il commence à pleuvoir. Après s’être réfugier sous un arbre je fais la connaissance de quatre solides gaillards, joviaux et bavards. Nous discutons longuement sur l’environnement de Basket City et avec l’un d’eux, Giulio, nous échangeons nos numéros de téléphone. « Tu aurais dû venir il y a 15 ou 20 ans, à l’époque doré de Basket city. Mais ne t’inquiète pas, encore aujourd’hui tu trouveras des fans un peu partout ! » Une fois la pluie arrêtée nous reprenons le jeu. L’après-midi se termine avec une série de trois victoires de suite pour mon équipe. Heureux et fatigué, je me dirige vers mon auberge de jeunesse, demain une grosse journée se prépare. Fortitudo Bologne et Virtus Bologne au programme.\\n\\nJe me lève tôt ce matin pour me remettre en tête la localisation du Paladozza, des boutiques des deux clubs et leurs sièges. Et c’est muni de mon sac à dos, bien rempli que j’avale les kilomètres à pied, sur ma route j’ai la chance de pouvoir admirer des églises magnifiques nichées entre les habitations mais aussi la Porta San Felice restauré en 1805 pour la visite de l’empereur Napoléon Ier en Romagne. J’arrive en fin de matinée à la boutique de la Fortitudo Bologne. Malheureusement je ne suis pas au bout de mes peines, après être resté sans réponse pour la visite des locaux du club et l’interview de leur effectif, j’essuie également un refus de lorsque je demande à filmer la boutique, pourtant très belle. J’aurai un peu plus de succès ensuite avec celle de la Virtus. Puis en me faufilant entre les travailleurs du chantier, je réussis à rentrer au Paladozza, cathédrale du basketball bolognais. Siège de nombreux affrontements épiques entre les deux équipes, il sera encore cette année un socle de la scène basket italienne. Et même si la salle est en travaux et que tout n’est pas en place, il me vient un sentiment profond : « Il est des lieux où souffle l’esprit ». Ces mots de Maurice Barrès résonnent dans ma tête pendant le quart d’heure que j’ai passé assis dans la Curva Calori.\\n\\n370 abonnements en une journée\\n\\nAu moment de quitter l’arène, je reçois des nouvelles de Giulio, il me précise que depuis 2017 la Virtus Bologna a rejoint la Fortitudo dans cette salle, surnommée « Il Madison », en référence au Madison Square Garden de New York. Les deux équipes jouant dans la même arène, la mairie de Bologne a choisi de décorer le parquet au couleur de la ville, en Bordeaux/ Grenat (dédicace à mes collègues messins). Puis il me propose de jouer le soir même un match avec des amis à lui sur un terrain éclairé. Enjoué, j’accepte immédiatement et je me dirige vers le nord de la ville.\\nEn effet, avant de pouvoir enchainer les pertes de balles et les « air ball » je dois me rendre au siège de la Virtus Bologne. Invité par Marco, mon contact au club, c’est le cœur léger que je rends à la Palestra Porelli.\\n\\nJe suis accueilli sur site par un magnifique terrain de basketball tout neuf. Puis je suis rejoint par Marco tout sourire qui me fait visiter les locaux du club où se pressent nombre de tifosi. Le club commence la campagne de renouvellement d’abonnement en fanfare avec environ 370 abonnements pour la première journée (ils atteindront 3 613 pour la phase de préemption). Adorable, rieur et disponible Marco est une bible vivante du basket bolognais et de la Virtus. Il me présente le club : « La Virtus Bologne, un des clubs les plus anciens de la ville. Elle fut créée en 1922. Au départ c’était un club d’escrime et de gymnastique. Et c’est en 1929 que le club créa une section basketball et participa pour la première fois au championnat d’Italie en 1934. Bien avant, le Paladozza ou l’Unipol Arena, la Virtus jouait à la Sala Borsa à côté de la place Neptune, tu sais la fontaine où il y a la statue de Poséidon ? Et bien c’est là ! Maintenant c’est la bibliothèque de la ville. C’est fabuleux non ? A l’époque le sol n’était pas adapté au basketball. C’était du carrelage. Tu peux aller faire un tour à la bibliothèque tu verras ! »\\n\\nForte, franco, fermo e fiero\\n\\nAmusé et captivé par la présentation de Marco je le suis à travers de la salle des trophées, puis nous passons une porte et j’entends des crissements de chaussures sur le parquet et des bruits de la balle, l’équipe professionnelle ? Non, malheureusement elle revient de Sardaigne et n’est pas disponible. Le coach ? Non plus, il a dû décliner pour des raisons personnelles. Marco ouvre la porte et je découvre la salle d’entraînement du club où une équipe U15 s’entraîne avec une grande intensité. Quel héritage à porter pour ces jeunes pouces, tous les titres du club et ses valeurs sont affichés en grand dans la salle. Celles-ci reprennent le premier logo du club. « Le premier logo du club affichait quatre F, ceux-ci reprenaient les valeurs suivantes forte, franco, fermo e fiero ».\\n\\nLa visite se termine avec la rencontre de Luca, le manager de l’équipe et je décide de soumettre à la question les deux compères. Vous pourrez bientôt retrouver leur interview en vidéo. J’ai passé un très bon moment à visiter ce club légendaire. Et c’est avec des étoiles plein les yeux que je quitte la Palestra pour me rendre chez Giulio et aller jouer au sud de la ville. Les retrouvailles avec Giulio sont joyeuses et affectueuses, sicilien d’origine, comme moi, ce garçon a une mémoire basket incroyable et notre trajet est ponctué de souvenirs de matchs. Mon esprit ne cesse de vagabonder dans les méandres du basket italien de première et deuxième division. Le temps d’arriver au terrain où nous retrouvons 8 autres joueurs. Tous plus âgés que moi, d’un certain âge pour certains, j’ai tout de suite su que le peu de QI basket que j’avais serait soumis à rude épreuve. Ici on défend en zone, je n’avais pas l’habitude et du coup j’ai pris quelques tirs sur la truffe. C’est une des parties les plus sympas que j’ai eu à jouer, on se charrie, on fait tourner la balle et au cours de la partie certains noms mythiques sortent : Jugoplastica, Fortitudo ou encore Panathinaikos. Malgré mes quelques balles perdues, j’ai passé un très bon moment. Une fois le match terminé nous avons longuement discuté du basket français et européen. C’était très instructif et passionnant. Une fois étiré et mes affaires regroupées mon ami italien me ramène à l’auberge, demain je pars pour Ljubljana, à la découverte du basketball slovène.\\n\\nRendez-vous au prochain épisode !\\n\\nPhoto en ouverture: David Cournooh lors du derby."
}, 
{"role": "user",     "content":"Frédéric Dusart (Villeneuve d’Ascq): «On ne peut pas être aussi cash avec les filles qu’avec les garçons»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Villeneuve d’Ascq vient de connaître une sorte d’âge d’or avec en trois ans une victoire en Eurocup, une place en finale et un titre de champion de France. Mais la roue tourne et le club du nord qui est sorti du top 4 des masses salariales des clubs de la Ligue Féminine n’a plus un effectif aussi riche et il lui faudra batailler pour maintenir son rang élevé dans la hiérarchie. Entretien avec son coach, Frédéric Dusart, qui nous parle notamment des rapports coach/joueuses.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVous avez voulu recruter une star et finalement aucune n’a accepté votre offre. Cela veut-il dire que les tarifs sont en hausse en Ligue Féminine ?\\n\\nTout à fait. On a eu six ou sept refus de joueuses, ce qui n’était jamais arrivé, à des tarifs qui étaient quasiment les mêmes même si nous, on est légèrement en baisse. C’était soit pour un projet financier supérieur soit... pour un projet sportif et financier. Ces joueuses que l’on a contacté ont signé en France dans des clubs où elles vont gagner plus (sourire).\\n\\nCe qui est très spectaculaire, c’est le recrutement de Lattes-Montpellier avec notamment Helena Ciak et Endy Miyem que l’on ne pensait pas revoir en France aussi rapidement. Ça vous a surpris ?\\n\\nÇa ne nous a pas surpris dans la mesure où c’était dans les tuyaux dès janvier, février. On avait contacté une des joueuses qui est actuellement en équipe de France et qui a refusé notre offre et qui a signé là-bas. On savait donc que Montpellier allait construire une grosse armada. Avec l’arrivée de Edwige Lawson (NDLR : Directrice Sportive), le fait qu’ils ont fait une saison un peu chaotique en finissant septièmes, ils étaient un peu dans l’obligation de mettre les moyens pour rebondir. Le plus étonnant c’est que leur recrutement a été très précoce alors qu’elles n’étaient pas sures d’être européennes. Avoir des noms pareils pour jouer un match par semaine... Sur l’aspect financier, je ne juge pas, c’est juste l’aspect sportif dans la mesure où la joueuse dont je parlais s’est engagée avec Montpellier quand on était européen alors que le club n’était pas sur de l’être. On voyait bien qu’au-delà de l’aspect sportif, il y avait un aspect financier sur lequel on ne pouvait pas rivaliser.\\n\\nVous êtes sorti du top 4 des masses salariales. Bourges, Lattes-Montpellier, l’ASVEL et...\\n\\nCharleville. Je connais à peu près les salaires des joueuses dans chaque club et leur masse salariale. On était deuxième il y a deux ans quand on était champion de France, troisième l’année dernière, et cette année on est relégué au cinquième rang. Même à 10% près, il n’y a pas photo donc je ne me trompe pas. Après le titre de champion de France, la nôtre a évolué négativement l’année suivante et elle est approximativement la même que l’année dernière.\\n\\nLes recrues Christelle Diallo ou Magali Mendy, c’est plus dans vos tarifs ?\\n\\nOui. On a l’obligation d’avoir six Françaises et même sept car je garde toujours la possibilité d’avoir une étrangère sous le coude au cas où une Française se blesse. Comme toutes les internationales sont à Bourges, Montpellier, Charleville et Lyon, on s’est rabattu sur des joueuses forcément un peu moins référencées voire quelques paris.\\n\\nMagali Mendy va découvrir la Ligue Féminine à 28 ans, c’est rare une telle trajectoire. Est-ce justement un pari ?\\n\\nElle n’a jamais joué en Ligue Féminine mais elle est paradoxalement quart-de-finaliste de l’Eurocup. C’est un semi pari car je l’ai joué, il y a trois ans, quand elle était avec Chartres en Ligue 2 et elle m’avait déjà impressionné. Elle a mis 15 points contre Galatasaray au match retour, une équipe que l’on a joué l’année dernière, ce qu’elle a réussi dans cette compétition de manière régulière, fait que c’est un pari très peu risqué. Elle a un potentiel.\\n\\nComment l’avez-vous scouté ?\\n\\nEn regardant des matches de quarts-de-finale d’Eurocup, de la Coupe d’Espagne. Voir ce qu’elle faisait contre une équipe comme Salamanque qui jouait en Euroleague, ça m’a forcément interpellé.\\n\\nLes images de matchs circulent bien au niveau des coachs ?\\n\\nLe championnat espagnol est diffusé sur YouTube et il existe une plate-forme FIBA où sont à disposition tous les matches européens, garçons et filles. En plus c’est rétroactif jusqu’à quatre ou cinq ans en arrière. J’ai donc pu aussi voir ce qu’elle avait fait en Allemagne l’année d’avant.\\n\\n« Il y a beaucoup de professionnalisme chez les filles et de respect du contrat jusqu’au bout »\\n\\nD’une façon générale, on recrute très tôt dans le basket féminin, à la fin de l’hiver. C’est un problème pour gérer les joueuses en fin de saison régulière et en playoffs ?\\n\\nNon. L’année du titre, avant les playoffs, on savait que l’on ne garderait que quatre joueuses. Il y a beaucoup de professionnalisme chez les filles et de respect du contrat jusqu’au bout. Pour être honnête, ce phénomène m’avait étonné mais je n’ai jamais eu à recadrer une joueuse qui partait pour une baisse d’investissement en fin de saison. Par exemple, on savait très tôt que Marielle Amant allait partir à Montpellier et ses deux meilleurs matches de fin de saison, c’est face à son nouveau club (NDLR : Lattes-Montpellier). Elle a même privé son nouveau club d’une coupe d’Europe. On aurait pu imaginer qu’elle lève le pied, eh non.\\n\\nPourquoi ce recrutement d’aussi bonne heure alors que chez les garçons, l’essentiel se fait en fin de saison ?\\n\\nLes étrangères, ça attend un petit peu mais il nous faut six Françaises au minimum et le marché démarre très tôt. On a eu les premiers contacts avec une Française au mois de janvier. On est obligé de démarrer avec les Françaises pour savoir combien il nous reste d’argent pour les étrangères.\\n\\nShante Evans est une Américaine avec un passeport slovène, ça veut dire que vous pourriez prendre une joueuse étrangère supplémentaire ?\\n\\nOui. On a Mame Marie Sy-Diop qui est une Sénégalaise avec un passeport français et donc Shante Evans. Ainsi on n’a qu’une seule Américaine, Angie Bjorklund.\\n\\nA propos de Mame Marie Sy-Diop, vous devez suivre ses performances à la Coupe du monde avec le Sénégal avec ravissement ?\\n\\nOui. Elle ne devait pas y aller en raison d’une blessure aux ischio-jambiers en avril, ce qui lui a causé trois mois d’inactivité. On avait de gros doutes sur l’état de forme avec lequel elle allait revenir à Villeneuve d’Ascq. Elle n’a pas été sélectionnée en équipe du Sénégal dans un premier temps. Elle est revenue avec nous et comme ça s’est bien passé -elle était de nouveau à un niveau physique très intéressant-, elle a été convoquée à la dernière minute ! Elle est partie dix jours avant la Coupe du monde rejoindre l’équipe du Sénégal à Antibes. Elle était sensée revenir à son niveau mi-octobre e on n’avait pas prévu l’intégrer tout de suite dans le collectif. Elle avait un programme spécifique à faire avec un préparateur physique. Elle a bien bossé cet été, elle a été très pro et elle a repris tout de suite avec nous comme si elle n’avait jamais rien eu.\\n\\n« On avait neuf internationales il y a deux ans, quatre ou cinq l’année dernière et maintenant, il n’y en a plus qu’une, Mame Marie Sy-Diop »\\n\\nEst-ce une injustice pour vous que Virginie Brémont n’ait jamais eu sa chance en équipe de France alors que Johanne Gomis s’est contentée d’un Mondial il y a huit ans ?\\n\\nJe ne peux pas dire que c’est une injustice. Les choix de Valérie Garnier sont légitimes et surtout efficaces. On pourrait aussi parler de Amel Bouderra, qui ne fait pas partie de mon club mais qui a été deux fois MVP du championnat de France. Il y a des choix de coach qui sont faits par rapport à un style de jeu. C’est clair que Virginie est une très bonne joueuse, qui depuis 8-9 ans joue le top 5. Il y a peut-être aussi le renouvellement des générations en équipe de France qui explique que Johanne n’a pas été conservée. Aujourd’hui elle a 33 ans. Virginie, c’est différent. Il y avait Céline Dumerc, Edwige Lawson un peu avant, il y avait une grosse concurrence. On avait neuf internationales il y a deux ans, quatre ou cinq l’année dernière et maintenant, il n’y en a plus qu’une, Mame Marie Sy-Diop.\\n\\nC’est lié là-aussi à la masse salariale ?\\n\\nOui. Encore une fois, ça n’a pas trop bougé chez nous même si on a perdu quelques sponsors mais ça a monté en flèche pour Montpellier, Lyon et Charleville.\\n\\nVous avez gagné l’Eurocup en 2015, vous avez été finaliste en 2016 et champion de France. Ca sera dur de renouveler pareille performance à court terme ?\\n\\nA court terme, oui. Dans ce que je lis, dans ce que j’entends, notamment auprès des coaches qui étaient présents au tournoi de Mondeville, ceux de Mondeville, de Landerneau et de Saint-Amand, pour eux on ne sera pas dans le top 4. Pour eux dans le top 4, c’est Charleville, Bourges, Lyon et Montpellier. C’est l’une des rares fois depuis cinq ans où on ne nous voit pas dans le top 4. Je ne vais pas m’amuser à sortir que l’on va être champion de France cette année ! (sourire). Mais on a construit une équipe pour essayer de rivaliser avec ces équipes du top 4, pour rester dedans.\\n\\nAutant la Jeep Elite est réputée pour ses incertitudes avec quasiment chaque année une équipe qui foire, autant la Ligue Féminine paraît justifier la hiérarchie financière et il n’y a pas beaucoup de surprises ?\\n\\nSauf Tarbes l’an dernier qui en playoffs a eu le mérite de nous sortir ainsi que Charleville, même si on avait des blessées. Mais c’est clair que sur une saison régulière, sur 22 matches, il y a très peu de surprises. Il y a eu Bourges, il y a deux ou trois ans, qui a failli rater le top 4 à un match près. En playoffs, il peut y en avoir en raison des blessées éventuelles de certains gros clubs. C’est moins surprenant qu’en Jeep Elite où on ne sait pas qui va gagner et où c’est même compliqué de définir quatre favoris. Nous, il y en a quatre et on va essayer de se mêler de ça.\\n\\nLe niveau de la Ligue a-t-il augmenté en raison du nombre de plus en plus élevé de joueuses françaises avec des médailles en jeune ?\\n\\nLe niveau augmente chaque année mais cette saison, je dirais que c’est surtout par rapport au fait que des joueuses françaises reviennent comme (Helena) Ciak et (Endy) Miyem mais aussi des étrangères. Une joueuse comme Alisha Clark qui arrive à Montpellier, c’est quelqu’un que personne ne pouvait se payer avant à part peut-être Bourges. Clarissa Dos Santos, c’est pareil. Elle arrive à Bourges, elle se retrouve à Charleville avec un très gros salaire et là elle se retrouve à Lyon. Sami Whitcomb qui signe à Montpellier, Kaleena Mosqueda-Lewis et Haley Peters qui était à Lyon et qui est maintenant à Charleville. On retrouve pas mal d’étrangères de WNBA que l’on n’avait plus depuis quelques années car on ne pouvait plus se les payer sauf Bourges. C’est l’augmentation des budgets.\\n\\nIl n’y a pas beaucoup de femmes dans le coaching en ligue féminine et vous avez Luba Drljaca comme assistante. Une femme, elle-même ancienne internationale, apporte-t-elle un plus dans ses rapports avec les joueuses ?\\n\\nJe pense. On ne peut pas parler de la même façon aux femmes qu’aux hommes. J’ai pris une assistante femme pour ça. Les filles, c’est très subtil à comprendre. On ne peut pas entrer dans un vestiaire et dire les mêmes choses vulgairement comme on peut le faire avec les garçons pour les faire réagir. Ça peut à l’inverse être destructeur. Le repérage des petits soucis et le mode de communication, c’est important. Je demande toujours à mon assistante avant ou après un speech ou après une discussion individuelle avec une joueuse comment elle l’a ressenti, si je n’ai pas été trop dur ou pas assez. Entre la manière où l’on parle, nous hommes, et la manière où une femme peut le ressentir, il peut y avoir des quiproquos qui peuvent être embêtants dans la relation coach-joueuse. Le fait d’avoir une assistante me permet de détecter des problèmes sous-jacents avant qu’ils explosent et de réguler aussi ma communication avec mes joueuses... Même si parfois les vieux démons reviennent et que je lâche deux ou trois mots un peu rudes comme dans un vestiaire masculin ! (rires). On ne peut pas être aussi cash avec les filles qu’avec les garçons, il faut être plus subtil et Luba est très importante dans ce domaine-là.\\n\\n[armelse]\\n\\nVous avez voulu recruter une star et finalement aucune n’a accepté votre offre. Cela veut-il dire que les tarifs sont en hausse en Ligue Féminine ?\\n\\nTout à fait. On a eu six ou sept refus de joueuses, ce qui n’était jamais arrivé, à des tarifs qui étaient quasiment les mêmes même si nous, on est légèrement en baisse. C’était soit pour un projet financier supérieur soit... pour un projet sportif et financier. Ces joueuses que l’on a contacté ont signé en France dans des clubs où elles vont gagner plus (sourire).\\n\\nCe qui est très spectaculaire, c’est le recrutement de Lattes-Montpellier avec notamment Helena Ciak et Endy Miyem que l’on ne pensait pas revoir en France aussi rapidement. Ça vous a surpris ?\\n\\nÇa ne nous a pas surpris dans la mesure où c’était dans les tuyaux dès janvier, février. On avait contacté une des joueuses qui est actuellement en équipe de France et qui a refusé notre offre et qui a signé là-bas. On savait donc que Montpellier allait construire une grosse armada. Avec l’arrivée de Edwige Lawson (NDLR : Directrice Sportive), le fait qu’ils ont fait une saison un peu chaotique en finissant septièmes, ils étaient un peu dans l’obligation de mettre les moyens pour rebondir. Le plus étonnant c’est que leur recrutement a été très précoce alors qu’elles n’étaient pas sures d’être européennes. Avoir des noms pareils pour jouer un match par semaine... Sur l’aspect financier, je ne juge pas, c’est juste l’aspect sportif dans la mesure où la joueuse dont je parlais s’est engagée avec Montpellier quand on était européen alors qu’elles n’étaient pas sures de l’être. On voyait bien qu’au-delà de l’aspect sportif, il y avait un aspect financier sur lequel on ne pouvait pas rivaliser.\\n\\nVous êtes sorti du top 4 des masses salariales. Bourges, Lattes-Montpellier, l’ASVEL et...\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Johanna Gomis, Virginie Brémont, Frédéric Dussart avec Luba Drljaca (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde féminine: Vainqueur de la Turquie, 78-61, la France affrontera la Belgique vendredi en quart"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Face à une équipe turque sur le déclin et sous perfusion de son Américaine naturalisée Quanitra Hollingsworth (1,97m, 19 points, 8 rebonds), la France a obtenu sa qualification pour les quarts-de-finale. Elle doit une fière chandelle à son intérieure Sandrine Gruda (20 points à 9/10 aux shoots et 7 rebonds), à sa meneuse Olivia Epoupa (2 points mais 8 passes et 5 rebonds) et à sa capitaine Endy Miyem (18 points, 5 rebonds). Les Bleues ont toutefois laissé entrevoir parfois des manques de concentration voire un mental friable. Céline Dumerc n’est plus là pour dynamiser les énergies. Les Françaises affronteront la Belgique vendredi pour les quarts-de-finale.\\n\\nValérie Garnier avait donné à ses joueuses comme mission de perturber la meneuse Isil Alben. Réussie. Comme contre la Grèce et le Canada, les Françaises prenaient toute de suite les choses en main avec une défense agressive qui faisait que les Turques demeuraient 3’30 sans marquer et avec une Sandrine Gruda qui réalisait un parfait 5/5 pour inscrire les 10 premiers points français. 15-4 au bout de sept minutes. La puissance athlétique des Bleues faisait mal. L’intérieure américaine naturalisée depuis 2012, Quanitra Hollingsworth, seule à pouvoir rivaliser dans ce domaine avait jusque là l’exclusivité des points turcs: 10. Ses équipières en étant à 0/10 en 10′.\\n\\nAvec une bonne entrée de Romane Berniès (5 points, 3 passes et 2 rebonds en première mi-temps), la France augmentait considérablement son avance à 29-10 (24e). Il fallait attendre près de 15 minutes pour qu’une Turque autre que Quanitra Hollingsworth -Tilbe Senyürek en l’occurence- marque un point ! Mais cela redonnait confiance aux Turques qui inscrivaient trois paniers à trois-points quasi consécutivement. De quoi revenir à 10 points. La France est malheureusement habituée à ces moments de relâchement. Valérie Garnier remettait ses titulaires sur le terrain pour ne pas gâcher en quelques minutes le travail effectué. 38-27 à la mi-temps. Sur les 29 à l’évaluation de l’équipe turque, Quanitra Hollingsworth, équipière de Sandrine Gruda à Yakin Dogu Istanbul, en totalisait 16 à elle seule avec 12 points, 6 rebonds et 2 contres somptueux.\\n\\n\\n\\n\\n. 🗨️ @R0MY4 \\La bataille va être longue\\#FIBAWWC #FRATUR 🇫🇷🇹🇷🏀 pic.twitter.com/cOt8Il4ltH\\n\\n\\n— CANAL+ Basket (@CanalplusBasket) September 26, 2018\\n\\nLe coach turc expulsé\\n\\nAu micro de Canal+ Sport, Romane Berniès avait bien conscience que le job n’était pas fait. Mais dans les actes, les Françaises prenaient 5 points en trente secondes ! Hollingworth était toujours intenable et Tilbe Senyürek (12 points) avait retrouvé ses sensations aux shoots. La marge des Françaises devenait de plus en plus étroite: 38-34 puis 45-42. Heureusement que l’efficacité de Sandrine Gruda ne se démentait pas; c’est elle qui redonnait de l’allant à la France surtout que Quanitra Hollingsworth prenait sa quatrième faute. 56-42 (28e) sur un 11-0. Ouf! De l’air.\\n\\nPourtant à chaque fois que les Françaises paraissaient s’échapper, les Turques qui avaient retrouvé leur adresse longue distance colmataient les brèches. Alors qu’elle donnait des signes de faiblesse, la Turquie se tirait finalement plusieurs balles dans le pied. Le coach Ekrem Memnun prenait deux techniques de suite et regagnait les vestiaires. Et sur l’action suivante, c’est son assistant qui en récoltait une. Entre-temps, Endy Miyem avait infligé un panier primé à leur équipe. Quelques secondes plus tard, c’est Tilbe Senyürek qui écopait d’une anti-sportive. Terminé. Le score reprenait une ampleur mesuré en début de deuxième quart-temps.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Sandrine Gruda, FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Pas de Solo Diabaté à Nancy"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un communiqué, le SLUC Nancy annonce que le combo guard Souleymane « Solo » Diabaté (1,83m, 31 ans) ne va pas rejoindre le club comme envisagé.\\n\\n« Le club est au regret d’annoncer que la relation contractuelle, qui était envisagée avec le joueur Souleyman Diabaté est interrompue. Le joueur n’a pas satisfait aux conditions de passage d’un examen médical approfondi, qui aurait dû conclure à l’absence de contre-indication médicale – du joueur – à la pratique du basket professionnel. Il est rappelé que cette « absence de contre-indication médicale du joueur à la pratique du basket professionnel» est l‘une des conditions nécessaire pour l’entrée en vigueur du contrat et son homologation et qualification auprès des services de la LNB (voir règlements généraux LNB) »"
}, 
{"role": "user",     "content":"RMC Sport : Le coup de main au basket de la Ligue des Champions de foot"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Boostée par la Ligue des Champions de foot sur RMC Sport 2, la Jeep Elite attend encore de savoir sur quelle chaîne elle sera diffusée cette saison en clair.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n« L’ensemble des clubs a eu le courage de voter ces réformes afin de créer cette élite, la renforcer, afin qu’elle puisse atteindre les objectifs que lui a fixé son public mais aussi les gens qui s’intéressent au basket qui nous ont dit un certain nombre de choses qui étaient difficiles à entendre mais que nous avons entendu collectivement. On veut constater qu’à la fin de la saison on est la ligue professionnelle qui est en sport de salle la meilleure de France. »\\n\\nAlain Béral, président de la Ligue Nationale de Basket, a prononcé cette profession de foi lors du media day du mercredi de la semaine dernière, à propos du plan stratégique de développement de l’institution. Celui-ci passe forcément par une exposition télévisuelle accrue. Vieux serpent de mer. Depuis le début des années quatre-vingt-dix, le basket professionnel français a été diffusé par treize chaînes différentes en incluant celles en clair. A décourager les plus mordus car cela a nécessité de changer de formules d’abonnement quand ce n’était pas de satellite.\\n\\nLa Jeep Elite a-t-elle enfourché avec SFR Sport 2 devenu cet été RMC Sport 2 le bon cheval pour une longue et fructueuse randonnée ? C’est possible. L’offre est très abondante avec plus d’une centaine de matches par saison si l’on prend en compte en plus de la Jeep Elite, l’Euroleague, l’Eurocup, le basket féminin, la Coupe de France, les matches de préparation de l’équipe de France, etc. Seules les compétitions officielles des équipes nationales et la Champions League sont chez la concurrence, le groupe Canal+, alors que la NBA, qui préoccupe généralement un public différent, est à voir sur BeIN SPORTS. Autour de David Cozette, qui est devenu M. Basket français suite à ses passages sur différentes chaînes, l’équipe de journalistes et de consultants de la chaîne est d’un excellent niveau. Quelle est loin la télévision de papa lorsque les commentaires étaient plus involontairement comiques qu’informatifs ! Le groupe SFR propose d’autres services comme par exemple la diffusion des matches -en direct et en replay- sur le digital, via une application, ce qui permet d’emmener son iPad avec soi partout où il y a une connexion Internet.\\n\\nN’en déplaise aux esprits chagrins, il n’y a jamais eu une telle abondance télévisuelle si ce n’est qu’il faut payer et aussi être extrêmement attentif à l’actualité lorsque Yahoo Sports diffuse le tournoi d’Angers ou que Corsaire TV retransmet celui du BCM Gravelines. Sûr que pas mal de diffusions passent à travers les mailles du filet.\\n\\nAltice/SFR ne communique pas ses audiences mais il est certain que jusqu’à présent les matches sur RMC Sport 2 se sont adressés à un cercle d’initiés. Cela pourrait rapidement changer. En devenant détenteur des droits de la Ligue des Champions de foot, le groupe s’est mis au centre du jeu. Il a réalisé un record de 200 000 abonnements en vingt-quatre heures, ce qui a entraîné un bug géant pour la diffusion des matches de la première journée.\\n\\n« C’est vrai qu’on a été dépassés par le succès. Ce n’est pas une excuse. On est désolés de ce qu’il s’est passé », a déclaré Alain Weill, le directeur général d’Altice Europe, propriétaire de SFR, Next TV Radio et RMC Sport notamment, invité de l’Instant M sur France Inter. « Je veux quand même rappeler que 80 % des abonnés ont vécu une expérience tout à fait agréable hier. Mais il y a plusieurs milliers d’abonnés frustrés parce qu’ils n’ont pas pu voir leur match. Nous sommes désolés, toutes les équipes de RMC Sport le sont et on a présenté nos excuses hier à nos abonnés. »\\n\\nSi l’incident est devenu une sorte d’affaire d’Etat -c’est du foot !-, et a fait les gorges chaudes des réseaux sociaux, il sera vite oublié. L’essentiel, c’est que la Ligue des Champions fait une pub extraordinaire pour la chaîne et par ricochet pour le basket qui demeure le produit d’appel de RMC Sport 2, d’autant qu’un accord a été trouvé avec le groupe Canal+ qui peut désormais la proposer à son parc de 2 millions d’abonnés. Le bouquet RMC Sport finira très probablement par être distribué de surcroît sur les services TV des autres principaux opérateurs.\\n\\nFrançois Pesenti, Directeur Général de RMC Sport, est formel : le basket va bénéficier du moteur que constitue la ligue des champions à travers une synergie mise en place par la chaîne :\\n\\n« Le projet monte en puissance de manière vertigineuse. On l’a vu hier avec la Ligue des Champions, ce n’est pas toujours un projet facile. Un championnat que nous allons continuer à tracer et dans lequel le basket va prendre plus d’importance encore. Dans la programmation de nos chaînes qui se rapproche de celle de la radio RMC, il y a la mise en place de nouveaux shows émanant de la radio et d’autres qui sont des créations originales. La partie basket de nos chaînes va s’élargir cette saison encore. »\\n\\nRMC Sport maintient sa cadence de trois matches de Jeep Elite par semaine (samedi, dimanche et lundi), ce qui comble déjà largement les plus gourmands, tout en diffusant l’émission spécialisée « Buzzer », mais le basket sera également présent dans « Breaking Sport » et sur « RMC Sport Show »*. L’ancien international Stephen Brun, connu pour sa gouaille et ses connaissances sur le sujet, sera le pendant de Rolland Courbis pour le foot et de Denis Charvet pour le rugby.\\n\\n« Je remarque que le basket est à côté du rugby et du foot. Sûrement que la ligue des champions y est pour quelque chose et nous sommes très heureux d’être associé à ça. On ne se prend pas pour le foot mais on est très heureux que Stephen (Brun) soit à table avec les spécialistes des autres sports. On se sent très valorisé par ce que fait RMC. Sûrement grâce à la Ligue des Champions mais pas que, » se félicite Alain Béral.\\n\\nA la recherche de la bonne chaîne en clair\\n\\nDeux autres points du dossier sont fondamentaux. Les diffusions en clair et sur les réseaux sociaux.\\n\\n« Si je regarde un match de basket, je veux le match complet ou au moins la deuxième mi-temps. Mes enfants ce n’est pas du tout ça. Même celui qui a 25 ans ne va pas regarder un match de foot complet, » nous analyse Alain Béral. « On ne peut pas écarter ni l’un ni l’autre. C’est-à-dire qu’il faut continuer à avoir le spectacle global avec un diffuseur qui puisse proposer deux ou trois matches par semaine et continuer de la diffusion en clair. C’est important. Vous avez noté que l’on arrive à se mettre à la table du foot et du rugby. Ca fait longtemps que ce n’est pas arrivé. On a négocié avec les diffuseurs pour qu’ils nous libèrent beaucoup plus d’images pour que l’on puisse nourrir les clubs et les sites des clubs de façon à ce qu’ils s’accaparent ces images et les diffusent immédiatement pour leur public, en actions spectaculaires ou pas. Ce n’est pas le même public. Ce sont les images de RMC ou les nôtres sur KMotion. Toutes les images de direct sont à RMC même celles qu’ils ne diffusent pas car c’est le principe d’exclusivité. Ils ont accepté que l’on puisse récupérer un certain nombre d’images de Jeep Elite et Pro B pour pouvoir les mettre à disposition des clubs. C’est une avancée majeure car ça va permettre de répondre à une demande, que les gens se connectent sur site et puissent regarder un shoot du milieu du terrain, un dunk. »\\n\\nPour en venir au clair, les diffusions sur le service public appartiennent à l’histoire. Même pour les équipes nationales, celui-ci a abandonné la partie puisque les demi-finales et finales éventuelles des équipes de France sont désormais l’exclusivité du groupe M6 et de sa chaîne W9. Depuis que SFR a acquis les droits de la Pro A/Jeep Elite, deux chaînes de la TNT ont ouvert leurs antennes à quelques occasions : L’Equipe TV (saison 2015-16) et Numéro 23 (saison 2016-17). Sur la chaîne de L’Equipe, qui à l’époque proposait également des matches d’Eurocup, la Jeep Elite fut diffusée sans fil rouge, à des horaires incertains, et les audiences n’ont jamais décollé, soit aux alentours de 100 000 téléspectateurs. Ce fut pire encore sur Numéro 23, chaîne généraliste confidentielle : 47 000 téléspectateurs pour un Strasbourg-Villeurbanne, 75 000 pour un Pau-Chalon, soit 0,4% de part de marché. Quantité d’afficionados -on ne parle donc pas du grand public sportif- n’étaient pas au courant de ses programmations au débotté.\\n\\nLa saison dernière, la LNB et SFR ont innové en proposant en accès gratuit tous les quarts de finale de la Jeep Elite via plusieurs plateformes : les Facebook Live de SFR Sport et RMC Sport, la chaîne Youtube SFR Sport, les sites mcsport.fr et sport.sfr.fr et le site Yahoo sport. Pour quelle audience ? François Pesenti ne rentre pas dans le détail et donne un chiffre global qu’il est difficile d’apprécier :\\n\\n« L’année dernière nous avons touché plus d’un million d’internautes sur les différentes plateformes sur lesquelles nous avons diffusé des matches importants puisqu’il s’agissait notamment du début des phases finales. »\\n\\nEt cette saison, sachant que le groupe doit contractuellement retransmettre un minimum de douze matches en clair? Le sujet en est toujours au stade de la réflexion :\\n\\n« Nous allons réfléchir avec la ligue et avec le groupe dans les semaines qui viennent au dispositif qui sera mis en place cette année encore puisque c’est l’un des engagements du groupe de favoriser et de garantir de l’exposition en clair au-delà de notre bouquet qui lui-même va prendre évidemment beaucoup d’essor cette année. La signature avec Canal Sat ouvre nos chaînes à près de deux millions de foyers. Le déploiement de nos chaînes dans tous les foyers va se poursuivre. La partie payante sera beaucoup plus exposée que par le passé, ce qui ne nous empêchera pas de tenir nos engagements sur le clair, ce qui est convenu avec la ligue. »\\n\\nTout le monde est gagnant dans cette stratégie à condition d’imaginer une promotion large et effectuée bien en amont. Tous les fans de sport qui peuvent ainsi voir de la balle orange sans bourse déliée. Les clubs qui sont exposés davantage. Et le diffuseur pour qui ces retransmissions en clair représentent le meilleur des teasings afin de convaincre que ce qu’il propose à longueur de semaine, c’est quand même super bon.\\n\\n*- Trois rencontres en direct et en exclusivité de chaque journée de Jeep® ÉLITE seront diffusées chaque semaine le samedi et dimanche à 18h30 ainsi que le lundi à 20h45 commentées par les journalistes de la chaîne avec en consultants Stephen Brun et Frédéric Weis.\\n– Trois Show où le basket sera présent tout au long de la semaine :\\n\\n * « Breaking Sport », du lundi au vendredi de 18h40 à 20h40 sur RMC Sport 1, nouvelle émission en accès prime-time avec une rubrique « Breaking Basket » qui traitera au quotidien de l’actualité basket\\n * « Buzzer » sur RMC Sport 2 revient chaque lundi à 20h45, débutant avec la rencontre télévisée et se poursuivant pendant une heure.\\n * « RMC Show Sport » sur RCM Sport News et à la radio RMC, chaque samedi et dimanche à partir de 19h00 avec un suivi en direct des rencontres\\n\\nPhotos: Mickaël Gelabale (FIBA), François Pesenti, Alain Béral et Guillaume Defoulounoux, Directeur Ventes et Marketing de Jeep® France.\\n\\n[armelse]\\n\\n« L’ensemble des clubs ont eu le courage de voter ces réformes afin de créer cette élite, la renforcer, afin qu’elle puisse atteindre les objectifs que lui a fixé son public mais aussi les gens qui s’intéressent au basket qui nous ont dit un certain nombre de choses qui étaient difficiles à entendre mais que nous avons entendu collectivement. On veut constater qu’à la fin de la saison on est la ligue professionnelle qui est en sport de salle la meilleure de France. »\\n\\nAlain Béral, président de la Ligue Nationale de Basket, a prononcé cette profession de foi lors du media day du mercredi de la semaine dernière, à propos du plan stratégique de développement de l’institution. Celui-ci passe forcément par une exposition télévisuelle accrue. Vieux serpent de mer. Depuis le début des années quatre-vingt-dix, le basket professionnel français a été diffusé par treize chaînes différentes en incluant celles en clair. A décourager les plus mordus car cela a nécessité de changer de formules d’abonnement quand ce n’était pas de satellite.\\n\\nLa Jeep Elite a-t-elle enfourché avec SFR Sport 2 devenu cet été RMC Sport 2 le bon cheval pour une longue et fructueuse randonnée ? C’est possible. L’offre est très abondante avec plus d’une centaine de matches par saison si l’on prend en compte en plus de la Jeep Elite, l’Euroleague, l’Eurocup, le basket féminin, les matches de préparation de l’équipe de France, etc. Seuls les compétitions officielles des équipes nationales et la Champions League sont chez la concurrence, le groupe Canal+, alors que la NBA, qui préoccupe généralement un public différent, est à voir sur BeIN SPORTS. Autour de David Cozette, qui est devenu M. Basket français suite à ses passages sur différentes chaînes, l’équipe de journalistes et de consultants de la chaîne est d’un excellent niveau. Quelle est loin la télévision de papa lorsque les commentaires étaient plus involontairement comiques qu’informatifs !\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Belgique: Charleroi sous le choc après les incidents lors de la venue de l’Hapoel Tel-Aviv"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Des chaises qui volent, de spectateurs prêts à en découvre, des scènes de panique. Les incidents qui sont survenus avant-hier au Spiroudôme lors de la venue de l’Hapoel Tel-Aviv pour le compte de la Champions League ont provoqué un choc à Charleroi.\\n\\n“On est en train de répertorier les dégâts », a commenté Eric Schonbrodt, le directeur général du Spiroudôme à la Dernière Heure. « On déplore des dégâts en tribunes, sur les Led et plusieurs tags ont été constatés. (...) Nous avions convié plusieurs écoles et des institutions, comme nous le faisons régulièrement, et j’ai vu des parents et des enfants en pleurs. C’était très dur à vivre d’autant plus que pour certains, c’était la première fois qu’ils venaient voir un match de basket.”\\n\\nCa ne doit pas être facile aujourd’hui de les convaincre que ça n’arrive -quasiment- jamais au basket. Le club belge cherche à se dédouaner.\\n\\n« Nous avons eu des réunions avec les forces de l’ordre belges et israéliennes et tout avait été mis en œuvre pour passer un bon moment. Personnellement, je ne vois pas ce qu’on pourrait nous reprocher et nous n’avons pas encore de nouvelles de la FIBA. »\\n\\nPour RTL, des supporters du club de... foot du Standard de Liège font partie des fauteurs de trouble. Réponse de Eric Schonbrodt:\\n\\n« (...) Mais je répète encore une fois que c’est parti des supporters de l’Hapoel Tel Aviv. Je ne suis pas la police. D’ailleurs, je remercie surtout les forces de l’ordre, les stewards qui ont joué un rôle extraordinaire hier, dans des circonstances compliquées, et le staff. (...) Et quand j’entends la réaction du club des supporters du Standard, je suis content de l’entendre, je pense que chaque sport doit rester dans son giron. Et chez nous aujourd’hui, je ne sais pas vous dire combien il y avait exactement de supporters. Et est-ce que c’étaient des supporters ? En effet, il y a des autocollants, mais j’aurais pu également mettre des autocollants. C’est parti du noyau dur de l’Hapoel Tel Aviv ce problème, d’une centaine de fauteurs de trouble, point à la ligne. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"ASVEL: Pour les Green Gones, l’abandon du Vert ne passe pas et ils le font savoir"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"LDLC ASVEL a fait de la chair à pâté des Sharks d’Antibes (91-60) en offrant de plus 19 minutes à Théo Maledon (17 ans), 17 à Charles Galliou (22 ans), 11 à Khadim Sow (19 ans) et Sofiane Briki (19 ans). Seulement l’évènement était tout autant dans les tribunes de l’Astroballe. Les Green Gones, l’actif club de supporters a fait savoir publiquement avant l’entre-deux qu’il était... vert de rage suite à l’abandon de cette couleur historique par le club comme le rapporte notamment le site Obuzzer.\\n\\nDes banderoles ont indiqué « Valeurs, couleurs, supporters, tous bafoués »...\\n\\n\\n\\n\\n«Valeurs, couleurs, supporters, tous bafoués». Message des @GreenGones avant le coup d’envoi de @LDLCASVEL vs @SharksAntibes pic.twitter.com/4cKNfMCSow\\n\\n\\n— OBUZZER (@O_buzzer) September 25, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo: 14 étoiles sur le maillot du Tango Bourges Basket"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que la Coupe du monde fait l’actualité, les équipes de Ligue Féminine se préparent parallèlement à la prochaine saison et dévoilent leurs nouvelles tenues. Le maillot du Tango Bourges basket offre la particularité de représenter par une étoile chacun des titres nationaux du club. Et il y en a 14!\\n\\nPour rappel, les années: 1995, 1996, 1997, 1988, 1999, 2000, 2006, 2008, 2009, 2011, 2012, 2013, 2015 et 2018. Le club a gagné également 3 Euroleague (1997, 1998 et 2001), une Ronchetti (1995) et une Eurocup (20016)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du Monde féminine: Ecarter la Turquie pour se qualifier en quart-de-finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La route est maintenant tracée. Les Françaises vont affronter aujourd’hui la Turquie, à 18h30, en match de barrage. Une défaite et c’est le retour immédiat à la maison. Une victoire et c’est l’ouverture des portes des quarts-de-finale où les attendent les Belges. Le match est programmé vendredi. Ensuite, en cas de succès, ce sont les Américaines qui seront leurs adversaires en demis.\\n\\nLa Turquie? Les Bleues l’a affrontée huit fois depuis 2010 avec cinq victoires dont la dernière aux Jeux de Rio (+16). Les Turques se sont classées cinquièmes de l’Euro 2017. Ca c’est pour l’histoire. Le présent est moins probant. Qu’elles aient lourdement chuté face à l’Australie (64-90) est une chose mais qu’elles se soient plantées face au Nigéria (68-74) en est une autre; avec la Lettonie par le Sénégal, la Turquie est ainsi devenue la première équipe européenne a connaître la défaite par un représentant africain. Au bout du compte, les équipières de la meneuse blonde Isil Alben, ainsi facilement reconnaissable, ont décroché une seule victoire en poule face à l’Argentine, ce qui n’est pas spécialement glorieux (63-37).\\n\\nLa Turquie est-elle en mal d’individualités? En tous les cas, on aurait tendance à écrire que pas une tête ne dépasse. Les meilleures évaluations sont jusqu’ici l’oeuvre de Tilbe Senyürek (1,86m, 23 ans), qui a assuré 9,0 points et 6,7 rebonds et de la naturalisée Quanitra Hollingsworth (1,97m, 29 ans, 9,7 points et 5,7 rebonds).\\n\\nAvec 65 points en moyenne, la Turquie est la 12e équipe de ce Mondial sur le plan offensif pêchant notamment aux lancers (58,7%).\\n\\nComme elle est désormais coach en Turquie, Valérie Garnier connaît spécialement ses adversaires du jour d’autant que quatre joueuses appartiennent au Fenerbahçe.\\n\\nPhoto: Tilbe Senyürek (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les Bleues à quelques heures de France-Turquie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« La Minute Inside » est consacrée aux préparatifs de France-Turquie, véritable huitième de finale de la Coupe du Monde."
}, 
{"role": "user",     "content":"99 points encaissés face à Gravelines, Limoges en mal de défense"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« Il n’y a pas besoin d’être un expert du basket pour comprendre que notre défense était très limite. Si on ne s’améliore pas, l’année va être très longue... »\\n\\nCe commentaire agacé est celui de Kyle Milling, le coach du Limoges CSP, dans les colonnes du Populaire. Déjà à Antibes, les Limougeauds avaient ramassé 85 points dont 28 (!) dans le premier quart-temps face à une équipe antiboise faiblarde. Ils s’étaient malgré tout imposé en scorant 92 points. Cette fois, ils en ont pris 99 pour en rendre 95 et c’était à Beaublanc face à Gravelines. Le meneur dominicain Edgar Sosa en a mis 31 à lui seul avec un joli 10/18 aux tirs -il est pour l’instant numéro 1 de la Jeep Elite avec 25 points de moyenne en deux matches- sans oublier de servir ses équipiers (6 passes).\\n\\nUn temps débordé, le CSP est revenu dans les baskets des Nordistes grâce notamment à un William Howard de feu (27 points, 4/7 à trois-points, 8 rebonds pour 35 d’évaluation), mais n’a pu opérer la jonction.Les Gravelinois ont réalisé un magnifique 12/23 à trois-points. Pour réaliser une telle performance, il faut être deux... On ne voyage pas loin si on ne dispose pas d’une défense consistante et c’est bien ce qu’a résumé William Howard au Popu:\\n\\n« On ne va pas gagner beaucoup de matches en encaissant 99 points à l’extérieur ou à domicile. On va clairement devoir se réveiller, défendre et jouer au basket. »On observera de près le nombre de points concédé samedi par le CSP dans le Chaudron du Portel."
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde féminine: Non, les Espagnoles n’ont pas laissé les Belges gagner"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il fallait que l’Espagne s’impose à la Belgique ou s’incline de 7 points maximum pour qu’elle file directement en quart-de-finale sans passer par la case « barrages ». Seulement dans ce cas de figure, le tableau prévoyait un croisement en demi-finale avec les Etats-Unis. Les Espagnoles ont perdu de... 9 points. Alors, il est tentant de croire que les championnes d’Europe en titre qui sont a la casa à Ténérife ont laissé filer la victoire pour se retrouver en barrages face au Sénégal, puis en quart face au vainqueur de Canada-France (en l’occurence le Canada) mais avec la perspective ensuite grâce à ce stratagème d’affronter l’Australie en demi et pas l’ogre américain. D’où la question: les Espagnoles ont-elle donné un coup de couteau à la morale sportive?\\n\\nIl n’y a aucune raison valable de le croire.\\n\\n« Quelqu’un qui n’a pas vu le match pourrait penser que l’ Espagne a perdu pour éviter les inaccessibles Américaines. Rien de tout cela: la sélection a toujours pris du retard sur le tableau de marque, mais a combattu avec la même intensité et même davantage pour réduire un handicap qui était monté à 17 points (61-44) avant la fin du troisième quatrième quart-temps, » écrit le quotidien Marca.\\n\\nDe fait, lorsque Marta Xargay a bénéficié de deux lancers-francs à une seconde de la fin, elle ne les a pas mis intentionnellement à coté de la cible. Elle a transformé les deux. L’Espagne était alors revenue à 70-63 et ainsi été inscrite directement en quart. Mais...\\n\\nLe coach belge Philip Mestdagh a alors demandé un temps-mort et les Belges ont pu lancer une dernière attaque bien pensée dans le camp espagnol. Suite à une série d’écrans, l’ancienne Villeneuvoise Emma Meesseman a réussi à se démarquer complètement pour recevoir une passe parfaite de la Lyonnaise Julie Allemand qui faisait la remise en touche. Personne pour stopper son layup... Au désespoir de l’équipe espagnole et du pavillon Santiago Martin.\\n\\n« C’était le juste prix pour le meilleur match des Belges, qui contrairement à ce qui s’est passé en demi-finale de l’Eurobasket 2017, ont réussi cette fois à surmonter la pression défensive des extérieures espagnoles pour transmettre des balles à leurs pivots », décrit Marca. « Les intérieures belges ont fait beaucoup de dégâts, notamment Meesseman , qui a terminé avec 19 points et 8 rebonds. Kim Mestdagh (NDLR: ex-Charleville), l’une des deux filles du sélectionneur belge qui fait partie de l’équipe, a apporté le reste des points (21, avec trois triples). En l’absence d’un jeu de qualité, l’ Espagne a eu recours à la hargne et à la foi pour vaincre. Mais cette fois-ci, cela n’a pas suffi et ce mercredi, il y aura un travail supplémentaire pour atteindre le podium de cette Coupe du monde. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde féminine : Sarah Michel, spécialiste du vol à la tire"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un chiffre frappe d’emblée dans les colonnes de statistiques de Sarah Michel en carrière : 2,0 interceptions en moyenne sur les six dernières saisons. Personne n’a fait mieux en ligue féminine. La Berruyère fait de la steal un art majeur. En l’observant sur le terrain, on aperçoit une joueuse tout en longueur, un peu filoute, et on peut croire qu’elle dispose de bras tentaculaires qui facilitent les larcins.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n« Mon envergure n’est pas si grande que ça. Elle est égale à ma taille », corrige-t-elle. « C’est plus un sens de l’anticipation et une prise de risques à certains moments. Et peut-être une hyper activité avec les bras. »\\n\\nSon physique a toujours été un sujet de questionnement car Sarah, 1,80m, n’est pas charpentée comme nombre de ses congénères. A Arras déjà le préparateur physique la faisait bosser individuellement lorsqu’il y avait un creux dans son emploi du temps.\\n\\n« Je fais de la musculation mais je ne prends pas trop de muscle et de poids. Je pense que je n’ai pas une morphologie à prendre. C’est plus de la musculation pour l’entretien et aussi de la prévention pour ne pas se blesser trop souvent », commente-t-elle aujourd’hui.\\n\\nSon aspect frêle est trompeur. Armée de son protège dents, Sarah Michel est sur le terrain une fonceuse. Une dure au mal. Quand, on lui demande si elle souffre d’un manque de masse musculaire , elle répond :\\n\\n« Pas forcément. On va dire que je joue sur d’autres qualités. Je résiste pas mal aux chocs (sourire). C’est sûr que l’on prend des coups mais, non, ça va, ça ne me handicape pas. Je ne suis pas plus blessée que d’autres. Maintenant je me connais et je fais attention notamment sur les périodes de reprise. Après quand on retombe sur un pied et que l’on se fait une entorse, ce n’est pas trop contrôlable, » dit-elle en évoquant une entorse de la cheville qui la saison dernière a perturbé ses performances.\\n\\nCe qui saute tout autant aux yeux de l’observateur, outre son engagement, c’est son feeling, sa lecture du jeu, ce que l’on appelle le QI Basket. Elle est toujours placée là où il faut, quand il faut. Elle fait sur le parquet quantité de petites -ou de grandes- choses qui à l’assemblage la rendent hyper utile, pour ne pas dire nécessaire. Elle est habile de la main gauche comme de la droite.\\n\\n« C’est un dynamiseur », complimente la coach des Bleues, Valérie Garnier. « C’est quelqu’un qui ne lâche jamais rien. C’est quelqu’un qui peut montrer la voie dans la détermination. C’est très intéressant quand elle rentre en rotation de Marine (Johannès) car elle fait des choses différentes. »\\n\\nSarah a su aussi travailler ses points faibles comme le shoot longue distance. De 25% de réussite dans les tirs à trois-points à Nantes, il y a sept ans, elle est montée à 41% avec Bourges la saison dernière. Pas question de lui laisser le champ libre sous peine d’être sévèrement puni.\\n\\nEn équipe de France à 26 ans\\n\\nSarah est la fille de Gabriel Michel, un ancien intérieur de 2,02m du Racing Paris, de Charenton et de l’US Métro, qui fut ensuite entraîneur puis dirigeant à Juvisy en Nationale 2 où son fils Vincent était meneur de jeu. Le basket, elle connaît donc depuis qu’elle est toute petite et si elle n’est pas passée par l’INSEP, elle a fait ses débuts en Ligue Féminine sous le maillot de Valenciennes à 15 ans et 9 mois. Depuis, elle a pris le temps de poursuivre ses études, obtenu un Master en STAPS et veut se diriger vers le métier d’institutrice plutôt que de prof d’EPS.\\n\\n« C’est vrai que j’avais commencé tôt. Je n’avais pas été prise à l’INSEP mais je suis finalement sortie en ligue en même temps que les filles de ma génération. J’ai été effectivement mis plus en lumière avec l’équipe de France quand j’ai été appelée en 2015, mais je pense que j’avais déjà passé un cap à Nantes, il y a quatre, cinq ans, en ayant plus de responsabilités puis un deuxième avec Montpellier. L’Euroleague m’a peut-être permis de prendre une autre dimension physique plus la température du jeu que l’on demande dans les compétitions internationales. »\\n\\nLa Berruyère n’apparaît pas forcément dans le starting five mais davantage dans un positionnement de sixième joueuse. Un rôle qui semble lui convenir si l’on se fie à sa capacité à être à 100% en sortie du banc.\\n\\n« Ce n’est pas que l’on aime ou pas. Ce sont des choix de coach. Mais c’est sûr qu’il y a certaines joueuses qui sont plus dérangées de sortir du banc alors que moi, ça me dérange moins. Le principal, c’est de finir les matches. Je prends le rôle que l’on me donne à chaque fois dans chaque équipe. »\\n\\nEn tous les cas, elle sait performer dans les moments importants. Pour preuve, sa production sensiblement en hausse en playoffs la saison dernière où elle a joué un rôle majeur dans la conquête du titre des Tango de Bourges : 10,1 points en moyenne contre 6,1 points en saison régulière où, c’est vrai, son entorse à la cheville avait ralenti sa production.\\n\\nSi avec 68 sélections, Sarah est moins capée que Valériane Ayayi (77) en équipe de France pourtant de cinq ans sa cadette, c’est qu’il lui a fallu attendre mai 2015 et ses 26 ans pour être intronisée chez les Bleues. Depuis, en revanche, elle n’a rien loupé : deux championnats d’Europe, les Jeux de Rio avant donc sa première Coupe du monde en Espagne. Elle est devenue une pièce indispensable au puzzle de Valérie Garnier. Penses-t-elle avoir pour autant sa place garantie dans le groupe ?\\n\\n« Pas du tout. Chaque campagne est différente. Je n’ai pas envie de dire que je suis une joueuse qui a directement sa place car ce n’est pas le cas. A chaque fois je m’entraîne de la même façon pour mettre les chances de mon côté pour être sélectionnée. »\\n\\nA Ténérife pour une médaille\\n\\nSarah fait partie des joueuses à avoir porté les maillots des deux clubs français devenus rivaux au plus haut niveau sur la décennie, Lattes-Montpellier (2015-17) et Bourges (depuis 2017). A noter à ce sujet, un renversement de tendance significatif : elles sont 5 Héraultaises (Alix Duchet, Romane Bernies, Diandra Tchatchouang, Endy Miyem et Helena Ciak) contre trois Berruyères (Marine Johannès et Alexia Chartereau en plus de Sarah) dans la version 2018 de l’équipe nationale.\\n\\n« Non, ça ne nous fait pas bizarre, » répond elle à notre interrogation. « On se connaît toutes. La saison 2018-19 n’est pas encore commencée alors on est toujours en majorité, les joueuses de Bourges (rires). Ca ne change rien. On a l’habitude de jouer ensemble. On sait que dans le métier que l’on fait, on est amené à bouger. On sait que l’on va se rencontrer certainement dans les phases finales mais quand on est entre nous, il n’y a pas de rivalité particulière. »\\n\\nSûr que Bourges-BLMA ce n’est pas OL-ASSE, PSG-OM, CSP-Elan Béarnais... ou même l’électrique Bourges-Valenciennes d’il y a une quinzaine d’années.\\n\\nAutre rivalité, celle entre Françaises et Canadiennes. Cinq joueuses de la coach Lisa Thomaidis ont déjà porté un maillot de Ligue féminine, les deux équipes nationales se sont affrontées quinze fois depuis 2010, la France mène 5-1 dans les compétitions officielles, et les meilleures ennemies du monde vont se retrouver face à face demain pour un match qui va valoir très cher.\\n\\n« C’est dur de jouer contre cette nation-là car elles sont dures physiquement et jouent un beau basket. Comme elles jouent en France pour la plupart, on connait leurs qualités et leurs défauts entre guillemets et on a plus d’images, de façon de pouvoir défendre sur elles. On les joue aussi souvent en préparation et au final on arrive à bien se connaître. Arrivé à la compétition, il faut tout de même trouver un moyen de déjouer l’adversaire. C’est particulier puisqu’on les a jouées quelques jours auparavant. C’est surtout ça qui est plus dur à gérer. Ca nous a surpris que Katherine Plouffe (NDLR : son équipière à Bourges) ne soit pas sélectionnée parce que l’an dernier c’était la capitaine. On ne savait pas si elle avait eu un souci physique. Visiblement c’était un choix d’entraîneur. On n’en sait pas plus. C’est vrai que c’est surprenant car on la connaît dans le championnat français et c’est l’une des meilleures étrangères. »\\n\\nSi elles veulent voyager loin, les Françaises ont tout intérêt à écarter les Canadiennes pour surtout éviter d’affronter très tôt la formidable armada des Etats-Unis lors des matches couperet.\\n\\n« Plus loin on les rencontre tard et mieux c’est car effectivement c’est la plus grosse nation. Ca serait bien de les jouer au dernier moment, ça voudrait dire qu’on est allé loin. Ce n’est pas un secret : on est là pour faire un beau résultat, pour avoir une médaille à un championnat du monde. La dernière fois c’était cinquième. Faire mieux c’est quatrième. Mais finir quatrième, il n’y a pas trop d’intérêt pour nous, les joueuses, car on joue pour avoir des médailles. Donc un podium ça serait top. »\\n\\n[armelse]\\n\\n« Mon envergure n’est pas si grande que ça. Elle est égale à ma taille », corrige-t-elle. « C’est plus un sens de l’anticipation et une prise de risques à certains moments. Et peut-être une hyper activité avec les bras. »\\n\\nSon physique a toujours été un sujet de questionnement car Sarah n’est pas charpentée comme nombre de ses congénères. A Arras déjà le préparateur physique la faisait bosser individuellement lorsqu’il y avait un creux dans son emploi du temps.\\n\\n« Je fais de la musculation mais je ne prends pas trop de muscle et de poids. Je pense que je n’ai pas une morphologie à prendre. C’est plus de la musculation pour l’entretien et aussi de la prévention pour ne pas se blesser trop souvent », commente-t-elle aujourd’hui.\\n\\nSon aspect frêle est trompeur. Armée de son protège dents, Sarah Michel est sur le terrain une fonceuse.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie: A 73 ans, la légende Carlo Recalcati prend sa retraite"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A 73 ans, la légende du basket italien Carlo Recalcati a annoncé qu’il prenait sa retraite.\\n\\nComme joueur et sous le maillot de Cantu, le Milanais fut élu trois fois MVP italien du championnat national, remporta trois Coupe des Coupes (C2) et trois Coupe Korac (C3). Il disputa les Jeux de 1968, le championnat du monde de 1970 et trois championnats d’Europe avec deux médailles de bronze à la clé.\\n\\nComme entraîneur, il est surtout connu pour avoir emmené l’équipe nationale italienne à la médaille d’argent aux Jeux olympiques de 2004. Il a par ailleurs coaché notamment Cantu, Varèse, Milan, Bologne et Sienne.\\n\\n« J’ai décidé de prendre ma retraite durant l’été. Je n’ai pas fait d’annonces mais je ne suis plus capable de donner le meilleur de moi-même. C’est le moment de regarder les matches de l’extérieur », a t-il déclaré à La Prealpina."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Voir les highlights de France-Canada"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Voici les meilleurs moments de France-Canada, hier soir, lors de la troisième journée de la Coupe du monde féminine."
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde féminine: La France perd face au Canada... Et si c’était le bon plan ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Enorme paradoxe. L’équipe de France a chuté ce soir face au Canada (60-71) mais son chemin vers les demi-finales paraît ainsi moins escarpé. La raison? Dans le même temps, l’Espagne a été vaincue de neuf points, 63-72, par la Belgique sur un layup à la dernière seconde de Emma Meesseman, et lui laisse ainsi le bénéfice d’un point average à trois avec le Japon. Résultat: les Espagnoles vont devoir passer par les barrages face au Sénégal et en cas de probable victoire, elles se retrouveront nez à nez avec le Canada !\\n\\nDe leur côté, les Françaises vont avoir au programme un match supplémentaire demain face à la Turquie. Une équipe turque pas au mieux actuellement, qui a perdu face au Nigeria (-6) et à l’Australie (-26). Et si elles passent l’obstacle c’est la Belgique qui se retrouvera face aux Bleues en quart. On ne peut donc pas dire qu’elles y perdent au change.\\n\\nPour conserver toutes leurs chances, les Françaises vont devoir digérer en vingt-quatre heures le dernier quart-temps catastrophique face au Canada où elles ont fini usé par des adversaires à la fois athlétiques et physiques qui ont su laisser passer l’orage avant de rebondir.\\n\\nQuel engagement des Bleues. A la zone 2-3 érigée d’emblée par les Canadiennes, elles répondaient par trois paniers à trois-points d’affilée et surtout par beaucoup de vitesse dans leurs mouvements. Avec les points (8 dans le premier quart) et les rebonds défensifs (4) de Olivia Epoupa, les passes de Diandra Tchatchouang grâce à ses pénétrations (4) et Sandrine Gruda (3) et une défense générale exemplaire, elles menaient 11-4 puis 25-10 (9e) sur un 13-0. Une tornade. Les Canadiennes ne parvenaient pas à mettre en place leur jeu placé et n’avaient alors transformé que 5 paniers sur 15 shoots avec 5 balles perdues en prime. Seule la néo Berruyère Nayo Raincock-Ekunwe (8 points à 4/6 aux shoots et 3 rebonds) parvenait à mettre la tête hors de l’eau.\\n\\nLes Canadiennes sont athlétiques, vaillantes, adeptes du chamboule tout, aussi pas question de lâcher prise. Elles resseraient les boulons en défense face à une équipe de France qui connaissait un petit creux dans le deuxième quart-temps. Malgré une terrible maladresse (4/11) aux lancers-francs, les joueuses au maillot rouge et blanc revenaient à 26-32. Seulement, les Françaises finissaient fort et menaient 36-26 à la mi-temps alors qu’un ultime panier de Sandrine Gruda était refusée pour avoir été marqué juste après le buzzer.\\n\\nUne multitude de fautes étaient sifflées des deux côtés. Chaque possession était acharnée et la défense canadienne devenait de plus en plus étouffante. C’est à 46-40 que l’on apprenait que l’Espagne avait perdu contre la Belgique. Situation très pénible de se demander alors si le mieux pour la France n’était pas de laisser filer ce match contre le Canada. A l’énergie, les Canadiennes revenaient d’ailleurs à 45-46 après 30′.\\n\\nLes Françaises ne parvenaient plus à scorer et sur un 8-2 dans le quart-temps, le Canada les doublait subitement: 53-48. Sandrine Gruda (14 points et 8 rebonds) maintenaient un temps la France hors de l’eau, mais tout d’un coup, ça craquait. Kia Nurse (18 points), Nayo Raincock-Ekunwe (13 points, 10 rebonds) et Shay Colley (12) gagnaient les duels et le Canada lançait des contre-attaques meurtrières. Le manque de rapidité dans le repli défensif et des rebonds mal contrôlés coûtaient cher.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Diandra Tchatchouang, FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Quand Marine Johannès, Olivia Epoupa et Valérie Garnier parlent de France-Canada"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce soir à 21h30, l’équipe de France affronte le Canada. C’est un match de poule mais il est importantissime quant à l’ordonnancement du programme des Bleues pour le restant de la Coupe du monde. Eviter le match de barrage serait déjà une aubaine. Le service communication de la FFBB propose cette vidéo avec des commentaires de Valérie Garnier, Marine Johannes et Olivia Epoupa.\\n\\nPhoto: Olivia Epoupa (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde féminine: 24 points à 100% aux shoots pour l’Australienne Liz Cambage en 12 minutes!"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Auteure d’un record de 53 points dans un match de WNBA cet été, le pivot australien Liz Cambage (2,03m, 27 ans) était attendue comme une attraction lors de la Coupe du monde et elle répond présente depuis le début de la compétition quand bien même elle n’a pas eu droit à un seul match de préparation.\\n\\nL’Australienne d’origine nigériane au physique hors normes a accompli un exploit gigantesque en ce début d’après-midi lors de la première mi-temps face à la Turquie. Elle a scoré 24 points avec un parfait 11/11 aux tirs -dont un panier à trois-points- en... 12 minutes. Elle a seulement gâché un lancer.\\n\\nFace à l’une des meilleures équipes européennes, les Australiennes se sont imposées confortablement 90-64. Liz Cambage s’est relâchée un peu en deuxième mi-temps. Elle n’a passé que 6 minutes sur le terrain et en est sortie avec 25 points à 11/13 et 7 rebonds.\\n\\nLiz Cambage est candidate au titre de MVP et l’Australie possède en elle une arme de destruction massive que seules les Américaines paraissent capables d’enrayer.\\n\\n\\n\\n\\nLiz Cambage is unstoppable: 24 PTS in the 1st half (12 MINS) on 11 of 11 shooting! #FIBAWWC\\n\\n\\n(VIA @FIBA)\\n\\n\\npic.twitter.com/ttvXGyCk2D\\n\\n\\n— Ballislife.com (@Ballislife) September 25, 2018\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Lavé de soupçons de violences conjugales, l’ancien meneur de Villeurbanne Walter Hodge reste au Liban"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On se souvient de Walter Hodge (1,83m, 32 ans), qui possède les passeports de Porto Rico et des Iles Vierges, et qui a porté le maillot villeurbannais lors de la saison 2016-17. Un meneur talentueux mais pas forcément facile à gérer. Il avait d’ailleurs été mis à pied par l’ASVEL en compagnie de son équipier Serbe Nikola Dragovic juste avant les playoffs.\\n\\nWalter Hodges est fidèle au club portoricain de Capitanes de Arecibo mais l’hiver il joue toujours en Europe ou plutôt au Moyen-Orient puisqu’il a porté la saison dernière le maillot du club libanais de Homenetmen (19,5 points, 3 rebonds, 7 passes) et qu’il s’y plaît suffisamment pour y avoir resigné pour l’exercice à venir. Cette reconduction de contrat a été rendu possible du fait que le joueur en a fini avec la justice de son pays.\\n\\nWalter Hodge avait été arrêté en mai dernier à Porto Rico suite à une plainte pour violences domestiques envers son ex-femme et mère de ses enfants. Il avait été libéré en payant une caution, avait dû porter un bracelet électronique et s’était vu retirer son passeport. Lors du jugement en août, son ex-femme n’a pas voulu confirmer les faits ni même admettre que c’est bien elle que l’on voit sur des photos prises le jour où elle s’était rendue au commissariat et où l’on voit son corps meurtri. Elle a par ailleurs dénié la possibilité d’un arrangement à l’amiable au niveau de la pension alimentaire que son ex-mari lui verse.\\n\\n« Evidemment, vous pensez toujours au processus judiciaire, mais depuis mon arrivée à Porto Rico, j’ai tout laissé entre les mains de mes avocats et je suis resté concentré sur le basket-ball et mes enfants », avait alors déclaré le joueur à la presse locale. »Je suis content de cela parce que j’ai déjà deux ou trois offres de travail, mais je n’avais rien fait parce que je ne savais pas quand mon passeport me serait rendu. Je veux rester au moins un mois à Porto Rico et consacrer un peu de temps à mes enfants, car l’année dernière je n’ai pas eu l’occasion de les accompagner pendant longtemps et je me repose évidemment de la longue saison. Alors, si Dieu le veut, je retournerai en Europe ou au Moyen-Orient »\\n\\nC’est donc fait."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Des fans d’Hapoel Tel Aviv lancent des chaises sur ceux du Spirou Charleroi"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Des supporters de l’Hapoel Tel Aviv sont à l’origine d’une bagarre qui a éclaté hier à Charleroi lors d’un match du tour préliminaire de la Basketball Champions League.\\n\\n« Alors que le Spirou créait un premier écart conséquent à 62-52, le match allait être tristement marqué... par des débordements du public israélien, attaquant quelques supporters et les stewards avec des chaises », écrit le quotidien Le Soir. « Les émanations des sprays au poivre utilisés par les policiers pour les sortir allaient s’étendre dans l’ensemble du Dôme et interrompre le match près d’une demi-heure. Selon le porte-parole de la police locale de Charleroi, le match a été interrompu afin de permettre aux forces de l’ordre d’intervenir. « Un policier a été légèrement blessé au cours de l’intervention qui se solde, à l’heure actuelle, par une arrestation administrative. Huit équipes d’intervention ont été appelées en renforts et celles de nuit patrouillent dans la zone pour y ramener le calme. »\\n\\nL’Hapoel a été battu 59-73 et est éliminé de la compétition.\\n\\n\\n\\n\\nHapoel Tel Aviv fans started throwing chairs to Spirou Charleroi fans and stewards in the middle of the BCL game last night.\\nThe game was suspended for half hour.\\nHapoel lost and is out of the competition pic.twitter.com/iW2qcbz0cO\\n\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) September 25, 2018\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie: Le coach Roméo Sacchetti en colère contre ses joueurs qui se servent de leur portable à la mi-temps"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le coach de l’équipe d’Italie, Roméo Sacchetti est remonté après certains de ses joueurs qui ont utilisé leur téléphone portable lors d’un match de qualification à la Coupe du monde. L’Italie s’est imposée en septembre à la Pologne à Bologne et à la Hongrie à Debrecen.\\n\\n«Nous devrions avoir une approche différente avec les réseaux sociaux et les téléphones mobiles», a déclaré Sacchetti, des propos rapportés par Sportando. «Après nos victoires en Pologne et en Hongrie, on m’a dit que certains joueurs utilisaient leur téléphone portable dans les vestiaires à la mi-temps. C’est quelque chose qui ne peut pas arriver. J’étais très en colère. Nous allons maintenant voir comment le président de la Fédération italienne de basket-ball va réagir. Nous pouvons retirer l’indemnité journalière aux joueurs et je peux la prendre. Un jour, je suis monté dans le bus, nous étions huit et tous avaient la tête baissée sur leur téléphone portable. Il n’y avait qu’un Argentin (Filloy) qui n’avait pas la tête sur son portable. Je sais, je devrais parler moins mais c’est comme ça que je suis. »\\n\\nOn dira que c’est un conflit générationnel...\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Israël: Officiel, Amar’e Stoudamire retourne à l’Hapoel Jérusalem"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette fois, c’est officiel: Amar’e Stoudemire (2,11m, 35 ans) a signé un nouveau contrat avec Hapoel Jérusalem a annoncé le club.\\n\\nStoudemire a derrière lui 771 matches en NBA pour 20,0 points et 8,2 rebonds. Il s’est converti au judaïsme et avait investi dans le club avant de jouer pour l’Hapoel lors de la saison 2016-17 et de cumuler 12,8 points et 6,6 rebonds en Eurocup.\\n\\nA noter que l’Hapoel Jérusalem est positionné dans le même groupe que la JDA Dijon en Basketball Champions League et ainsi le public bourguignon devrait voir à l’oeuvre l’ancien NBAer le 6 février prochain."
}, 
{"role": "user",     "content":"Ty McKee (Cholet) à propos de son retour au Mans: «Je veux gagner ce match là!»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Manceaux vont profiter de la venue ce soir de Cholet Basket pour célébrer leur titre de champion de France 2018. Une cinquième bannière de champion sera dévoilée avant le match. Seulement, comme il est revenu bredouille de son déplacement à Levallois, le MSB a absolument besoin de gagner pour ne pas tomber dans une spirale négative. Tout comme son adversaire du soir qui a lourdement chuté à La Meilleraie face à Strasbourg.\\n\\nCe derby des Pays-de-Loire est aussi l’occasion pour le meneur choletais Ty McKee (1,88m, 32 ans) de revenir sur le terrain de ses exploits. Il avait effectué une saison 2015-16 pleine de panache sous les couleurs mancelles (14,4 points, 4,2 rebonds et 4,6 passes) ponctuée par une demi-finale de playoffs. Dans Ouest France, le Directeur Sportif du MSB, Vincent Loriot loue la personnalité de l’Américain.\\n\\n« Mais ce n’est pas forcément un leader. Il est nature et pas toujours consensuel. S’il veut dire ses quatre vérités à un coéquipier, il ne le fera pas toujours de manière policée ou fondée. En revanche, même parmi ses détracteurs, je ne connais pas une personne qui ne reconnaîtra pas en lui un très grand compétiteur. »\\n\\nLe joueur conserve lui aussi d’excellents souvenirs de son séjour dans la Sarthe:\\n\\n« Le MSB est un super club, il y a beaucoup de sourires entre le manager général, le président et moi quand je rejoue là-bas. Entre nous, ce n’est que de l’amour, mais maintenant que je suis de l’autre côté, ils vont devoir se préparer à aller à la guerre ! Je veux gagner ce match-là ! »\\n\\nPhoto: CB"
}, 
{"role": "user",     "content":"BCL: Nanterre va bientôt connaître son adversaire pour la qualification"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Large vainqueur hier soir de la JL Bourg à Maurice-Thorez, 85-64, avec 30 d’évaluation pour Lahaou Konate (19 points, 11 rebonds et 5 passes), Nanterre 92 va bientôt connaître son adversaire pour le troisième tour des qualifications à la Basketball Champions League.\\n\\nDispensés des deux premiers tours, les hommes de Pascal Donnadieu seront opposés soit au Lukoil Levski Sofia (Bulgarie) soit au Kauhajoen Karhu (Finlande). Les deux équipes s’affrontent aujourd’hui et la semaine prochaine. Le troisième tour est programmé les 1er et 4 octobre.\\n\\nTrente-deux équipes seront qualifiées pour la saison régulière qui s’échelonnera du 9 novembre au 6 février. Le Mans, Strasbourg et Dijon sont déjà assurés d’en faire partie."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les Bleues après leur victoire sur la Grèce"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Minute Inside nous emmène dans les vestiaires de l’équipe de France après sa victoire sur la Grèce."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le président Martial Bellon confirme que la SIG Strasbourg sera candidate à l’Euroleague en 2023"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur SIGTV, le président strasbourgeois Martial Bellon donne une interview de près de vingt minutes au journaliste Jean-Claude Frey pour faire un point sportif et structurel sur le club.\\n\\nIl indique qu’il a rencontré Jordi Bertomeu, le boss de l’Euroleague, et qu’il lui a fait savoir que le jour où la SIG disposera de sa nouvelle aréna, elle sera canidate à cette compétition.\\n\\n« Aujourd’hui, la SIG n’est pas en capacité de jouer l’Euroleague avec la nouvelle formule depuis deux ans, qui n’est plus une coupe d’Europe, qui est un championnat, ce qui n’est pas du tout le même type de dépense et de structuration d’équipe (...) Nous restons ambitieux de jouer cette nouvelle Euroleague qui va passer de 16 à 18 mais nous ne voulons pas y aller pour tuer le club. Bamberg a failli être tué par cette compétition sur le plan économique et a été en partie tué sur le plan sportif la saison dernière puisqu’ils ont terminé 8 ou 9e de leur championnat. Il faut être en capacité de se mesurer aux meilleurs. C’est ce que l’on construit pas à pas. En 2015 certains pensaient que l’on était un peu utopistes avec un budget de 10 millions à l’horizon 2020. Maintenant, je leur dis 12 millions à l’horizon 2023 car nous aurons l’aréna. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le reportage de Stade 2 sur Nicolas Batum et Marine Johannès"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nicolas Batum et Marine Johannès sont tous les deux nés à Lisieux et ont joué à l’US Pont-l’-Evêque. Stade 2 leur a consacré ce reportage.\\n\\nhttps://www.facebook.com/nicbatum88/videos/2033276843402216/UzpfSTMxNDUxODgxODQxOlZLOjIwMzMyNzY4NDM0MDIyMTY/"
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV: Le plein de basket toute la semaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quelle semaine! Des matchs sont au programme chaque jour avec la Jeep Elite et la Coupe du monde féminine. Et même une diffusion en clair sur W9 si les Bleues font partie du dernier carré.\\n\\nMardi 25 septembre\\n\\n19h00 – Lettonie/Etats-Unis – Coupe du monde féminine – Canal+ Décalé\\n\\n21h30 – Canada/France – Coupe du monde féminine – Canal+ Décalé\\n\\nMercredi 26 septembre\\n\\n18h30 – Barrage – Coupe du monde féminine – Canal+ Sport\\n\\n20h45 – Jeep Elite – Le Portel/Strasbourg – RMC Sport 2\\n\\n21h00 – Barrage – Coupe du monde féminine – Canal+ Sport\\n\\nJeudi 27 septembre\\n\\n20h45 – Jeep Elite – Pau/Monaco – RMC Sport 2\\n\\nVendredi 28 septembre\\n\\n12h30 – Quart-de-finale – Coupe du monde – Canal+ Décalé\\n\\n15h00 – Quart-de-finale – Coupe du monde – Canal+ Décalé\\n\\n18h30 – Quart-de-finale – Coupe du monde – Canal+ Décalé\\n\\n21h00 – Quart-de-finale – Coupe du monde – Canal+ Sport\\n\\nSamedi 29 septembre\\n\\n18h30 – Gravelines-Villeurbanne – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nHoraire à déterminer- Demi-finale – Coupe du monde – Canal+ Décalé et W9 si France\\n\\n21h00 – Demi-finale – Coupe du monde – Canal+ Sport et W9 si France\\n\\nDimanche 30 septembre\\n\\n18h30 – Strasbourg/Pau – Jeep Elite – Coupe du monde – RMC Sport 2\\n\\nHoraire à déterminer – Finale – Coupe du monde – Canal+ décalé et W9 si France\\n\\n21h00 – Finale – Coupe du monde – Canal+ Sport et W9 si France\\n\\nLundi 1er octobre\\n\\n20h45 – Bourg/Chalon – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nPhoto: Sandrine Gruda"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde féminine – Sénégal et Nigeria: Quand l’Afrique s’est éveillée !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le dimanche 23 septembre 2018 demeurera pour l’Afrique un jour historique. Deux équipes du continent ont battu des adversaires européens à la Coupe du monde. Le Sénégal s’est payé la Lettonie (70-69) et le Nigéria s’est offert la Turquie (74-68). Ce n’est pas du menu fretin. Les Turques s’étaient classées à la cinquième place de l’EuroBasket 2017 et les Lettones à la sixième.\\n\\nLes pays africains ont longtemps été des faire-valoir dans les compétitions internationales, Jeux Olympiques et Coupe du Monde, une épreuve où ils affichaient jusque là 5 victoires pour 42 défaites.\\n\\n« On n’a jamais battu une équipe européenne, » a commenté le coach Cheikh Sarr, qui fut le boss de l’équipe masculine au Mondial de 2014 et qui avait déjà écrit l’histoire en guidant son équipe vers les 8e de finale, une première pour un pays africain. « Ça devait passer par moi, mais je ne suis pas le seul. C’est un groupe uni mais avec 24 joueuses qui avaient fait toute la préparation. Je remercie aussi mon staff, les supporters, dirigeants et tout le peuple sénégalais qui est derrière nous. Dans les réseaux, on a senti leur soutien ».\\n\\nLa meneuse Bintou Dieme était également aux anges:\\n\\n« Un moment historique, oui, soit disant. C’est vrai que les nations africaines ne sont pas attendues à ce niveau là. Ca fait plaisir car on a fait une super prestation hier contre les Américaines et on a prouvé aujourd’hui que le match d’hier n’était pas un hasard, de la chance, mais qu’on était au rendez-vous et qu’on avait le niveau pour jouer ce mondial. Ca s’est joué au mental car c’est vrai que l’on a commencé fort, elles sont revenues et elles nous ont proposées une défense agressive où là les arbitres ne nous ont pas du tout épargnées. Ils n’ont rien sifflé des deux côtés. C’était un match très physique. C’était sûr que ce genre de rencontre allait se jouer au mental et qu’il fallait être lucides pour gérer tout ce stress, surtout avoir les nerfs solides. »\\n\\nBintou Dieme-Marizy (1,67m, 34 ans) est un cas un peu spécial chez les Lionnes car la meneuse du Hainaut est née à Evreux, possède la double nationalité et a toujours joué en Ligue Féminine. L’autre joueuse à posséder le passeport français est la bien connue intérieure de Villeneuve d’Ascq, Mame Marie Sy Diop (1,88m, 33 ans).\\n\\nEn fait dans l’équipe du Sénégal, on trouve seulement deux joueuses qui évoluent au pays alors que les autres sont éparpillées un peu partout: au Portugal, en Turquie, aux Etats-Unis (Yacine Diop est à Louisville) et quatre en Espagne.\\n\\nCe vécu à l’étranger, les Nigérianes le connaissent aussi puisque la moitié sont nées aux Etats-Unis et deux joueuses seulement sont actuellement sur le territoire. Les autres ont émigré en Espagne, en Turquie, en Roumanie, en Israël, en Hongrie, en Albanie alors que la pivot Evelyn Akhator porte le maillot des Dallas Wings en WNBA.\\n\\nLe Sénégal affrontera demain la Chine et le Nigeria l’Argentine. Pas de raison que la belle aventure s’arrête en si bon chemin.\\n\\nPhoto: Mame Marie Sy Diop (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les highlights de la victoire de la France sur la Grèce"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les meilleurs moments de la victoire des Bleues hier soir face à la Grèce (75-71) lors de la Coupe du monde à Ténérife.\\n\\nPhoto: Alexia Chartereau (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Après un an au CSKA Moscou, Léo Westermann de retour au Zalgiris Kaunas"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison au CSKA Moscou, le meneur international Léo Westermann (1,98m, 26 ans) fait son retour au Zalgiris Kaunas dont il a porté le maillot avec efficacité lors de la saison 2016-17. Il y fera équipe avec l’ancien meneur américain de Chalon, Nate Wolters toujours sous la houlette du coach Sarunas Jasikevicius.\\n\\nAprès le Centre Fédéral, l’Alsacien est passé par Villeurbanne, le Partizan Belgrade et Limoges. Avec Moscou, il s’est fendu de 4,6 points et 1,9 passe en 14′ de moyenne en Euroleague contre 8,2 points et 5,5 passes en 25′ la saison précédente au Zalgiris."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le panier de la gagne de AJ Slaughter (Villeurbanne) à Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’international polonais AJ Slaughter a donné la victoire à l’LDLC ASVEL sur Monaco dans la Principauté, 66-63, d’un panier à huit mètres et à quatre dixièmes du buzzer. C’était le troisième tir primé du Villeurbannais de la soirée. Il y avait eu auparavant 11 égalités au score.\\n\\nCe match de reprise entre deux prétendants au titre a donné lieu au préalable à une bataille de big men avec 25 points à 11/18 aux tirs et 4 rebonds pour le Bosniaque de Monaco Elmedin Kikanovic (2,11m, 30 ans) contre 15 points à 7/13 et 8 rebonds pour le Croate de Villeurbanne Miro Bilan (2,13m, 29 ans).\\n\\n\\n\\n\\nIncroyable buzzer beater à 3 points de @ajslaughter8 pour la gagne pour @LDLCASVEL sur le parquet de l'@ASMonaco_Basket ! 💪🎯\\n6⃣3⃣ – 6⃣6⃣#JeepELITE pic.twitter.com/XroRZR87Yr\\n\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) September 23, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du Monde féminine – France 75, Grèce 71. Au bout de la souffrance, la délivrance"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si la France a remporté une huitième victoire de suite face à la Grèce, que ce fut dur. Emmenées par Evina Maltsi (39 ans mais qui fait dix ans de moins avec une balle dans les mains), qui a totalisé 28 points avec un 6/13 à trois-points, et Stella Kaltsidou (35 ans), les deux généraux comme les appelle Valérie Garnier, les Grecques ont donné tout ce qu’elles avaient dans le ventre après leur lourde défaite inaugurale contre le Canada (50-81). Elles n’ont pas terminé pour rien quatrième du dernier Euro et leur coach sait optimiser le peu de talents dont il dispose.\\n\\nLes Françaises ont été longtemps fébriles, pénalisées par l’absence d’une meneuse consistante derrière Olivia Epoupa. Heureusement, celle-ci a réalisé des prouesses défensives et Endy Miyem (11 des 14 points des Bleues dans le money time, 20 au total) a fait preuve de maîtrise dans le money time.\\n\\nLes Bleues joueront la première place du groupe mardi face au Canada.\\n\\nTrès concentrées, évoluant à un rythme élevé, avec une Diandra Tchatchouang performante dans tous les secteurs (9 points, 4 rebonds, 1 passe, 2 interceptions et 1 contre pour 15 d’évaluation lors de ses 8 premières minutes sur le terrain) et grâce à l’apport immédiat du banc, les Françaises passaient la barre des dix points d’avance (24-13) dès la 8e minute. Une illusion.\\n\\nLes Grecques ne sont pas du genre à lâcher prise pour si peu et grâce à une zone match up, de bonnes aides à l’intérieur, Stella Kaltsidou -malheureusement pour elle sanctionnée d’une troisième faute au début du deuxième quart-temps-, et surtout l’inaltérable Evina Maltsi d’une précision diabolique avec un geste parfait (18 points à 7/13 en première mi-temps), elles revenaient dans le match: 21-27 puis 27-29.\\n\\nCe match était électrique, les Grecques étaient dans le collimateur des arbitres et les Françaises bénéficiaient d’une bonne ration de lancers : 17 pour en transformer 12 contre... aucun à leurs adversaires. Seulement si celles-ci se faisaient dominer athlètiquement, elles n’avaient toujours que deux points de retard après vingt minutes (36-38). Les Bleues pêchaient fortement dans la finition: 33% de réussite contre 52% du côté grec.\\n\\nSandrine Gruda met le panier de la délivrance\\n\\nCe qui devait arriver arriva. Après une égalité à 40, les Grecques toujours aussi déterminées, en pleine confiance avec un banc surexcité, passaient en tête à la 25e minute, 45-47, et conservaient l’avantage, 50-52, puis 54-59 après trente minutes sur un débordement de Evina Maltsi qui en était alors à 23 points.\\n\\nLes Françaises se faisaient manger la laine sur le dos au rebond par des Grecques toujours aussi hargneuses. A cinq minutes de la fin, la France menait enfin 69-68, mais le score demeurait longtemps inchangé. Quelle bataille ! C’était un festival de balles perdues (34 au total) et si Olivia Epoupa était épatante en défense, elle loupait alors ses quatre lancers.\\n\\nLa délivrance est venue de Sandrine Gruda qui, après avoir feinté la passe à Marine Johannès, plantait un panier au poste. Une interception de Marine Johannès puis deux lancers de Endy Miyem et deux autres de Sarah Michel ont définitivement fait pencher la balance. Ouf!\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Endy Miyem, FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde Féminine: Les groupes, le palmarès et les questions que vous vous posez"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Voici les éléments pour vous permettre de suivre au mieux la Coupe du Monde féminine à Ténérife du 22 au 30 septembre. Formule, palmarès, historique, équipe de France et adversaires, télévision...\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLa France a-t-elle déjà été championne du monde ?\\n\\nOui et non. Le 11 août 1934, l’équipe de France se paye la tête des Etats-Unis, 34-23. Nous sommes au White Hall de Londres en finale des Jeux Mondiaux. Le basket féminin n’est pas encore l’apanage de la FFBB mais de la fédération féminine et échappe encore à la FIBA qui est née deux ans auparavant. L’appellation « championne du monde » est donc non contrôlée.\\n\\nUn observateur rapporte qu’au cours de cette finale, les Françaises firent preuve d’ardeur face à des Américaines à la fois plus grandes et plus lentes et terminèrent épuisées. Il faut dire que chaque équipe avait droit à cinq joueuses, pas une de plus. Les héroïnes françaises étaient Mlle Garnier (Strasbourg), Flouret, Santais et Velu (Saint-Maur) et Richelot (Reims). Lucienne Velu est la plus célèbre de ce cinq de légende car elle fut parallèlement recordwoman du lancer du disques et multi championne de France au poids, au disque et dans différentes courses.\\n\\nAu préalable, les Françaises étaient devenues championne d’Europe en battant la Pologne, 36 à 20.\\n\\nLa sous-médiatisation du basket féminin ne date pas d’aujourd’hui. « On n’a sans doute pas assez signalé dans la grande presse le magnifique succès remporté aux Jeux Mondiaux de White City... », s’indigna la revue basket-ball à l’époque.\\n\\nA l’inverse, la médaille de bronze obtenue par les Françaises en 1953 au Chili est certifiée FIBA. C’était la première édition du championnat du monde même si ce terme apparaît pompeux puisqu’aux huit équipes du continent américain s’étaient joints la Suisse et la France. Point final.\\n\\n« Il s’en est fallu de peu que nos joueuses soient championnes du monde et ma foi elles l’auraient mérité, même tenant compte de la supériorité américaine. Car elles ont réalisé un tournoi exceptionnel et il aura fallu l’extraordinaire partialité de M. Farrel et le jeu d’une violence extrême des Chiliennes pour leur faire perdre le titre. »\\n\\nCe commentaire émane-t-il d’un observateur neutre ? Pas vraiment. Robert Busnel était alors le sélectionneur de l’équipe de France féminine. En plus d’être celui des hommes.\\n\\nCéline Dumerc et Sandrine Gruda\\n\\nQuelle fut la plus grosse désillusion de l’équipe de France ?\\n\\nTreize points d’avance dans le troisième quart-temps et encore six à 35 secondes de la fin. Nous sommes début octobre 2010 à Karlovy-Vary en République Tchèque et l’équipe de France a mis la tête de l’Espagne sur le billot. Il ne lui reste plus qu’à la trancher et ainsi se qualifier pour les demi-finales du championnat du monde. Si Sandrine Gruda, saturée, a dû déclarer forfait, les Bleues sont emmenées par une Céline Dumerc au sommet de son art. C’est la tête et les jambes de l’équipe de France.\\n\\n« Nous avons pensé plein de fois que le match était fichu. Pendant un long moment, la France a anéanti nos forces, » avoua le coach espagnol Jose Ignacio Hernandez. « L’important c’est que notre équipe n’a jamais perdu la foi. Je pense qu’à la fin, nous avons été chanceux. »\\n\\nQue s’est-il passé ? En une vingtaine de secondes, Amaya Valdemoro, 34 ans, MVP de l’Euro treize ans auparavant, a planté un triples, transformé deux lancers et conclu une contre-attaque. Soudainement, l’équipe de France, meilleure défense du tournoi jusque-là, a craqué. Nerveusement. A l’image de Céline Dumerc qui a manqué deux lancers et de discernement. Prolongation. Défaite de nos couleurs, 71-74.\\n\\n« J’ai honte vis-à-vis de mes coéquipières de ne pas avoir été à la hauteur, de les avoir fait échouer dans ce quart qui était dans nos mains. Je me sens fautive», lâcha la capitaine des Bleues.\\n\\nQuelle frustration pour les Braqueuses qui étaient devenues championnes d’Europe un an auparavant à Riga, mais qui trouveront dans ce Mondial amer la motivation pour rebondir deux ans plus tard à Londres où elles s’offriront la plus belle performance d’une équipe féminine de basket : une médaille olympique en argent.\\n\\nEvanthia Maltsi (Grèce)\\n\\nLES GROUPES\\n\\n\\n\\n\\nGroupe A\\nGroupe B\\nGroupe C\\nGroupe D\\n\\n\\nCorée du Sud\\nAustralie\\nJapon\\nLettonie\\n\\n\\nGrèce\\nTurquie\\nPorto Rico\\nÉtats-Unis\\n\\n\\nCanada\\nArgentine\\nBelgique\\nSénégal\\n\\n\\nFrance\\nNigeria\\nEspagne\\nChine\\n\\n\\n\\n\\nLE PROGRAMME\\n\\nGROUPE A\\n\\n\\n\\n\\n22 septembre\\nCorée du Sud\\n\\n\\nFrance\\n\\n\\n22 septembre\\nGrèce\\n\\n\\nCanada\\n\\n\\n23 septembre\\nCanada\\n\\n\\nCorée du Sud\\n\\n\\n23 septembre\\nFrance\\n\\n\\nGrèce\\n\\n\\n25 septembre\\nCorée du Sud\\n\\n\\nGrèce\\n\\n\\n25 septembre\\nCanada\\n\\n\\nFrance\\n\\n\\n\\n\\nGROUPE B\\n\\n\\n\\n\\n22 septembre\\nAustralie\\n\\n\\nNigeria\\n\\n\\n22 septembre\\nTurquie\\n\\n\\nArgentine\\n\\n\\n23 septembre\\nArgentine\\n\\n\\nAustralie\\n\\n\\n23 septembre\\nNigeria\\n\\n\\nTurquie\\n\\n\\n25 septembre\\nAustralie\\n\\n\\nTurquie\\n\\n\\n25 septembre\\nArgentine\\n\\n\\nNigeria\\n\\n\\n\\n\\nGROUPE C\\n\\n\\n\\n\\n22 septembre\\nJapon\\n\\n\\nEspagne\\n\\n\\n22 septembre\\nPorto Rico\\n\\n\\nBelgique\\n\\n\\n23 septembre\\nBelgique\\n\\n\\nJapon\\n\\n\\n23 septembre\\nEspagne\\n\\n\\nPorto Rico\\n\\n\\n25 septembre\\nJapon\\n\\n\\nPorto Rico\\n\\n\\n25 septembre\\nBelgique\\n\\n\\nEspagne\\n\\n\\n\\n\\nGROUPE D\\n\\n\\n\\n\\n22 septembre\\nLettonie\\n\\n\\nChine\\n\\n\\n22 septembre\\nÉtats-Unis\\n\\n\\nSénégal\\n\\n\\n23 septembre\\nSénégal\\n\\n\\nLettonie\\n\\n\\n23 septembre\\nChine\\n\\n\\nÉtats-Unis\\n\\n\\n25 septembre\\nSénégal\\n\\n\\nChine\\n\\n\\n25 septembre\\nLettonie\\n\\n\\nÉtats-Unis\\n\\n\\n\\n\\nAlexia Chartereau\\n\\nPourquoi faut-il que la France termine première de son groupe ?\\n\\nComme pour les garçons, le championnat du monde est devenu coupe du monde. Avec 16 équipes sur la ligne de départ, elle n’occupe qu’un espace réduit dans le calendrier : du 22 au 30 septembre.\\n\\nCes 16 équipes sont réparties en 4 groupes. Le premier de chaque poule est directement qualifié pour les quarts-de-finale alors que le dernier fera ses bagages. Les deux autres devront se coltiner des barrages.\\n\\nLa France est dans un groupe avec la Corée du Sud, la Grèce et le Canada. Aucun de ces trois matches ne sera facile mais à l’inverse, il n’y a pas d’Everest. En terminant premières, les Bleus profiteraient de plusieurs avantages hyper importants :\\n\\n1- Elles feraient l’économie d’un match de barrage forcément piégeux.\\n\\n2- Elles bénéficieraient de deux jours supplémentaires de repos.\\n\\n3- En quart-de-finale, elles hériteraient d’un adversaire comestible, genre Belgique ou Chine. A l’inverse, en se classant deuxièmes , elles tomberaient très probablement direct sur l’Espagne. Et en se contentant de la troisième place, c’est à un face à face avec les Etats-Unis qui leur serait promis.\\n\\nL’EQUIPE DE FRANCE\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\nNom\\nNaissance\\nTaille\\nPoste\\nSélections\\nPoints\\nClub\\n\\n\\nValériane\\nAYAYI\\n29/04/1994\\n1.85\\nAilière\\n77\\n413\\nPrague\\n\\n\\nMarième\\nBADIANE\\n24/11/1994\\n1.90\\nIntérieure\\n10\\n17\\nASVEL\\n\\n\\nRomane\\nBERNIES\\n27/06/1993\\n1.70\\nMeneuse\\n14\\n32\\nMontp.\\n\\n\\nAlexia\\nCHARTEREAU\\n05/09/1998\\n1.91\\nIntérieure\\n24\\n157\\nBourges\\n\\n\\nHelena\\nCIAK\\n15/12/1989\\n1.97\\nIntérieure\\n80\\n443\\nMontp.\\n\\n\\nAlix\\nDUCHET\\n30/12/1997\\n1.63\\nMeneuse\\n9\\n18\\nMontp.\\n\\n\\nOlivia\\nEPOUPA\\n30/04/1994\\n1.65\\nMeneuse\\n63\\n309\\nSans\\n\\n\\nSandrine\\nGRUDA\\n25/06/1987\\n1.97\\nIntérieure\\n174\\n2262\\nSchio\\n\\n\\nMarine\\nJOHANNES\\n21/01/1995\\n1.77\\nArrière\\n50\\n403\\nBourges\\n\\n\\nSarah\\nMICHEL\\n10/01/1989\\n1.80\\nAilière\\n68\\n300\\nBourges\\n\\n\\nEndy\\nMIYEM\\n15/05/1988\\n1.88\\nIntérieure\\n185\\n1611\\nMontp.\\n\\n\\nDiandra\\nTCHATCHOUANG\\n14/06/1991\\n1.86\\nAilière\\n74\\n441\\nMontp.\\n\\n\\n\\n\\nSue Bird (Etats-Unis)\\n\\nLes Etats-Unis sont-ils insubmersibles ?\\n\\nOui. Disons que les Américaines ont 99% de chances d’être sacrées championnes du monde à Ténérife. Tous les chiffres tournent en leur faveur. Il y a deux ans à Rio, elles ont remporté leur sixième médaille d’or olympique consécutive avec une marge moyenne de 37,2 points. 49 succès d’affilée depuis les JO de Barcelone.\\n\\nEn fait, la dernière fois qu’elles ont déraillé c’est au championnat du monde de 2006 au Brésil. Une défaite 68-75 face à la Russie en demi-finale, laquelle laissera ensuite l’Australie s’approprier la médaille d’or à bon compte. Les absences de Lisa Leslie et de Dawn Staley, la blessure de Sheryl Swoopes avaient expliqué ce faux-pays. Depuis les Américaines n’ont jamais perdu en compétition officielle.\\n\\nLa raison ? Ce sont les meilleures joueuses du monde. Les plus physiques, les plus athlétiques, celles qui ont les meilleurs fondamentaux. Elles ont aussi une rage de gagner, une confiance en elles sans équivalent. La concurrence pour gagner sa place dans les douze est farouche. S’il y a dans l’équipe de nouveaux visages, elles possèdent aussi quelques individualités qui apportent le plus nécessaire en cas de besoin, que ce soit des jeunes comme Breanna Stewart (24 ans) ou des anciennes comme Diana Taurasi (36 ans) et Sue Bird (38 ans) Ce n’est pas tout, elles sont généralement bien coachées et il y a de l’huile dans le moteur.\\n\\nEn préparation, au tournoi d’Antibes, elles ont battu deux de leur principaux concurrents, le Canada et la France par de belles marges : 16 et 17 points. Et il leur manquait trois joueuses de base qui ont eu le droit à un break après la finale WNBA et qui ont directement rejoint le groupe à Ténérife : deux du Seattle Storm, la MVP de la saison WNBA, Breanna Stewart et l’inusable Sue Bird, et une de l’autre finaliste, les Washington Mystics, Elena Delle Donne.\\n\\nEffrayant. Et pourtant l’intérieur espagnole d’origine sénégalaise Astou Ndour y croit :\\n\\n« Vous ne pouvez pas aller au combat en pensant à l’avance qu’ils vont vous tuer. Vous devez aller match par match, sans aucun doute, mais aussi viser haut et y croire. Chaque jour je me réveille en pensant que nous allons gagner cette Coupe du Monde! »\\n\\nQui peut envisager des médailles ?\\n\\nComme c’est de l’argent qui est en jeu, les parieurs sont des gens avertis. Aussi leurs prédictions sont toujours intéressantes à découvrir et souvent juste. Voici celles en vigueur sur oddsportal.com. Que constate t-on ? Que personne ne voit les Etats-Unis battus. On ne peut qu’approuver comme le quarté à suivre. Avec Liz Cambage en son centre, l’Australie possède un atout majeur et peut-être décisif. L’Espagne a l’avantage de jouer à la maison. La France supplante le Canada pour qui elle est sa bête noire. Il reste que la quatrième place, qui n’est par définition porteuse de médaille, est la plus frustrante de toutes.\\n\\n1- Etats-Unis 1,03 ; 2- Australie 16,00 ; 3- Espagne 18,67 ; 4- France 24,33 ; 5- Canada 61,67 ; 6- Turquie- 94,33 ; 7- Belgique 101,00 ; 8- Japon 111,00 ; 9- Chine 167,67 ; 10- Lettonie 301,00 ; 11-Grèce 334,33 ; 12- Corée du Sud 351,00 ; 13- Argentine 601,00 ; 14- Nigeria 884,33 ; 15- Sénégal 1501,00 ; 16-Porto Rico, 1584,33.\\n\\nA titre indicatif, le classement prévisionnel de la FIBA n’est pas le même puisque dans son power ranking, elle place dans l’ordre les Etats-Unis et l’Espagne devant la France. On trouve ensuite le Canada et seulement en cinquième position l’Australie.\\n\\nCayla George-Francis (Australie)\\n\\nLES TROIS ADVERSAIRES DIRECTS DE LA FRANCE\\n\\nLes Etats-Unis sont hors d’atteinte. La Turquie, la Belgique et les pays asiatiques devraient être maîtrisés. Si elle veut revenir de Ténérife avec une médaille, l’équipe de France devra la subtiliser des mains de l’Australie, de l’Espagne et/ou du Canada.\\n\\nAUSTRALIE\\n\\nAvec les retraites de Lauren Jackon et Penny Taylor, c’est une nouvelle ère qui a commencé pour les Opals avec comme arme léthal Liz Cambage (2,03m, 100 kg, 27 ans). Elles doivent supporter l’absence de Marianna Tolo (ex-Bourges) et leur préparation a été perturbée par le fait que plusieurs joueuses dont Liz Cambage ont été prises par les finales WNBA. Mais ce sont des dur à cuire, puissantes, endurantes, et qui savent ce que gagner veut dire. Amoindries, elles n’ont perdu que de trois points (62-63) lors de leur dernier test avant le Mondial contre l’Espagne.\\n\\nDernier match contre la France: défaite, 77-85 (le 8 septembre 2018 à Paris)\\n\\nESPAGNE\\n\\nMalgré le talent de Astou Ndour, le forfait sur blessure de Sancho Lyttle est une sacrée perte tant celle-ci fut dominatrice depuis qu’elle a investi la peinture de la seleccion (MVP de l’Euro 2013, dans le meilleur Cinq du championnat du monde en 2010 et 14). Les championnes d’Europe en titre auront en revanche l’immense avantage d’être à la maison. Elles disposent de plusieurs joueuses qui évoluent dans les meilleurs clubs européens et leur coach Lucas Mondelo est une sommité de basket féminin. La grinta et les courses folles sont leur marque de fabrique. « Cette Coupe du Monde est un cadeau, car nous allons jouer à la maison. J’aime être une hôtesse et partager ce que nous vivons avec les fans, » a déclaré Laia Palau, la doyenne, 39 ans depuis le 10 septembre, ce qui en fait la doyenne de ce Mondial puisque Evina Maltsi les aura le 30 décembre.\\n\\nDernier match contre la France: victoire, 65-54 (le 1er septembre 2018 à Valence)\\n\\nCANADA\\n\\nDe la 12e place en 2010, les Canadiennes sont passées à la 5e quatre ans plus tard. Leur parcours aux JO de Rio a été contrarié par une élimination face à la France en quart-de-finale (63-68). Cinq joueuses ont porté le maillot d’un club français lors de la saison 2017-18 dont Nayo Raincock-Ekunwe qui a été élue MVP de la Ligue Féminine. Aussi Françaises et Canadiennes se connaissent par coeur. Les canadiennes ont les mêmes caractéristiques que les Australiennes (solidité physique, rigueur, rugosité) mais sans avoir un atout maître comme Liz Cambage.\\n\\nDernier match contre la France: défaite 68-72 (le 16 septembre 2018 à Antibes)\\n\\nEtats-Unis, champion du monde en 2014.\\n\\nLE PALMARES\\n\\n\\n\\n\\nAnnée\\nLieu\\nOr\\nArgent\\nBronze\\n\\n\\n1953\\nChili\\nÉtats-Unis\\nChili\\nFrance\\n\\n\\n1957\\nBrésil\\nÉtats-Unis\\nURSS\\nTchécoslovaquie\\n\\n\\n1959\\nUnion soviétique\\nURSS\\nBulgarie\\nTchécoslovaquie\\n\\n\\n1964\\nPérou\\nURSS\\nTchécoslovaquie\\nBulgarie\\n\\n\\n1967\\nTchécoslovaquie\\nURSS\\nCorée du Sud\\nTchécoslovaquie\\n\\n\\n1971\\nBrésil\\nURSS\\nTchécoslovaquie\\nBrésil\\n\\n\\n1975\\nColombie\\nURSS\\nJapon\\nTchécoslovaquie\\n\\n\\n1979\\nCorée du Sud\\nÉtats-Unis\\nCorée du Sud\\nCanada\\n\\n\\n1983\\nBrésil\\nURSS\\nÉtats-Unis\\nChine\\n\\n\\n1986\\nUnion soviétique\\nÉtats-Unis\\nURSS\\nCanada\\n\\n\\n1990\\nMalaisie\\nÉtats-Unis\\nYougoslavie\\nCuba\\n\\n\\n1994\\nAustralie\\nBrésil\\nChine\\nÉtats-Unis\\n\\n\\n1998\\nAllemagne\\nÉtats-Unis\\nRussie\\nAustralie\\n\\n\\n2002\\nChine\\nÉtats-Unis\\nRussie\\nAustralie\\n\\n\\n2006\\nBrésil\\nAustralie\\nRussie\\nÉtats-Unis\\n\\n\\n2010\\nRépublique tchèque\\nÉtats-Unis\\nRépublique tchèque\\nEspagne\\n\\n\\n2014\\nTurquie\\nÉtats-Unis(9)\\nEspagne\\nAustralie\\n\\n\\n2018\\nEspagne\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nOù regarder la Coupe du monde ?\\n\\nC’est le groupe Canal+ qui dispose des droits pour les Coupes du monde et les EuroBasket masculins et féminins. Les matches vont être dispatchés entre Canal+ Sport et Canal+ Décalé. Outre l’équipe de France seront diffusés ceux des principales équipes dont les Etats-Unis et l’Espagne. La grille de programme en prévoit deux par jour pour la phase de groupe puis la totalité des quarts, des demis, la finale et la finale pour la médaille de bronze.\\n\\nPour les diffusions en clair, c’est le groupe M6 qui possède les droits depuis deux ans à la place de France Télévisions. C’est la chaîne de la TNT W9 qui sera chargée de proposer la demi-finale et la finale si les Bleues y sont conviées. L’ancienne capitaine de l’équipe de France, Yannick Souvré, est la consultante de la chaîne. La grille de programme prévoit d’ailleurs de remplacer un épisode de la série américaine Les Simpson le samedi si c’est le cas. Il y a deux ans, malgré une communication tardive, la finale de l’Euro France-Espagne avait rassemblé 971 000 téléspectateurs (4,4% de parts de marché) avec un pic à 1,4 million. Cela avait permis à W9 de se retrouver en tête des audiences de la TNT. Mais évidemment pas d’espoir de cartonner comme sur TF1, France 2 ou France 3.\\n\\n[armelse]\\n\\nLa France a-t-elle déjà été championne du monde ?\\n\\nOui et non. Le 11 août 1934, l’équipe de France se paye la tête des Etats-Unis, 34-23. Nous sommes au White Hall de Londres en finale des Jeux Mondiaux. Le basket féminin n’est pas encore l’apanage de la FFBB mais de la fédération féminine et échappe encore à la FIBA qui est née deux ans auparavant. L’appellation « championne du monde » est donc non contrôlée.\\n\\nUn observateur rapporte qu’au cours de cette finale, les Françaises firent preuve d’ardeur face à des Américaines à la fois plus grandes et plus lentes et terminèrent épuisées. Il faut dire que chaque équipe avait droit à cinq joueuses, pas une de plus. Les héroïnes françaises étaient Mlle Garnier (Strasbourg), Flouret, Santais et Velu (Saint-Maur) et Richelot (Reims). Lucienne Velu est la plus célèbre de ce cinq de légende car elle fut parallèlement recordwoman du lancer du disques et multi championne de France au poids, au disque et dans différentes courses.\\n\\nAu préalable, les Françaises étaient devenues championne d’Europe en battant la Pologne, 36 à 20.\\n\\nLa sous-médiatisation du basket féminin ne date pas d’aujourd’hui. « On n’a sans doute pas assez signalé dans la grande presse le magnifique succès remporté aux Jeux Mondiaux de White City... », s’indigna la revue basket-ball à l’époque.\\n\\nA l’inverse, la médaille de bronze obtenue par les Françaises en 1953 au Chili est certifiée FIBA.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde féminine: Astou Traore (Sénégal) après la victoire sur la Lettonie: «C’est la première fois que nous battons une équipe européenne»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cet après-midi, le Sénégal a battu la Lettonie, 70-69, et c’est un évènement pour le basket sénégalais et même africain. Les Sénégalaises ont compensé leur faiblesse dans les tirs extérieurs (1/9 à trois-points) par une volonté de chaque instant.\\n\\nL’ancienne joueuse de Châteauroux, Charleville et Saint-Amand, Astou Traore, 37 ans, était aux anges:\\n\\n« C’était génial. C’est un match qui compte. Pour nous aujourd’hui, c’était comme une finale. Hier, nous avons joué un match très difficile et nous avons bien joué. Je pense qu’aujourd’hui nous méritions cette victoire car toute l’équipe voulait gagner. Je la voulais aussi. Je félicite toutes les filles, le staff car nous avons très bien joué. C’est la première fois que nous battons une équipe européenne. C’est un rêve. Mais nous ne nous arrêterons pas ici, nous allons continuer à travailler. »\\n\\nLes Lionnes ont reçu les félicitations de Macky Sall, le président du Sénégal.\\n\\nHier le Sénégal s’en était bien sorti face à l’ogre américain (67-87). Le voici assuré de participer au minimum aux barrages et il jouera mardi sa qualification directe pour les quarts-de-finale. Tout paraît désormais possible.\\n\\n\\n\\n\\nJ'adresse mes vives félicitations à l'équipe nationale féminine de basket-ball, première équipe africaine à gagner un match de coupe du monde. Bravo les lionnes et le staff technique et administratif.\\n\\n\\n— Macky Sall (@Macky_Sall) September 23, 2018\\n\\nPhotos: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les Bleues après leur victoire sur la Corée du Sud"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Des images du vestiaire et les commentaires de Sarah Michel, Marième Badiane et Valérie Garnier après la victoire sur la Corée du Sud dans cette « Minute Inside » proposée par la FFBB.\\n\\nPhoto: Sandrine Gruda (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Isabelle Yacoubou interrompt sa carrière pour cause de maternité"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La rumeur courait depuis plusieurs semaines déjà. Isabelle Yacoubou l’a confirmée dans les colonnes du Parisien. L’ancienne internationale va être maman et met donc sa carrière entre parenthèses, elle qui avait adopté un petit garçon, Espoir, qui a six ans aujourd’hui.\\n\\n« Au début ça été un choc car ce n’était pas prévu. En tant qu’athlète de haut niveau, ce n’est jamais facile de trouver un moment pour s’arrêter et penser à sa vie de femme. Il y a des conséquences sur la carrière, on ne sait pas combien de temps on sera éloignée des parquets ou même si on pourra revenir. Mais très vite, la joie a pris le dessus. Depuis que j’ai 18 ans je veux être maman. C’est le moment et je veux en profiter au maximum. La seule chose que je me suis dite c’est que je ne pourrai plus boire mon verre de vin (rires). »\\n\\nAussi, la paire française avec Sandrine Gruda ne sera pas reconstituée dès cette saison à Schio qu’entraîne l’ancien coach des Bleues, Pierre Vincent, mais à 32 ans, Isabelle Yacoubou n’a pas l’intention de tirer un trait sur sa carrière et annonce son retour pour dans quelques mois après cette pause maternité."
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du Mondeféminine : Les 15 joueuses qu’il faudra suivre des deux yeux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Voici les 15 joueuses que nous vous invitons tout spécialement à observer lors de la Coupe du Monde féminine, du 22 au 30 septembre, à Tenerife, en Espagne.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLiz Cambage – 2,03m, 27 ans, pivot, Australie\\n\\nNée à Londres d’un père nigérian et une mère australienne. Une présence physique unique mais aussi un toucher qui lui permet notamment de représenter un danger à trois-points. Aux JO de Londres, elle avait dunké d’une main contre la Russie. 23,5 points avec 58% de réussite et 10,3 rebonds aux Jeux de Rio. Un record WNBA de 53 points cet été. Elle a préféré jusqu’ici monnayer son talent en Chine plutôt qu’en Europe.\\n\\nEmma Meesseman – 1,92m, 25 ans, pivot, Belgique\\n\\nLa jeune prodige vue à Villeneuve d’Ascq de 2012 à 2014 a confirmé tout son talent à l’âge adulte, aussi bien en Europe (vainqueur de l’Euroleague en 2016 et 18) qu’en WNBA (all-star en 2015). Fondamentale dans le dispositif belge, elle a ainsi cumulé 28 points, 11 rebonds, 5 passes et 5 contres face à l’Italie en quart-de-finale de l’Euro 2017. Sa mère Sonja Tankrey fut élue Meilleure basketteuse belge en 1983. Elle porte un appareil auditif pour compenser une déficience.\\n\\nAnn Wauters – 1,93m, 38 ans, pivot, Belgique\\n\\nUne légende qui est revenue en équipe nationale pour lui permettre de décrocher une médaille de bronze au dernier Euro. Grande, fine, technique, battante et forcément très expérimentée. Quatre fois vainqueur de l’Euroleague et quatre fois élue MVP du Final Four. A porté le maillot de Valenciennes de 19 à 24 ans et de Villeneuve d’Ascq à 34 ans. Trois enfants avec sa compagne.\\n\\nNayo Raincock-Ekunwe – 1,88m, 27 ans, ailière, Canada\\n\\nLes Canadiennes sont en quelque sorte les soeurs de lait des Françaises car plusieurs internationales jouent en Ligue Féminine et les deux équipes nationales s’affrontent souvent. De plus, Nayo Raincock-Ekunwe est la MVP en titre de la LFB et passe de Nantes à Bourges. Athlétique, présente au rebond des deux côtés du terrain, à l’aise dans le jeu sans ballon, humble, elle est encore une novice au plus haut niveau international.\\n\\nLi Yueru – 2,01m, 19 ans, pivot, Chine\\n\\nLe diamant asiatique. Avec près de 17 points et 9 rebonds, elle a emmené la Chine à la médaille de bronze aux Jeux Asiatiques 2017 où son avantage en taille était colossal. On dit d’elle qu’elle est la version chinoise de Shaquille O’Neal. On en saura davantage quand elle sera passée au révélateur de la Coupe du monde. A noter que de la même génération, Xu Han fait 2,06m. Dans une population de 1,3 milliard d’habitants, c’est plus facile de dénicher des géantes.\\n\\nAstou Ndour – 1,96m, 24 ans, ailière-pivot, Espagne\\n\\nUne Sénégalaise naturalisée espagnole qui avait explosé les compteurs dans les compétitions internationales de jeune (meilleur espoir européen en 2013) mais qui fut un temps barrée en équipe senior par une autre naturalisée, Sancho Lyttle. 13,2 points et 8,2 rebonds aux JO de Rio. Elle a du mal à trouver ses marques en WNBA : 4,6 points et 2,6 rebonds en 12’ cet été avec Chicago.\\n\\nLaia Palau – 1,78m, 39 ans, meneuse, Espagne\\n\\nLa mamy mais aussi l’icône du basket espagnol. Une créatrice qui possède des gestes fabuleux, une énergie folle, un charisme unique... et un vice reconnue. Tous les titres du basket féminin espagnol depuis quinze ans sont à son palmarès. La Barcelonaise est venue faire une pige à Bourges en fin de saison dernière et gagner un autre titre. Parle parfaitement français. Pas encore à la retraite puisque s’est engagée avec Girone pour la prochaine saison mais peut-être que ce Mondial va servir d’adieux à la seleccion.\\n\\nAlba Torrens – 1,92m, 29 ans, ailière, Espagne\\n\\nTout en longueur, tout en technique, tout en énergie. Redoutable en transition. Considérée par la FIBA comme la meilleure joueuse d’Europe en 2011 et 2014 confirmant ainsi sa valeur de meilleure cadette européenne de sa génération. Accessoirement la meilleure joueuse de la meilleure équipe européenne. 17,8 points à l’Euro 2017 dont elle fut élue la MVP. A Ekaterinbourg depuis 2014.\\n\\nSue Bird – USA – 1,75m, 38 ans, meneuse, Etats-Unis\\n\\nEncore championne WNBA en ce mois de septembre. Elle a tout, tout gagné. 4 titres olympiques, 3 de championne du monde, 3 de championne WNBA, 11 fois All-Star, 4 de championne de l’Euroleague, 2 de championne NCAA... Un cerveau. Meilleure passeuse de WNBA de tous les temps. Elle possède aussi la nationalité israélienne. Du 16 octobre 1980 donc de quatre jours la cadette de Ann Wauters.\\n\\nElena Delle Donne – 1,96m, 29 ans, arrière-ailière, Etats-Unis\\n\\nUn alliage détonant de moyens physiques, de vitesse et de technique. Elle était aussi une remarquable volleyeuse à l’université. Star de la WNBA (20,4 points et 6,7 rebonds en 6 saisons), son palmarès en équipe nationale est finalement encore peu épais. Elle avait dû déclarer forfait pour le Mondial 2014 en raison d’une blessure au dos. Elle souffre de la maladie de Lyme, une maladie infectueuse.\\n\\nBreanna Stewart – 1,94m, 24 ans, ailière, Etats-Unis\\n\\nA tout juste 24 ans, elle possède déjà un palmarès qui en fait ni plus ni moins la numéro 1 mondiale actuelle avec notamment quatre trophées de MVP (MOP) du Final Four universitaire et cet été celui de la saison et des Finals WNBA. Après deux saisons en Chine, elle va disputer pour la première fois l’Euroleague avec le Dynamo Kursk. Elle a révélé récemment avoir été victime de violences sexuelles durant son enfance.\\n\\nDiana Taurasi – 1,83m, 36 ans, arrière, Etats-Unis\\n\\nLa référence du basket féminin de l’an 2000. Star de Ekaterinbourg et du Phoenix Mercury. Même si elle est au crépuscule de sa carrière, elle est toujours capable de prendre feu à tout moment. Notamment, quatre fois championne olympique, deux fois championne du monde, cinq fois vainqueur de l’Euroleague. Son père italien était un gardien de but professionnel et sa mère une Argentine. En couple avec l’ancienne star australienne, Penny Taylor.\\n\\nSandrine Gruda – 1,92m, 31 ans, intérieure, France\\n\\nUne sérieuse candidate au titre honorifique de meilleure basketteuse française de tous les temps. Pilier des Bleues avec Céline Dumerc depuis une douzaine d’années. Une panthère qui sait marquer le territoire dans la peinture avec un tir à 4-5 mètres très efficace. Après neuf saisons à Ekaterinbourg, elle a goûté au championnat turc, fait un court passage à l’ASVEL et va rejoindre Schio à la rentrée. Seule Française à avoir obtenu la bague de championne WNBA.\\n\\nMarine Johannes – 1,78m, 23 ans, arrière, France\\n\\nUne artiste. Des gestes (shoots, passes, dribbles...) uniques pour une Européenne qui font aimer le basket féminin aux pires des machos. La Berruyère devient de plus en plus régulière dans ses performances. Née à Lisieux et du club de Pont l’Evêque comme Nicolas Batum. Surnommée Stéphanie Curry pour ses ressemblances dans le jeu avec la star des Warriors dont elle est fan. Timide mais se soigne.\\n\\nManami Fujioka \u200a- 1,70m, 24 ans, arrière, Japon\\n\\nAnnoncée comme la leader d’une équipe qui peut causer quelques surprises malgré son handicap légendaire de poids et de taille: le Japon. C’est elle qui pour ses débuts avec les A a emmené l’an dernier son équipe nationale à un troisième succès d’affilée en Coupe d’Asie auparavant chasse gardée de la Chine et de la Corée du Sud. 11,3 points, 8,2 passes et 5,2 rebonds. Très dynamique. Le Japon a dans le viseur les JO de 2020 qu’il va organiser.\\n\\n[armelse]\\n\\nLiz Cambage – 2,03m, 27 ans, pivot, Australie\\n\\nNée à Londres d’un père nigérian et une mère australienne. Une présence physique unique mais aussi un toucher qui lui permet notamment de représenter un danger à trois-points. Aux JO de Londres, elle avait dunké d’une main contre la Russie. 23,5 points avec 58% de réussite et 10,3 rebonds aux Jeux de Rio. Un record WNBA de 53 points cet été. Elle a préféré jusqu’ici monnayer son talent en Chine plutôt qu’en Europe.\\n\\nEmma Meesseman – 1,92m, 25 ans, pivot, Belgique\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture: Sue Bird (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Portel signe l’ancien international Yakhouba Diawara en pigiste"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir sondé en vain Damien Inglis, l’ESSM Le Portel a signé en pigiste médical de Jay Crockett l’ancien NBAer et international, Yakhouha Diawara (2,01m, 36 ans).\\n\\nFormé à Dijon et également aux Etats-Unis, champion d’Europe junior avec Tony Parker et Boris Diaw, doté de grosses qualités athlétiques, le Yak a derrière lui une carrière en NBA riche de 187 matches en 4 saisons (3,5 points et 1,4 rebond) et aussi de belles réussites en Italie notamment à Bologne. Il évoluait la saison dernière au Pistoai Basket 2000 pour 6,6 points (38,2% aux tirs) et 5,5 rebonds en 11 matches.\\n\\nEn France, Yakhouba Diawara a également porté les maillots de Gravelines et Limoges avec une réussite mitigée. Il compte 43 sélections en équipe de France de 2007 à 2012 et il a ainsi participé aux Jeux de Londres.\\n\\nPhoto: Pistoia Basket 2000"
}, 
{"role": "user",     "content":"Monaco-Villeurbanne: Plusieurs absences, Amara Sy va devoir se faire opérer"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’affiche est alléchante: Monaco vs Villeurbanne. Les deux plus gros budgets de la Jeep Elite. Le retour du coach Zvezdan Mitrovic dans la principauté mais cette fois sur le banc villeurbannais. RMC Sport ne se trompe pas en diffusant le match sur ses antennes à 18h30. Seulement les deux équipes déplorent quantité d’absences.\\n\\nDu côté asvélien, Alpha Kaba (coude) et Livio Jean-Charles (genou) sont out. Et la Roca Team est encore plus pénalisée. Son nouveau meneur de jeu américain Lazeric Jones (1,85m, 28 ans) n’est pas qualifié pour la rencontre:\\n\\n« La commission de qualification de la LNB a estimé que les documents concernant la révision du budget auraient dû être envoyés préalablement à la demande de qualification du contrat, » indique le club.\\n\\nD’autre part, ce n’est pas encore ce coup ci que Yakuba Ouattara va faire sa rentrée, lui qui avait manqué les playoffs de la saison dernière. Il souffre dune lésion myo-aponévrotique du long biceps des ischios de la cuisse droite et a été mis au repos pour une semaine.\\n\\nCe n’est pas le plus grave. C’est davantage le nouveau coup dur qui frappe Amara Sy, 37 ans depuis août, qui inquiète:\\n\\n« Récidive de rupture du ligament scapho-lunaire. L’Amiral va devoir être opéré. On en saura plus prochainement sur la durée de l’indisponibilité du capitaine. »\\n\\nPhoto: Amara Sy, FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans: L’absence prolongée de Terry Tarpey"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le champion de France en titre a chuté d’entrée à Levallois, 85-74. Le coach Eric Bartecheky n’a que huit joueurs pros sous la main et il a peu utilisé hier Petr Cornelie (8′) et Wilfried Yeguete (7′). Une pièce maîtresse manque cruellement au Mans, Terry Tarpey. Et ça fait longtemps que ça dure.\\n\\nBlessé au genou, l’ancien étudiant à William & Mary né à Poissy, il y a 24 ans, avait loupé la fin de saison régulière et les playoffs. Malgré tout ses équipiers avaient réussi à toucher le jackpot sans lui. Son genou est depuis remis à 100% et il a profité de l’inter-saison pour signer un contrat jusqu’en 2022 et perfectionner son jeu:\\n\\n« Au cours de l’été, j’ai voulu tout améliorer. Le rebond, la rapidité. J’aimerais faire mieux à la finition autour du cercle et dans mes contacts avec les joueurs. Travailler le pick and roll et bien sûr, mon shoot, » a t-il déclaré à Ouest France.\\n\\nSeulement le Franco-Américain souffre actuellement des ischio-jambiers et il ne s’est pas entraîné depuis le premier match de pré-saison contre Limoges. Son absence est une vraie plaie dans un effectif assez réduit d’autant que Tarpey est un fantastique soldat qui excelle dans les taches défensives ingrates.\\n\\nMalheureusement pour le MSB, il n’a pas encore repris les entraînements collectifs et un retour pour la venue de Cholet mardi à Antarès parait prématuré. Un match que les Manceaux doivent absolument gagner pour ne pas se mettre dans une situation déjà fâcheuse.\\n\\nPhoto: MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jean-Denys Choulet (Chalon): «On met souvent en avant la saison dernière, on oublie souvent la saison d’avant»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Elan Chalon a parfait débuté sa saison au Colisée en prenant le meilleur sur Fos-sur-mer, 88-74. Et son coach Jean-Denys Choulet en est satisfait comme il l’a dit en zone mixte à ElanTV.\\n\\n« Ce soir on a fait une partie correcte contre une équipe certes qui monte mais vous savez, les promus ça ne veut plus rien dire aujourd’hui. Ce n’est jamais facile de jouer le promu à domicile le premier match. Les gens peuvent dire ce qu’ils veulent mais on a eu un écart conséquent pratiquement tout le temps (...) On a démarré la saison plus correctement qu’on a pu la commencer la saison dernière. Votre collègue a dit qu’on avait fait une saison annus horribilis la saison dernière, je ne sais pas ce qu’il va sortir pour ce premier match, peut-être un autre mot latin. Les saisons se suivent et ne se ressemblent pas toujours. On met souvent en avant la saison dernière, on oublie souvent la saison d’avant. »\\n\\nEt à propos de la bonne tenue des recrues étrangères, Justin Robinson (11 passes mais 2/11 aux shoots), Juan Palacios (20 points, 11 rebonds) et Vince Sanford (17 points à 7/11), JDC a déclaré :\\n\\n« Ca veut dire que le coach n’est pas complètement débile au niveau du recrutement.... »\\n\\nPhotos: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Selon son président, le Real Madrid veut intégrer la NBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le président du Real Madrid, Florentino Pérez a fait une déclaration tonitruante en annonçant qu’il veut que son club intègre la NBA a révélé le site El Confidencial. Ce souhait a été exprimé lors d’une rencontre avec les socios du club.\\n\\n«La NBA veut créer une confédération européenne mais le Real Madrid est le seul club à vouloir y entrer. Je leur ai demandé de nous inclure à la conférence Est», a-t-il ainsi indiqué. «Pour le moment, c’est non, mais ce n’est pas exclu. Imaginez que tous les Espagnols qui jouent en NBA soient dans notre équipe... »\\n\\nL’intégration d’équipes européennes en NBA est un vieux serpent de mer mais posent d’insolubles problèmes: la longueur des voyages et encore plus le financement. Que pèse la section basket du Real face aux franchises NBA? Rien !\\n\\nFaut-il rappeler à Florentino Pérez que son club a perdu 28,9 millions d’euros sur le dernier exercice, sur un budget de 44,27 millions. Ce qui veut dire que ses recettes sont de même pas 15 millions... En clair, le basket est la danseuse des socios du foot. Le salary cap cette saison en NBA est de 101.869M€. Un autre monde. Le soleil a du frapper trop fort sur les têtes en Castille cet été...\\n\\nPhoto: Luka Doncic (Euroleague)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du Monde Féminine: Même avec un genou douloureux, Ann Wauters, 38 ans, est fidèle au poste"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ann Wauters (1,95m) a tout gagné. Quatre fois l’Euroleague dont à deux reprises avec Valenciennes, une fois l’Eurocup avec Villeneuve d’Ascq, cinq fois le titre de meilleure joueuse européenne, d’autres trophées encore comme celui de meilleure étrangère de 20 ans de Ligue Féminine. Et puis avec la Belgique une médaille de bronze au championnat du monde 3×3 en 2014 et surtout une autre du même métal à l’EuroBasket 2017.\\n\\nA bientôt 38 ans -elle les aura le 12 octobre-, Ann Wauters est une légende bien vivante puisqu’elle est toujours au milieu des Belgian Cats. Seulement ne lui demandez plus de passer près de quarante minutes sur le terrain. L’équipe belge a désormais comme leader sur le terrain Emma Meesseman, intérieure tout comme elle mais de treize ans sa cadette. C’est déjà beau que la blonde Ann soit présente à Ténérife.\\n\\n“Pourtant ce n’est pas facile tous les jours, surtout avec ces soucis de genou que je traîne depuis plusieurs mois (elle avait été opérée au début janvier). Ma préparation a été perturbée et je suis contente d’avoir pu jouer au moins un match d’entraînement pour me situer même si le lendemain ce fut plus dur! On a fait tout ce qu’il fallait avec les médecins pour que je puisse tenir ma place même si ce sera avec moins de minutes de jeu et dans un rôle différent désormais,” a t-elle confié à La Dernière Heure.\\n\\nSi son rendement chiffré sera forcément en baisse, Ann Wauters demeure la grande soeur de l’équipe belge et son expérience rassurante est toujours indispensable sur le parquet comme en dehors. Et elle se dit confiante quant à l’esprit qui règne dans l’équipe belge.\\n\\n“À Prague, l’an dernier, notre force avait été la formidable cohésion de l’équipe. Je n’ai aucun doute qu’il en ira de même ici. »\\n\\nHier, Ann est entrée en jeu moins d’une minute face à Porto Rico. Ses équipières n’ont pas eu besoin d’elle pour faire parler la poudre: 86-36.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Quand Strasbourg met Cholet KO debout, 112-75"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La SIG Srasbourg a envoyé un message à toute la Jeep Elite dès la première journée en pulvérisant Cholet Basket à La Meilleraie: 112-75!\\n\\nLe premier chiffre individuel qui attire l’attention, c’est le 34 d’évaluation de Youssoupha Fall (2,21m, 23 ans) avec 25 points à 12/14 aux tirs et 12 rebonds.\\n\\nLe deuxième, ce sont les 14 points de Quentin Goulmy (2,05m, 20 ans) en 11 minutes. Il n’était entré en jeu que huit fois en carrière et jouer des miettes.\\n\\nLes troisièmes ce sont les 9 points, 5 passes et 3 rebonds du meneur Ludovic Beyhurst (1,72m, 19 ans).\\n\\nCollectivement, il y a aussi la différence à l’évaluation: 88 avec un 154 à 66. Dans le détail, cela donne 47-21 aux rebonds, 32-11 aux passes, et encore 59,5 à 39,3 à l’adresse aux tirs.\\n\\n« Le match parfait n’existe pas », a estimé le coach de la SIG Vincent Collet. « En tout cas on a fait un très bon match qu’on a pris du bon pied en étant sérieux d’entrée et on n’a jamais vraiment relâché ce sérieux. Et comme ça arrive parfois, nous avons eu la réussite pour nous et tout s’est enchaîné à l’image des 14 points inscrits par Goulmy en seulement 10′ à la fin. L’écart est anecdotique. C’est un peu malheureux pour Cholet car je pense qu’il ne méritaient pas ça. Il n’y a pas eu d’abandon de leur côté. On est entré dans une période de réussite maximale et c’est ça qui a permis de creuser l’écart. Mais je suis content car on a été sérieux avant ça et on a jamais vraiment laissé Cholet y croire... Youssoupha a été mis sur orbite par les autres et il a converti ses paniers dès le début du match. Ils ont pris un temps mort qui leur a redonné de l’agressivité mais on a su trouver les solutions comme par exemple Ali Traoré qui a très bien fini la mi-temps »\\n\\nDur entrée en piste pour le nouveau coach de Cholet Basket Régis Boissié !"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde féminine – Valérie Garnier: «J’attends que mes joueuses mettent leurs actes à hauteur de leurs ambitions»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Coach de l’équipe de France depuis 2013, Valérie Garnier pilote les Bleues à la Coupe du Monde qui démarre demain à Ténérife par un match contre la Corée. Elle nous parle de son équipe, de ses ambitions et aussi de son séjour en Turquie ponctuée d’un coup de maître puisqu’elle a obtenu le titre national avec Fenerbahçe.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLa préparation de l’équipe de France l’a amenée à rencontrer quatre des meilleures nations mondiales, Etats-Unis, Espagne, Australie et Canada. Quel bilan en faites-vous ?\\n\\nC’est une préparation qui a répondu à nos attentes puisqu’on est monté en puissance au fil des jours avec des oppositions de plus en plus intéressantes. On peut être satisfait de cette préparation et notamment de ce qui s’est passé lors du dernier tournoi d’Antibes.\\n\\nPrendre 14 rebonds offensifs aux Américaines alors qu’elles en ont pris que 4 vous a rassuré ?\\n\\nOui. Elles ont été enfin convaincantes dans les attitudes au rebond. On leur avait fait une vidéo pour leur montrer ce qu’on voulait vraiment. Les chiffres ont été vraiment intéressants contre les Etats-Unis et ceux du rebond offensif et défensif en font partie.\\n\\nFace au Canada à Antibes, que vous allez retrouver comme votre adversaire dans le groupe de Ténérife, avez-vous un peu masqué votre jeu ?\\n\\nLa meilleure joueuse du Canada (Kia Nurse) a joué 32 minutes, je ne sais pas si elles ont masqué... Ce que je sais c’est que je n’ai pas voulu entamer physiquement mes joueuses. Sur l’ensemble des trois matches, des joueuses ont plus joué mais personne n’a dépassé les 60 minutes et sur celui du Canada, tout le monde est à plus ou moins 20 minutes. On a géré les organismes. Après on sait que les deux équipes sont très proches l’une de l’autre et on sait que ce sera un match primordial.\\n\\nVotre premier adversaire sera la Corée du Sud. Le jeu asiatique est très atypique. On peut se souvenir du quart-de-finale des Jeux de Sydney en 2000 où alors que la France paraissait mieux armée, elle s’était faite piéger, incapable de profiter de son avantage physique. Avez-vous pu rassembler suffisamment d’informations pour l’analyser ?\\n\\nOn n’a pas beaucoup d’informations. On sait juste que l’équipe va jouer sous le nom de Corée du Sud mais qu’il y a trois joueuses de la Corée du Nord. On a le roster, les noms, on a pu faire un travail vidéo sur le dernier match. On sait que c’est un basket vif, que ça joue très large, un jeu de passes. On sait tout ça et c’est pourquoi ce n’est pas si facile à négocier.\\n\\nCéline Dumerc était la meneuse titulaire de l’équipe de France depuis des années et aussi sa leader. Une leader s’est-elle dégagée durant cette préparation pour la remplacer ?\\n\\nC’est un leadership partagé. Il y a la capitaine (Endy Miyem), des leaders plus vocaux, d’autres plus techniques sur le terrain.\\n\\nSur le plan des meneuses, derrière Olivier Epoupa, vous alternerez entre Romane Bernies et Alix Duchet suivant que l’accent sera mis sur la défense ou l’organisation ?\\n\\nOui, Romane est plus sur des missions défensives et Alix dans l’organisation du jeu. C’est une joueuse de pick and roll. Ça amène des choses différentes. Ça a très bien fonctionné contre les Etats-Unis où elles se sont partagées le temps de jeu à quelques secondes près (NDLR : 20 minutes chacune en l’absence de Olivia Epoupa blessée à la cuisse) dans un style complètement différent.\\n\\nJusqu’à quel moment avez-vous pensé que Bria Hartley (meneuse du New York Liberty dont la grand-mère maternelle est française) pouvait vous rejoindre ?\\n\\nPour l’intégrer, j’aurais aimé qu’elle puisse venir au moment où elle a quitté la WNBA, soit après son dernier match, le 19 août. Ça lui aurait permis de faire le stage de Lyon, partir à Valence, être à Paris et Antibes. Le statut quo du dossier laissait peu de place à son arrivée.\\n\\nC’est votre future joueuse à Fenerbahçe. Avez-vous eu des contacts directs avec elle ?\\n\\nOui, depuis octobre dernier puisque c’est moi qui a eu le premier contact avec elle. C’est son agent qui m’a contactée et c’est moi qui l’ai appelée. Je l’ai eu quelques fois au téléphone en Turquie pour la production de documents. Même chose quand elle était en WNBA. Ensuite des personnes de la fédération ont pris le relai. Et effectivement ça sera ma joueuse dans quinze jours.\\n\\nAvez-vous toujours espoir de l’avoir en équipe de France et notamment pour la prochaine fenêtre ?\\n\\nLe dossier est pris en mains par la fédération et ça a l’air de commencer un peu à bouger. On verra où ça nous emmène.\\n\\n« Ce que j’ai ressenti au Fenerbahçe, c’est beaucoup de respect pour le basket féminin français »\\n\\nAprès Pierre Vincent à Schio, vous avez été appelée par un club étranger majeur. C’est un signe fort de reconnaissance pour les coaches du basket féminin français alors que ceux de Jeep Elite ne sont pas sollicités ?\\n\\nCe que j’ai ressenti au Fenerbahçe, c’est beaucoup de respect pour le basket féminin français et pour la qualité de ses joueuses, sur sa présence sur les premières marches à chaque compétition. C’est ce que j’ai constaté régulièrement lorsque j’ai été appelé sur des plateaux TV. J’ai aussi ressenti ça de la part de mes joueuses, de mon staff, de mon manager, des médias.\\n\\nVous avez dit que le sexisme au quotidien est moins perturbant que vous ne le craigniez et que les gens autour de vous sont gentils et serviables ?\\n\\nIl y a beaucoup de bienveillance, de respect. C’est ce que j’ai pu ressentir pendant deux mois dans un contexte où tout allait bien puisque j’ai pris l’équipe quand ça allait mal et on s’est retrouvé à être champion en gagnant douze matches sur treize. Ça a fait une énergie très positive. C’est vrai que j’ai trouvé les gens avec qui je travaillais accueillants, souriants, disponibles. C’est peut-être dû aux résultats... Je vais voir cette saison.\\n\\nLe Fenerbahçe est un club omnisports. Avez-vous eu des contacts avec les autres sections et notamment avec Zeljko Obradovic, le coach des garçons ?\\n\\nOn s’est croisé, on s’est salué, on a discuté un petit peu... Durant ces deux mois, j’habitais loin de la grande aréna. J’avais un chauffeur mais c’était difficile pour moi de le faire traîner. J’ai déjà demandé la possibilité de pouvoir assister à des entraînements de l’équipe du Fenerbahçe garçon. Il fait profiter de cette opportunité d’avoir un tel coach dans le même club pour le voir travailler. C’est une vraie famille le Fenerbahçe garçons et filles. Dans la grande arène qui est vraiment immense, il y a la salle de 15 000 des garçons et celle de 2 000 des filles, les bureaux des garçons, ceux des filles, la boutique du club. Le foot a le même type de complexe et c’est là que sont les bureaux des présidents. Ce qui fait que moi pour l’instant, je n’ai croisé que les basketteurs.\\n\\nLa circulation est très difficile à Istanbul, c’est pour ça que c’est difficile de se déplacer d’un point à un autre ?\\n\\nC’est pour ça qu’ils mettent un chauffeur à disposition des étrangers ! Il y a beaucoup de monde sur les grandes artères. Et là où on a quatre voies, eux ils en font six. C’est pour ça que c’est difficile de rouler dans Istanbul. A côté de ça, il y a beaucoup de choses intéressantes à voir.\\n\\nPlusieurs clubs turcs ont récemment mis la clé sous la porte aussi bien chez les garçons que chez les filles. Est-ce un sujet de préoccupation ?\\n\\nJe suppose que c’est une préoccupation pour le basket turc et le pays tout entier. Ce sont les problèmes économiques qui déclenchent ces arrêts ou ces difficultés des clubs. Lorsque je suis arrivée en Turquie à la fin mars, la Livre était à 4,68 alors qu’aujourd’hui elle est à 7,60. Pour un euro, on avait avant aux alentours de 5 Livres turques alors qu’aujourd’hui c’est 7,5-7,6 et c’est monté jusqu’à 8. Les contrats des étrangers sont en euros ou en dollars et c’est ça qui amène des difficultés. Je sais que pour avoir eu des échanges avec mon staff, ce n’est pas facile à vivre.\\n\\nDogus était le principal sponsor du Fenerbahçe et il s’est retiré. C’était celui des garçons ou pour l’ensemble du club ?\\n\\nC’était celui du club. Un nouveau président est arrivé en juin et je pense qu’il amène de l’argent. Il n’y a pas beaucoup de sponsors. Pour nous les filles, il y en a un sur le maillot devant et un autre derrière, voilà.\\n\\nY a-t-il beaucoup de spectateurs ?\\n\\nLes garçons remplissent la salle (rires). Quand je suis arrivée, du côté des filles, c’était un peu calme. J’ai demandé pourquoi et on m’a expliqué que les supporters étaient déçus de l’élimination du final four et qu’ils boudaient un petit peu. Ils sont revenus petit à petit pour remplir la salle de 2 000 places durant la salle finale.\\n\\nEt dans les autres salles ?\\n\\nL’avantage, c’est que le Fenerbahçe déplace beaucoup de monde. Et comme par exemple les grands clubs de foot français, dans chaque salle où on se déplace, il y a toujours trente ou cinquante supporters du Fenerbahçe, en bleu marine et jaune.\\n\\nPour revenir à cette Coupe du monde, l’ambition c’est une médaille ?\\n\\nCe sont les joueuses qui disent ça et j’en suis ravie. J’attends maintenant qu’elles mettent leurs actes à la hauteur de leurs ambitions. Attention, la Corée, ça va être un match piège car c’est le premier de la compétition, à 13h30, une équipe un peu inconnue. C’est un match que les entraîneurs trouvent piégeux. On les croise à l’hôtel. Il y en a une qui est costaude, les autres c’est petit (NDLR : Ji Su Park fait 1,94m).\\n\\n[armelse]\\n\\nLa préparation de l’équipe de France l’a amenée à rencontrer quatre des meilleures nations mondiales, Etats-Unis, Espagne, Australie et Canada. Quel bilan en faites-vous ?\\n\\nC’est une préparation qui a répondu à nos attentes puisqu’on est monté en puissance au fil des jours avec des oppositions de plus en plus intéressantes. On peut être satisfait de cette préparation et notamment de ce qui s’est passé lors du dernier tournoi d’Antibes.\\n\\nPrendre 14 rebonds offensifs aux Américaines alors qu’elles en ont pris que 4 vous a rassuré ?\\n\\nOui. Elles ont été enfin convaincantes dans les attitudes au rebond. On leur avait fait une vidéo pour leur montrer ce qu’on voulait vraiment. Les chiffres ont été vraiment intéressants contre les Etats-Unis et ceux du rebond offensif et défensif en font partie.\\n\\nFace au Canada à Antibes, que vous allez retrouver comme votre adversaire dans le groupe de Ténérife, avez-vous un peu masqué votre jeu ?\\n\\nLa meilleure joueuse du Canada (Kia Nurse) a joué 32 minutes, je ne sais pas si elles ont masqué... Ce que je sais c’est que je n’ai pas voulu entamer physiquement mes joueuses. Sur l’ensemble des trois matches, des joueuses ont plus joué mais personne n’a dépassé les 60 minutes et sur celui du Canada, tout le monde est à plus ou moins 20 minutes. On a géré les organismes.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les 19 points de Marine Johannès contre la Corée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A voir ou à revoir, les 19 points de Marine Johannès contre la Corée avec un 5/9 à trois points."
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde féminine: Les Françaises en démonstration face à la Corée du Sud, 89-58"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Malgré un retard à l’allumage, l’équipe de France a aisément écarté la Corée du Sud (89-58) qui s’est finalement présentée sans joueuses du Nord, ce qui aurait constitué un moment historique. Les Françaises étaient trop puissantes (50 à 24 au rebond), très concentrées et le feu est venu d’un peu partout (5 joueuses à au moins 12 d’évaluation, 11 à plus de 7).\\n\\nLe démarrage fut laborieux. Les Coréennes marquaient un trois-points sur la première attaque et se positionnaient regroupées dans la peinture en défense, ce qui donnait le ton sur leurs intentions. Cette stratégie rendait mal à l’aise les Bleues qui perdaient des ballons et surtout loupaient 9 de leurs 10 premiers shoots et étaient menées 2-9 au score puis plus tard 12-22 avec un 4/5 à trois-points pour les Asiatiques. Danbi Kim avait alors marqué 11 points à elle seule.\\n\\nDans le deuxième quart-temps, les Bleues trouvaient enfin les bons repères, défendaient plus haut, obligeant les Coréennes à shooter de huit mètres, et les privaient de leur jeu de transition. L’égalisation était obtenue à 23 (11e). A la mène Romane Bernies donnait une bonne impulsion alors que Helena Ciak profitait à fond de sa stature (9 points et 10 rebonds en 17′ au total). Sandrine Gruda (meilleur évaluation du match avec 20) faisait aussi un bon job offensivement et défensivement sur Ji Su Park (1,96m, 19 ans), joueuse du banc à Las Vegas en WNBA. Et c’est sûr trois ficelles à trois-points consécutives (!) de Marine Johannès (12 points au total en 12′) que la France portait son avantage à 43-31 à la mi-temps. Pas de doute: au fil du temps, l’ange de Mondeville est devenu un petit démon.\\n\\nAvec un gros engagement des deux côtés du terrain, les Françaises se jouaient de la défense 3-2 des Coréennes qui de leur côté explosaient physiquement et ne trouvaient plus les positions de tirs qui leur conviennent. Le score montait à 56-36 (26e) et encore 66-41 (30e). Les Françaises se gavaient de points à l’intérieur et en contre-attaques.\\n\\nLa Villeurbannaise Marième Badiane était la dernière Française à entrer en jeu dans le quatrième quart-temps. Ce fut la seule à ne pas marquer de points malgré trois tentatives. Une simple anecdote. Ce sera certainement moins aisé demain face à la Grèce et mardi contre le Canada.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nhttps://twitter.com/FIBA/status/1043505082409598976\\n\\nPhoto: Olivia Epoupa (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: La mini-movie des Bleues à Antibes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de France va démarrer la Coupe du Monde ce jour à 14h30 contre la Corée du Sud (retransmission sur Canal+ Décalé). Pour faire patienter, la FFBB vient de publier cette mini-movie sur le tournoi d’Antibes.\\n\\nPhoto: Olivia Epoupa (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Villeurbanne: Livio Jean-Charles arrêté pour deux mois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"LDLC ASVEL a beau avoir l’un des effectifs les plus complets de Jeep Elite, voici un deuxième coup dur qui pourrait prêter à conséquence dans ses performances. Après Alpha Kaba qui est arrêté pour trois mois depuis la fin août à cause d’une blessure à un coude, c’est Livio Jean-Charles (2,06m, 24 ans) qui rejoint l’infirmerie.\\n\\n« LDLC ASVEL déplore la blessure de Livio JEAN-CHARLES. Suite à un traumatisme survenu lors du dernier match de préparation, face à Gravelines-Dunkerque, l’intérieur villeurbannais a du être arrêté pour une durée de deux mois afin de pallier l’inflammation persistante dans son genou gauche. L’objectif est de lui assurer une réathlétisation complète pour lui permettre de réintégrer le groupe professionnel à la mi-novembre », écrit le club dans un communiqué."
}, 
{"role": "user",     "content":"3×3: La France double vainqueur à la Ligue des Nations U23"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La France a réalisé un magnifique doublé en remportant la deuxième édition de la Ligue des Nations FIBA 3×3 U23 à Hyderabad, en Inde, aussi bien chez les garçons que chez les filles.\\n\\nDans la catégorie féminine, la France a légèrement devancé la Chine au classement (720 points à 710 au total). Les Bleues ont entamé leur campagne sur une série de 13 victoires consécutives et ont remporté 5 des 8 étapes auxquelles elles ont participé. Caroline Hériaud a été nommée MVP de la compétition.\\n\\nChez les hommes, les Bleus ont également devancé la Chine mais plus largement (740 à 700 points). Emmenés par Charly Pontens, ils ont remporté les derniers tournois à Hyderabad.\\n\\nLa FIBA 3×3 U23 Nations League est une compétition nationale pour hommes et femmes de moins de 23 ans et une opportunité permanente pour les futurs talents de parfaire leurs compétences en préparation de la Coupe du monde FIBA 3×3, des jeux multisports et des Jeux Olympiques.\\n\\nLa France succède au palmarès aux Hongroises et aux Slovène chez les hommes. Cette 2e édition de la Ligue des nations des moins de 23 ans a réuni 31 équipes de 14 pays.\\n\\nPhotos: FIBA\\n\\n\\n\\n\\nNom\\nPrénom\\nAnnée\\nClub\\n\\n\\nDUSSOULIER\\nLucas\\n1996\\nPau\\n\\n\\nPONTENS\\nCharly\\n1995\\nBlois\\n\\n\\nREGINA\\nMickaël\\n1996\\nSaint-Vallier\\n\\n\\nSEYMOUR\\nJim\\n1998\\nPoitiers\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNom\\nPrénom\\nAnnée\\nClub\\n\\n\\nBERKANI\\nLisa\\n1997\\nBourges\\n\\n\\nHERIAUD\\nCaroline\\n1996\\nRoche Vendée\\n\\n\\nGUAPO\\nLaetitia\\n1995\\nReims\\n\\n\\nKONE\\nAssitan\\n1995\\nLattes M.\\n\\n\\nMANE\\nMarie\\n1995\\nLattes M.\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Elite: Consulter tous les résultats de pré-saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que la saison reprend officiellement ce week-end, rappelons que la Ligue Nationale de Basket a répertorié l’ensemble des résultats des matches de pré-saison de Jeep Elite.\\n\\nC’est à consulter ici.\\n\\n\\n\\n\\n15/09\\nBCM Gravelines-Dunkerque\\nASVEL Lyon-Villeurbanne\\n74-70\\nGravelines (Sportica)\\n\\n\\n15/09\\nSIG Strasbourg\\nSidigas Avellino\\n101-93\\nAngers (Salle Jean Bouin)\\n\\n\\n15/09\\nAix-Maurienne Savoie Basket\\nBBC Monthey\\n76-56\\nEpagny Metz-Tessy (Complexe de Sous-Lettraz)\\n\\n\\n15/09\\nChampagne Châlons-Reims\\nBelfius Mons Hainaut\\n74-68\\nChâlons-en-Champagne (Palais des Sports Pierre de Coubertin)\\n\\n\\n15/09\\nFenerbahce Istanbul\\nLimoges CSP\\n75-84\\nCagliari (Palapirastu)\\n\\n\\n15/09\\nESSM Le Portel\\nBC Oostende\\n62-65\\nGravelines (Sportica)\\n\\n\\n15/09\\nCholet Basket\\nLe Mans Sarthe Basket\\n84-95\\nAngers (Salle Jean Bouin)\\n\\n\\n15/09\\nGladiators Trier\\nSLUC Nancy\\n73-74\\nDudelange (Centre Sportif René Hartmann)\\n\\n\\n15/09\\nNanterre 92\\nKK Zadar\\n95-71\\nAngers (Salle Jean Bouin)\\n\\n\\n14/09\\nLe Mans Sarthe Basket\\nSidigas Avellino\\n82-91\\nAngers (Salle Jean Bouin)\\n\\n\\n14/09\\nBCM Gravelines-Dunkerque\\nESSM Le Portel\\n71-60\\nGravelines (Sportica)\\n\\n\\n14/09\\nNantes Basket Hermine\\nUJAP Quimper\\n74-80\\nOrvault (Salle de la Frébaudière)\\n\\n\\n14/09\\nC Chartres Basket\\nRouen Métropole Basket\\n86-90\\nChartres (Halle Jean Cochet)\\n\\n\\n14/09\\nElan Chalon/Saône\\nBelfius Mons Hainaut\\n105-68\\nChalon/Saône (Le Colisée)\\n\\n\\n14/09\\nSIG Strasbourg\\nKK Zadar\\n106-95\\nAngers (Salle Jean Bouin)\\n\\n\\n14/09\\nBoulazac Basket Dordogne\\nChorale Roanne\\n75-67\\nBoulazac (Complexe Sportif de l’Agora)\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet: Après trois semaines d’absence, Killian Hayes revient ce soir contre Strasbourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A cause de douleurs au dos et d’une microfracture à un doigt de pied, Killian Hayes (1,96m, 17 ans) a été hors service pendant les trois dernières semaines de préparation mais il sera bien dans les rangs de Cholet Basket pour affronter ce soir Strasbourg à La Meilleraie.\\n\\n» J’essaie de retrouver des sensations. Je fais aussi attention car ce n’est pas un petit truc. La fin de la préparation a été frustrante surtout quand je voyais que l’équipe était dans le dur. Mais on sent qu’il y a un bon groupe, qui s’entend bien et ça se voit sur le terrain où on ne lâche jamais rien, » a t-il indiqué à Ouest France.\\n\\nToujours dans Ouest France, Antywane Robinson (2,03m, 24 ans) explique pourquoi il est revenu à CB sachant qu’il a déjà porté son maillot de 2008 à 2011.\\n\\n« Ma décision est juste liée à une chose\u2009: j’adore Cholet\u2009! J’ai passé beaucoup de belles années ici. Cholet Basket, c’est ma deuxième maison. Je suis revenu ici pour aider à faire progresser cette équipe, à faire progresser tous ces jeunes. Et aussi pour les supporters, je les connais bien, je pense qu’ils vont mettre une bonne ambiance. »\\n\\nPhoto: CB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Gravelines: 17 points en un quart-temps pour Karvel Anderson"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le BCM Gravelines Dunkerque avait ouvert la saison 2017-18 par une débandade au Mans, 63-103. Cette fois c’est à Sportica que les hommes de Julien Mahé ont lancé les hostilités et ils n’ont pas failli face à Nanterre 92, 84-80.\\n\\nPourtant, après avoir mené 67-49, ils ont dû serrer les dents pour éviter un retour de bâton des Nanterriens qui sont venus leur lécher les baskets à 80-83.\\n\\nL’homme du match fut l’ancien boulazacois Karvel Anderson (1,88m, 27 ans) dont on sait qu’il est amateur de coups de chaud. Il a scoré 17 de ses 22 points dans le troisième quart-temps avec un total de 5/8 à trois-points. Avec l’international dominicain, Edgar Sosa (1,88m, 30 ans, 20 points, 3/6 à trois-points et aussi 6 passes), il forme une sacrée paire de scoreurs."
}, 
{"role": "user",     "content":"Sondage: Pour 2 amateurs de basket sur 3, briller en Europe est indispensable pour que le championnat national soit davantage visible"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un sondage grand public et fans de basket a été commandé auprès de l’Institut Ipsos et l‘Union Sport & Cycle dans le cadre d’un rapport de 74 pages réalisé sous la conduite de Olbia Conseil pour la Ligue Nationale de Basket. Il en ressort quelques chiffres intéressants:\\n\\n76% des Français ne s’intéressent pas ou s’intéressent peu au basket en général... Mais 37% des jeunes Français de 16-24 ans se déclarent très intéressés ou assez intéressés par le basket... Seulement 23% de ceux qui s’informent sur le basket dans les médias suivent régulièrement le championnat de France (Jeep Elite et Pro B réunies). Conclusion: la majorité de ces jeunes sont tournées vers la NBA, ce qui n’est pas une surprise.\\n\\n68% des amateurs de basket considèrent qu’il est obligatoire de briller en Europe si l’on veut que les équipes françaises progressent et que le championnat national soit davantage visible.\\n\\n56% des amateurs de basket veulent une équipe de joueurs fidèles au territoire et auxquels ils peuvent s’identifier. 44% sont indifférents à l’origine des joueurs.\\n\\n69% des amateurs de basket pensent qu’un club doit proposer une expérience globale à son public: des matches, une ambiance mais aussi des contenus digitaux sept jours sur sept.\\n\\n43% des 16-29 ans qui vont voir des matchs de basket voudraient des salles avec des restaurants, des bars et des animations avant et pendant le match. 25% voudraient simplement plus de confort.\\n\\n39% des amateurs de basket âgés de 16 à 29 ans suivent le basket par le biais d’Internet (sites d’un club ou d’information, réseaux sociaux, blogs) contre 25% pour toutes les catégories d’âge.\\n\\nPhoto: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"La FFBB demande aux pratiquants et fans de basket de soutenir le mouvement sportif"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FFBB demande à ses licencié-e-s, aux supporters-trices, pratiquant-e-s de basket, bénévoles et parents de basketteuses et basketteurs de soutenir le mouvement sportif français dans son ensemble qui « a dû subir de plein fouet la diminution drastique des emplois aidés, ainsi que celle de la part territoriale du CNDS. »\\n\\n« Le désarroi ainsi créé aurait pu être effacé si les perspectives 2019 s’étaient annoncées plus souriantes », estime le président Jean-Pierre Siutat. « Pour autant, si les travaux sur la gouvernance du sport ont débouché sur un large consensus à l’idée de créer une Agence nationale associant équitablement Etat, collectivités territoriales et mouvement sportif, avec une participation du monde économique, le sport a du mal pour l’instant à être un enjeu pour la France.\\n\\nPourtant, nul doute de son apport tant sociétal qu’économique. Sans clubs et sans éducateurs, pas de champions, pas d’Equipe de France mais aussi pas d’éducation, pas de santé par le sport, pas de lien social, pas d’intégration, bref pas de valeurs sociétales que chacun attribue au sport mais qu’il n’est possible de transmettre que s’il existe des clubs et des éducateurs tant bénévoles que professionnels.\\n\\nSi le club doit s’adapter aux évolutions de demande de pratique et à un monde en plein bouleversement, néanmoins ses fondamentaux demeurent plus que jamais. Conforter son rôle sociétal doit être une priorité tant de l’Etat que des collectivités territoriales. Pour ce qui concerne ces dernières vous savez tous qu’elles sont le premier financeur du sport français avec un engagement à hauteur de 13,5 milliards d’euros pour leur ensemble.\\n\\nSi la participation de l’Etat est difficilement comparable à cet engagement, elle est pour autant indispensable pour illustrer l’importance qu’il accorde au sport et montrer la voie à suivre. Les collectivités territoriales seront d’autant plus sensibles à la cause sportive que l’Etat lui-même leur en montrera le chemin.\\n\\nC’est pour demander que le mouvement sportif bénéficie de moyens à la hauteur de ses apports humains, économiques et sociétaux que nous devons tous ensemble nous mobiliser pleinement et fortement pour assurer le succès de cette pétition nationale : plus il y aura de signatures, plus cela renforcera la Ministre des sports dans son rôle au sein du gouvernement, les Parlementaires pour défendre le mouvement sportif à leur niveau et ceux qui sont en charge des sports au sein de la région, du département , de la commune ou des communautés de communes pour en faire de même ».\\n\\nUne pétition lancée par le mouvement olympique est à signer ici : http://lesportcompte.franceolympique.com/cnosf/lesportcompte/\\n\\nPhoto: FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Changement de couleurs à l’ASVEL: «Les réactions me gênent car c’est LDLC qui se fait allumer,» déclare son PDG"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le site sportbuzzbusiness donne la parole à Laurent de la Clergerie, PDG et fondateur du groupe high tech LDLC qui a associé son nom à celui de l’ASVEL. Une société qui déclare environ 500 millions d’euros de chiffre d’affaires et qui compte un millier de salariés.\\n\\nLaurent de la Clergerie est bien entendu questionné sur le nouveau logo et l’abandon de la couleur verte, une décision qui a fait hurler non seulement nombre de supporters du club villeurbannais mais aussi des fans de basket de toute la France.\\n\\n« 12 graphistes, tous rattachés à LDLC, ont proposé 35 créations différentes de logo. A partir de là, on a discuté avec Tony pour voir lequel on allait retenir... Les graphistes ont eu des contraintes à respecter fournies par les dirigeants de l’ASVEL comme la notion du 4, des lettres... Le « pas de vert » en faisait partie, ce n’est pas de nous, le brief était le leur, » explique t-il.\\n\\nLe PDG de LDLC insiste sur le fait que changer de couleurs n’est pas sa propre décision mais celui du club :\\n\\n« Les réactions me gênent car c’est LDLC qui se fait allumer... alors qu’en fait... Il y a des discussions en cours entre le club, les supporters, la Mairie... Le club essaie d’éteindre le feu représenté par les « super-fans ». Après, j’ai lâché une phrase maladroite sur le vert lors de la conférence de presse qui n’est pas fun, je n’aurais jamais du dire ça... j’ai dit que le vert ne faisait pas rêver, mais c’était d’un point de vue marketing... On ne s’habille pas en vert. Mais évidemment qu’une équipe peut gagner en vert, il n’y a pas de soucis, mais je n’achèterai pas leur maillot (rires). »\\n\\nPhoto: ASVEL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: L’interview de Olivia Epoupa, meneuse de jeu de l’équipe de France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Besidesports a réalisé cette interview de Olivia Epoupa (1,65m, 24 ans), qui est la meneuse titulaire de l’équipe de France à la Coupe du monde en Espagne. Où elle évoque l’INSEP, les études, son goût pour s’occuper des enfants, le dispositif Sportail Community, et sa relation avec l’ancienne internationale Paoline Ekambi.Photo: FIBA\\n\\nhttps://www.facebook.com/sportailcommunity/videos/1430160490419818/"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Elite: Les prévisions pour la saison 2018-19. La SIG Strasbourg en numéro 1"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Voici les prévisions de BasketEurope pour la saison 2018-19 de Jeep Elite. Ce sont celles pour la saison régulière. Il y aura tant d’impondérables, de renouvellements d’effectif d’ici les playoffs...\\n\\nPOUR LA PREMIERE PLACE\\n\\n1\\n\\nSTRASBOURG\\n\\nDu costaud à tous les postes et un pivot à 2,21m, Youssoupha Fall, ça aide énormément. Voir Chalon en 2017 et Le Mans en 2018. Et la poisse, ce n’est pas fait pour durer.\\n\\n2\\n\\nLYON-VILLEURBANNE\\n\\nUn effectif replet et un coach, Zvezdan Mitrovic, qui a porté Monaco trois fois en tête de la saison régulière. Les Villeurbannais n’ont pas le droit de défaillir à un an de leur probable entrée en Euroleague.\\n\\n3\\n\\nMONACO\\n\\nLa même ossature que l’an dernier mais un coach qui a tout à démontrer. Ne pas les mettre en numéro 1 est forcément un risque mais pour la Roca Team, il est temps d’être la meilleure à l’emballage final. Paul Lacombe candidat au titre de MVP.\\n\\n4\\n\\nLIMOGES\\n\\nUne belle palette de joueurs français et Sekou Doumbouya sous les projecteurs. Le public fait de Beaublanc une citadelle. Il reste à mesurer l’impact des Américains.\\n\\n5\\n\\nLE MANS\\n\\nUn effectif très remanié pour le champion 2018 mais un axe 1 (Juice Thompson) – 5 (Richard Hendrix) solide. Quel Cameron Clark allons-nous retrouver ?\\n\\nPOUR LES PLAYOFFS\\n\\n6\\n\\nGRAVELINES-DUNKERQUE\\n\\nC’est l’heure du rachat. Bon recrutement avec la paire Alain Koffi-Bangaly Fofana. Le combo guard dominicain Edgard Sosa doit faire partie des étoiles du championnat.\\n\\n7\\n\\nNANTERRE\\n\\nLa culture de la gagne et du shoot à trois-points fait partie de l’ADN du club. Julian Gamble, vu à Villeurbanne en fin de saison dernère, doit apporter de la solidité à l’intérieur.\\n\\n8\\n\\nCHALONS-REIMS\\n\\nEt si c’était la surprise du chef après un excellent recrutement au rapport qualité/prix? Un go to guy avec Blake Schilb, plus Jimmy Baron, Jo Passave. De quoi sortir de l’obscurité médiatique.\\n\\n9\\n\\nLEVALLOIS\\n\\nL’apport dans la peinture de Julian Wright et Mouphtaou Yarou est un gage de sécurité. Et une vraie star européenne à la mène, Roko Ukic, qui reprend le flambeau de leader tenu par Boris Diaw..\\n\\n10\\n\\nBOURG-EN-BRESSE\\n\\nAvoir conservé le MVP de la saison 2017-18, Zachery Peacock est une aubaine. Avoir convaincu Zackery Wright de venir dans l’Ain en est une autre.\\n\\n11\\n\\nPAU\\n\\nLes départs d’Elie Okobo et de Alain Koffi sont forcément une grosse perte et peuvent condamner l’Elan au ventre mou. A découvrir les jeunes Digué Diawara et Yohan Choupas.\\n\\n12\\n\\nDIJON\\n\\nAttention à la double ration avec la Champions League. Il faudra aussi que les nouveaux fassent oublier la paire de Français Valentin Bigote/Jacques Alingue qui a fait des étincelles en Bourgogne.\\n\\n13\\n\\nCHALON\\n\\nIl n’y a plus le talent d’il y a deux ans mais l’Elan est toujours un candidat aux playoffs et on va suivre l’épanouissement des jeunes.\\n\\nPOUR EVITER LA DESCENTE\\n\\n14\\n\\nCHOLET\\n\\nC’est tout nouveau, à voir si c’est tout beau. Tywain McKee est une garantie de férocité. Découvrir vraiment Killian Hayes chez les adultes est juste passionnant.\\n\\n15\\n\\nBOULAZAC\\n\\nBonne pioche avec Nicolas De Jong. A priori l’ensemble doit permettre le maintien sur le terrain et pas sur tapis vert comme la saison dernière.\\n\\n16\\n\\nLE PORTEL\\n\\nLe problème des petits budgets, c’est que lorsque les joueurs sont en réussite, ils finissent par se monnayer sous d’autres cieux. Le départ de M. double-double Frank Hassell n’est pas une bonne nouvelle.\\n\\n17\\n\\nFOS\\n\\nLes Provençaux misent sur l’esprit maison et la dynamique de leur réussite en Pro B. Mais que d’incertitudes entre novices et vétérans.\\n\\n18\\n\\nANTIBES\\n\\nVraiment léger ! Plus de Vincent Sanford et de Mouph Yarou. Louis Campbell a 39 ans et Tim Blue a loupé une bonne partie de la dernière saison. Ouïe !\\n\\nLe dossier de présentation de BasketEurope a été publié du lundi 3 septembre jusqu’au jeudi 20 avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 4.99€/mois annulable à tout moment). Vous pouvez également commander le Magazine « Guide de la saison » sur notre boutique à 6€ frais de port inclus.\\n\\nPhotos: Fans de la SIG, Lahaou Konate (Nanterre) et Benoît Mangin (Le Portel)/FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Christophe Le Bouille (Le Mans): «On n’était pas programmé pour être champion de France; on ne l’est toujours pas cette année»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Mans Sarthe Basket a beau être champion de France en titre, il n’est pas le favori à sa propre succession. Son effectif a été profondément remanié et si son budget est monté à 6,5M€ soit une augmentation en un an de 1M€, il est très loin de ceux de ses principaux concurrents, celui de l’ASVEL devant flirter avec les 10M€, ce qui est un record de France de tous les temps.\\n\\nLe président Christophe Le Bouille a conscience du contexte mais ne veut pas être pour autant défaitiste comme il l’a confié à Ouest France:\\n\\n« On est champion de France, je ne vais pas vous annoncer qu’on joue le maintien. On n’était pas programmé pour être champion de France, on ne l’est toujours pas cette année. Ça ne veut pas dire qu’on n’arrivera pas à faire de belles choses mais il y a tellement d’incertitudes dans ce championnat... Quand on voit ce que font depuis plusieurs années Strasbourg, Villeurbanne ou Monaco, on peut se dire que ça va payer. Ce serait assez juste. Je n’oublie pas Limoges. Ces quatre-là sont un peu au-dessus et nous sommes dans le wagon qui suit. En fonction de l’alchimie que l’on va réussir à trouver ou pas, des blessures ou pas, des révélations ou pas, on arrivera à les titiller ou à lutter pour les playoffs. Mais il y a Gravelines, Nanterre, Chalon, Levallois, Bourg-en-Bresse, Reims qui a fait une super préparation, Dijon... Il y a du monde. Mais il va y avoir des déçus. A nous de ne pas être dans la catégorie des mauvaises surprises. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vente-Privée : Jeep Elite, ProB et coupes d’Europe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le site Vente Privée a mis en vente des places pour la saison de Jeep Elite, ProB mais aussi d’Eurocup et de BCL.\\n\\nPour accéder aux ventes, rendez-vous ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Sasa Filipovski parle (déjà) français !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Voici quelqu’un qui a le don des langues. Le nouveau coach de l’AS Monaco Sasa (en fait, c’est Sašo) Filiposki a étudié deux ans le français au lycée et il n’a pas hésité à l’employer lors du media day du club. Cette vidéo en témoigne. Son prédécesseur Zvezdan Mitrovic, passé à Villeurbanne, s’est toujours exprimé en anglais.\\n\\nPhoto: ASM\\n\\n\\n\\n\\n🎥 Sasa Filipovski a fait l'effort de s'exprimer en français face aux médias. Le coach de la #RocaTeam livre ses impressions à J-3 du début de saison. 🗣 pic.twitter.com/DraU2mAfD3\\n\\n\\n— AS Monaco Basket 🇲🇨 (@ASMonaco_Basket) September 20, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"A 24h de la reprise, Strasbourg est toujours à la recherche d’un ailier shooteur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le fait est tout de même assez rare: à la veille de la reprise du championnat de Jeep Elite, la SIG Strasbourg est toujours sur la piste d’un 4 shooteur étranger.\\n\\nDans les DNA, le coach Vincent Collet explique que la masse salariale de l’équipe est de 200.000 euros, en net, en moins, et que la SIG a déjà dépensé pas mal d’argent.\\n\\n« Il se trouve qu’entre-temps, on a eu la possibilité d’avoir “Youss” (Fall) , puis Mardy (Collins). Le jeu en valait la chandelle, mais ce que tu mets à un endroit, tu ne le mets pas ailleurs. Et on s’est retrouvé avec une dernière enveloppe un peu inférieure à ce qu’on pensait au début (il reste 150 000 dollars). Et un poste quatre, c’est relativement cher, en particulier si tu veux des joueurs d’impact et un peu référencés. On ne veut pas juste prendre quelqu’un... Pour que notre équipe puisse donner sa pleine mesure et avoir un vrai avenir, il nous faut un fort joueur. »\\n\\nVincent Collet ajoute qu’il a quelqu’un dans le viseur mais encore rien de concret.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Jeep®ÉLITE 2018/19 – SIG Strasbourg: Et si c’était la bonne année ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Jeep Elite débute les 22 et 23 septembre et nous sommes fiers de vous proposer pour la troisième année (déjà!) une présentation complète sur BasketEurope avec une analyse de chaque équipe, des commentaires sur chaque joueur et coach, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié depuis le lundi 3 septembre et jusqu’au jeudi 20 avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 4.99€/mois annulable à tout moment). Vous pouvez également dès aujourd’hui commander le Magazine « Guide de la saison » sur notre boutique à 6€ frais de port inclus.\\n\\nNous vous proposerons ensuite la Pro B et la Ligue Féminine.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVoici un club qui a disputé cinq finales de Pro A d’affilée, qui a fait une finale d’Eurocup, qui a comme coach celui des Bleus, Vincent Collet, qui a un président visionnaire, Martial Bellon, qui a constaté la meilleure affluence du championnat (5 800 spectateurs contre 4 424 il y a quatre ans), qui a un beau projet d’aréna qui doit ouvrir ses portes en septembre 2021 et avec le Crédit Mutuel comme financier du naming, le tout dans une ville qui se plaît à dire qu’elle est la capitale de l’Europe. Et pourtant la SIG n’arrive pas à conclure, la saison 2017-18 marquant même un léger recul puisque les Alsaciens ont été stoppés par Le Mans en demi-finale. Et si c’était la bonne année? La SIG a été vaincue les deux dernières fois par un géant Fall, Moustapha (2,18m) de Chalon, puis Youssoupha (2,23m) du Mans. Et cette fois, ce sont les Sigmen qui vont disposer de l’arme fatale grâce à un prêt de Vitoria qui l’avait précédemment débauché du MSB en payant la clause de son contrat. Alors qu’il est parti d’un feuille blanche, le staff strasbourgeois a également recruté quelques beaux spécimen sur le marché français -même si Jacques Alingue va devoir patienter pour monter au feu- et européen. Il y a beaucoup de joueurs expérimentés dans cette équipe et ceux-là ne sont pas responsables du signe indien !\\n\\n© SIG\\n\\nSalle : Rhénus Sport (6 095 places)\\n\\nPrésident : Martial Bellon (62 ans)\\n\\nArrivées : Jacques Alingue (Dijon), Mardy Collins (Lokomotiv Kouban Krasnodar, Russie), Youssoupha Fall (Le Mans via prêt Baskonia Vitoria, Espagne), Mike Green (AEK Athènes, Grèce), Nicolas Lang (Villeurbanne), Jeremy Nzeulie (Chalon), Quentin Serron (Gravelines-Dunkerque), Ali Traore (Monaco).\\n\\nDéparts : Darion Atkins (Hapoel Holon, Israël), Miro Bilan (Villeurbanne), Dee Bost (Khimki Moscou, Russie), Olivier Cortale (Gries-Oberhoffen, Pro B), Damien Inglis, Louis Labeyrie (Valence Basket, Espagne), Jérémy Leloup (Dijon), David Logan, Levi Randoph, Louis Rucklin (prêt Le Mans), Pape Sy (Cholet), Zack Wright.\\n\\nMike Green – né le 23 juin 1985 – 1,85m – Poste 1-2 – Américain\\n\\nLe MVP du Final Four 2018 de la Basketball Champions League et lauréat avec l’AEK Athènes. Egalement vainqueur de la Coupe de Grèce Un meneur gestionnaire qui a joué à l’université de Buttler avec Mike Howard. Bon défenseur et pour Vincent Collet c’est un clutch player, un joueur capable de jouer les actions décisives. Il est passé par Antalya, Liège, Cantu, Barcellona, Varèse, et le Khimki Moscou. C’est ensuite qu’il a porté le maillot du Paris-Levallois. Il fut le top-passeur de la Pro A (7,2) et de l’Eurocup (7,3). Ce fut ensuite Venise, Balikesir et Karsiyaka.\\n\\n© FIBA\\n\\nQuentin Serron – né le 25 février 1990 – 1,90m – Poste 1-2 – Belge\\n\\nBruxellois, des parents francophones et une femme néerlandophone. Il a vécu huit ans à Ostende dans la région flamande. Gravelines a constitué sa première expérience à l’étranger. La première année a été très perturbée par une blessure à l’épaule qui l’a tenu à l’écart jusqu’à fin février. La seconde a été très bonne. 8,6 points et 12,0 d’évaluation en 2018. Pilier de l’équipe nationale belge. A participé aux Euro de 2015 et 2017. Physique.\\n\\n© FIBA\\n\\nLudovic Beyhurst – né le 5 janvier 1999 – 1,72m – Poste 1 – Français –\\n\\nNé à Strasbourg. Deux ans au Centre Fédéral. Un Little Big Man. Une sangsue en défense, culottée en attaque, une capacité à garder la balle sous la pression. Il a tenu des bouts de rôle dans un effectif pro replet. 13,7 pts avec un bon 32/66 à trois-points et 4,5 pds en espoir. Il a signé son premier contrat pro en juin.\\n\\nNicolas Lang – né le 1er mai 1990 – 1,99m – Poste 2 – Français\\n\\nD’une famille de basketteur, doit beaucoup à son père son fouetté de poignet. Pas athlétique mais gros QI basket. Un beau palmarès : champion d’Europe U20 en 2010, champion de France en 2012 (Chalon) et 2016 (Villeurbanne), deux fois vainqueur de la coupe de France, une fois de la Semaine des As. 38,6% de réussite à trois-points en 262 matches de Pro A/Jeep Elite. Sort de trois saisons à l’ASVEL. Toujours placide.\\n\\nJeremy Nzeulie – né le 15 février 1991 – 1,87m – Poste 2 – Français\\n\\nL’un des rares Chalonnais à avoir surnagé dans la tourmente avec des stats en hausse sensible : 14,0 points -meilleur scoreur français- et 13,5 d’évaluation -5e français et premier extérieur. Très athlétique, gros dunkeur, punchy, aime courir et aussi planter à trois-points. Il avait été le MVP des finales 2017. International camerounais, a participé à deux championnats d’Afrique. Ancien fils de la maison à Nanterre.\\n\\nMardy Collins – né le 4 août 1984 – 1,98m – Poste 2-3 – Américain\\n\\nUn retour puisque l’ancien NBAer (189 matches) a porté les couleurs de la SIG lors de la saison 205-16 pour 13,0 points, 4,6 rebonds, 4, 4 passes et 15,5 d’évaluation en Eurocup et une finale et une place dans le 5 All-Star de la compétition à la clé. Capable de tout bien faire, un-contre-un, fixation, création. Sa faiblesse, le tir à trois-points. Il sort de deux saisons à Krasnodar avec une nouvelle place dans le 5 All-Star de l’Eurocup la première année et 22 victoires de suite avant une défaite en finale la deuxième. Du lourd.\\n\\nFlorent Pietrus – né le 19 janvier 1981 – 2,02m – Poste 4 – Français\\n\\nComme Mickaël Gelabale, il a fêté son jubilé en Guadeloupe en juillet mais il s’offre une -probable- dernière saison à la SIG avant d’intégrer -sans doute- le staff. L’ancien Ministre de la Défense des Bleus, il a longtemps été un chaînon indispensable. 230 sélections, le 4e dans la hiérarchie. Un guerrier qui a toujours fait le sale travail et qui n’hésite pas à user d’expédients. A passé ses meilleures années dans les meilleurs clubs espagnols. Frère de l’ancien NBAer, Mike.\\n\\nJacques Alingue – né le 30 avril 1988 – 2,01m – Poste 4/5 – Français\\n\\nUne rupture du tendon d’Achille le 12 juin a stoppé net une saison épatante avec la JDA Dijon. Un col bleu, redoutable défenseur, avec un total sens de l’abnégation, qui ne shoote qu’à coups sûrs (69,4%). Son évaluation est montée de 10,3 à 15,7. La SIG a confirmé son recrutement même s’il sera absent tout le quatrième trimestre. Est passé par tous les échelons : N3, N2, N1, Pro B. Une vraie success story. Natif d’Avranches.\\n\\nYousoupha Fall – né le 12 janvier 1995 – 2,21m – Poste 5 – Français\\n\\nSa venue en Alsace n’a pas plu au Mans car le Franco-Sénégalais a fait jouer son option prévu dans son contrat et a pu signer à Vitoria pour quatre saisons, qui ensuite l’a prêté à la SIG. Ce géant est encore un apprenti mais son potentiel est formidable. De par sa taille, son envergure et sa mobilité, sa présence sur le terrain chamboule les plans de l’adversaire. Quasi indéfendable quand il a le ballon sous le cercle. 11,2 points à 69,3%, 6,9 rebonds et 0,9 contre. Doit moins jouer dans l’émotion.\\n\\nAli Traore – né le 28 février 1985 – 2,08m – Poste 5 – Français\\n\\nMédaillé d’argent à l’Euro 2011. Ambidextre, très fort à la finition. La deuxième partie de sa carrière laisse un goût d’inachevé. Est revenu en France par Nanterre, puis Strasbourg, Limoges, un court passage à Estudiantes Madrid, au Liban, puis un temps sans club, il fit un intérim à Antibes et fut embauché à Monaco comme joker. 80,9% (!) aux shoots mais seulement 11’ de temps de jeu moyen. Joker médical de Jacques Alingue. Fut un précurseur pour un sportif sur les réseaux sociaux. Né à Abidjan mais d’origine malienne.\\n\\nCoach :\\n\\nVincent Collet – né le 6 juin 1963 – Français\\n\\nLe boss des Bleus, l’un des deux ou trois meilleurs coachs français de tous les temps. Un pédagogue, un sens tactique, une mémoire, une conscience professionnelle et une connaissance générale du basket cinq étoiles. Parfois trop dans l’émotion. Champion de France avec Le Mans et Villeurbanne, cinq fois finaliste avec Strasbourg. Ancien joueur professionnel peu athlétique et dont le shoot à trois-points était l’arme numéro un.\\n\\n© FIBA\\n\\nNebojsa Bogavac (44 ans), Lauriane Dolt (35 ans), Lassi Tuovi (31 ans).\\n\\n[armelse]\\n\\nVoici un club qui a disputé cinq finales de Pro A d’affilée, qui a fait une finale d’Eurocup, qui a comme coach celui des Bleus, Vincent Collet, qui a un président visionnaire, Martial Bellon, qui a constaté la meilleure affluence du championnat (5 800 spectateurs contre 4 424 il y a quatre ans), qui a un beau projet d’aréna qui doit ouvrir ses portes en septembre 2021 et avec le Crédit Mutuel comme financier du naming, le tout dans une ville qui se plaît à dire qu’elle est la capitale de l’Europe. Et pourtant la SIG n’arrive pas à conclure, la saison 2017-18 marquant même un léger recul puisque les Alsaciens ont été stoppés par Le Mans en demi-finale. Et si c’était la bonne année? La SIG a été vaincue les deux dernières fois par un géant Fall, Moustapha (2,18m) de Chalon, puis Youssoupha (2,23m) du Mans. Et cette fois, ce sont les Sigmen qui vont disposer de l’arme fatale grâce à un prêt de Vitoria qui l’avait précédemment débauché du MSB en payant la clause de son contrat. Alors qu’il est parti d’un feuille blanche, le staff strasbourgeois a également recruté quelques beaux spécimen sur le marché français -même si Jacques Alingue va devoir patienter pour monter au feu- et européen. Il y a beaucoup de joueurs expérimentés dans cette équipe et ceux-là ne sont pas responsables du signe indien !\\n\\n© SIG\\n\\nSalle : Rhénus Sport (6 095 places)\\n\\nPrésident : Martial Bellon (62 ans)\\n\\nArrivées : Jacques Alingue (Dijon), Mardy Collins (Lokomotiv Kouban Krasnodar, Russie), Youssoupha Fall (Le Mans via prêt Baskonia Vitoria, Espagne), Mike Green (AEK Athènes, Grèce), Nicolas Lang (Villeurbanne), Jeremy Nzeulie (Chalon), Quentin Serron (Gravelines-Dunkerque), Ali Traore (Monaco).\\n\\nDéparts : Darion Atkins (Hapoel Holon, Israël), Miro Bilan (Villeurbanne), Dee Bost (Khimki Moscou, Russie), Olivier Cortale (Gries-Oberhoffen, Pro B), Damien Inglis, Louis Labeyrie (Valence Basket, Espagne), Jérémy Leloup (Dijon), David Logan, Levi Randoph, Louis Rucklin (prêt Le Mans), Pape Sy (Cholet), Zack Wright.\\n\\nMike Green – né le 23 juin 1985 – 1,85m – Poste 1-2 – Américain\\n\\nLe MVP du Final Four 2018 de la Basketball Champions League et lauréat avec l’AEK Athènes. Egalement vainqueur de la Coupe de Grèce Un meneur gestionnaire qui a joué à l’université de Buttler avec Mike Howard. Bon défenseur et pour Vincent Collet c’est un clutch player, un joueur capable de jouer les actions décisives. Il est passé par Antalya, Liège, Cantu, Barcellona, Varèse, et le Khimki Moscou.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture: Mike Green (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo – Reconnaissez vous le premier ambassadeur de la Ligue Adriatique?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’aviez vous reconnu ? Žarko Paspalj, ailier gaucher de 2,07m, fut l’un des as du basket yougoslave, champion du monde en 1990 et deux fois en argent aux Jeux Olympiques, à Séoul (1988) et Atlanta (1992). Il a par ailleurs porté le maillot du PSG Racing lors de la saison 1996-97.\\n\\nLe Serbe a aujourd’hui 52 ans et il vient d’être nommé premier ambassadeur de la ligue Adriatique\\n\\n« Je me suis senti très heureux et satisfait lorsque l’on m’a offert le rôle d’ambassadeur de la ligue ABA. La ligue ABA est la meilleure compétition de notre région et je ne parle pas uniquement du basket. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Saso Filipovski (Monaco): «L’objectif est de remporter le championnat de France»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors du media day de l’AS Monaco, le nouveau coach, le Slovène Saso Filipovski a exprimé ses ambitions pour la Roca Team.\\n\\nComment vous sentez-vous depuis votre arrivée en Principauté ?\\n\\nJ’ai le sentiment de m’être posé dans une grande ville avec une grande identité et une grande âme. Je constate qu’au sein de la Roca Team tout le monde est passionné de basket et travaille dans la même direction avec un grand professionnalisme. J’avais déjà eu cette impression quand, avec mon ancien club de Banvit, nous avions eu à affronter les Monégasques. Aujourd’hui, je le ressens encore plus. Du guichet jusqu’au staff médical, en passant par la direction, tout est réglé comme du papier musique !\\n\\nQuels sont les enjeux et objectifs de la saison qui s’annonce ?\\n\\nJe sais pourquoi je suis là. L’objectif est de remporter le Championnat de France. L’objectif est de remporter le Championnat de France. C’est ambitieux et ce sera certainement dur, mais je suis un homme de challenges...\\n\\nComment se passe l’intégration des nouveaux joueurs ?\\n\\nMalheureusement, trois de nos joueurs clés étaient en sélection nationale quand nous avons commencé la préparation et D.J. Cooper nous a quitté précipitamment. Je m’adapte à toutes les situations et circonstances en essayant de faire de mon mieux avec ce que j’ai. J’ai toujours été comme ça, c’est ma philosophie.\\n\\nQue pensez-vous du groupe de la Roca Team pour l’Eurocup ?\\n\\nCette édition de l’Eurocup est, selon moi, la plus relevée depuis sa création. C’est bien pour nous d’être tombé dans un groupe difficile car j’aime me mesurer aux meilleurs. Mais je suis certain que la Roca Team a les moyens et le potentiel pour passer ce premier tour.\\n\\nPhoto: AS Monaco"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ranking FIBA 3×3: Neuf Françaises dans le top 20, Marie-Eve Paget est numéro 1"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A la faveur de leur victoire en Coupe d’Europe à Budapest, Marie-Eve Paget (Charleville) et Mamignan Touré (Basket Landes) ont pris les deux premières places au ranking mondial féminin du 3×3.\\n\\nDans le top 20, on retrouve pas moins de neuf Françaises: Caroline Hériaud (La Roche, 6e), qui fut plusieurs semaines la numéro 1 cet été, Marie Mane (7e), Victoria Majekodunmi (Landerneau, 9e), Alice Nayo (Chartres, 10e), Koné Assitan (Mondeville, 12e), Jenny Fouasseau (Saint-Mand, 15e) et Ana Maria Filip (Charleville, 20e).\\n\\nPhoto: Marie-Eve Paget, FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Belgique: L’ancien coach de Pau, Serge Crevecoeur, heureux de retrouver son Brussels"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il y un an et demi, Serge Crevecoeur emmenait le Brussels en finale du championnat belge face à l’ogre ostendais. Une consécration pour un coach arrivé au club en 2008 alors qu’il s’appelait encore l’Excelsior Bruxelles et se situait en troisième division, pour atteindre l’élite en 2013 et les playoffs trois ans plus tard.\\n\\nMais Serge Crevecoeur ne put résister à l’appel du large et il s’engagea à l’été 2017 avec Pau. Las, un rejet de greffe fut vite constaté et le Belge fut remplacé début février par son adjoint Laurent Vila. Pendant ce temps, son successeur au Brussels Laurent Monier vivait une saison très laborieuse. Aussi, Serge Crevecoeur a repris le poste du commandement du club de la capitale en devenant à la fois coach et manager général, Laurent Monier retrouvant celui d’assistant. Objectifs: s’inscrire durablement dans le top 4 du championnat national et faire construire une salle principalement dédiée au basket. Visiblement le coach est plus que jamais comme un poisson dans l’eau au Brussels.\\n\\n“L’intégration des nouveaux joueurs se passe vraiment très bien. Ce sont tous de chouettes gars, très gentils. D’ailleurs, quand on arrive à l’entraînement, rien que le fait de les voir, ça me donne le sourire. C’est vraiment chouette car il y a beaucoup de respect entre nous », déclare t-il à la Dernière Heure. « Ils travaillent vraiment bien et je ressens cette envie commune de progresser pour l’équipe. Leurs performances individuelles, ils s’en fichent. Ce qui compte pour eux, c’est l’équipe et le collectif et c’est important d’avoir des joueurs qui pensent de cette manière.”"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde féminine: Laia Palau, Cristina Ouvina et Queralt Casas avec les 12 Espagnoles"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Leonor Rodriguez et Maria Conde sont les deux dernières joueuses à avoir été écartées de la sélection espagnole à quarante-huit heures des trois coups de la Coupe du monde qui va se tenir à Tenerife à partir de samedi.\\n\\n« Ce sont deux des mises à l’écart les plus compliquées » a commenté le coach Lucas Mondelo. »Dans une situation idéale, nous aurions dû arriver à Tenerife il y a une semaine avant le tournoi précédent et avec les douze joueuses. Cependant, plusieurs actrices importantes ont eu besoin d’un processus de récupération assez long; cela nous a obligé à « étirer » la préparation avec quatorze joueuses. Je ne peux que reconnaître le grand professionnalisme de Maria et Leo, qui jusqu’au dernier moment ont été à 100% et à un très haut niveau. »\\n\\nLes deux championnes de France 2018 avec Bourges, Laia Palau et Cristina Ouvina, ainsi que Queralt Casas figurent bien dans cette équipe espagnole armée pour obtenir une médaille. Le Japon, Porto Rico et la Belgique seront ses trois adversaires en phase de poule.\\n\\n\\n\\n\\nLaia PALAU\\nBourges (France)\\n\\n\\nSilvia DOMINGUEZ\\nSalamanque (Espagne)\\n\\n\\nCristina OUVIÑA\\nBourges (France)\\n\\n\\nAnna CRUZ\\nD. Koursk (Russie)\\n\\n\\nMarta XARGAY\\nU. S. K. Prague (Rép. Tchèque)\\n\\n\\nQueralt CASAS\\nBasket Landes (France)\\n\\n\\nAlba TORRENS\\nEkaterinbourg (Russie)\\n\\n\\nBelén ARROJO\\nSant Adria (Espagne)\\n\\n\\nBeatriz SANCHEZ\\nU. Ferrol (Espagne)\\n\\n\\nLaura NICHOLLS\\nSalamanque (Espagne)\\n\\n\\nLaura GIL\\nSalamanque (Espagne)\\n\\n\\nAstou NDOUR\\nRaguse (Italie)\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: Queralt Casas (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Marie Butard (Landerneau): La joueuse qui vous emmène dans le froid martien"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le point commun entre Proud Mary, Bad Moon Rising et Down on the Corner? Des hits du groupe de rock Creedence Clearwater qui s’était notamment produit au mémorable festival de Woodstock en 1969 et qui est LA référence de Marie Butard, née bien après, en 1986, meneuse de jeu du Landerneau Bretagne Basket, nouveau venu en Ligue Féminine. Influencée par ses parents, Marie, décidément old school, et qui aime faire des bœufs à la guitare avec copains et copines a aussi dans sa discothèque le meilleur de Pink Floyd, de Queen et des Rolling Stones.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nC’est l’un des traits de la personnalité de cette Tourangelle, passée par le centre de formation de Bourges, devenue au fil du temps la référence du basket féminin breton\\n\\n« Je suis arrivée ici pour le contrat pro. Ils m’ont parlé d’un projet qui a mis plus de temps que prévu mais en étant patientes et avec du travail, on est arrivé à quelque chose de bien », résume-t-elle.\\n\\nMarie Butard est à bord depuis 2010 quand le club était installé à Pleyber-Christ ; elle va donc y aborder sa neuvième saison. Lors de son exercice le plus accompli, en 2014-15 et alors que le club était connu sous le nom de Léon Trégor Basket, la meneuse affichait 14,3 points (48,0% de réussite à trois-points), 3,8 passes, 3,7 rebonds et pas moins de 2,9 interceptions pour une évaluation de 14,7.\\n\\n« Sans parler du fait qu’elle est la figure emblématique, c’est quelqu’un de très avenant, qui veut que les gens soient à l’aise, qui se donne sur le terrain », profile son coach Stéphane Leite.\\n\\nQuant au président du club, Erwan Croguennec, dont le nom ne cache pas ses origines, il complète louangeur :\\n\\n« Par sa fidélité, Marie est déjà un exemple à suivre. C’est une fille qui a toujours une cartouche d’avance qui dit ce qu’elle fait et qui fait ce qu’elle dit. C’est notre figure de proue parce que les gens l’adorent, elle vit le basket. Elle en a rêvé et elle a tout mis en œuvre pour avoir cette montée. C’est un exemple à suivre pour nos jeunes. Beaucoup de nos filles qui sont en U15 et U18 l’apprécient du fait qu’elle soit très disponible et sur le terrain elle est d’une générosité incroyable. Le club lui doit beaucoup parce que c’est un véritable carburant pour les bénévoles d’avoir des filles qui ont ce profil-là. Elle aurait pu jouer en ligue féminine depuis un petit moment mais elle a pris le pari de faire monter Landerneau. »\\n\\nL’intéressée confirme aimer aller à la rencontre des autres estimant que chacun a une histoire différente et qu’ainsi il présente de l’intérêt. Quand on lui demande de se définir comme joueuse, elle répond :\\n\\n« Je suis quelqu’un qui ne lâche rien. Je suis une compétitrice. C’est ce qui se voit sur le terrain. Et puis le travail ne me fait pas peur. »\\n\\nMarie Butard a forcément joué un rôle majeur dans la finale des playoffs d’accession de la saison dernière face à Angers. Lors du match retour à Trélazé, devant plus de 4 000 spectateurs dont papa, maman, les frangins, sa belle-sœur, ses neveux, nièces, cousins et cousines, elle a mis 11 points et surtout le panier à trois-points de la gagne à 40 secondes du buzzer.\\n\\n« A force d’expérience, je ne me pose plus de question. J’aime bien aussi ce côté prendre des risques. Mais j’ai eu aussi des ballons où j’ai raté, » corrige t-elle pour ne pas passer pour une Superwoman.\\n\\nLors de la belle en Bretagne, les Angevines de l’UFAB, elles, loupèrent un trois-points de la dernière chance et Landerneau l’emporta 56-54. On imagine la fête avec Marie au milieu de la meute.\\n\\nMarie a emmené son camion à la Leaders Cup\\n\\nLe principe de la cryothérapie, c’est de soigner les bobos du corps, d’éliminer les toxines, par le froid. On s’immerge progressivement dans un froid sec, entre -110 et -170°, pendant trois minutes maximum. C’est bénéfique pour les sportifs de haut niveau et aussi pour M. et Mme Tout-le-Monde car le procédé a fait ses preuves en matière de douleurs chroniques, de troubles du sommeil, de stress et de surpoids.\\n\\n« Il y a un an et demi, elle m’en avait parlé lors d’un déplacement à Strasbourg », raconte le président. « Elle m’avait tenu le crachoir durant quatre heures dans le train. Elle avait réfléchi à tout, fait des schémas, des calculs, des investissements. Elle m’a présenté son projet en me demandant si ça serait compatible avec son statut de haut niveau en faisant ça le dimanche et les jours où elle ne s’entraîne pas. Elle avait besoin de ça pour vivre et assurer ses arrières. »\\n\\nMarie a poursuivi des études jusqu’au master de STAPS même si elle ne l’a pas validé et fut monitrice d’activité physique adaptée en Charente avant de se consacrer totalement au basket. La trentaine venue, c’était l’heure de préparer sa seconde vie en douceur. D’où l’idée de la cryo, de l’achat d’un camion et de tout un équipement avec une cabine de cryothérapie dans laquelle le patient se tient debout.\\n\\n« Cela fait huit ans que je suis en contrat pro, que pour le basket, sans travailler à côté. J’ai découvert la cryo avec un ancien podologue quand j’étais du côté d’Angoulême qui avait cette activité et qui m’a ensuite aidée dans ce projet. Et où j’étais dans le Finistère, il n’y en avait pas. Ça a muri ces dernières années comme je commençais à approcher de la trentaine. C’est le type de challenge que j’aime bien. J’ai créé ma boîte et la première ici à le faire en unité mobile, et pour exercer, j’ai suivi une formation durant la trêve estivale sur deux jours en Bretagne. Pour l’investissement, il a fallu batailler un peu. »\\n\\nLa clientèle de Marie est composite. Des célébrités sportives comme le champion du monde d’ultra-trail, François d’Haene, la championne de France de cyclisme sur route, Aude Biannic. Beaucoup de clubs de course à pied notamment pour la préparation de marathons. Des handballeurs.\\n\\n« Comme c’est encore peu connu, cela ne fait qu’un an que je suis lancée, les clubs commencent à s’y intéresser car c’est positif en terme de récup. Je travaille aussi en collaboration avec des cabinets de kiné. Il y a des sportifs et des non sportifs et c’est ça qui est plaisant, on rencontre toutes sortes de personnes. Au départ ma démarche concernait beaucoup les sportifs mais étant donné ce que procure comme bien être la cryothérapie au quotidien, les particuliers y prennent goût aussi. »\\n\\nPremières bénéficiaires : ses équipières\\n\\nLa meneuse de Landerneau possède également quelques clients basketteurs. En février dernier, elle a mené son camion jusqu’à la Marne-la-Vallée afin de faire profiter de ses bienfaits les joueurs du Mans, de Villeurbanne et de Nanterre présents à la Leader Cup. Et évidemment ses propres équipières sont des privilégiées.\\n\\n« Le fait d’aller dans le grand froid accélère le processus de régénération. Sinon quand on est fatigué, que l’on a les jambes lourdes, une séance, ça peut vraiment aider à se sentir un peu mieux. Quand le faire ? Il faut écouter son corps. Beaucoup de mes équipières connaissaient avant par l’intermédiaire de l’INSEP. On avait une Lettone qui en faisait toutes les semaines. Quand on avait beaucoup d’entraînements, les filles passaient un coup de fil : « Marie, je peux faire une séance ? » Ca a été un moyen de se retrouver pendant les playoffs. Ca permettait aussi au club de montrer qu’il croyait en nous et qu’il mettait tout en œuvre pour que l’on soit au mieux. Pauline Lithard a toujours été un soutien quand j’ai monté le projet. D’autres joueuses, des dirigeants, des bénévoles aussi. C’est un tout. »\\n\\nAménager des horaires pour la cryo en composant avec les exigences d’une basketteuse de haut niveau, n’est-ce pas un casse-tête ?\\n\\n« J’y avais réfléchis avant et c’est pour ça que j’avais choisi le concept d’unité mobile. Je n’étais pas obligée d’avoir un local où ça soit ouvert tout le temps. Ca me permet d’avoir des rendez-vous en fonction des dates où je suis disponible. J’ai aussi formé une personne pour les moments où je ne suis pas là. Et aussi il y a pas mal d’événements sportifs et c’est souvent le week-end. Et quand on est en déplacement, je reviens le dimanche et je prends le camion pour travailler. »\\n\\nMarie l’a dit : le boulot ne lui fait pas peur. Le challenge ne sera-t-il pas encore plus ardu à relever en Ligue Féminine avec un niveau de jeu plus élevé ?\\n\\n« Si, forcément. L’année dernière m’a permis de voir ce qui est possible sur le plan de l’organisation et ce qui n’est pas possible. Je connais les horaires à l’avance et je saurai quel jour je ne pourrai pas faire de la cryo. Après le mois de septembre, ça va rouler. »\\n\\nMais, au fait, se retrouver plongé dans un froid martien, ça doit générer quelques peurs bleues, non ?\\n\\n« Ah ! oui. Lors de la première séance, on passe plus de temps à discuter de comment elle va se passer, les effets attendus. Après, une fois que l’on connait, on s’aperçoit que les trois minutes passent relativement vite et il y a beaucoup moins d’appréhension. »\\n\\nMB Cryo, 30\u2009€ la séance. Mail\u2009: mbcryotherapie@gmail.com. Site\u2009: https\u2009://mbcryo.fr/\\n\\nPhotos: Marie Butard et son camion, Will Yeguete (Le Mans) et le Landerneau Bretagne Basket, champion de LF2.\\n\\n[armelse]\\n\\nC’est l’un des traits de la personnalité de cette Tourangelle, passée par le centre de formation de Bourges, devenue au fil du temps la référence du basket féminin breton\\n\\n« Je suis arrivée ici pour le contrat pro. Ils m’ont parlé d’un projet qui a mis plus de temps que prévu mais en étant patiente et avec du travail, on est arrivé à quelque chose de bien », résume-t-elle.\\n\\nMarie Butard est à bord depuis 2010 quand le club était installé à Pleyber-Christ ; elle va donc y aborder sa neuvième saison. Lors de son exercice le plus accompli, en 2014-15 et alors que le club était connu sous le nom de Léon Trégor Basket, la meneuse affichait 14,3 points (48,0% de réussite à trois-points), 3,8 passes, 3,7 rebonds et pas moins de 2,9 interceptions pour une évaluation de 14,7.\\n\\n« Sans parler du fait qu’elle est la figure emblématique, c’est quelqu’un de très avenant, qui veut que les gens soient à l’aise, qui se donne sur le terrain », profile son coach Stéphane Leite.\\n\\nQuant au président du club, Erwan Croguennec, dont le nom ne cache pas ses origines, il complète louangeur :\\n\\n« Par sa fidélité, Marie est déjà un exemple à suivre. C’est une fille qui a toujours une cartouche d’avance qui dit ce qu’elle fait et qui fait ce qu’elle dit. C’est notre figure de proue parce que les gens l’adorent, elle vit le basket. Elle en a rêvé et elle a tout mis en œuvre pour avoir cette montée. C’est un exemple à suivre pour nos jeunes.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo: Zachery Peacock et la couverture du Guide Jeep Elite 2018/19"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Hier à Paris, lors du Media Day de la LNB, Zachery Peacock, l’intérieur de la JL Bourg s’est vu en couverture du magazine de BasketEurope et a accepté avec plaisir de poser avec (il en a aussi rapporté une dizaine dans son sac pour les envoyer à sa famille :).\\n\\nNous avons choisi l’Américain de la JL tout simplement parce qu’il est le MVP en titre de la Jeep Elite et que ce numéro est très largement consacré à la présentation de la saison 2018-19.\\n\\nVous y trouverez l’ensemble des 18 équipes de Jeep Elite avec le portrait de chaque joueur et de chaque coach avec des photos et des vidéos plus une sélection des articles Premium parus sur le site, comme des interviews des internationaux Nicolas Batum, Alain Koffi et Paul Lacombe et encore un portrait de Marie Butard (Landerneau) et de l’ensemble des vice-champions du monde U17 masculins et féminins.\\n\\nVous pouvez toujours commander ce Magazine « Guide de la saison » sur notre boutique à 6€ frais de port inclus.\\n\\nL’ensemble des articles Premium parus sur notre site depuis juin 2017 et à venir sont par ailleurs disponibles par abonnement à partir de 4.99€/mois annulable à tout moment).\\n\\n\\nIndispensable pour les vrais fans !"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le déplacement du Limoges CSP en Sardaigne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le CSP propose une vidéo où l’on voit l’équipe de Kyle Milling lors du tournoi de Sassari où elle s’est offert une victoire de prestige face à Fenerbahçe finaliste de la dernière Euroleague, 84-75."
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Jeep®ÉLITE 2018/19 – Pau-Lacq-Orthez, mélange de jeunesse et d’expérience"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Jeep Elite débute les 22 et 23 septembre et nous sommes fiers de vous proposer pour la troisième année (déjà!) une présentation complète sur BasketEurope avec une analyse de chaque équipe, des commentaires sur chaque joueur et coach, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié jusqu’au jeudi 20 avec chaque jour une équipe de JeepElite par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment). Vous pouvez également dès maintenant pré-commander le Magazine « Guide de la saison » sur notre boutique à 6€ frais de port inclus.\\n\\nNous vous proposerons ensuite la Pro B et la Ligue Féminine.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès l’expérience Serge Crevecoeur ratée, l’Elan Béarnais à remis les clés du camion à un de ses plus fidèles techniciens, Laurent Vila qui est arrivé au club en 1999 et qui n’a depuis passé que quatre saisons loin du Béarn. Huitième du classement suite à une saison mouvementée, les Béarnais se sont donc qualifiés pour les playoffs où ils ont été logiquement éliminés par l’AS Monaco, le futur finaliste, en quart de finale. L’intersaison fut notamment marquée par les départ d’Elie Okobo, drafté par les Phoenix Suns avec qui il a pu signer un contrat garanti et remplacé par le jeune prometteur Yohan Choupas à qui on ne peut que souhaiter le même succès, ou encore Alain Koffi qui a fait le grand écart géographique pour rejoindre le BCM Gravelines-Dunkerque. Du côté des étrangers ça a aussi aussi bougé puisque seuls Taqwa Pinero et Vitalis Chikoko sont restés. Le staff a malgré tout récupéré un meneur et un intérieur d’expérience avec Jerel Blassingame (37 ans tout de même) et Donta Smith, et le scoreur CJ Harris. De quoi faire mieux que la saison passée ? En tout cas, les bases sont saines et cet effectif peut en séduire plus d’un.\\n\\nSalle : Palais des Sports (7 502 places)\\n\\nPrésident : Didier Rey (64 ans)\\n\\nArrivées : Jerel Blassingame (Antibes), Yohan Choupas (Centre Fédéral), Digué Diawara (Lyon-Villeurbanne), CJ Harris (Sakarya BB, Turquie), Akos Keller (Alba Fehervar, Hongrie), Donta Smith (Brindisi, Italie).\\n\\nDéparts : Kyan Anderson (KB Prishtina, Kosovo), Chris Dowe (Ironi Nes-Ziona, Israël), Ken Horton (BC Astana Kazakhstan), Alain Koffi (Gravelines-Dunkerque), Elie Okobo (Phoenix Suns, NBA).\\n\\nJerel Blassingame – né le 12 septembre 1981 – 1,75m – Poste 1 – Américain\\n\\nDoyen de l’équipe, il arrive en provenance d’Antibes. Passé par la Pologne, la Croatie, la Turquie et la Grèce, c’est un meneur très expérimenté qui a vécu plusieurs expériences en Euroleague et en Eurocup. Il avait signé pour deux ans avec les Sharks en fin de saison 2017 mais il n’a finalement fait qu’une année. La saison dernière, il compilait en moyenne 11,9 points, 2,3 rebonds et 7,2 passes décisives.\\n\\nYannick Bokolo – né le 19 juin 1985 – 1,91m – Poste 1/2 – Français\\n\\nParmi les vieux routiers de Jeep Elite avec quinze saisons à son actif, il a prolongé un an de plus à l’Elan Béarnais lui qui est arrivé en 2014. Gros défenseur mais faible shooteur, il a été sacré champion de France en 2006 avec Le Mans, a remporté une coupe de France, deux Semaine des As et une Leaders Cup. La saison dernière, le quadruple All Star de Pro A conjuguait 2,9 points, 2 rebonds et 2,2 passes décisives en Jeep Elite.\\n\\nTaqwa Pinero – né le 6 août 1983 – 1,93m – Poste 1/2 – Américain\\n\\nLe globetrotter de l’équipe. En douze ans de carrière, ce joueur originaire du New Jersey à connu seize clubs un peu partout dans le monde entre l’Italie, la Russie, l’Espagne, l’Iran, la Grèce, la Turquie ou encore le Liban. Formé à l’université de Louisville, l’ancien d’Avellino est un joueur de devoir qui met toute son envie et son coeur sur le terrain. La saison dernière, il tournait à 8,8 points et 2,6 rebonds en Jeep Elite.\\n\\nYohan Choupas – né le 11 mars 2000 – 1,93m – Poste 2 – Français\\n\\nA l’INSEP depuis trois saisons, l’ancien licencié de Charenton va lancer sa carrière professionnelle dans le club qui a vu passer plusieurs anciens et actuels internationaux comme Boris Diaw, les frères Pietrus ou plus récemment Elie Okobo. C’est pour développer tout son potentiel et continuer d’apprendre son métier aux côtés de joueurs d’expérience comme Yannick Bokolo que Yohan Choupas arrive dans le Béarn. International tricolore chez les jeunes, il fait partie des meilleurs joueurs de sa génération. La saison dernière en NM1, il compilait en moyenne 8,8 points et 3,3 rebonds.\\n\\nCJ Harris – né le 19 février 1991 – 1,91m – Poste 2 – Américain\\n\\nIl arrive en lieu et place de Chris Dowe sur le poste 2. Formé à l’université de Wake Forest, la même que Chris Paul et Tim Duncan, il est passé par l’Allemagne, la Lettonie, la Pologne et la Turquie. Vainqueur du championnat letton avec Riga en 2015, il va vivre sa première expérience en France. C’est un arrière scoreur plutôt dans la percussion, qui dispose également d’un bon shoot à trois points. La saison dernière, il tournait à 10,6 points, 2,8 rebonds et 2,5 passes décisives en Turquie aux côtés de Moustapha Fall.\\n\\nLéopold Cavalière – né le 27 avril 1996 – 2,02m – Poste 3 – Français\\n\\nLe nouveau guerrier de l’Elan Béarnais dans le profil de l’actuel DG, Didier Gadou. Âgé de 22 ans, il a été utilisé en moyenne près d’un quart d’heure lors des 34 matchs de saison régulière de Jeep Elite. International chez les jeunes, il est vu comme le futur leader du club palois et donne tout pour son club sur le terrain. La saison dernière, il compilait en moyenne 4 points et 2,9 rebonds en championnat. Il rêve de devenir le capitaine de l’Elan Béarnais.\\n\\nDigué Diawara – né le 3 octobre 1998 – 2,05m – Poste 3 – Français\\n\\nElément de la triste saison du HTV, il n’a pas suivi les droits sportifs du club varois à Paris et a rejoint le projet béarnais. A seulement 19 ans, cet ailier longiligne présente déjà un gros palmarès en Equipe de France avec deux titres de champion d’Europe en U16 et U18 et une médaille de bronze européenne en U20. La saison dernière, il conjuguait 2,8 points et 1,8 rebond en Jeep Elite.\\n\\nDonta Smith – né le 27 novembre 1983 – 2,01m – Poste 4 – Américain\\n\\nPassé professionnel en 2004 lorsqu’il a rejoint la NBA, il est depuis passé par le Maccabi Haifa et l’Hapoel Jerusalem. Il a également évolué en Bulgarie, en Chine, au Venezuela, à Porto Rico ou encore au Mexique. Né à Louisville, il présente un profil de poste 4 complet en attaque et en défense, capable de se créer son tir. S’il est seul, il peut aussi prendre un shoot derrière l’arc. La saison dernière en Italie, il était le meilleur joueur du club de Brindisi en compilant 12 points, 5,5 rebonds et 3,7 passes décisives.\\n\\nVitalis Chikoko – né le 2 novembre 1991 – 2,08m – Poste 4/5 – Zimbabwéen\\n\\nPremier basketteur professionnel de l’histoire du Zimbabwe, il est arrivé en France en 2016 après être passé par l’Allemagne et l’Italie. Redoutable dans la raquette grâce à son touché de très haut niveau, il a notamment terminé joueur le plus adroit de Pro A en 2016/17 lors de sa première saison à l’EBPLO. La saison dernière, l’ancien joueur du Bayern Munich tournait en moyenne à 10,6 points et 4,7 rebonds.\\n\\nAkos Keller – né le 28 mars 1989 – 2,10m- Poste 5 – Hongrois\\n\\nCinq fois champion de Hongrie. A l’été 2012, il avait fait le camp d’été des Phoenix Suns et reçu des propositions de clubs grecs, italiens, serbes et français mais blessé au genou, il avait dû rester à Székesfehérvár. International, il a notamment pris part avec la Hongrie au Championnat d’Europe 2017 (6 matches, 4.8 pts, 4.5 rbds). Il va manquer le début de championnat en raison d’une crise d’appendicite. 110kg.\\n\\nCoach\\n\\nLaurent Vila – né le 26 septembre 1975 – Français\\n\\nPromu entraîneur principal de l’équipe suite au départ du Belge Serge Crevecoeur en février puis prolongé jusqu’en 2020, le technicien français a quasiment tout connu à l’Elan Béarnais. Arrivé au club en 1999, il a été assistant sur les Espoirs, coach des cadets France, Directeur technique et entraîneur du centre de formation, assistant technique du développement individuel des joueurs ou encore assistant principal de plusieurs coachs dont Claude Bergeaud ou encore Eric Bartecheky. Assistant à Gravelines puis au Mans entre 2006 et 2010.\\n\\nAssistant :\\n\\nJimmy Verove (47 ans)\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès l’expérience Serge Crevecoeur ratée, l’Elan Béarnais à remis les clés du camion à un de ses plus fidèles techniciens, Laurent Vila qui est arrivé au club en 1999 et qui n’a depuis passé que quatre saisons loin du Béarn. Huitième du classement suite à une saison mouvementée, les Béarnais se sont donc qualifiés pour les playoffs où ils ont été logiquement éliminés par l’AS Monaco, le futur finaliste, en quart de finale. L’intersaison fut notamment marquée par les départ d’Elie Okobo, drafté par les Phoenix Suns avec qui il a pu signer un contrat garanti et remplacé par le jeune prometteur Yohan Choupas à qui on ne peut que souhaiter le même succès, ou encore Alain Koffi qui a fait le grand écart géographique pour rejoindre le BCM Gravelines-Dunkerque.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les résultats des 64e de Coupe de France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Hier soir se déroulaient les 64e de Coupe de France dont voici les résultats. A noter les 29 points de Paul Turpin avec Challans contre Chartres, la qualification de Oullins avec 25 points de Sami Driss et Harry Disy et l’élimination du Paris Basketball pour sa première rencontre officielle face à Lorient, club de N1.\\n\\n\\nDENAIN VOLTAIRE (PRO B) bat *GET VOSGES (NM1)  95-71\\n\\nSOUFFELWEYERSHEIM BC (NM1) bat *BESANCON AC (NM1)  85-56\\n\\nGRIES (PRO B) bat *RECY SAINT MARTIN BASKET (NM1)  74-70\\n\\n*S.O.M BOULOGNE (NM1) vs SAINT QUENTIN (NM1)  99-79\\n\\nLILLE (PRO B) bat *KAYSERSBERG (NM1)  89-76\\n\\nVICHY CLERMONT (PRO B) bat *LA CHARITE (NM1)  87-69\\n\\nORCHESIEN BC (NM1) bat *CHARLEVILLE MEZIERES (NM1) 81-62\\n\\nSLUC NANCY (PRO B) bat *PRISSE MACON (NM2)  90-53\\n\\nAIX MAURIENNE (PRO B) bat *AUBENAS US (NM1) 75-65\\n\\nST CHAMOND (PRO B) bat *SAINT VALLIER (NM1)  91-74\\n\\nROANNE (PRO B) bat *ANDREZIEUX (NM1) 79-56\\n\\nSORGUES BC (NM1) bat *LE CANNET (NM2)  93-69\\n\\nPOITIERS BASKET (PRO B) bat *LA ROCHELLE (NM1)  74-62\\n\\n*TOULOUSE BC (NM1) bat TARBES LOURDES (NM1)  96-83\\n\\nADA BLOIS (PRO B) bat *BRISSAC (NM1)  72-61\\n\\nORLEANS (PRO B) bat *PAYS DES OLONNES (NM2)  88-74\\n\\n*LORIENT BASKET (NM1) bat PARIS BASKETBALL (PRO B)  77-75\\n\\nSPO ROUEN (PRO B) bat *RUEIL (NM1)  101-66\\n\\n*CHALLANS (NM1) bat C’CHARTRES (PRO B)  100-89\\n\\nEVREUX (PRO B) bat *VITRE (NM1)  70-63\\n\\nCAEN (PRO B) bat *LE HAVRE (NM1)  77-68\\n\\nUJAP QUIMPER (PRO B) bat *PAYS DE FOUGERES (NM2)  70-69\\n\\n*JSA BORDEAUX (NM1) vs L’HERMINE NANTES ATLANTIQUE PRO (PRO B)  85-79\\n\\n*IE – OULLINS STE FOY BASKET BALL (NM2) vs FEURS EF (NM1)  69-67\\n\\n*UNION TOURS BASKET METROPOLE (NM1) vs ETOILE ANGERS BASKET (NM1)  79-66"
}, 
{"role": "user",     "content":"N1: En proie à des difficultés financières, Brissac devra se passer de ses trois recrues"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison du Brissac Aubance Basket en Nationale 1 s’annonce très problématique. En proie à des difficultés financières, le club angevin n’a pas été autorisé par la fédération à utiliser ses trois recrues.\\n\\n\\n« La Commission haut niveau des clubs de la fédération française de basket-ball nous a fait parvenir, par mail, un refus d’autorisation à participer au sein de l’effectif du Bab pour les trois joueurs recrutés à l’intersaison, à savoir Glenn Duro, Rafael Huertas et Michel N’Simba. Cette interdiction de recrutement fait suite aux inquiétudes de la fédération concernant un déséquilibre à venir entre les ressources prévues pour cette saison 2018-2019 et le tableau des charges, notamment celui des ressources humaines », indique le président du club, Jean-Pierre Flao dans un communiqué, qui poursuit: « Les espoirs d’apport, avec de nouveaux partenaires envisagés au printemps, n’ont pas encore été concrétisés. ».\\n\\nL’équipe du BAB sera ainsi constituée de sept joueurs pros et de d’espoirs pour la compléter. Le maintien en NM1 paraît ainsi improbable."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les voeux de Brian Conklin... à la LNB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Même si c’est écrit en phonétique, l’intention est très louable: Brian Conklin a envoyé ses voeux sur twitter à la « famille de la Ligue Nationale de Basket » à l’orée de cette saison 2018-19 -partiellement- en français.\\n\\nL’intérieur américain (1,98m, 29 ans) a passé deux saisons en France, l’une à Nanterre et l’autre à Limoges. Il porte désormais les couleurs des Illawarra Hawks en Australie.\\n\\n\\n\\n\\nBonne courage pour le @LNBofficiel famille @Nanterre92 @limogescsp c’est saison! Will be following from afar and wish everyone health and success. #AllezNanterre #CSPnation #Beaublanc🔥\\n\\n\\n— Brian Conklin (@BrianConklin14) September 19, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: L’équipe de France à Montpellier"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Episode 6 de la Web Série proposée par la FFBB sur l’équipe de France avec la victoire sur la Finlande à Montpellier dans le cadre des qualifications à la Coupe du monde."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Solo Diabate a signé au SLUC Nancy"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le meneur ivoirien Souleymane « Solo » Diabate (1,83m, 31 ans) est arrivé aujourd’hui à Nancy et a signé un contrat avec le SLUC.\\n\\nL’international ivoirien a derrière lui une longue carrière professionnelle en France, à Dijon, Roanne, Nancy, Gravelines, Rouen et Châlons-Reims (9,7 points, 3,1 passes et 2,3 rebonds en 2016-17).\\n\\nIl a connu aussi des destinations plus exotiques : la Macédoine, la Chine puis la Slovaquie à Levice.\\n\\nIl est célèbre pour son explosivité et son « jeu libre ».\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les 23 résolutions de la Ligue Nationale de Basket pour ses clubs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion du media day, la LNB a rappelé que fin juin à l’issue de l’Assemblée Générale de la Ligue, 23 résolutions ont été adoptées dans le cadre du Plan Stratégique de la LNB à la suite d’une large consultation au sein de groupes de travail, d’un sondage du grand public et des fans de basket ainsi que de l’implication de personnalités extérieures (partenaires, élus territoriaux, experts...). Un enjeu important pour la LNB et l’ensemble des clubs dans leur démarche de professionnalisation.\\nVoici pour rappel les résolutions:\\n\\nIDENTITÉ\\n1.   Passer à 16 clubs en Jeep® ÉLITE et à 20 clubs en PROB à compter de la saison 2020-2021\\n2.   Définir la formule des championnats et le système de relégation/accession dans une assemblée générale organisée avant la fin de saison 2018-2019\\n3.   Renforcer l’intérêt et l’attractivité du championnat de PROB\\n\\nJEU ET JOUEURS\\n4.   Réduire à 1 le nombre de joueurs non Européens et hors Cotonou en PROB\\n5.   Augmenter le temps de jeu effectif des jeunes joueurs prospects Tokyo 2020 et Paris 2024 par des incitations financières\\n6.   Créer un classement d’excellence des meilleurs Centres de Formation\\n7.   Engager un travail collectif sur l’identité et la qualité de jeu du basket français\\n\\nINNOVATION\\n\\n 8. Apporter à tous les clubs un socle numérique commun\\n    \\n    9. Organiser des appels à projets pour cofinancer les projets les plus innovants des clubs\\n    \\n    10. Moderniser les salles de basket et leur modèle d’exploitation\\n    \\n    11. Créer à la LNB une Direction du développement des clubs\\n    \\n    12. Valoriser l’engagement social et environnemental du basket professionnel\\n\\nVISIBILITÉ\\n\\n 13. Stabiliser les effectifs des clubs en créant deux fenêtres de recrutement (été et hiver) avec possibilité d’un seul recrutement entre les deux et en limitant les pigistes médicaux\\n     \\n     14. Renforcer la politique événementielle et de promotion du basket en lien avec les attentes des clubs\\n     \\n     15. Accroître la visibilité sur les réseaux sociaux en mettant librement et gratuitement à disposition des images des compétitions LNB\\n     \\n     16. Gagner en visibilité grand public à la télévision\\n\\nSTRUCTURATION\\n\\n 17. Exiger de tous les clubs professionnels le respect d’une structure minimale\\n     \\n     18. Réorganiser le contenu du Label Club autour de chantiers prioritaires de développement\\n     \\n     19. Rendre plus accessible le Label Club en créant un échelon intermédiaire\\n     \\n     20. Augmenter progressivement la part des reversements LNB conditionnés par l’obtention Label Club\\n     \\n     21. Améliorer le fonctionnement des instances de la LNB et les ouvrir à de nouvelles compétences\\n     \\n     22. Mieux impliquer les clubs dans les instances de la LNB\\n     \\n     23. Attirer de nouveaux dirigeants et investisseurs, notamment parmi les anciens joueurs de NBA et d’Euroleague\\n\\nRappel : vous pouvez commander le Guide de la saison 2018/19 de Jeep Elite sur notre boutique (6€ frais de port inclus)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Un nouveau 5 Majeur LNB d’influenceurs pour la saison 2018-19"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une première édition du « 5 Majeur LNB », la première équipe d’influenceurs jamais créée par une institution sportive en France, satisfaite, la Ligue Nationale de Basket a décidé de renouveler l’opération afin de continuer à se développer sur le terrain digital.\\n\\nInvités à participer aux différents matchs et évènements organisés par la LNB, comme le All Star Game LNB, la Disneyland® Paris Leaders Cup LNB ou les Finales Jeep® ÉLITE, tous les membres ont pour rôle de partager leur expérience sur leurs réseaux sociaux favoris. La saison dernière, ils ont également relayé tout au long de l’année les différentes actions menées par la LNB comme les Journées de l’Avenir ou les Journées de Noël afin d’offrir une visibilité digitale supérieure à la LNB.\\n\\nLe « 5 Majeur LNB » a également permis la création de contenu sur les réseaux sociaux, notamment au travers de rencontres avec certains joueurs du championnat de Jeep® ÉLITE comme Michael Gelabale, Louis Labeyrie ou Boris Diaw.\\n\\nLes retombées positives générées par cette initiative innovante ont donc entrainé sa reconduction pour la saison 2018-19. On y retrouvera bien Léa François, Sébastien Abdelhamid et Yann-Cj23, accompagnés cette année par le champion du monde 2013 de Basket freestyle, Brisco et le Youtubeur, Hoopsidia.\\n\\n« Face aux enjeux des nouveaux médias, la Ligue Nationale de Basket se doit de déployer son envergure digitale et d’innover. Réel succès la saison dernière, ce dispositif du 5 Majeur LNB est renouvelé cette saison avec des ambitions encore plus marquées. Nous sommes toujours très fiers de la qualité de ce 5 Majeur et sommes reconnaissants envers ces personnalités qui ont accepté de vivre cette nouvelle aventure à nos côtés !, » a commenté le président de la LNB, Alain Béral.\\n\\nLe « 5 Majeur LNB » sera de nouveau présent sur des matchs LNB tout au long de la saison et sur les événements clés. Enfin, des programmes et contenus dédiés seront créés tout au long de l’année avec ces 5 membres afin d’offrir au basket-ball français la meilleure visibilité possible.\\n\\nLE CINQ MAJEUR LNB\\n\\nLéa François\\nComédienne, elle interprète depuis 10 ans le rôle de Barbara dans la série incontournable Plus Belle La Vie. Ambassadrice de l’association ELA (association européenne contre les leucodystrophies). Avec 147K abonnés sur Instagram et 245K sur Facebook, l’audience de Léa François est féminine et dans une large tranche d’âge allant de 16 à 60 ans.\\n\\nYann-Cj23\\nYoutubeur spécialisé Basket, Sports US, NBA 2K, et sneakers, Yann-Cj23 s’adresse à une audience plutôt passionnée de basket, mais également de jeux vidéo et de sneakers. Sur une cible 12-25 ans, Yann-Cj23 est suivi par 1,1M d’abonnés sur YouTube et 304K followers Twitter.\\n\\nSébastien Abdelhamid\\nJournaliste spécialisé dans les jeux vidéo, le rap et les manga, chroniqueur cinéma et membre du feu collectif Kourtrajmé. Un influenceur avec une audience de 310K followers sur Twitter, autant masculine que féminine et jeune (12- 25 ans).\\n\\nBrisco\\nChampion du monde de basket-ball freestyle 2013, Brisco est un Youtubeur montant du basket. Sur sa chaine YouTube, il partage sa passion pour le freestyle sous toutes ses formes (dribbles, 1vs1, trickshots, dunks) à travers des tutos, des défis contre des personnalités et des joueurs professionnels. Il est suivi par 181k personnes sur YouTube et 30k sur Instagram.\\n\\nHoopsidia\\nPassionné de basket, Valentin Turgot est très actif sur YouTube. Il a déjà travaillé sur un projet avec Le Mans SMB l’an dernier et sera à coup sûr un des membres du 5 Majeur les plus motivés et les plus actifs sur les réseaux sociaux cette année. En parallèle de son activité digitale, Valentin travaille dans une agence de communication. Il est suivi par 43k personnes sur YouTube et 20k sur Instagram.\\n\\nPhoto: LNB\\n\\n\\n\\n\\n3 membres du #5MajeurLNB étaient présents lors du #MediaDayLNB ! Merci à @leafrancoisoff, @brisco_s3 et @HoopsidiaFR et à très bientôt @SAbdelhamid et @CodJordan23 😋 pic.twitter.com/DvQIAOnnsL\\n\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) September 19, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jean-Christophe Prat (Paris Basketball): «On peut être la locomotive attendue depuis une quinzaine d’années»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour Ouest-France, le coach Jean-Christophe Prat s’est exprimé à propos du projet du Paris Basketball lequel, en récupérant les droits du Hyères-Toulon Var Basket, a directement accédé de la N2 à la Pro B.\\n\\n« Ce qui se dit sur le Paris Basketball ? C’est quelque chose dont je ne me préoccupe pas du tout. Mon boulot, c’est d’être coach, de m’occuper de mes joueurs. On m’a appelé pour un beau projet, dont le rayonnement peut aller au-delà du club. Des clubs comme Strasbourg ou la LDLC-ASVEL développent de beaux projets, si on peut être le troisième... On peut être la locomotive attendue depuis une quinzaine d’années. Paris ça fait rêver. Si le projet fonctionne, il bénéficiera à l’ensemble du basket français. Je sais que le projet a été décrié, mais on n’a rien fait d’illégal. Je pense aussi qu’il y a eu un amalgame avec ce qu’a vécu Blois (Champion de France de Pro B l’an dernier, Blois n’a finalement pas eu le droit de monter en Jeep Elite). »\\n\\nLe coach a par ailleurs précisé que le club ne disposait pas cette saison de moyens financiers et que cette première saison en Pro B servira à la structuration avec un seul objectif: le maintien."
}, 
{"role": "user",     "content":"Slovénie: Goran Dragic confirme qu’il ne portera plus le maillot national"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le titre européen de 2017 risque fort pour la Slovénie d’être sans lendemain immédiat. Alors qu’ils sont en passe d’être éliminés de la course à la qualification à la Coupe du monde 2019, les Slovènes ont vu leur naturalisé Anthony Randoph déclarer qu’il mettait un terme à sa carrière internationale.\\n\\nParallèlement, le meneur du Miami Heat Goran Dragic (1,91m, 32 ans) a écrit sur twitter que l’EuroBasket 2017 avait été la dernière compétition à laquelle il a participé. De nombreux supporters slovènes avaient manifesté leur désir de le revoir en vert en blanc. En vain.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\nVsi so bili obveščeni in to pred EP , da bo to moje zadnje veliko tekmovanje za SLO! Dal sem vse od sebe 12 let za reprezentanco!! Hvala se pod mizo valja. PS. Nažru se bom svojih miljončkov,ki sem jih pošteno zaslužil!!! https://t.co/Wvun2381Mg\\n\\n\\n— Goran Dragić (@Goran_Dragic) September 17, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Dijon: Laurent Legname prolonge jusqu’en juin 2021"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Au cours de la soirée de présentation de l’équipe, la JDA Dijon a annoncé hier la prolongation du contrat de son coach Laurent Legname jusqu’en 2021.\\n\\nAncien joueur de Pro A principalement à Hyères-Toulon dont il fut ensuite le coach, Laurent Legname, 41 ans, est arrivé à la JDA pour la saison 2015-16. Son bilan est de 52 victoires pour 50 défaites.\\n\\nPhoto: JDA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Slovénie: Rien ne va plus, Anthony Randolph veut prendre sa retraite internationale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La débandade continue pour la Slovénie. Alors qu’elle est quasiment éliminée de la course à la Coupe du monde (6e du groupe I avec 2 victoires et 6 défaites), elle devra très probablement se passer de son américain naturalisé, Anthony Randolph (2,11m, 29 ans), qui veut prendre sa retraite internationale.\\n\\nL’ailier du Real Madrid, ancien NBAer, avait fortement contribué au triomphe des Slovènes à l’EuroBasket 2017. Lundi, lors de la défaite à domicile face à la Turquie (77-86), en l’absence du trio Goran Dragic, Luka Doncic, Klemen Prepelic, il a réalisé un double double avec 24 points et 12 rebonds.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Jeep®ÉLITE 2018/19 – Nanterre 92: Une tradition de shooteurs respectée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Jeep Elite débute les 22 et 23 septembre et nous sommes fiers de vous proposer pour la troisième année (déjà!) une présentation complète sur BasketEurope avec une analyse de chaque équipe, des commentaires sur chaque joueur et coach, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié depuis le lundi 3 septembre et jusqu’au jeudi 20 avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 4.99€/mois annulable à tout moment). Vous pouvez également dès aujourd’hui commander le Magazine « Guide de la saison » sur notre boutique à 6€ frais de port inclus.\\n\\nNous vous proposerons ensuite la Pro B et la Ligue Féminine.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nNon seulement Nanterre a gagné deux Coupes d’Europe, un titre de champion de France Pro A et deux Coupe de France mais ce qui est épatant depuis son arrivée dans l’élite, c’est sa capacité à produire du jeu spectaculaire avec des shooteurs qui n’ont pas froid aux yeux. Le départ du charismatique Heiko Schaffartzik est une perte pour le club et toute la Jeep Elite mais sur le plan du shooting, le Lituanien Adas Juskevicius et l’Américain Jeremy Senglin ne vont pas dépareiller dans l’effectif de Pascal Donnadieu, au contraire. Si le club des Hauts-de-Seine n’a pas défrayé la chronique côté recrutement de Français, il a assuré ses arrières avec des non JFL comme Justin Gamble -qui fera forcément mieux que Alade Aminu- et Dominic Waters. Le club des Donnadieu aura aussi pour mission de confirmer l’engouement populaire qu’il a su créer en réunissant en mars dernier un record de 15 220 spectateurs pour la venue de Villeurbanne à la U Arena. Le niveau d’exigence est forcément devenu élevé pour ce club qui, il y a une huitaine d’années, n’était connu que des fans avertis.\\n\\n© FIBA\\n\\nSalle : Palais des Sports Maurice-Thorez (3 000 places)\\n\\nPrésident : Jean Donnadieu (77 ans)\\n\\nArrivées : Corentin Carne (Charleville-Mézières, Pro B), Justin Gamble (Lyon-Villeurbanne), Adas Juskevicius (Galatasaray Istanbul, Turquie), Yannis Morin (Le Mans), Haukur Palsson (Cholet), Jeremy Senglin (MHP Riesen Ludwigsbourg, Allemagne), Demetrius Treadwell (Hapoel Eilat, Israël), Dominique Waters (Pinar Karsiyaka, Turquie).\\n\\nDéparts : Alade Aminu (Hapoel Tel-Aviv, Israël), Justin Edwards (Ironi Nahariya, Israël), Kevin Jones, Johan Passave-Ducteil (Châlons-Reims), Heiko Schaffartzik, Jamal Shuler (Hapoel Tel-Aviv, Israël), Jamar Wilson (KK Lietkabelis, Lituanie), Bathiste Tchaffoué (Bourg-en-Bresse).\\n\\nDominic Waters – né le 28 septembre 1986– 1,85m – Poste 1 – Américain\\n\\nA sa sortie de l’université de Portland, il fut essayé mais pas approuvé par Le Havre. Depuis, il a tracé sa route. Tout d’abord en Belgique où il fut le meilleur passeur du championnat (4,1). Une première expérience en Euroleague de quelques semaines s’offre à lui à Ljubljana. C’est ensuite Hapoel Holon. Il sera là aussi top passeur en Israël (7,3). Suivent l’Espagne, l’Allemagne, la G-League, la Grèce où il est encore le top-passeur, l’Italie et le Graal, Olympiakos et une finale d’Euroleague dans un role de backup. En 2018, il était en Turquie à Izmir. 13,6 pts et 6,1 pds.\\n\\nJeremy Senglin – né le 24 mars 1995 – 1,88m – Poste 1-2 – Américain\\n\\nCe combo est un shooteur à trois-points dans la tradition des joueurs de Pascal Donnadieu. Il fut le scoreur N°1 de Weber State (2 070 points). Après la G-League avec notamment 40 points face à Maine, il a signé début avril au MHP Riesen Ludwigsbourg pour terminer la saison de Bundesliga à la 3e place de la saison régulière avant d’être éliminé en demi-finaliste des playoffs par ALBA Berlin. Ses stats en 11 matchs : 8,7 points (36,6% à trois-points), 1,1 passe en 21′ en moyenne.\\n\\n© FIBA\\n\\nAdas Juskevicius – né le 3 janvier 1994 – 1,94m – Poste 2 – Lituanien\\n\\nUn fameux shooteur longue distance dans la tradition lituanienne et nantérienne. Passé par le Zalgiris Kaunas et aussi Vytautas Prienu avant d’arriver au Lietuvos rytas Vilnius. Après un séjour à Saragosse, il revient au pays et signe au Panevezys Lietkabelis. En novembre dernier, il égale le record du nombre de tirs à trois-points marqués dans un match d’Eurocup : 9 dont un extraordinaire 7/7 dans le premier quart-temps. 41% de réussite à trois-points en Eurocup pour 12,0 points. Il termine la saison avec Galatasaray avec 12,1 points avec 48,7 de réussite à trois-points et 93,5% aux lancers.\\n\\nCorentin Carne -né le 18 juin 1996 – 1,96m – Poste 2 – Français\\n\\nAppelé à être le 10e homme de l’équipe et succède à Batisthe Tchouaffé parti à Bourg. Un Lensois qui a fait ses classes à Pau. Après ses années espoir, il avait été prêté à l’Etoile de Charleville. 5,3 points, 1,1 rebond et 1,3 passe et un bon 1,6 interception en 20’ de moyenne en Pro B.\\n\\n© FIBA\\n\\nLahaou Konate – né le 17 novembre 1991 – 1,96m – Poste 3 – Français\\n\\nUne superbe progression depuis qu’il est passé par la N1 avec quatre ans à Evreux, deux au Mans et une première saison à Nanterre où il a gagné en confiance. La saison dernière, il a été meilleur partout (9,6 points et 4,2 rebonds) et cela lui a valu 4 sélections en équipe nationale. Athlétique, fort défenseur, les mains dans le cambouis. Grand copain d’Evan Fournier.\\n\\nHaukur Palsson – né le 18 mai 1992– 1,97m – Poste 3 – Islandais\\n\\nCholet Basket souhaitait le conserver après une première saison réussie (9,3 points, 47,6% à trois points avec 49 paniers inscris) qui avait suivi un passage à Rouen en Pro B prometteur (12,3 pts, 4,7rbds, 4,0 pds). Une année à Maryland (NCAA) puis quatre en Espagne dans les divisions inférieures. La Suède, l’Allemagne avec un court retour en Islande. L’un des piliers de la sélection nationale avec le plus gros temps de jeu en qualification pour la coupe du monde.\\n\\nHugo Invernizzi – né le 7 janvier 1993 – 1,96m – Poste 3 – Français\\n\\nUn shooteur. Arme parfois sans gêne de très loin. Lauréat du concours de tirs à trois-points du All-Star Game en 2014. 42% dans cet exercice en sept saisons de LNB. Onze fois cinq réussis dans un match en carrière. Peut jouer en 4 même s’il manque de physique. De Mulhouse passé par l’INSEP. A joué à Strasbourg et au Havre. Sa mère a connu la 1ère division, son père la 3e, et son frère les équipes de France jeune.\\n\\nDemetrius Treadwell – né le 10 novembre 1991 – 2,01m – Poste 4-5 – Américain\\n\\nUn habitué du championnat israélien. Après l’université d’Akron, il est parti en Argentine à Estudiantes Concordia. Direction ensuite l’Etat hébreu. D’abord la deuxième division avec l’Hapoel Galil Gilboa puis l’Hapoel Afula. Il goûte ensuite à la première division avec l’Hapoel Eilat, une équipe moyenne du championnat (7e) où il frise le double double de moyenne (13,0 pts à 53,5% de réussite et 8,9 rbds). Obligé de subir une intervention chirurgicale, il sera absent pour les premières semaines de compétition.\\n\\nYannis Morin – né le 31 août 1993 – 2,08m – Poste 4-5 – Français\\n\\nC’est le pigiste médical de Demetrius Treadwell. Le Mans a été enchanté de son passage en fin de saison dernière car il a accompli son devoir en dépannant en l’absence de Will Yeguete puis en troisième rotation au pivot en playoffs. Un rôle mineur statistiquement dans la conquête du titre (8’ en 12 matches pour 4,8 d’éval) mais non négligeable dans les faits. Formé à Cholet, a joué en Pro B et en G-League. A gagné en muscle et il est toujours mobile. Bon défenseur.\\n\\n© FIBA\\n\\nJean-Marc Pansa – né le 20 août 1997– 2,08m – Poste 5 – Français\\n\\nUn intérieur émergent. Aime les grosses équipes puisqu’il a planté 10 points contre Le Mans et Strasbourg. Ses stats globales sont plus modestes : 2,0 pts et 1,2 rbd. Né à Kourou en Guyane. Comme Vincent Poirier et Sekou Doumbouya il a bénéficié d’une licence AS pour évoluer en Pro A et en N1 avec le Centre Fédéral. 10,2 pts et 2,2 rbds en 4 matches.\\n\\n© FIBA\\n\\nCoach :\\n\\nPascal Donnadieu – né le 29 mai 1964– 1,88m Français\\n\\nAncien employé de banque, il est devenu une sorte de légende du basket français pour avoir mené son équipe de la Départementale à un titre de champion de France et à deux coupes d’Europe. Fils de Jean, le président et frère de Frédéric, le general manager. Adjoint de Vincent Collet en équipe de France après avoir coaché les A’. Aime le beau jeu offensif avec une profusion de paniers à trois-points.\\n\\nAdjoint :\\n\\nFranck Le Goff (47 ans)\\n\\n[armelse]\\n\\nNon seulement Nanterre a gagné deux Coupes d’Europe, un titre de champion de France Pro A et deux Coupe de France mais ce qui est épatant depuis son arrivée dans l’élite, c’est sa capacité à produire du jeu spectaculaire avec des shooteurs qui n’ont pas froid aux yeux. Le départ du charismatique Heiko Schaffartzik est une perte pour le club et toute la Jeep Elite mais sur le plan du shooting, le Lituanien Adas Juskevicius et l’Américain Jeremy Senglin ne vont pas dépareiller dans l’effectif de Pascal Donnadieu, au contraire.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture: Hugo Invernizzi (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le reportage de France 3 Nouvelle-Aquitaine sur Sekou Doumbouya (Limoges)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"France 3 Nouvelle-Aquitaine a réalisé un reportage sur Sekou Doumbouya (2,06m, 17 ans), la pépite du basket français qui va porter le maillot vert du Limoges CSP cette saison."
}, 
{"role": "user",     "content":"Landerneau ou le retour de la Bretagne en Ligue Féminine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Landerneau Bretagne Basket remet la Bretagne sur la carte de la Ligue Féminine. Les Bretons n’y étaient plus représentés depuis la descente de l’Avenir de Rennes, il y a vingt ans. BasketEurope donne la parole à son président, Erwan Croguennec, et son coach, Stéphane Leite. Ils nous parlent de la transition à effectuer quand on vient de Ligue 2 et de l’engouement qui entoure le club dans cette ville de 15 000 habitants du Finistère.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nCela faisait combien de temps que le club ambitionnait de monter en Ligue Féminine ?\\n\\nStéphane Leite : Je crois que ça a toujours été dans la tête des dirigeants. Comme pour la plus part des clubs, c’est d’abord un problème de moyens. A la base, le club c’est Pleyber-Christ qui a voulu être plus ambitieux lorsqu’ils ont fusionné avec le club de Landerneau il y a sept ans. A mon arrivée, il y a quatre ans, le projet c’était clairement de jouer une montée à long terme. On ne s’était jamais dit, c’est cette année ! On arriverait de plus en plus proche puisqu’il y a trois ans, on a accédé pour la première fois dans la vie du club à la demi-finale avec peu de moyens et pas mal de blessées dans la saison. On s’est dit que ça pouvait marcher, il faut simplement que l’on travaille plus dur que les autres, que l’on soit vraiment en phase avec ce que l’on recherche sur le terrain et que le club construise aussi en extra basket. Il y a deux ans, on perd en demi contre La Roche qui est champion de France et la saison dernière, tout s’est bien goupillé, la mayonnaise a pris. L’état d’esprit était vraiment celui que l’on recherche chez nous. On n’a pas eu de pépins physiques majeures à l’exception de Kelly Corre et chacun a réussi à trouver sa place.\\n\\nC’est aussi pour vous votre première saison en Ligue. Quel a été votre parcours ?\\n\\nSL : J’ai entraîné les équipes nations à l’AS Montferrand durant toute ma jeunesse. En 2010, je suis parti à Trégueux dans les Cotes d’Armor. On a réussi en trois ans à monter en N3 puis en N2 et on a manqué les playoffs d’accession à la N1 à pas grand-chose. J’ai refait une année là-bas et la suivante, je pensais en avoir fait le tour, Landerneau cherchait un entraîneur. Ils ont hésité entre trois entraîneurs d’expérience et un jeune qui avait envie de travailler. Ils ont donc fait le choix de la jeunesse. Ça fait quatre ans que je suis ici. J’ai 30 ans.\\n\\nEst-ce une fierté d’être le premier club breton en ligue depuis vingt ans ?\\n\\nSL : Bien sûr ! Ça l’est pour moi, le club, les dirigeants. La Bretagne est une terre de sportifs et amener un club féminin à haut niveau pour nous, c’est formidable. C’est un club identitaire et c’est une région qui aime les besogneux pour pleins de raisons. Le Finistère a été fermé aux loisirs jusque dans les années 88-89 parce qu’il n’y avait pas d’accession par le train et les gens aiment les joueuses qui aiment le maillot.\\n\\nErwan Croguennec : C’est en tous les cas l’aboutissement d’un travail monumental. Lorsque j’ai pris la présidence, il y a trois, quatre ans, on ne mesurait pas que le chemin serait aussi complexe. C’est une œuvre collective qui a été accomplie sur le plan sportif, humain, politique. Quand je suis arrivé, on se battait pour se maintenir en Ligue 2 et plusieurs éléments ont fait que l’on a pu devenir raisonnablement ambitieux avec la salle de la Cimenterie dont on a fait l’inauguration le 11 septembre 2016 et qui est devenu l’accélérateur de particules. Sans cette salle et l’appui des élus, le projet n’aurait pas pu aboutir comme il a abouti. Je ne voudrais pas réduire cette fierté au travail de deux ou trois ans. C’est un club qui est parti du niveau départemental à Pleyber-Christ, qui a franchi tous les échelons. Nos structures ont beaucoup évolué mais c’est l’esprit qui a animé le club dès le début qui a beaucoup fait notre force. On est une équipe de bénévoles de 70-80 personnes. C’est une salle qui joue à guichets fermés depuis le milieu décembre de la saison passée. Les places pour la finale se sont vendues en six minutes. Les résultats sportifs sont les résultats de tout ce que l’on a réussi à fédérer autour de ce projet.\\n\\nVous avez mis « Bretagne » dans le nom du club. C’est important pour vous de la représenter ?\\n\\nEG : C’est pour la confiance apportée par les décideurs départementaux, régionaux, municipaux. C’est se servir de la performance sportive pour essayer de faire rayonner notre territoire. Les ressources publiques se réduisent et vont continuer, je pense, à se réduire, aussi s’il veut réussir au plus haut niveau, le sport doit trouver une certaine légitimité sur le territoire. Le sport de haut niveau doit être une locomotive pour tous les autres sports du territoire. En plus le sport féminin a beaucoup de vertus avec des filles qui ont souvent un double projet.\\n\\nQuand on est à Landerneau, on est géographiquement au bout du monde, chaque autre club est éloigné ?\\n\\nSL : C’est fou, c’est un gros budget, il ne faut pas se mentir. Sachant que l’on estime que les gens sont plus performants quand ils se déplacent dans de bonnes conditions alors on fait l’effort de. On se déplace en avion ou en train. C’est vrai aussi dans l’autre sens, les gens qui viennent chez nous ont des kilomètres à faire. Pour nous c’est toute une saison. Le fait qu’il y ait Mondeville, Nantes et La Roche, c’est un peu plus facile vis-à-vis de ce que c’était en Ligue 2.\\n\\nComme le Cavigal Nice est redescendu, vous évitez le plus long déplacement ?\\n\\nSL : Il y a un direct Brest-Nice, aussi ce n’était pas le déplacement le plus problématique. L’aéroport est bien desservi.\\n\\n« Pour Angers, on avait un car de 85 places et en tout, on a vendu 400 tickets. On aurait pu en vendre 200 ou 300 de plus mais ça n’a pas été possible »\\n\\nVous avez des supporters enthousiastes, 1 600 en moyenne, qui se sont déplacés en nombre à Angers pour la finale de Ligue 2 ?\\n\\nSL : Il existait déjà avant que j’arrive mais il y a un vrai engouement qui s’est développé. Je pense que les résultats ont aussi aidé. C’est surtout dû à l’identité que les filles dégagent. Les gens se retrouvent en elles. Marie Butard ou Pauline Lithard sont des gens qui correspondent exactement à ce que les Bretons attendent, c’est-à-dire qui mouillent le ballon, qui s’investissent, qui existent dans le projet sportif et dans l’extra-sportif. Elles font les différentes choses que la mairie de Landerneau met en place. L’engouement, c’est l’une des raisons de notre montée. Avoir une salle pleine à chaque fois, ça montre que l’on avait du soutien. On doit aussi quelque chose aux gens. Il y a une alchimie qui s’est faite entre les supporters et les joueuses. On doit aussi ce succès au travail des bénévoles. Il y en a tellement dans cette structure ! L’engouement est double, du côté des fans et des dirigeants.\\n\\nEG : Pour Angers, on avait un car de 85 places et en tout, on a vendu 400 tickets. On aurait pu en vendre 200 ou 300 de plus mais ça n’a pas été possible. Tous ces signaux-là nous montrent qu’aujourd’hui on n’a pas encore exploité tout le potentiel du club qui, je pense, peut encore faire plus et certainement continuera à nous surprendre. Ce déplacement à Angers n’était pas un one shot mais dans une dynamique de saison puisque le match suivant à Landerneau si on avait eu trois ou quatre fois plus de places, on les aurait vendues. La municipalité a mis au pied levé un écran géant à côté. La capacité de la salle va passer à 2 100 et on a énormément de demandes du côté des abonnements. Les gens se sont appropriés le projet.\\n\\nD’où viennent-ils, spécifiquement de Landerneau ou de tout le Finistère ?\\n\\nEG : On est sur le département et même la région. On a quelques clubs qui nous demandes des places, de Saint-Brieuc, Trégueux, du cenre Bretagne, du sud Finistère, du Morbihan. C’est une ambiance très familiale et de match de gala, ça plaît. La majorité de nos spectateurs sont bien sûr locaux. On a la chance d’avoir dans le Finistère le BBH, le club de handball de Brest, qui nous inspire beaucoup, qui joue en coupe d’Europe et qui remplit l’aréna à chaque fois qu’elles jouent à domicile. Leurs dirigeants sont vraiment des exemples à suivre. Ils savent transformer une simple rencontre sportive en match de gala. A notre échelle, on essaye de reproduire ce qui marche à côté.\\n\\nQuelle est l’augmentation budgétaire pour cette montée en Ligue Féminine ?\\n\\nEG : Le budget va dépasser légèrement le million. C’est un petit budget de Ligue Féminine mais il faut savoir qu’il y a trois, quatre ans, il était autour de 350/400 000€. On ne dépensera pas l’argent que l’on n’a pas. Le très gros travail de la cellule de recrutement, c’est de réussir à trouver les profils de joueuses les plus complémentaires possibles.\\n\\nVous avez conservé quatre joueuses, c’est un choix ou c’est guidé par les circonstances ?\\n\\nSL : C’est un choix. Deux joueuses ne sont pas restées parce que Kelly Corre a souhaité donné un peu d’élan à sa carrière et Aija Brumermane est retournée dans son pays pour se rapprocher de sa famille. Ensuite, on a fait des choix par rapport aux joueuses restantes. Il paraissait important de garder un noyau fort notamment Pauline Lithard, Marie Butard, Elodie Naigre, Victoria Majekodunmi, qui était sixième joueuse mais importante pour nous. Victoria a 21 ans et Elodie 23 ans, ce sont des joueuses en devenir.\\n\\nPauline Lithard et Elodie Naigre ont été sélectionnées en équipe de France A’. C’est la première fois que des joueuses du club sont sélectionnées à ce niveau-là ?\\n\\nSL : En sénior, oui. C’est pour nous le signe que le travail va dans le droit chemin.\\n\\nKamilia Stepanova et Maggie Cooper ont déjà connu la Ligue Féminine, c’est une assurance d’adaptation ?\\n\\nSL : On a fait un état des lieux et on s’est dit que l’on est assez jeune à part Marie (Butard) qui a la trentaine et on n’a pas forcément beaucoup d’expérience de la Ligue féminine. C’est pour ça que l’on a fait le choix de Joyce Cousseins-Smith à la mène et Kamilia pour toutes les raisons que l’on connaît. Elle a fait de grosses saisons avec Basket Landes, à Toulouse c’était correct et à Villeneuve d’Ascq, elle avait fini vice-championne de France. Maggie Lucas, c’est une bonne pioche parce qu’elle était blessée au genou. Sinon, il ne faut pas se mentir, elle ne serait pas venue chez nous. Elle s’est dit, pourquoi pas repartir en Europe dans un club où j’aurai du temps de jeu, de la confiance. Elle n’avait pas de club l’année dernière mais là elle a rejoué en WNBA, à Atlanta et Dallas (NDLR : un total de 8 matches).\\n\\nMaggie Lucas sera votre scoreuse ?\\n\\nSL : Je ne peux pas dire que ça sera la go to guy car je ne construis pas l’équipe autour d’une joueuse, ça serait beaucoup trop risqué. Sa qualité de tir et son expérience en font une joueuse majeure, c’est sûr, mais le go to guy ça amène trop de responsabilités sur une personne et ça peut tout déséquilibrer. La volonté que l’on a eu dans la construction de cette équipe, c’est une possibilité de scorer pour tout le monde. Le fait d’avoir Maggie va surtout nous permettre d’écarter un peu et comme ça de s’offrir plus d’opportunités dans la raquette ou pour avoir un peu plus de situations de drive.\\n\\nJoyce Cousseins-Smith a connu beaucoup de clubs de Ligue, c’est aussi une assurance ? Ce que l’on a remarqué la saison dernière avec La Roche, c’est qu’il a fallu du temps à l’équipe pour qu’elle devienne compétitive ?\\n\\nSL : Même s’il y avait de très bonnes joueuses, La Roche avait quasiment conservé le même effectif qu’en Ligue 2, juste deux ou trois recrutements. Nous, on a changé un cinq majeur et on va énormément jouer, sept matches de préparation. On a fait le choix de Joyce car c’est une meneuse d’expérience. Par ailleurs, c’est très compliqué de trouver une poste 5 de très bon niveau. On a fait le choix de prendre une fille qui nous avait marqué, Kariata Diaby, qui a failli nous éliminer en demi-finale avec Chartres juste par son énergie et son activité. Je pense que nos sept matches de préparation vont nous laisser le temps de nous mettre dans le rythme.\\n\\n[armelse]\\n\\nCela faisait combien de temps que le club ambitionnait de monter en Ligue Féminine ?\\n\\nStéphane Leite : Je crois que ça a toujours été dans la tête des dirigeants. Comme pour la plus part des clubs, c’est d’abord un problème de moyens. A la base, le club c’est Pleyber-Christ qui a voulu être plus ambitieux lorsqu’ils ont fusionné avec le club de Landerneau il y a sept ans. A mon arrivée, il y a quatre ans, le projet c’était clairement de jouer une montée à long terme. On ne s’était jamais dit, c’est cette année ! On arriverait de plus en plus proche puisqu’il y a trois ans, on a accédé pour la première fois dans la vie du club à la demi-finale avec peu de moyens et pas mal de blessées dans la saison. On s’est dit que ça pouvait marcher, il faut simplement que l’on travaille plus dur que les autres, que l’on soit vraiment en phase avec ce que l’on recherche sur le terrain et que le club construise aussi en extra basket. Il y a deux ans, on perd en demi contre La Roche qui est champion de France et la saison dernière, tout s’est bien goupillé, la mayonnaise a pris. L’état d’esprit était vraiment celui que l’on recherche chez nous. On n’a pas eu de pépins physiques majeures à l’exception de Kelly Corre et chacun a réussi à trouver sa place.\\n\\nC’est aussi pour vous votre première saison en Ligue. Quel a été votre parcours ?\\n\\nSL : J’ai entraîné les équipes nations à l’AS Montferrand durant toute ma jeunesse. En 2010, je suis parti à Trégueux dans les Cotes d’Armor. On a réussi en trois ans à monter en N3 puis en N2 et on a manqué les playoffs d’accession à la N1 à pas grand-chose. J’ai refait une année là-bas et la suivante, je pensais en avoir fait le tour, Landerneau cherchait un entraîneur. Ils ont hésité entre trois entraîneurs d’expérience et un jeune qui avait envie de travailler. Ils ont donc fait le choix de la jeunesse. Ça fait quatre ans que je suis ici. J’ai 30 ans.\\n\\nEst-ce une fierté d’être le premier club breton en ligue depuis vingt ans ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nDemain : Marie Butard\\n\\nPhotos: Focale Iroise Elorn"
}, 
{"role": "user",     "content":"Allemagne: L’ancien 2e choix de la draft 2011, Derrick Williams, signe avec le Bayern Munich"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Deuxième choix de la draft en 2011, l’ailier Derrick Williams (2,03m, 27 ans) a signé un contrat avec le Bayern Munich nouvel arrivant en Euroleague.\\n\\nWilliams a derrière lui une carrière de six saisons et de 436 matches avec les Timberwolves, les Kings, les Knicks, le Heat, les Cavaliers avec qui il a été finaliste en 2017 et les Lakers. Le tout pour une moyenne de 8,9 points et 4,0 rebonds.\\n\\nAprès s’être retrouvé sans emploi, il avait accepté de rejoindre la saison dernière le club chinois des Tianjin Gold Lions avant de se voir proposer un 10-day contract par les Lakers."
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Le Centre Fédéral en ouverture de l’Open"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La 14ème édition du MAIF Open LFB 2018 se tiendra les 13 et 14 octobre prochains à Paris au Stade Pierre de Coubertin avec les 12 équipes de Ligue Féminine qui s’affronteront pour le compte de la première journée du championnat et du Match des Champions. En ouverture, les organisateurs ont prévu une rencontre de Ligue Féminine 2 opposant le Centre Fédéral à Toulouse.\\n\\nSamedi 13 octobre\\n\\n13h00 : Centre Fédéral (LF2) – Toulouse (LF2)\\n\\n15h30 : Villeneuve d’Ascq – Mondeville\\n\\n18h00 : Tarbes – Lyon\\n\\n20h30 : Bourges – Charleville-Mézières (Match des Champions LFB)\\n\\nDimanche 14 octobre\\n\\n13h30 : Basket Landes – Landerneau\\n\\n16h00 : Lattes Montpellier – Nantes Rezé\\n\\n18h30 : Hainaut Basket – Roche Vendée"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le Villeurbannais Mantas Kalnietis propulse la Lituanie à la Coupe du monde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Match énorme du meneur villeurbannais Mantas Kalnietis (1,96m, 32 ans) hier soir à l’occasion de Lituanie-Pays-Bas.\\n\\nKalnietis s’est fendu de 21 points avec un 5/11 à trois-points plus 5 passes et 4 rebonds en 32 minutes. En outre, il a marqué le panier à trois-points de la victoire à cinq secondes du buzzer. 95-93. L’arrière de Nanterre Adas Juskevicius a été l’auteur de 11 points et 5 passes.\\n\\nDeux prolongations ont été nécessaires pour départager les deux adversaires."
}, 
{"role": "user",     "content":"Matthias Lessort, de facteur X à MVP"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« Même si on le critique pas mal et c’est vrai que ce système des fenêtres est quand même un peu bizarre, ça donne aussi l’occasion de découvrir certains joueurs qu’on aurait peut-être pas eu la chance de voir sur d’autres formats ».\\n\\nLa phrase signée du nouveau capitaine des Bleus Nicolas Batum résume bien l’esprit qui a animé la « Team France Basket » au cours d’une phase qualificative pour la coupe du monde relativement sereine jusque là. Après l’alerte payée au prix fort jeudi soir en Bulgarie (74-68), les Bleus ont rapidement corrigé le tir dimanche soir contre la Finlande (83-67), un match dans lequel Matthias Lessort, titulaire au poste 5, a un joué un rôle prépondérant. Par son profil atypique, l’intérieur qui s’était déjà distingué une semaine auparavant face à la Grèce a peut-être marqué des points en vue des prochaines échéances.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLes fenêtres internationales ont au moins cet avantage de permettre à la relève de se confronter au plus haut-niveau avec le maillot bleu. De nombreux joueurs ont ainsi saisi leur chance afin de mettre leur potentiel en valeur. Sur la fenêtre de février dernier, avec une équipe « new-look », il y a eu l’évidence Paul Lacombe, remarquable booster en sortie de banc et les confirmations du futur NBAer Elie Okobo ainsi que le pivot Moustapha Fall. Sur les fenêtres de fin juin, Vincent Poirier s’était également distingué aux côtés de Rudy Gobert. Les bons exemples sont nombreux et depuis le dernier rassemblement tricolore, Matthias Lessort est notamment venu s’ajouter à cette liste.\\n\\nLa prépa parfaite\\n\\nAlors qu’il fêtera seulement ses 23 ans le 29 septembre prochain, le pivot martiniquais, dont les droits appartiennent aux Sixers depuis la draft 2017, poursuit son ascension à un rythme fou. Après, l’Elan Chalon, son club formateur, Nanterre 92 où il a évolué en 2016-2017 et l’Etoile Rouge de Belgrade avec qui il a découvert l’Euroleague (8,5 points, 5,7 rebonds en 21′ par match), le petit frère de Gregory a débarqué en Espagne, à l’Unicaja Malaga où il jouera l’Eurocup la saison prochaine.\\n\\nL’ancien club de Flo Pietrus ne pouvait rêver meilleur prépa pour son nouveau poulain, auteur de très bonnes séquences en amical contre la Grèce (10 points à 4/5, 5 rebonds en 16′) puis dimanche face aux Finlandais en titulaire (13 points à 6/7, 6 rebonds, 4 passes, 2 contres en 21′). L’ex intérieur nanterrien s’est mué en facteur X au meilleur moment alors que les Bleus étaient dans l’obligation de l’emporter pour préserver leur première place du groupe K\\n\\n« Tant que ça n’est pas fait mathématiquement, il ne faut rien lâcher », a assuré Matthias Lessort après la rencontre, alors qu’il ne manque qu’une victoire à la France pour assurer sa place au mondial chinois. « Vincent a dit que c’était une équipe qui me convenait bien. C’est pour ça que j’ai commencé le match. En deuxième mi-temps, j’ai essayé d’élever mon niveau de jeu. Le but, c’était avant tout de gagner le match et d’aider l’équipe le plus possible (...) Dans l’ensemble c’est plutôt positif, mais le plus important reste le collectif ».\\n\\nLe choix payant de Vincent Collet\\n\\nEn l’intronisant avec Charles Kahudi dans le cinq majeur, le sélectionneur avait effectivement émis un signal clair, renforçant significativement l’impact et la mobilité de son équipe. Son choix a été doublement récompensé, avec un record de points pour Charles Kahudi (14) et un titre de MVP pour Matthias Lessort,\\n\\n« On voulait s’adapter à cette équipe de Finlande qu’on connaît très bien », a expliqué Vincent Collet. « Elle joue un basket atypique avec un jeu intérieur toujours au service des extérieurs. Leur volonté, c’est de se mettre en position à 3-points. Ils sont très brillants pour le faire, avec une mobilité sans ballon au dessus de la moyenne dans le concert européen. On a décidé, à la fois de mettre Charles, pour prendre en charge Koponen qui est leur maître à jouer. Et d’intégrer Matthias, un petit pivot très tonique, dynamique, dont on savait qu’il serait beaucoup plus à même de contrer cette mobilité adverse. Tout en gardant un avantage de puissance conséquent. Au début ça ne s’est pas trop vu car je pense qu’il était un peu stressé. Le passage suivant, il a été dominateur ».\\n\\n« Un profil différent »\\n\\nLe nouveau pivot de Malaga s’est en effet distingué par sa ténacité défensive et sa capacité à finir près du cercle comme ce fut le cas au buzzer de la mi-temps dimanche pour donner 26 longueurs d’avance aux Bleus (50-24). L’occasion s’est présentée, Matthias Lessort l’a saisie, et avec son profil atypique parmi les postes 5 tricolores (2,06m), il pourrait constituer une option plus que crédible à l’avenir comme l’a laissé entendre Vincent Collet à l’issue du rassemblement.\\n\\n« Ce n’est pas un petit pivot de taille, mais en tout cas, il est beaucoup plus petit que Moustapha Fall qui fait 2,18, Vincent Poirier qui fait 2,14 et que Rudy Gobert par ailleurs. C’est un profil différent, hypertonique. Il a une vitesse sur les pick&roll que les autres n’ont pas. Il a cette vitesse incroyable et de la puissance pour finir. Il apporte tout ça et puis une capacité à switcher. Il peut défendre sur des arrières. Il est accroché aux sols, il a des cannes de feu. Ça a été un vrai problème tactique pour les Finlandais. Clairement, ils étaient gênés. Leur jeu repose sur la création du surnombre par la mobilité. A partir du moment ou tu peux casser des timings sur des écrans non-porteurs, que tu peux changer en défense, très souvent ils ont été poussés dans des situations de un contre un qu’ils n’affectionnent pas particulièrement. C’est pour ça qu’on a creusé l’écart petit à petit, et le fait d’avoir un pivot comme ça te le permet plus facilement ».\\n\\nQue ce soit Matthias Lessort, Paul Lacombe, Charles Kahudi, Vincent Poirier, Andrew Albicy, Jonathan Rousselle ou d’autres, ces nombreux exemples positifs reflètent l’état d’esprit de ce groupe élargi, contraint d’être modifié à souhait autour de ses leaders successifs, mais guidé par l’unique but de franchir cet obstacle des qualifications pour le Mondial. Celui-ci pouvait être compliqué à négocier à première vue, mais l’investissement et l’application de tous les joueurs, au fil des fenêtres, ont fait la différence. Ils ont aussi permis à de nouveaux visages d’émerger en Bleu, dont certains seront amenés à poursuivre l’aventure jusqu’en Chine,\\n\\nPour Matthias Lessort, son avenir en équipe nationale dépendra à présent de son acclimatation à l’Unicaja Malaga où la concurrence sera tout aussi rude. Nul doute que la perspective de participer à une coupe du monde saura lui donner ce supplément de motivation face à ce nouveau défi.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n[armelse]\\n\\nLes fenêtres internationales ont au moins cet avantage de permettre à la relève de se confronter au plus haut-niveau avec le maillot bleu. De nombreux joueurs ont ainsi saisi leur chance afin de mettre leur potentiel en valeur. Sur la fenêtre de février dernier, avec une équipe « new-look », il y a eu l’évidence Paul Lacombe, remarquable booster en sortie de banc et les confirmations du futur NBAer Elie Okobo ainsi que le pivot Moustapha Fall. Sur les fenêtres de fin juin, Vincent Poirier s’était également distingué aux côtés de Rudy Gobert. Les bons exemples sont nombreux et depuis le dernier rassemblement tricolore, Matthias Lessort est notamment venu s’ajouter à cette liste.\\n\\nLa prépa parfaite\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du monde: Tous les classements en Europe, la Slovénie quasi éliminée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si la Lituanie s’est qualifiée hier soir pour la Coupe du monde 2019 en Chine, la Slovénie a quasiment hypothéqué toutes ses chances.\\n\\nLes champions d’Europe sont tombés à domicile contre la Turquie, 77-86, malgré les 24 points et 12 rebonds du naturalisé Anthony Randolph. Ils étaient privés de leur triplette Goran Dragicn, Luka Doncic, Klemen Prepelic.\\n\\nLa Croatie est également en mauvaise posture après sa défaite en Pologne, 74-79. Les 22 points et 5 rebonds de Bojan Bogdanovic et les 17 points, 5 rebonds et 4 passes de Dario Saric n’ont pas été suffisants.\\n\\nA noter dans les rangs polonais les 12 points du Villeurbannais AJ Slaughter et les 7 points, 5 rebonds et 3 passes du Franco-Polonais Aaron Cel.\\n\\nL’Allemagne, la Grèce, la Lituanie et la République Tchèque dans la zone européenne ainsi que le Nigeria et la Tunisie dans la zone africaine sont les six premiers qualifiés pour la Coupe du monde.\\n\\n\\nGroup I\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n#\\nEquipe\\nMJ\\nV\\nD\\n%\\nPour\\nContre\\n+/-\\n\\n\\nPts\\n\\n\\n\\n\\n1\\nEspagne\\n8\\n7\\n1\\n87.5\\n647\\n589\\n58\\n\\n\\n15\\n\\n\\n2\\nTurquie\\n8\\n6\\n2\\n75.0\\n602\\n535\\n67\\n\\n\\n14\\n\\n\\n3\\nLettonie\\n8\\n5\\n3\\n62.5\\n644\\n612\\n32\\n\\n\\n13\\n\\n\\n4\\nMontenegro\\n8\\n4\\n4\\n50.0\\n613\\n606\\n7\\n\\n\\n12\\n\\n\\n5\\nUkraine\\n8\\n4\\n4\\n50.0\\n600\\n605\\n-5\\n\\n\\n12\\n\\n\\n6\\nSlovénie\\n8\\n2\\n6\\n25.0\\n635\\n663\\n-28\\n\\n\\n10\\n\\n\\n\\n\\n\\nGroup J\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n#\\nEquipe\\nMJ\\nV\\nD\\n%\\nPour\\nContre\\n+/-\\n\\n\\nPts\\n\\n\\n\\n\\n1\\nLituanie*\\n8\\n8\\n0\\n100\\n691\\n528\\n163\\n\\n\\n16\\n\\n\\n2\\nItalie\\n8\\n6\\n2\\n75.0\\n644\\n550\\n94\\n\\n\\n14\\n\\n\\n3\\nPologne\\n8\\n4\\n4\\n50.0\\n597\\n585\\n12\\n\\n\\n12\\n\\n\\n4\\nHongrie\\n8\\n4\\n4\\n50.0\\n551\\n549\\n2\\n\\n\\n12\\n\\n\\n5\\nPays-Bas\\n8\\n3\\n5\\n37.5\\n586\\n585\\n1\\n\\n\\n11\\n\\n\\n6\\nCroatie\\n8\\n3\\n5\\n37.5\\n588\\n582\\n6\\n\\n\\n11\\n\\n\\n\\n\\n\\nGroup K\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n#\\nEquipe\\nMJ\\nV\\nD\\n%\\nPour\\nContre\\n+/-\\n\\n\\nPts\\n\\n\\n\\n\\n1\\nFrance\\n8\\n7\\n1\\n87.5\\n630\\n518\\n112\\n\\n\\n15\\n\\n\\n2\\nRep.T\\n8\\n7\\n1\\n87.5\\n629\\n583\\n46\\n\\n\\n15\\n\\n\\n3\\nRussie\\n8\\n4\\n4\\n50.0\\n613\\n581\\n32\\n\\n\\n12\\n\\n\\n4\\nFinlande\\n8\\n4\\n4\\n50.0\\n605\\n613\\n-8\\n\\n\\n12\\n\\n\\n5\\nBulgarie\\n8\\n3\\n5\\n37.5\\n613\\n621\\n-8\\n\\n\\n11\\n\\n\\n6\\nBosnie\\n8\\n2\\n6\\n25.0\\n561\\n651\\n-90\\n\\n\\n10\\n\\n\\n\\n\\n\\nGroup L\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n#\\nEquipe\\nMJ\\nV\\nD\\n%\\nPour\\nContre\\n+/-\\n\\n\\nPts\\n\\n\\n\\n\\n1\\nAllem.\\n8\\n8\\n0\\n100\\n706\\n555\\n151\\n\\n\\n16\\n\\n\\n2\\nGrèce\\n8\\n8\\n0\\n100\\n669\\n580\\n89\\n\\n\\n16\\n\\n\\n3\\nSerbie\\n8\\n5\\n3\\n62.5\\n668\\n584\\n84\\n\\n\\n13\\n\\n\\n4\\nGeorgie\\n8\\n3\\n5\\n37.5\\n630\\n661\\n-31\\n\\n\\n11\\n\\n\\n5\\nIsrael\\n8\\n3\\n5\\n37.5\\n616\\n655\\n-39\\n\\n\\n11\\n\\n\\n6\\nEstonie\\n8\\n2\\n6\\n25.0\\n523\\n636\\n-113\\n\\n\\n10\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Lazeric Jones remplace DJ Cooper à Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’AS Monaco annonce ce matin la signature du meneur américain Lazeric Jones (1,83m, 28 ans) qui remplace ainsi D.J. Cooper, qui a quitté le club pour des raisons familiales.\\n\\nAprès avoir fréquenté la même high school que Derrick Rose (Chicago Bulls), Lazeric Jones a été le capitaine des Bruins d’UCLA (2010-2012) avec 13,6 points, 39,3 % à trois-points et 4,1 passes de moyenne en senior.\\n\\nIl a ensuite fait carrière en Europe, au Maccabi Rishon LeZion en Israël (2012/13), au KAOD en Grèce (2013/14), à Szolnoki Olaj en Hongrie (2014/15), et après un tour à l’Iowa Energy en D-League (2015/16), au Pinar Karsiyaka Izmir en Turquie (2016/17) avant de contribuer à la montée de Sakarya en première division turque puis d’y évoluer avec Moustapha Fall comme partenaire sur l’exercice 2017/18. Sa moyenne: 12 points, 3,7 passes, 46,6 % à 3-points.\\n\\nLazeric Jones est annoncé comme un joueur athlétique, physique avec un bon shoot. Le club espère le qualifier pour le match à domicile contre l’ASVEL dimanche."
}, 
{"role": "user",     "content":"La phrase – Tony Parker: «C’est l’équipe de France F !»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Interrogé par David Cozette et Stéphen Brun sur RMC Sport, Tony Parker a déclaré combien il estime stupide les fenêtres internationales et dit ne pas avoir reconnu l’équipe de France présente à Montpellier pour le match face à la Finlande.\\n\\n« C’est l’équipe de France F ! », a t-il répondu en riant. « Ca fait bizarre de voir l’équipe de France comme ça et en même temps ça m’énerve un peu, la guerre FIBA-Euroleague. Tu ne peux pas avec le basket faire pareil qu’avec le foot. C’est juste pas possible. Au foot, il n’y a pas de NBA, tout est en Europe. C’est plus facile d’avoir les meilleurs joueurs. Alors que nous, dans notre sport, il y a la NBA qui est la meilleure ligue du monde et tous les meilleurs joueurs jouent là-bas. Donc, il faut que tu t’adaptes. Le schéma que je jouais, ma génération, c’était parfait. On jouait l’été, il y a les meilleurs joueurs qui viennent l’été. C’est mieux comme ça et c’est dommage que les gens qui décident en haut ne se rendent pas compte de ça. J’ai du mal à reconnaître l’équipe de France. Il n’y a que Nico (Batum) de joueurs NBA et aucun joueurs d’Euroleague. C’est bizarre, sans manquer de respect aux joueurs qui sont là car ce sont des joueurs talentueux mais ce n’est pas l’équipe de France. Ce ne sont pas les meilleurs joueurs. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: La présentation de Michael Young, l’ailier de Cholet Basket"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est au tour de Michael Young, ailier de 2,06m et 24 ans, de se présenter sur Cholet Basket TV. En version originale sous-titrée."
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: La France craque dans les dernières minutes face aux Etats-Unis, 60-77"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A cinq jours de l’ouverture de la Coupe du monde et pour son ultime match de préparation, l’équipe de France a tenu 35 minutes face à l’armada américaine toutefois privée de Sue Bird, Breanna Steward et Elena Delle Donne. Un résultat comparable à celui du Canada battue 68-84 par les Etats-Unis, il y a deux jours. Diana Taurasi (16 points, 6 passes et 5 interceptions) et Tina Charles (14 points, 12 rebonds) et le 8/12 global à trois-points ont fait tout spécialement mal.\\n\\nRomane Bernies héritait en priorité de la mène suite au forfait de Olivia Epoupa et bien concentrées et volontaires, les Françaises menaient 4-3 après 3’30. Les Etats-Unis retrouvaient vite tous leurs sens, Diana Taurasi faisant tout de suite parler sa précision à longue distance. La France devait beaucoup à Sandrine Gruda, émoustillée par la nature de l’opposition de mener encore 13-10. Dommage que Endy Miyem (1/8 en première mi-temps) gâchait la marchandise. C’est sur un exploit personnel d’Alix Duchet -et plus généralement à ses 6 rebonds offensifs preuve de son agressivité- que la France était encore à égalité à 15 après dix minutes.\\n\\nLes Bleues défendaient très bien au point que les Américaines pouvaient se laisser surprendre par l’horloge des 24 secondes. Ce n’était pas toujours très fluide du côté des championnes olympiques. Jusqu’ici discrète, à Paris comme à Antibes, Sandrine Gruda (10 des 21 premiers points français) sortait véritablement le grand jeu face aux intérieures américaines.\\n\\nTout d’un coup, les Françaises semblaient marquer le pas physiquement. Probablement une explication aux sept interceptions des Américaines dans cette mi-temps. Sur un 2-10, elle se faisaient déborder, 21-29 (18e), mais au lieu de couler à pic, elles se ressaisissaient et sur une ficelle à trois-points de Marine Johannès, elles revenaient à 27-30 à la pause. Marine Johannès réussissant un nouveau trois-points peu après qui permettait aux Bleues d’égaliser à 34.\\n\\nQuel dommage que les Françaises ratèrent alors quantité de shoots « faciles », ce qui n’était pas le cas des Américaines qui provoquaient un décrochage. Sur un 13-0, les USA en étaient à 47-34. La taille, le poids, la force, on le sait, est américain. De plus, les Bleues manquaient parfois de patience mais elles ont du coeur et après un 7-0, elles revenaient à 46-50 avant d’attaquer le dernier quart-temps.\\n\\nHéléna Ciak faisait un super taf face à Brittney Griner (2,06m). Visiblement, jouer des big women convient mieux à l’ancienne pivot de Koursk que d’avoir à faire à des joueuses de tailles plus réduites. Par contre, une autre intérieure, Tina Charles (1,93m) du New York Liberty imposait ses muscles et Diana Taurasi sa science du jeu et les Américaines repassaient la barre des dix points d’avance. C’est dur de tenir la distance face au rouleau compresseur made-in-USA. Des fuites apparaissaient au fur et à mesure des minutes et l’écart final est forcément sévère.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nCoupe du Monde à Tenerife (Espagne) du 22 au 30 septembre\\nSamedi 22 septembre -13h30 : Corée du Sud / France\\nDimanche 23 septembre – 17h30 : France / Grèce\\nMardi 25 septembre – 20h30 : Canada / France\\nMercredi 26 septembre : Barrage quarts de finale\\nVendredi 28 septembre : Quarts de finale\\nSamedi 29 septembre : Demi-finales\\nDimanche 30 septembre : Finales\\n\\nPhoto: Endy Miyem (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau: Opéré de l’appendicite, Akos Keller est indisponible pour au moins quatre semaines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il était parti rejoindre son équipe nationale pour les matches de la fenêtre de septembre, le pivot hongrois Akos Keller (2,08m, 29 ans) a été victime d’une crise d’appendicite et a été opéré à Debrecen indique l’Elan Béarnais Pau-Lacq Orthez.\\n\\nAkos Keller va ainsi manquer l’ouverture de la saison de Jeep Elite. La durée de son indisponibilité est estimée à quatre semaines au minimum.\\n\\nPhoto: Elan Béarnais"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Jeep®ÉLITE 2018/19 : Monaco, enfin la consécration ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Jeep Elite débute les 22 et 23 septembre et nous sommes fiers de vous proposer pour la troisième année (déjà!) une présentation complète sur BasketEurope avec une analyse de chaque équipe, des commentaires sur chaque joueur et coach, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié jusqu’au jeudi 20 avec chaque jour une équipe de JeepElite par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment). Vous pouvez également dès maintenant pré-commander le Magazine « Guide de la saison » sur notre boutique à 6€ frais de port inclus.\\n\\nNous vous proposerons ensuite la Pro B et la Ligue Féminine.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nTriple vainqueur de la Leaders Cup et deux fois d’affilée qualifiée pour le Final Four de Champions League, l’AS Monaco n’a pourtant toujours pas réussi à soulever le trophée de champion de France de Jeep Elite, battu par Le Mans en finale la saison dernière. Malgré un changement de coach avec l’arrivée de Sasa Filipovski, les objectifs restent les mêmes, le titre de champion de France et aller le plus loin possible en Coupe d’Europe. En parlant de Coupe d’Europe, la Roca Team a décidé de quitter la Champions League pour rejoindre l’Eurocup, et ainsi se rapprocher petit à petit de l’Euroleague. Sur le plan de l’effectif, les dirigeants monégasques sont parvenus à garder un noyau dur de joueurs déjà présents l’année dernière et ont réussi à en attirer d’autres intéressants pour palier notamment les départs de Sergii Gladyr, Aaron Craft et DJ Cooper qui leur a fait faux-bond en dernière minute. La seule interrogation demeure sur Remi Barry, qui n’a jamais réellement fait ses preuves en France, mais qui aurait réalisé une bonne préparation et qui a ainsi convaincu le club de le signer.\\n\\nSalle : Salle Gaston Médecin (2 840 places)\\n\\nPrésident : Sergei Dyadechko (46 ans)\\n\\nArrivées : Rémi Barry (Poitiers, Pro B), Ian Hummer (Saratov, Russie), Jarrod Jones (Izmir, Turquie), Lazeric Jones (Sakarya BB, Turquie), Derek Needham (Morna Bar, Montenegro), Saso Filipovski (Bandirma, Turquie, coach).\\n\\nDéparts : DJ Cooper, Aaron Craft (Buducnost, Monténégro), Bangaly Fofana (Gravelines-Dunkerque), Sergii Gladyr, Damjan Rudez (Murcia, Espagne), Ali Traoré (Strasbourg), Zvezdan Mitrovic (Lyon-Villeurbanne).\\n\\nDerek Needham – né le 20 octobre 1990 – 1,80m – Poste 1 – Monténégrin\\n\\nAprès une saison de patron au Monténégro, ce meneur américain va découvrir le championnat de France. Fort scoreur, il devrait apporter des points sur le poste 1 monégasque. Il est passé par la Lituanie, l’Ukraine, l’Allemagne, l’Italie et le Monténégro avant de rejoindre les rangs de la Roca Team. En 2017/18, il conjuguait 17,7 points , 2,6 rebonds et 4,1 passes décisives entre la Ligue Adriatique, la ligue monténégrine et la FIBA Europe Cup.\\n\\nLazeric Jones – né le 11 avril 1990 – 1,85m – Poste 1 – Américain\\n\\nL’ancien capitaine des Bruins d’UCLA est venu suppléer D.J.Cooper qui après avoir fait faux-bond à Gravelines la saison dernière a laissé en plan la Roca Team quelques jours avant la reprise. L’ancien équipier de Derrick Rose au lycée a derrière lui une solide carrière en Europe: au Maccabi Rishon LeZion en Israël (2012/13), au KAOD en Grèce (2013/14), à Szolnoki Olaj en Hongrie (2014/15), et après un tour à l’Iowa Energy en D-League (2015/16), au Pinar Karsiyaka Izmir en Turquie (2016/17) avant de contribuer à la montée de Sakarya en première division turque puis d’y évoluer sur l’exercice 2017/18. Sa moyenne: 12 points, 3,7 passes, 46,6 % à 3-points. Athlétique et bon shooteur.\\n\\nPaul Lacombe – né le 12 juin 1990 – 1,90m – Poste 2 – Français\\n\\nPasser un nouveau cap dans sa carrière et aller chercher un nouveau titre de champion de France -le premier a été conquis avec l’ASVEL en 2009. C’est la raison pour laquelle, le natif de Vénissieux a décidé de quitter la SIG après quatre finales de Pro A perdues de suite. Manque de chance pour l’ancien Villeurbannais, il est une nouvelle fois parvenu à aller en finale du championnat mais n’a pas non plus soulevé le titre avec Monaco manquant par-dessus le marché un shoot décisif. Arrière polyvalent qui aime remonter le ballon, capable de tout faire sur un terrain, c’est un vrai guerrier des parquets. Ses stats en 2017/18 : 10,4 points, 3,8 rebonds et 2,7 passes décisives entre le championnat et la Champions League.\\n\\nYakuba Ouattara – né le 24 janvier 1992 – 1,90m – Poste 2 – Français\\n\\nAprès un exercice 2017/18 mitigé aux Etats-Unis, l’arrière formé à l’Elan Chalon revient dans le club qui lui a donné l’opportunité de signer un Two-way contract avec les Brooklyn Nets. Arrière hyper athlétique, double vainqueur du concours de dunk de All Star Game (2014 et 2015), c’est à Denain qu’il s’est révélé lors de la saison 2014/15. Lancé dans la fournaise de la Pro B par Jean-Christophe Prat, il n’a pas fait de vieux os en deuxième division et a rejoint la Roca Team une saison plus tard pour y trouver un vrai rôle dans l’élite. La saison dernière, il compilait en moyenne 7,4 points et 2 rebonds en seulement douze matchs de G-League.\\n\\nGerald Robinson – né le 10 février 1989 – 1,85m – Poste 2 – Américain\\n\\nDéjà passé par la France en 2015/16 à Nanterre, cet arrière scoreur faisait son retour dans l’Hexagone en 2017/18. Et quel retour ! Il s’est fait remarquer par ses coups de chaud et notamment en quart de finale de Champions League face à Banvit quand il a inscrit 30 points, dont 19 en moins de huit minutes. La saison dernière, il compilait en moyenne 14,9 points, 2,4 rebonds et 3 passes décisives entre la Jeep Elite et la Champions League.\\n\\nRémi Barry – né le 27 août 1991 – 2,02m – Poste 3 – Français\\n\\nFormé aux Etats-Unis, il n’a été que très peu vu en France. En 2015/16 au Havre, à Vichy en 2017 et Poitiers en 2018. Agé de 27 ans, le natif du Tremblay-en-France a été appelé par Sasa Filipovski pour participer au stage de préparation en Italie et a convaincu son coach de le signer pour la saison. C’est en Croatie et en Macédoine la saison dernière qu’il s’est fait remarquer par ses qualités de scoreur. Ses stats en 2017/18 : 20,2 points et 7,2 rebonds entre la Croatie et la Pro B.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=4_QzZTmsoj8\\n\\nJarrod Jones – né le 24 mai 1990 – 2,06m – Poste 4 – Hongrois\\n\\nDéjà aperçu en France le temps de huit matchs de Pro B en 2015/16 sous le maillot de Vichy-Clermont, il revient en France après avoir montré toute l’étendue de son talent en Italie et en Turquie. Malgré des propositions de contrat à plus de 600 000 dollars en provenance de Russie, le natif de Michigan City a décidé de rejoindre la Roca Team. Double champion de Hongrie, l’ancien joueur de Pesaro est un poste 4 combatif, aussi à l’aise dans les airs que derrière la ligne à trois points. La saison dernière à Izmir il tournait à 17,6 points (38% à trois points) et 6,2 rebonds entre le championnat turc et la Champions League.\\n\\nAmara Sy – né le 28 août 1981 – 2,02m – Poste 4 – Français\\n\\nL’inusable ! A 37 ans, le double champion de France avec l’ASVEL n’a pas l’intention de raccrocher les baskets tout de suite. En fin de contrat cet été, l’ancien international malien a prolongé pour deux saisons de plus avec Monaco. Double vainqueur de la Coupe de France et champion de France 3X3, le Franco-malien fait partie des personnages les plus emblématiques du championnat. La saison dernière, il compilait en moyenne 10,7 points et 3,6 rebonds entre la Jeep Elite et la Champions League. Il est devenu président de son club de toujours, le Cergy Pontoise Basketball, et président du Syndicat National des Joueurs dans le courant de la saison dernière.\\n\\nIan Hummer – né le 23 août 1990 – 2,01m – Poste 4 – Américain\\n\\nUn nouvel arrivant en Jeep Elite. Il va vivre sa première expérience en France sur Le Rocher. Formé au lycée de Gonzaga et à l’université de Princeton, ce poste 4 puissant est passé par l’Allemagne, la Finlande la Turquie et la Russie. La saison dernière, il conjuguait en moyenne 9,2 points et 3,8 rebonds entre la VTB League, les qualification pour la Champions League et la FIBA Europe Cup.\\n\\nGeorgi Joseph – né le 23 novembre 1982 – 1,97m – Poste 4 – Français\\n\\nL’homme de l’ombre. C’est le joueur dont l’apport ne se voit pas forcément dans les stats mais qui est primordial pour une équipe, notamment en défense. Monsieur muscle du basket français, il fait partie du club des anciens avec son coéquipier Amara Sy ou encore Alain Koffi, qui joue à Gravelines. Formé aux Etats-Unis, puis lancé dans le grand bain en Italie, il évolue en France depuis 2006 et est passé par Paris, Orléans, Villeurbanne ou encore Clermont. La saison dernière, il tournait à 3,5 points et 3,6 rebonds entre la Jeep Elite et la Champions League. Possède aussi la nationalité haïtienne.\\n\\nElmedin Kikanovic – né le 2 août 1988 – 2,11m – Poste 4/5 – Bosnien\\n\\nRevenu en France l’été dernier en signant à Monaco, cet international bosnien est un grand intérieur à l’ancienne, bien plus à l’aise au sol dans les feintes et sur les tirs extérieurs à deux points que dans les airs. Il est passé par Tuzla, l’Etoile Rouge, Krasnoyarsk, le SLUC et l’ALBA Berlin avant de rejoindre la Roca Team. Ses stats en 2017/18 : 14,4 points et 4,1 rebonds entre le championnat et la Champions League.\\n\\nCoach\\n\\nSasa Filipovski – né le 6 septembre 1974 – Slovène\\n\\nEntraîneur depuis 1996 quand il a pris le poste d’assistant à Ljubljana, il est inconnu en France mais possède une forte expérience européenne. Passé par la Slovénie, la Pologne, la Russie, l’Italie et la Turquie, il va connaître sa première saison en France. Ancien assistant au CSKA Moscou, il officiait depuis deux saisons en Turquie, à Banvit. Avec le club turc, le double champion de Slovénie et de Pologne s’est hissé jusqu’en finale de la Champions League en 2017, après avoir battu Monaco en demi-finale.\\n\\nAssistant:\\n\\nOlivier Basset (56 ans)\\n\\n[armelse]\\n\\nTriple vainqueur de la Leaders Cup et deux fois d’affilée qualifiée pour le Final Four de Champions League, l’AS Monaco n’a pourtant toujours pas réussi à soulever le trophée de champion de France de Jeep Elite, battu par Le Mans en finale la saison dernière. Malgré un changement de coach avec l’arrivée de Sasa Filipovski, les objectifs restent les mêmes, le titre de champion de France et aller le plus loin possible en Coupe d’Europe.\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV: Ouverture de la saison de Jeep Elite, Coupe du monde féminine et RMC Sport bientôt distribué par CanalSat"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Voici une semaine très chargée avec l’ouverture de la saison de Jeep Elite et le démarrage de la Coupe du monde féminine à Ténérife.\\n\\nBonne nouvelle pour les possesseurs de Canalsat. Le bouquet devrait bientôt distribuer RMC Sport.\\n\\nSamedi 22 septembre\\n\\n14h30 – Corée du Sud/France – Coupe du monde féminine – Canal+ décalé\\n\\n18h30 – Levallois/Le Mans – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\n19h00 – Etats-Unis/Sénégal – Coupe du monde féminine – Canal+ décalé\\n\\nDimanche 23 septembre\\n\\n18h30 – Monaco/Villeurbanne – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\n18h30 – France/Grèce – Coupe du monde féminine – Canal+ Sport\\n\\n21h00 – Espagne/Porto Rico – Coupe du monde féminine – Canal+ Sport\\n\\nLundi 24 septembre\\n\\n20h45 – Nanterre/Bourg – Jeep Elite – RMC Sport 2\\n\\nPhoto: Olivier Epoupa (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du monde: Allemagne, Grèce et République Tchèque qualifiées, la Slovénie au bord du gouffre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Assurés de terminer dans le top 3 de leur groupe respectif, la Grèce, l’Allemagne et la République Tchèque sont les trois premiers qualifiés pour la Coupe du monde 2019 en Chine. Il reste neuf tickets à délivrer pour la zone européenne.\\n\\nLa Grèce et l’Allemagne ont souffert pour s’imposer hier puisque les Grecs ont battu la Georgie, 86-85, alors que les Allemands ont eu recours à une prolongation pour écarter Israël, 112-98.\\n\\nOutre la défaite de la France, l’une des surprises de cette fenêtre a été l’échec de l’Espagne en Turquie (65-76). Mais tout comme les Bleus, les Espagnols demeurent idéalement placés pour se qualifier au Mondial.\\n\\nCe n’est pas le cas de la Slovénie, championne d’Europe en titre, qui se retrouve au bord du gouffre après son échec en Lettonie (74-85). Les équipiers de Klemen Prepelic se doivent de gagner face à la Turquie aujourd’hui.\\n\\nPhoto: Anthony Randolph (FIBA)\\n\\n\\nGroup I\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n#\\nEquipe\\nMJ\\nV\\nD\\n%\\nPour\\nContre\\n+/-\\n\\n\\nPts\\n\\n\\n\\n\\n1\\nEspagne\\n7\\n6\\n1\\n85.7\\n562\\n507\\n55\\n\\n\\n13\\n\\n\\n2\\nTurquie\\n7\\n5\\n2\\n71.4\\n516\\n458\\n58\\n\\n\\n12\\n\\n\\n3\\nLettonie\\n7\\n5\\n2\\n71.4\\n562\\n527\\n35\\n\\n\\n12\\n\\n\\n4\\nUkraine\\n7\\n4\\n3\\n57.1\\n516\\n515\\n1\\n\\n\\n11\\n\\n\\n5\\nMont.\\n7\\n3\\n4\\n42.9\\n523\\n522\\n1\\n\\n\\n10\\n\\n\\n6\\nSlovénie\\n7\\n2\\n5\\n28.6\\n558\\n577\\n-19\\n\\n\\n9\\n\\n\\n\\n\\n\\nGroup J\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n#\\nEquipe\\nMJ\\nV\\nD\\n%\\nPour\\nContre\\n+/-\\n\\n\\nPts\\n\\n\\n\\n\\n1\\nLituanie\\n7\\n7\\n0\\n100\\n596\\n435\\n161\\n\\n\\n14\\n\\n\\n2\\nItalie\\n7\\n5\\n2\\n71.4\\n575\\n487\\n88\\n\\n\\n12\\n\\n\\n3\\nHongrie\\n7\\n4\\n3\\n57.1\\n488\\n480\\n8\\n\\n\\n11\\n\\n\\n4\\nP. Bas\\n7\\n3\\n4\\n42.9\\n493\\n490\\n3\\n\\n\\n10\\n\\n\\n5\\nCroatie\\n7\\n3\\n4\\n42.9\\n514\\n503\\n11\\n\\n\\n10\\n\\n\\n6\\nPologne\\n7\\n3\\n4\\n42.9\\n518\\n511\\n7\\n\\n\\n10\\n\\n\\n\\n\\n\\nGroup K\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n#\\nEquipe\\nMJ\\nV\\nD\\n%\\nPour\\nContre\\n+/-\\n\\n\\nPts\\n\\n\\n\\n\\n1\\nFrance\\n8\\n7\\n1\\n87.5\\n630\\n518\\n112\\n\\n\\n15\\n\\n\\n2\\nRep. T.\\n8\\n7\\n1\\n87.5\\n629\\n583\\n46\\n\\n\\n15\\n\\n\\n3\\nRussie\\n8\\n4\\n4\\n50.0\\n613\\n581\\n32\\n\\n\\n12\\n\\n\\n4\\nFinlande\\n8\\n4\\n4\\n50.0\\n605\\n613\\n-8\\n\\n\\n12\\n\\n\\n5\\nBulgarie\\n8\\n3\\n5\\n37.5\\n613\\n621\\n-8\\n\\n\\n11\\n\\n\\n6\\nBosnie\\n8\\n2\\n6\\n25.0\\n561\\n651\\n-90\\n\\n\\n10\\n\\n\\n\\n\\n\\nGroup L\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n#\\nEquipe\\nMJ\\nV\\nD\\n%\\nPour\\nContre\\n+/-\\n\\n\\nPts\\n\\n\\n\\n\\n1\\nAllem.\\n8\\n8\\n0\\n100\\n706\\n555\\n151\\n\\n\\n16\\n\\n\\n2\\nGrèce\\n8\\n8\\n0\\n100\\n669\\n580\\n89\\n\\n\\n16\\n\\n\\n3\\nSerbie\\n8\\n5\\n3\\n62.5\\n668\\n584\\n84\\n\\n\\n13\\n\\n\\n4\\nGeorgie\\n8\\n3\\n5\\n37.5\\n630\\n661\\n-31\\n\\n\\n11\\n\\n\\n5\\nIsrael\\n8\\n3\\n5\\n37.5\\n616\\n655\\n-39\\n\\n\\n11\\n\\n\\n6\\nEstonie\\n8\\n2\\n6\\n25.0\\n523\\n636\\n-113\\n\\n\\n10\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Afrique: Le Nigeria et la Tunisie qualifiés pour la Coupe du monde, le Sénégal en bonne position"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Nigeria et la Tunisie sont d’ores et déjà qualifiés pour la Coupe du monde qui va se tenir en Chine du 31 août au 15 septembre 2019.\\n\\nL’ensemble des rencontres de la poule F se jouaient à Lagos au Nigeria, ce qui fait que les D-Tigers possédaient un avantage appréciable. Ils ont vaincu la Côte d’Ivoire (84-73), la République centrafricaine puis le Sénégal, 89-61.\\n\\nLa Tunisie évoluait également à la maison, à Radès. La championne d’Afrique a pris le meilleur sur le Maroc (65-50), l’Egypte (69-47) et largement sur l’Angola (84-64). Avec 9 victoires en 9 journées, les Tunisiens ont donc l’assurance de participer pour la deuxième fois à la Coupe du monde après l’édition de 2010.Trois billets restent à distribuer pour la zone africaine. Les deux premiers de chaque groupe ainsi que le meilleurtroisième iront en Chine. Les Sénégalais sont en bonne position puisqu’il ne leur manque plus qu’une victoire. Peut-être sera t-elle obtenu le vendredi 22 février 2019 face au Rwanda.Photo: Mourad El Mabrouk"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le best of de France-Finlande"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Voici les meilleurs moments de France-Finlande à Montpellier, qui a vu la victoire des Bleus, 83-67, pour le compte des qualifications à la Coupe du monde 2019."
}, 
{"role": "user",     "content":"Après France-Finlande, Nicolas Batum: «J’ai eu peur sur le moment»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quelques réactions après la victoire de la France sur la Finlande hier à Montpellier (83-67) pour le compte des qualifications à la Coupe du Monde 2019.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nNICOLAS BATUM\\n\\nSa glissade ?\\n\\n« Je suis souple, je me suis découvert souple. Non, c’est vrai que j’ai eu peur sur le moment. Le mouvement fait peur, le genou part un peu en arrière. Mais le genou, ça va, rien du tout. C’est la hanche qui a tiré un peu mais rien de bien méchant. Mais une fois que je suis là, je donne tout. »\\n\\nLe match ?\\n\\n« On s’est fait un peu peur, on les a remis dans le match. Mais on voulait se rattraper par rapport à la petite erreur il y a quelques jours. On a été très sérieux d’entrée. On a fait une très belle entame de match. On a géré la deuxième mais c’était un bon match. On voulait la manière, pas que la victoire. Tous les joueurs qui ont participé ont apporté, la première mi-temps était vraiment très très belle, surtout au niveau du collectif et du mouvement du ballon. C’est assez encourageant. Il y a beaucoup de joueurs qui ne seront pas là pour la suite, beaucoup de joueurs qui étaient là et qui vont connaître plus d’instabilité pour la suite. Je sais qu’on a encore besoin d’une victoire pour valider le ticket pour la Chine. J’ai confiance en eux, ils ont prouvé qu’il y avait des joueurs qui méritaient d’être en équipe de France, sur le terrain, et certainement d’être en Chine derrière. Vincent n’aura pas un travail facile pour sélectionner derrière, mais c’est son problème. C’est quand même une très très bonne fenêtre. »\\n\\nEmergence de nouveaux joueurs, Paul Lacombe, Mustapha Fall, Mathias Lessort ?\\n\\n« Même si on critique pas mal, et c’est vrai que ce système de fenêtres est un peu bizarre quand même, ça donne quand même l’occasion de découvrir certains joueurs qu’on n’avait pas la chance de découvrir sous d’autres formats. Paul (Lacombe) est clairement un élément essentiel pour nous maintenant. Je ne vais pas dire de façon quasiment définitive mais presque. Donc, c’est sûr que ça peut servir. »\\n\\nVINCENT COLLET\\n\\nLe match\\n\\n« Après la défaite en Bulgarie jeudi, mon groupe voulait faire beaucoup mieux ce soir. On est sorti du vestiaire avec de très bonnes intentions. On a été excellents en défense. On les a contrés presque tout le temps. Ils ont été très peu ouverts. 2/9 à trois-points je crois en première. En attaque, on a pris le rythme, ce qui explique l’écart. En deuxième, on a souffert, on a été fatigué et ils ont mieux joué. Ils ont été plus intelligents, ils ont changé leur défense deux ou trois fois. Ils ont fait un bon boulot pour rester dans le match et pour revenir. Cette victoire est essentielle. On est très proche de la qualification. »\\n\\nLe changement de 5 majeur\\n\\n« On voulait s’adapter à cette équipe de Finlande qu’on connait très bien. On sait qu’elle est atypique, qu’elle joue un basket très particulier avec un jeu intérieur au service des extérieurs. La volonté des Finlandais, c’est de se mettre en position à trois-points. Ils sont très brillants pour le faire avec une mobilité sans ballon très au-dessus de la moyenne dans le concert européen. Donc on a décidé de mettre Charles (Kahudi) pour prendre en charge Koponen qui est le maître à jouer. Et l’intégration de Mathias Lessort qui est un petit pivot très tonique et très dynamique et dont on savait qu’il serait beaucoup plus à même de contrer cette mobilité finlandaise, tout en ayant un avantage de puissance conséquent en attaque. Donc au début, ça ne s’est pas trop vu dans les premières minutes parce qu’il était un peu stressé je pense. Il a mis quelques minutes pour rentrer dans le match mais sur les passages suivants, il a été très dominateurs. Et puis Charles a parfaitement rempli sa mission en plus il a mis des tirs d’entrée de jeu et ensuite il a aussi coupé plusieurs fois dans le dos de la défense pour scorer. Mais au-delà des performances individuelles, en première mi-temps, on avait la bonne attitude qu’on avait un peu perdu jeudi dernier. Ça a été un rappel à l’ordre entendu par tout le monde. J’ai vraiment aimé l’état d’esprit général sur cette entame. »\\n\\nPaul Lacombe et sa place dans le groupe\\n\\n« Tout le monde voit qu’il a progressé de toutes façons. Ça s’est vu déjà dans notre championnat. Depuis le début des fenêtres il a eu un rôle effectivement très intéressant. Maintenant, pour lui comme pour d’autres, l’équipe de France est au-dessus. On aura besoin de tous ces bons joueurs, mais aussi d’autres qui ne sont pas là et qui vont revenir. Mais le plus important, la leçon de ces fenêtres, c’est l’état d’esprit. Une équipe de France forte doit s’appuyer sur un esprit irréprochable. Quels que soient les joueurs qui la composent. On l’a vu avec l’équipe de France de foot cet été. Bien sûr qu’il faut du talent, on a la chance aujourd’hui d’en avoir, même quand on est privé de certains très bons joueurs, on a encore de la qualité. Mais ce qui ne doit pas disparaitre, c’est l’état d’esprit. Rien ne remplacera l’état d’esprit. On pourrait avoir le retour de cinq ou six très forts joueurs, si on perd l’état d’esprit, on ne fera rien. La priorité dans les mois à venir sera de construire ça. Pour moi, il n’y a pas d’évidence. On a vu ce qu’il s’est passé l’été dernier au championnat d’Europe. Sans qu’il n’y ait eu de choses graves, c’était beaucoup plus des détails mais des détails qui, au final, comptent énormément. La définition des rôles, le fait d’accepter d’être au service de cette équipe et de ne pas vouloir s’attribuer des choses, c’est très très important. En même temps que ces fenêtres, on va essayer de caler tout ça parce que l’objectif, depuis le début, c’est la coupe du monde. La qualification, c’est une étape intermédiaire mais pas une fin en soi. »\\n\\nTerminer premier du groupe\\n\\n« Oui, c’est important. Je pense que ce qui compte vraiment, c’est le ranking mondial. Donc il faut garder cette troisième place (en vue des têtes de série pour le tableau de la coupe du monde). Dans les deux cas, il faut encore gagner des matches. L’objectif, ce serait presque de tous les gagner. D’être capable d’aller les chercher. Pour continuer à construire cet état d’esprit. Au-delà des joueurs qui composent l’équipe, on veut gagner ensemble, jouer ensemble, défendre ensemble. Et évidemment, quand tu rajoutes des grands joueurs, tu renforces encore ton niveau. »\\n\\nHENRIK DETTMANN\\n\\n« J’ai coaché Paul Lacombe, je le connais bien, il s’agit de l’un de mes joueurs préférés. Il bouge vraiment bien, c’est un joueur intelligent, il voit bien le jeu. C’est un nouvel atout extraordinaire pour l’équipe de France. Mais c’est le basket français. Vous avez 650 000 joueurs. Si quelqu’un arrête ou n’est pas là, la nouvelle génération arrive. C’est ce pour quoi le pays a travaillé. Vos atouts et vos talents sont excellents. Vous avez devant vous un futur brillant. »\\n\\nCHARLES KAHUDI\\n\\n« C’était un grand match pour nous. On a attaqué en étant très au point en défense. C’est ce qui a fait la différence. En attaque on a partagé, on fait 27 passes décisives. Il y a eu un petit peu de relâchement au troisième quart. Ce sont des shooteurs, dès qu’ils commencent à trouver du rythme, ils commencent à en mettre. On a quand même fait le boulot. »\\n\\nPAUL LACOMBE\\n\\n« Les Finlandais ont du corps, ils sont capables de mettre des shoots dans n’importe quelle situation, on s’est fait un peu peur, mais on a contrôlé dans l’ensemble. C’est bien. »\\n\\n[armelse]\\n\\nNICOLAS BATUM\\n\\nSa glissade ?\\n\\n« Je suis souple, je me suis découvert souple. Non, c’est vrai que j’ai eu peur sur le moment. Le mouvement fait peur, le genou part un peu en arrière. Mais le genou, ça va, rien du tout. C’est la hanche qui a tiré un peu mais rien de bien méchant. Mais une fois que je suis là, je donne tout. »\\n\\nLe match ?\\n\\n« On s’est fait un peu peur, on les a remis dans le match. Mais on voulait se rattraper par rapport à la petite erreur il y a quelques jours. On a été très sérieux d’entrée. On a fait une très belle entame de match. On a géré la deuxième mais c’était un bon match. On voulait la manière, pas que la victoire. Tous les joueurs qui ont participé ont apporté, la première mi-temps était vraiment très très belle, surtout au niveau du collectif et du mouvement du ballon. C’est assez encourageant.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’équipe de France féminine remporte la Coupe d’Europe 3×3"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de France féminine a remporté hier à Bucarest la Coupe d’Europe 3×3 en dominant en finale les Pays-Bas, 21 à 5.\\n\\nL’équipe est composée de Marie Eve PAGET (1,71m, 23 ans, Charleville), Ana Maria FILIP (1,96m, 29 ans, Charleville), Jenny FOUASSEAU (1,80m, 26 ans, Saint-Amand) et Mamignan TOURE (1,83m, 23 ans, Basket Landes).\\n\\nChez les hommes, c’est la Serbie qui a été sacrée, la France terminant à la septième place.\\n\\nQuarts de finale:\\n\\n\\n\\n\\nEspagne\\nPays-Bas\\n11-13\\n\\n\\nItalie\\nRép. Tchèque\\n21-5\\n\\n\\nFrance\\nBelgique\\n20-11\\n\\n\\nRoumanie\\nUkraine\\n18-20\\n\\n\\n\\n\\nDemi-finales:\\n\\n\\n\\n\\nPays-Bas\\nItalie\\n20-12\\n\\n\\nFrance\\nUkraine\\n17-14\\n\\n\\n\\n\\nFinale 3e place:\\n\\n\\n\\n\\nItalie\\nUkraine\\n16-17\\n\\n\\n\\n\\nFinale\\n\\n\\n\\n\\nPays-Bas\\nFrance\\n5-21\\n\\n\\n\\n\\nHOMMES\\n1. Serbie\\n2. Lettonie\\n3. Slovénie\\n4. Russie\\n5. Pologne\\n6. Espagne\\n7. France\\n8. Hongrie\\n9. Belgique\\n10. Suisse\\n11. Roumanie\\n12. Bosnie-Herzégovine\\n\\nFEMMES\\n1. France\\n2. Pays-Bas\\n3. Ukraine\\n4. Italie\\n5. Roumanie\\n6. Espagne\\n7. Belgiuque\\n8. République Tchèque\\n9. Hongrie\\n10. Suisse\\n11. Biélorussie\\n12. Serbie\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Jeep®ÉLITE 2018/19 : Limoges, l’après Frédéric Forte"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Jeep Elite débute les 22 et 23 septembre et nous sommes fiers de vous proposer pour la troisième année (déjà!) une présentation complète sur BasketEurope avec une analyse de chaque équipe, des commentaires sur chaque joueur et coach, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié jusqu’au jeudi 20 avec chaque jour une équipe de JeepElite par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment). Vous pouvez également dès maintenant pré-commander le Magazine « Guide de la saison » sur notre boutique à 6€ frais de port inclus.\\n\\nNous vous proposerons ensuite la Pro B et la Ligue Féminine.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nMarqué par le décès de son président Frédéric Forte le soir de la Saint Sylvestre et la reprise du club par un trio avec Youri Vériéras comme président, l’exercice 2017/18 restera longtemps gravé dans les mémoires limougeaudes. Malgré ce drame, le CSP ne s’est pas apitoyé sur son sort et après un passage difficile, les hommes de Kyle Milling sont allés chercher le quatrième place du classement – tout un symbole quand on sait qu’il s’agit du numéro que portait Frédéric Forte – et une demi-finale de playoffs. Au final, une saison sportivement réussie avec aussi une place dans le top-16 de l’Eurocup. Olivier Bourgain et ses équipes ont eu du pain sur la planche cet été et on dû essuyer les départs de sept joueurs, mais c’est un recrutement de qualité qui a suivi. Entre JFL de haut niveau avec Jonathan Rousselle et Jerry Boutsiele, fort potentiel avec Sekou Doumbouya, ou joueurs d’expérience avec Dwight Hardy, et sans oublier la prolongation pour deux ans de Samardo Samuels, le CSP Limoges est une nouvelle fois en mesure de faire vibrer ses exigeants supporters cette saison.\\n\\nSalle : Palais des Sports de Beaublanc (4 711 places)\\n\\nPrésident : Youri Vériéras (29 ans)\\n\\nArrivées : Jerry Boutsiele (Cholet), Sekou Doumbouya (Poitiers, Pro B), Dwight Hardy (Galatasaray Istanbul, Turquie), Isaiah Miles (Usak Sportif, Turquie), Jonathan Rousselle (Cholet).\\n\\nDéparts : Josh Carter, Brian Conklin (Illawara Hawks, Australie), Danny Gibson (Antibes, Pro B), Kenny Hayes (Buyukcekmece Basketbol, Turquie), Dru Joyce III, Jean-Baptiste Maille (Rouen, Pro B), Jean-Frédéric Morency (Boulazac), Fréjus Zerbo.\\n\\nLondon Perrantes – né le 3 octobre 1994 – 1,88m – Poste 1 – Américain\\n\\nC’est le pari du club. Chef d’orchestre des Caton Charge, en G-League, la saison dernière dans le cadre de sa première saison en tant que professionnel, il aura comme mission d’être le maître à jouer du CSP. Un rôle très important. Formé à l’université de Virginia, il va vivre sa première expérience en dehors des Etats-Unis en Jeep Elite. La saison dernière, il compilait en moyenne 11,9 points, 3,3 rebonds et 7,8 passes décisives en G-League.\\n\\nJonathan Rousselle – né le 7 février 1990 – 1,92m – Poste 1/2 – Français\\n\\nEnfant du Nord de la France, il fait partie des meilleurs JFL de Jeep Elite. Lancé à Gravelines-Dunkerque, il a été prêté deux ans à Boulogne-sur-Mer, en Pro B, avant de revenir au BCM et de se faire une place dans l’élite. Il a rejoint Cholet en 2014 et n’a cessé de progresser depuis son arrivée dans les Mauges. Champion d’Europe U20, il a porté le maillot de l’équipe de France A’ et a vécu sa première sélection chez les A en février dernier, face à la Belgique, et il a été préféré à Axel Julien pour les deux matches des Bleus en septembre. La saison dernière, il tournait à 9,4 points, 3,6 rebonds et 3,9 passes décisives. Un shoot absolument pas académique mais fiable.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=EIJRO5g7rGQ\\n\\nDwight Hardy – né le 2 décembre 1986 – 1,88m – Poste 2 – Congolais\\n\\nFormé aux universités de Indian Hills et Saint John’s, cet arrière spectaculaire est passé par l’Italie et la Turquie, entre Pistoia, Avellino, Bologne, Trabzonspor ou encore Galatasaray. A seulement 31 ans, il sera le joueur le plus âgé de l’effectif limougeaud et sera l’extérieur en charge du scoring du CSP. Ses stats en 2017/18 : 12,9 points (40% de réussite à trois-points) et 2 rebonds entre l’Eurocup et le championnat turc.\\n\\nAxel Bouteille – né le 14 avril 1995 – 2m – Poste 2/3 – Français\\n\\nAprès cinq ans à Chalon-sur-Saône, un titre de champion de France espoirs, un trophée du Futur, une finale de FIBA Europe Cup, une finale de Leaders Cup et un titre de champion de France, le natif de Roanne a quitté l’Elan. Il forme, avec William Howard, la paire d’ailier français qui est arrivée au CSP durant l’été 2017. Toujours très efficace lorsqu’il est sur le terrain, aimanté par le cercle. Il n’était pas certain de rester à Limoges mais a finalement rempilé pour une saison après avoir réfléchi à sa situation. La saison dernière, il conjuguait en moyenne 10 points et 3,4 rebonds entre le championnat et l’Eurocup. Fils de l’ancien pro, Franck Bouteille.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=BzJUocedk8Q\\n\\nSekou Doumbouya – né le 23 décembre 2000 – 2,05m – Poste 3 – Français\\n\\nA seulement 17 ans, il était le prospect le plus convoité de l’été, entre Limoges, Le Mans, l’ASVEL ou encore Bourg-en-Bresse. Après deux saisons passées à se forger en Pro B sous les ordres de Rudy Nelhomme, à Poitiers, le joyau de l’agence Comsport va maintenant se frotter aux joueurs de Jeep Elite sur le parquet de Beaublanc, avant de tenter sa chance en NBA. La saison dernière en Pro B, il compilait en moyenne 8,5 points et 4,1 rebonds. Absent des équipes de France jeune cet été. Il est considéré comme l’un des – si ce n’est le – meilleurs prospects de la Draft 2019. D’origine guinéenne, naturalisé français en 2016.\\n\\nWilliam Howard – né le 25 octobre 1993 – 2,01m – Poste 3 – Français\\n\\nFils de l’ancien joueur américain « Skip » Howard qui a évolué en première division française, il a déjà gouté à plusieurs championnat entre la NCAA avec Hope Academy, la NM1 avec le Centre Federal, la Pro B avec Denain et Hyères-Toulon, la Pro A avec Gravelines et Limoges et l’Eurocup. International U16, U18, U20 et A’, c’est en février dernier qu’il a connu sa première sélection chez les A, lors du match face à la Russie à Strasbourg. Il était dans la valise de Kyle Milling lorsque le coach a signé à Limoges en 2017. Un vrai shooteur qui fait de multiple choses positives sur un terrain. La saison dernière, il tournait à 11,4 points et 4,1 rebonds.\\n\\nJerry Boutsiele – né le 20 avril 1992 – 2,07m – Poste 4 – Français\\n\\nComme Jonathan Rousselle, Jerry Boutsiele c’est imposé comme l’un des meilleurs français à son poste en Jeep Elite sous les couleurs du Cholet Basket. Passé par Nanterre et Rouen, en Pro A puis Pro B, il a fait sa place dans les raquettes de Pro B avec Denain. Après deux saisons dans le Nord, il a rejoint Cholet et retrouvé l’élite. Sur sa lancée, il a continué de progresser et de prendre de la place dans le paysage du basket français. Ses stats en 2017/18 : 9,8 points et 7,3 rebonds.\\n\\nIsaiah Miles – né le 9 juin 1994 – 2,01m – Poste 4 – Américain\\n\\nIl arrive en provenance du championnat turc mais il est déjà passé par la France. En 2016/17, pour sa saison rookie, il portait le maillot de la JDA Dijon avec lequel il a rendu une belle copie. Formé à l’université de Saint Joseph’s il évoluait la saison dernière à l’Usak Sportif. C’est un poste 4 fuyant, tonique et aussi à l’aise dans la raquette que derrière la ligne à trois-points. La saison dernière il tournait à 10,6 points et 3,5 rebonds en Turquie.\\n\\nMouhammadou Jaiteh – né le 27 novembre 1994 – 2,08m – Poste 4/5 – Français\\n\\nAncien pensionnaire de l’INSEP, il a réalisé une saison incroyable en Pro B en 2012/13, à seulement 18 ans. Ensuite passé par Nanterre, où il a remporté une coupe de France et l’Eurochallenge, et Strasbourg, le triple All Star n’a pas vraiment confirmé les espoirs qui ont été mis en lui mais il ne faut pas oublier qu’il n’a que 23 ans. Jugé un peu soft, il s’est endurci sous les ordres de Kyle Milling et sous la pression du public limougeaud qui veut voir des vrais guerriers sur le parquet de Beaublanc. La saison dernière, il compilait en moyenne 9,4 points et 6 rebonds entre le championnat et l’Eurocup.\\n\\nSamardo Samuels – né le 9 janvier 1989 – 2,06m – Poste 4/5 – Jamaïcain\\n\\nIl s’est fait attendre, mais l’ancien joueur du FC Barcelone a bien prolongé son contrat avec Limoges, et ce pour deux ans. Arrivé mi-février, le champion d’Italie 2014 a très vite su se faire apprécier du public en trouvant ses marques dans la raquette du CSP. Connu pour avoir performé en Euroleague, il a aussi fait parlé de lui faute à un tempérament qui lui a valu plusieurs conflits dans les clubs où il est passé. Physique et technique. La saison dernière, il a conjugué 11,6 point et 4,2 rebonds en 13 matchs de Jeep Elite.\\n\\nCoach\\n\\nKyle Milling – né le 27 juillet 1974 – Américain\\n\\nAprès une carrière de joueur en France, entrecoupée par deux ans au Japon, le natif de Elmhurst s’est ensuite tourné vers le coaching et a pris le rôle d’entraîneur principal de Hyères-Toulon en 2015. Après un titre de champion de Pro B et un maintien dans l’élite, il a attiré l’attention d’un des clubs les plus prestigieux de France et a signé un contrat de trois ans avec le Limoges CSP à l’intersaison 2017. Cousin de Jack Sikma, pivot de légende des Seattle Supersonics dans les années 70-80. Ses racines sont néerlandaises. Mariée à une Française rencontrée à Nantes.\\n\\nAssistant :\\n\\nFrançois Peronnet (45 ans).\\n\\n[armelse]\\n\\nMarqué par le décès de son président Frédéric Forte le soir de la Saint Sylvestre et la reprise du club par un trio avec Youri Vériéras comme président, l’exercice 2017/18 restera longtemps gravé dans les mémoires limougeaudes. Malgré ce drame, le CSP ne s’est pas apitoyé sur son sort et après un passage difficile, les hommes de Kyle Milling sont allés chercher le quatrième place du classement – tout un symbole quand on sait qu’il s’agit du numéro que portait Frédéric Forte – et une demi-finale de playoffs. Au final, une saison sportivement réussie avec aussi une place dans le top-16 de l’Eurocup. Olivier Bourgain et ses équipes ont eu du pain sur la planche cet été et on dû essuyer les départs de sept joueurs, mais c’est un recrutement de qualité qui a suivi. Entre JFL de haut niveau avec Jonathan Rousselle et Jerry Boutsiele, fort potentiel avec Sekou Doumbouya, ou joueurs d’expérience avec Dwight Hardy, et sans oublier la prolongation pour deux ans de Samardo Samuels, le CSP Limoges est une nouvelle fois en mesure de faire vibrer ses exigeants supporters cette saison.\\n\\nSalle : Palais des Sports de Beaublanc (4 711 places)\\n\\nPrésident : Youri Vériéras (29 ans)\\n\\nArrivées : Jerry Boutsiele (Cholet), Sekou Doumbouya (Poitiers, Pro B), Dwight Hardy (Galatasaray Istanbul, Turquie), Isaiah Miles (Usak Sportif, Turquie), Jonathan Rousselle (Cholet).\\n\\nDéparts : Josh Carter, Brian Conklin (Illawara Hawks, Australie), Danny Gibson (Antibes, Pro B), Kenny Hayes (Buyukcekmece Basketbol, Turquie), Dru Joyce III, Jean-Baptiste Maille (Rouen, Pro B), Jean-Frédéric Morency (Boulazac), Fréjus Zerbo.\\n\\nLondon Perrantes – né le 3 octobre 1994 – 1,88m – Poste 1 – Américain\\n\\nC’est le pari du club. Chef d’orchestre des Caton Charge, en G-League, la saison dernière dans le cadre de sa première saison en tant que professionnel, il aura comme mission d’être le maître à jouer du CSP. Un rôle très important. Formé à l’université de Virginia, il va vivre sa première expérience en dehors des Etats-Unis en Jeep Elite.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto ouverture: Axel Bouteille (Eurocupbasketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: La France déborde le Canada au finish, 72-68"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un match parfois un peu terne et à une semaine d’un deuxième rendez-vous pour le compte de la Coupe du monde cette fois, la France a sprinté pour s’imposer 72-68 au Canada. Marine Johannès (16 points) a exposé une fois de plus mille facettes de son talent.\\n\\nEnormément d’imprécisions dans les tirs et les passes dans les premiers échanges, si bien que le score était de 4-4 après 4 minutes. Seulement les Françaises se faisaient marcher dessus dans la peinture, les Canadiennes récupéraient des rebonds offensifs (8 en 8′) et les extérieures artillaient. Bilan: 18-10.\\n\\nLa shooteuse Kia Nurse (15 points en première mi-temps) et la néo-Berruyère Nayo Raincock-Ekunwe faisaient mal mais les Françaises, même si elles n’étaient pas toujours attentives, parvenaient à maintenir plus ou moins le contact, notamment grâce à l’activité de Sarah Michel (9 points, 7 rebonds, 6 passes, 1 interception au final) qui réalisait plein de petites choses utiles. Et puis, sur des éclairs lumineux de Marine Johannès (11 points, avec un 3/3 à trois-points dans des ouvertures étroites et toujours des ficelles), elles passaient brièvement en tête (34-33, 19e).\\n\\nUne montée en intensité défensive permettait aux Bleues de mieux démarrer la seconde période de vingt minutes. Les Canadiennes allaient se contenter de dix points en dix minutes, ce qui permettait à leurs rivales préférées de mener 53-48. Alexia Chartereau (5/5 pour 11 points) apportait une forte contribution offensive par ses paniers extérieurs. A 4’20 du buzzer, la France obtenait pour la première fois dix points d’avance (66-56).\\n\\nValérie Garnier mettait son cinq majeur pour le final -avec Sarah Michel plutôt que Diandra Tchatchouang- mais les Canadiennes lâchaient les chevaux et Kia Nurse plantaient deux trois-points en une demi-douzaine de secondes pour égaliser à 68 à une minute de la fin ! Ce sont deux lancers de Sarah Michel, une interception dingue de Olivia Epoupa ponctuée de dribbles genoux à terre, puis une autre de Sandrine Gruda qui faisaient la différence.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nDans le deuxième match de la journée, les Etats-Unis ont laminé le Sénégal, 109-58 (voir la boxscore ici). La France jouera les Américaines demain lors de la clôture de ce Tournoi d’Antibes. Un match de gala mais aussi le dernier de préparation avant la coupe du Monde.\\n\\nPhoto: Diandra Tchatchouang (FFBB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vainqueurs de la Finlande, les Bleus se rapprochent du Mondial"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La France honorait son patrimoine ce week-end et ouvrant au public le plus beaux de ses monuments historiques. Les Bleus ont honoré le leur pour le premier match sur leur sol depuis l’annonce de la retraite de leur désormais ex-capitaine, Boris Diaw. En s’imposant avec la manière 83-67 à la Sud de France Arena de Montpellier face aux Finlandais pour la 8e journée de la phase qualificative à la Coupe du Monde 2019, les hommes de Vincent Collet ont dignement célébré la mémoire de « Babac » (115 d’évaluation collective, 26 passes décisives, 5 balles perdues en première mi-temps sur 13 au total).\\n\\nLes coéquipiers de Matthias Lessort (13 points, 5 rebonds et 4 passes) ont aussi profité de ce second match des fenêtres internationales, trois jours après une défaite malvenue en Bulgarie (74-68), pour tourner cette glorieuse page de l’histoire du basket français, et redéfinir les priorités autour de deux des cadres présents, (Nando De Colo et Nicolas Batum) qui n’ont (presque) pas eu à forcer leur talent pour faire la différence, car étant parfaitement épaulés par le reste du groupe.\\n\\nTambour battant\\n\\nL’entame de match en Bulgarie n’avait pas plu à Vincent Collet (26 points encaissés au premier quart). Face aux Finlandais, il avait donc composé un cinq majeur inédit avec Charles Kahudi et Matthias Lessort pour épauler Andrew Albicy, Nicolas Batum et Nando De Colo.\\n\\nSi ce dernier a manqué son début de match avec une perte de balle sur la première possession puis un vilain coup reçu au nez, l’ailier des Hornets a fait le nécessaire pour mettre les siens sur les bons rails, avec six points mais aussi deux passes décisives au premier quart, à destination de Charles Kahudi notamment, l’autre satisfaction de ce premier acte. En défense, les Bleus enchaînent les bonnes séquences et voient Paul Lacombe et Jonathan Rousselle terminer le boulot pour mener 25-13 après 10 minutes. Chacun dans leur style, agressif vers le cercle pour le premier, d’un tir lointain au buzzer pour le second.\\n\\n+26 à la mi-temps\\n\\nL’avance est confortable mais la France maintient sa pression. L’entame a eu cet effet bénéfique de redonner de la confiance à tout un groupe qui a ensuite pu dérouler son jeu sans accroc. Un basket dont l’impact défensif est la clé pour générer du jeu de transition et qui sait aussi s’appuyer sur son avantage de taille pour faire la différence. En bons leaders, De Colo et Batum s’attellent donc à accentuer l’écart, Nando servant Nico pour porter la marque à 39-17. Même s’il n’a pas été ménagé par les coudes finlandais, le leader du CSKA n’est pas en reste en inscrivant son premier panier du match, d’un trois points ouvert à l’aile (44-19).\\n\\nPour ce qui est de l’avantage de taille, après Vincent Poirier, c’est Matthias Lessort qui a pris le relais pour conclure la mi-temps de deux paniers précieux dont un au buzzer du second quart-temps (50-24). La meilleure façon de répondre au poster que lui avait infligé Alex Murphy quelques instants plus tôt.\\n\\nFausse alerte\\n\\nLes Finlandais donnent leurs dernières forces dans la bataille dès la reprise en artillant plus que jamais à 3 points pour tenter de revenir sous les 20 points. Les Bleus sont dans un faux-rythme, et la blessure à la hanche de Nicolas Batum qui le contraint à sortir, n’arrangent en rien leurs affaires. Face à l’adresse extérieure finlandaise, la France peut opposer sa domination à l’intérieur. Ainsi, Matthias Lessort, Vincent Poirier (et même Edwin Jackson en deux temps) maintiennent le cap (67-51).\\n\\nLe bouquet final\\n\\nLe retour des Finlandais à -11 contraindra tout de même Nicolas Batum à revenir sur le terrain. Il aura alors fallu un éclair de génie signée Paul Lacombe pour repousser les assauts adverses, sur un coast-to-coast éclair. Matthis Lessort au dunk, Nando De Colo à mi-distance puis Nicolas Batum par deux paniers à trois points achèveront définitivement les espoirs de la Finlande (83-67).\\n\\n« Après la défaite en Bulgarie, mon groupe voulait faire bien mieux ce soir. On a commencé le match avec de bonnes intentions, avec une défense excellente. On les a gênés à chaque fois, ils ont eu très peu de tirs ouverts. En attaque, on a aussi joué avec du rythme même si on a eu un peu plus de difficultés en deuxième mi-temps. On a un peu levé le pied, la fatigue a joué aussi, mais la Finlande s’est également adaptée. Les Finlandais ont mieux joué, ils ont été plus intelligents, en switchant, mais on a fait un bon boulot en restant dans le match et assurer l’essentiel », a expliqué Vincent Collet après la rencontre.\\n\\nLes prochaines fenêtres internationales sont fixées le 30 novembre et le 3 décembre. La France, qui évoluera encore dans une nouvelle configuration, se rendra en République Tchèque, 2e du groupe, puis recevra la Bulgarie à Limoges, pour la revanche. Une victoire suffira pour assurer la qualification.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhotos: Nicolas Batum et Charles Kahudi (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Jeep®ÉLITE 2018/19 – Asvel Lyon-Villeurbanne: Dans un an, c’est l’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Jeep Elite débute les 22 et 23 septembre et nous sommes fiers de vous proposer pour la troisième année (déjà!) une présentation complète sur BasketEurope avec une analyse de chaque équipe, des commentaires sur chaque joueur et coach, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié depuis le lundi 3 septembre et jusqu’au jeudi 20 avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 4.99€/mois annulable à tout moment). Vous pouvez également dès aujourd’hui commander le Magazine « Guide de la saison » sur notre boutique à 6€ frais de port inclus.\\n\\nNous vous proposerons ensuite la Pro B et la Ligue Féminine.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nIci, il y a du talent. Sur le papier, l’ASVEL s’est considérablement renforcée. John Roberson n’a pas confirmé sur le terrain ce qu’il avait affiché à Chalon et de plus son comportement extra-sportif a déplu. Il est remplacé par une vraie référence européenne, Mantas Kalnietis qui se doit de rebondir après une saison poussive à Milan. De plus, les Villeurbannais ont refondu leur jeu intérieur avec le meilleur pivot offensif de Jeep Elite, Miro Bilan, et Livio Jean-Charles qui cette fois va se stabiliser dans le Rhône. Mais la meilleure affaire du club, c’est d’avoir prolongé le contrat d’Amine Noua qui n’a que 21 ans et ne cesse de progresser. Avec Alpha Kaba -temporairement hors service-, cela fait un sacré quatuor à l’intérieur. Pour manager l’équipe, l’ASVEL a pris un maximum de garantie en embauchant Zvezdan Mitrovic, deux fois élu Meilleur Entraîneur de Jeep Elite, qui devra toutefois gagner en zénitude et arrêter de focaliser sur l’arbitrage. Tout cela sent bon la construction d’une équipe pour l’Euroleague qui est promis à la Maison Verte pour la saison prochaine. Mais maintenant, l’ASVEL n’a plus le choix: il lui faut être digne de ce privilège en gagnant des trophées et oublier ainsi une saison 2017-18 qui a été catastrophique.\\n\\n© Asvel\\n\\nSalle : Astroballe (5 560 places)\\n\\nPrésident : Tony Parker (36 ans)\\n\\nArrivées : Miro Bilan (Strasbourg), Livio Jean-Charles (Unicaja Malaga, Espagne), Mantas Kalnietis (Olimpia Milan, Italie), Zvezdan Mitrovic (Monaco, coach).\\n\\nDéparts : Malcolm Cazalon (Bourg), Digué Diawara (Pau), Justin Gamble (Nanterre), Justin Harper, Nicolas Lang (Villeurbanne), John Roberson (Enisey Krasnoyarsk, Russie), Adrian Uter, Darryl Watkins.\\n\\n© FIBA\\n\\nThéo Maledon – né le 12 juin 2001 – 1,91m – Poste 1 – Français\\n\\nL’un des leaders de la génération U17 vice-champion du Monde cet été. Meilleur passeur (4,1) et rebondeur (6,1) des Bleuets, il a par contre flanché dans les tirs à trois-points (4/22). Est comparé à Tony Parker pour les dons, le poste de jeu, la Normandie -il est né à Rouen, l’INSEP et maintenant l’ASVEL. Une maman, Sylvie, qui a porté le maillot de l’équipe de France en jeunes et un papa, Claude, qui a joué en N1. La NBA lui semble promis.\\n\\n© FIBA\\n\\nMantas Kalnietis – né le 6 septembre 1986– 1,96m – Poste 1-2 – Lituanien\\n\\nUn pedigree rare pour la Jeep Elite. International, il a été médaillé de bronze au championnat du monde 2010, et d’argent aux Euro de 2013 et 2015. En club, il a porté le maillot du Zalgiris Kaunas Lokomotiv Kuban-Krasnodar (Russie) et depuis deux ans de Olimpia Milan. Il a été considéré comme le meilleur joueur lituanien en 2013. Passeur émérite, il a été trois fois à l’EuroBasket (2013,15 et 17), le numéro 1 dans ce secteur. Ses qualités athlétiques lui ont permis par ailleurs de gagner deux concours de dunk de la ligue lituanienne. Ses stats en Euroleague étaient néanmoins en baisse la saison passée : 4,5 points et 2,2 passes en 16 minutes. C’est le 3e Lituanien de l’ASVEL après Mindaugas Lukauskis et Rolandas Alijevas.\\n\\nAJ Slaughter – né le 3 août 1987 – 1,91m – Poste 2 – Polonais\\n\\nUne vraie valeur offensive, aussi bien à Cholet, Chalon, Strasbourg qu’à Villeurbanne. 11,7 points avec 43,8% de réussite à trois-points en 2018. Elégant, vif, peut shooter en toutes circonstances. Pas le meilleur défenseur de la planète orange. Un Américain bien sûr qui a payé son dû à sa nouvelle patrie, la Pologne, en disputant les trois derniers championnats d’Europe. Une saison au Panathinaikos (2014-15). Ses prénoms sont Anthony et Darrell.\\n\\nSofiane Briki – né le 15 avril 1999 – 1,93m – Poste 2 – Français\\n\\nNé au Havre mais arrivé à Lyon à trois ans. Comme Amine Noua, il a joué dans toutes les équipes de jeune à l’ASVEL tout en passant deux ans à l’INSEP. Il a été récompensé de cette fidélité par un contrat pro de trois ans. 15,2 points, 5,8 rebonds et 3,8 passes avec les espoirs mais aussi des apparitions culotées avec les pros la saison dernière. 2e marqueur (10,6 points) derrière Ivan Février et meilleur passeur (2,8) à l’Euro U18 en 2017.\\n\\nDavid Lighty – né le 27 mai 1988– 1,96m – Poste 2-3 – Américain\\n\\nTout le monde se souvient de ses playoffs de feu avec Nanterre qui débouchèrent sur un titre de champion de France (14,9 points, 16/27 à trois-points, 16,0 d’éval). Un arrière-ailier complet qui ne tire pas la couverture à lui. Une référence en jeune aux Etats-Unis ce qui lui valut de disputer et de gagner une médaille d’argent au championnat du monde U19 en 2007. Il eut à cette occasion un temps de jeu supérieur à celui de... Stephen Curry. 4e saison à l’ASVEL.\\n\\nDeMarcus Nelson – né le 2 novembre 1985– 1,93m – Poste 2-3 – Serbe\\n\\nLui a le passeport serbe depuis 2014 suite à un séjour à l’Etoile Rouge de Belgrade. Il a porté le maillot d’autres équipes huppées dont Duke, les Golden State Warriors et le Panathinaikos et Malaga. Meilleur défenseur de la prestigieuse conférence ACC en 2008. Un buffle qui a perdu quand même de sa superbe (5,8 points à 40,7% de réussite). Villeurbanne est son 3e club français après Cholet et Monaco.\\n\\nCharles Kahudi – né le 19 juillet 1986 – 1,99m – Poste 3 – Français\\n\\nLe Français le plus payé de la Jeep Elite depuis qu’il a signé à l’ASVEL comme franchise player (21 600 euros/mois). Hyper costaud, percutant, défend dur, capable de planter à trois-points quand il a de l’espace. Son parcours a été perturbé par quelques blessures notamment en 2016-17. Formé à Cholet, deux ans en Pro B à Evreux avant d’éclore au Mans. Ex-role player de l’équipe de France avec les médailles qui vont avec. Surnommé L’Homme.\\n\\nAmine Noua – né le 17 février 1997– 2,02m – Poste 4 – Français\\n\\nNé à Lyon, un villeurbannais de A à Z qui a prolongé en juillet jusqu’en 2021. Un bond en avant spectaculaire d’une saison à l’autre : 11,0 points contre 3,2, 12,2 d’évaluation contre 4,5. Sa blessure à la main droite à fait très mal à l’ASVEL en quart-de-finale des playoffs contre Le Mans. Du culot. 4e meilleur marqueur (18,7 points) au Mondial U17 en 2014, sélectionné dans le meilleur Cinq à l’Euro U20 en 2017. S’est retrouvé dans le Cinq de départ lors du match en Bulgarie comptant pour les qualifications à la Coupe du monde.\\n\\nLivio Jean-Charles – né le 8 novembre 1993 – 2,06m – Poste 1 – Français\\n\\nCette fois, il va rester à l’ASVEL pour au moins trois saisons supplémentaires. Né à Cayenne, formé à l’INSEP, il en a déjà passé cinq de 2011 à 2016. 28e choix des Spurs lors de la draft 2013, sa progression a été freinée par une rupture des ligaments croisés du genou. Une saison blanche en 2013-14. Après de la D-League avec les Austin Spurs, il avait contribué au titre de champion de Villeurbanne en 2016. Il alterne ensuite de nouveau entre les deux équipes. Il a fait la saison dernière une pige à Malaga (4,6 points et 3,1 rebonds en 8 matches). De Cayenne.\\n\\nAlpha Kaba – né le 29 janvier 1996 – 2,08m – Poste 5 – Français\\n\\nNé à Blois, il a porté le maillot de l’ADA avant de rejoindre Pau. Son départ au club serbe de Mega Leks avait fait sensation. Sa puissance et ses dunks avaient fait les highlights du championnat serbe. Sa 60e position à la draft 2017 marqua une certaine déception. L’ASVEL en a profité pour le récupérer. A pris exactement autant de rebonds que marqué de points : 5,7. Il a été exclu du Team France pour avoir hésité entre défendre le maillot bleu et celui de la Guinée. Blessé au coude en préparation, son absence devrait durer douze semaines.\\n\\nMiro Bilan – né le 21 juillet 1989 – 2,13m – Poste 4-5 – Croate\\n\\nStrasbourg voulait le conserver. Le Croate possède une taille et une technique hors normes pour la Jeep Elite. 13,1 points avec 59,8 de pourcentage à deux points et 6,1 rebonds en 28 matches. Avant la France, il avait fait l’essentiel de sa carrière en Croatie, à Sibenik, Zadar et au Cedevita Zagreb avec qui il fut quatre fois champion national. MVP de l’Adriatic League en 2016. Juste une incursion en D2 grecque. 6,8 points et 2,7 rebonds aux JO de Rio. Peu athlétique.\\n\\n© LNB/Hervé Bellenger\\n\\nCoach :\\n\\nZvezdan Mitrovic – né le 19 février 1970– Monténégrin\\n\\nDeux fois de suite élu Coach de l’Année de la Jeep Elite. Tout le monde reconnait son excellent travail à Monaco même si la Roca Team a échoué à chaque fois dans le sprint final. Sa nervosité en a fait la cible des arbitres ; il a récolté un nombre incalculable de fautes techniques depuis son arrivée en France. Egalement coach de la sélection du Monténégro. Il a porté le maillot de feu la Yougoslavie en cadets et juniors. Zvezdan veut dire « étoile » en serbo-croate.\\n\\nAssistants :\\n\\nEric Delord (36 ans), Joseph Gomis (40 ans), Mirko Ocokoljic, TJ Parker (34 ans).\\n\\n[armelse]\\n\\nIci, il y a du talent. Sur le papier, l’ASVEL s’est considérablement renforcée. John Roberson n’a pas confirmé sur le terrain ce qu’il avait affiché à Chalon et de plus son comportement extra-sportif a déplu. Il est remplacé par une vraie référence européenne, Mantas Kalnietis qui se doit de rebondir après une saison poussive à Milan. De plus, les Villeurbannais ont refondu leur jeu intérieur avec le meilleur pivot offensif de Jeep Elite, Miro Bilan, et Livio Jean-Charles qui cette fois va se stabiliser dans le Rhône. Mais la meilleure affaire du club, c’est d’avoir\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto ouverture: Alpha Kaba (Eurocupbasketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Antywane Robinson (Cholet) parle de son parcours... en français"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cholet Basket interviewe chacun des joueurs de l’équipe de la saison 2018-19. C’est au tour de l’Américain Antywane Robinson. Bonne surprise: l’ancien étudiant de Temple, passé par Pau (2007-08 et 14-15 et 16-17) et déjà par Cholet (2008-11) s’exprime en français.\\n\\nPhoto: CB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Nando De Colo: «L’idéal serait d’aller aux Jeux 2024 parce qu’ils se dérouleront en France»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec une dizaine de jours d’entraînement dans les jambes, on ne pouvait pas attendre de miracle du meneur du CSKA Moscou pour son premier rendez-vous en 2018-2019 face à la Bulgarie (8 points, 3 rebonds, 2 passes, 5 balles perdues). Il s’en est pourtant fallu de peu, à quelques tentatives manquées d’un rien sur la fin, pour qu’il renverse la situation. A l’aube de la 8e journée de la phase qualificative à la Coupe du Monde 2019 face à la Finlande, Nando De Colo s’est exprimé sur la nouvelle configuration de l’Equipe de France et le rôle qu’il va y tenir après le départ de Boris Diaw et sur ce second match face à la Finlande.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nPour repartir sur une victoire contre les Finlandais ce dimanche à Montpellier, trois jours après une première défaite durant la phase qualificative, l’ancien Choletais mise sur la cohésion de ce groupe en pleine transition. Avec la communication comme arme principale pour progresser dans l’urgence.\\n\\nNando De Colo, comment avez-vous perçu cette défaite en Bulgarie ? C’est d’abord une question d’état d’esprit, d’attitude ?\\n\\nPas uniquement, même si ça commence par là. Les Bulgares ont juste joué leur basket. Ils étaient peut-être un peu mieux préparés que nous aussi. Derrière, ils ont fait ce qu’ils avaient à faire. Ils méritent quand même leur victoire, même si on n’était pas loin malgré ce match plus que décevant. Il ne faut pas oublier non plus qu’on est que depuis 3-4 jours ensemble, que chacun arrive pour essayer de retrouver des automatismes. On le voit sur nos entraînements, et aussi en match quand la défense est un peu plus solide. Il va falloir faire les efforts, essayer de trouver des solutions plus collectivement comme l’a dit le coach, et à partir de là, ça devrait le faire.\\n\\nQuel a été votre calendrier de reprise ?\\n\\nJ’ai repris fin août, donc ça faisait une dizaine de jours dans les jambes avant ce premier match. J’ai pu voir que c’est compliqué de te mettre dedans quand tu rentres sur un faux-rythme. Mais c’est comme ça, il faut faire les efforts à côté de ça.\\n\\nC’est la première fois que vous n’attaquez pas la reprise par un match amical ?\\n\\nOui, un peu comme tout le monde je pense. Que ce soit l’équipe de France ou le CSKA, il y a toujours une prépa puis quelques matchs pour te mettre en jambes. Là, on est rentré dans le dur dès le début. Face à une équipe qui s’était préparée depuis un peu plus longtemps que nous. Ça va être la même chose demain. Il faudra davantage faire les choses ensemble et gommer nos petites lacunes individuelles au maximum.\\n\\nÇa faisait longtemps que l’Equipe de France n’avait pas évolué sans Boris Diaw. Comment avez-vous ressenti ce vide sur le terrain ?\\n\\nUne fois sur le terrain, on ne pense plus à tout ça. Après en dehors, le groupe est toujours agréable à vivre. C’est vrai que sans Boris, ça change la donne. On sait à quel point il était important sur et en dehors du terrain. C’est une nouvelle étape, ça va être à nous de bien repartir. Il y a les fenêtres et une fois qu’on sera qualifié pour le Mondial, il faudra bien se reconcentrer sur de nouveaux objectifs avec une nouvelle équipe. Il faudra s’adapter. A une époque on avait un effectif qui tournait beaucoup autour de Tony puis de Boris. Là on a des nouveaux qui arrivent, il faut essayer de remanier tout ça afin de bien préparer les années qui arrivent.\\n\\nD’autant que vous, par exemple, ne retrouverez pas les Bleus avant l’été prochain ?\\n\\nOui, car c’est très compliqué en saison. Déjà pour nous, d’avoir du repos. Trouver du repos pour aller en Equipe nationale, ça l’est encore plus.\\n\\nVous pourriez disputer votre deuxième Coupe du Monde. C’est une compétition qui compte dans votre carrière ?\\n\\nOui bien sûr, ça reste une compétition, quelle qu’elle soit. On représente la France, on ne vient pas ici en vacances et pour faire quelques matchs sous le maillot bleu. L’objectif, c’est de donner le maximum. C’est pour ça que l’été prochain sera très important. On devra peut-être faire une prépa un peu plus longue pour bien préparer les deux étés qui suivent, la Coupe du Monde et les JO. Tout faire pour aller chercher une médaille au Mondial et le plus important reste quand même les Jeux Olympiques qui suivent derrière.\\n\\nVous avez passé les 30 ans. Même si vous êtes encore loin de vos derniers jours en Equipe de France, avez-vous commencé à y réfléchir ?\\n\\nOui, j’y pense, mais j’essaie de vivre au jour le jour, de ne pas avoir de regrets. L’idéal serait d’aller aux Jeux 2024 parce qu’ils se dérouleront en France. Mais on verra ce que le corps dit, et ce que l’effectif de l’équipe de France proposera. Je fais le maximum aujourd’hui et on verra ce que l’avenir me réserve.\\n\\n« A un moment donné, si le staff pense que c’est bien de mettre Nicolas Batum, très bien, ce n’est pas ça qui va faire la différence derrière »\\n\\nA quel type de match vous attendez-vous demain ?\\n\\nOn s’attend à un match très compliqué. Ils sont ensemble depuis bientôt un mois maintenant. On sait que c’est une équipe qui joue très bien au basket. Ils sont peut-être désavantagés au niveau de la taille par rapport à nous. Ce sera à nous de les sanctionner là-dessus. Et derrière, c’est collectivement qu’on réalisera un grand match. Il y a beaucoup de shooteurs, ça bouge très bien la balle. Il va falloir être réactif, surtout défensivement.\\n\\nA l’euro 2017 contre la Finlande, vous aviez fait un très bon match d’un point de vue personnel (21pts, 5rbds, 2pds) avec beaucoup d’agressivité vers le cercle. Ce sera aussi une des clés de ce match ?\\n\\nOui, bien sûr. J’ai mentionné seulement le niveau de taille par rapport à nos intérieurs, mais de toute façon il va falloir jouer agressif. Ils ne vont pas nous laisser faire. S’ils ont regardé notre match contre la Bulgarie, ils vont se rendre compte que si on nous touche un peu plus, on peut avoir du mal à mettre les choses en place. Hier à l’entraînement, on a su être plus patient. Il faudra maintenant le montrer en match. Ce sera une grande part du boulot.\\n\\nQuelle a été votre position par rapport au capitanat en équipe de France pour succéder à Boris Diaw ?\\n\\nFranchement, j’ai eu la même discussion avec le CSKA cet été parce que notre capitaine a arrêté. Le président me l’a demandé : « Qui vois-tu en tant que capitaine ? ». Je lui ai répondu que si c’est juste pour avoir un C sur le maillot, perso je m’en fous. C’est très bien quand c’est un capitaine comme Boris Diaw, parce qu’on sait ce qu’il peut faire pour l’équipe, la voix qu’il peut apporter au vestiaire, mais le plus important, ce n’est pas ça. C’est plutôt d’avoir des responsabilités, le sens du leadership, ce que j’ai pu apprendre depuis maintenant quatre ans au CSKA et de plus en plus. A un moment donné, si le staff pense que c’est bien de mettre Nicolas Batum, très bien, ce n’est pas ça qui va faire la différence derrière. Après, c’est vrai, que quand tu viens cet été et que tu es soit-disant co-capitaine, que Boris part, tu es sois-disant le plus apte à lui succéder. Ça se passe autrement, ce n’est pas ça qui va m’embêter plus qu’autre chose, qui va m’empêcher de jouer ou de prodiguer des conseils aux autres (...). S’il y a quelque chose à dire, je vais le dire. Je ne vais pas être là pour expliquer aux coachs ce qu’il faut faire sur le terrain, mais pour donner mon avis, si je le pense pertinent. C’est ça aussi une vie de groupe, de savoir s’exprimer, discuter entre nous. C’est comme ça qu’on fait avancer les choses. Sur le terrain, même contre la Bulgarie, quand je vois un joueur qui va mal, un truc qui est mal fait, tu vas discrètement à côté de lui, tu lui expliques et c’est comme ça qu’on avance. Et j’attends en retour qu’on fasse pareil pour moi. On a pas tous la même vision de jeu, on n’est pas ensemble pendant un mois pour suffisamment bien se connaître. C’est avec la communication qu’on pourra progresser.\\n\\nLe groupe est plutôt jeune. Vous avez eu besoin de prendre la parole davantage ?\\n\\nOui, et je le fais sans problème. Sur des petits détails, des systèmes que je connais peut-être un peu mieux qu’eux et qu’on peut jouer correctement. Le fait de communiquer, ce n’est jamais mal dans une équipe. Je le fais avec le CSKA, maintenant avec l’Equipe de France. C’est venu avec le temps, avec des responsabilités plus importantes.\\n\\nVous êtes de retour à Montpellier, trois ans après le premier match de l’EuroBasket 2015, un grand moment pour le basket français ?\\n\\nOui, c’est toujours agréable de jouer en France de toute façon. On espère que le public sera là pour nous soutenir, nous montrer aussi la voie par moment. C’est toujours agréable de revenir, quel que soit la ville.\\n\\nÇa fait partie de vos meilleurs moments en Bleu, cet Euro 2015 en France ?\\n\\nBien sûr, de jouer une compétition internationale à la maison, c’est quelque chose d’incroyable. On aurait aimé faire mieux à cette époque là. Mais ça reste une expérience inoubliable.\\n\\nParmi les meilleurs avec le quart de finale de l’Euro 2011 en Lituanie ?\\n\\nDu tout, ce ne sont pas mes matchs individuels sur lesquels je vais me reposer tout ma vie. Je retiens plus les résultats qu’on a pu avoir collectivement.\\n\\n[armelse]\\n\\nPour repartir sur une victoire contre les Finlandais ce dimanche à Montpellier, trois jours après une première défaite durant la phase qualificative, l’ancien choletais mise sur la cohésion de ce groupe en pleine transition. Avec la communication comme arme principale pour progresser dans l’urgence.\\n\\nNando De Colo, comment avez-vous perçu cette défaite en Bulgarie ? C’est d’abord une question d’état d’esprit, d’attitude ?\\n\\nPas uniquement, même si ça commence par là. Les Bulgares ont juste joué leur basket. Ils étaient peut-être un peu mieux préparés que nous aussi. Derrière, ils ont fait ce qu’ils avaient à faire. Ils méritent quand même leur victoire, même si on n’était pas loin malgré ce match plus que décevant. Il ne faut pas oublier non plus qu’on est que depuis 3-4 jours ensemble, que chacun arrive pour essayer de retrouver des automatismes. On le voit sur nos entraînements, et aussi en match quand la défense est un peu plus solide. Il va falloir faire les efforts, essayer de trouver des solutions plus collectivement comme l’a dit le coach, et à partir de là, ça devrait le faire.\\n\\nQuel a été votre calendrier de reprise ?\\n\\nJ’ai repris fin août, donc ça faisait une dizaine de jours dans les jambes avant ce premier match. J’ai pu voir que c’est compliqué de te mettre dedans quand tu rentres sur un faux-rythme. Mais c’est comme ça, il faut faire les efforts à côté de ça.\\n\\nC’est la première fois que vous n’attaquez pas la reprise par un match amical ?\\n\\nOui, un peu comme tout le monde je pense. Que ce soit l’équipe de France ou le CSKA, il y a toujours une prépa puis quelques matchs pour te mettre en jambes. Là, on est rentré dans le dur dès le début. Face à une équipe qui s’était préparée depuis un peu plus longtemps que nous. Ça va être la même chose demain. Il faudra davantage faire les choses ensemble et gommer nos petites lacunes individuelles au maximum.\\n\\nÇa faisait longtemps que l’Equipe de France n’avait pas évolué sans Boris Diaw. Comment avez-vous ressenti ce vide sur le terrain ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Romain Duport (Cholet) confirme avoir refusé une offre de Châlons-Reims"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans une interview à Ouest France, Romain Duport (2,17m, 31 ans) explique qu’il commençait à trouver le temps long. Sans club depuis la fin de son contrat à Châlons-Reims, il a été appelé récemment comme pigiste médical de Melvyn Govindy.\\n\\nL’Angevin confirme qu’il avait refusé une offre de prolongation du CCRB avec qui il s’était fendu de 8,7 points et 4,1 rebonds lors de la saison 2017-18:\\n\\n« Oui. Après, je n’ai pas accepté leur offre. J’avais fait une saison très correcte, je m’attendais à mieux. J’espérais aussi peut-être accrocher un club qui joue une Coupe d’Europe. C’est comme ça. Quelques clubs se sont renseignés mais ça n’a jamais été plus loin, c’était vraiment pauvre cet été... »\\n\\n... Qu’il a passé à se maintenir en condition.\\n\\n« Je m’entraînais dans une salle, je faisais de la muscu, du cardio. Mais ça ne remplace pas les courses avec opposition, du 5 contre 5... Je sais que je vais mettre plusieurs semaines pour retrouver mon rythme mais ça ne m’inquiète pas, ce n’est pas la première fois que ça m’arrive. »\\n\\nPhoto: CCRB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Team France Basket, Episode 5 en Bulgarie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En attendant le match face à la Finlande, cet après-midi à 17h à Montpellier, voici l’épisode 5 de la Web Série sur la Team France Basket proposé par la FFBB qui revient sur le déplacement en Bulgarie ponctué par une défaite, 68-74.\\n\\nPhoto: Andrew Albicy et Dee Bost (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges s’offre Fenerbahçe au tournoi de Sassari"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Certes, de nombreux internationaux étaient absents, mais saluons tout de même la performance du Limoges CSP qui s’est offert hier en fin d’après-midi Fenerbahçe lors du Tournoi de Sassari, 84-75. Il s’agit tout de même de l’équipe vainqueur de l’Euroleague en 2017 et finaliste en 2016 et 2018.\\n\\nLe shooting guard américain Dwight Hardy (1,88m, 31 ans) a été le meilleur marqueur du CSP avec 17 points, Sekou Doumbouya en a ajouté 11 alors que William Howard, Axel Bouteille et London Perrantes en ont mis 10 chacun.\\n\\nDans les rangs turcs, à noter les 15 points à 7/11 aux tirs, 4 passes et 3 rebonds de Joffrey Lauvergne.\\n\\nAinsi, Limoges se retrouve en finale aujourd’hui face au Dinamo Sassari vainqueur de Milan, 94-76.\\n\\n\\n\\n\\nLe @limogescsp fait tomber le @FBBasketbol 🇹🇷 !\\n\\n\\nLes stats de la rencontre ⤵️#CSPnation💚 #CityOfCagliari🇮🇹 pic.twitter.com/ViReUoW13E\\n\\n\\n— Limoges CSP (@limogescsp) September 15, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Analyse et opinion – Le modèle économique de l’Euroleague: Une absurdité dangereuse"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le chiffre a choqué le monde des observateurs du basket. Le déficit du Real Madrid pour la saison dernière est abyssal. Qu’est-ce que cela signifie vraiment pour le basket européen ?\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n30 millions de déficit. Le Real Madrid a perdu 30 millions d’euros la saison dernière. Mauvaise saison ? Annus horribilis ? La glorieuse incertitude du sport a encore frappé ? Non, le Real a été champion d’Espagne et a remporté l’Euroleague. En 2017, le Fenerbahçe Istanbul, champion de Turquie et vainqueur de l’Euroleague, s’en était mieux sorti. 20 millions de perte sèche. La logique est difficile à saisir. Economiquement, ça n’a pas de sens. S’agit-il de mauvais élèves isolés ? De brebis galeuses ? Non, pas vraiment. Sur la saison 2016-17, les équipes engagées en Euroleague auraient cumulées 200 millions de déficit*.\\n\\nIl s’agit donc d’un système. Les plus grands clubs de basket d’Europe, sans exception, sont des gouffres financiers. Les pertes du Real et du Barca sont absorbés par leur section football dont l’économie faramineuse n’a rien à voir avec les niveaux du basket. Le CSKA et le Maccabi sont des clubs « nationaux » dont les budgets sont assurés par des soutiens puissants. En fin de saison dernière, au moment de la passe d’arme entre le président du Panathinaikos Dimitrios Giannakopoulos, armateur grec milliardaire, et Jordi Bertomeu, le patron de l’Euroleague, le président du Pana affirmait dans un communiqué que sa famille avait investi (le verbe « dépenser » est sans doute plus approprié) plus de 350 millions dans le club depuis 31 ans.\\n\\n4,5 millions de recettes seulement pour le Zalgiris\\n\\nQuand Pierre Seillant, l’éternel « prési » de Pau-Orthez fustigeait Limoges et ses « titres à crédit », au moins, la démarche qui consistait à dépasser l’équilibre de son budget une saison était motivé par l’ambition de recettes supplémentaires pour la ou les saisons suivantes. Aujourd’hui, il est clair qu’en Euroleague, l’équilibre économique des 10 clubs les plus puissants n’est même pas un objectif recherché.\\n\\nRevenons au Real. Sur ses 46 millions de budget, Madrid affiche donc 16 millions de revenus. Un tiers. Une autre planète. Un autre exemple, plus proche de nous. Le Zalgiris Kaunas, l’exemple souvent cité pour les clubs français. Le bon élève qui a livré une formidable saison 2017-18 en remportant son championnat et en ralliant le Final Four de l’Euroleague avec un budget de 8,5 millions d’euros seulement. Information prise auprès d’un collègue lituanien proche du club, Kaunas n’a généré que 4,5 millions de recettes (1,3 de bonus Euroleague, 3 millions de sponsors, droits télés, billetterie et produits dérivés) le reste étant absorbés par la municipalité principalement et par les opérateurs de l’Arena qui reversent une partie de revenus des autres événements (concerts, expositions, etc...) au club.\\n\\nTout ça pour dire quoi ?\\n\\nQu’une dizaine de clubs en Europe sont prêts à perdre des dizaines de millions chacun pour remporter le trophée majeur du basket européen. Tant mieux pour la centaine de joueurs, dont de nombreux Français, qui profitent des largesses de cette élite, tant mieux pour les fans qui voient de superbes matches de basket. En retour, ce constat pose quatre problèmes immenses.\\n\\n1 Pas de fair play\\n\\nLe premier est celui du fair-play financier. Comment des clubs normaux, entendez des entreprises qui doivent équilibrer leurs dépenses et leurs recettes, peuvent tenter de se mesurer à ces entités ? En France, il existe un contrôle de gestion. Un club ne peut pas perdre d’argent délibérément. Par exemple, l’Asvel pour la saison 2019-20, devra présenter un budget validé par la LNB pour la Jeep Elite tout en participant à l’Euroleague. Bonne chance. Autant jouer avec une main attachée dans le dos alors que les frais d’engagement et de participation à cette compétition sont élevés. Sans même parler des différents taux d’imposition entre les pays. Ni même du prélèvement à la source qui sera désormais la norme en France.\\n\\nMême en NBA, il existe un salary cap, un plafond pour la masse salariale. Certes très haut, tout est relatif, mais des règles existent. Au-delà d’un certain montant, les riches payent une taxe dont 50% est reversée aux autres équipes et le reste va au développement de la ligue. Une idée ?\\n\\n2 Pas de développement\\n\\nComment développer le marketing et les revenus d’une ligue dont les principaux membres n’ont pas besoin d’argent ? Ou en tout cas acceptent d’en perdre autant ? Dans la compétition du sport spectacle d’aujourd’hui, les parts de marchés sont tellement difficiles à gagner sur un marché concurrentiel que seul un besoin vital permet de grandir. L’Euroleague actuelle ne parvient pas à trouver un modèle économique pérenne et la déconnexion des grands clubs dépensiers de la réalité du terrain fait qu’un certain nombre de marché plus rationnels, comme la France ou l’Allemagne sont pour l’instant largués ou même tout simplement exclus. Et sans les deux plus gros marchés d’Europe compétitifs, comment espérer développer le business de la ligue ? Et donc la pression sur les dirigeants actuels de l’Euroleague va croissante. Au-delà de la personnalité bouillante de Giannakopoulos le président du Pana, le fond de sa critique envers ECA, l’entreprise qui gère les droits de l’Euroleague, est que l’argent promis n’arrive toujours pas.\\n\\n3 Vampirisation\\n\\nAujourd’hui, face à cette situation, la stratégie économique de l’Euroleague ressemble à une fuite en avant. L’Euroleague a décidé de grossir, d’accepter plus d’équipes, de proposer plus de matches et pour se faire de la place, ECA empiète sur le territoire des ligues nationales. Partout, l’Euroleague invite les premières divisions à réduire le nombre de ses clubs. C’est en Espagne, ligue nationale la plus puissante après la NBA, que le conflit est le plus dur. Le Barca, le Real et Vitoria, détenteurs d’une licence de 10 ans en Euroleague, sont actuellement contre un maintien d’une ACB à 18 clubs. Le président de la fédération espagnol Jorge Garbajosa a souvent mis en garde contre le comportement de Jordi Bertomeu. « On veut le meilleur pour le basket espagnol », déclarait-il le 12 avril à El Espanol. « Et pas seulement pour trois équipes. L’Euroleague nous trouvera sur sa route si elle attaque les intérêts du basket espagnol. »\\n\\nAutre chantier pour ECA, décaler ses matches de plus en plus proches des fenêtres du week-end pour s’accaparer les meilleurs créneaux possibles en termes de revenus télé. Une manœuvre dénoncée notamment le 8 juin 2018 par Alain Béral, président de la ligue nationale française sur le site de la LNB. « En fait, ces organisations ont besoin de venir chercher des fonds, des revenus, sur les différents territoires. Parce que leurs modèles économiques actuels ne sont pas suffisants. Les frais, pour les clubs, sont énormes, en termes de déplacements, etc. Donc, il leur faut affaiblir les ligues nationales pour aller chercher des ressources. »\\n\\n4 Un frein aux équipes nationales\\n\\nIl est tout à fait possible de discuter la pertinence du nouveau calendrier des compétitions internationales mis en place par la FIBA après une concertation de plusieurs années. La stratégie au final, consiste à tenter de faire grandir et développer le basket partout dans le monde en utilisant le levier identifié comme le meilleur possible : faire jouer l’équipe nationale à domicile pour des matches à enjeux, tout en offrant un été de break tous les quatre ans (un Euro en moins) pour respecter les temps de repos des joueurs. Est-ce la bonne formule ? Est-ce que cela va marcher ? C’est un peu tôt pour tirer un bilan sans suffisamment de recul et des aménagements apparaissent pour le moins nécessaires.\\n\\nMais ce qui certain, c’est que ce n’est pas à une entreprise privée qui sert les intérêts de dix clubs qui marchent sur la tête au niveau économique de donner la réponse. L’application de cette nouvelle formule a été très compliquée sur le seul continent européen en raison du refus de l’Euroleague de chercher un compromis au niveau des calendriers. Comment se fait-il que l’Euroleague puisse perturber à ce point un dispositif dont la réussite rejaillirait à terme positivement sur elle ? Si les joueurs de la C1 avaient été mis à disposition des équipes nationales, la polémique sur les « fenêtres » n’aurait jamais existé.\\n\\nL’Euroleague est intégrée à un modèle sportif européen pyramidal où les petits clubs, la formation jouent un rôle essentiel dans l’émergence des talents qui rayonnent ensuite au plus haut niveau. Le Real Madrid n’est d’ailleurs pas une équipe d’Euroleague. Il s’agit d’une équipe de liga ACB, par ailleurs engagée en Euroleague. La tentation de la ligue fermée, de se couper du reste du basket européen (ligues nationales, équipes nationales) n’a aucun sens. Et l’argument économique qui voudrait faire de l’Euroleague la NBA de l’Europe est grotesque. Les déficits de l’élite des clubs européens nous le rappellent saison après saison alors que les revenus de la NBA se chiffraient par exemple pour 2016-17 à 7,37 milliards de dollars et que la courbe est à la hausse.\\n\\nIl est temps que les plus grands clubs d’Europe, outrageusement dépensiers, apprennent à respecter leur environnement et jouent un rôle de locomotives plutôt que celui de vampires prédateurs. Tout le monde y gagnera.\\n\\n*Déclaration de Patrick Comninos, ancien président des opération de l’UEFA, aujourd’hui président de la BCL au moment du Final Four de la BCL 2018.\\n\\n[armelse]\\n\\n30 millions de déficit. Le Real Madrid a perdu 30 millions d’euros la saison dernière. Mauvaise saison ? Annus horribilis ? La glorieuse incertitude du sport a encore frappé ? Non, le Real a été champion d’Espagne et a remporté l’Euroleague. En 2017, le Fenerbahçe Istanbul, champion de Turquie et vainqueur de l’Euroleague, s’en était mieux sorti. 20 millions de perte sèche. La logique est difficile à saisir. Economiquement, ça n’a pas de sens. S’agit-il de mauvais élèves isolés ? De brebis galeuses ? Non, pas vraiment. Sur la saison 2016-17, les équipes engagées en Euroleague auraient cumulées 200 millions de déficit*.\\n\\nIl s’agit donc d’un système. Les plus grands clubs de basket d’Europe, sans exception, sont des gouffres financiers. Les pertes du Real et du Barca sont absorbés par leur section football dont l’économie faramineuse n’a rien à voir avec les niveaux du basket. Le CSKA et le Maccabi sont des clubs « nationaux » dont les budgets sont assurés par des soutiens puissants. En fin de saison dernière, au moment de la passe d’arme entre le président du Panathinaikos Dimitrios Giannakopoulos, armateur grec milliardaire, et Jordi Bertomeu, le patron de l’Euroleague, le président du Pana affirmait dans un communiqué que sa famille avait investi (le verbe « dépenser » est sans doute plus approprié) plus de 350 millions dans le club depuis 31 ans.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Real Madrid, vainqueur de l’Euroleague 2018 (Real) et Thomas Heurtel (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: La France s’impose au Sénégal dans la douleur, 67-54"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour le premier de ses trois matches au Tournoi d’Antibes, l’équipe de France a attendu les dernières minutes pour enfin repousser le Sénégal et conserver ainsi son invincibilité en 11 matches face à la meilleure équipe africaine. Le banc a fait physiquement la différence mais le score final de 67-54 ne reflète pas les errements durant trente minutes.\\n\\nJouant crânement leur chance, les Sénégalaises ont imposé leur façon de faire dès le premier quart-temps et par le biais d’un 0-13, elles menaient 13-3 après moins de cinq minutes de jeu. Voilà qui était inattendu. Etait-ce dû au break accordé par Valérie Garnier au sortir du Tournoi de Paris et de la belle victoire sur l’Australie?\\n\\nC’est en mettant fin au laxisme défensif (22 points encaissés en 10 minutes) que l’équipe de France retrouvait du rythme et par voie de conséquence de l’efficacité offensive lui permettant d’égaliser à 24 (13e). Seulement les Sénégalaises ne perdaient pas leur énergie pour autant. Mame Marie Sy Diop (6 points, 4 rebonds, 3 interceptions en 17′) faisait du bon boulot un peu partout, Astou Traore scorait (13 points) et les Lionnes reprenaient un avantage (37-30) face à des Bleues pas toujours concentrées et en manque de repères à l’image de Marième Badiane. Si bien que le Sénégal menait 37-32 à la mi-temps.\\n\\nAprès 23 minutes, la France en était à 12/44 aux shoots, ce qui expliquait largement que le retard était monté à 8 points (37-45). Pas fréquent de voir Sandrine Gruda à 0/7 aux tirs surtout que les Sénégalaises ne sont quand même pas les meilleures intérieures de la planète. Ce qui était surtout inquiétant, c’est le manque de caractère, d’envie de révolte qui transpiraient des rangs des Bleues. C’est dans ce genre de circonstances que l’on voit que Céline Dumerc n’est plus là.\\n\\nToujours menée 45-48 après trois-quart temps, la France passait enfin en tête à 49-48 (32e). Helena Ciak (11 points, 16 d’évaluation) était l’une des rares françaises à jouer sur sa valeur. C’était la pénurie offensive des deux côtés du terrain avant que la défense avec Olivia Epoupa et Sarah Michel en fer de lance donne un coup de booster aux Bleues. Les Lionnes étaient au bout du rouleau et ne marquaient que six points dans le dernier quart.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nLors du premier match de ce Tournoi d’Antibes, les Etats-Unis ont battu le Canada, 84-68 (voir la boxscore ici) avec 11 Américaines à au moins 13 minutes de temps de jeu.\\n\\nDemain, la France sera opposée au Canada et lundi aux Etats-Unis.\\n\\nPhoto: Valériane Ayayi (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tournoi d’Antibes: les Etats-Unis avec Diana Taurasi et Brittney Griner"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe des Etats-Unis est arrivée sur la Côte d’Azur afin de participer aujourd’hui, demain et lundi à l’Azur Arena au Tournoi d’Antibes en affrontant dans l’ordre le Canada, le Sénégal et la France.\\n\\nLes Américaines se sont entraînées hier dans la vénérable salle Salusse-Santoni sous la conduite de leur coach Dawn Stanley, qui connaît bien la France pour avoir porté le maillot de Tarbes (saison 1994-95) à l’époque où le coach était un certain Jean-Pierre Siutat.\\n\\nTrois joueuses majeures manquent à l’appel, deux du Seattle Storm, la MVP de la saison WNBA, Breanna Stewart et l’inusable Sue Bird, et une de l’autre finaliste, les Washington Mystics, Elena Delle Donne. Celles-ci se sont vues accorder quelques jours de break et rejoindront l’équipe à Ténérife. Pas besoin de véritable préparation, outre des individualités hors normes, les Etats-Unis prouvent à chaque compétition que leur collectif est parfaitement huilé. Le public azuréen et les téléspectateurs de RMC Sport vont d’ailleurs pouvoir apprécier le talent de Diana Taurasi et encore de Brittney Griner qui font régner la terreur sur les terrains du monde entier.\\n\\nLes Américaines ne prendront certainement pas le match contre la France à la légère. Elles sont averties. Le 21 septembre 2014, en amont de la Coupe du monde précédente, et avec une équipe déjà incomplète, elles s’étaient inclinées à Paris-Coubertin face aux Bleus, 72-76, avec 26 points de Sandrine Gruda. Quelques jours plus tard, à Istanbul, pour le compte du Mondial cette fois, elles avaient mis les points sur les i : 94-72.\\n\\nPhotos: USA Basketball\\n\\nLES SEIZE CANDIDATES A LA COUPE DU MONDE\\n\\nSue BIRD, Arrière, 1,75m, 37 ans\\n\\nTina CHARLES, Pivot, 1,93m, 29 ans\\n\\nLayshia CLARENDON, Arrière, 1,75m, 27 ans\\n\\nNapheesa COLLIER, Arrière-ailière, 1,85m, 21 ans\\n\\nElena DELLE DONNE, Arrière-ailière, 1,96m, 29 ans\\n\\nBrittney GRINER, Pivot, 2,06m, 27 ans\\n\\nJewell LLOYD, Arrière, 1,80m, 24 ans\\n\\nKelsey MITCHELL, Ailière, 1,73m, 22 ans\\n\\nTiffany MITCHELL, Arrière 1,75m, 23 ans\\n\\nNnemkadi OGWUMIK, Ailière, 1,88m, 28 ans\\n\\nKelsey PLUM, Arrière, 1,73m, 24 ans\\n\\nBreanna STEWART, Ailière-pivot, 1,93m, 24 ans\\n\\nDiana TAURASI, Arrière, 1,83m, 36 ans\\n\\nMorgan TUCK, Ailière, 1,88m, 24 ans\\n\\nElizabeth WILLIAMS, Pivot-ailière, 1,92m, 25 ans\\n\\nA’Ja WILSON, Ailière, 1,95m, 22 ans"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Le Sénégal ambitieux pour le Tournoi d’Antibes et la Coupe du monde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si le Tournoi d’Antibes, qui débute aujourd’hui et qui se terminera lundi est un test majeur pour l’équipe de France avant la Coupe du monde (22 au 30 septembre à Ténérife), il l’est aussi pour le Sénégal qui affronte justement les Bleues ce soir avant de s’attaquer au Canada et aux Etats-Unis.\\n\\nComme toujours, la sélection du Sénégal nous concerne tout spécialement car si Ndèye Fall, Oumou Kalsoum Touré et Aïda Fall, trois joueuses qui évoluent en France, ont été écartées au dernier moment, on y retrouve deux joueuses que l’on connaît bien, l’intérieure de Villeneuve d’Ascq, Mame Marie Sy Diop (1,85m, 33 ans) et la meneuse du Hainaut Bintou Diemé-Marizy (1,67m, 34 ans), qui possèdent également la nationalité française. A noter parallèlement la présence de quatre joueuses opérant en Espagne qui a su tisser des liens particuliers avec le basket sénégalais riche en prospects de talents.\\n\\nLes Lionnes du Téranga, onze fois championnes d’Afrique, finalistes de la dernière édition en 2017, font leur retour en Coupe du monde après leur absence en 2014 et ont pour objectif de franchir un tour sachant qu’elles n’ont pas gagné un match depuis 2006 et qu’elles se retrouvent dans un groupe avec la Lettonie, la Chine et... les Etats-Unis.\\n\\n‘’On va en Espagne pour gagner des matchs et donner tout ce que l’on a dans les jambes. On n’y va pas pour faire de la figuration. Si les opportunités se présentent, on ira à fond et jouer les trouble-fêtes’’, a annoncé le coach Cheikh Sarr au quotidien Le Soleil. « L’objectif du Sénégal est de gagner des matchs. C’est ce que nous voulons. (...) On travaille dur en ce moment, de la meilleure manière possible pour relever ce défi. On va aller défendre nos couleurs, avec toutes les valeurs sénégalaises’’, a poursuivi le coach, en parlant de ‘’courage’’, de ‘’hargne’’ et de ‘’discipline’’.\\n\\nMeneuses : Bintou Diémé (Saint-Aimand Hainaut, France), Ndèye Khadidiatou Dieng (Dakar Université Club, Sénégal). Arrières : Ndèye Fatou Ndiaye « Dalva » (Saint-Louis Basket Club, Sénégal), Oumy Khaïry Thiam (Portugal), Mame Diodio Diouf (Espagne). Ailières : Yacine Diop (USA), Astou Traoré (Espagne). Ailières fortes : Aminata Fall (Espagne), Oumy Khaïry Sarr (Espagne) ; Mame Marie Sy Diop (Villeneuve d’Ascq, France). Pivots : Aïcha Sidibé (AS Ville de Dakar, Sénégal), Maïmouna Diarra (sans club). Coach : Cheikh Sarr.\\n\\nPhoto: Mame Marie Sy Diop (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nicolas Batum après la défaite de la France en Bulgarie: «Si nous ne jouons pas collectivement, toutes les équipes peuvent nous battre»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à la défaite de l’équipe de France en Bulgarie (68-74), le nouveau capitaine des Bleus Nicolas Batum s’est exprimé sur le site de la FIBA et a pointé du doigt les défaillances du collectif.\\n\\n« Au cours des cinq dernières minutes, nous avons arrêté de jouer en équipe. C’était une grave erreur. Nous étions alors vulnérables. Nous sommes si forts quand nous jouons ensemble. Si nous n’évoluons pas de manière collective, nous pouvons perdre contre tout le monde, » avertit Batum, auteur de 17 points, 5 rebonds et 5 passes jeudi soir.\\n\\nA propos de la Bulgarie, il commente:\\n\\n« Nous n’étions pas suffisamment prêts. Cela ne veut pas dire que nous l’avons sous-estimée. Nous nous attendions à tout ce qu’elle nous a proposé ce soir. Rien ne nous a surpris. Nous aurions dû faire mieux. »\\n\\nL’équipe de France doit absolument se rattraper demain à Montpellier face à la Finlande (17h sur Canal+ Sport) afin de se remettre sur les bons rails. Elle est toujours en tête du groupe E à égalité avec la République Tchèque (6 victoires et 1 défaite) alors que la Finlande en est à 4-3.\\n\\n« Nous devons nous remettre au travail. Nous avons deux jours avant le prochain match. Que ce match nous serve de rappel à l’ordre. Si nous ne jouons pas collectivement, toutes les équipes peuvent nous battre. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"DLSI Cup: Après avoir écarté Le Portel, Gravelines retrouve Villeurbanne en finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le démarrage de la saison approche et c’est l’occasion de monter en puissance à travers les derniers matches amicaux. Ce n’est pas toujours évident. Ainsi a eu lieu hier soir une nouvelle édition de l’Opalico, celle-ci comptant pour du beurre, avec plusieurs défections.\\n\\nLe BCM Gravelines s’est imposé à l’ESSM Le Portel, 71-60, en gagnant chaque quart-temps. Du côté du BCM manquait le meneur dominicain Edgar Sosa et l’intérieur Alain Koffi retenu par l’équipe de France. Et de l’autre Darrell Williams et Jeffrey Crockett étaient sur le flanc.\\n\\nSe sont mis spécialement en évidence chez les vainqueurs Myles Hesson et Benjamin Sene, auteurs tous les deux de 17 points et 7 rebonds, alors qu’à l’ESSM Brandyn Curry réalisait un vilain 1/11 aux shoots.\\n\\nEn finale de la DLSI Cup, les Gravelinois vont affronter aujourd’hui LDLC ASVEL alors que les Portelois seront opposés à Ostende. Les matches sont retransmis sur Corsaire TV."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro Stars Angers: La finale Strasbourg-Avellino sur Yahoo Sports"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Nanterre-Zadar et Cholet-Le Mans, Yahoo Sports France propose à 20h15 la finale du Pro Stars d’Angers entre la SIG Strasbourg et les Italiens de Avellino.\\n\\nC’est ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Vincent Collet avant France-Finlande: «On doit faire mieux»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avant l’entraînement matinal, le sélectionneur français a pris le temps avec les médias pour évoquer la situation de l’Equipe de France à la veille de la 8e journée de la phase qualificative à la Coupe du Monde 2019. Ce dimanche à 17h, à la Sud de France Arena, les Bleus affrontent la Finlande. Trois jours après une « piqûre de rappel » et cette défaite qui fait tâche en Bulgarie (74-68), Vincent Collet s’attend à nouveau à une rude opposition face à des Finlandais qui ont souvent posé des problèmes aux Bleus.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nIl y a trois ans déjà, au même endroit, la France avait dû batailler jusqu’en prolongation pour s’imposer à l’occasion du premier match de son Euro, à domicile (97-87). Le 31 août 2017, c’est la Finlande qui l’avait emportée chez elle au premier match de l’EuroBasket 2017 grâce à Jamar Wilson à la dernière seconde (86-84). De quoi être méfiant avant cette nouvelle confrontation dans une configuration inédite des deux côtés.\\n\\nVincent Collet, quelles sont les caractéristiques de cette équipe de Finlande ?\\n\\nOn connaît les spécificités de jeu de cette équipe, très mobile, avec des joueurs bien formés. Le basket finlandais possède un genre d’Insep, un centre sportif dans lequel ils ont mis en couveuse leurs meilleurs éléments depuis quelques années, en U16. D’ailleurs, lors de l’Euro 2015, ils avaient battus nos jeunes, l’équipe de Bernard Faure. Il y a quelques joueurs qui sont sortis, qui ont rejoint cette équipe aujourd’hui et qui ont fait de bonnes choses en préparation contre l’Estonie qu’ils ont battus et lors du dernier match contre la Bosnie. Le n°41 notamment, Topias Palmi, qui est dans le même format, qui shoote beaucoup. C’est un jeu avec beaucoup de largeur. Il y a aussi quelques nouveaux. Ils ont notamment un petit Américain, Fiifi Aidoo, qui sort de l’université et qui a du gaz, un peu dans le gabarit d’un Pape-Philippe Amagou un poil plus grand. Sinon, on connaît, c’est Petteri Koponen, Sasu Salin qui sort des écrans. Il va y avoir un nombre incalculable d’écrans non porteurs, beaucoup de mobilité. Ils font du post-up qui n’en est pas vraiment puisqu’au lieu que la balle soit en haut et qu’il y ait des sorties d’écran classiques, la balle est en bas et il y a des sorties d’écran en haut. Ils inversent les perceptions. Le danger, c’est de ne pas être assez réactif. Il faudra être vigilant sous peine de s’exposer à des tirs ouverts et ils sont plutôt pas mauvais dans cet exercice. Ils marquent plus de la moitié de leurs points derrière l’arc, c’est énorme. Ça c’est ce qui concerne l’attaque, mais quand je dis qu’il y a des spécificités c’est qu’il faut aussi qu’on prépare dans un temps très court les aspects défensifs. C’est une des rares équipes en Europe qui sortent forts sur les pick&roll. C’est aussi à cause de leur taille, une façon de masquer leur manque de centimètres. Ils t’obligent à bouger la balle et surtout, ils te laissent plus la périphérie que l’intérieur. La deuxième chose notable, c’est les prises à deux par le fond sur les situations de post-ups qu’on rencontre assez peu globalement. C’est quelque chose de particulier et pas forcément facile pour nos grands. Le rapport de force qui pourrait nous être favorable peut être inversé par ces prises à deux.\\n\\nVous avez rencontré des difficultés lors de vos dernières confrontations face à la Finlande, à l’Euro notamment. C’est une équipe difficile à manœuvrer ?\\n\\nTout à fait, elle est vraiment particulière. Il y a son côté atypique et puis le degré de préparation sur ce match est vraiment différent du nôtre. Ils sont ensemble depuis le 20 août je crois. Ils ont vraiment préparé ça comme un vrai championnat. Ils savaient qu’ils avaient du retard avec seulement trois victoires à l’issue de la première phase. Ils sont très mobilisés pour se qualifier. Je le sais parce que l’assistant est aussi mon assistant en club (Lassi Tuovi). C’est vraiment un objectif. Ils veulent cette qualification. Je le savais, même avant même d’aller en Bulgarie, que ce match là serait compliqué.\\n\\n« Ce n’est pas une question de niveau ou de qualité, mais de concentration »\\n\\nIl va l’être d’autant plus après cette première défaite ?\\n\\nNous connaissant, ce sera plutôt l’inverse. Clairement, le fait d’avoir perdu nous oblige à être en réaction. C’est une piqûre de rappel et au moins, notre niveau de vigilance va être relevé. On était à 6-0 et on savait qu’on avait encore six matchs à jouer. Cette défaite ne remet rien en cause pour l’instant. Mais elle nous oblige à gagner contre la Finlande pour ne pas se retrouver dans une situation qui deviendrait réellement compliquée.\\n\\nQuels sont les ressorts pour se relever d’un match où l’adresse à 3-points n’a pas été au rendez-vous ?\\n\\nL’adresse, effectivement, n’était pas bonne, mais ce n’est pas ça le plus important. Ce qui l’a été, c’est qu’on ait pris 26 points en premier quart-temps quand on avait plus de 30 face à la Grèce quatre jours plus tôt. Ça c’est plus gênant. On a senti que dès notre entame, notre exigence défensive s’était évaporée en quelques jours alors que c’était un match officiel et qu’il n’y avait pas de raison qu’on présente une telle attitude. Après, en première mi-temps on a marqué 44 points, et on a trouvé de la cohérence au cours du match. C’est retombé en deuxième mi-temps, au moment où on a s’est mis à mieux défendre, on a perdu le fil en attaque. Mais pour moi, ce n’est pas l’adresse à 3-points qui a été le principal souci, c’est plus une attitude générale. On n’a pas été suffisamment solide, concentré. On a fait une vidéo assez longue sur le retour du match et les joueurs se sont aperçus qu’il y a plein de choses qui ne sont pas de notre niveau. On doit faire mieux. Notamment sur les pertes de balles dont certaines passes longues qui étaient totalement vouées à l’échec. Ce n’est pas une question de niveau ou de qualité, mais de concentration. En plus de ça, on n’a pas su être décisif à la fin, sur les possessions qui auraient pu malgré tout nous permettre de l’emporter après un mauvais match.\\n\\nIl n’y aura pas de remise en question sur la hiérarchie, notamment Nando De Colo qui a pris les tirs en fin de match ?\\n\\nSur ça non, parce que s’il est sur le terrain, on attend ça de lui. En plus, les tirs qu’il a pris en l’occurrence, ils étaient bons. A des spots où il ne rate jamais d’habitude. Ça fait partie du jeu.\\n\\nNando rate rarement deux matchs de suite...\\n\\nOui, après il ne faut pas oublier qu’on est en début de saison, et que ce soit les deux Espagnols (Andrew Albicy et Vincent Poirier) ou lui, ils ont commencé leur prépa après les autres et sont peut-être encore dans une phase où ils digèrent encore ce début de préparation. Malgré tout, ce que vous dites est vrai, on espère qu’il soit différent.\\n\\nVous allez procéder à des changements spécifiques pour ce match ?\\n\\nC’est possible, même qu’on change de cinq, de façon à rentrer différemment dans le match, comme on a pu faire contre le Monténégro et la Grèce. C’est qui a été le plus marquant pour moi, dans ce match face à la Bulgarie. Contre la Grèce, on les a impactés tout de suite, alors que là, on a laissé l’adversaire s’installer. On sait qu’au niveau international, c’est toujours dangereux. Parfois on s’en sort quand même, mais c’est toujours difficile de revenir.\\n\\n[armelse]\\n\\nIl y a trois ans déjà, au même endroit, la France avait dû batailler jusqu’en prolongation pour s’imposer à l’occasion du premier match de son Euro, à domicile (97-87). Le 31 août 2017, c’est la Finlande qui l’avait emportée chez elle au premier match de l’EuroBasket 2017 grâce à Jamar Wilson à la dernière seconde (86-84). De quoi être méfiant avant cette nouvelle confrontation dans une configuration inédite des deux côtés.\\n\\nVincent Collet, quelles sont les caractéristiques de cette équipe de Finlande ?\\n\\nOn connaît les spécificités de jeu de cette équipe, très mobile, avec des joueurs bien formés. Le basket finlandais possède un genre d’Insep, un centre sportif dans lequel ils ont mis en couveuse leurs meilleurs éléments depuis quelques années, en U16. D’ailleurs, lors de l’Euro 2015, ils avaient battus nos jeunes, l’équipe de Bernard Faure. Il y a quelques joueurs qui sont sortis, qui ont rejoint cette équipe aujourd’hui et qui ont fait de bonnes choses en préparation contre l’Estonie qu’ils ont battus et lors du dernier match contre la Bosnie. Le n°41 notamment, Topias Palmi, qui est dans le même format, qui shoote beaucoup. C’est un jeu avec beaucoup de largeur. Il y a aussi quelques nouveaux. Ils ont notamment un petit Américain, Fiifi Aidoo, qui sort de l’université et qui a du gaz, un peu dans le gabarit d’un Pape-Philippe Amagou un poil plus grand. Sinon, on connaît, c’est Petteri Koponen, Sasu Salin qui sort des écrans. Il va y avoir un nombre incalculable d’écrans non porteurs, beaucoup de mobilité. Ils font du post-up qui n’en est pas vraiment puisqu’au lieu que la balle soit en haut et qu’il y ait des sorties d’écran classiques, la balle est en bas et il y a des sorties d’écran en haut. Ils inversent les perceptions.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Vincent Collet et Edwin Jackson (Photos)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Jeep®ÉLITE 2018/19 – Levallois Metropolitans: Une solide doublette d’intérieurs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Jeep Elite débute les 22 et 23 septembre et nous sommes fiers de vous proposer pour la troisième année (déjà!) une présentation complète sur BasketEurope avec une analyse de chaque équipe, des commentaires sur chaque joueur et coach, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié depuis le lundi 3 septembre et jusqu’au jeudi 20 avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 4.99€/mois annulable à tout moment). Vous pouvez également dès aujourd’hui commander le Magazine « Guide de la saison » sur notre boutique à 6€ frais de port inclus.\\n\\nNous vous proposerons ensuite la Pro B et la Ligue Féminine.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLes Metropolitans perdent leurs deux têtes de pont: le champion d’Europe slovène, artilleur fou et toujours en surdose d’adrénaline, Klemen Prepelic, et surtout son smicard de luxe, l’ultra zen et désormais retraité Boris Diaw. Comme beaucoup d’équipes, c’est un profond remaniement qu’a effectué le staff durant l’été. Un staff enrichi de l’ancien coach de l’équipe de France, Alain Weisz. Cette arrivée se fait dans le cadre du rapprochement avec la municipalité de Boulogne-Billancourt, une salle de 5 000 places située sur l’Ile Seguin devant être édifiée à l’horizon 2023. Alain Weisz est désormais chargé de faire le lien entre le management du club et l’équipe et aussi avec la municipalité de Boulogne. Dans le recrutement estival, l’accent a été mis sur les renforts étrangers avec trois recrues référencées: Roko Ukic, et la doublette d’intérieurs Julian Wright-Mouphatou Yarou, l’une des plus séduisantes de Jeep Elite. De quoi en faire une équipe pour les playoffs? Pas sûr.\\n\\n© Ostadium\\n\\nSalle : Palais des Sports Marcel-Cerdan (3 051 places)\\n\\nPrésident : Jean-Pierre Aubry (56 ans)\\n\\nArrivées : Ekene Ibekwe (Châlons-Reims), David Michineau (Cholet), Rasheed Sulaimon (Dijon), Roko Ukic (Cedevita Zagreb, Croatie), Julian Wright (Pallacanestro Reggiana Reggio Emilia, Italie), Mouphtaou Yarou (Antibes).\\n\\nDéparts : Louis Campbell (Antibes), Petr Cornelie (retour prêt Le Mans), Boris Diaw (arrêt), Rémi Lesca (Boulazac), Rod Odom (Nizhny Novgorod, Russie), Klemen Prepelic (Real Madrid, Espagne), Gavin Ware (Dijon).\\n\\n© FIBA\\n\\nRoko Ukic – né le 5 décembre 1984 – 1,96m – Poste 1-2 – Croate\\n\\nUn meneur qui peut aussi jouer shooting guard. L’un des plus beaux CV de Jeep Elite puisqu’il a fréquenté notamment Barcelone, le Panathinaikos, Fenerbahçe et joué aussi 85 matches en NBA. Champion de Croatie, de Grèce et de Turquie. Encore 9,8 points et 3,9 passes en Eurocup la saison dernière avec le Cedevita Zagreb. Un JO, un Mondial et quatre EuroBasket à son actif. Son père est un batteur célèbre en Croatie.\\n\\nDavid Michineau – né le 6 juin 1994– 1,91m – Poste 1-2 – Français\\n\\nLes Métropolitans sont son quatrième club en quatre ans après Chalon -qui l’a formé-, Hyères-Toulon et Cholet. Combo explosif, il nous a laissé sur notre faim à Cholet Basket avec une adresse toujours faible (42,0%, 40,4% en carrière) et un ratio passes/balles perdues toujours insuffisant (1,9/1,5). 39e choix de la draft 2016, il a fait ces trois dernières années la Summer League NBA avec les Los Angeles Clippers. Né aux Abymes en Guadeloupe.\\n\\nSylvain Francisco – né le 1er octobre 1997 – 1,80m – Poste 1 – Français\\n\\nIl a signé en juin son premier contrat pro. De grosses qualités athlétiques. A connu son moment de gloire au All-Star Game LNB en étant le rival de DJ Stephens en finale du concours de dunk alors qu’il avait été appelé en dernière minute. Né à Créteil, il a suivi ses études dans des lycées de Floride. Pour sa première saison avec les Metropolitans, il a passé 13 minutes en moyenne sur le terrain pour 3,5 points et... 26,5% de réussite aux shoots.\\n\\nRasheed Sulaimon – né le 9 mars 1994– 1,93m – Poste 2 – Nigérian\\n\\nChampion du monde U19 avec les Etats-Unis mais possède un précieux passeport nigérian pour être Cotonou. Ainsi, jeune, il était un grand espoir américain et fut accepté à Duke mais le coach Mike Krzyzewski le renvoya au bout de la troisième année. Termina son cursus à Maryland. Après la D-League, il est arrivé à Dijon pour assurer 12,2 points (44/137 à trois-points) et 2,8 passes. Suspendu 7 matches dont 3 fermes suite à une faute disqualifiante survenue lors du match face à Bourg.\\n\\n© FFBB/Hervé Bellenger\\n\\nJaron Johnson – né le 5 mai 1992 – 1,98m – Poste 3 – Américain\\n\\nArrivé fin mars à Levallois en tant que pigiste médical de Rod Odom, il a été suffisamment convaincant (12,1 points, 13,0 d’évaluation) pour se voir proposer un contrat d’un an. Ancien étudiant à Louisiana Tech, il a mixé D-League, Australie et Israël (Ironi Nes Ziona) en début de saison dernière. A mis en pratique ses qualités athlétiques supérieures en remportant le concours de dunk du All-Star Game israélien.\\n\\n© FFBB/ Hervé Bellenger\\n\\nMaxime Roos – né le 23 mars 1995 – 2,02m – Poste 3 – Français\\n\\nUn produit du club, né à Clamart. Ses débuts en professionnel ont été contrariés. Un match avec le PL en 2016 puis à cause d’une pubalgie, un seul autre match en 2017 alors qu’il avait été prêté à Blois. Il a montré sa longue carcasse à tous en 2018 : 33 matches, 12’, 3,2 points et 1,6 rebond. Une pointe à 14 points lord du derby francilien contre Nanterre. Pas froid aux yeux. Doit prendre du muscle.\\n\\nCyrille Eliezer-Vanerot – né le 1 août 1996 – 2,02m – Poste 3 – Français\\n\\nLa saison 2017-18 avait été celle de toutes les promesses pour cet ailier athlétique (6,2 points, 7,3 d’évaluation) alors qu’il l’avait pris en cours de route. Il n’a pas réellement confirmé la suivante (5,7 points, 5,3 d’éval) et le voici hors service pour trois à quatre mois à cause d’une blessure au pied. 2,18m d’envergure. Bon défenseur mais inconstant au shoot. De Chatenay-Malabry. Passé par l’INSEP.\\n\\n© FIBA\\n\\nIvan Février – né le 8 février 1999 – 2,04m – Poste 4 – Français –\\n\\nUn vrai bon prospect. Champion d’Europe U18 en 2016 comme ailier-fort titulaire alors qu’il avait un an d’avance sur ses camarades. Il a joué un total de 49 minutes en Jeep Elite la saison dernière mais comme il disposait d’une licence AS Haut Niveau, il a aussi compilé 24,1 points et 7,3 rebonds en 11 matches de N1 avec le Centre Fédéral. Cet été, avec les U20, alors qu’il était encore l’un des deux seuls « 99 », il a aligné 8,3 points et 3,4 rebonds.\\n\\nJulian Wright – né le 20 mai 1987 – 2,03m – Poste 4-5 – Américain\\n\\nFormé dans la célèbre université de Kansas et drafté en 13e position par les New Orleans Hornets en 2007. Il n’a jamais percé en NBA (231 matches à 3,9 points et 2,3 rebonds) mais peut se targuer d’avoir été champion en D-League, d’avoir porté quelques semaines le maillot du Panathinaikos en 2014, d’être devenu top-rebondeur du championnat israélien en 2015 et d’avoir été élu all-Eurocup second team en 2016. A Reggio Emilia, il a compilé la saison dernière 13,5 points (53,9%) et 6,5 rebonds pour la meilleure évaluation de l’équipe (15,7). Il fut même utilisé en shooting guard au temps du lycée.\\n\\nEkene Ibekwe – né le 19 juillet 1985 – 2,08m – Poste 5 – Nigérian\\n\\n22 clubs depuis sa sortie d’université ! Quatre dans la seule saison 2016-17. Levallois est son quatrième en France après Besançon, Chalon et Châlons-Reims. Champion de France Pro B (2008, Besançon) puis Pro A (2017, Chalon). 8,9 points et 4,2 rebonds avec le CCRB la saison dernière. Né à Los Angeles mais international nigérian avec deux JO (2012 et 2016) et un Mondial (2006) à son actif.\\n\\nMouphtaou Yarou – né le 26 juin 1990 – 2,04m – Poste 5 – Béninois\\n\\nOn a retrouvé le vrai Mouph à Antibes et notamment sa capacité à être dominant au rebond (9,2 prises et 12,9 points à 62,2%). Deux de ses trois saisons au Mans avaient été très perturbées par des problèmes physiques. Formé en NCAA (Villanova), il avait été ensuite excellent avec les Serbes Radnicki Kragujevac en Eurocup mais l’histoire s’était mal terminée car il n’était pas payé. Souhaite être businessman à la fin de sa carrière sportive. Francophone.\\n\\nCoach :\\n\\nFrédéric Fauthoux – né le 6 décembre 1972 – Français\\n\\nEx-figure emblématique de Pau. Connu comme joueur pour ses shoots longue distance et sa hargne. Il a coaché l’équipe de Pau-Nord Est en Nationale 3 et 2 mais ne voyant pas de perspectives concrètes, il est devenu adjoint d’Antoine Rigaudeau au Paris-Levallois avant que celui-ci tire très vite sa référence. Le Petitou a démontré aussitôt ses capacités de meneur d’hommes et a sorti des rangs Vincent Poirier et Louis Labeyrie. Sous contrat jusqu’en 2021. Sa fille Marine est vice-championne du Monde U17.\\n\\nAssistants:\\n\\nSacha Giffa (41 ans) et Guillaume Quintard (43 ans)\\n\\n[armelse]\\n\\nLes Metropolitans perdent leurs deux têtes de pont: le champion d’Europe slovène, artilleur fou et toujours en surdose d’adrénaline, Klemen Prepelic, et surtout son smicard de luxe, l’ultra zen Boris Diaw. Comme beaucoup d’équipes, c’est un profond remaniement qu’a effectué le staff durant l’été. Un staff enrichi de l’ancien coach de l’équipe de France, Alain Weisz. Cette arrivée se fait dans le cadre du rapprochement avec la municipalité de Boulogne-Billancourt, une salle de 5 000 places située sur l’Ile Seguin devant être édifiée à l’horizon 2023.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto ouverture: Cyrille Eliezer-Vanerot (FFBB, Hervé Bellenger)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : le Top 5 de la première journée de la fenêtre internationale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Jeudi soir se tenait la première journée de la quatrième fenêtre internationale et la FIBA vient d’en publier le top 5.\\n\\nEntre passe aveugle, game winner, gros contre et gros dunk, ce premier top 5 a tout ce qu’il faut. C’est Jan Vesely qui est à la première place avec un gros poster dunk sur son adversaire russe.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Zack Wright signe à Bourg-en-Bresse !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est un gros coup que vient de réaliser la JL Bourg en cette fin d’intersaison en recrutant Zack Wright (1,88m, 33 ans).\\n\\nSur son site, la JLB annonce l’arrivée de l’ancien joueur de Bamberg a donné son accord à la « Jeu » pour la saison 2018/19. Courtisé par l’ASVEL et Monaco, le Texan a finalement décidé de rejoindre l’effectif de Savo Vucevic qui abrite, entre autres, le MVP en titre de Jeep Elite Zachery Peacock. Approchant de la fin de carrière, l’ancien joueur du Panathinaïkos reste néanmoins un joueur de très haut niveau en témoigne sa saison 2017/18 à Strasbourg.\\n\\nLa saison dernière, Zack Wright compilait en moyenne 7,5 points, 4,7 rebonds et 4,6 passes décisives en Jeep Elite, et 9,9 points, 5,3 rebonds et 4,5 passes décisives en Champions League.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Trois lieux de prestige à visiter ce week-end à Paris"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Trois lieux sont absolument à visiter si vous êtes sur Paris demain et dimanche dans le cadre des Journées du Patrimoine 2018.\\n\\nLe gymnase de Trévise sera ouvert les deux jours. C’est ici au 14 Rue de Trévise dans le 9e arrondissement qu’est apparu le basket en France et en Europe. Le site est inscrit à l’Inventaire des Monuments Historiques. Il fait l’objet d’une campagne participative destinée à financer ses travaux de restauration. Voir ici. Le club des Internationaux a participé à la réalisation d’une vidéo signée Nicolas de Virieu afin de mobiliser le public pour la sauvegarde du gymnase. Membre du club et légende du basket, c’est Boris Diaw qui parle de ce lieu unique, la plus vieille salle de basket du monde.\\n\\nL’espace muséal de la FFBB, en partenariat avec le Musée du Basket, sera ouvert le samedi 15 septembre de 10 h à 17 h (117 Rue du Château-des-Rentiers dans le 13e arrondissement). Le public pourra contempler des objets et récompenses en visite libres ou commentées durant cette journée animée par les membres de la Commission Patrimoines & Légendes de la FFBB et du Club des Internationaux de Basket. Il pourra également échanger avec d’anciennes joueuses et d’anciens joueurs des Equipes de France. Michel Merckel, historien du sport, animera une conférence samedi à 11h : « Le sport, un héritage inattendu de la Grande Guerre ».\\n\\nL’Institut National du Sport de l’Expertise et de la Performance (INSEP ; 11 Avenue du Tremblay dans le 12e arrondissement) possède également un « circuit basket » à visiter. Il sera ouvert le week-end du 22-23 septembre pour la fête du Sport.\\n\\nPhoto: FFBB\\n\\nhttps://www.facebook.com/14ruedeTrevise/videos/258058674840405/"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Romain Duport vers Cholet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sans club depuis la fin de saison dernière, Romain Duport (2,17m, 31 ans) serait sur le point de signer à Cholet en tant que pigiste médical.\\n\\nPrivé de Melvyn Govindy, touché par une fracture de la main et indisponible un mois, Cholet se serait tourné vers l’ancien joueur de la SIG. Passé par Le Havre, Strasbourg, Limoges et Châlons-Reims, le natif d’Angers devrait faire son retour à CB et s’engager pour la saison, annonce Le Courrier de l’Ouest. La semaine dernière, le vainqueur de la Coupe de France 2015 a participé au camp SNB réservé aux joueurs professionnels toujours sans club à la reprise.\\n\\nLa saison dernière, Romain Duport compilait en moyenne 8,7 points et 4,1 rebonds pour une évaluation de 10,8 en Jeep Elite.\\n\\nPhoto : CCRB"
}, 
{"role": "user",     "content":"TV : Les affiches des trois premières journées de Jeep®ÉLITE sur RMC Sport 2"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"RMC Sport 2 a annoncé les matches des trois premières journées de Jeep Elite qui seront diffusés sur la chaîne.\\n\\nJournée 1 :\\n\\n * Levallois – Le Mans : samedi 22 septembre à 18h30\\n * Monaco – LDLC ASVEL : dimanche 23 septembre à 18h30\\n\\nJournée 2 :\\n\\n * Nanterre – Bourg-en-Bresse : lundi 24 septembre à 20h45\\n * Le Portel – Strasbourg : mercredi 26 septembre à 20h45\\n * Elan Béarnais – Monaco : jeudi 27 septembre à 20h45\\n\\nJournée 3 :\\n\\n * Gravelines-Dunkerque – LDLC ASVEL : samedi 29 septembre à 18h30\\n * Strasbourg – Elan Béarnais : dimanche 30 septembre à 18h30\\n * Bourg-en-Bresse – Elan Chalon : lundi 1er octobre à 20h45"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Jeep®ÉLITE 2018/19 : Le Portel, le début d’un nouveau cycle"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Jeep Elite débute les 22 et 23 septembre et nous sommes fiers de vous proposer pour la troisième année (déjà!) une présentation complète sur BasketEurope avec une analyse de chaque équipe, des commentaires sur chaque joueur et coach, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié jusqu’au jeudi 20 avec chaque jour une équipe de JeepElite par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment). Vous pouvez également dès maintenant pré-commander le Magazine « Guide de la saison » sur notre boutique à 6€ frais de port inclus.\\n\\nNous vous proposerons ensuite la Pro B et la Ligue Féminine.\\n\\nBonne lecture !\\n\\nDeux ans après son historique montée en Pro A, Le Portel est toujours présent au plus haut niveau du basket français. Non qualifié pour les playoffs la saison passée, les joueurs d’Eric Girard ont tout de même démontré qu’ils ne sont pas en Jeep Elite par hasard en l’emportant notamment face à des équipes comme Nanterre, l’ASVEL ou encore Le Mans. Malgré cela, l’ESSM a connu un grand chamboulement cet été et a perdu quasiment tous ses joueurs étrangers, parmi lesquels le trio Frank Hassell, Jakim Donaldson et Trae Golden, ainsi que des cadres français comme Jessie Bégarin ou Gary Chathuant. C’est donc comme à son habitude qu’Eric Girard a été chercher ses nouveaux joueurs étrangers dans des équipes moins huppées que ses concurrents; Brandyn Curry évoluait aux Pays-Bas, Anthony Hilliard vient de Krasnoyarsk, Jeffrey Crockett arrive du Danemark, alors que Robert Rothbart était le MVP de la deuxième division israélienne. Son public fait du Chaudron une citadelle difficile à prendre.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nSalle : Le Chaudron (3 533 places)\\n\\nPrésident : Yann Rivoal (54 ans)\\n\\nArrivées : Jeffrey Crockett (Bakken Bears, Danemark), Brandyn Curry (Groningen, Pays-Bas), Pierre-Etienne Drouault (Boulazac), Robert Rothbart (Maccabi Kyriat Gat, Israël D2), Darrell Williams (Yesilgerisun, Turquie).\\n\\nDéparts : Jessie Bégarin (Rouen, Pro B), Tweety Carter, Jakim Donaldson (Hapoel Be’er Sheva, Israël), Gary Chathuant (Nantes, Pro B), Trae Golden (Saratov, Russie), Mohamed Hachad, Frank Hassell (Zielona Gora, Pologne), Dinma Odiakosa (Nancy, Pro B).\\n\\nBrandyn Curry – né le 10 février 1991 – 1,85m – Poste 1 – Américain\\n\\nIl sera l’homme à la baguette de l’ESSM cette saison. MVP en titre du championnat néerlandais ainsi que de ses playoffs, il arrive avec le statut de joueur complet et fort scoreur. Passé par les Pays-Bas, et aussi par la Slovénie et Bremerhaven, club de bas de tableau allemand, Brandy Curry est diplômé d’Harvard, une université réputée mondialement pour sa scolarité mais il a été impliqué dans un scandale de tricherie qui a concerné 125 athlètes et étudiants. La saison dernière, il compilait 15,8 points, 4,8 rebonds, 5,8 passes décisives et 2,1 interceptions au Pays-Bas.\\n\\nBenoit Mangin – né le 3 juin 1988 – 1,89m – Poste 1 – Français\\n\\nAu club depuis 2011 après avoir évolué à Reims, Nantes, Charleville-Mézières et Châlons-Reims, le natif de Clamart fait désormais partie des meubles à l’ESSM et est le dernier joueur de l’effectif à avoir vécu la montée en Pro A. Contrarié par des blessures la saison dernière, ce qui lui a valu de mettre un terme prématurément à sa saison, l’ancien nantais a été opéré d’une bursite fin mai et a consacré son été à la rééducation. Ses stats en 2017/18 : 3,6 points, 1,5 rebond et 2,6 passes décisives.\\n\\nPierre-Etienne Drouault – né le 9 décembre 1990 – 1,96m – Poste 2/3 – Français\\n\\nAprès une saison 2017/18 partagée entre Cholet et Boulazac, le natif du Mans va continuer son parcours en Jeep Elite dans le Nord de la France. Avant cela, il a passé deux ans à Angers, en NM1, puis trois ans à Evreux, en Pro B, avant de rejoindre Saint-Quentin pour l’exercice 2016/17, toujours en Pro B. La saison dernière en Jeep Elite, il tournait en moyenne à 4,1 points et 1,2 rebond par rencontre.\\n\\nAnthony Hilliard – né le 28 juin 1986 – 1,93m – Poste 2/3 – Américain\\n\\nChampion de France de Pro B en 2013 avec Antibes, il a conclu le recrutement de l’ESSM cet été. De retour dans l’Hexagone, il va découvrir la Jeep Elite dans le Nord. Passé par la Belgique, l’Allemagne, la Finlande, la Biélorussie, Israël et la Russie, il est présenté par le club comme un joueur pouvant occuper toutes les positions extérieures. La saison passée, il compilait en moyenne 13 points, 4,7 rebonds et 3,6 passes décisives en Russie.\\n\\nJeffrey Crockett – ne lé 16 octobre 1991 – 2m – Poste 3 – Américain\\n\\nHabitué des deuxièmes divisions (Italie, Japon) ou des championnats de seconde zone comme la Suisse ou le Danemark, il sort d’une saison accomplie à Aarhus ce qui lui a valu d’attirer l’oeil de l’ESSM. Il est doté de grosses qualités athlétiques, ce qui lui permet d’être très présent au rebond et à l’aise dans les airs. Au fur et à mesure des saisons, il s’est également forgé un shoot très fiable à trois points. Ses stats en 2017/18 : 13,6 points (45% à trois points) et 6,1 rebonds au Danemark.\\n\\nMoses Ehambe – né le 22 mai 1986 – 1,98m – Poste 3 – Américain\\n\\nD’abord pigiste de Benoit Mangin mi-avril, le Texan a, après quelques semaines, convaincu les dirigeants portelois de lui proposer un contrat pour la saison 2018/19. Très adroit derrière la ligne à trois-points, l’ancien joueur de Badalone a évolué en D-League, en Espagne, au Vénézuéla, en Allemagne, au Japon et au Qatar. La saison dernière, il tournait à 11,7 points (à 48% à trois points) et 1,7 rebond.\\n\\nJean-Victor Traoré – né le 20 juin 1985 – 2,03m – Poste 4 – Français\\n\\nAprès avoir connu tous les échelons du basket français allant de la NM3 à la Pro B, il était temps pour l’international burkinabé de tenter sa chance en Jeep Elite. Arrivé au Portel après avoir été le leader de Lille, en Pro B, pendant trois saisons, le natif de Dakar a parfaitement élevé le défi qui s’offrait à lui. Ancien joueur d’Angers, c’est est un poste 4 polyvalent présent dans quasiment tous les compartiments du jeu et qui possède une très bonne capacité d’adaptation. Ses stats en 2017/18 : 7,1 points et 3,7 rebonds en Jeep Elite.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=4s9IdouQcsU\\n\\nDarrell Williams – né le 15 septembre 1989 – 2,03m – Poste 4/5 – Américain\\n\\nPassé par la Belgique, la Serbie et Israël, le Chicagoan arrive en provenance de la prestigieuse ligue turc reconnue comme étant dans le top 3 des meilleurs championnats domestiques d’Europe. Passé par quatre université différentes, dont Oklahoma State, l’ancien joueur du Partizan Belgrade est un intérieur combatif qui n’hésite pas à aller jouer des coudes dans la raquette, mais qui peut aussi prendre des tirs à mi-distance. La saison dernière, il compilait en moyenne 9,1 points et 7,4 rebonds en Turquie.\\n\\nRobert Rothbart – né le 16 juin 1986 – 2,17m – Poste 5 – Israélien\\n\\nMVP en titre de la deuxième division israélienne sous les couleurs du Maccabi Kyriat Gat, il revient en France douze ans après l’avoir quitté. Passé par Israël, la Bosnie, la Slovénie ou encore la Pologne, le géant à la double nationalité bosnienne et israélienne a vécu deux saisons en Pro A entre 2004 et 2006 avec le Paris Basket Racing. Ancien international israélien, il s’est engagé sur un contrat d’un an plus une autre année en option. En 2017/18, il compilait les impressionnantes statistiques de 18,9 points, 12,3 rebonds et 2,1 contres par match en 35 rencontres.\\n\\nCoach\\n\\nEric Girard – né le 7 juillet 1964 – Français\\n\\nAncien joueur professionnel, il est entraîneur depuis plus de 30 ans et fut nommé coach principal de Cholet en 1996 après avoir eu les rênes de l’équipe espoirs pendant quatre saisons. Champion de France de Pro B avec Limoges et le Portel, et champion de France de Pro A avec Strasbourg en 2005, il est considéré comme l’un des meilleurs entraîneur français. L’ancien technicien du Limoges CSP est également connu pour être venu à bout d’un cancer à deux reprises. C’est pourquoi il s’exprime aujourd’hui uniquement grâce à l’aide d’une prothèse à la place du larynx. Son adjoint se charge de transmettre ses directives aux joueurs aux temps-morts. Il a co-écrit un livre Je n’ai qu’une parole.\\n\\nAssistant :\\n\\nJacky Perigois (48 ans).\\n\\n[armelse]\\n\\nDeux ans après son historique montée en Pro A, Le Portel est toujours présent au plus haut niveau du basket français. Non qualifié pour les playoffs la saison passée, les joueurs d’Eric Girard ont tout de même démontré qu’ils ne sont pas en Jeep Elite par hasard en l’emportant notamment face à des équipes comme Nanterre, l’ASVEL ou encore Le Mans. Malgré cela, l’ESSM a connu un grand chamboulement cet été et a perdu quasiment tous ses joueurs étrangers, parmi lesquels Frank Hassell, Jakim Donaldson ou Trae Golden, ainsi que des cadres français comme Jessie Bégarin ou Gary Chathuant. C’est donc comme à son habitude qu’Eric Girard a été chercher ses nouveaux joueurs étrangers dans des équipes moins huppées que ses concurrents, comme Brandyn Curry, qui évoluait aux Pays-Bas, Anthony Hilliard, qui vient de Krasnoyarsk, Jeffrey Crockett, qui arrive du Danemark, ou encore Robert Rothbart, MVP de la deuxième division israélienne.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture: Benoit Mangin (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Amine Noua (LDLC ASVEL) : «J’ai toujours la Draft en ligne de mire»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Retenu par Vincent Collet pour le Tournoi International de Paris et les deux matchs de qualification face à la Bulgarie et la Finlande, Amine Noua (2,02m, 21 ans) a répondu à nos questions à l’occasion d’un point presse au Stade Pierre de Coubertin.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComment s’est passé la pré-saison et comment vous sentez-vous ?\\n\\nÇa va très bien. On a eu un bon mois de préparation. D’entrée le coach (NDLR: Zvezdan Mitrovic) nous a parlé et nous a dit ce qu’il attendait de nous. On voit que tout le monde est très concentré. Pour ma part tout va très bien, à la fin de la saison j’ai pu faire des workouts et je me suis très bien entretenu cet été en allant en Serbie.\\n\\nOù en est l’ASVEL ?\\n\\nDès les premières semaines on a réussi à vraiment bien s’entendre les uns les autres. Je trouve que cette année il y a des joueurs vraiment très intelligents et je pense qu’on peut faire quelque chose. On voit que tout le monde est concentré et a un objectif précis.\\n\\n« Je me rappelle étant petit quand je venais voir le match des pros en tribunes avec mon père, j’ai toujours voulu être sur le terrain »\\n\\nJustement, quels sont les objectifs pour cette nouvelle saison ?\\n\\nOn veut tous gagner. Ces dernières années, on a vécu beaucoup d’échecs donc maintenant on veut des titres. Mitrovic n’est pas venu pour rien, il sort de plusieurs très belles saisons à Monaco. Du point de vue personnel, je veux continuer à faire ce que je fais, continuer à prendre confiance encore, prendre du plaisir et faire progresser l’équipe. J’ai aussi la Draft NBA en ligne de mire. C’est ma dernière année pour être sélectionné donc j’espère vraiment exploser cette saison.\\n\\nComment se passe la transition avec Zvezdan Mitrovic ?\\n\\nIl ne m’a pas spécialement dit ce qu’il attendait de moi, mais je vois très bien qu’il compte sur moi. Il attend beaucoup de moi. Il attend que je sois présent des deux côtés du terrain et que je continue à jouer. Avec Livio Jean-Charles on est très complémentaires donc je pense qu’il va falloir que je fasse vraiment mieux que l’année dernière. Même si j’ai fait une bonne saison, je sais que je peux faire bien mieux et tout le monde le sait.\\n\\nPour revenir un peu sur votre parcours. Vous êtes jeune mais déjà installé dans le monde pro, quand avez-vous su que vous vouliez être basketteur ?\\n\\nJe dirais quand j’ai commencé les équipes de France en U15 ou U16. A partir de là je me suis dit que j’avais le potentiel pour devenir pro. Par la suite ça a été très vite avec l’ASVEL, j’ai très vite été lancé dans le grand bain. Ça s’est fait naturellement. Je me suis mis à travailler sur mes points faibles, j’ai progressé au fur et à mesure des années. Maintenant je sais que, malgré le fait que je sois en Equipe de France A ou titulaire à l’ASVEL, je peux encore progresser. J’ai encore des choses à améliorer.\\n\\nVous êtes à l’ASVEL depuis petit, ça doit être spécial de pouvoir être pro ici.\\n\\nJe l’ai toujours voulu, ça a toujours été dans ma tête ! Je ne me suis rien refusé. Je me rappelle étant petit quand je venais voir le match des pros en tribunes avec mon père, j’ai toujours voulu être sur le terrain. Je pense qu’il faut toujours se surpasser, toujours travailler. Il n’y a pas de secret, le travail c’est la clé.\\n\\nPensiez-vous que tout s’enchaînerait aussi vite de la Jeep Elite à l’Equipe de France ?\\n\\nNon pas aussi vite, mais j’ai saisi ma chance. Je sais que ça peut paraitre surprenant mais j’ai confiance en moi, je sais de quoi je suis capable et je n’ai peur de rien. Je ne recule devant rien.\\n\\nÊtre au contact des internationaux en Equipe de France doit forcément faire progresser davantage ?\\n\\nC’est clair ! J’ai déjà eu la chance de participer à la fenêtre internationale au mois de novembre. L’Equipe de France c’est comme une famille même si on est toujours en mission. Même s’il manque des joueurs, il y en a d’autres qui sont aussi expérimentés comme Nicolas Batum ou Edwin Jackson. Pour un jeune comme moi, ça peut que me pousser vers le haut.\\n\\n« Je ne me refuse rien et je n’ai aucune limite »\\n\\nLa Draft est toujours en ligne de mire. La saison dernière, avez-vous eu des contacts avec des franchises ?\\n\\nToute l’année j’ai été suivi, ils se sont intéressés à moi. On discutait avec le staff de San Antonio, Philadelphie, Utah et Phoenix. Ils pensaient vraiment que je pouvais faire quelque chose et être un peu la surprise de cette Draft. Je me suis aussi blessé pendant les playoffs, ce qui fait que je n’ai pas forcément été en forme pendant les workouts (NDLR: Amine n’a pu ainsi être présent lors de la série de quart-de-finale contre Le Mans). Malgré tout, ça a été une très bonne expérience. Même eux, sur place, étaient vraiment contents de moi. Ils pensent que si je fais une grosse saison, il y a moyen que je sois choisis.\\n\\nVous auriez une préférence pour une équipe ?\\n\\nNon pas vraiment. Une fois que tu y es, de la première à la dernière place ça reste la NBA !\\n\\nCet été, avez-vous été en contact avec des équipes européennes ?\\n\\nOui j’ai reçu des appels. J’aurais pu partir. Tony (Parker) ne voulait pas et puis j’ai fait une grosse saison, je connais le club, je sais de quoi je suis capable et j’ai confiance. C’est pour ça qu’il m’a prolongé trois ans. Malgré ça, je sais que j’ai des clauses mais je suis installé, je suis bien. J’espère, pourquoi pas, jouer l’Euroleague avec l’ASVEL. Je me sens bien au club, il y a une confiance mutuelle depuis de nombreuses années. Je suis originaire de la région, j’ai la chance d’avoir ma famille à 45 minutes d’ici donc je peux les voir souvent. Je suis très proche d’eux et d’être avec eux ça me pousse vraiment.\\n\\nJustement, vous n’auriez pas peur de devoir quitter ce cocon ?\\n\\n(sourire) C’est vrai qu’il y a une petite appréhension... Ça sera forcément bizarre au début, mais je vais m’y habituer. C’est vrai que ça va me faire bizarre.\\n\\nQuel serait votre plan de carrière idéal ?\\n\\nToujours monter. Trouver la stabilité c’est clair que ça serait bien. Là je suis en Eurocup, pourquoi pas l’année prochaine l’Euroleague et ensuite continuer de monter pour aller en NBA. Je ne me refuse rien et je n’ai aucune limite. Il n’y a pas de carrière idéale, mais tant que tu te fais plaisir dans un bon club et que tu es en bonne santé, pour moi c’est le plus important.\\n\\n[armelse]\\n\\nComment s’est passé la pré-saison et comment vous sentez-vous ?\\n\\nÇa va très bien. On a eu un bon mois de préparation. D’entrée le coach nous a parlé et nous a dit ce qu’il attendait de nous. On voit que tout le monde est très concentré. Pour ma part tout va très bien, à la fin de la saison j’ai pu faire des workouts et je me suis très bien entretenu cet été en allant en Serbie.\\n\\nOù en est l’ASVEL ?\\n\\nDès les premières semaines on a réussi à vraiment bien s’entendre les uns les autres. Je trouve que cette année il y a des joueurs vraiment très intelligents et je pense qu’on peut faire quelque chose. On voit que tout le monde est concentré et a un objectif précis.\\n\\n« Je me rappelle étant petit quand je venais voir le match des pros en tribunes avec mon père, j’ai toujours voulu être sur le terrain »[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : ASVEL Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Prospects européens: Quand les Français trustent les premières places"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le site spécialisé Eurospects hiérarchise les meilleurs jeunes européens et il apparait que les Français trustent les premières places avec pas moins de 8 joueurs dans les top 5 des quatre catégories d’âge concernées. Deux d’entre-eux sont même numéro 1.\\n\\nSi tout ceci est subjectif et que les courbes de progression sont différentes suivant les individus, cela promet d’avoir une continuité dans le nombre de joueurs en NBA et aussi un bon approvisionnement pour l’équipe de France.\\n\\nOn remarque que la moitié des 8 joueurs concernés ont choisi la voie américaine plutôt que française et aussi que plusieurs étaient absents des compétitions de jeune cet été.\\n\\n[table id=139 /]\\n\\nPhoto: Sekou Doumbouya (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le président du Conseil de Surveillance du Mans va quitter ses fonctions"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors de la prochaine Assemblée Générale, le 20 novembre, Le Mans Sarthe Basket va changer de président du Conseil de Surveillance. Dominique Payen doit abandonner sa fonction pour des raisons personnelles qu’il explique dans un communiqué:\\n\\n« J’ai vécu la finale lors de mon hospitalisation et passé une période estivale de suivis médicaux. Mes médecins m’ont demandé de «lever le pied ». Je dois quitter également la Présidence de l’Association de Soutien aux pilotes sarthois SO24. De plus, je suis un passionné et je m’interdis de rester président sans assister à l’ensemble des matchs à Antarès. »\\n\\nDominique Payen a proposé d’être remplacé par Yves De La Fouchardière, actuel Directeur Général des Fermiers de Loué, mais un appel à candidature sera effectué et un vote aura lieu.\\n\\nChristophe Le Bouille demeure Président du Directoire du MSB."
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du monde: La Russie est tombée en République Tchèque qui rejoint la France à la première place"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Malgré la présence de son top scoreur Aleksei Shved (16 points mais à 4/15 aux tirs) et la performance de Dmitry Khvostov (18 points), la Russie s’est inclinée ce soir en République Tchèque, 78-80, ce qui la met en position délicate au classement du groupe K.\\n\\nA l’inverse, la République Tchèque a ainsi franchi un pas important vers la qualification à la Coupe du Monde 2019 en Chine. Le combo guard des Washington Wizards Tomas Satoransky a réalisé un match très complet avec 16 points, 8 rebonds et 6 passes. Jaromic Bohacik a assuré 19 points alors que Blake Schilb, qui vient d’arriver à Châlons-Reims s’est fendu de 13 points à 5/7 aux tirs.\\n\\nDans le troisième match du groupe, la Finlande a peiné pour venir à bout de la Bosnie-Herzégovine, 81-85. Les Finlandais doivent beaucoup à l’arrière de Malaga Sasu Salin très performant offensivement avec 6 paniers à trois-points en 8 shoots pour 27 points. Jusuf Nurkic (20 points), le nouvel ailier des Brooklyn Nets Dzanan Musa (15) et le Monégasque Elmedin Kikanovic (14) ont été les meilleurs marqueurs du côté des Bosniaques.\\n\\nLa France conserve ainsi 3 victoires d’avance sur la Russie plus le point-average particulier.\\n\\nRappelons que les trois premiers de chaque groupe sont qualifiés pour la Coupe du monde.\\n\\nPhoto: Tomas Satoransky (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\n\\nMatchs\\n\\n\\nPts\\n\\n\\n#\\nEquipes\\nJ\\nV\\nD\\n%\\n\\nAtt\\nDeg\\n+/-\\nMoy\\nMoy\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\nFrance\\n7\\n6\\n1\\n85.7\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n547\\n451\\n96\\n78.1\\n64.4\\n13\\n\\n\\n2\\nRep. Tchèque\\n7\\n6\\n1\\n85.7\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n544\\n503\\n41\\n77.7\\n71.9\\n13\\n\\n\\n3\\nFinlande\\n7\\n4\\n3\\n57.1\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n538\\n530\\n8\\n76.9\\n75.7\\n11\\n\\n\\n4\\nRussie\\n7\\n3\\n4\\n42.9\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n536\\n508\\n28\\n76.6\\n72.6\\n10\\n\\n\\n5\\nBulgarie\\n7\\n3\\n4\\n42.9\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n540\\n544\\n-4\\n77.1\\n77.7\\n10\\n\\n\\n6\\nBosnie\\n7\\n2\\n5\\n28.6\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n481\\n566\\n-85\\n68.7\\n80.9\\n9\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les highlights de Bulgarie-France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme d’habitude, la FIBA propose des highlights pour le Bulgarie-France qui a vu cet après-midi la défaite des Bleus, 68-74.\\n\\nPhoto: Pavel Marinov et Vincent Poirier (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du monde: La France se fait piéger en Bulgarie, 68-74"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après 6 victoires en 6 matches, l’équipe de France s’est inclinée en fin d’après-midi en Bulgarie (68-74) dans un match qu’elle n’a jamais maîtrisé.\\n\\nA l’image d’un Nando De Colo en toute petite forme, la France est apparue peu inspirée multipliant les errements défensifs et les mauvais choix offensifs, pêchant par individualisme. La faute aux changements permanents dans son effectif auxquels le coach Vincent Collet est contraint dans ces fenêtres internationales ? Bien sûr. D’ailleurs les renforts de Nando De Colo, Andrew Albicy et Vincent Poirier vis à vis du Tournoi de Paris n’a pas eu du tout l’effet escompté.\\n\\nA l’inverse, les Bulgares qui jouent essentiellement dans leur pays et en Roumanie ont fait preuve de cohésion, de concentration, de détermination, et ont su exploiter leurs forces avec une totale efficacité. Ils ont ainsi transformé 10 paniers à trois-points (sur 32) tout en collectant davantage de rebonds (41-37) que les Français qui disposaient pourtant de deux tours avec Moustapha Fall (2,18m) et Vincent Poirier (2,13m) qu’ils n’ont pas.\\n\\nLe meneur américain naturalisé Dee Bost (17 points, 6 rebonds) a fait beaucoup de mal à l’équipe de son ancien coach à Strasbourg et prouvé qu’il est motivé de se retrouver au milieu de la sélection bulgare. Dimitar Dimitrov (16 points, 5 rebonds et 5 passes) a été l’autre homme fort de cette vaillante équipe.\\n\\nLes Bleus n’ont évidemment pas hypothéqué leurs chances de qualification mais voici la preuve que la deuxième phase ne sera pas une simple parade surtout que Vincent Collet n’aura pas sous la main de joueurs NBA et peut-être pas d’Euroleague pour les deux autres fenêtres. Une réaction et une victoire dimanche à Montpellier face à la Finlande seraient vraiment opportunes !\\n\\n26 points encaissés en 10 minutes\\n\\nPoussés par le public de la Botevgrad Arena et ayant absolument besoin de victoires pour espérer voir la Chine, les Bulgares sont entrés têtes baissées dans le match pour mener 9-4 puis 15-7 avant d’obtenir une avance maximale de onze points à 26-15. Il est vite apparu que le trio composé du meneur naturalisé Dee Boost, du power forward Dimitar Dimitrov et de l’ailier Pavel Marinov était saignant. En première mi-temps, le premier scorait 12 points avec un superbe 4/5 points à trois-points, le deuxième totalisait 16 points à 7/9 aux tirs et le troisième ne gâchait pas non plus les ballons d’attaque avec 9 points à 3/4.\\n\\nLa France se reposait beaucoup sur Nicolas Batum (15 points sur les 18 premières minutes) mais c’est l’arrivée de l’épatant Paul Lacombe qui lui servait de réveil. Le swingman monégasque jouait cette fois en meneur, se révélait un poison en défense (3 interceptions) et tranchant en attaque (10 points en 12’). Pour compenser la discrétion de Nando De Colo, c’est Edwin Jackson qui profitait des ballons en première mi-temps (11 points).\\n\\nAprès avoir encaissé 26 points en dix minutes -énorme pour une équipe qui en avait jusqu’ici lâché seulement 62,8 en moyenne sur tout en match-, les Français resserraient la défense et revenaient assez vite à la hauteur des Bulgares (26-26) mais ceux-ci continuaient de poser leur collectif et de profiter des brèches en tête de raquette si bien qu’ils comptaient toujours un petit avantage à la mi-temps (45-44).\\n\\nLes Français tombent dans l’individualisme\\n\\nLes Bleus servaient beaucoup à l’intérieur le très athlétique Mathias Lessort puis le géant Moustapha Fall mais rien n’y faisait, les Bulgares ne lâchaient pas le morceau. Alors que Français tombaient souvent dans l’individualisme, eux continuaient de la jouer collectif. Ils passaient en tête, se confectionnaient un bon petit matelas (72-66 à 3’13 du buzzer) et géraient parfaitement le money time.\\n\\nSi Nicolas Batum a totalisé 17 points, c’est au prix de beaucoup de shoots (5/14) et donc très essentiellement en première mi-temps, alors que d’autres cadres comme Nando De Colo (8 points, 3/9 aux tirs) et Moustapha Fall (2/6 aux lancers, pas de paniers, 2 rebonds) ont failli dans leur mission.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Paul Lacombe et Moustapha Fall (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Jakim Donaldson revient aider Le Portel à l’entraînement"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Toujours sans club depuis la fin de saison dernière lorsqu’il arrivait en fin de contrat avec l’ESSM, Jakim Donaldson (2,04m, 35 ans) fait finalement son retour au Portel. Il revient en tant que partenaire d’entraînement.\\n\\nSur son site, le club portelois annonce le retour du natif de Pittsburgh afin de compenser le manque d’intérieurs. Eric Girard doit actuellement composer sans Jean-Victor Traoré, Robert Rothbart et Darrell Williams. L’objectif pour le joueur est de pouvoir se maintenir en forme et trouver un nouveau club pour cette saison.\\n\\nLa saison dernière, Hakim Donaldson compilait en moyenne 9 points et 5,9 rebonds en Jeep Elite, et 8,1 points, 5,6 rebonds et 2,3 passes décisives en FIBA Europe Cup.\\n\\nPhoto : ESSM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo: Le briefing du staff des Bleus avant Bulgarie-France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de France s’apprête à disputer un match de qualification à la Coupe du Monde 2019 contre la Bulgarie à Botevgrad (17h sur Canal+ Sport) et le staff a organisé son briefing dans la salle à manger de l’hôtel après le déjeuner. On dénombre 15 personnes puisqu’à celles présentes sur le cliché, il faut ajouter le photographe qui n’est autre que le président fédéral, Jean-Pierre Siutat.\\n\\n\\n\\n\\nBriefing traditionnel d'après déjeuner du staff des bleus... Drôle de ne plus voir @theborisdiaw autour de la table 😉🇫🇷🇫🇷😂 #BULFRA @FRABasketball #FIBAWC pic.twitter.com/BhV57316wO\\n\\n\\n— Jean-Pierre SIUTAT (@jpsiutat) September 13, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Quand Paul Lacombe rend hommage à Boris Diaw"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"WeBasket a demandé à Paul Lacombe de définir Boris Diaw, le capitaine des Bleus qui vient de prendre sa retraite. Où l’on apprend que l’international de l’AS Monaco avait obtenu un autographe de Babac quand il était jeune...\\n\\nNicolas Batum, Vincent Collet, Endy Miyem et Diandra Tchatchouang sont également sollicités par le site."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le maire de Villeurbanne critique les changements à l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Maire de Villeurbanne depuis 2001, Jean-Paul Bret connaît l’histoire du club qui joue dans sa ville. Suite au nouveau partenariat signé entre l’ASVEL et LDLC qui a entraîné le changement de logo et le changement de couleurs, l’homme politique a été très critique.\\n\\nSur le site du Progrès, le maire de Villeurbanne considère que le club tire un trait sur son histoire en retirant le vert de son ensemble.\\n\\n« En juillet, le club nous a informés de son souhait de changer de couleur. La saison dernière, cela avait déjà eu lieu à quelques reprises. À cette occasion, j’avais dit mon souhait, comme beaucoup de supporters, que le maillot garde un parement vert. À l’encolure du maillot, à l’échancrure du short, peu importe. Aujourd’hui, c’est ou blanc ou noir. On fait fi de l’histoire en vert de ce club depuis 70 ans »\\n\\nPour ce qui concerne le nouveau logo de la LDLC ASVEL, Jean-Paul Bret n’est pas moins critique.\\n\\n« Il est illisible, incompréhensible puisqu’il est besoin d’explications abracadabrantesques pour y voir un prétendu lien avec Villeurbanne, avec Lyon ou encore avec Alain Gilles »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : l’ACB songe à un nouveau format pour la Liga Endesa"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors de la prochaine assemblée générale de l’ACB prévue le 18 septembre, les clubs espagnols hormis le Real Madrid, Vitoria et Barcelone, prévoient de présenter un nouveau format de compétition pour le championnat en vue de la saison 2019/20 ou au plus tard 2020/21, annonce AS.\\n\\nL’idée est de rester sur un championnat à 18 clubs. Les douze premiers du classement seront qualifiés pour les playoffs, le top 4 prendra part aux phases finales à partir des quarts de finale alors que les huit autres équipes commenceront en huitièmes de finale par un tour qui se jouera en... un match sec.\\n\\nEn ce qui concerne la relégation, le dernier du classement sera rétrogradé en deuxième division tandis que le 17e et le 16e joueront des playouts pour savoir qui sera relégué et qui restera en Liga Endesa.\\n\\nSachant que les trois clubs d’Euroleague cités plus haut souhaitent plutôt réduire le nombre de clubs en première division pour arriver à terme à seulement 14 équipes, la nouvelle formule qui sera proposée dans quelques jours leur permettrait de disputer moins de matchs.\\n\\nDans ce nouveau format, les deux derniers du classement et les deux promus ne disputeront pas les matchs à l’extérieur face au top 4 du classement, seulement les matchs à domicile. Ce qui ferait déjà quatre matchs de moins pour les quatre meilleures équipes de la saison précédente.\\n\\nAussi, l’objectif pour les clubs est de faire passer les quarts de finales et les demi-finales à des séries de trois matchs plutôt que cinq matchs. Valence et Malaga sont contre ce dernier point car les deux clubs souhaitent conserver une série à cinq matchs en demi-finale.\\n\\nPour qu’elle soit approuvée, cette proposition doit être validée par au moins quatorze clubs.\\n\\nPhoto : Morabanc Andorra"
}, 
{"role": "user",     "content":"La masse salariale du Zalgiris Kaunas 2,7 fois supérieure à celle de l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon le journaliste lituanien Donatas Urbonas, le Zalgiris Kaunas a annoncé un budget pour cette saison de 10,7 millions d’euros, à comparer aux 8,5M€ de la saison dernière. Plus significatif: la masse salariale représente l’essentiel de ce budget avec 7,4M€.\\n\\nTandis qu’il a accédé au Final Four 2018 et qu’il a obtenu avec 13 451 spectateurs la plus forte affluence de la compétition, le Zalgiris Kaunas est considéré comme l’un des « petits clubs » d’Euroleague. Alors que l’on sait que les charges sociales sont plus élevées en France qu’ailleurs en Europe notamment en Lituanie, la saison dernière, la masse salariale de Villeurbanne, qui doit rejoindre l’Euroleague en 2019, était officiellement de 2,684M€ soit 2,7 fois inférieure à celle du Zalgiris de 2018-19. Le partenariat signé avec la société LDLC doit permettre à l’ASVEL d’augmenter quelque peu ce chiffre mais elle demeurera financièrement bien en retrait de ses futurs concurrents.\\n\\n\\n\\n\\nZalgiris Kaunas announced they will have a budget of €10.7M for this season, comparing to €8.5M last year. €7.4M set for the salaries. It looks like it’s biggest Zalgiris budget ever.\\n\\n\\n— Donatas Urbonas (@Urbodo) September 13, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Jeep®ÉLITE 2018/19 – Le Mans Sarthe Basket : Enfin une belle aventure européenne ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Jeep Elite débute les 22 et 23 septembre et nous sommes fiers de vous proposer pour la troisième année (déjà!) une présentation complète sur BasketEurope avec une analyse de chaque équipe, des commentaires sur chaque joueur et coach, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié jusqu’au jeudi 20 avec chaque jour une équipe de JeepElite par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment). Vous pouvez également dès maintenant pré-commander le Magazine « Guide de la saison » sur notre boutique à 6€ frais de port inclus.\\n\\nNous vous proposerons ensuite la Pro B et la Ligue Féminine.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe champion de France a été dépouillé. Pour des raisons diverses, ses cinq Américains sont partis sous d’autres cieux et son géant Youssoupha Fall qui en faisait une équipe si atypique s’en est allé au final renforcer Strasbourg. Pourtant le MSB paraît à l’abri de la sévère chute de tension dont a été victime son prédécesseur au palmarès, l’Elan Chalon. Avec les différents bonus financiers, le club de la Sarthe s’est offert un axe 1-5 de grande qualité (Juice Thompson et Richard Hendrix) et l’ensemble apparaît costaud. Une interrogation toutefois: est-ce le Cameron Clark de Chalon que va revoir la Jeep Elite? Les premières indications sont bonnes. Il n’est pas dans les plans de vivre pareille épopée qu’en 2017-18 mais être une fois encore être une équipe de playoffs et même figurer dans le carré d’as est du domaine du possible. Eric Bartecheky a une mission encore plus audacieuse: faire vivre au Mans enfin une belle aventure européenne. Le public, qui n’a jamais été aussi nombreux que la saison dernière (5 400 spectateurs en moyenne, 9 guichets fermés dont les 5 derniers matchs) n’attend que ça.\\n\\n© MSB\\n\\nSalle : Antarès (6 023 places)\\n\\nPrésident : Christophe Le Bouille (47 ans)\\n\\nArrivées : Valentin Bigote (Dijon), Demetrius Conger (Joventut Badalone, Espagne), Richard Hendrix (Galatasaray Istanbul, Turquie), Louis Rucklin (prêt de Strasbourg), Michael Juice Thompson (Istanbul BBSK, Turquie).\\n\\nDéparts : Pape-Philippe Amagou (arrêt), Justin Cobbs (Cedevita Zagreb, Croatie), Youssoupha Fall (Strasbourg via Baskonia Vitoria, Espagne), Chris Lofton, Mykal Riley (Chalon), DJ Stephens (NBA ou G-League), Romeo Travis (Magnolia Hotshots, Philippines).\\n\\nMichael Juice Thompson – né le 2 février 1989 – 1,78m – Poste 1 – Américain\\n\\nEric Bartecheky retrouve le Général qui fut le sien à Pau, il y a deux ans, et qui fut considéré comme le meilleur meneur de Pro A et en fut aussi le top scoreur (17,7 pts). Le MSB est son quatrième club français après aussi l’ASVEL et Rouen. Juice sort de deux belles saisons en Turquie, à Besiktas puis à Buyuksehir Belediyesi Istanbul où il a assuré 15,9 points, 5,6 passes, 2,1 rebonds et 1,0 interception en Champions League et aussi 5,5 passes dans le championnat national, ce qui en a fait le n°1 de la ligue turque.\\n\\n© LNB\\n\\nAntoine Eito – né le 6 avril 1988– 1,88m – Poste 1-2 – Français\\n\\nUn personnage de la Pro A. Se définit lui-même comme une grande gueule, gentil, honnête. Très bon à l’interview. 28,8% seulement de réussite aux shoots mais n’est jamais meilleur que quand il faut prendre le ballon chaud dans un match décisif. Féroce défenseur. A la particularité d’avoir alterné Orléans, Le Mans, Orléans et de nouveau Le Mans. A joué son premier match en pro avec l’ASVEL contre les San Antonio Spurs. Fait du golf pour se ressourcer.\\n\\nLouis Rucklin – né le 20 janvier 1999 – 1,84m – Poste 1 – Français\\n\\nNé à Lomé, au Togo. En équipe de France U16 et U17. MVP de la finale de la Coupe de France U17 en 2016. Prêté par Strasbourg où il était barré par le micro-meneur Ludovic Beyhurst. 9,7 points, 3,1 rebonds, 3,9 passes et 2,3 interceptions en Espoirs la saison dernière. Athlétique.\\n\\nValentin Bigote – né le 13 janvier 1992 – 1,96m – Poste 2-3 – Français\\n\\nNé à Grand-Synthe, il a effectué toute la première partie de sa carrière dans le Nord : Gravelines, Boulogne et Denain. C’est à Nantes où il a explosé en devenant le meilleur marqueur français de Pro B (15,4 pts en 2017). Il a confirmé ses qualités de scoreur instinctif à Dijon (8,0 pts), tout spécialement en fin de saison : MVP du mois d’avril et 21,0 points à 14/20 aux shoots lors des deux matches de playoffs face à Limoges. Peu shooter de loin comme aller au cercle.\\n\\nTerrence Tarpey – né le 2 mars 1994 – 1,95m – Poste 2-3 – Français\\n\\nTerry Tarpey III fils de Terry Tarpey II, ancien joueur du Mans. L’une des révélations de la saison de Jeep Elite même si son parcours a été brisé par une blessure au genou à la mi-avril. Un couteau suisse avec un gros sens de l’abnégation. International A’. Non JFL puisque formé aux Etats-Unis (William & Mary). Passé par le sas de la Pro B (Denain). A re-signé au Mans jusqu’en 2022. Pour l’instant ses parents parlent mieux français que lui.\\n\\nDemetrius Conger – né le 29 mai 1990 – 1,98m – Poste 3 – Américain\\n\\nUne entrée en Europe par la petite porte (A2 italienne, Trikalla en Grèce) mais une dernière saison réussie. Tout d’abord en Australie, à Illawarra, où il a été le numéro 1 au scoring du championnat (19,7 points, 39,3% à trois-points, 5,7 rebonds) et élu à la 2e place à l’élection des meilleurs joueurs de la saison, puis à Badalone qui avec lui a évité la relégation avec 8 victoires en 10 matches (9,9 points à 55.4% aux tirs, dont 12/27 à 3-pts , et 71.4% aux lancers-francs, 2,7 rebonds). Dynamique, physique, combattif.\\n\\nCameron Clark – né le 16 septembre 1991 – 2,01m – Poste 4-3 – Américain\\n\\nSa saison 2016-17 avec Chalon avait frappé les esprits: meilleur marqueur de la Pro A et de la FIBA Europe Cup, élu dans le meilleur cinq de la Pro A (3e au titre de MVP derrière DJ Cooper et Moustapha Fall) et de la FIBA Europe Cup. Stats en Pro A: 18,6 points à 54.5% aux tirs, dont 25/67 à 3-pts (37.3%), et 73,6% aux lancers-francs, 5,9 rebonds, 2,3 passes décisives, 1,0 interception et 19,2 d’évaluation. Seulement une blessure au plateau tibial dès septembre l’a privé de toute la saison au club turc de Gaziantep où il était parti monnayer son talent. Il doit donc récupérer toutes ses sensations pour être de nouveau compétitif. Agressif et athlétique. Passé par Oklahoma, Cremona (Italie) et Ironi Nahariya (Israël).\\n\\nPetr Cornelie – né le 26 juillet 1995– 2,11m – Poste 4 – Français\\n\\nIntérieur mobile, délié, avec un très bon moteur et un shoot extérieur prometteur, Petr Cornelie pouvait rêver de la NBA à l’été 2016. Il venait d’afficher 9,5 points et 5,4 points à moins de 21 ans. Hélas, il ne fut drafté qu’au 2e tour par les Nuggets et surtout sa saison suivante au MSB fut une catastrophe. Prêté à Levallois, c’est une arthrose au pied qui l’a cloué sur la touche jusqu’en février. Il est revenu en faisant des prestations en dents de scie. Sa soeur Jodie va jouer à Tarbes en LFB.\\n\\nWilfried Yeguete – né le 16 octobre 1991 – 2,00m – Poste 4-5 – Français\\n\\nL’explosion de Youssoupha Fall lui a coûté du temps de jeu (17’ au lieu de 22) surtout qu’il a eu parallèlement des pépins physiques. L’ancien Gator de Florida a su booster son niveau de jeu en playoffs et aussi palier parfois les défaillances du géant franco-sénégalais. Un geyser d’énergie qui prend des rebonds auxquels sa petite taille ne le prédestine pas. Révélé à Pau en 2015-16. Son talon d’Achille ? 49,2% d’adresse aux lancers-francs en carrière.\\n\\nRichard Hendrix – né le 15 novembre 1986 – 2,06m – Poste 5 – Macédonien\\n\\nUn CV rare en Jeep Elite car il est passé par le Maccabi Tel-Aviv (deux fois), Milan, Krasnodar, Malaga, Gran Canaria et Galatasaray. Soit 5 campagnes d’Euroleague et 4 d’Eurocup. Finaliste de l’Euroleague en 2011. MVP de la finale de l’Eurocup 2013. Pas spécialement grand mais lourd (121 kg) et doté d’une envergure incroyable (2,21m). N°1 au rebond de l’Eurocup en 2018 : 7,5 prises plus 10,8 points à 62,6%. Camarade de chambre de Mykal Riley à l’université. Evidemment, il est Américain.\\n\\n© LNB\\n\\nCoach\\n\\nEric Bartecheky – né le 30 juillet 1972– Français\\n\\nSi le vote avait eu lieu à la fin de la saison, parions que c’est lui qui aurait raflé le trophée de Coach de l’Année de la Jeep Elite. A su tirer la quintessence d’un groupe devenu champion de France et finaliste de la Leaders Cup. Une consécration après les réussites précédentes au Havre et à Pau. Son sens du travail n’a d’égal que sa modestie. Originaire de Châlons-en-Champagne. Victime d’un grave accident de la circulation lors de la saison 2001-2002. Pas d’accent sur les « e » de son nom.\\n\\n[armelse]\\n\\nLe champion de France a été dépouillé. Pour des raisons diverses, ses cinq Américains sont partis sous d’autres cieux et son géant Youssoupha Fall qui en faisait une équipe si atypique s’en est allé au final renforcer Strasbourg. Pourtant le MSB paraît à l’abri de la sévère chute de tension dont a été victime son prédécesseur au palmarès, l’Elan Chalon. Avec les différents bonus financiers, le club de la Sarthe s’est offert un axe 1-5 de grande qualité (Juice Thompson et Richard Hendrix) et l’ensemble apparaît costaud. Une interrogation toutefois: est-ce le Cameron Clark de Chalon que va revoir la Jeep Elite? Les premières indications sont bonnes. Il n’est pas dans les plans de vivre pareil épopée qu’en 2017-18 mais être une fois encore être une équipe de playoffs et même figurer dans le carré d’as est du domaine du possible. Eric Bartecheky a une mission encore plus audacieuse: faire vivre au Mans enfin une belle aventure européenne. Le public, qui n’a jamais été aussi nombreux que la saison dernière (5 400 spectateurs en moyenne, 9 guichets fermés dont les 5 derniers matchs) n’attend que ça.\\n\\n© MSB\\n\\nSalle : Antarès (6 023 places)\\n\\nPrésident : Christophe Le Bouille (47 ans)\\n\\nArrivées : Valentin Bigote (Dijon), Demetrius Conger (Joventut Badalone, Espagne), Richard Hendrix (Galatasaray Istanbul, Turquie), Louis Rucklin (prêt de Strasbourg), Michael Juice Thompson (Istanbul BBSK, Turquie).\\n\\nDéparts : Pape-Philippe Amagou, Justin Cobbs (Cedevita Zagreb), Youssoupha Fall (Strasbourg via Baskonia Vitoria, Espagne), Chris Lofton, Mykal Riley (Chalon), DJ Stephens (G-League), Romeo Travis (Magnolia Hotshots, Philippines).\\n\\nMichael Juice Thompson – né le 2 février 1989 – 1,78m – Poste 1 – Américain\\n\\nEric Bartecheky retrouve le Général qui fut le sien à Pau, il y a deux ans, et qui fut considéré comme le meilleur meneur de Pro A et en fut aussi le top scoreur (17,7 pts).\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture: Will Yeguete (LNB/Hervé Bellenger)"
}, 
{"role": "user",     "content":"WNBA: Le titre pour Seattle, Alysha Clark (ASVEL), Kaleena Mosqueda-Lewis (Charleville) et Sami Whitcomb (Lattes-Montpellier)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Seattle Storm est devenu cette nuit champion NBA en remportant en finale une troisième victoire en trois manches sur les Washington Mystics, 98-82.\\n\\nDéjà récompensé comme MVP de la saison régulière, l’intérieure Breanna Stewart (1,94m, 24 ans) a été élue MVP des playoffs après avoir tourné à 25,7 points et 6,0 rebonds. Il s’agit du 3e titre du Storm après 2004 et 2010 avec à chaque fois Sue Bird, 38 ans, comme meneuse de jeu.\\n\\nPas moins de trois joueuses de Ligue Féminine sont également dans l’équipe victorieuse:\\n\\nAméricaine naturalisée australienne, Sami Whitcomb (1,78m, 30 ans) a pris part à 5 matches pour 12 minutes et 6,2 points. L’arrière du Storm va maintenant rejoindre la sélection australienne pour la Coupe du monde remplaçant au pied levé la meneuse Leilani Mitchell, puis Lattes-Montpellier avec qui elle a signé pour cette saison. L’ailière de l’ASVEL Alisha Clark (1,80m, 31 ans) et l’ailière de Charleville Kaleen Mosqueda-Lewis (1,80m, 24 ans) sont également championnes avec une forte contribution de 7,6 points, 5,4 rebonds et 2,3 passes en 34′ en 7 matches pour la première et seulement de 4′ et 0,7 point en 6 matches pour la seconde.\\n\\nBreanna Stewart, Sue Bird et Jewell Loyd (Seattle) et Elena Delle Donne (Washington) vont pour leur part intégrer la sélection américaine hyper favorite du Mondial espagnol."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Baskonia Vitoria enregistre déjà 10 000 abonnements"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est une saison spéciale qui s’annonce pour le club basque de Baskonia Vitoria puisqu’il va fêter son 60e anniversaire en servant d’hôte au Final Four de l’Euroleague.\\n\\nDe quoi exciter ses fans. 10 000 d’entre-eux ont déjà pris un abonnement, ce qui constitue un record. La Buesa Arena peut accueillir 15,716 spectateurs.\\n\\nL’équipe du pivot international Vincent Poirier a été finaliste du championnat espagnol la saison dernière."
}, 
{"role": "user",     "content":"Guillaume Quintard, un nouvel assistant à Levallois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Guillaume Quintard, 43 ans, rallie les Levallois Metropolitans afin de devenir assistant de Frédéric Fauthoux en charge de la vidéo tout en étant directeur du centre de formation.\\n\\nOriginaire de Poitou-Charente, il a été auparavant assistant de Jean-Denys Choulet au niveau des espoirs à Roanne puis coach principal en Pro B à Aix-Maurienne (3 ans) et Nantes (2 ans). Il fut ensuite scout pour You First Sports puis de nouveau coach à Cognac en N2 (3 ans).\\n\\nPhoto: Hermine Nantes"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du monde: Bulgarie vs France, les chiffres qu’il faut connaître"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Voici quelques chiffres pour mieux appréhender la deuxième phase de qualification à la Coupe du monde 2019, zone européenne, et plus particulièrement le Bulgarie-France de jeudi à 17h diffusé sur Canal+ Sport.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nBulgarie-France :\\n\\no Les Bulgares ont seulement gagné 2 de leurs 6 matches dans la première phase alors que les Français affichent un parfait 6/6.\\n\\no Tous les matchs de la Bulgarie se sont joués jusqu’ici par une marge maximale de 6 points. Aussi bien les victoires (Islande +2 et +2) que les défaites (République Tchèque -2 et -6, Finlande -5 et -2).\\n\\no La France a réussi 145 paniers à deux-points en 6 matchs, un record dans ces qualifs.\\n\\no Seulement quatre Bulgares ont pris part aux 6 matches du premier tour : Stanimir Marinov, Aleksandar Yanev, Dimitar Dimitrov et Stanislav Vaklinov. Le coach Lyubomir Minchev a utilisé un total de 17 joueurs.\\n\\no L’ailier de l’Olympiakos Aleksandar Venzenkov (2,06m, 23 ans), qui opérait la saison dernière à Barcelone, est à la fois le meilleur marqueur (16,8 points), le meilleur rebondeur (8,2) et le meilleur à l’évaluation (18,2). Avec près de 35’, c’est lui qui dispose aussi du temps de jeu le plus important.\\n\\no L’ancien meneur de jeu de Monaco et Strasbourg Dee Bost a joué 2 matchs pour 9,5 points et 9,0 passes en 25’. Il sera présent contre les Bleus.\\n\\no Seulement quatre Français ont pris part aux 6 matchs du premier tour : Paul Lacombe, Andrew Albicy, Moustapha Fall et Boris Diaw qui est depuis à la retraite. Le coach Vincent Collet a utilisé un total de 25 joueurs.\\n\\no Nando De Colo (15,0 points) est le meilleur marqueur, Charles Kahudi (6,5) le meilleur rebondeur et Nicolas Batum et Louis Labeyrie les meilleurs à l’évaluation (16,5) mais tous n’ont disputé que 2 matches.\\n\\no Botevgrad est une ville de 24 000 habitants à 47km de la capitale, Sofia.\\n\\no Inaugurée en 2014, la Botevgrad Arena a une capacité de 4 500 places.\\n\\n[table id=138 /]\\n\\n * \\n   \\n   \\n   \\n    * \\n      \\n      \\n      \\n       * \\n         \\n         \\n         \\n          * \\n            \\n            Bozhidar AVRAMOV\\n            Point Guard, 1,98m, 28 ans, Levski Lukoil\\n            \\n            \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n          * \\n            \\n            Dee BOST\\n            Point Guard, 1,88m, 29 ans, BC Khimki (Russie)\\n            \\n            \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n          * \\n            \\n            Tsvetomir CHERNOKOJEV\\n            Center, 2,08m, 18 ans, Lukoil Academic\\n            \\n            \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         Dimitar DIMITROV\\n         Power Forward, 2,03m, 25 ans, Balkan BC\\n         \\n         \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n       * \\n         \\n         Pavel MARINOV\\n         Forward, 2,00m, 30 ans,CSM Steaua Bucuresti Eximbank (Roumanie)\\n         \\n         \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n       * \\n         \\n         Stanimir MARINOV\\n         Point Guard, 1,92m, 27 ans, BT Cluj Napoca (Roumanie)\\n         \\n         \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n       * \\n         \\n         Ventsislav PETKOV\\n         Point Guard, 1,88m, 26 ans, Balkan BC\\n         \\n         \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n       * \\n         \\n         Nikolay STOYANOV\\n         Small Forward, 1,94m, 24 ans, Beroe\\n         \\n         \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n      \\n       * \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n          * \\n            \\n            Nikolay VANGELOV\\n            Center, 2,12m, 22 ans, Cuore Napoli (Italie)\\n            \\n            \\n            \\n            \\n            \\n            \\n            \\n            \\n            Stanislav VAKLINOV\\n            Center, 2,07m, 29 ans, Beroe\\n            \\n            \\n            \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n         \\n      \\n      \\n      \\n   \\n   \\n   \\n   \\n   \\n   \\n   \\n   \\n   \\n    * \\n      \\n      Aleksandar VEZENKOV\\n      Power Forward, 2,06m, 23 ans, Olympiakos (Grèce)\\n      \\n      \\n   \\n   \\n   \\n   \\n   \\n   \\n   \\n   \\n   \\n    * \\n      \\n      Aleksandar YANEV\\n      Small Forward, 2,03m, 28 ans, Beroe\\n      \\n      \\n   \\n   \\n   \\n   \\n   \\n   \\n   \\n   \\n   \\n    * \\n      \\n      Hristo ZAHARIEV\\n      Small Forward, 1,97m, 27 ans, Levski Lukoil\\n      \\n      \\n   \\n   \\n   \\n   \\n   \\n   \\n\\nInformations générales\\n\\no Cinq équipes sont encore invaincues dans la zone européenne: Allemagne, Espagne, France, Grèce et Lituanie : 6 victoires en 6 matches.\\n\\no Dans ces qualifications, ce sont la Serbie (514) et la Grèce (513) qui ont scoré le plus de points. Les Grecs sont les seuls à avoir transformé plus de la moitié de leurs shoots (52,1%).\\n\\no L’équipe qui a marqué le moins de points est la Bosnie-Herzégovine avec une moyenne de 66,7.\\n\\no La Géorgie a marqué un record de 70 trois-points mais c’est aussi l’équipe qui a transformé le moins de tirs à deux-points, 79.\\n\\no Numéros 1 à l’adresse à trois-points : l’Allemagne et la Lituanie avec 40,4%.\\n\\no L’Espagne a pris un minimum de 10 rebonds offensifs à chacun de ses matches et leur total général est de 76 tout comme -c’est plus étonnant- la Biélorussie.\\n\\no C’est l’Italie qui commet le moins de pertes de balle avec 8,5 par match.\\n\\no L’ancien meneur de Strasbourg, Michael Dixon, qui porte le maillot de la Géorgie est le leader des marqueurs avec 27 points en moyenne.\\n\\no L’intérieur des Philadelphia Sixers Dario Saric (2,08m, 24 ans) a joué deux matchs pour la Croatie et il est en double double avec 15,5 points et 10,5 rebonds.\\n\\no Le meneur Quino Colom (1,88m, 29 ans) a la particularité d’être un Andorran naturalisé espagnol. Il est le seul joueur à tourner à une moyenne supérieure à 15 points, 5 passes et moins de 2,5 balles perdues.\\n\\n[armelse]\\n\\nBulgarie-France :\\n\\no Les Bulgares ont seulement gagné 2 de leurs 6 matches dans la première phase alors que les Français affichent un parfais 6/6.\\n\\no Tous les matchs de la Bulgarie se sont joués jusqu’ici par une marge maximale de 6 points. Aussi bien les victoires (Islande +2 et +2) que les défaites (République Tchèque -2 et -6, Finlande -5 et -2).\\n\\no La France a réussi 145 paniers à deux-points en 6 matchs, un record dans ces qualifs.\\n\\no Seulement quatre Bulgares ont pris part aux 6 matches du premier tour : Stanimir Marinov, Aleksandar Yanev, Dimitar Dimitrov et Stanislav Vaklinov. Le coach Lyubomir Minchev a utilisé un total de 17 joueurs.\\n\\no L’ailier de l’Olympiakos Aleksandar Venzenkov (2,06m, 23 ans), qui opérait la saison dernière à Barcelone, est à la fois le meilleur marqueur (16,8 points), le meilleur rebondeur (8,2) et le meilleur à l’évaluation (18,2). Avec près de 35’, c’est lui qui dispose aussi du temps de jeu le plus important.\\n\\no L’ancien meneur de jeu de Monaco et Strasbourg Dee Bost\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"TV: La Coupe du monde féminine sur Canal+ Sport et Canal+ Décalé"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un communiqué, le groupe Canal+ annonce que la Coupe du Monde féminine sera diffusée sur Canal+ Sport et Canal+ Décalé. Six matchs sont programmés lors des trois premières journées.\\n\\n« Evènement majeur du calendrier basket en 2018, la Coupe du Monde féminine débute le 22 septembre sur les antennes de CANAL+. Pour l’occasion, CANAL+ passe en mode basket : CANAL+SPORT ainsi que CANAL+DECALE vont diffuser les meilleures affiches de la compétition. Au programme, deux rencontres par jour durant la phase de groupes, deux barrages, et la phase finale de la compétition dans son intégralité à compter des quarts de finale.\\n\\nValérie Garnier, sélectionneuse des Bleues, et ses joueuses vont tenter de décrocher la première médaille française dans cette compétition depuis 1953. Finalistes du championnat d’Europe en 2017, elles peuvent légitimement nourrir de grandes ambitions.\\n\\nComme à l’accoutumée, l’équipe des Etats-Unis, double tenante du titre, fera office de grande favorite. L’Espagne évoluant à domicile et l’Australie, championne du monde en 2006, auront également leur mot à dire.\\n\\nLes matchs seront commentés par George Eddy et Joris Sabi. Hélène Cougoule réalisera les interviews au bord du terrain. En plateau à Paris, Clément Repellin sera accompagné par Paoline Salagnac, ancienne internationale française.\\n\\nSamedi 22 septembre (1ère journée)\\n\\n14h30 : COREE DU SUD / FRANCE en direct sur CANAL+DECALE\\n\\n19h00 : ETATS UNIS / SENEGAL en direct sur CANAL+DECALE\\n\\nDimanche 23 septembre (2ème journée)\\n\\n18h30 : FRANCE / GRECE en direct sur CANAL+SPORT\\n21h00 : ESPAGNE / PORTO RICO en direct sur CANAL+SPORT\\n\\nMardi 25 septembre (3ème journée)\\n\\n19h00 : LETTONIE / ETATS UNIS en direct sur CANAL+DECALE\\n21h30 : CANADA / FRANCE en direct sur CANAL+DECALE"
}, 
{"role": "user",     "content":"Kyles Hines (CSKA) : «Nous sommes au même niveau que la NBA dans les années 60»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nouveau capitaine du CSKA Moscou, Kyle Hines (1,98m, 32 ans) est également devenu vice président du syndicat des joueurs d’Euroleague.\\n\\nOriginaire du New Jersey, l’intérieur américain s’est exprimé sur le média russe Sportbox. L’ancien joueur de l’Olympiakos s’est notamment exprimé sur la situation syndicale des joueurs d’Euroleague et sur ses relations avec le président du syndicat NBA, Chris Paul.\\n\\n« Nous sommes en contact avec le syndicat NBA et son président Chris Paul. Bostjan Nachbar, qui a aussi joué en NBA, a eu une réunion avec les représentants des joueurs durant l’été. C’était dans leurs bureaux à New York il y a quelques semaines. Ce voyage avait plus pour but de nous rapprocher d’eux. J’ai vu les conditions dans lesquelles le syndicat travaille, comment ils représentent les joueurs, j’ai appris à propos de leur philosophie de développement, j’ai appris sur ce qui pourrait être utile dans le futur. Nous admirons la NBA, mais des fois nous oublions combien de temps ça prend d’arriver à leur niveau. Dans les années 60, les joueurs NBA essayaient de créer une plateforme à travers laquelle ils pourraient promouvoir leurs intérêts. C’est le niveau auquel nous sommes en ce moment. »\\n\\nLe triple champion d’Euroleague a également touché un mot sur la possible arrivée d’un salary cap en Euroleague, comme en NBA.\\n\\n« Nous nous renseignons juste sur ce sujet, nous travaillons sur des options. Pour l’instant, nous avons un vaste champ d’activités et de lacunes à combler. Un système de salary cap peut-il être mis en place en Europe ? Oui et non. L’essentiel est de ne pas limiter vos horizons. La NBA est une organisation exceptionnelle avec un système clairement construit, mais cela ne vaut pas la peine de s’y accrocher. Il y a une Ligue des champions de football en Europe où il n’y a pas de plafond salarial, et pourtant c’est un tournoi lucratif, suivi par de nombreux fans. Dans la ligue américaine de baseball MLB, il n’y a pas non plus de plafond salarial. Il existe de nombreuses façons de créer des conditions égales pour tous les clubs, et vous trouverez chaque côté positif et négatif. Maintenant, nous calculons toutes les options et essayons de comprendre ce qui est acceptable pour notre objectif principal: tout faire pour améliorer les conditions actuelles du basketball ».\\n\\nPhoto : CSKA Moscou"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Green Gones mécontents que l’ASVEL ne soit plus en vert !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Même s’ils vont « rester concentrés » sur la saison à venir de l’ASVEL devenue LDLC ASVEL, les... Green Gones sont -évidemment- mécontents du changement de couleurs décidé par le club et le font savoir à travers un communiqué. Faut-il prévoir que ce club de supporters deviennent les Black and White Gones ?"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Cholet présente ses nouveaux maillots designés par «What If?»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme quasiment tous les clubs de Jeep Elite, Cholet vient de dévoiler les maillots que porteront les joueurs cette saison en championnat.\\n\\nPour l’exercice 2018/19, le club des Mauges s’est tourné vers l’entreprise « What If? » pour designer ses maillots. Toujours équipé par Spalding, le maillot choletais était le premier prototype présenté par What If en octobre 2017.\\n\\n\\n\\n\\nMaillots édition 2018/19 💥@CB_officiel est heureux de vous dévoiler ses nouveaux maillots, que l’équipe portera fièrement cette saison. Un design séduisant conçu par @WhatifBball, en collaboration avec @Spaldingfr. Votre avis 😉 ? @LNBofficiel #NewSeason #CBFAMILY pic.twitter.com/JA0pgbkNFV\\n\\n\\n— Cholet Basket (@CB_officiel) September 12, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Basket Europe Tour: Etape numéro trois, Milan!"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après l’Espagne, terre de mes racines, direction l’Italie, une autre terre ô combien chère à mes yeux. Première étape, Milan, capitale de la mode italienne et siège de la bourse italienne. Mais aussi et surtout la ville des Red Shoes, le club de basket de l’Olimpia Milano.\\n\\nCinq ans, cinq ans que je n’avais pas mis les pieds en Italie, ici sont mes racines et ma famille. Et c’est avec plaisir que je retrouve la dolce vita italienne. Il est 11 heures lorsque j’arrive dans le centre de la ville, le temps de passer à l’auberge de jeunesse, déguster une pizza et me voilà dans le métro en direction d’Assago, quartier où se trouve le Mediolanum Forum, siège du club et salle où l’Olimpia dispute ses matchs.\\n\\nTrente minutes de métro et me voilà en face de l’arène. Le temps de faire le tour pour arriver devant les bureaux et je me retrouve en face d’un Piaggio Ape. Sorte de petit camion à trois roues aux couleurs du club. Ce petit détail folklorique m’a bien fait sourire avant de passer la porte d’entrée du club. Là, l’hôte m’invite à attendre devant plusieurs trophées exposés. S’y trouvent une coupe des clubs champions, deux championnats d’Italie, une coupe d’Italie et des supercoupes. Cette haie d’honneur m’a impressionné. Cinq minutes se sont passées et Claudio, le chargé de communication du club vient m’accueillir.\\n\\nLe temps de discuter de mon voyage et nous rentrons dans le vif du sujet. L’Olimpia Milano. Club ô combien titré et champion d’Italie en titre m’ouvre les portes de sa salle des trophées. Nous commençons par les coupes installées dans l’entrée. L’occasion également d’observer les maillots réalisés pour les 80 ans du club, ceux de Mike d’Antoni et Bob McAdoo, qui n’avaient pas pu leur être remis lors de la cérémonie en question. Puis Claudio m’emmène vers celles qui sont exposées à la vue de tous, dans le couloir, comme pour rappeler le devoir d’exigence et d’engagement qui incombe aux administratifs et joueurs du club. Ici c’est la maison des Red Shoes, le premier club à ramener des gros prospects américains en Europe, le club le plus titré d’Italie et enfin le seul encore présent en Euroleague. Avec trois coupes des clubs champions, trois coupes des coupes et deux coupes Korać. Sans compter les 28 Scudetti, « vivement qu’on en gagne encore deux ! » me confie Claudio, les six coupes d’Italie et les deux supercoupes d’Italie.\\n\\nPourquoi deux Scudetti me direz-vous ? Et bien en Italie, les titres de champion (Scudetto) sont très importants et représentent votre suprématie sur la Botte pendant une saison. De plus, au bout de 10 titres vous obtenez le droit d’afficher une étoile supplémentaire sur votre maillot. Ainsi deux Scudetti supplémentaires, permettraient au club de la capitale Lombarde de se voir octroyer une troisième étoile.\\n\\nLe programme Armani\\n\\nAinsi, à bien des égards le club milanais est exceptionnel comme je vous le contais dans l’œil du collectionneur (https://basketeurope.com/livenews-fr/415720/la-rubrique-loeil-du-collectionneur-olimpia-milano/). Et c’est bien cet exceptionnel raffinement, semblable à cette sublime cité milanaise, que le club des Red Shoes veut afficher aux yeux du monde. Cela passe par des superbes spectacles 3D en amont des matchs, le but étant de montrer aux supporters que Mediolanum Forum est un lieu de fête. Des nouveaux maillots d’Euroleague simples mais sublimes et une communication impeccable. En effet, lorsque Claudio nous fait faire une halte au service communication, qu’il dirige. Là, s’affaire une poignée de jeune gens souriants et agréables. C’est avec un réel intérêt qu’ils me montrent leur matériel, fond vert, caméras professionnelles, trépieds entre autres dénotent d’un grand professionnalisme qui se retranscrit dans leurs créations.\\n\\n« Notre but est de faire venir les gens à la salle. Pour cela nous avons la communication bien sûr. Mais nous avons aussi un programme dont nous sommes très fiers. Le programme Armani qui permet aux tifosi d’avoir de nombreux avantages. Notamment une journée où beaucoup d’activités sont organisées pas loin d’ici. Une fan zone complète avec des jeux, des matchs de basket entre fans, la rencontre avec le staff du club et enfin avec les joueurs qui viennent discuter avec ceux qui les suivent au quotidien. Puis enfin, le match le soir. C’est un programme qui a beaucoup de succès. Puis nous avons un deuxième programme très orienté famille et jeunes gens qui permet aux ménages de venir au match à des tarifs avantageux et de fidéliser les futurs tifosi. Car c’est eux qui feront le futur du club ! »\\n\\nNous avons ensuite abordé le thème de la billetterie. La salle d’Assago, le Mediolanum Forum fait environ 12 000 places en configuration basket. Le but du club milanais est d’augmenter sa fréquentation pour pouvoir atteindre un guichet fermé à chaque match. Mission compliquée mais pas impossible : « Nous étions à environ 4 000 personnes par match l’année dernière. Notre objectif est de passer à 4700 environ, comme il y a deux ans, quand nous avions établi un record dans l’histoire du club ». Pour s’en donner les moyens, le club a engagé une politique de communication importante dans toute la ville. C’est simple, les principales stations de métro avaient toutes plusieurs cartels « Follow the Reds » dans leur enceinte.\\n\\nUn impressionnant système de caméras\\n\\nEt le staff de l’Olimpia Milano peut se permettre de rêver. En effet, si le club milanais doit composer avec la concurrence de deux géants du football italiens (l’AC Milan et l’Inter Milan), l’équipe s’est armée de recrues de haut niveau pour décoller des bas-fonds de l’Euroleague. Nemanja Nedovic, Amedeo Della Valle, Mike James, Christian Burns et Jeff Brooks ont rejoint la machine milanaise. Tandis que le club a obtenu les très bonnes prolongations de Vladimir Micov et Kaleb Tarczewski. Cet effectif m’a tout de suite paru séduisant. Et c’est avec grand plaisir que je suis Claudio qui m’emmène vers la salle d’entrainement par un couloir richement décoré de photos de fans et de joueurs. Je frémis à l’idée de pouvoir enfin entrer dans une salle qui m’a tant fait rêver. Cette salle d’entraînement est celle dont j’avais le souvenir, grâce aux diverses vidéos que j’ai vu apprécier. Spacieuse, au couleur du club et avec un toit garni par les numéros retiré par le club et les bannières de champion. Impressionnant. Cette salle, si elle n’est pas si spacieuse que celle que j’avais visité au Real Madrid, a quelque chose d’autre, quelque chose en plus, la trace d’un lourd héritage qui est là pour rappeler aux joueurs que jouer ici est un honneur.\\n\\nCe n’est pas tout, alors que les joueurs font des travaux physiques, Claudio m’emmène sur le côté gauche pour me parler de la dernière acquisition du club. « Là, là, là et là mais aussi sur les côtés on a installé un système de caméra qui nous permet en temps réel de voir les espaces créés, la position des joueurs et beaucoup d’autres choses. Mais ce système permet aussi de calculer des statistiques individuels et de partager tout cela via une application commune sur smartphone, tablette et ordinateur ». Le système dont Claudio me montre les prouesses permet aussi d’être projeté sur un écran au bord de la piste, pour passer immédiatement de la théorie à la pratique et vice et versa. C’est réellement impressionnant et ce n’est pas terminé, avec la visite de la salle de musculation qui se trouve juste à côté du terrain. Entièrement équipée par un des partenaires du club, la salle est spacieuse et on peut facilement s’imaginer les heures de tortures subies par les joueurs de l’Olimpia.\\n\\nAu sortir de la salle de musculation, nous avons seulement le temps de saluer l’entraîneur Simone Pianigianni et les joueurs, puis nous revenons aux bureaux. Malheureusement, une fois encore, je ne pourrai pas interviewer les joueurs, ils terminent leur préparation et doivent prendre un avion dans quelques heures pour aller disputer un tournoi en Sardaigne. On retrouve donc le reste de l’équipe administrative, le moment pour moi de remercier mes hôtes et de m’en aller. S’en aller cent mètres plus loin pour aller visiter la boutique du club, ouverte toute la semaine et les soirs de match. Complète, elle propose tous les équipements pour pratiquer notre sport et comporte une décoration sympathique faite de photos de matchs et de maillots signés. Une fois mon petit tour terminé, direction le centre de la ville pour aller voir le fameux Duomo.\\n\\nUn beau playground milanais\\n\\nMonument présent sur le logo du club milanais, c’est la troisième plus grande Eglise du monde. Sa construction a commencé en 1386 et s’est terminé en 1913. Contreforts, arcs rampants et pinacles forment un ensemble semblable à un hérisson nacré dont les détails semblent sans fins. La piazza del Duomo est monumentale et renforce le caractère puissant que l’on peut aisément donner au monument. Après un bon quart d’heure de sidération devant cette beauté nouvelle à mes yeux, je quitte l’endroit pour me balader sous la Galleria Vittorio Emanuele II, une galerie commerçante de style néo-classique, qui, je dois l’avouer à un certain cachet. Une fois passé de l’autre côté de cette galerie, je tombe nez à nez avec la statue du génie Leonardo Da Vinci. Connu en France notamment pour avoir peint la Joconde il a été longtemps au service de la maison Sforza qui gérait la ville de Milan de son temps. La statue est située Piazza della Scalaen face du fameux Opéra du même nom. Autant dire que le centre-ville de Milan est gorgé d’histoire où qu’on aille et que c’est un plaisir de s’y plonger.\\n\\nCe n’est que le lendemain que j’explorerai davantage l’histoire milanaise en me rendant au Castello Sforzesco, le château des Sforza avec Idriss, un camarade nigérian rencontré à mon auberge. C’est à la fin de la République ambrosienne, en 1447, que les Sforza atteignent le pouvoir à Milan, Francesco devenant duc de Milan. C’est lui qui ordonna de faire construire ce château qui devint la résidence des ducs de Milan, Da Vinci notamment travaillera sur les plans de celui-ci comme tous les plus grands artistes milanais. Ce château est un ravissement pour les yeux. Enfin, derrière celui-ci est planté le Parco Sempione, parc immense, véritable poumon vert de la ville (386 000 m2 ) qui porte en son sein le plus beau playground milanais. Rénové par un équipementier, « I will » est inscrit sur un sol coloré parfaitement optimisé pour jouer au basket et les paniers ont même des filets ! C’est avec plaisir que nous croisons un garçon venu là avec son ballon pour enchaîner les tirs. Il est cependant encore trop tôt pour rencontrer des joueurs. Et c’est donc après 30 minutes de séances de shoot que nous continuons notre route à travers les rues de la cité milanaise.\\n\\nMerci à Claudio et à toute son équipe pour son accueil et sa gentillesse !\\n\\nProchaine étape : Bologne"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vendredi et samedi, la DLSI Cup de Gravelines sur Corsaire TV"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Même s’il y aura quelques absents de marque en raison de la fenêtre internationale qui a contraint les internationaux à rejoindre leurs équipes nationales respectives, la DLSI Cup, qui va se tenir au Sportica de Gravelines, les 14 et 15 septembre, est un moment fort de la pré-saison.\\n\\nOn y retrouvera l’ESSM Le Portel, la LDLC ASVEL Lyon -Villeurbanne, le champion de Belgique, le BC Ostende et le BCM.\\n\\nA noter que les quatre matchs seront à suivre en direct vendredi à 17h45 et 20h15 et samedi aux mêmes horaires sur le site Corsaire TV avec Christophe Millois aux commentaires."
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Jeep®ÉLITE 2018/19 – Gravelines-Dunkerque: Un profond renouvellement"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Jeep Elite débute les 22 et 23 septembre et nous sommes fiers de vous proposer pour la troisième année (déjà!) une présentation complète sur BasketEurope avec une analyse de chaque équipe, des commentaires sur chaque joueur et coach, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié depuis le lundi 3 septembre et jusqu’au jeudi 20 avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 4.99€/mois annulable à tout moment). Vous pouvez également dès aujourd’hui commander le Magazine « Guide de la saison » sur notre boutique à 6€ frais de port inclus.\\n\\nNous vous proposerons ensuite la Pro B et la Ligue Féminine.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès une saison 2017/18 marquée par une très moyenne treizième place et donc une non qualification pour les playoffs, le BCM Gravelines-Dunkerque a connu une intersaison mouvementée. Pas moins de huit joueurs ont quitté le club dont les Américains Chris Johnson et Terry Allen, le Belge Quentin Serron et le meilleur Jeune de Jeep Elite, Adam Mokoka. Pour réagir à ces départs, les dirigeants nordistes se sont activés en coulisses pour attirer des joueurs de Jeep Elite dont l’international Alain Koffi, le scoreur Karvel Anderson et Bangaly Fofana, un précieux sept pieds qui reste sur une saison quasiment blanche. Malgré un effectif très renouvelé, le BCM affiche un roster complet et peut se permettre d’être ambitieux. A lui de ne pas faire une entame catastrophique comme la saison dernière.\\n\\nSalle : Sportica (3 143 places)\\n\\nPrésident : Christian Devos (68 ans)\\n\\nArrivées : Karvel Anderson (Boulazac), Bangaly Fofana (Monaco), Myles Hesson (Nanterre), Alain Koffi (Pau-Lacq-Orthez), Edgar Sosa (Venise, Italie), Scott Wood (Karsiyaka, Turquie).\\n\\nDéparts : Terry Allen (Nahariya, Israël), Chris Johnson (Hapoel Jerusalem, Israël), Adam Mokaka (prêt Mega Max, Serbie), Ian Miller (Hapoel Gilboa/Galil, Israël), Chris Otule (Guizhou Senhang, Chine), Fernando Raposo (Antibes), J.R. Reynolds, Quentin Serron (Strasbourg).\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=7tFzhYNBnco\\n\\nEdgar Sosa – né le 15 janvier 1988 – 1,88m – Poste 1 – Américain\\n\\nLe natif de New York est un meneur de jeu très complet doté d’une bonne vision de jeu et qui aime scorer. Il est également très à l’aise derrière la ligne à trois points. Passé par Ulm, Biella, Valladolid ou encore Jerusalem, il a également gouté à l’Euroleague sous les couleurs de Sassari en 2014/15. Il a démarré sa saison 2017/18 en Australie et a ensuite rejoint Venise pour la terminer en Italie. Ses stats la saison passée : 11,9 points et 3 passes entre le championnat australien et italien.\\n\\nBenjamin Sene – né le 13 mai 1994 – 1,86m – Poste 1/2 – Français\\n\\nAprès quatre saisons au SLUC, il a décidé de quitter son confort nancéien pour tenter de s’imposer vraiment dans le championnat de France. D’abord doublure de DJ Cooper, il a du prendre ses responsabilités quand le MVP de Jeep Elite 2016/17 a décidé de plier bagages pour retourner à Monaco. L’ancien joueur de Mont-de-Marsan a répondu aux attentes et livré un exercice 2017/18 de qualité même si écourté en raison d’une blessure aux adducteurs. Il compilait en moyenne 10,3 points, 2,9 rebonds et 4,9 passes décisives. Il a signé deux ans de plus au BCM.\\n\\nKarvel Anderson – né le 3 juin 1991 – 1,88m – Poste 2 – Américain\\n\\nShooteur du Boulazac Basket Dordogne la saison dernière, il a d’abord lancé sa carrière en deuxième division italienne, à Imola, puis en Allemagne, à Bremerhaven, avant d’atterrir en France. La saison dernière, il conjuguait en moyenne 15,2 points et 2,9 rebonds par rencontre avec une réussite de l’ordre de 38% derrière l’arc, ce qui en fait un danger majeur. Capable de coups de chaud comme ce record de 37 points à 10/14 à trois-points face au Portel. Son éthique de travail a été apprécié à Boulazac.\\n\\nScott Wood – né le 21 juin 1990 – 1,96m – Poste 2 – Américain\\n\\nPassé par Murcie, Santa Cruz et Izmir, cet arrière américain est encore inconnu sur le sol français. Partout où il est passé il a su faire apprécier son adresse à longue distance. Comme Karvel Anderson ou Jean-Michel Mipoka, Scott Wood est un shooteur qui a notamment remporté le concours à trois points de D-League en 2017. En 2017/18, il compilait en moyenne 8,2 points (46% à trois points) et 2 rebonds entre le championnat turc et la Champions League.\\n\\nMyles Hesson – né le 5 juin 1990 – 1,98m – Poste 3 – Anglais\\n\\nAprès une saison compliquée, à Nanterre, minée par une blessure à la jambe, l’international britannique fait son retour dans le club qui l’a accueilli en 2016/17, alors qu’il sortait d’une très bonne saison à Dijon. Au BCM, il avait montré qu’il fait partie des très bons joueurs du championnat avec plus de 12 points et 5 rebonds par match. Ailier tonique, il est davantage à son aise dans le drive et près du cercle, mais est également capable de shooter à trois points s’il est laissé seul. En dix matchs la saison dernière, il a enregistré en moyenne 7,8 points et 4 rebonds avec Nanterre.\\n\\nJean-Michel Mipoka – né le 28 septembre 1985 – 1,98m – Poste 3/4 – Français\\n\\nComme son coéquipier Alain Koffi, il fait partie des anciens de Jeep Elite. Passé par Cholet, Antibes, Quimper, Saint-Vallier, Roanne, Limoges, Nancy, Rouen et Pau, il a rejoint le BCM pendant l’été 2017. Adroit à trois points, le natif de Toulouse est un ailier expérimenté fort de pratiquement quinze saisons au plus haut niveau français. En 2017/18, il compilait en moyenne 8,9 points et 3,2 rebonds. Estime avoir beaucoup appris au côté de Joseph Gomis.\\n\\nAlain Koffi – né le 23 novembre 1983 – 2,07m – Poste 4/5 – Français\\n\\nIl fait partie des meubles dans le championnat de France. Après onze ans passés au Mans et un à Badalone, Alain Koffi a ensuite signé à Rouen où il est resté deux ans. En 2016, il a rejoint l’Elan Béarnais, où son association avec le meneur DJ Cooper a fait des merveilles. Après deux saison passées à l’EBPLO, l’international français, champion de France en 2006, s’est engagé avec le BCM, club qu’il a choisi pour rester avec sa famille et ne pas jouer une coupe d’Europe, ce qui engendrerait beaucoup de déplacements. Ses stats en 2017/18 : 10,1 points et 5,3 rebonds. S’imagine une reconversion dans le domaine de l’informatique.\\n\\nTaylor Smith – né le 23 juillet 1991 – 1,99m – Poste 4/5 – Américain\\n\\nArrivé dans le Nord de la France l’été dernier en provenance de la deuxième division italienne, il fait partie des très bonnes trouvailles du championnat et c’est une excellente chose pour le BCM d’avoir réussi à la conserver. Malgré sa petite taille pour un intérieur, il compense par ses grosses qualités athlétiques, son sens du placement – notamment sur pick and roll – et son activité défensive. Cela a fait tout simplement le meilleur contreur de Jeep Elite en 2017/18. Très apprécié aussi bien sur le terrain que humainement, il est très vite devenu le chouchou du public du Sportica. La saison dernière, il compilait en moyenne 9,1 points, 6,2 rebonds et 2,1 contres par match.\\n\\nBangaly Fofana – né le 3 juin 1989 – 2,13m – Poste 5 – Français\\n\\nAuteur d’une saison 2017/18 quasiment blanche due à une blessure au genou, il a choisi le BCM pour se relancer en Jeep Elite et a joué la sécurité en signant un contrat de deux ans. Double finaliste des playoffs avec Strasbourg, le Parisien a connu l’ASVEL, Le Havre, Strasbourg et donc Monaco dans sa carrière. Doté de longs segments, il peut apporter une réelle complémentarité dans la raquette avec l’Américain Taylor Smith. Sur les deux matchs qu’il a disputé avec la Roca Team en 2017/18, il a tourné à 4 points et 5 rebonds.\\n\\nCoach\\n\\nJulien Mahé – né le 23 avril 1983 – Français\\n\\nDeuxième plus jeune entraîneur de Jeep Elite, derrière l’Antibois Julien Espinosa. Passé avant cela par Chalon-sur-Saône et Dijon, il a exercé dans toutes les tranches d’âge et a connu sa première expérience de coach principal chez les pros lors d’un intérim à Dijon, le temps de quatre matchs en 2010. Arrivé à au BCM en 2013, il a été assistant de Christian Monschau jusqu’à se voir proposer le poste d’entraîneur de l’équipe première lors de l’été 2017.\\n\\nAssistant:\\n\\nEric Struelens (48 ans)\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès une saison 2017/18 marquée par une très moyenne treizième place et donc une non qualification pour les playoffs, le BCM Gravelines-Dunkerque a connu une intersaison mouvementée. Pas moins de huit joueurs ont quitté le club dont les Américains Chris Johnson et Terry Allen, le Belge Quentin Serron et le meilleur Jeune de Jeep Elite, Adam Mokoka. Pour réagir à ces départs, les dirigeants nordistes se sont activés en coulisses pour attirer des joueurs de Jeep Elite dont l’international Alain Koffi, le scoreur Karvel Anderson et Bangaly Fofana, un précieux sept pieds qui reste sur une saison quasiment blanche.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Vitoria obligé de mettre fin à sa préparation à cause de la fenêtre internationale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme c’est le cas, à moindre mesure, pour plusieurs clubs français, qui ont perdu des joueurs pendant leur préparation pour rejoindre leur sélection nationale, le Baskonia a même dû mettre fin à sa préparation à cause de la fenêtre internationale.\\n\\nEntre le 13 et le 17 septembre se tient la quatrième fenêtre internationale de qualifications pour la Coupe du Monde 2019 et le club espagnol de Vitoria doit composer sans onze joueurs pendant cette période. C’est le coach, Pedro Martinez, qui a annoncé sur Twitter que le camp d’entraînement est suspendu. Voici les onze joueurs qui ont quitté l’équipe :\\n\\n * Ilimane Diop (Espagne)\\n * Marcelinho Huertas (Brésil)\\n * Matt Janning (Géorgie)\\n * Vincent Poirier (France)\\n * Toko Shengelia (Géorgie)\\n * Shavon Shields (Danemark)\\n * Luca Vildoza (Argentine)\\n * Johannes Voigtmann (Allemagne)\\n * Rati Andronikashvili (Géorgie)\\n * Jurij Macura (Slovénie)\\n * Sander Raieste (Estonie)\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Aleix Font, un pur produit de la formation catalane"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A part pour un séjour de deux ans à Dublin entre 2008 et 2010, Aleix Font (1,96m, 20 ans) est bel et bien un pur produit de la formation catalane. Depuis les équipes de gamins, cadets, puis juniors et enfin par l’équipe B, Font a gravi les échelons un à un pour arriver dans l’équipe première de Barcelone.\\n\\nEt lors de ses grands débuts officiels ce weekend, face à l’Andorre d’Andrew Albicy qui a remporté le trophée de la Ligue catalane, Font n’a pas tremblé avec 8 points, 2 rebonds, 1 interception et 1 passe en 12 minutes. Le jeune arrière espagnol a réalisé son rêve de jouer pour Barcelone, mais ce n’est que le début !\\n\\n« J’aurais aimé débuter avec une victoire au bout, mais je suis content de mon entrée en jeu », a déclaré Font sur le site de l’ACB. « Ça faisait longtemps que je pensais et que je me préparais pour ce moment, et je suis content qu’il soit arrivé. »\\n\\nDes « petits » à l’équipe A, un parcours exemplaire\\n\\nMieux, Font a délivré ces minutes productives quelques heures seulement après avoir scoré 26 points avec l’équipe B face à Lleida ! Un dimanche pas comme les autres donc.\\n\\n« Ça n’a pas été facile pour la récupération après le match face à l’équipe B du Barça, mais l’adrénaline de l’entrée en jeu a tout compensé. Je dois continuer à travailler et me préparer pour les opportunités qu’on me donnera cette saison. »\\n\\nParti sur les chapeaux de roue à l’Euro U20 cet été, avec deux premiers matchs à 28 points, Font a ensuite baissé de niveau. Mais le jeune arrière du Barça a tout de même bouclé cette compétition à 17 points, 3 rebonds de moyenne pour la Roja qui a terminé à la 7e place.\\n\\nDéjà médaillé de bronze à l’Euro U16 en 2014, Font a également une armoire à trophées bien remplie avec les jeunes du Barça. Mais, après deux saisons à faire partie de la succursale catalane avec laquelle il a cumulé 12 points de moyenne la saison passée en LEB (la deuxième division espagnole), il se tourne désormais vers l’équipe première et la Liga ACB !\\n\\nL’étudiant en deuxième année de médecine continue de s’améliorer saison après saison et il ne serait pas étonnant de voir Svetislav Pesic faire appel à lui de plus en plus fréquemment cette année.\\n\\nUn Font pourrait même en cacher un autre puisque le petit frère d’Aleix, David (1m91, 18 ans), est lui aussi bien lancé dans le système de formation du Barça.\\n\\nCrédits photo : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeff Brooks : «On a tout ce qu’il faut dans cette équipe !»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après deux belles saisons avec Malaga dont le titre en EuroCup en 2017, Jeff Brooks (2,03m, 29 ans) n’a pas hésité longtemps quand Milan est venu frapper à sa porte cet été. Marié à une Italienne et officiellement citoyen italien depuis quelques jours, Brooks va intégrer une des écuries majeures de la prochaine saison Euroleague dans la cité lombarde.\\n\\nEt Brooks ne manque pas d’ambitions avec son nouveau club. Aux côtés de Mike James, Mindaugas Kuzminskas ou encore Nemanja Nedovic, Brooks veut jouer les premiers rôles avec Milan !\\n\\n« Je pense qu’on va être une équipe qui fait peur cette saison », envoie Brooks sur le site de l’Euroleague. « On a beaucoup de potentiel pour s’améliorer et grandir au fur et à mesure de la saison. Je suis certain que coach Pianigiani fera de son mieux pour nous mettre dans de bonnes conditions et nous préparer au mieux pour chaque match. On ne rentrera pas tous nos tirs chaque soir, mais on doit surtout s’assurer de produire l’effort nécessaire en défense, en jouant dur et en se battant. Si on défend dur et on sécurise notre rebond, on aura une chance de battre tout le monde ! »\\n\\nAprès une carrière qui l’a vu débuter en deuxième division italienne avant de grimper les échelons un à un jusqu’à l’élite européenne, Brooks veut continuer à viser toujours plus haut. A Milan, le naturalisé italien estime que son équipe a tous les atouts pour jouer les trouble-fêtes en Euroleague.\\n\\n« Un des mots que je préfère dans le basket, c’est l’alchimie. Tant qu’on aura une bonne alchimie, je pense que tout ira bien pour nous. On a tout ce qu’il faut dans cette équipe : de la taille, des qualités athlétiques, du talent, de bons créateurs. Le plus gros atout de notre équipe, c’est de pouvoir défendre de plusieurs manières possibles, grâce à notre taille et nos qualités athlétiques. »\\n\\nExplosif et délié, Brooks devrait faire équipe avec le colossal Kaleb Tarczewski (2,13m, 111kg) dans la peinture milanaise. Avec Nedovic qui a lui aussi fait le déplacement entre Malaga et Milan, Brooks aura déjà des automatismes intéressants sur le terrain. Mais comme le souligne Brooks à plusieurs reprises, il faudra que les stars milanaises fassent le boulot défensivement pour que la mayonnaise prenne...\\n\\nCrédits photo : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Efes Istanbul : Adrien Moerman claque 22 points en préparation"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On vous parlait hier de la belle performance à 17 points de Rodrigue Beaubois pour le match amical face à Monaco. Et bien, pour le match suivant face à Sassari, c’est son compatriote Adrien Moerman (2m03, 30 ans) qui s’est mis en lumière dans la 5e victoire en 5 matchs de l’Efes en ce début de préparation.\\n\\nL’international tricolore a effectivement passé 22 points à l’écurie italienne, faisant étalage de son adresse à trois points et de son savoir-faire dans le timing des coupes vers le cercle notamment. L’ancien de Barcelone a propulsé sa nouvelle équipe vers la victoire au Trofeo Dimo Store organisé en Sardaigne.\\n\\nDans cette victoire facile des turcs (70-60), Rodrigue Beaubois n’est pas resté les bras croisés avec 15 points, tout comme Shane Larkin. Tout se passe bien pour le moment pour cette nouvelle mouture de l’Efes Istanbul...\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=_GwYbil9yr0"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Antibes présente ses nouveaux maillots"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La reprise de la Jeep Elite approche à grands pas et les unes après les autres les équipes dévoilent leurs nouveaux maillots pour cette saison. C’est aujourd’hui au tour d’Antibes.\\n\\nToujours dans un style maillot à manches, les Sharks arboreront des maillots légèrement retravaillés sur le devant. La bande qui passait derrière le numéro l’an dernier est remplacée par trois bandes qui se coupe au centre pour laisser place u numéro du joueur.\\n\\n\\n\\n\\n👉 Ils sont là ! Les nouveaux maillots des @SharksAntibes pour la saison 2018-2019 ont été dévoilés !\\n\\n\\n🦈 #SharksAttack pic.twitter.com/EsjPQY09SX\\n\\n\\n— Antibes Sharks (@AntibesSharks) September 10, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ASVEL abandonne la couleur verte et ça fait jaser !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Non seulement l’ASVEL va désormais s’appeler LDLC ASVEL mais après soixante-dix ans en vert, le club doyen de la Jeep Elite, va abandonner sa couleur de référence pour le noir et blanc.\\n\\n« A un moment, quand vous faites un naming, il faut s’adapter aux couleurs de la société avec qui vous vous mariez. Et celles de LDLC sont le noir et le blanc », a déclaré le président Tony Parker en conférence de presse, des propos rapportés par Le Progrès. « Mais il y a toujours une pointe de vert sur le maillot, pour rappeler l’histoire. Personnellement, cela ne me choque pas, parce que j’ai vécu ça aux Spurs (San Antonio, Texas). Il faut que les gens s’habituent, mais si on veut devenir un club qui joue au plus haut niveau européen, ce sont des étapes que vous êtes obligés de franchir. Le vert sera toujours important, mais nos couleurs vont maintenant être le noir et le blanc. »\\n\\nCe changement révolutionnaire passe mal auprès de beaucoup de fans et observateurs si l’on en croit les réactions sur les réseaux sociaux. Quelques uns font remarquer que les Boston Celtics ont toujours conservé cette couleur mythique depuis qu’ils sont en NBA.\\n\\nA noter que pour la saison 1992-93, le Limoges CSP avait abandonné la couleur verte pour le jaune et grenat. Quelques mois plus tard, le CSP devenait champion d’Europe. Mais en 2011, le vert et blanc refaisait de nouveau surface sur les maillots.\\n\\nAlors, pour l’ASVEL, un changement de couleur le temps d’un partenariat?\\n\\nPhoto: Asvel\\n\\n\\n\\n\\nTraitez-moi de vieux con ( il y aura peut être une des deux choses de vraie), mais j’allais voir Alain Gilles, Norris Bell et les autres à la maison des sports, Delaney Rudd à l’Astroballe, et je ne vais pas me remettre de voir l’ASVEL changer de couleur pour jouer en noir.\\n\\n\\n— vincent duluc (@vincentduluc) September 11, 2018\\n\\n\\n\\n\\nLe business, le naming tout ça OK, il faut avancer. Mais l’abandon du vert @LDLCASVEL je comprends pas. #MaGreenTeam 💚\\n\\n\\n— Gaëlle Millon 💙💛 (@G_Millon1982) September 11, 2018\\n\\n\\n\\n\\nL'année du 70e anniversaire du club, les dirigeants de l'Asvel ont décidé de bafouer l'histoire du club en abandonnant le vert, la couleur traditionnelle de ce monument du basket français ! 😢👎\\n\\n\\n— Stéphane Marteau (@SHammer69) September 11, 2018\\n\\n\\n\\n\\nSi j'étais fan de l'asvel j'aurai les boules je crois.\\n\\n\\nLe nom déjà... Au moins ça reste une boîte lyonnaise.\\n\\n\\nMais les couleurs... Les anciennes étaient merdiques mais c'était celles du club.\\n\\n\\n— Sebtheouf (@Incognitouf) September 11, 2018\\n\\n\\n\\n\\nEtes-vous pour ou contre l'abandon de la couleur verte sur les maillots de l'Asvel ?\\n\\n\\n— OBUZZER (@O_buzzer) September 11, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France: Visa pour la Chine dès dimanche?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce n’était pas plein – 3 256 spectateurs officiellement-, il faisait une chaleur étouffante dans ce Stade Pierre-de-Coubertin d’un autre temps, et une alerte a intimé en plein match aux joueurs et aux spectateurs d’en sortir dare dare avant qu’une annonce rassurante nous informe qu’elle était erronée. Ça s’est Paris qui sorti de l’Accor Hôtel Arena et maintenant de l’U Arena n’a rien de digne à offrir à ses hôtes en matière d’enceinte sportive couverte.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nIl s’est pourtant déroulé un moment d’histoire qui a suscité du contentement à ceux qui ont vu les équipes de France des générations précédentes souffrir le martyre face à sa bête noire. L’écart final de 16 points (84-68) est le plus important des 49 confrontations entre la France et la Grèce ! Qu’il semble loin le temps où les Bleus enchaînèrent dix revers consécutifs face aux Héllènes de 1988 à 1997.\\n\\nAlors, oui, les Grecs n’ont pas utilisé toute leur panoplie stratégique et ils n’ont pas sorti leurs haches de guerre comme pour un « vrai » match, mais que c’est bon de voir le panneau lumineux indiquer 65-41 après trois quart-temps. Surtout que les Grecs présentaient un Cinq made-in-Euroleague avec Nick Calathès et Kostantinos Mitoglou (Panathinaikos), Yorgos Printezis et Kostas Papanikolaou (Olympiakos), et Kostas Sloukas (Fenerbahçe).\\n\\n« C’était un match de préparation intéressant face à un adversaire plus fort que celui que l’on a rencontré vendredi (NDLR : le Monténégro)», analyse le coach des Bleus, Vincent Collet. « On sait aussi que les contextes des matches amicaux ont encore plus d’importance que dans les matchs officiels car il n’y a jamais le même enjeu pour les deux équipes. Notre équipe était à domicile et en reconstruction et la détermination était très clairement chez nous ce soir même si les Grecs ont ensuite élevé leur niveau, ont été vaillants car c’est leur marque de fabrique. Malgré tout, on était encore un cran au-dessus car c’était chez nous et il faut tenir compte de ça. Je suis bien sûr très content de l’état d’esprit de l’équipe. Nicolas Batum a été dantesque et tout le monde a contribué avec un état d’esprit irréprochable. On s’appuie dessus depuis maintenant un an. Mais les deux matches importants de la semaine se déroulent jeudi prochain en Bulgarie et dimanche à Montpellier. »\\n\\nUn bel état d’esprit\\n\\nLe contexte était ubuesque. Pas de Rudy Gobert, d’Evan Fournier et de Frank Ntilikina retenus par leurs obligations avec leurs franchises NBA. Deuxième fléau : le Real Madrid et Barcelone avaient « fait pression » pour que Fabien Causeur et Thomas Heurtel ne s’échappent pas quelques jours de Castille et de Catalogne. De plus en plus antipathiques les deux Grands d’Espagne. Quant à Nando De Colo, Andrew Albicy et Vincent Poirier, ils n’ont eu droit à des bons de sortie que pour les deux matches officiels et pas le tournoi de Paris auquel Mathias Lessort n’a pu participer que pour le France-Grèce.\\n\\nSi bien que le stage de Pau a été annulé. Si bien qu’il y a l’équipe de France pour la fenêtre de juin-juillet presque au complet, celle de l’hiver qui est l’équipe C, celle avec un NBAer, Nicolas Batum, et quelques joueurs d’Euroleague pour les matches contre la Bulgarie et la Finlande, et celle rapiécée pour le Tournoi de Coubertin avec les Limougeauds Jonathan Rousselle et Mam Jaiteh pour faire le nombre... Vous avez suivi ?\\n\\nC’est ainsi que Vincent Collet présenta un cinq de départ hétéroclite face aux Grecs avec Axel Julien et Amine Noua (Jeep Elite), Edwin Jackson (Euroleage), Nicolas Batum (NBA) et Moustapha Fall (Eurocup). Il s’avéra très vite que ce groupe était toujours très athlétique, que Moustapha Fall est un point d’ancrage fondamental dans la peinture, que Edwin Jackson est plus que jamais un pistolero -10 shoots dont plusieurs en première intention-, et que Jonathan Rousselle était parfaitement à l’aise comme s’il avait 100 sélections, capable de faire mouche à longue distance avec son tir improbable et aussi, surprise, d’enrhumer son vis-à-vis en pénétration et jusqu’au cercle. Le néo-Limougeaud y gagna finalement sa place pour les deux matches officiels à venir au détriment du Dijonnais Axel Julien.\\n\\nIl est légitime que Vincent Collet se félicite de l’état d’esprit de l’ensemble des joueurs qui participent à ces fenêtres, certains avec un statut assumé d’intérimaire, alors que les équipiers changent constamment et que les séances d’entraînement pour formater le groupe sont rares. Etat d’esprit égale solidarité égale défense de qualité supérieure, le label bleu des deux sexes et de toutes les classes d’âge.\\n\\n« On avait de très belles complémentarités au poste 5, entre Mous (Fall) qui offre beaucoup de solutions sur le jeu de position et Mathias (Lessort) qui dans la mobilité est exceptionnel. Nos extérieurs sont aussi des flèches, ça va vite, et forcément c’est à notre avantage. On ajoute Andrew (Albicy) qui amène de la vitesse à la mène. On sait que Nando (De Colo) en amène beaucoup aussi. Ca va rester des valeurs fortes de notre jeu. Le jeu FIBA est fait d’alternances, mais ça ne veut pas dire jouer lentement. On va tout faire durant ces trois jours pour rester concentrés car on sait que gagner deux fois cette semaine qualifie quasiment et peut-être mathématiquement en fonction des autres résultats. C’est ça l’objectif de cette fenêtre et je prends malgré tout avec plaisir ce qui s’est passé. Ce qui était bien au mois de juin, c’est que l’état d’esprit était meilleur que l’année passée lors du championnat d’Europe. Il faut vraiment que ça soit une obsession car c’est seulement à ce prix que lorsqu’on sera, je l’espère qualifié, on pourra ambitionner de belles choses. On sait que cette équipe peut être encore plus forte. On a des joueurs très dominants qui ne sont pas là mais ça n’aurait pas d’intérêt si on perdait en route l’état d’esprit que l’on affiche là. »\\n\\nQuand Vincent Collet louange Nicolas Batum\\n\\nMention spéciale à Nicolas Batum auteur d’un renversant 30 d’évaluation avec 13 points, 12 passes (!) et 5 interceptions. Alors qu’il fonce sur ses 30 ans, l’ailier des Charlotte Hornets atteint la maturité et il a parfaitement assumé son rôle de capitaine, une tâche pas évidente puisque il hérite du costume XXL de Boris Diaw.\\n\\n« Quand Nicolas joue en 4, il est facilitateur de jeu. Il a fait briller tout le monde : des alley-oops pour Koffi, des passes dans le dos pour d’autres, des passes pour les shooteurs. C’est sûr que ça facilite beaucoup le jeu », a tout d’abord commenté Vincent Collet.\\n\\nQuestionné sur le fait que Tony Parker était de retour dans le giron des Bleus, deux ans après le clap de fin aux JO de Rio, présent sur un siège de VIP le long du bord de touche et surtout dans les coulisses, notamment en effectuant la cérémonie de remise des maillots à la bleusaille, le coach a souligné le lien qui unit les deux hommes.\\n\\n« Il a toujours eu une relation forte avec Nico. Il a pris Nico sous son aile en équipe de France 2009. Aujourd’hui, il le rejoint à Charlotte. Ils sont associés dans leur rôle de dirigeants à Villeurbanne. Ils ont parlé ensemble. Je suis agréablement surpris du leadership que Nicolas a affiché. Pas sur le plan basket car là, je n’ai pas de doute mais sur les autres aspects. Il a été en permanence un guide pour cette équipe-là. Pas un guide qui étrangle mais un guide qui rassure. Il a rassuré bien sûr quand il a marqué des paniers mais aussi quand il a mis tout le monde en situation de réussir son match. C’est ça qui m’a impressionné ce soir. Le seul point faible que je lui trouve ce soir, c’est le rebond. Trois rebonds en trente minutes pour un poste 4... Je plaisante ! Pour le reste, il a été vraiment très, très fort et surtout dans le leadership. Au Mondial de 2010, quand Tony Parker était absent, il n’avait pas encore les épaules pour assumer. Sur le plan du jeu, il était déjà, je pense, pas loin d’en être capable, mais il n’avait pas encore le mental comme il a pu le faire ce soir. Pour nous, c’est effectivement une très bonne nouvelle. »\\n\\nLes Finlandais ont eu trois semaines de préparation\\n\\n« Je suis très content d’avoir battu la Grèce ce soir, en plus largement mais il ne faut surtout pas tomber dans le piège d’un relâchement. Ca sera probablement plus difficile en Bulgarie jeudi que ce soir. A aucun moment ce soir il n’y a eu des prises à deux sur Nicolas, au pire des changements. Il a toujours eu la capacité de jouer le un-contre-un. C’est un exemple. On peut s’attendre à des choses tactiques de nos adversaires qui seront peut-être plus compliquées que ce qui était ce soir. Il faut être prudent. »\\n\\nVoici la mise en garde inévitable d’un coach dont une partie essentiel du job consiste à maintenir ses joueurs en éveil. Mais les Bleus doivent-ils craindre une Bulgarie nantie de 2 victoires pour 4 défaites à l’amorce de la deuxième phase de ces qualifications ? Botevgrad sera-t-il l’enfer que Tuzla en Bosnie au final ne fut pas ? La Bulgarie est classée 50e au classement FIBA là où la France est 3e. En consultant les stats des Bulgares après six journées, on constate que seulement quatre joueurs ont pris part à tous les matches, comme quoi, même si ses joueurs ne meublent pas les équipes de NBA et d’Euroleague, la fédé locale a visiblement du mal à mobiliser. D’ailleurs l’ancien meneur de jeu de Monaco et Strasbourg, le naturalisé Dee Bost a répondu présent deux fois seulement.\\n\\nA priori, la Finlande malgré l’absence de son intérieur prodige Lauri Markkanen (15,2 points et 7,5 rebonds pour son année de rookie avec les Bulls) sera davantage à même de faire trébucher les Bleus. Petteri Koponen, Sasu Salin, Jamar Wilson, Shawn Huff, on connaît. Et Vincent Collet particulièrement puisque son adjoint à Strasbourg, Lassi Tuovi est toujours celui de Henrik Dettmann avec les Susijengi.\\n\\n« Ils reviennent d’une tournée en Chine. La grande difficulté, c’est que la Finlande aura plus de trois semaines de préparation donc elle va jouer un basket millimétré comme elle a su le faire lors du premier tour de l’Euro l’an passé. Effectivement, il y aura Markkanen en moins. C’est pour ça que je suis content que Mathias Lessort soit intégré. Il nous permettra de pouvoir changer davantage. Quand une équipe est très huilée comme la Finlande, c’est une façon de contrer leur basket très précis. On utilisera probablement beaucoup ça. Quant à la Bulgarie, la difficulté c’est de passer de matches de préparation à un match officiel dans un contexte que je ne connais pas et que l’on va découvrir tous ensemble. Il faut se méfier et il faudra être très sérieux. Mais on l’a été à chaque fois. Il faut simplement continuer. Il faut garder l’humilité, la concentration mais ne pas avoir peur non plus. Il faut y aller avec l’ambition d’imposer ce que l’on sait faire comme on l’a fait ce soir. On a pris 31 points en première mi-temps malgré huit lancers réussis par la Grèce. Ils n’ont marqué qu’une dizaine de paniers en vingt minutes. Il y a eu beaucoup de maladresse de leur part mais aussi beaucoup de shoots très contestés. On a vraiment fourni un travail défensif solide. »\\n\\nAllez, si tout se passe bien, dans une semaine la fédé pourra commencer à préparer les documents administratifs pour le voyage en Chine, du 31 août au 15 septembre 2019. Et on aura oublié les zigags de ces qualifications qui n’auront honoré ni ceux qui les ont conçus, ni ceux qui ne les ont pas respectés.\\n\\n[armelse]\\n\\nIl s’est pourtant déroulé un moment d’histoire qui a suscité du contentement à ceux qui ont vu les équipes de France des générations précédentes souffrir le martyre face à sa bête noire. L’écart final de 16 points (84-68) est le plus important des 49 confrontations entre la France et la Grèce ! Qu’il semble loin le temps où les Bleus enchaînèrent dix revers consécutifs face aux Héllènes de 1988 à 1997.\\n\\nAlors, oui, les Grecs n’ont pas utilisé toute leur panoplie stratégique et ils n’ont pas sorti leurs haches de guerre comme pour un « vrai » match, mais que c’est bon de voir le panneau lumineux indiquer 65-41 après trois quart-temps. Surtout que les Grecs présentaient un Cinq made-in-Euroleague avec Nick Calathès et Kostantinos Mitoglou (Panathinaikos), Yorgos Printezis et Kostas Papanikolaou (Olympiakos), et Kostas Sloukas (Fenerbahçe).\\n\\n« C’était un match de préparation intéressant face à un adversaire plus fort que celui que l’on a rencontré vendredi (NDLR : le Monténégro)», analyse le coach des Bleus, Vincent Collet. « On sait aussi que les contextes des matches amicaux ont encore plus d’importance que dans les matchs officiels car il n’y a jamais le même enjeu pour les deux équipes. Notre équipe était à domicile et en reconstruction et la détermination était très clairement chez nous ce soir même si les Grecs ont ensuite élevé leur niveau, ont été vaillants car c’est leur marque de fabrique. Malgré tout, on était encore un cran au-dessus car c’était chez nous et il faut tenir compte de ça. Je suis bien sûr très content de l’état d’esprit de l’équipe. Nicolas Batum a été dantesque et tout le monde a contribué avec un état d’esprit irréprochable.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Nando De Colo, Andrew Albicy, Nicolas Batum et Petteri Koponen (FIBA)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : l’explication de l’ASVEL pour son nouveau logo"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que l’ASVEL vient d’annoncer le renforcement de son partenariat avec LDLC.com, devenant ainsi LDLC ASVEL, le club a également dévoilé un nouveau logo.\\n\\nAdieu l’écriture en toutes lettres « ASVEL » et adieu le vert, le nouveau logo villeurbannais fait place à la sobriété. Et voici l’explication du club.\\n\\n« La source de ce logo est un éclair, une inspiration d’Alexandra, sa conceptrice. Symbole d’énergie pure, démonstratrice de puissance, cet éclair se voit associer les lettres initiales de l’ASVEL Basket et de LDLC, le L et le A. Le L de la métropole de Lyon y étant déjà incorporé, Alexandra ajoute le V de la ville de Villeurbanne, marquant ainsi l’ancrage fort des deux entités à leurs racines locales.\\n\\nL’imbrication des lettres n’est bien sûr pas laissée au hasard. En l’absence d’objets de référence du monde du basket (ballon, panier...), c’est la symbole du « jump » et de la verticalité qui ont été choisis. Un positionnement qui n’est pas sans rappeler deux valeurs communes aux deux entités : audace et ambition.\\n\\nEvidemment, l’histoire du club n’a pas été oubliée. Sans base solide, sans respect pour les hommes et femmes qui ont construit l’histoire du club au quotidien, on ne peut prétendre à atteindre des objectifs ambitieux. Tous sont rappelés dans ce logo par ce double 4. Alain GILLES, élu meilleur basketteur du 20ème siècle, et Delaney RUDD, meneur de jeu génial ayant amené l’ASVEL au Final Four de l’Euroligue, ont porté ce numéro 4, et marqué de leur empreinte notre club. Leur numéro a été retiré et figure au centre-même de l’Astroballe, et la présence de ce double 4 au sein du logo permet et permettra de se souvenir, au travers ces deux joueurs, d’où l’on vient pour ambitionner franchir un cap et poursuivre l’aventure du club.\\n\\nEnfin, bien sûr, les formes géométriques choisies, ont été soigneusement calculées et réfléchies : coupure des angles et fausse symétrie pour atteindre l’équilibre, notion sine que non pour obtenir la performance dans le sport, et en entreprise. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : le Real Madrid a perdu près de 30 millions d’euros la saison dernière"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion d’Euroleague en avril dernier, le Real Madrid serait dans le rouge au niveau de ses finances avec des pertes annoncées à près de 30 millions d’euros sur l’exercice 2017/18.\\n\\nSelon le site web spécialisé en économie, Palco 23, le club madrilène aurait précisément perdu 28,9 millions d’euros la saison dernière. C’est le montant le plus élevé de l’histoire du club et la victoire en Euroleague n’y est pas pour rien. Suite au sacre européen, le club a dû débourser 6,6 millions d’euros en primes pour tout l’effectif. Au total, le club aurait dépensé 44,27 millions d’euros sur la saison 2017/18 dont 36 millions composeraient les dépenses en personnel.\\n\\nDu côté des recettes, la Maison Blanche aurait gagné 15,5 millions d’euros, raison pour laquelle les pertes s’élèvent à presque 28,9 millions et pas plus. D’après le site espagnol, cela aurait été pire si Luka Doncic n’était pas parti en NBA puisque sa Draft aurait généré 1,9 million d’euros.\\n\\nComme annoncé plus haut, c’est le plus grand déficit de l’histoire du club. Ce chiffre dépasse celui de la saison 2014/15 quand le club avait perdu 27,9 millions d’euros et également remporté l’Euroleague. Le seul point sur lequel les dirigeants peuvent se reposer est celui des recettes. Avec 15,5 millions d’euros récoltés, le club a vu ce chiffre augmenter de 20%.\\n\\nEn général, le club perd entre 22 et 24 millions d’euros par saison. Comme le FC Barcelone. Des chiffres anecdotiques pour ces superpuissances protégées par la section football de chaque ville.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde féminine: Coup dur pour la Canada privé de Kayla Alexander"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Futur adversaire de l’équipe de France au Tournoi d’Antibes (dimanche prochain) et surtout à la Coupe du monde en Espagne (le 25), le Canada va se présenter sans son pivot Kayla Alexander (1,93m, 27 ans).\\n\\nL’ancienne joueuse de Bourges (2016-17) s’est blessée au genou face aux Etats-Unis lors d’un match de préparation.\\n\\nKayla Alexander sort d’une saison à 2,7 points et 2,2 rebonds avec le Indiana Fever en WNBA. Un coup dur car les Canadiennes n’ont pas véritablement de remplaçantes à ce poste:\\n\\n«C’est vraiment difficile, surtout quand on pense au mal qu’elle s’est donnée pour revenir en forme », a déclaré son équipière Natalie Achonwa. « Mais néanmoins. cela signifie que tout le monde doit prendre le relais, y compris moi-même. Ça fait mal, mais je dois regarder en avant et comment nous pouvons prendre le relais pour elle. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nicolas Batum: «Le basket français et l’équipe de France ont de très beaux jours devant eux»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Trente. C’est l’évaluation de Nicolas Batum lors du France-Grèce de Coubertin gagné ce soir par les Bleus, 84-68. Avec seulement 13 points mais aussi 12 passes, 5 interceptions et 3 rebonds. Le joueur des Charlotte Hornets a parfaitement assumé son nouveau rôle de capitaine de l’équipe de France au roster hétéroclite.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuel est votre ressenti vis-à-vis de ce tournoi ?\\n\\nCe qui est génial avec cette nouvelle ère, cette nouvelle équipe, c’est que tout le monde est concerné, tout le monde joue, tout le monde est à fond. C’est vraiment plaisant car les douze joueurs sont entrés et ont apporté. Chacun apporte son talent, son jeu au besoin de l’équipe. Ce soir, surtout en deuxième mi-temps, pas mal de choses sont venues de mon côté et mes coéquipiers m’ont laissé faire, m’ont laissé jouer et j’ai essayé de mettre en place certaines personnes. Quand on joue comme ça, que l’on respecte, alors que l’on n’a pourtant que deux ou trois entraînements, c’est assez plaisant surtout face à une équipe comme la Grèce.\\n\\nQu’est-ce que dit du réservoir du basket français ce que vous faites en ce moment, sachant que l’équipe a utilisé environ trente-cinq joueurs depuis un an ?\\n\\nC’est la force de la formation. Depuis une dizaine d’années on avait le même groupe de joueurs avec la génération Tony (Parker), Boris (Diaw) et maintenant qu’ils sont tous partis, c’est une nouvelle ère qui arrive. Et c’est une ère beaucoup plus dense. Faire une sélection de douze, ce n’est plus aussi évident qu’avant. Il y a énormément de choix à tous les postes. Il y a 4, 5, 6 parfois 10 mecs au même poste qui peuvent prétendre être dans les 12. Je pense que la formation est très bonne, on voit que ça suit derrière avec les jeunes. Le basket français et l’équipe de France ont de très beaux jours devant eux.\\n\\nCe soir, vous avez battu votre record de passes en équipe de France, douze. Comment est-ce venu ?\\n\\nC’est mon job. C’est mon jeu de passes depuis quelques années. Je suis de plus en plus dans ce jeu de création, pick and roll dans l’axe, mettre en place tout le monde. Je n’ai jamais été de toutes façons un grand scoreur, finisseur. Ce n’est pas forcément ce que je fais de mieux. Mais mettre en place, responsabiliser toutes les personnes autour de moi, qui que ce soit. J’ai dit à Jonathan Rouselle que je me fiche qu’il ait trois sélections, ‘j’ai besoin de toi pour gagner ce match-là. Dès que tu as la balle, tu tires, tu marques’. Il n’a pas eu peur. C’est ça mon job, mon rôle. Et après ça sera Nando (De Colo), Evan (Fournier), des mecs qui peuvent mettre vingt points. Sur des grosses parties, ça sera ça mon job, un peu comme a fait Boris (Diaw) pendant quinze ans. Sauf que moi je peux tirer à trois-points !... Je rigole, je rigole.\\n\\nTous ces joueurs dont on parle, vous les connaissez ?\\n\\nJe suis directeur sportif de l’ASVEL, je les connais !\\n\\nVous les voyez tous jouer ? Cholet, ce n’était pas l’équipe la plus médiatisée ?\\n\\nIl est à Limoges, il est capitaine. Oui avant il était à Cholet et il était à 52% à trois-points il y a deux ans. Je lui ai dit que s’il ne tire pas, je lui en mets une (sourire). Oui, je les connais tous.\\n\\n« J’ai été honoré d’être capitaine de l’équipe de France, c’est quand même un certain titre durant une carrière »\\n\\nComment vous êtes-vous senti dans le rôle de capitaine ?\\n\\nTrès bien. J’ai beaucoup appris avec Boris durant quasiment dix ans. Je regardais comment il gérait ça. Tony (Parker) était clairement le meilleur joueur de l’équipe et Boris était ce gars qui savait fédérer et justement responsabiliser tout le monde. C’est un peu mon rôle. Je sais très bien que je ne serai pas le meilleur scoreur. Ça sera par exemple Nando et Evan. Avec moi justement qui fédère, qui se met au service de tout le monde. J’en ai parlé avec Tony pendant deux jours. Ce n’est pas quelque chose qui me fait forcément peur. J’ai été honoré d’être capitaine de l’équipe de France, c’est quand même un certain titre durant une carrière. Je suis content de l’être, je vais essayer de l’honorer au maximum.\\n\\nL’Euroleague et la FIBA essayent de trouver des joueurs d’Euroleague, de NBA, des internationaux qui vont dans leur sens, c’est-à-dire que la FIBA en veut qui disent que les fenêtres internationales, c’est génial, et l’Euroleague en veut qui disent que c’est nul. De quel côté êtes-vous ?\\n\\nIl y a les deux côtés. C’est bien pour des joueurs qui n’ont pas la chance de pouvoir jouer en équipe de France, ça leur donne l’opportunité de le faire. Mais c’est vrai que quand vous voyez des équipes comme la Croatie et la Slovénie -championne d’Europe en titre qui va peut-être louper la Coupe du monde-, qui souffrent de ça parce que leurs meilleurs joueurs ne sont pas là... Nous, on a la chance de s’en sortir mais il y a des équipes qui ne devraient pas être dans cette situation-là. Cette nouvelle méthode est un peu bizarre et je pense qu’elle peut blesser le basket européen et mondial à long terme. Nous, non, parce qu’on a de bons joueurs mais dans certains pays, oui.\\n\\n[armelse]\\n\\nQuel est votre ressenti vis-à-vis de ce tournoi ?\\n\\nCe qui est génial avec cette nouvelle ère, cette nouvelle équipe, c’est que tout le monde est concerné, tout le monde joue, tout le monde est à fond. C’est vraiment plaisant car les douze joueurs sont entrés et ont apporté. Chacun apporte son talent, son jeu au besoin de l’équipe. Ce soir, surtout en deuxième mi-temps, pas mal de choses sont venues de mon côté et mes coéquipiers m’ont laissé faire, m’ont laissé jouer et j’ai essayé de mettre en place certaines personnes. Quand on joue comme ça, que l’on respecte, alors que l’on n’a pourtant que deux ou trois entraînements, c’est assez plaisant surtout face à une équipe comme la Grèce.\\n\\nQu’est-ce que dit du réservoir du basket français ce que vous faites en ce moment, sachant que l’équipe a utilisé environ trente-cinq joueurs depuis un an ?\\n\\nC’est la force de la formation. Depuis une dizaine d’années on avait le même groupe de joueurs avec la génération Tony (Parker), Boris (Diaw) et maintenant qu’ils sont tous partis, c’est une nouvelle ère qui arrive. Et c’est une ère beaucoup plus dense. Faire une sélection de douze, ce n’est plus aussi évident qu’avant. Il y a énormément de choix à tous les postes. Il y a 4, 5, 6 parfois 10 mecs au même poste qui peuvent prétendre être dans les 12. Je pense que la formation est très bonne, on voit que ça suit derrière avec les jeunes. Le basket français et l’équipe de France ont de très beaux jours devant eux.\\n\\nCe soir, vous avez battu votre record de passes en équipe de France, douze. Comment est-ce venu ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Hervé Bellenger/FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : Team France Basket – Episode 4"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FFBB vient de publier le quatrième épisode de sa série consacrée à l’Equipe de France qui est toujours en quête de sa qualification pour la coupe du Monde 2019.\\n\\nCe week-end, l’Equipe de France était présente à Paris pour un tournoi amical lors duquel elle a affronté le Monténégro et la Grèce. Revivez ce tournoi dans les coulisses des Bleus.\\n\\nPhoto : Bellenger/IS/FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : dix jours d’absence pour Assane Ndoye (Chalon)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion de France Pro B avec Blois, Assane Ndoye (2,04m, 22 ans), qui était en prêt, a décidé de revenir dans son club de Chalon-sur-Saône.\\n\\nCe week-end en tournoi de préparation à Luxeuil, l’Elan Chalon a perdu son ailier sur blessure en demi-finale, comme le rapporte le Journal de Saône et Loire. Victime d’une entorse à la cheville, l’ancien joueur de Marne-la-Vallée a marché sur le pied d’un adversaire. Sa durée d’absence est estimée à dix jours.\\n\\nPhoto : Charlotte Geoffray"
}, 
{"role": "user",     "content":"C’est officiel, l’ASVEL devient LDLC ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Leader du e-commerce informatique et high-tech en France, LDLC.com a annoncé aujourd’hui un contrat de partenariat de dix ans avec l’ASVEL. Le club devient ainsi LDLC ASVEL.\\n\\nDéjà partenaire du club à hauteur de 500 000 euros la saison dernière, LDLC devrait ainsi encore augmenter sa contribution.\\n\\nL’ASVEL avait déjà associé son nom à Adecco de 2001 à 2007.\\n\\n\\n\\n\\nLe club aux 18 titres de Champion de France devient LDLC ASVEL ! #LDLCASVEL pic.twitter.com/8ZosJsksXL\\n\\n\\n— LDLC ASVEL (@LDLCASVEL) September 11, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du Monde féminine: L’Australie sans Leilani Mitchell, remplacée par Sami Whitcomb"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La coach Sandy Brondelo a dévoilé la liste des 12 joueuses qu’elle va engager à la Coupe du monde du 22 au 30 septembre. Si on y retrouve bien Liz Cambage (2,03m, 27 ans), qui avait été dispensée du Tournoi de Paris ce week-end, la meneuse américano-australienne Leilani Mitchell, blessée, est forfait.\\n\\nCette absence profite à Sami Whitcomb (1,78m, 30 ans), une Américaine qui est devenue citoyenne australienne il y a quelques mois et qui rejoindra les Opals une fois la saison WNBA terminée puisqu’elle joue la finale avec le Seattle Storm.\\n\\nNative de Calfornie, Sami Whitcomb a joué en Allemagne, en Slovaquie, 64 matches en WNBA (2,9 points en 9′ de temps de jeu moyen cette saison), et revendique son homosexualité:\\n\\n«L’Australie est chez moi et faire partie de cette incroyable équipe d’Opals est un rêve. Vous travaillez toute votre vie pour ces opportunités, alors l’appel de Sandy (Brndello) a été très émouvant pour moi. La première chose que j’ai faite a été d’appeler ma femme qui dormait en Australie et de partager la nouvelle avec elle. Ensuite, c’était réel. Je ne peux pas attendre pour mettre ce maillot et jouer pour l’Australie », a t-elle déclaré.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nRebecca Allen\\nNew York Liberty\\n\\n\\nAlex Bunton\\nBrydens Sydney Uni\\n\\n\\nLiz Cambage\\nDallas Wings\\n\\n\\nKatie-Rae Ebzery\\nPerth Lynx\\n\\n\\nCayla George\\nDeakin Melbourne/ Dallas Wings\\n\\n\\nTess Madgen\\nJCU Townsville Fire\\n\\n\\nEzi Magbegor\\nDeakin Melbourne\\n\\n\\nLauren Mansfield\\nPerth Lynx\\n\\n\\nJenna O’Hea\\nDeakin Melbourne\\n\\n\\nAlanna Smith\\nStanford University\\n\\n\\nStephanie Talbot\\nDeakin Melbourne /Phoenix Mercury\\n\\n\\nSami Whitcomb\\nSeattle Storm\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’équipe de France féminine à 13 jours de la Coupe du monde : Tout ceci est fort prometteur !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si on fait la fine bouche, on fera remarquer que les Opals déploraient l’absence de deux joueuses fondamentales, la meneuse américano-australienne, Leilani Mitchell, vue à Arras, et la pivot aux origines nigérianes, Liz Cambage. Celle-ci est un specimen très rare sur le globe. Haute de 2,03m et solide avec un quintal de poids, c’est une intérieure puissante qui fait des dégâts atomiques dans la peinture. Elle a tourné à 17,0 points et 7,4 rebonds cet été en WNBA avec un exploit face au New York Liberty qui a fait les headlines : 53 points, record de la ligue américaine, avec 17 paniers sur 22 essais, dont un 4 sur 5 à trois-points et 15 sur 16 aux lancers-francs, 10 rebonds, 5 contres, 2 passes, 1 interception et aucun ballon perdu. Pas de Mitchell donc pour remettre la barque des Opals dans la bonne direction lorsque les vagues sont hautes. Pas de Cambage pour entraver les enjambées de la panthère Sandrine Gruda et bousculer Héléna Ciak une fois qu’elle est plantée sous le cercle. Après leur été chargé, les deux Australiennes ont eu droit à un peu de repos.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nToujours avec un esprit chagrin, on fera remarquer que les Bleues se sont peu à peu relâchées après avoir mené de 25 points à 81-56, au point que leur avance a subi un sérieux coup de rabot pour finir à + 8 (85-77). Elles n’ont pas tenu deux joueuses qu’elles connaissent pourtant bien, l’ailière de l’ASVEL Rebecca Allen (23 points à 8/16) et la pivot Cayla George (18 points à 7/11) connue sous le nom de Francis à Aix-en-Provence puis Nantes-Rezé.\\n\\n« On a mieux géré le repli défensif que hier soir (NDLR: contre la Lettonie). Par contre, on a été embêté sur des tirs immédiats. Ce que l’on sait des Australiennes, c’est qu’elles peuvent toutes marquer en catch and shoot et on était un peu trop loin des adversaires. On a eu des aides côté bas qui nous ont aussi coûté cher. Des petits réglages à faire, » reconnaissait d’ailleurs la coach, Valérie Garnier.\\n\\nToujours par prudence, on rappellera la vérité des archives : si les Françaises avaient déjà gagné 10 fois en 16 matches amicaux contre l’Australie, elles ont perdu dans le même temps sept fois en huit matches officiels ; la seule victoire fut acquise avec maestria aux Jeux de Londres.\\n\\nUne fois ces considérations couchées sur le papier, ne boudons pas notre plaisir. Ce qu’a montré l’équipe de France hier soir la majorité du temps est excellent. Avec une grosse pression défensive (6 interceptions) et une belle réussite offensive (14/21 aux tirs dont 4/5 à trois-points), elle a envoyé valdinguer d’entrée de jeu les Opals dans les décors: après un quart-temps: 32 à 15 !\\n\\nSandrine Gruda est toujours aussi fiable à l’intérieur et Héléna Ciak, sa doublure au poste 5, retrouve peu à peu ses sensations.\\n\\n« Elle a été blessée pendant trois semaines et elle a repris lundi dernier. Il faut qu’elle retrouve le jeu, qu’elle s’intègre à l’équipe. C’est lors du premier entraînement qu’elle s’est blessée. Il faut que les autres apprennent aussi à jouer avec elle. C’est quelqu’un qui va être ciblée comme toutes nos intérieures. Il y a des trappes qui sont engagées très rapidement sur elles. Si on peut ressortir les ballons et mettre des paniers comme les extérieures l’ont fait ce soir, c’est bien. Il y a de l’alternance dans cette équipe », se félicite Valérie Garnier.\\n\\nOn a apprécié les jaillissements défensifs d’Olivier Epoupa, une peste pour n’importe quelle meneuse. La confiance retrouvée de Endy Miyem des deux côtés du terrain (19 points, 22 d’évaluation) après une aventure en WNBA frustrante. L’engagement de Alexia Chartereau, 20 ans tout rond, et qui monte en grade mois après mois. Et aussi bien sûr, ce que devient Marine Johannès, pas seulement imaginative, souple, aérienne, gracieuse mais par moments TRES efficace. Diabolique même. Elle était (très) douée, elle devient (très) forte. La shooting guard berruyère s’est fendue d’un 15 points de moyenne sur les deux matches du Tournoi de Coubertin avec un 13/23 aux shoots.\\n\\n« Le collectif, c’était accepter d’aller au combat, de l’avant, d’agir et de ne pas subir. Le message est passé, elles sont entrées de la meilleure des façons. La première mi-temps a été vraiment très intéressante. Au même titre qu’Endy (Miyem), j’ai envie de positiver. Ce n’est pas tous les jours que l’on bat l’Australie même si elles étaient sans Liz Cambage et Leilani Mitchell. Mais pour moi c’est l’état d’esprit qui a régné sur cette rencontre qui est positif, l’envie des joueuses, l’ambition qu’elles ont », se félicite la coach française.\\n\\nSur que sa collègue d’en face Sandy Brondello a des ajustements à faire, en défense comme dans la circulation de balle. Et que Cambage et Mitchell ne seront pas de trop pour que l’Australie confirme le rang qui est a priori le sien, c’est-à-dire la dauphine de l’ogre américain.\\n\\nLes sœurs ennemies canadiennes à Antibes et à la Coupe du monde\\n\\nSi les autres secteurs sont bâtis sur la stabilité, l’équipe de France présente en cet été un trio de meneuses inédit. Céline Dumerc a passé la main. Valérie Garnier n’a pas sélectionnée Amel Bouderra, deux fois MVP française de la ligue féminine. Un moment espéré, la meneuse du New York Liberty Bria Hartley n’a pas réussi à prouver à temps sa filiation française. Si bien que derrière Olivia Epoupa, ancien prodige européen de la discipline dans les catégories de jeune, ce sont Romane Berniès (11 sélections à ce jour) et Alix Duchet (5), futures équipières à Lattes-Montpellier, qui sont les backups.\\n\\n« Olivia nous a fait une copie ce soir en 20 minutes de 5/6, 3 passes décisives, 3 interceptions. C’est l’Olivia telle qu’on l’aime dans son style de jeu. Elle a eu un petit problème au dos et c’est pour ça qu’elle n’a joué que vingt minutes », informe Valérie Garnier. « Derrière, il y a deux très jeunes joueuses. Une qui a 24 ans et l’autre pas encore 21 ans. Si on a besoin de quelqu’un qui défend fort, c’est davantage Romane. Si on a besoin de quelqu’un qui soit dans la gestion et dans l’agressivité derrière les picks, ça sera plus Alix. La hiérarchie, c’est plus Olivia et deux jeunes meneuses. J’ai fait ce choix-là car ça ne se dessinait pas vraiment et que l’on peut avoir des opportunités différentes avec ces joueuses-là. »\\n\\nDepuis deux décennies, les équipes de France ont dû beaucoup à deux meneuses de caractère, Yannick Souvré puis Céline Dumerc. Olivia Epoupa est beaucoup, beaucoup moins extravertie et n’a pas vocation à être la reine des abeilles. C’est dans l’adversité que l’on juge les gens, et le tournoi d’Antibes qui s’annonce, du 15 au 17 de ce mois, sera un révélateur puisque la France va y affronter le Canada et les Etats-Unis.\\n\\nLes Etats-Unis, superpuissance du basket mondial, c’est à la fois un match de prestige et le test ultime, mais c’est contre le Canada que nos yeux seront grand ouverts. Déjà parce que Kayla Alexander (ex-Bourges), Miranda Ayim (Basket Landes), Kim Gaucher (Mondeville), Ruth Hamblin (ex-Bourges), Michelle Plouffe (Lyon) et Nayo Raincock-Ekunwe (Bourges) seront sous le maillot rouge et blanc frappé de la feuille d’érable. On remarque tout de même l’absence de l’intérieure de Bourges, jumelle de Michelle Plouffe, Katherine.\\n\\n« Je pense que c’est un choix d’entraîneur car apparemment les joueuses de Bourges ont cherché à se renseigner. La coach a changé la physionomie de son équipe avec deux vraies 5 qui sont Hamblin et Alexander. Elle a beaucoup de poste 4 et je crois que c’est un choix de construction d’équipe D’habitude elles circulaient avec des 4 et là elles ont ajouté des 5, » indique Valérie Garnier.\\n\\nPouvoir sacrifier Katherine Plouffe, MVP étrangère de la Ligue Féminine en 2017, donne un aperçu de la richesse canadienne. Le Canada qui, dans la nuit de vendredi à samedi, a malmené les Etats-Unis toute une mi-temps (40-28) avant de se faire battre de six points (68-74). Il est vrai que les Américaines étaient privées de Sue Bird, Diana Taurasi, Breanna Stewart, Elena Dello Donne et Brittney Griner impliquées dans les playoffs WNBA.\\n\\nFrançaises et Canadiennes se sont déjà affrontées quinze fois sur la décennie et inséparables vont se retrouver à Ténérife dans la même poule avec la Corée du Sud et la Grèce.\\n\\n« Décisif, oui..., » acquiesce Valérie Garnier quand on lui évoque l’importance de l’enjeu de ce match à la Coupe du monde. Alors, les deux équipes ne vont-elles pas être tentées pour ce tournoi d’Antibes d’avancer masquer ?\\n\\n« Pour les jouer régulièrement, les Canadiennes, je ne les vois pas trop calculer les choses. Ce n’est pas le style de la maison et ça ne doit pas être le nôtre non plus. Après, de là à tout dévoiler... Mais il faudra que l’on soit intense. Le Canada, c’est comme l’Australie, c’est très dense physiquement. Il faudra d’abord relever le défi physique. Elles ont un peu les mêmes caractéristiques. C’est une nation qui monte. Ça sera effectivement notre adversaire direct dans la poule. Elles nous connaissent davantage, bien sûr, mais nous aussi. Mais on connaissait très bien aussi Cayla George ce soir, on savait qu’elle est dans le catch and shoot et on n’a pas été à la hauteur face à elle. Elles vont nous connaître mais ce n’est pas grave. On aura des choses à faire en attaque, en défense. On est plus centré sur nous aujourd’hui que sur nos adversaires parce que l’équipe est jeune, en construction et qu’il faut d’abord s’attarder sur soi avant de voir comment jouent les autres. »\\n\\nEn tout état de cause, ce que les Bleues ont démontré les deux jours à Paris est prometteur et leur envie d’une médaille n’est pas qu’un simple caprice.\\n\\nTournoi à Antibes\\nSamedi 15 septembre – 19h00 : France / Sénégal\\nDimanche 16 septembre – 19h00 : France / Canada\\nLundi 17 septembre – 20h30 : France / Etats-Unis\\n\\nCoupe du Monde à Tenerife (Espagne) du 22 au 30 septembre\\nSamedi 22 septembre -13h30 : Corée du Sud / France\\nDimanche 23 septembre – 17h30 : France / Grèce\\nMardi 25 septembre – 20h30 : Canada / France\\nMercredi 26 septembre : Barrage quarts de finale\\nVendredi 28 septembre : Quarts de finale\\nSamedi 29 septembre : Demi-finales\\nDimanche 30 septembre : Finales\\n\\nPhotos: Marine Johannès (FIBA) et équipe de France (FFBB/Hervé Bellenger)\\n\\n[armelse]\\n\\nToujours avec un esprit chagrin, on fera remarquer que les Bleues se sont peu à peu relâchées après avoir mené de 25 points à 81-56, au point que leur avance a subi un sérieux coup de rabot pour finir à + 8 (85-77). Elles n’ont pas tenu deux joueuses qu’elles connaissent pourtant bien, l’ailière de l’ASVEL Rebecca Allen (23 points à 8/16) et la pivot Cayla George (18 points à 7/11) connue sous le nom de Francis à Aix-en-Provence puis Nantes-Rezé.\\n\\n« On a mieux géré le repli défensif que hier soir (NDLR: contre la Lettonie). Par contre, on a été embêté sur des tirs immédiats. Ce que l’on sait des Australiennes, c’est qu’elles peuvent toutes marquer en catch and shoot et on était un peu trop loin des adversaires.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les premières images de Rodrigue Beaubois avec l’Efes Istanbul"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Français de l’étranger ont bel et bien commencé leur nouvelle saison en Europe. Et comme Joffrey Lauvergne et Mathias Lessort qui ont fait bonne impression pour leurs débuts dans leur nouveau club, Rodrigue Beaubois a également été très solide avec l’Efes Istanbul dans un match amical face à Monaco (70-60).\\n\\nL’arrière tricolore a effectivement terminé la partie avec 17 points dont 3/5 à trois points. Transfuge de Vitoria, Beaubois est appelé à avoir un rôle majeur dans l’équipe stambouliote cette saison, et sa première sortie a confirmé la tendance.\\n\\nA ses côtés, Adrien Moerman (5 points) a été plutôt discret, tout comme Shane Larkin qui finit aussi à 5 unités.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=J9IXUuPgQtc"
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV: Les deux équipes de France sur le pont"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est déjà à une riche semaine de basket télévisé à laquelle nous sommes conviés avec les deux matches de l’équipe de France pour les qualifications à la Coupe du monde 2019 et le tournoi d’Antibes ultime test pour les Bleues avant la Coupe du monde en Espagne.\\n\\nJeudi 13 septembre\\n\\n17h00 – Bulgarie/France – Qualifications Coupe du monde – Canal+ Sport\\n\\nSamedi 15 septembre\\n\\n19h00 – France/Sénégal – Tournoi d’Antibes féminin – RMC Sport 2\\n\\n21h00 – Etats-Unis/Canada – Tournoi d’Antibes féminin – RMC Sport 2 (différé)\\n\\nDimanche 16 septembre\\n\\n17h00 – France/Finlande – Qualifications coupe du monde – Canal+ Sport\\n\\n19h00 – France/Canada – Tournoi d’Antibes féminin – RMC Sport 2\\n\\n21h00 – Sénégal/Etats-Unis – Tournoi d’Antibes féminin – RMC Sport 2 (différé)\\n\\nLundi 17 septembre\\n\\n20h30 – France/Etats-Unis – Tournoi d’Antibes féminin – RMC Sport 2\\n\\n22h30 – Canada/Sénégal – Tournoi d’Antibes féminin – RMC Sport 2 (différé)\\n\\nPhoto: Moustapha Fall (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Jeep®ÉLITE 2018/19 – Fos Provence Basket : Sur la pointe des pieds"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Jeep Elite débute les 22 et 23 septembre et nous sommes fiers de vous proposer pour la troisième année (déjà!) une présentation complète sur BasketEurope avec une analyse de chaque équipe, des commentaires sur chaque joueur et coach, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié jusqu’au jeudi 20 avec chaque jour une équipe de JeepElite par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment). Vous pouvez également dès maintenant pré-commander le Magazine « Guide de la saison » sur notre boutique à 6€ frais de port inclus.\\n\\nNous vous proposerons ensuite la Pro B et la Ligue Féminine.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nModeste. C’est le qualificatif qui convient aux Provençaux en raison de leur budget, de leur salle, de leur recrutement et de leur effectif qui est celui d’une équipe de Pro B améliorée. Fos mise sur son enthousiasme pour soulever les montagnes. Cela faisait longtemps qu’une montée en Jeep Elite était dans les tuyaux et les hommes de Rémi Guittia ont su amorcer une superbe dynamique au meilleur moment. Quatrième de la saison régulière, ils ont réalisé 12 victoires consécutives pour clôturer la saison. Le coach a affirmé que c’est la défaite en saison régulière à Roanne qui avait servi de déclencheur. En tous les cas, les BYers ont mis au pas la Chorale en finale. Pour le reste les interrogations sont nombreuses. L’âge de Mamadou Dia et Tarik Kirksay, l’état de santé de Malik Hairston, l’inexpérience de Pierre Pelos, la capacité de Abdoulaye Mbaye et Jordan Aboudou à rebondir. Probablement que sur les sites de paris sportifs, on ne donne pas chers des chances de maintien des Fosséens, mais la Jeep Elite est réputée pour faire des pieds de nez aux pronostics.\\n\\n© FPB\\n\\nSalle : Halle Parsemain (2 450 places), Palais des Sports de Marseille (5 600)\\n\\nPrésident : Jean-Pierre Barnès (75 ans)\\n\\nArrivées : Marcus Dove (Kyoto Hannaryz, Japon), Malik Hairston (sans club), Ron Lewis (Le Havre, Pro B)\\n\\nDéparts : Bodian Massa (prêt à Saint-Chamond, Pro B), Charles-Noël Abouo (Blois), Louis Campbell (Antibes), Sullivan Hernandez (Aix-Maurienne, Pro B).\\n\\nXavier Gaillou – né le 16 septembre 1989 – 1,92m – Poste 1 – Français\\n\\nA commencé à Massy, a beaucoup joué sur les playgrounds et a été formé comme meneur au Havre. Il a oscillé jusqu’ici entre la Nationale 1 (Saint-Etienne et Challans) et la Pro B (Denain, Bourg, Boulazac et donc Fos). Apparu 15 fois dans le cinq de départ la saison dernière pour 23’ de temps de jeu moyen. 6,3 points et 4,0 passes. Demi-frère de Yannick, ancien joueur de Pro B, son aîné de dix ans. Passionné de chant.\\n\\nAbdoulaye Mbaye – né le 3 novembre 1988– 1,89m – Poste 1-2 – Français\\n\\nL’une des trajectoires les plus malheureuses de l’histoire récente du basket français. Champion d’Europe cadets et juniors avec la génération Nicolas Batum. Meilleur marqueur français de Pro A en 2009 (14,9 points) à 20 ans. Les gros pépins physiques se sont alors accumulés (opérations du poignet, deux fois du genou). Un intérim à Nancy avant de signer à Fos en septembre 2017 pour 7,1 points en 17’.\\n\\nEdouard Choquet – né le 16 mars 1988 – 1,88m – Poste 1-2 – Français\\n\\nFils d’un dirigeant du Limoges CSP. Un fidèle de Beaublanc lorsqu’il était gamin. Il a la particularité d’avoir passé quatre saisons à Fos (2011 à 2015) avant d’y revenir en 2017 après deux saisons en Pro A, à Villeurbanne et à Châlons-Reims. Stats offensives un peu en baisse lors du dernier exercice (7,5 points avec un surprenant 23/38 aux lancers), Né avec un pied bot mais ça n’a jamais été un handicap. Trésorier du syndicat des joueurs.\\n\\nRon Lewis – né le 27 juillet 1984 – 1,93m – Poste 2-3 – Américain\\n\\nIl connaît bien la France puisque ses trois derniers clubs ont été dans l’ordre, Rouen, Pau et Le Havre. 16,9 points et 13,9 d’évaluation avec le STB. Réputé à la fac pour mettre des shoots à trois-points à distance NBA et sa sureté sur la ligne des lancers. A beaucoup bourlingué en Europe. Victime en avril 2017 d’une rupture des ligaments croisés du genou droit.\\n\\nMalik Hairston – né le 23 février 1987 – 1,98m – Poste 3 – Américain\\n\\nAu niveau du CV, c’est un tout bon. 62 matches aux San Antonio Spurs de 2008 à 2010 et surtout un superbe passage à Sienne et Milan (13,9 pts de moyenne en Euroleague 2011) puis à Galatasaray et l’AEK Athènes. Seulement, ensuite ça se gâte. Au 31 août 2016, les examens médicaux à l’AEK ne sont pas concluants et l’Américain ne va jouer que 5 matches en 2016-17 sous les couleurs de l’Hapoel Jérusalem et aucun la saison suivante à cause d’une série de blessures. Bref, un gros point d’interrogation.\\n\\n© FPB\\n\\nTariq Kirksay – né le 7 septembre 1979– 1,99m – Poste 3 – Français\\n\\nLe papy mais pas le doyen de l’équipe. Sa vie a changé quand il est arrivé en France. Il y a épousé une de nos compatriotes et obtenu la nationalité française. 29 sélections en équipe de France dont le championnat d’Europe 2007. Figure de Nancy avec qui il a disputé et perdu trois finales de Pro A. Une riche carrière en Europe et en Angola par la suite ponctuée par une victoire lors de la première Champions League avec Tenerife en 2007. Extrêmement complet, ce qui le met en position de réaliser des triple doubles. A encore joué 28’ en moyenne la saison dernière pour 13,2 d’évaluation.\\n\\nJordan Aboudou – né le 30 janvier 1991 – 2,01m – Poste 4 – Français\\n\\nUne puissance athlétique rare. Un père pote de Moustapha Sonko, un frère aîné Lens, qui a porté lui-même le maillot de Fos, et un autre Dika Mem handballeur de haut niveau. Formé à Chalon, deux vraies saisons en pro en Bourgogne, deux autres à Gravelines, il avait semblé à son meilleur à Monaco -Zvezdan Mitrovic parvenant à canaliser son énergie parfois un peu trop folle- mais il n’avait pas été conservé et s’était retrouvé sans club avant de signer à Fos en décembre. Des problèmes au shoot : 27,4% à trois-points en carrière.\\n\\nMamadou Dia – né le 28 mars 1978 – 2,04m – Poste 4 – Français\\n\\nLe doyen de Fos, c’est lui. A quarante ans, il va entamer sa 14e saison au club. Une fidélité exceptionnelle. Il a donc connu la N2, la N1, la Pro B et se sera sa première expérience dans l’élite en carrière. Un compétiteur qui est le relais du coach sur le terrain. Né à Dakar, il était passé par l’Angleterre avant d’arriver à Feurs il y a vingt ans. Ses stats sont en baisse (5,9 points, 1,8 rebond) mais personne ne lui en veut en Provence.\\n\\nMarcus Dove – né le 17 juin 1985 – 2,06 m – Poste 5 – Américain\\n\\nDeux saisons en France : à Chalon en 2014-15 (12,6 points et 7,8 rebonds) et à Gravelines dans la foulée (12,5 points, 61,2% aux tirs, 5,7 rebonds). Il était depuis au Japon où forcément les stats sont une énigme mais notons qu’il était tombé à 5,5 points et 5,8 rebonds la saison dernière. Deux fois lu Meilleur Défenseur de sa conférence (Big 12) à l’époque de Oklahoma State.\\n\\nJaraun Burrows – né le 4 septembre 1985– 2,03m – Poste 5 – Bahaméen\\n\\nPetit pour un pivot mais du jump et c’est un showman apprécié du public provençal et du staff qui aime son état d’esprit impeccable. Il est arrivé chez les BYers en avril 2017 er s’y est senti tout de suite à l’aise. 12,3 points et 5,8 rebonds en 2017-18. A la particularité d’avoir fréquenté deux facs célèbres de l’Indiana, Indiana University puis Purdue. A joué en pro dans des ligues de deuxième ou troisième niveau comme la Slovaquie ou la Suisse.\\n\\n© FPB\\n\\nPierre Pelos – né le 16 août 1992 – 2,05m – Poste 5 – Français\\n\\nMVP de la finale de Pro B avec 38 points et 19/19 aux shoots sur l’ensemble des deux matches. 13,0 points à 61,2% aux tirs et 5,5 rebonds sur la totalité des playoffs. Son début de carrière s’est concentré sur sa région d’origine : né à Agen, il a joué à Auch puis à Pau notamment en N2 avec Freddy Fauthoux comme coach puis à Tarbes-Lourdes. Il a ensuite porté les maillots de Saint-Chamond et de Bourg. Médaillé d’argent à l’Euro U20 en 2012.\\n\\n© FIBA\\n\\nCoach :\\n\\nRémi Giuitta – né le 21 juin 1977 – Français\\n\\nMarseillais. L’artisan numéro 1 de l’ascension puisqu’en poste au club depuis 2004 alors qu’il était en Natioale 2. Son sens de l’adaptabilité et du recrutement lui a permis de réaliser quelques coups gagnants, celui de Tariq Kirksay n’est pas le moindre. Sélectionneur du Mali dans le cadre des qualifications à la Coupe du Monde.\\n\\nAdjoints :\\n\\nJean-Philippe Besson (47 ans) et Karim Remil (29 ans)\\n\\n[armelse]\\n\\nModeste. C’est le qualificatif qui convient aux Provençaux en raison de leur budget, de leur salle, de leur recrutement et de leur effectif qui est celui d’une équipe de Pro B améliorée. Fos mise sur son enthousiasme pour soulever les montagnes. Cela faisait longtemps qu’une montée en Jeep Elite était dans les tuyaux et les hommes de Rémi Guittia ont su amorcer une superbe dynamique au meilleur moment. Quatrième de la saison régulière, ils ont réalisé 12 victoires consécutives pour clôturer la saison. Le coach a affirmé que c’est la défaite en saison régulière à Roanne qui avait servi de déclencheur. En tous les cas, les BYers ont mis au pas la Chorale en finale.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture: Mamadou Dia"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : nouvelle identité visuelle pour le Morabanc Andorra"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est la rentrée dans le monde du basket européen et c’est l’heure pour le club espagnol d’Andorre de dévoiler son nouveau logo.\\n\\nLe club mené par Andrew Albicy dont le logo était jusqu’alors un simple rappel des initiales du club est à partir d’aujourd’hui plus élaboré avec un personnage imaginaire qui surplombe les monts enneigés des Pyrénées. Chaine de montagnes où est basé le club andorran. Le tout soutenu par le nom du club, de son partenaire Morabanc (banque d’Andorre) et le traditionnel « Som un pais ».\\n\\nPhoto : Morabanc Andorra"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : vers un retour de Souleyman Diabaté à Nancy"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après deux saisons passées entre la Macédoine et la Slovaquie, Souleyman Diabaté (1,83m, 31 ans) devrait faire son retour en France.\\n\\nSelon notre consultant Fred Weis, l’international ivoirien va faire son retour au SLUC pour la saison 2018/19. Passé par Dijon, Roanne, Gravelines-Dunkerque, Rouen et Châlons-Reims, le natif de Cocody a déjà porté le maillot de Nancy en 2012/13.\\n\\nLa saison dernière, Solo Diabaté évoluait en Slovaquie où il compilait en moyenne 10,5 points, 3,2 rebonds et 6,5 passes décisives.\\n\\n\\n\\n\\nDu nouveau a @SLUCbasketNancy avec l'arrivée de Solo Diabate .\\n\\n\\n— Fred Weis_ OLY (@Bigfredstyle) September 10, 2018\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Décès de Michel Bonnevie, médaillé d’argent aux Jeux Olympiques de Londres en 1948"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Michel Bonnevie, médaillée d’argent aux Jeux Olympiques de Londres en 1948, est décédé à près de 97 ans annonce la fédération française.\\n\\nLicencié au Stade Français, Michel Bonnevie (1,81m) a totalisé dix sélections en équipe de France entre 1948 et 1950. Il a été de l’aventure olympique qui a conduit les Français en finale face aux Etats-Unis. Le Musée du Basket français lui doit l’une de ses plus belles pièces : le maillot de l’équipe de France olympique de 1948."
}, 
{"role": "user",     "content":"Dru Joyce (ex Limoges) retourne en Allemagne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Meilleur passeur de l’histoire du championnat allemand, Dru Joyce (1,83m, 33 ans) va retrouver ce pays qui lui a tant réussi.\\n\\nEntre Monaco et Limoges en 2017/18, le natif d’Akron a eu du mal à s’adapter à la Jeep Elite et c’est naturellement qu’il a décidé de quitter la France après une saison. Sur son site, Iéna annonce la signature du proche de LeBron James. Il s’est engagé sur un premier contrat de deux mois qui peut ensuite se prolonger pour toute la saison. L’année dernière, la formation allemande a terminé treizième de Bundesliga.\\n\\nLa saison dernière, Dru Joyce compilait en moyenne 6,6 points et 4,1 passes décisives pour une évaluation de 7,4 en Jeep Elite.\\n\\nPhoto : Sebastien Grasset"
}, 
{"role": "user",     "content":"Chase Simon (ex Bourg) retourne en Pologne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison en France à Bourg-en-Bresse, Chase Simon (1,98m, 29 ans) a décidé quitter la Jeep Élite.\\n\\nSans club jusqu’à aujourd’hui, le natif de Detroit vient de signer son prochain contrat. Sur son site, le club polonais d’Anwil annonce l’arrivé pour un an de l’ancien joueur du Maccabi Ashdod. Il arrive en replacement de Luis Montero qui n’a pas réussi à passer les tests médicaux.\\n\\nMais ce n’est pas la première fois que l’ancien joueur de Manresa va jouer en Pologne. Il a déjà passé la saison 2014/15 dans ce pays et dans ce même club d’Anwil.\\n\\nLa saison derniere, Chase Simon compilait en voyenne 11,5 pour, 2,5 rebonds et 1,7 passe décisives pour une évaluation de 9,4.\\n\\nPhoto :Guilherme Amorin"
}, 
{"role": "user",     "content":"La fédération réagit vis à vis des probables baisses financières de l’Etat en matière de sport"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Entouré symboliquement de Iliana Rupert et Timothé Crusol, deux jeunes talentueux vice-champions du monde en U17 appelés à représenter les équipes de France de basket aux Jeux Olympiques de 2024 à Paris, le président fédéral Jean-Pierre Siutat a fait une déclaration avant le match France-Grèce, hier au stade Pierre-de-Coubertin, afin d’alerter le public sur les probables coupes budgétaires de l’Etat en matière de sport. Lors d’une mini-conférence de presse, il s’était exprimé au préalable face aux médias :\\n\\n« J’ai souhaité au moment du coup d’envoi de ce soir témoigner de la solidarité du basket français vis-à-vis de ce qui se passe. Nous sommes très inquiets vis-à-vis du sport français, à propos des baisses financières qui sont avancées sur le sport, sur les suppressions peut-être de 1 600 postes au niveau des sports, sur toutes les difficultés et les incertitudes que nous connaissons à travers le chantier de gouvernance du sport. Nous sommes là avec beaucoup de volonté pour bien évidemment préparer 2024 mais surtout nous pensons à nos clubs amateurs qui souffrent énormément, on pense aux éducateurs, aux bénévoles, aux jeunes, aux joueurs, aux dirigeants, aux techniciens.\\n\\nJ’ai appelé Denis Masseglia, le président du Comité Olympique, et je lui ai dit : « c’est ma décision, nous ferons une déclaration officielle lors du coup d’envoi. »\\n\\nOn ne se manifeste pas uniquement parce qu’il y a cette suppression éventuelle de 1 600 techniciens qu’ils soient CTS ou DTN, ce qui est important, mais sur l’environnement global. C’est-à-dire la baisse financière, l’Etat se dégage du sport de manière importante. Concernant les cadres techniques, pour nous c’est un support important. Ils ont évolué dans leur travail au quotidien mais sans eux il n’y a pas de filière de haut niveau. Les champions de demain, c’est le travail des bénévoles, de nos éducateurs mais aussi des cadres techniques. Dire que demain les fédérations pourront financer les équivalents des cadres d’Etat... Certains pourront peut-être le faire mais ça se comptera sur deux ou trois doigts. Le sport français n’a pas la capacité de financer l’ensemble des cadres.\\n\\nNous attendons un signal fort de l’Etat, nous espérons dans les jours qui suivent par rapport à cette situation. Nous avons prévu avec le Comité Olympique et les fédérations de rentrer dans un plan d’action. La fédération de basket est solidaire depuis le début. Nous sommes très motivés car on s’aperçoit tous les jours que nos clubs souffrent et nous avons absolument besoin de ce tissu de bénévoles, de clubs et bien sûr d’encadrement professionnel à travers nos cadres techniques. »\\n\\nPhoto: FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Boulazac: Nianta Diarra avec le Mali, Akil Mitchell avec Panama"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"De nombreuses équipes de Jeep Elite sont touchées dans leur préparation par le fait que certains de leurs joueurs sont contraints de rejoindre en plein mois de septembre leurs sélections nationales respectives.\\n\\nAinsi, le Boulazac Basket Dordogne ne possède pas dans ses rangs d’internationaux français mais un malien, Nianta Diarra (2,03m, 25 ans), et un panaméen, Akil Mitchell (2,03m, 26 ans).\\n\\nDans la zone africaine de qualification à la Coupe du monde, le Mali va affronter vendredi la Centre-Afrique et l’état d’urgence est décrété puisque l’équipe en est à 2 victoires pour 4 défaites. Nianta Diarra a apporté jusqu’ici 9,2 points et 4,2 rebonds.\\n\\nAvec 3 victoires et 3 défaites, le Panama est un peu mieux classé dans la zone américaine mais son programme est corsé puisqu’après s’être rendu à Porto Rico, il recevra les Etats-Unis ! Akil Mitchell a disputé la moitié des matches pour 4,7 points et 6,3 rebonds.\\n\\nPhoto: Akil Mitchell (Panama)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le néo-Limougeaud Jonathan Rousselle sélectionné parmi les 12 pour Bulgarie-France et France-Finlande"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Enfin libérés par leurs clubs respectifs, Andrew Albicy (Andorre), Nando De Colo (CSKA Moscou) et Vincent Poirier (Vitoria) sont attendus demain à Nanterre pour poursuivre la préparation des Bleus aux deux matches de qualification à la coupe du Monde, contre la Bulgarie à Botevgrad, le jeudi 13, et la Finlande, à Montpellier, le dimanche 16.\\n\\nLa surprise vient du fait que le coach Vincent Collet a annoncé au Dijonnais Axel Julien qu’il quittait le groupe en compagnie de Lahaou Konate (Nanterre) et Mam Jaiteh (Limoges) et qu’ainsi le né-Limougeaud Jonathan Rousselle (1,95m, 38 ans) lui est préféré.\\n\\nL’ancien Choletais a été à son affaire ce soir contre la Grèce pour sa troisième sélection, jouant avec culot pour 6 points, 2 rebonds et 2 interceptions en 18 minutes.\\n\\n * Meneurs : Andrew Albicy (Andorre) et Jonathan Rousselle (Limoges)\\n * Arrières : Nando De Colo (CSKA Moscou), Edwin Jackson (Buducnost)et Paul Lacombe (Monaco)\\n * Ailiers : Nicolas Batum (Charlotte Hornets) et Charles Kahudi (Villeurbanne)\\n * Ailiers-forts : Amine Noua (Villeurbanne) et Alain Koffi (Gravelines-Dunkerque)\\n * Pivots : Moustapha Fall (Krasnodar), Vincent Poirier (Vitoria) et Mathias Lessort (Etoile Rouge Belgrade)\\n\\nPhoto: FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tournoi de Coubertin : Nicolas Batum en maestro du match face à la Grèce"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Déjà vainqueurs face au Monténégro vendredi, la France devait encore se frotter aux Grecs, quasiment au complet, ce dimanche à l’occasion de la centième sélection de Charles Kahudi. Dans la chaleur du Stade Pierre de Coubertin qui a su séduire 3 256 spectateurs, les Bleus ont eu le droit à un bon test avant de se tourner vers les matchs de qualifications pour la coupe du Monde 2019 face à des Grecs expérimentés et habitués à l’Euroleague.\\n\\nDans le sillage d’Edwin Jackson (8 points dans le premier quart) très adroit en début de match, les joueurs de Vincent Collet lancent parfaitement leur rencontre, prenant tout de suite le contrôle de la partie. Et après dix minutes, les Bleus mènent tranquillement 22-14.\\n\\nSeul joueur dans un mauvais jour, Moustpaha Fall n’y arrive pas. Peu présent au rebond et déboussolé en attaque, il peine à se lancer dans son match et est donc régulièrement rappelé sur le banc par son coach qui en profite pour faire jouer le nouvel arrivant, Mathias Lessort qui a rejoint la sélection aujourd’hui. Les coéquipiers d’Alain Koffi continuent leur chemin et gardent leur avance à la pause, 38-31. Grâce à Edwin Jackson et capitaine Nicolas Batum.\\n\\nLe troisième quart-temps est d’ailleurs marqué par le show Nicolas Batum. Déjà à 4 points, 6 passes décisives, 2 rebonds et 3 interceptions pour 12 d’évaluation, l’ailier des Charlotte Hornets annonçait la couleur quant à sa forme du jour. Soutenu par ses proches présents dans les tribunes, l’international tricolore régale son public entre passes décisives, alley-oop, shoot sur un pied ou encore tir à trois points. C’est simple, après trois quart-temps, et alors que la France est devant 65-51, Batman est déjà en double-double avec 13 points et 12 caviars.\\n\\nPour sceller la victoire, le sélectionneur de l’Equipe de France fait sortir ses titulaires et fait jouer son banc en offrant du temps de jeu à Mam Jaiteh ou encore Lahaou Konaté, qui font partie des joueurs ayant été les moins utilisés et qui profitent pleinement du moment qui leur est offert. Toujours devant au score, l’EDF l’emporte 84-68. Sans surprise, c’est Nicolas Batum (13 points, 12 passes, 3 rebonds et 5 interceptions) qui reçoit le titre de MVP du match. Et quel match de la part de l’ailier français qui compile une évaluation de 30 sur la partie !\\n\\nC’est donc un sans-faute pour la France dans ce Tournoi International de Paris. Elle peut se tourner vers ses deux matchs de qualifications sereinement, tout en sachant que Nando De Colo, Andrew Albicy et Vincent Poirier rejoignent le groupe lundi. À noter également, la satisfaction Jonathan Rousselle. Uniquement appelé pour faire partie du groupe lors de ce tournoi, le nouveau meneur du CSP Limoges est monté d’un cran et ce ne serait pas étonnant de voir Vincent Collet faire appel à lui pour le match contre la Bulgarie.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"La FFBB rend hommage à Frédéric Forte en programmant France-Bulgarie le 3 décembre à Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le match France-Bulgarie prévu le lundi 3 décembre prochain pour le compte de la qualification à la Coupe du Monde 2019 se tiendra au palais des sports de Beaublanc à Limoges, a annoncé ce jour la FFBB.\\n\\nLa fédération veut à cette occasion rendre hommage à l’ancien international et président du CSP, Frédéric Forté décédé le 31 décembre dernier.\\n\\n« Il y aura un an en décembre prochain, Frédéric Forte décédait tragiquement. Afin de lui rendre hommage, j’ai souhaité que l’équipe de France vienne à Limoges le lundi 3 décembre dans sa route pour la Coupe du Monde 2019. Quoi de mieux qu’un match international pour un passionné de basket et un compétiteur unique comme il l’était. Je remercie la ville de Limoges, son maire, le Limoges CSP et son président pour le partenariat que nous avons établi pour rendre cet événement possible, » a déclaré le président fédéral, Jean-Pierre Siutat.\\n\\nFrédéric Forte compte 75 sélections en équipe de France.\\n\\nPhoto: FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Basket Europe Tour: Etape numéro deux, Barcelone!"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une première étape forte en émotion, avec la découverte d’une nouvelle ville et la visite d’un club de légende, je vous emmène cette fois-ci dans la bouillonnante Barcelone. Cosmopolite, surprenante et surtout fief du grand Barça, la cité comtale va vous régaler, venez, je vous emmène.\\n\\nIl est 13 heures lorsque j’arrive à la gare de Barcelona Sants, il fait beau et chaud comme souvent ici. Une fois mon ticket de métro pris et mon itinéraire planifié je décide de m’enfoncer dans la bouche souterraine. Et c’est seulement 20 minutes après que je me retrouve à l’auberge de jeunesse que j’avais réservée. Le temps de laisser mes affaires, prendre les informations importantes et me voilà en route pour la gare.\\n\\nLa gare, oui, oui, la gare, j’en viens mais c’est ici que se trouve le meilleur terrain de basket de Barcelone. Le terrain de Barcelona Sants. En effet, j’avais au préalable contacté toutes les communautés de basketteurs de Barcelone. Ils ont été unanimes, le terrain de Barcelona Sants est le plus iconique.\\n\\nA peine arrivé je suis surpris par le nombre de personnes, une fête de quartier entoure le terrain, la bière locale coule à flot et de la musique électronique parachève le tout. Il y a plusieurs terrains avec un central mieux entretenu et plus grand. Le terrain n’est pas très fourni en joueurs pour l’instant, il est encore tôt, mais on peut déjà apercevoir un grand brassage culturel : Dominicains, Espagnols, Italiens, Sénégalais, Camerounais et Etasuniens s’échauffent avant de commencer les hostilités. A peine assis sur le banc qui se trouve autour du terrain, je discute avec Nelson, un des cinq cofondateurs de l’association Barcelona Sants Streetball. Association créée en 2012 se voulant vecteur lien social et point d’ancrage pour les fanatiques de la balle orange qui visitent la ville, l’association Barcelona Sants Streetball a su au fur et à mesure des années créer un lien fort avec la mairie, un équipementier et les basketteurs professionnels. En témoigne notamment le passage la veille de Thomas Heurtel sur le playground où les tournois de trois contre trois sont organisés par l’association.\\n\\nSoudain, Nelson est appelé pour jouer et je reste avec Luis, membre actif de l’association et fan de NBA. A peine le temps de discuter de l’effectif du FC Barcelone basket pour la saison à venir que le match a déjà commencé, je m’empresse de sortir ma caméra et nous assistons à un match sur demi terrain d’assez bonne qualité. Puis les matchs s’enchaînent ! Très vite je comprends que c’est un terrain où les habitués, essentiellement des Dominicains, parlent beaucoup. Les matchs sont longs et âpres, il vaut mieux ne pas perdre car on risque de ne plus pouvoir jouer de l’après-midi. Un flot continu de joueurs approvisionne le terrain et les matchs deviennent de plus en plus intenses. On demande beaucoup de fautes et les joueurs restés sur le côté s’impatientent, ainsi un match sur deux s’arrêtent pendant quinze minutes à cause de fautes réelles ou fantasmées.\\n\\nRencontre avec Torrell Martin, un ancien joueur américain de France\\n\\nParmi les plus bruyants un joueur accompagné de son acolyte attire mon attention. Je les laisse terminer leur match et je décide d’aller lui parler. C’est une incarnation du joueur de playground nord-américain, élégant balle en main, il pratique le trash talk et l’isolation avec aisance. Il s’agit de Torrell Martin ancien joueur professionnel notamment passé par Nancy, Antibes ou Orchies. Son histoire est particulièrement intéressante. Originaire de Caroline du Sud, il a fait plusieurs training camp avec des équipes NBA et a rejoint l’Europe ensuite pour faire carrière. Il se confie :\\n\\n« j’adore le basket je joue partout où je vais. Mon histoire est plutôt intéressante, j’ai été trois fois d’affilée champion de ma conférence puis j’ai été choisi par les Orlando Magic en 2007 pour disputer un training camp. Il y avait à l’époque Trevor Ariza, Dwight Howard, JJ Redick, j’ai joué avec eux quatre mois avant d’être coupé. Du coup j’ai été joué à l’étranger, le basket là-bas était top ! J’ai joué en Turquie, puis en Grèce à Kavala et en France à Nancy, Orléans, Orchies, Antibes et Roanne ! Depuis j’ai pris ma retraite sportive en 2015 et j’ai monté mon entreprise. Je suis coach sportif et j’entraine des gens partout autour de la planète. C’est pour ça que je suis ici à Barcelone».\\n\\nUn personnage incroyable et un discours touchant, c’était un plaisir de parler avec Torrell. Plus tard, ils perdront enfin un match ce qui me donnera l’occasion de discuter avec Jordi, un des coéquipiers de Torrell. Jordi est une mémoire vivante du streetball barcelonais et de la liga ACB mais c’est aussi un excellent joueur de basket. Rapide, efficace et avec un QI basket élevé il représente tout ce que j’aime dans le basketball espagnol. C’est également une encyclopédie du basket espagnol professionnel et de streetball. Jordi vient de Manresa, une ville de 75 000 habitants au nord de Barcelone. Manresa est une équipe cadre de la Liga ACB et du basket espagnol. Elle a notamment réussi à arracher une coupe de roi et un championnat d’Espagne aux géants du royaume dans les années 1990. Jordi m’évoque notamment les grands joueurs passés par son équipe de cœur : Serge Ibaka, Andrés Nocioni ou encore Sergio Llull. Il avoue aimer le basket européen où le collectif prime et avoir un faible pour Baskonia car « ils prennent des joueurs jeunes de talents et savent les faire évoluer ». Puis il évoque le régional de l’étape, Alex Llorca, né à Esplugues de Llobregat, il a grandi sur le terrain de Barcelona Sants et a côtoyé les habitués de celui-ci. Aujourd’hui joueur professionnel à Fuenlabrada il reste attaché à ce playground et y revient régulièrement.\\n\\nDiscuter avec ces joueurs de streetball fut un plaisir. Je suis resté jusque 22 heures sur ce terrain. J’ai pu profiter de la musique environnante et de discussion animée autour des effectifs des équipes de Liga ACB et d’Euroleague pour la saison à venir. Le temps de trouver une taverne basque et de déguster quelques pintxos accompagnés de patatas bravas et me voilà de retour à mon auberge de jeunesse.\\n\\nUne assemblée de l’ONU\\n\\nIl est 8 heures lorsque je me réveille encore émerveillé de mes rencontres de la veille, aujourd’hui c’est mon jour, je rentre enfin dans l’arène barcelonaise. Où ça ? A la Barceloneta ! Ancien quartier de marin et de pécheurs au bord de la mer, il abrite un terrain de basket rénové il y a quelques années par la NBA. C’est un quartier vivant, charmant et animé. Mais avant de faire chauffer les chaussures, un petit tour de la ville s’impose. Ramblas, plaza de Cataluña, statue de Christophe Colomb et me voilà en route pour le terrain du parc de la Barceloneta.\\n\\nUne fois arrivé sur la promenade, je profite de la vue tout en m’approchant de mon objectif, les joueurs de volley s’affrontent sur les nombreux terrains de la plage et les touristes font bronzette. Autant dire que je fais assez tâche en tenue de basket. Arrivé du lieu indiqué par mon téléphone, je repère une coupole au loin. Il s’agit du terrain. Le cadre est magnifique pour jouer. Lorsque je m’approche je me rends compte que je ne suis pas le seul à avoir eu l’idée de profiter de la fin d’après midi pour jouer à la baballe. C’est une vraie assemblée de l’ONU. L’Espagne est bien sur représentée, comme l’Italie, le Vénézuela, Cuba, la République Dominicaine, la Turquie, la France et l’Argentine. Très vite je me rends compte qu’ici aussi on parle beaucoup et on demande beaucoup de fautes pour rien. C’est très compliqué de rentrer et de jouer. Ce sont les derniers arrivants qui rentrent les premiers. C’est ainsi que fraichement arrivé je me retrouve à jouer après 10 minutes d’attente. C’est un quatre contre quatre qui m’attend avec pour coéquipier deux Vénézuéliens et un Cubain. Le premier plutôt gaillard, 1,80m, agile et rapide et un deuxième, gaillard de 1,90m. Enfin, un élégant shooter cubain. Le match commence de façon très intense, l’équipe d’en face composée de deux garçons très véloces et d’une fille très adroite jouent particulièrement bien. Je prends ma mission très à cœur, la défense et malgré une équipe en face bien rodée, nous remportons le match. Il en va de même pour les trois suivants. Une belle après-midi de basket seulement entachée par quelques discussions interminables sur d’éventuelles fautes. Un terrain que je recommande donc ! Il me reste donc à rentrer prendre une bonne douche, m’étirer et me restaurer. Demain je vais rendre visite à l’Euroleague.\\n\\nVisite à l’Euroleague\\n\\nIl est 10 heures lorsque grâce à mes diverses correspondances en bus, j’arrive au siège de l’Euroleague à Barcelone. Je suis accueilli par Diego qui me fait visiter la structure. Chaque pièce porte le nom d’une des légendes de la compétition. Et le tout est richement décoré par des photos de célébration de titre et d’images de jeu. Puis nous nous dirigeons vers la salle de réunion. Nous discutons tout d’abord de l’histoire de l’Euroleague.\\n\\nJusque dans les années 1990 il y avait la coupe des clubs champions. Les champions de chaque championnat s’affrontaient dans celle-ci. Puis lors de la saison 2000-2001, l’ULEB, Union des ligues européennes de basket-ball, créée une ligue indépendante de la fédération internationale : l’Euroleague. Puis au cours des années, la compétition a évolué pour maintenant se constituer d’une phase régulière où 16 équipes s’affrontent pour ensuite que les 8 premières accèdent aux Playoffs. Et les 4 dernières équipes se rerouvent lors du Final Four organisé dans une ville hôte sélectionnée à l’avance. Pour se donner les moyens de ses ambitions l’Euroleague a également réduit le nombre d’équipe passant de 24 à 16, fermée le reversement d’équipe d’Euroleague à destination de l’Eurocup pour se doter d’un calendrier plus facile à gérer.\\n\\nSur ces 16 équipes, 11 ont une licence et cinq se qualifient grâce à leurs résultats. Le champion d’Allemagne, la meilleure équipe espagnole sans licence, le champion de la ligue Adriatique, le champion de la VTB Ligue et le vainqueur de l’Eurocup. « Le but de l’Euroleague est la stabilité. Nous souhaitons porter un projet solide sur la durée ». L’année prochaine deux nouvelles équipes intégreront l’Euroleague. « Une équipe allemande devraient devenir semi-permanente. Il s’agira du Bayern Munich. Ainsi qu’une équipe française, l’ASVEL étant la mieux positionnée pour intégrer l’Euroleague, même s’il manque quelques détails pour finaliser l’opération ».\\n\\nNous avons ensuite discuté de sujets davantage orientés vers le marketing. En effet, j’ai interrogé Diego sur la possibilité de futurs global games avec des équipes NBA. En effet, il y a quelques années, des équipes NBA étaient venues jouer en Europe et vice versa. Cependant la chose semble compliquée de nos jours aux vues des calendriers des deux entités. Puis nous avons discuté du programme MBA qu’a développé l’Euroleague. Ce fut tout d’abord un master en collaboration avec l’université de Venise puis à partir de cette saison, avec l’université de Vytautas en Lituanie. Les étudiants de ce programme y reçoivent un enseignement complet pour comprendre les différentes problématiques du « Sport Business » actuel. Gouvernance, droit, communication ou encore marketing en font bien sur partie. « Le but est de donner aux clubs les meilleurs outils pour être performants et viables sur le long terme, » affirme Diego. Ce MBA permet également de pouvoir rencontrer des acteurs majeurs du milieu comme des équipementiers, d’autres ligues comme la NBA ou des clubs d’autres sports.\\n\\nNous avons ensuite discuté des différents sponsors de l’Euroleague. Celle-ci ayant divisée ses partenaires en différentes catégories. Il y a bien sur un partenariat de naming existant pour les deux compétitions. Turkish Airlines pour l’Euroleague et 7 days, marque alimentaire, pour l’Eurocup. Ensuite, elle a un deuxième niveau de partenariat, les partenaires premium. On y retrouve Adidas, Betfair, Nesine.com et fonbet. Enfin on retrouve les partenariats globaux avec des marques comme Spalding ou Kyocera ; des partenaires régionaux (Burger King, Endesa,...) et des partenaires globaux pour le Final Four (Efes, Vodavoda et Acibadem).\\n\\nEnfin nous avons parlé du futur de l’Euroleague, j’ai notamment interrogé Diego sur l’évolution de l’Eurocup, qui, selon lui, ne devrait pas changer de format pour l’instant. Ensuite, j’ai voulu en savoir davantage sur la production audiovisuelle de l’Euroleague. Diego m’a sous-entendu que contrairement à la retraite d’ « El Manu », celle de Juan Carlos Navarro devrait être l’objet d’un petit documentaire. A la manière de celui réalisé sur Diamantidis. Ainsi ces excellents documentaires devraient continuer. Puis nous avons poursuivi notre discussion en évoquant les thématiques numériques et Diego m’a confié que l’Euroleague étudiait la possibilité de se lancer dans le e-sport pour pouvoir s’attaquer au marché des « milennials ».\\n\\nAu musée du Barça\\n\\nCe fut un moment très enrichissant pour moi. J’ai pu mieux comprendre comment s’organisait l’Euroleague. Je remercie donc beaucoup Diego et son équipe qui ont été formidables avec moi. Une fois la porte de la ligue majeure européenne refermée, je me dirige vers le centre de Barcelone. En effet, je dois rentrer me changer, cette après-midi je me rends au terrain de basket situé à côté du métro Monumental. Alors j’enfile ma tenue, avale un sandwich et me voilà en route pour ce fameux terrain.\\n\\nC’est un terrain assez charmant. En effet, il est situé non-loin de la Sagrada Familia et le cadre est assez sympathique. Niché entre les immeubles on y est protégé du vent, on y trouve une fontaine, des bancs et des graffitis colorés. A peine arrivé je me rends compte qu’on y joue tout terrain. Très fréquenté par la communauté chinoise c’est un terrain où les équipes se font aux lancers. Ceux qui veulent prendre « la gagne » doivent tirer un lancer. Les cinq premiers à marquer rentrent sur le terrain. Les autres attendront encore un peu. Malgré le manque de niveau athlétique sur ce terrain légèrement en pente, le rythme est assez soutenu les possessions durent peu longtemps. Les nombreux tirs ratés donnant lieu à des contre-attaques incessantes. Pas le plus beau spectacle qui soit donc mais soit, je rentre enfin et c’est avec regret que je ne peux que constater le manque de défense de mes coéquipiers qui préfèrent shooter depuis la ligne à trois points dans le meilleur des cas. Pour autant, je m’en sors bien en faisant le sale boulot en défense et au rebond et nous gagnons plusieurs matchs. A la fin de cette série de partie j’en profite pour discuter avec quelques Espagnols : « Ici, on joue tous les jours. C’est moins physique qu’au terrain de Sants et on joue tout terrain. Il y a toujours du monde avec un plutôt bon niveau. Par contre évite de venir avant cinq heures, il n’y a jamais personne à cause de la chaleur ».\\n\\nC’est ainsi que plutôt enjoué de ma journée, je rentre à mon auberge de jeunesse. Le lendemain je dois aller au Palau Blaugrana, à la rencontre de l’équipe locale du FC Barcelone.\\n\\nIl est 9 heures lorsque je vois l’email du club m’annonçant que l’entrainement ayant été déplacé, je ne pourrai ni visiter les infrastructures ni rencontrer les joueurs. Mais qu’un ticket pour la visite du musée m’attendait au Camp Nou. Très déçu je me dirige tout de même vers le métro pour visiter ce musée que je connais très bien puisque je l’avais déjà visité en 2010, année de la victoire du Barça en Euroleague. L’endroit a beaucoup changé depuis ma dernière visite. De plus en plus digitalisé et industrialisé, il est davantage séduisant et cela s’en ressent à la boutique et aux bornes photos ou d’immersion 3D. Nombreux sont les touristes qui cèdent à la tentation.\\n\\nLe musée du club est bien évidemment principalement orienté vers le club de football. Pour autant, de nombreuses vidéos de la section basketball, ainsi que des trophées et des maillots sont disponibles. Fondée en 1926, l’équipe du FC Barcelone de Basketball a connu des premières années compliquées étant donné la densité d’équipe en Catalogne. Il faut attendre 1959 pour que le club « azulgrana » fasse son premier doublé coupe-championnat. Puis des années 1960 à 1970 le club a failli disparaître et dû redescendre en deuxième division puis est revenue au premier plan dans les années 1980. Les trophées exposés commencent à partir de cette époque : Copa del Rey, coupe Korać de 1987 et 1999, Supercoupe d’Espagne et Titre de Liga ACB. On peut également revivre quelques moments forts dans l’histoire du club comme les premiers points de Juan Carlos Navarro, la signature de Ricky Rubio ou encore la dernière victoire en Euroleague. Enfin, un large écran propose de nous expliquer le fonctionnement du club (actionnariat de socios) et le financement de projets via la fondation du club.\\n\\nLa visite fut fort enrichissante et c’est avec une pointe de regret que je vois disparaître le Palau Blaugrana sous mes pas. Heureux d’avoir vécu des moments inoubliables et rencontrés des personnes incroyables, je rentre préparer mes bagages pour m’attaquer à la troisième destination du Basket Europe Tour, Milan !"
}, 
{"role": "user",     "content":"Endy Miyem, après France-Australie: «J’en bave mais c’est pour la bonne cause!»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison estivale de WNBA timide et avortée (20 matches, 5’ et 1,4 point en moyenne), Endy Miyem (1,88m, 30 ans) a pris le train de l’équipe de France en cours de préparation. Hier, elle a été élue MVP du match contre l’Australie que la France a remporté 85-77 après avoir cumulé 19 points à 8/12 aux tirs, 4 rebonds et 3 passes, preuve que la forme et la confiance sont de retour.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQue pensez-vous de votre prestation ?\\n\\nJe ne peux pas dire que je ne suis pas contente de ma prestation de ce soir même si ça ne fait pas tout. On ne se prépare pas juste pour le match de ce soir. C’est une étape. Mais effectivement ça fait plaisir d’avoir fait un bon match et de voir que l’on a gagné. On a produit un beau jeu et notamment une très belle première mi-temps. Pour moi, c’est vrai que le retour est un peu compliqué. J’ai pris la préparation en cours et c’est vrai que physiquement, j’étais un petit peu courte (sourire). Mais, bon, je travaille et j’espère arriver dans la meilleure forme possible à la Coupe du monde.\\n\\nJustement, en WNBA, vous jouiez peu et certains soirs pas du tout, alors qu’en équipe de France, vous êtes appelée à jouer beaucoup. Il faut retrouver tout un rythme ?\\n\\nC’est vrai que le premier match, ça m’a fait bizarre, je devais être à 25 minutes. Là-bas, je jouais parfois 1’30, il y avait un sacré grand écart. J’essayais de m’entraîner un peu de mon côté, des entraînements individuels, de faire un peu de cardio après les matches sur le tapis roulant. Mais c’est vrai qu’avec un match tous les deux jours et les déplacements, c’est assez compliqué. Je n’avais pas réalisé sur le coup à quel point j’avais perdu le rythme. Dès que je suis arrivée (NDLR en équipe de France), tout le staff s’est donné la mission de me remettre en forme. J’en bave mais c’est pour la bonne cause !\\n\\nAu cours de ce match, vous avez été brillantes en attaque et aussi gagné beaucoup de ballon en défense. Est-ce ce jeu-là que vous voulez développer cette année ?\\n\\nClairement. Quand on est arrivé dans le vestiaire après la première mi-temps, on avait vraiment le sentiment d’avoir fait le taf. On avait cette bonne énergie qui montre que l’on a fait le travail, on était sur les lignes de passe. En attaque, on a joué notre jeu. Oui, pour nous, cette mi-temps-là, ça peut être une référence vis-à-vis du jeu que l’on veut développer à l’avenir.\\n\\nNe faut-il pas se méfier du résultat flatteur sachant que les Australiennes avaient peut-être du décalage dans la tête et qu’il leur manquait deux joueuses fondamentales, la meneuse Leilani Mitchell et la pivot Liz Cambage ?\\n\\nC’est sûr que ça ne sera pas la même équipe mais il ne faut pas oublier la prestation que l’on a eu ce soir. On a montré de très belles choses. Nous non plus, on n’aura pas la même équipe. On va travailler et on arrivera encore plus fortes sur la Coupe du monde. Il faut savoir regarder le positif sans trop s’enflammer, mais se féliciter un peu de temps en temps.\\n\\nVous allez maintenant disputer le Tournoi d’Antibes avec deux équipes spéciales : le Canada qui possède beaucoup de joueuses de la Ligue Féminine et les Etats-Unis, la nation mondial dominante ?\\n\\nOui, c’est LA grosse équipe des Etats-Unis. Quand on parles des Etats-Unis, on les voit déjà championnes du monde, championnes olympiques. Quand on joue contre elles, il y a déjà une motivation supplémentaire, une envie de bien faire, essayer d’exister face à cette équipe. Avec les objectifs que l’on s’est donné, si on veut atteindre un podium, c’est contre ce genre d’équipe qu’il faut exister et j’ai envie de dire, un peu briller.\\n\\n[armelse]\\n\\nQue pensez-vous de votre prestation ?\\n\\nJe ne peux pas dire que je ne suis pas contente de ma prestation de ce soir même si ça ne fait pas tout. On ne se prépare pas juste pour le match de ce soir. C’est une étape. Mais effectivement ça fait plaisir d’avoir fait un bon match et de voir que l’on a gagné. On a produit un beau jeu et notamment une très belle première mi-temps. Pour moi, c’est vrai que le retour est un peu compliqué. J’ai pris la préparation en cours et c’est vrai que physiquement, j’étais un petit peu courte (sourire). Mais, bon, je travaille et j’espère arriver dans la meilleure forme possible à la Coupe du monde.\\n\\nJustement, en WNBA, vous jouiez peu et certains soirs pas du tout, alors qu’en équipe de France, vous êtes appelée à jouer beaucoup. Il faut retrouver tout un rythme ?\\n\\nC’est vrai que le premier match, ça m’a fait bizarre, je devais être à 25 minutes.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pape-Philippe Amagou met un terme à sa carrière"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A 33 ans, Pape-Philippe Amagou (1,85m) a décidé de mettre fin à sa carrière. Il a réussi l’exploit durant celle-ci d’être sacré champion de France avec trois clubs différents, Le Mans (deux fois), Nancy et Limoges. Féroce défenseur, il était aussi humainement apprécié dans les clubs où il est passé. Sa fin de carrière a été très fortement perturbée par une hernie discale et il a du se contenter la saison dernière de 8 matches de saison régulière et n’a pu participer aux playoffs.\\n\\nInternational français A’, élu Meilleur Espoir de Pro A en 2003 et 2004, il a par ailleurs été international ivoirien et participé à ce titre au championnat du monde 2010 en Turquie.\\n\\nAvec son ancien équipier au MSB Alain Koffi, il a monté au Mans une entreprise spécialisée dans la vente de produits multimédias et la réparation en téléphonie mobile et il a préparé un BBA online spécialité finances.\\n\\n« Après 16 saisons professionnelles j’ai décidé de mettre un terme à ma carrière de sportif de haut niveau », écrit-il sur les réseaux sociaux. « Une page se tourne et un nouveau chapitre porteur d’espoirs et de nouvelles promesses s’ouvre devant moi. Pour autant, je n’oublie pas tout ce que ce sport que j’aime profondément m’a apporté : les rencontres, les valeurs, les succès, les échecs, la ferveur, les amitiés sincères, une vie intense pleine de voyages et la chance inestimable de vivre de ma passion. Propulsé à l’âge de 17 ans dans le monde pro par mon club formateur du Mans, je sors, 16 ans plus tard, fier du chemin parcouru. J’aurais aimé terminer ma carrière en étant actif sur le terrain, néanmoins j’ai le sentiment d’avoir bouclé la boucle avec ce dernier titre de champion de France 14 ans après mon premier titre professionnel.\\nAu moment de quitter les parquets, je souhaite remercier du fond du cœur tous les acteurs qui ont rendu cette merveilleuse aventure possible : mes coachs, tous sans exception car tous m’ont permis de progresser, les dirigeants et les salariés des 5 clubs qui m’ont accueilli, mes coéquipiers, les arbitres, mes valeureux adversaires, mes agents qui m’ont conseillé, sans oublier les bénévoles au grand cœur sans lesquels le basket professionnel n’existerait pas, les supporters passionnés, et enfin ma famille, sans laquelle tout cela n’aurait pas eu de sens.\\n\\nJe vous dis à tous un grand merci et à très bientôt au bord d’un terrain... »\\n\\nCARRIÈRE :\\n\\n2001-07 : Le Mans (Pro A)\\n\\n2007-08 : Nancy (Pro A)\\n\\n2008-09 : Kavala Panorama (Grèce)\\n\\n2009-11 : Roanne (Pro A)\\n\\n2011-12 : Nancy (Pro A)\\n\\n2012-14 : Roanne (Pro A)\\n\\n2014-15 : Limoges (Pro A)\\n\\n2015-18 : Le Mans (Pro A)\\n\\nPALMARÈS :\\n\\nChampion de France en 2006, 2008 et 2015\\n\\nVainqueur de la Semaine des As en 2006\\n\\nVainqueur de la Coupe de France en 2004 et 2016\\n\\nMédaille d’Argent au Championnat d’Afrique en 2009\\n\\nPhoto: MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Jeep®ÉLITE 2018/19 – Dijon: La Champions League en bonus"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Jeep Elite débute les 22 et 23 septembre et nous sommes fiers de vous proposer pour la troisième année (déjà!) une présentation complète sur BasketEurope avec une analyse de chaque équipe, des commentaires sur chaque joueur et coach, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié depuis le lundi 3 septembre et jusqu’au jeudi 20 avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 4.99€/mois annulable à tout moment). Vous pouvez également dès aujourd’hui commander le Magazine « Guide de la saison » sur notre boutique à 6€ frais de port inclus.\\n\\nNous vous proposerons ensuite la Pro B et la Ligue Féminine.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAvec un budget modeste annoncé à moins de 4 millions d’euros pour l’exercice 2017/18, rien ne prédestinait la JDA Dijon à jouer les troubles fête dans la Jeep Elite. Et pourtant c’est bien ce qui s’est passé. La troupe de Laurent Legname est venue bousculer les grosses écuries pour se hisser à la cinquième place du classement au terme de la saison régulière. Eliminée en quart de finale par Limoges, la JDA a tout de même gagné une place en Champions League grâce au passage de Monaco et Limoges en Eurocup. La JDA perd ses deux meilleurs Français, Jacques Alingue et Valentin Bigote, mais peut se prévaloir de joueurs étrangers qui ont prouvé leur capacité à s’imposer en France, à Dijon ou ailleurs comme David Holston, Robert Arnold, Obi Emegano ou encore Gavin Ware. Question: la Champions League va t-elle être une surcharge pénalisante pour un effectif qui n’est pas à rallonge?\\n\\nSalle : Palais des Sports J.M. Geoffroy (4 628 places)\\n\\nPrésident : Thierry Degorce (53 ans)\\n\\nArrivées : Robert Arnold (Hyères-Toulon), Alexandre Chassang (Hyères-Toulon), Obi Emegano (Rouen, Pro B), Jérémy Leloup (Strasbourg), Gavin Ware (Levallois).\\n\\nDéparts : Jacques Alingue (Strasbourg), Valentin Bigote (Le Mans), Rion Brown (Promitheas, Grèce), Markus Kennedy (Socar Petkim Spor Kulübü), Rasheed Sulaimon (Levallois).\\n\\nDavid Holston – né le 26 janvier 1986 – 1,73m – Poste 1 – Américain\\n\\nEn Turquie pour la première partie de saison dernière, le micro meneur a fait son retour à Dijon fin janvier. Egalement passé en Allemagne pendant sa carrière, le natif de Pontiac avait fait sensation lors de son premier séjour à la JDA entre 2015 et 2017. Il compilait la saison dernière en moyenne 9,9 points (41% de réussite à trois points) et 5,6 passes décisives en Jeep Elite. Issu de Chicago State.\\n\\nAxel Julien – né le 27 juillet 1992 – 1,80m – Poste 1 – Français\\n\\nDepuis son arrivée à Dijon, en 2015, l’ancien joueur du HTV est en progression constante et il a réalisé sa meilleure saison en 2017/18. La saison dernière, le meneur de jeu a même été appelé par Vincent Collet pour intégrer le Team France Basket. Il compte aujourd’hui six sélections en A à son actif. Ses stats la saison passée : 7 points, 2,5 rebonds et 4,9 passes décisives. Porte le numéro 83 en référence à son département de naissance, le Var. Se définit comme étant casanier, simple et aimant la rigolade.\\n\\nObi Emegano – né le 29 avril 1993 – 1,90m – Poste 2 – Nigérian\\n\\nLeader offensif de Rouen, en Pro B, en compagnie de Amin Stevens, cet arrière tonique est capable de véritables cartons. En témoignent ses 30 points inscrits face à Roanne lors de la 33e journée ou plus encore ses 47 points en quart de finale aller des playoffs face à Orléans. Passé par la deuxième division italienne et la deuxième division polonaise, le natif de Lagos a démontré l’étendue de son talent également en deuxième division française. Auteur d’une saison 2017/18 de haut vol, il a attiré l’oeil des équipes de Jeep Elite et aurait également pu rejoindre Nanterre ou Limoges avant de signer avec Dijon. La saison passée, il compilait 17,5 points, 3 rebonds et 2 passes décisives en Pro B.\\n\\nRobert Arnold – né le 12 novembre 1988 – 1,98m – Poste 2/3 – Américain\\n\\nPassé par l’Autriche, la Finlande où il fut élu MVP en 2015, la Belgique et la Crète, le Californien a vécu sa première saison en France en 2017/18. Il n’a pas pas pu empêcher la descente en Pro B du HTV et la disparition du club de l’univers professionnel, mais il a su faire apprécier ses qualités de scoreur capable de créer son propre shoot. Il tournait à 14,4 points, 4,1 rebonds et 2,5 passes décisives la saison dernière.\\n\\nAlexandre Chassang – né le 22 novembre 1994 – 2,04m – Poste 4 – Français\\n\\nCet intérieur bien charpenté va connaître son troisième club de Jeep Elite après l’ASVEL et Hyères-Toulon, et tente de se faire définitivement une place en première division. Passé par l’INSEP et champion de France avec Lyon-Villeurbanne en 2016 dans un rôle mineur, ses minutes ne cessent d’augmenter, son rendement avec, et il vient tout simplement de signer son meilleur exercice en professionnel sur le Côte d’Azur. A Dijon, il retrouve son coéquipier de la saison dernière au HTV, Robert Arnold. Ses stats en 2017/18 : 5,5 points et 3,5 rebonds.\\n\\nJérémy Leloup – né le 31 janvier 1987 – 1,99m – Poste 3-4 – Français\\n\\nAprès cinq saisons à Strasbourg, quatre finales des playoffs de Jeep Elite d’affilée et une finale d’Eurocup, le Manceau de naissance a décidé de changer d’air et de revenir dans un club qu’il connait, la JDA. Entre 2010 et 2013, l’ancien joueur de Vichy y a fait son premier passagge. Bon shooteur à trois points, utilisé en 3 et en 4, il a va apporter de l’espace dans le jeu dijonnais en s’écartant du panier. Ses stats en 2017/18 : 5,2 points (31% à trois points) et 2 rebonds.\\n\\nAbdoulaye Loum – né le 3 avril 1991 – 2,08m – Poste 4 – Français\\n\\nIl va vivre sa deuxième saison à Dijon après avoir connu Le Havre, Gravelines-Dunkerque, Boulogne-sur-Mer, Orléans et Chalon-sur-Saône. Vainqueur du Trophée du Futur et MVP de l’événement en 2012, l’ancien Orléanais a également été titré chez les pros en remportant le championnat de Pro A en 2017, sous les couleurs de l’Elan Chalon. La saison dernière, il tournait à 4,5 points et 2,7 rebonds de moyenne.\\n\\nRyan Pearson – né 27 février 1990 – 1,96m – Poste 4 – Américain\\n\\nArrivé en France en 2016, au Mans en provenance de Hongrie, le barbu du Queens est aussi passé par l’Ukraine, Israël et la Belgique. 19,8 points en Fiba Europe Cup avec Anvers en 2015. C’est un poste 4 moderne, apte à jouer près du cercle, mais qui aime aussi s’écarter pour avoir la balle en main loin du cercle et prendre des shoots extérieurs, voire même à trois points. La saison dernière, il conjuguait en moyenne 13,7 points et 2,9 rebonds. Un gaucher.\\n\\nGavin Ware – né le 19 octobre 1993 – 2,06m – Poste 4/5 – Américain\\n\\nPour une première saison en France et sa deuxième en tant que professionnel, le natif de Starkville a répondu présent aussi bien en championnat qu’en Coupe d’Europe. Passé par Anvers en 2016/17, c’est un intérieur puissant, qui va au combat et qui a une bonne présence au rebond mais qui doit progresser sur son shoot. Il faisait partie de la discussion pour le titre de meilleur sixième homme de la saison, remporté par le Manceau DJ Stephens. Ses stats en 2017/18 : 12,2 points et 6,6 rebonds en Jeep Elite et 11,6 points et 6,6 en Eurocup.\\n\\nCoach\\n\\nLaurent Legname – né le 13 aout 1977 – Français\\n\\nFils de Philippe Legname, président de la LFB et ancien dirigeant de Hyères-Toulon, Laurent Legname est à la tête de la JDA Dijon depuis 2015. Il est arrivé pour prendre la succession de Jean-Louis Borg passé au poste de Manager General. Meilleur entraîneur de Pro B en 2014 avec le HTV, Laurent Legname s’est reconverti dans le coaching en 2013 après avoir été joueur professionnel à Boulogne-sur-Mer et surtout à Hyères-Toulon, sa ville natale.\\n\\nAssistant:\\n\\nFrédéric Wiscart-Goetz (52 ans)[armelse]Avec un budget modeste annoncé à moins de 4 millions d’euros pour l’exercice 2017/18, rien ne prédestinait la JDA Dijon à jouer les troubles fête dans la Jeep Elite. Et pourtant c’est bien ce qui s’est passé. La troupe de Laurent Legname est venue bousculer les grosses écuries pour se hisser à la cinquième place du classement au terme de la saison régulière. Eliminée en quart de finale par Limoges, la JDA a tout de même gagné une place en Champions League grâce au passage de Monaco et Limoges en Eurocup.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Des débuts encourageants pour les Français de l’étranger en préparation"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La préparation d’avant-saison bat son plein un peu partout en Europe, avec les premiers matchs et les premières foulées des nouvelles recrues dans leurs nouveaux clubs. Et nos Français de l’étranger ne dérogent donc pas à la règle, avec des signes encourageants pour cette rentrée des classes.\\n\\nAndrew Albicy déjà en grande forme\\n\\nDans sa victoire face à l’équipe nationale de Tunisie (89-80), le Fenerbahçe a pu compter sur un bon Joffrey Lauvergne qui termine sa première partie sous ses nouvelles couleurs avec 13 points et 6 rebonds.\\n\\nDe même, Mathias Lessort a réussi un match très solide face à Burgos, avec 17 points en 16 minutes, mais dans la défaite, 93-86. Dans un autre revers assez large contre Estudiantes (92-75), Lessort a signé 6 points, 4 rebonds en 14 minutes.\\n\\nUn autre homme en forme en cette présaison, c’est Andrew Albicy. Le meneur d’Andorre a bien ses marques avec son équipe et il a signé deux belles prestations pour commencer l’année de la meilleure des manières. Il a ainsi cumulé 10 points, 6 passes face à Manresa (défaite 77-75) et surtout 16 points, 4 passes face à Pau-Orthez (victoire 100-79).\\n\\nEn attendant Antoine et Kevin...\\n\\nAvec Valence, et alors qu’Antoine Diot va effectuer son grand retour sur les planches, Louis Labeyrie (3 points) a connu des débuts tranquilles dans un succès aisé face à Murcie (85-58).\\n\\nDe son côté, Vincent Poirier (5 points, 3 rebonds, 3 interceptions, 2 passes, 2 contres) a bien noirci la feuille de stats dans le match face à Lugo (victoire 83-62). Il a par contre été très discret, avec 2 petits points, dans le match à sens unique face au Partizan (91-54) de Bandja Sy qui est quant à lui resté muet malgré 24 minutes de temps de jeu.\\n\\nEnfin, face à Badalone (et dans la défaite), Thomas Heurtel (6 points, 2 rebonds, 2 passes) a lui aussi repris le chemin des terrains, en attendant le retour à la compétition de Kevin Séraphin à ses côtés."
}, 
{"role": "user",     "content":"En direct avec Alain Koffi (Gravelines-Dunkerque) : «Je porte mon âge sur mon dos pour montrer aux gens que je ne suis pas trop vieux»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Passé par Le Mans, Rouen et Pau-Orthez, Alain Koffi (2,07m, 34 ans) fait partie des plus anciens joueurs de Jeep Elite. Cet été, il a décidé de quitter l’Elan Béarnais pour découvrir un nouveau club, le BCM Gravelines-Dunkerque. Il répond aux questions du « En Direct ».\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nAlors là, je m’en souviens pas vraiment. C’était avec Le Mans et je sais que j’avais fait un match amical contre Paris, mais je ne me souviens plus de mon premier match officiel.\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nIl y en a eu plusieurs. Il y a eu des joueurs, des coachs... En joueur, celui dont j’ai le plus appris je pense que c’est Sandro Nicevic, au Mans (ndlr, il y a joué entre 2002 et 2004). A l’époque, je commençais le basket, il m’a pris sous son aile, il m’a montré pas mal de mouvements et une éthique de travail à suivre. Il m’a aidé aussi tout au long de ma carrière.\\n\\nLe coach qui vous a le plus marqué :\\n\\nC’est Vincent Collet ! Il m’a lancé dans ma carrière professionnelle et il m’a aussi relancé en équipe de France. Il a pris une grande place dans ma carrière, il a souvent été là.\\n\\nLe club dans lequel vous auriez rêvé de jouer :\\n\\nSincèrement, quand j’ai commencé le basket, je n’avais pas la prétention de vouloir passer pro. Le fait de signer professionnel dans le club qui m’a formé, Le Mans, c’était quelque part un rêve. Je dirais donc que d’avoir signé au Mans c’était un rêve pour moi.\\n\\n« Sean May, avec qui j’ai joué à Rouen, était d’une facilité déconcertante en attaque »\\n\\nLa salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :\\n\\nC’était en Grèce quand j’ai joué contre l’Olympiakos. La salle était remplie, c’était énorme !\\n\\nLe pire souvenir de joueur :\\n\\nJe ne sais pas si je pourrais en garder un, mais il y a plusieurs choses qui me viennent en tête. Le fait de perdre la finale du championnat de France et il y a aussi les blessures. Quand tu te blesses, ce sont vraiment des moments difficiles à passer, c’est douloureux pour le moral.\\n\\nLe meilleur souvenir de joueur :\\n\\nC’est d’avoir remporté tous les titres que j’ai pu gagner, comme le titre de champion de France avec Le Mans, et j’espère maintenant rééditer la performance avec le BCM.\\n\\n« J’ai eu l’occasion de jouer contre Team USA au Madison Square Garden avec l’Equipe de France donc il y avait une belle ribambelle de joueurs dans cette équipe-là »\\n\\nLe trophée dont vous êtes le plus fier :\\n\\nLe trophée de champion de France gagné en 2006 avec Le Mans. Personne ne s’attendait à ce qu’on gagne, mais on l’a fait et ça été une très belle chose pour le club qui a pu nous lancer dans le grand bain, nous les jeunes.\\n\\nLe meilleur joueur avec qui vous avez joué :\\n\\nIl y en a eu pas mal... Mais le plus talentueux je dirais que c’est Sean May avec qui j’ai joué à Rouen. Il était d’une facilité déconcertante en attaque.\\n\\nLe meilleur joueur que vous avez affronté :\\n\\nJ’ai eu l’occasion de jouer contre Team USA au Madison Square Garden avec l’Equipe de France. Il y avait une belle ribambelle de joueurs dans cette équipe-là donc c’est dur d’en sortir un mais je vais dire Kevin Durant.\\n\\nVotre match référence en carrière :\\n\\nPas vraiment eu. Il y a des matchs où j’ai été bon, mais je n’ai pas vécu de match où je me suis dit « ah là t’es en feu tu ne rates rien! ».\\n\\n« Je n’étais pas un grand fan des études, mais maintenant avec l’âge je me rends compte que c’était utile »\\n\\nSi vous pouviez prendre le move d’un joueur :\\n\\nJ’aime beaucoup le style de jeu de LaMarcus Aldridge. Un grand poste 4 qui est fort techniquement et qui est capable de s’écarter à trois points comme à deux points, c’est fort. J’aime ce genre de joueur.\\n\\nPourquoi le numéro 35 :\\n\\nEn quittant Le Mans en 2014, beaucoup on dit que j’étais fini et que j’étais trop vieux donc depuis cette année-là, je porte mon âge sur le dos. J’aurai 35 ans cette année et je l’affiche sur mon numéro pour montrer aux gens que je ne suis pas trop vieux.\\n\\nLa ville dans laquelle vous avez joué que vous préférez :\\n\\nJ’ai adoré Le Mans parce que j’ai été formé là-bas. Mon passage à Rouen m’a permis de découvrir un autre club et une autre organisation et j’ai adoré la ville de Rouen. Pareil pour Pau, et j’apprends à découvrir Gravelines et j’aime aussi. Je ne suis pas très difficile, partout où je suis passé j’ai eu des bons moments et ma famille aussi a apprécié. Pour moi ça compte beaucoup. Il n’y en a pas une qui sort du lot, du moment que j’y suis bien avec ma famille, c’est le principal.\\n\\nPrincipale occupation entre deux entraînements :\\n\\nMaintenant que j’ai deux enfants, c’est compliqué d’avoir une activité autre que de s’occuper d’eux. J’aime passer du temps avec ma femme et mes enfants, surtout qu’avec les déplacements toute la saison c’est compliqué de les voir. Dès que j’ai du temps j’en profite pour le passer avec eux.\\n\\nSi vous ne jouiez pas au basket :\\n\\nC’est une très bonne question... On va dire que je n’étais pas un grand fan des études, mais maintenant avec l’âge je me rends compte que c’était utile. J’aurais continué mes études mais je ne sais pas dans quelle direction.\\n\\nAprès le basket :\\n\\nJe me rapproche du milieu informatique. Je me forme actuellement dans cette direction et sur les nouvelles technologies. Et je verrai ce que je peux y faire après.\\n\\n[armelse]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nAlors là, je m’en souviens pas vraiment. C’était avec Le Mans et je sais que j’avais fait un match amical contre Paris, mais je ne me souviens plus de mon premier match officiel.\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nIl y en a eu plusieurs. Il y a eu des joueurs, des coachs... En joueur, celui dont j’ai le plus appris je pense que c’est Sandro Nicevic, au Mans (ndlr, il y a joué entre 2002 et 2004). A l’époque, je commençais le basket, il m’a pris sous son aile, il m’a montré pas mal de mouvements et une éthique de travail à suivre. Il m’a aidé aussi tout au long de ma carrière.\\n\\nLe coach qui vous a le plus marqué :\\n\\nC’est Vincent Collet ! Il m’a lancé dans ma carrière professionnelle et il m’a aussi relancé en équipe de France. Il a pris une grande place dans ma carrière, il a souvent été là.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tournoi de Coubertin : l’Equipe de France en mode rouleau compresseur contre l’Australie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Victorieuses face à la Lettonie vendredi en ouverture du Tournoi International de Paris, les Bleues ne s’étaient pas rendues la vie facile face aux Lettones et devaient rectifier le tir ce samedi face à une des meilleures équipes du monde, l’Australie.\\n\\nMarine Johannes et Valérie Garnier soulignaient en conférence de presse d’après-match les erreurs défensives et le manque de concentration des filles lors de leur premier match. Il faut croire que la nuit a porté conseils puisque c’est de bout en bout que les coéquipières de Sandrine Gruda ont mené dans ce match.\\n\\nAvec un cinq de départ composé de Marine Johannes, Olivia Epoupa, Sandrine Gruda, Endy Miyem et Diandra Tchachouang, la concentration était à son maximum. La rencontre s’est tout de suite enflammée grâce à l’adresse de Marine Johannes qui a enchaîné deux tirs de suite à longue distance. Bien plus présentes que la veille en défense, grâce notamment à l’activité d’Olivia Epoupa qui n’a pas hésité à plonger dans les appuis de ses adversaires pour avoir l’interception, les Françaises provoquent sept pertes de balle dans le premier quart-temps et prennent six interceptions. Parties à toute vitesse, les Bleues parviennent à mener jusqu’à 17 points dans la première période pour finalement l’emporter 32-15 sur le quart-temps conclu par un tir à trois points au buzzer de la jeune Romane Bernies.\\n\\nDe retour sur le parquet, les joueuses tricolores subissent une légère baisse de régime qui coïncide avec l’entrée en jeu des remplaçantes. De leur côté, les Australiennes sont maintenues à flot uniquement grâce à Rebecca Allen qui se charge du scoring. La moitié de la période passée, Valérie Garnier relance son cinq de départ qui a fait tant de dégât en début de match. Résultat, la première mi-temps se termine comme elle a commencé avec un tir à trois points de Marine Johannes, un shoot à deux points de Diandra Tchachouang et une interception de l’inévitable Olivia Epoupa. Endy Miyem conclu le tout par une action à quatre points qui enfonce le clou à une minute de la pause. A la mi-temps, la France mène 58-39.\\n\\nLa plus grande crainte après la pause était de voir revenir l’adversaire comme l’ont si bien fait les Lettones vendredi, après la perte de concentration des Françaises. En début de quart-temps, Marine Johannes n’est plus dedans, elle enchaîne deux erreurs de suite qui lui valent le droit d’aller se remettre la tête à l’endroit sur le banc. Sur le terrain, Olivia Epoupa continue son travail remarquable en défense tandis que les autres continuent d’être présentes en attaque. Tout se passe bien pour la France qui conforte une avance d’environ 20 points toute la période. Après 30 minutes de jeu, les Bleues sont toujours devant 75-56.\\n\\nLargement devant, les filles se relâchent en fin de match et voient leurs adversaires du soir revenir à moins de dix points. Mais le match est déjà plié et les Bleues l’emportent finalement 85-77 face à l’Australie. Elles concluent ainsi ce tournoi parisien par une deuxième victoire en autant de matchs et se dirigent maintenant vers la Coupe du Monde qui aura lieu dans quelques jours à Tenerife, en Espagne.\\n\\nMVP de la rencontre, Endy Miyem a compilé 19 points (8/12 aux tirs), 4 rebonds et 3 passes décisives pour une évaluation de 22.\\n\\nPhoto : Bellenger/IS/FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Jeep®ÉLITE 2018/19 – Cholet Basket: Les projecteurs braqués sur Killian Hayes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Jeep Elite débute les 22 et 23 septembre et nous sommes fiers de vous proposer pour la troisième année (déjà!) une présentation complète sur BasketEurope avec une analyse de chaque équipe, des commentaires sur chaque joueur et coach, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié jusqu’au jeudi 20 avec chaque jour une équipe de JeepElite par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment). Vous pouvez également dès maintenant pré-commander le Magazine « Guide de la saison » sur notre boutique à 6€ frais de port inclus.\\n\\nNous vous proposerons ensuite la Pro B et la Ligue Féminine.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nIl faut remonter à Tony Parker au PSG Racing pour comparer les attentes placées en un gamin de 17 ans. Mais Killian Hayes est un spécimen rare. Le meilleur européen de sa génération et le peu de minutes que Philippe Hervé lui a accordé la saison dernière ont été utilisés avec efficience. Profitons de sa présence en Jeep Elite avant qu’il ne s’envole probablement très vite en NBA. Pour sa première expérience de coach principal, Régis Boissié a dû repartir d’une feuille blanche et la cellule de recrutement de CB s’est bien débrouillé notamment en enrôlant TyMcKee, qui va apporter sa gnac, et aussi Pape Sy qui a une revanche à prendre après un passage à Strasbourg parsemé d’embuches. CB n’a plus fait les playoffs depuis la saison 2011-12. Un club qui a donné six NBAers, quinze internationaux, tant de joueurs de qualité au basket français, et qui est au coeur d’une région folle de balle orange, mérite davantage qu’une place sur un strapontin de la Jeep Elite.\\n\\n© Cholet Basket\\n\\nSalle : La Meilleraie (5 181 places)\\n\\nPrésident : Didier Barré (53 ans)\\n\\nArrivées : Jonathan Augustin-Fairell (Blois, Pro B), Tywain McKee (Hapöel Tel-Aviv, Israël), Antywayne Robinson (Büyükçekmece Istanbul, Turquie), Pape Sy (Strasbourg), Olivier Troisfontaines (Okapi Aalstar, Belgique), Michael Young (Leones de Ponce, Porto Rico).\\n\\nDéparts : Jerry Boutsiele (Limoges), Isaiah Cousins, Ryan Evans, Ilian Evtimov, Toddrick Gotcher (Larissa Faros, Grèce), David Michineau (Levallois), Haukur Palsson (Nanterre), Jonathan Rousselle (Limoges), Philippe Hervé (coach).\\n\\nTywain McKee – né le 7 mars 1986– 1,88m – Poste 1 – Américain\\n\\nUn chien en défense qui est toujours à fond et qui aime gagner par-dessus tout. CB a fait a priori une super affaire. Sa saison au Mans en 2016-17 avait été remarquable : 13,9 points, 4,3 rebonds et 4,5 passes et une demi-finale de playoffs. Agressif vers le cercle. Pas un shooteur même s’il est capable de séries. Son CV indique des passages dans des clubs réputés comme Unics Kazan, Oldenbourg et Hapoel Jérusalem. Stats en chute la saison dernière en Israël: 9,1 points, 3,4 passes et 2,5 rebonds.\\n\\n© FIBA\\n\\nAbdoulaye Ndoye – né le 9 mars 1998– 2,00m – Poste 1-2 – Français\\n\\nNé à Dunkerque, fils de Oumar, joueur de Nantes, Lorient et Gravelines qui lui a servi de coach à ses débuts. Abdou est un combo complet qui appartient à cette génération 98 championne d’Europe en cadets et juniors et demi-finaliste cet été à l’Euro U20. Il a pris ses marques la saison dernière avec les pros en signant son premier contrat et avec 17’ de temps de jeu moyen pour 3,6 points et 4,3 d’éval.\\n\\nKillian Hayes – né le 27 juillet 2001– 1,94m – Poste 2 – Français\\n\\nLa nouvelle pépite du basket français. Fils de DeRon qui a joué notamment cinq saisons à CB et qui est son mentor et de Sandrine, elle-même basketteuse. Passé par l’INSEP. Extrêmement mature, fluide, technique. Il a déjà gagné un nombre impressionnant de trophées dont celui de MVP de l’Euro U16 en 2017. Dans le 5 Majeur du Mondial U17 cet été. Aura beaucoup plus de temps de jeu que les miettes (9’ en 9 matchs) accordées la saison écoulée. Né en Floride dans le même hôpital que son père.\\n\\nPape Sy – né le 5 avril 1988– 1,96m – Poste 2-3 – Français\\n\\nLe Breton de Loudéac avait fait le buzz quand il s’était retrouvé drafté par les Atlanta Hawks avec qui il joua trois matches de saison régulière et quatre de playoffs en 2010-11. Puissant, fort en pénétration, une adresse à trois-points en dents de scie. Après un intermède au Mans, il était revenu à Gravelines avant de passer deux saisons décevantes à Strasbourg, la deuxième étant très perturbée par une hernie discale.\\n\\nOlivier Troisfontaines – né le 26 octobre 1989– 1,96m – Poste 3 – Belge\\n\\nAprès Quentin Serron, Pierre-Antoine Gillet et Khalid Boukichou, un quatrième international belge va découvrir la Jeep Elite. Assurément, un shooteur longue distance. 7e scoreur (14,0 pts) du championnat belge avec Okapi Aalstar avec une remarquable réussite à trois-points (50,3%) d’autant qu’il a pris 177 shoots. 87,9% aux lancers. Elu en 2017 Basketteur belge de l’Année par un jury composé par le quotidien Het Nieuwsblad devant... Gillet.\\n\\nAntywane Robinson – né le 12 juillet 1984– 2,03m – Poste 4 – Américain\\n\\nUn nom connu dans le championnat de France et qui renvoie aux heures glorieuses de CB. Venu comme pigiste médical à l’inter-saison 2008, il fut champion de France en 2010 avec 12,7 points et 5,9 rebonds. Il a porté également trois fois le maillot de Pau, en 2007-08, en 2013-14 et en 2016-17. La saison dernière, il a fait un tour par le Benfica Lisbonne (14,7 points et 5,6 rebonds) avant de rejoindre Büyükçekmece où il fut discret (5,9 points et 3,3 rebonds en 12 rencontres).\\n\\nMichael Young – né le 5 septembre 1994– 2,06m – Poste 4-5 – Américain\\n\\nHomonyme de l’ancien champion d’Europe avec Limoges en 1993. Lui a fait l’université de Pittsburgh de 2013 à 2017. Il a entamé sa carrière professionnelle en signant un two-way contrat avec les Wizards mais il n’a joué qu’en G-League avant de rejoindre le club de Ponce à Porto Rico pour 20,1 points et 5,3 rebonds en 22 rencontres. Un joueur complet offensivement qui faisait preuve de leadership à Pittsburgh.\\n\\nJonathan Augustin-Fairell – né le 6 juin 1993– 2,01m – Poste 4 – Bahaméen\\n\\nSon passeport bahaméen lui permet d’être considéré comme Cotonou. Très énergique, considéré par son coach à Blois Mickaël Hay comme un « petit taureau ». Des études en NCCA à Murray State avant de signer en Autriche. Son premier club en France fut Rouen (14,5 points, 6,8 rebonds) et le second Blois (11,8 points, 6,7 rebonds pour 14,5 d’évaluation) avec qui il a été champion de France Pro B.\\n\\nMelvin Govindy – né le 6 novembre 1997– 2,12m – Poste 5 – Français\\n\\nUn physique impressionnant. Le fils de l’ancienne internationale championne d’Europe en 2001, Sandra Dijon. Il était déjà passé par le centre de formation de CB (2012-13) avant de filer à celui de Nancy et de revenir dans les Mauges à la rentrée 2017. 6e marqueur (16,2 points), 4e rebondeur (8,5) et 5e à l’évaluation (19,3) du championnat espoir. Joueur invétéré de jeux vidéo en ligne. Il chausse du 54.\\n\\n© CB\\n\\nCoach :\\n\\nRégis Boissié – Né le 19 décembre 1978– Français\\n\\nOriginaire d’Agen. Ses parents basketteurs signèrent à Cholet Basket et c’est ainsi qu’il fut un admirateur d’Antoine Rigaudeau et Valéry Demory. Titré au niveau national dans chaque catégorie des minimes aux espoirs. Joueur de niveau Pro B. Il est devenu ensuite assistant de Jean-Manuel Sousa à Cholet Basket en 2012-13, puis responsable de l’équipe espoirs, avant d’être l’assistant de Philippe Hervé dont il prend maintenant le relais.\\n\\nAssistants : Gaëtan Charbonnier (33 ans) et Sylvain Delorme (43 ans).\\n\\n[armelse]\\n\\nIl faut remonter à Tony Parker au PSG Racing pour comparer les attentes placées en un gamin de 17 ans. Mais Killian Hayes est un spécimen rare. Le meilleur européen de sa génération et le peu de minutes que Philippe Hervé lui a accordé la saison dernière ont été utilisés avec efficience. Profitons de sa présence en Jeep Elite avant qu’il ne s’envole probablement très vite en NBA. Pour sa première expérience de coach principal, Régis Boissié a dû repartir d’une feuille blanche et la cellule de recrutement de CB s’est bien débrouillé\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture: Tywain McKee"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tournoi de Courbertin : bousculée, la Grèce s’impose finalement face au Monténégro"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une première journée de tournoi conclue par une victoire des deux Equipes de France, le Monténégro et la Grèce lançaient la deuxième journée de compétition, chez les garçons. Deux équipes qui disputeront les matchs de qualification pour la Coupe du Monde 2019 la semaine prochaine, respectivement face à la Turquie et l’Ukraine, et la Serbie et la Géorgie.\\n\\nSi la Grèce faisait largement figure de favori avec son équipe expérimentée et habituée des joutes de l’Euroleague avec des joueurs comme Nick Calathes, Kostas Papanikolaou, Kostas Sloukas ou encore Evangelos Mantzaris et Ioannis Bourousis, elle a tout de même eu du mal à se lancer dans cette rencontre. D’entrée de jeu, les Grecs se font bousculer par la troupe de Zvezdan Mitrovic qui met rapidement la main sur le match notamment grâce à Aleksa Popovic (6 points, 3rebonds, 2 passes et 10 d’évaluation dans le premier quart-temps). A la fin du premier quart-temps, le Monténégro mène 21-17 après le buzzer à trois points de Kostas Sloukas.\\n\\nDe retour sur le parquet, les Monténégrins mènent toujours la danse et conservent leur avance de quatre petits points jusqu’à la pause (42-38) grâce à sa tripette Popovic, Popovic et Ivanovic. De leur côté, les joueurs de Thanasis Skourtopoulos manquent d’application et perdent beaucoup trop d’énergie à contester les décision des arbitres. Malgré tout, Kostas Papanikolaou et Georgios Printezis gardent leur équipe au contact avec respectivement 11 et 10 d’évaluation à la pause.\\n\\nC’est seulement après la pause que les Grecs se mettent à jouer au basket et arrêtent de penser aux arbitres, même si Nick Calathes a le droit à sa faute technique. Le déclic ? En tout cas, les coéquipiers de Ioannis Bourousis accélèrent le pas, comblent le petit retard et passent devant pour prendre le contrôle du match. Georgios Printezis est le principal artisan de ce revirement de situation grâce à son évaluation de 20 après 30 minutes du jeu (15 points et 2 passes décisives). Devant 65-52 à dix minutes de la sirène finale, la Grèce n’a plus qu’à rester un minimum concentrée et faire le job pour s’assurer un succès face à une équipe en cran en-dessous mais qui s’est battue jusqu’au bout.\\n\\nAprès 40 minutes de jeu, les Grecs s’imposent face au Monténégro sur le score de 87 à 76 dans un Stade Pierre de Coubertin qui peine à se remplir à quelques dizaines de minutes du match entre la France et l’Australie, chez les filles.\\n\\nAlors que le Monténégro en a terminé avec ce tournoi, la Grèce a rendez-vous avec la France, dimanche à 18 heures.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Bayern Munich : Milan Macvan à nouveau touché au genou"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Milan Macvan (2m06, 28 ans) n’est décidément pas vernis avec les blessures ces derniers temps...\\n\\nAprès une vilaine blessure aux ligaments croisés du genou gauche en janvier dernier, qui l’avait privé de la fin de la saison passée, l’international serbe s’est à nouveau blessé au genou.\\n\\nSelon Sportando, l’intérieur du Bayern Munich va très bientôt passer sur le billard et entamer le processus de rééducation. Mais plusieurs mois d’absence sont à prévoir...\\n\\nC’est forcément un immense coup dur pour les chances bavaroises en Euroleague... et pour le joueur qui revenait tout juste au jeu ! Macvan tournait en l’occurrence à 11 points et 5 rebonds de moyenne en EuroCup la saison passée au sein du Bayern.\\n\\n\\n\\n\\nMilan Macvan of Bayern Munich suffered another serious knee injury and will miss several months of action.\\nMacvan will undergo surgery in the coming days\\n\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) September 8, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Après un an sans jouer, Antoine Diot est plus que jamais proche du retour"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Absent depuis le 23 septembre 2017 à cause de problèmes au genou gauche, Antoine Diot (1,93m, 29 ans) va faire son retour dans très peu de temps avec Valence.\\n\\nEn déplacement à Majorque pour y affronter l’Estudiantes Madrid, le club valencien a annoncé sur son site faire le déplacement avec le meneur français. Même s’il est du voyage, l’ancien joueur de la SIG Strasbourg n’est pas encore certain de pouvoir disputer cette rencontre amicale. Ce qui est sûr, c’est que l’international tricolore est plus que jamais proche d’un retour à la compétition.\\n\\nEn 2016/17, Antoine Diot compilait en moyenne 7,9 points et 4 passes décisives entre l’Eurocup et la Liga Endesa."
}, 
{"role": "user",     "content":"La Belgique se prépare aux qualifications pour l’Euro 2021"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dirigés désormais par le Croate Dario Gjergja à la place de Eddy Casteels, les Belgian Lions ont gagné deux fois en amical contre l’Estonie, 98-60 et 68-55.\\n\\nSi plusieurs titulaires étaient absents (Sam Van Rossom, Kevin Tumba, Maxime De Zeeuw et Jean-Marc Mwema), des joueurs connus en France se sont montrés à leur affaire. Le néo-Strasbourgeois Quentin Serron (8,0 points sur les deux rencontres) est véritablement le boss de la sélection. Le pivot Kahlid Boukichou (ex-Pau et Chalon) a été en verve offensivement (14,5 pts). Son ancien équipier à Chalon, Pierre-Antoine Gilet a également apporté son écot (7,0 pts) alors que le néo-Choletais Olivier Troisfontaines a été plus discret (3,5 pts).\\n\\nLes Belges ont au programme un match qualificatif à l’Euro 2021 contre le Portugal, jeudi, à Pépinster.\\n\\nPhoto: Khalid Boukichou et Olivier Troisfontaines (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Aréna de Villeurbanne: Trois ans d’attente"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le projet d’une aréna de 10 à 12 500 places à Villeurbanne, en face de l’actuelle Astroballe et sur le site du stade Georges-Lyvet, avance. A la vitesse où avance ce type de projet en France. On n’est pas en Amérique !\\n\\nLe quotidien Le Progrès nous en donne des nouvelles. Pour parler concrètement, le permis de construire devrait être déposé avant la fin de l’année et les travaux pourraient commencer au printemps 2019. L’ouverture de l’aréna se ferait à la rentrée de la saison 2021-22. Donc encore trois ans de patience.\\n\\nOutre aux matchs de l’ASVEL, l’aréna servira à des concerts, des événements culturels et corporate.\\n\\n« La société d’exploitation qui sera créée réunira TGL Group, DCB, l’Asvel et des exploitants privés. 2 000m2 de commerces et de restaurants sont annoncés. La rue Marcel-Cerdan sera transformée pour devenir une esplanade qui fera le lien entre l’Aréna et l’Astoballe », précise Le Progrès.\\n\\nCoût: 60 millions d’euros.\\n\\nL’Astroballe devrait servir ensuite à l’équipe du Lyon ASVEL féminin dont Tony Parker est également le président.\\n\\nQuant à la Tony Parker Adéquat Academy, dont la première pierre a été posée fin juin à Gerland, elle devrait être livré en juin 2019."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Alexey Shved vise le Final Four avec le Khimki Moscou"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tout juste qualifié pour les playoffs d’Euroelague la saison dernière en prenant la huitième place du classement, le Khimki Moscou fera-t-il mieux cette saison ?\\n\\nScoreur en chef du club et meilleur marqueur de l’Euroleague, Alexey Shved espère bien se qualifier pour le Final Four en avril prochain, comme l’indique Izvestia qui l’a interrogé.\\n\\n« Nous espérons atteindre le Final Four. Premièrement, nous devons nous entraîner et nous préparer pour cette nouvelle saison. L’équipe travaille soudée, et tout le monde s’entraide. Les nouveaux arrivants s’adaptent vite. Nous prendrons match après match pour réussir. »\\n\\nLa saison dernière, Alexey Shved compilait en moyenne 21,8 points, 2,6 rebonds et 5,2 passes décisives pour une évaluation de 20,4 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le retour de Cameron Clark (Le Mans)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le MSB propose ses highlights de son match de pré-saison d’hier à Sablé face à Cholet Basket. Victoire des Manceaux 82 à 77. C’était la première sortie après un an d’indisponibilité de l’ancien Chalonnais Cameron Clark. Bonne reprise puisque l’Américain a totalisé 14 points et 5 rebonds."
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Elodie Bertal-Christmann tire sa révérence"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’elle avait signé aux Déferlantes de Nantes-Rezé, Elodie Bertal-Christmann (1,90m) a annoncé durant l’été qu’elle déclarait forfait pour cause de maternité. Cet heureux événement précipite la retraite de l’intérieure de 34 ans, qui a notamment porté les couleurs de Valenciennes, Lattes-Montpellier et Villeneuve d’Ascq et qui la saison dernière avait partagé son temps entre Lyon et Angers.\\n\\nElodie Bertal-Christmann est issue d’une famille de basketteurs. Sa maman, Françoise Quiblier, fut l’une des joueuses majeures du Clermont UC et de l’équipe de France des années 70 et du début des années 80 et donc équipière de Elisabeth Riffiod dont le fils Boris prend sa retraite sportive en même temps.\\n\\nDeux autres figures de la Ligue Féminine et de la même génération se retirent également des parquets : Sabrina Reghaissia et Naura El Gargati.\\n\\nPhoto: ESBVA"
}, 
{"role": "user",     "content":"N1: Le président du CEP Lorient, Christian Pasquier, suspendu 4 mois fermes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le président du CEP Lorient Christian Pasquier s’était plein sur les réseaux sociaux lorsque son équipe avait été privée pour des problèmes administratifs de trois joueurs majeurs lors des playoffs d’accession à la Pro B face à Chartres. Il estimait que l’équité sportive n’avait pas été respectée.\\n\\nLa sanction fédérale est tombée. Christian Pasquier a été suspendu 10 mois dont 4 fermes. Il a fait appel. En attendant, le vice-président Patrice Le Guellaut va monter en première ligne."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet : «Nicolas Batum a assumé son rôle de capitaine»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme les filles un peu plus tôt face à la Lettonie, l’Equipe de France masculine s’est imposée face au Monténégro dans le cadre de son premier match du Tournoi de Paris. Après la rencontre, Paul Lacombe et Vincent Collet se sont exprimés en conférence de presse.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nMVP de la rencontre avec 10 points, 4 rebonds et 5 passes décisives pour une évaluation de 14, l’arrière de l’AS Monaco constate que l’équipe a relâché la pression en deuxième mi-temps. Il revient également sur son rôle qui n’est pas le même à chaque match.\\n\\n« L’inconvénient de cette préparation c’est qu’on a pas beaucoup de temps pour retrouver des automatismes, mais l’avantage c’est que tous les joueurs ont au moins participé à une fenêtre et donc on a tous déjà un vécu ou un passif ensemble. Ça s’est vu par intermittence et surtout en première mi-temps. Ensuite on a eu du mal en deuxième mi-temps, on a relâché la pression et on les a laissés revenir. Il y a quand même pas mal de positif et c’est encourageant pour le match de dimanche contre la Grèce.\\n\\nAujourd’hui sur ces fenêtres c’est un contexte différent. Sur ces matchs il y a pas tout le monde, j’ai pas le même statut qu’en juillet, c’est pour ça que Vincent Collet m’appelle. Il sait que je réponds à ses attentes, je connais mon rôle, je sais m’adapter. Aujourd’hui il est comme ça, sur les prochains matchs il sera peut-être différent comme on récupère Nando De Colo et Andrew Albicy. En novembre et février, si je suis appelé, ça sera encore différent. C’est pour ça que Vincent me fait confiance, il sait que je sais faire. »\\n\\nMême constat pour Vincent Collet qui retient que la première mi-temps était meilleure que ce à quoi il s’attendait mais qui constate un relâchement en deuxième période.\\n\\n« C’était une première mi-temps franchement intéressante. Même surprenante à la vue de cette préparation. Ça fait plaisir de les voir récompensés par l’envie et l’agressivité, et la qualité. Tout ça a eu des incidences sur la deuxième mi-temps. Des tirs en première intention qui n’était pas forcément risqué et qu’on réussissait, en deuxième mi temps on a pas su continuer à avoir le même sérieux. On a porté davantage la balle, les Monténégrins on été plus durs. On a joué trop facile et c’est pour ça que l’écart n’a pas grandi. Il y a des choses sur lesquelles s’appuyer, on sait qu’il faudra être plus consistant face à la Grèce qui s’annonce redoutable dimanche.\\n\\nEn première mi-temps n’importe qui faisait des choses positives, on a eu de belles sequences, la balle bougeait. Les Monténégrins ne contestaient pas toujours. On a eu le plaisir de decouvrir des joueurs. Certains ont pris confiance, c’est le point positif de ce match et je l’espère du match de dimanche. Ça permet de lancer de nouveaux joueurs et, à la vue des circonstances, ça va avoir de l’importance dès la semaine prochaine.\\n\\nNico Batum a vraiment aidé l’équipe a entrer dans le match. Il était au four et au moulin et c’est ce qu’on souhaite. On sait qu’il en a la capacité, on a besoin de ça. On a besoin qu’il soit notre leader au poste 3 ou 4. On vera la semaine prochaine qui sera capitaine. Est-ce qu’on continue avec Nico ou est-ce qu’on le donne à Nando De Colo. Pour l’instant, sur le tournoi c’est Nico. Pour moi c’est des informations importantes. Aujourd’hui il a repondu present d’entrée et je voulais voir si ça ne le perturbait pas, et manifestement ça n’a pas été le cas. Il a assumé son role de capitaine.\\n\\nJe suis plutôt rassuré par ce que j’ai vu ce soir. On a montré beaucoup, même un peu trop, ça nous a couté quelques fautes bêtes. On va essayé d’y remédier à partir de demain. »\\n\\nL’entraîneur de Strasbourg a également eu un mot pour Boris Diaw, qu’il a côtoyé pendant toutes ses années.\\n\\n« Je pense qu’incontestablement il fait partie des légendes du basket frnaçais, au même titre que Tony Parker lorsqu’il est parti. En ce qui me concerne, c’est une trace indélébile, j’ai eu le privilège et le grand plaisir de pouvoir le coacher. C’est un type exceptionnel en plus d’être un très grand joueur. Pour le basket français tout ce qu’il a donné, c’est fantastique. J’espère que ce n’est pas fini et que d’une manière ou d’une autre il va rester près de nous. Il a incarné les valeurs de l’Equipe de France toutes ces années et pour ça, un très grand merci. J’ai vu l’ovation qu’il a pu recevoir alors qu’il n’était pas là alors je n’ose même pas imaginer ce que ce sera quand il viendra vraiment. Un grand merci tout simplement. »\\n\\n[armelse]\\n\\nMVP de la rencontre avec 10 points, 4 rebonds et 5 passes décisives pour une évaluation de 14, l’arrière de l’AS Monaco constate que l’équipe a relâché la pression en deuxième mi-temps. Il revient également sur rôle qui n’est pas le même à chaque match.\\n\\n« L’inconvénient de cette préparation c’est qu’on a pas beaucoup de temps pour retrouver des automatismes, mais l’avantage c’est que tous les joueurs ont au moins participé à une fenêtre et donc on a tous déjà un vécu ou un passif ensemble. Ça s’est vu par intermittence et surtout en première mi-temps. Ensuite on a eu du mal en deuxième mi-temps, on a relâché la pression et on les a laissé revenir. Il y a quand même pas mal de positif et c’est encourageant pour le match de dimanche contre la Grèce.\\n\\nAujourd’hui sur ces fenêtres c’est un contexte différent. Sur ces matchs il y a pas tout le monde, j’ai pas le même statut qu’en juillet, c’est pour ça que Vincent Collet[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto :Bellenger / is / FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne – Ricky Rubio : Le fait que la sélection s’ouvre à de nouveaux joueurs est positif"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pau Gasol (2,13m, 38 ans, San Antonio Spurs) et Ricky Rubio (1,93m, 27 ans, Utah Jazz) ne rejoindront pas leur sélection en septembre, mais pour eux, le système actuel est positif pour les jeunes joueurs et ceux qui tentent de se faire une place au soleil pour la Coupe du Monde 2019.\\n\\nAvant-hier, se tenaient en Espagne des conférences de presse des stars Pau Gasol, qui présentait son nouveau livre et Ricky Rubio, qui faisait lui la promotion d’une marque de vélo. Les deux joueurs qui ont tant gagné avec la Roja ne joueront pas avec la sélection pour la fenêtre de septembre mais ils se sont toutefois exprimés sur la situation de l’équipe, toujours invaincue (6-0) et donc bien placée pour la qualification en dépit de leurs absences.\\n\\n« Evidemment, la situation est exceptionnelle », a déclaré Pau Gasol. « Et il semble probable qu’à un moment, les joueurs NBA vont débarquer en sélection, et prendre la place de certains des joueurs qui auront gagné pour l’équipe le droit de participer à la coupe du monde. Mais il s’agit aussi d’une opportunité pour ces joueurs de convaincre le coach qu’ils ont leur place dans le système. »\\n\\nUn phénomène que la sélection française connait aussi, par exemple, avec l’émergence de Moustapha Fall ou Paul Lacombe comme des prétendants légitime suite à leurs performances lors des premières fenêtres.\\n\\nLe travail individuel pour Rubio\\n\\n« C’est le premier été depuis de nombreuses années où j’ai pu me concentrer sur le travail de ma condition physique et du travail individuel », a indiqué de son côté Ricky Rubio. « Je ne me suis jamais senti aussi bien de ma carrière. Le système des fenêtres internationales n’est peut-être pas très juste pour certains joueurs qui sont actuellement dans l’équipe nationale et qui pourraient ne pas jouer à la Coupe du Monde. Mais je trouve que le fait que la sélection s’ouvre à de nouveaux joueurs est positif. Sans ce système ce serait plus difficile pour ces joueurs de gagner une place en sélection pour la Coupe du Monde. Là, ils ont une opportunité et je suis sûr que certains d’entre eux seront là en 2019. Moi, j’adorerai être à la Coupe du Monde. Mais d’abord, il faut voir comment se passe la saison NBA et si je boucle 2018-19 sans problème physique. C’est le plus important. »\\n\\nPhoto: Ricky Rubio (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tournoi de Coubertin: La France se met le Monténégro dans la poche en première mi-temps, 83-66"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est donc une équipe de France rapiécée qui s’est présentée au Tournoi de Coubertin dans l’attente de quelques renforts pour les matches de qualification à la Coupe du monde, en Bulgarie et à Montpellier face à la Finlande. Le conflit FIBA-Euroleague ne nous aura vraiment rien épargné ! Face à un faible Monténégro, les Bleus ont assuré une large victoire, travaillé leur collectif mais pour avoir des enseignements tangibles, il faudra attendre le match contre la Grèce, dimanche.\\n\\nDrôle de cinq de départ tout de même avec un mixte de joueurs de Jeep Elite (Axel Julien et Amine Noua), un d’Eurocup (Moustapha Fall) et un de NBA (Nicolas Batum) et d’Euroleague (Edwin Jackson) disponibles face à cette équipe du Monténégro dont la référence numéro un vu de France est... le coach de l’ASVEL, Zvzedan Mitrovic.\\n\\nD’entrée, il était évident que Nicolas Batum aurait un rôle central dans cette équipe si particulière. Fade away, catch and shoot, l’ailier des Hornets en était à sept points après sept minutes. On voyait aussi un Jonathan Rousselle pas dépaysé en bleu entre le rouge choletais et le vert limougeaud. Ca tournait si bien qu’un écart de treize points (28-15) était constaté après dix minutes avec un 46 à... 5 à l’évaluation.\\n\\nC’était au tour de Paul Lacombe de se mettre en valeur, à la création comme à la finition. Moustapha Fall était intenable, comme Amine Noua... 39-17 sur un 15 à 2. Puis 44-19 et 47-23 et enfin 51-31 à la mi-temps. Tous les joueurs français avaient mis au moins un point. Les Monténégrins tournaient de l’oeil.\\n\\nPresque trop facile et franchement un peu soporifique. Les Français se relâchaient mais les hommes de Coach Z en profitaient guère. Vincent Collet poussait un coup de gueule sur un temps-mort afin de re-motiver ses troupes. Score au passage des 30 minutes: 66-45 dont 14 pour le seul Petar Popovic.\\n\\nUn air-ball de Nicolas Batum était symptomatique du manque de concentration qui avait gagné les Bleus. Vincent Collet grognait en constatant le manque de repli et les shoots en première intention mais c’est le Monténégro qui remportait la deuxième mi-temps, 35-32.\\n\\nAu rayon des satisfactions: Moustapha Fall dont les 2,18m, l’envergure et la bonne technique sont une assurance tout-risques. Et pour l’anecdote, c’est Jonathan Rousselle qui finissait top scoreur français avec 12 points.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Jonathan Rousselle (FFBB)\\n\\n\\n\\n\\n#FRAMNE c’est également sur les storys Snapchat et Instagram : ffbb_officiel. Et en plus, il y a du spectacle 🔥⚡️💥 pic.twitter.com/vdoJYdnU8J\\n\\n\\n— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) September 7, 2018\\n\\nPhoto: (Hervé Bellenger, FFBB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nouveau partenariat entre la FFBB et les Hoops Factory"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la victoire de la France face à la Lettonie en ouverture du Tournoi International de Paris à Coubertin, Jean-Pierre Siutat (Président de la FFBB) et Gilles Bravo (Président de Money Time) ont officialisé la naissance d’un nouveau partenariat entre la FFBB et la Hoops Factory.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès avoir annoncé le partenariat entre la MAIF et la FFBB, Jean-Pierre Siutat a donc conclu un nouvel accord, cette fois avec la Hoops Factory.\\n\\n« Nous sommes ravis d’être ici pour sceller la première phase d’un partenariat avec la société Money Time et toutes les Hoops Factory. Notre objectif c’est de proposer des solutions pour des licenciés, des non licenciés, des gens qui veulent pratiquer du basket dans de bonnes conditions. Gilles fait du bon travail, on le suit depuis des années. On veut pouvoir se servir de ses équipements pour notamment organiser des tournois de 3×3. L’objectif c’est de grandir ensemble et developper le basket à notre manière dans chaque métropole de France.\\n\\nOn occupe 6 300 gymnases, on souhaite rénover les terrains en plein air et avoir un lieu privilégié dans chaque métropole pour pratiquer les tournois. On veut proposer une offre de 10 000 tournois par an. On veut organiser les choses pour que les gens puissent avoir la possibilité de faire du 3×3.\\n\\nC’est une véritable innovation que nous lançons aujourd’hui et qui s’inscrit dans la droite ligne de ce que j’avais présenté en juin lors de l’annonce de notre plan stratégique FFBB 2024. Le basket évolue positivement, se développe fortement et il est de notre devoir d’avoir l’offre de pratique la plus large et la plus en phase avec les consommateurs et bien sûr nos licencié(e)s. C’est tout naturellement que le rapprochement entre la FFBB et la HOOPS FACTORY se fait, nos intérêts pour le développement du basket enFrance étant partagés. L’arrivée du 3×3 au sein de la FFBB et au niveau international (sport olympique en 2020 aux Jeux de Tokyo) a accéléré les besoins d’équipement de basket en France. De plus, l’évolution des modes de consommation nous oblige à avoir une offre capable de répondre aux nouvelles attentes des basketteurs. Deuxième sport collectif en France, le basket confirme chaque année sa croissance, ce partenariat nous permettra de conforter et accentuer cette position. C’est le choix de la fédération pour les années à venir. »\\n\\nPrésident de Money Time, qui détient le Hoops Factory, Gilles Bravo s’est également félicité de ce nouveau partenariat.\\n\\n« La collaboration a commencé il y a quelques temps puisqu’on a pu accueillir les Equipes de France à Toulouse et Lille. Ça fait donc plusieurs années qu’on discute. On souhaite pouvoir offrir la possibilité à tout le monde, licencié ou pas de pratiquer le basket. Et le deuxième volet du partenarait c’est le 3×3. Cette discipline a pris une nouvelle dimension avec les JO de Tokyo. Nous accueillerons des tournois de 3×3 et 5×5 dans nos centres.\\n\\nDepuis l’ouverture de notre premier centre en janvier 2016, nous avons toujours cherché à construire des passerelles entre les différentes pratiques : streetball, fédérale et professionnelle. C’est pourquoi nous sommes très heureux aujourd’hui de nous rapprocher de la FFBB et de nouer un partenariat ambitieux avec une institution résolument tournée vers l’avenir. Nous avons observé avec attention l’émergence du 3×3 ces deux dernières années sous l’impulsion du Président Siutat et souhaitons désormais contribuer au développement de la pratique aux cotés de la FFBB, qui vient de se doter d’une cellule dédiée au 3×3. A travers ce partenariat, HOOPS FACTORY, qui représente aujourd’hui un groupe de quatre centres (bientôt six), va proposer des offres privilégiées à destination des clubs et des licenciés désirant pratiquer le basket en 5×5 et en 3×3 dans un environnement adapté et de qualité. Nous espérons que ce rapprochement va permettre de continuer à relancer l’intérêt autour du basketball en France. »\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès avoir annoncé le partenariat entre la MAIF et la FFBB, Jean-Pierre Siutat a donc conclu un nouvel accord, cette fois avec Money Time et les Hoops Factory.\\n\\nAprès avoir annoncé le partenariat entre la MAIF et la FFBB, Jean-Pierre Siutat a donc conclu un nouvel accord, cette fois avec la Hoops Factory.\\n\\n« Nous sommes ravis d’être ici pour sceller la première phase d’un partenariat avec la société Money Time et toutes les Hoops Factory. Notre objectif c’est de proposer des solutions pour des licenciés, des non licenciés, des gens qui veulent pratiquer du basket dans de bonnes conditions. Gilles fait du bon travail, on le suit depuis des années. On veut pouvoir se servir de ses équipements pour notamment organiser des tournois de 3×3.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto :Bellenger / is / FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Marine Johannes : «Je me sens bien, j’essaye d’être agressive»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à la victoire de l’Equipe de France féminine face à la Lettonie en ouverture du Tournoi International de Paris, qui réuni les deux Equipes de France, Marine Johannes et son entraîneur Valérie Garnier se sont exprimées en conférence de presse d’après match.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nMVP de la rencontre avec 16 points, 7 rebonds et 4 passes décisives pour une évaluation de 17, l’arrière tricolore a notamment souligné les petites erreurs défensives de l’EDF.\\n\\n« Elles voulaient leur revanche par rapport au match d’il y a quelques jours. On avait fait un bon match contre elles fin août donc elles avaient à cœur de bien jouer ce soir. On a eu des petits oublis en défense, il va falloir régler ça. Surtout sur la communication, on ne s’entend pas ou on annonce un peu trop tard.\\n\\nPersonnellement, je me sens bien, j’essaye d’être agressive, toute l’équipe essaye de le faire. Il nous reste quelques jours avant la Coupe du Monde donc va continuer de travailler là-dessus. Je me sens plus à l’aise que quand j’ai rejoint l’équipe pour la première fois. Chaque année, chaque rôle de chaque joueuse évolue donc j’essaye d’être agressive et de garder confiance en moi. Je ne sais pas trop si il y a un changement de statut me concernant. On sait que Sandrine Gruda et Endy Miyem resteront les cadres, nous sommes les soldats derrière. Tout le monde se fait confiance, c’est la force du groupe. On a eu des moments géniaux pendant la préparation et je pense que ça part de là. A Tenerife, le match contre les USA sera certainement le plus relevé, ce n’est pas évident de jouer contre elles. Moi-même je les regarde en vidéo. Mais ça va être difficile à chaque fois.\\n\\nJouer devant Tony Parker et Nicolas Batum, ça fait plaisir, mais quand on est dans le match on ne fait pas forcement attention à ça. Cet évènement est un très bon évènement pour le basket français. C’est bien de pouvoir réunir les deux équipes de France en même temps. »\\n\\nMême constat pour la sélectionneuse, il faut être plus fort en défense à l’avenir.\\n\\n« Nous avons eu un peu moins de domination en premiere mi-temps, pas comme ça avait été le cas en Espagne. On a encaissé beaucoup trop de paniers même si on a aussi marqué des points. Il y a du positif, mais il y a des choses à améliorer. On est encore en phase de préparation et on va se servir de tout ça pour progresser.\\n\\nC’était le retour d’Helena Ciak, Diandra Tchatchouang et Olivia Epoupa par rapport à l’Espagne. Il faut maintenant que tout le monde trouve sa place, que chacune des joueuses reprenne sa place. On a vu ce soir que les jeunes sont là et bien présentes. Bien sûr, il y a des cadres mais ça me fait plaisir de voir que les jeunes prennent de la place et veulent exister. Elles doivent s’intégrer et exister dans cette équipe.\\n\\nMarine Johannes fait bientôt partie des plus expérimentés puisqu’elle est là depuis 2015. Elle est clairement notre poste 2 et elle doit l’assumer. On a aussi Alix et Alexia qui peuvent être sur le terrain, elles peuvent tenir leur rôle et être à leur avantage ce qui nous permet d’avoir cette alternance d’expérience et de jeunesse. »\\n\\n[armelse]\\n\\nMVP de la rencontre avec 16 points, 7 rebonds et 4 passes décisives pour une évaluation de 17, l’arrière tricolore a notamment souligné les petites erreurs défensives de l’EDF.\\n\\n« Elles voulaient leur revanche par rapport au match d’il y a quelques jours. On avait fait un bon match contre elles fin août donc elles avaient à cœur de bien jouer ce soir. On a eu des petits oublis en défense, il va falloir régler ça. Surtout sur la communication, on ne s’entend pas ou on annonce un peu trop tard.\\n\\nPersonnellement, je me sens bien, j’essaye d’être agressive, toute l’équipe essaye de le faire. Il nous reste quelques jours avant la Coupe du Monde[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le chiffre: 1,4 million de dollars, le contrat sur deux ans de Moustapha Fall"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"D’après le consultant de RMC Sport, Stephen Brun, le pivot de l’équipe de France Moustapha Fall s’est vu offrir un contrat de 1,4 million de dollars sur deux ans par le Lokomotiv Kuban Krasnodar, une équipe russe d’Eurocup.\\n\\nL’ASVEL était à même d’enrôler le géant avant cette proposition... irrésistible.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tournoi de Coubertin féminin: La France à son train face à la Lettonie, 74-64"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Face à la Lettonie, également qualifiée pour la Coupe du monde en Espagne, l’équipe de France a fait le taf pour s’imposer 74-64. Le duo Marine Johannès/Alexia Chartereau a assuré 34 points et Sandrine Gruda frôlé le double double (10 points et 9 rebonds). Les imperfections sont encore nombreuses. Normal, les matchs de prépa, ça sert à les gommer.\\n\\nAvec un cinq de départ -Olivia Epoupa, Marine Johannès, Diandra Tchatchouang, Endy Miyem et Sandrine Gruda-, qui sera probablement celui du Mondial, les Bleues sont apparues hésitantes lors des premières minutes. Une solide défense et une Marine Johannès tranchante leur permettaient tout de même de creuser un premier écart (16-8, 8e).\\n\\nSon arrivée rapide sur le terrain est probablement un signe que Alix Duchet, malgré son âge (20 ans) et son inexpérience (du Cavigal Nice à la Coupe du Monde!), aura un rôle majeur à la mène. La néo-Montpelliéraine allie vitesse, sûreté de main, souplesse et à la fois sobriété et toupet.\\n\\nAlexia Chartereau a également 20 ans, et pas froid aux yeux non plus (8 points dans le premier quart). Seulement des manques de rigueur défensive des Françaises faisaient que les Lettones subitement adroites revenaient au score avant de les doubler, 27-30 (14e). C’est sur une fulgurance de Marine Johannès (14 points en 16′) que la France passa un 10-0 à la Lettonie et ainsi en tête à la pause, 43-37.\\n\\nLes Bleues tombaient parfois dans la précipitation ce qui les empêchait de contrôler vraiment le match et souffraient aussi d’un déficit offensif des ailières. De là à être inquiété par les Baltes, non, d’autant que Olivia Epoupa finissait en trombe.\\n\\nLa France affrontera demain l’une des meilleures équipes au monde, l’Australie.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Olivia Epoupa (Hervé Bellenger/FFBB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Antibes: L’ex-Limougeaud Danny Gibson en pigiste médical de Isaïa Cordinier"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Antibes Sharks annonce la signature pour les cinq premiers matches de la saison du meneur américano-camerounais Danny Gibson (1,78m, 34 ans) en qualité de pigiste médical d’Isaïa Cordinier.\\n\\nLa saison passée, Danny Gibson portait le maillot de Limoges en Jeep ELITE et en Eurocup. En 57 rencontres, il a assuré 6,4 points, 3,1 passes décisives et 1,5 rebond en 19 minutes de moyenne.\\n\\nD’après Sportando, Danny Gibson est au coeur d’une actualité brûlante. Il lui est reproché que son passeport camerounais, qui lui permet de jouer comme Cotonou... est un faux.\\n\\nPhoto: CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Jeep®ÉLITE 2018/19 – Châlons-Reims: De quoi briller davantage ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Jeep Elite débute les 22 et 23 septembre et nous sommes fiers de vous proposer pour la troisième année (déjà!) une présentation complète sur BasketEurope avec une analyse de chaque équipe, des commentaires sur chaque joueur et coach, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié depuis le lundi 3 septembre et jusqu’au jeudi 20 avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 4.99€/mois annulable à tout moment). Vous pouvez également dès aujourd’hui commander le Magazine « Guide de la saison » sur notre boutique à 6€ frais de port inclus.\\n\\nNous vous proposerons ensuite la Pro B et la Ligue Féminine.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nEn Jeep Elite depuis 2014, Châlons-Reims est un club modeste qui n’attire pas les spotlights. Mais malgré un budget à moins de 4 millions d’euros en 2017/18, le CCRB fait de la résistance et se maintient en première division depuis sa montée, allant même jusqu’à faire chuter des grosses équipes comme Limoges, Strasbourg et Gravelines. Le coach Cedric Heitz nous confiait récemment que le CCRB a désormais la confiance des agents, qui n’ont pas peur de proposer de très bons joueurs au club. Ses affirmations sont concrétisées avec le recrutement de Blake Schilb, Alex Abreu, Jimmy Baron et encore Jo Passave-Ducteil. De quoi briller davantage?\\n\\nSalle : Complexe Sportif René Tys (2 926 places)\\n\\nPrésident : Michel Gobillot (71 ans)\\n\\nArrivées : Alex Abreu (Orléans, Pro B), Pape Badji (Willebroek, Belgique), Devin Ebanks (Sienne, Italie D2), Johan Passave-Ducteil (Nanterre), Blake Schilb (Seville, Espagne).\\n\\nDéparts : Ed Daniel (Rethymno Cretan Kings BC, Grèce), Willie Deane, Romain Duport (Cholet), John Flowers (La Union de Formosa, Argentine), Martin Hermannsson (Alba Berlin, Allemagne), Ekene Ibekwe (Levallois), Alexandre Karolak (Aubenas, NM1), Lamonte Ulmer (Bourg-en-Bresse).\\n\\nAlex Abreu – né le 14 août 1991 – 1,80m – Poste 1 – Portoricain\\n\\nArrivé en France en 2017, le Portoricain a passé une saison en Pro B à Orléans. Avant cela, il avait séjourné dans les championnats vénézuélien, portoricain, dominicain et mexicain. Il va vivre sa première saison dans une ligue majeure. Vif, bon shooteur doté d’une bonne vision de jeu, le natif de Bayamon va donner le ton de l’attaque châlonnaise à la rentrée. Touché au genou en fin de saison dernière, il est opérationnel et de retour à 100% d’après son coach. En 2017/18, il conjuguait 11,8 points (52% à deux points et 50% à trois points) et 6,5 passes décisives en Pro B.\\n\\nGédéon Pitard – né le 7 février 1989 – 1,86m – Poste 1 – Français\\n\\nChampion de France 2017 avec l’Elan Chalon, il va vivre sa deuxième saison au CCRB. Lancé sous les couleurs du STB Le Havre entre 2009 et 2015, il a ensuite passé une saison difficile au Mans avant de s’engager avec Chalon-sur-Saône où, en plus du titre, il a pris part à une finale de FIBA Europe Cup, perdue face à Nanterre. La saison dernière, il tournait à 5,2 points, 2,6 rebonds et 1,9 passe décisive. Réputé pour sa défense de plomb. International camerounais.\\n\\nLouis Adams – né le 22 février 1996 – 1,91m – Poste 2 – Américain\\n\\nArrière très athlétique qui sort de quatre saisons en NCAA. Lors de ses deux dernières années à Wyoming, il a notamment su progresser au niveau du tir à longue distance en passant de 22 à 47% de réussite par rencontre. Pour sa première expérience professionnel, il arrive donc dans l’effectif du CCRB qui mêle jeunesse et expérience. La saison dernière, Louis Adams compilait en moyenne 9,7 points et 2,6 rebonds en NCAA.\\n\\nJimmy Baron – né le 23 mai 1986 – 1,91m – Poste 2 – Américain\\n\\nUn shooteur à Châlons-Reims. Passé par l’Espagne, la Russie, l’Italie, la Turquie, la Belgique et la Lituanie, cet arrière américain a évolué dans les meilleurs championnats du continent et a disputé plusieurs fois des coupes d’Europe. En 2016/17 il a fait parler de lui en inscrivant pas moins de 42 points avec 10 tirs à trois points dans le même match en Champions League. Ses stats en 2017/18 : 8,3 points (37% à trois points), 2,1 rebonds et 2 passes décisives entre le championnat lituanien et l’Eurocup.\\n\\nSadio Doucouré – né le 27 juillet 1992 – 2,00m – Poste 3 – Français\\n\\nInconnu en Jeep Elite avant de rejoindre le CCRB l’été dernier, le natif de Corbeil-Essonne est passé avant cela par Cognac, Orchies, Roanne et Vichy-Clermont goutant ainsi à la NM1 et la Pro B. Très peu à l’aise derrière la la ligne à trois points (26% de réussite), l’ancien roannais est un ailier athlétique agressif des deux côtés du terrain qui n’hésite pas à monter au dunk dès que l’occasion se présente. La saison dernière, il compilait 4,9 points et 1,9 rebond.\\n\\nBlake Schilb – né le 23 décembre 1983 – 2m – Poste 3 – Croate\\n\\nUn des meilleurs joueurs de l’histoire du championnat de France. MVP étranger de Pro A et des finales en 2012, il était le leader de l’Elan Chalon lors du triplé historique (championnat, coupe, semaine des As) de cette année-là. Entre temps, l’international tchèque est passé par l’Etoile Rouge, Galatasaray, avec qui il a remporté l’Eurocup, ou encore Séville. Il revient en France après avoir quitté ses parquets en 2015 après une saison au Paris-Levallois. En 2017/18, il tournait à 10,7 points, 2,8 rebonds et 2,3 passes décisives en ACB. Marié avec une Tchèque.\\n\\nDevin Ebanks – né le 28 octobre 1989 – 2,06m – Poste 4 – Américain\\n\\nAilier scoreur, il dispose d’une expérience en NBA et est passé par la D-League, Israël, le Mexique, Porto Rico, la République Dominicaine et l’Italie. Capable de cartons offensifs, à l’image de ses 43 points inscrits en D-League il y a deux ans ou de ses 38 unités marqués fin novembre, face à Cagliari, il apportera du scoring et une dimension physique au CCRB. La saison dernière, il a fait le bonheur de Sienne en compilant 21,6 points et 7,1 rebonds de moyenne en deuxième division italienne.\\n\\nJohan Passave-Ducteil – né le 13 juillet 1985 – 2,01m – Poste 4/5 – Français\\n\\nPassé professionnel à Saint-Etienne il y a quinze ans, il a ensuite rejoint Limoges pour deux saisons avant de poser ses bagages à Nanterre en 2010. Figure du basket français, il a quasiment tout connu avec Nanterre allant du titre de Pro B à l’Euroleague en passant par l’historique titre de Pro A en 2013 face à Strasbourg. Victime d’une rupture des ligaments croisés du genou en 2015, il se relance la saison d’après à Bourg-en-Bresse, alors en Pro B, avant de retrouver un contrat en première division à Dijon, en 2016/17. De retour la saison dernière dans le club de Nanterre qui lui est si cher, il a compilé 6 points et 3,9 rebonds. Ancien président du Syndicat des Joueurs.\\n\\nPape Badji – né le 4 avril 1992 – 2,08m – Poste 5 – Sénégalais\\n\\nAprès quatre ans en Suisse, où il a démarré sa carrière, le natif de Dakar a rejoint les rangs de Willebroek en Belgique. Il vivra donc sa première expérience en France après avoir dominé les raquettes suisses et belges ces dernières années. Imposant physiquement, il se sert de ça pour jouer essentiellement dos au panier ou sur pick and roll et finir près du cercle. La saison dernière, il tournait à 14,5 points et 7,1 rebonds en première division belge.\\n\\nCoach\\n\\nCedric Heitz – né le 6 décembre 1973 – Français\\n\\nAncien assistant à Nancy entre 2006 et 2013, il arrive à la tête de Charleville-Mézières, alors en Nationale 1. Il monte en Pro B lors de sa première année et avec l’Etoile. Elu meilleur entraîneur de Pro B en 2017, il est engagé pour une durée de deux saisons par le CCRB. Plus tôt dans sa carrière, il a été en charge de Montpellier, Sceaux ou encore Briançon et il a même passé une saison à l’université de Stanford, aux Etats-Unis en tant qu’assistant. En juillet, le Mulhousien a été invité par la NBA à la Summer League de Las Vegas.\\n\\nAssistants:\\n\\nAnthony Stanford (46 ans), Frédéric Jaudon\\n\\n[armelse]\\n\\nEn Jeep Elite depuis 2014, Châlons-Reims est un club modeste qui n’attire pas les spotlights. Mais malgré un budget à moins de 4 millions d’euros en 2017/18, le CCRB fait de la résistance et se maintient en première division depuis sa montée, allant même jusqu’à faire chuter des grosses équipes comme Limoges, Strasbourg et Gravelines. Le coach Cedric Heitz nous confiait\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : DJ Cooper quitte Monaco !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A quelques jours du début de la saison de Jeep Elite, DJ Cooper (1,83m, 27 ans) a décidé de quitter l’AS Monaco.\\n\\nSur Facebook, la Roca Team explique que, pour des raisons personnelles, l’ancien joueur de l’Elan Béarnais a souhaité mettre un terme à son contrat qui le lie avec le club monégasque pour l’exercice 2018/19.\\n\\nIl a tenu à s’exprimer aux supporters et au club avant de partir.\\n\\n« Aux supporters et au club de Monaco.\\nJ’ai décidé de prendre du recul par rapport au Basket et de mettre un terme à mon contrat avec la Roca Team pour des raisons familiales.\\nEn l’état actuel, mon esprit et ma concentration ne sont pas au basket et je ne veux pas être une source de perturbation pour l’équipe... cette équipe que j’aime, cette équipe qui représente l’extraordinaire Principauté de Monaco qui m’a apporté une expérience de vie unique. Cette équipe qui représente une organisation professionnelle dirigée par des gens investis, passionnés et rigoureux.\\nJe souhaite un maximum de réussite à mes coéquipiers et entraîneurs. Ce groupe de gens possède un grand caractère consolidé par un but commun. »\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"«Merci Capitaine !», la vidéo hommage de la FFBB pour Boris Diaw"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour rendre hommage à Boris Diaw qui a décidé de prendre sa retraite, la FFBB vient de publier une vidéo souvenirs de l’un de ses plus fidèles joueurs.\\n\\nAprès avoir été sélectionné 247 fois en Equipe de France, l’ancien joueur des San Antonio Spurs a atteint son objectif : obtenir le même nombre de sélections que sa mère, pas une de plus. Dans cette vidéo de quasiment cinq minutes, on retrouve des moments d’intimités avec ses coéquipiers ou encore des images souvenirs de matchs internationaux.\\n\\nEntre frissons et nostalgie tout y est... Merci Boris pour toutes ces années !\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le passeport camerounais de Danny Gibson (ex Limoges) serait un faux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé l’été dernier avec le statut de joueur Cotonou en remplacement de Jean-Baptiste Maille, blessé toute la saison, Danny Gibson (1,78m, 34 ans) serait au coeur d’une histoire de faux passeport.\\n\\nLe premier septembre 2016 à Paris, le meneur de jeu américain de naissance a reçu un passeport camerounais, lui permettant notamment de signer dans les clubs en tant que joueur Cotonou. Chose qui a d’ailleurs été faite à Limoges. Seulement, d’après Sportando, Sam Nduku, le président de la fédération camerounaise aurait averti le site italien que le passeport de l’ancien joueur de Bayreuth est un faux.\\n\\nLe dirigeant camerounais aurait également déclaré à Sportando que « dans les prochains jours, la FIBA et l’ambassade à Paris seront informées de la situation afin de retirer le passeport ».\\n\\nLa saison dernière, il compilait en moyenne 6,4 points et 3 passes décisives entre le championnat et l’Eurocup. Il a souvent été décisif pour le CSP et il n’aurait pas pu s’engager avec le club limougeaud s’il n’avait eu que la nationalité américaine en raison du nombre d’étrangers déjà présents dans l’équipe à ce moment-là.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"FFBB -MAIF : un nouveau partenariat pour un nouveau maillot des Equipes de France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Jeudi soir, à la veille du premier jour du Tournoi de Paris avec les Equipes de France, Jean-Pierre Siutat (Président de la FFBB) et Dominique Mahé (Président du groupe MAIF) ont tenu un point presse au Stade Pierre de Coubertin.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nCette conférence de presse était l’occasion d’officialiser le nouveau partenariat entre la FFBB et la MAIF pour une durée de quatre et d’ainsi dévoiler les nouveaux maillots de l’Equipe de France masculine et féminine. Des nouveaux maillots qui sont loin de faire l’unanimité chez les fans de basket et de l’EDF en raison de la couleur verte du logo de la MAIF qui vient s’apposer sur le bleu du maillot de l’Equipe de France. Sur Twitter, les amateurs de graphisme n’ont pas tardé à réagir, à l’image de Graphic UNTD qui a proposé sa version.\\n\\nVoici les déclarations des deux présidents lors de la conférence de presse.\\n\\nJean-Pierre Siutat, Président de la FFBB :\\n\\n« Nous avons commencé l’été avec deux résultats importants de l’Equipe de France masculine. On a terminé la première phase des qualifications par six victoires en autant de matchs. L’été nous avons, comme d’habitude vu les équipes nationales jeunes et je voudrais d’ailleurs saluer la performance des deux équipes de France U17 qui ont terminé avec la médaille d’argent des championnats du Monde, toujours derrière les Etats-Unis. C’est important car nous sommes sur la génération 2024 et nos futurs champions viendront de ces générations.\\n\\nNous nous retrouvons aujourd’hui pour la dernière phase de nos équipes nationales avec les garçons qui vont démarrer cette deuxième phase de qualification et les filles qui vont participer à la Coupe du Monde, courant septembre à Tenerife. On est dans nos objectifs. On veut absolument se qualifier pour les deux Coupes du Monde, c’est fait pour les filles, j’espère que ça sera fait pour les garçons très rapidement. On est ravis d’avoir signé ce partenariat avec la Maif. C’est un travail pertinent parce qu’on s’est très vite rejoints. Nous avons signé un partenariat de 4 ans, jusqu’à 2022. Un partenariat très important pour la Fédération tout simplement parce que la MAIF sera présente sur plein d’activités du basket français. Premièrement, tout ce qui est lié à la citoyenneté et le bénévolat. On manque toujours de bénévoles et on sait que la MAIF nous aidera à travers son action « la MAIF bénévole ». La deuxième, c’est sûr le basket féminin. Nous sommes le premier sport collectif dans le secteur féminin. La MAIF nous a rejoint en prenant le titre de notre événement phare chez les filles, l’Open LFB. On travaille aussi sur le développement du 3×3. Ce sport urbain, par définition, qui est une nouvelle discipline olympique. On a, là aussi, souhaité s’associer à la MAIF qui nous a rejoint avec une présence physique forte sur l’Open de France que nous avons fait ensemble à Toulouse. Ce sont trois actions fortes qui montrent l’engagement de la MAIF et de la Fédération Française de Basket. Nous sommes donc ravis de pouvoir vous dévoiler le nouveau maillot des Equipes de France dans quelques instants, où la MAIF aura une place privilégiée. Je suis vraiment ravi de ce partenariat et je remercie la MAIF.\\n\\nJe profite aussi de cet instant pour évoquer le fait que cela fait très longtemps que nous n’étions pas parvenus à regrouper les deux Equipes de France. A part évidemment, les Jeux Olympiques 2012 et 2016 où nous avons eu la chance de tous pouvoir y participer. Le fait de pouvoir organiser un tournoi où les deux Equipes de France sont réunies, c’est très, très rare donc nous sommes ravis de pouvoir le faire ici à Paris. C’est un lieu qui nous va bien, on aime beaucoup Coubertin. On vient ici tous les ans pour le, maintenant, MAIF Open LFB. Je pense qu’on a une très, très belle préparation, notamment pour les garçons qui enchaînent sur deux rencontres importantes qui, en cas de victoires, nous qualifieront pour la Coupe du Monde 2019. Pour les filles aussi c’est intéressant puisque l’on enchaîne sur un tournoi à Antibes de très haut niveau puisque l’équipe américaine sera présente avec le Canada et le Sénégal. Cette préparation est importante, encore plus pour les filles qui démarrent leur Coupe du Monde dans peu de temps et les ambitions sont grandes. On veut faire quelque chose de bien, je rappelle que nous sommes la troisième nation mondiale et on espère bien conserver ce rang. »\\n\\nDominique Mahé, Président du groupe MAIF :\\n\\n« Un partenariat c’est d’abord une affaire de feeling et je trouve qu’entre le breton que je suis et l’occitan que tu es, finalement on parle le même langage. On a aussi les mêmes valeurs qui sont profondément ancrées chez l’un comme chez l’autre, et chez la MAIF et la FFBB. Ce que nous recherchons à la MAIF dans nos ancrages renforcés, c’est aussi de donner du sens à nos partenariats. Voilà pourquoi, chez nous, le basket était une évidence. Non seulement parce que c’est une grande génération sportive, deuxième fédération en ce qui concerne les sports collectifs, une vraie visibilité et des résultats très probants. Tout ça préside à avoir, dans ce partenariat pour lequel je suis particulièrement ravi et fier, un volet image, une évidence, et l’objet de notre manifestation de ce soir : dévoiler le nouveau maillot des équipes de France. Je le confirme que la MAIF est excellemment placée sur ce maillot et elle se verra. Mais pour nous ce n’est pas suffisant ! L’image c’est bien mais ça ne suffit pas. Il faut développer les différents axes, il faut donner du sens à tout ça, être très concret pour faire en sorte que la MAIF, dans ses partenariats sportifs, retrouve ses engagements sociétaux, retrouve les valeurs qui sont les siennes mais très concrètement et très vite en acte. Je crois que ce partenariat répond à trois impératifs. La solidarité : le sport collectif est un vecteur de solidarité. Si je devais résumer ce mot en deux slogans, ça serait : « chacun pour tous » et « ensemble, je suis plus fort ». Le fairplay : c’est évident, le sport c’est le respect de soi-même et c’est donc le respect des autres. Et enfin, l’intégration sociale : on sait bien que le basket est un sport éminemment porteur d’intégration sociale et de mixité sociale.\\n\\nIl y a aussi le développement du basket féminin et puis quelque qui nous est cher à la MAIF, c’est que nous pensons que la MAIF a un rôle à jouer dans le domaine du développement du bénévolat. Il n’y a pas de sport sans bénévole, c’est évident. Je suis persuadé que nous développerons cet axe important du bénévolat au service de ce beau sport qu’est le basket.\\n\\nDe belles ambitions, un beau feeling, un vrai sens à ce partenariat et un beau maillot. »\\n\\nVoici le design proposé par Graphic UNTD pour harmoniser le maillot bleu avec le vert du logo de la MAIF.\\n\\n\\n\\n\\nTrop compliqué d'intégrer proprement un logo ? pic.twitter.com/mZEdR75HaB\\n\\n\\n— Graphic UNTD (@GraphicUNTD) September 6, 2018\\n\\n[armelse]\\n\\nCette conférence de presse était l’occasion d’officialiser le nouveau partenariat entre la FFBB et la MAIF pour une durée de quatre et d’ainsi dévoiler les nouveaux maillots de l’Equipe de France masculine et féminine. Des nouveaux maillots qui sont loin de faire l’unanimité chez les fans de basket et de l’EDF en raison de la couleur verte du logo de la MAIF qui vient s’apposer sur le bleu du maillot de l’Equipe de France. Sur Twitter, les amateurs de graphisme n’ont pas tardé à réagir, à l’image de Graphic UNTD qui a proposé sa version.\\n\\nVoici les déclarations des deux présidents lors de la conférence de presse.\\n\\nJean-Pierre Siutat, Président de la FFBB :\\n\\n« Nous avons commencé l’été avec deux résultats importants de l’Equipe de France masculine. On a terminé la première phase des qualifications par six victoires en autant de matchs. L’été nous avons, comme d’habitude vu les équipes nationales jeunes et je voudrais d’ailleurs saluer la performance des deux équipes de France U17 qui ont terminé avec la médaille d’argent des championnats du Monde, toujours derrière les Etats-Unis. C’est important car nous sommes sur la génération 2024 et nos futurs champions viendront de ces générations.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto :Bellenger/IS/FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans: Richard Hendrix avec l’équipe de Macédoine pour les qualifications à l’Euro"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cela a sans doute échappé à la majorité des fans de la Ligue Nationale de Basket mais Richard Hendrix (2,03m, 31 ans), le nouveau pivot du Mans, s’il est Américain né dans l’Alabama, possède le passeport macédonien.\\n\\nA ce titre, et comme un autre Américain d’origine, Shane Whittingron, est blessé, le néo-Manceau a été appelé par la fédération macédonienne pour disputer les deux matches de la fenêtre de septembre face au Kosovo, le 13, et la Roumanie, le 16, qui comptent pour les qualifications à l’Euro de 2021.\\n\\nLa Macédoine comptabilise actuellement 3 victoires pour 1 défaite et Richard Hendrix tourne à la moyenne remarquable de 20,0 points (65,8% aux shoots), 12,0 rebonds pour 30,7 d’évaluation. On comprend pourquoi son « nouveau pays » a besoin de lui.\\n\\nPrécision: Prédécesseur au MSB de Richard Hendrix, Romeo Travis était lui aussi macédonien.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"[REDIFF] Boris Diaw, le touche à tout des Bleus"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Boris Diaw est sur le terrain comme dans la vie, multidimensionnel. Un temps on l’imaginait meneur de jeu à la Magic Johnson et il s’est retrouvé à défendre parfois sur les pivots mastoc de la NBA. On pense qu’il va devenir coach ou président, il est photographe, réalisateur et se voit partir dans l’espace.\\n\\nCet article est paru avant l’Euro 2017.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès réflexion, on peut faire deux reproches à Boris Diaw. Premièrement de ne pas toujours prendre les tirs ouverts. Deuxièmement, de souvent esquiver les questions. Avec le sourire. Pas par manque d’arguments car vous avez à faire avec un type intelligent, à l’éducation bien nourrie, drôle. Seulement, il n’a juste pas envie. Une conférence de presse n’est pas le cadre idéal pour s’épancher. Ce n’est pas non plus un homme à polémique, plutôt easy going, Boris.\\n\\nSinon, on peut le couvrir de fleurs. C’est un grand frère, un ambianceur, charismatique, qui fait don de soi, un généreux donateur y compris pour tenter de faire de son club chéri, les JSA Bordeaux un grand de France ou de sauver la presse basket en péril. Sur le terrain, c’est un facilitateur, comme aime à le dire Jacques Monclar. Celui qui fait souvent la passe avant la passe décisive souligne George Eddy. Un ancien guard/forward beau comme un Diaw reconvertit en power forward qui peut amener sa science du placement en défense en pleine peinture et qui à chaque rentrée est en surpoids.\\n\\nNe cherchez pas le numéro 2 au classement des meilleurs joueurs français de tous les temps derrière son copain de promo, Tony Parker, c’est lui. Son palmarès (un titre de champion d’Europe et un titre NBA en devanture), sa fidélité en bleu, son apport sur le parquet sur la durée, n’a pas de concurrence. L’impression de facilité, d’aisance qu’il dégagea lors de l’Euro 2005 en Serbie est demeurée imprimée à vie dans les mémoires.\\n\\nSa vie sans ballon est aussi riche et colorée, loin de celle stéréotypée des millionnaires américains. Comme Evan Fournier, il aime la nature, la solitude. Et découvrir de nouvelles sensations. Les journalistes américains se disent épatés par le personnage.\\n\\nDonc Babac est face à nous, les cheveux un brin grisonnant, avenant, réfléchi mais imperturbable, pas enclin à livrer des scoops pour faire les gros titres des chaînes d’info en continue. Encore que, à la fin... Vous verrez.\\n\\n-Le fait d’être agent libre change-t-il votre approche d’une compétition internationale ?\\n\\n-Non, ça ne change rien. C’est vraiment deux choses complètement distinctes. Le fait que je n’ai pas de club en ce moment change rien sur ma façon de jouer avec l’équipe nationale.\\n\\n-Si vous reveniez en Europe, vous avez une destination préférée ?\\n\\n–Non. Je ne me suis pas encore penché là-dessus. La piste NBA reste bien entendu ouverte avec des discussions avec certaines équipes mais rien de concret pour l’instant. S’il y avait un retour sur l’Europe, la priorité serait d’être dans une équipe ou une ville qui me plait. Pour l’expérience de vivre dans telle ou telle ville. Et le projet sportif, bien entendu.\\n\\n-Pour vous, il est hors de question de signer avant la fin de l’Euro ?\\n\\n-Il n’y a rien qui est hors de question, aucune porte n’est fermée.\\n\\n-Ça nécessiterait un aller-retour entre l’Europe et les Etats-Unis ?\\n\\n-Pas forcément. Je l’ai déjà fait dans le passé. Si c’est une veille de quarts de finale, de demi-finale, je ne pense pas faire l’aller-retour. Ça peut se faire sans aller-retour, sans faire la visite médicale ou en la repoussant.\\n\\n\\nLe vin, c’est du sérieux\\n\\nPour choisir un angle d’attaque d’un article sur Boris Diaw, on a le choix. On peut par exemple rappeler que chaque année c’est lui qui reçoit l’équipe de France à Pau puisqu’il est co-propriétaire de La Villa Navarre avec l’ancien rugbyman Stéphane Carella et le romancier Frédéric Beigbeder. Une vidéo, Bleu Blanc, Tour, réalisée par Benoit Dujardin et Tommy Hombert nous avait fait entrer dans les coulisses des Bleus et montré un Rudy Gobert, alors rookie, devenir fou pour une histoire de polo.\\n\\nBoris, qui se reconnait volontiers extraverti, a un sens de l’humour pointu. Aux Jeux de Londres, après la victoire sur le Nigeria et alors qu’on lui demandait d’intervenir sur France 2, il était arrivé avec son nom inscrit sur une pancarte. « Je me sous-titre moi-même car comme ça il n’y a pas d’erreur ! » Une facétie en réaction à France Télévisions, au professionnalisme douteux, qui avait orthographié son nom « Boris Viaud » !\\n\\nIl y a aussi le Boris Diaw, épicurien, oeunologue, ce qui avait le don de plaire à son coach des Spurs, Gregg Popovitch.\\n\\n« Ah ! Le vin ! C’est du sérieux là. Le Bordelais, c’est là que l’on trouve le meilleur vin. Chez nous, c’est le meilleur un point c’est tout », vanta-t-il un jour à un reporter de Maxi-Basket. Car s’il est né en banlieue parisienne, Boris est Bordelais, fier de l’être. Il a commencé le basket tout petit à Talence et à Pessac puis il est entré aux JSA en minimes, dans la petite salle des Peupliers. C’est pour ça qu’il rêva d’un grand club à Bordeaux, y investit de son temps et de son argent et y joua 9 matches en Pro B durant le lockout de la NBA en 2011 avant de lâcher prise.\\n\\n« Je suis en partenariat avec des vignerons à deux niveaux différents », révéla t-il dans la version américaine de GQ. « Je travaille avec des entreprises en France pour importer du vin aux Etats-Unis où j’essaye de faire une sélection de vins qui ont un bon rapport, un bon prix et un excellent goût. Je travaille également maintenant avec un vigneron pour faire mon propre vin. »\\n\\n\\n« Je veux aller dans l’espace »\\n\\nLe Boris Diaw qui a marqué aussi les esprits, c’est l’avaleur de grands espaces. Plutôt que de prendre un jet entre San Antonio et Salt Lake City pour déménager des Spurs aux Jazz, il fit le trajet en voiture avec des potes dont Ronny Turiaf. Un itinéraire de 3 000 km à travers les majestueux parcs américains. Comme il y avait une prise de courant dans sa voiture, Boris y emmena sa désormais célèbre machine à café afin de pouvoir déguster un expresso même en plein désert.\\n\\nBoris est passionné de photographie. Il a été initié par Catherine Steenkeste, une photographe française qui a œuvré plusieurs années au sein des Lakers. Des trips, il en fait d’autres, en Afrique du Sud, au Botswana, en Tanzanie, aux Philippines. Il avait demandé à faire un stage chez le prestigieux National Geographic et c’est ainsi qu’il est parti photographier les grands fauves en Inde avec le célèbre photographe Steve Winter.\\n\\nIl a sorti un livre pour enfants, Hoops to Hippos!, avec ses plus belles images animalières prises lors de safaris. A San Antonio, il s’était fait construire un studio photo.\\n\\nMais Boris veut aller encore plus loin, très loin. A GQ, il confiait :\\n\\n-Pour sûr, je ne plaisante pas quand je le dis : je veux aller dans l’espace. J’essaierais de le faire si c’est possible et je pense que ce sera dans ma vie. Mars, je ne sais pas si cela sera possible. Ils vont d’abord envoyer des astronautes professionnels. J’ai entendu dire que ce serait une mission à sens unique.\\n\\n-Si c’est le cas, envisageriez-vous de vivre sur Mars?, enchérit le journaliste.\\n\\nAbsolument. Je ferais le voyage aller simple. 100%. S’ils cherchaient des candidats, je voudrais certainement faire une demande. Juste aller à l’espace pendant quelques jours, puis revenir en arrière serait cool. Je pense que c’est quelque chose qui est déjà possible pour les civils, c’est très, très cher, mais peut-être que le prix pourrait diminuer.\\n\\n\\nLe record de sélections de sa mère à portée de fusil\\n\\nRevenons sur le plancher des vaches. Nous sommes en août 2017 et donc Boris Diaw est sans club. Il a été « libéré » par les Utah Jazz où il était rémunéré 7,6 millions de dollars l’année pour permettre les arrivées de Thabo Sefolosha et Jonas Jerebko.\\n\\nEn attendant de connaître sa prochaine destination, il s’apprête à disputer son 8e Euro. Lui, ne flanche pas. Pas de retraite alors qu’il a le même âge que Parker, pas de break alors que son corps n’est plus celui d’un jeune homme.\\n\\nPour lui, le vieux sage, qui observe que deux joueurs manquent à l’appel, il n’y a pas péril en la demeure :\\n\\n« A part ceux qui sont à la retraite, il n’y a que deux joueurs qui ne sont plus là, Batum et Gobert qui se reposent. Je ne pense pas que ça soit un manque de respect de cette compétition qu’est le championnat d’Europe, mais c’est un moment où ces deux joueurs-là ont senti qu’ils avaient besoin de se reposer par rapport à des saisons à rallonge et des étés en équipe de France qui se succèdent. Ce sont des choix personnels mais je ne pense pas que ce soit un syndrome, il n’y a que deux joueurs qui ne sont pas là, » insiste t-il.\\n\\nAux Hawks, aux Suns et aux Spurs, Boris Diaw n’a jamais été contraint et forcé par sa franchise de rester aux Etats-Unis l’été pour effectuer une préparation individuelle. Sa motivation a balayé toutes les réticences.\\n\\n« Ça dépend déjà des franchises, celles qui y sont favorables, à qui ça plaît que l’on aille en équipe de France, jouer contre les meilleurs joueurs du monde, progresser grâce à des matches de qualité. Il y a certaines franchises qui voient le risque de blessures et à qui ça ne plait pas trop que les joueurs aillent en équipe nationale. Mais de toutes façons, ils ne peuvent pas l’interdire. C’est aux joueurs de prendre la décision. »\\n\\nLorsque Babac a disputé son premier Euro, en 2003 en Suède, les intérieurs français étaient Cyril Julian, Thierry Rupert, Florent Pietrus et Rony Turiaf. Quatorze ans plus tard, le capitaine a accueilli la bleusaille dont les tours jumelles parisiennes, Louis Labeyrie et Vincent Poirier. Il les avait découvert quelques petites semaines auparavant.\\n\\n« Je les ai vu jouer en demi-finale contre Chalon, c’est la première fois que je les voyais et bien entendu au fur et à mesure des entraînements et des matches avec l’équipe de France. Ce sont des joueurs très talentueux, qui ont beaucoup de potentiel et qui vont faire de bonnes choses dans le futur. Ce sont de jeunes joueurs mais qui ont déjà de grosses qualités sur lesquelles on peut s’appuyer. »\\n\\nBoris a pu aussi apprécier depuis huit ans, avec les Bleus et en NBA, l’immense percée de Nando De Colo. Quand on lui demande ce qui sépare le Français d’un starter NBA, il répond :\\n\\n« C’est un style de jeu qui est un peu différent. En plus Nando a vraiment progressé lors des trois dernières années et est arrivé au niveau d’un joueur starter avec un gros impact sur une équipe NBA. Au moment où il est arrivé en NBA, à mon avis, il n’était pas encore au niveau où il est maintenant. Il a continué à progresser les années où il est reparti en Europe. Il n’a pas eu forcément la chance de pouvoir exprimer son jeu au moment où il était en NBA. Maintenant, c’est un choix personnel de savoir s’il veut revenir ou pas. A mon avis il aura la possibilité de revenir en NBA s’il le souhaite. »\\n\\nPlusieurs fois, Boris a émis le souhait d’égaler le record de sélections de sa mère, Elisabeth Riffiod, 247 sélections obtenue de 1967 à 1980, troisième dans la hiérarchie nationale derrière Céline Dumerc et Paoline Ekambi. Au fur et à mesure des campagnes, son fils a grimpé à 235 sélections et il est lui aussi au troisième rang chez les hommes derrière Hervé Dubuisson et Jacques Cachemire.\\n\\n-Même avec les 9 matches de l’Euro, ça ne fera pas le compte ?!\\n\\n-Non.\\n\\n-Il va falloir continuer après ?\\n\\n-(Rires) Je ne sais pas, on verra. D’ailleurs j’ai toujours pensé que je n’arriverai jamais à la rattraper parce que ça serait beaucoup, beaucoup de matches. 247, c’est inatteignable. C’est vrai qu’on (sic) est plus prêt que jamais. Je ne sais pas encore. »\\n\\n\\nLe président ne veut pas être président\\n\\nAutre facette, profitant du break du All-Star Game, Boris a tourné son premier court-métrage « Easy Life » soutenu par Oxmo Puccino et Vincent Balse pour la bande son, avec dans les rôles principaux Cederic the Entertainer et Nicoye Banks. Le thème : un fils de riche apprend que la vie n’est pas la même pour tout le monde. A un journaliste américain qui évoquait le sujet avec lui, il répondait en rigolant :\\n\\n« Il me faut des plans pour quand je vais me retirer. Il y a des choses que je veux faire. Réalisateur en est une, certainement. »\\n\\nAutre piste : il y a quelques semaines, il indiquait sur Instagram qu’il participait à un programme d’économie à Milan. Un indice pour son futur ?\\n\\n– C’était organisé par le syndicat des joueurs NBA. C’est toujours bien d’apprendre des choses et de se former. C’était un séminaire de trois jours, aussi c’était rapide. On a appris beaucoup de choses sur le global marketing international. »\\n\\nEt le basket ? Les voies sont multiples. Si on l’oriente sur Laurent Foirest, l’un de ses anciens équipiers devenu assistant-coach chez les Bleus, il est louangeur, rappelant que joueur, le Marseillais a toujours été à l’écoute et qu’il amène aux internationaux son immense expérience du terrain. Il est alors opportun de savoir si Boris se destine au même type de trajectoire.\\n\\n–Non !\\n\\n–Président alors ?\\n\\n-Non plus (rires). Les présidents ont trop de responsabilités.\\n\\n-Réinvestir dans un club comme à Bordeaux ?\\n\\n-Non, ce n’est pas prévu. Je pense que je resterai un pied dans le basket car c’est quand même un milieu que j’aime beaucoup mais sans avoir je pense de rôle opérationnel majeur.\\n\\nÇa jette presque un froid tellement on est tous persuadé que Boris Diaw a le profil parfait pour succéder à Vincent Collet, Jean-Pierre Siutat, Alain Béral ou être l’une des chevilles ouvrières d’un futur grand club d’Euroleague à Paris. Alors, on espère que rien n’est définitif et en attendant, il y a une nouvelle médaille à aller chercher.\\n\\n[armelse]\\n\\nAprès réflexion, on peut faire deux reproches à Boris Diaw. Premièrement de ne pas toujours prendre les tirs ouverts. Deuxièmement, de souvent esquiver les questions. Avec le sourire. Pas par manque d’arguments car vous avez à faire avec un type intelligent, à l’éducation bien nourrie, drôle. Seulement, il n’a juste pas envie. Une conférence de presse n’est pas le cadre idéal pour s’épancher. Ce n’est pas non plus un homme à polémique, plutôt easy going, Boris.\\n\\nSinon, on peut le couvrir de fleurs. C’est un grand frère, un ambianceur, charismatique, charismatique, qui fait don de soi, un généreux donateur y compris pour tenter de faire de son club chéri, les JSA Bordeaux un grand de France ou de sauver la presse basket en péril. Sur le terrain, c’est un facilitateur, comme aime à le dire Jacques Monclar. Celui qui fait souvent la passe avant la passe décisive souligne George Eddy. Un ancien guard/forward beau comme un Diaw reconvertit en power forward qui peut amener sa science du placement en défense en pleine peinture et qui à chaque rentrée est en surpoids.\\n\\nNe cherchez pas le numéro 2 au classement des meilleurs joueurs français de tous les temps derrière son copain de promo, Tony Parker, c’est lui. Son palmarès (un titre de champion d’Europe et un titre NBA en devanture), sa fidélité en bleu, son apport sur le parquet sur la durée, n’a pas de concurrence. L’impression de facilité, d’aisance qu’il dégagea lors de l’Euro 2005 en Serbie est demeurée imprimée à vie dans les mémoires.\\n\\nSa vie sans ballon est aussi riche et colorée, loin de celle stéréotypée des millionnaires américains. Comme Evan Fournier, il aime la nature, la solitude. Et découvrir de nouvelles sensations. Les journalistes américains se disent épatés par le personnage.\\n\\nDonc Babac est face à nous, les cheveux un brin grisonnant, avenant, réfléchi mais imperturbable, pas enclin à livrer des scoops pour faire les gros titres des chaînes d’info en continue. Encore que, à la fin... Vous verrez.\\n\\n-Le fait d’être agent libre change-t-il votre approche d’une compétition internationale ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Iliana Rupert: «J’ai longtemps hésité entre Bourges et Montpellier»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans Le Berry, Iliana Rupert (1,93m, 17 ans), meilleure joueuse européenne de sa génération, explique pourquoi elle a donné sa préférence à Bourges à sa sortie du Centre Fédéral.\\n\\n« J’ai longtemps hésité entre Bourges et Montpellier. J’ai choisi Bourges pour plusieurs raisons, notamment les infrastructures et le fait que le club participe à l’Euroleague et qu’il y possède un statut assez important. Je suis venue chercher ici la rigueur et la dureté dans le jeu pour me frotter au plus haut niveau dès maintenant. »\\n\\nAlexia Chartereau (1,98m), de trois ans son aînée, MVP de l’Euro U18 il ya deux ans, est passée par le même club qu’Iliana, les JS Coulaines dans la Sarthe. Or Alexia est devenue sans attendre une joueuse majeure sous le maillot tango.\\n\\n« Elle est arrivée et a eu de suite du temps de jeu. Elle a tout de suite su s’exprimer et a su saisir toutes les opportunités qu’on lui a données. J’aimerais forcément que ça se passe pareil pour moi. Mais on est deux joueuses différentes, la période n’est pas la même, le coach non plus. Quoi qu’il en soit, je sais que si jamais j’ai un problème, je pourrais compter sur elle et elle pourra me conseiller. J’ai pas mal échangé avec elle avant de choisir Bourges, elle m’a dit que des bonnes choses. Elle m’a forcé à la rejoindre (rires). »\\n\\nEtant donné leur pedigree, Iliana Rupert et Alexia Chartereau vont former à Bourges un duo d’intérieures exceptionnel dans toute l’Europe.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Quand Evan Fournier et Nicolas Batum se souviennent qu’ils ont été fans de Boris Diaw"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les hommages -mérités- pleuvent sur Boris Diaw depuis qu’il a annoncé sa retraite sportive. Parmi ceux-ci, ceux de Evan Fournier et Nicolas Batum, qui se souviennent qu’avant qu’il soit leur capitaine en équipe de France, Boris Diaw était leur idole quand ils étaient mômes. Evan Fournier a même sorti de ses archives un document où on le voit à côté de Babac quand il était beaucoup moins grand que lui.\\n\\n\\n\\n\\nUne poignée de gars à avoir marqué l'histoire du basket et inspiré des générations de jeunes basketteurs tricolores comme tu l'as fait... bonne retraite et merci pour tout @theborisdiaw ! pic.twitter.com/pw1vxytzRO\\n\\n\\n— Evan Fournier (@EvanFourmizz) September 6, 2018\\n\\n\\n\\n\\nBon vent Capitaine Babac @theborisdiaw ! Merci pour tout ce que tu as fait pour notre sport. N’oublie pas que j’attends toujours l’autographe que tu m’as promis lorsque tu as joué contre Le Havre et que j’avais 13 ans... pic.twitter.com/LkAa3PIPGk\\n\\n\\n— Nicolas Batum (@nicolas88batum) September 6, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Français et Américains: Cette photo a exactement 100 ans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque mois le Musée du Basket propose une photographie ou une illustration issue des Archives de la Fédération, de celles des Clubs, Comités départementaux et Ligues régionales, de ses propres archives ou d’autres sources encore.\\n\\nCelle-ci a exactement 100 ans.\\n\\nA l’automne 1918, les équipes de la base américaine de Royan et du Centre régional d’instruction physique posent avant le match. Le développement du sport en France et du basket en particulier est intimement lié à la Première Guerre mondiale.\\n\\n« Il n’y aucun doute sur le fait que la Guerre ait eu une influence vitale sur le développement du basket dans les nations européennes, » avait d’ailleurs déclaré le créateur de ce jeu, James Naismith, dans Basketball – Its origin and development, Association Press, New-York, 1941 ).\\n\\nL’historien Michel Merckel animera une conférence à la FFBB sur ce thème le samedi 15 septembre. Cette intervention se fera dans le cadre de l’ouverture de l’Espace muséal à l’occasion des Journées européennes du Patrimoine 2018 au siège de la FFBB\\n\\nCollection Bertrand Grosjean"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Jeep®ÉLITE 2018/19 – Elan Chalon: Des jeunes pousses prêts à éclore"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Jeep Elite débute les 22 et 23 septembre et nous sommes fiers de vous proposer pour la troisième année (déjà!) une présentation complète sur BasketEurope avec une analyse de chaque équipe, des commentaires sur chaque joueur et coach, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié jusqu’au jeudi 20 avec chaque jour une équipe de JeepElite par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment). Vous pouvez également dès maintenant pré-commander le Magazine « Guide de la saison » sur notre boutique à 6€ frais de port inclus.\\n\\nNous vous proposerons ensuite la Pro B et la Ligue Féminine.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nFaut-il revenir sur une saison catastrophique, qui a vu un champion de France risquer sa peau en Jeep Elite à cause d’un recrutement défectueux et d’une mayonnaise qui a mal tourné? Plusieurs fautifs sont partis mais aussi Jérémy Nzeulie qui a pris une valeur marchande très importante en deux saisons en Bourgogne et Nate Wolters qui était venu faire une pige de luxe avec l’étiquette de Superman. L’Elan a minimisé les risques dans son apport de sang neuf étranger avec trois joueurs déjà référencés en France, même si Mykal Riley, 33 ans, n’est plus aussi fringant qu’à la grande époque de Nanterre et Dijon. Mickaël Gelabale, 35 ans, aussi, est au soir de sa carrière. A l’inverse, l’Elan doté d’un centre de formation très performant, dispose d’une ribambelle de jeunes pouces dont on espère l’éclosion.\\n\\n©FIBA\\n\\nSalle : Le Colisée (4 749 places)\\n\\nPrésident : Dominique Juillot (64 ans)\\n\\nArrivées : Mathias Dossou-Yovo (Centre Fédéral, N1), Assane Ndoye (retour de prêt Blois, Pro B), Juan Palacios (Besiktas Istanbul, Turquie), Mykal Riley (Le Mans), Justin Robinson (Saratov, Russie), Vincent Sanford (Antibes).\\n\\nDéparts : Khalid Boukichou (Sigal Prishtina, Kosovo), Darrin Dorsey (Holargos, Grèce), James Farr (Mitteldeutscher BC, Allemagne), Pierre-Antoine Gillet, Lance Harris (Primorska, Slovénie), Jérémy Nzeulie (Strasbourg), Arthur Rozenfeld (Bourg), Nate Wolters (Zalgiris Kaunas, Lituanie).\\n\\nJustin Robinson – né le 12 avril 1995 – 1,73m – Poste 1 – Américain\\n\\nSon petit gabarit l’a empêché de recevoir beaucoup de propositions de bourse à sa sortie du lycée et il s’est retrouvé à Monmouth où il a emmené son équipe à son premier titre de conférence (MAAC) de son histoire. Il fut récompensé par deux trophées de Player of the Year de la Conférence. Pour sa première saison en professionnel, il s’est retrouvé en Russie, au Avtodor Saratov. 6,5 points et 3,8 passes en Champions League et beaucoup mieux en VTB League : 11,8 points (32,0% à trois-points) et 7,0 passes.\\n\\nVincent Sanford – né le 5 décembre 1990 – 1,90m – Poste 2 – Américain\\n\\nCet arrière tonique a fait une bonne saison à Antibes (14,3 points, 38,8% à trois-points) et cela n’a pas échappé à coach Choulet. Sa carrière avait été jusqu’ici chaotique puisqu’après avoir fréquenté deux facs (Georgetown et Dayton), il s’était retrouvé en Islande et en Colombie avant d’atterrir dans l’équipe réserve de Oliver Würzburg. Pas pour longtemps car l’équipe Une le sollicita et il fut digne de la promotion (11,2 points, 3,5 rebonds et 3,0 passes).\\n\\nBabacar Niasse – né le 30 avril 2000 – 1,95m – Poste 2 – Français\\n\\nL’un des cadres de l’équipe de France U18, il n’a pu être de l’aventure à l’Euro en Lettonie et ramener une médaille en raison d’une blessure en préparation. 10,4 points, 3,8 rebonds et 1,6 passe avec les Espoirs. Il a joué aussi 22 minutes en Jeep Elite et marqué 4 points. De Châteauroux, il a fait ses classes à La Berrichonne.\\n\\nMykal Riley – né le 14 juillet 1985– 1,96m – Poste 2-3 – Américain\\n\\nChampion de France avec Le Mans. Après une ultime saison médiocre à Nanterre où il devait poursuivre sa carrière jusqu’en 2019, il a retrouvé une bonne partie de ses sensations au MSB même s’il a fait preuve d’irrégularité. Un joueur élégant qui a longtemps été un funambule, que ce soit à la JSF et à Dijon. Vainqueur de l’EuroChallenge en 2015 et de la FIBA Europe Cup en 2017. Apprécié pour sa gentillesse. Parle français y compris en conférence de presse.\\n\\n©FIBA\\n\\nBastien Pinault – Né le 18 octobre 1993 – Poste 2-3 – Français\\n\\nUn four à micro-ondes car il est tout de suite très chaud en sortant du banc. 4e de la Jeep Elite au nombre de points inscrits à la minute. Soit 149 en 248 minutes. Mieux encore, il affiche la plus belle adresse du championnat à trois-points : 52,1%. L’une des révélations de la saison puisque le Tarbais formé à Pau venait de Evreux en Pro B où il shootait beaucoup plus et avec moins d’efficacité (34,8% pour 8,8 points en 2017).\\n\\nMichael Gelabale – né le 22 mai 1983– 2,02m – Poste 3 – Français\\n\\nA fêté en Guadeloupe cet été son jubilé avec son compagnon d’arme Florent Pietrus mais pas question de retraite puisque Mike a prolongé de deux ans à l’Elan. Il est arrivé en octobre après une période sans emploi. Son évaluation (12,4) est la meilleure depuis son retour en France en 2014. Un immense palmarès avec de la NBA, de l’Euroleague et des médailles en équipe de France où il fut un membre certifié du 5 Majeur. Un sang-froid à toutes épreuves. 46,7% à trois-points en 2018.\\n\\nAssane Ndoye – né le 16 août 1996– 2,02m – Poste 3-4 – Français\\n\\nIssu du centre de formation du club, cet ailier gaucher athlétique a été prêté à Blois à partir de janvier 2017. En jouant 22’ par match, il a apporté son écot au titre de champion de Pro B des Blésois et sa progression d’un exercice à l’autre est net : 7,8 points au lieu de 5,5, 3,6 rebonds au lieu de 1,8 et 1,8 passe au lieu de 0,8.\\n\\nJuan Palacios – né le 11 mai 1985 – 2,06m – Poste 4 – Espagnol\\n\\nColombien au passeport espagnol. Un Bosman qui permettra éventuellement de recruter en plus un Américain. Son palmarès fait état d’un titre de champion de France avec Nanterre (2013) et d’un autre en Turquie avec Karsiyaka (2015) et d’un titre de MVP en Lituanie avec Lietuvos rytas (2014). Il a joué la saison dernière en Lituanie sous le maillot de Neptunas Klaipdas (19 points et 10 rebonds contre l’Elan) et en Turquie sous celui de Besiktas où il a eu peu de temps de jeu (7 matches, 12’ et 5,1 points et 3,1 rebonds en moyenne).\\n\\nEtienne Ca – né le 6 mars 1997 – 2,10m – Poste 4 – Français\\n\\nSon nom a circulé dans le milieu lorsqu’il a réalisé en espoirs 51 d’évaluation face à Antibes, la deuxième performance de la catégorie après les 62 du Nancéen Vincent Pourchot. Pour se faire, il a compilé 34 points à 16/17 aux tirs (!), 15 rebonds, 2 passes, 2 interceptions et 4 contres en 28’. 18,5 points et 8,2 rebonds sur l’ensemble de la saison. Elu dans le Cinq idéal du championnat.\\n\\n©FIBA\\n\\nOusmane Camara – né le 12 mais 1989 – 2,05m – Poste 4-5 – Français\\n\\nLe guerrier connu pour sa générosité et son appétence pour le rebond était monté offensivement en puissance lors de sa dernière saison à Limoges (11,7 points). Dans un contexte chalonnais difficile, son rendement a été un peu en recul (8,5 points) mais il a toujours fait preuve de sa verve au rebond (6,5). 57,2% de réussite en carrière aux lancers. Appartient au Team France mais n’a jamais été sélectionné.\\n\\nMathis Dossou Yovo – Né le 6 novembre 2000 – Pivot- Français\\n\\nAprès ses années au Centre Fédéral, il rejoint l’Elan avec qui il était sous convention. 8,0 points et 5,0 rebonds en N1. Surtout il a été le meilleur des Français médaillés de bronze à l’Euro U18 cet été. Il a défendu sans s’user, pris beaucoup de rebonds (8,1) et scoré beaucoup de points (16,4) avec un bon pourcentage (54,9). Costaud, énergique, il possède une belle marge de progression sur le plan technique.\\n\\n©FIBA\\n\\nCoach:\\n\\nJean-Denys Choulet – Né le 16 octobre 1958 – Français\\n\\nJDC a connu une douche glacée comme rarement coach à ce niveau passant du titre de champion de France à la possibilité d’être rétrogradé en Pro B. Il a conservé en permanence la confiance de ses dirigeants ; il est sous contrat jusqu’en 2020. Un personnage de la Jeep Elite, qui n’a pas sa langue dans sa poche. Champion de France avec Roanne auparavant. Réputé pour avoir déniché plusieurs perles américaines durant sa carrière. Un champion de la muscu.\\n\\nAssistant : Romain Chenaud (35 ans)\\n\\n[armelse]\\n\\nFaut-il revenir sur une saison catastrophique, qui a vu un champion de France risquer sa peau en Jeep Elite à cause d’un recrutement défectueux et d’une mayonnaise qui a mal tourné? Plusieurs fautifs sont partis mais aussi Jérémy Nzeulie qui a pris une valeur marchande très importante en deux saisons en Bourgogne et Nate Wolters qui était venu faire une pige de luxe avec l’étiquette de Superman. L’Elan a minimisé les risques dans son apport de sang neuf étranger avec trois joueurs déjà référencés en France, même si Mykal Riley, 33 ans, n’est plus aussi fringant qu’à la grande époque de Nanterre et Dijon. Mickaël Gelabale, 35 ans, aussi, est au soir de sa carrière. A l’inverse, l’Elan doté d’un centre de formation très performant, dispose d’une ribambelle de jeunes pouces dont on espère l’éclosion.\\n\\n©FIBA\\n\\nSalle : Le Colisée (4 749 places)\\n\\nPrésident : Dominique Juillot (64 ans)\\n\\nArrivées : Mathias Dossou-Yovo (Centre Fédéral, N1), Assane Ndoye (retour de prêt Blois, Pro B), Juan Palacios (Besiktas Istanbul, Turquie), Mykal Riley (Le Mans), Justin Robinson (Saratov, Russie), Vincent Sanford (Antibes).\\n\\nDéparts :« , Darrin Dorsey (Holargos, Grèce), James Farr (Mitteldeutscher BC, Allemagne), Pierre-Antoine Gillet, Lance Harris (Primorska, Slovénie), Jérémy Nzeulie (Strasbourg), Arthur Rozenfeld (Bourg), Nate Wolters (Zalgiris Kaunas, Lituanie).\\n\\nJustin Robinson – né le 12 avril 1995 – 1,73m – Poste 1 – Américain\\n\\nSon petit gabarit l’a empêché de recevoir beaucoup de propositions de bourse à sa sortie du lycée et il s’est retrouvé à Monmouth où il a emmené son équipe à son premier titre de conférence (MAAC) de son histoire. Il fut récompensé par deux trophées de Player of the Year de la Conférence. Pour sa première saison en professionnel,\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture: Michael Gelabale (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet et la retraite de Boris Diaw: «Pour toutes ces années ensemble, plutôt que le remercier, je dirais juste que c’était génial ! »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FFBB a naturellement réagi à l’annonce de la retraite sportive du capitaine de l’Équipe de France, Boris Diaw (2,03m, 36 ans). Champion d’Europe 2013 avec les Bleus, Diaw a porté le maillot tricolore à 247 reprises, égalant le nombre de sélections de sa mère avec les Bleus en juillet dernier, et a inscrit 2 090 points en bleu. Formé au Centre Fédéral, il a remporté cinq médailles internationales avec l’Équipe de France au cours de sa carrière, marquée également par un titre de Champion NBA avec San Antonio en 2014.\\n\\nJean-Pierre Siutat, Président de la Fédération Française de BasketBall :\\n\\n« C’est une immense page qui se tourne pour le basket et le sport français. Nous tenons tous à féliciter Boris Diaw pour l’ensemble de sa carrière, à la fois en club et en Équipe de France. Son attachement sans faille au maillot bleu pendant près de 20 ans, ainsi que son exemplarité sur et en dehors du terrain, font de Boris Diaw un exemple formidable pour notre jeunesse. Je le remercie à nouveau, très sincèrement, pour tout ce qu’il a apporté à notre sport, à la fois au niveau de ses performances sportives qui lui ont permis de porter à 247 reprises le maillot de l’Équipe de France, égalant ainsi le record de sa mère Elisabeth Riffiod, et de remporter cinq médailles internationales, que par les valeurs qu’il a su transmettre tout au long de ces années au plus haut-niveau ».\\n\\nPatrick Beesley, General Manager du Team France Basket :\\n\\n« On savait bien que viendrait un jour l’annonce de la fin de carrière de Boris Diaw en Équipe de France. On ne se sépare pas d’une telle figure emblématique sans peine et nostalgie... Le fait qu’il ait égalé les 247 sélections en Équipe de France d’Elisabeth Riffiod, est symbolique de l’admiration qu’il porte à sa mère, et prouve aussi combien son amour pour le maillot tricolore est incommensurable. La carrière sportive de Boris est exceptionnelle, mais le rôle qu’il occupait au sein de la sélection en fait un être unique, car il était bien plus qu’un joueur. Au fil des ans et des sélections, Boris était reconnu comme le leader de l’Équipe de France et il assurait à ce titre le lien entre les générations, sa légitimité imposant le respect de tous. Joueur atypique Boris n’a jamais cherché à se mettre en valeur, et sa satisfaction était de faire briller les autres : il aimait à dire qu’il se voulait être un facilitateur du jeu. Et le mot altruisme prenait avec lui tout son sens. Sa personnalité était précieuse également pour le staff, et il aimait participer chaque jour à l’heure du café, au débriefing quotidien du staff, apportant sa vision avec humour et pertinence. Le parcours de Boris force le respect et l’admiration. Personnellement, je lui suis reconnaissant de m’avoir permis de partager durant ces 16 années, les 247 matchs internationaux à ses côtés ».\\n\\nVincent Collet, Entraîneur de l’Équipe de France masculine :\\n\\n« Boris Diaw fait partie d’un petit groupe de joueurs dont l’impact qu’il aura eu sur l’Équipe de France restera gravé à jamais dans la mémoire collective. Pour les fans, il y a bien sûr le grand joueur et l’homme généreux, sympathique. Pour nous membres du staff, et moi en tant qu’entraîneur, il représente l’incarnation du capitaine au quotidien, toujours tourné vers les autres pour les aider à performer et se sentir à l’aise dans un groupe. Nul n’est indispensable mais nous allons vite nous apercevoir de son absence. Pour toutes ces années ensemble, plutôt que le remercier, je dirais juste que c’était génial ! »\\n\\nPhoto: FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"La vidéo confidence de Boris Diaw: «J’ai fait deux, trois semaines sur le bateau et comme j’aime bien, je crois que je vais y rester»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Boris Diaw vient de publier une vidéo où on le retrouve sur un bateau en compagnie de ses potes Tony Parker et Ronny Turiaf. Il y raconte tranquillement qu’il prend sa retraite de basketteur. Décidément, même pour le clap de fin, le Président n’aura jamais rien fait comme tout le monde.\\n\\nL’équipe de France?\\n\\n« Je n’ai pas envie de dépasser ma mère, 247 sélections... »\\n\\nSa vie d’après?\\n\\n« J’ai tellement de passions qui vont m’occuper aux quatre coins du monde... Je me dis que c’est le moment, tout simplement.»\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Jeep®ÉLITE 2018/19 – Bourg-en-Bresse: Objectif, les playoffs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Jeep Elite débute les 22 et 23 septembre et nous sommes fiers de vous proposer pour la troisième année (déjà!) une présentation complète sur BasketEurope avec une analyse de chaque équipe, des commentaires sur chaque joueur et coach, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié jusqu’au jeudi 20 avec chaque jour une équipe de JeepElite par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment). Vous pouvez également dès maintenant pré-commander le Magazine « Guide de la saison » sur notre boutique à 6€ frais de port inclus.\\n\\nNous vous proposerons ensuite la Pro B et la Ligue Féminine.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nPromue en Jeep Elite après avoir été sacrée championne de Pro B à deux journées de la fin du championnat, la JL Bourg faisait figure de rookie particulier la saison dernière avec un budget digne d’une équipe déjà bien installée en première division. Longtemps dans le top 4 du classement, les joueurs de Savo Vucevic sont sortis de la zone « playoffable » à seulement quelques journées de la fin du championnat et ne se sont donc pas qualifiés pour les phases finales. Objectif pour cette saison ? Les playoffs sans hésitation d’autant plus que le MVP de Jeep Elite 2017/18, Zachery Peacock a prolongé pour deux ans supplémentaires. A noter les arrivées de deux grands espoirs du basket français, Bathiste Tchouaffé et Malcolm Cazalon.\\n\\nSalle : Ekinox (3 521 places)\\n\\nPrésident : Freddy Tacheny (46 ans)\\n\\nArrivées : Malcolm Cazalon (Lyon-Villeurbanne), Daniel Dixon (Maine Red Claws, G-League), Kerem Kanter (Xavier, Etats-Unis), Arthur Rozenfeld (Chalon), Bathiste Tchouaffé (Nanterre), Lamonte Ulmer (Châlons-Reims)\\n\\nDéparts : Gilvydas Biruta (SK Cherkasy Monkeys, Ukraine), Thibault Desseignet (prêt Nantes, Pro B), Kévin Dinal (Evreux, Pro B), Mérédis Houmounou, Lance Jeter, Trey Lewis (Salt Lake City Stars, G-League), Chase Simon (Anwil) , Abdel Kader Sylla, Mathieu Wojciechowski (MKS Dabrowa Gornicza, Pologne)\\n\\nArthur Rozenfeld – né le 8 février 1995 – 1,78m – Poste 1 – Français\\n\\nAuteur d’une saison très aboutie en 2016/17 à Roanne, en Pro B, l’ancien joueur de l’ASVEL avait décidé de sauter le pas et de tenter de faire son trou en Jeep Elite. Seulement, le bateau chalonnais a sérieusement tangué et il n’a pas trouvé la bonne situation pour s’épanouir. Il arrive à Bourg pour suppléer l’Américain Garret Sim. Meneur de jeu de petite taille, il mise sur sa vitesse, sa grinta et son intensité pour faire la différence et trouver le chemin du panier. En un peu plus de dix minutes de jeu, il tournait à 2,8 points et 2 passes avec l’Elan Chalon.\\n\\nZack Wright – né le 5 février 1985 – 1,88m – Poste 1 – Bosnien\\n\\nPas intéressé par une prolongation à Strasbourg, songeant à la retraite à moins qu’une très bonne offre et situation pour sa famille se présente en Europe, il a finalement choisi Bourg. La saison dernière, l’ancien joueur du Pana compilait en moyenne 7,5 points, 4,7 rebonds et 4,6 passes décisives en Jeep Elite, et 9,9 points, 5,3 rebonds et 4,5 passes décisives en Champions League. Parmi les joueurs les plus référencés du championnat. Naturalisé Bosnien en 2012, il a participé à l’Eurobasket en 2013.\\n\\nGarrett Sim – né le 10 juillet 1990 – 1,88m – Poste 1/2 – Américain\\n\\nProlongé pour deux saisons courant mars, il est le chef d’orchestre de la JLB depuis deux ans. Adroit à deux et trois points, il a d’abord lancé sa carrière en Allemagne et au Canada avant d’arriver en France, à Boulogne-sur-Mer, en 2015/16. Champion de France de Pro B 2017, il compilait 12,9 points, 2,3 rebonds et 4,4 passes décisives en 2017/18. Né à Portland et formé à Oregon.\\n\\nDaniel Dixon – né le 13 février 1994 – 1,98m – Poste 2 – Américain\\n\\nAvant dernière recrue du club, il sort de sa saison rookie en G-League et va vivre sa première expérience hors des Etats-Unis. Formé à l’université William and Mary, il a participé cet été à la Summer League NBA de Las Vegas sous les couleurs des Boston. Arrière athlétique, il a pour réputation d’être un fort scoreur (plus de 19 points de moyenne lors de sa dernière saison NCAA) doté d’un shoot extérieur fiable. La saison dernière, il tournait à 13,2 points (35% de réussite à 3-pts), 4,7 rebonds et 2,6 passes décisives.\\n\\nBathiste Tchouaffe – né le 19 mai 1998 – 1,96m – Poste 2 – Français\\n\\nEspoir du basket français, il a décidé de se lancer dans le grand bain à Nanterre en 2016 après avoir passé quatre ans au Centre Federal. Après deux ans sous les ordres de Pascal Donnadieu, qui l’a utilisé irrégulièrement, il s’est engagé trois ans avec Bourg. Il a remporté le championnat d’Europe U16 en 2014 et U18 en 2016 en tant que capitaine de l’équipe de France. Avec 11,3 points, il fut cet été le meilleur marqueur des Bleuets à l’Euro U20. Ses stats en 2017/18 avec Nanterre : 2,7 points et 1,3 rebond.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=c3MfBKHd8K0\\n\\nMalcolm Cazalon – né le 27 août 2001 – 1,95m – Poste 2 – Français\\n\\nVice-champion du monde avec l’Equipe de France U17 cet été et meilleur scoreur de l’équipe, il fait partie des plus grands espoirs du basket français aux côtés de Killian Hayes (Cholet), Théo Maledon (ASVEL) ou encore Sekou Doumbouya (Limoges), qui évolueront également tous les trois en Jeep Elite cette saison. Reçu aux tests d’entrée à l’INSEP en 2016, il avait finalement décidé de rejoindre l’ASVEL. Après deux saisons passées chez les Espoirs villeurbannais, il s’engage pour trois ans à Bourg en signant son premier contrat professionnel. En 2017/18, il compilait en moyenne 12,5 points, 4,7 rebonds, 2,3 passes décisives et 1,7 interception.\\n\\nMaxime Courby – né le 23 novembre 1990 – 2,03m – Poste 3 – Français\\n\\nAilier expérimenté dans le circuit professionnel français depuis 10 ans, il est passé par Gravelines-Dunkerque, Antibes et Rouen avant d’atterrir à Bourg en 2015 et connaître la montée en Jeep Elite deux ans plus tard. Champion d’Europe U20 en 2010 en 5 contre 5, l’ancien Antibois est un habitué de l’équipe de France 3×3 et a notamment participé à la préparation pour la Coupe du Monde en 2017 mais n’a pas été retenu pour la compétition. La saison dernière, il tournait à 5,8 points et 2,5 rebonds.\\n\\nLaMonte Ulmer – né le 17 septembre 1986 – 1,98m – Poste 3 – Américain\\n\\nPassé par la Finlande, la D-League ou encore l’Allemagne. Pour sa première saison dans l’Hexagone à Châlons-Reims, cet ailier américain a fait sensation. Agressif, l’ancien joueur de Wurzburg sait tout faire sur un terrain qu’il s’agisse de shooter à trois points, driver ou même monter au alley-oop. Il a terminé 2e meilleur marqueur et 4e meilleure évaluation du championnat sur la deuxième partie de saison. Ses stats en 2017/18 : 13,3 points et 3,8 rebonds pour une évaluation de 13,1.\\n\\nYoussou Ndoye – né le 15 juillet 1991 – 2,13m – Poste 4/5 – Sénégalais\\n\\nA Bourg depuis 2016. Le natif de Dakar a d’abord vécu une saison en D-League (Austin Spurs) avant d’arriver en France et de remporter le titre de Pro B la même année. Formé à l’Université de Saint Bonaventure, il est le joueur le plus grand de l’effectif burgien et donc le point d’ancrage dans la raquette de la Jeu. Intérieur physique, il se projette vite vers l’avant et n’a pas peur d’aller au combat sous le cercle. La saison passée, il conjuguait 11,8 points et 6,4 rebonds par rencontre. International sénégalais.\\n\\nZachery Peacock – né le 13 octobre 1987 – 2,03m – Poste 4/5 – Américain\\n\\nMVP de Pro B il y a deux ans, le natif de Miami revenait en première division française avec la ferme intention de montrer qu’il a les moyens de performer à ce niveau. Résultat, le titre de MVP de la saison en Jeep Elite. Intérieur complet présent en attaque comme en défense, il est capable de créer son tir, jouer sur pick and roll ou encore shooter à trois points s’il est seul. Il faudra une nouvelle fois compter sur l’ancien joueur de Boulogne et Cholet. Ses stats en 2017/18 : 19,3 points, 6,1 rebonds et 2,3 passes décisives. Il a été victime d’un pneumothorax à la mi-avril, ce qui explique qu’il n’a joué que 32 matches.\\n\\nKerem Kanter – né le 20 avril 1995 – 2,08m – Poste 5 – Turc\\n\\nFrère du joueur NBA Enes Kanter, il sort d’un cursus universitaire complet après quatre ans passés entre Green Bay et Xavier. Né à Bursa, il a représenté la Turquie lors de l’Euro U18 de 2013 donc elle était sortie victorieuse. Depuis, il a été rejeté par sa fédération suite aux déclarations de son frère et aux idées politiques de sa famille. Il va vivre sa première expérience professionnelle en Jeep Elite et formera une raquette très physique avec Youssou Ndoye et Zachery Peacock. La saison dernière, il compilait 10,9 points (58% de réussite à 2-pts et 33% à 3-pts) et 4,5 rebonds en NCAA.\\n\\nCoach\\n\\nSavo Vucevic – né le 27 janvier 1957 – Monténégrin\\n\\nA l’origine de la montée de Monaco de la NM1 à la Pro B, il a rejoint la JL Bourg en 2016. Champion de Pro B 2017, l’oncle du NBAer Nikola Vucevic possède un palmarès varié avec deux championnats de Belgique, une coupe de Belgique, avec Charleroi, ou encore deux titres de champion de Nationale 1 avec Antibes et donc Monaco. Il a également été élu meilleur entraîneur de Pro A en 2002 lorsqu’il était à Cholet, puis de Nationale 1 en 2008 et 2014.\\n\\nAssistant:\\n\\nGérald Simon (51 ans)\\n\\n[armelse]\\n\\nPromue en Jeep Elite après avoir été sacrée championne de Pro B à deux journées de la fin du championnat, la JL Bourg faisait figure de rookie particulier la saison dernière avec un budget digne d’une équipe déjà bien installée en première division. Longtemps dans le top 4 du classement, les joueurs de Savo Vucevic sont sortis de la zone « playoffable » à seulement quelques journées de la fin du championnat et ne se sont donc pas qualifiés pour les phases finales. Objectif pour cette saison?\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Bathiste Tchouaffé (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : suivez le match de préparation entre Evreux et Paris sur LNB TV"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir racheté les droits sportifs de Hyères-Toulon, le Paris Basketball a fait un bon de la NM2 à la Pro B et continue sa préparation pour cette saison 2018/19.\\n\\nNouvel arrivé dans le monde de la Pro B, le Paris Basketball affronte Evreux à 19 heures ce mercredi et le match est diffusé en direct sur LNB TV.\\n\\nhttps://www.lnb.fr/fr/lnb-tv-7.html"
}, 
{"role": "user",     "content":"Marketing : la Jeep® Elite a-t-elle vraiment remplacé la Pro A ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le 8 février, la LNB officialisait le naming de la ProA en « Jeep® ÉLITE ». Six mois après le changement de nom et à la veille du lancement de la saison 2018/19, est ce que le terme « Jeep® Elite » est majoritairement utilisé par les fans de basket ?\\n\\nNous avons eu recours à Google Trends qui permet d’analyser les volumes de recherche sur le moteur de recherche afin de nous faire un avis. Nous avons observé les tendances de recherche sur Google.fr depuis le 1er mars, le mois de février étant non représentatif suite à l’effet « nouveauté » de l’annonce de la LNB.\\n\\nOn constate que « Jeep® Elite » prend position et a même dépassé le terme « ProA » pendant les Playoffs :\\n\\nCertaines régions (le Limousin en tête) sont les bons élèves puisque ses habitants paraissent utiliser majoritairement le terme « Jeep® ÉLITE » :\\n\\nQu’en est-il réellement dans les salles de basket ? Dans les discussions entre supporters ? Dites le nous dans les commentaires de cet article.\\n\\nSource : Google Trends"
}, 
{"role": "user",     "content":"Photo et vidéo: Les nouveaux maillots du Limoges CSP"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A son tour, le Limoges CSP présente ses nouveaux maillots pour la saison 2018-19. Le fruit d’une collaboration Whatif?/Big Sports.\\n\\n\\n\\n\\nLimoges CSP – Tenues officielles JeepElite – 2018/2019\\n\\n\\nPlus qu'un club, une nation ! #CSPnation💚 pic.twitter.com/9JAn1QfT31\\n\\n\\n— Limoges CSP (@limogescsp) September 6, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Suivez Monaco-CSKA Moscou en direct sur Facebook"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A Antalya, en Turquie, pour disputer la Gloria Cup, l’AS Monaco affronte en ce moment-même le CSKA Moscou.\\n\\nCe match est à suivre en direct sur le Facebook de Monaco Info.\\n\\nhttps://www.facebook.com/MonacoInfo/videos/320472061867296/"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: L’international centrafricain Evans Ganapamo au Paris Basketball"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Paris Basketball a recruté l’ailier Evans Ganapamo (2,01m, 24 ans).\\n\\nIl s’agit d’un international centrafricain, né à Montpellier, qui a été formé en NCAA, à New Orleans et Prairie View A&M. Il était la saison dernière en Allemagne, au SRB Rosenheim.\\n\\nLors de trois matches de qualification à la Coupe du monde 2019, il a été l’auteur de 12,7 points (40,0% à trois-points) en 19′ de moyenne.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Une coopération FIBA-NBA pour les arbitres de la Basketball Champions League"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Basketball Champions League a accueilli son camp de pré-saison des officiels de vendredi à dimanche dans la capitale tchèque, Prague, avec la participation de la NBA, de son vice-président Monty McCutchen et de conférenciers invités de la FIFA.\\n\\nSoixante-quinze arbitres de 31 pays et trente-cinq délégués techniques ont assisté à cet événement de trois jours. Le clinic a couvert un large éventail de sujets, allant des questions d’arbitrage, des protocoles de jeu, jusqu’à la préparation physique et mentale.\\n\\nA noter que des arbitres de la BCL étaient présents lors de la dernière Summer League NBA.\\n\\n» A chaque fois que nous voyons que l’arbitrage peut être aidé par la synergie (entre la NBA, la FIBA et la BCL) à travers cette la capacité à collaborer, cela rend nos ligues et le monde du basketball meilleurs « , a déclaré M. McCutchen. » Les arbitres servent le jeu, et si nous devons servir le jeu, nous ne pouvons pas être si dogmatiques, et ne pas être ouverts aux nouvelles idées. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Médailles de la Coupe du monde féminine: «On en veut une !»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le président de la Fédération Espagnole de Basket, Jorge Garbajosa, et l’artiste espagnol David Rodríguez Caballero ont présenté officiellement les médailles qui seront remises à l’issue de la Coupe du monde féminine qui va se tenir à Tenerife du 22 au 30 septembre.\\n\\n« On en veut une... » a twitté le président de la FFBB, Jean-Pierre Siutat.\\n\\nLa seule fois où l’équipe de France a ramené une médaille, c’était en 1953 lors de la première édition. Du bronze. Précision: il n’y avait que des équipes du continent américain sauf la Suisse et la France !\\n\\n\\n\\n\\nOn en veut une... 👍 🇫🇷🇫🇷🇫🇷 \u2066@FRABasketball\u2069 #FIBAWWC \u2066@baloncestofeb\u2069 \u2066@jgarbajosa15\u2069 pic.twitter.com/VGUtCUhQj3\\n\\n\\n— Jean-Pierre SIUTAT (@jpsiutat) September 5, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ken Horton (ex Elan Béarnais) signe au Kazakhstan"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A Pau-Lacq-Orthez pour l’exercice 2017/18, Ken Horton (1,98m, 29 ans) a trouvé son nouveau club pour la saison 2018/19. Il part à Astana, au Kazakhstan.\\n\\nSur son site, le club de VTB League annonce l’arrivée de l’ancien pensionnaire de Central Connecticut. En 2012, il a lancé sa carrière professionnelle en France, à Boulogne-sur-Mer. Il est ensuite passé par Chypre, le Mexique, la Finlande et l’Allemagne. Il vivra sa première expérience en VTB League.\\n\\nLa saison dernière, Ken Horton compilait en moyenne 11,8 points et 5,3 rebonds.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde: Thomas Heurtel et Fabien Causeur sur la liste des forfaits"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La guerre entre la FIBA et l’Euroleague bat toujours son plein. Prévus initialement pour les deux matches de qualifications à la Coupe du monde en Bulgarie et face à la Finlande à Montpellier, Thomas Heurtel (FC Barcelone) et Fabien Causeur (Real Madrid) ont dû déclarer forfait. Leurs clubs leur ont mis « une forte pression ». C’est ce qu’indique le quotidien L’Equipe dans son édition du jour.\\n\\nAu final, seul un joueur de NBA (Nicolas Batum) et trois d’Euroleague (Nando De Colo, Vincent Poirier et Edwin Jackson) sont disponibles pour cette fenêtre; De Colo et Poirier ne pouvant se libérer pour le tournoi de Paris-Coubertin qui a lieu ce week-end. De plus, Louis Labeyrie et Livio Jean-Charles sont actuellement blessés.\\n\\nC’est donc un ersatz d’équipe de France qui sera alignée par Vincent Collet vendredi contre le Monténégro et dimanche contre la Grèce pour ces deux seuls matches de préparation.\\n\\nTriste, frustrant et rageant.\\n\\nLes Bleus pour Coubertin: Axel Julien (Dijon), Jonathan Rousselle (Limoges), Nicolas Batum (Charlotte), Edwin Jackson (Buducnost), Charles Kahudi (Villeurbanne), Lahaou Konate (Nanterre), Paul Lacombe (Monaco), Moustapha Fall (Krasnodar, Mam Jaiteh (Limoges), Alain Koffi (Gravelines), Mathias Lessort (Malaga), Amine Noua (Villeurbanne).\\n\\nPhoto: Thomas Heurtel (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du Monde féminine: 4 joueuses de Ligue Féminine mais pas Katherine Plouffe avec le Canada"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La coach Lisa Thomaidis a dévoilé le nom des douze joueuses qui représenteront le Canada à la Coupe du Monde en Espagne. On y retrouve quatre éléments de la Ligue Féminine pour la saison 2018-19 mais pas la Berruyère Katherine Plouffe.\\n\\nLe Canada doit affronter dans la première phase la Grèce (22 septembre), la Corée du Sud (23) et la France (25).\\n\\nLes Canadiennes joueront également le tournoi d’Antibes et affronteront les Bleues le 16, ce qui sera donc une répétition générale.\\n\\nPhoto: Kim Gaucher (Fiba)\\n\\n\\n\\n\\nNatalie Achonwa\\nPower Forward\\n1,90\\n\\nIndiana Fever (WNBA)\\n\\n\\nKayla Alexander\\nForward\\n1,93\\n\\nIndiana Fever (WNBA)\\n\\n\\nMiranda Ayim\\nForward\\n1,90\\n\\nBasket Landes (France)\\n\\n\\nBridget Carleton\\nGuard\\n1,85\\n\\nIowa State (NCAA)\\n\\n\\nShay Colley\\nPoint Guard\\n1,75\\n\\nMichigan State (NCAA)\\n\\n\\nNirra Fields\\nGuard\\n1,67\\n\\nEnerga Torun (Poland)\\n\\n\\nKim Gaucher\\nShooting Guard\\n1,85\\n\\nMondeville (France)\\n\\n\\nRuth Hamblin\\nCentre\\n1,98\\n\\nCastor Braine (Belgium)\\n\\n\\nMiah-Marie Langlois\\nPoint Guard\\n1,72\\n\\nNovosibirsk Dynamo (Russia)\\n\\n\\nKia Nurse\\nGuard\\n1,83\\n\\nNew York Liberty (WNBA)\\n\\n\\nMichelle Plouffe\\nForward\\n1,93\\n\\nLyon (France)\\n\\n\\nNayo Raincock-Ekunwe\\nForward\\n1,88\\n\\nBourges (France)\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Jeep®ÉLITE 2018/19 – Boulazac Basket Dordogne: L’an 1 de Thomas Andrieux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Jeep Elite débute les 22 et 23 septembre et nous sommes fiers de vous proposer pour la troisième année (déjà!) une présentation complète sur BasketEurope avec une analyse de chaque équipe, des commentaires sur chaque joueur et coach, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié jusqu’au jeudi 20 avec chaque jour une équipe de JeepElite par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment). Vous pouvez également dès maintenant pré-commander le Magazine « Guide de la saison » sur notre boutique à 6€ frais de port inclus.\\n\\nNous vous proposerons ensuite la Pro B et la Ligue Féminine.\\n\\nBonne lecture !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe BBD doit à la non qualification de l’ADA Blois en Jeep Elite le fait d’éviter un aller-retour express en Pro B. Thomas Andrieux devient ainsi un coach rookie et doit assurer la suite de Claude Bergeaud, un ancien coach de l’équipe de France, qui a amené le club à ce niveau et aussi en finale de la coupe de France. Il sera dans le bureau d’à côté puisque devenu directeur sportif. En enrôlant Nicolas De Jong, les Boulazacois ont profité que le Franco-néerlandais soit bizarrement encore libre sur le marché et vont donc s’engager dans cette deuxième saison dans l’élite avec 7 JFL et 4 étrangers. Le pari est audacieux d’autant que les quatre étrangers en question sont tous nouveaux au club. Le BBD va devoir remédier à un mal délétère ; la saison dernière, il était le dernier en terme de points encaissés et de pourcentage aux tirs de l’adversaire.\\n\\n©BBD\\n\\nSalle : Palio (5 200 places)\\n\\nPrésident : Jacques Auzou (69 ans)\\n\\nArrivées : Kenny Chery (Gipuzkoa San Sebastian, Espagne), Raymond Cowels (Hyères-Toulon), Nicolas De Jong (Tecnyconta Saragosse, Espagne), Nianta Diarra (Antibes), Lasan Kromah (CSU Cluj-Napoca, Roumanie) Rémi Lesca (Levallois), Akil Mitchell (Long Island Nets, G-League), Victor Mopsus (Chalon), Jean-Frédéric Morency (Limoges).\\n\\nDéparts : Karvel Anderson (Gravelines-Dunkerque), Quincy Diggs (Kolossos Rodou, Grèce), Pierre-Etienne Drouault (Le Portel), Shawn James, Arnaud Kerckhof (Orchies, N1), Trenton Meacham (arrêt), Giovan Oniangue, Aurélien Salmon (Caen, Pro B), Brandon Ubel.\\n\\nKenny Chery – né le 24 janvier 1992 – 1,81m – Poste 1 – Canadien\\n\\nCanadien francophone, né à Montréal, formé en NCAA (Baylor). Véloce et explosif, spécialiste du jeu de transition. Après une saison en Hongrie à Alba Fehérvar, il a passé deux saisons dans l’ACB espagnole, au CB Sevilla puis au Gipuzkoa Basket de San Sebastian. Il était le deuxième de l’équipe à l’évaluation (11,2) et aux points (13,2) occupant parallèlement la septième place de toute la ligue. Sûr aux lancers-francs (91,7%).\\n\\nRémi Lesca – né le 19 Novembre 1990 – 1,81m – Poste 1 – Français\\n\\nUn Landais -de Dax- formé à Pau et qui apprécie tout spécialement l’atmosphère de Beaublanc à Limoges. Pas athlétique, mais un batailleur. Il est connu pour sa faculté à mettre des bombes. Deux tiers de ses shoots en carrière sont pris au-delà de l’arc. 31,6% dans cet exercice la saison dernière. 4,5 points et 2,9 passes en 2017-18. A passé deux saisons à Châlons-Reims et deux autres à Paris-Levallois avant de retrouver son sud-ouest natal.\\n\\nVictor Mopsus -né le 31 août 1999 – 1,80m – Poste 1 – Français\\n\\nFils de l’ancien entraîneur de Pau, Laurent Mopsus, il avait fait parler de lui en entrant en jeu en Pro A à 15 ans, 3 mois et 10 jours, soit tout près du record de tous les temps de Emmanuel Schmitt, 15 ans, 1 mois et 26 jours. Il a été formé par l’Elan Chalon et n’a pas confirmé cette précocité même si la saison dernière il a réalisé un triple double dans le championnat espoir avec 12 points, 11 rebonds et 11 passes. A joué à Liévin avec Jaylen Hoard et Ivan Février.\\n\\nRaymond Cowels -né le 18 novembre 1990 – 1,92m – Poste 2 – Américain\\n\\nAvant de s’effondrer, Hyères-Toulon avait réalisé un étonnant bon démarrage de la saison 2017-18 et Raymond Cowels avait été récompensé par une sélection au All-Star Game. Sur l’ensemble de la saison, il a affiché 15,1 points de moyenne en shootant autant à trois-points (42,1% de réussite) qu’à deux. Sorti de Santa Clara en 2013, sa carrière pro n’a réellement pris son envol que trois ans plus tard en Nouvelle Zélande puis en Finlande.\\n\\n©Hervé Bellenger/FFBB\\n\\nAlexandre Aygalenq -né le 24 mars 1997 – 1,92m – Poste 2 – Français\\n\\nNé à Agen. Arrivé au BBD en U16, il sort des espoirs du BBD après un intermède d’une saison à Chalon-sur-Saône. 13,5 points avec un 82/239 à trois-points plus 3,2 rebonds, 2,2 passes et 1,3 interceptions. Il a joué aussi 16 matches en Jeep Elite (8’ et 2,5 points en moyenne). Athlétique. A refusé une bourse d’une université NCAA 2.\\n\\nLasan Kromah – né le 24 juin 1991 – 1,98m – Poste 2-3 – Libérien\\n\\nLe natif du Queens a eu une riche idée en quittant George Washington pour une dernière année universitaire à Connecticut puisque cela lui a permis de décrocher le titre NCAA 2014. Il était un joueur de complément (6,1 points, 2,7 rebonds). Après ce moment de gloire, il est allé gagner sa vie en Hongrie, en Turquie, en Grèce, en D-League, en Australie puis à Cluj-Napoca en Roumanie où il fut l’équipier de l’ancien meneur manceau Giordan Watson. Bilan : 11,3 points (36,1% à trois-points), 3,0 rebonds. Possède un passeport libérien par sa mère originaire de ce pays africain.\\n\\nStephan Gauthier – né le 13 juillet 1995 – 2,00m – Poste 2-3 – Français\\n\\nNé à Bergerac. Formé au BBD, il a franchi les différentes étapes au club, passant notamment par la Nationale 3, avant de jouer en Pro B lors de la saison 2014-15. En raison d’une tendinite chronique aux genoux qui l’a contraint de passer sur le billard, il n’a joué que 8 matches la saison dernière en Jeep Elite (8’ et 2,9 points en moyenne). Champion de France universitaire en marquant en finale un panier au buzzer.\\n\\nJérôme Sanchez – né le 2 mars 1990 – 1,97m – Poste 3 – Français\\n\\nUn physique de rugbyman. Généreux. Natif de Vénissieux dans le Rhône, il est longtemps demeuré dans le coin entre Bourg-en-Bresse et l’ASVEL. L’un de ces joueurs à mi-chemin entre la Jeep Elite (69 matches) et la Pro B (209). Sa principale faiblesse est le manque de fiabilité dans le shoot de loin (10/60 à trois-points la saison dernière). A progressé en revanche aux lancers-francs. 18 fois dans le 5 de départ en 33 matches.\\n\\nJean-Frédéric Morency – né le 30 mai 1989 – 2,00m – Poste 3-4 – Français\\n\\nFormé à Pau. Depuis il semble chercher le bon point de chute. Deux ans à Gravelines, un an à Nanterre et un an à Limoges. Lors de son année au CSP, son temps de jeu (15’) et son apport chiffré se sont sérieusement réduits (5,1 points, 2,8 rebonds) malgré une bonne réussite globale (51,3%) mais trop peu de tirs derrière l’arc (21 tentés avec Limoges). Un bon stoppeur défensif pas avare de ses efforts.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=q-9fiujcar4\\n\\nAkil Mitchell -né le 26 juin 1992 – 2,03m – Poste 4-5 – Panaméen\\n\\nLa saison dernière en Nouvelle-Zélande, il a fait parler de lui à ses dépens. Lors d’un choc au rebond, son œil est sorti de son orbite ! Heureusement, il n’y a pas eu de conséquences fâcheuses. Il est connu en France pour être passé par Antibes en 2015-16 (9,2 points, 7,2 rebonds). Athlétique. Score près du cercle. Il a porté le maillot du Panama en 2016 au Centrobasket. Formé à Virginia. La saison dernière en D-League. Né à Charlotte, il possède aussi la nationalité américaine.\\n\\nNianta Diarra -né le 18 avril 1993 – 2,03m – Poste 4 – Malien\\n\\nAvec l’absence du titulaire Tim Blue, il a vu son temps de jeu presque doublé en un an aux Sharks d’Antibes (20’ contre 11). Né au Mali, arrivé en France à 7 ans, il a rejoint l’équipe nationale malienne en 2017. Il a débuté à Paris-Nord-Est avant de passer par le centre de formation du Havre. Avant Antibes, il avait surtout fait de la Pro B, à Hyères-Toulon et à Souffelweyersheim. 5,9 points, 4,8 rebonds et 8,4 d’évaluation la saison passée.\\n\\nNicolas De Jong – né le 15 avril 1988 – 2,11m – Poste 5 – Français\\n\\nDe bons gestes offensifs, un finisseur, ce qui a fait de lui le meilleur marqueur français de la saison 2016-17. Il prenait une sorte de revanche après une carrière fortement perturbée par les blessures. Profitant de sa double nationalité, il avait aussi intégré l’équipe nationale des Pays-Bas et participé à l’Eurobasket 2015. La saison dernière, il a vécu sa première saison à l’étranger, à Saragosse. 2e marqueur (8,7 points) et 3e rebondeur de l’équipe (3,8). Formé par la JA Vichy.\\n\\n©BBD\\n\\nCoach :\\n\\nThomas Andrieux – né le 7 février 1977 – Français\\n\\nLa nomination de Claude Bergeaud en tant que directeur sportif du BBD lui permet de devenir coach principal après avoir été son assistant. Il connaît bien la maison pour avoir été joueur puis responsable sportif du centre de formation en charge de l’équipe Espoirs/N3. Comme joueur, ses moments de gloire ont été de jouer à 20 ans quelques matches d’Euroleague avec l’ASVEL et de remporter le concours de tirs à trois-points du All-Star Game en 2009 alors qu’il portait justement le maillot de Boulazac.\\n\\nAssistant : Jean-Sébastien Chardon (39 ans)\\n\\n[armelse]\\n\\nLe BBD doit à la non qualification de l’ADA Blois en Jeep Elite le fait d’éviter un aller-retour express en Pro B. Thomas Andrieux devient ainsi un coach rookie et doit assurer la suite de Claude Bergeaud, un ancien coach de l’équipe de France, qui a amené le club à ce niveau et aussi en finale de la coupe de France. Il sera dans le bureau d’à côté puisque devenu directeur sportif. En enrôlant Nicolas De Jong, les Boulazacois ont profité que le Franco-Néerlandais soit bizarrement encore libre sur le marché et vont donc s’engager dans cette deuxième saison dans l’élite avec 7 JFL et 4 étrangers.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto ouverture: Jérôme Sanchez (Hervé Bellenger/FFBB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"N1 féminine: Un an après avoir stoppé sa carrière pour des problèmes cardiaques, Loreen Kerboeuf revient à la compétition"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est le site spécialisé postup.fr qui a relevé l’information: Loreen Kerboeuf (1,80m) va rejouer au basket, en Nationale 1, à Sceaux, une équipe coachée par Chris Singleton par ailleurs consultant sur BeIN SPORTS.\\n\\nIl y a un an, celle qui était arrivée à Mondeville en 2013 à l’âge de 15 ans, et qui avait été championne d’Europe U18 en 2016, avait reçu un coup de massue sur la tête. Des examens médicaux avaient décelé un syndrome cardiaque incompatible avec une carrière sportive professionnelle.\\n\\n» C’était une jeune fille les plus talentueuse de sa génération au niveau européen. Elle a été la meneuse de l’équipe championne d’Europe des moins de 18 ans, elle est intelligente et combattante, humble et positive. C’est une très grande perte pour le club. Elle incarnait à elle seule nos valeurs, la formation scolaire (bac mention Bien) et l’excellence sportive. Son sourire timide va nous manquer mais elle va rebondir dans son projet professionnel parce que c’est une grande championne, » avait alors écris sur les réseaux sociaux le club calvadosien.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: L’Elan Chalon à l’Ain Star Game"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un reportage de cinq minutes de Elan TV pour vivre l’Ain Star Game de l’intérieur. C’est le 4e épisode de la préparation de l’Elan Chalon à cette saison 2018-19 de Jeep Elite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Non acceptée en Jeep®ÉLITE, l’ADA Blois perd Torey Thomas qui file en Tunisie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La décision du Tribunal Administratif est tombée ce mercredi matin, l’ADA Blois ne prendra pas part au championnat de Jeep Elite en 2018/19, malgré son titre de champion de France Pro B. Par conséquent, Torey Thomas (1,80m, 33 ans) quitte le club.\\n\\nLe New-yorkais va quitter la France pour le championnat Tunisien. Selon Sportando, l’ancien joueur de Brest, du Mans et de Cholet avait un contrat garanti qui l’attendait dans le club blésois, mais seulement en cas de promotion en Jeep Elite. Etant donné que la formation de Mickael Hay reste en Pro B, l’ancien meneur du Partizan quitte le club et aurait trouvé un accord avec l’Etoile Sportive de Radès, dans le championnat tunisien.\\n\\nLa saison dernière, Toray Thomas compilait en moyenne 8,7 points, 3,2 rebonds et 4,3 passes décisives pour une évaluation de 13,2.\\n\\nPhoto : Tuan Nguyen"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les photos: Le parcours du combattant des champions de France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les champions de France du Mans Sarthe Basket ont effectué un parcours du combattant dans le cadre d’un partenariat du club avec le 2e régiment d’infanterie de marine (RIMa). Ils ont couru, sauté, rampé, se sont jetés à l’eau...\\n\\n« Je suis en train de vivre quelque chose de magique là », a commenté Wilfried Yeguete au Maine Libre, qui a réalisé un reportage photo à découvrir ici.\\n\\nPhoto: Le Maine Libre"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie : Galatasaray fait signer Aaron Harrison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fort scoreur de G-League qui essaye de se faire une place en NBA depuis trois ans, Aaron Harrison (1,98m, 23 ans) a décidé de quitter les Etats-Unis pour tenter sa chance en Europe.\\n\\nGalatasaray a annoncé la signature de l’ancien pensionnaire de Kentucky pour une saison. A sa sortie de l’université, le natif de San Antonio n’a pas été drafté mais il a été recruté par les Charlotte Hornets, où il est resté pendant deux saisons mais avec qui il n’a disputé que 26 matchs en tout. Passant le plus clair de son temps en D-League. Toujours performant dans l’antichambre de la NBA, le Texan a donc choisi une autre voix pour réussir à s’imposer en dans la Grande Ligue : faire ses preuves en Europe et attirer l’oeil des scouts.\\n\\nLa saison dernière, Aaron Harrison compilait en moyenne 18,6 points et 4,3 rebonds en G-League, et il a tourné à 6,6 points et 2,6 rebonds en neuf matchs NBA avec Dallas."
}, 
{"role": "user",     "content":"David Blatt (Olympiakos) : «J’ai signé ici pour relancer l’équipe»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une expérience de deux saisons au Darussafaka, conclue par le titre de champion d’Europe, David Blatt va faire son retour en Euroleague avec l’Olympiakos.\\n\\nVainqueur de la compétition reine en 2014 avec le Maccabi Tel-Aviv, l’ancien coach des Cleveland Cavaliers s’est engagé avec le club grec pour deux ans. Interrogé par israelhayom.co.il, le natif de Boston a annoncé vouloir relancer cette équipe qui a buté sur le Zalgiris Kaunas en quart de finale de l’Euroleague la saison dernière.\\n\\n« J’ai signé avec Olympiacos pour relancer l’équipe. Je veux rendre l’équipe plus sportive et les jeunes joueurs plus passionnés, en apprenant des vétérans. Je voulais que les joueurs correspondent à ce que je voulais construire. Souvent, on me demandait qui étaient ces joueurs que j’avais amenés. Ensuite, ils ont vu ce qu’ils ont fait et ce qu’ils ont accompli. J’aime construire autour de ce type de joueurs. J’adore les joueurs qui partent d’en bas et atteignent le sommet. »\\n\\nL’ancien sélectionneur de la Russie pourra également compter sur les inusables Vassilis Spanoulis et Georgios Printezis, les co-capitaines de l’équipe, qui ont déjà tant fait pour ce club.\\n\\n« Je pense que Spanoulis est un joueur important, un homme qui a le respect de tous. Il est un atout pour Olympiakos de toutes les manières que vous souhaitez voir. Il est un symbole pour Olympiacos, tout comme Printezis. Je suis très heureux de pouvoir les coacher. »\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Valentin Chery vers un retour au SLUC Nancy"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Aucun accord n’est sorti de la réunion de conciliation entre les dirigeants du SLUC Nancy et ceux du Paris Basketball qui s’est tenue hier soir au siège de la Ligue Nationale de Basket à propos de Valentin Chery (1,98m, 21 ans) qui souhaite quitter le club lorrain pour rejoindre le parisien.\\n\\nLe SLUC avait proposé au joueur un contrat de deux ans qui n’a pas été dénoncé avant la deadline du 30 juin, mais son agent fait valoir que celui-ci ne lui a pas communiqué de façon officielle le coût réal des indemnités de formation supporté par le club.\\n\\nDans l’Est Républicain, le président du SLUC Philippe Durst raconte la soirée:\\n\\n« La commission de conciliation de la LNB a constaté une impossibilité d’accord entre le Paris Basket et le SLUC. Nous avons fait plusieurs propositions aux dirigeants parisiens qu’ils n’ont pas souhaité retenir. La commission a donc décidé que s’il n’y avait pas d’accord dans les prochains jours ou les prochaines heures, Valentin Chery reviendrait à Nancy où je vous assure que le coach, le staff, les dirigeants, les supporters accueilleront Valentin, un des enfants du club, les bras ouverts. Aujourd’hui, chaque jour compte. Nous attendons donc de nouvelles réponses du Paris Basket à nos propositions sinon quoi Valentin reviendra à la maison. »Photo: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Guide Jeep®ÉLITE 2018/19 – Sharks Antibes: Un recrutement modeste"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Jeep Elite débute les 22 et 23 septembre et nous sommes fiers de vous proposer pour la troisième année (déjà!) une présentation complète sur BasketEurope avec une analyse de chaque équipe, des commentaires sur chaque joueur et coach, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation est publié à partir d’aujourd’hui et jusqu’au jeudi 20 avec chaque jour une équipe de JeepElite par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 5.99€/mois annulable à tout moment). Vous pouvez également dès maintenant pré-commander le Magazine « Guide de la saison » sur notre boutique à 6€ frais de port inclus.\\n\\nNous vous proposerons ensuite la Pro B et la Ligue Féminine.\\n\\nBonne lecture !\\n\\nSeizièmes du classement lors de l’exercice 2017/18 avec 13 victoires pour 21 défaites, les Sharks ne sont vraiment pas passés loin de la relégation. Malgré des coups d’éclat face à des adversaires comme l’ASVEL, Strasbourg ou encore Bourg-en-Bresse et Dijon, les joueurs de Julien Espinosa ne sont jamais grimpés bien haut dans le classement mais ont su assurer l’essentiel à domicile. Après avoir perdu des joueurs importants comme Jerel Blassingame et Mouphtaou Yarou, les dirigeants antibois ont fait une nouvelle fois un recrutement modeste misant à la fois sur la jeunesse avec Isaïa Cordinier qui sort d’une année blanche ou encore sur le vétéran Louis Campbell qui vient de remporter les playoffs d’accession avec Fos mais qui aura quarante ans en fin de saison.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nSalle : Azurarena (5 000 places)\\n\\nPrésident : Freddy Tacheny (56 ans)\\n\\nArrivées : Louis Campbell (Levallois), Isaïa Cordinier (sans club), Fernando Raposo (Gravelines-Dunkerque), Aigars Skele (BK Ventspils, Lettonie), Trevor Thompson (Santa Cruz Warriors, G-League).\\n\\nDéparts : Jerel Blassingame (Pau-Lacq-Orthez), Nianta Diarra (Boulazac), Vee Sanford (Chalon-sur-Saône), Jonathan Tornato (Golf-Juan, NM2), Mouphtaou Yarou (Levallois).\\n\\nLouis Campbell – né le 1 avril 1979 – 1,91m – Poste 1 – Américain\\n\\nDepuis 2012 en France, il fait partie des joueurs américains les plus fidèles à notre championnat. Passé par l’Allemagne et le Japon avant de connaître quatre finales de Pro A de suite avec la SIG, ce meneur américain fait aussi, à bientôt 40 ans, partie des joueurs les plus expérimentés de Jeep Elite. Depuis deux ans à Levallois, il a quitté la région parisienne en fin de saison pour aller donner un coup de main à Fos en playoffs de Pro B. Ses stats en Jeep Elite en 2017/18 : 8,1 points, 2,8 rebonds et 3,8 passes. En Eurocup il tournait à 6,9 points, 2,6 rebonds et 2,9 passes. Un leader qui défend dur.\\n\\nTom Wiscart-Goetz – né le 22 juin 1999 – 1,87m – Poste 1 – Français\\n\\nAncien international en U16, U17 et U18 où il a toujours eu un rôle de remplaçant. Le Toulonnais s’est révélé un joueur majeur de l’équipe espoir des Sharks. Il a compilé 11,2 points, 4,2 rebonds et 3,4 passes. Parallèlement, il est entré sept fois chez les pros. Il sera le backup de Louis Campbell. Il est le fils de Frédéric Wiscart-Goetz, ancien joueur pro et actuellement assistant-coach à Dijon. Porte le numéro 99 qui est celui de son année de naissance.\\n\\nIsaïa Cordinier – né le 28 novembre 1996 – 1,96m – Poste 2 – Français\\n\\nOpéré des tendons rotuliens du genou, il sort d’une année sans jouer. Il fait son retour dans le club qui l’a lancé dans le monde de la Pro A il y a deux ans. Il avait compilé alors 6,5 points, 2,7 rebonds et 1,9 passe. Drafté par les Atlanta Hawks en 2016 alors qu’il sortait d’une saison très convaincante à Denain en Pro B. S’il reste en bonne santé, cet ailier athlétique aura à coeur de montrer toute l’étendue de son potentiel. Fils de Stéphane, ancien international de hand.\\n\\nAigars Skele – né le 4 décembre 1992 – 1,92m – Poste 2 – Letton\\n\\nNé à Riga, cet arrière shooteur a effectué l’intégralité de sa carrière professionnelle en Lettonie. A 25 ans, il a déjà remporté le championnat letton (2016), pris part à deux campagnes de Champions League et gouté à l’Eurocup. Arrivé à maturité à Ventspils la saison dernière, l’ancien joueur de Riga va se tester pour la première fois à l’étranger en France. Ses stats en 2017/18 : 12 points (44% à trois points), 4,6 rebonds et 3,4 passes décisives.\\n\\nViktor Gaddefors – né le 8 octobre 1992 – 2,01m – Poste 3 – Suédois\\n\\nArrivé à Antibes en mars 2018 en provenance du club suédois de Uppsala, il a principalement évolué en première division italienne entre Caserte, Bologne et Avellino. Une fois la saison terminée, il a convaincu les dirigeants antibois de lui faire signer un nouveau contrat de deux ans. International suédois, c’est un ailier polyvalent qui a conjugué 7,6 points, 4,5 rebonds et 2,5 passes décisives en Jeep Elite.\\n\\nMax Kouguere – né le 12 mars 1987 – 1,98m – Poste 3 – Centrafricain\\n\\nArrivé en 2016, l’international centrafricain repart pour une nouvelle saison avec les Sharks. Ailier physique et fort défenseur, il a passé quasiment l’intégralité de sa carrière en France entre Gravelines, Le Mans, Le Havre, Orléans, Pau et donc Antibes. Il représente la Centrafrique depuis 2009 et a notamment pris part aux derniers matchs de qualification pour la Coupe du Monde 2019. Ses stats en 2017/18 : 7,9 points, 3,5 rebonds et 1,2 passe décisive.\\n\\nPaul Rigot – né le 10 février 1995 – 2,01m – Poste 3 – Français\\n\\nFormé au Centre Fédéral pendant trois ans, le natif du Mans a d’abord quitté l’INSEP pour Limoges, puis ont suivi Orchies, Monaco et donc Antibes. A 23 ans, il commence à s’affirmer dans le monde pro alors qu’il a vraiment été lancé dans le grand bain par Zvezdan Mitrovic, à Monaco, en 2016/17. En juin 2017, il parcours les 50 kilomètres qui séparent le Rocher d’Antibes pour signer un contrat de deux ans avec les Sharks. La saison dernière, il a continué sa progression et compilait en moyenne 4,5 points et 2,9 rebonds.\\n\\nTim Blue – né le 10 juillet 1984 – 2,06m – Poste 4 – Américain\\n\\nL’âme de cette équipe d’Antibes ces dernières années. Il va vivre sa sixième saison sur le Côte d’Azur ce qui est une chose extrêmement rare pour un Américain en France. Il a même suivi les Sharks en Pro B lors de leur relégation en 2014/15. L’ancien meilleur marqueur du championnat de Finlande est un intérieur complet, gaucher, capable de créer son tir dos au panier ou encore de shooter à mi-distance. Absent lors des 21 derniers matchs la saison dernière à cause d’un petit AVC, il tournait jusqu’alors à 15,8 points, 5,3 rebonds et 2,8 passes décisives.\\n\\nTrevor Thompson – né le 12 juin 1994 – 2,13m – Poste 5 – Américain\\n\\nMobile pour un joueur de sa taille, il peut shooter face au panier et attaquer le cercle, mais il n’est pas très délié. Julien Espinosa l’a repéré à la Summer League de Los Angeles. A fréquenté deux facs, Virginia Tech et Ohio State. Portait la saison dernière le maillot des Santa Cruz Warriors où il a été discret: 11′ de temps de jeu moyen pour 4,5 points et 4,0 rebonds. C’est un pari car il a signé pour deux ans. Né à Long Island, New York.\\n\\nFernando Raposo – né le 7 juillet 1989 – 2,06m – Poste 5 – Français\\n\\nNé à Stuttgart, il a la particularité de posséder quatre nationalités : allemande, française, portugaise et camerounaise. Formé à l’Elan Béarnais, il va entamer, à 29 ans, sa onzième saison en professionnel. Passé par Pau, Boulogne-sur-Mer, Orléans, Nanterre et Gravelines, Nando va connaître son sixième club en carrière. Blessé au dos en début de présaison dernière, il tentera de se relancer dans le Sud de la France. Ses stats en 2017/18 : 3 points et 3 rebonds. Sa faiblesse qui l’handicape lourdement, sa (non) réussite aux lancers-francs: 38,9% en carrière.\\n\\nCoach\\n\\nJulien Espinosa – né le 5 février 1984 – Français\\n\\nIl est le plus jeune entraîneur de Jeep Elite mais n’en demeure pas moins respecté et expérimenté. A 34 ans, il a déjà été sacré deux fois champion de Pro B avec Antibes (2013 et 2015). Il va vivre sa sixième saison en tant qu’entraîneur principal des Sharks (il a aussi fait deux piges en 2013 après les départs d’Alain Weisz et Jean-Aimé Toupane), après avoir fait ses gammes au centre de formation puis en tant qu’assistant et gravi les échelons un à un.\\n\\nAssistants:\\n\\nMarc Berjoan (41 ans), Kenny Grant (36 ans) et Jade Sage (25 ans).\\n\\n[armelse]\\n\\nSalle : Azurarena (5 000 places)\\n\\nPrésident : Freddy Tacheny (56 ans)\\n\\nArrivées : Louis Campbell (Levallois), Isaïa Cordinier (sans club), Fernando Raposo (Gravelines-Dunkerque), Aigars Skele (BK Ventspils, Lettonie), Trevor Thompson (Santa Cruz Warriors, G-League).\\n\\nDéparts : Jerel Blassingame (Pau-Lacq-Orthez), Nianta Diarra (Boulazac), Vee Sanford (Chalon-sur-Saône), Jonathan Tornato (Golf-Juan, NM2), Mouphtaou Yarou (Levallois).\\n\\nLouis Campbell – né le 1 avril 1979 – 1,91m – Poste 1 – Américain\\n\\nDepuis 2012 en France, il fait partie des joueurs américains les plus fidèles à notre championnat. Passé par l’Allemagne et le Japon avant de connaître quatre finales de Pro A de suite avec la SIG, ce meneur américain fait aussi, à bientôt 40 ans, partie des joueurs les plus expérimentés de Jeep Elite. Depuis deux ans à Levallois, il a quitté la région parisienne en fin de saison pour aller donner un coup de main à Fos en playoffs de Pro B. Ses stats en Jeep Elite en 2017/18 :\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Tribunal Admnistratif rejette sa requête, l’ADA Blois jouera en Pro B"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la chambre d’appel fédéral et le CNOSF, c’est le Tribunal Administratif de Paris qui a donné raison à la Ligue Nationale de Basket et à la Fédération Française contre l’ADA Blois qui souhaitait être intégrée en Jeep Elite. Le club du Loir-et-Cher jouera donc cette saison 2018-19 en Pro B.\\n\\nSur son site Internet, l’ADA Blois accepte le jugement mais exprime également son ressentiment vis à vis des instances. Le rejet de la demande évite pour le moins à la LNB un immense casse-tête pour refaire le calendrier.\\n\\nA lire ou relire, notre dossier prémonitoire datant de mai.\\n\\n« Par une ordonnance rendue ce 4 septembre 2018, le Tribunal Administratif de Paris, jugeant en référé, a rejeté la requête de l’ADA Blois Basket 41 qui demandait, après avoir conquis le titre de champion de France de Pro B, son engagement en JEEP Elite pour la saison 2018-2019.\\n\\nL’ADA Blois prend acte de cette décision et maintient qu’en refusant son accession pour des raisons purement réglementaires, liées à l’absence de centre de formation agréé, le basket Français ne s’honore pas.\\n\\nL’ADA Blois a gagné son titre sur le terrain, avec des finances saines.\\nL’ADA Blois a inauguré son centre de formation le jeudi 30 août 2018, répondant à tous les critères exigés par le cahier des charges de la Fédération Française de Basket-Ball.\\n\\nLe juge a estimé que le refus ministériel d’agrément datant de juin était suffisant pour refuser l’accession en JEEP ELITE, nonobstant le fait de répondre à l’intégralité de ces critères deux mois plus tard (dont celui de l’équipe U18 Nationale qui dépend exclusivement de la FFBB).\\n\\nAlors que les compétitions de la LNB débutent dans vingt jours, le club avait la faculté de pouvoir poursuivre les recours devant le Conseil d’Etat, mais après 3 mois et demi de procédure, il est maintenant le temps de laisser la parole au Sport.\\nL’ADA Blois Basket 41 souhaite remercier l’ensemble de ses soutiens tout au long de cette procédure, à savoir :\\n\\n– Les 8000 personnes qui ont signé la pétition en ligne\\n– Les collectivités locales et régionales\\n– Les partenaires\\n– Les abonnés\\n– Les clubs de supporters\\n\\nLe Club adresse ses plus sincères remerciements au cabinet de Maître Thierry Braillard qui a tout mis en œuvre pour défendre les intérêts de notre club. Une fois de plus nous saurons démontrer que nous aurons les moyens de rebondir et que, malgré l’injustice que nous venons de subir, nous en ressortirons plus forts.\\nNous comptons sur vous pour vivre une nouvelle saison qui sera une nouvelle fois palpitante : Partageons la Passion ! »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Alysha Clark et Sami Whitcomb, deux joueuses de Ligue Féminine en finale WNBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Deux nouvelles joueuses de Ligue Féminine, l’ailière américano-israélienne Alysha Clark (1,80m, 31 ans) et la shooting guard américano-australienne Sami Whitcomb (1,78m, 30 ans) se retrouvent ensemble en finale WNBA sous le maillot du Seattle Storm. La première a signé pour l’ASVEL et la deuxième pour Lattes-Montpellier.\\n\\nSeattle est venu à bout en demi-finale du Phoenix Mercury, 3 manches à 2, et va affronter les Washington Mystics en finale.\\n\\nAlysha Clark est membre du cinq majeur du Storm et affiche en playoffs 7,2 points et 5,4 rebonds en 35′. Sami Whitcomb est plus en retrait avec 12′ de temps de jeu moyen pour 6,3 points et 1,7 passe.\\n\\nPhotos: en haut, Sami Whitcomb avec sa future équipière à Lattes-Montpellier, Endy Miyem. En bas, Alysha Clark."
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du monde: Jan Vesely avec la République Tchèque"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ailier du Fenerbahçe Jan Vesely (2,13m, 28 ans) va de nouveau porter le maillot de la République tchèque à l’occasion des deux matches contre la Russie et la Bosnie, en septembre, comptant pour les éliminatoires à la Coupe du monde.\\n\\n« Nous sommes tous ici pour faire tout ce qui est en notre pouvoir pour nous rendre à la Coupe du monde », a déclaré Vesely lundi à idnez.cz. «C’est une grande scène, les meilleurs joueurs du monde sont là, ce n’est pas un simple EuroBasket, alors ce serait génial d’y arriver. Je n’ai pas joué depuis deux mois, alors j’attends ça avec impatience. Je pense que nous serons bien préparés pour la Russie. »\\n\\nJan Vesely est l’un des meilleurs intérieurs européens. Il a porté les maillot des Wizards et des Nuggets et gagné l’Euroleague en 2017.\\n\\nLa République Tchèque est sortie de la première phase de qualification avec 5 victoires pour 1 défaite et se retrouve dans le même groupe que la France pour cette deuxième phase.\\n\\nPhoto: Fiba"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ASVEL s’offre le Real Madrid en préparation, 80-79"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce n’est qu’un match d’entraînement et de plus à huis clos, mais l’ASVEL a tout de même réussi ce soir la performance de vaincre le Real à Madrid, vainqueur de l’Euroleague 2018, 80-79.\\n\\nC’est le Sénégalais Khadim Sow (2,10m, 18 ans) qui a mis le panier à trois-points de la gagne. Il faut savoir que Khadim Sow a été formé au Real Madrid avant de rejoindre le club du Rhône l’été dernier.\\n\\nIl s’agissait du dernier match au complet de Villeurbanne puisque Charles Kahudi et Amine Noua vont rejoindre l’équipe de France, A.J.Slaughter celle de Pologne, Mantas Kalnietis celle de Lituanie et le coach, Zvezdan Mitrovic celle du Monténégro.\\n\\nPhoto: Khadim Sow"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les highlights de Malcolm Cazalon, 17 ans, avec Bourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Meilleur marqueur de l’équipe de France U17 au championnat du monde cet été, Malcolm Cazalon (1,96m, 17 ans) a choisi de débuter sa carrière pro à la JL Bourg. Les Burgiens ne peuvent que s’en réjouir. La preuve: ses highlights lors d’un match de préparation face à la JDA Dijon.\\n\\nSpécialiste de la draft NBA pour ESPN, Mike Schmitz est déjà conquis.\\n\\nMalcom Cazalon, c’est le gaucher en blanc avec le numéro 20.\\n\\n\\n\\n\\n2020 French draft prospect Malcolm Cazalon showing his offensive talent level through the first couple preseason games. 6'6, smooth athlete with a 6'11 wingspan and an improved stroke. Should play minutes this season in Bourg as a 17-year-old. Solid development situation. pic.twitter.com/Xdris8vtCt\\n\\n\\n— Mike Schmitz (@Mike_Schmitz) September 4, 2018\\n\\nPhoto : JL Bourg Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Canada : JD Jackson devient assistant de Roy Rana en sélection"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que la fédération canadienne a annoncé le groupe qui sera présent pour la fenêtre internationale de septembre, cette liste nous apprend que JD Jackson devient assistant de Roy Rana dans cette sélection canadienne.\\n\\nNé à Burnaby, au Canada, l’ancien entraîneur du Mans était sans club depuis son départ anticipé de l’ASVEL en janvier dernier. Franco-canadien, l’ancien joueur professionnel se rapproche donc ainsi de ses origines en qualité d’assistant coach pour son pays de naissance. C’est sa première expérience avec une sélection nationale.\\n\\nEntre le 6 et le 11 septembre, la sélection canadienne sera en camp d’entraînement à Montreal et aura ensuite rendez-vous avec le Brésil et le Chili pour les deux matchs de qualification pour la Coupe du Monde 2019.\\n\\nVoici la liste des joueurs qui seront d’abord présents au camp :\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNom\\n\\n\\n\\n\\nPoste\\n\\n\\n\\n\\nTaille\\n\\n\\n\\n\\nVille de naissance\\n\\n\\n\\n\\nDernier club ou actuel\\n\\n\\n\\n\\n\\nJoel Anthony\\n\\n\\n\\nPivot\\n\\n\\n\\n\\n2,05m\\n\\n\\n\\nMontreal, QC\\nSan Lorenzo Basket (Argentina)\\n\\n\\nTrae Bell-Haynes\\n\\n\\n\\nArrière\\n\\n\\n\\n\\n1,88\\n\\n\\n\\nToronto, ON\\nFraport Skyliners (Germany)\\n\\n\\nAaron Best\\n\\n\\n\\nArrière\\n\\n\\n\\n\\n1,95m\\n\\n\\n\\nScarborough, ON\\nRaptor 905 (G-League)\\n\\n\\nKhem Birch\\n\\n\\n\\nPivot\\n\\n\\n\\n\\n2,05m\\n\\n\\n\\nMontreal, QC\\nOrlando Magic\\n\\n\\nDillon Brooks\\n\\n\\n\\nAilier\\n\\n\\n\\n\\n2,04m\\n\\n\\n\\nMississauga, ON\\nMemphis Grizzlies\\n\\n\\nManny Diressa\\n\\n\\n\\nArrière\\n\\n\\n\\n\\n1,95m\\n\\n\\n\\nToronto, ON\\nKK FMP (Serbia)\\n\\n\\nMelvin Ejim\\n\\n\\n\\nAilier\\n\\n\\n\\n\\n2,01m\\n\\n\\n\\nToronto, ON\\nBC UNICS (Russia)\\n\\n\\nJoel Friesen\\n\\n\\n\\nArrière\\n\\n\\n\\n\\n1,95m\\n\\n\\n\\nAbbotsford, BC\\nLondon Lightning (NBL Canada)\\n\\n\\nBrady Heslip\\n\\n\\n\\nArrière\\n\\n\\n\\n\\n1,88m\\n\\n\\n\\nBurlington, ON\\nFraport Skyliners (Germany)\\n\\n\\nJustin Jackson\\n\\n\\n\\nAilier\\n\\n\\n\\n\\n2,04m\\n\\n\\n\\nScarborough, ON\\nOrlando Magic\\n\\n\\nCory Joseph\\n\\n\\n\\nArrière\\n\\n\\n\\n\\n1,92m\\n\\n\\n\\nToronto, ON\\nIndiana Pacers\\n\\n\\nKaza Kajami-Keane\\n\\n\\n\\nArrière\\n\\n\\n\\n\\n1,88m\\n\\n\\n\\nAjax, ON\\nLandstede Zwolle (Netherlands)\\n\\n\\nKyle Landry\\n\\n\\n\\nPivot\\n\\n\\n\\n\\n2,12m\\n\\n\\n\\nCalgary, AB\\nBuducnost (Montenegro)\\n\\n\\nDuane Notice\\n\\n\\n\\nArrière\\n\\n\\n\\n\\n1,88m\\n\\n\\n\\nWoodbridge, ON\\nBM Slam Stal (Poland)\\n\\n\\nKelly Olynyk\\n\\n\\n\\nPivot\\n\\n\\n\\n\\n2,13m\\n\\n\\n\\nKamloops, BC\\nMiami Heat\\n\\n\\nKevin Pangos\\n\\n\\n\\nArrière\\n\\n\\n\\n\\n1,88m\\n\\n\\n\\nNewmarket, ON\\nFC Barcelona Lassa (Spain)\\n\\n\\nDyshawn Pierre\\n\\n\\n\\nAilier\\n\\n\\n\\n\\n2,01m\\n\\n\\n\\nWhitby, ON\\nBanco di Srd (Italy)\\n\\n\\nTristan Thompson\\n\\n\\n\\nAilier\\n\\n\\n\\n\\n2,05m\\n\\n\\n\\nBrampton, ON\\nCleveland Cavaliers\\n\\n\\n\\n\\nPhoto : ASVEL Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : le Top 100 de la saison 2017/18 d’Euroleague !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A un peu plus de 30 jours du retour de l’Euroleague, la meilleure compétition européenne vient de poster sur Youtube les 100 meilleures actions de sa saison 2017/18.\\n\\nEntre gros dunks, posters, claquette dunks, contres, buzzer beater, passes décisives ou encore game winners, voici, pendant plus de 20 minutes, le meilleur de la saison passée en Coupe d’Europe. Et une fois n’est pas coutume, c’est l’ancienne pépite du Real Madrid, Luka Doncic qui est à la première place avec son énorme shoot de sa propre zone à trois points. Malheureusement pour le public européen, l’international slovène va rejoindre les Dallas Mavericks dans très peu de temps.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les (longues) vacances des internationaux espagnols de NBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le journal espagnol As, en réaction à l’absence de joueurs NBA dans la Roja pour la fenêtre de septembre a relevé la longueur des vacances estivales 2018 de ses stars.\\n\\nMarc Gasol, le pivot des Grizzlies éliminé rapidement de la course aux playoffs NBA 2018 s’est donc offert un été de 149 jours ! Alors, évidemment la saison NBA est longue et éprouvante mais les journalistes espagnols n’ont pas hésité à pointer que le repos a parfois bon dos dans les excuses présentées par les stars qui rechignent à rejoindre la sélection. Par ailleurs, il faut bien rappeler que la situation de la Roja (6v-0d) explique évidemment aussi pourquoi la mobilisation est relativement faible. En retour, la cote de popularité des joueurs présents pour les fenêtres et pour défendre le maillot rouge et or grimpe en flèche, à l’instar du meneur Sergio Rodriguez qui rejoint l’équipe pour la fenêtre de septembre.\\n\\n« On ne veut forcer aucune situation », déclare par ailleurs le sélectionneur Sergio Scariolo à propos des absences dans Mundo Deportivo. « Bien sûr, je voudrais avoir le plus de talent possible, mais je suis très content et très à l’aise avec ce que j’ai sous la main. »\\n\\nUne déclaration diplomatique dont ne se contentent pas nos confrères de As en listant les vacances de tous les stars (voir le tableau ci-dessous).\\n\\nJoueur          Franchise Jours de vacances\\n\\nMarc Gasol       Grizzlies  149\\n\\nW. Hernangomez Hornets    147\\n\\nPau Gasol        Spurs      133\\n\\nRicky Rubio       Jazz      130\\n\\nAlex Abrines      Thunder  130\\n\\nSerge Ibaka       Raptors   120\\n\\nNikola Mirotic    Pelicans  119\\n\\nJ. Hernangomez   Nuggets     65\\n\\nPhoto: Marc Gasol (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le BCM Gravelines dévoile ses tenues pour la saison 2018-19"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est au tour du BCM Gravelines-Dunkerque de dévoiler ses tenues pour la saison 2018/2019. Elles ont été désignées par What If -la société de son ancien GM, Romuald Coustre, passé au Paris basketball et crées par Big Sports, la société de Frédéric Weis."
}, 
{"role": "user",     "content":"Chris Singleton : «Je veux aider le Barça à retrouver sa place»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé à Barcelone cet été après deux saisons passées au Panathinaïkos, Chris Singleton (2,06m, 28 ans) n’a pas signé en Catalogne pour faire de la figuration.\\n\\nDrafté par les Washington Wizards puis passé par la Chine ou encore le Lokmotiv Kuban, le double champion de Grèce en titre, interrogé par son nouveau club, a annoncé avoir à coeur de permettre au Barça de redorer son blason.\\n\\n« Je veux aider le club à retrouver la place qui est la sienne. Les quelques dernières années ont été difficiles pour le Barça. Et je veux changer ça. On avait déjà été en contact, mais ça ne s’était pas fait. Cet été, ils ont été avec moi durant tout le processus, de la fin de la saison à ma décision, j’ai vraiment senti qu’on me voulait ici. »\\n\\nCapable de beaucoup de choses sur un terrain, l’ancien coéquipier de Kevin Séraphin à Washington – qu’il retrouve d’ailleurs à Barcelone – est là avant tout pour le succès de l’équipe.\\n\\n« Tout ce que je peux faire pour l’équipe, je veux le faire. Marquer des points, prendre des rebonds, défendre, mettre des contres, être un leader. Tout ce qu’on me demandera, je le ferai. Je veux juste gagner. »\\n\\nLa saison dernière, Chris Singleton était le leader du Pana aux côtés de Nick Calathes et compilait en moyenne 9,4 points et 5 rebonds en championnat, et 10,3 points et 5,8 rebonds pour une évaluation de 12,5 en Euroleague.\\n\\nPhoto : FC Barcelone"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ranking de la FIBA pré-Coupe du monde: La France grimpe à la 4e place"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que les équipes participantes à la Coupe du monde sont plongées dans une série de matchs de préparation, la FIBA a ajusté son power ranking et fait monter l’équipe de France à la 4e place. Ce malgré la défaite -avec trois forfaits majeurs- face à l’Espagne, à Valence, 54-65.\\n\\n« Les premiers matches amicaux de l’équipe de Valérie Garnier ont été une alternance de bon et de moins bon. Les Bleues ont peiné en attaque contre l’Espagne, avec la seule Sandrine Gruda véritablement à son affaire. C’est sur ses épaules que beaucoup des espoirs de la France reposeront pour son premier tournoi majeur depuis Rio, elle qui avait choisi de faire l’impasse sur le FIBA Women’s EuroBasket de l’an dernier. Malgré la défaite contre l’Espagne, le résultat précédent – un net succès 82-66 contre la Lettonie – avait été convaincant, avec une Marine Johannes très affûtée. »\\n\\nAux yeux des experts de la fédération internationale, c’est la Belgique qui devient moins attractive suite à plusieurs fâcheux contre-temps.\\n\\n« Toujours privée d’Ann Wauters, les choses semblent moins bien se présenter ces derniers jours pour la Belgique, qui voit un autre trio de joueuses freinées dans leur préparation. Battue par l’Espagne, elle a certes gagné contre la Lettonie 61-53, mais elle a perdu dans l’aventure sur blessures Kim Mestdagh, Antonia Delaere et, plus inquiétant encore, sa leader Emma Meesseman. Meesseman a paru sévèrement atteinte. Les chances de la Belgique se sont-elles envolées en même temps ? Nous tenons les pouces pour que l’une des attractions du tournoi puisse être rétablie d’ici le début de la compétition ! »\\n\\nPhoto: Olivia Epoupa (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Vincent Collet fait le point sur la SIG"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour SIGTV, Vincent Collet fait le point sur son équipe après trois semaines de préparation.\\n\\nStrasbourg est l’une des équipes à ne pas encore afficher un effectif au complet.\\n\\n« Les recherches sont bien sûr permanentes sur le poste 4. On espère que ça va venir vite. On estime que l’équipe mérite d’avoir le joueur idoine qui lui permette vraiment d’être bonifiée, améliorée. »\\n\\nVincent Collet est désormais accaparé par la fenêtre internationale de l’équipe de France. Quentin Serron a déjà rejoint l’équipe de Belgique et Jeremy Nzeulie est attendu avec le Cameroun."
}, 
{"role": "user",     "content":"Fenêtre internationale : AJ Slaughter et Aaron Cel avec la Pologne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le cadre de la fenêtre internationale de septembre, durant laquelle la Pologne sera opposée à l’Italie (14 septembre) et la Croatie (17 septembre), le sélectionneur Mike Taylor a fait appel à seize joueurs.\\n\\nParmi eux, l’ancien coach de Ulm a invité l’ancien joueur du BCM Gravelines-Dunkerque, Aaron Cel, qui sort d’une très bonne saison en Pologne à 12 points et 6,6 rebonds. Egalement présent dans la liste, l’arrière Villeurbannais et naturalisé polonais, AJ Slaughter. A noter l’absence de l’ancien ailier de Bourg-en-Bresse, Mathieu Wojciechowski.\\n\\nVoici la liste des seize joueurs convoqués :\\n\\n * Lukasz Kolenda\\n * Kamil Laczynski\\n * Marcel Ponitka\\n * AJ Slaughter\\n * Adam Hrycaniuk\\n * Maciej Lampe\\n * Mikolaj Witlinski\\n * Jakub Wojciechowski\\n * Aaron Cel\\n * Jakub Garbacz\\n * Tamosz Gielo\\n * Karol Gruszecki\\n * Mateusz Ponitka\\n * Michal Sokolowski\\n * Adam Waczynski\\n * Przemyslaw Zamojski\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Charles Galliou-Loko complète l’effectif de Villeurbanne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Charles Galliou-Loko (2,02m, 22 ans) va faire partie cette saison du replet effectif de l’ASVEL.\\n\\nCe shooting-guard/small forward avait été prêté à Antibes puis à Lille où il a tourné à 2,7 points et 1,5 rebond. Il avait porté précédemment 15 fois le maillot villeurbanais de façon anecdotique.\\n\\nCharles Galliou-Loko est le frère cadet de Margaux Galliou-Loko, la joueuse de Ligue Féminine.\\n\\nL’ASVEL est aujourd’hui à Madrid pour un match de préparation de prestige face au Real Madrid, le vainqueur de l’Euroleague 2018."
}, 
{"role": "user",     "content":"Une exposition à Lorient consacrée à l’ancien meneur Ed O’Brien"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lorient va fêter Edward O’Brien, un meneur de jeu d’1,85m, issu de l’université de Seattle, qui dans les années 80 a illuminé la ville. L’Américain devenu français aura droit à une exposition à l’Espace Nayel, du 13 octobre au 3 novembre, « The Palestra », comme nous l’explique un communiqué:\\n\\n« A l’occasion du 40e anniversaire de l’arrivée d’EDWARD O’BRIEN à Lorient, l’exposition « THE PALESTRA » déroule le fil du voyage sportif et humain de cette icône du sport lorientais, qui à l’image des héros des cycles homériques, transfigure, par ses valeurs et ses exploits, sa condition mortelle.\\n\\nCe meneur de jeu américain inconnu mais très talentueux, va en effet permettre à l’équipe du Patro lorientais du C.E.P. de passer des méandres de la Nationale 3 aux lumières de la Nationale 1A (aujourd’hui Jeep® Elite).\\n\\nPrès de trente ans après la fin de sa carrière, EDWARD O’BRIEN demeure pour les Lorientais passionnés ou simplement amateurs de sport, une légende.\\n\\nRevivez son épopée au travers d’un parcours graphique composé de photos, d’anecdotes, de témoignages et animé de temps forts ludiques et interactifs.\\n\\nSee you in october... »"
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo: Les internationales de Lattes-Montpellier"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette photo a été postée sur les réseaux sociaux par le club de Lattes-Montpellier. Elle regroupe les cinq internationales du BLMA: Endy Miyem, Héléna Ciak, Diandra Tchatchouang, et en bas, Romane Bernies et Alix Duchet, qui sont sélectionnées pour le championnat du monde en Espagne.\\n\\nCommentaire: quelle ossature pour l’équipe héraultaise pour la saison 2018-19 !"
}, 
{"role": "user",     "content":"Fenêtre internationale : le Villeurbannais Mantas Kalnietis avec la Lituanie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le cadre des qualifications pour la Coupe du Monde 2019, la Lituanie affrontera la Croatie et les Pays-Bas courant septembre. Pour ce faire, le sélectionneur Dainius Adomaitis a fait appel à douze joueurs.\\n\\nAucun NBAer ne figure dans cette liste mais plusieurs joueurs d’Euroleague vont faire le déplacement, dont Mindaugas Kuzminska (Milan), Lukas Lekavicius (Panathinaïkos), Edgaras Ulanovas (Zalgiris) ou encore Arturas Gudaitis (Milan). A noter également la présence du nouveau joueur de l’ASVEL, Mantas Kalnietis.\\n\\nVoici les douze joueurs convoqués :\\n\\n * Mantas Kalnietis\\n * Lukas Lekavicius\\n * Deividas Gailius\\n * Renaldas Seibutis\\n * Rokas Giedraitis\\n * Edgaras Ulanovas\\n * Mindaugas Kuzminskas\\n * Eimantas Bendzius\\n * Edgaras Zelionis\\n * Arturas Gudaitis\\n * Evaldas Kairys\\n\\n\\n\\n\\nLithuania final 12-man roster for FIBA qualifiers this September: Kalnietis, Lekavicius, Seibutis, Juškevicius, Gailius, Giedraitis, Ulanovas, Kuzminskas, Bendžius, Želionis, Gudaitis, Kairys.\\n\\n\\n— Donatas Urbonas (@Urbodo) September 3, 2018\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France féminine: Valérie Garnier dévoile le nom des 12 joueuses pour la Coupe du monde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après le Tournoi de Valence qui s’est tenu ce week-end, la coach Valérie Garnier a fourni la liste des douze joueuses qui participeront à la Coupe du Monde du 22 au 30 septembre à Tenerife en Espagne.\\n\\nLisa Berkani (1,76m, 21 ans) et Laetitia Kamba (1,87m, 31 ans) quittent le Groupe France. Cette annonce met aussi fin à la possibilité de voir dès cet été avec les Bleues la meneuse du New York Liberty, Bria Hartley, qui possède des origines françaises et qui a entrepris des démarches qui visiblement n’ont pas (encore?) abouti. Valérie Garnier a fait le choix de sélectionner trois meneuses, Olivia Epoupa, et les novices Romane Berniès et Alix Duchet. L’intérieure Marième Badiane est l’autre nouvelle de cette équipe de France 2018.\\n\\nCe sont ces douze joueuses qui participeront au Tournoi de Paris qui aura lieu au Stade Pierre de Coubertin du 7 au 9 septembre.\\n\\nPhoto: Alix Duchet (France)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\nNom\\nNaissance\\nTaille\\nPoste\\nSélections\\nPoints\\nClub\\n\\n\\nValériane\\nAYAYI\\n29/04/1994\\n1.85\\nAilière\\n72\\n391\\nUSK Prague\\n\\n\\nMarième\\nBADIANE\\n24/11/1994\\n1.90\\nIntérieure\\n1\\n0\\nASVEL\\n\\n\\nRomane\\nBERNIES\\n27/06/1993\\n1.70\\nMeneuse\\n5\\n17\\nMontpellier\\n\\n\\nAlexia\\nCHARTEREAU\\n05/09/1998\\n1.91\\nIntérieure\\n15\\n78\\nBourges\\n\\n\\nHelena\\nCIAK\\n15/12/1989\\n1.97\\nIntérieure\\n75\\n406\\nMontpellier\\n\\n\\nAlix\\nDUCHET\\n30/12/1997\\n1.63\\nMeneuse\\n1\\n2\\nMontpellier\\n\\n\\nOlivia\\nEPOUPA\\n30/04/1994\\n1.65\\nMeneuse\\n56\\n261\\nSans club\\n\\n\\nSandrine\\nGRUDA\\n25/06/1987\\n1.97\\nIntérieure\\n165\\n2144\\nSchio\\n\\n\\nMarine\\nJOHANNES\\n21/01/1995\\n1.77\\nArrière\\n41\\n288\\nBourges\\n\\n\\nSarah\\nMICHEL\\n10/01/1989\\n1.80\\nAilière\\n60\\n257\\nBourges\\n\\n\\nEndy\\nMIYEM\\n15/05/1988\\n1.88\\nIntérieure\\n178\\n1588\\nMontpellier\\n\\n\\nDiandra\\nTCHATCHOUANG\\n14/06/1991\\n1.86\\nAilière\\n67\\n407\\nMontpellier\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"EDF : Douze joueurs appelés par Vincent Collet pour participer au Tournoi de Paris"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le cadre du Tournoi de Paris qui se tiendra du 7 au 9 septembre en préparation des deux matchs de qualification pour la Coupe du Monde 2019, Vincent Collet et Patrick Beesley ont décidé de faire appel à douze joueurs.\\n\\nParmi eux, Nicolas Batum est le seul NBAer qui répondra présent contrairement à la fenêtre de juin/juillet où Evan Fournier et Rudy Gobert également là. Du côté de l’Euroleague, Thomas Heurtel et Fabien Causeur sont les deux seuls absents en comparaison avec le dernier rassemblement.\\n\\nVoici donc la liste du groupe qui participera au Tournoi de Paris. A partir de lundi 10 septembre, Jonathan Rousselle et Mouhammadou Jaiteh retrouveront le CSP Limoges tandis que Andrew Albicy, Nando De Colo et Vincent Poirier rejoindront leurs compatriotes pour les matchs face à la Bulgarie et la Finlande programmés les 13 et 16 septembre.\\n\\nVendredi 7 septembre 2018 :\\n18h00 : Match féminin – France / Lettonie\\n20h30 : Match masculin – France / Monténégro\\n\\nSamedi 8 septembre 2018 :\\n18h00 : Match masculin – Monténégro / Grèce\\n20h30 : Match féminin – France / Australie\\n\\nDimanche 9 septembre 2018 :\\n16h00 : Match féminin – Australie / Lettonie\\n18h30 : Match masculin – France / Grèce\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\nNom\\nNaissance\\nTaille\\nPoste\\nSél.\\nPoints\\nClub\\n\\n\\nNicolas\\nBATUM\\n14/12/1988\\n2,03\\nAilier\\n127\\n1418\\nCharlotte Hornets (NBA)\\n\\n\\nMoustapha\\nFALL\\n23/02/1992\\n2,18\\nPivot\\n6\\n53\\nLokomotiv Kuban (Russie)\\n\\n\\nEdwin\\nJACKSON\\n18/09/1989\\n1,9\\nArrière\\n50\\n201\\nBuducnost Podgorica (Monténégro)\\n\\n\\nMouhammadou\\nJAITEH\\n27/11/1994\\n2,06\\nPivot\\n22\\n33\\nLimoges CSP\\n\\n\\nAxel\\nJULIEN\\n27/07/1992\\n1,85\\nMeneur\\n5\\n17\\nJDA Dijon\\n\\n\\nCharles\\nKAHUDI\\n19/07/1986\\n1,97\\nAilier\\n98\\n249\\nLyon Villeurbanne\\n\\n\\nAlain\\nKOFFI\\n23/11/1983\\n2,07\\nAilier fort\\n41\\n194\\nGravelines Dunkerque\\n\\n\\nLahaou\\nKONATE\\n17/11/1991\\n1,97\\nAilier\\n4\\n2\\nNanterre 92\\n\\n\\nPaul\\nLACOMBE\\n12/06/1990\\n1,9\\nAilier\\n6\\n55\\nAS Monaco\\n\\n\\nMathias\\nLESSORT\\n29/09/1995\\n2,05\\nAilier fort\\n2\\n–\\nMalaga (Espagne)\\n\\n\\nAmine\\nNOUA\\n07/02/1997\\n2\\nAilier fort\\n1\\n–\\nLyon Villeurbanne\\n\\n\\nJonathan\\nROUSSELLE\\n07/02/1990\\n1,95\\nMeneur\\n1\\n3\\nLimoges CSP\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Fenêtre internationale : l’Espagne avec Sergio Rodriguez mais sans joueur NBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme de nombreuses nations pendant les fenêtres internationales, l’Espagne doit composer sans de nombreux joueurs d’Euroleague et de NBA.\\n\\nCe lundi, la fédération espagnole a dévoilé la liste des 16 joueurs que Sergio Scariolo a retenue pour les rencontres de septembre face à l’Ukraine et la Lettonie. A noter, le retour de Sergio Rodriguez, mais surtout l’absence de nombreux joueurs d’Euroleague et de tous les joueurs NBA dont Pau et Marc Gasol, Ricky Rubio ou encore Nikola Mirotic.\\n\\nVoici la liste des 16 joueurs qui représenteront l’Espagne :\\n\\n * Sergio Rodriguez\\n * Pablo Aguilar\\n * Jonathan Barreiro\\n * Javier Beiran\\n * Quino Colom\\n * Alberto Diaz\\n * Ilimane Diop\\n * Jaime Fernandez\\n * Sergi Garcia\\n * Xabi Lopez Arostegui\\n * Pierre Oriola\\n * Oriol Pauli\\n * Sebas Saiz\\n * Joan Sastre\\n * Fran Vazquez\\n * Santi Yusta\\n\\n\\n\\n\\nSpain’s NT goes without NBAers in the upcoming #FIBAWC qualifiers\\nNo Pau Gasol ❌\\nNo Marc Gasol ❌\\nNo Willy Hernangomez ❌\\nNo Juancho Hernangomez ❌\\nNo Ricky Rubio ❌\\nNo Jose Calderon ❌\\nNo Alex Abrines ❌\\nNo Nikola Mirotic ❌\\nNo Serge Ibaka ❌ pic.twitter.com/TK5wJUx1gY\\n\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) September 3, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie: Le naturalisé Jeff Brooks devrait jouer avec l’équipe nationale en septembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Gazzetta Dello Sport indique que l’Américain Jeff Brooks (2,03m, 29 ans) va bientôt obtenir son passeport italien afin de pouvoir rejoindre l’équipe nationale pour les matches de septembre comptant pour les éliminatoires de la Coupe du monde 2019.\\n\\nJeff Brooks, qui a signé un accord avec Olimpia Milano au début de l’été, devra s’inscrire en tant qu’italien à la FIBA avant jeudi à minuit.\\n\\nFormé à Louisville, Jeff Brooks a débuté sa carrière en Europe en Italie en 2011 à Jesi et a également porté les maillots de Cantu, Caserte, Sassari et aussi de Saratov et Malaga.\\n\\nC’est en se mariant en 2015 avec une Italienne qu’il a obtenu le passeport du pays."
}, 
{"role": "user",     "content":"Sasha Djordjevic (sélectionneur Serbie) reconnaissant envers Vlade Divac qui lui permet de disposer de joueurs NBA en sélection"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour de nombreux pays, les fenêtres internationales riment avec casse-tête quand il s’agit de convoquer les joueurs Euroleague ou NBA. Pour la Serbie, ce problème est bien présent, mais Sasha Djordjevic peut au moins compter sur le soutien de son ancien coéquipier, Vlade Divac, aujourd’hui General Manager des Sacramento Kings.\\n\\nInterrogé par BasketballSphere, l’ancien entraîneur du Bayern Munich a tenu à remercier le triple champion d’Europe qui lui permet de pouvoir disposer de Bogdan Bogdanovic et Nemanja Bjelica pour les matchs à venir en septembre.\\n\\n« Divac a des gestes positifs envers nous, c’est exceptionnel et énorme. Il comprend nos obligations. Il y a encore quelques détails à régler pour Bogdanovic, mais sinon pour Bjelica, c’est fait. Bogdanovic a été opéré à la fin de saison, donc il faut qu’on garde un œil dessus. Vlade se souvient des soucis qu’il avait quand il était en NBA et il souhaite nous aider. On est en contact depuis plusieurs jours pour en parler. »\\n\\nPourtant positif à l’arrivée des fenêtres internationales, Sasha Djordjevic ne peut que constater que plus les mois passent et moins les joueurs répondent présent pour la sélection.\\n\\n« À mesure que les fenêtres internationales s’accumulent, il y a de moins en moins de joueurs. J’étais très optimiste au moment d’annoncer ma liste préliminaire, en espérant que les grands noms soient présents, qu’ils reçoivent une autorisation de leur franchise et qu’il n’y ait aucun souci... mais malheureusement, certains ont annulé, d’autres doivent écouter l’avis de leur franchise. C’est le cas avec Teodosic et Marjanovic qui ne seront pas présents. Nous en parlons toujours mais il est temps de clore ce chapitre et de nous tourner vers notre première échéance, le grand match qui nous attend contre la Grèce. »\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet: Après le coccyx, Killian Hayes se blesse à l’orteil droit"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour jauger des progrès de Killian Hayes (1,95m, 17 ans), on devra patienter un peu. Le jeune prodige choletais avait dû déclarer forfait samedi face à Nanterre lors du Trophée du Golfe de Vannes en raison d’une douleur au coccyx.\\n\\nHier, pour la finale pour la troisième place face à Gravelines, le vice-champion du monde U17 n’a pu jouer que cinq minutes se blessant cette fois à l’orteil droit rapporte Ouest France.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV: Le tournoi de Paris en intégralité sur RMC Sport 2"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"SFR Sport 2 est devenu RMC Sport 2 mais la chaîne n’a pas perdu ses bonnes habitudes durant l’été: l’ensemble du tournoi de Paris-Coubertin sera diffusé sur ses antennes et marque ainsi les trois coups de la saison de basket-ball 2018-19 à la TV.\\n\\nVendredi 7 septembre\\n\\n18h00 – France/Lettonie féminin – Tournoi de Paris – RMC Sport 2\\n\\n20h20 – France/Monténégro masculin – Tournoi de Paris – RMC Sport 2\\n\\nSamedi 8 septembre\\n\\n20h20 – France/Australie féminin – Tournoi de Paris – RMC Sport 2\\n\\n22h30 – Monténégro/Grèce masculin – Tournoi de Paris – RMC Sport 2 (différé)\\n\\nDimanche 9 septembre\\n\\n18h30 – France/Grèce masculin – Tournoi de Paris – RMC Sport 2\\n\\n22h30 – Australie/Lettonie féminin – Tournoi de Paris – RMC Sport 2 (différé)\\n\\nPhoto: Paul Lacombe (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Israël: Richard Howell et TaShawn Thomas (Hapoel Jérusalem) suspendus trois mois pour usage de cannabis"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Sport 5, l’agence antidopage israélienne a pris la décision de suspendre pendant trois mois les joueurs de l’Hapoel Jérusalem, Richard Howell (2,03m, 27 ans) et TaShawn Thomas (2,03m, 25 ans). Les deux Américains ont été contrôlés positifs au cannabis lors de tests qu’ils ont subis lors des playoffs de la Ligue israélienne la saison dernière.\\n\\nLe dossier de Richard Howell, qui possède par ailleurs la nationalité israélienne et qui est international pour ce pays, n’est peut-être pas clos pour autant car il a reçu une lettre de la FIBA l’invitant à une audience en face à face.\\n\\nPhoto: Richard Howell (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tim Blue rassurant face à Fos... Pas Antibes !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les matches d’avant-saison servent à se préparer et les résultats y sont accessoires. Mais tout de même...\\n\\nC’est à un nouveau derby entre équipes de Jeep Elite que les spectateurs du Saint Paul Week End ont assisté hier entre Fos/Mer et Antibes et les promus n’ont pas été tendres avec les vénérables Antibois: 90-70.\\n\\nCôté fosséen, dix joueurs se sont équitablement partagés le temps de jeu (entre 11 et 32′) et c’est l’ancien joueur de NBA et d’Euroleague Malik Hairston qui a été le meilleur marqueur avec 17 points.\\n\\nCe n’est donc pas très rassurant pour les Antibois sinon que Tim Blue est de retour à la compétition après une longue interruption due à un léger AVC et qu’il a assuré 17 points et 4 rebonds.\\n\\nPhoto: Tim Blue (Sharks)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tournoi de Vannes: Le Mans vainqueur haut la main"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après sa victoire, 96-75, sur le BCM Gravelines en demi-finale, Le Mans Sarthe Basket a disposé de Nanterre 92 en finale du Trophée du Golfe à Vannes, 86-72. Les Manceaux avaient déjà fait une nette différence à la mi-temps, 47-31.\\n\\nLe meneur américain du Mans Juice Thompson a été le meilleur marqueur de la rencontre avec 29 points et élu MVP. Le pivot Richard Hendrix a ajouté 14 points et pris 11 rebonds alors que l’ailier Demitrius Conger a scoré le même nombre de points. Antoine Eito a pour sa part cumulé 11 points, 5 rebonds et 4 passes.\\n\\nLe MSB espère récupérer cette semaine Terry Tarpey, légèrement blessé, et faire faire ses premiers entraînements collectifs à Cameron Clark, qui reste sur une saison blanche.\\n\\nDans le camp nantérrien, ce sont Dominic Waters (14 points) et Jeremy Senglin (12) qui ont été les meilleurs marqueurs.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nLors de la finale pour la troisième place, le BCM Gravelines a pris le dessus sur Cholet Basket, 81-67. Edgar Sosa (22 points) et Myles Henson (13 points et 11 rebonds) ont été les deux Nordistes les plus en vue alors que quatre Choletais ont marqué 11 points et Jonathan Augustin-Fairell pris 11 rebonds.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Juice Thompson (MSB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe d’Europe 3×3 U18 féminine: La France décroche la médaille d’argent"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de France féminine a remporté la médaille d’argent à la Coupe d’Europe de 3×3 U18 qui s’est tenue à Debrecen, en Hongrie, du 31 août au 2 septembre.\\n\\nLes Bleuettes ont battu Israël (15-7) et ont été vaincues par la Lettonie (11-12) en poule avant d’éliminer l’Ukraine (16-18) en quart et la Russie (20-15) en demi-finale. Elles ont ensuite lourdement tombé face à la Belgique en finale (4-12).\\n\\nLa Belge Becky Massey a été élue MVP alors que la Française Diaba Konaté et la Russe Alexandra Andrushchenko forment le trio all-star du tournoi.\\n\\nOutre Diaba Konaté (1,69m), l’équipe de France était composée de Sophie Benharouga (1,83m), Sirine Mehadji (1,90m) et Emma Peytour (1,72m).\\n\\nChez les hommes, la Hongrie est devenue championne d’Europe après sa victoire en finale (20-17) sur la Serbie. Le MVP du tournoi est Maté Mokanszki (Hongrie) et les deux autres all-stars sont Pere Sureda (Espagne) et Victor Bogdan (Roumanie).\\n\\nLa France termine 6e.\\n\\nHommes\\n1. Hongrie\\n2. Serbie\\n3. Espagne\\n4. Roumanie\\n5. Allemagne\\n6. France\\n7. Russie\\n8. République Tchèque\\n9. Grèce\\n10. Italie\\n11. Ukraine\\n12. Irlande\\n\\nFemmes\\n1. Belgique\\n2. France\\n3. Russie\\n4. Espagne\\n5. Ukraine\\n6. Lettonie\\n7. République Tchèque\\n8. Hongrie\\n9: Pays-Bas\\n10. Italie\\n11. Lituanie\\n12. Israël\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jasmin Repesa est le nouveau coach de la Bosnie, à la place de Dusko Vujosevic"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Victime de sérieux problèmes de santé, l’ancien coach du Limoges CSP Dusko Vujosevic, 59 ans, a été remplacé à la tête de la sélection nationale de Bosnie-Herzégovine par le Croate Jasmin Repesa.\\n\\nJasmin Repesa, 57 ans, a coaché de nombreux clubs européens de haut standing dont Bologne, Trévise, Malaga et Milan ainsi que l’équipe nationale de Croatie de 2006 à 2009 puis de 2012 à 2014.\\n\\nIl a été finaliste de l’Euroleague en 2004 avec la Fortitudo Bologne, une fois champion d’Italie, deux fois champion de Turquie et six fois vainqueur du championnat croate.\\n\\nLa Bosnie est cinquième du groupe K de qualification à la Coupe du monde à égalité avec la Bulgarie avec 2 victoires et 4 défaites.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"En direct avec Johan Passave-Ducteil (Châons-Reims) : «Il me manque deux choses, l’étranger et l’Equipe de France»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Passé par Saint-Etienne, Limoges, Nanterre, Bourg-en-Bresse et Dijon, Johan Passave-Ducteil (2,01m, 33 ans) vient de rejoindre Châlons-Reims pour la saison 2018/19. Il répond aux questions du « En Direct ».\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nFranchement... Non ! (rires) C’était à l’époque de Saint-Etienne ! Je n’en ai aucune idée... Je pense que c’est en 2002/03. Par contre ce qui est génial par rapport à ma carrière, c’est que j’ai eu la chance de jouer contre Stéphane Ostrowski, qui a ensuite été mon GM, j’ai joué contre les anciennes gloires françaises et ça montre qu’ils étaient en forme les papys à l’époque.\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nIl y en a plusieurs, mais ce sont surtout des joueurs que je voulais dépasser en fait. Le plus référencé que j’ai c’est Uche Nsonwu. C’était vraiment un objectif. Quand j’ai joué contre lui et qu’il m’a « adoubé », j’étais vraiment heureux. A l’époque c’était Eric Chaulvet, l’intérieur français de Saint-Etienne. Je le côtoyais tous les jours donc je voulais tout faire comme lui. Au tout début quand j’ai commencé le basket à Paris, c’était Mamoutou Diarra. J’étais poste 5, mais tout le monde voulait être comme lui ! C’était une star à Paris. Anthony Stanford aussi à l’époque, en plus maintenant c’est l’assistant coach de Cédric Heitz. Il y en a plein des joueurs qui m’ont influencé mais qui n’ont rien à voir avec mon poste. Je voulais être référencé comme eux. Le plus prestigieux c’est Kyle Hines, que j’ai eu la chance d’affronter en Euroleague. Il est plus petit que moi, mais physiquement il en impose. C’est vraiment lui l’ultime. Dans le sens où il m’a donné de l’espoir dans le fait que finalement ce n’est pas la taille qui importe, c’est ce que tu fais derrière.\\n\\nLe coach qui vous a le plus marqué :\\n\\nCelui qui m’a fait le plus progresser, tout le monde le connait, c’est Pascal Donnadieu. Il m’a donné cette confiance qui m’a permis de m’élever au-delà de ce qu’on pensait. Même si je crois qu’il s’en doutait un peu alors que moi non.\\n\\nLe club dans lequel vous rêveriez de jouer :\\n\\nIl y a deux choses que je n’ai pas pu faire pour l’instant dans ma carrière et qui me manquent, c’est avoir pu jouer à l’étranger et porter le maillot de l’Equipe de France. A part ça, que veux-tu que je dise sur ma carrière ? Par rapport à ce qui était prévu, ce qu’elle est à l’arrivée... En étant super exigeant, c’est une mission à l’étranger et l’Equipe de France. Sinon, je suis plus que heureux de la carrière que j’effectue.\\n\\nLa salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :\\n\\nJe suis obligé de dire Limoges. J’ai eu la chance de jouer des Pau-Limoges ou même des Poitiers-Limoges, c’était incroyable. Je suis obligé de leur accorder ça. Il n’y a pas de comparaison par rapport au derby, c’est sûr.\\n\\n« En Euroleague, ceux qui nous ont fait comprendre qu’il n’y aurait même pas une once d’espoir, c’est Fenerbahce »\\n\\nLe pire souvenir de joueur :\\n\\nCette blessure à Dijon lors du dernier match de championnat (ndlr, rupture des ligaments croisés).\\n\\nLe meilleur souvenir de joueur :\\n\\nC’est dur d’en sortir un mais je dirais l’épopée de 2013, champion de France avec Nanterre.\\n\\nLe meilleur joueur avec qui vous avez joué :\\n\\nLe meilleur en tout point de vue... Bonne question... Je dirais... Ah c’est dur parce qu’il y a des joueurs dont j’aime bien le jeu, il y en a qui m’ont fait vibrer... Mais le meilleur je vais mettre Adam Harrington que j’ai côtoyé quand j’étais à Limoges. En deuxième division, c’était incroyable d’avoir un joueur de ce calibre-là.\\n\\nLe meilleur joueur que vous avez affronté :\\n\\nC’est compliqué, j’ai eu la chance de jouer l’Euroleague ! Oh la la... Je vais choisir à mon poste. En Euroleague, ceux qui nous ont fait comprendre qu’il n’y aurait même pas une once d’espoir, c’est Fenerbahce donc je vais dire Linas Kleiza, même si c’est un poste 4.\\n\\nVotre match référence en carrière :\\n\\nMes références c’est les trophées. Mais le match dont je suis le plus fier, on va dire le match 3 des finales de Pro A en 2013. Je me suis vraiment senti bien et les coéquipiers m’ont vraiment mis dans de bonnes conditions.\\n\\nSi vous pouviez prendre le move d’un joueur :\\n\\nJe ne suis pas référencé shooteur à trois points donc je prendrais le shoot de Heiko Schaffartzik, Jamal Shuler ou Hugo Invernizzi. Une combinaison des trois.\\n\\nPourquoi le numéro 13 :\\n\\nFidèle au poste, je suis un enfant du treizième.\\n\\nSi vous deviez choisir quatre mecs pour monter une équipe avec vous, qui choisiriez-vous :\\n\\nJe prendrais Guillaume Pons, Jeremy Nzeulie, Marc Judith et Mykal Riley. Et je m’enlève pour mettre Lahaou Konaté.\\n\\nPrincipale occupation entre deux entraînements :\\n\\nEn dehors du basket, j’ai trois passions. Le golf, que je pratique dès que je peux, regarder des séries et jouer au jeux vidéo. Et bien sûr j’aime aussi être avec mes enfants.\\n\\nSi vous ne jouiez pas au basket :\\n\\nL’avantage qu’il y a c’est que j’ai touché à tous les sports donc j’aurais fait certainement un autre sport. Peut-être du handball ou du volley.\\n\\nAprès le basket :\\n\\nJe me vois dans le monde du sport, pas spécialement dans le basket, mais je me vois dans les relations humaines, dans le marketing. Un peu ce style-là mais toujours dans le sport.\\n\\n[armelse]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nFranchement... Non ! (rires) C’était à l’époque de Saint-Etienne ! Je n’en ai aucune idée... Je pense que c’est en 2002/03. Par contre ce qui est génial par rapport à ma carrière, c’est que j’ai eu la chance de jouer contre Stéphane Ostrowski, qui a ensuite été mon GM, j’ai joué contre les anciennes gloires françaises et ça montre qu’ils étaient en forme les papys à l’époque.\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nIl y en a plusieurs, mais ce sont surtout des joueurs que je voulais dépasser en fait. Le plus référencé que j’ai c’est Uche Nsonwu. C’était vraiment un objectif. Quand j’ai joué contre lui et qu’il m’a « adoubé », j’étais vraiment heureux. A l’époque c’était Eric Chaulvet, l’intérieur français de Saint-Etienne. Je le côtoyais tous les jours donc je voulais tout faire comme lui. Au tout début quand j’ai commencé le basket à Paris, c’était Mamoutou Diarra. J’étais poste 5, mais tout le monde voulait être comme lui ! C’était une star à Paris.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Futur adversaire de la France, la Finlande s’impose en préparation en Lettonie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Adversaire des Français à Montpellier, le 16 septembre dans le cadre des qualifications pour la Coupe du monde, la Finlande livre deux matches de préparation face à la Lettonie avec une équipe amputée de quelques uns de ses principaux joueurs retenus par leurs clubs d’Euroleague.\\n\\nHier, pour le premier test à Espoo, la Finlande s’est imposée 80-73 et le meilleur marqueur a été l’ancien meneur de Nanterre, Jamar Wilson avec 19 points. Antti Kanervo (17 points) et Mikko Jantunen (10 points et aussi 11 rebonds) ont été les deux autres principaux scoreurs.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Antti Kanervo"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tournoi de Vannes: Le Mans et Nanterre en finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bien que privés de Terry Tarpey et Cameron Clark, Le Mans a pris largement le meilleur sur Gravelines hier soir au Trophée du Golfe à Vannes: 94-75. Le champion de France va affronter aujourd’hui Nanterre en finale, lequel a pris le dessus sur Cholet, 84-71.\\n\\nSix des sept pros du MSB ont obtenu au moins 15 à l’évaluation avec une meilleure performance pour le pivot Wilfried Yeguete avec 16 points et 8 rebonds et l’arrière-ailier Valentin Bigote avec 18 points et 4 passes (21 d’éval chacun).\\n\\nAu BCM, ce sont Benjamin Sene (18 d’éval, 14 points, 6/6 aux shoots) et Edgar Sosa (17 d’éval, 17 points, 4 passes) qui se sont illustrés.\\n\\nA Nanterre, c’est Jeremy Senglin (23 points, 7 rebonds) qui a été le top marqueur devant Lahaou Konate (21 points) et Julian Gamble (15 points et 7 rebonds) alors que Pape Sy (16 points, 9 rebonds) s’est révélé le Choletais le plus efficace.\\n\\nLa boxscore de Le Mans/Gravelines est ici.\\n\\nLa boxscore de Nanterre/Cholet est ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg: Jérémy Nzeulie tient la forme"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La SIG Strasbourg s’est imposée 84-80 à l’Elan Chalon lors de la petite finale du Ain Star Game et l’ancien Chalonnais Jérémy Nzeulie s’est rappelé au bon souvenir de son ancien club avec 24 points à 9/13 aux shoots.\\n\\n« Individuellement, on peut dire que cela a été positif pour mes retrouvailles avec Chalon. Après, que je mette 2 ou 100 points, ça ne change pas grand-chose. On est dans une phase où l’on travaille beaucoup, avec une équipe complètement neuve. Donc c’est une bonne chose d’avoir gagné ce troisième match en trois jours, »a t-il commenté aux DNA.\\n\\nLui aussi ancien Chalonnais, Nicolas Lang a pour sa part scoré 16 points avec un 4/5 à trois-points.\\n\\nPhoto: Jérémy Nzeulie, SIG"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ain Star Game: L’ASVEL large vainqueur, Amine Noua MVP"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Asvel n’a pas fait de quartier lors de la finale de la 11e édition de l’Ain Star Game, pulvérisant la JDA Dijon, 82-55. Une victoire qui fait suite à celles obtenues face à Chalon (+27) et Morna Bar (+20). Les Villeurbannais menaient 12-0 après trois minutes puis 37-12.\\n\\nAmine Noua (14 points) a été élu MVP de la finale alors que l’Américano-polonais AJ Slaughter a assuré 12 points, le Croate Miro Bilan 9 points et 10 rebonds et Théo Maledon, sur sa lancée du Mondial U17, 8 points, 5 rebonds et 2 passes. Prochain adversaire: le Real mardi à Madrid.\\n\\nFinale : ASVEL Basket 82 – 55 Dijon\\n\\nFinale 3e place : Strasbourg 84 – 80 Chalon sur-Saône\\n\\nMatch de classement : JL Bourg 115 – 86 Mornar Bar"
}, 
{"role": "user",     "content":"[REDIFF] La Jeep Elite est l’une des six ligues au monde où l’avantage du terrain en playoffs n’existe pas"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Polonais Karol Bruski a accompli un travail de fourmi: il a compilé tous les résultats de la saison 2017-18 de 53 championnats différents à travers le monde afin de connaître les pourcentages de victoires à domicile et à l’extérieur, en saison régulière et en playoffs.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nRésultats: en cumul, c’est en Serie A2 italienne où l’avantage du terrain est le plus sensible (69,7%) devant la Hongrie (67,8%) et la Suisse (65,7%). Si l’on ne prend que la saison régulière, c’est la Liga Nacional du Chili qui est en tête (70,2%) et si on ne s’intéresse qu’aux playoffs, c’est l’ABA League -la ligue Adriatique- qui est numéro 1 avec 90,0%, ce qui est évidemment énorme d’autant qu’en saison régulière les équipes ne gagnent que... 55,0% des rencontres. Une curieuse disparité.\\n\\nA l’inverse, c’est aux Philippines (50,26%) où jouer à la maison n’a aucune utilité.\\n\\nIl est évidemment très intéressant de connaître le positionnement des deux championnats français majeurs.\\n\\nLe constat est que si la Pro B (60,4%) se situe en 20e position des championnats où l’avantage du terrain est primordial -soit quasiment au même niveau que la NBL australienne et l’ACB espagnol-, la Jeep Elite (56,4%) fait partie de ceux où celui-ci est le moins sensible, 41e. C’est d’autant plus marqué en playoffs où... il vaut mieux se déplacer que recevoir: 47,3%. De fait, on a comptabilisé la saison dernière 12 victoires à l’extérieur contre 11 à domicile.\\n\\nSeules la ligue du Chili, la BBL anglaise, la NBL Bulgare, la Basketball Champions League -et nous sommes donc là aussi concerné- et la Baltic League (31,2% !) font mieux... ou pire, c’est selon.\\n\\nNous nous garderons d’effectuer une conclusion comparative mais on se pose tout de même une question pour la Jeep Elite sachant que ce phénomène observé lors de la saison 2016-17 était encore plus flagrant avec 10 victoires à domicile pour 14 à l’extérieur : cela vaut-il le coup de jeter toutes ses forces dans la bataille pour atteindre le top 4 ou mieux le top 2 de la saison régulière, d’avoir l’avantage du terrain lors d’une belle éventuelle?\\n\\nOn rappellera à ce propos que les huit derniers champions de France n’ont pas terminé en tête de la saison régulière. Soit à rebours:\\n\\nLe Mans (3e), Chalon (2e), Villeurbanne (5e), Limoges (3e), Limoges (2e), Nanterre (8e), Chalon (2e), Nancy (2e) et... Cholet (1er) et Villeurbanne (1er).\\n\\n[armelse]\\n\\nRésultats: en cumul, c’est en Serie A2 italienne où l’avantage du terrain est le plus sensible (69,7%) devant la Hongrie (67,8%) et la Suisse (65,7%). Si l’on ne prend que la saison régulière, c’est\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Justin Cobbs (Le Mans), LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Préparation Coupe du monde féminine: La France flanche sur la fin face à l’Espagne, 54-65"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En match de préparation à la Coupe du monde, l’équipe de France s’est inclinée face à l’Espagne ce soir à Valence, 54-65. Les Bleues étaient privées de trois joueuses majeures, Olivia Epoupa, Diandra Tchatchouang et Helena Ciak.\\n\\nMenées un temps 9-12, les Françaises sont passées en tête à 16-14 (15e) avec 10 des 12 points de Marine Johannes. Le score a été ensuite longtemps serré (23-24 à la mi-temps, 44-43 après 30e) avant que les Espagnoles fassent la décision dans les dix dernières minutes: 44-49, 32e, puis 62-52, 38e.\\n\\nAlors que Sandrine Gruda est en double double (13 points, 10 rebonds), l’arrière Marta Xargay (1,80m, 28 ans, 21 points) ainsi que Cristina Ouvina (Bourges, 16 points, 4 interceptions), Queralt Casas (Basket Landes, 9 points, 4 passes)) et Laia Palau (ex-Bourges, 8 points, 4 passes) ont été prédominantes côté espagnol.\\n\\nLes Françaises ont fait tomber l’adresse espagnole à 35,8 % (contre 42,6%) mais ont commis énormément de balles perdues, 25 (contre 18).\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Marine Johannes (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Rétro: Comment la NBA est entrée dans le mouvement international"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le 9 septembre 1972, l’Amérique est en berne. L’URSS vient de lui chiper des mains la médaille d’or olympique à la suite des trois secondes les plus longues et les plus controversées de l’Histoire du basket international. Les raisons du fiasco\u2009? Multiples. L’une crève les yeux : sept joueurs américains ont tout juste 20 ans et l’aîné, Kenny Davis, le seul à être déjà sorti de la fac, en déclare 23. Le pivot rouquin de UCLA, Bill Walton, a manqué à l’appel. Et surtout les membres des dix-sept franchises NBA et des onze de ABA ne sont pas sélectionnables. Ils sont «\u2009professionnels\u2009» et les deux ligues américaines ne sont pas reconnues par la Fédération Internationale. Kareem Abdul- Jabbar, Wilt Chamberlain, Jerry West, Julius Erving et consorts sont des pestiférés du mouvement olympique. Le CIO vient d’ailleurs d’être présidé durant vingt ans par Avery Brundage, un Américain un peu illuminé qui combat pour la survie d’un amateurisme qui est de plus en plus marron. On sait que les sportifs de l’Est – à commencer par les basketteurs soviétiques – sont en fait des athlètes d’État qui se consacrent à plein temps à leur activité sportive même s’ils ont, par exemple, un grade dans l’armée.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAvoir été «\u2009professionnel\u2009» est une maladie honteuse. Lorsqu’il signe pour l’ASPO Tours, à la rentrée 69, DeWitt «\u2009Slem\u2009» Menyard se garde bien de préciser qu’il a été un membre éminent de l’ABA sous le maillot des Houston Mavericks (9,1 pts et 7,8 rbds et une sélection au All-Star Game avant d’être victime d’une terrible blessure au genou). On fera aussi toute une histoire lorsqu’on découvrira de ce côté-ci de l’Atlantique que Bob Riley, engagé par Caen, a passé 39 minutes sur les parquets de la NBA, sous le jersey des Atlanta Hawks. Dérisoire, mais symptomatique de deux basket claniques qui ignorent tout l’un de l’autre et donc se détestent sans raison.\\n\\nIl faut attendre 1970 pour qu’un Européen n’ayant jamais joué dans une université américaine soit drafté par la NBA, Dino Meneghin. Sauf que son positionnement – 12e choix du 11e tour par les Hawks – est une insulte pour le monument national italien. Meneghin ne rejoindra jamais la National Basketball Association et gagnera beaucoup d’argents à Varèse puis à Milan. S’il avait fait le grand saut, l’italien risquait l’excommunication et d’être banni à vie de la Squadra Azzura.\\n\\nGeorgi Glouchkov, le premier\\n\\nEn 1984, les Etats-Unis sont redevenus champions olympiques avec brio à Los Angeles avec un roster toujours exclusivement composé d’universitaires.\\n\\nEn Europe, les salaires sont en croissance exponentielle et la FIBA a cessé d’être hypocrite. Le sigle – en français dans le texte – ne signifie plus Fédération Internationale de Basket Amateur, mais tout simplement Fédération Internationale de Basket\\n\\n1985. Le Bulgare Georgi Glouchkov, qui s’est distingué à l’Euro en Allemagne, sur le terrain par sa puissance au rebond et, en dehors, par ses fringues étriquées, est drafté (148e choix) et signé par les Phoenix Suns. Son rendement est anodin (4,9 pts et 3,3 rbds) et amoindri, semble-t-il, par un surplus de poids. Glouchkov réintégrera la FIBA et gagnera une Coupe des Coupes en 1989 avec Caserte.\\n\\n1986. C’est l’année où une franchise se jette à l’eau et drafte au 1er tour un Européen. Le plus fort de tous. Un Soviétique de 2,18m, Arvydas Sabonis. Sabas, qui est sous contrat avec le Zalgiris Kaunas, est le 24e choix des Portland Trail Blazers. Le Grec Panayotis Fassoulas – qui a été formé en partie à North Carolina State – est au 2e tour, le Yougoslave Drazen Petrovic au 3e – ce qui est un manque de considération incroyable –, l’Ukrainien Alexander Volkov au 6e, le Kazakh Valery Tikhonenko au 7e.\\n\\nC’est lors du Mondial en Espagne, dans un des salons de l’hôtel des délégations, que Volkov et Tikhonenko sont approchés par le coach des Hawks, Mike Fratello, et son General Manager, Stan Kasten. Les Soviétiques vivent dans leur bulle et la confidence de Tikhonenko à Maxi-Basket laissera pantois ceux qui sont nés avec Internet : «\u2009Avant de venir en Espagne, j’ignorais que j’avais été drafté par la NBA. Je l’ai appris par les magazines espagnols. Je ne sais même pas où les pros américains nous ont vus jouer.\u2009» Tikhonenko précisera que le staff des Hawks leur a mis des contrats de 75\u2009000 dollars chacun sous le nez et que les deux joueurs se sont empressés de les transmettre aux officiels de la délégation soviétique. «\u2009Mais on n’est pas reparti les mains vides. Ils nous ont donné, comme gage de sérieux de leur offre, un maillot des Hawks à notre nom et toute une panoplie complète, de la cravate au bonnet de laine, en passant par le stylo aux couleurs des Hawks. Quel effet ça va faire à Alma-Ata !\u2009»\\n\\nL’Histoire, avec un grand H, est en marche. Un monde, celui du communisme, va imploser. Borislav Stankovic, son secrétaire général, souhaite que la Fédération Internationale s’ouvre à la NBA. Seulement une majorité des décideurs de la FIBA sont encore réactionnaires et la proposition de Stankovic soumise au Congrès est rejetée à une courte majorité. Ce n’est que partie remise.\\n\\nL’Histoire se fait à Milwaukee\\n\\nC’est en octobre 1987, à Milwaukee, dans le Wisconsin, que la FIBA et la NBA vont enfin s’embrasser sur les deux joues. C’est Borislav Stankovic qui a fait la démarche. C’est David Stern qui a trouvé le financement de la première édition du McDonald’s Open et assuré la logistique. Le budget est estimé à 1,7 million de dollars et financé en grande partie par la chaîne de fast food qui a l’intention d’ouvrir trois restaurants à Moscou. Jamais philanthropiques les Américains. «\u2009C’est quelque chose dont les fans de basket à travers le monde parlaient depuis des années. Et c’est excitant de penser que cela va bientôt se réaliser\u2009» commente le commissioner.\\n\\nTrois équipes constituent le plateau : le Tracer Milan, champion d’Europe en titre, l’URSS, vice-championne du monde, et les Milwaukee Bucks qui, la saison précédente, se sont classés 3e de la Central Division.\\n\\nQuelques médias européens sont de sortie dont trois journalistes français. Le match Bucks-URSS est diffusé sur ABC et dans pas moins de 37 pays, y compris l’URSS et la Chine, et le sera aussi en différé en France sur La 5.\\n\\n«\u2009C’est un rêve devenu réalité pour moi et les autres joueurs. Je pense que nous sommes des pionniers. C’est comme le premier homme sur la lune, les premières empreintes\u2009» déclare solennellement Dino Meneghin. «\u2009Avant ce weekend, je n’ai vu ces joueurs qu’à la télévision. C’est comme vivre un rêve. Je me sens sur une autre planète. C’est absolument fantastique\u2009» savoure Massimilino Aldi, 20 ans. Les Bucks sont dépenaillés. Déjà, ça ne fait que deux petites semaines qu’ils ont repris le bleu de travail. Et puis, pour diverses raisons, ils déplorent moult forfaits. Quatre – Ricky Pierce, John Lucas, Sidney Moncrief, Craig Hodges – des huit joueurs majeurs sont inopérants. Le coach Dell Harris n’a pas à sa disposition un meneur valide et de long-range shooters pour attaquer les fameuses zones européennes.\\n\\n«\u2009Ils savent ce que c’est, le basket\u2009» prévient Dominique Wilkins qui a fréquenté quelques Soviets lors du Summer Camp des Hawks. «\u2009Il y a des joueurs trompeurs. Lorsque vous les voyez comme ça, en civil, vous ne pouvez pas deviner qu’ils ont autant de talent. Ils ne payent pas de mine. Mais, sur le terrain, on se rend compte qu’ils peuvent se servir de la balle. Ils ont de grands shooteurs et de bons jumpeurs. Certains peuvent jouer en NBA dès maintenant.\u2009» D’ailleurs, Alexander Gomelski, coach de l’URSS, en profite au cours de la conférence de presse pour faire, sous forme de scoop, la promo de deux de ses boys, Sarunas Marciulionis et Alexander Volkov : «\u2009Voici deux de mes garçons qui, avec Sabonis, Tkatchenko et Khomitchous, joueront probablement bientôt en NBA.\u2009» Incontestablement, Gomelski est imprégné de la politique de glasnost (transparence) et de perestroika (reconstruction), bref d’ouverture, du maître du Kremlin, Mikhaïl Gorbatchev.\\n\\nRésultat\u2009? Les Ritals se montrent incapables de passer la balle à l’intérieur et, s’ils y parviennent par miracle, Jack Sikma et Randy Breuer viennent former un barrage incontournable. La pression de la ligne arrière des Bucks est étouffante. C’est un déluge. 37-15 à la fin du premier quart-temps. C’est grâce à une zone soporifique et au détachement des Américains que les Milanais vont parvenir à limiter la casse. 123-111. Les Soviets seront envoyés dans les cordes dans le 3e quart-temps. Quarante-neuf points d’écart. Paul Pressey et Jerry Reynolds sèmeront la terreur dans les rangs de l’armée rouge. Les Bucks redoutaient les ogives soviétiques, mais 18 tirs à 3-pts de suite manqueront leur cible ! Sans Sabonis, Tkatchenko et Belostenny, l’URSS n’avait pas non plus la possibilité de lutter dans la peinture.\\n\\n«\u2009Nous sommes beaucoup plus rapides qu’eux. Notre pression défensive leur a posé beaucoup de problèmes. Ils ont seulement un gars (Marciulionis) capable de manier le ballon devant nous, et ce que nous avions à faire, c’était de le neutraliser\u2009» analysera Jerry Reynolds.\\n\\n«\u2009La première fois que je suis venu aux États-Unis, il y a 30 ans, nous avions été battus par toutes les équipes universitaires que nous avions rencontrées. La fois suivante, on avait gagné un match. Aujourd’hui, nous sommes capables de battre n’importe quel college. Si nous continuons à étudier le jeu des pros, dans 5-6 ans, nous pourrons peut-être battre une équipe de NBA.\u2009» La prophétie d’Alexander Gomelski fera sourire l’assistance et notamment son confrère Del Harris, «\u2009à mon avis, quand nous en serons arrivés là, nous serons tous très, très vieux.\u2009» Mais il avait bien toute sa tête le colonel de l’Armée Rouge.\\n\\nBorislav Stankovic, le visionnaire\\n\\nÀ Séoul, les universitaires américains se font de nouveau ratatiner par l’URSS seize ans après le fiasco de Munich. John Thompson, le coach de Team USA, n’a pas du tout apprécié que Arvidas Sabonis soit soigné par le toubib des Portland Trail Blazers après la rupture aggravée de son talon d’Achille. Thompson, qui se croit encore en pleine guerre froide, a tempêté juste avant les J.O. : «\u2009Sabonis est l’exemple même de la prédiction de Lénine qui disait que les capitalistes vendraient un jour aux communistes la corde qui servirait ensuite à les pendre. Je pense que nos adversaires directs nous exploitent. Il ne faut pas préparer Sabonis à jouer contre nous.\u2009»\\n\\nAlexandre Gomelski, lui, sent que le vent tourne et il lui a répliqué : «\u2009Mr. Thompson est un grand coach, mais ce n’est pas le Ministre des Affaires Étrangères. L’URSS et les USA ont de bons contacts sur les plans politique, économique et sportif. Tous les pays, tous leurs habitants, sont heureux de ces rapprochements. Les gens en dorment mieux la nuit. Peut-être que Mr. Thompson ne comprend pas ça. Je pense que Mr. Thompson fait erreur.\u2009»\\n\\nLe Serbe Borislav Stankovic a une idée fixe : ouvrir la Fédération Internationale aux joueurs de la NBA. «\u2009La première raison est technique, c’est améliorer le niveau de nos joueurs FIBA\u2009», explique-t-il. «\u2009La seconde est morale. Nous sommes dans une situation très hypocrite. Nous avons 172 pays dans notre organisation qui représentent 200 millions de basketteurs, mais nous n’avons pas les 300 meilleurs joueurs du monde car ils sont « professionnels ». Les gens sont payés partout dans le monde. Laisser de côté ces 300 joueurs sous prétexte qu’ils sont professionnels est hypocrite.\u2009» Comme Gomelski, Stankovic est tout de même un sacré visionnaire. Alors que les meilleurs Européens se font balayer par des NBA ers lambda, il déclare : «\u2009nous acceptons le fait que les Jeux et les Championnats du monde soient dominés par les États-Unis, mais chaque année la différence sera moindre. Et un de ces jours, les autres pays seront compétitifs avec la NBA.\u2009»\\n\\nStankovic bénéficie dans sa démarche du support de Juan Antonio Samaranch, le président du CIO, natif de Barcelone, prochaine ville à accueillir les Jeux et qui verrait d’un bon œil la participation d’une sélection de joueurs américains de la NBA. Alexandre Gomelski est donc dans le même esprit : «\u2009Mon but est que le basket devienne le premier sport au monde, et c’est pour ça que je souhaite que la NBA vienne aux Jeux. Si Michael Jordan joue contre nous, je le sais, nous n’aurons aucune chance. Mais je vois l’intérêt du basket en général.\u2009»\\n\\nLe paradoxe, c’est que c’est le représentant des États-Unis, Bill Wall, qui fait le nez sur ce rapprochement. «\u2009Je ne pense pas que les joueurs de la NBA seront aux J.O. de Barcelone. Actuellement, il y a un resserrement des valeurs, et si les pros arrivaient, ça changerait tout\u2009» tente-t-il de justifier. En fait, Bill Wall sait très bien qu’avec la rentrée de la NBA dans le concert mondial, ABAUSA, dont il est le directeur exécutif, perdrait tous ses pouvoirs.\\n\\nEn attendant, le gouvernement soviétique refuse de donner son aval au départ de Sarunas Marciulionis aux Atlanta Hawks.\\n\\n7 avril 1989, un Soviet au All-Star Game !\\n\\nEn février 89, Rimas Kurtinaïtis bénéficie d’un privilège jamais accordé ni avant, ni après : il est invité au concours de tirs à trois-pts du NBA All-Star Game à Houston alors qu’il n’est pas membre de la NBA. Dans l’immense Astrodome, le Lituanien se troue. 7 shoots transformés sur 25. Le score le plus faible obtenu cet après-midi-là. «\u2009Il n’a pas supporté la pression\u2009», nous dit Stankovic.\\n\\nLa réunion décisive se tient à Munich le 7 avril 1989. La NBA et les autres «\u2009ligues professionnelles\u2009» rejoignent la Fédération Internationale. 56 voix pour, 13 contre dont la fédération américaine. Une proposition soviétique de limiter dans un premier temps à deux par équipe le nombre de «\u2009pros\u2009» a été rejetée.\\n\\nÀ partir de là, c’est la fuite des cerveaux qui s’accélère. Sarunas Marciulionis devient le premier Soviétique à signer en NBA. Soviétique\u2009? «\u2009Je ne suis pas un Soviétique, je suis un Lituanien. Mais mon pays a été annexé par l’URSS de Staline en 40. En tant qu’athlète, je me considère comme un ambassadeur du peuple lituanien, qui n’est pas représenté diplomatiquement.\u2009» Le contrat est de 3,8 millions sur 3 ans et, d’après Mark Fleisher d’IMG, une société qui a un bureau à Moscou, Sarunas en conserverait un peu plus de la moitié. Le 17 août, Drazen Petrovic rachète une partie de son contrat au Real Madrid, en signe un de 3 ans à Portland, manque la préparation avec les Blazers à cause d’un kyste, et doit composer avec la méfiance du coach Rick Adelman qui n’a pas compris qu’il a hérité du plus beau joyau de la couronne yougoslave.\\n\\nPendant ce temps, l’Ukrainien Alexander Volkov est accueilli avec un tapis rouge à Atlanta. Il explique à Maxi-Basket la tractation : «\u2009J’ai un contrat no-cut sur 3 ans, d’environ 600\u2009000 dollars annuels. À mon départ d’URSS, il a fallu payer un impôt. Mais il n’y a pas de barème. On m’a laissé entendre que ce serait bien si je payais 100\u2009000 dollars. Comme j’ai accepté, on m’a obligé à acquitter la somme sur le champ. J’ai dû contracter un emprunt aux USA car on me demandait un impôt sur des sommes dont je n’avais encore rien touché.\u2009» Volkov sait que la manne va tomber dans les caisses du Comité d’État aux Sports et du Comité d’État au Budget, mais sans connaître la répartition.\\n\\nAu cours du mois d’août 90, Drazen Petrovic (Portland), Zarko Paspalj (San Antonio) et Vlade Divac (Lakers) gagnent l’or au Mondial argentin sous la bannière de la Yougoslavie. Volkov (Atlanta) est dans le camp du finaliste, l’URSS.\\n\\nLe racket étatique va cesser avec l’écroulement du bloc communiste. La chute du Mur de Berlin est provoquée le 9 novembre 89. À partir de l’été 91, la Slovénie, la Croatie, la Bosnie-Herzégovine et la Macédoine font sécession et laissent la Yougoslavie aux seules Serbie et Monténégro. Le 26 décembre de la même année, c’est autour de la monstrueuse URSS d’être dissoute et d’éclater en mille morceaux.\\n\\nLe 13 septembre 1991, USA Basketball a communiqué la liste des 10 joueurs qui participeront un an plus tard aux Jeux Olympiques de Barcelone. Michael Jordan, Magic Johnson, Larry Bird... L’entrée sur la scène internationale de la National Basketball Association se fait en grandes pompes. Les basketteurs et tous les sportifs du monde entier vont tomber follement amoureux de cette Dream Team. Une toute autre histoire commence.\\n\\n[armelse]\\n\\nAvoir été «\u2009professionnel\u2009» est une maladie honteuse. Lorsqu’il signe pour l’ASPO Tours, à la rentrée 69, DeWitt «\u2009Slem\u2009» Menyard se garde bien de préciser qu’il a été un membre éminent de l’ABA sous le maillot des Houston Mavericks (9,1 pts et 7,8 rbds et une sélection au All-Star Game avant d’être victime d’une terrible blessure au genou). On fera aussi toute une histoire lorsqu’on découvrira de ce côté-ci de l’Atlantique que Bob Riley, engagé par Caen, a passé 39 minutes sur les parquets de la NBA, sous le jersey des Atlanta Hawks. Dérisoire, mais symptomatique de deux basket claniques qui ignorent tout l’un de l’autre et donc se détestent sans raison.\\n\\nIl faut attendre 1970 pour qu’un Européen n’ayant jamais joué dans une université américaine soit drafté par la NBA, Dino Meneghin. Sauf que son positionnement – 12e choix du 11e tour par les Hawks – est une insulte pour le monument national italien. Meneghin ne rejoindra jamais la National Basketball Association et gagnera beaucoup d’argents à Varèse puis à Milan. S’il avait fait le grand saut, l’italien risquait l’excommunication et d’être banni à vie de la Squadra Azzuro.\\n\\nGeorgi Glouchkov, le premier\\n\\nEn 1984, les Etats-Unis sont redevenus champions olympiques avec brio à Los Angeles avec un roster toujours exclusivement composé d’universitaires.\\n\\nEn Europe, les salaires sont en croissance exponentielle et la FIBA a cessé d’être hypocrite. Le sigle – en français dans le texte – ne signifie plus Fédération Internationale de Basket Amateur, mais tout simplement Fédération Internationale de Basket\\n\\n1984. Le Bulgare Georgi Glouchkov, qui s’est distingué à l’Euro en Allemagne, sur le terrain par sa puissance au rebond et, en dehors, par ses fringues étriquées, est drafté (148e choix) et signé par les Phoenix Suns. Son rendement est anodin (4,9 pts et 3,3 rbds) et amoindri, semble-t-il, par un surplus de poids. Glouchkov réintégrera la FIBA et gagnera une Coupe des Coupes en 1989 avec Caserte.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Les 12 pour France-Espagne ce soir à 21h sur Tve"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Face à l’Espagne ce soir à 21h, au tournoi de Valence, Valérie Garnier va aligner Olivia Epoupa, Alix Duchet, Romane Bernies, Lisa Berkani, Marine Johannes, Sarah Michel, Valériane Ayayi, Laetitia Kamba, Sandrine Gruda, Endy Miyem, Alexia Chartereau et Marième Badiane. Helena Ciak et Diandra Tchatchouang sont au repos.\\n\\nLe match est diffusé sur Tve. Voici ici.\\n\\nPhoto: Endy Miyem (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"A partir de lundi, la présentation de la Jeep Elite sur BasketEurope"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2018/19 de Jeep Elite débute les 22 et 23 septembre et nous sommes fiers de vous proposer pour la troisième année (déjà!) une présentation complète sur BasketEurope avec une analyse de chaque équipe, des commentaires sur chaque joueur et coach, des photos et des vidéos.\\n\\nCe dossier de présentation va être publié à partir de lundi et jusqu’au jeudi 20 avec chaque jour une équipe par ordre alphabétique. Il est réservé à nos abonnés Premium (abonnement à partir de 4.99€/mois annulable à tout moment). Vous pouvez également dès aujourd’hui commander le Magazine « Guide de la saison » sur notre boutique à 6€ frais de port inclus.\\n\\nNous vous proposerons ensuite la Pro B et la Ligue Féminine.\\n\\nBonne lecture !\\n\\nPhoto: Axel Bouteille (Limoges, Eurocupbasketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie: Un accroissement du nombre de joueurs extra-communautaires"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les 16 clubs de Serie A ont sous contrat 92 joueurs Non Formés Localement. Les nouvelles règles en vigueur ont amené un accroissement d’extra-communautaires passés de 53 à 69 alors que parallèlement le nombre d’Européens/Cotonou a diminué spectaculairement de 51 à 23.\\n\\nL’équipe avec le plus petit nombre d’extra-communautaires est Trento (3) alors que Cantù a choisi 6 Américains pour les 6 créneaux étrangers disponibles. Le seul club qui débutera avec un nombre d’étrangers inférieur à celui autorisé par le règlement est Reggio Emilia.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nEXTRA EUROPE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nEUROPE/COTONOU\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nTOTAL\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAvellino\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n6\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nBologna\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n6\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nBrescia\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n–\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nBrindisi\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n6\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nCantù\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n6\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n–\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n6\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nCremona\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n–\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nMilano\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n8\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPesaro\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n4\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPistoia\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n4\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nReggio Emilia\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n4\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSassari\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n6\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nTorino\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n6\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nTrento\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nTrieste\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n6\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nVarese\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n6\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nVenezia\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n4\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n7\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nTOTALE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n69\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n23\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n92\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: Nikola Radicevic (Trento)"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ADA Blois toujours en attente de la décision du Tribunal Administratif"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Tribunal Administratif de Paris a auditionné mercredi l’ADA Blois et la FFBB et devait annoncer hier sa décision quant au différent qui oppose les deux parties à propos de l’accession du club à la Jeep Elite suite au défaut d’agrément du centre de formation du club dans les délais. Seulement, l’ADA n’avait hier soir reçu aucune réponse.\\n\\n« Je viens de recevoir un appel téléphonique de notre avocat Me Thierry Braillard qui m’informe n’avoir aucune information et qui en a déduit que la réponse ne tomberait peut-être pas avant lundi matin », a déclaré le président de l’ADA Blois, Paul Seignolle, hier soir à La Nouvelle République."
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: France-Espagne ce soir à Valence"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est l’Espagne que l’équipe de France va affronter ce soir à 21h en finale du tournoi de Valence.\\n\\nLes Espagnoles ont vaincu hier soir la Belgique, 58-46. C’est grâce à un 14-0 -les Belges sont restées plus de sept minutes sans marquer- que les filles de Lucas Mondelo ont pu faire la différence. Le temps de jeu a été très équitablement réparti entre les 12 joueuses et c’est Belen Arrojo qui a été la meilleure marqueuse espagnole avec 14 points.\\n\\nVoir les statistiques ici.\\n\\nPhoto: Maria Conde (Feb)\\n\\nhttps://www.facebook.com/BaloncestoFEB/videos/1802913859745886/"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: L’UJAP Quimper a réaménagé sa salle Michel-Gloaguen"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’UJAP Quimper espère pouvoir disposer à terme d’une salle multifonctions de 4-5 000 places. En attendant le club du Finistère réaménage sa salle Michel-Gloaguen pour un investissement de 200 000 euros.\\n\\nUne rangée de 27 fauteuils de cinéma a été installée sur le bord du terrain et tous ont été commercialisés. Douze loges ont été installées du côté de la buvette qui a été transférée à l’extérieur, sur le parking. Les abonnés (le club en veut 300) auront leur propre tribune tout comme les VIP.\\n\\n« En aménageant la buvette sur le parking, nous voulons créer un esprit guinguette pour que les spectateurs viennent un peu plus tôt. Nous avons aussi repensé notre offre de restauration », indique le general manager Hamid Mesbah à Actu.fr."
}, 
{"role": "user",     "content":"Nanterre: Une préparation perturbée par la fenêtre internationale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le trophée du Golfe à Vannes regroupe Cholet, Gravelines, Le Mans et Nanterre. Pascal Donnadieu, par ailleurs adjoint de Vincent Collet avec les Bleus, est à la tête des troupes nantériennes lui aux origines bretonnes affirmées.\\n\\n« Le stage de l’équipe de France à Pau ayant été annulé, je serai à Vannes les deux jours. On est un peu chez nous dans le Morbihan. Dans beaucoup de salles en France on est le chouchou depuis notre titre. Indépendamment de mes attaches affectives locales, nous venons ici parce que l’organisation et l’opposition sont de qualité, » a t-il confié à Ouest France.\\n\\nPascal Donnadieu se rendra ensuite à Paris où l’attend le tournoi de Coubertin avant d’enchaîner avec deux matches de qualification pour la coupe du monde face à la Bulgarie et la Finlande. Outre le coach, Lahaou Konate avec les Bleus et le Lituanien Adas Juskevicius feront défaut au club des Hauts-de-Seine dans les prochains jours.\\n\\n« C’est notre dernier rassemblement collectif au complet avant les matchs internationaux. On va donc travailler avec application nos phases de jeu et nos automatismes, plus que notre physique. Le club me fait une fleur en m’autorisant le cumul avec le poste d’adjoint des Bleus. En contrepartie, j’ai demandé un assistant supplémentaire. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg: Youssoupha Fall dominant face à Bourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors de son deuxième match du Ain Star Game, la SIG Strasbourg s’est imposée 74-69 à la JL Bourg et Youssoupha Fall (2,21m, 23 ans) a fait des siennes.\\n\\nLe géant franco-sénégalais a apporté 20 points à 9/13 aux tirs, 13 rebonds, 2 passes et 1 interception, ce qui lui a permis d’atteindre les 27 d’évaluation en 27 minutes. Et pourtant il avait face à lui la doublette réputée, Zachary Peacock, MVP de la Jeep Elite 2018, et Youssou Ndoye. Par comparaison, la deuxième évaluation de l’équipe alsacienne (10) a été l’oeuvre de Nicolas Lang grâce à ses 13 points.\\n\\nPhoto: MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"«Big Baby» Davis à l’étranger la saison prochaine ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Actuellement pensionnaire de la Big 3 d’Ice Cube, Glen Davis (2,06m, 32 ans) aurait annoncé à Sportando qu’il serait ouvert à jouer à l’étranger (Chine, Europe?) la saison prochaine.\\n\\nEloigné des parquets NBA depuis sa dernière pige chez les Clippers en 2014-15, « Big Baby » a certes remporté le tournoi de la Big 3 la semaine passée. Mais ses nombreuses apparitions dans les colonnes faits divers tendent à prouver que Davis a un peu trop de temps libre aux Etats-Unis.\\n\\nAvec son physique de panzer, Davis pourrait faire des dégâts dans n’importe quel championnat professionnel. Reste à savoir si ses problèmes extra-sportifs ne lui mettront pas de bâtons dans les roues..."
}, 
{"role": "user",     "content":"Préparation Mondial féminin: La France s’impose à la Lettonie dans le dernier quart-temps, 82-66"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour son troisième match de préparation à la coupe du monde 2018, lors du tournoi de Valence, l’équipe de France s’est imposée à la Lettonie, 82-66, après avoir souffert pendant trois quart-temps.\\n\\nLes Bleues ont tout de suite pris les affaires en mains (14-6) et menaient 45-36 à la mi-temps. Grâce notamment à leurs trois-points, les Lettones demeuraient menaçantes au point de passer en tête à la 25e minute à 51-48. La France avait toutefois repris le leadership après trois périodes (56-54)\\n\\nC’est sur une série de Sandrine Gruda (16 points et 11 rebonds) que la France se détacha dans le dernier quart-temps (67-60) alors que la meneuse Alix Duchet, 20 ans, faisait preuve de clairvoyance et d’audace. De quoi faire pencher la décision en sa faveur pour être intronisée dans les 12 pour la coupe du monde? Les Bleues lâchaient enfin les chevaux avec une Marine Johannès (16 points) magistrale.\\n\\nLa France affrontera demain le vainqueur d’Espagne-Belgique.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Sandrine Gruda (FFBB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Peter John Ramos pense à une reconversion dans le catch"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A 33 ans, et après une carrière de globe-trotter des parquets, Peter John Ramos (2m22) songe sérieusement à raccrocher les baskets. L’ancien international portoricain avoue effectivement qu’il est en contact avec la WWE depuis un certain temps déjà. Et il semble prêt à céder à leurs avances...\\n\\n« Tout le monde sait que je parle avec la WWE tous les jours », confirme Ramos à El Nuevo Dia. « Ils veulent que je vienne à Orlando pour m’y entraîner. Si tout se passe bien, je pense que je vais laisser le basket un peu l’année prochaine... »\\n\\nDu haut de ses 2m22 et 134kg, Ramos est un candidat idéal pour monter sur les rings et faire le show pour les fans de catch. Surtout que la WWE est en quête de grands gabarits en ce moment !\\n\\n« Je ne sais pas encore combien de temps je vais continuer à jouer. J’aime le basket et j’aime faire le spectacle pour les fans, mais ma passion est le catch. C’est quelque chose que je dois faire dans ma carrière. Je n’ai pas envie de raccrocher le basket mais je pense à faire une pause. Mon beau-frère fait du catch, ma soeur est arbitre. J’ai commencé à m’entraîner. Je ne sais pas, je continue à y penser et on verra. »\\n\\nAyant tenu tête à Yao Ming avec la sélection portoricaine, lui assénant notamment un gentil coup de boule, PJ Ramos a de solides arguments pour percer dans le catch. Selon ses dires, ses grands débuts pourraient intervenir dans un an ou moins...\\n\\nAprès une carrière de basketteur qui l’a mené de la NBA (pour quelques minutes avec les Wizards) à la Chine, en passant par les Philippines, la Corée du Sud, Taïwan, l’Espagne ou Porto Rico la saison passée, PJ Ramos peut envisager sereinement sa reconversion !"
}, 
{"role": "user",     "content":"Romain Duport et 11 autres joueurs sans club en stage à la Hoops Factory"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Syndicat des Basketteurs (SNB) communique via son site une liste de douze joueurs qui, à partir de dimanche et pour une semaine seront en stage à la Hoops Factory d’Aubervilliers avec au programme entraînements et préparation physique afin de leur permettre de retrouver un club.\\n\\nKarim Souchu et Stéphane Dumas seront les deux entraineurs du Camp SNB et encadreront les joueurs durant le stage alors que la préparation physique sera sous la responsabilité de Achille Folly-Adjon.\\n\\nLe cas le plus étonnant de ces joueurs sans emploi est Romain Duport, 32 ans, qui pourtant mesure 2,15m, et sort d’une bonne saison avec Châlons-Reims en Jeep Elite à 8,7 points et 4,1 rebonds en 19′ de moyenne.\\n\\nPhoto: CCRB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Quand les Françaises et les Espagnoles se rencontrent... Elles s’embrassent!"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les équipes de France et d’Espagne sont actuellement à Valence pour y disputer un tournoi. Les joueuses des deux pays se sont retrouvées sur le parquet à la fin d’un entraînement. On connaît la rivalité franco-espagnole. Qu’est-il arrivé? Des embrassades! Que Cristina Ouvina et Laia Palau aient été Berruyères la saison dernière explique évidemment cette complicité. Ceci dit, Nicolas Batum et Rudy Fernandez furent équipiers à Portland et cela n’empêcha pas quelques échauffourées entre les deux sélections. Les femmes sont plus paisibles.\\n\\n\\n\\n\\n📹 Más allá de ser rivales en la cancha, el deporte es RESPETO y COMPAÑERISMO 😍\\n\\n\\nAsí se han encontrado la #SelFEM 🇪🇸 y la Selección 🇫🇷 en el último entrenamiento antes de que empiece el Torneo de Valencia.\\n\\n\\nEste es el espíritu de la #FIBAWWC @FIBA !!️#SomosEquipo pic.twitter.com/pBDaTJCe2F\\n\\n\\n— Baloncesto España (@BaloncestoESP) August 31, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Portel: Jean-Victor Traore absent trois semaines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En raison d’une entorse à la cheville, Jean-Victor Traore (2,04m, 33 ans) sera absent des parquets pendant trois semaines, indique la Voix du Nord.\\n\\nLe coach Eric Girard précise dans le quotidien n’avoir eu qu’un seul entraînement au complet sur 27 et qu’il pourrait faire venir un joueur français sans club afin d’avoir un effectif un peu plus consistant pour les séances à venir.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: France-Lettonie à suivre ce soir à 18h30 en préparation de la coupe du monde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Bleues vont affronter ce soir la Lettonie en ouverture du tournoi de Valence en Espagne. Valérie Garnier a retenu Olivia Epoupa, Alix Duchet, Romane Bernies, Lisa Berkani, Marine Johannès, Sarah Michel, Valériane Ayayi, Laetitia Kamba, Marième Badiane, Sandrine Gruda, Alexia Chartereau et Endy Miyem.\\n\\nHelena Ciak et Diandra Tchatchouang resteront donc en civil.\\n\\nLe match est à suivre sur canalfeb.tv.\\n\\nPhoto: Olivier Epoupa (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"[REDIFF] Papa de basketteur – Marc Westermann :  « Entre 6 et 10 ans, Léo avait déjà des réflexions d’un niveau assez élevé »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BasketEurope vous propose cet été de lire ou de relire les meilleurs articles PREMIUM de la saison 2017-18.\\n\\nComme Marc Westermann a suivi son basketteur de père à chacun de ses exploits, le petit Léo a emprunté le même chemin que papa, auteur d’une carrière de joueur bien remplie terminée à la SIG en 1991, avant d’embrasser une autre passion, celle d’entraîneur qu’il occupe encore aujourd’hui au CJS Geispolsheim (deuxième ex-æquo de la poule B de Nationale 1 féminine).\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComme son père, Léo évolue au poste de meneur-arrière. Mais si Marc Westermann a brillé à l’échelon régional puis national, la relève a brillamment surpassé le parcours du paternel, Léo étant aujourd’hui aux commandes du CSKA Moscou aux côtés de Nando De Colo à seulement 25 ans. Une trajectoire ascendante sur laquelle BasketEurope a naturellement choisi de se pencher avec Marc Westermann dans le cadre de la série d’entretiens consacrés aux «papas de basketteurs . »\\n\\nMarc Westermann, Pouvez-vous rappeler dans quel contexte est né votre fils Léo ?\\n\\nJ’étais encore joueur à la Sig. Je terminais ma carrière de joueur, et je débutais une autre carrière, celle d’entraîneur à Gries Oberhoffen. J’ai arrêté de jouer pour la Sig en 91 et je préparais la transition pour 92. C’est à ce moment que Léo est né (24 juillet 1992). Je garde de très beaux souvenirs de ces moments. J’ai passé 7 ans à la Sig, on avait réussi quelques beaux accomplissements après avoir notamment stabilisé le club en Pro B avant que celui-ci ne se donne de plus amples ambitions. C’était donc une super expérience en tant que joueur, et ça m’a beaucoup aidé à préparer la suite, à savoir devenir entraîneur.\\n\\nA quel moment avez-vous commencé à jouer au basket avec lui ?\\n\\nTrès tôt ! Déjà dans la cour de notre habitation, on avait un panier. Léo avait une grande sœur, Emy, de trois ans et demi de plus que lui, qui touchaient déjà au basket, et avec un papa basketteur, tout cela a fait que dans la cour, entre midi et deux et après les cours à 16h, c’était basket tout le temps. Il y avait aussi un voisin, Antoine, qui nous rejoignait souvent. Ce qui fait qu’il avait tout le temps le ballon en main et que dans la cour, ça n’arrêtait pas de jouer. Forcément, je participais un peu.\\n\\nVenait-il souvent aux entraînements avec vous ?\\n\\nTout le temps. Quand j’allais m’entraîner ou disputer un match, il était tout le temps présent. Au-delà des temps morts ou de la pause de la mi-temps où il jouait comme tous les enfants, le reste du temps, il était déjà vraiment attentif au jeu. Il me posait des questions, déjà précise, du genre « Papa, pourquoi tu as fait tel geste ? » et il était très intéressé par le jeu et la lecture de jeu. Il m’étonnait même parfois car entre 6 et 10 ans, il avait déjà des questionnements et des réflexions d’un niveau assez élevé sur le jeu.\\n\\nQuel impact a pu avoir votre parcours sur sa progression et sa carrière ?\\n\\nIl y a plusieurs parallèles. Comme lui, j’ai passé énormément de temps sur des terrains extérieurs. A mon époque, il n’y avait pas trop de salles et leurs accès étaient assez restreints. Moi aussi quand j’étais petit, j’ai suivi mon père et lui m’a suivi partout. Enfin, là où on se retrouve aussi, c’est que j’étais meneur-deuxième arrière, et lui également. On a beaucoup échangé et travaillé là-dessus, ce qui lui a servi pour la suite même si sur le terrain il était seul et que c’était à lui de prendre les décisions. Il y a pas mal de ressemblances sur notre parcours, mais aussi dans le style de jeu. Comme moi, il ne lâche pas, c’est un gros travailleur, qui sait faire des sacrifices même si les problématiques sont différentes. A mon époque, je travaillais à côté de mon activité de basketteur. Mais dans le travail qu’il a accompli d’un point de vue global, il y a beaucoup de ressemblance.\\n\\nA partir de quel âge avez-vous pensé que votre fils pourrait faire une carrière pro ?\\n\\nÇa s’est fait naturellement, nous n’avons jamais raisonné comme ça. Léo a commencé très tôt. A 5 ans, il était déjà à l’école de basket. Il jouait toujours dans des catégories supérieures, parfois jusqu’à deux-trois ans de différence. C’était déjà un premier indice. Forcément, il devait se forger un caractère, ça lui a fait du bien. Je ne l’ai jamais entraîné en jeune, c’était toujours des personnes issues des clubs par où il est passé petit. On travaillait pas mal à la maison, et aussi pendant les vacances. Mais il n’y a pas vraiment eu de déclic. Il a franchi les étapes naturellement.\\n\\nUne fois au Pole Espoir, c’est le Sluc Nancy qui a mis le grappin dessus lorsqu’il avait 13 ans, pour le faire venir au centre de formation avec un an d’avance. C’était le plus jeune stagiaire, un minime qui jouait avec les cadets France. A ce moment il a très vite franchi un cap.\\n\\nDans quelle mesure l’avez-vous aidé ensuite ?\\n\\nOn ne l’a ni bloqué ni forcé à prendre sa décision même si ce n’était pas facile pour sa maman notamment, de le voir quitter la maison à cet âge. Ce que je faisais en revanche, c’est que je dressais une aide à la décision. Avec les points positifs et négatifs pour chaque situation. On a fonctionné comme ça jusqu’à son passage à l’Asvel. Mais c’est lui a fait ses choix. Il devait être acteur de sa décision pour être motivé. La seule chose que nous avons demandé avec sa mère, c’est qu’il décroche le bac, qu’il a eu à l’Insep. On ne sait jamais à quoi tient la carrière d’un basketteur. C’était notre seule demande. Lorsqu’il est arrivé à Villeurbanne ensuite, avec l’Eurocup et le championnat, c’est devenu plus compliqué pour suivre les études. On aurait aimé qu’il valide quelques aptitudes en langues étrangères, mais ça ne s’est pas fait.\\n\\nQue faîtes-vous au quotidien ou pendant l’intersaison pour l’accompagner ?\\n\\nC’est un processus qui ne se termine jamais. Parfois, un regard suffit. En général, on ne se prend pas la tête par rapport au basket, mais voilà comment on fonctionne. Au cours de l’année on discute des choix, stratégiques, tactiques. Mais quand il vient à la maison pendant l’été par exemple, on travaille. On va à la salle, on fait du physique mais aussi un peu de ludique. Il y a un panel de joueurs qui l’accompagnent. Il apprécie beaucoup et est demandeur. Il prend le temps de voir les amis, la famille, mais on trouve toujours 2h-2h30 par jour pour bosser, réviser des choses, échanger. Il en a besoin et ça lui fait du bien. On n’échappe jamais à ce rituel dès qu’il rentre.\\n\\nEst-ce qu’il y a eu des événements avec une équipe ou un coach qui ont marqué sa jeune carrière ?\\n\\nNon, en tout cas pas dans les échanges que j’ai pu avoir avec lui. Léo est quelqu’un d’assez discret par rapport à ses relations avec ses coachs ou à leur fonctionnement. Il y avait parfois des choses qui le faisaient ruminer, surtout lorsqu’il ressentait quelque chose d’injuste. Léo n’aime pas les injustices, il est droit dans ses bottes, il aime quand c’est réglo. Il y a peut-être eu quelques événements mais qui ne l’ont pas vraiment impacté pour la suite. Je lui disais qu’il pourrait parfois tomber sur un coach exceptionnel qui allait énormément lui apporter, et d’autres fois où ça allait être plus difficile à vivre. Mais que dans les deux cas, il faudrait faire avec car cette situation pourrait se reproduire au cours d’une carrière. Tu trouveras forcément des coachs avec qui tu attends autre chose, une autre relation qui ne vient jamais, mais il ne faut pas se braquer pour autant, continuer à travailler pour aller de l’avant. Dans ces moments, on se focalisait sur son évolution, ce qu’il devait faire en plus pour continuer à progresser.\\n\\nQuel genre de papa étiez-vous au bord du terrain ?\\n\\nJe n’étais pas démonstratif, mais plutôt discret, dans la retenue. Et aujourd’hui je me retrouve à être plutôt craintif quand il joue, avec l’âge et entre ses deux opérations des ligaments croisés du genou, je préférerais qu’il reste en bonne santé. J’ai toujours un petit nœud quand il joue. C’est son métier, on est là pour l’épauler, mais ça fait toujours quelque chose. Pas au sujet de son évolution, plutôt des blessures.\\n\\nA partir de quand l’aura de votre fils a dépassé la vôtre ?\\n\\nPremièrement, c’est quelque chose qui ne m’a jamais dérangé, j’ai toujours voulu qu’il atteigne un niveau plus élevé que le mien. Quand on se chambre, il me dit que je lui mettais la pâtée jusqu’à ses 14 ans, mais qu’après il a pris le dessus. J’ai été joueur à une autre époque, où il fallait travailler à côté et je suis toujours entraîneur aujourd’hui. J’ai plutôt eu une aura régionale, on peut dire que Léo m’a largement détrôné et ça ne me gêne pas du tout, bien au contraire. Ce qui m’importait, comme tout parent, c’était qu’il réussisse et qu’il soit une bonne personne. Ceux qui connaissent Léo savent qu’il a gardé les pieds sur terre.\\n\\nEst-ce que vous pensiez que votre fils pouvait atteindre son niveau actuel ?\\n\\nJe dirais que Léo est un gros travailleur. Il se fixe énormément d’objectifs qu’il souhaite atteindre. Dans son profil et son parcours de carrière, pour l’instant, il a fait de bons choix. Il a peut-être eu un choix à faire par défaut lorsqu’il est revenu du Partizan après sa blessure en signant à Limoges pour deux ans. Ensuite, tout le monde est d’accord pour dire que son année à Kaunas a été exceptionnelle. Elle a été super importante car ça lui a permis de renouer avec l’Euroligue, avec le très haut-niveau européen avec un coach qui l’a beaucoup fait bosser. Aujourd’hui il est dans ce que je considère comme l’un des quatre plus gros clubs d’Europe. Il n’y a peut-être pas le même engouement qu’à Belgrade mais c’est un environnement très professionnel, ça travaille très dur. Et puis il a toujours cette envie de gagner des titres. Il en a gagné en France, en Serbie, en Lituanie, partout où il est passé. C’est ce qui restera à la fin de sa carrière. Le seul bémol, c’est peut-être l’équipe de France, où il n’arrive pas encore à s’imposer comme il le souhaiterait. Mais ce n’est que partie remise, il lui reste encore du temps pour évoluer en Bleu.\\n\\nQuelle est la teneur de vos discussions quand il s’agit de prendre des décisions sur des choix de carrière, Est ce qu’il vous consulte ?\\n\\nJe l’ai accompagné dans toutes ses décisions lorsqu’il s’agissait d’aller au Pole Espoir, au centre de formation de Nancy, à l’Insep et jusqu’à l’Asvel. A l’époque, j’étais le papa, le confident, mais aussi le référent par rapport aux clubs ou aux institutions du basket français. On a vu le choix du Partizan également ensemble, mais ensuite il a volé de ses propres ailes et c’est ce que je voulais. De toute façon, il a toujours assumé et la décision finale lui revenait toujours. Une fois, je n’ai pas été tout à fait d’accord avec son choix, mais il m’a dit : « Papa, je suis responsable, j’y crois, on y va ». Le fait d’être acteur et responsable de la décision le force à assumer. Quand tu te retrouves titulaire à 20 ans, forcément, ça responsabilise. Il faut être costaud pour arriver comme « l’étranger » dans un club serbe, lituanien... Tout ça fait que sa maturité a été précoce. Ce n’est pas toujours facile pour les parents, mais il faut l’intégrer aussi. On a toujours été là pour l’épauler, dans ses choix, dans les bons moments mais aussi les moments plus difficiles, ça fait partie du métier.\\n\\n[armelse]\\n\\nMarc Westermann, Pouvez-vous rappeler dans quel contexte est né votre fils Léo ?\\n\\nJ’étais encore joueur à la Sig. Je terminais ma carrière de joueur, et je débutais une autre carrière, celle d’entraîneur à Gries Oberhoffen. J’ai arrêté de jouer pour la Sig en 91 et je préparais la transition pour 92. C’est à ce moment que Léo est né (24 juillet 1992). Je garde de très beaux souvenirs de ces moments. J’ai passé 7 ans à la Sig, on avait réussi quelques beaux accomplissements après avoir notamment stabilisé le club en Pro B avant que celui-ci ne se donne de plus amples ambitions. C’était donc une super expérience en tant que joueur, et ça m’a beaucoup aidé à préparer la suite, à savoir devenir entraîneur.\\n\\nA quel moment avez-vous commencé à jouer au basket avec lui ?\\n\\nTrès tôt ! Déjà dans la cour de notre habitation, on avait un panier. Léo avait une grande sœur, Emy, de trois ans et demi de plus que lui, qui touchaient déjà au basket, et avec un papa basketteur, tout cela a fait que dans la cour, entre midi et deux et après les cours à 16h, c’était basket tout le temps. Il y avait aussi un voisin, Antoine, qui nous rejoignait souvent. Ce qui fait qu’il avait tout le temps le ballon en main et que dans la cour, ça n’arrêtait pas de jouer. Forcément, je participais un peu.\\n\\nVenait-il souvent aux entraînements avec vous ?\\n\\nTout le temps. Quand j’allais m’entraîner ou disputer un match, il était tout le temps présent. Au-delà des temps morts ou de la pause de la mi-temps où il jouait comme tous les enfants, le reste du temps, il était déjà vraiment attentif au jeu. Il me posait des questions, déjà précise, du genre « Papa, pourquoi tu as fait tel geste ? » et il était très intéressé par le jeu et la lecture de jeu. Il m’étonnait même parfois car entre 6 et 10 ans, il avait déjà des questionnements et des réflexions d’un niveau assez élevé sur le jeu.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : FIBA/Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le résumé de Cholet-Nantes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Proposé par Cholet Basket TV, le résumé du match de préparation qui a opposé l’équipe de Régis Boissié à son voisin, l’Hermine de Nantes."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Evreux embauche Fabien Paschal pour suppléer Kevin Dinal"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à la fracture au pied de Kévin Dinal survenue en début de semaine et qui va le maintenir hors des terrains pendant trois mois, l’ALM Evreux a fait appel à l’intérieur Fabien Paschal (2,08m, 27 ans).\\n\\nFabien Paschal a derrière lui une formation au Havre où il a effectué ses débuts professionnels, deux saisons à Gravelines entre 2014 et 2016 puis de la Pro B avec Charleville-Mézières et de nouveau Le Havre.\\n\\nLa saison dernière, il affichait 7,6 points (53.2%) et 3,5 rebonds pour 7,8 d’évaluation."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Elite & Pro B: A découvrir l’ensemble des résultats de présaison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Depuis quelques jours, le site de la Ligue Nationale de Basket a fait peau neuve. Il collationne notamment les résultats des matches de préparation des équipes de Jeep Elite et de Pro B que vous pouvez consulter ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: L’Elan Chalon en pré-saison, épisode 3"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Elan Chalon propose une web-série qui permet de suivre la préparation de l’équipe bourguignonne. Au menu de ce troisième épisode, le tournoi d’Aix-les-Bains.\\n\\nLes autres épisodes sont à découvrir ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Serbe Nemanja Dangubic se rapproche du Bayern Munich"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Blessé au genou en mars dernier, Nemanja Dangubic (2,04m, 25 ans) cherche encore un point de chute pour la saison prochaine. Et l’ancien de l’Etoile Rouge de Belgrade serait, selon Basketballsphere, en contacts avancés avec le Bayern Munich.\\n\\nAyant passé une bonne partie de l’intersaison à San Antonio (qui détient ses droits NBA) pour sa rééducation, Dangubic ne serait pas tellement déboussolé en Bavière puisqu’il y retrouverait son ancien coach, Dejan Radonjic. De même, une belle colonie serbe est déjà en place à Munich avec Milan Macvan, Stefan Jovic ou encore Vladimir Lucic.\\n\\nAilier explosif et athlétique, quand il est en pleine possession de ses moyens, Nemanja Dangubic a tourné à 7 points et 3 rebonds en 20 minutes de moyenne la saison passée en Euroleague.\\n\\nPhoto : ABA League\\n\\nUne sortie à 20 points face au Khimki Moscou\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=tLrQugAJOIY"
}, 
{"role": "user",     "content":"Journées européennes du patrimoine : L’espace muséal de la FFBB ouvre ses portes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le samedi 15 septembre, la FFBB en partenariat avec le Musée du Basket, accueillera le public de 10 Heures à 17 Heures dans son Espace muséal (117 Rue du Château-des-Rentiers – 75013 PARIS) qui expose des collections issues du Musée. Cette journée sera ponctuée par la conférence de Monsieur Michel MERCKEL, historien du sport : « Le sport, un héritage inattendu de la Grande Guerre ».\\n\\nOutre les pièces issues du Musée du Basket, les trophées, les médailles glanés par les équipes de France sont exposés. Le public pourra contempler ces objets et récompenses en visite libres ou commentées.\\n\\nDurant cette journée, animée par les membres de la Commission Patrimoines & Légendes de la FFBB et du Club des Internationaux de Basket, les visiteurs pourront échanger ainsi de manière conviviale avec d’anciennes joueuses et d’anciens joueurs des Equipes de France.\\n\\nLa journée sera marquée par la présentation par Michel Merckel de son ouvrage 14-18, le sport sort des tranchées : un héritage inattendu de la Grande Guerre (Toulouse, Le Pas d’Oiseau, 2017 [1e éd. 2012]), au cours d’une conférence sur ce même sujet qui se tiendra au siège de la FFBB de 11 Heures à 12 Heures 30.\\n\\nLes visiteurs pourront, s’ils le désirent, enrichir leur JEP sous le signe du sport par un « circuit basket » dans Paris (9ème,12ème,13ème) en se rendant sur deux autres sites emblématiques de l’histoire du basket-ball en France :\\n\\nL’Union Chrétienne des Jeunes Gens (UCJG ; 14 Rue de Trévise – 75009 PARIS anciennement YMCA) le gymnase qui est, à l’heure actuelle, la plus ancienne salle de basket-ball répertoriée dans le monde sera accessible au public.\\n\\nElle fait actuellement l’objet d’une campagne participative destinée à financer les travaux de restauration de ce monument inscrit à l’Inventaire des Monuments Historiques.\\n\\nhttps://www.gofundme.com/basketballparis\\n\\nL’Institut National du Sport de l’Expertise et de la Performance /INSEP ; 11 Avenue du Tremblay – 75012 PARIS) accueillera également le public au Centre Fédéral de Basket Ball (CFBB) : lieu de formation des jeunes joueuses et des jeunes joueurs au haut-niveau rêvant de suivre les traces de leurs aînés issus du CFBB.\\n\\nhttps://journeesdupatrimoine.culture.gouv.fr/Programme#/pinpoints/20900539\\n\\nPhoto: FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo: Magic Johnson supporteur de l’AS Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La légende Magic Johnson est un inconditionnel de la French Riviera, le nom donné par les Américains à la Côte d’Azur et il a profité de son dernier passage pour montrer son soutien à la Roca Team. Magic, qui est le président des Los Angeles Lakers, connaît la salle Gaston-Médecin pour s’y être entraîné avec la Dream Team en 1992 avant les JO de Barcelone et joué un match de préparation contre l’équipe de France.\\n\\n\\n\\n\\nLa légende @MagicJohnson de passage à Monaco en a profité pour encourager l'@ASMonaco_Basket ! #RocaTeam #Basket #NBA #MonacoMoments #MonacoInfo #JeepElite #Eurocup pic.twitter.com/7JaFUNTrpc\\n\\n\\n— Monaco Info (@monaco__info) August 30, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: L’Américaine Briana Day pour suppléer Elodie Bertal-Christmann à Nantes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Elodie Bertal-Christmann ne viendra finalement pas au Nantes Rezé Basket pour des « raisons personnelles » indique le club, si bien que celui-ci a fait appel à une pivot Américaine, Briana Day (1,95m, 23 ans).\\n\\nBriana Day, formée à Syracuse, évoluait la saison dernière en Belgique, à Namur et en 24 matches elle a tourné à 12,7 points, 9,3 rebonds, 1,0 passe et 1,5 interception, contribuant ainsi efficacement au parcours des Namuroises vainqueurs de la coupe de Belgique et demi-finalistes des playoffs. Day a aussi participé à 8 matches d’Eurocup pour 10,1 points et 8,3 rebonds."
}, 
{"role": "user",     "content":"Marquis Teague signe en Corée du Sud !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion NCAA avec Kentucky en 2012, avec 91 matchs NBA au compteur, Marquis Teague a décidé de signer en Corée du Sud selon Sportando. Un choix plutôt étonnant mais probablement bien compensé financièrement...\\n\\nLe frangin de l’ancien All Star, Jeff Teague, évoluait l’an passé en G-League avec le Memphis Hustle avant d’avoir le droit à 3 apparitions en NBA en fin de saison.\\n\\nAprès l’Israël et la Russie, Teague va donc connaître un nouveau pays et une nouvelle aventure avec le club de Jeonju KCC. Il devrait y faire de sacrés cartons !\\n\\nPhoto : G-League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nicolas Brussino à la relance avec Tenerife"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Signé le 26 juillet dernier par Tenerife, pour un contrat d’un an plus un autre en option, Nicolas Brussino (2m01, 25 ans) espère bien retrouver un peu de stabilité en Liga ACB. Après deux tentatives infructueuses chez les Mavericks et les Hawks, le jeune international argentin se pose en Europe pour se relancer.\\n\\n« J’ai de très bonnes sensations, très positives », a déclaré Brussino lors de sa récente conférence de presse. « J’arrive dans une équipe qui a beaucoup de talent. Bien que nous ne nous connaissons pas encore, on s’entend déjà très bien sur le terrain et c’est très important. (...) Cette année, je vais pouvoir commencer avec l’équipe dès le début et j’espère que je pourrai m’adapter bien mieux [que la saison passée]. »\\n\\nDébarqué à Gran Canaria en cours d’exercice la saison passée, Brussino n’a semble-t-il pas réussi à trouver la bonne formule. Avec 6 points, 2 rebonds en 16 minutes (sur 13 matchs) avec Gran Canaria, Brussino espère bien faire mieux cette saison.\\n\\n« Je suis un joueur qui se définit par son tir extérieur, par son envie de jouer en équipe, les passes, les rebonds... J’essaie toujours de faire un peut de tout, et surtout, ce que l’entraîneur me demande de faire. Txus [Vidoretta] m’a demandé d’être agressif vers le cercle. Je dois profiter de chaque situation de jeu. Je dois tirer quand je suis ouvert et jouer en équipe quand c’est bloqué. Comme tout le monde ici, je suis ici pour aider l’équipe à gagner. »\\n\\n\\n« On doit bien commencer la saison »\\n\\nRecruté pour être une des menaces offensives majeures de son équipe (en remplacement de Mateusz Ponitka notamment), Brussino arrive à ce moment de sa carrière où son potentiel ne peut plus cacher des prestations décevantes...\\n\\n« Mon objectif cette saison est de continuer à m’améliorer en tant que joueur, ce qui est fondamental, et puis au niveau collectif, de bien commencer la saison, que ce soit en ACB et en FIBA Champions League. On va prendre les matchs les uns après les autres. On sait que si on commence bien la saison, ensuite, tout sera plus facile et on pourra voir haut. »\\n\\nDans une équipe qui a accroché les playoffs in extremis la saison dernière, Nicolas Brussino aura un rôle majeur et les responsabilités offensives pour briller individuellement. On verra si Tenerife sera le club où le condor argentin prend véritablement son envol...\\n\\nPhoto : EuroCup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Gabriel Deck passe du champion d’Amérique au champion d’Europe avec bonheur et humilité"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"MVP de la grande finale de la FIBA Americas League qui se tenait en mars dernier, Gabriel Deck (1m98, 23 ans) a, de son propre aveu, passé un énorme cap dans sa carrière cet été en signant au Real Madrid.\\n\\nLe jeune ailier argentin a effectivement tout remporté dans son pays, et même plus loin sur le continent, avec son club de San Lorenzo. MVP de la ligue argentine et de la finale du championnat (qu’il a remporté trois fois), Deck est donc prêt pour un nouveau défi avec le Real Madrid.\\n\\nDe plus, son adaptation dans la capitale madrilène est facilitée par la présence de son compatriote, Faccundo Campazzo.\\n\\n« C’est un rêve de pouvoir être avec un autre joueur argentin dans ce club, qui est un des meilleurs du monde. Il faut le savourer et en profiter au maximum. »\\n\\n\\n« On est tous prêts à affronter de grands défis »\\n\\nSous-dimensionné pour le poste 4, Deck compense (à la Scola) par des fondamentaux impeccables et des mains sûres près du cercle. Au Real, il sait bien que son rôle sera moindre que dans son précédent club, mais Deck est prêt à faire des concessions pour s’intégrer aux champions d’Europe.\\n\\n« Personnellement, je vais essayer d’apporter le maximum à l’équipe. S’il faut que j’applaudisse depuis le banc, je le ferai. Je ferai ce que l’entraîneur me demande et ce qui sera le mieux pour mes coéquipiers. »\\n\\nAncien MVP du camp Basketball Without Borders en 2011, Gabriel Deck est sur les radars des scouts depuis longtemps. Avec Madrid, il aura de nouveau l’occasion de montrer son talent au monde entier.\\n\\n« Pendant ces premiers jours, l’accent est mis sur la préparation physique, pour retrouver le jeu et le rythme du jeu. Le groupe intègre bien les nouveaux joueurs afin qu’ils s’habituent au système en place et on va continuer à travailler comme ça les semaines à venir. On m’a prévenu que la saison serait assez difficile et agitée, mais je crois qu’on est tous prêts à affronter de grands défis. »\\n\\nAu sein du champion d’Europe et d’Espagne en titre, Gabriel Deck sera confronté à un rythme bien plus soutenu, et une opposition bien supérieure à celle qu’il a connue jusqu’alors. Mais l’international albiceleste a bien l’intention d’enrichir son armoire à trophées avec la maison royale...\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Un nouveau président à Nantes-Rezé"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Déferlantes de Nantes-Rezé ont un nouveau président. Après deux saisons passées à la tête du club, Franck Valenteyn quitte ses fonctions et sera remplacé à partir du 1er octobre par Jean-Pierre Ciglia.Agé de 58 ans, Jean-Pierre Cigilia a été notamment le fondateur du Colmar Basket Centre-Alsace puis du club féminin de Salis du Salat en Haute-Garonne."
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ailier américain Julian Wright signe à Levallois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Levallois Métropolitans annoncent la signature de l’ailier américain Julian Wright (2,03m, 21 ans).\\n\\nL’ancien joueur de Kansas possède un beau CV puisqu’il a été drafté en 13e position par les New Orleans Hornets en 2007, il a à la fois joué en NBA dans un rôle mineur (231 matches à 3,9 points et 2,3 rebonds), fut champion en D-League, a porté quelques semaines le maillot du Panathinaikos en 2014, se hissa comme top-rebondeur du championnat israélien en 2015 et fut all-Eurocup second team en 2016.\\n\\nLa saison dernière, Julian Wright évoluait en Italie à Reggio Emilia où il a tourné à 13,5 points (53,9%) et 6,5 rebonds pour la meilleure évaluation de l’équipe (15,7)."
}, 
{"role": "user",     "content":"[REDIFF] Interview : «Que deviens-tu Marc Salyers?»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BasketEurope vous propose cet été de lire ou de relire les meilleurs articles PREMIUM de la saison 2017-18.\\n\\nAncien joueur du Mans, du Havre, de Pau ou encore d’Orchies mais surtout de Roanne, Marc Salyers (2,05m, 38 ans) a marqué les esprits en France. Meilleur marqueur de l’Euroleague en 2007, le double champion de France est aujourd’hui à la retraite et nous sommes allés prendre de ses nouvelles.\\n\\nQue faites vous maintenant que vous êtes à la retraite, comment vous occupez-vous?\\n\\nJe travaille en tant que conseiller financier et dans la gestion de patrimoine pour des particuliers dotés de fonds propres nets élevés.\\n\\nEn 2015, vous étiez sur le point de devenir coach, votre but est-il d’être entraîneur professionnel?\\n\\nJe voulais coacher, mais le niveau de la NCAA n’était pas celui dans lequel je prenais du plaisir. J’aurais souhaité avoir la possibilité d’entraîner en Europe mais avec les diplômes ça aurait été une longue procédure et je n’ai juste pas trouvé l’opportunité. [arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuel est le meilleur coach que vous avez côtoyé ?\\n\\nC’est une question difficile. Aydın Örs au Fenerbahce est une légende et en sait plus sur ce sport que toutes les personnes que j’ai pu rencontrer. Mais mon coach préféré est Jean-Denys Choulet.\\n\\nQu’avez-vous appris de vos expériences en France ?\\n\\nL’appréciation de la culture et de l’histoire de ce pays. C’est un magnifique endroit pour vivre.\\n\\nVous avez joué pour 6 clubs différents en France, quel est votre préféré ?\\n\\nL’Elan Béarnais est sans aucun doute le meilleur club, la meilleure organisation avec les meilleures structures etc, mais évidemment mon club préféré reste Roanne. C’est un endroit que j’appelle « la maison » quand je pense à la France.\\n\\nAvec Roanne, vous avez remporté le titre national et avez été élu MVP, et avez rempoté la Semaine des As dont vous avez aussi été le MVP, parlez nous de votre expérience dans cette ville.\\n\\nC’était le meilleur moment de ma carrière. J’ai apprécié chaque minute de cette période. En grande partie grâce aux fans et la ville. C’était juste un moment spécial de ma vie.\\n\\nQu’est-ce qui a rendu cette équipe si spéciale?\\n\\nTout a commencé avec coach Jean-Denys Choulet. Il a été l’architecte. Nous avions l’équipe parfaite pour son système et son style de jeu. Le top 3 des meilleurs scoreurs de la ligue dans la même équipe, ça n’arrivera plus jamais. Ce record ne sera jamais battu. C’est une chose incroyable. Je dédie tout ça à Jean-Denys Choulet.\\n\\nJean-Denys Choulet vient justement de gagner le championnat dix ans après le titre de Roanne, qu’en pensez-vous ?\\n\\nJe pense que c’est complètement mérité pour Coach. Il a construit une belle culture depuis qu’il est arrivé à Chalon. Je pense également que ce qu’il a dit sur Pape Badiane prouve à quel point c’est un bon gars.\\n\\nVous avez aussi terminé la saison 2007/08 meilleur marqueur de l’Euroleague, que pensez-vous du conflit entre la FIBA et l’Euroleague?\\n\\nJe pense que c’est ridicule et que la FIBA est un tyran. J’espère que tout ça va être résolu rapidement. L’Euroleague c’est bien, elle devient comme la Champions League du foot et la FIBA essaye de la stopper pour avoir plus de pouvoir. Les joueurs et les fans sont ceux qui vont être les victimes de cette guerre.\\n\\nQuel est votre trophée préféré?\\n\\nLe titre de 2004 avec Pau était le plus spécial parce que c’était mon premier et Pau est un club emblématique.\\n\\nVous avez joué dans plusieurs pays, quelle ligue a le meilleur niveau?\\n\\nLes choses changent. Aujourd’hui je pense que c’est en Turquie où se joue le meilleur basket mais l’ACB fait toujours partie des leaders.\\n\\nSuivez-vous toujours la Pro A?\\n\\nOui, beaucoup. Avec les réseaux sociaux c’est facile de suivre la ligue. Je pense que le basket français a beaucoup progressé. Il y a beaucoup de Français qui sont mentionnés quand vous parlez des meilleurs joueurs d’Europe.[armelse][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Un séminaire réunit Adam Silver et Patrick Baumann, patrons de la NBA et de la FIBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Adam Silver, commissaire de la NBA, Craig Zanon, directeur mondial de la division basketball chez Nike, Caitlyn Chen, vice-présidente du géant chinois des médias Tencent, et Patrick Baumann, secrétaire gérénal de la FIBA et membre du CIO, font partie de la liste des intervenants présentée hier pour animer le tout premier et innovant ‘Summit’, qui aura lieu à Xi’an, en Chine, les 3 et 4 octobre prochains.\\n\\nLe ‘FIBA World Basketball Summit’ se définit par l’expérience, l’autorité et l’influence de ses intervenants, chacun ayant apporté une contribution significative au développement du sport à l’échelle mondiale.\\n\\nCe ‘Summit’ se focalisera sur les opportunités clés et les problèmes auxquels doit faire face le sport. Plusieurs thèmes majeurs seront abordés, en se concentrant sur l’identification des opportunités et sur les stratégies d’amélioration et de développement.\\n\\nChaque présentation formulée par l’un des intervenants, experts dans le domaine en question, sera suivie d’une discussion pour refléter les expériences et les intérêts des divers groupes de parties prenantes concernées.\\n\\nEn plus des représentants des fédérations nationales qui constituent la FIBA, il y aura parmi les participants des ligues, des clubs, des organisations de joueurs, des entités éducatives, des sociétés actives dans les médias et la technologie, ainsi que des marques dont la force a bâti des relations solides et profitables dans le monde du sport pour toutes les parties engagées.\\n\\n« Le ‘FIBA World Basketball Summit’ est un événement innovant pour notre sport et je suis ravi de constater la qualité des intervenants qui ont accepté notre invitation et qui viendront partager leurs expériences et leurs connaissances. En rassemblant tous les acteurs principaux durant deux jours de discussions introspectives et de débats sur des thèmes clés, nous espérons donner à tout le monde les outils nécessaires pour bâtir, tous ensemble, le futur du basketball, » a commenté Patrick Baumann.\\n\\nPour plus d’informations sur le programme, les orateurs et la ville hôte, veuillez vous rendre sur worldsummit.basketball."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les highlights de Le Mans-Rouen en pré-saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Proposé par le Rouen Métropole Basket, des images du match de pré-saison qui a opposé les Normands au Mans."
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Le retour d’Ingrid Tanqueray (ASVEL) après huit mois d’arrêt"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ingrid Tanqueray (1,65m, 30 ans) est de retour ! La meneuse internationale de l’ASVEL avait été victime d’une rupture du ligament croisé antérieur du genou droit en décembre dernier et ainsi maintenu hors terrain depuis.\\n\\nLa Caennaise d’origine a été championne de France en 2014 avec Lattes-Montpellier avec son coach actuel à l’ASVEL, Valéry Demory, et vainqueur de l’Eurocup en 2016.\\n\\n\\n\\n\\nO F F I C I A L L Y B A C K 🙏🏽💪🏽 #Reprise #TeamASVEL 🏀🎀 (📷 C. Porcher) pic.twitter.com/jehbcTQeor\\n\\n\\n— Tanqueray Ingrid (@TanquerayIngrid) August 29, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vitoria : petit contretemps pour Patricio Garino en présaison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En pleine préparation d’avant-saison, et notamment avant d’affronter l’Angola pour leur premier match de préparation, Vitoria devra faire sans son ailier Patricio Garino (2,01m, 25 ans). L’international argentin souffre effectivement d’une lésion musculaire à la jambe gauche.\\n\\nLe club basque a néanmoins fait savoir que l’évolution de cette blessure restait au « jour le jour » pour le moment. Rien de grave donc, d’autant que le staff médical de Vitoria est aux petits soins pour Garino !\\n\\nFormé dans l’usine à champions de Montverde en Floride, Garino a passé quatre ans en NCAA, avec George Washington. Mais non-drafté et non conservé par le Magic, après une saison en G-League avec les Austin Spurs, Garino a atterri à Vitoria la saison passée.\\n\\nIl a tourné à 4 points et 2 rebonds de moyenne en Euroleague et en Liga ACB pour ses débuts en Europe. Vitoria en attendra davantage à son retour à l’action cette saison...\\n\\nPhoto : Euroleague\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=ynIAlEp_RWQ"
}, 
{"role": "user",     "content":"Olivier Lafargue (coach de Bourges, adjoint en EdF): «Quand Cristina Ouvina est arrivée à Bourges avec un sac de l’équipe d’Espagne, on lui a expliqué que ça, c’était pas possible!»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Olivier Lafargue, 42 ans, est à la fois le coach de Bourges et assistant de Valérie Garnier en équipe de France. Lors des compétitions internationales le Landais retrouve en face des joueuses qu’il coache en club, les Canadiennes Katherine Plouffe et Nayo Raincock-Ekunwe et les Espagnoles Laia Palau et Cristina Ouvina.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nEst-ce un privilège de pouvoir entraîner ses joueuses de club pendant l’été quand on est assistant coach en équipe nationale ?\\n\\nPrivilège, oui parce que je peux voir ce qu’elles font, de pouvoir être avec elles pour savoir dans quel état de forme elles sont.\\n\\nAvant de revenir en équipe de France, les joueuses continuent-elles de s’entretenir ?\\n\\nÇa dépend des étés. Là, on avait deux mois entre la fin de la saison et l’enchaînement avec l’équipe de France. Ce qui est prévu en général dans ces périodes-là, c’est qu’il y ait une coupure dans un premier temps ne serait-ce que pour récupérer surtout mentalement et aussi physiquement et ensuite de se remettre en route pour arriver prêts pour l’équipe de France. L’année prochaine, quand on va finir la saison et que cinq ou semaines après ce sera le championnat d’Europe, les filles n’auront pas le temps de couper.\\n\\nCertaines ont-elles aujourd’hui des coaches personnels ?\\n\\nBien sûr. Je ne sais pas si c’est une majorité, je n’en suis pas certain, il faudrait faire une étude avec toutes les filles. Ce sont souvent des préparateurs physiques, des coaches basket entre guillemets, je ne pense pas tant que ça.\\n\\nLe stage dans l’Arrière a permis de faire du VTT, du rafting, des activités hors basket. C’était quelque chose qui était cher à Claude Bergeaud quand il était le coach de l’équipe de France masculine. Comment cela a-t-il été perçu par les filles ?\\n\\nJe pense que c’est la première fois que ça a été fait. J’ai l’impression que les filles ont apprécié. C’est bien de prendre du temps pour construire un groupe, passer du temps ensemble, faire des choses qui sont dures. Tout ce qui a été proposé par Sabine (NDLR : Juras, la préparatrice physique) et par Reper 6 à Saint-Girons, c’était physiquement quelque chose de costaud, ça a permis aux filles d’en baver mais dans un contexte différent de celui du basket. Ces choses-là ont créé encore plus de liants.\\n\\nSont-elles d’un tempérament intrépide ? Le rafting, c’est une activité à sensations fortes...\\n\\nIl n’y avait pas vraiment de rafting, c’était juste des activités dans l’eau. Après, certaines se sont vraiment dépassées car elles avaient des grosses peurs, des phobies. D’autres avaient davantage l’habitude de faire des choses à sensations fortes. D’autres qui n’aiment pas ça et qui n’ont pas trop voulu y aller. Ça dépend des joueuses.\\n\\nComment se fait la répartition du travail entre les différents assistants ?\\n\\nRachid (NDLR : Méziane, coach de Lattes-Montpellier), c’est beaucoup sur le scouting video. Greg (Halin), c’est beaucoup sur l’aspect défensif. Et moi un peu plus sur l’aspect offensif donc défensif de nos adversaires. Mais ce ne sont pas des choses qui sont vraiment cloisonnées. On essaye de travailler pour le bien de tous et s’il y en a un qui a plus de boulot, on va l’aider et vice-versa. Quand il s’agit de bosser sur de la vidéo, ça ne me dérange pas de filer un coup de main à Rachid comme à Greg qui s’occupe de faire le scouting individuel en vidéo.\\n\\nAvez-vous eu le temps durant la préparation de suivre les équipes de France de jeune ?\\n\\nLes moins de 17, 18 et 20 c’était facile car on n’était pas en prépa et les moins de 16 aussi, bien sûr que l’on suit les équipes de France garçons et filles.\\n\\nQuelle a été votre impression générale sur le parcours des filles ?\\n\\nOn a l’habitude d’avoir beaucoup de médailles en filles alors c’est sûr que là on en aura un peu moins puisque les moins de 16 ne sont pas médaillées. Après le fait que les U17 soient vice-championnes du monde, c’est quelque chose de fort. On connait tous des joueuses qui y étaient. Moi j’avais Océane Monpierre qui était avec les moins de 18 et c’est sûr que je l’ai suivi. On aurait aimé qu’elles gagnent la médaille d’or mais ce n’est pas possible à chaque fois. Il faut repartir au boulot pour l’année prochaine.\\n\\nIliana Rupert a été vice-championne du monde en U17 et sera berruyère cette saison, qu’en avez-vous pensé ?\\n\\nElle était blessée en demi et en finale. Tout le monde savait avant cette compétition que c’est un potentiel très intéressant. A part évidemment en finale, elle a été le régulateur de l’équipe. Elle a apporté de la dissuasion près du cercle, de la présence en attaque pour avoir de la verticalité, elle a des mains, elle connaît le basket. C’est quelqu’un qui a un très gros potentiel. Ça va être intéressant de continuer à la faire avancer.\\n\\nQu’en attendez-vous la première année à Bourges, une vraie rotation ?\\n\\nBien sûr, c’est l’idée mais je ne donnerai rien qui ne soit pas mérité. On espère tous qu’Iliana aura un très beau futur maintenant, ce n’est pas en donnant des choses qui ne sont pas méritées qu’elle l’aura. De ce que j’ai pu en voir et discuté avec elle, oui, c’est quelqu’un qui aura déjà un rôle dans l’équipe cette année. Et ce rôle deviendra de plus en plus important au fur et à mesure qu’elle continuera à franchir les étapes.\\n\\nIliana Rupert est née en juillet donc elle a tout juste 17 ans. C’est rarissime des joueuses de cette âge-là qui ont un vrai rôle en Euroleague ?\\n\\nBien sûr. On sait que c’est quelqu’un qui est en avance sur sa génération. Qu’elle franchise les étapes plus vite que les autres, ça paraît aussi logique. Certainement qu’à un moment elle va tomber sur un mur et il faudra qu’elle ait la capacité à travailler autour de ce mur-là. Et plus vite elle le fera et plus vite ça sera bénéfique pour elle, pour le basket français et pour le club de Bourges. Il y a des choses qui vont paraître facile et d’autres très compliquées, c’est tout le travail qu’il faudra faire pour l’amener là où on espère qu’elle sera.\\n\\nAlexia Chartereau aussi était très mature quand elle était en junior ?\\n\\nBien sûr. Ce n’est pas parce que l’on est jeune que l’on ne peut pas jouer rapidement en Euroleague. La première année, elle était entre 10 et 15 minutes et cette année elle a montré encore de très belles choses. On pousse ces jeunes à continuer à franchir les étapes, à prendre de la confiance, à comprendre le basket du mieux possible pour que derrière ça devienne des joueuses majeurs de l’équipe de France et qu’elles continuent à la faire briller et le club. L’un ne va pas sans l’autre.\\n\\nL’anecdote, c’est que Alexia Chartereau et Iliana Rupert sont issues toutes les deux du même club, les JS Coulaines, près du Mans ?\\n\\nCette connexion entre Alex et Iliana a toujours existé. Elles se connaissent très bien. Si Alex porte le numéro 12, c’est certainement pour ça.\\n\\nKatherine Plouffe.\\n\\n« Je pense que le quart-de-finale des Jeux Olympiques a été quelque chose d’assez dur pour les Canadiennes »\\n\\nLa coupe du monde en Espagne est fin septembre et vous avez beaucoup d’internationales dans différentes sélections. Ce n’est pas très bon pour la construction de l’équipe ? C’est votre assistant qui va s’occuper des joueuses disponibles à la rentrée ?\\n\\nC’est ça. Pour celles qui ne sont pas en équipe nationale, il y aura une reprise mi-septembre, c’est-à-dire pour Elodie Godin, KB Sharp et Iliana Rupert avec Jérôme (Authier) et certaines joueuses du centre de formation. Sachant qu’Iliana a eu une campagne cet été qui ne s’est pas terminée il y a si longtemps que ça et c’est important qu’elle récupère et qu’elle se soigne bien. Elle va reprendre avec un travail qui sera fait en amont pour pouvoir reprendre mi-septembre. Après la coupe du monde, chacun aura quelques jours de vacances et rentrera, on aura très peu de temps pour préparer la nouvelle saison. On a la chance d’avoir un groupe qui est malgré tout stable, donc avec des joueuses qui ont passé un an ensemble. Il faudra que l’on soit capable de retrouver très vite les connexions que l’on pouvait avoir et essayer d’emmener les autres le plus rapidement possible à ce que l’on a envie de faire.\\n\\nA titre personnel comment avez-vous vécu cette première saison à Bourges dans un environnement complètement différent ? Bourges est tellement au sommet depuis longtemps que le fait ce n’est pas la victoire, qui est normale, c’est la défaite ?\\n\\nQuand j’étais à Basket Landes, je n’avais pas envie de perdre. La seule différence, c’est que tu pouvais réaliser une bonne saison même si tu n’avais pas gagné de trophée. C’est sûr qu’à Bourges, tu as la possibilité d’avoir un effectif parmi les meilleurs de France et que c’est important de ramener des trophées. C’est ce que l’on a très bien fait l’année dernière en coupe de France et en championnat. On a remporté ce titre de champion de France qui tenait tellement à cœur aux bénévoles et aux gens autour du club. On sait que l’on va encore avoir un long chemin cette saison. On va continuer d’essayer d’être très performant. A nous d’être prêt.\\n\\nAvez-vous été surpris que Lattes-Montpellier fasse un tel recrutement ? Avez-vous cherché à conserver Diandra Tchatchouang ?\\n\\nBien sûr que l’on a cherché à garder Diandra Tchatchouang. C’était quelqu’un de très important dans l’équipe. Il faut accepter ces choix. Montpellier va avoir un effectif super costaud. Il y a aussi Lyon, Charleville, Villeneuve, Basket Landes. L’effectif de Montpellier est évidemment plus clinquant avec les retours d’Helena (Ciak) et d’Endy (Miyem). Le championnat cette année va être très relevé et pas juste avec Montpellier et Bourges.\\n\\nEst-ce spéciale de jouer le Canada avec l’équipe de France quand on sait qu’il y a beaucoup d’internationales canadiennes dans la Ligue Féminine dont Katherine Plouffe et Nayo Raincock-Ekunwe qui arrive chez vous en provenance de Nantes ? Vous allez les affronter de nouveau cet été à la coupe du monde ?\\n\\nJ’ai eu Miranda Ayim à Basket Landes aussi. On peut se chambrer mais c’est surtout arrivé l’été dernier quand Cristina Ouvina est arrivée à Bourges avec un sac de l’équipe d’Espagne. On lui a expliqué que ça, c’était pas possible. C’est sûr que l’on a tous envie de briller quand on porte le maillot de l’équipe nationale et chacune essaie de tirer son épingle du jeu. Je pense que le quart-de-finale des Jeux Olympiques a été quelque chose d’assez dur pour les Canadiennes (NDLR : victoire de la France, 68-63). Elles auront certainement à cœur cet été de nous rendre la monnaie de la pièce mais je pense que l’on sera prêt à faire une belle prestation pour sortir de ce groupe le mieux classé possible.\\n\\nVous aviez la saison dernière Laia Palau dans votre effectif et vous avez toujours Cristina Ouvina. Que pensez-vous de la rivalité avec l’Espagne ?\\n\\nOn peut aussi parler de la Serbie sur les trois dernières années. Ces dernières années, l’Espagne a fait de très grandes choses au niveau international. Aux Jeux Olympiques (NDLR : médaillées d’argent à Rio), elles sont arrivées en finale du dernier championnat du monde, elles ont été deux fois championnes d’Europe sur les trois dernières compétitions. Elles sont deuxièmes au ranking international et nous on est troisième. L’idée, c’est vraiment de les rattraper et de les dépasser. On ne s’est peut-être pas encore affronté assez sur des matches à la vie, à la mort pour que cette rivalité soit comme celle qu’il y a pu avoir chez les garçons. Mais bien sûr qu’elle existe.\\n\\nQu’avez-vous appris de Cristina Ouvina et de Laia Palau, qui est le symbole du basket féminin espagnol et qui vous a rejoint à Bourges en deuxième partie de saison dernière ?\\n\\nJe vais garder tout ça pour Valérie Garnier pour que derrière on puisse battre l’Espagne quand on va les rencontrer (sourire). Nous, on a Céline Dumerc et elles, elles ont Laia Palau. Ce sont deux sommités du basket. Ce sont deux filles qui ont une connaissance du jeu et un leadership incroyables.\\n\\nAvez-vous des échanges particuliers avec Elodie Godin qui est à la fois votre joueuse et assistante en équipe des Pays-Bas ?\\n\\nJe crois surtout que ça lui a fait comprendre tout le travail qui doit être fait derrière car parfois les joueuses ne s’en rendent pas vraiment compte (rire). Elo, c’est quelqu’un qui connaît très bien le basket. Ce n’est pas uniquement parce qu’elle est assistante de l’équipe des Pays-Bas que l’on peut échanger sur le basket. C’est surtout parce qu’elle veut comprendre pour transmettre aux filles et être le meilleur leader possible pour l’équipe de Bourges.\\n\\nOn appelle l’équipe de France féminine « Les Braqueuses » depuis 2009 et le titre de champion d’Europe en Lettonie. N’est-il pas temps de changer de surnom ?\\n\\nAbsolument d’accord ! Les Braqueuses, c’était une façon de jouer particulière, la volonté de tenir la balle très longtemps, de défendre dur, d’avoir des scores plutôt petits, ce qui faisait que souvent ça se jouait sur la dernière possession. Il est temps de faire évoluer ça.\\n\\nPierre Vincent et Valérie Garnier ont été à la fois coach de Bourges et de l’équipe de France. C’est quelque chose que vous envisagé aussi ?\\n\\nÇa n’a pas lieu d’être encore. Je suis centré en équipe de France pour aider au mieux Valérie pour que l’équipe de France soit la plus performante possible. Et quand je vais rentrer à Bourges, l’idée ça sera d’être le plus performant possible pour faire gagner l’équipe. Il y a plein de temps pour penser à des choses comme ça. Pour l’instant, ce qui m’importe c’est d’être bon dans les choses qui me sont confiées.\\n\\n[armelse]\\n\\nEst-ce un privilège de pouvoir entraîner ses joueuses de club pendant l’été quand on est assistant coach en équipe nationale ?\\n\\nPrivilège, oui parce que je peux voir ce qu’elles font, de pouvoir être avec elles pour savoir dans quel état de forme elles sont.\\n\\nAvant de revenir en équipe de France, les joueuses continuent-elles de s’entretenir ?\\n\\nÇa dépend des étés. Là, on avait deux mois entre la fin de la saison et l’enchaînement avec l’équipe de France. Ce qui est prévu en général dans ces périodes-là, c’est qu’il y ait une coupure dans un premier temps ne serait-ce que pour récupérer surtout mentalement et aussi physiquement et ensuite de se remettre en route pour arriver prêts pour l’équipe de France. L’année prochaine, quand on va finir la saison et que cinq ou semaines après ce sera le championnat d’Europe, les filles n’auront pas le temps de couper.\\n\\nCertaines ont-elles aujourd’hui des coaches personnels ?\\n\\nBien sûr. Je ne sais pas si c’est une majorité, je n’en suis pas certain, il faudrait faire une étude avec toutes les filles. Ce sont souvent des préparateurs physiques, des coaches basket entre guillemets, je ne pense pas tant que ça.\\n\\nLe stage dans l’Arrière a permis de faire du VTT, du rafting, des activités hors basket. C’était quelque chose qui était cher à Claude Bergeaud quand il était le coach de l’équipe de France masculine. Comment cela a-t-il été perçu par les filles ?\\n\\nJe pense que c’est la première fois que ça a été fait. J’ai l’impression que les filles ont apprécié. C’est bien de prendre du temps pour construire un groupe, passer du temps ensemble, faire des choses qui sont dures. Tout ce qui a été proposé par Sabine (NDLR : Juras, la préparatrice physique) et par Reper 6 à Saint-Girons, c’était physiquement quelque chose de costaud, ça a permis aux filles d’en baver mais dans un contexte différent de celui du basket. Ces choses-là ont créé encore plus de liants.\\n\\nSont-elles d’un tempérament intrépide ? Le rafting, c’est une activité à sensations fortes...\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ancien Chalonnais Cameron Clark signe au Mans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Mans Sarthe Basket a signé aujourd’hui l’ancien Chalonnais Cameron Clark (1,98 m, 26 ans) qui sort d’une saison blanche.\\n\\nCela a été possible car l’ailier américain a été libéré de ses obligations contractuelles à l’égard des Turcs de Gaziantep, avec lesquels il était encore lié après une année sans jouer en raison d’une blessure au plateau tibial en septembre dernier.\\n\\n« Soumis à une batterie de tests médicaux au Pôle Santé Sud et à l’Arche, ainsi qu’à un examen clinique poussé, Cam suivra dans un premier temps un programme individualisé avec le préparateur physique, Alexandre Bertrand, et le staff technique avant d’être intégré au groupe pour participer aux séances collectives », précise le MSB dans un communiqué.\\n\\nChacun se souvient de sa saison 2016-17 avec l’Elan Chalon. L’Américain fut le top-scoreur de la Pro A et le n°3 à l’évaluation, et le troisième à l’élection du MSB derrière le Palois D.J. Cooper et son coéquipier Moustapha Fall. Cette saison-là, l’équipe bourguignonne fut championne de France et finaliste de la FIBA Europe Cup contre Nanterre.\\n\\n« Tout d’abord, j’aimerais dire à quel point je suis heureux de retrouver les parquets, » commente le joueur. « Je tiens ensuite à remercier le MSB de me permettre de faire partie de l’équipe, de contribuer à l’aider à gagner. Je suis forcément très excité par le challenge proposé. L’année passée a été difficile pour moi et la perspective de reprendre le sport que j’aime est particulière. Mais l’objectif est ailleurs : c’est remporter des matches et tout faire pour conserver le titre de champion. J’ai hâte de commencer, de rencontrer mes coéquipiers, le staff, les fans, pour écrire une nouvelle page du club. »\\n\\nRepères\\n\\nClubs : Oklahoma (NCAA) de 2011 à 2014. Cremona (Italie) en 2015. Ironi Nahariya (Israël) en 2016. Chalon-sur-Saône (Pro A) en 2017. N’a pas joué en 2018.\\n\\nPalmarès en club : Champion de France en 2017. Finaliste de la FIBA Europe Cup en 2017\\n\\nPalmarès individuel : Élu dans le meilleur 5 de la Pro A en 2017. Élu dans le meilleur 5 de la FIBA Europe Cup en 2017. Meilleur marqueur de la Pro A en 2017. Meilleur marqueur de la FIBA Europe Cup en 2017. All-Star de la Pro A en 2017.\\n\\nStatistiques Pro A 2017 : 18,6 points à 54.5% aux tirs, dont 25/67 à 3pts (37.3%), et 73.6% aux lancers-francs, 5,9 rebonds, 2,3 passes décisives, 1,0 interception et 19,2 d’évaluation en 30 min/m (33 matches)\\n\\nStatistiques FIBA Europe Cup 2017 : 19,9 points à 55.7% aux tirs, dont 12/45 à 3pts (26.7%), et 73.3% aux lancers-francs, 6,1 rebonds, 1,8 passe décisive, 0,8 interception et 18,9 d’évaluation en 30 min/m (20 matches)\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Asvel : blessé au coude, Alpha Kaba sera absent trois mois !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Malgré un été productif, avec de belles apparitions avec les Hawks d’Atlanta en ligue d’été à Las Vegas, Alpha Kaba (22 ans, 2,05m) va devoir patienter sur le banc de touche en ce début de saison de Pro A. Le pivot villeurbanais a effectivement été victime d’une grave blessure au coude, mardi soir, lors d’un entraînement collectif.\\n\\nSon club a annoncé que cette blessure ne nécessitait pas d’intervention chirurgicale, mais éloignera par contre Alpha Kaba pour une durée de trois mois environ. Le jeune intérieur tournait à 6 points et 6 rebonds la saison passée.\\n\\nC’est forcément un coup de poignard pour l’Asvel qui comptait beaucoup sur Kaba cette saison. Le club est actuellement en train d’étudier le marché pour trouver un joueur capable de pallier cette absence de poids."
}, 
{"role": "user",     "content":"Dossier Blois: décision du tribunal administratif vendredi"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Patience... Le président de l’ADA Blois Paul Seignolle a saisi le tribunal administratif de Paris afin que son équipe soit intégrée au championnat de Jeep Elite, ce que ligue et fédération n’ont pas voulu faire en raison de l’absence en temps et en heure d’un centre de formation. Le dossier a été évoqué ce mercredi mais le juge des référés ne remettra sa décision que vendredi en fin de journée.\\n\\nEn tout état de cause, l’équipe blésoise prépare actuellement sportivement le championnat de Pro B.\\n\\n\\n\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de Serbie: Pas de Milos Teodosic et Boban Marjanovic pour les matches de septembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de Serbie ne pourra compter ni sur l’arrière Milos Teodosic (1,96m, 31 ans) ni sur le pivot Boban Marjanovic (2,21m, 30 ans) des Los Angeles Clippers pour les deux premiers matches de la deuxième manche des éliminatoires de la Coupe du monde, en septembre, contre la Grèce et l’Estonie. Selon le site serbe Novosti, ces deux forfaits font suite à des négociations infructueuses avec le directeur général des Clippers, Lawrence Frank.\\n\\nTeodosic et Marjanovic rejoignent le pivot des Denver Nuggets Nikola Jokic (2,08m, 23 ans) sur la liste des absents majeurs pour la Serbie.\\n\\nPhoto: Milos Teodosic (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le premier match de Manu Ginobili en Argentine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les hommages teintés de nostalgie à Manu Ginobili, qui vient de prendre sa retraite à 41 ans se multiplient. Voici que sort des archives son premier match en professionnel datant du 29 septembre 1995. Il avait 18 ans et portait alors le maillot de Andino Sport Club à La Rioja dans la Ligue Argentine. L’adversaire était le Penarol de Mar del Plata. Gino fut élu cette saison-là Meilleur rookie de la ligue.\\n\\nIl portait un maillot noir, le numéro 6, avait des cheveux, mais on reconnait déjà son fabuleux shoot de gaucher. A voir aussi un shoot réussi de l’autre côté du terrain par un joueur du Penarol.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?time_continue=8&v=Rri95Buaavg"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans: Juice Thomson heureux de retrouver Eric Bartecheky"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour succéder à Justin Cobbs considéré par ses pairs et les médias comme le meilleur meneur de Jeep Elite la saison dernière, Le Mans a fait appel à Michael « Juice » Thompson (1,77m, 29 ans), qui revient en France après deux saisons en Turquie. L’Américain est déjà par passé par Villeurbanne, Rouen et Pau où il avait déjà comme coach Eric Bartecheky. Et visiblement Juice est heureux de ses retrouvailles.\\n\\n« Je suis super excité à l’idée de rejouer en France et de pouvoir retravailler sous les ordres d’Éric », a t-il assuré au Maine Libre. Le MSB avait déjà essayé il y a un an de faire revenir le natif de Chicago en France. « Ça n’avait pas pu se faire mais cette fois, c’est bon et je suis heureux. On a une super relation avec le coach. J’adore la façon dont il entraîne, la manière dont il voit les choses et les met en place. »\\n\\nL’héritage est forcément particulier puisque le MSB est champion de France en titre, mais Juice Thompson, qui fut pour sa part reconnu comme le meilleur meneur de Pro A il y a trois saisons avec l’Elan Béarnais, est tout à fait serein.\\n\\n« Il y a un vraiment un groupe de gars super. Le club ne nous met aucune pression par rapport au titre de la saison dernière. On est juste concentré pour se préparer à être le plus compétitif possible. »\\n\\nLe MSB est toujours à la recherche d’un 4 capable de s’écarter pour compléter son effectif."
}, 
{"role": "user",     "content":"N1: Lamine Kanté retourne à Saint-Quentin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après y avoir effectué une pige médicale la saison dernière, Lamine Kanté (2,00m, 31 ans) revient à Saint-Quentin pour de bon.\\n\\n« Ça me fait très plaisir de revenir au SQBB et de retrouver des gens que j’ai côtoyés. Quand je suis parti de Saint-Quentin, j’avais une petite boule au ventre. Je me sentais tellement bien, on gagnait, tout roulait, » déclare t-il à l’Aisne Nouvelle.\\n\\nFormé au Mans, le natif de Courbevoie a derrière lui une carrière qui l’a amené à Poitiers (par quatre fois!), Boulogne, Denain, Cholet, Limoges, Monaco, Evreux et Nantes.\\n\\nPhoto: PB86"
}, 
{"role": "user",     "content":"[REDIFF] Axel Toupane : «Je suis un joueur complet et c’est peut-être ça qui porte à confusion»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BasketEurope vous propose cet été de lire ou de relire les meilleurs articles PREMIUM de la saison 2017-18.\\n\\nDe retour en Europe après plusieurs années à poursuivre son rêve de NBA par la D-League, Axel Toupane a semble-t-il fait le bon choix en posant ses valises à Kaunas. L’ailier tricolore est en forme en ce moment, auteur d’un tir de la gagne en championnat et de sa meilleure performance offensive en Euroleague quasiment coup sur coup.\\n\\nAussi solide sur ses appuis que dans sa tête, Toupane a fait le point sur sa saison avec BasketEurope. On a évoqué ses belles prestations en Euroleague, les commentaires élogieux de son coach Sarunas Jasikevicius à son égard mais aussi l’arrivée du cirque Ball en Lituanie ou encore l’aventure ratée des Bleus l’été passé.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAxel, vous avez lâché un petit match ce weekend en championnat. Un peu de répit de la part du coach ?\\n\\nOn a gagné notre match et c’est vrai que je n’ai pas beaucoup joué. Le coach m’a reposé un peu car on joue le Pana dès jeudi.\\n\\nLa saison d’Euroleague bat son plein en ce moment avec beaucoup de matchs, comment vous y sentez-vous ?\\n\\nC’est un très bon championnat, la deuxième ligue après la NBA. Ça joue du très bon basket. C’est très différent de ce qui se fait aux Etats Unis mais c’est aussi du très haut niveau, du basket organisé. C’est très tactique. Je connaissais déjà avec Strasbourg, même si ce n’était pas le même format. Une ligue comme ça, où les équipes se rencontrent en aller retour, c’est vraiment bien.\\n\\nLe format a changé effectivement, est-ce un changement pour le mieux selon vous ?\\n\\nOui, ça fait davantage championnat que compétition. Avant, il y avait des groupes, puis d’autres groupes et enfin les quarts de finale. Maintenant, c’est un vrai championnat, tout le monde se joue à l’extérieur et à domicile et ça donne des gros matchs à chaque fois.\\n\\nPlus précisément, racontez-nous votre intégration à Kaunas ? Comment ça s’est passé ? Y a-t-il eu une phase d’adaptation tout de même pour vous qui arriviez de NBA ?\\n\\nOui, un petit peu mais c’était surtout par rapport au système mis en place par le coach. C’est un système très particulier, très fort, très exigeant et tous les joueurs du Zalgiris passent par là. Il faut s’adapter au plus vite, il faut vraiment comprendre le système et l’appliquer. Une fois que tu as fait ça, tout se passe bien. L’adaptation à l’Euroleague s’est faite en douceur après avoir passé l’été en Equipe de France, car c’est les mêmes joueurs que tu retrouves en gros. Mais bon, c’était tout de même une nouvelle ville, un nouveau pays, donc il faut forcément un petit temps d’adaptation.\\n\\nOn voit Sarunas Jasikevicius qui est toujours très actif sur le bord du terrain, un peu comme Tom Thibodeau en NBA. Qu’est-ce qu’il vous dit quand il hurle comme ça ?\\n\\nOui, il vit son match à fond. Et puis en Euroleague, les matchs sont très tactiques donc les coachs ont encore beaucoup d’importance. Il appelle les systèmes, il annonce les tactiques défensives. Il est très présent.\\n\\nA propos de votre coach, avez-vous entendu ses commentaires à votre égard ce weekend ? Et quelle a été votre première réaction ?\\n\\nOui, j’ai entendu. C’était marrant. Après, j’avais déjà plus ou moins entendu ça en off. Mais c’est bien qu’un coach comme lui vienne louer ton éthique de travail. C’est quelque chose que j’ai depuis que je suis tout jeune et c’est quelque chose dont je suis fier. Quand j’entends ça, ça me donne envie de continuer, même si je n’avais pas l’intention de m’arrêter [rires]. C’est toujours un coup de boost ! Il ne faut pas s’arrêter là. Je sais que ça ne me donnera pas de passe droit jusqu’à la fin de saison.\\n\\nA la mi-saison, êtes-vous satisfait de votre choix de rejoindre le Zalgiris ? Ce retour en Europe semble vous avoir bien relancé.\\n\\nOui, c’est sûr. Mais je n’étais pas revenu en Europe pour relancer ma carrière non plus. Ma carrière est sur une phase ascendante depuis... depuis que j’ai commencé en fait ! Tous les ans, je progresse. Tous les ans, je franchis des paliers à des niveaux différents. L’Europe, c’est juste un nouveau challenge et l’Euroleague, c’est un tel niveau que je ne vois pas ça comme redescendre ou quoi.\\n\\n« Oui, oui, j’ai pris quelques rafales ! »\\n\\nMais êtes-vous content d’obtenir un rôle important et une belle exposition également en Euroleague avec Kaunas ?\\n\\nC’est pas encore le bon moment pour dire si je suis satisfait ou pas. On n’en est encore qu’à la moitié de la saison et c’est la deuxième partie qui est beaucoup plus importante. On a des titres à aller chercher et il va encore y avoir des gros matchs d’Euroleague et les playoffs. Pour l’instant, il n’y a pas de bon et pas bon. Je continue à travailler pour me développer. Je sais que je peux faire plus. Quand je suis arrivé ici, on m’a rien promis. Juste du travail, et c’est le cas. Le rôle, les minutes, les stats, au final, c’est presque anecdotique, même si j’aspire forcément à plus. Les choses suivent leur cours et ça se passe bien. Je suis bien dans ma tête.\\n\\nCollectivement, les résultats sont là en tout cas ! Kaunas surprend encore son monde en Euroleague. Là, vous pouvez en tirer satisfaction, non ?\\n\\nC’est super. Pour l’instant, on répond au-delà des attentes mais on ne veut pas s’en satisfaire. La route est encore longue et cette deuxième partie de saison va être très intense. Il y a des grosses équipes qui sont actuellement derrière nous au classement qui veulent remonter, et qui vont peut-être recruter des joueurs et se réveiller. On n’est pas encore sûr d’être qualifié.\\n\\nComment vit cette équipe ? Quel est votre vue de l’intérieur ?\\n\\nOn a une bonne cohésion collective, c’est comme ça que le coach a voulu construire l’équipe. On partage bien le ballon et les shoots. Et puis, ça tourne beaucoup avec 10 ou 11 joueurs qui rentrent en jeu à chaque match. Quand tu arrives, il faut directement être bon. Pas de cadeaux. Si tu es un peu moins bien, ce sera le tour d’un autre.\\n\\nEt le coach n’hésitera pas à vous le faire savoir... Avez-vous déjà été victime d’une colère de Saras en l’occurrence ?\\n\\nTout le monde. Moi, j’en ai pris pas mal. Autant il a dit de belles choses sur moi ce weekend, mais il est souvent sur mon dos, il est assez dur avec moi. Ce n’est pas quelque chose qui me dérange. Mon père était assez dur aussi. C’est quelque chose qui m’aide aussi. Mais oui, j’ai pris quelques rafales !\\n\\nEn championnat, le Zalgiris est dominateur et vous avez récemment inscrit le tir de la gagne. Comment ça se passe en championnat lituanien et puis racontez-nous ce game winner tout de même ? Une première pour vous ?\\n\\nJe n’avais jamais rentré de tir de la gagne comme ça, avec si peu de temps sur l’horloge. Ça ne m’était jamais arrivé, donc c’était effectivement une première. Quant au championnat lituanien, il a des avantages et des inconvénients. Un avantage, c’est qu’on fait les déplacements le jour du match et ce sont des déplacements courts. C’est un championnat avec 10 équipes et tout le monde se joue 4 fois, c’est un peu long ! Après, le niveau, il y a 5 équipes qui sont de bon niveau. Notre équipe en Euroleague, 2 en EuroCup et ensuite 3 en Champions League. Dans les 5 autres, il y en a 2 qui sont pas trop mal. Je n’ai pas trop de points de référence mais je dirai que c’est du niveau Pro B et les 3 autres qui sont un peu plus faibles. Nous en championnat, on tourne beaucoup. Le coach repose certains joueurs. Parfois, tu ne joueras pas du tout en 1ère mi-temps et tu joues qu’en 2e. Il fait attention pour qu’on soit au mieux en Euroleague parce qu’il arrive qu’il y ait 2 journées d’Euroleague en une semaine.\\n\\nComment se passe la vie en Lituanie ? Le phénomène médiatique des frères Ball ne vous a pas encore atteint...\\n\\nKaunas, c’est la 2e ville en Lituanie mais ça reste assez calme. Ça me correspond bien. Moi, je suis souvent chez moi. J’ai été surpris par la qualité de la gastronomie et des restaurants. Il y a vraiment de la bonne bouffe et notamment asiatique et italienne, ce qui est assez paradoxal. Après, les frères Ball, on en a forcément entendu parler. Ils jouent dans une équipe qui est à 40 minutes d’ici. Beaucoup de buzz. Je pense qu’on va bientôt les jouer...\\n\\nDonc ils jouent bien en championnat. J’avais cru comprendre qu’ils avaient créé leur propre petite tournée de matchs...\\n\\nLeur équipe était engagée dans la Baltic League auparavant où il faut jouer des équipes biélorusses, etc. Ce n’est pas une compétition avec beaucoup d’enjeu donc ils en sont sortis pour créer leur propre calendrier. Ils jouent en fait contre des équipes 2, par exemple contre la nôtre qui est une équipe espoirs, voire cadets, qui évolue en 2e division lituanienne. Ils font ce genre de match pendant la semaine et le weekend, ils jouent en championnat. Au début, tout le monde rigolait car ils jouaient contre des gamins, même si le dernier [LaMelo] a leur âge. Mais ce weekend, ils s’en sont bien sortis avec 20 et 13 points contre une bonne équipe.\\n\\nÇa avait mal débuté avec un 0 pointé pour les deux garnements...\\n\\nOui, mais les gens oublient que ce sont des jeunes joueurs et qu’ils ont forcément besoin de s’adapter. Quand t’arrives dans un nouveau pays, où le basket est totalement différent, et ce sont des joueurs qui n’ont jamais été pros, c’est compliqué ! Si toute leur stratégie est de faire parler d’eux, d’un point de vue basket, je pense qu’il faut leur donner un peu de temps et les laisser progresser.\\n\\nCe que je lisais récemment, c’est que leurs coéquipiers à Vytautas ne sont pas convaincus de pouvoir jouer avec eux, car en défense, c’est un vrai problème...\\n\\nAh, ça, c’est possible ! C’est un basket tellement différent que je me doute bien qu’il y aura des petits soucis en route.\\n\\n« Je ne pense pas avoir grand-chose à envier aux autres en attaque »\\n\\nA part ça, avez-vous déjà pensé à la suite et la saison prochaine. Et surtout pour vous qui en venez, gardez-vous toujours la NBA dans un coin de la tête ?\\n\\nJe reste concentré à fond sur ma saison pour le moment. La NBA, j’y étais et j’ai vécu ça de l’intérieur, je sais que ça reste très aléatoire. Ça ne sert à rien de faire des plans sur la comète car tu n’as que très peu de contrôle là-dessus. Comme j’ai toujours dit, c’est la meilleure ligue du monde et tout joueur ambitieux a envie d’y évoluer. Après : quand, comment, quel timing, je ne peux pas te dire. Tout ce que je peux faire, c’est faire de mon mieux ici.\\n\\nEt puis, l’Euroleague, c’est tout de même pas mal comme solution de repli, non ? On imagine que jouer des matchs prestigieux face au Pana ou au Fener, c’est assez unique également ?\\n\\nJ’ai toujours été ambitieux et mon but est toujours de progresser, de franchir les paliers et d’atteindre le plus haut niveau. Que ce soit une grosse équipe en Europe ou une équipe NBA, ça reste du basket de très haut niveau dans des organisations au petit soin pour toi. C’est évidemment un immense plaisir que de jouer ces gros matchs, au Fener, à Barcelone, contre des grosses équipes. Et les ambiances aussi ! A Belgrade et même chez nous, c’est toujours super !\\n\\nPouvez-vous revenir sur votre été en Bleu ? Avez-vous quelques regrets sur la manière dont ça s’est fini ?\\n\\nJ’ai pris beaucoup de plaisir avec les Bleus. Ça faisait un petit moment que je n’avais pas été en équipe nationale, et c’est toujours sympa de passer du temps avec les mecs et de discuter avec tout le monde. S’entraîner et jouer avec les meilleurs joueurs du pays, c’est forcément un plaisir. Malheureusement, on n’a pas vraiment répondu aux attentes. On n’a pas joué notre meilleur basket. On s’est fait punir par les Allemands, et on a payé cash ! Maintenant, il faut avancer, ça ne sert à rien de parler de ça pendant 107 ans. Il faudra juste analyser nos erreurs, corriger le tir et rebondir.\\n\\nAvez-vous pu discuter plus calmement avec vos coéquipiers de cet échec ? Quelles leçons peut-on en retenir ?\\n\\nC’est compliqué car tout le monde rentre chez soi après la compétition. Mais je ne pense pas qu’il y ait de quoi s’inquiéter. Ça arrive de faire des mauvaises campagnes. L’Equipe de France a tout de même eu des bons résultats sur les années récentes et là, on a eu un coup de moins bien. Mais quand tu regardes le potentiel de ce groupe, à chaque rassemblement, il n’y a pas de quoi s’inquiéter.\\n\\nQuel est votre meilleur souvenir de la saison jusqu’à maintenant ? Je vois ce match au Fener où vous avez terminé à 18 d’évaluation, votre record. Ou est-ce votre match tout frais contre Valence ? Et puis, avez-vous été impressionné par un joueur en particulier ?\\n\\nCe match au Fener, oui, c’était un gros match ! On a été gagné là-bas et en plus on était amoindri. Face au champion en titre, avec un des plus gros effectifs de l’Euroleague. Ce match-là reste un grand souvenir. Mais avec le temps, je suis de moins en moins impressionné par les autres joueurs ou les ambiances. Ce sont des gros matchs avec une grosse intensité.\\n\\nPour terminer, peut-on dire que votre réputation de gros défenseur (également capable de prendre feu offensivement) commence à sérieusement grandir en Europe ? Et appréciez-vous vraiment cette réputation ? Est-elle fidèle à ce que vous voulez représenter ?\\n\\nC’est ma réputation depuis que j’ai commencé. Après, les gens aiment bien faire des raccourcis et ils considèrent que c’est soit attaque soit défense. Je pense avoir toujours été un bon joueur des deux côtés du terrain. Ce n’est pas parce que tu es bon en défense que tu ne peux pas attaquer, et vice versa. Ça me rend fier d’être un gros défenseur mais je ne pense pas avoir grand chose à envier aux autres en attaque. Je suis un joueur complet et c’est peut-être ça qui porte à confusion car je ne fais pas un truc en particulier super bien mais je fait tout bien. J’ai toujours voulu être un joueur complet, capable de shooter, de driver, d’attaquer, de défendre. J’essaie de tendre le plus possible vers ça. L’image qu’ont les gens, ça je leur laisse...\\n\\nSa perf face à Valence\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=fLwZ6YvvstI\\n\\nSon match face au Fener\\n\\nLa suite de la saison\\n\\n[armelse]\\n\\nAxel, vous avez lâché un petit match ce weekend en championnat. Un peu de répit de la part du coach ?\\n\\nOn a gagné notre match et c’est vrai que je n’ai pas beaucoup joué. Le coach m’a reposé un peu car on joue le Pana dès jeudi.\\n\\nLa saison d’Euroleague bat son plein en ce moment avec beaucoup de matchs, comment vous y sentez-vous ?\\n\\nC’est un très bon championnat, la deuxième ligue après la NBA. Ça joue du très bon basket. C’est très différent de ce qui se fait aux Etats Unis mais c’est aussi du très haut niveau, du basket organisé. C’est très tactique. Je connaissais déjà avec Strasbourg, même si ce n’était pas le même format. Une ligue comme ça, où les équipes se rencontrent en aller retour, c’est vraiment bien.\\n\\nLe format a changé effectivement, est-ce un changement pour le mieux selon vous ?\\n\\nOui, ça fait davantage championnat que compétition. Avant, il y avait des groupes, puis d’autres groupes et enfin les quarts de finale. Maintenant, c’est un vrai championnat, tout le monde se joue à l’extérieur et à domicile et ça donne des gros matchs à chaque fois.\\n\\nPlus précisément, racontez-nous votre intégration à Kaunas ? Comment ça s’est passé ? Y a-t-il eu une phase d’adaptation tout de même pour vous qui arriviez de NBA ?\\n\\nOui, un petit peu mais c’était surtout par rapport au système mis en place par le coach. C’est un système très particulier, très fort, très exigeant et tous les joueurs du Zalgiris passent par là. Il faut s’adapter au plus vite, il faut vraiment comprendre le système et l’appliquer. Une fois que tu as fait ça, tout se passe bien. L’adaptation à l’Euroleague s’est faite en douceur après avoir passé l’été en Equipe de France, car c’est les mêmes joueurs que tu retrouves en gros. Mais bon, c’était tout de même une nouvelle ville, un nouveau pays, donc il faut forcément un petit temps d’adaptation.\\n\\nOn voit Sarunas Jasikevicius qui est toujours très actif sur le bord du terrain, un peu comme Tom Thibodeau en NBA. Qu’est-ce qu’il vous dit quand il hurle comme ça ? [__GHOST_URL__/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Kevin Dinal (Evreux) victime d’une fracture du pied"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ALM Evreux ne va pas profiter tout de suite de sa nouvelle recrue en provenance de la JL Bourg, Kévin Dinal (1,97m, 25 ans). Celui-ci s’est fracturé le pied droit lundi à l’entraînement et sera ainsi privé de compétition durant plusieurs mois.\\n\\nLa saison dernière, Kévin Dinal avait tourné à 2,3 points et 1,5 rebond en 11 minutes en Jeep Elite.\\n\\nL’ALM recherche un pigiste médical pour le suppléer.\\n\\nPhoto: JL Bourg"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Le mexicain Jorge Gutierrez refait surface à San Sebastian"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ancien meneur NBA, notamment du côté de Brooklyn, Jorge Gutierrez (1,91m, 29 ans) évoluera la saison prochaine en Liga ACB, à San Sebastian. C’est une belle prise pour le club basque qui a terminé 13e au classement général la saison passée.\\n\\nGutierrez jouait quant à lui en Italie, avec Trente, où il a dû s’avouer vaincu en finale (face à Milan). Il était bon pour 8 points, 3 rebonds et 2 passes en 20 minutes de moyenne. Il assurait également 11 points et 4 passes de moyenne en EuroCup.\\n\\nAprès la Turquie et l’Italie, Gutierrez va donc découvrir le meilleur championnat européen en Espagne. Le vétéran mexicain devrait rapidement se sentir comme à la maison au Pays Basque, la langue aidant...\\n\\nPhoto : Trento"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les Bleues en stage à Lyon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Bleues sont en stage à Lyon dans l’optique de préparer la coupe du monde en Espagne et nous donnent de leurs nouvelles à travers cette vidéo de la FFBB."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les nouveaux maillots de la JL Bourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Voici le nouveau maillot de la JL Bourg qui se veut audacieux. il a été dessiné avec l’aide de son Partenaire Teds (Agence de Communication & de Design).\\n\\nPhoto: JL Bourg"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague: Quel est l’impact des Américains?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il est souvent dit que l’Euroleague est une « ligue européenne ». Mais de quel poids pèsent réellement les joueurs nord-américains dans la meilleure ligue d’Europe ?\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLorsque l’on évoque l’Euroleague, elle est souvent qualifiée de « ligue de joueurs européens ». Une assertion que l’on peut trouver réaliste lorsque l’on constate le nom et la provenance des joueurs cités dans les deux cinq majeur de la compétition en 2017-2018 :\\n\\n1er cinq\\n\\nNick Calathes (Grèce, mais formé aux États-Unis), Nando de Colo (France), Luka Doncic (Slovénie), Tornike Shengelia (Géorgie), Jan Vesely (Rép. Tchèque)\\n\\n2e cinq\\n\\nKevin Pangos (Canada), Sergio Rodriguez (Espagne), Alex Shved (Russie), Vassili Spanoulis (Grèce), Paulius Jankunas (Lituanie)\\n\\nAutrement dit, un joueur nord-américain – et « même pas » des États-Unis – sur dix !\\n\\nPour autant, l’Euroleague est-elle réellement une ligue faisant peu de cas des joueurs nord-américains ? Il y a un certain nombre de nuances à apporter...\\n\\nTout d’abord, même s’il ne figure pas dans les deux premiers cinq majeur de la compétition, l’états-uniens bon teint Kyle Hines (CSKA Moscou) s’est vu décerner le titre de Meilleur défenseur, titre qu’il avait déjà décroché en 2016. Plus généralement, l’analyse des effectifs des seize clubs ayant disputé l’Euroleague en 2017-2018 montre que 74 joueurs nord-américains (dont deux Canadiens) ont foulé les parquets de la compétition. Pour un rendement important, mais pas vraiment essentiel, globalement : en moyenne, ces joueurs ont disputé 24,4 matchs de saison régulière (sur 30 possibles) pour une moyenne de 8,4 points, 3 rebonds, 1,6 passe décisive et 8,5 d’évaluation en 19,6 minutes. Les stats d’un « bon joueur de banc », en quelque sorte.\\n\\nMais l’analyse mérite d’être approfondie, tant il y a de disparités en termes d’influence d’un joueur et de poids des nord-américains selon les équipes.\\n\\nÉquipes européennes ou « américaines »\\n\\nLorsque l’on se penche sur les effectifs des clubs d’Euroleague, on constate une grande variété de situations : d’un côté de l’échelle, le Pana a fait appel à neuf joueurs US lors de la dernière saison et l’Anadolu Efes à huit, alors que Barcelone et l’Étoile Rouge n’en ont utilisé que deux chacun. De ce fait, l’impact de ces joueurs d’outre-Atlantique ne peut évidemment pas être le même sur les statistiques de l’équipe.\\n\\nAinsi, à l’Anadolu Efes, les nord-américains ont marqué 97,3 % des points de l’équipe, fait 98,1 % des passes décisives et « pèsent » 83,3 % de l’évaluation globale. Au Barça, ils ne représentent que 16,2 % des points, 17,6 % des passes et 12,8 % de l’évaluation globale.\\n\\nCela étant, l’étude montre qu’il n’y a pas vraiment de corrélation entre nombre de joueurs US dans un roster et résultats. Si l’Anadolu Efes a terminé bon dernier de la saison régulière, le Pana a fini 4e et le Barça 13e.\\n\\nQuant aux quatre finalistes de la compétition (CSKA, Fener, Real et Zalgiris Kaunas), ils présentent des situations variées :\\n\\n– CSKA : 5 joueurs nord-américains, 51 % des minutes jouées, 49,8 % des points, 52,8 % de l’évaluation.\\n\\n– Fener : 4 joueurs, 37,5 % du temps de jeu total, 40,3 % des points, 35,7 % de l’éval.\\n\\n– Real : 4 joueurs, 31,6 % du temps de jeu, 35,3 % des points, 29 % de l’éval.\\n\\n– Zalgiris : 4 joueurs, 37,2 % des minutes, 40,8 % des points, 39,7 % de l’éval.\\n\\nLà encore, hormis au CSKA, le « poids » des joueurs US ne semble pas énorme. Alors que, a contrario, le CSKA accueille dans ses rangs un Nando de Colo ou un Sergio Rodriguez qui figurent dans les meilleurs cinq majeurs de la compétition.\\n\\nEn fait, il faut s’intéresser aux joueurs eux-mêmes pour comprendre les différences existant d’un club à l’autre.\\n\\nPeu de « grands noms »\\n\\nEn 2017-2018, 74 joueurs nord-américains (y compris des Américains naturalisés de longue date comme Jaycee Carroll ou Matt Lojeski) ont foulé les parquets d’Euroleague. Certains sur toute la durée de la saison, d’autres vite coupés (Dee Bost, par exemple), d’autres encore arrivés en cours de saison (comme Sonny Weems à l’Anadolu Efes).\\n\\nSur ces 74, 27 sont des « rookies » de l’Euroleague, ayant accompli leur première saison à ce niveau cette dernière saison. Trente-cinq de ces 74 joueurs ont un passé NBA, plus ou moins durable : entre 13 (James Nunnally, Fener) et 597 matchs (Jason Thompson, Fener également). En moyenne, le joueur nord-américain d’Euroleague a joué 148,6 matchs de NBA pour une moyenne de 4,6 points. Aucun n’a donc eu un rôle majeur dans la ligue nord-américaine, les meilleurs (par points marqués) ayant été Mike James (Pana) avec 9,3 pts sur 36 matchs et le déjà cité Jason Thompson, 8,7 pts.\\n\\nEt l’impact de ces joueurs (dont la moyenne d’âge frôle les 30 ans) en carrière d’Euroleague n’est guère supérieur : pour 67 matchs d’Euroleague en carrière en moyenne, ces 74 joueurs ont marqué 8,8 points.\\n\\nPour autant, ces Américains ne sont pas « quantité négligeable » en Euroleague, 40 d’entre-eux ayant même figuré très régulièrement dans le cinq majeur de leur équipe.\\n\\nEt certains ont eu un rôle majeur dans leur équipe. Ainsi, à l’Anadolu Efes, Errick McCollum a scoré 14,6 points par match, alors qu’à Malaga James Augustine captait 6,7 rebonds et Kevin Pangos distribuait 6 passes à Kaunas. Pour sa part, Bryant Dunston, d’Anadolu Efes, affichait une évaluation moyenne de 15,5 (Mike James a fait mieux, avec 16,2 pts et 15,7 d’évaluation, mais sur seulement 12 matchs).\\n\\nCertains de ces joueurs nord-américains ont joué la saison avec un rôle relativement mineur, comme Hollis Thomson à l’Olympiakos (15 mn/match, 5,6 pts) ou Marcus Denmon au Pana (13 min/match, 5,6 pts). Mais le temps de jeu n’est pas toujours une donnée réellement indicative : pensons à Kyle Hines, qui joue « seulement » 21,4 min/match (8,2 pts, 11,8 d’éval) ou Brandon Davies à Kaunas, qui foule le parquet pendant 17 petites minutes pour 9,4 pts et 9,8 d’éval.\\n\\nDu passage anecdotique (Justin Doelmann, 3 matchs à l’Anadolu Efes ; Latavious Williams, 4 matchs à Valence) au rôle de premier plan (dans le désordre Errick McCollum, Andrew Goudelock (Milan), Jordan Theodore (Milan), Dorell Wright (Bamberg), Will Clyburn (CSKA), Brad Wannamaker (Fener), Pierre Jackson (Maccabi), James Gist (Pana), Chris Singleton (Pana) ou Kevin Pangos – tous ont joué plus de 25 mn/match) en passant par les joueurs en fin de parcours comme Bobby Dixon, les « profils » sont donc très variés.\\n\\nGlobalement, aucun joueur US n’a « écrasé » l’Euroleague, mais ils sont nombreux à y tirer leur épingle du jeu : 43 de ces joueurs présente une évaluation de 8 ou plus sur la saison régulière.\\n\\nCe qui peut nous permettre de créer un cinq majeur des joueurs nord-américains d’Euroleague, subjectif bien évidemment :\\n\\nMeneur : Kevin Pangos (Zalgiris Kaunas), 12,7 pts, 6 pds, 14,1 d’éval\\n\\nArrière : Cory Higgins (CSKA), 14,2 pts, 2,4 rbds, 14,0 d’éval\\n\\nAilier : Will Clyburn (CSKA), 11,7 pts, 5,9 rbds, 14,3 d’éval\\n\\nIntérieur : Kyle Hines (CSKA), 8,2 pts, 4,2 rbds, 11,8 d’éval\\n\\nPivot : Bryant Dunston (Anadolu Efes), 10,2 pts, 5,4 rbds, 15,5 d’éval\\n\\nOn notera que le fait de faire jouer trois « all stars US » comme au CSKA ne garantit pas le succès final alors qu’un club (Anadolu Efes) peut terminer dernier tout en ayant l’un des meilleurs Américains d’Euroleague dans ses rangs... La qualité des joueurs (US ou non) et « l’alchimie » entrent aussi en ligne de compte, le CSKA est bien placé pour le savoir.\\n\\nQu’en conclure ? Une équipe d’Euroleague 2017-2018 a utilisé les services de 4,6 joueurs nord-américains en moyenne, représentant 44,4 % de l’évaluation globale. Avec quelques très forts joueurs, d’autres plus « de complément » (ou ayant du mal à s’adapter au jeu européen), quelques derniers plutôt anecdotiques, en fin de carrière ou pas au niveau.\\n\\nEn définitive, il apparaît donc que l’Euroleague ne penche pas particulièrement vers l’Amérique du Nord tout en ne la négligeant pas. Comme les meilleurs Européens (à quelques exceptions près), les meilleurs Nord-Américains jouent toujours en NBA. Cela étant, les joueurs nord-américains ont pour une bonne part un rôle important en Euroleague, mais ni plus ni moins que leurs homologues européens (ou d’autres contrées). En fait, le joueur nord-américain est « un joueur d’Euroleague comme un autre » !\\n\\n[armelse]\\n\\nLorsque l’on évoque l’Euroleague, elle est souvent qualifiée de « ligue de joueurs européens ». Une assertion que l’on peut trouver réaliste lorsque l’on constate le nom et la provenance des joueurs cités dans les deux cinq majeur de la compétition en 2017-2018 :\\n\\n1er cinq\\n\\nNick Calathes (Grèce, mais formé aux États-Unis), Nando de Colo (France), Luka Doncic (Slovénie), Tornike Shengelia (Géorgie), Jan Vesely (Rép. Tchèque)\\n\\n2e cinq\\n\\nKevin Pangos (Canada), Sergio Rodriguez (Espagne), Alex Shved (Russie), Vassili Spanoulis (Grèce), Paulius Jankunas (Lituanie)\\n\\nAutrement dit, un joueur nord-américain – et « même pas » des États-Unis – sur dix !\\n\\nPour autant, l’Euroleague est-elle réellement une ligue faisant peu de cas des joueurs nord-américains ? Il y a un certain nombre de nuances à apporter...\\n\\nTout d’abord, même s’il ne figure pas dans les deux premiers cinq majeur de la compétition, l’états-uniens bon teint Kyle Hines (CSKA Moscou) s’est vu décerner le titre de Meilleur défenseur, titre qu’il avait déjà décroché en 2016. Plus généralement, l’analyse des effectifs des seize clubs ayant disputé l’Euroleague en 2017-2018 montre que 74 joueurs nord-américains (dont deux Canadiens) ont foulé les parquets de la compétition.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture: Cory Higgins (CSKA Moscou, FIBA)."
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Valentin Cavalier nouveau Directeur Général de Bourges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Valentin Cavalier, ancien Manager Général de Villeneuve d’Ascq a été nommé Directeur Général du Tango Bourges Basket par le conseil d’administration du club.\\n\\nDiplômé d’un Master de Droit et d’Économie du Sport au Centre du Droit et du Sport de Limoges, Valentin Cavelier a démarré sa carrière de Manager au sein de la Chorale de Roanne alors en ProA de 2005 à 2009. Il a ensuite pris la direction de l’Union Sportive Montalbanaise (rugby, Top 14) jusqu’en 2011 avant de rejoindre Villeneuve.\\n\\nLe journaliste Patrice Dumont avait été le DG du club quelques semaines la saison dernière.\\n\\nPhoto: Bourges Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Malcolm Cazalon a signé pour trois saisons à la JL Bourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Photo à l’appui, la JL Bourg a annoncé aujourd’hui que Malcolm Cazalon (1,96m, 17 ans) a signé pour trois saisons avec le club.\\n\\nMalcolm Cazalon, un ancien du Centre Fédéral, a donc préféré quitter l’ASVEL pour rejoindre un club où il est susceptible d’avoir davantage de temps de jeu. Il est considéré comme l’un des meilleurs espoirs français, au même titre de Killian Hayes (Cholet) et Théo Maledon (Villeurbanne), deux joueurs avec qui il a été vice-champion du monde U17 cet été.\\n\\nPhoto: JL Bourg"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pedro Martinez veut croire à une qualification au Final Four à Vitoria"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une intersaison plutôt calme, Vitoria a tranquillement repris le travail sous l’autorité de Pedro Martinez. Lancé au feu après l’éviction rapide de Pablo Prigioni en début de saison passée, le technicien catalan a réussi à redresser la barre du navire basque en détresse.\\n\\nEt cette saison, avec un effectif quasi-inchangé et le Final Four qui se déroulera à la maison, coach Martinez a forcément des envies folles en cette reprise de l’entraînement.\\n\\n« Je crois vraiment qu’on peut arriver au Final Four », a avoué Martinez. « Être champions d’Europe à Vitoria est un rêve pour tout le monde. Et on va travailler avec ce rêve en tête. »\\n\\nMais pour réaliser ce rêve un peu fou, le Baskonia va devoir bûcher sérieusement. Après les départs de Rodrigue Beaubois et Janis Timma notamment, Vitoria a misé sur deux américains, Darrun Hilliard et Shavon Shields. Pedro Martinez a loué leur volonté d’intégration et leur rapidité d’adaptation, le signe d’un groupe qui vit bien.\\n\\n« En début de saison, on veut surtout créer de bonnes habitudes de jeu »\\n\\n« On s’entraîne pour le moment sur les fondamentaux et on continuera à le faire au cours de la saison car c’est le plus important. Mais en ce moment, on veut surtout créer de bonnes habitudes de jeu que l’on veut enseigner aux nouveaux joueurs pour qu’ils rattrapent le train lancé depuis la saison passée. On parle d’habitudes défensives, d’attaques, d’un jeu qui met en valeur les qualités de nos joueurs. Et que ces qualités servent l’équipe. »\\n\\nApôtre du jeu rapide et de la relance, notamment avec les mobylettes Lucas Vildoza et Marcelinho Huertas, coach Martinez compte surtout sur la stabilité de son groupe pour démarrer au mieux la saison sur la scène européenne.\\n\\n« Je suis très content de la continuité qu’il y a dans l’effectif car la plupart des joueurs connaissent déjà les systèmes de jeu. On va ainsi pouvoir s’améliorer encore dans leur exécution. Globalement, on a réussi une bonne saison l’an passé car on a tenu nos objectifs et on avait une équipe compétitive. On a les mêmes objectifs cette saison, et ce ne sera pas facile de les atteindre ! »\\n\\nAutour de Tornike Shengelia, prolongé cet été, Vitoria sera sans aucun doute un gros morceau en Euroleague. Mais la troupe basque sera-t-elle capable de s’élever au niveau des tous meilleurs, à savoir le Real, le CSKA ou le Fener ?\\n\\nPhoto : Europa Press"
}, 
{"role": "user",     "content":"BasketEurope.com de retour en ligne (un article Premium offert dans cet article)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme vous l’avez constaté, nous avons mis quelques heures le site en maintenance pour des raisons de sécurité suite à une attaque de hacking mondiale qui nous a affectés ce weekend. Nous avons rétabli le site qui affichait un pop-up publicitaire malveillant (pour un site qui n’affiche quasiment pas de publicité c’est paradoxal...). Nous avons choisi de couper l’accès au site afin de vous protéger car le pop-up tentait d’installer un module sur votre navigateur web. D’ailleurs si vous avez fait partie des visiteurs qui ont été infectés avant la coupure du site, vous pouvez nous contacter pour que nous vous donnions les instructions afin de nettoyer votre ordinateur ou téléphone.\\n\\nJe profite de cet article pour vous donner des nouvelles plus générales sur BasketEurope puisque cela fait quelque temps que ça n’a pas été fait : nous continuons à grandir et nous préparons de belles choses pour la rentrée. Les abonnées Premium sont au rendez-vous même s’ils nous en manque encore quelques uns pour pérenniser notre société. Nous sommes conscients que la proposition Web partiellement payante + Magazines est quelque peu novatrice et difficile à appréhender pour certains qui ont eu l’habitude d’avoir un Web totalement gratuit, mais nous sommes persuadés que c’est l’avenir de l’information.\\n\\nNous avons fait le choix du professionnalisme et de la qualité ce qui -tout simplement- implique d’être payé par nos lecteurs pour être rentable. Nos opérations publicitaires sont rares et les bannières pubs ont disparu du site (sauf sur le tableau des transferts que nous avons choisi de laisser en libre accès). Nous vous proposons aujourd’hui d’accéder gratuitement à l’interview exclusive d’Antoine Rigaudeau que le journaliste David Pick nous avait rapporté de Moscou, et nous proposons également le magazine n°5 en promo sur la boutique (3€ au lieu de 6€).\\n\\nPour lire l’interview d’Antoine Rigaudeau, merci de remplir ce formulaire :"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Un documentaire sur Alain Gilles"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette vidéo date d’il y a quelques semaines mais mérite d’être visionnée. Elle s’intitule « L’Ami Alain Gilles ». Ce sont ses anciens équipiers ou plutôt ses potes, Michel Le Ray et Alain Vincent qui sont aux commandes.\\n\\nAlain Gilles est considéré comme le meilleur basketteur français du XXe siècle."
}, 
{"role": "user",     "content":"La retraite de Manu Ginobili à la Une de la presse en Argentine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Même si tout le monde s’y attendait -il vient de fêter ses 41 ans-, l’annonce de la retraite de Manu Ginobili a créé un choc dans la communauté mondiale du basket et tout spécialement en Argentine. El Manu y est un héros et il se retrouve à la Une de tous les quotidiens du pays, même ceux pour qui le sport n’est pas une priorité."
}, 
{"role": "user",     "content":"[REDIFF] Portrait : Lisa Berkani, la pépite de Mondeville"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BasketEurope vous propose cet été de lire ou de relire les meilleurs articles PREMIUM de la saison 2017-18.\\n\\nLes journalistes américains, qui rentrent dans les salles avec le laissez-passer de leur carte de presse, ont l’habitude d’écrire comme compliment ultime qu’ils seraient prêts à payer leur place pour voir jouer Stephen Curry, LeBron James ou Kevin Durant. A notre niveau, on peut utiliser la même expression pour Marine Johannes, la petite fée de Bourges. Et Lisa Berkani.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nA grand renfort de cross over, de fade away, de step back, de dribbles démoniaques, la Mondevillaise (1,75m, 20 ans) donne d’agréables frissons et son style tranche avec celui de ses congénères qui est généralement sobre, classique, parfois un peu robotisé.\\n\\nQuestion prioritaire : de quels joueurs s’inspire-t-elle sachant que le mimétisme s’est développé depuis la naissance d’Internet avec des millions de vidéos qui circulent sur toute la surface du globe, spécialement dans le sens Etats-Unis/Europe ?\\n\\n« Il y a des gestes qui viennent vraiment instinctivement », répond-elle. « Il y en d’autres que j’ai pu recopier surtout ceux de Kobe Bryant qui est mon joueur préféré depuis que je suis petite. D’autres se sont révélés au fil des années. Stephen Curry, Kyrie Irving et Russell Wesbrook, ce sont trois meneurs que je suis beaucoup. Magic Johnson aussi. Il y a aussi des joueurs d’Euroleague de plein de nationalités comme Milos Teodosic. Je peux tomber sur des vidéos sur des réseaux sociaux sur un joueur que je ne connais pas du tout. Je vois qu’il fait des choses intéressantes et j’essaye de les reproduire. »\\n\\n\\nDompteuse de balles\\n\\nDes arrières françaises qui ont marqué leur génération en apportant ce supplément d’âme par un style d’avant-garde, il y en a eu quelques-unes comme Jacky Chazalon, Cathy Malfois, Edwige Lawson et la encore très jeune Olivia Epoupa. Lisa Berkani est dans cette catégorie. On ne parle pas de rentabilité immédiate, Céline Dumerc est toujours la numéro 1, ni du côté meneuse de femmes que symbolisait si bien Yannick Souvré, mais de l’aspect artistique, du pouvoir de créativité.\\n\\nRomain Lhermitte, qui s’occupe à l’USO Mondeville de la destinée de l’Auvergnate après avoir eu en couveuse Marine Johannes, est sans détour quand il annonce qu’il ne connaît pas en France, en Europe ni même au monde une meneuse de jeu avec un tel talent.\\n\\n« J’ai cherché et je ne vois pas de filles capables de créer autant ses situations, ses tirs. Même les Américaines, comme Maya Moore, ce sont des qualités athlétiques pures qui les distinguent. La seule qui peut créer ses propres shoots comme ça c’est Candice Parker mais qui est une intérieure. Des meneuses de jeu, je n’en vois pas ou en tout cas, je n’en connais pas. Comme j’ai une joueuse qui joue en WNBA, je l’ai beaucoup regardé cet été et en fait je n’ai pas vu de filles aussi à l’aise balle en main. Lisa maîtrise vraiment très, très bien le ballon beaucoup plus que 95% des garçons. Elle est techniquement dans la catégorie des meilleurs meneurs garçons. D’ailleurs le plus grand regret de sa vie, à mon avis, c’est de ne pas pouvoir jouer avec des garçons. Son rêve serait d’envoyer des garçons à des alley oop. J’en parlé hier avec elle et je lui disais que si elle jouait à Golden State avec Kevin Durant, elle ferait cinquante alley oop par match », dit-il en riant. « C’est vrai que chez les filles c’est parfois un peu frustrant. Elle peut jouer les pick and roll et faire des passes aux intérieures, c’est moins spectaculaire, ça prend plus de temps et c’est moins fiable. »\\n\\nEn discutant du sujet avec le coach normand, on est tombé d’accord sur le fait que la joueuse qui possède le même feeling est l’Espagnole Laia Palau revenue à Bourges dont chaque geste est imaginatif, chaque tentative audacieuse. Romain Lhermitte n’est pas du genre à manier la langue de bois. Il est conquis par Lisa Berkani et il le dit.\\n\\n« Lorsque j’étais plus jeune, Laia Palau était venue jouer à Mondeville, je l’ai vu et avant le match je la voyais s’entraîner et c’est vrai qu’elle a une dextérité hors normes pour une jeune fille. Mais je pense que Lisa est passée au niveau du dessus. C’est un peu comme chez les garçons avec Stephen Curry qui a amené le basket dans une autre dimension, à shooter de très loin, à dribbler dans tous les sens. Avant il y avait Isiah Thomas, Allen Iverson, Curry amène le basket à un niveau au-dessus et c’est ce que Lisa et Marine sont en train de faire en ce moment. »\\n\\n\\nMVP européenne en 3×3\\n\\nLisa a toujours été précoce. Elle n’a pas été enrôlé en U15 mais directement en U16. Cela tombe bien puisqu’elle se dit plus à l’aise avec des filles plus âgées.\\n\\nEn U18, en tant que leader offensif des Bleues (14,8 points par match), elle s’est retrouvée incluse dans le cinq idéal de l’Euro, en même temps que Alexia Chartereau, qui a marché en double double et aussi que l’Espagnole Angela Salvadores était élue une fois de plus MVP.\\n\\n« En équipe de France, j’ai souvent été battue en quart de finale contre l’Espagne », dit-elle. « Il y a une très grosse génération aussi bien en 96 qu’en 97 avec l’équipe espagnole et c’était compliqué chaque été de jouer contre elles. A la fin c’était une hantise. C’est mieux de les retrouver en finale ou en demi-finale. Etre éliminées en quarts de finale, c’est frustrant. »\\n\\nNi les Espagnoles, ni même les Américaines ne sont parvenues en revanche à stopper Lisa au championnat du monde 3×3 juniors en 2015, à Debrecen, en Hongrie. Elle faisait équipe avec Alexia Chartereau, Maeva Djaldi Tabdi et Francesca Dorby et le quatuor se paya la tête des Etats-Unis en finale. C’est Lisa qui scora le lancer de la gagne et qui se vit décerner le trophée de MVP.\\n\\n« Dans le 3×3 parfois les pays n’envoient pas les mêmes équipes car ça tombe en même temps que les autres compétitions alors que là c’était les meilleures joueuses. On ne s’attendait pas du tout à battre les Etats-Unis, on se disait que c’était super de gagner la médaille d’argent. Il y avait de très bonnes joueuses avec moi. C’est un souvenir pour toute ma vie. »\\n\\nLe 3×3, discipline exigeante, qui demande d’avoir des poumons en acier, un grand esprit de corps et qui laisse davantage le champ libre à l’expression individuelle, a-t-il forgé le style de Lisa Berkani ?\\n\\n« J’étais déjà un peu fofolle avant le 3×3 mais ça m’a incité à faire ça surtout qu’il y a plus d’espace dans le 3×3. Je peux vraiment faire des choses que je ne peux pas faire dans le 5×5. Au début, je ne faisais pas attention au fait que ça puisse être artistique vis-à-vis de joueuses qui ne font pas la même chose que moi. C’est venu comme ça et je ne m’en rendais pas forcément compte. Je le sais de plus en plus parce que beaucoup de personnes me le répète mais au départ, c’était normal. »\\n\\nPour Lisa, le 3X3 c’est du passé. Son statut de presque internationale lui commande désormais de se consacrer exclusivement au 5×5.\\n\\n\\nUn rat de gymnase\\n\\nCe qui caractérise aussi la meneuse de Mondeville, c’est sa puissance. Romain Lhermitte compare Marine Johannes à Stephen Curry –ses équipières ne l’a surnomment pas pour rien Stéphanie Curry- et Lisa Berkani à Kyrie Irving.\\n\\n« Marine est une ballerine en fait. Lisa est plus au sol. Elle a de bonnes cuisses, une puissance physiques, de solides appuis, de gros changements de direction, ça va très vite, et par contre quand elle pénètre, elle ne saute pas très haut », analyse Romain Lhermitte.\\n\\nLà où Marine Johannes n’avait connu que Mondeville et sa Normandie de naissance avant de rejoindre Bourges, Lisa l’Auvergnate a fait le centre de formation de Bourges où elle était déjà une grosse scoreuse, a transité par Lattes-Montpellier –cela lui a permis dans un rôle mineur d’être championne de France avec les deux équipes- avant de signer à Mondeville.\\n\\n« Durant mes deux années à Bourges j’étais souvent avec l’équipe professionnelle. A la base je devais signer à Tarbes, un club de milieu de tableau qui pouvait faire confiance aux jeunes. Je n’ai pas pu y aller puisque le club a eu des problèmes financiers et a été rétrogradé en Ligue 2. Je suis allée à Montpellier sans le vouloir vraiment. Ça s’est fait tardivement, il n’y avait plus de place au sein des effectifs des autres clubs. C’était une très grosse équipe et même si les autres joueuses m’ont vraiment épaulé, je voulais encore plus de temps de jeu et j’ai préféré aller à Mondeville où justement ils font confiance aux jeunes. »\\n\\nEn explorant son comportement, on apprend que Lisa est ce que les Américains appellent un rat de gymnase. Elle apporte sa grosse enceinte, met sa musique et shoote.\\n\\n« J’aime bien m’entraîner le matin, l’après-midi, le soir. Quand j’ai accès à la salle, j’y vais. C’est pour ça que je cherche des clubs où le terrain est libre, pas occupé par des écoles ou d’autres sports. »\\n\\nUne telle dépendance à la balle orange, Romain Lhermitte n’a tout simplement jamais vu ça.\\n\\n« Depuis sept ans que je suis en ligue féminine, c’est la première qui passe autant de temps à la salle. Ce n’est pas encore la plus professionnelle. Tim Gaucher par exemple arrive toujours en avance, repart après les autres. Lisa c’est différent, elle a besoin d’être dans la salle, de son odeur. Je pense que si elle pouvait avoir son appartement dans le gymnase, ça serait parfait pour elle. Parfois elle n’y fait pas grand-chose mais elle est là. Les filles font leurs deux entraînements par jour et après elles s’en vont. Un lundi on a fini de s’entraîner à 18h30, elle est partie après 21h. Elle avait regardé l’entraînement des séniors garçons. C’est inédit chez une jeune fille. »\\n\\nFille et sœur de basketteurs, Lisa est tout simplement passionnée par ce qu’elle fait. Le genre a surfé sur les sites de basket, à lire les magazines, à regarder les matches à la TV, à avoir eu, gamine, comme modèles Tony Parker et Allen Iverson. Son obsession peut parfois créer quelques petits phénomènes de rejet auprès de ses équipières.\\n\\n« Il y en a qui me demandent de les lâcher car elles en ont marre, » confie-t-elle en riant. « Il y en a d’autres qui me prennent, entre guillemets, comme je suis et ça leur fait plaisir. Si je peux aider certaines joueuses... Comme je suis toujours à la salle, elles me demandent de venir avec moi. Quand on travaille beaucoup, on a plus de chances de réussir ».\\n\\n\\nUn pétard ambulant\\n\\nLisa se voit sur les deux postes d’arrière, comme combo. Son coach a un avis plus tranché.\\n\\n« C’est la question que je lui ai posée quand je l’ai recrutée, si elle voulait jouer meneuse ou deuxième arrière. Je pense que c’est une meneuse de jeu et chez nous elle ne joue qu’à la mène. Elle a besoin du ballon dans les mains, remonter le ballon, enclencher les systèmes, elle sait faire. Quand elle est deuxième arrière, ça veut dire qu’on l’utilise plus comme shooteuse et elle perd de son agressivité. Il y en a qui ne sont pas d’accord avec moi. Je ne suis pas très objectif car j’aimerais que Lisa et Marine soient très performantes l’une avec l’autre. Et si elle joue deuxième arrière, Lisa ne pourra pas jouer avec Marine », dit-il dans un clin d’œil.\\n\\nNous le disions, alors que nombre de joueuses françaises développent un jeu très sage parfois trop stéréotypés, celui de Lisa Berkani est à risques. C’est une sorte de pétard ambulant. Pas facile de trouver le bon compris entre des initiatives individuelles improvisées trop hasardeuses, hors timing, à faire perdre les cheveux à un hippie, et celles qui donnent le coup de booster nécessaire pour la gagne.\\n\\n« J’avoue que ça, c’est très compliqué », constate Romain Lhermitte. « J’en parle avec mes assistants. Contre La Roche, on a une possession pour être à plus cinq points à cinq minutes de la fin du match. On intercepte la balle. Une joueuse de La Roche est loin derrière et on s’est très bien qu’elle ne va pas la rattraper. Lisa décide de faire un step back et de tirer à trois-points ! Ça fait gamelle. Derrière La Roche met un trois-points et revient à égalité. Et là on se dit, pourquoi elle a pris autant de risques ? Mais en même temps, dans le troisième quart-temps, deux fois La Roche mène de deux points, deux fois elle prend un shoot à trois-points en première intention et deux fois on passe à +1. Oui elle prend des shoots qu’elle ne doit pas prendre. Sauf que lorsqu’elle est tellement dans l’agressivité, que l’on a envie de gagner, elle fait ce qui lui passe par la tête. Je pense que si elle réfléchit, elle n’arrivera plus à rien. C’est ce que j’avais décidé avec Marine. Fait et au bout d’un moment tu arriveras à savoir ce qu’il faut faire ou pas. Il faut prendre sur soi et accepter les défauts et les avantages de chacun. Quand je vois les joueurs NBA qui ont le même style de jeu, ils font les mêmes erreurs. Stephen Curry fait exactement la même chose. On se dit « mais pourquoi il prend ce tir là ? »\\n\\nLe plus difficile pour un coach, c’est de faire accepter par le groupe que Lisa est différente, qu’elle peut se permettre des gourmandises interdites aux autres bouches. Il est évident que son jeu, c’est souvent du quitte ou double.\\n\\n« C’est ça. Parfois ce n’est pas simple pour ses coéquipières, il faut suivre. On n’a pas l’habitude dans le basket féminin. Il faut apprendre à la connaître. L’avantage là, c’est qu’elle joue avec des joueuses comme Kim Gaucher qui était déjà là la saison dernière. Lisa avait été performante et ça légitime son jeu. Quand Lisa allait dans les débordements, on avait l’année dernière KB Sharp qui est une meneuse plus classique, qui était là pour réguler tout ça. Cette année, on n’a que Lisa comme meneuse de jeu et parfois il faut s’accrocher », commente Romain Lhermitte en riant.\\n\\nSur son année et demie à Mondeville, Lisa Berkani en est à 58/185 à trois-points, soit du 31,3% de réussite. Par comparaison, la Landaise Céline Dumerc est cette saison à 27,2%. C’est surtout le nombre de balles perdues de Lisa qui est excessif : 3,25 pour 4,13 passes décisives. Un ratio insuffisant. Celui de Céline Dumerc est de 1,5/4,7.\\n\\n« Dans le dernier quart-temps, je dois réguler un minimum », promet l’intéressée.\\n\\n\\nDans le sas de la WNBA\\n\\nJames Wade, mari de l’ancienne internationale Edwige Lawson, s’occupait du centre de formation de Lattes-Montpellier lorsque Lisa Berkani était membre de l’équipe professionnelle. Elle a apprécié les nombreux entraînements individuels qu’il lui a offert. Le Franco-Américain a eu un parcours riche et singulier puisqu’il est devenu l’été assistant en WNBA, aux San Antonio Stars et au Minnesota Lynx et l’hiver à Ekaterinbourg, la référence européenne. C’est évidemment lui qui a mis le Lynx, quatre fois champion WNBA en sept ans, peuplé de superstars, de Maya Moore à Sylvia Fowles en passant par Lindsay Whalen, sur la piste de la Française.\\n\\nAu printemps dernier, Lisa s’est retrouvé draftée en 24e position.\\n\\n« Elle est tellement mature dans son jeu et elle travaille très très dur. C’est une joueuse qui est meilleure que la plupart des joueuses draftées à partir du 10e pick », a commenté James Wade à Ladyhoop.\\n\\n« James m’avait prévenu que mon nom sortirait surement au niveau de la draft 2017. On a regardé la draft avec des coéquipières mais on s’est endormi vers 2-3 heures au niveau de la 18e ou 20e joueuse car on pensait que mon nom ne sortirait plus. Et mon nom est sorti en 24e position. Dans la nuit j’ai reçu des textos, des appels », se remémore Lisa.\\n\\nLa Mondevillaise n’est encore jamais allée aux Etats-Unis et ses rapports avec la franchise se limitent à ceux qu’elle entretient avec James Wade et Edwige Lawson. Lisa Berkani sera-t-elle la 12e Française à rejoindre la ligue américaine ? La suite donnée à cette draft est encore un mystère mais pour Romain Lhermitte, pas de doute : sa joueuse a un style qui doit plaire aux Américains.\\n\\n« Je le pense complètement. De toutes façons, beaucoup de Françaises pourraient jouer en WNBA. On voit que la NBA vient chercher des garçons chez nous. Mais on sait très bien que le calendrier de l’équipe de France ralenti le processus pour les filles. Lisa a des qualités athlétiques pour tenir en WNBA. Elle peut supporter les grosses pressions défensives. Elle va aussi vite qu’elles. Elle peut leur amener « un » basket. Chez les filles, ils ne connaissent pas trop ça. Ça peut être une révolution si jamais elle perce là-bas. Malheureusement, il y a beaucoup de Françaises qui risquent ensuite de partir car ça a peut être un déclencheur. Ils connaissent déjà Marine. »\\n\\nEt quand on lui fait remarquer que la WNBA est encline à faire du protectionnisme, qu’il est difficile pour une Européenne de s’y faire son trou, Romain Lhermitte poursuit :\\n\\n« Je pense que le basket féminin a vingt ans de retard sur le basket masculin. C’était le cas en NBA il y a vingt ans et maintenant ils ont ouvert leurs frontières. Comme être entraîneur en NBA, ils ont encore du mal à ouvrir leurs portes. Je pense qu’en fille ça va arriver mais je crois que la fédération française n’a pas envie que ça arrive trop vite. Ça poserait des soucis énormes. »\\n\\nQuand on lui demande si depuis cette annonce elle s’est jetée sur les retransmissions de matches de la ligue US, Lisa fait une réponse surprenante :\\n\\n« Pas spécialement justement. J’ai forcément regardé des matches de filles, je ne veux pas partir sans savoir où je vais. Mais je connais plus de joueurs que de joueuses. Je préfère quand même la NBA ! »\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=SWugyALhxzE\\n\\n\\nSur-émotivité\\n\\nL’autre facette de Lisa, c’est sa sur-émotivité. Elle travaille avec un préparateur mental qui lui conseille de prendre les choses moins à cœur.\\n\\n« Ce n’est pas le premier à me le dire. Parfois je suis trop émotive. C’est parfois une qualité, parfois un défaut. »\\n\\nL’une des faiblesses de Lisa, c’est de bouder après un échec et cela a le don d’agacer ses équipières.\\n\\n« C’est normal. Moi-même quand je vois quelqu’un qui fait la tête, qui s’énerve, ce n’est pas agréable mais quand je n’ai pas fait une bonne prestation et qu’en plus on a perdu, les jours qui suivent, il ne faut pas trop s’approcher. Le temps de me remettre en question et de passer à autre chose. Avant c’était pire, maintenant ça va beaucoup plus vite. On a perdu samedi, le dimanche ça a commencé à aller mieux. »\\n\\nRomain Lhermitte confirme la sensibilité à fleur de peau de la jeune femme :\\n\\n« Elle est constamment dans l’émotion. Quand on perd un match, tout s’effondre. C’est ça qu’il va falloir qu’elle apprenne à contrôler. Le jour où elle le fera, elle sera tout simplement plus mature et ça sera plus facile pour elle. Quoi qu’il se passe dans sa vie elle est toujours aux extrêmes. Si un jour elle ne sent pas le ballon, elle va décider de ne pas tirer. Elle va se retrouver seule à trois-points et elle ne va pas le prendre. Elle va vouloir faire une passe et elle va faire perte de balle. Alors que le match d’après, elle va sentir le ballon et même si elle rate, elle va continuer à shooter. Et elle est exactement la même sur le terrain qu’en dehors. C’est une grande différence avec Marine qui n’est pas du tout la même sur et en dehors. »\\n\\n\\nEt les Bleues?\\n\\nDernier épisode : l’équipe de France. Avec son ancienne partenaire de Mondeville, Marième Badiane, Lisa Berkani a fait partie des dernières recalées lors de l’Euro 2017. Elle n’a pas encore revêtu le maillot bleu. Pas de retard, Céline Dumerc ne l’a fait qu’à 21 ans accomplis.\\n\\n« Quand elle appelle 18, 16 ou 14 joueuses, comme le sélectionneur le dit souvent, toutes ont leur place au final. C’est peut-être un problème de complémentarité, peut-être plus d’expérience en Ligue Féminine sur le poste 1, mettre rapidement les pieds en Euroleague ou en Eurocup pour aller plus vite. Faire tout ce qui est possible pour plaire à Valérie et au groupe, » analyse t-elle.\\n\\nLa coach des Bleues ne l’avait pas inscrite dans les « 14 » pour les matches contre la Slovénie et la Finlande en février. Une rupture de l’aponévrose plantaire l’a conduit à la fin de l’automne à deux mois d’absence préjudiciables. Mais la blessure de Hhadydia Minte lui a ouvert la porte en dernière minute. Qu’en sera-t-il cet été si d’aventure elle était appelée par le Lynks ? Et pour ce qui en est de sa carrière en France, elle qui est en fin de contrat en mai avec Mondeville ?\\n\\n« C’est sûr que j’aimerais jouer dans un club d’Euroleague. Je ne sais pas du tout ce que je vais faire, justement je suis jeune. Ça serait peut-être mieux de rester dans un club où il n’y a pas de coupe d’Europe pour travailler encore plus. Quand il y en a les filles sont énormément en déplacement et elles ne s’entraînent presque pas. Il ne faut pas brûler les étapes, parfois il faut savoir prendre son temps. Il faut que je réfléchisse bien à ça. »\\n\\nLisa n’a encore que 20 ans, c’est ce qu’il ne faut jamais oublier.\\n\\n« Elle est vraiment super en avance sur tout le monde. Elle est vraiment impressionnante. Et déjà l’an dernier à 19 ans, elle était à 12 points de moyenne », rappelle Romain Lhermitte.\\n\\n[armelse]\\n\\nA grand renfort de cross over, de fade away, de step back, de dribbles démoniaques, la Mondevillaise (1,75m, 20 ans) donne d’agréables frissons et son style tranche avec celui de ses congénères qui est généralement sobre, classique, parfois un peu robotisé.\\n\\nQuestion prioritaire : de quels joueurs s’inspire-t-elle sachant que le mimétisme s’est développé depuis la naissance d’Internet avec des millions de vidéos qui circulent sur toute la surface du globe, spécialement dans le sens Etats-Unis/Europe ?\\n\\n« Il y a des gestes qui viennent vraiment instinctivement », répond-elle. « Il y en d’autres que j’ai pu recopier surtout ceux de Kobe Bryant qui est mon joueur préféré depuis que je suis petite. D’autres se sont révélés au fil des années. Stephen Curry, Kyrie Irving et Russell Wesbrook, ce sont trois meneurs que je suis beaucoup. Magic Johnson aussi. Il y a aussi des joueurs d’Euroleague de plein de nationalités comme (Milos) Teodosic. Je peux tomber sur des vidéos sur des réseaux sociaux sur un joueur que je ne connais pas du tout. Je vois qu’il fait des choses intéressantes et j’essaye de les reproduire. »\\n\\n\\nDompteuse de balles\\n\\nDes arrières françaises qui ont marqué leur génération en apportant ce supplément d’âme par un style d’avant-garde, il y en a eu quelques-unes comme Jacky Chazalon, Cathy Malfois, Edwige Lawson et la encore très jeune Olivia Epoupa. Lisa Berkani est dans cette catégorie. On ne parle pas de rentabilité immédiate, Céline Dumerc est toujours la numéro 1, ni du côté meneuse de femmes que symbolisait si bien Yannick Souvré, mais de l’aspect artistique, du pouvoir de créativité.\\n\\nRomain Lhermitte, qui s’occupe à l’USO Mondeville de la destinée de l’Auvergnate après avoir eu en couveuse Marine Johannes, est sans détour quand il annonce qu’il ne connaît pas en France, en Europe ni même au monde une meneuse de jeu avec un tel talant.\\n\\n« J’ai cherché et je ne vois pas de filles capables de créer autant ses situations, ses tirs. Même les Américaines, comme Maya Moore, ce sont des qualités athlétiques pures qui les distinguent.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: FIBA et Hervé Bellenger/FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Evan Fournier ne veut plus entendre parler de sa non-sélection aux JO de Rio"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le Super Moscato Show, hier sur RMC, Evan Fournier a voulu clôturer définitivement la polémique née de sa non-sélection pour les Jeux Olympiques de Rio. Qu’on le sache, il n’a pas de différent avec le coach des Bleus, Vincent Collet.\\n\\n« On ne va pas en parler chaque année! Je n’ai pas été pris en 2016, c’est bon. Ce débat vit encore parce que vous en parlez encore... Si je reviens en équipe de France, c’est qu’il n’y a rien. Je n’avais pas été pris pour les Jeux olympiques en 2016, je suis revenu pour les championnats d’Europe l’année suivante. Fin de l’histoire. »\\n\\nPar ailleurs, le joueur des Magic ne sait pas plus que les quidams si Boris Diaw, qui est actuellement en croisière et qui a refusé d’être convoqué pour la prochaine fenêtre internationale a pris définitivement sa retraite sportive ou non.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Tryggvi Hlinason veut passer un nouveau cap avec Obradoiro"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Barré à Valence, Tryggvi Hlinason (2,15m, 20 ans) nous annonçait cet été lors de la ligue d’été de Las Vegas qu’il était à la recherche d’un nouveau point de chute en Espagne. Et c’est Obradoiro qui récupère le prospect islandais par l’intermédiaire d’un prêt.\\n\\nAvec 3 points et 2 rebonds en 6 minutes de jeu en Liga ACB et à peu près autant en quelques apparitions en Euroleague, mais 12 points et 10 rebonds en Liga EBA en 4e division espagnole, Hlinason a prouvé qu’il continuait lentement mais sûrement sa progression. Pour rappel, le géant islandais n’a commencé le basket organisé qu’à partir de l’âge de 16 ans...\\n\\nA Obradoiro, douzième la saison passée en Liga, Hlinason va poursuivre son apprentissage. Et, pour ce faire, il devrait obtenir davantage de temps de jeu. Le jeune intérieur a en tout cas trouvé un club qui lui ressemble.\\n\\n« C’est un club et une ville qui me plaisent bien », a commenté Hlinason sur le site officiel de la Liga. « J’ai trouvé mes coéquipiers très sympas aussi. C’est un club très familial. Tout le monde se sent impliqué et c’est très facile de discuter, tant avec les entraîneurs qu’avec mes coéquipiers. Mais en même temps, c’est une structure très professionnelle et c’est très important pour moi. »\\n\\n« Beaucoup de bons intérieurs sont passés par Obradoiro »\\n\\nComme le pivot ukrainien, Artem Pustovyi, passé par St Jacques de Compostelle et désormais doté d’un beau contrat au Barça, ou Maxi Kléber qui évolue en NBA chez les Mavericks, Hlinason veut bénéficier du savoir-faire local en matière de pivots.\\n\\nEncore brut de décoffrage offensivement, Hlinason doit polir son jeu avec quelques petits moves au poste bas. Avec son envergure, il doit impérativement ajouter un petit tir en crochet à son arsenal !\\n\\n« Je pense que c’est une bonne décision de venir jouer ici, ne serait-ce que parce qu’ils font de l’excellent travail avec les pivots. Beaucoup de bons intérieurs sont passés par ici. Ils ont travaillé dur et ont trouvé le succès. C’est une belle opportunité pour moi. Je serai comme une éponge chaque jour pour absorber le maximum d’informations et m’améliorer. »\\n\\nDans la peinture, Hlinason fera en l’occurrence équipe avec Vladimir Brodziansky, un pivot slovaque qui sort de NCAA et Nick Spires qui arrive de Södertälje, en Suède. En d’autres termes, la concurrence n’est pas tellement farouche et les minutes sont à prendre pour Hlinason.\\n\\n« On a pas mal de pivots différents. Dans mon cas, je suis un pivot costaud et plus intérieur alors que les autres peuvent shooter et s’écarter du cercle. Je pense qu’on peut bien fonctionner. On a des qualités différentes et, comme on propose des solutions différentes, c’est plus difficile de défendre sur nous. »\\n\\nAprès plusieurs sorties intéressantes avec l’Islande dont un match à 15 points, 8 rebonds et 3 contres face à la République Tchèque en février dernier, Tryggvi Hlinason va désormais disposer d’espaces pour étendre ses ailes en Galice.\\n\\nPhoto : FIBA\\n\\nSa belle copie face aux Tchèques :\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?time_continue=34&v=antbQ_g4AXQ"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le chiffre: 2 500 personnes à Beaublanc, un soir d’entraînement ouvert au public"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La photo a été prise par le Directeur Sportif du Limoges CSP, Olivier Bourgain. C’était hier soir le premier entraînement de l’équipe ouvert au public et il y avait selon le club plus de 2 500 spectateurs. Un chiffre juste incroyable qui démontre que la flamme pour le CSP brûle plus que jamais dans le Limousin.\\n\\nLe journaliste du Populaire, Jean-Christophe Bourdin, et le club ont ajouté des vidéos.\\n\\n« Il y avait plus d’ambiance pour un entraînement que dans certaines salles pour les playoffs », ont chambré des supporters limougeauds. Pas faux.\\n\\nIMPRESSIONNANT !\\n\\n\\n\\n\\nUne tribune pleine et ça continue de rentrer. Jamais un entraînement public du @limogescsp n'avait rassemblé autant de monde. #cspnation pic.twitter.com/j3OeeqxIA9\\n\\n\\n— jean-chris Bourdin (@jeancris87) August 27, 2018\\n\\nhttps://twitter.com/BOURGAINO/status/1034126382622797829\\n\\nhttps://www.facebook.com/LimogesCSP.officiel/videos/278880869392141/?hc_ref=ARSSR0WXCcCm-Yxmp0BRV_AJjHZ_wM_uzxwi-y1c0wLJOIVnECSmGD0ec9p2bMSsWtk&fref=nf&hc_location=group&__xts__[0]=68.ARC3ApI-sqYgs7zScLYAn-D9ddOJROinCPlI05A35T49YExlfkoE2a0I3DBm25XLzacJ_hUiHsqBz-umO25MFoIRoSMIBdwm7nvQPD6K2JJDXggG7Gr-MF3vAwAUlgR8JEVzFlI&__tn__=kCH-R"
}, 
{"role": "user",     "content":"De nouvelles perturbations pour les Bleus en septembre !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Décidément, ces fenêtres FIBA pour les matchs de qualification au prochain Mondial chinois n’en finissent pas de défrayer la chronique... Un vrai casse-tête pour le coup !\\n\\nOutre les absences des joueurs NBA, dont Frank Ntilikina qui préfère se concentrer sur sa deuxième saison chez les Knicks, voici que ce sont les joueurs d’Euroleague (Andrew Albicy, Fabien Causeur, Nando De Colo, Thomas Heurtel, Louis Labeyrie, Mathias Lessort, Vincent Poirier) qui selon L’Equipe vont faire défaut au sélectionneur Vincent Collet pendant la préparation.\\n\\nLes dernières nouvelles prévoyaient effectivement un stage d’entraînement partagé entre Pau et Paris avant de s’envoler pour la Bulgarie (match le 13 septembre), puis de revenir affronter la Finlande à Montpellier (match le 16 septembre).\\n\\nAvec ce conflit interminable entre les instances de la FIBA et de l’Euroleague, l’Equipe de France va donc se retrouver avec un groupe largement remanié pour le tournoi de Paris du 7 au 9 septembre (avec Jonathan Rousselle et Mam Jaiteh en renfort notamment).\\n\\nLes joueurs d’Euroleague devraient finalement être libérés le plus tard possible par leurs clubs, en l’occurrence le 10 septembre, afin de rejoindre leurs sélections respectives...\\n\\nOn espère que ça suffira pour les Bleus qui sont jusqu’alors invaincus dans ces matchs de qualification.\\n\\nA noter que la fédération lituanienne, exposée au même type de problème, a repoussé le rassemblement de son équipe nationale du 30 août au 6 septembre et annulé ainsi un match de préparation prévu le 5 contre la Finlande.\\n\\nPhoto : FIBA.com"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nicolas De Jong rejoint finalement Boulazac"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Récemment invité au camp d’entraînement d’Andorre après une saison encourageante du côté de Saragosse, Nicolas de Jong (2m11, 30 ans) a finalement décidé de revenir en France.\\n\\nL’ancien de Cholet et de Châlons/Reims a effectivement donné son accord à Boulazac qui boucle ainsi son recrutement avec le pivot franco-néerlandais.\\n\\nAncien meilleur scoreur français en 2016-17, sous la tunique du CCRB (à plus de 13 points en 21 minutes de moyenne), De Jong va donc retrouver l’Hexagone après sa première expérience à l’étranger l’an passé. Il tournait à 9 points et 4 rebonds de moyenne la saison dernière en Liga ACB.\\n\\n\\n\\n\\nLe BBD est heureux d'accueillir son nouveau pivot Nicolas De Jong @NicodeJong14 !#GoBBD #JeepELITE #Périgord #Dordogne pic.twitter.com/v3VNr0EaAt\\n\\n\\n— BoulazacBasketD (@BoulazacBasketD) August 27, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Levallois en négociations avec l’ex-Strasbourgeois, Darion Atkins"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Sportando, Levallois est en négociations pour faire venir l’ailier américain Darion Atkins (2,03m, 25 ans).\\n\\nCelui-ci était annoncé à l’Hapoel Holon mais pourrait remettre en cause son contrat avec le club israélien dont il a porté le maillot lors de la saison 2016-17. La saison dernière, Darion Atkins évoluait avec la SIG Strasbourg et a assuré 9,9 points et 4,9 rebonds pour 22′ de temps de jeu moyen.\\n\\nPhoto: SIG"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le MAIF Open LFB dévoile son affiche"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La MAIF, qui est devenue en juillet un partenaire majeur de la FFB, s’engage aux côtés de la Ligue Féminine de Basket à travers l’Open LFB qui devient le MAIF Open LFB.\\n\\nLa 14ème édition de cette Open, qui lance la saison de LFB avec les matches de la première journée de championnat, se tiendra les 13 et 14 octobre au Stade Pierre de Coubertin. L’affiche de cette édition 2018 a été réalisée par l’agence Illustrasport.\\n\\nLe programme du MAIF Open LFB 2018\\n\\nSamedi 13 octobre\\n15h30 : Villeneuve d’Ascq – Mondeville\\n18h00 : Tarbes – Lyon\\n20h30 : Bourges – Charleville-Mézières*\\n\\nDimanche 14 octobre\\n13h30 : Basket Landes – Landerneau\\n16h00 : Lattes Montpellier – Nantes Rezé\\n18h30 : Hainaut Basket – Roche Vendée\\n\\n*Match des Champions : le Champion de France affronte le vainqueur de la Coupe de France (ou le finaliste). Le résultat ne compte pas pour le classement de la saison 2018-2019.\\n\\nBilletterie\\n\\nLes places pour le MAIF Open LFB 2018 sont disponibles à la vente. A la journée ou tout le week-end, venez vivre le lancement de la saison 2018-2019 de la Ligue Féminine au Stade Pierre de Coubertin. Pour réserver vos places, rendez-vous sur billetterie.ffbb.com"
}, 
{"role": "user",     "content":"[REDIFF] En direct avec Jean-Michel Mipoka (Gravelines) : «J’ai joué à Saint-Vallier, il n’y a aucun club qui me fait peur»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BasketEurope vous propose cet été de lire ou de relire les meilleurs articles PREMIUM de la saison 2017-18.\\n\\nProfessionnel depuis 2003, Jean-Michel Mipoka (1,98m, 32 ans) est l’un de ces joueurs qui font partie des meubles en LNB. Champion de France Pro B avec Limoges en 2012, il est passé par Cholet, Antibes, Quimper, Saint-Vallier, Roanne, Limoges, Nancy, Rouen, Pau et évolue aujourd’hui au BCM Gravelines-Dunkerque. Il répond aux questions du « En Direct ».\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe premier match que vous avez joué en pro :\\n\\nMon premier match en pro ??! Wow... la vache ! Je ne suis plus trop sûr mais ça devait être contre Limoges en 2000 je ne sais plus trop combien... Ca remonte à très longtemps, je dis Limoges au hasard. (avec Cholet contre Limoges lors de la dixième journée de championnat en 2003/04, il avait compilé 1 rebond et 1 passe décisive, ndlr).\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nIl y en a plusieurs, mais surtout Joseph Gomis. Il m’a apporté une réelle éthique de travail. Rien que de le voir travailler beaucoup avant et après les entraînements, de voir la rigueur avec laquelle il faisait son travail, ça m’a énormément apporté. Ca m’a même un peu changé ma façon de voir le basket de haut niveau.\\n\\nLe meilleur joueur actuel de votre championnat :\\n\\nOn n’a pas encore fait le tour de toutes les équipes mais jusqu’à présent ça serait... C’est une bonne question, j’essaye de me remémorer tout le classement... Je suis incapable de te le dire... Qui est numéro un à l’évaluation ?\\n\\nZachery Peacock\\n\\nOh bah oui clairement, c’est lui le meilleur ! Il a encore mis la misère à Strasbourg il y a quelques jours. Il est chaud cette année.\\n\\nLe joueur le plus vicieux du championnat :\\n\\nOn vient de le jouer, je dirais Klemen Prepelic. Ça ne me dérange pas, on va même dire qu’il est bon. Il est vicieux mais il est bon dans ça.\\n\\nLe joueur le plus râleur du championnat :\\n\\nAh bah je crois qu’il en fait aussi partie. C’est difficile d’être très objectif parce qu’on vient de le jouer. Je voulais dire Sambou Traoré pour le clin d’œil, mais il n’est plus là.\\n\\nLe coach qui vous a le plus marqué :\\n\\nLaurent Pluvy parce que je l’ai eu dans une période difficile de ma carrière. Sinon, Panagiotis Giannakis à Limoges.\\n\\nLe club où vous aimeriez jouer :\\n\\nEn NBA, Europe ou France ? Parce qu’en France j’ai joué dans les deux clubs pour lesquels je voulais jouer : Limoges et Pau. En Europe, je pense que j’aurais bien aimé jouer pour Madrid. Quand Mike Gelabale a signé là-bas, j’étais heureux comme si c’était moi parce que j’aime vraiment ce club.\\n\\nAu contraire, le club dans lequel vous n’aimeriez pas jouer :\\n\\nJ’ai joué à Saint-Vallier donc il n’y a aucun club qui me fait peur (rires) !\\n\\nVotre pire souvenir de joueur :\\n\\nC’est difficile à dire, très difficile. Dans tous les pires moments que j’ai pu passer, il y avait toujours du bon... Ma première plus grosse déception en tant que joueur c’est quand on perd la finale de Coupe de France contre Gravelines. J’étais vraiment triste. Ah non, c’est bon j’ai trouvé ! C’était la finale perdue contre Chalon sur Saône en Coupe de France en 2012.\\n\\nVotre meilleur souvenir de joueur :\\n\\nLe meilleur c’est quand on est champion de France avec Limoges. C’était vraiment bien parce qu’on avait un très bon groupe, une très belle équipe et puis Limoges c’est une super ville.\\n\\nL’adversaire le plus coriace :\\n\\nJ’ai eu du mal contre Tremmell Darden à l’époque où il était à Nancy. Il était incroyable.\\n\\nVotre match référence en carrière :\\n\\nRécemment, je dirais peut-être celui face à Chalon sur Saône l’année dernière (20 points à 9/13 aux tirs, 2 rebonds, 18 d’évaluation, ndlr).\\n\\nLe match dont vous avez honte :\\n\\nIl y a une année où je fais -7 d’évaluation contre Brest (0/8 aux tirs et 2 ballons perdus dans la victoire face à Brest avec Saint-Vallier, ndlr).\\n\\nSi vous pouviez prendre le move d’un joueur :\\n\\nLes moves au poste d’Hakeem Olajuwon.\\n\\nSi vous deviez payer votre place pour un joueur :\\n\\nPeut-être voir LeBron James ou Olajuwon parce qu’il était incroyable.\\n\\nPourquoi portez-vous le 31 :\\n\\nParce que je suis de Toulouse ! Tout simplement.\\n\\nSi vous aviez une règle à changer dans le basket :\\n\\nOn est tellement habitués à jouer avec qu’au final on s’y accommode à toutes. Peut-être la nouvelle règle sur les antisportives en contre-attaque.\\n\\nVaut-il la peine de parler avec les arbitres :\\n\\nSi ça en vaut la peine parce que ce sont des êtres humains et ils savent parfois quand ils ont fait une erreur. Leur dire qu’ils ont fait une erreur parfois peut leur permettre en revoyant le match de s’en rappeler et d’y penser. Je pense que ça serait même limite ennuyeux pour eux de devoir arbitrer des joueurs qui ne les regardent même pas et qui ne leur parlent jamais.\\n\\nPrincipal sujet de discussion dans l’équipe :\\n\\nDes conneries ! Sinon on parle beaucoup de basket et foot.\\n\\nVotre meilleur pote dans le basket :\\n\\nCa c’est une question piège ! Ce n’est pas bon parce que j’ai fait plein de clubs et j’ai rencontré des gens incroyables à chaque fois ! Retirer une seule personne c’est difficile. Non, non, non je ne peux pas répondre à cette question j’en ai trop. Je vais me mettre des gars à dos et tout ça, non, non, non, non, non (rires).\\n\\nVotre principale occupation entre deux entraînements :\\n\\nJe regarde beaucoup de séries et beaucoup de basket. Je fais pratiquement que ça, ma femme en a marre.\\n\\nLa ville où vous avez joué que vous préférez :\\n\\nJ’ai préféré Pau.\\n\\nQuelques mots pour vous décrire :\\n\\nJe suis un chambreur, plutôt cool et en tant que joueur je suis polyvalent.\\n\\nSi vous n’aviez pas été basketteur :\\n\\nJ’aurais essayé péniblement de faire une carrière de footballeur (rires). Sinon, je ferais un métier au contact de gens dans le milieu du sport. Ou alors, j’aurais été dans la communication.\\n\\n[armelse]\\n\\nLe premier match que vous avez joué en pro :\\n\\nMon premier match en pro ??! Wow... la vache ! Je ne suis plus trop sûr mais ça devait être contre Limoges en 2000 je ne sais plus trop combien... (avec Cholet contre Limoges lors de la dixième journée de championnat en 2003/04 il avait compilé 1 rebond et 1 passe décisive, ndlr). Ca remonte à très longtemps, je dis Limoges au hasard.\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nIl y en a plusieurs, mais surtout Jospeh Gomis. Il m’a apporté une réelle éthique de travail. Rien que de le voir travailler beaucoup avant et après les entraînements, de voir la rigueur avec laquelle il faisait son travail, ça m’a énormément apporté. Ca m’a même un peu changé ma façon de voir le basket de haut niveau.\\n\\nLe meilleur joueur actuel de votre championnat :\\n\\nOn n’a pas encore fait le tour de toutes les équipes mais jusqu’à présent ça serait... C’est une bonne question, j’essaye de me remémorer tout le classement...[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : BCM Basket / Julie Dumélié"
}, 
{"role": "user",     "content":"Antibes: Julien Espinosa satisfait du recrutement de son 7 pieds, Trevor Thompson"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Rares sont les 7 pieds en Jeep Elite. Les bons sur le marché sont généralement trop chers, aussi c’est toujours un risque de faire appel à un géant. Trevor Thompson (2,13m, 24 ans) en est un et visiblement le coach d’Antibes, Julien Espinosa, est très satisfait de sa trouvaille.\\n\\nSorti de Ohio State en 2017, Trevor Thompson a passé la saison dernière aux Warriors de Santa Cruz en G-League.\\n\\n« Je l’ai vu à Los Angeles pendant la Summer League. J’ai vu beaucoup de choses qui me plaisaient, on a pris le temps de creuser la piste et on a eu des infos très positives de la part des Brooklyn Nets. C’est un garçon extrêmement mobile pour son gabarit », indique Julien Espinosa dans Nice Matin. « Il n’a pas des mauvaises mains, il peut shooter face au panier, attaquer le cercle. C’est un finisseur respectable dans la raquette qui a tous les éléments pour progresser avec nous. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Monaco: Yakuba Ouattara est de retour en pleine forme"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Réengagé à la fin mars par l’AS Monaco, Yakuba Ouattara (1,92m, 26 ans) avait été l’un des grands absents de la finale des playoffs de Jeep Elite en raison d’une blessure au mollet. Le Monégasque a prolongé cet été d’une saison avec la Roca Team.\\n\\nHier, les Monégasques ont procédé à un match de préparation face à Fos/Mer et ils l’ont emporté 77-73. Yakuba Ouattara a scoré 11 points et démontré que ses tourments physiques sont derrière lui.\\n\\n« Je crois que Yakuba Ouattara aura une meilleure saison, sans blessures. Cette année, il nous aidera beaucoup plus qu’il ne l’a fait l’an passé. On aura une équipe compétitive », a déclaré dernièrement le nouveau coach Sasa Filipovski à Nice Matin.\\n\\nPhoto: ASM"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16 féminin: Le triomphe de l’Italie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Emmenée par Ilaria Panzeria (11 points, 12 rebonds et 6 passes), l’Italie est devenue championne d’Europe U16 féminine hier soir à Kaunas après avoir battu en finale la République Tchèque, 60-52. Les Italiennes ont du faire face à une véritable bourrasque dans le dernier quart-temps. A trois minutes de la fin, elles avaient encaissé 22 points en en rendant seulement 3, mais elles ont tenu le coup. C’est la première fois qu’elles gagnent l’or dans la catégorie.\\n\\nL’Italie avait au préalable vaincu la France en quart-de-finale et l’Espagne en demi, à chaque fois de deux points.\\n\\nCateria Gilli a été élue MVP notamment pour avoir cumulé 25 points et 17 rebonds face à l’Espagne. Katerina Zeithammerova (République Tchèque), Sude Yilmaz (Turquie) ainsi que Marta Garcia et Mama Dembele (Espagne) forment le Cinq idéal du tournoi. La défaite en quart-de-finale de la France coûte certainement à l’arrière Serena Kessler cet honneur.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Françaises en WNBA: Le chemin de croix"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"20 matches à 5 minutes de moyenne. C’est la trace que laissera Endy Miyem aux Minnesota Lynx, championne WNBA en titre, avant d’être virée au milieu du mois d’août pour laisser la place à une autre joueuse. La sanction est rude pour l’un des piliers de l’équipe de France, braqueuse émérite, vice-championne olympique et championne d’Europe. Il lui reste dans la bouche un mélange de satisfaction d’avoir réalisé un rêve ou du moins d’avoir atteint une cible et de frustration pour ne pas avoir pu prouver qu’elle méritait davantage. Elle se consolera peut-être en se souvenant qu’elle n’est pas la première Française et même Européenne à avoir perdu quelques illusions en un été.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nEndy Miyem était la 12e basketteuse française à se jeter à l’eau et en définitive trois seulement ont réussi à faire leur place en WNBA.\\n\\nLe plus beau temps de jeu, la meilleure moyenne de points et de rebonds est à mettre au crédit d’Isabelle Fijalkowski, pivot des « Filles en Or », championnes d’Europe en 2001, qui participa aux deux premières saisons de la WNBA avec une franchise qui a aujourd’hui disparu, les Cleveland Rockers. C’est en jouant dans une université américaine, Colorado, que la polyglotte Isabelle se fit repérer par les scouts des Rockers. L’Amérique, elle connaissait. Sa taille (1,95m), son talent et un contexte favorable ont fait le reste.\\n\\n« J’ai eu la chance d’avoir des opportunités dans cette équipe telle qu’elle était composée car si j’étais tombée dans l’équipe de Lisa Leslie et de DeLisha Milton, peut-être que je n’aurais pas eu autant de temps de jeu, pas le même rôle. Il y a aussi plus de concurrence pour les extérieures, » nous a t-elle dit en racontant son aventure.\\n\\nSi elle n’a pas fréquenté une fac américaine, Sandrine Gruda s’est toujours sentie à l’aise aux Etats-Unis. Alors que l’hiver elle faisait des ravages en Euroleague avec Ekaterinbourg, elle est tombé dans une bonne franchise avec Connecticut. Ses saisons 2 et 3 y furent excellentes avec une pointe à 13,5 points et 6,3 rebonds en 2009. En passant aux Los Angeles Sparks, la Martiniquaise a vu son temps de jeu fondre considérablement (4’ en 2017) du moins a-t-elle gagné une bague de championne.\\n\\nLa troisième réussite est celle d’Edwige Lawson, sur la durée (5 saisons), en étant 32 fois titulaire avec San Antonio et en parvenant une fois en finale de la ligue.\\n\\nComme pour Endy Miyem, les passages des autres internationales françaises tiennent de l’anecdote y compris pour Céline Dumerc au Atlanta Dream. Héroïne des Jeux de Londres, considérée comme la meilleure joueuse européenne en 2012, la Landaise a trop tardé -elle avait 32 ans- pour avoir une vraie chance de s’imposer en WNBA. Même si son profil de joueuse attachée au collectif ne correspond pas aux standards de la ligue où l’individualisme règne en maître.\\n\\nLes raisons des échecs des Françaises sont multiples. Tout d’abord, le niveau de la WNBA est élevé avec des joueuses américaines physiques, athlétiques, aux fondamentaux parfaits et au mental en acier. Par éducation, les Françaises sont peu portées vers le un-contre-un. De plus les coachs font souvent preuve d’ostracisme vis-à-vis des étrangères.\\n\\n« Pour réussir là-bas, il faut avoir un coach qui se déplace en Europe. 85%, je dirais, ne connaissent rien du tout à l’Europe », estime Edwige Lawson qui s’est d’autant mieux intégrée à l’american way of life que son mari James Wade est américain et coach.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=Hyg0-rbcmxw\\n\\nComme Endy Miyem, la majorité des candidates françaises ont débarqué en WNBA sans en connaître les us et coutumes. Il faut s’inscrire dans la durée pour s’y imposer or pour sept sur les douze ce ne fut l’amour que d’un seul été. C’est que la saison WNBA vient de frapper de plein fouet les campagnes de l’équipe de France et les internationales n’ont pas envie de les zapper. Jouer en NBA, c’est prestigieux mais aussi très lucratif, pas en WNBA où le salaire médian est de 71 635 dollars alors que le salaire minimum en NBA est de 562 493€. Autre élément chiffré qui fait prendre conscience que parvenir dans le saint des saints est déjà un privilège, il y a 450 joueurs pour 30 équipes en NBA contre 144 joueuses réparties en 12 équipes en WNBA.\\n\\nD’ailleurs les succès des Européennes en WNBA ne sont pas légion. Si une Ann Wauters y a passé 9 saisons pour 9,9 points et 5,0 passes et que sa compatriote Emma Meesseman a déclenché le tonnerre à Washington au point d’être sélectionnée au All-Star Game en 2015, seules trois des douze Espagnoles -on ne prend pas en compte Sancho Lyttle qui est une naturalisée- qui ont traversé l’Atlantique y ont joué au moins trois saisons. Tien donc, le même pourcentage que pour les Françaises. Et Laia Palau, l’icône de l’équipe nationale, au parcours si riche en Euroleague, n’y a jamais mis les pieds. Qu’aurait d’ailleurs fait cette artiste au physique de madame tout-le-monde dans cette galère ? Un constat, depuis sa création, la WNBA convient davantage aux Australiennes, aux Canadiennes et aux Brésiliennes.\\n\\nIl ne lui reste plus qu’à prouver définitivement qu’elle est française et c’est Bria Hartley qui sera en impact sur une carrière la numéro 1 de nos compatriotes. Elle comptabilise déjà 5 saisons, 149 matches dont 78 comme titulaire dans le cinq de départ, 7,6 points et 2,6 passes et à 26 ans la série est toujours en cours. C’est aussi plus facile quand on est née à North Babylon, New York.\\n\\n[table id=137 /]\\n\\nPhoto: Endy Miyem, Minnesota Lynks\\n\\n[armelse]\\n\\nLe plus beau temps de jeu, la meilleure moyenne de points et de rebonds est à mettre au crédit d’Isabelle Fijalkowski, pivot des « Filles en Or », championnes d’Europe en 2001, qui participa aux deux premières saisons de la WNBA avec une franchise qui a aujourd’hui disparu, les Cleveland Rockers. C’est en jouant dans une université américaine, Colorado, que la polyglotte Isabelle se fit repérer par les scouts des Rockers. L’Amérique, elle connaissait. Sa taille (1,95m), son talent et un contexte favorable ont fait le reste.\\n\\n« J’ai eu la chance d’avoir des opportunités dans cette équipe telle qu’elle était composée car si j’étais tombée dans l’équipe de Lisa Leslie et de DeLisha Milton, peut-être que je n’aurais pas eu autant de temps de jeu, pas le même rôle. Il y a aussi plus de concurrence pour les extérieures. »\\n\\nSi elle n’a pas fréquenté une fac américaine, Sandrine Gruda s’est toujours sentie à l’aise aux Etats-Unis. Alors que l’hiver elle faisait des ravages en Euroleague avec Ekaterinbourg, elle est tombé dans une bonne franchise avec Connecticut. Ses saisons 2 et 3 y furent excellentes avec une pointe à 13,5 points et 6,3 en 2009. En passant aux Los Angeles Sparks, la Martiniquaise a vu son temps de jeu fondre considérablement (4’ en 2017) du moins a-t-elle gagné une bague de championne.\\n\\nLa troisième réussite est celle d’Edwige Lawson\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Zalgiris Kaunas : Aaron White revient gonflé à bloc après un été productif"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Entre l’achat d’une nouvelle maison dans la région de Chicago et un programme chargé en workouts et voyages de retour aux Etats-Unis, Aaron White (2,06m, 25 ans) n’a pas chômé pendant l’intersaison.\\n\\nEt il a notamment partagé plusieurs entraînements avec John Wall et Markieff Morris des Wizards à Las Vegas, où il était présent au moment de la ligue d’été.\\n\\n« C’était une très bonne expérience. Je me suis rendu compte que je peux jouer à leur niveau pour sûr », affirme White. « Mais je suis aussi très content de revenir pour une deuxième année et améliorer certaines choses. Globalement, c’était un très bon été, beaucoup de bonnes expériences et j’ai hâte de reprendre. »\\n\\nEn l’occurrence, White va retrouver un vestiaire un petit peu différent, avec les arrivées de Nate Wolters ou encore de Thomas Walkup. L’ailier volant de Kaunas connaît déjà le meneur, qu’il a précisément côtoyé en ligue d’été en 2016 avec les Wizards.\\n\\n« On doit traiter la saison à venir à part »\\n\\nMais White ne veut pas se reposer sur le passé et le glorieux parcours jusqu’au Final Four Euroleague de la saison dernière. Une nouvelle page est à écrire avec le Zalgiris.\\n\\n« Je ne veux pas nous mettre de pression. La saison passée a évidemment été une année grandiose mais on doit traiter la saison à venir à part. On a des nouveaux gars. Notre objectif principal est de remporter le championnat lituanien, et on veut se battre pour les playoffs en Euroleague. C’est notre état d’esprit pour attaquer la saison. Mais c’est encore très tôt. On va mettre notre système en place, mettre les nouveaux gars dans le bain, que tout le monde sache ce qu’il a à faire et comprennent bien les attentes du coach. »\\n\\nAuteur d’une saison prometteuse à 9 points et 4 rebonds de moyenne pour ses débuts en Euroleague, Aaron White pourra encore faire mieux d’un point de vue individuel en tant que cadre de l’écurie balte.\\n\\nSon entente avec Wolters, son nouveau meneur, sera cruciale alors que White avait trouvé une belle longueur d’onde avec Kevin Pangos, parti en Catalogne."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Real Madrid continue dans la filière slovène avec Urban Klavzar"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que le petit génie Luka Doncic s’est envolé pour Dallas, le Real Madrid continue de piocher dans le réservoir de talent de la Slovénie. C’est effectivement le très jeune Urban Klavzar (1,84m, 14 ans) qui vient ainsi d’intégrer le centre de formation du Real.\\n\\nLors du dernier Eurobasket des moins de 16 ans, Klavzar a démontré qu’il était un scoreur naturel au poste de meneur en tournant à 12 points et 2 passes en moyenne. Avec deux ans d’avance, un nouveau talent précoce donc !\\n\\nSon ancienne équipe slovène de Domzale s’est résolue, la tristesse au coeur, à laisser partir son petit prodige vers des cieux plus radieux. Le gamin a du basket plein les mains.\\n\\nPour preuve, ce coup de chaud à 14 points en moins de 2 minutes, avec 4 tirs primés façon Reggie Miller (pour le décompte : trois tirs à trois points d’affilée, suivi d’un layup facile, et un dernier trois points pour arriver à 14 pions) !\\n\\nSon coup de chaud à 14 points en deux minutes !\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans: Pour son premier match de préparation, le champion de France s’impose à Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Mans étrennait hier son titre de champion de France à Tours face à Limoges. Même s’il n’a pas utilisé son pivot Richard Hendrix à peine revenu des Etats-Unis, et qu’il est toujours à la recherche d’un poste 4, le MSB a pris la mesure du CSP (76-72) après avoir mené un moment de vingt points. Les Limougeauds ont en revanche gagné les deux derniers quart-temps (22-16 et 24-22).\\n\\nPour son premier match sous les couleurs tango, l’ex-Dijonnais Valentin Bigote a été le meilleur marqueur du match avec 16 points (4/6 à trois-points) alors qu’Antoine Eito a assuré 10 points et 6 rebonds. Avantage également à deux Français côté limougeaud, Jonathan Rousselle (15 points) et Axel Bouteille (14)."
}, 
{"role": "user",     "content":"[REDIFF] Marine Johannès: «Quand on dit que je suis une joueuse extraordinaire, ça me gêne»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BasketEurope vous propose cet été de lire ou de relire les meilleurs articles PREMIUM de la saison 2017-18.\\n\\nElle le reconnaît elle-même, Marine Johannès (1,78m, 23 ans) est très timide même si quand elle est en confiance elle peut sauter par-dessus la muraille qu’elle a érigée entre son interlocuteur et elle. Surtout la Berruyère est extrêmement modeste et elle a beaucoup de mal à accepter l’image qu’elle renvoie, celle d’une joueuse qui possède un talent fou, un don de Dieu diraient nos confrères américains.\\n\\nCe « En Direct » a pour objectif de mieux faire connaître cette artiste qui est capable de gestes éblouissants comme jamais basketteuse en France n’est parvenue avant elle à en faire et si peu en Europe.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe premier match que vous avez joué en pro :\\n\\nC’était à Mondeville contre Toulouse. C’était la dernière année où Hervé Coudray était le coach. Je ne me souviens plus du tout du contexte sinon que j’avais fait des entraînements avec les pros. Je faisais le banc, la dixième joueuse. Je ne crois pas que le coach m’avait prévenu avant le match. J’avais joué un peu. Ça s’était bien passé, je crois même que j’avais marqué deux ou trois paniers (NDLR: Marine a fait ses débuts en Ligue à 16 ans, 11 mois et 17 jours).\\n\\nLe joueur ou la joueuse qui vous a rendu meilleure :\\n\\nLorsque j’étais petite j’étais fan de Jordan et Kobe. Je regardais pas mal de vidéos, en général de NBA. J’ai commencé le basket à huit ans et c’était les débuts de Tony Parker en NBA, du coup on entendait parler du basket américain en France, ça m’a tout de suite intéressé, j’ai acheté des magazines et donc je regardais beaucoup de vidéos. Je suis la seule dans la famille à faire du basket. Quand j’étais jeune j’ai fait plusieurs sports et c’est le basket qui m’a plu. Je n’ai pas arrêté, j’étais à fond dedans. Ensuite ça été Jason Kidd, Stephen Curry. La joueuse avec qui j’ai joué et qui m’a pas mal aidée, c’est KB Sharp (NDLR : son équipière à Mondeville et aujourd’hui à Bourges). Pour moi KB ce n’est pas vraiment une Américaine, elle est Française dans sa tête, elle parle très bien français. Elle ne joue pas comme une Américaine, c’est une fille super gentille, elle pense beaucoup aux autres avant de penser à elle. C’est sa personnalité qui m’a plu. C’est sûr que j’étais très contente de la revoir à Bourges.\\n\\nLa meilleure joueuse actuelle de Ligue Féminine :\\n\\nAmel Bouderra, Céline Dumerc, Sandrine Gruda... Lorsque je jouais contre Elodie Godin, je ne sais pas pourquoi, j’avais peur contre elle. On en a parlé ensemble dernièrement.\\n\\nEt en Euroleague ?\\n\\nAngel McCoughtry de Koursk. Au poste d’arrière, elle est vraiment impressionnante par sa puissance comme toute l’équipe des Etats-Unis. On les a jouées chez elles avant les JO puis à Rio (NDLR : défaites 62-84 et 67-86). Elles sont dans un autre monde. Parfois sans forcer elles ont vingt points d’avance. Elles sont impressionnantes individuellement, faciles. Même si tu te dis que techniquement tu pourrais être à leur niveau, physiquement ce n’est pas possible. C’est vraiment dur de jouer contre elles.\\n\\nLa joueuse la plus vicieuse du championnat :\\n\\nCe n’est pas très gentil ça ! (rires) Celle qui arrive bien à faire siffler les arbitres alors que parfois il n’y a rien, c’est Valériane Ayayi. Elle joue très bien avec ses bras, son corps.\\n\\nLa joueuse la plus râleuse du championnat :\\n\\nDans mon équipe, c’est Elodie Godin et Valériane.\\n\\nLe coach qui vous a le plus marqué :\\n\\nJe vais en donner deux. Didier Godefroy car je l’ai eu durant mes années de formation. Nicolas Batum l’a eu aussi. S’il nous a influencé tous les deux ? Il faudrait demander à Nicolas mais je sais que j’ai beaucoup progressé grâce à lui (NDLR: Marine et Nicolas Batum sont tous les deux nés à Lisieux et ont joué à Pont-l’-Evêque). Le deuxième c’est Romain Lhermitte. Je l’ai eu en minimes. C’est lui qui m’a permis d’aller au centre de formation. Je l’ai retrouvé en pro, c’est lui qui m’a donné ma chance.\\n\\nLe club où vous aimeriez jouer :\\n\\nAvant j’aurais dit Valenciennes car j’étais fan des Valenciennes-Bourges. Aujourd’hui ça serait plus à l’étranger. Je regarde tout le temps la WNBA. Je ne suis pas fan-fan d’une équipe même si je regarde plus Phoénix et Los Angeles. Je préfèrerais une équipe d’Euroleague car c’est compliqué de partir en WNBA pour une Française.\\n\\nLe club où vous ne voulez pas jouer :\\n\\nJe ne me vois pas partir en Chine.\\n\\nVotre pire souvenir de joueuse :\\n\\nLes finales contre l’Espagne. En U18, en U20 et cet été avec les A. J’ai perdu ces trois finales. Je n’ai jamais gagné contre l’Espagne. Que ce soit en jeunes ou en A, à chaque fois ils ont de super joueuses.\\n\\nLe match dont vous avez le plus honte :\\n\\nIl n’y a pas de match en particulier qui me vient en tête. Ça m’arrive de mettre tout à côté. Récemment contre Koursk j’ai dû faire 2/13 aux tirs, c’était un peu une cata. Les jours qui suivent j’y pense un peu mais vu que les matches s’enchaînent j’arrive à passer à autre chose.\\n\\nLe trophée que vous êtes le plus fière d’exposer :\\n\\nLes médailles que l’on a eu avec le centre de formation à Mondeville. Une année on a été championnes de France, on a gagné la Coupe de France. C’était aussi une super année en dehors du terrain. On était une bande de copines qui jouaient bien au basket, c’était des super moments.\\n\\nL’exercice que vous faites en plus que les autres à l’entrainement :\\n\\nJ’aime bien faire des séries de shoot après l’entraînement. Le nombre dépend des jours. Ce sont des séries à deux ou trois-points. Je ne sais pas combien j’en mets à trois-points. Parfois je fais un exercice par set et je dois mettre les cinq shoots du set à la suite. Ça m’est arrivé d’en marquer jusqu’à cinq à la suite, ça fait donc vingt-cinq paniers à trois-points à la suite. Mais ce n’est pas tous les jours ! Comme je regarde beaucoup de vidéos, mon shoot est venu comme ça. C’est vrai que je regarde plus Stephen Curry et son shoot que d’autres joueurs. Et en ce moment je travaille un peu avec Sabine Juras, la préparatrice physique de l’équipe de France. Je fais de la muscu. Ce n’est pas que j’aime bien mais il faut en passer par là (rires). Mais plus les années passent et plus j’aime ça. Ça fait deux ou trois ans que je prends un peu de poids même si l’été c’est compliqué de conserver les kilos gagnés.\\n\\nSi vous aviez une règle à changer dans le basket :\\n\\nÇa serait bien pour les filles que le panier soit un petit peu plus bas pour que certaines filles puissent dunker. Comme ça on ne pourrait pas dire que le basket féminin n’est pas spectaculaire. Je ne sais pas si moi j’y arriverai mais pas mal de filles, oui, et ça amènerait plus de spectacle.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=xpVmgDBl2zA\\n\\nEst-ce que ça vaut la peine de discuter avec les arbitres :\\n\\nNon ! (rires) Parfois ils ne vont même pas t’écouter ou parfois ils disent « t’as raison ! » mais ils ne changent pas leur décision pour autant. Donc au final, non.\\n\\nAvez-vous déjà eu envie de rentrer dans le lard d’un coach :\\n\\nD’un coach ?! Non, non.\\n\\nLe principal sujet de conversation entre joueuses :\\n\\nCe n’est pas un sujet de discussion, on aime en gros parler de tout, mais dans l’équipe on aime bien se chambrer. J’aime bien chambrer ! Quand je connais je suis moins timide.\\n\\nLe plus beau pays que vous avez visité :\\n\\nRio. En fait durant les Jeux Olympiques, on n’a pas eu le temps de découvrir le pays mais j’y suis retournée cet été en vacances, à Rio et Sao Paulo. L’année dernière, on a joué avec Clarissa Dos Santos (NDLR: internationale brésilienne cette saison à Villeneuve d’Ascq) et c’est une très bonne amie à Alexia (Chartereau) et moi et elle nous a fait visiter le pays. J’ai beaucoup aimé. Il y avait encore les logos olympiques sur les routes, j’ai vu le gymnase où on a joué\\n\\nL’évènement basket auquel vous aimeriez assister ou participer :\\n\\nJ’aimerais bien qu’il y ait un all-star game féminin en France (NDLR : le All-Star Game de la Ligue Féminine a existé de 1999 à 2003).\\n\\nVotre meilleure copine dans le basket :\\n\\nC’est ma meilleure amie, Lysa Millavet. On était ensemble au centre de formation de Mondeville et ensuite en pro et elle joue maintenant à Rezé.\\n\\nAimez-vous lire des articles ou regarder des reportages sur vous :\\n\\nNon, je n’aime pas trop me regarder. J’aime bien regarder les vidéos sur les autres comme celui sur Frank Ntilikina à New York.\\n\\nVotre principale occupation entre deux entraînements :\\n\\nFaire des siestes ! Et puis regarder la télé, des matches et des séries. Je regarde beaucoup les matches d’Euroleague sur SFR et les matches de NBA. J’ai arrêté BeIN Sports et je regarde sur Internet.\\n\\nLa ville où vous avez joué et que vous préférez :\\n\\nJ’aime bien Caen. C’est une ville étudiante. On y allait souvent avec le centre de formation.\\n\\nRésumez vous en quelques phrases :\\n\\nJe suis quelqu’un d’assez réservée, timide, même si ceux qui me connaissent vraiment diront que je ne le suis pas. Quand on dit que je suis une joueuse extraordinaire, ça me gêne. C’est pour ça que je n’aime pas trop regarder les articles. C’est trop de compliments.\\n\\nPhotos: FIBA Europe\\n\\n[armelse]\\n\\nLe premier match que vous avez joué en pro :\\n\\nC’était à Mondeville contre Toulouse. C’était la dernière année où Hervé Coudray était le coach. Je ne me souviens plus du tout du contexte sinon que j’avais fait des entraînements avec les pros. Je faisais le banc, la dixième joueuse. Je ne crois pas que le coach m’avait prévenu avant le match. J’avais joué un peu. Ça s’était bien passé, je crois même que j’avais marqué deux ou trois paniers.\\n\\nLe joueur ou la joueuse qui vous a rendu meilleure :\\n\\nLorsque j’étais petite j’étais fan de Jordan et Kobe. Je regardais pas mal de vidéos, en général de NBA. J’ai commencé le basket à huit ans et c’était les débuts de Tony Parker en NBA, du coup on entendait parler du basket américain en France, ça m’a tout de suite intéressé, j’ai acheté des magazines et donc je regardais beaucoup de vidéos. Je suis la seule dans la famille à faire du basket. Quand j’étais jeune j’ai fait plusieurs sports et c’est le basket qui m’a plu. Je n’ai pas arrêté, j’étais à fond dedans. Ensuite ça été Jason Kidd, Stephen Curry. La joueuse avec qui j’ai joué et qui m’a pas mal aidée, c’est KB Sharp (NDLR : son équipière à Mondeville et aujourd’hui à Bourges). Pour moi KB ce n’est pas vraiment une Américaine, elle est Française dans sa tête, elle parle très bien français. Elle ne joue pas comme une Américaine, c’est une fille super gentille, elle pense beaucoup aux autres avant de penser à elle. C’est sa personnalité qui m’a plu. C’est sûr que j’étais très contente de la revoir à Bourges.\\n\\nLa meilleure joueuse actuelle de Ligue Féminine :\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Basket Europe Tour : Madrid me voilà !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quatre ans ! Quatre ans que je n’avais pas foulé de mes pieds la terre de mes ancêtres. L’Espagne, sa tortilla, son « pulpo a la gallega », sa corrida et sa sangria! Mais surtout ces clubs de basketball puissants, habitués des joutes européennes. Etape numéro une: Madrid.\\n\\nGrâce à l’aide de quelques madrilènes j’ai réussi à trouver mon chemin dans les immenses corridors du magnifique métro de la capitale espagnole. Il est environ 17 heures lorsque j’arrive à la Puerta del Sol de Madrid près de laquelle se situe mon auberge de jeunesse. C’est le kilomètre zéro des routes espagnoles. Ce centre symbolique du pays accueille une Statue de l’Ours et de l’Arbousier, symbole de la ville de Madrid et la statue de Charles III, initiateur de la nation espagnole. C’est ici que les indignés du mouvement « 15M » s’étaient ré-appropriés l’espace public. Ce cadre grandiose sera mon antre pendant trois jours.\\n\\nA peine installé, je m’assure que mon rendez-vous du lendemain avec le Real Madrid est bien confirmé puis, une fois de plus je relance les clubs et groupes de supporters de la « Casa Blanca ». Je prends le temps de faire connaissance avec mon camarade de chambre, Osvaldo. Professeur d’art argentin qui visite Madrid après avoir été à la recherche de ses origines à Brindisi en Italie (tiens encore une ville de basket !). Celui-ci me parle des alentours et c’est avec une curiosité non dissimulée que je mets à arpenter les pâtés de maisons voisins. Sous mes yeux ébahis défilent le Congreso , la Real Academia Bellas Artes ou encore le Mercado de San Miguel.\\n\\nPuis l’heure vient de dîner, et c’est avec un plaisir énorme que je me tourne vers ce dernier pour déguster des fameuses « tapas ». Calamars, patatas bravas, ensalada rusa et jambon cru espagnols m’avaient manqué ! Une fois ce repas consommé je m’en vais dans mon antre, rêver de ma future rencontre avec les joueurs du Real Madrid.\\n\\nIl est 7 heures du matin lorsque je me réveille le lendemain pour aller à la rencontre de la « Casa Blanca ». Mon rendez-vous est à 9h45 à la station de métro Valdebebas, quartier nouvellement sorti de terre à proximité de l’aéroport de Madrid. Avec seulement 30 minutes de transports, je suis largement en avance. Largement le temps de préparer mon matériel de tournage, prendre un petit déjeuner typique, un pan tostado y un cafe et de me mettre en route pour la station Nuevos Ministerios ma correspondance pour arriver à Valdebebas. Il fait bon et chaud, ce Basket Europe Tour commence sous les meilleurs hospices.\\n\\nAna, du service de la communication vient à ma rencontre à la sortie de la station de métro. Après avoir échangé sur l’objet du Basket Europe Tour nous entrons dans la cité d’entraînement. Gigantesque structure de 1.200.000 m2, le tout est très sécurisé avec des grilles tout autour. De nombreux fans sont venu tenter leur chance à l’entrée du centre pour se faire signer des maillots par les stars du club. Ici les deux équipes du club se partagent les lieux, d’un côté le basketball, de l’autre le football. Une fois passé les contrôles de sécurité, Ana me laisse dans un hall ouvert sur le gymnase, devant un bureau où j’ai l’occasion de discuter avec les hôtesses du club. Puis Jorge, le responsable de la communication du Real vient à ma rencontre. Après m’avoir exposé le déroulé de la matinée nous traversons la salle de physiothérapie où quatre joueurs peuvent être massés en même temps. Puis Jorge m’emmène dans la salle de récupération où un bassin d’eau gelé est à disposition des joueurs après l’effort. Elle est située à côté de la salle de musculation, le tout relié par un couloir sur les murs duquel il est écrit clairement que à gauche se trouvent les installations du centre de formation et à droite, celle de l’équipe professionnelle. C’est lorsque nous pénétrons dans les vestiaires de l’équipe professionnelle que j’interroge mon hôte sur cette séparation. Jorge me répond donc que se côtoient ici toutes les catégories hautes du Real de Madrid, depuis les cadets jusqu’aux professionnels en passant par la Liga EBA, la quatrième division espagnole. Cela permet aux plus jeunes de prendre exemple sur les plus grands, de s’inspirer, parfois peut-être de se confronter.\\n\\nEn face de moi se trouve l’énorme paire de chaussure de Walter Tavares, 2,21m, le géant du Real Madrid, mais aussi les lots de chaussures et de maillots de Rudy Fernandez, du capitaine Felipe Reyes, du génie Sergio Llull ou encore de l’exquis Fabien Causeur.\\n\\nUne fois cette petite tournée effectuée, mon guide m’emmène dans les gradins pour voir la totalité du gymnase flambant neuf qui compte quatre terrains complets et deux demis terrains. Au fond, celui où les pros s’entraînent puis par ordre décroissant viennent les terrains de chaque catégorie. Alors que l’équipe d’entretien est en train de terminer de nettoyer ce magnifique parquet, un cadet vient de sortir des vestiaires et prend quelques tirs pour se mettre en jambe avant son entrainement.\\n\\nMon hôte m’invite à descendre les escaliers. C’est alors qu’une tête connue ouvre la porte qui se trouve en face de moi. Les cheveux mi-longs bruns, la barbe de trois jours, un colis à la main, c’est Sergio Llull, la star du club. Jorge me présente au magicien de l’ancien Palacio de los Deportes. Dès lors ce n’est plus la même visite pour moi. Un difficile « Hola, encantado » sort de ma bouche. Je suis en face de l’un des joueurs que j’admire le plus, un de ceux qui m’a fait aimer ce sport. Celui qui m’a fait m’intéresser au basket européen, à la défense du pick and roll, au passage au-dessus de l’écran et à l’art du tir au buzzer. Un large sourire aux lèvres, Sergio m’indique que l’on se reverra tout à l’heure.\\n\\nLe temps pour Jorge de me montrer les vestiaires des arbitres, des équipes cadets, juniors, EBA et les bureaux des équipes marketing et de la communication. Très bien équipés et décorés des images de sacres du club, les bureaux ont fière allure. Mon guide regarde sa montre et m’indique que l’on va aller voir les joueurs. Ils commencent ce jour la préparation physique et tous ne sont pas arrivés. L’excitation grandit, pour autant je ne pourrai pas les interviewer, les indications sont claires et l’accueil adorable, c’est donc avec sympathie que je m’y plie. Nous descendons alors sur le parquet pour y retrouver Fabien Causeur qui pédale tranquillement en attendant ses camarades. L’occasion pour moi de parler français. Mais aussi d’évoquer le Basket Europe Tour et mes souvenirs de ses prestations à Vitoria, du temps où je faisais enchainer les paniers à trois points à son avatar sur la console, ou à Bamberg où il a côtoyé l’italian connection. L’occasion de prendre une photo du crack français. Tandis qu’Ognjen Kuzmic est à côté en train de s’étirer, je le salue de loin, impressionné par le gabarit du monsieur. Enfin, apparaît Sergio Llull, souriant, remis de mes émotions et enfin apte à parler correctement la langue de Cervantès je lui confie mon admiration pour lui. Mes souvenirs reviennent, les JO de Pékin, la Copa del Rey 2016 ou encore son buzzer-beater contre Valence. Surpris et content d’avoir des admirateurs même en France, il est enthousiaste à l’idée de prendre une photo avec ce petit messin venu de loin pour le rencontrer. Les préparateurs physiques très souriants me saluent puis emmènent les joueurs à l’extérieur, la petite troupe est bientôt rejointe par le géant cap-verdien Walter Tavares et Gabriel Deck, la nouvelle pépite argentine en provenance de San Lorenzo.\\n\\nLe temps est donc venu pour moi de préparer mon matériel, mini-trépied à la main et filtre ND fixé sur mon appareil, je rejoins la petite troupe qui s’est rassemblée sur la pelouse autour du bâtiment. Cette piste de gazon sillonne toute la cité sportive et elle est bordée par un cours d’eau. La coupe de l’herbe et parfaite, le lieu silencieux, un cadre parfait pour faire du sport. Tandis que les joueurs enchaînent les exercices physiques je capture les images que je peux, puis Jorge m’indique qu’il va m’emmener vers d’autres bâtiments.\\n\\nNous quittons alors l’équipe championne d’Euroleague pour nous diriger vers une piste bordée par des terrains de football magnifiquement entretenus. Non loin j’aperçois le terrain de football où évolue la Castilla du Real Madrid de football, l’équipe de jeune de la Casa Blanca. Jorge me montre du doigt les locaux qui servent de résidence étudiante aux jeunes athlètes du club, nombreux ne sont pas Madrilènes ou Espagnols et vivent ici à l’année. Mon hôte me confirme qu’il y a peu un certain Luka Doncić s’y trouvait. Puis nous rentrons dans le bâtiment qui est le cœur de la vie du club. Donnant sur le terrain d’entraînement de l’équipe professionnelle de football, s’y trouve la cafeteria « Cantera ». Avec une surface de 500m2 intérieur et une terrasse de 200 m2. Mais également une salle de relaxation pour les joueurs avec billard, console de jeu, bornes d’arcades, une piscine tout équipée, une salle de cinéma de 50 places où l’équipe d’Euroleague fait sa séance vidéo avant un grand match de la compétition reine. Puis enfin sur deux étages les chambres des joueurs où ceux-ci peuvent se relaxer entre deux grandes échéances, par exemple lorsqu’ils rentrent d’un rendez-vous d’Euroleague à l’extérieur et qu’ils ont un entraînement de lendemain à la cité sportive. Jorge me fait visiter une chambre témoin, puis nous passons devant celle de Felipe Reyes, de notre Frenchy Fabien Causeur mais aussi des footballeurs Dani Carvajal et Luka Modrić.\\n\\nUne fois ce joli tour finis nous rentrons au gymnase pour assister à la séance de stretching de l’équipe première. Nous saluons Sergio Llull et Fabien Causeur qui s’en vont et me souhaite une bonne continuation dans mon aventure. Puis Ognjen Kuzmic et Walter Tavares s’adonnent à une séance de shooting improvisée, bientôt rejoint par Gabriel Deck, je n’en perds pas une miette. Enfin, Jorge m’indique que l’entraînement est terminé, et après avoir salué les personnes présentes, je repars pour Madrid. La tête pleine d’étoile et le cœur apaisé.\\n\\nMerci à toute l’équipe du Real Madrid pour son excellent accueil, ce fut un réel plaisir de rencontrer les administratifs, le staff médical et les joueurs du club.\\n\\nJe regagne la station Valdebebas en regardant l’immense logo des Merengues s’éloigner. Une fois rentré à la Puerta del Sol et mon matériel de tournage rangé à l’auberge de jeunesse, je me dirige tranquille, vers un restaurant galicien, l’occasion pour moi de me rapprocher de mes racines en dégustant un pulpo a la galega, sorte de madeleine de Proust pour moi qui en avait tant rêvé. Le programme de l’après-midi est chargé, il faut reprendre des forces. Sur ma liste: Plaza de España, Basilique de San Francisco el Grande, Palacio Real, Catedral de la Almudena, Teatro Real et jardín de Sabatini. Madrid est un régal pour les yeux et un cauchemar pour les jambes. Et c’est fatigué que je retrouve ma chère auberge le soir même. Le repos s’impose puisque le lendemain sera exigeant pour mes jambes.\\n\\nC’est donc avec une énergie neuve que je me lève ce vendredi 24 août ! Aujourd’hui c’est un grand jour, aujourd’hui je rechausse enfin les sneakers pour aller me mesurer aux joueurs madrilènes. Mais avant cela une grande balade s’impose, la visite du parc de El Retiro en passant par el Congreso, el paseo Colón, la puerta de Alcala et la plaza Colón. Mon petit déjeuner rapidement avalé, c’est donc avec curiosité que je m’élance sur la calle San Geronimo en quête de savoir et de ravissement pour les yeux. Et le moins que l’on puisse dire c’est que je n’ai pas été déçu. Madrid est une ville surprenante, malgré le fait qu’elle soit assez administrative, elle garde un style hors du temps, ses grandes avenues dénotent d’un grand sens de l’esthétisme. On passe tour à tour des Arts décoratifs à l’art Nouveau en passant par l’art andalou. Et même si parfois on sent la foule active qui se presse vers ses activités, on sent que certains endroits comme le parc d’El Retiro ou le Parc Sabatini dénotent d’une volonté de tranquillité de ses habitants. C’est ce qui rend cette ville unique. Sorte de capitale unique. C’est quelque chose que l’on retrouve dans l’institution qu’est le Real Madrid. Dans cette volonté de donner au joueurs les moyens d’être les meilleurs possibles pour qu’ils n’aient à penser qu’au basketball (logements, salles de relaxations, salles de jeu). Notamment en allant chercher les petits détails comme la personnalisation des voitures prêtées pour le club ou un service chargé de résoudre tous leurs problèmes fonctionnels ou enfin d’avoir une administration conséquente et de talentueuse pour permettre sur le long terme de la performance. Comme les jardins symétriques et monumentaux d’El Retiro ce cadre, encadré par des chartes et processus codifiés permet aux joueurs de se concentrer sur leur activité principale mais aussi sur leur passion. C’est honorable et cela doit être mis en valeur car cette apparente rigidité mêlée à cette esthétique espagnole est quelque part la recette de la réussite du club. Car en son sein, ce cadre permet de faire jaillir la créativité et le talent. Tout m’a semblé millimétré et c’est quelque chose qui m’avait échappé lorsque j’avais visité d’autres endroits en Espagne et semble être propre à Madrid.\\n\\nC’est donc pensif qu’après m’être restauré je me dirige vers le terrain de Lavapies. Un playground coloré inauguré par Kevin Durant situé dans un quartier cosmopolite de Madrid. Marc Gasol ou Sergio Llull étaient également venus participer à des événements équipementiers. Seulement deux stations me séparent de mon but et elles sont vite avalée par un métro de Madrid si propre et performant à mes yeux.\\n\\nIl est 18 heures lorsque j’arrive au terrain. Tout y est, graffiti coloré, tribunes et des paniers avec filet en métal. Tout y est sauf des joueurs. C’est donc seul que j’enchaîne les tirs pour me mettre en jambe. Puis arrive deux italiens, Matteo et Michele, deux Florentins venus à Madrid pour étudier. Nous nous lançons donc dans un 21 à la mode New-Yorkaise, assez éprouvant pour une reprise. Nous sommes bientôt rejoints par un autre joueur, philippin puis un compatriote, Flo expatrié à Madrid. Puis enfin vient un sixième joueur, dominicain, le décor est planté, nous faisons des équipes cosmopolites qui nous mèneront vers un 3 contre 3 intense. Ce terrain de Lavapies a un charme spécial. En plus de la diversité culturelle qu’il porte, il y a une atmosphère spéciale qui s’en dégage, semblant nous rappeler que nous sommes tous sur ce terrain pour profiter d’une activité saine permettant de faire des rencontres et d’animer notre fin de semaine.\\n\\nC’est à la fin de cette partie, difficile et perdue que je leur parle de mon projet et que j’ai la chance d’interviewer mes deux camarades italiens. Merci à eux pour leur gentillesse et leur confiance. Lavapies, c’est fait ! Maintenant place à la deuxième étape de l’aventure, Barcelone !\\n\\nLire ici le portrait de Fabien Causeur.\\n\\nPhotos: Real Madrid"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mondial Féminin: Le Canada avec cinq joueuses de la Ligue féminine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cinq joueuses de la Ligue Féminine (LFB) figurent dans la pré-sélection canadienne pour la Coupe du monde en Espagne.\\n\\n« Nous allons amorcer ce camp d’entraînement avec un socle impressionnant de joueuses talentueuses. Autant que je me souvienne, l’équipe n’a jamais eu autant de profondeur, » a déclaré Lisa Thomaidis, la coach de la sélection. « Plusieurs de nos joueuses évoluent dans les meilleures ligues du monde et c’est très excitant de pouvoir toutes les réunir. »\\n\\nL’équipe féminine sénior du Canada occupe le cinquième rang du classement mondial de la FIBA. L’an dernier, elle s’est qualifiée en vue de la Coupe du monde grâce à un second titre consécutif remporté à la Coupe des Amériques.\\n\\nSuite au camp d’entraînement, le Canada disputera deux matchs de préparation à l’aréna Webster Bank de Bridgeport dans le Connecticut. Le premier aura lieu contre le Japon (7 septembre) et le second contre les États-Unis (8 septembre). Avant son arrivée à Tenerife, l’équipe canadienne affrontera également la France, les États-Unis et le Sénégal lors d’un tournoi regroupant quatre pays qui aura lieu à Antibes du 15 au 17 septembre.\\n\\nLors de la Coupe du monde féminine, le Canada fera partie du Groupe A et affrontera la Grèce (22 septembre), la Corée (23 septembre) et la France (25 septembre) lors de la phase préliminaire du tournoi.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNom\\n\\n\\n\\n\\nPoste\\n\\n\\n\\nTaille\\n\\n\\n\\n\\nClub / École\\n\\n\\n\\n\\n\\nNatalie Achonwa\\nAilière\\n1,90\\n\\nIndiana Fever (WNBA)\\n\\n\\nKayla Alexander\\nAilière\\n1,93\\n\\nIndiana Fever (WNBA)\\n\\n\\nMiranda Ayim\\nAilière\\n1,90\\n\\nBasket Landes (France)\\n\\n\\nBridget Carleton\\nArrière\\n1,85\\n\\nIowa State (NCAA)\\n\\n\\nShay Colley\\nMeneuse\\n1,75\\n\\nMichigan State (NCAA)\\n\\n\\nNirra Fields\\nArrière\\n1,67\\n\\nEnerga Torun (Pologne)\\n\\n\\nKim Gaucher\\nArrière\\n1,85\\n\\nMondeville (France)\\n\\n\\nRuth Hamblin\\nCentre\\n1,98\\n\\nCastor Braine (Belgique)\\n\\n\\nSami Hill\\nArrière\\n1,77\\n\\nDonau-Ries (Allemagne)\\n\\n\\nMiah-Marie Langlois\\nMeneuse\\n1,72\\n\\nDynamo de Novosibirsk (Russie)\\n\\n\\nKia Nurse\\nArrière\\n1,83\\n\\nNew York Liberty (WNBA)\\n\\n\\nKatherine Plouffe\\nAilière\\n1,90\\n\\nBourges (France)\\n\\n\\nMichelle Plouffe\\nAilière\\n1,92\\n\\nLyon (France)\\n\\n\\nNayo Raincock-Ekunwe\\nAilière\\n1,88\\n\\nBourges (France)\\n\\n\\nJamie Scott\\nArrière\\n1,77\\n\\nBendigo Spirit (Australie)\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16 féminin: Avec sa victoire sur la Russie, la France empoche la 5e place"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de France n’a laissé aucune chance à la Russie et a remporté ainsi son deuxième match de classement, 73-50, pour prendre la cinquième place de cet Euro U16 féminin.\\n\\nSerena Kessler (1,82m) avait déjà mis 16 de ses 18 points à la mi-temps lorsque la France menait 39-22. La shooting guard du Centre Fédéral termine l’Euro avec la meilleure moyenne de points (11,0), de rebonds (9,3), d’interceptions (3,3) et d’évaluation (17,5) de l’équipe de France.\\n\\nLes Bleuettes peuvent nourrir des regrets de voir l’Italie et la République Tchèque en découdre aujourd’hui pour la médaille d’or. Ce sont les deux équipes qui les ont battues d’extrême justesse dans ce tournoi alors qu’elles avaient eu un temps à chaque fois le match en main.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Serena Kessler FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Blois: Le tribunal administratif doit rendre sa décision le 29 août"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est en soi une sorte d’exploit: le quotidien Le Monde consacre un article étayé au dossier de l’ADA Blois qui cherche toujours à faire valoir ses droits à accéder à la Jeep Elite. Au coeur de la discorde: l’absence d’un centre de formation agréé dans les délais.\\n\\n« Les joueurs se sont défoncés sur le terrain, et n’ont perdu que sept matchs la saison passé. Et pour un problème de règlement ou d’interprétation, on empêche le club de continuer à prospérer », commente le président du club Paul Seignolle.\\n\\nA la ligue comme à la fédération, on estime que les règlements sont faits pour être appliqués.\\n\\n« Le club a fait le choix de ne pas avoir de centre de formation pendant les deux années de Pro B, et je pense qu’il a été agréablement surpris par son accession. Aujourd’hui ils ont envie de monter en Jeep Elite, et je les comprends. Mais c’est dans les règlements depuis le début, » rétorque le président fédéral Jean-Pierre Siutat.\\n\\nAprès le CNSOF, c’est le tribunal administratif de Paris qui doit rendre sa décision mercredi 29 août à 14 heures.\\n\\n« Un jour avant l’inauguration du centre de formation de Blois, où, bien entendu, « les présidents de la FFBB et de la LNB sont invités », rapporte Le Monde."
}, 
{"role": "user",     "content":"Makan Dioumassi et Edouard Choquet obtiennent le diplôme de manager de la FIBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le vice-champion olympique à Sydney, Makan Dioumassi et le meneur de Fos/Mer Edouard Choquet font partie des cinquante étudiants de différents pays d’Europe diplômés en tant que manager de la FIBA auprès de la Newcastle Business School et de l’Université de Northumbria.\\n\\nTIME-OUT a été lancé en tant que programme à l’EuroBasket FIBA féminin 2017, lorsque FIBA Europe et ses fédérations nationales ont dévoilé leur initiative visant à aider les joueurs de basket d’élite à préparer une carrière dans le sport. Cela faisait suite aux recommandations de la Commission européenne sur la double carrière et la réintégration des sportifs professionnels sur le marché du travail.\\n\\n« Avec ce diplôme unique, nous pensons que vous avez entre vos mains les outils pour faire votre transition dans vos prochaines professions et nous espérons que pour la majorité d’entre vous ce sera dans le domaine du basket-ball. avec nous à la FIBA et vos fédérations pour contribuer à la croissance et à la santé du basket-ball en Europe et ailleurs dans le monde. Félicitations à vous tous et bonne chance dans cette nouvelle étape passionnante de votre carrière professionnelle, » a déclaré le président de la FIBA, Turgay Demirel.\\n\\nLes frères Ilian et Vasco Evtimov ainsi que Isabelle Yacoubou devraient obtenir ce diplôme plus tard dans l’année.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Un film est sorti sur l’histoire du basket antibois, Semper vivens"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un court métrage de 52 minutes intitulé « Semper vivens » (Toujours vivant) a été réalisé sur l’histoire de l’OAJLP Antibes devenue les Sharks. Ses co-réalisateurs sont Jean-Marc Casabo, président de l’OAJLP Basket amateur qui fut aussi celui des pros dans les années 2000 et Sophie Jeannoy, joueuse du Cavigal Nice, journaliste, caméraman, et qui a créé sa propre société de production.\\n\\nGrâce à des images d’archives de l’INA, on y voit les bras roulés de Jean-Claude Bonato comme la frénésie populaire lors des titres de 1991 et 1995.\\n\\n« Nous voulions montrer à quel point la vie de la cité et l’histoire de la balle orange sont indissociables », commente Sophie Jeannoy à Nice Matin.\\n\\nLe film a été d’ores et déjà reçu une « Guirlande d’honneur » au Festival International du Film Sportif placé sous l’égide du Comité International Olympique.\\n\\nCe court-métrage est voué à être distribué dans les écoles, médiathèques, clubs et associations.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=KiDcwImKdQ4"
}, 
{"role": "user",     "content":"En direct avec Jean-Baptiste Maille (Rouen) : «Beaublanc, il faut vraiment y être pour comprendre»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Victime d’une rupture des ligaments croisés du genou en préparation de la saison 2017/18 avec le CSP Limoges, Jean-Baptiste Maille (1,90m, 24 ans) a décidé de retourner en Pro B pour se relancer. En pleine préparation à Dallas avec Rouen, l’ancien joueur de Fos-sur-Mer répond aux questions du « En Direct ».\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nC’était avec Le Portel et c’était à Aix-Maurienne. J’en garde un bon souvenir parce que c’est mon premier match mais ce n’était pas le meilleur match de ma vie (rires).\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nIl y en a beaucoup. J’ai essayé d’apprendre de tous mes coéquipiers. Pour l’instant j’ai toujours eu la chance d’avoir des super mecs avec moi et des plus anciens qui m’ont beaucoup appris. Je pourrai en citer vraiment beaucoup. J’ai eu beaucoup de chance sur ce point-là jusqu’à maintenant.\\n\\nLe meilleur joueur actuel de Jeep Elite :\\n\\nAh... Je vais dire... Bon je vais pas dire mes potes quand même (rires). Ah franchement Zachery Peacock. Il a complètement mérité son titre de MVP. L’année dernière, c’était quand même costaud. Il a tenu Bourg, pas tout seul, mais pas loin.\\n\\n« Le ressenti qu’on a quand on est là-bas et qu’on joue pour Limoges, c’est indescriptible »\\n\\nLe coach qui vous a le plus marqué :\\n\\nIls m’ont tous marqué, mais c’est vrai que Rémi Giuitta c’est celui avec qui je suis resté le plus longtemps donc forcément c’est lui. Plus jeune, j’ai eu Mathieu Lemercier et Antoine Mathieu avec qui je suis resté vraiment très longtemps.\\n\\nLe club dans lequel vous rêveriez de jouer :\\n\\nC’est compliqué comme question ! Il y a évidemment la NBA et l’Euroleague, mais c’est plus un objectif qu’un rêve. Je pense les New York Knicks.\\n\\nLa salle dans laquelle vous avez joué avec le plus d’ambiance :\\n\\nAh Beaublanc sans hésiter ! L’ambiance et la ferveur des supporters c’est vraiment incroyable ! Il faut vraiment y être pour comprendre. Le ressenti qu’on a quand on est là-bas et qu’on joue pour Limoges, c’est indescriptible.\\n\\nLe pire souvenir de joueur :\\n\\nJe n’ai pas de pire souvenirs et je pense qu’on apprend de tout. Evidemment, ma blessure la saison dernière (ndlr, rupture des ligaments croisés), c’est jusqu’à maintenant le plus gros point noir de ma carrière. Ça ne sera peut-être pas le plus noir de toute ma carrière, mais c’était vraiment pas le plus joli en tout cas.\\n\\nLe meilleur souvenir de joueur :\\n\\nLes titres gagnés en jeunes. Le championnat d’Europe U20, représenter son pays c’est particulier. Il y aussi les saisons qui se passent bien avec les coéquipiers, où on gagne les matchs et où on va loin. Mais j’attends encore le titre en pro !\\n\\nLe meilleur joueur avec qui vous avez joué :\\n\\nAlors ça ce n’est pas évident non plus ! Je dirais... Aaron Broussard. Ah, il y aussi Samardo Samuels qui n’est pas trop mal !\\n\\nLe meilleur joueur que vous avez affronté :\\n\\nCe qui n’est pas évident c’est que l’année dernière je n’ai pas vraiment beaucoup joué... Bah Peacock ! Il y aussi des gars en Eurocup qui sont vraiment très, très forts mais je ne peux pas dire que j’ai joué contre eux donc je dirais Zachery Peacock.\\n\\nVotre match référence en carrière :\\n\\nIl y en a plusieurs, mais je ne pourrais pas en citer un en particulier. Ça reste des matchs en saison régulière, pas des matchs cruciaux ou des matchs couperets.\\n\\nSi vous pouviez prendre le move d’un joueur :\\n\\nL’adresse de Stephen Curry. Ça changerait bien des choses ! Ça serait plus facile le basket (rires).\\n\\nPourquoi le numéro 9 :\\n\\nBonne question. Je l’ai depuis tout petit. Ma grande sœur le portait et je ne sais pas, ce numéro m’est resté depuis que je suis tout jeune. Il y a eu très, très peu de saison où je ne l’ai pas eu.\\n\\nVotre meilleur pote dans le basket :\\n\\nOh j’en ai beaucoup ! C’est trop compliqué ! (rires)\\n\\n« Avant j’aurais voulu être pilote de ligne »\\n\\nSi vous deviez choisir quatre mecs pour monter une équipe avec vous, qui choisiriez-vous :\\n\\nJe vais mettre des potes aussi. Je prends William Howard. Il faut que ça défende un peu aussi... Je vais mettre Raphaël Desroses et Jimmy Durand en 5. Et je prends aussi Axel Bouteille. Et si je peux m’enlever de l’équipe, je mets Paul Courcier à ma place.\\n\\nPrincipale occupation entre deux entraînements :\\n\\nÊtre avec ma famille, ma copine. Je fais des cours par correspondance pour une école de commerce en ligne donc forcément ça me prend aussi un peu de temps. J’aime bien regarder des séries, j’aime bien lire et écouter de la musique. Comme tout le monde, mais j’ai les études en plus et ce côté commerce qui m’attire aussi.\\n\\nSi vous ne jouiez pas au basket :\\n\\nAvant j’aurais voulu être pilote de ligne et au fur et à mesure ça serait plus dans l’entreprenariat.\\n\\nAprès le basket :\\n\\nAh l’avenir nous le dira... Je n’en ai aucune idée !\\n\\n[armelse]\\n\\nVotre premier match en pro :\\n\\nMon premier match en saison pro c’était avec Le Portel et c’était à Aix-Maurienne. J’en garde un bon souvenir parce que c’est mon premier match mais ce n’était pas le meilleur match de ma vie (rires).\\n\\nLe joueur qui vous a rendu meilleur :\\n\\nIl y en a beaucoup. J’ai essayé d’apprendre de tous mes coéquipiers. Pour l’instant j’ai toujours eu la chance d’avoir des super mecs avec moi et des plus anciens qui m’ont beaucoup appris. Je pourrai en citer vraiment beaucoup. J’ai eu beaucoup de chance sur ce point-là jusqu’à maintenant.\\n\\nLe meilleur joueur actuel de Jeep Elite :\\n\\nAh... Je vais dire... Bon je vais pas dire mes potes quand même (rires). Ah franchement Zachery Peacock. Il a complètement mérité son titre de MVP. L’année dernière, c’était quand même costaud. Il a tenu Bourg, pas tout seul, mais pas loin.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Limoges CSP et Fos Provence Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le rassemblement de l’équipe de France reporté au 5 septembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le rassemblement de l’équipe de France prévu à Pau à la fin de ce mois a été annulé en raison de l’absence de plusieurs joueurs évoluant en Europe. Il se fera à Paris le 5 septembre en amont du Tournoi de Coubertin, qui se tiendra à partir du 7.\\n\\nLe calendrier de l’Équipe de Francelors des qualifications à la Coupe du Monde 2019\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPremier tour\\n\\n\\n\\n\\nVendredi 24 novembre 2017 à 20h30\\nBelgique – France (59-70)\\nAnvers (Lotto Arena)\\n\\n\\nLundi 27 novembre 2017 à 20h30\\nFrance – Bosnie (84-65)\\nRouen (Kindarena)\\n\\n\\nVendredi 23 février 2018 à 20h30\\nFrance – Russie (75-74)\\nStrasbourg (Rhénus)\\n\\n\\nDimanche 25 février 2018 à 15h00\\nFrance – Belgique (64-49)\\nNancy (Palais des Sports)\\n\\n\\nVendredi 29 juin 2018 à 20h30\\nBosnie – France (52-102)\\nTuzla (Tuzla Mejdan)\\n\\n\\nLundi 2 juillet 2018 à 19h00\\nRussie – France (78-84)\\nKrasnodar (Basket Hall Krasnodar)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDeuxième tour\\n\\n\\n\\n\\nJeudi 13 septembre 2018 à 17h00\\nBulgarie – France\\nBotevgrad (Arena Botevgrad)\\n\\n\\nDimanche 16 septembre 2018 à 17h00\\nFrance – Finlande\\nMontpellier (Sud de France Arena)\\n\\n\\nVendredi 30 novembre 2018\\nRépublique Tchèque – France\\n–\\n\\n\\nLundi 3 décembre 2018\\nFrance – Bulgarie\\n–\\n\\n\\nJeudi 21 février 2019\\nFinlande – France\\n–\\n\\n\\nDimanche 24 février 2019\\nFrance – République Tchèque\\n–\\n\\n\\n\\n\\nLe programme du Tournoi International de Paris :\\n\\nVendredi 7 septembre 2018 :\\n18h00 : Match féminin – France / Lettonie\\n20h30 : Match masculin – France / Monténégro\\n\\nSamedi 8 septembre 2018 :\\n18h00 : Match masculin – Monténégro / Grèce\\n20h30 : Match féminin – France / Australie\\n\\nDimanche 9 septembre 2018 :\\n16h00 : Match féminin – Australie / Lettonie\\n18h30 : Match masculin – France / Grèce\\n\\nPhoto: Nando De Colo, CSKA Moscou (Euroleague)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le tournoi des Champions d’Aix-Maurienne en direct sur Dailymotion"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dailymotion retransmet les quatre matches du Tournoi des Champions qui se tient ce week-end à la Halle Marlioz d’Aix-les-Bains.\\n\\nVendredi 23 août 2018:\\n18h00 : Dijon vs Vichy-Clermont\\n20h30 : Aix-Maurienne vs Chalon-sur-Saône\\nC’est ici.\\n\\nSamedi 24 août 2018 :\\n15h00 : Chalon-sur-Saône vs Dijon ou Vichy-Clermont\\n17h30 : Aix-Maurienne vs Dijon ou Vichy-Clermont\\nC’est ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Rémi Barry retrouve l’élite à Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mis à l’essai par le club depuis deux semaines de stage de préparation à Bormio, Rémi Barry (2m02, 26 ans) vient officiellement de signer avec Monaco.\\n\\nMembre fugace de nos Français de l’étranger passé par la Macédoine et la Croatie la saison passée, qu’il a terminée du côté de Poitiers (3 points et 2 rebonds de moyenne en deux apparitions), Barry a fait ses classes aux Etats-Unis, à la fac de New Mexico State.\\n\\nAilier athlétique, Barry va enfin avoir sa chance de jouer les premiers rôles dans l’élite hexagonale après son expérience au Havre en 2015-16.\\n\\n« Rémi a de la taille, des aptitudes et un beau potentiel. Il a le goût du travail et il veut encore progresser », a commenté le coach Sasa Filipovski sur le site du club. « Nous cherchions un joueur français au poste 3, pour aider Paul Lacombe, et capable aussi de nous aider en poste 4. »\\n\\n\\nAvec Lacombe, mais aussi Yakuba Ouattara, Rémi Barry va ainsi former un trident tricolore assez intéressant sur les ailes de la Roca Team.\\n\\nSes pérégrinations en Europe de l’Est, avec de belles stats à la clé notamment avec Jazine en Croatie (19 points et 8 rebonds de moyenne), ont donc fini par payer...\\n\\n\\n\\n\\nL'ailier français Rémi Barry (2,02m, 26 ans), à l'essai depuis le début de la préparation, intègre l'effectif de la #RocaTeam 🔴⚪️🏀🇲🇨💥@JeepElite @EuroCup\\n➡️ https://t.co/jZQFjf4rF6 pic.twitter.com/7Z3cvzyFoM\\n\\n\\n— AS Monaco Basket 🇲🇨 (@ASMonaco_Basket) August 24, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16 féminin: Vainqueur de la Pologne, la France jouera la 5e place demain face à la Russie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sans doute pas totalement remises de leur désillusion du quart-de-finale perdu face à l’Italie, les Françaises ont eu plus de mal que prévu à battre la Pologne dans le premier des deux matches de classement. Ce n’est que dans le dernier quart-temps (29-10) qu’elles ont fait une franche différence, 70-46.\\n\\nSur le plan individuel, ce sont Palmire Mbu (20 points et 7 rebonds) et Louise Bussière (14 points et 12 rebonds) qui se sont mises en exergue.\\n\\nDemain, les Bleuettes affronteront la Russie pour tenter d’accrocher la 5e place de cet Euro.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Célia Cardenal (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Usman Garuba, la nouvelle pépite du Real Madrid ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si c’est Roko Prkacin qui lui a damé le pion pour le trophée de MVP du dernier Eurobasket des moins de 16 ans, Usman Garuba était bel et bien le nom qui brûlait toutes les lèvres dans les cercles de scouts NBA. L’intérieur espagnol d’origine nigériane a effectivement éclaboussé la compétition de tout son talent, au dunk, au contre, à l’interception et même à la relance balle en mains...\\n\\nMVP de l’édition 2016 de ce même tournoi, alors qu’il n’avait que 14 ans (ce qui était une première historique), Usman Garuba n’aura malheureusement pas pu ramener la médaille d’or pour sa génération 2002. Mais après avoir raté l’Euro l’an passé à cause d’une blessure au genou, il a mis les choses au clair sur son niveau de jeu cet été !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe prototype de l’intérieur moderne\\n\\nAvec une énorme activité autour du cercle, et plus d’une action spectaculaire à son actif, Garuba a terminé le tournoi avec 25 à l’évaluation, soit la meilleure de la compétition. Il faut dire qu’avec 16 points (à 53% aux tirs), 12 rebonds, 3 passes, 2 interceptions et 2 contres de moyenne, le jeune intérieur espagnol a sérieusement noirci sa feuille de stats. Et il sait déjà ce qu’il veut.\\n\\n« Je veux jouer comme Draymond Green, Paul Millsap, Ben Simmons, [Giannis] Antetokounmpo, ce genre de joueurs », explique-t-il sur ESPN. « Je veux être un joueur complet. Je progresse bien sur mon tir, que ce soit aux lancers, à 4 ou 5 m et même à trois points. Mais je sais que je dois encore bosser pour être un bon shooteur. Je veux à terme être un solide shooteur. Je veux être capable de faire un peu de tout sur le terrain. »\\n\\nQuelque peu sous-dimensionné pour le poste d’ailier fort à 2,03m (mais avec une envergure de 2,18m), Garuba compense par un moteur et une envie monstrueuses. Plus intense physiquement que ses comparses du même âge, Garuba joue chaque minute comme si c’était la dernière. C’est déjà un compétiteur hors-normes.\\n\\n« Je dois montrer aux autres joueurs comment jouer dur et physique. Et leur montrer comment on gagne. Dans mon premier club, on m’a expliqué que je devais jouer chaque match avec intensité, puissance et énergie. »\\n\\nEt le minot a bien retenu la leçon ! Avec 25 points et 16 rebonds en 23 minutes dès son premier match face à la Serbie, dans une victoire facile (72-46), Garuba a donné le ton de son tournoi à venir. Face aux Serbes qui ne sont pas les premiers venus, le pensionnaire du Real Madrid était en double double en 12 minutes de jeu seulement !\\n\\nEt il a remis le couvert face au Pays-Bas, avec un nouveau double double en 9 minutes cette fois-ci (pour 13 points, 11 rebonds en 14 minutes au final) ! Et un dunk faramineux (voir plus bas) sur la tête d’un adversaire dépassé par les événements...\\n\\nUn gros potentiel défensif\\n\\nEncore brut de décoffrage sur son tir extérieur et sur les aspects les plus techniques du jeu (son dribble, son jeu face et dos au panier notamment), Garuba aura uniquement dû s’avouer vaincu en finale. Malgré ses 16 points (à 7/19 aux tirs), 18 rebonds, 4 passes en 34 minutes, la Roja a fini par s’incliner face à la Croatie de Prkacin.\\n\\nFort logiquement élu dans le meilleur cinq de la compétition, Usman Garuba ajoute donc une nouvelle ligne à son palmarès individuel, après son trophée de MVP du tournoi européen remporté donc en 2016. En finale, il avait notamment signé un triple double insensé avec 15 points (à 7/10 aux tirs), 11 rebonds, 10 contres et 4 interceptions pour sceller le sort de la Lituanie...\\n\\nPlus récemment, Garuba a aussi été nommé dans le cinq idéal du Final Four Junior, remporté par son équipe du Real. De plus, le jeune ailier a été sacré champion en Espagne et récompensé du trophée de MVP de la finale, face à Badalone, derrière une ultime sortie à 12 points, 15 rebonds, 4 passes.\\n\\n« Plus que sa supériorité physique sur ses camarades, j’aime sa progression sur le tir à trois points », analyse le sélectionneur Sergio Scariolo dans Marca. « Sans en faire une obsession, il continue à travailler pour être capable de s’écarter de plus en plus. J’aime beaucoup sa qualité en tant que rebondeur, surtout qu’il peut tout à fait lancer lui-même la contre-attaque avec une bonne maîtrise du ballon. Il a également une belle vision du jeu à la passe, il peut générer du jeu pour ses coéquipiers. »\\n\\nDe fait, il présente plusieurs qualités qui semblent le destiner à un futur doré en NBA. Comme Draymond Green, il dispose ainsi de bons instincts défensifs. Ancien gardien de but au foot, Garuba a de bonnes mains pour piquer la balle dans les mains du meneur adverse, et mieux encore, il peut se déplacer avec eux après le fameux switch sur l’écran initial en tête de raquette.\\n\\nAvec sa longueur de bras, il gêne considérablement son adversaire et il fait preuve de beaucoup de réactivité sur la protection du cercle. S’il ne sera jamais un contreur de premier plan, Garuba a le potentiel pour être par contre un défenseur complet, et surtout un défenseur moderne : capable de switcher et de jouer les derniers remparts dans une rotation small ball.\\n\\nAvec l’équipe première du Real la saison prochaine ?\\n\\nSous contrat avec le Real Madrid pour les deux prochaines saisons, Garuba n’a pas l’intention de quitter le cocon. Le natif de la capitale espagnole compte bien au contraire y faire ses armes et essayer de grappiller des minutes au sein du groupe pro. Et suivre ainsi les pas de Luka Doncic, parti à la conquête de l’Amérique...\\n\\n« Je veux faire partie de l’équipe première », envoie Garuba sur le site de la FIBA, « et ce, dès la saison prochaine ! »\\n\\nSurvolant la concurrence en termes de physique pur, Usman Garuba sera alors confronté à des adversaires qui auront du répondant au contact. Mais le jeune panzer compte bien donner tort à tous les détracteurs qui ne le voient pas maintenir son avance sur ses petits camarades.\\n\\n« Il a peu grandi ces dernières années », reprend coach Scariolo, « mais c’est largement suffisant si son évolution lui permet de rester au poste d’ailier fort – pivot. C’est le chemin qu’il a pris pour sa carrière en travaillant son tir, sa qualité de passe et son dribble. »\\n\\nEt selon le principal intéressé, ce n’est seulement que le début de l’histoire pour la famille Garuba, qui compte également un autre garçon, Sediq, qui grandit également dans les rangs des équipes de jeune au Real.\\n\\n« Sediq a deux ans de moins que moi. Il joue aussi au basket mais ne vous inquiétez pas, il n’est pas meilleur que moi. Je ne crois pas ! »\\n\\nAprès les frères Gasol et Hernangomez, y aura-t-il une nouvelle fratrie espagnole en NBA ? Usman Garuba est en tout cas un des joueurs à surveiller de près dans les années à venir du côté du Real.\\n\\nPhoto : FIBA\\n\\nSes highlights avec le Real Madrid\\n\\nSes highlights face à la Serbie, lors du dernier Euro U16\\n\\nSon dunk face au Pays Bas\\n\\n[armelse]\\n\\nLe prototype de l’intérieur moderne\\n\\nAvec une énorme activité autour du cercle, et plus d’une action spectaculaire à son actif, Garuba a terminé le tournoi avec 25 à l’évaluation, soit la meilleure de la compétition. Il faut dire qu’avec 16 points (à 53% aux tirs), 12 rebonds, 3 passes, 2 interceptions et 2 contres de moyenne, le jeune intérieur espagnol a sérieusement noirci sa feuille de stats. Et il sait déjà ce qu’il veut.\\n\\n« Je veux jouer comme Draymond Green, Paul Millsap, Ben Simmons, [Giannis] Antetokounmpo, ce genre de joueurs », explique-t-il sur ESPN. « Je veux être un joueur complet. Je progresse bien sur mon tir, que ce soit aux lancers, à 4 ou 5 m et même à trois points. Mais je sais que je dois encore bosser pour être un bon shooteur. Je veux à terme être un solide shooteur. Je veux être capable de faire un peu de tout sur le terrain. »\\n\\nQuelque peu sous-dimensionné pour le poste d’ailier fort à 2,03m (mais avec une envergure de 2,18m), Garuba compense par un moteur et une envie monstrueuses.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Chalon: Ibrahima Fall Faye prêté à Louvain"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir été prêté à Poitiers en Pro B la saison dernière, le poste 4 sénégalais Ibrahima Fall Faye (2,07m, 21 ans) va l’être au club belge de Louvain. C’est ce qu’indique l’Elan Chalon sur twitter.\\n\\nIssu de la Seed Academy du Sénégal, Ibrahima Fall Faye est un produit du centre de formation de l’Elan et il avait été en 2014 le premier Africain à être élu MVP du Jordan Classic. Ses 17’ de temps de jeu moyen la saison dernière à Poitiers lui ont permis de marquer 4,9 points et de prendre 5,0 rebonds pour une évaluation de 9,4.\\n\\nPhoto: Elan"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Mondial 2019: Le pivot des Bulls Lauri Markkanen retenu avec la Finlande... devrait déclarer forfait"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que le meneur des New York Knicks Frank Ntilikina vient de déclarer forfait pour les deux matches de qualification de septembre à la Coupe du monde 2019, l’intérieur finlandais des Chicago Bulls, Lauri Markkanen (2,13m, 21 ans) a été inclus dans la liste des 27 pré-sélectionnés donnée par le coach Henrik Dettmann. Mais...\\n\\n... Le site Sportando croit savoir que Markkanen devrait lui aussi zapper le match France-Finlande prévu pour le dimanche 16 septembre à Montpellier pour les mêmes raisons que Ntilikina: préparer la saison NBA à venir. Un coup dur pour les Finlandais. A l’Euro 2017, alors qu’il sortait de fac, le jeune prodige avait assuré 19,5 points et 5,7 rebonds.\\n\\nLes stars Petteri Koponen et Sasu Salin, tout comme Erik Murphy et Jamar Wilson passés par la France font également partie de cette pré-sélection.\\n\\n\\n\\n\\nAHONEN Roope\\n187\\n12.6.1990\\nCB Oviedo (ESP)\\n\\n\\n\\nAIDOO Fiifi\\n189\\n5.4.1996\\nUra Basket, Kaarina\\nVisa-Basket, H:ki\\n\\n\\nHIRVONEN Tuomas\\n181\\n17.5.1996\\nKouvot, Kouvola\\nKouvolan Pojat\\n\\n\\nHUFF Shawn\\n198\\n5.5.1984\\nFraport Skyliners (GER)\\nToPo, H:ki\\n\\n\\nJAAKKOLA Tuukka\\n207\\n29.5.1999\\nCal Poly (NCAA)\\nTurun NMKY\\n\\n\\nJANTUNEN Mikael\\n204\\n20.4.2000\\nHBA-Märsky, Helsinki\\nWartti-Basket, H:ki\\n\\n\\nKANERVO Antti\\n192\\n12.4.1989\\nStjarnan (ISL)\\nÄänekosken Huima\\n\\n\\nKANTONEN Henri\\n198\\n20.8.1997\\nSalon Vilpas\\nToPo, H:ki\\n\\n\\nKOIVISTO Mikko\\n194\\n18.4.1987\\nSalon Vilpas\\nPussihukat, Vantaa\\n\\n\\nKOPONEN Petteri\\n194\\n13.4.1988\\nBayern München (GER)\\nMaSu-Basket, H:ki\\n\\n\\nKOTTI Tuukka\\n205\\n18.3.1981\\nHelsinki Seagulls\\nForssan Koripojat\\n\\n\\nLINDBOM Carl\\n206\\n10.11.1991\\nfree agent\\nTapiolan Honka\\n\\n\\nMADSEN Alexander\\n207\\n26.1.1995\\nCB Gran Canaria (ESP)\\nKouvolan Pojat\\n\\n\\nMARKKANEN Lauri\\n213\\n22.5.1997\\nChicago Bulls (NBA)\\nHoNsU, Jyväskylä\\n\\n\\nMURPHY Alex\\n206\\n3.6.1993\\nKK Szolnoki Olaj (HUN)\\nSt. Mark’s (USA)\\n\\n\\nMURPHY Erik\\n208\\n23.10.1990\\nfree agent\\nSt. Mark’s (USA)\\n\\n\\nNENONEN Juho\\n202\\n12.9.1987\\nSalon Vilpas\\nTapiolan Honka\\n\\n\\nNUOLIVIRTA Mika\\n210\\n1.10.1994\\nKorihait, Uusikaupunki\\nRekolan Urheilijat\\n\\n\\nNUUTINEN Matti\\n200\\n6.5.1990\\nCB Oviedo (ESP)\\nUra Basket, Kaarina\\n\\n\\nODABASI Anton\\n206\\n8.8.1995\\nfree agent\\nTapiolan Honka\\n\\n\\nOJALA Matias\\n199\\n20.7.1989\\nKataja Basket, Joensuu\\nJKS, Järvenpää\\n\\n\\nPALMI Topias\\n194\\n26.8.1994\\nKataja Basket, Joensuu\\nTampereen Pyrintö\\n\\n\\nSALIN Sasu\\n191\\n11.6.1991\\nUnicaja Malaga (ESP)\\nMaSu-Basket, H:ki\\n\\n\\nSEPPÄLÄ Ilari\\n188\\n27.3.1993\\nKataja Basket, Joensuu\\nKorikobrat, Lapua\\n\\n\\nTAHVANAINEN Ville\\n193\\n30.6.2000\\nHBA-Märsky, Helsinki\\nHelsingin NMKY\\n\\n\\nWAXLAX Ricky\\n194\\n2.12.1999\\nHelsinki Seagulls\\nMaSu-Basket, H:ki\\n\\n\\nWILSON Jamar\\n185\\n25.2.1984\\nBC Lietkabelis (LTU)\\nOur Savior (USA)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLauri Markkanen has been included in Finland's NT preliminary roster for upcoming #fibawc qualifiers but he will NOT play (almost for sure) for #Susijengi to be as ready as possible for his second season in the NBA with Bulls\\n\\n\\n— Sportando (@Sportando) August 24, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Frank Ntilikina ne sera pas présent avec les Bleus en septembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Frank Ntilikina (1,96m, 20 ans) ne fera pas ses débuts avec l’équipe de France lors de la fenêtre internationale de septembre où sont prévus deux matches contre la Bulgarie et la Finlande qualificatifs pour la Coupe du monde 2019.\\n\\n«C’est avec beaucoup d’honneur et de fierté que j’ai reçu l’annonce de ma sélection dans le groupe de dix-huit du Team France Basket, indique le meneur des New York Knicks dans un communiqué rapporté par L’Equipe. « Cependant, à l’aube de ma deuxième saison NBA avec les New York Knicks, le timing apparaît très complexe avec un début de regroupement de l’équipe prévu dès début septembre et un nouveau cycle à venir avec un nouveau coaching staff. C’est avec grand regret que je ne pourrai finalement rejoindre le groupe pour cette campagne (...) «Ma motivation à défendre les couleurs de mon pays est intacte. Et je brûle d’impatience à l’idée d’enfin intégrer cette équipe»\\n\\nAvec six victoires en six matches, l’équipe de France est déjà presque qualifiée pour la Coupe du Monde en Chine mais le forfait de l’ancien Strasbourgeois prouve une fois de plus que la toute puissante NBA et les équipes nationales ne font pas bon ménage.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"[REDIFF] Entretien « Papa de basketteur » – Deron Hayes : « Killian est prêt »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BasketEurope vous propose cet été de lire ou de relire les meilleurs articles PREMIUM de la saison 2017-18.\\n\\nA 16 ans, Killian Hayes continue de franchir les étapes à une vitesse folle. La semaine a été chargée pour le jeune espoir choletais, MVP du dernier Euro U16 avec les Bleuets cet été, entre son entrée à Boulazac pour disputer deux minutes en Pro A pour la deuxième fois de la saison, et sa première titularisation en pro mardi soir à Saint-Vallier en Coupe de France (4 points, 2 rebonds et 3 passes décisives pour 7 d’évaluation en 15 minutes). Né le 27 juillet 2001 à Lakeland (Floride), Killian n’est autre que le fils de DeRon Hayes, shooteur d’élite qui a principalement sévi à Cholet Basket (1998-2000, 2002-2004 & 2008) mais a également laissé de très bons souvenirs à Bourg, Nancy, Limoges, Evreux, Angers et Orchies.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComme son fils, DeRon, naturalisé français au cours de sa carrière, est un vrai mordu de basket. Pour preuve, à 47 ans, il n’a toujours pas réussi à raccrocher et joue toujours avec la Pré-Nationale de Cholet Basket où il est également entraîneur pour les U17 et U18. Alors que son prodige de rejeton poursuit son ascension, l’ancien chouchou de la Meilleraie a accepté d’inaugurer cette mini-série d’entretiens consacrés aux papas de basketteurs, où il sera notamment question des premiers pas de Killian et du rôle que Deron a pu jouer pour l’accompagner dans ses choix et sa progression.\\n\\nDeRon Hayes, dans quel contexte est né votre fils ?\\n\\nIl est né en juillet 2001. Je sortais d’une pige aux Etats-Unis en ABA, une ligue qui était juste en dessous de la NBA à l’époque, un peu comme la D-League aujourd’hui. J’étais à Indiana avec ma femme, et lorsque ça s’est terminé, nous sommes retournés chez nous en Floride pour passer l’été. Et il est né là bas, dans le même hôpital que moi (Lakeland).\\n\\nVous rappelez-vous des premiers moments où Killian et vous avez commencé à jouer au basket ?\\n\\nC’est difficile à dire, Killian est né avec un ballon en main ! C’est un peu le cas pour tout basketteur qui a un fils, la première chose qu’il voit où qu’il touche, c’est le basket. C’était le cas avec lui. Il en est tombé amoureux très vite et s’est rapidement retrouvé comme un poisson dans l’eau. Il tenait déjà un ballon en main avant même de savoir marcher, donc ça remonte à très tôt.\\n\\nAvez-vous une anecdote sur les premiers pas de Killian basketteur ?\\n\\nLorsque j’étais à Nancy (2004-2007), on jouait souvent dans le jardin où on avait installé un panier. Il avait à peine 3-4 ans et il voulait absolument dunker. On baissait le panier sur le côté et il se faisait de véritables dunk contests ! Il avait déjà tout ça en tête, à vouloir faire des 360, des choses comme ça. Il voulait absolument les reproduire.\\n\\nQuel regard portait-il sur votre carrière de joueur professionnel ? Il vous en parlait beaucoup ?\\n\\nDisons qu’il regardait beaucoup de basket de manière générale. Il était toujours à la salle et comme tous les enfants il allait s’amuser sur les paniers après les matchs. Quand il jouait aux jeux vidéos, c’était aussi beaucoup de basket et à la télé, il se gavait des « And One mixtapes ». Il regardait ça, mais vraiment beaucoup ! Et moi aussi je dois dire (rires). Tout ça a eu une influence sur le basket qu’il joue aujourd’hui plus que ma propre carrière, même si les cross-overs ou ankle breakers, étaient des gestes que j’aimais aussi.\\n\\nQuelles sont les premières qualités que vous lui trouvez en tant que basketteur ?\\n\\nMalheureusement je le regarde peu jouer en match. Il joue souvent le samedi en même temps que moi. Mais quand je le vois jouer, je dirais qu’il est déjà plus grand que ses adversaires. Il est aussi plus rapide que les autres, et avec sa patte gauche, il peut crosser tout le monde. Il défend aussi, il peut défendre tout terrain. Et ce n’est pas quelqu’un d’égoïste sur un terrain. Il essaie de faire jouer tout le monde et prend du plaisir à le faire. Je ne pensais pas qu’on arriverait à un tel niveau dès maintenant. Mais surtout, quand je le regarde jouer, je vois qu’il prend du plaisir. Et quand c’est comme ça, il joue bien. C’est le plus important pour moi.\\n\\nQuel genre de papa étiez-vous au bord du terrain ?\\n\\nPlutôt discret. Je n’ai pas envie de parler, de commenter, de crier ou des choses de ce genre quand je regarde un match de mon fils. De toute façon, lui est comme moi de ce côté là. Quand il est dans son match, il est concentré à fond, il n’écoute personne dans les tribunes. Je respecte aussi le jeune basketteur qu’il est encore. Il fait ses choses, et forcément il fait des erreurs aussi. Mais c’est le basket, ça ne peut jamais être parfait. Quand je peux aider, je donne quelques consignes, mais je n’interviens pas pendant le match, je le laisse jouer. On parle avant ou après, sinon mais c’est lui seul qui est aux commandes.\\n\\nAvez-vous déjà eu de mauvaises expériences avec un coach ou une équipe de Killian ?\\n\\nPour l’instant non. On a eu la chance de toujours avoir pu compter sur de bons entraîneurs. En général tout se passe bien avec Killian. C’est un joueur qui aime défendre, faire jouer les autres et prend du plaisir à le faire. Pour moi, c’est la meilleure chose qu’un coach peut demander à un joueur. Il se donne toujours à l’entraînement, à 100%, il ne triche pas et ses aussi écouter ses entraîneurs.\\n\\nQue mettez-vous en place pour l’accompagner ?\\n\\nRien de particulier. Quand j’ai intégré le staff ici j’ai pris l’habitude de toujours venir à l’entraînement pour le voir. On fait un peu de travail individuel quand il a le temps mais rien de plus. Pendant les vacances par contre, on est toujours à la salle. Parfois même pas pour s’entraîner, on reste là-bas, pour faire des tirs, jouer un peu, faire des petits un-contre-un, on peut reste quatre heures ou plus à la salle comme ça, sans y penser. Quand je vois des choses à l’entraînement qu’on peut perfectionner, on bosse. Et puis je ne suis jamais loin pour aider ou le pousser un peu.\\n\\nLe choix de de sa formation à Cholet, c’était le sien ou le vôtre ?\\n\\nAvec Sandrine, ma femme, on a décidé que c’était mieux de rester ici car Cholet a un gros centre de formation. On connaît tous les grands joueurs qui ont été formés ici par le passé. L’environnement est parfait, le staff et le club sont compétents, et ils donnent aussi leur chance aux joueurs. Tout ça fait que la décision a été facile à prendre. De plus, je remarque que beaucoup de joueurs majeurs français de Pro A sont passés par Cholet. Il y a tout pour être bon ici, tout est là pour progresser et en plus, papa est plus près ! (rires). L’Insep est un très bon centre de formation, mais ce n’était pas la meilleure voie pour Killian. C’était mieux et plus pratique qu’il reste ici. Et jusqu’à présent, on n’est pas déçu de notre décision. Il progresse, les résultats sont bons, pour moi tout est positif.\\n\\nDe quoi discutez-vous principalement aujourd’hui ?\\n\\nOn parle principalement de l’aspect mental. Je lui donne des conseils pour continuer à bosser, faire toujours plus, être prêt, ne jamais être satisfait. Il aime le challenge et on marche beaucoup à ça. Si tu fais ça, tu obtiendras ceci, ça va venir. On ne peut pas échapper à certaines étapes par lesquelles tous les joueurs passent. Comme là, il est sur le banc. Depuis le début il n’a pas beaucoup joué mais on continue d’avancer, même s’il est un peu impatient. Nous aussi, mais on ne force pas. Il faut être prêt. Pour moi il est prêt et il a bossé pour. Il a écouté et fait de bonnes choses avec les espoirs. Il faut maintenant faire pareil en pro.\\n\\nLes actions du premier match débuté en pro par Killian Hayes, mardi 23 janvier en Coupe de France\\n\\nA partir de quand avez-vous constaté un changement de regard sur Killian ?\\n\\nL’été dernier, quand il a passé un cap (à l’Euro U16). Déjà à Brooklyn en avril au Jordan Brand Classic, j’étais là et il n’avait pas lâché le match, même quand celui-ci était déjà perdu. Ce n’est pas quelqu’un comme ça. Il y croit toujours. J’ai toujours eu 100% confiance en mon fils parce que lorsqu’il est sur un terrain, il fait tout pour gagner. Depuis toujours, même si on fait un un-contre-un. A l’Euro ça a aussi été le cas. Il y avait une belle équipe autour de lui, Théo Maledon, Timothé Crusol...et ils n’ont pas lâché. Ils y ont cru tout le temps. Quand je refais le match contre la Russie (Killian Hayes donne la victoire aux Bleuets dans les dernières secondes, 63-61), pour moi c’est tout mon fils ça ! On était derrière, on se bat pour revenir et on passe devant. Après ça, j’ai vu qu’il était en pleine confiance. Ils ont fait un gros tournoi et ils l’ont gagné. Il ne m’a jamais déçu, je sais qu’il veut le meilleur.\\n\\nPensiez-vous que votre fils pouvait atteindre son niveau actuel à cet âge ?\\n\\nIl est dans les meilleures conditions pour ça. Là il s’entraîne avec les pros et dans sa tête, il progresse tous les jours. Il apprend des choses avec son coach, Philippe Hervé. Il est là, il voit comment les pros s’entraînent, se comportent. Il est dans un club de top niveau en Pro A et en Espoirs avec un bon staff et de belles équipes, c’est la meilleure possibilité pour lui s’il veut être bon cet été avec l’Equipe de France au championnat du monde (du 30 juin au 8 juillet en Argentine). C’est la prochaine étape. Ce sera la même équipe avec quelques nouveaux comme Malcom Cazalon, Tom Digbeu. Je pense qu’avec lui, ils peuvent montrer de belles choses. En tout cas il est très motivé pour car en plus ils vont jouer des équipes américaines.\\n\\nL’oeil du coach, Philippe Hervé après le premier match de Killian Hayes débuté en professionnel :\\n\\n«Il a montré qu’il pouvait jouer, qu’il n’y avait pas de problème. Il est d’une maturité à son âge qui est hors norme. Je ne me faisais pas vraiment de souci à vrai dire, et il a confirmé. Ce gamin, il est prêt à jouer. Il ne fait clairement pas partie de ceux qui m’ont déçu. Après il faut qu’il s’habitue à ça, à l’exigence, tout ça... C’est un process pour lui. Ce qui est satisfaisant mais qui n’est qu’une confirmation aujourd’hui, c’est qu’il est prêt. On le reverra certainement. Si il y a des joueurs devant qui se trouent, j’irai trouver d’autres solutions. Je ne lui ai donné aucun conseil particulier sur son duel avec William Gradit (35 ans). Ce gamin là... Il y en a des comme ça, On les accompagne et il n’y a pas besoin d’en rajouter. Il sait ce qu’il veut et il a le mental pour, il ne subit pas la pression comme d’autres».\\n\\n[armelse]\\nComme son fils, DeRon, naturalisé français au cours de sa carrière, est un vrai mordu de basket. Pour preuve, à 47 ans, il n’a toujours pas réussi à raccrocher et joue toujours avec la nationale 3 de Cholet Basket où il est également entraîneur pour les U17 et U18. Alors que son prodige de rejeton poursuit son ascension, l’ancien chouchou de la Meilleraie a accepté d’inaugurer cette mini-série d’entretiens consacrés aux papas de basketteurs, où il sera notamment question des premiers pas de Killian et du rôle que Deron a pu jouer pour l’accompagner dans ses choix et sa progression.\\n\\nDeRon Hayes, dans quel contexte est né votre fils ?\\n\\nIl est né en juillet 2001. Je sortais d’une pige aux Etats-Unis en ABA, une ligue qui était juste en dessous de la NBA à l’époque, un peu comme la D-League aujourd’hui. J’étais à Indiana avec ma femme, et lorsque ça s’est terminé, nous sommes retournés chez nous en Floride pour passer l’été. Et il est né là bas, dans le même hôpital que moi (Lakeland).\\n\\nVous rappelez-vous des premiers moments où Killian et vous avez commencé à jouer au basket ?\\n\\nC’est difficile à dire, Killian est né avec un ballon en main ! C’est un peu le cas pour tout basketteur qui a un fils, la première chose qu’il voit où qu’il touche, c’est le basket. C’était le cas avec lui. Il en est tombé amoureux très vite et s’est rapidement retrouvé comme un poisson dans l’eau. Il tenait déjà un ballon en main avant même de savoir marcher, donc ça remonte à très tôt.\\n\\nAvez-vous une anecdote sur les premiers pas de Killian basketteur ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Des drapeaux à damiers sur les maillots du Mans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme Pau, Le Mans Sarthe Basket va étrenner de nouveaux maillots pour la saison 2018-19 et on y remarque la présence de drapeau à damiers. C’est le symbole du sport automobile et plus particulièrement des 24 heures, la course qui fait la notoriété de la ville de part le monde."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les nouveaux maillots de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fruit d’une collaboration entre l’équipementier Peak et la société What if? de Romuald Coustre, par ailleurs devenu le Directeur Général Opérationnel du Paris Basket, voici les nouveaux maillots de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez pour la saison 2018-19 qui ont été présentés hier par le club."
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Margaux Galliou-Loko rejoint Tarbes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vice-champion de France, Tarbes a ajouté une joueuse à son recrutement en la personne de Margaux Galliou-Loko (1,84m, 25 ans). Celle-ci a la particularité d’avoir opéré la saison dernière dans le championnat allemand, à Wasserburg. Elle y était la 2e marqueuse de l’équipe avec 11,3 points plus 5,5 rebonds et 1,1 passe.\\n\\nAuparavant, la Nantaise avait porté les maillots de Bourges, Nice, Lyon, Nantes et Charleville.\\n\\n\\n\\n\\nIt’s official yaaaaaall, I’m back in 🇫🇷 !!! 🤩🤗😍 #blessed 🙌🏼🙏🏼 #letsgetit #octagonfamily #Repost gaelroule\\n・・・\\nFélicitations à Margaux Galliou Loko pour cette... https://t.co/z5a5NJ8Pbc\\n\\n\\n— Margaux Claveau (@Gauxmar8) August 23, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Levallois: Cyrille Eliezer-Vanérot out plusieurs mois, Giovan Oniangue peut-être en pigiste"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ailier de Levallois Cyrille Eliezer-Vanérot (2,03m, 26 ans) a été victime cette semaine d’une fracture du 5e métatarse du pied droit et devra ainsi se faire opérer. Son indisponibilité sera probablement de trois à quatre mois.\\n\\nLe club pourrait lui chercher un pigiste médical et selon Le Parisien, ce serait un ancien du club, Giovan Oniangue (1,98m, 27 ans), qui s’entraîne actuellement avec l’équipe qui ferait l’affaire. Un autre ex-Levalloisien, Ada Sané effectue également ce début de préparation avec les Metropolitans.\\n\\nPhoto: Metropolitans"
}, 
{"role": "user",     "content":"Olympiakos – Panathinaikos : la brûlante rivalité grecque déjà incandescente"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"S’il n’est certainement pas le premier, ni le dernier, à faire le voyage entre les deux grands rivaux du basket grec, l’Olympiakos et le Panathinaikos, Ioannis Papapetrou (2,06m, 24 ans) n’en emporte néanmoins pas que des amitiés.\\n\\nL’ailier hellène a effectivement été victime d’un tacle assez viril de son ancien coéquipier chez les Reds, Dimitris Agravanis, en début de mois. Ce dernier n’a pas tellement apprécié la manière avec laquelle Papapetrou a quitté l’équipe...\\n\\n« Je ne vais pas mentir : depuis qu’on a perdu le titre la saison passée, j’ai trouvé que l’attitude de Ioannis a été inacceptable, et c’est peu de le dire », avait envoyé Agravanis pour le journal grec Fos. « Tout le monde peut signer où il veut, mais il faut aussi se comporter comme un homme. Surtout envers une équipe qui l’a toujours soutenu ces deux dernières saisons. En fin de compte, c’est sur le terrain qu’on est tous jugé. »\\n\\nDe son côté, le nouveau membre du Pana n’a pas sourcillé. Lors du Media Day des Greens, Papapetrou est resté droit dans ses bottes. Et même s’il semble envoyer à son tour un petit taquet, il veut avant tout jouer la carte de l’apaisement.\\n\\n« Il n’y a aucune raison de parler comme ça, par médias interposés. Mon boulot, c’est de jouer au basket. Notre boulot, c’est de jouer au basket et pas de discuter. Tout le monde a son avis sur la question, selon ses croyances et son niveau d’éducation. C’est son opinion, elle doit être respectée, mais je n’ai aucune envie de rentrer dans un débat. J’ai été élevé différemment. »\\n\\nLa rivalité déjà brûlante entre les deux puissances grecques est donc déjà montée en température... avant même le début des hostilités ! La saison 2018-19 s’annonce incandescente en Grèce.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le club lituanien de Prienai dézingue la famille Ball"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Relégué en deuxième division après avoir terminé bon dernier au classement, et sans budget pour la saison à venir, le club de Prienai est évidemment la grande victime de l’épisode catastrophique de la famille Ball en Lituanie.\\n\\nEt le coach de l’équipe, Virjginijus Seskus, n’a pas mâché ses mots pour qualifier le niveau de jeu des frères LaMelo et LiAngelo Ball. Lui qui ne souhaitait pas leur venue, depuis le début.\\n\\n« La première et l’erreur la plus grave que nous avons commise, c’est de leur laisser croire, surtout LaVar, qu’ils avaient voix au chapitre dans le club : dans les décisions, dans les projets et même dans le jeu. Ses garçons sont loin d’être au niveau pour jouer en LKL, sans parler de la NBA. Et la ligue l’a évidemment compris, à en voir le résultat de la dernière draft. »\\n\\n\\nLes Big Ballers repartent avec leurs cadeaux...\\n\\nPas tendre, coach Seskus en remet encore une couche sur leur état d’esprit...\\n\\n« Mais le plus décevant était encore qu’ils n’ont pas montré la moindre volonté de progresser. Et quand ils se sont rendus compte que ça n’allait nulle part, ils ont commencé à détruire le club, en ne payant pas les prix promis aux vainqueurs de leur tournoi Big Baller Brand. »\\n\\nLa venue des Ball devait permettre à Prienai d’éponger ses dettes après le départ d’un sponsor à l’hiver 2018. Et ce fut fait dans le court terme. Mais le club repart désormais pour ainsi dire à la case départ dans l’antichambre...\\n\\nLe cirque médiatique des Ball est passé, mais il est reparti sans prévenir. Et ce avec l’enveloppe de sponsoring de sa marque BBB... et même des machines à shooter qui avaient été présentées comme des cadeaux au club !\\n\\n\\n\\n\\nBall Brothers former coach in Lithuania finally fires back:\\n\\n\\n“The most disappointing fact was that they had no inner drive to become better.” – Virginijus Seskus pic.twitter.com/TvdyyYcdme\\n\\n\\n— Jeff Goodman (@GoodmanHoops) August 23, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nemanja Nedovic : «Avec Milan, on peut viser très haut !»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Récemment présenté à la presse en compagnie de Mike James, l’autre recrue majeure de l’été, Nemanja Nedovic (1m91, 27 ans) est apparu très souriant et très ambitieux pour sa nouvelle aventure en club.\\n\\nA Milan, Nedovic nourrit effectivement de grandes ambitions non seulement sur la scène nationale, mais également sur la scène continentale. Entre la présence de son compatriote Vladimir Micov ou ses multiples expériences en Italie durant sa jeunesse (à suivre son papa handballeur professionnel), le meneur serbe se sent déjà chez lui dans la capitale de la mode.\\n\\n« Dès le début, quand on a commencé à regarder aux destinations possibles pour moi, Milan était déjà présent, avec une superbe offre pour moi », a déclaré Nedovic sur le site du club lombard. « C’était idéal pour mon avenir, pour ma famille, pour ma petite amie qui travaille comme mannequin et qui aura beaucoup de travail ici... Et puis, j’ai déjà vécu en Italie, je connais déjà le pays, j’adore la nourriture, je connais les gens du club qui sont très gentils. Et puis, j’ai surtout été impressionné par le plan mis en place par le club pour la saison prochaine. On a signé des bons joueurs et la décision n’a donc pas été difficile à prendre. »\\n\\nAuteur d’une saison magnifique avec Malaga, à hauteur de 17 points et 5 passes de moyenne en Euroleague, Nedovic se sent encore capable de passer un nouveau cap avec l’Olimpia.\\n\\nL’ancien coéquipier de Stephen Curry à Golden State avoue avoir connu des remous à son retour sur le Vieux Continent. Mais c’est désormais de l’histoire ancienne...\\n\\n« C’est une progression naturelle. Chaque saison, j’ai élevé mon niveau de jeu. Mes stats ont augmenté chaque année et je savais que ça allait arriver, c’était simplement une question de temps. Quand je suis revenu de NBA, j’ai connu beaucoup de hauts et de bas car il fallait que je me réadapte au jeu européen. C’était compliqué mais l’an passé, j’ai réussi à trouver de la constance et j’ai pu rester en bonne santé pendant la majorité de la saison. Avec le nouveau format en Euroleague, on a l’opportunité de jouer les meilleures équipes et les meilleurs joueurs. C’était une motivation énorme pour moi et ça m’a permis de donner le meilleur de moi-même. »\\n\\nToujours capable d’accélérations fulgurantes sur ses attaques du cercle, Nedovic a ajouté une meilleure vision du jeu et un shoot à trois points en progrès la saison dernière. A 36%, ce dernier est encore perfectible mais Nedovic est d’ores et déjà un des attaquants les plus redoutés d’Europe. Et son duo avec Mike James risque d’ébouriffer plus d’une défense !\\n\\nL’explosif athlète qui avait franchi l’Atlantique est dorénavant un meneur plus complet, plus à-même de faire tourner une grosse écurie d’Europe. Et, en prenant exemple sur Kaunas, Nedovic ne se cache pas de rêves de grandeur en Euroleague...\\n\\n« Mes objectifs sont très élevés. Avec cette équipe, on peut viser très haut ! Tout le monde s’attend à ce qu’on remporte la Série A à nouveau, et on aimerait aussi gagner la coupe d’Italie, et l’Euroleague est notre plus gros souhait. Ce serait magnifique de pouvoir se qualifier pour le Top 8, et c’est le premier objectif qu’on s’est fixé. Mais évidemment, si on a une chance d’aller au Final Four, ce serait encore mieux ! Je pense qu’on a la qualité nécessaire, les joueurs nécessaires. Il s’agit maintenant de travailler l’alchimie collective, et de prendre un bon départ en Euroleague. Au basket, tout est possible et le Zalgiris en a été un bel exemple la saison passée. Pourquoi ne pas essayer de faire la même chose ? »\\n\\nL’interview en intégralité :\\n\\nSes highlights de la saison passée :\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=KGxC42ImCkc"
}, 
{"role": "user",     "content":"Matt Janning obtient à son tour un passeport géorgien"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Natif de Watertown dans le Minnesota, Matt Janning (1,97m, 30 ans) n’a pas grand-chose à voir avec le pays de Géorgie. Si ce n’est que cette petite nation vient de lui obtenir un passeport afin que le shooteur américain de Vitoria solidifie sa place sur le circuit européen.\\n\\nDans la longue liste des joueurs à qui on offre ce type de « passeport de complaisance », Janning ajoute donc son nom aux Bo McCalebb, Pooh Jeter ou encore Jacob Pullen qui lui encourageait carrément ses compatriotes américains à sauter le pas et partir en quête de ces fameux sésames administratifs.\\n\\nRien que pour la Géorgie, on dénombre ainsi sur les dernières compétitions continentales : MarQuez Haynes (Euro 2011), Ricky Hickman (Euro 2013), Jacob Pullen (Euro 2015) et Michael Dixon (Euro 2017)...\\n\\nLa FIBA ne semble donc toujours pas très intéressée à contrôler ce cercle vicieux. Et le club de Vitoria s’en frotte les mains en l’occurrence, car il pourra recruter un autre joueur américain... avant de le faire naturaliser dans quelques années ?"
}, 
{"role": "user",     "content":"Antibes enrôle un big man, Trevor Thompson, 2,13m"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Sharks annoncent la signature pour deux ans de l’intérieur américain Trevor Thompson (2,13m, 24 ans).\\n\\nTrevor Thompson a porté le maillot de deux universités cotées, Virginia Tech puis Ohio State. Lors de la saison 2016-17, il a assuré 10,6 points à 57,1% aux tirs et surtout 9,3 rebonds (deuxième meilleur rebondeur de sa conférence universitaire)..\\n\\nLa saison dernière, il était avec les Santa Cruz Warriors en G-League où en 38 rencontres il a cumulé 5,0 points et 4,1 rebonds en 12 minutes de moyenne..\\n\\n«Après s’être renseigné sur le joueur auprès des Brooklyn Nets, le club a décidé de l’engager pour les deux saisons à venir. Combinant taille et mobilité, Trevor Thompson possède de belles qualités athlétiques pour tenir le poste 5 des Sharks. Thompson vient clôturer le recrutement des Sharks pour la saison 2018-2019,» expliquent les Sharks sur leur site Internet.\\n\\nL’Américain aura la lourde tâche de faire oublier le Béninois Mouphtaou Yarou auteur d’une excellente saison 2017-18."
}, 
{"role": "user",     "content":"Télévision: L’ensemble du Tournoi de Paris avec les équipes de France sur RMC Sport"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La fédération annonce que l’ensemble du tournoi des équipes de France à Paris sera diffusé sur RMC Sport, la chaîne qui a pris la place de SFR Sport. Soit:\\n\\nVendredi 7 septembre :\\n•18h00 : Fem. France – Lettonie – En direct\\n•20h30 : Masc. France – Monténégro – En direct\\n\\nSamedi 8 septembre :\\n•18h00 : Masc. Monténégro – Grèce – En différé\\n•20h30 : Fem. France – Australie – En direct\\n\\nDimanche 9 septembre :\\n•16h00 : Fem. Australie – Lettonie – En différé\\n•18h30 : Masc. France – Grèce – En direct"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Poitiers signe Norville Carey en provenance des Pays-Bas"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Poitiers Basket 86 a contracté avec Norville Carey (2,01m, 25 ans), un ailier des Iles Vierges Britanniques, formé en NCAA (Southern Mississippi), qui séjournait la saison dernière aux Pays-Bas.\\n\\nAvec les New-Heroes de Den Bosch, il s’est fendu de 12,0 points (58,1% aux tirs) et 5,0 rebonds.\\n\\nSur cette vidéo, il fait apprécier ses qualités de contreur:"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ASVEL confirme officiellement le départ de Malcolm Cazalon à Bourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un communiqué, l’AVEL confirme le départ de Malcolm Cazalon à la JL Bourg:\\n\\n« C’est avec regret que l’ASVEL Basket vous annonce que Malcolm CAZALON, arrivé au Centre de Formation en 2016, a décidé de rejoindre celui de la JL Bourg-en-Bresse. Dès la reprise, le jeune ailier, qui aura 17 ans à la fin du mois, sacré vice-champion de France U16 en mai dernier avec l’ASVEL, a fait part de son choix de quitter le club. L’ASVEL Basket respecte son choix et lui souhaite le meilleur pour la suite. »\\n\\nAu championnat du monde U17 en juillet, Malcolm Cazalon fut le meilleur marqueur de l’équipe de France (16,4 points) et a obtenu la deuxième évaluation (15,7) avec 4,4 rebonds et 2,1 passes.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mathieu Brun (Roanne): Le choix des études"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mathieu Brun (1,95m, 20 ans) va arrêter pour l’instant le basket de haut niveau. C’est ce qu’indique la Chorale de Roanne sur son site internet.\\n\\nN’ayant pas sa place dans un effectif de dix professionnels, le joueur envisageait d’être prêté à un club de Nationale 1. Cela n’a pas abouti et comme il avait loupé son année universitaire, il a souhaité s’orienter vers un BTS à Valence.\\n\\n«Etant très difficile de concilier études et basket, il est contraint de mettre temporairement le sport de haut niveau entre parenthèse», explique le directeur sportif, Raphaël Gaume. «C’est un choix cohérent réalisé de manière collégiale, réfléchi et pensé. Mais cela ne veut pas dire qu’il ne rejouera pas au basket à moyen terme.»\\n\\nMathieu Brun avait participé à 22 matches la saison dernière pour 0,8 point et 1,1 rebond.\\n\\nPhoto: Chorale de Roanne"
}, 
{"role": "user",     "content":"[REDIFF] Interview Antoine Rigaudeau : « Pour Messina, j’étais son Michael Schumacher »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BasketEurope vous propose cet été de lire ou de relire les meilleurs articles PREMIUM de la saison 2017-18.\\n\\nAntoine Rigaudeau est à la retraite depuis plus de dix ans, mais « Le Roi » n’a jamais vraiment quitté le sport qui lui a permis d’intégrer le Hall of Fame de la FIBA. Rigaudeau, 46 ans, polyglotte – français, italien, anglais et espagnol – vit à Valence depuis plus de 20 ans et c’est un vrai consommateur de sport. Tous les sports. Il a même pris goût à l’art. L’autre soir, Rigaudeau a réalisé un autre rêve. Il s’est échappé du match d’Euroleague entre Valence et le CSKA Moscou, et a emmené un ami voir le choc entre Valence et Barcelone. « Je connais le basket, j’ai vu assez de matchs dans ma vie. Mais je n’avais jamais vu Lionel Messi en live, et ça a été très plaisant de voir le Barça gagner 2-0 », a confié la légende française dans une interview exclusive pour Basket Europe.\\n\\nPendant quasiment une heure, Rigaudeau s’est exprimé sur ses moments passés en NBA avec les Dallas Mavericks, ce surnom « Le Roi », sa relation avec Fred Fauthoux, le développement de Louis Labeyrie et Vincent Poirier, mais aussi pourquoi Ettore Messina l’appelle Michael Schumacher, Joel Embiid et l’Equipe de France, et son passage raté au Paris-Levallois. Indice : il ne reviendra jamais dans le coaching.\\n\\nVous pouvez aussi commander dès aujourd’hui notre magazine N°5 pour lire cette interview en entier si vous n’êtes abonné à notre site.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVous vivez vraiment à Valence ?\\n\\nOui. J’ai pris ma retraite à Valence, et je vis ici dans la maison que j’ai achetée il y a longtemps. Je me sens bien en dehors de la France, ça fait plus de 20 ans. C’est une bonne expérience de vie pour moi et mes enfants parlent trois langues : français, anglais, espagnol.\\n\\nVos enfants et vous, avez-vous pris la nationalité espagnole ?\\n\\nNon. Mes deux enfants sont nés en Italie, mais il ne possède qu’un passeport français. Nous pouvons prendre un passeport espagnol parce que nous vivions ici depuis dix ans, mais je ne pense pas que nous le ferons.\\n\\nQuelles sont vos activités aujourd’hui ? Toujours, dans le basket ?\\n\\nJe joue au basket une fois par semaine avec d’anciens joueurs de Valence et des jeunes joueurs du club. Mais j’aime tous les sports, particulièrement les sports extrêmes. Je suis beaucoup de matchs à la télé et via les médias. J’aime regarder des matchs et voyager. J’ai aussi pris goût à l’art. J’étais au basket 24h/24 pendant vingt-cinq ans, maintenant je comprends qu’il y a d’autres choses que le monde peut offrir dans une vie.\\n\\nSillonnez-vous l’Europe ? Revenez-vous souvent en France, à Cholet ?\\n\\nMes parents et mon grand frère (NDLR : Etienne) vivent toujours à Cholet donc j’y retourne deux ou trois fois par an pour les voir, mais il n’y a pas de pression sur moi pour revenir vivre en France.\\n\\nSur Internet, suivez-vous prioritairement les infos en France, en Espagne ou en Italie ?\\n\\nJe suis français donc évidemment sur la France. Je parle d’autres langues donc si j’ai besoin de trouver un lien en espagnol ou italien je peux le faire, mais je vais sur internet la plupart du temps en français.\\n\\nComment est venu votre surnom « Le Roi » ?\\n\\nJe ne suis pas sûr à 100% d’où ça vient, mais quand je jouais en Italie, notre entraîneur adorait la France. Il est mort il y a quelques années, mais il m’a dit qu’il aimait aller en France pour les vacances et il parlait beaucoup de la Révolution, des rois et de la culture française. Je pense qu’il m’a donné ce surnom et c’est resté. C’est plus facile de dire Le Roi que Rigaudeau, et je pense qu’être un meneur de jeu sur le terrain et un leader a beaucoup aidé.\\n\\nPouvez-vous nous partager quelques histoires de votre passage en NBA ?\\n\\nJ’ai joué avec Dirk Nowitzki, Steve Nash, Michael Finley et Nick Van Exel. Dirk est probablement le meilleur shooteur européen de l’histoire. Nash était un meneur incroyable, agressif, rapide et intelligent. C’était une étrange expérience parce que je suis arrivé en milieu de saison dans une bonne équipe, je crois que Dallas était premier du classement. En Europe j’étais meneur, mais quand je suis arrivé à Dallas ils ont vu que j’étais grand et ont fait de moi un ailier. Je ne jouais pas bien, je manquais beaucoup de tirs, donc j’ai passé beaucoup de temps sur le banc. Je pense qu’ils m’ont fait venir en NBA pour mettre la pression aux autres joueurs de l’équipe pour qu’ils soient meilleurs, mais je n’ai jamais parlé de ça à personne, donc ce n’est qu’une supposition. Don Nelson m’a demandé de défendre et de prendre des rebonds, mais je n’ai jamais été un très bon rebondeur dans ma carrière. Ils voulaient que je shoote et marque, mais je ne marquais pas. J’ai compris que je n’étais pas en très grande forme (NDLR: au final Antoine Rigaudeau a joué 11 matches avec les Mavs pour 1,5 point et 0,5 passe).\\n\\nQuels autres souvenirs gardez-vous de la NBA ?\\n\\nC’était bizarre pour moi en NBA de conduire de chez vous à l’aéroport, de marcher jusqu’à notre Boeing 767 privé. On laisse nos sacs dans la voiture, mais quand on arrive à l’hôtel à l’extérieur, nos sacs nous attendent. C’est fou. Aussi, Steve Nash voulait toujours prendre un bain froid, c’était quelque chose à voir. Aujourd’hui, j’ai installé un bain froid dans ma maison à Valence.\\n\\nQuelle est la raison profonde qui vous a fait arrêter votre carrière de coach après quelques mois à Levallois ?\\n\\nQuand j’ai pris ma retraite je ne voulais pas coacher, mais quand j’ai eu cette opportunité j’ai pensé que c’était une bonne chose de rester dans le basket. Je l’ai fait, mais je n’étais pas convaincu à 100% de vouloir le faire. C’était intéressant bien sûr et j’ai aimé quelques facettes de ce travail comme travailler avec les jeunes joueurs et les entraînements individuels. Mais certains entraînements étaient horribles. Ce n’était pas pour moi. Je ne ressentais pas de plaisir et je ne m’amusais pas.\\n\\nPensez-vous tenter une nouvelle expérience de coach à l’avenir ?\\n\\nNon. J’ai arrêté le coaching parce que je n’y trouve plus d’intérêt. Si je ne suis pas à 100% dans mon coaching, ce n’est pas bon pour moi, les joueurs et l’équipe.\\n\\nSuivez-vous le parcours de Fred Fauthoux ? L’avez-vous parfois au téléphone ? Qu’en pensez-vous ?\\n\\nNous parlons parfois sur Whatsapp. Je suis allé le voir quand l’équipe est venue jouer en Espagne face à Andorre. Quand j’ai arrêté de coacher, il était mon assistant et je lui ai dit de prendre l’équipe, et il s’en sort bien.\\n\\nQue pensez-vous des progrès de Louis Labeyrie et Vincent Poirier ?\\n\\nJe les ai coachés tous les deux pendant quelques mois. C’est sympa parce qu’à l’époque les dirigeants souhaitaient prêter Vincent, mais j’ai refusé. C’était le seul joueur de notre équipe avec un avenir en Euroleague. Il n’avait pas les « skills », mais c’est un gros travailleur avec un gros mental, il est grand et fort. Il a beaucoup progressé et il joue bien avec Baskonia. Louis est différent. Il n’est pas très costaud, mais il est athlétique, il peut courir vite, prendre des rebonds et contrer. Ce n’est pas un très bon shooteur, mais il est très actif. Il est très intéressant s’il vient du banc, il peut renverser le match de par son intensité et son énergie. Il a besoin de se renforcer musculairement pour être à un haut niveau d’Euroleague.\\n\\nAntoine Rigaudeau était à Moscou il y a quelques semaines en tant qu’invité spécial du CSKA Moscou en l’honneur du match des légendes organisé pour le 90e anniversaire d’Alexander Gomelsky. Rigaudeau a joué avec les stars européennes contre les stars russes. Il a joué quelques bonnes minutes et a marqué un trois points après une passe d’Oded Katash. Les deux portaient le numéro 14. Rigaudeau portait le 14 quand il a gagné l’Euroleague avec Bologne et Katash avait le 14 quand il a battu le Maccabi Tel Aviv en finale de l’Euroleague avec le Panathinaïkos.\\n\\nAvez-vous souvent l’occasion de revoir les joueurs européens de votre génération comme c’est le cas ce week-end à Moscou ?\\n\\nC’était sympa d’être avec mes anciens coéquipiers. Quand nous avons gagné l’Euroleague, j’étais avec Sasa Danilovic, Matjaz Smodis et Raso Nesterovic. Ce qui est drôle c’est que j’ai regardé autour de moi dans le vestiaire et j’ai réalisé que j’étais le plus vieux de tous. Je me suis dit « wow, je suis si vieux ».\\n\\nLa question qui agite actuellement le basket français, c’est de savoir s’il faut solliciter le Camerounais Joel Embiid pour l’équipe de France. Qu’en pensez-vous ?\\n\\nJ’en ai entendu parler, mais je ne pense pas qu’il devrait jouer pour la France. Le problème ce n’est pas qui joue pour la France, mais le plus gros problème c’est toutes les personnes concernées – joueurs, coachs, staff – si elles viennent ensemble pour le même objectif de gagner. Je pense que la France a assez de talent et de bons joueurs pour avoir des résultats. Bien sûr, l’Eurobasket\\n\\n2017 n’a pas été bon, mais je ne pense pas que ce soit une bonne idée de prendre Joel Embiid. Je pense que la fédération devrait moins se concentrer sur Joel Embiid et plus investir dans le développement des jeunes. La France a beaucoup de joueurs talentueux, mais on devrait moins se concentrer sur l’aspect athlétique mais plutôt sur l’approche mentale pour remporter des matchs.\\n\\nDepuis la victoire à l’Eurobasket avec Tony Parker en 2013, l’Equipe de France a été décevante dernièrement. Êtes-vous d’accord ?\\n\\nJ’ai appris que les joueurs décident de l’issue des matchs, pas les coachs. En 1997/98 quand je jouais en Italie, Ettore Messina m’a appelé pour me donner rendez-vous dans son bureau. Il m’a demandé « sais-tu qu’est-ce qu’une Ferrari ? ». J’ai évidemment répondu que oui, c’est voiture de course, une F1. Il m’a donc dit : « Je suis comme Jean Todt, mais tu es Michael Schumacher. Je fabrique la meilleure voiture, mais si la voiture va dans le mur, c’est de ta faute ». J’ai alors réalisé que les résultats des matchs sont dans les mains des joueurs.\\n\\n[armelse]\\n\\nOù vivez-vous ? A Valence ?\\n\\nOui. J’ai pris ma retraite à Valence, donc je vis ici dans la maison que j’ai achetée il y a longtemps. Je me sens bien en dehors de la France, ça fait plus de 20 ans. C’est une bonne expérience de vie pour moi et mes enfants parlent trois langues : français, anglais, espagnol.\\n\\nVos enfants et vous, avez-vous pris la nationalité espagnole ?\\n\\nNon. Mes deux enfants sont nés en Italie, mais il ne possède qu’un passeport français. Nous pouvons prendre un passeport espagnol parce que nous vivions ici depuis dix ans, mais je ne pense pas que nous le ferons.\\n\\nQuelles sont vos activités aujourd’hui ? Toujours, dans le basket ?\\n\\nJe joue au basket une fois par semaine avec d’anciens joueurs de Valence et des jeunes joueurs du club. Mais j’aime tous les sports, particulièrement les sports extrêmes. Je suis beaucoup de matchs à la télé et via les médias. J’aime regarder des matchs et voyager. J’ai aussi pris goût à l’art. J’étais au basket 24h/24 pendant 25 ans, maintenant je comprends qu’il y a d’autres choses que le monde peut offrir dans une vie.\\n\\nSillonnez-vous l’Europe ? Revenez-vous souvent en France, à Cholet ?[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie: Le coach Romeo Sacchetti à propos du forfait de Danilo Gallinari: «La puissance de la NBA et le manque de volonté du joueur sont de grands obstacles»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le forfait de Danilo Gallinari (2,08m, 30 ans) pour la fenêtre internationale de septembre n’est pas du goût de l’entraîneur de l’équipe nationale italienne, Romeo Sachhetti dont les propos sont rapportés par le quotidien La Repubblica.\\n\\n« L’absence de Gallinari est grave, comme celle de Belinelli. Marco m’a dit que le prochain championnat NBA avec les Spurs serait très important pour lui et qu’il préférait rester en retrait. D’autres ont immédiatement répondu à l’appel. «\\n\\nÀ la différence de Belinelli, l’absence de Gallinari n’a pour lui aucune justification:\\n\\n« Il doit sentir le bleu (la couleur de l’équipe nationale italienne), pas avec des mots mais avec des faits », commente Sacchetti.\\n\\nLe coach estime que le président de la fédération italienne, Gianni Petrucci, n’avait pas les moyens d’intervenir :\\n\\n« Rien ne pouvait être fait. La puissance de la NBA et le manque de volonté du joueur sont de grands obstacles. J’espérais seulement qu’il serait plus simple de gérer deux matchs avant le début de la saison NBA. Tirons un trait et n’y pensons plus. «\\n\\nGallinari s’était distingué l’été dernier en se battant avec un joueur néerlandais lors d’un match de préparation. Il s’était blessé à la main et avait dû déclarer forfait à l’EuroBasket.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Caroline Hériaud, n°1 au ranking mondial 3×3: «Mon objectif c’est de faire les Jeux de Tokyo»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Caroline Hériaud (1,65m, 21 ans) a deux vies. Elle est la meneuse de jeu de La Roche Vendée BC en Ligue Féminine (6,5 points, 4,1 rebonds, 3,9 passes et 1,4 interception en 2018). Et puis une fois la saison terminée, elle se transforme en Superwoman du 3×3 au point d’avoir été la majeure partie de l’été la numéro 1 au ranking mondial de la Fédération Internationale. Alors, forcément, participer aux Jeux Olympiques de Tokyo en 2020 est un objectif concret.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuel effet ça fait d’être première au classement mondial du 3×3 féminin ?\\n\\nIl y a deux semaines, une équipe de France avec Emilie Gomis, Alice Nayo, Marie-Eve Paget et Magnigan Touré est partie à Bucarest faire un tournoi et elles ont pris 45 000 points. Du coup, c’est Alice Nayo qui est maintenant première mondiale, je suis troisième, pas tellement loin derrière. Et normalement je devrais récupérer ma place de numéro 1 mondiale. Je l’étais encore jusqu’à la semaine dernière. Pour répondre à la question, je ne savais même pas que l’on pouvait être première mondiale en 3×3. C’était énorme, une super fierté. Comme je l’ai dit à la fédé, c’est d’abord une récompense du plaisir que je prends quand je joue au basket et de tous les efforts que j’ai fait.\\n\\nFaites-vous les tournois en fonction du nombre de points que cela rapporte pour ce classement ?\\n\\nClairement, non. Je fais un maximum de tournois. En plus de l’équipe de France U23, cet été j’ai fait les championnats de France universitaires avec l’université de Nantes même si ça ne rapportait pas énormément de points. C’est juste pour le plaisir du jeu.\\n\\nSi vous qui choisissez les tournois ou c’est la fédération qui vous guide ?\\n\\nPour l’équipe de France, c’est la fédé qui décide et pour le reste c’est nous qui choisissons les tournois que l’on veut faire.\\n\\nPourquoi n’avez-vous pas participé à la Coupe du monde aux Philippines et à la Coupe d’Europe à Bucarest en septembre ?\\n\\nTout simplement parce que j’étais U23 et cette année, ils voulaient envoyer une équipe sénior, une différente à la Coupe du Monde et à la Coupe d’Europe afin d’avoir le maximum de joueuses en compétition car on travaille pour Tokyo’2020. J’ai fait la Coupe du Monde l’année dernière, là j’étais en U23 et comme ça ils ont pu découvrir de nouvelles joueuses.\\n\\nC’est pour remplacer une joueuse absente que vous vous êtes lancé dans le 3×3 ? Il y a combien de temps ?\\n\\nC’était en 2015 lors de ma première année à l’université. Je faisais partie de l’équipe sénior de 5×5. C’était un coach différent pour le 3×3 et il m’a appelée pour remplacer une joueuse qui était absente pour le championnat de France universitaire à Poitiers.\\n\\nVotre progression en 3×3 a été très rapide. Evidemment, les bases du 5×5 servent pour le 3×3 ?\\n\\nClairement. Le 3×3, ça reste du basket. La seule différence, c’est que comme il y a moins de joueuses, il y a beaucoup moins d’espaces et de liberté dans le jeu. Ce n’est pas très compliqué pour une joueuse de 5×5 de se mettre au 3×3. Quand j’ai commencé, comme le 3×3 se développait tout juste, il y avait encore des règles, comment dire, à la one again ! (NDLR : expression voulant dire effectué dans la négligence ou incohérent). Il y a juste quelques règles en plus qu’il faut adopter et après deux ou trois matches, c’est bon.\\n\\n« Il y a tellement d’espaces dans le 3×3 du au nombre réduit de joueuses que si tu te troues, tu n’as pas ta place sur le terrain »\\n\\nLe 3×3 nécessite-t-il un entraînement spécial quand on est professionnelle en 5×5 ?\\n\\nOui du fait que dans une équipe on est quatre. Par exemple, on était à La Rochelle avec les U23 pour préparer les dernières échéances, et il a fallu s’adapter pour faire de l’opposition en faisant des deux contre deux, ce n’est pas le même type d’entraînement. Après, si on veut travailler les fondamentaux comme le tir, ça reste le même type d’entraînement. C’est seulement l’opposition qui change.\\n\\nCe qui frappe dans le 3×3, c’est le rythme très intense. On est claqué à la fin d’une partie ?\\n\\nOn va dire que si tu n’es pas claquée, ce n’est pas bon. Il y a tellement d’espaces dans le 3×3 du au nombre réduit de joueuses que si tu te troues, tu n’as pas ta place sur le terrain. Il n’y a pas d’aides en défense aussi tu ne dois compter que sur toi-même. Il faut que tu sois intense, il n’y a pas le choix.\\n\\nGagne-t-on de l’argent quand on fait du 3×3 ?\\n\\nPersonnellement, non. Avec les U23, on a fait aucun tournoi avec des prize money comme il en est mis en plus de plus en plus en place actuellement. Par contre, les gars dans le World Tour touchent des primes en cas de résultats. Les Serbes sont professionnels et ils touchent de l’argent à force de gagner des tournois dans le World Tour et puis aussi avec les sponsors.\\n\\nEt pour les filles, ce n’est pas encore possible ?\\n\\nIl y a deux ou trois tournois qui ont été mis en place avec des prize money. Les filles qui sont partis à Bucarest dont Alice Nayo ont gagné le Challenger et elles ont pris un peu d’argent.\\n\\nConnaissez-vous vos adversaires en 3×3 au niveau national et international. Faites-vous du scouting ?\\n\\nOn fait du scouting comme en 5×5 avec des vidéos de match et des analyses. Dans les catégories jeunes, quand c’est la première année que l’on joue, on ne les connaît pas d’avance, alors que chez les séniors ce sont généralement les mêmes joueuses depuis deux ou trois ans et on commence à se connaître.\\n\\nLes stages en 3×3 sont mixés garçons et filles. Est-ce profitable ?\\n\\nOn ne joue pas en opposition directe contre les garçons à l’entraînement mais comme en général on fait des entraînements en commun, on peut faire des concours de shoot. Après, quand on fait partie du groupe France, c’est une base de jeu commune. C’est profitable dans le sens que lorsqu’ils sont avec nous, ils nous supportent et ils nous apportent des conseils dans le jeu.\\n\\nVotre objectif est maintenant de faire les Jeux de Tokyo en 2020 ?\\n\\nClairement, mon objectif c’est de faire les Jeux de Tokyo. Pour se qualifier pour Tokyo, il faut être dans les deux premières nations européennes dans le ranking mondial. A l’heure actuelle, on y est mais ce ranking dure encore un an, ça finit en novembre 2019. C’est l’objectif de faire partie de ces deux nations en faisant autant de tournois que cette année voir plus. Et après c’est bien sûr d’être sélectionnée dans les quatre joueuses qui iront à Tokyo.\\n\\nComment se fait la sélection ? C’est le coach qui est décideur ou c’est là aussi le ranking qui prime ?\\n\\nLe ranking compte. Il faudra qu’il y ait dans l’équipe deux top 10 françaises et deux top 50 françaises. Actuellement, toutes les joueuses de l’équipe de France font partie de ces top-là. Après c’est le coach qui fera son choix.\\n\\nLa saison de 3×3 s’arrête avec la reprise de l’entraînement avec le club ?\\n\\nNormalement, oui, mais cette année c’est une exception car on a encore des compétitions avec les U23 pendant le mois de septembre. C’est la finale de la Nations League du 19 au 22 et ensuite c’est la Coupe du Monde en Chine du 30 septembre au 7 octobre. Exceptionnellement cette année, j’ai été libérée par le LRVBC et d’ailleurs je les remercie, je remercie mon coach Manu (NDLR : Emmanuel Body) de pouvoir aller à ces échéances. C’est important pour nous de bien finir la saison.\\n\\n« Ça apprend à créer ton tir extérieur et après c’est plus facile de le placer dans le 5×5 »\\n\\nLa pratique du 3×3 à haut niveau profite t-il à la joueuse de 5×5 que vous êtes ?\\n\\nOui. C’est le troisième été où je vais reprendre ma saison de 5×5 en ayant fait beaucoup de 3×3 durant l’été et je dis à chaque fois que dans le 3×3, tu prends des responsabilités que tu n’aurais pas pris d’ordinaire dans le 5×5. Déjà tu arrives beaucoup plus en forme que tes coéquipières mais aussi techniquement, tactiquement, ça ne peut que t’apporter pour le 5×5. Quand je rentre du 3×3, je sais que j’ai progressé durant l’été.\\n\\nÇa rend plus agressive dans le 1 contre 1 ?\\n\\nDans le 1 contre 1, ça développe beaucoup plus de qualités. Ça apprend à créer ton tir extérieur et après c’est plus facile de le placer dans le 5×5. Ce n’est que du positif.\\n\\nFaites-vous du 3×3 durant le reste de l’année ?\\n\\nEn général non sauf lors des rassemblements de l’équipe de France de 3×3. On en fait à l’entraînement comme tout le monde mais ce n’est jamais avec les vraies règles et avec le bon ballon.\\n\\nA propos des règles, est-ce plus permissif en 3×3 avec des contacts qui sont interdits en 5×5 ?\\n\\nAh ! oui. Comme ça demande d’être plus spectaculaire, plus intense, les contacts sont plus accentués et en général les arbitres mettent plus de temps à siffler. Après quand tu reviens au 5×5, tu mets deux ou trois jours à t’adapter, à te dire, « il faut que j’enlève mes mains », etc.\\n\\nCette saison en club, qu’avez-vous pour ambition : un maintien plus tranquille que la saison dernière ?\\n\\nOui. Il ne faut pas se tromper de championnat. Il faut essayer de prendre les matches qui sont à notre portée en commençant déjà dès l’Open. L’année dernière, on avait perdu contre Mondeville et ça serait bien cette année dès le début de la saison de commencer par une victoire pour entamer une dynamique positive sinon après c’est compliqué. Il faut déjà montrer de plus belles choses dans le jeu que l’année dernière.\\n\\nEt sur le plan individuel, quelles ambitions avez-vous pour votre carrière en 5×5 ?\\n\\nJ’associe le 3×3 et le 5×5. J’aime trop le basket pour m’arrêter l’été et rester deux mois sans rien faire. Le 3×3 c’est une alternative à ça. Mais les objectifs en 3×3 et en 5×5 sont clairement différents. En 5×5, j’aimerais confirmer ma bonne saison, je pense que pour une première année en Ligue c’était bien. Dans l’avenir, j’aimerais bien jouer dans une équipe qui fait une coupe d’Europe, que ce soit la petite ou la grande comme on dit.\\n\\nVous êtes toujours étudiante en même temps ?\\n\\nOui à la fac de Nantes, je suis en Licence 3 STAPS spécialité Management du Sport. Je me suis arrangée avec l’université, c’est-à-dire que j’ai validé une licence entraînement sportif en STAPS il y a deux ans et j’ai commencé Management du Sport mais comme je suis à La Roche, je ne vais pas en cours. On me les envoie, je m’arrange. Je fais mon année de Management du Sport en deux ans.\\n\\n[armelse]\\n\\nQuel effet ça fait d’être première au classement mondial du 3×3 féminin ?\\n\\nIl y a deux semaines, une équipe de France avec Emilie Gomis, Alice Nayo, Marie-Eve Paget et Magnigan Touré est partie à Bucarest faire un tournoi et elles ont pris 45 000 points. Du coup, c’est Alice Nayo qui est maintenant première mondiale, je suis troisième, pas tellement loin derrière. Et normalement je devrais récupérer ma place de numéro 1 mondiale. Je l’étais encore jusqu’à la semaine dernière. Pour répondre à la question, je ne savais même pas que l’on pouvait être première mondiale en 3×3. C’était énorme, une super fierté. Comme je l’ai dit à la fédé, c’est d’abord une récompense du plaisir que je prends quand je joue au basket et de tous les efforts que j’ai fait.\\n\\nFaites-vous les tournois en fonction du nombre de points que cela rapporte pour ce classement ?\\n\\nClairement, non. Je fais un maximum de tournois. En plus de l’équipe de France U23, cet été j’ai fait les championnats de France universitaires avec l’université de Nantes même si ça ne rapportait pas énormément de points. C’est juste pour le plaisir du jeu.\\n\\nSi vous qui choisissez les tournois ou c’est la fédération qui vous guide ?\\n\\nPour l’équipe de France, c’est la fédé qui décide et pour le reste c’est nous qui choisissons les tournois que l’on veut faire.\\n\\nPourquoi n’avez-vous pas participé à la Coupe du monde aux Philippines et à la Coupe d’Europe à Bucarest en septembre ?\\n\\nTout simplement parce que j’étais U23 et cette année, ils voulaient envoyer une équipe sénior, une différente à la Coupe du Monde et à la Coupe d’Europe afin d’avoir le maximum de joueuses en compétition car on travaille pour Tokyo’2020. J’ai fait la Coupe du Monde l’année dernière, là j’étais en U23 et comme ça ils ont pu découvrir de nouvelles joueuses.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: FIBA et FFBB (Hervé Bellenger)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Croatie: Un documentaire sur Dario Saric qui rejoint l’équipe nationale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un documentaire sur l’ailier des Philadelphia Sixers et de l’équipe nationale de Croatie, Dario Saric (2,08m, 24 ans) a été présenté avant-hier soir en avant-première à Sibenik. Le joueur était accompagné de sa petite amie et c’est la première fois qu’ils apparaissaient ensemble en public.\\n\\nEn même temps, la fédération croate a annoncé que Dario Saric fait partie des quatre joueurs NBA qui sont inclus dans l’équipe nationale qui doit participer aux deux prochains matches qualificatifs pour la Coupe du monde 2019 face à la Lituanie et la Pologne. La Croatie se retrouve dans une situation inconfortable dans le groupe J avec 3 victoires et autant de défaites. Les trois autres joueurs sont Bojan Bogdanovic (Indiana Pacers), Ivica Zubac (LA Lakers) et Ante Zizic (Cleveland Cavaliers).\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde: Cinq joueurs NBA avec la Serbie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans la liste des 24 joueurs serbes pré-sélectionnés pour la fenêtre internationale de septembre figurent cinq joueurs NBA et quantité de joueurs d’Euroleague. La Serbie affrontera la Grèce à Heraklion, en Crète, le 13 septembre, puis l’Estonie à Belgrade le 16.\\n\\nBogdan Bogdanovic (Sacramento Kings), Nemanja Bjelica (Sacramento Kings), Milos Teodosic (Los Angeles Clippers), Boban Marjanovic (Los Angeles Clippers), Nikola Jokic (Denver Nuggets), Nemanja Nedovic (Armani Milan), Dragan Milosavljevic (Unicaja Malaga), Nikola Kalinic (Fenerbahce), Stefan Jovic (Bayern Munich), Vladimir Lucic (Bayern Munich), Stevan Jelovac (Brose Bamberg), Ognjen Kuzmic (Real Madrid), Stefan Bircevic (Banvit), Marko Simonovic (Zenit St. Petersbourg), Miroslav Raduljica (Dangsu), Nikola Milutinov (Olympiacos Pireaus), Vasilije Micic (Anadolu Efes), Stefan Peno (Alba Berlin), Aleksa Avramovic (Varese), Dejan Todorovic (Murcie), Nikola Jovanovic (Etoile Rouge), Ognjen Dobric (Etoile Rouge), Aleksa Radanov (Etoile Rouge) et Dorde Gagic (Partizan).\\n\\nPhoto: Bogdan Bogdanovic (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16 féminin: La France se fait sortir en quart-de-finale par l’Italie, 59-61"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Championne d’Europe en titre, l’équipe de France a été vaincue ce soir en quart-de-finale par l’Italie, 59-61. En cause, une avalanche de balles perdues (26 à 15).\\n\\nDès les premiers échanges on pouvait avoir la certitude que chaque action, chaque geste seraient contestés. Les Françaises trouvaient en face une défense du même calibre que la leur. Après un quart-temps, les Italiennes avaient réalisé 7 interceptions mais si elles étaient menées 14-17, c’est qu’elles avaient connu de gros problèmes à la finition (5/16).\\n\\nC’est par des paniers à trois-points que la France creusait un premier écart, 23-16, vite annulé. Les Bleuettes perdaient vraiment trop de ballons. Les deux équipes étaient roue dans roue à la mi-temps (31-30) et heureusement que les Italiennes avaient toujours du mal à conclure sous le cercle (32,4% aux shoots) car les 16 balles perdues des Françaises faisaient mal aux yeux. Une fois encore l’arrière du Centre Fédéral Serena Kessler (1,82m, 14 points et 13 rebonds au total) pétrie de talents s’était mis en valeur.\\n\\nLa zone française enquiquinait les Italiennes qui se faisaient souvent bâcher en-dessous (4 contres au total pour Palmire Mbu). Le score était de 49-38 à la 28e minute. Un avantage réduit à 49-45 à l’issue du troisième quart-temps. Sans Serena Kessler sur le terrain, ça tournait tout de suite moins rond et la paire Meriem Nasraoui/Guilia Natali (37 des 61 points de leur équipe) était très dangereuse.\\n\\nLes Françaises restaient six minutes sans marquer et leurs rivales opéraient la jonction à 49. On crû qu’un trois-points de Sara Roumy allait les propulser vers la victoire. Que nenni. L’Italie égalisait à 59, faisait la décision sur deux lancers, et défendait très bien sur les derniers assauts français. Deux fois Serena Kessler et une fois Sara Roumy à trois-points ratèrent la cible. Grosse désillusion.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\n\\n\\n\\nPerfect fast break execution by @ffbasketball 🇫🇷! #FIBAU16Europe\\n\\n\\n📺 https://t.co/5bNhRfGNcl pic.twitter.com/IPy8Sg4Tpe\\n\\n\\n— FIBA (@FIBA) August 22, 2018\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nicolas de Jong rejoint le camp d’entraînement d’Andorre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Actuellement free agent après une belle saison à Saragosse, Nicolas De Jong vient de rejoindre le camp d’entraînement du club andorran, selon Sportando.\\n\\nAuteur d’une saison à 9 points et 4 rebonds en 18 minutes de moyenne, l’intérieur franco-néerlandais remplace temporairement l’américain Shayne Whittington qui s’est blessé à la jambe et qui sera indisponible un mois.\\n\\nC’est l’occasion pour De Jong de retrouver la forme et, pourquoi pas, de convaincre les dirigeants andorrans de lui donner une chance la saison prochaine..."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Jevohn Sheperd et Moustapha Diarra confirmés au Paris Basketball"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Paris Basketball annonce la signature pour une saison de l’intérieur français Moustapha Diarra (2.05m, 31 ans) en provenance de Denain (ProB), et confirme celui de l’ailier international Canadien Jevohn Shepherd (1.98m, 32 ans) qui arrive de Nancy (ProB).\\n\\nMoustapha Diarra est un habitué du Championnat ProB pour avoir porté successivement les maillots de Quimper, Nantes, Rouen, Evreux, Souffel et Denain. Il formera avec Gary Florimont un duo de pivots rompu aux joutes du championnat. Vainqueur de la Leaders Cup avec Denain la saison dernière, il valait 8,0 points, 5,2 rebonds en 21 minutes de temps de jeu.\\n\\nJevohn Shepherd est international canadien mais dispose également d’un passeport jamaïcain (il évoluera avec le statut de Cotonou). Il est connu en France pour avoir porté le maillot de Chalon puis de Nancy la saison dernière (11,7 points, 3,3 rebonds, 2,2 passes). Habitué des Championnats de première division que ce soit en Allemagne, Italie ou Belgique, il sera l’un des cadres de l’effectif parisien.\\n\\nPhoto: Jevohn Sheperd"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie: la squadra Azzurra sans Marco Belinelli et Danilo Gallinari mais avec Gigi Datome et Nicolo Melli"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe d’Italie va se présenter sans ses deux stars de la NBA, Marco Belinelli (Spurs) et Danilo Gallinari (Clippers) lors de la fenêtre internationale de septembre mais pourra bénéficier de ses joueurs d’Euroleague dont Gigi Datome et Nicolo Melli de Fenerbahçe.\\n\\nLa fédération italienne a autorisé Marco Belinelli a participé à la reprise de l’entraînement avec les Spurs, et il n’y a pas de conflit entre les deux parties, à l’inverse les Clippers ont interdit à Danilo Gallinari de rejoindre la Squadra Azzura à cause des trois blessures dont il a été victime la saison dernière. Quant à Daniel Hackett du CSKA Moscou, il est toujours en convalescence après une blessure.\\n\\nLe 14, l’Italie se déplacera en Pologne et recevra la Hongrie trois jours plus tard.\\n\\nLA SELECTION\\n\\nAwudu Abass (1993, 200, A, Germani Basket Brescia); Pietro Aradori (1988, 196, A, Segafredo Virtus Bologna); Paul Biligha (1990, 200, C, Umana Reyer Venezia); Christian Burns (1985, 203, A/C, A|X Armani Exchange Milano); Andrea Cinciarini (1986, 193, P, A|X Armani Exchange Milano); Luigi Datome (1987, 203, A, Fenerbahce ); Amedeo Della Valle (1993, 194, G, A|X Armani Exchange Milano); Ariel Filloy (1987, 190, P, Sidigas Avellino); Diego Flaccadori (1996, 193, G, Dolomiti Energia Trentino)\\nNicolò Melli (1991, 205, A, Fenerbahce); Brian Sacchetti (1986, 200, A, Germani Basket Brescia); Amedeo Tessitori (1994, 208, C, De’ Longhi Treviso Basket); Stefano Tonut (1993, 194, G, Umana Reyer Venezia); Luca Vitali (1986, 201, P, Germani Basket Brescia); Michele Vitali (1991, 196, G, MoraBanc Andorra).\\n\\nRESERVES\\n\\nNicola Akele (1995, 203, A, Roseto Sharks); Jeffrey Brooks (1989, 203, A, A|X Armani Exchange Milano); Leonardo Candi (1997, 190, P, Grissin Bon Reggio Emilia); Simone Fontecchio (1995, 203, A, A|X Armani Exchange Milano); Raphael Gaspardo (1993, 207, A, Grissin Bon Reggio Emilia); Andrea Mezzanotte (1998, 207, C, Dolomiti Energia Trentino); Achille Polonara (1991, 205, A, Banco di Sardegna Sassari); Giampaolo Ricci (1991, 201, A, Vanoli Cremona).\\n\\nPhoto: Luigi Datome"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet: Neuf ans plus tard, Olivier Troisfontaines revient à Cholet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’arrière-ailier belge Olivier Troisfontaines (1,96m) est déjà venu à Cholet. C’était en mars 2009 avec Liège pour un match d’EuroChallenge. Il était au bout du bout du banc et n’était pas entré en jeu. Liège a beau être une ville francophone, capitale de la Wallonie, le coach américain Tom Johnson avait aligné un starting five composé de cinq de ses compatriotes et le groupe de supporters qui avait fait le déplacement criait « let’s go, Liégeois! ».\\n\\nLe seul Belge entré en jeu dans le deuxième quart-temps fut Xavier Colette et il nous avait dit:\\n\\n« C’est ma deuxième année à Liège et je suis dans la même situation que la saison dernière, à savoir le seul joueur belge sous contrat. Certains veulent qu’il y ait un minimum de cinq ou six Belges obligatoires sur la feuille, alors qu’il n’y en a que quatre pour l’instant. Chez nous, à par moi, ce sont trois juniors qui ne jouent jamais. On est peut-être 25 ou 30 Belges à avoir vraiment du temps de jeu sur neuf équipes. »\\n\\nLiège l’avait emporté ce soir-là 78-71.\\n\\nDepuis Olivier Troisfontaines est sorti du banc et il a fait son petit bout de chemin. Il est international et il a même été élu meilleur joueur belge en 2017 avant d’enchaîner avec Alost en étant le 8e meilleur marqueur du championnat belge avec 14,0 points en moyenne. A 28 ans, c’était le moment de partir à l’étranger et c’est donc à Cholet qu’il va se lancer à l’eau.\\n\\n« Je pars un peu dans l’inconnu, c’est sûr. J’aurais pu finir ma carrière en Belgique, signer cinq ans avec un club. Mais je voulais me tester, éprouver mes limites, et voir jusqu’où je peux aller, » vient-il de déclarer au Courrier de l’Ouest.\\n\\nSuivra t-il le chemin de Quentin Serron, apprécié à Gravelines et qui renforce cette saison Strasbourg ou Pierre-Antoine Gillet, décevant avec Chalon? Son arme principale pour séduire, c’est le shoot à trois-points. Il en a transformé 89 sur 177 la saison dernière soit un joli 50,3% de réussite. Il ne tremble pas non plus sur la ligne des lancers: 87,9% de ses tirs y ont été transformés.\\n\\nRejoindre la Jeep Elite, c’est monter en grade, jouer contre de meilleures équipes, faire connaissance avec un cadre professionnel supérieur:\\n\\n« En Belgique, j’avais l’habitude de reprendre mes équipements et de les nettoyer moi-même. Ici, ce n’est pas le cas, et je dois dire que ce n’est pas pour me déplaire. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du Monde féminine: Pour la FIBA, la Belgique est n°4 devant la France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Coupe du Monde féminine en Espagne, c’est dans un mois (22 au 30 septembre à Tenerife) et le site de la fédération internationale a pondu son power ranking, ses prédictions, qui peuvent évoluer en fonction des matches de préparation et d’éventuelles blessures.\\n\\nAucune surprise pour le trio de tête: Etats-Unis, Australie et Espagne. En revanche, la FIBA voit la Belgique demi-finaliste au détriment de la France.\\n\\n« Du calme, nous savons que cela vous surprend de trouver la Belgique aussi haut. Il nous semble juste qu’elle est dans une période faste. En plus, elle n’aura rien à perdre à l’occasion de sa toute première apparition à l’événement. Avec deux joueuses de classe mondiale telles qu’Emma Meesseman et Ann Wauters, les Belges pourraient aller loin dans la compétition – pour autant que leurs arrières et leurs ailières savent saisir leur chance », est-il écrit sur le site.\\n\\nEn ce qui concerne les Bleues, la FIBA appuie là où ça fait mal:\\n\\n« Il faut avoir une bonne mémoire pour se souvenir de la dernière fois que la France est montée sur le podium de cette compétition : il y a 65 ans ! L’équipe a du talent, des stars montantes et de l’expérience, de quoi finir dans le trio de tête. Mais la retraite internationale de la légendaire meneuse Céline Dumerc a laissé un vide au poste clé. »\\n\\nEn revanche, les parieurs sur le site bwin sont plus classiques avec dans l’ordre Etats-Unis, Australie, Espagne, France et Canada. Puis le Japon et la Turquie et seulement la Belgique.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\nPhoto: Julie Vanloo (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du monde Féminine: L’Australie avec 5 anciennes joueuses de la LFB et sa star Liz Cambage"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Basketball Australia vient de communiquer la liste des douze joueurs qui vont participer à la Coupe du Monde en Espagne du 22 au 30 septembre. On y retrouve cinq joueuses qui sont passées par la France (Rebecca Allen, Cayla George, Jenna O’Hea, Stéphanie Talbot et Leila Mitchell) et aussi le pivot Liz Cambage (2,03m, 27 ans) qui a terminé sa saison WNBA à 23,0 points, 9,7 rebonds et 1,6 contre.\\n\\nCinq joueurs de l’équipe olympique australienne de Rio sont de retour dans l’effectif, Liz Cambage, Cayla George, Leilani Mitchell, Stephanie Talbot, et Katie-Rae Ebzery.\\n\\n« Nos plus grandes forces seront notre profondeur, notre travail d’équipe, notre polyvalence et notre défense », a déclaré la coach Sandy Brondello.\\n\\nLes Opals ont remporté une médaille d’or à la Coupe du Monde en 2006 et le bronze en 1998, 2002 et 2014. Elles seront les favorites pour... l’argent, les Etats-Unis paraissant intouchables.\\n\\n« Notre objectif sera de nous assurer que nous sommes prêts à jouer à notre meilleur à chaque match », a commenté Sandy Brondello. « Si nous pouvons nous concentrer sur le processus, ce que nous attendons de nous, une médaille, arrivera. »\\n\\n\\n\\n\\nRebecca Allen\\nNew York Liberty (WNBA)\\n\\n\\nAlexandra Bunton\\nBrydens Sydney Uni Flames\\n\\n\\nElizabeth Cambage\\nDallas Wings (WNBA)\\n\\n\\nKatie-Rae Ebzery\\nPerth Lynx\\n\\n\\nCayla George\\nDeakin Melbourne Boomers\\n\\n\\nTess Madgen\\nJCU Townsville Fire\\n\\n\\nEzi Magbegor\\nDeakin Melbourne Boomers\\n\\n\\nLauren Mansfield\\nPerth Lynx\\n\\n\\nLeilani Mitchell\\nUniversity of Canberra Capitals\\n\\n\\nJenna O’Hea\\nDeakin Melbourne Boomers\\n\\n\\nAlanna Smith\\nStanford University\\n\\n\\nStephanie Talbot\\nDeakin Melbourne Boomers\\n\\n\\nSTAFF\\nROLE\\n\\n\\nSandy Brondello\\nHead Coach\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: Liz Cambage (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Alain Koffi (Gravelines): La famille plutôt que l’Europe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A 35 ans -il les aura le 23 novembre-, Alain Koffi va connaître son cinquième club professionnel. Après Le Mans, la Joventut Badalona, Rouen et Pau, ce sera Gravelines-Dunkerque.\\n\\nSon choix est sportif, même si le BCM n’a pas fait les playoffs ces deux dernières années, mais pas que... C’est ce qu’il confie ce matin à La Voix des Sports.\\n\\n« C’est aussi un choix familial. J’ai pu parler avec Yannick Bokolo qui était avec moi à Pau, il ne m’en a dit que du bien. Jean-Michel Mipoka pareil. Je me suis dit que si je devais quitter Pau, par rapport à ma femme qui est en études (école d’infirmière) et mes deux enfants qui vont à l’école, cela aurait été compliqué de les aider au quotidien en jouant dans une équipe qui a aussi la Coupe d’Europe. Avec un rythme d’un match par semaine, je vais pouvoir être présent auprès de ma famille tout en étant dans une équipe compétitive. »\\n\\nMalgré son âge avancé, Alain Koffi a compilé 10,1 et 5,3 rebonds en 25′ par match la saison dernière avec l’Elan Béarnais. Il a aussi retrouvé le maillot bleu à l’occasion des éliminatoires pour la coupe du monde 2019 (5,6 points et 2,2 rebonds en 5 matches). Une revanche vis à vis de ses meilleures années perturbées par des problèmes physiques."
}, 
{"role": "user",     "content":"Ruben Albicy, petit frère d’Andrew, signe son premier contrat pro en NM1"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Espoir à Levallois depuis 2014, Ruben Albicy (1,80m, 19 ans) a signé son premier contrat en tant que professionnel à Lorient, en NM1.\\n\\nC’est donc dans la troisième division française que le petit frère de l’international Andrew Albicy va lancer sa carrière. Il arrive dans une formation qui a accueilli son ancien coéquipier Frederic Loubaki en fin de saison dernière. Avant de rejoindre le Paris-Levallois, il est passé par Coulommiers, Val d’Europe ou encore Charenton en jeunes.\\n\\nLa saison dernière, Ruben Albicy compilait en moyenne 6,5 points, 2,6 rebonds et 3,2 passes décisives pour une évaluation de 5,5 dans le championnat espoirs.\\n\\nhttps://www.facebook.com/127894427330320/photos/a.1218982511554834.1073741873.127894427330320/1753416678111412/?type=3&theater\\n\\nPhoto : Levallois Sporting Club"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Cedric Heitz (CCRB) : «Aujourd’hui nous avons la confiance des agents qui n’hésitent pas à nous proposer des très bons joueurs»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé à Châlons-Reims la saison dernière en provenance de Charleville-Mézières, Cedric Heitz (44 ans) est encore sous contrat pour une saison. Pour Basket Europe, il revient sur son intense intersaison, la signature de Blake Schilb ou encore sur les problèmes auxquels ils devra faire face pendant la préparation de cette nouvelle saison.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuel est votre sentiment sur l’intersaison du CCRB ?\\n\\nC’était une intersaison très studieuse. Je n’ai pas eu l’impression d’arrêter une seconde entre Las Vegas et les propositions que nous avions fait avant et celle qu’on a fait après. On a continuellement scouté et on n’a pas ménagé nos efforts. J’espère que je serai d’attaque à la reprise. Ce matin nous avons appris une bonne nouvelle avec le retour d’un contrat signé sur un joueur au poste 2 (ndlr, il s’agit de Jimmy Baron). Même si à l’instant même je suis sur le programme de la reprise, j’espère que j’arriverai à trouver deux jours où je penserai à autre chose qu’au basket.\\n\\nAvec cette nouvelle arrivée, il ne vous reste plus qu’à trouver un joueur ?\\n\\nJe ne sais pas si nous serons au complet rapidement, mais ça avance. On a dépensé beaucoup d’argent (rires). On a dépensé quasiment tout ce qu’on avait donc le dernier joueur ne sera malheureusement pas un joueur très connu. Nous ne sommes pas encore dans l’aspect prioritaire à ce niveau-là. S’il faut reprendre sans lui, on reprendra sans lui.\\n\\nComment avez-vous réussi à convaincre Blake Schilb de signer au CCRB ?\\n\\nIl y a plusieurs aspects. Je dirais qu’il y a d’abord l’aspect de l’équipe que nous voulons construire et de savoir sur quelles positions nous voulons mettre les leaders. Il faut ensuite voir ce qui est disponible sur le marché, ce qui est accessible pour le CCRB financièrement. Après il faut voir qui veut venir au CCRB, qui a une histoire assez courte en Jeep Elite. On a toutes ces problématiques et c’est toujours difficile de monter une équipe flashy. L’année dernière, je bénéficiais du plus petit budget de l’histoire du CCRB parce que l’année d’avant des joueurs avaient été embauchés hors budget ce qui m’a valu le droit de payer les pots cassés. Malgré cela j’étais plutôt satisfait de ce qu’on avait pu faire l’année dernière avec des regrets que la saison se soit terminée aussi rapidement parce qu’on était sur un rythme de croisière vraiment intéressant. Cette année, j’ai pu bénéficier d’un budget légèrement en hausse et du travail des agents qui reconnaissent qu’aujourd’hui c’est intéressant de venir au CCRB parce qu’il y a une plus-value qui se fait. Je rappelle que Martin Hermannsson était avec moi à 25 000 euros à Charleville, qui est passé à 75 000 euros à Châlons et qui a signé pour une demi-million de dollars sur deux ans à l’ALBA Berlin. C’est sur ce genre de leitmotiv que l’on essaye d’attirer les joueurs en proposant cette exposition comme a pu l’avoir LaMonte Ulmer qui avait signé pour 50% moins d’argent qu’il n’aura à Bourg-en-Bresse. Voilà ce qu’on propose et les agents le savent. On est une équipe qui joue en beaucoup de possessions, c’est mon style de jeu depuis plusieurs années que ce soit de la N1 à la Pro A, j’ai toujours fonctionné comme ça. Aujourd’hui nous avons la confiance des agents qui n’hésitent pas à nous proposer des très bons joueurs parfois à des prix qui sont accessibles pour nous parce que ces trois joueurs sur les poste 2, 3 et 4 ont dû faire de gros efforts. Ils savent que c’est un sacrifice mais qu’après ils pourront profiter de cette exposition. Cette confiance des agents est quelque chose d’important dans la construction d’une équipe.\\n\\nLes discussions avec Blake Schilb ont été longues ?\\n\\nCe n’est jamais simple. Il a fallu proposer autre chose que de l’argent. Blake Schilb n’est pas venu que pour de l’argent, il en a déjà gagné beaucoup dans sa carrière. Il y a aussi d’autres aspects qui sont importants et pas que sur le plan sportif. Blake Schilb reste un grand compétiteur, il a beaucoup gagné et il ne va pas changer du jour au lendemain. Par contre, il a fait beaucoup de sacrifices par le passé avec, notamment, sa famille. Aujourd’hui il ne veut plus faire ces sacrifices-là et il veut construire quelque chose pour la fin de sa carrière. C’est parfaitement compréhensible et ce n’est que dans ces situations-là que le CCRB peut attirer des joueurs au CV aussi important. J’en suis très heureux parce que j’ai toujours voulu trouver des joueurs qui ont l’expérience du niveau supérieur. En Jeep Elite c’est difficile, mais que ce soit la N1 ou la Pro B j’ai toujours cherché ce genre de joueurs. En Jeep Elite c’est possible d’avoir des joueurs avec une expérience européenne que ce soit Johan Passave-Ducteil, Gédéon Pitard, Schilb ou Ebanks, qui a joué en NBA, et Badji qui est international tout comme Alex Abreu. On est vraiment dans ce leitmotiv de vouloir des joueurs qui ont vu quelque chose de plus que ne serait-ce que la Jeep Elite. On a aujourd’hui cet avantage d’avoir pu trouver de tels joueurs. D’autant plus qu’ils ont signé un contrat supérieur à un an, ce qui nous permet de construire, même si mon contrat se termine à l’issue de la saison 2018/19. Je suis sûr que tous les coachs seraient heureux d’avoir Blake Schilb ou Johan Passave-Ducteil et d’autres. Ce sont des décisions qui ont été murement réfléchies aussi par les dirigeants. Ce sont des joueurs que j’ai proposés et aujourd’hui avec deux ans de contrat de Passave, deux ans de Sadio Doucouré, deux plus un de Blake Schilb et certainement deux ans pour le poste 2, on est dans une logique intéressante de transition entre les années.\\n\\n« En tout cas, comme la plupart des étrangers viennent des Etats-Unis, ils payent des impôts dans leur pays. C’est-à-dire que les impôts qu’ils ne payent pas en France, ils les payeront aux Etats-Unis. D’un côté ou de l’autre, ils n’ont pas le choix »\\n\\nSavez-vous si le prélèvement à la source de l’impôt va beaucoup impacter le club ?\\n\\nOn sait que c’est un grand changement et que certains joueurs seront surpris mais je suis toujours surpris de cette surprise parce que le principe de base dans le monde entier est de payer des impôts, à priori. En tout cas, comme la plupart des étrangers viennent des Etats-Unis, ils payent des impôts dans leur pays. C’est-à-dire que les impôts qu’ils ne payent pas en France, ils les payeront aux Etats-Unis. D’un côté ou de l’autre, ils n’ont pas le choix. Par contre, les impôts qu’ils payent en France, ils ne les payeront pas aux Etats-Unis. Avec des justificatifs officiels, ils déclareront qu’ils ont déjà payé en France. C’est un problème un peu étrange que parfois les agents masquent, n’expliquent pas bien ou ne comprennent pas bien, mais ce n’est pas si compliqué que cela et surtout on ne peut pas passer à travers. Aujourd’hui, on a un joueur comme John Flowers qui n’est pas revenu au CCRB parce qu’il avait omis de déclarer certaines choses à l’administration française. Mais ce qu’il n’a pas payé en France, il l’a payé aux Etats-Unis. C’est un peu dommage que l’information ne soit pas suffisamment relayée pour que cet aspect-là ne devienne plus un problème. Ce ne devrait pas être un problème. C’est sûr qu’en janvier, certains joueurs vont devoir avoir certaines explications des agents ou des clubs pour comprendre ce qui se passe au niveau de leur salaire si les choses n’ont pas été expliquées au préalable. Nous prévoyons de refaire une réunion en présaison pour réexpliquer à tout le monde ce qui va se passer en janvier pour qu’il n’y ait pas surprise.\\n\\nL’équipe étant beaucoup renouvelée, je suppose que vous allez avoir beaucoup de travail pour créer une nouvelle identité.\\n\\nJe pense que cette année, comme l’année dernière, nous avons des bons joueurs. Peut-être même individuellement meilleurs cette année que l’année passée parce qu’on a un budget légèrement supérieur. La difficulté c’est que Gédéon Pitard, Pape Badji et Blake Schilb participeront à la fenêtre internationale avec leur sélection. Même Alex Abreu aurait pu y participer mais il n’ira pas pour pouvoir se reposer et se remettre de son genou. Ce système est complètement aberrant. On veut copier le football, mais le football est un sport à part. C’est un sport showbiz, ultra rémunérateur en terme de sponsoring, c’est un sport qui fait des audiences incroyables en terme télévisuel. Tout fonctionne là-dessus. C’est un sport dont les sélections nationales ont une audience phénoménale aussi, on le voit à la Coupe du Monde où le temps s’arrête partout. Ce qui n’est pas le cas au basket donc je ne vois pas pourquoi on veut copier le foot. Ça en devient ridicule. Je vois plus la chose comme une volonté de contrer l’Euroleague. Je pense que l’Euroleague est bien plus puissante et bien plus attractive que tout ce que la FIBA peut faire en terme de coupe d’Europe. On des dans une guéguerre où les joueurs en pâtissent, le spectacle en pâtit, les fans en pâtissent et les nations en pâtissent. On n’est pas dans ce qu’il faut pour valoriser le basket. Faire des compétitions sans les meilleurs joueurs c’est ridicule qu’ils soient en Euroleague ou en NBA. Ça n’a pas d’intérêt et ces joueurs-là sont frustrés de ne pas pouvoir représenter leur pays. Nous, on a du mal à se préparer. Ça va être le cas en début de saison avec ces trois joueurs qui vont être en sélection et ça va être le cas pendant les fenêtres durant l’année. Je suis exaspéré de tout ça. Après la FIBA se gargarise que les matchs internationaux remplissent les salles... Bah oui, il n’y a que ça à voir ! C’est un peu facile dans ce cas-là de dire que ce système fonctionne bien. Dans le basket normal, les joueurs aiment venir en sélection parce que c’est en été et que ça leur permet de se préparer d’une manière conviviale et compétitive pour la saison qui vient. Je trouve que ce système n’apporte rien du tout donc, oui, notre préparation va être difficile. Comme toutes les équipes qui comptent des internationaux. Il va falloir être très, très rentable et je suis déjà en train de minuter les prochains entraînements pour être le plus productif possible en prenant en compte les absences.\\n\\nVous évoquiez la blessure d’Alex Abreu. Il a terminé blessé à Orléans, sera-t-il d’attaque dès la reprise ?\\n\\nC’est la première fois qu’il a autant de repos. Il avait déjà eu ce type d’opération « d’entretien ». Lorsque l’on fait ce genre d’opération il faut entre trois et six semaines pour récupérer sauf que la première fois, il n’avait que quelque chose comme une semaine de repos. Ça n’a donc pas été très profitable et ça lui a produit une petite rechute. Je pense qu’aujourd’hui on est en mesure de le retrouver frais et dispo. Il sera à 100% avec nous.\\n\\n[armelse]\\n\\nQuel est votre sentiment sur l’intersaison du CCRB ?\\n\\nC’était une intersaison très studieuse. Je n’ai pas eu l’impression d’arrêter une seconde entre Las Vegas et les propositions que nous avions fait avant et celle qu’on a fait après. On a continuellement scouté et on n’a pas ménagé nos efforts. J’espère que je serai d’attaque à la reprise. Ce matin nous avons appris une bonne nouvelle avec le retour d’un contrat signé sur un joueur au poste 2 (ndlr, il s’agit de Jimmy Baron). Même si à l’instant même je suis sur le programme de la reprise, j’espère que j’arriverai à trouver deux jours où je penserai à autre chose qu’au basket.\\n\\nAvec cette nouvelle arrivée, il ne vous reste plus qu’à trouver un joueur ?\\n\\nJe ne sais pas si nous serons au complet rapidement, mais ça avance. On a dépensé beaucoup d’argent (rires). On a dépensé quasiment tout ce qu’on avait donc le dernier joueur ne sera malheureusement pas un joueur très connu. Nous ne sommes pas encore dans l’aspect prioritaire à ce niveau-là. S’il faut reprendre sans lui, on reprendra sans lui.\\n\\nComment avez-vous réussi à convaincre Blake Schilb de signer au CCRB ?\\n\\nIl y a plusieurs aspects. Je dirais qu’il y a d’abord l’aspect de l’équipe que nous voulons construire et de savoir sur quelles positions nous voulons mettre les leaders. Il faut ensuite voir ce qui est disponible sur le marché, ce qui est accessible pour le CCRB financièrement. Après il faut voir qui veut venir au CCRB, qui a une histoire assez courte en Jeep Elite. On a toutes ces problématiques et c’est toujours difficile de monter une équipe flashy. L’année dernière, je bénéficiais du plus petit budget de l’histoire du CCRB parce que l’année d’avant des joueurs avaient été embauchés hors budget ce qui m’a valu le droit de payer les pots cassés.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Champagne Châlons-Reims Basket et FIBA (Blake Schilb)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18 Féminine: L’Allemagne s’offre une médaille d’or historique"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La shooting guard de grande taille (1,89m), Leonie Fiebich a propulsé l’Allemagne vers un premier titre historique féminin U18 dimanche soir, en battant l’Espagne 67-54 en finale. Elle a assuré 22 points (4/7 à trois-points) et 11 rebonds alors que sa coéquipière Emily Bessoir a compilé 10 points, 9 rebonds et 6 passes.\\n\\nLes Allemandes menaient 43 à 24 à la mi-temps, un écart que les Espagnoles n’ont pu combler par la suite malgré une forte réaction.\\n\\nC’est une autre Allemande, l’ailière Nyara Sabally (1,87m, 9,7 points et 9,3 rebonds au cours de l’Euro), qui a été élue MVP du tournoi et a été rejointe dans le 5 All-Star par Leonie Fiebich, Barbara Angyal (Hongrie), Maria Pendande (Espagne) et Aleksa Gulbe (Lettonie).\\n\\nPhotos: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Quand Mistie Bass, ex-MVP de la Ligue Féminine, danse avec son père, ancienne icône du twist"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mistie Bass (1,91m, 34 ans) est l’une des Américaines qui a marqué la Ligue Féminine, portant les maillots de Challes, Lyon puis Lattes-Montpellier. Championne WNBA en 2014, elle fut auparavant élue MVP étrangère en France en 2011 et 2012.\\n\\nSon autre particularité est d’être la fille d’un musicien, Ernest Evans, plus connu sous le nom de Chubby Checker, célèbre mondialement dans les années 1960 à 1962 pour avoir été l’icône du twist, ce qui lui a valu à l’époque le surnom de « Mr Twist ».\\n\\nSur cette vidéo, on voit Mistie rejoindre son père sur scène et faire quelques pas de danse.\\n\\nMaman depuis juin 2017 d’un petit garçon, Mistie Bass a porté la saison dernière le maillot des Canberra Capitals dans le championnat australien.\\n\\n\\n\\n\\nThis doesn’t happen often, so I made sure to fully appreciate it. A man who has made the world dance for decades, is beyond amazing to me. I’m am honored to be apart of royalty and the legacy he has created. @billboard just named “The Twist” The #1 Song in the world, AGAIN!!! pic.twitter.com/XKTMri4dUh\\n\\n\\n— Mistie Bass-Boyd (@A_Phoenix_Born) August 12, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16: Victorieuse de l’Estonie, 66-57, la France passe en 8e de finale invaincue"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour son troisième match, l’équipe de France s’est imposée (66-57) à l’Estonie qui était également invaincue jusqu’ici dans le groupe. Attention: mardi, en huitièmes de finale, les Bleuets affronteront l’Allemagne, 4e d’un groupe C relevé car si celle-ci a chuté face à la Croatie et la Grèce, elle a vaincu cet après-midi la Turquie qui avait remporté ses deux premiers matches.\\n\\nPeu en jambes, les Bleuets ont débuté par un 0-7 et mis 3’40 pour ouvrir le score sur un lancer-franc. Forcément plus athlétiques, ils ont ensuite repris les choses en mains. On a notamment vu à l’oeuvre le puissant pivot Yvan Ouedraogo (2,01m) auteur de 7 points et 4 rebonds en première mi-temps (14 et 15 au final).\\n\\nDeux trois-points permettaient aux Français de provoquer un break qui les menait à 12 points d’avance ramené à 7 (32-25) après 20 minutes. Une maladresse générale, à commencer par les lancers (5-13) les empêchait d’avoir un capital supérieur.\\n\\nUn manque de concentration valait à l’équipe de France de se faire rattraper et même dépassée en début de deuxième mi-temps (34-35). Elle reprenait sept points d’avance mais trop brouillonne perdait une fois encore une partie de celle-ci (48-45). La réussite aux lancers-francs était toujours défectueuse (6/12 dans le quart-temps).\\n\\nFace à des Estoniens qui marquaient le pas, la France reprenait un avantage conséquent (59-47) et malgré des imprécisions en tous genres, elle ne se faisait pas surprendre notamment grâce à une suprématie au rebond (60 à 39).\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Yvan Ouedraogo (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18 féminin: Après sa victoire sur la Russie, la France termine à la 7e place."
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à sa victoire sur la Russie (65-60), l’équipe de France a pris la 7e place de l’Euro U18, ce qui est une déception puisqu’il n’y a ni médaille, ni même qualification pour le championnat du Monde U19 au bout.\\n\\nMunie de la médaille d’argent conquise au Mondial U17, Yohana Ewodo, qui a enchaîné quelques jours plus tard avec cet Euro U18, a été la Française qui s’est mis en valeur lors de cette ultime rencontre avec 15 points, 8 rebonds et 21 d’évaluation.\\n\\nPhoto: Yohana Ewodo (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16: France-Estonie à 16h sur YouTube"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"France-Estonie comptant pour la 3e journée de l’Euro U16 est à suivre sur YouTube à partir de 16h."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18: Les 12 médaillés de bronze vus par leur coach"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les U18 ont obtenu en Lettonie une médaille de bronze. Ce n’était pas écrit dans le marc de café car la génération 2000 n’est pas la plus talentueuse et elle était privée de son joyau, Sekou Doumbouya. Son coach Frédéric Crapez nous a expliqué hier comment elle a réussi ce qui est un exploit et il revenu sur la raison qui fait que depuis un quart de siècle la France moissonne des médailles en jeune alors qu’auparavant c’était le néant.\\n\\nAujourd’hui, il nous brosse le portrait de chacun des médaillés.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nKarlton Dimanche\\n\\nMeneur de jeu – 1,93m\\n\\n8,6 points, 5,9 rebonds, 3,4 passes, 3,9 interceptions\\n\\nL’interception, c’est sa marque de fabrique. Il a de longs bras, il anticipe bien, il sent bien les coups. C’est un joueur qui est dans l’ombre à Cholet de Killian Hayes et il découvrait le niveau, ce qui explique qu’il était un peu plus en difficulté sur les deux derniers matches. Il a tout pour faire un joueur de haut niveau. Il faut qu’il travaille son tir, il le sait, et qu’il soit encore plus régulier qu’il ne l’a été. A part le petit Bouris, on n’avait que des combos. Quand il joue avec Killian Hayes à Cholet, ce sont deux arrières qui montent le ballon. C’est quand même celui qui montrait le plus de gages de sécurité pour monter la balle. Il peut courir, donner du rythme, il arrive à franchir son joueur en un-contre-un.\\n\\nTimothé Crusol\\n\\nMeneur de jeu – 1,88m\\n\\n5,7 points, 4,4 passes\\n\\nNotre deuxième meneur, le stabilisateur. Celui qui à qui on peut confier le ballon. Un super Euro. Il n’a pas été réussite au niveau adresse car il a fait une grosse saison avec le Centre Fédéral. Il n’a pas été blessé, il ne s’est jamais arrêté. C’est lui qui a la meilleure lecture du jeu. Quand il fait une erreur, pas besoin de lui dire, il se retourne vers toi et il lève le bras. Il sait que c’est pour lui. C’est un joueur très, très important qui a suppléé Karlton à la mène, qui a organisé l’équipe. Il a un physique intéressant, il peut défendre, il est grand. Il est dans l’ombre de Killian Hayes et de Théo Malédon mais c’est vraiment un très bon joueur.\\n\\nLucas Bourhis\\n\\nMeneur de jeu – 1,76m\\n\\n5,8 points\\n\\nIl a fait un grand championnat d’Europe non pas parce qu’il a beaucoup joué mais parce qu’il a accompli son rôle qu’on lui a bien expliqué au départ. Ce n’était pas facile pour lui car il a toujours été dans des équipes où il était le leader et où il jouait beaucoup. 1,75m. Malheureusement, par rapport au niveau international et au style de jeu que l’on voulait donner à l’équipe, en mettant beaucoup de pression sur la balle, sur les pick n’roll, il faut lever les mains, c’était difficile pour lui de demander un rôle majeur. C’est un garçon très adroit, que l’on a plus utilisé en meneur-shooteur voir en numéro 2 plus qu’en meneur organisateur qu’il est en club. Contre la Serbie, il ramène l’équipe et on passe de -20 à -11. Et les 8-9 minutes qu’il joue pour la médaille de bronze, il est très bon. Il a vraiment bien tenu le rôle qu’on souhaitait le voir tenir. Robineau et lui dans ce rôle-là ont été parfaits.\\n\\nJoël Ayayi\\n\\nDeuxième arrière – 1,90m\\n\\n15,7 points, 50% aux tirs, 3,6 rebonds, 1,7 interception\\n\\nOn ne savait pas au départ de la campagne quel Joël on allait retrouver puisqu’il était resté un an sans jouer. Il était redshirt (NDLR : Joueur qui ne participe pas aux matches) à Gonzaga. Il faisait partie des 14 joueurs, il s’entraînait, mais quand c’était du 5×5, je pense qu’il regardait. Il manquait de rythme au début, etc. On a souvent eu des entretiens avec lui car on se demandait s’il allait retrouver son niveau. Il s’est accroché et il a été déterminant dans les matches essentiels notamment le huitième contre la Grèce où il sort LE match et où on retrouve le vrai Joël. Il s’est investi pour l’équipe, il a été aussi un leader de vestiaire. Il a eu un comportement irréprochable sur cet Euro. Le talent, il l’a, il faut qu’il apprenne à être plus régulier. Il a fait des efforts en défense, il peut en faire davantage encore. En attaque, quand il est on fire, il est inarrêtable. Le tear drop qu’il a est remarquable. En fait, il s’est mis redshirt car il a eu le bac avec un an d’avance et il a pris l’option de faire cinq ans de fac.\\n\\nYohan Choupas\\n\\nDeuxième arrière – 1,90m\\n\\n9,4 points, 3,4 rebonds, 53,8% à trois-points\\n\\nUn joueur qui a beaucoup progressé au Centre Fédéral depuis la catégorie minimes. Il est devenu un joueur cadre. Il a un bon tir, très fort en défense, c’était notre stoppeur. Un joueur constant dans la performance. Il a été blessé quatre mois cette année aussi il a eu un peu de mal sur le premier match mais il s’est libéré contre la Turquie et j’ai retrouvé le Yohan que j’ai eu l’an dernier à l’Euro. C’est un vrai joueur d’équipe qui peut être leader sur le terrain par sa présence, ce qu’il fait. C’était l’un des deux cadres avec Mathis Dossou-Yovo en plus de deux facteurs X, Joël Ayayi et Karlton Dimanche. Mathis était le capitaine et pour moi c’était le deuxième. C’est un bon gamin, un excellent état d’esprit. Il signe à Pau, je suis content pour lui. J’adore.\\n\\nHugues Robineau\\n\\nDeuxième arrière – 1,90m\\n\\n2,6 points\\n\\nIl fait partie des joueurs qui sortent du banc, qui ont compris leur rôle, qui donnent tout quand ils rentrent. C’est un puncheur, qui ne lâche rien, qui a embêté tous les meilleurs joueurs adverses. Il a toujours apporté tout de suite de l’énergie quand il est rentré sur le terrain. On ne peut évidemment pas faire une équipe avec douze vedettes, il faut des joueurs un peu plus humbles et Hugo est dans ce style-là. Il n’a peur de rien. C’est formidable.\\n\\nKenny Baptiste\\n\\nAilier – 2,00m\\n\\n5,0 points, 3,9 rebonds\\n\\nUn gros potentiel, qui a accepté de dépanner en 4 alors que c’est un futur ailier, un 2-3. Il vient de Guadeloupe et c’est sa troisième année au Mans et j’espère que cette compétition lui aura fait comprendre qu’il faut qu’il soit beaucoup plus dur, plus intense. Mais il a un gros talent, il comprend très bien le jeu\\n\\nJacques Eyoum\\n\\nAilier-fort – 1,95m\\n\\n4,9 points, 58,3% à deux-points, 2,9 rebonds\\n\\nLe guerrier, le combattant, le joueur de l’ombre. Il a été très précieux en défense et au rebond où il a apporté de l’énergie. Quand tu n’as pas trop de talent en attaque, c’est la défense qui te fait gagner des matches. C’est quelqu’un qui met de l’huile dans les rouages et qui permet à l’équipe de se bonifier. Il est physiquement mûr, c’est déjà un sénior. Il a pu s’exprimer grâce à son physique et sa générosité à ce niveau-là. C’est sûr que ça sera plus compliqué pour lui au haut niveau sénior. Il a un bon pourcentage car il ne prend que les tirs qui lui sont donnés à bon escient. 14/24 en sept matches.\\n\\nMarko Coudreau\\n\\nAilier-fort – 2,02m\\n\\n2,0 points\\n\\nIl a peu joué et ce n’est pas facile car il peut y avoir de la frustration. Avec le staff, on a expliqué les rôles et Marko a été dans un excellent état d’esprit. Je suis malheureux pour lui car on n’a pas pu le mettre davantage sur le terrain mais il a compris son rôle et il est rentré dans le projet de l’équipe. Il n’a pas tiré l’équipe vers le bas, au contraire. Son problème est au niveau de la dimension athlétique, de la dureté notamment défensivement, au rebond. Sinon c’est un garçon qui exécute bien, qui comprend bien le jeu. Comme Jacques Eyoum a répondu à nos attentes, c’était difficile de changer la hiérarchie.\\n\\nMathis Dossou Yovo\\n\\nPivot – 2,05m\\n\\n16,4 points, 54,9% à deux-points, 8,1 rebonds\\n\\nIl a été énorme. C’est un garçon formidable. Il aurait mérité d’être dans le Cinq de l’Euro. Pas de chance pour lui, il est tombé sur Pecarski et Petrusev, qui méritent leur sélection. Mais le troisième, c’était lui, c’est sûr. C’était notre joueur le plus régulier, le plus impactant. Défense, rebonds et points. Avec la défense que l’on propose en sortant sur les pick n’roll, c’est usant pour un intérieur et lui l’a fait tout le temps et sans rechigner. Respect. Il va à Chalon, on sait que pour un intérieur c’est toujours un peu plus long pour percer mais il est déjà bien costaud et il a de la marge de progression techniquement. Ça peut être un bon professionnel en Pro A voir peut-être plus.\\n\\nEssome Miyem\\n\\nPivot – 2,06m\\n\\n2,3 points, 2,1 rebonds\\n\\nJe remercie les deux 2001 d’avoir accepté de doubler car ce n’est jamais évident surtout quand la première compétition était en Argentine (Mondial U17) et que tu as le décalage horaire et qu’il y a des petits bobos. Essome s’est prêté au jeu et a fait une rotation à l’intérieur pour faire souffler Mathis. Il a fait ce qu’il a pu, ça doit lui servir d’expérience pour l’année prochaine où il sera un joueur cadre de l’équipe 2001. Il a donné ce qu’il pouvait au niveau du rebond, de la défense, de l’envergure qui gêne un peu les gens qui rentrent dans la raquette. Un excellent état d’esprit.\\n\\nFlorian Leopold\\n\\nPivot – 2,02m\\n\\n2,2 points, 2,5 rebonds\\n\\nC’est le mec le plus puissant de l’équipe en développé-couché. C’est un athlète exceptionnel qui doit progresser techniquement et collectivement dans sa compréhension du jeu. Ce sont ses axes de progrès.\\n\\n[armelse]\\n\\nKarlton Dimanche\\n\\nMeneur de jeu – 1,93m\\n\\n8,6 points, 5,9 rebonds, 3,4 passes, 3,9 interceptions\\n\\nL’interception, c’est sa marque de fabrique. Il a de longs bras, il anticipe bien, il sent bien les coups. C’est un joueur qui est dans l’ombre à Cholet de Killian Hayes et il découvrait le niveau, ce qui explique qu’il était un peu plus en difficulté sur les deux derniers matches. Il a tout pour faire un joueur de haut niveau. Il faut qu’il travaille son tir, il le sait, et qu’il soit encore plus régulier qu’il ne l’a été. A part le petit Bouris, on n’avait que des combos. Quand il joue avec Killian Hayes à Cholet, ce sont deux arrières qui montent le ballon. C’est quand même celui qui montrait le plus de gages de sécurité pour monter la balle. Il peut courir, donner du rythme, il arrive à franchir son joueur en un-contre-un.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jason Thompson (Fenerbahce) file en Chine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison en Europe au Fenerbahce, Jason Thompson (2,11m, 32 ans) retourne en Chine. Il s’est engagé avec le Sichuan Blue Whale.\\n\\nEn NBA depuis 2008, le natif du New Jersey a quitté les Etats-Unis en 2016 et a vécu sa première expérience hors du sol américain en Chine. Avec plus de 18 points et 13 rebonds, il faisait partie des meilleurs joueurs du championnat chinois et a attirer l’attention du champion d’Euroleague 2017, Fenerbahce. Vainqueur de la coupe de Turquie en 2017, il retourne donc dans un championnat qui lui a réussi il y a deux ans.\\n\\nLa saison dernière, Jason Thompson compilait en moyenne 6,3 points et 4,6 rebonds entre l’Euroleague et le championnat.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"N1: Rafael Huertas ou comment un Espagnol se retrouve à Brissac, 3 000 habitants"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’arrière Rafael Huertas (1,94m) est l’un de ses joueurs espagnols qui a choisi de s’expatrier dans l’une des divisions nationales françaises, en l’occurence à Brissac-Quincé, 3 000 habitants, tout prêt d’Angers, en Nationale 1.\\n\\n« C’était le bon moment pour moi. Ma compagne vient de terminer ses études et elle a pu venir avec moi. C’est parfait. J’ai eu des contacts, il y a quatre ans, mais c’était trop tôt. Le basket offre des opportunités et là, j’étais prêt à voir autre chose, » raconte t-il au Courrier de l’Ouest.\\n\\nL’Espagnol portait la saison passée le maillot de Iberostar Palma, un club de LEB Gold, ce qui correspond à notre Pro B. Avec 27’ de temps de jeu, 11,1 points et 1,8 passe, il en était l’un des joueurs majeurs. Rafael Huertas a essentiellement évolué à ce niveau même s’il est monté deux fois en Liga ACB avec Menorca en 2010-2011 et San Sebastian en 2014-2015. On s’aperçoit qu’il a souvent changé de club.\\n\\n« C’est comme ça en Espagne. Avec la crise économique, les clubs ne signent plus de longs contrats », explique t-il à notre confrère.\\n\\nSa venue dans le Maine-et-Loire n’est pas le fruit du hasard. Le coach brissacois Morgan Belnou est un adepte du basket ibérique et des contacts avec le joueur ont été noués dès Noël.\\n\\n« Je visionne beaucoup de matchs de ce championnat et j’avais dressé une liste de joueurs intéressants dont Rafa faisait partie... Il va nous amener son expérience. Il a été formé à Malaga qui est une bonne école. Il est capable de jouer en mouvement et il apportera sa grinta et de la complémentarité sur les postes arrières avec Aurélien (Rigaux), Jean-Baptiste (Macé) et Matthieu (Robin)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Crise en Turquie : la fédération s’inquiète pour le Trabzonspor"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que l’Usak Sportif, Antalyaspor, Eskisehir et Yesilgiresun ont déclaré forfait pour la saison 2018/19, c’est le club du Trabzonspor qui serait maintenant en danger.\\n\\nSelon Eurohoops, la fédération turque s’inquiète de la situation du club situé à Trabzon. CEO de la fédération, Omer Onan n’est pas sûr de pouvoir compter sur le club pour la prochaine saison de BSL.\\n\\n« Il y a des rumeurs à propos d’un forfait du Trabzonspor. Hier avec le président de la fédération Hedo Turkoglu, nous avons été à la rencontre des dirigeants du Trabzonspor. Je crois en leur capacité de régler leurs problèmes, ils y travaillent dur. J’espère qu’ils seront là à la rentrée. »\\n\\nLe club fondé en 2008 serait toujours en train de payer des dettes de la saison passée. Par ailleurs, la livre turque a dégringolé un peu plus hier, perdant plus de 19% de sa valeur en raison des déclarations de son président Recep Tayyip Erdogan et de la hausse des droits de douane décidée par le président Donald Trump."
}, 
{"role": "user",     "content":"Ali Traoré (Strasbourg): «Il y a moyen de faire quelque chose d’énorme avec cette équipe»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était la reprise de l’entraînement hier à Strasbourg et Ali Traoré (2,08m, 33 ans) a retrouvé un club qui fut déjà le sien lors de la saison 2014-15. Il est de retour cette fois jusqu’en décembre en joker médical de Jacques Alingue victime d’une rupture du tendon d’Achille.\\n\\n« Tout s’est fait assez rapidement. En trois jours tout était réglé. J’ai quand même réfléchi car ce n’est qu’une pige et ce n’est pas forcément ce que je cherchais, mais je me suis dit qu’une pige à Strasbourg c’est quand même pas mal donc j’ai accepté (rires). Si c’était un autre club en France ou même à l’étranger, je ne pense pas que j’aurais accepté », explique t-il sur le site du club.\\n\\nC’est aussi l’occasion pour l’ancien international de retrouver Vincent Collet qui fut déjà son coach au Havre, à Villeurbanne, à la SIG et en équipe de France.\\n\\n« C’est cool ! Vincent est quelqu’un qui est très important dans ma carrière. Il y a du Vincent partout dans ma carrière, que ce soit en équipe de France ou en club, il y a du Vincent partout sur ma route. J’ai tout gagné avec lui. Il est important dans ma carrière car comme je le dis souvent c’est lui qui m’a appris le basket. Quand je suis arrivé du Havre c’est lui qui m’a vraiment inculqué ce qu’il fallait faire pour jouer à un très haut niveau. Retravailler une nouvelle fois avec lui me plaît beaucoup. Je connais son basket et je sais qu’il y a moyen d’être bien en tant que joueur dans son système de jeu. »\\n\\nAli Traoré se dit séduit par le profil de la SIG:\\n\\n« Je les connais tous en tant que joueurs. Mike Green notamment, contre qui on a joué en finale de BCL la saison dernière. Il nous a démonté tout simplement (rires) ! Il nous a tué et il finit MVP du Final 4. Après personnellement j’en connais les trois quarts. Moi ce roster me plaît beaucoup. C’est une équipe très Vincent Collet. Il y a moyen de faire quelque chose d’énorme avec cette équipe parce qu’il a de tout : du soutier, du patron, du guerrier, etc... En plus il y a moyen de se marrer avec quelques énergumènes dont mon ami Jérémy Nzeulie qui est pas mal dans son style (rires) ! »\\n\\nLes Alsaciens attendent encore un dernier renfort, un ailier-fort shooteur."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18: La France se gave face à la Géorgie: 106-54"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pendant une mi-temps, les Bleuets ont été gênés par la zone géorgienne, ce qui explique que malgré une échappée ils n’aient eu que deux points d’avance (39-37) au moment du décompte partiel.\\n\\nChangement complet de physionomie dans le troisième quart. Une défense agressive leur a permis de lancer des contre-attaques qui ont ressemblé à des bourrasques. 39 à 11 en 10′ et 78-48 au score. Et encore, Bernard Faure avait largement fait appel à son banc.\\n\\nLes Géorgiens ne défendaient plus, perdaient toujours autant de ballons (23 au total), étaient écrasés au rebond (35 à 57) et cela tournait à la parade. Jayson Tchicamboud faisait des coast to coast.\\n\\nLe 100e point était inscrit sur un résumé parfait du match: passe mal assurée des Géorgiens, interception et contre-attaque de Yvan Ouedraogo qui dunke. Ce n’est pas tous les jours que l’on passe 52 points à un adversaire\\n\\nLorsqu’il y avait de l’opposition en plus du trio Moussa Diabate (15 points et 8 rebonds), Daniel Batcho (12 et 7) et Juhan Begarin (12 points), on avait pu apprécier le shoot très sûr de Louis Lesmond (20 points avec un 5/9 à trois-points).\\n\\nDemain à 16h, la France affrontera l’Estonie.\\n\\nPhoto: Jayson Tchicamboud (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16: A suivre sur YouTube, France-Géorgie à 18h15"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite du feuilleton de l’Euro U16 avec le 2e match des Bleus face à la Géorgie, aujourd’hui à 18h15 sur YouTube.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18 féminines: Battues par la Belgique, 49-59, la France n’ira pas au Mondial U19 en 2019"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Grosse déception pour les Bleuettes qui, battues en match de classement par la Belgique, 49-59, ne sont pas qualifiées pour le Mondial U19 en 2019.\\n\\nLes filles de Julien Egloff ont coincé dans le deuxième (-6 points) et troisième quart-temps (-5); elles ont été vaincu dans la bataille du rebond (42-54) et ont fait preuve d’une faible adresse tout au long de la partie (28,5% avec un 3/20 à trois-points).\\n\\nSi Janelle Salaun a réussi un double double (11 points, 13 rebonds), les Françaises ont souffert face à l’ailière de Braine Maxuella Mbaka (25 points, 8/10 aux tirs, 7 rebonds).\\n\\nPhoto: Janelle Salaun (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Jaka Blazic passe d’Andorre à Barcelone"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme annoncé il y a quelques jours, Jaka Blazic (1,96m, 28 ans) s’est engagé avec le FC Barcelone.\\n\\nSur son site, le club catalan a officialisé la signature de l’international slovène pour une saison. D’un naturel adroit, l’ancien joueur de Vitoria apportera sa patte au scoring. Lors de l’exercice 2017/18, il évoluait aux côtés des Français Andrew Albicy et Landing Sane à Andorre.\\n\\nLa saison dernière, Jaka Blazic compilait en moyenne 13,5 points, 4,2 rebonds et 1,6 passe décisive en ACB, et 12 points et 4,2 rebonds pour une évaluation de 13,1 en Eurocup.\\n\\nPhoto : Morabanc Andorra"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18 féminin: A suivre, à 14h15 sur YouTube, France-Belgique pour aller au Mondial U19"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Battue par la Hongrie en quart-de-finale, l’équipe de France U18 féminine a encore une chance d’aller au Mondial U19 l’année prochaine. Il lui faut pour cela battre la Belgique cet après-midi à 14h15 puis, en cas de succès, le vainqueur de Allemagne-République Tchèque demain. Le match est comme d’habitude diffusé sur YouTube.\\n\\nPhoto: Caroline Germond (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"N1: Arnaud Kerckhof retrouve le Nord à Orchies"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A 34 ans, le meneur Arnaud Kerckhof (1,93m) quitte Boulazac pour l’US Orchies en Nationale 1. C’est un retour aux sources pour lui né à Calais et formé à Gravelines.\\n\\nLe Nordiste a dans son parcours Châlons, Nanterre, Antibes et il portait le maillot de Boulazac depuis huit saisons. En 33 matches, il s’était contenté de 1,0 point et 2,2 passes en moyenne la saison dernière.\\n\\nPhoto: BBD"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce : l’expérimenté Jonas Maciulis signe à l’AEK Athènes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’AEK Athènes continue son intersaison en recrutant le très expérimenté Jonas Maciulis (1,98m, 33 ans) pour la saison prochaine.\\n\\nChampion d’Euroleague, double champion d’Espagne, double champion de Grèce, champion d’Italie, triple champion de Lituanie, double champion de la Ligue Baltique ou encore deux fois médaillé d’argent à l’Eurobasket, le natif de Kaunas a pratiquement tout vécu en seize ans de carrière. Vétéran respecté passé par le Zalgiris, Milan, Sienne ou le Real Madrid, il a déjà évolué en Grèce, sous les couleurs du Panathinaïkos entre 2012 et 2014.\\n\\nDepuis quatre ans à Madrid, l’international lituanien avait quitté le club madrilène pour rejoindre le Lokomotiv Kuban pendant l’exercice 2017/18.\\n\\nLa saison dernière, Jonas Maciulis compilait en moyenne 4,7 points et 3 rebonds entre le championnat et l’Euroleague.\\n\\n\\n\\n\\n@JonasMaciulis8 #Welcome #AEKBC pic.twitter.com/qmI4KnoYHw\\n\\n\\n— AEK B.C. (@aekbcgr) August 10, 2018\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Bo McCalebb remplace Heiko Schaffartzik à Saragosse"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite au départ de Heiko Schaffartzik, Saragosse a fait appel à Bo McCalebb (1,83m, 33 ans).\\n\\nTouché au genou, Heiko Schaffartzik a, d’un commun accord, quitté Saragosse qui ne voulait pas attendre octobre pour qu’il soit rétabli. Par conséquent, le club a fait signer l’ancien joueur du Fenerbahce pour la saison. Bo McCaleb était déjà à Saragosse la saison dernière mais il a dû quitter le club en février pour des raisons familiales.\\n\\nLa saison dernière, Bo McCalebb compilait en moyenne 11,8 points, 2,6 rebonds et 3,6 passes décisives.\\n\\n\\n\\n\\nOFICIAL | Bo McCalebb cogerá el timón de Basket Zaragoza\\n#SOMMOSBasketZaragoza #SienteZaragoza 🦁 #AúpaT pic.twitter.com/GjywBSkMxc\\n\\n\\n— Casademont Zaragoza (@CasademontZGZ) August 10, 2018\\n\\nPhoto : Saragosse"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16: Attention, Usman Garuba est de retour !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Hier, pour la première journée de l’Euro U16 à Novi-Sad, l’Espagne a pulvérisé le pays hôte, la Serbie et un homme a tout massacré: Usman Garuba, auteur de 19 points, 14 rebonds et 4 passes... en première mi-temps, ce qui a permis à l’Espagne de virer en tête, 43-17 ! Au final, 72-46 et 25 points, 16 rebonds et 4 passes en 23 minutes pour le pivot espagnol d’origine africaine.\\n\\nUsman Garuba, 2,03m, qui porte habituellement le maillot du Real Madrid, est loin d’être inconnu puisqu’il fut élu, il y a deux ans, MVP de de ce même Euro U16 alors qu’il n’avait que 14 ans ! Il avait tourné à la moyenne de 16,3 points, 12,4 rebonds et 2,9 contres et il avait été monstrueux -l’adjectif est même faible- en finale contre la Lituanie avec ses 15 points (à 7/10 aux tirs), 11 rebonds, 10 contres et 4 interceptions. Ce qui avait permis aux siens d’être couronnés après une courte victoire, 74-72."
}, 
{"role": "user",     "content":"Yannis Morin et Corentin Carne avec Nanterre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Venu en fin de saison dernière faire une pige au Mans suite à la blessure temporaire de Will Yeguete, Yannis Morin (2,08m, 25 ans) a fait preuve de sérieux, d’une bonne présence au rebond et en défense et est devenu en prime champion de France. dans un rôle de troisième 5. Il arrive cette fois à Nanterre en pigiste médical du nouvel Américain Demetrius Treadwell absent pour deux mois.\\n\\nYannis Morin a été formé à Cholet et s’est lancé en Pro B, à Denain et au Havre (6,8 points et 7,3 rebonds en 2016-17) avant de faire de la G-League.\\n\\nLe coach Pascal Donnadieu a bouclé son recrutement le même jour en signant comme 10e joueur Corentin Carne (1,95m, 22 ans), un arrière sorti du centre de formation de Pau, qui était prêté la saison dernière à l’Etoile de Charleville en Pro B où il a assuré 5,3 points, 1,1 rebond, 1,3 passe et 1,6 interception."
}, 
{"role": "user",     "content":"U16: La France ouvre par une large victoire sur l’Italie, 78-50"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour son premier match à l’Euro U16 qui se tient à Novi Sad, la France a disposé de l’Italie, 78-50. La victoire s’est construite autour d’une solide défense et de Daniel Batcho (15 points, 14 rebonds et 28 d’évaluation), Juhann Begarin (18 points à 8/10 aux tirs) et Moussa Diabate (15 points et 8 rebonds). Prometteur.\\n\\nPlutôt dominateurs en première mi-temps, les Bleuets n’avaient que quatre points d’avance, 32-28, après vingt minutes. L’ailier-fort Daniel Batcho (2,04m) excellait au rebond (12 en 14′!) et se montrait le plus entreprenant offensivement (9 points) avec l’arrière shooteur Juhann Begarin (10).\\n\\nDes interceptions (17 au total contre 3 aux Italiens) dues à une défense agressive et intelligente, suivies de contre-attaques rondement menées, permettaient ensuite aux Français de prendre davantage leurs aises, les Italiens ayant recours au trois-points pour ne pas se faire décramponner définitivement (55-42, 30e).\\n\\nDans le dernier quart-temps, les Français maîtrisaient complètement la situation, y compris les joueurs du banc et l’écart se creusait peu à peu.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Juhann Begarin (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"A 38 ans, Luis Scola continue sa carrière en Chine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A 38 ans, le power forward argentin Luis Scola (2,06m) va poursuivre sa carrière en Chine aux Shanghai Sharks en compagnie d’un autre ancien NBAer, l’Américain Jimmer Fredette.\\n\\nLuis Scola sort d’une saison avec le Shanxi Brave Dragons à 27,8 points, 13,8 rebonds, 3,4 passes et 1,4 interception. Il est toujours par ailleurs l’un des piliers de l’équipe nationale, marchant à 18,0 points et 7,6 rebonds lors des matches de qualification pour la Coupe du Monde 2019.\\n\\nL’Argentin a joué de 2007 à 2017 en NBA et il a été champion olympique à Athènes en 2004.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Avellino ferait les yeux doux au double champion NBA Norris Cole"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir manqué de chance dans le recrutement de Joe Ragland, Avellino souhaiterait faire de Norris Cole (1,88m, 29 ans) une priorité.\\n\\nSelon La Prealpina, le club italien tenterait de faire signer l’ancien pensionnaire de Cleveland State pour la saison prochaine. En 2017/18, l’ancien joueur des Miami Heat, avec qui il a remporté deux titres NBA, a tenté sa première expérience en Europe sous les couleurs du Maccabi Tel Aviv. Avec cette signature, le club transalpin deviendrait une des équipes les plus passionnantes à voir jouer en Italie et en Champions League. Avellino fait partie du groupe A de la BCL en compagnie de Banvit, Ludwigsburg, Anwil, Ventspils et Le Mans.\\n\\nLa saison dernière, Norris Cole compilait en moyenne 12,1 points, 2,3 rebonds et 3,5 passes décisives entre le championnat et l’Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"[REDIFF] Portrait: Fabien Causeur, le meilleur joueur breton de tous les temps... Et aussi vainqueur de l’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BasketEurope vous propose cet été de lire ou de relire les meilleurs articles PREMIUM de la saison 2017-18.\\n\\nFabien Causeur (1,96m, 31 ans) a gagné l’Euroleague. S’il n’a pas été élu MVP du Final Four -c’est le Slovène Luka Doncic qui a eu droit à cet honneur-, le Brestois a été incontestablement le meilleur joueur de la finale remportée face à Fenerbahçe, 85-80. Ce soir du 20 mai, telle une divinité, il a marché sur l’eau, transformé les ballon en plastique en or, régalé ses supporters, écoeuré ses adversaires. A 12 secondes du buzzer, il a enfilé deux lancers-francs et sur l’action suivante contré une tentative du meneur grec du Fener Kostas Sloukas. Au total, ce sont 17 points à 3/3 à trois-points, 2 rebonds et 2 passes pour 21 d’évaluation qui sont tombés dans sa besace.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe néo-Madrilène a ainsi rejoint le club très fermé des Français devenus champions d’Europe ; ils sont 11 dont 8 Limougeauds de 1993 plus Antoine Rigaudeau et Nando De Colo. Point final. Aussi cela méritait les félicitations de ses équipiers tricolores lors du rassemblement à Nanterre.\\n\\n« C’est surtout l’accomplissement d’une saison difficile. Il y a beaucoup de travail derrière tout ça. Avoir tous tes coéquipiers qui te félicitent, c’est génial. Une fois que c’est fait, on repart au travail ! C’est mon meilleur match et pas seulement pour les points, mais vis-à-vis de l’événement. C’était une finale d’Euroleague, le match le plus important de ma carrière. J’étais dans un bon jour. Evidemment, c’est l’apothéose. Avant le Final Four, je me disais que même si je jouais très peu et que l’on était champion, tout le reste n’était pas important. Je suis très bien rentré dans le match. Le coach m’a donné du temps de jeu. Des fautes sont tombées sur des joueurs importants de l’équipe et ça m’a donné l’opportunité de briller. »\\n\\nFabien Causeur n’est pas un joueur qui attire spécialement la lumière mais il est bon partout. Dans les drives, dans les passes, dans le shoot à trois-points, en défense... C’est un malin, un joueur au fort QI basket et de complément, oui, mais cette finale de l’Euroleague prouve qu’il peut faire beaucoup plus si on lui en donne les responsabilités. A Bamberg, il était le go to guy, MVP de la finale de la Bundesliga. Au Real, dans un effectif sur dimensionné, il lui a fallu trouver sa place à la force du jarret et des épaules qu’il a musclé pour finalement se voir accorder près de 18 minutes de temps de jeu moyen en Euroleague ; le septième du Real. Au bout de l’effort, 6,9 points avec un remarquable 58,8% de réussite aux tirs et 1,9 passe.\\n\\nAu Real, tout est XXXL\\n\\nQuel bond pour celui qui s’était retrouvé barré au centre de formation du Mans ! A Basket Le Mag, Phlippe Desnos, son directeur, s’est souvenu que lors de sa mise à l’essai, il avait été très bon...\\n\\n« Mais je n’ai pas donné suite parce qu’on avait déjà trois joueurs sur ce poste, Nicolas Batum, Jérémy Leloup et Lamine Kante. Le dernier après-midi de test, Vincent Collet, le coach des pros, était en tribunes, je lui ai dit : je suis vraiment emmerdé, c’est un super gamin et un très bon joueur. Mais je ne regrette pas mon choix, fait en accord avec Vincent. Ensuite, son papa m’a demandé conseil et je l’ai orienté vers Le Havre. Ça n’aurait pas été correct de dégager quelqu’un pour le prendre. Et au final, ces quatre garçons sont devenus pros, Fabien a pu avoir des temps de jeu qu’il n’aurait peut-être pas eus au MSB. »\\n\\nDonc c’est au Havre que le Breton fit son apprentissage avec Jean-Manuel Souza et Christian Monschau. Cholet Basket paya ensuite un transfert pour l’acquérir et Fabien y joua l’Euroleague et en 2012, il fut élu MVP français après avoir compilé 16,2 points, 3,3 rebonds et 3,7 passes en Pro A, et encore mieux, 21,8 points en six matches d’Eurocup.\\n\\nC’est ainsi qu’il intéressa Vitoria. Il demeura quatre saisons au Pays Basque, devint capitaine du Baskonia, l’équipe joua le Final Four mais une blessure au dos l’écarta de l’épreuve. C’est ensuite à Bamberg où il s’est épanoui avant d’être sollicité par le Real Madrid.\\n\\nLe Real, un must au basket comme au foot. Un roster sans équivalent qualitativement et quantitativement avec des seigneurs espagnols comme Sergio Llull, Rudy Fernandez et Felipe Reyes, l’Américano-Slovène Anthony Randolph, le géant du Cap-Vert Edy Tavares (2,20m) et au sommet le joyau slovène Luka Doncic. Le meneur américain Randle Chasson y était au temps de jeu le quatorzième joueur ! Tout est à l’avenant. Là où il y a deux kiné à Vitoria, il y en a le double au Real.\\n\\n« Le staff médical et le temps de repos, c’est primordial aujourd’hui par rapport aux saisons que l’on a. On a énormément de matches, beaucoup de déplacements. A la fin, on n’a pas une grosse quantité d’entraînements. L’entraîneur sait très bien qu’il ne peut pas faire deux heures deux fois par jour comme on le faisait il y a quelques années. Pablo Lasso privilégie énormément la récupération. Il nous envoie souvent voir les kinés, les ostéos pour faire des révisions. »\\n\\nLa fameuse « pression médiatique » y est forcément plus forte qu’ailleurs. Madrid, c’est la capitale qui concentre beaucoup de médias dans un pays dingo de sport. Les sollicitations des journalistes sont constantes. De plus, au Real, il existe une chaîne de télé, le Real Madrid TV, qui suit en permanence ses basketteurs. Là aussi, c’est unique.\\n\\n« Quand j’en parle avec Thomas (Heurtel) qui est au Barça, on compare les deux clubs et ça n’a rien à voir. Il y a un engouement énorme vis-à-vis du Real Madrid. La télé nous suit pour tous les déplacements, elle est là à tous les entraînements pour faire des interviewes. On est constamment filmé, décortiqué. C’est ce qui m’a surpris le plus, que l’on soit médiatiquement aussi exposé mais on réussit à s’y habituer. Derrière, il faut réussir à garder la tête froide, ne pas se déconcentrer parce qu’il y a la télé qui nous regarde. »\\n\\nLe club entretient aussi des rapports entre les deux sections, celle du foot et du basket. Les deux centres d’entraînement son proches, des repas communs sont organisés, les basketteurs ont un espace VIP au Stade Santiago-Bernabeu où ils peuvent emmener famille et amis. Fabien en profite quand son agenda lui donne des ouvertures.\\n\\n« Le président vient voir tous nos matches à domicile. Il vient nous serrer la main après les victoires, évidemment. C’est quelque chose de très important pour un joueur d’avoir le soutien d’un président comme Florentino Perez. »\\n\\nLes rendez-vous manqués avec l’équipe de France\\n\\nAvant cette fenêtre internationale, Fabien Causeur comptait 29 sélections en équipe de France. C’est maigre. La dernière remontait aux Jeux de Londres, il y a déjà six ans. Son bâton de maréchal avec le championnat du Monde en Turquie en 2010. A Londres, Fabien, le MVP français de la Pro A, n’eut droit qu’à 18 minutes réparties en 3 matches et loupa ses cinq shoots. C’est ce qui s’appelle être discret. L’équipe de France, c’est une série de rendez-vous manqués essentiellement à cause de pépins physiques. Au point que l’on peut se demander s’il n’a pas été marabouté.\\n\\n« Beaucoup de gens me l’ont dit, mais je n’y ai pas cru. Il y a eu de la frustration à chaque fois qu’il y a eu une blessure même s’il faut l’accepter quand on est sportif de haut niveau. C’était des blessures qui n’étaient pas basket, pas de sport. J’ai eu une infection à un œil, un petit doigt de pied cassé car j’avais tapé dans un meuble en me levant le matin. C’était vraiment des trucs bêtes. Là, je suis vraiment content d’être de retour, d’être en bonne santé et je suis vraiment content de sentir que je peux apporter quelque chose à ce groupe. Chose que je n’avais pu faire sur les dernières campagnes. Je pense être dans la meilleure forme de ma carrière et avoir encore beaucoup à donner à ce groupe. Toutes ces campagnes je les ai vu à la télé. J’étais super content pour mes copains quand ils ont gagné une médaille mais j’aurais préféré être là pour soulever ces trophées avec l’équipe de France. Je suis persuadé que j’aurai d’autres opportunités. L’équipe de France dans les prochaines années gagnera quelque chose. »\\n\\nFabien insiste sur deux points, sur les talents, nombreux, de l’équipe présente en Bosnie et en Russie et sur le lien entre les joueurs :\\n\\n« Il y a une super alchimie entre ces générations. On s’entend vraiment très bien dans le groupe. On n’est pas le genre à juste s’entraîner. Derrière on est en chambre ensemble, on est toujours en train de rigoler, on passe du bon temps ensemble. C’est très important pour derrière retrouver ça sur le terrain. Il faut remercier ceux qui sont venus donner un coup de main en équipe de France pour les premières fenêtres. C’est génial d’avoir eu les quatre premières victoires. Maintenant, c’est à nous de continuer le travail sur cette fenêtre là et engendrer petit à petit cette qualification. »\\n\\nA Tuzla, l’équipe de France a été si dominante (+50) que l’on se gardera de décortiquer les prestations individuelles. Précisons seulement que Fabien a joué 16 minutes en marquant 7 points. En sortant du banc. Contrairement à la grande majorité de ses équipiers qui composent le Team France, il a l’habitude d’être utilisé parfois beaucoup et sur certains autres matches nettement moins.\\n\\n« Quand on me demande à quoi j’aspire en équipe de France, je réponds que je suis dans le même état d’esprit qu’en club. On a une équipe en club qui a 16-17 joueurs de très haut niveau. Il faut accepter qu’il y ait des matches où l’on joue moins. Quand un joueur de l’équipe joue très bien, il n’y a pas de raisons de le changer. En équipe de France, je pense que c’est la même chose. On a des joueurs de qualité, c’est super pour nous, il faut être prêt à chaque moment où Vincent (Collet) m’appellera comme lorsque Pablo Laso m’appelle en club. C’est vraiment ça que j’ai appris cette année. »\\n\\nLa concurrence est féroce. Vincent Collet ne l’a pas retenu pour le match contre la Russie ce soir à Krasnodar, lui préférant Edwin Jackson qui avait été mis en réserve face à la Bosnie.\\n\\nAu fait, que s’est-il passé dans les minutes qui ont suivi la finale de l’Euroleague lorsque les caméras de télévision ont changé de cadrage ?\\n\\n« Je me suis tourné vers Lucia, ma fiancée, qui m’épaule chaque jour, » a-t-il répondu à Ouest France. » Puis j’ai célébré avec mes coéquipiers. Ensuite, j’ai appelé la famille, qui était devant la télé, et qui a aussi bien célébré ! C’est exceptionnel pour un fils d’avoir ses parents qui crient de joie au téléphone, avec mes soeurs, les amis... Je suis fier de les rendre fiers ! »\\n\\nEt fier aussi de son appartenance à la Bretagne. Qu’est-ce que ça lui fait d’être le meilleur basketteur breton de tous les temps ?\\n\\n« C’est déjà le cas depuis quelques années ! » nous a-t-il répondu en riant.\\n\\n[armelse]\\n\\nLe néo-Madrilène a ainsi rejoint le club très fermé des Français devenus champions d’Europe ; ils sont 11 dont 8 Limougeauds de 1993 plus Antoine Rigaudeau et Nando De Colo. Point final. Aussi cela méritait les félicitations de ses équipiers tricolores lors du rassemblement à Nanterre.\\n\\n« C’est surtout l’accomplissement d’une saison difficile. Il y a beaucoup de travail derrière tout ça. Avoir tous tes coéquipiers qui te félicitent, c’est génial. Une fois que c’est fait, on repart au travail ! C’est mon meilleur match et pas seulement pour les points, mais vis-à-vis de l’événement. C’était une finale d’Euroleague, le match le plus important de ma carrière. J’étais dans un bon jour. Evidemment, c’est l’apothéose. Avant le Final Four, je me disais que même si je jouais très peu et que l’on était champion, tout le reste n’était pas important. Je suis très bien rentré dans le match. Le coach m’a donné du temps de jeu. Des fautes sont tombées sur des joueurs importants de l’équipe et ça m’a donné l’opportunité de briller. »\\n\\nFabien Causeur n’est pas un joueur qui attire spécialement la lumière mais il est bon partout. Dans les drives, dans les passes, dans le shoot à trois-points, en défense...\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Euroleague, Real Madrid et FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : recrutement terminé pour le CCRB qui engage Louis Adams"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après les dernières arrivées de Blake Schilb et Jimmy Baron, Châlons-Reims met un terme à son recrutement avec Louis Adam (1,91m, 22 ans).\\n\\nSur son site, le CCRB annonce la signature pour une saison du natif de Chicago. Son cursus universitaire tout juste terminé sous les couleurs de l’université du Wyoming, il va vivre sa première expérience professionnelle en France. C’est avant tout un arrière très athlétique et intense, qui a progressé sur son tir lors de sa dernière saison avec 42% de réussite à trois points et 47% à deux points.\\n\\nLa saison dernière en NCAA, Louis Adams compilait 9,7 points et 2,6 rebonds.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : Wyonation"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Heiko Schaffartzik quitte déjà Saragosse !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est à travers un communiqué de presse que Saragosse a annoncé ce vendredi qu’elle se sépare de Heiko Schaffartzik (1,83m, 34 ans) avant même le début de saison.\\n\\nTouché au genou droit vendredi dernier, l’ancien joueur de Nanterre a passé des examens qui ont révélé qu’il ne sera pas en capacité de revenir à la compétition pour la première journée de Liga Endesa. Par conséquent, d’un commun accord, les deux partis se sont séparés.\\n\\nL’international allemand, qui a quitté les Hauts-de-Seine début juillet, devrait être rétabli pour la mi-octobre selon le club espagnol.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Devenez actionnaire et vice-président d’un club au Monténégro"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Formation classée deuxième de deuxième division monténégrine à l’issue de l’exercice 2017/18, le Basketball Club Gusinje Strsljen est à la recherche d’actionnaires. Les actuels dirigeants offrent la cocasse possibilité à n’importe qui d’acheter de 25% à 49% des parts du club.\\n\\nC’est tout simplement sur Linkedin que nous avons été en contact avec le président. Le club met a disposition un dossier complet de 32 pages pour expliquer le pourquoi du comment de cette offre de « partenariat ». Passant par les ambitions et objectifs, les bénéfices de cet investissement, les rapports financiers des saisons passées ou encore les programmes d’été. Dossier très sérieux que nous avons un peu abordé avec le sourire, il nous apprend tout de même des éléments intéressants et reflète la différence énorme d’un club comme le club de Gusinje Strsljen et un club semi-pro français.\\n\\nSorti de terre il y a seulement six ans, ce club se veut ambitieux et souhaite rejoindre le haut niveau européen en passant par la formation.\\n\\n« Sur les quatre dernières saisons, notre club a connu un grand succès en aidant des joueurs à atteindre leurs rêves et objectifs. Sur les quatre dernières saisons nous avons accueilli plus de 14 joueurs et la majorité d’entre eux a continué à faire de très gros progrès et c’est quelque chose dont nous sommes très fiers. Plusieurs de nos jeunes ont participé aux entraînements de l’équipe nationale et ont capté l’attention de beaucoup de clubs d’Euroleague dont certains avec lesquels nous nous sommes affiliés. Ce qui signifie que nous avons ouvert la porte vers de nombreuses opportunités pour nos joueurs les plus talentueux. Nous espérons pouvoir disputer, dans un premier temps, la Balkan League qui est plus forte que notre première division, puis éventuellement l’Adriatic League qui ouvre potentiellement la porte vers l’Euroleague. Chaque saison a été meilleure que la précédente dans tous les aspects de notre organisation passant par le budget jusqu’aux résultats sportifs et même en terme de reconnaissance et de marketing. Comme nous sommes un petit marché, le potentiel est grand du fait de notre grande base de fans. Nous avons en moyenne entre 2 000 et 3 000 spectateurs à nos matchs, ce qui fait de notre base de fans est la plus importante de deuxième division et la deuxième de première division. Notre administration a décidé qu’avec le potentiel que nous avons sur ce marché, il est impératif que nous nous fixions des objectifs aussi hauts que possible et que nous n’accepterons rien d’autre que des individus qui travaillent dur et ambitieux comme membres de notre famille Strsljen. »\\n\\nGusinje Strsljen affiche son budget pour les dernières saisons. Ce dernier est monté à 110 000€ pour l’exercice 2014/15.Comme vous pouvez vous en douter, cet investissement à un prix, il varie selon le pourcentage de parts que vous êtes susceptible d’acheter.\\n\\n * 20% : 30 000€\\n\\nInclus : « un spot de recrutement et un spot de recrutement dans le coaching staff. 2 000€ par mois pendant l’intersaison et 3 000€ par mois pendant la saison. » Ceci est clairement une offre destiné à un agent dans l’optique de reproduire ce que Beobasket réalise avec le club serbe de Mega Leks.\\n\\n * 25% : 40 000€\\n\\nInclus : « le poste de Vice Président et deux spots de recrutement. 2 000€ par mois jusqu’à Août puis 3 000€ jusqu’en Avril ».\\n\\n * 30% : 50 000€\\n\\nInclus : « le poste de Vice Président et un ou deux spots de recrutement. 2 000€ par mois pendant l’intersaison et 3 000€ pendant la saison ».\\n\\n * 49% : 60 000€\\n\\nBénéfices :\\n\\n 1. « être affilié à la communauté du basket européen, être connecté aux autre clubs et être capable de pouvoir placer des joueurs dans différents endroits ». Encore une fois cela cible très clairement les agents.\\n 2. « le club vaut actuellement environ 600 000€, avec l’achat de 49% de la propriété, chaque pas vers le succès et l’atteinte des niveaux de concurrence plus élevés ne ferait qu’augmenter sa valeur nette, ce qui signifie que vous pourrez vendre votre pourcentage pour près de 3 fois le prix que vous l’avez initialement acheté ». A la valeur de rachat annoncer, le club est valorisé 150 000€ (pour rappel, les droits sportifs du HTV ont été racheté 900 000 euros par Paris Basket)\\n 3. « Acheter/vendre les droits de joueurs importés est l’une des meilleures opportunités de faire des bénéfices sachant que le prix de revente est entre 5 000 et 15 000€ vers des niveaux supérieurs (cela dépend du niveau du joueur) ».\\n 4. « En tant que propriétaire, vous bénéficiez de tous les avantages partenaires ».\\n 5. « En tant que propriétaire, vous avez droit à des postes administratifs et 50% de vous exprimer sur toutes les décisions prises ».\\n\\nA la vue des dernières expériences de ce club, il faut croire que tout n’est pas si simple. Fin 2016, Alen Rugovac, le président et fondateur du club, avait conclu un accord avec deux hommes pour partager le club en trois, rapporte le club sur Facebook. Jusqu’ici aucun problème, jusqu’à qu’il tombe d’accord avec une nouvelle personne pour se partager le club en deux. Seulement, n’étant pas majoritaire, il n’a jamais pu rompre le contrat qui le liait aux deux hommes.\\n\\nEn plus de ce problème administratif, Alen Rugovac aurait notamment promis a deux joueurs qu’ils vivraient dans un appartement parfait leur permettant de ne se concentrer uniquement sur le basket. Finalement, les deux joueurs se seraient retrouvé dans un endroit à partager avec plusieurs autres personnes dont le premier problème n’était pas la propreté. Dans cet endroit, ni cuisine, ni endroit pour laver leurs affaires, ni climatisation, ni Wi-Fi et des problèmes avec l’eau chaude...\\n\\nEn espérant que le rachat de Paris Basketball par David Kahn soit moins exotique.\\n\\nPhoto : KK Strsljen Gusinje Facebook"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Élite : Anthony Hilliard dernière recrue du Portel"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Portel vient de recruter son dernier joueur et est prêt pour préparer la saison 2018/19. Anthony Hilliard (1,93m, 32 ans) a donné son accord au club.\\n\\nDéjà passé par la France, le natif de Fayetteville a été sacré champion de Pro B sous les couleurs des Sharks d’Antibes en 2012/13. Suite à cela, il a aussi été vainqueur de la coupe de Biélorussie et champion en 2016. Egalement passé par le Maccabi Rishon, Krasnoyarsk ou encore Aalst, l’ancien joueur du Minsk est présenté par le club comment pouvant évoluer sur toutes les positions extérieures.\\n\\nLa saison dernière, Anthony Hilliard compilait en moyenne 13 points, 4,7 rebonds et 3,6 passes décisives entre le championnat et la Champions League.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"N1: Le coach Hervé Couday le confirme, Le Havre veut remonter au plus vite en Pro B"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le coach Hervé Coudray n’a pas quitté la Normandie. Après l’USO Mondeville chez les filles et le Caen BC, le voici au STB Le Havre qui vient de chuter en Nationale 1.\\n\\nCe n’est pas parce que le STB fut longtemps un pensionnaire de la Pro A qu’il va rebondir automatiquement car la N1 est piègeuse.\\n\\n« Qui, l’an dernier, aurait pu prévoir que Gries et Chartres monteraient en Pro B ? Je pense que tout le monde avait d’abord misé sur Saint-Vallier. Cela n’empêche que nous allons tout faire pour nous rapprocher de ce que l’on recherche », confie t-il à Paris-Normandie.\\n\\nAttention, la Nationale 1 expérimente une nouvelle formule avec 28 équipes réparties en deux poules et trois phases. Qu’est-ce que cela va t-il changer?\\n\\n« Qu’il va falloir partir vite, accélérer sur la deuxième phase et finir à fond. (sourire) C’est un championnat au cours duquel on ne pourra pas se permettre d’avoir des trous, à la différence de l’ancienne formule. Quand je suis monté avec Caen (2016-2017), on était encore 3es en décembre avant d’enchaîner 13 ou 14 victoires qui nous avaient permis de monter. Cette année, le droit à l’erreur est quasi inexistant. »\\n\\nCeci dit, les Havrais n’ont pas l’intention de moisir dans la division. Le coach a l’ambition au contraire de faire monter le STB en Pro B comme il l’a fait avec le CBC.\\n\\n« Bien sûr, et cela ne vaut pas uniquement pour les dirigeants. Je crois qu’il s’agit également de la volonté de l’agglo, de la ville. Lors de la réunion de mardi, le président a été très clair là-dessus. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Même agrandie la salle de Fos-sur-mer sera la plus petite de Jeep Elite"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec un budget de 3,1 millions d’Euros, Fos Provence Basket devrait avoir le plus petit budget de Jeep Elite et aussi la salle à la capacité la plus faible même après agrandissement.\\n\\nOn sait que depuis la Loi Lamour les ligues n’ont pas le droit d’imposer des jauges minimales à leur club. Aussi dans La Provence, le président Jean-Pierre Barnès confie qu’il n’a pas été contraint de pousser les murs de la Halle Parsemain:\\n\\n« On va agrandir de 500 places la Halle. Nous nous sommes expliqués avec la LNB. Il y a une jauge conseillée de 2 500 minimum. 4 500 en moyenne. Mais il est évident que nous ne pouvons pas aller plus loin que cela, sauf si nous faisons de grosses saisons et que la métropole et la municipalité décident de nous agrandir la salle. »\\n\\nQuelle sera donc la capacité de la Halle Parsemain?\\n\\n« Nous en serons vers 2 450 places, » répond le président. « Cela suffira pour le moment. »\\n\\nLa Halle aura donc une jauge inférieure aux deux salles dont dispose le CCRB, René-Tys à Reims (2 791 places) et Pierre-de Coubertin à Châlon (2 619).\\n\\nEst-ce digne de la Jeep Elite en 2018? Clairement, non. Dans l’ACB espagnole, les deux plus petites salles, à Andorre et Manresa affichent une capacité de 5 000 places. Un autre monde.\\n\\nPhoto: Fos Provence Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Indemnisations: 200 000$ pour Pau (Elie Okobo), 500 000 $ pour Le Mans (Youssoupha Fall)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Elie Okobo (1,88m, 20 ans) a été drafté en 31e position par les Phoenix Suns. Il a ensuite signé un contrat de six millions de dollars sur quatre ans dont les deux dernières années sont optionnelles.\\n\\nLors d’une conférence de presse d’avant-saison, le président de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez Didier Rey a apporté quelques précisions à propos du départ de son ancien meneur:\\n\\n« Contrairement à ce que j’ai pu lire ou entendre, au premier tour, aucune franchise ne s’est manifestée pour drafter Élie, sauf Brooklyn en 29e position. Mais ils souhaitaient maintenir Élie en Europe. Dans ces conditions, nous n’aurions pas touché 500 000 dollars mais 60 000 euros, montant prévu dans son contrat en cas de transfert dans un autre club européen. Ses agents savaient qu’il aurait un contrat garanti au deuxième tour. Ça a été le cas avec Phœnix, nous avons donc touché 200 000 dollars, » a-il déclaré, des propos rapportés par Sud Ouest.\\n\\nPau est satisfait de la transaction car cela lui permet de boucler positivement son budget. A l’inverse, son collègue manceau, Christophe Le Bouille est déçu par l’attitude de son ancien joueur Youssoupha Fall (2,21m, 23 ans) et s’estime trahi par ses agents. Alors que le géant franco-sénégalais avait signé à Vitoria, il a été prêté depuis à Strasbourg, un adversaire direct. Comme Vincent Collet est également chez Comsport, l’agence de Bouna Ndiaye, au Mans on estime être victime d’un coup monté.\\n\\n«J’ai pris note des propos me concernant venant du MSB, que j’estime injustifiés et plus émotionnels que rationnels, répond Bouna Ndiaye sur lequipe.fr. J’ai choisi il y a six ans et demi de confier le diamant brut Youssoupha Fall au club du Mans. Nous avons travaillé ensemble à son développement. Les personnes concernées savent l’énergie déployée par le MSB et ComSport (son agence) dans ce projet. Au final, Le Mans est champion avec un pivot titulaire JFL (joueur formé localement). Youssoupha a exprimé son envie de partir et a donc fait appliquer sa clause prévue à cet effet, de la manière la plus normale et claire, sans jamais dissimuler ses intentions à son club formateur. Le MSB touche une compensation au montant jamais égalé par un club français pour un joueur transféré en Europe. »\\n\\nD’après notre confrère, le montant du buyout est de 500 000 dollars. Mais Christophe Le Bouille aurait préféré ne pas toucher d’argent et conserver son joueur une année de plus.\\n\\n\\n\\n\\nDidier Rey annonce que l'Élan Béarnais a touché un bail-out de 200 000 dollars après la draft d'Elie Okobo par les Phoenix Suns pic.twitter.com/gAApgIWo47\\n\\n\\n— Sud Ouest Pau (@SO_Pau) August 9, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie: Au tour de Antalyaspor de déclarer forfait !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Qui sera sur la ligne de départ des championnats turcs dans quelques semaines? Après Yesilgiresun, Eskisehir et Usak Sportif, c’est le club de TBL (notre Pro B) Antalyaspor -le nom complet est Antalya Büyükşehir Belediyesi Spor Kulübü- qui déclare forfait suite à des problèmes financiers.\\n\\nAntalyaspor a terminé 4e de TBL la saison dernière.\\n\\n\\n\\n\\nThe crisis in Turkish Basketball 🇹🇷 is unfortunately neverending. After Yesilgiresun, Eskisehir and Usak Sportif also Antalyaspor announced that they won't play in the next TBL due to financial problems\\n\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) August 9, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Allemagne : James Farr (ex Chalon) vers Mitteldeutscher"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison en France, James Farr (2,06m, 25 ans) serait en partance pour l’Allemagne.\\n\\nSelon Emiliano Carchia de Sportando, l’ancien pensionnaire de l’université de Xavier aurait trouvé un accord avec le club allemand de Mitteldeutscher. L’équipe devrait annoncer sa signature dans peu de temps. La saison dernière – sa deuxième en tant que professionnel – sous les ordres de Jean-Denys Choulet, l’ancien joueur de l’Alba Fehérvár n’a pas répondu aux attentes de son entraîneur.\\n\\nLa saison dernière, James Farr compilait en moyenne 6,4 points et 4,1 rebonds entre la Jeep Elite et la Champions League.\\n\\n\\n\\n\\nJames Farr has signed a contract to play in @easyCreditBBL with MBC, a source told @Sportando\\nFarr spent last season in Jeep Elite with Chalon averaging 6ppg and 4.2rpg\\n\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) August 9, 2018\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"U18 féminines: Battue par la Hongrie, 61-69, la France n’aura pas de médaille pour la première fois depuis 2008"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cruelle désillusion pour l’équipe de France qui avait gagné une médaille à l’Euro U18 sans discontinuer depuis 2008. Après deux matches (trop) faciles face à l’Irlande (+21) et la Bosnie (+44), les Françaises sont tombées sur un os en quart-de-finale, la Hongrie, qui avait gagné trois de ses quatre premiers matches jusque là. A la remorque tout le match, elles ont terminé à huit points (61-69).\\n\\nLes Françaises ont complètement flanché en première mi-temps, étant menées 8-17 puis 13-27. Leur pressing tout terrain n’a pas porté les fruits escomptés puisqu’elles accusaient encore 13 points de retard (20-33) à la mi-temps. Leur adresse n’était que de 27,5% et seules Océane Monpierre et Nabala Fofana (6 points chacune) représentaient une menace offensive. A l’inverse, les Hongroises perdaient des ballons (11) mais elles trouvaient des ouvertures dans la défense des Bleuettes pas toujours attentives.\\n\\nLes filles de Julien Egloff manquaient de dureté et -il faut le dire- de QI basket alors que les Hongroises parvenaient à scorer même sous pression et l’odeur de la victoire décuplait leurs forces. Après avoir été larguées à une quinzaine de points, les Françaises se rapprochaient à 38-44 mais les Hongroises mieux organisées parvenaient toujours à marquer le layup ou le trois-points -y compris avec la planche-, ou encore à prendre le rebond long qui les maintenaient devant.\\n\\nDeux chiffres-clé: la bataille du rebond perdu dans les grandes largeurs (50 à 35) et le pourcentage à trois-points famélique (18,5% à 5/27). Impossible de gagner dans ces conditions.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Kenza Salguez (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"[REDIFF] Le Mans: Le portrait des champions de France par le Directeur Sportif"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BasketEurope vous propose cet été de lire ou de relire les meilleurs articles PREMIUM de la saison 2017-18.\\n\\nVincent Loriot, le directeur sportif du Mans Sarthe Basket revient pour BasketEurope sur la saison de chacun des champions de France. Des portraits à la fois sportifs et psychologiques qui permettent de mieux comprendre pourquoi et comment le MSB a pu supplanter tour à tour Villeurbanne, Strasbourg et Monaco.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nJustin Cobbs – 1,90m – 27 ans – Meneur – Américain\\n\\n36’, 14,5 points, 6,2 passes, 3,1 rebonds, 14,2 évaluation\\n\\n« Quelqu’un de fier avec beaucoup d’égo »\\n\\nLe ou un des deux, trois meilleurs joueurs en un-contre-un du championnat. Un joueur de duel, de défi. Quelqu’un de fier avec beaucoup d’égo, qui a su au fil de la saison se mettre au service quand il le fallait de ses coéquipiers et admettre que pour gagner, il fallait jouer ensemble. C’est quelqu’un qui a une grosse personnalité, qui en fait parfois qu’à sa tête mais qui au fur et à mesure de la saison et surtout en playoffs a trouvé le bon mariage entre assumer ses responsabilités individuelles pour lesquelles il avait été recruté et aussi se mettre à disposition du joueur en forme du moment. Ce qui a permis à notre équipe d’avoir un côté un peu protéiforme. Justin est aussi charmant hors terrain qu’il peut être provocateur sur le parquet et à chercher le duel.\\n\\nRomeo Travis – 1,98m – Intérieur- 33 ans – Américano-Macédonien\\n\\n30’, 11,7 points, 4,8 rebonds, 2,5 passes, 13,1 évaluation\\n\\n« C’est quelqu’un qui se nourrit, non pas du conflit mais de l’opposition »\\n\\nC’est le chef de gang. C’est quelqu’un qui se nourrit, non pas du conflit mais de l’opposition, qui aime montrer qu’il est le patron surtout à son staff, au club, qu’il est là pour défendre la peau de sa meute. C’est un leader évident qui peut être parfois taquin, joueur quand il a décidé de ne pas mettre tout ce qu’il faut au quotidien mais qui à chaque fois que les matches importants arrivent, Leaders Cup ou playoffs, répond présent. C’est globalement la raison majeure pour laquelle on l’a recruté pour justement fédérer autour de lui un groupe, peu importe que ce soit parfois contre l’organisation ou le staff. On sait que c’est sa façon d’être et ce n’est pas du tout un problème car on sait aussi que c’est quelqu’un qui dans les occasions importantes est une locomotive. Et les gars suivent. Son amitié avec LeBron James assoit sans doute au sein du groupe sa légitimité et son autorité. Grâce aux réseaux sociaux, cela se sait qu’il a été son copain d’enfance. Cela lui procure une sorte de respect vis-à-vis de ses coéquipiers, de ses adversaires.\\n\\nChris Lofton – 1,88m – 32 ans – Arrière – Américain\\n\\n26’, 12,4 points (48% à trois-points), 2,6 rebonds, 12,5 évaluation\\n\\n« C’est sans doute le joueur le plus intelligent de l’équipe dans la connaissance du jeu »\\n\\nUn des plus professionnels de l’équipe. C’est quelqu’un qui est dans une routine quotidienne, il exécute en mode copyright en permanence. Il est froid, il n’a pas trop d’état d’âme même s’il a eu un épisode malheureux avec sa cheville. C’est quelqu’un qui a le bénéfice d’avoir vécu des situations où il était le go to guy donc il a une capacité à être imperméable aux événements qui l’entourent, ne pas subir la pression, à avoir évidemment des moments de grâce. Mais quand il n’est pas dans un grand jour, il ne prend pas ombrage de peu jouer, de ne pas être nourri. C’est pour moi quelqu’un qui est un joker fabuleux pour une grande équipe. Ce n’est pas qu’un shooteur c’est un scoreur qui peut émerveiller tout le monde et le jour où il est moins bien, il s’efface tout en produisant du jeu pour les autres. Il a eu un gros trou dans la saison de peut-être trois mois à cause d’une entorse à la cheville qui nous paraissait bénigne et qui l’était. En fait, Chris a eu dans sa carrière des soucis de santé (cancer des testicules, opération d’une hernie discale, au pied) et il peut très vite s’inquiéter de blessures, il est très à l’écoute de son corps. Cette épisode de la blessure à la cheville a été un moment un peu compliqué pour nous tous car on l’a perdu pendant quasiment trois mois. On avait quelqu’un en pleine perte de confiance et qui ne savait plus ce qu’il fallait faire, qui écouter. Il était un peu dans sa bulle fermé à tous. Et puis il est remonté grâce au staff, à ses coéquipiers et peut-être à lui -je n’en sais rien- en faisant un travail d’introspection. Quand on écoutait l’environnement du club, tout le monde se demandait pourquoi on avait le frère de Chris Lofton et pas celui que l’on avait connu il y a deux ans. Une mauvaise période et on est brûlé. C’est quelqu’un qui vit dans le groupe sans y être, à la marge, et forcément à un moment les gens l’ont pris en grippe. Nous, on le voyait bien à l’entraînement remonter, remonter, et on savait que Chris allait revenir. Il fallait être patient et aussi que le groupe soit plus à son service. C’est sans doute le joueur le plus intelligent de l’équipe dans la connaissance du jeu mais il a fallu qu’il se re-impose de nouveau au groupe.\\n\\nDJ Stephens – 1,95m – Ailier-Intérieur – 27 ans – Américain\\n\\n24’, 8,3 points, 5,2 rebonds, 10,3 évaluation\\n\\n« C’est un gagneur, un compétiteur, qui a horreur des choses mal exécutées, des échecs »\\n\\nIl a un peu raté ses playoffs et c’est un peu cruel car c’est lui qui a été de tous le plus au service du groupe. Il a eu un rôle ingrat toute l’année entre le poste 4 qu’Eric lui a confié à la base, en étant la rotation de Romeo Travis, non seulement le capitaine mais aussi le leader du groupe, et là c’était très compliqué et le poste 3. Il a fallu la blessure de Terry (Tarpey) pour que le staff l’utilise enfin sur le poste 3. Il a alors montré qu’il a une palette large surtout dans l’apport défensif. Il peut défendre du 1 au 4. Il peut tenir Gerald Robinson comme arrêter Trey Golden. Il est vu évidemment essentiellement pour ses exploits athlétiques, son côté showman, mais il a montré une adresse à trois-points qui nous a fait beaucoup de bien toute la saison et un sens du sacrifice pour l’équipe de la part d’un Américain apprécié et appréciable. Un symbole : il récupère le dernier ballon du match sur le tir raté de Lacombe, il le garde, tout le monde exulte, est fou de joie, c’est lui qui reste le plus serein et le premier geste qu’il a est de donner le ballon à Eric (Bartecheky). Ça symbolise pour moi ce côté « je pense au groupe. » Sur le terrain, c’est sans doute la plus mèche courte de tous mais il est très posé en dehors et sur le terrain, il peut revenir assez vite en mode tempéré. C’est un gagneur, un compétiteur, qui a horreur des choses mal exécutées, des échecs. C’est aussi le seul joueur de notre équipe qui demande à sortir quand il est fatigué. Il l’a fait quasiment à tous les matches.\\n\\nYoussoupha Fall – 2,21m – Pivot – 23 ans – Français\\n\\n18’, 7,6 points, 5,3 rebonds, 9,8 évaluation\\n\\n« Il joue presque comme si sa vie ou celle de ses proches en dépendait »\\n\\nC’est l’énorme surprise du championnat même si ses playoffs ont été globalement compliqués. Ça a été le joueur le plus important de notre équipe. Si demain on me dit de rebâtir d’une feuille blanche le MSB 2018-19, c’est lui que je prends. C’est quelqu’un qui change le match en attaque comme en défense tellement il polarise l’attention de l’équipe adverse. Il est intimidant. Après, ça reste un très jeune joueur qui n’a que deux années de professionnalisme derrière lui dont une seule en Jeep Elite. Il est donc extrêmement perfectible tant dans les fondamentaux offensifs que dans la connaissance du jeu. Il pourra devenir redoutable quand il aura gagné émotionnellement car c’est quelqu’un qui est à fleur de peau quand il joue. Il joue presque comme si sa vie ou celle de ses proches en dépendait. Il se met une pression énorme pour réussir. Il vit certaines décisions comme une injustice alors que c’est du jeu. Il oublie parfois le plaisir du jeu. C’est quelqu’un qui est amené à aller très haut car il a l’ambition de réussir et il y a très peu de spécimen physiques de sa taille avec une telle mobilité. Il y a encore beaucoup, beaucoup de choses à travailler mais il ne faut pas oublier qu’il a trois ans de moins que Moustapha Fall et je ne suis pas certain qu’il y a trois ans Moustapha Fall était à ce niveau-là. Il est encore forcément l’objet d’une curiosité en déplacement chez les gens qui ne sont pas basket, dans les aéroports, les gares, les rues, les hôtels, mais j’imagine que pour lui ce n’est absolument pas gênant. Il est habitué à ça depuis tellement d’années. Il sait bien qu’il est anormal et donc il intègre qu’aux yeux du commun des mortels, il est une espèce de phénomène. Il y a quelques réflexions de cour d’école mais honnêtement, ça va.\\n\\nMykal Riley – 1,96m – 32 ans – Arrière-ailier – Américain\\n\\n26’, 8,7 points, 2,7 rebonds, 8,5 évaluation\\n\\n« Nous, on a eu un mec adorable, attachant, sensible au quotidien »\\n\\nOn est content de le voir sorti d’une mauvaise passe puisque sa dernière année à Nanterre a été quand même abîmée. Il a fini avec une image de joueur dont les frasques extra-sportives lui coûtaient sa fin de carrière. Nous, on a eu un mec adorable, attachant, sensible au quotidien, j’ai envie de dire presque fragile, qui aime le jeu. C’est quelqu’un qui est touchant, qui est apprécié car profondément gentil et simple. Evidemment, il n’a plus ses jambes de trois-quatre ans, mais il en a encore à montrer. On souhaite tous qu’il se soit relancé chez nous. C’est son premier titre de champion de France en Jeep Elite. Il l’avait été en Pro B avec Nanterre. Il en est très fier.\\n\\nAntoine Eito – 1,86m – 30 ans – Meneur-Arrière – Français\\n\\n22’, 7,8 points (42% à trois-points), 2,5 passes, 7,5 évaluation\\n\\n« C’est un compétiteur, quelqu’un qui un peu comme Romeo aime le sang »\\n\\nC’est le personnage que tous les clubs adverses aiment à haïr. C’est quelqu’un qui ne peut absolument pas laisser insensible les gens qui le côtoient au quotidien et le suivent sur les terrains. C’est une personnalité exubérante, très fier avec un caractère marqué donc générateur d’étincelles mais on ne pourra jamais lui reprocher un manque d’engagement total quand il est sur le terrain. C’est un excellent energizer, qui apporte de la qualité à l’entraînement. Il ne triche pas. Il oblige les autres, surtout les vétérans, qui aimeraient prendre le quotidien de façon un peu léger, à se bouger. Même s’il pouvait être parfois électrique, ça a fait du bien à Justin de l’avoir en face de lui tous les jours. Antoine ne le lâchait pas et l’obligeait à se bouger. Ce n’est pas le plus simple du monde à gérer mais il est suffisamment direct dans ses rapports pour que ça soit une relation qui convienne. Il est plutôt bon shooteur mais Antoine a les défauts de ses qualités et sa générosité le pousse souvent à vouloir trop bien faire et donc à perdre dans l’efficacité dans sa sélection. C’est un compétiteur, quelqu’un qui un peu comme Romeo aime le sang, les matches couperet, sentir la pression, savoir qu’il est regardé, que la télé est là, que l’on parle de lui. Ça le transcende. Il se nourrit beaucoup de frustration, des injustices ou des supposés injustices dont il pense être la victime, pour montrer à tous qu’ils ont tort. Ce sont les médias qui en font notre porte-parole même si lui évidemment aime les médias.\\n\\nWilfried Yeguete – 2,00m – 26 ans – Intérieur – Français\\n\\n15’, 4,8 points, 3,7 rebonds, 5,5 évaluation\\n\\n« Ça n’a pas toujours été une saison facile pour lui mais il a su hausser son niveau de jeu sur les playoffs »\\n\\nIl a eu beaucoup de pépins physiques en cours d’année, ce qui ne lui a pas facilité la tâche en terme de positionnement. Surtout, lui et nous et encore moins lui que nous, imaginions que Youssoupha prendrait une telle ampleur et aussi rapidement. Nous, club, on avait fixé comme objectif à Eric (Bartecheky) de façon tacite de donner de l’espace à Youssoupha, à peu près 15 minutes par match. On ne voulait pas revivre une Erman Kunter bis. On le ressentait mais on n’était pas sûr et certain de l’impact que pourrait avoir Youssoupha dans notre équipe. Donc Wil avait a priori un rôle de starter, de pivot numéro 1 de l’équipe. Très vite, dès la pré-saison, on s’est tous rendu compte et Wil aussi que Youssoupha prendrait plus de place que ce que l’on avait imaginé. Cela a été très long pour Wil d’admettre qu’il serait plus backup que premier pivot de l’équipe. Ça n’a pas toujours été une saison facile pour lui mais il a su hausser son niveau de jeu sur les playoffs pour donner son énergie, sa hargne, tout ce qui est son fonds de commerce et la raison pour laquelle on l’a recruté il y a deux ans. Il s’est mis au diapason du reste de l’équipe. C’est quelqu’un qui a comme grande qualité d’être agréable au quotidien et d’être entraînable.\\n\\nYannis Morin – 2,08m – Intérieur – 24 ans – Français\\n\\n8’, 2,7 points, 1,8 rebond, 4,8 évaluation\\n\\n« Il a vraiment beaucoup appris en G-League en terme d’acceptation du rôle »\\n\\nOn ne pouvait pas mieux tomber au moment de la blessure de Wil puisque c’était globalement le seul JFL qui nous intéressait. On n’en voulait pas d’autre. Tout en ayant bien conscience que l’on ne savait pas trop où l’on mettait les pieds avec Yannis. C’est quelqu’un que l’on suivait depuis plusieurs années. On s’était posé la question de savoir s’il fallait faire le forcing pour l’avoir. On a récupéré un joueur beaucoup plus fort qu’il n’était en France qui immédiatement s’est mis dans le moule de l’équipe. En quatre ou cinq jours, on avait l’impression qu’il était avec nous depuis le début. Il a été très vite pris par les joueurs sous leurs ailes. Ça n’a été que du positif. C’est quelqu’un qui est plus costaud qu’avant, qui est un vrai 5 mobile, bon défenseur, long, intimidant et qui globalement n’a jamais maugréé quand il n’était pas utilisé alors qu’il était le troisième pivot de l’équipe, le cinquième intérieur. Il a vraiment beaucoup appris en G-League en terme d’acceptation du rôle, de jouer sur de courtes périodes mais de les jouer le mieux possible sur un plan mental, de ne pas se frustrer. Je suis très content pour lui parce que alors qu’il était référencé comme joueur oublié ou de Pro B, son passage chez nous va lui permettre au moins de faire carrière en Jeep Elite de façon garantie. Je suis très content qu’il ait montré sur le dernier match de la finale cette force de caractère en ayant si peu joué auparavant. Il est resté concentré, prêt à venir en action immédiate s’il était sollicité. C’est tellement dur que je lui tire un grand coup de chapeau. Je pense qu’il y a beaucoup de joueurs qui à sa place auraient lâché l’affaire.\\n\\nTerry Tarpey – 1,95m – 24 ans – Arrière-ailier – Français (non JFL)\\n\\nN’a pas joué\\n\\n« Un mec exceptionnel humainement, un joueur en très grand devenir »\\n\\nC’est la super surprise de l’année, l’énorme satisfaction. Ça nous a fait mal au cœur sa blessure, on a craint le pire à Pau (NDLR : finalement, celle-ci a été moins grave que prévu ; il s’agissait d’une entorse du genou). Il est tellement fort des membres inférieurs que ça n’a pas pété alors que ça aurait pu être une catastrophe. On a fait tous les tests, il a encore à récupérer mais à la rentrée, il sera totalement opérationnel. C’est un joueur qui a un sens du dévouement, du collectif, d’engagement, d’énergie, de sacrifice exceptionnel. C’était notre liant exceptionnel. Un mec exceptionnel humainement, un joueur en très grand devenir. C’est peut-être la plus grosse satisfaction de l’intersaison, la plus belle recrue du club au présent et pour son avenir. Il n’a qu’un défaut : il est timide et il a du mal à se mettre au français. Le jour où il s’y mettra, il aura la côte d’amour. Et pour moi il est promis à terme à l’Europe et à l’équipe de France surtout avec les fenêtres internationales. Il n’a que 24 ans, ce n’est que sa deuxième année pro, sa première année en Jeep Elite et dans un registre un peu différent, il n’y aura pas un monde avec un Paul Lacombe. C’est un porteur d’eau de luxe.\\n\\nPape Philippe Amagou – 1,85m – Arrière – Français\\n\\nN’a pas joué\\n\\n« Malgré des moments difficiles sur le moral, il n’a pas lâché »\\n\\nC’est le grand absent de la saison puisque sa blessure date de novembre. Je suis très content qu’il ait démarré sa carrière pro par un titre chez nous en gamin et qu’il la termine chez nous. C’est quelqu’un qui a eu une force de caractère incroyable. Pendant longtemps il n’a pas accepté de se faire opérer (NDLR : hernie discale). Et puis l’opération n’a pas été teintée du succès escompté. Il est en souffrance depuis. Malgré des moments difficiles sur le moral, il n’a pas lâché et il a tenu à être jusqu’au bout en tenue avec les gars sachant très bien qu’il ne pouvait pas rendre service. Je pense que les gars le lui ont bien rendu. Ils l’ont toujours considéré comme leur co-capitaine, comme le sage. Sa carrière est sans doute terminée.\\n\\nMathieu Nzita et Junior Zero sont entrés une minute chacun.\\n\\nLes statistiques sont celles établies en playoffs.\\n\\n[armelse]\\n\\nJustin Cobbs – 1,90m – 27 ans – Meneur – Américain\\n\\n36’, 14,5 points, 6,2 passes, 3,1 rebonds, 14,2 évaluation\\n\\n« Quelqu’un de fier avec beaucoup d’égo »\\n\\nLe ou un des deux, trois meilleurs joueurs en un-contre-un du championnat. Un joueur de duel, de défi. Quelqu’un de fier avec beaucoup d’égo, qui a su au fil de la saison se mettre au service quand il le fallait de ses coéquipiers et admettre que pour gagner, il fallait jouer ensemble. C’est quelqu’un qui a une grosse personnalité, qui en fait parfois qu’à sa tête mais qui au fur et à mesure de la saison et surtout en playoffs a trouvé le bon mariage entre assumer ses responsabilités individuelles pour lesquelles il avait été recruté et aussi se mettre à disposition du joueur en forme du moment. Ce qui a permis à notre équipe d’avoir un côté un peu protéiforme. Justin est aussi charmant hors terrain qu’il peut être provocateur sur le parquet et à chercher le duel.\\n\\nRomeo Travis – 1,98m – Intérieur- 33 ans – Américano-Macédonien\\n\\n30’, 11,7 points, 4,8 rebonds, 2,5 passes, 13,1 évaluation\\n\\n« C’est quelqu’un qui se nourrit, non pas du conflit mais de l’opposition »\\n\\nC’est le chef de gang. C’est quelqu’un qui se nourrit, non pas du conflit mais de l’opposition, qui aime montrer qu’il est le patron surtout à son staff, au club, qu’il est là pour défendre la peau de sa meute. C’est un leader évident qui peut être parfois taquin, joueur quand il a décidé de ne pas mettre tout ce qu’il faut au quotidien mais qui à chaque fois que les matches importants arrivent, Leaders Cup ou playoffs, répond présent. C’est globalement la raison majeure pour laquelle on l’a recruté pour justement fédérer autour de lui un groupe, peu importe que ce soit parfois contre l’organisation ou le staff. On sait que c’est sa façon d’être et ce n’est pas du tout un problème car on sait aussi que c’est quelqu’un qui dans les occasions importantes est une locomotive.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: LNB/Bellenger-Lecoq"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Malik Hairston boucle le recrutement de Fos"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Fos Provence Basket vient de recruter le dernier joueur de son effectif 2018/19 en la personne de Malik Hairston (1,98m, 31 ans).\\n\\nSur son site, le club provençal annonce la signature de cet ancien NBAer pour la saison prochaine et met ainsi fin à son intersaison. Seule interrogation, cet ailier américain n’a pas disputé un seul match la saison dernière et en a joué seulement cinq en 2016/17 sous les couleurs de l’Hapoel Jerusalem pour un peu plus de 2 points et 2 rebonds. Espérons pour Fos que cette année loin des parquets professionnels lui ont été bénéfiques.\\n\\nEn carrière, le natif de Detroit est, entre autres, passé par San Antonio, Sienne, Milan, Galatasaray ou encore l’AEK Athènes.\\n\\nEn 2015/16, Malik Hairston compilait en moyenne 9,5 points et 2,8 rebonds entre le championnat grec et l’Eurocup.\\n\\nL’entraîneur de Fos, Rémi Giuitta s’est exprimé sur son joueur.\\n\\n« Nous sommes très heureux d’accueillir un joueur avec une telle expérience. Même s’il n’a pas joué la saison dernière et nécessitera sûrement d’un peu de temps pour retrouver son rythme, Malik reste un joueur de très haut niveau européen. Je suis persuadé qu’il va beaucoup nous apporter et je suis donc satisfait qu’Il ait privilégié notre challenge sportif. »\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18 féminin: A suivre en direct, le quart-de-finale France-Hongrie sur YouTube à 14h15"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le quart-de-finale France-Hongrie de l’Euro U18 féminin est à suivre gratuitement sur YouTube à 14h15.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Jimmy Baron rejoint le CCRB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme prévu, Jimmy Baron (1,91m, 32 ans) s’est engagé avec le Champagne Châlons-Reims Basket, annonce le club.\\n\\nTrès fort shooteur, cet arrière américain vient renforcer le séduisant effectif du CCRB déjà composé de Johan Passave-Ducteil, Blaske Schilb, Alex Abreu ou encore Devin Ebanks et Pape Badji.\\n\\nLa saison dernière, Jimmy Baron compilait en moyenne 8,3 points (37% de réussite à trois points), 2,1 rebonds et 2 passes décisives entre le championnat et l’Eurocup.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Brandon Jefferson dernière pièce du puzzle orléanais"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Orléans Loiret Basket version 2018/19 est au complet, Brandon Jefferson (1,75m, 27 ans) est la dernière recrue du club.\\n\\nSur son site, l’OLB annonce la signature pour une saison de l’ancien scoreur de l’université de Denver. Né dans le Texas, il est d’abord passé par la Finlande avant d’aller en Allemagne, en Slovénie et enfin en Italie la saison dernière, à Trapani. Petit, adroit, passeur, scoreur, l’ancien joueur de Ljubljana est dans le même registre que l’ancien meneur d’Orléans, Alex Abreu.\\n\\nLa saison dernière, Brandon Jefferson compilait en moyenne 15,7 points, 3,2 rebonds et 4,2 passes décisives en deuxième division italienne.\\n\\nL’entraîneur orléanais, Germain Castano s’est exprimé sur son nouveau joueur.\\n\\n« Brandon est un meneur de petite taille, c’est un garçon avec une grosse qualité de tir à 3 points, il est capable de faire d’incroyable série à longue distance, c’est également un passeur mais il s’agit avant tout d’un scoreur. Il est capable de faire très bien jouer son équipe. C’est un joueur qui n’aura pas peur de prendre des responsabilités en fin de match, il est compétiteur et possède un fort caractère. »\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : Trapani"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Basket Europe Tour c’est parti, direction Madrid !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il y a quelques mois nous vous annoncions la création d’un projet ambitieux, le Basket Europe Tour : Le premier tour d’Europe du Basketball. Ce projet a vu le jour en janvier 2018 et j’ai maintenant la fierté de vous annoncer qu’il démarrera le 22 août. C’est ce jour-là que je m’envolerai pour Madrid et lancerai cette formidable aventure !\\n\\nMais avant petit récapitulatif. Passionné de basketball européen et curieux d’en connaître davantage j’ai soumis cette idée de tour d’Europe du basketball à la rédaction de Basket Europe qui a accepté avec enthousiasme. L’idée étant triple, premièrement de rencontrer les personnes, administrateurs, joueurs et supporters, qui font le basket européen. Mais également de s’informer sur les dynamiques marketing qui animent ce sport sur le Vieux Continent. Et enfin, de s’entourer de partenaires français et de les amener avec nous dans cette aventure.\\n\\nC’est ainsi qu’après de nombreuses péripéties, le Basket Europe Tour verra finalement le jour. Après des heures de démarchages d’entreprises, de médias et de clubs de basket, après la création d’une chaîne Youtube, d’un compte Facebook et bientôt d’un compte Instagram dédiés, nous y sommes arrivés. Alors je tenais, au nom de toute l’équipe de Basket Europe à vous remercier pour votre soutien. La collecte Ulule a été une réussite. Je tenais également à remercier la Ville de Metz et la Région Grand-Est pour leur apport. C’est grâce à vous tous que nous sommes maintenant en mesure de vous proposer une immersion unique.\\n\\nLe 22 août je partirai donc pour Madrid. Terre de basket s’il en est, puisque trois équipes locales renommées ont su s’illustrer sur la scène nationale comme européenne. Tout d’abord, l’Estudiantes Madrid, club fondé en 1948 par des étudiants de l’Institut Ramiro de Maeztu. C’est un club notamment connu et reconnu pour sa formation avec environ 1 500 joueuses et joueurs fréquentant l’institution madrilène.\\n\\nL’aire urbaine de Madrid porte en son sein un deuxième club renommé, Fuenlabrada, localité située au sud de Madrid à proximité de Leganés et Getafe, villes bien connues par les férus de football. Fuenlabrada c’est treize saisons consécutives dans l’élite et de belles découvertes de joueurs comme Gustavo Ayón, Roberto Dueñas, Quino Colom ou Bismark Biyombo. Enfin, Fuenlabrada c’est également la ville qui a accueilli le Grand Partizan de Belgrade lors de la saison 1991-1992 où dans un contexte de guerre des Balkans, la FIBA avait empêché les clubs serbes de jouer leurs rencontres à domicile. Le Partizan de Fuenlabrada était né. Le club joua donc à Fuenlabrada toutes ces rencontres d’Euroleague à domicile. Et c’est dans ces conditions particulièrement difficiles que le club serbe remporta la compétition cette année-là grâce à un tir au buzzer de Sasha Djordjevic contre la Joventut Badalona.\\n\\nEnfin, pour beaucoup Madrid c’est surtout le Grand Real. La « casa blanca » est une institution européenne avec 10 Euroleague et tenant du titre de cette prestigieuse compétition. Né en 1931, le club se constitua à la suite d’une annonce à l’intention de joueurs potentiels dans le journal ABC, les invitant à une sélection pour jouer contre l’Instituto-Escuela. Le club pouvait donc commencer la légende qui est la sienne aujourd’hui. Raimundo Saporta, Luis Trujillano, Alfonso Martinez, Clifford Luyk, Fernando Martin, Drazen Petrovic, Arvydas Sabonis ou encore Luka Doncic plus récemment, les grands noms se sont succédé dans le club de la capitale apportant titres et renommée aux « merengues » (blanc meringue étant la couleur de leur maillot).\\n\\nComme vous l’aurez compris Madrid est une étape essentielle dans ce tour d’Europe et saura, j’en suis sûr, ravir les amateurs de basket-ball européen mais aussi les curieux du basket espagnol. La ville est bien fournie en terrains de basketball comme celui d’El Retiro (un parc apprécié des madrilènes) ou celui de Lavapiés ou Kevin Durant avait été posé quelques gros dunks lors d’un événement équipementier. Comptez sur moi pour vous faire découvrir la passion des amateurs de basket de la capitale espagnole et les clubs qui font son actualité !\\n\\nPhoto: Rudy Fernandez, Sergio Llull et Felipe Reyes (Euroleague), Estudiantes (El Pais) et Drazen Petrovic (Euroleague)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Youssoupha Fall (Vitoria) est prêté à Strasbourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que c’était dans les tuyaux depuis quelques jours, c’est désormais officiel Youssoupha Fall (2,21m, 23 ans), qui a rejoint Vitoria, jouera à Strasbourg la saison prochaine.\\n\\nSur son site, l’ACB vient d’officialiser le prêt de l’ancien joueur de Poitiers à Strasbourg. Champion de France avec Le Mans, le géant né à Dakar s’est engagé pour quatre ans avec le Baskonia. Contre toute attente, Strasbourg est parvenu à obtenir le prêt du joueur pour l’exercice 2017/18. Ce qui a grandement déçu le club manceau.\\n\\nLa saison dernière, Youssoupha Fall compilait 11,2 points, 6,9 rebonds et 0,9 contre pour 14,1 d’évaluation en Jeep® ÉLITE.\\n\\nDe son côté, la SIG a réagi sur le site du club à la venue de l’ancien joueur du MSB d’abord via Vincent Collet.\\n\\n« A la base Youssoupha n’était pas du tout sur nos tablettes, du fait qu’il avait signé à Vitoria. Mais il nous a été proposé samedi, il y a 10 jours, par le club et nous avons pris la décision de saisir l’occasion. C’est une très belle opportunité à laquelle je ne m’attendais pas, et qui, bien sûr, en fait un renfort de choix. Il aura un rôle majeur dans notre équipe. On sait très bien l’importance qu’il a eu dans le dispositif du Mans la saison passée. Youssoupha est un joueur qui a une marge de progression encore très importante, mais qui dès aujourd’hui est déjà un joueur très dissuasif. On a pu voir la saison passée à quel point il avait une propension à changer le jeu de son vis-à-vis. Sa présence est une gêne pour ses adversaires, c’est indéniable. Et, au delà de ça, il a beaucoup progressé en attaque et on espère qu’il va continuer. »\\n\\nLe président du club, Martial Bellon a également donné son ressenti.\\n\\n« Je me réjouis de la signature de Youssoupha Fall et je remercie le club de Vitoria de nous faire confiance pour parfaire la formation de ce joueur sous la conduite de Vincent Collet qui, j’en suis certain, le fera encore progresser cette saison. En revanche, je suis étonné de l’émotion que ce prêt a suscité depuis une dizaine de jours. Nous avons été informés du souhait de Vitoria de nous prêter le joueur durant le dernier week-end de juillet, et nous avons engagé les négociations avec le club espagnol à ce moment-là. Malheureusement des fuites ont provoqué des réactions sur les réseaux sociaux alors que nous étions en négociation et que rien n’était fait. Nous avons trouvé un accord avec Vitoria il y a quelques jours et le contrat de prêt a été signé par le joueur et les deux clubs hier. Pour nous c’est un dossier extrêmement clair. Le joueur a fait valoir sa clause de sortie du Mans au mois de juin et le club du Mans a touché une indemnité importante, probablement l’une des plus élevées ces dernières années pour un joueur du championnat de France vers un club européen. Vitoria a signé le joueur pour quatre saisons et a décidé un mois après de nous le prêter. Quel club aurait refusé une telle opportunité ?... Etant précisé que le salaire du joueur est très élevé, Youssoupha Fall aura un salaire correspondant à l’enveloppe prévue pour notre pivot. La SIG Strasbourg a vu partir ces dernières années, vers des clubs européens et français, plusieurs joueurs qu’elle aurait aimé conserver comme Antoine Diot, Rodrigue Beaubois et plus récemment Louis Labeyrie mais aussi David Andersen, AJ Slaughter, Paul Lacombe ou ces derniers jours Miro Bilan, et nous n’avons jamais réagi publiquement à ces départs. Les choses sont limpides et se sont des événements habituels dans le monde du sport professionnel de haut niveau. »\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Bleuets en bronze à l’Euro U18 – Frédéric Crapez : «Toutes les nations n’ont pas les moyens que nous avons»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le week-end dernier, les U18 ont obtenu au championnat d’Europe en Lettonie une médaille de bronze. Ce n’était pas écrit dans le marc de café car la génération 2000 n’est pas la plus talentueuse et elle était privée de son joyau, Sekou Doumbouya. Son coach Frédéric Crapez nous explique comment elle a réussi ce qui est un exploit et il revient sur la raison qui fait que depuis un quart de siècle la France moissonne des médailles en jeune alors qu’auparavant c’était le néant. Demain, il nous brossera le portrait de chacun des médaillés.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nPourquoi Sekou Doumbouya n’a t-il pas participé à ce championnat d’Europe ?\\n\\nIl était prévu pour les U20. Il a été blessé, en rééducation fin juin, début juillet. On a su qu’il ne ferait pas les U20 alors on s’est dit pourquoi pas les U18 ? Mais en fait je n’ai jamais fait les camps avec Doumbouya. Ce que l’on a du mal à accepter c’est que pour un garçon comme ça, la fédération a fait beaucoup par rapport à sa naturalisation, ses papiers, etc, et que pendant que nous étions au championnat d’Europe, il faisait des dunks à Dallas. Qu’il ne veuille pas faire deux campagnes pour l’équipe de France chaque été, je peux le comprendre, mais en faire zéro par rapport aux efforts consentis par la fédé, c’est un peu cavalier. Les mecs sont dans leur plan de carrière individuel et je trouve dommage qu’ils ne montrent pas trop d’attachement au maillot tricolore. On sait très bien que le gamin est conseillé et qu’on lui dit de faire ci et de faire ça.\\n\\nL’Euro U18, c’est pourtant un super test au niveau européen et beaucoup de scouts NBA y sont présents ?\\n\\nIls sont tous là ! Le truc c’est que Sekou fait l’Euro U18 en décembre 2016 alors qu’il avait seize ans avec Tahar (Assed-Liegon) où ils sont champions d’Europe et il est élu dans le 5 du tournoi. Ses conseillers pensent peut-être qu’il n’a pu rien à faire dans cette catégorie. C’est uniquement ça.\\n\\nY avait-il d’autres absents ?\\n\\nBabacar Niasse devait faire partie de l’équipe et il s’est blessé. Il n’y a pas trop de profondeur dans la génération 2000. A l’Euro cadet U16, ils ont fait 6e, en tombant la Grèce en huitièmes comme cette année, un hasard des compétitions. Et cette année-là, la Grèce était descendue. Le meilleur marqueur, c’était Joël Ayayi avec 11,3 points suivi de Babacar Niasse (10,4) de Théo Malédon (8,4) et de Mathis Dossou Dovo (7,6). Après, il y avait un fossé avec les autres. On savait que Malédon ne souhaitait pas doubler (NDLR : le Villeurbannais a été cet été vice-champion du monde U17) et que sans Niasse qui s’est blessé en Serbie le 12 ou 13 juillet, ça allait être compliqué. Il fallait que d’autres joueurs qui n’étaient pas connus se révèlent, montrent leurs progrès. Si on en est là, c’est que ça s’est passé comme ça mais au départ, tu ne le sais pas. La deuxième chose, c’est que moi qui avais fait l’Euro U18 l’an dernier, je n’avais pas été impressionné par le niveau européen de la génération 99. Et nous, sans Jaylen Hoard, Yves Pons, Joël Ayayi, et Timothé Basile qui est venu et qui était blessé, on n’en menait pas large. Finalement on perd d’un point contre les Espagnols qui font la finale. Avec une équipe de bric et de broc, on a failli faire un truc. Et cette année, quand on a fait le Tournoi de Mannheim et que j’ai vu les équipes, je me suis dit bop, bop, bop. En fait, à cet Euro, il y avait davantage d’équipes qui pouvaient se battre les unes contre les autres. C’était très dense. Il y avait une équipe que je ne voulais pas croiser, c’est la Lettonie et ça s’est vérifié en huitième car les Turcs se font voler. Sur un rebond offensif à la fin, il y a vraiment une faute marquée d’un Letton sur un Turc et l’arbitre ne siffle pas. Les Lettons avaient certes une bonne équipe mais s’il y a deux lancers et que la Turquie les met, elle passe à la trappe. On savait qu’à chaque match ce serait la guerre et qu’il ne fallait surtout pas se tromper d’objectif, le match le plus important c’était le quatrième. Qui prendre ? Mis à part la Lettonie, ça nous était égal. Le hasard a fait que l’on a rencontré la Grèce et pas la Lettonie et on est passé. On a soufflé ! Avec le meilleur joueur de la génération qui est absent, tout comme un des bons joueurs de l’Euro U16 que j’avais emmené l’année dernière avec les 99 -j’avais trois 2000 l’année dernière Dossou-Dovo, Choupas et Niasse-, on se demandait ce qui allait nous arriver !\\n\\n« Et après, en U18, tu reviens à un pauvre petit championnat d’Europe et c’est plus compliqué car les bons sont aspirés par les agents, les scouts, rêvent de NBA et on est malheureusement plus dans des projets individuels, on commence à gérer des plans de carrière... »\\n\\nCe n’est pas l’équipe la plus talentueuse de ces dernières années mais par contre, elle est courageuse ?\\n\\nTout à fait. Les gamins forment un bon groupe avec un bon état d’esprit et ils n’ont jamais rien lâché. Ils croyaient en eux. On leur a dit, « à part vous et vos proches, personne ne croit en vous. Il faut que l’on croit en nous et que l’on joue ensemble. » Leur identité, c’était celle du basket masculin tricolore. Il faut que l’on défende dur, que l’on agresse nos adversaires, et derrière que l’on ait un jeu de relance, que l’on puisse courir. On essaye d’avoir un fonds de jeu commun mais après on doit s’adapter en fonction des joueurs pour les mettre plus ou moins en valeur. Et surtout on partage le ballon et on est présent au rebond ! C’est sûr que l’on a souffert au rebond sur cette campagne car c’était plus compliqué au niveau du deuxième intérieur. On n’a pas trop de profondeur et on est bien content que Essomé Miyem et Timothé Crusol (NDLR : deux 2001) soient venus compléter l’effectif.\\n\\nC’est cette agressivité qui vous permet de renverser des situations totalement compromises comme lors du match pour la 3e place quand vous êtes menés de 14 points ?\\n\\nTout à fait. Quand on est coach, on n’a pas le droit d’abandonner et on n’a pas abandonné. Le message du départ, c’était de leur dire de jouer sur nos points forts, avec enthousiasme et mettons-nous minables en défense face aux adversaires et on verra ce qui se passera. Je leur ai dit qu’on ne pourra jamais leur en vouloir d’avoir mouillé le maillot. Après au basket, le ballon tourne autour du cercle, il y a celui qui ressort et celui qui rentre. Ça, ce sont des choses qui ne se contrôlent pas. Par contre, être dur sur le gars d’en face, défendre à cinq et pas chacun de son côté, c’est ce qui va faire la force de l’équipe. Le message est passé puisqu’on a réussi à gagner des matches. Ils se sont investis et on ne peut que les féliciter.\\n\\nPour revenir au forfait de Sekou Doumbouya, est-ce un cas isolé ou un problème de fond qui menace les équipes de France jeune ?\\n\\nC’est un problème de fond ! Si j’analyse le phénomène, je me dis qu’en U16, ils ne sont pas connus. Ils font tous le championnat U16. Avec tout ce que l’on a mis en place au niveau fédéral dans les pôles espoirs, dans nos équipes nationales de jeune, dans notre système de détection, on aura régulièrement de bons résultats dans cette catégorie. La preuve en est, depuis quelques années, ça s’est accéléré alors qu’il fut un temps en cadet c’était difficile pour la France. Maintenant ce n’est plus le cas en filles et en garçons, on est dur à jouer. Après évidemment, il y a des générations avec plus ou moins de talents mais il y a un fond, une masse qui sont là et on arrive à tirer des bons joueurs. Je pense qu’on se qualifiera souvent pour le Mondial U17 puisque les cinq premiers européens y sont. Les gamins sont donc tous là en U16, en U17, ils sont sur la lancée et ils veulent faire un championnat du monde, c’est normal. Et après, en U18, tu reviens à un pauvre petit championnat d’Europe et c’est plus compliqué car les bons sont aspirés par les agents, les scouts, rêvent de NBA et on est malheureusement plus dans des projets individuels, on commence à gérer des plans de carrière, ce que l’on peut comprendre, mais ça devient difficile pour les équipes nationales. On a quand même un réservoir, plus de trente centres de formation de clubs professionnels qui travaillent. Prenons un Jacques Eyoum. C’est un soldat, un guerrier, qui a apporté des choses extraordinaires à l’équipe de France U18. Le boulot de l’ombre qui permet à l’équipe de se bonifier. Je ne sais pas si Jacques Eyoum aura la même réussite en senior.\\n\\nIl n’a pas la taille...\\n\\nOn le sait bien ! Mais grâce à des gens comme ça, on arrive encore à exister. Mais j’ai envie de dire : attention ! A force de ne pas avoir untel, untel, untel... Les autres nations travaillent aussi et un jour ça peut être compliqué. Et nous on ne voulait pas être les premiers à faire descendre une équipe de France U18 dans le groupe B ! Il faut avoir conscience que si on refaisait l’Euro avec les mêmes gars dans deux mois, en changeant les poules, on ne peut pas savoir comment ça se passerait. Là, on n’avait aucune marge.\\n\\nQuel classement faut-il avoir pour descendre dans le groupe B ?\\n\\nLes 14, 15 et 16e descendent. Ça n’est jamais arrivé mais on a eu une alerte avec, je crois, la génération 94 quand il y avait beaucoup d’absents. Aimé (Toupane) en U20, il y a deux ans, pareil. Il fait 13e. Pour l’instant on s’en est sorti mais quand tu es coach et que tu joues ces matchs-là, c’est horrible. Tu sais que tu peux avoir une équipe bien meilleure que ça si tous les garçons sont là et là les absences pénalisent.\\n\\nLes autres pays subissent-ils le même type de forfaits ?\\n\\nPrenons l’exemple de (Marko) Pecarski, qui joue au Partizan de Belgrade en senior. Il a douze minutes de temps de jeu en moyenne en Eurocup, c’est un vrai joueur. Mehdy Mary (NDLR : son assistant qui l’est aussi au Limoges CSP) m’a dit qu’ils l’ont joué en Eurocup et qu’il était dans le cinq de départ contre eux. Et il fait l’Euro U18. Nous, on a des profils pour être les plus sollicités par rapport à la NBA. On a des profils athlétiques. Les autres nations ont plus des profils Euroleague. Les Serbes, les Monténégrins, ce sont les rois du pick n’roll en protection. On a vu de futurs grands joueurs d’Euroleague. Pour Pecarski ça sera certainement compliqué pour lui d’aller en NBA à cause de ses qualités physiques. Par contre, en Euroleague, je pense qu’il va faire une grande carrière.\\n\\n« Pourquoi on a ces résultats-là ? Parce qu’en 1987, Pierre Dao, DTN de l’époque, a dit : « je veux que mes joueurs à partir de 13 ans s’entraînent quotidiennement »\\n\\nL’Espagne a terminé neuvième, ce qui est un classement singulier pour elle. C’est un accident industriel ?\\n\\nJe pense que c’est accidentel. L’Espagne a été, est et restera une grande nation de basket. Ce que l’on remarque tout de même avec le CFBB quand on fait des tournois d’Euroleague c’est qu’ils ont beaucoup d’étrangers dans les clubs. Au Barça ou au Real, sur douze joueurs la moitié ne sont pas Espagnols. Ils naturalisent aussi pas mal d’Africains pour continuer à exister. Sur cette compétition, ils étaient dans la poule la plus faible et ils ont laminé les trois équipes qu’ils ont joué mais ils ont croisé avec une poule qui était très forte, à savoir la Lituanie, la Serbie, le Monténégro et aussi la Grande-Bretagne qui a été surprenante avec des athlètes, des joueurs de couleur un peu comme nous. Lituanie-Monténégro, il y a eu deux points d’écart. Monténégro-Serbie, il y a eu une victoire de la Serbie de deux points après prolongation. L’Espagne tombe sur le Monténégro en huitième qui s’était fait surprendre par la Grande-Bretagne lors du premier match car ils n’étaient pas prêts. Je pense que le coach a du prévenir ses joueurs. Ils débutent bien le match ce qui les conforte dans leur confiance et les autres ne lâchent rien, ils reviennent petit à petit et ils passent devant. Jusqu’à la fin l’Espagne est derrière et ils n’ont pas le temps de revenir. Donc, manque de matches difficiles avant, pas prêts, et le premier match dur, ils perdent. Après, ils se sont bien vengés en terminant neuvièmes. Je pense que c’est accidentel, pas un problème de fond pour eux.\\n\\n(L’interview reprend après avoir passé les joueurs en revue, à découvrir demain).\\n\\nJ’ai eu un super staff. Mehdi Mary et Romain Chenaud (Elan Chalon), ça n’a été que du bonheur avec un échange de compétence toute la campagne. Je les remercie chaleureusement du travail effectué. Ce sont deux excellents techniciens de nos centres de formation. A la vidéo, on avait Romain Zwicky qui travaille avec Fred Fauthoux au Paris-Levallois. C’était un staff technique de grande qualité avec le préparateur physique et le staff médical qui ont fait aussi leur taf. C’est une aventure humaine avant tout et de ce côté-là, tout a vraiment bien fonctionné avec des personnes de qualité.\\n\\nAvant le titre de champion d’Europe de 1992 dû à la génération Laurent Sciarra, il n’y avait jamais de résultats en jeune sinon une médaille d’argent en 1967. Depuis chaque année il y a des médailles. On a l’impression qu’une fois que la machine est lancée, on récolte des fruits chaque année...\\n\\nJ’ai connu la période d’avant et je vis pleinement celle-là. Pourquoi on a ces résultats-là ? Parce qu’en 1987, Pierre Dao, DTN de l’époque, a dit : « je veux que mes joueurs à partir de 13 ans s’entraînent quotidiennement. » Il a créé les Centres d’Entraînement de Haut Niveau qui sont devenus les Pôles Espoirs. Et en même temps, il a obligé les clubs professionnels à avoir des centres de formation en Pro A. A partir de là les joueurs de 13 à 21 ans ont pu s’entraîner quotidiennement. Ils ne le faisaient pas avant ! J’avais été voir le championnat d’Europe cadets en Grèce en 1991 et j’avais écrit à la main un rapport. J’avais demandé comment les autres faisaient. Déjà en terme de détection, ils les prenaient quatre ans avant alors que je sortais d’un stage à Caen avec Lucien Legrand où on était juste deux ans avant l’Euro. La deuxième question, c’était « combien de fois par semaine s’entrainent vos joueurs ? » Chaque jour ! Et nous à partir de 87, on a fait ça. On s’est mis à travailler et tout naturellement, comme on n’est pas plus bêtes que les autres, que l’on a des joueurs athlétiques, etc, c’est normal que l’on ait des résultats. Après, il ne faut pas s’endormir ! Quand j’entends dire que l’on peut remettre en question ceci et cela et même le championnat espoirs, je réponds : nous a-t-il empêché ce championnat espoirs d’avoir de bons résultats ? A-t-il empêché Frank Ntilikina d’être drafté numéro 8 en NBA ? Non. Avant de tout remettre en question comme le souhaitent certains, attention ! Oui, peut-être faut-il en diminuer un peu, on sait que ça forme beaucoup de joueurs de N1 et de N2 mais, comme ils le disent en judo, on a besoin de partenaires d’entraînement. Pour en faire émerger un ou deux, on a besoin en basket d’être dix dans une équipe. La fédération met aussi des moyens. Toutes les nations n’ont pas les moyens que nous avons. Il y a des pays qui ciblent certaines générations et qui de temps en temps mettent moins de moyens sur d’autres. Nous, on met des moyens partout. J’ai envie de dire que l’on est fidèle aux valeurs de la République : donner sa chance à tout le monde. Il faut avoir aussi conscience qu’on a les moyens pour travailler.\\n\\n[armelse]\\n\\nPourquoi Sekou Doumbouya n’a t-il pas participé à ce championnat d’Europe ?\\n\\nIl était prévu pour les U20. Il a été blessé, en rééducation fin juin, début juillet. On a su qu’il ne ferait pas les U20 alors on s’est dit pourquoi pas les U18 ? Mais en fait je n’ai jamais fait les camps avec Doumbouya. Ce que l’on a du mal à accepter c’est que pour un garçon comme ça, la fédération a fait beaucoup par rapport à sa naturalisation, ses papiers, etc, et que pendant que nous étions au championnat d’Europe, il faisait des dunks à Dallas. Qu’il ne veuille pas faire deux campagnes pour l’équipe de France chaque été, je peux le comprendre, mais en faire zéro par rapport aux efforts consentis par la fédé, c’est un peu cavalier. Les mecs sont dans leur plan de carrière individuel et je trouve dommage qu’ils ne montrent pas trop d’attachement au maillot tricolore. On sait très bien que le gamin est conseillé et qu’on lui dit de faire ci et de faire ça.\\n\\nL’Euro U18, c’est pourtant un super test au niveau européen et beaucoup de scouts NBA y sont présents ?\\n\\nIls sont tous là ! Le truc c’est que Sekou fait l’Euro U18 en décembre 2016 alors qu’il avait seize ans avec Tahar (Assed-Liegon) où ils sont champions d’Europe et il est élu dans le 5 du tournoi. Ses conseillers pensent peut-être qu’il n’a pu rien à faire dans cette catégorie. C’est uniquement ça.\\n\\nY avait-il d’autres absents ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nDemain: Les 12 médaillés de l’Euro U18 vus par leur coach\\n\\nPhotos: FIBA. En ouverture: Mathis Dossou Dovo. En haut: Frédéric Crapez. Au milieu: Kenny Baptiste."
}, 
{"role": "user",     "content":"Var Matin fait raconter aux anciens 27 ans de basket pro à Hyères-Toulon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après 13 saisons de Pro A et 14 de Pro B, miné par les problèmes financiers, le Hyères-Toulon Basket a quitté l’univers du basket professionnel. Var Matin lui rend hommage ce matin en faisant appel aux témoignages d’anciennes figures du club dans un dossier grand format.\\n\\nRetenons celui de Jean-Louis Borg, l’actuel manager général de la JDA Dijon:\\n\\n« Je suis arrivé à Hyères à 14 ans, en minimes, j’en suis parti à 40. C’est mon club de coeur, je ne m’en cacherai jamais. »\\n\\nMême cri du coeur chez son coach à la JDA, Laurent Legname, qui y fut également joueur et entraîneur:\\n\\n« Je retiens surtout la montée en Pro A en 2001 et la victoire lors du Trophée du Futur en 1998. C’était ma dernière année espoir (...) On était une bande de potes que personne n’attendait (...) Pour certains on s’est retrouvé il y a peu, alors qu’on ne s’était pas vu depuis vingt ans. »\\n\\nLe troisième Dijonnais, le meneur Axel Julien y va aussi de son petit couplet nostalgique:\\n\\n« Petit, je supportais le HTV. J’avais des idoles comme Floyd Miller, qui portait le numéro 15, le même que moi à Calvaire. Il y avait aussi Laurent Legname: pas forcément mon joueur préféré, mais tout le monde l’adorait, il y avait un truc particulier quand il marquait à trois-points. »\\n\\nFormé au club et spécialiste du 3×3, Anthony Christophe rappelle que le HTV, c’était vraiment un cas à part dans le basket pro surtout en Pro A/Jeep Elite:\\n\\n« C’est un exploit sportif et humain que le HTV ait autant duré en pro. Disons qu’il n’avait peut-être pas grand chose à faire là. Il y a deux ans, les joueurs pouvaient conduire leur voiture pour aller en déplacement. Ca fait quand même de la peine que ça s’arrête. »\\n\\nPrécédemment le quotidien avait demandé à ses lecteurs d’élire leurs joueurs préférées de ces 27 ans. Le meneur américain Jason Rowe est arrivé en numéro 1.\\n\\n1..Jason Rowe (03-06), 76 pts\\n\\n2. Austin Nichols (06-09), 59 pts\\n\\n3. Derrick Obasohan (06-07, 09-10), 21 pts\\n\\n4. Laurent Sciarra (91-93), 21 pts\\n\\n5. Franck Bouteille (99-07), 19 pts"
}, 
{"role": "user",     "content":"Lituanie : Vilnius recrute l’ancien nancéien Dominique Sutton"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison en Italie à Trento, Dominique Sutton (1,96m, 31 ans) va découvrir une nouvelle équipe, le Lietuvos Rytas de Vilnius.\\n\\nDéjà passé par Trento auparavant, le natif de Durham a également connu la D-League, la Grèce ou encore l’Allemagne. En 2016/17 il a été de passage à Nancy. Un passage remarqué mais pas forcément dans le bon sens. Au SLUC, il s’était fait remarquer en tenant tête à son coach Alain Weisz lorsque celui-ci souhaitait le faire quitter le parquet face à Strasbourg.\\n\\nDu côté de Vilnius il semblerait qu’il soit le joueur idéal à en croire les déclarations du Général Manager et du coach qui s’accordent pour dire que c’est exactement le type de joueur qu’il faut avoir.\\n\\nLa saison dernière, Dominique Sutton compilait 13,7 points et 6,9 rebonds entre le championnat et l’Eurocup.\\n\\n\\n\\n\\nRytas Vilnius signed 31 year old forward Dominique Sutton, per club announcement. \\He can defend all 5 positions,\\ coach Adomaitis told. \\He's type of player we really wanted,\\ club's sports director Linas Kleiza added.\\n\\n\\n— Donatas Urbonas (@Urbodo) August 8, 2018\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Rouen effectue le début de sa préparation à Dallas !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Original: le Rouen Métropole Basket se prépare à Dallas jusqu’au 18 août dans un institut médical qui sert habituellement aux Cowboys (NFL) et aux Legends (G-League). Du grand luxe pour une équipe de Pro B.\\n\\nComme dans l’effectif pro, il manque toujours Jamar Diggs et Earvine Bassoumba à l’appel, ce sont deux jeunes du centre de formation qui viennent compléter le groupe de Alexandre Ménard, Marvin Mokono et Aleyde Ngabonziza.\\n\\nIan Mahinmi qui est devenu actionnaire du club normand a été champion NBA avec les Dallas Mavericks en 2011.\\n\\nhttps://www.instagram.com/p/BmL8AvxHcbX/?utm_source=ig_embed&utm_campaign=embed_loading_state_control\\n\\n\\n\\n\\n📸 Alors que la préparation continue, Ian Mahinmi a rendu visite au groupe du RMB !\\n\\n\\n🌐 Découvrez toutes les photos du stage sur notre site : https://t.co/louArtMFsF#GORMB #Dallas18 #Preparation1819 pic.twitter.com/o2eXrQNLTg\\n\\n\\n— Rouen Métropole Basket (@RouenMBasket) August 9, 2018\\n\\nPhoto: Rouen Métropole Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Élite : le shooteur Jimmy Baron vers le CCRB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Blake Schilb, Châlons-Reims serait sur le point d’annoncer la signature de Jimmy Baron (1,91m, 32 ans).\\n\\nSelon Sportando, les deux partis auraient trouvé un accord pour la saison prochaine. Arrière américain, il est passé par le Lokomotiv Kuban, avec qui il a remporté l’Eurocup en 2013, par Fuenlabrada ou encore Banvit et il était la saison dernière à Vilnius.\\n\\nEn 2016/17 il s’était notamment fait remarquer par son adresse lorsqu’il avait inscrit 10 paniers à trois points pour 42 points au total dans le même match en Champions League avec Klaipeda. A l’issue de la saison il était également le meilleur marqueur du championnat lituanien.\\n\\nLa saison dernière, Jimmy Baron compilait en moyenne 8,3 points, 2,1 rebonds et 2 passes décisives entre le championnat et l’Eurocup.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18 Féminines: Après sa tranquille victoire sur la Bosnie (91-47), la France va s’attaquer à la Hongrie en quart"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Face à la faible Bosnie-Herzégovine, l’équipe de France s’est qualifiée sans difficulté (91-47) pour le quart-de-finale de l’Euro U18 féminin où elle rencontrera demain à 14h15 la Hongrie.\\n\\nLes Bleuettes ont gagné les deux quart-temps de la première mi-temps de 9 points et les troisième et quatrième de 13 chacun. Les Bosniaques n’ont shooté qu’à 26,6% tout en perdant 30 balles contre 13 aux Françaises et ont été dominées au rebond (38-50). Avec 14 points, Nabala Fofana a été la meilleure marqueuse tout en ayant avec un total de 22 la meilleure évaluation.\\n\\nJusqu’à présent, les Hongroises ont remporté 3 matches sur 4 éliminant la Croatie en huitièmes, 63-58.\\n\\nPhoto: Yohana Ewodo (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : l’Américain Joel Bolomboy signe un contrat de deux ans avec le CSKA Moscou"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Jeune intérieur, Joel Bolomboy (2,06m, 24 ans) s’est engagé en faveur du CSKA Moscou.\\n\\nSur son site, le CSKA Moscou annonce la signature du natif de Donetsk pour deux saisons. En plus de ce contrat, l’ancien joueur des Milwaukee Bucks est en pleine procédure d’obtention du passeport russe. Sa mère est Russe.\\n\\nFormé à Weber State, il tentait de se faire une place en NBA depuis 2016 mais il a passé le plus clair de son temps en G-League.\\n\\nLa saison dernière, Joel Bolomboy compilait en moyenne 16,3 points et 9,5 rebonds dans l’antichambre de la NBA.\\n\\nLe principal intéressé s’est exprimé sur son arrivée en Russie.\\n\\n« Je suis très excité à l’idée de rejoindre le CSKA Moscou. En grandissant, j’ai toujours rêvé de jouer en NBA ou pour le grand CSKA Moscou en raison de l’histoire de ma famille. Aujourd’hui, je vais enfin avoir la possibilité de le faire. Ça représente beaucoup pour moi parce que ma mère est Russe et nous avons des racines ici. Je suis impatient de vivre cette expérience, d’apprendre et de grandir en tant que jeune joueur sur et en dehors du terrain. Je suis également impatient de faire partie de cette superbe organisation! »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Sandrine Gruda rejoint Pierre Vincent et Isabelle Yacoubou à Schio"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après le coach Pierre Vincent, et l’internationale Isabelle Yacoubou, c’est au tour de Sandrine Gruda (1,93m, 31 ans) de prendre la direction de Famila Schio, champion d’Italie 2018.\\n\\nL’Antillaise était sans contrat depuis que le club turc de Yakin Dogu a mis la clé sous la porte. Elle avait apporté 12,6 points et 8,4 rebonds pour permettre aux Turques d’atteindre le Final Four d’Euroleague. Plus tôt dans la saison, elle avait transité par l’ASVEL (18,0 points, 9,3 rebonds, 2,5 passes et 1,3 contre en 4 matches).\\n\\nSandrine Gruda a passé deux saisons à Valenciennes, neuf à Ekaterinbourg et une à Fenerbahçe.\\n\\nFamila Schio est engagé dans la même poule que Bourges en Euroleague."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Tony Crocker est le nouvel Américain du Khimki Moscou"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Khimki Moscou continue son recrutement estival et annonce l’arrivée de Tony Crocker (1,98m, 31 ans).\\n\\nSur son site, la formation russe indique que l’arrière/ailier s’est engagé pour une saison. Il arrive en provenance du Tofas Bursa qui évolue dans le championnat de Turquie. Passé par la Hongrie, la Finlande, Chypre, la Grèce, Israël et la Turquie, l’ancien joueur de l’Hapoel Holon arrive dans un championnat et un pays qu’il ne connait pas.\\n\\n« Je suis très content de faire partie de cette équipe. J’attends seulement de devenir un meilleur basketteur. Je sais que la VTB League est un championnat relevé avec beaucoup de bonnes équipes. Et il fait très froid en Russie. »\\n\\nLa saison dernière, Tony Crocker compilait en moyenne 14 points, 2,8 rebonds et 2,3 passes décisives en championnat, et 12,2 points, 2 rebonds et 1 passe en Eurocup.\\n\\nL’entraîneur du Khimki, Georgios Bartzokas s’est exprimé sur son. nouveau joueur.\\n\\n« Crocker est un féroce compétiteur et il joue avec beaucoup de confiance. Il a un taux de réussite de 45% à trois points, une expérience en Europe et est motivé à l’idée de montrer son potentiel en Euroleague. »\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie: La crise financière se confirme, Usak Sportif déclare forfait"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Usak Sportif annonce qu’il renonce à participer au championnat TBL cette saison pour des raisons financières.\\n\\nAprès Yesilgiresun et Eskisehir, c’est le troisième club turc dans ce cas alors que Fenerbahçe Istanbul, finaliste de l’Euroleague, connait également des problèmes de cet ordre depuis que son principal sponsor Dogus l’a lâché. En fait, c’est toute la Turquie qui est en proie à une grave crise financière. La livre turque a connu une chute de 25% vis à vis du dollar depuis le début de l’année.\\n\\n« Malgré une croissance soutenue ces dernières années, l’économie turque est minée par l’inflation, la corruption et l’endettement. La hausse des prix à la consommation a atteint 15,9 % en rythme annuel en juillet, selon les dernières données publiées vendredi, contre 15,4 % en juin », commentait récemment Le Point.\\n\\nLa branche basket-ball d’Usak Sportif avait été créée en 2006 alors qu’une section football existait depuis 1984. Le club était monté en première division en 2013 et avait participé à l’EuroChallenge dès la saison 2014-15. En avril 2015, l’équipe avait pris le nom de Muratbey Usak Sportif du nom de son sponsor principal.\\n\\nRichard Solomon, qui a porté le maillot de Gravelines en 2016-17, devait effectuer une deuxième saison à Usak Sportif.\\n\\nLe Yakın Doğu Üniversitesi de Sandrine Gruda a également mis la clé sous la porte il y a quelques semaines après avoir participé au Final Four de l’Euroleague."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Aigars Skele est le nouvel arrière d’Antibes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En provenance de Lettonie, Aigars Skele (1,92m, 25 ans) est la nouvelle recrue des Sharks d’Antibes.\\n\\nLe club antibois a confirmé en fin d’après-midi l’information de Sportando, à savoir que le natif de Riga a trouvé un accord avec le lui. Professionnel depuis 2012, cet arrière letton a passé l’intégralité de sa carrière dans son pays natal, entre les BK Barons, Jürmala, le VEF Riga, Valmiera et Ventspils, où il a passé les deux derniers exercices.\\n\\nLa saison dernière, Aigars Skele compilait en moyenne 12 points, 4,5 rebonds et 3,6 passes décisives en championnat, et 12,1 points, 5,5 rebonds et 3,1 passes décisives en Champions League.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Syndicat des Basketteurs invite les joueurs sans contrat à participer à son camp en septembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Syndicat National des Basketteurs organise son camp du 3 au 7 septembre au Hoops Factory d’Aubervilliers et invite tous les joueurs professionnels de Jeep Elite, Pro B et Nationale 1 sans contrat à y participer. Les adhérents du SNB sont naturellement prioritaires.\\n\\nLe programme sera identique pour chaque journée de la semaine : Début de matinée: Practice individuel. Fin d’après-midi: Practice collectif. MGS reconversion viendra enrichir chaque journée avec la formation Inter-contrat\\n\\n * la pré-inscription se fait en remplissant le formulaire ici.\\n * Dans le cas ou le profil correspond aux conditions du camp, le SNB procédera à l’inscription définitive"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pops Mensah-Bonsu (ex ASVEL) devient GM en G-League"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pendant de longues années en Europe, Pops Mensah-Bonsu (2,06m, 34 ans) a mis un terme à sa carrière en 2015 et est aujourd’hui aux Etats-Unis. Il vient d’être nommé General Manager du Capital City Go-Go, l’équipe G-League des Washington Wizards.\\n\\nPassé, entre autres, par Trévise, Badalone, Besiktas, Séville, Milan, Galatasaray ou encore l’AEK Athènes, le natif de Tottenham a également connu le championnat de France. En 2010/11, il a fait un passage remarqué à l’ASVEL. Le temps de quatorze matchs, il tournait à 16,5 points et 9,2 rebonds en Pro A. La saison d’après, il a remporté l’Eurochallenge avec Besiktas.\\n\\nSuite à la fin de sa carrière, il est allé aux Etats-Unis et il a été engagé il y a deux ans par les San Antonio Spurs en tant que scout."
}, 
{"role": "user",     "content":"David Pick ou comment un as du scoop ne pouvait pas vivre de Twitter"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"David Pick que nous avons cité de nombreuses fois sur notre site pour ses scoops et ses « I’m told » – rumeurs- a quitté son poste de journaliste chez ONE.co.il en Israël. Il devient agent de joueurs sans rejoindre une agence et des agents établis, mais souhaite développer sa propre société et passer ses licences d’agents au plus vite.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDavid Pick nous a expliqué qu’il souhaite créer des partenariats avec des agents pour les aider à placer leurs joueurs en Europe, mais qu’a terme son souhait est de recruter un portefeuille de joueurs « David Pick’s Team ». Comme nous l’avons déjà écrit le 3 août, un message a changé sa vision des choses : « Tu chasses les tweets, je chasse l’argent ».\\n\\nAvec Antoine Rigaudeau.\\n\\nNé à Englewood aux Etats-Unis, David Pick a grandi en Israël et a commencé à écrire pour Eurobasket.com, gratuitement, en tant que correspondant local. Avec plus de 50 000 followers sur Twitter, il a créé une véritablement marque « Pick » avec ses scoops et ses infos inside sans jamais réussir à monétiser correctement ses informations.\\n\\n« Je n’ai jamais eu des jobs grâce à mon Twitter ou même un contrat publicitaire. J’ai fait des piges en Allemagne, en France (NDLR : lire son interview exclusive d’Antoine Rigaudeau sur BasketEurope.com et dans le magazine #05) ou sur Bleacher Report mais jamais un média comme Yahoo Sports, Fox ou ESPN ne m’a appelé. Je ne pouvais plus attendre qu’on m’appelle, je devais prendre ma vie et celle ma famille en main. »\\n\\nInterrogé à l’époque du lancement de la version Premium de BasketEurope sur le modèle payant d’un site sur le basket européen, il nous avait encouragé à le faire. Il a d’ailleurs songé à lancer son propre média :\\n\\n« Je ne voulais pas faire comme Sportando. J’ai réfléchis à quelque chose de rentable, comme ESPN Insider et demander 10$ par an pour accéder aux articles. J’aurais pu poster sur Twitter le lien de la news avec un teasing. Par exemple « PAO aggred to deal with X » or « Edwin Jackson signed with Y ». Et pour avoir l’information complète il aurait fallu s’abonner. Je pense qu’avec les fans en Turquie, en Serbie, en Israël, en France, en Chine et même aux US à 10$ par an n’est pas grand chose. Si j’ai 50 000 followers sur Twitter, alors c’était sur que j’aurai pu avoir 10 000 fans au minium qui se seraient abonnés. Ça fait 100 000 dollars par an ! »\\n\\nPlus d’un an après le lancement de nos abonnements Premium sur BasketEurope nous savons que c’est le modèle qui pourra nous permettre de faire du journalisme professionnel et d’être rentable, mais la patience est de mise et la raison pour laquelle David Pick n’a pas lancé son propre site est légitime :\\n\\n« La plupart des gens a qui j’ai parlé de mon projet, m’ont dit que ça ne fonctionnerait pas à cause des réseaux sociaux et que deux minutes après la publication d’un article, l’info serait déjà sur Sportando, Gigantes et même Twitter. Mais je reste persuadé que j’aurais pu gagner de l’argent comme cela. »\\n\\nSon projet est désormais de gagner de l’argent avec son réseau. David Pick a voyagé à travers l’Europe du basket et se rend sur place pour suivre la SummerLeague de Las Vegas depuis plusieurs années. Il raconte d’ailleurs une anecdote sur un agent qu’il a croisé à Vegas et à qui il avait permis de recruter un joueur. Ce joueur a signé pour 5 millions de dollars sur plusieurs saisons. Pick a dit à l’agent qu’il méritait quelque chose, même symboliquement. Il n’a jamais été payé ni même pris au sérieux. Il désire désormais travailler pour lui et sa famille et plus pour ses 50 000 followers Twitter.\\n\\n\\nL’intersaison étant déjà bien avancé, les premiers joueurs signés par David Pick ne devraient pas être nombreux cet été, mais nous pouvons parier qu’il sera présent dans de nombreux dossier dès cet hiver au moment des ajustements d’effectif. Il nous a aussi déclaré qu’il souhaite placer des joueurs en France et qu’il a bon espoir d’arriver à ces fins grâce à ses nombreux amis parmi les agents, joueurs et coachs français qu’il s’est fait grâce à sa carrière de journaliste.\\n\\n[armelse]\\n\\nDavid Pick nous a expliqué qu’il souhaitait créer des partenariats avec des agents pour les aider à placer leurs joueurs en Europe, mais qu’a terme son souhait est de recruter un portefeuille de joueurs « David Pick’s Team ». Comme nous l’avons déjà écrit le 3 août, un message a changé sa vision des choses : « Tu chasses les tweets, je chasse l’argent ».\\n\\n\\nNé à Englewood aux Etats-Unis, David Pick a grandi en Israël et a commencé à écrire pour Eurobasket.com, gratuitement, en tant que correspondant local. Avec plus de 50 000 followers sur Twitter, il a créé une véritablement marque « Pick » avec ses scoops et ses infos inside sans jamais réussir à monétiser correctement ses informations.\\n\\n« Je n’ai jamais eu des jobs grâce à mon Twitter ou même un contrat publicitaire.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"James Nunnally quitterait l’Euroleague pour les Minnesota Timberwolves en NBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il était proche de signer en faveur de Vitoria, James Nunnally (2,01m, 28 ans) serait finalement en train de prendre la direction de la NBA.\\n\\nBrièvement passé par Atlanta et Philadelphie en NBA, le Californien aurait, selon l’insider Shams Charania, accepté de signer un contrat de deux ans avec les Minnesota Timberwolves. Globe-trotter dans l’âme, il a connu pas moins de dix clubs en six ans de carrière. MVP d’Italie en 2015/16, l’ancien joueur d’Avellion évoluait depuis 2016 sous les ordres du légendaire Zeljko Obradovic au Fenerbahce. Avec le club turc, il a remporté l’Euroleague en 2017, deux fois le championnat et deux fois la Coupe de Turquie.\\n\\nLa saison dernière, James Nunnally compilait en moyenne 10,2 points, 2,1 rebonds et 1,8 passe décisive entre le championnat turc et l’Euroleague.\\n\\n\\n\\n\\nEuroleague standout James Nunnally has agreed to a two-year deal with the Minnesota Timberwolves, league sources tell Yahoo Sports.\\n\\n\\n— Shams Charania (@ShamsCharania) August 7, 2018\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18 féminin: France-Bosnie à 16h30 sur YouTube"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est à 16h30 que l’équipe de France U18 féminine donne rendez-vous sur YouTube pour son huitième de finale face à la Bosnie-Herzégovine.\\n\\nPhoto: Nabala Fofana (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Sénégal: Dakar inaugure aujourd’hui une aréna de 15 000 places"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En présence du chef de l’Etat Macky Sall, une magnifique aréna lumineuse et modulable de 15 000 places va être inaugurée aujourd’hui à Dakar. La Dakar Aréna est conçue pour recevoir des événements sportifs, de basket, boxe, lutte, tennis, ou culturels.\\n\\nLa preuve que le basket est le grand gagnant de son édification, le programme de la journée prévoit une démonstration de minibasket, un match d’exhibition de basket féminin et un autre entre les équipes U18 du Sénégal et de la Turquie.\\n\\n« Des millions de FCFA ont été dégagés afin d’assurer le transport des militants dont certains pourraient venir de l’intérieur du pays, à bord de cars « Ndiaga Ndiaye » et autres bus pour cette inauguration historique », rapporte L’Observateur.\\n\\nLes Lions du Sénégal pourront y accueillir leurs adversaires lors des éliminatoires à la coupe du monde 2019."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Quand Nico Mannion, future star de l’équipe d’Italie, donne une leçon de 1c1"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nicollo Mannion (1,91m) a 17 ans depuis mars. Il joue dans une high school de l’Arizona. Son père est américain. Pace a joué en NBA et dans plusieurs clubs italiens. C’est à cette occasion qu’il a rencontré sa future épouse qui était volleyeuse et cela permet à Nico de jouer pour l’Italie. En U16, il fut le meilleur marqueur de l’Euro. Avant de connaître sa première sélection avec les A le 1er juillet dernier contre les Pays-Bas. Résultat: 30 minutes de jeu (!) et 9 points... à 3/10.\\n\\nSur cette vidéo, on le voit faire des un-contre-un au camp de Steph Curry. Et on comprend mieux pourquoi l’Italie possède un diamant.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\nhttps://www.facebook.com/ryan.silver.735/videos/10108494121354536/?hc_ref=ARR7uf68xrM667K2W0AOGbnbRI-BiOVtc8jJkIg48NE9YnT9pDbcyI6OeUwBL7isiB8"
}, 
{"role": "user",     "content":"Blois va porter son affaire devant le Tribunal Administratif"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le feuilleton de l’ADA Blois est toujours en cours. Son président Paul Seignolle a informé La Nouvelle République qu’il va saisir le Tribunal Administratif en référé et qu’il espère ainsi obtenir d’ici le 20 août la suspension de la décision qui prive son club d’accession en Jeep Elite.\\n\\n« Ce que nous demandons, c’est la suspension de la décision qui nous prive de notre accession. Si nous obtenons cette suspension, la Ligue nationale de basket devra bloquer ses calendriers », estime Paul Seignolle.\\n\\nOn imagine alors le bazar, la contrariété de la LNB mais aussi de tous les clubs concernés.\\n\\nL’ADA Blois n’a pour l’instant obtenu satisfaction ni devant la Chambre d’Appel de la FFBB ni auprès du CNOSF."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Élite : Blake Schilb signe à Châlons-Reims"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’une des figures du basket français de ces dernières années fait son retour sur les parquets de l’Hexagone. Blake Schilb (2m, 34 ans) s’est engagé avec Châlons-Reims.\\n\\nSur son site, le CCRB annonce la signature de l’international tchèque pour deux saisons. L’ancien joueur de Galatasaray est connu en France pour avoir notamment réalisé le triplé historique (Championnat, Coupe et Semaine des As) en 2012 avec l’Elan Chalon où il a passé quatre saisons. Il est ensuite également passé par, entre autres, l’Etoile Rouge de Belgrade et le Paris-Levallois.\\n\\nLa saison dernière, Blake Schilb compilait en moyenne 10,7 points, 2,8 rebonds et 2,3 passes décisives en Liga Endesa sous les couleurs de Séville.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"2,21m de haut dans un hôtel à taille standard, le quotidien de Youssoupha Fall en vidéo"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pas facile la vie de géant dans un bâtiment conçu pour des personnes dont la taille est « normale ».\\n\\nSur Twitter, le champion de France Youssoupha Fall (2,21m) a publié une vidéo en immersion dans sa vie. Entre miroir trop bas, portes trop petites ou encore la tête qui touche le plafond, le nouveau joueur de Vitoria nous offre une vue à 2,21 mètres du sol.\\n\\nhttps://twitter.com/youssou15fall/status/1026482526016163842?s=21"
}, 
{"role": "user",     "content":"Allemagne : le fils de John Stockton, Michael prolonge à Gottingen"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison à Gottingen, Michael Stockton (1,85m, 29 ans) a été prolongé par les dirigeants allemands.\\n\\nCapitaine de l’équipe en 2017/18, le fils de John Sotckton était l’une des priorités du coach, Johan Roijakkers, qui est fier de pouvoir le garder sous ses ordres.\\n\\n« Je tiens à remercier tous les commanditaires et partenaires qui nous ont permis de garder autant de joueurs. Je ressens pour la première fois que nous passons une étape importante dans la construction d’une organisation plus stable. »\\n\\nPassé par Ludwigsburg, la G-League, Saratov et Patras, le meneur de jeu américain évoluera donc une nouvelle année, comme son frère à Bayreuth, en Bundesliga la saison prochaine. La saison dernière, 14,4 points, 3,2 rebonds et 5,8 passes décisives en championnat.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Fenêtre internationale : la Turquie avec ses NBAers en septembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cedi Osman, Ersan Ilyasova ou encore Furkan Korkmaz, ils seront tous présents dans un bon mois pour la prochaine fenêtre de qualification pour la Coupe du Monde 2019.\\n\\nEn vue des matchs face au Monténégro et la Slovénie, Ufuk Sarica a sélectionné 19 joueurs pour représenter la Turquie. Cette liste est semblable à celle de la fenêtre de juin-juillet, mais Ersan Ilyasova, l’intérieur des Milwaukee Bucks s’y est greffé. Le nouveau naturalisé et MVP en titre de l’Eurocup, Scottie Wilbekin est une nouvelle fois présent.\\n\\nVoici la liste des joueurs sélectionnés pour la prochaine fenêtre internationale :\\n\\n * Dogus Balbay – Anadolu Efes\\n * J. Metecan Birsen – Anadolu Efes\\n * Sertac Sanli – Anadolu Efes\\n * A. Bugrahan Tuncer – Anadolu Efes\\n * Ridvan Oncel – Banvit\\n * Kartal Ozmizkrak – Darussafaka\\n * Melih Mahmutoglu – Fenerbahce\\n * Huseyin Goksenin Koksal – Galatasaray\\n * Ege Arar – Galatasaray\\n * Ayberk Olmaz – Galatasaray\\n * Berk Ibrahim Ugurlu – Pinar Karsiyaka\\n * Metin Turen – Turk Telekom\\n * Berkan Durmaz – Tofas\\n * Cedi Osman – Cleveland Cavaliers\\n * Omer Faruk Yurtseven – Georgetown University\\n * Scott Jordan Wilbekin – Maccabi Tel Aviv\\n * Ersan Ilyasova – Milwaukee Bucks\\n * Furkan Korkmaz – Philadelphia 76ers\\n * Semih Erden\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"[REDIFF] Interview Edwin Jackson : «J’ai discuté avec l’ASVEL...  On verra peut-être l’année prochaine étant donné qu’ils devraient avoir l’Euroleague»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BasketEurope vous propose cet été de lire ou de relire les meilleurs articles PREMIUM de la saison 2017-18.\\n\\nActuellement avec l’Equipe de France pour la troisième fenêtre de qualification pour la Coupe du Monde 2019, Edwin Jackson a répondu à quelques questions lors d’un point presse au Palais des Sports Maurice-Thorez de Nanterre la semaine dernière.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComment s’est passé votre nouvelle signature à Podgorica ? Vous avaient-ils déjà sollicité ?\\n\\nOui, j’avais déjà parlé avec le coach, mon agent est proche de lui. J’avais envie de me retrouver dans une situation où j’allais avoir des responsabilités et là c’est parfaitement tombé parce que c’est un club que tout le pays supporte. Ce n’est pas un club nation comme peut l’être le Maccabi Tel Aviv, mais c’est quand même dont tous les Monténégrins sont fiers. Le club fait son retour en Euroleague – c’était attendu depuis longtemps -, ils ont grandement rénové la salle et il y a toujours une bonne ambiance. Je connais plusieurs joueurs qui y jouaient cette année, comme Justin Doellman avec qui j’ai évolué à Barcelone. J’ai aussi parlé au coach, ça m’a paru être un bon challenge dans une bonne situation pour jouer mon jeu et m’exprimer en Euroleague.\\n\\nVous parlez de bonne situation, qu’en a-t-il été de votre retour à Barcelone ?\\n\\nÇa ne s’est pas du tout passé comme je l’attendais pour une simple raison : le coach qui me voulait, qui m’a recruté a été remercié deux jours après mon arrivée. Forcément, les cartes ont été redistribuées, ça a été un tout autre type de jeu. Je ne cache pas que ça a été une situation très frustrante et qui ne m’a pas plu. Je suis, en plus, arrivé dans une équipe qui ne tournait pas forcément bien, je pensais que ça allait être un bon challenge pour essayer de redresser la barre mais ça ne s’est finalement pas du tout passé comme prévu. C’était compliqué, mais c’est le haut niveau et ça arrive.\\n\\nConnaissez-vous déjà le rôle que vous aurez au Monténégro ?\\n\\nÇa doit ressembler à ce que j’avais à l’Estudiantes. Je suis le seul étranger sur le poste 2 donc je devrais commencer les matchs avec Aaron Craft. C’est quelque chose qui m’a plu quand ils m’ont recruté. Le coach m’a dit que si je ne venais pas ils allaient prendre un meneur plus scoreur pour mettre des points alors que si je venais, j’allais avoir beaucoup de responsabilités dans le jeu, que je serai amené à jouer beaucoup plus de situations et qu’il prendrait donc un joueur plus défensif sur le poste 1. Je suis content parce que le recrutement d’Aaron Craft va dans le sens des choses que le coach a pu me promettre. J’ai hâte de voir comment ça va se passer, je sais que c’est un vrai pays de basket où il existe un vrai engouement. Je sais aussi que c’est un très beau pays parce que j’y suis déjà allé. C’est une destination qui est moins connue et moins exotique que certaines, mais pour y être allé, c’est vraiment un très beau pays où les gens sont accueillants. J’espère que ça va bien se passer, mais je n’ai pas de doute.\\n\\nJustement, avez-vous suivi un peu la saison d’Aaron Craft qui a fait forte impression de par ses qualités défensives avec Monaco ?\\n\\nOui, c’est un gros client en défense. Il a décroché plusieurs trophées de meilleur défenseur des championnats dans sa carrière. On le connait, c’est le point fort de son jeu. Je pense que je vais apprécier jouer avec lui. J’ai pu jouer avec Omar Cook à l’Estudiantes, qui est un peu le même type de joueur qui est un gros défenseur et un bon passeur qui fait d’abord jouer les autres, ça m’a vraiment réussi donc j’espère que ça se passera bien.\\n\\n« La stabilité c’est surtout quand tu as une famille avec toi. Personnellement, ça ne me dérange pas. Au contraire, même. »\\n\\nN’avez-vous pas envie de trouver une situation dans laquelle vous poser maintenant ?\\n\\nNon pas forcément. La stabilité c’est surtout quand tu as une famille avec toi. Personnellement, ça ne me dérange pas. Au contraire, même. Pouvoir profiter du basket pour voir du monde, pour voir du pays, pour voir des situations différentes ça ne me dérange pas. Si je suis dans une super situation pour trois ou quatre ans, dans un club compétitif qui gagne l’Euroleague tous les ans ou qui peut y prétendre, bien sûr que ça me ferait plaisir. Si ce n’est pas le cas, tant que je ne serai pas dans une situation qui ne me plait pas vraiment, je n’ai pas d’intérêt à rester. En plus je garde des bons souvenirs de partout où je suis passé, même à Barcelone cette année alors que ça ne s’est pas passé comme je le voulais. Ça fait des expériences, ça forge le caractère. Ça ne me dérange vraiment pas de bouger.\\n\\nPensez-vous à un retour à l’ASVEL qui affiche de grosses ambitions européennes ?\\n\\nCe n’est pas impossible. Je parle tout le temps avec Tony Parker, de qui je suis très proche. Je ne sais pas trop quoi répondre, j’ai l’impression qu’on veut que je dise « dans trois ans je signe à l’ASVEL ». Je ne sais pas, peut-être que ça fera, mais peut-être aussi que ça ne se fera pas. Je ne suis pas contre s’il y a un beau projet et si le sportif s’aligne avec le financier. A l’heure actuelle ce n’est pas le cas, même si j’ai parlé avec l’ASVEL et Tony pour savoir ce qu’ils faisaient. On verra peut-être l’année prochaine étant donné qu’ils devraient avoir l’Euroleague. Je souhaitais continuer en Euroleague à la rentrée, mais l’ASVEL ne jouera « que » l’Eurocup. Ça reste un club pour lequel j’éprouve un amour fou.\\n\\nEt la NBA ?\\n\\nJ’y pense encore... Il y en a qui y vont tard comme Milos Teodosic qui a signé son contrat rookie à 30 ans. Ce n’est pas non plus une obsession. Ce n’est pas une question que je me pose au quotidien. J’essaye de progresser, d’être le meilleur joueur possible. Si la NBA ça vient tant mieux, si ça ne vient pas tant pis. Si j’ai de vraies situations disponibles en Europe où je peux me faire plaisir pour jouer au basket, je ne vais pas aller en NBA pour jouer cinq minutes.\\n\\n[armelse]\\n\\nComment s’est passé votre nouvelle signature à Podgorica ? Vous avaient-ils déjà sollicité ?\\n\\nOui, j’avais déjà parlé avec le coach, mon agent est proche de lui. J’avais envie de me retrouver dans une situation où j’allais avoir des responsabilités et là c’est parfaitement tombé parce que c’est un club que tout le pays supporte. Ce n’est pas un club nation comme peut l’être le Maccabi Tel Aviv, mais c’est quand même dont tous les Monténégrins sont fiers. Le club fait son retour en Euroleague – c’était attendu depuis longtemps -, ils ont grandement rénové la salle et il y a toujours une bonne ambiance. Je connais plusieurs joueurs qui y jouaient cette année, comme Justin Doellman avec qui j’ai évolué à Barcelone. J’ai aussi parlé au coach, ça m’a paru être un bon challenge dans une bonne situation pour jouer mon jeu et m’exprimer en Euroleague.\\n\\nVous parlez de bonne situation, qu’en a-t-il été de votre retour à Barcelone ?\\n\\nÇa ne s’est pas du tout passé comme je l’attendais pour une simple raison : le coach qui me voulait, qui m’a recruté a été remercié deux jours après mon arrivée. Forcément, les cartes ont été redistribuées, ça a été un tout autre type de jeu. Je ne cache pas que ça a été une situation très frustrante et qui ne m’a pas plu. Je suis, en plus, arrivé dans une équipe qui ne tournait pas forcément bien, je pensais que ça allait être un bon challenge pour essayer de redresser la barre mais ça ne s’est finalement pas du tout passé comme prévu. C’était compliqué, mais c’est le haut niveau et ça arrive.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie : NBAer pendant huit ans, Toney Douglas signe à Sakarya"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est un gros coup que vient de réaliser le club de Sakarya en recrutant le meneur de jeu Toney Douglas (1,88m, 32 ans) pour la saison prochaine.\\n\\n\\nDepuis huit ans en NBA, le Floridien a vécu sa première expérience en Europe la saison dernière à l’Anadolu Efes. Il disputait donc l’Euroleague et il évoluera en Champions League la saison prochaine dans le club qui était encore promu en première division turque en 2017/18. De promu à qualifié pour les playoffs, la formation dans laquelle évoluait le Français Moustapha Fall, a changé de statut, ce qui lui a permis d’attirer un joueur comme Toney Douglas. Passé par New York, Houston, Sacramento ou encore Golden State, l’ancien pensionnaire de Florida State sera donc toujours en Europe dans quelques semaines.\\n\\nLa saison dernière, Toney Douglas compilait en moyenne 10 points, 3,1 rebonds et 2,2 passes décisives en championnat et 7,8 points, 2 rebonds et 2 passes en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"3×3: Les deux équipes de France pour la Coupe d’Europe dévoilées"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FFBB a révélé le nom des 5 joueurs et des 4 joueuses qui participeront à la Coupe d’Europe de 3×3, qui se tiendra à Bucarest (Roumanie) du 14 au 16 septembre.\\n\\nPhoto: Angelo Tsagarakis (FIBA)\\n\\nEquipe de France masculine\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNom\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\n\\n\\n\\n\\nDate de naissance\\n\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\n\\n\\n\\nBRONCHARD\\nCharles Henri\\n15/11/1982\\nJA Vichy CLermont\\n\\n\\nCORRE\\nKévin\\n24/03/1985\\nAix Maurienne S B\\n\\n\\nCHRISTOPHE\\nAnthony\\n04/03/1983\\nLe Cannet Côte d’Azur Basket\\n\\n\\nGENTIL\\nDominique\\n18/05/1988\\nVendée Challans Basket\\n\\n\\nTSAGARAKIS\\nAngelo\\n03/06/1984\\nKymis BC (Grèce)\\n\\n\\n\\n\\nEquipe de France féminine\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNom\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\n\\n\\n\\n\\nDate de naissance\\n\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\n\\n\\n\\nFILIP\\nAna Maria\\n20/06/1989\\nFlammes Carolo Basket Ardennes\\n\\n\\nFOUASSEAU\\nJenny\\n09/01/1992\\nSaint Amand porte du Hainaut\\n\\n\\nPAGET\\nMarie Eve\\n28/11/1994\\nFlammes Carolo Basket Ardennes\\n\\n\\nTOURE\\nMamignan\\n19/12/1994\\nCavigal Nice Basket 06\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Préparation: Le CSKA Moscou au menu de l’AS Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si l’ASVEL va se mesurer au Real Madrid, vainqueur de l’Euroleague 2018, l’AS Monaco, finaliste des playoffs de Jeep Elite et de la Champions League, va se coltiner en préparation le CSKA Moscou de Nando De Colo lors d’un tournoi en Turquie.\\n\\nLa Roca Team va également affronter Efes Pilsen Istanbul de Rodrigue Beaubois et Adrien Moerman et quelques autres pointures européennes.\\n\\n\\nLe programme\\n\\nTournoi international Geoville (Olbia, Italie)\\n\\n– Samedi 8 septembre\\n18h : AS Monaco – Efes Istanbul\\n20h30 : Dinamo Sassari – Darussafaka\\n\\n– Dimanche 9 septembre\\n18h : match pour la 3e place.\\n20h30 : finale\\n\\nGloria Cup à Antalya, Turquie.\\n\\n– Mercredi 12 septembre\\n17h : CSKA Moscou – AS Monaco\\n19h30 : Zalgiris Kaunas – Tofas Bursa\\n\\n– Jeudi 13 septembre\\n17h : AS Monaco – Banvit\\n19h30 : Anadoulou Efes – Zalgiris Kaunas\\n\\n– Vendredi 14 septembre\\n17h : Banvit – CSKA Moscou\\n19h30 : Tofas – Anadolou Efes.\\n\\n– Dimanche 16 septembre.\\n13h30 : match pour la 5e place. 16h : match pour la 3e place. 18 h30 : finale.\\n\\nPhoto: DJ Cooper (LNB/Hervé Bellenger)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: L’internationale Laura Nicholls révèle son homosexualité"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après, par exemple, les Américaines Sue Bird, Brittney Griner et Elena Delle Donne, c’est autour de l’internationale espagnole Laura Nicholls de révéler son homosexualité via un post Instagram où elle figure en compagnie de sa compagne, le mannequin Sofía del Prado.\\n\\n« Le basketball est le nœud de l’union du couple, car Del Prado, représentante espagnole au dernier concours de Miss Univers, est une grand fan », précise le quotidien sportif Marca. « Elle a joué jusqu’à l’âge de 18 ans et grâce à lui, elle a pu surmonter la timidité dont elle souffrait. Elle est également allée à au concours de beauté avec un maillot signé par Pau Gasol et a été l’un des ambassadeurs de la Liga Dia la saison dernière. »\\n\\nUne douzaine d’athlètes espagnols (le footballeur Mapi Léon, le nageur Carlo Peralta, le patineur Javier Raya...) ont déjà fait leur coming out mais Laura Nicholls est une pionnière dans le monde du basket féminin espagnol.\\n\\n« Le sport espagnol brise le tabou de l’homosexualité, mais beaucoup reste à faire. Dans la majorité des sports masculins, personne n’a osé déclarer qu’il est gay », écrit Marca.\\n\\nIntérieure charismatique, Laura Nicholls (1,93m, 29 ans) est un pilier de l’équipe d’Espagne avec 161 sélections au compteur, deux titres de champion d’Europe (2013, 17), une médaille d’argent aux JO de 2016 et une autre au Mondial de 2014.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18 féminine: Après sa large victoire sur l’Irlande (+23), la France va affronter la Bosnie en 8e de finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Large vainqueur de l’Irlande hier soir (62-39) et auteur d’un sans-faute en poule (3/3), l’équipe de France U18 féminine affrontera la Bosnie-Herzégovine en huitième de finale, mercredi à 16h30.\\n\\nNabala Fofana (10 points à 5/7 aux tirs et 6 rebonds) a été la joueuse dominante du match. A noter que les Françaises se sont contentées d’un pauvre 2/17 au-delà de la ligne à 6,75m et d’une adresse générale de 37,8%.\\n\\nLa Bosnie a enregistré jusqu’ici trois défaites: -12 face à la Serbie, -15 face à la République Tchèque et -37 face à l’Espagne.\\n\\nPhoto: Sixtine Macquet (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"[REDIFF] Billet: Le Mans ou la fin des contes de fée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BasketEurope vous propose cet été de lire ou de relire les meilleurs articles PREMIUM de la saison 2017-18.\\n\\nC’était écrit que cela devait aboutir cette fois-ci. Trois fois numéro 1 de la saison régulière, trois fois vainqueur de la Leaders Cup, deux fois présente au Final Four de la Basketball Champions League, mais deux fois éliminée en playoffs par Villeurbanne, l’AS Monaco allait forcément au troisième essai soulever le trophée de champion de France suite à une finale à rebondissements face au Mans Sarthe Basket. La Principauté Monégasque et son Prince Albert s’apprêtaient à fêter le premier titre de l’ASM qui était déjà finaliste en 1949 contre l’ASVEL mais qui fut longtemps laissée à l’abandon dans les divisions inférieures.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nCe succès pensions nous était celui d’un modèle économique singulier puisque l’AS Monaco est montée en puissance grâce au financement du banquier ukrainien Sergey Dyadechko, 43 ans, un mécène qui fut auparavant celui du BC Donetsk, et qui a pris la présidence du club de la Principauté en 2013 et avec la bénédiction du gouvernement princier. Dyadechko est un vrai passionné qui semble éprouver beaucoup de plaisir à être proche de son équipe. Il est venu faire son petit discours dans le vestiaire juste avant le cinquième match. Deuxième grande première dans le basket professionnel français, clé du succès pensions nous, c’est avec un management étranger que le club a bâti sa stratégie sportive avec comme Directeur Exécutif un autre Ukrainien, Oleksiy Yefimov, 32 ans, et comme coach un Monténégrin Zvezdan Mitrovic reconnu par ses pairs et les médias Coach de l’Année 2017 et 2018. Aucun de ces trois-là ne s’exprime en français.\\n\\nOn s’apprêtait à écrire que ce triomphe de l’AS Monaco laisserait un goût étrange dans la bouche car le club ne dispose pas des mêmes contraintes fiscales que ceux de l’Hexagone et il est à l’inverse très loin de bénéficier d’un engouement populaire équivalent à ceux de Limoges, Strasbourg ou du Mans lequel a battu tous ses records d’affluence lors de ces playoffs. Mais pour passer en cinq saisons de la Nationale 2 au, croyions-nous, trophée de champion de France, le staff monégasque a également fait preuve de discernement dans son recrutement et Coach Z a su exploiter à merveille des joueurs comme Georgi Joseph et Ali Traore qui étaient plus ou moins mis au rebus de la Jeep Elite.\\n\\nL’intensité mise par la Roca Team notamment en défense a impressionné chacun de ses adversaires. Elle a aussi provoqué quelques polémiques car les Monégasques se sont souvent retrouvés à la limite de l’antijeu et paradoxalement ce sont eux qui se sont plaints de l’arbitrage. Estimant que ses joueurs étaient souvent injustement sanctionnés par les arbitres, Zvezdan Mitrovic a créé dans l’équipe une sorte de paranoïa, un sentiment de « c’est nous contre le reste du monde » ou peut-être encore plus de « c’est nous contre les clubs français » qui a probablement actionné certains ressorts psychologiques et qui aurait pu être gagnant.\\n\\nL’implacable suprématie des capitales\\n\\nEn présentant leur corps pour arrêter le rouleau compresseur monégasque, les Manceaux ont à la fois accompli un exploit sportif et financier. La masse salariale du MSB était très inférieure à celle de la Roca Team. Il a fallu un sacré flair pour assembler un tel attelage de joueurs talentueux, plusieurs trentenaires expérimentés, des hommes de caractère. Le Mans a réussi exactement la même performance que Chalon l’an dernier qui s’était appuyé sur un trio exceptionnel qu’il n’a pu ensuite financièrement conservé. La troupe d’Eric Bartecheky -dont chacun fait à retardement le coach de l’année- a réussi à culbuter successivement les trois plus gros budgets de la Jeep Elite, Villeurbanne, Strasbourg et Monaco. Leur victoire lors du Match 2 à Villeurbanne a changé la donne. Sans elle il n’y aurait pas eu cette success story et peut-être pas de Coupe d’Europe comme récompense.\\n\\nDéjà quatre fois couronné auparavant, le club de la Sarthe qui est parfaitement géré -Christophe Le Bouille mériterait le trophée de LNB Executive of the Year s’il existait- et qui prospère dans un environnement à la forte culture basket, savoure. Il sait parfaitement qu’un tel triomphe ne se reproduira peut-être pas de sitôt. Qu’il était plus facile de s’imposer en 2006 à Nancy -un club du même calibre- sur un seul match et sur terrain neutre que dans un format 3-5-5 qui favorise les équipes au banc les plus larges et donc les clubs les plus riches.\\n\\nJusqu’à présent Monaco et Strasbourg ont flanché dans la ligne droite par manque de maîtrise émotionnelle alors que si Villeurbanne a enrichi récemment sa vitrine de deux trophées de champion (2009 et 2016), elle manque totalement de constance et donne souvent l’impression d’un gâchis. Seulement, alors que le MSB envisage un budget d’un peu plus de 6M€ la saison prochaine, ces trois-là possèdent un potentiel très supérieur. Monaco bénéficie donc d’un mécène et de l’apport du gouvernement princier. Lyon est la deuxième ville de France et Tony Parker est un étendard unique. D’ailleurs l’ASVEL va rejoindre l’Euroleague pour la saison 2019-20, ce qui va augmenter sa voilure. Que l’on soit favorable ou non au principe qui favorise l’économie au sportif, c’est incontestablement le sens de l’histoire. Strasbourg est la « capitale de l’Europe » et possède un vrai et beau projet bâti autour de la transformation du Rhénus en Arena. Par ailleurs, des ambitions s’affirment à Paris avec le rapprochement entre Levallois et Boulogne et la prise en main du Paris Basket Avenir par un investisseur américain. En attendant peut-être que le projet du Tremblay passe au concret. Personne ne résistera à un club dans la capitale s’il est bien managé.\\n\\nLorsque ceux-là -et on peut le croire- auront un budget deux fois supérieur à ceux du Mans, de Chalon et des autres, il n’y aura plus de cendrillon. Une vue de l’esprit ? Il suffit de constater ce qui se passe en Espagne, Grèce, en Turquie ou en VTB League pour en être convaincu*. On le prévoyait déjà il y a vingt-cinq ans mais l’échéance parait désormais à l’horizon: les villes moyennes vont céder leurs places aux grandes villes. Les contes de fée ne sont pas fait pour durer.\\n\\n*En Espagne, le Real Madrid et le FC Barcelone se sont partagés 8 des 10 derniers titres. Le dernier petit poucet à avoir été champion est Manresa il y a vingt ans. En Grèce, le Panathinaikos et l’Olympiakos ont tout gagné depuis 1993 sauf en 2002 quand le titre est revenu à l’AEK, un autre club d’Athènes. En Turquie, la saison 2014-15 a été l’occasion d’un évènement avec l’avènement du Pinat Karsiyaka, un club basé à Izmir. C’est l’unique fois dans les années 2000 où le titre a échappé à un club d’Istanbul. Depuis la création de la VTB League, le CSKA Moscou a raflé neuf titres de champion et en a laissé un seul au Khimki, lui aussi un club de Moscou.\\n\\n[armelse]\\n\\nCe succès pensions nous était celui d’un modèle économique singulier puisque l’AS Monaco est montée en puissance grâce au financement du banquier ukrainien Sergey Dyadechko, 43 ans, un mécène qui fut auparavant celui du BC Donetsk, et qui a pris la présidence du club de la Principauté en 2013 et avec la bénédiction du gouvernement princier. Dyadechko est un vrai passionné qui semble éprouver beaucoup de plaisir à être proche de son équipe. Il est venu faire son petit discours dans le vestiaire juste avant le cinquième match. Deuxième grande première dans le basket professionnel français, clé du succès pensions nous, c’est avec un management étranger que le club a bâti sa stratégie sportive avec comme Directeur Exécutif un autre Ukrainien, Oleksiy Yefimov, 32 ans, et comme coach un Monténégrin Zvezdan Mitrovic reconnu par ses pairs et les médias Coach de l’Année 2017 et 2018. Aucun de ces trois-là ne s’exprime en français.\\n\\nOn s’apprêtait à écrire que ce triomphe de l’AS Monaco laisserait un goût étrange dans la bouche car le club ne dispose pas des mêmes contraintes fiscales que ceux de l’Hexagone et il est à l’inverse très loin de bénéficier d’un engouement populaire équivalent à ceux de Limoges, Strasbourg ou du Mans lequel a battu tous ses records d’affluence lors de ces playoffs. Mais pour passer en cinq saisons de la Nationale 2 au, croyions-nous, trophée de champion de France, le staff monégasque a également fait preuve de discernement dans son recrutement et Coach Z a su exploiter à merveille des joueurs comme Georgi Joseph et Ali Traore qui étaient plus ou moins mis au rebus de la Jeep Elite.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Antoine Eito LNB/Lecoq"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eurocup : Jordan Theodore en discussion avec l’Etoile Rouge de Belgrade"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite au départ de Taylor Rochestie pour la Chine, l’Etoile Rouge de Belgrade serait proche de Jordan Theodore (1,83m, 28 ans) pour le poste de meneur de jeu titulaire.\\n\\nFinaliste de Champions League en 2017 avec Banvit, le natif d’Englewood serait, selon Blic (média serbe), en négociation avec l’ancien club de Mathias Lessort. Après être passé par la Turquie, Porto Rico, la République Dominicaine, la France, l’Allemagne l’Italie, l’ancien joueur de la JL Bourg pourrait découvrir la Ligue Adriatique et la Serbie. La Red Star sera engagé en Eurocup à la rentrée sur la scène européenne.\\n\\nLa saison dernière, Jordan Theodore compilait en moyenne 10,4 points, 2,9 rebonds et 2,9 passes décisives pour une évaluation de 9,4 en Serie A, et 11,6 points, 2 rebonds et 4,3 passes décisives pour une évaluation de 11 en Euroleague."
}, 
{"role": "user",     "content":"Nando De Colo inaugure une salle à son nom dans le Nord de la France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Parmi les tous meilleurs joueurs d’Europe, Nando De Colo (1,96m, 31 ans) est aussi un exemple de réussite dans le Nord de la France.\\n\\nNé à Arras dans le Pas-de-Calais, l’international français a été inauguré une nouvelle salle à son nom dans la ville de Wingles. Une commune située à 25 kilomètres d’Arras. France 3 était sur place pour cette inauguration.\\n\\nhttps://www.facebook.com/france3nordpasdecalais/videos/vb.139403099438520/2053721088006702/?type=2&theater"
}, 
{"role": "user",     "content":"Champions League vs Eurocup: Qui a les meilleures équipes ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En nous appuyant notamment sur le classement des 100 meilleures équipes d’Europe que dresse en temps réel Eurobasket.com, nous avons pu savoir dans quelles compétitions européennes jouent les meilleurs clubs européens.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDerrière l’Euroleague, qui affiche incontestablement le meilleur niveau sportif, la Champions League et l’Eurocup sont les deux plus importantes compétitions européennes et la question est de savoir laquelle dispose du meilleur plateau pour la saison 2018/19.\\n\\nChacun peut faire valoir ses arguments. Alors que Bamberg a quitté la C1 pour s’engager en Champions League, à l’inverse Monaco, seule équipe à avoir été jusqu’au Final Four de Champions League deux fois de suite, a décidé de rallier la cause de l’Eurocup en vue peut-être un jour de rejoindre l’Euroleague. Finaliste de Ligue Adriatique, l’Etoile Rouge de Belgrade fera son retour en Eurocup à la rentrée en provenance de l’Euroleague. Tout comme Malaga qui a remporté l’Eurocup en 2017 et qui a donc eu le droit d’évoluer en Euroleague en 2017/18.\\n\\nSur le seul critère du ranking Eurobasket.com, la BCL sort gagnante 2 578 points à 2 232. Comme l’année dernière. Le ranking Eurobasket.com n’est pas incontestable, seulement il est tout de suite plus complexe d’être objectif si l’on prend en référence l’image, la notoriété, le palmarès de chaque participant. Chacun aura son propre avis sur la question.\\n\\nSi l’on regarde maintenant le classement de chaque équipe dans son championnat domestique on peut voir que la Champions League est également un tantinet supérieure. Une équipe qualifiée en BCL s’est classée en moyenne entre la troisième et la quatrième place de son championnat. En Eurocup, il faut en moyenne être classé cinquième dans sa ligue domestique. Cependant... cette caractéristique peut également être remise en cause étant donné la différence de niveau entre les championnats nationaux. Etre cinquième de la liga espagnole n’a évidemment pas le même prestige que d’être au même niveau en Bulgarie ou même en France.\\n\\nDans toutes ces équipes, y-a-t-il des champions nationaux ? Du côté de la Champions League on en compte cinq. Il s’agit du Mans, champion de France, Oostende, champion de Belgique, Anwil, champion de Pologne, Ventspils, champion de Lettonie, et Nymburk, champion de République Tchèque. Ce qui est peu pour une compétition qui se nomme « Ligue des Champions ». En Eurocup, le Mornar Bar a été sacré champion du Monténégro, le Turk Telekom Ankara a aussi été sacré champion la saison dernière, mais... c’était en deuxième division turque.\\n\\nBien sûr, les champions d’Espagne, de Turquie, de VTB League, de Lituanie, Ligue Adriatique, d’Allemagne ou encore d’Italie se trouvent en Euroleague. Là, il n’y a pas photo.\\n\\n[table id=135 /]\\n\\n[armelse]\\n\\nDerrière l’Euroleague, qui affiche incontestablement le meilleur niveau sportif, la Champions League et l’Eurocup sont les deux plus importantes compétitions européennes et la question est de savoir laquelle dispose du meilleur plateau pour la saison 2018/19.\\n\\nChacun peut faire valoir ses arguments. Alors que Bamberg a quitté la C1 pour s’engager en Champions League, à l’inverse Monaco, seule équipe à avoir été jusqu’au Final Four de Champions League deux fois de suite, a décidé de rallier la cause de l’Eurocup en vue peut-être un jour de rejoindre l’Euroleague.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Demitrius Conger arrive au Mans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Mans Sarthe Basket vient d’annoncer l’arrivée d’un nouveau joueur, il s’agit de l’ailier américain Demitrius Conger (1,98m, 28 ans).\\n\\n\\nC’est sur Twitter que le champion de France en titre a officialisé la signature pour une saison de l’ancien pensionnaire de Saint Bonaventure. En début de saison sous les couleurs des Illawarra Hawks, en Australie, le natif de Brooklyn a ensuite rejoint Badalone, en Espagne. Passé par Trikala, l’Hapoel Tel Aviv ou encore Anvers, il va vivre sa première expérience en France.\\n\\nLa saison dernière, Demitrius Conger compilait en moyenne 16,5 points, 4,7 rebonds et 2,2 passes décisives entre l’Australie et l’Espagne. Il a terminé deuxième scoreur de la ligue australienne (NBL) et il s’est classé au second rang du référendum de fin de saison. Avec Badalone, où il est arrivé en avril, il a remporté 8 des 10 derniers matches, ce qui a permis au club catalan d’éviter la relégation.\\n\\n« Extérieur hyper dynamique et agressif, toujours en activité et prêt à attaquer le cercle, physique et ne refusant jamais le contact, pas le dernier à mettre les mains dans le cambouis et à défendre son territoire, Demitrius est un ailier qui ne va pas dépareiller dans l’équipe tant son énergie est souvent communicative », commente le Directeur Sportif Vincent Loriot.\\n\\nRepères :\\nClubs : St. Bonaventure (NCAA) de 2010 à 2013. Lucca (Italie 2) en 2014. Omegna (Italie 2) en 2015. Trikalla (Grèce) et Hapoel Tel-Aviv (Israël) en 2016. Antwerp (Belgique) en 2017. Illawarra (Australie) et Badalona (Espagne) en 2018.\\n\\nPalmarès en club : Vainqueur du tournoi de la conférence Atlantic 10 en 2012. Vainqueur de la Supercoup belge en 2017\\n\\nPalmarès individuel : Élu meilleur ailier du championnat australien NBL en 2018.\\n\\nExpérience européenne : FIBA Europe Cup en 2017\\n\\nStatistiques Australie 2018 : 19,7 points à 51.2% aux tirs, dont 42/107 à 3pts (39.3%), et 79.6% aux lancers-francs, 5,7 rebonds, 2,7 passes décisives, 1,1 interception et 15,8 d’évaluation en 30 min/m (27 matches)\\n\\nStatistiques Espagne 2018 : 9,9 points à 55.4% aux tirs, dont 12/27 à 3pts (44.4%), et 71.4% aux lancers-francs, 2,7 rebonds, 1,2 passe décisive, 0,5 interception et 10,3 d’évaluation en 20 min/m (13 matches)\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\n\\n\\n\\n✍️ Officiel\\n\\n\\nBienvenue à Demitrius Conger ! 💪🇺🇸@illawarrahawks ➡️ MSB pic.twitter.com/8CVg9GL2eH\\n\\n\\n— MSB_Officiel 🦁 (@MSB_Officiel) August 6, 2018\\n\\nPhoto : Joventut Badalona"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Top 10 des salaires d’Euroleague pour la saison à venir"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En Euroleague, on parle en millions de dollars lorsque l’on aborde le sujet des salaires de joueurs. Eurohoops s’est attaqué aux dix meilleurs salaires nets d’Europe et nous livre les chiffres.\\n\\nPremière chose que l’on remarque c’est que deux Français sont présents dans ce top 10 et il s’agit sans surprise de Nando De Colo, la star du CSKA Moscou, et Joffrey Lauvergne qui a quitté la NBA pour revenir en Europe et qui s’est engagé avec le Fenerbahce.\\n\\nLe premier de ce classement est la superstar russe du Khimki Moscou, Alexey Shved. Avec plus d’un million de dollars de plus que son dauphin au classement, l’ancien joueur des Minnesota Timberwolves n’a pas fait le mauvais choix en quittant la NBA pour revenir sur le Vieux Continent. Deuxième du classement notre Français Nando De Colo est à la hauteur de son rôle sous le maillot du CSKA Moscou avec presque trois millions de dollars par an.\\n\\nNick Calathes a grimpé dans le classement. Après une exceptionnelle saison sous les couleurs du Panathinaïkos, l’ancien joueur des Memphis Grizzlies a eu le droit à une revalorisation de salaire. Le club grec n’a pas eu d’autre choix que d’aligner les zéros pour conserve le MVP et meilleur défenseur de Grèce, et potentiel MVP d’Euroleague.\\n\\nDe retour en Europe, Shane Larkin entre directement à la neuvième place du Top 10 des joueurs les mieux payés du continent. La saison dernière chez les Boston Celtics, en NBA, l’ancien joueur de Vitoria a moins gagné en 2017/18 (1 524 305$) que le montant pour lequel il a signé avec l’Anadolu Efes.\\n\\nC’est un autre Français, Joffrey Lauvergne, qui ferme la marche mais qui est loin d’être à plaindre. Comme Shane Larkin, l’international français avait signé au Spurs pour 1 524 305$. En Turquie, il gagnera 1 700 000$.\\n\\nLa saison dernière, le joueur au plus gros salaire en France était Charles Kahudi avec environ 250 000€. Bien loin des chiffres d’Euroleague...\\n\\nTop 10 d’Europe :\\n\\n 1.  Alexey Shved (Khimki Moscou) : 4 000 000$\\n 2.  Nando De Colo (CSKA Moscou) : 2 780 000$\\n 3.  Nick Calathes (Panathinaïkos) : 2 550 000$\\n 4.  Sergio Rodriguez (CSKA Moscou) : 2 550 000$\\n 5.  Jan Vesely (Fenerbahce) : 2 430 000$\\n 6.  Sergio Llull (Real Madrid) : 2 200 000$\\n 7.  Chris Singleton (FC Barcelone) : 1 900 000$\\n 8.  Mike James (Milan) : 1 800 000$\\n 9.  Shane Lardin (Anadolu Efes) : 1 700 000$\\n 10. Joffrey Lauvergne (Fenerbahce) : 1 700 000$\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce : Yannick Moreira (ex Rouen) signe au PAOK"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En Russie la saison dernière, Yannick Moreira (2,11m, 27 ans) vient de s’engager avec le PAOK Salonique, en Grèce.\\n\\nSur son site, le PAOK vient d’annoncer l’arrivée de l’ancien pensionnaire de SMU. Aperçu à Rouen le temps de quatre matchs en 2015/16, cet international angolais est également passé par Murcie, en Espagne, et par les Raptors 905, en D-League, entre autres.\\n\\nLa saison dernière, Yannick Moreira compilait en moyenne 9 points et 6,1 rebonds en VTB League.\\n\\nPhoto : VTB League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Allemagne : Tyrese Rice rejoint Bamberg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une année compliquée passée entre la réserve du FC Barcelone et la Chine, Tyrese Rice (1,85m, 31 ans) va reprendre du service à Bamberg, en Allemagne.\\n\\nSur son site, le club allemand annonce l’arrivée du meneur de jeu pour la saison prochaine. La saison passé, le natif de Richmond était toujours sous contrat avec le Barça mais n’a fait partie des plans des dirigeants et du staff pour l’équipe première. Il a donc passé tout son temps en réserve jusqu’à mi-janvier quand il a signé avec les Shenzen Leopards, en Chine.\\n\\nEn 2016/17, Tyrese Rice tournait à 13 points et 4,9 passes décisives pour une évaluation de 10,6 en Euroleague. En Chine, il a compilé 18,9 points, 2,9 rebonds et 4,5 passes décisives.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Préparation Euro U16 féminin: 3/3 pour l’équipe de France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Du 17 au 25 août, ce sont les U16 féminines, championnes d’Europe en titre, qui disputeront leur Euro en Lituanie. En attendant le Jour J, les Bleuettes ont remporté à Carthagène trois victoires significatives face à la Russie (57-38), la Pologne (65-51) et -c’est toujours un test majeur surtout à domicile- l’Espagne (57-50). Au préalable, elles avaient aligné cinq victoires pour une seule défaite face à cette même Espagne (37-54).\\n\\nStage à Kaunas (Lituanie) du 13 au 16 août\\n\\nChampionnat d’Europe à Kaunas (Lituanie) du 17 au 25 août\\nVendredi 17 août à 20h15 : République Tchèque – France\\nSamedi 18 août à 20h15 : Belgique – France\\nDimanche 19 août à 15h45 : France – Turquie\\nMardi 21 août : Huitièmes de finale\\nMercredi 22 août : Quarts de finale\\nVendredi 24 août : Demi-finales\\nSamedi 25 août : Finale\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPRÉNOM\\nNAIS.\\nCLUB\\n\\n\\n\\n\\nASTIER\\nPAULINE\\n15/02/2002\\nCERCLE JEAN MACE BOURGES B\\n\\n\\nBENIE\\nANNE-MARIE\\n29/08/2002\\nREZÉ BASKET 44\\n\\n\\nBUSSIERE\\nLOUISE\\n07/08/2002\\nUSO MONDEVILLE BASKET\\n\\n\\nCARDENAL\\nCÉLIA\\n23/05/2002\\nBASKET LANDES\\n\\n\\nDARAMY\\nMARIAMA\\n11/08/2002\\nCFBB (ANGERS UNION FÉMININE BASKET 49)\\n\\n\\nDETCHART\\nADÈLE\\n14/02/2002\\nUSO MONDEVILLE BASKET\\n\\n\\nDJOKO\\nClara\\n28/07/2003\\nSI GraffenstadeN\\n\\n\\nFARCY\\nINDIA\\n31/07/2002\\nCFBB (AVENIR SPORTIF D’ORLY BASKET)\\n\\n\\nKESSLER\\nSERENA\\n25/10/2002\\nCFBB (FC LYON ASVEL FÉMININ)\\n\\n\\nMBU\\nPALMIRE\\n12/05/2003\\nCFBB (VILLENEUVE D’ASCQ ESB)\\n\\n\\nMOCTAR\\nBINTOU\\n25/07/2002\\nCFBB (MARNE-LA-VALLÉE BASKET VAL MAUBUÉE)\\n\\n\\nNIARE\\nNAHAN\\n15/02/2002\\nUSO MONDEVILLE BASKET\\n\\n\\nPIPER\\nINES\\n24/05/2002\\nFC Lyon Asvel Féminin\\n\\n\\nRAYNAUD\\nEMILIE\\n26/07/2002\\nCFBB (LIMOGES ABC EN LIMOUSIN)\\n\\n\\nROUMY\\nSarah\\n07/11/2003\\nBasket landes\\n\\n\\nSIDA ABEGA\\nSEEHIA\\n09/08/2002\\nCFBB (JL BOURG)\\n\\n\\n\\n\\nEntraîneur : Vincent BOURDEAU\\nAdjoints : Vincent JOLY et Benoit MARTY"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France féminine: Prochaine étape, Anglet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de France féminine en a terminé avec son premier stage dans l’Ariège où elle s’est adonnée à diverses activités sportives. Le prochain rassemblement est prévu à Anglet (Pyrénées-Atlantiques) avec à la fin du stage deux premiers matches de préparation contre l’Italie.\\n\\nStage à Anglet du 10 au 21 août\\nLundi 20 août – 19h00 : France /Italie\\nMardi 21 août – 19h00 : France /Italie\\n\\nTournoi à Paris du 7 au 9 septembre\\nVendredi 7 septembre -18h00 : France / Lettonie\\nSamedi 8 septembre – 20h30 : France / Australie\\n\\nTournoi à Antibes du 15 au 17 septembre\\nSamedi 15 septembre – 19h00 : France / Sénégal\\nDimanche 16 septembre – 19h00 : France / Canada\\nLundi 17 septembre – 20h30 : France / Etats-Unis\\n\\nCoupe du Monde à Tenerife (Espagne) du 22 au 30 septembre\\nSamedi 22 septembre -13h30 : Corée du Sud / France\\nDimanche 23 septembre – 17h30 : France / Grèce\\nMardi 25 septembre – 20h30 : Canada / France\\nMercredi 26 septembre : Barrage quarts de finale\\nVendredi 28 septembre : Quarts de finale\\nSamedi 29 septembre : Demi-finales\\nDimanche 30 septembre : Finales"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Kerem Kanter, le frère du NBAer Enes Kanter, débarque à Bourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tout juste sorti de l’université de Xavier, Kerem Kanter (2,08m, 23 ans) va vivre sa saison rookie en France, à Bourg-en-Bresse.\\n\\nLa JL Bourg vient d’annoncer la signature du frère du NBAer Enes Kanter pour la saison prochaine. Champion d’Europe U18 avec la Turquie en 2013, le natif de Bursa a depuis été rejeté par sa fédération suite aux déclarations de son frère et aux idées de sa famille. L’ancien pensionnaire de Green Bay rejoint donc la raquette de la « Jeu » formée par Youssou N’Doye et Zachery Peacock.\\n\\nLa saison dernière, Kerem Kanter compilait en moyenne 10,9 points (58% de réussite à 2-pts et 33% à 3-pts) et 4,5 rebonds en NCAA.\\n\\nPhoto : Xavier Muskeeters"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Jaka Blazic proche de Barcelone"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison dernière à Andorre où il disputait l’Eurocup, Jaka Blazic (1,96m, 28 ans) serait proche de rejoindre le FC Barcelone, qui évolue en Euroleague.\\n\\nSelon Sportando, la club catalan aurait montré un fort intérêt pour l’arrière du MoraBanc Andorra. Le champion d’Europe 2017 avec la Slovénie aurait reçu une offre importante de la part de l’Iberostar Tenerife, juste avant que le Barça entre dans la danse. L’ancien joueur de l’Etoile Rouge de Belgrade était alors tout proche de signer dans le club canarien, mais l’appel des dirigeants barcelonais lui a fait changer d’avis.\\n\\nS’il doit décidé entre rejoindre une équipe de Champions League et une équipe d’Euroleague, l’ancien joueur du Baskonia ne devrait pas mettre trop de temps à faire son choix...\\n\\nLa saison dernière, Jaka Blazic compilait en moyenne 13,5 points, 4,2 rebonds et 1,6 passe décisive en ACB, et 12 points et 4,2 rebonds pour une évaluation de 13,1 en Eurocup.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Corée: Larry Drew II interdit de championnat pour avoir joué dix matches en NBA !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il existe des championnats nationaux où sont appliquées quelques règles étranges. Ainsi dans le championnat coréen (KBL), il est interdit d’embaucher un joueur qui a joué 10 matches ou davantage en NBA lors des trois dernières saisons !\\n\\nD’après Sportando, la dernière victime de ce règlement d’un autre temps est Larry Drew II (1,88m, 28 ans) qui a porté brièvement le maillot de l’AS Monaco en 2015-16. Les LG Sakers ont mis fin à un possible contrat lucratif entre les deux parties lorsqu’ils ont découvert que l’ancien Bruin d’UCLA a disputé 10 matches, pas un de plus, avec Philadelphie (3) et New Orleans (7) la saison dernière. Le club coréen aurait pu se renseigner en amont d’un clic sur Internet...\\n\\n\\n\\n\\nLarry Drew II deal with LG Sakers fell through when the Korean team discovered that he has played 10 NBA games last season, a source told @sportando.\\nAccording to KBL rules, clubs are not allowed to sign a player that has played ten or more NBA games over the past three seasons.\\n\\n\\n— Emiliano Carchia (@Carchia) August 6, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18: La Serbie en or, Marko Pecarski MVP, Joël Ayayi dans le Cinq All-Star"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Malgré le support de 7 000 fans, la Lettonie a dû s’incliner à Riga, 90-99, en finale du championnat d’Europe U18 face à la Serbie qui a ainsi conservé son titre.\\n\\nLes tours jumelles Marko Pecarski (34 points et 13 rebonds) et Filip Petrusev (29 points et 8 rebonds) ont une fois de plus éclaboussé le match de leur classe. Les deux Serbes ont été sélectionnés dans le 5 All-Star, Pecarski empochant le titre de MVP tout en étant le numéro 1 du tournoi comme scoreur (24,7 points) et rebondeur (11,0 prises).\\n\\nLe Letton Artur Zagars, le Russe Nikita Mikhailovskii et le Français Joël Ayayi complètent le Cinq All-Star.\\n\\nJoël Ayayi a compilé 15,7 points, 3,6 rebonds, 2,3 passes et 1,7 interception.\\n\\nA noter toutefois que côté français c’est Mathis Dossou Yovo qui présente les meilleures stats avec 16,4 points (51,9% de réussite), 8,7 rebonds, 1,7 passe et 1,0 interception.\\n\\nPhoto: Filip Petrusev, Marko Pecarski, Artur Zagars, Joël Ayayi, Nikita Mikhailovskii (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18: Une courageuse équipe de France s’offre la médaille de bronze"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Moins talentueuse que la génération 2001 qui avait tout de même deux représentants (Essome Miyem et Timothé Crusol) et privée de plusieurs joueurs dont son joyau Sekou Doumbouya, l’équipe de France U18 a réussi à s’offrir une superbe médaille de bronze. En durcissant leur défense, en confiant les clés de la maison en attaque à Joël Ayayi et ses drives (22 points) et avec au centre, le meilleur de l’équipe sur l’ensemble du tournoi, Mathis Doussou Yovo (2,02m) plus battant que jamais (21 points, 9/9 aux lancers, 10 rebonds), les Bleuets se sont imposés aux Russes lors du match pour la troisième place (79-70) alors qu’ils ont été un temps en perdition.\\n\\nAprès avoir vendangé un maximum de ballons sur des pénétrations hasardeuses, les Français étaient menés de trois points après le premier quart-temps (11-14). Ils décrochaient par la suite pour être relégués de douze points à la mi-temps (26-38) après en avoir concédé quatorze. 9 paniers tous à deux-points sur 28 shoots, cela a un côté désespérant. Surtout quand votre adversaire en a mis le double.\\n\\nCourageuse, l’équipe de France a alors re-serré les boulons en défense pour revenir à 40-42 (25e). Les Russes avaient perdu toute sérénité. Alors que le Chalonnais Mathis Dossou Yovo faisait comme à chaque sortie un énorme taf en-dessous avec son compère manceau Jacques Eyoum (9 points et 9 rebonds), Joël Ayayi payait de sa personne offensivement notamment par l’intermédiaire de teardrops et c’est sur son seul trois-points du match que la France égalisait à 51 (28e). Seulement les Russes refaisaient un écart dans les deux minutes suivantes, 60-54.\\n\\nLes Russes faisaient jusque là la course en tête mais à 4’40 du buzzer, la France était revenue une nouvelle fois à égalité, 68-68, et incontestablement le momentum était pour les Bleuets. Leur défense tout terrain perturbait l’ordonnancement des Russes qui de surcroît loupaient quantité de lancers-francs. Lucas Bourhis, peu vu jusque là, apportait du jus à un moment-clé. Yohan Choupas (6 points et 8 rebonds) mérite lui aussi une mention. A 2’30 de la fin et avec un avantage de cinq points (74-69), on le sentait, le bronze était dans la poche! Et les dernières secondes ne faisaient qu’amplifier cet étonnant retournement de situation.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Yohan Choupas (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18 féminine: La France écarte la Pologne, 60-53"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après un début laborieux, les Bleuettes sont passées une première fois en tête à la 16e minute (23-22) notamment grâce à Yohana Ewodo (8 points) venue des rangs des U17 vice-championnes du monde. Mais leur maladresse (29,3%) était trop criarde pour prendre le match en main et à la mi-temps, ce sont les Polonaises qui disposaient d’une courte avance (27-26).\\n\\nOn retrouvait Yohana Ewodo et ses trois trois-points à l’origine de la petite et courte échappée française dans le troisième quart-temps (41-32). Après un rapproché polonais, les Bleuettes produisaient une deuxième accélération (52-42, 35e). Cette fois les Polonaises ne s’en remettaient pas.\\n\\nL’équipe de France aura profité de ses 9 paniers à trois-points (sur 24 shoots), de sa supériorité au rebond (45-37) et de la vitalité à l’intérieur de Nebala Fofana (16 points, 8 rebonds).\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Caroline Germond (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Marcus Dove (ex-Chalon et Gravelines) signe à Fos-sur-Mer"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Promu en Jeep Elite, Fos Provence Basket a officialisé la venue de l’ailier Marcus Dove (2,06m, 33 ans) connu en France pour avoir porté les maillots de Chalon (2014-15) et de Gravelines (2015-16). Avec l’Elan, il avait cumulé 12,6 points et 7,8 rebonds et avec le BCM, 12,5 points et 5,7 rebonds.\\n\\nDepuis deux saisons, Marcus Dove stationnait au Japon aux Kyoto Hannaryz. A Oklahoma State, il avait été élu deux fois Defensive Player of the Year de sa conference.\\n\\nPhoto: Elan Chalon\\n\\n\\n\\n\\nAlors que le thermostat frôle les 40°,le Club à le plaisir de vous annoncer la signature de Marcus Dove. 2x participant au #Allstargames lorsqu'il évoluait à @ELANCHALON & @BCMBasket\\nIl vient compléter notre raquette.#letsgoBYers @LNBofficiel\\nPlus d'informations à suivre !! pic.twitter.com/wjyeIxh18U\\n\\n\\n— FOS PROVENCE BASKET (@FosProvenceBB) August 5, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Céline Dumerc au JT en Polynésie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ancienne capitaine de l’équipe de France, Céline Dumerc, qui a signé une saison de plus à Basket Landes, organise un camp en Polynésie et en profite pour faire partager sa passion."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18: A suivre sur YouTube la finale pour la 3e place, France-Russie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FIBA propose en direct sur Youtube et en clair la finale pour la 3e place de l’Euro U18 entre la France et la Russie. C’est à 17h30.\\n\\nPhoto: Joël Ayayi (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"A 34 ans, Milko Bjelica a choisi de poursuivre sa carrière au Japon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A 34 ans, l’intérieur serbo-monténégrin Milko Bjelica (2,07m, 34 ans) quitte l’Europe et Saragosse pour le club japonais de Toyota Alvark qui est coaché par Luka Pavicevic vu à la Chorale de Roanne (2011 à 2014).\\n\\nNé à Belgrade, Milko Bjelica a été naturalisé monténégrin. Sa carrière l’a notamment emmené à Vitoria, Efes Pilsen et Darüssafaka."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18 féminin: A suivre France-Pologne sur YouTube"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"2e journée de l’Euro U18 féminin avec France-Pologne, à suivre à partir de 14h15 sur YouTube.\\n\\nPhoto: Oceane Monpierre (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18: Les highlights de la demi-finale France-Serbie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de France a pris une leçon par la Serbie en demi-finale de l’Euro U18 (67-78). En voici les morceaux choisis.\\n\\nPhoto: Marko Pecarski (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Marie-Michelle Milapie, la bleue des Bleues"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Originaire d’Amiens, Marie-Michelle Milapie (1,92m, 22 ans) porte habituellement le maillot de Basket Landes mais cette fois c’est l’équipement de l’équipe de France qu’elle a revêtu à l’occasion du premier stage en Ariège dans la perspective de la coupe du monde en Espagne. C’est ce qu’elle explique sur cette vidéo de la FFBB."
}, 
{"role": "user",     "content":"Taylor Rochestie vers la Chine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Sportando, le meneur américain au passeport monténégrin Taylor Rochestie (1,88m, 33 ans) est en passe de signer en Chine avec le club de Tianjin.\\n\\nTaylor Rochestie est connu en France pour avoir porté le maillot du Mans en 2011-12. Il était la saison dernière à l’Etoile Rouge de Belgrade où il a cumulé 13,4 points et 5,0 passes en Euroleague et 14,6 points et 5,9 passes en ABA League."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le portrait des vice-championnes du monde U17 par leur coach"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arnaud Guppillotte est un coach qui est définitivement entré dans l’histoire du basket français puisque huit ans plus tard, il a mené une deuxième fois l’équipe de France féminine U17 à une médaille d’argent au championnat du monde.\\n\\nMême si la défaite en finale face aux Etats-Unis fut cuisante (40-92), il faut mettre en exergue la performance de cette génération « 2001 » championne d’Europe U16 l’été précédent, et qui cette fois encore est demeurée invaincue avant le dernier assaut notamment en renversant une situation très compromise face à l’Australie en demi-finale au prix d’une deuxième mi-temps somptueuse (44 à 22 pour l’emporter 58-48).\\n\\nDans la deuxième partie de l’interview, le coach nous brosse le portrait de chacune de ses joueuses dont plusieurs seront certainement appelées au plus haut niveau d’ici quelques années.\\n\\n« C’est une très belle génération. C’est un plaisir de les avoir », conclue t-il.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nMarine Fauthoux, 1,76m, meneuse\\n\\n10,1 pts, 4,4 pds\\n\\nC’est une meneuse moderne, un joueuse de talent pour demain. C’est un peu le métronome, quand Marine est bien, l’équipe est bien. Elle a pris beaucoup de maturité due à sa blessure l’année dernière ; elle a développé un sens tactique supérieur pour l’organisation. Je lui ai demandé de ne pas oublier son ADN, du scoring et sa capacité à faire jouer son équipe de manière spectaculaire. Sur ce championnat du monde, elle est montée en puissance et s’est réservée un peu pour les matches à enjeu. Elle a vraiment trouvé l’espace et la manière de jouer en fonction du contexte du match. Elle a une gestion des pick and roll très mature pour son âge. Elle a la créativité, l’adresse à trois-points, elle a pris ses responsabilités. Si elle se développe normalement, c’est le meneuse du futur qui sera en A relativement rapidement. Elle a plus de talent que son père (NDLR : Freddy, ancien joueur de Pau, actuellement coach de Levallois) car elle a un niveau d’aisance exceptionnel. Elle n’a pas de faiblesse technique et tactique. Dans la compréhension du jeu, le tir, le stop tir, à droite, à gauche, les tirs sous contact, elle est capable de tout faire. Elle a un bagage technique et une aisance avec le ballon remarquables. Elle a une vraie personnalité, elle dit des choses, et c’est quelqu’un qui est éminemment facile à coacher car elle est tout le temps en connexion avec le coach. Ses faiblesses sont pour l’instant juste physiques.\\n\\nMarie Pardon, 1,76m, meneuse\\n\\n2,0 pts, 2,6 pds\\n\\nLa backup de Marine en meneuse. C’est le Mur de l’Atlantique des lignes arrières. Un énorme investissement physique, des qualités physiques impressionnantes. Elle a encore quelques manques techniques et tactiques qui se voient quand le niveau s’élève, à travailler. C’est quelqu’un dans l’équipe qui est très important car c’est une ambianceuse, qui ne triche pas sur le terrain, qui va tout faire. Quand elle fait tout bien, c’est un énorme plus et quand elle fait tout mal, elle ne gère pas trop. Elle joue trop vite par rapport à ce qu’elle est capable de faire, mais c’est l’une des joueuses sur qui il faut compter car elle a tout pour faire une excellente carrière.\\n\\nEwl Guennoc, 1,75m, meneuse\\n\\n4,3 pts, 3,3 rbds\\n\\nSon prénom se prononce « Ewel ». C’est la petite nouvelle de l’équipe. On ne l’avait pas prise l’année dernière car elle avait des problèmes de genou. Elle a profité de la blessure de Lisa Berkani à Mondeville pour s’exposer un peu en Ligue Féminine. On l’a davantage utilisé dans le registre de poste 2 car physiquement elle ne tient pas suffisamment pour les montées de balle et la pression du jeu. En plus, c’était sa première expérience. Mais par contre c’est une joueuse qui a un QI basket extraordinaire, qui comprend, qui voit tout, qui a un niveau de passe très bon, une adresse très fiable. Elle choisit très bien ses tirs et elle a une adresse de 41,2% à trois-points. Elle est adorable, une révélation.\\n\\nOlivia Yale, 1,77m, arrière\\n\\n3,3 pts\\n\\nPareil, l’année dernière elle était blessée et elle n’a pas pu jouer sa place en sélection. C’est quelqu’un qui découvrait le niveau international et qui ainsi est encore perfectible car elle n’est pas sous contrôle. Elle a de grosses qualités physiques, elle est capable de monter très haut, d’avoir beaucoup d’impact. On l’a utilisé pour son impact défensif et sa capacité à courir et à driver dans les intervalles. Elle a mis quelques tirs extérieurs, ce qui a élargi sa panoplie. Elle doit prendre encore un peu de temps pour maturer et prendre une autre dimension. Une belle surprise de manière générale car elle a plutôt confirmé ce que l’on pouvait espérer.\\n\\nZoé Wadoux, 1,78m, arrière\\n\\n11,1 pts, 30,9% trois-points\\n\\nLa french sniper. L’année dernière, c’était 65 de ses 75 tirs à trois-points. Cette année, je crois que c’est encore mieux (NDLR: en fait 65 sur 80). C’est une shooteuse pure qui n’a pas besoin de beaucoup d’espace et de temps pour tirer et c’est souvent dedans alors qu’il ne faut pas oublier qu’elle a joué avec une cheville en moins. Elle va se faire opérer. Donc elle n’était pas à 100% de ses possibilités. Elle est capable de non seulement tirer mais de faire beaucoup de choses avec le ballon. Elle est très à l’aise dans le jeu de passe. Tout le monde la considère uniquement comme une shooteuse mais ce n’est pas le cas même si c’est bien sûr ce qui la caractérise. Elle est très bien dans le jeu de transition, attaque en dribble, c’est une merveilleuse passeuse. Elle est très mature, sous contrôle car elle sait vraiment qui elle est.\\n\\nYohana Ewodo, 1,81m, arrière\\n\\n5,7 pts, 4,7 rbds\\n\\nC’est la fille de Narcisse (NDLR : ancien joueur de Pro A). Elle n’avait pas pu participer à l’Euro l’année dernière. C’est un peu le couteau suisse de l’équipe. Toutes les catégories statistiques sont remplies avec elle. Ce n’est pas la première scoreuse mais c’est beaucoup de rebonds off, beaucoup de jeu sans ballon, elle a un QI basket plutôt élevé. De temps en temps un trois-points, un rebond off, et aussi elle passe très bien la balle. Quand on regarde ses stats, c’est 8 points, 6 rebonds, 5 passes, 3 interceptions avec beaucoup d’efficacité. C’est un maillon vraiment important car elle fait le travail obscure, ce n’est pas elle qui est dans la lumière. C’est un peu Cathy Melain, pas dans le style de jeu mais dans l’idée qu’elle remplit toutes les cases. Elle va faire l’Euro U18 dans la foulée car il manquait un poste 3 dans l’équipe pour à la fois son projet de développement et servir l’équipe de France.\\n\\nAnaia Hoard, 1,81m, ailière\\n\\n3,3 pts\\n\\nElle est partie aux Etats-Unis. Elle était davantage sixième joueuse l’année dernière et là en backup. Elle n’a pas beaucoup évolué notamment défensivement. Elle a été aussi beaucoup blessée dans la campagne et elle n’a pas pu vraiment s’entraîner beaucoup et développer des choses dont on avait besoin. On l’a quand même prise car elle a un shoot très particulier, un middle range shot. Les tirs à deux-points dans l’intervalle, c’est vraiment sa spécialité, comme la finition sur du jeu rapide, du rebond off et compagnie. Elle n’a pas été beaucoup utilisée mais si elle fait une année complète d’entraînement, elle sera pas mal.\\n\\nFayzat Djoumoi, 1,85m, ailière\\n\\n1,4 pt\\n\\nUne joueuse qui vient de Mayotte. Je crois que c’est la première qui vient de là-bas. Elle a un déficit de culture basket, encore des lacunes techniques et tactiques, de concentration, mais elle a des qualités physiques, d’explosivité, de vitesse. Elle a pris des rebonds, elle a couru, posé des écrans, fait ce que l’on attendait d’elle. Elle est en développement, ça progresse de mois en mois, de semaine en semaine. Avec la concurrence des joueuses intérieures, elle avait un rôle de backup. Elle a été positive dans sa façon d’être.\\n\\nKendra Chéry, 1,85m, ailière\\n\\n9,0 pts, 5,9 rbds, 2,4 ints\\n\\nElle a fait un très bon championnat du monde. Ses statistiques ne sont pas sur ses standards car offensivement, elle a été beaucoup en échec. Je crois qu’elle s’est mis de la pression au niveau du scoring. Par contre elle a un abattage extraordinaire au rebond, défensivement, dans l’impact physique, dans la capacité à shooter à trois-points, elle peut jouer 3, 4, 5. De grosses qualités.\\n\\nJanelle Salaun, 1,87m, ailière forte\\n\\n5,1 pts, 4,7 rbds\\n\\nComme Yohana Ewodo, elle va faire l’Euro U18. On réfléchit aux doublements pour ne pas surcharger les joueuses durant l’été. On aurait pu penser qu’une Zoe (Wadoux), une Iliana (Rupert) ou une Marine (Fauthoux) pouvaient doubler plus facilement mais c’était leur ajouter une charge de travail alors qu’elles sont déjà très sollicitées de partout toute l’année. C’est aussi plutôt servir les postes défaillants en U18 et aussi proposer des projets de développement à des joueuses qui le méritent et qui en ont besoin. Janelle est une joueuse nouvelle sur le marché puisqu’elle n’a pas fait de pôle espoir. Elle sort un peu de nulle part, elle n’a pas beaucoup de culture basket et il faut lui en donner en permanence. Et faire une campagne c’est cinq mois de formation gagnés.\\n\\nEve De Christophie Mahoutou, 1,82m, ailière forte\\n\\n2,6 pts\\n\\nC’est notre Ngolo Kante de l’équipe (NDLR : footballeur champion du monde). Je l’ai prise en préparation en lui disant « je ne sais pas jusqu’à quand mais joue ta chance, on verra ce que cela donne. » Elle a joué sans se poser de question. C’est un petit modèle, une petite Charles Barkley, qui a une générosité extraordinaire, qui n’a pas beaucoup de talent mais par contre qui sait exactement qui elle est, et surtout qui elle n’est pas. On lui dit de se contenter des paniers qu’elle sait mettre sans trop de difficultés et elle fait ça à la perfection. C’est la bonne surprise. Elle va intégrer l’effectif de Charleville la saison prochaine.\\n\\nIliana Rupert, 1,94m, pivot\\n\\n10,2 pts, 8,8 rbds, 2,3 ints, 2,3 ctrs\\n\\nL’intérieure du futur. A 17 ans Sandrine Gruda n’avait pas la moitié des qualités techniques qu’elle a. Iliana a un fort QI basket, c’est une deuxième meneuse sur le terrain. C’est une 5 qui joue comme une 4 et qui pourrait presque jouer 3. C’est une sorte de 543 ou de 453. Elle passe le ballon comme une poste 4, elle peut tirer à trois-points, elle joue posté, elle peut driver de l’extérieur. Défensivement, elle paraît lente mais elle anticipe tout. C’est son développement physique qui maintenant lui fera franchir tous les caps. Pour l’Euroleague, elle aura besoin d’un temps d’adaptation sur le plan physique. Elle va découvrir les impacts, un peu comme Alexia Chartereau l’année dernière. Mais elle s’est toujours adaptée. Quand elle a découvert la Ligue 2 cette année, elle a mis deux mois à s’adapter à la capacité physique des intérieures, à pouvoir lutter contre elles et après elle a fait des double double. C’est juste un problème physique et d’adaptation, c’est tout. En plus, c’est une super gamine. Elle est adorable !\\n\\n[armelse]\\n\\nMarine Fauthoux, 1,76m, meneuse\\n\\n10,1 pts, 4,4 pds\\n\\nC’est une meneuse moderne, un joueuse de talent pour demain. C’est un peu le métronome, quand Marine est bien, l’équipe est bien. Elle a pris beaucoup de maturité due à sa blessure l’année dernière ; elle a développé un sens tactique supérieur pour l’organisation. Je lui ai demandé de ne pas oublier son ADN, du scoring et sa capacité à faire jouer son équipe de manière spectaculaire. Sur ce championnat du monde, elle est montée en puissance et s’est réservée un peu pour les matches à enjeu. Elle a vraiment trouvé l’espace et la manière de jouer en fonction du contexte du match. Elle a une gestion des pick and roll très matures pour son âge. Elle a la créativité, l’adresse à trois-points, elle a pris ses responsabilités. Si elle se développe normalement, c’est le meneuse du futur qui sera en A relativement rapidement. Elle a plus de talent que son père (NDLR : Freddy, ancien joueur de Pau, actuellement coach de Levallois) car elle a un niveau d’aisance exceptionnel. Elle n’a pas de faiblesse technique et tactique. Dans la compréhension du jeu, le tir, le stop tir, à droite, à gauche, les tirs sous contact, elle est capable de tout faire. Elle a un bagage technique et une aisance avec le ballon remarquables. Elle a une vraie personnalité, elle dit des choses, et c’est quelqu’un qui est éminemment facile à coacher car elle est tout le temps en connexion avec le coach. Ses faiblesses sont pour l’instant juste physiques.\\n\\nMarie Pardon, 1,76m, meneuse\\n\\n2,0 pts, 2,6 pds\\n\\nLa backup de Marine en meneuse. C’est le Mur de l’Atlantique des lignes arrières.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18: Dominés par la Serbie, les Bleuets chercheront à gagner le bronze demain face à la Russie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Français ont été éliminés en demi-finale de l’Euro U18 par la Serbie, championne en titre, incontestablement supérieure (78-67). Marko Pecarski (27 points à 10/15 aux tirs et 12 rebonds) et Filip Petrusev (9 points, 7 rebonds et 6 passes) ont comme prévu fait un gros chantier.\\n\\nOn a tout de suite constaté que l’intérieur du Partizan Belgrade Marko Pecarski, 2,08m, fils de Miroslav un temps passé par Cholet, muni d’un imposant bandeau blanc et à l’air vaguement tristounet, posait des problèmes insolubles aux Français: 9 points et 5 rebonds dans le premier quart-temps. Malgré l’énergie de Mathis Dossou Yovo (9 points et 9 rebonds en première mi-temps), ceux-ci étaient dominés dans la peinture.\\n\\nPour le reste, les Serbes étaient bien organisés des deux côtés du terrain et transformaient les shoots ouverts (62,9% de réussite en première mi-temps contre 34,3% aux Français). Si bien qu’après les avoir contenu entre 6 et 10 points, les Bleuets s’affaissaient dans les dernières minutes de la première mi-temps et l’écart devenait très handicapant (30-44, 20e).\\n\\nLa situation ne faisait qu’empirer au retour des vestiaires et l’écart montait à une vingtaine de points. Les Serbes faisaient preuve d’une régularité de métronomes à la finition. Alors que les joueurs du banc avaient investi le parquet, les Bleuets qui n’ont jamais baissé les bras ont donné au score final une ampleur plus présentable. Avec 9 passes et 5 interceptions en plus de ses 6 passes, Timothé Crusol s’est mis en évidence.\\n\\nLes Serbes sont les favoris à leur propre succession même si les Lettons pourront compter demain sur le soutien de leur public en finale.\\n\\nLa France affrontera la Russie pour la médaille de bronze. En poule, les Russes se sont imposés 82-80.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\n\\n\\n\\n.@markopecarski15 💪 #FIBAU18Europe @KSSrbije 🇷🇸\\n\\n\\n📺 https://t.co/mFk0a1wENm pic.twitter.com/xDCNpWfCfl\\n\\n\\n— FIBA (@FIBA) August 4, 2018\\n\\nPhoto: Karlton Dimanche (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Quand les Bleues se font des sensations fortes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour souder un groupe, il faut parfois accepter de changer d’univers et se faire violence; la preuve dans cette « Minute Inside » des Bleues en préparation pour la coupe du monde."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18 féminines: Pour son entrée en piste, la France s’offre la Russie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors de cette première journée de l’Euro U18 féminines, les Bleuettes ont longtemps été sous la menace des Russes (+1 après trois quart-temps) avant de faire la différence dans les dernières minutes (57-50).\\n\\nC’est la meneuse Caroline Germond qui a été la plus complète (11 points, 3 rebonds, 2 passes et 4 interceptions) alors que la pivot Nabala Fofana scorait 12 points et que la shooting guard Yohana Ewodo, déjà vice-championne du monde U17 assurait 9 points et 6 rebonds. Leur pression défensive a permis aux Françaises de réaliser 15 interceptions.\\n\\nLa France va se mesurer demain à la Pologne et lundi à l’Irlande.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Nabala Fofana (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nationale 1: Vers un maintien de Orchies?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le BC Orchies qui a connu de sévères problèmes financiers pense avoir obtenu la mansuétude de la FFBB suite à l’appel effectué auprès du Tribunal du Sport et ainsi conserver sa place en Nationale 1. C’est ce que son président Frédéric Szymczak a déclaré à La Voix du Nord.\\n\\n« Les membres du tribunal administratif nous ont semble-t-il entendus. Nous avons présenté les efforts accomplis et ceux à venir pour atteindre une situation financière correcte et saine. Ils nous ont demandé de continuer avec la même détermination et surtout d’encadrer sérieusement et avec beaucoup de rigueur notre masse salariale. »\\n\\nSi le BCO obtient effectivement gain de cause, il lui faudra repasser sous les fourches caudines en décembre."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18: A suivre la demi-finale France-Serbie sur Youtube"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le groupe Canal+ possède les droits sur les championnats d’Europe de jeune et donc pourrait retransmettre la demi-finale de l’Euro U18, France-Serbie, sur ses réseaux. Sinon le match sera disponible sur la chaîne YouTube de la FIBA à 19h45.\\n\\nDepuis le début du tournoi les Serbes en sont à 4 victoires et une défaite contre 3-2 aux Français. Les Serbes présentent des statistiques supérieures dans à peu près tous les domaines, notamment à l’adresse aux tirs (57,7 contre 53), aux rebonds (46-38), et aux points dans la raquette (58,4 contre 43,2). C’est bien là que ce situe le danger majeur. Deux joueurs sont à surveiller particulièrement, Marko Pecarski, un power forward de 2,08m, et Filip Petrusev, un pivot de 2,11m. Ceux-ci possèdent la particularité d’être actuellement les deux meilleurs marqueurs du tournoi avec 22,4 et 22,2 points, et alors que Pecarski est le top rebondeur (10,4), Petrusev est 3e dans la catégorie (8,8).\\n\\nPhoto: Mathis Dossou Yovo (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18 féminin: Suivre le match d’ouverture France-Russie sur YouTube"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le championnat d’Europe U18 féminin débute aujourd’hui en Italie. L’équipe de France affronte à 16h30 la Russie. C’est à suivre sur YouTube.\\n\\nPhoto: Kenza Salgues, Caroline Germond et Océane Monpierre (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18: Avec 9 interceptions, Karlton Dimanche frôle le record de Danilo Gallinari et Andrei Kirilenko"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Choletais Karlton Dimanche (1,93m) a réussi deux exploits statistiques lors du quart-de-finale de l’Euro U18, France-Monténégro (76-74 en prolongations).\\n\\nEn 37 minutes de temps de jeu, le meneur français a frôlé le triple double avec 11 points, 11 rebonds et 9 interceptions.\\n\\nCe sont bien entendu ses 9 interceptions qui frappent les esprits. Le site ProBallers a annoncé qu’il s’agit de la deuxième performance dans tous les temps en U18 derrière les 10 steals de l’Italien Danilo Gallinari et du Russe Andrei Kirilenko.\\n\\nKarlton Dimanche avait déjà réalisé 7 interceptions face à la Russie et tourne ainsi à la moyenne de 4,2 depuis le début du tournoi. Il est le numéro un de la spécialité."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Jaysean Paige, le top scoreur du Royaume Uni avec Chartres"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour sa montée en Pro B, Chartres Basket a engagé le meneur américain Jaysean Paige (1,88m, 24 ans) qui avec 21,7 points (35,5% à trois- points) était le meilleur marqueur de la British Basketball League sous le maillot de Newcastle. Paige a effectué une saison très complète puisqu’il a assuré en sus 5,6 passes (8e de la ligue), 4,8 rebonds et 2,1 interceptions (1er). Il a été élu Player of the Year par la British Basketball Journalists Association.\\n\\nSorti de West Virginia en 2006, Jaysean Paige a joué précédemment en Allemagne (Erfurt) et en Macédoine (Karpos Skopje)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les poules et les calendriers des championnats nationaux ont été dévoilés"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Commission Fédérale des Compétitions de la FFBB a dévoilé les poules et les calendriers des équipes engagées en Championnat de France pour la saison 2018/2019.\\n\\nNationale Masculine 1\\n\\nNationale Masculine 2\\n\\nNationale Masculine 3\\n\\nLigue Féminine 2\\n\\nNationale Féminine 1\\n\\nNationale Féminine 2\\n\\nNationale Féminine 3\\n\\nNationale Masculine U15 Elite\\n\\nNational Masculine U18 Elite\\n\\nNationale Féminine U15 Elite\\n\\nNationale Féminine U18 Elite"
}, 
{"role": "user",     "content":"Suisse : Manu Schmitt retourne en Suisse, au BBC Monthey"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Non conservé dans la cession des droits sportifs du HTV au Paris Basketball, Manu Schmitt (51 ans) va faire son retour dans le pays où il a exercé pendant quatorze ans entre 2003 et 2017, la Suisse.\\n\\nSon agent, Sevag Keucheyan, a annoncé que l’ancien sélectionneur de la Suisse s’est engagé pour les trois prochaines saisons avec le BBC Monthey.\\n\\nLa saison dernière en France et malgré un bon début de saison, l’ancien entraîneur de l’Elan Chalon n’a pas pu éviter la relégation du HTV en Pro B.\\n\\n\\n\\n\\nThrilled to announce that Manu Schmitt is the new Head Coach of BBC Monthey @bbcmonthey for the next 3 seasons @Swiss_Basket#KeucheyanSportsMngmt pic.twitter.com/2DUZF4nVdJ\\n\\n\\n— Sevag Keucheyan (@SevagKeucheyan) August 3, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Adas Juskevicius arrive à Nanterre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pascal Donnadieu aime tout particulièrement les joueurs adroits de loin et il vient d’accomplir le recrutement d’Adas Juskevicius (1,94m, 29 ans), réputé dans l’exercice, annonce le club.\\n\\nInternational lituanien, le natif de Kaunas arrive en provenance du Galatasaray où il a terminé la saison. Avant cela, il a commencé la saison dans son pays, sous les couleurs du Lietkabelis. Champion de Lituanie avec le Zalgiris Kaunas en 2013, l’ancien joueur du Zalgiris a principalement passé sa carrière sur sa terre natale. Il a tout de même connu quelques expériences à l’étranger, à Bremerhaven (Allemagne), Saragosse (Espagne) et donc Galatasaray (Turquie).\\n\\nLa saison dernière, Adas Juskevicius compilait en moyenne 12,4 points (45% de réussite à trois points), 3 rebonds et 2,4 passes décisives par match entre la Turquie et la Lituanie.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Bathiste Tchouaffe passe de Nanterre à Bourg-en-Bresse"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bathiste Tchouaffe (1,97m, 20 ans) ne portera plus les couleurs de Nanterre la saison prochaine.\\n\\nLa JL Bourg vient d’annoncer la signature de l’international français pour les trois prochaines saisons. Après avoir terminé sa formation pendant quatre ans à l’INSEP, le natif de Poitiers a décidé de faire confiance à Nanterre et Pascal Donnadieu pour se lancer dans le monde professionnel. En avril dernier, l’ancien joueur du Centre Fédéral a participé au Nike Hoop Summit, après lequel il nous avait accordé une interview.\\n\\nLa saison dernière, Bathiste Tchouaffe compilait en moyenne 2,7 points et 1,1 rebond en 9,8 minutes de jeu entre la Jeep Elite et la Champions League.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Warren Niles rejoint Poitiers"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Poitiers continue son recrutement avec l’arrière Warren Niles (1,96m , 28 ans). Il arrive en provenance de Boulogne-sur-Mer en Nationale 1.\\n\\nSur son site, le PB86 vient d’annoncer la signature de l’arrière américano-anglais pour l’exercice 2018/19. Passé par l’Italie, le Mexique et la Suisse, il va vivre sa première expérience en Pro B.\\n\\nLa saison dernière, Warren Niles compilait en moyenne 16 points et 4,2 rebonds pour une évaluation de 14,7 en NM1.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : JP Carlier/SOMB"
}, 
{"role": "user",     "content":"EDF U18 : les Bleuets se qualifient pour la demi-finale du championnat d’Europe après prolongation !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En Lettonie pour le championnat d’Europe U18, l’Equipe de France affrontait le Monténégro cet après-midi en quart de finale de la compétition.\\n\\nNotamment portés par la présence au rebond et au scoring de Mathis Dossou Yovo et par l’adresse à trois points de Yohan Choupas (17 points à 5/8 derrière l’arc), les Bleuets l’ont emporté dans les derniers instants et après une prolongation face au Montenegro (76-74)\\n\\nMeilleur joueur de la partie, Mathis Dossou Yovo a été très précieux au rebond et a conjugué 20 points et 13 rebonds dont 5 offensifs pour une évaluation de 25.\\n\\nEn demi-finale, la France affrontera l’Allemagne ou la Serbie samedi à 19h45.\\n\\nLa boxscore est ici..\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Levallois recrute l’international croate Roko Ukic"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Meneur de jeu référencé en Europe, Roko Ukic (1,96m, 33 ans) est la nouvelle recrue des Levallois Metropolitans.\\n\\nSur Twitter, les Levallois Metropolitans ont annoncé la signature du natif de Split pour la saison prochaine. International Croate, il est notamment passé par le FC Barcelone, Fenerbahce, le Panathinaïkos, Varese, Cantu ou encore l’AEK Athènes. Il a également gouté à la NBA avec es Toronto Raptors et les Milwaukee Bucks.\\n\\nLa saison dernière, il évoluait sous le maillot du Cedevita Zagreb avec qui il a été sacré champion de Croatie il y a quelques mois. Il va vivre sa première expérience en France après avoir joué dans la plupart des grands championnats européens.\\n\\nLa saison dernière, Roko Ukic compilait en moyenne 9,6 points, 2,1 rebonds et 3,9 passes décisives avec le Cedevita.\\n\\n\\n\\n\\n🔥NEWS !🔥 #Transferts\\nLe joueur Croate Roko Ukic (@RokoLeni10) vient compléter l’effectif des @LevalloisMetro ! #GoLM\\n➡https://t.co/WJNQsfNXQ6\\n\\n\\nCrédit Photo : Igor Kralj pic.twitter.com/ngh6IbA0Mx\\n\\n\\n— Boulogne-Levallois Metropolitans 92 (@Metropolitans92) August 3, 2018\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Brandon Spearman arrive à Orléans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Orléans vient de mettre la main sur un nouvel arrière américain pour la saison prochaine, Brandon Spearman (1,91m, 27 ans).\\n\\nDiplômé de l’université d’Hawaii, il arrive dans le Loiret en provenance de la Croatie. Après avoir commencé la saison à Iéna, en Allemagne, il quitte la Bundesliga au bout de 17 matchs pour s’engager avec Pardubice, en première division croate. A l’image de son nouveau coéquipier à l’OLB, Michael Fakuade, Brandon Spearman a dû monter les échelons uns à uns depuis la troisième division allemande.\\n\\nLa saison dernière, il compilait en moyenne 13,2 points, 3,2 rebonds et 1,5 passe décisive entre l’Allemagne et la Croatie."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Bernard King prolonge à Quimper"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’UJAP Quimper vient d’annoncer la prolongation de contrat de Bernard King (1,96m, 37 ans).\\n\\nLe vétéran qui a été décisif dans le maintien du club breton en Pro B sera toujours sous les ordres de Laurent Foirest à la rentrée. Sous le maillot de Quimper, il compilait en moyenne 12,7 points et 5,1 passes décisives pour 13,5 d’évaluation.\\n\\nPhoto : UJAP Quimper"
}, 
{"role": "user",     "content":"Champion de Bulgarie, Omari Gudul est le nouvel intérieur de l’ADA Blois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Loin de sa bataille avec la LNB et la FFBB, l’ADA Blois continue son recrutement et annonce aujourd’hui la signature de son nouvel intérieur, Omari Gudul (2,06m, 24 ans).\\n\\nPassé par Angelo State en NCAA II, le natif de Kinshasa sort d’une saison partagée entre Badalone et Sofia, où il a été sacré champion de Bulgarie. C’est d’ailleurs en Bulgarie qu’il a lancé sa carrière en 2016, à Stara Zagora. Il sera, à Blois, la doublure de Joe Burton.\\n\\nLa saison dernière, Omari Gudul compilait en moyenne 9,2 points et 4,8 rebonds dans le championnat bulgare.\\n\\nMickaël Hay, l’entraîneur de l’ADA Blois s’est exprimé sur son nouveau joueur.\\n\\n« Nous avons découvert le profil d’Omari cet été, c’est un bon complément à Joe avec beaucoup de mobilité et de dynamisme. Il a un bon sens du rebond et une capacité à être efficace lors de ses passages sur le parquet. C’est un jeune joueur qui conserve une vraie marge de progression, nous sommes très contents de pouvoir travailler avec lui cette saison. »\\n\\nPhoto : Levski Lukoil"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Mardy Collins est de retour à Strasbourg !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est officiel, Mardy Collins (1,98m, 33 ans), celui qui a mené la SIG jusqu’en finale de l’Eurocup en 2016 est de retour à Strasbourg.\\n\\nVia un clip vidéo, le club strasbourgeois a confirmé la rumeur qui a annonçait le retour du natif de Philadelphie en Alsace. Il s’est engagé pour deux ans.\\n\\n« SIG Army, êtes-vous prête ? Je suis de retour ! », a conclu le principal intéressé.\\n\\nLa saison dernière, Mardy Collins compilait en moyenne 13,1 points, 4 rebonds et 3,7 passes décisives pour une évaluation de 12,9 en VTB League, et 10 points, 4,1 rebonds et 3,5 passes décisives pour une évaluation de 9,9.\\n\\nPhoto : SIG Strasbourg"
}, 
{"role": "user",     "content":"Triple champion d’Euroleague, Stratos Perperoglou en direction de l’Etoile Rouge"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison en Israël, Stratos Perperoglou (2,03m, 33 ans) devrait poursuivre sa carrière en Serbie.\\n\\nSelon Eurohoops, l’Etoile Rouge de Belgrade aurait convaincu l’ancien joueur du Panathinaïkos de rejoindre ses rangs pour la saison prochaine. Passé par le Pana, l’Olympiakos, l’Anadolu Efes, le FC Barcelone et l’Hapoel Jerusalem, l’international grec possède un palmarès qui parle pour lui : triple champion d’Euroleague, quatre fois champion de Grèce, triple vainqueur de la coupe de Grèce ou encore six fois All Star du championnat grec.\\n\\nA l’Etoile Rouge, il disputera l’Eurocup et retrouvera le coach Milan Tomic. Lors du sacre de l’Olympiakos en 2013, le technicien serbe était l’assistant de Georgios Bartzokas.\\n\\nLa saison dernière à Jérusalem, Stratos Perperoglou compilait en moyenne 10,3 points, 3,7 rebonds et 1,3 passe décisive en championnat, et 8,2 points, 3,2 rebonds et 1,3 passe décisive pour une évaluation de 7,9 en Eurocup.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"1 million d’euros la saison pour Isaiah Whitehead, le nouvel américain du Lokomotiv Kuban"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Inconnu en Europe, Isaiah Whitehead (1,93m, 23 ans) devrait rejoindre le Lokomotiv Kuban pour un contrat très intéressant.\\n\\nSelon Eurohoops, le New-yorkais se serait engagé avec le club et devrait toucher la coquette somme d’un million d’euros sur la saison. Passé par l’université de Seton Hall, il a lancé sa carrière professionnelle en 2016 après avoir été drafté par les Brooklyn Nets au deuxième tour. Pour sa première expérience loin des Etats-Unis, il va rejoindre le finaliste de la dernière édition de l’Eurocup et évoluera en VTB League et Eurocup à la rentrée.\\n\\nPleinement intégré dans l’effectif des Nets en 2016/17 en disputant 73 rencontres sur 82 et en tournant à plus de 7 points, 2 rebonds et 2 passes, il a été beaucoup moins utilisé la saison dernière et a passé le plus clair de son temps en G-League.\\n\\nLa saison dernière, il compilait en moyenne 6,2 points, 1,6 rebond et 1,2 passe décisive en 16 matchs en NBA, 22,2 points, 3,7 rebonds et 3,5 passes décisives en G-League."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Ian Hummer est le nouvel Américain de Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’AS Monaco continue de se renforcer avec l’arrivée d’un nouvel intérieur américain, Ian Hummer (2,01m, 27 ans).\\n\\nSur son site, la Roca Team a annoncé la signature de l’ancien pensionnaire Princeton qui s’est engagé pour une saison. Avant d’arriver en Principauté, l’ancien lycéen de Gonzaga est passé par Ulm (Allemagne), Loimaa (Finlande), Göttingen (Allemagne), Ankara (Turquie) et donc Saratov (Russie). Avec Monaco, il découvrira la Jeep® ÉLITE et fera son retour en Eurocup après y avoir gouté en 2014.\\n\\nLa saison dernière, Ian Hummer compilait en moyenne 10,2 points et 4,4 rebonds pour une évaluation de 11,6 en VTB League.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : Avtodor Sarotov"
}, 
{"role": "user",     "content":"David Pick, le plus fameux journaliste faiseur de scoops en Europe va devenir agent !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Depuis une dizaine d’années, le journaliste David Pick est spécialisé dans le basket international et c’est une véritable machine à scoops qu’il livre quotidiennement sur son compte twitter. BasketEurope a par ailleurs fait appel à ses services pour réaliser une interview d’Antoine Rigaudeau.\\n\\nCependant, Pick a décidé de quitter cette vie et de faire un changement de carrière audacieux. Il a raconté à HoopsHype qu’il prend sa retraite du journalisme pour devenir un agent pour les joueurs étrangers. Il n’est pas encore certifié, mais il a l’intention de déposer les documents nécessaires cette semaine pour commencer ce processus.\\n\\nPourquoi David Pick change t-il de métier? En fin de saison dernière, il contacte un agent en vue d’avoir des infos sur l’un de ses joueurs (Il estime qu’il envoie environ 500 messages WhatsApp par jour!). Alors que cette conversation a commencé comme beaucoup d’autres, l’agent s’est énervé et a dit qu’il n’avait pas le temps de discuter. Pick continua de chercher des informations, mais l’agent frustré ne lui dit rien. Enfin, l’agent a dit huit mots qui ont changé la façon dont Pick a vu sa carrière.\\n\\n« Tu chasses les tweets. Je chasse l’argent! »\\n\\nCette réflexion a chamboulé David Pick qui et à 30 ans, marié avec deux enfants, il a donc choisi une voie plus lucrative que le journalisme !"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18: Le quart-de-finale France-Monténégro à 13h00 sur YouTube"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le quart-de-finale du championnat d’Europe U18, France vs Monténégro, est à suivre en direct sur YouTube à 13h00.\\n\\nPhoto: Timothé Crusol (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"3×3: Les deux équipes de France U23 sont connues"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après un stage à Voiron, les 1er et 2 septembre, les deux équipes de France 3×3 U23 seront à Debrecen, en Hongrie, pour la Nations League avant de prendre part à la coupe du monde en Chine.Equipe de France 3×3 U23 masculine\\n\\n\\n\\n\\nDUSSOULIER\\nLucas\\n27/07/1996\\nEB Pau-Lacq-Orthez\\n\\n\\nEBOH\\nTim\\n12/11/1997\\nCSP Limoges\\n\\n\\nPONTENS\\nCharly\\n13/07/1995\\nADA Blois Basket 41\\n\\n\\nSEGUELA\\nFrank\\n30/05/1997\\nCognac Charente Basket Ball\\n\\n\\nSEYMOUR\\nJim\\n19/04/1996\\nPoitiers Basket 89\\n\\n\\n\\n\\nEquipe de France U23 féminine\\n\\n\\n\\n\\nHERIAUD\\nCaroline\\n22/12/1996\\nRoche Vendée BC\\n\\n\\nKONE\\nAssitan\\n23/04/1995\\nBasket LAttes Montpellier\\n\\n\\nMANE\\nMarie\\n12/12/1995\\nBasket Lattes Montpellier\\n\\n\\nMAJEKODUNMI\\nVictoria\\n30/12/1996\\nLanderneau Basket Club\\n\\n\\nMOSENGO-MASA\\nCatherine\\n19/04/1996\\nUSO Mondeville Basket\\n\\n\\n\\n\\nEntraineurs : Karim Souchu, Yann Julien\\n\\nStage à Voiron du 29 au 31 août\\n\\nNation League à Debrecen (Hongrie) du 1er au 2 septembre\\n\\nCoupe du Monde à Xi’an (Chine) du 3 au 7 octobre\\n\\nCharly Pontens: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’international finlandais Jamar Wilson (ex-Nanterre) part en Lituanie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison à Nanterre, l’Américano-finlandais Jamar Wilson (1,85m, 34 ans) rejoint la Lituanie et le KK Lietkabelis.\\n\\nLe meneur international finlandais sort d’une saison à 9,0 points, 1,9 passe en 19′ avec l’équipe de Pascal Donnadieu. Lietkabelis a terminé 4e de la dernière saison de LKL et a été éliminé en demi-finale des playoffs par le Zalgiris Kaunas.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Sergio Scariolo sera toujours le coach de l’équipe nationale tout en étant assistant aux Raptors"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sergio Scariolo, 57 ans, va continuer à être le coach de la sélection espagnole tout en devenant assistant aux Toronto Raptors.\\n\\nL’Italien a obtenu l’autorisation de la franchise canadienne de continuer à s’occuper de la selección lors des fenêtres de septembre, novembre et février. Il en est le boss depuis 2015 après une période allant de 2009 à 2012.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16: La liste des 12 Bleus dévoilée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La liste des 12 joueurs qui participeront au Championnat d’Europe U16 en Serbie du 10 au 18 août a été dévoilée par le coach Bernard Faure et son staff.\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPrénom\\nNé le\\n\\n\\n\\nTaille\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\nBALFOURIER\\nNaoll\\n14/07/2003\\n212\\nCFBB (CEP Poitiers)\\n\\n\\nBATCHO\\nDaniel\\n10/01/2002\\n203\\nCFBB (SC Charenton SM)\\n\\n\\nBEAUFORT\\nLucas\\n24/05/2002\\n189\\nStrasbourg IG\\n\\n\\nBEGARIN\\nJuhann\\n07/08/2002\\n192\\nCFBB (ASVEL)\\n\\n\\nCOSSE\\nHugo\\n19/08/2002\\n192\\nCFBB (Rennes PA)\\n\\n\\nDEMAHIS BALLOU\\nRudy\\n26/02/2002\\n187\\nCFBB (SPO Rouen)\\n\\n\\nDIABATE\\nMoussa\\n01/11/2002\\n207\\nFlorida (Prep School)\\n\\n\\nFRISCH\\nClément\\n07/01/2002\\n188\\nStrasbourg IG\\n\\n\\nLESMOND\\nLouis\\n06/01/2002\\n190\\nCFBB (Hyères Toulon)\\n\\n\\nMAGASSA\\nIbrahim\\n09/05/2002\\n182\\nTorrelodones (Espagne)\\n\\n\\nOUEDRAOGO\\nYvan\\n22/03/2002\\n201\\nCFBB (JSA Bordeaux)\\n\\n\\nTCHICAMBOUD\\nJayson\\n28/01/2002\\n191\\nStrasbourg IG\\n\\n\\n\\n\\nEntraineur : Bernard Faure\\n\\nAssistants : Jean-Pascal Boisse et Fabien Perrigault\\n\\nStage à Londres (Grande Bretagne) du 3 au 6 août 2018\\n\\nStage à Novi Sad (Serbie) du 7 au 9 août\\n\\nChampionnat d’Europe à Novi Sad (Serbie) du 10 au 18 août\\nVendredi 10 août à 20h30 : France – Italie\\nSamedi 11 août à 18h15 : Géorgie – France\\nDimanche 12 août à 16h00 : France – Estonie\\nMardi 14 août : Huitièmes de finale\\nMercredi 15 août : Quarts de finale\\nVendredi 17 août : Demi-finales\\nSamedi 18 août : Finale\\n\\nPhoto: Daniel Batcho (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Kenny Chery arrive à Boulazac"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est la deuxième recrue de la journée du côté de Boulazac. Après Akil Mitchell, Kenny Chery (1,80m, 26 ans) s’est engagé avec le BBD.\\n\\nSur son site, le Boulazac Basket Dordogne annonce la signature de ce meneur francophone, né à Montréal. Diplôme de l’université de Baylor, il a lancé sa carrière professionnelle en Hongrie en 2015/16 avant de rejoindre la Liga Endesa un an plus tard, à Séville. Après une saison dans le Sud de l’Espagne, l’ancien joueur de l’Alba Fehervar a rejoint le Gipuzkoa Basket pour l’exercice 2017/18.\\n\\nLa saison dernière, Kenny Chery compilait en moyenne 13,6 points, 3,3 rebonds et 2,2 passes décisives en ACB.\\n\\nPhoto : En Cacha"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep® ÉLITE : Boulazac engage Akil Mitchell"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En France en 2015/16, Akil Mitchell (2,03m, 26 ans) va faire son retour en France à la rentrée, à Boulazac, indique le club.\\n\\nAprès une saison en Nouvelle-Zélande et une en G-League, le natif de Charlotte va vivre une nouvelle saison en Jeep Elite après avoir passé un an à Antibes.\\n\\nLa saison dernière, Akil Mitchell compilait en moyenne 8,5 points et 6,8 rebonds en G-League.\\n\\n\\n\\n\\nBienvenue à Akil Mitchell @ajmitchell25 nouvelle recrue du @BoulazacBasketD #JeepELITE #LNB #Périgord #GoBBD #basketball pic.twitter.com/NVmByUDeag\\n\\n\\n— BoulazacBasketD (@BoulazacBasketD) August 2, 2018\\n\\nPhoto : Long Island Nets"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : vers un retour de Mardy Collins à Strasbourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A Strasbourg en 2015/16, Mardy Collins (1,98m, 33 ans) serait sur le point de faire son retour en Alsace dans les prochains jours.\\n\\nSelon Eurohoops, le natif de Philadelphie aurait choisi de revenir à la SIG et se serait engagé sur un contrat de deux ans. Après avoir terminé finaliste d’Eurocup avec le club strasbourgeois en 2016, l’ancien joueur de l’Olympiakos a rejoint les rangs du Lokomotiv Kuban. Il y a passé deux ans et a une nouvelle fois atteint la finale de l’Eurocup en juin 2018, mais a une nouvelle fois perdu cette fois face au Darussafaka.\\n\\nLa saison dernière, Mardy Collins compilait en moyenne 13,1 points, 4 rebonds et 3,7 passes décisives pour une évaluation de 12,9 en VTB League, et 10 points, 4,1 rebonds et 3,5 passes décisives pour une évaluation de 9,9.\\n\\nAprès avoir attiré le meneur de jeu Mike Green, Vincent Collet s’intéresse donc à un autre joueur reconnu en Europe qui pourra apporter toute son expérience à l’effectif strasbourgeois.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Arnaud Guppillotte (coach des U17 féminines): «A leur trial en mars, les Américains ont 280 joueusespour faire une sélection de 12. Alors que moi quand je fais une détection large, j’ai 24 joueuses»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arnaud Guppillotte est un coach qui est définitivement entré dans l’histoire du basket français puisque huit ans plus tard, il a mené une deuxième fois l’équipe de France féminine U17 à une médaille d’argent au championnat du monde.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nMême si la défaite en finale face aux Etats-Unis fut cuisante (40-92), il faut mettre en exergue la performance de cette génération « 2001 » championne d’Europe U16 l’été précédent, et qui cette fois encore est demeurée invaincue avant le dernier assaut notamment en renversant une situation très compromise face à l’Australie en demi-finale au prix d’une deuxième mi-temps somptueuse (44 à 22 pour l’emporter 58-48).\\n\\nDans la première partie de cette interview, le coach nous livre son analyse pertinente du tournoi et aussi du modèle américain si singulier. Dans une seconde, il nous brossera le portrait de chacune de ses joueuses dont plusieurs seront certainement appelées au plus haut niveau d’ici quelques années.\\n\\nQu’avez-vous dit à vos joueuses à la mi-temps de la demi-finale contre l’Australie ? On vous a certainement posé cette question à de multiples reprises depuis votre retour !\\n\\n(Rires) Effectivement, c’est une question que l’on m’a beaucoup posé. Cela a été magique dans le résultat mais pas dans la formule. On avait plus un problème d’attitude, d’engagement que de basket. Le basket que l’on proposait était celui que l’on devait faire mais il n’y avait pas le petit plus et il a fallu faire comprendre à ces jeunes filles que si on continuait à jouer de cette manière-là, il n’y avait qu’une seule certitude, la défaite. Il a fallu changer la manière de jouer et aussi les contenus puisqu’on était dans une spirale négative. On pensait que l’Australie était un pays anglo-saxon avec des plans, des systèmes bien établis et que si on changeait les choses, qu’on les surprenait, ça pouvait marcher. Il y avait besoin aussi de faire croire aux filles que ça allait marcher. Je suis allé les chercher avec, je l’avoue, des mots un peu fleuris. Il fallait qu’elles enlèvent le balai qu’elles avaient dans les fesses, défendre tout terrain, les sortir de leurs zones de confort, retrouver cette grinta et cette spontanéité qui nous caractérisent d’habitude au niveau offensif, remonter possession par possession, tout doucement, sans s’affoler. On a essayé de créer un système de croyance avec les joueuses, en disant que l’on n’avait plus rien à perdre, tout à gagner, qu’il fallait tout changer, repartir au combat, à la vosgienne -car je suis vosgien-, c’est-à-dire, on s’en fout du talent, on dresse les barricades, les barbelés, et il n’y a pas d’actions faciles dans la raquette. Voilà.\\n\\nOn vous voit par ailleurs sur plusieurs photos réconforter plusieurs joueuses à la fin de la finale contre les Etats-Unis, là aussi que leur avez-vous dit ?\\n\\nQu’il fallait que l’on soit fiers de cette médaille. La déception était légitime. J’avais déjà fait une finale contre les Etats-Unis en 2010 et très sincèrement, je n’y croyais pas en 2010. Alors que cette année, j’y croyais car j’avais une équipe qui pouvait sinon les battre du moins les titiller. Depuis un an, on a de cesse dans la construction des objectifs de dire qu’on ne vise pas la finale mais le titre. C’est ce qui manque un peu à mon avis dans le basket français, c’est de se dire que l’Europe ne nous suffit plus et qu’il faut que l’on aille conquérir le monde. Je suis parti du principe que l’on avait conquis le Mont Blanc et que maintenant on était à la conquête de l’Everest. Appuyées par le staff, les joueuses avaient construit un collectif à la conquête du titre mondial. Alors forcément à la fin, il y a une grande différence entre l’objectif que l’on s’est fixé et le résultat de cinquante points d’écart. C’est plus que frustrant, c’est décevant. Les joueuses étaient déçues de ne pas avoir mis la manière mais il ne fallait pas avoir honte de ce résultat car des équipes de France qui sont montées sur un podium mondial, il y en a quatre, cinq sur toute l’histoire du basket. En U17, ce n’est que la deuxième fois, en jeune, ce n’est que la troisième fois. Il faut être fier du parcours réalisé, de se dire que l’on est toujours la première nation européenne, que l’on est deuxième nation mondiale derrière une équipe américaine qui est extraordinaire. La coach des Etats-Unis A (NDLR : Dawn Staley) était dans les tribunes et elle a expliqué que c’est la meilleure génération aux Etats-Unis depuis trente ans.\\n\\nA part le fait qu’elles n’ont pas toujours mis leurs shoots extérieurs, on a l’impression qu’elles n’avaient pas de failles ?\\n\\nTout est blindé. Elles ont les qualités physiques, les meneuses, les shooteuses, les driveuses, le jeu intérieur. Elles sont très bien coachées, la coach (NDLR: Carla Ann Berube) les fait très bien jouer. On ne s’en rend pas compte à la télé, les images ça écrase, mais au bord du terrain, on voit qu’elles mettent beaucoup d’impact physique. Oui, Iliana (Rupert) rate sa finale car elle est blessée, elle est fatiguée mais il faut voir les impacts qu’elle s’est pris. C’est énorme.\\n\\nKendra Chery\\n\\n« Les joueuses savaient que ce serait intense, qu’il fallait leur rentrer dans le lard, saut qu’entre savoir et vivre la situation, il y a un monde d’écart »\\n\\nOn n’a pas l’impression que les intérieures ont 17 ans mais plutôt 25 ou 30 ?\\n\\nQuand on voit que la deuxième numéro 5 qui fait 1,86m smashait à l’entraînement et facile ! Quand tu vois ça, tu te dis qu’il va falloir contrôler le rebond mais dès le début du match je me suis dit qu’on n’était pas dans ce qui était prévu.\\n\\nEt donc si vous comparez cette équipe américaine avec celle de 2010 ?\\n\\nBeaucoup plus forte !\\n\\nEn huit ans, le niveau mondial a-t-il progressé ?\\n\\nCe sont les styles de jeu qui y sont particuliers. Le Japon est complexe à jouer pour nous, ça va partout. Ils ont mis de l’argent sur la formation, le développement. Ils se regroupent cinq jours tous les mois toute l’année. C’est un système très performant. Le Canada n’avait pas une grosse génération mais travaille très bien. La Chine fait des conneries pédagogiques, c’est leur problème, mais ils mettent également des moyens énormes dans la formation. Oui ça progresse mais ce n’était pas le meilleur championnat du monde que j’ai pu voir. C’était très hétérogène. Il y avait les équipes de pointe à partir des quarts et les autres. Donc huit équipes de fort niveau et huit autres d’un niveau très hétérogène voir pas bon. A Toulouse en 2010, il y avait deux poules de six et le niveau était forcément plus élevé, il n’y avait pas un match facile alors que là, tu joues la Colombie ou la Biélorussie, tu as une marge.\\n\\nN’avez-vous pas manqué de concurrence avant la demi-finale contre l’Australie ?\\n\\nSi ! On n’a jamais été poussé dans nos retranchements ni en préparation ni pendant la compétition. Ce n’est pas faute d’avoir essayé en préparation d’avoir l’Australie et les Etats-Unis pour les jouer mais ils ne se déplaçaient pas et nous on ne pouvait pas le faire. On a eu une préparation avec dix, douze matches amicaux et seulement deux ou trois qui nous ont posés des problèmes. Les matches en début de prépa contre les U18 France ce sont les meilleurs que l’on a pu jouer. On a joué la Pologne U18, la Belgique U18 et on leur met 16-18 points. Je pense que ça a joué dans l’appréhension de la demi-finale et de la finale. Pour préparer un championnat du monde, il faudrait jouer 3, 4, 5 fois contre les grosses équipes. C’est ce que disait Vincent Collet, pour battre l’Espagne, il faut les jouer plusieurs fois pour comprendre comment ils fonctionnent, pour ne pas être surpris de leur intensité. Expliquer ce n’est pas le vivre. Les joueuses savaient que ce serait intense, qu’il fallait leur rentrer dans le lard, sauf qu’entre savoir et vivre la situation, il y a un monde d’écart.\\n\\nC’est ce que l’équipe de France féminine A fait de plus en plus, rencontrer les Etats-Unis ?\\n\\nExactement. Prenons le match du Japon. Les joueuses savaient que ce serait rapide et que ça allait tirer dans tous les sens et à la fin du match, je leur ai demandé pourquoi elles avaient mis trois-quarts temps à appliquer réellement les consignes. C’est qu’entre le voir à la vidéo, le comprendre et le vivre, il y a un monde. Le Japon, l’Australie et les Etats-Unis, tu as beau expliquer comment ça fonctionne, montrer des images, anticiper comment ça va se passer, tant qu’elles ne jouent pas avec elles, elles ne savent pas en fait. Il n’y a que l’expérience qui permet de gagner ces matchs-là.\\n\\nC’est ça qui est fabuleux chez les Américaines : elles sont capables d’avoir une émulation en autarcie, entre-elles, puisque comme elles sont au-dessus du lot, elles n’ont pas de concurrence à l’étranger ?\\n\\nJ’ai discuté avec les coachs pour savoir comment ils fonctionnent. Et là malheureusement, c’est la démographie, l’arithmétique qui font la différence et je ne pense pas que l’on puisse y arriver un jour. A leur trial en mars, les Américaines ont 280 joueuses pour faire une sélection de 12 ! Alors que moi quand je fais une détection large, j’ai 24 joueuses (rires).\\n\\nZia Cooke\\n\\n« On a en face une génération dorée américaine qui est tout simplement injouable »\\n\\nCe sont 280 joueuses de high schools, aussi c’est très difficile à étalonner ?\\n\\nIls ont un système qui marche pas district, ville, état. Ils ont donc différentes strates de compétition durant la saison et en plus ils ont des tournois AAU qui sont un peu nos sélections régionales. A Team USA, ils font remonter toutes les statistiques de tous les tournois et tous les MVP et les joueuses dans les cinq majeurs apparaissent dans un système informatique. Il y a aussi comme en Europe et en France le bouche à oreille qui fonctionne, des gens chargés de faire la détection qui remontent les noms. Pour les trials, Team USA invite une centaine de joueuses et ensuite ils laissent la porte ouverte à tous les autres coachs et toutes les autres joueuses d’une manière payante -je crois que c’est 80 dollars la journée- pour une détection de cinq jours et qui veut venir pour gagner sa place vient. Ils font entraînement, match, entraînement, match et il reste plus que 30 joueuses pour aller à Colorado Springs pendant trois semaines pour jouer. Entraînement le matin et match l’après-midi contre les U18 américaines qui font la même chose de leur côté. Vous imaginez ! Donc quand une joueuse américaine arrive en équipe nationale, elle a passé une dizaine de strates de concurrence.\\n\\nC’est pour cela qu’elles ont non seulement des fondamentaux, un physique mais aussi pour passer toutes ces étapes-là, il faut un mental d’acier ?\\n\\nC’est un peu comme le film Highlander ! Il n’en restera plus qu’un... Alors que nous quand Iliana Rupert arrive, elle sait qu’elle sera dans les 12 à la fin. C’est sûr que sur 330 millions d’habitants, un nombre énorme de pratiquants et de high schools dans tous les Etats-Unis, tu auras douze joueuses de très grand talent. Si on compare le nombre de joueuses, de structures de haut niveau, d’entraînements que peuvent avoir les deux pays, c’est dommage que nos joueuses ne soient pas plus en concurrence pour pouvoir jouer les Etats-Unis les yeux dans les yeux et espérer pouvoir les battre.\\n\\nC’est envisageable, malgré la différence de 50 points, le fait qu’elles soient physiquement plus mûres, que la 12e joueuse soit très forte, etc ?\\n\\nCe n’est pas qu’on ne peut pas les battre... Les qualités physiques, on les a aussi. Mais c’est que nous on domine l’Europe en mettant en oeuvre 60% de nos qualités physiques. Parfois on est très suffisant. C’est c’est très français ça. On ne sait pas mettre 50 points aux gens. Aux Etats-Unis, ils mettent 100% de leurs qualités, tout le temps. Si on arrive à mobiliser 100% des qualités intrinsèques que l’on a, je pense que l’on peut déjà faire du bon boulot.\\n\\nCe qui saute aux yeux dans cette équipe américaine et à l’inverse de toutes les équipes féminines, c’est cette capacité à ne pas louper des « paniers faciles », à faire des drives, des layups parfaits, comme les mecs ?\\n\\nOui, parfois on les déchiquète au contact et elles arrivent quand même au 2+1. Il y a beaucoup de choses à re-travailler mais on est sur la bonne voie. On a en face une génération dorée américaine qui est tout simplement injouable mais on est quand même en finale même s’il ne faut pas s’en satisfaire, mais il faut aussi s’en réjouir car beaucoup de pays auraient aimé être à notre place.\\n\\n« Lorsque j’ai ouvert mon portable en revenant, j’ai vu 378 messages qui sont arrivés, j’ai pris conscience de tout ça »\\n\\nBattre les Australiennes, c’est une performance. Avant les Jeux de Londres, c’est un pays qu’on ne battait jamais ?\\n\\nElles jouent un basket hyper physique, rugueux, au sol, très puissant avec beaucoup de discipline, peu de pertes de balle, du contrôle, un basket très mature. Les battre ce n’est pas si simple que ça. C’est ce que j’ai dit dans le vestiaire, il faut s’en réjouir mais ne pas s’en satisfaire. Si on pense que l’on a fait le travail, on se trompe. Ayons de l’ambition ! Mais on peut s’en réjouir car ce n’est pas si souvent que la France fait un résultat de ce type-là. Je suis très optimiste mais aussi très exigeant et très réaliste. Il faut que le système de formation français se réjouisse de son travail. La collaboration entre pôle espoir, pôle France, centre de formation, club pro associée aux garçons engendre du positivisme, une envie de travailler ensemble. Il y a une vraie complémentarité et cette association est vraiment nickel. Ça donne envie de travailler encore mieux mais ensemble. J’ai aussi beaucoup apprécié l’engouement qu’il y a eu autour de cette coupe du monde. J’ai vu les réactions sur les journaux, les réseaux sociaux, c’était sympa. Les gamines ont été véritablement touchées par tout ça. Le président de la fédé qui vient passer 6-7 jours à Minsk, c’est un symbole fort.\\n\\nVous avez eu droit à un dossier dans L’Equipe, la finale était sur Sport+...\\n\\nOui. Sur place, on est un peu déconnecté mais c’est après lorsque j’ai ouvert mon portable en revenant, j’ai vu 378 messages qui sont arrivés, j’ai pris conscience de tout ça, YouTube, Facebook, les chaînes TV ! Et la fédé aussi, que ce soit les collègues, toutes les équipes nationales, le président de la fédé, le directeur technique national, j’avais tous les jours des messages, c’était une vraie émulation. C’est aussi tout ça qui transporte, qui met dans un état de pouvoir performer.\\n\\nC’était bien organisé en Biélorussie ?\\n\\nLes hôtels, les repas, nickel. C’était mieux organisé que certains championnats d’Europe. Le président biélorusse, des politiques sont venus. C’est sûr que c’est la dernière dictature d’Europe, c’est un peu austère, on sent les relents russes mais au-delà de ça, c’était super bien et je ne regrette pas d’y être allé ! (rires)\\n\\n[armelse]\\n\\nMême si la défaite en finale face aux Etats-Unis fut cuisante (40-92), il faut mettre en exergue la performance de cette génération « 2001 » championne d’Europe U16 l’été précédent, et qui cette fois encore est demeurée invaincue avant le dernier assaut notamment en renversant une situation très compromise face à l’Australie en demi-finale au prix d’une deuxième mi-temps somptueuse (44 à 22 pour l’emporter 58-48).\\n\\nDans la première partie de cette interview, le coach nous livre son analyse pertinente du tournoi et aussi du modèle américain si singulier. Dans une seconde, il nous brossera le portrait de chacune de ses joueuses dont plusieurs seront certainement appelées au plus haut niveau d’ici quelques années.\\n\\nQu’avez-vous dit à vos joueuses à la mi-temps de la demi-finale contre l’Australie ? On vous a certainement posé cette question à de multiples reprises depuis votre retour !\\n\\n(Rires) Effectivement, c’est une question que l’on m’a beaucoup posé. Cela a été magique dans le résultat mais pas dans la formule. On avait plus un problème d’attitude, d’engagement que de basket. Le basket que l’on proposait était celui que l’on devait faire mais il n’y avait pas le petit plus et il a fallu faire comprendre à ces jeunes filles que si on continuait à jouer de cette manière-là, il n’y avait qu’une seule certitude, la défaite. Il a fallu changer la manière de jouer et aussi les contenus puisqu’on était dans une spirale négative. On pensait que l’Australie était un pays anglo-saxon avec des plans, des systèmes bien établis et que si on changeait les choses, qu’on les surprenait, ça pouvait marcher. Il y avait besoin aussi de faire croire aux filles que ça allait marcher. Je suis allé les chercher avec, je l’avoue, des mots un peu fleuris. Il fallait qu’elles enlèvent le balai qu’elles avaient dans les fesses, défendre tout terrain, les sortir de leurs zones de confort, retrouver cette grinta et cette spontanéité qui nous caractérisent d’habitude au niveau offensif, remonter possession par possession, tout doucement, sans s’affoler. On a essayé de créer un système de croyance avec les joueuses, en disant que l’on n’avait plus rien à perdre, tout à gagner, qu’il fallait tout changer, repartir au combat, à la vosgienne -car je suis vosgien-, c’est-à-dire, on s’en fout du talent, on dresse les barricades, les barbelés, et il n’y a pas d’actions faciles dans la raquette. Voilà.\\n\\nOn vous voit par ailleurs sur plusieurs photos réconforter plusieurs joueuses à la fin de la finale contre les Etats-Unis, que leur avez-vous dit ?\\n\\nQu’il fallait que l’on soit fiers de cette médaille. La déception était légitime.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: FIBA\\n\\nA lire demain, le portrait de chaque joueuse"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Mike Green, MVP du Final Four de Champions League, à Strasbourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est un gros coup que vient d’accomplir la SIG en recrutant Mike Green (1,85m, 33 ans), champion en titre et MVP du Final Four de Champions League.\\n\\nPassé par Liège, Cantu, Varese, Venise, Izmir ou encore le Khimki Moscou, le natif de Philadelphie a déjà évolué en France. En 2014/15, l’ancien pensionnaire de Butler portait le maillot du Paris-Levallois.\\n\\nLa saison dernière, Mike Green compilait en moyenne 10,4 points, 2,8 rebonds et 4,3 passes décisives dans le championnat grec, et 11,5 points, 2,8 rebonds et 5 passes décisives pour une évaluation de 12,6 en Champions League.\\n\\nVincent Collet a donné son avis sur son nouveau joueur sur le site du club.\\n\\n« Mike Green va être notre meneur titulaire pour la saison à venir. C’est un joueur que l’on connaît bien. On l’a déjà vu en France à Paris-Levallois mais également l’an passé avec l’AEK Athènes. Après nous avoir éliminé, il finit MVP du Final 4 de la BCL. C’est un meneur qui a de vraies capacités d’organisateur. Mike est un très bon passeur mais il a aussi la capacité de jouer les actions de un contre un dans les moments clefs. C’est un joueur clutch, capable de prendre le jeu à son compte quand il le faut. Il est fort dans le jeu de pénétration, à la fois puissant et percutant, et c’est ce que l’on recherchait« .\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Antywane Robinson est de retour à Cholet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme annoncé plus tôt, Antywane Robinson (2,03m, 34 ans) sera Choletais la saison prochaine.\\n\\nSur son site, CB annonce le retour du natif de Charlotte qui s’est engagé pour une saison et qui conclut le recrutement du club des Mauges. La saison dernière, l’ancien joueur de l’Elan Béarnais a commencé la saison au Benfica Lisbonne et a ensuite rejoint Büyükçekmece.\\n\\nLa saison dernière, Antywane Robinson compilait en moyenne 14,7 points, 5,6 rebonds et 3,2 passes décisives dans le championnat portugais.\\n\\nEntraîneur de CB, Régis Boissié s’est exprimé sur son nouveau joueur.\\n\\n« Antywane est un joueur expérimenté que les choletais connaissent bien. Il a fait de grandes choses avec Cholet Basket. Antywane a encore été performant l’année dernière à Lisbonne. C’est un poste un 4 qui a l’avantage d’apporter du danger sur le tir à 3pts. Il va amener son expérience, sa communication et sa positivité au sein du groupe. Nous sommes très heureux d’accueillir un joueur comme lui pour encadrer le secteur intérieur. »\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France féminine: Quand les Bleues font du vélo"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Hier, dans l’Ariège, les Bleues ont enfourché un vélo et participer à une course d’orientation. Un moyen pour les joueuses de Valérie Garnier d’aller dans leurs retranchements tout en travaillant physiquement. La Minute Inside de la FFBB nous raconte tout ça."
}, 
{"role": "user",     "content":"Eurocup : Galatasaray sur la piste d’Hollis Thompson"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé en Europe l’été dernier, Hollis Thompson (2,03m, 27 ans) pourrait continuer son chemin sur le Vieux Continent la saison prochaine.\\n\\nSelon Eurohoops, Galatasaray serait intéressé pour signer l’ancien joueur des Philadelphie Sixers. Le club turc aurait même déjà fait une offre de 300 000 euros au Californien. S’il accepte cette proposition, le natif de Pasadena quittera l’Olympiakos, la Grèce et l’Euroleague pour découvrir le championnat turc et l’Eurocup.\\n\\nLa saison dernière, Hollis Thompson compilait en moyenne 9,5 points et 3,2 rebonds en championnat, et 5,6 points et 2,7 rebonds pour une évaluation de 4,9 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vers un retour d’Antywane Robinson à Cholet ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ancien Choletais, Antywane Robinson (2,01m, 34 ans) se rapprocherait d’un retour à CB.\\n\\nSelon Stephen Brun, l’ancien joueur de l’Elan Béarnais devrait faire son retour dans les Mauges la saison prochaine. Passé par Cholet Basket entre 2008 et 2011, le natif de Charlotte évoluait la saison dernière au Benfica Lisbonne, au Portugal. Après sa saison portugaise, l’ancien joueur du VEF Riga a rejoint Büyükçekmece, en Turquie.\\n\\nLa saison dernière, Antywane Robinson compilait en moyenne 14,7 points, 5,6 rebonds et 3,2 passes décisives dans le championnat portugais.\\n\\n\\n\\n\\n🏀Petite Info #JeepELITE 🏀\\nCholet Basket devrait faire revenir un ancien de la maison sur le Poste 4.\\nAntywane Robinson.\\n\\n\\n— Stephen Brun (@StephBrun41) August 2, 2018\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Chris Evans quitte Monaco pour Gran Canaria et l’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chris Evans (2,03m, 27 ans) ne postérisera ses adversaires sur les parquets de Jeep® ÉLITE cette saison. Il aurait décidé de changer d’air et de découvrir l’Euroleague.\\n\\nSelon Sportando, l’ancien joueur de l’Hapoel Tel Aviv se serait engagé avec Gran Canaria qui disputera l’Euroleague à la rentrée. Passé par Trikala, Trapani ou encore Scafati, c’est la première fois qu’il va jouer en Espagne et en Euroleague. Il évoluera aux côtés du Français Kim Tillie.\\n\\nLa saison dernière, Chris Evans compilait en moyenne 13,3 points et 4,5 rebonds pour une évaluation de 13,5 en Champions League, et 13 points et 4,1 rebonds en Jeep Elite.\\n\\n\\n\\n\\nChris Evans signed with ACB and Euroleague team CB Gran Canaria\\n\\n\\n— Sportando (@Sportando) August 1, 2018\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Olivia Epoupa quitte Galatasaray"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Actuellement en stage avec l’équipe de France, la meneuse Olivia Epoupa (1,65m, 24 ans) a indiqué qu’elle ne jouera pas cette saison avec Galatasaray.\\n\\nAprès avoir porté en Ligue Féminine les maillots de Basket Landes, Toulouse et Villeneuve d’Ascq, la Parisienne était arrivée dans le club turc coaché par la Franco-Serbe Marina Maljkovic l’été dernier. Elle a accompli une très bonne saison en Euroleague (9,6 points, 7,0 rebonds, 3,7 passes et 3 interceptions) avant de remporter l’Eurocup après une victoire en finale face à Venise.\\n\\nOlivia Epoupa n’a pas précisé quelle est sa future destination.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18: La France affrontera en quart le Monténégro tombeur de l’Espagne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est à un véritable coup de tonnerre auquel ont assisté les spectateurs de Liepaja en Lettonie: l’Espagne a été éliminée en huitième de finale du championnat d’Europe U18 !\\n\\nJusque là les Espagnols avaient rempli leur contrat avec aisance face à la Bosnie (+30), la Finlande (+23) et l’Ukraine (+51).\\n\\nA l’inverse, le Monténégro trois fois avait échoué face à la Grande-Bretagne (-9) et avec davantage d’honneur contre la Lituanie (-2) et la Serbie (-2).\\n\\nAlors que les Espagnols ont gagné la bataille du rebond (+5) et limité les balles perdues (9 contre 14), c’est leur maladresse générale qui leur a coûté très cher (41,8 contre 55,6%). De leur côté les Monténégrins ont su s’appuyer sur un quatuor (Pavle Titic, Nikola Zizic, Bojan Tomasevic, Jovan Kljajic) qui a inscrit 67 des 83 points contre 78 aux Espagnols.\\n\\nAlors que l’on s’apprêtait à vivre un nouvel affrontement face aux Espagnols, c’est donc le Monténégro qui sera l’adversaire de la France demain en quart de finale.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Championnat d’Europe U18 : la France bat la Grèce et se qualifie pour les quarts de finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Opposés à la Grèce en huitième de finale du Championnat d’Europe U18, les Bleuets se sont imposés 86-81 pour se qualifier en quart de finale.\\n\\nPortés par un Joel Ayayi des très grands soirs à 31 points et 5 rebonds (33 d’évaluation), les joueurs de Frederic Crapez ont dû attendre le quatrième quart-temps pour faire la différence (25-16) alors qu’ils étaient menés 28-13 après dix minutes de jeu.\\n\\nEn quart de finale, l’EDF affrontera l’Espagne ou le Monténégro vendredi à 14 heures.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"CourtCuts : le meilleur de la Jeep®ÉLITE en 2017/18"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Habitué à publier tous les mercredis les dix meilleures actions des championnats nationaux, CourtCuts a mis en ligne un montage de certaines des plus actions de l’année en Jeep Elite.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=N3X_e25OGjM"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : le point sur les transferts de l’été"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fort de vingt-cinq joueurs cette saison (voire un peu plus), le contingent français n’a jamais été aussi important dans l’Europe du basket. Et influent avec ça ! Avec une belle douzaine de joueurs en Euroleague, le clan français pèse dans les cercles les plus musclés du Vieux Continent.\\n\\nA ce titre, l’arrivée de Joffrey Lauvergne au Fenerbahçe est tout simplement monstrueuse. L’intérieur déçu de NBA débarque chez coach Obradovic pour reconquérir le titre en Euroleague. Il aura encore à faire avec le CSKA de Nando De Colo, voire le Barça de Thomas Heurtel et Kevin Séraphin... ou encore l’Efes Istanbul de Rodrigue Beaubois et Adrien Moerman !\\n\\nEn ce tout début de mois d’août, BasketEurope tire un premier bilan des transferts concernant nos Français de l’étranger. Et comme vous pourrez le constater, ça a bien bougé cet été !\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nDans le haut du panier\\n\\nJoffrey Lauvergne (San Antonio -> Fenerbahçe)\\n\\nC’est le gros coup de l’été pour le clan tricolore : Joffrey Lauvergne revient sur le Vieux Continent ! Cantonné à un rôle de remplaçant de bout de banc en NBA depuis son arrivée chez l’Oncle Sam en 2015 (pour 6 points et 4 rebonds en 14 minutes de moyenne), Lauvergne en a semble-t-il eu sa claque de jouer les faire-valoir dans un jeu qui ne lui correspond pas forcément... Il faut dire que l’ancien de Chalon n’a pas eu de chance dans la Grande Ligue, arrivant à chaque fois dans des situations précaires. Même à San Antonio, il a été parachuté dans un champ d’orties avec toute l’affaire Kawhi Leonard qui a pourri l’ambiance d’une franchise où on pensait bien voir Lauvergne s’installer durablement. A l’inverse, et à 26 ans seulement, Lauvergne revient en Europe... mais pas n’importe où : au Fenerbahçe ! Il va donc connaître le coaching du légendaire Zeljko Obradovic et viser la reconquête du titre européen avec le Fener. Un immense défi pour reprendre le fil de sa carrière !\\n\\nAxel Toupane (Kaunas -> Olympiakos)\\n\\nAprès avoir essayé de s’installer en NBA au sein des Nuggets puis des Pélicans (avec un bref passage à Milwaukee), Axel Toupane a décidé de retrouver le plus haut niveau en Europe l’an passé. Et après une saison magnifique au sein du Zalgiris Kaunas, terminée par une surprenante accession au Final Four, Toupane va poursuivre sa carrière en Euroleague (7 points, 2 rebonds en 15 minutes de moyenne la saison passée) mais cette fois du côté de l’Olympiakos. Kim Tillie à peine parti, un autre Français débarque donc chez les Reds du Pirée. Auteur d’une solide saison avec Kaunas, Toupane voudra encore progresser au sein d’un effectif qui sera plus dense qu’en Lituanie. Et le championnat sera également plus intéressant chaque week-end...\\n\\nRodrigue Beaubois (Vitoria -> Istanbul)\\n\\nParfaitement relancé à Vitoria, Rodrigue Beaubois a signé pour deux ans à l’Efes Istanbul pour obtenir encore davantage de responsabilités en Euroleague. L’arrière formé à Cholet a enchaîné deux saisons d’affilée à 12 points de moyenne avec Baskonia. A l’Efes, il se lance dans un nouveau défi, et un nouveau championnat, alors que sa nouvelle équipe est en totale restructuration. Il évoluera notamment aux côtés de Shane Larkin et Adrien Moerman, ça devrait jouer offensif !\\n\\nAdrien Moerman (Barcelone -> Istanbul)\\n\\nComme son compatriote Edwin Jackson, Adrien Moerman quitte déjà la Catalogne. L’ailier fort français a tout de même disputé 72 rencontres avec le Barça, pour 8 points et 5 rebonds, aussi bien en Liga qu’en Euroleague. Il va revenir à ses premières amours, en Turquie, au sein de l’Efes Istanbul où il retrouvera Rodrigue Beaubois. Après deux expériences plutôt réussies à Banvit et au Darussafaka, Moerman essaiera de relancer l’écurie stambouliote, bien à la peine l’an passé.\\n\\nMathias Lessort (Etoile Rouge -> Malaga)\\n\\nLancé dans le grand bain de l’Euroleague à Belgrade l’an passé, au sein de l’Etoile Rouge, Mathias Lessort a frappé fort d’entrée avant de caler un peu sur la fin de saison. N’empêche : à 8 points et 6 rebonds dans la compétition reine pour sa campagne de rookie, Lessort a bien fait monter sa cote en Europe. Evoqué du côté de l’Olympiakos, l’intérieur martiniquais va finalement poser ses valises en Andalousie, à Malaga. La progression de l’ancien chalonnais et nanterrien est exemplaire. Maintenant, drafté par les Sixers en 2017, Lessort sait également qu’il doit encore passer un palier supplémentaire avec l’Unicaja.\\n\\n\\nA la relance\\n\\nEdwin Jackson (Barcelone -> Podgorica)\\n\\nIl a signé rapidement dans l’intersaison. Après deux expériences assez décevantes, en Chine puis de retour à Barcelone, Edwin Jackson veut retrouver la forme qui était la sienne quand il était le meilleur scoreur de la Liga ACB au sein de l’Estudiantes. A 28 ans, l’international tricolore va ainsi partir à la découverte du Monténégro en rejoignant Podgorica. Et Edwin aura une belle carte à jouer dans les Balkans : le sniper pourra mettre le feu aux poudres en Euroleague avec un rôle de carte maîtresse en attaque. Vainqueur de la Ligue Adriatique la saison passée, Podgorica voudra faire aussi bien l’année à venir.\\n\\nKim Tillie (Olympiakos -> Gran Canaria)\\n\\nMalheureusement blessé une bonne partie de la saison, Kim Tillie n’a pas vraiment pu défendre ses chances dans la rotation dense de l’Olympiakos. Quand il a été en état de jouer, sur 15 matchs seulement, l’intérieur tricolore a souvent fait le métier (4 points, 2 rebonds en 16 minutes de moyenne la saison passée) avec sa présence aux rebonds et son sens du collectif. Mais à nouveau absent pour la fin de saison, Tillie quitte logiquement la Grèce. Il revient en Espagne où il a déjà évolué pendant cinq saisons (entre Murcie et Vitoria), cette fois avec Gran Canaria. C’est un bon coup car il jouera l’Euroleague et il devrait y avoir un rôle intéressant. On espère surtout que l’air des Canaries lui permettra de rebondir et tourner la page sur ses pépins physiques...\\n\\nAmath M’Baye (Milan -> Bologne)\\n\\nArrivée en phase ascendante de Brindisi à Milan, Amath M’Baye ne sera resté qu’une petite saison dans le club lombard. Auteur de performances en dent de scie, à hauteur de 6 points et 3 rebonds en championnat d’Italie, M’Baye a connu un coup d’arrêt. Avec la Supercoupe d’Italie et le sacre de champion d’Italie, le natif de Bordeaux repart cependant de Milan avec plusieurs lignes supplémentaires à son palmarès. Fort de cette expérience, il sera à la relance à la Virtus Bologne la saison prochaine.\\n\\n\\nPremière expérience\\n\\nLouis Labeyrie (Strasbourg -> Valence)\\n\\nPisté par le Panathinaikos et Barcelone, Louis Labeyrie a finalement dû revoir ses ambitions à la baisse après son absence longue-durée en fin de saison dernière. Il n’aura malheureusement pas l’Euroleague avec Valence qui vient de perdre sa place dans l’élite. Mais Labeyrie évoluera tout de même sur deux tableaux très compétitifs, en Liga ACB et en EuroCup. Pour celui qui tournait à 13 points et 7 rebonds la saison passée en Pro A, c’est une première expérience à l’étranger. Avec Antoine Diot qui devrait revenir au jeu, Labeyrie aura un parfait allié pour s’adapter au plus vite.\\n\\n\\nLes habitués\\n\\nMoustapha Fall (Sakarya -> Krasnodar)\\n\\nDepuis son départ de Poitiers en 2014, Moustapha Fall passe les échelons un à un. De Monaco à Châlons en passant par Antibes, Fall a constamment progressé avant de se sentir enfin prêt à quitter l’Hexagone la saison passée. A Sakarya en Turquie, il a tourné à 9 points (à un insensé 69% de réussite aux tirs), plus 6 rebonds et 2 contres en moyenne pour une saison très convaincante. Aperçu à son avantage avec les Bleus également, Fall met désormais le cap sur la Russie. Il jouera pour le Lokomotiv de Krasnodar en VTB League. Il évoluera aussi en EuroCup (et donc potentiellement avec les Bleus) la saison prochaine. Sa courbe de progression toujours ascendante...\\n\\nBoris Dallo (Panionios -> Salonique)\\n\\nAuteur de sa meilleure saison en carrière à Panionios, Boris Dallo reste en Grèce et signe à l’Aris Salonique. Le meneur de grande taille a réussi une campagne très convaincante, la plus aboutie de sa jeune carrière selon ses propres dires. A l’Aris Salonique, dans un club mythique, il aura encore un rôle primordial. Il faudra par contre encore se qualifier pour la Champions League...\\n\\nAngelo Tsagarakis (Kymis -> Le Pirée)\\n\\nAprès Trikalla et Kymis, Angelo Tsagarakis va se poser au Pirée pour son 3e club en trois saisons en Grèce. Le combo guard vétéran s’est effectivement engagé pour deux saisons dans le club historique d’Ionikos Le Pirée, où a notamment débuté Panagiotis Giannakis (le seul individu à avoir remporté l’EuroBasket en tant que joueur, en 1987 et entraîneur, en 2005). Auteur de 7 points en 20 minutes la saison passée (à 37% à trois points), Tsagarakis sera un des cadres au sein du promu, avec son expérience et son savoir-faire dans le tir.\\n\\n\\nLe faux départ\\n\\nYoussoupha Fall (Le Mans -> Vitoria -> Strasbourg)\\n\\nA 23 ans, Youssoupha Fall semblait décidé à quitter le cocon en signant en faveur de Vitoria. Du haut de ses 2,21m, et au terme surtout d’une grosse saison à 11 points et 7 rebonds en 20 minutes de moyenne au Mans, Fall a signé pour quatre ans, dans un projet longue durée avec le club basque. Mais selon bebasket -l’information n’a pas été confirmée par le club à cette heure – avant de goûter aux joies de l’Euroleague, Fall va en fait rester en France, à Strasbourg où il est prêté par Vitoria. Sous les ordres de Vincent Collet, Fall aura des responsabilités à la SIG. Ce n’est que partie remise pour l’étranger...\\n\\n\\nL’incertitude\\n\\nLéo Westermann (CSKA Moscou -> ???)\\n\\nPas verni pour sa première saison au CSKA, avec une première blessure longue à la hanche, puis une nouvelle juste avant le sprint final de la saison, Léo Westermann a logiquement été remercié par le club moscovite. Le meneur international n’a pas encore trouvé de point de chute. On espère qu’il pourra trouver une place dans une écurie d’Euroleague mais les places y sont chères...\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nDans le haut du panier\\n\\nJoffrey Lauvergne (San Antonio -> Fenerbahçe)\\n\\nC’est le gros coup de l’été pour le clan tricolore : Joffrey Lauvergne revient sur le Vieux Continent ! Cantonné à un rôle de remplaçant de bout de banc en NBA depuis son arrivée chez l’Oncle Sam en 2015 (pour 6 points et 4 rebonds en 14 minutes de moyenne), Lauvergne en a semble-t-il eu sa claque de jouer les faire-valoir dans un jeu qui ne lui correspond pas forcément... Il faut dire que l’ancien de Chalon n’a pas eu de chance dans la Grande Ligue, arrivant à chaque fois dans des situations précaires. Même à San Antonio, il a été parachuté dans un champ d’orties avec toute l’affaire Kawhi Leonard qui a pourri l’ambiance d’une franchise où on pensait bien voir Lauvergne s’installer durablement. A l’inverse, et à 26 ans seulement, Lauvergne revient en Europe... mais pas n’importe où : au Fenerbahçe ! Il va donc connaître le coaching du légendaire Zeljko Obradovic et viser la reconquête du titre européen avec le Fener. Un immense défi pour reprendre le fil de sa carrière !\\n\\nAxel Toupane (Kaunas -> Olympiakos)\\n\\nAprès avoir essayé de s’installer en NBA au sein des Nuggets puis des Pélicans (avec un bref passage à Milwaukee), Axel Toupane\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nCrédits photo : FIBA.com"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde : l’Equipe de France sans Boris Diaw mais avec Frank Ntilikina"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le cadre des deux premières rencontres du second tour de qualification pour la Coupe du Monde 2019 en Bulgarie et face à la Finlande, la FFBB vient de dévoiler la liste des 18 joueurs convoqués par Vincent Collet.\\n\\nA noter l’absence de Boris Diaw. Ce qui laisse penser que le capitaine de l’Equipe de France va prendre sa retraite. Rudy Gobert (Utah Jazz) et Evan Fournier (Orlando Magic) ne sont pas non plus dans la liste. En revanche, un nouveau venu fait son arrivée en sélection, il s’agit de Frank Ntilikina. Drafté par les New York Knicks l’été dernier, l’ancien joueur de la SIG va retrouver celui qui l’a lancé dans le bain professionnel à Strasbourg, Vincent Collet.\\n\\nLes deux matchs sont prévus pour le jeudi 13 septembre en Bulgarie et en France, à Montpellier, le dimanche 16 septembre, contre la Finlande. Avant cela, l’Equipe de France masculine et l’EDF féminine seront réunies du 7 au 9 septembre prochain pour un tournoi qui aura lieu au Stade Pierre de Coubertin à Paris.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\nNom\\nNaissance\\nTaille\\n\\n\\n\\n\\n\\nPoste\\n\\n\\n\\n\\n\\nSél.\\n\\n\\n\\n\\n\\nPoints\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nClub 2017/2018\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAndrew\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nALBICY\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n21/03/1990\\n\\n\\n\\n\\n\\n1,78\\n\\n\\n\\n\\n\\nMeneur\\n\\n\\n\\n\\n\\n40\\n\\n\\n\\n\\n\\n86\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nMoraBanc Andorra (Espagne)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNicolas\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nBATUM\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n14/12/1988\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2,03\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAilier\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n127\\n\\n\\n\\n\\n\\n1418\\n\\n\\n\\n\\n\\nCharlotte Hornets (NBA)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFabien\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nCAUSEUR\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n16/06/1987\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1,95\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nArrière\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n30\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n77\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nReal Madrid (Espagne)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNando\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDE COLO\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n23/06/1987\\n\\n\\n\\n\\n\\n1,96\\n\\n\\n\\n\\n\\nArrière\\n\\n\\n\\n\\n\\n161\\n\\n\\n\\n\\n\\n1730\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nCSKA Moscou (Russie)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nMoustapha\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFALL\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n23/02/1992\\n\\n\\n\\n\\n\\n2,18\\n\\n\\n\\n\\n\\nPivot\\n\\n\\n\\n\\n\\n6\\n\\n\\n\\n\\n\\n53\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLokomotiv Kuban (Russie)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nThomas\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nHEURTEL\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n10/04/1989\\n\\n\\n\\n\\n\\n1,88\\n\\n\\n\\n\\n\\nMeneur\\n\\n\\n\\n\\n\\n74\\n\\n\\n\\n\\n\\n513\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFC Barcelone (Espagne)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nEdwin\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJACKSON\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n18/09/1989\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1,90\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nArrière\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n50\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n201\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nBuducnost Podgorica (Monténégro)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLivio\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJEAN CHARLES\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n08/11/1993\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2,04\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAilier fort\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n4\\n\\n\\n\\n\\n\\n4\\n\\n\\n\\n\\n\\nLyon Villeurbanne\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAxel\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJULIEN\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n27/07/1992\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1,85\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nMeneur\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n17\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJDA Dijon\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nCharles\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nKAHUDI\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n19/07/1986\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1,97\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAilier\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n98\\n\\n\\n\\n\\n\\n249\\n\\n\\n\\n\\n\\nLyon Villeurbanne\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAlain\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nKOFFI\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n23/11/1983\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2,07\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAilier fort\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n41\\n\\n\\n\\n\\n\\n194\\n\\n\\n\\n\\n\\nGravelines Dunkerque\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLahaou\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nKONATE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n17/11/1991\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1,97\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAilier\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n4\\n\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\n\\n\\nNanterre 92\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLouis\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLABEYRIE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n11/02/1992\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2,09\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAilier fort\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n16\\n\\n\\n\\n\\n\\n100\\n\\n\\n\\n\\n\\nValence (Espagne)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPaul\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLACOMBE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n12/06/1990\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1,90\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAilier\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n6\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n55\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAS Monaco\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nMathias\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLESSORT\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n29/09/1995\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2,05\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAilier fort\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n–\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nUnicaja Malaga (Espagne)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAmine\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNOUA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n07/02/1997\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2,00\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAilier fort\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\n\\n\\n–\\n\\n\\n\\n\\n\\nLyon Villeurbanne\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFrank\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNTILIKINA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n28/07/1998\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1,90\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nMeneur\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n–\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n–\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNew York Knicks (NBA)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nVincent\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPOIRIER\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n17/10/1993\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2,13\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPivot\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n12\\n\\n\\n\\n\\n\\n61\\n\\n\\n\\n\\n\\nBaskonia – Vitoria (Espagne)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: Evan Fournier et Moustapha Fall (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Brandon Paul, aux Spurs la saison dernière, dans le viseur du Barça et de Vitoria"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Coupé par les San Antonio Spurs alors que son contrat pour la saison à venir allait être garanti ce mercredi premier août, Brandon Paul (1,93m, 27 ans) pourrait faire son retour en Europe dans peu de temps.\\n\\nSelon El Mundo Deportivo, le FC Barcelone et Vitoria attendaient de voir ce que la franchise Texane allait faire de l’ancien pensionnaire de l’université de l’Illinois avant d’entrer en contact avec ses représentants. L’ailier américain n’est pas un inconnu en Europe. Passé par le Niznhy Novgorod et l’Anadolu Efes, il a également déjà évolué une saison en Espagne. C’était à Badalone en 2015/16.\\n\\nLa saison dernière, Brandon Paul a compilé en moyenne 2,3 points et 1 rebond en 64 matchs en NBA.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Ante Tomic prolonge deux ans au Barça"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé à Barcelone en 2012, Ante Tomic (2,18m, 31 ans) vient de prolonger son contrat avec le club catalan pour deux nouvelles années.\\n\\nSur son site, la formation de Svetislav Pesic annonce avoir trouvé un accord avec l’international croate pour qu’il continue à jouer pour les blaugranas jusqu’en 2020. Après six ans passés au club, l’ancien joueur du Cedevita Zagreb est l’étranger à avoir porté le plus de fois le maillot du Barça avec 434 rencontres disputées.\\n\\nLa saison dernière, Ante Tomic compilait en moyenne 10,6 points, 5,5 rebonds et 1,8 passe décisive en ACB, et 9,7 points, 4,9 rebonds et 1,6 assist pour une évaluation de 12,8 en Euroleague.\\n\\nPhoto : FC Barcelone"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans confirme le prêt de Youssoupha Fall à Strasbourg et se dit «trahi» par son agent et «déçu» par le joueur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Mans Sarthe Basket dit avoir appris le prêt de son ancien pivot Youssoupha Fall (2,21m, 23 ans) à la SIG Strasbourg par Baskonia Vitoria. Son président Christophe Le Bouille a réagi vertement à ce transfert dans un communiqué:\\n\\n« Si le MSB n’a rien à dire juridiquement parlant, le club de Vitoria payant la clause de sortie prévue au contrat du joueur, le MSB s’estime trahi par le représentant du joueur et déçu par Youssoupha. Nous sommes dans un milieu professionnel, soit, mais cela n’empêche pas de croire encore à certaines valeurs.\\n\\nLe MSB a tout fait pour conserver Youss une saison de plus : prolongation de contrat avec revalorisation salariale et baisse du montant du transfert contre prêt du joueur pour la saison 2018/2019. Le club avait même indiqué qu’il préférait garder Youss encore un an quitte à ce qu’il parte sans contrepartie financière dans un an....\\n\\nSi Youss a beaucoup travaillé depuis son arrivée au MSB il y a six ans, le club l’a largement entouré et aidé dans son développement. Youss a grandement participé – comme tous ses coéquipiers et membres du staff – au titre de Champion de France. Nous en avons conscience mais ce prêt accepté chez un concurrent direct, éliminé par le MSB en demi-finale des playoffs la saison dernière, manque pour le moins d’élégance... »\\n\\nPhoto: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18: A suivre, France-Grèce sur Youtube"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le huitième de finale de l’Euro U18, France-Grèce, est à suivre à 15h15 sur la chaîne YouTube de la FIBA.\\n\\nPhoto: Joël Ayayi (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Allemagne : Cliff Alexander (ex ASVEL) prend la direction de Bamberg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé à l’ASVEL fin mars en tant que pigiste médical de Darryl Watkins, Cliff Alexander (2,06m, 22 ans) va rejoindre Bamberg, en Allemagne.\\n\\nSur son site, le Brose Basket annonce la signature pour deux saisons de l’ancien intérieur de Kansas. Passé en majorité par la G-League dans sa jeune carrière, le natif de Chicago était promis à une brillante carrière NBA mais il n’a jamais réussi à s’imposer dans la Grande Ligue. Après l’ASVEL, l’ancien joueur des Long Island Nets poursuit donc son chemin en Europe chez le nonuple champion d’Allemagne.\\n\\nLa saison dernière, Cliff Alexander compilait en moyenne 8 points et 4 rebonds pour une évaluation de 9,3 en Jeep Elite.\\n\\nPhoto : ASVEL Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Tibor Pleiss quitte Valence pour l’Anadolu Efes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison à Valence, Tibor Pleiss (2,21m, 28 ans) va continuer sa carrière à l’Anadolu Efes, en Turquie.\\n\\nSur Twitter, le club turc a annoncé l’arrivée du géant allemand qui a signé un contrat d’un an plus une autre année en option. Passé par Bamberg, Vitoria, Barcelone ou encore l’Utah Jazz, le triple champion d’Allemagne va faire son retour en Turquie où il a déjà évolué en 2016/17, au Galatasaray.\\n\\nLa saison dernière, Tibor Pleiss compilait en moyenne 9,7 points et 6,2 rebonds en ACB, et 10,1 points et 5,2 rebonds pour une évaluation de 12,4 en Euroleague.\\n\\n\\n\\n\\nAlman pivot Tibor Pleiss ile 1+1 yıllık sözleşme imzaladık! #Welcome Tibor! #GücünüOrtayaKoy pic.twitter.com/aXq7gvPrSV\\n\\n\\n— Anadolu Efes SK (@AnadoluEfesSK) August 1, 2018\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nate Robinson signe au Liban"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pas vu en NBA depuis 2015/16, Nate Robinson (1,75m, 34 ans) tente de poursuivre sa carrière d’une autre manière et il s’est engagé avec le club libanais de Homenetmen pour la saison prochaine.\\n\\nA l’Hapoel Tel Aviv en 2016, l’ancien joueur des Chicago Bulls avait signé à Guaros de Lara, au Venezuela, pour la saison 2016/17. Disparu de la circulation la saison dernière, l’ancien micro-meneur des New York Knicks a porté le maillot de son club vénézuélien à seulement quatre reprises.\\n\\nLors de l’exercice 2017/18, le natif de Seattle n’a pas trouvé de club qui lui convient mais il a rejoint le BIG 3 en janvier. Un championnat de trois contre trois américain lancé par le rappeur Ice Cube. Il fait depuis équipe avec Jermaine O’Neal, Amar’e Stoudemire, David Hawkins, Bonzi Wells et Robert Hite. Ils sont coachés par Julius Erving au sein de l’équipe Tri State.\\n\\nEn 2016/17, Nate Robinson compilait en moyenne 16 points, 2,3 rebonds et 5,1 passes décisives dans le championnat vénézuélien. Il tourne aussi à 10,3 points, 1,6 rebond et 2 passes décisives en BIG 3.\\n\\n\\n\\n\\nTransfer News 🇱🇧: Nate Robinson officially signed with Homemetmen Club in Lebanon @Sportando pic.twitter.com/ndUPKlqSD6\\n\\n\\n— 247 Basketball (@247_Basketball_) July 31, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Quand les Bleues retrouvent le chemin de l’entraînement"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une longue période d’inactivité, les Bleues sont en stage dans l’Ariège dans l’optique de la coupe du monde en Espagne pour se préparer physiquement avec Sabine Juras et retrouver des sensations basket avec la coach Valérie Garnier. C’est ce que nous démontre la traditionnelle « Minute Inside » de la FFBB."
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France: Les Bleues attendent toujours la qualification de la meneuse du New York Liberty, Bria Hartley"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce matin dans L’Equipe, le staff de l’équipe de France confirme qu’il a toujours espoir que la Franco-américaine Bria Hartley (1,73m, 26 ans en septembre) soit qualifiée pour jouer en équipe de France à l’occasion de la coupe du monde en Espagne.\\n\\nLa combo du New York Liberty peut prétendre à la nationalité française car sa grand-mère maternelle est française et a épousé un militaire américain comme nous l’expliquait sa mère dans un article que nous avons consacré à la joueuse. Seulement les formalités administratives s’éternisent et il faudra ensuite que la FIBA valide le dossier. Précisons que le ministère des sports cherche à donner le coup de main nécessaire afin que ce dossier aboutisse en temps et en heure.\\n\\nLe hasard fait que Valérie Garnier sera la coach de Bria Hartley la saison prochaine à Fenerbahçe et elle indique que les internationales réunies actuellement à Saint-Girons en Ariège ont compris sa situation depuis qu’elles savent qu’il ne s’agit pas d’une naturalisation bidon mais d’une réelle envie de représenter le pays de ses aïeux.\\n\\nEn 25 matches dont 20 dans le starting five, la Newyorkaise affiche 8,7 points, 2,9 rebonds et 3,7 passes en 24′. Des moyennes jamais atteintes par Edwige Lawson et Céline Dumerc lorsqu’elles ont fréquenté la ligue américaine.\\n\\nLe Liberty est actuellement 11e sur 12 et ainsi ne fera très probablement pas les playoffs. La saison régulière de WNBA se termine le 19 août. La coupe du monde est programmée du 22 au 30 septembre.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=Sm8FjjPaAqA\\n\\nPhoto: WNBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Brad Waldow sera le pivot du Caen BC"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le pivot Brad Waldow (2,07m, 113kg, 26 ans) est le nouveau renfort du Caen BC. Il est connu en France pour avoir porté le maillot de Fos/Mer en 2016-17 pour 11,4 points et 5,6 rebonds.\\n\\n« Il avait envie de revenir en France, j’ai senti chez lui une envie de se fondre dans l’équipe. Il fait passer le collectif avant ses ambitions personnelles », indique Antoine Michon, l’entraîneur du CBC à Ouest-France.\\n\\nCe pivot puissant et collectif a également joué à Anvers et la saison dernière au PGE Turów Zgorzelec où il affichait un très bon rendement: 13,3 points, 56,6% de réussite, 7,6 rebonds et 1,9 passes."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Vers une prolongation de Tornike Shengelia jusqu’en 2022"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ailier géorgien Tornike Shengelia (2,06m, 26 ans) est à même de prolonger son contrat avec Baskonia Vitoria jusqu’en 2022 a annoncé le club sachant que l’actuel expire à la fin de la saison 2019-20.\\n\\nShengelia est au sein du club basque depuis 2014 et il a assuré 13,7 points, 6,6 rebonds et 2,2 passes en 33 matches d’Euroleague la saison dernière."
}, 
{"role": "user",     "content":"Georgi Joseph rempile à l’AS Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Connu pour ses qualités défensives et son abnégation, l’intérieur Georgi Joseph (1,97m, 35 ans) s’est vu proposer une prolongation de contrat d’une saison à l’AS Monaco qu’il a accepté.\\n\\nDepuis qu’il a porté le maillot de Paris -sa ville de naissance- en 2006 Georgi Joseph, formé en NCAA II et qui a joué une saison en lega due italienne, comptabilise 247 matches en Pro A/Jeep Elite et 89 en Pro B. Il a compilé 3,9 points et 4,2 rebonds la saison dernière en 17′ de moyenne."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18: La France n’a pas fait le poids face à l’Allemagne, 76-93"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après un premier quart-temps partagé, l’équipe de France s’est affaissée face à l’Allemagne s’inclinant lourdement, 76-93.\\n\\nLes Allemands ont notamment fait preuve d’une belle adresse à trois-points (11/25) avec des performances générales très homogènes (6 joueurs entre 10 et 12 d’évaluation).\\n\\nLe Gravelinois Lucas Bourhis (14 points), le Manceau Kenny Baptiste (11 points, 7 rebonds) et le Choletais Karlton Dimanche (10 points, 6 rebonds) ont été les plus efficaces dans le camp français.\\n\\nAvec deux défaites (Russie et Allemagne) et une victoire (Turquie), la France termine 3e de son groupe et affrontera demain la Grèce en huitième de finale.\\n\\nPhoto: Karlton Dimanche (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Selon la fédération sénégalaise, Youssoupha Fall s’est vu refuser la possibilité de porter le maillot de l’équipe de France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le président de la fédération sénégalaise Me Babacar Ndiaye a indiqué que l’ancien pivot du Mans qui a signé un contrat de quatre ans avec Baskonia Vitoria, Youssoupha Fall (2,21m, 23 ans) ne portera pas le maillot de l’équipe de France car la FIBA a rejeté son dossier de naturalisation car il a déjà porté le maillot du Sénégal à l’Afrobasket U18 indique la presse sénégalaise. La fédération sénégalaise s’est toujours montré hostile à ce que le géant né à Dakar soit un jour international français.\\n\\n« Nous allons le mettre dans les 25 joueurs pour les éliminatoires du mois de septembre. Nous verrons s’il va jouer pour le Sénégal ou pas », a fait savoir Babacar Ndiaye.\\n\\nPhoto: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18 : A suivre France-Allemagne sur YouTube à 19h45"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A suivre en direct à 19h45 sur Youtube, le troisième match de l’équipe de France U18 au championnat d’Europe contre l’Allemagne.\\n\\nPhoto: Jacques Eyoum"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France A’ féminine: Trois matchs contre les Pays-Bas"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de France A’ va disputer trois matchs face aux Pays-Bas vendredi à 18h, samedi à 17h et dimanche à 16h à Villenave d’Ornon (Gironde).\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPrénom\\nDate de naissance\\nTaille\\nPoste\\nClub\\n\\n\\nCHEVAUGEON\\nSara\\n12/02/1993\\n175\\nAilière\\nFCBA Charleville-Mézières\\n\\n\\nDJALDI TABDI\\nMaëva\\n03/12/1998\\n175\\nAilière\\nSyracuse University\\n\\n\\nFILIP\\nAna Maria\\n20/06/1989\\n195\\nIntérieure\\nFCBA Charleville-Mézières\\n\\n\\nFOUASSEAU\\nJenny\\n09/01/1992\\n179\\nAilière\\nSaint-Amand Hainaut Basket\\n\\n\\nGALLIOU-LOKO\\nMargaux\\n12/04/1993\\n184\\nAilière\\nTSV 1880 Wasserburg\\n\\n\\nHERIAUD\\nCaroline\\n22/12/1996\\n165\\nMeneuse\\nLa Roche Vendée Basket Club\\n\\n\\nKONE\\nAssitan\\n23/04/1995\\n190\\nIntérieure\\nBLMA Lattes Montpellier\\n\\n\\nLITHARD\\nPauline\\n11/02/1994\\n168\\nMeneuse\\nLanderneau Bretagne Basket\\n\\n\\nLUCET\\nSoana\\n10/03/1987\\n185\\nAilière\\nUF Angers Basket 49\\n\\n\\nMENDY\\nMagali\\n06/02/1990\\n176\\nArrière\\nUni Gijona\\n\\n\\nNAIGRE\\nElodie\\n07/06/1995\\n181\\nAilière\\nLanderneau Bretagne Basket\\n\\n\\nPAGET\\nMarie Eve\\n28/11/1994\\n170\\nMeneuse\\nFCBA Charleville-Mezières\\n\\n\\nSTIEVENARD\\nClaire\\n15/10/1993\\n183\\nArrière\\nArras Pays d’Artois Club\\n\\n\\nTURMEL\\nAngélina\\n21/11/1996\\n198\\nIntérieure\\nCOB Calais\\n\\n\\n\\n\\nEntraîneur :  Jérôme FOURNIER\\n\\nAssistants : Isabelle FIJALKOWSKI, Damien LEROUX, John DELAY\\n\\nPhoto: Maëva Djaldi Tabdi"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18 féminin: Les 12 Françaises sont connues"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le coach Julien Egloff et son staff ont fait leur sélection pour composer l’équipe de France qui va participer au Championnat d’Europe U18 qui se déroulera du 4 au 12 août à Udine, en Italie.L’équipe a reçu l’apport de deux récentes vice-championnes du monde : Yohana Ewodo et Janelle Salaun.Les Bleus sont actuellement en Croatie jusqu’a jeudi pour la fin de leur préparation.\\n\\nComposition de l’Equipe de France U18\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPrénom\\nNé le\\n\\nClub\\n\\n\\nDE FREITAS\\nMargot\\n02/04/2000\\n4 – 5\\nToulouse Métropole Basket\\n\\n\\nEWODO\\nYohana\\n21/02/2001\\n2\\nCFBB (Basket Lattes Montpellier)\\n\\n\\nFOFANA\\nNabala\\n20/01/2000\\n5 – 4\\nCFBB (Paris Basket 18)\\n\\n\\nGERMOND\\nCaroline\\n16/05/2000\\n1\\nAngers – Union Féminine Basket 49\\n\\n\\nJAKOVLJEVIC\\nHelene\\n05/10/2000\\n1\\nVilleneuve D’Ascq ESB\\n\\n\\nMACQUET\\nSixtine\\n05/12/2000\\n5\\nCFBB (FC Lyon ASVEL Féminin)\\n\\n\\nMONPIERRE\\nOceane\\n31/10/2000\\n2 – 1\\nCercle Jean Mace Bourges B\\n\\n\\nNIANG\\nHaby\\n26/04/2000\\n5\\nFC Lyon ASVEL Féminin\\n\\n\\nPEYREGNE\\nMathilde\\n04/05/2000\\n2\\nCercle Jean Mace Bourges B\\n\\n\\nSALAUN\\nJanelle\\n05/09/2001\\n4\\nCFBB (Reims Basket Féminin)\\n\\n\\nSALGUES\\nKenza\\n18/05/2000\\n2\\nCFBB (Basket Lattes Montpellier)\\n\\n\\nWOUTS\\nPaloma\\n08/02/2000\\n2 – 3\\nCFBB (BAC Vincennes)\\n\\n\\n\\n\\nEntraîneur : Julien EGLOFF\\nAdjoints : David GAUTIER et Thomas GIORGUITTI\\nPréparateur Physique : Alban VIGOUROUX\\nAssistant vidéo : Cyril PERRE\\nMédecin : Patrice LAFONTAINE\\nKinésithérapeute : Alexandre DEBOST\\n\\nStage en Croatie du 30 juillet au 1er août 2018\\n\\nStage à Udine du 2 au 3 août 2018\\n\\nChampionnat d’Europe à Udine (Italie) du 4 au 12 août\\nSamedi 4 août à 16h30 : France – Russie\\nDimanche 5 août à 14h15 : Pologne – France\\nLundi 6 août à 21h00 : Irlande – France\\nMercredi 8 août : Huitièmes de finale\\nJeudi 9 août : Quarts de finale\\nSamedi 11 août : Demi-finales\\nDimanche 12 août : Finale\\n\\nPhoto: Yohana Ewodo (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Alexandre Chassang (ex-Hyères-Toulon) est la dernière recrue de la JDA Dijon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La JDA Dijon Basket annonce la signature de l’intérieur français Alexandre Chassang (2,04m, 23 ans).\\n\\nCet ancien du Centre Fédéral est passé ensuite par Villeurbanne avant de faire deux saisons à Hyères-Toulon obtenant en 2017-18 ses meilleures stats soit 6,4 points, 3,8 rebonds 1,6 passe et 8,1 d’évaluation en 24 minutes de moyenne.\\n\\nIl avait été ensuite sollicité par le SLUC Nancy afin de participer aux playoffs d’accession (5,5 points et 3,5 rebonds en deux matchs).\\n\\n« Pour compléter le secteur intérieur, nous recherchions un JFL ayant l’habitude de la Jeep Elite, avec des qualités de dureté et d’abnégation. Pouvant jouer sur les postes 5 et 4, Alex est un joueur que je suivais depuis 2 ou 3 ans avec des qualités en adéquation avec le profil recherché. Doté d’un excellent état d’esprit, capable d’être présent dans le secteur du rebond, il peut également apporter son écho offensivement. Après deux saisons au HTV, il aura à cœur de montrer tout son talent, à la fois en Jeep Elite et en Basketball Champions League, » estime le coach Laurent Legname.\\n\\nRéaction de l’intéressé:\\n\\n« Je suis très content de signer à Dijon. Je connais Laurent Legname depuis longtemps et ça fait deux ans qu’il me téléphone pour venir jouer à Dijon. L’objectif collectif sera évidemment de faire aussi bien que la saison dernière et donc de surfer sur la bonne vague actuelle que connaît le club. Notre équipe devrait pouvoir avoir un vrai rôle dans le championnat français, mais aussi en Champions League. Individuellement, l’objectif sera de passer un cap, de confirmer mon niveau en Jeep Elite, tout en apportant à une équipe qui gagne. Je suis également très content d’arriver à Dijon avec un joueur comme Reggie (Arnold) que je connais déjà. On avait une très bonne relation la saison dernière. Nous sommes deux joueurs qui ferons toujours tout pour gagner. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Israël : l’ancien Lillois DeQuan Jones s’engage avec l’Hapoel Holon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En France lors de la saison 2016/17, DeQuan Jones (2,03m, 28 ans) est tombé d’accord avec l’Hapoel Holon pour la saison prochaine.\\n\\nSur Twitter, le club israélien a annoncé l’arrivée de l’ancien joueur de Lille pour une saison et une autre en option. En G-League la saison dernière, sous le maillot de Fort Wayne, l’ancien joueur du Orlando Magic a été élu meilleure progression de l’année.\\n\\nLa saison dernière, DeQuan Jones compilait en moyenne 18,4 points, 4,7 rebonds et 1,5 passe décisive en G-League.\\n\\n\\n\\n\\nWelcome @DequanMJones!\\nזר חדש לחולוניה – הס.פורוורד דקוואן ג'ונס, 28, 2.03 מ', חתם היום על חוזה לעונה הקרובה, עם אופציה לעונה נוספת, בהפועל יונט חולון.\\nבעברו, שיחק בין היתר באורלנדו מג'יק, קאנטו, ליל ובMad Ants מהG-League, קבוצת הבת של אינדיאנה פייסרס.#חולוניה pic.twitter.com/qqippPD3OG\\n\\n\\n— Hapoel Holon (@HapoelHolonBC) July 31, 2018\\n\\nPhoto : Christophe Delrue"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Michael Fakuade nouvelle recrue d’Orléans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Favori pour la (re)montée en Jeep Elite l’année dernière, l’OLB a échoué en quart de finale des playoffs d’accession face à Rouen. Toujours en Pro B à la rentrée, le club orléanais se prépare néanmoins à une nouvelle fois être favori pour la montée et vient de recruter Michael Fakuade (2,01m, 29 ans).\\n\\nDe nationalité américano-nigériane, le natif de Chicago arrivé en provenance du Gipuzkoa Basket Club qui évolue en première division espagnole. Diplômé de l’université de Northern Illinois, il a démarré sa carrière en troisième division allemande avant de gravir les échelons un à un.\\n\\nLa saison dernière, Michael Fakuade compilait en moyenne 6,6 points et 3,7 rebonds pour une évaluation de 6,1 en ACB.\\n\\nGermain Castano, l’entraîneur orléanais a donné son avis sur son nouveau joueur sur le site du club.\\n\\n« C’est un garçon qui a gravit les échelons petit à petit. Il est parti de la 3ème division allemande pour arriver dans la Liga Endesa. J’ai deux mots pour qualifier ce joueur : activité et intensité. 2 qualités indispensables pour exister en PROB. C’est un bon tireur à 3 points, mais pas seulement, c’est également un bon poseur d’écran. Il est capable de noircir ses lignes de stats en très peu de temps. Il sera un excellent complément à Miralem Halilovic. »\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : En Cancha"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Jamar Diggs conclut le recrutement de Rouen"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme annoncé plus tôt, le meneur américain Jamar Diggs (1,88m, 29 ans) va bien rejoindre le Rouen Metropole Basket.\\n\\nA Nantes la saison dernière, le natif de Minneapolis est la dernière pièce du puzzle Rouennais. La saison dernière, Jamar Diggs compilait en moyenne 15,4 points, 3,5 rebonds et 4,8 passes décisives pour une évaluation de 15,9.\\n\\nEntraîneur du RMB, Alexandre Menard s’est exprimé sur sa nouvelle recrue sur le site du club.\\n\\n« Nous sommes très fiers de cette dernière arrivée. Jamar va constituer la dernière pièce du puzzle : ses qualités d’adresse, sa connaissance du jeu, son savoir-faire sur pick & roll et sa capacité à jouer sur deux postes (meneur et deuxième arrière) nous ont convaincu qu’il était vraiment ce qui se rapprochait le plus de nos besoins pour clore ce recrutement 2018-2019. MVP de Lituanie il y a deux ans et connaissant la Pro B pour y avoir évolué avec l’Hermine la saison dernière, Jamar possède de nombreux atouts pour mener à bien le futur RMB. Tout le groupe a maintenant hâte de se retrouver pour apprendre à se connaître et se mettre au travail lors du camp à Dallas. Je tiens également à saluer le travail d’équipe effectué par le club afin de permettre le recrutement d’un joueur de ce calibre. »\\n\\nEffectif du Rouen Metropole Basket 2018/19 :\\n\\n * Poste 1 : Jean Baptiste Maille / Jamar Diggs\\n * Poste 2 : Jessie Begarin / Benoit Injai\\n * Poste 3 : Emmanuel Monceau / Carl Ponsar\\n * Poste 4 : Zimmy Nwogbo / Chima Moneke\\n * Poste 5 : Earvine Bassoumba / Al’Lonzo Coleman\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : Nantes Hermine Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce : Vangelis Sakellariou dernière recrue du Panathinaïkos"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison dernière aux côtés de Boris Dallo à Panionios, Vangelis Sakellariou (1,95m, 28 ans) fera partie de la ligne arrière du Pana la saison prochaine.\\n\\nSur son site, le Panathinaïkos annonce la signature du natif d’Athènes qui s’est engagé sur un contrat d’un an plus une autre année en option. Après avoir évolué au sein d’équipes de la deuxième partie de tableau de la première division grecque ou même dans des équipes de deuxième division, l’ancien joueur de Trikala signe pour la première fois dans une des meilleures équipes du continent. Il découvrira donc l’Euroleague la saison prochaine.\\n\\nLa saison dernière, Vangelis Sakellariou compilait en moyenne 10,8 points, 2,8 rebonds et 3,5 passes décisives.\\n\\nPhoto : Panionios B.C."
}, 
{"role": "user",     "content":"Croatie : le Cedevita Zagreb recrute Augusto Lima"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En début de saison au Besiktas, Augusto Lima (2,08m, 26 ans) avait ensuite fait une pige en Chine avant de s’engager avec Murcie pour les playoffs. Aujourd’hui, il s’est engagé avec Zagreb pour la saison 2018/19.\\n\\nSur son site, le KK Cedevita annonce l’arrivée de l’international brésilien pour une année. L’ancien joueur de l’UCAM est passé par Malaga, Madrid ou encore Kaunas et va connaitre sa première expérience dans le championnat croate. Il évoluera aux côtés de l’ancien manceau, Justin Cobbs.\\n\\nLa saison dernière, Augusto Lima compilait en moyenne 8,8 points et 6,8 rebonds entre le championnat chinois, turc, espagnol et la Champions League.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"DeShaun Thomas (Panathinaïkos) : «Je suis prêt à passer un nouveau cap en rejoignant une des tops équipes d’Euroleague»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison au Maccabi Tel-Aviv, DeShaun Thomas (2,01m, 26 ans) continue sa progression. Il s’est engagé une saison avec le Panathinaïkos et c’est le signe pour lui qu’il va passer un nouveau cap dans sa carrière.\\n\\nSuite à sa signature avec le club grec, le natif de Fort Wayne a donné son ressenti à Eurohoops. Professionnel depuis 2013, il a lancé sa carrière en Europe et plus particulièrement en France, à Nanterre. Depuis, l’ancien pensionnaire d’Ohio State est passé par le FC Barcelone, l’Anadolu Efes et le Maccabi Tel-Aviv. En signant au Panathinaïkos cet été, il rejoint les rangs de l’une des meilleures équipes du continent qui a été sacrée championne d’Euroleague en 2011.\\n\\n« Panathinaïkos est un nouveau challenge dans ma carrière. Je vais jouer pour une si bonne équipe qui a remporté six fois l’Euroleague et qui fait partie des toutes meilleures équipes d’Europe. L’année dernière, j’ai passé une très bonne saison au Maccabi Tel-Aviv, qui est aussi une très bonne équipe, et je pense que je suis prêt à franchir un nouveau cap en rejoignant une des meilleures équipes d’Euroleague. »\\n\\nEn Grèce, le champion d’Israël en titre va retrouver une vieille connaissance en la personne de Xavi Pascual. Le technicien espagnol était à la tête du Barça en 2014/15, quand DeShaun Thomas a signé en Catalogne.\\n\\n« Je connais Xavi Pascual depuis notre collaboration à Barcelone. C’est celui qui m’a donné l’opportunité de jouer à haut niveau depuis qu’il m’a recruté à Barcelone en provenance de Nanterre. Il a cru en moi, ce qui m’a donné de la confiance et sa présence au Panathinaïkos était un facteur important dans ma signature. »\\n\\nDéjà bien dans la mentalité du Panathinaïkos, l’ancien Nanterrien a à coeur de surclasser l’ennemi de toujours, l’Olympiakos.\\n\\n« En 2017 avec l’Anadolu Efes nous avons été éliminé du Final Four par l’Olympiakos. Pareil avec Barcelone en 2015. C’est une extra-motivation pour moi. Battre l’Olympiakos et aller au Final Four avec le Panathinaïkos. J’attends une saison très compétitive et je vais essayer de faire de mon mieux pour qu’on atteigne nos objectifs. »\\n\\nLa saison dernière, DeShaun Thomas compilait en moyenne 11,6 points et 3,7 rebonds en Israël, et 11,5 points et 3,3 rebonds pour une évaluation de 9,6 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Johnny O’Bryant quitte la NBA pour le Maccabi Tel-Aviv"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après quatre ans de basket professionnel aux Etats-Unis, Johnny O’Bryant (2,06m, 25 ans) a décidé de sauter le pas et de traverser l’Atlantique pour évoluer en Europe. Il s’est engagé avec le Maccabi Tel-Aviv.\\n\\nSur son site, le club israélien annonce la signature de l’ancien joueur des Milwaukee Bucks pour une saison. La saison dernière, il évoluait aux côtés de Nicolas Batum aux Charlotte Hornets. Pour le coach du Maccabi, Neven Spahija, l’arrivée de l’ancien intérieur des Denver Nuggets est une très belle addition. De par son expérience NBA, il devrait avoir un rôle clé au sein de l’effectif de champion d’Euroleague 2014.\\n\\nLa saison dernière, Johnny O’Bryant compilait en moyenne 4,7 points et 2,5 rebonds en 10 minutes de jeu.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?time_continue=3&v=F3LZcBAtcGs"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Jamar Diggs (Nantes) vers Rouen"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé en France l’été dernier, à Nantes, Jamar Diggs (1,88m, 29 ans) devrait rester en Pro B à la rentrée. Il serait proche de Rouen.\\n\\nSelon Paris Normandie, le natif de Minneapolis devrait être le prochain meneur du RMB. Passé par l’Allemagne, Chypre, la Lettonie, le Kosovo, la Pologne, la Roumanie et la Lituanie, c’est en France que pour la première fois il a évolué en deuxième division.\\n\\nLa saison dernière, Jamar Diggs compilait en moyenne 15,4 points, 3,5 rebonds et 4,8 passes décisives pour une évaluation de 15,9.\\n\\n\\n\\n\\nL'Américain Jamar Diggs (29 ans) devrait être le nouveau meneur de jeu du @RouenMBasket. Il évoluait à Nantes la saison passée #prob #basketball\\n\\n\\n— ParisNormandie Sport (@Sport_PN) July 30, 2018\\n\\nPhoto : Nantes Basket Hermine"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’intérieure tarbaise Aby Gaye forfait pour la coupe du monde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pas de chance pour la vice-championne de France Aby Gaye (1,95m, 23 ans) qui avait une forte possibilité de participer à la coupe du monde en Espagne, elle doit déclarer forfait.Opérée de la cheville au début de l’été, la Tarbaise est indisponible pour plusieurs semaines et ainsi incapable de prendre part à la préparation des Bleues.\\n\\nLe staff tricolore a décidé de ne pas la remplacer pour le moment.\\n\\nPhoto: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Frank Hassell quitte Le Portel pour la Pologne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon le consultant de SFR Sport et chroniqueur à BasketEurope, Frédéric Weis, le pivot de l’ESSM Le Portel, Frank Hassell (2,03m, 107 kg, 29 ans) a signé en VTB League pour le club polonais de Stelmet Enea BC Zielona Gora.\\n\\nSurnommé Le Tank, Frank Hassell a accompli trois excellentes saisons en France, une à Boulazac puis deux au Portel. Il était ainsi la saison dernière proche d’un double double en moyenne avec 15,7 points (4e de Jeep Elite) et 9,0 rebonds (2e) pour 18,9 d’évaluation (2e).\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\nFrank The Tank Hassel signed VTB league /Polish League @basket_zg Stelmet\\n\\n\\n— Fred Weis_ OLY (@Bigfredstyle) July 30, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Le président de la fédération, Jorge Garbajosa tire à boulets rouge sur l’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Devenu président de la Fédération espagnole, l’ancien international Jorge Garbajosa n’est pas copain avec son compatriote Jordi Bertomeu, directeur de ECA, la société qui gère l’Euroleague. Il l’accuse d’avoir infligé un «énorme dégât» au basket-ball en raison du calendrier qui a été mis en place à partir de 2016-2017. Garbajosa a déclaré plusieurs fois que l’augmentation du nombre de matchs en saison régulière a créé des problèmes pour le basket et pas seulement au niveau espagnol. Il en a remis une couche dans ABC.\\n\\nQuel est le problème principal lui est-il demandé ?\\n\\n« L’attitude de l’Euroleague avec le basket-ball en général et le basket espagnol en particulier, les dégâts énormes, l’usure et la déchirure qu’elle cause et à quel point elle est préjudiciable au présent et pour l’avenir de notre sport. (...) Quand l’Euroleague dit qu’elle se soucie de la santé des joueurs, qui jouent beaucoup de matches, pourquoi mettent-ils deux équipes de plus et quatre journées de plus dans leur championnat? Ils ne peuvent pas tromper les gens. C’est un problème qui affecte de nombreuses équipes et de nombreuses fédérations. Il ne peut y avoir de compétitions externes qui fassent autant de tort au basketball national et nous nous battrons pour changer cela. »\\n\\nA propos de l’équipe nationale constituée pour les fenêtres FIBA et invaincues en six matches, Jorge Garbajosa estime que :\\n\\n« Nous avons une excellente relation avec les joueurs et nous sommes très honnêtes avec eux, sans mentir. Cela nous a permis de créer une équipe de « héros » pour ce pays. C’est ce que je leur ai dit à la fin du dernier match de la première phase. Ils ont sauvé le basket espagnol de la plus grande crise de son histoire. Nous ne pourrons jamais les remercier assez. Les fans se sont identifiés avec des joueurs qu’ils ne connaissaient pas très bien auparavant. Je ne dis pas qu’ils étaient inconnus parce qu’ils sont tous des joueurs de haut niveau. Il semblait que le Fran Vazquez était sorti du basket-ball et maintenant il est notre franchise player pour ne donner qu’un exemple. Cela ne veut pas dire que le conflit a été réglé car l’Euroleague ne s’arrêtera pas. Le problème s’aggrave et je demande seulement à l’équipe espagnole de basket de faire face à une personne dont les intérêts sont radicalement opposés à ceux de notre basket. Et ce n’est pas seulement l’ACB, mais toute la pyramide sportive qui est en danger. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’équipe de France féminine effectue son premier stage en vue de la coupe du monde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Depuis lundi, l’équipe de France féminine est regroupée à Saint-Girons dans l’Ariège dans le but de préparer la coupe du monde féminine qui va se tenir à Tenerife, en Espagne, du 22 au 30 septembre.Dix-sept joueuses ont été convoquées sachant que Endy Miyem doit rejoindre les stagiaires une fois sa saison de WNBA avec le Minnesota Lynx terminée. A ce jour, en 15 matches, la Française tourne à 1,5 point en moins de 6′ de moyenne.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\nNom\\nNaissance\\nTaille\\nPoste\\nSélections\\nPoints\\nClub 2017/2018\\n\\n\\nValériane\\nAYAYI\\n29/04/1994\\n1.85\\nAilière\\n68\\n353\\nBourges\\n\\n\\nMarième\\nBADIANE\\n24/11/1994\\n1.90\\nIntérieure\\n1\\n0\\nASVEL\\n\\n\\nLisa\\nBERKANI\\n19/05/1997\\n1.76\\nArrière\\n1\\n0\\nMondeville\\n\\n\\nRomane\\nBERNIES\\n27/06/1993\\n1.70\\nMeneuse\\n5\\n17\\nMontpellier\\n\\n\\nAmel\\nBOUDERRA\\n26/03/1989\\n1.63\\nMeneuse\\n16\\n46\\nCharleville\\n\\n\\nAlexia\\nCHARTEREAU\\n05/09/1998\\n1.91\\nIntérieure\\n15\\n78\\nBourges\\n\\n\\nHelena\\nCIAK\\n15/12/1989\\n1.97\\nIntérieure\\n75\\n406\\nKoursk\\n\\n\\nAlix\\nDUCHET\\n30/12/1997\\n1.63\\nMeneuse\\n1\\n2\\nNice\\n\\n\\nOlivia\\nEPOUPA\\n30/04/1994\\n1.65\\nMeneuse\\n56\\n261\\nGalatasaray\\n\\n\\nAby\\nGAYE\\n03/02/1995\\n1.95\\nIntérieure\\n13\\n58\\nTarbes\\n\\n\\nSandrine\\nGRUDA\\n25/06/1987\\n1.97\\nIntérieure\\n165\\n2144\\nYakin Dogu\\n\\n\\nMarine\\nJOHANNES\\n21/01/1995\\n1.77\\nArrière\\n41\\n288\\nBourges\\n\\n\\nLaetitia\\nKAMBA\\n10/01/1987\\n1.87\\nIntérieure\\n25\\n60\\nVilleneuve\\n\\n\\nAdja\\nKONTEH\\n05/03/1992\\n1.78\\nArrière\\n1\\n0\\nTarbes\\n\\n\\nSarah\\nMICHEL\\n10/01/1989\\n1.80\\nAilière\\n60\\n257\\nBourges\\n\\n\\nMarie-Michelle\\nMILAPIE\\n06/02/1996\\n1.92\\nIntérieure\\n–\\n–\\nB. Landes\\n\\n\\nDiandra\\nTCHATCHOUANG\\n14/06/1991\\n1.86\\nAilière\\n67\\n407\\nBourges\\n\\n\\n\\n\\nStage à Anglet du 10 au 21 août\\nLundi 20 août – 19h00 : France /Italie\\nMardi 21 août – 19h00 : France /Italie\\n\\nTournoi à Paris du 7 au 9 septembre\\nVendredi 7 septembre -18h00 : France / Lettonie\\nSamedi 8 septembre – 20h30 : France / Australie\\n\\nTournoi à Antibes du 15 au 17 septembre\\nSamedi 15 septembre – 19h00 : France / Sénégal\\nDimanche 16 septembre – 19h00 : France / Canada\\nLundi 17 septembre – 20h30 : France / Etats-Unis\\n\\nCoupe du Monde à Tenerife (Espagne) du 22 au 30 septembre 2018\\nSamedi 22 septembre -13h30 : Corée du Sud / France\\nDimanche 23 septembre – 17h30 : France / Grèce\\nMardi 25 septembre – 20h30 : Canada / France\\nMercredi 26 septembre : Barrage quarts de finale\\nVendredi 28 septembre : Quarts de finale\\nSamedi 29 septembre : Demi-finales\\nDimanche 30 septembre : Finales\\n\\n\\n\\n\\nLes Bleues 🇫🇷 arrivent tour à tour à Saint-Girons dans l'Ariège pour leur premier stage de préparation à la Coupe du Monde 2018 🏆🌍\\n📸 : https://t.co/EeRbszSDpG / FFBB pic.twitter.com/f83hkIbuu7\\n\\n\\n— Équipes de France de Basket (@FRABasketball) July 30, 2018\\n\\nPhoto: Sandrine Gruda (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Élite : CJ Harris nouvel arrière de l’Elan Béarnais"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le recrutement de l’Elan Béarnais se poursuit. L’EBPLO vient d’engager CJ Harris (1,91m, 27 ans) pour la saison prochaine.\\n\\nDepuis deux saisons à Sakarya, il évoluait l’année dernière aux côtés du Français Moustapha Fall. Passé par l’Allemagne, la Lituanie, la Pologne et la Turquie, il va vivre sa première expérience en France.\\n\\nLa saison dernière, CJ Harris compilait en moyenne 10,6 points, 2,8 rebonds et 2,5 passes décisives dans le championnat turc.\\n\\n« C.J. Harris est un poste 2 mais qui peut également évoluer au poste de meneur. Il dispose d’un très bon Q.I. basket et d’une solide expérience européenne depuis sa sortie de fac en 2013. C’est un scorer qui sait se mettre au service du collectif, disposant du profil exact que nous recherchions et sur lequel on va pouvoir s’appuyer. On dispose avec lui d’un joueur complet, efficace en attaque et qui met tout son coeur en défense, » a commenté le coach Laurent Vila.\\n\\nPhoto : Sakarya Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Cholet engage Michael Young"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Diplômé de l’université de Pittsburgh en 2017, Michael Young (2,06m, 23 ans) va vivre sa première expérience en France et en Europe après une saison en tant que joueur professionnel aux Etats-Unis.\\n\\nSur son site, Cholet Basket annonce la signature du natif de Duquesne pour une saison. Lors de l’exercice 2017/18, l’ailier fort américain a joué pour 87ers de Delaware et les Suns de Northern Arizona, en G-League. Une fois la saison terminée, il s’est engagé en avril avec Ponce, à Porto Rico le temps de 22 rencontres.\\n\\nLa saison dernière, Michael Young compilait en moyenne 12,1 points et 5,2 rebonds en G-League. A Porto Rico, il tournait en moyenne à 20,1 points et 5,3 rebonds.\\n\\nEntraîneur du CB, Régis Boissié s’est exprimé sur son nouveau joueur.\\n\\n« Michael est un joueur évoluant en position 4/5, qui sort d’une très bonne faculté, Pittsburgh, dans laquelle il était dominant. Il a ensuite fait une saison en G-League très intéressante. C’est un joueur très complet offensivement, qui a beaucoup de talent et une vraie faculté à scorer. A Pittsburgh, il a fait preuve de leadership et de maturité pour son jeune âge, nous espérons donc qu’il en fera de même chez nous. »\\n\\nPhoto : PITT"
}, 
{"role": "user",     "content":"Miro Bilan passe de Strasbourg à Villeurbanne !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ASVEL vient de mettre un terme à son recrutement en engageant un gros poisson, il s’agit de Miro Bilan (2,13m, 29 ans) qui évoluait à Strasbourg.\\n\\nSur son site, le club villeurbannais annonce l’arrivée de l’international croate qui a signé un contrat de deux ans.\\n\\nLa saison dernière, Miro Bilan compilait en moyenne 12,2 points et 5,8 rebonds entre la Jeep Élite et la Champions League.\\n\\nDirecteur des opérations basket, Nicolas Batum s’est exprimé sur le nouveau joueur villeurbannais.\\n\\n« Nous sommes très heureux d’accueillir Miro Bilan pour deux saisons. C’est un joueur de très grande taille, avec une expérience européenne et une polyvalence qui serviront énormément l’équipe. Son intelligence de jeu et ses compétences poste bas seront de réels atouts pour nous. »\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Tryggvi Hlinason, pivot islandais de Valence : «La prochaine échéance maintenant, c’est de jouer la qualification pour l’EuroBasket»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Entre sa fin de saison avec Valence et deux rencontres internationales avec sa sélection islandaise, Tryggvi Hlinason n’a pas eu beaucoup de temps de repos avant de reprendre son baluchon pour venir tester les eaux américaines à Las Vegas.\\n\\nDu haut de ses 2,16m qui bougent bien, le jeune pivot de 20 ans a un énorme potentiel mais sa première expérience américaine ne l’a pas convaincu. Après un parcours pas banal pour arriver dans le monde pro, Hlinason est encore en phase d’apprentissage... et actuellement sur le radar d’Andorre et Obradoiro en Espagne !\\n\\nBasketEurope a recueilli les premières impressions du gaillard de Svartárkot sur le Strip et a surtout fait le point après sa première saison à Valence et ses premières minutes en Euroleague.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\n« J’ai énormément appris défensivement à Valence »\\n\\nTriggvy, comment se passe votre première expérience américaine au sein des Raptors ?\\n\\nÇa se passe bien. C’est très différent de ce que je connais donc, il y a beaucoup à apprendre. C’est assez compliqué en plus de s’intégrer car on n’a eu que deux jours d’entraînement avant que les matchs commencent. Et ensuite, on a un entraînement entre chaque match mais c’est difficile de savoir où on se situe dans le groupe, ce que tu es censé faire et ce qu’on attend de toi. C’est compliqué mais c’est une expérience.\\n\\nConcrètement, comment s’est déroulée votre arrivée aux Etats-Unis, avant le début de la ligue d’été ?\\n\\nJ’étais avec ma sélection nationale en fait avant de venir ici. On était en Finlande. J’ai pris l’avion de la Finlande à l’Islande le 3 juillet. Et puis, je suis ensuite parti à Philadelphie le 4. Et de Philly à Toronto par la suite avant d’arriver ici [le 6 juillet]. C’est vrai que c’est très court pour se préparer mais le vrai problème, c’est la différence de jeu entre ici et l’Europe. C’est vraiment la première fois que je fais l’expérience de cette différence.\\n\\nEt quel est le plus dur pour vous : la vitesse, les systèmes de jeu ?\\n\\nEn vérité, il n’y a que très peu de systèmes de jeu. Ce sont des formes de jeu basiques. On essaie simplement de jouer. Ce n’est pas évident mais c’est intéressant tout de même.\\n\\nQu’est-ce qui vous a surpris ? A quoi vous attendiez-vous avant de venir ?\\n\\nJe n’avais pas tellement d’attentes. Je savais simplement qu’on avait deux jours pour monter une équipe en quelque sorte. Et je savais donc que ça serait particulier. Et en fin de compte, il s’agit d’énergie et qui se bat le plus sur le terrain. Ce n’est pas tellement tactique ici, c’est simplement celui qui en veut le plus qui l’emporte.\\n\\nComment jugez-vous votre évolution avec Valence cette saison, votre première expérience hors d’Islande ?\\n\\nJe suis content de mes progrès. Comme tout le monde le sait maintenant, j’ai commencé le basket que très récemment. J’ai donc beaucoup appris sur un laps de temps assez court. Je dois encore continuer à progresser et à mieux comprendre le jeu. Mais j’ai engrangé beaucoup d’expérience avec Valence. Je pense avoir énormément appris défensivement. C’était une bonne saison pour moi.\\n\\n\\n« Le plan est de rester en Espagne et continuer à progresser »\\n\\nVous avez pu jouer en Euroleague sur quelques séquences, qu’est-ce que ça vous a apporté d’avoir goûté au plus haut niveau en Europe ?\\n\\nOui, c’est important de pouvoir jouer au plus haut niveau possible. On ne peut évidemment pas faire mieux que l’Euroleague en Europe. C’était fantastique pour moi de découvrir ce niveau de jeu et de me confronter à ces joueurs de grande qualité. Mais le problème maintenant, c’est que la différence est énorme entre ce qu’un pivot fait en Europe et ce qu’il fait aux Etats-Unis. C’est intéressant, c’est bon pour moi.\\n\\nQuel est le plan pour la suite de votre carrière ? Vous restez en Espagne ?\\n\\nL’idée est effectivement de continuer à jouer en Espagne. Pour le moment, je ne peux pas vraiment en dire davantage. Mais oui, le plan est de rester en Espagne. J’espère pouvoir trouver plusieurs équipes intéressées [Obradoiro et Andorre sont sur le coup], afin d’avoir encore un cadre pour continuer à me développer.\\n\\nVous évoquiez votre sélection nationale, avec laquelle vous avez montré de belles choses, comment se porte le basket en Islande ?\\n\\nJ’ai le sentiment que ça a beaucoup grandi, surtout ces deux dernières années. On a une position assez unique. Déjà, on est très peu en termes de population. Le réservoir est donc très réduit. Mais on a également un très bon système en place pour former les jeunes. On arrive à avoir des joueurs de bon niveau comparativement au réservoir de joueurs disponibles.\\n\\nEst-ce que le basket peut devenir le sport n°1 ?\\n\\nNon, pas du tout ! Le football est encore le sport le plus important, de loin ! Et surtout après ce qu’on a fait cette année [avec la première qualification en Coupe du Monde pour la sélection islandaise].\\n\\nQuels sont les échéances à venir avec la sélection ? Quels matchs venez-vous de disputer ?\\n\\nC’était les qualificatifs pour la prochaine Coupe du Monde. Mais on a perdu nos deux matchs [de deux points face à la Bulgarie et nettement face à la Finlande]. On est tombé de haut. La prochaine échéance maintenant, c’est de jouer la qualification pour l’EuroBasket.\\n\\nPropos recueillis à Las Vegas\\n\\n[armelse]\\n\\n\\n« J’ai énormément appris défensivement à Valence »\\n\\nTriggvy, comment se passe votre première expérience américaine au sein des Raptors ?\\n\\nÇa se passe bien. C’est très différent de ce que je connais donc, il y a beaucoup à apprendre. C’est assez compliqué en plus de s’intégrer car on n’a eu que deux jours d’entraînement avant que les matchs commencent. Et ensuite, on a un entraînement entre chaque match mais c’est difficile de savoir où on se situe dans le groupe, ce que tu es censé faire et ce qu’on attend de toi. C’est compliqué mais c’est une expérience.\\n\\nConcrètement, comment s’est déroulée votre arrivée aux Etats-Unis, avant le début de la ligue d’été ?\\n\\nJ’étais avec ma sélection nationale en fait avant de venir ici. On était en Finlande. J’ai pris l’avion de la Finlande à l’Islande le 3 juillet. Et puis, je suis ensuite parti à Philadelphie le 4. Et de Philly à Toronto par la suite avant d’arriver ici [le 6 juillet]. C’est vrai que c’est très court pour se préparer mais le vrai problème, c’est la différence de jeu entre ici et l’Europe. C’est vraiment la première fois que je fais l’expérience de cette différence.\\n\\nEt quel est le plus dur pour vous : la vitesse, les systèmes de jeu ?\\n\\nEn vérité, il n’y a que très peu de systèmes de jeu. Ce sont des formes de jeu basiques. On essaie simplement de jouer. Ce n’est pas évident mais c’est intéressant tout de même.\\n\\nQu’est-ce qui vous a surpris ? A quoi vous attendiez-vous avant de venir ?\\n\\nJe n’avais pas tellement d’attentes. Je savais simplement qu’on avait deux jours pour monter une équipe en quelque sorte. Et je savais donc que ça serait particulier. Et en fin de compte, il s’agit d’énergie et qui se bat le plus sur le terrain. Ce n’est pas tellement tactique ici, c’est simplement celui qui en veut le plus qui l’emporte.\\n\\nComment jugez-vous votre évolution avec Valence cette saison, votre première expérience hors d’Islande ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Gilles Duro s’engage avec Lille et va découvrir la Pro B à 29 ans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Lille Métropole Basket a trouvé le joueur qui sera la doublure de Maurice Acker sur le poste de meneur, il s’agit de Gilles Duro (1,91m, 29 ans).\\n\\nPassé par la NM1 et la NM2 dans sa carrière entre Rueil, le GET Vosges, Wasselonne Otterswiller Saverne et donc Aubenas, le meneur de jeu français passe dans le monde professionnel et va vivre sa première expérience en Pro B dans le Nord de la France.\\n\\nLa saison dernière, Gilles Duro compilait en moyenne 8,5 points, 2 rebonds et 3,7 passes décisives pour une évaluation de 9,2 en NM1.\\n\\nJean-Marc Dupraz s’est exprimé sur son nouveau joueur sur le site du club.\\n\\n« J’ai eu un très bon contact avec Gilles. C’est un joueur que nous suivons depuis la fin de saison dernière. Je cherchais un meneur de jeu, deuxième arrière, expérimenté, qui viendrait au relais de Maurice et Marcos. Gilles possède un physique intéressant car c’est un poste 1 de grande taille qui est très complémentaire de [Maurice] Acker. Il va nous offrir d’autres solutions sur le poste de meneur. Il possède de vraies qualités : il fait jouer l’équipe, c’est un bon passeur avec un shoot fiable. A lui de s’intégrer et de se mettre rapidement au niveau d’exigence de la Pro B. Nous pensons qu’il a toutes les qualités pour réussir chez nous. »\\n\\nPhoto : Aubenas Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Ron Lewis signe à Fos-sur-Mer"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison en Pro B, Ron Lewis (1,93m, 34 ans) va retrouver la Jeep Elite à la rentrée sous les couleurs de Fos-sur-Mer, annonce le club.\\n\\nDéjà passé par Rouen en 2015/16 lors de son arrivée en France, le natif de Chicago a ensuite vécu une première expérience en première division française, sous le maillot de l’Elan Béarnais en 2016/17. Victime d’une rupture des ligaments croisés, il s’est relancé en Pro B la saison dernière. Et quelle saison ! Quatrième meilleur marqueur du championnat, l’ancien joueur de Brindisi a été le leader incontesté du STB, même s’il n’a pas pu éviter la relégation de son équipe.\\n\\nLa saison dernière, Ron Lewis compilait en moyenne 16,9 points, 3,6 rebonds et 3,8 passes décisives pour une évaluation de 13,5.\\n\\nPhoto : Sabine De Leest/ALM Evreux"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : DeShaun Thomas (ex Nanterre) signe au Panathinaïkos"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quelques heures après avoir officialisé la prolongation de Matt Lojeski, le Panathinaïkos vient d’annoncer l’arrivée de DeShaun Thomas (2,01m, 26 ans).\\n\\nArrivé à Nanterre en 2013 pour lancer sa carrière professionnelle, le natif de Fort Wayne a fait du chemin depuis et a signé pour une saison avec le Pana, indique le club. Passé par Barcelone, les Austin Spurs et l’Anadolu Efes, l’ancien nanterrien évoluait la saison dernière en Israël, sous les couleurs du Maccabi Tel Aviv.\\n\\nLa saison dernière, DeShaun Thomas compilait en moyenne 11,6 points et 3,7 rebonds en Israël, et 11,5 points et 3,3 rebonds pour une évaluation de 9,6 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mathias Lessort quitte l’Etoile Rouge de Belgrade pour Malaga"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison très prometteuse en Euroleague sous les couleurs de l’Etoile Rouge de Belgrade, Mathias Lessort (2m, 22 ans) rejoint les rangs de Malaga qui évoluera en Eurocup à la rentrée.\\n\\nAlors qu’il était annoncé proche de l’Olympiakos, l’international français prend finalement la direction de l’Espagne et l’Andalousie. Sur son site, l’Unicaja indique avoir trouvé un accord avec l’ancien joueur de Nanterre pour un contrat d’une année plus une autre année en option.\\n\\nLa saison dernière, Mathias Lessort compilait en moyenne 8,8 points et 4,4 rebonds pour une évaluation de 11,8 en Ligue Adriatique, et 8,5 points et 5,7 rebonds pour une évaluation de 10,7 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce : Matt Lojeski prolonge au Panathinaïkos"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Matt Lojeski (1,98m, 33 ans) portera toujours maillot du Panathinaïkos la saison prochaine. Le club a annoncé sa prolongation.\\n\\nSur son site, la formation grecque a déclaré avoir trouvé un accord avec l’international belge pour prolonger son bail d’une saison. Il a lancé sa carrière professionnelle en 2007 à Aalst, il s’est engagé avec Oostende deux saisons plus tard et y est resté de 2009 à 2013. C’est à ce moment-là qu’il a franchi un cap et a signé en faveur de l’Olympiakos. Après quatre saisons à l’Oly, l’ancien pensionnaire de l’université d’Hawaii a rejoint les rangs de l’éternel ennemi, le Pana, l’été dernier.\\n\\nLa saison dernière, Matt Lojeski compilait en moyenne 6,9 points, 2,3 rebonds et 1,4 passe décisive entre le championnat et l’Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"3×3: Caroline Hériaud, numéro 1 au ranking mondial: «C’est quand même énorme»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Dépèche a ouvert ses colonnes à Caroline Hériaud (1,65m, 22 ans) qui est devenue championne de France 3×3 samedi à Toulouse mais qui surtout est la numéro 1 au ranking mondial.\\n\\nUne distinction qui n’est pas neutre car le 3×3 sera discipline aux Jeux de Tokyo en 2020\\n\\n«C’est une fierté. On parle beaucoup du ranking dans le 3×3, surtout depuis que c’est une épreuve olympique et que le ranking est décisif dans la qualification. Je ne sais pas si j’arrive à m’en rendre compte, c’est quand même énorme. C’est une sorte de récompense de toute la passion que j’ai pour le basket. Depuis toute petite, je les regarde alors si je peux faire connaître mon sport en ramenant une médaille pour mon pays, cela serait fabuleux», confie t-elle.\\n\\nMais Caroline Hériaud a double emploi puisqu’elle aussi meneuse titulaire de La Roche Vendée qui a obtenu la saison dernière son maintien en Ligue Féminine. Sa moyenne était de 6,8 points, 4,1 rebonds et 3,8 passes. Et elle s’estime avant tout une joueuse de 5×5.\\n\\n«Le 3×3 n’est pas le même type de basket que le 5×5, ce n’est pas le même type d’effort. Aujourd’hui, le 3×3 n’est pas assez développé pour émettre l’hypothèse de faire une carrière seulement en 3×3. Je ne me suis pas posé la question mais je ne vais pas lâcher le 5×5 comme ça même si j’adore aussi le 3×3.»\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Justin Cobbs (ex-Le Mans) est le nouveau meneur du KK Cedevita Zagreb"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon plusieurs sources, le meneur américain Justin Cobbs (1,90m, 27 ans) a signé un contrat avec le club croate du KK Cedevita Zagreb.\\n\\nLe natif de Los Angeles a été champion de France 2018 avec Le Mans et élu dans le Cinq idéal de la saison de Jeep Elite. Il a tourné à 14,5 points, 6,2 passes et 3,1 rebonds en playoffs. La saison précédente il a porté le maillot du BCM Gravelines-Dunkerque.\\n\\nPhoto: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Elite: Fos vers un budget de 3,4M€ et une salle de 2 500 places"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans La Provence, Fos Provence Basket annonce un budget pour sa première saison en Jeep Elite de l’ordre de 3,4M€. Pour fixer les esprits, la saison dernière, cela l’aurait situé à la 15e place à égalité avec l’ESSM Le Portel.\\n\\nLe club possède 60 partenaires, espère approcher la centaine, alors que la subvention municipale va passer de 1,2 à 1,7M€.\\n\\nLa capacité de la (petite) Halle Parsemain va également augmenter suite à des travaux actuellement en cours avec des places assises mais aussi debout supplémentaires. Cela devrait permettre d’atteindre les 2 500.\\n\\n« De quoi affirmer cette ambition légitime, celui d’être le phare du sport de haut niveau à l’ouest des Bouches du Rhône. Un phare dont l’éclat serait visible à des dizaines de kilomètres à la ronde, » estime La Provence."
}, 
{"role": "user",     "content":"Mondial U17 féminin: La France en argent après avoir pris de plein fouet le TGV américain en finale, 40-92"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’année 2018 est à marquer d’une pierre blanche pour la jeunesse du basket français puisqu’à la suite des garçons, les filles sont parvenues en finale du championnat du monde U17. Le coach Arnaud Gruppillotte était déjà en place lorsque la France avait récolté une première médaille d’argent en 2010 dans cette catégorie d’âge.\\n\\nComme les garçons, les filles n’ont pas pu résister à une extraordinaire armada américaine où le cinq majeur au minimum méritait de composer le cinq idéal du tournoi et qui a également épaté les observateurs par la qualité de son jeu collectif. La défense américaine, c’est Fort Knox. Iliana Rupert majestueuse jusque-là est sortie du terrain fanny avec dix échecs au shoot... Et les Américaines ont finalement inscrit plus du double de points à la deuxième meilleure équipe du monde. Basketball is always an american game.\\n\\nOn retiendra pour l’anecdote que ce sont les Françaises qui ont défloré le score par un panier extérieur de Yohana Ewodo. Un court instant ensoleillé avant le déluge. Physiquement, athlétiquement, techniquement, cérébralement au-dessus, les Américaines ont proposé un jeu très discipliné à base d’une défense mortelle pour les velléités adverses, de courses à 300 à l’heure, de drives percutants et d’une finition excellente à l’approche du cercle (31/52 aux tirs à deux-points sur l’ensemble du match). Résultat : 16-2 ! Il fallut 5’30 pour que les Françaises s’offrent un deuxième panier par un trois-points de Zoe Wadoux.\\n\\nCiblée par la défense américaine qui usait d’aides parfaitement exécutées, Iliana Rupert souffrait face à la concurrence, à la fois pour trouver des positions de shots convenables et au rebond. Pas de point (0/5), 2 balles perdues et 4 rebonds pour la meilleure Française du tournoi en première mi-temps. Cela disait tout sur la force de l’opposition.\\n\\nSi la France ne volait pas en éclats, elle le devait à la fois à la maladresse américaine à trois-points (2/11) -c’était bien là la seule faiblesse de Team USA- et à l’inverse au réalisme de Zoe Wadoux (3/6) puis de Marine Fauthoux (3/3) au-delà de 6,75m. Les deux joueuses vont d’ailleurs marquer 30 des 40 points de l’équipe de France. L’écart était tout de même de 18 points (46-28) à mi-chemin.\\n\\nCa s’est délité en deuxième mi-temps\\n\\nPeut-être émoussées par la demi-finale de la veille face à l’Australie, les Françaises n’ont pas rebondi cette fois en deuxième mi-temps. La puissance et le rythme infernal imposés par les Américaines faisaient des dégâts de grande ampleur. 24-7 dans le troisième quart et Iliana Rupert avait écopé de sa quatrième faute à la 25e minute avant de prendre la cinquième à la 34e laissant les intérieures américaines dominer outrageusement. Ceci dit, c’est partout sur le terrain que la supériorité américaine était totale.\\n\\nOn était entré depuis longtemps dans le garbage time et Arnaud Gruppillotte en profitait comme sa collègue américaine pour faire entrer toutes ses joueuses. Ça laissera à chacune un souvenir pour la vie même s’il est cuisant. L’écart final à l’évaluation est à faire peur: 153 à 21.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Marine Fauthoux et Iliana Rupert, FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mondial U17 féminin : Les highlights de France vs Etats-Unis"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Revivez les meilleurs moments de France vs Etats-Unis avec la large victoire des Américaines en finale du championnat du monde U17 féminin.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mondial U17 féminin: Iliana Rupert élue dans le Cinq idéal du tournoi"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme prévu, le jury n’a pas osé mettre cinq Américaines dans le Cinq idéal de l’édition 2018 du championnat du monde U17 féminin. Ce qui n’aurait pas été un scandale. Aussi, Iliana Rupert est récompensée de son formidable tournoi -à l’exception de la finale manquée- en prenant place aux côtés de l’Australienne Shyla Heal et des Américaines Haley Jones, Aliyah Boston et Jordan Horston, laquelle a été élue MVP.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\n🌟 Your #FIBAU17 All-Star Five 🌟\\n\\n\\n🇫🇷 @Iliana_rups\\n🇺🇸 @haleyjoness19\\n🇺🇸 @Ladylynn22_ (MVP)\\n🇦🇺 Shyla Heal\\n🇺🇸 @aa_boston\\n\\n\\nCongratulation to all of them 👏@ffbasketball @usabasketball @BasketballAus pic.twitter.com/3TWmS52gNh\\n\\n\\n— FIBA (@FIBA) July 29, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18: Beau rebond des Français face à la Turquie, 78-67"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir loupé de justesse le coche face à la Russie, l’équipe de France a superbement rebondi lors de la deuxième journée face à la Turquie (78-67).\\n\\nBeaucoup plus athlétiques, les Français ont creusé un écart dès le premier quart-temps (21-28) et donné un deuxième coup de collier dans le troisième (19-11) pour mener 60 à 39. Le pressing turc a alors perturbé l’attaque des Bleuets qui en défaut de concentration ont cédé du terrain mais pas au point d’être réellement inquiétés.\\n\\nAvec 18 points, 6 rebonds, 2 passes et 2 interceptions, le pivot de Chalon Mathis Dossou Yovo (2,01m) a été le plus efficient avec Karlton Dimanche (13 points, 9 rebonds, 6 passes) et Joël Ayayi (14 points, 6 passes).\\n\\nLes Français affronteront mardi l’Allemagne pour clore le premier round.\\n\\nPhoto: Karlton Dimanche (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans: Michael «Juice» Thompson revient auprès de Eric Bartecheky"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Mans Sarthe Basket vient de signer pour une saison le meneur de jeu américain Michael « Juice » Thompson (1,78 m, 29 ans) qui a déjà porté les maillots de Villeurbanne, Pau et Rouen.\\n\\nMeneur de jeu de petite taille, « Juice » est reconnu pour son impact offensif, son adresse et sa vista. Top-scoreur (17,76 pts) de la Jeep Élite en 2016 sous les couleurs paloises et avec comme coach Eric Bartecheky, il en était également le numéro 1 aux lancers-francs (90.85%) et le 5e passeur (5,24), donc fort logiquement le 3e à l’évaluation (17,29). Et si le titre de MVP lui avait échappé de peu, étant sacré dauphin du Chalonnais Devin Booker, « Juice » était surtout l’artisan majeur qui avait permis aux Béarnais de retrouver le chemin des playoffs après une longue traversée du désert.\\n\\nJuice Thompson était allé ensuite monnayer son talent en Turquie à Besiktas. Le MSB avait déjà cherché à l’embaucher la saison dernière mais l’Américain avait préféré rester en Turquie.\\n\\nPour rappel, les joueurs professionnels sous contrat avec le MSB en 2018-19 sont actuellement au nombre de sept : Valentin Bigote (JFL), Petr Cornelie (JFL), Antoine Eïto (JFL), Richard Hendrix (EUR), Terry Tarpey (EUR), Michael Thompson (JNFL) et Wilfried Yeguete (JFL). Brahim Dohou (au club depuis 2014-15), le Dominicain José Familia (COT) et Louis Rucklin (prêté par Strasbourg) sont les trois joueurs Espoirs sous contrat.\\n\\nRepères\\n\\nClubs : Northwestern (NCAA) de 2008 à 2011. Francfort (Allemagne) en 2012. ASVEL (Pro A) en 2013. Pau-Lacq-Orthez (Pro A) en 2014. Rouen (Pro A) en 2015. Pau-Lacq-Orthez (Pro A) en 2016. Besiktas Istanbul (Turquie) en 2017. Istanbul BB (Turquie) en 2018.\\n\\nPalmarès en club : Finaliste des playoffs turcs en 2017.\\nPalmarès individuel : All-Star de la Pro A en 2016. Elu dans le meilleur cinq de la Pro A en 2016.\\n\\nExpérience européenne : Eurocup en 2012. Basketball Champions League en 2017. FIBA Europe Cup en 2018.\\n\\nStatistiques Turquie 2018 : 11,1 points à 41.3% aux tirs, dont 53 sur 137 à 3pts (38.7%), et 86.5% aux lancers-francs, 5,5 passes décisives, 2,2 rebonds, 1,1 interception et 10,2 d’évaluation en 32 min/m (30 matches)\\n\\nStatistiques FIBA Europe Cup 2018 : 15,9 points à 48.8% aux tirs, dont 25 sur 70 à 3pts (35.7%), et 90.7% aux lancers-francs, 5,6 passes décisives, 2,1 rebonds, 1,0 interception et 16,6 d’évaluation en 32 min/m (14 matches)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18: A suivre en direct à 15h15 sur YouTube, France-Turquie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après leur défaite face aux Russes, les Bleuets doivent s’imposer face à la Turquie à l’Euro U18. C’est en direct cet après-midi à 15h15.\\n\\nPhoto: Joel Ayayi (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le basket français a fêté les 80 ans de Henry Fields, sa première figure américaine de légende"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’invitation de l’Union sportive Auterive basket-ball, c’est tout le basket français qui a fêté les 80 ans d’Henry Fields hier à Toulouse. Jacques Cachemire, qui fut champion de France avec lui à Antibes en 1970 -l’année où il a été élu Meilleur Joueur de première division- avait fait le déplacement comme Skeeter Jackson, le père d’Edwin ou encore Paoline Ekambi, 254 sélections en équipe de France, qui fut entraînée par l’Américain lorsqu’il était coach au Stade Français. Bien d’autres internationaux étaient présents tout comme André Souvré, Andry Michy et Joël Fenar qui furent champions de France avec lui sous le maillot du Paris Université Club en 1963.\\n\\n« Henry Fields a également été honoré par son ami le Prince Albert de Monaco avec une lettre du Palais remise en main propre par Edgar Berti. Le président de la Fédération française de basket, Jean-Pierre Siutat lui a fait remettre un maillot de l’équipe de France collector de 1927 et un album photos de la carrière d’Henry », rapporte La Dépêche.\\n\\nHenry Fields, 1,97m, né à New York, n’a pas été le premier basketteur américain à venir en France mais c’est sa première figure. Mieux encore, il n’a jamais quitté le territoire français et d’ailleurs c’est lui qui a créé le club d’Auterive il y a plus de vingt ans. Une fidélité qui lui a valu d’être élu en 2014 « Académicien du basket », soit l’équivalent d’un Hall of Famer. Et à ce jour, il est le seul étranger qui a obtenu cette distinction.\\n\\nLire ici notre dossier sur les premiers joueurs américains de France.\\n\\nPhoto: Musée du Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mondial U17 féminin: Les Américaines ont gagné leurs 6 matches par une marge moyenne de 47,5 points !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Invincibles les Etats-Unis? Quasi.\\n\\nDepuis la création, en 2010, de ce championnat du monde U17 féminin, qui se tient tous les deux ans, les Américaines ont remporté trois fois l’or et une fois le bronze. C’est lors de l’édition précédente en 2016 que les filles de l’Once Sam ont chuté assez lourdement en demi-finale face à l’Australie (60-73). En incluant les six victoires obtenues à Minsk, leur bilan fait ainsi état de 32 victoires pour une défaite.\\n\\nEn demi-finale, les Américaines ont fait du petit bois de la Hongrie qui possède pourtant à l’échelle mondiale une très bonne génération. Elles ont mis plus du double de points que leurs adversaires: 84-39. Le chiffre qui tue, c’est le pourcentage aux tirs des Hongroises: 23,7.\\n\\n« Nous sommes tous très fiers de notre défense. Nous sommes une équipe très défensive. Une grande partie de notre attaque vient du fait que nous jouons bien en défense », a déclaré Fran Belibi. On veut bien la croire.\\n\\nAutres chiffres marquants, les 56 rebonds américains contre 33 pour les Européennes, et encore le 26/13 aux passes décisives.\\n\\nJordan Horston a été particulièrement performante avec 18 points (9/12), 6 rebonds, 4 passes, 4 interceptions pour 29 d’évaluation.\\n\\nJusqu’ici les Américaines ont gagné leurs matchs par une marge moyenne de 47,5 points ! Tous les chiffres sont à l’avenant et la preuve que le groupe est d’une valeur compacte, les évaluations des membres du cinq majeur vont de 9,5 à 10,3.\\n\\nC’est à un Everest auquel va s’attaquer l’équipe de France.\\n\\nPhoto: Halley Van Lith (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mondial U17 féminin: Les highlights de Iliana Rupert contre l’Australie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fille de l’international Thierry Rupert décédé suite à des problèmes cardiaques, Iliana Rupert (1,94m) est la meilleure joueuse européenne de sa génération -elle a eu 17 ans le 12 juillet- et elle est candidate au titre de MVP du championnat du monde U17 dont la finale France vs Etats-Unis est programmée ce soir.\\n\\nFace à l’Australie, elle a assuré 20 points, 14 rebonds, -bon sang ne saurait mentir- 6 contres et 4 interceptions. Voici les highlights de son match.\\n\\n« Honnêtement, en première mi-temps, nous nous sommes fait peur, » a t-elle déclaré à la fin du match. « Défensivement, les coaches nous ont donné des consignes à suivre impérativement pour gagner et nous ne les avons tout simplement pas suivies en première mi-temps. C’est pour ça que nous accusions 15 points de retard à la pause. Nous avons abordé la seconde mi-temps en nous disant que nous n’avions plus rien à perdre, nous nous sommes battues et nous avons corrigé nos erreurs défensives du début de match, ce qui nous a permis de recoller au score. Une fois que nous avions retrouvé notre jeu, plus rien ne pouvait nous arrêter. »\\n\\nDepuis le début du tournoi, Iliana qui va rejoindre Bourges à la rentrée, en est à 12,2 points (43,9% aux tirs), 9,6 points, 2,8 interceptions et 2,8 contres malgré le fait qu’elle ait été victime d’une entorse à la cheville au cours du tournoi.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mondial U17 féminin: La finale France-USA en direct sur Dailymotion et Canal+ Sport"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Finaliste du championnat du monde face aux Etats-Unis, l’équipe de France féminine U17 va avoir un double privilège.\\n\\nComme la demi-finale face à l’Australie, le match sera retransmis sur la chaîne Dailymotion du groupe Canal + (voir ci-dessous) qui possède les droits sur l’épreuve et également sur la chaîne Canal+ Sport.\\n\\nLe match est à 19h30.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’Open de France de 3×3 a enflammé Toulouse"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Hier la place du Capitole de Toulouse a été littéralement envahie par une foule venue se presser autour des terrains de la 7e édition de l’Open de France de 3×3. Les 128 meilleurs joueuses et joueurs de 3×3 de France s’étaient donnés rendez-vous en plein cœur de la ville pour tenter de remporter la Superleague 3×3 FFBB présentée par GRDF.\\n\\nTout au long de la journée, les exploits des basketteurs et des basketteuses ont attiré le public toulousain avec comme point d’orgue les phases finales à élimination directe disputées sur un terrain central plein à craquer et à prendre feu à la moindre étincelle.\\n\\nC’est dans cette atmosphère surchauffée que l’équipe Las Campeones, composée exclusivement de joueuses du Top 5 mondial 3×3, s’est imposée face à la Paris Squad, emmenée par l’ancienne internationale, Emilie Gomis.\\n\\nUltime rencontre de la journée, la finale masculine a été le théâtre d’une lutte acharnée entre deux équipes expérimentées. Au final, après cinq première minutes équilibrées et très défensives, c’est l’équipe Nice Riviera de Charles-Henri Bronchard, qui creuse l’écart en faisant tomber les fautes. Nice Riviera l’emporte, inscrit son nom sur le trophée de la Superleague 3×3 FFBB et gagne son ticket pour le Masters Européen de Lausanne.\\n\\nFinale féminine : Las Campeones bat Paris Squad 17 à 14\\n\\nLas Campeones : Caroline Hériaud, Victoria Majekodunmi, Marie Mané, Assitan Koné\\n\\nParis Squad : Emilie Gomis, Jessica Mavambou, Hermione Ngueko, Mélissa Diawakana\\n\\nFinale masculine : Nice Riviera bat Blacklist 20 à 16\\nNice Riviera : Charles-Henri Bronchard, Kévin Corre, Anthony Christophe, Dominique Gentil\\nBlacklist : Raphaël Wilson, Sammy Girma, Raphaël Giaimo, Morgan Durand\\n\\nVainqueur du concours de dunk : Chris Sunda\\n\\nVainqueur de l’épreuve de dextérité : Marie-Eve Paget\\n\\nVainqueur du concours de 3 pts GRDF : Jenny Fouasseau\\n\\nToutes les infos, les résultats et les vidéos sur http://www.ffbb.com/3×3/open-de-france-3×3-live\\n\\nPhoto: FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18: La France chute d’entrée face à la Russie, 80-82"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Bleuets sont mal entrés dans leur Euro en concédant une courte défaite face à la Russie (82-80). Dans un groupe qui comprend également la Turquie vainqueur de l’Allemagne, il ne leur reste plus vraiment de joker en poche.\\n\\nMenés les trois-quarts du match, les Français ont effectué un très bon dernier quart-temps (20-12) pour revenir à un point à 24 secondes du buzzer. Seulement, un lancer-franc russe plus tard, ils ont très mal négocié la dernière balle gâchant ainsi la possibilité d’obtenir une prolongation ou même de faire un holdup.\\n\\nC’est le trio Joël Ayayi (18 points, 6 rebonds) – Mathis Dossou Yovo (17 points, 5 rebonds, 3 passes) – Timothé Crusol (16 points, 4 rebonds, 5 passes) qui a été le plus efficace côté français.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mondial U17 Féminin: Enorme exploit des Françaises qui se qualifient pour la finale !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Au prix d’une remontée fantastique en deuxième mi-temps, et portées par une Iliana Rupert magnifique (20 points, 14 rebonds et 6 contres) les Françaises ont éliminé les championnes en titre, l’Australie, 68-58. Comme les garçons elles sont en finale du Mondial U17 probablement face aux Américaines\\n\\nAvec des défenses agressives des deux côtés, on a comptabilisé deux paniers à trois points lors des quatre minutes et c’est tout. Mais l’Australie pouvait ensuite compter sur les tirs en cloche incroyables de sa shooteuse Isabel Palmer, qui scorait 11 des 15 premiers points de son équipe. Deux mauvaises nouvelles dans ce quart-temps, Iliana Rupert commettait sa deuxième faute au bout de huit minutes et les Bleuettes négociaient mal les deux dernières minutes, 11-19.\\n\\nChaque ballon mal contrôlé côté français était exploité par les Aussies. Le coach Arnaud Guppillotte demandait un passage en zone 2-3 qui perturbait un peu du moins un temps les Australiennes. Seulement leur faiblesse au rebond (17 et exactement le double pour leurs adversaires plus grandes et davantage dans l’anticipation) et leur incapacité à mettre des tirs extérieurs (1/12 à trois-points) empêchaient les Bleuettes d’amorcer un retour. 21 points en une mi-temps dont 12 pour la seule Iliana Rupert, c’est évidemment beaucoup trop peu pour être concurrentiel face à une équipe australienne de haut niveau et l’écart était de -15 à la mi-temps.\\n\\nEt le combat changea d’âme...\\n\\nAvec toujours leur zone press 1-2-1-1 mais beaucoup plus incisives, une Iliana Rupert impériale, une Zoe Wadoux inspirée, les Françaises revenaient en force. Les Aussies étaient comme pétrifiées, jouaient à l’arrêt, perdaient le nord, ne scoraient plus et contre toute attente se faisaient dépasser, 38-37 (36′). Un 22-5 permettait aux Bleuettes de mener 43-41 à la fin troisième quart-temps. Juste impensable quelques minutes auparavant.\\n\\nLes Françaises déployaient beaucoup d’énergie tout en faisant preuve d’un énorme sang-froid. Kendra Chery (11 points, 6 rebonds, 3 interceptions, 2 contres) et Yohana Ewodo (8 points, 8 rebonds, 6 passes) faisaient un énorme job sur toutes les lattes du parquet. A six minutes de la fin, elles tenaient le bon bout, 51-46 grâce à une défense de fer qui détruisait le jeu et la confiance des Aussies. Un trois-points de Zoe Wadoux (16 points, 5 interceptions) puis de Marine Fauthoux qui tenait la boutique -sous les yeux de son coach de père, Freddy- faisaient définitivement basculer le match de leur côté d’autant qu’elles faisaient preuve d’une complète lucidité aux lancers dans le money time.\\n\\nEn soirée, les Américaines se sont très largement imposées à la Hongrie (84-39) et comme les garçons paraissent invincibles. Mais déjà quelle perf les filles !\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Yoahana Ewodo (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Paris Basketball: la première pierre est posée, l’aréna de la Porte de la Chapelle, c’est le futur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur le plus vieux parquet de basket au monde datant de 1893, dans l’antre du théâtre Trévise dans le neuvième arrondissement de Paris, le Paris Basketball a posé la première pierre de son existence en révélant notamment le nom du premier coach de son histoire: Jean-Christophe Prat.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAccompagné de celui qui mènera le Paris Basketball à la rentrée, David Kahn (Président et copropriétaire) a présenté Jean-Christophe Prat, 46 ans. L’ancien entraineur de Denain s’est pour l’instant engagé avec le club parisien pour une seule saison.\\n\\n« Jean-Christophe Prat sera le premier coach de l’histoire du Paris Basketball. Félicitations à lui. Comme je l’ai dit lors de la dernière conférence de presse à l’Hôtel de Ville, ça va être une première saison très excitante en raison du temps qu’il nous reste. Le calendrier est difficile. Nous sommes le 26 juillet et nous savons que nous allons jouer notre premier match de championnat à Nantes le 12 octobre et notre premier match à domicile sera le 9 novembre à la Halle Carpentier. Avant cela nous devons également jouer la Leaders Cup. Mais nous n’avons pas engagé Jean-Christophe uniquement pour cette saison. Jean-Christophe a la réputation d’être très doué dans le développement des jeunes joueurs. Dans ces conditions, le fait d’être capable d’apprendre à jouer à des jeunes et de les rendre meilleurs répond parfaitement à ce que nous souhaitons faire pas seulement la saison prochaine, mais dans le futur. Nous souhaitons développer la réputation non pas seulement de Paris et de la France, mais de toute l’Europe. C’est l’un des meilleurs endroits pour des jeunes pour venir et progresser. Jean-Christophe a également de l’expérience en tant qu’entraîneur principal. Il a coaché trois ans en Pro B (NDLR: à Denain) donc il connait parfaitement cette division. Nous sommes vraiment très heureux de l’avoir à nos côtés », a déclaré David Kahn.\\n\\nPrésenté officiellement, Jean-Christophe s’est également exprimé devant la presse.\\n\\n« C’est une belle histoire et une belle aventure qui commence. Cette aventure a pris forme il y a de cela à peu près un mois. J’ai eu l’opportunité de rencontrer David et nous sommes restés ensemble trois heures. Il a eu l’honnêteté de me dire pourquoi il était ici et il ne m’a rien caché. Je dois vous avouer que quand je suis sorti de cet entretien, j’attendais avec impatience son positionnement par rapport à moi. Ça a mis un peu de temps, mais il m’a dit qu’il voulait que je devienne le coach du Paris Basketball. Pour moi, c’est une très grande fierté parce qu’on se retrouve sur un point qui est le développement des jeunes joueurs. C’est pour moi fondamental. On se retrouve aussi sur un autre point : Paris. C’est ma ville, c’est ici que je suis né. Je suis vraiment un Titi Parisien, je suis né dans le quinzième arrondissement. Je suis vraiment un jeune Parisien et pour moi ça a toujours été une chose incroyable que Paris n’ait pas réussi à bâtir un grand club. Il y a quinze ans j’ai quitté Paris, il y avait ce projet d’académie qui n’a pas fonctionné. Je suis très, très, très heureux de revenir ici et d’avoir cette opportunité de montrer que c’est possible d’avoir un grand club à Paris à l’horizon 2022. On a un petit peu de retard, mais le travail ne nous fait pas peur. On va prendre le temps de faire les choses, on va y aller avec beaucoup de simplicité et d’humilité. Je suis quelqu’un de sage, je suis quelqu’un de modeste. On prendra le temps de faire les choses. On essayera de mettre sur le terrain dès cette année, des jeunes joueurs pour tout de suite affirmer cette volonté forte de la ligue de développer des jeunes potentiels. Aujourd’hui nous sommes à la fois fiers et pleins d’ambition, mais aussi très modestes dans la façon dont nous allons nous installer et prendre part à ce beau projet. »\\n\\nSuite à cette introduction qui a mis en place les bases de ce recrutement, les deux hommes sont entrés un peu plus dans les détails de l’état actuel du Paris Basketball. Combien y-a-t-il de joueurs sous contrat ? Où vont-ils jouer ? Quels sont les objectifs ? Comment attirer les gens vers ce club ?\\n\\n\\nQuels joueurs ?\\n\\nEn rachetant les droits sportifs du Hyères-Toulon Basket, le Paris Basketball a fait un bond de la NM2 à la Pro B et a ainsi permis à la ville de Paris de faire son retour dans le monde professionnel. Et pour cause, cela fait de très longues années que Paris ne dispose pas d’une équipe de basket compétitive à haut niveau. Avec l’arrivée de David Kahn, ancien dirigeant au sein des Minnesota Timberwolves, c’est fait, Paris est en Pro B mais il reste beaucoup de travail à accomplir. Cette conférence de presse a permis d’éclairer quelques zones d’ombre. Et notamment à propos du nombre de joueurs sous contrat. En fait, aucun joueur du HTV ne fera partie de l’effectif 2018-19. Le Paris Basketball part aujourd’hui d’une feuille blanche avec uniquement un coach.\\n\\n« Pour l’instant nous n’avons aucun joueur sous contrat. Nous allons reprendre aux alentours du 15 août ou un petit peu après, ça va dépendre. On est tenu par un cahier des charges. Etant donné que nous n’avons pas de centre de formation, nous devons, en Pro B, avoir au moins quatre joueurs de moins de 23 ans. La priorité dans le recrutement va être de trouver ces jeunes joueurs. Ce qui n’est pas simple parce qu’à cette période de l’année, le marché est énormément réduit. Néanmoins, il y a encore des jeunes joueurs, et des jeunes joueurs à potentiel. L’objectif ce n’est pas de remplir des cases, l’objectif c’est d’en trouver qu’on pourra mettre sur le terrain dès la rentrée. On va d’abord s’atteler à trouver ces jeunes joueurs, ensuite on essayera de trouver les Français et pour les étrangers on sait qu’on a un peu plus de temps car les Summer League viennent de finir. Dans un premier temps on va cibler des joueurs de moins de 23 ans qui peuvent jouer à ce niveau-là. S’ils sont Parisiens ou originaires de Paris, ça serait l’idéal. A cette période de la saison, je ne peux pas vous le garantir. C’est bien aussi d’être là en fin de marché pour les étrangers parce qu’ils coûtent un peu moins cher. Pour le nombre de contrats, une équipe c’est dix joueurs donc on aura dix joueurs avec des contrats pros. On n’est pas fermés sur le nombre, on raisonne plutôt sur une masse salariale globale. Une fois que l’on aura cela, si on a encore de la place on ne se privera pas pour signer par exemple un onzième joueur », a déclaré l’ancien assistant d’Erman Kunter au Besiktas.\\n\\nL’ancien assistant de Philippe Hervé à Orléans est aussi en train de constituer son staff. Il a confié être à la recherche d’un assistant connaissant déjà la ville de Paris et ses réseaux. Il s’est montré à l’aise à l’idée de recruter un jeune entraîneur pour l’épauler : « J’ai aussi cette volonté de développer des jeunes entraîneurs à potentiel ». Il cherchera un staff médical, composé d’un médecin et d’un kinésithérapeute. L’Equipe annonce que Mamoutou Diarra, qui jouait en N2 au Paris Basket Avenir, devrait être engagé comme directeur des opérations basket.\\n\\n\\nOù joue-t-on ?\\n\\nSi le Paris Basketball est pressé dans son timing et espère reprendre « le 15 août, tout dépendra de l’avancée du recrutement. Si on a que cinq joueurs à cette période, on ne pourra pas reprendre » selon Jean-Christophe Prat, il faut également avoir un endroit pour s’entraîner. Actuellement et jusqu’à la rentrée, le Halle Carpentier, salle où doit résider le Paris Basketball, est en travaux. Le club a donc dû se mettre à la recherche d’un point de chute, d’abord pour la préparation d’avant saison.\\n\\n« La Halle Carpentier est toujours en rénovation et c’est pourquoi nous ne pouvons y jouer notre premier match de championnat qu’en novembre. Nous sommes également en train de voir pour programmer plusieurs matchs amicaux à Carpentier pour la fin septembre (21, 22 et 23 septembre). C’est le seul moment où nous pourrons jouer à Carpentier avant novembre. En relation avec la Region, nous allons également nous entraîner à The One Ball. Nous sommes fiers d’annoncer que nous profiterons des exceptionnelles installations de The One Ball à Noisy-le-Grand. C’est un peu l’opposé de là où nous en sommes actuellement. C’est tout neuf et c’est le top de tout ce qui peut se faire en France, pas seulement Paris », a annoncé David Kahn.\\n\\nDirecteur Général Opérationnel, Romuald Coustre a également dévoilé que dans cette optique de reprise, les matchs à domicile de Leaders Cup se joueront dans un premier temps dans la région Ile-de-France « au sens large ». Le club recense actuellement toutes les salles susceptibles de pouvoir correspondre au cahier des charges de la Ligue Nationale et qui seront homologuées pour des matchs de ce niveau-là.\\n\\n\\nLa création d’une identité\\n\\nL’un des sujets qui fait beaucoup parler est comment créer une identité à un club qui sort de terre et qui va tout de suite se retrouver dans le monde pro. Pour Jean-Christophe Prat, il faudra passer par la formation, mettre les jeunes sur le terrain et les faire se sentir proches du club.\\n\\n« Du point de vue sportif, je pense, qu’étant Parisien, il y a une grande frustration de ne pas avoir ce fameux club à travers lequel on peut s’exprimer. Il va falloir montrer qu’on peut faire du haut niveau et mettre des jeunes joueurs qui vont s’y exprimer. Si on est capable de montrer ça tout de suite, d’un point de vue sportif, c’est montrer qu’on peut développer une identité forte à Paris. Que les jeunes ne soient pas obligés d’aller dans des centres de formation partout en France pour trouver un terrain d’expression. Je pense que le fil rouge des quatre ans que l’on va avoir pour arriver à 2022 sera celui-là. Créer une identité forte autour de la formation. Très souvent il y a eu des barrières entre un groupe professionnel et des jeunes joueurs, moi je veux casser ces barrières-là. Le talent n’a pas d’âge. Si un gamin de seize ans est plus fort qu’un joueur professionnel, il faut le mettre sur le terrain. Ça prend aussi du temps et il y a aussi de la concurrence. Il y a aussi d’autres personnes qui font de la formation en France et qui font bien le travail. A nous de montrer qu’on en est aussi capable. »\\n\\nSi l’entraîneur donne la vision sportive de cette question, David Kahn parle davantage du côté business. Selon lui, il faut se rapprocher des potentiels partenaires, aller se présenter et rapprocher le club de la communauté basket qui existe dans le bassin parisien.\\n\\n« D’un point de vue organisationnel, il faut s’y prendre étape par étape. Par exemple, hier nous avons eu une réunion, Romuald Coustre, Antonio de Freitas (dirigeant de Menilmontant) et moi-même avec le Club Tour Eiffel. Nous pensons que comme nous avons commencé à nous présenter, nous pourrions également devenir partenaires. Je suppose que vous avez tous déjà au moins regarder une fois la série Games of Thrones. Ils disent toujours « Winter is coming », à Paris c’est « August is coming ». Personne ne travaille en août. Nous ne pourrons donc pas faire beaucoup de choses dans les prochaines semaines, mais nous allons continuer, même en août et septembre, rencontrer des gens de la communauté basket, rencontrer d’autres clubs, nous présenter. Nous allons continuer d’être impliqués avec The One Ball où il a une communauté de basketteurs. Cette saison va être un vrai challenge de différentes manières. Je pense que si nous assemblons une équipe bonne à regarder et une bonne atmosphère aux matchs, les gens vont apprécier ce voyage depuis la première étape. C’est très excitant de faire partie d’un projet depuis son premier jour. Techniquement nous en sommes au jour quinze, mais c’est toujours en quelque sorte le premier jour. Je pense que c’est important pour nous de nous présenter. »\\n\\n\\nQuels objectifs ?\\n\\nEn NM2 la saison dernière et actuellement avec seulement un coach sous contrat, il est difficile pour le Paris Basketball de parler des objectifs même si David Kahn a déjà fait part de ses envies d’Euroleague en arrivant à Paris. Pour Jean-Christophe Prat, il sera d’abord question de se maintenir et de « simplement gagner le match d’après ».\\n\\n« C’est une bonne question ! Aujourd’hui c’est compliqué de fixer des objectifs étant donné qu’il n’y a pas encore d’équipe. Le premier objectif va être de bâtir l’équipe, mais pour l’instant on peut se dire que l’objectif final sera de se maintenir et de simplement gagner le match d’après. Même en temps normal je ne fixe pas d’objectif à mon groupe avant la fin de la présaison. Chaque chose en son temps. Ce n’est pas parce que c’est Paris, ce n’est pas parce qu’on arrive avec de l’ambition que tout ira très vite. Je connais la Pro B. C’est un championnat très difficile. Beaucoup de gens disent que c’est la meilleure deuxième division d’Europe donc attention. Le niveau de coaching en Pro B est très, très bon et beaucoup d’équipes de Pro B ont battu des équipes de Jeep Elite en Coupe de France l’année dernière. Ça ne reste que sur un match mais je pense que le niveau moyen en Jeep Elite et en Pro B s’est rapproché. Alors je ne parle pas des tops équipes de Jeep Elite, mais à partir de la deuxième moitié de tableau, la différence de niveau s’est vraiment réduite », a-t-il déclaré.\\n\\n\\nL’arena Porte de la Chapelle en ligne de mire\\n\\n« Sans cette arena, je ne serais pas assis devant vous en ce moment ». David Kahn a de grandes ambitions et compte bien mener son club jusqu’au plus haut niveau et résider au sein de la nouvelle Arena qui doit voir le jour pour 2022 Porte de la Chapelle avec une capacité avoisinant les 8 000 sièges.\\n\\n« Je voudrais dire que l’absence d’une arena dernier cri de taille moyenne a été la chose la plus difficile à développer pour avoir un club du niveau de l’Euroleague. Je pense que Porte de la Chapelle est une pièce maitresse de l’avancer du Paris Basketball. Sans cette arena, je ne serais pas assis devant vous en ce moment. Porte de la Chapelle, c’est le futur. Nous sommes tous venus dans ce projet avec la même vision, ça va prendre du temps, nous te n’atteindrons pas nos objectifs en quelques jours. C’est une longue route qui nous attend. Nous allons nous construire brique après brique. »\\n\\n[armelse]\\n\\nAccompagné de celui qui mènera le Paris Basketball à la rentrée, David Kahn (Président et copropriétaire) a présenté Jean-Christophe Prat. L’ancien entraineur de Denain s’est pour l’instant engagé avec le club parisien pour une seule saison.\\n\\n« Jean-Christophe Prat sera le premier coach de l’histoire du Paris Basketball. Félicitations à lui. Comme je l’ai dit lors de la dernière conférence de presse à l’Hôtel de Ville, ça va être une première saison très excitante en raison du temps qu’il nous reste. Le calendrier est difficile. Nous sommes le 26 juillet et nous savons que nous allons jouer notre premier match de championnat à Nantes le 12 octobre et notre premier match à domicile sera le 9 novembre à la Halle Carpentier. Avant cela nous devons également jouer la Leaders Cup. Mais nous n’avons pas engagé Jean-Christophe uniquement pour cette saison. Jean-Christophe a la réputation d’être très doué dans le développement des jeunes joueurs. Dans ces conditions, le fait d’être capable d’apprendre à jouer à des jeunes et de les rendre meilleurs répond parfaitement à ce que nous souhaitons faire pas seulement la saison prochaine, mais dans le futur. Nous souhaitons développer la réputation non pas seulement de Paris et de la France, mais de toute l’Europe. C’est l’un des meilleurs endroits pour des jeunes pour venir et progresser. Jean-Christophe a également de l’expérience en tant qu’entraîneur principal. Il a coaché trois ans en Pro B (NDLR: à Denain) donc il connait parfaitement cette division. Nous sommes vraiment très heureux de l’avoir à nos côtés », a déclaré David Kahn.\\n\\nPrésenté officiellement, Jean-Christophe s’est également exprimé devant la presse.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Suivre en direct l’Open de France 3×3 à partir de 16h20"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FFBB propose de suivre en direct l’Open de France 3×3 qui se déroule à Toulouse sur la Place du Capitole."
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce: L’ancien Américain de Nanterre DeShaun Thomas vers Panathinaikos"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ailier américain DeShaun Thomas (2,01m, 26 ans) est proche de signer un contrat au Panathinakos annonce la presse grecque.\\n\\nA sa sortie de Ohio State, DeShaun Thomas a porté le maillot de la JSF Nanterre avant ceux de trois clubs européens prestigieux: FC Barcelone, Anadolu Efes Istanbul et Maccabi Tel-Aviv.\\n\\nLa saison dernière, en Euroleague, il a tourné à 11,5 points (43% à trois-points) et 3,4 rebonds en moyenne.\\n\\nPhoto: Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les images et les commentaires de France-Italie hier à Anglet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de France féminine s’est imposée deux fois largement face à l’Italie pour ses deux premiers matchs de préparation. Des images et des commentaires de Valérie Garnier, Sandrine Gruda et Laetitia Kamba sur cette vidéo de la FFBB."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16 féminin: France-Italie à 20h15 sur YouTube. Attention, danger!"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quart-de-finale de l’Euro U16 féminin ce soir à 20h15 diffusé sur YouTube. La France affronte l’Italie.\\n\\nJusqu’ici les Italiennes ont fait des cartons: +28 contre la Hongrie, +38 contre la Pologne, +45 contre la Croatie et +35 contre le Danemark. Impressionnant. La meilleure Italienne à l’évaluation (15,3) et au scoring (11,3 points), la meneuse Ilaria Panzera (1,80m), n’a joué que 18′ en moyenne. D’ailleurs les écarts obtenus ont permis au coach de faire tourner son effectif puisqu’à une exception près le temps de jeu va de 13 à 22′ de moyenne par match.\\n\\nBref, ça ne va pas plaisanter ce soir à Kaunas.\\n\\nPhoto: India Farcy (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Serbe Ognjen Kuzmic effectue son grand retour à la compétition avec le Real Madrid"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Real Madrid n’a pas beaucoup recruté à l’intersaison. Mais outre le retour de Sergio Llull pour sa première saison pleine depuis sa grave blessure au genou, c’est le pivot serbe Ognjen Kuzmic (2,14m, 28 ans) qui va également effectuer son retour officiel à la compétition après une rupture des ligaments croisés en tout début de saison passée.\\n\\nLe pivot de 28 ans va ainsi mettre fin à son calvaire de dix mois, depuis octobre dernier, en foulant à nouveau les parquets avec ses coéquipiers du Real, actuellement en préparation de présaison.\\n\\nJoueur important de l’équipe serbe médaillée d’argent à l’Euro 2017, Kuzmic va venir renforcer la frontline du champion d’Europe. Pour rappel, il tournait tout de même à 9 points et 7 rebonds de moyenne en Euroleague avec l’Etoile Rouge de Belgrade, avant de rallier Madrid...\\n\\nEntre Kuzmic (2,14m), Anthony Randolph (2,11m) et Walter Tavares (2,21m), il faudra bien du courage pour venir s’aventurer dans la peinture royale !\\n\\n\\n\\n\\nAsí fue la vuelta a entrenamientos de Causeur, Kuzmic y Deck. pic.twitter.com/jBxamrfbVf\\n\\n\\n— RealEspartaβ (@RealEspartaB) August 20, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview – Paul Lacombe (Monaco): « Aujourd’hui, j’attends avec impatience le jour où mon heure arrivera. Et ça arrivera!»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’arrière international (1,95m, 28 ans) de la principauté attaque une nouvelle saison. Nouveau coach, nouveau challenge. Il revient aussi pour nous longuement sur la saison 2017-18, la finale de la Champions League, la finale de Jeep Elite, l’intégration avec l’équipe de France et nous explique comment tous ces événements l’ont fait grandir en tant que joueur. Très intéressant.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nNouveau coach, nouveau départ et pourtant vous disposez à Monaco d’un noyau important de joueurs cadres de retour (Lacombe, Kikanovic, Sy, Joseph, Robinson, Ouattara). Alors, nouveau départ ou continuité ?\\n\\nC’est de la continuité malgré tout. Là, on est encore en camp à Bormio (Italie), on rentre demain (le 20 août), on s’est entrainé pendant deux semaines et on sent les automatismes entre nous. Après, c’est vrai qu’il y a une philosophie de jeu différente. Moi, je suis arrivé pour la dernière année de coach Mitrovic mais pour pas mal de monde au club, dans le staff notamment, c’était une bonne chose de changer de coach et de partir sur un autre cycle. Nous, sur le terrain, je ressens surtout la continuité quand même. J’espère que le nouveau coach va nous apporter de nouvelles choses. Mais il a été assez intelligent pour nous proposer des formes de jeu adéquates par rapport à notre saison passée qui a été très solide quand même. Il commence à mettre sa patte mais il est encore trop tôt pour dire ce qu’il en sera dans la saison, mais pour l’instant, c’est intéressant et on est content. Mais on verra.\\n\\nOn peut s’attendre à voir quoi comme différences ?\\n\\nHonnêtement, l’année dernière, on était vraiment forts. On est allé loin dans toutes les compétitions qu’on a joué. Est-ce qu’on pourra devenir meilleurs, je ne sais pas. Le but, c’est de conserver le même élan car tout n’est pas à jeter, loin de là. Il faut corriger les erreurs. Et comme tout le monde a pris de l’expérience... Quand on perd, soit on comprend des choses et on avance, soit on continue dans les mêmes erreurs. Et je suis bien placé pour le savoir, j’ai beaucoup perdu de finales. Est-ce que le coach va nous apporter le petit plus ? Je ne sais pas mais si on arrive déjà à reproduire notre niveau de 2018, ce serait déjà super intéressant. On perd deux finales mais je pense qu’on était quand même l’équipe la plus solide de France.\\n\\nVous remporter la Leaders Cup mais vous perdez en Champions League en finale à Athènes et en championnat contre Le Mans. A chaud après la défaite en finale contre Le Mans, vous avez réagi avec beaucoup de classe en félicitant Le Mans et en vous projetant sur la suite. Avec un peu plus de recul, qu’est-ce que vous retenez de 2018 ? La solidité ou les deux échecs ?\\n\\nLa solidité. En prenant du recul, la saison est très intéressante, super belle. Première finale en France, première finale européenne, forcément pour le club, c’est génial. Pour beaucoup de joueurs, c’étaient des premières aussi. Après, plus individuellement, c’est encore une finale perdue pour moi donc je l’ai vécu différemment. C’était une grosse déception pour moi. On était dominants mais dans les deux moments les plus importants, finale de Champions League et finale de Jeep Elite, on n’a pas su faire la différence alors que pourtant, on a montré du caractère pendant la saison. Donc oui, de la déception. Mais je répète ce que j’ai dit après la finale. Je suis convaincu que mon heure arrivera. Aujourd’hui, la seule à faire, c’est être patient. J’ai perdu tellement de fois, aujourd’hui, ça ne me fait plus rien presque. Aujourd’hui, j’attends avec impatience le jour où mon heure arrivera. Et ça arrivera ! Je sais que je donne énormément, je joue dans des bonnes équipes. Un moment donné, ça va payer et je savourerai je pense beaucoup plus que n’importe qui.\\n\\nSur les finales, est-ce que votre équipe n’a pas manqué de hiérarchie ? Avec tellement de talents que tout le monde voulait la balle en même temps ?\\n\\nC’est peut-être une vérité mais ça a fait notre force aussi au cours de la saison. Le fait qu’il n’y ait pas de barrière, pas de hiérarchie et que tout le monde peut sortir à un moment donné. C’est ce qui a fait notre force toute l’année, c’est compliqué de changer les choses en finale. Moi, je manque qu’on a manqué d’expérience. En Champions League par exemple, on s’est trompé de match. On a voulu faire un match offensif, on a voulu les battre en marquant plus de points plutôt qu’en défendant. Mais en championnat de France, on a tout simplement manqué d’expérience. On avait tout ce qu’il fallait à tous les postes... Voilà. Maintenant, il faut avancer, je n’ai plus trop envie de revenir dessus. Il faut regarder devant. Personnellement je suis encore plus motivé que les autres saisons !\\n\\nQuelles sensations vous gardez de ce Final Four de Champions League ? Jouer l’AEK devant 20 000 fans en finale, ça marque non ?\\n\\nJ’avais pas mal critiqué la Champions League lors de ma première année, en 2016-17. La saison d’avant avec Strasbourg, j’avais eu la chance d’aller en finale de l’Eurocup en jouant Gran Canaria, Galatasaray, l’Hapoel Jerusalem. Et donc revenir en saison régulière de BCL, c’était moins prestigieux. Mais cette saison avec Monaco, on a joué la Champions League pour la gagner et ça change ma vision de la compétition. A partir des phases finales, le niveau est vraiment intéressant et le Final Four, c’était un truc absolument génial à vivre. Malgré le fait qu’on ait perdu, c’était dingue ! Un truc de ouf à vivre. Jouer dans un gymnase devant un public comme ça, j’avais déjà eu la chance de le vivre avec Strasbourg contre Galatasaray, mais le vivre une deuxième fois avec Monaco, pour une finale, c’est énorme. C’est pour vivre ce genre de match qu’on fait du sport de haut niveau, ce genre de pression. C’est ça qui fait la beauté du sport.\\n\\n« J’ai gagné en expérience. Notamment parce que j’ai eu les ballons chauds en fins de matches. On apprend, c’est sûr. »\\n\\nDans ces deux finales, ce sont aussi deux événements où vous avez tout donné, où vous avez eu un rôle central, où vous aviez le ballon dans les mains, notamment à la fin. On imagine que ce sont des moments qui font grandir énormément ?\\n\\nOui. Ce n’est pas ma première finale perdue. Donc pourquoi avoir peur quand je joue une finale ? Ce serait stupide. Si j’avais peur, ça ne servirait à rien de jouer dans de bonnes équipes pour des titres. A ce moment-là, autant aller se cacher quelque part et voilà. Maintenant, je pense savoir comment gérer ce genre de situations, ce genre de matches capitaux. Je dis ça, maintenant, peut être que cette saison, je vais passer à travers ! (Rires) Mais à l’image du match 5 de la finale contre Le Mans, je pense que j’avais vraiment mis l’équipe sur les bons rails, malheureusement, ça n’a pas suffi. C’est comme ça, c’est le basket. Ce n’est pas un sport individuel. Mais j’ai gagné en expérience. Notamment parce que j’ai eu les ballons chauds en fins de matches. On apprend, c’est sûr.\\n\\nCette saison a également marqué vos débuts avec l’équipe de France senior. Comment êtes vous rentré dans le groupe ?\\n\\nJe vais parler surtout de la fenêtre du mois de juillet. Je suis arrivé avec des yeux brillants parce que tous les grands noms étaient là. Les deux premières fenêtres, c’était un peu différent, il n’y avait pratiquement que des joueurs du championnat de France. Après, le point positif, c’est que l’intégration sur ces deux premiers rassemblements s’est faite super facilement. On se connaissait tous, c’était plus ou moins tous notre première sélection ou un retour en Bleu, à part Boris évidemment qui était là depuis toujours. Mais juillet, c’était vraiment une expérience de ouf ! La chance de jouer avec des joueurs comme ça, Nicolas Batum, Rudy Gobert, Nando De Colo, etc... J’avais déjà dans ma carrière joué avec de très bons joueurs, mais là, c’était un autre niveau ! J’y suis allé sans me prendre la tête, en me disant qu’on peut toujours apprendre, même à 28 ans. Les regarder jouer, s’entrainer, apprendre, comprendre ce qu’ils font. C’est vraiment ce que j’ai fait. J’ai aussi essayé d’être fidèle à moi-même en jouant comme je sais jouer, sans forcer. Ça s’est plutôt bien passé. J’ai montré ma tête et pourquoi pas aller jusqu’en Chine ? Je ne sais pas si ce sera faisable. On verra. J’ai un profil assez atypique qui peut être intéressant pour certaines situations. Vincent (Collet) me connait très bien, pourquoi pas ? Je ne veux pas commencer à rêver parce que je ne veux pas être déçu à la fin. Je prendrai ce qu’il y a à prendre et je prendrai plaisir à jouer le plus de matches possibles sous ce maillot. Si je ne peux pas en jouer plus, ç’aura déjà été exceptionnel.\\n\\n« J’avais peur que les joueurs ne me respectent pas parce que je ne suis qu’un joueur du championnat de France »\\n\\nComment jugez-vous l’impact des premiers rassemblements lors des deux premières fenêtres où vous avez pu prendre confiance dans l’équipe, t’installer dans les systèmes, familiarisé dans le groupe, sur ta réussite ensuite avec l’équipe de juillet et la troisième fenêtre ?\\n\\nCela a forcément eu un impact positif. Même si c’était une nouvelle équipe pour la troisième fenêtre, j’avais déjà eu des sélections et j’avais déjà fait des choses sur les premières fenêtres. Les joueurs cadres, même si on n’en avait pas parlé avant, l’avait remarqué. Ils l’ont souligné. La chose la plus importante pour moi, c’est qu’en arrivant en juin/juillet, j’avais peur de ne pas être respecté, de n’être que... Comment l’expliquer ? J’avais peur que les joueurs ne me respectent pas parce que je ne suis qu’un joueur du championnat de France. Je n’ai jamais joué ailleurs. Je suis un joueur qui a fait quelques matches intéressants sur les deux premières fenêtres mais par rapport à eux, je n’ai rien fait quoi. Et j’avais peur de ça. En fait, j’ai trouvé auprès des gars du respect et ça, ça m’a énormément touché et ça m’a fait énormément plaisir. Et à partir de là, l’intégration s’est passée parfaitement.\\n\\nLes stars ont respecté le travail que vous avez fait sur les quatre premiers matches. Ils savent que ce que vous avez fait est très important, c’est ça ?\\n\\nOui. Ils étaient soulagés. Ça leur enlève un poids. Ils ont énormément de contraintes au niveau de leurs agendas, de leurs clubs, c’est compliqué pour eux de venir. Par exemple, Rudy (Gobert) est venu alors qu’il avait des obligations dans tous les sens, ce n’est pas évident. Je pense que ça leur a enlevé une épine du pied et donc vient une sorte de respect envers moi. J’ai été vraiment touché. J’ai senti que j’avais ma place avec eux. Vraiment. Que je pouvais espérer pour la suite.\\n\\nLa force du maillot Bleu est plus forte que tout ? Quand on fait gagner l’équipe de France, finalement, c’est tout ce qui compte ? Et plus forcément le club où on joue l’année, son CV, etc... ?\\n\\nEvidemment. Quand on est dans cette équipe, il n’y a plus de : je suis un joueur NBA, je suis ceci ou je ne suis pas cela. Ces choses-là existent en dehors du terrain. Forcément, on n’a pas les mêmes salaires, les mêmes sollicitations, les mêmes vies. Mais quand on est sur le terrain, il n’y a plus que le maillot Bleu qui compte. Et tant mieux.\\n\\nEst-ce que cette confiance en Bleu change des choses pour votre carrière en club ?\\n\\nDans ma tête, c’est simple : plus je serai performant en club, plus j’aurai ma chance d’intégrer l’équipe de France. Et plus j’arrive à proposer des choses intéressantes en équipe de France, forcément, ça aura des retombées en club parce que ça me donnera de la confiance pour la suite. C’est vraiment ce qu’il s’est passé en 2018. Je crois plus que jamais en moi maintenant. Et cette défaite en finale contre Le Mans m’a montré que j’étais vraiment capable d’élever mon niveau de jeu quand c’est important. Et je sais que je peux aider mon équipe à gagner. Alors que je n’en avais pas forcément conscience avant. C’est pour ça que là, je suis remonté à bloc pour la saison à venir. 2018, j’ai vraiment gagné en confiance personnelle.\\n\\n[armelse]\\n\\nNouveau coach, nouveau départ et pourtant vous disposez à Monaco d’un noyau important de joueurs cadres de retour (Lacombe, Kikanovic, Sy, Joseph, Robinson, Ouattara). Alors, nouveau départ ou continuité ?\\n\\nC’est de la continuité malgré tout. Là, on est encore en camp à Bormio (Italie), on rentre demain (le 20 août), on s’est entrainé pendant deux semaines et on sent les automatismes entre nous. Après, c’est vrai qu’il y a une philosophie de jeu différente. Moi, je suis arrivé pour la dernière année de coach Mitrovic mais pour pas mal de monde au club, dans le staff notamment, c’était une bonne chose de changer de coach et de partir sur un autre cycle. Nous, sur le terrain, je ressens surtout la continuité quand même. J’espère que le nouveau coach va nous apporter de nouvelles choses. Mais il a été assez intelligent pour nous proposer des formes de jeu adéquates par rapport à notre saison passée qui a été très solide quand même. Il commence à mettre sa patte mais il est encore trop tôt pour dire ce qu’il en sera dans la saison, mais pour l’instant, c’est intéressant et on est content. Mais on verra.\\n\\nOn peut s’attendre à voir quoi comme différences ?\\n\\nHonnêtement, l’année dernière, on était vraiment forts. On est allé loin dans toutes les compétitions qu’on a joué. Est-ce qu’on pourra devenir meilleurs, je ne sais pas. Le but, c’est de conserver le même élan car tout n’est pas à jeter, loin de là. Il faut corriger les erreurs. Et comme tout le monde a pris de l’expérience... Quand on perd, soit on comprend des choses et on avance, soit on continue dans les mêmes erreurs. Et je suis bien placé pour le savoir, j’ai beaucoup perdu de finales. Est-ce que le coach va nous apporter le petit plus ? Je ne sais pas mais si on arrive déjà à reproduire notre niveau de 2018, ce serait déjà super intéressant. On perd deux finales mais je pense qu’on était quand même l’équipe la plus solide de France.\\n\\nVous remporter la Leaders Cup mais vous perdez en Champions League en finale à Athènes et en championnat contre Le Mans. A chaud après la défaite en finale contre Le Mans, vous avez réagi avec beaucoup de classe en félicitant Le Mans et en vous projetant sur la suite. Avec un peu plus de recul, qu’est-ce que vous retenez de 2018 ? La solidité ou les deux échecs ?\\n\\nLa solidité. En prenant du recul, la saison est très intéressante, super belle. Première finale en France, première finale européenne, forcément pour le club, c’est génial.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16 Féminin: La France atomise la Serbie en 8e de finale, 77-33"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"ll n’y a pas eu de suspense dans ce huitième de finale, la France a croqué la Serbie (77-33) et affrontera l’Italie, qui a pilonné le Danemark, 74-39, demain à 20h15 en quart-de-finale.\\n\\nLa France n’a pas attendu plus de neuf secondes pour marquer le premier panier et en moins de cinq minutes, elle menait 12-2 grâce à une une défense agressive et du jeu rapide. Une défense tellement pétrifiante pour les Serbes qu’elles ont attendu 7’14 pour marquer un deuxième panier et elles étaient menées 22-6 à la fin du premier quart-temps.\\n\\nLes Serbes réalisaient un beau chapelet de airballs et ne parvenaient pas à approcher convenablement du cercle si bien qu’elles durent faire pénitence cette fois durant 7’43 avant de marquer un nouveau point. Bilan à la pause à peine imaginable face à une grande nation de basket comme la Serbie : 40 à 9. Avec 4/25 aux shoots et 13 balles perdues, les Serbes avaient tout faux.\\n\\nLa Serbie marquait 9 points dans le troisième quart-temps soit autant que dans les deux premiers réunis. Et 15 dans la dernière tranche de dix minutes. Il n’empêche que la note était salée.\\n\\nAvec 20, Serena Kessler obtient la meilleure évaluation du match en ayant compilé 10 points, 9 rebonds et 4 passes.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Serena Kessler, FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"[REDIFF] Papa de basketteur – Skeeter Jackson : « Tout ce que je lui disais, c’est de faire mieux que moi »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BasketEurope vous propose cet été de lire ou de relire les meilleurs articles PREMIUM de la saison 2017-18.\\n\\nNé à Monroe (Louisiane) le 7 novembre 1957, Skeeter Jackson a laissé une belle trace dans l’histoire du basket français. Arrivé en 1979 sur le territoire hexagonal pour défendre les couleurs de Saint-Denis (Nationale 4), l’ailier fort de 2,04m est passé par une courte escale de deux ans en Argentine, de 1980 à 1982 (à Resistencia, au nord du pays) avant de revenir goûter aux joies du championnat de France, en Nationale 3 à Asnières (82-84) puis à Charenton (84-85).\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nC’est ensuite au Racing Paris que sa carrière prendra une nouvelle dimension, en 1ère division française. Skeeter Jackson y restera trois ans avec en point culminant la saison 1987-1988 où il cumulera à 16,7 points et 7,7 rebonds en moyenne par match, et sera sélectionné pour le All Star Game. Naturalisé français, il portera aussi le maillot de l’Equipe de France à 41 reprises, participant au championnat d’Europe 1989 en Yougoslavie (les Bleus termineront 6e). Son aventure se poursuivra à Pau-Orthez (1988-1990), puis Lyon (1990-1994) et Besançon (1994-1997), permettant au Jet et au BBCD de passer de la Pro B à la Pro A.\\n\\nRevenu à Lyon pour terminera sa carrière en Nationale 2 (1997-1998) avant d’en entamer une autre de formateur à l’Asvel jusqu’à l’été dernier, Skeeter Jackson, aujourd’hui à la recherche d’un nouveau projet autour d’un club ou d’un centre de formation dans la région lyonnaise, avait placé la barre à un haut niveau. Mais son fils Edwin, 28 ans, a déjà réussi à dépasser le paternel, comme en témoignent ses 48 sélections en Bleu où son palmarès déjà bien fourni, à titre personnel (meilleur marqueur de N1 en 2007, de Pro A en 2014 ou de la Liga ACB en 2017) ou collectif (Vainqueur de la Coupe de France en 2008, médaillé de bronze avec l’Equipe de France à la Coupe du Monde 2014).\\n\\nDans le cadre de la série d’entretiens, « papa de basketteur », BasketEurope a logiquement réservé une place toute particulière à Skeeter Jackson (entretien réalisé à l’issue de la pige d’Edwin en Chine).\\n\\nSkeeter Jackson, pouvez-vous rappeler dans quel contexte s’est déroulé la naissance de votre fils Edwin ?\\n\\nEdwin est né le 18 septembre 1989 à Pau. J’étais encore joueur professionnel, j’entrais dans ma deuxième année avec Pau-Orthez. Je garde de beaux souvenirs de cette époque et sportivement aussi, j’étais toujours l’un des joueurs majeurs de l’équipe. C’était de belles années.\\n\\nQuand avez-vous commencé à jouer au basket avec lui ?\\n\\nJe dirais... à partir du moment où il a commencé à marcher ! Quand j’allais à la salle pour participer aux entraînements ou même pour shooter tout seul, il était toujours là. On avait un panier à la maison, on jouait beaucoup dehors, on travaillait déjà le maniement du ballon... Depuis qu’il est né, il était soit sur le terrain avec moi, soit sur mes genoux à regarder du basket.\\n\\nQuels souvenirs gardez-vous de ses premiers pas de basketteur ?\\n\\nDepuis qu’il a commencé à jouer, il évoluait toujours une catégorie au dessus. Quand il était en baby basket, il jouait avec les poussins, puis quand il est passé poussin il jouait avec les benjamins et ainsi de suite. Sinon il a connu un cursus normal, même s’il a toujours joué un niveau un peu au dessus. Ses premières « étincelles » remontent à ses années en cadets, lorsqu’il jouait à l’Asvel.\\n\\nA partir de quel âge avez-vous pensé que votre fils pourrait faire une carrière pro ?\\n\\nJe dirais presque que c’est venu sur le tard, lors de sa première année en Pro à l’Asvel (2007-2008). J’étais coach des cadets et assistant chez les espoirs tandis que lui jouait chez les espoirs et en pro. Il a commencé à comprendre ce que ce métier demandait, en terme de travail supplémentaire, de sacrifice, il s’est vraiment mis dedans. Il a fait deux bonnes saisons en prêt à Nanterre (Pro B) et Rouen (Pro A) en apprenant les ficelles du métier, à être consistant à chaque match et le plus complet possible. Et lorsqu’il est revenu à l’Asvel, il était déterminé à se faire une place et à grandir dans son club de cœur. C’est là qu’il a vraiment explosé. Je garde notamment en mémoire les matchs de Playoffs contre Châlon (30 points, 36 d’évaluation lors de la belle remportée au Colisée) puis Nancy, l’année où le club était arrivé en demi-finale (défaite en trois manches) et qui lui ont permis de grandir, de devenir un joueur assez complet.\\n\\nY-a-t-il eu des événements dans votre carrière de joueur qui ont pu l’affecter ou le motiver ?\\n\\nPas vraiment, on ne discutait pas beaucoup de mes matchs ou de ma carrière. J’étais un poste 4 et lui joue au poste 2, donc nos regards pouvaient être différents. Tout ce que je luis disais, c’est de faire mieux que moi. J’essayais de le pousser à franchir les mêmes paliers, à entrer en Equipe de France par exemple et à avoir plus de sélections. A gagner plus de matchs, plus de titres... Plutôt que de parler de mon parcours, on échangeait sur la façon dont lui devait faire le sien.\\n\\nEdwin Jackson au dernier Eurobasket\\n\\nQuel genre de papa étiez-vous au bord du terrain ?\\n\\nJ’étais plutôt discret. Quand on rentrait à la maison, surtout lorsqu’il avait perdu un match, il avait envie de parler. A ce moment là on parlait du match. Je lui disais ce qu’il pouvait faire de mon point de vue pour s’améliorer ou éviter de refaire les mêmes erreurs. Mais d’un point de vue global, j’étais plutôt discret. Vu que je suis coach, je me voyais mal intervenir sur le coaching de ses entraîneurs ou sur quelconque forme de jeu. Contrairement à certains parents qui n’ont jamais joué un match de basket de leur vie mais qui passent leur temps à critiquer les coachs de leurs enfants. En ce qui me concerne, je répondais uniquement aux questions venant de lui.\\n\\nA partir de quand reconnaissait-on plus votre fils que vous-même ?\\n\\nQuand il était à l’Insep, qu’il a fini meilleur marqueur. Il a fait quelques cartons là-bas, et on commençait à parler d’Edwin Jackson. Ce n’était plus « le fils de Skeeter ».\\n\\nÊtes-vous intervenu au début de sa carrière pour l’encourager ou le perfectionner ?\\n\\nNon, c’est lui qui devait faire son chemin, de faire les choses correctement et de prendre ses décisions. Si je suis intervenu, ce n’est certainement pas pour appeler certains coachs, mais plutôt pour refuser des coups de fils d’agents qui voulaient le contacter. On a toujours travaillé en accord avec ses coachs, pour planifier le travail. En dehors de petits concours de shoots entre nous ou de petites séances de travail, il n’y avait rien de plus, ou peut-être les stages de perfectionnement l’été où je l’amenais toujours avec moi. Mais Edwin a grandi sur un terrain de basket, et il s’est très vite pris en main. Il allait notamment au parc le matin pour courir et travailler son endurance. Et il a eu la chance de toujours pouvoir aller à la salle. Lorsque j’entraînais à Bron, il avait la possibilité de venir. Il était en première année cadets et il venait s’entraîner avec les Seniors. Ensuite à son retour de l’Insep, il avait toujours à disposition une salle et un préparateur physique.\\n\\nEst-ce que vous discutez de ses principaux choix de carrière ?\\n\\nOn discute bien sûr, mais je lui laisse faire ses choix. Je donne mon avis s’il me questionne, mais c’est lui qui prend la décision finale. C’est à Edwin de vivre ses propres aventures, il m’en parle, mais le dernier mot lui revient toujours et c’est tout à fait normal comme ça.\\n\\nEdwin Jackson a retrouvé Barcelone fin janvier\\n\\nQuel bilan tirez vous de son expérience en Chine ?\\n\\nComme toute expérience, ça dépend de ce que tu en tires. En l’occurrence, ça peut être très positif pour lui. Il a pas mal joué au poste de meneur car le meneur titulaire de son équipe était souvent blessé. Ça a renforcé sa façon de jouer, de voir le jeu, en tant que distributeur et dans plein d’autres aspects. Il voulait voir ce que donnait ce championnat, il a vu. Ses dirigeants n’ont pas été contents de lui. Ce n’est peut-être pas un basket qui lui plaît au final. Un basket de stats à outrance, où si tu ne marques pas plus de 30 points, tu n’es pas bon !\\n\\nAvez-vous suivi son aventure de près ?\\n\\nDisons que sur les 22-23 matchs qu’Edwin a pu faire là-bas, j’en ai regardé plus de la moitié. Attention, il y a de bons basketteurs là bas. Yi Jianlian qui fait 2,13m et qui a déjà joué en NBA par exemple (NDLR: Bucks, Nets, Wizards et Mavs de 2007 à 2012), c’est un très bon joueur de basket. Il y avait aussi deux internationaux chinois dans son équipe. Mais je vous invite à regarder comment ça joue. C’est vraiment un autre basket, poussé à l’extrême vers le scoring. C’est peu de dire qu’il n’y a pas beaucoup de défense. Et on regarde beaucoup les meilleurs marqueurs qui sont dans la lumière, dans une configuration où il y a un ou deux joueurs par équipe qui flambent à marquer plus de 40 points. Un joueur qui score plus de 40 points dans une équipe qui ne fait que perdre sera bien considéré. Le spectacle y est plus important que tout, le jeu d’équipe, la défense bien sûr, et même le classement de l’équipe.\\n\\nLe dernier gros match d’Edwin Jackson aux Guangdong Southern Tigers, ici face à Jimmer Fredette\\n\\nEst-ce que vous pensiez que votre fils pouvait atteindre son niveau actuel ?\\n\\nPersonnellement non, mais je fais peut-être partie de ces anciens parents qui ont joué en Pro A ou à un bon niveau qui ne voyaient pas leur gamin meilleur que ce qu’il n’était, même si j’étais souvent derrière lui. J’ai du mal à situer le déclic, le moment qui l’a fait basculer entre le bon basketteur qu’il était jusque là puis le meilleur marqueur de Pro A puis en Espagne. Il a pris une autre dimension, et j’ai l’impression qu’il n’y a pas de limites dans ce qu’il peut accomplir.\\n\\nEst ce que vous avez un avis sur le phénomène LaVar Ball, papa omniprésent pour ses fils ?\\n\\nComme je l’ai dit avant, ce ne sont pas les parents ou les gens derrière qui doivent faire la carrière d’un joueur. De ce que je lis, je trouve ça dommage, j’ai l’impression que le sport est devenu un spectacle plus que tout autre chose. Je ne veux pas vraiment donner davantage mon point de vue sur la question.\\n\\n[armelse]\\nC’est ensuite au Racing Paris que sa carrière prendra une nouvelle dimension, en 1ère division française. Skeeter Jackson y restera trois ans avec en point culminant la saison 1987-1988 où il cumulera à 16,7 points et 7,7 rebonds en moyenne par match, et sera sélectionné pour le All Star Game. Naturalisé français, il portera aussi le maillot de l’Equipe de France à 41 reprises, participant au championnat d’Europe 1989 en Yougoslavie (les Bleus termineront 6e). Son aventure se poursuivra à Pau-Orthez (1988-1990), puis Lyon (1990-1994) et Besançon (1994-1997), permettant au Jet et au BBCD de passer de la Pro B à la Pro A.\\n\\nRevenu à Lyon pour terminera sa carrière en Nationale 2 (1997-1998) avant d’en entamer une autre de formateur à l’Asvel jusqu’à l’été dernier, Skeeter Jackson, aujourd’hui à la recherche d’un nouveau projet autour d’un club ou d’un centre de formation dans la région lyonnaise, avait placé la barre à un haut niveau. Mais son fils Edwin, 28 ans, a déjà réussi à dépasser le paternel, comme en témoignent ses 48 sélections en Bleu où son palmarès déjà bien fourni, à titre personnel (meilleur marqueur de N1 en 2007, de Pro A en 2014 ou de la Liga ACB en 2017) ou collectif (Vainqueur de la Coupe de France en 2008, médaillé de bronze avec l’Equipe de France à la Coupe du Monde 2014).\\n\\nDans le cadre de la série d’entretiens, « papa de basketteur », BasketEurope a logiquement réservé une place toute particulière à Skeeter Jackson (entretien réalisé à l’issue de la pige d’Edwin en Chine).\\n\\nSkeeter Jackson, pouvez-vous rappeler dans quel contexte s’est déroulé la naissance de votre fils Edwin ?\\n\\nEdwin est né le 18 septembre 1989 à Pau. J’étais encore joueur professionnel, j’entrais dans ma deuxième année avec Pau-Orthez. Je garde de beaux souvenirs de cette époque et sportivement aussi, j’étais toujours l’un des joueurs majeurs de l’équipe. C’était de belles années.\\n\\nQuand avez-vous commencé à jouer au basket avec lui ?\\n\\nJe dirais... à partir du moment où il a commencé à marcher ! Quand j’allais à la salle pour participer aux entraînements ou même pour shooter tout seul, il était toujours là. On avait un panier à la maison, on jouait beaucoup dehors, on travaillait déjà le maniement du ballon...\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France féminine: Les Bleues doublent la mise contre l’Italie, Marine Johannès en feu en première mi-temps"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Bleues ont gagné moins largement que la veille face au même adversaire (74-43) mais emmenés par les 21 points de Marine Johannès, les 19 points et 11 rebonds de Sandrine Gruda et les 14 points de Diandra Tchatchouang, elles ont tout de même dominé l’Italie à Anglet, 74-53.\\n\\nPour ce deuxième match, en plus de Helena Ciak (cuisse) et Endy Miyem (de retour de WNBA), l’équipe de France était privée de Sarah Michel (béquille). Lors des premiers échanges, les Italiennes ont beaucoup mieux résisté que la veille aux Françaises mais elles étaient tout de même menées de 17 points à la mi-temps (42-25). A leur décharge, elles sont tombées sur une Marine Johannès en feu. 19 points à 6/7 aux shoots dont un parfait 4/4 à trois-points en moins de 13 minutes pour l’arrière berruyère !\\n\\nLe troisième quart-temps a été marqué par un événement... L’Italie l’a remporté 12-11 avant que la France ne fasse un petit écart dans le quatrième (21-16). Les Françaises ont dominé en adresse (41 à 31%) et au rebond (51-37) et ont perdu moins de balles (8 à 15).\\n\\nA noter que la triplette de meneuses Epoupa/Bernies/Duchet a été peu productive offensivement avec un total de 4 points à 2/8 aux tirs.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Valériane Ayayi (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Darussafaka : Jeremy Evans pour remplacer Cory Jefferson ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Recalé aux tests physiques, Cory Jefferson ne devrait pas faire de vieux os à Istanbul... L’intérieur américain qui arrivait de Milan devrait effectivement être remplacé par son compatriote, Jeremy Evans, au sein de l’écurie Euroleague du Darussafaka.\\n\\nEvans sort d’un exercice à 15 points et 10 rebonds de moyenne en G-League, au sein des Erie Bayhawks. Le vainqueur du concours de dunks en 2012 va donc à nouveau poser ses valises en Europe, après sa pige de quelques mois chez le Khimki Moscou en 2016-17.\\n\\nAprès deux apparitions en EuroCup avec l’escouade moscovite, Evans va cette fois découvrir la compétition reine en Europe. Son incroyable détente et ses longs segments devraient en faire un des chouchous de l’Euroleague.\\n\\nUne sortie à 32 points la saison passée :"
}, 
{"role": "user",     "content":"La star du basket israélien Yota Halperin met fin à sa carrière"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est une personnalité du basket israélien qui prend sa retraite à 34 ans. Avant d’être le capitaine de l’Hapoel Jérusalem avec qui il a été champion national en 2017, Yotam Halperin a joué aussi pour le Maccabi Tel-Aviv, l’Olympiacos, le Bayern Munich, Olimpija Ljubljana et le Spartak St. Petersburg.\\n\\nCe combo guard de 1,94m a gagné deux fois l’Euroleague (2004 et 2005) avec le Maccabi et en 2008 il a été nommé dans la deuxième équipe idéale de l’Euroleague.\\n\\nAvec l’équipe nationale israélienne dont il a été le capitaine, il a participé à six EuroBasket, de 2003 à 2013.\\n\\nYotam Halperin va intégrer le staff de l’Hapoel.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16 féminin: Ce soir, 8e de finale France-Serbie sur YouTube"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A suivre ce soir sur YouTube le huitième de finale du championnat U16 féminin entre la France et la Serbie.\\n\\nLes Serbes ont jusqu’ici gagné un match contre les Pays-Bas (+6) mais perdu lourdement face à le Lettonie (-29) et l’Espagne (-31).\\n\\nEn cas de victoire les Bleuettes seraient opposées au vainqueur de Italie-Danemark.\\n\\nPhoto: Sara Roumy (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"DeShaun Thomas ambitieux avec le Panathinaikos"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Depuis ses débuts en Europe à Nanterre, DeShaun Thomas (2,01m, 26 ans) enchaîne les piges dans les clubs les plus prestigieux du Vieux Continent. Après Barcelone, l’Efes Istanbul et le Maccabi la saison passée, l’ailier américain débarque cette année en Grèce, du côté du Panathinaikos.\\n\\nL’ancien drafté des Spurs est toujours un féroce attaquant sur la scène Euroleague, avec 11 points sur le dernier exercice notamment. Au Pana, il veut surtout remporter des titres.\\n\\n« C’est l’objectif de chaque joueur d’essayer de gagner des trophées. Nous savons que l’équipe attend depuis des années pour retrouver le Final Four et nous allons essayer d’y être la saison prochaine », a annoncé Thomas sur le site officiel du Panathinaikos.\\n\\nChez les Greens, Thomas va retrouver son ancien coach à Barcelone, Xavi Pascual. Ce passé entre le joueur et l’entraîneur a évidemment pesé dans la balance au moment du choix de part et d’autre. En particulier pour la polyvalence de l’ancien d’Ohio State...\\n\\n« C’est sympa de travailler à nouveau ensemble, car il connaît mon jeu et ce que je peux offrir à l’équipe. Nous avons travaillé ensemble à Barcelone et c’est agréable de se retrouver. Je me considère comme « 4 », mais bien sûr, je peux aussi jouer en « 3 » et je suis sûr que coach Pascual trouvera le moyen de me faire jouer sur les deux postes. »\\n\\n« Je suis content d’être du bon côté maintenant ! »\\n\\nDéjà assez gâté au niveau des fans avec le Maccabi, Thomas est bien conscient que le peuple grec sera également une sacrée expérience à vivre les soirs de derbys ! Mais aussi sur la scène européenne.\\n\\n« Bien sûr. Je suis impatient et je crois même que nous jouons le premier match d’Euroleague contre le Maccabi. Je suis venu avec plusieurs équipes en tant qu’adversaire et ça a toujours été très bruyant, mais je suis content d’être du bon côté maintenant ! »\\n\\nA 26 ans seulement, pour sa 5e saison Euroleague déjà, DeShaun Thomas va encore grimper d’un échelon.\\n\\nSept saisons après sa dernière apparition dans le dernier carré européen, le Pana veut retrouver de sa superbe. Et le recrutement a été à la hauteur de ces nouvelles ambitions, avec Georgios Papagiannis, Ioannis Papapetrou ou encore Keith Langford.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=U5RLQUmkSFQ"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Basket Europe Tour vous amène à Barcelone !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La deuxième étape du Basket Europe Tour est Barcelone. Deuxième ville d’Espagne, Barcelone est une ville cosmopolite, conviviale et bouillonnante. Sa vitalité est contagieuse et il suffit d’y poser les pieds pour s’en apercevoir. Les magnifiques créations colorées de Gaudí côtoient les gratte-ciels et les quartiers populaires à taille humaine. Et cette mer, mère nourricière d’une ville qui ne cesse de croître tout comme sa réputation et l’attachement qu’elle suscite dans le cœur de ceux qui l’ont visitée.\\n\\nBarcelone et la Catalogne sont une terre de basketball, c’est indéniable. A l’ombre du géant, le FC Barcelona, auquel on y reviendra, d’autres clubs régionaux ont su tirer leur épingle du jeu. On peut tout d’abord citer Manresa. Récemment relégué en LEB Oro, le club vient de remonter en Liga Endesa, le nouveau nom de la ACB (asociación de clubes de baloncesto). Un club peu connu sur la scène internationale qui pourtant aura su arracher aux autres géants espagnols un titre de champion national en 1998 et une coupe du roi en 1996. George Gervin, Serge Ibaka, Andrés Nocioni et Sergio Llull ont notamment revêtu la tunique rouge et blanche.\\n\\nEn banlieue de Barcelone, Badalone, ville de plus de 215 000 habitants aura su marquer de son empreinte le basket espagnol et européen. La Peña ou Penya (en catalan) est une équipe légendaire sur le Vieux Continent. Créée en 1930, elle a décroché plusieurs titres dont une Euroleague, huit Copa del Rey, deux coupes Korać et une Eurocup. Club formateur, La Joventut (Jeunesse en Catalan, Joventud en espagnol), dispute avec l’Estudiantes Madrid le « duel de canteras ». Véritable rendez-vous de l’autre côté des Pyrénées, elle est le baromètre en professionnel mais surtout en jeune, pour évaluer le réservoir de talent ibérique. Sauvé de la relégation en LEB Oro la saison passée, Badalona reviendra avec de réelles ambitions l’année prochaine en Liga Endesa.\\n\\nEnfin, le grand « Barça ». Les « azulgranas » n’ont pas besoin d’être présenté. Pour autant, le « FC Barcelona » est un club omnisports au parcours particulièrement glorieux. Partageant le Palau Blaugrana avec le club de handball notamment, la section basketball est née en 1926. Et même si elle n’a pas été fructueuse tout de suite, l’équipe a décroché deux Euroleague dans les années 2000, deux coupes Korać et quinze Liga ACB. En plus d’un palmarès conséquent, le club a accueilli les plus grands entraîneurs sur son banc: Svetislav Pešić, Duško Ivanović, Xavi Pascual ou encore Bozidar Maljkovic. Les plus grands joueurs ont également revêtu la tunique de ce qui est plus qu’un club. Dejan Bodiroga, Pau Gasol, Juan Carlos Navarro, Nacho Solozabal, Gianluca Basile et Šarūnas Jasikevičius pour ne citer qu’eux. Malgré les dernières saisons qui furent compliquées, le “Barça” reviendra avec une énergie nouvelle en Euroleague et en Liga ACB la saison prochaine avec des recrues prometteuses.\\n\\nBarcelone est une étape essentielle dans ce tour d’Europe et saura, j’en suis sûr, ravir les amoureux de basketball européen. La ville est bien pourvue en terrains de basketball comme celui d’Esportiu Claror ou celui de Carmen Amaya. Comptez sur moi pour vous faire découvrir la passion des amateurs de basket de Barcelone!\\n\\nPhotos: Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Joe Alexander poursuit son tour d’Europe en Turquie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Natif de Taïwan au double passeport américano-israélien, Joe Alexander est désormais loin de la NBA qui l’a drafté en 8e choix en 2008. Après la Russie, l’Italie et l’Israël, l’intérieur globe trotter va au contraire découvrir un nouveau pays : la Turquie.\\n\\nSelon nos confrères de TalkBasket, Alexander vient de donner son accord à Besiktas pour un contrat de deux ans (en 1 + 1).\\n\\nA 31 ans, Alexander assurait encore 14 points et 5 rebonds la saison passée en ligue israélienne. Plus aussi explosif que par le passé, Alexander a encore de beaux restes et il peut également s’écarter pour rentrer le tir de loin après l’écran.\\n\\nIl évoluera donc l’an prochain sur deux tableaux avec la BSL le weekend et la Champions League en semaine.\\n\\nSes highlights de la saison passée\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=FA6vgMJ3ytM\\n\\nPhoto : FIBA Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"[REDIFF] Dirk Nowitzki, Karl Malone et Freddy Fauthoux sont leurs proies : Les chasseurs d’autographes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BasketEurope vous propose cet été de lire ou de relire les meilleurs articles PREMIUM de la saison 2017-18.\\n\\nbasket-autos.fr est une communauté de 250 membres dont une quarantaine d’actifs. Leur objectif : récolter des autographes de basketteurs, français, européens et américains. Jean-Baptiste Gaudin est le webmaster du forum. A la découverte d’un univers de chasseurs qui ne veulent que du bien à leur gibier.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComment en vient-on à demander des autographes de basketteurs ? Vous êtes un pratiquant, vous suivez un club ?\\n\\nJe n’ai jamais fait de basket sinon sur des playgrounds mais mon village d’origine est tout prêt d’Orthez, je suis fan de l’Elan Béarnais et j’ai toujours été fasciné par ce qui est autographes. En 1992 avec la Dream Team, des collections de cartes Upper Deck de basket sont sorties dans les bureaux de tabac. Par une connaissance, j’ai pu avoir un autographe de Gheorghe Muresan en 1994, c’est un peu ce qui a déclenché ma passion. J’ai retrouvé tout ça dans une boîte à chaussures en 2000 lorsque je me suis retrouvé au chômage, je me suis relancé, j’ai retrouvé un forum sur Internet, basket-cards.com. J’ai essayé de récupérer des autographes de joueurs que j’aimais, principalement ceux de Pau et des Chicago Bulls. En 2007, j’ai créé une section dans ce forum pour les autographes TTM, through the mail, car j’avais eu connaissance de la possibilité d’écrire directement aux joueurs, en incluant un petit texte, une ou deux cartes, une enveloppe avec son adresse et un timbre américain que l’on peut récupérer sur e-bay ou par l’US Postal, ce qui facilite le transit. Les gens reçoivent la carte, la signe, la mette dans l’enveloppe et l’envoie.\\n\\nComment obtenez-vous l’adresse des joueurs ?\\n\\nDes gars issus du premier forum sont venus sur mon site et on fait des échanges d’adresses. On a des banques d’adresses que l’on récupère aux Etats-Unis. Grâce à Internet, je suis arrivé à obtenir des adresses aux Etats-Unis d’anciens joueurs de Pau comme celle de Dwayne Scholten qui était dans l’Etat de Washington. Sa fille jouait dans une université, je suis arrivé à remonter et à avoir son adresse mail. Chacun a sa collection, certains sont fans de clubs NBA d’autres ne font que du français. C’est à dire qu’ils écrivent à certaines gloires ou à des joueurs en activité, même si c’est plus rare. Il ne faut pas s’attendre à des miracles pour les grandes stars. En huit ans d’existence, il y a eu un retour de Michael Jordan ! La personne avait envoyé sa demande à l’adresse de sa femme en Floride et il a répondu. On a tous envoyé derrière mais on n’a jamais eu de retour. Il doit avoir beaucoup de sollicitations.\\n\\nComment êtes certain que la signature est authentique ?\\n\\nIl y a parfois des doutes mais les autographes officiels peuvent nous servir de repères. On a des membres qui ont des cartes depuis 20 ou 30 ans. Il y a parfois des pièges comme des pré-print, ça se voit très vite, ou des autographes qui se font avec des tampons. Si on les compare à d’autres, il n’y a pas de doutes. Mais à 99% on arrive à savoir et on constate qu’ils sont globalement authentiques. Certains joueurs répondent avec des petits mots ou même parfois, c’est super long. Ils sont tout contents d’avoir des fans d’outre-Atlantique. Comme je suis fan de Pau, j’avais envoyé une demande à Roger Duquesnoy qui m’a renvoyé une lettre de quatre pages. L’année dernière, Eric Boateng, qui avait fait une petite pige à Pau, m’a carrément envoyé ses chaussures signées le jour de mon anniversaire. Parfois ils nous envoient leur mail et on discute avec eux. Plus le joueur est obscur et plus il répond facilement car il se sent davantage honoré qu’on lui écrive.\\n\\nSur quoi, une dédicace possède-t-elle le plus de valeur ? Une photo, une lettre, un ballon, un maillot, une carte ?\\n\\nForcément un ballon ou un maillot, mais cela dépend de la valeur que chacun donne. Il n’y a pas de côté pécunier sur basket-autos.fr car l’autographe, quand il n’est pas certifié, il ne vaut rien financièrement. Après, on peut le faire certifier par des instituts comme PSA, DNA, mais ce n’est pas notre but. eBay tue un peu tout ça car il y a beaucoup de fakes. Certains joueurs ne veulent plus signer car ils retrouvent leurs autographes sur eBay. Nous, non. On demande même parfois au joueur de mettre notre nom sur la dédicace ce qui prouve qu’on veut la garder. Ce qui m’intéresse, c’est d’avoir une collection. En comptant tout, je dois avoir 1 500 autographes dont 4-500 officiels que j’ai eus en personne ou par courrier. Par exemple, 288 joueurs ont porté le maillot d’Orthez et Pau depuis qu’ils sont en Nationale 1, et j’en ai 233. J’ai 200 dédicaces sur les 250 joueurs des Chicago Bulls. J’ai aussi une dizaine de maillots signés. J’ai Ali Traoré, Hervé Dubuisson, Sharrod Ford de Paris... J’ai eu certains autographes directement par la personne lors de manifestations, des œuvres de charité ou par exemple l’EuroBasket où des gars de mon forum ont pu accéder aux hôtels des joueurs et autres. Il y a beaucoup de solidarité sur mon site et un des membres m’a par exemple obtenu un autographe de (Nikola) Mirotic que je n’avais pas. Avoir des joueurs NBA en activité, c’est plus dur. Dirk Nowitzki répond énormément aux sollicitations, comme Jason Kid. Boris Diaw, c’est une crème, je dois avoir une cinquantaine d’autographes de lui. Comme joueurs à la retraite, il y a Bob Cousy, Rick Barry, Dan Majerle, et même Shaquille O’Neal.\\n\\nEtes-vous allé aux Etats-Unis ?\\n\\nDeux fois. A New York, j’ai vu le Game 2 d’une demi-finale de conférence contre Cleveland. Je suis descendu jusqu’au parquet et un type de la sécurité m’a chopé. Je lui ai dit « c’est juste pour un autographe » avec mon bon accent franchouillard. Bill Walton (Ndlr : ancien pivot légendaire de UCLA puis de la NBA) était là, il commentait pour la télé, il m’a signé deux cartes et il m’a demandé d’où je venais. Je lui ai répondu « de Bordeaux » et il m’a parlé de Boris Diaw pendant dix minutes. Et pourtant c’est une star, Bill Walton !\\n\\nÇa doit vous prendre de la place tout ça ?\\n\\nJ’ai sept ou huit classeurs, la penderie est bien prise par les maillots. Je me suis fait un bureau décoré avec les quatre sports US. J’ai pas mal de hockey sur glace, j’ai eu un retour de Joe Montana (Ndlr : 4 fois vainqueur du Super Bowl). Mais ma spécialité, c’est Pau-Orthez, les Bulls et le basket en général. Tout ça représente un petit budget.\\n\\nLarry Bird, Julius Erving, Stephen Curry, John Wooden\\n\\n\\nLes trésors d’Alain Guittard\\n\\nCe Français collectionne les autographes des joueurs et coachs de la NBA et de la NCAA. Du passé et du présent. Impressionnant.\\n\\nSon pseudo sur basket-autos.fr est Dugie 22, un clin d’œil à Slater Martin, une étoile aujourd’hui disparue des Minneapolis Lakers des débuts de la National Basketball Association. Alain Guittard, la soixantaine, collectionne les autographes de la Révolution et de l’Empire et aussi ceux de basketteurs, principalement américains. Depuis qu’il s’est lancé dans cette course avec son fils Olivier, contaminé par la Dream Team de Barcelone, il s’est fait une collection de deux milliers de noms différents, ce qui représente environ 4 500 cartes.\\n\\nLa liste des noms donne le frisson. Bob Cousy, Julius Erving, Kareem-Abdul-Jabbar, Artis Gilmore, Karl Malone, Grant Hill, Phil Jackson, le plus titré des coaches de NBA, John Wooden, le coach mythique de l’université de UCLA, John Kundla, qui driva les Minneapolis Lakers pendant dix ans et qui est mort centenaire en 2017, et aussi des moins illustres comme Brian Winters, Don Buse, Chris Ford ou encore Jack Gillespie, qui fit une brève apparition au sein des New York Nets de l’ABA avant de rejoindre le SCM Le Mans.\\n\\nParmi ses trésors, Alain Guittard possède aussi la dédicace de Stephen Curry sous le maillot des Wildcats de Davidson.\\n\\nPhil Jackson ? Il l’a fait signer sur un vieux... Basket Hebdo. Et Julius Erving sur un poster. John Wooden ? « La dernière fois qu’il m’a répondu il venait d’être centenaire. Il envoyait sa carte de visite avec la photo de son papa. C’était assez émouvant. » John Kundla ? « A chaque fois, il me met qu’il est heureux de l’intérêt qu’on lui porte. »\\n\\nPour se constituer une telle collection, Alain Guittard écrit une vingtaine de lettres par semaine. A ses débuts, la pêche était miraculeuse avec trois-quarts de réponse. C’est tombé à 40%, ce qui n’est déjà pas si mal. Cela fait au total 4 000 retours pour 7 500 courriers.\\n\\n\\nBird, pas Magic\\n\\n« J’écrivais au départ tout bêtement aux équipes des joueurs et des coaches », détaille-t-il. « Petit à petit j’ai trouvé des sites américains avec des listings adresses qui se vendent. Il y a à peu près 2500/3000 adresses de basketteurs soit en activité, soit à la retraite. Mais j’en trouve aussi en étant abonné à l’annuaire américain. Avec le nom, le prénom, le deuxième prénom, la date de naissance, j’arrive à peu près à les localiser. Il y a parfois des homonymies, mais pas plus d’une fois sur vingt ou trente. Je leur envoie une carte Upperdeck ou une carte maison avec une lettre type que je personnalise quelque peu. »\\n\\nLa chasse est de plus en plus difficile car le nombre de chasseurs est en croissance et pas question d’avoir un retour d’un LeBron James, d’un Stephen Curry désormais une superstar planétaire ou d’un Magic Johnson. Alain Guittard possède tout de même quelques pièces rares dont la dédicace de Larry Bird. Il l’a juste sollicité au bon moment ; l’ailier mythique des Celtics devait être de bonne humeur. Il a réussi le tour de force d’avoir trois réponses de Grant Hill en quatre sollicitations alors que l’ancien all-star fait le plus souvent le mort.\\n\\n[armelse]\\n\\nComment en vient-on à demander des autographes de basketteurs ? Vous êtes un pratiquant, vous suivez un club ?\\n\\nJe n’ai jamais fait de basket sinon sur des playgrounds mais mon village d’origine est tout prêt d’Orthez, je suis fan de l’Elan Béarnais et j’ai toujours été fasciné par ce qui est autographes. En 1992 avec la Dream Team, des collections de cartes Upper Deck de basket sont sorties dans les bureaux de tabac. Par une connaissance, j’ai pu avoir un autographe de Gheorghe Muresan en 1994, c’est un peu ce qui a déclenché ma passion. J’ai retrouvé tout ça dans une boîte à chaussures en 2000 lorsque je me suis retrouvé au chômage, je me suis relancé, j’ai retrouvé un forum sur Internet, basket-cards.com. J’ai essayé de récupérer des autographes de joueurs que j’aimais, principalement ceux de Pau et des Chicago Bulls. En 2007, j’ai créé une section dans ce forum pour les autographes TTM, through the mail, car j’avais eu connaissance de la possibilité d’écrire directement aux joueurs, en incluant un petit texte, une ou deux cartes, une enveloppe avec son adresse et un timbre américain que l’on peut récupérer sur e-bay ou par l’US Postal, ce qui facilite le transit. Les gens reçoivent la carte, la signe, la mette dans l’enveloppe et l’envoie.\\n\\nComment obtenez-vous l’adresse des joueurs ?\\n\\nDes gars issus du premier forum sont venus sur mon site et on fait des échanges d’adresses. On a des banques d’adresses que l’on récupère aux Etats-Unis. Grâce à Internet, je suis arrivé à obtenir des adresses aux Etats-Unis d’anciens joueurs de Pau comme celle de Dwayne Scholten qui était dans l’Etat de Washington.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nArticle paru dans Basket Hebdo en 2015"
}, 
{"role": "user",     "content":"Prkacin, Begarin, Garuba... Le Top 10 du dernier Euro des moins de 16 ans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le niveau de compétition était très élevé lors du dernier championnat d’Europe des moins de 16 ans remporté par la Croatie du fantastique Roko Prkacin (19 points, 11 rebonds, 4 passes). Et on retrouve ce dernier tout en haut du dernier classement des meilleures actions du tournoi.\\n\\nElu MVP, Prkacin assène ici un dunk monstrueux dans le trafic, une merveille de technique et de qualités athlétiques ! Dans ce dernier registre, le jeune tricolore Juhann Begarin a du répondant également, auteur ici d’un magnifique contre.\\n\\nLe phénomène espagnol Usman Garuba (d’origine nigériane) fait une apparition toute aussi remarquée avec un dunk pleine face sur un pauvre néerlandais dépassé par les événements !"
}, 
{"role": "user",     "content":"Scandale au Japon, quatre internationaux surpris avec des prostituées"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’affaire fait scandale au Japon. Quatre joueurs de l’équipe nationale de basket participant aux Jeux Asiatiques ont été renvoyés à la maison à leurs frais pour avoir fait appel à des prostitués.\\n\\nAprès leur victoire contre le Qatar, les quatre joueurs (Yuya Nagayoshi, Takuya Hashimoto, Takuma Sato et Keita Imamura) auraient été aperçus dans un « quartier rouge » de la capitale indonésienne où ils dînaient avec des maillots de leur pays sur le dos. Après le repas, ils auraient été sollicités par des rabatteurs, qui les ont amenés dans un hôtel où se trouvaient des prostituées.\\n\\nLe chef de la délégation, Yasuhiro Yamashita, a déclaré «éprouver un sentiment de honte». Dans un communiqué, le président de la Fédération japonaise de basket, Yuko Mitsuya, a présenté ses « sincères excuses au public japonais, au Comité Olympique Japonais, et à tous ceux qui soutiennent le basket pour cet incident déplorable. Nous allons décider de la sanction appropriée une fois que nous aurons eu connaissance de l’ensemble des faits.«\\n\\nConséquence: le Japon ne pourra compter demain que sur huit joueurs pour son dernier match de phase de poules face à Hong Kong.\\n\\n« Je m’excuse profondément pour notre geste imprudent qui a rendu honteux non seulement les fans de basket-ball mais aussi tous les Japonais », a déclaré Sato lors d’une conférence de presse après le retour des joueurs à Tokyo lundi.\\n\\nNagayoshi, vêtu d’un costume et d’une cravate noire, a déclaré qu’il « ne pouvait pas imaginer » jouer au basketball à nouveau.\\n\\nOn ne plaisante pas avec ce genre d’affaire au Japon."
}, 
{"role": "user",     "content":"La France pillée par les clubs européens: il faut que ça change!"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« Je suis le premier Français à jouer en Espagne, en Italie, et pour un club anglais. »\\n\\nCe constat, c’est Ahmadou Keita qui nous le faisait en mars 1997.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDepuis l’arrêt Bosman, rendu à la fin 1995, les sportifs de l’Union Européenne peuvent librement circuler en son sein sans qu’il soit possible de limiter leur nombre dans une équipe professionnelle. C’est donc suite à une bonne saison au SLUC Nancy que le combo guard formé à Cholet génération Antoine Rigaudeau fit des passages à Murcie, à Cantu et de façon plus anecdotique aux London Towers devenant ainsi un pionnier. Tout comme Tony Parker, premier joueur de Pro A (Paris Basket Racing) à se lancer à 19 ans en NBA sachant que Tariq Abdul-Wahad et Jérome Moiso avaient effectué un cursus universitaire aux Etats-Unis.\\n\\nJusqu’à cette époque-là, 100% des internationaux évoluaient dans la première division française. Pas un seul n’avait convaincu un club italien ou espagnol de les prendre comme étranger -il n’y en avait que deux par équipe-. Ni Alain Gilles, ni Hervé Dubuisson, ni même Maxime Dorigo qui aurait pu jouer en Italie comme oriundi*. D’ailleurs à part de très rares exceptions (quelques-uns dans les facs américaines dans la deuxième moitié des années 80, des doubles nationalités ailleurs), tous les basketteurs français jouaient pour un club français.\\n\\nTout a été bouleversé en une vingtaine d’années, à cause de ce fameux arrêt Bosman, de l’ouverture au monde de la NBA, et de la montée en puissance de la formation française qui trop longtemps avait été à la remorque de celle des nations européennes de pointe. Si tout n’est pas encore complètement affiné, on peut remarquer qu’à ce jour, 26 des 44 membres du Team France vont jouer à l’étranger cette année. La proportion est encore un peu plus forte quand on sait que Youssoupha Fall n’est toujours pas qualifié pour représenter la France et que l’on attend d’un jour à l’autre l’annonce de la retraite sportive de Boris Diaw. Et puis, schématiquement, ce sont les meilleurs qui sont hors de nos frontières. Autre chiffre marquant, le site Eurobasket recense 138 Français portant un maillot d’une équipe étrangère. Il y en a de tous les acabits, à commencer par des double nationalités, des stars et des inconnus, et dans tous les pays, de la Suisse au Canada en passant par Taiwan. C’est ce que l’on appelle la mondialisation.\\n\\nOn est désormais habitué : les meilleurs joueurs de Pro A/Jeep Elite s’exporte chaque intersaison. Cette fois, au sein du Team France, ce sont Louis Labeyrie (Valence) et Elie Okobo (Phoenix Suns) qui ont quitté la place. Et si Youssoupha Fall est encore présent en Jeep Elite, c’est que Vitoria a jugé plus utile de le prêter une saison à Strasbourg plutôt que de le lancer tout de suite dans les grands bains de l’ACB et de l’Euroleague. Cette saignée touche maintenant les plus jeunes puisque Adam Mokoka, qui a fêté ses 20 ans cet été, élu meilleur Jeune de Jeep Elite en 2018, a rejoint le club serbe de Mega Bemax. Un chemin suivi avant lui par l’Antibois Timothé Luwawu-Cabarrot et le Palois Alpha Kaba.\\n\\nRien n’est étanche et surtout pas du côté américain. Il est loin le temps où un Henry Fields, un Lloyd King, un Ed Murphy, un Don Collins, un Michael Brooks, nos MVP US de Pro A (on l’appelait Nationale 1) effectuaient tout ou l’essentiel de leur carrière en France. Samuel Mejia, Blake Schilb et Devin Booker n’ont pas fait de vieux os une fois couronnés MVP. Considéré comme le meilleur meneur de Jeep Elite 2018, Justin Cobbs est parti monnayer son talent au Cedevita Zagreb et son compatriote au Mans Romeo Travis, MVP de la finale, aux Philippines. Et c’est en étant prévoyant et en lui faisant signer au préalable un contrat de deux ans que la JL Bourg a pu conserver son MVP Zachery Peacock, dont la cote a aussi baissé à cause de ses ennuis de santé en fin de championnat.\\n\\nUn énorme retard culturel\\n\\nIl n’y a qu’une seule raison à cette exode : l’argent. Ce sont les euros et les dollars qui permettent d’attirer les meilleurs joueurs et de constituer les meilleures équipes. Le reste n’est que littérature. De tout temps, l’Europe n’a pu lutter avec la NBA mais ce qui est nouveau et désolant, c’est que certains joueurs préfèrent jouer en G-League désormais plus rémunératrice afin de continuer à rêver d’un contrat dans la Grande Ligue (c’est ainsi qu’elle s’autoproclame). Ce qui est nouveau aussi, c’est le nombre de plus en plus croissant de joueurs français dans les meilleurs clubs d’Europe, principalement en Euroleague et Eurocup.\\n\\nIl y a quand même un paradoxe que les clubs d’un pays de 68 millions d’habitants, 6e PIB mondial avec une fédération riche de 680 000 licenciés, soient incapables de rivaliser avec leurs rivaux. Qu’ils se fassent piller. Il y a beaucoup à écrire sur les règles fiscales différentes d’un pays à l’autre et aussi sur la superficialité économique de nombre de clubs d’élite du continent, les uns bénéficiant du concours financier de la section football, les autres de magnats prêts à dépenser sans compter leur argent ou plutôt celui de leurs sociétés avec des circuits financiers qui feraient le bonheur des limiers de Mediapart, les autres encore étant des « club-nation. » Et quand l’économie commence à battre de l’aile, c’est tout le château de carte qui risque de s’écrouler comme on le voit actuellement en Turquie qui, il y a quelques mois nous faisait « rêver » avec sa deuxième division capable de débaucher NOTRE Moustapha Fall.\\n\\nIl reste que la France et sa Jeep Elite ne seront fortes que lorsque ses clubs principaux seront forts. Ce qui est arrivé à Chalon et au Mans, les deux derniers champions qui ont vu leurs meilleurs joueurs changer de crèmerie une fois les bouteilles de champagne vidées, est inéluctable. Comme tous les autres pays, la France a besoin qu’émergent des clubs dans ses principaux marchés. Et qu’on le veuille ou non, cela concerne d’abord Paris puis Lyon sachant que Marseille et le basket, ce n’est jusqu’à preuve du contraire qu’un fantasme.\\n\\nOn s’apprêtait à se réjouir de voir Moustapha Fall signer à l’ASVEL mais l’offre irrésistible de Krasnodar nous a rappelé à la dure réalité du marché. Il est devenu trop bon, le géant. Donc trop cher. Mais l’ASVEL si elle a encore beaucoup, beaucoup à faire, au niveau du management notamment en attendant l’édification de son aréna a déjà posé quelques jalons avec la perspective concrète de l’Académie Tony Parker, le rassemblement de quelques très bons joueurs français, et la quasi assurance de jouer en Euroleague en 2019-20. Tout ceci est du moyen terme.\\n\\nNous avons écrit tant de fois que le développement du basket en France passe inévitablement par la présence permanente d’un club parisien compétitif en Euroleague que nous avons poussé comme un ouf de soulagement lorsque le projet de l’Américain David Kahn est devenu concret, qu’il ait ou non des casseroles sportives aux fesses aux Etats-Unis. Que la mairie de Paris soit avec lui, tant mieux ! Que les droits sportifs du Hyères-Toulon Var Basket lui ait été cédés et que le Paris basketball puisse démarrer directement par la Pro B, tant mieux ! J’ai d’ailleurs du mal à comprendre comment on peut être contre ce type de process et être fan de la NBA et de l’Euroleague qui sont fondés sur ce système. Soit on se satisfait de la Champions League et de l’Eurocup et on accepte d’être le pourvoyeur en viande fraîche des grandes nations du basket européen, soit il faut ce type de projet. J’aime bien aussi le discours « on y va pierre par pierre » entendu lors de la présentation de l’équipe, il y a quelques semaines. La patience n’a pas été jusqu’ici la vertu principale des investisseurs parisiens depuis que je les observe, c’est-à-dire quarante ans.\\n\\nLe Paris Basketball, c’est du long, long terme. C’est un projet qui part d’une feuille blanche. Le retard ne serait-ce que culturel que la France a pris sur les meilleures nations d’Europe est abyssal. Lorsque l’Euroleague avait fait élire les 50 plus grands contributeurs (joueurs, coaches, personnalités), le seul Français inclus était Yvan Mainini... Un arbitre. Et lorsque eurohoops dresse la liste des plus grands coaches, douze pays sont concernés. Pas la France.\\n\\nIl faut que cela change. Impossible ? Qui pouvait croire il y a un quart-de-siècle, juste avant l’arrêt Bosman, que nous aurons autant de joueurs en NBA et en Euroleague, autant de médailles en A comme en jeune en 2018 ?\\n\\n[armelse]\\n\\nDepuis l’arrêt Bosman, rendu à la fin 1995, les sportifs de l’Union Européenne peuvent librement circuler en son sein sans qu’il soit possible de limiter leur nombre dans une équipe professionnelle. C’est donc suite à une bonne saison au SLUC Nancy que le combo guard formé à Cholet génération Antoine Rigaudeau fit des passages à Murcie, à Cantu et de façon plus anecdotique aux London Towers devenant ainsi un pionnier. Tout comme Tony Parker, premier joueur de Pro A (Paris Basket Racing) à se lancer à 19 ans en NBA sachant que Tariq Abdul-Wahad et Jérome Moiso avaient effectué un cursus universitaire aux Etats-Unis.\\n\\nJusqu’à cette époque-là, 100% des internationaux évoluaient dans la première division française. Pas un seul n’avait convaincu un club italien ou espagnol de les prendre comme étranger -il n’y en avait que deux par équipe-. Ni Alain Gilles, ni Hervé Dubuisson, ni même Maxime Dorigo qui aurait pu jouer en Italie comme oriundi*. D’ailleurs à part de très rares exceptions (quelques-uns dans les facs américaines dans la deuxième moitié des années 80, des doubles nationalités ailleurs), tous les basketteurs français jouaient pour un club français.\\n\\nTout a été bouleversé en une vingtaine d’années, à cause de ce fameux arrêt Bosman, de l’ouverture au monde de la NBA, et de la montée en puissance de la formation française qui trop longtemps avait été à la remorque de celle des nations de pointe européenne. Si tout n’est pas encore complètement affiné, on peut remarquer qu’à ce jour, 26 des 44 membres du Team France vont jouer à l’étranger cette année. La proportion est encore un peu plus forte quand on sait que Youssoupha Fall n’est toujours pas qualifié pour représenter la France et que l’on attend d’un jour à l’autre l’annonce de la retraite sportive de Boris Diaw. Et puis, schématiquement, ce sont les meilleurs qui sont hors de nos frontières. Autre chiffre marquant, le site Eurobasket recense 138 Français portant un maillot d’une équipe étrangère.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\n* Un immigré d’origine italienne et vivant hors d’Italie.\\n\\nPhotos: Louis Labeyrie et Adam Mokoka (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"A 38 ans, Victor Samnick est toujours dans les rangs du Paris Basketball"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Paris Basketball est à l’entrainement presque comme une équipe ordinaire de Pro B, sauf que les projecteurs sont tout spécialement braqués sur lui. Jean-Christophe Prat est son coach et Mam Diarra son directeur des opérations basket.\\n\\nIl demeure deux joueurs de l’équipe de Nationale 2 de la saison dernière: Benjamin Obou Fegue et Victor Samnick. Samnick (2,03m) est un vieux de la vieille puisqu’il aura 39 ans à la fin de l’année. A son palmarès figurent deux titres de champion avec Nancy (2008 et 2011) et une finale (2007). Il a aussi porté le maillot du Paris Basket Racing de 2004 à 2006.\\n\\nL’arrière américain Nick Kellogg (1,91 m, 26 ans) et le meneur australien Daniel Dillon (1,93 m, 32 ans) ont manqué la reprise mais sont attendus dans les heures qui viennent. Le Parisien informe que le club est en attente d’un ailier étranger et d’un joueur français de moins de 23 ans.\\n\\n« J’ai commencé à bâtir l’équipe il y a trois semaines, » commente Jean-Christophe Prat. « Je n’avais pas forcément prévu de revenir un jour à Paris mais le discours de David Kahn (NDLR : président américain et copropriétaire du club) m’a plu. Il veut faire un grand club à Paris et développer la formation. Il y a souvent eu des projets à Paris mais avec la future Arena, ce projet est le bon. On a quatre ans pour le construire. »\\n\\nPhoto: Victor Samnick (Sharks)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Bleues s’offrent une démonstration face à l’Italie pour débuter la préparation, 74-43"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est sans deux de ses probables membres du cinq majeur que l’équipe de France s’est présentée à Anglet contre l’Italie pour son premier match de préparation à la Coupe du monde, Helena Ciak, blessée à la cuisse, et Endy Miyem, qui revient de sa saison en WNBA. La Squadra Azzura de son côté avait vaincu largement (74-57) quarante-huit heures auparavant l’université de Wake Forest et de Venise avait transité par Bilbao pour rejoindre la France sans l’ailier-arrière Cecilia Zandalasini qui faisait équipe avec Endy Miyem à Schio et au Minnesota Lynx et qui va aborder les playoffs WNBA.\\n\\nAvec une accélération en fin de quart-temps, la France a tout de suite provoqué un écart (20-13, 10e). La deuxième période l’augmentait pour le porter à + 18 avec une adresse à 56% contre 19 aux Italiennes peu goûteuses de la défense française.\\n\\nLa deuxième mi-temps ne faisait que confirmer la domination française et l’écart final était de trente-et-un point. Les Italiennes n’ont réussi que 12 de leurs 56 shoots.\\n\\nLes douze Françaises sont entrées en jeu, la meneuse Alix Douchet ayant le nombre de minutes le plus réduit, 4. Sandrine Gruda a obtenu le plus grand nombre de points, 19.\\n\\nUn deuxième France-Italie est programmé demain toujours à Anglet.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Alexia Chartereau, FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tornike Shengelia veut soulever un trophée cette saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Prolongé jusqu’en 2022 à Vitoria avec un énorme contrat à la clé, Tornike Shengelia est plus que jamais l’homme fort de Vitoria. Capitaine du Baskonia et son meilleur joueur la saison passée en Euroleague à 14 points et 6 rebonds de moyenne, l’international géorgien se sent à l’aise au Pays Basque.\\n\\n« Ma famille est très contente à Vitoria, on est ici chez nous ! », précise Shengelia sur le site de l’ACB. « Chaque année, j’essaye de revenir en étant le meilleur possible. Je vais toujours essayer d’apporter le maximum sur le terrain comme dans le vestiaire. »\\n\\nMalheureusement sorti en playoffs par le Fenerbahçe, Vitoria n’a pas eu l’occasion de goûter au grand frisson du Final Four. Mais l’année prochaine, le dernier carré se retrouvera précisément à la Buesa Arena. Pour Shengelia, c’est une occasion unique de se transcender !\\n\\n« Ça ne doit pas être une pression supplémentaire, mais une motivation supplémentaire. On va toujours essayer de faire le maximum pour l’équipe. J’espère qu’on pourra vivre ce rêve de jouer un Final Four à la maison. »\\n\\n« Les fans de Vitoria méritent d’avoir un titre ! »\\n\\nSatisfait de l’intersaison du Baskonia avec une grande partie de l’effectif qui a été conservé, Shengelia croit dur comme fer dans la qualité de son groupe. A 27 ans, l’ailier fort veut à tout prix remporter un titre cette saison. Si ce n’est pas en Euroleague, il faudra le faire sur la scène nationale...\\n\\n« Il faut laisser les objectifs individuels et ne penser qu’aux objectifs collectifs. Comme chaque année, on veut aller le plus loin possible. Il est très important de bien commencer, dès le premier jour et de travailler dur pour mener l’équipe le plus loin possible. Je veux gagner et je crois que notre équipe et les fans de Vitoria méritent de voir un titre. Tout le monde sait dans le vestiaire que c’est un objectif primordial de la saison. On va tout faire pour soulever un trophée cette année ! »\\n\\nAprès son aventure non-concluante en NBA, entre 2012 et 2014, Tornike Shengelia a semble-t-il tourné la page américaine pour de bon. Pleinement inscrit dans le projet basque de Vitoria, « Toko » compte bien hisser son groupe aux sommets. Un groupe qui a repris le travail dans la bonne humeur (et un nouveau style capillaire pour Vincent Poirier), visiblement...\\n\\n\\n\\n\\nLet's get it, guys! 💪#GoazenBaskonia pic.twitter.com/QdnySQtkm8\\n\\n\\n— Baskonia (@Baskonia) August 20, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie: Dusko Ivanovic est le nouveau coach du Besiktas"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Connu en France pour avoir été le coach du Limoges CSP, auteur du triplé Coupe Korac, championnat et coupe de France, le Monténégrin Dusko Ivanovic, 60 ans, a signé au Besiktas Istanbul.\\n\\nAprès avoir fait partie comme joueur de la grande équipe de Split, Dusko Ivanovic célèbre pour son tempérament volcanique et la dureté avec ses joueurs, a notamment coaché Vitoria, Barcelone, le Panathinaikos et le Khimki Moscou. Il a également eu entre les mains les sélections de Suisse et de Bosnie.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"[REDIFF] U17 – France : les appréciations du coach Lamine Kebe sur la génération vice-championne du monde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BasketEurope vous propose cet été de lire ou de relire les meilleurs articles PREMIUM de la saison 2017-18.\\n\\nPromu entraîneur en chef de l’une des générations les plus talentueuses chez les jeunes en Equipe de France, Lamine Kebe s’est mué en professeur et délivre ses bons points à l’issue du Mondial U17 argentin. La classe tricolore a brillamment répondu aux attentes en ne s’inclinant qu’en finale face aux Etats-Unis le 8 juillet dernier (95-52), soit la meilleure performance de l’histoire dans cette catégorie.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLamine Kebe, l’heure est venue de vous mouiller. Avez-vous dirigé la meilleure équipe U17 française de l’histoire ?\\n\\nOuf, je ne sais pas ! Ce qui est sûr c’est que c’était une très bonne équipe, avec de très bons joueurs pour la composer. En terme de résultat, c’est vrai qu’elle a fait mieux que toutes les générations précédentes, même si les 95, 97 et les 99 avaient aussi de très bonnes équipes. Les 99 (emmenés par Jaylen Hoard) n’avaient échoué que d’un point en quarts de finale contre la Lituanie qui avait fini avec la médaille de bronze. C’est une génération qui a un potentiel énorme et des joueurs de grand talent. De là à dire que c’est la meilleure génération française de l’histoire, c’est toujours compliqué à évaluer. Ce qu’on peut affirmer aujourd’hui, c’est qu’elle a réalisé le meilleur résultat de l’histoire d’une équipe de France U17, ça c’est indéniable.\\n\\nConcernant la finale face aux USA, vous auriez aimé tenir plus longtemps ou vous êtes satisfait de ce que la France a montré ?\\n\\nOn avait établi un plan de jeu qui a plutôt fonctionné en première mi-temps, à savoir de leur laisser davantage de possibilité de tirs à longue distance. On avait observé qu’ils n’avaient pas une adresse très importante derrière la ligne à 3 points. On va dire que globalement, la stratégie a marché. Mais là où on a eu beaucoup de difficultés, et plus le temps avançait plus ça devenait flagrant, c’est sur le rebond. On les a fait beaucoup échouer, mais ils avaient toujours deux ou trois chances, et près du cercle, ils avaient une efficacité très importante. De mémoire, on s’est rendu compte qu’à la mi-temps, ils avaient tiré 16 ou 17 fois de plus que nous. C’est ce qui a fait l’écart à la fin du match. On aurait pu faire un peu mieux, si on avait réussi à mieux contrôler le rebond.\\n\\nC’est la dimension physique qui fait la différence entre Team USA et le reste du monde ?\\n\\nC’est vrai qu’athlétiquement, ils sont très impressionnants. Ils sont vraiment un cran au dessus des autres, et nous compris alors qu’on a souvent pris le dessus sur nos adversaires de ce point de vue. Là, c’est vrai qu’on a rencontré une équipe qui était vraiment supérieure à la nôtre. Ils ont aussi cette culture de la gagne qui est ancrée en eux. Ils ne doutent pas de la victoire. Quand on cumule les deux, ça fait une grosse différence. Parce qu’après, en terme de qualité tactique, et sur la technique individuelle sur certains postes de jeu, on avait des arguments à faire valoir.\\n\\n\\nLes appréciations du professeur Lamine Kebe sur l’Equipe de France U17 au Mondial argentin\\n\\nLéo Billon : « Un joueur sur lequel il faudra compter à l’avenir »\\n\\nStats : 0 point, 1.7 rebonds, 0.8 d’évaluation en 5.2 minutes par match\\n\\n« Léo est un garçon qui a un état d’esprit irréprochable, vraiment un coéquipier modèle. C’est vrai qu’il a eu un temps de jeu limité notamment sur les matchs à élimination directe. Mais il a toujours fait preuve d’un état d’esprit parfait et à chaque fois qu’on a fait appel à lui, il a répondu à nos attentes. En terme de perspective, c’est un joueur sur lequel il faudra compter à l’avenir. Pour l’instant il a encore besoin de se développer athlétiquement pour pouvoir encore mieux s’exprimer. En tout cas il a complètement répondu à nos attentes ».\\n\\nVictor Diallo : « Très écouté dans le groupe »\\n\\nStats : 0.7 point à 33% d’adresse, 2 rebonds, 0.5 passe décisive, 2.8 d’évaluation en 8.1 minutes par match\\n\\n« Il a été dans le même registre en terme de temps de jeu et de la même manière, il a affiché un état d’esprit irréprochable. Pour ces garçons là, de peu jouer ou même de ne pas jouer parfois, ce n’est pas facile. Mais ils l’ont accepté et ils ont quand même été très importants pour le groupe. De plus, Victor a cette capacité à être très écouté dans le groupe. Il a vraiment joué ce rôle entre nous, le staff, et les joueurs. Il n’a jamais montré aux autres cette frustration qui était parfois logique au vu de son temps de jeu. Donc irréprochable dans l’état d’esprit, et en plus sur le terrain, il a cette capacité à pouvoir défendre sur des postes extérieurs et intérieurs. Il nous a souvent rendu de grands services à de nombreuses reprises face à des équipes plus petites que nous ».\\n\\nSamuel Eyango-Dingo : « Un très grand guerrier »\\n\\nStats : 4.3 points à 52.4% d’adresse, 3.7 rebonds, 0.2 passe décisive, 5.5 d’évaluation en 10.7 minutes par match\\n\\n« C’était sa première compétition internationale. Il découvrait ce milieu là, c’était vraiment le petit nouveau. A plusieurs titres puisqu’il faisait également partie des joueurs qui avaient le moins de vécu basket. C’est un très grand guerrier. A chaque fois, il a donné le maximum sur le terrain, il a apporté de la dureté, de la détermination... Il a eu un rôle très important dans l’aspect vocal, toujours positif auprès de ses coéquipiers. C’est quelqu’un qui a beaucoup compté dans les moments où on était un peu moins bien. Il a vraiment essayé de porter tout le monde avec lui, il a été très précieux. »\\n\\nLorenzo Thirourard-Samson : « Important face à la zone »\\n\\nStats : 3.1 points à 47.4% d’adresse, 3.3 rebonds, 0.4 passe décisive, 5 d’évaluation en 11.4 minutes par match\\n\\n« C’était l’une de nos premières rotations, sur les postes 2-3. Un joueur avec de grosses qualités d’attaque, beaucoup de talent offensif. Il a été important sur les matchs où on a eu de la défense de zone, parce qu’il fait partie des joueurs de l’équipe qui ont une vraie régularité sur le tir extérieur. Il a été très intéressant, il a aussi su se mettre au service au service de l’équipe en jouant parfois sur de très courtes séquences à un poste qui n’était pas le sien. Il a su se montrer précieux, lui aussi ».\\n\\nMatthieu Gauzin : « Ce Mondial va le faire progresser »\\n\\nStats : 8 points à 43.9% d’adresse, 2.3 rebonds, 1.0 passe décisive, 6.6 d’évaluation en 14.1 minutes par match\\n\\n« A l’image de Samuel, c’était sa première compétition internationale, mais avec un vécu basket beaucoup plus important. Il a fait un très bon tournoi, il a été un relais de très grande qualité en sortie de banc. S’il avait été dans 80% des équipes qu’on a affrontées, ça aurait été un joueur majeur ou un joueur du cinq. Dans cette génération, il y a beaucoup de talent sur les postes extérieurs, donc il sortait du banc, mais il a vraiment livré une compétition de très haut niveau. Il sera encore plus fort à l’avenir. Ce Mondial va vraiment le faire progresser, l’aider à prendre conscience de ce qu’était le niveau international ».\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=WmxzgtakyX4\\n\\nMaxime Carene : « Une prise de conscience »\\n\\nStats : 4.6 points à 73.3%, 3.3 rebonds, 0.6 passe décisive, 7.6 d’évaluation en 16.6 minutes\\n\\n« Il a un peu été la révélation aux yeux des observateurs extérieurs sur la fin du championnat du monde. Il a fait une demi-finale et une finale d’un très bon niveau. Il a été un peu malade au début de la compétition et du coup il a n’a pas vraiment pu se mettre en valeur tout le temps. Mais ce qui est sûr, c’est que sur les deux derniers matchs il a vraiment été très important. Cette compétition va lui donner de la confiance et ce sera l’un des joueurs sur lesquels il faudra compter dans le futur (...). Il est encore en plein développement. Il a, certes, deux ans de centre fédéral, mais il n’avait fait qu’un an de basket avant en Martinique (SC Lamentinois), donc c’est encore un bébé au niveau basket. Il n’a pas encore de certitudes. Il continue de se développer, il prend conscience de ce qu’il peut faire, de son corps, de ce qu’il peut apporter sur le terrain. Sur la demie et la finale, j’ai senti une prise de conscience en lui. Il a vu qu’il était capable de faire des choses. Et offensivement, il a encore une marge de progression très intéressante. Il a une envergure de 2,34m, il peut être beaucoup plus agressif sous le panier, finisseur. Son tir extérieur en périphérie est encore en développement même s’il est là et qu’il est capable d’en mettre. C’est quelqu’un qui va vraiment exploser d’ici deux ou trois ans. Il sera l’un des principaux éléments de sa génération ».\\n\\nMelvyn Ebonkoli : « Notre Flo Pietrus »\\n\\nStats : 2.6 points à 58.3% d’adresse, 2.7 rebonds, 0.6 passe décisive, 4.3 d’évaluation en 17 minutes\\n\\n« A l’image de Samuel, c’est vraiment un guerrier, quelqu’un qui nous a beaucoup apporté en terme de dureté. Si on peut le comparer aux Equipes de France A qui ont ramené des médailles, ça a vraiment été notre Flo Pietrus. Quelqu’un sur qui on peut toujours compter défensivement, qui est toujours là pour poser des écrans, des écrans qui faisaient mal. Il a mis quelques paniers importants aussi, notamment contre les Etats-Unis où il a réussi à s’exprimer. Il a encore une marge de progression dans le domaine offensif, mais dans l’esprit défensif, cette dureté qu’il peut apporter sur le terrain, il a été exemplaire ».\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=Pa1mIUzIWNY\\n\\nEssomé Miyem : « L’avenir lui permettra de s’exprimer plus encore »\\n\\nStats : 4.6 points à 44.4 % d’adresse, 2.9 rebonds, 0.4 passe décisive, 5.3 d’évaluation en 18.2 minutes par match\\n\\n« Statistiquement, il n’a peut-être pas fait une grande compétition, sauf que, mine de rien, à chaque fois qu’il a été sur le terrain, l’efficience de l’équipe augmentait largement. Il a quand même réalisé de bonnes prestations, en étant très présent défensivement. Il a parfois souffert aussi parce qu’on a joué beaucoup d’équipes atypiques avec peu, pas de grands ou des faux grands qui étaient un peu plus mobiles que lui. Il a été un peu mis en difficulté face à eux, mais vraiment, il a été très précieux. Sans Essomé, je pense qu’on aurait pas eu ce résultat là. Il a été très propre, il s’est souvent mis au service des joueurs extérieurs qui étaient un peu la force de l’équipe. Il a beaucoup collé les écrans, il a fait ce qu’on appelle le travail de l’ombre qu’on ne voit pas forcément de l’extérieur. Il a été très important. Le discours que je lui ai tenu sur la fin, c’est que l’avenir lui permettra de s’exprimer mieux encore. Lorsqu’il arrivera en U18, en U20, il affrontera des joueurs au gabarit bien plus similaire au sien. Il sera plus à même de s’exprimer en attaque, d’autant plus qu’il a énormément de talent offensif. C’est quelqu’un qui peut tirer à 3-points, qui est très adroit derrière le pick&roll, qui a de très bonnes mains. Là on l’a moins vu face à des joueurs très petits. Sa mobilité est en phase de développement, il y a encore des choses à acquérir dans ce domaine là. Mais à chaque fois qu’il a été sur le terrain, j’ai des souvenirs de matchs où l’efficience de l’équipe montait à +20, +22 ».\\n\\nTimothé Crusol : « Monsieur efficacité »\\n\\nStats : 9.1 points à 48.1% d’adresse, 2.4 rebonds, 2.1 passes décisives, 1.4 interceptions, 9.3 d’évaluation en 22.5 minutes par match\\n\\n« Le joueur le plus efficient de la campagne. Il a réalisé un tournoi de très haut niveau. Il a accepté de sortir du banc, ce qui n’était pas facile vu son niveau et son talent. Il l’a fait d’une manière incroyable. Il nous a souvent sorti de situations où on était pas très bien. Il était toujours là pour mettre un tir à 3-points, faire une interception. Pour moi, il a fait une compétition de très haut-niveau. S’il n’avait pas été à ce niveau-là, on aurait été en difficulté (...). Je le connais depuis des années. Je l’avais même eu en sélection des Poussins du Loiret. Mais ce n’est pas le produit de ma formation. C’est vrai qu’il y a un petit côté affectif. J’ai fait partie de son développement mais il s’est construit aussi à travers les coachs qu’il a pu rencontrer durant son parcours ».\\n\\nMalcolm Cazalon : « A l’image de sa génération »\\n\\nStats : 16.4 points à 46.9% d’adresse, 4.4 rebonds, 2.1 passes décisives, 3 interceptions, 15.7 d’évaluation en 25.4 minutes par match\\n\\n« Il a été vraiment très très fort, un talent offensif incroyable. Il est encore perfectible dans plein de domaines. Je lui prédis un très grand avenir. Défensivement, il a aussi été très important, à mettre des contres, à tenir des duels, à défendre sur des joueurs comme le Croate Matej Rudan, qui est référencé très haut. A chaque fois que Malcolm a défendu sur lui, il a été incapable de marquer un panier. Ce sont des signes qui sont importants. En contre-attaque, c’est un finisseur exceptionnel. Il a une qualité d’adresse qui est déjà aujourd’hui très intéressante mais qui va encore se développer. Pour lui aussi, c’était sa première compétition, mais on avait l’impression qu’il en avait déjà fait cent. C’est quelqu’un qui a vraiment confiance en lui et qui a bien raison de l’avoir. Il est vraiment à l’image de sa génération, qui ne doute pas. Elle est consciente de ses forces, de ses faiblesses et à chaque fois qu’on préparait un match, je voyais dans leurs yeux qu’ils étaient persuadés qu’on allait gagner. Et Malcolm est à cette image ».\\n\\nThéo Maledon : « Le capitaine »\\n\\nStats : 11.1 points à 38.5% d’adresse, 6.1 rebonds, 4.1 passes décisives, 1.1 interception, 13 d’évaluation en 27 minutes\\n\\n« C’est le capitaine. C’est mon relais vis-à-vis du groupe. Il est d’autant plus exemplaire et respecté que sur le terrain, c’est très performant, très stable. Il ne descend jamais en-dessous d’un certain niveau et il est capable de monter à un très haut-niveau. Dans les moments compliqués, il a toujours été là. Il a toujours su trouver les mots pour ses coéquipiers dans le vestiaire. Pour moi, on peut dire que je manque d’objectivité, mais au même titre que Malcolm, les trois auraient mérité d’être dans le cinq majeur de la compétition. Ils n’ont mis que Killian, qui le méritait largement. Théo a peut-être mis un peu moins de points, mais il est toujours présent aux passes décisives, au rebond, il n’était pas très loin du triple-double, avec un temps de jeu parfois très limité parce qu’on avait un peu d’avance et je le préservais souvent pour la suite. C’est vraiment le capitaine, les autres prennent Théo en exemple et quand je leur demande qui est le leader, la réponse des onze autres est unanime ».\\n\\nKillian Hayes : « Un potentiel sans limite »\\n\\nStats : 16.1 points à 50% d’adresse, 3.6 rebonds, 3.3 passes décisives, 2.7 interceptions, 1.4 contres, 17.6 d’évaluation en 27.1 minutes, élu dans le cinq majeur de la compétition\\n\\n\\n« Il était attendu. Il a été très fort, il a été stable. Les défenses adverses étaient préparées, les coachs d’en face avaient beaucoup travaillé pour essayer de le mettre en difficulté. Il a réussi à trouver la patience. Cette compétition l’a aidée à ajouter ça à sa palette, ne pas trop se presser, laisser le jeu venir à lui, se faire un petit peu oublier par moments pour ensuite nous emmener vers la victoire. C’était notre leader offensif, il a toujours été là quand on avait besoin de lui. Il a aussi cette confiance en lui-même qui est remarquable. C’est vrai que ce n’est pas trop ancré dans notre culture française, et lui l’a vraiment. Il sait qu’il sera présent dans les matchs importants et il l’a démontré une fois de plus (...). Il est arrivé un peu fatigué en début de préparation. Il a eu de nombreuses sollicitations tout au long de la saison, avec Cholet en Espoirs et avec les pros, sur des matchs d’exposition de niveau international. Il ressentait un peu une fatigue mentale, ce qui était normal. Notre priorité, c’était déjà qu’il se régénère, qu’il reprenne un peu d’envie et de plaisir de jouer etc etc...On a essayé de trouver ce compromis pour que lui se sente mieux. Et ensuite, ce qui a vraiment été très intéressant dans notre relation, c’est qu’on a commencé à se connaître, à trouver les points qui nous rapprochaient pour essayer aussi de le faire progresser. C’est ce que je voulais, qu’il soit évidemment le leader offensif, lui donner énormément de responsabilités, mais aussi essayer de le faire progresser un petit peu dans un domaine. Je pense qu’il a avancé sur le jeu de pick&roll par exemple. On a rajouté deux-trois notions qu’il a pu exploiter sur la fin, contre Porto-Rico et la Turquie notamment. Son niveau était déjà très élevé. C’était enrichissant pour moi, je pense pour lui aussi (...). Ce que je pense, comme je lui ai dit à la fin par rapport à son potentiel, c’est qu’il n’y a pas de limite. Sa seule limite, comme tous les joueurs, ce sera lui. Sa capacité à travailler, à progresser, mais il a le potentiel pour aller le plus haut possible. J’espère le voir dès 2024 avec l’Equipe de France. Ce n’est pas quelque chose qui est impossible pour lui. J’espère déjà qu’il pourra s’exprimer en pro la saison prochaine et aille en NBA à terme ».\\n\\nPhotos FIBA\\n\\n[armelse]\\n\\nLamine Kebe, l’heure est venue de vous mouiller. Avez-vous dirigé la meilleure équipe U17 française de l’histoire ?\\n\\nOuf, je ne sais pas ! Ce qui est sûr c’est que c’était une très bonne équipe, avec de très bons joueurs pour la composer. En terme de résultat, c’est vrai qu’elle a fait mieux que toutes les générations précédentes, même si les 95, 97 et les 99 avaient aussi de très bonnes équipes. Les 99 (emmenés par Jaylen Hoard) n’avaient échoué que d’un point en quarts de finale contre la Lituanie qui avait fini avec la médaille de bronze. C’est une génération qui a un potentiel énorme et des joueurs de grand talent. De là à dire que c’est la meilleure génération française de l’histoire, c’est toujours compliqué à évaluer. Ce qu’on peut affirmer aujourd’hui, c’est qu’elle a réalisé le meilleur résultat de l’histoire d’une équipe de France U17, ça c’est indéniable.\\n\\nConcernant la finale face aux USA, vous auriez aimé tenir plus longtemps ou vous êtes satisfait de ce que la France a montré ?\\n\\nOn avait établi un plan de jeu qui a plutôt fonctionné en première mi-temps, à savoir de leur laisser davantage de possibilité de tirs à longue distance. On avait observé qu’ils n’avaient pas une adresse très importante derrière la ligne à 3 points. On va dire que globalement, la stratégie a marché. Mais là où on a eu beaucoup de difficultés, et plus le temps avançait plus ça devenait flagrant, c’est sur le rebond. On les a fait beaucoup échouer, mais ils avaient toujours deux ou trois chances, et près du cercle, ils avaient une efficacité très importante. De mémoire, on s’est rendu compte qu’à la mi-temps, ils avaient tiré 16 ou 17 fois de plus que nous. C’est ce qui a fait l’écart à la fin du match. On aurait pu faire un peu mieux, si on avait réussi à mieux contrôler le rebond.\\n\\nC’est la dimension physique qui fait la différence entre Team USA et le reste du monde ?\\n\\nC’est vrai qu’athlétiquement, ils sont très impressionnants. Ils sont vraiment un cran au dessus des autres, et nous compris alors qu’on a souvent pris le dessus sur nos adversaires de ce point de vue. Là, c’est vrai qu’on a rencontré une équipe qui était vraiment supérieure à la nôtre. Ils ont aussi cette culture de la gagne qui est ancrée en eux. Ils ne doutent pas de la victoire. Quand on cumule les deux, ça fait une grosse différence. Parce qu’après, en terme de qualité tactique, et sur la technique individuelle sur certains postes de jeu, on avait des arguments à faire valoir.\\n\\n\\nLes appréciations du professeur Lamine Kebe sur l’Equipe de France U17 au Mondial argentin\\n\\nLéo Billon : « Un joueur sur lequel il faudra compter à l’avenir »\\n\\nStats : 0 point, 1.7 rebonds, 0.8 d’évaluation en 5.2 minutes par match\\n\\n« Léo est un garçon qui a un état d’esprit irréprochable, vraiment un coéquipier modèle. C’est vrai qu’il a eu un temps de jeu limité notamment sur les matchs à élimination directe. Mais il a toujours fait preuve d’un état d’esprit parfait et à chaque fois qu’on a fait appel à lui, il a répondu à nos attentes. En terme de perspective, c’est un joueur sur lequel il faudra compter à l’avenir. Pour l’instant il a encore besoin de se développer athlétiquement pour pouvoir encore mieux s’exprimer. En tout cas il a complètement répondu à nos attentes ».\\n\\nVictor Diallo : « Très écouté dans le groupe »\\n\\n[/arm_restrict_content][arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet appelle Bathiste Tchouaffé et Digué Diawara pour compléter l’équipe de France en septembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme ses joueurs d’Euroleague arriveront tardivement, le coach Vincent Collet a pris la décision de convoquer en équipe de France en septembre deux joueurs supplémentaires afin de participer aux entraînements. C’est ce qu’indique la JL Bourg sur son site internet.\\n\\nLes deux joueurs en question sont le néo-burgien Bathiste Tchouaffé (1,97m, 19 ans) et le néo-palois Digué Diawara (2,07m, 19 ans). Ils ont fait partie de l’équipe de France U20 qui a terminé demi-finaliste de l’Euro cet été.\\n\\nPhoto: Bathiste Tchouaffé (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"La JL Bourg enrôle l’arrière US Daniel Dixon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La JL Bourg annonce la signature de Daniel Dixon (1,98m, 24 ans), un combo guard en provenance de G-League. Avec les Red Claws, il a cumulé 13,3 points, 113-320 à trois-points, 4,8 rebonds et 2,7 passes la saison dernière.\\n\\n« Fort scoreur et très gros shooteur avec plus de 35% de shoots réussi à 3 points cette saison sur 320 tirs tentés, Daniel Dixon s’illustre par sa polyvalence à scorer, que ce soit en Catch & Shoot, en drive ou en créant ses propres shoots. Capable de fixer les défenses pour servir ensuite ses coéquipiers, Daniel est à l’aise balle en main et saura prendre le relais à la mène si le besoin s’en fait sentir. Joueur réputé « clutch » avec déjà plusieurs buzzers beater à son actif, ce jeune arrière ne fuit pas les responsabilités et fera sûrement chavirer le public d’Ekinox dans la saison », indique le site du club."
}, 
{"role": "user",     "content":"L’Américano-Hongrois Jarrod Jones est la dernière recrue de Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’AS Monaco sera une nouvelle fois candidate au titre de champion de France. Elle vient de recruter le deuxième meilleur marqueur de la Champions League 2018 en la personne de Jarrod Jones (2,05m, 28 ans), un intérieur athlétique et mobile, auteur de 18,8 points à 51,7%, 6,6 rebond avec le club turc, Pinar Karsiyaka.\\n\\nJarrod Jones, qui a la particularité de disposer du passeport hongrois, était passé par la JA Vichy en 2015 (8 matches, 11,8 points et 3,8 rebonds) et il avait surtout réalisé une excellente saison 2016-17 avec Pesaro en Lega A italienne avec 19,2 points et 10,0 rebonds.\\n\\nEn février 2018, sous le maillot de Karsiyaka, Jarrod Jones inscrivait 21 points (9/12 aux tirs, 3/4 à 3 points), lors de la seule défaite de la Roca Team en phase de poule de la Champions League (76-84).\\n\\nNé le 24 mai 1990 à Michigan City (Indiana). 2,05m, 106 kgs.\\nNationalité : USA/Hongrie.\\nParcours : Ball State (2008-2012), non drafté. Clubs : BC Kiev (2012-2013), Alba Fehérvar (Hongrie), Atomeromu (Hongrie, 2013-15), Vichy (2015), Szolnoki (Hongrie, 2016), Pesaro, Italie (2016-17), Guizhou (Chine, 2017), Pinar Karsiyaka (2017-18, Turquie).\\n\\n\\nL’effectif 2018/19 de la Roca Team\\n\\nMeneurs : D.J. Cooper, 1,83m, 27 ans (USA/BOS) et Derek Needham, 1,80m, 27 ans (USA/MTN).\\nArrières : Gerald Robinson, 1,85m, 29 ans (USA), Paul Lacombe, 1,90m, 28 ans (FRA), Luc Loubaki (1,91m, 21 ans (FRA).\\nAilier : Yakuba Ouattara, 1,92m, 26 ans (FRA).\\nAiliers-forts : Amara Sy, 2,02m, 37 ans (FRA), Jarrod Jones, 2,05m, 28 ans (USA/HON).\\nPivots : Elmedin Kikanovic, 2,11m, 29 ans (BIH), Ian Hummer, 2,01m, 27 ans (USA), Georgi Joseph, 1,97m, 35 ans (FRA).\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges confirme officiellement la signature de Samardo Samuels pour deux ans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un communiqué, le CSP confirme que le pivot jamaïcain Samardo Samuels (2,06m, 118kg, 29 ans) sera toujours limougeaud la saison prochaine et même jusqu’en 2020.\\n\\nSamardo Samuels possède un gros CV (Cleveland Cavaliers, Milan, Barcelone, Partizan Belgrade) et a apporté sa science du jeu et son physique aux Limougeauds dans la deuxième partie de la saison dernière conclue avec 11,6 points à 56% de réussite aux tirs et 4,2 rebonds en 13 matchs.\\n\\n“ On est vraiment ravis ! », s’est exclamé le directeur sportif Olivier Bourgain. « Tout d’abord parce que Samardo est un très grand joueur de basket. Ensuite parce qu’il a démontré une excellente mentalité, un amour pour le club, la #CSPnation plutôt rare chez des joueurs étrangers. Le garder avec nous a été un challenge important et nous y avons travaillé dur. Mais quand la volonté est là de part et d’autre, qui peut résister à Limoges ? J’espère que vous serez aussi enthousiastes que nous le sommes. En avant ! ”"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France féminine: Sa saison WNBA terminée, Bria Harley attend toujours de prouver qu’elle est française"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le New York Liberty a terminé hier soir sa saison WNBA par une nouvelle défaite. La 27e en 34 matchs, ce qui en fait l’avant-dernier équipe de la ligue, juste devant le Indiana Fever.\\n\\nSa meneuse Bria Hartley a compilé 8,5 points (30,8% à trois-points), 2,9 rebonds et 3,6 passes. Elle a été titulaire à 20 reprises. Elle est donc disponible pour l’équipe de France, ce qui est son voeu, sauf que son dossier qui doit prouver qu’elle est bien française avant d’avoir l’aval de la fédération internationale, est au « point mort », dixit le Directeur des Equipes Nationales, Jacky Commères cité par L’Equipe.\\n\\nValérie Garnier et la FFBB n’ont semble t-il pas encore tiré une croix sur la participation de la Newyorkaise à la Coupe du Monde en Espagne. Seulement le temps presse. C’est dans un mois !\\n\\nLire ici notre article à son sujet."
}, 
{"role": "user",     "content":"Lituanie: Les jumeaux Lavrinovic se retrouvent au BC Lietkabelis"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les jumeaux Ksystov (2,12m) et Darjus (2,10m) Lavrinovic, qui auront 39 ans le 1er novembre prochain, ont donné leur accord verbal au BC Prienai, qui a hébergé la saison dernière les frères LiAngelo et LaMelo Ball.\\n\\nOriginaire de Kaunas, les frères Lavrinovic faisaient déjà équipe la saison dernière au BC Lietkabelis.\\n\\nPhoto: Eurocupbasketball\\n\\n\\n\\n\\nLavrinovic brothers reached a verbal agreement with BC Prienai, according to sources. They will turn 39 on November 1. Last season BC Prienai had Ball brothers, now they have another famous family which will definitely bring more fans in the arena.\\n\\n\\n— Donatas Urbonas (@Urbodo) August 20, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Annaïg Le Meur, une députée fan de basket"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il existe dans l’hémicycle de l’Assemblée Nationale une fan de basket! C’est la députée LaREM Annaïg Le Meur.\\n\\nCette Bretonne de 45 ans qui est kinésithérapeute de formation est coach à l’Aesea de Quimper d’une équipe de filles de 11 à 13 ans et elle a elle-même pratiqué au Racing à Paris.\\n\\n« J’ai commencé le basket à l’âge de 6 ans. J’ai joué en finale de Coupe de France. Suite à un accident, j’ai dû arrêter. Alors je pratique le golf et je continue à coacher les enfants à l’Asea basket de Quimper. J’ai besoin de rendre aux autres ce que le sport m’a offert : la mixité, l’équité, le respect de règles... », a t-elle indiqué à Ouest France.\\n\\nElle complète son parcours auprès du Figaro:\\n\\n«Mon père jouait au niveau national, ma sœur et moi y avons joué et maintenant c’est au tour de ma fille. C’est le sport familial. »\\n\\nUne autre femme politique d’envergure nationale a pratiqué assidûment le basket, la maire PS de Nantes Johanna Rolland, qui a été entraîneur à Vertou."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Tornike Shengelia signe à Vitoria jusqu’en 2022"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ailier Tornike Shengelia (2,07m, 26 ans) a signé un nouveau contrat de quatre ans avec Baskonia Vitoria indique le club basque. D’après différentes sources, le Georgien sera l’un des joueurs les mieux payés d’Euroleague et son contrat comporte des clauses lui permettant de rejoindre la NBA.\\n\\nTornike Shengelia a été sélectionné dans l’équipe idéale de l’Euroleague et dans la All-ACB First Team la saison dernière. Il a engrangé 13,7 points, 6,6 rebonds et 2,2 passes en 33 matches d’Euroleague.\\n\\n."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Le SLUC Nancy en bisbille avec le Paris Basketball sur le cas Valentin Chery"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un communiqué, le SLUC Nancy fait savoir qu’il est en désaccord avec le Paris Basketball qui a engagé l’ailier Valentin Chéry (2,00m, 20 ans). Celui-ci a été l’auteur de 3,2 points et 4,0 rebonds en 15 minutes la saison dernière.\\n\\n« A la reprise de la saison 2018/2019, la SASP SLUC Nancy Basket a constaté l’absence de Valentin Chery.\\n\\nMalgré les demandes formulées directement auprès du joueur celui ci n’a pas réintégré l’effectif professionnel.\\n\\nPar ailleurs, certaines informations rapporteraient un engagement de Valentin Chery avec le club de Paris Basket.\\n\\nIl semblerait également qu’il participerait aux entrainements de cette équipe.\\n\\nLe SLUC Nancy Basket tient à préciser, qu’il a proposé au joueur un contrat de deux années supplémentaires prenant effet au 1er juillet 2018 jusqu’au 30 juin 2020.\\n\\nCe dernier en a accusé réception et n’a pas dénoncé cette proposition avant le 30 juin 2018, comme les règlements de la LNB le stipulent.\\n\\nPour rappel, le joueur a suivi deux années de formation au sein du Centre de Formation géré par l’Association SLUC Nancy Basket et le coût réel des indemnités de formation supporté par la SASP a bien été communiqué au représentant légal du joueur.\\n\\nLa SASP SLUC Nancy Basket considère avoir rempli ses devoirs et ses obligations envers le joueur.\\n\\nValentin Chery est donc un joueur du SLUC Nancy Basket et fait partie intégrante de l’effectif de Christian Monschau.\\n\\nPour mémoire, nous rappelons que le SLUC Nancy Basket dispose d’un Centre de Formation performant (récent vainqueur du doublé : Championnat Espoirs / Trophée du Futur saison 2016/2017) et que dans la continuité de la saison passée, le SLUC souhaite centrer son attractivité sportive autour des jeunes joueurs dont Valentin fait partie.\\n\\nLe SLUC Nancy Basket s’étonne de la démarche du Paris Basket, récemment engagé en Pro B.\\n\\nLe club défendra ses droits avec énergie. »\\n\\nPhoto: SLUC"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16 féminin: La France domine la Turquie, 63-53"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de France s’est bien reprise de son échec initial face à la République Tchèque. Après la Belgique elle a dominé la Turquie.\\n\\nAvec 10 points et 7 rebonds de Serena Kessler et 9 points et 4 rebonds de Bintou Moctar, la France menait 30 à 23 à la mi-temps sachant qu’elle s’était montrée supérieure à l’adresse (31,7 à 29,4%), au rebond (28 à 23) et avait perdu moins de ballons (5 à 9).\\n\\nLes Bleuettes tiraient tout de suite les dividendes de leur défense agressive et de leur supériorité athlétique: 46-25 (26e). Les Turques multipliaient les balles perdues et les tirs dans la souffrance avec briques et sous-marins. Le job était fait. Avec ce panier acrobatique de dix mètres au buzzer du troisième quart-temps de Louise Bussière, on croyait que rien ne pouvait leur arriver de négatif...\\n\\nSauf qu’en confondant souvent vitesse et précipitation, les Bleuettes voyaient leur capital fondre dans les dernières minutes. Peu utilisée jusque là, la meneuse Saliha Mandiraci avait redonné vie à l’attaque turque. Ce capital était heureusement suffisamment épais pour que les Françaises conservent le gain du match.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: India Farcy (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"William Dumas et Vincent Masingue repreneurs de Hyères-Toulon en Nationale 3"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Hyères-Toulon Var Basket a disparu du paysage professionnel -ses droits ont été cédés au Paris Basketball- mais n’est pas mort pour autant. Un nouveau projet a vu le jour porté par l’un de ses anciens joueurs, William Dumas et aussi l’ancien international Vincent Masingue qui va lui servir d’ambassadeur. Il est soutenu par les deux municipalités.\\n\\nPatron d’un restaurant, William Dumas, qui devrait devenir directeur sportif, a déclaré à Var Matin, qu’il faut « redonner confiance aux supporters. » C’est au gymnase des Rougières de Hyères que le club va disputer la majorité de ses matches de Nationale 3. Le club a recruté un meneur passé par la Pro B, Tony Ramphort (1,75m, 36 ans) et vise la Nationale 1 d’ici quatre ans."
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France féminine: Le groupe a été réduit à 14 joueuses"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Amel Bouderra, Adja Konteh et Marie-Michelle Milapie ne font plus partie du groupe de l’équipe de France qui a ainsi été réduit à 14 joueuses.\\n\\nLes Bleues prendront part lundi 20 et mardi 21 août, à 19h00 à la salle Saint-Jean d’Anglet, à leurs deux premières rencontres de préparation face à l’Italie. Elles auront ensuite quelques jours de repos avant de se retrouver le 26 août à Lyon pour un nouveau stage de préparation.\\n\\nPhoto: Amel Bouderra (FIBA)\\n\\nLes 14 joueuses du Groupe France :\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\nNom\\nNaissance\\nTaille\\nPoste\\nClub\\n\\n\\nValériane\\nAYAYI\\n29/04/1994\\n1.85\\nAilière\\nBourges\\n\\n\\nMarième\\nBADIANE\\n24/11/1994\\n1.90\\nIntérieure\\nASVEL\\n\\n\\nLisa\\nBERKANI\\n19/05/1997\\n1.76\\nArrière\\nMondeville\\n\\n\\nRomane\\nBERNIES\\n27/06/1993\\n1.70\\nMeneuse\\nLattes-Montp.\\n\\n\\nAlexia\\nCHARTEREAU\\n05/09/1998\\n1.91\\nIntérieure\\nBourges\\n\\n\\nHelena\\nCIAK\\n15/12/1989\\n1.97\\nIntérieure\\nKoursk\\n\\n\\nAlix\\nDUCHET\\n30/12/1997\\n1.63\\nMeneuse\\nNice\\n\\n\\nOlivia\\nEPOUPA\\n30/04/1994\\n1.65\\nMeneuse\\nGalatasaray\\n\\n\\nSandrine\\nGRUDA\\n25/06/1987\\n1.97\\nIntérieure\\nYakin Dogu\\n\\n\\nMarine\\nJOHANNES\\n21/01/1995\\n1.77\\nArrière\\nBourges\\n\\n\\nLaetitia\\nKAMBA\\n10/01/1987\\n1.87\\nIntérieure\\nVilleneuve\\n\\n\\nSarah\\nMICHEL\\n10/01/1989\\n1.80\\nAilière\\nBourges\\n\\n\\nEndy\\nMIYEM\\n15/05/1988\\n1.88\\nIntérieure\\nSchio\\n\\n\\nDiandra\\nTCHATCHOUANG\\n14/06/1991\\n1.86\\nAilière\\nBourges\\n\\n\\n\\n\\nNon-retenues :\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\nNom\\nNaissance\\nTaille\\nPoste\\nClub 2017/2018\\n\\n\\nAmel\\nBOUDERRA\\n26/03/1989\\n1.63\\nMeneuse\\nCharleville\\n\\n\\nAdja\\nKONTEH\\n05/03/1992\\n1.78\\nArrière\\nTarbes\\n\\n\\nMarie-Michelle\\nMILAPIE\\n06/02/1996\\n1.92\\nIntérieure\\nBasket Landes\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Christophe Le Bouille (président du Mans): «Je sais très bien que les critiques vont vite revenir»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Recrutement, « Affaire Youssoupha Fall », conséquences du titre de champion de France sur la vie du club, au niveau du budget, du public, des sponsors, retour à la coupe d’Europe, le président Christophe Le Bouille et le coach Eric Bartecheky n’ont pas éludé lors d’un point presse les questions qui tournent autour de l’avenir du Mans Sarthe Basket. Le président n’est jamais cachotier pour donner des chiffres.\\n\\nVoici la deuxième partie de l’interview.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAvez-vous eu le temps d’apprécier le titre, de le fêter ?\\n\\nCLB : Sincèrement, c’est allé beaucoup trop vite. On est champion le 24. Ça a été compliqué de revenir au Mans dans la nuit du dimanche au lundi. Les joueurs en ont profité cette nuit-là. Tant mieux. J’ai encore les images en tête du lundi aux Jacobins. C’était génial. Ça restera un grand souvenir à jamais pour le club. Le mardi midi on s’est fait un barbecue entre nous ici (NDLR : à Antarès) avec les joueurs, au-revoir, et voilà. Mais on a pris tellement de retard dans notre travail... Sur le plan sportif, tant que l’on était en course il ne s’agissait pas de se projeter sur la saison d’après. D’un point de vue administratif, commercial, marketing, du suivi budgétaire, pareil. Il y a eu treize matchs en un mois et il a fallu que tout le club travaille dessus et ne pense qu’à ça. Et puis il faut quand même prendre un peu de congé. Début juillet ça a été très intense. On n’a pas spécialement savouré plus que ça. Le seul moment magique ça a été le lundi soir aux Jacobins.\\n\\nEst-ce un nouveau cycle qui commence après le titre de champion et le retour de la coupe d’Europe ?\\n\\nCLB : Non, pour moi, le nouveau cycle a commencé l’année dernière avec la saison difficile que l’on avait traversé et tous les changements que l’on a décidé d’apporter au club au niveau du staff technique avec l’arrivée d’Eric et pour plein d’autres raisons. Là, on est dans la continuité, on revient à la coupe d’Europe, ce qui est la normalité pour un club comme le MSB.\\n\\nVous pensez être attendu dans les salles en tant que champion de France en titre ?\\n\\nEB : Je ne raisonne pas du tout comme ça, je ne suis pas concentré sur ça. Je pars du principe que l’on remet les compteurs à zéro. On se retrouve tous sur la ligne de départ. On aura des atouts, je l’espère, mais je sais aussi que les autres équipes en auront et beaucoup. Je suis uniquement concentré sur le fait de préparer l’équipe pendant six semaines et neuf matches amicaux pour la rendre la plus compétitive possible. Bien entendu, on est très satisfait d’avoir eu le titre, c’était une joie immense pour tout le monde mais c’est derrière. Sans tomber dans le négatif, on a vu que Chalon a été l’an dernier en difficulté, mais il y a eu plein d’autres champions sur les autres années, et Le Mans en fait partie, qui l’année d’après on fait des saisons correctes. Il faut surtout se concentrer sur notre équipe de cette année et travailler avec humilité, détermination et sérieux. L’année dernière, durant les matches amicaux, lorsque Chalon-sur-Saône était présent dans les tournois, j’entendais tout le temps « champion de France. » Oui, champion de France, mais l’équipe qui est sur le terrain la saison suivante, elle n’est pas championne de France. C’est une nouvelle équipe avec de nouveaux visages et tout est à faire. On n’empêchera pas le speaker ou l’environnement de dire des choses mais nous en tant qu’acteurs, on est complètement tourné vers l’avenir et on sait que tout est à faire.\\n\\nA votre avis, y aura-t-il un bon coup à jouer en Champions League ?\\n\\nEB : On sait qu’il y a de très belles équipes mais on est des compétiteurs et on a envie d’être performants sur les deux tableaux. On sait que les matches vont s’enchaîner, 18 matches sur les 10 premières semaines, et on va vouloir gagner ces matches qui se présentent devant nous, en championnat, en coupe de France et en coupe d’Europe.\\n\\nEn savez-vous davantage sur ces équipes de BCL dont les effectifs commencent à s’affiner ?\\n\\nEB : On va s’y mettre. Actuellement, on est concentré sur le poste 4, la préparation avec les arrivées des joueurs, on doit gérer quelques décalages sur les joueurs qui arrivent. Une préparation, ça va vite. On s’aperçoit que le nombre d’entraînements entre les matchs, ce n’est pas aussi énorme que ça. Il y a des nouveaux joueurs, des principes à mettre en place, à adapter un petit peu en fonction de ce que l’on peut voir durant les matches amicaux, des arrivées parfois un peu en décalage, on est préoccupé par ça, mais bien entendu avec le staff on va vite regarder les équipes du championnat de France et européenne.\\n\\n« On va partir sur un budget prévisionnel à 6,5M€ là où l’année dernière on avait 5,5M€ »\\n\\nQuel est le budget dont va disposer le MSB pour cette saison post-champion de France ?\\n\\nCLB : Il y a deux variations significatives. Il y a un bonus versé par la Ligue Nationale de Basket sur ce titre de champion de France pour l’exercice en cours. Et puis le buyout payé par Vitoria. Ça change considérablement la donne à notre échelle puisqu’on va partir sur un budget prévisionnel à 6,5M€ là où l’année dernière on avait 5,5M€. Il y a ensuite des ajustement à la marge. Si on fait la coupe d’Europe, on a mécaniquement plus de matchs donc plus de recettes mais aussi plus de dépenses en face. Ce n’est pas ça qui change beaucoup de choses sur la masse salariale. La preuve, l’année dernière on avait quasiment la même masse salariale qu’il y a deux ans alors que le budget n’était pas le même. Alors que là, forcément, la masse salariale est en augmentation par rapport à l’année dernière.\\n\\nQuel est le montant du bonus versé par la ligue ?\\n\\nCLB : 300 000 euros.\\n\\nUne partie va aux joueurs ?\\n\\nCLB : Non. Les joueurs ont touché de l’intéressement sur leurs résultats de l’année passée et c’est dans mon dernier exercice comptable alors que le bonus de 300 000 est versé cette année. L’intéressement, c’est ce que j’explique aux joueurs, c’est ce qu’ils me font gagner en plus vis-à-vis du prévisionnel. Sur le fait de remplir la salle, d’avoir des recettes guichets supérieures au prévisionnel. C’est eux qui ont touché mais le club va finir évidemment en positif le dernier exercice mais on ne va pas gagner des centaines de milliers d’euros.\\n\\nVous touchez aussi une prime du fait de participer à la Champions League ?\\n\\nCLB : 50 000 euros.\\n\\nMonaco est passé en Eurocup. Avec le recul, vous ne regrettez pas de vous être inscrit en BCL ? Les données n’ont pas changé ?\\n\\nCLB : Non. Je n’ai pas changé d’avis là-dessus. C’est dur de faire confiance aujourd’hui aux gens de l’Eurocup. Des gens qui ne respectent pas les fenêtres internationales, ça me pose un vrai problème. A un moment donné, il va falloir faire des choix. Je ne sais pas comment faire pour jouer un match de Coupe d’Europe, de Jeep Elite, libérer des internationaux pour jouer avec leurs sélections car on ne parle pas que des joueurs français. C’est dur de faire confiance à ces gens-là qui vous disent des choses, qui reviennent dessus, qui reviennent encore dessus, et encore dessus. Le discours de la BCL est très carré. Cette année les effectifs ne sont pas encore finalisés partout mais si on regarde les plateaux des deux compétitions de l’année dernière, les quatre derniers de l’Eurocup étaient plus forts que ceux de la BCL. Mais si vous prenez le top 16, je ne crois pas qu’il y ait de différence. Objectivement. Je ne vois pas pourquoi on privilégierait l’Eurocup qui ne respecte pas les instances internationales, qui respecte moins la santé des joueurs, au détriment de la FIBA.\\n\\nL’année dernière, vous avez battu vos records de spectateurs ?\\n\\nCLB : Oui. 5 400 de moyenne avec neuf guichets fermés dont les cinq derniers matchs. C’était juste exceptionnel.\\n\\nY a-t-il un surcroît d’abonnements ?\\n\\nCLB : C’est trop tôt pour savoir. On est encore en période de réabonnement. On donne toujours une longue priorité à nos fidèles abonnés pour renouveler leurs engagements.\\n\\nEt au niveau du sponsoring ?\\n\\nCLB : On est dedans aussi. Oui, il y a des évolutions. Il y a quand même un titre de champion. Après, on ne va pas se mentir, on est à l’échelle du basket, au Mans. Ce n’est pas parce qu’on est champion de France que je vais faire venir une grosse société nationale ou internationale. Par contre, le budget va être à la hausse au niveau des partenaires. Les retours sont évidemment bons. Je ne comprendrais pas que ça soit autrement vis-à-vis du spectacle que l’on a proposé l’année dernière, des résultats, des relations que l’on a instauré avec eux depuis des années, forcément les retours sont bons.\\n\\nN’avez-vous pas une forme de pression lors de cette saison qui suit un titre de champion de France, ce qui est exceptionnel étant donné le décalage de budget vis-à-vis de certains clubs et le fait aussi que vous aviez une équipe très sexy comme il en survient une tous les cinquante ans ? Les gens ne risquent-ils pas d’être déçus par des résultats qui pourraient être moins bons ?\\n\\nCLB : Il y a forcément ce risque-là. On a fait un peu les montagnes russes en deux ans mais -Eric l’a dit tout à l’heure-, on est très fiers de ce que l’on a fait mais on a tourné la page. On se projette sur une nouvelle saison avec de nouveaux joueurs et ça va forcément être différent. L’idée, c’est toujours en priorité de gagner des matches et après de produire du jeu pour avoir du spectacle pour que les gens aient envie de revenir, en détachant ça du résultat pur et dur. Il y a forcément un risque que ça soit moins bien. A nous de travailler et de proposer autre chose avec une autre intensité. On a souvent fait allusion à DJ (Stephens) en matière de spectacle et à Yous (Fall), mais je crois que tous étaient spectaculaires dans leur rôle. Un (Justin) Cobbs, c’était spectaculaire, à sa façon. Un (Terry) Tarpey, un (Antoine) Eito, (Romeo) Travis, Wil (Yeguete), tous ont été spectaculaires, tous ont apporté quelque chose. On s’est focalisé sur les jumps de DJ à juste titre et la taille de Youssoupha mais le spectacle ce n’est pas uniquement sauter très haut et faire 2,20m. On doit être capable de proposer du spectacle autrement. Après, je serais ravi de retrouver un DJ Stephens et j’aurais été ravi de garder Youssoupha. Ce n’est pas de la pression. Il y a une nouvelle attente, les gens vont vouloir que l’on confirme. Je crois que je ne suis pas monté très haut l’année dernière dans les tours quand on a gagné et produit des choses, autant cette année je ne descendrai pas très bas. Mais je sais très bien que les critiques vont vite revenir. Et pour pas mentir, ça a déjà commencé. Je reçois des mails, c’est hallucinant. L’effectif n’est pas encore définitif, on n’a pas encore commencé les matches... Des mails de pseudos supporters... C’est la règle du jeu. On va avoir des moments difficiles et il va falloir être capable de les surmonter. On a un club qui est, je pense, solide et sain. Il faut être positif et partir avec l’idée que l’on va faire quelque chose de bien.\\n\\nPour revenir au sponsoring. Le fait que votre voisin, Le Mans FC, soit remonté en National a-t-il un impact sur le MSB ?\\n\\nCLB : Honnêtement, pour l’instant, non. On est quand même champion de France en titre, ça serait malheureux que des partenaires nous quittent cette année. C’est plus des sociétés qui vont faire l’effort d’augmenter leur participation au niveau du Mans FC sans venir chercher sur notre budget. Il y aura toujours des exceptions mais pour l’instant je n’ai pas eu ces retours-là. Par le passé, Le Mans FC était en Ligue 1 et nous en coupe d’Europe et on était capable de cohabiter et d’exister.\\n\\nCette année, il n’y a pas de Match des Champions ?\\n\\nCLB : C’est fini. La ligue a décidé d’arrêter parce que ça ne prenait pas. Il n’y avait pas d’engouement populaire, les médias avaient du mal à se passionner pour l’événement. La ligue a constaté que c’était plus une contrainte qu’autre chose pour les clubs concernés, que ça venait aussi perturber leur préparation en nous imposant un match à une certaine date.\\n\\n« Je crois qu’il y a eu 34 matches du MSB diffusés la saison dernière et que l’on a dû toucher 55 000 euros »\\n\\nQue pensez-vous du fait que RMC Sport prenne le relais de SFR Sport ?\\n\\nCLB : Je pense que le fait de s’appeler RMC ça peut permettre au public de mieux identifier la chaîne que SFR. Il y a aussi la force du groupe RMC, leur savoir-faire en matière sportive. Après, il est toujours question qu’il y ait à un moment donné des matches diffusés en clair, ce qui n’a pas été le cas la saison dernière car Numéro 23 était en pleine réorganisation interne et RMC a considéré qu’il fallait une ligne éditoriale et que ce n’était pas avec la 23. J’espère qu’il y aura ces matches en clair cette année.\\n\\nQuelle est la dotation télévisée pour les clubs ?\\n\\nCLB : Je crois que ça a légèrement baissé mais il y aura toujours le même principe, à savoir une prime pour ceux qui sont le plus diffusés. Je crois qu’il y a eu 34 matches du MSB diffusés la saison dernière et que l’on a dû toucher 55 000 euros. Alors, oui, c’est nous qui avons touché le plus d’argent de la ligue à ce titre, oui certains clubs n’ont quasiment rien touché -un club comme Toulon, c’est d’ailleurs peut-être légitime qu’il ne touche rien-, mais par rapport à nos concurrents directs, ce n’est pas là-dessus que l’écart se fait. Strasbourg a peut-être touché, 45 000 euros.\\n\\nLe chiffre du buyout de Youssoupha Fall de 500 000, c’est officiel ou officieux ?\\n\\nCLB : C’est beaucoup moins que ça pour le club. Il y a des euros et des dollars. N’oubliez pas aussi que l’agent prend sa commission ! Ce qui explique certaines choses aussi, je vous assure. Donc c’est moins de 400 000 euros net pour le club. Ce qui est très bien, pour le basket c’est une belle somme. J’en suis très content, ça me parait justifié.\\n\\nC’est peut-être la plus grosse somme de buyout de l’histoire du basket français hors NBA ?\\n\\nCLB : Je ne sais pas combien Moustapha Fall a été transféré en Turquie. Ça ne devait pas être le même montant. Il ne faut pas non plus oublier l’arrivée de Youssoupha, le risque que l’on a pris, tout ce que l’on a mis en place pour le développer, tout ce que cela a coûté. Si demain je fais le total de tout ce qu’il a coûté en six ans par rapport au buyout, je ne suis pas sûr que l’on gagne grand-chose.\\n\\nEt au final, vous en n’avez profité qu’un an ?\\n\\nCLB : C’est bien pour ça que je redis que j’aurais préféré en profiter encore un an quitte à ce qu’il parte libre ensuite. Pour moi, le plus important, ce n’est pas de toucher de l’argent sur un transfert. Après, il veut partir, il y a un transfert, je vais prendre l’argent mais ce n’était pas la priorité. Ce n’est pas notre modèle économique. Il y a des clubs de foot qui fonctionnent comme ça, qui ont besoin de former des jeunes pour les revendre très cher, ils s’autofinancent comme ça. Au basket, ce n’est pas le cas.\\n\\nComment avez-vous perçu le fait que Jonathan Jeanne ait repris le basket ?\\n\\nCLB : Je suis inquiet. Je ne suis pas médecin, simplement j’ai lu ce qui a été écris sur son cas. Il y a un risque mortel, il n’y a pas d’autres termes. Je ne suis pas compétent pour juger le fait qu’un médecin américain estime qu’il soit apte à jouer simplement je fais confiance aux médecins français et aux médecins américains qui l’avaient vu en NBA pour dire qu’il y a un risque aussi infime soit-il. Maintenant, Jonathan est un grand garçon. Il décide ce qu’il veut, bien évidemment. Mais, oui, je suis inquiet et ça me rend malade parce que je n’ose pas imaginer ce qui pourrait se passer.\\n\\n[armelse]\\n\\nAvez-vous eu le temps d’apprécier le titre, de le fêter ?\\n\\nCLB : Sincèrement, c’est allé beaucoup trop vite. On est champion le 24. Ça a été compliqué de revenir au Mans dans la nuit du dimanche au lundi. Les joueurs en ont profité cette nuit-là. Tant mieux. J’ai encore les images en tête du lundi aux Jacobins. C’était génial. Ça restera un grand souvenir à jamais pour le club. Le mardi midi on s’est fait un barbecue entre nous ici (NDLR : à Antarès) avec les joueurs, au-revoir, et voilà. Mais on a pris tellement de retard dans notre travail... Sur le plan sportif, tant que l’on était en course il ne s’agissait pas de se projeter sur la saison d’après. D’un point de vue administratif, commercial, marketing, du suivi budgétaire, pareil. Il y a eu treize matchs en un mois et il a fallu que tout le club travaille dessus et ne pense qu’à ça. Et puis il faut quand même prendre un peu de congé. Début juillet ça a été très intense. On n’a pas spécialement savouré plus que ça. Le seul moment magique ça a été le lundi soir aux Jacobins.\\n\\nEst-ce un nouveau cycle qui commence après le titre de champion et le retour de la coupe d’Europe ?\\n\\nCLB : Non, pour moi, le nouveau cycle a commencé l’année dernière avec la saison difficile que l’on avait traversé et tous les changements que l’on a décidé d’apporter au club au niveau du staff technique avec l’arrivée d’Eric et pour plein d’autres raisons. Là, on est dans la continuité, on revient à la coupe d’Europe, ce qui est la normalité pour un club comme le MSB.\\n\\nVous pensez être attendu dans les salles en tant que champion de France en titre ?\\n\\nEB : Je ne raisonne pas du tout comme ça, je ne suis pas concentré sur ça. Je pars du principe que l’on remet les compteurs à zéro. On se retrouve tous sur la ligne de départ. On aura des atouts, je l’espère, mais je sais aussi que les autres équipes en auront et beaucoup. Je suis uniquement concentré sur le fait de préparer l’équipe pendant six semaines et neuf matches amicaux pour la rendre la plus compétitive possible. Bien entendu, on est très satisfait d’avoir eu le titre, c’était une joie immense pour tout le monde mais c’est derrière. Sans tomber dans le négatif, on a vu que Chalon a été l’an dernier en difficulté, mais il y a eu plein d’autres champions sur les autres années, et Le Mans en fait partie, qui l’année d’après on fait des saisons correctes. Il faut surtout se concentrer sur notre équipe de cette année et travailler avec humilité, détermination et sérieux. L’année dernière, durant les matches amicaux, lorsque Chalon-sur-Saône était présent dans les tournois, j’entendais tout le temps « champion de France. » Oui, champion de France, mais l’équipe qui est sur le terrain la saison suivante, elle n’est pas championne de France. C’est une nouvelle équipe avec de nouveaux visages et tout est à faire. On empêchera pas le speaker ou l’environnement de dire des choses mais nous en tant qu’acteur, on est complètement tourné vers l’avenir et on sait que tout est à faire.\\n\\nA votre avis, y aura-t-il un bon coup à jouer en Champions League ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Selon Le Populaire, Samardo Samuels va rester à Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Le Populaire, le Limoges CSP va conserver le pivot jamaïcain Samardo Samuels (2,04m, 29 ans), auteur en 13 matches de 11,6 points et 4,2 rebonds la saison dernière en Jeep Elite.Ce deal serait rendu possible par la volonté du joueur de demeurer dans le Limousin et aussi par le deal conclu avec Fréjus Zerbo afin que l’engagement de celui-ci avec le club soit rompu.Auparavant, Samardo Samuels a porté le maillot de clubs prestigieux comme les Cleveland Cavaliers, Milan, Barcelone et le Partizan Belgrade.Lire ici ce que le directeur sportif Olivier Bourgain nous en disait."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les Bleues à la rencontre de leurs fans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Actuellement en stage à Anglet, les Bleues ont rencontré de jeunes fans à Bayonne. La FFBB en a tiré une vidéo.\\n\\nDemain et mardi, l’équipe de France affrontera deux fois l’Italie pour ses deux premiers matches de préparation à la Coupe du Monde."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16 féminin: France-Turquie à voir sur YouTube, à 16h45"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la République Tchèque et la Belgique, l’équipe de France s’attaque cet après-midi à la Turquie à l’Euro U16 féminin. Le vainqueur prendra la deuxième place du groupe. Le match est diffusé sur YouTube à 15h45.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16: La Croatie décroche l’or dans un money time époustouflant"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les dernières secondes de la finale de l’Euro U16 entre la Croatie et l’Espagne ont été absolument époustouflantes. Dans l’ordre: un dunk en pénétration de Roko Prkacin, puis un trois-points in your face de Hector Alderete qui permis à l’Espagne de passer en tête et enfin voilà que Prkacin enfonce son adversaire pour donner le titre à la Croatie, 71-70. Le tout en quinze secondes.\\n\\nComme à chaque sortie, l’Espagnol Usman Garuba a réalisé un match XXL avec 16 points, 18 rebonds et 4 passes mais aussi 7/19 aux shoots, 5 fautes et 3 balles perdues. Roko Prkacin a lui aussi été l’auteur d’un double double (18 points et 10 rebonds) alors que son équipier Boris Tisma a scoré 24 points.\\n\\nLe 5 all-star de l’Euro: Hector Alderete (Espagne), Boris Tisma (Croatie), Roko Prkacin (Croatie, MVP), Usman Garuba (Espagne), Alperen Sengün (Turquie).\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\nNAME A BETTER 🏀 FINISH, WE'LL WAIT... 🔥 #FIBAU16Europe@CbfHks 🇭🇷 @baloncestofeb 🇪🇸 pic.twitter.com/y2tpK2YByJ\\n\\n\\n— FIBA (@FIBA) August 18, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Compétitions de jeunes: Le tir groupé de la France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si elle n’a pas obtenu de titre, La France a gagné deux médailles cet été et elle est le seul pays européen a être présent dans le top 4 des quatre catégories d’âge. L’autre pays qui s’est mis en valeur est la Croatie avec une médaille d’or et une autre d’argent alors que l’Espagne -c’est suffisamment rare pour le noter- n’a décroché qu’une finale en U16.\\n\\n#FIBAU20Europe (98/99)\\n\\nIsrael\\n\\nCroatia\\n\\nGermany\\n\\nFrance\\n\\n#FIBAU18Europe (00/01)\\n\\nSerbia\\n\\nLatvia\\n\\nFrance\\n\\nRussia\\n\\n#FIBAU17 (01/02)\\n\\nUSA\\n\\nFrance\\n\\nPuerto Rico\\n\\nCanada\\n\\n#FIBAU16Europe (02/03)\\n\\nCroatia\\n\\nSpain\\n\\nTurkey\\n\\nFrance\\n\\nPhoto: Les Bleuets médaillés d’argent au championnat du Monde U17."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16 féminin: La France atomise la Belgique, 78-37"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Belges, qui avaient déjà pris une raclée (38-60) la veille face à la Turquie, n’ont pas pesé lourd face à la France (37-78) qui doit s’attendre à une autre opposition demain face à cette même Turquie.\\n\\n\\nLa France a tout de suite posé sa main sur le match notamment par des contre-attaques rondement menées, 15-7. Et puis 23-12 après un quart-temps avec une adresse proche des 50%. Davantage dans la maîtrise que la veille face à la République Tchèque, les Bleuettes faisaient fructifier leur avance atteignant le cap des 20 points d’écart à la 17e minute (37-16). Et 48-23 à la mi-temps.\\n\\nLes Françaises allaient-elles enfiler deux fois plus de points que leurs adversaires? C’était à peu près le seul suspense qui subsistait. En définitive, les Belges loupaient sur la dernière action un trois-points salvateur et ne pouvaient ainsi éviter cette humiliation.\\n\\nLes deux Françaises qui sont sorties du lot sont l’ailière du Centre Fédéral Serena Kessler (14 points, 9 rebonds, 5 passes) et la sooting guard de Basket Landes Sara Roumy (16 points avec un 6/9 aux tirs).\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Louise Bussière (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16: Pas de médaille pour la France dominée par la Turquie, 59-82"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Autant l’absence de son ailier Daniel Batcho était une circonstance atténuante pour expliquer la défaite en demi-finale, autant l’équipe de France est passée complètement à côté de cette finale pour la médaille de bronze. Les Turcs lui ont donné une leçon, 59-82.\\n\\nLa France a commencé le match en attendant 3’30 pour marquer deux lancers et 6’20 pour son premier panier! Heureusement pendant ce temps les Turcs n’avaient inscris que 5 points. 8-10 à la fin du premier quart-temps avec un global de 6/30 aux shoots. Bref, pas beau à voir.\\n\\nLes Bleuets continuaient de patauger devant la défense turque et laissaient filer leurs adversaires, 8-19 (15e). A 2/22 aux tirs, aucune méthode ne peut vous permettre de gagner un match. Le coach Bernard Faure cherchait en vain une option payante; les intérieurs français étaient complètement neutralisés. 18-29 à la mi-temps avec une réussite qui était près du double pour la Turquie: 38,7 contre 20,5% dont 0/11 à trois-points.\\n\\nJuhann Begarin prenait beaucoup de responsabilités (25 points, 4/8 à trois-points, 11/11 aux lancers) mais était victime d’une propension à s’empaler dans la défense turque (1/11 à l’intérieur). L’écart se fixait autour de la quinzaine de points. 21-36. 31-46. Il y avait longtemps que la Turquie avait retrouvé sa verve offensive qui lui avait manqué dans le premier quart-temps. L’ailier Tibet Deniz Gorener (32 points, 8 rebonds, 5 passes) faisait particulièrement mal, le ballon circulait bien, les tireurs étaient servis à l’opposé et les paniers à trois-points fusaient (13/33). 34-54. Le reste du match donnait l’impression d’un déjà vu.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Juhann Begarin, FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Trent Meacham annonce qu’il met un terme à sa carrière"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Trent Meacham (1,90m, 32 ans) a annoncé sur les réseaux sociaux que cette fois, c’est définitif: il met un terme à sa carrière de basketteur professionnel.\\n\\nLe meneur américain l’aura donc clôturé la saison dernière sous le maillot de Boulazac. Il avait porté au préalable ceux du Paris-Levallois, Nanterre et Villeurbanne. Il a été sacré champion en 2013 et 2016.\\n\\nTrenton Meacham avait déjà pris du recul avec le basket en 2012 et 2007.\\n\\n\\n\\n\\nI've attempted it twice, but this time it's official...I'm retiring from playing professional basketball. I never thought I'd get paid to play a game I fell in love with in my driveway.... https://t.co/SjLjrpzTrn\\n\\n\\n— Trent Meacham (@TrentMeacham) August 18, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: L’Américano-italien Matt Carlino signe à Roanne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le meneur américain au passeport italien Matt Carlino (1,89m, 28 ans) vient de signer à la Chorale de Roanne comme backup de Mathis Keita.\\n\\nFormé à Marquette en NCAA, Matt Carlino a porté le maillot de Boulazac en 2015 (12,4 points, 3,3 rebonds et 2,8 passes en moyenne en 10 matchs) et il a la particularité d’avoir été sélectionné en équipe A’ italienne la même année. La saison dernière, il évoluait aux Roseto Sharks en Serie A2 où il fut le meilleur scoreur italien du championnat (18,9 pts, 5,1 rbds et 3,2 pds en 30′).\\n\\n«Il possède les qualités que l’on cherchait, notamment sur le plan offensif» commente le coach Laurent Pluvy sur le site du club. «Matt possède de l’adresse extérieur, il est doté d’une grosse qualité de passe et aime le jeu rapide, c’est un meneur capable de faire jouer l’équipe. Il dispose d’une expérience européenne de plusieurs saisons désormais, il a pris de la maturité par rapport à son année rookie à Boulazac. Le fait qu’il ait déjà joué avec David (Jackson) et Alexis (Tanghe) est important pour nous, comme le fait qu’il connaisse déjà notre championnat. Il a manifesté beaucoup d’enthousiasme, beaucoup d’envie, il a la volonté de s’investir en respectant ce que l’on attend de lui, à savoir être un booster en sortie de banc. Ce recrutement a pris du temps car on souhaitait vraiment quelqu’un d’irréprochable, qui ne vienne pas casser la dynamique du groupe ni la hiérarchie.»"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mardy Collins (Strasbourg): «Je prends beaucoup plus soin de mon corps et mon jeu est plus diversifié»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mardy Collins (1,98m, 34 ans) est donc de retour à la SIG Strasbourg trois ans après avoir atteint la finale de l’Eurocup avec le club. Sur le site de celui-ci, l’Américain affirme qu’il s’est bonifié depuis.\\n\\n« ... Sûrement plus intelligent. Les deux dernières années m’ont permis d’apprendre beaucoup de choses à différents niveaux. Jouer pour coach Obradovic apporte beaucoup à n’importe quel joueur. J’ai appris, tant au niveau du basket que sur moi-même. Je prends beaucoup plus soin de mon corps et mon jeu est plus diversifié aussi, je suis plus à l’aise poste bas par exemple, ce sont plein de petites choses qui, mises bout à bout, font de moi quelqu’un de plus intelligent dans mon approche du basket. »\\n\\nL’ancien NBAer dit apprécier le mixte de l’équipe:\\n\\n« Il manque encore un poste 4 mais dès les premiers entraînements on se rend compte de ce que le coach veut mettre en place. Tout le monde travaille dur. Nous avons de grands joueurs dans cette équipe et à la tête nous avons un meneur de grande qualité avec Mike Green. Il y a beaucoup d’expérience dans cette équipe et, selon moi, c’est un des éléments les plus importants. Il faut des jeunes qui apportent de l’énergie, avalent le parquet et volent au-dessus de tout le monde (sourire), mais il faut de l’expérience pour faire passer un cap à une équipe. Certains nous verront comme des vieux qui peuvent fatiguer mais je sais aussi comment travaille coach Collet. Il ne tirera pas sur un joueur plus que sur un autre. Il sait gérer les plages de repos. Très clairement, j’aime le fait de jouer dans une équipe avec des joueurs qui ont autant d’expérience. Le mélange qui se fait est vraiment bien. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16 féminin: France-Belgique en direct sur YouTube à 20h15"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après leur échec initial devant la République Tchèque (51-56), l’équipe de France aura à coeur de prendre sa revanche lors de la deuxième journée de l’Euro U16 féminin. Son adversaire, la Belgique, qui s’est lourdement inclinée hier face à la Turquie (38-60). Le match est diffusé en direct sur YouTube, à 20h15.\\n\\nPhoto: Serena Kessler (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16: La finale pour le bronze, France-Turquie, à 18h15 sur YouTube"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que la finale de l’Euro U16 pour la médaille d’or opposera Croatie et Espagne, celle pour le bronze donnera lieu à un face à face entre la France et la Turquie ce samedi à 18h15. Ce sera en direct sur TouTube.\\n\\nPhoto: Juhann Begarin, FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Tarik Black débarque au Maccabi Tel Aviv"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Plutôt discret sur le front de l’intersaison, le Maccabi Tel Aviv vient de frapper fort en recrutant l’ancien intérieur des Rockets, Tarik Black. Selon Marc Spears d’ESPN, l’intérieur américain a effectivement signé un contrat d’un an avec le club israélien.\\n\\nAprès quatre saisons en NBA, partagées entre les Rockets et les Lakers, Black va donc découvrir l’Europe et l’Euroleague. A 2,06m et 113kg, Black est un intérieur physique et rugueux qui devrait faire de sacrés ravages dans les raquettes du Vieux Continent.\\n\\nA 5 points et 5 rebonds en 15 minutes de moyenne en carrière en NBA, Black aspire semble-t-il à plus de responsabilités et il devrait les avoir au Maccabi. Aux côtés de Scottie Wilbekin et un autre ancien NBAer, Johnny O’Bryant, Black sera un des éléments majeurs du Club Nation la saison à venir.\\n\\n\\n\\n\\nFormer Rockets big man Tarik Black tells @TheUndefeated he has agreed to sign a one-year deal with Israel Maccabi Tel Aviv.\\n\\n\\n— Marc J. Spears (@MarcJSpears) August 17, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: un documentaire sur Luka Dončić et Džanan Musa"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le premier, Luka Dončić est Slovène et a été drafté par les Dallas Mavericks, le second, Džanan Musa est Bosniaque et a été drafté par les Brooklyn Nets. Ce documentaire de 45 minutes nous emmène de leurs pays qui appartenaient avant à l’ancienne Yougoslavie à la NBA. C’est en anglais.\\n\\nPhoto: Luka Dončić (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mondial Féminin: Laia Palau, Cristina Ouviña et Queralt Casas avec les 16 Espagnoles"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’entraîneur Lucas Mondelo et son staff ont publié la liste des 16 joueuses espagnoles qui vont poursuivre la préparation à la Coupe du Monde qui va se tenir à Tenerife du 22 au 30 septembre.\\n\\nCe sont Laia Palau, Silvia Dominguez, Cristina Ouviña, Queralt Casas, Anna Cruz, Leonor Rodriguez, Bethléem Arrojo, Marta Xargay, Alba Torrens, María Conde, María P. Araújo, Beatriz Sánchez, Tamara Abalde, Laura Gil, Laura Nicholls et Astou Ndour .\\n\\nOn remarque de trois d’entre-elles opéraient en LFB la saison dernière: Laia Palau et Cristina Ouvina (Bourges) et Queralt Casas (Basket Landes), alors que Astou Ndour (1,96m, 23 ans), née à Dakar, occupe la place de « naturalisée », Sancho Lyttle étant blessée.\\n\\nPhoto: Laia Palau (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans: Quel avenir pour le champion de France? Le président et le coach répondent aux interrogations"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Recrutement, « Affaire Youssoupha Fall », conséquences du titre de champion de France sur la vie du club, au niveau du budget, du public, des sponsors, retour à la coupe d’Europe, le président Christophe Le Bouille et le coach Eric Bartecheky n’ont pas éludé lors d’un point presse les questions qui tournent autour de l’avenir du Mans Sarthe Basket. Le président n’est jamais cachotier pour donner des chiffres.\\n\\nL’interview est en deux parties.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDans quel ordre s’est fait le renouvellement des étrangers ?\\n\\nChristophe Le Bouille : Avec Eric (Bartecheky), ses assistants et Vincent (Loriot, le directeur sportif), on a tout d’abord regardé qui on voulait garder en priorité et a contrario les joueurs qui ne l’étaient pas car malgré les succès de l’équipe, on voulait la faire évoluer un peu. Mykal (Riley) ne s’est pas affiché comme une priorité, on l’a dit, il s’est vite engagé ailleurs (Chalon). Tous les autres étaient intéressants à conserver sauf que Justin (Cobbs) nous a dit tout de suite qu’il voulait jouer l’Euroleague pour le projet sportif et l’impact financier (NDLR : Il a signé au Cedevita Zagreb qui fait... l’Eurocup). On n’était plus dans la course donc on est parti sur la piste d’autres meneurs de jeu. Chris (Lofton), on a essayé, on s’est beaucoup battu, on a fini par trouver un accord avec son agent et c’est Chris qui ne s’est pas senti de nous rejoindre, il avait besoin apparemment de couper un peu plus longtemps que ça. Il nous a fait un gentil mot... On avait fait l’effort financier, on payait même, je pense, un peu au-delà de sa valeur mais on estimait que pour garder des joueurs qui avaient gagné le trophée l’année dernière, il fallait que l’on soit capable de le faire, mais il n’est pas resté pour autant. Romeo (Travis) a voulu tout de suite monnayer son titre de MVP des finales. Voilà. On avait trouvé un accord avec DJ (Stephens), on était très content lui comme nous. Il y avait juste cette histoire de clause NBA qu’il a donc actionné avant la date limite. On est content pour lui mais déçu pour nous.\\n\\nAvec quelle franchise a-t-il signé ?\\n\\nCLB : A ce jour, il n’a pas encore signé, je crois, mais il a eu l’offre. Il nous a envoyés le document, il a fait les choses dans les règles.\\n\\nEst-il possible que Chris Lofton vous rejoigne en cours de saison ?\\n\\nCLB : Ce n’est pas à l’ordre du jour puisque le recrutement a été fait en fonction de son non retour. A aujourd’hui, il n’y a pas de place gardée pour lui mais il est déjà venu deux fois, on verra. Il faut que nous, on ait le besoin à ce moment-là, que l’on ait les finances, que Chris soit sur le marché. Cette année, il est venu parce qu’il y avait une blessure (NDLR : Pape-Philippe Amagou). Mais, non, aujourd’hui ce n’est pas prévu.\\n\\nIl manque un power forward ?\\n\\nEB : Un poste 4, oui, que beaucoup d’équipes cherchent, Chalon, Strasbourg. Il y a différents joueurs sur le marché mais il faut trouver le profil qui correspond à celui que l’on recherche. Ce n’est pas évident.\\n\\nLes tarifs baissent un peu actuellement ?\\n\\nEB : Ce n’est même pas tellement une question de tarifs, c’est simplement qu’il faut étudier les différents profils et se dire qu’il faut le joueur qui correspond à nos besoins aussi bien au niveau du basket que de la personnalité pour la complémentarité avec les autres joueurs. Plusieurs équipes cherchent et on voit que ça prend du temps car ce n’est pas simple. On aimerait bien avoir un 4 shooteur à trois-points. Petr (Cornelie) peut bien entendu shooter à trois-points. Ce qui doit nous guider, c’est qu’il faut que ce soit un bon joueur, qui dans l’idéal possède du physique, de l’expérience, du talent. Ça coûte cher et ce n’est pas facile à cette époque-là de trouver un joueur qui ait toutes ces caractéristiques. Il faudra forcément s’asseoir sur certains côtés. C’est tout l’objet de la réflexion que l’on est en train de mener tous ensemble.\\n\\nCLB : On s’est dit qu’il n’y a pas d’urgence absolue. On est prêt à patienter encore un peu pour essayer d’avoir ce fort joueur avec toutes ces caractéristiques. On en a eu des propositions de joueurs intéressants, corrects, mais que l’on n’estime pas au niveau souhaité par nous.\\n\\n« Financièrement, oui, on a encore un peu de marge avec déjà une belle enveloppe pour le poste 4 »\\n\\nY a-t-il une poire pour la soif pour avoir ensuite un joueur supplémentaire ? Vous n’avez pas encore le quota d’Américains ?\\n\\nCLB : Les règles n’ont pas changé, on est toujours sur la base d’un un effectif à 10 d’avoir 4 JFL, 4 non-JFL c’est-à-dire souvent 4 Américains et 2 Bosman. On a Terry (Tarpey) qui joue comme Bosman (NDLR : il est français mais non JFL) alors que Richard Hendrix est macédonien. On a donc nos deux Bosman et effectivement on a encore une marge côté américain.\\n\\nL’année dernière, vous étiez à neuf sans jouer de coupe d’Europe et cette année en disputant la Champions League, vous partez avec le même nombre de joueurs ?\\n\\nEB : A neuf, c’est envisageable dans la mesure où des joueurs peuvent jouer sur plusieurs postes. Antoine (Eito) peut bien sûr mener le jeu derrière (Juice) Thompson mais aussi jouer à côté de lui. Et on aura besoin par séquences d’avoir cette ligne-là. (Demetrius) Conger joue en 3 et pourra dépanner un peu en 4. Je pense aussi que Peter (Cornelie) sur quelques minutes peut dépanner sur le poste 5. Avec deux matchs par semaine, on peut moduler les choses dans un premier temps. Après, on avisera suivant le déroulé de la saison, les résultats, l’analyse que l’on fera. Vous avez raison de le souligner quand même. On commence à Levallois le 23 septembre et en dix semaines, on aura réalisé dix-huit matchs. On va aussi tous ensemble observer l’équipe, le rendement de chacun, sa complémentarité durant la préparation, ça va déjà nous apporter des pistes de réflexion. Mais ce n’est pas à l’ordre du jour qu’il y ait des modifications, on part comme ça.\\n\\nCLB : A part Thomson et Hendrix, qui sont des postes 1 et 5 définis, les autres peuvent tous évoluer sur deux postes. C’est un choix qui a été fait de partir sur neuf avec des espoirs compétitifs à côté pour assurer la qualité de l’entraînement et faire les dixièmes. Et pour répondre à la question précédente : financièrement, oui, on a encore un peu de marge avec déjà une belle enveloppe pour le poste 4.\\n\\nLa stratégie de beaucoup d’équipes, c’est d’avoir une équipe quelque peu différente au moment d’attaquer les playoffs ?\\n\\nCLB : Ça peut être un moyen pour éventuellement se renforcer en fin de saison mais c’est toujours dangereux. On se rappelle des exemples qui ont marché, de joueurs qui sont venus renforcer une équipe pour l’amener au titre. On pense à Limoges ou Villeurbanne. Ça peut nous traverser l’esprit mais aujourd’hui, ce n’est pas cette logique-là. Ca peut être dangereux par rapport à la gestion des garçons, leurs égos quand ils ont œuvré toute l’année pour amener l’équipe à ce niveau-là et sur les moments décisifs, tu leur dis « tiens, il y a un joueur de plus sur tel poste donc tes minutes vont disparaître. » Pour nous, cette possibilité-là, honnêtement, c’est plus pour faire face à des blessures et être capable de remplacer un joueur blessé par quelqu’un d’aussi fort. Ça a marché l’année dernière malheureusement pour Pape (Amagou). On a pu prendre quelqu’un de très fort derrière, Chris Lofton. A la base, il n’était pas prévu dans l’équipe donc pas dans la masse salariale mais le fait de nous donner un peu de marge nous a permis cela.\\n\\nA propos de Youssoupha Fall, la pilule est-elle digérée ?\\n\\nCLB : J’ai fait un communiqué, j’ai dit ce que j’avais à dire, je vais en parler une dernière fois. A partir du moment où Vitoria paye le buyout, il fait ce qu’il veut. Ce n’est pas un sujet. Strasbourg a saisi une opportunité, j’aurais peut-être fait pareil. Je n’en veux pas particulièrement à Strasbourg. Après, il y a quand même des choses dans le communiqué de Martial Bellon qui m’interpelle un peu mais je ne veux pas relancer le débat. Que Youssoupha ait eu envie de quitter le club après six ans, je peux le comprendre aussi même si ça me chagrine. Ce que je comprends beaucoup moins, c’est son agent, Bouna Ndiaye, et le communiqué qu’il a fait. Dire que Youssoupha va à Strasbourg parce qu’il va travailler avec Vincent Collet, d’une c’est un manque de respect pour notre staff car ça veut dire que l’on ne travaille pas bien. Je le prends mal car j’ai plutôt le sentiment qu’on l’a bien développé le garçon. Et deux surtout, c’est faux car avant d’atterrir à Strasbourg, il a été proposé à d’autres clubs français et à ma connaissance Vincent Collet n’est pas coach dans d’autres clubs français. J’ai très mal vécu et je vis ça toujours très mal. J’espère simplement que Youssoupha aura un très bon accueil ici car il le mérite, c’est un bon garçon et j’ai beaucoup d’affection pour lui et je serai heureux de le revoir.\\n\\nC’est difficile de se fâcher avec quelqu’un qui est à la tête d’une grosse agence, Comsport ?\\n\\nCLB : Il y a des façons de faire les choses qui ne passent pas. Je sais bien que l’on est dans un milieu professionnel, je ne suis pas complètement naïf, j’ai quelques années d’expérience maintenant, mais il y a des choses qui ne passent pas entre ce que l’on se dit et ce qui se passe derrière que je n’ai pas envie de mettre sur la place publique plus que ce que je l’ai déjà fait.\\n\\n« Kenny Baptiste a de vrais aptitudes, c’est clair. Matthieu Gauzin est très prometteur »\\n\\nParmi les espoirs du club, comme Mathieu Gauzin, médaillé d’argent au Mondial U17 cet été, Kenny Baptiste et Jacques Eyoum, médaillés de bronze à l’Euro U18, combien sont susceptibles de rentrer chez les pros cette année ?\\n\\nCLB : Sincèrement, je n’en sais rien. Il y en a que l’on suit d’un peu plus près en qui ont a davantage d’espoirs. Kenny Baptiste a de vrais aptitudes, c’est clair. Matthieu Gauzin est très prometteur. Brahim (Dohou) sort d’une année tronquée à cause des blessures mais je me souviens de lui avant, il a aussi beaucoup de qualités intéressantes. Trois ou quatre joueurs vont sûrement accompagner l’équipe cette année aux entraînements quotidiens. Parmi ceux-là, il y en a certainement qui sont voués à une carrière mais c’est encore un peu tôt pour savoir.\\n\\nQu’attendez-vous de Petr Cornelie que le club récupère suite à un prêt à Levallois ?\\n\\nEB : Qu’il soit comme chaque joueur au maximum de ses possibilités. C’est notre boulot d’utiliser ses caractéristiques et ses qualités pour qu’il puisse être performant dans le cadre d’une équipe pour qu’elle gagne. C’est un joueur qui a une certaine aisance sur le terrain dans la course, il a de grands bras, il est long. Il peut aussi tirer à trois-points même si ce n’est pas un spécialiste comme certains postes 4 qui vont en prendre 4-5 dans un match, qui ont de la régularité dans l’efficacité. C’est aussi pour moi une découverte. On a beau voir évoluer les joueurs de l’extérieur, là quand il était à Paris, on les connaît forcément que lorsqu’on les a au quotidien, que ce soit dans sa façon de réagir, sa mentalité et même sur le terrain. Le fait que l’on n’est pas d’autres postes 4 pour l’instant fait que sur les premiers matches amicaux, à moins qu’il y ait un joueur qui arrive rapidement, il va avoir du temps de jeu et ça va me permettre d’appréhender la relation avec plus de finesse.\\n\\nEric, l’année dernière vous êtes arrivé alors que le recrutement était déjà avancé. Cette année, vous avez eu les pleins pouvoirs ? Cette équipe va plus vous ressembler ?\\n\\nEB : Déjà, le recrutement c’est un travail d’équipe. J’ai vécu différentes façons de fonctionner dans différents clubs mais le MSB a une cellule de recrutement qui est efficace. Vincent (Loriot), le président, connaissent beaucoup de joueurs, il y a un travail approfondi. C’est un travail d’équipe, d’échanges. On valide les choix ensemble. C’est toujours délicat de dire que cette équipe me ressemblera plus car entre le début d’un recrutement où l’on a une certaine idée de certains profils, on a essuyé certains refus, le marché fait un peu sa loi. On est donc parfois obligé d’aller sur certains profils qui ne correspondent pas forcément à l’idée de départ et même si le joueur que l’on a nous séduit et que c’est un bon joueur, il a des caractéristiques différentes. Le challenge c’est aussi de s’adapter et c’est intéressant. Au début sur le poste extérieur, on était parti sur un 3-2 ou un 2-3. On a fait des propositions à certains joueurs qui ont refusé. Après il en reste moins, on a du faire un choix et on est allé sur Conger qui est plus à la base un 3. C’est tout. Souvent l’atterrissage est éloigné de ce que l’on aimerait avoir au départ.\\n\\nLe meneur Juice Thompson, vous le connaissez bien pour l’avoir eu à Pau ?\\n\\nEB : Le fait qu’il ait déjà évolué dans le championnat, pas forcément avec moi, ça nous offre certaines garanties. Ça ne veut pas dire qu’il sera aussi performant qu’il l’a été à Pau. Je le souhaite mais il y a tellement d’aléas. Mais on connait le joueur, on sait qu’il connaît le jeu, qu’il est intelligent, qu’il possède un tir à trois-points, etc.\\n\\nAvez-vous envisagé une prolongation du contrat d’Eric Bartecheky ?\\n\\nCLB : Il a encore deux ans de contrat. On avait signé 2+1, c’est-à-dire qu’il y avait deux ans garantis et que selon les résultats, c’est-à-dire un minimum d’objectifs -je ne parle pas du titre-, il y avait une troisième année automatique. C’est le cas. Donc une prolongation de contrat n’est pas à l’ordre du jour. On en parlera sûrement en cours d’année.\\n\\nAntoine Eito, Wil Yeguete et Petr Cornelie sont aussi sur leur dernière année de contrat ?\\n\\nCLB: Les JFL, c’est un mode de recrutement particulier. On se penchera forcément rapidement sur la question dans la saison. On ne va pas attendre le mois de juin de l’année prochaine pour s’occuper des JFL. C’est le rôle du club d’anticiper.\\n\\nA l’inverse, vous avez conclu un contrat avec Terry Tarpey d’une durée rare puisqu’il a été prolongé jusqu’en 2022 ?\\n\\nCLB: Terry, c’est quelqu’un qui ressemble beaucoup au club. Je suis ravi de pouvoir travailler avec lui sur la durée et qu’il devienne une image forte du MSB. Ce qui freine souvent sur les contrats longue durée dans le basket, c’est un possible relâchement des joueurs, surtout Américains. Terry a beau être franco-américain, je n’ai aucun doute sur sa volonté de faire toujours plus et toujours mieux.\\n\\nDemain, la deuxième partie de l’interview.\\n\\n[armelse]\\n\\nDans quel ordre s’est fait le renouvellement des étrangers ?\\n\\nChristophe Le Bouille : Avec Eric (Bartecheky), ses assistants et Vincent (Loriot, le directeur sportif), on a tout d’abord regardé qui on voulait garder en priorité et a contrario ceux qui ne l’étaient pas car malgré les succès de l’équipe, on voulait la faire évoluer un peu. Mykal (Riley) ne s’est pas affiché comme une priorité, on l’a dit, il s’est vite engagé ailleurs (Chalon). Tous les autres étaient intéressants à conserver sauf que Justin (Cobbs) nous a dit tout de suite qu’il voulait jouer l’Euroleague pour le projet sportif et l’impact financier (NDLR : Il a signé au Cedevita Zagreb qui fait... l’Eurocup). On n’était plus dans la course donc on est parti sur la piste d’autres meneurs de jeu. Chris (Lofton), on a essayé, on s’est beaucoup battu, on a fini par trouver un accord avec son agent et c’est Chris qui ne s’est pas senti de nous rejoindre, il avait besoin apparemment de couper un peu plus longtemps que ça. Il nous a fait un gentil mot... On avait fait l’effort financier, on payait même, je pense, un peu au-delà de sa valeur mais on estimait que pour garder des joueurs qui avaient gagné le trophée l’année dernière, il fallait que l’on soit capable de le faire, mais il n’est pas resté pour autant. Romeo (Travis) a voulu tout de suite monnayer son titre de MVP des finales. Voilà. On avait trouvé un accord avec DJ (Stephens), on était très content lui comme nous. Il y avait juste cette histoire de clause NBA qu’il a donc actionné avant la date limite. On est content pour lui mais déçu pour nous.\\n\\nAvec quelle franchise a-t-il signé ?\\n\\nCLB : A ce jour, il n’a pas encore signé, je crois, mais il a eu l’offre. Il nous a envoyés le document, il a fait les choses dans les règles.\\n\\nEst-il possible que Chris Lofton vous rejoigne en cours de saison ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: De haut en bas: Antoine Eito, podium champion de France (LNB) et Matthieu Gauzin (FIBA)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16 féminin: Les Françaises commencent par une défaite face à la République Tchèque"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Championne d’Europe en titre, l’équipe de France a trébuché dès la première journée face à la République Tchèque, 51-56. Frustrant.\\n\\nHors du coup, les Françaises se sont fait mener 0-7 et ont attendu trois minutes pour ouvrir le score. Elles corsaient ensuite leur défense et le pivot du Centre Fédéral Bintou Moctar (1,87m) concrétisait à l’intérieur. De quoi passer en tête à 13-12 dans un quart-temps débridé. Avec une bonne press et en entrant leurs shoots en fin de deuxième quart-temps, Les Bleuettes menaient 30-23 à la mi-temps malgré un gâchis aux lancers (5/10).\\n\\nDans le troisième quart-temps, le score connaissait pas mal de zig-zag et après s’être constitué un matelas d’une dizaine de points, les Bleuettes se faisaient rejoindre à 46 puis dépasser, 46-51. Elles ne scoraient plus et Klara Stloukalova (14 points, 9 rebonds) faisait des ravages. Les Tchèques, qui n’avaient jamais rompu dans la tempête, et conservé leur enthousiasme à l’image de leur banc hurlant tout le match, sentaient qu’elles tenaient le bon bout.\\n\\nOnze Françaises ont marqué mais aucune n’a été capable de prendre le jeu à son compte dans le money time et rien n’est entré à trois-points (2/19).\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Louise Bussière, FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16: Battue par la Croatie, la France n’ira pas en finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pas de finale pour l’équipe de France vaincue ce soir par la Croatie, 58-65, et son intérieur Roko Prkacin (2,01m) auteur de 21 points, 15 rebonds et 4 passes pour 35 d’évaluation. Leur imprécision près du cercle (10/35 à deux-points) aura été fatal aux Bleuets qui rencontreront demain la Turquie ou l’Espagne pour la médaille de bronze.\\n\\nSans l’un de ses leaders Daniel Balto obligé de déclarer forfait à cause de son genou gauche en vrac, l’équipe de France était d’emblée victime du jeu intérieur croate et de la bonne défense de leurs adversaires. 5-12 (7e). En servant Yvan Ouedraogo, les Bleuets évitaient l’hémorragie mais étaient quand même menées 12-16 après un quart-temps.\\n\\nLa France compensait un manque de finition à l’intérieur par quelques flèches d’au-delà la ligne à 6,75m (6/15 en première mi-temps). C’est principalement l’ailier-fort Roko Prkacin (16 points, 7 rebonds et 3 passes lors des vingt premières minutes) qui permettait à la Croatie de lui tenir tête puis de creuser un nouvel écart (32-26), qui était confirmé à la mi-temps (37-31).\\n\\nMoussa Diabaté et Yvan Ouedraogo allaient au mastic (11 rebonds chacun) mais le premier était offensivement dans un jour sans (4/14 aux tirs sur l’ensemble du match). Les Croates défendaient bien. Alerte rouge: on en était à 33-46 après 27 minutes. On sentait les Croates en pleine confiance. 43-54 après 30 minutes.\\n\\nDeux trois-points de Louis Lesmond et un de Rudy Demahis-Ballou permettaient aux Bleuets de revenir à 62-66. Après une série d’échanges infructueux, ils étaient même à portée de fusil des Croates, 54-57. Seulement ceux-ci ont défendu le plomb et sur un trois-points de Boris Tisma à 1’30, ils s’échappaient irrémédiablement, 55-62.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Boris Tisma et Lucas Beaufort (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"C’est officiel, Orchies est confirmé en Nationale 1"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était un secret de polichinelle, mais la FFBB vient de le confirmer: suite à la proposition de conciliation du CNOSF d’engager le club d’Orchies en NM1 pour la saison 2018-2019, et l’acceptation de cette proposition par le club d’Orchies et le Bureau Fédéral de la FFBB du 8 août dernier, le club d’Orchies évoluera bien la saison prochaine en NM1.\\n\\nLes poules de NM1 pour la saison 2018-2019 :\\n\\nPOULE A\\nAUBENAS\\nSAINT VALLIER BASKET DROME\\nSOUFFELWEYERSHEIM BC\\nAS KAYSERSBERG AMMERSCHWIHR BCA\\nETOILE CHARLEVILLE MEZIERES ARDENNES\\nEVEIL RECY SAINT MARTIN BASKET\\nORCHESIEN BC\\nS.O.M.B. BOULOGNE\\nBESANCON AVENIR COMTOIS\\nGET VOSGES\\nANDREZIEUX BOUTHEON ALS BASKET\\nFEURS EF\\nSAINT QUENTIN BASKET BALL\\nSORGUES BASKET CLUB\\n\\nPOULE B\\nJSA BORDEAUX\\nBRISSAC ANJOU BASKET\\nETOILE ANGERS BASKET\\nVENDEE CHALLANS BASKET\\nLA CHARITE BASKET 58\\nAURORE DE VITRE BASKET BRETAGNE\\nCEP LORIENT BASKET\\nUNION TOURS BASKET METROPOLE\\nSASP SAINT THOMAS BASKET LE HAVRE\\nCENTRE FEDERAL BB\\nRUEIL ATHLETIC CLUB\\nLA ROCHELLE RUPELLA 17\\nTOULOUSE BASKET CLUB\\nUNION TARBES LOURDES PYRENEES BASKET"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mantas Kalnietis (ASVEL): «Je suis d’abord un meneur de jeu qui essaie de rendre heureux mes partenaires»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur le site du club, le meneur lituanien Mantas Kalnietis (1,96m, 31 ans), qui vient d’être recruté par l’ASVEL en provenance de Milan, dit comprendre le rôle qu’il doit tenir au sein de l’équipe villeurbannaise.\\n\\n« Oui, je suis conscient que le club attend beaucoup de moi à ce niveau. J’ai parlé de nombreuses fois avec Tony Parker avant de signer mon contrat et il a beaucoup insisté sur cela, qu’il souhaitait que j’amène ma connaissance du basket européen, que j’aide nos jeunes joueurs à atteindre le haut niveau. »\\n\\nMantas Kalnietis est connu dans toute l’Europe pour être un passeur émérite. Quand on lui demande de se définir, il répond:\\n\\n« Je suis d’abord un meneur de jeu qui essaie de rendre heureux mes partenaires ! Si j’ai réussi à les rendre meilleurs sur le terrain, je suis content ! Et dans le vestiaire, aujourd’hui je suis assez silencieux car j’apprends encore à connaître mes coéquipiers, mais tu peux être sûr qu’avec le temps, je finis par beaucoup parler... »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : après plus de 20 ans de carrière, Juan Carlos Navarro prend sa retraite"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après 21 ans passés au plus haut niveau du basket mondial, Juan Carlos Navarro (1,93m, 38 ans) prend sa retraite.\\n\\n20 ans à Barcelone, une année en NBA à Memphis et 17 ans en sélection espagnole. Voilà à quoi se résume le parcours de « La Bomba ». Sur son site, le FC Barcelone annonce que l’arrière espagnol a décidé de raccrocher ses baskets. Néanmoins, l’ancien joueur des Grizzlies ne quitte pas le Barça pour autant. Le contrat signé en septembre 2017 par le joueur indiquait qu’une fois la saison terminée, il rejoindrait la partie dirigeante du club. Son rôle reste inconnu pour l’instant.\\n\\nNé à Sant Feliu de Llobregat, Juanca fait partie des meilleurs joueurs de l’histoire du basket européen et son palmarès, long comme le bras, parle pour lui. En voici les grandes lignes :\\n\\n * Deux titres d’Euroleague\\n * Huit championnats d’Espagne\\n * Sept coupes d’Espagne\\n * Cinq supercoupes d’Espagne\\n * Une coupe du Monde\\n * Deux Eurobasket\\n * Une fois MVP d’Espagne\\n * Trois fois MVP des finales en Espagne\\n * Une fois MVP d’Euroleague\\n * Une fois MVP du Final Four d’Euroleague\\n * Une fois MVP de l’Eurobasket\\n * Cinq fois sélectionné dans l’équipe type d’Euroleague\\n\\n\\n\\n\\n🏀🔝 20 years of trophies and impossible baskets from Navarro\\n\\n\\n🔵🔴 #GràciesNavarro pic.twitter.com/ps1qXG5QJR\\n\\n\\n— Barça Basket (@FCBbasket) August 17, 2018\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet Basket ouvre son capital à ses supporters"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cholet Basket a décidé de permettre l’intégration de ses supporters au capital de la Société Anonyme Sportive Professionnelle (SASP) qui gère le club.\\n\\nL’association de supporters actionnaires de Cholet Basket s’appelle Rouge et Blanc, qui est:\\n\\n * Une association à but non lucratif, de type Loi 1901.\\n * Ce n’est pas réservé uniquement aux abonnés. L’association regroupe tous les supporters, sympathisants, partenaires, fans, bénévoles, licenciés, amoureux de Cholet Basket, du monde entier.\\n * C’est une association qui sera actionnaire de la SASP Cholet Basket.\\n * En adhérant à l’association, on devient ainsi sociétaire de Cholet Basket et on prouve son attachement au club et à ses valeurs.\\n\\nVous pouvez devenir membre en remplissant le bulletin en ligne sur le site : http://cbshop.cholet-basket.com/membre-fondateur-coeur-rouge-blanc.html, règlement par carte bancaire uniquement. Le montant est de 40 euros.\\n\\nLe statut de Membre Fondateur Coeur Rouge et Blanc st acquis à vie. Un numéro personnel vous est attribué, il vous appartient pour toujours. Votre titre et votre numéro Coeur Rouge et Blanc ont incessibles, ils ne peuvent être uniquement transmis qu’à votre descendance, selon vos souhaits.\\n\\nObtenez toutes les réponses à vos questions sur Coeur Rouge et Blanc en cliquant ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Avellino fait venir le double champion NBA Norris Cole !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était dans les tuyaux depuis quelques jours, mais c’est désormais officiel. Norris Cole (1,88m, 29 ans) s’est engagé en Italie, avec Avellino.\\n\\nSur son site, le club transalpin a annoncé la signature pour une saison de l’ancien joueur du Miami Heat. Il arrive en provenance du Maccabi Tel-Aviv. Avellino s’offre donc un renfort de taille et devient une équipe très dangereuse sur le papier que ce soit en Serie A ou en Champions League. C’est d’ailleurs en coupe d’Europe que Le Mans rencontrera Avellino cette saison.\\n\\nLa saison dernière, Norris Cole compilait en moyenne 12,1 points, 2,3 rebonds et 3,5 passes décisives entre le championnat et l’Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Un club vénézuélien doit plus de 200 000 dollars à l’ancien joueur de Pro A John Cox"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que plusieurs joueurs de Cantu ou encore Mike Green n’auraient pas perçu l’intégralité de leur salaire, John Cox (1,94m, 37 ans) a, lui, saisi le « Basket Arbitral Tribunal » pour un contentieux avec un club vénézuélien.\\n\\nPassé par la France le temps d’un peu plus de dix saisons entre Le Havre, Nancy, Cholet, Chalon-sur-Saône, Paris-Levallois et Pau-Lacq-Orthez, le natif de Caracas a également tenté l’aventure dans son pays de naissance. La FIBA a publié le compte rendu de cette affaire qui oppose donc John Cox au club vénézuélien de Bucaneros de la Guaira.\\n\\nOn y apprend que le cousin de Kobe Bryant, qui s’était engagé pour deux saisons avec le club entre 2015/17, a reçu ses 200 000 dollars lors de la première saison mais que tous les versements ont eu du retard. Par contre, il n’a pas touché un seul centime lors de sa deuxième saison. Les deux parties s’étaient mis d’accord pour que l’ancien joueur du PL rejoigne le club fin janvier 2017 pour disputer la Ligas de Americas entre février à juin. Il devait ainsi toucher 200 000 dollars dans ce laps de temps, soit 40 000 dollars par mois. Finalement, il n’a jamais rien reçu malgré le fait que le président du club le rassure en lui disant que ça allait arriver.\\n\\nLe joueur et son agent, qui devait également recevoir une commission de 20 000 dollars, ont donc saisi le BAT qui a statué.\\n\\n * Les Bucaneros de la Guaira sont condamnés à devoir payer les 200 000 dollars de salaire impayé à John Cox, ainsi que des intérêts s’élevant à 5% de la somme.\\n * Les Bucaneros de la Guaira sont condamnés à devoir payer les 20 000 dollars de frais d’agence à Pensack Sports, ainsi que des intérêts s’élevant à 5% de la somme.\\n * Les Bucaneros de la Guaira sont condamnés à verser conjointement à M. John Cox et à Pensack Sports la somme de 8 700 euros à titre de remboursement de l’avance sur les frais d’arbitrage.\\n * Les Bucaneros de la Guaira sont condamnés à verser conjointement à M. John Cox et à Pensack Sports la somme de 7 000 euros à titre de contribution aux frais et honoraires d’avocat. Les Bucaneros de la Guaira supporteront leurs propres frais de justice.\\n\\nLe contrat qu’avait signé John Cox au Vénézuéla était loin de ce qu’il avait l’habitude de gagner car, pour donner une idée, il a touché 80 000 euros en 2013/14 lorsqu’il était à Cholet et qu’il compilait plus de 14 points, 3,5 rebonds et 3,5 passes décisives en Pro A.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16: La demi-finale France-Croatie à suivre sur YouTube à 18h15"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La demi-finale du championnat d’Europe U16 entre la France et la Croatie est à suivre aujourd’hui à 18h15 sur YouTube.\\n\\nLa Croatie compte 4 victoires en 5 matches et a battu la Lituanie en quart-de-finale, 80-78, laquelle avait vaincu ses précédents adversaires par une marge moyenne de 40,2 points.\\n\\nRoko Prkacin (2,01m, 18,2 points, 10,2 rebonds), Ivan Perasovic (2,00m, 17,8 points, 6,6 rebonds), Boris Tisma (1,99m, 17,8 points, 5,6 rebonds) et Matej Bosnjak (2,02m), 13,0 points, 6,8 rebonds) contribuent pour l’essentiel au rendement de l’équipe.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Joffrey Lauvergne à Fenerbahçe, le Pana qui fait peau neuve, David Blatt à Olympiakos... : les points chauds de l’intersaison en Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A part pour le départ attendu de Luka Doncic (ce qui n’est pas rien), le champion madrilène est resté dans ses petits souliers cet été. Deux arrivées sont à noter (Prepelic, Deck) mais pour l’essentiel, on ne change pas une équipe qui gagne. Mais ça n’a pas été le cas de ses poursuivants ! Au premier rang desquels on retrouve notamment le Fenerbahçe qui a recruté NBA avec Joffrey Lauvergne et Tyler Ennis.\\n\\nAprès le bilan estival des Français, BasketEurope dresse un état des lieux de l’intersaison dans la compétition reine. Parmi les points chauds du marché des transferts, on retrouve le Panathinaikos, Milan ou l’Efes Istanbul qui a tout changé du sol au plafond en attirant Rodrigue Beaubois et Adrien Moerman. Comme le Real Madrid, Vitoria et Kaunas sont quant à eux restés discrets, misant sur la continuité.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLes gros bras\\n\\nFenerbahçe\\n(Joffrey Lauvergne, Tyler Ennis...)\\n\\nPas de révolution de palais chez le dernier finaliste Euroleague. Au rayon des départs, James Nunally et Brad Wanamaker ont cédé à l’appel des sirènes en NBA, respectivement du côté de Minneapolis et Boston. Mais arrivent en contrepartie deux autres joueurs NBA en Joffrey Lauvergne et Tyler Ennis. Avec l’international tricolore, coach Obradovic va trouver un possible partenaire de crime à Jan Vesely dans la raquette. Et l’international canadien viendra lui prendre le poste laissé libre par Wanamaker à la mène. Lauvergne et Ennis sont à la recherche de temps de jeu et de responsabilités. Au Fener, ils auront déjà de quoi faire au quotidien dans un effectif toujours aussi dense. La frontline est démente avec Lauvergne, Vesely, Melli et Datome.\\n\\nCSKA Moscou\\n(Joel Bolomboy, Daniel Hackett, Alec Peters...)\\n\\nA nouveau dans le dernier carré mais à nouveau écarté d’entrée de jeu, le CSKA Moscou a décidé de muscler son jeu dans la peinture durant cette intersaison. Ce sont effectivement Joel Bolomboy et Alec Peters, deux beaux bébés, qui débarquent de NBA / G-League. A 2,06m chacun, Bolomboy et Peters auront pour mission de bétonner le rebond en prêtant main forte à l’inamovible Kyle Hines. A l’arrière, Daniel Hackett arrive lui en provenance de Bamberg et remplace Léo Westermann, laissé libre à l’été. Il apportera sa dimension défensive au relais du duo (majeur) Rodriguez – De Colo. Le CSKA a simplement opéré quelques ajustements, en signant également Ivan Ukhov (22 ans), l’ancien meneur de Perm qui tournait à 9 points et 3 passes en VTB League l’an passé.\\n\\nPanathinaikos\\n(Georgios Papagiannis, Ioannis Papapetrou, Keith Langford...)\\n\\nSorti par le Real Madrid en quatre manches lors des derniers playoffs, le Panathinaikos a radicalement revu sa stratégie après cette nouvelle élimination prématurée. Exit Chris Singleton, Mike James, Adreian Payne, Zach Auguste ou encore Kenny Gabriel, les Greens ont fait peau neuve. Et ils ont fait dans le « JFL » avec le retour de Georgios Papagiannis et la signature de Ioannis Papapetrou, débauché du rival Olympiakos. Le turnover amène également des vétérans du circuit, tels DeShaun Thomas et Keith Langford. Autour du chef d’orchestre Nick Calathes, le Pana a réorganisé sur chacune de ses lignes et termine avec un effectif avec 9 joueurs grecs et la rotation même des sélections de jeunes grecques en Calathes, Pappas et Sakellariou, signé cet été. On gardera un oeil attentif sur Papagiannis (21 ans seulement) qui doit se relancer après deux saisons NBA sans temps de jeu.\\n\\nBarcelone\\n(Kevin Pangos, Chris Singleton, Jaka Blazic, Kyle Kuric...)\\n\\nBarcelone a également déçu la saison passée avec pas mal de pépins physiques, dont la blessure longue durée de Kevin Séraphin, et beaucoup d’arrivées tardives en conséquence. L’intérieur guyanais semble désormais en pleine forme en cette intersaison, et il va avoir du renfort à la rentrée avec le meneur All Euroleague, Kevin Pangos, qui débarque de Kaunas après une saison ébouriffante. Au Barça, Pangos va avoir l’occasion de conduire une grosse cylindrée, avec Thomas Heurtel notamment. En provenance du Pana, Chris Singleton prend la place d’Adrien Moerman en poste 4 et Jaka Blazic et Kyle Kuric viennent quant à eux s’installer dans les lignes arrières. Le pivot ukrainien Artem Pustovyi (2,16M) va également apporter sa taille sous les panneaux. Avec un recrutement forcément composite pour recoller les morceaux, le Barça de Pesic doit surtout se trouver une identité de jeu claire.\\n\\nOlympiakos\\n(David Blatt, Janis Timma, Axel Toupane, Nigel Williams-Goss...)\\n\\nRetourné par la folie du Zalgiris Kaunas en playoffs, l’Olympiakos a bien fait son âge en fin de saison passée. La troupe de Kill Bill, Vassilis Spanoulis, a vacillé grave et c’est donc une nouvelle ère qui s’ouvre au Pirée ! David Blatt arrive pour redorer le blason des Reds et il n’arrive pas les mains vides. Il a effectué un recrutement plutôt intéressant avec Axel Toupane, Janis Timma ou encore Nigel Williams-Goss l’ancien de Gonzaga et du Partizan et Zach LeDay, gros scoreur en Israël. Avec Sasha Vezenkov qui arrive de trois saisons frustrantes à Barcelone, coach Blatt s’est construit un roster avec des joueurs plus jeunes et plus physiques, notamment défensivement. L’objectif est de faire prendre la mayonnaise entre le noyau dur des Spanoulis, Printezis, Papanikolaou et la nouvelle vague internationale. Nikola Milutinov devrait également poursuivre sa progression au poste de pivot. L’Olympiakos sera comme toujours une place forte de la compétition reine. A voir, pour finir, si Blatt pourra retrouver sa formule magique du Maccabi pour cette nouvelle expérience à la tête d’un grand d’Europe.\\n\\n\\nLes poursuivants\\n\\nMilan\\n(Mike James, Nemanja Nedovic, Amedeo Della Valle...)\\n\\nC’est le tube de l’été 2018 ! Milan veut à nouveau frapper fort dans le basket; Avec Nemanja Nedovic et Mike James, le spectacle devrait en tout cas être au rendez-vous. Les deux meneurs – arrières auront les clés du camion lombard. Avec Mindaugas Kuzminskas qui devrait aussi avoir pleinement trouvé son équilibre, la saison prochaine devrait être très intéressante pour Milan qui comptera également sur le jeune Amedeo Della Valle et les deux ailiers américains, Jeff Brooks (à Malaga la saison passée) et Christian Burns (ancien de Cantu). Ce n’est évidemment pas aussi solide que les équipes mentionnées par avant, mais Milan tente un coup avec une traction arrière capable de mettre le feu aux défenses adverses. Le secteur intérieur reste solide avec le jeune pivot lituanien, Arturas Gudaitis et le surphysique Caleb Tarczewski. Objectif playoffs !\\n\\nEfes Istanbul\\n(Rodrigue Beaubois, Shane Larkin, Tibor Pleiss, Adrien Moerman, Vasilije Micic...)\\n\\nBons derniers la saison passée, l’Efes Istanbul a fait table rase du passé pour ainsi dire. Comme tout est allé de travers, autant reprendre sur une page neuve ! Et même un slogan tout nouveau tout beau ! L’Efes parlera (un peu) français l’an prochain avec la double arrivée de Rodrigue Beaubois et Adrien Moerman. Ce dernier retrouve la Turquie, un pays qui lui avait bien réussi auparavant. Quant à Beaubois, il va obtenir un rôle important pour coach Ataman, notamment aux côtés de Shane Larkin. Le meneur de calibre NBA a quitté les Celtics pour endosser le rôle de patron à Istanbul. Les arrivées du pivot allemand Tibor Pleiss, du vétéran James Anderson et de l’arrière serbe Vasslije Micic sont également de bon augure pour solidifier le tout. La défense, et la cohésion défensive de ce groupe flambant neuf, sera le principal chantier. A attaquer au plus vite...\\n\\nGran Canaria\\n(Kim Tillie, Chris Evans, DJ Strawberry...)\\n\\nPour la première saison de son histoire en Euroleague, Gran Canaria a misé sur des vétérans. Outre DJ Strawberry ou Clevin Hannah, on retrouve notamment Kim Tillie qui a signé dans le club espagnol pour se relancer après une saison coton à l’Olympiakos. L’intérieur tricolore est le plus beau CV de Gran Canaria sur le marché des transferts, mais le nouveau coach, Salvador Maldonado, sait qu’il possède déjà du talent d’avance, avec notamment Marcus Eriksson et Anzejs Pasecniks qui seront encore là pour GranCa ! L’ancien de Monaco, Chris Evans, va quant à lui découvrir le niveau Euroleague en même temps que son club.\\n\\nDarussafaka Istanbul\\n(Markel Brown, Cory Jefferson, Ray McCallum...)\\n\\nVainqueur de l’EuroCup l’an passé, avec un Scottie Wilbekin en état de grâce, le Darussafaka revient en Euroleague pour la troisième fois sur ces quatre dernières années. Mais le club stambouliote repart pour ainsi dire d’une page blanche. Une tripotée de mercenaires débarque effectivement au Dacka avec Markel Brown en tête de liste, et Cory Jefferson plus Ray McCallum, deux autres noms connus en Euroleague. Le nouveau coach, Ahmet Caki (ancien assistant à l’Efes et à l’Alba Berlin la saison passée) a pour mission d’intégrer six nouveaux joueurs (avec Jordan Loyd, Zanis Peiners et Berk Demir). Darussafaka n’est pas tellement attendu pour jouer les premiers rôles...\\n\\nPodgorica\\n(Edwin Jackson, Aaron Craft, Earl Clark...)\\n\\nEn EuroCup l’an passé, le Buducnost Podgorica retrouve l’élite européenne pour la première fois depuis 2003 ! Sacré champion en ligue Adriatique, Buducnost a musclé son effectif durant l’intersaison. Le truculent entraîneur serbe, Aleksandar Dzikic, a recruté malin avec des joueurs en mal de temps de jeu et de responsabilités. Avec Earl Clark, un vétéran du circuit européen et Coty Clarke, un ailier fort de petite taille qui valait 20 points et 8 rebonds en VTB League l’an passé, Podgorica s’est constitué une belle raquette initiale. Et à l’arrière, avec Edwin Jackson et Aaron Craft, il y aura donc du scoring et de la création pour faire tourner la boutique. Podgorica retrouve l’Euroleague après quinze ans, chaque match sera une fête !\\n\\n\\nEn toute discrétion\\n\\nAinsi que nous l’annoncions d’entrée de jeu, le Real Madrid n’a pas beaucoup fait parler de lui pendant l’intersaison. Les champions en titre vont repartir, peu ou prou avec le même effectif, sans Luka Doncic mais avec un autre slovène, Klemen Prepelic. L’ancien de Limoges et de Levallois débarque avec l’ailier argentin, Gabriel Deck, triple champion dans son pays. Ce sera surtout la saison du retour au premier plan pour Sergio Llull et un vécu collectif qui risque de peser lourd tout au long de la saison.\\n\\nChez un autre concurrent espagnol, à Vitoria, le recrutement s’est également déroulé en toute discrétion. Rodrigue Beaubois a malheureusement fait ses valises et il faudra encore patienter pour les débuts officiels de Youssoupha Fall de l’autre côté des Pyrénées. En fait, seul l’arrière Shavon Shields figure dans la colonne arrivée en Pays Basque. Il évoluait à Trente, pour 12 points, 3 rebonds, 2 passes en EuroCup. La continuité est de mise à Baskonia avec Tornike Shengelia qui a notamment prolongé pour quatre ans ! Dernière signature en date : Darrun Hilliard, un ancien NBAer passé par les Pistons notamment.\\n\\nPour le dernier participant au Final Four, le Zalgiris Kaunas, le marché des transferts a été assez douloureux. La troupe de Sarunas Jasikevicius a effectivement perdu son maître à jouer, Kevin Pangos, et Axel Toupane ou encore Vassilije Micic. En contrepartie, ce sont Nate Wolters et le très polyvalent Thomas Walkup qui débarquent en Lituanie. Le shooteur pur Marius Grigonis revient lui à la maison après cinq saisons à l’étranger (Espagne puis Allemagne). Les places seront à prendre dans la rotation ouverte aux plus méritants de Kaunas. C’est une opportunité en or pour Wolter, le meneur de 27 ans passé par Chalon sur Saône la saison dernière.\\n\\nConstruite depuis maintenant trois saisons autour de son scoreur fou, Alexey Shved, le Khimki Moscou reste droit dans ses bottes. Mieux, ils persistent et signent avec de nouvelles arrivées aptes à mettre le feu aux défenses adverses. Dee Bost, Casey Prather et Tony Crocker viennent renforcer les lignes arrières tandis que Jordan Mickey et Petr Gubanov (un ancien de la maison) occuperont la peinture. Le Khimki repart sur les mêmes bases ou presque... Il faudra bosser la défense !\\n\\nAu Maccabi Tel Aviv, le turnover est généralement assez important. Et cet été n’a pas dérogé à la règle. Norris Cole, Jonah Bolden ou encore Pierre Jackson ont déjà fait leurs valises depuis un bail et ce sont de nouvelles têtes qui les remplacent. MVP en EuroCup, Scottie Wilbekin aura les clés du camion au Maccabi. Il sera accompagné par Jeremy Pargo qui a prolongé son bail en Israël. Respectivement en provenance de Turquie et de République Tchèque (où il était MVP), Angelo Caloiaro et Kendrick Ray viendront se mesurer au niveau de la compétition reine. Ancien des Hornets, le costaud Johnny O’Bryant est le pari de l’année pour le Club Nation.\\n\\nEnfin, et pour son retour en Euroleague après trois ans d’absence, le Bayern Munich a misé sur la continuité avec des prolongations pour King, Booker et Barthel. Petteri Koponen est le nom plus prestigieux en arrivée. Le shooteur finlandais essaiera de retrouver du rythme en Bavière après une saison ratée en Catalogne. Munich a aussi pas mal déplumé ses adversaires sur la scène nationale. Bamberg perd ainsi Maodo Lo et Leon Radosevic au profit du Bayern. Et c’est le jeune Robin Amaize (21 ans) de Bayreuth qui a aussi été débauché...\\n\\nDe haut en bas, Rodrigue Beaubois, de Vitoria à l’Efes Istanbul / Mike James, du Panathinaikos à Milan / Petteri Kopponen, de Barcelone au Bayern Munich\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLes gros bras\\n\\nFenerbahçe\\n(Joffrey Lauvergne, Tyler Ennis...)\\n\\nPas de révolution de palais chez le dernier finaliste Euroleague. Au rayon des départs, James Nunally et Brad Wanamaker ont cédé à l’appel des sirènes en NBA, respectivement du côté de Minneapolis et Boston. Mais arrivent en contrepartie deux autres joueurs NBA en Joffrey Lauvergne et Tyler Ennis. Avec l’international tricolore, coach Obradovic va trouver un possible partenaire de crime à Jan Vesely dans la raquette. Et l’international canadien viendra lui prendre le poste laissé libre par Wanamaker à la mène. Lauvergne et Ennis sont à la recherche de temps de jeu et de responsabilités. Au Fener, ils auront déjà de quoi faire au quotidien dans un effectif toujours aussi dense. La frontline est démente avec Lauvergne, Vesely, Melli et Datome.\\n\\nCSKA Moscou\\n(Joel Bolomboy, Daniel Hackett, Alec Peters...)\\n\\nA nouveau dans le dernier carré mais à nouveau écarté d’entrée de jeu, le CSKA Moscou a décidé de muscler son jeu dans la peinture durant cette intersaison. Ce sont effectivement Joel Bolomboy et Alec Peters, deux beaux bébés, qui débarquent de NBA / G-League.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16 féminin: La France ouvre le bal face à la République Tchèque"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le championnat d’Europe U16 féminin s’ouvre aujourd’hui à Kaunas, en Lituanie. L’équipe de France est versée dans le Groupe A avec la Turquie, la Belgique et la République Tchèque, qui est son adversaire du jour à 20h15.En préparation, les Bleuettes ont remporté 8 de leurs 9 matches (une victoire et une défaite face à l’Espagne). La France est tenante du titre remporté en 2017 à Bourges.Vendredi 17 août à 20h15 : République Tchèque – France\\nSamedi 18 août à 20h15 : Belgique – France\\nDimanche 19 août à 15h45 : France – Turquie\\nMardi 21 août : Huitièmes de finale\\nMercredi 22 août : Quarts de finale\\nVendredi 24 août : Demi-finales\\nSamedi 25 août : FinalePhoto: Bintou Moctar, Ines Piper et Adèle Detchart (FIBA).\\n\\n#1India FARCYPoint Guard, 176cm, Centre Fédéral\\n\\n#3 Seehia SIDA ABEGAPower Forward, 186cm, Centre Fédéral\\n\\n#5Celia CARDENALShooting Guard, 174cm, Basket Landes\\n\\n#6Serena KESSLERShooting Guard, 182cm, Centre Fédéral\\n\\n#7Adèle DETCHARTPoint Guard, 170cm, USO Mondeville\\n\\n#12Nahan NIARECenter, 189cm, USO Mondeville\\n\\n#21Bintou MOCTARCenter, 187cm, Centre Fédéral\\n\\n#28Louise, BUSSIEREShooting Guard, 180cm, USO Mondeville\\n\\n#29Sara ROUMYShooting Guard, 180cm, Basket Landes\\n\\n#30Palmire MBUPower Forward, 185cm, Centre Fédéral\\n\\n#42Ines PIPERPower Forward, 183cm, Lyon Asvel\\n\\n#98Pauline ASTIERShooting Guard, 178cm, Bourges"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Un autre club turc dans la tourmente financière"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La débandade financière se poursuit en Turquie et touche aussi bien les clubs masculins que féminins de l’élite. Ainsi on apprend sur basketmerkezi.com qu’après le Yakin Dogu où jouait la saison dernière Sandrine Gruda, un autre club de première division est à l’article de la mort en KBL, Cukurova Basketbol.\\n\\n« Le club est prêt à prendre cette décision car les contrats à long terme conclus sont trop influencés par le taux de change. »\\n\\nLa chute de la livre turque est due à la mainmise du président Erdogan sur l’économie et aux tensions entre Ankara et Washington liées à la détention d’un pasteur américain en Turquie. Grâce au soutien de l’Union Européenne et des Qataris, la livre turque a cependant quelque peu repris du poil de la bête ces dernières heures.\\n\\nSelon le site postup.fr,\\n\\n« Un manque de soutien de la part de la Fédération Turque de Basketball (TBF) est également mis en évidence. Cette dernière ayant signé un accord avec la chaîne Tivibu pour la diffusion des rencontres pendant 3 ans mais les clubs n’en ont jamais été rétribués. »\\n\\nCukurova Basketbol est le club de l’ancienne joueuse de Villeneuve d’Ascq, l’Ukrainienne Alina Iagupova."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: La préparation inside de l’Elan Chalon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Elan TV propose le premier épisode de la préparation de l’Elan Chalon 2018-19. Il n’y a pas que du basket mais aussi des tests médicaux et une journée d’Intégration dans le Jura."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Paris Basketball annonce les signatures de Nick Kellogg et Dustin Sleva"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Progressivement, l’effectif du Paris Basketball commence à prendre forme. Après Gary Florimont, Théo Bouteille ou encore Daniel Dillon, ce sont Nick Kellogg (1,91m, 26 ans) et Dustin Sleva (2,03 m, 23 ans) qui arrivent.\\n\\nSur ses réseaux, le club parisien a annoncé les arrivées de ces deux joueurs qui évoluent respectivement au poste 2 et au poste 4. Déjà passé par la France, Kellogg a disputé cinq rencontres sous les couleurs de Roanne la saison dernière. Avant cela, il est passé par la Finlande, la Pologne et la Georgie. De son côté, Dustin Sleva est un rookie qui vient de terminer son cursus universitaire à Shippensburg University.\\n\\nLa saison dernière, Nick Kellogg compilait en moyenne 17 points, 3,8 rebonds et 3,2 passes décisives entre la Finlande et la Pro B. Dustin Sleva tournait, lui, à 21,3 points et 10,7 rebonds.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : Chorale de Roanne"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Mathieu Wojciechowski quitte Bourg-en-Bresse"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La JL Bourg vient d’annoncer qu’elle se sépare de Mathieu Wojciechowski (2,03m, 25 ans) qui a demandé à rompre son contrat.\\n\\nSur son site, la « Jeu » explique que l’ailier burgien a fait part aux dirigeants de son souhait de se rapprocher de ses origines polonaises pour découvrir un nouveau championnat. Arrivé en provenance de Limoges l’été dernier, il lui restait encore deux ans de contrat à la JLB.\\n\\nLa saison dernière, Mathieu Wojciechowski compilait en moyenne 4 points, 2,5 rebonds et 1,2 passe décisive pour 5,1 d’évaluation.\\n\\nPhoto : Jacque Cormarèche"
}, 
{"role": "user",     "content":"Canada: Le basket monte en puissance au Québec"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Français ont une tendresse particulière pour le Québec (8,4 millions d’habitants) et de sa capitale Montréal puisqu’il s’agit de la partie francophone du Canada. En revanche, ce n’est pas la province du pays où le basket est le plus développé... Mais c’est en train de changer.\\n\\nLe dernier comptage dans la province en 2017 fait état de 41 000 pratiquants avec une augmentation de 6% en une saison.\\n\\n«Nous avons commencé à nous activer pour augmenter l’engagement », révèle au Journal Metro le directeur général de Basketball Québec, Daniel Grimard. « Pour l’année 2017-2018, on devrait parler d’une croissance supérieure à 10%.»\\n\\nLe Québec espère pouvoir rattraper les progrès effectués dans le reste du Canada. Deux Québécois sont désormais en NBA, les Montréalais Chris Boucher (Toronto Raptors) et Khem Birch (Orlando Magic) et un troisième Luguentz Dort pourrait les rejoindre rapidement.\\n\\nLe niveau des coaches serait la raison majeure de ce boom quantitatif et qualitatif du basket québécois.\\n\\n«Nous avons dans les meilleurs entraîneurs au pays, » estime l’entraîneur de l’équipe basketball féminin de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), Albena Branzova. Pas seulement parce qu’ils mènent leurs équipes loin, mais parce qu’ils connaissent le sport et prennent soin de leurs athlètes.»\\n\\nMontréal a même un rêve un peu fou: accueillir un jour une franchise NBA. La Chambre de commerce du Montréal métropolitain a confirmé qu’elle travaillait dans ce sens avec le groupe dirigé par l’homme d’affaires Michael Fortier.\\n\\n« Toutes les personnes interrogées s’entendent pour dire que l’arrivée d’une équipe professionnelle jouerait le même rôle pour le basketball au Québec que les Raptors l’ont fait en Ontario », écrit le Journal Metro."
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : retards de paiements de plusieurs joueurs à Cantu"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On sait les clubs turcs, grecs ou encore espagnols coutumiers du fait, mais c’est aujourd’hui le club italien de Cantu qui fait parler de lui. Le club lombard n’aurait pas versé l’intégralité de la somme due à Randy Culpepper et Jeremy Chappell.\\n\\nSur Twitter, les deux joueurs ont montré leur mécontentement quant à la situation. Randy Culpepper, passé par Limoges en 2015, met en avant le fait que le club est déjà prêt pour la nouvelle saison avec un nouveau staff technique et un nouvel effectif mais n’a toujours pas terminé de le payer. Son ancien coéquipier, Jeremy Chappell, s’est contenté de répondre au tweet par : « C’est sûr que ça serait bien d’être payés ».\\n\\n« Allez Cantu j’ai vraiment attendu tout l’été de recevoir le reste de mon salaire. Vous avez fait signer un nouveau coaching staff et un effectif entier. Comment est-ce possible si vous êtes endettés des années précédentes. Ça n’a aucun sens pour moi », a déclaré Randy Culpepper.\\n\\nNouveau meneur de Strasbourg et déjà passé par le Paris-Levallois, Mike Green aussi a eu des problèmes avec Izmir en 2016/17. Il y a quelques jours, le joueur américain tweetait une phrase assez énigmatique.\\n\\n« Quel est le @ de la FIBA ? J’ai quelques questions à propos des paiements et sanctions. »\\n\\nAprès avoir saisi le « Basketball Arbitral Tribunal », l’ancien meneur du PL a obtenu gain de cause. Le club turc doit lui verser 26 500 dollars d’impayés, 15 000 dollars de bonus, 10 750 dollars en dédommagement du retard et doit également lui rembourser les frais engendrés par la saisie du BAT.\\n\\nA défaut de pouvoir attirer les joueurs les plus chers, la France a au moins cet avantage de garantir aux joueurs de les payer toute la saison et en intégralité.\\n\\n\\n\\n\\nCome on now @PallCantu I’ve literally been waiting the entire summer to receive the rest of my salary. You all have signed a new coaching staff and a whole roster. How is this even possible if you’re in debt from the previous year. Makes 0 sense to me 🤦🏾\u200d♂️\\n\\n\\n— ʀᴀɴᴅʏ ᴄᴜʟᴘᴇᴘᴘᴇʀ (@R_culpepper_) August 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nWhat’s FIBA @ name? I have a few questions about payments and sanctions. 🤔\\n\\n\\n— Mike Green (@MrMikeGreen10) August 8, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Une Corée unifiée participe aux Jeux Asiatiques à Jakarta"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la seconde guerre mondiale, la péninsule de Corée a été partagée en deux pays, la Corée du Sud, occupée par les Etats-Unis et la Corée du Nord par les Soviétiques. Une guerre a ensuite opposé les deux frères siamois. Un cessez-le-feu a été signé en 1953 mais jamais de traité de paix et depuis la frontière est étanche entre le Nord communiste et le Sud capitaliste.\\n\\nC’est un véritable évènement qui se tient aux Jeux Asiatiques à Jakarta puisque sont engagées des équipes coréennes unifiées en basket, canoë et aviron. La compétition de basket a d’ailleurs déjà commencé et la Corée a vaincu la faible Indonésie 108 à 40.\\n\\nTrois joueuses sont originaires de Pyongyang et c’est l’une d’entre elles Ro Suk Yong qui a été la meilleure marqueuse avec 22 points et en prime 8 rebonds.\\n\\n« Que l’on soit Coréen du sud ou du nord, on a tous la même envie de gagner », a déclaré à l’AFP l’entraîneur Lee Moon-kyu. « Nous n’avons pas eu beaucoup de temps pour travailler notre cohésion d’équipe mais nous parlons la même langue et sommes tous sur la même longueur d’onde. »\\n\\nDans les tribunes, une centaine de supporters de l’équipe ont agité le drapeau de la péninsule réunifiée, au diapason de leur slogan « un rêve, une Corée »."
}, 
{"role": "user",     "content":"De retour à la compétition, Jonathan Jeanne dit qu’il n’a pas peur de mourir"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Equipe réalise ce jour une enquête sur Jonathan Jeanne (2,18m, 21 ans), victime du Syndrome de Marfan et qui a été déclaré inapte à la pratique du basket par les spécialistes américains puis français.\\n\\nL’Antillais a changé d’agent, Bouna Ndiaye refusant de lui trouver un club après avoir échoué à le convaincre de stopper le basket pour ne pas risquer d’y laisser sa peau. Jonathan, qui a le soutien de ses parents, est entré en contact avec Isaiah Austin qui souffre de la même maladie et qui a ensuite repris le jeu en Serbie, en Chine et au Liban. Il a ensuite rencontré le médecin et son agent, Charles Misuraca, passé des tests pendant trois jours.\\n\\n« Le médecin a réévalué mon syndrome, il m’a dit que le risque qu’il m’arrive quelque chose était entre 0 et 1% et a accepté de me faire une lettre d’aptitude. »\\n\\nCharles Misuraca est devenu son agent et donc lui a ensuite trouvé un club qui a accepté de le signer et de prendre à l’évidence un risque, Palma de Majorque dans la seconde division espagnole.\\n\\n« La vie est importante. Mais si ma vie, c’est le basket, alors le basket est important. Je n’ai pas peur de mourir. Sinon j’aurais arrêté de jouer... »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16: La France dompte la Serbie, 78-71, et affrontera la Croatie en demi-finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Autour de l’axe intérieur Yvan Ouedraogo (23 points, 15 rebonds) – Moussa Diabaté (16 points, 17 rebonds), la France a vaincu la Serbie 78-71 après avoir fait la course en tête et tenu bon dans le money time. En demi-finale, les Bleus seront opposés vendredi à la Croatie vainqueur de la Lituanie cet après-midi avec 25 points et 8 rebonds de Boris Tisma.\\n\\nS’il y avait du monde dans la salle de Novi Sad puisque l’on entendait des cris et applaudissements et que l’on a vu quelques images de spectateurs, l’impression était curieuse puisque face aux caméras, les gradins étaient vides et ressemblaient à un mur en trompe l’oeil !\\n\\nLe match débutait par un coast to coast de Daniel Batcho qui se faisait mal au genou sur la réception du layup. On ne le revit pas du match. Yvan Ouedraogo prenait tout de suite beaucoup de place dans la peinture et les Bleuets faisaient admirer leurs qualités athlétiques supérieures pour capter le double de rebonds des Serbes (12 à 6) et mener 17-8 (8e). S’ils avaient fait preuve d’un soupçon supplémentaire de réussite à la finition, les Français auraient déjà alors décroché leurs adversaires.\\n\\nMoussa Diabaté (2,07m) faisait admirer ses longs segments avec 10 rebonds pour ses 13 premières minutes sur le terrain ! Les Serbes exprimaient un bon jeu collectif -sans adresse dans les tirs longue distance- mais la qualité de leur défense est une assurance tout risques pour les Français qui possédaient une avance de onze points (41-30) à la fin de la première mi-temps.\\n\\nToujours sereins, poussés par leur public et profitant de diverses maladresses françaises, les Serbes revenaient d’emblée à -4 (39-43). Heureusement Ouedraogo et Diabaté continuaient à faire un chantier à l’intérieur. Et même si tout n’était pas parfait dans la touche finale, les Serbes qui souffraient athlètiquement étaient repoussés à quatorze longueurs après trois quart-temps: 57-43.\\n\\nUne nouvelle contre-offensive était menée par les Serbes au début de la quatrième période. On assistait à beaucoup d’aller-retours infructueux et les Bleuets gâchaient de la marchandise aux lancers (19/29) au contraire des Serbes (21/24). Un trois-points réussi de Lazar Stefanovic et hop!, ceux-ci se retrouvaient de nouveau en selle.\\n\\nUn panier à trois-points cette fois de Rudy Demahis-Ballou à un moment-clé faisait beaucoup de bien mais Nikola Manojlovic réalisait le même dans l’autre camp, 67-59 à 2’40. D’ailleurs, c’était une vraie bataille de paniers primés. Deux de folie de Juhann Begarin redonnaient de l’aisance mais Nikola Manojlovic en rentrait un autre qui remettait tout en question à 33 secondes (69-73). Il fallut une défense serrée, trois lancers sur quatre et un rebond offensif de Diabaté pour clouer définitivement le bec aux Serbes et à leurs supporters.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Rudy Demahis-Ballou, FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Paris Basketball cherche son futur community manager"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Né du rachat des droits sportifs de Hyères-Toulon, relégué cette saison de la Jeep Elite à la Pro B, Paris Basketball évoluera en deuxième division française à la rentrée alors qu’il évoluait en NM2 la saison dernière.\\n\\nAprès avoir recruté son directeur opérationnel (Romuald Coustre) et son coach (Jean-Christophe Prat) et ses premiers joueurs, le club parisien est maintenant à la recherche d’un Community manager. Il a posté une annonce à laquelle vous pouvez postuler dès aujourd’hui en vous rendant ici.\\n\\nL’annonce est la suivante :\\n\\nVous êtes fan de Sport et vous avez envie de participer à une grande aventure sportive et entrepreneuriale ?\\n\\nVous avez l’âme d’un entrepreneur, vous avez envie de bâtir avec nous la marque « Paris Basketball » et de développer sa communauté de fans ? Rejoignez notre équipe !\\n\\nEn étroite collaboration avec nos experts du marketing digital, vous prendrez les initiatives nécessaires pour mettre en œuvre notre plan de communication sur les réseaux sociaux (YouTube, Facebook, Instagram, Snapchat, Twitter). Vous créerez des contenus vidéo, photo et textes sur nos différentes plateformes et développerez l’engagement avec nos fans.\\n\\nQualités requises:\\n\\n * Etre à l’aise pour rédiger du contenu texte\\n * Etre capable de réaliser des montages vidéo simples sur Première Pro et des compositions d’images simples sur Photoshop\\n * Connaitre le fonctionnement et les « bonnes pratiques » des réseaux sociaux\\n * Vous vous intéressez aux gens et donc être prêt à échanger avec nos fans\\n * Avoir un esprit créatif et passionnéType de contrat : Alternance 1 anLieu : Paris (75)Début du contrat : 1er Septembre 2018Rémunération : Selon profil"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Akos Keller complète l’effectif de Pau"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A la recherche d’un renfort de plus dans la raquette, l’Elan Béarnais a fait appel à Akos Keller (2,08m, 29 ans).\\n\\nSur son site, le club palois annonce la signature pour une saison de l’international hongrois qui arrive en provenance de l’Alba Fehervar. Quintuple champion de Hongrie et quadruple vainqueur de la Coupe de Hongrie, ce pivot de 110 kilos va vivre sa première expérience en dehors de son pays natal, en France. Il y a deux ans, il avait déjà affronté l’Elan Béarnais en coupe d’Europe.\\n\\nLa saison dernière, Akos Keller compilait en moyenne 8,6 points et 5,2 rebonds entre la FIBA Europe Cup et le championnat.\\n\\n« Akos Keller dispose d’un vrai impact défensif au poste 5, où il pourra évoluer en rotation avec Vitalis Chikoko mais on pourra utiliser sa polyvalence au poste 4 car il est capable de jouer avec le ballon, en mouvement vers le panier après pick and roll et même de s’écarter à 3 points », a commenté le coach Laurent Vila. « Nous avons beaucoup échangé à propos de lui avec Kornel David (ancien NBAer passé par la SIG) qui dirige une académie de basket à Fehervar au sein de laquelle évolue un coach français, Matthieu Donnard. Akos a une très bonne éthique de travail, c’est un joueur d’équipe qui aime le combat mais aussi construire le jeu avec ses coéquipiers. Il dispose d’une excellente connaissance du basket européen avec un bon sens du placement et du jeu collectif. En Hongrie, il avait fait un peu le tour et il souhaitait se confronter à autre chose, vivre une nouvelle expérience au sein d’un championnat relevé. »\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Endy Miyem et son expérience en WNBA: «J’en aurais voulu davantage»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Coupée par les Minnesota Lynx, Endy Miyem (1,88m, 30 ans) s’exprime sur le site de la FFBB à propos de son expérience avortée en WNBA.\\n\\nA la question de savoir si celle-ci correspond à ses attentes, elle répond:\\n\\n« Oui et non. J’ai eu la chance d’évoluer dans cette ligue, et de me retrouver au sein de la meilleure équipe à savoir le Lynx de Minnesota, qui est champion en titre. J’ai pu voir ce que c’était, j’ai pu vivre à l’américaine. J’ai tout simplement joué en WNBA, et c’est une chance qui n’est pas donnée à tout le monde. C’est un rêve qui s’est réalisé pour moi. J’ai mis les pieds sur le parquet, mais maintenant en tant que compétitrice, une fois le rêve réalisé, j’en aurais voulu davantage. J’aurais aimé pouvoir un peu plus, essayer de voir si je pouvais m’exprimer ou pas dans cette ligue, et c’est là-dessus que je suis en reste. »\\n\\nQuelles sont les raisons de cet échec?\\n\\n« (...) Je suis arrivée un peu en retard car ma saison avec Schio en Italie a duré assez longtemps, et je n’ai pas pu participer au training camp avec Minnesota. Pour moi c’était une nouvelle expérience, un nouveau style de jeu, des nouvelles règles, et pour gérer tout cela il faut un petit temps d’adaptation. (...) On sait que je suis une shooteuse, je n’ai pas été en réussite rapidement, et du coup ça m’a coûté en quelque sorte ma place. Pour une européenne qui vient aux Etats-Unis, il faut réussir à faire la différence très rapidement car ils ne nous connaissent pas forcément. »\\n\\nEndy Miyem rejoindra le groupe France vendredi à Anglet où il est en stage de préparation à la Coupe du Monde.\\n\\n."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16: Le quart-de-finale France-Serbie à suivre en direct sur YouTube à 20h30"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La France affronte ce soir à 20h30 la Serbie en quart-de-finale de l’Euro U16. Le match est diffusé sur YouTube.\\n\\nAprès avoir été cueillis à froid la première journée par l’Espagne (-26 !), les Serbes ont enchaîné trois larges victoires du même acabit: Lettonie (+25), Pays-Bas (+26) et Slovénie (+25). Ils auront un atout maître dans la manche: le tournoi se tient chez eux, à Novi Sad.\\n\\nPhoto: Hugo Cosse (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Trois Français et une Française au Basketball Without Border"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Trois Français, Maxime Carène (Centre Fédéral), Matthieu Gauzin (Le Mans) et Tom Digbeu (FC Barcelone) ainsi qu’une Française Kendra Cherry (ASVEL) vont participer avec une soixantaine de jeunes européens de la génération 2001 au Basketball Without Borders qui est organisé depuis 2001 par la NBA et la FIBA.\\n\\nCette édition 2018 se tient à partir d’aujourd’hui et jusqu’à samedi au Zarko Sports Hall de Belgrade. On y attend des joueurs NBA comme Nemanja Bjelica, Bogdan Bogdanovic, Gary Harris, Nikola Jokic et Frank Kaminsky et des joueuses NBA comme les Serbes Ana Dabovic et Sonja Petrovic. Sont également prévus le GM des Kings, Vlade Divac et d’autres anciens joueurs comme Rasho Nesterovic, Bruno Sundov, Bostjan Nachbar, Zarko Paspalj, Dino Radja, Peja Stojakovic et Dragan Tarlac ainsi que des coaches de NBA, Gregg Poppovich (San Antonio Spurs), Popeye Jones (Indiana Pacers) et Jacque Vaughn (Brooklyn Nets).\\n\\nLes participants prendront part à des exercices de shooting, de positionnement et de technique, à des matchs en 5×5 et des séminaires au cours desquels les joueurs pros et les membres de staff prendront la parole pour partager leur expérience. Un MVP garçon et un MVP fille seront élus à la fin de ces trois jours.\\n\\nPhoto: Tom Digbeu (Euroleague)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Festival de Kahn : les plus belles casseroles du nouveau président du Paris Basketball"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans l’imaginaire des Provinciaux, et accessoirement des millions de touristes qui ont déjà posé leurs valises dans « la plus belle capitale du monde », le portrait dressé du Parisien n’est pas franchement flatteur. En effet, on ne lit pas vraiment une joie de vivre folle dans les yeux de celui-ci, et de là à dire qu’il est plutôt grincheux, râleur, pas serviable pour un sou et très pressé, il n’y a qu’un pas.\\n\\nPourtant, il fait beau à Paris. Le soleil est rayonnant, l’excitation est à son comble et la joie transpire par les pores de tous les fans de basket franciliens. Pourquoi ? Un nouveau projet ambitieux vise à créer un vrai club de basket professionnel dans la capitale. « Encore », diront les éternels aigris. « ENFIN » rétorqueront les autres. Celui qui porte désormais le nom de « Paris Basketball » (ex-Paris Basket Avenir) a posé la première pierre de cette nouvelle aventure avec la nomination de Jean-Christophe Prat, après avoir œuvré dans l’ombre pour racheter les droits sportifs du HTV, relégué en Pro B à l’issue de la saison écoulée et en proie à de grosses difficultés financières.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nA sa tête, le dénommé David Kahn, ancien directeur des opérations basket d’une franchise NBA (les Wolves de Minnesota, de mai 2009 à mai 2013) s’est vu dérouler le tapis rouge, à grands renforts de billets verts. Comme bon nombre d’observateurs de la planète orange, Kahn s’était étonné de l’absence d’un club d’envergure à Paris, voilà simplement comment l’idée est née. Aujourd’hui, le ciel couvrant la tête du « Paris Basket-Ball » est radieux, son avenir plein d’enthousiasme et d’espérance. Donc par avance, désolé de faire le « parigo » et de casser un peu l’ambiance.\\n\\nUn Marseillais à Paris\\n\\nMais à y regarder de plus près le parcours de décisionnaire du nouveau président du club parisien lors de son passage à Minneapolis, il y a de quoi nourrir un brin d’inquiétude. Enfin surtout si David Kahn venait à mettre son nez dans le recrutement.\\n\\nAu niveau du profil en tout cas, ça ne colle pas. En bon américain, le natif de Portland n’a vraiment rien du« titi » parisien, c’est même tout l’inverse ! Très enthousiaste, « le garçon » est toujours prompt à s’enflammer, voire à enjoliver un peu la réalité. En essayant par exemple de faire passer Jonny Flynn pour le futur Isaiah Thomas ou Darko Milicic pour le digne successeur de Vlade Divac, rien que ça ! A se demander si le nouveau boss du Paris Basketball ne serait pas en fait... un pur marseillais !\\n\\nPersona non grata dans le Minnesota\\n\\nSa réputation, franchement pas au beau fixe de l’autre côté de l’Atlantique, est essentiellement due à son passage remarqué chez les Wolves. En quatre ans, David Kahn a en effet multiplié de belles bourdes, faisant de lui « l’un des pires managers de l’histoire de la NBA », des mots de Michael Rand, journaliste américain notamment en charge de l’actualité des Wolves à cette époque pour le Star Tribune, quotidien le plus renommé de tout l’Etat.\\n\\nAvant de redonner la parole à Michael Rand (voir son interview ci-dessous), revenons donc d’abord sur le top 5 des casseroles les plus mémorables du nouvel homme fort du Paris Basketball qui n’a pas laissé que des bons souvenirs dans le Minnesota, la franchise ayant vécu la pire période de son histoire entre 2009 et 2013 (89 victoires contre 223 défaites) sous sa gouvernance.\\n\\nAvec un tel bilan (15e à l’Ouest les deux premières années, 12e les deux suivantes), l’ancien avocat a dû retrouver ses anciens réflexes de pour s’en sortir sans égratignures, lui qui avait prédit aux fans des Wolves que la franchise se battrait rapidement pour le titre, lors de sa conférence de presse de présentation. Retour sur ces quatre longues saisons ponctuées de mauvais choix à la draft, de décisions douteuses et d’échanges compilés avec une frénésie presque maladive.\\n\\n\\n1. Draft 2009 : « l’affaire Curry », mauvaise mayonnaise\\n\\nSans aucun doute le coup le plus marquant de son passage. David Kahn a en effet eu le mérite de ne pas traîner, en se distinguant dès la draft 2009, soit un mois et trois jours seulement après sa nomination. Fan absolu de Ricky Rubio, l’ancien journaliste sportif pour « The Oregonian » fait le nécessaire pour obtenir le 5e choix détenu par Washington. Il envoie alors ses deux arrières référencés, Randy Foye et Mike Miller, vers la capitale contre Oleksiy Pecherov, Darius Songaila, Etan Thomas et le fameux 5e choix de la Draft à venir. Minnesota se pointe alors à la loterie 2009 avec quatre premiers tours dans la poche (5e, 6e, 18e et 28e choix). Les trois premiers seront... trois meneurs de jeu. Avec le 5e choix, les Wolves prennent d’abord Ricky Rubio derrière Blake Griffin (Clippers), Hasheem Thabeet (Grizzlies), James Harden (Thunder) et Tyreke Evans (Kings). Même si sa cote a un peu baissé en un an depuis la finale mémorable des Jeux Olympiques et que l’Espagnol doit retourner s’aguerrir au Barça la saison suivante, le move n’est pas scandaleux.\\n\\nLe 6e pick est en revanche plus discutable. Ricky Rubio de retour en Catalogne, Minnesota a besoin d’un autre meneur de jeu titulaire. Brandon Jennings, Jrue Holiday, Ty Lawson, Jeff Teague, Darren Collison, Patrick Beverley ainsi qu’un certain Steph Curry sont encore dans la course. Mais le front office des Wolves en pince pour... Jonny Flynn. Un choix guidé avant tout par l’expertise des scouts selon maître Kahn. Les Warriors, triple-champions NBA, s’en frottent encore les mains.\\n\\n« Jonny Flynn était un meneur de jeu prêt à jouer, qui a débuté 81 matchs pour nous avant d’être victime d’une terrible blessure à la hanche. À l’époque, drafter Flynn était tout à fait sensé: nous n’avions pas un seul meneur dans l’effectif et notre staff l’avait classé n°1 parmi tous les meneurs de jeu dispos, non seulement pour son jeu sur le terrain, mais aussi ses solides qualités de leadership, ce qui était un besoin important de l’équipe (...). Il s’est juste blessé gravement à la hanche », s’est défendu David Kahn par la suite avant de se remémorer : « Je me souviens de Bill Laimbeer (assistant-coach de la franchise entre 2009 et 2011) lors d’une réunion du personnel avant la première saison de Jonny le comparant à Isiah Thomas (le meneur hall-of-famer, ancien coéquipier de Laimbeer à Detroit) ».\\n\\nDell, la friture sur la ligne\\n\\nAvec ses deux autres choix, Minnesota optera pour Ty Lawson (18e pick), qui sera transféré dans la foulée au Nuggets, et le shooteur Wayne Ellington (28e pick) avant d’ajouter un nouveau meneur, un certain Nick Calathes (45e pick) qui ne jouera lui non plus jamais pour les Wolves...\\n\\nQuelques jours après son départ, David Kahn confiera finalement la raison pour laquelle il n’avait pas drafté Steph Curry : son père, Dell Curry, lui aurait signifié par téléphone avant l’échéance fatidique que son fiston ne désirait tout simplement pas jouer pour les Wolves. Plutôt poreux comme défense, car rien n’aurait pu empêcher Steph Curry de jouer pour Minnesota si le front-office du club l’avait drafté. Ses propos sont également contradictoires avec la déclaration précédente.\\n\\nVoilà pour le coup d’éclat qui a lancé son mandat et annoncé la couleur. Mais le festival de Kahn ne s’est pas arrêté en si bon chemin, la suite a également été d’un très haut-niveau.\\n\\n\\n2. Love was in the air\\n\\nC’est l’autre preuve la plus flagrante de l’incompétence du directeur des opérations basket de l’époque et de son président Glen Taylor. L’histoire s’est déroulée au cours de la saison 2011-2012, lorsque les dirigeants des Wolves ont refusé de faire de Kevin Love le fameux « visage de la franchise » et de lui offrir le contrat maximum. C’est surtout un choix qui reste incompréhensible aujourd’hui avec le recul.\\n\\nPrêt à prendre la relève de Kevin Garnett en tant que « Franchise Player » à l’issue de trois premières années prometteuses, Kevin Love estimait avoir mérité un contrat de cinq ans en reconnaissance du travail déjà accompli. Avec notamment des stats en hausse chaque saison et un exercice 2010-2011 récompensé par un titre de « Most Improved Player » (20.2 points à 41.7% d’adresse à 3-points, 15.2 rebonds, 2.5 passes décisives par match).\\n\\n« Je ne pense pas que Kevin Love soit une star »\\n\\nMais le tandem dirigeant des Wolves ne l’entend clairement pas de cette oreille. Si bien que les relations vont devenir extrêmement tendues entre les deux parties. Taylor décoche la première flèche estimant que Kevin Love n’avait rien d’une star.\\n\\n« Je ne sais pas qui désigne les stars, avait alors rétorqué Kevin Love, mais même Glen Taylor, propriétaire de T’wolves, a déclaré: Je ne pense pas que Kevin Love soit une star, parce qu’il ne nous a pas conduit aux Playoffs. Je veux dire, ce n’est pas comme si j’avais beaucoup de soutien ici ».\\n\\nLa deuxième lame est portée par David Kahn qui va profiter d’un soir de défaite à domicile pour oser se présenter dans le vestiaire et tendre un contrat (revu à la baisse) à son poste 4.\\n\\n« Je ne suis pas celui qui suit toujours le protocole professionnel, mais je sais comment ça se passe, même à 24 ans », avait déclaré l’intéressé à la suite de cet épisode, ajoutant que la pilule avait eu du mal à passer face à ce manque de considération et de confiance de ses propres dirigeants, au point de se demander si « un vrai plan » était vraiment mis en place.\\n\\nDu oaï à l’Ohio\\n\\nA l’arrivée, Kevin Love finit par signer un contrat de quatre ans avec la possibilité de tester le marché au bout de la troisième année, clause appelée « opt out » qui reste toujours en travers de la gorge des fans de la franchise. David Kahn est sûr de son coup, assurant que la franchise le prolongerait après sa troisième année, que tout se passerait bien dans le meilleur des mondes et surtout qu’il ne faisait que suivre les instructions du big boss, Glen Taylor (toujours en poste aujourd’hui).\\n\\nRésultat des courses, à l’aube de la troisième année de contrat de Kevin Love (un an après le départ de Kahn), Minnesota se verra contraint d’accepter le deal proposé par Cleveland, un échange en triangle dans lequel les Wolves récupèrent Andrew Wiggins, Anthony Bennett (en provenance des Cavs) et Thaddeus Young (des Sixers). Fini Minneapolis et son « oaï » (« bordel » en dans le jargon marseillais), bonjour l’Ohio, LeBron James et ses ouailles dont Kevin Love fait désormais partie.\\n\\nCette fois, ce sont donc les dirigeants des Cavs qui ont pu sauter sur l’occasion et ajouter la pièce manquante à l’équipe qui sera ensuite triple finaliste (2015, 2017, 2018) et championne NBA en 2016.\\n\\nPourquoi David Kahn a-t-il refusé d’offrir le contrat max à Kevin Love ? Réservait-il cet honneur à son chouchou Ricky Rubio ? Ou pire, au nouvel arrivant Darko Milicic ? On ne le saura jamais, et c’est peut-être mieux ainsi finalement... Sur la gestion de ce dossier en tout cas, David Kahn en a encore fait preuve de son flair désormais légendaire. La justification qu’il avait livrée sur le sujet en mai 2013 au moment de quitter son poste est également savoureuse.\\n\\n« C’est terriblement long de ficeler un contrat avec toutes les variables qui peuvent se produire, principalement en raison de blessures et surtout chez les grands. C’était ça (la clé du problème). Je pense que Kevin s’est obstiné sur cette cinquième année. Je pense que son amitié avec Russell Westbrook (son ancien coéquipier à UCLA, qui a signé un contrat de cinq ans avec OKC pendant ce temps) l’a rendu difficile à accepter, mais c’est pourquoi j’ai aussi persuadé Glen de céder et de lui donner une option sur sa troisième année pour qu’il se sente aussi gagnant. Dans chaque compromis, il est important que les deux parties s’en sortent avec quelque chose qui a de la valeur. C’est de ça dont il s’agissait. Je n’ai jamais eu de problème pour lui offrir cette option à sa troisième année. Je pensais que c’était la bonne chose à faire ».\\n\\n\\n3. Darko Milicic, le « don du ciel »\\n\\nFlashback : en 2003, les Pistons ont gagné leur place sur le prestigieux podium des pires choix à la draft en optant pour le pivot serbe Darko Milicic en 2e position alors que la classe de 2003 restera sans doute comme l’une des plus belles de l’histoire. Jaloux, David Kahn ? Alors que Milicic est fantomatique lors de ses trois premières saisons à Motor-City et que ses expériences suivantes (à Orlando, Memphis et New York) sont à peine plus convaincantes, le directeur des opérations basket des Wolves décide de se pencher sur son cas.\\n\\nD’après son expertise, c’est sûr et certain, le géant européen est passé au travers des mailles du filet jusque là et se révélera sous le maillot des Wolves. Pourtant, le joueur est en pleine dépression, n’aspire qu’à rentrer chez lui. Ce dernier tente même de le dissuader de le recruter à travers un discours pour le moins direct.\\n\\n« J’ai rencontré David Kahn et je lui ai dit : « Ne me transférez pas pour l’amour de dieu, je ne veux plus jouer en NBA. Je vais ruiner votre équipe, je vais foutre l’alchimie de l’équipe en l’air, ne faites pas un trade pour moi ».\\n\\nPas convaincu, David « Kahn-tastrophe » propose alors à Darko Milicic de venir pour deux semaines, lui promettant qu’il serait libéré s’il ne le sentait pas...\\n\\nMême si l’équipe est au fond du trou au classement, le joueur rend de bons services en débutant 18 matchs pour une moyenne de 8.3 points, 5.5 rebonds, 1.8 passes décisives en 25.6 minutes. Une fois de plus, David « le fada » Kahn s’enflamme et tient à sécuriser son avenir en lui offrant un contrat de 4 ans pour 20 millions de dollars dès le premier jour de la Free Agency 2010 ! Deux jours plus tard, il se sépare de son pivot titulaire, Al Jefferson, contre des clopinettes : Kostas Koufos, un 20e choix de la Draft 2011, et le 18e de la Draft 2012.\\n\\nLe « Good luck » prémonitoire de Chris Webber\\n\\nLe moment le plus mémorable de cet épisode restera l’entretien tenu en bord de terrain à la Summer League 2010 de Las Vegas aux côtés de Chris Webber, ex star des Kings et consultant TV pour l’occasion. Tandis que C-Webb s’interroge sur les motivations de ce contrat de quatre ans récemment offert à Darko Milicic, David Kahn est quant à lui sûr de son coup, utilisant l’expression « « Manna from heaven », que l’on traduira par un « don du ciel » pour imager l’arrivée de Darko Milicic en cours de saison.\\n\\n« Il a été comme un don du ciel pour nous. Il fait 2,13m, il se déplace comme un ailier et... je n’ai jamais vu un grand passer comme lui »\\n\\nChris Webber ne peut pas s’empêcher de laisser filer un éclat de rire. Mais une fois lancé, le Marseillais est difficile à arrêter.\\n\\n« – Il passe vraiment à la manière d’un Vlade.\\n\\n-Comme Vlade Divac ?\\n\\n-Absolument\\n\\n-Waouh...\\n\\n-C’est un très bon passeur pour un grand, et Vlade serait le premier à vous le dire, il connaît le gamin depuis qu’il est petit. Il a grandi en Serbie à une centaine de kilomètres de Belgrade. On ne saute pas encore de joie, Darko a maintenant besoin de répondre présent sur une saison entière. Mais il s’est marié, il a un enfant et je crois qu’il est beaucoup plus mature que lorsqu’il est arrivé dans la ligue. On attend de lui qu’il fasse une bonne saison et il a effectivement de grandes chances d’être notre pivot titulaire cette saison ».\\n\\nDurant l’entretien, Chris Webber, ancien coéquipier de Vlade Divac, mettra un point d’honneur à ne pas voir son parcours comparé à celui de Darko Milicic de la bouche de David Kahn et conclura cette discussion savoureuse par un « good luck » prémonitoire face à ce choix guidé par l’au-delà (l’appel de la Bonne Mère sans doute).\\n\\nSur la saison 2010-2011, le Serbe débute effectivement 69 matchs, mais ses stats n’évoluent pas et baissent même un poil en terme d’adresse, de rebonds et de passes décisives. La franchise bouclera une deuxième saison à la 15e place de la conférence Ouest, passant de 15 à 17 victoires. Il sera ensuite limogé (via l’amnesty clause) à l’issue de la saison suivante (29 matchs disputés en 2011-2012).\\n\\n\\n4. Draft 2010 : le couac Wes Johnson\\n\\nLes deux dernières casseroles répertoriées dans ce classement sont moins dramatiques mais restent tout de même notables lorsqu’on se penche à nouveau dessus aujourd’hui. A la draft de 2010, Minnesota espère prendre le jackpot mais hérite malheureusement du 4e choix. Derrière John Wall, Evan Turner et Derrick Favors, David Kahn prend Wesley Johnson, parmi les joueurs les mieux cotés à l’aile de la classe 2010 à l’époque. Or non seulement le rookie en provenance de Syracuse n’a jamais eu l’impact espéré, mais la déception chez les fans de la franchise est d’autant plus grande lorsque l’on regarde la liste des beaux specimens toujours disponibles au moment de faire ce choix, de DeMarcus Cousins à Gordon Hayward en passant par Paul George, Eric Bledsoe, Avery Bradley ou encore Lance Stephenson.\\n\\nMoins de trois semaines après la draft, les Wolves saisissent une belle opportunité en prenant un autre ailier, Michael Beasley, contre deux seconds tours de draft (Miami avait besoin de dégraisser pour composer son Big Three avec Dwyane Wade, LeBron James et Chris Bosh). Ce qui n’a pas vraiment aidé à l’éclosion de Wes Johnson, dont le temps de jeu a été diminué et l’obligeant à dépanner sur le poste 2. Ajoutez à cela le trade d’Al Jefferson, la promotion de Darko Milicic au cours de la même période (expliquant la raison pour laquelle Minnesota a laissé filer « DMC » à la Draft »), vous obtenez au mieux une crise de nerfs, au pire une hémorragie du nerf optique.\\n\\n\\n5. Draft 2011 : destructeur Derrick\\n\\nL’aboutissement d’un travail de longue haleine. Après avoir échoué lors des deux premières drafts, David Kahn a poursuivi son œuvre malheureuse en misant sur Derrick Williams avec le 2e choix. Encore un ailier prometteur d’après les prédictions de l’époque, qui, comme Wes Johnson, n’aura pas l’aura attendue par la franchise.\\n\\nLe joueur d’Arizona aura lui aussi un mal fou à s’adapter à la NBA et navigue aujourd’hui entre les USA et la Chine. Une fois de plus, la liste des joueurs draftés après Derrick Williams a de quoi donner le vertige, entre Kemba Walker, Klay Thompson, Kawhi Leonard ou encore Jimmy Butler.\\n\\nAprès deux saisons de plus terminées loin du top 8 à l’Ouest, le contrat de David Kahn n’a pas été prolongé. Le Phénix renaît aujourd’hui de ses cendres à Paris. Reste à espérer pour ce nouveau projet qu’il aura retenu les leçons de ses erreurs du passé.\\n\\n\\nMichael Rand (Star Tribune) : « Les fans étaient prêts à lui donner une chance »\\n\\nMichael Rand, spécialiste de la question, a publié un billet le mois dernier au sujet de la renaissance de David Kahn de l’autre côté de l’Atlantique. Sur le ton de l’ironie, le journaliste sportif américain en a profité pour glisser que Jonny Flynn serait encore dispo pour aider le Paris BasketBall à réaliser l’un de ses objectifs, intégrer l’Euroleague en 2022.\\n\\nAlors que les Wolves sont enfin de retour sur le droit chemin avec une apparition en Playoffs la saison dernière après 13 ans d’absence, l’observateur du Star Tribune a accepté de revenir brièvement sur cette sombre période de l’histoire de la franchise.\\n\\nMichael Rand, pouvez-vous expliquer comment David Kahn s’est retrouvé directeur des opérations basket d’une franchise NBA ? On retrouve peu d’infos sur son parcours durant les années qui ont précédé sa nomination...\\n\\nCette question reste un peu un mystère. Le consensus qui se dégage, c’est que Kahn entretenait de bonnes relations avec le « NBA commissioner » de l’époque, David Stern, au moment de son embauche. Ça lui valait un certain respect au sein de l’organisation. Mais il y avait aussi quelques candidats plus qualifiés qui ont abandonné le processus au tout début, laissant moins de choix aux dirigeants des Wolves.\\n\\nVous rappelez-vous de l’atmosphère qui régnait à son arrivée et du moment où il a commencé à perdre du crédit auprès des fans ?\\n\\nJe crois que les fans étaient prêts à lui donner une chance, mais malheureusement, dans la toute première draft qu’il a dirigée, il a choisi meneur de jeu après meneur de jeu et aucun d’entre eux ne s’appelait Steph Curry, que les Wolves ont laissé passer aux 5e et 6e choix. Au fil du temps, ce move s’est avéré catastrophique et sa crédibilité en a pris un coup.\\n\\nQuelle est la première chose qui vous vient à l’esprit à son sujet ?\\n\\nEn général, j’ai aimé traiter avec lui, mais je pense que beaucoup d’autres membres des médias l’ont jugé suffisant. Je n’oublierai jamais un échange que nous avons eu au cours d’un point presse pre-draft où nous avons essentiellement terminé dans une impasse au sujet des meneurs de jeu. C’était avant la Draft de 2010, donc après l’épisode de 2009 où ils n’avaient pris que des meneurs de jeu.\\n\\nOù le placeriez-vous au classement des pires managers de l’histoire de la NBA ?\\n\\nWow, c’est une question difficile. Il est certainement plus près du haut de la liste qu’en bas, mais il n’est pas le pire de tous les temps.\\n\\nQuel est selon vous le pire move réalisé par David Kahn ?\\n\\nClairement, le pire a été de choisir Jonny Flynn (et dans une moindre mesure Ricky Rubio) à la place de Steph Curry à la Draft de 2009. La plupart des gens pensaient que Rubio à la 5e place était un bon choix. Après ça, il aurait semblé logique qu’il prenne Curry, un autre meneur, mais aussi un meilleur shooteur. A la place, il a pris Flynn et le reste fait désormais partie de l’histoire.\\n\\nQuel est votre point de vue sur son passage aux Wolves durant ces quatre saisons ? Était-ce davantage un manque de chance ou il y avait une vraie part d’incompétence ?\\n\\nJe pense que c’était les deux. Il a absolument saboté la draft de 2009 et n’a pas bien géré les négociations contractuelles avec Kevin Love. Mais il a réussi à faire venir Rubio. Là où il a été malchanceux, c’est qu’en 2010 et en 2011, les Wolves avaient touché le fond dans l’espoir d’obtenir de bons choix de draft. C’était une stratégie solide, au même niveau que les Sixers. Mais les Wolves ont eu la deuxième meilleure cote lors de l’obtention du premier choix en 2010 et ont terminé avec 4e choix dans une draft assez faible où ils ont choisi Wes Johnson. En 2011, ils ont eu le pire classement et donc la meilleure chance d’obtenir le premier choix, mais ils sont tombés au n°2 après la loterie et ont pris Derrick Williams. Les meilleurs choix cette année-là étaient des franchise-players (John Wall en 2010 et Kyrie Irving en 2011). Si les Wolves avaient eu un poil plus de chances lors de ces deux drafts, Kahn aurait pu sembler plus intelligent. Par exemple, lesWolves se sont retrouvés dans la même configuration en 2015 après le départ de Kahn, et ils ont fini par obtenir le premier choix, qu’ils ont transformé en prenant Karl-Anthony Towns. Kahn avait la bonne idée avec un gros stock de picks. Mais il s’est fourvoyé dans le projet par une combinaison de malchance et de mauvais choix.\\n\\nPour revoir les mouvements réalisés en intégralité par David Kahn entre 2009 et 2013 à la tête des Wolves de Minnesota\\n\\n[armelse]\\n\\nA sa tête, le dénommé David Kahn, ancien directeur des opérations basket d’une franchise NBA (les Wolves de Minnesota, de mai 2009 à mai 2013) s’est vu dérouler le tapis rouge, à grands renforts de billets verts. Comme bon nombre d’observateurs de la planète orange, Kahn s’était étonné de l’absence d’un club d’envergure à Paris, voilà simplement comment l’idée est née. Aujourd’hui, le ciel couvrant la tête du « Paris Basket-Ball » est radieux, son avenir plein d’enthousiasme et d’espérance. Donc par avance, désolé de faire le « parigo » et de casser un peu l’ambiance.\\n\\nUn Marseillais à Paris\\n\\nMais à y regarder de plus près le parcours de décisionnaire du nouveau président du club parisien lors de son passage à Minneapolis, il y a de quoi nourrir un brin d’inquiétude.\\n\\n[/arm_restrict_content][arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16M : la France ne fait pas de cadeau à l’Allemagne et se qualifie pour les quarts de finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En huitième de finale de l’Euro U16M face à l’Allemagne, l’Equipe de France n’a pas tremblé et s’est imposée 83-56.\\n\\nDès le premier quart-temps, les joueurs de Bernard Faure ont imposé leur style en l’emportant de 11 points (23-12). De retour sur le parquet, c’est la même chose. Malgré du gâchis sur la ligne des lancers (6/12 à la pause), les Bleuets sont largement en tête à la mi-temps, 43-15. Et cela en grande partie grâce à Yvan Ouedraogo qui compile alors 16 points et 8 rebonds pour une évaluation de 20.\\n\\nDe retour des vestiaires, les coéquipiers de Jayson Tchicamboud enfoncent le clou et commencent par un 12-0. Dans le troisième quart-temps les Bleuets déroulent et gardent plus de 20 points d’avance. Malgré un coup de mou dans la première moitié du dernier quart-temps, les Français ont remis un coup d’accélérateur en fin de partie pour finir le match en beauté.\\n\\nMeilleur joueur de la rencontre, Juhann Begarin a compilé 21 points, 3 rebonds et 2 passes décisives pour une évaluation de 24.\\n\\nEn quarts, les Bleuets affronteront la Serbie ou la Slovénie, mercredi à 20h30.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Fernando Raposo (Antibes) opéré de la main"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La préparation commence mal pour Fernando Raposo (2,04m, 29 ans) à Antibes qui va être écarté des parquets quelques semaines.\\n\\nVictime d’un accident domestique, l’ancien joueur du BCM Gravelines-Dunkerque souffre d’une fracture du cinquième métacarpe de la main droite. Le club azuréen annonce que le natif de Stuttgart a été opéré avec succès et qu’il devrait faire son retour avant le début du championnat. Les Sharks lanceront leur saison 2018/19 en Jeep® ÉLITE à domicile face à à Limoges le 22 septembre.\\n\\nLa saison dernière, Fernando Raposo compilait en moyenne 3 points et 3 rebonds pour une évaluation de 4,6.\\n\\n\\n\\n\\n🚑🏥 Victime d’un accident domestique, @boy9wonder s’est fracturé le cinquième métacarpe de la main droite.\\n\\n\\nOpéré avec succès, le nouvel intérieur des @SharksAntibes devrait être de retour sur les parquets avant la reprise du championnat le 22 septembre à l’Azurarena. pic.twitter.com/jPMQPqxwI3\\n\\n\\n— Antibes Sharks (@AntibesSharks) August 14, 2018\\n\\nPhoto : Julie Dumélié/BCM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jean-Denys Choulet (Chalon) se dit déçu du comportement de Pierre-Antoine Gillet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Journal de Saône et Loire rapporte les commentaires du coach de l’Elan Chalon, Jean-Denys Choulet, quelque peu courroucé par l’attitude de l’international Pierre-Antoine Gillet (2,01m, 27 ans).\\n\\n« J’ai été extrêmement déçu du comportement de Pierre-Antoine Gillet qui est venu dans le bureau de Rémy Delpon lui dire qu’il ne voulait plus rester et qui, deux semaines avant la reprise, a appelé en disant qu’il voulait revenir car il ne trouvait pas de club. Et on a dû trouver un arrangement avec lui. Quand tu prends une décision, tu l’assumes. C’est une grosse déception car personnellement, il n’est jamais venu me dire qu’il partait alors que moi, j’étais prêt à repartir pour une saison avec lui. Ce sont des choses inacceptables pour moi. J’ai une certaine droiture et fierté qui ne me feront jamais faire des choses comme ça. »\\n\\nLe Belge a fait une saison 2017-18 terne en Jeep Elite avec 6,7 points et 3,7 rebonds en 22′ en moyenne.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France féminine: Helena Ciak au repos"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à une douleur ressentie à la cuisse au cours d’un entraînement, Helena Ciak (1,97m, 28 ans) a été mise au repos par le staff de l’Équipe de France féminine. Les examens médicaux passés hier lundi n’ont pas révélé de lésion importante, mais nécessitent que la joueuse soit préservée.\\n\\nL’intérieure ne sera donc pas alignée pour les deux rencontres de préparation des Bleues face à l’Italie les 20 et 21 août prochain (19h00) à Anglet. Helena Ciak reste néanmoins au sein du groupe tricolore pour suivre des soins qui lui permettront de reprendre l’entraînement lors du prochain stage de l’Équipe de France féminine à Lyon à la fin du mois.\\n\\nPhoto: FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: La ligue ACB en mal de joueurs espagnols"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En attendant les résultats du championnat d’Europe U16 qui est toujours en cours, les performances cet été des équipes espagnoles ne sont pas brillantes, elles qui nous ont habitué à l’excellence. Les U20 ont terminé 7e de l’Euro et les U18 9e. Quant aux U17, ils n’étaient pas qualifiés pour le championnat du monde. Les Bleus ont terminé respectivement 4e, 3e et 2e de ces trois compétitions. Mais il y a tout aussi grave : ces jeunes comme leurs aînés n’ont plus leur place en ACB !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComme en France et les autres pays d’Europe occidentale, le championnat espagnol a dû faire place à un nombre croissant de joueurs étrangers depuis l’Arrêt Bosman, prononcé il y a près de vingt-trois ans.\\n\\n« Sur les 85 signatures officielles des équipes de la Liga Endesa, 12 seulement sont espagnoles, soit un peu plus de 14% », révèle Julian Felipo dans Mundo Deportivo.\\n\\nEn fait, les six équipes (Real Madrid, Vitoria, Barcelone, Gran Canaria, Valence, Andorre), qui ont occupé la pole position lors de la saison 2017-18 n’ont recruté aucun joueur espagnol et Fuenlabrada et Sagarosse en ont enrôlé la moitié à eux deux.\\n\\nSi Valence a encore 50% de son effectif composé d’Espagnols, Vitoria où évolue Vincent Poirier en n’a aucun à l’exception du naturalisé Ilimane Diop. Andorre en compte un seul, Guilem Colom. Au Real Madrid, ils sont quatre, tout comme à Barcelone mais en incluant Juanca Navarro qui ne devrait plus jouer. Et au Barça, avec Thomas Heurtel, il n’y a que des étrangers dans le cinq de départ envisagé.\\n\\n« L’introduction des limites des quotas de formation au lieu des limites de la nationalité a donné une certaine flexibilité aux clubs qui peuvent répondre aux critères avec des joueurs formés dans des centres de formation espagnols de plus en plus mondialisés, » écrit Julian Felipo.\\n\\nLe rapport de la FIBA et du Centre international d’étude du sport a démontré que la Liga Endesa pour la saison 2016-17 affichait une présence de 69,6% de joueurs étrangers. Un chiffre en constante augmentation puisqu’il était de 59,6% en 2012. La barrière des 70% devrait être franchie cette saison.\\n\\n« Les chiffres de l’ACB contrastent avec le reste des compétitions nationales dans d’autres pays, où il existe une plus grande protection du joueur national dans certains cas ou une plus grande sensibilité à leur égard de la part des clubs. En 2017, la ligue avec plus d’étrangers (derrière l’Espagne) était la française, avec 57,8%. »\\n\\nComme la France, l’Espagne a réussi jusqu’à présent un sans-faute lors des matches de qualifications pour la Coupe du monde 2019 alors qu’elle était privée de ses joueurs de NBA et d’Euroleague. Sans doute les Espagnols qui ont leur place dans leur championnat national se bonifient. Mais ils sont de moins en moins nombreux.\\n\\nPhoto: Equipe d’Espagne pour les qualifications à la Coupe du Monde 2019, FIBA\\n\\nSource: Mundo Deportivo.\\n\\n[armelse]\\nComme en France et les autres pays d’Europe occidentale, le championnat espagnol a dû faire place à un nombre croissant de joueurs étrangers depuis l’Arrêt Bosman, prononcé il y a près de vingt-trois ans.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Olivier Bourgain (Directeur Sportif Limoges) : «Cette équipe a de la gueule»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est le jour de la rentrée au CSP Limoges. Tous les joueurs sous contrat ont rendez-vous ce soir au Palais des Sports de Beaublanc pour le premier entraînement.\\n\\nPrésent pour cette reprise, le Directeur Sportif du CSP, Olivier Bourgain s’est exprimé sur ce retour aux affaires.\\n\\n« Premier entraînement ce soir. C’est la rentrée des classes, on a fait notre cartable. On est prêts, il y a Dwight Hardy qui va arriver. On est excités parce qu’on a bien bossé cet été. Je trouve que l’équipe a de la gueule. Elle est dans les gènes du CSP Nation, elle est dans la jeunesse, dans la formation. »\\n\\nLes supporters auront-ils le droit à une dernière recrue avant la reprise du championnat ? L’ancien dirigeant du SOMB reste mystérieux à ce sujet.\\n\\n« On sera au complet ce soir avant, peut-être une surprise, mais on n’en est pas encore là. »\\n\\nEn attendant le retour de la Jeep Elite, les fans limougeauds ont rendez-vous à la fin du mois pour assister à un entraînement ouvert au public.\\n\\n« Le 27 août à Beuablanc, il y aura un entraînement ouvert au public. On l’a fait l’année dernière et on avait été choqués par la ferveur. C’est important que les joueurs voient un petit peu ce qui va se passer pendant la saison donc on compte sur vous. »\\n\\nLa saison dernière, le CSP Limoges a terminé à la quatrième place. En playoffs, les joueurs de Kyle Milling ont éliminé la JDA Dijon (2-0) avant de s’incliner 3-1 face à Monaco en demi-finale. Feront-ils mieux cette saison ?\\n\\nL’effectif du Limoges CSP version 2018/19 est consultable ici.\\n\\nPhoto : Sébastien Grasset"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Paris Basketball annonce la signature de deux nouveaux joueurs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après le recrutement de Gary Florimont et Théo Bouteille, le Paris Basketball continue de dévoiler les noms de ses recrues. Aujourd’hui : Daniel Dillon (1,93m, 32 ans) et Gauthier Denis (1,98m, 21 ans).\\n\\nNé à Melbourne, le meneur australien a passé la majorité de sa carrière dans le championnat australien avant de tenter sa chance en Europe, en Roumanie puis en Pologne. Egalement aperçu du côté du Japon, l’ancien joueur du Melbourne United a passé la saison 2017/18 sans jouer à cause d’une lourde blessure au tendon d’Achille survenue durant l’été.\\n\\nÂgé de onze ans de moins, Gauthier Denis arrive, lui, en provenance du Havre. Médaillé de bronze au championnat d’Europe U20 en 2017, le natif d’Evreux a été formé à l’INSEP avant de rejoindre le STB en 2014.\\n\\nEn 2015/16, Daniel Dillon compilait en moyenne 16,2 points, 4,5 rebonds et 5,5 passes décisives en première division polonaise. Gauthier Denis tournait, lui, à 5 points, 3 rebonds et 1,5 passe décisive pour une évaluation de 6,3.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : Melbourne United"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Remi Barry mis à l’essai par Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En stage dans les Alpes italiennes, à Bormio, l’AS Monaco n’a pas fait le déplacement qu’avec les joueurs sous contrat.\\n\\nRemi Barry (2,03m, 26 ans) fait partie des joueurs invités par Sasa Filipovski. L’ancien pensionnaire de New Mexico State est mis à l’essai par le staff monégasque pendant ce stage. La saison dernière, le natif de Tremblay a commencé en Croatie avant de rejoindre la Macédoine pour enfin terminer la saison à Poitiers.\\n\\nLa saison dernière, Remi Barry compilait en moyenne 20,2 points et 7,2 rebonds entre les championnats croate et macédonien, et la Pro B.\\n\\nPhoto : PB86"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce: Giannis Antetokounmpo devrait manquer les deux matches de l’équipe nationale en septembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La star de Milwaukee Bucks, Giannis Antetokounmpo (2,11m, 23 ans), devrait être indisponible pour les qualifications à la Coupe du monde en septembre.\\n\\nL’équipe nationale grecque y affrontera la Serbie (le 13) et la Géorgie (le 16) et le « Greek Freak » pensait pouvoir être présent lors de l’un de ces deux matches. Cependant, le camp d’entraînement des Bucks commence le 27 août et il est peu probable que l’équipe lui permette de faire le déplacement en Grèce pendant deux semaines et de participer aux qualifications. Milwaukee a des attentes élevées avant la nouvelle saison (nouvelle salle, nouvel entraîneur, style de jeu différent) et ils auront besoin d’Antetokounmpo pour participer au camp d’entraînement dès le premier jour.\\n\\nLa Fédération grecque doit dévoiler la liste des joueurs qui affronteront la Serbie et la Géorgie dans les prochains jours.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"WNBA: Endy Miyem virée des Minnesota Lynx !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’aventure d’Endy Miyem aux Minnesota Lynx est terminée. Sa meneuse Danielle Robinson blessée, la franchise a pris la décision de signer une point guard remplaçante et pour se faire a licencié l’internationale française.\\n\\nLe bilan est pauvre. Depuis le début de la saison, Endy a disputé 20 matchs. Elle s’est contentée de 1,4 point, 32,4% aux tirs, 0,6 rebond et 0,3 passe. Son meilleur temps de jeu (26′) fut obtenu le 11 juillet contre Indiana et son record de points (6) quatre jours plus tard face à Connecticut.\\n\\nRien n’empêche désormais la néo-Montpelliéraine de rejoindre l’équipe de France qui est en préparation pour la Coupe du Monde en Espagne.\\n\\n\\n\\n\\nWe have waived Endy Miyem.\\n\\n\\n📰 » https://t.co/iKawBVYVd6 pic.twitter.com/oOke6dwJtZ\\n\\n\\n— Minnesota Lynx (@minnesotalynx) August 13, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Quand les Bleues s’offrent quelques petits délires"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de France féminine est toujours en préparation à Anglet. Hier la néo-Berruyère Lisa Berkani a pris les commandes du Snapchat de la FFBB (ffbb_officiel). L’occasion pour les Bleues de s’offrir quelques petits délires et pour nous de découvrir les coulisses du stage..."
}, 
{"role": "user",     "content":"Champion de France et MVP de Pro A, Randal Falker signe un nouveau contrat en Roumanie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé en 2016 après avoir quitté Nancy, Randal Falker (2,01m, 33 ans) va vivre une troisième saison en Roumanie.\\n\\nSur Twitter ses agents ont annoncé sa signature à Sibiu. Il arrive en provenance de la capitale, Bucarest, où il évoluait déjà en 2016/17. Champion de France en 2010 avec Cholet et MVP étranger de Pro A en 2014, le natif de Saint-Louis a passé sept saisons en France entre 2008 et 2016. Avec Bucarest, il a terminé finaliste des playoffs au terme de l’exercice 2017/18.\\n\\nLa saison dernière, Randal Falker compilait en moyenne 10,6 points, 7,4 rebonds et 2,6 passes décisives en première division roumaine.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U16: A suivre en direct sur YouTube à 18h15 le 8e de finale, France-Allemagne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est un match piège par excellence. Les Bleuets ont remporté leurs trois matches de groupe à l’Euro U16. Confortablement face à l’Italie (+28) et la Géorgie (+52), avec une marge plus étroite face à l’Estonie (+9). De l’autre côté, les Allemands ont perdu deux fois mais si l’écart était relativement conséquent face à la Croatie (-12), il s’est établi au minimum face à la Grèce (-1). De plus, ils ont battu avec la manière (+15) la Turquie, première du groupe et ce n’est qu’en raison d’un point-average défavorable qu’ils se retrouvent à la quatrième place.\\n\\nConclusion: c’est une équipe dangereuse au temps de jeu très partagé (dix joueurs entre 16 et 21′ par match) que va retrouver cet après-midi à 18h15 à Novi Sad l’équipe de France en huitième de finale. C’est à suivre comme d’habitude sur YouTube.\\n\\nPhoto: Jayson Tchicamboud (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Quand le médaillé de bronze à l’Euro U18, Kenny Baptiste tape dans l’oeil de DraftExpress"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Kenny Baptiste (2,00m) qui a obtenu une médaille de bronze à l’Euro U18 a tapé dans l’œil du site spécialisé DraftExpress même si ses statistiques ne sont pas mirobolantes (5,0 points, 3,9 rebonds).\\n\\nAgé de 18 ans, le Guadeloupéen, qui est espoir au Mans, possède un physique exceptionnel, de longs bras, des qualités athlétiques impressionnantes alors qu’il n’est encore qu’un basketteur en herbe estime le site.\\n\\nDraftExpress a réalisé une vidéo qui séquence ses actions.\\n\\nA lire ici le commentaire du coach Frédéric Crapez sur l’ensemble de ses 12 joueurs à l’Euro.\\n\\nhttps://twitter.com/DXContent/status/1028773650294550528"
}, 
{"role": "user",     "content":"Israël : Jamal Shuler (Nanterre) signe à l’Hapoel Tel Aviv"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Devenu agent il y a peu après avoir quitté son poste de journaliste, David Pick a fait signer son premier joueur. Il s’agit de Jamal Shuler (1,90m, 32 ans). L’ancien chasseur de scoops a fait l’entremetteur entre l’Hapoel Tel Aviv et AMRAgency, qui représente Shuler.\\n\\nEn France depuis 2010 – il a passé la saison 2013/14 au Khimik Youjne – entre Vichy, Nancy, Nanterre et Monaco, le natif de Jacksonville va découvrir un nouveau championnat en Israël. Passé professionnel à Trier, en Allemagne, à sa sortie de l’université de Richmond en 2008, l’ancien joueur de l’AS Monaco a l’habitude de disputer les compétitions européennes entre l’Euroleague, l’Eurocup, l’Eurochallenge (remporté en 2015) ou encore la Champions League. En Israël, il devra passer la phase de qualification avec son équipe afin de pouvoir évoluer en BCL.\\n\\nLa saison dernière, Jamal Shuler compilait en moyenne 9,4 points, 2,9 rebonds et 4 passes décisives pour une évaluation de 9,9 en Jeep Élite, et 13,8 points, 4,2 rebonds et 5,1 passes décisives pour une évaluation de 14,7 en Champions League.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Bastien Pinault (Chalon): «J’ai envie de tout casser»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La belle gâchette de l’Elan Chalon et de toute la Jeep Elite, Bastien Pinault (1,94m, 25 ans) est ambitieux pour lui et son équipe comme il le confie à Creusot Infos.\\n\\nIl s’est caractérisé la saison dernière par sa capacité à rentabiliser son temps de jeu: 5,3 points en 9 minutes de moyenne avec une superbe adresse à trois-points: 52,2%.\\n\\n«Cette saison j’espère doubler. Le coach est prêt à me faire confiance. Je sais que c’est à moi de prendre ma place. Il me faudra pour cela plus de tout. Plus de combativité, plus de défense, plus d’efficacité. J’en suis pleinement conscient et je veux travailler pour cela».\\n\\nLa saison dernière très chaotique de l’Elan ne l’a pas découragé, au contraire:\\n\\n«Au risque de choquer, je vais prendre des mots forts : J’ai envie de tout casser. Oui envie de tout casser avec l’équipe. Je suis motivé comme jamais, car comme beaucoup j’ai été marqué par la dernière saison»\\n\\nA t-il songé à partir?\\n\\n«Non, jamais de la vie. J’avais signé pour deux saisons et à aucun moment je n’ai ressenti le désir ou le besoin d’aller ailleurs. J’avais vraiment envie de rester, car j’aime bien ce club, cette salle du Colisée et le public avec nos supporters. Quand on était dans le rouge, le public a toujours été derrière nous. Il n’y a qu’un fois, contre Boulazac, qu’il a manifesté sa colère, mais il y avait de quoi...»\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Du beau monde pour le jubilé de Bostjan Nachbar et Sani Becirovic"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Présent lors de la ligue d’été de Las Vegas en tant que scout pour les Pistons, Bostjan Nachbar a raccroché les baskets depuis le mois de mai dernier. L’élégant ailier slovène qui a notamment porté la tunique des Nets ou de Barcelone a décidé de monter son jubilé avec Sani Becirovic, son coéquipier de longue date en sélection nationale.\\n\\nEt le moins qu’on puisse dire, c’est que les deux amis ont mis le paquet pour leur ultime danse. Avec des joueurs comme Marco Belinelli, Luigi Datome, Sasha Pavlovic ou encore Sarunas Jasikevicius, Nenad Krstic, Rasho Nesterovic et Dimitris Diamantidis sur les planches, le match aura son lot de légendes du Vieux Continent.\\n\\nIntitulée « Basketball Symphony », la soirée aura lieu le 30 août prochain, à la Stozice Arena de Ljubljana. Voici les effectifs au complet, un vrai régal pour nostalgiques...\\n\\nTeam Sani (Sani Becirovic)\\n\\nJoueurs : Fragiskos Alvertis, Pero Antic, Dalibor Bagaric, Marco Belinelli, Vladimer Boisa, Primoz Brezec, Primoz Brolih, Luigi Datome, Rodrigo De La Fuente, Dimitris Diamantidis, Jurica Golemac, Jasmin Hukic, Vlatko Ilievski, Sarunas Jasikevicius, Slavko Kotnik, Sasha Pavlovic, Miroslav Raduljica, Matjaz Smodis\\n\\nEntraîneurs : Memi Becirovic, Sasa Djordjevic, Dimitris Itoudis, Tone Krump, Zeljko Obradovic\\n\\nTeam Boki (Bostjan Nachbar)\\n\\nJoueurs : Boris Gorenc, Goran Jagodnik, Nenad Krstic, Jaka Lakovic, Erazem Lorbek, Marko Milic, Rasho Nesterovic, Smiljan Pavic, Igor Rakocevic, Uros Slokar, Zoran Planinic, Beno Udrih, Samo Udrih, Nikola Vujcic, Jiri Welsch\\n\\nEntraîneurs : Zoran Matic, Grega Nachbar, Ales Pipan, Zmago Sagadin"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Paris Basketball lance son recrutement avec Gary Florimont et Théo Bouteille"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Né du rachat des droits sportifs du HTV, le Paris Basketball, engagé en Pro B à la rentrée, ne comptait encore aucun joueur sous contrat jusqu’à ce lundi 13 août.\\n\\nVia un communiqué de presse, le club parisien a officialisé les signatures de Gary Florimont (2,02m, 31 ans) et Théo Bouteille (1,92m, 20 ans). Le premier, qui arrive en provenance de Nancy, s’est engagé pour deux saisons tandis que le petit frère du Limougeaud Axel Bouteille a signé pour une saison. Il arrive de Hyères-Toulon et signe son premier contrat professionnel.\\n\\nLa saison dernière, Gary Florimont compilait en moyenne 4,9 points et 4,2 rebonds en Pro B. Théo Bouteille tournait, lui, à 15,2 points, 6 rebonds et 2,7 passes décisives dans le championnat Espoirs.\\n\\nLe club compte désormais deux joueurs et un coach (Jean-Christophe Prat) dans son effectif 2018/19."
}, 
{"role": "user",     "content":"Au lieu des vacances, Axel Toupane a choisi de suivre une formation à HEC Paris"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme nous vous l’annoncions il y a quelques semaines, Axel Toupane (2,01m, 25 ans) a été accepté pour suivre une formation au sein de la Haute Ecole de Commerce de Paris pendant le mois de juillet.\\n\\nChampion de Lituanie et médaillé de bronze en Euroleague avec le Zalgiris Kaunas, l’international français a vécu une année pleine de succès et a pu profiter du mois de juillet pour reprendre ses études. Pendant deux semaines, il a suivi la formation Management du Luxe à HEC.\\n\\nSur le site de l’école, le nouveau joueur de l’Olympiakos explique d’abord pourquoi il a décidé de suivre cette formation.\\n\\n« Aussi drôle que cela puisse paraître, en grandissant, mon père (joueur professionnel depuis 15 ans et maintenant entraîneur professionnel) était fort à l’école. Il ne se souciait pas vraiment du basket mais il était toujours à mes côtés pour l’école. Le regarder étudier pendant des années alors qu’il jouait encore était aussi une source d’inspiration. Maintenant que je grandis, que je deviens plus mature et que j’élargis mes loisirs, je comprends. J’ai été dans quelques situations ces dernières années avec des gens et je ne pouvais pas continuer la conversation, ce qui était incroyablement frustrant, mais cela m’a aidé à comprendre l’importance de l’enseignement supérieur. Rejoindre HEC était aussi une chance pour moi de faire partie de cette famille. En effet, HEC est l’une des meilleures écoles de commerce au monde et dispose d’un formidable réseau pour aider les jeunes étudiants comme moi à trouver diverses opportunités. »\\n\\nIl est ensuite revenu sur cette expérience particulière.\\n\\n« Pour moi, nous allions étudier 8 heures par jour, sans interruption, le professeur parlerait si vite que je ne serais pas capable de prendre des notes, après la classe nous aurions dû étudier encore et encore... Ces deux semaines auraient été extrêmement difficiles et intenses pour moi : quelqu’un qui n’est pas allé à l’école depuis des années ! Mais c’était bien, je me sentais plutôt bien en classe, j’essayais toujours de participer pour rester concentré, le professeur était très pédagogue alors tout s’est bien passé... J’ai enfin été présenté au « Nespresso » et je peux enfin avouer que ça a beaucoup aidé ! Le programme Management du Luxe que j’ai choisi était exactement celui que je cherchais. Il m’a permis d’assimiler certains concepts/lois de gestion et d’affaires universels nécessaires dans mes propres entreprises, mais qui peuvent également s’appliquer à différents secteurs. Nous avons commencé par apprendre l’histoire du luxe, qui constitue une part très importante de la culture française, puis nous avons rapidement appris à examiner/évaluer une marque et les différentes stratégies qu’elle utilise et comment la développer et la rendre plus attrayante. C’était tout l’objectif de notre projet de groupe : choisir une marque et trouver des solutions pour la développer... Eh bien, je vais couper tout type de suspense, mon groupe et moi l’avons très bien réussi, nous avons fini sur le podium, ce qui était plutôt cool. D’autant que les 10 autres projets n’ont pas eu cette chance. Au cours de ce projet de groupe, j’ai vraiment eu l’impression d’être déjà dans le monde professionnel, ce qui m’a donné une position différente de celle de mes partenaires qui étudient encore à l’université. »\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Perry Petty serait le nouveau meneur du SLUC Nancy"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Globe-trotter dans l’âme avec quatorze clubs à son actif en moins de dix ans, Perry Petty (1,85m, 30 ans) aurait donné son accord pour rejoindre le SLUC et boucler le recrutement du club nancéien.\\n\\nSelon l’Est Républicain, Christian Monschau aurait trouvé le joueur qui sera à la baguette de son équipe pour la saison 2018/19. Notamment formé à l’Université Santa Clara, le natif de Milwaukee est déjà passé par la G-League, une ligue mineure américaine, le Venezuela, la Biélorussie, l’Italie, la Hongrie, le Liban, la Grèce et la Lituanie. Meneur complet présent au scoring, au rebond et à la passe, il devrait vivre sa première expérience en France en Pro B. Malgré qu’il soit né aux Etats-Unis, l’ancien joueur de la Virtus Roma dispose du passeport bissau-guinéen.\\n\\nSelon nos informations, le joueur a un mois de contrat garanti, le reste étant soumis aux performances du joueur et sans doute aussi à l’état du marché au mois de septembre.\\n\\nLa saison dernière, Perry Petty compilait en moyenne 10,2 points, 6,2 rebonds et 4,2 passes décisives dans le championnat lituanien.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Vitoria recrute le champion de G-League Darrun Hilliard"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après trois saisons passées entre la NBA et la G-League, Darrun Hilliard (1,98m, 25 ans) va traverser l’Atlantique pour rejoindre Vitoria, annonce le club.\\n\\nAncien pensionnaire de l’université de Villanova, il a remporté le titre de G-League il y a quelques semaines avec les Austin Spurs. Passé par les Detroit Pistons, le natif de Bethlehem a également représenté les Etats-Unis l’année dernière et a remporté l’AmeriCup avec Team USA. Jamais sorti des Etats-Unis, il va vivre sa première expérience en Europe et en Euroleague avec le Baskonia, pour lequel il a signé une saison.\\n\\nLa saison dernière, Darrun Hilliard compilait en moyenne 20,6 points, 4,5 rebonds et 3,8 passes décisives en G-League."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Théo Maledon signe professionnel à l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison passée entre les Espoirs et le banc des professionnels, Théo Maledon (1,91m, 17 ans) vient de signer son premier contrat professionnel à l’ASVEL, annonce le club.\\n\\nHuitième meilleur marqueur du championnat espoirs la saison passée, le natif de Rouen fait partie du futur du basket français. Médaillé d’argent aux championnats du monde U17 cet été, il s’est engagé pour trois saisons avec le club villeurbannais. Aperçu sur le terrain avec les pros à une dizaine de reprises, il a, la saison dernière, été élu dans le cinq majeur du tournoi juniors de l’Euroleague et finaliste du championnat de France U18.\\n\\nLa saison dernière, Théo Maledon compilait en moyenne 16,1 points, 4,5 rebonds et 5,1 passes décisives dans le championnat espoirs.\\n\\nManager General du club, Yohann Sangaré s’est exprimé sur cette nouvelle.\\n\\n« Nous sommes très heureux de voir Théo signer son premier contrat professionnel à l’ASVEL Basket. C’est une belle récompense pour lui après une première année très chargée. Entre sa préparation au baccalauréat, ses entraînements individuels, ses entraînements avec l’effectif professionnel, ses matchs en U21 et en U18, et ses campagnes en équipe de France jeunes, il a prouvé qu’il était capable d’organiser parfaitement son emploi du temps tout en étant performant sur le terrain. Il fait déjà preuve d’une grande maturité, est un bel exemple pour les autres jeunes du club, et pour nous, il était tout à fait normal de lui faire passer ce cap. A lui maintenant d’élever encore son niveau de jeu et de saisir les opportunités qui se présenteront à lui pendant la saison. »\\n\\nPhoto : ASVEL Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le vice-champion du monde U17 Malcolm Cazalon, de l’ASVEL à Bourg ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"D’après Eurohopes, l’arrière Malcolm Cazalon (1,94m) est en passe de quitter l’ASVEL pour la JL Bourg.\\n\\nFils de l’ancien as du dunk, Laurent Cazalon, Malcolm fut l’un des piliers de l’équipe de France U17 vice-championne du monde cet été apportant 16,4 points (numéro 1 des Bleuets) à 46,9% aux tirs, 4,4 rebonds, 2,1 passes et 3,0 interceptions. Ses qualités athlétiques dont sa vitesse y ont fait merveille.\\n\\nL’horizon peut lui paraître quelque peu bouchée à court terme à l’ASVEL qui a solidifié son écurie de joueurs français et qui compte aussi dans ses rangs son équipier en bleu, Théo Maledon.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=c3MfBKHd8K0\\n\\n\\n\\n\\nJL Bourg is in advanced talks to land French wing Malcolm Cazalon ('01) from ASVEL Villeurbanne, per sources\\n\\n\\n— Eurohopes (@Eurohopes) August 13, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Faute de joueurs, pas d’équipe des Philippines aux Jeux Asiatiques"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il n’y aura pas d’équipe des Philippines aux Jeux Asiatiques qui se tiendront du 19 août au 1er septembre à Jakarta, en Indonésie, a annoncé la Fédération du pays. Motif : pas assez de joueurs de qualité disponibles !\\n\\nLa cause, ce sont les lourdes sanctions infligées à l’équipe nationale à la suite de la bagarre générale du 2 juillet contre l’Australie lors d’un match de qualifications au Mondial 2019. Dix joueurs et deux coachs ont été suspendus depuis par la Fédération internationale.\\n\\n« Nous n’avons juste pas le temps et l’opportunité d’envoyer une équipe optimale pour les Jeux asiatiques », a indiqué vendredi à l’AFP Al Panlilio, président de la Fédération qui a écopé de 215.000 euros d’amende « Nous allons nous concentrer sur le prochain tour de qualification pour les Championnats du monde. »\\n\\nAl Panlilio a affirmé également que sa fédération allait faire appel de la sanction de la FIBA."
}, 
{"role": "user",     "content":"Eliminatoires coupe du monde: Aleksei Shved va faire son retour avec la Russie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il avait manqué les précédents rendez-vous notamment contre la France, l’arrière du Khimki Moscou Aleksei Shved (1,98m, 29 ans) fera son retour avec l’équipe nationale russe lors des deux prochains matches qualificatifs pour la coupe du monde 2019, en République tchèque et à domicile contre la Bulgarie.\\n\\nUn atout majeur pour la Russie car Shved avait été le top-scoreur de l’Euro 2017 (24,3 points avec notamment 35 tirs à trois-points réussis) et il avait été élu dans le Cinq idéal du tournoi. La Russie s’était hissée jusqu’en demi-finale d’une compétition qu’elle a finalement terminée au quatrième rang.\\n\\nLe coach de la Russie Sergei Bazarevich a choisi de reconduire une équipe quasiment identique à celle de la dernière fenêtre. Eugene Valiev (Zenit) et Stanislav Ilnitsky (Lokomotiv Kuban) sont les réservistes.\\n\\nLa Russie (3-3) débutera la second tour au troisième rang du Groupe K derrière la France (6-0) et la République tchèque (5-1), à égalité avec la Finlande (3-3), et devant la Bulgarie et la Bosnie-Herzégovine (2-4).\\n\\nÀ la fin du second tour, les trois meilleures équipes de chacun des quatre groupes seront qualifiées pour la Coupe du Monde FIBA 2019.\\n\\n\\n\\n\\nLa pré-sélection russe\\n\\n\\nSemen Antonov\\nEvgenii Baburin\\nNikita Balashov\\nVitaly Fridzon\\n\\n\\nPetr Gubanov\\nVladimir Ivlev\\nSergey Karasev\\nDmitry Khvostov\\n\\n\\nArtem Klimenko\\nDmitrii Kulagin\\nMikhail Kulagin\\nNikita Kurbanov\\n\\n\\nTimofey Mozgov\\nAleksei Shved\\nIvan Ukhov\\nAndrey Zubkov\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eliminatoires Coupe du Monde: Le pivot des Portland Trailblazers Jusuf Nurkic avec la Bosnie en septembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le pivot des Portland Trailblazers, Jusuf Nurkic (2,13m, 23 ans) a annoncé qu’il répondra présent lors des deux matches de la Bosnie-Herzégovine lors de la quatrième fenêtre qualificative des Éliminatoires Zone Europe pour la Coupe du Monde 2019. A cette occasion la Bosnie sera confrontée à la Finlande (13 septembre) puis la République Tchèque (16).\\n\\nDurant la dernière saison NBA, Jusuf Nurkic a tourné à 14,3 points, 9,0 rebonds et 1,4 contre de moyenne par match, Portland (49-33) terminant troisième de la Conférence Ouest. Les Trail Blazers se sont toutefois fait balayer 4-0 par Utah au premier tour des play-offs.\\n\\nLa Bosnie (2 victoires) est actuellement en mauvaise posture dans le Groupe K derrière la France (6-0), la République tchèque (5-1), la Russie (3-3), la Finlande (3-3) et la Bulgarie (2-4).\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mondial U17 féminin: A suivre aujourd’hui France-Australie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les deux demi-finales, France vs. Australie (20h40 en France) et Etats-Unis vs. Hongrie (19h30), du championnat du monde féminin sont à suivre aujourd’hui sur Canal+ Sport et sur la chaîne Dailymotion de Canal+. à 17h Ce sera également le cas demain pour la finale pour la 3e place et la grande finale.\\n\\n\\n\\n\\n#EdFU17 🏀🌍 demain 20:40 sur Canal+Sport demi-finale #FRAAUS pic.twitter.com/I90BQ40lZ4\\n\\n\\n— agathe roussel (@agatheroussel) July 27, 2018\\n\\nPhoto: Yohana Ewodo (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"3×3: Wilson est le nouveau partenaire ballon de la FFBB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de l’Open de France 3×3 qui se tiendra aujourd’hui sur la Place du Capitole à Toulouse, Wilson et la Fédération Française de BasketBall annoncent leur partenariat. Wilson devient Fournisseur 3×3 et fournira le Ballon Officiel du 3×3 aussi bien pour la Superleague 3×3 FFBB que pour les Championnats de clubs 3×3 qui débuteront dès le mois de novembre.\\n\\nEn devenant Fournisseur 3×3, Wilson fait ainsi bénéficier la FFBB de ses 104 années d’innovation avec son ballon spécialement conçu pour le 3×3. Celui-ci favorise la vitesse, grâce à sa taille 6 et son poids idéal (celui d’un ballon taille 7), et offre un meilleur contrôle en jeu grâce au grip parfait offert par la « Wave Triple Threat Technology ».\\n\\nLe 3×3, discipline Olympique à Tokyo en 2020, est un des piliers de la stratégie de développement de la FFBB avec son circuit de tournois, la Superleague 3×3 FFBB présentée par GRDF et les premiers championnats 3×3 de clubs qui feront leur apparition dès la saison 2018/2019.\\n\\n« Je remercie la FFBB de nous faire confiance pour ce partenariat qui nous est apparu être une évidence dans la droite lignée de notre collaboration avec la FIBA pour cette même discipline. Wilson est convaincu du potentiel du 3×3 à l’international et en France et ravi d’accompagner la stratégie de développement menée par la Fédération Française de BasketBall sur cette discipline qui correspond à nos valeurs d’innovation et de dynamisme,» commente Ludovic Bardot, Manager France Wilson\\n\\n« Je suis ravi de ce nouveau partenariat qui démontre le potentiel important du 3×3 en France. L’arrivée de Wilson parmi nos fournisseurs 3×3 va nous permettre un éclairage supplémentaire sur la Superleague 3×3 FFBB présentée par GRDF mais aussi sur les championnats 3×3 que nous lançons dans les clubs à la rentrée. Cela s’inscrit pleinement dans notre projet FFBB 2024 dans lequel le 3×3 occupe une place majeure. Je remercie Wilson de son soutien et d’être à nos côtés dès l’Open de France 3×3 de cette année, » ajoute Jean-Pierre Siutat, président de la FFBB.\\n\\nPhoto: FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U18: La France ouvre aujourd’hui face à la Russie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de France coachée par Frédéric Crapez ouvre aujourd’hui en Lettonie le championnat d’Europe U18 en affrontant la Russie. Dans leur poule, elle retrouvera également la Turquie et l’Allemagne.\\n\\nLors de leur dernier tournoi de préparation à Vrsac, les Bleuets ont battu deux fois la Serbie, 84-78 et 94-88.\\n\\nChampionnat d’Europe à Ventspils, Liepaja et Riga (Lettonie) du 28 juillet au 5 août\\nSamedi 28 juillet à 19h45 : Russie – France\\nDimanche 29 juillet à 15h15 : France – Turquie\\nMardi 31 juillet à 19h45 : France – Allemagne\\nMercredi 1er août : Huitièmes de finale\\nVendredi 3 août : Quarts de finale\\nSamedi 4 août : Demi-finales\\nDimanche 5 août : Finale\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPrénom\\nNé le\\n\\n\\n\\nTaille\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\nAYAYI\\nJoël\\n05/03/2000\\n196\\nGONZAGA (NCAA)\\n\\n\\nBAPTISTE\\nKenny\\n24/01/2000\\n197\\nLE MANS SB\\n\\n\\nBOURHIS\\nLucas\\n09/02/2000\\n\\n\\n\\n178\\n\\n\\n\\nBCM GRAVELINES\\n\\n\\nCHOUPAS\\nYohan\\n11/03/2000\\n193\\nCFBB (St Charles Charenton)\\n\\n\\nCOUDREAU\\nMarko\\n02/06/2000\\n\\n\\n\\n204\\n\\n\\n\\nCFBB (Stade Marseillais)\\n\\n\\nCRUSOL\\nTimothé\\n05/04/2001\\n190\\nCFBB (CJF Les Aubrais)\\n\\n\\nDIMANCHE\\nKarlton\\n05/03/2000\\n\\n\\n\\n192\\n\\n\\n\\nCHOLET BASKET\\n\\n\\nDOSSOU YOVO\\nMathis\\n06/11/2000\\n\\n\\n\\n205\\n\\n\\n\\nCFBB (Elan Chalon)\\n\\n\\nEYOUM\\nJacques\\n03/02/2000\\n\\n\\n\\n195\\n\\n\\n\\nLE MANS SB\\n\\n\\nLEOPOLD\\nFlorian\\n28/07/2000\\n\\n\\n\\n203\\n\\n\\n\\nCHOLET BASKET\\n\\n\\nMIYEM\\nEssomé\\n15/07/2001\\n208\\nCFBB (Reims Champagne Basket)\\n\\n\\nROBINEAU\\nHugo\\n27/02/2000\\n\\n\\n\\n196\\n\\n\\n\\nCHOLET BASKET\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Scott Wood dernière recrue du BCM Gravelines-Dunkerque"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le BCM est au complet. Scott Wood (1,96m, 28 ans) vient boucler le recrutement de la formation nordiste, annonce le club. Il évoluait la saison dernière à Izmir, en Turquie.\\n\\nAilier shooteur très à l’aise derrière l’arc (plus de 45% de réussite la saison dernière), l’ancien pensionnaire de North Carolina State est passé par Murcie et Santa Cruz avant de s’engager avec le club turc l’été dernier. A Gravelines, il va vivre sa première expérience en France.\\n\\nLa saison dernière, Scott Wood compilait en moyenne 7,9 points, 1,7 rebond et 1,3 passe décisive en championnat, et 8,1 points, 2,4 rebonds et 1,4 assist en Champions League.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mondial U17 féminin: La France écarte la Lettonie, 67-43, et affrontera l’Australie en demi-finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de France U17 affrontera demain l’Australie tenante du titre en demi-finale du championnat du Monde U17 féminin. Les Bleuettes ont largement dominé en fin d’après-midi la Lettonie, 67-43.\\n\\nAvec leur pivot Iliana Rupert parfaitement remise de son entorse à la cheville (déjà 8 points et 5 rebonds à la mi-temps, 12 points, 8 rebonds, 5 interceptions et 20 d’évaluation au total), les Bleuettes ont imprimé d’entrée leur marque défensive sur le match en n’encaissant pas un seul point en sept minutes! Leur avantage était alors de 12-0 et elles ont sur le faire fructifier de la même manière puisque les Lettones n’ont mis que 6 points dans le premier quart et 8 dans le deuxième. 39-14 à la mi-temps. Le contrat était déjà signé.\\n\\nLes Bleuettes ont tout de même connu un sérieux fléchissement dans le troisième quart -temps (11-20). Elles ont toutefois contrôlé jusqu’au bout la situation et donné de l’ampleur à leur victoire dans les dernières minutes. Elles ont réalisé 21 interceptions et les Lettonnes perdu 33 balles !\\n\\nLes 12 Françaises ont marqué.\\n\\nPhoto: Marine Fauthoux (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Montée en Jeep Elite: Après le CNSOF, l’ADA Blois va maintenant saisir le tribunal administratif"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La conciliation au CNOSF de mardi n’a pas permis de trouver un accord entre la FFBB, la LNB d’un côté et l’ADA Blois Basket. Pour espérer monter en Jeep Elite, le club blésois va maintenant saisir le tribunal administratif au fond et en référé.\\n\\n» En référé, cela signifie que la décision, qui sera provisoire, devra être prise rapidement. Et si le juge des référés suspend la décision qui a été prise, le championnat Elite passera à dix-neuf clubs, » estime l’avocat du club Thierry Braillard à La Nouvelle République.\\n\\nSi là encore l’ADA Blois n’obtient pas satisfaction, il ira dit-il jusqu’au Tribunal Administratif du Sport à Lausanne."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le tirage des Coupes de France masculine (64e) et féminine (32e) a eu lieu"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les tirages au sort du premier tour de la Coupe de France masculine (Trophée Robert Busnel) et de la Coupe de France féminine (Trophée Joé Jaunay) ont été effectués ce jour par la Commission Fédérale des Compétitions.\\n\\nLes 1/64e de finale de la Coupe de France masculine (Trophée Robert Busnel) se dérouleront le mardi 19 septembre à 20h00. Les équipes vainqueurs jouerontles 1/32e de finale le mercredi 7 novembre.\\n\\n1/64e de finale de la Coupe de France masculine\\n\\nGET VOSGES (NM1) vs ASC DENAIN VOLTAIRE PORTE DU HAINAUT (PRO B)\\nBESANCON AVENIR COMTOIS (NM1) vs SOUFFELWEYERSHEIM BC (NM1)\\nES PRISSE MACON (NM2) vs SASP SLUC NANCY BASKET (PRO B)\\nEVEIL RECY SAINT MARTIN BASKET (NM1) vs GRIES/OBERHOFFEN BC (PRO B)\\nS.O.M.B. BOULOGNE (NM1) vs SAINT QUENTIN BASKET BALL (NM1)\\nAS KAYSERSBERG AMMERSCHWIHR BCA (NM1) vs LILLE METROPOLE SASP (PRO B)\\nETOILE CHARLEVILLE MEZIERES ARDENNES (NM1) vs ORCHESIEN B C* (NM1)\\nIE – OULLINS STE FOY BASKET BALL (NM2) vs FEURS EF (NM1)\\nAUBENAS US (NM1) vs AIX MAURIENNE SAVOIE BASKET (PRO B)\\nSAINT VALLIER BASKET DROME (NM1) vs ST CHAMOND BASKET VALLEE DU GIER (PRO B)\\nANDREZIEUX BOUTHEON ALS BASKET (NM1) vs SAOS CHORALE DE ROANNE BASKET (PRO B)\\nUS CHARITOISE BASKET (NM1) vs JA VICHY CLERMONT METROPOLE (PRO B)\\nLE CANNET COTE D’AZUR BASKET (NM2) vs SORGUES BASKET CLUB (NM1)\\nUNION TOURS BASKET METROPOLE (NM1) vs ETOILE ANGERS BASKET (NM1)\\nLA ROCHELLE RUPELLA 17 (NM1) vs UNION POITIERS BASKET 86 (PRO B)\\nTOULOUSE BASKET CLUB (NM1) vs UNION TARBES LOURDES PYRENEES BASKET (NM1)\\nJSA BORDEAUX (NM1) vs L’HERMINE NANTES ATLANTIQUE PRO (PRO B)\\nBRISSAC AUBANCE BASKET (NM1) vs ADA BLOIS BASKET 41 (PRO B)\\nPAYS DES OLONNES BASKET NM2 vs ORLEANS LOIRET BASKET PRO B\\nCEP LORIENT BASKET (NM1) vs PARIS BASKETBALL (PRO B)\\nRUEIL ATHLETIC CLUB (NM1) vs SPO ROUEN BASKETBALL (PRO B)\\nVENDEE CHALLANS BASKET (NM1) vs C’CHARTRES BASKET M (PRO B)\\nVITRE AURORE (NM1) vs SEMS ALM EVREUX BASKET (PRO B)\\nSASP SAINT THOMAS BASKET LE HAVRE (NM1) vs CAEN BASKET CALVADOS (PRO B)\\nPAYS DE FOUGERES BASKET (NM2) vs UJAP QUIMPER 29 (PRO B)\\n\\nLes 1/32e de finale de la Coupe de France feminine (Trophée Joé Jaunay) se dérouleront le samedi 6 octobre à 20h00. Les équipes vainqueurs joueront les 1/6e de finale le samedi 3 novembre à 20h00.\\n\\n1/32e de finale de la Coupe de France féminine\\n\\nMONTBRISON FEMININES BC (LF2) vs CAVIGAL NICE BASKET 06 (LF2)\\nBC LA TRONCHE MEYLAN (NF1) vs TOULOUSE METROPOLE BASKET (LF2)\\nCHARNAY BASKET BOURGOGNE SUD (LF2) vs REIMS BASKET FEMININ (LF2)\\nC’CHARTRES BASKET FEMININ (LF2) vs BASKET CLUB SAINT PAUL REZE (LF2)\\nUNION SPORTIVE LA GLACERIE (LF2) vs AULNOYE AS (LF2)\\nCOTE D’OPALE BASKET CALAIS (LF2) vs ANGERS – UNION FEMININE BASKET 49 (LF2)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Le Mans recrute Richard Hendrix, ancien MVP des finales d’Eurocup"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion de France en titre, Le Mans Sarthe Basket s’active dans son recrutement. Après avoir notamment perdu Mykal Riley et DJ Stephens, le MSB vient de signer Richard Hendrix (2,03m, 31 ans) qui arrive en provenance du Galatasaray.\\n\\nLe club manceau vient de mettre la main sur un gros poisson. Champion de la Ligue Adriatique (2012), champion d’Eurocup (2013) et MVP des finales de la compétition la même année, l’ancien joueur du Maccabi Tel-Aviv a de l’expérience et sait comment gagner. L’ancien pensionnaire de l’Alabama est notamment passé par le Maccabi, Milan, Kuban, Malaga ou encore Gran Canaria. Le MSB indique que l’intérieur s’est engagé pour une saison.\\n\\nLa saison dernière, Richard Hendrix compilait en moyenne 10,4 points, 7,1 rebonds et 2 passes décisives en championnat, et 10,8 points, 7,5 rebonds et 1,6 assist pour une évaluation de 16,2 en Eurocup.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\n\\n\\n\\n✍️ Officiel\\n\\n\\nBienvenue Richard Hendrix 💪😀@GalatasaraySK ➡ MSB pic.twitter.com/uXT75vxg5N\\n\\n\\n— MSB_Officiel 🦁 (@MSB_Officiel) July 27, 2018\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Louis Labeyrie est un joueur de Valence"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme annoncé il y a quelques jours, Louis Labeyrie (2,09m, 26 ans) a décidé de faire jouer sa clause de départ de la SIG Strasbourg pour s’engager avec Valence.\\n\\nSur son site, le club valencien annonce l’arrivée pour les deux prochaines saisons. L’ancien joueur du Paris-Levallois est donc lié avec le club espagnol jusqu’en juin 2020. Le club indique que l’international français a passé les examens médicaux qu’il a passé avec succès. Il rejoint donc l’autre Français Antoine Diot et évoluera en Liga Endesa et en Eurocup à la rentrée.\\n\\nCette saison, Louis Labeyrie conjuguait en moyenne 13 points et 7,4 rebonds pour une évaluation de 18 en Jeep Elite, et 11,2 points et 7,1 rebonds pour une évaluation de 14,7 en Champions League.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Shane Larkin quitte la NBA et signe à l’Anadolu Efes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"De retour en NBA, à Boston, pour l’exercice 2017/18, Shane Larkin (1,80m, 25 ans) a décidé de faire son retour en Europe.\\n\\nSur son site, l’Anadolu Efes annonce l’arrivée du natif de Cincinnati pour la saison 2018/19. L’ancien Celtic va vivre sa deuxième expérience en Euroleague avec le club turc. Selon David Pick, l’ancien meneur de Vitoria a signé un contrat de 1,8 million d’euros pour la saison prochaine.\\n\\nDrafté en 2013, il a lancé sa carrière à Dallas. Après une saison entre la NBA et la D-League, il est passé chez les New York Knicks pour une saison et a signé chez le voisin de Brooklyn pour la saison 2015/16. A l’été 2016, l’ancien Net a décidé de quitter les Etats-Unis et s’est engagé avec le Baskonia, en Euroleague. Après un exercice très convaincant à plus de 14 d’évaluation en C1, il a attiré l’oeil des Boston Celtics.\\n\\nLa saison dernière, Shane Larkin compilait en moyenne 4,3 points, 1,7 rebond et 1,8 passe décisive en 14 minutes de jeu en NBA.\\n\\n\\n\\n\\nCeltics free agent guard Shane Larkin confirms to me that he is leaving the NBA to sign a $1.8M, one-year offer sheet with Anadolu Efes.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) July 26, 2018\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Jordan Mickey nouvelle recrue du Khimki Moscou"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après le champion d’Australie, Casey Prather, le Khimki Moscou continue son recrutement de joueurs américains avec Jordan Mickey (2,03m, 24 ans) en provenance de Miami.\\n\\nSur son site, le club moscovite annonce la signature du natif de Dallas pour une saison. Ancien pensionnaire de l’université de Louisiana, le Texan a débuté sa carrière en 2015/16 et n’a, pour l’instant, connu que les Etats-Unis. Peu utilisé, l’ancien joueur des Boston Celtics a décidé de traverser l’Atlantique pour tenter sa chance en Euroleague aux côtés d’Alexey Shved, à Moscou.\\n\\nLa saison dernière, Jordan Mickey a compilé en moyenne 4 points et 3,5 rebonds en 23 matchs NBA avec Miami.\\n\\nGeorgios Bartzokas, l’entraîneur du Khimki s’est exprimé sur son nouveau joueur.\\n\\n« Jordan est un joueur qui colle à notre système. C’est un joueur très athlétique, qui peut faire beaucoup de choses sur le terrain. C’est aussi une bonne personne. Nous avons parlé à ses anciens coachs et coéquipiers, et tout le monde s’entend pour nous en dire le meilleur. Jordan a de l’ambition et le désir de jouer au meilleur niveau. Je suis sûr, nous allons l’aider aussi bien qu’il va aider le Khimki à atteindre ses objectifs. Je voulais le signer déjà l’année dernière mais nous n’avons pas eu cette chance. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Israël : Alade Aminu (ex Nanterre) signe à l’Hapoel Tel Aviv"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison en France, Alade Aminu quitte la Jeep Elite et rejoint le championnat israélien où il s’est engagé avec l’Hapoel Tel Aviv.\\n\\nSur son site, l’Hapoel Tel Aviv a officialisé la signature de l’ancien joueur de l’Elan Chalon pour une saison. Sous le maillot nanterrien, l’international nigérian a souvent été critiqué par son entraîneur Pascal Donnadieu pour son manque d’engagement et son rendement bien en dessous des attentes du club.\\n\\nLa saison dernière avec Nanterre, Alade Aminu compilait en moyenne 8,3 points et 4,8 rebonds pour une évaluation de 10,1 en Jeep Elite, et 9,9 points et 4,7 rebonds pour une évaluation de 9 en Champions League.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Israël : vers un retour de Darion Atkins à l’Hapoel Holon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison à Strasbourg, Darion Atkins (2,03m, 25 ans) aurait trouvé un accord pour retourner dans son précédent club de l’Hapoel Holon.\\n\\nVainqueur de la Coupe de France avec la SIG, l’ancien pensionnaire de Virginia se serait engagé avec le club israélien pour la saison prochaine, selon Sportando. En 2016/17, il avait été élu dans la deuxième meilleure équipe du championnat israélien et il avait disputé le All Star Game de la Winner League.\\n\\nLa saison dernière, Darion Atkins compilait en moyenne 9,9 points et 4,9 rebonds pour une évaluation de 11,3 en Jeep Elite, et 7,8 points et 3,8 rebonds pour une évaluation de 8,5 en Champions League.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Myles Hesson de retour à Gravelines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après un exercice 2017/18 compliqué à Nanterre en raison d’une longue blessure, Myles Hesson (1,98m, 28 ans) va se relancer dans un club qu’il connait bien, le BCM Gravelines-Dunkerque.\\n\\nArrivé en France en 2015/16 sous les couleurs de la JDA Dijon, l’international anglais a ensuite rejoint les rangs du BCM où il a réalisé sa meilleure saison en France avec plus de 12 points et 5 rebonds. Sur son site, le club nordiste indique que le natif de Birmingham s’est engagé pour une saison.\\n\\nLa saison dernière, Myles Hesson a compilé 7,8 points, 4 rebonds et 1,6 passe décisive pour une évaluation de 9,8 en seulement cinq matchs de Jeep Elite.\\n\\nPhoto : Julie Dumélié / BCM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le top 5 des joueurs de moins de 21 ans qui ont brillé en qualification à la coupe du monde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un des points positifs du nouveau format de qualification pour la coupe du monde 2019, c’est que de nombreux potentiels ont intégré les équipes nationales un peu partout sur la planète. Certains se sont déjà immédiatement imposés comme des options prioritaires. La FIBA a réalisé son top 5.\\n\\n1 Dzanan Musa (2,05 m, 19 ans, Bosnien)\\n\\nStats : 15,3 pts, 4,0 rbds et 1,5 int en 30’\\n\\nIl a eu 19 ans en mai 2018 et pourtant, il était déjà le leader offensif de la Bosnie. Drafté en 29e position par les Nets en 2018, élu meilleur espoir de l’EuroCup avec KK Cedevita, il a tourné à 21,0 points en moyenne sur la fenêtre de février, dont un carton de 26 unités face à la Russie. La prochaine superstar pour ce pays.\\n\\n2 Rui Hachimura (2,04 m, 20 ans, Japonais)\\n\\nStats : 18,5 pts, 5,0 rbds et 1,0 int en 27’\\n\\nAvant son arrivée, conjuguée à celle de Nick Fazekas un Américano-japonais passé par l’Asvel notamment, le Japon avait perdu ses quatre premiers matches. Hachimura, coéquipier de Kim Tillie à Gonzaga (11,6 pts et 4,7 rbds en 2017-18) a notamment compilé 24 points et 7 rebonds dans la victoire 79-78 face à une Australie jusqu’alors invaincue. Le meilleur marqueur du Mondial U17 en 2014 confirme à l’échelon supérieur.\\n\\n3 RJ Barrett (2,01 m, 18 ans, Canadien)\\n\\nStats : 13,5 pts, 5,5 rbds et 2,0 pds en 22’\\n\\nOn ne présente plus le fils de Rowan Barrett, ancien joueur de Pro A (Dijon, Asvel, Chalon). Meilleur lycéen des Etats-Unis en 2018, il a engrangé une moisson de trophées individuels. Cet extérieur déjà très fort a signé pour Duke sous les ordres de coach K. MVP du Mondial U19 en 2017, il a électrifié la troisième fenêtre avec la sélection nationale sur un temps de jeu concis, apportant deux victoires de plus à son pays. Il n’a que 18 ans. Attendu comme le numéro 1 de la Draft 2019.\\n\\n4 Furkan Korkmaz (2,01 m, 21 ans, Turc)\\n\\nStats : 22,0 pts, 3,5 rbds et 2,0 ins en 24’\\n\\nIl a eu 21 ans le 24 juillet. Mais il a donc joué la troisième fenêtre « under 21 ». Il a été fantastique au cours des victoires contre l’Ukraine et contre la Suède (7/9 à 3-pts sur les deux rencontres). Drafté en 26e position en 2016, il a rejoint Philadelphia en NBA en 2017 mais n’a joué que 14 matches et a connu également la D-League. Avec la Turquie, il a pu montrer l’étendue de son talent et a enchaîné ensuite en summer league NBA en claquant 40 points (5e meilleure performance de l’histoire des ligues d’été) avec notamment 8 triples en 28 minutes seulement.\\n\\n5 Jordan Nwora (2,00 m, 19 ans, Nigérian)\\n\\nStats : 21,7 pts, 8,0 rbds et 2,7 pds en 28’\\n\\nPour son premier match avec la sélection, le fils d’Alexander Nwora le sélectionneur, a montré pour le 1er juillet pour le match contre le Mali qu’il n’y avait pas de favoritisme. 36 points et une victoire facile pour le Nigéria. Avant cela, il avait marqué 17 points et 9 rebonds pour sa première lors de la victoire contre le Rwanda. Cette saison il jouait aux Cardinals de Louisville en NCAA (5,7 pts et 2,2 rbds).\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=I0XA6-xf0po\\n\\nPhoto: Dzanan Musa"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ligue Féminine: Les nouveaux maillots tout feu tout flamme de Charleville"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En Ligue Féminine aussi, il y aura quelques nouveaux maillots à la rentrée et si on met en exergue ceux des Flammes Carolos de Charleville-Mézières, c’est qu’ils sont bien sympas.\\n\\n« Nouvelle saison rime avec nouveaux maillots pour les Flammes, qui ont le plaisir de vous présenter leur toute nouvelle collection « Burning ». Réalisés en collaboration avec l’entreprise Ardennaise Fusion Graphic et l’équipementier Rocsport, ces maillots se veulent en adéquation avec les valeurs, l’histoire et l’environnement du club. Trois versions seront à retrouver dans cette nouvelle collection (Noir-Away / Blanc-Home / Rouge-Third) », écrit le club sur son site Internet en précisant qu’une édition spéciale Euroleague est en préparation."
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Anthony Goods : «Nancy sera dans la course pour la montée»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Globe trotter du basket s’il en est, Anthony Goods était à Las Vegas pour la ligue d’été de la NBA. Mais l’ancien joueur de Poitiers et futur du SLUC Nancy n’y était pas seulement pour préparer sa prochaine saison dans l’Hexagone... Non, il était à Vegas pour travailler sur sa deuxième carrière : la vidéo et les highlights.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nA 31 ans, l’arrière sorti de Stanford a effectivement entamé une reconversion dans la production de montages vidéos pour promouvoir les carrières des joueurs qui n’évoluent pas forcément aux Etats-Unis. S’il a pour ambition de gérer le compte d’une équipe professionnelle à terme, et pourquoi pas à Nancy la saison prochaine, Anthony Goods n’en oublie pas ses objectifs sportifs immédiats.\\n\\nBasketEurope a discuté de cette reconversion professionnelle et des raisons de sa signature avec le SLUC Nancy la saison prochaine. Anthony Goods et la France (et les croissants), c’est une bien belle histoire d’amour !\\n\\n\\n« On essaie de réunir tous les baskets sur Swish Cultures »\\n\\nAnthony, pouvez-vous nous dire ce que vous faites ici à Las Vegas (muni d’un appareil photo en sus) ?\\n\\nDepuis septembre dernier, j’ai commencé à faire une page Instagram de highlights de joueurs à l’étranger, en NBA et en G-League. En ce moment, on récupère beaucoup d’images pour faire nos montages par la suite. J’ai fait du montage de la ligue d’été toute la semaine déjà ! On a eu une vidéo qui a été vue 300 000 fois, une autre à 250 000 vues. Ça commence à devenir intéressant.\\n\\nComment s’organise ce projet à l’heure actuelle ?\\n\\nOn a seulement 6 000 abonnés pour le moment mais nos vidéos commencent à se faire voir. J’ai créé ma propre boîte avec mon ami de longue date, Jordan Richard, qui joue aussi à l’étranger. La page s’appelle Swish Cultures. On essaie de réunir tous les baskets sur cette page : les Etats-Unis, la France, l’Allemagne, l’Italie.\\n\\nEst-ce que vous êtes amené à beaucoup voyager alors ?\\n\\nNon pas tant que ça. On obtient des vidéos et les joueurs nous envoient des vidéos ou des highlights et on fait le montage. J’ai commencé ça parce que je trouve que les joueurs américains sont un peu oubliés quand ils partent à l’étranger après l’université. Ils peuvent avoir de belles carrières mais le public américain ne le sait pas vraiment. C’est le but de notre page, de montrer ces gars à l’étranger. Et pas seulement les Américains. On a fait Elie Okobo par exemple. Ou Sekou [Doumbouya]. J’ai beaucoup d’amis en France évidemment. Et puis même des gars que je ne connais pas. Mais quand ils ont un bon match, on peut montrer ses highlights.\\n\\nParlez-nous de votre carrière sportive. Où en êtes-vous ?\\n\\nJ’étais à Poitiers la saison passée et la saison prochaine, je jouerai pour Nancy. C’est vrai qu’on me demande souvent si j’ai arrêté de jouer cette semaine, vu que je fais maintenant mes vidéos. Mais, non, je n’ai pas raccroché !\\n\\n\\n« Mon objectif est de m’occuper des highlights d’une équipe pro »\\n\\nEt vous gardez ce lien avec la France donc...\\n\\nOui, j’entretiens encore cette relation privilégiée avec la France. Vous savez, le monde du basket est assez petit au final. Tout le monde connaît tout le monde. Surtout ici ! Je croise des gars que je connais depuis le lycée ou que j’ai croisé dans mes expériences à l’étranger. C’est assez dingue. C’est une bonne expérience, avec beaucoup de bonnes personnes.\\n\\nA qui vous intéressez-vous par exemple sur ce match ?\\n\\nSur ce match, je m’intéresse à Trevon Bluiett [qui a depuis signé un contrat two way avec les Pélicans]. Il a réussi plusieurs gros matchs au scoring. Et puis, il y a mon pote Chasson Randle, qui jouait au Real Madrid cette saison. Il a joué dans mon université, c’est un bon copain. J’ai une copine aussi qui est la petite amie de Walter Lemon Jr [qui a également signé un contrat two way avec Boston]. J’ai aussi mon pote Max Hooper qui est blessé maintenant. Malheureusement. Je connais quelqu’un quasiment dans chaque équipe. Je suis un vieux routier [rires] ! J’ai beaucoup bourlingué.\\n\\nEst-ce que ces montages vidéos sont une possibilité de reconversion post carrière ?\\n\\nC’est clairement un truc que je voudrais continuer à faire après ma carrière. A vrai dire, mon objectif pour la saison prochaine, c’est de m’occuper des highlights d’une équipe sur leur page Instagram et d’accroître leur nombre d’abonnés. Si je peux faire ça pour Nancy, par exemple, ça pourrait aider à faire connaître le club. En moins de 10 mois, on a déjà 6 000 abonnés. Si tu as plus d’abonnés, tu peux aller chercher plus de sponsors. Les équipes américaines ont compris que ça faisait partie du jeu mais en Europe, il y a encore du travail à faire à mon avis. Plus tu as d’abonnés et de gens intéressés, plus tu pourras faire de l’argent avec les produits dérivés. Et ça pourrait lancer une dynamique. En tous cas, j’ai vraiment envie de travailler avec l’équipe sur les highlights et voir ce que ça donne.\\n\\nEt Poitiers fait partie des clubs en pointe à ce niveau-là en France...\\n\\nPoitiers est super pour ça, c’est clair ! J’ai commencé à réfléchir à mon projet en voyant Tommy [Hombert] notamment. Il fait de superbes vidéos, il est très créatif. Et Poitiers met ses vidéos sur son site et Facebook, et c’est très bien. Mais pas assez sur Instagram. Avec les vidéos, sur Instagram, ça se transmet plus facilement. On n’a que 6 000 abonnés mais on a plus de 200 000 vues sur nos vidéos. C’est plus facile de partager les vidéos sur Instagram et ça touche plus de monde. On espère qu’on pourra faire ça pour un club pro dans un avenir proche.\\n\\n\\n« On a deux des meilleurs scoreurs de la ligue entre lui et moi »\\n\\nPour revenir à Nancy, quels ont été vos motivations au moment de signer au SLUC ?\\n\\nJe connaissais le coach [Christian Monschau] quand il était à Gravelines et moi j’étais à Cholet. J’ai toujours su que c’était un bon entraîneur. J’ai discuté avec lui et l’objectif de la remontée en Pro A était son message essentiel. Il veut vraiment que l’équipe remonte et, même si toutes les équipes de Pro B disent ça, je suis également persuadé que Nancy sera dans la course pour remonter. On a signé Yunio Barrueta qui est un très bon joueur sur le poste 3, qui était à Denain. Je ne le connais pas personnellement mais j’ai toujours aimé son jeu. Je me souviens l’avoir joué deux fois la saison passée et je prévenais toujours mes coéquipiers qu’il était leur meilleur joueur. Il était mon joueur préféré de la ligue l’an passé. Je pense qu’on a deux des meilleurs scoreurs de la ligue entre lui et moi. Et puis on a signé un intérieur en provenance du Portel [Dinma Odiakosa]. Il nous manque encore un meneur mais on a un effectif qui peut vraiment faire un truc la saison prochaine.\\n\\nD’autant que le SLUC est un club historique en France, qui doit figurer parmi l’élite...\\n\\nC’est pour ça qu’ils veulent vraiment tout faire pour remonter en Pro A. Cette saison va être intéressante à vivre. L’an passé, j’étais un des meilleurs scoreurs de mon équipe mais on n’a pas réussi comme on aurait voulu collectivement. Cette saison, je veux clairement gagner des matchs et le championnat, c’est mon objectif. J’ai travaillé cet été pour ça.\\n\\nVous vous entraînez en ce moment à Vegas ? Vous jonglez entre deux jobs du coup ?\\n\\nOui, j’ai un de mes préparateurs qui est à Vegas aussi. Donc, je fais mes sessions d’entraînement tôt le matin et je viens ensuite voir les matchs ici dans l’après midi. Je me réveille à 6h du matin en ce moment. Pour être ensuite au match à midi ! Ça fait pas mal de boulot mais bon, c’est une bonne ambiance de travail.\\n\\nQu’est-ce qui vous a attiré en France, lors de votre première expérience à Cholet en 2014 ?\\n\\n« Cholet était ma première équipe en France. A l’époque, je jouais en Israël et j’avais une possibilité dans mon contrat pour prolonger avec eux. Mais l’offre de Cholet est arrivée en janvier et j’ai toujours voulu jouer en France. Ça faisait déjà plusieurs saisons que je jouais en Israël et c’était une meilleure situation financière, j’allais connaître une nouvelle ligue, j’allais avoir plus d’exposition. J’ai toujours voulu jouer en France. Et maintenant, je ne veux plus en partir [rires]...\\n\\nQu’est-ce qui vous plaît le plus en France ?\\n\\nC’est propre, c’est encadré. La nourriture est bonne, le vin est bon. Les croissants sont super bons !\\n\\nNe m’en parlez pas, ils me manquent terriblement...\\n\\nJe peux le dire, les Etats-Unis ont les pires croissants du monde ! Je dois faire une pause croissant dès que je quitte la France. Mais je reprends dès mon retour !\\n\\nPropos recueillis à Las Vegas\\n\\n[armelse]\\n\\nA 31 ans, l’arrière sorti de Stanford a effectivement entamé une reconversion dans la production de montages vidéos pour promouvoir les carrières des joueurs qui n’évoluent pas forcément aux Etats-Unis. S’il a pour ambition de gérer le compte d’une équipe professionnelle à terme, et pourquoi pas à Nancy la saison prochaine, Anthony Goods n’en oublie pas ses objectifs sportifs immédiats.\\n\\nBasketEurope a discuté de cette reconversion professionnelle et des raisons de sa signature avec le SLUC Nancy la saison prochaine. Anthony Goods et la France (et les croissants), c’est une bien belle histoire d’amour !\\n\\n\\n« On essaie de réunir tous les baskets sur Swish Cultures »\\n\\nAnthony, pouvez-vous nous dire ce que vous faites ici à Las Vegas (muni d’un appareil photo en sus) ?\\n\\n« Depuis septembre dernier, j’ai commencé à faire une page Instagram de highlights de joueurs à l’étranger, en NBA et en G-League. En ce moment, on récupère beaucoup d’images pour faire nos montages par la suite. J’ai fait du montage de la ligue d’été toute la semaine déjà ! On a eu une vidéo qui a été vue 300 000 fois, une autre à 250 000 vues. Ça commence à devenir intéressant. »\\n\\nComment s’organise ce projet à l’heure actuelle ?\\n\\n« On a seulement 6 000 abonnés pour le moment mais nos vidéos commencent à se faire voir. J’ai créé ma propre boîte avec mon ami de longue date, Jordan Richard, qui joue aussi à l’étranger. La page s’appelle Swish Cultures. On essaie de réunir tous les baskets sur cette page : les Etats-Unis, la France, l’Allemagne, l’Italie. »\\n\\nEst-ce que vous êtes amené à beaucoup voyager alors ?\\n\\n« Non pas tant que ça. On obtient des vidéos et les joueurs nous envoient des vidéos ou des highlights et on fait le montage. J’ai commencé ça parce que je trouve que les joueurs américains sont un peu oubliés quand ils partent à l’étranger après l’université. Ils peuvent avoir de belles carrières mais le public américain ne le sait pas vraiment. C’est le but de notre page, de montrer ces gars à l’étranger. Et pas seulement les Américains. On a fait Elie Okobo par exemple. Ou Sekou [Doumbouya].\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ancien coach de Limoges Dusko Vujosevic va subir la greffe d’un rein"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ancien coach de Limoges Dusko Vujosevic, 59 ans, a annoncé aux médias de la Bosnie qu’il ne pourra pas assurer sa fonction de coach de l’équipe nationale lors de la fenêtre de septembre. Et pour cause, il doit impérativement subir la greffe d’un rein.\\n\\n« J’informe le public que j’ai reçu hier l’information que le processus de la greffe d’un rein dans mon organisme commencera dans une institution spécialisée à Istanbul le 30 juillet de cette année. Pour dire toute la vérité, le 30 juillet, les tests commenceront à partir desquels dépendra la date de la greffe.\\n\\nJ’attendais cette opération depuis longtemps, et comme je suis conscient de la complexité de toute la situation, je veux que l’on sache que cette opération ne peut pas être retardée mais aussi que le fait qu’elle coïncide avec la phase finale de qualification pour la Coupe du Monde ne me rend pas serein.\\n\\nPour cette raison, je veux que la direction de la Fédération de Basketball de Bosnie-Herzégovine assume la direction de l’équipe pendant mon absence à l’hôpital et pendant la période de convalescence.\\n\\nJe m’attends à ce que les joueurs se mobilisent véritablement, et non de manière déclarative, pour les prochains matches. Pour cette mobilisation, la première étape consiste à répondre à l’appel à jouer pour l’équipe nationale. Je m’attends à ce qu’ils fassent preuve de loyauté envers le basket-ball par leurs actions et qu’ils ne fassent des déclarations patriotiques que lorsqu’ils auront répondu à l’invitation et seront venus au camp d’entraînement (...) »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Dwight Hardy est le nouveau shooting guard de Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Son nom circule dans le milieu depuis plusieurs jours et le journaliste du Populaire, Matthieu Marot est formel: Dwight Hardy (1,88m, 31 ans) devient limougeaud.\\n\\nNatif du Bronx, Dwight Hardy a l’immense avantage de disposer d’un passeport congolais donc d’être référencé comme Bosman. La saison dernière, il était le meilleur marqueur de Galatasaray avec 12,6 points (38,2% à trois-points), 2,4 rebonds et 2,0 passes. Avec 13 victoires pour 17 défaites, Galatasaray a terminé 9e du championnat turc et ainsi n’a pas fait les playoffs\\n\\nCe shooting guard est un ancien étudiant de St John’s, qui a joué ensuite en Italie (Pistoia où il fut élu MVP de deuxième division, Avellino, Sigma Barcellona et Virtus Bologne) puis en Turquie (trois saisons à Trabzonspor avant donc d’être recruté par Galatasaray).\\n\\nPeu après, le Limoges CSP a confirmé l’information:\\n\\n“Dwight est un joueur qui a un cursus européen très important, il est un joueur de très haut niveau. Il a évolué à Galatasaray, à Trabzonspor, avec qui il a déjà disputé l’EuroCup. Il fallait à côté de London Perrantes, un joueur qui score et Dwight Hardy, a toujours scoré dans les clubs où il est passé, c’est le parfait complément de London. Ce que j’aime beaucoup chez lui est sa façon de scorer, elle n’est pas uniquement dans le tir, elle est dans le drive, dans les lancers francs, c’est une personne qui peut faire beaucoup de choses sur un terrain de basket. Dwight un joueur très complet pour un poste 2′′, estime le directeur sportif Olivier Bourgain.\\n\\nCe sont également les qualités offensives de Dwight Hardy qui ont plu au coach Kyle Milling:\\n\\n“Nous cherchions un scoreur et Dwight a montré dès le début de sa carrière que c’est quelqu’un qui peut mettre le ballon dans le panier. Il a déjà joué à très haut niveau, c’est un joueur de caractère. On compte sur lui pour être un joueur majeur dans notre équipe. C’est un joueur qui n’a pas peur de prendre un shoot difficile. Nous comptons sur lui pour être en permanence un danger en attaque.”\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=EIJRO5g7rGQ\\n\\n\\n\\n\\nDwight Hardy (@iamdabronx1523) sera bien le nouveau scoreur US du Limoges CSP. #LivePopu\\n\\n\\n— Matthieu Marot (@MatthieuMarot7) July 26, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"A découvrir, le nouveau logo de l’Elan Chalon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un nouveau départ sportif en septembre pour l’Elan Chalon avec un nouveau logo et un nouveau maillot. Voici déjà le logo... Pas mal!\\n\\n« Pour ce travail, le club a choisi d’accorder toute sa confiance à l’agence WhatIf et Laurent Rullier », indique le club sur son site Internet. « Ce nouveau logo officiel, c’est avant tout de nouveaux contours. Le blason, forme si emblématique dans le sport, transmet toute sa force à un club aujourd’hui aussi bien ancré dans le paysage du basket français que dans son territoire. Au sommet de l’emblème, domine le nom du club, ELAN CHALON. Ce marqueur fort s’accompagne de la création d’une typographie dédiée et complète. Animal difficile à dompter graphiquement, l’Elan se voit stylisé, dessiné au trait pour faciliter sa déclinaison sur tous les supports. L’insertion de plusieurs courbes est un clin d’œil aux lignes directrices d’un ballon de basket. Sur les côtés, nous retrouvons cinq espaces blancs en référence au cinq majeur d’une équipe, symbole de l’importance du collectif dans la réussite de notre club. Ce nouveau logo se veut plus proche de ses racines : par ses couleurs, rouge et blanc, par la mise en avant de la date de fondation du club, 1955. Avec ce nouveau blason, l’Elan Chalon souhaite s’inscrire dans la durée autour d’un emblème facilement déclinable. L’ensemble de ces codes dessine les tenues 2018-2019 que vous découvrirez très prochainement. »\\n\\n\\n\\n\\n🔴⚪️\\nELAN CHALON x @WhatifBball\\n\\n\\nDécouvrez le nouveau logo de l'Elan Chalon.\\nRdv prochainement pour les nouveaux maillots #RougeEtBlanc pic.twitter.com/TF0vGBxYrF\\n\\n\\n— Elan Chalon (@ELANCHALON) July 26, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’international belge Olivier Troisfontaines recruté par Cholet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’international belge Olivier Troisfontaines (1,96m, 28 ans) arrive à Cholet Basket en provenance d’Okapi Aalstar.\\n\\nIssu du club de Liège, il a transité par Leuven avant de porter le maillot d’Aalstar à partir de la saison 2015-16. En 2017, il fut élu Joueur Belge de l’Année par un référendum organisé par le journal Het Nieuwsblad. Lors de la saison 2017-18, il a compilé 14 points, 3,7 rebonds et 1,7 passes pour 13,7 d’évaluation en 27 minutes, la meilleure de son équipe, quatrième du championnat national.\\n\\n« International belge, Olivier Troisfontaines est un joueur qui évolue sur le poste 3′′, analyse le coach Régis Boissié. « Depuis 2-3 saisons, il est en pleine progression et a terminé 3ème meilleur marqueur à 3pts du championnat belge, avec un pourcentage impressionnant de réussite (49,1%) qui témoigne d’une grande qualité d’adresse. C’est quelqu’un qui a été séduit par notre projet jeunes et a montré de la détermination pour vivre une nouvelle expérience. Nous sommes très contents d’accueillir ce joueur qui a autant des qualités de basket que des qualités humaines. Comme les précédentes recrues, Olivier est un joueur mature qui aura les compétences pour encadrer nos jeunes. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Spencer Butterfield (ex Nanterre) proche de Reggio Emilia"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Finaliste de Bundesliga avec l’ALBA Berlin, Spencer Butterfield (1,91m, 25 ans) serait sur le point de quitter l’Allemagne pour l’Italie.\\n\\nSelon David Pick, l’ancien shooteur de Nanterre serait proche de signer avec Reggio Emilia. Passé par Melilla (deuxième division espagnole), Utena, Nanterre et donc Berlin, l’arrière américain pourrait vivre sa première expérience en Serie A l’année prochaine.\\n\\nLa saison dernière, Spencer Butterfield compilait en moyenne 12,4 points, 3,7 rebonds et 1,4 passe décisive pour une évaluation de 13 en Bundesliga, et 12,5 points, 2,7 rebonds et 1 assist pour une évaluation de 10 en Eurocup.\\n\\n\\n\\n\\nMore SerieA rumbles: Hearing that wingman Spencer Butterfield, a Bundesliga finalist with ALBA Berlin, is closing in on a deal to sign with Reggio Emilia.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) July 26, 2018\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Thibault Desseignet (ex-Bourg) est le nouveau meneur de Nantes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Thibault Desseignet (1,78m, 19 ans) est le nouveau meneur du Nantes Basket Hermine annonce le club.\\n\\nThibault Desseignet est un pur produit de la JL Bourg depuis les cadets mais s’il avait déjà eu 7 matches à son actif lors de la saison 2015-16, il n’est pas parvenu à percer en Jeep Elite (4 matches à 11′ en moyenne).\\n\\nIl a obtenu en revanche le cinquième temps de jeu (17′) de l’équipe de France U20 demi-finaliste de l’Euro U20 il y a quelques jours pour 5,0 points et 1,6 passe.\\n\\nPhoto: JL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Rasheed Sulaimon passe de Dijon à Levallois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ancien Dijonnais Rasheed Sulaimon (1,93m, 24 ans) passe aux Levallois Metropolitans indique le club.\\n\\nNé à Houston, ce deuxième arrière a été champion du monde U19 en 2013 avec les Etats-Unis mais possède le précieux passeport du Nigéria.\\n\\nAprès Duke et Maryland, il a joué en D-League. Il a tourné à 12,2 points (44/137 à tris-points), 2,4 rebonds et 2,8 passes la saison dernière avec la JDA.\\n\\nPhoto: JDA\\n\\n\\n\\n\\n🔥NEWS !🔥\\nRasheed Sulaimon (@sheed_ctmd1) est désormais un joueur des @LevalloisMetro ! Bienvenue 😉 ! #GoLM #JeepELITE #transferts\\n\\n\\nCrédit Photo : Kyle Terada-USA TODAY Sports pic.twitter.com/M4SZDmwbxS\\n\\n\\n— Boulogne-Levallois Metropolitans 92 (@Metropolitans92) July 26, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Jean-Christophe Prat est le premier coach du Paris Basketball qui attend de signer son premier joueur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors d’une conférence de presse ce matin, le Paris Basketball a annoncé que Jean-Christophe Prat sera le coach de son équipe de Pro B pour la saison 2018-19.\\n\\nJean-Christophe Prat est connu pour avoir coaché l’AS Denain de 2014 à 2017. En trois saisons, il a gagné 49% de ses matches. Il a surtout participé à l’éclosion de plusieurs jeunes joueurs comme William Howard et Yakuba Ouattara.\\n\\nLe nouveau coach du Paris Basketball a également été l’adjoint de Erman Kunter (2012-14) au Besiktas Istanbul lorsque celui-ci a disputé le top 16 de l’Euroleague après avoir tenu ce poste à Villeurbanne et Orléans auprès de Philippe Hervé.\\n\\nJean-Christophe Prat est né à Paris il y a 46 ans. Son père est un ancien footballeur professionnel et sa mère a été danseuse du corps de ballet de Mogador. Il a fait des études de gestion financière. Sa femme Nathalie est une ancienne joueuse de Nationale 1 à Sceaux. Il connait le basket parisien pour avoir été un temps coordinateur des équipes de jeune du Paris Basket Racing.\\n\\nLe contrat de Jean-Christophe Prat n’est que d’un an et aucun joueur n’a été pour l’instant engagé.\\n\\nPhoto: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Quatre ans plus tard, Ali Traore fait son retour à Strasbourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"D’après le consultant sur SFR Sport et chroniqueur sur BasketEurope.com, Frédéric Weis, l’ancien international Ali Traore (2,08m, 30 ans) devrait faire son retour à la SIG Strasbourg.\\n\\nAprès plusieurs déboires dont un période sans emploi, Ali Traore sort d’une bonne demi-saison, entamée à Antibes et conclue à Monaco avec une finale du championnat à la clé. En playoffs, il a assuré 7,5 points à 80,9% de réussite et 1,9 rebond en 12′ de présence moyenne sur le terrain.\\n\\nLe natif d’Abidjan a porté le maillot de la SIG lors de la saison 2014-15.\\n\\nLe club a confirmé l’information en fin de matinée précisant qu’Ali Traore est le pigiste médical de Jacques Alingue victime d’une rupture du tendon d’Achille.\\n\\n« Avec la blessure de Jacques Alingue, nous avions besoin d’un pigiste pour le suppléer. Nous avons profité de la possibilité d’accueillir Ali. Il a encore montré la saison passée avec Monaco qu’il pouvait scorer sur un laps de temps court et avoir un vrai impact dans le jeu. On reprend quelqu’un qui connaît bien la maison et que je connais très bien personnellement », a commenté le coach Vincent Collet.\\n\\nPhoto: LNB/Hervé Bellenger\\n\\n\\n\\n\\n@bomaye12 devrait revenir à la @sigstrasbourg ! Un renfort jfl de poids si on en croit sa bonne saison à @ASMonaco_Basket.\\n\\n\\n— Fred Weis_ OLY (@Bigfredstyle) July 26, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le contrat de l’international lituanien Mantas Kalnietis serait de 325 000€ à l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le journaliste Donatas Urbonas rapporte que l’international lituanien Mantas Kalnietis a révélé les conditions de sa rupture avec Olimpia Milan avec qui il était encore sous contrat cette saison.\\n\\nLe club lombard s’est engagé à payer la moitié du contrat pour la saison 2018-19 et Villeurbanne l’autre moitié. Comme le montant était de 650 000 euros, l’ASVEL doit donc mettre 325 000 euros environ de sa poche.\\n\\nCela fera à coup sûr du Lituanien l’un des joueurs les mieux payés de Jeep Elite.\\n\\nVoir ici les salaires de Jeep Elite de la saison 2017-18.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\nMantas Kalnietis revealed the conditions of his contract termination with Olimpia: Milano paid half of the remaining contract for season 18/19, ASVEL paid the other half. According to sources, his contract with Milano was worth around €650k\\n\\n\\n— Donatas Urbonas (@Urbodo) July 26, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nicolas Lang: «je n’ai jusqu’à présent jamais trouvé un endroit qui me procure le bien-être que je ressens lorsque je suis en Alsace»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Né à Mulhouse, Nicolas Lang (1,99m, 28 ans) est donc de retour dans son Alsace natale en signant à la SIG Strasbourg. Pour les DNA, il revient sur les échecs de l’ASVEL la saison dernière qui n’a rien gagné, s’est contentée d’une 6e place en saison régulière de Jeep Elite et qui a été éliminée par Le Mans en quart-de-finale des playoffs (1-2).\\n\\n« L’équipe était composée de dix joueurs, dix forts caractères, et dans ce cas, ça passe ou ça casse. En l’occurrence, ça n’a pas marché et nous n’avons pas répondu aux attentes placées en nous. Ce sont des choses qui arrivent. Il y a des tas d’équipes pleines de bons joueurs qui n’obtiennent pas les résultats escomptés. Cela ne remet nullement en cause les qualités individuelles des uns et des autres, pas plus que leur réussite lors des prochaines saisons. Quoi qu’il en soit, ma dernière impression n’a pas été des plus positives », confie t-il.\\n\\nNicolas Lang indique qu’il envisageait de jouer à l’étranger et qu’une seule proposition pouvait le faire changer d’avis, celle venant de la SIG:\\n\\n« Je suis très attaché à ma région d’origine et j’y reviens dès que possible, histoire de retrouver ma famille et mes meilleurs amis. J’ai voyagé, mais je n’ai jusqu’à présent jamais trouvé un endroit qui me procure le bien-être que je ressens lorsque je suis en Alsace. En signant à la SIG, je joins l’utile à l’agréable ! Cela dit, j’aurais signé dans ce club même s’il n’était pas à Strasbourg. »\\n\\nPhoto: Eurocupbasketball"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Officiel, Kim Tillie rejoint Gran Canaria"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme déjà annoncé, l’international Kim Tillie (2,10m, 30 ans) portera cette saison le maillot de Herbalife Gran Canaria. Le club espagnol a officialisé sa venue.\\n\\nEn raison d’une blessure à la jambe, Kim Tillie n’a disputé que 10 matches d’Euroleague pour 3,8 points et 2,4 passes la saison dernière avec Olympiakos.\\n\\nGran Canaria est engagé cette saison en Euroleague.\\n\\n\\n\\n\\n🖊 OFICIAL | El Herbalife Gran Canaria llega a un principio de acuerdo con Kim Tillie.\\n\\n\\nEl ala-pívot, internacional con Francia, ha disputado cinco cursos en Liga Endesa (UCAM Murcia y Baskonia) y pasó la última temporada en el Olympiacos.#GranCanariaIsHere 🔥 pic.twitter.com/CKWwcUnMAp\\n\\n\\n— CB Gran Canaria (@GranCanariaCB) July 25, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Moustapha Fall prend la direction du Lokomotiv Kuban Krasnodar"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Moustapha Fall (2,18m, 26 ans) ne va pas revenir en France et à Villeurbanne comme espéré mais a choisi de se rendre en Russie, au Lokomotiv Kuban Krasnodar.\\n\\nUne déception pour l’ASVEL tant le pivot international a démontré depuis deux ans des facultés exceptionnelles aussi bien en attaque qu’en défense. Il a tourné la saison dernière à Sakarya en Turquie 9,1 points (69,6% de réussite aux tirs), 6,1 rebonds et 2,0 contres pour 13,0 d’évaluation et ses passages en équipe de France lors des fenêtres de qualifications pour la coupe du monde ont été pleines d’autorité.\\n\\nLe Lokomotiv est d’un calibre supérieur à l’ASVEL puisque finaliste de l’Eurocup et demi-finaliste de la VTB League 2018. Le staff de l’équipe de France appréciera néanmoins qu’il ne disputera pas cette saison l’Euroleague, ce qui devrait lui permettre d’être présent aux rassemblements hivernaux des Bleus.\\n\\nLire ici son interview.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\nSource: French giant Moustapha Fall is signing an agreement with EuroCup contenders Lokomotiv Kuban in Russia.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) July 25, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mondial U17 féminines: Après avoir sorti le Mali, 78-57, la France va s’attaquer à la Lettonie en quart"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si les Françaises sont bien parvenues à éliminer le Mali en huitième de finale du championnat du Monde U17, c’est après que celui-ci ait offert une belle résistance en première mi-temps (35-29).\\n\\nSans leur leader Iliana Rupert demeuré sur la touche après un mauvais coup reçu la veille contre la Colombie, les Françaises ont finalement fait la différence dans le troisième quart-temps (27-14) avant de donner un dernier tour de vis dans la fin du quatrième.\\n\\nLa meneuse Marine Fauthoux (14 points et 6 rebonds) et l’arrière Zoe Wadoux (15 points, 4/16 à trois-points) ont pris leurs responsabilités pour porter l’équipe vers la victoire alors que Kendra Chéry faisait une fois de plus le taf dans la peinture (9 points, 10 rebonds, 3 contres).\\n\\nA signaler côté malien les 26 points (12/17), et 9 rebonds pour 37 d’évaluation de Sika Kone.\\n\\nLes Bleuettes affronteront vendredi en quart la Lettonie vainqueur aujourd’hui de l’Argentine, 72-58.\\n\\nPhoto: Zoe Wadoux (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans confirme le départ de D.J. Stephens qui dispose d’un 2-way contract en NBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un communiqué, Le Mans confirme que l’ailier américain DJ Stephens (1,96m, 27 ans) ne portera pas ses couleurs la saison prochaine:\\n\\n« Le Mans Sarthe Basket a reçu ce jour un courrier de D.J. Stephens lui indiquant qu’il allait signer un contrat 2- way avec une franchise NBA pour la saison prochaine. Comme le prévoyait un accord entre les parties, D.J. avait jusqu’au 25 juillet pour trouver un engagement ferme lui permettant d’être aligné en NBA. C’est donc à regret que le MSB déplore le départ de celui qui avait enflammé les parquets de Jeep Élite et s’apprêtait à défendre le titre de champion de France.\\n\\nLe club souhaite le meilleur à D.J., le remercie pour tout ce qu’il lui a apporté et suivra au plus près sa trajectoire s’il est amené à évoluer dans la grande ligue US. Good luck NASA !\\n\\nLes mots d’adieu de D.J. :\\n\\n« Je tiens à tous vous remercier pour l’opportunité que vous m’avez offerte de rejoindre votre club, pour le soutien et la confiance que vous m’avez témoignés. Me proposer de revenir était pour moi une véritable marque d’estime. Je n’ai qu’amour et respect pour tout le staff, les fans et le club. Ce que nous avons réussi cette saison a vraiment été spécial et vous ferez toujours partie de ma vie. Nous avons écrit l’histoire. Je ne peux que vous souhaiter le meilleur pour la saison à venir. »\\n\\nPhoto: LNB, Hervé Bellenger"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Kevin Pangos rejoint le FC Barcelone"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Auteur d’une très belle saison avec le Zalgiris Kaunas, Kevin Pangos (1,88m, 25 ans) a décidé de quitter le club lituanien pour s’engager avec le FC Barcelone.\\n\\nSur son site, le Barça annonce la signature de l’ancien joueur de Gran Canaria pour deux saisons. Il va donc redécouvrir la Liga Endesa après y avoir évolué en 2015/16, juste avant de rejoindre le Zalgiris.\\n\\nCette saison avec le Zalgiris Kaunas, Kevin Pangos compilait en moyenne 8,1 points, 2,3 rebonds et 4,6 passes décisives pour une évaluation de 10,6 en championnat et il tournait à 12,7 points, 2,7 rebonds et 5,9 passes décisives pour une évaluation de 14,2 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie: Le président de Fenerbahçe avoue une dette de 8,5 millions d’euros"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur le terrain, le Fenerbahçe Istanbul porte beau lui qui a été vainqueur de l’Euroleague en 2017, finaliste en 2016 et 2018. Seulement c’est beaucoup moins resplendissant dans les coulisses. En résumé: le club vit au-dessus de ses moyens. Une pratique qui est monnaie courante dans les clubs européens de pointe.\\n\\nLa rupture du partenariat avec le géant Dogus qui gère plus de 300 entreprises et compte 35 000 salariés fait très mal. Eurohoops.net rapporte que le nouveau président Ali Koc a avoué une dette pour la section basket (garçons et filles ensemble) de 48 millions de lires turques soit environ 8,5 millions d’euros !\\n\\nConséquence: des retards de paiement dont sont victimes les joueurs et le coach serbe Zeljko Obradovic. Le problème semble réglé en ce qui concerne celui-ci mais a ouvert des plaies:\\n\\n« Nous avons promis à Zeljko Obradovic que les paiements seraient effectués à temps. Mais nous ne pouvions pas. Obradovic m’a fait honte parce que nous ne pouvions pas payer les salaires à temps », a déclaré Koc dans l’émission Camiaya Seslenis sur Fenerbahçe TV.\\n\\nPhoto: Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Lakers, Michael Jordan, Split, Maccabi... Histoires légendaires du Palais des Sports de Bercy (2e partie)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avant de s’appeler l’AccorHotels Arena, l’enceinte répondait au nom de Palais des Sports de Paris-Bercy (POPB) et les basketteurs y ont écris quelques belles histoires sur son Livre d ‘Or. Ce sont celles-ci que nous allons vous raconter. Voici la deuxième partie du dossier.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n1997, Quand Lionel Jospin et Stéphane Risacher admirent Jordan\\n\\n» J’ai joué contre le meilleur joueur de tous les temps, mon idole, une icône, un Dieu vivant. Il n’a pas forcé... »\\n\\nUn plateau-repas sur les genoux, Lionel Jospin, Premier Ministre en exercice, vrai fan de basket comme Barack Obama, déjà présent pour le TPO en 1984, ne voulait pas manquer ça : Michael Jordan était à Paris. Et pas à la sauvette comme en 85 et en 90 pour assurer la promotion de son équipementier Nike, cette fois dans le cadre majestueux de Bercy et sous le maillot mythique — grâce à lui — des Chicago Bulls. Finalement, peu importe que Scottie Pippen (blessure) et Dennis Rodman (pneumonie) n’étaient pas en état de marche puisque His Airness s’offrait à ses fans...\\n\\nDu moins sur le terrain, car ceux qui firent le pied de grue à la porte de son hôtel, L’intercontinental, en furent pour leurs frais. Pas d’autographe ni même un regard. Son passage sur le plateau de Canal+ fit un tabac, forcément. Le reste demeura de l’ordre du privé. Un tour au dîner officiel des délégations présentes au Buddha, de bonnes bouffes notamment chez L’Ami Louis, un alter au Barby et au Duplex, une petite montre par ci, quelques cigares par là... Le tout avec la french touch puisque Michael sortait coiffé d’un béret basque. Les Américains savent toujours caresser l’orgueil national de leurs hôtes.\\n\\nSa venue à l’Open McDonald’s avait mobilisé un millier de journalistes et 161 chaînes de télévision. Aux portes du POPB, certains revendeurs n’hésitaient pas à proposer des places au marché noir entre 1 000 et 2 000 francs. Les veinards qui avaient pris place dans l’enceinte furent béats d’admiration. Malgré une douleur à l’orteil, Michael Jordan revêtit son habit de Superman. » Son talent a irradié le parquet de Bercy, ses moindres mouvements étant salués par autant d’ovations », écrivit L’Équipe. Jordan scora 28 points (plus 7 rebonds et 6 passes) et c’était nécessaire pour que les Bulls repoussent le PSG Racing remonté comme un coucou suisse (89 à 82). » On a vraiment manqué de synchronisation. On s’est mis à faire des fautes stupides qui leur ont permis de revenir dans le match. J’ai commencé à être un peu inquiet. On ne sait jamais ce qui peut arriver dans un scénario pareil », reconnaîtra le Super Héros.\\n\\nUn superbe hommage fut rendu un peu plus tard par Stéphane Risacher : « ma culture du basket américain, c’est Jordan, Point », nous disait-il. » J’ai joué contre le meilleur joueur de tous les temps, mon idole, une icône, un Dieu vivant. Il n’a pas forcé... Ce qui est extraordinaire avec ce mec, c’est qu’il peut mettre 60 points et que, peut-être, tu ne le toucheras pas une seule fois du match. J’ai joué contre des mecs forts dans ma vie, mais ça, ça n’a même pas de nom. Tu n’arrives pas à le toucher. Je le compare à une sorte de glue gélatineuse qui t’échappe toujours. Ce jour-là, vu qu’il n’y avait ni Pippen ni Rodman, la différence entre le PSG et les Bulls, c’était Michael Jordan. Sans lui, je pense qu’on aurait battu cette équipe des Bulls, certes pas à son meilleure niveau puisqu’ils étaient en préparation ».\\n\\n1999, Après le père, le fils\\n\\nSon père, Dino, avait gagné l’or européen seize ans plus tôt, déjà sur le territoire français à Nantes. Andrea faisait toujours sa communion et avait vu la finale contre l’Espagne à la télé. C’est toujours contre l’Espagne que le fils a remporté à son tour le trophée alors que le père était manager général de la Squadra Azzura.\\n\\nUn triomphe inattendu que l’Italie a dû pour beaucoup à son coach iconoclaste Boja Tanjevic qui avait choisi de ne pas utiliser de meneur spécifique. Le Bosniaque avait osé laisser à la maison la révélation européenne de l’année, Gianmarco Pozzecco, un joueur pittoresque, mais indiscipliné. C’est Meneghin, pourtant davantage un deuxième arrière voire un ailier, qui se chargea de la mène avec sa capacité à ne pas perdre les ballons et son abattage défensif. Épuisé par un tournoi stressant, le fiston ne fut pas très fringant offensivement en finale, mais fit encore profiter son équipe de son énergie communicative. » J’étais tellement fatigué mes jambes ne me portaient plus. Mais je me suis dit qu’il fallait tenir encore quarante minutes avant de partir en vacances », déclara-t-il.\\n\\nL’après-match fut un véritable tourbillon avec douze joueurs chantant en chœur l’hymne national « Fratelli d’Italia » avec un cœur qui donna le frisson au public. Alessandro De Pol porta Andra Menaghin sur ses épaules et celui-ci poursuivit son show jusqu’en salle de presse où il simula un orgasme au micro. On n’est pas champion d’Europe tous les quatre matins, même dans la famille Meneghin.\\n\\n2001, la foi des fans du Maccabi\\n\\nSi le Maccabi avait joué au Ben Yehuda de Tel-Aviv, l’ambiance n’aurait pas été plus brûlante\\n\\nC’était le temps de la scission entre la fédération internationale (HBA) et l’Union des Ligues Européennes (ULEB), ce qui aboutit à deux compétitions similaires dans la même saison. Dans l’une, la vraie, l’Euroleague, le Kinder Bologne d’Antoine Rigaudeau s’imposait au TAU Vitoria de Laurent Foirest. L’autre s’était affublé d’un nom, la Suproleague, qui pour un Français défiait les lois du marketing, mais nous intéressait au premier chef, car nos clubs avaient reçu l’ordre fédéral de s’y engager, et son Final Four fut organisé à Paris.\\n\\nÀ dire vrai, le public français ne se sentit pas très concerné par l’événement. Bercy fut recouvert de jaune, la couleur fétiche du Maccabi Tel-Aviv. Il faut savoir que le Maccabi est LE club du peuple juif et que celui-ci se retrouve systématiquement derrière lui, peu importe l’endroit de la planète. L’année précédente, lors d’un match d’avant-saison à Toronto contre les Raptors, ce sont les paniers des Israéliens qui avaient été chaleureusement salués par le public canadien. Lorsque le Maccabi avait obtenu son premier titre européen en 1977, ce sont 200 000 fans qui étaient venus remercier les joueurs à leur descente d’avion alors que le pays comptait moins de sept millions d’habitants.\\n\\nPour ce Final Four à Paris, très exactement 5 914 supporters avaient fait le déplacement en charter. À ceux-ci il fallait ajouter ceux venus en avion ou en voiture de toute l’Europe et en métro des différents quartiers de la capitale. Tous en T-Shirt, avec des banderoles, des drapeaux avec l’étoile de David, des tubes en plastique que l’on frappe l’un contre l’autre pour faire du bruit et surtout une foi de David prêt à terrasser Goliath. Si le Maccabi avait joué au Ben Yehuda de Tel-Aviv, l’ambiance n’aurait pas été plus brûlante.\\n\\nLe Maccabi a gagné, laminant en finale le Panathinaikos. Pour vivre les derniers instants du match, les plus ardents entourèrent le terrain, certains n’hésitant pas à grimper sur les panneaux publicitaires au risque de perdre l’équilibre. Au buzzer, ils envahirent le terrain et ce ne sont pas les injonctions en anglais et en hébreu qui les firent reculer. Ils ont chanté, ils ont dansé. On n’avait jamais vu ça.\\n\\nhttps://www.dailymotion.com/video/xctn3\\n\\n2002, le All-Star Game investit Bercy\\n\\n« Ils ont des moyens que l’on n’a pas, ils sont plus professionnels que nous. Ils ont la capacité de remplir Bercy »\\n\\nC’est Philippe Morin, lorsqu’il était le « Monsieur Basket » de chez Nike qui en a eu l’idée lumineuse : organiser le All-Star Game de la Ligue Nationale de Basket à Bercy avec les standards en vigueur en NBA. » Philippe estimait que le basket, après une période de flottement, allait repartir et que Nike se devait d’être présent à ce moment-là. Il a poussé Nike à investir, à créer une passerelle entre le basket de clubs, la fédération, et de l’autre le basket de rue », commentait au moment de la naissance du match des étoiles Nicolas Barthez, directeur du marketing associé de la marque au swoosh.\\n\\nLe All Star Game existait en France depuis quinze ans et le concept avait fait mouche dans un premier temps en reprenant les recettes de base de la NBA (match Est contre Ouest jusqu’en 91 puis Français contre Etrangers, puis concours de dunks à partir de 96). La plupart des grandes villes du basket y avait été associées chacune à leur tour. Mais au fil des années une infernale routine avait castré l’événement, au point que lors de l’édition 2001 à Chalon il avait fallu se mettre à genoux pour que des joueurs de deuxième zone viennent compléter le plateau. L’intérêt même de ce rassemblement de prestige était en cause.\\n\\nLa ligue fit son autocritique. Elle décala une journée de championnat, prévu des suspensions et des amendes en cas de manquement au devoir, et concéda l’organisation pour un premier mandat de trois ans à Nike aidé par l’agence Sport Plus Conseil. « Ils ont des moyens que l’on n’a pas, ils sont plus professionnels que nous. Ils ont la capacité de remplir Bercy. Nike, ce sont les payeurs, nous, nous sommes les conseilleurs », déclara alors Pierre Seillant vice-président de la LNB.\\n\\nFurent à l’affiche en plus du match de gala, un concours de dunks avec des membres de la Slam Nation, un concours de tirs à 3 points et même un match entre les All-Stars nés en 1982 contre ceux de 83. Pour l’anecdote, ce sont Julien Doreau et Tahirou Sani qui en furent les top-scoreurs et seuls Philippe Amagou, Alain Koffi, Ali Traoré et Hervé Touré ont réellement percé ensuite. Il s’avéra que c’est le décorum qui donnait aussitôt de l’ampleur à l’événement, qui en fit un spectacle majuscule. Il y avait le son, la lumière, le timing. Quatre écrans autour du panneau central — une première au POPB — faisaient la promo des sponsors. Des bornes de jeu Xbox étaient installées ans les coursives où l’on vendait des appareils photo jetables Konica aux couleurs du All-Star Game. George Eddy de Canal+ et Eddy Bernard de l’ASVEL faisaient chauffer la salle avec le concours du DJ Philippe Dorti un complice à Thierry Ardisson. Un spectateur tiré au sort eut la possibilité de gagner 200 000 euros en marquant un panier du milieu du terrain. Il échoua...\\n\\nBenoît Georget du BCM Gravelines-Dunkerque écrivit son nom au palmarès du concours de tirs à 3 points, mais c’est la Slam Dunk Contest qui embrasa Bercy. C’est année-là Kadour Ziani (1,79 m) tenta en vain deux figures incroyables qu’il réusissait parfois à l’entraînement : un dunk en prenant appel sur la ligne des lancers et un double 360°soit un dunk après deux tours sur lui-même. C’est Steve Lobel qui décrocha finalement le gros lot. Ce vigile dans le civil sera le seul dunker à assurer un doublé, deux plus tard.\\n\\nDouze milliers de spectateurs suivirent cette première édition au POPB : près de la moitié avait bénéficié d’invitations. Depuis, le show du All Star Game fait salle comble et il y a bien longtemps que la gratuité n’est plus de mise. Au fait, ce sont les étrangers qui gagnèrent en et le Palois Dragan Lukovski fut élu MVP. Mais est-ce vraiment important ?\\n\\n8 octobre 2006, la visite de TP\\n\\n« Tony scored 27 points to help the San Antonio Spurs beat Maccabi Tel Aviv 97-84 Sunday in an exhibition game.” La dépêche d’agence fut aussi convenue, insipide, plate, que le match lui-même. Pourtant, c’était un rendez-vous spécial entre l’étoile des Spurs et son public français. » Nous n’avons pas d’excuses. Nous n’avons pas joué le jeu du Maccabi, pas de rythme », avoua Rodney Bufoed. Après un quart-temps et 17 points d’avance, les Spurs avaient fait la différence et le reste nous emmena au bord de l’ennui. Au cours de ce NBA Europe Live Tour, les Sixers s’étaient fait piéger à Barcelone et les Clippers s’écroulaient à Moscou. Les Spurs eux, avaient — bien — fait le job comme à Villeurbanne juste avant. » On a été compétitifs sur le terrain et dans les restaurants », s’amusait le coach Gregg Popovich. » On a bien mangé et bien bu, mais maintenant, il est temps qu’on rentre parce qu’on ne peut pas continuer comme ça ». Bref, passons aux choses sérieuses.\\n\\n2005, 2006, 2007, 2008, Nancy, enfin !\\n\\n« Quand on fait du sport, on s’expose aux déceptions, aux matches qu’on aurait aimé gagner »\\n\\n2005 ? Il y a le retour — éphémère — de la télé publique et 800 000 téléspectateurs sur France 3. Il y a surtout Ricardo Greer qui serre les dents et force la cadence dans les instants décisifs. L’Alsace et Strasbourg rient, la Lorraine et Nancy pleurent, une première fois.\\n\\n2006 ? C’est l’un des douze géants turcs, Huseyin Besok, qui se dresse face à au SLUC et qui en transe envoie tout valser. » C’est son côté méditerranéen, on va dire. Il a su se concentrer. Il a mis des paniers exceptionnels qui sont la marque des très grands joueurs », sourit Vincent Collet.\\n\\n2007 ? À la 18e minute, le SLUC a 16 points d’avance (39-23) quand Dee Spencer retourne sur le banc avec 3 fautes au débit. Cette fois, c’est la bonne ? Non, la Chorale de Roanne hausse le ton, Marc Salyers est un chef de chœur exceptionnel, et Nancy est capot.\\n\\nTrois finales, trois échecs, DeRon Hayes, Tarik Kirksay, Dan McClintock et Max Zianveni,, qui sont sortis par la petite porte les trois fois sont définitivement maudits.\\n\\nEn 2008, le SLUC a demandé des licences pour sept nouveaux joueurs et se retrouve de nouveau à Bercy et encore face à Roanne. Jeff Greer (29 points, 35 d’évaluation) et Philippe Amagou, déjà champions avec respectivement Strasbourg et Le Mans, montrent la voie. Cette fois pas de quartiers ; 84 – 53. Les supports lorrains pas rancuniers sont revenus en nombre (3 500) et savent cette fois quel bon goût a la victoire.\\n\\nLa séquence émotion se déroule dans la salle de presse. Les larmes tombent sur les joues de Jean-Luc Monschau « Quand on fait du sport, on s’expose aux déceptions, aux matches qu’on aurait aimé gagner », déclare-t-il. » Mon père m’a toujours appris que c’est dans la déception qu’on doit trouver les forces pour être plus fort la fois d’après. Alors quand la déception dure un peu, c’est compliqué à mettre en application, mais il ne faut jamais abdiquer ».\\n\\n[armelse]\\n\\n1997, Quand Lionel Jospin et Stéphane Risacher admirent Jordan\\n\\n» J’ai joué contre le meilleur joueur de tous les temps, mon idole, une icône, un Dieu vivant. Il n’a pas forcé... »\\n\\nUn plateau-repas sur les genoux, Lionel Jospin, Premier Ministre en exercice, vrai fan de basket comme Barack Obama, déjà présent pour le TPO en 1984, ne voulait pas manquer ça : Michael Jordan était à Paris. Et pas à la sauvette comme en 85 et en 90 pour assurer la promotion de son équipementier Nike, cette fois dans le cadre majestueux de Bercy et sous le maillot mythique — grâce à lui — des Chicago Bulls. Finalement, peu importe que Scottie Pippen (blessure) et Dennis Rodman (pneumonie) n’étaient pas en état de marche puisque His Airness s’offrait à ses fans...\\n\\nDu moins sur le terrain, car ceux qui firent le pied de grue à la porte de son hôtel, L’intercontinental, en furent pour leurs frais. Pas d’autographe ni même un regard. Son passage sur le plateau de Canal+ fit un tabac, forcément. Le reste demeura de l’ordre du privé. Un tour au dîner officiel des délégations présentes au Buddha, de bonnes bouffes notamment chez L’Ami Louis, un alter au Barby et au Duplex, une petite montre par ci, quelques cigares par là... Le tout avec la french touch puisque Michael sortait coiffé d’un béret basque. Les Américains savent toujours caresser l’orgueil national de leurs hôtes.\\n\\nSa venue à l’Open McDonald’s avait mobilisé un millier de journalistes et 161 chaînes de télévision. Aux portes du POPB, certains revendeurs n’hésitaient pas à proposer des places au marché noir entre 1 000 et 2 000 francs. Les veinards qui avaient pris place dans l’enceinte furent béats d’admiration. Malgré une douleur à l’orteil, Michael Jordan revêtit son habit de Superman. » Son talent a irradié le parquet de Bercy, ses moindres mouvements étant salués par autant d’ovations », écrivit L’Équipe. Jordan scora 28 points (plus 7 rebonds et 6 passes) et c’était nécessaire pour que les Bulls repoussent le PSG Racing remonté comme un coucou suisse (89 à 82). » On a vraiment manqué de synchronisation. On s’est mis à faire des fautes stupides qui leur ont permis de revenir dans le match. J’ai commencé à être un peu inquiet. On ne sait jamais ce qui peut arriver dans un scénario pareil », reconnaîtra le Super Héros.\\n\\nUn superbe hommage fut rendu un peu plus tard par Stéphane Risacher : « ma culture du basket américain, c’est Jordan, Point », nous disait-il.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mondial U17 féminin: Le huitième de finale France-Mali à 17h15 sur YouTube"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à un changement de programme, c’est à 17h15 que se tiendra le huitième de finale du championnat du monde U17 féminin entre la France et le Mali. Il sera diffusé sur YouTube.\\n\\nPhoto: Marie Pardon (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Russie : Vitaly Fridzon quitte le CSKA Moscou et rejoint le Lokomotiv Kuban"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après cinq ans passés au CSKA Moscou, Vitaly Fridzon (1,95m, 32 ans) quitte la superpuissance russe et s’engage avec le Lokomotiv Kuban.\\n\\nSur Twitter, le demi-finaliste d’Eurocup annonce la signature de l’international russe pour deux saisons. En cinq saisons sous les couleurs du CSKA, le capitaine de la sélection russe a remporté l’Euroleague en 2016 et cinq fois la VTB League, de laquelle il est devenu le meilleur scoreur avec 2171 points à son actif aujourd’hui.\\n\\nLa saison dernière, Vitaly Fridzon compilait en moyenne 6,8 points, 1,6 rebond et 1 passe décisive pour une évaluation de 6,8 en VTB League, 2,9 points en Euroleague.\\n\\n\\n\\n\\nLoko has singed a 2-year contract with @russiabasket's captain and ex-@cskabasket guard Vitaly Fridzon.\\nWelcome to the Krasnodar! pic.twitter.com/ah3t7jhUif\\n\\n\\n— Lokomotiv Kuban (@lokobasket) July 25, 2018\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Antoine Diot (Valence) de passage à Bourg: «J’espère retrouver le maillot bleu le plus rapidement possible»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Antoine Diot (1,93m, 29 ans) était cette semaine de retour chez lui, à Bourg-en-Bresse, la ville où il est né et où il a grandi avant de partir à l’INSEP.\\n\\nAprès un titre de champion d’Espagne en 2017 avec Valence, le Bressan a connu une saison blanche en raison d’une blessure au genou gauche. Il évoque au micro de Delphine Convert de Radio Scoop son rôle d’animateur aux Camps Basket Elite de la JL et donne des nouvelles -rassurantes- sur sa santé.\\n\\nPourquoi avez-vous accepté d’être parrain de ce stage ?\\n\\nTout simplement parce que le projet me tient à cœur. Je suis un garçon issu de Bourg, j’y ai fait toutes mes gammes et c’est un peu dans la continuité de ce que fait la JL avec l’école des meneurs. C’est important pour moi d’être présent aujourd’hui, de transmettre aux jeunes comme moi on m’a transmis. J’ai fait un nombre de camps innombrable dans ma jeunesse.\\n\\nVous êtes donc passé par ce chemin ?\\n\\nMalheureusement, à l’époque la JL n’avait pas de camp mais je suis passé par là. A 12-15 ans, je regardais les idoles. Quand il y en a un qui vient, tout de suite ça met du baume au cœur, ça permet d’échanger avec eux et c’est très important.\\n\\nQuel est votre rôle pendant ce stage ?\\n\\nParler tout simplement ! Je ne suis pas du tout coach, je n’ai pas mes diplômes, rien. Juste transmettre mon expérience, mon vécu, essayer de ressentir ce que j’avais à 15 ans, donner les conseils que j’aurais aimé avoir à cet âge-là pour réussir. Il y a des points techniques et tactiques mais le plus important c’est au niveau de l’échange.\\n\\nVous êtes de retour en Bresse cette semaine. Comment allez-vous ?\\n\\nÇa va très bien. J’ai connu une saison très difficile avec un problème de cartilage au genou. Avec le club de Valence on a fait tous les traitements nécessaires pour me permettre d’être présent à la reprise de l’équipe. A l’heure qu’il est mon genou va très bien. J’attends de reprendre avec les préparateurs physiques de Valence en début de mois. Normalement, tout va bien se passer. Je suis quelqu’un de toujours optimiste. Je n’ai plus mal au genou dans la vie de tous les jours, je ne vois pas pourquoi ça changerait dans les jours qui viennent.\\n\\nEn quoi va constituer cette préparation ?\\n\\nCourir, perdre les kilos que j’ai pris pendant l’été (sourire). Et puis retrouver les sensations, je pense que ça va revenir vite avec du jeu et mes coéquipiers.\\n\\nComment se passe la vie à Valence ?\\n\\nJe suis très content d’être là-bas. Sportivement ça se passe très bien et sur le plan personnel, c’est une ville très agréable avec du soleil pratiquement toute l’année, très peu de pluie. J’aime beaucoup la mentalité espagnole qui est tirée vers le sport, un peu plus ouverte qu’en France. On se plaît énormément là-bas.\\n\\nAvez-vous suivi les résultats de la JL ?\\nBien évidemment ! J’ai suivi... J’allais dire la Pro A... La Jeep Elite ! Et j’ai évidemment suivi la saison de Bourg. J’ai suivi les matches à la télé car j’ai réussi à attraper SFR Sport en Espagne.\\n\\nEt l’équipe de France ?\\n\\nJ’ai suivi aussi. Je n’ai pas pu participer cette année à cause du genou. Les prochaines fenêtres, ça va encore être un peu difficile. Chaque chose en son temps, d’abord reprendre avec mon club. J’espère retrouver le maillot bleu le plus rapidement possible.\\n\\nPhoto: Avec les stagiaires des Camps Basket Elite et Frédéric Sarre, le directeur sportif de la JL."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne – Le coach de Iberostar Palma : «Nous sommes pleinement conscients du risque que représente la signature de Jonathan Jeanne»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’annonce de la signature de Jonathan Jeanne (2,17m, 21 ans) à Iberostar Palma, en LEB Oro espagnole a surpris quand elle n’a pas choqué puisque les médecins français lui avait interdit la pratique du basket-ball suite à la découverture d’une maladie génétique, le Syndrome de Marfan.\\n\\nLe coach du club espagnol Félix Alonso s’est exprimé sur ce qui paraît être un danger mortel pour le Guadeloupéen formé à l’INSEP et au Mans puis prêté à Nancy et qui est demeuré sans club depuis un an. Il se veut rassurant:\\n\\n« Nous sommes pleinement conscients du risque que représente la signature de Jonathan Jeanne, et c’est précisément pour cette raison que nous voulions demander conseil à des spécialistes hautement qualifiés. Tout d’abord, nous avons un rapport de l’Université de Stanford qui certifie que le joueur est apte à la pratique du basket-ball de haut niveau. En outre, le cardiologue David Crémer soumettra le joueur à des examens exhaustifs pour corroborer le rapport susmentionné. Si tel était le cas, Jonathan sera supervisé périodiquement par le Dr Crémer.\\n\\nNous nous rendons compte aussi que si Jonathan peut jouer au basket sans aucun risque, nous aurons un joueur qui était destiné à prendre l’un des quinze premières places de la draft NBA 2017. Il est évident qu’il n’est pas dans sa meilleure forme, mais il lui faut une préparation de quelques semaines et c’est pour cela qu’il est Las Vegas dans un camp d’été. C’est un joueur différent, avec des caractéristiques très spéciales qui le rendent unique.\\n\\nNous espérons que les rapports médicaux seront favorables, ce qui serait une excellente nouvelle. En premier lieu pour Jonathan, qui a été à un pas d’atteindre le sommet et ce fut vraiment difficile de perdre un rêve de cette ampleur en raison d’une maladie aussi grave.\\n\\nNous savons qu’il y a eu beaucoup de portes qui ont été fermées et nous voulons l’aider à retourner à l’endroit qu’il mérite par son talent. Nous marcherons ensemble pendant ce processus et espérons qu’il nous fera tous apprécier ses qualités extraordinaires. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Chris Singleton reste en Europe et choisi le FC Barcelone !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Annoncé en partance pour le Fenerbahce, alors qu’il aurait refusé le CSKA Moscou et l’Anadolu Efes, puis désireux d’un retour en NBA ou en Chine, Chris Singleton (2,06m, 28 ans) a finalement tranché. Il reste en Europe et s’engage avec le FC Barcelone.\\n\\nSur son site, le club catalan a annoncé la signature pour une saison de l’ancien joueur des Washington Wizards. Après deux saisons sous les couleurs du Panathinaïkos, le natif de Canton continue donc son parcours en Euroleague après y être arrivé en 2015 avec le Lokomotiv Kuban. Double champion de Grèce en titre, l’ancien pensionnaire de Florida State a à coeur de redonner des couleurs au Barça.\\n\\n« Je suis prêt à me battre, je suis prêt à gagner et je suis prêt à rapporter des titres à cette organisation légendaire donc je fais aujourd’hui partie. »\\n\\nLa saison dernière, Chris Singleton compilait en moyenne 9,4 points et 5,3 rebonds en championnat grec, et 10,3 points et 5,8 rebonds pour une évaluation de 12,5 en Euroleague."
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : la Juventus de Turin met des maillots de basket en vente"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il semblerait que le rapprochement entre la Juventus de Turin et le basket soit de plus en plus sérieux.\\n\\nAlors que les dirigeants turinois s’intéresseraient à la création d’une section basket, le club italien vient de mettre en vente un maillot de basket. Designé par Adidas, ce maillot sans manche reste fidèle au style de la Juventus : les bandes noires et blanches.\\n\\nCe maillot est disponible à la vente sur le store de la Juventus pour 89,95€."
}, 
{"role": "user",     "content":"Russie : le Khimki Moscou enrôle Casey Prather, champion d’Australie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir recruté Dee Bost sur le poste de meneur, le Khimki Moscou vient d’annoncer la signature de Casey Prather (1,98m, 27 ans) sur le poste d’arrière/ailier.\\n\\nDéjà passé par l’Europe entre Ulm en 2017 et Patras en 2018, l’ancien pensionnaire de Florida va vivre sa première expérience en Euroleague avec le Khimki Moscou. Triple champion d’Australie en titre, il évoluait la saison dernière à Melbourne aux côtés de Casper Ware et David Andersen, deux anciens villeurbannais. A Moscou, il a signé un contrat d’un an plus une autre année en option.\\n\\nLa saison dernière, Casey Prather compilait en moyenne 16,6 points, 6 rebonds et 2,1 passes décisives en Australie, et 11,7 points, 2,2 rebonds et 1,1 passe décisive avec Patras.\\n\\nL’entraîneur moscovite, Georgios Bartzokas s’est exprimé sur sa nouvelle recrue.\\n\\n« Nous cherchions un joueur capable d’évoluer sur le poste 2 et le poste 3. Prather est les deux. Il a la taille et les qualités athlétiques pour jouer sur les deux postes. Et, bien sûr, il est motivé et a envie de jouer au plus haut niveau, aussi bien que la capacité de jouer dans une équipe compétitive comme le Khimki Moscou. Pour chaque joueur le processus est le même. Nous nous renseignons sur son caractère et sa personnalité. Tout le monde nous a dit du bien de Casey. Nous avons donc décidé de le signer, et nous sommes contents qu’il soit là. Maintenant, notre travail est de construire une fote équipe, encore plus forte que l’an dernier. »\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=eeY2uyWiJ8Q\\n\\nPhoto : Melbourne United"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Talib Zanna (ex Nanterre) vers Fuenlabrada"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vainqueur de la FIBA Europe Cup en 2017 avec Nanterre, Talib Zanna (2,06m, 27 ans) serait sur le point de découvrir un nouveau championnat et de s’engager en Espagne.\\n\\nSelon Sportando, l’international nigérian aurait trouvé un accord avec le club de Fuenlabrada. Il vivrait sa première expérience en Espagne en rejoignant ce club. La saison dernière, il évoluait sous les couleurs de l’Ironi Nes Ziona, en Israël.\\n\\nLa saison dernière, Talib Zanna compilait 13,9 points et 9,4 rebonds en première division israélienne.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce : Darrin Dorsey (ex Chalon) signe à Cholargos"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Promu en première division grecque, Cholargos vient de mettre la main sur l’ancien meneur de l’ESSM Darrin Dorsey (1,88m, 31 ans) pour la saison prochaine, selon Sportando.\\n\\n\\nAuteur d’une saison 2016/17 remarquable du côté du Portel, le natif de Phoenix était attendu comme un sauveur lors de sa signature à l’Elan Chalon fin octobre. Finalement loin du niveau auquel on l’attendait, il a souvent été critiqué par son entraîneur Jean-Denys Choulet pour son attitude sur et en dehors du terrain. Il va tenter de se relancer en Grèce.\\n\\nCette saison avec Chalon, Darrin Dorsey compilait en moyenne 5,2 points, 1,5 rebond et 2,8 passes décisives pour une évaluation de 5,2 en Jeep Elite, et 8,1 points, 2 rebonds et 4 passes décisives pour une évaluation de 7,9 en Champions League.\\n\\nPhoto : Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Dijon fait venir le pivot Gavin Ware de Levallois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La JDA Dijon Basket s’est assuré la signature du pivot Américain Gavin Ware (2,06m, 24 ans) qui portait la saison dernière le maillot de Levallois.\\n\\nAncien Bulldog de Mississipi State entre 2012 et 2016, Gavin Ware a débuté en Europe à Anvers assurant 14,0 points et 6,6 rebonds dans le championnat national. A Levallois, ce pivot physique s’est fendu de 12,2 points et 6,7 rebonds pour 15,2 d’évaluation en seulement 21 minutes de moyenne par match en Jeep Elite.\\n\\n« Suite au départ prévisible de Jacques (Alingue), nous nous sommes mis à la recherche de son remplaçant le plus tôt possible. Sachant que le poste 5 est à la fois un poste recherché et indispensable à l’équilibre d’une équipe, nous avons voulu prendre le maximum de garanties sur ce poste-là. Ainsi, nous nous sommes rapidement orientés vers Gavin qui présente l’avantage de connaitre la Jeep Elite ainsi que les qualités recherchées notamment en termes de rebonds. Après une saison en Belgique, il a confirmé cette année à Levallois aussi bien en Jeep Elite qu’en Eurocup, » a commenté le coach Laurent Legname, ajoutant: « Barré par Boris Diaw l’année dernière, il a montré tout de même des qualités en termes de scoring et de rebonds. Ses stats en attestent. Avec davantage de responsabilités l’année prochaine, nous espérons tous que Gavin progressera encore et montrera l’étendue de sa panoplie, aussi bien sur la scène nationale qu’en Basketball Champions League. »\\n\\nPhoto: Eurocupbasketball"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mondial U17 féminin: Vainqueur de la Biélorussie, la France affrontera le Mali en 8e de finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme c’était probable, l’équipe de France n’a pas eu à puiser dans ses ressources pour écarter la Biélorussie même si celle-ci joue à domicile dans ce championnat du monde U17 féminin. Toujours devant, les Bleuettes ont inscris près du double de points que leurs adversaires (64-34) qui n’en ont mis que quatre dans le dernier quart-temps.\\n\\nAlors que Iliana Rupert n’a joué que huit minutes, c’est Eve De Christophie Mahoutou qui a été la plus performante avec 6 points, 9 rebonds et 5 interceptions.\\n\\nEn huitièmes de finale, la France affrontera demain le Mali, qui a été jusqu’ici tenu en échec par la Chine (-20), les Etats-Unis (-53) et l’Italie (-11).\\n\\nPhoto: Kendra Chéry (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"DJ Stephens annonce sur twitter qu’il quitte Le Mans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bien qu’une prolongation de contrat ait été officialisée il y a quelques jours, DJ Stephens (1,95m, 27 ans) fait une annonce sur twitter qui ressemble fortement à un message d’adieu au Mans Sarthe Basket.\\n\\n« Je veux juste remercier le MSB pour l’opportunité, tout leur amour et soutien. Je souhaite le meilleur à l’équipe et à l’organisation pour la suite. Le Mans et le MSB feront toujours partie de ma vie et de ma carrière, comme nous l’étions et sommes champions pour toujours ».\\n\\nL’ailier américain ne précise pas sa destination. S’est-il vu offrir un two way contract par les Memphis Grizzlies qui lui permettrait de rejouer éventuellement en NBA (il a porté trois matchs le maillot de Milwaukee lors de la saison 2013-14) ?\\n\\nLe départ de Stephens est une perte pour le MSB mais aussi pour l’ensemble de la Jeep Elite car ses dunks -il a remporté le concours de dunks du All-Star game- et ses bonds qui tiennent du prodige ont été l’une des attractions majeures de la dernière saison.\\n\\nPhoto: LNB\\n\\n\\n\\n\\nI just want to thank @msb_officiel for the opportunity, all their love and support. I wish the team and the organization nothing but the best moving forward. Le Mans and MSB will forever be a part of my life and my career, as we were and are champions forever... 🦁🦁🦁🦁 pic.twitter.com/nLovAoeihU\\n\\n\\n— Dj Stephens (@DdotJAY30) July 24, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les calendriers de Pro B et de la Leaders Cup dévoilés"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Ligue Nationale de Basket a dévoilé aujourd’hui le calendrier de Pro B 2018-2019 ainsi que celui de la Disneyland Paris Leaders Cup Pro B.\\n\\nLa première journée de championnat aura lieu le 12 octobre prochain.\\n\\nA noter que l’ADA Blois, champion de France en titre, fait partie de ce calendrier officiel et qu’elle jouera son premier match à domicile, face à Caen. Finaliste en 2017/18, la Chorale de Roanne recevra le promu Gries Oberhoffen.\\n\\nNouvelle équipe après avoir racheté les droits sportifs du HTV et fait un bon de la NM2 à la Pro B, le Paris Basketball se déplacera, lui, à Nantes pour disputer le premier match de son histoire dans cette division.\\n\\nPour les autres rencontres, Aix-Maurienne ira à Chartres, l’autre promu, Denain recevra Vichy-Clermont, Quimper se déplacera à Nancy, Orléans accueillera l’ALM Evreux, Poitiers sera opposé à Lille tandis que Saint-Chamond affrontera Rouen.\\n\\nNancy et Orléans seront opposés pour le match aller le 11 janvier 2019 à Nancy, puis le 8 mars pour le match retour dans le Loiret.\\n\\nLe champion, Blois recevra Roanne le 16 novembre.\\n\\n\\nDisneyland Paris Leaders Cup\\n\\nComme chaque année, les 18 équipes de Pro B sont réparties par six poules géographiques de trois équipes qui s’affronteront en matchs aller-retour. Les premiers de chaque groupe et les deux meilleurs seconds seront qualifiés pour les quarts de finale de la compétition.\\n\\nLa première journée aura lieu le 21 septembre prochain.\\n\\nLes trois promus que sont Paris, Chartres et Gries feront respectivement partie des groupes de Lille et Denain, Orléans et Blois, et Nancy et Aix-Maurienne.\\n\\nLes infos concernant le calendrier de Jeep Elite sont ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : le Paris Basketball dévoilera le nom de son coach jeudi"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir racheté les droits sportifs de Hyères-Toulon condamné à la descente en Pro B, le Paris Basket Avenir, devenu Paris Basketball, se prépare à faire sa rentrée en deuxième division française.\\n\\nEn Nationale 2 la saison dernière, le club parisien fait un bon dans la hiérarchie et doit donc se préparer en conséquence. Engagé en tant que Directeur General Opérationnel, Romuald Coustre présentera jeudi, en compagnie de son président David Kahn, le futur coach de l’équipe.\\n\\nC’est à l’occasion d’une conférence de presse sur le parquet du plus vieux terrain de basket du monde, au Théâtre Trévise, que les deux hommes dévoileront l’identité de celui qui sera le premier entraîneur de l’histoire du club."
}, 
{"role": "user",     "content":"Louis Labeyrie a choisi Valence pour deux ans !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"S’il avait annoncé vouloir faire jouer sa clause de sortie à Strasbourg, Louis Labeyrie (2,09m, 26 ans) n’avait pas donné d’indice sur l’endroit où il poursuivrait sa carrière même s’il avait l’Euroleague en ligne de mire. Aujourd’hui c’est fait, l’international français a choisi Valence.\\n\\nBouna Ndiaye, l’agent du joueur, a confié à L’Equipe que son client s’est engagé pour deux saisons avec le club valencien. Il retrouvera donc Antoine Diot avec qui il a partagé le maillot du Paris-Levallois en 2012/13. Seule ombre au tableau, c’est l’Eurocup qu’il disputera et non l’Euroleague, Valence n’étant pas parvenu à se qualifier.\\n\\n« S’il avait pu jouer la finale du championnat avec Strasbourg, il aurait atterri en Euroligue. Il avait eu des propositions du Panathinaïkos et du FC Barcelone en cours de saison », a indiqué Bouna Ndiaye.\\n\\nCette saison, Louis Labeyrie conjuguait en moyenne 13 points et 7,4 rebonds pour une évaluation de 18 en Jeep Elite, et 11,2 points et 7,1 rebonds pour une évaluation de 14,7 en Champions League.\\n\\nPhoto : Champions League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Blois: Le président Paul Seignolle a rencontré la Ministre des Sports Laura Flessel"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Paul Seignolle, président de l’ADA Blois, a eu un rendez-vous avec la Ministre des Sports Laura Flessel afin de plaider le dossier de son club à qui la LNB et la FFBB ont refusé l’accession en Jeep Elite en raison d’un centre de formation non-conforme.\\n\\n« Cette rencontre a été très positive. Mme la Ministre semble disposée à trouver une solution favorable. Elle nous a invités à demander officiellement, via un courrier, une seconde visite de conformité au cahier des charges de la FFBB. Nous allons donc envoyer ce document dès demain. La balle est entre les mains de la Ministre mais quoi qu’il arrive, nous irons jusqu’au bout avec éventuellement un recours devant le tribunal administratif et la Cour de Justice européenne », a déclaré Paul Seignolle à Mag Centre.\\n\\nLa LNB ayant indiqué au Boulazac Basket Dordogne qu’il est maintenu en Jeep Elite avec calendrier à l’appui, si l’ADA Blois obtenait gain de cause, cela entraînerait automatiquement une compétition à 19 clubs. Une catastrophe en terme d’image et de logistique.\\n\\nPhoto: Paul Seignolle (Tuan Nguyen)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview – Moustapha Fall (Equipe de France): «Pour moi ces fenêtres étaient une super opportunité»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion de France avec Chalon en 2017, le pivot de l’équipe de France (2,18 m, 26 ans) pourrait revenir en France la saison prochaine à l’ASVEL après une saison en Turquie à Istanbul. Très bon avec les Bleus lors des fenêtres de qualification pour la coupe du monde 2019, il fait le point avec nous sur son actualité.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe journal L’Equipe t’annonce du côté de l’Asvel. Est-ce que c’est signé ?\\n\\nIl n’y a rien de signé pour l’instant. C’est sûr qu’on est toujours en contacts avancés mais il n’y rien de concrétisé pour le moment.\\n\\nEst-ce qu’il y a d’autres clubs avec qui tu es en discussion dont tu pourrais parler ?\\n\\nJe n’aime pas trop parler des clubs quand il n’y a rien de concret.\\n\\nQu’est-ce qui t’attire dans le projet Villeurbannais et qui te fait réfléchir à signer là-bas ?\\n\\nLa perspective de jouer l’Euroleague en 2019-20 avec un club français. Le fait d’être en France, tout est plus simple de manière générale donc si je peux jouer l’Euroleague en France, c’est tout bénéf pour moi. Après, ce qui pourrait surtout jouer dans ma décision, c’est le fait que je sais que j’aurai de grosses responsabilités dans l’équipe, aussi bien pour la saison prochaine que pour la saison suivante en Euroleague. Cette perspective d’avoir un rôle vraiment majeur, c’est très attrayant pour moi.\\n\\nParce que si tu avais voulu jouer l’Euroleague, l’été dernier, Barcelone s’intéressait à toi après ta saison avec Chalon ?\\n\\nL’été dernier, j’aurais pu signer avec Barcelone. J’avais eu pas mal de pourparlers avec d’autres équipes, mais honnêtement, ça a toujours capoté à un moment. Mais par rapport à Barcelone, j’étais encore blessé pendant l’été, je sais qu’ils n’allaient pas signer quelqu’un de blessé. Donc je ne voulais pas faire capoter le deal en signant là-bas pour qu’au final, ça ne se fasse pas parce que j’étais blessé. En partant à Istanbul, je savais que j’allais pouvoir me remettre tranquillement de ma blessure en pré-saison. Et puis Barcelone avait beaucoup de joueurs, je n’avais aucune garantie, le contrat me liait sur plusieurs années aussi, ça ne me plaisait pas trop. Et si jamais ça ne me plaisait pas, j’allais être bloqué sur plusieurs années. Si je me retrouvais à ne pas jouer, ou à me retrouver dans une situation avec des soucis, ça ne me convenait pas pour une première expérience à l’étranger. J’ai préféré m’aguerrir un an, prendre encore de l’expérience. En plus, ça m’a permis de jouer avec l’équipe de France sur les trois premières fenêtres donc au final, ce choix était vraiment un mal pour un bien. Vu comment les choses se sont passées, je ne regrette pas du tout.\\n\\nTu as toujours privilégié une construction de carrière où la perspective de jouer et de progresser était plus importante que l’argent où le prestige du maillot que tu portais. Cela a été le cas avec le choix d’aller à Poitiers, puis à Monaco en Pro B encore une saison, puis Antibes, un petit club de Pro A...\\n\\nJusqu’à présent, je me sentais vraiment en pleine évolution chaque année. Tant que je sentais que je progressais vraiment, je voulais continuer dans ce schéma. Quand tu es jeune, la priorité, c’est de jouer. Après, dire que tu es à Barcelone, c’est sûr que ça sonne bien aux oreilles des gens mais si au final, c’est pour être sur le banc, ça ne sert pas à grand-chose.\\n\\nTu dis que tu as choisi Sakarya l’été 2017 parce que ça te permettait aussi de jouer avec l’équipe de France, tu avais ça en tête dès le début du choix de ton nouveau club ?\\n\\nA la base, je n’avais pas ça en tête, mais quand j’ai dû choisir entre les deux offres, c’est entré en compte. J’ai réfléchi, j’ai bien pesé le pour et le contre des deux scénarios et j’ai pensé à l’équipe de France et je me suis dit que ces fenêtres étaient un bon moyen de créer sa place en équipe de France. Jusqu’à présent, ça se passe plutôt bien. Il n’y a rien de gagné mais je pense avoir montré que j’étais capable de jouer à ce niveau-là.\\n\\nParlons des Bleus. Ces fenêtres de qualification pour la coupe du monde étaient tes premières apparitions sous le maillot Bleu. Qu’est-ce que tu as pensé de cette première expérience ?\\n\\nPour moi, ces fenêtres étaient une super opportunité. Déjà, c’était super d’être avec l’équipe de France. C’est vraiment une expérience différente. Je n’avais jamais fait les équipes de France de jeunes, une fois les A’ seulement. Je n’avais pas d’expérience du basket international donc ça fait découvrir d’autres systèmes de jeu, d’autres types de joueurs donc c’est plutôt cool. Une bonne expérience. Sachant qu’en plus, ça amène de l’exposition au niveau individuel pour la suite de ma carrière, donc ce n’est que du positif.\\n\\nLes retours après le dernier match contre la Russie où tu as été excellents étaient vraiment très bons sur ta prestation et sur ton niveau. Tu as pesé face et autour de joueurs de NBA et d’Euroleague...\\n\\nOui, c’était mon objectif sur ces fenêtres. Montrer que j’ai ma place avec les meilleurs. Déjà, dans ma tête, je pensais vraiment pouvoir disputer l’Euro en 2017. Malheureusement, comme j’étais blessé, ça ne s’est pas fait. Donc je me suis dit que la prochaine fois que j’aurai ma chance, je ferai en sorte de la saisir. Sur les deux premières fenêtres, tous les meilleurs joueurs n’étaient pas encore là, donc on ne pouvait pas tirer de réelles conclusions, même si les matches étaient à fort enjeux, mais après la troisième fenêtre, notamment le match contre la Russie, c’est un match référence pour moi.\\n\\nEst-ce que le fait d’avoir pu prendre tes marques avec moins de concurrence peut-être sur les premières fenêtres, ça t’a permis de faire tes preuves et de monter en puissance pour te familiariser avec l’équipe et les systèmes du coach. Est-ce que la formule te semble pertinente pour faire émerger de nouveaux talents et les amener au très haut niveau par la suite ?\\n\\nHonnêtement oui. Moi, ça m’a beaucoup aidé. Je n’avais jamais joué pour Vincent Collet, je ne connaissais pas trop son système de jeu, les attentes qu’il pouvait avoir avec moi. Ce sont des choses qu’il faut assimiler rapidement en plus. Au départ, sur le terrain, j’étais plus en train de réfléchir que de jouer naturellement. Mais à force, déjà sur la deuxième fenêtre, j’étais déjà mieux, et puis sur la troisième, je me sentis beaucoup plus à l’aise.\\n\\n« Le staff a dit qu’on s’entrainait mieux que d’habitude en équipe de France. Tout le monde était vraiment tourné vers l’objectif. On voulait se qualifier »\\n\\nComment le sélectionneur t’a accueilli ? Qu’est-ce qu’il attendait de toi au début, et qu’est-ce qu’il t’a dit après la troisième fenêtre ?\\n\\nAu départ, il m’a pris pour avoir de la taille. Mais il ne m’a pas vraiment parlé au début, je pense qu’il voulait me tester. Il m’a fait jouer. Je pense qu’il ne savait pas encore les choses sur lesquelles ça allait et celles sur lesquelles je n’étais pas à l’aise. Comment je ne savais pas trop ce qu’il attendait de moi, ce n’est jamais facile au départ. Mais au fil des matches, on a commencé à avoir un dialogue, à plus discuter. Sur la deuxième fenêtre, c’était déjà beaucoup mieux. Après le match contre la Russie à Paris, on a eu des discussions par rapport aux endroits où j’aimai être placé, ce genre de choses. Depuis, on a beaucoup échangé, on sait tous les deux ce qu’on attend de l’autre. Tout se passe bien quoi. Donc, c’est sûr que ce nouveau format, pour quelqu’un comme moi, c’est très bien.\\n\\nQuelles étaient tes sensations après ton match référence en Russie, avec Rudy Gobert à tes côtés, Nicolas Batum, Evan Fournier, Nando De Colo ?\\n\\nHonnêtement, rien de spécial. Je sais de quoi je suis capable. Après, c’est sûr que je ne m’attendais pas à avoir une opportunité aussi grande avec les fautes de Rudy Gobert. Ça m’a permis de me mettre en rythme et d’être à l’aise. Mais quand tu as du temps de jeu et de très bons joueurs autour de toi, ça facilite toujours les choses. En général, les intérieurs, plus ils ont de bons joueurs autour d’eux, plus ils peuvent être efficaces parce qu’ils ont plus d’espace. Dans des conditions comme ça, ça facilite les choses.\\n\\nUn match comme ça, au niveau de l’exposition, ça marque les esprits à ton avis ? C’est en tout cas ce que disais Vincent Collet à propos de ta performance après le match...\\n\\nOui, je crois. C’est toujours révélateur d’être un International. Quand tu performes en sélection, les gens se disent : ok, là, c’est le plus haut niveau. Après, les gens ont le sentiment que tu peux jouer partout.\\n\\nComment tu qualifierais l’état d’esprit de l’équipe de France sur les fenêtres ?\\n\\nDe l’intérieur, c’était vraiment très bon. Déjà, on s’est beaucoup entraîné et on s’est entrainé dur. Le staff a dit qu’on s’entrainait mieux que d’habitude en équipe de France. Tout le monde était vraiment tourné vers l’objectif. On voulait se qualifier. On a vraiment mis beaucoup de rigueur dans tout ce qu’on a fait, on ne s’est pas vu plus beaux qu’on est. On a été sérieux, rigoureux et les résultats sont tombés.\\n\\nTu sentais que la sélection et les qualifications, c’est une ambiance différente du club ?\\n\\nOui, on sent cette différence. Quand tu es en équipe de France, si tu fais un mauvais match, tu n’as besoin de réfléchir. Seule la victoire compte. Tu ne te dis pas : je n’ai pas fait ci, je n’ai pas fait ça, je n’ai pas fait de stats... Il y a des rôles définis mais on n’a rien à prouver. Le coach nous a dit que s’il nous a pris, c’est pour nos qualités. Ça ne sert à rien de forcer, de tenter des choses qu’on ne sait pas faire, de sortir de son registre.\\n\\nEst-ce que tu penses avoir gagné ta place pour la coupe du monde 2019 ?\\n\\nNon, je ne crois pas. Il reste encore une saison, des fenêtres, il peut se passer plein de choses. Je sais juste que j’ai montré que j’étais capable d’être là et voilà. Vincent Collet le sait je pense, mais il reste un an. On ne sait jamais de quoi l’avenir est fait.\\n\\nEst-ce que pour la saison à venir, les fenêtres avec l’équipe de France vont être une priorité pour toi ?\\n\\nJ’aimerai jouer. Vraiment. Maintenant, en fonction du club où je vais signer, je ne sais pas encore si je serai disponible. Mais ce qui est sûr, c’est que si on m’appelle et que j’ai l’opportunité, j’irai sans hésitation.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n[armelse]\\n\\nLe journal L’Equipe t’annonce du côté de l’Asvel. Est-ce que c’est signé ?\\n\\nIl n’y a rien de signé pour l’instant. C’est sûr qu’on est toujours en contacts avancés mais il n’y rien de concrétisé pour le moment.\\n\\nEst-ce qu’il y a d’autres clubs avec qui tu es en discussion dont tu pourrais parler ?\\n\\nJe n’aime pas trop parler des clubs quand il n’y a rien de concret.\\n\\nQu’est-ce qui t’attire dans le projet Villeurbannais et qui te fait réfléchir à signer là-bas ?\\n\\nLa perspective de jouer l’Euroleague en 2019-20 avec un club français. Le fait d’être en France, tout est plus simple de manière générale donc si je peux jouer l’Euroleague en France, c’est tout bénéf pour moi. Après, ce qui pourrait surtout jouer dans ma décision, c’est le fait que je sais que j’aurai de grosses responsabilités dans l’équipe, aussi bien pour la saison prochaine que pour la saison suivante en Euroleague. Cette perspective d’avoir un rôle vraiment majeur, c’est très attrayant pour moi.\\n\\nParce que si tu avais voulu jouer l’Euroleague, l’été dernier, Barcelone s’intéressait à toi après ta saison avec Chalon ?\\n\\nL’été dernier, j’aurai pu signer avec Barcelone. J’avais eu pas mal de pourparlers avec d’autres équipes, mais honnêtement, ça a toujours capoté à un moment. Mais par rapport à Barcelone, j’étais encore blessé pendant l’été, je sais qu’ils n’allaient pas signer quelqu’un de blessé. Donc je ne voulais pas faire capoter le deal en signant là-bas pour qu’au final, ça ne se fasse pas parce que j’étais blessé.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce : Quincy Diggs (ex Boulazac) signe à Rhodes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé à Boulazac fin novembre après avoir commencé la saison à Nymburk (République Tchèque), Quincy Diggs (1,98m, 28 ans) vient de s’engager avec le club grec de Rhodes.\\n\\nDiplômé de l’université d’Akron, le natif de Wichita a lancé sa carrière professionnelle à Oberwart, en Autriche, en 2015. Après une saison, il s’est engagé en faveur d’Eisbaeren Bremerhaven pour la saison 2016/17.\\n\\nEn Jeep Elite, Quincy Diggs compilait en moyenne 9,4 points, 4,7 rebonds et 3,2 passes décisives pour une évaluation de 12,4.\\n\\nPhoto : Linda Chasserieau"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Mantas Kalnietis rejoint l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme annoncé il y a quelques jours, Mantas Kalnietis (1,96m, 31 ans) sera le meneur de l’ASVEL la saison prochaine.\\n\\nCe joueur référencé en Europe, avec 174 matchs d’Euroleague à son actif, s’est engagé pour une saison avec le club villeurbannais.\\n\\nManager General du club, Yohann Sangaré s’est exprimé sur le site du club.\\n\\n« Nous sommes très heureux d’accueillir Mantas KALNIETIS dans notre effectif. Meneur de l’équipe nationale de Lituanie, il est habitué à jouer au plus haut niveau. C’est important d’avoir un joueur qui a l’habitude de gagner des titres. Il a déjà gagné l’Eurocup, été plusieurs fois champion de Lituanie et de la Ligue Baltique, et décroché deux médailles avec la sélection lituanienne... Un palmarès impressionnant ! Il permettra à l’équipe mais aussi aux jeunes joueurs comme Théo MALEDON et Sofiane BRIKI de bénéficier de toute son expérience. »\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Manuella Hatchi (Rezé) : «Je vise la Ligue féminine»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Joueuse de Rézé en Ligue Féminine 2, Manuella Hatchi (1,74m, 23 ans) est l’une de ces joueuses ou joueurs de haut niveau qui profitent de l’inter-saison pour bosser individuellement. Elle participait la semaine dernière au camp de perfectionnement de Sylvain Lautié, l’ancien entraîneur du SLUC Nancy entre autres. Elle tournait la saison dernière à 9 points, 4 rebonds et 1,6 passe et compte sur le travail effectué durant l’été pour progresser et atteindre le niveau au-dessus.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComment s’est passé ta saison d’un point de vu collectif ?\\n\\nC’est une saison plutôt satisfaisante. Au point de vue du classement, on a atteint notre objectif qui était de se maintenir pour notre première saison à ce niveau (Ligue 2), en atteignant la 7ème place, et cerise sur le gâteau, on a aussi atteint les playoffs. Après, match par match même s’il y a eu des défaites assez frustrantes, collectivement, on a su voir de nos erreurs pour finir sur 9 victoires d’affilé à domicile.\\n\\nEt d’un point de vu individuel ?\\n\\nJe dirai une saison moyenne. C’était ma première année à ce niveau et la première partie de saison n’a pas été des plus réussi mais avec le travail j’ai su me reprendre et faire ce que l’on attendais de moi, allant jusqu’à de très bonne performance. J’ai beaucoup appris de cette saison et su augmenter mon niveau de jeu.\\n\\nEst ce que tu as déjà fait du travail individuel les années précédentes ?\\n\\nBien sur, cela fait 5 ans que je travaille individuellement. Au début c’était l’été, à travers beaucoup de camp, depuis 3 ans, maintenant, j’ai la chance de travailler avec un entraîneur individuel qui est aussi localisé sur Nantes. Donc j’essaie de travailler le plus souvent possible avec lui.\\n\\nTu es la seule femme durant cette semaine, tu n’as pas de coéquipière qui voulait venir avec toi ?\\n\\nHaha, oui c’est vrai je suis la seule fille et je ne pensais pas être là seule. J’ai pas pensé à en parler avec mes coéquipières, j’avoue j’ai d’abord pensé à moi et mes objectifs de progression. Mais je sais très bien que mes coéquipières travaillent aussi de leur côté.\\n\\nEst ce que tu sais ce que tes collègues font pendant l’été ?\\n\\nJe sais qu’il y a les équipes nationales donc je sais très bien qu’elles font aussi, soit des camps soit du travail individuel.\\n\\nEst ce que tu peux expliquer le travail que vous réalisez ?\\n\\nCette semaine, c’est axé sur le perfectionnement du tir et prise d’appuis. On est sur tous les aspects du shoot : jump shoot, shoot après dribble ou après un écran, tir à trois point etc. On se met en condition de fatigue pour améliorer au mieux notre tir, afin d’avoir une bonne base de shoot et continué à travailler dessus pour être beaucoup plus régulier. On est à quatre entraînements par jours, le premier est à 7h et le dernier est à 21h. Sylvain et Pascal sont là pour nous corriger. C’est beaucoup de répétitions du même (bon) geste sur de courtes séquences mais à très forte intensité. Interdiction de s’économiser. C’est hyper enrichissant.\\n\\nTravailles-tu des aspect spécifique de ton jeu ? Ton coach t’a demandé de travailler particulièrement sur certains points ?\\n\\nMon coach me demandera d’être meilleur que la saison précédente sur un point de vue global. Et grâce au travail vidéo, j’ai conscience des axes de progressions individuel à réalisé. Mais la vrai demande de sa part serai d’être plus dur physiquement, je suis un petit gabarit, pois plume (haha) et je subis beaucoup les contacts donc je dois prendre un peu plus de masse musculaire. Collectivement, comme je l’ai déjà dis, nous travaillons sur les vidéos, donc semaine après semaine, le coach a des demandes différentes selon les équipes que l’on rencontre.\\n\\nQuels sont tes objectifs pour la saison à venir ? Et à moyen terme ? Vises-tu la monté en LFB ?\\n\\nA court et moyen terme c’est la régularité sur les statistiques et m’imposer encore plus à ce niveau, devenir une vrai joueuse majeur de ligue 2. Bien sur que je vise la Ligue féminine, je travaille pour et je sais que j’en suis capable. C’est pour ça qu’il est important aujourd’hui de valider les objectifs à court et moyen terme."
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Petteri Koponen s’engage avec le Bayern Munich"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme prévu, Petteri Koponen (1,94m, 30 ans) sera un joueur du Bayern Munich la saison prochaine.\\n\\nLe club vient d’officialiser la signature de l’ancien joueur de Barcelone jusqu’en 2021.\\n\\nCette saison, Petteri Koponen compilait en moyenne 8,7 points, 1,9 rebond et 1,4 passe décisive en ACB, et 7,9 points, 1,6 rebond et 1,5 assist pour une évaluation de 7,3 en Euroleague.\\n\\n\\n\\n\\n+++ TRANSFER-NEWS +++ Der #FCBB sichert sich langfristig Dreier-Spezialist @KoponenPetteri. Herzlich willkommen, Petteri! ✌️Mehr Infos: https://t.co/NDHihRWkVf. // #FCBayernBasketball signed Petteri #Koponen till 2021. Welcome to Munich! pic.twitter.com/Zzc6jfU3QS\\n\\n\\n— FC Bayern Basketball (@FCBBasketball) July 24, 2018\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Raymond Cowels rejoint Boulazac"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé en France l’été dernier, Raymond Cowels (1,93m, 27 ans) évoluera toujours en Jeep Elite à la rentrée, sous les couleurs du Boulazac Basket Dordogne.\\n\\nBonne nouvelle pour le championnat de France qui garde l’un de ses meilleurs scoreurs et All Star de la saison passée. Sur son site, le BBD annonce la signature du natif de Chicago pour la saison prochaine. Avant d’arriver en Jeep Elite, l’ancien pensionnaire de Santa Clara est passé par les Pays-Bas, la Nouvelle-Zélande et la Finlande.\\n\\nCette saison en Jeep Elite, Raymond Cowels compilait en moyenne 15,1 points, 3,6 rebonds et 1,2 passe décisive pour une évaluation de 10,5."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Petteri Koponen vers le Bayern Munich"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Agent libre, Petteri Koponen (1,94m, 30 ans) serait sur le point de s’engager avec le Bayern Munich pour plusieurs saisons.\\n\\nSelon David Pick, le club bavarois devrait officialiser aujourd’hui de l’international finlandais jusqu’en 2021. Meneur référencé en Europe, le natif de Helsinki est passé par la Virtus Bologne, le Khimki Moscou et le FC Barcelone. En 2015, il a remporté l’Eurocup avec le club moscovite et lui a ainsi permis de remporter son ticket pour l’Euroleague.\\n\\nCette saison, Petteri Koponen compilait en moyenne 8,7 points, 1,9 rebond et 1,4 passe décisive en ACB, et 7,9 points, 1,6 rebond et 1,5 assist pour une évaluation de 7,3 en Euroleague.\\n\\n\\n\\n\\nSource: Euroleague free agent guard Petteri Koponen and Bayern Munich have committed to signing a long-term partnership deal till 2021. OFFICIAL TODAY.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) July 24, 2018\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Al’Lonzo Coleman nouveau pivot de Rouen"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dominant en deuxième division israélienne la saison dernière, Al’Lonzo Coleman (2,01m, 29 ans) est le nouveau pivot du Rouen Métropole Basket, annonce le club.\\n\\nPassé par le Mexique, le Canada, l’Argentine, la Finlande, la Norvège et Israel, le natif de Charlotte a l’habitude de découvrir des nouveaux championnats et ça sera une nouvelle fois le cas avec le Pro B à la rentrée.\\n\\nCette saison en moyenne, Al’Lonzo Coleman compilait 17,3 points, 3,2 passes décisives et 10 rebonds.\\n\\nAlexandre Menard, l’entraîneur rouennais s’est exprimé sur son nouveau joueur.\\n\\n«La signature d’Al’Lonzo est vraiment quelque chose d’important pour nous. C’est un joueur que nous pistions depuis deux ans, qui a joué avec Desmond Williams en Finlande (Salon Vilpas) et qui dominait la 2ème division israélienne la saison dernière. Bon défenseur, excellent passeur et rebondeur d’impact, Al’lonzo sera un point d’ancrage important dans la raquette. Il pourra d’ailleurs jouer avec n’importe quel autre intérieur en 4 ou en 5. Tous les coaches, les agents et joueurs que nous avons interrogés à son sujet ont été unanimes : Al’Lonzo est un battant, un travailleur, une bonne personne et un leader. Autant de qualités et de valeurs qui représentent exactement ce à quoi doit ressembler le Rouen Métropole Basket 2018-2019. Bienvenue en Normandie! »\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"3×3: Quatre Françaises dans le top 5 mondial !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le ranking mondial du 3×3, soit la place de chacun et de chacune évolue au fil des tournois. A l’instant T, trois Françaises appartiennent au top 5: la meneuse de La Roche Vendée Caroline Hériaud est toujours première, l’ailière de Landerneau Victoria Majekodunmi est 2e, l’arrière de Lattes-Montpellier Marie Mane 3e et l’ailière de Lattes-Montpellier qui passe à Mondeville Kone Assitan 5e. Sachant que l’ailière de Chartres Alice Nayo est 10e.\\n\\nC’est beaucoup moins glorieux chez les hommes puisque le premier Français, le meneur du Cannet (N2) Anthony Christophe n’est que 62e.\\n\\nVoir le classement des filles et des garçons.\\n\\nPhoto: Caroline Hériaud (FFBB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges recrute le meneur London Perrantes vu avec les Cleveland Cavaliers la saison dernière"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Limoges CSP a recruté le meneur américain London Perrantes (1,88m, 23 ans), qui est sorti de l’université de Virginie en 2017 et qui par le biais d’un two-way contract a joué la saison dernière 14 matches (0,5 point) avec LeBron James and Co en NBA. Il a évolué le reste de la saison en G-League avec les Canton Charge où il a fait apprécier son sens de la passe (11,9 points, 30,9% à trois-points, 3,4 rebonds, 7,8 passes).\\n\\nLe coach Kyle Milling et son adjoint François Peronnet ont pu le scouter cet été lors de la Summer League. London faisait partie de l’équipe des San Antonio Spurs avec laquelle il a cumulé 5,2 points (47,6% de réussite), 3,2 rebonds en 19 minutes de jeu.\\n\\n“On souhaitait avoir un meneur passeur, un playmaker : un faiseur de jeu. Ce n’est pas un profil facile à trouver mais London est vraiment dans les habitudes et dans les dispositions mentales pour pouvoir assumer ces responsabilités. C’est vraiment quelqu’un qui aime faire des passes, qui aime créer du jeu pour ses coéquipiers. Même si il n’a jamais joué en Europe, on a une entière confiance en lui et on sait que ce type de joueur va plaire à Beaublanc et faire jouer l’équipe comme on le souhaite. Il est un parfait complément de Jonathan Rousselle qui sera plus dans le scoring », commente le Directeur Sportif Olivier Bourgain.\\n\\nQuant au coach, Kyle Milling, il ajoute:\\n\\n“Nous recherchions un meneur organisateur qui peut rendre meilleur ses coéquipiers et en même temps qui est capable de prendre les choses en main offensivement. London est un joueur qui a ce profil avec en plus un énorme QI basket. Il a fait gagner son équipe à la fac. Toutes les personnes auprès de qui je me suis renseigné m’ont confirmé les qualités de ce joueur. Ce n’est pas étonnant que des équipes d’Euroleague se soient également renseignées sur lui. C’est un joueur qui est connu pour faire jouer son équipe et en fin de match, il sait prendre les choses en main. Il sera un leader naturel dans notre équipe.”"
}, 
{"role": "user",     "content":"Quand Nando De Colo était fan de Tony Vairelles"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Voix des Sports a demandé aux parents de Nando De Colo, Bruno et Nicole, d’évoquer l’enfance de leur fils.\\n\\nAinsi la maman parle des héros de jeunesse de l’international du CSKA Moscou :\\n\\n« Je lisais le magazine “Maxi Basket”. Nando avait récupéré des posters. Il y avait notamment Magic Johnson et Michael Jordan. À l’âge de dix ans, on l’emmenait voir des matchs à Gravelines... »\\n\\nMais le papa apporte une petite précision:\\n\\n« Mais il n’y avait pas que le basket. Ici, on était fans du RC Lens et on l’est toujours (rires). Alors, on allait souvent à Bollaert. Il jouait au foot et avait notamment été repéré par Guillaume Warmuz et Tony Vairelles. Ce dernier lui avait dédicacé une photo et lui avait écrit : “Bon courage dans le sport que tu auras choisi”. En 2015, après le championnat d’Europe à Lille, il a donné un coup d’envoi à Bollaert (face à Sochaux). Il en était très fier. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Lasan Kromah arrive à Boulazac"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avant-dernier du classement de Jeep Elite, Boulazac continue son recrutement après s’être maintenu grâce à la non-validation de la montée de Blois. Lasan Kromah (1,98m, 27 ans) est la nouvelle recrue du BBD, annonce le club.\\n\\nChampion NCAA 2014 avec UCON, le New-yorkais va vivre sa première expérience en France après avoir évolué en Hongrie, Turquie, Grèce, D-League, Australie et donc Roumanie.\\n\\nCette saison, Lasan Kromah compilait en moyenne 12,7 points, 3,2 rebonds et 2,2 passes décisives.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nicolas Lang signe un contrat d’un an avec Strasbourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Non conservé par Villeurbanne, Nicolas Lang (1,99m, 28 ans) a signé un contrat d’un an avec la SIG Strasbourg et va donc retrouver son Alsace natale.Le Mulhousien était à l’ASVEL depuis la saison 2015-16 et il était devenu aussitôt champion de France. Cette saison, il a assuré 6,9 points dans son rôle habituel de sniper (41,7% de réussite à trois-points) en 15′ de moyenne.Son père Thierry a porté durant plusieurs saisons les couleurs de la SIG devenant, notamment champion de France de Nationale 3 en 1980, fait remarquer le club\\n\\n« Nicolas est un très bon shooteur qui est complémentaire de Jérémy Nzeulie. C’est un joueur expérimenté du championnat qui a déjà joué dans de bonnes équipes de notre ligue et qui va apporter son expérience. Maintenant que le recrutement de nos joueurs JFL est effectué, nous allons avancer sur le recrutement des non-JFL sur les postes 1, 3, 4 et 5. Nous avons déjà des pistes sur lesquelles nous sommes depuis un certain temps. Nous allons encore travailler pour que cela avance », a commenté le coach Vincent Collet.\\n\\nPhoto: Eurocupbasketball"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce : Nick Calathes élu MVP et meilleur défenseur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il vient de prolonger son contrat avec le Panthinaïkos, Nick Calathes (1,98m, 28 ans) vient d’être élu MVP et meilleur défenseur du championnat grec pour la saison 2017/18.\\n\\nAvec ses deux nouvelles récompenses, l’ancien joueur des Memphis Grizzlies conclu sa saison de la meilleure des manières. Le natif de Casselberry a été élu MVP du championnat en récoltant 88,2% des votes des joueurs, 66,6% des votes des médias et 66,8% des votes du public. Pour le titre de meilleur défenseur, il a obtenu 28% des votes des joueurs, 15,4% des médias et 32,9% des votes du public.\\n\\nCette saison, Nick Calathes compilait en moyenne 10,3 points, 3,8 rebonds et 6,8 passes décisives en championnat, et 14,5 points, 3,8 rebonds et 8 assists pour une évaluation de 18,5 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Lakers, Michael Jordan, Split, Maccabi... Histoires légendaires du Palais des Sports de Bercy (1ère partie)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avant de s’appeler l’AccorHotels Arena, l’enceinte répondait au nom de Palais des Sports de Paris-Bercy (POPB) et les basketteurs y ont écris quelques belles histoires sur son Livre d ‘Or. Ce sont celles-ci que nous allons vous raconter. Le dossier est en deux parties.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n1984, 5000 spectateurs\\n\\nDans les tribunes a pris place sa majesté Bobby Knight, coach de l’équipe US pour les Jeux de Los Angeles, venu scouter ses futurs adversaires européens, qui répond si froidement aux journalistes qu’il pourrait geler toute la Somalie. Et puis aussi Bill Walton, intérieur des San Diego Clippers, un mythe du basket universitaire, qui participe à un clicnic avec la présence de trois centaines d’entraîneurs, et qui lui, est tout à fait dispo. « Ils sont bons ces Russes. Je n’ai vu que la seconde mi-temps du match contre l’Espagne, mais ce n°10 (Vladis Valters), quelle classe ! Ils auraient souffert contre notre équipe quand même. Les Américains sont plus puissants et plus techniques ». Les trois grandes networks américaines, ABC, NBC et CBS ont chacune dépêché une équipe pour réaliser des reportages sur le tournoi de basket et surtout sur l’équipe soviétique d’Arvidas Sabonis dont on vient d’apprendre qu’elle ne participera pas aux Jeux puisque l’URSS les boycotte.\\n\\nTrois semaines auparavant, le Palais des Sports de Paris-Bercy a été inauguré par Jacques Chirac, maire de Paris. Son architecture est avant-gardiste avec sa forme pyramidale et ses parois recouvertes de pelouse. Son fonctionnement est inspiré du Madison Square Garden de New York avec un espce modulable, qui lui permet d’organiser les Six Jours de Paris de cyclisme sur piste (jusqu’en 1989), de monter des spectacles de moto-cross, de stock-car ou encore d’organiser des concerts avec les têtes d’affiche mondiales. Le Tournoi Pré-Olympique de basket essuie un peu les plâtres. Le terrain ne dispose pas exactement des 28 mètres réglementaires, le score apparaît en minuscule, et surtout le POP8 n’a pas fait la promotion promise auprès des collectivités locales et des grands magasins. Chaque journée n’enregistre pas plus de 5 000 spectateurs en moyenne et dans une telle enceinte, ça sonne creux. « Malgré tout, nous avons eu raison de faire disputer ce Tournoi Pré-Olympique à Bercy plutôt qu’à Coubertin où nous étions assurés de faire le plein pour chaque journée, mais dont le cadre ne vaut pas celui du POP8 », juge Christian Mansion, le directeur administratif de la fédération.\\n\\nLes Bleus se qualifient pour les Jeux après une dernière victoire sur Israël. Jean Luent, leur coach, s’enflamme un peu. « C’est formidable ! Je vois déjà l’aéroport, l’avion, le décollage pour Los Angeles. Là, on est au maximum de nos possibilités. On peut faire un truc aux Jeux et si on peut monter sur le podium, on ne se privera pas ». Seulement, la France se fait ensuite pendre haut et court par l’Espagne et s’incline le dernier soir face à la Grèce. Les JO de Los Angeles ne seront qu’une triste pantalonnade.\\n\\n1991, ça fait toujours split !\\n\\nC’est a priori la débandade. Les intérieurs Dino Radja et Goran Sobin et le shooteur Dusko Ivanovic avaient couru le cachet à l’étranger. Le coach Bozidar Maljkovic, champion avec le Jugoplastika Split les deux années précédentes, avait été kidnappé par le FC Barcelone. En plus, ça sentait le soufre en Yougoslavie en ce printemps 1991.\\n\\nLe Barça était donc l’hyper favori du Final Four avec plusieurs internationaux réputés, une triplette d’intérieurs (Audi Norris, José Ortiz et Steve Trumbo) formée aux États Unis vouée à peindre la raquette en sang et or, et donc le Prince Malijko à la manœuvre. Les médias espagnols, dont la modestie n’a jamais été le fort, étaient tellement certains que le grand Barça allait manger tout cru les restes de Split qu’ils avaient déjà écrit leurs titres victorieux. « Ne sous-estimez jamais le cœur d’un champion », dira quatre plus tard Rudy Tomjanovich le coach des Houston Rockets.\\n\\nAvec un Zoran Savic absolument royal à l’intérieur (27 points à 9/13), un Toni Kukoc pas très adroit, mais toujours là où il le fallait, une défense carbonisante sur les défenseurs espagnols, Split réalisa un triplé légendaire.\\n\\nIl y avait encore un peu de gras dans le Split de cette année-là... Zan Tabak n’avait pris part à la finale que pour neuf minutes et Petar Naumoski n’était pas rentré du tout en jeu. Les Yougos avaient la meilleure école de basket d’Europe. Ils étaient de plus en plus concurrentiels pour les Américains, et l’année suivante, alors que le pays avait explosé, c’est le Partizan Belgrade qui succéda à Split au palmarès.\\n\\n1991, les Lakers de Magic\\n\\n« Dans un premier temps, je ne me suis pas aperçu que le public chantait “Magic”, mais c’était beau. Je suis très étonné de l’impact de la NBA ici »\\n\\nPour ce McDonald’s Open, ils avaient emmené avec eux d’Amérique leurs mascottes — le Gorille de Phoenix et le frelon de Charlotte —, les Dare Devils, la jongleuse Tanya Crevier, leur parquet — revendu ensuite au Touquet —, leurs Lakers Girls, des célébrités de la NBA tel Julius « Doctor J » Erving, et surtout leurs joueurs parés de pourpre et d’or : James Worthy, Vlade Divac, Sam Perkins, Byron Scott, A.C. Green et en chef de bande Earvin « Magic » Johnson, le plus fabuleux meneur de l’Histoire de ce jeu qui ne savait pas encore qu’il avait chopé le virus du SIDA.\\n\\nCe n’était pas une manifestation populaire, car le prix des places avait été fixé entre 200 et 450 francs, mais cela n’avait pas empêché un sold out avec 14 133 spectateurs totalement acquis à la cause des Los Angeles Lakers. « Ma-gic ! Ma-gic ! », hurla de plaisir le public du POPB alors que les Lakers concassaient le Limoges CSP fleuron du basket français. « Dans un premier temps, je ne me suis pas aperçu que le public chantait “Magic”, mais c’était beau. Je suis très étonné de l’impact de la NBA ici ». Magic venait de battre le record du tournoi de passes décisives (21) et était un formidable ambassadeur de la ligue américaine que les passionnés avaient appris à apprécier sur Canal+ avec les commentaires de George Eddy, et qui allait être programmée pour toute la saison le dimanche sur FR3 avec Tony Parker Sr comme consultant.\\n\\nPour un Limougeaud, jouer les Lakers c’était tout simplement magique et Frédéric Forte avait rêvé de « planter au moins un 3 points », ce qu’il devait réussir tout comme piquer une balle à Magic himself. Le CSP fut expédié à 31 longueurs (132-101) alors que la Joventut Badalona refusa d’être le faire-valoir de ce conte de fée. Of course, les Lakers étaient en pré-saison, pas très motivés, n’avaient pas du tout étudié le jeu de leur adversaire espagnol qui, lui, rentra dans le match tête baissée sans complexe d’infériorité, mais à 115-114 et 22 secondes à jouer, les Californiens bénéficièrent de la part d’un arbitre américain, Ed Rush, d’un coup de pouce salutaire pour l’ultime remise en jeu. « Si j’avais pu briser ce mythe, j’en serais heureux. Mais c’est déjà un résultat qui démontre que l’écart se rétrécit, que la qualité des joueurs européens augmente sans cesse et que nous avons un bel avenir », commenta Jordi Villacampa. « Je n’ai jamais pensé que nous pouvions perdre », répondit Magic qui s’apprêtait à livrer une bataille bien plus importante.\\n\\n1996, le contre de Stojan Vrankovic\\n\\n« Le panier aurait dû être accordé »\\n\\nNeuf éditions du Final Four de l’Euroleague, neuf participations, la roue de la fortune devait fatalement un jour sourire aux clubs grecs. Les supporters du Panathinaikos le pressentaient, sept milliers d’entre eux avaient investi le POPB, fiévreux, mais sans actes de hooliganisme à déplorer. Le Pana était alors le club le plus fortuné d’Europe avec un budget estimé à la louche entre 56 et 80 millions de francs. Il venait de se payer Dominique Wilkins avec un contrat de 7 millions de dollars sur deux saisons. Ce formidable athlète, ex-superstar des Atlanta Hawks, qui avait illuminé plusieurs fois le concours de dunks du All-Star Game, était à 36 ans au soir de sa carrière. Un bon gars ce Wilkins, mais capricieux et nombriliste. Plusieurs fois le public du Boston Garden lui avait fait savoir ouvertement son mécontentement quand il avait porté le maillot des Celtics. Un journaliste américain écrivit même sans délicatesse que « La plus grande chance des Celtics, c’est d’avoir trouvé un club grec pour se débarrasser de Wilkins ». Lequel Wilkins fit sa tête de con et multiplia les aller-retour entre Athènes et Atlanta, et parut longtemps impropre au jeu européen.\\n\\nEn définitive « The Human Highlight Film » fut élu MVP de ce Final Four parisien. Le Serbe Bozidar Maljkovic, déjà champion avec Split et Limoges, avait su l’apprivoiser. Le Pana méritait-il pour autant son trophée ? À une huitaine de minutes de la fin, il menait de 13 points face à Barcelone toujours en quête lui aussi d’une première consécration. Maljkovic envoya deux meneurs, Panayotis Yannakis et Jon Korfas, pour sécuriser la victoire, mais les jambes des Grecs étaient de plus en plus en coton et leurs mains savonneuses. Yannakis s’affaissa à terre et perdit la balle. Deux joueurs catalans la touchèrent sans la contrôler, elle roula, roula, pour être récupérée par Jose Antonio Montero. Le guard du Barça n’avait plus qu’à la faire passer dans le filet d’un lay-up. C’est alors que l’immense carcasse de Stojan Vrankovic (2,17 m) déboula de derrière le décor. La balle monta, toucha le plexi avant que le Croate ne la baffe pour l’expédier au loin. « C’est la plus incroyable séquence que je n’ai jamais vue. Le plus grand contre que je n’ai jamais vu », s’enthousiasma Wilkins.\\n\\nSauf que les Espagnols n’apprécièrent pas du tout la plaisanterie. À l’évidence, la balle avait eu contact avec le plexi et c’est alors réglementairement interdit de la toucher. Dans la nuit, à 3 h 30, la fédération internationale rejeta pourtant l’appel du Barça. Pas question de rejouer le match, même si « une erreur peut être démontrée par le ralenti à la TV ».\\n\\n« Le panier aurait dû être accordé ». Avec franchise l’arbitre français Pascal Dorizon plaida coupable demandant les circonstances atténuantes, car le match avait été viril et donc pas facile à arbitrer. Le FC Barcelone ne lui accorda aucune excuse et la presse espagnole hurla à la conspiration. Maudit, le Barça échoua encore en finale l’année suivante, toujours face à une équipe grecque, Olympiakos cette fois.\\n\\nA suivre\\n\\n[armelse]\\n\\n1984, 5000 spectateurs\\n\\nDans les tribunes a pris place sa majesté Bobby Knight, coach de l’équipe US pour les Jeux de Los Angeles, venu scouter ses futurs adversaires européens, qui répond si froidement aux journalistes qu’il pourrait geler toute la Somalie. Et puis aussi Bill Walton, intérieur des San Diego Clippers, un mythe du basket universitaire, qui participe à un clicnic avec la présence de trois centaines d’entraîneurs, et qui lui, est tout à fait dispo. « Ils sont bons ces Russes. Je n’ai vu que la seconde mi-temps du match contre l’Espagne, mais ce n°10 (Vladis Valters), quelle classe ! Ils auraient souffert contre notre équipe quand même. Les Américains sont plus puissants et plus techniques ». Les trois grandes networks américaines, ABC, NBC et CBS ont chacune dépêché une équipe pour réaliser des reportages sur le tournoi de basket et surtout sur l’équipe soviétique d’Arvidas Sabonis dont on vient d’apprendre qu’elle ne participera pas aux Jeux puisque l’URSS les boycotte.\\n\\nTrois semaines auparavant, le Palais des Sports de Paris-Bercy a été inauguré par Jacques Chirac, maire de Paris. Son architecture est avant-gardiste avec sa forme pyramidale et ses parois recouvertes de pelouse. Son fonctionnement est inspiré du Madison Square Garden de New York avec un espce modulable, qui lui permet d’organiser les Six Jours de Paris de cyclisme sur piste (jusqu’en 1989), de monter des spectacles de moto-cross, de stock-car ou encore d’organiser des concerts avec les têtes d’affiche mondiales. Le Tournoi Pré-Olympique de basket essuie un peu les plâtres. Le terrain ne dispose pas exactement des 28 mètres réglementaires, le score apparaît en minuscule, et surtout le POP8 n’a pas fait la promotion promise auprès des collectivités locales et des grands magasins. Chaque journée n’enregistre pas plus de 5 000 spectateurs en moyenne et dans une telle enceinte, ça sonne creux. « Malgré tout, nous avons eu raison de faire disputer ce Tournoi Pré-Olympique à Bercy plutôt qu’à Coubertin où nous étions assurés de faire le plein pour chaque journée, mais dont le cadre ne vaut pas celui du POP8 », juge Christian Mansion, le directeur administratif de la fédération.\\n\\nLes Bleus se qualifient pour les Jeux après une dernière victoire sur Israël. Jean Luent, leur coach, s’enflamme un peu.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nArticle paru dans Maxi-Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep® ÉLITE : Devin Ebanks nouvelle recrue du CCRB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est en deuxième division que le CCRB est allé chercher Devin Ebanks (2,06m, 28 ans). Il a terminé meilleur marqueur du championnat la saison dernière.\\n\\nEn NBA à Los Angeles entre 2010 et 2013 pour lancer sa carrière professionnelle, le natif de Brooklyn a ensuite beaucoup bourlingué dans divers championnats en passant par la D-League, Israël, le Mexique, Porto Rico, la République Dominicaine et donc l’Italie. Il va vivre sa première expérience en France à Châlons-Reims où il a signé un contrat d’un an, annonce le club.\\n\\nCette saison en deuxième division italienne, Devin Ebanks compilait en moyenne 21,6 points et 7,1 rebonds pour une évaluation de 23,3.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : Mens Sana Basket 1871"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie : Ertugrul Erdogan serait le nouvel entraîneur de Galatasaray"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé en remplacement d’Erman Kunter début janvier, Oktay Mahmuti a décidé de quitter le club turc et c’est Ertugrul Erdogan (49 ans) qui devrait être l’entraîneur de Galatasaray à la rentrée, annonce Eurohoops.\\n\\nA la tête de l’Istanbul BBSK depuis 2015, reste à Istanbul mais change de crémerie. Passé par le Fenerbahce en tant qu’adjoint (2003-13) puis en entraineur principal (2013), le technicien turc a également officié en faveur du Turk Telekom Ankara (2013-15). Il a aussi été assistant en sélection nationale et sélectionneur de l’équipe U20 (2012).\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : le Top 10 du championnat d’Europe U20M"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Conclu hier par la victoire finale d’Israël face à la Croatie, le championnat d’Europe U20 masculin a délivré du beau spectacle.\\n\\nEn vedette de la compétition et même si la Suède a terminé quatorzième (sur seize), Elijah Clarence a su faire apprécier ses qualités athlétiques avec deux gros dunks qui figurent dans le Top 10 de la compétition. Il a d’ailleurs été nommé à la première place avec un très gros poster sur son adversaire.\\n\\nQuatrièmes du classement, nos Bleuets ne figurent pas dans ce top.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Préparation: Les U16 féminines cartonnent"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En préparation pour leur Championnat d’Europe U16 -17 au 25 août en Lituanie-, les Bleuettes ont réalisé trois résultats impressionnants, s’imposant contre la Russie (67-47), la Hongrie (69-43) et l’Allemagne (68-26).\\n\\nAinsi les Allemandes ont vu leur pourcentage de réussite s’établir à à 23% à deux points et 0% à trois points.\\n\\nLa suite du programme:\\n\\nStage à l’INSEP du 30 juillet au 2 août\\n\\nStage et tournoi en Espagne du 2 au 8 août\\n\\nStage à Kaunas (Lituanie) du 13 au 16 août\\n\\nChampionnat d’Europe à Kaunas (Lituanie) du 17 au 25 août\\nVendredi 17 août à 20h15 : République Tchèque – France\\nSamedi 18 août à 20h15 : Belgique – France\\nDimanche 19 août à 15h45 : France – Turquie\\nMardi 21 août : Huitièmes de finale\\nMercredi 22 août : Quarts de finale\\nVendredi 24 août : Demi-finales\\nSamedi 25 août : Finale"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Jean-Marc Dupraz prolonge deux ans avec Lille"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé à l’été 2017 à Lille, Jean-Marc Dupraz vient de se mettre d’accord avec le club lillois pour prolonger son bail.\\n\\nEncore sous contrat jusque juin 2019, l’ancien entraîneur du Limoges CSP a signé une prolongation de deux saisons avec la formation nordiste, annonce le club.\\n\\nCette saison, le LMBC s’est classé cinquième du classement de Pro B (23v-11d) et s’est hissé jusqu’en demi-finale des playoffs avant de perdre face à Roanne.\\n\\n« Je suis heureux de prolonger à Lille. Le club m’a fait une proposition et après la saison que l’on a vécu, c’est un gage de confiance qui est motivant. Je suis venu avec un contrat de 2 ans pour apporter mon expérience, progresser sur le plan sportif et autour. Et pour ca, il faut pouvoir travailler sur la durée. Avec ce contrat jusqu’en 2021, ça va être le cas. Ce qui m’intéresse, en plus du terrain, c’est de développer un projet, d’apporter des idées et de pouvoir les concrétiser avec tous les acteurs du club. Je suis à un moment de ma carrière où avoir un peu de stabilité, ce n’est pas du luxe. J’ai été sollicité à l’intersaison, et c’est flatteur. Mais avoir de la stabilité et un challenge de développement dans une ville où je me sens bien a motivé mon envie de prolonger. Il y a un vrai potentiel et beaucoup à réaliser. J’ai constaté la saison passée que le club était soutenu et avait la bienveillance des élus et des partenaires privés. C’est encourageant de savoir que l’on va pouvoir mettre en place avec tout le monde une vraie stratégie de développement et une dynamique collective », a déclaré le coach sur le site du club.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : LMBC"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le meneur Ty McKee revient en Jeep Elite, à Cholet Basket"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Deux ans après avoir porté le maillot du Mans, le meneur américain Tywain McKee (1,88, 32 ans) revient en Jeep Elite, à Cholet Basket.\\n\\nDepuis sa sortie en 2009 de Coppin State, Ty McKee a connu quantité d’horizons différents: l’Australie, la Biélorussie, la Russie (Unics Kazan en 2013-14), l’Allemagne (Oldenburg) et Israël (Hapoel Jérusalem) pour commencer.\\n\\nAu Mans, il a laissé le souvenir d’un joueur très tenace n’hésitant pas à prendre ses responsabilités. Pas un shooteur mais un meneur très complet. Ses stats: 13,9 points, 4,3 rebonds et 4,5 passes. Porté par son énergie, le MSB est allé en demi-finale des playoffs et a gagné la Coupe de France.\\n\\nIl est passé ensuite par Turk Telekom Ankara (18,5 pts, 6,2 rbds, 6,2 pds pour 18,4 d’évaluation) puis la saison dernière à l’Hapoel Tel Aviv (9,1 pts, 2,5 rbds, 3,4 pds pour 10,2 d’évaluation).\\n\\n« Tywain est un meneur de jeu expérimenté qui a beaucoup de talent. Il l’a démontré lors de sa saison au Mans, il y a 3 ans. C’est une chance pour nous d’avoir un joueur comme lui, qui soit compétiteur et leader, pour driver notre équipe et nos jeunes joueurs », commente le coach Régis Boissié.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nL’effectif choletais actuel :\\n\\nExtérieurs : Tywain McKee, Pape Sy, Abdoulaye Ndoye, Killian Hayes\\n\\nIntérieurs : Jonathan Augustin-Fairell, Melvyn Govindy\\n\\nTrois jeunes de l’Académie Gautier Cholet Basket sont amenés à entrer dans l’effectif : Karlton Dimanche, Warren Woghiren et Quentin Ruel.\\n\\nPhoto: MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"A suivre en direct sur notre site tous les transferts de Jeep Elite et de Pro B"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BasketEurope vous permet de suivre en direct les transferts de Jeep Elite et de Pro B.\\n\\nNous tenons à jour durant toute l’inter-saison les transferts CERTIFIES en Jeep Elite et en Pro B avec les « arrivées » et les « départs » et comme repère l’effectif de la saison 2017-18.\\n\\nVous retrouvez ces informations sur la page d’accueil de notre site ou sur ce lien.\\n\\nLes transferts de Pro B sont également tenus à jour sur ce lien.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Amath Mbaye « fasciné » par l’ambiance bolognaise"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Brindisi et l’Olimpia Milano avec qui il a découvert l’Euroleague (6.3pts, 2rbds par match), Amath Mbaye (28 ans, 2,06m) a posé ses valises du côté de la Virtus Bologne, 9e du championnat italien et engagé en Champion’s League la saison prochaine. L’arrivée du membre de la Team France Basket a été saluée par le directeur sportif du club, Marco Martelli sur le site officiel du club.\\n\\n« Amath a les caractéristiques techniques que nous avons identifiées comme idéales pour notre équipe avec l’entraîneur Stefano Sacripanti depuis le début de l’été. De plus, les discussions que nous avons eues avec lui ces derniers jours nous ont donné une forte motivation pour l’intégrer dans le groupe construit jusqu’à présent. Nous sommes donc très heureux qu’il ait choisi la Virtus et le projet technique qui lui a été présenté ».\\n\\nAmath Mbaye s’est quant à lui dit déterminé à l’idée de relever ce nouveau challenge et motivé par la perspective de jouer à la Land Rover Arena (ex PalaDozza) et ses 5 700 places.\\n\\n« Je suis enthousiasmé par ce nouveau défi et aider la Virtus Bologna à gagner La dernière fois que je suis arrivé à PalaDozza, j’étais fasciné par l’atmosphère et la passion des fans. Malheureusement je n’avais pas pu joué ce match, mais maintenant j’ai hâte d’entrer sur le parquet en noir et blanc. J’ai parlé à l’entraîneur Sacripanti. Ça a été facile de comprendre que le club, la direction et l’équipe ont tous de grandes ambitions, et pour ça, je suis heureux d’arriver, de travailler dur pour atteindre ces objectifs ensemble. Se sentir désiré par la Virtus est un sentiment merveilleux et je suis une personne extrêmement loyale: je donnerai toujours 110% au club et à l’équipe ».\\n\\nDurant la saison, Amath Mbaye croisera la route du sélectionneur de l’Equipe de France et de la Sig Strasbourg dans le groupe D de la Champion’s League.\\n\\nPour voir un aperçu de la salle récemment rénovée"
}, 
{"role": "user",     "content":"Alec Peters nouvel Américain du CSKA Moscou"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir enrôlé Daniel Hackett, le CSKA Moscou vient de mettre la main sur une nouvelle recrue, Alec Peters (2,06m, 23 ans).\\n\\nDrafté par les Phoenix Suns en 2017, cet intérieur américain a passé l’exercice 2017/18 à faire la navette entre la NBA et la G-League. Le club russe indique que la signature de son nouveau joueur sera effective une fois les tests médicaux effectués. Il vivra sa première expérience en Europe sous le maillot moscovite.\\n\\nCette saison, Alec Peters compilait en moyenne 17,6 points, 7,2 rebonds et 1,9 passe décisive en G-League, et 4,1 points et 1,9 rebonds lors des 20 matchs NBA auxquels il a participé.\\n\\nL’ancien Sun s’est montré très heureux à l’idée de rejoindre l’un des clubs les plus prestigieux d’Europe.\\n\\n« Je ne pouvais pas être plus excité à l’idée de rejoindre un club si prestigieux et connu comme le CSKA Moscou. J’apprécie la confiance que m’accordent le staff et les dirigeants, qui connaissent mes qualités et pensent que mon style de jeu va convenir à l’équipe. Je sais que je rejoins un club de top niveau et je suis impatient d’aider l’équipe à remporter l’Euroleague. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : James Nunnally proche d’un accord avec Vitoria"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion d’Europe en 2017 avec le Fenerbahce, James Nunnally est arrivé à la fin de son contrat de deux ans et serait sur le point de rejoindre le Baskonia.\\n\\nSelon Noticias De Alava, un journal local, le Californien devrait s’engager avec le club basque pour un contrat de deux ans. Après l’exercice 2017/18, le double champion de Turquie en titre visait un retour en NBA mais il n’a pas obtenu de contrat et s’est donc retourné vers l’Europe. Malgré l’intérêt du FC Barcelone, l’ancien joueur d’Avellino devrait rejoindre Vincent Poirier et devenir la nouvelle tête d’affiche de Vitoria.\\n\\nLa saison dernière, James Nunnally compilait en moyenne 10,2 points, 2,1 rebonds et 1,8 passe décisive entre le championnat turc et l’Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet (Strasbourg) et le recrutement US : «Avant la Summer League de Las Vegas,rien ne bouge»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’heure actuelle, la SIG Strasbourg a quatre JFL sous contrat, le meneur Ludovic Beyhurst, l’arrière Jérémy Nzeulie et les intérieurs Florent Piétrus et Jacques Alingue, qui ne sera disponible qu’en décembre ou janvier en raison d’une rupture du tendon d’Achille.\\n\\nLes DNA se sont inquiétés auprès de Vincent Collet de l’absence de recrutement étranger jusqu’ici et le coach alsacien a fait part d’une tendance lourde:\\n\\n« Avant la Summer League de Las Vegas, rien ne bouge. On assiste ensuite à une inversion des tarifs à partir du 20 juillet. Pour signer un fort joueur en début de mois, ça coûte beaucoup plus cher que fin juillet. Mais sauf que tu n’es plus forcément seul sur le coup. D’autres clubs se seront peut-être positionnés... (...) Prenez le poste de meneur. Jusque-là, le marché était inaccessible pour nous, les tarifs étant totalement déraisonnables. Là, on sent que ça commence à baisser. Les joueurs se disent qu’il faut quand même trouver du boulot. Leurs agents deviennent moins gourmands. On peut dès lors se positionner. »\\n\\nVincent Collet estime que Villeurbanne et Monaco se situent dans une catégorie supérieure à la SIG dont les moyens cette saison sont un peu en baisse.\\n\\n« Monaco, par exemple, a pu resigner beaucoup de joueurs, dont (Elmedin) Kikanovic à 300 000 euro, (Paul) Lacombe, (DJ) Cooper ou (Gerald) Robinson. En y incluant encore l’arrivée du meneur US Derek Needham, on en arrive déjà à 1,5 million de masse salariale en net, soit grosso modo la nôtre pour toute l’équipe. »\\n\\nLa SIG a fait une offre à son pivot croate Miro Bilan et elle est toujours en attente. Elle aurait aimé conserver Zack Wright et Dee Bost mais c’est trop tard. L’agent de Dee Bost demandait près de 400 000 dollars révèle Collet. Trois joueurs sont susceptibles de signer cette semaine. Nicolas Lang non conservé pas Villeurbanne pourrait faire l’affaire.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Amical U16: La France termine sur une victoire face aux Pays-Bas à Montjean-sur-Loire"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Au tournoi de Montjean-sur-Loire, l’équipe de France U16 a dominé pour finir les Pays-Bas, 71-41, grâce à un... 30-0 en première mi-temps; les Néerlandais ont même évité de peu d’être fanny dans le deuxième quart-temps grâce à un panier au buzzer.\\n\\nAvec un avantage de 45-15 à la mi-temps, les Bleuets se sont un peu reposés sur leurs lauriers par la suite. La fatigue probablement, de l’individualisme certainement. Au final, ils n’ont transformé que 25 de leurs 71 shoots. Hugo Cosse (1,92m) a été le meilleur marqueur avec 13 points.\\n\\nPhoto: Hugo Cosse (FFBB/Hervé Bellenger)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U20: La première médaille d’or de l’histoire d’Israël"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A Chemnitz, en Allemagne, avec une médaille d’or à l’Euro U20, Israël a remporté le premier titre européen de son histoire. Après avoir terminé deuxième l’an dernier en Crète, les Israéliens sont montés sur la plus haute marche du podium cette fois-ci, battant la Croatie lors de la finale, 80-66.\\n\\nLeurs adversaires ont écrit l’histoire eux-mêmes en s’appropriant leur première médaille au niveau U20, mais ont vu leur invincibilité s’interrompre avec cette finale. La Croatie a eu du mal à trouver la mire à trois-points se contentant d’un maigre 6 sur 32 au-delà de l’arc. Stimulés par leurs arrières dynamiques et nourris par leur jeu d’équipe qui leur a ouvert la voie jusqu’à la finale, Israël a conservé la tête jusqu’à la fin.\\n\\nLe shooting guard du Maccabi Tel-Aviv Yovel Zoosman (1,99m) a été nommé MVP du tournoi. Son coéquipier du Maccabi, le small forward Deni Avdija (2,04m) – à 17 ans, le plus jeune joueur de Chemnitz – l’a rejoint dans le All-Star Five complété par le meneur croate Mate Kalajzic (1,88m) et le duo allemand constitué du shooting guard Kostja Mushidi (1,94m) et du pivot Filip Stanic (2,06m).\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mondial U17 féminin: La France explose la Colombie, 78-35"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pas de suspense pour la deuxième sortie des Bleuettes au Mondial U17. Elles ont aisément pris la mesure des Colombiennes en les asphyxiant grâce à leur défense harassante.\\n\\nC’est ainsi que la Colombie a scoré 9, 12, 10 puis seulement 4 points dans chaque quart-temps. Son adresse générale a été de 23,6% avec 24 pertes de balle.\\n\\nLes 12 Françaises ont participé au festin pour au minimum 10′ sur le parquet. Illiana Rupert n’a joué que 13 minutes. Avec 14 points Zoe Wadoux a été la meilleure marqueuse du match alors que Ewl Guennoc a réalisé un double double: 11 points et 10 rebonds.\\n\\nLa Biélorusie, qui joue à domicile, sera mardi le troisième adversaire des Françaises dans la phase préliminaire. Au moment où les Françaises finissaient le travail face aux Colombiennes, elle était en train de se faire dévorer par le Japon.\\n\\nPhoto: Ewl Guennoc (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U20: Pas de médaille pour la France vaincue par l’Allemagne, 71-80"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Privé du trident Frank Ntilikina, Kim Tillie et Sekou Doumbouya qui n’ont pas fait le tournoi plus Abdoulaye Ndoye blessé en quart, les Bleuets se sont inclinés lors du match pour la troisième place face à l’Allemagne qui jouait sur ses terres à Chemnitz. Pas de médaille de bronze donc comme l’an dernier ou encore en 2002 et 2011.\\n\\nLes Français étaient bien entrés dans un match alerte résolument offensif dans le premier quart-temps. Ils ont effectué une percée dans le deuxième (35-26) grâce notamment à un Digue Diawara très actif (14 points en première mi-temps). Mais ils avaient du mal à tenir le pivot Lars Lagerpusch (2,07m, 13 points et 3 rebonds) et l’avance avait rétréci à 44-42 à la mi-temps.\\n\\nAprès une marque partagée, grâce à quelques paniers longue distance et un bon Enzo Goudou Sinha à la mène, les Bleuets reprenaient de l’air en milieu de troisième quart-temps, 59-51, mais là encore pour se faire rattraper à 59-59 après une période de cafouillis généralisé (28e). C’est un autre big man au corps d’adulte confirmé, Filip Stanic (22 points à 8/12 aux tirs et 7 rebonds au total) qui posait cette fois des problèmes quasi insolubles.\\n\\nLa période de sécheresse offensive des Bleuets se poursuivait indéfiniment et cette fois ce sont les Allemands qui prenaient de l’avance (64-59). Cela faisait donc un 13-0 à cheval sur les deux périodes. Les Bleuets pêchaient souvent par excès d’individualisme à l’image de Bathiste Tchouaffé qui a semblé hériter d’un costume trop grand pour lui (3/11 aux shoots sur le match, 22/69 sur tout le tournoi). Ils demeuraient malgré tout dans la course jusque dans la dernière minute où l’Allemagne assurait sereinement sa victoire.\\n\\nPhoto: Ivan Février et Jean-Aymé Toupane (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\nIsraël champion d'Europe #FIBAU20Europe Superbe équipe, encore épargnée par les sollicitations d'agents sportifs vers le rêve américain. Il a manqué à nos bleus au moins 5 joueurs importants (4 à l'Allemagne). Ce qui renforce le mérite des présents 👍🇫🇷 pic.twitter.com/bPTDeXJkkm\\n\\n\\n— Jean-Pierre SIUTAT (@jpsiutat) July 22, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U20: A suivre sur YouTube la finale pour la médaille de bronze, France-Allemagne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La finale pour la troisième place de l’Euro U20 entre la France et l’Allemagne est à suivre sur YouTube à 16h45.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"U17 – France : les appréciations du coach Lamine Kebe sur la génération vice-championne du monde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Promu entraîneur en chef de l’une des générations les plus talentueuses chez les jeunes en Equipe de France, Lamine Kebe s’est mué en professeur et délivre ses bons points à l’issue du Mondial U17 argentin. La classe tricolore a brillamment répondu aux attentes en ne s’inclinant qu’en finale face aux Etats-Unis le 8 juillet dernier (95-52), soit la meilleure performance de l’histoire dans cette catégorie.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLamine Kebe, l’heure est venue de vous mouiller. Avez-vous dirigé la meilleure équipe U17 française de l’histoire ?\\n\\nOuf, je ne sais pas ! Ce qui est sûr c’est que c’était une très bonne équipe, avec de très bons joueurs pour la composer. En terme de résultat, c’est vrai qu’elle a fait mieux que toutes les générations précédentes, même si les 95, 97 et les 99 avaient aussi de très bonnes équipes. Les 99 (emmenés par Jaylen Hoard) n’avaient échoué que d’un point en quarts de finale contre la Lituanie qui avait fini avec la médaille de bronze. C’est une génération qui a un potentiel énorme et des joueurs de grand talent. De là à dire que c’est la meilleure génération française de l’histoire, c’est toujours compliqué à évaluer. Ce qu’on peut affirmer aujourd’hui, c’est qu’elle a réalisé le meilleur résultat de l’histoire d’une équipe de France U17, ça c’est indéniable.\\n\\nConcernant la finale face aux USA, vous auriez aimé tenir plus longtemps ou vous êtes satisfait de ce que la France a montré ?\\n\\nOn avait établi un plan de jeu qui a plutôt fonctionné en première mi-temps, à savoir de leur laisser davantage de possibilité de tirs à longue distance. On avait observé qu’ils n’avaient pas une adresse très importante derrière la ligne à 3 points. On va dire que globalement, la stratégie a marché. Mais là où on a eu beaucoup de difficultés, et plus le temps avançait plus ça devenait flagrant, c’est sur le rebond. On les a fait beaucoup échouer, mais ils avaient toujours deux ou trois chances, et près du cercle, ils avaient une efficacité très importante. De mémoire, on s’est rendu compte qu’à la mi-temps, ils avaient tiré 16 ou 17 fois de plus que nous. C’est ce qui a fait l’écart à la fin du match. On aurait pu faire un peu mieux, si on avait réussi à mieux contrôler le rebond.\\n\\nC’est la dimension physique qui fait la différence entre Team USA et le reste du monde ?\\n\\nC’est vrai qu’athlétiquement, ils sont très impressionnants. Ils sont vraiment un cran au dessus des autres, et nous compris alors qu’on a souvent pris le dessus sur nos adversaires de ce point de vue. Là, c’est vrai qu’on a rencontré une équipe qui était vraiment supérieure à la nôtre. Ils ont aussi cette culture de la gagne qui est ancrée en eux. Ils ne doutent pas de la victoire. Quand on cumule les deux, ça fait une grosse différence. Parce qu’après, en terme de qualité tactique, et sur la technique individuelle sur certains postes de jeu, on avait des arguments à faire valoir.\\n\\n\\nLes appréciations du professeur Lamine Kebe sur l’Equipe de France U17 au Mondial argentin\\n\\nLéo Billon : « Un joueur sur lequel il faudra compter à l’avenir »\\n\\nStats : 0 point, 1.7 rebonds, 0.8 d’évaluation en 5.2 minutes par match\\n\\n« Léo est un garçon qui a un état d’esprit irréprochable, vraiment un coéquipier modèle. C’est vrai qu’il a eu un temps de jeu limité notamment sur les matchs à élimination directe. Mais il a toujours fait preuve d’un état d’esprit parfait et à chaque fois qu’on a fait appel à lui, il a répondu à nos attentes. En terme de perspective, c’est un joueur sur lequel il faudra compter à l’avenir. Pour l’instant il a encore besoin de se développer athlétiquement pour pouvoir encore mieux s’exprimer. En tout cas il a complètement répondu à nos attentes ».\\n\\nVictor Diallo : « Très écouté dans le groupe »\\n\\nStats : 0.7 point à 33% d’adresse, 2 rebonds, 0.5 passe décisive, 2.8 d’évaluation en 8.1 minutes par match\\n\\n« Il a été dans le même registre en terme de temps de jeu et de la même manière, il a affiché un état d’esprit irréprochable. Pour ces garçons là, de peu jouer ou même de ne pas jouer parfois, ce n’est pas facile. Mais ils l’ont accepté et ils ont quand même été très importants pour le groupe. De plus, Victor a cette capacité à être très écouté dans le groupe. Il a vraiment joué ce rôle entre nous, le staff, et les joueurs. Il n’a jamais montré aux autres cette frustration qui était parfois logique au vu de son temps de jeu. Donc irréprochable dans l’état d’esprit, et en plus sur le terrain, il a cette capacité à pouvoir défendre sur des postes extérieurs et intérieurs. Il nous a souvent rendu de grands services à de nombreuses reprises face à des équipes plus petites que nous ».\\n\\nSamuel Eyango-Dingo : « Un très grand guerrier »\\n\\nStats : 4.3 points à 52.4% d’adresse, 3.7 rebonds, 0.2 passe décisive, 5.5 d’évaluation en 10.7 minutes par match\\n\\n« C’était sa première compétition internationale. Il découvrait ce milieu là, c’était vraiment le petit nouveau. A plusieurs titres puisqu’il faisait également partie des joueurs qui avaient le moins de vécu basket. C’est un très grand guerrier. A chaque fois, il a donné le maximum sur le terrain, il a apporté de la dureté, de la détermination... Il a eu un rôle très important dans l’aspect vocal, toujours positif auprès de ses coéquipiers. C’est quelqu’un qui a beaucoup compté dans les moments où on était un peu moins bien. Il a vraiment essayé de porter tout le monde avec lui, il a été très précieux. »\\n\\nLorenzo Thirourard-Samson : « Important face à la zone »\\n\\nStats : 3.1 points à 47.4% d’adresse, 3.3 rebonds, 0.4 passe décisive, 5 d’évaluation en 11.4 minutes par match\\n\\n« C’était l’une de nos premières rotations, sur les postes 2-3. Un joueur avec de grosses qualités d’attaque, beaucoup de talent offensif. Il a été important sur les matchs où on a eu de la défense de zone, parce qu’il fait partie des joueurs de l’équipe qui ont une vraie régularité sur le tir extérieur. Il a été très intéressant, il a aussi su se mettre au service au service de l’équipe en jouant parfois sur de très courtes séquences à un poste qui n’était pas le sien. Il a su se montrer précieux, lui aussi ».\\n\\nMatthieu Gauzin : « Ce Mondial va le faire progresser »\\n\\nStats : 8 points à 43.9% d’adresse, 2.3 rebonds, 1.0 passe décisive, 6.6 d’évaluation en 14.1 minutes par match\\n\\n« A l’image de Samuel, c’était sa première compétition internationale, mais avec un vécu basket beaucoup plus important. Il a fait un très bon tournoi, il a été un relais de très grande qualité en sortie de banc. S’il avait été dans 80% des équipes qu’on a affrontées, ça aurait été un joueur majeur ou un joueur du cinq. Dans cette génération, il y a beaucoup de talent sur les postes extérieurs, donc il sortait du banc, mais il a vraiment livré une compétition de très haut niveau. Il sera encore plus fort à l’avenir. Ce Mondial va vraiment le faire progresser, l’aider à prendre conscience de ce qu’était le niveau international ».\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=WmxzgtakyX4\\n\\nMaxime Carene : « Une prise de conscience »\\n\\nStats : 4.6 points à 73.3%, 3.3 rebonds, 0.6 passe décisive, 7.6 d’évaluation en 16.6 minutes\\n\\n« Il a un peu été la révélation aux yeux des observateurs extérieurs sur la fin du championnat du monde. Il a fait une demi-finale et une finale d’un très bon niveau. Il a été un peu malade au début de la compétition et du coup il a n’a pas vraiment pu se mettre en valeur tout le temps. Mais ce qui est sûr, c’est que sur les deux derniers matchs il a vraiment été très important. Cette compétition va lui donner de la confiance et ce sera l’un des joueurs sur lesquels il faudra compter dans le futur (...). Il est encore en plein développement. Il a, certes, deux ans de centre fédéral, mais il n’avait fait qu’un an de basket avant en Martinique (SC Lamentinois), donc c’est encore un bébé au niveau basket. Il n’a pas encore de certitudes. Il continue de se développer, il prend conscience de ce qu’il peut faire, de son corps, de ce qu’il peut apporter sur le terrain. Sur la demie et la finale, j’ai senti une prise de conscience en lui. Il a vu qu’il était capable de faire des choses. Et offensivement, il a encore une marge de progression très intéressante. Il a une envergure de 2,34m, il peut être beaucoup plus agressif sous le panier, finisseur. Son tir extérieur en périphérie est encore en développement même s’il est là et qu’il est capable d’en mettre. C’est quelqu’un qui va vraiment exploser d’ici deux ou trois ans. Il sera l’un des principaux éléments de sa génération ».\\n\\nMelvyn Ebonkoli : « Notre Flo Pietrus »\\n\\nStats : 2.6 points à 58.3% d’adresse, 2.7 rebonds, 0.6 passe décisive, 4.3 d’évaluation en 17 minutes\\n\\n« A l’image de Samuel, c’est vraiment un guerrier, quelqu’un qui nous a beaucoup apporté en terme de dureté. Si on peut le comparer aux Equipes de France A qui ont ramené des médailles, ça a vraiment été notre Flo Pietrus. Quelqu’un sur qui on peut toujours compter défensivement, qui est toujours là pour poser des écrans, des écrans qui faisaient mal. Il a mis quelques paniers importants aussi, notamment contre les Etats-Unis où il a réussi à s’exprimer. Il a encore une marge de progression dans le domaine offensif, mais dans l’esprit défensif, cette dureté qu’il peut apporter sur le terrain, il a été exemplaire ».\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=Pa1mIUzIWNY\\n\\nEssomé Miyem : « L’avenir lui permettra de s’exprimer plus encore »\\n\\nStats : 4.6 points à 44.4 % d’adresse, 2.9 rebonds, 0.4 passe décisive, 5.3 d’évaluation en 18.2 minutes par match\\n\\n« Statistiquement, il n’a peut-être pas fait une grande compétition, sauf que, mine de rien, à chaque fois qu’il a été sur le terrain, l’efficience de l’équipe augmentait largement. Il a quand même réalisé de bonnes prestations, en étant très présent défensivement. Il a parfois souffert aussi parce qu’on a joué beaucoup d’équipes atypiques avec peu, pas de grands ou des faux grands qui étaient un peu plus mobiles que lui. Il a été un peu mis en difficulté face à eux, mais vraiment, il a été très précieux. Sans Essomé, je pense qu’on aurait pas eu ce résultat là. Il a été très propre, il s’est souvent mis au service des joueurs extérieurs qui étaient un peu la force de l’équipe. Il a beaucoup collé les écrans, il a fait ce qu’on appelle le travail de l’ombre qu’on ne voit pas forcément de l’extérieur. Il a été très important. Le discours que je lui ai tenu sur la fin, c’est que l’avenir lui permettra de s’exprimer mieux encore. Lorsqu’il arrivera en U18, en U20, il affrontera des joueurs au gabarit bien plus similaire au sien. Il sera plus à même de s’exprimer en attaque, d’autant plus qu’il a énormément de talent offensif. C’est quelqu’un qui peut tirer à 3-points, qui est très adroit derrière le pick&roll, qui a de très bonnes mains. Là on l’a moins vu face à des joueurs très petits. Sa mobilité est en phase de développement, il y a encore des choses à acquérir dans ce domaine là. Mais à chaque fois qu’il a été sur le terrain, j’ai des souvenirs de matchs où l’efficience de l’équipe montait à +20, +22 ».\\n\\nTimothé Crusol : « Monsieur efficacité »\\n\\nStats : 9.1 points à 48.1% d’adresse, 2.4 rebonds, 2.1 passes décisives, 1.4 interceptions, 9.3 d’évaluation en 22.5 minutes par match\\n\\n« Le joueur le plus efficient de la campagne. Il a réalisé un tournoi de très haut niveau. Il a accepté de sortir du banc, ce qui n’était pas facile vu son niveau et son talent. Il l’a fait d’une manière incroyable. Il nous a souvent sorti de situations où on était pas très bien. Il était toujours là pour mettre un tir à 3-points, faire une interception. Pour moi, il a fait une compétition de très haut-niveau. S’il n’avait pas été à ce niveau-là, on aurait été en difficulté (...). Je le connais depuis des années. Je l’avais même eu en sélection des Poussins du Loiret. Mais ce n’est pas le produit de ma formation. C’est vrai qu’il y a un petit côté affectif. J’ai fait partie de son développement mais il s’est construit aussi à travers les coachs qu’il a pu rencontrer durant son parcours ».\\n\\nMalcolm Cazalon : « A l’image de sa génération »\\n\\nStats : 16.4 points à 46.9% d’adresse, 4.4 rebonds, 2.1 passes décisives, 3 interceptions, 15.7 d’évaluation en 25.4 minutes par match\\n\\n« Il a été vraiment très très fort, un talent offensif incroyable. Il est encore perfectible dans plein de domaines. Je lui prédis un très grand avenir. Défensivement, il a aussi été très important, à mettre des contres, à tenir des duels, à défendre sur des joueurs comme le Croate Matej Rudan, qui est référencé très haut. A chaque fois que Malcolm a défendu sur lui, il a été incapable de marquer un panier. Ce sont des signes qui sont importants. En contre-attaque, c’est un finisseur exceptionnel. Il a une qualité d’adresse qui est déjà aujourd’hui très intéressante mais qui va encore se développer. Pour lui aussi, c’était sa première compétition, mais on avait l’impression qu’il en avait déjà fait cent. C’est quelqu’un qui a vraiment confiance en lui et qui a bien raison de l’avoir. Il est vraiment à l’image de sa génération, qui ne doute pas. Elle est consciente de ses forces, de ses faiblesses et à chaque fois qu’on préparait un match, je voyais dans leurs yeux qu’ils étaient persuadés qu’on allait gagner. Et Malcolm est à cette image ».\\n\\nThéo Maledon : « Le capitaine »\\n\\nStats : 11.1 points à 38.5% d’adresse, 6.1 rebonds, 4.1 passes décisives, 1.1 interception, 13 d’évaluation en 27 minutes\\n\\n« C’est le capitaine. C’est mon relais vis-à-vis du groupe. Il est d’autant plus exemplaire et respecté que sur le terrain, c’est très performant, très stable. Il ne descend jamais en-dessous d’un certain niveau et il est capable de monter à un très haut-niveau. Dans les moments compliqués, il a toujours été là. Il a toujours su trouver les mots pour ses coéquipiers dans le vestiaire. Pour moi, on peut dire que je manque d’objectivité, mais au même titre que Malcolm, les trois auraient mérité d’être dans le cinq majeur de la compétition. Ils n’ont mis que Killian, qui le méritait largement. Théo a peut-être mis un peu moins de points, mais il est toujours présent aux passes décisives, au rebond, il n’était pas très loin du triple-double, avec un temps de jeu parfois très limité parce qu’on avait un peu d’avance et je le préservais souvent pour la suite. C’est vraiment le capitaine, les autres prennent Théo en exemple et quand je leur demande qui est le leader, la réponse des onze autres est unanime ».\\n\\nKillian Hayes : « Un potentiel sans limite »\\n\\nStats : 16.1 points à 50% d’adresse, 3.6 rebonds, 3.3 passes décisives, 2.7 interceptions, 1.4 contres, 17.6 d’évaluation en 27.1 minutes, élu dans le cinq majeur de la compétition\\n\\n\\n« Il était attendu. Il a été très fort, il a été stable. Les défenses adverses étaient préparées, les coachs d’en face avaient beaucoup travaillé pour essayer de le mettre en difficulté. Il a réussi à trouver la patience. Cette compétition l’a aidée à ajouter ça à sa palette, ne pas trop se presser, laisser le jeu venir à lui, se faire un petit peu oublier par moments pour ensuite nous emmener vers la victoire. C’était notre leader offensif, il a toujours été là quand on avait besoin de lui. Il a aussi cette confiance en lui-même qui est remarquable. C’est vrai que ce n’est pas trop ancré dans notre culture française, et lui l’a vraiment. Il sait qu’il sera présent dans les matchs importants et il l’a démontré une fois de plus (...). Il est arrivé un peu fatigué en début de préparation. Il a eu de nombreuses sollicitations tout au long de la saison, avec Cholet en Espoirs et avec les pros, sur des matchs d’exposition de niveau international. Il ressentait un peu une fatigue mentale, ce qui était normal. Notre priorité, c’était déjà qu’il se régénère, qu’il reprenne un peu d’envie et de plaisir de jouer etc etc...On a essayé de trouver ce compromis pour que lui se sente mieux. Et ensuite, ce qui a vraiment été très intéressant dans notre relation, c’est qu’on a commencé à se connaître, à trouver les points qui nous rapprochaient pour essayer aussi de le faire progresser. C’est ce que je voulais, qu’il soit évidemment le leader offensif, lui donner énormément de responsabilités, mais aussi essayer de le faire progresser un petit peu dans un domaine. Je pense qu’il a avancé sur le jeu de pick&roll par exemple. On a rajouté deux-trois notions qu’il a pu exploiter sur la fin, contre Porto-Rico et la Turquie notamment. Son niveau était déjà très élevé. C’était enrichissant pour moi, je pense pour lui aussi (...). Ce que je pense, comme je lui ai dit à la fin par rapport à son potentiel, c’est qu’il n’y a pas de limite. Sa seule limite, comme tous les joueurs, ce sera lui. Sa capacité à travailler, à progresser, mais il a le potentiel pour aller le plus haut possible. J’espère le voir dès 2024 avec l’Equipe de France. Ce n’est pas quelque chose qui est impossible pour lui. J’espère déjà qu’il pourra s’exprimer en pro la saison prochaine et aille en NBA à terme ».\\n\\nPhotos FIBA\\n\\n[armelse]\\n\\nLamine Kebe, l’heure est venue de vous mouiller. Avez-vous dirigé la meilleure équipe U17 française de l’histoire ?\\n\\nOuf, je ne sais pas ! Ce qui est sûr c’est que c’était une très bonne équipe, avec de très bons joueurs pour la composer. En terme de résultat, c’est vrai qu’elle a fait mieux que toutes les générations précédentes, même si les 95, 97 et les 99 avaient aussi de très bonnes équipes. Les 99 (emmenés par Jaylen Hoard) n’avaient échoué que d’un point en quarts de finale contre la Lituanie qui avait fini avec la médaille de bronze. C’est une génération qui a un potentiel énorme et des joueurs de grand talent. De là à dire que c’est la meilleure génération française de l’histoire, c’est toujours compliqué à évaluer. Ce qu’on peut affirmer aujourd’hui, c’est qu’elle a réalisé le meilleur résultat de l’histoire d’une équipe de France U17, ça c’est indéniable.\\n\\nConcernant la finale face aux USA, vous auriez aimé tenir plus longtemps ou vous êtes satisfait de ce que la France a montré ?\\n\\nOn avait établi un plan de jeu qui a plutôt fonctionné en première mi-temps, à savoir de leur laisser davantage de possibilité de tirs à longue distance. On avait observé qu’ils n’avaient pas une adresse très importante derrière la ligne à 3 points. On va dire que globalement, la stratégie a marché. Mais là où on a eu beaucoup de difficultés, et plus le temps avançait plus ça devenait flagrant, c’est sur le rebond. On les a fait beaucoup échouer, mais ils avaient toujours deux ou trois chances, et près du cercle, ils avaient une efficacité très importante. De mémoire, on s’est rendu compte qu’à la mi-temps, ils avaient tiré 16 ou 17 fois de plus que nous. C’est ce qui a fait l’écart à la fin du match. On aurait pu faire un peu mieux, si on avait réussi à mieux contrôler le rebond.\\n\\nC’est la dimension physique qui fait la différence entre Team USA et le reste du monde ?\\n\\nC’est vrai qu’athlétiquement, ils sont très impressionnants. Ils sont vraiment un cran au dessus des autres, et nous compris alors qu’on a souvent pris le dessus sur nos adversaires de ce point de vue. Là, c’est vrai qu’on a rencontré une équipe qui était vraiment supérieure à la nôtre. Ils ont aussi cette culture de la gagne qui est ancrée en eux. Ils ne doutent pas de la victoire. Quand on cumule les deux, ça fait une grosse différence. Parce qu’après, en terme de qualité tactique, et sur la technique individuelle sur certains postes de jeu, on avait des arguments à faire valoir.\\n\\n\\nLes appréciations du professeur Lamine Kebe sur l’Equipe de France U17 au Mondial argentin\\n\\nLéo Billon : « Un joueur sur lequel il faudra compter à l’avenir »\\n\\nStats : 0 point, 1.7 rebonds, 0.8 d’évaluation en 5.2 minutes par match\\n\\n« Léo est un garçon qui a un état d’esprit irréprochable, vraiment un coéquipier modèle. C’est vrai qu’il a eu un temps de jeu limité notamment sur les matchs à élimination directe. Mais il a toujours fait preuve d’un état d’esprit parfait et à chaque fois qu’on a fait appel à lui, il a répondu à nos attentes. En terme de perspective, c’est un joueur sur lequel il faudra compter à l’avenir. Pour l’instant il a encore besoin de se développer athlétiquement pour pouvoir encore mieux s’exprimer. En tout cas il a complètement répondu à nos attentes ».\\n\\nVictor Diallo : « Très écouté dans le groupe »\\n\\n[/arm_restrict_content][arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"La Juventus de Turin s’intéresserait à la création d’une section basket"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le président de la Juventus de Turin Andrea Agnelli, 42 ans, a eu ces jours-ci un rendez-vous avec le boss de l’Euroleague, Jordi Bertomeu, indique le quotidien italien Tuttosport. La Juve semble intéressée pour développer une section basket. Le champion d’Italie possède déjà quelques sponsors en commun avec l’équipe de basket Fiat Turin.\\n\\nAndrea Agnelli est le fils de Umberto Agnelli, qui avait présidé à la destinée de Fiat à la mort de son frère, Gianni. Andrea Agnelli est administrateur des sociétés Exior et Fiat."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U20: Les highlights de la demi-finale France-Israël"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Français ont lourdement chuté en demi-finale de l’Euro U20 (57-83). Quelques actions sélectionnées pour comprendre pourquoi.\\n\\nPhoto: Timothée Bazille (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Amical: Les U16 dominés par la Turquie, 45-74"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Championne d’Europe en titre, l’équipe de France U16 a lourdement chuté face à la Turquie au Tournoi international de Montjean, 45-74, à deux semaines de l’Euro en Serbie, alors qu’elle s’était imposée la veille à la Lituanie, 81-68.\\nLes Français avaient déjà 9 points de retard après 10′ et 13 à la mi-temps. Le 6-21 dans le troisième quart-temps n’a rien arrangé. Au total, les Bleuets ont réussi un médiocre 14/56 aux shoots contre un 30/56 aux Turcs. Moussa Diabate (2,07m) a été le meilleur marqueur français avec 11 points.\\n\\n« On doit emmener douze joueurs en Serbie, deux ne poursuivront pas l’aventure. Mais au-delà, il y a aussi à confirmer notre statut de tenant du titre. On a l’étiquette dans le dos, on doit l’honorer, même si cette génération n’est peut-être pas encore au niveau des précédentes. Il nous reste ce tournoi puis un autre en Italie la semaine prochaine pour affiner notre jeu », indique le coach Bernard Faure dans les colonnes de Ouest France."
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo du jour: le mariage de Fabien Causeur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur son compte Instagram, Boris Diaw nous présente le jeune marié Fabien Causeur entouré du capitaine des Bleus et de Edwin Jackson.\\n\\nUn peu plus tard dans la journée, l’intéressé a ajouté un autre cliché sur les réseaux sociaux.\\n\\nLes félicitations de Basket Europe au vainqueur de l’Euroleague ! Quelle année !\\n\\nhttps://www.instagram.com/p/BlgbZn6nGkM/?utm_source=ig_twitter_share&igshid=a0pv001t9hhn\\n\\n\\n\\n\\nJ’ ai une femme magnifique, une famille et des amis extraordinaires... J ai passé la plus belle soirée de ma vie et tout ca c est grâce à vous..\\n\\n\\nTengo una mujer magnifica , una familia y amigos eestupendos.. He pasado la mejor noche de mi vida y esto gracias a vosotros... ❤️ pic.twitter.com/EZLfFlapnn\\n\\n\\n— Fabien Causeur (@FCauseur1) July 22, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Demi-finale Euro U20: Israël donne une fessée à la France, 83-57"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sans ses figures de pointe, Frank Ntilikina, Killian Tillie et Sekou Doumbouya, et Abdoulaye Ndoye blessé en quart-de-finale, l’équipe de France génération 98/99 n’est pas parvenue en finale de l’Euro U20. Elle a été totalement dominée par Israël et cherchera à se consoler avec une médaille de bronze à aller chercher demain face au vaincu d’Allemagne-Croatie.\\n\\nLes Bleuets ont fait connaissance avec une génération exceptionnelle d’Israël qui avait déjà battu l’Espagne de vingt-trois points (98-75) en quart-de-finale, ce qui avait fait sensation.\\n\\nDans le premier quart-temps, les vagues blanches et bleues ont déferlé sur les Français: 25-11, 9e. L’impuissance des Bleuets s’est poursuivie au-delà de cette première tranche de dix minutes. Etouffés par la défense israélienne, ils affichaient un piteux 22,5% de réussite dans les tirs à la mi-temps contre 50% aux Israéliens qui avaient notamment planté 7 paniers primés.\\n\\nDe vingt points à la mi-temps, 25-45, l’écart est monté jusqu’à trente et un en fin de dernier quart-temps. Gil Aharon Beni (18 points, 5 rebonds et 4 passes) et Deni Avdija (15 points et 7 rebonds) ont été les principaux bourreaux des Bleuets. Dans ce guêpier, c’est le meneur Enzo Goudou Sinha qui s’en est le mieux tiré (14 points et 5 rebonds).\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Isaiah Miles (ex-Dijon) est le nouveau ailier-fort de Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Limoges annonce la signature de Isaiah Miles (2,01m, 24 ans, St. Joseph’2016) connu en France pour avoir porté le maillot de la JDA Dijon à sa sortie d’université lors de la saison 2016-17. En 34 matchs, il avait assuré 12,2 points (45% à 3 points), 4,9 rebonds et 0,6 passe pour une évaluation de 13,1. Il avait notamment scoré 25 points contre le CSP en Bourgogne.\\n\\nLors de la saison 2017-2018, il évoluait dans la ligue turque pour Usak Sportif. Ses stats furent en 25 minutes de 11,0 points -57% à deux-points et 40% à trois-points- pour une évaluation de 9.\\n\\nCet été Isaiah Miles a participé à la summer League à Las Vegas, lors de laquelle Kyle Milling et son adjoint François Péronnet ont pu le voir évoluer.\\n\\n“Isaiah est un poste 4 moderne dont sa première qualité est son adresse, son tir extérieur. Il n’est pas qu’un 4 shooteur, c’est un joueur très complet qui peut mettre la balle par terre et qui a fait une très très belle summer League cet été à Las Vegas. Je suis très content que ce joueur fasse partie de l’effectif du Limoges CSP, il sera un parfait complément de Jerry Boutsiele et de Mam Jaiteh », commente le Directeur Sportif Olivier Bourgain.\\n\\nQuant au coach Kyle Milling, il dit bien connaître le joueur:\\n\\n“Ça fait deux ans que nous suivons Isaiah. Cet été à la summer League avec François, nous avons continué à suivre ce joueur, qui a de très bonnes mains. Quand il était à Dijon, il avait seulement 22 ans et il était déjà très performant. Deux ans plus tard, il a progressé et a encore des choses à prouver. C’est un joueur qui a faim pour jouer au plus haut niveau. Il est un excellent shooteur qui va écarter le jeu.”"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mondial féminin U17: La France se débarrasse des collantes Japonaises dans le money time, 60-53"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Plus taillées -les deux plus grandes Japonaises font 1,81m- et plus athlétiques, les Bleuettes ont été pourtant longtemps sous la menace de leurs adversaires, étant même menées dans le quatrième quart-temps. Le jeu atypique, virevoltant des Japonaises, leur sens de l’abnégation, le fait que le danger venait d’un peu partout (11 joueuses entre 2 et 8 points) ont fortement perturbé les filles de Arnaud Guppillotte.\\n\\nC’est dans le money time que les Japonaises, qui semblaient jusque là avoir trois poumons, ont flanché sur trois contre-attaques successives des Françaises entre la 35e et la 36e minute. Une fois de plus Iliana Rupert (1,94m) a été au-dessus du lot avec 18 points et 16 rebonds. Avec sa copine Kandra Chéry (14 points, 7 rebonds et 5 passes) elles ont réalisé pas moins de 11 contres (!) et forcément, à un moment, ça finit par écoeurer les plus tenaces.\\n\\nAu menu demain, la Colombie.\\n\\nPhoto: Yoana Ewodo (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Frank Booker, un rookie shooteur à l’ALM Evreux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ALM Evreux a officialisé l’arrivée de son dernier joueur étranger avec la signature de l’arrière Frank Booker (24 ans, 1,91m). L’Américain doté d’un passeport islandais sort d’un cursus universitaire terminé à South Carolina où il a tourné à 12,7 points (à 41% à 3 points), 3,5 rebonds et 1,2 passes décisives par match.\\n\\nL’arrivée du shooteur a été saluée par son nouvel entraîneur, Fabrice Lefrançois, sur le site officiel du club.\\n\\n« Booker est un shooteur d’Elite qui dispose d’un gros bras. Il est capable de prendre feu et a déjà réalisé de gros cartons dans une équipe référencée de NCAA. C’est un Rookie mais il dispose d’une culture du jeu Européen de par ses contacts avec des joueurs de l’équipe Nationale Islandaise. C’est également un défenseur intelligent qui participe et sera complémentaire avec le reste de l’équipe. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau annonce la venue de Digué Diawara, en demi-finale de l’Euro U20 avec les Bleuets"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Actuellement avec l’équipe de France U20 qui dispute aujourd’hui à Chemnitz (Allemagne) la demi-finale de l’Euro U20 contre Israël, Digué Diawara (2,04m, 19 ans) portera cette saison le maillot de Pau a annoncé le club.\\n\\nAprès cinq matches à l’Euro, il affiche 9,8 points, 4,2 rebonds, 1,6 passe, et 1,0 contre. Formé à l’ASVEL, ce poste 3 était prêté la saison dernière à Hyères-Toulon (2,8 pts, 1,8 rbs en 11 min/m).\\n\\n« C’est un des meilleurs joueurs de sa génération et on le suit depuis ses évaluations d’ entrée à l’INSEP », commente le coach Laurent Vila sur le site du club. « C’est un jeune à très gros potentiel sur qui l’on compte vraiment et qui dispose d’ une grande marge de progression. On a une vision claire sur le travail à accomplir ensemble, on a déjà évoqué quelques points qu’il pourra rapidement développer et exprimer avec nous. Certes Hyères-Toulon a connu une saison compliquée mais cela a pu lui permettre d’apprendre et de grandir avec un rôle à jouer au sein d’une équipe de Jeep® ÉLITE, en plus de son expérience internationale avec les différentes équipes tricolores. Très complémentaire avec Léo (Cavalière), c’est un joueur porté vers l’attaque et même s’il manque encore de régularité en matière d’adresse extérieure, Digué dispose d’un shoot bien installé et d’un niveau technique très stable pour son âge. Bon rebondeur, mobile, il sait faire preuve d’une grosse activité et s’employer en défense. Nous comptons sur toutes ses qualités au service d’une équipe forte en expérience, talent, et générosité. Nous sommes très heureux d’accueillir Digué et de construire l’avenir avec de jeunes joueurs français très prometteurs. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Kim Tillie proche de signer à Gran Canaria"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Basketballsphere, Kim Tillie (2,11m, 30 ans) est proche de rejoindre Gran Canaria où a déjà signé le meneur américano-sénégalais Clevin Hannah, vu à Evreux et Nancy.\\n\\nL’international français sort d’une saison douloureuse à Olympiakos puisqu’il a été victime d’une blessure à la jambe lors de l’échauffement du premier match officiel. C’est ainsi qu’il n’a disputé que 10 matches d’Euroleague pour 3,8 points et 2,4 passes.\\n\\nKim Tillie connaît bien le championnat espagnol pour y avoir passé deux saisons sous les couleurs de Murcie et trois autres à Baskonia Vitoria."
}, 
{"role": "user",     "content":"Blois devant le CNOSF mardi pour une conciliation avec la FFBB et la LNB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est mardi 24 juillet à 16h que Paul Seignolle, président de l’ADA Blois, sera reçu au Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF) dans le cadre d’une conciliation mise en oeuvre pour tenter de résoudre le litige qui oppose son club à la FFBB et la LNB. Il sera accompagné de membres du club et de son avocat Maître Thierry Braillard. Des représentants de la fédération et de la ligue seront également présents.\\n\\nL’ADA Blois a été déboutée jeudi par la Chambre d’Appel de la FFBB et l’avis du CNOSF n’est que consultatif. Paul Seignolle a promis de porter l’affaire devant les tribunaux s’il n’est pas entendu.\\n\\nLa Ligue a communiqué hier le calendrier de la Jeep Elite où ne figure pas l’ADA Blois mais le Boulazac Basket Dordogne. Dans le cas d’une intégration future du club blésois cela poserait d’énormes problèmes de calendrier dans une saison déjà surchargée.\\n\\nPhoto: Paul Seignolle (Tuan Nguyen)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mondial U17 féminin: France-Japon sur YouTube à 16h30"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de France U17 féminine ouvre son championnat du Monde cet après-midi face au Japon. Horaire du match: 16h30 puisqu’il y a une heure de décalage avec Minsk, en Biélorussie. Le match est retransmis sur Youtube.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Amath Mbaye a choisi de poursuivre sa carrière en Italie, au Virtus Bologne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"D’après La Gazzetta dello Sport, Amath Mbaye (2,06m, 28 ans) rejoint la Virtus Bologne.\\n\\nMême s’il appartient au Team France mais sans avoir jamais été sollicité, Amath Mbaye est un quasi inconnu dans notre pays. Né à Bordeaux, il a effectué l’essentiel de sa formation aux Etats-Unis (Prep School, Wyoming et Oklahoma) avant de s’exiler au Japon. Pour son retour en Europe, il avait choisi l’Italie: Brindisi (2016-17) puis Milan (2017-18).\\n\\nAvec les Milanais, il a assuré en Euroleague 6,1 points (54,4% dont 37,9% à trois-points) et 2,0 rebonds en 17′ de moyenne."
}, 
{"role": "user",     "content":"C’est fait, l’international lituanien Mantas Kalnietis est villeurbannais"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"De source italienne, Mantas Kalnietis (1,96m, 31 ans) s’est libéré de son engagement avec Milan et a pu ainsi signer un contrat de deux ans avec l’ASVEL.\\n\\nKalnietis est un meneur/arrière international lituanien, qui a été médaillé de bronze au championnat du monde 2010 et d’argent aux championnats d’Europe 2013 et 2015.\\n\\nFormé à l’école Arvydas Sabonis de Kaunas, il a porté les maillots du Zalgiris, du Lokomotiv Kuban Krasnodar et donc de Olimpia Milan depuis 2016. Il a été élu Meilleur Joueur Lituanien en 2013.\\n\\nLe Lituanien est un spécialiste de la passe décisive. En 2012, il fut le numéro 1 de sa ligue nationale. Aux Euro 2013, 2015 et 2017, il fut également le meilleur passeur avec un record de tous les temps face à la Belgique (13, le 7 septembre 2015). Il possède par ailleurs des qualités athlétiques qui lui ont permis de remporter des concours de dunk dans son pays.\\n\\nLa saison dernière, son temps de jeu en Euroleague avait chuté de 26 à 16′ en moyenne et ses statistiques s’en sont forcément ressenties: 4,5 points (35,6% de réussite), 2,2 passes et 1,8 rebond.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Quand les basketteurs supportent les Bleus du foot sur les réseaux sociaux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est peu dire que les basketteurs français ont supporté les Bleus du foot et ont partagé leur joie d’être en finale de la Coupe du Monde. Voici quelques échantillons. A noter la présence de Joël Embid, le pivot camerounais des Philadelphia Sixers dont on a parlé cette année pour renforcer un jour l’équipe de France de basket. Il a l’air chaud...\\n\\n\\n\\n\\nDowntown Paris right now ! 🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷⚽⚽⚽ pic.twitter.com/hD0cbPhkyh\\n\\n\\n— Nicolas Batum (@nicolas88batum) July 10, 2018\\n\\n\\n\\n\\nAU SUIVANT!!!!!!!!! Faut finir le taff maintenant! 🇫🇷🇫🇷🇫🇷\\n\\n\\n— Rudy Gobert (@rudygobert27) July 10, 2018\\n\\n\\n\\n\\nCe soir, la #CSPnation change de couleurs..\\n🇫🇷🇫🇷ALLEZ LES BLEUS 🇫🇷🇫🇷 #WorldCupRussia2018 pic.twitter.com/om7B3XXgBa\\n\\n\\n— Limoges CSP (@limogescsp) July 10, 2018\\n\\n\\n\\n\\nPlus de 2000 personnes sont venues encourager les Bleus à Gentilly !\\n😍😍#FiereDetreBleus pic.twitter.com/1zyrVHAgmX\\n\\n\\n— SLUC Nancy Basket (@SLUCbasketNancy) July 10, 2018\\n\\n\\n\\n\\nFINALE !!!!!!!!!!!!!!!! 🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷\\n\\n\\n— Evan Fournier (@EvanFourmizz) July 10, 2018\\n\\n\\n\\n\\nALLEZ LES BLEUS!!!!!\\n\\n\\n— Joel “Troel” Embiid (@JoelEmbiid) July 10, 2018\\n\\n\\n\\n\\nET LAAAAAAAAAAAAAA !!!! 🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🎉🎉🎉🎉🎉🎉🎉🎉🎉 https://t.co/wXjldS6lpE\\n\\n\\n— JDA Dijon Basket (@jdadijonbasket) July 10, 2018\\n\\n\\n\\n\\nHeurtel to Eurohoops: “I want a World Cup final against our friends, the English!”\\n\\n\\n| Eurohoops https://t.co/54I9avYBbJ\\n\\n\\n— Eurohoops (@Eurohoopsnet) July 10, 2018\\n\\n\\n\\n\\nCette année la fête nationale se fêtera le 15 et non le 14 juillet #AllezLesBleus 🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷\\n\\n\\n— Florent Pietrus (@flopietrus) July 10, 2018\\n\\n\\n\\n\\nAprès @raphaelvarane c’est au tour de @samumtiti 😏 Je suis donc allé rechercher un de mes anciens tweets... Bravo les gars 👏🏻 et à dimanche ⚽️🇫🇷🏆 #CDM18 #20ansAprès https://t.co/3i6xFG6Jlq\\n\\n\\n— Nando De Colo (@NandoDeColo) July 10, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le Best of de la saison de l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"ASVEL Time nous offre son best of de la saison 2017-18 avec:\\n\\n-Le bêtisier.\\n\\n-Retour sur la visite de Jordi Bertomeu, président de l’EuroLeague, à l’Astroballe en novembre dernier, avec Gaëtan Muller, président délégué de l’ASVEL Basket.\\n\\n-Focus en images sur Charles Kahudi.\\n\\n-Amine Noua se livre sur son parcours au club, ainsi que son intégration en équipe de France.\\n\\n-Nicolas Lang revient sur la wild-card accordée à l’ASVEL par l’Euroleague à partir de la saison 2019/2020."
}, 
{"role": "user",     "content":"La JL Bourg fait un point sur son effectif pour la saison 2018-19"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur son site internet, la JL Bourg fait un point sur la situation de son effectif pour la saison 2018-19. À ce jour, 8 joueurs sont sous contrat:\\n\\n * Garrett Sim (2 ans)\\n * Arthur Rozenfeld (2 ans)\\n * Lamonte Ulmer (1 an)\\n * Maxime Courby (1 an)\\n * Mathieu Wojciechowski (1 an)\\n * Thibault Desseignet (1 an)\\n * Youssou N’Doye (1 an)\\n * Zack Peacock (2 ans)\\n\\nGilvydas Biruta, Trey Lewis, Mérédis Houmounou, Chase Simon, Abdel Sylla, Kevin Dinal (parti à Evreux) et Lance Jeter ne sont plus sous contrat.\\n\\n« Alors qu’un départ de Youssou N’Doye n’était pas impossible dû à une clause de départ, ce dernier sera bel est bien bressan la saison prochaine.Le club est donc aujourd’hui à la recherche de 3 joueurs pros : Un arrière/meneur pour suppléer Garrett et Arthur à la mène, mais s’attèle aussi à la recherche de joueurs JFL afin de respecter le quota réglementaire de Joueur Formé Localement. L’ensemble du staff sportif travaille quotidiennement à la préparation de la saison prochaine dans un marché compliqué », indique le club.\\n\\nPhoto: Zach Peacock (JL)"
}, 
{"role": "user",     "content":"LNB: Les Labels Clubs ont été décernés, la Sig Strasbourg est en or"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors de sa réunion tenue lundi à Paris, la Commission Label de la Ligue Nationale de Basket a attribué les différents Labels Clubs Or, Argent et Bronze aux clubs ayant répondu aux critères du cahier des charges d’attribution.\\n\\nCette années 18 clubs se sont vu attribuer un Label (1 or, 8 argent et 9 bronze).\\n\\nLe Label Club LNB\\nDepuis la saison 2013-14 le LABEL CLUB LNB a été mis en place. Ce dispositif volontaire a pour but de valoriser la structuration et la professionnalisation des clubs professionnels sur la base d’un cahier des charges distinguant quatre grandes catégories considérées comme éléments structurants d’un club :\\n\\nLes différentes catégories évaluées :\\n1. Une première partie Gouvernance, Administration, Finance apprécie la structuration salariée du club, sa structure juridique et sa santé financière. Cette partie s’intéresse également à la responsabilité sociétale et environnementale des clubs.\\n\\n2. Une partie Marketing, Commercial, et Communication a également été mise en avant, et est importante pour développer des revenus stables au club face à l’incertitude du résultat sportif. Les aspects commerciaux (nombre et structuration des partenariats), de communication (Marque club, images et vidéos, réseaux sociaux) et Merchandising (Produits boutique, commercialisation...) seront ici appréciés.\\n\\n3 Une troisième partie est consacrée au Sportif et Médical. Elle tend à valoriser le staff technique et médical du club, ainsi que l’organisation de l’effectif sportif et de la formation, notamment en matière de continuité dans les effectifs.\\n\\n4 Enfin la dernière Partie Equipement, Exploitation et Gestion de salle valorise les clubs dont les équipements répondent aux exigences du sport professionnel envers les médias, les délégations sportives, les différents publics (spectateurs, partenaires) et permettent aux clubs de renforcer leur modèle d’exploitation.\\n\\nLes Labels Clubs LNB 2017-18\\nLABEL OR\\nJeep®ÉLITE : SIG Strasbourg (Argent en 2017)\\nPROB : Aucun club\\n\\nLABEL ARGENT\\nJeep®ÉLITE : JL Bourg-en-Bresse – Elan Chalon/Saône – Cholet Basket (Bronze en 2017) – Le Mans Sarthe Basket – Limoges CSP – ASVEL Lyon-Villeurbanne – Nanterre 92 (Bronze en 2017) – EB Pau-Lacq-Orthez\\nPROB : Aucun club\\n\\nLABEL BRONZE\\nJeep®ÉLITE : Antibes Sharks – Boulazac Basket Dordogne – Champagne Châlons-Reims Basket – JDA Dijon – BCM Gravelines-Dunkerque\\nPROB : ADA Blois (Pas labélisé en 2017-NM1) – SLUC Nancy – Orléans Loiret Basket – Chorale Roanne\\n\\nLe Label Club au cœur du Plan Stratégique de la LNB\\nLe Plan Stratégique LNB a mis l’accent sur la structuration des clubs en proposant un Cahier des charges minimal pour tous les clubs et une réforme du Label Club pour à terme augmenter les reversements au club.\\n\\nRappel des Résolutions votées à l’Assemblée Générale de la LNB le 25 juin 2018 :\\n\\n * Résolution 17 : Exiger de tous les clubs professionnels le respect d’un cahier des charges minimal en matière de structuration interne conditionnant le reversement d’une partie des droits fixes\\n * Résolution 18 : Réorganiser le Label Club pour mieux concentrer l’effort de structuration des clubs sur des chantiers prioritaires de développement\\n * Résolution 19 : Rendre plus accessible le Label Club en créant un échelon supplémentaire pour les clubs en cours de\\n * Résolution 20 : Augmenter progressivement la part des reversements LNB conditionnés par le Label Club\\n\\nL’Assemblée Générale de la LNB a adopté ces 4 résolutions pour une mise en œuvre en collaboration avec la FFBB à compter de la saison 2019-20 et concernant les dossiers «LABEL», pour remise lors de la saison 2020-21\\n\\n« Les clubs s’engagent plus nombreux chaque année dans la démarche Label. Ainsi, les différents labels obtenus par les clubs sont une distinction importante pour évaluer leur niveau de développement mais ils sont surtout récompensés financièrement par la LNB. Mais le cahier des charges du Label Club se devait d’évoluer et les travaux des commissions lors du Plan Stratégique en ont dessiné les nouveaux contours pour que tous les clubs puissent y entrer, le Label étant un élément structurant de leur développement, » a commenté Alain Béral, président de la LNB."
}, 
{"role": "user",     "content":"Gerald Robinson prolonge son bail avec Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Gerald Robinson (1,85m, 29 ans), prolonge son bail avec l’AS Monaco après une excellente saison (15,9 pts à 54,9% dont 61 sur 136 à trois-points) qui l’a vu être élu dans Cinq Majeur de la Jeep Elite par ses pairs et les médias.\\n\\nRéputé pour sa vitesse de course, il n’a pu être à fond pour les playoffs en raison de problèmes aux adducteurs qui l’avaient contraint à demeurer sur la touche pendant un mois.\\n\\nAu cours de sa carrière, Gerald Robinson a notamment porté le maillot de Nanterre lors de la saison 2015-16.\\n\\nPhoto: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Calendrier: L’Euroleague choisit le clash"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La ligue numéro 1 en Europe a annoncé son calendrier pour la saison 2018-19 et le clash avec les fenêtres de qualification des équipes nationales pour la Coupe du Monde semble une volonté délibérée de l’organe dirigeant de l’Euroleague et EuroCup, ECA.\\n\\nLa FIBA a rendu public la semaine dernière son propre calendrier pour la saison à venir et le timing de cette annonce par l’Euroleague ne laisse plus aucun doute sur sa volonté d’aller au clash avec le basket européen. Après les multiples prises positions des ligues nationales, notamment par Alain Béral pour la France mais également par ses homologues espagnols ou grecs, qui ont mis en garde contre la volonté de l’Euroleague de lorgner sur le créneau des droits télé du week-end réservé et vital pour les ligues nationales, après les prises de position des ministres européens du sport réunis à Bruxelles le 23 mai pour soutenir le modèle pyramidale du sport européen et les équipes nationales, après les positions de nombreuses stars (Luis Scola, Pau Gasol, Andreï Kirilenko) pour mettre en garde contre le projet sécessionniste de ECA, l’entreprise privée dirigeante de l’Euroleague et de l’EuroCup, la réaction de l’Euroleague ne laisse place à aucun doute. Jordi Bertomeu choisit l’affrontement brutal. Contrairement à ce qu’il a prétendu publiquement à de nombreuses reprises, il n’y a aucun espace pour le compromis ou la discussion dans les actes d’ECA.\\n\\nDès 2014-15, la FIBA a expliqué et décliné la réforme de son format de qualification et tenté de trouver des solutions qui conviennent à tout le monde, comme c’est le cas sur tous les autres continents de la planète. La saison dernière, la FIBA a déplacé des dates pour tenter de trouver un terrain d’entente mais jusqu’à présent la volonté de discuter vraiment n’a jamais été partagée par l’Euroleague.\\n\\nAujourd’hui, l’annonce du calendrier de l’Euroleague est une véritable déclaration de guerre au basket européen. Sur la fenêtre du 29 et du 30 novembre prochain, l’Euroleague a programmé un match pour les trois équipes turques, contre des équipes espagnoles le jour même où la Turquie doit jouer l’Espagne lors des qualifications. De même, Zalgiris Kaunas joue contre Armani Milan le même jour où l’Italie joue la Lituanie. Il ne s’agit plus d’incompatibilité de calendrier, c’est une confrontation directe que choisit ECA, une volonté délibérée de saboter les équipes nationales et la politique choisie par la FIBA de promouvoir les sélections comme l’élément central de sa politique pour développer l’intérêt et l’engagement du grand public sportif autour du basket. Et c’est totalement injuste de placer les joueurs concernés face à un tel dilemme."
}, 
{"role": "user",     "content":"Adam Mokoka vers la Serbie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le BCM Gravelines-Dunkerque et le club de Mega Bemax (Serbie) ont trouvé un accord pour poursuivre le projet de développement et d’exposition autour du jeune arrière Adam Mokoka (19 ans, 1,96m). Le joueur qui s’est distingué au BCM avec les pros cette saison (3.2pts, 1.8rbds, 0.9pds par match) et plus récemment au NBA Global Camp de Trévise avait présenté son nom à la Draft 2018 avant de se retirer.\\n\\n« Adam Mokoka va rejoindre les rangs de Mega Bemax pour la saison 2018/19, club reconnu pour mettre en valeur les jeunes talents européens (Timothé Luwawu-Cabarrot, Nikola Jokic et Ivica Zubac entre autres). Adam y trouvera un temps de jeu et des responsabilités inédites, avec comme objectif de lui offrir la plus grande exposition possible en vue de la Draft NBA 2019 » explique le club gravelinois sur son site officiel."
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ADA Blois met la main sur Joe Burton, MVP de Pro B 2016"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir rapatrié Thomas Cornely, le club blésois, toujours en procédure pour faire valider son accession en Jeep Elite, a recruté un pivot référencé de Pro B en la personne de Joe Burton (27 ans, 2,01m). MVP de la division en 2016, l’Américain a brillé sous les ordres de Laurent Pluvy, à Evreux (16,2 pts, 9,9 rebonds, 24,7 d’évaluation) puis à Roanne (17 pts, 9 rebonds, 22,4 d’évaluation) avant de s’envoler vers le Japon l’été dernier, défendre les couleurs d’Aomori.\\n\\nPivot massif doté de bonnes mains, Joe Burton va former une raquette pour le moins dissuasive en compagnie de Tyren Johnson, MVP du dernier exercice de Pro B.\\n\\n« Joe possède indéniablement de grosses qualités offensives et de passes. C’est un super challenge pour lui et pour nous dans le sens où il faudra qu’on s’adapte mutuellement puisque ce n’est pas forcément le profil de joueur avec lequel on a eu l’habitude de travailler jusqu’à présent. C’est vraiment une grosse opportunité de pouvoir travailler avec ce joueur qui possède également de grosses qualités humaines », a déclaré l’entraîneur de l’ADA Blois Mickaël Hay sur le site officiel du club.\\n\\nLes meilleures actions de sa saison 2015-2016 avec Evreux\\n\\nPhoto : Tuan Nguyen"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pape Sy passe de Strasbourg à Cholet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ex-Strasbourgeois Pape Sy (1,98m, 30 ans) change de maillot et va enfiler celui de Cholet Basket où il a signé pour une saison avec une option pour une supplémentaire.\\n\\nCet arrière-ailier puissant est de la même génération au Havre que Fabien Causeur, Romain Duport et Rudy Jomby et il avait été drafté en 53e position en 2010 par les Atlanta Hawks avec qui il joua finalement 3 matches. Il a également joué pour les Utah Flash (D-League) puis Gravelines, Le Mans, Gravelines de nouveau et donc Strasbourg\\n\\nLa saison dernière, à cause d’une blessure lombaire, il a été limité à 17 matches pour 4,4 points et 1,5 rebond.\\n\\nL’effectif choletais est actuellement constitué d’espoirs avec Killian Hayes, Melvyn Govindy, Karlton Dimanche, Warren Woghiren et Quentin Ruel.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en JeepElite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Luigi Datome avec l’Italie en septembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Joueur incontournable de la sélection transalpine, Gigi Datome (30 ans, 2,03m) a réaffirmé son désir d’être présent pour les prochains matchs qualificatifs en vue de la Coupe du Monde 2019 au mois de septembre.\\n\\n« Je vais jouer. J’en ai parlé avec le coach, Meo Sacchetti. Je le remercie parce qu’il a compris que mon absence en juin n’était pas un caprice mais un besoin de repos après une longue saison durant laquelle j’ai joué plus de cent matchs. Maintenant je suis en forme et à nouveau très content de porter le maillot de l’équipe nationale » a-t-il déclaré au Corriere dello Sport.\\n\\nArrivée à la 2e place de la première phase qualificative, l’Italie recevra la Pologne le 14 septembre et se rendra en Hongrie trois jours plus tard."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B – La lettre d’adieu de Marcellus Sommerville aux supporters d’Orléans:  «je me suis toujours battu pour gagner»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Marcellus Sommerville (2,00m, 36 ans) ne portera plus le maillot de l’Orléans Loiret Basket mais après trois saisons au club, il a voulu écrire un mot d’adieu aux supporters via La République du Centre.\\n\\n« Je voulais écrire une lettre aux supporters, soutiens, partenaires de l’OLB ainsi qu’à tous mes grands amis d’Orléans. Je suis tombé amoureux de la ville d’Orléans la première année où j’ai eu l’opportunité de jouer pour vous ! Le club était très ambitieux et il l’est toujours autant. Ce qui a toujours été constant lors de tous les changements, c’est mon envie de voir l’OLB réussir. J’ai joué avec cette passion de guerrier tous les soirs. Et je pense que c’était contagieux pour ceux qui aiment venir voir le basket au palais des sports. J’en ai fait l’expérience sur et en dehors du terrain.\\n\\nMais, ma pire expérience a été le décès de ma mère la saison dernière. Je ne peux pas expliquer la douleur que j’ai ressentie en la perdant. Et, à moins de l’avoir vécu, personne ne peut ressentir ou comprendre une telle douleur. J’ai joué pour un club, une ville que j’aime moins de 12 heures après sa mort. Un match qu’on a gagné contre Rouen à la maison (victoire 94-77 le 6 février). Une semaine plus tard, on perd de très peu en finale de la Leaders Cup alors que j’ai le panier de la gagne entre les mains. Et le ballon ne rentre pas ! Wow, je me suis dit. Pourquoi ça tombe sur moi ? Mais, ça fait partie du jeu. Cela peut tomber sur n’importe qui. C’est juste que j’en avais un peu plus gros sur le coeur que les autres à ce moment-là.\\n\\n(...) Je veux juste que vous, les supporters, sachiez que je me suis toujours battu pour gagner. Et pour que vous passiez une belle soirée au palais des sports. Et ça me manquera de faire le tour du palais après les matches ! J’aurais aimé avoir un au revoir en bonne et due forme pour les supporters d’Orléans. Parce qu’ils ont le droit de savoir que j’ai toujours apprécié leurs encouragements, leur soutien et leur amour du basket. Je sais que beaucoup de supporters et partenaires ne comprennent pas pourquoi je ne reviens pas à l’OLB la saison prochaine et si j’avais une réponse concrète, je vous la donnerais ! (...) »\\n\\nMarcellus Sommerville a porté les maillots du Havre, Roanne, Chalon, Cholet, Paris-Levallois, Le Mans, Nancy et Orléans en Pro A (207 matches), Angers et Orléans en Pro B (51).\\n\\nAvec l’OLB, il a cumulé 15,3 points, 5,5 rebonds et 2,9 passes la saison dernière."
}, 
{"role": "user",     "content":"MVP de l’EuroCup, Scottie Wilbekin signe pour trois saisons au Maccabi Tel-Aviv"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Maccabi Tel-Aviv annonce officiellement la signature du meneur américain Scottie Wilbekin (1,88m, 25 ans) en provenance de Darussafaka.\\n\\nAprès un passage en Australie et à l’AEK Athènes, l’ancien Gator a emmené la saison écoulée le club turc jusqu’à la victoire en EuroCup. Il a tourné à 19,7 points, 4,8 passes et 1,6 interception et a été élu MVP de l’Eurocup et des Finals.\\n\\nAnadolu Efes Istanbul était également intéressé par sa venue."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Jason Williams reste à Roanne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Chorale de Roanne a trouvé un accord de principe avec Jason Williams (1,98m, 34 ans) afin que celui-ci demeure au club. L’ancien joueur du Maccabi Tel Aviv, avec qui il a connu l’Euroleague en 2008, a satisfait le staff avec ses 12,8 points, 4,3 rebonds et 2,7 passes en saison régulière, son sang-froid et son leadership.\\n\\n«Jason, c’est le taulier !» commente le coach Laurent Pluvy sur le site du club. «C’est d’abord un très grand professionnel, qui se connait très bien et qui fait en sorte de continuer à s’entretenir pour être le plus performant possible. Poste 3 d’expérience avec toute la panoplie pour le poste ( tir/post up/drive/rebond ), Jason rassure et bonifie l’équipe de sa seule présence sur le terrain. C’est un vrai guide pour nos jeunes et nos moins jeunes !»"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nicolas Batum à propos de Marine Johannès: «Je suis fier d’elle, fier de son parcours»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Outre le talent, Nicolas Batum et Marine Johannès ont comme point commun d’être nés tous les deux à Lisieux dans le Calvados, lui en 1988, elle en 1995 et d’avoir débuté à l’US Pont-l’Evêque. Comme les deux Normands organisent actuellement un camp de basket, Ouest France en a profité pour demander à Nicolas ce qu’il pense de sa petite protégée.\\n\\n« Je l’ai découverte dans ce gymnase. Elle avait 6 ans. Je la voyais traverser le terrain, s’amuser, ne pas avoir conscience de ce qu’elle faisait. (Il la regarde et se marre). D’ailleurs, je crois que rien n’a changé aujourd’hui. Elle n’a toujours pas conscience de ce qu’elle est en train de faire. Quand on était à Rio (lors des JO 2016), je me suis précipité vers elle lors de la cérémonie d’ouverture pour qu’on prenne une photo. C’est LA photo à faire. Je l’ai envoyée à Sébastien Monnier (le président du club de Pont-l’Évêque) et cela avait créé le buzz sur les réseaux sociaux. Cette photo est magnifique, il faut l’encadrer. Deux gamins de Pont-l’Évêque qui se retrouvent aux Jeux Olympiques, c’est... impressionnant. »\\n\\nL’ailier des Charlotte Hornets estime que l’arrière du Bourges Basket évolue et pas seulement sur le terrain:\\n\\n« La voix est plus posée, plus confiante. Au fil des années, je la trouve moins timide. À Bourges, elle est exposée sur la scène internationale et elle prend peu à peu conscience de son talent. Je suis fier d’elle, fier de son parcours (...) C’est à elle de s’emparer de la torche de Céline Dumerc. Marine Johannès – Iliana Rupert, c’est le tandem à suivre dans les 10 ans à venir. Ce n’est pas donné à tout le monde d’être un emblème. Marine a les aptitudes pour le devenir. Il faut qu’elle se fasse un peu violence. Je lui parle de temps en temps, j’essaye de lui faire comprendre que c’est incroyable ce qu’elle peut faire. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U20 féminine: Après leur victoire sur la Slovaquie, les Bleuettes vont affronter l’Allemagne en 8e de finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après son échec face à l’Italie, l’équipe de France féminine U20 s’est rattrapée en dominant la Slovaquie, 65-42. Son bilan est ainsi de deux victoires et une défaite en phase de poule et elle affrontera l’Allemagne en huitième de finale mercredi à 17h30.\\n\\nAlors qu’elles ont encaissé 20 points dans le premier quart, les filles de Jérôme Fournier ont proposé une toute autre défense par la suite. Lors des trois autres séquences de dix minutes, elles ont seulement concédé 8, 7 et de nouveau 7 points.\\n\\nOffensivement, c’est la meneuse Tima Pouye qui a été la plus à son affaire avec 16 points alors que l’ailière de Syracuse Maëva Djaldi Tabdi a frôlé le double double (10 points, 9 rebonds).\\n\\nJusqu’ici les Allemandes ont concédé deux défaites (Russie et Serbie) pour une victoire (Slovénie).\\n\\nPhoto: Tima Pouye (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Florent Pietrus rempile une saison à Strasbourg avec la perspective d’intégrer ensuite le staff technique"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il vient de fêter son jubilé en Guadeloupe avec Mickaël Gelabale, Florent Pietrus (2,02m, 37 ans) a signé pour une saison supplémentaire à la SIG Strasbourg.\\n\\nL’ancien international possède un palmarès étoffé avec notamment trois titres de champion de France (2001, 2003 et 2004), un titre de champion d’Espagne (2006) et cinq médailles avec l’équipe de France dont le titre de Champion d’Europe en 2013.\\n\\nEn 15 matches avec la SIG, il a assuré la saison dernière 3,2 points et 1,5 rebond en 12′ de moyenne.\\n\\nA l’issue de ce qui sera probablement son ultime saison de joueur, le Guadeloupéen a l’objectif d’intégrer le staff technique de la SIG au sein du centre de formation tout en passant ses diplômes pour devenir entraîneur.\\n\\n« C’est une réelle satisfaction de continuer l’aventure avec la SIG Strasbourg, » a t-il déclaré sur le site du club. « Je suis heureux de faire partie de cette famille qu’est la SIGArmy d’autant plus avec le beau projet global qu’a le club. J’espère que la saison prochaine sera plus belle encore que celle écoulée et j’ambitionne vraiment gagner ce titre de champion que tout le monde attend ici de pied ferme. Je tiens à remercier le club dans son ensemble pour sa confiance et j’attends les fans la saison prochaine au moins aussi nombreux que cette année pour nous pousser vers notre objectif ! »\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en JeepElite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"En provenance de Corée, James Kelly complète le jeu intérieur de Levallois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Mouphatou Yarou et Ekene Ibekwe, les Levallois Metropolitans complètent leur jeu intérieur avec l’ailier-fort James Kelly (2,01m, 109 kg, 24 ans).\\n\\nSorti de l’université de Marshall avec d’excellentes stats (20,1 points et 9,8 rebonds en moyenne par match), il a jusqu’ici fait sa carrière dans des pays exotiques, en Corée du Sud (21,3 points, 11,0 rebonds, 1,5 passe, 1,1 interception en 45 matches avec les LG Sakers) et aux Emirats Arabes Unis.\\n\\nEn février 2017, il avait connu des démêlés avec la justice américaine pour avoir été en possession de marijuana et s’était retrouvé un temps en prison.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en JeepElite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le palmarès du championnat du Monde U17: les Etats-Unis ont tout raflé"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cinq fois vainqueur avec cinq MVP: les Etats-Unis archi-dominent la catégorie U17 au niveau mondial.\\n\\n\\n\\n\\nANNÉE\\n\\n\\nLIEU\\n\\nOR\\n\\n\\nARGENT\\n\\n\\nBRONZE\\n\\nMVP\\n\\n\\n\\n\\n2018\\n\\n\\nSanta Fe\\nEtats-Unis\\nFrance\\nPuerto Rico\\nJalen Green (USA)\\n\\n\\n2016\\n\\n\\nSaragosse\\nEtats-Unis\\nTurquie\\nLituanie\\nCollin Darnell Sexton (USA)\\n\\n\\n2014\\n\\n\\nDubai\\nEtats-Unis\\nAustralie\\nSerbie\\nMalik Ti Derrious Newman (USA)\\n\\n\\n2012\\n\\n\\nKaunas\\nEtats-Unis\\nAustralie\\nCroatie\\nJahlil Obika Okafor-Benton (USA)\\n\\n\\n2010\\n\\n\\nHambourg\\nEtats-Unis\\nPologne\\nCanada\\nBradley Emmanuel Beal (USA)\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Killian Hayes, Malcolm Cazalon et Maxime Carene dans le top 5 des actions des finales du Mondial U17"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La preuve que le jeu spectaculaire des Français a marqué les esprits au championnat du monde U17: trois d’entre-eux, Killian Hayes, Malcolm Cazalon et Maxime Carene figurent au côté de Philipp Wheeler (Puerto Rico) et Evan Mobley (USA) dans le top 5 des actions de la finale et de celle pour la médaille de bronze."
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ASVEL a fait signer à Sofiane Briki son premier contrat professionnel"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ASVEL a fait signer à l’arrière Sofiane Briki (1,93m, 19 ans), né au Havre mais au club depuis l’âge de huit ans, son premier contrat professionnel.\\n\\nEn espoir, Sofiane Briki a tourné à 15,2 points, 5,8 rebonds et 3,8 passes décisives en 33 minutes. Il a participé à 11 matches de saison régulière avec les pros pour 1,6 point en 4 minutes en moyenne.\\n\\n« C’est une fierté de voir un pur produit du club signer son premier contrat professionnel avec son club de coeur. Il habite en face de l’Astroballe et c’est un objectif qu’il s’était fixé depuis tout petit... Il a montré par son sérieux, sur et en dehors du terrain, et sa détermination aux entrainements tout au long de la saison qu’il était prêt pour passer à l’étape supérieure. Nous sommes donc tous très contents de pouvoir continuer avec Sofiane pour les trois prochaines saisons, » a déclaré le GM Yoann Sangaré sur le site du club."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau officialise la venue de l’Américano-Vénézuélien Donta Smith. «Ce joueur sait tout faire,» assure le coach Laurent Vila"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le staff palois a officialisé ce lundi matin l’engagement pour une saison de l’ailier fort américano-vénézuélien Donta Smith (2.01m, 34 ans).\\n\\nLe natif de Louisville dans le Kentucky a été formé au poste 3 mais calibré NBA et a évolué régulièrement au poste 4 au fil de sa carrière, comme ce fut encore le cas la saison dernière en Italie sous les couleurs de Brindisi (12 pts, 5.5 rbds et 3.7 pds/m, 22 matches). Drafté en 2004 au second tour (34ème position) par les Hawks d’Atlanta, il effectua 61 rencontres (2,7 pts en 9 min/m) en deux saisons pour la franchise de Georgie (2004-2006). Entre les deux, Donta Smith a connu de nombreuses aventures aux 4 coins du globe, bien souvent couronnées de succès et qui l’ont mené en Bulgarie, Chine, Australie, Mexique, Venezuela et régulièrement Porto-Rico. Il s’installa plus durablement en Israël où il fut sacré champion à deux reprises (2013 et 2015) d’abord avec le Maccabi Haïfa puis avec l’ Hapoel Jérusalem en étant à chaque fois une pièce maîtresse de ces équipes, aussi bien en championnat qu’en Eurocup.\\n\\nActuellement à Porto-Rico, Donta Smith dispute le championnat BSN (Baloncesto Superior Nacional) sous les couleurs de Santeros de Aguada (6ème, 11v, 15d). Il affiche une moyenne de 12.5 pts/m ( et 5,3 rbds/m) après 10 rencontres à son actif.\\n\\n« Donta Smith ? c’est un système de jeu à lui tout seul. Ce joueur sait tout faire sur un terrain, »a commenté le coach Laurent Vila sur le site du club. « Très complet, il est autant efficace en attaque qu’en défense. Offensivement, il sait attaquer le panier, dispose de belles qualités sur le post-up, le 1 contre 1 et d’une belle adresse à 3 points. C’ est un joueur très complet en attaque, il peut jouer dos au panier, étirer les défenses en shootant à 3 points, driver et couper les défenses en deux. Il est athlétique, très mobile et très actif en défense. Il s’avère être aussi un très bon rebondeur. Il adore le jeu et comme il est doté d’un physique extraordinaire, il enchaîne régulièrement les saisons en Europe avec les championnats d’été. Il joue actuellement à Porto-Rico, ce qui est un gage de forme et de rythme mais on fera un point avec lui à son arrivée, comme pour chaque joueur. N’oublions pas que notre championnat ne reprend que fin septembre. Il dispose d’un vrai CV et fait partie des joueurs référencés en Europe. Dominique Loueilh (le Directeur Sportif) le suivait depuis un bon moment et comme il correspondait parfaitement au profil du joueur que nous recherchions et que l’opportunité s’est présentée, nous n’avons pas hésité. Un poste 4 qui affiche de la défense, de la dureté, du rebond et qui sait jouer dos au panier comme loin du cercle, cela devient de plus en plus rare. »\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en JeepElite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements."
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du monde: Danilo Gallinari (Los Angeles Clippers) va renforcer l’Italie en septembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Gazzetta dello Sport indique que l’ailier des Los Angeles Clippers Danilo Gallinari (2,08m, 29 ans) disputera avec l’équipe d’Italie la fenêtre de septembre des qualifications pour la coupe du monde 2019.\\n\\nLa carrière de Gallinari avec la Squadra Azzurra a été marquée par des blessures, la dernière étant assez cocasse. Le joueur s’était fracturé le pouce droit au cours d’une bagarre avec un Néarlandais lors d’un match de préparation et il n’avait pas pu ainsi disputer l’EuroBasket 2017.\\n\\nAvec les Clippers, Gallinari s’est fendu cette saison de 15,3 points et 4,8 rebonds soit sa moyenne en 10 saisons et 481 matches de NBA.\\n\\nL’Italie affrontera la Pologne et la Hongrie les 14 et 17 septembre.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le résumé de 10 minutes de France vs USA au Mondial U17"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un condensé de dix minutes de la finale France vs USA au championnat du monde U17.\\n\\nPhoto: Timothé Crusol (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview rétro – Nicolas Batum, il y a dix ans: «Je ne veux pas aller deux, trois ans en NBA pour galérer et revenir en France»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il y a très exactement dix ans, juste avant la draft de 2008, nous réalisions cette interview de Nicolas Batum. Alors que l’ailier des Charlotte Hornets vient de disputer deux matches de qualification à la Coupe du Monde en Bosnie et en Russie, il est intéressant de regarder dans le rétro pour se rendre compte comment l’état d’esprit du Manceau d’alors était à 19 ans et aussi voir son évolution.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nGamin tu rêvais d’être : Scottie Pippen. J’étais déjà plus basket que fiction et dessins animés. Depuis en fait, 1996, je me suis intéressé aux Bulls avec le retour de Michael Jordan en NBA.\\n\\nPont l’Évêque : Je suis né là-bas, j’y ai grandi, j’y ai fait mes débuts de basketteur. Ma mère y habite toujours. Ma sœur a joué également à Pont l’Evêque. Et mon papa, bien sûr (Richard Batum, qui fut notamment équipier de Dwayne Scholten à Pont l’Évêque, est décédé sur un terrain d’une crise cardiaque. Nicolas avait 3 ans). Ce sont mes racines. Quand j’ai un petit coup de blues au Mans, je vais y faire un tour le week-end histoire de me ressourcer.\\n\\nLe Centre de formation du Mans : C’est là que j’ai découvert une grande structure de basket. Il m’a beaucoup apporté. C’est grâce à Philippe Desnos que j’y suis venu. J’ai joué à Pont l’Évêque en benjamin. Ensuite, je suis allé au pôle espoirs de Caen. J’ai joué au Caen Basket Calvados pendant deux ans et demi. J’ai fait des tests au Havre, à Cholet, au Mans et à l’INSEP j’ai été refusé. Je suis arrivé au Mans à 14 ans. On a préféré Le Mans pour les structures, le logement au Gué Bernisson, le suivi de Philippe Desnos. J’ai signé mon premier contrat pro en mars 2006. C’était une grande surprise, je l’ai su le matin même de ma signature. Ça s’est fait dans mon dos ! L’été suivant, il y a eu le championnat d’Europe juniors, j’ai été élu MVP et le coach m’a dit : tu ne joues plus avec les espoirs, tu seras avec nous. Là, j’ai compris dans ma tête que j’allais me consacrer à 100% au basket. J’étais en Première ES, j’ai arrêté mes études. S’il n’y avait pas eu le basket, je pense que je serais allé dans la filière du droit.\\n\\nTon poste à tes débuts : Intérieur. A Pont l’Évêque, interdiction de sortir de la raquette ! Lorsque je suis arrivé au pôle de Caen, Nicolas Faure (futur coach de Dijon), m’a mis directement à l’aile, même si je faisais quelques petits passages à l’intérieur.\\n\\nLes titres en jeunes avec Le Mans : On a gagné la Coupe de France cadets, été deux fois vice-champions de France et on a remporté le Trophée du Futur avec les espoirs. J’ai également remporté le titre de champion de France scolaire avec le Lycée Sud du Mans. On a participé au Championnat du monde, avec plusieurs joueurs du club. Il y avait beaucoup d’équipes, vingt-huit, dont une dizaine qui avait un bon niveau. Je me suis blessé. On a terminé 6e. C’était très festif.\\n\\nVincent Collet : C’est la personne qui m’a lancé dans le milieu pro en me faisant, une grande, grande confiance. L’année dernière, il m’a mis en jeu dès le début de certains matches alors que je pense qu’il me faudrait attendre, comme l’année d’avant, qu’il y ait +20 ou +30, le dernier quart temps. Il m’a même mis dans le cinq en fin d’année. Et puis, il m’a dit, que pour cette saison, il comptait beaucoup sur moi. Ça m’a surpris. Quand tu regardes les autres équipes Pro A quasiment partout, il y a des ailiers américains, sauf nous.\\n\\nCe qui restera des médailles en jeunes : Des aventures humaines exceptionnelles, deux titres de champions d’Europe, le Tournoi de Mannheim... On est toujours en contact, on s’appelle après les matches. On en reparlera encore entre nous dans vingt ans. Je pense que la médaille la plus importante, c’était la première, le titre de champion d’Europe cadets. Tout le monde s’attendait à une victoire de la Turquie, de l’Espagne, de la Russie, de la Lituanie. Nous, on était évalué à la 5-6e place. La France n’avait jamais eu de médailles. Pourtant, je ne suis arrivé que deux mois avant le championnat d’Europe. Adrien Moerman, lui, durant la préparation. Mais on est devenu une grande bande de potes et on a fait preuves d’une grosse cohésion. On était là pour s’amuser, pour aller jusqu’au bout ensemble, alors qu’on a vu des joueurs de la même équipe se battre entre eux. Ce qui était, vraiment surprenant, c’est que les Turcs en cadets, ce sont des hommes et toi, tu es un enfant. On a foncé dans le tas !\\n\\n« Il y a des scouts NBA pratiquement à tous mes matches »\\n\\nLe rival le plus coriace : Kenny Gregory pendant deux ans à l’entrainement. Au début, comme j’étais un p’tit jeune, il n’y allait pas à fond. J’ai joué dur sur lui. Ça l’a énervé et il a joué dur à son tour. L’année dernière, je me suis retrouvé en permanence contre lui. Quand on voit ce qu’il fait cette année à Efes Pilsen, on se rend compte que c’est un très bon Américain d’Europe.\\n\\nUne lacune : Je suis trop facile sur un terrain ! C’est dans ma nature... Il faut que ce soit chaud pour que je commence à réagir. Le meilleur exemple cette année, c’est Vichy à la semaine des As. Je ne fais rien en première mi-temps, et après, je me réveille. On en parle beaucoup avec Vincent (Collet). Il faut que j’agisse, pas que je réagisse.\\n\\nTa contestation des décisions des arbitres : (Il se marre) Je n’arrive pas à ne pas le faire ! Pourtant, je me le dis, qu’il faut que j’arrête de parler aux arbitres. Même en Euroleague, je leur parle, en anglais. C’est dans ma nature aussi. Je me dis que je ne mérite pas une faute. Et j’ai peur d’en prendre une deuxième, une troisième... Bon, là, depuis quelques matches, j’arrive à me taire.\\n\\nLe contact de Vitoria : C’était après le Tournoi de Mannheim. Juste avant, j’étais en cadets France et là, je me retrouve avec une proposition de je ne sais combien de milliers de dollars. Ça m’a fait plaisir, j’ai même rigolé d’avoir des propositions de Vitoria, mais aussi de Sienne, Trévise. Mais, je savais très bien que je n’irais pas. Ce n’était pas le moment de partir en Espagne. J’avais 17 ans, j’avais signé pour un mois avant. J’étais pleinement satisfait du Mans, des structures, du fait qu’ils font confiance aux jeunes. On ne savait pas qu’on allait faire l’Euroleague, mais au moins l’ULEB Cup. SI j’étais allé à Vitoria, je pense que je serais en train de jouer en LEB !\\n\\nUn club où tu ne signerais pour rien au monde : En Turquie et en Russie. Ce n’est pas une question de clubs, mais de pays. Si mes projets ne se réalisent pas, je peux aller jouer en Grèce, en Italie ou en Espagne, mais je n’ai pas envie en Turquie et en Russie. Si je dois rester en France... Je ne vais pas me mettre de clubs à dos ! (il sourit)\\n\\nTa salle préférée : A part Antarès, je dirais Nancy. A chaque fois, j’ai fait un bon match là-bas. Sauf en finale de la Semaine des As, mais j’avais fait un bon match la veille.\\n\\nBoris Diaw : Oui, on me compare à lui depuis l’Euro cadets. On m’a dit : « essaye de ne pas faire comme lui ! ». C’était à l’époque où il jouait à Atlanta et il ne prenait pas un shoot par match. Cela a changé à Phoenix. Lui, c’est plus un « 4 » qu’un « 3 », alors que moi, je suis vraiment un « 3 ». Cela m’arrive de faire quelques séquences en meneur, mais je n’ai jamais fait un match entier en pro à ce poste. En jeunes, si. J’ai joué 1, 2, 3, 4, 5 en cadet ! Si je fais la même carrière que Boris, ça serait déjà pas mal.\\n\\nDeux victoires seulement du MSB en Euroleague : Si on avait eu plus d’expérience, on aurait pu en avoir six, sept ou huit. Le point positif, c’est que désormais en Pro A, on fait preuve de lucidité en fin de match. Si on est à +10 à l’entrée du dernier quart, on gagne le match. Je pense que si on avait remporté le premier match au Maccabi, cela aurait changé la suite. On était à +15 ! On a fait les cons dans les dernières minutes. On ne prend pas un seul tir sur les quatre dernières possessions. Eux, ils ont trois tirs et ils en mettent deux. Chaque équipe du top-16 a des go to guys, des joueurs à grosse expérience, qui mettent les paniers gagnants et qui correspondent à toute la masse salariale du MSB !\\n\\nTu paierais ta place pour voir jouer : la Dream Team 92. Magic Johnson, Jordan, Pippen, Bird, c’est incroyable que des stars comma ça aient pu arriver à jouer ensemble.\\n\\nAvant un match : Je fais la sieste et, quand je suis chez moi, je prends toujours la même collation, un bol de chocapic, même si je sais que ce n’est pas bon. Je me mets de la musique dans le vestiaire. A l’échauffement, je prends toujours les mêmes cinq premiers shoots depuis que je suis en ligue. Par superstition.\\n\\nLa joueuse la plus sexy : Becky Hammon, qui joue en WNBA, aux San Antonio Silver Stars. Une petite blonde, pas moche du tout.\\n\\nCe que tu connais de l’Amérique : J’y suis allé deux fois. A Memphis, pour le Nike Hoop Summit. Et puis, une autre fois, à Dallas, à l’invitation de mon agent Boune N’Diaye, à Noël 2006. Nous sommes allés voir les Spurs à Oklahoma, à deux heures de route de Dallas. On a mangé avec Manu Ginobili. L’Amérique ? Ça n’a rien à voir avec ici, tout est plus grand, surdimensionné, les buildings, il y a des 4×4 partout. J’ai bien aimé Dallas. C’est grand, mais pas trop grand comme New York, c’est sophistiqué. Bon, c’est vrai, au départ c’est plaisant car ça change mais, à force, c’est peut-être lassant. Oklahoma, c’est un peu paumé, tranquille. J’ai vu Dallas contre les Clippers. Nous étions bien placés. Les contacts, les courses, l’intensité, l’ambiance, ça n’a rien à voir... Ça donne vraiment envie d’être sur le terrain ! Comme tu n’as pas la pub, tu peux voir tous les shows pendant les temps-morts. En Euroleague, ce qui fait, la différence, c’est qu’il y a des kops de supporters impressionnants. Tu ne verras pas une salle de NBA avec des spectateurs tout en jaune et debout tout le match, comme au Maccabi. Tu n’auras pas la démesure que tu vois au Partizan Belgrade.\\n\\nTon niveau d’anglais : Moyen. Je comprends, mais j’ai encore du mal à parler. L’année dernière, lorsque j’étais au Hoop Summit, on avait un coach australien, je n’ai pas eu de problèmes. Tu es sur place, et tu es obligé de parler anglais, tu apprends vite.\\n\\nLes scouts NBA : Il y en a pratiquement à tous les matches. A domicile, c’est peut-être arrivé une fois ou deux où il n’y en avait pas. Samedi, je croyais que c’était le cas et l’un des arbitres m’a dit, « il y a un coach de Boston qui est là, j’ai pris le train avec lui ». Je les vois, je commence à les reconnaitre. Ils n’ont pas le droit de me parler. Il n’y en a qu’un qui l’a fait, au Championnat du monde car c’était un coach de Toronto, un ancien de Denver, qui est aussi assistant du Nigéria. Donc, il l’a fait à ce titre. En fait, avant j’appréhendais à chaque fois qu’il y avait un scout dans la salle. C’est l’erreur que j’ai faite en début d’année 2007. Je ne jouais que par rapport à eux ! Je ne pensais pas à gagner le match ! ça ne sert à rien, d’autant que mes agents, je crois, envoient tous mes matches aux clubs. Je sais que depuis deux ans, je suscite beaucoup d’attente, du côté du Mans, du monde de basket, de la NBA. J’en parle souvent avec Vincent Collet. C’est vrai que depuis la Semaine des As, je pense beaucoup au mois de juin. Je sais qu’ils me connaissent, et pourtant j’ai tendance à essayer à tort de leur montrer à chaque match de nouveaux trucs...\\n\\nLa célébrité : Un peu au Mans, ou quand je rentre chez moi à Pont l’Evêque, mais ce n’est pas grand-chose. Quand je serai en NBA, il faudra être fort mentalement, garder les pieds sur terre, avoir comme objectif le basket, basket, basket. Pas divaguer comme certains joueurs en NBA ont pu le faire.\\n\\nEuroleague ou NBA : C’était Euroleague pendant deux ans, ça m’a beaucoup apporté, et maintenant, c’est la NBA. Depuis 2008, je ne regarde plus les sites de draft. Je ne sais plus combien je suis (dernièrement NBADraft projetait Nicolas à la 7e position, et DraftExpress 12e). Quand je regardais, j’étais en stress si je baissais ! J’ai mieux compris le système de la draft. Ce qui compte, ce n’est pas tant le rang. Tu peux être 3e et tomber dans une équipe qui ne va pas te faire jouer car ils ont déjà des ailiers. Tu peux être 12e et jouer. Tony Parker était en bas du 1er tour, mais il a joué tout de suite. La date butoir pour s’inscrire, c’est fin avril. Je pense m’y inscrire et ensuite aller à la cérémonie en juin à New York.\\n\\nUn acteur pour raconter ta vie : Ray Allen (dans He got Game, film sorti en 1998).\\n\\nUn bouquin : Toute la série de bouquins de Patricia Cornwell.\\n\\nUne expression : Je dis toujours « j’avoue », « j’avoue », « j’avoue »...\\n\\nLa musique dans ton ipod : R’nB’, surtout US. Du rap.\\n\\nTes cinq derniers achats : CD vierges, webcam et le cadeau d’anniversaire de ma copine. Si je vais aux Etats-Unis, ma mère viendra avec moi, donc je n’aurai pas de problèmes pour les courses ! J’ai parlé un peu de la vie américaine avec Mike Piétrus au Hoop Summit, l’année dernière à Memphis. Il m’a dit que l’acclimatation n’est pas si difficile que ça. C’est le championnat qui est dur, pas l’intégration.\\n\\nUn objet qui te tient à cœur : Une chaine que ma mère m’a offerte pour mes 18 ans car je sais qu’elle s’est ruinée pour ce cadeau.\\n\\nCe qui te rend de bonne humeur : Une belle victoire\\n\\nTu n’aimes pas que l’on dise de toi : Que j’ai la grosse tête. Ce n’est pas vrai.\\n\\nTa plus grande peur : De me blesser et de ne plus pouvoir jouer (On parle alors du fait que l’année dernière, il avait le choix entre jouer tout de suite en NBA, avoir un très bon contrat, ou favoriser un plan de carrière en restant au Mans et en Euroleague, au risque de tout perdre à cause d’une grave blessure). L’argent, l’argent, l’argent (il répète). Je le sais, on me l’a dit. Je répondais, mais j’ai 18 ans, mon pote, pourquoi aller tout de suite chercher de l’argent. Laisse-moi progresser, je ne veux pas aller deux, trois ans en NBA pour galérer et revenir en France. Je savais que je pouvais me blesser. Mais qui ne tente rien n’a rien, j’ai pris le risque. J’ai pris aussi une assurance. (Et quand on lui demande si elle lui aurait permis de bien vivre ensuite, Nicolas fait un signe positif de la tête).\\n\\nUne folie : Je m’achèterai une grosse, grosse, grosse voiture, tout équipée.\\n\\nUn don caché : Tout le monde dit la cuisine... Mais, oui, moi aussi, je suis un bon cuisinier. La cuisine normande, c’est facile. Tu mets des pommes au four, tu fais du boudin. J’aime bien faire des recettes chez moi le dimanche.\\n\\nTu refuses de faire quoi, même pour 10 millions d’euros : Trahir ma famille. La famille, c’est ce qui me permet, surtout en ce moment, de rester dans le droit chemin. J’ai un bon entourage, ma mère, mes oncles, ma tante. Bon, j’avoue, ça m’est arrivé l’année dernière d’avoir la grosse tête après le Hoop Summit. Ma famille me permet de ne pas divaguer complètement, de rester concentrer sur le basket, de ne pas acheter n’importe quoi.\\n\\nTon premier baiser : En 6e. On avait 10-11 ans. Elle s’était mise sur une marche !\\n\\nPlus grosse bêtise : J’ai failli mettre le feu à la maison. J’avais commencé à faire brûler un bouquet de fleurs séchées. J’étais paniqué.\\n\\nPlus gros mensonge : Je n’ai jamais fait part de fausses blessures. Pas de gros mensonges. Juste de mauvaises excuses pour ne pas aller en cours.\\n\\n« Je dépends beaucoup du regard des autres »\\n\\nUn fantasme : Je le garde pour moi (il se marre).\\n\\nTrois personnes avec qui diner : Scottie Pippen, Martin Luther King et Nicolas Sarkozy. A Pippen, je lui demande comment il a fait pour émerger malgré Michael Jordan. A Martin Luther King, je lui parle de la cause qu’il a défendue (c’était un militant pour les droits civiques des Noirs aux Etats-Unis). Et Sarkozy, je lui demande ce que ça fait de ne pas être aimé... Oui, moi, j’ai besoin d’être aimé. Je dépends beaucoup du regard des autres.\\n\\nUne journée dans la peau de : Michael Jordan. Pour savoir ce que ça fait d’être le meilleur joueur de tous les temps. Physiquement, il avait ses trucs à lui, moi aussi. Mais mentalement, Jordan c’était vraiment impressionnant. Jamais douter. Jamais faire deux mauvais matches de suite. Louper un tir, mais mettre l’autre derrière. Refuser l’échec. Je travaille à tout ça.\\n\\nTon idée de la mort : Je n’y pense pas.\\n\\nUne question interdite : (Il réfléchit) Une fois, une question m’a énervé. Un journaliste m’a demandé si ça m’avait fait quelque chose lorsque mon père est décédé. Je n’ai pas répondu...\\n\\nCelle qu’on a oublié de te poser : Le Mans va-t-il être champion cette année ? Oui. C’est l’objectif du club. Je n’avais pas joué la finale contre Nancy, il y a deux ans et demi. Lors de la victoire à Dijon, en finale de la Semaine des As, contre Bourg, j’étais l’espoir qui est entré deux minutes à la fin. La seule finale que j’ai vraiment vécue, c’est la Semaine des As, perdue, contre Roanne.\\n\\nCelle que tu aimerais poser à un coach : Comment faites-vous pour passer des journées entières à la vidéo ?\\n\\nParu dans Maxi-Basket en avril 2008\\n\\n[armelse]\\n\\nGamin tu rêvais d’être : Scottie Pippen. J’étais déjà plus basket que fiction et dessins animés. Depuis en fait, 1996, je me suis intéressé aux Bulls avec le retour de Michael Jordan en NBA.\\n\\nPont l’Évêque : Je suis né là-bas, j’y ai grandi, j’y ai fait mes débuts de basketteur. Ma mère y habite toujours. Ma sœur a joué également à Pont l’Evêque. Et mon papa, bien sûr (Richard Batum, qui fut notamment équipier de Dwayne Scholten à Pont l’Évêque, est décédé sur un terrain d’une crise cardiaque. Nicolas avait 3 ans). Ce sont mes racines. Quand j’ai un petit coup de blues au Mans, je vais y faire un tour le week-end histoire de me ressourcer.\\n\\nLe Centre de formation du Mans : C’est là que j’ai découvert une grande structure de basket. Il m’a beaucoup apporté. C’est grâce à Philippe Desnos que j’y suis venu. J’ai joué à Pont l’Évêque en benjamin. Ensuite, je suis allé au pôle espoirs de Caen. J’ai joué au Caen Basket Calvados pendant deux ans et demi. J’ai fait des tests au Havre, à Cholet, au Mans et à l’INSEP j’ai été refusé. Je suis arrivé au Mans à 14 ans. On a préféré Le Mans pour les structures, le logement au Gué Bernisson, le suivi de Philippe Desnos. J’ai signé mon premier contrat pro en mars 2006. C’était une grande surprise, je l’ai su le matin même de ma signature. Ça s’est fait dans mon dos ! L’été suivant, il y a eu le championnat d’Europe juniors, j’ai été élu MVP et le coach m’a dit : tu ne joues plus avec les espoirs, tu seras avec nous. Là, j’ai compris dans ma tête que j’allais me consacrer à 100% au basket. J’étais en Première ES, j’ai arrêté mes études. S’il n’y avait pas eu le basket, je pense que je serais allé dans la filière du droit.\\n\\nTon poste à tes débuts : Intérieur. A Pont l’Évêque, interdiction de sortir de la raquette ! Lorsque je suis arrivé au pôle de Caen, Nicolas Faure (futur coach de Dijon), m’a mis directement à l’aile, même si je faisais quelques petits passages à l’intérieur.\\n\\nLes titres en jeunes avec Le Mans : On a gagné la Coupe de France cadets, été deux fois vice-champions de France et on a remporté le Trophée du Futur avec les espoirs. J’ai également remporté le titre de champion de France scolaire avec le Lycée Sud du Mans. On a participé au Championnat du monde, avec plusieurs joueurs du club. Il y avait beaucoup d’équipes, vingt-huit, dont une dizaine qui avait un bon niveau. Je me suis blessé. On a terminé 6e. C’était très festif.\\n\\nVincent Collet : C’est la personne qui m’a lancé dans le milieu pro en me faisant, une grande, grande confiance. L’année dernière, il m’a mis en jeu dès le début de certains matches alors que je pense qu’il me faudrait attendre, comme l’année d’avant, qu’il y ait +20 ou +30, le dernier quart temps. Il m’a même mis dans le cinq en fin d’année. Et puis, il m’a dit, que pour cette saison, il comptait beaucoup sur moi. Ça m’a surpris. Quand tu regardes les autres équipes Pro A quasiment partout, il y a des ailiers américains, sauf nous.\\n\\nCe qui restera des médailles en jeunes :\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Championnat du Monde U17: Dominée par les Etats-Unis, 52-95, l’équipe de France remporte l’argent. Killian Hayes dans le Cinq All-Stars du tournoi"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est leur cinquième titre consécutif en moins de 17 ans et ils sont invaincus en 37 matches depuis l’année inaugurale de la compétition en 2010: les Etats-Unis sont insubmersibles dans cette catégorie d’âge et cette nuit, ils ont terrassé la France en finale, 95-52, comme tous leurs autres adversaires. Malgré ce revers prévisible, l’équipe de France a accompli une performance historique puisque jamais une équipe française masculine n’avait remporté une médaille d’argent mondiale en jeune.\\n\\nLes Bleuets ne se sont pas remis d’un 2-20 infligé dans le deuxième quart-temps. Quatre Américains ont inscris au moins 11 points avec une pointe à 15 plus 9 rebonds pour Isaiah Stewart. Du côté des Français, Killian Hayes a été le seul à franchir ce cap (10 points mais avec un 3/12 aux tirs).\\n\\nFace à la pression infernale des Américains, les Français ont perdu 24 balles, le double de leurs adversaires.\\n\\nC’est Jalen Green, meilleur marqueur de son équipe avec 15,7 points, qui a été élu MVP du tournoi. Son compatriote Veron Carey Jr, le Malien Oumar Ballo, le Portoricain Andre Curbelo et Killian Hayes (16,1 points, 3,6 rebonds, 3, 3 passes, 2,7 interceptions et 1,4 contre) complètent le Cinq idéal.\\n\\nMalcolm Cazalon (16,4 points, 4,4 rebonds, 2,1 passes) et Théo Maledon (11,1 points, 6,1 rebonds et 4,1 passes) ont également réalisé un tournoi remarquable.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nLes statistiques des Français sont ici.\\n\\nClassement final:\\n\\n 1.  États-Unis\\n 2.  France\\n 3.  Porto Rico\\n 4.  Canada\\n 5.  Turquie\\n 6.  Australie\\n 7.  Croatie\\n 8.  Monténégro\\n 9.  République dominicaine\\n 10. Serbie\\n 11. Argentine\\n 12. Mali\\n 13. Philippines\\n 14. Nouvelle-Zélande\\n 15. Chine\\n 16. Égypte"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jean-Pierre Siutat(président de la FFBB): «Ce n’est pas normal qu’il nous manque autant de joueurs dans les équipes nationales si on compare au foot, au handball»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A peine revenu du périple en Bosnie et en Russie conclu par deux victoires, le président Jean-Pierre Siutat, le directeur de l’équipe de France, Patrick Beesley et le coach Vincent Collet ont donné une conférence de presse dont voici la deuxième partie du verbatim.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLES JOUEURS QUI POURRAIENT ETRE DISPONIBLES EN SEPTEMBRE\\n\\nVincent Collet : On va revenir davantage à une situation que l’on a connu en novembre et février que pour cette fenêtre de juin-juillet avec quand même un espoir pour septembre pour quelques joueurs. Avec Patrick (Beesley), dès vendredi dernier à Nanterre, on les a reçus un par un pour évoquer ça. Malheureusement, pour l’instant, la plupart ne savent pas vraiment. Ils savent que c’est tendu mais ce n’est pas impossible. On a décidé de faire le point fin juillet puisqu’on va annoncer notre liste mais on s’attend à revenir à une situation plus proche de la situation des fenêtres précédentes. J’ai malgré tout déjà fait une projection et ce que je peux dire, c’est que l’on aura a priori une équipe compétitive comme on l’avait en novembre et février mais forcément moins forte que celle que l’on avait dans cette fenêtre de juin. C’est du cas par cas. Par exemple, pour les joueurs NBA c’est très dépendant de leur position dans leur franchise. Cela a toujours été le cas d’ailleurs. Tony (Parker) expliquait toujours qu’il avait la capacité de dire aux Spurs, « je viens ! » alors que pour les jeunes joueurs, c’est moins facile. Je ne vais pas faire de fausses promesses parce que eux-mêmes ne le savent pas totalement.\\n\\nPatrick Beesley : D’autant que autant Charlotte (Nicolas Batum) que Orlando (Evan Fournier) ont complètement changé de staff. Donc à ce jour, les joueurs ne connaissent pas les staffs et nous, tous les contacts que l’on avait ne sont plus bons, il faut repartir à zéro même si à Charlotte c’est (NDLR : comme general manager) Mitch Kupchak qui était à Los Angeles. Le conditionnement d’un joueur avec un ancien staff n’est pas le même qu’avec un nouveau.\\n\\nVincent Collet : Par contre, il y a quelque chose de positif c’est que la NBA reconnaît la fenêtre de septembre. En fait, le problème est subtil. La saison NBA commence beaucoup plus tôt maintenant, juste après le 15 octobre pour limiter le nombre de back to back donc le training camp recommence environ le 20 septembre. Ça permet normalement de pouvoir disputer ces fenêtres mais on sait tous que les franchises démarrent avant de façon officieuse et convoquent les joueurs pour du travail individuel et des pick up games et reprennent vraiment le vif du travail plus tard. Beaucoup de joueurs ont l’obligation d’être présents pour ce travail préalable.\\n\\nJean-Pierre Siutat : Quand il y a eu à la FIBA le débat définitif sur le positionnement des fenêtres, j’avais posé la question à propos des deux d’été pour que celle de juin-juillet commence un peu plus tard et celle de septembre un peu plus tôt. Il y a eu une discussion avec Marc Tatum qui est très important à la NBA (Deputy Commissioner et Chief Operating Officer) et qui siège à la FIBA. Il expliquait que ce que l’on vient de vivre ne posait pas de problème vis-à-vis de la Summer League... Ce qui n’a pas été tout à fait le cas... Et que septembre, ça ne devait pas en poser non plus. C’était en 2016 quand on a finalisé complètement le calendrier. On s’est aperçu que ça n’a pas été aussi simple que ça déjà pour juin-juillet, on verra au mois de septembre ce qu’il en sera.\\n\\nRUDY GOBERT DISAIT QU’IL ENVISAGERAIT DE VENIR SEPTEMBRE EN CAS D’ABSOLU NECESSITE. LE FAIT QUE LA QUALIFICATION SOIT SI PROCHE RISQUE DE JOUER CONTRE SA PRESENCE\\n\\nVincent Collet : Sûrement. On peut le penser car c’est quand même pour eux à chaque fois l’obligation de solliciter leurs franchises pour les libérer. C’est aussi ce qui a mobilisé autant l’équipe hier. Les joueurs savaient l’importance du résultat. Donc c’est effectivement une crainte potentielle et légitime.\\n\\nJean-Pierre Siutat : Sur les réseaux sociaux, on dit souvent que la fédération n’a pas les moyens de payer les assurances des joueurs et c’est pour ça qu’on les prend au compte-goutte. Je veux confirmer que les assurances sont payées entièrement par la FIBA. C’est la nouveauté pour les fenêtres. Et par le passé, je confirme que l’on n’a jamais eu de problèmes pour payer les assurances.\\n\\n« Pour l’instant, Boris Diaw n’a pas de club mais on sait qu’il cherche »\\n\\nLA SITUATION DE BORIS DIAW\\n\\nVincent Collet : C’est effectivement une situation particulière puisqu’en fait personne ne sait. Lui-même ne sait pas non plus. Il s’interroge. Nous, on espère. Je souhaite qu’il puisse continuer par rapport à tout ce qu’il nous apporte à la fois sur le terrain mais aussi en dehors. Il reste le leader charismatique de cette équipe. Pour l’instant, il n’a pas de club mais on sait qu’il cherche.\\n\\nLA SITUATION QUAND LA QUALIFICATION SERA ACQUISE\\n\\nVincent Collet : Autant on peut se poser des questions pour la fenêtre de septembre, autant pour celles de novembre et février, on sait que l’on sera dans le même contexte que pour les deux premières. On aura une ossature Jeep Elite avec je l’espère quelques joueurs qui jouent l’Eurocup à l’étranger. C’est le cas de Andrew (Albicy) cette année ou de Moustapha Fall. Pour Mous Fall, il est possible sinon probable qu’il intègre une équipe d’Euroleague surtout après le match qu’il a fait hier (NDLR : avant-hier). Malgré tout, on aura je pense une équipe compétitive et on essaiera de gagner ces matches. C’est aussi important par rapport à l’éthique de la compétition et vis-à-vis d’adversaires qui ne seront pas encore qualifiés et qui attendront que l’on ait le bon comportement. Et puis pour nous aussi c’est important. Avant d’aller jouer la Bosnie vendredi soir, j’ai eu l’opportunité de regarder Géorgie-Serbie et j’ai été très impressionné par la prestation serbe avec une équipe totalement remaniée puisqu’eux n’avaient pas bénéficié du retour de joueurs NBA et avec beaucoup de noms peu connus sur la planète basket. Et pourtant, ils jouaient à un niveau incroyable. Ils ont mis 30 points aux Géorgiens en Géorgie pourtant il y avait (Tornike) Shengelia, Giorgi (Sharmadini), (Thaddus) McFadden et quelques pointures. C’est un résultat totalement inattendu à ce niveau-là et je pense que nous, il faut que l’on ait le même objectif. C’est important d’essayer de garder un niveau de performance qui soit le plus élevé possible même si ça sera forcément plus compliqué. On a vu que ce que l’on a pu produire hier, en février on n’en était pas capable. C’est pour ça que pour moi, le match bascule c’est celui que l’on a pu faire en février contre la Russie car normalement celui-là on n’aurait pas dû le gagner.\\n\\n« Il y a la volonté de promouvoir le basket aux Antilles car il y a d’autres sports qui sont en train de conquérir l’Ile. Il faut absolument que le basket marque le territoire »\\n\\nDES ABSENTS AUSSI CHEZ LES TROIS ADVERSAIRES DU DEUXIEME TOUR\\n\\nVincent Collet : Les Bulgares auront leur équipe mais on doit être capable de jouer contre eux. Par contre dans l’équipe tchèque, il manquera (Tomas) Satoranski, (Jan) Vesely. (Lauri) Markkanen sera peut-être là en septembre avec la Finlande mais pas après. (Petteri) Koponen non plus. Ça pénalise ces équipes. Pour en discuter avec Lassi Tuovi qui est assistant en Finlande (NDLR : et aussi à Strasbourg), c’est peut-être plus dommageable pour une équipe comme la Finlande que pour nous car on a la chance -et on l’a vu l’an dernier- d’avoir un réservoir conséquent. Et ça permet de révéler des joueurs. C’est le cas pour Mous Fall. Ce sont les fenêtres qui lui ont permis de se révéler sur la scène internationale.\\n\\nLES INTERROGATIONS SUR LA PERTINENCE DE CES FENETRES QUAND ON VOIT LES DIFFICULTES DE LA SLOVENIE, CHAMPIONNE D’EUROPE, OU DE LA CROATIE\\n\\nJean-Pierre Siutat : C’est sûr que c’est très mitigé. Je sais que si on n’avait rien fait, le basket international aurait continué, je pense, à régresser. Est-ce la bonne solution ? Je ne sais pas. Elle peut être bonne si demain, au moins en Europe, tout le monde se sent concerné. Mais la terre est grande et quand on regarde, il n’y a que l’Europe qui est concernée par le sujet même si de temps en temps, par endroit, il y a quelques difficultés. Si l’Europe s’harmonise autour de ça, ça peut être un beau projet. Nous, on est contre pour plein de raisons. On a fondé notre gouvernance sur le plan économique sur l’équipe de France. On a beaucoup de joueurs qui partent en NBA et on s’aperçoit que même sur les jeunes, les U18, les U20, la seule chose qu’ils ont en tête, c’est de partir jouer en NBA plus que de jouer en équipe nationale. Ça pose un vrai problème. On ne peut pas les empêcher de partir. Mais l’important c’est qu’on puisse les récupérer pour les équipes nationales. Et ce que l’on propose aujourd’hui dans une Europe qui n’est pas harmonisée, c’est compliqué pour nous. Certains pays ont failli passer par la fenêtre. On ne sait pas si la Croatie va se qualifier, la Slovénie c’est compliqué pour eux. Le bilan sera fait pour 2019. La FIBA repartira t-elle sur des fenêtres comme ça ? A priori, oui, mais peut-être sur des scénarios un peu différents. Ce n’est pas normal qu’il nous manque autant de joueurs dans les équipes nationales si on compare au foot, au handball. Tous les sports. Il n’y a que le basket. C’était déjà compliqué avec la NBA, ça l’est encore plus avec l’Euroleague. Il faut que l’on trouve des solutions pour avoir nos meilleurs joueurs au bon moment. Que l’on n’ait pas les joueurs NBA, c’est une chose mais que l’on puisse avoir les autres.\\n\\nLE JUBILE DE MICKAEL GELABALE ET FLORENT PIETRUS EN GUADELOUPE\\n\\nPatrick Beesley : Avec Jean-Pierre, on avait depuis longtemps la volonté d’honorer le basket antillais et il y a eu l’opportunité de ce jubilé de Flo et de Mike en Guadeloupe pour faire donc ce que l’on ne fait pas trop en basket, honorer deux internationaux. On a reconstruit un team France qui va partir demain (aujourd’hui) avec une sélection qui a été composée par Flo et Mike avec des anciens joueurs, des amis. Autour de ça, il y a la volonté de promouvoir le basket aux Antilles car il y a d’autres sports qui sont en train de conquérir l’Ile. Il faut absolument que le basket marque le territoire. Le Team France n’a jamais été là-bas et c’est une occasion de le faire. Il y aura des opérations de 3×3, sur la jeunesse. On va profiter de ces trois jours pour faire monter la température basket.\\n\\nJean-Pierre Siutat : On a été recadré par la NBA, aucun joueur en activité ne peut officiellement prendre part à des activités amicales. Ils sont mis à disposition pour les équipes nationales sous conditions. Ils peuvent organiser leurs propres matches mais la fédération -puisqu’on a signé un contrat avec la NBA à travers la FIBA- peut le faire dans un cadre précis mais pas pour des matches amicaux. Ça aurait même posé des problèmes si on avait fait le jubilé pour Tony (Parker).\\n\\nLe programme du jubilé:\\n\\nMercredi 4 juillet\\n\\n15H00 : Arrivée du Team France Basket, de Florent Piétrus et de Mickaël Gelabale – Accueil des médias à l’aéroport de Pointe à Pitre\\n\\nJeudi 5 juillet\\n\\n11H00 :Passage de quelques joueurs du Team France Basket, Florent Pietrus et Mike Gelabale, à l’animation 3X3 sur l’Esplanade du Palais des Sports « Le Gosier »\\n\\n17h00 à 18h30 : Entrainement du Team France Basket au Palais des sports du Gosier (ouvert au public et dédicaces)\\n\\nVendredi 6 juillet\\n\\n10h30 à 12h00 : Entrainement de l’équipe All Stars au Palais des Sports du Gosier\\n\\n20h00 : Match de Gala Team France Basket VS All Stars Flo et Mike\\n\\nSamedi 7 juillet\\n\\n10h00 : Mike Gelabale, Florent Pietrus et 2 joueurs du Team France Basket passeront au camp de Basket MJCA\\n\\n[armelse]\\n\\nLE NOMBRE DE JOUEURS QUI POURRAIT ETRE DISPONIBLES EN SEPTEMBRE\\n\\nVincent Collet : On va revenir davantage à une situation que l’on a connu en novembre et février que pour cette fenêtre de juin-juillet avec quand même un espoir pour septembre pour quelques joueurs. Avec Patrick (Beesley), dès vendredi dernier à Nanterre, on les a reçus un par un pour évoquer ça. Malheureusement, pour l’instant, la plupart ne savent pas vraiment. Ils savent que c’est tendu mais ce n’est pas impossible. On a décidé de faire le point fin juillet puisqu’on va annoncer notre liste mais on s’attend à revenir à une situation plus proche de la situation des fenêtres précédentes. J’ai malgré tout déjà fait une projection et ce que je peux dire, c’est que l’on aura a priori une équipe compétitive comme on l’avait en novembre et février mais forcément moins forte que celle que l’on avait dans cette fenêtre de juin. C’est du cas par cas. Par exemple, pour les joueurs NBA c’est très dépendant de leur position dans leur franchise. Cela a toujours été le cas d’ailleurs. Tony (Parker) expliquait toujours qu’il avait la capacité de dire aux Spurs, « je viens ! » alors que pour les jeunes joueurs, c’est moins facile. Je ne vais pas faire de fausses promesses parce que eux-mêmes ne le savent pas totalement.\\n\\nPatrick Beesley : D’autant que autant Charlotte (Nicolas Batum) que Orlando (Evan Fournier) ont complètement changé de staff. Donc à ce jour, les joueurs ne connaissent pas les staffs et nous, tous les contacts que l’on avait ne sont plus bons, il faut repartir à zéro même si à Charlotte c’est (NDLR : comme general manager) Mitch Kupchak qui était à Los Angeles. Le conditionnement d’un joueur avec un ancien staff n’est pas le même qu’avec un nouveau.\\n\\nVincent Collet : Par contre, il y a quelque chose de positif c’est que la NBA reconnaît la fenêtre de septembre. En fait, le problème est subtil. La saison NBA commence beaucoup plus tôt maintenant, juste après le 15 octobre pour limiter le nombre de back to back donc le training camp recommence environ le 20 septembre. Ça permet normalement de pouvoir disputer ces fenêtres mais on sait tous que les franchises démarrent avant de façon officieuse et convoquent les joueurs pour du travail individuel et des pick up games et reprennent vraiment le vif du travail plus tard. Beaucoup de joueurs ont l’obligation d’être présents pour ce travail préalable.\\n\\nJean-Pierre Siutat :\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Rudy Gobert, Thomas Heurtel, supporters, FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U20 féminin: La France chute face à l’Italie, 69-76"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En raison d’un mauvais dernier quart-temps (14-25), l’équipe de France s’est inclinée face à l’Italie (69-76) lors de la deuxième journée de l’Euro U20 féminin.\\n\\nLes efforts de l’intérieure de Mondeville Ana Tadic (8 points, 7 rebonds, 3 passes) et de la meneuse de Tarbes Tima Pouye (19 points mais 1/10 à trois-points) n’auront donc pas été suffisants pour accrocher la victoire.\\n\\nAfin de prendre la deuxième place du groupe, les Bleuettes devront s’imposer demain à la Slovaquie qui hier a été largement dominée par l’Italie, 34-58.\\n\\nPhoto: Tima Pouye (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Voir la finale du championnat du monde U17 France-USA en direct"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dailymotion permet de voir la finale du championnat du monde U17 France-USA en direct à 1h30.\\n\\nPhoto: Timothé Crusol (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le meneur américain Nate Wolters quitte Chalon pour le Zalgiris Kaunas"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce n’est malheureusement pas une surprise: le meneur américain Nate Wolters (1,93m, 27 ans) quitte l’Elan Chalon pour un club d’Euroleague, le Zalgiris Kaunas.\\n\\nAppelé à la rescousse alors que l’Elan était au plus mal, le natif de Saint-Cloud... dans le Minnesota a parfaitement rempli sa mission avec 16,3 points, 6,2 passes et 19,1 d’évaluation. L’Elan savait que financièrement l’Américain aurait des propositions plus juteuses en Europe.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Antibes: Le Suédois Viktor Gaddefors rempile pour deux saisons"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ailier suédois Viktor Gaddefors (2,01m, 25 ans) rempile avec les Sharks d’Antibes pour deux saisons annonce le club azuréen.\\n\\nVictor Gaddefors avait débuté la saison 2017-18 avec son club formateur d’Uppsala (18,4 points, 6,4 rebonds et 4,1 passes décisives en 18 matchs) avant de rejoindre les Sharks au mois d’avril. Il compensait ainsi les absences de Max Kouguere et Paul Rigot, tous deux blessés. En 12 matchs en Jeep Elite, le Suédois a assuré 7,7 points, 4,5 rebonds et 2,6 passes décisives en 26 minutes de moyenne.\\n\\nPhoto: Sharks"
}, 
{"role": "user",     "content":"Belgique: Eddy Casteels n’est plus le coach de la sélection nationale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Eddy Casteels, 57 ans, a pris la décision d’abandonner son poste d’entraîneur de l’équipe nationale de Belgique a annoncé la fédération ce dimanche.\\n\\nLe Malinois était à la tête des Belgian Lions depuis 2005 et sous sa conduite ceux-ci se sont qualifiés quatre fois d’affilée pour le championnat d’Europe (2011, 2013, 2015 et 2017). Eddy Casteels aura ainsi clôturé son parcours d’entraîneur national par une victoire lundi face à la Bosnie dans le cadre des qualifications pour la Coupe du Monde 2019.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"NM1 : Ludovic Vaty signe à Bordeaux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après deux saisons à Tarbes, Ludovic Vaty (2,06m, 29 ans) quitte l’UTLPB et s’engage avec les JSA Bordeaux, toujours en NM1.\\n\\nAncien international français, le natif des Abymes avait dû mettre un terme à sa carrière professionnelle en 2013 à cause de problèmes cardiaques. Autorisé à reprendre la compétition fin 2014, il s’était alors engagé l’Élan Béarnais Pau Nord-Est, en NM2.\\n\\nPassé par Pau-Lacq-Orthez, Orléans et Gravelines, l’intérieur français était en train de se faire un nom dans l’Hexagone avant ses problèmes de santé. Il a notamment remporté deux coupes de France et la Leaders Cup 2013 dont il avait été élu MVP.\\n\\nCette saison, le MVP de NM1 2016/17 a compilé 13,5 points, 6,6 rebonds, 1,4 interception et 2,3 passes décisives pour une évaluation de 17 en 16 rencontres de troisième division.\\n\\n\\n\\n\\nNous sommes très heureux d’accueillir l'ex international Ludo Vaty. Il apportera tout son talent et son expérience à la raquette bordelaise. Sa complémentarité avec la jeunesse de Mathieu Boyer sur le poste 5 offrira de belles possibilités pour coach Joachim.\\n\\n\\nBienvenue Ludovic pic.twitter.com/PtUMATPNDl\\n\\n\\n— JSA-Bordeaux-Métropole-Basket (@JSA_BMB) July 7, 2018\\n\\nPhoto : UTLPB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le dunk de la soif de Guy Dupuy au Quai 54"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Guy Dupuy est l’un des meilleurs dunkeurs au monde et son imagination n’a d’égal que ses talents de jumper et d’acrobate. En voici une preuve supplémentaire à l’occasion de son exhibition hier au Quai 54.\\n\\n\\n\\n\\nWhen you’re thirsty but you still have a dunk to perform 🤷\u200d♂️@GuyDupuy1 #quai54 #dunkcontest pic.twitter.com/HrYBrtZldk\\n\\n\\n— Quai 54 (@quai54wsc) July 7, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Elite: Pas de retour de Dee Bost à Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pas de retour -ou du moins pour l’instant- de Dee Bost (1,88m, 28 ans) à l’AS Monaco. C’est ce que son agent Scott Nichols a indiqué au site Sportando contredisant ainsi une rumeur persistante. Le joueur a ensuite confirmé l’information.\\n\\nLe meneur américano-bulgare avait effectué une saison 2016-17 complète sur le Rocher avant de rejoindre le Zalgiris Kaunas puis Strasbourg pour 19 matches de la saison régulière 2017-18 (11,1 points, 5,8 passes, 3,1 rebonds).\\n\\nPhoto: Fiba"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mondial U17: Le résumé vidéo de la victoire des Français sur Porto Rico"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un résumé de dix minutes de la victoire de la France en demi-finale du championnat du monde U17 face à Porto Rico: 78-73.\\n\\nPhoto: Malcolm Cazalon (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mondial U17: 13 minutes pour découvrir la mécanique infernale américaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FIBA offre un « condensé » d’environ treize minutes des matches du championnat du Monde U17 qui se tient actuellement en Argentine. Voici celui de la demi-finale entre les Etats-Unis et le Canada.\\n\\nLes Canadiens ont été très valeureux et menaient 28-21 après un quart-temps. Seulement ensuite les Américains ont pris les choses en mains. Résultat: 120-71 !\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mondial U17: La France va défier les irrésistibles Américains en finale !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Bleuets ont parfaitement rempli leur mission au championnat du monde U17 en Argentine; ils ont battu Porto Rico en demi-finale (78-73) et vont se retrouver nez à nez avec les Américains en finale. C’est la première fois qu’une équipe de France U17 va monter sur un podium mondial.\\n\\nCette génération championne d’Europe U16 est bien exceptionnelle puisqu’elle a dominé Porto Rico pendant trois quart-temps avant de lâcher du lest en fin de rencontre (14-23 dans les dix dernières minutes).\\n\\nCe sont les mêmes animateurs que d’habitude qui lui ont permis de franchir ce nouveau cap. Malcolm Cazalon a assuré 20 points et 22 d’évaluation), Killian Hayes (20 points et 20 d’évaluation) et Théo Maledon (11 points, 8 rebonds, 6 passes).\\n\\nCe sera très, très difficile de conquérir l’or. Les Américains ont mis en demi-finale une nouvelle gifle à leurs adversaires, les Canadiens: 121-71 soit 49 points d’écart après les +78 contre la Chine, +57 au Mali, +32 à la Serbie, +43 à la République Dominicaine et +74 à la Croatie! Monstrueux.\\n\\nRappel: en match de préparation, juste avant ce championnat du monde, les coéquipiers de Killian Hayes avait été vaincus 46-82, soit par 36 points d’écart... Dans ces conditions, l’argent c’est déjà formidable. Il reste à sortir la tête haute de ce Mondial.\\n\\n\\n\\n\\nLa World Cup.. ça semble réussir à la 🙌🇫🇷🙌 #FIBAU17 #WorldCup@FFBasketball pic.twitter.com/UhCH5CEsjZ\\n\\n\\n— FIBA (@FIBA) July 7, 2018\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Avec le tandem Marie-Laure Lafargue (présidente)/Cathy Melain (coach), Basket Landes s’offre à sa tête une doublette de femmes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Basket Landes s’est donné hier une présidente, Marie-Laure Lafargue, née il y a 41 ans à Mont-de-Marsan, qui en était jusqu’ici la manager général, alors que Cathy Melain va y accomplir sa deuxième saison de coach.\\n\\n« La SASP sera désormais pilotée par une fonction unique de Président Directeur Général auquel le conseil d’administration confiera le soin d’animer quotidiennement la politique du club. C’est Marie Laure Lafargue qui a été élue à ce poste, dans la continuité de son action quotidienne menée depuis son recrutement en 2011. Didier Massy lui transmet donc le flambeau de la Présidence du club mais continuera de présider le comité directeur », écrit le club dans un communiqué.\\n\\nCelui détaille les axes prioritaires qu’il s’est donné:\\n\\n– la poursuite du développement économique sous la houlette de Pierre Dartiguelongue\\n\\n– la poursuite du développement du centre de formation sous la houlette de Julie Moustrou\\n\\n– le développement d’un programme citoyen et de responsabilité sociale sous la houlette d’Audrey Lacroix.\\n\\nProfessionnalisme, travail d’équipe, management féminin et ambition seront donc les clés d’une ambition renouvelée mais dans l’esprit des valeurs historiques du club.\\n\\nLa nouvelle président est revenue sur l’évolution du club depuis 10 ans à travers quelques éléments:\\n\\nSur le plan Sportif :\\n\\nDe la 3° division aux premiers rôles du championnat depuis 2010 (2eme en 2013) et une 8eme participation successive à une coupe d’Europe acquise\\n\\nUn centre de formation de 24 pensionnaires agréé par le ministère de la jeunesse et des sports\\n\\n1 titre de championne de France NF1 en 2008\\n\\nUne coupe de France cadettes en 2011\\n\\nUn titre de championne de France espoirs en 2013\\n\\nDe nombreuses sélections en équipe de France senior et jeunes et un staff technique et médical reconnu\\n\\nSur le plan structurel aussi\\n\\n3 déménagements de Eyres Moncube à St Sever puis Mont de Marsan\\n\\n5 présidents: C.Lecompte (2005-2009), D.Lafargue (2009-2013), P. Dartiguelongue et Didier Deslous (2013-2016) et Didier Massy (depuis 2016)\\n\\nUne structure professionnelle créée en 2016 délégataire de la structure pro par l’association\\n\\n124 licenciés, 80 bénévoles,\\n\\n16 salariés (7 joueuses pro (9 l’an prochain) , 4 entraîneurs, 5 administratifs)\\n\\nL’audace aussi : Céline Dumerc depuis 2 ans.\\n\\nBasket Landes a par ailleurs fourni quelques chiffres clés qui donnent la mesure de la croissance de ce club atypique du sud-ouest:\\n\\nBasket Landes a le 7 ème budget de LFB avec 1.487 M€ en dessous de la moyenne des clubs de Ligue qui est à 1.716 M€ et Bourges est à 3.354 M€\\n\\n23% de recettes spectateurs contre 7,5 % au plan national\\n\\n30,8% de subventions publiques contre 47,5% au plan national\\n\\n44,62% partenariat privé contre 38,6% au plan national\\n\\n50 000 spectateurs en 2018 à Mitterrand et 88,7 % de remplissage sur la saison, probablement le plus important public de France en remplissage et en recettes sur 2017-2018\\n\\n1 008 abonnés , 29% de l’agglomération montoise, 26% de Tursan/chalosse , 15% pays dacquois et côte sud , 12% du Gabardan/Armagnac , 6% du nord des Landes et 12% hors département.\\n\\n468 partenaires de 150€ a 80 000€, contre 10 partenaires pour 150 000€ en tout en 2008.\\n\\n26% des partenaires sont issus de l’agglo montoise, 44% du reste du département, 12% de Nouvelle Aquitaine et 18% National.\\n\\n29% de subventions publiques, soit l’un des plus faible taux de la LFB, réparties entre 310,5M€ du Conseil Départemental (dont 260M€ pour le centre de formation), 70 M€ de la Région, et 30M€ de l’agglo.\\n\\nPhoto: Marie-Laure Lafargue (Basket Landes)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U20 féminines: Les Bleuettes entrent en fanfare face à la Suède, 74-36"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour la première journée de l’Euro U20 féminines, les Bleuettes n’ont pas fait de détails en s’imposant 74-36 à la Suède. Après un round d’observation (11-8), elles ont pris le large dans le deuxième quart-temps, 24-9.\\n\\nSi les Françaises se sont contentées d’une adresse à 37,8%, les Suédoises sont tombées à... 17,9%.\\n\\nAu rayon individuel, la Tarbaise Naomi Mbandu (1,85m) s’est révélée la meilleure marqueuse avec 14 points alors que Marie-Paule Foppossi (1,89m) qui porte le maillot de l’université de Syracuse en saison, a réalisé un double double avec 13 points et 11 rebonds. Dix joueuses ont scoré du côté français.\\n\\nPhoto: Marie-Paule Foppossi (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Dee Bost de retour à Monaco ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A Monaco la saison dernière, Dee Bost (1,88m, 28 ans) avait quitté la Roca Team l’été dernier et s’était engagé avec le Zalgiris Kaunas pour tenter sa chance en Euroleague.\\n\\nActuellement à Las Vegas pour disputer la Summer League NBA sous le maillot des Memphis Grizzlies, l’ancien joueur du Trabzonspor avait quitté Kaunas après une quinzaine de matchs pour s’engager avec la SIG. Selon Sportando, le natif de Charlotte serait aujourd’hui en négociation pour faire son retour à Monaco à la rentrée.\\n\\nCette saison, Dee Bost conjuguait en moyenne 11,1 points, 3,1 rebonds et 5,8 passes décisives pour une évaluation de 14,6 en Jeep Elite, et 14,1 points, 4,7 rebonds et 6,2 passes décisives pour une évaluation de 16,3 en Champions League.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Donta Smith vers l’Elan Béarnais"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Meilleur joueur de Brindisi cette saison, Dont Smith (2,01m, 34 ans) serait la nouvelle recrue de l’Elan Béarnais.\\n\\nSelon David Pick, le vétéran américain aurait trouvé un accord avec l’EBPLO et signé un contrat de 200 000 dollars pour la saison 2018/19. Professionnel depuis 2004, le natif de Louisville est notamment passé par le Maccabi Haifa et l’Hapoel Jerusalem. Il a également évolué en Bulgari, en Chine, au Venezuela, Porto Rico ou encore au Mexique.\\n\\nCette saison en Serie A, Donta Smith compilait en moyenne 12 points, 5,5 rebonds et 3,7 passes décisives pour une évaluation de 15,7.\\n\\n\\n\\n\\nFrench club Pau Orthez and Donta Smith reached a $200,000 agreement on a deal for the 2018/19 season, according to source.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) July 7, 2018\\n\\nPhoto : Happy Casa Brindisi"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : 7,5 millions de dollars sur trois ans pour Nick Calathes !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est fait, Nick Calathes (1,98m, 29 ans) a pris sa décision et il a décidé de rester au Panathinaïkos.\\n\\nSur son site, le club grec a officialisé la prolongation de son meneur de jeu jusqu’en 2021. Selon David Pick, l’ancien joueur des Memphis Grizzlies a renoncé à des offres venant de franchises NBA pour résigner avec le Panathinaïkos pour 7,5 millions de dollars sur trois ans.\\n\\nCette saison, Nick Calathes compilait en moyenne 10,3 points, 3,8 rebonds et 6,8 passes décisives en championnat, et 14,5 points, 3,8 rebonds et 8 assists pour une évaluation de 18,5 en Euroleague.\\n\\n\\n\\n\\nRumbles in Las Vegas: Nick Calathes, the Euroleague signle-season assists record holder, declined NBA return and signed a moster $7.5M contract with Panathinaikos through 2021. Initial news via @ZakkasGeorge.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) July 7, 2018\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"CSKA Moscou : Leo Westermann sur le départ pour faire venir Daniel Hackett"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mauvaise nouvelle pour Leo Westermann (1,97m, 25 ans) qui devrait quitter le CSKA Moscou après un an pour permettre au club de signer Daniel Hackett (1,99m, 30 ans).\\n\\nGêné par les blessures, l’ancien joueur du CSP Limoges a vécu une saison compliquée et n’a pu disputer que la moitié des matchs du club moscovite. Par conséquent, il a été difficile pour lui de montrer l’étendue de son talent, ce qui va le contraindre de quitter le club, selon David Pick. En moyenne, l’ancien joueur du Partizan Belgrade compilait cette saison 5,2 points, 1,2 rebond et 2,2 passes décisives entre la VTB League et l’Euroleague.\\n\\nNul doute que le meneur français trouvera un nouveau club sans problème. Avant de rejoindre le CSKA Moscou, Leo Westermann sortait d’un exercice 2016/17 de grande qualité sous le maillot du Zalgiris Kaunas.\\n\\nToujours selon le journaliste israélien, le champion d’Euroleague 2016 serait donc sur le point de signer Daniel Hackett. L’ancien joueur de l’Olympiakos devrait s’engager avec la formation russe pour deux ans. Cette saison sous les couleurs de Bamberg, l’international italien tournait en moyenne à 10,1 points, 3,4 rebonds et 3,9 passes décisives entre la Bundesliga et l’Euroleague.\\n\\n\\n\\n\\nCSKA Moscow have signed PG Daniel Hackett on a deal through 2020, and sources tell me, will unload reserve Leo Westermann.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) July 6, 2018\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"27 ans plus tard, Jean-Luc Monschau redevient coach de Mulhouse"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Jean-Luc Monschau, 67 ans, a terminé troisième de la poule D de Nationale 2 avec l’équipe alsacienne de Pfastatt. Le Mulhousien a derrière lui une longue carrière de coach professionnel qui l’a amené dans sept clubs de LNB différents et à cinq finales de playoffs de Pro A avec Nancy dont deux gagnantes.\\n\\nLe club qui a lancé l’aîné des Monschau dans le circuit pro, c’est celui de Mulhouse avec qui il a gagné un tournoi des As au Mans en 1989.\\n\\nAprès la liquidation du FCM Basket en mai dernier, l’ASSM Pfastatt et la mairie de Mulhouse ont travaillé de concert afin de créer le Mulhouse Pfastatt Basket Association (MPBA), une section élite comportant uniquement une équipe engagée en Nationale 2. Sa responsabilité a été confiée à Antoine Linarès et l’entraîneur en sera Jean-Luc Monschau avec Mathieu Gitta comme assistant. Les deux villes sont distantes de moins de cinq kilomètres.\\n\\nLe FCM amateurs, dont l’équipe fanion a été reléguée au niveau départemental, demeure sous la coupe du FCM Omnisports.\\n\\nPhoto: ASSM Pfastatt"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mickaël Gelabale et Florent Piétrus ont fêté leur jubilé en Guadeloupe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Florent Pietrus (230 sélections) et Mickaël Gélabale (156), 5 médailles internationales remportées ensemble en bleu dont le titre de Champion d’Europe en 2013 en Slovénie ont disputé cette nuit leur jubilé au Palais des Sports du Gosier en Guadeloupe, leur île natale, dans une ambiance festive et un public nombreux et conquis.\\n\\nC’est le Team Flo & Mike All Stars qui a gagné le match de gala face au Team France Basket (105-97).\\n\\nTeam France Basket : De Colo (22), Albicy (14), Ouattara (12), Noua (18), Konate (9), Camara (8), Koffi (6), Diaw (6), Boungou Colo (2).\\nTeam Flo & Mike All Stars : Yarou (18), Pietrus (18), Begarin (13), Gomis (14), Gelabale (10), Cayol (10), Florimont (6), Bengaber (4), Ferchaud (4), Judith (4), Vaty (2), Marquis (2), Camara.\\n\\nPhoto: Patrick Cham, Sandrine Gruda, Mickaël Gelabale, Florent Pietrus, Jean-Pierre Siutat/ FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Les matches de l’Open sont connus"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le cadre de leur jubilé organisé en Guadeloupe, Mickaël Gelabale et Florent Pietrus, ex-internationaux tricolores, ont effectué le tirage au sort des rencontres de l’Open LFB 2018.\\n\\nLa 14ème édition de l’événement incontournable de la rentrée basket se tiendra les samedi 13 et dimanche 14 octobre à Paris.\\n\\nMatch des Champions*: Bourges – Charleville-Mézières\\n\\nJournée 1: Saint-Amand Hainaut – Roche Vendée BC, Tarbes GB – Lyon ASVEL, Lattes Montpellier – Nantes Rezé, Basket Landes – Landerneau Bretagne, ESB Villeneuve d’Ascq – USO Mondeville.\\n\\nSuite à une modification réglementaire, l’équipe qui remportera son match de l’Open LFB sera considérée comme évoluant à domicile et se déplacera à l’occasion du match retour (journée 12).\\n\\n*Match des Champions : le Champion de France affronte le vainqueur de la Coupe de France (ou le finaliste). Le résultat ne compte pas pour le classement de la saison 2018-2019.\\n\\nPhoto: Mickaël Gelabale, Florent Pietrus, Jean-Pierre Siutat (président FFBB) et Philippe Legname (président LFB)/FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"En signant à Charlotte, le président de l’ASVEL, Tony Parker, rejoint le directeur des opérations basket, Nicolas Batum"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après 17 saisons, 1 198 matches, quatre bagues de champion et quatre sélections all-NBA, aux San Antonio Spurs, Tony Parker (1,88m, 36 ans) rejoint pour deux ans et dix millions de dollars les Charlotte Hornets et c’est forcément un événement national et international majeur.\\n\\n« Ce n’est pas une décision facile à prendre », commente t-il dans L’Equipe. « Tout le monde connaît mon amour pour les Spurs. J’ai vraiment hésité. C’est pour ça que j’ai pris mon temps. Les Spurs voulaient aussi me garder. »\\n\\nSeulement c’était pour une seule année et comme troisième meneur. D’autres franchises étaient sur les rangs comme les Denver Nuggets et les New Orleans Pelicans.\\n\\nCe qui a fait pencher la balance, ce sont plusieurs éléments dont la présence comme président de Michael Jordan, celle du coach James Borrego, un ancien assistant de Gregg Popovich, et celle de Nicolas Batum.\\n\\nL’originalité du deal est qu’il permet d’avoir désormais dans la même équipe le président et le directeur des opérations basket de l’ASVEL.\\n\\nLa femme de Tony Parker, Axelle, va demeurer à San Antonio où elle va ouvrir un médispal ainsi que ses enfants.\\n\\nPhoto: Tony Parker (Basket USA, Chris Elise)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mondial U17: La France élimine la Turquie et va affronter Porto-Rico en demi-finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alperen Sengün (2,04m, seulement 15 ans) a énormément fait souffrir physiquement l’équipe de France hier en quart de finale du championnat du monde U17. L’ailier-fort de l’équipe turque est ressorti du terrain avec 26 points (10/13 aux shoots), 17 rebonds dont 9 offensifs, et 2 passes pour 28 d’évaluation, et il a permis à son équipe de tenir tête un temps aux Bleuets.\\n\\nCeux-ci ont effectué un bon départ et on fait une différence définitive dans le dernier quart-temps (+7) pour s’imposer 86-70. Comme souvent, c’est la triplette formée de Malcolm Cazalon (30 points, 8 rebonds, 29 d’évaluation), Killian Hayes (23 points, 6 rebonds, 5 passes, 3 interceptions, 27 d’éval) et Théo Maledon (21 points, 5 rebonds, 7 passes, 27 d’éval) qui a assuré l’essentiel du job.\\n\\nLa France va affronter aujourd’hui Poro-Rico en demi-finale. Les Portoricains en sont à 4 victoires et 1 défaite dans le tournoi. Référence intéressante, ils se sont imposés à la Turquie, 76-68.\\n\\nL’autre demi-finale va opposer les Etats-Unis, archifavoris du tournoi, vainqueurs 126 à 52 (!) de la Croatie en quart, au Canada.\\n\\nPhoto: Malcolm Cazalon (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Team France Basket – Episode 3 – Deux matchs pour une qualification"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Web Série de la FFBB nous emmène cette fois-ci en Bosnie et en Russie pour les deux matches de qualification à la Coupe du Monde 2019 remportés par l’équipe de France."
}, 
{"role": "user",     "content":"Mondial U17: France-Turquie à 20h30 et toute la phase finale sur Dailymotion"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FIBA diffuse en clair sur Dailymotion toute la phase finale du championnat du monde U17 qui se déroule actuellement en Argentine à commencer par le quart-de-finale France-Turquie ce soir à 20h30.\\n\\nPhoto: Killian Hayes (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\n1/4 DE FINALE\\n\\n\\n🇦🇺 🆚 🇨🇦 : 18H00\\n🇹🇷 🆚 🇫🇷 : 20H30\\n🇵🇷 🆚 🇲🇪 : 23H00\\n🇺🇸 🆚 🇭🇷 : 01H30\\n\\n\\nLes phases finales @FIBAWC U17 à suivre ce week-end en CLAIR sur @dmsportschannel @SportAvecCanal ➡️ https://t.co/mf2sU7uDwA 🎁\\n\\n\\nN'hésitez pas à RT 🔁pour partager 🤗 pic.twitter.com/fnFexmzl6r\\n\\n\\n— CANAL+ Basket (@CanalplusBasket) July 6, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Monaco : vers une prolongation de Gerald Robinson"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"De retour en France cette saison à Monaco après son passage à Nanterre en 2015/16, Gerald Robinson (1,85m, 27 ans) devrait prolonger avec la Roca Team.\\n\\nSelon David Pick, les dirigeants monégasques seraient tombés d’accord avec leur arrière scoreur pour une saison de plus. Après avoir mené l’ASM en finale de la Champions League et de Jeep Elite, le natif de Nashville disputera l’Eurocup à la rentrée.\\n\\nCette saison, Gerald Robinson compilait en moyenne 15,9 points, 2,3 rebonds et 3,2 passes décisives pour une évaluation de 15,8 en Jeep Elite, et 15,1 points, 3,1 rebonds et 3,2 assists pour une évaluation de 14,7 en Champions League.\\n\\n\\n\\n\\nSource: EuroCup's AS Monaco have re-signed French All-Star guard Gerald Robinson, in addition to D.J. Cooper, securing the backcourt that led them to the FIBA Champions League finals.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) July 6, 2018\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pierre-Etienne Drouault arrive au Portel"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après quatre ans en Pro B, Pierre-Etienne Drouault (1,96m, 27 ans) a fait son retour en Jeep Elite en 2017/18.\\n\\nSur Twitter, l’ESSM Le Portel a annoncé la signature de l’ancien joueur d’Evreux pour une saison.\\n\\nCette saison, Pierre-Etienne Drouault compilait en moyenne 4,1 points et 1,2 rebond pour une évaluation de 3 avec Boulazac."
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Kervel Anderson signe à Gravelines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme nous vous l’annoncions il y a plusieurs jours, Karvel Anderson (1,88m, 27 ans) quitte Boulazac pour le BCM Gravelines-Dunkerque.\\n\\nCette saison en Jeep Elite, Karvel Anderson compilait en moyenne 15,2 points, 2,8 rebonds et 1,9 passe décisive pour une évaluation de 12.\\n\\nPhoto : Boulazac Basket Dordogne"
}, 
{"role": "user",     "content":"Remi Lesca quitte Levallois pour Boulazac"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après deux saisons à Levallois, Remi Lesca (1,81m, 27 ans) quitte les Hauts-de-Seine pour rejoindre Boulazac.\\n\\nSur son site, le BBD annonce l’arrivée du meneur landais. Formé à Pau, le natif de Dax a passé trois saisons à l’Elan Béarnais avant de rejoindre le Châlons-Reims pour trois autres saisons. Il donc ensuite signé à Levallois.\\n\\nCette saison, Remi Lesca compilait en moyenne 4,5 points, 1,2 rebond et 2,9 passes décisives pour une évaluation de 5,3, et 4,3 points, 1 rebond et 2,6 asssits pour une évaluation de 3,9 en Eurocup.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"A suivre en direct sur notre site tous les transferts de Pro B"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BasketEurope vous permet de suivre en direct les transferts de Pro B.\\n\\nNous tenons à jour durant toute l’inter-saison les transferts CERTIFIES en Pro B avec les « arrivées » et les « départs » et comme repère l’effectif de la saison 2017-18.\\n\\nVous retrouvez ces informations sur la page d’accueil de notre site ou sur ce lien.\\n\\nLes transferts de Jeep Elite sont également tenus à jour.\\n\\nPhoto: Aurélien Salmon de Boulazac à Caen (BBD)"
}, 
{"role": "user",     "content":"A suivre en direct sur notre site tous les transferts de Jeep Elite"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BasketEurope vous permet de suivre en direct les transferts de Jeep Elite.\\n\\nNous tenons à jour durant toute l’inter-saison les transferts CERTIFIES en Jeep Elite avec les « arrivées » et les « départs » et comme repère l’effectif de la saison 2017-18.\\n\\nVous retrouvez ces informations sur la page d’accueil de notre site ou sur ce lien.\\n\\nLes transferts de Pro B sont également tenus à jour.\\n\\nPhoto: Jonathan Rousselle, de Cholet à Limoges (FFBB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications coupe du monde: L’Espagne amoureuse de son équipe et du nouveau format"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Au départ, l’Espagne a accueilli, comme la France, le nouveau format de qualification à la coupe du Monde 2019 avec beaucoup de réserves. Les Espagnols n’étaient pas sereins à l’idée de jouer leur qualification sans leurs stars NBA, puis, en raison du refus de l’Euroleague de proposer un calendrier compatible avec les fenêtres internationales, sans les joueurs d’Euroleague. Quelques mois et six victoires en autant de matches plus tard, un étonnant renversement d’opinion s’est opéré.\\n\\nLe bilan pour la fédération espagnole est pour l’instant excellent. Six matches, six victoires, des salles pleines, des joueurs ravis de porter le maillot, des nouveaux joueurs qui émergent, une dynamique nouvelle et un état d’esprit irréprochable. Comme en France.\\n\\n« Grâce aux fenêtres, nous avons désormais une profondeur d’environ 40 joueurs pour la sélection », explique Jorge Garbajosa*, ancien International et président de la fédération espagnole. « Le système a étendu le nombre de joueurs qui mérite l’appel en sélection. L’arrivée de joueurs comme Juancho Hernangomez, Alberto Diaz ou Santi Yusta confirme un renouveau générationnel qui prend d’ordinaire toujours du temps à s’opérer. Un relais, discret pour l’instant, s’opère. Cela nous rend optimiste. Au départ, nous n’avions aucune certitude à propos de ce nouveau format de compétition, vu les circonstances. Encore une ou deux victoires nous mettront dans une situation très confortable. »\\n\\nLe meneur espagnol Quino Colom, un des meilleurs Espagnols au cours des trois premières fenêtres, a ajouté pour sa part:\\n\\n« On a montré que, derrière nos 12 superstars, on a beaucoup de joueurs qui peuvent jouer à haut niveau » « Ces fenêtres nous ont permis de commencer à travailler avec (Sergio) Scariolo, à se faire une place en sélection, connaître le fonctionnement de l’équipe de l’intérieur, de voir comment cela fonctionne et c’est vraiment un gros atout, une aide importante pour nous », complète Sebas Saiz. « Un espace s’est ouvert et cela a permis de montrer la grande profondeur de talent du basket espagnol. » « On a pu conserver un noyau dur tout au long de ces trois fenêtres et j’ai toute confiance dans ce groupe de joueurs qui ont déjà démontré qu’ils étaient à leur place sous le maillot de la Roja », conclue le coach Sergio Scariolo.\\n\\nRetournement de l’opinion\\n\\nPeut être plus intéressant encore est la position des journalistes/éditorialistes espagnols. Au terme de la troisième fenêtre, de l’état d’esprit, de la solidarité et de la qualité du jeu proposé, de nombreuses voies, qui avaient pourtant longuement critiqué le nouveau format depuis le début de la réforme du calendrier semblent au final avoir été conquis par ce qu’a montré la Roja.\\n\\nAinsi, Lucas Saez Bravo, du journal El Mundo disait la chose suivante. « Ce qui était a priori un gros mal de crâne au départ, une situation perdant-perdant, s’est transformé en un phénomène nouveau. Les fenêtres FIBA, l’absence des poids lourds de l’équipe nationale, le danger imminent de ne pas se qualifier pour la Coupe du monde 2019, et donc, pour les JO de Tokyo. Au final, la classe moyenne du basket espagnol à su élever son niveau de jeu de façon très méritoire. Aucun d’eux ne rêvait plus de porter le maillot rouge avec les Gasol et compagnie. Mais ensemble, et grâce au travail consciencieux de Sergio Scariolo, ils ont accompli un petit miracle. Personne n’aurait parié sur un bilan de 6-0. »\\n\\n« Il faut donner tout le crédit aux joueurs de Scariolo pour avoir, dès le premier jour, transformé la peur de ce nouveau format controversé en une opportunité d’étendre la photo du talent du basket espagnol, décidément prolifique », a noté de son côté Faustino Saez pour El Pais. « Avec les contributions notables de vétérans et de rookies, l’équipe a convaincu. Avec un seul joueur NBA pour les deux derniers matches, peu de temps d’entraînement mais une dose énorme d’engagement et d’investissement, ils ont réussi. »\\n\\n« La Roja des fenêtres de qualification est le meilleur exemple de la façon dont une situation au départ compliquée devient une vitrine pour des joueurs espagnols qui n’appartiennent pas à la première classe mais qui ont finalement prouvé qu’ils méritaient leurs sélections », affirme Mariano Ruiz pour La Razon. Six victoires en autant de matches. Les « rouges » ont appliqué une recette qui s’esst avéré gagnante : concentration, intensité, engagement collectif, hiérarchie des rôles claire et la joie de jouer. »\\n\\nPhoto: Quino Colom (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Alexandre Chassang vers la JDA Dijon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après deux ans au HTV, Alexandre Chassang (2,04m, 23 ans) devrait connaître son troisième club de Jeep Elite. Il aurait signé à Dijon.\\n\\nSelon Le Bien Public, l’ancien joueur de l’ASVEL se serait engagé avec la JDA Dijon pour la saison prochaine. Avec cette signature, club dijonnais pourrait mettre un terme à son recrutement pour la saison 2018/19.\\n\\nCette saison en Jeep Elite, Alexandre Chassang compilait en moyenne 6,4 points, 3,8 rebonds et 1,6 passe décisive pour une évaluation de 8,1.\\n\\nPhoto : Guilherme Amorin"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Kevin Dinal nouvel intérieur d’Evreux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après trois ans en Jeep Elite entre Dijon, Orléans et Bourg-en-Bresse, Kevin Dinal (2,02m, 25 ans) redescend en Pro B et signe à Evreux.\\n\\nL’ALM vient d’annoncer l’arrivée du Parisien pour la saison 2018/19. Avant de tenter sa chance dans l’élite avec la JDA, l’ancien pensionnaire du centre de formation du Paris-Levallois avait signé un exercice 2014/15 très convaincant pour sa première expérience en Pro B avec plus de 10 points et 7 rebonds de moyenne à 21 ans.\\n\\nCette saison en Jeep Elite, Kevin Dinal a tourné en moyenne à 2,3 points et 1,6 rebond pour une évaluation de 3,7.\\n\\nDans le même temps, Ruphin Kayembe (2,01m, 25 ans) a prolongé son contrat avec l’ALM.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : Jacques Cormareche"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Amine Noua prolonge avec l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En fin de contrat cet été, Amine Noua était parti aux Etats-Unis une fois la saison terminée pour tenter d’attirer l’oeil des franchises NBA et se faire drafter. Finalement, il a n’a pas été sélectionné et a prolongé avec l’ASVEL.\\n\\nSur son site, le club villeurbannais annonce que le Lyonnais a trouvé un accord avec son club de coeur pour continuer de porter ses couleurs jusqu’en 2021. Lancé dans le grand bain la saison dernière, l’international français a passé un grand cap cette saison en débutant 26 des 32 matchs de championnat. Il a également été sélectionné pour le All Star Game LNB, preuve de son travail et sa progression.\\n\\nPrésident du club, Tony Parker s’est félicité de cette nouvelle.\\n\\n« C’est toujours une fierté de voir un pur produit du club pouvoir briller au plus haut niveau à nos côtés. Amine connaît tout de l’ASVEL Basket, il a gravi tous les échelons et travaille énormément au quotidien pour progresser dans tous les secteurs de jeu. Il formera avec Livio une doublette JFL de très haut niveau sur le poste 4. »\\n\\nCette saison, Amine Noua compilait en moyenne 11 points, 4,7 rebonds et 1 passe décisive pour une évaluation de 12,2 en Jeep Elite, et 7,9 points, 4,1 rebonds et 1,1 passe décisive pour une évaluation de 8,2 en Eurocup.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ADA Blois sera reçue le 12 juillet à la FFBB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion de France de Pro B, l’ADA Blois n’est pourtant pas autorisée à monter en Jeep Elite en raison de l’absence d’un centre de formation agréé.\\n\\nAprès avoir contesté la décision de la LNB qui lui refuse sa promotion dans l’élite, le club blésois a décidé de saisir la chambre d’appel de la FFBB afin de demander « la suspension de la décision de la LNB de non accession en Jeep Elite ». Aujourd’hui, La Nouvelle République indique que l’ADA sait quand elle sera reçue par les instances de la Fédération.\\n\\nLe 12 juillet à 18h45, Paul Seignolle, le président du club, Julien Monclar, manager général, et Thierry Braillard, l’avocat de l’ADA Blois, pourront se défendre au siège de la Fédération.\\n\\nPhoto : Tuan Nguyen"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Justin Robinson est le nouveau meneur de l’Elan Chalon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison en Russie, à Saratov, Justin Robinson (1,73m, 23 ans) est la nouvelle recrue de Jean-Denys Choulet à l’Elan Chalon.\\n\\nLe New-yorkais arrive à Chalon-sur-Saône après un exercice rookie 2017/18 très convaincant en Europe. L’entraîneur chalonnais s’est exprimé sur son nouveau joueur.\\n\\n« Justin est le type de meneur que j’aime, il me rappelle Terell McIntyre. Je suis content de retrouver mes racines dans ce recrutement. C’est un joueur de petite taille mais qui est très rapide et je pense qu’il peut enflammer le Colisée. »\\n\\nCette saison, Justin Robinson compilait en moyenne 10,2 points, 2,4 rebonds, 6,1 passes décisives et 1,5 interception.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en JeepElite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements de l’intersaison.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Quentin Serron passe de Gravelines à Strasbourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après deux ans passés au BCM Gravelines-Dunkerque, Quentin Serron (1,90m, 28 ans) s’est engagé avec la SIG, annonce le club.\\n\\nQuintuple champion de Belgique et quintuple vainqueur de la coupe de Belgique entre 2011 et 2015, le meneur a d’abord passé huit saisons sous les couleurs d’Ostende avant de traverser la frontière et s’engager avec le BCM. A Strasbourg, l’ancien gravelinois a paraphé un contrat de deux ans.\\n\\nCette saison, Quentin Serron tournait en moyenne à 8,6 points, 3,5 rebonds et 3,6 passes décisives pour une évaluation de 12.\\n\\nVincent Collet s’est exprimé sur sa nouvelle recrue.\\n\\n« Quentin est un joueur européen encore jeune, mais déjà expérimenté grâce à sa double expérience en club et en équipe nationale, dont il est l’un des leaders. Il sort de deux bonnes saisons avec Gravelines, avec notamment 12 d’évaluation l’année dernière, et souhaite continuer à progresser avec nous. Sa polyvalence sur les postes 1 et 2, son adresse et sa combativité vont renforcer notre ligne arrière. Je lui souhaite la bienvenue et de poursuivre son ascension parmi les bons joueurs de la Jeep® ÉLITE. »\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat ici.\\n\\nPhoto : Julie Dumélié/BCM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Livio Jean-Charles revient à l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ASVEL Basket a conclu un accord avec Livio Jean-Charles (2,04m, 24 ans) pour les trois prochaines saisons.\\n\\nC’est un retour dans la maison verte puisque l’intérieur formé à l’INSEP a déjà joué 185 matchs sous le maillot villeurbannais de 2011 à 2016 et était revenu en 2017 pour disputer la fin de la saison régulière et les playoffs (10,3 points et 4,9 rebonds en 8 matchs).\\n\\nMeilleur jeune du championnat de Pro A en 2013, Livio avait été élu MVP du Nike Hoop Summit puis drafté en 28ème position par les San Antonio Spurs. Resté à l’ASVEL, il a remporté le titre de champion de France en 2016 avant porter le maillot en G-League des Austin Spurs.\\n\\nEn 2017-2018, le Guyanais a joué de nouveau avec les Austin Spurs en G-League avant de rejoindre Malaga au mois d’avril (8 matches, 4,6 points et 2,3 rebonds).\\n\\n« Je suis très content que Livio revienne « à la maison » ! C’est une grande joie de pouvoir compter sur un joueur d’un tel niveau au sein de notre effectif au cours des trois prochaines saisons. J’espère que cela incitera d’autres joueurs français de référence à nous rejoindre lorsque nous évoluerons en Euroleague... « , a commenté le président Tony Parker sur le site du club.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici.\\n\\nPhoto: ASVEL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep® ÉLITE : DJ Stephens rempile au Mans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fraichement sacré champion de France avec Le Mans, DJ Stephens (1,95m, 27 ans) a décidé de rester au MSB.\\n\\nDès son arrivée en France, l’ancien joueur du Budivelnyk Kiev a tout de suite impressionné le basket français par sa détente époustouflante. Sur Twitter, le MSB a annoncé que le vainqueur du concours de dunk du All Star Game a resigné pour un an et qu’il sera donc toujours Manceau à la rentrée. Actuellement à Las Vegas pour disputer la Summer League NBA avec les Memphis Grizzlies, l’ancien joueur des Milwaukee Bucks va découvrir la Champions League avec Le Mans la saison prochaine.\\n\\nCette saison, DJ Stephens tournait en moyenne à 9,5 points et 3,1 rebonds pour une évaluation de 9,3. Il a également été élu meilleur sixième homme du championnat.\\n\\nVous pouvez lire ou relire notre portrait du marsupilami de Jeep Elite ici. Nous avions rencontré l’ancien joueur de l’Anadolu Efes dans sa ville d’adoption, Le Mans.\\n\\nVoici la déclaration du joueur suite à sa prolongation.\\n\\n« Cette saison, je me suis vraiment senti à l’aise au MSB. Les supporteurs, le staff technique, la direction, tout le monde souhaitait mon retour et quoi de plus agréable et valorisant que de se savoir apprécié et désiré ? J’aimerais vraiment être plus constant et devenir un danger plus important en attaque pour servir l’équipe la saison prochaine. Il faut que je montre une meilleure adresse dans mes tirs également car j’ai trouvé que je passais parfois au travers. Pour résumer, impacter davantage des deux côtés du terrain pour essayer de remporter un nouveau titre de champion ! »\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici.\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eurocup : les adversaires de Limoges, Monaco et l’ASVEL sont connus"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce jeudi s’est tenu, à Barcelone, le tirage au sort sous les yeux du CEO de l’Euroleague, Jordi Bertomeu. Les trois représentants français que sont Limoges, Monaco et l’ASVEL ont pu connaître les noms de leurs futurs adversaires.\\n\\nSi le finaliste de la dernière édition, Kuban, et les trois relégués d’Euroleague, l’Etoile Rouge, Valence et Malaga, étaient logiquement dans le premier chapeau, le manque de considération des clubs français est assez criant. Première équipe de Jeep Elite sélectionnée, le Limoges CSP figurait dans le quatrième chapeau tandis que ses deux compères français faisaient partie du cinquième et dernier chapeau alors que Monaco est finaliste de Champions League et de Jeep Elite.\\n\\nVoici donc les quatre groupes qui disputeront la saison régulière de l’édition 2018/19 de l’Eurocup. Les quatre meilleures équipes de ces quatre groupes se qualifieront ensuite pour le Top 16. Les deux meilleurs des quatre groupes du Top 16 iront ensuite en quarts de finale qui se joueront au meilleur des trois matchs, comme les demis et la grande finale.\\n\\nLa Roca Team de Sasa Filipovski défiera l’Etoile Rouge de Belgrade (finaliste de Ligue Adriatique et quatorzième d’Euroleague), Galatasaray (neuvième de première division turque et qualifié pour le Top 16 d’Eurocup), Brescia (demi-finaliste des playoffs de Serie A), Ulm (dixième de Bundesliga), Andorre (quart de finaliste d’ACB).\\n\\nLimoges affrontera le Lokomotiv Kuban (finaliste d’Eurocup et quart de finaliste de VTB League), le Cedevita Zagreb (demi-finaliste d’ABA League et qualifié pour le Top 16 d’Eurocup), ALBA Berlin (finaliste de Bundesliga et qualifié pour le Top 16 d’Eurocup), Tofas Bursa (finaliste de Turquie) et Gdynia (dixième du championnat de Plogne).\\n\\nL’ASVEL sera opposée à Valence (onzième d’Euroleague et quart de finaliste d’ACB), Saint Petersbourg (quart de finaliste d’Eurocup et demi-finaliste de VTB League), Trento (finaliste de Serie A et qualifié pour le Top 16 d’Eurocup), Ankara (champion de deuxième division turque) et le Partizan Belgrade (cinquième de Ligue Adriatique).\\n\\nPhoto : Sebastien Grasset"
}, 
{"role": "user",     "content":"Comprendre le processus de l’EuroCup féminine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les clubs d’EuroCup ont eu connaissance de leurs adversaires pour la saison 2018-2019 lors du tirage au sort qui a eu lieu aujourd’hui à Munich.\\n\\nLes équipes de la saison régulière ont été divisées en deux conférences, soit en cinq groupes de quatre équipes chacun.\\n\\nQuatre équipes se qualifieront pour la saison régulière via les éliminatoires. Nantes-Rezé est concerné par ce processus.\\n\\nQuatre équipes supplémentaires proviendront des éliminatoires de l’EuroLeague.\\n\\nQualificatif 1: Panier Gdynia (POL) contre Orman Genclik (TUR)\\n\\nQualificatif 2: Spartak MO Noginsk (RUS) contre Niki Lefkada (GRE)\\n\\nQualificatif 3: Nantes-Reze (FRA) contre Liège Panthers (BEL)\\n\\nQualificatif 4: Namur Capitale (BEL) contre Lointek Gernika (ESP)\\n\\nLes groupes de la saison régulière ont été constitués ainsi:\\n\\nLes éliminatoires seront disputés dans le cadre de match aller et retour. Les matches aller auront lieu le 9 octobre et les matchs retour le 12 octobre. Le démarrage de la saison régulière est prévu pour le 25 octobre."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague féminine: Le tirage au sort a été effectué à Munich"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les matchs de qualification et les groupes de la saison régulière pour la saison de l’EuroLeague féminine 2018-19 ont été confirmés jeudi lors du tirage officiel à Munich.\\n\\nHuit équipes s’affronteront dans les éliminatoires aller-retour qui auront lieu les 9 et 12 octobre. Villeneuve d’Ascq est tombé sur le club hongrois de Szekszard.\\n\\nLes quatre vainqueurs se qualifieront pour la saison régulière féminine EuroLeague et les équipes perdantes rejoidrontt la saison régulière de l’EuroCup.\\n\\nLa saison régulière sera disputée en deux groupes de huit équipes chacun.\\n\\nLes groupes sont composés comme suit:"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce : Kostas Papanikolaou prolonge avec l’Olympiakos"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En fin de contrat cet été, Kostas Papanikolaou (2,06m, 27 ans) portera toujours le maillot de l’Olympiakos à la rentrée.\\n\\nAu club entre 2009 et 2013, le natif de Trikala a fait son retour en Grèce après une saison à Barcelone, une à Houston et une à Denver. Dans le viseur de plusieurs franchises NBA, l’international grec a finalement trouvé un accord pour signer un nouveau contrat de trois ans avec l’Oly. Sur Twitter, la formation du Pirée a annoncé que l’ancien barcelonais reste donc au club jusqu’en 2021.\\n\\nCette saison, Kostas Papanikolaou compilait en moyenne 8,3 points, 4,9 rebonds et 2 passes décisives en championnat, et 8,3 points, 4,3 rebonds et 2,1 assists pour une évaluation de 11,3 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"La FFBB donne son feu vert au rachat des droits sportifs de Hyères-Toulon par le Paris Basket Avenir"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un communiqué, la FFBB confirme avoir donné son aval au Paris Basket Avenir pour qu’il reprenne les droits sportifs du Hyères Toulon Basket et qu’il puisse ainsi participer au championnat de Pro B.\\n\\nLe projet du PBA est celui mené par l’Américain David Kahn, un ancien journaliste, avocat et président des opérations basket des Minnesota Timberwolves.\\n\\nDans le communiqué, la fédération précise que Philippe Legname, ancien Directeur Général de Hyères-Toulon, va conserver un poste au sein de la structure du PBA mais abandonner sa fonction de vice-président de la FFBB.\\n\\n« Le Bureau Fédéral, réuni mercredi 4 juillet au siège de la Fédération Française de Basket-Ball, a étudié la demande conjointe du 28 juin 2018 concernant la cession de droits sportifs formulée par l’association Hyères-Toulon Var Basket (Cédant) et l’Association pour la Promotion du Basketball à Paris (APB PARIS) (Acquérant).\\n\\nLa Ligue Nationale de Basket, immédiatement interrogée, est favorable à cette cession et, en conséquence, à l’engagement de l’APB PARIS et de la société Paris Basket en Championnat de France PRO B lors de la saison 2018/2019 ; elle confirme que le Conseil Supérieur de Gestion a prononcé un avis favorable à l’engagement de la société en PRO B sous réserve notamment que le Bureau Fédéral entérine la cession.\\n\\nDans le cadre de l’intérêt général de son sport, la Fédération a toujours affirmé son souhait de voir se développer, en partenariat avec la Ville de Paris, un nouveau club professionnel de haut niveau dans la perspective des Jeux 2024 à Paris et la construction d’une nouvelle Aréna prévue Porte de la Chapelle. La Fédération rappelle qu’elle avait accordé, en 2008, une cession similaire en basket féminin entre Le Temple sur Lot (47) et Toulouse (31) afin de permettre à la métropole occitane d’accueillir une équipe en deuxième division nationale (future LF2).\\n\\nLa Fédération est convaincue qu’elle traitera, à l’avenir, d’autres requêtes similaires afin de permettre au basket professionnel français de s’adapter aux contraintes du haut niveau. En conséquence, le Bureau Fédéral, sur la base d’un dossier particulièrement complet, a validé cette cession en ayant au préalable vérifié plusieurs points :\\n\\n\uf0a7 La poursuite d’une activité basket au sein de l’association Hyères-Toulon Var Basket, autour de ses 400 licencié(e)s et son équipe senior engagée en Nationale 3 Masculine,\\n\\n\uf0a7 La capacité de l’APB PARIS et de la société Paris Basket, autour de ses dirigeants, investisseurs et Ville de Paris, de mener à bien le développement de ce nouveau projet sportif,\\n\\n\uf0a7 La clarification de la situation de Philippe Legname, Vice-Président fédéral et actuel dirigeant salarié du HTV, le maintien d’un emploi au sein du nouveau club entraînant automatiquement l’abandon de ses fonctions de Vice-Président de la FFBB. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Après quatre essais, Emmanuel Macron marque un lancer-franc"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En voyage au Nigéria, Emmanuel Macron était présent à Lagos lors de la signature d’un partenariat entre Paris et la NBA.\\n\\nA cette occasion, le Président de la République française a tenté de shooter quelques balles. Après quatre essais, l’ancien Ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique a marqué son lancer-franc sous les yeux de Dikembe Mutombo.\\n\\n\\n\\n\\nAprès 4 essais, Emmanuel Macron réussit son lancer-franc! #Lagos #Nigeria pic.twitter.com/ogDSiG7kFh\\n\\n\\n— Maxence Lambrecq (@MaxenceLambrecq) July 4, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans: Youssoupha Fall et Petr Cornelie font jouer leur clause de sortie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Youssoupha Fall (2,21m, 23 ans) et Petr Cornélie (2,11m, 23 ans), qui la saison dernière a été prêté à Levallois, ont fait joueur leur clause de sortie comme leur permettait leur contrat indique le club champion de France .\\n\\nCette décision ne veut pas dire que les deux joueurs vont forcément quitter le MSB où ils ont été formés mais ils en ont donc désormais la possibilité. Après une saison remarquable même s’il n’a pas été régulier notamment en playoffs, le géant franco-sénégalais Yous Fall peut se voir proposer des contrats plus juteux à l’étranger. Drafté en 53e position par les Denver Nuggets il y a deux ans, Petr Cornelie va de nouveau faire la Summer League NBA avec la franchise du Colorado.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici.\\n\\nPhoto: Youssoupha Fall (LNB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ancien international Crawford Palmer est le nouveau directeur sportif de l’Elan Chalon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le vice-champion olympique de Sydney, Crawford Palmer, 48 ans, est le nouveau directeur sportif de l’Elan Chalon, ce qui permettra au coach Jean-Denys Choulet d’avoir un soutien notamment en ce qui concerne le recrutement.\\n\\n« Depuis de nombreuses saisons, soucieux de renforcer le Pôle Sportif, le club souhaitait se doter les services d’un Directeur Sportif. Le choix s’est porté sur Crawford Palmer, ancien international français à la double culture, française et américaine. Il sera notamment en charge de gérer le pôle sportif du club, la relation avec les agents ou d’assurer le lien entre le secteur professionnel et le centre de formation. Cette arrivée permettra à Jean-Denys Choulet de pouvoir se concentrer sur le terrain et d’améliorer la coordination entre le staff sportif avec le staff médical et le staff administratif, » indique le club sur son site.\\n\\nFormé dans les universités de Duke et Dartmouth, le Franco-Américain est arrivé en France au club de Fos-sur-mer qui était alors en Nationale 2. Il a porté les maillots de Bourg, ASVEL, Badalone, Caceres et Strasbourg. Il était réputé pour son jeu physique et fut affublé du surnom « Le Boulanger » car il distribuait les pains à tour de bras.\\n\\nIl obtenu en parallèle un diplôme de Commerce à l’ESSEC puis un diplôme de Manager Général au CDES de Limoges. Il a été un temps directeur sportif de l’équipe de France en charge des relations avec les joueurs NBA et les franchises de la ligue.\\n\\nCrawford Palmer est marié avec l’ancienne internationale Sandrine Chiotti et leur fille Manon a révélé ses talents de chanteuse dans l’émission The Voice.\\n\\n« Le challenge est clair déjà ne pas refaire une année comme celle qui vient de se terminer mais on a vu qu’avec Jean Denys-Choulet et des joueurs qui restent il y a une bonne base de travail. Je vais faire tout mon possible pour accompagner le club, le coach et travailler aussi avec des jeunes pour que l’Elan Chalon revienne au standing qu’il a depuis des années ! » a assuré Crawford Plamer sur le site de l’Elan.\\n\\nPhoto: Elan Chalon"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jo Passave-Ducteil passe de Nanterre à Châlons-Reims"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Heiko Schaffartzik, Nanterre 92 perd une autre de ses figures emblématiques. Fort de six saisons dans le club des Hauts-de-Seine, en deux périodes, Johan Passave-Ducteil (2,01m, 120 kg, 32 ans) rejoint Châlons-Reims.\\n\\nJo Passave a longtemps joué en Pro B avant de se révéler sous les couleurs nantériennes en faisant partie de l’épopée qui a amené les hommes de Pascal Donnadieu à gagner le titre de champion de France de Pro A en 2013, la Coupe de France en 2014 et l’EuroChallenge en 2015. Il fut alors victime d’une rupture des ligaments des croisés du genou au moment où il était au zénith de sa carrière. Il rebondit à Bourg et à Dijon avant de revenir à Nanterre où il a été l’auteur la saison dernière de 6,0 points, 3,9 rebonds pour 7,4 d’évaluation en 16 minutes.\\n\\nLe natif de Noisy-le-Grand a été pendant quatre ans (2014 à 2018) le président du syndicat des joueurs (SNB).\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Championnat du Monde U17: Vainqueur de la Nouvelle-Zélande, 88-48, la France s’attaque à la Turquie en quart"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme programmé, les Bleuets n’ont fait une bouchée de la Nouvelle-Zélande au championnat du monde U17 qui se tient actuellement en Argentine: 88-48.\\n\\nLes Français ont poussé leurs adversaires à commettre 27 balles perdues et à se contenter d’une adresse à 30,8%.\\n\\nQuatre joueurs ont franchi le cap des dix points: Killian Hayes 17, Timothé Crusol 15, Matthieu Guzin 14 et Essome Miyem 12. S’il en a marqué seulement 5, Théo Maledon a complété avec 8 rebonds, 6 passes, 2 interceptions et 1 contre.\\n\\nL’équipe de France jouera la Turquie en quart-de-finale. Celle-ci a largement dominé la Serbie en huitièmes (87-68), ce qui est toujours une référence et compte jusqu’ici 3 victoires (Serbie, Australie et République Dominicaine) contre une défaite (Porto Rico).\\n\\nA surveiller tout spécialement l’ailier de 2,04m Alperen Sengün, 15 ans, qui tourne en double double (13,0 points et 11,5 rebonds).\\n\\nPhoto: Lorenzo Thirouard-Samson."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Tim Blue prolonge jusqu’en 2020"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Une fois sa carrière terminée, Tim Blue (2,05m, 34 ans) pourra très certainement se vanter d’avoir été le joueur américain le plus fidèle du championnat de France.\\n\\nSur leur site, les Sharks d’Antibes annoncent le retour de l’intérieur américain. Au club depuis 2012, alors en Pro B, le Floridien a trouvé un nouvel accord avec le club azuréen et vient d’être prolongé jusqu’en 2020. L’ancien joueur de Weissenfels a vécu un exercice 2017/18 compliqué en raison de problème de santé et n’a seulement disputé que douze rencontres de Jeep Elite. Les Sharks indiquent que leur champion de France de Pro B 2013 est de retour à 100% de ses capacités.\\n\\nCette saison, Tim Blue compilait en moyenne 15,8 points, 5,3 rebonds et 2,8 passes décisives pour une évaluation de 16,7.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici.\\n\\nPhoto : Antibes Sharks"
}, 
{"role": "user",     "content":"Blois demande la suspension de la décision de la LNB de non accession en Jeep Elite"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le bras de fer entre la LNB et l’ADA Blois continue. Après avoir saisi la chambre d’appel de la Fédération, le club blésois demande la suspension de la décision de la LNB de non accession en Jeep Elite.\\n\\nVoici le communiqué du club :\\n\\n« Le 30 juin dernier, la Ligue Nationale de Basket a notifié à l’ADA BLOIS BASKET 41 sa décision par laquelle elle refuse l’engagement du Club en Championnat de France Jeep Elite / Pro A pour la saison 2018/2019. Il s’agit d’une décision injuste que l’ADA BLOIS BASKET 41 a décidé de contester en usant de toutes les voies de droit.\\n\\nDans un premier temps, l’ADA BLOIS BASKET 41 a saisi la Chambre d’Appel de la Fédération Française de Basket-Ball, instance compétente, en demandant au Président de ladite Chambre de suspendre, de façon immédiate comme il a le pouvoir de le faire, la décision de la LNB et de faire droit à l’accession en JEEP ELITE pour l’ADA BLOIS BASKET 41.\\n\\nL’ADA BLOIS BASKET 41 remplit aujourd’hui à toutes les prescriptions réglementaires imposées par la LNB pour participer au Championnat de JEEP ELITE.\\n\\nD’ailleurs, L’ADA BLOIS BASKET 41 inaugurera son Centre de Formation (en attente d’agrément du Ministère des Sports) le 30 août 2018.\\n\\nL’ADA BLOIS BASKET 41 a fait de la Formation des jeunes sa priorité.\\n\\nAlors que certains clubs de LNB profitent de la réglementation pour avoir des cinq majeurs sans le moindre joueur français, l’ADA BLOIS BASKET 41 a, de son coté, un bilan objectif qui répond à l’intérêt supérieur du basket français avec notamment un tiers du temps de jeu de l’ensemble de l’équipe consacré à des joueurs français de moins de 23 ans sur la saison 2017-2018.\\n\\nA ce titre le club répond parfaitement aux orientations dictées par le président de la FFBB dans le cadre du projet « Paris 2024 ».\\n\\nCes éléments factuels donnent un éclairage supplémentaire sur l’incohérence de la sanction infligée à l’ADA BLOIS BASKET 41. »\\n\\nPhoto : Tuan Nguyen"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jean-Frédéric Morency passe de Limoges à Boulazac"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison à Limoges, Jean-Frederic Morency (2m, 29 ans) quitte le CSP et s’engage avec le Boulazac Basket Dordogne.\\n\\nSur son site, le BBD annonce la signature de l’ancien joueur de l’Elan Béarnais. Passé par l’EBPLO pendant cinq ans, le Parisien de naissance a ensuite évolué deux saisons à Gravelines avant de passer un an à Nanterre et d’atterrir à Limoges.\\n\\nCette saison, Jean-Frederic Morency conjuguait en moyenne 5,1 points, 2,8 rebonds et 1 passe décisive pour une évaluation de 6 en Jeep Elite, et 3,4 points et 2,9 rebonds pour une évaluation de 3,8 en Eurocup.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Monaco : vers une prolongation de contrat pour DJ Cooper"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En début de saison avec le BCM Gravelines-Dunkerque, DJ Cooper (1,83m, 27 ans) avait fait son retour à Monaco après quatre matchs de championnat. Il serait aujourd’hui sur le point de prolonger avec le club monégasque.\\n\\nSelon Sportando, le MVP 2016/17 de Pro A aurait trouvé un accord de principe avec la Roca Team pour rester sur Le Rocher la saison prochaine. D’un autre côté, l’ancien joueur du PAOK Salonique serait la cible numéro 1 de Cantu.\\n\\nCette saison, DJ Cooper compilait en moyenne 6,7 points, 2,3 rebonds et 7,2 passes décisives pour une évaluation de 11,8 en Jeep Elite, et 6,3 points, 2,6 rebonds et 6,8 passes décisives pour une évaluation de 11,9 en Champions League.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Amara Sy deux ans de plus à Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Professionnel depuis 1999, l’inusable Amara Sy (2,02m, 36 ans) vient de prolonger deux saisons avec l’AS Monaco, annonce le club.\\n\\nArrivé en 2015, le double champion de France avec l’ASVEL (2002 et 2009) a remporté trois Leaders Cups mais n’est jamais arrivé au sacre national sur Le Rocher. L’ancien joueur du MSB a également vécu deux Final Four de Champions League de suite qui se sont soldés par une défaite en demi-finale puis une défaite en finale.\\n\\nCette saison, Amara Sy compilait en moyenne 10,9 points, 3,2 rebonds et 1,3 passe décisive pour une évaluation de 12 en Jeep Elite, et 11,6 points, 4 rebonds et 1,4 passe décisive pour une évaluation de 13,4 en Champions League.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : l’Anadolu Efes pas prêt a payer 1 million de dollars pour Scottie Wilbekin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si un accord a été trouvé entre l’Anadolu Efes et Scottie Wilbekin (1,88m, 25 ans), le Floridien est toujours un joueur du Darussafaka.\\n\\nSelon Eurohoops, les dirigeants des deux clubs se seraient rencontrés ce lundi pour discuter de la situation de l’ancien joueur de l’AEK Athènes. Darussafaka aurait demandé un buy-out d’un million de dollars à son voisin stambouliote. Une somme que l’Efes n’est pas prêt à payer.\\n\\nD’un autre côté, le Maccabi Tel Aviv, qui est aussi très intéressé par l’international turc, attendrait que les discussions entre les deux clubs soient terminées pour mettre son grain de sel et tenter de récupérer le MVP d’Eurocup. Le club israélien serait, lui, en mesure d’apporter le million de dollars requis par Darussafaka.\\n\\nCette saison, Scottie Wilbekin qui compilait en moyenne 17,8 points, 2,4 rebonds, 5 passes décisives et 1,2 interception par match entre le championnat et l’Eurocup.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du Monde Féminine: Succès populaire à Ténérife"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Coupe du Monde féminine qui va se tenir à Ténérife (Espagne) du 22 au 30 septembre est déjà certaine de connaître un gros succès populaire.\\n\\nEn ce qui concerne les phases de groupe, 71% des billets ont déjà été vendus pour les matches au Pabellon Insular Santiago-Martin (5 100 places) -le club résident est Iberostar Tenerife et il y fut organisé le Final Four de la Champions League en 2017-et 69% à celui du Pabellon Municipal de Deportes de Quico Cabrera (4 500 places). Et pour la phase finale à Santiago Martin, le taux de remplissage est de 91%.\\n\\nLes organisateurs viennent de passer à la troisième phase de la vente de billets avec la possibilité donnée d’acquérir des places à la journée.\\n\\n\\n\\n\\nGroupe A\\nGroupe B\\nGroupe C\\nGroupe D\\n\\n\\nCorée du Sud\\nAustralie\\nJapon\\nLettonie\\n\\n\\nGrèce\\nTurquie\\nPorto Rico\\nEtats-Unis\\n\\n\\nCanada\\nArgentine\\nBelgique\\nSénégal\\n\\n\\nFrance\\nNigéria\\nEspagne\\nChine\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Des discussions mais pas d’accord entre Mathias Lessort et l’Olympiakos"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Très intéressé par Mathias Lessort (2m, 22 ans), l’Olympiakos est bien entré en contact avec l’international français.\\n\\nSelon Eurohoops, l’Etoile Rouge de Belgrade et l’Olympiakos n’en serait encore qu’aux discussions et aucun accord n’aurait été trouvé. Alors que pour s’attacher les services de l’ancien joueur de Nanterre la formation grecque devra payer un buy-out d’environ 250 000€ au club serbe, le clan du joueur n’est pas satisfait par le contrat de deux ans proposé. Le vainqueur de la FIBA Europe Cup 2017 pourrait donc envisager d’autres options pour la rentrée.\\n\\nCette saison, Mathias Lessort compilait en moyenne 8,8 points et 4,4 rebonds pour une évaluation de 11,8 en Ligue Adriatique, et 8,5 points et 5,7 rebonds pour une évaluation de 10,7 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie : Darussafaka tente de signer Ray McCallum"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé à Malaga l’été dernier, Ray McCallum (1,91m, 27 ans) ferait partie des cibles du Darussafaka Dogus Istanbul pour la rentrée.\\n\\nSelon Sportando, le club stambouliote se renseignerait et aurait l’intention de faire signer le meneur américain pour la saison prochaine et anticiperait donc ainsi le départ de Scottie Wilbekin, même si ce dernier est un niveau au-dessus.\\n\\nCette saison, Ray McCallum compilait en moyenne 7,4 points, 2 rebonds et 2,7 passes décisives pour une évaluation de 7,4 en ACB, et 9,2 points, 2,3 rebonds et 2,7 assists pour une évaluation de 8,1 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde – Luis Scola (Argentine): «J’adore ces fenêtres»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A 38 ans, l’intérieur de l’Argentine, Luis Scola, semble éternel. Alors qu’il joue désormais en Chine, son attachement au maillot albiceleste est comparable à celui de Boris Diaw pour le maillot Bleu. Il a encore été déterminant pour sa sélection et le nouveau format de qualifications lui plait beaucoup.\\n\\nL’Argentine n’a fait qu’une bouchée de l’Uruguay (102-58) et pointe désormais à 5v-1d sur les trois premières fenêtres. Luis Scola est toujours aussi fort (29 pts à 12/17, 11 rbds et 4 pds). Au terme du match, il a lancé un hommage vibrant au nouveau format de qualification dont l’installation a généré bien des frustrations, notamment en France en raison d’une situation bien spécifique, mais qui convainc beaucoup d’acteurs du basket un peu partout sur la planète.\\n\\n« J’adore les fenêtres. J’aime le fait de jouer à la maison et à l’extérieur, c’est bien. J’aime aussi le fait qu’il y ait des matches de la sélection toute l’année. Tout ce que ces matches génèrent est bon pour le basket. En fait, le seul problème avec ces fenêtres, ce sont les joueurs d’Euroleague. Je pense qu’il est tout à fait possible de coexister pendant les fenêtres sans les joueurs NBA, même si ce n’est pas l’idéal, tout le monde est d’accord. Mais de toutes façons, il était devenu très difficile pour les joueurs NBA de venir pour les tournois régionaux en étant mobilisés six ou sept semaines de suite tous les ans. Avec ce format, on élimine un long tournoi, une longue campagne en équipe nationale et on augmente ainsi les chances de voir les joueurs rejoindre leur sélection. L’autre problème, c’est pour les joueurs d’Euroleague. Et c’est vraiment dommage parce que l’Euroleague, en agissant ainsi, détraque et gâche tout ce qui se trouve en dessous d’elle. Mais une fois que le problème sera réglé, cette nouvelle formule sera vraiment super. J’adore. Je préfère en fait, si les joueurs sont libérés pour jouer. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nayo Raincock-Ekunwe, la MVP de la Ligue Féminine que les Bleues vont retrouver avec le Canada"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Son nom est difficile à mémoriser mais elle n’est pas pour autant passée inaperçue dans le championnat de France puisque Nayo Raincock-Ekunwe a été élue MVP de la Ligue Féminine après une saison somptueuse avec les Déferlantes de Nantes-Rezé en en étant sa meilleure marqueuse (16,0 points) et deuxième rebondeuse (10,5). Bourges l’a ciblée et elle sera tango à la rentrée. Seulement, en attendant, Nayo va se retrouver probablement sur la route des Bleues puisqu’elle est internationale canadienne et que les deux pays sont une fois de plus amenés à se confronter à la Coupe du Monde en Espagne, en septembre. Elle va y retrouver Katherine Plouffe (Bourges), sa jumelle Michelle (qui passe de Tarbes à Lyon) et Miranda Ayim (Basket Landes).\\n\\nNayo Raincock-Ekunwe (1,88m, 27 ans en août) est le symbole de la persévérance puisqu’elle n’a pas bénéficié d’un « grand programme » en NCAA et qu’elle a commencé son aventure européenne dans de petites ligues.\\n\\n« Cela a été un moyen non conventionnel d’arriver en équipe nationale. Je suis la seule à avoir joué en division II de la NCAA (Simon Fraser). J’ai commencé ma carrière professionnelle dans l’une des ligues professionnelles les plus faibles d’Europe. J’ai joué en Suisse, mais c’était un moyen pour moi de mettre le pied dans la porte « , a-t-elle déclaré au Edmonton Sun. « Depuis lors, chaque année, j’ai gravi les échelons en allant d’Allemagne en Australie, en France puis en WNBA et jouer pour le New York Liberty (NDLR: 32 matches pour 9′ en moyenne l’été dernier. «\\n\\nAthlétique et humble\\n\\nNayo attribue à son père Charles le mérite de lui avoir inculqué l’amour du basket-ball en l’emmenant aux matches des Toronto Raptors et à sa mère Denise de l’avoir poussé durant les premières années lorsqu’elle avait eu du mal à trouver sa place dans les meilleures équipes.\\n\\n« Quand j’étais plus jeune, j’avais peur de me faire couper. Je détestais ne pas faire l’équipe, et elle me poussait toujours à essayer et à faire de mon mieux que j’y arrive ou non. »\\n\\nSouvent occultée et parfois négligée durant sa carrière, Nayo Raincock-Ekunwe est devenue depuis une pièce intégrale de l’équipe nationale avec un avenir qui s’annonce prometteur. Elle n’est pas un leader vocal, mais quand elle intervient sur le terrain, c’est toujours avec efficacité.\\n\\n« C’est une athlète incroyable. C’est amusant de la revoir dans le groupe, surtout avec une saison d’expérience WNBA à son actif. Il est plus difficile pour elle de voler sous le radar maintenant », a déclaré l’entraîneur-chef de l’équipe du Canada, Lisa Thomaidis faisant référence au fait que la joueuse ne peut plus passer inaperçue. « Vous n’allez pas trouver un athlète professionnel plus humble. Elle baisse la tête et fait le travail. Sa volonté de gagner et son feu compétitif prennent le dessus. Ça a été génial de la voir progresser. Ce fut vraiment excitant et inspirant pour les gens de regarder tout ce qu’elle a accompli durant ce laps de temps. »\\n\\nDe son côté, Nayo Raincock-Ekunwe veut servir d’exemple :\\n\\n« J’espère que d’autres jeunes femmes pourront voir que même si mon itinéraire n’était pas conventionnel, j’ai trouvé un moyen de le faire. S’ils vont dans une petite école, ils peuvent toujours parvenir où je suis. Ils peuvent encore jouer dans les meilleures ligues en Europe, il suffit de mettre la dose de travail. Votre nom n’a pas d’importance, ce qui compte c’est votre jeu. «"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jean-Baptiste Maille quitte Limoges et signe à Rouen en Pro B"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Absent pratiquement toute la saison suite à une rupture des ligaments croisés du genou survenue lors de la présaison, Jean-Baptiste Maille (1,90m, 24 ans) quitte Limoges pour Rouen, en Pro B.\\n\\nAlors qu’il n’a disputé que trois matchs sous le maillot de du CSP, le natif du Mans a décidé de retourner en Pro B pour retrouver des sensations suite à sa grave blessure. Le Rouen Métropole Basket annonce avoir obtenu la signature de l’ancien joueur du MSB pour une durée de deux saisons.\\n\\nAlexandre Mennard, l’entraîneur du RMB s’est félicité d’avoir pu mettre la main sur un joueur qu’il a connu au Mans.\\n\\n« Jean-Baptiste est un joueur que je connais bien et que j’apprécie énormément. J’ai pu suivre toute sa carrière puisqu’il a été formé au Mans et a ensuite prouvé partout où il est passé qu’il était un compétiteur. Même s’il revient d’une grave blessure qui a ralenti sa progression vers la Jeep Elite, je n’ai aucun doute sur sa grande utilité pour la prochaine équipe. Avec lui, on peut être certain qu’il y aura du combat et de la maîtrise sur le terrain. Je suis vraiment ravi de son arrivée au Rouen Métropole Basket »\\n\\nLors de la saison 2016/17, Jean-Baptsite Maille compilait en moyenne 4,5 points, 2,9 rebonds et 4,1 passes décisives pour une évaluation de 8,7 à Fos-sur-Mer.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : Limoges CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet à propos de Boris Diaw: «Pour l’instant, il n’a pas de club mais on sait qu’il cherche»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« C’est une situation particulière puisqu’en fait personne ne sait. Lui-même ne sait pas non plus. Il s’interroge. Nous, on espère. Je souhaite qu’il puisse continuer par rapport à tout ce qu’il nous apporte à la fois sur le terrain mais aussi en dehors. Il reste le leader charismatique de cette équipe. Pour l’instant, il n’a pas de club mais on sait qu’il cherche. »\\n\\nCes commentaires sont de Vincent, le coach de l’équipe de France à propos de la situation de son capitaine, Boris Diaw, et de sa présence ou non en septembre prochain lors de la première fenêtre de la deuxième phase des qualifications pour la coupe du monde 2019. Le sujet a été forcément abordé hier lors de la conférence de presse qu’il a donnée en compagnie du président fédéral Jean-Pierre Siutat et du directeur des équipes de France, Patrick Beesley.\\n\\nLa première partie du verbatim est à lire ici. La seconde sera publiée cet après-midi. C’est réservé à nos abonnés.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Championnat du Monde U17: 3/3 pour la France qui rencontrera la faible Nouvelle-Zélande en 8e"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après l’Argentine et les Philippines, les Bleuets ont dominé la Croatie (79-51) au championnat du monde U17 qui se tient actuellement en Argentine.\\n\\nLe Choletais Killian Hayes a été sur les bases d’un triple double avec 17 points (7/9), 9 passes, 7 rebonds, plus 5 interceptions, ce qui s’est traduit par une évaluation de 34. Malcolm Cazalon a été le meilleur marqueur avec 17 points alors que Timothé Crusol en a planté 16.\\n\\nLes Français vont rencontrer la Nouvelle-Zélande mercredi en huitièmes de finale et en cas de victoire le vainqueur de Turquie-Serbie en quart.\\n\\nLa Nouvelle-Zélande parait tout à fait à la portée des Français puisqu’elle sort du tour préliminaire avec trois défaits, contre l’Egypte (-14), le Montenegro (-24) et le Canada (-38).\\n\\nPhoto: Matthieu Gauzin (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jubilé Mickaël Gelabale et Florent Pietrus en Guadeloupe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est en l’honneur de deux illustres internationaux tricolores, retirés de l’Équipe de France après les Jeux Olympiques de Rio 2016, que ce rendez-vous exceptionnel est organisé. Florent Piétrus (230 sélections) et Mickaël Gelabale (156 sélections) seront mis à l’honneur ce vendredi 6 juillet sur leur île guadeloupéenne natale en présence de leur famille et leurs amis.\\n\\nDurant cette soirée de festivités, un match de gala unique en son genre sera proposé entre l’équipe All-Stars, composée par les deux anciens tricolores, et du « Team France Basket » de Vincent Collet. Après leurs deux rencontres de qualification pour la Coupe du Monde 2019, les Bleus effectueront ce déplacement inédit en Guadeloupe à partir du 4 juillet. Ils participeront, en amont du jubilé, à plusieurs événements de promotion et de développement du basketball sur l’île.\\n\\nTeam France: Andrew Albicy, Nobel Bougou colo, Nando De Colo, Boris Diaw, Alain Koffi, Lahou Konate, Mathias Lessort, Amine Noua, Yakuba Ouattara, Vincent Poirier. Coach: Vincent Collet.\\n\\nAll Stars Flo & Mike: Jessie Begarin, Lesly Bengaber, Ousmane Camara, Gabriel Cayol, Cédric Ferchaud, Gary Florimond, Mike Gelabale, Joseph Gomis, Damien Inglis, Marc Judith, Florent Pietrus, Mouphatou Yarou. Coach: Rudy Nelhomme."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Élite : Gavin Ware passe de Levallois à Dijon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette saison à Levallois, Gavin Ware (2,06m, 24 ans) sera toujours en Jeep Élite la saison prochaine suite à sa signature à Dijon.\\n\\nSur son site, le JDA annonce l’arrivée du natif de Starkville suite au départ de Jacques Alingue. Satisfaction de l’effectif de Fred Fauthoux cette saison, l’ancien joueur d’Anvers pourra une nouvelle fois s’exprimer dans le championnat de France et sur la scene Européenne étant donné l’engagement de Dijon en Champions League.\\n\\nL’entraîneur dijonnais, Laurent Legname s’est exprimé sur sa nouvelle recrue.\\n\\n« Suite au départ prévisible de Jacques, nous nous sommes mis à la recherche de son remplaçant le plus tôt possible. Sachant que le poste 5 est à la fois un poste recherché et indispensable à l’équilibre d’une équipe, nous avons voulu prendre le maximum de garanties sur ce poste-là. Ainsi, nous nous sommes rapidement orientés vers Gavin qui présente l’avantage de connaitre la Jeep Elite ainsi que les qualités recherchées notamment en termes de rebonds. Après une saison en Belgique, il a confirmé cette année à Levallois aussi bien en Jeep Elite qu’en Eurocup. Barré par Boris Diaw l’année dernière, il a montré tout de même des qualités en termes de scoring et de rebonds. Ses stats en attestent. Avec davantage de responsabilités l’année prochaine, nous espérons tous que Gavin progressera encore et montrera l’étendue de sa panoplie, aussi bien sur la scène nationale qu’en Basketball Champions League. »\\n\\nCette saison il compilait 12,2 points, 6,7 rebonds et 1 passe décisive pour une évaluation de 15,7.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : Karen Mandau"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde – Vincent Collet: «on a eu un niveau défensif que l’on n’avait jamais eu lors du championnat d’Europe»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A peine revenus du périple en Bosnie et en Russie conclu par deux victoires, le président Jean-Pierre Siutat, le directeur de l’équipe de France, Patrick Beesley et le coach Vincent Collet ont donné une conférence de presse dont voici le verbatim en deux parties.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLE BILAN GENERAL\\n\\nJean-Pierre Siutat :\\n\\n« C’est ce que j’ai dit hier soir dans les vestiaires : on est fier de ce que l’on a fait. 6 matches, 6 victoires. On était en plein doute en début de campagne. On se souvient de la première mi-temps de la première rencontre en Belgique. C’était assez compliqué. Ça a permis de révéler en profondeur l’effectif du basket français. Il y a très peu d’équipes qui ont terminé avec six victoires. Je veux saluer le travail du staff et de tout le groupe qui a participé à cette première aventure. Ce qui est intéressant, c’est que ça a révélé des joueurs. Je veux saluer les trois lieux où l’on a fait les matches (NDLR : Rouen, Strasbourg et Nancy). On a fait des salles pleines avec une très belle réalisation. La FIBA nous a félicité du travail que l’on a fait. Il faut penser à l’avenir qui arrive rapidement puisqu’en septembre on a déjà une préparation commune avec l’équipe de France féminine qui est qualifiée pour la Coupe du Monde qui a lieu à Tenerife. On a la chance, c’est très rare, d’avoir une fenêtre afin que les deux équipes puissent se préparer à Paris. On a prévu le premier match à Montpellier contre la Finlande. J’espère que ça sera une revanche de 2017 et que l’on puisse assurer notre qualification dès septembre. Il nous restera ensuite deux rencontres à organiser, une tout début décembre et une autre en février. On a quelques idées quelque peu originales. Notre objectif, vous le savez, c’est de nous qualifier pour la Coupe du Monde et après pour les Jeux Olympiques. On veut travailler d’ores et déjà pour 2024 et donc c’est important de se qualifier pour 2020.\\n\\nPatrick Beesley : La grande satisfaction que l’on a, c’est d’être qualifié dans des conditions excellentes avec six victoires. L’ensemble du staff est très satisfait du comportement de l’ensemble des joueurs qui ont participé à ces six victoires. Cela correspond à l’état d’esprit que l’on avait souhaité lors de la mise en place du Team France en 2017 qui était fait pour mobiliser les meilleurs joueurs français, afin de permettre à Vincent (Collet) quelque soit les événements de présenter une équipe. Sur le Team France, il y a 44 joueurs et 25 ont été utilisés sur les six matches. Dans la chartre, on avait non seulement demandé aux joueurs de répondre favorablement à la sollicitation quand elle était possible et surtout de jouer sans état d’âme. Le comportement des joueurs a été à l’image de ce qu’on leur avait demandé, c’est-à-dire remplir la mission, qualifier la France pour la coupe du monde et sans état d’âme. Les joueurs qui se sont greffés pour les deux derniers matches ont eu le même état d’esprit que les premiers. A la fin du mois d’août, on aura un petit regroupement sur Pau de 4-5 jours avec deux matches à Paris pour se remettre dans le circuit et être prêt pour les deux premiers matches (NDLR : en Bulgarie et à Montpellier contre la Finlande). On en n’a pas encore parlé mais on devrait avoir un groupe de 14.\\n\\nVincent Collet :\\n\\nLà, on avait une équipe très compétitive pour un match en Russie qui n’était pas simple. Mais on a eu la chance pour les deux premières fenêtres d’avoir des joueurs très mobilisés, très motivés, qui ont compris que pour eux c’était une opportunité plutôt que de se lamenter éventuellement sur le fait de ne pas aller à la coupe du monde. Ils ont su saisir l’opportunité de porter le maillot bleu et ils l’ont fait de la meilleure des façons, ce qui nous a permis de nous imposer sur les quatre premiers matches. Et de repartir avec un état d’esprit très positif que l’on a conservé lors de cette fenêtre de juin et qu’il faudra entretenir pour aller à la coupe du monde dans les meilleures dispositions. Les deux matches de la fenêtre de septembre pourraient nous permettre de valider notre billet pour cette coupe du monde. On a trois matches d’avance sur le troisième mais on en a quatre en fait sur la Russie (NDLR : avec le point average), et trois sur la Finlande que l’on reçoit le 16 septembre à Montpellier. Si on bat le 13 la Bulgarie chez elle et la Finlande, on aurait 8 victoires et la Finlande au maximum que quatre et ce n’est pas sûr car ils jouent les Russes juste avant nous. Dans ce cas-là, on pourrait être mathématiquement qualifié ou au moins, selon l’ampleur du score contre la Finlande, avoir un goal average très favorable. On pourrait considérer que le plus dur serait fait. Notre objectif est de se qualifier le plus vite possible, ce qui ne nous empêcherait pas ensuite d’essayer de gagner les matches. Il y a un autre élément : on est devenu durant ces fenêtres la troisième nation mondiale (NDLR derrière les Etats-Unis et l’Espagne) au détriment de la Serbie qui a perdu deux fois durant ces fenêtres et on sait qu’à la coupe du monde, il y a des têtes de série et on voudrait au moins rester dans les quatre premiers. Et pour ça, même si on se qualifie en septembre, il faut gagner des matches. Et aussi pour respecter les règles du jeu. J’ai discuté avec (Sergueï) Bazarevitch (NDLR : le coach de la Russie) et il m’a dit « battez la République Tchèque, battez la Finlande, battez la Bulgarie ! » Ils n’ont que trois victoires, bien sûr ils ont toutes les chances de se qualifier et ils n’auront probablement pas besoin de nous, mais en tous les cas, on jouera le jeu jusqu’au bout.\\n\\n« J’avais dit après la victoire sur la Bosnie que le match d’hier valait trois matches »\\n\\nLE CONTEXTE DES MATCHES DIFFERENTS, A TUZLA ET KRASNODAR\\n\\nVincent Collet : Même si on s’y attendait, on a vu en début de match hier que l’on a souffert sur le rythme très intense et très rapide des Russes. Ils nous ont mis en difficulté pendant presque un quart-temps où l’on avait des problèmes de replis. On a pris 14 points sur replis défensifs en première mi-temps. C’est en corrigeant ce point-là que l’on a progressivement pris l’ascendant. La chance que l’on a eu, c’est que Patrick (Beesley) qui avait repéré que les déplacements étaient très compliqués a mis en place des avions privés. Ça nous a permis de limiter la fatigue, d’être vraiment focus sur le deuxième match. Quand on parlait d’état d’esprit tout à l’heure, le groupe qui était présent sur cette fenêtre, les joueurs de NBA et d’Euroleague qui faisaient le retour dans cette équipe, étaient tout à fait conscients de leurs responsabilités, que leurs remplaçants avaient superbement assuré l’intérim et que là, on avait besoin d’eux. J’avais dit après la victoire sur la Bosnie que le match d’hier valait trois matches. Si on avait perdu en Russie sachant que l’on avait gagné que d’un seul point en février, les Russes seraient revenus à quatre victoires alors que nous, on en aurait eu cinq et ils auraient eu le goal-average. C’est-à-dire que l’on n’aurait eu qu’un match d’avance sur eux. Le fait de gagner hier a repoussé les Russes à quatre matches donc c’est quasiment impossible qu’ils puissent revenir sur nous. Même si on a des difficultés lors du deuxième tour, ce que l’on ne souhaite pas, on est quasiment à l’abri du fait de cette victoire. Les joueurs savaient que ce match était important et l’ont abordé en connaissance de cause et ils ont mis l’investissement nécessaire. En deuxième mi-temps et plus particulièrement dans le troisième quart-temps, on a eu un niveau défensif que l’on n’avait par exemple jamais eu lors du championnat d’Europe.\\n\\nLA SITUATION AVEC LES JOUEURS D’EUROLEAGUE ET D’EUROCUP POUR LA PROCHAINE FENÊTRE EN SEPTEMBRE:\\n\\nJean-Pierre Siutat : En ce qui concerne le conflit ECA-FIBA, il n’y a pas d’avancée. Il y a eu le 23 mai une déclaration de plusieurs ministres des sports qui étaient réunis à Bruxelles, disant qu’il fallait défendre le système pyramidal tel que nous le connaissons. C’est-à-dire que les championnats nationaux étaient à préserver, ainsi que les qualifications pour les compétitions européennes, et surtout les équipes nationales. C’est une présidence tournante et c’est le ministre des sports bulgare qui en est actuellement le président et il a mis à l’ordre du jour la réunion du 23 et beaucoup de ministres sont contre ce qui se passe et veulent préserver les championnats nationaux avec les ligues et les qualifications. Aujourd’hui, la balle est dans le camp de la Commission Européenne. Rien ne bouge par rapport à ça. ECA avait décidé que l’Eurocup ne respecte pas les fenêtres. Il y a eu une montée au créneau de l’ULEB, les Ligues Professionnelles, qui a demandé que pour l’Eurocup le calendrier des fenêtres soit respecté. Ce qui a été fait. Normalement, l’Eurocup va sortir un calendrier qui respecte les fenêtres. Au moins pour novembre, on verra après ce qu’il en est. Deuxièmement, ce qui est écrit dans les règlements du basket français (NDLR : Limoges, Monaco et Villeurbanne sont inscrits en Eurocup), c’est que les clubs ont l’obligation de laisser partir les joueurs et pas seulement de l’équipe de France mais celui de toutes les équipes. Si un joueur est sollicité, le club est sensé le laisser partir. L’Euroleague ne bouge pas. Nous, on n’est pas concerné cette année (NDLR : en 2019-20, l’ASVEL devrait intégrer l’Euroleague). Normalement, la NBA redémarre après la fenêtre de septembre et on peut imaginer avoir de bonnes surprises et avoir des joueurs en septembre pour la fenêtre.\\n\\nA suivre\\n\\n[armelse]\\n\\nLE BILAN GENERAL\\n\\nJean-Pierre Siutat :\\n\\n« C’est ce que j’ai dit hier soir dans les vestiaires : on est fier de ce que l’on a fait. 6 matches, 6 victoires. On était en plein doute en début de campagne. On se souvient de la première mi-temps de la première rencontre en Belgique. C’était assez compliqué. Ça a permis de révéler en profondeur l’effectif du basket français. Il y a très peu d’équipes qui ont terminé avec six victoires. Je veux saluer le travail du staff et de tout le groupe qui a participé à cette première aventure. Ce qui est intéressant, c’est que ça a révélé des joueurs. Je veux saluer les trois lieux où l’on a fait les matches (NDLR : Rouen, Strasbourg et Nancy). On a fait des salles pleines avec une très belle réalisation. La FIBA nous a félicité du travail que l’on a fait. Il faut penser à l’avenir qui arrive rapidement puisqu’en septembre on a déjà une préparation commune avec l’équipe de France féminine qui est qualifiée pour la Coupe du Monde qui a lieu à Tenerife. On a la chance, c’est très rare, d’avoir une fenêtre afin que les deux équipes puissent se préparer à Paris. On a prévu le premier match à Montpellier contre la Finlande. J’espère que ça sera une revanche de 2017 et que l’on puisse assurer notre qualification dès septembre. Il nous restera ensuite deux rencontres à organiser, une tout début décembre et une autre en février. On a quelques idées quelque peu originales. Notre objectif, vous le savez, c’est de nous qualifier pour la Coupe du Monde et après pour les Jeux Olympiques. On veut travailler d’ores et déjà pour 2024 et donc c’est important de se qualifier pour 2020.\\n\\nPatrick Beesley : La grande satisfaction que l’on a, c’est d’être qualifié dans des conditions excellentes avec six victoires.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Vincent Collet & Nando De Colo, Boris Diaw (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep® ÉLITE : Laurent Vila et Jimmy Verove prolongent sur le banc de Pau"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Promu coach principal après le départ de Serge Crevecoeur en février, Laurent Vila peut compter sur la confiance des dirigeants béarnais.\\n\\nSur son site, l’Elan Béarnais annonce que le technicien palois et son assistant Jimmy Verove ont prolongé leur contrat jusqu’en 2020. Laurent Vila est actuellement occupé par l’Equipe de France U20 de laquelle il est assistant de Jean-Aimé Toupane.\\n\\nL’entraîneur béarnais s’est exprimé sur sa prolongation de contrat.\\n\\n« Dès la fin de la saison, les dirigeants m’ont proposé de continuer ma mission d’entraîneur de l’équipe professionnelle. Outre la satisfaction de pouvoir exercer le métier qui me plait dans un environnement que je connais bien, il était aussi important pour moi de pouvoir compter sur l’ engagement de Jimmy Verove qui, au même titre qu’ Arnold Bouazza (assistant et coach des espoirs), Guillaume Alquier (préparateur physique) ou l’ensemble du staff médical, peut nous permettre de travailler dans la continuité et comme le dit l’expression, on ne change pas une équipe qui gagne ! Nous souhaitions nous appuyer sur le vécu de la saison écoulée et travailler dans le prolongement de celle-ci. Le fait de pouvoir à nouveau compter sur Yannick Bokolo, Léo Cavalière, Taqwa Pinero et Vitalis Chikoko va y contribuer.Maintenant que la draft a eu lieu, que nous savons quels sont les joueurs qui restent et les postes qui sont à pourvoir, notre travail consiste à choisir les joueurs qui vont compléter cet effectif existant. Voilà déjà plus d’un mois que nous travaillons sur la stratégie de composition de l’équipe, avec un rôle défini pour chacun des éléments du futur groupe. Clairement, notre priorité porte sur le meneur de jeu, un poste pour lequel nos attentes sont prononcées. Le profil recherché est celui d’un joueur expérimenté qui aura pour mission première de bien faire jouer l’équipe et de mettre en valeur ses coéquipiers. On lui associera un arrière puis il nous faudra dénicher un poste 4 ainsi qu’un poste 3. On recherche avant tout de la complémentarité entre les profils et de l’efficacité pour chacun d’entre eux.Bien entendu, on sait que le recrutement dépend de plusieurs variables : la disponibilité des joueurs, lesquels doivent ensuite adhérer à notre projet et aussi rentrer dans l’enveloppe financière dont nous disposons. On a du temps devant nous mais on sait que dans le sport de haut-niveau, il faut aussi savoir ne pas en perdre, notamment en saisissant les opportunités qui se présentent. On sera à pied d’oeuvre dès le 06 août, date de la reprise, pour développer le basket collectif que nous souhaitons mettre en application. »\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : Elan Béarnais"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Blois reste en Pro B et va saisir le CNOSF"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion de France de Pro B cette saison, l’ADA Blois n’a pour l’instant pas le droit de monter en Jeep® ÉLITE en raison du manque d’un centre de formation agréé.\\n\\nSamedi 30 juin, le club a été officialisé averti de son engagement en Pro B pour la saison 2018/19. Une nouvelle qui ne convient évidemment pas à l’ADA qui a remporté le droit de monter à l’étage au-dessus sur le terrain. La Nouvelle République indique que les dirigeants blésois vont dans un premier temps saisir la chambre d’appel de la Fédération, même si Julien Monclar, General Manager, ne se fait pas illusion quant à cette dernière.\\n\\n« Je ne vous cache pas qu’on se fait guère d’illusions concernant cette première démarche. »\\n\\nSuite à cela, l’ADA va saisir le Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF) « à une fin de conciliation ». Le CNOSF doit juger la recevabilité de la requête du champion de France et peut ensuite faire se tenir une audience. Lors de cette audience, soit « les deux parties (ADA Blois – FFBB/LNB) trouvent un accord amiable mettant un terme définitif au différend ; dans le cas contraire, le conciliateur est tenu de proposer lui-même une conciliation, acceptée ou non », rappelle La Nouvelle République.\\n\\nA retrouver, notre dossier expliquant dans les détails la situation de l’ADA Blois."
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : l’ancien NBAer Carlos Delfino signe à Turin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après quatorze ans passés loin de la Botte, Carlos Delfino (1,98m, 35 ans) va faire son retour en Italie à la rentrée. Il s’est engagé avec le Fiat Torino, annonce le club.\\n\\nPassé par Detroit, Toronto, Milwaukee et Houston en NBA, le natif de Santa Fe vit une fin de carrière difficile marquée par les blessures. Depuis 2017 et après quatre ans d’absence, l’ancien joueur du Khimki Moscou tente de faire son retour dans le milieu professionnel et est notamment passé par Boca Juniors et Vitoria. A Turin, il retrouvera une ancienne connaissance en la personne de son coach, Larry Brown. L’Argentin est déjà passé sous les ordres du légendaire entraîneur américain, c’était à Detroit en 2004/05. Il a également déjà évolué en Italie entre 2000 et 2004. Il avait porté deux saisons les maillots de Reggio Calabra et de Bologne.\\n\\nAperçu sous les couleurs de Vitoria cette saison, Carlos Delfino avait timidement compilé 2,7 points et 2,5 rebonds de moyenne sur quatre matchs de Liga Endesa.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Amath M’Baye quitte Milan"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé à Milan l’été dernier en provenance de Brindisi, Amath M’Baye (2,06m, 28 ans) ne sera pas renouvelé par l’Olimpia Milano pour la saison prochaine, annonce le club.\\n\\nNé à Bordeaux, le champion d’Italie 2018 fait partie des joueurs français les moins connus évoluant au plus niveau européen. Pour cause, il est parti aux Etats-Unis dès le lycée avant de rejoindre l’université de Wyoming (2009-11) avant de rejoindre Oklahoma pour une saison. Son cursus universitaire terminé, il a lancé sa carrière professionnelle en première division japonaise. Il a passé trois saisons sous le maillot de Nagoya.\\n\\nCette saison, Amath M’Baye compilait en moyenne 6,4 points et 3,5 rebonds pour une évaluation de 6,6 en Serie A, et 6,1 points et 2 rebonds pour une évaluation de 5,1 en Euroleague.\\n\\nVous pouvez retrouver notre interview de l’ancien Milanais, datant de mi-novembre, ici.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’Espagne à 6-0, l’émotion de Fran Vasquez"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les larmes de joie du pivot vétéran Fran Vasquez en conférence de presse auront été le point culminant de la troisième fenêtre pour l’Espagne, qui, comme la France, la Grèce et la Lituanie, pointe à 6-0.\\n\\nAprès la victoire de la Roja contre la Biélorusse (80-60), Fran Vasquez (2,10 m, 35 ans mais précieux dans la raquette 9 pts et 8 rbds) entre en conférence de presse. Il s’assoit au podium puis voit son petit garçon assis dans la salle et laisse échapper quelques larmes. Le pivot était la doublure de la sélection à l’Euro 2005 et au Mondial 2010. Un temps barré par la formidable profondeur des Espagnols à l’intérieur, les qualifications ont été pour lui l’occasion de porter à nouveau le maillot rouge et or de la sélection. Une émotion particulièrement vive pour ce jeune père.\\n\\n« Je suis ravi de conclure ce premier tour de qualification avec six victoires. Je remercie Sergio (Scariolo) de m’avoir permis de revenir en sélection et de la façon dont il m’a accueilli. Nous avons parlé pendant de nombreux mois et je suis ravi d’avoir été ici. La situation est compliquée mais j’ai eu l’opportunité de revenir et je suis très content de la main tendue de Sergio. J’ai savouré ces moments. Grâce à ce nouveau format de qualification, mon fils de six ans a eu l’occasion de voir son père jouer pour l’équipe nationale. Merci à tout le monde. Au final, nous avons fait le boulot. J’ai entendu beaucoup de choses sur notre équipe mais nous avons montré que nous pouvons jouer au basket. Je remercie mes coéquipiers. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Anthony Goods nouvelle recrue du SLUC Nancy"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette saison à Poitiers, Anthony Goods (1,91m, 31 ans) restera en Pro B à la rentrée mais avec un autre objectif, celui de la montée, puisqu’il vient de s’engager avec le SLUC.\\n\\nGlobe-trotter du basket, le Californien passé par Cholet en 2014 et 2015, a aussi été aperçu sous les couleurs de l’Elan Béarnais lors de la saison 2016/17. C’est la première fois lors de l’exercice 2017/18 qu’il a passé l’année entière en France. Adroit derrière la ligne à trois points (40% cette saison), l’ancien joueur de l’Hapoel Tel Aviv boucle le recrutement sur la ligne arrière du SLUC, annonce le club nancéien.\\n\\nCette saison, Anthony Goods compilait en moyenne 17,2 points, 3,1 rebonds et 2,3 passes décisives pour une évaluation de 13,4 en Pro B.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : PB86/Franck Fétis"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Jessie Begarin du Portel à Rouen ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce week-end, l’ESSM Le Portel a annoncé la fin de sa collaboration avec Jessie Begarin (1,91m, 30 ans), qui doit rejoindre Rouen, en Pro B.\\n\\nNéanmoins, selon Paris Normandie, Alexandre Menard, l’entraîneur du RMB refuse de confirmer cette information. Passé par toutes les divisions, sauf la NM2, le Guadeloupéen a connu la NM3, la NM1, il a ensuite montré qu’il pouvait évoluer en Pro B où il a été notamment performant sous le maillot de Souffel. Elément important de la montée en Pro A du Portel en 2016, il a même gouté à un coupe d’Europe avec l’ESSM cette saison. Le club portelois a déclaré que l’ancien joueur du HTV a demandé à quitter le club pour aller chercher plus de temps de jeu et de responsabilités dans la division inférieure.\\n\\nCette saison, Jessie Begarin compilait en moyenne 3,1 points, 1 rebond et 1,7 passe décisive pour une évaluation de 3,8 en Jeep Elite, et 4,2 points, 1,4 rebond et 2,1 passes décisives pour une évaluation de 5,1 en FIBA Europe Cup.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nhttps://www.facebook.com/ESSMBasketOfficiel/photos/a.1526836557548100.1073741828.1526820320883057/2170712566493826/?type=3&theater\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Fenerbahce : Nicolo Melli va rester et visera la NBA l’été prochain"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Signataire d’un contrat 1+1 l’été dernier avec le Fenerbahce, Nicolo Melli (2,05m, 27 ans) devrait être de retour à Istanbul à la rentrée.\\n\\nSelon David Pick, l’ancien joueur de Bamberg restera sous les ordres de Zeljko Obradovic l’année prochaine pour tenter d’aller chercher le titre en Euroleague. Malgré le fort intérêt de Brooklyn, Utah et Atlanta l’été dernier, l’international italien avait fait le choix de rejoindre le Fenerbahce. Le journaliste israélien indique que le natif de Reggio Emilia ira au bout de son contrat et se tournera vers les offres NBA à l’été 2019.\\n\\nCette saison, Nicolo Melli compilait en moyenne 7,5 points, 4,6 rebonds et 1,9 passe en championnat, et 8,9 points, 5 rebonds et 1,7 assist pour une évaluation de 12 en Euroleague.\\n\\n\\n\\n\\nSource: Nicolo Melli will waive his $800,000, July 10 out to return to Fenerbahce and contend for a Euroleague championship. Brooklyn had serious interest, Utah and Atlanta last summer. He'll attack NBA offers in 2019 off-season.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) July 2, 2018\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Alexey Shved veut tenter un retour en NBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"De retour en Europe en 2015 après être parti tenter sa chance en NBA en 2012, Alexey Shved (1,98m, 29 ans) a des envies de revanche.\\n\\nSelon Eurohoops, l’ancien joueur du CSKA Moscou pourrait utiliser sa clause de sortie vers la NBA cet été. Néanmoins, toujours sous contrat avec le Khimki Moscou jusqu’en 2020, il ne quittera le club moscovite que si les offres en NBA se montrent assez intéressantes. Il aurait également précisé qu’il aime jouer pour le Khimki et qu’il ne veut retourner en NBA que pour prouver qu’il y a sa place.\\n\\nPassé par Minnesota, Philadelphie, Houston et New York, l’international russe sent que « sa mission » en NBA n’est pas terminée et qu’il a encore des choses à prouver. Cette saison, il a terminé meilleur scoreur d’Euroleague. Le champion d’Europe 2008 est également, actuellement, le joueur le mieux payé d’Europe.\\n\\nCette saison, Alexey Shved compilait en moyenne 23,6 points, 2,3 rebonds et 5,8 passes décisives pour une évaluation de 18 en VTB League, et 21,8 points, 2,6 rebonds et 5,2 passes décisives pour une évaluation de 20,4 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde: Le calendrier des Bleus au deuxième tour"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est donc la Finlande -comme pour l’Euro 2015- que le public de Montpellier verra à l’oeuvre à l’occasion de la première fenêtre du deuxième tour des qualifications pour la Coupe du Monde 2019.\\n\\n11 septembre: Bulgarie-France\\n\\n16 septembre: France-Finlande à Montpellier\\n\\n30 novembre: République Tchèque-France\\n\\n3 décembre: France-Bulgarie\\n\\n21 février 2019: Finlande-France\\n\\n24 février 2019: France-République Tchèque\\n\\nPhoto: Thomas Heurtel (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde: Le bilan du premier tour par continent"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Bulgarie, l’Estonie, la Finlande, la Géorgie et Israël sont les dernières équipes à avoir obtenu leur qualification pour le second tour des Éliminatoires Zone Europe pour la Coupe du Monde 2019. Elles viennent compléter le tableau à 24 équipes au dernier jour du premier tour.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nGroupe I :Espagne (6-0) ; Turquie (4-2) ; Lettonie (4-2) ; Monténégro (3-3) ; Ukraine (3-3) ; Slovénie (2-4).\\n\\nGroupe J :Lituanie (6-0) ; Italie (4-2) ; Pologne (3-3) ; Pays-Bas (3-3) ; Croatie (3-3) ; Hongrie (3-3).\\n\\nGroupe K :France (6-0) ; République tchèque (5-1) ; Russie (4-2) ; Finlande (3-3) ; Bulgarie (2-4) ; Bosnie-Herzégovine (2-4).\\n\\nGroupe L :Allemagne (6-0) ; Grèce (6-0) ; Serbie (4-2) ; Israël (3-3) ; Géorgie (2-4) ; Estonie (2-4).Toutes les équipes conservent tous les résultats enregistrés au premier tour. Les trois meilleures équipes de chacun des quatre groupes se qualifieront pour la Coupe du Monde FIBA 2019 en Chine.Voici les détails par continent:\\n\\n\\n\\n\\n\\nAfrique\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAmériques\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAsie\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nEurope\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: Evan Fournier et Moustapha Fall (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les highlights de Russie-France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme pour chaque match, la FIBA propose les meilleurs moments de Russie-France à Krasnodar avec la victoire des Bleus, 84-78."
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde: République Tchèque, Finlande et Bulgarie seront les adversaires de la France au 2e tour"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il n’y a pas eu de surprise lors de la dernière journée du groupe F de la première phase des qualifications pour la Coupe du monde: l’Islande s’est fait battre en Finlande, 91-77. L’intérieur des Chicago Bulls Lauri Markkanen a été dominateur avec 28 points à 10/12 aux tirs, 7 rebonds, 3 passes, 2 interceptions, un contre... Du côté des Islandais, les deux anciens joueurs de Jeep Elite, Martin Hermannsson (13 points et 5 passes) et Haukur Palsson (16 points et 5 rebonds) ont été les plus remarqués.\\n\\nAussi, République Tchèque, Finlande et Bulgarie croiseront avec le groupe de la France laquelle avec 6 victoires en 6 matches sera idéalement positionnée sur le ligne de départ en septembre.\\n\\nPhoto: Lauri Markkanen (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\n\\nMATCHES\\n\\nGAME POINTS\\nPOINTS\\n\\n\\n#\\nEquipe\\nP\\nV\\nD\\n%\\n\\nPour\\nContre\\n+/-\\nFA\\nAA\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\nRépublique tchèque\\n6\\n5\\n1\\n83.3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n464\\n425\\n39\\n77.3\\n70.8\\n11\\n\\n\\n2\\nFinlande\\n6\\n3\\n3\\n50.0\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n453\\n449\\n4\\n75.5\\n74.8\\n9\\n\\n\\n3\\nBulgarie\\n6\\n2\\n4\\n33.3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n466\\n476\\n-10\\n77.7\\n79.3\\n8\\n\\n\\n4\\nIslande\\n6\\n2\\n4\\n33.3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n463\\n496\\n-33\\n77.2\\n82.7\\n8\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde: Les Bleus font le job en Russie et sont à 6/6 après la première phase"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avoir ses meilleurs joueurs en Russie n’étaient pas superflu. Les hommes au maillot rouge ont opposé une farouche résistance aux Français pour ne s’incliner que de six points (78-84). La quintette constituée de Thomas Heurtel (12 points, 5 rebonds), Nando De Colo (15 points), Evan Fournier (15 points, 17 d’évaluation), Nicolas Batum (13 points, 17 d’évaluation) et l’épatant Moustapha Fall (11 points, 5 rebonds, 2 contres) a été performante. Voici l’équipe de France nantie de 6 victoires en 6 matches, ce qui permettra d’aborder la deuxième phase en septembre avec sérénité. Mais avec quels joueurs?\\n\\nVincent Collet faisait la surprise d’introduire Andrew Albicy dans le cinq de départ, ce qui faisait automatiquement de Thomas Heurtel en plus de Evan Fournier un back up de luxe. Le coach des Bleus voulait ainsi imprégner un rythme défensif et pourtant le premier quart se soldait par un 22-22 au score avec 62,5% de réussite pour les Français et 57,4% pour les Russes.\\n\\nDans une belle arène totalement remplie, bruyante et fair-play, ce match ne ressemblait en rien au précédent en Bosnie. Les expérimentés russes s’étaient lancés avec un bel enthousiasme dans la bataille à l’image de l’arrière Dimitri Khovostov, 9 points dans ces 10 premières minutes, et on le saura plus tard, 24 points à 8/11 aux tirs au final. Il faut dire que puisqu’il porte habituellement le maillot du Lokomotiv Kuban, il connaissait le cadre A l’inverse, Rudy Gobert n’était pas le dans le coup et écopait rapidement de deux fautes.\\n\\nUn moment, les Français comptaient jusqu’à sept points de débours (23-30). Il fallait que Moustapha Fall tienne bien sa place sous le cercle, que Evan Fournier (13 points) soit tranchant en un-contre-un et que Nando De Colo (10 points à 4/5) soit... Nando De Colo pour qu’ils reviennent au score et même dépassent leurs hôtes très collants (35-34 à la mi-temps.)\\n\\nAprès un début d’opération portes ouvertes en défense des deux côtés, un faux-rythme s’installait qui convenait parfaitement aux Russes surtout que Rudy Gobert puis Evan Fournier écopaient d’une troisième faute. Pour annihiler au mieux l’avantage athlétique des Français, les équipiers de Vitaly Frizdon faisaient -bien- tourner la balle, étaient solidaires.\\n\\nC’est au train, avec un Moustapha Fall efficace, qui mérite à l’évidence de jouer pour le moins en Euroleague, et un Boris Diaw toujours indispensable que les Français prenaient peu à peu l’avantage. Après trois quart-temps, ils menaient 66-59 et leur adresse était toujours remarquable: 60%.\\n\\nAlors que jusqu’ici, il n’avait capté qu’un rebond et rien marqué, et bien qu’une quatrième faute lui était sifflée, Rudy Gobert retrouvait ses marques défensives. Pas évident de se re-familiariser au jeu FIBA après deux ans d’absence, très peu d’entraînements en commun, et aussi de longues semaines de compétition, même quand vous êtes le Défenseur de l’Année en NBA! Vincent Collet faisait confiance aux cadres (Heurtel, De Colo, Fournier, Batum, Diaw, Gobert) pour assurer le maintien de l’avantage dans le money time. La France connaissait une alerte à 73-79 mais les Russes loupaient les tirs qui auraient pu éventuellement remettre en question le sort du match.\\n\\nUn chiffre: S’il a marqué 8 points, Timofey Mozgov, l’épais pivot des Brooklyn Nets (2,16m, 31 ans) n’a pas pris un seul rebond alors que ses compatriotes ont dominé ce secteur, 44 à 32. Avoir le statut de NBA n’est pas un certificat suffisant pour réussir au pied levé dans le concert des équipes nationales.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Evan Fournier et Moustapha Fall / FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Chris Johnson quitte Gravelines et s’envole pour Jerusalem"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison à Gravelines-Dunkerque, Chris Johnson (1,98m, 28 ans) a décidé de rejoindre l’Hapoel Jerusalem.\\n\\nPour sa première expérience en Europe, le natif de Columbus avait choisi de rejoindre la France l’été dernier. Après un exercice de haut niveau, il a attiré l’oeil de la formation israélienne qui vient d’officialiser son arrivée pour la saison prochaine. Passé par la NBA entre Memphis, Boston, Philadelphie, Milwaukee et Utah, l’ancien Celtic va découvrir le championnat israélien et il disputera la Champions League à la rentrée.\\n\\nCette saison, Chris Johnson compilait en moyenne 15,5 points, 5 rebonds et 2 passes décisives pour une évaluation de 16,4. On se souvient notamment du match face à Boulazac lors duquel il avait inscrit 32 points (7/13 à trois points), pris 14 rebonds et distribué 5 passes pour une évaluation de 45.\\n\\n\\n\\n\\nWelcome to Jerusalem Chris Johnson! 🔴#YallaHapoel pic.twitter.com/K99TMDl8UX\\n\\n\\n— Hapoel Jerusalem BC (@JerusalemBasket) July 2, 2018\\n\\nPhoto : Julie Dumélié /BCM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Video : bagarre générale entre l’Australie et les Philippines !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est complètement parti en vrilles entre l’Australie et les Philippines ce lundi à l’occasion de la troisième fenêtre de qualification pour la Coupe du Monde 2019.\\n\\nAu départ de cette bagarre ? Un joueur australien tombe au sol après un contact alors qu’il reste 4 minutes 10 dans le troisième quart-temps. Son coéquipier vient mettre un coup au joueur philippin. S’ensuit un attroupement et des coups commencent à partir de tous les côtés.\\n\\nLe match a été interrompu de longues minutes pour que les arbitres puissent avoir accès à la vidéo et décider qui sont les joueurs à sanctionner. Finalement, quatre Australiens ont été disqualifiés : Daniel Kickert, Thon Maker, Cameron Gliddon et Nathan Sobey. En face, ils sont neuf Philippins à avoir été expulsés.\\n\\nLe match a pu reprendre à trois contre cinq. Gabe Norwood, June Mar Fajardo ont tous les deux fait cinq fautes et ont aussi dû quitter le terrain. N’ayant plus qu’un joueur disponible, les Philippines ont du déclarer forfait par défaut à 1 minutes 57 de la fin du troisième quart-temps. L’Australie menait 89-53.\\n\\nLe PDG de Basketball Australia, Anthony Moore, s’est excusé auprès des fans dans un communiqué publié peu après:\\n\\n« Basketball Australia regrette profondément l’incident dans le match de ce soir entre les Boomers et les Philippines à Manille. Nous sommes extrêmement déçus de ce qui s’est passé et de notre rôle. Ce n’est pas l’esprit dans lequel le sport doit être joué et certainement pas dans l’esprit dans lequel nous visons à jouer au basket. Nous nous excusons auprès de nos fans et nous attendons les sanctions qui seront infligées. »\\n\\n\\n\\n\\nOk, so, there was 13 ejections.\\n\\n\\nFrom Australia: Sobey, Goulding, Maker, Kickert.\\n\\n\\n9 Filipino players were ejected.\\n\\n\\nThe game continues. The Philippines have 3 players. Australia has 8. We're watching 5 on 3, right now.\\n\\n\\n— Olgun Uluc (@OlgunUluc) July 2, 2018\\n\\n\\n\\n\\nThon Maker out here throwing knees! 😳 #Boomers pic.twitter.com/feizBcSBkc\\n\\n\\n— Ricky Mangidis (@rickm18) July 2, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Gary Chathuant arrive à Nantes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Au Portel depuis 2013, Gary Chathuant (1,93m, 35 ans) quitte le Nord de la France pour rejoindre le Nantes Basket Hermine.\\n\\nFort de onze saisons passées en Pro B entre 2004 et 2016, le vétéran champion de France de deuxième division en 2005 va apporter toute son expérience à une équipe qui sort d’un exercice difficile et qui a échappé de peu à la relégation en Nationale 1.\\n\\nCette saison, Gary Chathuant compilait en moyenne 3 points et 1,8 rebond pour une évaluation de 2,7 en Jeep Elite, et 6,5 points et 2,4 rebonds pour une évaluation de 7,6 en FIBA Europe Cup.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Ekene Ibekwe rejoint les Levallois Metropolitans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A Châlons-Reims depuis décembre, Ekene Ibekwe (2,08m, 32 ans) sera toujours en Jeep Elite la saison prochaine. Les Levallois Metropolitans viennent d’annoncer sa signature.\\n\\nEn début de saison à Oettinger, en Allemagne, l’international nigérian était dans le viseur du club des Hauts-de-Seine depuis plusieurs jours. Les Metropolitans ont engagé l’ancien joueur de Besançon pour une durée d’une saison. Il va vivre sa quatrième expérience en France après Chalon-sur-Saône et donc Besançon et Châlons-Reims.\\n\\nCette saison, Ekene Ibekwe compilait en moyenne 9,5 points et 4,8 rebonds entre la Jeep Elite et la Bundesliga.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : Elan Chalon/Charlotte Geoffray"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Gravelines quitte Kipsta pour BiG Sports"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Limoges et l’Elan Chalon, Big Sports continue son marché en Jeep Elite. Le BCM Gravelines-Dunkerque vient d’annoncer qu’il sera maintenant équipé par la marque de Frederic Weis.\\n\\nDéjà en charge du Limoges CSP en Eurocup cette saison, le petit équipementier français tente de se faire une place parmi les gros marchés que sont Nike, Adidas ou encore Spalding. Après huit années de collaboration, le BCM a donc annoncé quitter Kipsta pour rejoindre l’écurie Big Sports.\\n\\nA lire ou relire, notre interview de Yann Nouhaud (Directeur General de Big Sports).\\n\\n\\n\\n\\n⚠️ Officiel : Big Sports @BIGsports87 devient l'équipementier du @BCMBasket !\\n\\n\\nNous sommes ravis de vous annoncer notre nouvel équipementier 100% Made In France 🇫🇷\\n\\n\\nRetrouvez l'ensemble des informations et déclarations ici 👉https://t.co/oMcOcVJ0ZT#TousBCM pic.twitter.com/Nr5WCcglHo\\n\\n\\n— BCM Basketball (@BCMBasket) July 2, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Heiko Schaffartzik quitte Nanterre pour l’Espagne et Saragosse"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est un personnage de la Jeep Elite qui quitte le championnat de France. Après une saison à Limoges et deux à Nanterre, l’arrière allemand Heiko Schaffartzik (1,83m, 34 ans) rejoint l’Espagne et le club de Saragosse.\\n\\nShooteur à trois-points hors pair, ce qui lui a permis de remporter trois fois le concours du All-Star Game, Heiko Schaffartzik est aussi une personne attachante, cultivée, curieuse, qui a appris à très bien parler français durant son séjour dans notre pays.\\n\\nEn trois saisons, l’ancien international allemand a cumulé 101 matches en Pro A/Jeep Elite à 9,7 points à 39,8% de réussite à trois-points. Avec lui la JF Nanterre a gagné la FIBA Europe Cup en 2017.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Portrait : Fabien Causeur, le meilleur joueur breton de tous les temps... Et aussi vainqueur de l’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fabien Causeur (1,96m, 31 ans) a gagné l’Euroleague. S’il n’a pas été élu MVP du Final Four -c’est le Slovène Luka Doncic qui a eu droit à cet honneur-, le Brestois a été incontestablement le meilleur joueur de la finale remportée face à Fenerbahçe, 85-80. Ce soir du 20 mai, telle une divinité, il a marché sur l’eau, transformé les ballon en plastique en or, régalé ses supporters, écoeuré ses adversaires. A 12 secondes du buzzer, il a enfilé deux lancers-francs et sur l’action suivante contré une tentative du meneur grec du Fener Kostas Sloukas. Au total, ce sont 17 points à 3/3 à trois-points, 2 rebonds et 2 passes pour 21 d’évaluation qui sont tombés dans sa besace.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe néo-Madrilène a ainsi rejoint le club très fermé des Français devenus champions d’Europe ; ils sont 11 dont 8 Limougeauds de 1993 plus Antoine Rigaudeau et Nando De Colo. Point final. Aussi cela méritait les félicitations de ses équipiers tricolores lors du rassemblement à Nanterre.\\n\\n« C’est surtout l’accomplissement d’une saison difficile. Il y a beaucoup de travail derrière tout ça. Avoir tous tes coéquipiers qui te félicitent, c’est génial. Une fois que c’est fait, on repart au travail ! C’est mon meilleur match et pas seulement pour les points, mais vis-à-vis de l’événement. C’était une finale d’Euroleague, le match le plus important de ma carrière. J’étais dans un bon jour. Evidemment, c’est l’apothéose. Avant le Final Four, je me disais que même si je jouais très peu et que l’on était champion, tout le reste n’était pas important. Je suis très bien rentré dans le match. Le coach m’a donné du temps de jeu. Des fautes sont tombées sur des joueurs importants de l’équipe et ça m’a donné l’opportunité de briller. »\\n\\nFabien Causeur n’est pas un joueur qui attire spécialement la lumière mais il est bon partout. Dans les drives, dans les passes, dans le shoot à trois-points, en défense... C’est un malin, un joueur au fort QI basket et de complément, oui, mais cette finale de l’Euroleague prouve qu’il peut faire beaucoup plus si on lui en donne les responsabilités. A Bamberg, il était le go to guy, MVP de la finale de la Bundesliga. Au Real, dans un effectif sur dimensionné, il lui a fallu trouver sa place à la force du jarret et des épaules qu’il a musclé pour finalement se voir accorder près de 18 minutes de temps de jeu moyen en Euroleague ; le septième du Real. Au bout de l’effort, 6,9 points avec un remarquable 58,8% de réussite aux tirs et 1,9 passe.\\n\\nAu Real, tout est XXXL\\n\\nQuel bond pour celui qui s’était retrouvé barré au centre de formation du Mans ! A Basket Le Mag, Phlippe Desnos, son directeur, s’est souvenu que lors de sa mise à l’essai, il avait été très bon...\\n\\n« Mais je n’ai pas donné suite parce qu’on avait déjà trois joueurs sur ce poste, Nicolas Batum, Jérémy Leloup et Lamine Kante. Le dernier après-midi de test, Vincent Collet, le coach des pros, était en tribunes, je lui ai dit : je suis vraiment emmerdé, c’est un super gamin et un très bon joueur. Mais je ne regrette pas mon choix, fait en accord avec Vincent. Ensuite, son papa m’a demandé conseil et je l’ai orienté vers Le Havre. Ça n’aurait pas été correct de dégager quelqu’un pour le prendre. Et au final, ces quatre garçons sont devenus pros, Fabien a pu avoir des temps de jeu qu’il n’aurait peut-être pas eus au MSB. »\\n\\nDonc c’est au Havre que le Breton fit son apprentissage avec Jean-Manuel Souza et Christian Monschau. Cholet Basket paya ensuite un transfert pour l’acquérir et Fabien y joua l’Euroleague et en 2012, il fut élu MVP français après avoir compilé 16,2 points, 3,3 rebonds et 3,7 passes en Pro A, et encore mieux, 21,8 points en six matches d’Eurocup.\\n\\nC’est ainsi qu’il intéressa Vitoria. Il demeura quatre saisons au Pays Basque, devint capitaine du Baskonia, l’équipe joua le Final Four mais une blessure au dos l’écarta de l’épreuve. C’est ensuite à Bamberg où il s’est épanoui avant d’être sollicité par le Real Madrid.\\n\\nLe Real, un must au basket comme au foot. Un roster sans équivalent qualitativement et quantitativement avec des seigneurs espagnols comme Sergio Llull, Rudy Fernandez et Felipe Reyes, l’Américano-Slovène Anthony Randolph, le géant du Cap-Vert Edy Tavares (2,20m) et au sommet le joyau slovène Luka Doncic. Le meneur américain Randle Chasson y était au temps de jeu le quatorzième joueur ! Tout est à l’avenant. Là où il y a deux kiné à Vitoria, il y en a le double au Real.\\n\\n« Le staff médical et le temps de repos, c’est primordial aujourd’hui par rapport aux saisons que l’on a. On a énormément de matches, beaucoup de déplacements. A la fin, on n’a pas une grosse quantité d’entraînements. L’entraîneur sait très bien qu’il ne peut pas faire deux heures deux fois par jour comme on le faisait il y a quelques années. Pablo Lasso privilégie énormément la récupération. Il nous envoie souvent voir les kinés, les ostéos pour faire des révisions. »\\n\\nLa fameuse « pression médiatique » y est forcément plus forte qu’ailleurs. Madrid, c’est la capitale qui concentre beaucoup de médias dans un pays dingo de sport. Les sollicitations des journalistes sont constantes. De plus, au Real, il existe une chaîne de télé, le Real Madrid TV, qui suit en permanence ses basketteurs. Là aussi, c’est unique.\\n\\n« Quand j’en parle avec Thomas (Heurtel) qui est au Barça, on compare les deux clubs et ça n’a rien à voir. Il y a un engouement énorme vis-à-vis du Real Madrid. La télé nous suit pour tous les déplacements, elle est là à tous les entraînements pour faire des interviewes. On est constamment filmé, décortiqué. C’est ce qui m’a surpris le plus, que l’on soit médiatiquement aussi exposé mais on réussit à s’y habituer. Derrière, il faut réussir à garder la tête froide, ne pas se déconcentrer parce qu’il y a la télé qui nous regarde. »\\n\\nLe club entretient aussi des rapports entre les deux sections, celle du foot et du basket. Les deux centres d’entraînement son proches, des repas communs sont organisés, les basketteurs ont un espace VIP au Stade Santiago-Bernabeu où ils peuvent emmener famille et amis. Fabien en profite quand son agenda lui donne des ouvertures.\\n\\n« Le président vient voir tous nos matches à domicile. Il vient nous serrer la main après les victoires, évidemment. C’est quelque chose de très important pour un joueur d’avoir le soutien d’un président comme Florentino Perez. »\\n\\nLes rendez-vous manqués avec l’équipe de France\\n\\nAvant cette fenêtre internationale, Fabien Causeur comptait 29 sélections en équipe de France. C’est maigre. La dernière remontait aux Jeux de Londres, il y a déjà six ans. Son bâton de maréchal avec le championnat du Monde en Turquie en 2010. A Londres, Fabien, le MVP français de la Pro A, n’eut droit qu’à 18 minutes réparties en 3 matches et loupa ses cinq shoots. C’est ce qui s’appelle être discret. L’équipe de France, c’est une série de rendez-vous manqués essentiellement à cause de pépins physiques. Au point que l’on peut se demander s’il n’a pas été marabouté.\\n\\n« Beaucoup de gens me l’ont dit, mais je n’y ai pas cru. Il y a eu de la frustration à chaque fois qu’il y a eu une blessure même s’il faut l’accepter quand on est sportif de haut niveau. C’était des blessures qui n’étaient pas basket, pas de sport. J’ai eu une infection à un œil, un petit doigt de pied cassé car j’avais tapé dans un meuble en me levant le matin. C’était vraiment des trucs bêtes. Là, je suis vraiment content d’être de retour, d’être en bonne santé et je suis vraiment content de sentir que je peux apporter quelque chose à ce groupe. Chose que je n’avais pu faire sur les dernières campagnes. Je pense être dans la meilleure forme de ma carrière et avoir encore beaucoup à donner à ce groupe. Toutes ces campagnes je les ai vu à la télé. J’étais super content pour mes copains quand ils ont gagné une médaille mais j’aurais préféré être là pour soulever ces trophées avec l’équipe de France. Je suis persuadé que j’aurai d’autres opportunités. L’équipe de France dans les prochaines années gagnera quelque chose. »\\n\\nFabien insiste sur deux points, sur les talents, nombreux, de l’équipe présente en Bosnie et en Russie et sur le lien entre les joueurs :\\n\\n« Il y a une super alchimie entre ces générations. On s’entend vraiment très bien dans le groupe. On n’est pas le genre à juste s’entraîner. Derrière on est en chambre ensemble, on est toujours en train de rigoler, on passe du bon temps ensemble. C’est très important pour derrière retrouver ça sur le terrain. Il faut remercier ceux qui sont venus donner un coup de main en équipe de France pour les premières fenêtres. C’est génial d’avoir eu les quatre premières victoires. Maintenant, c’est à nous de continuer le travail sur cette fenêtre là et engendrer petit à petit cette qualification. »\\n\\nA Tuzla, l’équipe de France a été si dominante (+50) que l’on se gardera de décortiquer les prestations individuelles. Précisons seulement que Fabien a joué 16 minutes en marquant 7 points. En sortant du banc. Contrairement à la grande majorité de ses équipiers qui composent le Team France, il a l’habitude d’être utilisé parfois beaucoup et sur certains autres matches nettement moins.\\n\\n« Quand on me demande à quoi j’aspire en équipe de France, je réponds que je suis dans le même état d’esprit qu’en club. On a une équipe en club qui a 16-17 joueurs de très haut niveau. Il faut accepter qu’il y ait des matches où l’on joue moins. Quand un joueur de l’équipe joue très bien, il n’y a pas de raisons de le changer. En équipe de France, je pense que c’est la même chose. On a des joueurs de qualité, c’est super pour nous, il faut être prêt à chaque moment où Vincent (Collet) m’appellera comme lorsque Pablo Laso m’appelle en club. C’est vraiment ça que j’ai appris cette année. »\\n\\nLa concurrence est féroce. Vincent Collet ne l’a pas retenu pour le match contre la Russie ce soir à Krasnodar, lui préférant Edwin Jackson qui avait été mis en réserve face à la Bosnie.\\n\\nAu fait, que s’est-il passé dans les minutes qui ont suivi la finale de l’Euroleague lorsque les caméras de télévision ont changé de cadrage ?\\n\\n« Je me suis tourné vers Lucia, ma fiancée, qui m’épaule chaque jour, » a-t-il répondu à Ouest France. » Puis j’ai célébré avec mes coéquipiers. Ensuite, j’ai appelé la famille, qui était devant la télé, et qui a aussi bien célébré ! C’est exceptionnel pour un fils d’avoir ses parents qui crient de joie au téléphone, avec mes soeurs, les amis... Je suis fier de les rendre fiers ! »\\n\\nEt fier aussi de son appartenance à la Bretagne. Qu’est-ce que ça lui fait d’être le meilleur basketteur breton de tous les temps ?\\n\\n« C’est déjà le cas depuis quelques années ! » nous a-t-il répondu en riant.\\n\\n[armelse]\\n\\nLe néo-Madrilène a ainsi rejoint le club très fermé des Français devenus champions d’Europe ; ils sont 11 dont 8 Limougeauds de 1993 plus Antoine Rigaudeau et Nando De Colo. Point final. Aussi cela méritait les félicitations de ses équipiers tricolores lors du rassemblement à Nanterre.\\n\\n« C’est surtout l’accomplissement d’une saison difficile. Il y a beaucoup de travail derrière tout ça. Avoir tous tes coéquipiers qui te félicitent, c’est génial. Une fois que c’est fait, on repart au travail ! C’est mon meilleur match et pas seulement pour les points, mais vis-à-vis de l’événement. C’était une finale d’Euroleague, le match le plus important de ma carrière. J’étais dans un bon jour. Evidemment, c’est l’apothéose. Avant le Final Four, je me disais que même si je jouais très peu et que l’on était champion, tout le reste n’était pas important. Je suis très bien rentré dans le match. Le coach m’a donné du temps de jeu. Des fautes sont tombées sur des joueurs importants de l’équipe et ça m’a donné l’opportunité de briller. »\\n\\nFabien Causeur n’est pas un joueur qui attire spécialement la lumière mais il est bon partout. Dans les drives, dans les passes, dans le shoot à trois-points, en défense...\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Euroleague, Real Madrid et FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’intérieur américain Justin Harper quitte Villeurbanne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’intérieur américain Justin Harper (2,10m, 28 ans) ne sera pas villeurbannais la saison prochaine, indique le club dans un communiqué.\\n\\nAu cours de cette saison 2017-2018, Justin Harper a participé à toutes les rencontres officielles de l’ASVEL Basket soit 57 matchs, et en Jeep Elite, il a tourné à 8,7 points avec 44,5% de réussite à trois-points.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto: Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France U20 féminine: 3/3 au tournoi de Fougères"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Israël (81-39) et les Pays-Bas (64-35), l’équipe de France U20 féminine n’a pas rencontré davantage de problèmes pour battre l’Argentine (72-40) lors du tournoi de Fougères.\\n\\nC’est Kendra Chery (20 points, 4 rebonds) qui a été la plus remarquée.\\n\\nUn stage et un tournoi à Porto San Giorgio (Italie) puis un stage à Minsk (Biélorussie) attendent les Bleuettes avant le championnat du Monde à Minsk du 21 au 29 juillet.\\n\\nPhoto: Kendra Chery (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : le Zalgiris Kaunas aurait fait une offre à Nigel Williams-Goss"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Auteur d’une très belle saison rookie sous les couleurs du Partizan Belgrade, Nigel Williams-Goss (1,90m, 23 ans) attire l’oeil des équipes d’Euroleague.\\n\\nEn plus d’un intérêt de l’Olympiakos et Vitoria, l’ancien pensionnaire de Gonzaga est apprécié en Lituanie. Selon Eurohoops, l’ancien des Huskies de Washington aurait reçu une offre de deux ans de la part du Zalgiris Kaunas. Pour une première saison en tant que professionnel, le natif de Happy Valley a fait sensation tant en Ligue Adriatique, en championnat serbe qu’en Eurocup.\\n\\nCette saison, Nigel Williams-Goss compilait en moyenne 17,3 points, 3,4 rebonds et 7 passes décisives.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Danilo Gallinari veut jouer pour l’Italie en septembre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Absent lors de la troisième fenêtre de qualification qui s’est déroulée ce week-end pour l’Italie et qui s’est conclue par deux défaites, Danilo Gallinari (2,08m, 29 ans) compte bien répondre présent en septembre.\\n\\nTouché a la main, il n’a pas pu prendre part aux deux matchs face à la Croatie et aux Pays-Bas ce week-end, mais il devrait pouvoir faire son retour avec la Squadra Azzura dans deux mois.\\n\\n« Je confirme que je suis disponible pour jouer pour l’Italie et quand je lui ai parlé (au sélectionneur) il y a un mois, je lui ai dit que je ne jouerais pas car ma main était encore blessée et les Clippers ne m’ont pas permis de jouer, mais maintenant la main est guérie et j’adorerais jouer pour l’Italie. Je serai bientôt à Los Angeles pour m’entraîner et parler avec Clippers. La franchise doit me permettre de jouer pour l’équipe nationale, mais je ne vois aucun problème vu que je veux jouer, c’est bon pour eux car les matchs de l’Italie se déroulent avant le camp d’entraînement et j’arriverai à Los Angeles en forme. J’adorerais jouer pour l’Italie en septembre. »\\n\\nPremière du groupe D (4v-2d) pour les qualifications pour la Coupe du Monde 2019 avec une victoire d’avance sur les Pays-Bas, l’Italie aura tout de même besoin d’un grand Danilo Gallinari pour composter son ticket pour la Chine.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Chris Singleton (Panathinaïkos) vise la NBA et a dit non à plusieurs gros d’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En Europe depuis 2015, Chris Singleton (2,06m, 28 ans) ambitionne de retourner aux Etats-Unis et en NBA la saison prochaine.\\n\\nSelon Eurohoops, l’ancien joueur des Washington Wizards (2011-14) n’a pas l’intention de rester en Europe après l’été. En fin de contrat avec le Panatihnaïkos – qui ne lui a pas fait de nouvelle offre -, il aurait d’ailleurs refusé des propositions du CSKA Moscou, du Fenerbahce et de l’Anadolu Efes. Son objectif serait d’abord de signer en NBA ou sinon de s’engager en Chine en échange d’un très gros contrat.\\n\\nCette saison, Chris Singleton compilait en moyenne 9,4 points et 5,3 rebonds en championnat grec, et 10,3 points et 5,8 rebonds pour une évaluation de 12,5 en Euroleague. En Europe, il a remporté deux fois le championnat grec et une fois la coupe de Grèce.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"29 minutes de jeu avec l’Italie pour Niccolo Mannion (17 ans) contre les Pays-Bas"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Né le 14 mars 2001, Niccolo Mannion (1,93m) a vécu son premier match en tant qu’international sénior dimanche après-midi face aux Pays-Bas (défaite 81-66).\\n\\nA seulement 17 ans, le lycéen de Pinnacle (Phoenix) a eu droit à plus de 29 minutes de jeu pour son premier match chez les grands. Pour sa première sortie sous les ordres de Meo Sacchetti, le natif de Sienne a été en manque d’adresse avec 9 points à 3/10 aux tirs dont 2/7 à deux points, en plus de 2 rebonds, 1 interception et 2 ballons perdus pour une évaluation de 3.\\n\\nMême s’il n’a pas été lancé dans le cinq de départ, il a été très utilisé par le sélectionneur.\\n\\nVoici un aperçu de ce dont est capable Niccolo Mannion sur un terrain de basket.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France: La Minute Inside en direct de Krasnodar"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quelques images d’entraînement dans la salle de Krasnodar et une mini-interview de Nando De Colo pour La Minute Inside de la FFBB d’aujourd’hui.\\n\\nLe Russie-France est diffusé à 18h00 sur Canal+ Sport."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Clement Cavallo reste à Roanne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé en 2016, Clement Cavallo (2m, 27 ans) sera toujours le capitaine de la Chorale de Roanne à la rentrée, annonce le club.\\n\\nSorti de son meilleur exercice en carrière, l’ancien joueur du HTV a réalisé une très belle saison et sera toujours à la baguette du champion de France 2004 pour tenter une nouvelle fois de rejoindre la Jeep® ÉLITE. Son entraîneur, Laurent Pluvy s’est montré satisfait du rendement de son joueur.\\n\\n« Quelle saison ! Clément a effectué une remarquable saison 2017/18, avec une présence incroyable dans tous les compartiments du jeu que ce soit au niveau du rebond, de la défense des passes décisives du scoring et du combat bien sûr. C’est vraiment un pur bonheur pour un coach et pour ses coéquipiers de pouvoir compter sur ce garçon tellement généreux sur et en dehors du terrain. C’est la véritable âme de notre équipe, il est le garant de notre identité et de notre état d’esprit. Clément se bonifie avec l’âge et sa progression individuelle ainsi que son influence sur le groupe vont continuer d’évoluer à l’avenir. »\\n\\nCette saison en Pro B, Clement Cavallo compilait en moyenne 7,1 points, 6,5 rebonds et 2,5 passes décisives pour une évaluation de 13.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : Chorale Roanne Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : le Maccabi Tel Aviv ou l’Anadolu Efes pour récupérer Scottie Wilbekin ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"MVP de la saison régulière d’Eurocup et de sa finale, Scottie Wilbekin (1,88m, 25 ans) est l’objet de nombreuses convoitises. Après le Fenerbahce et l’Anadolu Efes, le Maccabi Tel Aviv se renseignerait sur comment faire signer le neo Turc.\\n\\nSelon David Pick, le club israélien serait entré en contact avec le Dacka Dogus pour trouver un moyen de libérer l’ancien joueur de l’AEK Athènes de son contrat dans lequel il ne dispose d’aucune clause de sortie. Encore sous contrat, le natif de Gainesville doit toucher 1,3 million d’euros la saison prochaine en Turquie. Toujours selon le journaliste, le champion d’Euroleague 2014 serait sur le point de trouver un accord avec le club stambouliote pour signer Scottie Wilbekin jusqu’en 2020 avec des options pour prolonger.\\n\\nD’un autre côté, Eurohoops annonce que le nouvel international turc devrait rejoindre l’Anadolu Efes pour deux ans. Les deux clubs stambouliote seraient tombés d’accord sur un buy-out pour transférer l’ancien pensionnaire de Florida. Son nouveau contrat inclurait une clause de départ pour la NBA à partir de 2019.\\n\\nCette saison, Scottie Wilbekin qui compilait en moyenne 17,8 points, 2,4 rebonds, 5 passes décisives et 1,2 interception par match entre le championnat et l’Eurocup.\\n\\n\\n\\n\\nSource: Macabi Tel Aviv are bound to score a deal that'll land EuroCup MVP Scottie Wilbekin in Israel through 2020 with options to extend in the future.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) July 1, 2018\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Edwin Jackson : «J’ai discuté avec l’ASVEL...  On verra peut-être l’année prochaine étant donné qu’ils devraient avoir l’Euroleague»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Actuellement avec l’Equipe de France pour la troisième fenêtre de qualification pour la Coupe du Monde 2019, Edwin Jackson a répondu à quelques questions lors d’un point presse au Palais des Sports Maurice-Thorez de Nanterre la semaine dernière.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComment s’est passé votre nouvelle signature à Podgorica ? Vous avaient-ils déjà sollicité ?\\n\\nOui, j’avais déjà parlé avec le coach, mon agent est proche de lui. J’avais envie de me retrouver dans une situation où j’allais avoir des responsabilités et là c’est parfaitement tombé parce que c’est un club que tout le pays supporte. Ce n’est pas un club nation comme peut l’être le Maccabi Tel Aviv, mais c’est quand même dont tous les Monténégrins sont fiers. Le club fait son retour en Euroleague – c’était attendu depuis longtemps -, ils ont grandement rénové la salle et il y a toujours une bonne ambiance. Je connais plusieurs joueurs qui y jouaient cette année, comme Justin Doellman avec qui j’ai évolué à Barcelone. J’ai aussi parlé au coach, ça m’a paru être un bon challenge dans une bonne situation pour jouer mon jeu et m’exprimer en Euroleague.\\n\\nVous parlez de bonne situation, qu’en a-t-il été de votre retour à Barcelone ?\\n\\nÇa ne s’est pas du tout passé comme je l’attendais pour une simple raison : le coach qui me voulait, qui m’a recruté a été remercié deux jours après mon arrivée. Forcément, les cartes ont été redistribuées, ça a été un tout autre type de jeu. Je ne cache pas que ça a été une situation très frustrante et qui ne m’a pas plu. Je suis, en plus, arrivé dans une équipe qui ne tournait pas forcément bien, je pensais que ça allait être un bon challenge pour essayer de redresser la barre mais ça ne s’est finalement pas du tout passé comme prévu. C’était compliqué, mais c’est le haut niveau et ça arrive.\\n\\nConnaissez-vous déjà le rôle que vous aurez au Monténégro ?\\n\\nÇa doit ressembler à ce que j’avais à l’Estudiantes. Je suis le seul étranger sur le poste 2 donc je devrais commencer les matchs avec Aaron Craft. C’est quelque chose qui m’a plu quand ils m’ont recruté. Le coach m’a dit que si je ne venais pas ils allaient prendre un meneur plus scoreur pour mettre des points alors que si je venais, j’allais avoir beaucoup de responsabilités dans le jeu, que je serai amené à jouer beaucoup plus de situations et qu’il prendrait donc un joueur plus défensif sur le poste 1. Je suis content parce que le recrutement d’Aaron Craft va dans le sens des choses que le coach a pu me promettre. J’ai hâte de voir comment ça va se passer, je sais que c’est un vrai pays de basket où il existe un vrai engouement. Je sais aussi que c’est un très beau pays parce que j’y suis déjà allé. C’est une destination qui est moins connue et moins exotique que certaines, mais pour y être allé, c’est vraiment un très beau pays où les gens sont accueillants. J’espère que ça va bien se passer, mais je n’ai pas de doute.\\n\\nJustement, avez-vous suivi un peu la saison d’Aaron Craft qui a fait forte impression de par ses qualités défensives avec Monaco ?\\n\\nOui, c’est un gros client en défense. Il a décroché plusieurs trophées de meilleur défenseur des championnats dans sa carrière. On le connait, c’est le point fort de son jeu. Je pense que je vais apprécier jouer avec lui. J’ai pu jouer avec Omar Cook à l’Estudiantes, qui est un peu le même type de joueur qui est un gros défenseur et un bon passeur qui fait d’abord jouer les autres, ça m’a vraiment réussi donc j’espère que ça se passera bien.\\n\\n« La stabilité c’est surtout quand tu as une famille avec toi. Personnellement, ça ne me dérange pas. Au contraire, même. »\\n\\nN’avez-vous pas envie de trouver une situation dans laquelle vous poser maintenant ?\\n\\nNon pas forcément. La stabilité c’est surtout quand tu as une famille avec toi. Personnellement, ça ne me dérange pas. Au contraire, même. Pouvoir profiter du basket pour voir du monde, pour voir du pays, pour voir des situations différentes ça ne me dérange pas. Si je suis dans une super situation pour trois ou quatre ans, dans un club compétitif qui gagne l’Euroleague tous les ans ou qui peut y prétendre, bien sûr que ça me ferait plaisir. Si ce n’est pas le cas, tant que je ne serai pas dans une situation qui ne me plait pas vraiment, je n’ai pas d’intérêt à rester. En plus je garde des bons souvenirs de partout où je suis passé, même à Barcelone cette année alors que ça ne s’est pas passé comme je le voulais. Ça fait des expériences, ça forge le caractère. Ça ne me dérange vraiment pas de bouger.\\n\\nPensez-vous à un retour à l’ASVEL qui affiche de grosses ambitions européennes ?\\n\\nCe n’est pas impossible. Je parle tout le temps avec Tony Parker, de qui je suis très proche. Je ne sais pas trop quoi répondre, j’ai l’impression qu’on veut que je dise « dans trois ans je signe à l’ASVEL ». Je ne sais pas, peut-être que ça fera, mais peut-être aussi que ça ne se fera pas. Je ne suis pas contre s’il y a un beau projet et si le sportif s’aligne avec le financier. A l’heure actuelle ce n’est pas le cas, même si j’ai parlé avec l’ASVEL et Tony pour savoir ce qu’ils faisaient. On verra peut-être l’année prochaine étant donné qu’ils devraient avoir l’Euroleague. Je souhaitais continuer en Euroleague à la rentrée, mais l’ASVEL ne jouera « que » l’Eurocup. Ça reste un club pour lequel j’éprouve un amour fou.\\n\\nEt la NBA ?\\n\\nJ’y pense encore... Il y en a qui y vont tard comme Milos Teodosic qui a signé son contrat rookie à 30 ans. Ce n’est pas non plus une obsession. Ce n’est pas une question que je me pose au quotidien. J’essaye de progresser, d’être le meilleur joueur possible. Si la NBA ça vient tant mieux, si ça ne vient pas tant pis. Si j’ai de vraies situations disponibles en Europe où je peux me faire plaisir pour jouer au basket, je ne vais pas aller en NBA pour jouer cinq minutes.\\n\\n[armelse]\\n\\nComment s’est passé votre nouvelle signature à Podgorica ? Vous avaient-ils déjà sollicité ?\\n\\nOui, j’avais déjà parlé avec le coach, mon agent est proche de lui. J’avais envie de me retrouver dans une situation où j’allais avoir des responsabilités et là c’est parfaitement tombé parce que c’est un club que tout le pays supporte. Ce n’est pas un club nation comme peut l’être le Maccabi Tel Aviv, mais c’est quand même dont tous les Monténégrins sont fiers. Le club fait son retour en Euroleague – c’était attendu depuis longtemps -, ils ont grandement rénové la salle et il y a toujours une bonne ambiance. Je connais plusieurs joueurs qui y jouaient cette année, comme Justin Doellman avec qui j’ai évolué à Barcelone. J’ai aussi parlé au coach, ça m’a paru être un bon challenge dans une bonne situation pour jouer mon jeu et m’exprimer en Euroleague.\\n\\nVous parlez de bonne situation, qu’en a-t-il été de votre retour à Barcelone ?\\n\\nÇa ne s’est pas du tout passé comme je l’attendais pour une simple raison : le coach qui me voulait, qui m’a recruté a été remercié deux jours après mon arrivée. Forcément, les cartes ont été redistribuées, ça a été un tout autre type de jeu. Je ne cache pas que ça a été une situation très frustrante et qui ne m’a pas plu. Je suis, en plus, arrivé dans une équipe qui ne tournait pas forcément bien, je pensais que ça allait être un bon challenge pour essayer de redresser la barre mais ça ne s’est finalement pas du tout passé comme prévu. C’était compliqué, mais c’est le haut niveau et ça arrive.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde: Battue par le Monténégro, la Slovénie est en mauvaise posture"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sans son trio magique Goran Dragic, Luka Doncic et Antony Randolph, l’équipe nationale de Slovénie n’a plus rien à voir avec celle qui a été sacrée championne d’Europe l’été dernier. La preuve, elle a été humiliée hier à Ljubljana 74-87 par le Monténégro.\\n\\nLes Slovènes ont complètement failli dans l’adresse aux tirs (37,1%) et dans les premier (14-24) et quatrième quart-temps (18-29).\\n\\nC’est l’ancien joueur de Levallois Klemen Prepelic qui a été le plus prolifique (15 points) mais avec seulement 4 paniers en 12 shoots. Du côté du Monténégro, c’est l’ailier de Bonn Nemanja Djurisic (2,03m, 26 ans) qui a été le top scoreur (23 points) alors que l’arrière de Podgorica Nikola Ivanovic (1,90m, 24 ans) et l’intérieur de Saragosse Milko Bjelica (2,07m, 34 ans) ont obtenu la meilleure évaluation (20).\\n\\nCette victoire permet au Monténégro (3 victoires et 3 défaites) de prendre la deuxième place du groupe derrière l’Espagne (6-0). La Slovénie (2-4) ne devance que la Biélorussie (1-5) et se retrouve en position très délicate avant d’aborder la deuxième phrase où elle va croiser avec la Turquie (4-2), la Lettonie (4-2) et l’Ukraine (3-3).\\n\\nPhoto: Klemen Prepelic (Slovénie)"
}, 
{"role": "user",     "content":"A 36 ans, Vassilis Spanoulis devrait rempiler deux saisons à l’Olympiakos"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"D’après la presse du pays, l’icône du basket grec, Vassilis Spanoulis va nouer un nouveau contrat de deux ans avec Olympiakos Le Pirée. Celui-ci lui assurerait 900 000 euros chaque année plus 200 000 euros en bonus.\\n\\nSpanoulis (1,93m) aura 36 ans en août prochain. Il est le meneur d’Olympiakos depuis 2010 après avoir fait ses classes à Larissa et Maroussi puis chez le rival Panathinaikos avant de passer une saison aux Houston Rockets.\\n\\nA son palmarès on trouve 3 Euroleague, trois trophées de MVP du Final Four, un de la saison régulière, 7 titres de champion de Grèce, plus un titre de champion d’Europe avec l’équipe nationale (2005) et une médaille d’argent au championnat du monde (2006).\\n\\nIl est par ailleurs le scoreur numéro 1 de l’histoire de la ligue grecque.\\n\\nPhoto: Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Israël : Amar’e Stoudemire dément avoir signé avec l’Hapoel Jerusalem"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Annoncé officiellement par l’Hapoel Jerusalem, Amar’e Stoudemire a rapidement nié avoir signé pour le club dont il est actionnaire.\\n\\nSur Instagram, l’ancien joueur des Phoenix Suns a commenté le post de son club qui l’annonçait sortant de sa retraite pour reporter le maillot du club avec lequel il a été champion d’Israël en 2017.\\n\\n« C’est faux. Ce n’est pas vrai. Je n’ai pas signé de contrat. Désolé les fans. Ce n’est pas vrai. Désolé pour la confusion, mais je vais parler à Hapoel Jérusalem. »\\n\\nDans la foulée, le club a tenu à s’excuser auprès du joueur.\\n\\n« Si Amar’e a été blessé par le timing de l’annonce, nous nous excusons et nous sommes sûrs qu’il nous rejoindra la saison prochaine s’il ne joue pas en NBA. »\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Championnat du Monde U17: La France pulvérise les Philippines, +41"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après l’Argentine, l’équipe de France a accroché les Philippines à son tableau de chasse (95-54) lors de la deuxième journée du championnat du Monde U17 qui se déroule actuellement à Santa Fé.\\n\\nEncore accrochés à la mi-temps (+6), les Bleuets ont provoqué une violente accélération dans le troisième quart-temps (35-13). Les Philippins n’ont marqué que 9 points dans les 10 dernières minutes.\\n\\nAvec 18 points, Malcolm Cazalon se retrouve de nouveau le top-scoreur français devant Matthieu Gauzin (16), Killian Hayes (14) et Théo Maledon (14).\\n\\nPhoto: Mathieu Gauzin"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ce soir, Boris Diaw va égaler le sélections de sélections de sa mère, Elisabeth Riffiod"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce soir, à Krasnodar, contre la Russie, Boris Diaw, 36 ans, va connaître sa 247e sélection. C’est un chiffre important pour lui, magique même puisqu’il s’agit du total obtenu par sa mère, Elisabeth Riffiod (1,87m, née en 1947).\\n\\nAlors à Pau, Boris a commencé la série il y a seize ans par une victoire sur la Pologne à Wloclawek (78-70) dans le cadre des qualifications à un championnat d’Europe. Il n’avait pas marqué un point mais pour lui ça n’a jamais eu grande importance. Depuis, il n’a pas manqué beaucoup de rendez-vous, ce qui en a fait un exemple pour tous.\\n\\nSa mère fut le pivot du Clermont Université Club de l’âge d’or, celui des années soixante-dix et aussi de l’équipe de France qui remporta la médaille d’argent au championnat d’Europe de 1970. Une grande première pour les Françaises. Sa carrière internationale s’échelonna de 1967 à 1980 lorsque l’équipe nationale échoua pour se qualifier aux Jeux Olympiques de Moscou. Boris né deux ans plus tard a été élevée dans la mémoire des performances sportives de sa mère qui en terme de sélections est troisième sur le podium derrière Céline Dumerc (262) et Paoline Ekambi (254).\\n\\nBoris porte le numéro 13 sur son maillot, le même numéro que Elisabeth.\\n\\nLeur nombre de sélections est à égalité mais Elisabeth a totalisé un nombre de points bien supérieur à celui de son fils, 2 478 contre 2 085. Seule Isabelle Fijalkowski (2 567) a fait mieux chez les femmes.\\n\\nOn ne sait toujours pas si Boris a l’intention de poursuivre sa série avec l’équipe de France en septembre.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: La visite de Rudy Gobert en Guadeloupe, l’Ile de son père"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Rudy Gobert est né à Saint-Quentin mais son père Rudy Bourgarel, lui-même ancien international, est originaire de la Guadeloupe et le pivot des Utah Jazz a visité l’île juste avant de recevoir son trophée de Meilleur Défenseur de NBA et de rejoindre l’équipe de France pour les deux matches contre la Bosnie et la Russie. Jeep Guadeloupe a réalisé ce reportage sur lui.\\n\\nhttps://www.facebook.com/JeepGuadeloupe/videos/1953329894687539/UzpfSTU3NjM3MTA0NzoxMDE1NTcxNjAxMTQwNjA0OA/"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France: Edwin Jackson et Mathias Lessort contre la Russie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vincent Collet a intégré Edwin Jackson et Mathias Lessort à l’équipe de France pour jouer demain à Krasnodar contre la Russie le dernier match ce 1er tour des qualifications à la Coupe du Monde 2019. Ils remplacent Fabien Causeur et Alain Koffi.\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\nNom\\nNaissance\\nTaille\\nPoste\\nClub 2017/2018\\n\\n\\nAndrew\\nALBICY\\n21/03/1990\\n1,78\\nMeneur\\nMoraBanc Andorra (Espagne)\\n\\n\\nNicolas\\nBATUM\\n14/12/1988\\n2,03\\nAilier\\nCharlotte Hornets (NBA)\\n\\n\\nNando\\nDE COLO\\n23/06/1987\\n1,96\\nArrière\\nCSKA Moscou (Russie)\\n\\n\\nBoris\\nDIAW\\n16/04/1982\\n2,03\\nAilier fort\\nLevallois Metropolitans\\n\\n\\nMoustapha\\nFALL\\n23/02/1992\\n2,18\\nPivot\\nSakaraya Buyuksehir (Turquie)\\n\\n\\nEvan\\nFOURNIER\\n29/10/1992\\n1,99\\nAilier\\nOrlando Magic (NBA)\\n\\n\\nRudy\\nGOBERT\\n26/06/1992\\n2,15\\nPivot\\nUtah Jazz (NBA)\\n\\n\\nThomas\\nHEURTEL\\n10/04/1989\\n1,88\\nMeneur\\nFC Barcelone (Espagne)\\n\\n\\nEdwin\\nJACKSON\\n18/09/1989\\n1,90\\nArrière\\nFC Barcelone (Espagne)\\n\\n\\nPaul\\nLACOMBE\\n12/06/1990\\n1,90\\nAilier\\nAS Monaco\\n\\n\\nMathias\\nLESSORT\\n29/09/1995\\n2,05\\nAilier fort\\nEtoile Rouge Belgrade (Serbie)\\n\\n\\nVincent\\nPOIRIER\\n17/10/1993\\n2,13\\nPivot\\nVitoria (Espagne)\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: Mathias Lessort"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges: Axel Bouteille n’est pas certain de rester au CSP"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Né à Roanne, Axel Bouteille (2,00m, 23 ans) se sent Varois, le département où il a grandi et dont il porte le numéro « 83 » sur son maillot. Le fils de l’ancien joueur de Pro A, Franck Bouteille, donne une interview au quotidien Var Matin où il évoque différents thèmes, son père, son frère, le HTV, l’équipe de France et forcément le Limoges CSP.\\n\\nS’il se dit fier de porter se maillot et satisfait de la saison de l’équipe (demi-finaliste de la Jeep Elite, top 16 de l’Eurocup), on ne le sent qu’à moitié satisfait de son parcours individuel (21′ de jeu pour 9,5 points et 10,5 d’évaluation).\\n\\n« On aimerait toujours jouer plus. Il y a effectivement une certaine frustration mais il faut respecter les décisions du coach. Cela amène aussi une réflexion quant à mon avenir. »\\n\\nLe sujet est creusé dans la question suivante et il apparaît que le néo-international n’est pas certain de demeurer au CSP:\\n\\n« Pour le moment je suis dans l’expectative! Je vais réfléchir, peser le pour et le contre sur la suite à donner. Je ne suis pas en mesure de vous donner une réponse pour le moment, j’en ferai l’annonce d’ici à quelques semaines. »\\n\\nLe joueur en profite pour complimenter les supporters limougeauds...\\n\\n« C’est sans doute le meilleur public de France. La ferveur est tout aussi présente en ville, vous croisez tout le temps des supporters qui n’attendent qu’une seule chose: le match à Beaublanc. »\\n\\n... qui ne souhaitent qu’une chose: qu’il demeure au CSP!"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France U20: Deux défaites et une victoire lors d’un tournoi en Espagne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors d’un tournoi à Barakaldo, en Espagne, l’équipe de France U20 a concédé deux défaites pour une victoire. Les Français ont tout d’abord été battus par l’Espagne (48-54) avec 11 points de Bastien Vautier et par une sélection du Pays Basque (54-70) avec 17 points de Bathiste Tchouaffé, avant de s’imposer à l’Allemagne (72-50) avec 16 points de Ivan Février.\\n\\nLe reste du programme:\\n\\nTournoi à Istanbul (Turquie) du 3 au 7 juillet 2018\\n\\nStage à Chemnitz (Allemagne) du 11 au 13 juillet 2018\\n\\nChampionnat d’Europe à Chemnitz (Allemagne) du 14 au 22 juillet\\nSamedi 14 juillet à 20h15 :France – Croatie\\nDimanche 15 juillet à 15h45 : Espagne – FranceLundi 16 juillet à 13h30 : Ukraine – France\\nMercredi 18 juillet : Huitièmes de finale\\nJeudi 19 juillet : Quarts de finaleSamedi 21 juillet : Demi-finales\\nDimanche 22 juillet : Finale"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie: Adrien Moerman quitte le Barça pour Anadolu Efes Istanbul"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Sportando, Adrien Moerman (2,01m, 29 ans) quitte l’Espagne et le FC Barcelone pour Anadolu Efes Istanbul avec qui il a signé un contrat de deux ans.\\n\\nL’ancien Limougeaud connaît bien le championnat turc pour avoir joué à Banvit (2015-16) et Darussafaka (2016-17). A Anadolu, il retrouvera un autre Français, le Guadeloupéen Rodrigue Beaubois en provenance de Vitoria.\\n\\nAvec le Barça, il a cumulé 7,6 points and 5,5 rebonds en 30 matches d’Euroleague."
}, 
{"role": "user",     "content":"Lassi Tuovi retourne à Strasbourg comme assistant-coach"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Finlandais Lassi Tuovi, 31 ans, retourne à Strasbourg comme assistant de Vincent Collet, notamment en charge du scouting, indique l’agent Laurent Cabut.\\n\\nAssistant-coach dans l’équipe de Finlande de Erik Dettmann, Lassi Tuovi avait occupé la même fonction lorsque son mentor avait pris le coaching de la SIG à la rentrée 2016 et avait poursuivi sa mission jusqu’à la fin de la saison alors que celui-ci avait été remplacé par Vincent Collet. Il fut ensuite celui de Julien Mahé à Gravelines pour la saison 2017-18. Lassi Tuovi fut notamment préalablement assistant-coach au Besiktas Istanbul.\\n\\nLa SIG a par ailleurs confirmé, il y a quelques jours, l’autre assistante Lauriane Dolt.\\n\\nhttps://twitter.com/laurentcabut/status/1013345621036687361"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde: Le Sénégal s’impose à la Côte d’Ivoire, 66-61, grâce à un Gorgui Dieng (Timberwolves) impérial"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’intérieur des Minnesota Timberwolves Gorgui Dieng (2,11m, 28 ans) a réalisé un double double (14 points et 15 rebonds) qui a permis au Sénégal de s’imposer, 66-61, à la Côte d’Ivoire lors d’un match de qualifications à la Coupe du Monde 2019.\\n\\nA signaler également les performances du meneur de Tarbes-Lourdes Xane D’Almeida (11 points, 4 passes), du pivot de Bourg Youssoupha Ndoye (6 points, 6 rebonds) et encore de l’ailier de Rueil Maleye Ndoye (6 points) côté sénégalais et de Solo Diabate, meilleur marqueur dans le camp ivoirien avec 12 points.\\n\\nPhoto: Gorgui Dieng (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ancienne star de NBA, Amar’e Stoudemire sort de sa retraite et retourne à l’Hapöel Jerusalem"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ancienne star de la NBA Amar’e Stoudemire (2,11m, 35 ans) a décidé de sortir de sa retraite et de re-signer à l’Hapoël Jerusalem a indiqué le journaliste israélien David Pick avant que le club apporte une confirmation officielle. La seule réserve est qu’il ne trouve pas un contrat en NBA.\\n\\nStoudemire a cumulé 846 matches en NBA à 18,9 points de moyenne principalement à Phoenix et New York. Converti au judaïsme, il avait investi dans l’Hapöel depuis plusieurs années avant de s’engager comme joueur pour la saison 2016-17. Il avait été élu alors dans la All-Eurocup second team et contribué à la victoire de son équipe dans le championnat israélien.\\n\\n\\n\\n\\nAmar'e Stoudemire agreed to come out of retirement to re-sign in Israel with Hapoel Jerusalem on condition that he doesn't score a deal in the NBA.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) July 1, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"3×3: Les deux équipes de France qualifiées pour la Coupe d’Europe à Bucarest"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les deux équipes de France 3×3 féminine et masculine se sont qualifiées hier à Poitiers pour la Coupe d’Europe 3X3 qui aura lieu du 14 au 16 septembre à Bucarest, en Roumanie. Les deux équipes ont gagné tous leurs matches.\\n\\nVendredi 29 juin\\nFemmes : France – Turquie : 20-4\\nHommes : France – Israël : 21-13\\nHommes : France – Italie : 22-18\\nFemmes : France – République Tchèque : 15-9\\n\\nSamedi 30 juin\\nFemmes : France – Biélorussie : 17-7\\nHommes : France – Monténégro : 19-11\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPRÉNOM\\nNAISSANCE\\nCLUB\\n\\n\\n\\n\\nFILIP\\nAna Maria\\n20/06/1989\\nCharleville\\n\\n\\nFOUASSEAU\\nJenny\\n09/01/1992\\nHainaut\\n\\n\\nPAGET\\nMarie Eve\\n28/11/1994\\nCharleville\\n\\n\\nTOURE\\nMamignan\\n19/12/1994\\nNice\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nBRONCHARD\\n\\n\\n\\n\\nCharles Henri\\n\\n\\n\\n\\n15/11/1982\\n\\n\\n\\n\\nVichy Clermont\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nCHRISTOPHE\\n\\n\\n\\n\\nAnthony\\n\\n\\n\\n\\n04/03/1983\\n\\n\\n\\n\\nLe Cannet\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nGENTIL\\n\\n\\n\\n\\nDominique\\n\\n\\n\\n\\n18/05/1988\\n\\n\\n\\n\\nChallans\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nTSAGARAKIS\\n\\n\\n\\n\\nAngelo\\n\\n\\n\\n\\n03/06/1984\\n\\n\\n\\n\\nKymis (Grèce)\\n\\n\\n\\n\\n\\nTop Scorers:\\n\\nHommes\\nRaz Nisim Cohen (Israël): 10,3\\nDominique Gentil (France): 9,0\\nWen Boss Mukubu (Belgique): 8,3\\nMilos Milosevic (Montenegro): 6,3\\nNauris Miezis (Lettonie): 5.6\\n\\nFemmes\\nNatallia Dashkevich (Biélorussie): 9,25\\nKarina Szczurewska (Pologne): 8,4\\nAna Maria Filip (France): 8,0\\nKrystyna Filevych (Ukraine): 7,25\\nElin Gustavsson (Suède): 6,0\\n\\n7 équipes ont sécurisé leur billet pour la Coupe d’Europe la semaine dernière à Andorre et 15 équipes ont assuré leur place jusqu’à présent:\\n\\nFemmes: Italie, Serbie, Espagne, Hongrie, France, Ukraine, République tchèque et Biélorussie\\n\\nHommes: Slovénie, Hongrie, Suisse, Lettonie, France, Belgique et Russie."
}, 
{"role": "user",     "content":"Championnat du Monde U17: Les Etats-Unis pulvérisent la Chine, 115-37"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Chinois se souviendront certainement de leur match face aux Etats-Unis lors de la première journée du championnat du monde U17 en Argentine. Ils ont pris une déculottée qui fait très mal au moral, 115-37 soit 78 points d’écart. On n’imaginait même pas que ce soit encore possible en 2018.\\n\\nUne victoire collective pour les Américains puisque les 12 joueurs ont scoré au minimum 4 points. Ils ont dominé partout évidemment notamment dans les passes décisives, 23 à 3, et dans l’adresse générale, 55,4% à 27,5%. En apéritif, les Américains ont mené 24 à 1.\\n\\nEn préparation, les Etats-Unis ont battu la France 81-46 et sont bien sûr archi favoris de la compétition.\\n\\nLe match ou plutôt la boucherie est à découvrir ci-dessous:\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France U17 féminine: Deux victoires au tournoi de Fougères"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Deux larges victoires pour l’équipe de France U17 féminine au tournoi de Fougères, Ile-et-Vilaines, l’une face à Israël (81-39) et l’autre face aux Pays-Bas (64-35).\\n\\nLes Bleuettes ont mis une mi-temps contre les Néerlandaises pour se dégager au score avec Iliana Rupert (8 points) efficace à l’intérieur. Janelle Salaun (14 points) et Johanna Ewodo (11) ont été les meilleures marqueuses.\\n\\nLa France va jouer cet après-midi l’Argentine en conclusion du tournoi.\\n\\nPhoto: Janelle Salaun (Reims)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Haïti a été exclu de la Coupe des Amériques pour avoir utilisé neuf joueurs nés aux Etats-Unis"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il n’y a pas qu’en Europe que les nationalités posent parfois des problèmes insolubles. Haiti a disputé les pré-qualifications de la Coupe des Amérique 2021 pour la zone des Caraïbes, qui s’est déroulé à Paramaribo, la capitale du Suriname du 24 au 30 juin.\\n\\nC’était le retour sur la scène internationale de l’île des Caraïbes après 37 ans d’absence avec à sa tête le coach américain Matthew Brase qui avait comme assistants deux compatriotes. Haiti en était à quatre victoires de suite et pouvait envisager la première place, mais...\\n\\nA quelques heures de la demi-finale contre le Suriname, la Fédération Internationale a pris la décision de disqualifier l’équipe haïtienne au motif que neuf des joueurs qui la composaient étaient nés sur le sol américain, en invoquant l’article 3.21 des règlements. Ainsi, lors du premier match contre la Barbade, Jeantal Cylla, qui habite en Floride, et qui est passé par North Carolina s’est fendu de 33 points et 8 rebonds.\\n\\nLa mesure a provoqué la colère de la délégation haïtienne et de la Fédération Haïtienne de Basket-ball (FHB) qui a informé la FIBA :\\n\\n« de sa décision de faire appel devant le Tribunal d’Arbitrage Sportif (...) Les arguments seront présentés afin que la meilleure décision pour le développement du sport en Haïti soit favorisée (...) Tous les joueurs de notre liste sont des haïtiens à part entière et ne sont pas naturalisés. » Une personne née d’un parent haïtien obtient automatiquement la nationalité haïtienne, quelque soit son pays de naissance.\\n\\nLa fédération haïtienne n’a pas digéré non plus que quelques heures après la disqualification du reste des éliminatoires de l’Americup, la FIBA a forcé sa sélection à disputer un match de classement face à Sainte Lucie, la menaçant d’une amende de 25 000 dollars et d’une exclusion de toutes compétitions de la FIBA pendant cinq ans, si Haïti refusait de disputer ce match."
}, 
{"role": "user",     "content":"Allemagne: Ainars Bagatskis nouveau coach de Bamberg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Letton Ainars Bagatskis, 51 ans, est devenu officiellement le coach du club allemand de Brose Bamberg.\\n\\nAprès une carrière de joueur qui l’a emmené notamment à la JDA Dijon de 2000 à 2001, Ainars Bagatskis réalise depuis une solide carrière de coach. Champion de Lituanie en 2006 avec le Zalgiris Kaunas et il a été aussi celui du Maccabi Tel-Aviv. Parallèlement, il est devenu le sélectionneur de la sélection nationale de Lettonie."
}, 
{"role": "user",     "content":"3×3: Caroline Hériaud (La Roche) est devenue la numéro 1 au ranking mondial !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A la faveur de la médaille d’or obtenue aux Jeux Méditerranéens, Caroline Hériaud (1,65m, 21 ans) est devenue la numéro 1 au ranking mondial des joueuses de 3×3. Elle passe ainsi devant les Chinoises et les Andorranes alors que Alice Nayo est septième.\\n\\nCaroline Hériaud évolue habituellement comme meneuse à La Roche Vendée en Ligue Féminine et a compilé 6,5 points et 3,9 passes la saison dernière.\\n\\nLes Bleues passent de la 7e à la 6e place mondiale sachant que les quatre premières fédérations au ranking mondial se qualifient directement pour les Jeux de Tokyo en 2012.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Summer League NBA: David Michineau (Clippers), Alpha Kaba (Hawks) et Freddy Fauthoux (Spurs) en action"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les franchises NBA annoncent leurs rosters pour les summer leagues et c’est ainsi que l’on apprend que l’ancien meneur de jeu de Cholet David Michineau (1,91m, 24 ans) est inclus dans le roster des Los Angeles Clippers alors que l’intérieur de Villeurbanne Alpha Kaba est présent dans celui des Atlanta Hawks.\\n\\nDavid Michineau a été drafté en 2016 en 39e position par les New Orleans Pelicans avant que ses droits soient cédés aux Clippers. Il a signé il y a quelques jours à Levallois. La même année, Alpha Kaba était drafté en 60e position par les Hawks.\\n\\nLe coach des Levallois Metropolitans Freddy Fauthoux est quant à lui invité comme assistant des San Antonio Spurs.\\n\\nPhoto: David Michineau (CB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Championnat du monde U17: Entrée en fanfare des Bleuets contre l’Argentine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour ses débuts au championnat du monde U17 à Santa Fé, en Argentine, l’équipe de France n’a pas fait de cadeau au pays organisateur l’emportant 82-50 après lui avoir infligé un cinglant 25-8 dans le deuxième quart-temps.\\n\\nAvec 19 points, le Villeurbannais Malcolm Cazalon a été le top-scoreur des Bleuets. Kilian Hayes (13 points et aussi 5 interceptions), Théo Maledon et Timothé Crusol (11 points chacun) sont les trois autres qui ont le plus alimenté la marque. Les deux équipes ont fait un festival de balles perdues: 29 pour l’Argentine et aussi 23 pour la France.\\n\\nAujourd’hui, à 23h15, heure française, la France affronte les Philippines qui ont perdu cette nuit face à la Croatie, 75-97.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Malcom Cazalon (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Quand les Bleus du basket supportent les Bleus du foot"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Egalement sur le sol russe puisqu’ils jouent lundi l’équipe nationale à Krasnodar pour le compte des éliminatoires de la Coupe du Monde, les Bleus du basket ont supporté ceux du foot et étaient fous de joie après leur victoire sur l’Argentine, 4-3.\\n\\nLa preuve par l’image avec cette vidéo de la FFBB."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le chiffre: 17 NBAers européens présents à cette fenêtre FIBA sur... 56 !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est Eurohoops qui l’a calculé: sur les 56 Européens présents la saison écoulée en NBA, seulement 16 participent à cette fenêtre de qualification à la Coupe du Monde 2019.\\n\\nLe site anglophone félicite la France pour avoir le plus fort contingent de joueurs NBA (Nicolas Batum, Evan Fournier et Rudy Gobert) -avec la Croatie- mais aussi d’avoir rassemblé ses joueurs majeurs d’Euroleague.\\n\\nDu côté des NBAers, il y a aussi Timofey Mozgov (Russie) Dennis Schroder et Max Kleber (Allemagne), Jakob Poeltl (Autriche), Lauri Markkanen (Finlande), Boban Marjanovic (Serbie), Dario Saric, Bojan Bogdanovic et Ivica Zubac (Croatie), Juan Hernangomez (Espagne), Domantas Sabonis et Jonas Valanciunas (Lituanie), Cedi Osman et Furkan Korkmaz (Turquie).\\n\\nBref, ce n’est pas terrible.\\n\\nPhoto: Dennis Schröder (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"La quadruple championne olympique Sue Bird pose nue avec sa compagne sur ESPN Body"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaque année, le magazine ESPN met des sportifs américains à nu et cette année, c’est le couple Sue Bird-Megan Rapinoe qui tient la vedette. C’est la première fois que deux sportives homosexuelles se retrouvent ainsi ensemble. Elles ont révélé leur relation durant l’été 2017.\\n\\nMegan Rapinoe, 32 ans, est une footballeuse qui a joué à l’Olympique Lyonnais et qui porte actuellement le maillot du Seattle Reign FC. Sue Bird, 37 ans, est la capitaine et meneuse de jeu de l’équipe américaine, quatre fois championne olympique et trois fois championne du monde, et qui est référencée en WNBA aux Seattle Storm.\\n\\n« Ça a été génial, je dirais 99,9% positif », a déclaré Sue Bird au Seattle Times. « Je pense que c’est une célébration de gens qui sont des athlètes. Cela fait partie de leur travail de prendre soin d’eux-mêmes et de mener une vie saine. »\\n\\nSue Bird est la joueuse la plus âgée évoluant cette saison en WNBA.\\n\\nPhoto: ESPN"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde: L’Australie est tombée à terre au Japon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ca s’est passé au bout du monde et c’est la plus grosse surprise de ces qualifications à la Coupe du Monde. Le Japon, qui n’avait pas gagné l’un de ses quatre premiers matches, a battu l’Australie jusqu’ici invaincue, 79-78.\\n\\nL’Australie n’est pas habituée à se faire ainsi malmenée puisqu’auparavant elle se qualifiait tranquillement pour les Jeux Olympiques et le Championnat du monde en éliminant son voisin néozélandais. Maintenant, il faut passer sur le ventre de quelques équipes asiatiques. C’est la première fois que les Boomers se retrouvent au tapis depuis leur défaite face à l’Espagne pour la médaille de bronze des JO de Rio. De plus, ils pouvaient compter sur le centre des Milwaukee Bucks, Thon Maker (2,16m, 21 ans) si longtemps espéré.\\n\\nThon Maker a réalisé un double double (13 points et 12 rebonds) mais ce fut insuffisant tout comme les 22 points de Christopher Goulding (Melbourne United) et les 8 passes -mais 2/11 aux shoots- de Matthew Dellavedova (Milwaukee Bucks).\\n\\nDeux Japonais ont fait sensation: l’Américain naturalisé Nick Fazekas (2,11m, 33 ans) et la perle Rui Hachimura (2,03m), né il y a 20 ans au Japon avec des origines paternelles béninoises, et formé en NCAA à Gonzaga. Le premier a cumulé 25 points et 12 rebonds et le second 24 et 7.\\n\\n« Ce fut difficile pour nous ce soir », a déclaré Dellavedova après la défaite. « Nous n’avons pas très bien joué des deux côtés du terrain, mais il faut accorder beaucoup de crédit au Japon. Ils ont très bien joué, ont mis de sacrés tirs. «\\n\\nL’Australie est rejointe à la première place par les Philippines qu’elle va devoir aller défier à Bulacan. Le Japon peut encore éviter l’élimination à condition de gagner à Taipei.\\n\\nPhoto: Rui Hachimura et Nick Fazekas (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde: La Turquie peut remercier le duo Cedi Osman-Furkan Korkmaz"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Turquie peut dire merci à son duo de NBAers, Cedi Osman (2,04m, 23 ans, Cleveland Cavaliers) – Furkan Korkmaz (2,01m, 20 ans, Philadelphia Sixers).\\n\\nLes Turcs étaient très mal embarqués face à l’Ukraine concédant un retard de 15 points après un quart-temps. Korkmaz (21 points, 27 d’évaluation) et Osman (20 points, 21 d’évaluation) ont alors fait le nécessaire pour permettre à leur équipe d’effacer l’ardoise et au final de s’imposer largement (80-66).\\n\\nLe Monégasque Sergii Gladyr a été l’Ukrainien le plus efficace offensivement avec 17 points dont un bon 4/8 à trois-points.\\n\\nLa Turquie est ainsi qualifiée pour le second tour des Éliminatoires Zone Europe tout comme l’Ukraine et la Lettonie. C’est la Suède qui fait les frais de la soirée.\\n\\nPhoto: Cedi Osman (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg et Jacques Alingue sont parvenus à un accord"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La SIG Strasbourg et l’ailier-fort Jacques Alingue (2,01m, 30 ans) sont parvenus à un accord pour un contrat d’un an alors même que le joueur est actuellement immobilisé en raison d’une rupture du Tendon d’Achille.Auteur d’une saison remarquable avec la JDA Dijon (9,4 points à 69,4% de réussite aux tirs -premier de la Jeep Elite-, 5,6 rebonds et 15,6 d’évaluation), connu pour ses qualités de défenseur, Jacques Alingue a vu sa saison s’interrompre le 12 mais alors que la SIG venait de prendre avec lui un engagement moral.C’est un retour aux sources pour lui puisqu’il a commencé le basket à Haguenau en nationale 3 et qu’il est passé professionnel au BC Souffelweyersheim, deux clubs alsaciens.Retrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.Photo: JDA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Après Bosnie-France, Dusko Vujošević: «C’est la pire défaite de ma carrière d’entraîneur»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ancien coach du Partizan Belgrade et du Limoges CSP, Dusko Vujošević, qui a maintenant en charge l’équipe nationale de Bosnie, était évidemment très déçu lorsqu’il s’est présenté à conférence de presse après le match contre la France. Une défaite de cinquante points (52-102), ça marque même si elle est concédée à l’une des meilleures équipes d’Europe.\\n\\n« Cette défaite est probablement la pire de ma carrière d’entraîneur, mais surtout, nous en sommes responsables. Les joueurs qui étaient là, mais aussi ceux qui ont annulé leur venue. Nous sommes qualifiés pour le deuxième tour grâce à la victoire de la Russie contre la Belgique, mais nous avons reçu une leçon féroce et le prochain tour pourrait être très perturbant à moins de trouver la méthode et la façon de corriger notre façon de jouer. Nous n’avons pas montré assez de caractère, de fermeté et de combativité. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les hightlights de Bosnie-France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A vivre ou revivre, les meilleurs moments de la large victoire de la France sur la Bosnie sélectionnés par la FIBA."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Ulule BasketEurope Tour a passé la barre des 50%"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le premier tour d’Europe du basketball européen a rassemblé 50% de la somme qui manque pour boucler son budget via la cagnotte Ulule. Néanmoins il reste encore 50% à trouver. Nous comptons sur vous pour réussir à concrétiser ce magnifique projet. Merci beaucoup à ceux qui ont d’ores et déjà participé à cette magnifique aventure.\\n\\nPour rappel le BasketEurope Tour c’est un tour d’Europe du basketball qui aura lieu cet été passant par sept pays : L’Espagne, la Suisse, l’Italie, la Slovénie, la Croatie, la Serbie et la Grèce. Les contreparties comprennent des magazines et des abonnements à BasketEurope : https://fr.ulule.com/basket-europe-tour/\\n\\nL’ objectif du BasketEurope Tour sera triple : Premièrement, mettre en lumière un basket différent de la NBA, trop aseptisé, qui privilégie la performance au détriment du populaire.\\n\\nDeuxièmement, le sport business : aider les clubs à devenir rentables et à remplir leurs salles au travers de rendez-vous avec des directeurs de communication et marketing.\\n\\nEnfin, troisièmement, prouver que l’Europe n’est pas seulement une commission mais qu’elle a un visage.\\n\\n🏀🏀🏀 Votre don servira à boucler le budget de ce projet. Il lui permettra de voir le jour après tant d’efforts et d’engagement. Vous êtes la rampe de lancement du projet! 🏀🏀🏀\\n\\nVous pourrez suivre cette aventure sur BasketEurope, les réseaux sociaux du Basket Europe Tour et sur Youtube !\\n\\nNDLR : Corentin Rodriguez, l’initiateur du projet a déjà publié plusieurs articles (dont une série sur le basket aux Philippines) sur BasketEurope que vous pouvez retrouver ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"La France ne connaîtra ses adversaires du Groupe F que lundi"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Malgré les 14 points chacun des deux anciens sociétaires de la Jeep Elite, Martin Hermannsson (ex-Châlons-Reims) et Haukur Palsson (ex-Cholet), l’Islande s’est inclinée hier soir en Bulgarie -qui n’a pas aligné le meneur de Strasbourg, Dee Bost-, 86-88. Haukur Palsson a loupé à sept secondes du buzzer un trois-points qui, réussi, aurait changé la donne.\\n\\nPendant ce temps, la République Tchèque parvenait à domicile à repousser les assauts de la Finlande, 77-73. L’ailier de Nymburk Vojtech Hruban (30 points à 12/18) réalisait un match de feu alors que le pivot des Chicago Bulls Lauri Markkanen (2,13m) n’avait pas l’impact attendu (13 points à 6/15 et 7 rebonds).\\n\\nCes deux résultats du Groupe F redistribuent les cartes et cela concerne au premier chef l’équipe de France qui rencontrera les trois premiers qui seront connus après les deuxièmes matches de cette fenêtre. La République Tchèque est déjà qualifiée alors que Finlande, Bulgarie et Islande sont actuellement à égalité. Lundi, la Bulgarie sera en République Tchèque, alors que la Finlande accueille l’Islande. Bon à savoir, c’est la Bulgarie qui possède un point-average favorable sur l’Islande.\\n\\nPhoto: Haukur Palsson"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tony Parker a posé la première pierre de la Halle des Sports de la future Tony Parker Adéquat Academy"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En présence du Ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, le président de l’ASVEL Tony Parker a posé hier à Lyon-Gerland la première pierre de la Halle des Sports de la future Tony Parker Adéquat Academy. Celle-ci aura pour objectif d’offrir une proposition d’emploi à tous ses Académicien(ne)s (13 ans et plus) à l’issue de leur cursus. Les Centres de formation de l’ASVEL Basket et de Lyon ASVEL Féminin évolueront aux côtés des Académiciens et seront ainsi intégrés à la Tony Parker Adéquat Academy.\\n\\n« Créer, c’est oser et oser, c’est innover. Pour moi, l’Academy, c’est donner de l’espoir et donner de la perspective aux jeunes. J’ai envie d’en faire une école internationale. Je souhaite aussi remercier les équipes de l’ASVEL Basket et de Lyon ASVEL Féminin pour leur implication dans tous nos beaux projets, » a déclaré TP.\\n\\nCette initiative reçoit le concours du Groupe Adéquat:\\n\\n« Le Groupe Adéquat sera chargé de trouver un job pour les Académiciens. Plus de 1 000 personnes seront là pour les élèves et pour qu’ils réussissent. Nous apporterons toutes nos valeurs et l’humilité pour gagner ce match », a insisté son co-fondateur Jean-Marc Brun.\\n\\nL’ouverture des candidatures est prévue pour septembre mais il est déjà possible de se pré-inscrire sur www.tpadequatacademy.com\\n\\nPhoto: ASVEL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde: La France submerge la Bosnie, 102-52."
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En étant extrêmement concentrés et collectifs, les Bleus ont broyé une faible équipe de Bosnie-Herzégovine, 102-52, qui a cumulé une adresse à 35%, 23 balles perdues et 27 fautes. C’est en ne jouant pas la dernière balle qu’ils ont épargné à leurs hôtes l’humiliation de mettre deux fois plus de points qu’eux. Pour l’anecdote, ce sont les deux pivots Rudy Gobert et Vincent Poirier qui se retrouvent meilleurs marqueurs avec 16 points. L’équipe de France en est à 5 victoires en 5 matches et se rapproche un peu plus d’une participation à la Coupe du Monde 2019 en Chine.\\n\\nLe coach Vule Vujosevic promettait l’enfer. En fait, sinon deux ou trois groupes d’ultras torses nus qui n’ont pas arrêté de chanter tout le match, quelques sifflets au début lorsque les Bleus étaient en possession de la balle, l’ambiance à Tuzla n’a pas été sulfureuse. Il faut dire que les Français ont tout de suite mis les points sur les i.\\n\\nSi Vincent Collet avait choisi Thomas Heurtel/Evan Fournier/Nicolas Batum/Boris Diaw/Rudy Gobert pour former son cinq de départ et Nando De Colo comme sixième homme de luxe, on a tout de suite vu tout le monde à la manoeuvre notamment Andrew Albicy très actif en première mi-temps.\\n\\nLes Bosniens, très jeunes en majorité, se sont engagés à fond mais ont tout de suite buté sur une défense française bien en place. Le pivot monégasque Eldemin Kikanovic a tout spécialement suffoqué (1 point, 0/6 aux shoots); Rudy Gobert, Moustapha Fall et Vincent Poirier servant tour à tour de bourreaux. La Bosnie n’a pu inscrire que 22 points en 20 minutes avec un terrifiant 8/32 aux shoots. Trois classes d’écart entre les deux équipes. A l’inverse, les Français ont tout de suite trouvé Evan Fournier et Nicolas Batum pour scorer, mais neuf joueurs se sont répartis les 44 points de la première mi-temps. Le 16/29 aux tirs tranchaient sérieusement avec le peu de réussite des Bosniens.\\n\\nOn retiendra que c’est à la 17e minute que la barre des vingt points d’écart fut franchie, 38-18, et qu’à la 27e minute, il y en avait déjà quarante (68-27). Un manque de résistance des Bosniens entraîna une véritable démonstration des Français -on entendit même des applaudissements dans le public sur un dunk de Rudy Gobert- et tout ça ne fut pas toujours palpitant. Vincent Collet en profita pour expérimenter différentes combinaisons, notamment en mettant Rudy Gobert (2,15m) et Moustapha Fall (2,18m) en même temps sur le terrain.\\n\\nOn peut supposer que l’équipe de France trouvera une adversité supérieure dimanche à Krasnodar face à la Russie, qui s’est imposée en deuxième mi-temps en Belgique, 84-66, l’éliminant par la même occasion de la compétition.\\n\\nLa boxscore est ici\\n\\n\\n\\n\\n. @rudygobert27 (@FRABasketball) : \\Concentrés, on joue bien en équipe !\\ 👌\\n\\n\\nLe meilleur des Qualifiers #FIBAWC est sur myCANAL ➡️ https://t.co/3pNjtCrC8M #FIBAWC #ThisIsMyHouse #BIHFRA pic.twitter.com/n4NyDVPeOi\\n\\n\\n— CANAL+ Basket (@CanalplusBasket) June 29, 2018\\n\\n\\n\\n\\nPlus large victoire de l'EDF sur terrain adverse depuis 1967.\\nPas mal !\\n\\n\\n— Arnaud Lecomte (@ArnoLecomte) June 29, 2018\\n\\nPhoto: Evan Fournier et Thomas Heurtel (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Joffrey Lauvergne a choisi de revenir en Europe, au Fenerbahçe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Turkish bEIN Sports, Joffrey Lauvergne (2,11m, 26 ans) a choisi de revenir en Europe et a opté pour le club turc du Fenerbahçe Istanbul, le club du coach serbe Zeljko Obradovic, vainqueur de l’Euroleague en 2017 et finaliste en 2016 et 2018.\\n\\nDes sources indiquait que l’intérieur français intéressait également le CSKA Moscou et Barcelone.\\n\\nDe 2014 à 2018, Joffrey Lauvergne a joué 208 matches en NBA dont 55 cette saison avec les Spurs pour 4,1 points et 3,1 rebonds. Il n’a pas été retenu par Vincent Collet pour les matches de l’équipe de France face à la Bosnie et la Russie.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France féminine : 17 joueuses appelées pour le premier stage"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FFBB a communiqué une liste de 17 joueuses appelées à participer au premier stage de l’équipe de France, à Saint-Girons dans l’Ariège.\\n\\nLa fédération précise que Endy Miyem, qui dispute actuellement le championnat WNBA avec sa franchise de Minnesota ne pourra pas être disponible pour ce premier stage de préparation. Néanmoins, en accord avec le staff, la capitaine des Bleues reste disponible pour la suite de la préparation, dès que sa saison avec le Lynx sera terminée.\\n\\nIl n’est pas fait mention de la Franco-Américaine Bria Hartley, meneuse du New York Liberty (WNBA), qui souhaite intégrer l’équipe nationale.\\n\\nLa Coupe du Monde aura lieu à Tenerife, en Espagne, du 22 au 30 septembre.\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\nNom\\nNaissance\\nTaille\\nPoste\\nSélections\\nPoints\\nClub 2017/2018\\n\\n\\nValériane\\nAYAYI\\n29/04/1994\\n1.85\\nAilière\\n68\\n353\\nBourges\\n\\n\\nMarième\\nBADIANE\\n24/11/1994\\n1.90\\nIntérieure\\n1\\n0\\nASVEL\\n\\n\\nLisa\\nBERKANI\\n19/05/1997\\n1.76\\nArrière\\n1\\n0\\nMondeville\\n\\n\\nRomane\\nBERNIES\\n27/06/1993\\n1.70\\nMeneuse\\n5\\n17\\nMontpellier\\n\\n\\nAmel\\nBOUDERRA\\n26/03/1989\\n1.63\\nMeneuse\\n16\\n46\\nCharleville\\n\\n\\nAlexia\\nCHARTEREAU\\n05/09/1998\\n1.91\\nIntérieure\\n15\\n78\\nBourges\\n\\n\\nHelena\\nCIAK\\n15/12/1989\\n1.97\\nIntérieure\\n75\\n406\\nKoursk\\n\\n\\nAlix\\nDUCHET\\n30/12/1997\\n1.63\\nMeneuse\\n1\\n2\\nNice\\n\\n\\nOlivia\\nEPOUPA\\n30/04/1994\\n1.65\\nMeneuse\\n56\\n261\\nGalatasaray\\n\\n\\nAby\\nGAYE\\n03/02/1995\\n1.95\\nIntérieure\\n13\\n58\\nTarbes Gespe\\n\\n\\nSandrine\\nGRUDA\\n25/06/1987\\n1.97\\nIntérieure\\n165\\n2144\\nYakin Dogu\\n\\n\\nMarine\\nJOHANNES\\n21/01/1995\\n1.77\\nArrière\\n41\\n288\\nBourges\\n\\n\\nLaetitia\\nKAMBA\\n10/01/1987\\n1.87\\nIntérieure\\n25\\n60\\nVilleneuve\\n\\n\\nAdja\\nKONTEH\\n05/03/1992\\n1.78\\nArrière\\n1\\n0\\nTarbes\\n\\n\\nSarah\\nMICHEL\\n10/01/1989\\n1.80\\nAilière\\n60\\n257\\nBourges\\n\\n\\nMarie-Michelle\\nMILAPIE\\n06/02/1996\\n1.92\\nIntérieure\\n–\\n–\\nBasket Landes\\n\\n\\nDiandra\\nTCHATCHOUANG\\n14/06/1991\\n1.86\\nAilière\\n67\\n407\\nBourges\\n\\n\\n\\n\\nLe programme de préparation à la Coupe du Monde 2018 des Bleues :\\n\\n\\n\\n\\nDates\\nLieu\\nMatch\\n\\n\\nLundi 30 juillet au lundi 6 août\\nSaint-Girons\\nStage\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nVendredi 10 au dimanche 19 août\\nAnglet\\nStage\\n\\n\\nLundi 20 août à 19h00\\nAnglet\\nFrance-Italie\\n\\n\\nMardi 21 août à 19h00\\nAnglet\\nFrance-Italie\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDimanche 26 au jeudi 30 août\\nLyon\\nStage\\n\\n\\nVendredi 31 août\\nValence (Espagne)\\nFrance-Lettonie\\n\\n\\nSamedi 1er septembre\\nValence (Espagne)\\nFrance-Espagne ou Belgique\\n\\n\\nDimanche 2 au mercredi 5 septembre\\nLyon\\nStage\\n\\n\\nVendredi 7 septembre à 18h00\\nParis (Coubertin)\\nFrance-Lettonie\\n\\n\\nSamedi 8 septembre à 20h30\\nParis (Coubertin)\\nFrance-Australie\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJeudi 13 au vendredi 14 septembre\\nAntibes\\nStage\\n\\n\\nSamedi 15 septembre à 19h00\\nAntibes\\nFrance-Sénégal\\n\\n\\nDimanche 16 septembre à 19h00\\nAntibes\\nFrance-Canada\\n\\n\\nLundi 17 septembre à 20h30\\nAntibes\\nFrance-États-Unis\\n\\n\\nMardi 18 septembre\\nTransfert à Tenerife (Espagne)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSamedi 22 au dimanche 30 septembre\\nTenerife (Espagne)\\nCoupe du Monde 2018\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: Marine Johannès (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : l’Olympiakos très intéressé par Mathias Lessort"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec Kim Tillie sur le départ, c’est un autre Français qui pourrait arriver à l’Olympiakos. Il s’agit de Mathias Lessort (2m, 22 ans).\\n\\nSelon Eurohoops, l’ancien joueur de l’Elan Chalonnais ferait partie des cibles privilégiées par l’Olympiakos pour la saison prochaine. Pour sa première expérience à l’étranger et en Euroleague, le natif de Fort-de-France a fait forte impression sous le maillot de l’Etoile Rouge de Belgrade.\\n\\nFinaliste de Ligue Adriatique, le club serbe a perdu sa place en Euroleague, raison pour laquelle l’ancien joueur de Nanterre pourrait aller voir ailleurs. Sous contrat pour encore deux ans, il dispose d’une clause lui permettant de rejoindre une équipe d’Euroleague en échange d’un buy-out. Buy-out que pourrait se payer l’Olympiakos.\\n\\nCette saison, Mathias Lessort compilait en moyenne 8,8 points et 4,4 rebonds pour une évaluation de 11,8 en Ligue Adriatique, et 8,5 points et 5,7 rebonds pour une évaluation de 10,7 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Malela Mutuale sera Orléanais la saison prochaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé à Orléans en février en tant que pigiste médical de Loic Akono, Malela Mutuale (1,88m, 27 ans) a convaincu les dirigeants orléanais de lui offrir un contrat pour la saison prochaine.\\n\\nSur son site, l’OLB annonce la prolongation de contrat de l’ancien joueur du Paris-Levallois. Après avoir apporté satisfaction lors de sa première pige, l’ancien dijonnais avait déjà été prolongé une première fois pour suppléer Kadri Moendadze avant d’être finalement prolongé pour le reste de la saison.\\n\\nGermain Castano, l’entraîneur orléanais a été pleinement satisfait de son premier passage à Orléans.\\n\\n« On a décidé de garder Malela car sur la période durant laquelle il a rejoint l’équipe le bilan a été très positif. Il nous apporte un vrai impact défensif, il est capable de défendre sur les postes 1, 2 et 3. Il convient très bien au style de jeu que nous souhaitons développer en attaque avec des relances rapides. Il doit continuer à progresser sur le tir. Humainement, il correspond au profil que nous recherchons ! »\\n\\nEn Pro B, Malela Mutuale compilait en moyenne cette saison 5,5 points, 1,9 rebond et 1,9 passe décisive pour une évaluation de 6,6.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Jeep Elite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnats ici. La Pro B se passe par ici.\\n\\nPhoto : Orléans Loiret Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Ludovic Beyhurst signe son premier contrat professionnel avec Strasbourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Né à Strasbourg, Ludovic Beyhurst (1,72m, 19 ans) vient de signer son premier contrat professionnel dans son club de coeur, la SIG.\\n\\nA l’INSEP entre 2014 et 2016, l’international français a fait le reste de sa formation dans le club strasbourgeois. Joueur majeur de l’équipe Espoirs, il va maintenant être à temps plein dans l’effectif de Vincent Collet, annonce le club.\\n\\nCette saison en Espoirs, Ludovic Beyhurst a compilé 13,7 points, 4,5 passes, 3,8 rebonds en 24 minutes.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Aujourd’hui, c’est Bosnie-France – Vincent Poirier: « Ils nous attendent en mode baston»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il y a deux ans et demi, il faisait encore des matches en Nationale 1 avec le Centre Fédéral. Vincent Poirier (2,13m, 24 ans) sort cette fois d’une saison à Vitoria qu’il a clôturé par un quart-de-finale d’Euroleague et une finale de l’ACB face au Real Madrid (défaite 1 manche à 3). Sa place en équipe de France est devenue une évidence. Peut-être la progression la plus fulgurante observée dans le basket français à l’époque contemporaine.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQue pensez-vous de votre saison ?\\n\\nA la fin ça se finit bien. Ça avait mal commencé mais avec le changement de coach (NDLR : l’Espagnol Pedro Martinez a remplacé l’Argentin Pablo Prigioni), ça a tout changé. Il y a eu une meilleure cohésion dans l’équipe et une meilleure hiérarchie et on finit la saison sur une très bonne note même si on ne gagne pas. On a montré qu’on était une équipe combattive, qui avait du talent et qui était importante dans le championnat. Si ça n’avait pas été Madrid en face, il y avait de grandes chances que l’on gagne. Ils avaient une grosse armada, ils venaient de gagner l’Euroleague, ils ont des joueurs dangereux et doublés à tous les postes. C’est difficile avec la fatigue, ils ont pris le dessus au bout d’un moment. On fait l’erreur de laisser partir le match 3 chez nous alors que si on gagne je pense que ça change beaucoup de choses. On avait gagné chez eux, on avait fait le plus important on va dire, mais comme je le disais, ils ont une armada et c’était compliqué.\\n\\nQuelle image positive gardez-vous de cette saison ?\\n\\nLa qualification en Euroleague et puis l’accession à la finale de l’ACB. Quand on voit que l’on a commencé la saison à 0-4, tout le travail que l’on a fait, on méritait ça.\\n\\nA quels niveaux pensez-vous avoir progressé cette année ?\\n\\nBeaucoup ! (sourire) J’ai progressé partout. J’ai eu un coach qui était très minutieux sur ce qu’il voulait, très discipliné. J’ai progressé sur la vision du jeu, la défense, l’attaque, à peu près tout. J’ai eu la chance d’avoir sa confiance et d’avoir des minutes sur le terrain pour lui montrer que je pouvais être dominant. Je pense que j’ai pris surtout beaucoup de confiance en moi pour l’avenir.\\n\\nC’est indispensable de jouer l’Euroleague ?\\n\\nJe pense. L’Euroleague, c’est un niveau très, très élevé. Quand tu vois les matches que l’on a fait, tu ne peux que progresser en les jouant. C’est une compétition qui donne envie de jouer. Les salles sont pleines partout, tu joues contre de grands joueurs. Et en plus à côté il y a l’ACB. Donc deux fois par semaine tu joues de grosses équipes et même contre les derniers tu sais que ça va être compliqué car tout le monde a un public. C’est quelque chose à faire ! On peut prétendre à quelque chose en Euroleague en jouant à Vitoria surtout que l’année prochaine le Final Four est chez nous. Ça va être l’occasion d’avoir une grosse équipe et de grosses ambitions.\\n\\nLà, vous êtes passé dans un autre monde ?\\n\\nLa saison est super longue et tu sens que tous les matches sont importants. Au niveau du public, il y a beaucoup plus d’attente qu’à Levallois ou même, je pense, dans les autres équipes françaises. Il y a vraiment là-bas un engouement incroyable. On l’a vu sur les matches de finale où il y avait 15 000 personnes à chaque match.\\n\\nSur le plan médical, vous êtes mieux suivi qu’à Levallois par exemple ?\\n\\nOn a deux kinés, deux coaches sportifs, un médecin, on a accès à ce que l’on veut. Il y a un sauna, un hammam. Il y a tout qui fait que l’on peut bien récupérer. Quand il y a besoin de faire des analyses, c’est rapide, on a tout en priorité. Ils font souvent des tests pour savoir si on ne prend pas du poids.\\n\\nVous avez aussi plus de tatouages que l’an dernier ?\\n\\nÇa continue ! Le basket prend beaucoup de temps et il faut bien faire autre chose.\\n\\nEt la vie à Vitoria ?\\n\\nJ’ai pris une grande maison avec un grand jardin pour mon chien. J’en avais marre de me lever à 8 heures du mat pour aller le promener. Là, tu ouvres la fenêtre et hop ! J’aime bien avoir mon lieu de vie à moi. Je sais que quand je vais rentrer, je vais être bien, je vais penser à autre chose. La famille vient de temps en temps quand ils peuvent mais la plupart de la saison, tu es tout seul. Il faut être bien mentalement, se reposer, etc.\\n\\nEt les médias sont encore plus pénibles que les Français ?\\n\\nDéjà, ils parlent en espagnol, alors ça évite d’avoir beaucoup de contacts. Je comprends ce qu’ils disent mais pour parler c’est beaucoup plus dur, je parle en anglais. Ils veulent que je parle espagnol, c’est le seul truc où ils sont relou ! En général, ils prennent les Espagnols pour parler avec les journalistes et comme ça je suis tranquille. J’ai dû leur parler deux fois dans l’année. Ça va ! (sourire)\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=pYIcApl5Peg\\n\\n« En début d’année, je suis retombé sur terre »\\n\\nVous êtes un cas unique dans le basket français : il y a deux ans, vous étiez encore en Nationale 1. Il n’y a jamais eu une telle progression. Vous n’êtes pas un peu ébloui par votre propre performance ?\\n\\nJe le réalise, forcément. Parfois on me le rappelle (rires). Mais, non, par exemple en début d’année, je suis retombé sur terre. Je jouais mais pas bien, je découvrais le haut niveau. A chaque fois j’ai quelque chose qui me fait réaliser qu’il faut travailler et que ce n’est pas acquis. Ce n’est pas parce qu’on t’a pris dans une équipe d’Euroleague que tu vas jouer trente-cinq minutes. Même si ça va vite, je prends quand même mon temps dans les choses. Je me dis que ça ne se fait pas en un jour. Il faut travailler au jour le jour pour être performant.\\n\\nCe sont vos anciens partenaires qui vous rappellent ce parcours assez incroyables ?\\n\\nLes journalistes souvent ! (Rires). Comme je suis en Espagne, mes équipiers ne savent pas tout ça. Ce sont les anciens coaches qui me rappellent ça aussi, « tu as vu que ce que tu as fait ? C’est incroyable ! » Mais sinon pas plus que ça.\\n\\nQuel a été le déclic entre le moment où vous pouviez espérer une bonne petite carrière en France et celui où vous vous êtes retrouvé à ce niveau européen ?\\n\\nA partir du moment où une équipe d’Euroleague s’est intéressée à moi, j’ai réalisé qu’il y avait encore beaucoup de choses à faire, à aller chercher. Mon objectif quand j’étais en Pro A était de devenir un joueur majeur en Pro A. Je ne pensais pas qu’un jour j’irai jouer l’Euroleague ou que j’irai en équipe de France, etc. Quand ça vient, tu ne peux pas le refuser. Tu te dis « je peux le faire, je peux encore monter. »\\n\\nIl n’y a plus de limites ? La NBA ?\\n\\nJe ne sais pas, on verra. C’est dans ma tête. Je sais qu’il y a des équipes qui me suivent car j’ai vu des gens à Vitoria mais pour l’instant il n’y a rien de concret. Il y a le Final Four à Vitoria alors pourquoi ne pas y aller et y faire quelque chose. Je vis un peu au jour le jour en me disant qu’on verra ce qui me tombe dessus. Pour l’instant ça a marché, on va continuer comme ça.\\n\\nL’année dernière, vous étiez le petit nouveau en équipe de France. Vous pensez que votre statut a changé cette année ?\\n\\nJe pense. L’année dernière, je venais avec un statut de joueur de Pro A. On était deux avec Louis (NDLR : Labeyrie. Son équipier alors à Levallois). Là, j’ai un statut de joueur d’Euroleague qui n’est peut-être pas le même que celui que peuvent avoir Nando (De Colo), Thomas (Heurtel) ou Fabien (Causeur) mais j’ai montré durant la saison que j’avais le niveau, que je pouvais jouer. Je viens avec cet objectif que je peux aider, que je peux faire ce que je fais en club.\\n\\nLà, vous êtes en forme car la saison vient à peine de se terminer pour vous alors que pour certains elle s’est achevée en avril ? C’est plus facile de pouvoir montrer ce que l’on vaut ?\\n\\nC’est sûr. J’ai pu me reposer un peu et j’ai toujours mon cardio, je peux courir, je ne suis pas en galère (sourire). Je suis bien. C’est sûr que j’ai un temps d’avance sur ceux qui ont arrêté la saison depuis un moment. J’ai toujours la sensation d’un match.\\n\\nVous avez idée de ce qui vous attend en Bosnie, à Tuzla, dans une salle surchauffée ?\\n\\nOn sait que ça va être davantage un match de guerriers que de basket véritable. Ils nous attendent en mode baston. Ils n’ont pas les noms que l’on peut avoir. Ils vont avoir le couteau entre les dents. On sait que ça va être beaucoup de bagarres, que ça va être très compliqué. On a tous vécu ce genre de match, on sait ce qui nous attend, ce que l’on a à faire. La plupart des joueurs sont habitués à jouer dans de grosses ambiances. Tout le monde sait sur quoi on doit rester concentré.\\n\\n[table id=134 /]\\n\\n[armelse]\\n\\nQue pensez-vous de votre saison ?\\n\\nA la fin ça se finit bien. Ça avait mal commencé mais avec le changement de coach (NDLR : l’Espagnol Pedro Martinez a remplacé l’Argentin Pablo Prigioni), ça a tout changé. Il y a eu une meilleure cohésion dans l’équipe et une meilleure hiérarchie et on finit la saison sur une très bonne note même si on ne gagne pas. On a montré qu’on était une équipe combattive, qui avait du talent et qui était importante dans le championnat. Si ça n’avait pas été Madrid en face, il y avait de grandes chances que l’on gagne. Ils avaient une grosse armada, ils venaient de gagner l’Euroleague, ils ont des joueurs dangereux et doublés à tous les postes. C’est difficile avec la fatigue, ils ont pris le dessus au bout d’un moment. On fait l’erreur de laisser partir le match 3 chez nous alors que si on gagne je pense que ça change beaucoup de choses. On avait gagné chez eux, on avait fait le plus important on va dire, mais comme je le disais, ils ont une armada et c’était compliqué.\\n\\nQuelle image positive gardez-vous de cette saison ?\\n\\nLa qualification en Euroleague et puis l’accession à la finale de l’ACB. Quand on voit que l’on a commencé la saison à 0-4, tout le travail que l’on a fait, on méritait ça.\\n\\nA quels niveaux pensez-vous avoir progressé cette année ?\\n\\nBeaucoup ! (sourire) J’ai progressé partout. J’ai eu un coach qui était très minutieux sur ce qu’il voulait, très discipliné. J’ai progressé sur la vision du jeu, la défense, l’attaque, à peu près tout. J’ai eu la chance d’avoir sa confiance et d’avoir des minutes sur le terrain pour lui montrer que je pouvais être dominant. Je pense que j’ai pris surtout beaucoup de confiance en moi pour l’avenir.\\n\\nC’est indispensable de jouer l’Euroleague ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Olympiakos : Kim Tillie sur le départ"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé à l’Olympiakos l’été dernier après trois ans passés à Vitoria, Kim Tillie (2,11m, 29 ans) ne devrait plus porter le maillot du club grec à la rentrée.\\n\\nSelon Eurohoops, l’Olympiakos a l’intention de libérer l’international français qui ne ferait pas partie des plans du nouveau coach, David Blatt. La formation grecque a jusqu’au 5 juillet pour décider du sort de son intérieur. S’il décide de le remercier, alors l’ancien joueur de Murcie recevra un buy-out pour quitter le club. Blessé la plus grande majorité de la saison, l’ancien joueur de l’ASVEL n’a pas vraiment eu l’occasion de montrer l’étendue de son talent.\\n\\nCette saison, Kim Tillie compilait en moyenne 4,3 points et 3,5 rebonds entre l’Euroleague et le championnat.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Malcolm Delaney dans le viseur du FC Barcelone"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir manqué Brad Wanamaker, qui a décidé de rejoindre la NBA et les Boston Celtics, le FC Barcelone penserait à attirer Malcolm Delaney (1,91m, 29 ans).\\n\\nDepuis deux saisons en NBA à Atlanta, le natif de Baltimore est aujourd’hui sans club et libre de signer où bon lui semble cet été. Selon l’Esportiu, le Barça serait intéressé pour le recruter et serait déjà entré en contact avec ses représentants. Cependant, d’autres clubs comme le Fenerbahce, le CSKA, l’Olympiakos, le Khimki ou Milan pourrait entrer dans la danse et compliquer les choses pour le club catalan. Passé par l’Elan Chalon, Kiev et Munich, il a mené le Lokomotiv Kuban jusqu’au Final Four d’Euroleague en 2016 avant de tenter sa chance en NBA.\\n\\nCette saison en NBA, Malcolm Delaney tournait à 6,2 points, 1,8 rebond et 3 passes décisives."
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel: Le Dijonnais Valentin Bigote pour deux saisons au Mans – «Jouer la BCL, avec un vrai rôle, me motive»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion de France 2018, Le Mans Sarthe Basket confirme ce qui était un secret de polichinelle, la signature pour deux saisons de l’arrière Valentin Bigote (1,96 m, 26 ans), en provenance de la JDA Dijon.\\n\\nFormé au BCM Gravelines-Dunkerque, avec lequel il a remporté le Trophée du Futur en 2012, Valentin Bigote a alterné des expériences en Pro B et en Jeep Élite avec réussite. Meilleur marqueur français de l’antichambre en 2016 (14,2 points) puis en 2017 (15,3 points), il a ensuite poursuivi sa carrière en Jeep Elite. A Dijon, il a terminé la saison en étant élu MVP du mois d’avril (17,0 pts-4,0 rbds-2,5 pds-44% à 3-pts-19,3 d’évaluation en six matches), puis en étant performant en quart-de-finale face au Limoges CSP (21,0 pts-55% à 3-pts-21,5 d’évaluation).\\n\\n« En quête d’un extérieur polyvalent au profil d’attaquant, le staff a très vite ciblé ses priorités de recrutement sur ce poste. Valentin, dont la marge de progression paraît encore évidente, a toujours été reconnu comme un basketteur d’instinct qui sent le basket et n’a pas son pareil pour lire les défenses adverses. Connu de Dounia avec lequel il s’entrainait à Gravelines, apprécié pour sa simplicité mais aussi son caractère de joueur qui sait ce qu’il veut, Valentin possède une personnalité qui offre tous les gages de réussite au sein du MSB », indique le club.\\n\\nQuant au joueur, il se félicite de cette opportunité:\\n\\n« Avant toute chose, je tiens à remercier Dijon de m’avoir fait confiance, de m’avoir offert l’opportunité de me donner du temps de jeu en arrivant de Pro B. Mais dorénavant, à moi de poursuivre cette aventure en traçant ma voie au MSB. J’ai conscience de rejoindre un club de renom. En finissant champion, cela oblige à un sacré défi pour réitérer pareille performance. Jouer la BCL, avec un vrai rôle, me motive... Je suis un extérieur complet, qui peut shooter comme aller au cercle. Mon arme majeure est le tir à 3-pts, même si mon début de saison a été compliqué dans ce domaine. Je me sens plus arrière qu’ailier mais j’ai appris à évoluer sur les deux postes à la JDA, ce qui risque d’arriver avec le MSB. Je dois encore progresser en termes de régularité dans la performance. A moi de franchir un nouveau palier à titre individuel, une étape supplémentaire dans ma carrière. »\\n\\nPour rappel, les joueurs professionnels sous contrat avec le MSB en 2018-19 sont au nombre de six : Valentin Bigote (JFL), Petr Cornelie (JFL), Antoine Eïto (JFL), Youssoupha Fall (JFL), Terry Tarpey (EUR) et Wilfried Yeguete (JFL). Brahim Dohou (stagiaire) est le seul joueur Espoirs actuellement sous contrat.\\n\\nRepères\\n\\nClubs : Grande-Synthe (NM3) en 2009 et 2010. Gravelines-Dunkerque en 2011 et 2012. Boulogne-sur-Mer (Pro B) en 2013. Denain (Pro B) en 2014. Nancy (Pro A) en 2015. Nantes (Pro B) en 2016 et 2017. Dijon (Jeep Élite) en 2016-2018.\\n\\nStatistiques Jeep Élite 2017-18 : 10,0 points à 46.5% aux tirs, dont 37/121 à 3pts, et 87.8% aux lancers-francs, 3,0 rebonds et 1,4 passe décisive pour 9,9 d’évaluation en 22 min/m.\\n\\nCoupes européennes : Eurocup’12-15. EuroChallenge’11.\\n\\nEquipe Nationale : International U18 en 2010 (7e), Valentin avait pour coéquipiers deux anciens Manceaux (Thomas Ceci-Diop et Yannis Morin) et celui qui allait devenir huit ans plus tard le meilleur défenseur NBA de la saison (Rudy Gobert)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: La Minute Inside, les Bleus en Bosnie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FFBB propose cette vidéo intitulée « La Minute Inside – Les Bleus en Bosnie » avec quelques images du voyage en avion et d’un entraînement. C’est ce soir que l’équipe de France affronte à Tuzla la Bosnie-Herzégovine dans le cadre des éliminatoires à la Coupe du Monde 2019."
}, 
{"role": "user",     "content":"EDF U20M : 16 joueurs pour un stage au Temple-sur-Lot"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le cadre du championnat d’Europe qui aura lieu du 14 au 22 juillet à Chemnitz (Allemagne), l’Equipe de France U20 est actuellement à l’INSEP et va enchainer une série de stage en commençant par se rendre à Temple-sur-Lot.\\n\\nVoici la liste des 16 joueurs qui ont été appelés par Jean-Aimé Toupane pour participer à ce stage au Temple-sur-Lot. Cette liste sera ramenée à 14 joueurs après le stage.\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPrénom\\nDate de naissance\\n\\n\\n\\nTaille\\n\\n\\n\\n\\nPoste\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\nBAZILLE\\nTimothée\\n\\n\\n\\n15/05/1999\\n\\n\\n\\n\\n205\\n\\n\\n\\n\\n4 – 5\\n\\n\\n\\nLIMOGES CSP\\n\\n\\nBLANC\\nYanik\\n\\n\\n\\n11/06/1999\\n\\n\\n\\n\\n189\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\nPOITIERS BASKET 86 (Pro B)\\n\\n\\nDESSEIGNET\\nThibault\\n\\n\\n\\n15/09/1998\\n\\n\\n\\n\\n182\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\nJL BOURG BASKET\\n\\n\\nDIAWARA\\nDigué\\n\\n\\n\\n03/10/1998\\n\\n\\n\\n\\n204\\n\\n\\n\\n\\n3 – 4\\n\\n\\n\\nASVEL LYON VILLEURBANNE\\n\\n\\nDOUMBOUYA\\nSékou\\n\\n\\n\\n23/12/2000\\n\\n\\n\\n\\n205\\n\\n\\n\\n\\n3\\n\\n\\n\\nPOITIERS BASKET 86 (Pro B)\\n\\n\\nFEVRIER\\nIvan\\n\\n\\n\\n08/02/1999\\n\\n\\n\\n\\n204\\n\\n\\n\\n\\n4\\n\\n\\n\\nLEVALLOIS METROPOLITANS\\n\\n\\nFLOSSE\\nMatthias\\n06/12/1998\\n209\\n5\\nBCM GRAVELINES\\n\\n\\nGOUDOU-SINHA\\nEnzo\\n\\n\\n\\n26/11/1998\\n\\n\\n\\n\\n183\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\nSLUC NANCY BASKET (Pro B)\\n\\n\\nGOULMY\\nQuentin\\n15/01/1998\\n207\\n4\\nSIG STRASBOURG\\n\\n\\nLORNG\\nChristian\\n14/09/1998\\n203\\n4\\nHARGRAVE (HS, USA)\\n\\n\\nMBALLA\\nJoshua\\n30/07/1999\\n204\\n4\\nPUTNAM SCIENCE ACADEMY (Prep School, USA)\\n\\n\\nMOKOKA\\nAdam\\n\\n\\n\\n18/07/1998\\n\\n\\n\\n\\n192\\n\\n\\n\\n\\n2 – 1\\n\\n\\n\\nBCM GRAVELINES DUNKERQUE\\n\\n\\nNDOYE\\nAbdoulaye\\n\\n\\n\\n09/03/1998\\n\\n\\n\\n\\n199\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\nCHOLET BASKET\\n\\n\\nRAMBAUT\\nJules\\n\\n\\n\\n06/04/1998\\n\\n\\n\\n\\n200\\n\\n\\n\\n\\n4 – 5\\n\\n\\n\\nCHALONS-REIMS BASKET\\n\\n\\nTCHOUAFFE\\nBathiste\\n\\n\\n\\n19/05/1998\\n\\n\\n\\n\\n196\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\nNANTERRE 92\\n\\n\\nVAUTIER\\nBastien\\n\\n\\n\\n15/11/1998\\n\\n\\n\\n\\n210\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\nSLUC NANCY (Pro B)\\n\\n\\n\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: 8 équipes françaises en Coupes d’Europe. Bourges et Charleville d’office en Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme l’explique la Ligue Féminine, la FIBA a confirmé l’engagement de huit équipes françaises dans les deux coupes d’Europe pour la prochaine saison. Seulement Villeneuve d’Ascq pour l’Euroleague et Nantes-Rezé pour l’Eurocup devront passer par une phase préliminaire.C’est le 5 juillet à Munich que se tiendra le tirage au sort des groupes et des matches de qualification.\\n\\nEUROLEAGUE\\n\\n12 équipes sont qualifiées pour la saison régulière : Ekaterinbourg (RUS), Fenerbhace (TUR), Bourges, Sopron (HUN), Schio (ITA), Prague (CZE), Polkowkice (POL), Salamanque (ESP), Braine (BEL), Dynamo Kursk (RUS), Hatay (TUR), Charleville-Mézières.\\n\\n8 équipes joueront les qualifications (match aller/retour), elles ont été placées dans deux conférences géographiques.\\nConférence 1 : Orenburg (RUS), Wisla Cracovie (POL), Olympiacos (GRE), Cukurova (TUR)\\nConférence 2 : Villeneuve d’Ascq, Venise (ITA), Riga (LAT), Szekszard (HUN)\\n\\nEUROCUP\\n\\n40 équipes se sont inscrites en Eurocup auxquelles il faudra ajouter les 4 formations qui ne se qualifieront pas pour l’Euroleague à l’issue de la phase de qualifications. La phase de saison régulière se jouera à 40 (10 groupes de 4).\\n\\n36 équipes ont déjà leur place d’assurée. Elles ont été placées dans deux conférences géographiques :\\n\\nConférence 1 : Krasnoyarsk (RUS), MBA Moscou (RUS), Spartak Moscou (RUS), Inventa Kursk (RUS), Botas (TUR), Besiktas (TUR), Mersin (TUR), Galatasaray (TUR), Bydgoszcz (POL), Torun (POL), Gorzow (POL), A3 Basket (SWE), Södertälje (SWE), Sepsci (ROU), Beroe (BUL), Minsk (BLR) + deux perdants des qualifications Euroligue (conférence 1)\\n\\nConférence 2 : Tarbes, Lyon, Basket Landes, Lattes Montpellier, Györ (HUN), Cegled (HUN), Miskolc (HUN), Brno (CZE), Nyburk (CZE), Girona (ESP), Ruzemberok (SVK), Wavre Ste-Catherine (BEL), Keltern (GER), Uniao Sportiva (POR), Fribourg (SUI), Celje (SLO) + deux perdants des qualifications Euroligue (conférence 2)\\n\\n8 équipes joueront les qualifications (match aller/retour), elles ont été placées dans deux conférences géographiques.\\nConférence 1 : Gdynia (POL), Spartak Noginsk (RUS), Genclik (TUR), Niki Lefkada (GRE)\\nConférence 2 : Nantes Rezé, Namur (BEL), Gernika Bizkaia (ESP), Liège (BEL).\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Nic Moore (ex Nanterre) passe de Brindisi à Rome"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A Nanterre en début de saison, Nic Moore (1,75m, 26 ans) n’a pas répondu aux attentes de Pascal Donnadieu et a été remercié après six matchs de Jeep Elite.\\n\\nDe retour à Brindisi, le club dans lequel il avait justement tapé dans l’oeil de l’entraîneur nanterrien, le natif de Winona Lake a retrouvé des couleurs dans un cadre qu’il connaissait. Après un exercice 2017/18 convaincant en première division italienne, il a attiré l’attention de la Virtus Rome avec laquelle il s’est engagé pour une saison, indique le club.\\n\\nAvec Brindisi, Nic Moore compilait en moyenne 13 points, 2,8 rebonds et 3,8 passes décisives pour une évaluation de 12,1.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Martin Hermannsson deux ans à l’ALBA Berlin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le viseur de l’ASVEL, Martin Hermannsson (1,90m, 23 ans) a refusé une offre du Darussafaka pour s’engager avec l’ALBA Berlin.\\n\\nSur son site, le club allemand annonce l’arrivée de l’international islandais pour deux ans. Il arrive en provenance de Châlons-Reims et va gouter pour la première fois à une coupe d’Europe, avec l’Eurocup du côté de la capitale allemande.\\n\\nCette saison en Jeep Elite, Martin Hermannsson compilait en moyenne 13,9 points, 2,8 rebonds et 5,7 passes décisives pour une évaluation de 14.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie : le champion d’Allemagne Reggie Reding s’engage avec le Turk Telekom Ankara"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Sylven Landesberg et Kenny Gabriel, le Turk Telekom Ankara continue de se faire remarquer en ce début d’intersaison avec le recrutement de Reggie Redding.\\n\\nPassé par Tubingen, Berlin et Darussafaka, le natif de Philadelphie sort de deux saisons au Bayern Munich. Sacré champion d’Allemagne il y a quelques jours, l’ancien pensionnaire de Villanova a également remporté la coupe d’Allemagne en 2014, le championnat et la coupe de Chypre en 2011 et il a été trois fois All Star en Bundesliga.\\n\\nCette saison, Reggie Redding compilait en moyenne 9,4 points, 3,6 rebonds et 3,5 passes décisives pour une évaluation de 12,3 en Bundesliga, et 10,8 points, 4,6 rebonds et 3,4 passes décisives pour une évaluation de 13,2 en Eurocup.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Antoine Griezmann futur actionnaire d’un club parisien ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion d’une interview pour Le Figaro avant de le départ de l’Equipe de France en Russie, Antoine Griezmann a dû répondre aux questions de journalistes un peu spéciaux : Teddy Riner, Martin Fourcade ou Florent Piétrus.\\n\\nL’ancien international français champion d’Europe en 2013 a demandé au footballeur, qui avoue être amoureux du basket, s’il serait possible pour lui d’investir dans un club à l’image de Tony Parker à l’ASVEL. Originaire de Mâcon, le joueur de l’Atletico Madrid a répondu en toute franchise.\\n\\n« C’est vraiment quelque chose qui me tente bien. Pas forcément à Mâcon, car il faudrait tout faire de A à Z, mais Paris, s’il n’y a pas un grand club, je suis ouvert. Le projet peut me séduire. Le message est lancé. »\\n\\nPhoto : FFF"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : DJ Cooper serait la cible numéro 1 de Cantu"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En début de saison à Gravelines, DJ Cooper (1,83m, 27 ans) a quitté le BCM au bout de quatre matchs pour faire son retour à Monaco, le club qui avec lequel il a foulé les parquets français pour la première fois.\\n\\nD’après le Corriere di Como, le MVP de Pro A 2016/17 serait l’objectif numéro un du recrutement de Cantu. Le club italien a terminé septième du classement de Serie A cette saison et devra passer par les tours de qualification pour disputer la Champions League à la rentrée. Passé par la Grèce, la Russie et donc la France, le natif de Chicago n’a jamais évolué en Italie.\\n\\nCette saison, DJ Cooper tournait en moyenne à 6,7 points, 2,3 rebonds et 7,2 passes décisives pour une évaluation de 11,8 en Jeep Elite, et 6,3 points, 2,6 rebonds et 6,8 passes pour une évaluation de 11,9 en Champions League.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Russie : le Khimki Moscou pense à LiAngelo et LaMelo Ball"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"LiAngelo (1,96m, 19 ans) et LaMelo (1,96m, 16 ans) évoluaient sous les couleurs du Vytautas Prienai, en Lituanie, de janvier à avril.\\n\\nSelon Sportando, le club moscovite songerait à recruter les deux frères pour la saison prochaine. Néanmoins, le site italien ne sait pas si ce recrutement serait dans l’objectif de faire jouer les fils de LaVar Ball en VTB League et Euroleague ou dans le championnat russe. Championnat dans lequel l’équipe 2 du Khimki est engagée. Pour l’instant, aucune offre n’a été faite.\\n\\nEn première division lituanienne, LiAngelo compilait 12,6 points et 2,9 rebonds, et LaMelo enregistrait 6,5 points et 2,4 assists en 12,8 minutes."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Belges amoindris par une cascade de forfaits avant d’affronter la Russie et la Bosnie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Belgian Lions auraient dû être avantagés par le fait que les deux premières fenêtres de qualification se sont jouées sans les joueurs NBA -ils en n’ont pas- et sans les joueurs d’Euroleague -ils en ont peu. Seulement, le constat est cruel: 4 matches, 4 défaites dont deux contre la France. L’échec en Bosnie de deux points (70-72) risque de coûter très cher à l’heure des comptes.\\n\\nUne dernière place du groupe serait synonyme d’élimination et de relégation dans la Division B européenne. Il faudrait alors que les Belges repassent par les pré-qualifications aux éliminatoires pour l’Euro 2021 eux qui ont participé aux quatre précédentes éditions de l’EuroBasket.\\n\\n« Mais le groupe continue à y croire : les joueurs sont conscients de l’importance du moment et l’atmosphère s’en ressent. Cet état d’esprit traduit la continuité du travail du coach Casteels », estime dans Le Soir l’assistant, Serge Crevecoeur, boss éphémère de Pau.\\n\\nPour que la Belgique sorte la Bosnie ou la Russie, il faut qu’elle s’impose les deux fois à domicile et aussi qu’elle puisse compter sur deux victoires de la France face à ses deux adversaires directs. Elle va commencer ce soir à Anvers par défier les Russes avec un effectif très amoindri. 11 des 17 joueurs initialement présélectionnés ont déclaré forfait, une majorité sur blessures !\\n\\n« Tous les blessés ont été examinés», précise le manager sportif Jacques Stas pour couper court aux rumeurs. Retin Obasohan (opération au poignet), Hans Vanwijn (hanche et poignet) et Maxime De Zeeuw (opération au genou) sont depuis longtemps forfait. L’arrière de Gravelines Quentin Serron est quant à lui touché au doigt et n’est pas rétabli à temps. Kevin Tumba, le pivot de Murcie, s’est blessé lors du match de préparation disputé face aux Pays-Bas à Pepinster que la Belgique a perdu 60-66. Mais force aussi de constater que d’autres ne sont pas très motivés: l’Américain naturalisé Matt Lojeski (Panathinakos) n’est pas là tout comme Manu Lecomte qui préfère disputer la Summer League NBA.\\n\\nC’est donc avec Sam Van Rossom, Jonathan Tabu et encore les deux Chalonnais Pierre Antoine Gillet et Khalid Boukichou que les Belgian Lions se présentent ce soir à la Lotto Arena d’Anvers mais aussi avec quantité de visages peu connus. « Il va falloir que des joueurs inattendus nous portent », espère Jacques Stas. « L’équipe a changé, pas sa mentalité. » Cela ressemble fort à de la méthode Coué.\\n\\nPhoto: Pierre Antoine-Gillet (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Avec 26 points de Bojan Bogdanovic, la Croatie s’impose en Italie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec une seule victoire jusqu’ici les Croates étaient à l’article de la mort dans le Groupe D mais en tombant l’Italie à Trieste, 78-72, ils ont rabattu les cartes et se retrouvent désormais à égalité avec les Pays-Bas et la Roumanie.\\n\\nLe retour en équipe nationale de l’arrière-ailier des Indiana Pacers Bojan Bogdanovic (2,00m, 29 ans) a changé la donne. Celui-ci a transcendé la sélection avec 26 points (15/17 aux lancers), 7 rebonds et 6 passes !\\n\\nDu côté italien, l’Américain naturalisé Christian Burns (2,03m, 32 ans) a assuré 14 points et 6 rebonds alors que le jeune prodige Nico Mannion (17 ans) n’a finalement pas été aligné.\\n\\nLa Croatie a maintenant obligation de gagner dimanche en Roumanie pour se faufiler au deuxième tour. Cela paraît tout à fait probable.\\n\\nPhoto: Bojan Bogdanovic (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde: Les Etats-Unis se font piéger par le Mexique !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Même si ce n’est évidemment qu’une équipe de troisième zone qui les représente dans ces qualifications à la Coupe du monde, c’est toujours un événement de voir les Etats-Unis battus dans une compétition internationale. C’est arrivé cette nuit au Coliseo Juan de la Barrera à Mexico où le Mexique s’est imposé 78-70.\\n\\nPortés par 5 000 fans, les Mexicains ont pris un départ de dragster pour mener de 21 points (31-10) après un quart-temps. Orlando Mendez et Francisco Cruz étaient les plus performants offensivement. Ils menaient encore de 17 points à la mi-temps. Les hommes de Jeff Van Gundy ont alors tenté un retour en force avec Marcus Thornton en tête mais les Mexicains ont tenu bon.\\n\\nLes deux équipes sont qualifiées pour le deuxième tour. Pour clôturer le premier, le Mexique se rendra à San Juan pour affronter Porto Rico le 1er juillet. Les Etats-Unis seront à La Havane pour jouer les Cubains le même jour dans un match historique sur le plan politique."
}, 
{"role": "user",     "content":"Yannick Bokolo prolonge d’une saison à Pau"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez a annoncé ce jeudi la prolongation de contrat de Yannick Bokolo (1,91m, 33 ans) pour une saison supplémentaire. L’ex-international est donc lié avec le club jusqu’en 2019. En août prochain, le capitaine béarnais entamera sa 16ème saison professionnelle, la 5ème sous le maillot vert et blanc.\\n\\nCette saison, Yannick Bokolo a assuré 2,9 points et 2,2 passes pour 5,1 d’évaluation.\\n\\n« C’était une demande du club et une volonté de ma part », commente joueur. « Je souhaitais prolonger avec l’Elan et du coup, je n’ai même pas regardé ailleurs. J’ai l’habitude de ces périodes de négociation, je n’étais pas inquiet, j’avais l’esprit libre mais disons que maintenant c’est acté. C’est vrai que c’est un plus de savoir l’identité du coach, les systèmes qu’il veut mettre en place et de connaître déjà plusieurs de tes coéquipiers. Je vais entrer en jeu quant à l’ intégration des nouveaux, faire le lien entre les anciens et les recrues, cela fait partie intégrante de mon rôle. A mon âge, il n’y a pas la même excitation que peut éprouver un jeune lorsqu’il fait ses premiers pas en championnat mais il y a toujours cette curiosité et cette impatience avant de découvrir ses futurs coéquipiers et d’entamer une nouvelle saison. Sur le plan collectif, j’espère que nous allons pouvoir faire aussi bien que ces trois dernières années, à savoir atteindre les playoffs, et même aller un peu plus haut encore. Sur un plan personnel, j’aspire à prendre toujours le même plaisir en étant sur le parquet. »\\n\\nQuant au coach Laurent Vila, il indique que l’Elan veut jouer la carte de la continuité:\\n\\n« Nous avions une réelle envie de continuer avec Yannick et son maintien au sein de l’effectif, au même titre que plusieurs autres joueurs dont nous disposions la saison dernière, nous garantit une continuité à la fois en matière de performance et d’état d’esprit. L’énergie qu’il déploie sur le parquet comme sa bonne humeur au sein du vestiaire sont autant d’atouts pour notre groupe. Il a démontré à de multiples reprises au cours de la saison écoulée qu’il était capable de museler les meilleurs arrières de notre championnat et nous comptons sur lui pour maintenir cet impact défensif. Nous sommes persuadés qu’il est aussi en mesure d’apporter plus de percussion en attaque, nous l’avons évoqué ensemble à l’occasion du bilan individuel de fin de saison. Offensivement, il doit pouvoir apporter plus de danger. Aujourd’hui, avec l’évolution de la préparation plysique, il ne faut plus regarder les joueurs en fonction de leur âge mais plus par rapport à leurs qualités et capacités. Présent de nombreuses fois dans le 5 de départ, Yannick est un pilier de l’équipe dont l’expérience sera précieuse pour les jeunes éléments de notre effectif. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France: Opération commando à Tuzla et Krasnodar"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pan dans le bec des pisse-vinaigre éternels toujours à l’affût pour critiquer les sportifs millionnaires et leur soit disant égoïsme. Même depuis que Tony Parker n’est plus là pour montrer la voie, les basketteurs français sont exemplaires quand il s’agit de porter le maillot bleu.\\n\\nA l’exception de l’ailier des Denver Nuggets Juancho Hernangomez, tous les titulaires de l’équipe d’Espagne se sont fait porter pâles, que ce soit les NBAers aussi bien que les joueurs d’Euroleague, alors qu’il y a tant de défections en Serbie que l’on y perd sa boussole. Quant à la Russie, elle sera privée face à la France de son scoreur d’élite Alexey Shved. Les raisons des défections sont multiples mais beaucoup prétexte une saison éprouvante. A l’inverse, tous les joueurs français convoqués par Vincent Collet sont là sachant que son ancien meneur à Strasbourg, Frank Ntilikina est retenu par les New York Knicks pour disputer la Summer League. Et aurait-il fait partie de la liste des 14* sachant que le poste de meneur/arrière est très bien pourvu?\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nOui, les Bleus ont du mérite car ce n’est ni pour la gloire ni pour l’argent qu’ils se rendent au fin fond de la Bosnie-Herzegovine (Tuzla) et de la Russie (Krasnodar). Contrairement aux footballeurs, être sélectionné en équipe de France ne valorise pas -pour les joueurs NBA- ou peu -pour les autres- leur valeur marchande. Surtout quand il s’agit de prendre part à l’une de ces fameuses fenêtres internationales coincée entre la fin de saison et la trêve estival dans une compétition presque aussi complexe à déchiffrer que l’Hypothèse de Riemann. Malgré la présence mercredi à Nanterre de véritables superstars du sport français, il y avait les médias habituels, pas plus. Les autres sont hypnotisés par la Coupe du Monde de foot qui squatte presse écrite, radios et chaînes d’infos en continu.\\n\\n« Ceux que l’on a mobilisé ont répondu présent, » se réjouit le coach Vincent Collet. « C’est la preuve de leur attachement à l’équipe de France et de leur compréhension des enjeux. On sait que ce sont les deux matches les plus risqués sur les six premiers. On sait aussi que si on les gagne ont met un pied en Chine pour l’année prochaine. Les joueurs le savent et ils veulent aller à la Coupe du Monde. C’est aussi le travail de fond que fait Patrick Beesley (NDLR : le directeur des équipes de France) en permanence, de garder le contact, de les mobiliser, de leur expliquer justement ces enjeux-là même si on a besoin pour se qualifier de l’ensemble de Team France. Ce qui s’est passé en novembre et en février a été très important et ce qui se passera après aussi car je considère que ça sera à nouveau compliqué en septembre pour avoir l’ensemble de l’équipe. »\\n\\nIl y a un véritable notion de plaisir à se retrouver ainsi entre internationaux, de fierté de porter le maillot bleu, et pour certains comme Fabien Causeur, vainqueur de l’Euroleague, l’envie de remercier la France et à son basket de lui avoir permis de lui donner le statut qui est le sien à présent :\\n\\n« C’est une ne sorte de message pour les Français », dit-il. « Ça montre l’intérêt des joueurs pour l’équipe de France. Il y a aussi la sensation de frustration de ne pas pouvoir y aller pendant la saison pour les joueurs NBA et d’Euroleague qui avaient des matchs pendant ces fenêtres. Là, il n’y avait pas d’excuses pour ne pas venir. On a juste envie d’être en vacances après une saison très longue mais dix jours de plus pour aller en équipe de France, c’est toujours un plaisir. En Espagne, j’ai des joueurs de mon équipe qui auraient pu y être et qui ont préféré aller en vacances. On a fait 83 matches et on vient de finir. C’était une saison très longue, très intense. Mais c’est un petit effort en plus, ce n’est pas comme si je repartais sur un mois de préparation pour un championnat d’Europe ou une Coupe du Monde. C’est dix jours à donner à ton pays qui t’as donné tant. »\\n\\nNicolas Batum et Rudy Gobert, le retour\\n\\nDe l’équipe de France C qui avait disputé les fenêtres hivernales, il ne reste plus en place que Boris Diaw, Andrew Albicy, Paul Lacombe, Moustapha Fall et Edwin Jackson alors que Louis Labeyrie est insuffisamment remis de l’infection virale qui l’a privé avec Strasbourg des playoffs de la Jeep Elite.\\n\\nLes retours les plus remarqués sont ceux de l’ailier des Charlotte Hornets Nicolas Batum et du pivot des Utah Jazz Rudy Gobert. Les deux avaient fait l’impasse sur l’Euro de 2017.\\n\\n« Il est plutôt en bonne forme et on sent qu’il nous apporte dans le jeu, dans la fluidité. On sait que c’est quelqu’un qui met de l’huile dans les rouages. Il le fait très bien depuis trois jours et on sent surtout qu’il est très motivé et qu’il a la volonté de montrer des choses. Il s’est entraîné, ça se voit. Il est parmi les plus à l’aise physiquement avec ceux qui viennent de jouer leur finale respective comme Fabien Causeur et Paul Lacombe, qui viennent juste d’arrêter », note Vincent Collet.\\n\\nNicolas Batum est un cadre de l’équipe nationale et celle-ci n’est pas la même lorsque le Normand y fait défaut. Son côté protéiforme et ses facultés défensives sont uniques dans l’univers des Bleus.\\n\\n« Il est très probable qu’il fasse des passages en 4 sur cette fenêtre car on en a besoin par rapport à l’effectif dont on dispose et surtout par rapport à ses capacités. Ce que proposent les Bosniens et même les Russes avec des joueurs intérieurs qui sont très polyvalents, Nicolas a toutes les capacités pour les gêner et surtout nous donner des solutions par rapport au secteur intérieur où on est plutôt très bien pourvu sur cette fenêtre. On a des joueurs forts sur les ailes donc le fait de pouvoir le décaler momentanément sur le poste 4 peut être une arme supplémentaire pour nous. »\\n\\nQuant à Rudy Gobert, l’hommage rendu par la NBA qui en a fait son Défenseur de l’Année résume son pouvoir de nuisance sur le jeu intérieur adverse. Le pivot des Jazz a quand même le handicap d’avoir intégré le groupe seulement mercredi après-midi suite à un vol entre Los Angeles et Paris. La NBA a eu la bonne idée de caler sa remise de trophée en plein la préparation à cette fenêtre internationale. Cela en dit long sur la considération qu’elle porte aux équipes nationales et à ceux qui les régissent. Et avec le président dont les Américains se sont dotés, ça ne va pas s’améliorer.\\n\\n« Il arrive cet après-midi et il va participer à l’entraînement de ce soir. On aura un entraînement demain en Bosnie et on va faire dans l’urgence. On va lui montrer les systèmes, certains étaient identiques il y a deux ans. Malgré tout il va falloir les lui rappeler. On sait ce qu’il peut nous apporter dans d’autres domaines où il n’y a pas besoin de préparation tactique. Il vient d’être élu meilleur défenseur de la NBA, on sait ce qu’il est capable de nous apporter. Après ce ne sont pas les conditions idéales mais elles ne le sont pas avec le reste du groupe. »\\n\\nAlors que la Bosnie a joué la Croatie en amical, les Bleus n’ont pas eu l’occasion de se tester dans un match de préparation alors qu’ils sont en recomposition. Coach également en club, Vincent Collet fait remarquer que même la Ligue Nationale de Basket n’y a pas mis du sien.\\n\\n« Ce n’est pas un choix stratégique, » répond-il quand on lui demande pourquoi il n’y a pas de matches de préparation au programme. « Normalement la fenêtre commençait lundi. Vis-à-vis des joueurs NBA on est presque obligé de respecter ces fenêtres. Leur libération dépend des dates des fenêtres. Normalement, elle commençait le 25. Je rappelle que L’Epilogue 5 de la finale de Jeep Elite était situé le 24. Initialement c’était prévu un peu plus tôt mais ça été retardé à cause de la télé. C’était un élément à prendre en compte car des joueurs pouvaient la disputer même si finalement il n’y a que Paul (Lacombe) qui a été concerné. »\\n\\nSi Strasbourg avait été concerné par une finale en cinq manches, le coach des Bleus aurait dû lui aussi enchaîner sans temps-mort.\\n\\nQuid de l’état de forme de Evan Fournier ?\\n\\nVincent Collet a récupéré un groupe sans pépins physiques sinon que Moustapha Fall a connu une petite alerte mardi mais le lendemain il allait déjà beaucoup mieux. C’est seulement que le degré de forme de chacun est différent suivant le moment au printemps où ils ont cessé la compétition. Les NBAers qui n’ont pas fait les playoffs sont sans compétition depuis avril alors que Paul Lacombe était encore en action dimanche.\\n\\n« C’est un moment du calendrier qui est très difficile. Il y a des joueurs qui ont arrêté depuis un certain temps et qui ont donc repris uniquement lundi soir. On n’a pas du tout l’état physique dont on pouvait disposer pour les fenêtres de novembre et février. C’est une équipe qui est forte. Probablement plus forte que celle de l’an passé au championnat d’Europe. C’est effectivement quelque chose qui contre-balance. Par contre c’est quand même un sport où il faut courir, avoir une condition physique adéquate et il me semble qu’on est un peu court pour l’instant. »\\n\\nAucun travail de fond n’est possible puisque les Bleus n’auront que cinq entraînements dans les jambes avant d’affronter la Bosnie. Le coach a décrété une sorte d’état d’urgence. L’objectif est de revoir quelques formes de jeu que chacun connaît plus ou moins et de mettre en place quelques principes défensifs. Le cas le plus délicat est celui de Evan Fournier. L’arrière-ailier des Orlando Magic vient cette saison de monter encore un peu plus d’un cran offensivement (17,8 points en moyenne) mais sur seulement 57 matches. Touché au ligament collatéral tibial du genou gauche, Fournier a manqué la fin de la saison régulière de NBA. Dans un effectif très riche en scoreur, il est sans doute l’arme numéro un mais en la circonstance il pourrait voir son temps de jeu diminuer et peut-être sortir du cinq dit majeur.\\n\\n« Il faut déjà qu’il retrouve le rythme du basket », commente à son sujet Vincent Collet. « Il a été blessé en fin de saison. On sent qu’il a besoin un peu de compétition et de rythme. C’est à mon avis ça qui va conditionner... Après, il a forcément un rôle important. C’est l’un de nos leaders offensifs clairement désigné mais c’est le terrain qui va véritablement en décider surtout sur une période très courte. Ce n’est pas comme si on avait une période plus importante. Il a repris là le basket avec opposition avec nous cette semaine. Il ne jouait même pas en fin de saison régulière. Patrick est allé le voir fin mars et il était déjà à l’arrêt. On sent qu’il est un peu victime de ça par rapport aux oppositions que l’on a pu faire. Ça va monter, on sait combien il est sérieux et là c’est un peu nouveau par rapport à l’habitude. Il est jeune et je pense que chaque jour qui passe va le reprocher d’une forme de jeu. Il a clairement fait beaucoup de travail individuel pour soigner son genou mais c’est plutôt une question de rythme de jeu. »\\n\\nUne Bosnie diminuée, mais...\\n\\nAvec sa victoire arrachée avec les dents face à la Russie à Nancy en février (+1), la France est dans une position enviable. 4 victoires en 4 matches.\\n\\n« Il faut gagner les matches pour rentrer dans le deuxième groupe de qualification avec le plus de victoires possibles. On sait que gagner les deux serait une aubaine pour nous car ça nous mettrait en situation idéale pour se qualifier pour la Coupe du Monde quoiqu’il arrive dans la deuxième phase. On aurait besoin au maximum de deux victoires pour y parvenir. En gagner un serait déjà très bien. C’est pour ça que ces deux matches sont importants », résume Vincent Collet.\\n\\nSans l’omniprésent Alexey Shved, la Russie ne sera pas au niveau de sa performance à l’Euro dernier où elle s’est faufilée jusqu’en demi-finale. Il reste que c’est tout de même face à la Bosnie-Herzégovine qu’ils ont largement dominé à l’aller à Rouen (+19) que les Bleus se voient offrir une opportunité de consolider leur leadership. Surtout que les Bosniens dénombre un certain nombre de défections dans un effectif qui n’est pas à la base aussi prestigieux que le nôtre.\\n\\nL’intérieur Andrija Stipanovic (2,08m, 31 ans) du Cedevita Zagreb est blessé et il a apporté jusque-là 12,8 pts, 4,8 rebonds dans ces qualifications. Dzanan Musa (2,03m, 19 ans), meilleur scoreur de l’équipe avec 15,3 points n’est pas disponible car il vient d’être drafté par les Brooklyn Nets en 30e position et il est contraint de disputer la Summer League. Jusuf Nurkic (2,11m, 127 kg, 23 ans) des Portland Trailblazers ne sera pas là lui non plus. Et quid de Nemanja Gordic (1,93m, 29 ans), le meneur d’Ikokea en Bosnie (13,3 points, 11,5 évaluation en qualification) ? Pas sûr qu’il soit de la partie.\\n\\n« Par contre on a scouté leur match contre la Croatie et ils ont fait un vrai match contre une Croatie qui était pourvu de ses joueurs y compris de Bogdanovic. Ils ont résisté tout le match. On s’attend à la même chose. Ce sont des joueurs que l’on ne connaît pas forcément comme le pivot (Hasan) Rizvic qui fait 2,17m. Il y a (Aleksandar) Lazic en poste 4 qui a du shoot, qui est vaillant. Ils ont beaucoup de jeunes joueurs qui sont quasiment inconnus sur la scène européenne et qui sont pourtant de bons joueurs. Il faut s’attendre à un match dur. J’ai vu que ((Vule) Vulosevic (NDLR : l’ancien coach de Limoges) promettait l’enfer. C’est à Tuzla, même pas Sarajevo, dans une salle surchauffée. Il faut s’attendre à beaucoup d’agressivité. Il ne faut pas que l’on aille là-bas en pensant que l’on va s’imposer simplement avec notre statut. Il faut être prêt à se battre. C’est un match piège par excellence. Si tu regardes les rosters, tu y vas rassuré mais surtout pas. Il faut au contraire s’attendre à être bousculé et même peut-être à se faire taper dessus et être capable de répondre sans perdre la tête, en continuant à jouer sans s’occuper de l’arbitrage. En résumé, la gestion du contexte est pour moi capitale. »\\n\\nEt la suite ? Elle est enveloppé d’un épais brouillard. En septembre, des NBAers seront probablement disponibles. Mais lesquels ? En revanche, le conflit FIBA-Euroleague faisant toujours partie du grand bêtisier du basket international, il n’est pas certain du tout qu’il faille compter sur Nando De Colo and Co à ce moment-là. Et puis les Bleus pourront-ils toujours avoir comme capitaine de route l’inamovible capitaine Boris Diaw ? Lors du point presse mercredi, Babac a répondu qu’il ne sait pas s’il va donner une suite à sa carrière après cette fenêtre internationale. Patrick Beesley nous a dit ne pas en savoir davantage que nous. Mais franchement, Tuzla et Krasnovar ce n’est pas le pied pour baisser le rideau sur une carrière aussi fabuleuse.\\n\\n*Les 14 joueurs feront les deux déplacements mais seulement 12 seront sur la feuille de match.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n[armelse]\\n\\nOui, les Bleus ont du mérite car ce n’est ni pour la gloire ni pour l’argent qu’ils se rendront au fin fond de la Bosnie-Herzegovine (Tuzla) et de la Russie (Krasnodar). Contrairement aux footballeurs, être sélectionné en équipe de France ne valorise pas -pour les joueurs NBA- ou peu -pour les autres- leur valeur marchande. Surtout quand il s’agit de prendre part à l’une de ces fameuses fenêtres internationales coincée entre la fin de saison et les vacances dans une compétition presque aussi complexe à déchiffrer que l’Hypothèse de Riemann. Malgré la vraie présence mercredi à Nanterre de véritables superstars du sport français, il y avait les médias habituels, pas plus. Les autres sont hypnotisés par la Coupe du Monde de foot qui squatte presse écrite, radios et chaînes d’infos en continu.\\n\\n« Ceux que l’on a mobilisé ont répondu présent, » se réjouit le coach Vincent Collet. « C’est la preuve de leur attachement à l’équipe de France et de leur compréhension des enjeux. On sait que ce sont les deux matches les plus risqués sur les six premiers. On sait aussi que si on les gagne ont met aussi un pied en Chine pour l’année prochaine. Les joueurs le savent et ils veulent aller à la Coupe du Monde. C’est aussi le travail de fond que fait Patrick Beesley (NDLR : le directeur des équipes de France) en permanence, de garder le contact, de les mobiliser, de leur expliquer justement ces enjeux-là même si on a besoin pour se qualifier de l’ensemble de Team France. Ce qui s’est passé en novembre et en février a été très important et ce qui se passera après aussi car je considère que ça sera à nouveau compliqué en septembre pour avoir l’ensemble de l’équipe. »\\n\\nIl y a un véritable notion de plaisir à se retrouver ainsi entre internationaux, de fierté de porter le maillot bleu, et pour certains comme Fabien Causeur, vainqueur de l’Euroleague, l’envie de remercier la France et à son basket de lui avoir permis de lui donner le statut qui est le sien à présent :\\n\\n« C’est une ne sorte de message pour les Français, » dit-il. « Ça montre l’intérêt des joueurs pour l’équipe de France. Il y a aussi la sensation de frustration de ne pas pouvoir y aller pendant la saison pour les joueurs NBA et d’Euroleague qui avaient des matchs pendant ces fenêtres. Là, il n’y avait pas d’excuses pour ne pas venir.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coup dur pour Strasbourg: Louis Labeyrie a choisi de faire jouer sa clause de sortie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Louis Labeyrie (2,08m, 26 ans) a choisi de faire jouer sa clause et va quitter la SIG Strasbourg après seulement une saison contre une contrepartie financière. Il l’a signifié aujourd’hui par écrit indique le club.\\n\\nL’international a été l’auteur d’une excellente saison que ce soit en Jeep Elite (13,0 points et 7,4 rebonds) qu’en Champions League même s’il a dû déclarer forfait pour la série contre Le Mans en playoffs à cause d’un virus. Il a été élu par ses pairs et les médias dans le 5 idéal de la saison de la Jeep Elite.\\n\\nLouis Labeyrie n’a pas caché son intention de rejoindre un club d’Euroleague.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les 12 joueurs contre la Bosnie sont connus, Edwin Jackson et Mathias Lessort n’en font pas partie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce sont Edwin Jackson et Mathias Lessort qui ne seront pas sur la feuille de match demain soir (20h30, en direct sur Canal + Sport) pour la rencontre de l’équipe de France face à la Bosnie à Tuzla dans le cadre des qualifications pour la Coupe du Monde.\\n\\nLe deux joueurs peuvent bien sûr intégrer l’équipe lundi pour le deuxième match de cette fenêtre contre la Russie.\\n\\n\\n\\n\\nN°\\nPrénom\\nNom\\nNaissance\\nTaille\\nPoste\\nSél.\\nPoints\\nClub 2017/2018\\n\\n\\n21\\nAndrew\\nALBICY\\n21/03/1990\\n1,78\\nMeneur\\n38\\n81\\nMoraBanc Andorra (Espagne)\\n\\n\\n5\\nNicolas\\nBATUM\\n14/12/1988\\n2,03\\nAilier\\n125\\n1396\\nCharlotte Hornets (NBA)\\n\\n\\n22\\nFabien\\nCAUSEUR\\n16/06/1987\\n1,95\\nArrière\\n29\\n70\\nReal Madrid (Espagne)\\n\\n\\n12\\nNando\\nDE COLO\\n23/06/1987\\n1,96\\nArrière\\n159\\n1700\\nCSKA Moscou (Russie)\\n\\n\\n13\\nBoris\\nDIAW\\n16/04/1982\\n2,03\\nAilier fort\\n245\\n2081\\nLevallois Metropolitans\\n\\n\\n93\\nMoustapha\\nFALL\\n23/02/1992\\n2,18\\nPivot\\n4\\n38\\nSakaraya Buyuksehir (Turquie)\\n\\n\\n10\\nEvan\\nFOURNIER\\n29/10/1992\\n1,99\\nAilier\\n54\\n436\\nOrlando Magic (NBA)\\n\\n\\n27\\nRudy\\nGOBERT\\n26/06/1992\\n2,15\\nPivot\\n48\\n333\\nUtah Jazz (NBA)\\n\\n\\n4\\nThomas\\nHEURTEL\\n10/04/1989\\n1,88\\nMeneur\\n72\\n495\\nFC Barcelone (Espagne)\\n\\n\\n34\\nAlain\\nKOFFI\\n23/11/1983\\n2,07\\nAilier fort\\n40\\n194\\nPau-Lacq-Orthez\\n\\n\\n90\\nPaul\\nLACOMBE\\n12/06/1990\\n1,90\\nAilier\\n4\\n43\\nAS Monaco\\n\\n\\n17\\nVincent\\nPOIRIER\\n17/10/1993\\n2,13\\nPivot\\n10\\n41\\nVitoria (Espagne)\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: Boris Diaw (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’intérieur Brian Conklin quitte Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il restait un an de contrat à effectuer, l’intérieur américain Brian Conklin et le Limoges CSP ont décidé d’un commun accord de se séparer indique le club dans un communiqué.\\n\\nArrivé cet été de Nanterre, Brian Conklin (2,01m, 28 ans), pivot de petite taille mais batailleur, s’est fendu de 8,6 points et 4,6 rebonds cette saison. L’Américain devrait rejoindre l’Australie et les Illawarra Hawks.\\n\\nPhoto: CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Dinma Odiakosa quitte Le Portel pour Nancy"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après l’arrivée de Christian Monschau et de la première recrue Yunio Barrueta, Nancy annonce la signature du pivot Dinma Odiakosa (2,03, 32 ans).\\n\\nFort de trois saisons en Pro B entre 2014 et 2017, le Nigérian arrive en provenance de l’ESSM Le Portel, en Jeep Elite. Passé par Boulazac, Saint-Quentin et Le Havre en Pro B, c’est en Normandie qu’il signe sa meilleure saison en France avec 14 points et 9,8 rebonds (18,5 d’évaluation).\\n\\nCette saison en Jeep Elite, Dinma Odiakosa tournait à 4,8 points et 4,5 rebonds pour une évaluation de 6,3. En FIBA Europe Cup, il compilait 5,6 points et 4,2 rebonds.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"A 17 ans, Nico Mannion va faire ses débuts avec l’Italie contre les Pays-Bas"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nico Mannion va faire ses débuts dimanche avec l’Italie contre les Pays-Bas à l’occasion des éliminatoires de la Coupe du Monde. L’information est très intéressante dans le sens que le meneur de jeu de 1,93m italo-américain est âgé de 17 ans. Il est né le 14 mars 2001. Une telle précocité est rarissime dans le basket moderne.\\n\\nNiccolo Mannion est le fils d’un ancien joueur américain, Pace, qui a joué en NBA et en Italie et d’une mère ancienne volleyeuse professionnelle. Né à Sienne, il fait sa scolarité aux Etats-Unis et il est considéré comme l’un des meilleurs joueurs de lycée. L’Italie l’a sélectionné dans ses équipes de jeune et ainsi il est italien à part entière pour la FIBA. L’été dernier, il avait été le meilleur marqueur de l’Euro U16 remporté par la France avec 19,9 points en moyenne.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce : Boris Dallo rejoint l’Aris Salonique"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’entraînement avec l’Aris Salonique depuis plusieurs semaines, Boris Dallo (1,96m, 24 ans) s’est engagé avec le club grec.\\n\\nCette saison avec Panionios, l’ancien Poitevin restera donc en Grèce la saison prochaine. Selon SDNA, il aurait signer un contrat de deux ans avec ce club historique dont le public fait partie des plus chauds d’Europe. Passé par le Partizan Belgrade ou encore Antibes, le natif de Nantes a signé sa meilleure saison en carrière à Panionios.\\n\\nEn première division grecque, Boris Dallo compilait en moyenne 7,4 points, 7,3 rebonds et 3,2 passes décisives.\\n\\n\\n\\n\\nThanks for all the Love and Memories Panionios, @ARISBCgr What’s good !\\nCan’t Wait to play for the Yellow and Black. 🇬🇷\\nLocked In 🔒#OctagonEurope pic.twitter.com/Wj0r2OzHpl\\n\\n\\n— Boris Dallo (@DalloBoris12) June 28, 2018\\n\\nPhoto : Boris Dallo Facebook"
}, 
{"role": "user",     "content":"Dee Bost (Strasbourg) avec Memphis pour la Summer League NBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme chaque été, la NBA organise ses Summer League au mois de juillet. L’occasion pour les franchises de tester de jeunes joueurs et des joueurs plus expérimentés en quête d’une chance en NBA.\\n\\nEn début de saison au Zalgiris Kaunas, Dee Bost (1,88m, 28 ans) a rejoint Strasbourg mi-décembre. Après son bel exercice sous les couleurs de la SIG, l’ancien joueur de Monaco a été convié par les Memphis Grizzlies pour disputer la Summer League NBA.\\n\\nCette saison avec Strasbourg, Dee Bost tournait en moyenne 11,1 points, 3,1 rebonds et 5,8 passes décisives pour une évaluation de 14,6 en Jeep Elite, et 14,1 points, 4,7 rebonds et 6,2 assists en Champions League.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Oleksiy Yefimov (General Manager Monaco) : «Dès notre montée en Pro B nous avons lancé la procédure de centre de formation»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé dans les bagages du président Sergei Dyadechko, Oleksiy Yefimov est l’homme qui gère la Roca Team, notamment dans son recrutement. Pour Basket Europe, il est revenu sur le choix du club de quitter la BCL pour jouer l’Eurocup, sur les départs de Zvezdan Mitrovic et Aaron Craft, ou encore sur le cas de Blois qui ne peut pas monter en Jeep Elite en raison de son centre de formation.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nPourquoi avez-vous choisi de rejoindre l’Eurocup ? La Champions League se vante d’être plus lucrative que son concurrent.\\n\\nTout d’abord, je voudrais souligner que nous avons été très heureux de notre collaboration avec la Champions League. Nous avons été la seule équipe à se qualifier pour le Final Four deux fois de suite et nous en sommes très fiers. Mais, la chose est que nous avons réalisé qu’avec notre capacité d’accueil, qui est de seulement 3 000 places, il ne nous aurait jamais été possible d’accueillir le Final Four. Peu importe à quel point nous sommes bons ou pas sur le terrain, la grande majorité de nos supporters n’auraient pas été capables de voir jouer notre équipe dans les matchs cruciaux. C’est la principale raison pour laquelle nous avons décidé de rejoindre l’Eurocup. Ensuite, évidemment jouer l’Eurocup augmente nos chances de disputer l’Euroleague. Bien sûr, on ne parle pas de l’Euroleague dans deux ans, mais dans le futur.\\n\\nVous ne vouliez pas tenter de remporter le titre une dernière fois après la défaite en finale face à l’AEK ?\\n\\nLe problème est que le club qui accueille le Final Four sera toujours favori. Avant tout, je le répète notre priorité est nos supporters. Ce n’est pas facile de se battre à côté de foot et des autres activités, c’est pourquoi nous pensons d’abord à nos fans. Nous pensons qu’ils méritent de pouvoir supporter l’équipe peu importe où elle ira. Nous avons accepté de rejoindre l’Eurocup après les finales de championnat car nous avons vu à quel point notre équipe peut susciter l’attention. Nous avons vu l’intérêt qu’à procurer l’équipe pendant les finales de Jeep Elite. Pour le match 5, nous avons eu plus de 5 000 demandes de tickets. Alors que nous avons une capacité de 3 000 places. Ça peut sembler peu pour une grande ville Paris, mais pour Monaco, où il y a moins de 20 000 habitants, c’est plutôt bien.\\n\\nQuel est l’objectif en rejoignant l’Eurocup ?\\n\\nLe but c’est d’aller le plus loin possible, évidemment. La saison prochaine, le niveau de l’Eurocup sera le plus élevé jamais observer jusqu’à maintenant. Comme ça c’est difficile d’en parler. Nous verrons le tirage et ensuite on pourra commencer à émettre des souhaits. Bien sûr, nous voulons aller au minimum jusqu’au Top 16.\\n\\nY-a-t’il un projet de nouvelle salle à Monaco ?\\n\\nCette question devrait plutôt être posée au gouvernement... Tout le monde aimerait voir une nouvelle salle pour notre équipe, mais pour le moment il n’y a pas de place, ni de discussion pour imaginer voir un nouveau gymnase sortir du sol. Néanmoins je pense qu’avant de construire une nouvelle salle, nous devons augmenter notre affluence moyenne. Quand cette salle sera à guichets fermés tous les soirs, alors nous pourrons demander d’en avoir une autre.\\n\\nQuel est votre bilan pour cette saison avec la Roca Team ?\\n\\nSi nous avions parlé le jour suivant le Match 5 des finales de Jeep Elite, j’aurais parlé de grosse déception. Nous étions si proches du titre, je pense que nous avions l’espace pour aller le chercher mais on ne l’a pas bien fait. Si on regarde la saison entière, c’est bien plus que ce à quoi nous nous attendions. Nous avons joué trois compétitions et nous sommes allés en finale à chaque fois : Leaders Cup, Champions League et Jeep Elite. Nous avons terminé premier en saison régulière, la saison dernière nous avons terminé troisièmes de Champions League et cette année deuxièmes, c’est une pas de plus vers le titre. Nous n’avions jamais été en finale de Jeep Elite, et cette année nous l’avons fait. Nous avons également augmenté notre affluence moyenne. Globalement, c’est une saison réussie. Il y a de la déception parce que nous aurions pu faire mieux, mais dans un même temps il ne faut pas oublier que c’est seulement notre troisième année en première division. Notre objectif n’était pas principalement de gagner la Champions League donc, après avoir pris ça en considération, on peut dire c’est une saison réussie. Ce qui est important c’est que nous avons montré que nous pouvons constamment à un haut niveau. Ce n’était que notre troisième saison en Pro A et nous avons été bons, sans des hauts et des bas très importants.\\n\\nSouhaitiez-vous conserver Zvezdan Mitrovic et Aaron Craft ?\\n\\nCoach Mitrovic a pris sa décision et nous la respectons. Je pense que sa décision est basée sur le fait que l’ASVEL va jouer l’Euroleague dans un an et nous respectons cela. C’est quelque chose que nous ne pouvons pas lui garantir ici.\\n\\nEn ce qui concerne Aaron Craft, nous avons songé à le garder, mais Buducnost lui a fait une offre bien plus importante et ils jouent en Euroleague. Nous souhaitions le garder, mais c’était un effort financier trop important. Au Monténégro, il va avoir une hausse d’au moins 60% comparé à ce qu’il avait cette année (selon notre enquête de début de saison, il gagnait 220 000€ cette saison). Pour revenir à la question précédente, on peut considérer que notre saison est réussie si tous nos joueurs méritent une revalorisation de salaire... Je pense que tous nos joueurs peuvent prétendre à gagner deux fois plus. Si c’est comme ça tous les ans, on peut parler de saison réussie...\\n\\nPour revenir sur le cas de Blois qui n’a pas le droit de monter en Pro A, comment avez-vous fait à l’époque pour être accepté en première division ?\\n\\nLa différence avec Blois, c’est que dès que nous sommes montés en Pro B, nous avons commencé la procédure et avons fait la demande de l’agrément pour avoir un centre de formation dans les règles. Donc nous avons fait ça dans les règles.\\n\\n[armelse]\\n\\nPourquoi avez-vous choisi de rejoindre l’Eurocup ? La Champions League se vante d’être plus lucrative que son concurrent.\\n\\nTout d’abord, je voudrais souligner que nous avons été très heureux de notre collaboration avec la Champions League. Nous avons été la seule équipe à se qualifier pour le Final Four deux fois de suite et nous en sommes très fiers. Mais, la chose est que nous avons réalisé qu’avec notre capacité d’accueil, qui est de seulement 3 000 places, il ne nous aurait jamais été possible d’accueillir le Final Four. Peu importe à quel point nous sommes bons ou pas sur le terrain, la grande majorité de nos supporters n’auraient pas été capables de voir jouer notre équipe dans les matchs cruciaux. C’est la principale raison pour laquelle nous avons décidé de rejoindre l’Eurocup. Ensuite, évidemment jouer l’Eurocup augmente nos chances de disputer l’Euroleague. Bien sûr, on ne parle pas de l’Euroleague dans deux ans, mais dans le futur.\\n\\nVous ne vouliez pas tenter de remporter le titre une dernière fois après la défaite en finale face à l’AEK ?\\n\\nLe problème est que le club qui accueille le Final Four sera toujours favori. Avant tout, je le répète notre priorité est nos supporters. Ce n’est pas facile de se battre à côté de foot et des autres activités, c’est pourquoi nous pensons d’abord à nos fans. Nous pensons qu’ils méritent de pouvoir supporter l’équipe peu importe où elle ira. Nous avons accepté de rejoindre l’Eurocup après les finales de championnat car nous avons vu à quel point notre équipe peut susciter l’attention. Nous avons vu l’intérêt qu’à procurer l’équipe pendant les finales de Jeep Elite. Pour le match 5, nous avons eu plus de 5 000 demandes de tickets. Alors que nous avons une capacité de 3 000 places. Ça peut sembler peu pour une grande ville Paris, mais pour Monaco, où il y a moins de 20 000 habitants, c’est plutôt bien.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto :Oleksiy Yefimov à gauche/Monaco Matin"
}, 
{"role": "user",     "content":"Gravelines: L’ancienne star du basket belge, Eric Struelens devient assistant-coach"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le BCM Gravelines a officialisé la venue de l’ancien international belge Eric Struelens comme assistant du coach Julien Mahé et ce pour deux saisons.\\n\\nEric Struelens, 48 ans, est l’un des meilleurs joueurs de l’histoire du basket belge. Sa carrière l’avait notamment amené au Paris Saint Germain de 1996 à 1998 mais aussi ensuite au Real Madrid pendant quatre ans. Le Stru capta un jour de 1998 vingt rebonds lors d’un Open McDonald’s à Paris-Bercy face aux Chicago Bulls de Michael Jordan.\\n\\n« J’ai mon diplôme de coach, je me suis proposé mais rien ne s’est jamais concrétisé. Peut-être qu’un de ces quatre, le Basic Fit Brussels, mon club de coeur, m’appellera. Ce serait une belle manière de boucler la boucle », disait-il, il y a quelques semaines, sur Liège&Basketball.\\n\\nC’est finalement la Jeep Elite et le BCM qui lui donnent une chance d’embrasser véritablement une carrière de coach.\\n\\nEric Struelens remplace le Finlandais Tuovi Lassi.\\n\\n\\n\\n\\n⚠️ OFFICIEL : Eric Struelens @bigstru, la légende 🇧🇪 devient assistant coach du @BCMBasket !\\n\\n\\nL'ancien joueur du @RMBaloncesto et du PSG Basket vient épauler Julien Mahé pour deux saisons\\n\\n\\nBienvenue à toi Eric 😉 #TousBCM pic.twitter.com/wrUkbBN4vo\\n\\n\\n— BCM Basketball (@BCMBasket) June 28, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ADA Blois «a pris connaissance avec stupéfaction du communiqué de presse de la FFBB»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le communiqué de la FFBB n’a pas apaisé la colère de l’ADA Blois Basket 41 privée sur tapis vert de sa montée en Jeep Elite obtenue sur le terrain. Au contraire. Le club vient de publier à son tour un communiqué que nous reproduisons ci-dessous:\\n\\n« L’ADA Blois Basket 41 a pris connaissance avec stupéfaction du communiqué de presse de la Fédération Française de Basket-Ball et tient à préciser sa parfaite connaissance des règlements de la LNB et du cahier des charges relatif aux centre de formation depuis son accession en LNB en 2016.\\n\\nLa FFBB se contredit et démontre qu’elle sait être souple avec certains (ou certaines) et excessivement rigide avec l’ADA Blois.\\n\\nEn effet, en juillet 2013, la FFBB a t-elle accordé au club de basket féminin d’Angers une dérogation pour intégrer la ProA alors que ce club n’avait pas de centre de formation agréé ?\\n\\nEn 2014, le club de Boulogne qui a été champion de ProB et qui a accédé en ProA répondait-il aux critères du Centre de formation avec une équipe en N3 ?\\n\\nEn 2014, La FFBB a t-elle accepté d’inscrire et de donner le droit sportif à une équipe en ProA de Basket, Monaco, alors qu’elle n’avait pas son siège en France ? Ce même club avait-il une équipe en N3 la saison de son accession en ProA conformément aux préconisation FFBB ?\\n\\nEn ce qui concerne le Centre de Formation de l’ADA Blois, celui-ci sera opérationnel le 1er septembre 2018 et contrairement aux fausses allégations des instances du Basket Français, l’ADA Blois n’a pas attendu son titre de champion de France de ProB pour mettre en place ce centre de Formation.\\n\\n * Concernant la question de l’équipe U18 :\\n\\nLa FFBB est chargée, par le biais de sa Ligue Régionale, de l’attribution des places en U18 Elite.\\n\\nEn 2016 l’ADA Basket a effectué une première sollicitation, écartée au profit de Tours et Orléans (agréé), alors que l’équipe 1 de Tours jouait deux niveaux en dessous de Blois !!!\\n\\nEn 2017 malgré un dossier très solide, la FFBB a une nouvelle fois écarté l’ADA Blois du fait de l’unique ticket attribué à notre région revenant de droit à Orléans.\\n\\nDans ces conditions le club avait pleine conscience de ne pas remplir, pour majeure partie pour des raisons extérieures, de sa non capacité à être agrée pour la saison 2017-2018, envoyant alors un courrier dénonçant la situation (14 avril 2017 mis en ligne hier sur ada-basket.com) et resté à ce jour sans réponse.\\n\\nSans la capacité à se faire agréé le club était évidemment en incapacité de conventionner ses meilleurs jeunes, au risque de les voir partir librement d’ailleurs ce qui constitue une véritable pénalisation de fait.\\n\\nLe 27 avril 2018, le Président de la FFBB a garanti aux dirigeants de l’ADA Blois une place en U18 Elite et il a proposé une « wild card N3 » indispensable à l’agrément en cas de ProB, mais facultative en ProA puisque le cahier des charges évoque simplement l’équipe espoirs.\\n\\nAprès dépôt en bonne et due forme du dossier « wild card » tel que demandé par la FFBB, l’ADA Basket a reçu le 5 juin 2017 un courrier laconique de la « Commission Fédérale des Compétitions » refusant la wild card proposée quelques semaines auparavant !\\n\\nEnfin, faut-il rappeler qu’en septembre 2014, le Comité Directeur de la LNB a déjà accordé une dérogation à Monaco pour son passage de N1 à Pro B sans fondement juridique et sans qu’aucun club n’entame quelconque procédure !\\n\\nL’ADA Blois va saisir dans les prochains jours le CNOSF et a bien l’intention d’obtenir le droit de jouer la saison prochaine en Jeep Elite malgré l’intransigeance coupable de la FFBB. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Préparation U17: Après un bouillon contre les Etats-Unis (-36), les Bleuets dominent l’Argentine (+17)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir précédemment pris un gros bouillon face aux Etats-Unis (46-82), l’équipe de France U17 s’est bien reprise la nuit dernière face à l’Argentine (91-74) lors du tournoi de Santa Fé. D’autant plus intéressant que l’Argentine sera le premier adversaire des Bleuets au championnat du Monde.\\n\\nTournoi à Santa Fe\\nMardi 26 juin : France – Etats-Unis : 46-82\\nPoints des Français : Cazalon 8, Miyem 7, Maledon 6, Gauzin 4, Thirouard-Samson 4, Carene 4, Hayes 4, Ebonkoli 4, Crusol 3, Eyango Dingo 2, Diallo 0, Billon 0\\n\\nMercredi 27 juin : France – Argentine : 91-74\\nPoints des Français : Maledon 23, Cazalon 16, Crusol 14, Gauzin 13, Thirouard-Samson 8, Carene 6, Hayes 5, Miyem 4, Diallo 2, Ebonkoli 0, Eyango Dingo 0, Billon 0\\n\\nChampionnat du Monde à Rosario et Santa Fe (Argentine) du 30 juin au 8 juillet 2018\\nDimanche 1er juillet à 1h30 : Argentine – France\\nDimanche 1er juillet à 23h15 : Philippines – France\\nMardi 3 juillet à 23h15 : Croatie – France\\nMercredi 4 juillet : Huitièmes de finale\\nVendredi 6 juillet : Quarts de finale\\nSamedi 7 juillet : Demi-finales\\nDimanche 8 juillet : Finale\\n\\nPhoto: Théo Maledon (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Victor Samnick, Christophe Leonard et Marco Pellin admis à la formation d’entraîneur FFBB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A Limoges, ils étaient 70 à prétendre à une admission pour la formation FFBB du DE-JEPS/DEFB. Après trois jours d’épreuves, 53 candidats ont été admis. Parmi ces 53 sélectionnés, on retrouve trois anciens joueurs de Pro A que sont Victor Samnick, Christophe Leonard et Marc-Antoine Pellin.\\n\\nAgé de 38 ans, Victor Samnick a quitté le haut niveau en 2016 et évoluait cette saison en N2 au Paris Basket Avenir. Sur son site, la FFBB indique que le natif de Douala a été admis à la formation et qu’il coachera au Club Sportif Ministère des Finances dont les équipes fanions sont en CTC avec le PBA.\\n\\nEn revanche, Christophe Leonard (28 ans) et Marc-Antoine Pellin (30 ans) sont les deux seuls admis à ne pas avoir de club pour leur formation. Si voir Marco Pellin dans cette liste est une demi-surprise tant il est gêné par les blessures depuis maintenant plusieurs saisons, c’est en revanche surprenant d’y voir Christophe Leonard. A Poitiers en 2016/17 il avait signé un exercice de qualité avec plus de 8 points, 3 rebonds et 2 passes de moyenne.\\n\\nAvec l’obtention du DE-JEPS/DEFB, il sera possible aux futurs diplômés d’entraîner à temps plein jusqu’aux divisions LF2, NM2 et U15 élite, ils pourront devenir assistant d’un centre de formation Pro A, Pro B et LFB, ou bien devenir assistant d’une équipe Pro B ou LFB.\\n\\nPhoto : JL Bourg Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Milan engage Nemanja Nedovic"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Depuis de nombreuses semaines, Nemanja Nedovic (1,91m, 27 ans) est annoncé proche de Milan. Ce mercredi, le club a enfin officialisé son arrivée.\\n\\nA Malaga depuis 2015, l’international serbe quitte donc l’Espagne pour découvrir le championnat italien. Passé par la Serbie, la Lituanie, la NBA, la D-League et donc l’Espagne, il n’a jamais évolué en Serie A. Selon Eurohoops, l’ancien joueur de l’Etoile Rouge aurait signé pour 1,8 million d’euros sur deux ans.\\n\\nCette saison, il tournait en moyenne à 13,6 points, 1,4 rebond et 3,8 passes décisives pour une évaluation de 12,2 en ACB, et 16,8 points, 2 rebonds et 4,8 assists pour une évaluation de 16,7 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Fenêtre internationale : la Croatie avec Dario Saric et Bojan Bogdanovic"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Drazen Anzulovic, le sélectionneur de la Croatie, a dévoilé la liste des douze joueurs qui affronteront l’Italie ce soir et la Roumanie dimanche.\\n\\nParmi eux, Dario Saric, Bojan Bogdanovic et Ivica Zubac. Les trois hommes évoluaient cette saison en NBA à Philadelphie, Indiana et Los Angeles.\\n\\n * Mate Kalajžić (Split)\\n * Filip Krušlin (Cedevita)\\n * Rok Stipčević (Dinamo Sassari)\\n * Jakov Mustapić (Miasto Szkla Krosno)\\n * Dario Šarić (Philadelphia 76ers)\\n * Tomislav Zubčić (Telekom Baskets Bonn)\\n * Darko Planinić (Dinamo Sassari)\\n * Luka Babić (Ratiopharm Ulm)\\n * Ivan Ramljak (Cedevita)\\n * Zeljko Šakić (Cluj-Napoca)\\n * Ivica Zubac (LA Lakers)\\n * Bojan Bogdanović (Indiana Pacers)\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce : Stephane Lasme fait son retour au Panathinaïkos"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Au club entre 2012 et 2014, Stephane Lasme (2,03m, 35 ans) va faire son retour au Panathinaïkos à la rentrée, annonce la formation grecque.\\n\\nPassé par Obradoiro, l’Anadolu Efes ou encore Galatasaray, l’intérieur gabonais semble infatigable. Sous les couleurs de l’UNICS Kazan cette saison, il a fait partie des tous meilleurs joueurs d’Eurocup. Double champion de Grèce, meilleur défenseur du championnat et de l’Euroleague, champion d’Eurocup et MVP des finales, il ne lui manque plus que le titre suprême de l’Euroleague.\\n\\nCette saison, il compilait en moyenne 12,6 points et 6 rebonds pour une évaluation de 15,1 en VTB League, et 14,6 points et 6,4 rebonds pour une évaluation de 19,6 en Eurocup.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"U20 Féminines: les 12 Bleuettes sont connues"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’entraîneur Jérôme Fournier a établi la liste des 12 joueuses qui participeront au championnat d’Europe U20 du 7 au 15 juillet à Sopron en Hongrie.\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPrénom\\nDate de naissance\\nTaille\\nClub\\n\\n\\nDJALDI TABDI\\nMaëva\\n03/12/1998\\n 1,75\\nSyracuse University (NCAA)\\n\\n\\nDJEKOUNDADE\\nMyriam\\n02/01/1998\\n\\n\\n\\n1,84\\n\\n\\n\\nUSO Mondeville\\n\\n\\nDREANO-TRECANT\\nAdèle\\n30/10/1999\\n\\n\\n\\n1,83\\n\\n\\n\\nUF Angers Basket 49\\n\\n\\nFOPPOSSI\\nMarie-Paule\\n28/01/1998\\n 1,86\\nSyracuse University (NCAA)\\n\\n\\nLENGLET\\nCamille\\n04/02/1998\\n\\n\\n\\n1,68\\n\\n\\n\\nNantes Rezé Basket\\n\\n\\nLIMOUZIN\\nHortense\\n01/07/1998\\n\\n\\n\\n1,64\\n\\n\\n\\nBasket Landes\\n\\n\\nMBANDU\\nNaomie\\n19/01/1999\\n\\n\\n\\n1,80\\n\\n\\n\\nTarbes GB\\n\\n\\nMICHAUD\\nAmandine\\n06/03/1998\\n\\n\\n\\n1,74\\n\\n\\n\\nNantes Rezé Basket\\n\\n\\nPOUYE\\nTima\\n07/04/1999\\n\\n\\n\\n1,76\\n\\n\\n\\nTarbes GB\\n\\n\\nSISSOKO\\nKadiatou\\n25/01/1999\\n\\n\\n\\n1,86\\n\\n\\n\\nBasket Landes\\n\\n\\nTADIC\\nAna\\n21/09/1998\\n\\n\\n\\n1,98\\n\\n\\n\\nUSO Mondeville\\n\\n\\nTAHANE\\nEmmanuelle\\n13/05/1999\\n 1,80\\nMissouri University\\n\\n\\n\\n\\nEntraineur : Jérôme Fournier\\nAssistants : Caroline Aubert, Virgile Abel, John Delay\\n\\n\\nTournoi à Liège (Belgique) du 28 juin au 1er juillet 2018\\n\\nStage à Sopron du 2 au 6 juillet 2018\\n\\nChampionnat d’Europe à Sopron (Hongrie) du 7 au 15 juillet 2018\\nSamedi 7 juillet à 13h30 : Suède – France\\nDimanche 8 juillet à 19h45 : France – Italie\\nLundi 9 juillet à 20h15 : France – Slovénie\\nMercredi 11 juillet : Huitièmes de finale\\nJeudi 12 juillet : Quarts de finale\\nSamedi 14 juillet : Demi-finales\\nDimanche 15 juillet : Finale\\n\\nPhoto: Tima Pouye (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Monaco confirme la venue du coach slovène Sasa Flipovski qui parle le français"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est ce matin que l’AS Monaco confirme la venue de l’entraîneur Slovène Sasa Flipovski (43 ans) qui succède ainsi à Zvezdan Mitrovic. Il a signé pour deux ans sur le Rocher.\\n\\nCes deux dernières saisons, Sasa Flipovski était aux commandes de l’équipe turc de Banvit Bandirma, atteignant la finale de la Champions League en 2017 (après avoir battu l’ASM en demi-finale) et les quarts de finale en 2018 (éliminé par l’ASM en 1/4 de finale). Cette saison, Sasa Filipovski a encore réussi un très beau parcours dans la Ligue turque, atteignant avec une équipe très jeune et le 12e budget seulement du championnat les demi-finales des play-offs et seulement battu par le futur champion, Fenerbahce.\\nSasa Filipovski a remporté la Coupe de Turquie (2017), il a été deux fois de suite champion de Pologne avec Zielona Gora (2015, 2016). Il a aussi remporté la Coupe de Pologne (2015), et deux fois le championnat de Slovénie (2004, 2005), lors de ses débuts comme head coach à Olimpija Ljubljana. Sasa Filipovski avait à peine 28 ans lorsque, pour sa première saison en Euroligue, avec le plus petit budget de la compétition, il accomplissait l’exploit d’atteindre le Top 16 avec l’Olimpija. Un record de précocité pour un entraîneur en Euroleague.\\nOutre le Slovène, Sasa Filipovski parle l’anglais et le polonais couramment. Il comprend le russe, l’italien, et, impressionnant, parle aussi correctement... le Français !\\n\\n« Je m’excuse de ne pas très bien parler le Français, j’ai oublié des mots, mais j’ai étudié deux ans votre langue au lycée », déclare t-il sur le site du club. »En Slovenie, nous sommes un petit pays, c’est important de parler plusieurs langues. J’ai passé deux ans en Turquie, on avait une équipe assez jeune, on a réussi à faire de bons résultats... J’ai décidé de venir à Monaco pour le challenge, c’est un grand plaisir pour moi de faire partie du projet monégasque. Monaco se bat pour des titres. Pour moi c’est une grande opportunité de jouer dans la ligue française, qui possède de très bons coaches, des joueurs athlétiques et de qualité... Il y a nombreuses années, lorsque j’étais en poste à Olimpija, j’ai eu l’occasion de jouer contre l’ASVEL et Pau-Orthez. On a rencontré des grands noms, les frères Pietrus, Foirest, Didier Gadou, que j’ai affronté quand il était joueur et quand il était coach...Je respecte beaucoup le basket français, je suis heureux de rejoindre Monaco et de faire partie de cette histoire, de ce club qui se bat pour des objectifs élevés. J’espère que les fans pourront apprécier notre jeu et que l’engouement pour l’équipe sera toujours aussi important. Nous sommes déjà au travail pour construire la meilleure formation possible ».\\n\\n– Carrière\\n\\n1996–2003 : Union Olimpija (assistant)\\n2003–2005 : Union Olimpija\\n2005–2006 : Union Olimpija (assistant)\\n2006–2009 : Turów Zgorzelec\\n2009 : Lokomotiv Rostov\\n2010 : CSKA Moscow (assistant)\\n2011 : Lottomatica Roma\\n2011–2013 : Union Olimpija\\n2014–2016 : Stelmet Zielona Góra\\n2016–2018 : Banvit B.K.\\n\\n– Palmarès\\n\\n2 fois champion de Slovénie (2004, 2005)\\n2 fois vainqueur de la Coupe de Slovénie (2004, 2005)\\nVainqueur de la Coupe de Pologne (2015)\\nChampion de Pologne (2015,2016)\\nVainqueur de la Coupe de Turquie (2017)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau Gasol inquiet: «L’Euroleague se développe au détriment des ligues nationales»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le 8 juillet, les frères Gasol organisent un match au profit d’une organisation caritative. Au passage, ils se sont émus de l’évolution du championnat espagnol et notamment la place accordée aux jeunes joueurs espagnols.\\n\\nL’équipe de Pau contre celle de Marc, le 8 juillet à Girone. La fête des Gasol et du basket fera l’objet d’une soirée caritative. Lors de leur prise de parole publique, les frangins les plus forts de l’histoire du basket européen ont également donné leurs avis sur le championnat espagnol et notamment sur la saison de Barcelone, le club formateur de Pau. Le joueur des Spurs a notamment comparé l’équipe du Barca à celle des deux récents finalistes de la ligue espagnole, le Real Madrid et Valencia, qui selon lui, sont composés d’un noyau puissant de joueurs du cru qui évoluent depuis un moment ensemble. Il aimerait d’ailleurs que Barcelone puisse s’appuyer sur plus de jeunes issus de son centre de formation:\\n\\n« C’est choquant et incroyable de voir que si peu de jeunes joueurs sortent », a-t-il expliqué dans Mundo Deportivo. « Si on ne leur donne pas leur chance en équipe première, cela devient compliqué pour eux de se développer, de progresser et de prendre confiance. Il faut qu’on prenne soin de notre ligue nationale et de son produit. L’Euroleague se développe mais elle le fait au détriment des ligues nationales. »\\n\\nEt donc au détriment de la formation, qui est pourtant la fondation la plus solide pour un basket fort dans un pays. Pour que l’élite, les clubs engagés dans les meilleures compétitions européennes ou la sélection nationale, il faut d’abord protéger l’échelon intermédiaire qui permet de faire émerger les talents, la ligue domestique. « C’est fou de voir le peu de joueurs espagnols dans l’équipe de Barcelone », a ainsi rajouté Marc Gasol dans As. Pour mémoire, trois Français, Thomas Heurtel, Adrien Moerman et Edwin Jackson évoluaient cette saison au Barca.\\n\\nPhoto: Pau Gasol (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Martin Hermannsson (Châlons-Reims) a opté pour Alba Berlin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Sportando, le meneur international islandais Martin Hermannsson (1,90m, 23 ans) a refusé une offre du club turc de Darussafaka pour signer avec les Allemands de l’Alba Berlin. Il intéressait aussi plusieurs clubs français.\\n\\nMartin Hermannsson sort d’une bonne saison avec Chalon-Reims où il a assuré 13,9 points, 2,0 rebonds et 5,7 passes. Il va participer cette semaine à la fenêtre internationale de la FIBA, l’Islande était susceptible de croiser la France lors de la deuxième phase.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Champions League : tous les participants sont connus"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme depuis sa création, la Champions League qualifie d’office les clubs les mieux classés en championnats pour la saison régulière. Viennent ensuite d’autres clubs qui participent à trois tours de qualification.\\n\\nVoici la liste des équipes déjà qualifiés avec Dijon, Le Mans et Strasbourg pour la Jeep Elite.\\n\\nAEK (GRE), Anwil Wloclawek (POL), Banvit (TUR), Besiktas Sompo Japan (TUR), Brose Baskets Bamberg (GER), CEZ Nymburk (CZE), Eskisehir Basket (TUR), Hapoel Jerusalem (ISR), Hapoel UNET Holon (ISR), Iberostar Tenerife (ESP), JDA Dijon Basket (FRA), Le Mans Sarthe Basket (FRA), MHP Riesen Ludwigsburg (GER), Montakit Fuenlabrada (ESP), Neptunas Klaipeda (LTU), Oostende (BEL), Opava (CZE), PAOK (GRE), Petrol Olimpija (SLO), Promitheas Patras (GRE), Segafredo Virtus Bologna (ITA), Sidigas Avellino (ITA), SIG Strasbourg (FRA), Telekom Baskets Bonn (GER), Umana Reyer Venezia Mestre (ITA), Ventspils (LAT).\\n\\nEnsuite, 24 équipes disputeront le premier tour de qualification.\\n\\nAEK Larnaca (CYP), Aris (GRE), Avtodor Saratov (RUS), Bakken Bears (DEN), CSM Oradea (ROU), Dinamo Tbilisi (GEO), Donar Groningen (NED), FC Porto (POR), Fribourg Olympic (SUI), Hapoel Tel Aviv (ISR), Kalev Cramo (EST), Karhu Basket Kauhajoki (FIN), Leicester Riders (GBR), Lukoil Levski (BUL), Movistar Estudiantes (ESP), Nizhny Novgorod (RUS), Norrköping Dolphins (SWE), Polski Cukier Torun (POL), Proximus Spirou Charleroi (BEL), Red October Cantù (ITA), Siauliai (LTU), Szolnoki Olaj (HUN), Telenet Giants Antwerp (BEL), Tsmoki Minsk (BLR).\\n\\nLes douze vainqueurs s’affronteront entre eux. Les six derniers vainqueurs rencontreront ensuite six clubs qui disputeront le troisième tour de qualification, dont Nanterre.\\n\\nJIP Pardubice (CZE), Lietkabelis Panevezys (LTU), medi Bayreuth (GER), Nanterre 92 (FRA), Sakarya Buyuksehir (TUR), UCAM Murcia (ESP).\\n\\nLes six vainqueurs finaux intégreront la saison régulière de Champions League. Ce qui fera un total de 32 équipes qualifiées."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Darrell Williams est la nouvelle recrue du Portel"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’agent Misko Raznatovic vient d’annoncer l’arrivée de Darrell Williams (2,03m, 28 ans) au Portel.\\n\\nPassé par le Partizan Belgrade ou encore l’Hapoel Tel Aviv, il évoluait cette saison en Turquie, à Yeşilgiresun.\\n\\nCette saison, Darrell Williams compilait en moyenne 9,1 points et 7,4 rebonds en première division turque.\\n\\n\\n\\n\\nDarrell Williams moved from Turkey to Le Portel! #BeoBasket\\n\\n\\n— Misko4Raznatovic (@MiskoRaznatovic) June 27, 2018\\n\\nPhoto : ABA Liga"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Probable clap de fin pour Juan Carlos Navarro"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour Esport3, le légendaire Juan Carlos Navarro (1,92m, 38 ans) ne portera pas le maillot du FC Barcelone la saison prochaine et va mettre fin à sa carrière exceptionnelle de joueur.\\n\\n«La Bomba» a fait toute sa carrière au Barça sinon une saison (2007-2008) aux Memphis Grizzlies. En septembre 2017, il a signé un contrat de dix ans avec le club catalan ce qui laisse à penser qu’il fera partie à la rentrée de l’encadrement du club."
}, 
{"role": "user",     "content":"FIBA Europe Cup: 27 clubs engagés, pas de français"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vingt-sept clubs se sont inscris à la FIBA Europe Cup, la C4 européenne. Aucun français alors que la saison dernière l’ESMM Le Portel y avait participé. Les sept premiers de la liste sont bons pour la saison régulière. Les autres passeront par une phase de qualification... alambiquée.\\n\\nVarese (ITA)\\nBelfius Mons-Hainaut (BEL)\\nPinar Karsiyaka (TUR)\\nOliver Wurzburg (GER)\\nFalco Vulcano Szombathely (HUN)\\nCSM Steaua Bucarest (ROU)\\n\\nKongsberg Miners (NOR)\\nSvitavy (CZE)\\nLavrio BC (GRE)\\nKataja Basket (FIN)\\nIroni Ness Ziona (ISR)\\n\\nRosa Radom (POL)\\nBC Dnipro (UKR)\\nIstanbul BBSK (TUR)\\nSodertalje Kings (SWE)\\nCherkaski Mavpy (UKR)\\n\\nNew Heroes Den Bosch (NED)\\nBulls Kapfenberg (AUT)\\nSL Benfica (POR)\\n\\nRilski Sportist (BUL)\\nKeravnos (CYP)\\nAlba Fehervar (HUN)\\nDinamo Sassari (ITA)\\nZZ Leiden (NED)\\nBC Balkan (BUL)\\nU-BT Cluj-Napoca (ROU)\\nBC Lulea (SWE)"
}, 
{"role": "user",     "content":"3×3: Le programme de l’Open de France à Toulouse a été dévoilé"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est à Toulouse que va se tenir pendant une semaine du 24 au 28 juillet l’Open de France, qui est le tournoi final de la Superleague 3×3 FFBB.\\n\\nLes 16 meilleures équipes masculines et les 16 meilleures équipes féminines, issues des Tournois Centraux pendant la saison, se retrouveront sur la magnifique place du Capitole de Toulouse pour tenter de remporter la Superleague 3×3 FFBB.\\n\\nL’équipe masculine qui remportera la Superleague 3×3 FFBB à Toulouse participera à l’un des Masters européens, qualificatif pour la finale mondiale du FIBA 3×3 World Tour.\\n\\nPendant une semaine (du 24 au 28 juillet 2018), la place du Capitole de Toulouse sera rythmée par le 3×3 avec des animations FFBB et GRDF pour le grand public, les maisons de quartier et les entreprises, et des Tournois 3×3, dont le tournoi de la dernière chance, dernier Tournoi Central qualificatif pour l’Open de France.\\n\\nEn 2017, c’était l’équipe Amiral Camp d’Amary Sy et son frère Bandja, Jerry Boutsiele et Andrew Albicy qui avait gravé son nom sur le trophée de champion. Du côté des féminines, c’est la Team Luxure d’Auriane Lux, Eloïse Chapays, Bettina Kadila et Marie-Ange Vincent, qui s’était imposée.\\n\\nL’Open de France 3×3 sera à nouveau diffusé en live exclusivement sur YouTube FFBB et fera l’objet d’une couverture complète sur les réseaux sociaux de la FFBB.\\n\\n9h00 : Début de la phase de poules ; 16h00 : Début des quarts de finale; 20h30 : Concours de dunk; 21h30 : Concours de dextérité 21h50 : Finale Femmes; 22h20 : Concours de tirs à 3 points GRDF 22h30 : Finale Hommes\\n\\nPhoto: FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans: Le départ de Romeo Travis aux Philippines est confirmé"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Youssoupha Fall, Le Mans perd un autre intérieur, Romeo Travis (1,98m, 33 ans), MVP des finales, qui jouera la saison prochaine aux Philippines.\\n\\nL’Américain au passeport macédonien jouera la Governors’ Cup avec les Magnolia Hotshots. Avant de rejoindre Strasbourg en 2015, il était déjà passé par les Philippines, aux Alaska Ace.\\n\\nAu-delà des chiffres (11,7 points et 4,9 rebonds en playoffs), Romeo Travis a joué un rôle crucial grâce à son leadership dans la conquête du titre de champion de France par le MSB.\\n\\nPhoto: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Le programme de l’Open LFB a été dévoilé"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour la quatorzième année consécutive, l’Open LFB marquera à Paris le début de la saison de Ligue Féminine et son programme est désormais connu.\\n\\nSamedi 13 octobre\\n\\n15h30 : ESB Villeneuve d’Ascq – USO Mondeville\\n\\n18h00 : Tarbes GB – Lyon ASVEL Féminin\\n\\n20h30 : Bourges – Charleville-Mézières / Match des Champions*\\n\\nDimanche 14 octobre\\n\\n13h30 : Basket Landes – Landerneau Bretagne Basket\\n\\n16h00 : Basket Lattes Montpellier – Nantes Rezé Basket\\n\\n18h30 : Saint-Amand Hainaut Basket – Roche Vendée BC\\n\\nPour rappel, suite à une modification réglementaire, l’équipe qui remportera son match de l’Open LFB 2018 sera considérée comme évoluant à domicile et se déplacera à l’occasion du match retour (journée 12).\\n\\nLa billetterie de l’Open LFB 2018 ouvrira le lundi 27 août sur www.billetterie.ffbb.com.\\n\\n*Match des Champions : le Champion de France affronte le vainqueur de la Coupe de France (ou le finaliste). Le résultat ne compte pas pour le classement de la saison 2018-2019.\\n\\nPhoto: FFBB/Bellenger"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ancien meneur d’Olympiakos Dominic Waters arrive à Nanterre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le meneur de jeu américain très bien référencé Dominic Waters (1,85m, 31 ans) va évoluer à Nanterre cette saison.\\n\\nIl a peut-être conservé un mauvais souvenir de la France puisqu’il fut essayé par Le Havre à sa sortie de fac mais ne fut pas approuvé. Depuis, il a pas mal bourlingué et dans des clubs plutôt réputés, à Verviers (Belgique), Olimpija Ljubljana (Slovénie), Hapoel Holon (Israël), Manresa (Espagne), Wurzburg (Allemagne), Grand Rapids (G-League), Aris Salonique (Grèce), Cantu (Italie).\\n\\nSurtout, il a porté le maillot d’Olympiakos lors de la saison 2016-17 finaliste de l’Euroleague et du championnat grec.\\n\\nIl était la saison dernière à Pınar Karşıyaka Izmir. Dans le championnat national, il s’est fendu de 13,6 points (45,3% à trois-points, 91,9% aux lancers) et 6,1 passes. En BCL face à Monaco, il a scoré 21 points à l’aller et 12 points plus 7 passes au retour.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=LSNA99lgc6c"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ancien nanterrien Juan Palacios va porter le maillot de Chalon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Elan Chalon annonce la signature de l’ailier fort colombien doté d’un passeport espagnol Juan Palacios (2,06m, 33 ans) en provenance du club turc de Besiktas Sompo Japan.\\n\\nJuan Palacios est connu en France pour avoir été champion de France avec Nanterre en 2013 (7,9 points et 4,0 rebonds). Depuis il a effectué un excellent parcours étant élu MVP en Lituanie en 2014 et champion en Turquie en 2015.\\n\\nLors du match aller de Basketball Champions League face à l’Elan, il avait inscrit 19 points et 10 rebonds. Il a été transféré par la suite au Besiktas où il s’est fendu de 5,1 points et 1,3 rebond en seulement 7 matches et 12 minutes de moyenne.\\n\\n« Juan est un joueur que nous voulions recruter depuis quelque temps. Il évolue sur 2 postes 4 et 5 il peut aussi bien jouer avec Mike (Gelabale) qu’avec Ousmane (Camara) c’est ce que je recherchais pour assurer une stabilité dans le jeu intérieur et puis c’est un joueur Bosman qui nous permettra si besoin de recruter un joueur US en plus », a commenté le coach Jean-Denys Choulet.\\n\\nJuan PALACIOS en bref\\n\\nNé le 11 mai 1985 à Medellin, Antioquia (Colombie)\\n\\nAilier fort – 2,06m\\n\\nParcours\\n\\n2008-2009 : CB Vic (Catalogne)\\n\\n2009-2011 : UB La Palma (Canaries)\\n\\n2011-2012 : Gran Canaria (Canaries)\\n\\n2012-2013 : Guerreros de Bogotá (Colombie)\\n\\n2013 : Nanterre (Pro A)\\n\\n2013-2014 : Lietuvos rytas (Lituanie)\\n\\n2014-2016 : Pınar Karşıyaka (Turquie)\\n\\n2017 : Tofaş (Turquie)\\n\\n2017 : Neptunas (Lituanie)\\n\\n2018 : Besiktas (Turquie)\\n\\n2018 : Elan Chalon\\n\\nPalmarès\\n\\nChampion de France Pro A en 2013 avec Nanterre 92\\n\\nAll Star et MVP du Championnat de Lituanie en 2014\\n\\nChampion de Turquie en 2015"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mondial féminin U17: La France va ouvrir les hostilités demain face au Japon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le championnat du monde U17 débute demain en Biélorussie. L’équipe de France constituée à partir des U16 championnes d’Europe l’été dernier à Bourges, va affronter successivement le Japon, la Colombie et la Biélorussie dans le Groupe A. Les 16 équipes sont qualifiées pour les huitièmes de finale. L’équipe à éviter le plus longtemps possible ce sont évidemment les Etats-Unis, vainqueurs des trois premières éditions, mais aussi l’Australie qui a gagné l’or en 2016.\\n\\nSur son site, la FIBA a déterminé douze joueuses à suivre dont deux Françaises, Iliana Rupert et Zoé Wadoux.\\n\\n« MVP du Championnat d’Europe U16 FIBA 2017 à Bourges, Rupert est une ailière bourrée de talent. À tel point que Tango Bourges Basket a choisi de l’engager, ce qui signifie qu’elle fera connaissance à la rentrée avec Le Prado et l’EuroLeague Women. Elle aura un rôle majeur à jouer pour la France, qui ambitionne de monter sur le podium. Grâce à ses aptitudes au scoring et au rebond, à son leadership et à son intelligence, les Françaises pourraient bien y arriver », est-il écrit à propos de Iliana Rupert.\\n\\nEn ce qui concerne Zoe Wadoux, voici ce que l’on peut lire:\\n\\n« Vedette du récent et prestigieux Tournoi de basketball de Rezé, première compétition à l’étranger d’une certaine Candace Parker, Wadoux est une arrière excitante à voir jouer. Sa capacité à marquer n’est plus à démontrer. Adroite à longue distance, elle risque fort d’être la meilleure marqueuse de son équipe. Et si tel n’est pas le cas, il n’en reste pas moins qu’elle a les moyens de faire tourner un match à elle toute seule. »\\n\\nPhoto: Iliana Rupert – FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le calendrier de la Jeep Elite de la saison 2018-19 est paru"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Ligue Nationale de Basket a dévoilé aujourd’hui le calendrier Jeep® ÉLITE 2018-2019. Voici quelques temps forts qui en sont issus:\\n\\nLe MSB, champion de France en titre, débutera sa saison par un déplacement à Levallois le 22 septembre tandis que son adversaire en finale, l’AS Monaco, ira à l’Astroballe pour y affronter l’ASVEL... de Zvezdan Mitrovic.\\n\\nA noter également pour cette reprise les déplacements de Limoges à Antibes et de Strasbourg à Cholet.\\n\\nLes deux finalistes Le Mans et Monaco se retrouveront lors de la 11ème journée le 24 novembre à Antarès. Le retour aura lieu à Gaston-Médecin le 23 mars 2019.\\n\\nLe 1er clasico Limoges – Pau-Lacq-Orthez de la saison aura lieu à Beaublanc lors de la 17ème journée (le week-end du 19 janvier). Le retour est prévu au Palais des Sports de Pau le 12 mai 2019 pour le compte de la 33ème journée.\\n\\nLes dates des principaux derbys :\\n\\n * Le derby francilien se jouera le 3 novembre à Levallois et le 9 mars à Nanterre\\n * Le derby de la côte d’Opale se tiendra le 12 janvier à Gravelines et le 9 février au Portel\\n * Le derby de l’Ouest se jouera au Mans le 25 septembre et le 26 janvier à Cholet.\\n\\nLe promu Fos-sur-Mer jouera le premier match de Jeep® ÉLITE de son histoire au Colisée face à l’Elan Chalon.\\n\\nLe All Star Game investira de nouveau l’AccorHotels Arena le 29 décembre. La Disneyland Paris Leaders Cup LNB, réunissant pour la 7ème saison consécutive les 8 meilleures équipes de la phase aller à la Disney® Events Arena, se tiendra quant à elle du 15 au 17 février 2019.\\n\\nTéléchargez / Visualisez le calendrier de Jeep® ÉLITE 2018-19 en cliquant ici"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jonathan Jeanne prend le risque de rejouer au basket, en LEB Oro espagnole"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’agent Charles Misuraca a indiqué au site Sportando que Jonathan Jeanne (2,17m, 21 ans) vient de signer un contrat avec Iberostar Palma, un club espagnol de la LEB Oro.\\n\\nComme l’ancien joueur de Baylor Isaiah Austin, le Guadeloupéen reprendra donc la compétition un an après s’être fait diagnostiquer le syndrome de Marfan par les médecins américains et alors qu’il était promis au premier tour de la draft NBA malgré un temps de jeu réduit en Pro A/Jeep Elite. Il a joué un total en carrière de 25 matches au Mans et à Nancy pour 3,1 points et 3,2 rebonds.\\n\\nLe syndrome de Marfan est une maladie systémique du tissu conjonctif qui se caractérise par une combinaison variable de manifestations cardiovasculaires, musculo-squelettiques, ophtalmologiques et pulmonaires. Les médecins français lui avaient interdit de rejouer au basket de haut niveau.\\n\\nPhoto: MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Demetrius Treadwell, top-rebondeur en Israël, signe à Nanterre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"D’après le toujours bien informé journaliste David Pick, l’ailier-fort Demetrius « Tree » Treadwell (2,01m, 26 ans) s’est libéré de son contrat avec Hapoel Eilat, Israël, pour rejoindre Nanterre 92.\\n\\nAprès une saison en Argentine, Demetrius Treadwell s’est installé en Israël jouant pour trois clubs différents. Il a terminé la saison dernière comme top rebondeur de la Ligue israélienne (9,2) plus 12,9 points et 2,0 rebonds.\\n\\nLe club a confirmé l’information plus tard dans la matinée.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en JeepElite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements.\\n\\n\\n\\n\\nDemetrius Treadwell triggered a $30,000 out clause and left his $95,000 deal with Hapoel Eilat to sign in the French ProA for JSF Nanaterre, according to sources.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) July 20, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interdit de Jeep Elite, pour Blois le combat continue !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La chambre d’appel de la FFBB a donc confirmé la décision du comité directeur de la LNB: l’ADA Blois Basket ne peut pas accéder à la Jeep Elite.\\n\\nEstimant respecter le cahier des charges des centres de formation, le club blésois a pris la décision de saisir le CNSOF. Joint par La Nouvelle République, son président Paul Seignolle fait preuve de la même détermination:\\n\\n« Il ne fallait pas se leurrer. La chambre d’appel de la Fédération n’allait pas déjuger la décision de cette même Fédération. Personnellement, ça ne m’affecte pas du tout : j’irai jusqu’au bout, y compris devant les instances européennes s’il le faut ! Notre fédération bafoue l’éthique et il n’est pas question de la laisser faire. Notre conseil, Maître Thierry Braillard* nous explique avoir suffisamment d’éléments pour obtenir une conciliation. Notre combat continue. »\\n\\nA noter que le Boulazac Basket Dordogne, a reçu cette semaine un nouveau parquet et indique sur son site « pour entamer cette nouvelle saison en Jeep ÉLITE dans les meilleures conditions. »\\n\\nDe fait, le club de Dordogne, 17e de la saison régulière 2017-18 de Jeep Elite est repêché suite à la décision de la LNB et de la FFBB. Si au bout du compte, l’ADA Blois obtenait gain de cause dans les temps, la Jeep Elite compterait alors 19 clubs. On n’en est pas encore là...\\n\\n*Thierry Braillard a été secrétaire d’Etat chargé des Sports entre le 9 avril 2014 et le 10 mai 2017.\\n\\n\\n\\n\\nSuite à des articles laissant planer le doute quant à son engagement en 1ère division, le BBD tient à assurer ses fans, ses partenaires et ses différents acteurs qu’après décision officielle, il évoluera bien en Jeep ÉLITE la saison prochaine.#GoBBD #Périgord #LNB\\n\\n\\n— BoulazacBasketD (@BoulazacBasketD) July 20, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: L’Angolais du Havre Valdelicio Joaquim rejoint Quimper"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Alexis Desespringalle, Lucas Dussoulier et Thibaud Gottin, l’UJAP Quimper a enrôlé le pivot angolais Valdelicio Joaquim (2,08m, 28 ans) en provenance du Havre.\\n\\nInternational dans son pays, Valdelicio Joaquim a notamment remporté la médaille d’or au championnat d’Afrique en 2013 et celle aux Jeux Africains deux ans plus tard.\\n\\nIl a été formé en NCAA (Hawai) et en club, il a joué dans son pays et en Argentine. Avec Le Havre, il a tourné à 10,0 points (55,8%) et 5,9 rebonds lors de la saison 2017-18.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: L’ancien Dijonnais Brandon Peterson, premier Américain d’Aix-Maurienne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Aix-Maurienne tient sa première recrue américain en la personne de Brandon Peterson, un pivot de 2,05m et 27 ans.\\n\\nBrandon Peterson est connu en Pro A pour avoir égalé le record de shoots inscrits sans en manquer dans un match: 14/14. C’était le 23 mai 2017 à Orléans. Il portait alors le maillot de la JDA Dijon et cette saison-là, il a tourné à 9,8 points (61,8%) et 6,0 rebonds en 17 matches.\\n\\nIl avait déjà fait auparavant une pige à Rouen, en Pro B, en 2014-15: 9 matches à 13,7 points et 7,1 rebonds.\\n\\nBrandon Peterson a par ailleurs joué en Suède, en Belgique, en Turquie, en Pologne et était la saison dernière au Brussels (7,4 points et 7,0 rebonds).\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Pro B mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg: 5 800 spectateurs et un taux de remplissage de 95,6%"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est le club qui l’annonce -la ligue n’a pas donné d’éléments à la presse à ce jour- la SIG Strasbourg a obtenu la plus forte affluence de Jeep Elite lors de la saison régulière 2017-18 : 5 800 spectateurs.\\n\\nLa progression est importante au fil des saisons puisque la moyenne était de 4 424 en 2013-14, puis elle est passée à 5 083, 4 977, 5707 -la SIG était alors numéro 2 derrière Pau- et donc 5 800. Comme la capacité du Rhénus est de 6 064 places, cela fait donc un taux de remplissage de 95,6%. On comprend que le club ait envie de se doter d’une aréna plus spacieuse.\\n\\nAutre donnée : les joueurs de Vincent Collet ont disputé pour cette saison 2017-18, un total de 64 rencontres : 34 en saison régulière, 7 en playoffs, 18 en BCL, 4 en Coupe de France et une en Disney Leaders Cup. Le record qui a été établi lors de la saison 2015-16 avec 72 rencontres disputées tient toujours. C’est la saison où la SIG était allé en finale de l’Eurocup et elle avait joué pas moins de 24 matches dans cette compétition.\\n\\nPhoto: Zack Wright (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U20: La France se qualifie pour les demi-finales en terrassant la Serbie au finish, 60-59"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec beaucoup de coeur, l’équipe de France s’est qualifiée pour les demi-finales de l’Euro U20 en battant la Serbie, 60-59.\\n\\nAvec une superbe défense et une réussite maximale en attaque notamment grâce à Ivan Février à son meilleur (20 points à 7/11 aux tirs et 8 rebonds au total), la France pensait avoir fait l’essentiel durant le premier quart-temps (21-9) mais ça s’est sérieusement gâté dans le troisième (10-20).\\n\\nLes Bleuets ont eu l’immense mérite de très bien négocié le money time. Ils ont infligé un 8-0 aux Serbes dans les trois dernières minutes. Bathiste Tchouaffé (13 points mais à 4/15) a enfilé un panier primé, la défense a été parfaite, et sur un tir raté de Tchouaffé, Digue Diawara a pris un rebond offensif et a obtenu une faute sur son tir. Il a transformé ses deux lancers et les Français ont de nouveau parfaitement défendu sur la dernière possession serbe.\\n\\nLa grande surprise de la journée est venue de l’élimination de l’Espagne sèchement battue par Israël, 75-98. De 2007 à 2016, les Espagnols avaient à chaque fois remporté une médaille et l’année dernière c’était la première fois qu’ils restaient en bas du podium.\\n\\nC’est justement Israël que la France va affronter samedi en demi-finale.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Ivan Février (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Quinton Hooker est le nouveau meneur de Vichy-Clermont"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le meneur Quinton Hooker (1,83m, 23 ans) est la troisième recrue estivale de la J.A.VCM.\\n\\nEntre 2013 et 2017, Quinton Kooker fut le leader de Norh Dakota en NCAA, cumulant lors de sa dernière saison 19,3 points à 49% de réussite dont 44% à 3 points, 4,6 rebonds, 3,6 passes décisives et 2,0 interceptions pour 18 d’évaluation. Durant cette période, il sera régulièrement distingué au sein de sa conférence (Big Sky) remportant même le championnat en 2017 avec le titre de MVP.\\n\\nEn 2017-2018, il évoluait en première division polonaise à Gliwice. En 31 matchs de saison régulière, il se révéla comme un joueur majeur de la ligue avec 15,0 points (à 48% de réussite aux tirs dont 37% à 3-pts), 4,7 rbs et 5,0 pds pour 19,5 d’évaluation en moyenne.\\n\\nCe meneur scoreur très adroit intégrera l’effectif 2018-2019 de la J.A.VCM, composé actuellement d’Arnaud-William ADALA-MOTO (recrue), Charles-Henri BRONCHARD, David DENAVE, Grégory BENGABER, Mehdy NGOUAMA (recrue), Mohamed KONE, Romuald MORENCY et Serge MOURTALA.\\n\\n« Quinton est un meneur de jeu dont on suit l’évolution depuis deux ans. Il avait été très performant avec North Dakota et a confirmé ses qualités avec le club polonais de Gliwice. Scoreur, rebondeur, passeur, Quinton possède un gros volume de jeu et nous sommes heureux de l’accueillir au sein du club pour mener l’équipe en 2018- 2019, » a commenté le coach Guillaume Vizade."
}, 
{"role": "user",     "content":"Blois: La chambre d’appel de la FFBB confirme le refus d’engagement en Jeep Elite"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à la décision du Comité Directeur de la LNB du 19 juin 2018, l’ADA Blois Basket 41 avait saisi la Chambre d’Appel de la FFBB aux fins de contestation de la décision refusant son engagement en Championnat de France Jeep®Elite pour la saison 2018/2019 et prononçant son engagement en Championnat de France Pro B pour la saison 2018/2019.\\n\\nLa Chambre d’Appel de la FFBB s’est ainsi réunie le 12 juillet 2018.\\n\\nAprès audition d’une part du club de l’ADA Blois Basket 41 par les voix de son Président, de son manager général et de son conseil, et d’autre part d’un représentant de la LNB, la Chambre d’Appel a statué au regard de l’ensemble des pièces du dossier et a décidé de confirmer la décision du Comité Directeur de la LNB.\\n\\nLe club et ses représentants ont la possibilité de contester cette décision auprès du Tribunal Administratif dans un délai d’un mois à compter de la notification de la décision. Préalablement à cette saisine un recours est obligatoire auprès du Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF) dans un délai de quinze jours à compter de la notification de la décision.\\n\\nLe feuilleton n’est donc pas terminé."
}, 
{"role": "user",     "content":"De Nicolas Lang à Romain Duport, le SNB dresse une liste de 43 joueurs français sans club"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Syndicat des Basketteurs dresse la liste des joueurs français actuellement sans club. Voir ici. Ils sont 43 de statures complètement différentes.\\n\\nOn trouve ainsi des internationaux comme Boris Diaw -qui n’a pas encore annoncé s’il prend sa retraite ou non-, Louis Labeyrie -qui a fait jouer sa clause de sortie à Strasbourg-, Ali Traore et Léo Westermann -non conservés par respectivement Monaco et le CSKA Moscou.\\n\\nIl y aussi des figures de la Jeep Elite comme Romain Duport, Ilian Evtimov, Georgi Joseph et encore Giovan Oniangue.\\n\\nEt aussi... Mickaël Pietrus, 36 ans, qui nous paraît définitivement hors circuit après sa dernière apparition à Nancy, il y a deux ans.\\n\\nPhoto: Nicolas Lang (LNB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Sélectionneur de l’équipe d’Espagne, Sergio Scariolo va devenir coach adjoint aux Toronto Raptors"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bien qu’engagé avec la sélection nationale espagnole jusqu’en 2020, le coach italien Sergio Scariolo, 57 ans, va devenir assistant aux Toronto Raptors annonce la radio espagnole Onda Cera.\\n\\nScariolo a derrière lui une longue carrière de coach dans des clubs de renom, Pesaro, Fortitudo Bologne, Vitoria, Malaga, Khimki, et Milan. Il a coaché l’équipe d’Espagne de 2009 à 2012 et à partir de 2015 avec qui il a gagné trois titres de champion d’Europe, une médaille d’argent olympique (2012) et une autre en bronze (2016).\\n\\nIl lui reste à se mettre d’accord pour une rupture à l’amiable avec le président de la fédération espagnole, Jorge Garbajosa.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Monaco a fait signer le meneur américano-monténégrin Derek Needham"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon le journaliste David Pick, l’AS Monaco a fait signer le meneur de jeu américain au passeport monténégrin Derek Needham (1,80m, 27 ans).\\n\\nSorti de Fairfield en 2013, celui-ci a porté ensuite le maillot du BC Siauliai (Lituanie), du BC Khimik (Ukraine), de Braunschweig (Allemagne) et de Reggio Emilia (Italie) avant de signer la saison dernière à Morna Bar (Monténégro) avec qui il a été champion national en battant Buducnost en finale des playoffs. Needham était le meilleur marqueur de l’équipe (17,0 points, 36,4% à trois-points) et le meilleur passeur (4,8).\\n\\nRelation de cause à effet, Derek Needham s’est vu attribuer le passeport monténégrin. Il a participé avec l’équipe nationale (dont le coach est... Zvezdan Mitrovic l’ancien boss de la Roca Team) à 4 matches qualificatifs pour la Coupe du Monde 2019 avec 8,3 points et 3,3 passes.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\nFrench power-club AS Monaco, upon transferring to the EuroCup, have signed former Fairfield guard Derek Needham for the 2018-19 season, according to source.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) July 19, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Jonah Bolden (Maccabi Tel-Aviv): «Ma saison en Euroleague m’a permis de mûrir»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"vLe parcours de Jonah Bolden est un sacré périple. Natif de Melbourne, l’intérieur de 22 ans a fait sa première année de lycée en Australie avant de faire son paquetage et de déménager aux Etats-Unis. D’abord ce fut le Nevada, puis le New Hampshire avant la Californie et deux saisons à UCLA.\\n\\nMais depuis 2016, Bolden évolue de l’autre côté de l’Atlantique. Il a passé une première saison encourageante à Belgrade, au FMP, avant de signer la saison passée au niveau supérieur, chez le Maccabi Tel Aviv.\\n\\nBasketEurope a précisément voulu en savoir plus sur son expérience au sein du Club Nation pour sa première année en Euroleague... et le tsar français du CSKA, Nando De Colo, a fini par être mentionné au buzzer ![arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n«Le plan est que je sois avec les Sixers la saison prochaine»\\n\\nJonah, comment évaluez-vous vos premiers pas en ligue d’été avec les Sixers ? Vos premières minutes officielles depuis le titre national avec le Maccabi Tel Aviv...\\n\\nOui, c’est vraiment la première fois depuis la fin de saison dernière que je joue un match organisé. Entre temps, on s’entraîne et on fait du foncier mais on veut toujours être en forme de match. Et c’est en jouant ce genre de match qu’on y arrive. J’étais assez nerveux, j’avais un peu le trac mais je suis content que ça soit passé.\\n\\nVous n’étiez pas sûr d’y participer, qu’est-ce qui vous a décidé pour de bon ?\\n\\nJe m’entraînais depuis un petit moment à Orange County et mon agent m’a dit quatre jours avant la ligue d’été que je pouvais y aller si je voulais. Je n’ai pas hésité une seconde.\\n\\nQuel est le plan avec les Sixers : de jouer avec eux dès la saison prochaine ?\\n\\nOui, c’est le plan depuis le début et ça n’a pas changé. Je suis ici pour montrer ce que je peux faire.\\n\\nDans quels domaines pensez-vous avoir le plus progressé avec le Maccabi ?\\n\\nDans la maturité, dans l’envie, dans le leadership. Dans la constance. Mon tir n’était pas réglé sur ce match mais j’ai beaucoup travaillé sur mon tir cette saison, aux lancers et à trois points. Mais je sais que c’est un apprentissage pour moi. Il faut prendre les matchs les uns après les autres...\\n\\n«J’ai dû m’adapter à ces défenses plus rugueuses et plus expérimentées»\\n\\nComment pensez-vous que votre expérience Euroleague vous a aidé à progresser défensivement ?\\n\\nJ’ai joué contre des gars qui étaient très physiques. Le Maccabi joue en Euroleague et en championnat israélien. Si ce n’est pas le cas en championnat, on jouait contre des joueurs très costauds en Euroleague. Ce sont des gars qui ont surtout beaucoup d’expérience et de QI basket. Ça m’a aidé dans mon jeu car j’ai dû m’adapter à ces défenses plus rugueuses et plus expérimentées.\\n\\nEst-ce ce dont vous aviez besoin pour continuer à passer des paliers ?\\n\\nSans aucun doute. Je ne suis pas encore au niveau que j’espère atteindre mais cette expérience m’a beaucoup aidé. D’avoir joué contre ce genre de gars très expérimentés, qui jouent en Euroleague ou même en NBA depuis des années, c’est forcément une bonne chose pour ma carrière. Pendant toute la saison, j’ai énormément appris auprès de mes coéquipiers également. Pour moi, il s’agissait simplement de jouer le plus dur possible et de montrer ce dont j’étais capable, tout en apprenant le plus possible en cours de route.\\n\\nQuels souvenirs gardez-vous de l’ambiance particulière au Maccabi, le Club Nation ?\\n\\nC’est une atmosphère qui est vraiment différente de la NBA. Je sais que les playoffs NBA sont une autre chose et en l’occurrence, à Philly, les fans sont nombreux et bruyants. Mais à Tel Aviv, ça fait partie de la culture locale. On était toujours à guichets fermés pour nos matchs.\\n\\nQuel est votre programme pour l’été ? Sur quoi voulez-vous particulièrement progresser ?\\n\\nJe ne regarde pas forcément cet été en particulier, je vois les choses plus globalement. Et je dois surtout prendre les choses étape par étape. Chaque jour, je dois simplement travailler et continuer à m’améliorer des deux côtés du terrain. Offensivement, je sais que je dois parfois être un peu moins altruiste. Car si je garde le ballon ou je prends un tir, ça peut aussi aider l’équipe à mieux fonctionner.\\n\\n«De Colo, un des joueurs qui sort du lot en Europe»\\n\\nLe basket australien se porte plutôt bien... Avez-vous suivi la course au Rookie de l’Année la saison passée, entre Ben Simmons et Donovan Mitchell ?\\n\\nJe n’ai jamais douté que Ben allait gagner le trophée. Je connais aussi très bien Donovan Mitchell car on était dans la même académie de Brewster [dans le New Hampshire]. L’un comme l’autre ont réussi de très belles saisons. Connaissant Ben, je sais pour sûr qu’il n’a jamais douté de lui-même, malgré sa saison blanche.\\n\\nEt plus généralement, comment voyez-vous cette expansion du basket dans votre pays ?\\n\\nLe basket australien est en pleine croissance. De voir ce qu’il était il y a cinq ans et maintenant, c’est une sacrée évolution. Il y a le centre à Canberra et il y a des gars comme Ben, Dante et moi-même qui essayons de motiver les générations futures.\\n\\nQuelle leçon principale gardez-vous de votre expérience Euroleague ?\\n\\nLa maturité. C’était ma première saison en Euroleague. Avant ça, j’avais déjà joué dans la ligue serbe et en Ligue ABA avec le FMP. Mais là, avec l’Euroleague, on avait un calendrier de 72 matchs je crois. Il y avait pas mal de voyages à gérer. Ce n’est pas encore le calendrier NBA mais ça m’a clairement aidé à murir. Et puis, j’ai mûri physiquement en me frottant à ces joueurs expérimentés.\\n\\nDernière question : y a-t-il un joueur qui vous a impressionné sur le Vieux Continent ?\\n\\nNando De Colo du CSKA Moscou. C’est un des rares gars dont j’entendais souvent parler. Et on a joué contre lui aussi. C’est un des joueurs qui est sorti du lot pour moi, c’est un des préférés en Euroleague et il le mérite. C’est un très gros joueur.\\n\\nPropos recueillis à Las Vegas\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=P8MYBE7eFOM\\n\\n[armelse]\\n\\n«Le plan est que je sois avec les Sixers la saison prochaine»\\n\\nJonah, comment évaluez-vous vos premiers pas en ligue d’été avec les Sixers ? Vos premières minutes officielles depuis le titre national avec le Maccabi Tel Aviv...\\n\\nOui, c’est vraiment la première fois depuis la fin de saison dernière que je joue un match organisé. Entre temps, on s’entraîne et on fait du foncier mais on veut toujours être en forme de match. Et c’est en jouant ce genre de match qu’on y arrive. J’étais assez nerveux, j’avais un peu le trac mais je suis content que ça soit passé.\\n\\nVous n’étiez pas sûr d’y participer, qu’est-ce qui vous a décidé pour de bon ?\\n\\nJe m’entraînais depuis un petit moment à Orange County et mon agent m’a dit quatre jours avant la ligue d’été que je pouvais y aller si je voulais. Je n’ai pas hésité une seconde.\\n\\nQuel est le plan avec les Sixers : de jouer avec eux dès la saison prochaine ?\\n\\nOui, c’est le plan depuis le début et ça n’a pas changé. Je suis ici pour montrer ce que je peux faire.\\n\\nDans quels domaines pensez-vous avoir le plus progressé avec le Maccabi ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"A suivre à 18h: France-Serbie à l’Euro U20 sur Youtube"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le quart-de-finale France-Serbie à l’Euro U20 est à suivre sur YouTube ce jour à 18h.\\n\\nPhoto: Yanik Blanc (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ancien meneur des Los Angeles Lakers Tyler Ennis renforce le Fenerbahçe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est fait: l’ancien meneur de NBA Tyler Ennis (1,90m) a signé au Fenerbahçe Istanbul.\\n\\nBien qu’il n’ait que 24 ans -il les aura en août-, cet ancien international canadien qui termina top-scoreur (20,9 points) du championnat du monde U19 en 2013, compte 186 matchs en NBA après avoir été drafté en 18e position en 2014. Il était depuis deux saisons backup aux Los Angeles Lakers (4,1 points et 1,9 passe en 13′ de jeu). Le 8 avril, il avait obtenu son meilleur total de points en carrière (22) face aux Jazz.\\n\\nPhoto: Phoenix Suns"
}, 
{"role": "user",     "content":"De lourdes sanctions après la gigantesque bagarre entre les Philippines et l’Australie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Commission de Discipline de la Fédération Internationale annonce aujourd’hui sa décision de suspendre 13 joueurs et 2 entraîneurs ainsi que d’imposer des amendes et d’autres sanctions aux fédérations nationales des Philippines et de l’Australie suite à la gigantesque bagarre qui a eu lieu le 2 juillet lors d’un match de qualification pour la Coupe du monde à Bucalan, aux Philippines. La FIBA a également suspendu les arbitres du match.\\n\\nTreize joueurs avaient été disqualifiés sur le champ et le match avait été repris, mais il a finalement fallu l’arrêter une fois que les Philippines se sont retrouvées avec un seul joueur.\\n\\nVoici le détail des sanctions :\\n\\nPhilippines\\n\\nLes 10 joueurs suivants sont suspendus pour comportement antisportif et, dans le cas de Roger Pogoy, pour incitation au comportement antisportif (entre parenthèses le nombre de matchs des éliminatoires de la Coupe du Monde): Japeth Aguilar et Matthew Wright (1 match chacun) ; Terence Romeo, Jayson Castro William, Andray Blatche et Jeth Rosario (3 matchs chacun); Roger Pogoy, Carl Cruz et Jio Jalalon (5 matchs chacun); Calvin Abueva (6 matchs, en raison d’antécédents antisportifs dans une compétition FIBA). Aucune sanction n’est imposée à Gabe Norwood.\\n\\nL’entraîneur adjoint Joseph Uichico est suspendu pour trois matchs pour comportement antisportif. L’entraîneur-chef Vincent ‘Chot’ Reyes est suspendu pour un match et doit payer une amende disciplinaire de CHF 10 000 (8 600 euros) pour avoir incité à un comportement antisportif.\\n\\nLa fédération nationale des Philippines est sanctionnée pour le comportement antisportif des membres de sa délégation et de son public, ainsi que pour l’organisation jugée insuffisante du match. Les Philippines disputeront le prochain match à domicile à huis clos, tandis qu’une interdiction de deux autres matchs à domicile a été placée sous une période probatoire de trois ans. La fédération doit également payer une amende disciplinaire de 250 000 CHF (210 500 euros).\\n\\nAustralie :\\n\\nLes 3 joueurs suivants sont suspendus pour comportement antisportif et, dans le cas de Chris Goulding et Daniel Kickert, pour incitation au comportement antisportif: Chris Goulding (1 match), Thon Maker (3 matchs) et Daniel Kickert (5 matchs). Aucune sanction n’est imposée à Nathan Sobey et Jason Cadee.\\n\\nLa fédération australienne paiera une amende disciplinaire de CHF 100 000 (86 000 euros) pour comportement antisportif de ses joueurs et pour abus et / ou falsification de matériel, après avoir retiré les autocollants de sol du terrain la veille du match. L’argent des amendes sera utilisé pour soutenir le programme social « Basketball for Good » lancé par la Fondation Internationale de Basketball.\\n\\nEn outre, suite à une évaluation approfondie par un groupe d’experts de l’arbitrage pendant le match, le Secrétaire Général de la FIBA Patrick Baumann, a décidé que les arbitres du match seront retirés avec effet immédiat du Programme Elite de la FIBA et ne seront pas candidats aux compétitions internationales organisé ou reconnu par la FIBA (y compris au niveau de la zone et de la sous-zone) pour une période d’un an.\\n\\n« La FIBA tient à souligner qu’elle condamne toute forme de violence, tant sur le terrain qu’en dehors. Le respect, l’esprit sportif et le professionnalisme sont attendus des joueurs, des entraîneurs, des officiels et de toutes les autres parties prenantes à chaque match. De plus, les pays d’accueil doivent veiller à ce que les normes d’organisation les plus strictes soient en place pour garantir la sécurité et le bien-être des joueurs et des autres participants à tout moment », est-il précisé dans un communiqué.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=5ORnb1y-iJE"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Caen fait venir Mel Esso Essis du Mans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après le meneur Jerrold Brooks, les arrières Paul-Lou Duwiquet et Gaëtan Clerc et l’ailier-fort Aurélien Salmon, le Caen BC enregistre la venue de l’ailier, poste 3, Mel Esso Essis (1,99m, 20 ans).\\n\\nCelui-ci est en provenance du Mans. Après avoir joué à Sablé et à la JALT Le Mans et passé une année dans une high school américaine, il était le capitaine des espoirs du MSB (15,7 points et 5,3 points en moyenne) et a fait quatre courtes apparitions en Jeep Elite la saison dernière. Il a été international U20.\\n\\nPhoto: MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U20: La France affronte la Serbie cet après-midi en quart-de-finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir éliminé le Monténégro en huitième, l’équipe de France s’attaque à la Serbie en quart de finale de l’Euro U20.\\n\\nLes Bleuets n’ont pas fait de détails face au Monténégro. S’ils n’avaient que deux points d’avance (13-11) après un quart-temps, ils ont passé un 9-0 à leurs adversaires en 7 minutes pour se dégager définitivement. C’est toujours la défense dans le troisième quart-temps (5 points encaissés) qui leur a permis de faire une vraie différence. Au final, ils scorent près du double de points des Monténégrins, 70-37.\\n\\nAvec 15 points, Bathiste Tchouaffé est le meilleur marqueur alors que Bastien Vautier a pris 9 rebonds.\\n\\nEn quart de finale, les Français se voient proposer cet après-midi à 18h les Serbes, qui ont pulvérisé jusqu’ici l’Islande, la Suède et la Roumanie mais qui ont dû s’arracher pour battre l’Italie en poule (79-78).\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’Islandais Haukur Palson passe de Cholet à Nanterre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que Cholet Basket comptait le conserver, l’international Haukur Palson (1,97m, 26 ans) ne va pas quitter la France mais changer de club en passant à Nanterre 92.\\n\\nFormé en partie à Maryland University, cet ailier doté d’un solide shoot à trois-points avait joué en pro en Espagne, en Suède et en Allemagne avant d’arriver à Rouen en Pro B en 2016-17 puis de passer à Cholet où il a assuré 9,3 points (47,6% à trois-points), 2,5 rebonds et 1,7 point."
}, 
{"role": "user",     "content":"Moustapha Fall serait sur le point de signer à l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon L’Equipe, l’ASVEL est en passe de faire signer le pivot international Moustapha Fall (2,18m, 26 ans), ce qui serait à l’évidence le transfert de l’été.\\n\\nLa saison dernière, Fall avait accompli une saison épatante et avait été l’un des principaux artisans du titre de champion de France de Chalon (12,0 points, 68,9%, 9,1 rebonds, 20,6 d’évaluation). Il est parti ensuite monnayer son talent en Turquie au sein du club de Sakarya qui montait de deuxième division et qui a terminé 8e du championnat national (9,1 points, 69,6%, 6,1 rebonds, 2,0 contres).\\n\\nGrand, doté d’une envergure phénoménale, agile, Moustapha Fall est une véritable pieuvre en défense mais il peut aussi être redoutable balle en main comme il l’a démontré notamment lors des fenêtres internationales avec l’équipe de France.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB : Djéné Diawara de retour à Charleville-Mézières"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Flammes Carolo ont enregistré l’arrivée d’une 11e joueuse pour la saison 2018-2019 et pas des moindres puisque c’est Djéné Diawara (30 ans, 1,92m) qui fait son retour au club.\\n\\nMVP française de LFB en 2014-2015, l’intérieure franco-malienne évoluait à Lyon ces deux dernières saisons, tournant à 5.5 points, 4.5 rebonds pour 6.3 d’évaluation en moyenne sur 17 matchs lors de l’exercice 2017-2018. Djéné Diawara connaît bien le club de Charleville-Mézières pour y avoir joué de 2009 à 2013, participant activement à l’ascension du club, de la NF1 jusqu’aux sommets de LFB. Voilà les Flammes parées pour la LFB et l’Euroligue.\\n\\n« Avec Djéné dans la raquette, les choses deviennent plus simple. Une balle en l’air et c’est quasiment le panier assuré. Il y a une connexion naturelle entre nous, c’est pourquoi je suis ravie qu’elle puisse nous rejoindre la saison prochaine », a déclaré la capitaine Amel Bouderra sur le site officiel du club.\\n\\n\\nEffectif 2018-2019 : Amel Bouderra, Queralt Casas, Marie-Ève Paget, Kaleena Mosqueda-Lewis, Kadidya Minté, Sara Chevaugeon, Haley Peters, Katia Mosengo-Masa, Ana Maria Filip, Zofia Hruskacova, Djéné Diawara"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans et Terry Tarpey s’unissent jusqu’en 2022 !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSigné initialement jusqu’en juin 2019, Terry Tarpey (1,95 m, 24 ans) a accepté l’offre de prolongation de trois années supplémentaires proposée par Le Mans Sarthe Basket. L’extérieur franco-américain est donc lié au club jusqu’au terme de la saison 2021-2022 ce qui en fait un véritable franchise player.\\n\\nVéritable couteau suisse de l’équipe championne de France 2018, cet extérieur, capable d’évoluer aux postes 3 et 2 avec égal bonheur, s’est très vite imposé comme l’un des éléments les plus déterminants de l’effectif. Lancé dans le cinq majeur à compter de la 8e journée, il ne l’a jamais quitté jusqu’à son entorse du genou subie à Pau cinq mois plus tard.\\nConsidéré comme l’un des meilleurs défenseurs de l’équipe, sinon de la ligue, « TT » a la particularité de noircir toutes les lignes statistiques : 6,8 points à 39.3% à 3-pts, 4,8 rebonds, 2,0 passes décisives, 1,3 interception pour 10,7 d’évaluation en 24 min/m.\\n\\n« Adoubé par ses coéquipiers et le staff, adoré par les fans pour son sens du sacrifice et sa gentillesse, « TT » est au MSB pour atteindre plusieurs objectifs : s’inscrire dans l’histoire du club, poursuivre sa progression individuelle et... s’exprimer aussi bien que ses parents en français !, » commente le club.\\n\\nQuant au joueur, il ne veut pas s’arrêter en si bon chemin:\\n\\n« Prolonger avec le MSB m’a semblé un choix aussi naturel qu’aisé. A partir du moment où je me sens confortable et heureux avec le staff, le management, les fans, pourquoi ne pas vouloir continuer ? Je sens que l’on peut faire de belles choses dans le futur et, dès la saison prochaine, j’espère connaître les mêmes joies et succès. A terme, j’aimerais saisir l’opportunité de devenir le capitaine du MSB, comme l’a été mon père ici en son temps. Devenir All-Star et gagner des titres sont des objectifs que je me fixe avec le MSB. Pour cela, je dois continuer de mieux utiliser le jeu avec et sans écran. Améliorer mon dribble, ma défense, mon shoot, tout est source de progrès. Last, je tiens à rassurer tout le monde. Mon genou est remis à 100%. Je travaille pour revenir au top le le 6 août à la reprise. »\\n\\nPhoto: MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Axel Bouteille reste une saison de plus à Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir « réfléchi » à sa situation, Axel Bouteille (2,00m, 23 ans) a pris la décision de demeurer au Limoges CSP pour une saison supplémentaire.\\n\\nUne décision qui ne peut que ravir le club et les supporters limougeauds car les JFL de sa qualité sont rares sur le marché. Cet arrière/ailier formé à Chalon fut le meilleur marqueur de l’équipe en Eurocup (11,7 points) tout en assurant 9,5 points et 3,9 rebonds en Jeep Elite.\\n\\n“Avec Axel, sur qui nous comptons beaucoup, nous aurons donc la saison prochaine 6 JFL. Nous sommes très fiers de ne prendre que 4 joueurs étrangers. Notre projet jeune et JFL prend toute sa dimension. Pour clôturer le recrutement nous sommes à la recherche d’un meneur, d’un poste 2 américain et de deux postes 4 avec des qualités différentes et complémentaires », a commenté le directeur sportif, Olivier Bourgain.\\n\\nQuant au coach Kyle Milling, il a ajouté:\\n\\n“Axel est fait pour scorer, il est né pour ça ! Il sent le ballon et repère l’espace ouvert. Il a une grande force mentale, il ne se pose pas de question. Meilleur marqueur de l’équipe cette saison en EuroCup, il avait également un gros rôle en Jeep Elite. Il a contribué à notre beau parcours : 4ème du Championnat et l’atteinte des 1⁄2 finales de PlayOffs. Je compte sur lui la saison prochaine pour faire encore plus en montant d’un niveau. Axel est un jeune joueur qui a encore une belle marge de progression.”\\n\\nPhoto: Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"WNBA: L’Australienne Liz Cambage bat le record de points de la ligue, 53 !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"53 points avec 17/22 dans les tirs du champ dont un 4/5 à trois-points et 15/16 aux lancers (plus 10 rebonds, 5 contres, 2 passes et 1 interception), c’est le record établi par l’Australienne Liz Cambage (2,03m, 26 ans) lors de la victoire des Dallas Wings face aux New York Liberty, 104-87.\\n\\n« Je n’ai pas réalisé que c’était le record avant la fin du match. Je ne pense même pas à ce genre de choses pendant que je joue. A la fin, Karima (Noël-Kelly) m’a dit que je venais de battre le record de Williams, je me suis dit « OK, c’est cool ».\\n\\nLes meilleures marques étaient jusqu’ici l’oeuvre de Riquna Williams (51), Maya Moore (48), Diana Taurasi et Lauren Jackson (47).Née à Londres d’un père Nigérian et d’une mère australienne, Elizabeth Cambage est un phénomène de la nature d’une puissance sans équivalent mais qui donc peut aussi être efficace dans les tirs à longue distance. Elle n’a jamais porté le maillot d’un club européen préférant faire carrière en Chine. Elle totalise à ce jour 74 matches en WNBA pour 15,2 points et 6,9 rebonds accomplissant statistiquement sa meilleure saison cet été (19,9 points et 9,1 rebonds).Photo: WNBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: La Slovène Tina Trebec rejoint l’armada de Lattes-Montellier"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Poursuivant un recrutement qui va en faire l’un des favoris dans la quête du titre de champion de France, Lattes-Montpellier a engagé la Slovène Tina Trebec (1,90m, 28 ans).\\n\\nCette ailière sort d’une saison qui l’a emmenée en Suisse (Fribourg) puis en Italie (Vigarano) où elle a tourné à 14,9 points (56,2%) et 6,6 rebonds dans l’avant-dernière équipe de la ligue.\\n\\nTina Trebec est internationale et à ce titre elle a participé à l’Euro 2017 et aussi aux qualifications pour l’Euro 2019. A ce titre, elle a cumulé 6,5 points et 3,3 rebonds. Contre la France, elle s’était mise en valeur avec 10 points et 5 rebonds en moins de 20 minutes.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Après 11 clubs depuis 2010, Ali Traore est de nouveau à la recherche d’un job"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon différentes sources, Ali Traore (2,08m, 33 ans) n’est plus Monégasque.\\n\\nCes dernières années, l’homme aux mains d’or est devenu un vagabond du basket passant par 11 clubs depuis 2010. Ainsi la saison dernière, après une période de chômage, il a signé à Antibes où il a disputé 5 matches. Il a été appelé ensuite par la Roca Team où il a été remarqué en playoffs pour avoir converti 38 de ses 47 shoots soit une réussite de 80,9% (7,5 points, 8,8 d’évaluation pour seulement 12′ de temps de jeu moyen).\\n\\n\\n\\n\\n🏀 Ali Traoré no seguirá en el Mónaco la próxima temporada #Monaco #Montecarlo #ASMonaco #Asmbasket #JeepElite pic.twitter.com/QwV5DGOVeD\\n\\n\\n— Mónaco Informativo (@Monaco_Info_) July 16, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nicolas Batum: «Les gens qui disent «bravo Africa pour votre victoire», allez tous bien vous faire foutre!»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A ceux qui dévoilent les origines africaines des champions du monde de football, Nicolas Batum vient de répondre par une sorte de lettre ouverte écrite sur son compte twitter. Nous la reproduisons ci-dessous:\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Casper Ware : «La France a plutôt bonne réputation»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sacré champion d’Australie avec Melbourne la saison passée, après l’avoir été en France en 2016, Casper Ware (1,78m, 27 ans) continue son parcours de globe trotter de la balle orange. Le meneur californien de petite taille se démène actuellement au sein de la formation estivale des Blazers, en finale du tournoi de Las Vegas cette nuit.\\n\\nBasketEurope était présent sur l’événement et a ainsi pu poser quelques questions à l’ancien MVP des Finales de l’Asvel. Casper Ware revient ainsi sur ses souvenirs de Pro A et nous donne son regard averti sur la réputation du championnat français dans les vestiaires américains de la Summer League.\\n\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\n« La NBA viendra vous chercher quoiqu’il arrive »\\n\\nCasper, vous êtes reparti à Melbourne après une deuxième expérience à l’Asvel. Diriez-vous que cette double expérience vous a bien préparé pour la ligue d’été en NBA ?\\n\\nC’est un bon niveau de compétition. On peut facilement s’adapter ici en jouant en France, comme le montre le bon nombre de joueurs qui évoluent en France pendant la saison. La ligue française est très compétitive. Ce n’est pas facile de gagner le titre car il y a énormément de bons joueurs.\\n\\nComment décririez-vous le niveau de jeu proposé en France ?\\n\\nIl y a beaucoup de qualités athlétiques. Un peu comme en NBA, des joueurs longs, rapides et explosifs. Il faut s’adapter à quelques petites spécificités mais c’est une ligue très intéressante. La tactique est importante en France, il faut connaître ses classiques. Et puis, le spacing est similaire, on essaie d’écarter le jeu aussi. Avec le spacing et la défense du pick & roll qui se ressemblent, on peut facilement s’adapter entre la ligue française et la NBA.\\n\\nQuelles étaient vos attentes avant d’arriver en France pour la première fois ?\\n\\nPas grand-chose à vrai dire. Je suis arrivé après avoir joué en Chine et je n’avais pas d’attente particulière. Mon agent m’a dit que je pouvais venir jouer en France, j’ai dit oui tout de suite. Et ça s’est bien passé pour moi.\\n\\nVous avez connu plusieurs championnats dont l’Italie, la Chine, l’Allemagne, la France et l’Australie, quel pays tient votre préférence ?\\n\\nJe ne saurais pas dire quel championnat est le meilleur. Tous sont différents et ça dépend forcément de ce qu’on cherche. Le climat sera meilleur ici ou là mais en général, on se sent bien en France. Par exemple, en France, on prend le train pour se déplacer alors qu’en Australie, on se déplaçait toujours en avion. Chaque ligue a ses avantages et ses inconvénients.\\n\\nY a-t-il une ligue où il vaut mieux se trouver pour finir sur les radars NBA ?\\n\\nFranchement, la NBA viendra vous chercher quoiqu’il arrive si vous êtes bon. Si tu es bon et que tu joues en Italie, ils viendront en Italie. Peu importe où tu joues, si tu es bon, la NBA viendra te chercher.\\n\\n\\n« On sait qu’on aura notre argent en temps et en heure »\\n\\nPendant ces ligues d’été où la plupart des joueurs sait qu’ils seront reversés en Europe, discute-t-on justement de ces futures destinations entre joueurs ?\\n\\nOn a ce genre de conversations avec d’autres joueurs qui ont aussi joué en Europe. On leur demande leur avis. Ils racontent leur expérience : j’ai joué ici, c’était pas mal, j’ai joué là-bas, ce n’était pas vraiment génial... C’est clair que ça peut aider.\\n\\nEt quelle est la réputation de la France dans votre expérience ?\\n\\nLa France a plutôt bonne réputation parmi les joueurs. Le niveau de compétition est bon, on sait qu’on aura notre argent en temps et en heure, ce qui peut être un problème ailleurs. Et c’est souvent le plus gros problème pour les joueurs américains en fait. En France, c’est le top à ce niveau-là et comme le basket et les fans sont bons, c’est un pays qui est assez haut dans la liste.\\n\\nEst-ce que le style de jeu pratiqué est particulièrement attrayant pour les joueurs ?\\n\\nC’est plus ou moins la même chose. Il y a des équipes qui aiment jouer vite et d’autres qui aiment poser le jeu. Mais ça dépend au final plus du coach que de la ligue où on joue. En Italie, j’ai connu deux coachings très différents d’une année sur l’autre. Donc ça dépend vraiment de chaque équipe.\\n\\nUne autre opportunité en France vous intéresserait donc éventuellement...\\n\\nBien sûr. Je ne refuserai pas de revenir jouer en France. J’ai apprécié mon temps là-bas. J’ai remporté le titre, j’ai été MVP, pourquoi pas revenir ?\\n\\nRacontez-nous tout de même un peu votre expérience avec les Blazers, qu’attendent-ils de vous ?\\n\\nJe suis là pour contrôler un peu le jeu et faire ce que je sais faire. Je dois simplement jouer mon jeu. Je peux distribuer la gonfle ou prendre des tirs. J’essaie de faire les meilleurs choix.\\n\\nEt vous jouez un rôle de vétéran auprès du jeune rookie Anfernee Simons également...\\n\\nOui, c’est ça. Je lui ai parlé un peu. Je l’ai conseillé sur ce qu’il peut faire mieux. Il s’en sort déjà bien.\\n\\nPropos recueillis à Las Vegas\\n\\n[armelse]\\n\\n\\n« La NBA viendra vous chercher quoiqu’il arrive »\\n\\nCasper, vous êtes reparti à Melbourne après une deuxième expérience à l’Asvel. Diriez-vous que cette double expérience vous a bien préparé pour la ligue d’été en NBA ?\\n\\nC’est un bon niveau de compétition. On peut facilement s’adapter ici en jouant en France, comme le montre le bon nombre de joueurs qui évoluent en France pendant la saison. La ligue française est très compétitive. Ce n’est pas facile de gagner le titre car il y a énormément de bons joueurs.\\n\\nComment décririez-vous le niveau de jeu proposé en France ?\\n\\nIl y a beaucoup de qualités athlétiques. Un peu comme en NBA, des joueurs longs, rapides et explosifs. Il faut s’adapter à quelques petites spécificités mais c’est une ligue très intéressante. La tactique est importante en France, il faut connaître ses classiques. Et puis, le spacing est similaire, on essaie d’écarter le jeu aussi. Avec le spacing et la défense du pick & roll qui se ressemblent, on peut facilement s’adapter entre la ligue française et la NBA.\\n\\nQuelles étaient vos attentes avant d’arriver en France pour la première fois ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le meneur Jerel Blassingame passe d’Antibes à Pau"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Notre confrère Jean Fauret de la République des Pyrénées l’a annoncé depuis plusieurs semaines et le club vient de le rendre officiel: Jerel Blassingame (1.75m, 36 ans) a signé avec Pau-Lacq-Orthez.\\n\\nLe meneur américain était antibois depuis la dernière partie de la saison 2016-17 et en 43 matches avec les Sharks, il a scoré 12,3 points, 7,2 passes et 2,5 rebonds.\\n\\n« Le profil recherché était celui d’ un meneur à la fois organisateur et scoreur, capable de faire jouer toute l’équipe à son meilleur niveau », commente le coach Laurent Vila sur le site de l’Elan. « Jerel Blassingame est un vrai patron comme ont pu le confirmer ses performances sous le maillot antibois. Meilleur passeur de la ligue, il a montré sa faculté à varier le tempo en sachant accélérer le jeu lorsque nécessaire, lui qui a passé plus de 32 minutes par match sur le parquet la saison dernière. De part ses qualités offensives et son expérience, il sait aussi être « clutch ». C’est également un joueur qui dispose d’un vrai leadership sur le parquet comme dans le vestiaire. C’est un animateur de groupe qui sait transmettre aux autres son envie de gagner. »\\n\\nPhoto: Sharks"
}, 
{"role": "user",     "content":"FIBA/Euroleague: La politique d’ECA en question à Bruxelles"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une première question posée à la commission européenne le 9 novembre 2017, une délégation de parlementaires européens va cette fois demander une réponse écrite à la commission européenne.\\n\\nLes mots sont posés et diplomates mais il est clair que certains parlementaires européens, dont la Française Virginie Rozière (radicaux de gauche), sont mécontents que pour l’instant, leur action n’ait débouché sur rien de concret. Ces parlementaires européens viennent de différents bord politiques pour pousser les questions suivantes, relatives au calendrier publié par l’Euroleague qui entre en conflit direct avec les rassemblements des équipes nationales.\\n\\nLes parlementaires : Santiago Fisas Ayxelà (EPP) Espagne, Bogdan Brunon Wenta (EPP) Pologne, Tiziana Beghin (EFDD) Italie, Marc Tarabella (S&D) Belgique, Theodoros Zagorakis (EPP) Grèce, Virginie Rozière (S&D) France, Julie Girling (EPP) Royaume Uni.\\n\\nLe sujet : Trouver une solution à la dispute FIBA Euroleague\\n\\nLa question :\\n\\n« Le 9 novembre 2017, en répondant à une question précédente sur le calendrier de l’Euroleague de basket, la Commission a partagé notre opinion sur l’importance des équipes nationales et a exhorté la FIBA et ECA à trouver une solution pour le bien des joueurs et du sport dans son ensemble.\\n\\nHuit mois plus tard, une solution n’a toujours pas été trouvée. Le problème s’est même aggravé au cours des mois. Le nombre de joueurs d’Euroleague disponibles pour les équipes nationales est de moins de 30% et les meilleurs joueurs ne sont pas libérés par leurs clubs. Pour la saison à venir, ECA a encore une fois proposé un calendrier incompatible avec les compétitions d’équipes nationales.\\n\\nEst-ce que la Commission va prendre les mesures nécessaires pour prévenir la violation de la loi sur le monopole, de façon à assurer une solution proportionnée au bénéfice de tous ?\\n\\nEst-ce que la Commission va ouvrir une investigation, en particulier à la lumière de la décision de la Commission de décembre 2017 ?\\n\\nPuisqu’il semble que toutes les tentatives de médiations passées ont échoué entre la FIBA et ECA, est-ce que la Commission est d’accord pour dire aujourd’hui qu’il est urgent de mener une enquête sur ce dossier ? »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Youssoupha Fall quitte Le Mans pour Vitoria"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme on pouvait s’en douter, Le Mans Sarthe Basket n’a pu conserver son géant Youssoupha Fall (2,21m, 23 ans) qui avait activé il y a quelques jours sa clause de sortie. Le pivot franco-sénégalais met le cap sur Baskonia Vitoria où il partagera le poste avec l’international Vincent Poirier. Il a signé un contrat valable jusqu’en juin 2022.\\n\\nGrâce à sa taille, son envergure et aussi sa mobilité pour un tel phénomène, Youssoupha Fall a réalisé une première vraie saison de Jeep Elite/Pro A d’excellente facture (11,2 points, 6,9 rebonds, 0,9 contre pour 14,1 d’évaluation) posant parfois des problèmes insolubles à ses adversaires. Il est toutefois passé à travers de certains matches démontrant qu’il est encore en phase d’apprentissage.\\n\\nClub d’Euroleague, Baskonia Vitoria est le finaliste 2018 du championnat d’Espagne après avoir terminé deuxième de la saison régulière.\\n\\n« C’est avec beaucoup d’humilité et de gratitude que je vous annonce mon départ du MSB, ce club cher à mon cœur avec qui j’ai été champion de France très récemment. Je tiens à remercier tous les dirigeants, les partenaires, les bénévoles, le staff complet dont les coachs, mes coéquipiers avec qui j’ai vécu ces moments si forts. Un merci tout particulier aux supporters qui ont été tellement incroyables dans la quête du titre. Nous sommes tous champions de France 2018. Un de mes rêves se réalise avec la découverte de l’Euroleague et de la Liga ACB dans le club de Vitoria. Je ne vous oublierai pas, ce fut une vraie fierté de gagner avec et pour vous. Si je me retrouve à ce niveau, c’est aussi grâce à toutes les personnes croisées dans la Sarthe. J’ai passé un vrai cap en Jeep Elite, appris énormément et pris beaucoup de plaisir à jouer et gagner pour Le Mans. A bientôt les Manceaux et très belle(s) saison(s) à vous, » a commenté le joueur qui a été formé au MSB.\\n\\nPhoto: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges: Le maire annonce qu’une augmentation de la capacité de Beaublanc à 7 500 places est à l’étude"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que tous les médias sont accaparés par les agapes des champions du monde de football, le site du quotidien économique Les Echos consacre un article au Limoges CSP.\\n\\nEmile Roger Lombertie, le maire Les Républicains de la Ville, qui est un fidèle abonné au CSP se réjouit évidemment de l’impact du basket pour sa ville en terme d’image.\\n\\n« Le Limoges CSP est devenu un symbole. Il véhicule de notre ville une vision positive, au niveau français et européen, renforçant l’image d’un Limoges moderne, lié à la céramique, aux arts du feu, aux nouvelles technologies. Notre basket est devenu l’emblème du sérieux, du combat, de l’envie de gagner, et d’un territoire qui triomphe des aléas économico-politiques qui l’assaillent. »\\n\\nLe maire ne veut pas donner des informations précises sur les retombées économiques mais livre toutefois une information importante.\\n\\n« Des études ont avancé des chiffres, mais je reste méfiant là-dessus. Ce qui est certain, c’est que les jours de match boostent la consommation, en restauration, hôtellerie, loisirs. De plus, les entreprises partenaires et sponsors se retrouvent souvent sur le bord du parquet, le sport étant, comme chacun sait, un excellent espace de discussions d’affaires. Et nous réfléchissons à porter la capacité de Beaublanc à 7.500 places. »\\n\\nAttention: l’augmentation de la capacité du palais des sports de Beaublanc est une rumeur récurrente à Limoges. Dans son programme, le maire avait même annoncé la construction d’une aréna de 10 000 places... avant de se raviser une fois élu.\\n\\nPhoto: Info-stades"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep ELITE : Jaraun Burrows rempile à Fos Provence Basket"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé dans le courant de la 2e partie de saison 2016-2017, le pivot international bahaméen va prolonger son aventure en Provence. Le club de Fos-sur-Mer, vainqueur des Playoffs d’accession de Pro B, a officialisé la nouvelle hier, faisant de Jaraun Burrows (32 ans, 2,03m) le 8e joueur à composer l’effectif de Rémi Giuitta pour sa première saison dans l’élite.\\n\\nL’intérieur longiligne au jeu spectaculaire s’est montré précieux par son efficacité cette saison, tournant à 23 points à 74% de réussite sur les six premiers matchs et rendant encore près de 13 points et 6 rebonds pour 13 d’évaluation à 60% d’adresse au tir en Playoffs.\\n\\nRetrouvez le portrait du « showman bahaméen » dressé par BasketEurope en début de saison.\\n\\nEffectif de Fos Provence Basket pour la saison 2018-2019 : Xavier Gaillou, Edouard Choquet, Abdou Mbaye, Tarik Kirksay, Jordan Aboudou, Sullivan Hernandez, Pierre Pelos, Mamadou Dia"
}, 
{"role": "user",     "content":"Axel Toupane rejoint Olympiakos Le Pirée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison au Zalgiris Kaunas, présent au Final Four de l’Euroleague, Axel Toupane (2,01m, 25 ans) ne perd pas au change puisqu’il va revêtir le maillot d’Olympiakos Le Pirée.\\n\\nAprès Strasbourg, Axel Toupane a enchaîné les courtes expériences en NBA (Denver, Milwaukee, New Orleans) et aussi joué en D-League.\\n\\nDans un rôle de remplaçant (15′), il a assuré 6,9 points (15/40 à trois-points) en Euroleague tout en faisant valoir ses qualités de défenseur.\\n\\nPhoto: Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Russie: L’Italien Daniel Hackett remplace Léo Westermann au CSKA Moscou"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était depuis quelque temps déjà un secret de polichinelle et les deux nouvelles ont été officialisées à quelques heures d’intervalle: Léo Westermann (1,97m, 25 ans) quitte le CSKA Moscou et l’Italien Daniel Hackett (1,99m, 30 ans) entre dans l’effectif du club russe.\\n\\nHandicapé par une blessure à la hanche, l’international français s’est contenté de 30 matches au cumul de l’Euroleague et de la VTB League pour 5,3 points, 1,3 rebond et 2,3 passes en 15 minutes.\\n\\nLe combo guard Daniel Hackett portait cette saison le maillot de Brose Bamberg pour 9,6 points, 2,7 rebonds et 3,4 passes en Euroleague.\\n\\nPhoto: Daniel Hackett (Brose)"
}, 
{"role": "user",     "content":"A la Summer League de Las Vegas avec les Spurs, Freddy Fauthoux fait partie d’un staff de 35 personnes !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Vincent Collet, Pierre Vincent, JD Jackson, Julien Espinosa ou encore Sacha Giffa, Freddy Fauthoux a le privilège de vivre la Summer League de Las Vegas de l’intérieur, avec les San Antonio Spurs.\\n\\nBasketUSA lui a demandé comment il a pu se retrouver en si bonne compagnie.\\n\\n« En fait, l’agence avec laquelle je suis [YouFirst]. Le patron est Juan Aisa et c’est un joueur avec qui j’ai joué. On a des relations avec cette franchise-là. Et Boris [Diaw] a un peu poussé à la fin. Voilà, je voulais faire l’expérience de vivre la ligue d’été avec une franchise pour voir comment fonctionne une franchise et puis aussi pour voir les joueurs. »\\n\\nSes impressions sont forcément très bonnes:\\n\\n« C’est une très bonne expérience, » répond le coach de Levallois. « J’ai été très bien accueilli par la grande famille des Spurs, parce que c’est comme ça qu’ils considèrent aussi leur franchise. C’est fantastique de vivre à l’intérieur de cette franchise qui est parfaite. Ils ont les moyens et ils mettent les moyens. C’est une expérience très enrichissante humainement. En termes de structuration du club, des équipements, c’est à l’échelle de la NBA et on ne peut pas tout transposer en France. »\\n\\nEn fait, Fred Fauthoux fait partie d’un staff de... 35 personnes:\\n\\n« Oui, c’est énorme ! Il y a tous les mecs de la G-League, deux assistants vidéo des Spurs, plus tous les autres membres du staff des Spurs. Oui, ils récompensent un peu tout le monde. Donc, aux entraînements, on a tout ce petit monde sur le terrain. Ils t’impliquent. Tu es dans les vidéos, dans les réunions d’avant entraînement, dans les débriefing... Tu es vraiment à l’intérieur du truc, ils te font tout partager. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U20: France-Monténégro en huitième de finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après sa victoire en poule sur l’Ukraine, l’équipe de France a ravi aux Espagnols et aux Ukrainiens la deuxième place de cette phase préliminaire et va ainsi affronter demain le Monténégro en huitième de finale.\\n\\nC’est Bastien Vautier qui a été le plus performant face à l’Ukraine réalisant un double double: 15 points à 7/11 aux shoots et 13 rebonds.\\n\\nS’il a battu la Grande Bretagne (80-70), le Monténégro a été vaincu jusqu’ici par la Lituanie (82-94) et la Turquie (60-89).\\n\\nEn cas de succès, les Bleuets rencontreraient ensuite le vainqueur du match Serbie-Roumanie.\\n\\nPhoto: Bastien Vautier (FIBA)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le pivot Elmedin Kikanovic prolonge à Monaco jusqu’en 2020"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’AS Monaco annonce que le Bosnien Elmedin Kikanovic (2,11m, 29 ans) a prolongé son contrat avec le club pour deux années supplémentaires.\\n\\nCelui-ci a réalisé une excellente saison en étant élu dans le premier Cinq de la Champions League (15,1 points à 63,5%, 4,5 rebonds), en étant le 5e à l’évaluation de la compétition et le 2e meilleur marqueur de la Roca Team en Jeep Elite (14,4 points à 62%, 4,2 rebonds).\\n\\nAprès Amara Sy, Gerald Robinson, D.J. Cooper, Yakuba Ouattara, qui ont aussi prolongé, et Paul Lacombe sous contrat, l’AS Monaco privilégie ainsi la continuité dans son effectif."
}, 
{"role": "user",     "content":"Magazine BasketEurope N°8"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le numéro 8 du magazine de BASKET EUROPE qui regroupe les meilleurs articles PREMIUM du mois met forcément en Une Le Mans Sarthe Basket et son capitaine Romeo Travis élu MVP de la finale. Le directeur sportif Vincent Loriot dresse pour nous le portrait de chacun des champions de France 2018. BASKET EUROPE se pose aussi la question : avec le développement économique de quelques clubs de pointe (Villeurbanne, Strasbourg, Monaco), n’est-ce pas avec ce cinquième titre manceau la fin des contes de fée pour les clubs aux budgets moindres ?\\n\\n\\nCommandez le Mag #08 (6€) aujourd’hui et recevez le avant ce weekend\\n\\nD’autres temps forts sont au programme de ce numéro de 36 pages. Notamment un dossier sur l’ADA Blois, champion de France Pro B, mais empêché par la Ligue Nationale de Basket d’accéder à la Jeep Elite pour des raisons administratives.\\n\\nOn vous propose un portrait de Fabien Causeur, le Breton champion d’Europe avec le Real Madrid et qui a brillé de mille feux en finale, et une interview de Edwin Jackson, qui passe de Barcelone à Buducnost et qui ne ferme pas la porte à un retour prochain à l’ASVEL.\\n\\nEgalement au sommaire : le rapprochement entre l’ancien NBAer Mickaël Pietrus et Marseille, Stéphane Lauvergne qui évoque son fils Joffrey, une interview de Pierre Pelos de Fos/Mer, une enquête sur Bria Hartley, la meneuse de jeu du New York Liberty dont la grand-mère est française et qui a fait des démarches pour jouer avec les Bleues, une interview du directeur général de l’AS Monaco, Oleksiy Yefimov, et encore celle que nous avait donné à propos de la nouvelle formule de la Coupe du Monde, Yvan Mainini lorsqu’il était le président de la Fédération Internationale, et qui est décédé au mois de mai.\\n\\nLe magazine de BASKET EUROPE convient totalement à ceux qui souhaitent plonger en profondeur dans l’actualité du basket français et européen. Vous pouvez le commander directement sur notre boutique en ligne (frais de port gratuit), vous serez livré avant ce weekend !\\n\\n\\nCommandez le Magazine en ligne (6€ frais de port gratuit)"
}, 
{"role": "user",     "content":"U15: 3/3 pour l’équipe de France au Tournoi de l’Amitié"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de France U15 a remporté le Tournoi de l’Amitié qui s’est tenu du 12 au 14 juillet à Troyes face à trois adversaires de valeur, l’Espagne, l’Italie et la Grèce.\\n\\nFrance – Espagne : 69-64\\nFrance – Italie : 81-72\\nFrance – Grèce : 74-69\\n\\nClassement :\\n\\n1 : France : 3V ; 0D\\n2 : Espagne : 1V ; 2D\\n3 : Italie : 1V ; 2D\\n4 : Grèce : 1V ; 2D\\n\\nPhoto: FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: L’ancien international Antonio Martin est le nouveau président de l’ACB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Assemblée Générale de l’ACB, réunie ce lundi à Barcelone, a nommé Antonio Martín Espina, 52 ans, comme nouveau Président de l’Association des Clubs de Basketball.\\n\\n\\nFrère de la légende Fernando Martin, premier Espagnol en NBA décédé d’un accident de la circulation, Antonio Martin a combiné une carrière réussie en tant que joueur puis comme directeur de la section basket du Real Madrid, et aussi dans la technologie, la banque et la télévision. ll a ainsi conseillé l’ACB en 2010 lors de la signature du premier contrat de télévision pour la gestion globale des droits internationaux de la compétition.\\n\\nMartín a joué 14 saisons dans l’élite nationale et a été 62 fois international. Après ses débuts avec Estudiantes dans la Ligue nationale en 1982-83, il a signé pour le Real Madrid, club où il a effectué le reste de sa carrière jusqu’à sa retraite en 1995, à la seule exception de la saison 1986-87 où il a porté le maillot de l’Université de Pepperdine. Au cours de ses 13 saisons au Real Madrid, Martin a remporté cinq championnats, quatre Copas del Rey, une Supercopa, une Euroleague, deux Coupes des Coupes et une Coupe Korac. Avec l’équipe nationale espagnole, il a accroché le bronze à l’Eurobasket de Rome en 1991, tout en étant membre du Cinq idéal du tournoi.\\n\\nAntonio Martin devient le septième président de l’ACB au cours de ses 36 ans d’histoire, et le premier ancien joueur professionnel a occuper le poste."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Croate Damjan Rudez quitte Monaco pour Murcie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Joueur côté en Europe, notamment en raison de sa capacité à scorer à trois-points, l’international croate Damjan Rudez (2,03m, 32 ans) n’aura fait qu’un court et discret séjour en Jeep Elite sous le maillot de Monaco: 11 matches, 7,2 points en 22′ en saison régulière et seulement 3 matches, 3,3 points en 10′ en playoffs.\\n\\nIl avait pourtant l’expérience de plusieurs clubs en Croatie et à l’étranger et notamment 146 matches à Indiana, Minnesota et Orlando en NBA.\\n\\nLe Croate a signé à Murcie pour la prochaine saison.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en JeepElite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements."
}, 
{"role": "user",     "content":"John Roberson et l’Asvel, c’est fini"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion de France 2017 avec l’Elan Chalon, le meneur de jeu américain John Roberson (29 ans, 1,80m) aura vécu un exercice 2017-2018 bien compliquéesous le maillot de l’Asvel. Notamment avec des stats en baisse (11pts, 5pds pour 12.2 d’éval en moyenne par match) et une mise à pied en cours de saison qui l’avait privé du match contre Nanterre à la U Arena « en raison de comportements contraires aux dispositions du règlement intérieur du club ».\\n\\nAlors que le triple champion de Suède avait signé un contrat de deux ans, le club villeurbannais a annoncé aujourd’hui une séparation « à l’amiable » entre les deux parties, précisant également que les contrats de Nicolas Lang, Darryl Watkins et Adrian étaient également arrivés à leur terme.\\n\\nCapable du meilleur comme du pire cette saison, John Roberson repart tout de même de Villeurbanne avec le record de points inscrits par un joueur de l’Asvel en Coupe d’Europe. Il devrait signer au club russe de Enisey Krasnoyarsk.\\n\\nPour l’instant, dix joueurs composent l’effectif de l’Asvel pour 2018-2019 : DeMarcus Nelson, Théo Maledon, AJ Slaughter, Sofiane Briki, Charles Kahudi, David Lighty, Livio Jean-Charles, Amine Noua, Alpha Kaba et Khadim Sow."
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB : Cierra Bravard passe chez l’ennemi tarbais"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après deux saisons à Basket Landes, l’intérieure américaine Cierra Bravard (1,93m, 28 ans) s’est engagée en faveur du Tarbes Gespe Bigorre pour la saison prochaine.\\n\\nArrivée en 2016 après deux expériences en Espagne (Girona entre 2012 et 2014, San Sebastian en 2015 2016) et en Grèce (Proteas en 2014-2015), la poste 5 culminait à 10.6 points et 5.3 rebonds pour 10.6 d’évaluation en 2017-2018.\\n\\nCierra Bravard vient compléter l’effectif du TGB déjà composé de Tima Pouye, Marine Fauthoux, Adja Konteh, Nathalie Fontaine, Alexis Prince, Naomi Mbandu, Jodie Cornélie-Sigmundova et Aby Gaye."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Malaga vers les 8 000 abonnés"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison prochaine, Unicaja Malaga ne participera pas à l’Euroleague mais seulement à l’Eurocup, alors que Jeff Brooks et Nemanja Nedovic partent à Milan, ce qui ne l’empêche pas de conserver la confiance de ses supporters.\\n\\n95% des abonnés de la saison dernière ont renouvelé leur carte et 200 nouveaux abonnements ont été émis. À ce jour, le club comptabilise 7 600 abonnés et il est proche d’atteindre la marque de 8 000 de l’an dernier. Le Palacio de Deportes José María Martín Carpena peut contenir 11 600 places.\\n\\nPhoto: Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Quand les basketteurs fêtent les Bleus du foot sur les réseaux (acte II)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La joie du peuple français a contaminé les réseaux sociaux après la victoire de l’Equipe de France de football en finale de la Coupe du Monde. Petit florilège de ces moments de liesse partagés avec les acteurs du basket français\\n\\nJeep ELITE\\n\\n\\n\\n\\n⭐️⭐️\\n\\n\\n🤗🤗\\nAvec un immense Bravo à notre Bourguignon @AntoGriezmann #BleuRouge&Blanc https://t.co/mnkaI2Y3DF\\n\\n\\n— Elan Chalon (@ELANCHALON) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\n⭐️⭐️ CHAMPIONS DU MONDE ⭐️⭐️ https://t.co/SFVqkTmqfz\\n\\n\\n— JDA Dijon Basket (@jdadijonbasket) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nCHAMPION !!!! ⭐️⭐️\\n\\n\\nQuelle fierté pour cette @equipedefrance et toute notre nation 🔵⚪️🔴\\n\\n\\nQuelle est belle cette magie du sport !!😍😍😍#FiersdetreBleus #CDM2018 #Champiiiiiiiiiiiiiiooooooonnnnn\\n\\n\\n— BCM Basketball (@BCMBasket) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nLe @MSB_Officiel aura donc été champion de France la même année de la 2ème ⭐️ de l’@equipedefrance ➡️ 2018 : une sacrée belle année 🇫🇷😀🎉 https://t.co/EqprtNjozY\\n\\n\\n— MSB_Officiel 🦁 (@MSB_Officiel) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nUne immense victoire ! Bravo les bleus ! Vous nous avez fait vibrer ! #Fiersdetrebleus #CDM2018 🌟🌟 https://t.co/G0aCu7x5en\\n\\n\\n— Boulogne-Levallois Metropolitans 92 (@Metropolitans92) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nLa France CHAMPIONNE DU MOOOONDE ! ⚽\\n\\n\\nQuel match ! Quelle victoire de l'@equipedefrance !!! C'est ça le sport qu'on aime et qu'on partage ! 😍 #FRACRO #CM2018 https://t.co/x2yxO528t1\\n\\n\\n— LDLC ASVEL (@LDLCASVEL) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nBravo les Bleus 👏👏👏 https://t.co/w16HyXGHkw\\n\\n\\n— EBPLO (@EBPLO) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nChampions du monde 🔥🔥🔥🔥#WorldCupFinal2018 #France pic.twitter.com/mC1aNlZIWi\\n\\n\\n— Nanterre 92 (@Nanterre92) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nIls l’ont fait 🎉⚽️🇫🇷 #FiersdetreBleus https://t.co/TOOK5Dq9Yh\\n\\n\\n— SIG Strasbourg (@sigstrasbourg) July 15, 2018\\n\\nLFB\\n\\n\\n\\n\\n🇫🇷\\n\\n\\n— Tango Bourges Basket (@BourgesBasket) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\n🇫🇷⚽️ Les Bleus l’ont fait, la France est sur le toit du monde ⭐️⭐️\\n\\n\\n➡️ Le @BasketLMA félicite cette très belle équipe de France 😍#FiersdetreBleus #ChampionDuMonde #Merci pic.twitter.com/3jTmCVpnjm\\n\\n\\n— BLMA (@BasketLMA) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nFélicitations à l’@equipedefrance ! Énorme fierté 🇫🇷 #FiersdEtreBleus #FRA https://t.co/yZ2jy8nQV9\\n\\n\\n— LDLC ASVEL Féminin (@ASVEL_Feminin) July 15, 2018\\n\\nTeam France Basket\\n\\n\\n\\n\\nCHAMPION DU MONDE 🇫🇷🔥🔥🔥🔥🇫🇷\\n\\n\\n— Andrew Albicy (@andrewalbicy) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\n🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷⭐️⭐️🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷 pic.twitter.com/Abflp1gz08\\n\\n\\n— Nicolas Batum (@nicolas88batum) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nParis is LIT! pic.twitter.com/yOmu3MT17M\\n\\n\\n— Nicolas Batum (@nicolas88batum) July 16, 2018\\n\\n\\n\\n\\nLe mec fait pas de bruit mais c est un monstre 💪🏻 . Felicitations @raphaelvarane pic.twitter.com/ZU12BnHY7P\\n\\n\\n— Fabien Causeur (@FCauseur1) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\n... passé par @RCLens 😏\\n\\n\\nChampions League 2018 🏆✔️\\nWorld Cup 2018 🏆✔️\\n\\n\\nBallon d’or 2018 ?!? 🤔⚽️🇫🇷\\n\\n\\nQuelle saison 👏🏻👏🏻👏🏻 https://t.co/PRCSucdkKS\\n\\n\\n— Nando De Colo (@NandoDeColo) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nC’est fait ! On est sur le toit du monde du football ⚽️🇫🇷🏆\\nOn est CHAMPION DU MONDE ⭐️⭐️\\nFélicitation les gars 👏🏻👏🏻👏🏻\\nJ’aurai connu 98 et ma fille aura connu 2018 😏 Merci ! Merci et Merci !#fierdetreBleus pic.twitter.com/vxY4oowcV2\\n\\n\\n— Nando De Colo (@NandoDeColo) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nChampioooooonnnnnssss!!! Première coupe du monde, première étoile! Et bim!! @houmarion 🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷 pic.twitter.com/nBjRZV8qTQ\\n\\n\\n— Diot Antoine (@DiotAntoine) July 15, 2018\\n\\nhttps://twitter.com/youssou15fall/status/1018628522032713728\\n\\n\\n\\n\\n.@mariohezonja @Damjan_Rudez pic.twitter.com/HUTCVihYEP\\n\\n\\n— Evan Fournier (@EvanFourmizz) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nDis leur!!!! @paulpogba\\n\\n\\n— Rudy Gobert (@rudygobert27) July 15, 2018\\n\\nhttps://twitter.com/MT28APRIL/status/1018540085871042565\\n\\nhttps://twitter.com/MT28APRIL/status/1018541920497389569\\n\\n\\n\\n\\nBon ba champion du monde !!!!!!\\n\\n\\n— edwin jackson (@edjacks) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nDemain j’achète un maillot de @FFF c’est sur !! Bravo !!!!\\n\\n\\n— edwin jackson (@edjacks) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nY’a des gueules qui ont été fermées en ce jour du 15 juillet et on aime ça ! Champion du Monde ⚽️🇫🇷\\n\\n\\n— Julien Axel (@julienaxel5) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nLes deux Thierry on vous oublie pas !! ⭐️⭐️\\n\\n\\n— Julien Axel (@julienaxel5) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nChampion du mondeeeeeeeeeree ! Bravo nos bleus ! Un vrai kiffe pour nous tous😀 #Fieredetrebleu#worldchampion🏆🔥\\n\\n\\n— Ck5 (@CKahudi5) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nC’est une finale ou un match amical ? Hahah 4-1 mbappe 😍🇫🇷🇫🇷🇫🇷 #FranceCroatie\\n\\n\\n— Lahaou Konate (@lahaouKonate) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nBravo 🇫🇷🇫🇷 #championMonFrere\\n\\n\\n— Lahaou Konate (@lahaouKonate) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nPooooooooooolo 🤩\\n\\n\\n— Paul Lacombe (@PaulPopox) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nChampion du Monde !!!! 💪🏼🇫🇷\\n\\n\\n— Joffrey Lauvergne (@1JOLOLO) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\n🏆 pic.twitter.com/h7yrszv5h0\\n\\n\\n— Mathias Lessort (@ThiasLsf) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nFrançais et fier!!!!! Merci @FFF ♥️\\n\\n\\n— Timothe Luwawu C (@timcabs) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nFélicitations aux bleus 🇫🇷 Champion du monde mon frère ! 🔥👌🏼 pic.twitter.com/WRsDZONpNC\\n\\n\\n— Adrien Moerman (@moerman42) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nCHAMPIONS !!! 🇫🇷🇫🇷🇫🇷\\n\\n\\n— Frank Ntilikina (@FrankLikina) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nChampions du monde mon frère!!!!!!!!!! ⭐️ ⭐️ 🇫🇷 #FiersdetreBleus #DeuxiemeEtoile #WorldCup2018 https://t.co/8m5Am4P23G\\n\\n\\n— Elie Okobo (@ElieOkobo_0) July 15, 2018\\n\\nhttps://twitter.com/viinze_17P/status/1018586685410594817\\n\\n\\n\\n\\nVoilaaaaaaaa!!!! Champions du monde @FIFAWorldCup! Félicitations @equipedefrance 🇫🇷 ⭐️ ⭐️ #FRACRO #FiersdetreBleus https://t.co/2NHi4DpaCM\\n\\n\\n— kevin seraphin (@french_savage) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nChampion mon frère!!!! 🇫🇷🏅⚽️ pic.twitter.com/cB8OuuHmCp\\n\\n\\n— Axel Toupane (@toups_33) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nMood https://t.co/miMH61d16Q\\n\\n\\n— Axel Toupane (@toups_33) July 15, 2018\\n\\nhttps://twitter.com/lwestermann/status/1018540736378261510\\n\\n\\n\\n\\nCHAMPIONS DU MONDE !!! 🇫🇷INCROYABLE !!@equipedefrance ⭐️⭐️\\n\\n\\n— Tony Parker (@tonyparker) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nFière de nos bleus!!! Bravo @FFF #champions #WorldCupRussia2018 ⚽️🇫🇷 pic.twitter.com/vWDqNqOqm1\\n\\n\\n— Endy MIYEM (@Endidi711) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nBravo coach 👏🏽👏🏽\\nMerci les Bleus 🇫🇷\\n20 ans après, l'émotion est différente mais la fierté toujours aussi intense ⭐⭐ Quel bonheur !#FiersdetreBleus https://t.co/lQy4OS5VYt\\n\\n\\n— Sandrine Gruda (@Sandrine_Gruda) July 16, 2018\\n\\n\\n\\n\\n🇫🇷 CHAMPIONS DU MONDE!!! ⭐️⭐️ #FiersdEtreBleus #WorldCup ⚽️ pic.twitter.com/VyZbw9K0pl\\n\\n\\n— Valériane Ayayi Vukosavljevic (@valeriane_ayayi) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nTellement heureuse pour @AntoGriezmann et @paulpogba! Nous avons des joueurs en OR! Arrêtons de les critiquer et supportons les même dans leurs moments difficiles! 🙏🏾🙌🏾🇫🇷🇫🇷🇫🇷 #FiereDetreBleus ALLEZ LES BLEUS! 🏆\\n\\n\\n— Valériane Ayayi Vukosavljevic (@valeriane_ayayi) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\n⭐️⭐️\\n\\n\\n— Olivia Epoupa (@OliviaEpoupa) July 16, 2018\\n\\n\\n\\n\\n💙⚪️❤️ ! ⭐️😍⭐️ @KMbappe 👏🏾👏🏾👏🏾👏🏾👏🏾👏🏾👏🏾👏🏾👏🏾👏🏾👏🏾👏🏾👏🏾👏🏾 pic.twitter.com/cw972REz4a\\n\\n\\n— Olivia Epoupa (@OliviaEpoupa) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\n😍⭐️CHAMPION DU MONDE⭐️😍\\nJ’avais 4 ans en 1998 !\\nEt de vivre ça à 24 ans en 2018 !\\nC’est magique !\\nBravo les bleus !\\n💙⚪️❤️ @equipedefrance pic.twitter.com/IEEcRr018C\\n\\n\\n— Olivia Epoupa (@OliviaEpoupa) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\n1998 ⭐️ et 2018 ⭐️ ! Pour vous Monsieur Thierry Roland 🙏🏾.\\n💙⚪️❤️ @equipedefrance pic.twitter.com/uOzsJAPzna\\n\\n\\n— Olivia Epoupa (@OliviaEpoupa) July 15, 2018\\n\\n\\n\\n\\nCHAMPIONS MON FRÈRE 🏆🥇🕺🏾🕺🏾 🕺🏾🕺🏾🕺🏾🕺🏾🕺🏾🕺🏾🕺🏾🕺🏾🕺🏾 🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🤗🤗🤗🤗🤗🤗🤗#FiereDetreBleus #Proud pic.twitter.com/MdeETOzciz\\n\\n\\n— Diandra Tchatchouang Djadjo (@DiandraTchatch) July 15, 2018\\n\\nBonus : en direct de la présidence\\n\\nhttps://www.instagram.com/p/BlQVaKEndPg/?taken-by=diawboris\\n\\n\\n\\n\\nQuand tu fais la démo au camp de @PichonMarinette #reconversionassurée #marinettejeprendstaplace @CampusFeminin pic.twitter.com/0dAvEibmIg\\n\\n\\n— Céline Dumerc (@capsule19) July 11, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Calendrier Euroleague/Fenêtre FIBA: Et si les clubs avaient la clé du problème?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le règlement de l’Euroleague permet aux clubs de modifier la date d’un match sous certaines conditions. Et si les clubs prenaient l’initiative de résoudre le conflit dans lequel l’Euroleague a plongé le basket européen en choisissant un calendrier qui clashe avec les fenêtres de qualification à la coupe du monde 2019 ?\\n\\nLe règlement de l’Euroleague est accessible en ligne. Page 108-109 de ce document se trouve un point particulièrement intéressant dans l’impasse actuelle imposée par la première compétition européenne au basket continental. Le règlement stipule que la date d’un match peut être modifiée, sous certaines conditions, à la demande du club visiteur ou recevant le match. Il y a des restrictions mais un match peut parfaitement être décalé du vendredi au mardi de la même semaine.\\n\\nAinsi, les aberrations dont a accouché le calendrier publié par l’Euroleague la semaine dernière, trois affiches turco-espagnoles le jour de Turquie-Espagne ou encore un match Kaunas-Milan le jour de Lituanie-Italie, pourraient être évitées. Maintenant, il faudrait deux conditions pour sortir de l’ornière\\n\\n1 Que les clubs aient la volonté de le faire. De permettre notamment à leurs joueurs sélectionnables de rejoindre leurs sélections. D’apporter leur pierre à l’édifice pyramidal du sport européen et de soutenir les sélections qui constituent le fer de lance pour toucher le grand public sportif. En renforçant les sélections, les clubs créent les conditions d’une croissance de la discipline dont ils seront en retour les premiers bénéficiaires.\\n\\n2 Que Jordi Bertomeu accepte ces demandes de changement de dates. Page 109 du règlement, il est bien spécifié : « avant d’autoriser un changement, le directeur de l’Euroleague doit évaluer les effets que cette modification peut avoir sur la compétition, sur la programmation des diffuseurs et l’optimisation de la vente de billets ». Pourquoi le patron de l’Euroleague qui a choisit l’affrontement brutal une première fois changerait d’avis ?\\n\\nParce que les clubs sont à la fois ses employeurs, ses clients et ses produits. Si les clubs décident de jouer la carte de l’apaisement, ce qui aisément faisable en pratique, il sera vraiment compliqué pour Bertomeu de prendre le risque de leur déplaire.\\n\\nPhoto: Jordi Bertomeu"
}, 
{"role": "user",     "content":"André Buffière et Robert Monclar, deux MVP sortis de l’oubli"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’élection des meilleurs joueurs de Jeep Elite et de Pro B et des meilleures joueuses de la Ligue Féminine a donné lieu cette année à une remise des trophées commune salle Gaveau à Paris avec l’apparat nécessaire à un tel événement. Il y a peu, nous vous racontions que si nous disposons d’un palmarès complet depuis la prise en main par le mensuel Maxi-Basket en 1983 d’un référendum qui honorait les MVP français et étranger, chez les hommes comme chez les femmes, il n’y a plus que des traces parcellaires des années précédentes et malgré nos recherches, il est impossible de dresser une liste complète des lauréats. Impossible également de savoir quand ont pris source ces référendums.\\n\\nMembre de la commission patrimoine de la FFBB et habitué à prendre son casque de spéléologue, Vincent Janssen a fouillé dans les archives de Miroir-Sprint pour retrouver quelques trésors disparus.\\n\\nMiroir-Sprint était un hebdomadaire proche du Parti Communiste, né juste après-guerre et disparu en 1971, et qui se faisait fort d’être au cœur de l’actualité sportive. Au début des années cinquante, le tirage a atteint des pics qui laissent rêveur : plus de 400 000 exemplaires !\\n\\nEn 1952, fort de sa renommée, Miroir-Sprint pris la décision d’honorer les champions français de dix disciplines différentes : l’athlétisme, la boxe, la gymnastique, le football, la natation, l’aviron, le cyclisme, le rugby à XV, le rugby à XIII et le basket. Au passage, on remarque que ni le hand ni le volley n’ont eu droit à de tels honneurs. Les trophées furent nommés « Les Victoires du sport français ».\\n\\n10 champions de 10 disciplines\\n\\nUn jury fut constitué pour procéder à ces élections et les archives font remonter à la surface des champions d’antan qui arrivèrent ainsi numéro 1 dans leurs disciplines respectives. Ce furent Alain Mimoun (athlétisme), Raymond Famechon (boxe), Michel Mathiot (gymnastique), Robert Jonquet (football), Jean Boiteux (natation), Raymond Salles (aviron), Loison Bobet (cyclisme), Jean Prat (rugby à XV) et Puy-Aubert (Rugby XIII).\\n\\nPour le basket, le jury était composé de 12 personnes. Trois de la fédération dont le président Charles Boizard, un représentant de la FSGT, un arbitre, un ex-international, des entraîneurs et des journalistes. Du sérieux, quoi.\\n\\nLe résultat ? Robert Monclar du Racing Club de France triompha avec 51 points devant Jacky Desseme (Bellegarde, 36), André Buffière (Villeurbanne, 24), Roger Haudegand (Marly, 23) et Jean Pernicini (Racing Paris, 18).\\n\\nRobert Monclar était le père de Jacques devenu à son tour international et aujourd’hui consultant sur BeIN SPORTS et le grand-père de Julien, manager général de l’ADA Blois et de Benjamin, l’un des joueurs du club. Tout comme Jean-Paul Beugnot, Robert Monclar a la particularité d’avoir participé à trois Jeux Olympiques (1952, 56 et 60). Au championnat du monde de 1954 avec toujours Beugnot, ils furent élus dans le troisième Cinq de la compétition.\\n\\n« C’est un battant inlassable, hargneux, décidé et malgré tout clairvoyant, qui sait utiliser ses qualités athlétiques et son sens de la place, aussi bien pour défendre que pour attaquer... Est un camarade charmant et fidèle , » écrivit son entraîneur Robert Busnel dans le livre Le Basketball à propos de ce colosse de 1,96m.\\n\\nBien plus tard, l’intéressé nous dira :\\n\\n« Je n’avais pas une grosse technique mais je levais bien la tête, j’anticipais. J’ai appris ça dans la rue, dans la cour d’école de Privat, Ardèche, avec un soupçon de topinambour ou d’épinard dans l’estomac. »\\n\\nUn vote populaire\\n\\nMiroir-Sprint persévéra les deux années suivantes et Robert Monclar dû céder son sceptre à André Buffière qui le devança de 11 points en 1953 et de 84 l’année suivante. En 1953, l’hebdo publia les votes des 12 membres du jury et c’est ainsi que l’on apprend que Buffière termina huit fois premier.\\n\\nAndré Buffière est un monument du basket national. Comme joueur son nom est associé aux triomphes de l’ASVEL et à la médaille d’argent aux Jeux de Londres en 1948. Comme entraîneur, il fut celui des Bleus, de l’ASVEL deux fois dans le top-4 européen et de Limoges qui gagna les deux premières coupe d’Europe du basket français, la Korac.\\n\\nPour cette troisième édition, Miroir-Sprint décida de faire voter ses lecteurs. 3 201 bulletins arrivèrent ainsi à la rédaction. Un chiffre qui peut paraître faible mais qui d’après les écrits d’époque convenait très bien à l’hebdomadaire.\\n\\nEn tous les cas, jury et vote populaire, on se dit que l’on n’a rien inventé de mieux depuis les années cinquante. On est heureux aussi d’avoir sorti de l’oubli ces deux MVP d’une époque où la France était une nation dominante dans le basket en Europe... comme aujourd’hui après une longue traversée du désert.\\n\\nPhotos: Une BD avec Robert Monclar. André Buffière au centre lors d’une réunion. Et Robert Monclar qui salue de la main avec Jean-Paul Beugnot devant lui."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U20 féminin: L’or pour l’Espagne, 6e place pour la France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En s’imposant largement en finale à la Serbie, 69-50, l’Espagne a remporté une nouvelle médaille d’or qui a tenu à un fil quand on se souvient que les Ibériques n’ont gagné qu’au finish face à la France en quart-de-finale, 51-50.\\n\\nLaquelle France a pris la sixième place suite à sa défaite hier face à la Hongrie, 61-68. La production record au rebond de Maëva Djaldi Tabdi (18 plus 12 points) n’a donc pas suffi pour compenser une gabegie de balles perdues (24 à 9).\\n\\nPhoto: Maeva Djaldi-Tabdi (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U20: La France concède une deuxième défaite face à l’Espagne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Deuxième défaite de l’équipe de France au championnat d’Europe U20. Et si elle n’est pas honteuse, elle vient après celle concédée à la Croatie.\\n\\nLe match a été toujours serré entre Français et Espagnols et c’est dans le money time que ces derniers ont fait la différence (20-18 dans le quatrième quart-temps, 76-74 au final) trouvant en Aleix Font (28 points, 6/10 à trois-points) l’homme capable de faire sauter le verrou français.\\n\\nBatisthe Tchouaffé, Digue Diawara (18 points chacun) et Bastien Vautier (11 points et 7 rebonds) ont été les plus efficaces côté français.\\n\\nLes Bleuets vont maintenant tenter de s’imposer à l’Ukraine qui a réussi l’exploit lors de la première journée de battre cette même équipe d’Espagne.\\n\\nPhoto: Bathiste Tchouaffe (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le rappeur Manu Key prêt à saisir la balle au bond"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nous mettons ce matin en accès libre ce PREMIUM sur Manu Key.\\n\\nMembre fondateur de la Mafia K’1 Fry, celui que l’on nomme Manu Key a été un rappeur émérite dans les années 1990-2000. Producteur, découvreur de talents comme Kery James ou Rohff, il a également participé à la réalisation de bon nombre d’albums marquants du rap français à cette époque (« Le combat continue » d’Ideal J, « Les Princes de la ville » du 113, « La vie avant la mort » de Rohff, « La cerise sur le Ghetto » et « Jusqu’à la mort » de la Mafia K’1 Fry).\\n\\nCe qu’on sait moins, c’est qu’en dehors de la musique, Manuel Coudray est un vrai passionné de basket. Après avoir joué à un niveau départemental/régional à l’AS Orly Basket, la ville où il a grandi, l’ancien meneur de jeu a continué à œuvrer en tant qu’entraîneur. Si bien qu’il a passé son Diplôme d’Etat au sein de la SIG Strasbourg, et après avoir mené son équipe de cœur jusqu’en NM3, le Guadeloupéen est à la recherche d’un nouveau défi. A l’occasion d’un stage FFBB sur son île natale en marge du jubilé Mickaël Gélabale-Florent Piétrus ce week-end et du Quai 54 ce dimanche, tournoi d’envergure mondial qu’il a vu grandir depuis ses débuts, BasketEurope est allé prendre de ses nouvelles à l’aube d’une nouvelle saison pleine de nouveaux défis.\\n\\nSalut Manu ! Enfin, bonjour Monsieur Coudray. Racontez-nous votre histoire d’amour avec le basket, comment êtes-vous tombé dedans ?\\n\\nJ’ai joué au foot dans ma jeunesse, de 8 ans jusqu’à 17 ans. Et puis il s’est avéré que j’habitais en face du gymnase Robert Desnos qu’ils ont construit à Orly en 1985. Depuis ce moment, j’entendais toujours du bruit, je voyais des gens y aller le samedi soir. Un jour, on m’a dit « viens au gymnase, il y a un match, on va voir ». Pour moi, il n’y avait que le foot. A l’époque c’était la Nationale 1B chez les filles et l’équipe d’Orly était plutôt forte et il y avait une vraie ambiance dans ce gymnase. Les filles avaient gagné d’un point et dès que j’ai vu ce match, j’ai kiffé tout de suite. Je me disais « c’est quoi ce sport en intérieur, athlétique, ça court, ça shoote, il y a une ambiance de fou ». Je m’y suis intéressé direct. Rapidement, je m’étais renseigné sur l’endroit où je pouvais trouver un club à Orly et les horaires d’entraînement. J’avais fait un entraînement avec les cadets alors que j’étais minime dernière année. Je me rappelle avoir fait ce premier entraînement en jeans. Le coach m’avait demandé de venir à la rentrée car on était à la fin de la saison. Donc je suis revenu, j’ai fait les entraînements, ça m’a plu et c’est comme ça que j’ai pris ma première licence, en 1990 et j’ai joué jusqu’en 2011.\\n\\nQuel a été votre parcours de joueur ?\\n\\nJ’ai joué en cadet, junior, ma première année senior à l’AS Orly Basket... Je me souviens que l’équipe était descendue en excellence département. Il y avait une nouvelle génération, on a dû reconstruire autour de ça. J’avais 21 ans à ce moment là. Et on est reparti de là pour monter jusqu’en Nationale 3, avec une équipe de quartier. Aucun joueur ne venait d’ailleurs, c’était que des potes qui venaient de la même ville. C’est ça qui était assez extraordinaire. On est resté 6-7 ans ensemble. On a fait honneur région, promo région, excellence région et enfin Nationale 3. En Nationale 3, on est monté avec un coach qui s’appelait Nenad Kovacevic, qui avait joué à Bondy en Nationale 2, il avait fait tous les centres de formation en France. Il y avait une bonne ambiance et après l’équipe s’est un peu dispersée à gauche à droite. Certains étaient payés, ça commençait à parler d’argent. Je suis resté encore quelques années et après on m’a demandé de reprendre l’équipe lorsqu’elle est un peu redescendue, à partir de 2009. J’ai continué un peu à jouer et j’ai commencé à passer mes diplômes en 2010.\\n\\nQuel était votre poste ?\\n\\nJ’ai toujours joué au poste 1.\\n\\nJe vous voyais jouer à l’intérieur avec votre carrure...\\n\\nOui, ça c’est parce que j’ai pris un peu de poids avec l’âge, mais j’ai toujours joué meneur. Je fais 1,89m et à cette époque j’étais vachement fin, et je cavalais comme un fou. Mon idole, c’est Magic Johnson, donc de toute façon, je ne pouvais pas jouer à un autre poste. Magic, c’était fou. Tu vois un grand arriver sur le terrain, tu te dis « il va jouer pivot lui ». Mais non, poste 1, il prenait le ballon, il distribuait, il ne shootait pas tellement même si ça lui arrivait parfois. C’était surtout un très grand passeur.\\n\\nQuels sont les souvenirs marquants que vous gardez de cette époque ?\\n\\nLe premier, c’est lorsqu’on est tous allés chez notre entraîneur, Monsieur Govenet. Il nous avait invité à voir le All Star Game chez lui. On faisait des petites soirées tous ensemble entre joueurs. A l’époque, je pense que c’était l’un des seuls coachs à faire ça, ramener l’ensemble de ses joueurs chez lui. On avait regardé le match, c’était le All Star Game de 1992, à Orlando, Magic avait fini MVP. C’était la première fois que je voyais ça. Je ne connaissais pas du tout cette ambiance, la Dream Team, les matchs à 3h du matin, ce n’était pas si accessible. Et c’est ça qui m’a mis vraiment dedans. Je regarde ce match avec Magic, toutes les plus grandes stars du basket mondial, c’était quelques mois avant la Dream Team de Barcelone aux Jeux Olympiques de 1992. Et tout ça s’est enclenché, le basket en France a commencé à connaître un vrai engouement. Après j’ai découvert des joueurs comme Mouss Sonko, ça ne s’arrêtait plus.\\n\\nSinon avec ma team, il y a eu plein d’anecdotes. Le match qui nous fait monter en Nationale 3, on recevait Meaux à la dernière journée. On était obligé de gagner. On avait décidé de changer de gymnase à la dernière minute pour aller dans un gymnase plus petit pour qu’il y ait plus d’ambiance, que la salle soit plus chaude. Le coach nous avait demandé s’il existait un gymnase plus petit, parce qu’il ne connaissait pas très bien la ville et nous, on jouait au Palais des Sports. Je lui dis qu’il y a effectivement un autre gymnase mais beaucoup plus petit. Il me dit « on prend celui-là ». Le lendemain on a fait la convocation pour prévenir l’équipe pour leur dire qu’on jouait à Romain Rolland, une salle sans tribunes, avec que des bancs autour du terrain. L’équipe d’en face n’était pas facile, mais ça nous beaucoup aidé, avec l’ambiance du public. On a gagné comme ça et on est monté. C’était assez extraordinaire, un vrai match de playoffs. Ils ne lâchaient rien en face et nous, on avait besoin de monter. Ça avait donné une ambiance de fou.\\n\\nA quel moment avez-vous décidé de poursuivre en tant qu’entraîneur, quelles étaient vos motivations ?\\n\\nJ’étais encore joueur. Je voyais que les anciens commençaient à être vieillissants, ils partaient pour la plupart. L’équipe s’était un peu dissoute et j’étais le dernier rescapé de cette génération qui avait passé tout ce temps dans la même équipe. Les dirigeants m’ont demandé de reprendre le flambeau, ramener des jeunes... La première année, on s’est maintenu, et après on a quelques jeunes qui ont commencé à venir. On m’a dit que pour pouvoir coacher en région, gravir les échelons, il fallait commencer à passer des diplômes. J’ai trouvé ça intéressant, et j’ai voulu me lancer la-dedans, savoir comment on gère une équipe et ça m’a plu. Il y a quand même des coachs qui m’avaient marqués durant ma jeunesse avec qui j’ai pu partager. Et c’est à partir de ce moment là que je me suis dit « pourquoi pas ? ».\\n\\n« Ma plus grande fierté c’est d’avoir repéré Lahaou Konaté lorsqu’il était encore très jeune »\\n\\nQuel a été votre parcours d’entraîneur jusqu’à aujourd’hui ?\\n\\nJ’ai commencé à Orly en 2009 dans la plus basse division après la dissolution de l’équipe fanion chez les garçons. On avait été rétrogradé au plus bas niveau. De DM3, on est monté en DM2, pré-région puis région dès l’année suivante pour aller jusqu’en excellence région. Ensuite, je suis parti. Ça faisait 7 ans que j’étais au club, c’était la fin d’un cycle. Ça faisait longtemps que j’étais là, les mecs n’étaient plus trop à l’écoute, ils avaient besoin d’apprendre de nouvelles choses. J’ai passé une année dans le 95, j’ai changé un peu de cercle et j’ai pu coacher à Ermont. Et cette année j’ai atterri à Paris Académie qui joue en RM2.\\n\\nQuelles sont vos plus belles réussites/fiertés en tant qu’entraîneur ?\\n\\nA Orly, j’entraînais les seniors, mais j’ai aussi eu la chance de coacher les plus jeunes, en catégorie benjamins. Et ma plus grande fierté c’est d’avoir repéré Lahaou Konaté lorsqu’il était encore très jeune. Je savais que ce petit allait percer parce qu’il avait une envie débordante. C’était l’un des seuls qui venaient à tous les entraînements. Il était tout petit à l’époque, très mince, il ne payait pas de mine. Il était déjà fort dans les divisions départementales, mais en région il y avait plus fort et plus grand que lui, avec des gabarits plus imposants. Personne ne le calculait, et j’ai eu la chance de le voir évoluer depuis tout petit. C’est quelqu’un qui n’a jamais lâché. Je savais qu’il allait percer un jour où l’autre. Après sa dernière année minime où il était en championnat de France (minime France) à Charenton avec toute la génération d’Evan Fournier, Jeremy Nzeulie et autres, c’était encore le petit joueur qui faisait le fond de banc. Il ne rentrait pas trop voire pas du tout parce qu’il était plus petit que les autres et plus mince mais il avait une qualité technique que les gens n’oubliaient pas. Il faisait des bouts de matchs. Et c’est une fois arrivé en cadets qu’il a commencé à prendre de la taille, de l’assurance. Il n’arrêtait pas de grandir mais il gardait la même technique. Il dominait pratiquement tout le monde. Il a quitté Charenton, il est venu faire une année en excellence région avec nous. On voyait bien les dimensions athlétiques qu’il commençait à avoir. C’était un joueur adroit et il s’entraînait deux fois plus que tout le monde. C’est là que je me suis dit qu’il avait un gros potentiel. Il a reçu la proposition de jouer en espoir à Hyères-Toulon. Et on a vu la différence quand il est revenu l’été d’après, comment il avait changé, encore grandi. Il n’était même pas majeur mais il avait la même dimension athlétique que les pros.\\n\\nIl a toujours été comme on le connaît aujourd’hui ? Avec la tête sur les épaules, quelqu’un de réfléchi...\\n\\nÇa a toujours été un gros travailleur. Il a fait de bons choix de carrière c’est vrai, mais surtout, il est à l’écoute, c’est ça le plus important. Il écoute beaucoup. Il avait un agent quand il a commencé en Pro B, pendant quatre ans, et pour avoir une nouvelle dimension et aller vers la Jeep ELITE, on lui a conseillé avec un ami d’aller vers un nouvel agent qui avait un plus grand panel à sa disposition, un autre carnet d’adresse : Bouna Ndiaye. Avec lui, il a tout de suite pu aller au Mans qui lui avait fait une grosse offre. Il était bien à Evreux, il commençait à tout défoncer. Mais comme on lui a dit à ce moment là, on ne néglige pas la Pro A. Il a alors fait le choix de quitter Evreux et aujourd’hui c’est un joueur reconnu qui évolue au plus haut niveau. Il fait partie de la Team France Basket, ce qui n’est pas à négliger non plus. Il a atteint la plus haute marche en France. Là il va faire encore une année à Nanterre et ensuite j’espère qu’il va tout défoncer pour essayer d’accrocher un club en Europe par la suite.\\n\\nSur la deuxième partie de saison notamment il a prouvé avec Nanterre qu’il avait encore franchi un cap supplémentaire ...\\n\\nIl a été nommé capitaine, ça lui a fait passer un nouveau cap. Il a été dans la Team France Basket et ça, il ne s’y attendait pas du tout. Quand Vincent Collet te passe un coup de fil pour te dire que tu vas être dans la sélection, c’est quand même quelque chose. De pouvoir côtoyer des joueurs comme Boris Diaw, c’était un peu un rêve pour lui. Même à l’heure actuelle, quand il revient, il nous en parle. « J’ai vu Boris, il est vraiment impressionnant ». Il vit encore son rêve comme un gamin, il n’y a rien de plus beau. Je pense que s’il continue à bien travailler comme ça et qu’il fait une grosse saison à Nanterre, il peut encore franchir un cap. Il pourra alors se projeter sur une nouvelle aventure en Europe, la Grèce, l’Espagne, la Turquie ou autre chose.\\n\\nA Evreux à ses débuts, c’était le Jimmy Butler de Pro B !\\n\\n(rires) Oui, mais il n’est pas trop dans les modèles même s’il kiffe bien Kevin Durant. Mais il n’est pas dans ce truc de regarder des vidéos, calquer les mouvements des uns et des autres, des joueurs américains. Il aspire à améliorer son jeu tous les jours, mais il ne va pas regarder des vidéos pour dire « je veux être comme lui ». Il aime beaucoup le bagage de Kevin Durant, parce qu’il est injouable, il a un shoot très pur etc etc mais il ne va pas approfondir à regarder des vidéos à n’en plus finir. Ce n’est pas trop son délire.\\n\\nQue recherchez-vous comme mission aujourd’hui ?\\n\\nÇa fait dix ans que je coache, dont cinq ans au niveau régional en Île-de-France. Je pense que j’arrive à saturation, il me faudrait passer un cap au niveau national, pourquoi pas dans les catégories des championnats de France jeunes. J’ai la chance d’avoir passé mes diplômes à la SIG au Creps de Strasbourg, le CQP (Certificat de Qualification Professionnelle). Je pense qu’au niveau de la formation, c’est la structure la plus redoutable parce qu’il y a Vincent Collet là-bas et les formateurs, ils ne rigolent pas. Ils ne font pas de cadeaux. Abdel Loucif, le CTS de l’Alsace, c’est quelqu’un de droit. Si tu es bon, il te le donne, si tu n’es pas bon, tu seras recalé. Aujourd’hui, ce que j’aimerais aussi, c’est de trouver une structure pro qui pourrait me permettre de franchir un cap et m’aider à passer mon DE (Diplôme d’Etat). Quand tu entraînes en Ile de France, en RM2, RM1, Nationale 3, ça ne suffit pas, l’accès au diplôme d’état est impossible à avoir. Tu n’as pas la structure pour. Avoir un diplôme d’état, oui, mais ça va te servir à quoi? Si c’est pour coacher en Nationale 3, ça ne sert à rien. On préfère laisser l’accès à ceux qui en ont vraiment besoin, qui sont dans une structure pro, qui sont assistants en Nationale 2 où qui ont une équipe dans un championnat de niveau supérieur. Si tu es dans un club où il n’y a pas vraiment de structure, ça ne sert pas à grand-chose. Tant que je n’aurai pas franchi ce cap afin de me permettre de passer ce diplôme et être assistant par exemple, derrière un bon coach, je ne pourrai pas avancer. Au niveau régional, j’ai tout fait sur ces dix dernières années. Mes équipes ont souvent fini à la première ou à la deuxième place. C’est bien, mais ça reste de la région, sans plus.\\n\\nManu Key avec coach Zo, son ami avec qui il a commencé à passer ses diplômes\\n\\nVous avez eu des touches ces derniers temps ?\\n\\nNon, j’ai fait pas mal de demandes par le biais de connaissances, mais les places sont chères. Les clubs recherchent des DE en priorité. Un DE, ça coûte quand même 10 000 euros, il faut que le club puisse le prendre en charge et ils préfèrent prendre un coach qui est déjà diplômé d’état. C’est pour ça que ce n’est pas si facile. J’ai des réponses, les gens que j’ai en retour sont toujours cools, mais la réponse est toujours négative. J’ai fait de la Jeep ELITE, de la Pro B, de la N1, Bordeaux qui monte, Brissac... ça ne me dérangerait pas de voyager, de partir quelques années pour avoir ce diplôme et passer un cap, bosser aux côtés d’un entraîneur auprès de qui je pourrais continuer à apprendre...\\n\\n2017, au stage du NDC, camp de Nando De Colo, à Tignes\\n\\n« C’était deux passions et la musique est ensuite devenu mon métier pendant une quinzaine d’années »\\n\\nPour beaucoup, on vous connaît davantage grâce à la musique. Avez-vous déjà eu à faire un choix entre les deux ou vous avez toujours réussi à concilier rap et basket ?\\n\\nComme vous dites, j’ai pu concilier ces deux passions, je n’ai jamais eu à faire un choix. Ça a été deux passions depuis tout jeune. Parfois, j’avais des concerts, on partait et je loupais un ou deux matchs. Mais j’ai toujours eu un emploi du temps où j’ai réussi à jongler entre les deux. Pourtant, dans les années 2000, on était en pleine bourre. Mais j’ai toujours eu assez de temps pour ne pas avoir à faire de choix. Les entraînements c’était le soir, et ensuite le studio c’était parfois la nuit. J’avais toujours le temps d’y aller. C’était deux passions et la musique est ensuite devenu mon métier pendant une quinzaine d’années. Heureusement pour moi, ça n’a jamais posé problème. Le sport, c’était avant tout une hygiène de vie et puis j’en faisais en amateur, à mon niveau. Je ne pouvais pas laisser tomber l’un ou l’autre, j’aimais bien pouvoir faire les deux.\\n\\nIl y a 22 ans, tiré de l’Album d’Idéal J «Original MC’s sur une mission»\\n\\nVous êtes notamment à l’origine de ce fameux son sur le Quai54 à son tout début ?\\n\\nÇa s’est fait comme ça, j’avais un son dans ma boîte mail que DJ Mehdi m’avait envoyé. J’aimais bien l’énergie qu’il dégageait. J’ai gratté un petit truc sur le thème du basket. Après on a demandé à un rappeur qui a suivi, puis deux, puis trois... Ils sont tous venus au studio les uns après les autres. A chaque fois, le morceau évoluait sans qu’on sache jusqu’où il pouvait aller. Comme dans le basket, parfois dans le rap, il y a tellement de magie, le morceau a pris et ça a donné un morceau estampillé « Quai 54 ».\\n\\nC’est un morceau qui a notamment contribué à la renommée du Quai à un niveau national à l’époque où il n’avait pas l’aura d’aujourd’hui...\\n\\nC’est ça, c’était au tout début, à la troisième ou quatrième année du Quai. Son ascension a été extraordinaire.\\n\\nQuel est votre regard sur l’évolution de ce tournoi ?\\n\\nOn l’a vu grandir, d’abord au niveau français. Il est rapidement devenu incontournable en France, puis ensuite en Europe. Il y a eu des Allemands, des Espagnols, plein de nationalités qui sont venues. Et ça a pris une envergure mondiale lorsque ça a touché les States. Maintenant il est reconnu dans le monde entier puisqu’il y a même les stars de la NBA qui participent. C’est grandiose. C’est un événement qui a pris de l’ampleur, qui ne lâche pas. Et une fois par an, il y a un week-end, Hammadoun Sidibé et Thibault de Longeville arrivent à le faire progresser chaque année. Je trouve ça extra qu’on puisse passer un week-end tous ensemble. Ça dépasse même le cadre du basket, on se retrouve tous, les joueurs de province ou d’ailleurs.\\n\\nVous serez au rendez-vous ce week-end ?\\n\\nMalheureusement non, c’est la première année où je ne pourrai pas y être. Je pars en Guadeloupe ce vendredi (entretien réalisé mercredi soir) faire un camp. Ça va me donner une autre opportunité, de la visibilité en tant que coach car c’est en partenariat notamment avec la FFBB. Ça me permet de voir des gens, d’échanger, de progresser avec eux et puis pourquoi pas, rencontrer de nouvelles personnes. Mais je suis toujours un proche du Quai et d’ailleurs je vais partir avec une grosse série de tee-shirts pour véhiculer aussi l’image du tournoi en Guadeloupe.\\n\\n2012 à New York, Manu Key en compagnie d’Hammadoun Sidibé (au centre), son neveu Alfa et le meneur Zainoul Bah\\n\\nIl y a aussi le jubilé de Mike Gélabale et Flo Piétrus ?\\n\\nOui, j’y serai. On arrive le même jour et on est invité à venir voir le match de gala.\\n\\nPour conclure, vous avez un peu suivi la Jeep ELITE ? J’ai cru vous apercevoir avec un maillot de Monaco sur les réseaux...\\n\\nC’est Amara Sy qui me l’a offert. J’ai trouvé que la Jeep ELITE nous a offert un très bon niveau cette année. Je retiens le bon travail du Mans. Ce qu’ils ont fait depuis les quarts de finale, j’ai trouvé ça extraordinaire. Il y a eu le super travail d’Eric Bartécheky, mais c’est aussi l’apport et le travail de tout le staff avec Dounia Issa et Antoine Mathieu. Avec les joueurs aussi, car comme je l’ai lu dans la presse, ce n’était pas toujours facile. On croit toujours que c’est uniquement au niveau départemental ou régional qu’on entend les joueurs se plaindre ou qu’il y a des problèmes de cohésion de groupe entre ceux qui ne jouent pas, les autres etc etc. Et ce que me disait Dounia Issa, c’est que ça arrive aussi en pro, à tous les niveaux en fait. Certains peuvent manifester leur mécontentement s’ils estiment qu’ils ne jouent pas assez, ils peuvent s’éparpiller un peu et te le font bien ressentir. Ce sont des choses qui peuvent rejaillir sur le groupe. Ça s’est un peu passé comme ça pendant les Playoffs, pendant la saison, mais les mecs ont tenu et c’est ce qui leur a donné la volonté d’aller chercher deux matchs à Strasbourg, deux à Monaco. Il y a vraiment eu un gros travail du staff. Je me rappelle du match 4 que Le Mans avait perdu à la maison alors que le titre était en jeu. Pour en avoir discuté avec Dounia Issa, c’était l’une des premières fois en tant que coach que j’entends ça. Il me disait : « Sur ce match, dans le staff, on n’a pas été bon. On va rectifier le tir au prochain match et on fera tout pour gagner à Monaco ». C’était le dernier match de la série, et ils l’ont gagné. Il y a eu un très gros travail de leur part. Ils ont reconnu qu’ils n’avaient pas été bons en revoyant des situations à la vidéos, ils ont rectifié et ça leur a permis de continuer à avancer et à arracher le titre là-bas avec les tripes alors que Monaco était favori. Je regarde aussi beaucoup Monaco, et si j’avais un tout petit reproche à leur faire, c’est qu’ils sont moins bons sur le jeu posé qu’en contre-attaque, sur le jeu de transition. Ça déroule moins bien sur attaque placée. Pourquoi, je ne sais pas, ils ont pourtant beaucoup de rotations, ils jouent à quatre beaux intérieurs... Quand ça défend dur en face, ils ont eu un peu de mal. Le Mans a été plus fort dans l’ensemble et notamment sur ces deux aspects. Ils ont pris un très bon coach pour l’année prochaine, celui de Banvit, Saso Filipovski. J’ai un peu suivi Banvit cette saison pour voir comment il pouvait bosser avec une équipe très jeune, et il a réussi à faire du bon travail. Je pense qu’ils vont rebondir. Zvezdan Mitrovic était plus dans le charisme, à donner l’envie à son groupe d’aller à la guerre. C’est quelque chose qui manquait un peu à Villeurbanne et c’est pour ça qu’il va là-bas je pense.\\n\\nPour terminer, pouvez-vous donner un cinq majeur composé de joueurs amis et de ceux que vous avez aimé voir jouer ?\\n\\nEn premier lieu, Amara Sy. C’est un joueur qui a su prendre soin de son corps pour durer au plus haut niveau. Il est toujours là, indétrônable, il ne lâche jamais l’affaire. Je mets Lahaou Konaté au poste 2. A la mène un joueur qui a arrêté depuis dix ans, Moustapha Sonko, quand même. Pour aller à la guerre je prendrais Jim Bilba. Parce que c’était quand même quelque chose aussi. Il a fait une grande carrière, notamment en Equipe de France et il a fait rayonner le basket français. C’était un joueur qu’on admirait. Quand on le voyait, on était à fond. Et puis à l’aile, je dirais Laurent Foirest. Parce que c’est quelqu’un qui était capable de dégainer, je suis content de le voir toujours actif dans le staff de l’Equipe de France. C’était un joueur complet qu’on aimait aussi regarder jouer. Il y avait très peu de joueurs français aussi adroits que lui à l’époque. Il faisait partie de cette nouvelle vague de joueurs. C’était un peu un pionnier, il a prouvé qu’en France aussi on pouvait avoir des joueurs très adroits. Voilà, Sonko-Konaté-Foirest-Sy-Bilba, et en coach je mettrais Bozidar Maljkovic."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le basket en Nationale 2 à Cherbourg, c’est terminé !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour des raisons financières, l’AS Cherbourg Basketball qui opérait en Nationale 2 a décidé de jeter l’éponge. C’est ce qu’annonce sa présidente Céline Carel dans un communiqué. Jusqu’au bout les dirigeants du club de la Manche ont crû pouvoir continuer l’aventure comme l’attestait leur recrutement."
}, 
{"role": "user",     "content":"L’histoire incroyable de Manny Pacquiao, de nouveau champion du monde de boxe et basketteur professionnel !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette nuit à Kuala Lumpur, la légende philippine de la boxe Manny Pacquiao a récupéré son titre mondial WNBA des poids welter. A 39 ans.\\n\\nA lire ou relire cet article PREMIUM proposé en accès libre pour comprendre que Manny Pacquiao est aussi un fada de basket et qu’il a joué dans la ligue professionnelle du pays.\\n\\nManny Pacquiao est un étonnant cumulard. Du haut de son 1,69 m, il est le seul boxeur à avoir remporté un titre de champion du monde dans huit catégories différentes, des poids mouches jusqu’aux poids super-welters. Sa technique exceptionnelle, son sens de l’esquive, lui ont permis de gagner plus de 90% de ses combats dont le dernier cette nuit face à l’Argentin Lucas Matthysse.\\n\\nLe gamin d’un bidonville du sud de l’archipel philippin, vendeur de beignets, a amassé une fortune de l’ordre de 500 millions de dollars, ce qui en fait le premier contribuable du pays. Il y a un trois ans, son combat perdu contre l’Américain Floyd Mayweather, labellisé comme tant d’autres « du siècle », lui a rapporté à lui seul, hors primes et sponsoring, 80 M$. De quoi financer largement la maison qu’il a achetée pour 12,5 M$ à Los Angeles.\\n\\n« La vie de Manny remonte le moral de tout Philippin qui se bat au jour le jour pour se sortir de l’adversité. »\\n\\nMulticartes\\n\\nManny Pacquiao est aussi acteur, chanteur, prédicateur, et il fait de la politique pour de bon. Il y a six ans, il a été élu député de la province de Sarangani avec comme leitmotiv d’être (encore) « plus efficace en politique qu’il ne l’est sur le ring ». Visiblement sa promesse a été tenue puisqu’il a été réélu en 2013 pour un second mandat. À moins que sa seule popularité suffise à en faire un candidat intouchable. Car Manny Pacquiao est une idole dans son pays, un demi-Dieu même. « La vie de Manny remonte le moral de tout Philippin qui se bat au jour le jour pour se sortir de l’adversité. Son humilité et sa foi sont une inspiration pour nous tous », a fait savoir le vice-président Jejomar Binay. Pour les élections sénatoriales, il a rassemblé des foules incommensurables et là aussi sa campagne a été couronnée de succès. Cela n’est pas toujours sans danger. Pacquiao a révélé que le groupe islamiste Abu Sayyaf avait selon les services de renseignement philippins le projet de l’enlever ainsi que sa famille. « Je suis surpris car tous les Philippins sont mes amis. Je les aime, spécialement les musulmans. »\\n\\nPac-Man n’est pas pour autant le gendre idéal. Il a longtemps eu la réputation d’être un coureur de jupons invétéré et un addict aux jeux. Il n’est pas non plus à l’abri de dérapages verbaux et comme tous ses actes sont scrutés et décortiqués, cela peut engendrer d’intenses polémiques. Ainsi, le penchant homophobe de ce catholique converti à l’évangélisme a éclaté à la surface quand il a déclaré : « connaissez-vous des groupes d’animaux où un mâle est avec un mâle, une femelle avec une femelle ? Les animaux sont meilleurs. Ils savent comment distinguer le mâle de la femelle. Si nous approuvons un homme et un homme, une femme et une femme, alors l’homme est pire que les animaux. » Scandale national. « Tu as perdu mon respect », a clamé l’ancien basketteur Jason Collins, un des premiers sportifs professionnels à avoir officialisé son homosexualité. L’un de ses principaux sponsors, Nike qui commercialisait des produits à son nom sous le label « Team Pacquiao » a rompu sous la pression son contrat avec le boxeur. Le mea culpa de celui-ci est davantage apparu comme une façon d’éteindre l’incendie que comme un repentir sincère.\\n\\n« Son entrée en scène dans la Philippine Arena de Manille constitua un événement à l’incroyable retentissement national. 52 612 spectateurs, un record pour un match indoor de basket hors États-Unis, avaient acheté un billet pour ce match d’ouverture de la 40e saison de PBA. »\\n\\nDébut dans le basket pro à 33 ans\\n\\nAux Philippines, chaque village possède son terrain de basket même si parfois il s’agit d’un panneau artisanal accroché à un arbre. Le basket est aux Philippines ce que le foot est au Brésil, plus qu’un sport, un passe-temps national, une religion, un phénomène commercial. Il y a quelques années, un sondage avait démontré que 81% de la population des zones urbaines se disaient intéressés par ce sport et la moitié s’affirmait comme de véritables fans. 40% des Philippins jouent ou ont joué au basket alors qu’ils n’y sont pas prédisposés, la moyenne de taille des hommes étant de 1,62 m. La Philippines Basketball League fut fondée en 1975 et est constituée de douze équipes sponsorisées par des grandes marques comme la bière San Miguel et la Phoenix Petroleum, mais c’est comme un peu partout autour du globe la NBA qui est la référence suprême.\\n\\nComme beaucoup de ses compatriotes, Manny Pacquiao aime profondément le basket. Son argent et sa notoriété lui permettent toutes les extravagances pour assouvir cette passion. Il est ainsi membre honoraire des Boston Celtics. En échange, Pacquiao a offert à chaque Celtic, dans les vestiaires après un match contre les Memphis Grizzlies, un gant dédicacé. Beaucoup plus original : il a tout d’abord joué à ses heures perdues dans la Liga Pilipinias, une ligue semi-professionnel, au sein des Gensan Warriors une équipe dont il était lui-même propriétaire. Ce n’était pas suffisant pour ce vorace jamais contenté. Aussi, en avril 2014, il a annoncé son intention de rejoindre la Philippine Basketball Association comme entraîneur-joueur des Kia Carnival, propriété de l’un de ses amis homme d’affaires. Évidemment des critiques en sourdine se sont élevées sur sa capacité à 33 ans de s’improviser basketteur de haut niveau. Pacquiao a répondu avec toupet que ce sont les mêmes qui avaient estimé qu’il serait incapable de devenir champion du monde de boxe. C’est ainsi qu’il fut choisi en 11e position lors de la PBA draft de 2014 ; il était bien sûr le plus vieux rookie de l’histoire à être drafté.\\n\\nSon entrée en scène dans la Philippine Arena de Manille constitua un événement à l’incroyable retentissement national. 52 612 spectateurs, un record pour un match indoor de basket hors États-Unis, avaient acheté un billet pour ce match d’ouverture de la 40e saison de PBA. Pacquiao s’intronisa dans le cinq de départ, soulevant les acclamations de la foule qui cria « donnez la balle à Manny ». Mais l’idole reçut peu de ballon, ne prit pas un shoot et se renvoya définitivement sur le banc après sept minutes alors que son équipe était menée de neuf points. Les Kia Carnival gagnèrent finalement de quatorze. Au buzzer, bien entendu l’assistance hurla d’une seule voix des « Manny... Manny... ». Son entourage et ses fans étaient surtout heureux que leur champion ne se soit pas blessé face à des joueurs d’un autre gabarit que le sien. « Pourvu qu’il ne se fasse pas une élongation ou une déchirure », avait ainsi déclaré le médecin en chef de la ligue, le docteur Oliver Wendell Lozano. Pacquiao, lui, se sentait immunisé. « Dieu prend soin de moi. »\\n\\nSON panier, Manny l’a marqué de sa main gauche contre Rain or Shine d’un shoot de l’aile et avec une totale complaisance de son défenseur. Le public a exulté comme s’il s’agissait du shoot victorieux au buzzer en finale des Jeux Olympiques.\\n\\n« Boxeur professionnel, yeah, okay... Député, très bien. Basketteur professionnel, non. C’est une blague. »\\n\\nNeuf matches en 2016\\n\\nCritiquer ouvertement Manny Pacquiao revient à l’insulter, ce qui vaut à son auteur opprobre et châtiment. Daniel Orton, un joueur américain, s’en est aperçu à ses dépens. « Tout le monde est en colère contre lui ! », avait maugréé René Pardo, l’un des dirigeants de son club. « C’est comme s’il allait aux États-Unis insulter le nom de Martin Luther King. » Qu’avait déclaré Daniel Orton ? Simplement que Manny Pacquiao... n’est pas bon au basket et que les arbitres le favorisaient outrageusement. « Boxeur professionnel, yeah, okay... Député, très bien. Basketteur professionnel, non. C’est une blague. » Daniel Orton fut condamné à une amende puis exclu de l’équipe. Pour autant il reçut plus tard indirectement le soutien du commissioner de la PBA lui-même, Chito Narvasa, qui estima que la plaisanterie avait assez duré. « Vous avez à comprendre que Mr. Pacquiao est une personnalité, il a beaucoup d’engagements et en premier lieu ce n’est pas un basketteur mais un boxeur. Et ce n’est pas seulement une icône du sport c’est aussi un législateur. »\\n\\nDe quoi décourager Manny Pacquiao ? Pas du tout. Afin de préparer un combat face à Jesse Vargas, Manny qui est toujours listé comme coach des Mahindra Floobusters, a joué un total de 9 matches dans la PBA et dans la Coupe du Gouverneur collectant un total de sept points, quatre rebonds et deux passes. Il vit tous ses rêves éveillé lui qui ambitionne de devenir un jour président des Philippines. Qui osera dire que c’est impossible ?"
}, 
{"role": "user",     "content":"Yakuba Ouattara choisit de prolonger son contrat à Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A cause d’un problème au mollet, Yakuba Ouattara (1,92m, 26 ans) n’a pu jouer qu’un seul match cette saison avec l’AS Monaco qu’il avait rejoint en avril. Il a décidé de prolonger son séjour dans la Principauté d’une saison.\\n\\nFormé à Chalon, ancien MVP du championnat espoir, Yakuba Ouattara avait été révélé à Denain en Pro B avant de rejoindre la Roca Team pour la saison 2015-16. Devenu international français, cet arrière puissant, aérien, efficace à longue distance, vainqueur du concours de dunk du LNB All-Star Game en 2014 et 15, avait signé en juillet 2017 un « 2 ways contract » avec les Brooklyn Nets mais sans jamais jouer le moindre match de NBA se contentant de la G-League (12 matches à 7,4 points)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U20: Battus par la Croatie, les Bleuets se voient proposer l’Espagne pour se refaire"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe de France a mal débuté son Euro U20 s’inclinant 58-68 face aux Croates. Les Bleuets ont décroché dans le troisième quart-temps n’inscrivant que 6 points contre 17 à leurs adversaires.\\n\\nD’une façon générale, les Français ont été très maladroits (33,9%), Ivan Février loupant par exemple ses sept shoots. Et si Bathiste Tchouaffé a été le meilleur marqueur de l’équipe (14 points), il a aussi pas mal gâché (3/10). Au contraire du Croate Mateo Colak, qui pour le même total de points a réussi ses deux shoots à deux-points, ses deux shoots à trois-points et ses quatre lancers.\\n\\nPour se refaire, les Bleuets vont devoir aujourd’hui passer sur le ventre de l’Espagne, qui elle aussi a connu une désillusion en échouant face à l’Ukraine, 79-82.\\n\\nPhoto: Digué Diawara"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’international belge Pierre-Antoine Gillet et Chalon se séparent"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"D’après Sportando, l’international belge Pierre-Antoine Gillet (2,01m, 27 ans) et l’Elan Chalon ont conclu un accord pour mettre fin à leur collaboration.\\n\\nPierre-Antoine Gillet (6,7 points, 42,1%, 3,6 rebonds) n’a jamais réellement trouvé ses marques dans une équipe longtemps à la peine et qui n’a pu confirmer son statut de champion de France.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\nPierre-Antoine Gillet and French club Elan Chalon have reached a buyout agreement, a source told Sportando. The Belgian forward is now a free agent.\\n\\n\\n— Sportando (@Sportando) July 14, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nicolas Lang annonce qu’il quitte Villeurbanne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nicolas Lang (1,99m, 28 ans) quitte l’ASVEL. C’est le joueur lui-même qui l’a annoncé sur sa page facebook.\\n\\n« Fin de mon aventure avec l’Asvel. Cette dernière saison n’est pas la fin que j’avais imaginée... mais tout arrive pour une raison.\\n\\n🤷\u200d♂️ Je garderai en mémoire le titre de 2016 et quelques très belles rencontres... »\\n\\nL’Alsacien aura passé trois saisons à Villeurbanne après deux au Paris-Levallois et six à Chalon. Ses stats en 2017-18: 6,9 points (41,7% à trois-points), 1,4 rebond et 0,8 passe."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le un-contre-un Ian Mahinmi vs Evan Fournier"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’interview croisée Move It avec Ian Mahinmi, pivot des Washington Wizards mais aussi de Rouen et Evan Fournier arrière du Orlando Magic de Charenton -plus exactement de Saint-Maurice- tourne actuellement sur les réseaux sociaux. Elle vaut un arrêt sur BasketEurope.\\n\\nhttps://www.facebook.com/konbinifr/videos/217569362222013/UzpfSTEwNjk2OTA1NzY6MTAyMTUwNjAxMjQzMTEwNzg/"
}, 
{"role": "user",     "content":"Paul Seignolle (président de Blois): «Il n’y a qu’une façon de m’interdire de me battre pour mon club: c’est de me mettre un revolver sur la tempe et d’appuyer sur la gâchette»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"\\n\\n\\n\\nPaul Seignolle, président de l’ADA Blois, Julien Monclar, son manager général, et Thierry Braillard, l’avocat du club ont été reçus jeudi au siège de la fédération française à Paris par la chambre d’appel. Leur objectif:que leur équipe championne de France de Pro B soit réintégrée en Jeep Élite suite au refus initial du 25juin.\\n\\n\\n\\n\\n\\nLa Nouvelle République a demandé à Paul Seignolle de raconter la soirée:\\n\\n« Ça avait à peine commencé qu’il y a eu un premier incident ! Alors que la chambre d’appel avait demandé depuis deux semaines aux deux parties d’envoyer à l’avance leurs arguments afin que chacun puisse en discuter, eh bien la LNB n’a rien trouvé de mieux que d’envoyer son argumentaire (8 pages quand même !) à 16 h 56. C’est-à-dire moins de deux heures avant la réunion. Évidemment, c’était trop court pour étudier les pièces. Ils voulaient retarder la réunion voire même la reporter. Mais nous ne sommes pas tombés dans le panneau... Ce qui ne nous a pas empêché d’obtenir que cet élément soit consigné dans le procès-verbal ! »\\n\\nQuel est l’objectif du club?\\n\\n« Qu’on nous accorde une dérogation de six mois à partir du 1er juillet pour que le ministère de la Jeunesse et des Sports revienne constater et agréer notre centre de formation qui sera inauguré le 30 août. Autre chose, quand la fédération dans le quotidien L’Équipe (du 12 juillet) déclare qu’elle n’a jamais fait de dérogation, c’est archifaux. Nous avons en notre possession la preuve écrite qu’elle l’a fait avec Angers en Ligué féminine en 2013 ! Et je ne vous parle pas des protocoles d’accord avec Monaco... »\\n\\nVerdict le 19 juillet. Paul Seignolle se dit confiant mais de toute façon, il ne lâchera pas l’affaire et la portera devant le CNOSF si besoin:\\n\\n« Je leur ai dit qu’il n’y avait qu’une façon de m’interdire de me battre pour mon club : c’est de me mettre un revolver sur la tempe et d’appuyer sur la gâchette. Je vous garantis que je suis débordant d’énergie : tous les sacs de merde (sous-entendu les dossiers compromettants), je vais les retrouver et les sortir ! Ils m’ont pris pour un lapin de trois semaines ; je vais leur montrer qu’ils se sont trompés... »\\n\\nPhoto: Tuan Nguyen"
}, 
{"role": "user",     "content":"John Roberson (ASVEL) intéresse Avellino"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"D’après Il Mattino, Scandone Avellino, quatrième de la saison régulière de la ligue italienne, est intéressé par le meneur de jeu de l’ASVEL, John Roberson (1,80m, 29 ans).\\n\\nAprès une saison royale avec l’Elan Chalon au cours de laquelle il avait pleinement exprimé ses talents de shooteur, celui-ci s’était engagé pour deux ans avec Villeurbanne mais sa production a été globalement décevante sur le terrain (10,9 points, 4,9 passes) et son comportement en dehors lui a valu une mise à pied temporaire. Un accord pourrait ainsi convenir aux deux parties.\\n\\nPhoto: ASVEL"
}, 
{"role": "user",     "content":"A suivre en direct aujourd’hui : France-Croatie... à l’Euro U20"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que la finale de la Coupe du monde de football est programmée demain, un autre France-Croatie est à suivre: le premier match de l’équipe de France U20 à l’Euro. C’est à 20h15 en direct de Chemnitz (Allemagne).\\n\\nPhoto: Digue Diawara, Abdoulaye Ndoye, Bathiste Tchouaffé (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPrénom\\nDate de naissance\\nTaille\\nPoste\\nClub\\n\\n\\nBAZILLE\\nTimothée\\n15/05/1999\\n207\\n4-5\\nLimoges CSP\\n\\n\\nBLANC\\nYanik\\n11/06/1999\\n189\\n2\\nPOITIERS BASKET 86 (Pro B)\\n\\n\\nDESSEIGNET\\nThibault\\n15/09/1998\\n182\\n1\\nJL BOURG BASKET\\n\\n\\nDIAWARA\\nDigué\\n03/10/1998\\n204\\n3 – 4\\nASVEL LYON VILLEURBANNE\\n\\n\\nFEVRIER\\nIvan\\n08/02/1999\\n204\\n4\\nLEVALLOIS METROPOLITANS\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nGOUDOU-SINHA\\nEnzo\\n26/11/1998\\n183\\n1\\nSLUC NANCY BASKET (Pro B)\\n\\n\\nGOULMY\\nQuentin\\n15/01/1998\\n207\\n4\\nSIG STRASBOURG\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNDOYE\\nAbdoulaye\\n09/03/1998\\n199\\n2\\nCHOLET BASKET\\n\\n\\nRAMBAUT\\nJules\\n06/04/1998\\n200\\n4 – 5\\nCHALONS-REIMS BASKET\\n\\n\\nTCHOUAFFE\\nBathiste\\n19/05/1998\\n196\\n2\\nNANTERRE 92\\n\\n\\nVAUTIER\\nBastien\\n15/11/1998\\n210\\n5\\nSLUC NANCY (Pro B)\\n\\n\\nWOGHIREN\\nWarren\\n23/10/1998\\n213\\n5\\nCHOLET BASKET\\n\\n\\n\\n\\nEntraîneur: Jean-Aimé Toupane\\nAssistants: Laurent Vila, Dounia Issa"
}, 
{"role": "user",     "content":"Stelmet Zielona Gora, un club polonais en VTB League"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fondée en 2008 et dirigée depuis deux ans par la Franco-Russe Ilona Korstine, la VTB United League est une ligue supranationale composée de clubs russes (10), biélorusse, estonien, finlandais, kazakh, letton et tchèque (1 pour chaque pays). La ligue est sponsorisée par la deuxième banque de Russie, Vnechtorgbank, proche du Kremlin.\\n\\nLa VTB League vise une expansion et aurait signé un accord avec le club polonais Stelmet Zielona Gora. Un joli coup qui dépouillerait par la même occasion la PLK, la ligue polonaise. Stelmet a terminé 4e de la dernière saison régulière et a été éliminé en demi-finale des playoffs. Après avoir disputé l’Euroleague et l’Eurocup, le club a fait la Champions League ces deux dernières saisons.\\n\\nPhoto: Stelmet"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pape Sy veut être avec les jeunes de Cholet ce que John Cox fut pour lui au Havre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’anecdote est fournie par Le Courrier de l’Ouest. Nouvelle recrue du club, Pape Sy (2,01m, 30 ans) aurait aimé récupérer le numéro 10 à Cholet Basket. Sauf que celui-ci a été retiré car il appartenait à Jim Bilba. Alors l’ancien Strasbourgeois pourrait prendre le n°19 qui fut le sien lors de son court passage aux Atlanta Hawks.\\n\\nPlus important, Pape Sy a été recruté pour servir de grand frère à une ribambelle de gamins de talent sur qui le coach Régis Boissié veut s’appuyer: Killian Hayes, Abdoulaye Ndoye, Melvyn Govindy, d’autres encore. Un choix excitant mais qui comporte évidemment une part de risque:\\n\\n« C’est la raison pour laquelle nous cherchions un joueur d’expérience pour encadrer ces jeunes », indique le coach dans le quotidien du Maine-et-Loire. « Ces jeunes sont pétris de talents et ont, sportivement, tout dans leurs mains pour réussir. Maintenant, ils ont juste besoin d’être bien conseillés et orientés », poursuit Pape Sy qui se retrouva un temps guidé par l’Américano-Venezuelien John Cox. « Il m’avait pris sous son aile, au Havre, avant mon départ en NBA. Ses nombreux conseils, surtout extra-sportifs, avaient été précieux. Cela m’avait notamment permis de gagner en constance. Car, à cet âge-là, le plus compliqué est d’utiliser de façon régulière son talent. Je ne m’imposerai pas à eux, ce n’est pas mon style. Mais j’essaierai d’être de bons conseils afin de les orienter du mieux que je pourrai... »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nanterre engage le shooteur Jeremy Senglin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fidèle à son concept de shooteurs de série, Nanterre 92 vient de recruter le combo américain Jeremy Senglin (1,88m, 23 ans).\\n\\nCelui-ci fut le meilleur scoreur de Weber State (2 070 points) et le deuxième de la conférence, la Big Sky. Sa spécialité: le shoot à trois-points.\\n\\nAprès 48 matches aux Long Island Nets en G-League avec notamment 40 points face à Maine, il a signé début avril au MHP Riesen Ludwigsbourg (Allemagne) pour terminer la saison de Bundesliga.\\n\\nPour son deuxième match, il a permis à son équipe de s’imposer à l’ALBA Berlin de l’ancien nanterrien Spencer Butterfield, en alignant 15 points à 3/5 à trois-points. Ludwigsbourg a terminé troisième de la saison régulière et a été éliminé en demi-finaliste des playoffs, 3 manches à 0, par ce même ALBA Berlin.\\n\\nSes stats en Bundesliga: 8,7 points (36,6% à trois-points), 1,1 passe en 21′ en moyenne et en 11 matches.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en JeepElite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements."
}, 
{"role": "user",     "content":"Antibes étoffe son staff technique avec Kenny Grant et Jade Sage"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En plus de Marc Berjoan, 40 ans, dont le contrat a été prolongé pour deux ans, les Sharks d’Antibes ont étoffé le staff technique de leur équipe professionnelle avec Jade Sage, 25 ans, et Kenny Grant, 36 ans, qui assisteront ainsi Julien Espinosa.\\n\\nJade Sage était au préalable assistante-coach des Espoirs. A 18 ans, en parallèle de son cursus de joueuse, elle était devenue assistante-coach des U15 France du Cavigal de Nice pendant quatre saisons. Elle avait poursuivi des études obtenant une licence puis un master en préparation physique et réathlétisation. Elle devient ainsi la deuxième femme de l’histoire de la LNB a être assistante-coach après Lauriane Dolt (SIG Strasbourg).\\n\\nL’Américano-suédois Kenny Grant a disputé en tant que joueur huit saisons en Pro A et en Pro B entre Nantes, Roanne, Poitiers et Nancy, où il a remporté en 2011 le titre de champion de France Pro A. Il était licencié la saison dernière au Cannet (NM2).\\n\\nYoann Debras sera quant à lui chargé de la performance et aura en charge les déplacements de l’équipe, la coordination médicale et la préparation physique des Sharks.\\n\\n\\n\\n\\n🏀🦈 🔁 Les @SharksAntibes étoffent leur staff technique:\\n\\n\\n➡️ Julien Espinosa sera désormais épaulé par trois assistants: Marc Berjoan, Jade Sage et Kenny Grant.\\n➡️ Yoann Debras sera quant à lui chargé de la performance.\\n\\n\\n📰 Toutes les infos ➡️ https://t.co/241EbULCYM pic.twitter.com/8LMqDrHUwV\\n\\n\\n— Antibes Sharks (@AntibesSharks) July 13, 2018\\n\\nPhoto: Kenny Grant (Chorale Roanne)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague: Pablo Laso du Real Madrid élu Coach de l’Année"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour la deuxième fois, le coach espagnol du Real Madrid, Pablo Laso, 50 ans, a été élu par ses pairs Entraîneur de l’Année de l’Euroleague, un trophée qui a pris le nom de l’entraîneur mythique soviétique Alexandre Gomelski. Seuls l’Italien Ettore Messina et le Serbe Zeljko Obradovic avaient remporté jusqu’ici deux fois le trophée.\\n\\nPablo Laso a réalisé un superbe doublé en remportant le titre national en Espagne et l’Euroleague.\\n\\nLe trophée d’entraîneur de l’année est attribué par un jury composé des 16 entraîneurs principaux des équipes de la Turkish Airlines EuroLeague, avec la stipulation qu’aucun entraîneur ne vote pour lui-même. Laso a devancé dans l’ordre Sarunas Jasikevicius du Zalgiris Kaunas, Zelko Obradovic du Fenerbahce Istanbul, et Pedro Martinez de Baskonia Vitoria."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Ferdinand Prénom, une recrue de choix pour Roanne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Chorale de Roanne a assurément réalisé une très bonne affaire sur le marché des transferts en enrôlant l’intérieur Ferdinand Prénom (2,01 m, 145 kg et 27 ans), qui sort d’une saison très difficile collectivement avec Hyères-Toulon mais probante sur un plan personnel (9,5 points et 4,2 rebonds).\\n\\nLe Parisien réalise une carrière à cheval entre la Pro A (Dijon, Hyères-Toulon) et la Pro B (Dijon, Antibes, Boulogne, Orléans).\\n\\n«On avait besoin d’ajouter de la complémentarité avec Alexis (Tangue) et Ferdi rentre totalement dans ce registre là», a commenté l’entraineur roannais Laurent Pluvy sur le site du club. «De plus, avec sa grosse expérience des championnats LNB Jeep Elite et ProB, ainsi que ses performances saison après saison, il nous apporte toute les garanties désirées. Rajouter un JFL de haut niveau nous assure également la continuité de l’état d’esprit qui anime notre groupe et la volonté d’être très ambitieux.»\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en Pro B mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements.\\n\\nPhoto: FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Bahaméen Jonathan Augustin-Fairell quitte Blois pour Cholet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’intérieur Jonathan Augustin-Fairell (2,01m, 25 ans) rejoint Cholet Basket. Américain, il possède en sus un passeport bahaméen, ce qui en fait un joueur Cotonou.\\n\\nAprès l’Autriche, il a a joué en Pro B à Rouen (14,5 pts, 6,8 rbds, 1,3 pds en 34 matches) puis à Blois avec qui il a remporté le titre de champion de Pro B (11,8 pts, 6,7 rbds, 1,2 pd et 14,5 d’évaluation de moyenne en 33 matches).\\n\\n« Jonathan est un joueur dur et intense, qui sort de deux très bonnes saisons en Pro B, notamment la dernière avec Blois ponctuée par le titre de champion. C’est un joueur au parcours atypique puisqu’il a commencé le basket à 17 ans. Il progresse par conséquent de saison en saison et a encore une marge de progression importante, » estime le coach de CB, Régis Boissié.\\n\\nL’effectif choletais à ce jour :\\n\\nExtérieurs : Killian HAYES, Abdoulaye N’DOYE, Pape SY\\n\\nIntérieurs : Melvyn GOVINDY, Jonathan AUGUSTIN-FAIRELL\\n\\n3 jeunes de l’Académie Gautier Cholet Basket viendront compléter l’effectif : Karlton DIMANCHE, Warren WOGHIREN et Quentin RUEL.\\n\\nPhoto: Tuan Nguyen"
}, 
{"role": "user",     "content":"Chine: 1,5 million de dollars pour Andrew Goudelock, MVP de la finale italienne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Une nouvelle preuve que les clubs chinois peuvent offrir des fortunes aux joueurs étrangers. MVP des Finales en Italie avec Olimpia Milan, le shooting guard américain Andrew Goudelock (1,91m, 29 ans) quitte l’Euroleague pour rejoindre les Shandong Golden Stars où il va remplacer son compatriote Ty Lawson. Montant du contrat: 1,5 million de dollars.\\n\\nAndrew Goudelock a porté 49 fois le maillot des Los Angeles Lakers et des Houston Rockets et aussi ceux de Kazan, du Fenerbahçe et du Maccabi Tel-Aviv."
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce: Le top-scoreur Keith Langford rejoint les rangs du Panathinaikos"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vieux routier des circuits, l’arrière-ailier gaucher américain Keith Langford (1,93m) a décroché à presque 35 ans -il les aura en septembre- un contrat d’une saison avec le Panathinaikos.\\n\\nAprès un court passage aux San Antonio Spurs, cet ancien étudiant à Kansas a porté le maillot de quelques uns des plus prestigieux clubs européens: Virtus Bologne, Khimki Moscou, Maccabi Tel-Aviv, Milan, UNICS Kazan. Il était la saison dernière au Maccabi Rishon Lezion. Il a été deux fois le top scoreur de l’Euroleague (2014 et 17) et remporté une médaille de bronze au Pan American Games avec l’équipe des Etats-Unis en 2015 à Toronto.\\n\\nAvec le Maccabi Rishon Lezion, il a tourné à 19,5 points en 12 matches."
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie: Qualifié en BCL dans le groupe de Dijon, Eskisehir met la clé sous la porte"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sans donner d’explication, mais celle-ci est certainement financière, le club de Eskisehir Basket se désengage de la Ligue turque et de la Basketball Champions League alors qu’il était qualifié pour la saison régulière et avait été versé dans le Groupe C avec Brose Bamberg, AEK Athènes, Hapoel Jérusalem, Fuenlabrada, CEZ Nymburk et la JDA Dijon.\\n\\nOn ne sait pas si les deux compétitions vont demeurer en état ou si une équipe supplémentaire sera qualifiée.\\n\\nEskisehir Basket avait terminé septième de la saison régulière de la ligue turque et avait été éliminé en quart-de-finale des playoffs par Tofas Bursa."
}, 
{"role": "user",     "content":"A 39 ans, Louis Campbell poursuit sa route à Antibes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Louis Campbell (1,91m) aura 40 ans en cours de saison prochaine -il est né le 1er avril 1979- mais ça n’empêche pas les Sharks d’Antibes de lui faire confiance en remplacement de Jarel Blassingame qui en aura seulement 37 en septembre.\\n\\nCe meneur sorti de l’université de Buffalo en 2002 avait fait l’essentiel de sa carrière en Allemagne avant d’arriver à Strasbourg en 2012 et d’y accomplir quatre solides saisons avec notamment autant de finales de Pro A et une autre d’Eurocup.\\n\\nSuivront deux autres campagnes avec Levallois avec 8,1 points et 9,2 d’évaluation en 2017-18. Privé de playoffs avec les Metropolitans, il effectua en fin de saison une pige à Fos/Mer pour compiler en playoffs 7,5 points et 7,7 d’évaluation et permettre au club provençal de gagner le droit de monter en Jeep Elite.\\n\\nPhoto: Metropolitans\\n\\n."
}, 
{"role": "user",     "content":"Nationale 1: Les deux poules pour la saison 2018-19 ont été dévoilées"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FFBB a dévoilé les deux poules de Nationale 1 pour la saison 2018-19.\\n\\nA noter que:\\n\\n– Une équipe rétrogradée de Pro B dans chaque poule\\n– 2 équipes par poule ayant terminé premières de la phase régulière en NM2\\n– 2 équipes par poule ayant terminé deuxièmes de la phase régulière en NM2\\n– Prise en compte du classement de NM1 à l’issue de la saison 2017/2018, par groupe de 4 (le groupe des 4 derniers étant complété par l’équipe ayant bénéficié d’une wild-card et par l’équipe accédant via le ranking de NM2).\\n\\nPOULE A\\nAUBENAS\\nSAINT VALLIER BASKET DROME\\nSOUFFELWEYERSHEIM BC\\nAS KAYSERSBERG AMMERSCHWIHR BCA\\nETOILE CHARLEVILLE MEZIERES ARDENNES\\nEVEIL RECY SAINT MARTIN BASKET\\nORCHESIEN B C*\\nS.O.M.B. (Boulogne)\\nBESANCON AVENIR COMTOIS\\nGET VOSGES\\nANDREZIEUX BOUTHEON ALS BASKET\\nFEURS EF\\nSAINT QUENTIN BASKET BALL\\nSORGUES BASKET CLUB\\n\\nPOULE B\\nJSA BORDEAUX\\nBRISSAC ANJOU BASKET\\nETOILE ANGERS BASKET\\nVENDEE CHALLANS BASKET\\nLA CHARITE BASKET 58\\nAURORE DE VITRE BASKET BRETAGNE\\nCEP LORIENT BASKET\\nUNION TOURS BASKET METROPOLE\\nSASP SAINT THOMAS BASKET LE HAVRE\\nCENTRE FEDERAL BB\\nRUEIL ATHLETIC CLUB\\nLA ROCHELLE RUPELLA 17\\nTOULOUSE BASKET CLUB\\nUNION TARBES LOURDES PYRENEES BASKET\\n\\nLe calendrier de NM1 sera annoncé prochainement."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Charles-Noué Abouo s’engage avec Blois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Né à Cocody (Cote d’Ivoire), Charles-Noé Abouo (1,96m, 28 ans) a passé son enfance aux Etats-Unis et a été formé à l’Université de Brigham Young (NCAA). Il a joué en LEB Oro espagnole, en Egypte et au Qatar avant de rejoindre la Pro B, à Denain puis Fos/Mer. Avec le club provençal il a obtenu 13,1 points, 4,5 rebonds, 2,6 passes pour 13,4 d’évaluation la saison dernière.\\n\\nC’est donc avec l’ADA Blois, le champion de Pro B, que l’ailier ivoirien va poursuivre son expérience en France, a priori toujours au deuxième niveau français.\\n\\n« C’est un poste 3 très solide qui connait bien le championnat. Il possède une grosse qualité de shoot, notamment à 3 points, une excellente vision du jeu avec une très bonne qualité de passes. Cette polyvalence nous sera très précieuse et il sera très complémentaire dans le style de jeu que nous souhaitons mettre en place, » a commenté le coach Mickaël Hay sur le site du club."
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie: Le MVP de Belgique Jean Salumu rejoint Sakarya"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Jean Salumu (1,93m, 27 ans), le MVP de la Ligue Belge Euromillions, jouera pour le club turc de Sakarya Buyuksehir lors de la saison 2018-19 indique le site Sportando. Sakarya Buyuksehir est le club du pivot international Moustapha Fall.\\n\\nSalumu a gagné les six derniers titres de champion de Belgique avec le BC Ostende et il a scoré la saison dernière une moyenne de 12,9 points dans la ligue nationale.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U20 féminin: La France tombe face à l’Espagne en quart-de-finale, 50-51"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un final haletant, l’équipe de France s’est faite piéger par l’Espagne en quart-de-finale de l’Euro U20. Alors que les Bleuettes menaient 50-49, Kadiatou Sissoko a loupé deux lancers. Les Espagnoles ont récupéré la balle et en pénétration Iris Mbulito a donné l’avantage à son équipe à 13 secondes de la fin. Les Françaises donnaient un dernier assaut mais Kadiatou Sissoko décidément bien malheureuse se faisait contrer sur son layup.\\n\\nLes Françaises avaient parfaitement démarré le match avec un cinglant 15-4 après dix minutes. Seulement les trois autres quart-temps ont été favorables aux Espagnoles.\\n\\nTima Pouye (15 points et 10 rebonds) et Maeva Djaldi Tabdi (10 points et 15 rebonds) ont été individuellement les plus productives côté français. Les Bleuettes ont largement dominé au rebond (55 à 41) mais leur maladresse aux lancers (8/18) coûte cher dans le décompte final.\\n\\n\\n\\n\\nWHAT A GAME! Rel-live the best moments from the dramatic Women's #FIBA20Europe Quarter-Final between @baloncestofeb 🇪🇸 and @ffbasketball 🇫🇷! pic.twitter.com/n4h0sh6Pzj\\n\\n\\n— FIBA (@FIBA) July 12, 2018\\n\\nPhoto: Emmanuelle Tahane (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"David Kahn (président du Paris Basket): «Paris doit devenir le porte-étendard du basket français en Euroleague»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avant de donner ce matin une conférence de presse, David Kahn, la cheville ouvrière du projet Paris Basket s’est exprimé en exclusivité dans Le Parisien. Il a révélé avoir découvert Paris à 22 ans soit il y a 34 ans et est venu avec les Minnesota Timberwolves en 2010 lorsque ceux-ci avaient joué à Bercy et qu’il en était le président des opérations. Il va s’y installer prochainement.\\n\\n« Paris est la plus belle ville du monde avec une énergie fantastique, semblable à celle de New York. Je ne comprends pas qu’une telle capitale ne possède pas encore d’équipe en Euroleague », a t-il répondu à la question de savoir pourquoi il a choisi la capitale française comme siège de son club. « Je n’ai jamais vu ailleurs dans le monde autant de gens porter des maillots NBA. Paris a, en dehors des Etats-Unis, le plus gros potentiel de jeunes joueurs de la planète. Paris doit devenir le porte-étendard du basket français en Euroleague. »\\n\\nDavid Kahn insiste sur le fait que Paris Basket n’est pas un club américain et que c’est à lui de s’adapter aux moeurs de notre pays et qu’il visera l’Euroleague lorsque l’Aréna olympique de la Porte de la Chapelle verra le jour. En attendant, le budget de l’équipe ne devrait pas sortir des standards habituels de la Pro B, soit entre 1,5 et 2 millions d’euros.\\n\\n« Le basket français est demandeur d’une grande équipe à Paris. Je ne sens pas d’hostilité, même si jouer pour Paris fait toujours de vous une cible très particulière. Ça, je l’ai vite compris aussi. »\\n\\nLe projet a le soutien de la ville de Paris et de sa mairesse Anne Hidalgo comme en atteste la photo postée sur son compte twitter.\\n\\nLe coach sera français et devrait être annoncé la semaine prochaine. Romuald Coustre nous a confirmé ce matin qu’il a été nommé Directeur Général Opérationnel du club.\\n\\nhttps://twitter.com/Anne_Hidalgo/status/1017358023554105344"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U20 féminin: Le quart-de-finale France-Espagne à suivre sur YouTube"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le quart-de-finale de l’Euro U20 féminin France-Espagne est à suivre à 15h45 sur YouTube."
}, 
{"role": "user",     "content":"Champion de France avec Le Mans, Mykal Riley passe à Chalon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion de France avec Le Mans, Mykal Riley (1,96m, 33 ans) rejoint l’Elan Chalon indiquent L’Equipe et BeBasket.\\n\\nCet arrière-ailier américain a connu une saison en dents de scie au MSB avec 11,6 points (42,6% aux tirs), 5,1 rebonds et 3,0 passes).\\n\\nIl s’est fait connaître en France par ses brillantes saisons à Nanterre et à Dijon mais avait plongé lors de sa dernière saison dans les Hauts-de-Seine.\\n\\nIl compte 6 saisons et 189 matches en Pro A/Jeep Elite et 2 saisons et 68 matches en Pro B. Joueur élégant, capable de paniers d’acrobate, il a notamment remporté l’EuroChallenge en 2015 et la FIBA Eurocup en 2017.\\n\\n« Mykal Riley est un joueur avec qui j’aurais aimé travailler plus tôt. C’est un joueur de talent et très élégant à voir évoluer sur un terrain. Il est un bon rebondeur, gros créateur. Je crois qu’il se plaira dans nos systèmes. En plus c’est un garçon charmant », a commenté le coach Jean-Denys Choulet sur le site du club qui a confirmé l’information en fin de matinée.\\n\\nPhoto: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ASVEL veut l’international lituanien Mantas Kalnietis"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"De source italienne, l’ASVEL a fait une proposition concrète au meneur/arrière lituanien Mantas Kalnietis (1,96m, 31 ans).\\n\\nAprès avoir joué en deux temps au Zalgiris Kaunas, Kalnietis a porté le maillot du Lokomotiv Kuban-Krasnodar (Russie) et depuis deux saisons de l’Olimpia Milan. Ses stats en Euroleague ont été la saison dernière de 4,5 points, 2,2 passes en 16 minutes.\\n\\nIl avait été élu Meilleur Joueur du championnat lituanien en 2013.\\n\\nC’est un international lituanien confirmé. Médaillé de bronze au championnat du monde 2010, il a gagné l’argent à deux reprises à l’Euro en 2013 et 2015.\\n\\nDunker mérite, il a remporté les concours de la ligue lituanienne en 2007 et 2008.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"La MAIF devient un partenaire majeur de la FFBB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« La MAIF s’engage en tant que partenaire majeur de la Fédération Française de BasketBall et des Équipes de France masculines et féminines jusqu’en 2022 tout en accompagnant le développement de la pratique de ce sport », indique ce matin la FFBB dans un communiqué ajoutant qu’il s’agit d’un « partenariat d’envergure qui marque une nouvelle étape de l’engagement de la mutuelle dans le sport français. »\\n\\nLe dispositif mis en place s’articule autour de plusieurs axes : la visibilité maillots des Équipes de France masculines et féminines, le développement des pratiques urbaines avec le 3X3, nouvelle discipline olympique, et, de façon plus générale, l’accompagnement de la FFBB sur l’ensemble de ses actions à destination du grand public. De plus, la MAIF porte les risques d’assurance de la FFBB sur les champs de la responsabilité civile, de la garantie dommage aux biens et de l’assistance.\\n\\nCe nouveau partenariat témoigne de l’engagement croissant de la MAIF aux côtés des principaux acteurs du sport français, avec un soutien apporté à plusieurs fédérations olympiques ou plus récemment au mouvement olympique français. Un engagement historique et fondateur puisque la MAIF est aujourd’hui premier assureur du monde associatif en France avec plus de 142 000 associations, parmi lesquelles plus de 37 000 groupements sportifs, mais aussi les clubs sportifs assurés via les Fédérations assurées à la MAIF. Soit au final plus de 2,5 millions de pratiquants.\\n\\nEn 2017, le groupe MAIF a réalisé un chiffre d’affaires de 3,5 milliards d’euros.\\n\\n« Je suis heureux que la MAIF puisse accompagner une grande fédération olympique comme celle de la Fédération Française de BasketBall. Ce partenariat majeur vient conforter l’ancrage de notre Mutuelle auprès d’acteurs principaux du sport français à travers une discipline, le basket-ball, qui conjugue un très haut niveau de performance sportive et, en même temps, une dimension de sport de masse très populaire avec un caractère éducatif indéniable, en phase avec les préoccupations qui sont les nôtres. Par ailleurs, ce partenariat est également la résultante de relations inter personnelles fortes et de qualité avec le Président de la FFBB, » indique Dominique Mahé, le président du Groupe MAIF.\\n\\nQuant à Jean-Pierre Siutat, le président de la FFBB, il commente:\\n\\n« C’est avec une grande fierté que nous accueillons aujourd’hui la MAIF en tant que Partenaire Officiel de la FFBB et des Équipes de France. La mobilisation à nos côtés d’un acteur économique et social aussi important que la MAIF, qui porte des engagements forts et pérennes en faveur de l’éducation et du sport, démontre toute l’attractivité de notre fédération et de notre discipline. Notre partenariat sera actif dès l’Open de France 3X3, symbole du développement du basket sous toutes ses formes en France et dans le monde. Je tiens également à remercier Dominique MAHE de sa confiance ainsi que ses équipes avec lesquelles nous avons élaboré ce partenariat. »\\n\\nPhoto: FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Fos Provence Basket s’appuiera sur son noyau dur en Jeep ELITE"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les premières manœuvres ont débuté chez le vainqueur des Playoffs d’accession de Pro B. Un mois après la finale aller remportée à Roanne, le club fosséen a officialisé les prolongations d’Abdou Mbaye (29 ans, 1,89m) et Jordan Aboudou (27 ans, 2,01m). Les deux joueurs pourront partager leur expérience de l’élite française dans laquelle ils ont évolué pendant respectivement 11 et 6 ans.\\n\\nCette saison, Abdou Mbaye tournait à 7.1 points à 44.7% d’adresse à 3 points, 1.2 rebonds, 1.6 passes décisives pour 6.5 d’évaluation en 17 minutes en moyenne par match. Arrivé en renfort mi-décembre, le petit frère de Lens Aboudou a pour sa part culminé à 7.2 points, 4.6 rebonds et 1.7 passes décisives pour 8.3 d’évaluation en 24 minutes en moyenne par match en saison régulière.\\n\\nLe communiqué du club confirme qu’Abdou Mbaye et Jordan Aboudou rejoignent un noyau de cinq joueurs toujours sous contrat pour la saison prochaine : Xavier Gaillou, Edouard Choquet, Tariq Kirksay, Sullivan Hernandez et Pierre Pelos. Le club provençal misera donc sur la continuité pour la première saison de son histoire en Jeep Elite avec au moins 7 joueurs de l’exercice 2017-2018, sachant qu’on voit mal Mamadou Dia, capitaine aux 13 étoiles sur son maillot, ne pas repartir pour un an.\\n\\nPhoto Amanda Panciatici"
}, 
{"role": "user",     "content":"Romuald Coustre est le nouveau Directeur Général Opérationnel du Paris Basket"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Romuald Coustre nous confirme ce matin l’information de L’Equipe et avoir été nommé Directeur Général Opérationnel du Paris Basket, le club porté par l’Américain David Kahn qui en rachetant les droits sportifs de Hyères-Toulon passe de la Nationale 2 à la Pro B et qui a pour ambition à terme de jouer l’Euroleague.\\n\\nAprès une Prépa HEC, Romuald Coustre a passé un an au Fort Lewis College dans le Colorado avant d’être diplômé de l’Institut Supérieur de Commerce International de Dunkerque. Après avoir été chargé de développement au palais des congrès de Dunkerque, il s’est fait connaître dans le milieu du basket en étant pendant près de neuf ans (2004 à 2013) le manager général du BCM Gravelines-Dunkerque, en s’occupant aussi bien de l’administratif, de la logistique que du scouting.\\n\\nIl fut ensuite agent FFBB/FIBA et consultant au sein de Hoopsit puis fondateur de Whatif, un studio de design et stratégie à destination des équipes professionnelles et amateurs de sport collectif (Basketball, Football, Rugby, Handball). qui s’est fait connaître ces derniers mois sur les réseaux sociaux en relookant les maillots des clubs de Jeep Elite à la mode NBA.\\n\\nRomuald Coustre est bilingue français-anglais."
}, 
{"role": "user",     "content":"Boris Diaw honoré par le Naismith Memorial Basketball Hall of Fame pour ses valeurs humaines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Naismith Memorial Basketball Hall of Fame a annoncé lors de la NBA Summer League à Las Vegas que le capitaine de l’équipe de France Boris Diaw allait recevoir le Prix Mannie Jackson 2018, qui récompense « l’esprit humain du basketball ». J.J. Barea et Tina Charles sont les deux autres lauréats.\\n\\n«Le prix Mannie Jackson est un honneur estimé qui est décerné uniquement aux personnes qui ont le plus grand dévouement pour avoir un impact positif sur la vie des autres», a déclaré John L. Doleva, président et chef de la direction du Naismith Memorial Basketball Hall of Fame. « Le Basketball Hall of Fame est fier de reconnaître J.J. Barea, Tina Charles et Boris Diaw pour l’impact qu’ils ont eu au niveau national et mondial. Notre sport s’étend sur la terre, tout comme la générosité et l’engagement de ces trois leaders exceptionnels. «\\n\\nBoris Diaw est reconnu ainsi pour sa personnalité hors du commun, le concours qu’il apporte aux jeunesses du Pérou et du Sénégal à travers la fondation Babac’ards.\\n\\n« Diaw a également intégré un programme sportif de haute qualité pour les filles en fondant une Académie SEED pour les filles en 2013. L’école accueille jusqu’à 20 filles par an en fonction du potentiel athlétique, académique et de leadership. Diaw a été motivé pour s’impliquer après avoir appris que seulement 39% des femmes sénégalaises savent lire et écrire. L’engagement de Diaw à avoir un impact sur les jeunes va au-delà de la formation au basket-ball et de l’autonomisation des futurs leaders. Sa fondation soutient également un orphelinat au Sénégal et l’hôpital Le Dantec, en finançant une salle de sport et des camps pour enfants luttant contre le cancer », indique le Naismith Memorial Basketball Hall of Fame.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Dee Bost (ex-Strasbourg) en partance pour le Khimki Moscou"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La rumeur qui voulait que le meneur américain au passeport bulgare de Strasbourg Dee Bost (1,89m, 28 ans) retourne à l’AS Monaco était bel et bien infondée. Il vient de signer au Khimki Moscou d’après le journaliste David Pick.\\n\\nCet ancien all-star de D-League (2014) avait séjourné à Monaco lors de la saison 2016-17 avant de tenter sa chance au Zalgiris Kaunas mais il n’y était resté que jusqu’à la mi-décembre avant d’accomplir le reste de la saison avec la SIG Strasbourg (11,1 points, 5,8 passes, 3,1 rebonds).\\n\\nLe Khimki Moscou fait partie des 16 clubs d’Euroleague.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en JeepElite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements.\\n\\nPhoto: Dee Bost.\\n\\n\\n\\n\\nMemphis guard to Las Vegas Dee Bost has signed a deal with Khimki Moscow to return to the Euroleague, according to source.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) July 12, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro féminin U20: Vainqueur de l’Allemagne dans la douleur, la France va affronter l’Espagne en quart"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir dilapidé une bonne partie d’un pécule de douze points, les Françaises ont été heureuses de voir le shoot de Marie-Paule Foppossi entrer dans le cylindre après avoir hésité. L’affaire était entendue. La France s’est imposée finalement 68-66 à l’Allemagne et s’est qualifiée ainsi pour les quarts-de-finale.\\n\\nIl faut savoir que les Bleuettes avaient très mal démarré ce huitième (19-27 après 10’) et que c’est dans le troisième quart (25-7) qu’elles ont fait l’essentiel du taf même si donc elles se sont relâchées ensuite.\\n\\nAvec 17 points (mais 5/13 aux shoots), 6 rebonds et 3 passes, la meneuse de Tarbes Tima Pouye a été globalement la plus efficace.\\n\\nC’est l’Espagne que les Françaises rencontreront en quart-de-finale. Autant dire que ça ne sera pas coton.\\n\\nPhoto : Tima Pouye (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Belgique: MVP 2018 du championnat, Jean Salumu quitte Ostende et part à l’étranger"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Premier Belge à avoir été élu MVP du championnat national, Jean Salumu (1,93m, 27 ans) a annoncé officiellement qu’il quitte Ostende avec qui il a été six fois champion.Le shooting guard international n’a pas encore annoncé sa destination future mais on sait toutefois que ce sera à l’étranger.La saison dernière, Jean Salumu tournait à 13,1 points, 2,0 passes et 1,5 rebond en 23 minutes.Photo: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Champions League: Les clubs français connaissent leurs adversaires"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les quatre clubs français engagés en Champions League connaissent leurs adversaires suite au tirage au sort qui s’est tenu en fin de matinée à Mies, au siège de la FIBA.\\n\\nLe Mans, Strasbourg et Dijon sont directement qualifiés pour la phase régulière alors que Nanterre doit passer par une phase préliminaire. Le club des Hauts-de-Seine affrontera au troisième tour, les 1er et 4 octobre, Siauliai (Lituanie), Lukoil Levski Sofia (Bulgarie), Karhu Kauhajoki (Finlande) ou CSM Oradea (Roumanie). En cas de qualification le club du président Jean Donnadieu intègrera le Groupe B.\\n\\nGroupe A: Anwil Wloclawek (POL), Banvit (TUR), Le Mans Sarthe Basket (FRA), MHP Riesen Ludwigsbourg (GER), Sidigas Avellino (ITA), Ventspils (LAT), Vainqueur du Match 21 (Hapoel Tel Aviv/Spirou Basket/Leicester Riders/Bakken Bears/UCAM Murcia), Vainqueur du Match 23 (FC Porto/Nizhny Novgorod/Dinamo Tbilisi/Aris/JIP Pardubice)\\n\\nGroupe B: Hapoel UNET Holon (ISR), Iberostar Tenerife (ESP), Opava (CZE), PAOK (GRE), Telekom Baskets Bonn (GER), Umana Reyer Venise Mestre (ITA), Vainqueur du Match 19 (Sigal Prishtina/Donar Groningen/Fribourg Olympic/Avtodor Saratov/Sakarya Buyuksehir), Vainqueur du Match 20 (Siauliai/Lukoil Levski/Karhu Basket Kauhajoki/CSM Oradea/Nanterre 92)\\n\\nGroupe C: AEK (GRE), Brose Baskets Bamberg (GER), CEZ Nymburk (CZE), Eskisehir Basket (TUR), Hapoel Jerusalem (ISR), JDA Dijon Basket (FRA), Montakit Fuenlabrada (ESP), Vainqueur du Match 22 (Red October Cantù/Szolnoki Olaj/AEK Larnaca/Telenet Giants Antwerp/Lietkabelis Panevezys)\\n\\nGroupe D: Besiktas Sompo Japan (TUR), Neptunas Klaipeda (LTU), Oostende (BEL), Petrol Olimpija (SLO), Promitheas Patras (GRE), Segafredo Virtus Bologna (ITA), SIG Strasbourg (FRA), Vainqueur du Match 24 (Polski Cukier Torun/Tsmoki-Minsk/Norrköping Dolphins/Movistar Estudiantes/medi Bayreuth)\\n\\nLa Saison Régulière est constituée de 4 groupes de 8 équipes chacun avec des matchs aller-retour. Les 4 meilleures équipes de chaque groupe sont qualifiées pour les playoffs. Le début de la saison régulière sera le 9 octobre.\\n\\nSaison régulière:\\n\\nQualification 1er tour:\\n\\nQualification 2e tour:\\n\\nQualification 3e tour:"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les étapes du boycott par l’Euroleague des fenêtres de qualifications à la Coupe du Monde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’annonce faite hier par l’Euroleague de son calendrier pour la saison 2018-19, qui va frontalement au clash avec les fenêtres de qualifications des équipes nationales pour la coupe du monde 2019, incite pour mieux comprendre cette situation épineuse à revenir en arrière sur l’historique du conflit mené par ECA contre le basket européen.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n2011\\n\\nLe processus de réflexion autour d’un nouveau format des compétitions internationales débute par une consultation en profondeur des ligues, des fédérations et des autres acteurs du basket international sur toute la planète.\\n\\n2014\\n\\nLe FIBA World Congress approuve le nouveau calendrier à l’unanimité pour un calendrier unique pour tous les continents.\\n\\n2015\\n\\nLes dates précises des fenêtres de qualification pour les équipes nationales sont confirmées et publiées en août 2015, pour laisser à tous les acteurs du basket mondial le temps nécessaire de s’ajuster. En Europe, toutes les ligues nationales incorporent les fenêtres dans leur calendrier sous le patronage de l’Union Européenne des Ligues de Basket (ULEB).\\n\\n2016\\n\\nEuroleague Commercial Assets (ECA), l’entreprise privée qui gère l’Euroleague et l’EuroCup confirme dans un courrier signé du 10 novembre 2016 que « les règlements ECA n’empêchent pas ni ne limitent de quelque façon que ce soit la mise à disposition des joueurs pour les compétitions des équipes nationales. »\\n\\n2017\\n\\nLe 6 juillet 2017, ECA annonce son calendrier 2017-18 pour l’Euroleague qui ne prévoit aucune pause pour les fenêtres de qualifications des équipes nationales pour novembre 2017 et février 2018. ECA ne reconnait pas ces fenêtres.\\n\\nLe 25 septembre 2017, la FIBA envoie un courrier à ECA avec une proposition pour sortir le basket européen de l’impasse. La solution propose est la suivante : au cours des fenêtres de novembre et février, la FIBA accepte de déplacer tous les matches européens (8 matches) du jeudi au vendredi, pour permettre aux joueurs d’Euroleague de jouer pour leurs clubs avant de rejoindre leurs sélections nationales.\\n\\nLe 3 octobre 2017, le comité exécutif de la FIBA, sans attendre de réponse positive de l’Euroleague, déplace tous les matches de qualifications pour l’Europe, pour les fenêtres de novembre 2017 et février 2018, du jeudi au vendredi.\\n\\nEn retour, ECA a simplement besoin de déplacer 8 matches par fenêtres de son côté, ceux joués du jeudi/vendredi vers le mardi. Au cours de la saison précédente, ECA avait déjà pris une décision similaire, avec la réception de Madrid par Milan le mardi 13 mars au lieu du vendredi 16 mars comme le prévoyait au départ le calendrier. Ce genre d’aménagements est donc possible. La sortie de crise semblait alors assez simple. Mais ECA a refusé. Les décisions prises par la suite par l’entreprise vont confirmer ce refus de trouver une solution.\\n\\nNovembre 2017, 31 membres du parlement européen demandent à la commission européenne de fournir une solution immédiate au problème. « Le calendrier de l’Euroleague ne respecte pas le calendrier des qualifications des équipes nationales de novembre 2017 et février 2018 pour la coupe du monde 2019 et sert donc au final à empêcher les joueurs d’Euroleague de rejoindre leurs sélections. De ce fait, il s’agit donc d’une violation des Articles 101 et 102 du traité de fonctionnement de l’Union Européenne en créant une approche monopolistique de la part d’ECA en empêchant les meilleurs joueurs européens de rejoindre leurs sélections. Il s’agit donc d’un boycott des équipes nationales. »\\n\\n2018\\n\\nEn juillet 2018, la FIBA annonce le calendrier du deuxième tour des qualifications pour la coupe du monde. Les dates étaient connues depuis 2015, la FIBA a simplement indiqué l’ordre des matches pour les fenêtres à partir des résultats qualificatifs des trois premières fenêtres sur la saison 2017-18.\\n\\nDix jours après cette annonce du calendrier FIBA, ECA publie son calendrier pour la saison 2018-19 et il semble que ECA ait choisi le clash frontal avec le calendrier des équipes nationales. Le choix de certaines affiches sur les jours de matches des sélections ne laisse aucun doute sur le caractère délibéré de la stratégie d’affrontement brutal choisie par ECA. Trois équipes turques jouent en effet des équipes espagnoles le jour où la Turquie joue l’Espagne. Zalgiris Kaunas, le club lituanien joue également contre Armani Milan, le même jour que le match entre l’Italie et la Lituanie.\\n\\nDifficile d’y voir autre chose que la volonté cynique de saboter les équipes nationales. Aujourd’hui, le problème va donc au-delà de la simple question de la mise à disposition des joueurs et à la qualité du spectacle proposé. Cela tient d’une volonté politique de casser la stratégie de la FIBA de mettre en avant les équipes nationales comme l’élément central pour permettre la croissance et l’intérêt du grand public sportif autour du basket, en Europe et dans le monde.\\n\\nECA vient de rater une nouvelle fois une opportunité de résoudre le problème du basket européen et de trouver une sortie par le haut pour les joueurs, les clubs, les sélections et les fans. Cette entreprise privée ne prend en compte que les intérêts particuliers d’un très petit nombre de clubs, au détriment de tout le basket européen. Un ajustement mineur de calendrier, comme celui opéré par la FIBA permettait de régler l’affaire. Au final, l’intransigeance des dirigeants d’ECA pour un calendrier annoncé dès 2015 pousse le problème un peu plus loin encore.\\n\\nPour rappel\\n\\n * Le nouveau système des fenêtres de qualification a pour principal objectif de faire jouer les équipes nationales à domicile chaque année pour des matches à enjeu. De plus, en accord avec les joueurs et notamment la NBA, le nouveau système offre un été de repos sans compétition tous les quatre ans.\\n * Le choix de calendrier de l’Euroleague créé des tensions entre les clubs et les fédérations. De plus, placer les joueurs devant le choix injuste de jouer pour le club qui les paye à l’année ou pour leur équipe nationale fait porter sur eux une pression inutile. Les joueurs devraient être en mesure de choisir librement et de pouvoir jouer au meilleur de leurs capacités pour leur club et leur sélection.\\n * Les clubs qui participent à l’Euroleague sont tous affiliés à des ligues nationales et à des fédérations. Ce sont des membres de la famille FIBA. L’Euroleague est une ligue internationale européenne qui implique des clubs dont l’existence première passe par les ligues nationales et qui sont liés aux instances dirigeantes du basket de chaque pays où existent des règles. L’Euroleague est né et vit dans un environnement FIBA.\\n * L’exception NBA. A l’inverse, la NBA est unique. Il s’agit d’une ligue privée créé sur un désert en 1946, et en dehors de l’environnement FIBA. La ligue américaine possède ses propres règles, un calendrier en place depuis 1960 et elle opère sur le marché américain unique en son genre. Aujourd’hui, cette entreprise affiche un chiffre d’affaire de 7,5 milliards de dollars par an, soit plus que l’UEFA et sa ligue des champions en football.\\n\\nLa FIBA a développé aujourd’hui une relation privilégiée avec la NBA, qui partage son point de vue sur le développement du basket international. Le numéro 2 de la ligue, Mark Tatum a d’ailleurs plusieurs fois apporté son soutien public au nouveau format des compétitions international, défini main dans la main avec la NBA sur les points suivants :\\n\\n * Moins de matches et de temps de mobilisation pour les joueurs\\n * Un été sans compétition tous les quatre ans (2018, 2022, etc)\\n * De meilleurs chances d’avoir les joueurs NBA sur les compétitions majeures puisque ces dernières, notamment l’EuroBasket était de plus en plus déserté par les joueurs NBA.\\n * Possibilité pour les joueurs NBA de participer aux fenêtres de juin et septembre\\n\\n[armelse]\\n\\n2011\\n\\nLe processus de réflexion autour d’un nouveau format des compétitions internationales débute par une consultation en profondeur des ligues, des fédérations et des autres acteurs du basket international sur toute la planète.\\n\\n2014\\n\\nLe FIBA World Congress approuve le nouveau calendrier à l’unanimité pour un calendrier unique pour tous les continents.\\n\\n2015\\n\\nLes dates précises des fenêtres de qualification pour les équipes nationales sont confirmées et publiées en août 2015, pour laisser à tous les acteurs du basket mondial le temps nécessaire de s’ajuster. En Europe, toutes les ligues nationales incorporent les fenêtres dans leur calendrier sous le patronage de l’Union Européenne des Ligues de Basket (ULEB).\\n\\n2016\\n\\nEuroleague Commercial Assets (ECA), l’entreprise privée qui gère l’Euroleague et l’EuroCup confirme dans un courrier signé du 10 novembre 2016 que « les règlements ECA n’empêchent pas ni ne limitent de quelque façon que ce soit la mise à disposition des joueurs pour les compétitions des équipes nationales. »\\n\\n2017\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: La salle de Krasnodar pour Russie-France (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Bagarre Australie-Philippines: Les Australiens s’insurgent contre des accusations de racisme"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La gigantesque bagarre qui a concerné le 2 juillet leur équipe nationale et celle des Philippines et qui a vu treize joueurs exclus du match a fait beaucoup de vagues en Australie. D’autant qu’un photojournaliste philippin, Winston Baltasar, a déclaré avoir entendu le mot « singe » prononcé par les joueurs australiens juste avant le pugilat. L’Australian Basketballers Association (ABA) et Basketball Australia ont rejeté ces accusations de racisme.\\n\\n« Les allégations faites par M. Baltasar sont sans fondement et hautement diffamatoires et nous examinons les voies légales pour y remédier », peut-on lire dans un communiqué. « Les Boomers (NDLR : le surnom des basketteurs australiens) sont fiers de leur effectif inclusif et diversifié, tout comme le pays qu’ils représentent et les commentaires de M. Baltasar et republiés par ABC ont causé une immense détresse à nos joueurs. »\\n\\nQuant au directeur général de Basketball Australia, Anthony Moore, il a déclaré :\\n\\n« À aucun moment, Basketball Australia ou l’ABA n’ont été contactés pour commenter avant que les allégations ne soient publiées, en violation flagrante des propres normes éditoriales de ABC. »\\n\\nLes médias australiens ont sollicité le témoignage de l’ancien pivot des Chicago Bulls Luc Longley, assistant-coach des Boomers, qui a critiqué les Philippines pour avoir pris des « selfies de gangsters » après la bagarre et a déclaré que l’entraîneur Chot Reyes avait incité à la violence.\\n\\nLorsque la bagarre s’est déclenchée, Luc Longley a regardé ses collègues australiens assis sur le banc à côté de lui et a pensé: « Hé, je suis le meilleur homme pour le boulot ». Longley a ensuite plongé dans la mêlée pour sauver son compatriote Chris Goulding, qui était violemment battu par au moins huit Philippins.\\n\\n« Il n’est pas ridicule de dire que Longley a pu lui sauver la vie », a commenté la presse australienne.\\n\\nLa Fédération Internationale (FIBA) a ouvert une enquête afin de déterminer les responsabilités de cette bagarre, l’une des plus spectaculaires jamais vues dans l’histoire du basket international.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=5ORnb1y-iJE\\n\\nLe selfie des Philippins après la bagarre qui a déplu à Luc Longley."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euro U20 féminin: A suivre à 17h30, le 8e de finale France-Allemagne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le huitième de finale de l’Euro U20 féminin entre la France et l’Allemagne sera à suivre ce soir à partir de 17h30 sur YouTube.\\n\\nPhoto: Emmanuelle Tahane (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : David Blatt est le nouvel entraîneur de l’Olympiakos"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Désireux d’avoir une seconde chance en NBA, David Blatt n’a pas reçu les coups de téléphone attendus et c’est finalement en Europe qu’il va continuer sa carrière.\\n\\nVainqueur de l’Eurocup avec le Darussafaka il y a quelques semaines, l’ancien coach des Cleveland Cavaliers s’est engagé avec l’Olympiakos, annonce le club. Les rumeurs allaient bon train depuis plusieurs jours et c’est maintenant officiel, le technicien de 59 ans, rejoint le club grec pour les deux prochaines saisons.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"La FFBB prend à bras le corps le développement du 3×3"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si l’on fait un bilan factuel à l’instant T, celui de la Fédération Française de Basket-Ball est globalement positif : un record de plus de 680 000 licenciés, 2,5 millions de pratiquants en France si l’on se fie à une étude réalisée en 2011, un budget fédéral en constante augmentation, des équipes nationales qui se sont qualifiées pour les deux derniers Jeux Olympiques, une troisième place au ranking mondial derrière les Etats-Unis et l’Espagne, une relève assurée avec les doublés européens, garçons et filles, réalisés par les U18 en 2016 et les U16 en 2017, une douzaine de NBAers. Si ses clubs étaient compétitifs au niveau européen et la balle orange présente sur les chaînes en clair, tout serait de couleur rose.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nEt pourtant, à la base, le danger existe d’un surplace ou même d’une régression. L’Etat se montre moins généreux et donc les dotations publiques sont en baisse tout comme le nombre d’emplois aidés. Et puis les mœurs évoluent vers davantage de « à la carte ».\\n\\n« On parle de l’ubérisation du sport. C’est-à-dire chercher à consommer une pratique sportive sans contrainte. On s’aperçoit dans les clubs que certains prennent des licences sans s’entraîner et refusent les compétitions du week-end. Nous comme d’autres devons être présents sur cette évolution, » analyse le président de la FFBB, Jean-Pierre Siutat. « On pourrait gérer cette décroissante en se disant que ce qui se passe n’est plus tellement de notre ressort. Je pense que la mission d’une fédération comme la nôtre surtout avec une deuxième discipline olympique, est de prendre les devants et de tenter quelque chose. »\\n\\nLa FFBB a un plan sur lequel elle travaille depuis septembre 2017 sachant qu’il y a eu deux facteurs déclenchants : l’attribution à Paris des Jeux Olympiques de 2024 et l’apparition du 3×3 à ceux de Tokyo en 2020.\\n\\n« On est persuadé que le 3×3 va avoir une progression fulgurante. C’est un jeu simple qui nécessite peu de place et peu de moyens. Cela fonctionne très bien en milieu urbain mais aussi en milieu rural quand on a très peu de jeunes et où c’est plus facile de mettre sur pieds des équipes de 3×3, » estime Jean-Pierre Siutat.\\n\\nLe vivier paraît très important mais encore insuffisamment exploité. Une enquête menée conjointement par MKTG et la FFBB démontre que près de la moitié des licenciés ne sait pas que le 3×3 est devenu discipline olympique et 42% ignorent jusqu’à l’existence de tournois spécifiques. Il faut dire que seulement 6% des clubs proposent la pratique du 3×3, notamment en raison du manque de créneaux horaires nécessaires et d’encadrants.\\n\\nUn Roland-Garros du 3×3 à Paris ?\\n\\nDonc, la FFBB a un plan, qui s’articule autour du 3×3 et du « Vivre Ensemble » et de ses quelques 4 500 clubs appelés à devenir 3.0 afin de moderniser les offres.\\n\\nLe Vivre Ensemble, c’est donc le basket à la carte, protéiforme.\\n\\n« L’objectif est de trouver des solutions pour que les gens qui ne font pas de compétition puisse vivre la vie du club à travers leur propre famille. On a souhaité créer ces offres sous un chapeau Vivre Ensemble : le basket santé, le basket entreprise, le basketonik, le basket inclusif. Il existe la possibilité de mettre sur le même terrains des gens valides et des handicapés pour partager ensemble une forme de compétition. Avec notre partenaire GRDF, nous accueillons dans des Centres Génération Basket des jeunes non licenciés pour leur proposer des offres de pratique de basket, et aussi le basket pénitentiaire. L’idée c’est que l’on puisse au sein d’un club avoir une grand-mère de 80 ans qui vienne pratiquer un peu de bien-être, de basket santé, qui amènera peut-être sa petite fille qui est handicapée et qui ne peut pas aujourd’hui pratiquer du basket traditionnel. Et son petit-fils qui a 14 ans, qui fait deux mètres, et qui sera peut-être demain le futur pivot de l’équipe de France et qui aura lui une trajectoire traditionnel au sein du 5×5. »\\n\\n\\n\\n\\n#FFBB2024 : le Basket pour tous, proche de tous et à la portée de chacun et chacune. pic.twitter.com/3vrGut7cCr\\n\\n\\n— Fédération Française de BasketBall (@ffbasketball) June 11, 2018\\n\\nLe 3×3 va lui se développer autour de deux axes :\\n\\n-Un championnat de clubs à partir de novembre prochain pour ce qui est du niveau départemental. Le niveau interdépartemental sera intégré en 2019-20, le Régional la saison suivante et le National en 2021-22. A terme, il fonctionnera sous le même format que le championnat 5×5 traditionnel selon un système de montées et de descentes.\\n\\n-Les Tournois de la SuperLeague avec trois niveaux : Open Start, Open Plus au nombre de 20 à 30, hommes et femmes, réservé à des joueurs expérimentés et en haut de la pyramide Open de France, qui cette année va se tenir fin juillet à Toulouse.\\n\\n« Aujourd’hui on organise 800 tournois par an de 3×3. C’est à comparer aux 700 000 matches de 5×5 organisés tous les ans par la FFBB. L’objectif est de passer à 10 000 tournois, d’occuper le monde rural, les écoles et surtout le monde urbain. On peut imaginer à terme une offre quasi quotidienne de tournois Open Start sur les grandes villes. »\\n\\nAutre idée de Jean-Pierre Siutat qui l’a évoquée avec Tony Estanguet, le président du Comité d’Organisation des JO de 2024:\\n\\n« On imagine à Paris un événement récurrent à partir de 2020-21, une sorte de Roland-Garros du basket 3×3 sur un lieu emblématique, ce qui nous permettrait de monter en puissance jusqu’aux Jeux Olympiques. »\\n\\nPoint important : Souhaitant être en phase avec une pratique qui se veut moderne, libre et sans contrainte, la FFBB prévoit la mise en service d’une application spécialement dédiée au 3×3 pour l’ensemble des pratiquants, licenciés et non licenciés. Elle permettra la géolocalisation des pratiquants, d’aider les utilisateurs à trouver un playground à proximité de chez eux, de trouver des informations sur le 3X3 : l’actualité de la Superleague, le ranking et le classement des championnats.\\n\\nUne douzaine de sociétés a répondu à l’appel d’offre et la FFBB est persuadé que c’est un moyen de fédérer des gens qui ne sont pas licenciés.\\n\\nObjectif : se qualifier pour les JO de Tokyo\\n\\nComment faire sur le plan logistique puisque les 6 à 7 000 gymnases occupés par le basket tout au long de l’année sont saturés ? L’idée est de réutiliser la dizaine de milliers de terrains en plein air avec pour certains la possibilité de les couvrir par des techniques simples et esthétiques.\\n\\n« Un gymnase traditionnel coute environ 3M€. Un gymnase construit par notre partenaire SMC2, c’est fait en trois mois et ça coûte 700 000 euros. On imagine pour ça de créer un fond de dotation fédérale qui permettra entre la FFBB, les pouvoirs publics et certains mécènes de pouvoir financer la rénovation de ces terrains. On imagine aussi être présents sur les métropoles à travers des plates-formes commerciales comme la hoop factory. On imagine le développement du 3×3 comme le tennis où les joueurs/joueuses de club peuvent s’engager dans les tournois. »\\n\\nUn pôle 3×3 a été créé à la FFBB avec l’ancienne internationale Nathalie Lesdema, vice présidente de la FFBB, en charge de ce dossier. Six personnes, trois garçons et trois filles, vont être embauchés cet été pour travailler sur le développement de ces pratiques. La Fédération souhaite d’ici 3-4 ans avoir une escouade d’une vingtaine de développeurs qui vont permettre de bouger les lignes. Une marque de ballon différente de celle du 5×5 a déjà signé un partenariat avec elle.\\n\\nIl y a aussi les structures territoriales, ligues et comités, les clubs.\\n\\n« Certains clubs sont évidemment réticents mais beaucoup sont très motivés pour développer les offres de 3×3. On pense à travers ça créer une employabilité de 500 à 1000 personnes. A partir d’octobre, la fédération va pouvoir affilier directement des clubs de 3×3. Un club de 3×3 pourra être un simple organisateur de tournois 3×3. »\\n\\nEn bout de chaîne, il y a évidemment l’ambition de rendre les deux équipes de France compétitives pour les Jeux de Tokyo et davantage encore ceux de Paris.\\n\\n« Le ranking de chaque nation est calculé par le total des 100 meilleurs joueurs et joueuses. L’intérêt est donc qu’il y ait un maximum de joueurs d’un certain niveau qui participent à des tournois d’un certain niveau. Plus on organisera de tournois en France et plus on aura de chance de gravir des échelons. On a l’objectif d’organiser un circuit pro. Des équipes à Bordeaux, Lyon, par exemple, avec des joueurs qui seraient rémunérés en ayant fait le choix du 3×3, et qui s’engagerait en plus dans des tournois à l’étranger. Notre objectif est de nous qualifier pour les JO de 2020, filles et garçons. Toutes les nations se posent des questions sur la façon d’organiser leur préparation. Ce n’est pas simple de récupérer des joueurs qui sont pour l’instant sur du 5×5 et les faire basculer sur du 3×3. Mais même si on est qualifiés d’office en 2024, on sera prêt pour les prochaines échéances. »\\n\\nCe sont des nouvelles compétitions, de nouvelles règles, de nouveaux codes, que le pratiquant comme le fan vont devoir assimiler.\\n\\n[armelse]\\nEt pourtant, à la base, le danger existe d’un surplace ou même d’une régression. L’Etat se montre moins généreux et donc les dotations publiques sont en baisse tout comme le nombre d’emplois aidés. Et puis les mœurs évoluent vers davantage de « à la carte ».\\n\\n« On parle de l’ubérisation du sport. C’est-à-dire chercher à consommer une pratique sportive sans contrainte. On s’aperçoit dans les clubs que certains prennent des licences sans s’entraîner et refusent les compétitions du week-end. Nous comme d’autres devons être présents sur cette évolution, » analyse le président de la FFBB, Jean-Pierre Siutat. « On pourrait gérer cette décroissante en se disant que ce qui se passe n’est plus tellement de notre ressort. Je pense que la mission d’une fédération comme la nôtre surtout avec une deuxième discipline olympique, est de prendre les devants et de tenter quelque chose. »\\n\\nLa FFBB a un plan sur lequel elle travaille depuis septembre 2017 sachant qu’il y a eu deux facteurs déclenchants : l’attribution à Paris des Jeux Olympiques de 2024 et l’apparition du 3×3 à ceux de Tokyo en 2020.\\n\\n« On est persuadé que le 3×3 va avoir une progression fulgurante. C’est un jeu simple qui nécessite peu de place et peu de moyens. Cela fonctionne très bien en milieu urbain mais aussi en milieu rural quand on a très peu de jeunes et où c’est plus facile de mettre sur pieds des équipes de 3×3, » estime Jean-Pierre Siutat.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: FIBA et FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Sarunas Jasikevicius prolonge au Zalgiris Kaunas"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chef d’orchestre de la saison historique du Zalgiris Kaunas, Sarunas Jasikevicus faisait partie des priorités du club et c’est aujourd’hui officiel, il prolonge son contrat.\\n\\nSur son site, le club lituanien déclare que l’ancien joueur sera de nouveau sur le banc de Kaunas pour au moins une saison après une longue hésitation. Entraîneur principal du Zalgiris depuis 2016, l’ancien meneur du Panathinaïkos avait reçu une proposition pour être assistant coach des Toronto Raptors mais il a finalement résisté à la tentation. Les rumeurs laissaient également entendre qu’il était sollicité par le FC Barcelone.\\n\\nSuite à sa prolongation, Sarunas Jasikevicius a rappelé qu’il est à la maison à Kaunas.\\n\\n« Kaunas et Zalgiris ont les meilleures conditions pour se développer en tant qu’entraîneur. C’est ma maison, ma ville natale, ma famille est ici, je me sens respecté et aimé. Nous avons une magnifique salle, de superbes infrastructures, un magnifique public, donc avec la direction du club et les entraîneurs nous avons décidé de continuer. »\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Billet: Le Mans ou la fin des contes de fée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BasketEurope vous propose cet été de lire ou de relire les meilleurs articles PREMIUM de la saison 2017-18.\\n\\nC’était écrit que cela devait aboutir cette fois-ci. Trois fois numéro 1 de la saison régulière, trois fois vainqueur de la Leaders Cup, deux fois présente au Final Four de la Basketball Champions League, mais deux fois éliminée en playoffs par Villeurbanne, l’AS Monaco allait forcément au troisième essai soulever le trophée de champion de France suite à une finale à rebondissements face au Mans Sarthe Basket. La Principauté Monégasque et son Prince Albert s’apprêtaient à fêter le premier titre de l’ASM qui était déjà finaliste en 1949 contre l’ASVEL mais qui fut longtemps laissée à l’abandon dans les divisions inférieures.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nCe succès pensions nous était celui d’un modèle économique singulier puisque l’AS Monaco est montée en puissance grâce au financement du banquier ukrainien Sergey Dyadechko, 43 ans, un mécène qui fut auparavant celui du BC Donetsk, et qui a pris la présidence du club de la Principauté en 2013 et avec la bénédiction du gouvernement princier. Dyadechko est un vrai passionné qui semble éprouver beaucoup de plaisir à être proche de son équipe. Il est venu faire son petit discours dans le vestiaire juste avant le cinquième match. Deuxième grande première dans le basket professionnel français, clé du succès pensions nous, c’est avec un management étranger que le club a bâti sa stratégie sportive avec comme Directeur Exécutif un autre Ukrainien, Oleksiy Yefimov, 32 ans, et comme coach un Monténégrin Zvezdan Mitrovic reconnu par ses pairs et les médias Coach de l’Année 2017 et 2018. Aucun de ces trois-là ne s’exprime en français.\\n\\nOn s’apprêtait à écrire que ce triomphe de l’AS Monaco laisserait un goût étrange dans la bouche car le club ne dispose pas des mêmes contraintes fiscales que ceux de l’Hexagone et il est à l’inverse très loin de bénéficier d’un engouement populaire équivalent à ceux de Limoges, Strasbourg ou du Mans lequel a battu tous ses records d’affluence lors de ces playoffs. Mais pour passer en cinq saisons de la Nationale 2 au, croyions-nous, trophée de champion de France, le staff monégasque a également fait preuve de discernement dans son recrutement et Coach Z a su exploiter à merveille des joueurs comme Georgi Joseph et Ali Traore qui étaient plus ou moins mis au rebus de la Jeep Elite.\\n\\nL’intensité mise par la Roca Team notamment en défense a impressionné chacun de ses adversaires. Elle a aussi provoqué quelques polémiques car les Monégasques se sont souvent retrouvés à la limite de l’antijeu et paradoxalement ce sont eux qui se sont plaints de l’arbitrage. Estimant que ses joueurs étaient souvent injustement sanctionnés par les arbitres, Zvezdan Mitrovic a créé dans l’équipe une sorte de paranoïa, un sentiment de « c’est nous contre le reste du monde » ou peut-être encore plus de « c’est nous contre les clubs français » qui a probablement actionné certains ressorts psychologiques et qui aurait pu être gagnant.\\n\\nL’implacable suprématie des capitales\\n\\nEn présentant leur corps pour arrêter le rouleau compresseur monégasque, les Manceaux ont à la fois accompli un exploit sportif et financier. La masse salariale du MSB était très inférieure à celle de la Roca Team. Il a fallu un sacré flair pour assembler un tel attelage de joueurs talentueux, plusieurs trentenaires expérimentés, des hommes de caractère. Le Mans a réussi exactement la même performance que Chalon l’an dernier qui s’était appuyé sur un trio exceptionnel qu’il n’a pu ensuite financièrement conservé. La troupe d’Eric Bartecheky -dont chacun fait à retardement le coach de l’année- a réussi à culbuter successivement les trois plus gros budgets de la Jeep Elite, Villeurbanne, Strasbourg et Monaco. Leur victoire lors du Match 2 à Villeurbanne a changé la donne. Sans elle il n’y aurait pas eu cette success story et peut-être pas de Coupe d’Europe comme récompense.\\n\\nDéjà quatre fois couronné auparavant, le club de la Sarthe qui est parfaitement géré -Christophe Le Bouille mériterait le trophée de LNB Executive of the Year s’il existait- et qui prospère dans un environnement à la forte culture basket, savoure. Il sait parfaitement qu’un tel triomphe ne se reproduira peut-être pas de sitôt. Qu’il était plus facile de s’imposer en 2006 à Nancy -un club du même calibre- sur un seul match et sur terrain neutre que dans un format 3-5-5 qui favorise les équipes au banc les plus larges et donc les clubs les plus riches.\\n\\nJusqu’à présent Monaco et Strasbourg ont flanché dans la ligne droite par manque de maîtrise émotionnelle alors que si Villeurbanne a enrichi récemment sa vitrine de deux trophées de champion (2009 et 2016), elle manque totalement de constance et donne souvent l’impression d’un gâchis. Seulement, alors que le MSB envisage un budget d’un peu plus de 6M€ la saison prochaine, ces trois-là possèdent un potentiel très supérieur. Monaco bénéficie donc d’un mécène et de l’apport du gouvernement princier. Lyon est la deuxième ville de France et Tony Parker est un étendard unique. D’ailleurs l’ASVEL va rejoindre l’Euroleague pour la saison 2019-20, ce qui va augmenter sa voilure. Que l’on soit favorable ou non au principe qui favorise l’économie au sportif, c’est incontestablement le sens de l’histoire. Strasbourg est la « capitale de l’Europe » et possède un vrai et beau projet bâti autour de la transformation du Rhénus en Arena. Par ailleurs, des ambitions s’affirment à Paris avec le rapprochement entre Levallois et Boulogne et la prise en main du Paris Basket Avenir par un investisseur américain. En attendant peut-être que le projet du Tremblay passe au concret. Personne ne résistera à un club dans la capitale s’il est bien managé.\\n\\nLorsque ceux-là -et on peut le croire- auront un budget deux fois supérieur à ceux du Mans, de Chalon et des autres, il n’y aura plus de cendrillon. Une vue de l’esprit ? Il suffit de constater ce qui se passe en Espagne, Grèce, en Turquie ou en VTB League pour en être convaincu*. On le prévoyait déjà il y a vingt-cinq ans mais l’échéance parait désormais à l’horizon: les villes moyennes vont céder leurs places aux grandes villes. Les contes de fée ne sont pas fait pour durer.\\n\\n*En Espagne, le Real Madrid et le FC Barcelone se sont partagés 8 des 10 derniers titres. Le dernier petit poucet à avoir été champion est Manresa il y a vingt ans. En Grèce, le Panathinaikos et l’Olympiakos ont tout gagné depuis 1993 sauf en 2002 quand le titre est revenu à l’AEK, un autre club d’Athènes. En Turquie, la saison 2014-15 a été l’occasion d’un évènement avec l’avènement du Pinat Karsiyaka, un club basé à Izmir. C’est l’unique fois dans les années 2000 où le titre a échappé à un club d’Istanbul. Depuis la création de la VTB League, le CSKA Moscou a raflé neuf titres de champion et en a laissé un seul au Khimki, lui aussi un club de Moscou.\\n\\n[armelse]\\n\\nCe succès pensions nous était celui d’un modèle économique singulier puisque l’AS Monaco est montée en puissance grâce au financement du banquier ukrainien Sergey Dyadechko, 43 ans, un mécène qui fut auparavant celui du BC Donetsk, et qui a pris la présidence du club de la Principauté en 2013 et avec la bénédiction du gouvernement princier. Dyadechko est un vrai passionné qui semble éprouver beaucoup de plaisir à être proche de son équipe. Il est venu faire son petit discours dans le vestiaire juste avant le cinquième match. Deuxième grande première dans le basket professionnel français, clé du succès pensions nous, c’est avec un management étranger que le club a bâti sa stratégie sportive avec comme Directeur Exécutif un autre Ukrainien, Oleksiy Yefimov, 32 ans, et comme coach un Monténégrin Zvezdan Mitrovic reconnu par ses pairs et les médias Coach de l’Année 2017 et 2018. Aucun de ces trois-là ne s’exprime en français.\\n\\nOn s’apprêtait à écrire que ce triomphe de l’AS Monaco laisserait un goût étrange dans la bouche car le club ne dispose pas des mêmes contraintes fiscales que ceux de l’Hexagone et il est à l’inverse très loin de bénéficier d’un engouement populaire équivalent à ceux de Limoges, Strasbourg ou du Mans lequel a battu tous ses records d’affluence lors de ces playoffs. Mais pour passer en cinq saisons de la Nationale 2 au, croyions-nous, trophée de champion de France, le staff monégasque a également fait preuve de discernement dans son recrutement et Coach Z a su exploiter à merveille des joueurs comme Georgi Joseph et Ali Traore qui étaient plus ou moins mis au rebus de la Jeep Elite.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Antoine Eito LNB/Lecoq"
}, 
{"role": "user",     "content":"Blois : la réaction de la FFBB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Fédération a réagi aux sorties du staff dirigeant de Blois et au communiqué publié par le club le 25 juin dernier via un communiqué dont voici la teneur\\n\\nLes règlements particuliers de la LNB indiquent qu’un club de Pro B ne peut accéder en Jeep® ELITE que s’il possède un centre de formation agréé ; cette disposition permet notamment à un club professionnel de participer à l’effort collectif de formation de jeunes talents.\\n\\nParmi les conditions d’obtention de l’agrément, le club de Pro B doit engager, en début de saison, une équipe en division Nationale 3 masculine, composée d’une majorité de jeunes joueurs, sous convention de formation, conformément à la réglementation applicable aux centres de formation agréés (article 3 des règlements sportifs particuliers NM3) plus une équipe U18 en championnat de France Elite.\\n\\nLe rôle de la FFBB est d’instruire la demande d’agrément, au sein de la Commission d’agrément, composée de représentants du Ministère des Sports et de la FFBB. Cette commission constate un service fait en fin de saison. Sur la base de ce constat, elle attribue ou retire l’agrément à un club professionnel, masculin ou féminin ; à titre d’exemple, le club de Tarbes (LFB) s’est vu retirer son agrément en fin de saison.\\n\\nLors de la saison 2017-2018, le club de Blois n’ayant ni équipe Espoir engagée en Nationale 3, ni jeune sous convention de formation, ni équipe U18, ne respectait pas les conditions d’obtention d’un agrément.\\n\\nMalgré cela, à la demande du club le 15 avril dernier, des représentants de la Commission d’agrément ont effectué une visite du club de Blois le 4 mai dernier, concluant un rapport délivré au Ministère qui décidera, le 6 juin, de ne pas agréer le centre de formation. Cette décision a été notifiée au club de Blois et à la LNB.\\n\\nPour la saison 2018-2019, le dernier Comité Directeur Fédéral a décidé d’augmenter de 48 à 60 le nombre d’équipes en U18 Elite, permettant ainsi à un club de Pro B, comme Blois, de bénéficier d’une place et de respecter une des conditions d’obtention de son agrément à compter de la saison 2018-2019. La FFBB a promis également de faciliter l’obtention d’une place en NM3 pour Blois dans le cadre d’une nouvelle procédure d’agrément.\\n\\nLa FFBB comprend la frustration ressentie par le club, ses partenaires et supporters ; il doit néanmoins respecter les procédures et règlements validés indifféremment par la fédération ou la LNB.\\n\\nAccusé par le président Paul Seignolle d’avoir envoyé un courrier à tous les présidents de Pro B pour encourager à ce que le règlement soit respecté, le président du club voisin d’Orléans a également réagi par voie de presse, répondant d’abord qu’il était « ubuesque qu’un club champion ne puisse pas monter » mais que Blois devait également respecter le règlement.\\n\\nEnfin, l’argument de la dérogation reçue par Monaco lors de sa montée en Jeep ELITE est également souvent avancé par l’ADA Blois. Pour rappel, comme expliqué dans notre dossier paru le 12 mai dernier sur la question, le club monégasque ne dépend pas du Ministère des Sports français et pour cause, il n’évolue pas sur son territoire comme l’avait expliqué Yann Boisson, Manager Général du club."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Luigi Datome élu président du syndicat des joueurs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour la première fois de son histoire, l’Euroleague a lancé le syndicat des joueurs de la compétition reine en Europe.\\n\\nA sa tête, Luigi Datome. L’international italien a été élu président de ce syndicat pour les trois prochaines saisons. A ses côtés, Kyle Hines, Derrick Brown, Marcelinho Huertas et Tornike Shengelia sont ses trois vice-présidents pour un mandat de deux ans.\\n\\nLuigi Datome s’est montré honoré d’endosser ce rôle.\\n\\n« Je suis très content et honoré de devenir le président de l’ELPA et je voudrais remercier les gars qui m’ont élus. Cette réunion a été très productive, nous avons eu beaucoup d’idées pour avoir de meilleures saisons et de meilleures carrières. Nous voulons nous aider, nous voulons être unis derrière une voix commune donc beaucoup de bonnes choses vont se passer. Je suis très fier de faire partie de cela. »\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : le Maccabi offrirait 1,7 million à Mike James"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Revenu en Europe après avoir démarré la saison en NBA du côté de Phoenix, puis New Orleans, Mike James est courtisé par plusieurs grands d’Europe pour la rentrée prochaine.\\n\\nAlors que Milan lui aurait proposé un contrat de 6,2 millions d’euros sur trois ans, le Panathinaïkos n’aurait pas fait d’offre au natif de Portland. Seulement, selon Sport5.co, le Maccabi Tel Aviv serait entré dans la danse pour s’offrir les services de l’ancien joueur de Vitoria. Le champion d’Euroleague 2014 aurait proposé 1,7 million par saison à l’ancien joueur de Zagreb.\\n\\nCette saison, Mike James a compilé en moyenne 14,8 points, 2,6 rebonds et 3,7 passes décisives entre le championnat grec et l’Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Isaïa Cordinier de retour à Antibes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Gêné par son genou depuis de longs mois, Isaïa Cordinier (1,96m, 21 ans) a consacré l’exercice 2017/18 à son corps, mais il est temps pour lui de faire son retour aux affaires.\\n\\nSur son site, Antibes a annoncé la signature du natif de Créteil pour la saison 2018/19. Formé aux Sharks, il a ensuite fait ses armes en Pro B entre Evreux et Denain de 2014 à 2016 avant d’être drafté par les le 23 juin 2016 par les Atlanta Hawks. Pas encore assez mur pour le jeu NBA, il avait décidé de revenir à Antibes à la rentré 2016.\\n\\nEn 2016/17, Isaïa Cordinier compilait en moyenne 6,5 points, 2,8 rebonds et 1,9 passe décisive pour une évaluation de 6,1 sous le maillot des Sharks.\\n\\nPhoto : Antibes Sharks"
}, 
{"role": "user",     "content":"Après une saison au Zalgiris Kaunas, Axel Toupane cherche à retourner en NBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison pleinement réussie au Zalgiris Kaunas (troisième du Final Four de l’Euroleague avec 6,9 points en 15′ de moyenne et champion de Lituanie), Axel Toupane (2,01m, 25 ans) cherche à retourner en NBA.\\n\\nSelon Yahoo! Sports, l’international français effectue cette semaine des essais privés avec plusieurs franchises. Axel Toupane a déjà joué un total de 25 matches dans la ligue américaine à Denver, Milwaukee et New Orleans en 2017 pour 3,5 points en 14′.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Finaliste de l’Eurocup en 2011, Arras est relégué en Régionale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Commission de Contrôle de Gestion (CCG) de la FFBB a statué sur les clubs engagés en championnats LFB/LF2/NM1 2017/18 et/ou sportivement qualifiés pour ces compétitions au terme de la saison. Conformément aux dispositions des Règlements Sportifs Particuliers NM3 et NF2, elle s’est également prononcée sur les clubs sportivement accédant en championnats NM2/NF1 au terme de la saison 2017/18. Elle par ailleurs statué sur l’engagement des clubs faisant l’objet d’une procédure collective (art 704.4 des RG FFBB).\\n\\nA l’exception des clubs accédant en NM2/NF1, la Commission de Contrôle de Gestion a auditionné l’ensemble des clubs une ou deux fois (délibéré) lors de ses séances.\\n\\nOn remarque qu’Arras finaliste de l’Eurocup en 2011 est relégué en Régionale.\\n\\nLe club a toutefois voulu se montrer rassurant sur sa page facebook:\\n\\n« Chers supporters,\\nNous avons reçu de nombreux messages concernant cet article de la fédération.\\nIl n y a pas d inquiétude a avoir. Ce document concerne la première décision de la DNCG qui a eu lieu en mai.( dont le résultat vous avez été communique ce week end)\\nNous avons , comme indiqué dans la Voix du Nord dimanche, effectue un appel dont l audition s est passe le 21 juin ( donc très longtemps après cet article) . Cette audition a été très positive et nous attendons la réception du document de la chambre d appel pour officialiser notre maintien en NF1.\\nNous vous informerons des la réception de ce document. »\\n\\nEngagement en LFB 2018/19 :\\n\\nRoche Vendée BC, Nantes Rezé Basket, ESB Villeneuve d’Ascq, Flammes Carolo Basket, Lyon ASVEL Féminin, USO Mondeville Basket, St Amand Hainaut Basket, Basket Landes, Tarbes Gespe Bigorre, BL Montpellier, Bourges Basket, Landerneau Bretagne Basket.\\n\\nEngagement en LF2 2018/19 :\\n\\nCavigal Nice Basket 06, BC Saint-Paul Rezé, Angers UF Basket 49, Montbrison Féminins BC, Charnay Basket Bourgogne Sud, Toulouse Métropole Basket, COB Calais, Reims Basket Féminin, AB Chartres, CFBB, US La Glacerie, AS Aulnoye.\\n\\nRelégués en NF1 au terme de 2017/18 :\\n\\nArras Pays d’Artois BF : Rétrogradation en Ligue Régionale\\n\\nS. Illkirch Graffenstaden : Engagement NF1\\n\\nAccédant en PROB au terme de la saison 2018/19 :\\n\\nBC Gries Oberhoffen : Avis favorable accession PROB\\n\\nUB Chartres Métropole : Avis favorable accession PROB\\n\\nL’engagement en championnat PROB de ces équipes est soumis à la décision de la LNB."
}, 
{"role": "user",     "content":"Après le refus de la LNB de faire monter son club, Paul Seignolle, le président de Blois charge le club d’Orléans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ADA Blois a appris lundi que la Ligue Nationale de Basket lui interdisait la montée en Jeep Elite et le moins que l’on puisse dire est que le club est à la fois sous le choc et amer. Son président Paul Seignolle en veut notamment au club d’Orléans Loiret Basket qui a terminé troisième de la Pro B, comme le rapporte France Info Centre Val de Loire.\\n\\n« Je voudrais aussi en profiter pour remercier le club d’Orléans, qui, ayant perdu sportivement, a eu le plaisir d’envoyer un courrier à tous les présidents de Pro B pour que le règlement soit respecté. Je pense que c’est vraiment digne d’un grand club ! , a t-il ironisé. « Aujourd’hui, la suprématie, c’est que Blois est champion de France Pro B. Je regrette que l’attitude de notre club voisin en soit arrivé à ce niveau là.«\\n\\nLe club va porter l’affaire devant le CNOSF pour lui demander une conciliation et éventuellement devant les tribunaux. Il a reçu depuis l’annonce quantité de messages de soutien, de politiques comme de supporters. Une pétition a même été lancée sur internet."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les champions de France manceaux à la rencontre de leurs supporters"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion de France 2018, le MSB a rencontré hier ses supporters estimés à deux milliers sur La Place du Jet d’Eau dans le centre-ville. A cette occasion, le club a réalisé cette vidéo."
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg: Lauriane Dolt rempile pour deux ans comme assistante coach"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Etant une femme et qui plus est dans l’un des clubs majeurs du championnat et avec le coach des Bleus, Vincent Collet, comme mentor, Lauriane Dolt, 35 ans, est devenue l’un des personnages de la Jeep Elite. La SIG Strasbourg annonce qu’elle vient de resigner pour deux saisons comme assistante coach.\\n\\n« Arrivée à la SIG Strasbourg à l’âge de 16 ans comme joueuse puis comme entraîneur au sein du centre de formation, Lauriane Dolt a progressé au sein du club en passant par toutes les étapes du coaching. Championne de France Espoirs et élue meilleure coach des centres de formation en 2015, elle a intégré le staff de Vincent Collet depuis la saison 2016/17. »\\n\\nC’est elle qui est en charge de la vidéo pour l’équipe professionnelle.Photo: SIG"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le promu turc fait signer Kenny Gabriel, double champion de Grèce en titre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion de deuxième division turque, le Turk Telekom Ankara se fait remarquer depuis quelques jours.\\n\\nAprès avoir obtenu une invitation pour participer à l’Eurocup et avoir attiré dans ses rangs le deuxième meilleur scoreur espagnol de la saison, le club de la capitale turque a reçu l’accord d’un nouveau joueur. Kenny Gabriel, double champion de Grèce en titre et joueur référencé en Europe. Passé par le Maccabi Ashdod ou encore le Lokmotiv Kuban, il a déjà évolué en Turquie en 2014 et 2016, à Izmir. Depuis deux saisons, il jouait sous les couleurs du Panathinaïkos.\\n\\nCette saison, Kenny Gabriel compilait en moyenne 6 points et 3,8 rebonds en championnat, et 2,9 points et 2,4 rebonds pour une évaluation de 2,5 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"U18 féminine: Les 17 joueuses en vue d’un premier stage à Voiron"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FFBB a communiqué la liste des 17 joueuses U18 qui participeront à partir du 2 juillet à Voiron à la préparation au Championnat d’Europe qui se déroulera du 4 au 12 août à Udine, en Italie\\n\\nEntraîneur : Julien EGLOFF\\nAdjoints : David GAUTIER et Thomas GIORGUITTI\\n\\nPhoto: Océane Monpierre (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPrénom\\nNé le\\n\\nClub\\n\\n\\nDE FREITAS\\nMargot\\n02/04/2000\\n4 – 5\\nToulouse Métropole Basket\\n\\n\\nFOFANA\\nNabala\\n20/01/2000\\n5 – 4\\nCFBB (Paris Basket 18)\\n\\n\\nGERMOND\\nCaroline\\n16/05/2000\\n1\\nAngers – Union Féminine Basket 49\\n\\n\\nHIRIGOYEN\\nCamille\\n13/12/2000\\n4 – 5\\nUSO Mondeville Basket\\n\\n\\nJAKOVLJEVIC\\nHelene\\n05/10/2000\\n1\\nVilleneuve D’Ascq ESB\\n\\n\\nJEANNEAUX\\nRomane\\n16/05/2000\\n1\\nCFBB (Al Meyzieu)\\n\\n\\nMACQUET\\nSixtine\\n05/12/2000\\n5\\nCFBB (FC Lyon ASVEL Féminin)\\n\\n\\nMEHADJI\\nSirine\\n11/08/2000\\n5\\nBasket Landes\\n\\n\\nMIPOKA\\nAnne-Lise\\n15/08/2000\\n3 – 4\\nCercle Jean Mace Bourges B\\n\\n\\nMONPIERRE\\nOceane\\n31/10/2000\\n2 – 1\\nCercle Jean Mace Bourges B\\n\\n\\nNIANG\\nHaby\\n26/04/2000\\n5\\nFC Lyon ASVEL Féminin\\n\\n\\nOUATTARA\\nEmma\\n11/08/2000\\n2 – 3\\nUF Angers Basket 49\\n\\n\\nPEYREGNE\\nMathilde\\n04/05/2000\\n2\\nCercle Jean Mace Bourges B\\n\\n\\nPEYTOUR\\nEmma\\n11/08/2000\\n2 – 1\\nS.I. Graffenstaden\\n\\n\\nSAHUN\\nClarisse\\n20/04/2000\\n1\\nTarbes Gespe Bigorre\\n\\n\\nSALGUES\\nKenza\\n18/05/2000\\n2\\nCFBB (Basket Lattes Montpellier)\\n\\n\\nWOUTS\\nPaloma\\n08/02/2000\\n2 – 3\\nCFBB (BAC Vincennes)\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans: Le portrait des champions de France par le Directeur Sportif"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vincent Loriot, le directeur sportif du Mans Sarthe Basket revient pour BasketEurope sur la saison de chacun des champions de France. Des portraits à la fois sportifs et psychologiques qui permettent de mieux comprendre pourquoi et comment le MSB a pu supplanter tour à tour Villeurbanne, Strasbourg et Monaco.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nJustin Cobbs – 1,90m – 27 ans – Meneur – Américain\\n\\n36’, 14,5 points, 6,2 passes, 3,1 rebonds, 14,2 évaluation\\n\\n« Quelqu’un de fier avec beaucoup d’égo »\\n\\nLe ou un des deux, trois meilleurs joueurs en un-contre-un du championnat. Un joueur de duel, de défi. Quelqu’un de fier avec beaucoup d’égo, qui a su au fil de la saison se mettre au service quand il le fallait de ses coéquipiers et admettre que pour gagner, il fallait jouer ensemble. C’est quelqu’un qui a une grosse personnalité, qui en fait parfois qu’à sa tête mais qui au fur et à mesure de la saison et surtout en playoffs a trouvé le bon mariage entre assumer ses responsabilités individuelles pour lesquelles il avait été recruté et aussi se mettre à disposition du joueur en forme du moment. Ce qui a permis à notre équipe d’avoir un côté un peu protéiforme. Justin est aussi charmant hors terrain qu’il peut être provocateur sur le parquet et à chercher le duel.\\n\\nRomeo Travis – 1,98m – Intérieur- 33 ans – Américano-Macédonien\\n\\n30’, 11,7 points, 4,8 rebonds, 2,5 passes, 13,1 évaluation\\n\\n« C’est quelqu’un qui se nourrit, non pas du conflit mais de l’opposition »\\n\\nC’est le chef de gang. C’est quelqu’un qui se nourrit, non pas du conflit mais de l’opposition, qui aime montrer qu’il est le patron surtout à son staff, au club, qu’il est là pour défendre la peau de sa meute. C’est un leader évident qui peut être parfois taquin, joueur quand il a décidé de ne pas mettre tout ce qu’il faut au quotidien mais qui à chaque fois que les matches importants arrivent, Leaders Cup ou playoffs, répond présent. C’est globalement la raison majeure pour laquelle on l’a recruté pour justement fédérer autour de lui un groupe, peu importe que ce soit parfois contre l’organisation ou le staff. On sait que c’est sa façon d’être et ce n’est pas du tout un problème car on sait aussi que c’est quelqu’un qui dans les occasions importantes est une locomotive. Et les gars suivent. Son amitié avec LeBron James assoit sans doute au sein du groupe sa légitimité et son autorité. Grâce aux réseaux sociaux, cela se sait qu’il a été son copain d’enfance. Cela lui procure une sorte de respect vis-à-vis de ses coéquipiers, de ses adversaires.\\n\\nChris Lofton – 1,88m – 32 ans – Arrière – Américain\\n\\n26’, 12,4 points (48% à trois-points), 2,6 rebonds, 12,5 évaluation\\n\\n« C’est sans doute le joueur le plus intelligent de l’équipe dans la connaissance du jeu »\\n\\nUn des plus professionnels de l’équipe. C’est quelqu’un qui est dans une routine quotidienne, il exécute en mode copyright en permanence. Il est froid, il n’a pas trop d’état d’âme même s’il a eu un épisode malheureux avec sa cheville. C’est quelqu’un qui a le bénéfice d’avoir vécu des situations où il était le go to guy donc il a une capacité à être imperméable aux événements qui l’entourent, ne pas subir la pression, à avoir évidemment des moments de grâce. Mais quand il n’est pas dans un grand jour, il ne prend pas ombrage de peu jouer, de ne pas être nourri. C’est pour moi quelqu’un qui est un joker fabuleux pour une grande équipe. Ce n’est pas qu’un shooteur c’est un scoreur qui peut émerveiller tout le monde et le jour où il est moins bien, il s’efface tout en produisant du jeu pour les autres. Il a eu un gros trou dans la saison de peut-être trois mois à cause d’une entorse à la cheville qui nous paraissait bénigne et qui l’était. En fait, Chris a eu dans sa carrière des soucis de santé (cancer des testicules, opération d’une hernie discale, au pied) et il peut très vite s’inquiéter de blessures, il est très à l’écoute de son corps. Cette épisode de la blessure à la cheville a été un moment un peu compliqué pour nous tous car on l’a perdu pendant quasiment trois mois. On avait quelqu’un en pleine perte de confiance et qui ne savait plus ce qu’il fallait faire, qui écouter. Il était un peu dans sa bulle fermé à tous. Et puis il est remonté grâce au staff, à ses coéquipiers et peut-être à lui -je n’en sais rien- en faisant un travail d’introspection. Quand on écoutait l’environnement du club, tout le monde se demandait pourquoi on avait le frère de Chris Lofton et pas celui que l’on avait connu il y a deux ans. Une mauvaise période et on est brûlé. C’est quelqu’un qui vit dans le groupe sans y être, à la marge, et forcément à un moment les gens l’ont pris en grippe. Nous, on le voyait bien à l’entraînement remonter, remonter, et on savait que Chris allait revenir. Il fallait être patient et aussi que le groupe soit plus à son service. C’est sans doute le joueur le plus intelligent de l’équipe dans la connaissance du jeu mais il a fallu qu’il se re-impose de nouveau au groupe.\\n\\nDJ Stephens – 1,95m – Ailier-Intérieur – 27 ans – Américain\\n\\n24’, 8,3 points, 5,2 rebonds, 10,3 évaluation\\n\\n« C’est un gagneur, un compétiteur, qui a horreur des choses mal exécutées, des échecs »\\n\\nIl a un peu raté ses playoffs et c’est un peu cruel car c’est lui qui a été de tous le plus au service du groupe. Il a eu un rôle ingrat toute l’année entre le poste 4 qu’Eric lui a confié à la base, en étant la rotation de Romeo Travis, non seulement le capitaine mais aussi le leader du groupe, et là c’était très compliqué et le poste 3. Il a fallu la blessure de Terry (Tarpey) pour que le staff l’utilise enfin sur le poste 3. Il a alors montré qu’il a une palette large surtout dans l’apport défensif. Il peut défendre du 1 au 4. Il peut tenir Gerald Robinson comme arrêter Trey Golden. Il est vu évidemment essentiellement pour ses exploits athlétiques, son côté showman, mais il a montré une adresse à trois-points qui nous a fait beaucoup de bien toute la saison et un sens du sacrifice pour l’équipe de la part d’un Américain apprécié et appréciable. Un symbole : il récupère le dernier ballon du match sur le tir raté de Lacombe, il le garde, tout le monde exulte, est fou de joie, c’est lui qui reste le plus serein et le premier geste qu’il a est de donner le ballon à Eric (Bartecheky). Ça symbolise pour moi ce côté « je pense au groupe. » Sur le terrain, c’est sans doute la plus mèche courte de tous mais il est très posé en dehors et sur le terrain, il peut revenir assez vite en mode tempéré. C’est un gagneur, un compétiteur, qui a horreur des choses mal exécutées, des échecs. C’est aussi le seul joueur de notre équipe qui demande à sortir quand il est fatigué. Il l’a fait quasiment à tous les matches.\\n\\nYoussoupha Fall – 2,21m – Pivot – 23 ans – Français\\n\\n18’, 7,6 points, 5,3 rebonds, 9,8 évaluation\\n\\n« Il joue presque comme si sa vie ou celle de ses proches en dépendait »\\n\\nC’est l’énorme surprise du championnat même si ses playoffs ont été globalement compliqués. Ça a été le joueur le plus important de notre équipe. Si demain on me dit de rebâtir d’une feuille blanche le MSB 2018-19, c’est lui que je prends. C’est quelqu’un qui change le match en attaque comme en défense tellement il polarise l’attention de l’équipe adverse. Il est intimidant. Après, ça reste un très jeune joueur qui n’a que deux années de professionnalisme derrière lui dont une seule en Jeep Elite. Il est donc extrêmement perfectible tant dans les fondamentaux offensifs que dans la connaissance du jeu. Il pourra devenir redoutable quand il aura gagné émotionnellement car c’est quelqu’un qui est à fleur de peau quand il joue. Il joue presque comme si sa vie ou celle de ses proches en dépendait. Il se met une pression énorme pour réussir. Il vit certaines décisions comme une injustice alors que c’est du jeu. Il oublie parfois le plaisir du jeu. C’est quelqu’un qui est amené à aller très haut car il a l’ambition de réussir et il y a très peu de spécimen physiques de sa taille avec une telle mobilité. Il y a encore beaucoup, beaucoup de choses à travailler mais il ne faut pas oublier qu’il a trois ans de moins que Moustapha Fall et je ne suis pas certain qu’il y a trois ans Moustapha Fall était à ce niveau-là. Il est encore forcément l’objet d’une curiosité en déplacement chez les gens qui ne sont pas basket, dans les aéroports, les gares, les rues, les hôtels, mais j’imagine que pour lui ce n’est absolument pas gênant. Il est habitué à ça depuis tellement d’années. Il sait bien qu’il est anormal et donc il intègre qu’aux yeux du commun des mortels, il est une espèce de phénomène. Il y a quelques réflexions de cour d’école mais honnêtement, ça va.\\n\\nMykal Riley – 1,96m – 32 ans – Arrière-ailier – Américain\\n\\n26’, 8,7 points, 2,7 rebonds, 8,5 évaluation\\n\\n« Nous, on a eu un mec adorable, attachant, sensible au quotidien »\\n\\nOn est content de le voir sorti d’une mauvaise passe puisque sa dernière année à Nanterre a été quand même abîmée. Il a fini avec une image de joueur dont les frasques extra-sportives lui coûtaient sa fin de carrière. Nous, on a eu un mec adorable, attachant, sensible au quotidien, j’ai envie de dire presque fragile, qui aime le jeu. C’est quelqu’un qui est touchant, qui est apprécié car profondément gentil et simple. Evidemment, il n’a plus ses jambes de trois-quatre ans, mais il en a encore à montrer. On souhaite tous qu’il se soit relancé chez nous. C’est son premier titre de champion de France en Jeep Elite. Il l’avait été en Pro B avec Nanterre. Il en est très fier.\\n\\nAntoine Eito – 1,86m – 30 ans – Meneur-Arrière – Français\\n\\n22’, 7,8 points (42% à trois-points), 2,5 passes, 7,5 évaluation\\n\\n« C’est un compétiteur, quelqu’un qui un peu comme Romeo aime le sang »\\n\\nC’est le personnage que tous les clubs adverses aiment à haïr. C’est quelqu’un qui ne peut absolument pas laisser insensible les gens qui le côtoient au quotidien et le suivent sur les terrains. C’est une personnalité exubérante, très fier avec un caractère marqué donc générateur d’étincelles mais on ne pourra jamais lui reprocher un manque d’engagement total quand il est sur le terrain. C’est un excellent energizer, qui apporte de la qualité à l’entraînement. Il ne triche pas. Il oblige les autres, surtout les vétérans, qui aimeraient prendre le quotidien de façon un peu léger, à se bouger. Même s’il pouvait être parfois électrique, ça a fait du bien à Justin de l’avoir en face de lui tous les jours. Antoine ne le lâchait pas et l’obligeait à se bouger. Ce n’est pas le plus simple du monde à gérer mais il est suffisamment direct dans ses rapports pour que ça soit une relation qui convienne. Il est plutôt bon shooteur mais Antoine a les défauts de ses qualités et sa générosité le pousse souvent à vouloir trop bien faire et donc à perdre dans l’efficacité dans sa sélection. C’est un compétiteur, quelqu’un qui un peu comme Romeo aime le sang, les matches couperet, sentir la pression, savoir qu’il est regardé, que la télé est là, que l’on parle de lui. Ça le transcende. Il se nourrit beaucoup de frustration, des injustices ou des supposés injustices dont il pense être la victime, pour montrer à tous qu’ils ont tort. Ce sont les médias qui en font notre porte-parole même si lui évidemment aime les médias.\\n\\nWilfried Yeguete – 2,00m – 26 ans – Intérieur – Français\\n\\n15’, 4,8 points, 3,7 rebonds, 5,5 évaluation\\n\\n« Ça n’a pas toujours été une saison facile pour lui mais il a su hausser son niveau de jeu sur les playoffs »\\n\\nIl a eu beaucoup de pépins physiques en cours d’année, ce qui ne lui a pas facilité la tâche en terme de positionnement. Surtout, lui et nous et encore moins lui que nous, imaginions que Youssoupha prendrait une telle ampleur et aussi rapidement. Nous, club, on avait fixé comme objectif à Eric (Bartecheky) de façon tacite de donner de l’espace à Youssoupha, à peu près 15 minutes par match. On ne voulait pas revivre une Erman Kunter bis. On le ressentait mais on n’était pas sûr et certain de l’impact que pourrait avoir Youssoupha dans notre équipe. Donc Wil avait a priori un rôle de starter, de pivot numéro 1 de l’équipe. Très vite, dès la pré-saison, on s’est tous rendu compte et Wil aussi que Youssoupha prendrait plus de place que ce que l’on avait imaginé. Cela a été très long pour Wil d’admettre qu’il serait plus backup que premier pivot de l’équipe. Ça n’a pas toujours été une saison facile pour lui mais il a su hausser son niveau de jeu sur les playoffs pour donner son énergie, sa hargne, tout ce qui est son fonds de commerce et la raison pour laquelle on l’a recruté il y a deux ans. Il s’est mis au diapason du reste de l’équipe. C’est quelqu’un qui a comme grande qualité d’être agréable au quotidien et d’être entraînable.\\n\\nYannis Morin – 2,08m – Intérieur – 24 ans – Français\\n\\n8’, 2,7 points, 1,8 rebond, 4,8 évaluation\\n\\n« Il a vraiment beaucoup appris en G-League en terme d’acceptation du rôle »\\n\\nOn ne pouvait pas mieux tomber au moment de la blessure de Wil puisque c’était globalement le seul JFL qui nous intéressait. On n’en voulait pas d’autre. Tout en ayant bien conscience que l’on ne savait pas trop où l’on mettait les pieds avec Yannis. C’est quelqu’un que l’on suivait depuis plusieurs années. On s’était posé la question de savoir s’il fallait faire le forcing pour l’avoir. On a récupéré un joueur beaucoup plus fort qu’il n’était en France qui immédiatement s’est mis dans le moule de l’équipe. En quatre ou cinq jours, on avait l’impression qu’il était avec nous depuis le début. Il a été très vite pris par les joueurs sous leurs ailes. Ça n’a été que du positif. C’est quelqu’un qui est plus costaud qu’avant, qui est un vrai 5 mobile, bon défenseur, long, intimidant et qui globalement n’a jamais maugréé quand il n’était pas utilisé alors qu’il était le troisième pivot de l’équipe, le cinquième intérieur. Il a vraiment beaucoup appris en G-League en terme d’acceptation du rôle, de jouer sur de courtes périodes mais de les jouer le mieux possible sur un plan mental, de ne pas se frustrer. Je suis très content pour lui parce que alors qu’il était référencé comme joueur oublié ou de Pro B, son passage chez nous va lui permettre au moins de faire carrière en Jeep Elite de façon garantie. Je suis très content qu’il ait montré sur le dernier match de la finale cette force de caractère en ayant si peu joué auparavant. Il est resté concentré, prêt à venir en action immédiate s’il était sollicité. C’est tellement dur que je lui tire un grand coup de chapeau. Je pense qu’il y a beaucoup de joueurs qui à sa place auraient lâché l’affaire.\\n\\nTerry Tarpey – 1,95m – 24 ans – Arrière-ailier – Français (non JFL)\\n\\nN’a pas joué\\n\\n« Un mec exceptionnel humainement, un joueur en très grand devenir »\\n\\nC’est la super surprise de l’année, l’énorme satisfaction. Ça nous a fait mal au cœur sa blessure, on a craint le pire à Pau (NDLR : finalement, celle-ci a été moins grave que prévu ; il s’agissait d’une entorse du genou). Il est tellement fort des membres inférieurs que ça n’a pas pété alors que ça aurait pu être une catastrophe. On a fait tous les tests, il a encore à récupérer mais à la rentrée, il sera totalement opérationnel. C’est un joueur qui a un sens du dévouement, du collectif, d’engagement, d’énergie, de sacrifice exceptionnel. C’était notre liant exceptionnel. Un mec exceptionnel humainement, un joueur en très grand devenir. C’est peut-être la plus grosse satisfaction de l’intersaison, la plus belle recrue du club au présent et pour son avenir. Il n’a qu’un défaut : il est timide et il a du mal à se mettre au français. Le jour où il s’y mettra, il aura la côte d’amour. Et pour moi il est promis à terme à l’Europe et à l’équipe de France surtout avec les fenêtres internationales. Il n’a que 24 ans, ce n’est que sa deuxième année pro, sa première année en Jeep Elite et dans un registre un peu différent, il n’y aura pas un monde avec un Paul Lacombe. C’est un porteur d’eau de luxe.\\n\\nPape Philippe Amagou – 1,85m – Arrière – Français\\n\\nN’a pas joué\\n\\n« Malgré des moments difficiles sur le moral, il n’a pas lâché »\\n\\nC’est le grand absent de la saison puisque sa blessure date de novembre. Je suis très content qu’il ait démarré sa carrière pro par un titre chez nous en gamin et qu’il la termine chez nous. C’est quelqu’un qui a eu une force de caractère incroyable. Pendant longtemps il n’a pas accepté de se faire opérer (NDLR : hernie discale). Et puis l’opération n’a pas été teintée du succès escompté. Il est en souffrance depuis. Malgré des moments difficiles sur le moral, il n’a pas lâché et il a tenu à être jusqu’au bout en tenue avec les gars sachant très bien qu’il ne pouvait pas rendre service. Je pense que les gars le lui ont bien rendu. Ils l’ont toujours considéré comme leur co-capitaine, comme le sage. Sa carrière est sans doute terminée.\\n\\nMathieu Nzita et Junior Zero sont entrés une minute chacun.\\n\\nLes statistiques sont celles établies en playoffs.\\n\\n[armelse]\\n\\nJustin Cobbs – 1,90m – 27 ans – Meneur – Américain\\n\\n36’, 14,5 points, 6,2 passes, 3,1 rebonds, 14,2 évaluation\\n\\n« Quelqu’un de fier avec beaucoup d’égo »\\n\\nLe ou un des deux, trois meilleurs joueurs en un-contre-un du championnat. Un joueur de duel, de défi. Quelqu’un de fier avec beaucoup d’égo, qui a su au fil de la saison se mettre au service quand il le fallait de ses coéquipiers et admettre que pour gagner, il fallait jouer ensemble. C’est quelqu’un qui a une grosse personnalité, qui en fait parfois qu’à sa tête mais qui au fur et à mesure de la saison et surtout en playoffs a trouvé le bon mariage entre assumer ses responsabilités individuelles pour lesquelles il avait été recruté et aussi se mettre à disposition du joueur en forme du moment. Ce qui a permis à notre équipe d’avoir un côté un peu protéiforme. Justin est aussi charmant hors terrain qu’il peut être provocateur sur le parquet et à chercher le duel.\\n\\nRomeo Travis – 1,98m – Intérieur- 33 ans – Américano-Macédonien\\n\\n30’, 11,7 points, 4,8 rebonds, 2,5 passes, 13,1 évaluation\\n\\n« C’est quelqu’un qui se nourrit, non pas du conflit mais de l’opposition »\\n\\nC’est le chef de gang. C’est quelqu’un qui se nourrit, non pas du conflit mais de l’opposition, qui aime montrer qu’il est le patron surtout à son staff, au club, qu’il est là pour défendre la peau de sa meute. C’est un leader évident qui peut être parfois taquin, joueur quand il a décidé de ne pas mettre tout ce qu’il faut au quotidien mais qui à chaque fois que les matches importants arrivent, Leaders Cup ou playoffs, répond présent. C’est globalement la raison majeure pour laquelle on l’a recruté pour justement fédérer autour de lui un groupe, peu importe que ce soit parfois contre l’organisation ou le staff. On sait que c’est sa façon d’être et ce n’est pas du tout un problème car on sait aussi que c’est quelqu’un qui dans les occasions importantes est une locomotive.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: LNB/Bellenger-Lecoq"
}, 
{"role": "user",     "content":"Aaron Craft quitte Monaco pour rejoindre Buducnost Podgorica en Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Auteur d’excellents playoffs après avoir été élu Défenseur de l’Année en Jeep Elite, un trophée déjà obtenu en D-League et en Italie, le meneur américain de l’AS Monaco Aaron Craft (1,88m, 27 ans) a signé un contrat avec le club monténégrin de Buducnost.\\n\\nLe Buducnost Podgorica a mis définitivement son nom sur la carte du basket européen cette saison en remportant l’Adriatic League ce qui lui permet de disputer l’Euroleague lors de la saison 2018-19.\\n\\nPhoto: Hervé Bellenger/LNB\\n\\n\\n\\n\\nAaron Craft, defensive player of the year in France 17 18, and defensive player in Italy and NBADL, moved from As Monaco to Buducnost Voli, Montenegro! #BeoBasket\\n\\n\\n— Misko4Raznatovic (@MiskoRaznatovic) June 26, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Robert Arnold passe de Hyères-Toulon à Dijon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour la première fois en France cette saison du côté de Hyères-Toulon, Robert Arnold (1,98m, 29 ans) a attiré l’oeil de la JDA Dijon qui vient d’annoncer son arrivée pour la saison prochaine.\\n\\nLe club bourguignon complète son recrutement sur la ligne extérieure avec le Californien sacré champion de Finlande en 2015 et MVP du championnat la même année. Passé par l’Autriche, la Finlande et la Belgique, il va vivre sa troisième expérience en Coupe d’Europe avec la JDA, après avoir gouté à l’Eurochallenge et la FIBA Europe Cup.\\n\\nLe principal intéressé s’est montré très honoré de pouvoir porter le maillot dijonnais.\\n\\n« C’est un honneur pour moi de porter le maillot de Dijon et de jouer pour cette nouvelle équipe. J’ai déjà hâte de commencer cette nouvelle expérience et de voyager avec mes coéquipiers en France et en Europe, découvrir de nouvelles choses tout en montrant ce dont je suis capable sur le terrain. »\\n\\nCette saison en Jeep Elite, Robert Arnold compilait en moyenne 14,4 points, 4,1 rebonds et 2,5 passes décisives pour une évaluation de 11,3."
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Monaco choisit l’Eurocup"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Finaliste de Champions League et de Jeep Elite, l’AS Monaco a fait savoir sur son site qu’elle opte pour l’Eurocup la saison prochaine.\\n\\nAprès deux saisons passées en Champions League, les dirigeants monégasques ont décidé d’aller voir ce qui se fait chez le concurrent, en Eurocup. Le club du Rocher met notamment en avant le format avantageux de l’Eurocup ainsi que les revenus que procure cette compétition.\\n\\nVoici le communiqué du club.\\n\\nLa Roca Team a connu une très belle expérience en BCL depuis deux ans. L’ASM a signé en saison régulière le meilleur bilan parmi les 32 équipes participantes, aussi bien en 2016/17 qu’en 2017/18. Nous sommes la seule équipe à avoir atteint deux fois de suite le Final Four. De plus, l’ASM Basket s’est vu décerner la plus belle progression sur les réseaux sociaux de la compétition. Le club fut heureux et honoré de participer à la BCL.\\nMalheureusement, en raison du format de la compétition qui donne le droit d’accueillir le Final Four à l’un des quatre demi-finalistes, et sachant la capacité de la salle Gaston-Médecin, nous avons pris conscience de la chance limitée pour Monaco d’obtenir un jour l’organisation d’un Final Four en Principauté. Cela signifie que peu importe les résultats de la Roca Team, ses supporters n’auront pas l’occasion de suivre et soutenir l’équipe dans les moments les plus passionnants.\\nConcernant l’Eurocup, à chaque niveau des play-offs, y compris pour la finale, au minimum un match à domicile comme à l’extérieur seront disputés.\\nEn outre, avec la flexibilité de l’Eurocup, nous serons en mesure de proposer des horaires de coup d’envoi plus adaptés aux désirs de nos supporters. La saison prochaine, l’Eurocoup présentera le tableau le plus relevé de son histoire, avec de nombreuses équipes possédant déjà une expérience en Euroligue.\\nLes conditions financières sont aussi plus intéressantes en Eurocup, du fait que les recettes marketing (issues des droits TV) seront partagées en faveur des clubs participants.\\nPour conclure, le bureau de l’ASM Basket considère la possibilité de jouer en Eurocup comme un pas supplémentaire dans la progression et la promotion du club, de nature à donner une nouvelle et forte impulsion au projet Roca Team.\\n\\nPhoto :LNB/LECOQ"
}, 
{"role": "user",     "content":"Une arena de 5 500 places à Reims pour 2021"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Union Ardennais dévoile aujourd’hui les détails de l’arrivée d’une Arena à Reims pour 2021.\\n\\nLes travaux de cette salle devraient commencer en septembre 2019 pour une ouverture prévue pour octobre 2021. Ils seront notamment menés par le groupe Eiffage et l’Arena sera composée d’un bâtiment de 100 mètres sur 80.\\n\\nCette salle dédiée au sport et aux spectacles d’un montant de 25 millions d’euros pourra accueillir 5 500 sièges en configuration basket, pour les matchs rémois du CCRB donc. Selon l’événement, elle pourra contenir entre 2 000 et 9 000 spectateurs. Avec une jauge allant de 7 000 à 9 000 personnes pour les spectacles, par exemple.\\n\\nPhoto : Wilmotte et associés architectes"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : le meilleur de la saison de Sekou Doumbouya à Poitiers"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Phénomène du basket français, Sekou Doumbouya (2,05m, 17 ans) a récemment décidé de rejoindre les rangs du CSP Limoges pour continuer sa formation.\\n\\nCette saison en Pro B, le jeune international français a compilé en moyenne 8,5 points, 4,2 rebonds et 1 passe décisive pour une évaluation de 8,1. Voici le meilleur de sa saison 2017/18 sous le maillot du Poitiers Basket 86.\\n\\nhttps://www.facebook.com/poitiersbasket86/videos/10155626678197285/\\n\\nPhoto : Jordan Bonneau/PB86"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Facundo Campazzo prolonge son contrat avec le Real Madrid"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"De retour à Madrid cette saison après avoir été prêté pendant deux saisons à Murcie, Facundo Campazzo (1,80m, 27 ans) a prolongé son contrat avec le Real.\\n\\nChampion d’Euroleague en avril dernier, le Real Madrid vient d’annoncer que son meneur a été prolongé pour trois nouvelles saisons. Natif de Cordoba, en Argentine, l’ancien joueur de Mar del Plata a très vite trouvé chaussure à son pied en rejoignant la Liga Endesa en 2014.\\n\\nCette saison, Facundo Campazzo compilait en moyenne 10 points, 2 rebonds et 4,5 passes décisives pour une évaluation de 13,8 en ACB, et 7,9 points, 2,4 rebonds et 4,5 assists pour une évaluation de 10,3 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Alain Koffi (Pau) s’engage avec Gravelines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après deux saisons à Pau, Alain Koffi (2,07m, 34 ans) quitte le Béarn et s’engage avec le BCM Gravelines-Dunkerque.\\n\\nSon agent et le club viennent d’officialiser la signature de l’international français en faveur du club nordiste pour une durée de deux saisons. Passé par Le Mans, Badalone et Rouen, le natif d’Abidjan en a encore sous le pied et rejoint donc Taylor Smith et Bangaly Fofana dans la raquette du BCM.\\n\\nCette saison en Jeep Elite, Alain Koffi tournait en moyenne à 10,1 points, 5,3 rebonds et 1,1 passe décisive pour une évaluation de 11,8.\\n\\n\\n\\n\\nAlain Koffi signed a two-year contract with @BCMBasket Gravelines ! #BeoBasket\\n\\n\\n— Pedja Materic (@PedjaMateric) June 26, 2018\\n\\n\\n\\n\\n➡️🏀 #TousBCM #JeepELITE #saison 18/19 @LNBofficiel C'est officiel, Alain koffi rejoint dans la raquette Bangaly Fofana et @Tplusha pour deux saisons au @BCMBasket 18/19 et 19/20 @BCMFanZone #EnsembleToutEstPossible\\n\\n\\n— BEDDELEEM Hervé (@hervebeddeleem) June 26, 2018\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo: Les Monégasques reçus par le Prince Albert"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’au même moment les Manceaux présentaient leur trophée de champion de France à leurs supporters dans le centre-ville, l’équipe dirigeante et les joueurs de l’A.S. Monaco Basket SA étaient conviés au Palais Princier pour une réception après la saison qui vient de s’achever.Selon le communiqué du club,\\n\\n«\\n\\nlors de son allocution, le Prince Souverain a félicité les joueurs et le staff pour les parcours de l’équipe monégasque en Championnat de France et en Basketball Champions League. Il a conclu son discours en soulignant que la Roca Team avait su créer un engouement général en Principauté.» (sic)Sur la photo, on remarque que les joueurs et dirigeants sont accompagnés par leurs épouses et aussi que protocole oblige, ils sont tous dans une tenue uniformisée très classe.\\n\\nPhoto: Charly Gallo"
}, 
{"role": "user",     "content":"Après 13 ans, Viktor Khryapa quitte le CSKA Moscou"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est une page qui se tourne au CSKA Moscou. Viktor Khryapa (2,06m, 35 ans) a décidé de quitter le club moscovite.\\n\\nEn 13 ans passés au club, le double champion d’Euroleague est devenu le joueur ayant disputé le plus de matchs sous le maillot du CSKA Moscou avec 611 rencontres donc 422 dans le cinq de départ. Depuis la saison 2009/10 il est également le capitaine de l’équipe. Avec le CSKA, le natif de Kiev a remporté huit fois la VTB League et huit fois le championnat russe. Lors du titre européen de la formation de Dimitris Itoudis en 2016, Khryapa a donné la victoire à son équipe face au Fenerbahce. Une action qui reste dans l’histoire du club.\\n\\nL’ancien joueur des Chicago Bulls a tenu à remercier son club avant de le quitter.\\n\\n« J’ai eu deux périodes dans ma carrière avec le CSKA. Par conséquent, je veux d’abord remercier Sergey Kushchenko, qui m’a apporté d’Avtodor et m’a confié le droit de défendre les couleurs du CSKA. Puis, quand je suis revenu de la NBA, j’ai été fortement soutenu par Andrey Vatutin, grâce à qui j’ai réussi à passer une longue et mémorable série de onze saisons dans l’équipe. Pendant ce temps, j’ai eu la chance de jouer et de travailler avec des partenaires merveilleux, des entraîneurs exceptionnels. Les nommer tous prendrait beaucoup de temps, mais tout le monde mérite des remerciements spéciaux. Ici, au CSKA, il y avait beaucoup de moments dignes, de glorieuses victoires, d’expériences, de médailles et de coupes. Je tiens également à remercier le club, qui a uni beaucoup de gens avec qui nous avons forgé des victoires. Enfin, un merci spécial à nos fans, qui tout au long de ces années nous ont soutenus à la maison et à l’extérieur, fait de longs voyages afin de se battre avec l’équipe au Final Four. Je me souviendrai toujours de ce soutien avec une chaleur particulière. »\\n\\nCette saison, Viktor Khryapa compilait en moyenne 3,8 points, 3 rebonds et 2,8 passes décisives pour une évaluation de 7,8, et 1,6 point et 1,4 rebond pour une évaluation de 1,4 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Darussafaka aurait proposé un contrat à Martin Hermannsson (CCRB)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Annoncé notamment proche de l’ASVEL, Martin Hermannsson (1,90m, 23 ans) pourrait finalement s’engager en Turquie.\\n\\nSelon Sportando, le Darussafaka aurait fait une offre au meneur de Châlons-Reims. Depuis son arrivée en France en 2016, l’ancien joueur du KR Reykjavik ne cesse de progresser. La saison dernière en Pro B, il avait déjà été irrésistible avec Charleville où il enregistrait 17 d’évaluation par soir. Passé au niveau au-dessus cette année, l’international islandais n’a pas tremblé et a été la pierre angulaire du jeu du CCRB.\\n\\nC’est donc en toute logique qu’il devrait continuer sa progression et rejoindre un club qui joue l’Europe, en France ou ailleurs...\\n\\nCette saison en Jeep Elite, Martin Hermannsson compilait en moyenne 13,9 points, 2,8 rebonds et 5,7 passes décisives pour une évaluation de 14.\\n\\nPhoto : CCRB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Svetislav Pesic prolongé à la tête du FC Barcelone"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir approché Sarunas Jasikevicius, sans succès, ce n’était qu’une question de temps avant que le FC Barcelone annonce la prolongation de Svetislav Pesic (68 ans) au poste de coach.\\n\\nArrivé début février à la rescousse du club catalan suite au départ de Sito Alonso, le technicien serbe revenait dans un club qu’il connaît bien pour y avoir officié entre 2002 et 2004. Il a d’ailleurs emmené le Barça à son premier titre en Euroleague en 2003. Passé par Berlin, Rome, l’Etoile Rouge ou encore la sélection allemande, l’ancien joueur du Partizan Belgrade était sans club depuis son départ du Bayern Munich, en 2016.\\n\\nCette saison, il a mené le Barça jusqu’en demi-finale de Liga Endesa où il s’est incliné face à Vitoria. En revanche, il n’a pas qualifié son équipe en palyoffs d’Euroleague. Treizième du classement à son arrivée, les jeux étaient déjà quasiment faits.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel: Le coach Zvezdan Mitrovic trois ans à l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ASVEL Basket a confirmé ce matin la signature de l’ancien coach de l’AS Monaco, Zvezdan Mitrovic en tant que coach principal, pour les trois prochaines saisons.\\n\\nAgé de 48 ans, le Monténégrin a été champion de France de Pro B en 2015, remporté trois Leaders Cup (2016, 2017 et 2018), terminé à trois reprises en tête de la saison régulière de Jeep Elite (2016, 2017 et 2018) et a été élu coach de l’année en 2017 et 2018. Il a hissé la Roca Team en finale des playoffs 2018.\\n\\nZvezdan Mitrovic est par ailleurs le sélectionneur du Monténégro. Il arrive à l’ASVEL en compagnie du Serbe Mirko Ocokoljic qui était assistant au sein de l’équipe universitaire du Monténégro. Il sera également assisté de TJ Parker, Eric Delord et Joseph Gomis.\\n\\nPhoto: LNB/Bellenger"
}, 
{"role": "user",     "content":"Elu cette nuit Meilleur Défenseur de NBA, Rudy Gobert est attendu avec les Bleus"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette nuit, soit plus de dix jours après la fin des Finals, la NBA a organisé à Los Angeles sa soirée des trophées. Alors que James Harden a été élu MVP, le pivot des Utah Jazz Rudy Gobert (2,16m, 26 ans) s’est vu attribuer celui de Defensive Player Of the Year.\\n\\nRudy Gobert a tourné cette saison à 13,5 points (62,2% aux tirs), 10,7 rebonds et 2,3 contres en 56 matches. Il est le deuxième Français a recevoir ce trophée après Joakim Noah en 2014.\\n\\nRudy Gobert est désormais attendu à Nanterre où est regroupée l’équipe de France afin de prendre part à deux matches de qualification à la Coupe du Monde 2019 en Bosnie et en Russie.\\n\\n\\n\\n\\n.@rudygobert27 dedicates #KiaDPOY Award to @utahjazz and family. #NBAAwards pic.twitter.com/HrmXjVcwty\\n\\n\\n— NBA on TNT (@NBAonTNT) June 26, 2018\\n\\n\\n\\n\\nFélicitations \u2066@rudygobert27\u2069 pour ce magnifique trophée de 2018 NBA Defensive Player of the year... Quel bon feeling d être la avec mon frère \u2066@JMedjana\u2069 dans ces moments 🙏🏿#hardworkfamily #comsportfamily pic.twitter.com/bX8NmnBdQN\\n\\n\\n— Bouna Alboury Ndiaye (@Boundiaye) June 26, 2018\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Basketball Champions League: La France cinquième pays sur les réseaux sociaux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Basketball Champions League continue sa croissance numérique. Au total, pour sa deuxième saison d’existence, elle a enregistré 44 millions de visionages de vidéos et a touché plus de 120 millions de personnes via les réseaux sociaux.\\n\\nLe Final Four à Athènes en tant que tel a généré une augmentation de 94% des vues vidéo par rapport à Final Four de la saison dernière à Tenerife, et concerné 18 800 000 personnes.\\n\\n« Nous sommes ravis de constater que la compétition confirme le succès massif de la première saison sur les réseaux sociaux: à la fin de la saison, nous avons plus de 1 700 000 abonnés à la Champions League sur les réseaux sociaux. Les saisons sont impressionnantes et nous sommes fiers d’une telle réussite », a déclaré Patrick Comninos, le Directeur de la BCL. « La Champions League n’existe pas pour elle-même, mais dans le cadre d’une stratégie plus large de développement du basket-ball en Europe, basée sur des principes sportifs reconnus d’inclusion par le mérite plutôt que sur la valeur commerciale de la marque, et c’est une partie intégrale de l’écosystème européen du basket-ball Nous sommes extrêmement heureux de constater que les deux premières saisons de la compétition ont été appréciées par les fans et les équipes participantes. «\\n\\nLe nombre de fans à suivre la page Facebook de la Champions League s’est élevé à 1 500 000 grâce à diverses activations numériques. Par ailleurs, www.championsleague.basketball a généré plus de 2 300 000 visites au cours de la campagne 2017-18 avec des fans désireux de lire des articles et des interviews sur les joueurs stars.\\n\\nSi l’on prend les chiffres par pays, on s’aperçoit que 7% du trafic provient de la France qui se classe derrière la Grèce (16%), l’Allemagne (12%), l’Espagne (10%) et l’Italie (9%) mais devant la Turquie (6%) et les... Etats-Unis (5%). L’AS Monaco (+22%) est le club qui a connu la plus forte progression sur les réseaux sociaux derrière l’AEK Athènes (+35%).\\n\\nLa troisième saison de la Champions League débute le 9 octobre avec 32 équipes qui disputeront la saison régulière. Elles seront réparties en quatre groupes de 8 équipes ; les quatre premiers de chaque groupe se qualifiant pour les huitièmes de finale avant les quarts de finale qui détermineront les quatre qualifiés au Final Four. Un premier tirage au sort des phases de qualification et de la saison régulière aura lieu le mercredi 11 juillet à la Maison du Basket-ball de Genève, en Suisse. Le tirage sera diffusé en direct sur www.championsleague.basketball."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéos: Hier soir, Le Mans a fêté ses héros"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Manceaux ont fêté dans le centre-ville à côté de la Cathédrale leurs champions de France qui de retour de Monaco sont venus leur montrer leur trophée. Le club a mis en ligne plusieurs vidéos.\\n\\n\\n\\n\\nL’ambiance monte 🦁🔥: un petit clapping pour débuter avec Leo 👏🏻#MSBCHAMPION pic.twitter.com/DgJaw2D14H\\n\\n\\n— MSB_Officiel 🦁 (@MSB_Officiel) June 25, 2018\\n\\n\\n\\n\\nIci c’est Le Mans !!💪🔥#MSBCHAMPION pic.twitter.com/UciBhuzUrU\\n\\n\\n— MSB_Officiel 🦁 (@MSB_Officiel) June 25, 2018\\n\\n\\n\\n\\nMister @RomeTrav 💪🔥#MSBCHAMPION pic.twitter.com/pS87IgsKdP\\n\\n\\n— MSB_Officiel 🦁 (@MSB_Officiel) June 25, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le regard du GM Julien Monclar sur le refus d’engagement de Blois en Jeep Elite"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur sa page facebook, le GM de l’ADA Blois Basket 41 Julien Monclar a réagi à la non qualification de son équipe en Jeep Elite par la Ligue Nationale de Basket. Voici ses écrits dans leur totalité:\\n\\n« Si le basket ne vous intéresse pas, ne perdez pas votre temps à lire ce pavé, si au contraire vous aimez ce sport, notre sport, je vous invite à prendre 5 minutes de votre temps pour découvrir les dessous d’une INJUSTICE.\\n\\nLa saison 2017-2018 de l’ ADA Blois Basket 41, le club qui me fait confiance depuis 9 ans maintenant, a été EXCEPTIONNELLE en tous points :\\n– Nous avons pris en main le Jeu de Paume le 1er septembre 2017, la saison s’achève avec 11 soirées sold-out et un taux de remplissage spectaculaire\\n– Pour notre 2ème saison en ProB, la première dans une salle digne de ce nom, nous avons candidaté au Label Club (certification qualité du basket pro) et sommes depuis la semaine dernière le 1er club à recevoir le Label Bronze sans avoir de passé en ProA\\n– Quant au terrain... Une équipe qui restera dans les mémoires de chacun, des affiches folles et un titre de Champion de France ProB mérité.\\n\\nMais si j’écris ces lignes aujourd’hui c’est parce qu’il y a un PROBLEME.\\n\\nLes instances du basket français viennent de nous engager en ProB. Autrement dit la ProA, la Jeep ELITE, bref la 1ere division, nous est refusée.\\n\\nLe mérite sportif est-il bafoué ?\\nIl est simple de le penser mais c’est plus compliqué que ça. Le sport professionnel comporte des règles qui vont au-delà des lignes d’un terrain, et c’est très bien comme ça. Une victoire ou un titre qui ne respecte pas l’équité, la morale ou souffrant de flous financiers n’est pas méritée.\\nJe l’accepte.\\n\\nPourquoi pas de ProA donc ?\\nVoici une explication succincte : d’après les règlements de la Ligue un club accédant à la ProA doit avoir un centre de formation agréé. Cet agrément ministériel (en réalité largement piloté par la fédération) est délivré une fois par an, à l’issue de la saison. Ce centre de formation cumule des critères administratifs et sportifs.\\nC’est là que les incohérences démarrent : Un club ne peut légalement débuter sa démarche d’agrément que s’il est d’ores et déjà en ProB. Impossible donc pour un accédant de N1 d’être agréé.\\nLes clubs ne comptant pas de Centre de Formation AGREE peuvent néanmoins jouer en ProB, à condition de s’acquitter d’une pénalité financière de 100.000€ ou de compter des moins de 23 ans dans leur effectif au titre de la post formation. Cela tombe très bien, la post formation est l’étage manquant de la « fusée » basket français tant la frilosité des clubs et techniciens à faire confiance à des joueurs en début de carrière saute aux yeux de tous. Cela tombe bien, la post formation constitue un axe majeur de notre projet sportif, déjà développé en NM1 avec Tornato, Dinal, Gabsi et Cornely, puis en ProB avec Pontens, Hieu-Courtois, Ndoye, Ballo, Motti voire Roos.\\nMais je vais y revenir.\\n\\nPas de centre de formation pour Blois, donc pas de ProA. Comment mettre en place un centre de formation alors que notre candidature au championnat de France U18 Elite a été refusée en 2016 et 2017 ?\\nCette équipe est la base même du concept de centre de formation avec des joueurs/lycéens, sans cette équipe aucune avancée n’est possible. Elle nous a enfin été accordée en 2018. Visiblement trop tard.\\nPour votre information, si les instances du basket français avaient accepté de nous engager en Jeep ELITE, la faute à un règlement que l’on peut considérer mal fichu, notre centre de formation aurait été dans les clous de tous éléments du cahier des charges dès septembre 2018 et la rentrée des classes.\\nEn tout état de cause cette condition « centre de formation agréé » comporte plusieurs critères ECHAPPANT A NOTRE CONTROLE. Autrement dit nous subissons cette situation.\\n\\nMais peu importe assez parlé de nos petits problèmes, prenons un peu de recul.\\n\\nL’EQUITE dans tout ça ?\\nCertains le disent : Blois est-il un vilain club qui profite de ne pas faire de centre de formation pour mettre le maximum d’argent sur l’effectif pro ?\\nSachez que les centres de formation constituent le premier critère d’obtention de financements publics. A Blois les collectivités abondent à hauteur de 35% du budget de notre club. Ce n’est déjà pas mal me direz-vous, mais tellement modique par rapport aux subventions faramineuses constatées dans d’autres clubs.\\nPas illogique puisque c’est pour que les jeunes étudient et jouent au basket. C’est pour cela que nous voulons un centre formation. Mais pour quel résultat ?\\nQuels clubs de ProB ont contribué au développement du basket français en faisant JOUER des jeunes joueurs français dans leur équipe pro (formés chez eux ou pas) ?\\nQuels clubs l’a fait plus que nous ?\\nEst-il plus facile de garder un gamin quelques années dans une structure largement subventionnée sans lui offrir d’horizon, ou de prendre un jeune et faire de lui un basketteur professionnel ?\\nC’est ce que nous avons fait à Blois avec les jeunes cités plus haut. J’en suis fier, on ne pourra pas nous l’enlever.\\n\\nL’équité c’est aussi la transparence des chiffres et des contrats auprès des instances, c’est se tourner vers un modèle économique équilibré, c’est ne pas tricher.\\nC’EST CE QUE NOUS FAISONS.\\n\\nMérite sportif, mérite structurel, et surtout notre morale intacte.\\nNous savons quelle place nous MERITONS.\\n\\nIl ne s’agit pas de se prendre pour ce que nous ne sommes pas : notre salle demeure modeste, Blois n’est pas une métropole européenne attractive, pas de mécène faramineux, pas de joueur NBA icône du club, un territoire méconnu...\\nPeu d’arguments font de nous le club de basket qui va susciter les coups de pouce.\\nJe suis réaliste : sur le plan du potentiel notre place, si tout va bien, est entre la 15e et la 25e pour un club pro de basket en France.\\n\\nMais le sport c’est aussi la surperformance. C’est surtout de belles histoires. Priver Blois de son petit passage dans l’élite est un non-sens, une ERREUR.\\nUn club cité en exemple pour sa gestion financière, par la FFBB puis la LNB, récompensé pour sa structuration (y compris par rapport à des clubs de ProA) qui réalise une performance sportive hors norme... Quoi de plus sain ? Quoi de plus positif pour notre petit basket ?\\nEst-ce que le sport n’est pas cette allégorie de l’effort, le symbole qui permet à chacun de croire qu’en faisant le maximum ensemble on récoltera les fruits de notre travail ?\\nN’est-ce pas le genre d’histoires et de trajectoires dont le sport doit se féliciter ?\\nLe basket français peut-il décemment s’en priver ?\\n\\nNotre petit basket tant aimé, malgré un potentiel incroyable, vivote dans le « marché » qu’est devenu le sport pro en France.\\nOn se fait défoncer par le rugby et le hand en terme de croissance, ça donne envie de pleurer sans même commencer à comparer la qualité de la proposition de spectacle sportif.\\n\\nDans ce contexte est-ce que notre petit cas particulier ne devient pas la caricature de l’étrange saison vécue par notre basket, celui que nous aimons ?\\nEn 2017-2018 les 4 premières divisions de notre basket ont été galvaudées :\\n– N2 : 4 clubs devaient monter en N1 ; en cours de saison nous apprenons que ce sera 8, plus 2 « wild cards » (invitations) attribuées selon des critères X.\\n– N1, aaaah la belle N1 que nous avons si bien connue, l’antichambre du basket pro. Passage de 18 à 28 clubs, donc pas de descente (contradiction avec les règlements qui imposent un minimum obligatoire de 2 descentes par saison). Des Playoffs risibles avec des contrats ne respectant pas la durée prévue par la convention collective et une situation ubuesque où des demi-finalistes se retrouvent dans l’incapacité d’aligner leurs joueurs...\\n– La ProB dont le Champion se fait sanctionner en dépit du bon sens par une décision d’une dureté sans précédent, et qui concomitamment s’apprête à accueillir un club OVNI sur le point d’arriver d’on ne sait-où (aussi souhaitable pour le basket français soit-il).\\n– La ProA sans relégation puisque le sort du dernier du classement était entendu depuis bien longtemps côté contrôle de gestion, et que l’autre relégué se retrouve possiblement sauvé des eaux par un concours de circonstances. Une Ligue quasi fermée de fait donc, mais sans les avantages...\\n\\nJe vous épargne les wild cards N3 qui fleurissent partout, nous le savons puisqu’on nous a DEMANDE de faire un dossier en avril (mails et appels à la clef), pour finalement nous signifier le refus de notre dossier en mai...\\nEssayez de comprendre !\\nUne sacrée tambouille donc... Pour ma part tous ces tours de passe-passe peuvent être acceptables, s’ils respectent 2 conditions :\\n– Intérêt Général\\n– Cohérence\\n\\nEn principe l’intérêt général doit être l’affaire de nos dirigeants, laissons-les faire on jugera sur pièce...\\nEn revanche assister pendant le même été à une foire aux « wild-cards » et à la pire sanction imaginable pour un club champion est d’une INCOHERENCE TOTALE.\\n\\nVous savez tout, il faut être rassurant : tout cela n’est QUE du sport, qu’un aléa professionnel, une déception pour les plus passionnés.\\nLe sport étant une petite métaphore de la vie, nous devons faire preuve de RESILIENCE et continuer à faire valoir notre droit et notre MERITE, puis poursuivre le chemin avec passion et détermination quel que soit le terrain sur lequel nous devrons évoluer. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel: Le phénomène Sekou Doumbouya rejoint le Limoges CSP"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est confirmé, le grand espoir du basket français Sekou Doumbouya (2,05m, 17 ans) rejoint le Limoges CSP pour la prochaine saison.\\n\\nCes deux dernières saisons, le Guinéen d’origine évoluait à Poitiers. Ses stats en Pro B ont été de 8,5 points, 4,2 rebonds, et 1,0 passe pour une évaluation de 8,1. Il a fait quelques cartons comme contre Quimper (26 points, 26 d’évaluation) mais manque encore de régularité dans les performances.\\n\\nMédaillé d’or au Championnat d’Europe U18 en 2016, malgré son jeune âge : juste 16 ans (deux de moins que certains de ces coéquipiers), Sekou fût le meilleur marqueur (17,8 pts) et meilleur rebondeur (7,0) de son équipe . Il était blessé durant l’été 2017 ce qui l’a empêché de participer aux compétitions de jeune.\\n\\nCe phénomène de précocité ne pourrait faire qu’une saison en Jeep Elite. Il est annoncé tout en haut de la draft NBA de 2019, d’après une étude de we are bettors. Au troisième rang exactement, par exemple, pour le site spécialisé NBAdraft.net.\\n\\n“Sekou est un immense joueur. Pour moi, le fait qu’un des plus gros prospects français dans l’histoire du basket rejoigne le Limoges CSP est une marque de reconnaissance de son agent Bouna Ndiaye. Je pense que notre organisation, la qualité et la diversité de nos entraîneurs, font qu’on devient un club différent des autres sur les méthodes d’entraînements et que Sekou va être encadré et entraîné différemment qu’ailleurs. Quand on parle de formation, avoir Sekou Doumbouya, est un honneur ! ” se réjouit le Directeur Sportif Olivier Bourgain.\\n\\nQuant au coach Kyle Milling, il ajoute:\\n\\n“Je suis très content que Sekou ai décidé de nous rejoindre la saison prochaine. C’est un des plus grand prospect pas seulement en France mais également en Europe et même dans le monde. Malgré son très jeune âge, il connaît déjà le milieu professionnel dans lequel il évolue depuis 2 ans en ProB. Il vient à Limoges la saison prochaine, pour passer un autre cap et montrer qu’il peut jouer à très haut niveau pas seulement en France mais aussi en EuroCup. C’est un joueur polyvalent qui est très costaud physiquement. Il peut jouer sur plusieurs postes et il est très présent en attaque. Malgré ses 17 ans, la saison prochaine, je compte sur lui pour être un joueur d’impact. Il a d’énormes qualités physiques : la course, la contre attaque et la vitesse. ”\\n\\nPhoto: PB 86"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le plan stratégique entériné par l’Assemblée Générale de la LNB. La Jeep Elite va passer à 16 clubs et la Pro B à 20"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors de son Assemblée Générale organisée ce lundi à Paris dans ses nouveaux locaux, la Ligue Nationale de Basket a voté 23 résolutions constituant le Plan Stratégique de la LNB pour les cinq prochaines années.\\n\\n\\nCes résolutions sont directement issues d’une large consultation au sein de groupes de travail, d’un sondage du grand public et des fans de basket ainsi que de l’implication de personnalités extérieures (partenaires, élus territoriaux, experts...)\\n\\nAlain Béral, Président de la Ligue Nationale de Basket, se félicite du vote positif des clubs pour mettre en place ce plan stratégique :\\n\\n« Il y a un lourd travail qui a été mené depuis un an sous la coordination d’Olbia Conseil avec la mobilisation de plus d’une centaine de personnes, et je ne peux que les remercier tous pour le temps consacré et la pertinence de leurs réflexions. Il s’agit désormais de conquérir de nouveaux fans et d’être à l’écoute des attentes du public tout en aidant les clubs à se structurer. Les enjeux sont importants. Je mesure l’effort fait par les clubs pour avancer dans l’intérêt collectif du basket professionnel et tiens ici à les remercier de leur confiance. Malgré des réticences légitimes sur certains points durant les débats, le vote prouve que chaque club est désormais prêt à s’approprier ce plan stratégique, pilier indispensable à sa croissance et à celle de notre basket »\\n\\nLES CHIFFRES CLÉS\\n• 10 mois de consultation et plus de 100 personnes rencontrées\\n• 36 clubs professionnels consultés (un questionnaire écrit puis des propositions d’entretien)\\n• 6 groupes de travail (numérique, identité, clubs, gouvernance, partenariats, formation)\\n• 1 sondage grand public & fans de basket (3 011 Français, 16-70 ans) conduit par Ipsos et l’Union Sport & Cycle\\n\\nLES RÉSOLUTIONS VOTÉES\\n\\nIDENTITÉ\\n1. Passer à 16 clubs en Jeep® ÉLITE et à 20 clubs en PROB à compter de la saison 2020/2021\\n2. Définir la formule des championnats et le système de relégation/accession dans une assemblée générale organisée avant la fin de saison 2018/2019\\n3. Renforcer l’intérêt et l’attractivité du championnat de PROB\\n\\nJEU ET JOUEURS\\n4. Réduire à 1 le nombre de joueurs non Européens et hors Cotonou en PROB\\n5. Augmenter le temps de jeu effectif des jeunes joueurs prospects Tokyo 2020 Paris 2024 par des incitations financières\\n6. Créer un classement d’excellence des meilleurs Centres de Formation\\n7. Engager un travail collectif sur l’identité et la qualité de jeu du basket français\\n\\nINNOVATION\\n8. Apporter à tous les clubs un socle numérique commun\\n9. Organiser des appels à projets pour cofinancer les projets les plus innovants des clubs\\n10. Moderniser les salles de basket et leur modèle d’exploitation\\n11. Créer à la LNB une Direction du développement des clubs\\n12. Valoriser l’engagement social et environnemental du basket professionnel\\n\\nVISIBILITÉ\\n13. Stabiliser les effectifs des clubs en créant deux fenêtres de recrutement (été et hiver) avec possibilité d’un seul recrutement entre les deux et en limitant les pigistes médicaux\\n14. Renforcer la politique événementielle et de promotion du basket en lien avec les attentes des clubs\\n15. Accroître la visibilité sur les réseaux sociaux en mettant librement et gratuitement à disposition des images des compétitions LNB\\n16. Gagner en visibilité grand public à la télévision\\n\\nSTRUCTURATION\\n17. Exiger de tous les clubs professionnels le respect d’une structure minimale\\n18. Réorganiser le contenu du Label Club autour de chantiers prioritaires de développement\\n19. Rendre plus accessible le Label Club en créant un échelon intermédiaire\\n20. Augmenter progressivement la part des reversements LNB conditionnés par l’obtention Label Club\\n21. Améliorer le fonctionnement des instances de la LNB et les ouvrir à de nouvelles compétences\\n22. Mieux impliquer les clubs dans les instances de la LNB\\n23. Attirer de nouveaux dirigeants et investisseurs, notamment parmi les anciens joueurs de NBA et d’Euroleague\\n\\nPhoto: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Dossier : Pourquoi Blois, champion de Pro B, ne montera pas en Jeep ELITE"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tout au long de la saison, BasketEurope s’est fait l’écho du parcours sportif de l’ADA Blois* et à juste titre puisque le club du président Paul Seignolle a réalisé un exercice 2017-2018 exceptionnel à tout point de vue. Depuis bientôt un mois néanmoins, le quotidien L’Equipe a été le premier à alerter l’opinion public sur un point précis du règlement (l’obligation de disposer d’un agrément ministériel pour le centre de formation du club, une procédure administrative qui prend 6 à 8 mois) qui invaliderait la montée de Blois en cas de titre de champion de France de Pro B, synonyme d’accession directe à la Jeep Elite. Et de la théorie à la pratique, il n’y a qu’un pas puisque le club de l’ADA a officiellement été sacré champion de France de Pro B après sa victoire contre Saint-Chamond samedi soir dans son nouvel écrin du Jeu de Paume.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nA cette occasion, BasketEurope a sollicité les acteurs principaux de ce dossier et donné la parole à cinq haut représentants de clubs de LNB pour y voir plus clair. Avec pour résultat, la conclusion (un poil hâtive certes) présente dans le titre. Au lendemain du sacre de champion, c’est en effet un long combat administratif qui se profile pour l’ADA Blois, en attendant le premier avis officiel qui sera délivré à l’issue du comité directeur de la Ligue fin juin. A noter que Blois n’est pas le seul club dans ce cas puisque Saint-Chamond et Denain, en lice pour les Playoffs d’accession, ne disposent pas non plus de centre de formation agréé. Avec la victoire de l’un de ces clubs en finale des Playoffs d’accession, la LNB, si elle reste fidèle à son règlement, se retrouverait alors dans une situation inédite, avec deux montées acquises sportivement mais invalidées de fait pour ce point de règlement.\\n\\nRetrouvez l’intégralité des entretiens livrés avec Djilali Méziane, directeur des opérations sportives de la LNB, Julien Monclar manager général de l’ADA Blois, ainsi que les points de vue de Yann Boisson, manager général de l’AS Monaco, Vincent Fontaine, responsable des Opérations Sportives d’Orléans, Pierre Bonneau, directeur sportif et commercial de Boulazac, Jean-Charles Bregeon, directeur Général du Sluc Nancy, Wilfried Duchemin , Manager général de Lille.\\n\\nNB : tous les entretiens ont été réalisés vendredi et samedi.\\n\\n\\nDjilali Méziane, directeur des opérations sportives de la LNB : « Les clubs connaissent les règles du jeu »\\n\\nDjilali Méziane, les positions se sont-elles rapprochées entre la LNB et le club de Blois depuis le mois dernier ? Est-ce qu’il y a du nouveau ?\\n\\nAujourd’hui, il n’y a pas de nouveauté. La situation reste identique, à savoir que sportivement le club de Blois peut accéder à la Jeep ELITE en étant champion de Pro B à l’issue de la saison régulière et aura le titre de champion de France. On sera demain soir (hier soir NDLR) avec le président à Blois pour remettre le trophée de champion de France de Pro B. Ensuite, il y aura une demande au niveau de la commission financière, la DNCCG, pour que le club puisse proposer un budget Jeep ELITE. Ça c’est une première étude. On étudiera ensuite les circonstances administratives et on leur demandera de fournir un agrément du centre de formation. Je sais qu’a priori, ils ont fait une demande auprès de la fédération, assez tardivement, pour qu’il soit visité. On attendra les retours de la direction technique nationale de basket et de la Direction Régionale de la Jeunesse et Sport là dessus puis le ministère des Sports en dernier lieu. A ce jour, je ne suis pas capable de vous dire, si le club aura un centre de formation agréé avant la date du 30 juin. Ce qui est sûr, c’est qu’ils en ont fait une demande, tardive.\\n\\nAucune dérogation ne peut être possible ? Dans la mesure ou c’est une question de timing ? Il est question de trois mois de retard ?\\n\\nLe club a reçu, comme l’ensemble des clubs de Pro B qui n’ont pas de centres de formations agréés un document émanant de la DTBN courant août leur indiquant les éléments à suivre pour pouvoir agréer un centre de formation. Donc ça, ils ne l’ont pas fait et ils assumeront, entre guillemets, les conséquences de ce non dépôt de dossier dans les délais qui leur aurait permis d’avoir un centre de formation agréé. Encore faut-il, au delà de la demande, qu’il y ait un lancement des moyens, c’est à dire la capacité d’accueil des joueurs, des ressources humaines techniques dont a besoin un centre de formation pour pouvoir fonctionner. Et ça, je ne suis sûr qu’ils l’aient eu au courant de l’année et même aujourd’hui ou au moment de leur demande. Il ne s’agit pas juste d’une demande tardive. Il faut pouvoir avoir les moyens de justifier de la capacité d’avoir un centre de formation agrée. Pas juste de remplir un dossier.\\n\\nConcrètement, cette demande tardive remonte à quand ? Janvier ?\\n\\nNon, c’est plus tardif que ça, mars-avril, au plus tôt.\\n\\nLes clubs de Pro B qui ne disposent pas de centres de formations ont-ils des contraintes d’ordre financier ? Que dit le règlement ?\\n\\nLa réglementation est assez simple. Aujourd’hui, un club de Pro B n’a pas d’obligation d’avoir un centre de formation agréé. Voilà le postulat de départ. Seuls ceux qui veulent faire de la formation en ont un. A partir de là, soit vous avez la volonté de faire de la formation et du coup vous déposer un dossier d’agrément et à la fin de l’année vous avez un centre de formation agréé parce que vous entraînez des gamins, vous disposez d’un lieu d’accueil et que vous faites signer des conventions avec des lycées ou des Fac. Pour le reste, il y a deux types de club. Ceux qui ne veulent pas du tout faire de formation, car ils estiment que ce n’est pas leur rôle et que ce n’est pas dans leur ADN. A ces clubs, on dit : ok vous ne faites pas de formation mais vous en bénéficiez indirectement puisque lorsque vous recrutez un joueur, forcément il a été formé par quelqu’un. Donc on a mis en place ce qu’on appelle une « contribution formation » à savoir une indemnité qui est redistribuée à l’ensemble des clubs qui disposent d’un centre de formation agréé et qui font jouer des jeunes de moins de 23 ans. Cette « contribution formation » s’élève à hauteur de 100 000 euros. 100 000 euros, c’est à peu près le coup de revient en moyenne d’un centre de formation agréé de Pro B. Le budget moyen tourne autour des 150 000 euros et les subventions des régions tournent autour de 50 000 euros. Ce qui fait un delta de 100 000 euros. Ensuite, l’autre cas de figure concerne les clubs qui ne sont pas aptes à faire de la formation mais plutôt de la post-formation, c’est à dire d’avoir dans leur effectif des jeunes sortis des centres de formation et qui ont entre 21 et 23 ans. On leur laisse la possibilité de pouvoir réduire cette « contribution formation » parce qu’on part du principe que s’ils mettent un gamin dans leur effectif JFL et âgé de moins de 23 ans, ils font un peu de post-formation et peuvent réduire cette contribution. Si vous en avez un, vous économisez 25 000 euros et vous pouvez aller jusqu’à 4 au maximum pour atteindre 100 000. Mais nous, on n’oblige personne à faire de la formation en Pro B. On peut prendre l’exemple de Vichy il y a quelques années qui nous avait signifié être prêt à faire de la post-formation pour deux joueurs maximum et donc de payer la contribution formation à hauteur de 50 000 euros en mettant l’accent sur deux jeunes joueurs qu’ils avaient décidé d’intégrer à leur effectif, et en estimant donc qu’ils n’étaient pas capables de le faire pour 4. A ce titre, Poitiers et Hyères-Toulon avaient reçu une indemnité de 15 000 euros parce qu’ils faisaient, eux, jouer de jeunes joueurs, à savoir des JFL de moins de 23 ans. C’est un cercle vertueux dans lequel on a décidé d’aller sans rien imposer. En revanche, les clubs qui ont pour projet de monter en Jeep Elite, ceux là n’ont pas le choix. Il faut qu’ils aient anticipé. On ne peut pas attendre un accident sportif pour décréter qu’on n’est capable de faire de la formation.\\n\\nVous estimez qu’il peut y avoir un recours ou une dérogation pour que Blois puisse s’en sortir ?\\n\\nAujourd’hui, il suffit juste de lire les règlements. Au niveau de la Ligue, on appliquera nos textes et uniquement nos textes, parce que vous comprenez bien que quand un texte prévoit que si vous n’avez pas de centre formation agréé, vous ne pouvez pas monter et qu’il est prévu qu’on repêche le 17e de Jeep ELITE, vous comprendrez bien que le 17e de Jeep ELITE connaît aussi bien le règlement. Donner une dérogation à un club pour contourner le règlement nous mettrait en situation délicate vis-à-vis du 17e de Jeep ELITE voire de l’ensemble des clubs de Jeep ELITE. Donc on aura plutôt tendance à appliquer le règlement. Ensuite, toutes les décisions du comité directeur sont susceptibles d’appel devant la Fédération, et au CNOSF si besoin.\\n\\nLa décision définitive sera rendue fin juin ?\\n\\nTout à fait, à l’issue du comité directeur du mois de juin qui doit avoir lieu le 25 ou 26 juin.\\n\\nC’est malheureux de devoir attendre si longtemps surtout lorsqu’un titre et une accession sont en jeu...\\n\\nMais Blois fêtera le titre, ce samedi soir ou le vendredi suivant si c’est le cas. Ils auront leur titre de champion de France de Pro B, personne ne va leur enlever, il sera acquis. Ensuite, ce sera des démarches administratives, comme ça peut l’être vis à vis d’un club qui serait en difficulté financière dans l’optique d’une accession à la Jeep ELITE. Si vous avez un club de Pro B qui ne bénéficie pas d’une situation nette positive et qui souhaite monter en Jeep ELITE, il risque d’avoir des problèmes avec la DNCCG pour monter un budget avec la capacité de le justifier et de voir sa montée invalidée. Vous avez des procédures qui peuvent même mener jusqu’à mi-juillet, fin juillet. On a déjà eu des cas où on a, par exemple, repêché Quimper à l’époque, à la date du 2-3 août alors que le club de Besançon n’avait plus les moyens économiques pour vivre.\\n\\nA la différence près que dans le cas d’un problème financier, la dynamique d’une montée en première division peut permettre localement de débloquer le budget nécessaire. Là avec ce défaut d’agrément, il y a moins de recours...\\n\\nEffectivement, mais Blois a déjà eu un problème en passant de Nationale 1 à la Pro B puisqu’ils n’avaient pas pu évoluer dans leur salle historique. Ils avaient été obligés de déménager. Donc, ce sont des éléments qu’ils connaissent. Ils connaissent les réglementations, comme l’ensemble des clubs d’ailleurs. Et pour info, il faudra vérifier mais il me semble que le club de Caen, promu en Pro B cette saison, a fait la demande d’un centre de formation agréé au moment de leur accession, dossier qui a été déposé en septembre. Donc ce sont des conditions qui sont loin d’être impossibles à remplir. Donc un club qui accède en Pro B est capable s’il en a la volonté de déposer un dossier pour obtenir un centre de formation agréé à la fin de la saison après vérification. Donc si Caen, un club promu, est capable de le faire dès sa première année, comment Blois qui est là depuis deux saisons, ait autant tardé ? Ils auront à répondre à ce genre de questions...\\n\\nY-a-t-il eu des précédents du même genre ?\\n\\nOn a déjà fait des communications l’année dernière et il y a trois ans sur ce sujet. En 2013-2014, le club de Denain a accédé à la finale des Playoffs d’accession contre Antibes alors qu’il ne bénéficiait pas d’un centre de formation agréé et ne pouvait donc pas monter. Et l’année dernière, tous les clubs de Pro B ont reçu le même courrier au sujet de Charleville-Mézières qui était en Playoffs. Ils pouvaient potentiellement remporter les Playoffs et accéder à la Jeep Elite, mais comme il n’y avait pas de centre de formation, ils n’auraient pas pu. Donc ce sont des situations déjà connues préalablement et sur lesquelles les clubs sont déjà alertés. Cette réglementation date de 2011-2012, elle n’est pas nouvelle non plus.\\n\\nEn voilà une mauvaise nouvelle pour Blois, et du coup une bonne pour le 17e de Jeep Elite...\\n\\nAprès, il faut prendre en compte l’ensemble des éléments. Si un club de Pro B ne fait pas de formation, il dégage un budget théorique de 150 000 euros qu’il peut mettre sur son effectif pour avoir de meilleurs résultats pendant que d’autres enlèvent ce budget de leur effectif pour faire de la formation. Il faut trouver un juste équilibre et celui qu’on a trouvé c’est qu’un club peut faire une très belle saison comme ça a été le cas la saison dernière avec Charleville en assumant de ne pas avoir de centre de formation et donc de ne pas accéder à la Jeep ELITE pour des raisons administratives même s’ils avaient rempli le contrat sportivement. Les clubs connaissent les règles du jeu (...). C’est compliqué pour une ligue professionnelle de changer son règlement en cours de route ou de ne pas l’appliquer.\\n\\n\\nJulien Monclar, manager général de l’ADA Blois : « Il y aura un centre de formation à Blois la saison prochaine »\\n\\nJulien Monclar, quel est votre état d’esprit vis à vis de l’éventuelle montée du club en Jeep Elite ?\\n\\nA l’heure qu’il est, je pense avant tout à être champion de France (entretien réalisé hier avant le match). Les joueurs sont aussi dans cet état d’esprit là. Il y a un match à gagner, on a deux chances pour le faire, à commencer par celui de Saint-Chamond, un adversaire difficile. C’est ce qui compte et à cet instant, il n’y a rien d’autre que ça.\\n\\nVous comprenez tout de même qu’on puisse vous poser la question étant donné que tous les voyants sont au vert pour le titre de champion de France de Pro B ?\\n\\nÇa viendra dans un second temps tout ça. On a expliqué la situation via un communiqué il y a quelques temps. Le cas échéant on pourra y revenir. Mais je confirme qu’on a fait ce qu’on avait à faire et que l’année prochaine, à Blois, il y aura un centre de formation. Quoiqu’il advienne, quelle que soit la division dans laquelle le club évoluera. Aujourd’hui, ça va forcément être un cas pratique un peu particulier à traiter pour les instances et pas simplement la Ligue. Un agrément de centre de formation, c’est avant tout un agrément ministériel dans lequel la fédération française intervient, mais le décisionnaire, c’est le ministère. Après il y a l’interprétation et la lecture qu’on peut avoir des règlements de la LNB, ça c’est autre chose. Honnêtement, on a fait ce qu’on avait à faire, on a envoyé nos documents aux uns et aux autres... Chaque chose en son temps. Je comprends que ça pose des questions, mais nous on veut vivre les instants pleinement parce que ce sont des choses qui sont rares. Il n’y a pas beaucoup de saisons où on gagne, où on a l’opportunité de jouer un titre et encore moins de le gagner. C’est encore plus vrai pour un club jeune qui vient d’arriver en pro. Il faut savoir aussi profiter de l’instant pour vivre les choses pleinement. Aujourd’hui on ne joue pas pour la saison 2018-2019, on joue pour essayer d’être champion de France de Pro B.\\n\\nMalgré tout, on pense à la répercussion que pourrait avoir ce point de règlement en vue de la montée en Jeep Elite, vis à vis des supporters notamment du public qui s’est pris au jeu dans cette aventure. Lorsqu’on voit par exemple les médias environnants parler de « match de la montée »...\\n\\nLes médias sont au courant, on a envoyé un communiqué il y a trois semaines exposant la situation. Et puis on verra bien après. Ce n’est pas le match de la montée mais ce n’est jamais le match de la montée, c’est le match du titre. Même si vous êtes un observateur, vous connaissez bien tout ça et vous savez comme moi qu’on n’a pas de problème de contrôle de gestion ou de choses de ce genre, et c’est pareil dans toutes les divisions.\\n\\nC’est un autre aspect qui conditionne effectivement la montée...\\n\\nUn aspect réglementaire. Quand on arrive dans une division au dessus il y a des aspects réglementaires. Nous, je vous rassure, au contrôle de gestion, on a candidaté au label de la LNB et on va peut-être devenir le premier club labellisé avec un label Bronze à n’avoir jamais joué en Jeep Elite, avec seulement deux ans en Pro B dont une dans un gymnase. Le club a une très bonne image auprès de la ligue, qui reconnaît son savoir-faire. Sur le cas particulier du centre de formation, ce serait très très long d’en parler, je ne peux pas vous l’évoquer maintenant. Le communiqué a résumé l’ensemble des points. Le reste, les implications et le pourquoi du comment, si le règlement est juste ou pas, tout ça ce sont des polémiques et on n’a pas vocation à les alimenter. Par contre, ce n’est pas nous qui décidons. Aujourd’hui, vous me demandez si l’ADA Blois sera en Jeep ELITE ou en Pro B, je n’en sais rien, même si on gagne ce soir.\\n\\nLa question serait plutôt de savoir si vous êtes prêt à user des recours en vigueur pour accéder à la Jeep Elite malgré ce point de règlement en votre défaveur ?\\n\\nOn veut faire valoir notre travail. On a envie d’être là où on mérite. C’est normal. On n’est pas des va t’en guerre, on n’est pas des belliqueux, on essaie de ne pas verser dans la polémique stérile et on veut voir un peu plus loin que le bout de notre nez, ce qui a toujours été notre état d’esprit et ça ne changera pas même si on gagnait un titre aujourd’hui, encore faut-il le gagner déjà. Concernant la stratégie éventuelle à mettre en place, il y a des réflexions à avoir. Aujourd’hui, que voulez-vous que la Ligue fasse ? Ils ont un règlement, ils ont écrit des choses. Que ce soit bien, pas bien, valable, pas valable, peu importe, aujourd’hui c’est écrit. Ils ne peuvent pas dire « comme c’est Blois qui est en position éventuellement de remporter le championnat, nos règlements ne sont plus valables ». C’est normal. Par contre, il peut y avoir un cas particulier qui se présente, comme il s’est présenté avec le club de Monaco en 2014-2015. C’est la seule équipe qui est montée de N1 à Jeep Elite aussi vite (en ne restant qu’un an en Pro B). Je pense qu’on aura le temps d’y revenir ultérieurement. La saison sportive n’est pas encore terminée, d’autant qu’on rencontre un club comme Saint-Chamond qui sera en Playoffs et qui peut tout à fait se retrouver dans un cas de figure similaire en cas de succès en Playoffs. Aujourd’hui je le redis, et ce n’est pas du flanc : l’objectif c’est d’être champion de Pro B. On a fait une saison, les équipes ont bossé dur toute l’année, c’est long, c’est beaucoup de matchs, beaucoup d’entraînements, beaucoup de temps passé ensemble, ce n’est pas pour parler de la saison prochaine aujourd’hui.\\n\\n\\nYann Boisson (GM AS Monaco) : « Un budget qui n’a pas été dégagé »\\n\\nJoint par BasketEurope après les indications de Julien Monclar, Yann Boisson, manager général de l’AS Monaco Basket en 2014-2015 et toujours au club aujourd’hui, a confirmé que la demande d’agrément avait été faite dans les délais à savoir dès l’arrivée du club monégasque en Pro B en 2014-2015. Un seul détail change par rapport au règlement du fait que Monaco n’évolue pas sur le territoire français, ce n’est pas le Ministère des Sports en France qui valide cet agrément. « Nous sommes assimilés centre de formation agréé du fait que le club n’évolue pas en France, mais c’est la même valeur ».\\n\\nDe plus, la volonté du club avait par ailleurs été clairement affichée en ce sens et ce dès l’accession en Pro B acquise, à savoir dès mai 2014.\\n\\n« Blois aurait dû faire ça dès son arrivée en Pro B comme nous l’avions fait, a également déclaré Yann Boisson. Ils peuvent dire qu’ils ont été pris de court pour la montée. C’est effectivement un budget qui n’a pas été dégagé, il y a deux clubs en France qui ne sont pas loin du million d’euros pour faire fonctionner leurs centres de formations. La moyenne, c’est entre 400 et 500 000 (en Jeep ELITE). En Pro B, ça doit tourner autour des 150 000 euros avec les déplacements, le salaire du coach, la structure administrative, les logements, la scolarité. La subtilité c’est qu’en Pro B, ce n’est pas obligatoire d’en avoir un. (...) Blois est un très bon club, que je connais bien depuis l’époque d’Etienne Preira, ça remonte un peu, aux années 80. Mais ça a toujours été un très bon club, qui a navigué autour de ce niveau, jamais loin de monter en Nationale 1 à l’époque. Ça fait longtemps qu’ils existent à ce niveau. (...) Au sujet de la montée, je me garderais bien de vous donner un avis. Je ne fais partie ni de la Ligue, ni du club de Blois ».\\n\\n\\nVincent Fontaine, responsable des Opérations Sportives d’Orléans : « Tout le monde connaissait le règlement »\\n\\n« Sportivement il n’y a rien à redire sur le parcours de Blois. Maintenant il y a effectivement un règlement, et ce dernier fait qu’ils ne peuvent pas monter sans centre de formation agréé. Cette volonté de former des joueurs pros est importante et Blois est un club pro depuis deux saisons maintenant. La logique, selon les règlements, serait que la montée soit invalidée, mais ce n’est pas à nous de décider. Pour nous ça ne changera rien puisque c’est le 17e de Jeep ELITE qui serait repêché. Le règlement pourrait aussi évoluer en récompensant le 2e de Pro B ou le finaliste des Playoffs dans ce cas de figure, on peut aussi voir ça comme ça. Le règlement est comme ça, tout le monde le connaissait en début de saison, eux comme nous et les autres. C’est vrai que ça surprend, et Blois ne s’attendait peut-être pas à finir premier, même si l’objectif est toujours de réussir la meilleure performance. Le cas aurait peut-être été différent si Blois venait de monter en Pro B 2017-2018 et non l’année d’avant. Je crois qu’ils ont déposé un dossier, que le processus est en cours. Mais bien sûr qu’un centre de formation a un certain coût et que cet argent a pu servir à d’autres fins. Je n’ai rien contre Blois et je serais content pour eux s’ils étaient amenés à être champions et à monter ».\\n\\n\\nPierre Bonneau, directeur sportif et commercial de Boulazac : « Très compliqué d’avoir un centre de formation agréé en très peu de temps »\\n\\n« Le sujet est délicat, dans la mesure où déjà on est samedi et que sportivement on a toujours notre destin entre nos mains (NDLR: l’interview a eu lieu avant la défaite du BBD à Pau). A l’heure qu’il est, on peut toujours être maintenu. Voilà pour le premier point. Sur l’extra-sportif et l’histoire de Blois, tout ce que l’on sait, c’est que la Ligue nous a envoyé des courriers il n’y a pas longtemps précisant qu’il y avait un règlement et que le 17e de Jeep ELITE serait repêché en cas d’invalidation de la montée de Blois. Il y a un règlement en Pro B par rapport à l’accession en Jeep ELITE, on s’en tiendra à ça si ça devait être le cas. Mais je ne travaille pas pour le club de Blois. Je crois savoir qu’aujourd’hui, ils n’ont pas de centre de formation. J’imagine qu’ils doivent travailler pour en avoir un. Je sais aussi qu’il y a des dates à respecter, que c’est très compliqué d’avoir un centre de formation agréé en très peu de temps. C’est tout ce qu’on peut dire à l’heure qu’il est (...) On reste attentif à cette information, et si la Ligue venait à dire « Blois n’est pas qualifié pour la Jeep Elite, on repêche le 17e » et si ça devait être nous, ce que je ne souhaite pas, on respecterait bien évidemment le règlement de la Ligue. Comme, j’imagine, Blois le respectera sans passer au delà. La Ligue dépend de la Fédération qui dépend du Ministère. J’espère que Blois ne passera pas outre ses délégations pour taper très haut afin d’avoir cet agrément de centre de formation dans les temps. (...) J’imagine que tous les supporters, les collectivités, les partenaires sont au courant de cette problématique. Accessoirement, c’est quand même leur deuxième saison en Pro B, c’est pas comme s’ils étaient promus cette année. Ils ont fait le choix de ne pas mettre d’argent sur le centre de formation, ce qui est quand même un choix et une somme d’argent qui au lieu d’aller sur la formation des jeunes peut aller sur des contrats de joueurs professionnels. Est ce qu’il y a de l’équité en Pro B ? Je vous laisse juger par rapport à ça ».\\n\\n\\nJean-Charles Bregeon, directeur Général du Sluc Nancy : « L’esprit et la règle »\\n\\n« Je vais vous faire une réponse de Normand, il y a du bon et du moins bon. Je comprends que ça puisse être dur à vivre pour le club de Blois, si tant est que ce soit leur ressenti. Effectivement, il y a des règles de fonctionnement au sujet du centre de formation. Je ne peux voir la question que par le prisme du Sluc. Nous, on est descendu de Jeep ELITE en Pro B, le centre de formation est certes géré par l’association, mais celle-ci, au nom du Sluc, a quand même eu le courage, le mérite et fait l’effort de maintenir le centre de formation et son fonctionnement malgré la situation du club et son retour en Pro B. De ce côté là, c’est vrai que c’est mieux si tout le monde respectait les règles qui sont mises en place, ça me semble évident. Je ne sais pas comment c’est vécu à Blois... Après, il y a l’esprit et la règle. La règle qui s’impose à tous et qui consiste à dire qu’il faut un centre de formation agréé pour monter en Jeep ELITE. Et puis il y a l’esprit, par rapport à un club comme Blois qui est un club neuf, dynamique, qui s’est doté d’une nouvelle salle et qui fait apparemment ce qu’il faut pour pérenniser son mode de fonctionnement. Blois est actuellement premier, Nancy 7e, je suis tout à fait lucide sur la qualité de leur parcours sportif, sur ce qu’ils ont mis en place, la qualité de la production de leur match. Aujourd’hui, si la saison s’arrêtait là, de ce que j’ai vu du championnat, de leur constance, ils méritent de monter en Jeep ELITE. Ce serait quand même dommage que leur travail sur le terrain avec la somme de travail au cours des entraînements, la montée en puissance de leur collectif et de leur projet avec la nouvelle salle, le staff avec Julien Monclar et le président, soient mis à mal pour un manque administratif. Mon avis, c’est qu’il faut les encourager à tout mettre en œuvre pour pouvoir être dans les clous. Maintenant, je suis aussi légaliste et d’autant plus vis à vis du Sluc, un club qui a fait le chemin en sens inverse, je suis reconnaissant envers le Sluc Basket et l’association d’avoir maintenu le centre de formation malgré la rétrogradation, ce qui n’est pas simple au vu de nos structures, comme c’est le cas pour les clubs qui ont fait l’effort de maintenir et même d’agrandir leur structure de fonctionnement pour le centre de formation. Quand je dis l’esprit, il faut reconnaître la qualité du parcours sportif de Blois. Maintenant si on veut respecter les règles et être légaliste par rapport à ce que veut mettre en place la Ligue avec le règlement sur le centre de formation et le grand programme de développement des jeunes joueurs, disons que je fais confiance au club de Blois pour trouver toutes les solutions à ce problème administratif pour qu’ils soient dans les clous, vis à vis des autres clubs qui font le travail, tout simplement . C’est tout le mal que je leur souhaite ».\\n\\n\\nWilfried Duchemin , manager général de Lille : « Travaillons sur ce paradoxe »\\n\\n« On peut être surpris parfois par la rapidité de la réussite sportive et que Blois, qui est un club qui monte en puissance à tous les niveaux que ce soit sportif ou extra-sportif, n’avait pas anticipé ce point. Ce n’est que leur deuxième saison en Pro B. Dans leur feuille de route, ils n’avaient peut-être pas encore prévu cette accession. Mais voilà le sportif décidé, et il a décidé d’aller un peu plus vite que prévu. Les personnes à la tête du club, et je pense notamment à mon homologue, ont déjà commencé à travailler sur leur centre de formation et sont entrain de faire bouger les choses pour obtenir l’agrément le plus rapidement possible. Je n’en sais rien, mais j’imagine qu’ils ont fait cette démarche. En tout cas j’espère pour eux car le club se construit bien et a rapidement obtenu le mérite sportif en atteignant la Jeep ELITE. Ce serait dommage de la louper pour des raisons d’agrément (...). Ce sera aux instances de décider. Ce que je pense, c’est qu’il faut tirer une leçon de tout ça dans la structuration de nos clubs, et que les clubs de N1 qui sont proches de monter ou qui vont monter la saison prochaine par exemple, aient eux aussi une obligation, sous les deux saisons maximum de Pro B, de respecter les règlements qui pourraient leur permettre d’accéder à la Jeep ELITE derrière. Un peu comme le passage en société. Lorsque vous êtes en association et que vous montez en Pro B, vous avez une dérogation d’un an pour passer en société anonyme. C’est ce qui est arrivé à Lille qui était encore sous la forme associatif et qui a eu un an pour passer en SASP ou SAS. Pour éviter ce genre de cas de figure. Monter un centre de formation, on le sait bien à Lille et moi d’autant plus puisque je viens d’Evreux, c’est du travail, ça prend du temps, c’est de la gestion de jeunes adultes et autres, on ne peut pas faire n’importe quoi. On éduque et on forme avant tout des personnes, des jeunes hommes avant de former des sportifs. La scolarité, l’hébergement, la restauration, sont des points importants et même prioritaires avant l’aspect sportif. On ne peut pas faire tout et n’importe quoi. Ça prend du temps, ça nécessite des structures et de les mettre en place ces structures. La réflexion qu’on devrait mener sur le sujet, c’est peut être de faire évoluer le règlement : vu qu’il est obligatoire d’avoir un centre de formation pour monter en Jeep ELITE, il faut obliger les clubs de Pro B, sous deux, trois ans maximum, à avoir un centre de formation. Car la potentialité peut se représenter. Une saison de Pro B, c’est long, c’est dur, il y a plein d’aléas, et quand vous en êtes là, que vous avez mérité de monter sportivement parce que vous êtes le premier de la saison régulière, je trouve ça dur. C’est hard de se voir refuser la montée pour un point de règlement extra sportif et notamment celui là, qui est lié à un paradoxe dans le règlement. Vous n’êtes pas obligés d’en avoir un en Pro B, mais pour la Jeep ELITE, c’est obligatoire. Il faudra en discuter pour ne pas que ça se représente. On peut le dire, je serais à la place de Blois, j’aurais un peu les boules (...). Je comprends, il y a des règlements, on les connaît. Il y a aussi le terrain et la beauté du sport. Blois travaille bien et a eu de bons résultats sportifs. Leur première place est plus que méritée et sur la durée de la saison aussi (...). Mon point de vue, c’est qu’on se mette autour d’une table pour revoir ce point et éviter de se retrouver dans la même situation. Car même en terme d’image, de voir le champion de Pro B ne pas monter, ce n’est pas top. En tout cas, c’est bien d’en parler, ça fera peut-être bouger les choses. A l’issue de la saison 2017-2018 et des Playoffs, vous pouvez effectivement avoir deux clubs qui auraient mérité leur montée, Blois à la première place et Saint-Chamond ou Denain (qui n’ont pas de centre de formation, NDLR) s’ils gagnaient les Playoffs, qui verraient leur montée être invalidée à cause de ce point de règlement malgré leur mérite sportif. Travaillons sur ce paradoxe. »\\n\\nPhoto principale : Nguyen Photographies\\n\\n*https://basketeurope.com/livenews-fr/410878/preview-pro-b-les-projecteurs-sur-seikou-doumbouya/\\n\\n*https://basketeurope.com/livenews-fr/418941/pro-b-comment-le-basket-sinstalle-a-blois/\\n\\n*https://basketeurope.com/livenews-fr/422847/mickael-hay-blois-on-pourra-mettre-sur-les-tablettes-qua-un-moment-on-a-ete-premier-en-pro-b/\\n\\n*https://basketeurope.com/livenews-fr/424013/basket-a-blois-leadership-entrepreneuriat-tourisme-rencontre-avec-tyren-johnson-lhyperactif/\\n\\n*https://basketeurope.com/livenews-fr/lnb/427355/special-salaires-pro-b-blois-avait-les-moyens-de-ses-ambitions/\\n\\n[armelse]\\nA cette occasion, BasketEurope a sollicité les acteurs principaux de ce dossier et donné la parole à cinq haut représentants de clubs de LNB pour y voir plus clair. Avec pour résultat, la conclusion (un poil hâtive certes) présente dans le titre. Au lendemain du sacre de champion, c’est en effet un long combat administratif qui se profile pour l’ADA Blois, en attendant le premier avis officiel qui sera délivré à l’issue du comité directeur de la Ligue fin juin. A noter que Blois n’est pas le seul club dans ce cas puisque Saint-Chamond et Denain, en lice pour les Playoffs d’accession, ne disposent pas non plus de centre de formation agréé. Avec la victoire de l’un de ces clubs en finale des Playoffs d’accession, la LNB, si elle reste fidèle à son règlement, se retrouverait alors dans une situation inédite, avec deux montées acquises sportivement mais invalidées de fait pour ce point point de règlement.\\n\\nRetrouvez l’intégralité des entretiens livrés avec Djilali Méziane, directeur des opérations sportives de la LNB, Julien Monclar manager général de l’ADA Blois, ainsi que les points de vue de Yann Boisson, manager général de l’AS Monaco, Vincent Fontaine, responsable des Opérations Sportives d’Orléans, Pierre Bonneau, directeur sportif et commercial de Boulazac, Jean-Charles Bregeon, directeur Général du Sluc Nancy, Wilfried Duchemin , Manager général de Lille.\\n\\nNB : tous les entretiens ont été réalisés vendredi et samedi.\\n\\n\\nDjilali Méziane, directeur des opérations sportives de la LNB : « Les clubs connaissent les règles du jeu »\\n\\nDjilali Méziane, les positions se sont-elles rapprochées entre la LNB et le club de Blois depuis le mois dernier ? Est-ce qu’il y a du nouveau ?\\n\\nAujourd’hui, il n’y a pas de nouveauté. La situation reste identique, à savoir que sportivement le club de Blois peut accéder à la Jeep ELITE en étant champion de Pro B à l’issue de la saison régulière et aura le titre de champion de France. On sera demain soir (hier soir NDLR) avec le président à Blois pour remettre le trophée de champion de France de Pro B. Ensuite, il y aura une demande au niveau de la commission financière, la DNCCG, pour que le club puisse proposer un budget Jeep ELITE. Ça c’est une première étude. On étudiera ensuite les circonstances administratives et on leur demandera de fournir un agrément du centre de formation. Je sais qu’a priori, ils ont fait une demande auprès de la fédération, assez tardivement, pour qu’il soit visité. On attendra les retours de la direction technique nationale de basket et de la Direction Régionale de la Jeunesse et Sport là dessus puis le ministère des Sports en dernier lieu. A ce jour, je ne suis pas capable de vous dire, si le club aura un centre de formation agréé avant la date du 30 juin. Ce qui est sûr, c’est qu’ils en ont fait une demande, tardive.\\n\\nAucune dérogation ne peut être possible ? Dans la mesure ou c’est une question de timing ? Il est question de trois mois de retard ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Giovan Oniangue et Arnaud Kerckhof quittent Boulazac"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur ses réseaux sociaux, Boulazac a annoncé avoir mis fin à sa collaboration avec Giovan Oniangue et Arnaud Kerckhof.\\n\\nLe club indique que c’est d’un commun accord que les contrats des deux hommes n’ont pas été prolongés.\\n\\nCette saison en Jeep Élite, Oniangue et Kerckhof compilaient en moyenne 4,9 points et 1,8 rebond pour une évaluation de 3,4, et 1 point et 2,2 passes décisives pour une évaluation de 2,8."
}, 
{"role": "user",     "content":"Amara Sy (Monaco): «Le Mans n’était pas favori, mais s’est bien battu et franchement, c’est un beau champion»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’entraîneur monégasque et son capitaine sont apparus têtes basses en conférence de presse. Et pour cause, après ce 5e épisode perdu dans les dernières secondes (74-76) il y avait de quoi être sonné.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nPour son dernier match à la tête de la Roca Team après trois ans de bons et loyaux services, le coach serbe Zvezdan Mitrovic se serait bien vu offrir à l’AS Monaco son premier titre de champion de France. Mais il n’en a rien été. Le nombre de lancer-francs accordés au MSB sur les deux derniers matchs (64) restera en travers de la gorge du futur villeurbannais qui a notamment imploré les arbitres à « laissez les joueurs décider de l’issue des matchs » au cours de son intervention.\\n\\nMême si la déception est également au rendez-vous, le constat du capitaine Amara Sy est sans doute plus lucide. Même s’il a estimé ne pas avoir fait de bonnes finales, l’Amiral (10pts, 4rbds, 15 d’éval) avait montré la voie en attaquant la partie avec un dunk rageur en contre-attaque. Pour ces quelques satanés petits détails, la pièce n’est pas tombée du bon côté, ce qui n’empêche pas le numéro 5 monégasque de reconnaître que ce MSB là fait « un beau champion ».\\n\\n\\nZvezdan Mitrovic : « 64-24... »\\n\\nSur la perte de confiance de Monaco après une entame réussie:\\n\\n« Oui, on a bien joué en défense en premier quart-temps, en attaque aussi. Bien évidemment, on ne peut pas faire tout un match sur ce rythme, on s’attendait à ce que Le Mans revienne. En 2e quart-temps, ils commencé à jouer bien mieux. On a enchaîné les erreurs, surtout dans le 3e quart-temps, avec des balles perdues, sur des petites erreurs, des paniers faciles, des situations de contre-attaque... C’est peut-être le moment où on a perdu un peu de confiance. On s’en sort pas si mal en 3e quart, on reste dans le match jusqu’à ce qu’on me siffle une faute technique, et ils repartent à +8. Malgré ça, on arrive quand même à se procurer un tir pour forcer une prolongation, mais on le manque ».\\n\\nSon sentiment personnel sur cet échec si près du but:\\n\\n« Je ne me sens pas si bien. Ça fait trois ans que je suis ici, je crois qu’on a montré du bon basket pendant tout ce temps. Et je pense que ce n’est pas juste. Je veux juste vous poser la question à vous, observateurs, journalistes, vous savez de quoi je parle quand je dis 64-24 ? Ce que ces chiffres veulent dire ? Ce sont les lancer-francs tentés par les deux équipes, sur les deux derniers matchs. Pas seulement sur ce soir, même si on prend 30. Ça n’est pas juste, on n’a pas joué au même jeu. J’ai comparé lorsqu’on gagne et lorsqu’on perd. Mais juste, 64-24, + 40 lancers d’écart sur ces deux derniers matchs. Je ne sais pas, c’est difficile... Les joueurs jouent à fond, mais comment peut-on arriver à donner un tel écart ? Que ce soit Le Mans ou pas en face, ce sera difficile. Je me sens mal quand je vois ces chiffres ».\\n\\nSur le bilan de la saison:\\n\\n« Je crois qu’on aurait signé en début de saison pour pouvoir jouer trois finales. On en a perdu deux, c’était très dur en Champions League, dans une atmosphère incroyable. Et malheureusement, dans ces Playoffs, je trouve qu’on a fait du très bon travail et qu’on n’a pas vraiment perdu d’un point de vue sportif. Ce que j’ai dit à mes joueurs, c’est qu’ils ont tous évolué par rapport au début de saison. Ils ont montré du bon basket, match après match, en représentant le basket français dans l’arène européenne. Je crois que sur ces trois dernières années, on a montré du bon basket. Mais, 64-24... sérieusement...»\\n\\nSur le potentiel changement de cycle à Monaco:\\n\\n« Amara Sy et Sergii Gladyr sont là depuis le début, mais si on y regarde de plus près, on a souvent modifié l’équipe, année après année. Ça a aussi été un problème puisque certains joueurs montrent un niveau supérieur et reçoivent alors de meilleurs propositions pour jouer en Euroleague ou en NBA comme Yakuba Ouattara. Et cette finale, ce sera un mal pour un bien pour tous ces joueurs. Ils apprendront tous de cette défaite et ils relèveront d’autres défis. Je pense que les joueurs ont aussi pris beaucoup de plaisir ces trois dernières années, spécialement cette saison ».\\n\\n\\nAmara Sy : « On n’a pas su tirer les leçons d’Athènes »\\n\\nSon analyse de ce 5e épisode\\n\\n« En première mi-temps, on s’est trop précipités. On a voulu enfoncer le clou trop rapidement. C’est vrai qu’on s’est retrouvé à +10 à deux reprises, mais on prend des tirs trop rapides, dans la précipitation. On n’a pas réussi à mettre ce coup d’accélérateur pour les distancer. Forcément, nos mauvais choix ont donné des contre-attaques de l’autre côté. C’est ce qui leur a permis de rester au contact. D’être à -4 à la mi-temps, ça leur a redonné de l’espoir. Et quand on redonne de l’espoir a cette équipe du MSB, on l’a constaté tout au long de cette saison et surtout pendant les Playoffs, elle est capable de réaliser de grandes performances. Que ce soit en quart, en demie et en finale, ils sont allés au bout des séries et ils ont réussi à s’imposer à l’extérieur, comme ici, au courage. Ils ne l’ont pas volée, sur l’ensemble de la série, même si on s’est bien battus. On ne l’aurait pas volée non plus si on avait été champions. Ça a été une belle bataille, malheureusement c’est le MSB qui la remporte ».\\n\\nLe bilan de la saison conclu par cette deuxième finale perdue\\n\\n« Forcément c’est un échec. On est allé au bout de toutes nos compétitions, sauf en Coupe de France dont tout le monde connaît l’histoire. On n’a pas su tirer les leçons d’Athènes. On a fait les mêmes erreurs, On a été trop dans la nervosité alors qu’il y a du talent de l’expérience. On a montré qu’on pouvait développer du bon basket tout au long de la saison, on aurait dû s’appuyer là-dessus davantage. De s’effondrer comme ça, à deux points, c’est dur. Ça aurait pu basculer d’un côté comme de l’autre. Le sport c’est comme ça. Lors de mon premier titre de champion de France, le scénario avait été un peu le même. C’est Boris Diaw qui avait raté le shoot. Il aurait très bien pu le mettre, il l’a raté, on a été champions. C’est comme ça, il faut l’accepter. Malheureusement, c’est très dur de perdre une finale. Une finale, on la joue pour gagner, pas pour faire de la figuration. Le Mans n’était pas favori, mais s’est bien battu et franchement, c’est un beau champion ».\\n\\nLa réaction de Paul Lacombe au micro de SFR Sport\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/1010954245342941184\\n\\n[armelse]\\n\\nPour son dernier match à la tête de la Roca Team après trois ans de bons et loyaux services, le coach serbe Zvezdan Mitrovic se serait bien vu offrir à l’AS Monaco son premier titre de champion de France. Mais il n’en a rien été. Le nombre de lancer-francs accordés au MSB sur les deux derniers matchs (64) restera en travers de la gorge du futur villeurbannais qui a notamment imploré les arbitres à « laissez les joueurs décider de l’issue des matchs » au cours de son intervention.\\n\\nMême si la déception est également au rendez-vous, le constat du capitaine Amara Sy est sans doute plus lucide. Même s’il a estimé ne pas avoir fait de bonnes finales, l’Amiral (10pts, 4rbds, 15 d’éval) avait montré la voie en attaquant la partie avec un dunk rageur en contre-attaque. Pour ces quelques satanés petits détails, la pièce n’est pas tombée du bon côté, ce qui n’empêche pas le numéro 5 monégasque de reconnaître que ce MSB là fait « un beau champion ».\\n\\n\\nZvezdan Mitrovic : « 64-24... »\\n\\nSur la perte de confiance de Monaco après une entame réussie:\\n\\n« Oui, on a bien joué en défense en premier quart-temps, en attaque aussi. Bien évidemment, on ne peut pas faire tout un match sur ce rythme, on s’attendait à ce que Le Mans revienne. En 2e quart-temps, ils commencé à jouer bien mieux. On a enchaîné les erreurs, surtout dans le 3e quart-temps, avec des balles perdues, sur des petites erreurs, des paniers faciles, des situations de contre-attaque... C’est peut-être le moment où on a perdu un peu de confiance. On s’en sort pas si mal en 3e quart, on reste dans le match jusqu’à ce qu’on me siffle une faute technique, et ils repartent à +8. Malgré ça, on arrive quand même à se procurer un tir pour forcer une prolongation, mais on le manque ».\\n\\nSon sentiment personnel sur cet échec si près du but:\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : le Panathinaïkos, Barcelone et le Khimki Moscou à la lutte pour Nick Calathes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir signé une saison de très haut niveau, Nick Calathes (1,98m, 29 ans) est convoité par plusieurs clubs d’Euroleague.\\n\\nEn fin de contrat cet été, l’ancien joueur du Lokmotiv Kuban pourrait donc quitter le Panathinaïkos même si le club lui a déjà proposé une prolongation de trois ans et 6,5 millions d’euros. Seulement, la formation grecque n’est pas la seule à vouloir enrôler le natif de Casselberry. Selon Eurohoops, le Khimki Moscou serait déjà passé à l’attaque et aurait proposé un contrat de deux ans avec des revenus plus conséquents que ceux du Pana à l’international grec. Le FC Barcelone serait également intéressé mais n’aurait pas fait d’offre concrète.\\n\\nToujours d’après le site internet, si l’ancien joueur des Memphis Grizzlies trouve le deal parfait avant d’être sondé par les franchises NBA, il restera en Europe.\\n\\nCette saison, Nick Calathes compilait en moyenne 10,3 points, 3,8 rebonds et 6,8 passes décisives en championnat, et 14,5 points, 3,8 rebonds et 8 assists pour une évaluation de 18,5 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Real Madrid : Anthony Randolph sur le départ"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sous contrat jusqu’en 2020, Anthony Randolph (2,11m, 28 ans) serait sur le point de quitter le Real Madrid cet été.\\n\\nSelon El Bernabeu, pour des mauvaises performances et un manque de discipline l’intérieur madrilène ne serait plus en odeur de sainteté dans la capitale espagnole. Lors des trois derniers matchs de la finale de Liga Endesa, l’ancien joueur des Denver Nuggets n’a même pas foulé les parquets. Il serait également arrivé à l’entraînement avec 30 minutes de retard.\\n\\nCette saison, Anthony Randolph compilait en moyenne 10,3 points et 4,9 rebonds pour une évaluation de 10,8 en ACB, et 8,2 points, 3,8 rebonds et 1,2 passe décisive pour une évaluation de 9,6 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Darussafaka annonce l’arrivée de deux joueurs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir enregistré l’arrivée d’un nouveau coach, le Darussafaka se tourne vers son recrutement et annonce ce lundi la signature de Zanis Peiners (2,03m, 27 ans) et Jordan Loyd (1,93m, 24 ans).\\n\\nLe premier arrive en provenance du championnat lituanien. Il évoluait sous les couleurs du Lietkabelis Panevėžys. Passé par Riga, Ventspils ou encore le PAOK Salonique, il va vivre sa première expérience en Euroleague la saison prochaine. Il a signé un contrat d’un an plus une année en option avec le club turc.\\n\\nJordan Loyd était un rookie en Europe cette année. Arrivé en provenance de la D-League où il a lancé sa carrière professionnelle en 2016/17, il a fait forte impression avec l’Hapoel Eliat pour sa première expérience sur le Vieux Continent. Comme son nouveau coéquipier, il s’est engagé pour un contrat 1+1.\\n\\nCette saison, Zanis Peiners compilait en moyenne 12,2 points, 3 rebonds et 2,9 passes décisives pour une évaluation de 14,6 en LKL, et 12,8 points, 5,1 rebonds et 2,6 passes décisives pour une évaluation de 17,7 en Eurocup. Jordan Loyd, conjuguait, lui, 17,3 points, 4,9 rebonds, 3,6 assists et 1,6 interception dans le championnat israélien.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Boulazac prêt à jouer en Jeep Elite en 2018-19"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le refus de la LNB de faire monter en Jeep Elite l’ADA Blois 41 fait un heureux: le Boulazac Basket Dordogne. Sur les réseaux sociaux, le BBD annonce son repêchage. Les Boulazacois ont terminé 17e sur 18 de la saison 2017-18.\\n\\nRappelons que le club de Blois a saisi le CNOSF.\\n\\n\\n\\n\\n🏀Communiqué\\nSuite aux décisions prises lors de l'assemblée générale tenue ce jour à la @LNB, il a été décidé que le Boulazac Basket Dordogne évoluerait en #JeepElite pour la saison 2018/2019 !#GoBBD pic.twitter.com/NFZXUotVPs\\n\\n\\n— BoulazacBasketD (@BoulazacBasketD) June 25, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Elite: La Ligue refuse l’engagement de Blois, le club fait appel devant le CNOSF et est prêt à porter l’affaire devant les tribunaux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors de l’Assemblée Générale de la Ligue Nationale de Basket qui s’est tenu ce lundi, son Président, Alain Béral a informé que l’ADA Blois Basket 41 n’est pas admise pour la saison prochaine en Jeep Elite, malgré son titre de Champion de France Pro B.\\n\\nDans l’état actuel, c’est le Boulazac Basket Dordogne qui serait repêché.\\n\\nLe club blésois a publié un communiqué que nous reproduisons dans son intégralité:\\n\\n« Pour prendre cette décision injuste, la LNB s’appuie sur un point de règlement selon lequel il faut, pour accéder en Jeep Elite, outre le droit sportif, avoir un Centre de Formation agréé par le Ministère.\\n\\nOr, l’ADA BLOIS BASKET 41 a le droit sportif et a mis en place toutes les conditions pour que son Centre de Formation réponde aux exigences de la Fédération Française de Basket Ball et commence à fonctionner au 1er septembre 2018, soit bien avant le début de la prochaine saison régulière.\\n\\nL’ADA BLOIS prend donc acte de cette décision qu’il trouve injuste et scandaleuse pour 5 principales raisons :\\n\\n1. C’est refuser le droit sportif et nier le titre de Champion de France de PRO B acquis de façon régulière sur les parquets en 2017-2018 avec des finances saines\\n\\n2. C’est refuser à BLOIS ce que la Ligue Nationale de Basket a accordé à Monaco il y a trois ans, c’est à dire accéder en Jeep Elite sans un agrément pour son Centre de Formation\\n\\n3. C’est refuser de voir que le Centre de Formation de Blois fonctionnera, à partir du 1er septembre 2018, en répondant à l’ensemble des critères imposés par la FFBB et dont le Ministère des Sports a pris acte puisqu’il a fait savoir qu’il était prêt à apprécier de nouveau la situation en vue d’un agrément.\\n\\n4. C’est refuser la proposition amiable présentée par l’ADA BLOIS BASKET 41 d’une dérogation d’un peu plus de deux mois (entre le Comité Directeur de la LNB du 19 juin ayant statué et la date d’ouverture du Centre de Formation, le 1er septembre) permettant l’accès en Jeep Elite alors que l’ADA BLOIS répond à toutes les conditions juridiques posées par la LNB (article 220 à 227 – Section 1 Chapitre 2 du Règlement de la Ligue).\\n\\n5. C’est refuser le développement du basket professionnel dans une Région au même moment où, dans le basket professionnel français, des droits sportifs seraient transférés d’une ville à une autre au mépris de l’éthique et pour uniquement des intérêts de business, ou encore, d’autres clubs se verraient notifier une accession administrative en N1 non gagnée sportivement et au mépris du respect des textes.\\n\\nDevant cette décision de la LNB inique, l’ADA BLOIS BASKET 41 a décidé de faire valoir ses droits et de la contester en demandant, dans les prochains jours, devant les juridictions administratives, sa suspension.\\n\\nAuparavant, l’ADA Blois Basket va saisir l’instance majeure du sport français, le Comité National Olympique et Sportif Français, pour une mission de conciliation conformément à l’article 141-4 du Code du sport.\\n\\nL’ADA BLOIS BASKET 41 remercie toutes celles et tous ceux qui ont déjà fait connaître leur soutien à sa démarche et leur confirme sa totale détermination à faire valoir ses droits pour jouer la saison prochaine en Jeep Elite. »\\n\\nPhoto : Tuan Nguyen"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Gaylor Curier prolonge à Orléans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Eliminé par Rouen en quart de finale das playoffs, Orléans était pourtant le favori pour la montée en Jeep® ÉLITE depuis le début de saison.\\n\\nSur son site, le club orléanais déclare vouloir s’appuyer sur des joueurs présents cette saison et a donc proposé à Gaylor Curier de continuer l’aventure au club à la rentrée. Depuis quatre ans en Pro B, l’ancien joueur de d’Angers ne cesse de progresser. Malgré un temps de jeu un peu diminué par rapport à sa saison dernière à Rouen, le natif de Massy a été précieux pour Germain Castano et a montré sa capacité à, en plus d’être spectaculaire, être une valeur sûre au shoot avec 45% de réussite à deux points et pratiquement 35% à trois points.\\n\\nCette saison, Gaylor Curier compilait en moyenne 11,2 points, 3,8 rebonds, 1,2 passe décisive pour 12 d’évaluation.\\n\\nPhoto : Orléans Loiret Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"La Slovénie sans Luka Doncic pour la troisième fenêtre internationale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion d’Europe avec la Slovénie en septembre dernier, Luka Doncic ne portera pas le maillot de sa sélection lors de la troisième fenêtre de qualification qui commencera vendredi 29 juin.\\n\\nAprès une discussion, le staff de la sélection slovène et le joueur ont conclu que le MVP d’Euroleague en titre va se reposer. Depuis le 15 juillet dernier et la préparation pour l’Eurobasket, le champion d’Espagne n’a pas arrêté. Drafté par les Atlanta Hawks, puis transféré à Dallas, l’ancien joueur du Real Madrid ne disputera pas non plus la Summer League NBA cet été.\\n\\nA seulement 19 ans, Luka Doncic a vécu une saison très riche en émotions en remportant l’Euro, le championnat d’Espagne et l’Euroleague en plus d’être nommé MVP de Liga Endesa et d’Euroleague ainsi que meilleur jeune de ces deux compétitions.\\n\\nVoici la liste des joueurs qui affronteront l’Espagne et le Montenegro :\\n\\n * Edo Muric\\n * Jaka Blazic\\n * Vlatko Cancar\\n * Ziga Dimec\\n * Gregor Hrovat\\n * Miha Lapornik\\n * Blaz Mahkovic\\n * Blaz Mesicek\\n * Aleksej Nikolic\\n * Klemen Prepelic\\n * Matic Rebec\\n * Luka Rupnik\\n * Jean Mark Shishko\\n * Gasper Vidmar\\n * Sasa Zagorac\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Bangaly Fofana (Monaco) signe à Gravelines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était dans les tuyaux depuis quelques jours, Bangaly Fofana (2,12m, 29 ans) s’est engagé avec le BCM Gravelines-Dunkerque.\\n\\nSur son site, le club annonce l’arrivée du géant pour les deux prochaines saisons. Triple finaliste en titre du championnat de France, l’ancien joueur de la SIG quitte donc Monaco après deux saisons. L’exercice 2017/18 a été plus compliqué pour l’ancien Havrais. Gêné par une blessure au genou, le champion de France 2009 n’a quasiment pas joué avec la Roca Team.\\n\\nCette saison, Bangaly Fofana a compilé 4 points et 5 rebonds pour une évaluation de 7 en deux matchs de Jeep® ÉLITE.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans champion de France: les highlights du Match 5"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Diffuseur exclusif de la Jeep Elite, SFR a réalisé un résumé de six minutes sur L’Epilogue de la finale Le Mans-Monaco avec le triomphe du MSB.\\n\\nC’est à voir ici.\\n\\nhttps://www.facebook.com/LeMansSartheBasket/videos/10155656897734103/?hc_ref=ARRL3ML1vTKPQfkF2Hs8iAJwiLBKhyOQBRGtCj442Qnu1Ny9j6ou6RskgLQ3jjyhODI&fref=nf\\n\\nPhoto: Will Yeguete et Antoine Eito (LNB/Lecoq)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Trey Thompkins prolonge au Real Madrid"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il se rapprochait d’une signature à l’Anadolu Efes, Trey Thompkins (2,08m, 28 ans) a finalement trouvé un accord avec le Real Madrid pour prolonger son séjour dans la capitale espagnole.\\n\\nSur Twitter, le New-yorkais a annoncé, lui-même, qu’il sera de retour à la Maison Blanche la saison prochaine. L’exercice 2017/18 a été rempli pour l’ancien joueur du Nizhny Novgorod. Avec la formation madrilène, il a été sacré champion d’Espagne et champion d’Euroleague.\\n\\nCette saison, Trey Thompkins compilait en moyenne 9,5 points et 4 rebonds pour une évaluation de 8,7 en ACB, et 9,5 points et 5,1 rebonds pour une évaluation de 11,1 en Euroleague.\\n\\n\\n\\n\\nI am happy to announce that I will be returning to Real Madrid!! #HalaMadrid! Let's Goooooooo!\\n\\n\\n— Trey Thompkins (@TreyThompkins) June 23, 2018\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce : l’Olympiakos et David Blatt finaliseraient leur deal"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il souhaitait tenter une nouvelle fois sa chance en NBA, David Blatt (59 ans) est sur le point de continuer son chemin en Europe.\\n\\nSelon Eurohoops, l’Olympiakos aurait proposé un contrat de deux ans au champion d’Euroleague 2014 et les deux clans seraient sur le point de trouver un accord. Passé par Trevise, l’Anadolu Efes ou encore l’Aris Salonique, le natif de Boston a rejoint le Darussafaka en 2016. Avant même la fin de la saison, il avait prévenu qu’il quitterait le club quelle que soit l’issue de l’exercice 2017/18. Intéressé par un retour aux Etats-Unis, il n’a pas reçu l’intérêt attendu de la part des franchises NBA.\\n\\nSuite à la saison « ratée » de l’Olympiakos -finaliste en championnat et éliminé en quart de finale en Euroleague-, les dirigeants grecs ont décidé de se séparer de Giannis Sfairopoulos et d’apporter du sang neuf au club. Cette saison, David Blatt a remporté l’Eurocup avec la formation stambouliote.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Barcelone ne veut plus de Juan Carlos Navarro"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Juan Carlos Navarro, 38 ans, ne souhaite pas se retirer de la compétition et envisage une autre saison au FC Barcelone, mais d’après Encestando, le club ne veut plus de lui.\\n\\nNé dans la Province de Barcelone, Juan Carlos Navarro est le symbole du Barça avec lequel il a effectué toute sa carrière sinon une saison aux Memphis Grizzlies de NBA. C’est lui qui a joué le plus grand nombre de matches avec le club catalan et il a gagné tous les titres possibles notamment deux Euroleague en 2003 et 2010.\\n\\nSes statistiques étaient de 5,6 points et 1,6 passe en 14′ en moyenne lors de la saison écoulée."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans Champion de France: Les Unes du Maine Libre et de Monaco Matin et des vidéos dans les bars de la ville"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Evidemment, les Unes des quotidiens Le Maine Libre Monaco Matin n’ont pas la même tonalité ce matin alors que Le Mans Sarthe Basket est devenu hier soir champion de France au détriment de l’AS Monaco. Spectaculaire, la photo où l’ont voit Zvezdan Mitrovic les deux mains sur son front; le ciel lui est tombé sur la tête !\\n\\nLe Maine Libre et France Bleu ont par ailleurs posté des vidéos prises hier soir dans des bars au Mans.\\n\\nhttps://www.facebook.com/francebleumaine/videos/10160574938035344/UzpfSTEwMDAwMjIwNzY0MDk3MzoxNzcwODA4MjU5NjY5NDEy/"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans va fêter ses héros en fin d’après-midi"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipe du MSB est revenue plus tard que prévu de Monaco. Leur avion privé n’a pas pu décoller de l’aéroport de Nice avant ce matin si bien que leur arrivée à Antarès n’était pas prévu avant 15h30.\\n\\nIls vont se retrouver en fin d’après-midi pour présenter leur trophée à leurs supporters qui sont invités à venir en T-shirts oranges. Ils auront beaucoup servi ces derniers jours! En 1964 pour la première Coupe de France tout comme en 1978 pour le premier titre de champion de France, les vainqueurs avaient eu droit à un défilée en ville dans des voitures décapotables. Cette fois, tout comme au retour de Bercy en 2006, le lieu de rendez-vous est fixé place du Jet d’Eau, sous la Cathédrale, à partir de 18h45.\\n\\nPhoto: Hervé Bellenger (LNB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"LeBron James a félicité sur Instagram son pote Romeo Travis pour son titre de champion de France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nés tous les deux en décembre 1984, Romeo Travis et la superstar de la NBA LeBron James sont potes -ainsi que le Limougeaud Dru Joyce- depuis qu’ils ont joué dans le même lycée à Akron dans l’Ohio, St Vincent-St Mary’s, avec qui ils ont été champions des Etats-Unis.\\n\\nHier soir, LeBron a félicité Romeo sur Instagram pour son titre de champion de France et de MVP des playoffs. La classe.\\n\\nPhoto: Hervé Bellenger (LNB)\\n\\nhttps://www.instagram.com/p/BkbBt2PBOZ_/?taken-by=kingjames"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les cigares des Pharaons du basket français"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est Ouest France qui raconte l’anecdote. Dans les vestiaires, le meneur du Mans Sarthe Basket, Antoine Eito, a voulu fêter le triomphe du Mans Sarthe Basket a la Red Aeurbach, le coach des Boston Celtics des années soixante qui fumait des Havanes -y compris sur le banc, une autre époque- lorsque son équipe était certaine de gagner un match important. Un cérémonial repris depuis par les champions NBA et on se souvient notamment lors des titres des Chicago Bulls des images de Michael Jordan, grand amateur de Havanes, et des volutes de fumée.\\n\\nEito a donc sorti de son sac un briquet et plusieurs cigares et les a distribués. Probablement attiré par la fumée, un membre du staff de Monaco est arrivé dans le vestiaire et s’est écrié: « Les gars, vous allez déclencher les détecteurs de fumée, faites gaffe quand même... »\\n\\nMême le président Christophe Le Bouille a eu droit à sa bouffée.\\n\\nLes cigares des Pharaons du basket français.\\n\\nPhoto: Will Yeguete (LNB/Hervé Bellenger)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV: L’équipe de France sur Canal + Sport"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison de Jeep Elite est définitivement éteinte mais le basket à la télévision continue avec les deux matches de l’équipe de France comptant pour les qualifications à la Coupe du Monde.\\n\\nLe premier en Bosnie est programmé vendredi à 20h30 et le second contre la Russie lundi à 18h.\\n\\nIls seront diffusés par Canal+ Sport. La chaîne retransmettra par ailleurs la Coupe du Monde féminine à partir du 22 septembre. En cas de qualification de l’équipe de France, demi-finale et finale seront également diffusées en clair par W9 les 29 et 30 septembre.\\n\\nPhoto: Evan Fournier (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pays par pays, tous les champions en Europe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Maintenant que le titre de champion de France a été attribué, le site Sportando a pu répertorier tous les champions nationaux en Europe ainsi que les vainqueurs dans les ligues supranationales et les coupes européennes.\\n\\nLes voici:"
}, 
{"role": "user",     "content":"Un contrat de 4 ans et de 6 millions de dollars pour Elie Okobo avec les Phoenix Suns"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Shams Charania de Yahoo Sports, l’ex-Palois Elie Okobo (1,88m, 20 ans) et les Phoenix Suns ont signé un contrat portant sur quatre ans et 6 millions de dollars avec une garantie pour les deux premières saisons et une option pour le club pour les deux suivantes.\\n\\nUn bon deal pour le Français, qui n’a pas été drafté au premier tour mais en 31e position.\\n\\nElie Okobo a conjugué cette saison 12,9 points, 4,8 passes et 2,8 rebonds et a scoré 44 points lors du Match 1 de quart-de-finale de playoffs contre Monaco, ce qui a marqué les esprits.\\n\\nIl va débuter sous ses nouvelles couleurs lors de la Summer League dans dix jours.\\n\\n\\n\\n\\nThe Phoenix Suns and No. 31 overall pick Elie Okobo of France have agreed on a four-year, $6M rookie deal, league sources tell Yahoo. Okobo's deal will be guaranteed in first two seasons, with team options on Years 3 and 4.\\n\\n\\n— Shams Charania (@ShamsCharania) June 24, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans, cinquième club le plus titré de l’histoire du basket français"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Mans a remporté le cinquième titre de champion de France de son histoire. Trois l’ont été sous le nom de Sporting Club Moderne (1978, 79 et 82) et deux sous le nom de Le Mans Sarthe Basket (2006 et 2018) qui a pris sa suite.\\n\\nAvec 18 titres nationaux, l’AS Lyon-Villeurbanne est largement en tête du palmarès devant le CSP Limoges (11), l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez (9) et le FA Mulhouse (7 avant la deuxième guerre mondiale). Le Mans SB est désormais seul à la cinquième place devant le Paris Basket Racing/Racing Club de France avec 4.\\n\\nPhoto: Chris Lofton (Le Mans)-Hervé Bellenger/LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde: 4 000 spectateurs attendus à Tuzla pour recevoir la France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"4 000 billets ont été imprimés pour le match Bosnie-France qui se déroulera vendredi prochain, 29 juin, à Tuzla (80 000 habitants). La fédération de Bosnie-Herzégovine indique que les trois-quarts ont déjà été vendus et qu’un grand nombre de policiers et de personnel de sécurité les encadrera. On imagine que l’ambiance y sera très chaude. Une cinquantaine de journalistes sont attendus pour ce qui est considéré comme un événement dans le pays. Alors que les Bleus comptent 4 victoires en 4 matches, les Bosniaques sont à égalité avec les Russes avec 2 victoires dans le Groupe E.\\n\\nLa Bosnie est déjà en préparation et elle a livré un match amical à la Croatie à Opatija. C’est dans le quatrième quart-temps (17-24) que les Bosniaques ont cédé pour s’incliner 88-75. Bojan Bogdanovic (2,03, 29 ans) a été le top-scoreur du côté des vainqueurs avec 20 points alors que c’est l’arrière-ailier de l’AEK Athènes Edin Atic (2,01m, 21 ans) qui a été le plus en vue du côté de la Bosnie avec 21 points et 7 rebonds.\\n\\nLa Bosnie n’a disposé pour ce match ni de Dzanan Musa (2,02m, 19 ans, 15,3 points en moyenne dans ces qualifications à la Coupe du Monde mais seulement 1 lors de la défaite contre la France à Rouen, 65-84) qui vient d’être drafté par les Brooklyn Nets en 29e position ni de Elmedin Kikanovic (2,10m, 29 ans) qui joue cet après-midi l’Epilogue de la finale de Jeep Elite avec Monaco.\\n\\nLe coach de la Bosnie est l’ancien Limougeaud Dusko Vujosevic.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Finale Jeep ELITE : la Manita pour les Manceaux, champions de France 2018 !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il fallait un cœur immense pour battre cette « Dream Team » monégasque. Mais ces guerriers du Mans ont prouvé à travers cette fin de saison et cette campagne de Playoffs extraordinaire qu’ils avaient les ressources pour rivaliser avec l’armada princière. Mieux, ils ont réussi à puisé aux fond d’eux-mêmes pour remporter ce 5e match en terrain hostile, s’imposant 74-76 au terme d’un suspense insoutenable.\\n\\nDouze ans après le dernier sacre du club alors emmené par Vincent Collet, Alain Koffi, Yannick Bokolo ou encore Pape-Philippe Amagou, quarante ans après le premier du club appelé alors SC Moderne, le MSB est de retour au sommet du basket français en décrochant le 5e titre de son histoire, sans doute le plus beau au vu du contexte et des forces en présence.\\n\\nA l’issue de ce 5e épisode, de loin le plus bouillant de la série, les héros s’appellent Justin Cobbs, Chris Lofton, Youssoupha Fall, Antoine Eito, auteur d’un 3 points et d’un lancer crucial dans les ultimes secondes, sans oublier Yannis Morin, venu compenser l’absence d’un Terry Tarpey ô combien précieux pendant la saison, et lui aussi décisif en fin de match. Pour l’ensemble de son œuvre, Romeo Travis est également entré dans l’histoire en raflant le titre de MVP avec 14 points dans ce dernier acte.\\n\\nMonaco peut nourrir des regrets en butant sur la dernière marche après avoir dominé le championnat cette année encore. Le club princier n’avait jamais été aussi proche d’un premier titre, mais Paul Lacombe (21pts, 6rbds, 4pds), incroyable d’intensité tout au long du match, a manqué le panier de l’égalisation à la dernière seconde.\\n\\nUn début de match à sens unique\\n\\nAvec le même cinq majeur que lors de l’Episode 4, Monaco essaie d’appuyer fort dès l’entame pour se faciliter la tâche. L’enthousiasme débordant des locaux ne tarde pas à payer, ces derniers profitant des absences mancelles dans la raquette pour attaquer par un 10-0 conclu par Paul Lacombe en contre-attaque. Justin Cobbs et Youssoupha Fall tentent de réveiller le camp sarthois, mais le tandem de vétérans Amara Sy-Ali Traoré entre en scène. Le premier s’illustre avec un dunk en transition, un 2+1 et un 3 points en tête de raquette tandis que le second est plus sobre mais tout aussi efficace, scorant deux paniers près du cercle. Avec un trio Lacombe-Sy-Traoré à 8/8 au tir, c’est donc Monaco qui vire en tête après 10 minutes (28-17).\\n\\nParole à la défense\\n\\nL’écart grime rapidement à +13 après un nouveau panier de Paul Lacombe à l’intérieur, mais Le Mans se rebiffe. Les coéquipiers de Mykal Riley sont plus agressifs en défense à l’image du contre de Justin Cobbs sur Gerald Robinson en contre-attaque. Monaco cafouille plusieurs ballons près du cercle et revoilà le MSB à -5 après un premier tir à 3-points d’Antoine Eito (35-30). Il faut alors un Paul Lacombe transcendé en défense pour remettre la Roca Team sur les bons rails. L’ancien strasbourgeois bâche Justin Cobbs à son tour puis réussit une interception sur l’action suivante avant de finir sous le cercle (39-30). Pas de quoi décourager les Manceaux de Chris Lofton qui passe 5 points dans les dernières secondes avant la pause (39-35).\\n\\nJustin Cobbs.\\n\\nLa hargne d’Aaron Craft ne suffit pas\\n\\nL’arrière américain continue sur sa lancée en claquant un 3-points au retour des vestiaires avant de laisser Justin Cobbs et Romeo Travis faire le job au lancer et placer le MSB devant au score pour la première fois du match (42-43). Monaco perd un peu le fil alors qu’Emeldin Kikanovic à deux reprises et Ali Traoré foirent les caviars de Paul Lacombe et DJ Cooper. Il faut alors le coup de boost d’Aaron Craft pour relancer une nouvelle fois l’ASM. Le bulldog monégasque claque deux paniers à mi-distance et deux lancers après une interception qui lui redonne trois longueurs d’avance (51-48). Le Mans continue de trouver des solutions à l’image de la magnifique extra-pass de Justin Cobbs pour Will Yeguete près du cercle (56-56).\\n\\nRomeo Travis, MVP des finales.\\n\\nDes héros nommés Morin et Eito\\n\\nL’atmosphère se tend. Le public continue d’encourager ses troupes à 10 minutes de la fin de la saison, mais c’est finalement le Kop manceau qui va vibrer sur ce dernier quart. Le MSB s’appuie en effet sur sa défense pour inverser la tendance. Justin Cobbs et Will Yeguete montrent la voie avec deux gros dunks en transition après une bâche de Romeo Travis sur Aaron Craft et une balle perdue de Pau Lacombe (58-61). Monaco perd les pédales, Zvezdan Mitrovic prend la dernière technique de son histoire à Monaco que Cobbs se charge de bonifier avec un floatter dans la foulée. Le tir en tête de raquette d’Emeldin Kikanovic ne rentre pas cette fois, à la différence de Mykal Riley, discret jusque là mais qui rentre un panier précieux avant de laisser Yannis Morin d’un 2+1 et Antoine Eito à 3 points plier l’affaire (63-71).\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/1010949856645480449\\n\\nAvec beaucoup de cœur aussi, les Monégasques parviendront à revenir et à s’offrir une balle d’égalisation. Mais la tentative de Paul Lacombe à la dernière seconde roule sur le cercle, offrant un titre mérité au MSB à l’issue d’un combat de tous les instants.\\n\\n\\nLes 5 Episodes\\n\\nLe Mans bat Monaco : 3-2\\n\\nEpisode 1 : *Monaco bat Le Mans : 81-77\\n\\nEpisode 2 : Le Mans bat *Monaco : 87-77\\n\\nEpisode 3 : Le Mans bat Monaco : 84-72\\n\\nEpisode 4 : Monaco bat *Le Mans : 78-69\\n\\nEpisode 5 : Le Mans bat *Monaco : 76-74\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/1010955237841129472"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Earvine Bassoumba prolonge de deux ans à Rouen"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Franco-Congolais Earvine Bassoumba (2,05m, 22 ans) a signé pour deux saisons supplémentaires au Rouen Métropole Basket.\\n\\nCet intérieur originaire de Brazzaville a été formé au Mans et il a suivi le coach Alexandre Ménard lorsque celui-ci a rejoint la Normandie en début de saison. Il a tourné à 3,7 points, 2,4 rebonds et 4,8 d’évaluation en 13′ de moyenne et il a pris place 10 fois dans le cinq de départ."
}, 
{"role": "user",     "content":"Ekene Ibekwe de Châlons-Reims à Levallois?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"D’après Sportando, Levallois montre de l’intérêt envers l’intérieur américano-nigérian de Châlons-Reims, Ekene Ibekwe (2,08m, 32 ans).\\n\\nNé à Los Angeles, celui-ci a fréquenté un nombre important de clubs et de pays dont trois équipes en France:\\n\\n-Besançon (Pro B) en 2007-08 pour 8 matches à sa sortie de fac à 10,9 points et 6,6 rebonds.\\n\\n-Chalon en 2016-17 pour 4 matches à 6,0 points et 4,3 rebonds.\\n\\n-Châlons-Reims en 2017-18 pour 19 matches à 8,9 points et 4,2 rebonds.\\n\\nIl a participé au championnat du monde 2006 et aux Jeux Olympiques de 2012.\\n\\nPhoto: CCRB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Quand Brisco, l’as du free style affronte Elie Okobo"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Brice Coyere, alias Bisco est champion du monde de freestyle basket 2013, double champion d’Europe 2012 et 2013 et champion de France 2014. Il affronte dans cette vidéo le Palois Elie Okobo qui vient d’être drafté par les Phoenix Suns."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pape-Philippe Amagou (Le Mans): «Avec ce repos, nous avons toutes nos chances face à une équipe qui nous convient»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A moins d’une cascade de sorties pour cinq fautes, Philippe Amagou (1,85m, 33 ans) ne jouera pas ce soir l’Epilogue de la finale de Jeep Elite Monaco-Le Mans. Alors qu’il avait fait une bonne entame de saison, l’arrière du MSB a été victime d’une hernie discale et il ne s’en n’est pas remis. Il fait tout de même partie de l’effectif, et est du voyage dans la Principauté, distille des conseils et sert aussi de porte-bonheur. Il a déjà été champion avec Le Mans, Nancy et Limoges. Alors, un quatrième sacre en fin d’après-midi?\\n\\n« Et pour moi, la boucle serait bouclée. J’ai débuté avec cette équipe du Mans en 2006′′, rappelle t-il à Ouest France. « Avec Koffi, Bokolo, nous étions des gamins. On avait tout misé sur cette fraîcheur. À Bourg-en-Bresse, c’était parti de travers et puis, comme bien souvent en playoffs, il y a eu un déclic. Après, on a battu l’Asvel, Pau et on gagne face à Nancy à Bercy. Dans ces moments, souvent l’équipe se révèle. Regardez-nous, là, on ne nous voyait pas là. C’est vrai qu’en saison régulière, nous avons manqué de constance. On a toujours été cette équipe à réaction. »\\n\\nA l’inverse, en playoffs, sinon le premier match de quart-de-finale face à l’ASVEL, les Manceaux évoluent à leur meilleur niveau et s’ils ne sont pas favoris sur les terres de la Roca Team, il ne faut surtout pas penser qu’ils vont lâcher le morceau.\\n\\n« Ce 5e match, il arrive dans de bonnes conditions. Nous avons eu quatre jours pour récupérer. On l’a vu mercredi, nous étions cuits physiquement. Avec ce repos, nous avons toutes nos chances face à une équipe qui nous convient. Monaco, c’est un rouleau compresseur ; contrairement à Strasbourg qui possédait un fond de jeu. Je pense qu’on a les atouts pour y répondre. C’est le basket qui déterminera le vainqueur. Le meilleur l’emportera. »\\n\\nPhoto: MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ce dimanche, un match à Nanterre pour Haiti"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce dimanche à partir de 15h, la huitième édition de l’événement Lead by Example pour Haiti se tiendra au Palais des Sports de Nanterre avec plusieurs joueurs et joueuses de renom.Loïc Akono, Mam Jaiteh , Mathias Lessort , Guy Dupuy, Pit Vinceslas, Raphael Desroses, Emilie Gomis, Mamadou Dia, Armand Mensah, Gide Noel, Christnel Jean-Francois, Melissa Diawak, Lala Wane, internationale sénégalaise ayant disputée les JO de Rio, Modibo Niakate, Abdel Raho et Johana Tayeau internationale 3×3 seront présents.Un concours de dunks aura lieu entre l’as des as Guy Dupuy et l’international Mathias Lessort.Les bénéfices seront intégralement reversés à l’association Lead By Example qui s’occupe de la scolarisation d’enfants en Haïti. Créée en octobre 2010, cette association a déjà permis à près de 200 enfants âgés de 5 à 18 ans d’aller à l’école.Pendant ce temps, le Monégasque Georgi Joseph, né à Paris mais d’origine haïtienne, jouera lui la finale de Jeep Elite face au Mans."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jean-Michel Sénégal (ex-coach de Monaco): « J’ai pris l’équipe en Nationale 2 à l’époque, j’y suis quand même un peu pour quelque chose!  »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est la voix d’un homme comblé qui a répondu au téléphone hier en direct de Superdévoluy où son camp de basket historique s’apprête à entamer une nouvelle saison. Même s’il profite d’une retraite bien méritée, Jean-Michel continue de s’occuper.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLa carrière du joueur a été brillante, en tant que meneur de jeu et capitaine emblématique d’abord, de 1970 à 1987 (à l’Asvel, Tours, Limoges et au Racing Paris), avec un parcours ponctué par un beau palmarès (deux coupes Korac, sept titres de champion de France, 210 sélections en Equipe de France...). Puis avec le costume d’entraîneur qu’il aura étrenné pendant 23 ans avec là aussi de beaux succès. Cette aventure s’est terminée par cinq ans à l’AS Monaco, de 2010 à 2015 où « Segalo », en tant qu’entraîneur de l’équipe première (jusqu’en 2013) puis de la section « amateur », a contribué à faire de la « Roca Team » le club qu’il est aujourd’hui, toujours assoiffé de titres.\\n\\nAu matin d’un moment espéré de longue date sur le Rocher et alors que le club avait buté sur l’Asvel en phases finales ces deux dernières années, BasketEurope est allé prendre des nouvelles de l’un des hommes forts du projet rouge et blanc qu’il voit désormais évoluer de loin, mais avec un attachement toujours intact.\\n\\nJean-Michel Sénégal, que faites-vous de beau en ce moment ?\\n\\nRetraité ! Je m’occupe de mes petits enfants. Ma fille a eu des jumelles, c’est assez intéressant, on passe de bons moments. Et puis je m’occupe toujours des camps de basket à Superdévoluy. Ça prend quand même pas mal de temps. Entre ça et la famille, on a un peu changé de mode de vie, mais on est toujours bien pris. Surtout les week-ends !\\n\\nComment se présente la prochaine édition du camp ?\\n\\n\\nOn attaque demain (ce dimanche NDLR). Je suis sur place. Ça se présente très bien, on est complet depuis fin janvier. Il reste quelques places pour le mois d’août mais en juillet, on attend beaucoup de monde. C’est un gros camp, ça fait 35 ans qu’il existe donc il est assez renommé. Le bouche à oreille fonctionne très bien, les gens reviennent d’une année sur l’autre. C’est devenu une grosse organisation car il y a quand même beaucoup de stagiaires. Il faut arriver à gérer tout ça, et je m’y implique pleinement.\\n\\nAvez-vous pu suivre cette finale entre Le Mans et Monaco ?\\n\\nOui, j’ai vu tous les matchs, pas toujours en entier. Je regarde toujours les fins de match car normalement c’est là que ça se joue et c’est plus intéressant. Pour la finale, j’ai pu suivre tous les matchs en direct.\\n\\nPensiez-vous que Monaco allait autant souffrir ?\\n\\nOui et non. Oui parce que ce qu’a fait Le Mans contre Strasbourg, d’aller gagner le match 2 et le match 5 là-bas, ça voulait dire qu’ils étaient sur une dynamique intéressante. Donc je les voyais bien gagner à Monaco. On se rend compte qu’en Playoffs, c’est toujours très dur de gagner deux matchs de suite et encore plus dur d’en gagner trois de suite. Le Mans a échoué au dernier, et ce ne sera pas si évident sur ce 5e match. L’équipe qui perd va essayer de s’organiser différemment tandis que chez l’équipe qui gagne, on peut être tenté de ne pas changer les choses. Et ça évolue comme ça, d’un match sur l’autre. Donc, au final je dirais que je m’attendais à une série difficile et on n’est pas déçu de ce côté là.\\n\\nLa façon dont Monaco parviendra à contenir Youssoupha Fall sera l’une des clés de ce 5e match. Vous en voyez d’autres ?\\n\\nOui, ça c’est sûr. Comme il a eu des soucis, le coach du Mans va probablement essayer de changer quelque chose. Est ce que Monaco va réussir à garder la même dynamique ? Ce qui est super intéressant, c’est qu’on se rend compte qu’il n’y a aucun match qui ressemble au précédent. Il ne faut jamais faire de plans ou de pronostics en fonction de ce qu’il s’est passé parce qu’à chaque fois, le match suivant, c’est une autre histoire. Donc c’est vraiment compliqué de dégager des axes pour ce 5e épisode. Que va faire le coach du Mans ? Que va faire celui de Monaco ? Qu’est ce qu’ils vont changer ? Monaco sera tenté de ne rien changer après son super 4e match. C’est toujours un peu le problème, quand l’équipe d’en face change ses armes. Il suffit de mal démarrer le match et ça y est, vous voilà parti en galère! (rires) C’est toujours pareil. Si Le Mans attaque bien, ça peut faire basculer tout ça. Monaco peut aussi étouffer le MSB au début, mais on a aussi déjà vu les Manceaux revenir en fin de match. Il faut déjà attendre les premières minutes pour dégager des tendances, c’est très difficile là, de lire dans une boule de cristal.\\n\\n« Je garde aussi un bon souvenir du coach, Zvezdan Mitrovic, qui était très sympa »\\n\\nVotre cœur balance quand même pour la « Roca Team » ?\\n\\nBien sûr ! Monaco sera champion, évidemment. J’ai pris l’équipe en Nationale 2 à l’époque, j’y suis quand même un peu pour quelque chose ! (rires) Ils étaient au fin fond de la N2, il n’y a pas si longtemps que ça, il y a 6-7 ans. Donc c’est sûr que je suis Monaco beaucoup plus à présent. J’y ai passé cinq très belles années.\\n\\nVous en êtes partis en bons termes ?\\n\\nÇa s’est fini sur une très bonne entente parce que je suis resté pour m’occuper des U18 les deux dernières années. J’étais payé et plutôt que d’être payé à ne rien faire, j’ai préféré m’investir dans la structure « amateur ». Je suis resté en bons termes avec tout le monde au club. J’ai fait ces deux ans pour finir (2013-2015), j’ai même coaché l’équipe 2 à un moment avec les U18. Sur les cinq ans là-bas, ça s’est vraiment bien passé. On le sait, il y a eu un problème avec le président de l’époque (changement de gouvernance), j’ai arrêté de coacher l’équipe pro, mais il n’y a rien eu de plus et ça ne m’a pas dérangé de rester et de continuer à entraîner là-bas.\\n\\nVous avez pu venir voir quelques matchs sur place pendant ces Playoffs ?\\n\\nNon, je n’ai pas vu un seul match de l’année et je ne serai donc pas au dernier de la saison. Cette année, je ne suis descendu qu’une fois à Monaco, c’était pour faire passer les diplômes d’Ali Bouziane, entraîneur du centre de formation du club. J’étais envoyé par la fédération pour le superviser. Je n’ai pas vu de matchs, ce qui ne m’empêche pas de garder d’excellentes relations avec l’ancien président qui dirige aujourd’hui la section « amateur », Arnaud Giuisti. Sinon, je garde aussi un bon souvenir du coach, Zvezdan Mitrovic, qui était très sympa. C’est un gars très ouvert, gentil, et puis professionnel. Il fait son métier. Là il va partir à Villeurbanne, il n’a pas d’état d’âmes, ce qui n’empêche pas que c’est un bon gars.\\n\\nLe magnifique clip de la FFBB sur la carrière de Jean-Michel Sénégal\\n\\nOn a la chance d’avoir quatre beaux meneurs aux styles assez différents sur cette finale. Entre DJ Cooper, Aaron Craft, Justin Cobbs et Antoine Eito, lequel vous fait le plus vibrer ?\\n\\nC’est difficile, car aucun ne se ressemble. Ils sont tous différents. Pour reprendre les mots de la question, celui qui me fait « vibrer » en ce moment, c’est Steph Curry ! (rires) Et malheureusement, il n’est pas là ! J’ai vu plein de matchs de lui, notamment sur les finales, c’est incroyable ce qu’il arrive à faire...\\n\\nAvec la vision de jeu qui était la vôtre, un meneur comme DJ Cooper ne doit pas vous laisser insensible ?\\n\\nOui, c’est vrai que durant ma carrière, j’ai toujours été passeur (trois fois meilleur passeur du championnat, 1 058 passes décisives en carrière). Mais c’est différent maintenant chez les meneurs de jeu, ils ont tous un certain talent. C’est sûr que j’adore quand il y a une bonne passe, mais les mecs qui mettent des paniers de loin, des tirs difficiles, j’aime beaucoup aussi. Les meneurs doivent savoir tout faire aujourd’hui tout en organisant le jeu pour l’équipe. Honnêtement, des quatre meneurs sur la finale, ce sont tous des très bons. D’un match sur l’autre, ça peut changer. Ce qui est intéressant pour moi, c’est de voir quand ils ne sont pas bons. Enfin quand ils passent un peu au travers. Sur les quatre matchs, ils ont tous montré quelque chose de fort et quand ils sont gênés, ils doivent arriver à amener autre chose, c’est ça qui m’intéresse. De ne pas forcer leurs tirs pour finir par enchaîner un 0/5, ou de balancer cinq passes dans les tribunes. C’est surtout ça que je regarde. Les quatre ont des qualités, mais je reste sur Steph Curry, qui m’impressionne vraiment. Il fait tout, des passes, des tirs... Et puis il est pas grand, il doit faire 1,90m, il a un physique comme nous, mais c’est un joueur extraordinaire.\\n\\nAu niveau de la comparaison, il y avait aussi Antoine Eito... pour les chaussettes montantes !\\n\\nOui (Rires) Allez restons sur DJ Cooper ! Ne lui dites pas surtout (rires).\\n\\n« A notre époque, on pouvait encore gagner trois titres de suite. Maintenant, chez celui qui va être champion, la première question qu’on se pose, c’est de savoir qui va rester dans l’effectif »\\n\\nDe quoi êtes-vous le plus fier au cours de votre passage à Monaco ?\\n\\nC’est plus un ensemble. Quand je suis arrivé à Monaco, je quittais le Puy-en-Velay qui avait fini 2e en Nationale 1. Monaco m’avait contacté parce qu’ils avaient un peu de mal en N2. Et puis le président est venu me voir et m’a dit « A Monaco, tout est possible ». Et voilà le résultat. Le budget n’était pas celui d’aujourd’hui, il était question de lancer le truc, et c’est le président qui avait raison. A Monaco, tout a été possible très rapidement. Je ne pense pas que ça aurait pu se faire aussi vite dans un club « made in France » on va dire.\\n\\nC’est une bonne nouvelle, l’arrivée du telle locomotive pour le basket français ?\\n\\nJe crois, parce qu’ils sont quand même sobres. D’après ce que je vois, ils ne la ramènent pas, ils respectent les règles, ils font le job. Ils font de belles équipes, chaque année ils recrutent bien, et plus il y a d’équipes avec de gros budgets, mieux c’est. Ça permet au basket français de garder de gros joueurs. Et plus il y a de bons joueurs, mieux c’est.\\n\\nSi Monaco gagne ce dimanche, ça peut être le premier titre d’une longue série ?\\n\\nPeut-être, mais c’est tellement compliqué aujourd’hui de gagner deux titres de suite. Vous avez vu, le niveau est quand même assez serré en haut de tableau. A notre époque, on pouvait encore gagner trois titres de suite. Maintenant, chez celui qui va être champion, la première question qu’on se pose, c’est de savoir qui va rester dans l’effectif. Si les joueurs sont trop bons, ils partent, et s’ils ne sont pas assez bons... ils partent aussi ! Là déjà à Monaco le coach va partir, et d’une année sur l’autre, ça peut évoluer. Il suffit de regarder Chalon cette année, champion 2017. La question n’était pas de savoir s’ils allaient pouvoir être à nouveau champions mais plutôt s’ils allaient rester en Jeep ELITE. C’est un peu exagéré, et Monaco sera manifestement à l’abri de ce genre de mésaventure. Mais ils ne sont pas à l’abri de changer plusieurs joueurs et de finir troisièmes ou quatrièmes la saison suivante.\\n\\nUn pronostic pour ce 5e match ?\\n\\nC’est compliqué, comme je vous ai dit avec Monaco qui a gagné le dernier match et sachant que c’est toujours difficile d’en prendre deux de suite. Quand je parie, je parie toujours sur les plus grosses cotes. Regardez donc la plus grosse cote, et le résultat est là !\\n\\nJean-Michel Sénégal honoré à l’occasion de France-Serbie en août 2013 avant l’Euro aux côtés de Jean-Pierre Siutat président de la FFBB et de la légende Hervé Dubuisson, son ancien coéquipier au Racing Paris et en Equipe de France\\n\\n[armelse]\\n\\nLa carrière du joueur a été brillante, en tant que meneur de jeu et capitaine emblématique d’abord, de 1970 à 1987 (à l’Asvel, Tours, Limoges et au Racing Paris), avec un parcours ponctué par un beau palmarès (deux coupes Korac, sept titres de champion de France, 210 sélections en Equipe de France...). Puis avec le costume d’entraîneur qu’il aura étrenné pendant 23 ans avec là aussi de beaux succès. Cette aventure s’est terminée par cinq ans à l’AS Monaco, de 2010 à 2015 où « Segalo », en tant qu’entraîneur de l’équipe première (jusqu’en 2013) puis de la section « amateur », a contribué à faire de la « Roca Team » le club qu’il est aujourd’hui, toujours assoiffé de titres.\\n\\nAu matin d’un moment espéré de longue date sur le Rocher et alors que le club avait buté sur l’Asvel en phases finales ces deux dernières années, BasketEurope est allé prendre des nouvelles de l’un des hommes forts du projet rouge et blanc qu’il voit désormais évoluer de loin, mais avec un attachement toujours intact.\\n\\nJean-Michel Sénégal, que faites-vous de beau en ce moment ?\\n\\nRetraité ! Je m’occupe de mes petits enfants. Ma fille a eu des jumelles, c’est assez intéressant, on passe de bons moments. Et puis je m’occupe toujours des camps de basket à Superdévoluy. Ça prend quand même pas mal de temps. Entre ça et la famille, on a un peu changé de mode de vie, mais on est toujours bien pris. Surtout les week-ends !\\n\\nComment se présente la prochaine édition du camp ?\\n\\n\\nOn attaque demain (ce dimanche NDLR). Je suis sur place. Ça se présente très bien, on est complet depuis fin janvier. Il reste quelques places pour le mois d’août mais en juillet, on attend beaucoup de monde. C’est un gros camp, ça fait 35 ans qu’il existe donc il est assez renommé. Le bouche à oreille fonctionne très bien, les gens reviennent d’une année sur l’autre. C’est devenu une grosse organisation car il y a quand même beaucoup de stagiaires. Il faut arriver à gérer tout ça, et je m’y implique pleinement.\\n\\nAvez-vous pu suivre cette finale entre Le Mans et Monaco ?\\n\\nOui, j’ai vu tous les matchs, pas toujours en entier. Je regarde toujours les fins de match car normalement c’est là que ça se joue et c’est plus intéressant. Pour la finale, j’ai pu suivre tous les matchs en direct.\\n\\nPensiez-vous que Monaco allait autant souffrir ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos LNB/Hervé Bellenger (DJ Cooper et Justin Cobbs) et FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Lituanie: Sarunas Jasikevicius préfère rester au Zalgiris Kaunas plutôt que de devenir assistant aux Toronto Raptors"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sarunas Jasikevicius, 42 ans, va demeurer coach du Zalgiris Kaunas et écarte ainsi une proposition des Toronto Raptors qui voulaient en faire l’assistant principal de Nick Nurse rapporte la presse lituanienne.\\n\\nL’ancien meneur de jeu de l’équipe nationale lituanienne vient de boucler sa troisième saison à la tête du Zalgiris par un nouveau titre de champion national et une place au Final Four de l’Euroleague où son équipe a terminé troisième. En 78 matches d’Euroleague, il a remporté 38 matches pour 40 défaites.\\n\\nPhoto: Euroleague\\n\\n\\n\\n\\nŠarūnas Jasikevičius is staying at Žalgiris Kaunas for next season. Had a Toronto Raptors offer for first assistant role, but decided to stay\\n\\n\\n— Jonas Miklovas (@jmiklovas) June 23, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Killian Hayes signe un contrat de trois ans avec Cholet Basket !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Très bonne nouvelle pour Cholet Basket: son prodige Killian Hayes (1,95m, 16 ans) a paraphé avec le club un contrat professionnel de trois ans.\\n\\nLe médaillé d’or et MVP de l’Euro Cadets 2017, vainqueur et MVP du championnat de France espoirs et du Trophée du Futur, et champion de France U18 était convoité par plusieurs clubs européens.\\n\\n« Killian a décidé de continuer l’aventure avec son club formateur et à tout juste 16 ans, il signe son 1er contrat professionnel, une première pour un si jeune joueur en Jeep®ÉLITE. Il s’engage ainsi pour 3 saisons avec Cholet Basket et sera l’un des fers de lance du « projet jeunes » avec Abdoulaye Ndoye et Melvyn Govindy », indique le club sur son site Internet.\\n\\nOn suppose qu’une clause dans le contrat lui permettra avant terme de s’inscrire à la draft NBA.\\n\\nLe Choletais va participer au Mondial U17 avec l’équipe de France en Argentine du 30 juin au 8 juillet.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Zack Wright n’est pas intéressé pour resigner à Strasbourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Sportando, le meneur américano-bosniaque Zack Wright (1,88m, 33 ans) n’est pas intéressé pour signer un nouveau contrat de deux ans avec la SIG Strasbourg et préfère se tourner vers des pistes à l’étranger plus lucratives.\\n\\nZack Wright a tourné à 7,8 points, 4,4 rebonds et 5,0 passes cette saison avec la SIG.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\nZack Wright is not interested in signing back for two years and considering many lucrative offers outside Strasbourg, a source with the knowledge of the situation told Sportando\\n\\n\\n— Sportando (@Sportando) June 23, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde: Les Etats-Unis au Mexique avant d’écrire une page d’Histoire à Cuba"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Même s’il s’agit de l’équipe H, Q ou Z, l’équipe américaine attire toujours. Les 5 000 billets pour son match à Mexico ont été vendus en trois-quart d’heure.\\n\\nC’est toujours l’ancien coach de NBA Jeff Gundy qui, après avoir conduit l’équipe américaine à une médaille d’or à la FIBA AmeriCup et à quatre victoires en quatre matches lors des deux premières fenêtres internationales qui sera à sa tête lors de la troisième partie des qualifications à la Coupe du Monde.\\n\\nSur les 14 joueurs qui ont été invités au training camp à Houston -du 20 au 26 juin- huit ont déjà fait partie de la sélection pour l’une des deux premières fenêtres et tous ont à leur actif une expérience en G-League. Neuf ont fait de brefs passages en NBA dont Alex Caruso (1,96m, 24 ans), qui a joué 37 matches à 15′ en moyenne avec les Los Angeles Lakers cette saison. Et neuf ont déjà joué à l’étranger.\\n\\n«Nous sommes très chanceux d’avoir un bon nombre de joueurs qui ont déjà participé à des matchs de qualification pour la Coupe du monde. Cela montre que l’expérience de représenter USA Basketball et leur pays a été significative pour eux, et évidemment, cela a été bénéfique à leur carrière », a déclaré Van Gundy. « Je suis également très excité par les nouveaux joueurs qui participent à ce camp d’entraînement. »\\n\\nL’équipe américaine va se rendre au Mexique et la fédération mexicaine a rapporté que les 5 000 billets mis en vente pour le match au Gimnasio Olimpico Juan de la Barrera de Mexico ont été vendus en 45 minutes.\\n\\nAu cours de ce match, le Mexique présentera une équipe très différente de celle qui a été copieusement battue à Greesboro (55-91) du fait de la nomination d’Ivan Deniz comme coach principal. Il devrait pouvoir compter sur Gustavo Ayon (2,06m, 33 ans), le pivot du Real Madrid qui a auparavant fréquenté la NBA.\\n\\nLe Mexique terminera le premier tour des qualifications pour les Amériques à San Juan, où les « 12 Guerrero » joueront face à Porto Rico dans un Colisée Roberto Clemente qui sera également à guichets fermés le 1er juillet. Les Etats-Unis, pour leur part, se rendront à La Havane, pour écrire une page d’histoire face à Cuba.\\n\\nPhoto: Alex Caruso"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie : la Fédération revoit à la baisse le nombre de joueurs étrangers par équipe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Afin de voir les joueurs turcs passer plus de temps sur les terrains, la fédération turque a décidé de diminuer le nombre d’étrangers par équipe à partir de la saison prochaine.\\n\\nComme le rapporte Sportando, à partir de la rentrée et pour deux ans, cinq joueurs étrangers seront autorisés à jouer par match contre six jusqu’à maintenant. Le président de a TBF a déclaré avoir pris cette décision pour voir les Turcs sur le terrain et ainsi pouvoir renforcer son équipe nationale.\\n\\n« La possibilité pour nos joueurs turcs de jouer plus de minutes est extrêmement importante pour nous. Nous avons pris quelques mesures pour améliorer notre basket et nous allons continuer. Il est de notre responsabilité de renforcer notre équipe nationale qui nous rend fiers tout le temps. »\\n\\nDe quoi donner des idées aux dirigeants français ?"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le clip de la FIBA pour annoncer le retour des NBAers en équipe de France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sitôt le dénouement dimanche de la Finale de la Jeep Elite entre Monaco et Le Mans, l’équipe de France va revenir sur le devant de la scène. Une rencontre avec les médias est programmée mercredi puis les Bleus partiront en Bosnie (match le vendredi 29 juin) avant d’enchaîner en Russie (match le lundi 2 juillet).\\n\\nLa FIBA vient de dévoiler ce clip pour annoncer le retour des NBAers chez les Bleus notamment ceux de Nicolas Batum et Rudy Gobert qui n’étaient pas présents à l’Eurobasket 2017.\\n\\nPhoto: Rudy Gobert (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\n.@FRABasketball 🇫🇷 welcome back their NBA stars to the team and seem to get even stronger for the upcoming European Qualifiers 💪! @BFBiH 🇧🇦 @belgianlions 🇧🇪 @russiabasket 🇷🇺\\n\\n\\n📺 https://t.co/yB4gFvW05u #FIBAWC #ThisIsMyHouse pic.twitter.com/GP7isFKUFY\\n\\n\\n— FIBA Basketball World Cup (@FIBAWC) June 22, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde: Les Croates veulent s’inspirer des footballeurs pour se sortir de l’impasse"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La télévision publique croate (HRT) a révélé ses audiences pour les matches de l’équipe nationale de football engagée en ce moment dans la Coupe du Monde en Russie. Ainsi 1.7 million de téléspectateurs a regardé le premier match contre le Nigeria dans un pays de 4,15 millions d’habitants... Mieux encore: à l’occasion de la victoire 3-0 sur l’Argentine, c’est tout un peuple qui était devant sa télé. Très exactement 84.9% de la population dans la catégorie des 18-49 ans !\\n\\n«Y compris nous. Nous avons reprogrammé nos séances d’entraînement pour pouvoir regarder le match à la TV, tous ensemble,» a confié à FIBA.com le meneur de la sélection de basket Rok Stipcevic (1,85m, 32 ans), qui porte habituellement le maillot de Sassari.«Nous regardons même les présentations d’avant-match. En voyant ces gars jouer, tu as le sentiment d’être l’un d’eux, et je me suis surpris à penser : ‘Mec, nous autres basketteurs, nous devons aussi absolument nous qualifier pour la Coupe du Monde ! Imaginez l’impact d’un tel accomplissement, dans n’importe quel sport, pour un pays de notre taille.»\\n\\nCe ne sera pas une tâche aisée. La Croatie en est pour l’instant à 1-3 dans le Groupe D et le 28 juin, elle va se rendre à Trieste alors qu’elle a été défaite à l’aller à domicile par l’Italie, 64-80.\\n\\nLes Croates iront ensuite le 1er juillet en Roumanie. A l’aller, ils étaient tombés de haut à Zadar: 56-58. Une déconvenue qui les a mis dans de sales draps. En fait, la Croatie est la seule grande nation du basket en Europe qui pourrait être sortie de ses qualifications dès le premier tour.\\n\\nPhoto: Hrvoje Peric (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Elie Okobo (Phoenix Suns): «Boris Diaw m’a beaucoup aidé»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour Sud Ouest, Elie Okobo revient sur le fait qu’il a été drafté en 31e position par les Phoenix Suns, une franchise qui a accueilli un autre Palois, Boris Diaw, de 2005 à 2009:\\n\\n« Oui, c’est vraiment marrant de se dire que je serai vraisemblablement le second Palois à jouer pour cette franchise. J’avais beaucoup parlé avec Boris lors des stages en équipe de France et lorsqu’on avait joué face à Levallois de son expérience passée avec les workouts NBA afin que je collecte un maximum d’informations sur la préparation, les entretiens et aussi sur les spécificités de chaque franchise par exemple. Il m’a beaucoup aidé et c’est un exemple pour moi. »\\n\\nLa rumeur veut que Elie Okobo se voit offrir un contrat de deux ans avec une année supplémentaire en option, mais rien ne peut être officialisé avant le 6 juillet."
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Horacio Muratore, président de la FIBA: «30 millions d’euros investis dans les qualifications à la coupe du monde»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lundi dernier à Mies en Suisse, la FIBA a fêté son 86e anniversaire. C’est le 18 juin 1932 que l’organe dirigeant du basket mondial a été créé en Suisse à Genève. Pour marquer le coup, le Président de la fédération internationale Horacio Muratore a pris un peu de temps pour discuter les sujets chauds du moment pour la FIBA, les qualifications pour la coupe du Monde 2019, le nouveau système de compétition pour les équipes nationales féminines et le 3×3.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLa troisième fenêtre de qualifications pour la Coupe du Monde FIBA 2019 commence dans quelques jours. Elle marque la moitié du chemin sur la route de la Chine pour 2019. Quelles ont été les réactions à ce nouveau format de compétition et ce nouveau calendrier sur les différents continents ?\\n\\nCela a été accueilli avec beaucoup d’enthousiasme partout dans le monde. Nous sommes très fiers d’avoir initié ce projet parce qu’il permet aux équipes nationales de jouer à la maison. L’objectif, c’est de jouer souvent des matches à enjeux à domicile, pour aider les fédérations à progresser dans l’organisation et le niveau de compétitivité qu’elles peuvent présenter sur ces matches officiels. Voilà pourquoi nous avons tant investi. L’investissement financier est de plus de 30 millions d’euros sur ce premier cycle (2017-21) de ce nouveau format. Il s’agit de l’une des plus importantes décisions de l’histoire de la FIBA. Bien sûr, cela implique que les fédérations nationales doivent se préparer, travailler dur et certaines ont plus besoin d’aide que d’autres. Mais c’est pour ça que sont là les bureaux régionaux de la FIBA, ce sont le cœur de notre travail sur le développement. Je tiens à tous les féliciter de leurs efforts de la part de la FIBA. Et je crois que le bureau européen mérite une mention spéciale pour le succès avec lequel il a porté jusqu’à présent ces fenêtres. Ce n’a pas été facile en raison de circonstances vraiment pas idéales, l’attitude honteuse et les bâtons dans les roues placés par Euroleague Commercial Assets (ECA).\\n\\nVotre propre expérience vous permet de considérer ces qualifications du point de vue d’une fédération nationale. Que peuvent y gagner les fédérations ?\\n\\nOui, j’ai été président de la fédération argentine. Je connais personnellement les problèmes liés à l’organisation de ce genre d’événements, les problèmes d’assurances avec les joueurs, assumer la responsabilité de signer des deals de haut niveau pour la production télévisuelle, payer les arbitres and bien d’autres choses encore, toutes très variées. Maintenant, avec le nouveau système, tous ces dossiers sont gérés par la FIBA. Ainsi, les fédérations nationales peuvent se concentrer sur les opérations suivantes : l’organisation des matches, la promotion, trouver des sponsors, vendre des billets. Les échanges que nous avons eu avec les fédérations à propos de ces matches ont été très positifs. Ils ont vu le fruit de leur travail. Et ce n’est que le début. Les fédérations ont beaucoup à gagner de ce nouveau format. 1 : leurs équipes nationales sont enfin de retour à la maison, et jouent des matches à enjeux. 2 : elles peuvent accueillir les fans pour ces matches. 3 : elles peuvent générer des revenus avec la vente des billets et le sponsoring. 4 : elles offrent une opportunité unique aux jeunes stars en devenir de représenter leur pays. 5 : elles permettent d’organiser ces matches dans des villes où l’équipe nationale ne s’est encore jamais produite. 6 : construire ou développer un marché pour elles-mêmes.\\n\\nLe mois de juin est important pour la FIBA en raison de son anniversaire mais également parce que ce mois marque le début d’une période chargée avec les compétitions des équipes nationales. La saison de 3×3 a débuté avec la coupe du monde. Qu’avez-vous pensé de ce tournoi ?\\n\\nLa coupe du Monde de 3×3 FIBA s’est très bien passé et a bénéficié d’un endroit exceptionnel. Manille a été un hôte génial, ce qui n’est pas étonnant quand on connait l’amour dont bénéficie le basket aux Philippines. Le timing était parfait pour cette compétition (8-12 juin), avant les Jeux Olympique de la jeunesse en automne (6-18 octobre) à Buenos Aires et le FIBA 3×3 World Tour qui joue ses finales à Pékin (27-28 octobre). Ce sont les grands événements pour le 3×3 et ils sont centraux dans notre volonté de continuer à faire grandir et à promouvoir cette discipline jusqu’à ses grands débuts olympiques aux Jeux de Tokyo en 2020.\\n\\nLa saison des compétitions de jeunes arrive également. Qu’attendez-vous des coupes du monde U17, masculine et féminine ?\\n\\nLes deux tournois devraient vraiment être relevés. Les garçons en Argentine et les filles en Bélarusse. On espère voir des compétitions géniales. Ce sont des événements de classe mondiale et nous croyons que le niveau des joueurs progresse constamment, ainsi que la qualité du jeu. Il s’agit d’une classe d’âge fantastique car on voit déjà pointer de futures stars.\\n\\nLe week-end dernier, vous avez présidé le premier FIBA Central Board de 2018 et il y a eu une grande nouvelle pour le basket féminin avec l’approbation d’un nouveau système de compétition qui entrera en effet l’année prochaine et qui définit les qualifications pour chacune des grandes compétitions internationales. Vous pouvez nous en dire plus ?\\n\\nCe système offrira de meilleures opportunités et va permettre de renforcer la position du basket féminin en proposant des activités toute l’année, sur tous les continents pour les équipes nationales. Je pense que ce nouveau système sera à la hauteur de nos attentes. Un de nos objectifs prioritaires dans les années qui arrivent est de mieux soutenir, faire grandir et promouvoir le basket féminin. Lui donner plus de visibilité pour qu’au final, la coupe du monde féminine atteigne son plein potentiel.\\n\\nLa coupe du Monde féminine 2018 commence très bientôt...\\n\\nOui, dans trois mois, le basket féminin va fêter son plus bel événement sur une magnifique île d’Europe, Tenerife. Je suis ravi de retourner là-bas. Je garde de merveilleux souvenirs de mon passage là-bas pour la coupe intercontinentale l’année dernière.\\n\\nPour finir, pouvez-vous partager vos pensées à propose de votre prédécesseur, l’ancien président Yvan Mainini, décédé le 11 mai ?\\n\\nParler de la disparition d’un ami n’est pas facile. Yvan Mainini restera comme une personne importante pour moi. Il était celui vers qui je pouvais me tourner dans mon rôle de président. Il était un grand leader qui a dirigé de grandes institutions comme la fédération française de basket, une des plus importantes fédérations de la FIBA. Il est devenu au fil des années un confident, quelqu’un vers qui je pouvais me tourner pour des conseils. Il m’a beaucoup aidé dans mon parcours pour devenir président de la FIBA. Il a été élu président en 2010 à Istanbul et je suis devenu son vice-président. Yvan m’a impliqué petit à petit dans ses prises de décisions. Il m’a fait découvrir les enjeux du poste, et nous avons défini les grandes orientations stratégiques avec (le secrétaire général) Patrick (Baumann). J’ai toujours senti que je faisais partie de l’équipe parce qu’il s’assurait que je participe à tout. Quand j’ai été élu en 2014 à Séville, je savais tout des objectifs définis en 2010, grâce à Yvan. Il laisse derrière lui un héritage. Avec sa disparition, j’ai perdu un mentor, mais aussi un très bon ami.\\n\\n[armelse]\\n\\nLa troisième fenêtre de qualifications pour la Coupe du Monde FIBA 2019 commence dans quelques jours. Elle marque la moitié du chemin sur la route de la Chine pour 2019. Quelles ont été les réactions à ce nouveau format de compétition et ce nouveau calendrier sur les différents continents ?\\n\\nCela a été accueilli avec beaucoup d’enthousiasme partout dans le monde. Nous sommes très fiers d’avoir initié ce projet parce qu’il permet aux équipes nationales de jouer à la maison. L’objectif, c’est de jouer souvent des matches à enjeux à domicile, pour aider les fédérations à progresser dans l’organisation et le niveau de compétitivité qu’elles peuvent présenter sur ces matches officiels. Voilà pourquoi nous avons tant investi. L’investissement financier est de plus de 30 millions d’euros sur ce premier cycle (2017-21) de ce nouveau format. Il s’agit de l’une des plus importantes décisions de l’histoire de la FIBA. Bien sûr, cela implique que les fédérations nationales doivent se préparer, travailler dur et certaines ont plus besoin d’aide que d’autres. Mais c’est pour ça que sont là les bureaux régionaux de la FIBA, ce sont le cœur de notre travail sur le développement. Je tiens à tous les féliciter de leurs efforts de la part de la FIBA. Et je crois que le bureau européen mérite une mention spéciale pour le succès avec lequel il a porté jusqu’à présent ces fenêtres. Ce n’a pas été facile en raison de circonstances vraiment pas idéales, l’attitude honteuse et les bâtons dans les roues placés par Euroleague Commercial Assets (ECA).\\n\\nVotre propre expérience vous permet de considérer ces qualifications du point de vue d’une fédération nationale. Que peuvent y gagner les fédérations ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Didier Gadou (Directeur exécutif de Pau) à propos d’Elie Okobo : «Je sais qu’il va disposer d’un contrat garanti de deux ans»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’issue de la draft de son meneur Elie Okobo dans la nuit de jeudi à vendredi, le directeur exécutif de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez, Didier Gadou, s’est exprimé sur le site Internet du club et a montré sa satisfaction:\\n\\n« Certes nous avons vécu le scénario le plus stressant que pouvait nous offrir la draft mais c’est une immense fierté que nous éprouvons au lendemain de cet événement. Nous l’avons vécu entre salariés du club et supporters au sein du Palais des Sports. Nous espérions forcément voir le nom d’Elie apparaître dès le 1er tour mais cette 31ème position va lui permettre néanmoins de réaliser son rêve et de rejoindre la NBA. Je sais qu’il va disposer d’un contrat garanti de deux ans. C’est formidable ! Bien sûr, comme il n’a pas été choisi au premier tour, nous ne percevrons pas les fruits de sa formation à la hauteur de ce que nous aurions pu espérer et qui nous auraient permis à la fois de capitaliser et d’investir au sein de notre club V&B, mais il n’empêche, nous disposerons avec lui d’un formidable ambassadeur. Que l’Elan ait pu contribuer à former et à développer un tel joueur jusqu’à le voir prendre aujourd’hui la direction de l’Arizona au sein d’une franchise NBA nous procure à tous une très grande joie. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Laia Palau, Cristina Ouvina et Queralt Casas avec l’équipe d’Espagne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les championnes de France avec Bourges Laia Palau et Cristina Ouvina ainsi que Queralt Casas, qui passe de Basket Landes à Charleville, font partie de la pré-sélection de 16 joueuses pour composer l’équipe d’Espagne pour la Coupe du Monde qui va se tenir du 22 au 30 septembre à Tenerife. La préparation va débuter le 6 septembre avec un stage à Palma de Majorque, aux Baléares.\\n\\nA noter que les deux « naturalisées », Sancho Lyttle et Astou Ndour ne sont pas incluses dans cette pré-sélection. Les deux sont actuellement en WNBA, la première à Phoenix et la seconde à Chicago. L’une des deux fera très certainement partie de la sélection finale.\\n\\nPhoto: Laia Palau (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet Basket attend toujours de connaître la décision de Killian Hayes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur le site Internet du club, le président de Cholet Basket Didier Barré a écrit une longue lettre ouverte pour faire le point de la situation, notant au passage que CB a enregistré de bonnes fréquentations à La Meilleraie malgré des résultats pas toujours probants:\\n\\n« Plus globalement, le territoire du Choletais reste aujourd’hui encore une terre de basket et continue, malgré une concurrence en élite toujours plus internationale et expérimentée, de venir à la Meilleraie pour encourager son équipe ! En témoignent les chiffres de fréquentation sur cette dernière saison : un peu plus de 4 000 spectateurs de moyenne (pour une capacité de 4 800 places) et les matches contre Antibes (27/12) et l’ASVEL (27/01) joués à guichets fermés ! J’adresse mes remerciements à ce public incroyable mais aussi à nos bénévoles qui répondent toujours présents. »\\n\\nLe nouveau coach Régis Boissié se retrouve actuellement devant une page quasi blanche puisque seuls des jeunes -certes talentueux- sont actuellement sous contrat:\\n\\n« Ainsi Killian Hayes et Melvyn Govindy vont rejoindre Abdoulaye NDoye dans le groupe pro, Karlton Dimanche, Warren Woghiren et Quentin Ruel viendront le compléter tout en évoluant également en Espoirs. Darel Poirier sous contrat avec nous et prêté cette saison à Charleville-Mézières, viendra peut-être compléter notre groupe. »\\n\\nLe hic, c’est que CB ne sait toujours pas s’il pourra compter de façon effective sur le meilleur joueur européen de sa génération, Killian Hayes (1,95m, 17 ans en juillet):\\n\\n« Vous êtes nombreux à nous interpeller sur sa situation. Killian dispose d’un contrat aspirant jusqu’au 30 juin 2020 avec Cholet Basket. Nous lui avons proposé un contrat professionnel, mais devant les différentes sollicitations, Killian, sa famille et son conseil, se donnent du temps pour décider du choix à faire avant de se présenter dans deux ans à la Draft (NBA). Nous espérons qu’il sera fidèle à son club de toujours. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Après Limoges, BiG Sports équipera l’Elan Chalon à la rentrée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’équipementier BiG Sports, aura du pain sur la planche cet été pour préparer les tenues du Limoges CSP Eurocup et Jeep Elite, mais il habillera également l’Elan Chalon.\\n\\nSur son site, le club bourguignon annonce qu’il quitte Spalding pour travailler avec BiG Sports et What if?. L’entreprise de Frederic Weis concevra les maillots de matchs et tout le textile hors du terrain tandis que What if? aura en main le design de la nouvelle identité de l’Elan Chalon.\\n\\nFrederic Weis s’est félicité de cette nouvelle collaboration.\\n\\n« L’Elan Chalon est pour moi un club à part, un magnifique triplé en 2012, un titre de champion de France la saison dernière. C’est aussi de grands joueurs formés et passés par ce club (Lauvergne, Sefolosha, Capela...). L’année dernière fut difficile mais l‘Elan n’a pas baissé les bras, c’est ça la marque des grands ! Mon souhait est que notre collaboration soit la plus constructive possible, dans les bons comme les mauvais moments ».\\n\\n\\n\\n\\n🔴⚪️\\nBiG Info !\\nL'Elan change d'équipementier. A la rentrée nos joueurs porteront des tenues @BIGsports87 dessinées par @WhatifBball !\\nL'Elan remercie Spalding pour ces 4 belles années.\\n\\n\\nA suivre 😉#RougeEtBlanc pic.twitter.com/TEOGSCd0XP\\n\\n\\n— Elan Chalon (@ELANCHALON) June 22, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Russie : le Lokomotiv Kuban drague Nikos Pappas"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sacré champion de Grèce il y a quelques jours, Nikos Pappas (1,95m, 27 ans) est en fin de contrat cet été après cinq ans passés au club.\\n\\nSelon Eurohoops, l’ancien joueur de Bilbao aurait déjà été appelé par le Lokomotiv Kuban, finaliste de l’Euroup cette saison, et ce ne serait qu’une question de temps avant qu’il reçoive une offre concrète. Dans un même temps, il n’aurait pas (encore?) reçu d’offre de la part de la formation grecque.\\n\\nCette saison, Nikos Pappas compilait en moyenne 9,5 points, 1,9 rebond et 1,9 passe décisive en championnat, et 8,2 points et 1,1 rebond (5,8 d’évaluation) en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"En prévision de L’Epilogue dimanche à Monaco, les joueurs du Mans ont rechargé les batteries"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Directeur Sportif du Mans Sarthe Basket, Vincent Loriot, était ce matin l’invité de France Bleu Maine. Il est revenu sur l’échec de son équipe lors de l’Episode 4 de la finale de la Jeep Elite face à Monaco. Echec qu’il a fallu digérer avant de s’attaquer dimanche à l’Epilogue en Principauté.\\n\\n« Le staff a décidé à l’issue du match dans le vestiaire d’accorder une journée et demi de repos aux joueurs. C’est tout autant physique que mental parce que la déception était extrêmement importante dans le vestiaire avec certains joueurs en pleurs, d’autres particulièrement agacés et qui s’en voulaient. Le staff a considéré que la meilleure option était de couper, de ne pas les remettre sur le terrain même si c’était pour des séances très douces. Les joueurs reprennent cet après-midi à 16h et normalement la séance sera plus tactique avec un retour vidéo, du shooting, de la mise en place et rien en tous les cas de particulièrement physique ou dur. »\\n\\nLe MSB partira demain à 14h30 d’Antarès en car avec comme destination Angers où l’attendra un avion privé pour Nice. L’équipe prendra ensuite en car la direction d’un hôtel au Cap d’ail situé à quelques mètres seulement de la salle. Nouveauté: le président Christophe Le Bouille qui n’a pas fait les précédents déplacements sera cette fois du voyage.\\n\\n« Ce n’est pas un chat noir. On a perdu beaucoup plus de matches avec lui que sans lui, » précise Vincent Loriot.\\n\\nPhoto: Justin Cobbs (LNB/Hervé Bellenger)\\n\\nhttps://www.facebook.com/francebleumaine/videos/10160564830080344/UzpfSTEwMDAwMjIwNzY0MDk3MzoxNzY3MTc3ODIzMzY1Nzg5/"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeremy Leloup est de retour à la JDA Dijon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après cinq saisons à Strasbourg, Jérémy Leloup (2,02m, 31 ans) est de retour à la JDA Dijon où il a déjà séjourné de 2011 à 2013.\\n\\nLe natif du Mans a remporté avec la SIG la Leaders Cup et la Coupe de France et participé à quatre finales de Pro A et à une d’Eurocup. Cette saison, il a tourné à 5,2 points, 2,0 rebonds, 1,4 passe décisive pour 5,7 d’évaluation de moyenne en 21 minutes de jeu\\n\\n« La venue de Jérémy s’explique par diverses raisons. La première étant bien entendu sa qualité de basketteur. Il n’est pas nécessaire de revenir sur l’impact qu’a pu avoir Jérémy lors de ses dernières saisons à Strasbourg, même si le dernier exercice a été plus difficile pour lui. La deuxième raison c’est qu’à 31 ans, il a exprimé l’envie de relever un nouveau challenge dans une équipe où il aura plus de responsabilités et sera un des leaders de celle-ci. De notre côté, on cherchait un JFL de qualité sur le poste extérieur et lorsque l’opportunité de Jérémy s’est présentée, nous n’avons pas hésité longtemps. Nous récupérons un joueur loué pour ses qualités humaines (il sera un des tauliers du vestiaire avec Axel) et désireux de montrer qu’il n’a rien perdu de l’impact qu’il peut avoir sur le jeu. C’est donc avec un grand plaisir que nous l’accueillons et avec une envie commune de le replacer parmi les meilleurs JFL de notre championnat, » a commenté le coach Laurent Legname.\\n\\nQuant au joueur, il insiste sur le fait qu’il est très heureux de revenir à la JDA:\\n\\n« C’est un club où j’ai passé plusieurs superbes années. Je retrouve un club que je connais et qui se restructure, ce qui est important pour moi. Il y a un nouveau challenge à relever. Beaucoup de choses m’ont fait choisir ce club avec qui je suis prêt à en découdre. Retrouver le public dijonnais va être un vrai plaisir, tout comme mes amis sur place. Je suis également très content de faire revenir ma famille à Dijon. Nous étions deux en partant, on sera désormais 4 et je suis heureux de le faire découvrir cette ville. Sportivement, j’avais besoin de retrouver du plaisir après une année frustrante et tout était réuni dans le projet dijonnais. La JDA a fait une belle saison et il va falloir confirmer ces résultats, donc il y a un beau challenge, avec qui plus est une Coupe d’Europe en plus. Je suis ravi de revenir à Dijon ! »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ADA Blois premier club à obtenir le label de bronze de la LNB sans avoir encore évolué en Jeep Elite"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ADA Blois Basket 41, qui attend le feu vert de la LNB pour son accession en Jeep Elite, possède assurément une bonne gouvernance. La preuve: elle est le premier club à obtenir le Label de Bronze de la Ligue alors qu’elle n’est pas encore au plus haut niveau national.\\n\\n« Ce dispositif, qui se rapproche d’une certification qualité en entreprise, existe depuis la saison 2013-2014 », rappelle le club sur son site Internet. « L’objectif est clair : valoriser la structuration et la professionnalisation des clubs professionnels sur la base d’un cahier des charges regroupant plus de 250 critères et distinguant quatre grandes catégories considérées comme éléments structurants d’un club.\\n\\n * Gouvernance, Administration et Finance\\n * Marketing, Commercial et Communication\\n * Sportif et Médical\\n * Equipement, Exploitation et Gestion de salle\\n\\nPour sa 2ème saison en LNB, l’ADA Basket avait décidé de s’inscrire dans cette démarche labellisation afin de se jauger par rapport aux standards de structuration fixés par la LNB tout en ayant conscience de la difficulté d’obtention de ce Label Bronze quelques mois seulement après son arrivée en LNB et entrant tout juste dans une salle digne du professionnalisme.\\n\\nL’obtention du Label Bronze LNB positionne donc notre club parmi les plus performants sur le plan de la structuration, récompensant ainsi les efforts consentis depuis nombreuses années, notamment par des arbitrages allant dans le sens d’investissements structurels et humains plutôt que de privilégier uniquement les dépenses sportives et la masse salariale. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le deuxième meilleur scoreur d’Espagne Sylven Landesberg file chez le promu de Turquie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette saison à l’Estudiantes, Sylven Landesberg (1,98m, 28 ans) va découvrir le championnat de Turquie chez le promu en première division, le Turk Telekom Ankara.\\n\\nSelon David Pick, le serial scoreur de la formation madrilène aurait trouvé un accord avec le club turc pour un contrat de 600 000€ la saison. Après avoir disputé la BCL cette saison, il retrouvera l’Eurocup l’année prochaine après y avoir gouté avec le Maccabi Tel Aviv en 2015/16.\\n\\nCette saison en ACB, Sylven Landesberg compilait en moyenne 20,1 points, 4 rebonds et 1,9 passe décisive pour une évaluation de 18,4. En Champions League, il tournait à 16,8 points, 2,7 rebonds et 2 passes pour une évaluation de 11,6.\\n\\n\\n\\n\\nSource: The ACB's top scorer Sylven Landesberg, who almost dropped 50 points on Barcelona, agreed on deal in $600,000 range with Turk Telekom.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) June 22, 2018\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Lituanie: L’ancien joueur de Gravelines Dainius Adomaitis nommé coach de Vilnius"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était dans les tuyaux depuis plusieurs semaines et c’est confirmé: Dainius Adomaitis, 44 ans, est le nouveau coach du Lietuvos rytas Vilnius.\\n\\nLe Lituanien est connu en France pour avoir porté le maillot du BCM Gravelines-Dunkerque de 2003 à 2007. Il a coaché en Pologne, puis dans son pays Juventus Utenos puis Neptunas Klaipeda de 2015 à 2017, et il connait bien VLietuvos rytas pour avoir été auparavant assistant en équipe première et coach des juniors. Il est depuis 2017 le coach de l’équipe nationale de Lituanie.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans-Monaco: Le Rocher est-il imprenable?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour la troisième fois de suite, la finale de la Jeep Elite va se jouer sur le cinquième match. En effectuant une démonstration défensive hier à Antarès (78-68), l’AS Monaco apparait en position de force. Gardons nous pour autant d’affirmer que le Rocher est imprenable.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nOn a retrouvé Monaco. Le premier de la saison régulière, vainqueur de la Leaders Cup, meilleur ranking de la Basketball Champions League et finaliste de cette même BCL. Pourquoi la Roca Team -qui mérite totalement son surnom- s’est imposé hier soir à Antarès ? Parce qu’elle était un ton au-dessus du MSB. Tout simplement. Sur le plan de la dureté, de l’endurance. Les Monégasques se sont montrés très solidaires, sans maillon faible. Tout en contrôle.\\n\\nDevant les yeux de l’ancien meneur de jeu du club Taylor Rochestie, finaliste en 2012, marié avec une Sarthoise, assis tout près de leur banc en T-shirt orange, les Manceaux ont effectué une très mauvaise entame. Un air de déjà vu. 2-11 après un peu plus de quatre minutes, suite à un trois-points de Aaron Craft alors que Monaco avait loupé ses 12 tentatives lors de l’Episode 1 et une interception ponctuée d’une contre-attaque en trombe de Paul Lacombe. Comme un résumé de ce qui allait suivre.\\n\\nQuand Paul Lacombe monte à l’abordage\\n\\n« Je pense que la pression était sur Le Mans. C’était le match pour qu’ils finissent ce soir », a commenté le coach de l’ASM, Zvezdan Mitrovic. « Les premiers matches on a été dominés au rebond, ce soir c’est nous qui avons dominé (34 à 29). Grosse défense, gros rebond, c’est comme ça que l’on peut gagner. On voulait que Georgi (Joseph) et Paul (Lacombe) donnent un rythme défensif. Ça a fonctionné. J’ai parlé avec Paul avant le match, il n’allait pas bien du tout. C’est notre joueur avec le plus d’expérience en ce qui concerne les finales. Il était prêt, motivé. Quand il a pris un coup à l’arcade, il a été recousu à la mi-temps, il est revenu avec un gros bandage et il a continué à jouer. A chaque match, il y a eu un joueur qui s’est révélé. Riley au match 2, Lofton au match 3 et là on a bien stoppé Riley et Lofton. »\\n\\nCe quatrième match de la série a incontestablement franchi un degré sur l’échelle de l’intensité et le bénéfice est revenu à Monaco son initiateur. Le moment symbolique fut lorsque dans le même temps mais pas sur le même choc, Paul Lacombe et Mykal Riley, secoués, durent sortir du terrain. Le Monégasque revint donc plus tard en jeu avec un impressionnant bandeau de blessé de guerre. Très en deca de ses standards lors du match précédent (2 points, 3 d’évaluation), l’arrière international a retrouvé toute sa vitalité, sa faculté à aller à l’abordage. Les Monégasques ont fait la course en tête, faisant preuve de la sérénité qui leur a manqué sur les deux derniers matches, et ont défendu dur, dur, en étant concentré sur eux-mêmes et leurs adversaires, pas sur les arbitres.\\n\\n« On ne va pas aller sur le fait que les arbitres n’ont pas sifflé sur certaines fautes comme l’adversaire l’a fait le match d’avant. Alors que l’on pourrait y aller... On verra à la vidéo », a commencé par commenter le coach du MSB, Eric Bartecheky, « Non, il faut avouer que Monaco a mis beaucoup plus de dureté défensive sur ce match là. En alignant déjà un cinq plus défensif dès le départ. Forcément, ils nous ont causé plus de problèmes. Avec plus de dureté, de consistance du côté de Monaco, nous qui étions un petit peu moins bien physiquement par le fait d’avoir joué deux matches en trois jours, on a vraiment peiné. On n’a marqué que 69 points. On a eu du mal à attaquer. Et même si on ne prend que 78 points, on fait beaucoup d’erreurs en laissant trop de paniers faciles à l’adversaire. Ils ont eu un peu plus de réussite à trois-points. Ils en marquent cinq. Ce n’est pas non plus énorme. Mais sur les replis... Même quand on a marqué, parfois on a pris des paniers tout de suite derrière. Il faut reconnaître que Monaco a durci le ton sur ce match-là et on a éprouvé des difficultés. »\\n\\nMonaco a profité de chaque moment d’inattention des Manceaux pour lancer des contres meurtriers. 10 points en contre-attaque contre 3 aux Manceaux. Ils ont surtout inscris 20 points dans la peinture contre 8 au MSB. On a apprécié ainsi une fois encore les mains en or d’Ali Traore qui en est désormais à 28 sur 34 aux shoots en playoffs (!) et qui hier soir a multiplié son temps de jeu par cinq vis-à-vis de l’Episode 3 où il avait été visiblement puni pour défense insuffisante.\\n\\nEric Bartecheky a multiplié toutes les manœuvres pour enrayer la mécanique rouge et blanche, y compris en alignant un temps trois arrières (Justin Cobbs, Antoine Eito et Chris Lofton) et deux pivots (Youssoupha Fall et Will Yeguete) mais rien n’y faisait. Quand a été demandé à Will Yeguete ce qui avait manqué dans ce combat, le Manceau a répondu :\\n\\n« De la dureté physique. On n’a pas réussi à avoir des stops. Ils ont eu beaucoup de paniers faciles. Des back door, des rebonds offensifs, ils ont réussi à se passer le ballon facilement. C’est une équipe qui est solide, qui a fait un gros match défensif et ils ont été aussi cohérents offensivement. Ils étaient dos au mur et ils ont réussi à répondre. »\\n\\nAaron Craft, le facteur X\\n\\nLes deux fois précédentes, le facteur X avait été manceau : Mykal Riley lors de l’Episode 2, Chris Lofton lors de l’Episode 3. Cette fois, il fut toujours Américain mais portait le maillot de la Roca Team. Aaron Craft (1,88m, 27 ans) a été élu Défenseur de l’Année en NCAA comme en D-League. Il a aussi remporté le trophée haut la main cette saison en Jeep Elite. Il suffit de le voir à l’œuvre pour comprendre pourquoi il est le cauchemar des attaquants. Aaron Craft a privé de vivres Chris Lofton et/ou Justin Cobbs pendant tout le temps où il était sur le terrain.\\n\\n« Il a joué d’excellents matches dans la première partie de saison. Après, c’était un peu moins bien. Là, il est au niveau des playoffs qu’il a joué la saison dernière avec Trento en Italie. Ce soir il a démarré et il était vraiment très motivé. Il a eu la même intensité défensive que d’habitude mais en plus il a marqué des tirs à trois-points, deux points », a apprécié son coach.\\n\\nDe fait, l’Américain a été aussi très efficace de l’autre côté du terrain avec 15 points pour 22 d’évaluation. Mitrovic n’a pas hésité à aligner ensemble DJ Cooper et Aaron Craft dans le money time, deux meneurs si différents et si complémentaires qui méritent incontestablement le trophée du meilleur duo de meneurs de la Jeep Elite.\\n\\n« C’est une très longue saison et nous avions l’opportunité aujourd’hui de l’allonger encore. Je pense que l’équipe a fait un super boulot. On a été obligé de défendre collectivement. On ne peut pas défendre en un-contre-un tout le match contre des joueurs comme ça. Justin Cobbs est un super joueur. Il fallait faire un effort collectif ce soir si on voulait gagner », estime Aaron Craft. « J’ai mis mon premier shoot et ça m’a mis un peu en confiance. J’ai aussi regardé comment il défendait sur moi et j’ai eu des opportunités que j’ai pu concrétiser. »\\n\\nAu fait, l’arbitrage ?\\n\\nLes Manceaux ont buté sur un mur épais et incontournable. Pour les Monégasques, les paniers « faciles » n’existent pas. Si un joueur adverse est en position de marquer, il faut l’en empêcher par tous les moyens y compris en sortant la hache de guerre. Georgi Joseph fini tous ses matches avec les mains en sang. C’est la marque de fabrique de la Roca Team. Ce qui n’est pas apprécié, c’est que parallèlement Zvezdan Mitrovic s’en prend régulièrement aux arbitres. C’est pour cette facette de mauvais coucheur qu’il a été hué par le public sarthois à la présentation des équipes. Pour ce quatrième match, il s’est globalement tenu à carreau. Ses joueurs aussi ont très peu contesté les coups de sifflet.\\n\\n« Hier j’ai dit aux gars : jouez ! Simplement, jouez ! Ce soir, nous étions là pour jouer basket-ball et pas pour s’occuper des arbitres, des lancers-francs ou quelque chose. » Pourtant, le naturel est revenu au galop : « Mais 26 à 17. Pftt (Il siffle). Ouh ! », a-t-il fait en consultant la feuille de stats.\\n\\nEn fait depuis trois ans que le Monténégrin est le coach de Monaco, son équipe est celle qui systématiquement commet le plus de fautes de toute la Jeep Elite. Lui y voit une cabale, les observateurs neutres une conséquence d’une défense toujours à la limite de la légalité. Disons qu’hier le trio d’arbitres, très bon au demeurant, a mis le curseur de la tolérance à un niveau un peu plus élevé qu’à certaines occasions. Et c’est Eric Bartecheky qui se sentait comme le dindon de la farce.\\n\\n« Bien sûr qu’il y a 26 fautes commis de leur part et on obtient quand même des lancers-francs. On ne peut pas non plus dire « les arbitres, etc. » mais il y a quand même parfois des fautes... Forcément, ils ne vont pas tout siffler car sinon tout le monde est dehors dans le départ. Mais il y en a quand même qui méritent des coups de sifflet. Il y a même des fautes qui sont dures et je crois que la salle l’a vu aussi. Mais bon... C’est secondaire par rapport à ce que j’ai dit avant. »\\n\\nUn match de playoffs ressemble rarement à un autre\\n\\nLes Manceaux sont apparus hier soir émoussés à l’image de Justin Cobbs qui a enchaîné à Antarès deux prestations plutôt ternes. Eric Bartecheky en convient :\\n\\n« Ce qui est bien, c’est que l’on ne joue que dimanche. On va pouvoir récupérer et étudier ce match-là où ils nous ont posé des problèmes pour voir comment on peut s’ajuster par rapport au match de dimanche. Je pense que l’on peut récupérer et être en mesure de proposer autre chose là-bas. »\\n\\nMême tonalité dans le discours de Will Yeguete :\\n\\n« On est un peu déçu car on avait une bonne opportunité de finir la série à la maison. C’est comme ça, ça fait partie du sport. Il faudra bien dormir ce soir, se reposer, revoir demain et après-demain ce que l’on a fait comme erreurs, et aller faire un coup là-bas dimanche. On va tout faire pour être bien dimanche, être frais et l’emporter là-bas. »\\n\\nEric Bartecheky reconnait que son équipe a reçu comme un coup sur la nuque. Le public, le champagne, les T-shirts de circonstance, tout était prêt pour que cette Episode 4 mette fin en apothéose à la série.\\n\\n« Forcément, quand on a la possibilité de gagner le match et d’avoir le titre ici à Antarès, il y a une déception. En plus, comme l’équipe en face a mis de la dureté, les joueurs ont senti qu’ils avaient vraiment du mal à avancer, à trouver des solutions. C’est normal que ce soir, sur le coup, il y ait un petit choc. Un petit coup mentalement. Mais il faut laisser les joueurs digérer, se reposer demain et repartir de l’avant. De toute façon, on l’a vécu à Strasbourg. Ça ne sera pas facile mais pourquoi pas ? Il faut trouver des solutions pour malmener cette équipe de Monaco qui n’est pas simple à bouger quand elle est comme ce soir. »\\n\\nEn fait, le MSB est exactement dans la même situation qu’en demi-finale face à Strasbourg. Il avait gagné le match 2 en Alsace avant d’enchaîner à Antarès mais n’avait pas conclu lors du match 4. La SIG avait retrouvé toute sa superbe et chacun l’imaginait se qualifier pour une sixième finale consécutive. Mais les Manceaux avaient fait preuve en Alsace d’une grinta exceptionnelle. Dimanche, ce sera le huitième affrontement cette saison entre l’ASM et le MSB et il n’a échappé à personne que les Manceaux ont déjà gagné deux fois à Gaston-Médecin. Même si le sentiment porte à croire que Monaco est en position favorable, il faut se méfier des sentences prématurées. Un match ressemble rarement à un autre en playoffs.\\n\\n« C’est l’équipe qui a le plus de cœur qui va l’emporter dimanche », estime Will Yeguete. « A ce niveau-là, il n’y a pas vraiment d’ajustements techniques que l’on peut faire même s’ils en ont fait quelques-uns entre le Game 3 et le Game 4. C’est vraiment dans la dureté et le combat qu’il faudra gagner le match. Celui qui fera ça gagnera la série et sera champion de France. »\\n\\nCoach Z qui va guider pour la dernière fois la Roca Team pour cette épisode 5 est le premier à se méfier des retournements de situation. Et pour cause.\\n\\n« Vous ne savez jamais. J’ai eu une très mauvaise expérience l’an dernier en quart de finale contre l’ASVEL. Dans l’euphorie, on a cru que c’était bon et on a perdu chez nous puis la série. Je pense que c’est du 50-50 pour le prochain match. Il faut tranquillement se préparer pour le Match 5 et c’est tout. »\\n\\n[armelse]\\n\\nOn a retrouvé Monaco. Le premier de la saison régulière, vainqueur de la Leaders Cup, meilleur ranking de la Basketball Champions League et finaliste de cette même BCL. Pourquoi la Roca Team -qui mérite totalement son surnom- s’est imposé hier soir à Antarès ? Parce qu’elle était un ton au-dessus du MSB. Tout simplement. Sur le plan de la dureté, de l’endurance. Les Monégasques se sont montrés très solidaires, sans maillon faible. Tout en contrôle.\\n\\nDevant les yeux de l’ancien meneur de jeu du club Taylor Rochestie, finaliste en 2012, marié avec une Sarthoise, assis tout près de leur banc en T-shirt orange, les Manceaux ont effectué une très mauvaise entame. Un air de déjà vu. 2-11 après un peu plus de quatre minutes, suite à un trois-points de Aaron Craft alors que Monaco avait loupé ses 12 tentatives lors de l’Episode 1 et une interception ponctuée d’une contre-attaque en trombe de Paul Lacombe. Comme un résumé de ce qui allait suivre.\\n\\nQuand Paul Lacombe monte à l’abordage\\n\\n« Je pense que la pression était sur Le Mans. C’était le match pour qu’ils finissent ce soir », a commenté le coach de l’ASM, Zvezdan Mitrovic. « Les premiers matches on a été dominés au rebond, ce soir c’est nous qui avons dominé (34 à 29). Grosse défense, gros rebond, c’est comme ça que l’on peut gagner. On voulait que Georgi (Joseph) et Paul (Lacombe) donnent un rythme défensif. Ça a fonctionné. J’ai parlé avec Paul avant le match, il n’allait pas bien du tout. C’est notre joueur avec le plus d’expérience en ce qui concerne les finales. Il était prêt, motivé. Quand il a pris un coup à l’arcade, il a été recousu à la mi-temps, il est revenu avec un gros bandage et il a continué à jouer. A chaque match, il y a eu un joueur qui s’est révélé. Riley au match 2, Lofton au match 3 et là on a bien stoppé Riley et Lofton. »\\n\\nCe quatrième match de la série a incontestablement franchi un degré sur l’échelle de l’intensité et le bénéfice est revenu à Monaco son initiateur. Le moment symbolique fut lorsque dans le même temps mais pas sur le même choc, Paul Lacombe et Mykal Riley, secoués, durent sortir du terrain.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Paul Lacombe, Aaron Craft, Zvezdan Mitrovic, DJ Stephens (LNB/Hervé Bellenger)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Belgique : Bruxelles et Serge Crevecoeur font leur marché en Pro B"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Hier soir à Bruxelles se tenait la conférence de presse de fin de saison du club de la capitale belge. Les dirigeants bruxellois ont annoncé l’arrivée de plusieurs joueurs.\\n\\nParmi ces recrues, Serge Crevecoeur a été chercher les perles rares en Pro B. Il s’agit des trois Américains Amin Stevens, qui arrive de Rouen, de Caleb Walker, qui était à Evreux, et de Christopher Smith, qui était à Vichy-Clermont. Le premier a notamment terminé meilleur marqueur de Pro B tandis que Caleb Walker était cinquième marqueur du championnat.\\n\\nLes Bruxellois retrouveront des clubs français en préparation de début de saison. Ils croiseront Strasbourg le 16 août et Nanterre les 18 et 25 août.\\n\\nPhoto : Ann-Dee Lamour"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Arthur Rozenfeld passe de Chalon à Bourg-en-Brese"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette saison dans la galère chalonnaise pour son retour en Pro A après deux ans passés en Pro B, Arthur Rozenfeld (1,81m, 23 ans) est tombé d’accord avec Bourg-en-Bresse.\\n\\nSur son site, la JLB annonce l’arrivée de l’ancien joueur de l’ASVEL qui a signé un contrat de deux ans. Back-up de Garrett Sim à Boulogne-sur-Mer en 2015/16, l’ancien joueur de Roanne va donc retrouver son ancien coéquipier la saison prochaine.\\n\\nCette saison, Arthur Rozenfeld compilait cette saison 2,8 points et 2 passes décisives pour une évaluation de 3,2 en Jeep Elite, et 4,1 points et 2,8 assists pour une évaluation de 4,4 en Champions League.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en JeepElite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat.\\n\\nLe lien pour le tableau des transferts de Pro B est ici.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Nantes a fait resigner Laurence Ekperigin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Nantes Basket Hermine a prolongé le contrat du pivot Laurence Ekperigin (2,00m, 30 ans). Bien que né à New York, celui-ci possède la nationalité britannique. Avec Jeremiah Wilson (2,05m, 30 ans), qui lui est né à Chicago mais détient un passeport portugais, le club de Loire-Atlantique a fait le plein des Bosman.\\n\\nAvec deux saisons à Poitiers puis deux autres à Nantes, Laurence Ekperigin a joué 124 matches en Pro B pour une moyenne de 12,5 points, 8,6 rebonds et 17,4 d’évaluation. Il a aussi porté une saison le maillot de Nanterre en Pro A avec moins de réussite (4,8 points et 4,4 rebonds).\\n\\n« La re-signature de Laurence faisait partie de mes priorités. Avec plus de 250 matchs, Laurence est l’une des 5 meilleures évaluations des joueurs de la division. Leader défensif, homme de tempérament, toutes ses qualités seront déterminantes pour nous permettre de faire une bonne saison l’année prochaine, » a déclaré le coach Jean-Baptiste Lecrosnier sur le site du club."
}, 
{"role": "user",     "content":"«Big Fred Style» : «Je crois que si j’avais vu un mec faire ça, je serais allé avec Mykal Riley pour lui casser la gueule»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans sa rubrique « Big Fred Style », notre big man préféré Frédéric Weis, qui fête ce vendredi 22 juin ses 41 ans, revient sur des sujets d’actualité et aujourd’hui, l’ancien international nous parle de l’association entre son entreprise BiG Sports et Limoges, de l’affaire de racisme envers Mykal Riley, de la polémique sur l’arbitrage français et de Monaco qui pense à l’Euroleague.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nBiG Sports et le CSP Limoges :\\n\\nJusqu’à présent on leur faisait que les maillots pour l’Eurocup et tout le textile de la boutique. On s’est mis d’accord pour pouvoir en faire un peu plus encore. La saison prochaine on s’étend à l’équipe première pour la Jeep Elite et les Espoirs. Pour les gens c’est pas beaucoup, mais pour nous c’est un vrai défi. C’est une vraie opportunité que nous donne le Limoges CSP. C’est vraiment très bien pour nous. On aura aussi d’autres équipes, mais elles ne l’ont pas encore annoncé donc je n’ai pas le droit de le dire.\\n\\n\\nRacisme envers Mykal Riley à Monaco :\\n\\nAh, justement ! Moi, j’ai un petit problème avec ça. Je crois que si j’avais vu un mec faire ça, je serais allé avec Mykal Riley pour lui casser la gueule. Normal ! Ensuite, j’ai un autre petit souci. Si l’arbitre n’a pas vu ou ne peut pas voir ce qui s’est passé, pourquoi on n’a pas le droit d’utiliser la vidéo pour revoir ce qu’il s’est précisément passé ? Parce qu’au final, Riley prend une faute technique parce qu’il répond à un enfoiré ! Là, ça me dérange. Aussi, je n’aime pas que l’on fasse des amalgames et que l’on dise « à Monaco, tous les supporters sont racistes ». C’est faux. C’est comme partout, il y a des cons partout, mais ça n’est pas la majorité. J’ai tout de suite entendu des choses du genre « les Monegasques c’est des cons etc ». Non ! Il y a un con qui a fait ça et c’est tout. Je suis allé à Monaco cette année et tout s’est toujours bien passé. Et puis ce n’est pas là où c’est le plus tendu Monaco en général, hein... Malheureusement, il y a des gens qui pensent que le sport c’est comme le cirque à l’époque et ils y vont pour se défouler, ils disent des saloperies. Pour moi, il faut les virer c’est gens-là mais ne surtout pas faire d’amalgame. D’un côté comme de l’autre.\\n\\n\\nPolémique sur l’arbitrage :\\n\\nPour moi tout ce débat sur l’arbitrage c’est très simple. On a trois arbitres qui ont été nommés pour être élu arbitre de l’année et ils n’ont pas tous fait les finales. Alors, je ne dis pas que les autres sont mauvais, mais ça peut frustrer les gens. Ils se disent que finalement ils n’ont pas le droit aux meilleurs arbitres sur les matchs les plus importants. Encore une fois, je ne critique absolument pas les arbitres qu’on a eus pour l’instant, parce que pour moi ils font du bon boulot. Mais, ça peut créer un climat de tension du fait qu’on a tout simplement pas les meilleurs au meilleur moment.\\n\\n\\nMonaco en Euroleague :\\n\\nEst-ce qu’ils ont les reins assez solides pour monter une équipe d’Euroleague ? Oui, sans problème. Bien évidemment. Si le Prince dit « on le fait », il va donner un chèque. Il y aura aussi des généreux donateurs, comme ceux qui ont donné un million d’euros en plus pour le club. Il y a de quoi faire à Monaco. Les mecs qui sont à la tête de Monaco actuellement connaissent le basket et ils aiment ça donc s’ils en ont envie ils le feront. Par contre, un public, ça ne se créé pas en une minute. Par exemple, je ne connais pas bien le foot, mais je n’ai pas l’impression que leur stade est très rempli. Et le problème c’est que ça pourrait faire la même chose au basket. C’est dommage, mais si tu as un club qui peut faire des perfs tu peux, peut-être, te créer un public. Un public ce n’est pas acquis. Tout le monde parle de Limoges. Bah oui, mais ça fait combien d’années qu’ils sont au haut niveau ? Ils ont gagné des coupes, ils ont eu des titres... A un moment, c’est les victoires qui font que le public commence à s’intéresser petit à petit.\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nBiG Sports et le CSP Limoges :\\n\\nJusqu’à présent on leur faisait que les maillots pour l’Eurocup et tout le textile de la boutique. On s’est mis d’accord pour pouvoir en faire un peu plus encore. La saison prochaine on s’étend à l’équipe première pour la Jeep Elite et les Espoirs. Pour les gens c’est pas beaucoup, mais pour nous c’est un vrai défi. C’est une vraie opportunité que nous donne le Limoges CSP. C’est vraiment très bien pour nous. On aura aussi d’autres équipes, mais elles ne l’ont pas encore annoncé donc je n’ai pas le droit de le dire.\\n\\n\\nRacisme envers Mykal Riley à Monaco :\\n\\nAh, justement ! Moi, j’ai un petit problème avec ça. Je crois que si j’avais vu un mec faire ça, je serais allé avec Mykal Riley pour lui casser la gueule. Normal ! Ensuite, j’ai un autre petit souci.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Draft NBA: Luka Doncic 3e, Elie Okobo 31e"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Déception pour Elie Okobo (1,88m, 20 ans) et par voie de conséquence pour Pau-Lacq-Orthez, il n’a été drafté qu’en 31e position, soit au premier rang du deuxième tour ce qui fait qu’il n’aura pas de contrat garanti.\\n\\nCe sont les Phoenix Suns -qui ont par ailleurs fait de DeAndre Avton le numéro 1- qui ont choisi le meneur palois qui devient donc le 35e joueur français à être sélectionné à la Draft NBA. Question: intègrera t-il le roster de la franchise de l’Arizona dès la rentrée prochaine ou devra t-il poursuivre son aventure en Europe?\\n\\nLe prodige slovène du Real Madrid Luka Doncic est pour sa part en troisième position retenu par les Atlanta Hawks qui l’ont échangé avec les Dallas Mavericks.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\n⏰ 1h40 👉 Début de la cérémonie de la #NBADraft2018\\narrivée des supporters au Palais 💪 #ELANation pic.twitter.com/Z4fosII62N\\n\\n\\n— EBPLO (@EBPLO) June 21, 2018\\n\\n\\n\\n\\nProud, so proud to have been selected by this great organisation 😃👌👍💪Let’s go @Suns! ☀️ #TimeToRise #SwaggyE #UniqueMoment #CantWaitToStart #NBADraft pic.twitter.com/wCWT8BxY2y\\n\\n\\n— Elie Okobo (@ElieOkobo_0) June 22, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Rodrigue Beaubois signe un contrat de deux ans avec Anadolu Efes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Rodrigue Beaubois (1,88m, 30 ans) va quitter l’Espagne et Vitoria pour la Turquie et Anadolu Efes Istanbul avec qui il vient de signer un contrat pour deux saisons.\\n\\nFormé à Cholet, le Guadeloupéen a passé quatre ans aux Dallas Mavericks avec un célèbre coup d’éclat: 40 points contre Golden State le 29 mars 2010. Des blessures récurrentes l’ont contraint à revenir en Europe se refaire une santé, à Charleroi, Le Mans, Strasbourg puis donc Vitoria à partir de 2016-17. C’est aussi pourquoi il n’a jamais porté le maillot de l’équipe de France.\\n\\nCette saison, il a cumulé 11,5 points, 2,9 rebonds et 2,4 passes.\\n\\nAnadolu Efes a été demi-finaliste du championnat turc 2017-18."
}, 
{"role": "user",     "content":"Bourg: MVP de la saison, Zachery Peacock prolonge jusqu’en 2020"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Elu MVP de la saison de Jeep Elite 2017-18, l’intérieur Américain Zachery Peacock (2,03m, 30 ans) prolonge son contrat avec la JL Bourg jusqu’à la saison 2019-20.\\n\\nPeacock a réalisé une saison éblouissante avec la JL avec 20,0 points et 28,0 d’évaluation. Il avait été élu MVP de Pro B la saison précédente.\\n\\nSorti de Georgia Tech en 2016, l’Américain est passé par l’Allemagne avant d’atterrir en France à Boulogne en 2013. Après un séjour avorté à Cholet, il est Burgien depuis 2015.\\n\\n« Une décision importante du club avec une revalorisation à la hausse de son contrat, mais aussi un choix fort du joueur qui s’inscrit dans la durée. Alors que nombre d’ancien MVP et meilleur marqueur de Jeep Elite ont souvent choisi les sirènes de plus grands clubs européens, le capitaine burgien a lui souhaité rester à Bourg et prolonger l’aventure. Une véritable preuve de confiance et d’affection envers le club et son coach Savo Vucevic avec qui il entretient une très bonne relation. L’ensemble du club est ravi de pouvoir continuer l’aventure entreprise depuis 2015-2016 avec Zack, » écrit la JL sur son site Internet.\\n\\nRetrouvez le tableau des transferts en JeepElite mis à jour quotidiennement avec tous les mouvements du championnat.\\n\\nLe lien pour le tableau des transferts de Pro B est ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Mondial U17: Les 12 Bleuets retenus pour l’Argentine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les 12 joueurs qui vont constituer l’équipe de France au Mondial U17 sont connus.Pour leurs deux derniers matches de préparation en Europe, les Bleuets ont largement battu la Croatie, 88-56 et 77-54. Un adversaire qu’ils retrouveront dans leur groupe en Argentine. En attendant, un ultime tournoi les attend sur place avec un match révélateur contre les Etats-Unis.\\n\\nLes 12 joueurs retenus pour le Mondial\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPrénom\\nDate de naissance\\n\\n\\n\\nTaille\\n\\n\\n\\n\\nPoste\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\nBILLON\\nLéo\\n05/01/2001\\n 197\\n2-3\\nCFBB (CHOLET BASKET)\\n\\n\\nCARENE\\nMaxime\\n\\n\\n\\n07/06/2001\\n\\n\\n\\n\\n208\\n\\n\\n\\n\\n4 – 5\\n\\n\\n\\nCFBB (SC LAMENTOIS)\\n\\n\\nCAZALON\\nMalcolm\\n\\n\\n\\n27/08/2001\\n\\n\\n\\n\\n194\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\nASVEL BASKET\\n\\n\\nCRUSOL\\nTimothé\\n05/04/2001\\n 190\\n1-2\\nCFBB (CJF LES AUBRAIS)\\n\\n\\nDIALLO\\nVictor\\n\\n\\n\\n09/02/2001\\n\\n\\n\\n\\n198\\n\\n\\n\\n\\n2 – 3\\n\\n\\n\\nCFBB (ASVEL)\\n\\n\\nEBONKOLI\\nMelvyn\\n\\n\\n\\n11/04/2001\\n\\n\\n\\n\\n197\\n\\n\\n\\n\\n4\\n\\n\\n\\nLE MANS SARTHE BASKET\\n\\n\\nEYANGO DINGO\\nSamuel\\n\\n\\n\\n16/05/2001\\n\\n\\n\\n\\n205\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\nNANTERRE 92\\n\\n\\nGAUZIN\\nMatthieu\\n\\n\\n\\n27/02/2001\\n\\n\\n\\n\\n185\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\nLE MANS SARTHE BASKET\\n\\n\\nHAYES\\nKillian\\n\\n\\n\\n27/07/2001\\n\\n\\n\\n\\n192\\n\\n\\n\\n\\n1 – 2\\n\\n\\n\\nCHOLET BASKET\\n\\n\\nMALEDON\\nThéo\\n\\n\\n\\n12/06/2001\\n\\n\\n\\n\\n191\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\nASVEL LYON VILLEURBANNE\\n\\n\\nMIYEM\\nEssomé\\n\\n\\n\\n15/07/2001\\n\\n\\n\\n\\n208\\n\\n\\n\\n\\n4 – 5\\n\\n\\n\\nCFBB (REIMS CB)\\n\\n\\nTHIROUARD-SAMSON\\nLorenzo\\n\\n\\n\\n19/02/2001\\n\\n\\n\\n\\n197\\n\\n\\n\\n\\n1 – 2\\n\\n\\n\\nCFBB (AVENIR RENNES)\\n\\n\\n\\n\\nEntraineur : Lamine Kebe\\nAssistants : Nicolas Absalon, Nicolas Corbe\\nPréparateur physique : Benjamin Berkani\\n\\nTournoi à Santa Fe (Argentine) du 25 au 27 juin 2018\\nMardi 26 juin à minuit : Etats-Unis – France\\nMercredi 27 juin : Serbie ou Argentine – France\\n\\nChampionnat du Monde à Rosario et Santa Fe (Argentine) du 30 juin au 8 juillet 2018\\nDimanche 1er juillet à 1h30 : Argentine – France\\nDimanche 1er juillet à 23h15 : Philippines – France\\nMardi 3 juillet à 23h15 : Croatie – France\\nMercredi 4 juillet : Huitièmes de finale\\nVendredi 6 juillet : Quarts de finale\\nSamedi 7 juillet : Demi-finales\\nDimanche 8 juillet : Finale\\n\\nPhoto: Killian Hayes (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les highlights de l’Episode 4 de la finale de Jeep Elite, Le Mans-Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les meilleurs moments de l’Episode 4 de la finale de Jeep Elite, Le Mans SB vs AS Monaco, hier soir à Antarès."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Yunio Barrueta première recrue du SLUC"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec Christian Monschau à la baguette, le SLUC Nancy vient d’annoncer le nom de sa première recrue. Il s’agit de Yunio Barrueta (1,98m, 25 ans).\\n\\nSur son site, le club nancéien dévoile donc la signature du Cubain pour la saison 2018/19. Cette saison à Denain, le natif de Miami a été l’auteur de quelques coups de chaud avec notamment 34 points face à Charleville-Mézières, 28 points face à Quimper ou encore 25 points face à, encore, Charleville-Mézières. Il s’est fait remarquer par son adresse à trois points, 42,5% en 2017/18. Avant d’arriver à Denain l’été dernier, il jouait la saison dernière en Belgique, à Alost.\\n\\nCette saison, Yunio Barrueta compilait en moyenne 12,8 points et 3 rebonds pour une évaluation de 9,6.\\n\\nPhoto : Pascal Thurotte/ASCDVPH"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Trey Thompkins (Real Madrid) se rapproche de l’Anadolu Efes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion d’Euroleague et champion d’Espagne en titre, Trey Thompkins pourrait quitter le Real Madrid pour s’engager avec l’Andalou Efes.\\n\\nSelon Sportando, le New-yorkais et le club madrilène souhaiteraient continuer leur collaboration mais il serait la cible de plusieurs clubs d’Euroleague dont l’Anadolu Efes qui lui aurait fait une offre plus intéressante financièrement. De leur côté, Eurohoops rapportent que l’ancien joueur du Nizhny Novgorod serait en discussion avancée avec le club turc et aurait reçu une offre pour un contrat d’un an plus une année en option. A l’été 2019, il disposerait également d’une clause lui permettant de rejoindre une franchise NBA.\\n\\nCette saison, Trey Thompkins compilait en moyenne 9,5 points et 4 rebonds pour une évaluation de 8,7 en ACB, et 9,5 points et 5,1 rebonds pour une évaluation de 11,1 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg: Un budget proche de 9M€, 5 800 spectateurs de moyenne et une participation à la Champions League en 2018-19"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors d’une conférence de presse cet après-midi, le président de la SIG Strasbourg Martial Bellon a indiqué que le Rhénus a accueilli cette saison 5 800 spectateurs, ce qui en fait la plus forte affluence de la Jeep Elite.\\n\\nPar ailleurs, le budget du club est proche des 9 M€.\\n\\n« La déception de l’élimination en demi-finale qui a clôturé notre saison prématurément a laissé une impression d’échec. Surtout avec la masse salariale la plus forte que le club ait jamais eue, plus forte que celle de la saison prochaine, » a indiqué le coach Vincent Collet, des propos rapportés le journaliste des DNA Régis Schneider. La masse salariale reculera de fait de 1,7 à 1,4M€.\\n\\nLa signature de Jeremy Nzeulie a été confirmée. Une offre a été faite au pivot croate Miro Bilan alors que le club regarde comment tenir parole avec l’ex-Dijonnais Jacques Alinge qui a été victime d’une rupture du Tendon d’Achille le jour où la SIG s’était mis d’accord avec son agent. Il pourrait reprendre la compétition en janvier 2019.\\n\\nUne reconversion au sein du club de Florent Pietrus est à l’étude.\\n\\n« Nous avons engagé avec Flo des discussions au sujet de sa reconversion. Il restera probablement une saison comme joueur tout en devenant étudiant en passant ses diplômes. Si le processus fonctionne et qu’il en éprouve toujours l’envie, il deviendra coach chez nous en juillet 2019 en entraînant les jeunes au centre de formation pendant deux ans. Ma conviction : il est de notre devoir que les joueurs de notre sport puissent se reconvertir dans notre sport. Nous l’avons démontré avec Aymeric Jeanneau. Cela fait partie de l’ADN de notre club, » a indiqué le président.\\n\\nEnfin, la SIG a décidé de participer en 2018-19 à la Champions League mais a toujours l’Euroleague dans le viseur lorsque l’Arena sera construite soit en 2021.\\n\\nPhoto: Miro Bilan (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\n5800 spectateurs de moyenne cette saison au Rhenus: la @sigstrasbourg n°1 des affluences cette saison en #JeepELITE. L'objectif sponsoring, lui, a été dépassé de 10%. #bilanSIG #dnainfos\\n\\n\\n— IAmRégis Schneider (@rgis67) June 21, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ian Mahinmi : «Je ne viens pas à Rouen une fois l’été et c’est tout, c’est un suivi quotidien»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Natif de Rouen, Ian Mahinmi (2,11m, 31 ans) a décidé il y a quelques mois d’investir dans le club où il a marqué ses premiers paniers.\\n\\nInvité de Radio Cristal, le pivot des Washington Wizards est notamment revenu sur son rôle au sein du club rouennais. Après une saison dans le capital de la formation normande, on apprend que l’ancien international français suit quotidiennement son équipe.\\n\\n« Comme je regarde tous les matchs, des fois je vois certaines choses et je n’hésite pas à communiquer avec mes joueurs. Je leur envoie un petit message où je les appelle, on discute un peu. Ça peut être d’un match ou même au-delà du basket. Des fois c’est une situation où un joueur américain a de la famille qui arrive alors je leur organise des petits trucs, je leur réserve des restaurants. C’est global. J’essaye de faire en sorte que les choses se passent bien. Ce n’est pas ponctuel. Je ne viens pas à Rouen une fois l’été, je vois les gars et c’est tout. C’est vraiment un suivi presque quotidien et je le fais de façon assez assidue. »\\n\\nEliminé en demi-finale des playoffs d’accession, le RMB a réalisé une fin de saison impressionnante. Huitièmes du classement au terme de la saison régulière, les hommes d’Alexandre Menard se sont qualifiés pour les playoffs et ont réalisé l’exploit d’éliminer le favori pour la montée, Orléans, en quart de finale. Cela avant de tomber face au futur promu en Jeep Elite, Fos. L’ancien joueur des Indiana Pacers attend maintenant de voir la même chose l’année prochaine.\\n\\n« Quand tu fais une belle saison comme ça, tu donnes envie donc forcément l’objectif l’année prochaine serait de refaire les playoffs. Si on pouvait avoir un groupe inchangé ça serait idéal, mais l’objectif c’est vraiment de véhiculer les mêmes valeurs que l’on avait cette année, de développer un beau jeu pour donner encore plus envie au public rouennais de venir supporter leur équipe. L’objectif c’est de refaire les playoffs, de retenter l’aventure et après, qui sait ce qui peut arriver ? »\\n\\nIan Mahinmi a aussi annoncé que l’été sera bien rempli puisqu’il faudra former une nouvelle équipe. Les deux étrangers Obi Emegano et Amin Stevens, étant victimes de leur succès, sont courtisés par des clubs de première division. Le Nigérian part à Dijon tandis que Stevens sera à Bruxelles l’an prochain.\\n\\n« Manu Monceau, qui devient le chouchou du public, sera là. Carl Ponsar, le produit du club, sera aussi là. On a aussi Benoit Injai, un autre produit de la maison. Earvine Bassoumba vient de résigner deux ans. Donc on a une base française, mais pour le reste ça va être compliqué de les garder. On va beaucoup travailler cet été, on a du pain sur la planche. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie: Pour Milan, Thomas Heurtel est une option"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Milan se prépare à annoncer des accords de trois ans avec le Serbe Nemanja Nedovic (1,92m, 27 ans) et l’Américain Christian Burns (2,03m, 32 ans) et continuer sa relation avec le Letton Dairis Bertāns (1,93m, 28 ans) qui n’a pas exercé son option de départ. La pièce manquante à un casse-tête qui nécessite 8 confirmations et 5 nouveaux visages est le titulaire au poste de meneur. La piste de l’Américain du Panathinaikos Mike James (1,85m, 28 ans) reste le plus probable, mais malgré des négociations durant près de deux mois, aucun accord n’a été conclu pour l’instant.\\n\\nUne hypothèse qui pourrait prendre forme en cas d’impasse est l’international français Thomas Heurtel (1,88m, 29 ans). Celui-ci possède une autre année à son contrat à Barcelone (11.3 points et 6,5 passes en Euroleague), mais avec l’arrivée du Canado-Slovène Kevin Pangos (1,88m, 25 ans) et l’hypothèse concrète de atterrissage de l’Américain Brad Wanamaker (1,93m, 28 ans) si celui-ci ne trouve pas de place en NBA, il pourrait envisager de prendre une porte de sortie."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le palais des sports de Pau ouvert cette nuit pour suivre en direct la draft de Elie Okobo"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour mesurer l’importance que représente pour lui la draft de son meneur de jeu Elie Okobo (1,88m, 20 ans), il suffit de savoir que l’Elan Béarnais va ouvrir cette nuit le club house de son palais des sports aux fans qui souhaitent suivre en direct la cérémonie que va retransmettre beIN SPORT.\\n\\nPour le club et aussi pour le joueur, l’enjeu est donc majeur. Si le Palois est choisi au premier tour, c’est la garantie pour lui de toucher la saison prochaine un pactole d’environ 1,5 million de dollars et pour le club une indemnité de 500 000 euros. S’il n’est drafté qu’au deuxième tour, rien n’est garanti pour Okobo et l’Elan n’aura aucune manne.\\n\\n« On a toujours cru en Elie. Notre volonté était de mener un double projet avec lui susceptible de le hisser le plus haut possible à la draft 2018 », a commenté le directeur exécutif Didier Gadou à la République des Pyrénées.\\n\\nAprès une excellente saison (12,9 points, 13,5 d’évaluation) et une performance mémorable lors du Match 1 de quart-de-finale de playoffs contre Monaco (44 points à 12/17 aux tirs), Elie Okobo a réalisé avant la draft deux semaines d’entraînements privés, les fameux workout pour douze franchises différentes.\\n\\nDans leur Mock Draft 2.0, les spécialistes de Basket USA placent Elie Okobo en 23e position, un choix qui sera celui des Indiana Pacers, qui l’ont supervisé il y a deux jours.\\n\\n« Selon nos informations, Indiana était si chaud pour le rencontrer que le Français a dû annuler son essai avec les Grizzlies. Aux Pacers, Okobo aurait un joli coup à jouer sur les postes 1 et 2, comme rotation derrière Darren Collison et Victor Oladipo », commente le site.\\n\\nElie Okobo sera le seul Français à être présent ce soir au Barclays Center de Brooklyn."
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ancien Limougeaud Jamar Smith prolonge à l’UNICS Kazan"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé l’été dernier, Jamar Smith (1,91m, 31 ans) va continuer l’aventure avec l’UNICS Kazan.\\n\\nSur son site, le club russe annonce que l’ancien joueur du Limoges CSP s’est engagé pour deux saisons de plus. Passé par l’Hapoel Gilboa Galil, Bamberg ou encore Malaga, l’arrière américain a été sacré champion de la Balkan League en 2013, champion d’Eurocup en 2017 et champion de France en 2015. Cette saison, il a remporté le titre de meilleur sixième homme de la saison en VTB League et il a été élu MVP du mois de mars de ce même championnat.\\n\\nCette saison, Jamar Smith compilait en moyenne 14,4 points, 2,2 rebonds et 2,4 passes décisives pour une évaluation de 14,2 en VTB League, et 13,1 points, 2,9 passes décisives et 1,2 interception pour une évaluation de 10,6 en Eurocup.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Kevin Pangos aurait prévenu le Zalgiris de son départ"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En contact avec le FC Barcelone depuis de nombreuses semaines, Kevin Pangos (1,88m, 25 ans) serait plus que jamais proche de la Catalogne.\\n\\nSelon David Pick, l’ancien joueur de Gran Canaria aurait annoncé au Zalgiris Kaunas qu’il quitte la Lituanie et qu’il va rejoindre le Barça. Toujours selon le journaliste, le double champion de Lituanie en titre aurait signé un contrat de deux ans pour deux millions de dollars.\\n\\nCette saison avec le Zalgiris Kaunas, Kevin Pangos compilait en moyenne 8,1 points, 2,3 rebonds et 4,6 passes décisives pour une évaluation de 10,6 en championnat et il tournait à 12,7 points, 2,7 rebonds et 5,9 passes décisives pour une évaluation de 14,2 en Euroleague.\\n\\n\\n\\n\\nSources to come in contact with Kevin Pangos tell me Zalgiris' PG advertised signing a guaranteed $2M net deal with Barcelona through 2020.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) June 20, 2018\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Thomas Walkup rejoint le Zalgiris Kaunas"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A peine la saison terminée, le Zalgiris Kaunas a officialisé l’arrivée de sa première recrue, Thomas Walkup (1,93m, 25 ans).\\n\\nAuteur d’une très grosse première saison en Europe, le Texan a attiré l’attention du Zalgiris Kaunas qui a annoncé lui avoir fait signer un contrat 1+1, donc une année plus une autre année en option. Cette saison en Allemagne, le natif de Pasadena a mené son équipe jusqu’à la quatrième place de Champions League et jusqu’en demi-finale des playoffs de Bundesliga.\\n\\nCette saison, Thomas Walkup compilait en moyenne 11,9 points, 5,1 rebonds, 1,7 interception et 4,6 passes décisives pour une évaluation de 17,4 en Bundesliga, et 11 points, 4,3 rebonds, 1,8 interception et 4,2 passes décisives pour une évaluation de 14,9 en Champions League.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Israël : Amar’e Stoudemire de retour sur les terrains ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Actionnaire majoritaire de l’Hapoel Jerusalem depuis 2013, Amar’e Stoudemire (2,08m, 35 ans) aurait trouvé un accord avec le club pour rechausser les baskets la saison prochaine.\\n\\nSelon Sport 5, le deal aurait été trouvé mais les dirigeants attendent de savoir comment le staff veut construire son équipe. Il se dirigerait vers une équipe de jeunes pour entourer l’ancien joueur des Phoenix Suns. La saison dernière, le sextuple All Star NBA portait le maillot de l’Hapoel Jerusalem et l’avait mené jusqu’au titre national.\\n\\nLors de l’exercice 2016/17, Amar’e Stoudemire compilait en moyenne 12,8 points et 6,6 rebonds pour une évaluation de 15,4 en Eurocup, et 9,9 points, 5,9 rebonds et 1,3 contre en championnat.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Sadio Doucoure prolonge à Châlons-Reims"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé en cours de saison au CCRB, Sadio Doucoure (2,01m, 25 ans) a convaincu le staff de le prolonger.\\n\\nSur son site, Châlons-Reims indique avoir trouvé un accord avec l’ancien ailier de la Chorale de Roanne pour une durée de deux saisons. Formé à Dijon, le natif de Corbeil-Essonne est passé par Cognac, Orchies, Roanne et Vichy-Clermont avant d’arriver dans la Marne.\\n\\nCette saison en Jeep Elite, Sadio Doucoure a compilé en moyenne 4.5 points, 1.8 rebonds, pour une évaluation de 5.\\n\\nPhoto : Châlons Champagne Reims Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"FIBA: Un nouveau système de compétition pour les équipes nationales féminines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors de sa réunion samedi 16 et dimanche 17 juin, le Bureau central de la FIBA a approuvé la version finale du système de compétition des équipes nationales féminines, dont l’entrée en vigueur est fixée à novembre 2019.\\n\\nLe nouveau système pose le cadre de la route qui mène à tous les événements majeurs du basketball féminin FIBA – la Coupe du Monde féminine, le Tournoi olympique féminin de basketball et les Coupes continentales féminines – au cours d’un cycle de quatre ans, le premier couvrant la période 2019-2022.\\n\\nLe Bureau central est convaincu que ce nouveau système est un grand pas en avant et qu’il permettra d’exploiter au maximum le potentiel du basketball féminin.\\n\\nÀ l’image du système de compétition lancé pour les hommes en novembre 2017 avec les éliminatoires pour la Coupe du Monde FIBA 2019, celui choisi pour les femmes rendra notamment possible :\\n\\n * l’établissement d’un chemin clair vers la Coupe du Monde féminine FIBA, au cours duquel les équipes gagneront leurs places pour le tournoi final via des Éliminatoires, au lieu des Coupes continentales féminines FIBA\\n * l’autonomisation des Coupes continentales, qui couronneront les champions régionaux\\n * la clarification du système de qualification pour toutes les autres compétitions féminines, avec des éliminatoires distincts\\n * l’augmentation de la visibilité du basketball féminin, avec des activités des équipes nationales plus fréquentes durant l’année dans toutes les zones\\n * l’augmentation de l’inclusion et du niveau de compétitivité, puisque plus d’équipes et plus de joueuses prendront part aux phases qualificatives de chaque zone\\n\\nConcrètement, cela va commencer pour la France en novembre 2019 avec la première des trois fenêtres de qualification (novembre 2019, février 2020 et novembre 2020) à l’Euro 2021.L’Euro 2019 sera lui qualificatif pour les JO de 2020. Les six premières équipes iront en Jeux.Idem pour l’Euro 2021 où les six premières équipes seront qualifiées pour la Coupe du Monde 2022.\\n\\nCliquez ici pour une information complète au sujet du système de compétition des équipes nationales féminines FIBA qui entrera en vigueur en 2019."
}, 
{"role": "user",     "content":"Olympiakos Le Pirée: Un contrat de sponsoring à 10M€ et la construction d’une nouvelle salle envisagée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Eurohoops, Olympiakos Le Pirée a conclu un contrat de sponsoring avec la société de paris Bwin, qui sera désormais le principal sponsor du club.\\n\\nL’accord, qui devrait être annoncé dans les prochains jours, apportera plus de 10 millions d’euros au club sur une période de cinq ans et il comprend des bonus supplémentaires en cas de titres obtenus.\\n\\nL’Olympiacos envisage par ailleurs la construction d’une nouvelle arèna dans la banlieue d’Hellinikon à Athènes, selon le journal grec Fos. En fait, la direction de l’Olympiacos a entamé des discussions avec la société Lamda Development pour construire un complexe sportif qui appartiendra exclusivement au club."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Strasbourgeois Louis Labeyrie intéresse Valence"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Valence est intéressé par Louis Labeyrie (2,08m, 26 ans) indique t-on en Espagne. L’international français a signé l’été dernier un contrat de deux ans avec la SIG Strasbourg mais il peut faire jouer une option.\\n\\nVictime d’une pathologie virale, Labeyrie n’a pas pu participer à la demi-finale de playoffs Strasbourg-Le Mans après une excellente saison régulière (13,0 points et 7,4 rebonds) et il est ainsi normal qu’il soit la cible des grosses écuries européennes. Son ancien équipier à Levallois Vincent Poirier a quitté la France l’été dernier pour Vitoria.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\nMás sobre esto: Louis Labeyrie firmó dos años con Strasbourg el pasado verano pero tiene una salida asequible al término de este https://t.co/4qelGh76N5\\n\\n\\n— Chema de Lucas (@chemadelucas) June 20, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Finale Jeep® ÉLITE : il y aura un match 5 à Monaco !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dos au mur, les Monégasques n’avaient pas d’autre choix que de s’imposer au Mans pour continuer de croire en leur rêve de titre. Et après un match maîtrisé de bout en bout, la Roca Team s’est imposée 78-69.\\n\\nPortés par un Aaron Craft plus que jamais présent des deux côtés du terrain avec 15 points, 6 rebonds et 4 passes décisives pour une évaluation de 22, les joueurs de Zvezdan Mitrovic ont redressé la barre et sont revenus à 2 partout dans la série.\\n\\nTout se jouera donc à Monaco sur le parquet de la salle Gaston Médecin, dimanche 24 juin. Dans la série, les deux équipes se sont imposées une fois à Monaco, ce dernier match de la saison 2017/18 de Jeep Elite s’annonce très disputé.\\n\\nA lire demain notre Premium sur l’Episode 4 de la finale de la Jeep Elite.\\n\\nPhoto :LNB/IS/BELLENGER"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde: Juancho Hernangómez seul NBAer et pas de joueurs d’Euroleague avec l’Espagne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’entraîneur italien Sergio Scariolo a donné la liste des 16 joueurs qui vont former l’équipe espagnole pour la fenêtre de qualification à la Coupe du Monde. L’ailier des Denver Nuggets Juancho Hernangomez (2,06m, 22 ans) est le seul NBAer et il n’y a pas de joueurs d’Euroleague dans le roster.\\n\\n« Nous avons une fois encore une équipe jeune, et je suis personnellement très heureux de retrouver un grand nombre de ceux qui ont mérité de revenir suite au rôle important qu’ils ont joué dans les quatre premiers matchs de cette campagne de qualification. Les joueurs des équipes NBA et d’Euroleague ont eu tous des problèmes de nature différente qui ne leur ont pas permis de répondre à la demande de disponibilité que la Fédération leur a présentée. Évidemment, chacun d’eux a montré en principe sa volonté d’être dans la «fenêtre» de septembre. »\\n\\nL’Espagne a gagné ses quatre premiers matches et va rencontrer la Slovénie à Ljulbjana le 28 juin et le Monténégro à Malaga le 2 juillet.\\n\\n\\n\\n\\nJoueur\\nClub\\nSel\\n\\n\\nAlberto Abalde\\nValencia Basket\\n3\\n\\n\\nPablo Aguilar\\nHerbalife Gran Canaria\\n37\\n\\n\\nVíctor Arteaga\\nMovistar Estudiantes\\n5\\n\\n\\nJavier Beirán\\nIberostar Tenerife\\n2\\n\\n\\nDarío Brizuela\\nMovistar Estudiantes\\n–\\n\\n\\nQuino Colom\\nUNICS Kazan\\n6\\n\\n\\nAlberto Díaz\\nUnicaja Málaga\\n2\\n\\n\\nJaime Fernández\\nMorabanc Andorra\\n6\\n\\n\\nJuancho Hernangómez\\nDenver Nuggets\\n16\\n\\n\\nOriol Paulí\\nHerbalife Gran Canaria\\n4\\n\\n\\nXavi Rabaseda\\nHerbalife Gran Canaria\\n16\\n\\n\\nSebas Saiz\\nSan Pablo Burgos\\n11\\n\\n\\nRodrigo San Miguel\\nIberostar Tenerife\\n2\\n\\n\\nFran Vázquez\\nIberostar Tenerife\\n37\\n\\n\\nEdgar Vicedo\\nMovistar Estudiantes\\n3\\n\\n\\nSanti Yusta\\nReal Madrid\\n–\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Fabien Causeur et Axel Toupane jusqu’au titre !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Bleus du basket ne se sont jamais aussi bien exportés ! Le contingent tricolore compte vingt cinq joueurs (huit de plus que l’an passé) pour neuf pays sur le Vieux Continent.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n\\nLe Real Madrid implacable en finale\\n\\nRodrigue Beaubois aura eu beau se chauffer au fur et à mesure de la série, avec une montée en puissance à 17 puis 19 points dans le dernier match... Le Real Madrid était beaucoup trop fort ! Derrière un très grand Rudy Fernandez qui termine à 27 points sur la dernière manche (il terminera MVP), le Real remporte un nouveau trophée cette saison, après la Décima en Euroleague notamment !\\n\\nAprès la France (avec Cholet en 2010), l’Allemagne (avec Bamberg en 2017), Fabien Causeur complète donc sa collection de trophées avec le titre de champion d’Espagne après lequel il court depuis ses débuts avec Vitoria en 2012. En face, Vincent Poirier et Vitoria ont opposé une belle résistance, remportant le match 1 à Madrid. Mais derrière, l’armada du Real a fait la différence avec trois victoires d’affilée, dont deux à Vitoria. Fernandez, mais également Luka Doncic ou encore Facundo Campazzo, ont été les fers de lance madrilènes.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=bRaclMHyY44\\n\\n\\nLe Zalgiris Kaunas conserve sa couronne\\n\\nLa domination sans partage du Zalgiris Kaunas se poursuit en Lituanie. Derrière un immense Brandon Davies qui termine à 27 d’évaluation en moyenne (!) en finale, Kaunas récolte donc le 20e titre de sa glorieuse histoire... et le 8e consécutif !\\n\\nAu sein du Zalgiris, Axel Toupane a encore été solide avec 6 points et 3 rebonds de moyenne en finale. L’ailier tricolore ajoute donc une nouvelle ligne à son palmarès après son titre en D-League ou encore une Coupe de France ainsi qu’une Leaders Cup en Pro A.\\n\\n\\nEspagne\\n\\nRodrigue Beaubois (Vitoria) :\\n\\n– 11 points (4/5 aux tirs), 2 rebonds, 1 balle perdue en 20 minutes (victoire 94-90 face au Real Madrid)\\n– 2 points (1/5 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 4 balles perdues en 17 minutes (défaite 98-91 face au Real Madrid)\\n– 17 points (5/14 aux tirs), 3 passes, 1 rebond, 1 contre, 2 balles perdues en 25 minutes (défaite 83-78 face au Real Madrid)\\n– 19 points (7/13 aux tirs), 3 passes, 2 interceptions, 1 rebond, 1 contre, 2 balles perdues en 24 minutes (défaite 96-85 face au Real Madrid)\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) :\\n\\n– 13 points (4/7 aux tirs), 5 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 balle perdue en 19 minutes (victoire 94-90 face au Real Madrid)\\n– 12 points (4/9 aux tirs), 6 rebonds, 1 passe, 1 contre en 17 minutes (défaite 98-91 face au Real Madrid)\\n– 11 points (4/7 aux tirs), 7 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 20 minutes (défaite 83-78 face au Real Madrid)\\n– 4 points (2/5 aux tirs), 4 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues en 19 minutes (défaite 96-85 face au Real Madrid)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) :\\n\\n– 5 points (2/3 aux tirs), 1 rebond, 1 balle perdue en 15 minutes (défaite 94-90 face à Vitoria)\\n– 2 points, 1 rebond, 1 passe en 10 minutes (victoire 98-91 face à Vitoria)\\n– 2 points (1/2 aux tirs), 2 passes, 1 interception, 1 balle perdue en 9 minutes (victoire 83-78 face à Vitoria)\\n– (victoire 96-85 face à Vitoria)\\n\\nAdrien Moerman (Barcelone) : saison terminée\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : saison terminée\\n\\nEdwin Jackson (Barcelone) : saison terminée\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : saison terminée\\n\\nLanding Sané (Andorre) : saison terminée\\n\\nNicolas De Jong (Saragosse) : saison terminée\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : saison terminée\\n\\nAntoine Diot (Valence) : saison terminée\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAngelo Tsagarakis (Kymis) : saison terminée\\n\\nKim Tillie (Olympiakos) : blessé pour la fin de saison\\n\\nBoris Dallo (Panionios) : saison terminée\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : saison terminée\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Milan) : saison terminée\\n\\nNobel Boungou-colo (Turin) : saison terminée\\n\\nYakhouba Diawara (Pistoia) : saison terminée\\n\\n\\nLituanie\\n\\nAxel Toupane (Kaunas) :\\n\\n– 0 point (0/1 au tir), 1 rebond, 1 passe, 1 balle perdue en 13 minutes (victoire 94-84 face au Lietuvos)\\n– 7 points (2/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 balle perdue en 17 minutes (défaite 82-73 face au Lietuvos)\\n– 8 points (3/3 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 3 balles perdues en 14 minutes (victoire 90-80 face au Lietuvos)\\n– 8 points (3/4 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 18 minutes (victoire 82-78 face au Lietuvos)\\n– 5 points (2/4 aux tirs), 2 rebonds en 17 minutes (victoire 80-70 face au Lietuvos)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : saison terminée\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA) : saison terminée – champion\\n\\nLeo Westermann (CSKA) : blessé\\n\\n\\nSerbie\\n\\nMathias Lessort (Etoile Rouge) : n’a pas joué (victoire 97-88 face à FMP)\\n\\nBandja Sy (Partizan) : saison terminée\\n\\n\\nTurquie\\n\\nMoustapha Fall (Sakarya) : saison terminée\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : De Colo et Westermann sacrés en Russie !"
}, 
{"role": "user",     "content":"Du marché noir pour Le Mans-Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Mans Sarthe Basket bat cette saison tout ses records d’affluences avec notamment un neuvième guichets fermés ce soir pour l’Episode 4 de la finale MSB-Monaco.\\n\\nIl est toujours difficile de savoir combien le club aurait pu vendre de places, sans doute au moins le double, soit 12 000. Dans l’édition du jour du quotidien Le Maine Libre, qui a fait évidemment sa Une sur l’évènement, le Directeur de la Communication et du Marketing du club, Eric Magnetto, indique qu’après la victoire lors de l’Episode 2 à Monaco, un millier de personnes était en attente sur le site avant même que la billetterie ne soit ouverte.\\n\\nDes places sont encore en vente.... sur des sites internet à des prix prohibitifs.\\n\\n« C’est une minorité, mais nous avons appelé les gens qui ont mis des annonces en leur disant que c’était une pratique illégale. Nous les avons mis en garde »."
}, 
{"role": "user",     "content":"Antoine Eito (Le Mans): «On a entendu qu’on ne serait pas capable de battre trois fois d’affilée Monaco, donc on va essayer de le faire»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A quelques heures de l’Episode 4 de la finale de la Jeep Elite, Le Mans-Monaco, le meneur du MSB Antoine Eito a fait un point complet de la situation. Son éclairage est toujours très intéressant.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show\\n\\nVous êtes à un match du titre. Est-ce plus difficile que de jouer un match normal ?\\n\\nNon, je ne pense pas. On ne le prend pas comme ça. On se dit que l’on a deux balles de match. La dernière fois on a pensé « il ne faut pas retourner à Strasbourg », on s’est pris les pieds dans le tapis et on est retourné à Strasbourg. Le niveau des deux équipes est trop proches pour se dire que l’on va gagner à domicile avec le public. En plus, je suis superstitieux et je ne ferai pas deux fois la même connerie. On est prudent et on va prendre minute par minute, quart temps par quart temps et on verra bien ce qui se passera, en contrôlant ce que l’on peut contrôler.\\n\\nPhysiquement, vous êtes comment ?\\n\\nFatigué ! Mais on est tous fatigué, ils ont 65 matches dans les guiboles cette année avec la coupe d’Europe que l’on n’a pas eu. Ça joue aussi. Fatigué mentalement plus que physiquement. Cette finale est assez intense et assez rugueuse. Il y aura toujours du répondant car il y a de la fierté dans chacun d’entre-nous mais c’est surtout mentalement que c’est dur d’enchaîner, de se dire « ok !, on a gagné, c’est bien mais ça ne veut rien dire car on n’a pas gagné la série. T’en perds un, ce n’est pas grave, il faut prendre le prochain pour rester en vie. » Et j’ai envie de dire que pour nos coaches c’est encore plus dur mentalement car ils sont en plus devant la vidéo. Nous, on nous dit juste de faire « ça, ça, ça », ok, on fait nos siestes et on vient aux matches. C’est éprouvant pour tout le monde, tout un club. Ce qui est sûr c’est que l’on va tout donner demain (aujourd’hui) à domicile, encore plus que d’habitude.\\n\\nC’est donc important d’avoir le public avec soi ?\\n\\nOui, qu’il nous pousse un peu, qu’il nous donne de l’adrénaline. La différence chez notre public vis-à-vis de la saison régulière, c’est que lorsqu’on a des trous, je n’ai pas entendu de sifflets. J’ai déjà entendu ça à Antarès depuis que je joue ici : tu fais deux, trois pertes de balle d’affilée, tu prends un écart de douze points et tu te fais siffler. Là, en début de match, on ne les a pas entendus. C’est très, très intéressant et positif pour nous parce qu’on sait que si on fait un ou deux stops et si on met deux ou trois paniers, derrière ils vont continuer à nous suivre.\\n\\n« Je me dis que j’ai la chance de faire ça, je ne fais pas les 3/8, 6h/13h, 14h/20h pour un SMIC. Il faut apprécier »\\n\\nC’est un vrai avantage vis-à-vis de Monaco où ce n’est pas une véritable ambiance de playoffs ?\\n\\nOui ! Monaco, c’est une place spéciale de notre Jeep Elite. J’entendais Amara (Sy) le dire : c’est un club qui est jeune malgré son passé, qui explose tout depuis quatre ou cinq ans. Avoir de l’engouement, un public comme ça, ça ne se fait pas sur quatre ou cinq ans. La ferveur est peut-être plus au foot à Monaco, je ne sais pas. Ici, le MSB ça fait 25 ans, 30 ans, 40 ans (NDLR : Le SCM/MSB est en première division depuis 1962). Ils sont plus connaisseurs que d’autres fans en France et ils se rendent compte qu’il y a quelque chose à faire et donc qu’il faut pousser. Et nous, on est demandeurs. J’essaye de faire ce qu’il faut pour rameuter. Le club fait aussi du bon boulot pour rameuter le maximum de personnes. C’est cliché mais c’est important.\\n\\nVous êtes un joueur qui aime ça, jouer avec une montée d’adrénaline dans de grands matches ?\\n\\nOui. C’est beau. Tu commences le match dans le cinq majeur ou sur le côté et tu regardes autour. Je fais ça en playoffs. Je me dis que j’ai la chance de faire ça, je ne fais pas les 3/8, 6h/13h, 14h/20h pour un SMIC. Il faut apprécier. J’ai trente ans et j’ai sans cesse envie de prouver. Tant que j’aurai ça, je continuerai à jouer au basket. Je ne sais pas quelle est la chose qui peut me driver plus que ça. C’est comme ça que je fonctionne, que j’ai été éduqué. Tant mieux. Et avec un public comme ça, ça aide.\\n\\nAvez-vous un avantage à exploiter quand on voit à quel point Monaco se plaint de l’arbitrage ?\\n\\nC’est aussi un jeu de poker menteur. Ils jouent leur partition. Je ne crois pas que ça vienne des joueurs. C’est plus une stratégie du staff, du coach, je n’en sais rien. Nous, on s’en fout. On focalise sur nous. Ils ont joué et gagné assez de matches pour savoir comment battre les autres équipes. On a entendu qu’on ne serait pas capable de battre trois fois d’affilée Monaco, donc on va essayer de le faire.\\n\\nCe genre de remarque vous avez aidé contre Strasbourg ?\\n\\nNon... (sourire). Si, ça aide. Bien sûr que l’on veut être champion, terminer la série, mais au bout du bout du bout, on verra ce qui va se passer. Nous, on ne lâchera rien. Si on est champion, c’est fantastique, si on n’y est pas, ça ne sera pas en ne s’arrachant pas. On pourra se regarder dans le miroir. La vérité, c’est que l’on ne joue pas à armes égales avec Monaco comme avec Strasbourg et l’ASVEL.\\n\\nLors de l’Episode 3, seulement sept joueurs de Monaco ont beaucoup joué ?\\n\\nC’est un choix de coach. Eric (Bartecheky) s’est aussi appuyé sur deux ou trois joueurs toute l’année avec trois, quatre autres joueurs qui se sont beaucoup sacrifiés. Aujourd’hui, ils ont douze joueurs, onze puisque (Yakuba) Ouattara n’est peut-être pas apte. Nous, on a Pape (Amagou) qui est embêté, Terry (Tarpey) qui n’est pas là. On est neuf et on a joué à huit le match d’avant ou Yannis (Morin) n’a pas joué. Hier, on joue à neuf avec Will (Yeguete) qui joue sept minutes.\\n\\nLorsque Terry Tarpey s’est blessé, vous avez eu l’impression que ça pouvait basculer du mauvais côté ?\\n\\nOui, c’est vraiment un joueur très important de notre équipe. Il amène de la densité physique, de la défense et du rebond sur les postes extérieurs. Aujourd’hui, en terme d’impact défensif sur les postes 1, 2, 3, je vais en mettre, DJ (Stephens) un petit peu dans les airs et en suivant les mecs, mais après on a des mecs qui font des efforts. Ce ne sont pas des défenseurs, (Chris) Lofton, Justin (Cobbs), Mykal (Riley) mais ils font ce qu’il faut pour faire chier les mecs en face en parlant crûment. Ce n’est pas insulter Chris en disant que ce n’est pas un défenseur (rires) mais par contre il met son corps en opposition, il fait des efforts alors qu’il a une mobylette, (Gerald) Robinson, en face de lui. On a essayé de compenser Terry et depuis le début des playoffs, on a une équipe déséquilibrée avec cinq intérieurs et quatre extérieurs sachant que Pape ne joue pas. Donc ça a été dommageable mais on a réussi à faire ce qu’il fallait. Tous. Je parle des joueurs mais des coaches aussi.\\n\\nAprès la saison à Orléans, vous vous attendiez à vivre une telle saison avec Le Mans ?\\n\\nIl y a un an jour pour jour, j’étais déjà en vacances depuis un mois et demi (rires). Non, je ne m’y attendais pas. Je m’attendais à ce qu’il y ait une bonne saison, que l’on relance le truc. On a pris conscience qu’on pouvait le faire au deuxième match de playoffs à l’ASVEL sans Romeo (Travis). Que sans pression on pouvait avancer.\\n\\nL’alchimie a quand même pris assez vite en début de saison (le MSB a gagné ses six premiers matches) ?\\n\\nOui, c’était bien. Pape se blesse, 6-1. Derrière de 8 victoires et 2 défaites, on passe à 8 victoires et 5 défaites. On a dû se réadapter, Chris est revenu. On avait un effectif avec Pape qui apportait cette intensité défensive même s’il pouvait aussi mettre des paniers. Il était dans le short des mecs. Chris arrive, il a besoin du ballon. On avait à ce moment-là Mykal qui était top scoreur avec Justin. Ça a ajouté un autre scoreur, ça a déséquilibré un peu l’équipe. Il a fallu le temps de s’adapter, d’où le fait que l’on a perdu quelques matches. Pour repartir encore mieux. On a joué ensuite avec la blessure (à la cheville) de Chris et quand Chris est revenu, Terry est tombé. C’est comme ça les effectifs à neuf joueurs quand tu ne joues pas de Coupe d’Europe. On a quatre joueurs qui ont fait 34 matches (NDLR : cinq en fait. Justin Cobbs, Mykal Riley, Romeo Travis, Youssoupha Fall et Antoine Eito). Youssoupha a tenu.\\n\\n« Justin (Cobbs), on en parle peu mais pour l’avoir côtoyé à mon poste pendant un an, je peux vous dire que c’est un sacré phénomène »\\n\\nQuel rôle ont Terry Tarpey et Pape-Philippe Amagou dans le groupe ?\\n\\nIls font le déplacement avec nous. On a pensé à un moment donné pouvoir récupérer Terry pour la fin des playoffs. C’est un peu juste. Pape est lui toujours enquiquiné par son dos mais il a une importance capitale dans le succès de notre équipe. Il est là tous les jours, il discute avec tout le monde, les coaches s’appuient aussi un peu sur lui car il a ce recul que nous joueurs, on ne peut pas avoir dans le feu de l’action. Toi, joueur, tu veux toujours jouer plus et tu es frustré même si tu gagnes. Durant le match, tu t’énerves parce que tu n’as pas envie de sortir. J’en parle en connaissance de cause. Si tu n’as pas ça, tu n’es pas sportif de haut niveau. Pape a ce recul-là et c’est pour ça qu’il est très utile. Il sait quand il faut parler à chacun ou pas. Il est capital dans l’équipe et quand il s’est blessé, on a senti tout de suite qu’il a manqué un truc. Ce n’est pas quelqu’un de vocal mais il a le respect des anciens.\\n\\nOn sait qu’il y a beaucoup de turnovers dans les équipes mais aimeriez-vous repartir la saison prochaine avec les mêmes équipiers ?\\n\\nJe pense que l’on aura un ou deux joueurs qui ne seront plus accessibles financièrement, même en France. Je pense à Justin. On en parle peu mais pour l’avoir côtoyé à mon poste pendant un an, je peux vous dire que c’est un sacré phénomène. Si en plus il est dans une équipe compétitive et qu’il se bouge un peu plus à l’entraînement, ça peut donner quelque chose de vraiment fantastique. Il est en cannes, on croit qu’il ne peut pas shooter à trois-points mais il peut en mettre un peu. Il a encore à progresser mais c’est costaud ce qu’il fait. Et surtout sn état d’esprit a changé au fur et à mesure de l’année. Ce n’est pas le Justin de Gravelines. Donc, du turnover, je ne sais pas ce que le club veut faire. Mais on a beaucoup de joueurs sous contrat dont un qui n’est pas avec nous en playoffs, Peter Cornelie. Si on prend le titre en plus, c’est vrai que ça serait cool de pouvoir garder le maximum d’éléments et d’en greffer deux, trois. Mais ce qu’il faut comprendre, c’est que ce n’est pas que la volonté du club. Chris (Lofton), c’est un des meilleurs shooteurs d’Eurocup de tous les temps, ça place un bonhomme. Il a eu des hauts et des bas cette année mais les playoffs qu’il fait sont assez fantastiques. C’est le coach qui décide aussi. Cette année, il n’a pas fait son équipe à 100% sachant que Terry, Yous, Pape et moi étions là. Will aussi mais il l’avait déjà côtoyé (NDLR : à Pau). Mais, oui, en effet, ça serait logique et une bonne idée. Chalon n’a pas pu garder ses trois meilleurs joueurs et cette année ça a été un peu compliqué. Mais c’est indépendant de notre volonté. Youssoupha Fall a une valeur qui est différente cette année par rapport à l’année dernière où il était en Pro B.\\n\\n[armelse]\\n\\nVous êtes à un match du titre. Est-ce plus difficile que de jouer un match normal ?\\n\\nNon, je ne pense pas. On ne le prend pas comme ça. On se dit que l’on a deux balles de match. La dernière fois on a pensé « il ne faut pas retourner à Strasbourg », on s’est pris les pieds dans le tapis et on est retourné à Strasbourg. Le niveau des deux équipes est trop proches pour se dire que l’on va gagner à domicile avec le public. En plus, je suis superstitieux et je ne ferai pas deux fois la même connerie. On est prudent et on va prendre minute par minute, quart temps par quart temps et on verra bien ce qui se passera, en contrôlant ce que l’on peut contrôler.\\n\\nPhysiquement, vous êtes comment ?\\n\\nFatigué ! Mais on est tous fatigué, ils ont 65 matches dans les guiboles cette année avec la coupe d’Europe que l’on n’a pas eu. Ça joue aussi. Fatigué mentalement plus que physiquement. Cette finale est assez intense et assez rugueuse. Il y aura toujours du répondant car il y a de la fierté dans chacun d’entre-nous mais c’est surtout mentalement que c’est dur d’enchaîner, de se dire « ok !, on a gagné, c’est bien mais ça ne veut rien dire car on n’a pas gagné la série. T’en perds un, ce n’est pas grave, il faut prendre le prochain pour rester en vie. » Et j’ai envie de dire que pour nos coaches c’est encore plus dur mentalement car ils sont en plus devant la vidéo. Nous, on nous dit juste de faire « ça, ça, ça », ok, on fait nos siestes et on vient aux matches. C’est éprouvant pour tout le monde, tout un club. Ce qui est sûr c’est que l’on va tout donner demain (aujourd’hui) à domicile, encore plus que d’habitude.\\n\\nC’est donc important d’avoir le public avec soi ?\\n\\nOui, qu’il nous pousse un peu, qu’il nous donne de l’adrénaline. La différence chez notre public vis-à-vis de la saison régulière, c’est que lorsqu’on a des trous, je n’ai pas entendu de sifflets. J’ai déjà entendu ça à Antarès depuis que je joue ici : tu fais deux, trois pertes de balle d’affilée, tu prends un écart de douze points et tu te fais siffler. Là, en début de match, on ne les a pas entendus.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Hervé Bellenger/LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Dijon: Le club de handball féminin entre sous la coupe de la JDA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un objectif majeur de mutualisation et dans la continuité du rachat du Cercle Dijon Bourgogne dont l’équipe Une opère en Ligue Féminine de hand, par la JDA Dijon Basket en février dernier, la SAS CDB continue sa mutation et devient la JDA Dijon Handball.\\n\\nLors du Comité de Direction de ce mardi 19 juin, les dirigeants de la SAS Cercle Dijon Bourgogne ont adopté le changement de nom du club de handball féminin dijonnais en « JDA Dijon Handball ». Cette évolution, qui devra être entérinée lors d’une Assemblée Générale qui se tiendra le 5 juillet prochain, intervient dans un processus novateur de mutualisation initié en début d’année et qui regroupe à présent un club de basket masculin et un club de handball féminin. Une page se tourne et une nouvelle histoire s’écrit pour les deux clubs, qui entrent dans une nouvelle ère, afin de se donner d’avantage de moyen comme l’explique le Président Thierry Degorce :\\n\\n« La mutualisation c’est avant tout deux structures juridiques autonomes qui travaillent main dans la main, en s’appuyant sur des personnes de compétences et permettant de se donner davantage de moyens, que ce soit administrativement ou sportivement et dans l’optique de rester au plus haut niveau. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie : Ahmet Caki va remplacer David Blatt sur le banc du Darussafaka"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison sans coacher, Ahmet Caki (42 ans) va revenir aux affaires, en Turquie, sur le banc du Darussafaka Dogus Istanbul.\\n\\nSuite au départ de David Blatt après deux ans, le club stambouliote était à la recherche de son nouveau tacticien. Selon Sportando, le deal aurait été trouvé et l’annonce officielle devrait intervenir dans très peu de temps.\\n\\nLe technicien turc est d’ailleurs déjà passé par Darussafaka en tant qu’assistant entre 1997 et 2004. Il a ensuite pris la tête de l’équipe de 2004 à 2006. Il est également passé par Tofas Bursa, l’Anadolu Efes et donc l’ALBA Berlin notamment.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eric Bartecheky (Le Mans): «On n’a pas tous les ans la possibilité de jouer un match qui peut nous amener au titre»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Hier en fin d’après-midi, c’était la veillée d’arme à Antarès avant l’Episode 4 de la finale de la Jeep Elite entre Le Mans et Monaco (20h45 sur SFR Sport 2). Le coach du MSB Eric Bartecheky a fait le point.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nSur les blessures de Justin Cobbs (cuisse) et Romeo Travis (cheville) :\\n\\n« Ça s’est passé hier (lundi) donc ils ont encore quelques douleurs. J’espère que demain (aujourd’hui), ils seront en pleine possession de leurs moyens pour disputer la rencontre. Ce sont les aléas que l’on peut difficilement contrôler. La seule chose à faire, c’est qu’ils fassent les soins, qu’ils passent entre les mains des médecins et du kiné, qu’ils se reposent, en espérant que demain ils soient opérationnels. »\\n\\nSur la blessure de Terry Tarpey (genou) arrêté depuis la mi-avril :\\n\\n« Ça va mieux. Forcément il ne pourra pas jouer. Ça a bien évolué tout au long des mois et je pense qu’il sera vraiment opérationnel pour la saison prochaine. »\\n\\nSur le fait que Monaco se plaint depuis le début des playoffs de l’arbitrage :\\n\\n« Ce que je vois c’est que certes il y a de l’agressivité de la part de Monaco mais il y a des fautes et des fautes qui ne sont pas sifflées non plus. Ils sont à 26 de données en moyenne sur la saison et c’est une donnée qui parle d’elle-même. Ils ne se sont pas plaints auprès des arbitres après le match gagné ! Nous, ce que l’on doit garder, c’est de l’agressivité pour ne pas reculer. Ne pas perdre de ballon. On prend 23 points dans le premier quart-temps avec 7 balles perdues. Il y a 8-10 points de donnés rien que sur de la course. Ils sont très agressifs sur les premières intentions pour pouvoir piquer des ballons et courir et il faut surtout ne pas leur donner ça. Il faut être agressif pour provoquer des fautes. Surtout ne pas être sur le recul. »\\n\\nSur le fait que Paul Lacombe et Gerald Robinson n’arrivent pas à s’exprimer fait-il partie de leur plan :\\n\\n« Pas forcément. Et justement les joueurs que l’on n’a pas trop vu là peuvent l’être demain (aujourd’hui). On est bien placé pour le savoir puisqu’on est aussi une équipe qui s’est retrouvée dos au mur. Il y a des joueurs qui sont sortis de la boîte à qui on ne pensait pas forcément. Ça peut être le même cas chez eux. Monaco est énormément armé avec beaucoup de joueurs de talent et d’expérience. On peut s’attendre à ce genre de scénario. C’est à nous après de faire en sorte de rester défensivement solide. On peut encore mieux faire. »\\n\\nSur le fait que Justin Cobbs a été beaucoup plus discret lors de l’Episode 3 alors qu’il avait été bon et régulier jusque-là en playoffs :\\n\\n« Il faut donner du crédit à Aaron Craft et à la défense de Monaco. On va encore travailler ce soir et demain sur la vidéo pour voir s’il y a des choses qui ont été mises en place et qui l’ont perturbé et voir comment les contourner. Il fait de très bons playoffs depuis le début, il joue beaucoup, et peut-être que sur ce match-là il a marqué un peu le coup. Il ne joue que 27 minutes alors qu’il a joué beaucoup plus sur les matches d’avant. J’espère que demain il sera plus performant. On essaye aussi de préparer des choses sur des joueurs comme (Elmedin) Kikanovic qui est à 20 points de moyenne sur la finale, (DJ) Cooper c’est 10 points et 10 passes décisives. Ce sont des joueuses qui ont un gros impact, ce n’est déjà pas facile de les limiter, alors s’il y a d’autres joueurs qui vont devenir performants, ça va être compliqué. »\\n\\nSur l’ambiance dans la salle :\\n\\n« J’espère que demain ça aura le même effet et même plus et que ça nous aidera à surpasser la fatigue qui peut exister du fait de la répétition des matches et que ça nous aide à tout donner. On n’a pas tous les ans la possibilité de jouer un match qui peut nous amener au titre. Il y a eu neuf guichets fermés cette année, les gens ont pris du plaisir à venir à la salle, ça a poussé. Au-delà des résultats, de la finale, de la gagner ou de la perdre, c’est une grosse satisfaction. Quand on est dans un club, c’est ce que l’on souhaite, qu’il y ait des salles pleines, de l’engouement, que des gens prennent du plaisir, que ça pousse, etc. Au Havre, j’ai connu quelques salles pleines mais c’était 3 000 personnes. A Pau, oui, avec le clasico même si ce n’était pas tout à fait comme il y a vingt ans. Mais là, franchement, c’est beau. »\\n\\nSur le fait que ses cadres, sinon Youssoupha Fall, sont très expérimentées :\\n\\n« C’est sûr que d’avoir des joueurs qui ont déjà vécu ce genre de situation, c’est important. On peut parler aussi de joueurs qui ne jouent pas comme Pape (Amagou). Il communique avec les joueurs à l’hôtel, sur le banc, dans les vestiaires. Ces joueurs-là ont connu ces situations (NDLR : Pape-Philippe Amagou a été champion avec Le Mans, Nancy et Limoges). Ils ont une capacité d’analyse qui est immédiate, pertinente. Ils peuvent divulguer des conseils aux plus jeunes. C’est toujours un plus mais en face il y en a aussi beaucoup (sourire). Je sollicite Pape, par exemple pour la vidéo. Quel est ton point de vue ? S’il y a un petit truc à gagner qui vient de son expérience, je le prends. Sans même donner de conseils, sa seule présence peut-être rassure. Bon, ça fait un moment qu’on ne l’utilise plus et ça ne serait pas de bon ton de faire appel à lui à ce moment-là. »\\n\\n[armelse]\\n\\nSur les blessures de Justin Cobbs (cuisse) et Romeo Travis (cheville) :\\n\\n« Ça s’est passé hier (lundi) donc ils ont encore quelques douleurs. J’espère que demain (aujourd’hui), ils seront en pleine possession de leurs moyens pour disputer la rencontre. Ce sont les aléas que l’on peut difficilement contrôler. La seule chose à faire, c’est qu’ils fassent les soins, qu’ils passent entre les mains des médecins et du kiné, qu’ils se reposent, en espérant que demain ils soient opérationnels. »\\n\\nSur la blessure de Terry Tarpey (genou) arrêté depuis la mi-avril :\\n\\n« Ça va mieux. Forcément il ne pourra pas jouer. Ça a bien évolué tout au long des mois et je pense qu’il sera vraiment opérationnel pour la saison prochaine. »\\n\\nSur le fait que Monaco se plaint depuis le début des playoffs de l’arbitrage :\\n\\n« Ce que je vois c’est que certes il y a de l’agressivité de la part de Monaco mais il y a des fautes et des fautes qui ne sont pas sifflées non plus\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: LNB, Hervé Bellenger"
}, 
{"role": "user",     "content":"Russie : Anthony Gill prolonge deux ans au Khimki Moscou"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé en Russie en début de saison pour y vivre sa deuxième saison en tant que professionnel, Anthony Gill (2,03m, 25 ans) a rempilé deux ans avec le Khimki Moscou, annonce le club.\\n\\nAprès une année rookie passée à Yeşilgiresun, en Turquie, l’ancien pensionnaire de l’université de Virginia a attiré les sirènes de l’Euroleague et s’est engagé avec le Khimki pour une saison. Suite à une saison très intéressante, Gill n’a pas tardé à se voir proposer une prolongation de contrat de son club.\\n\\nGeorgios Bartzokas, le coach moscovite s’est félicité de cette prolongation.\\n\\n« La saison dernière, Anthony a prouvé qu’avec son dur travail et son dévouement il fait partie des meilleurs joueurs de l’Euroleague. Nous sommes heureux de le prolonger parce que c’est une personne positive, un bosseur mais aussi il a beaucoup de choses à prouver encore. Dans le même temps, il a beaucoup de choses à améliorer en tant que joueur. Il est jeune et a un long et brillant avenir qui l’attend. »\\n\\nCette saison, Anthony Gill compilait en moyenne 9,6 points, 4,9 rebonds et 1,1 passe décisive pour une évaluation de 12,4 en VTB League, et 11,8 points et 4,5 rebonds pour une évaluation de 13,1 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"FIBA: Faute technique, double-faute, bagarre... De nouvelles règles vont apparaître à partir du 1er octobre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Bureau central de la FIBA a entériné samedi différents changements dans les Règles officielles du basketball. Les modifications visent à rendre le jeu plus spectaculaire et plus fluide.\\n\\nCes changements interviennent après que le ‘Rules Advisory Group (RAG)’ de la FIBA – composé d’experts de la FIBA, de la NBA et de la NCAA – a analysé 32 propositions et a transmis ses recommandations à la Commission technique de la FIBA lors de sa réunion les 6 et 7 juin.\\n\\nLe RAG a mené des discussions en profondeur avec ces organes ainsi qu’avec la Commission des joueurs de la FIBA et l’Association Mondiale des Entraîneurs de Basketball (WABC) avant cette réunion.\\n\\nLa Commission technique de la FIBA a passé en revue les 32 propositions et elle en a approuvé 14 d’entre elles, préparant le terrain pour le feu vert final du Bureau Central.\\n\\nLes changements seront effectifs dès le 1er octobre 2018.\\n\\nVoici une liste non-exhaustive des plus importants :\\n\\nArticle 36 – Faute technique\\n\\nNouvelle règle : si une faute technique est sifflée, 1 lancer franc est accordé. Après ce lancer franc, la balle reviendra en possession de l’équipe qui en avait le contrôle au moment de la faute ou qui devait en hériter au moment du coup de sifflet.\\nRaison du changement : éviter une double sanction après une faute technique et assurer un équilibre entre l’équipe qui avait la balle et celle qui ne l’avait pas. Il était fermement recommandé par la Commission des joueurs et la WABC.\\n\\nArticle 29 – 24 secondes\\n\\nRègle modifiée : 29.2.3 – L’horloge des 24 secondes sera réinitialisée à chaque fois qu’un arbitre arrête le jeu pour une faute ou une violation commise par l’équipe qui avait le contrôle de la balle.\\n\\nDans ces situations, la possession de la balle sera donnée à l’équipe qui ne l’avait pas. Puis :\\n\\n * Si la remise en jeu a lieu en retrait de la ligne du milieu de terrain, l’horloge des 24 secondes sera réinitialisée à 24.\\n * Si la remise en jeu a lieu après le milieu du terrain, l’horloge des 24 secondes sera réinitialisée à 14.\\n\\nS’il reste 2:00 de jeu ou moins dans le quatrième quart-temps et en cas de prolongation, après un temps-mort accordé à l’équipe qui avait la possession de la balle en retrait de la ligne du milieu de terrain, le coach de cette équipe pourra chosir s’il veut que la remise en jeu s’effectue dans la prolongement de la ligne des lancers francs en zone offensive, en face de la table de marque, ou sur le même repère dans la zone défensive.\\n\\nSi la remise en jeu s’effectue dans la prolongement de la ligne des lancers francs en zone offensive, en face de la table de marque, l’horloge des 24 secondes sera réinitialisée comme suit :\\n\\n * Si elle affichait 14 secondes ou plus au moment de l’arrêt de jeu, elle sera réinitialisée à 14.\\n * Si elle affichait 13 secondes ou moins au moment de l’arrêt du jeu, elle ne sera pas réinitialisée et elle reprendra depuis où elle est arrêtée.\\n\\nSi la remise en jeu s’effectue dans la prolongement de la ligne des lancers francs en zone défensive, l’horloge des 24 secondes sera réinitialisée à 24 ou elle continuera depuis où elle en était en fonction des règles mentionnées.\\n\\nRaison du changement : raccourcir le temps à disposition de l’équipe qui a la possession de la balle en zone offensive. Permettre plus d’occasions de tir durant le match.\\n\\nArticle 35 – Double faute\\n\\nNouvelle règle :\\n35.1 Définition\\n35.1.1 Une double faute est une situation dans laquelle 2 adversaires commettent quasi simultanément une faute l’un sur l’autre.\\n35.1.2 Pour considérer 2 fautes comme une double faute, les conditions suivantes doivent être remplies :\\n\\n * Les 2 fautes sont faites par 2 joueurs.\\n * Les 2 fautes impliquent un contact physique.\\n * Les 2 fautes concernent les 2 mêmes joueurs.\\n * Les 2 fautes entraînent une même sanction.\\n\\nRaison du changement : simplifier les règles dans des situations où 2 adversaires commettent quasi simultanément une faute l’un sur l’autre.\\n\\nArticle 39 – Bagarre\\n\\nNouvelle règle : 39.3.1 – Indépendamment du nombre de joueurs sur le banc de touche disqualifiés pour avoir quitté la zone du banc, une seule faute technique (‘B’) sanctionnera le coach. Chaque joueur issu du banc impliqué directement dans une bagarre sera disqualifié conformément aux articles prévus à cet effet (Faute disqualifiante ‘D’).\\nRaison du changement : pénaliser de manière différente les joueurs qui quittent le banc durant une bagarre (selon qu’ils sont impliqués directement dans la bagarre ou non).\\n\\nArticle 46 – Chef d’équipe : Devoirs et pouvoirs/Instant Replay Review\\n\\nNouvelle règle proposée : 46.12\\n\\nAu cours des 2:00 dernières minutes du match :\\n\\n * pour déterminer si un cas de goaltending ou d’interférence a été sifflé correctement.\\n\\nDurant tout le match :\\n\\n * après une faute sifflée sur un joueur lors d’un tir, pour déterminer s’il faut accorder 2 ou 3 lancers francs.\\n * après une faute personnelle antisportive ou disqualifiante, pour s’assurer que celle-ci remplit les conditions nécessaires et pour la réévaluer au besoin.\\n\\nRaison du changement : Ajouter 3 situations de jeu supplémentaires permettant le recours à l’Instant Replay System (IRS).\\n\\nRemise en jeu après une faute antisportive ou disqualifiante\\n\\nNouvelle règle : toutes les remises en jeu conséquentes d’une faute antisportive ou disqualifiante doivent se faire dans le prolongement de la ligne des lancers francs de la zone offensive de l’équipe qui a la balle.\\nRaison du changement : accélerer le jeu, en augmentant le nombre de possessions de balle et possiblement de points marqués. Éliminer des situations de jeu complexes après une remise en jeu depuis le milieu du terrain.\\n\\nCliquez ici pour avoir un aperçu de tous les changements de règles."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Slovène Saso Filipovski sera le coach de Monaco la saison prochaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Consultant sur SFR Sport et chroniqueur sur BasketEurope, Frédéric Weis annonce sur les réseaux sociaux que le Slovène Saso Filipovski sera le coach de l’AS Monaco pour la prochaine saison. Le Monténégrin Zvezdan Mitrovic coache ainsi la Roca Team pour la dernière fois lors de la finale de la Jeep Elite et il est par ailleurs annoncé à Villeurbanne.\\n\\nSaso Filipovski, 43 ans, a commencé comme assistant à Olimpija Ljubljana (Slovénie) avant d’en être le coach principal pour deux saisons. Il a ensuite entraîné Turow Zgorzelec (Pologne) -il a été élu Coach of the Year du championnat polonais en 2007 et 2008- et le Lokomotiv Rostov (Russie) avant de devenir assistant au CSKA Moscou. Il a repris la fonction de head coach au Lottomatica Rome, à Union Olimpija, au Stelmet Enea BC Zielona Gora (Pologne) avant de prendre en mains le club turc de Banvit pour deux saisons.\\n\\nBanvit a terminé 5e de la saison régulière du championnat turc et a été demi-finaliste des playoffs en étant éliminé par Fenerbahçe (0-3). Coïncidence: Banvit a été éliminé par Monaco en quarts-de-finale de la Champions League.\\n\\n\\n\\n\\n@ASMonaco_Basket à un nouveau coach , il s'agit de Sašo Filipovski, en provenance de @BanvitBK .\\n\\n\\n— Fred Weis_ OLY (@Bigfredstyle) June 20, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Zvezdan Mitrovic (Monaco) : «Nous avons des caméras dans les vestiaires et je trouve que c’est un désastre»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dos au mur, l’AS Monaco n’a pas le droit à l’erreur ce mercredi soir face au Mans si elle veut rentrer à sur Le Rocher pour disputer un match 5 dans ces finales de Jeep Elite.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nEn conférence de presse mardi, l’entraîneur monégasque Zvezdan Mitrovic ne s’est pas montré très ouvert. Il a souvent fait preuve d’ironie pour parler des arbitres en sous-entendu. Mais il a tout de même souligné qu’il veut jouer, que son équipe veut jouer, qu’il vont s’adapter à l’arbitrage et que le plus important reste le basket. Ouf.\\n\\nCoach, nous pouvons penser que Monaco sera très concentré dans le match 4 ?\\n\\nBien sûr, nous avons un match 4 à jouer mercredi soir. Nous allons essayer de faire de notre mieux.\\n\\nComment vont les joueurs physiquement ?\\n\\nNous avons eu quelques minutes d’égarement sur les derniers matchs, mais ça va. Je pense que les garçons sont en forme.\\n\\nVous avez un problème face à Youssoupha Fall qui est tellement grand...\\n\\nOui, c’est un gros problème mais nous essayons de faire de notre mieux. Je ne sais pas, peut-être que la règle des trois secondes pourrait nous aider si quelqu’un s’en rappelle. C’est une règle du basket, mais elle n’a été sifflée aucune fois sur les deux derniers matchs des finales alors qu’elle aurait pu l’être de nombreuses fois. Tant pis, c’est comme ça. Fall est un jeune joueur très talentueux et il est vraiment dominant. Un brillant avenir se présente à lui.\\n\\nPouvez-vous nous parler du match 3 où vous avez en grande partie utilisé que sept joueurs ?\\n\\nA partir du moment où nous avons commencé à défendre avec agressivité nous avons eu des problèmes avec les fautes. J’ai donc dû commencer à jouer en fonction de cela pour protéger mes joueurs. Ce n’est pas important. Ils ont shooté 33 lancers et nous 12. Je ne sais pas, nous devons trouver des tactiques pour bien défendre et accorder moins de 20 lancers.\\n\\nPensez-vous que ce ratio fautes/lancers francs n’est pas normal ?\\n\\nOh, je ne sais pas. Ça doit être normal. Je pense que c’est normal. Pas dans un basket normal, mais ici peut-être que si.\\n\\nParlez-nous un peu de Paul Lacombe. Il semble un peu manquer à Monaco dans ces finales?\\n\\nIl se sentait très mal avant le match. Il a des problèmes d’estomac et il n’était pas sûr de pouvoir disputer le match 3. Paul Lacombe et Georgi Joseph n’étaient pas sûrs de pouvoir jouer. Ils voulaient jouer pour l’équipe et je pense qu’ils seront prêts pour le match 4. On doit encore regarder comment réagissent les muscles de Georgi et je pense que Paul sera prêt.\\n\\nA quel point vous manque sa création du jeu ?\\n\\nBeaucoup, forcément. Comme je l’expliquais plus tôt nous avons eu de bons résultats quand il jouait. Nous n’avons pas de joueur qui marque 20 points tous les soirs, nous jouons en équipe. En premier lieu en défense, mais comme je l’ai expliqué plus tôt quelque chose s’est passé en mai et nous ne défendons plus depuis, nous faisons que des fautes. Vous savez nous pouvons parler autant de fois que vous voulez de basket, nous pouvons commenter tout ce que vous voulez, il y a des millions d’exemples. J’ai parlé de la première mi-temps, j’ai dit qu’après le deuxième quart-temps nous avons perdu les pédales. Après ce qui s’est passé sur le terrain. J’ai pu lire dans les journaux – pas ici -, on a pu voir les matchs à la télé, pas celle du club mais avec les commentaires. On comprend très vite qu’est-ce qui se passe ici. C’est comme ça... Ok, demain nous avons un match. Nous devons nous préparer. Je vais essayer de demander à mes joueurs de se donner au maximum et c’est tout. Nous n’avons pas besoin de nous compliquer la chose. Je ne veux pas me plaindre, je veux juste aller à la salle et jouer le match.\\n\\nPouvez-vous nous parler un peu de l’atmosphère dans le vestiaire ?\\n\\nPremièrement, nous avons des caméras dans les vestiaires et je trouve que c’est un désastre. Le vestiaire, c’est privé et il y a des gens qui sont là avec des caméras. Ils peuvent utiliser les images pour des sites porno, je ne sais pas... Deuxièmement, ce qui se passe dans le vestiaire reste dans le vestiaire. C’est l’une des règles d’or dans tous les sports. Mais ok, je fais comme si de rien était. Même si je trouve que ce n’est vraiment pas une bonne chose. Je ne veux pas que le basket devienne une télé réalité, que l’on regarde ça comme une série. Bref, dans le vestiaire il y a beaucoup d’émotions. Dans le match 3, nous étions vraiment mal. A la mi-temps surtout. Ok à la fin nous étions déçus, mais le match était terminé. A la mi-temps nous étions vraiment mal. Mais maintenant ça va. Nous sommes des professionnels, nous avons discuté avec les joueurs. Demain nous voulons juste jouer au basket. C’est le plus important.\\n\\n[armelse]\\n\\nEn conférence de presse mardi, l’entraîneur monégasque Zvezdan Mitrovic ne s’est pas montré très ouvert. Il a souvent fait preuve d’ironie pour parler des arbitres en sous-entendu. Mais il a tout de même souligné qu’il veut jouer, que son équipe veut jouer, qu’il vont s’adapter à l’arbitrage et que le plus important reste le basket. Ouf !\\n\\nCoach, nous pouvons penser que Monaco sera très concentré dans le match 4 ?\\n\\nBien sûr, nous avons un match 4 à jouer mercredi soir. Nous allons essayer de faire de notre mieux.\\n\\nComment vont les joueurs physiquement ?\\n\\nNous avons eu quelques minutes d’égarement sur les derniers matchs, mais ça va. Je pense que les garçons sont en forme.\\n\\nVous avez un problème face à Youssoupha Fall qui est tellement grand...\\n\\nOui, c’est un gros problème mais nous essayons de faire de notre mieux. Je ne sais pas, peut-être que la règle des trois secondes pourrait nous aider si quelqu’un s’en rappelle. C’est une règle du basket, mais elle n’a été sifflée aucune fois sur les deux derniers matchs des finales alors qu’elle aurait pu l’être de nombreuses fois. Tant pis, c’est comme ça. Fall est un jeune joueur très talentueux et il est vraiment dominant. Un brillant avenir se présente à lui.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France U20 féminine: 3/3 contre la République Tchèque"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Equipe de France U20 féminine a remporté à Voiron trois victoires sur la République Tchèque. Les joueuses de Jérôme Fournier sont en préparation pour le Championnat d’Europe qui se déroulera du 7 au 15 juillet à Sopron, en Hongrie.\\n\\nVendredi 15 juin : France – République Tchèque : 59-46\\nSamedi 16 juin : France – République Tchèque : 60-38\\nDimanche 17 juin : France – République Tchèque : 62-48"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le meneur d’Antibes Jerel Blassingame vers Pau"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon une information de La République des Pyrénées, le meneur américain d’Antibes, Jerel Blassingame (1,75m) est proche de signer à Pau-Orthez.\\n\\nNé à Brooklyn, Jarel Blassingame est sorti de l’université de Las Vegas (UNLV). Il a ensuite baroudé à Chypre, en Grèce, en Suède, en Finlande, en Israël, en Ukraine, en Pologne et en Croatie avant d’arriver à Antibes en cours de saison 2016-17.\\n\\nEn 43 matches avec les Sharks, il a assuré 12,3 points (35,5% de réussite à trois-points), 7,2 passes et 12,1 d’évaluation.\\n\\n« Hier, côté palois, Didier Gadou le directeur exécutif était injoignable, de même que Didier Rey le président parti le jour même aux Etats-Unis pour assister à la draft d’Elie Okobo qui se déroule à New York dans la nuit de jeudi à vendredi », précise La République des Pyrénées.\\n\\nSeul point d’interrogation: même si l’Elan Béarnais ne sera pas engagé en coupe d’Europe, Jarel Blassingame, qui va avoir 37 ans à la rentrée prochaine, sera t-il toujours aussi performant?\\n\\nPhoto: Sharks"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Real Madrid sacré champion d’Espagne pour la 34e fois de son histoire"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vainqueur de la série 3-1 face au Baskonia, le Real Madrid avait d’abord perdu le premier match et a finalement inversé la tendance et remporté le championnat d’Espagne.\\n\\nChampion d’Euroleague en titre, la formation madrilène est sacrée championne d’Espagne pour la 34e fois de son histoire. Dans la victoire 96-85 du match 4, Rudy Fernandez a été étincelant. L’ailier du Real a tout simplement réalisé le meilleur match de sa saison avec 27 points (6/9 à 3-pts), 3 rebonds et 5 passes décisives pour une évaluation de 33.\\n\\nPhoto : Real Madrid"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce : l’Olympiakos en contact avec David Blatt"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"David Blatt décidé à quitter le Darussafaka après y avoir passé deux saisons, l’Olympiakos aurait saisi l’occasion pour entrer en contact avec lui.\\n\\nSelon Eurohoops, l’ancien coach des Cleveland Cavaliers discuterait avec le club grec. Alors que la formation grecque a été éliminé en quart de finale de l’Euroleague, s’est incliné en finale du championnat et n’a donc rien remporté cette saison, les dirigeants ont décidé de se séparer de leur entraîneur Giannis Sfairopoulos.\\n\\nDe son côté, le champion d’Euroleague 2014 avec le Maccabi privilégiait d’abord un retour en NBA mais ne semblerait pas attirer les franchises pour l’instant.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Luka Doncic dit au revoir au Real Madrid avec un énorme shoot"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vainqueur du match 4 des finales de Liga Endesa mardi soir, le Real Madrid a été sacré champion d’Espagne aux dépens du Baskonia. Pour son dernier match avec le Real, Luka Doncic a fait le show dans les ultimes minutes.\\n\\nSur le match, le meneur madrilène a compilé 8 points, 8 rebonds et 2 passes décisives et 2 interceptions, mais il a surtout inscrit le shoot de la rencontre. Un incroyable tir à une main à trois points en fin de possession.\\n\\nJeudi, l’international slovène s’envolera vers New York pour assister à la Draft NBA.\\n\\n\\n\\n\\nCanasta de videojuego de @luka7doncic que puede valer un título. Increíble. #PlayoffLigaEndesa pic.twitter.com/hqnKb1tBtn\\n\\n\\n— Basket en Movistar Plus+ (@MovistarBasket) June 19, 2018\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Bria Hartley, une meneuse de WNBA avec l’équipe de France?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La rumeur courait sur les réseaux sociaux spécialisés depuis quelques semaines et elle a été confirmée par L’Equipe: la meneuse américaine du New York Liberty Bria Hartley (1,76m, 25 ans) pourrait rejoindre l’équipe de France à l’occasion de la Coupe du Monde qui va avoir lieu du 22 au 30 septembre en Espagne.\\n\\nCe n’est pas la fédération qui l’a démarchée mais la joueuse qui souhaite intégrer les Bleues. L’Equipe révèle via Jacques Commères, le directeur des équipes de France, que sa mère et sa grand-mère possèdent la nationalité française et que Bria détient le passeport français. Le dossier est en cours de constitution. La fédération américaine a déjà donné son accord et celui de la fédération internationale est en attente.\\n\\nBria Hartley est une sacrée pointure. Elle a été deux fois championne NCAA avec Connecticut (2013 et 2014) et championne du monde U18 (2010) et U19 (2011) avec les Etats-Unis. Elle a même été dans la pré-sélection américaine pour le Mondial de 2014.Actuellement, elle accompli sa cinquième saison en WNBA. Après Washington où elle fut élue dans la All-Rookie Team, Bria est passée au New York Liberty dont elle est la meneuse titulaire. En 9 matches, elle tourne cette saison à 9,2 points (41,4% aux tirs à trois-points), 4,2 points et 2,7 rebonds.La Newyorkaise connait bien l’Europe pour avoir passé une saison à Sopron, en Hongrie, et deux autres en Turquie, au Mersin BBSK. Elle a terminé meilleure marqueuse du championnat turc avec 19,4 points de moyenne plus 4,9 passes décisives. Elle rejoindra la saison prochaine Fenerbahçe dont la coach est... Valérie Garnier, celle de l’équipe de France.Bria Hartley a aussi la particularité d’avoir donné naissance en janvier 2017 à un petit garçon, Bryson Noah.Dans son passé l’équipe de France a déjà pu compter sur deux Américaines d’origine, KB Sharp (une sélection en 2013) et surtout Geraldine Saintilus (12 sélections en 1987) qui, comme Bria Hartley, n’avait jamais porté le maillot d’un club français avant de rejoindre les Bleues.Romane Bernies, Lisa Berkani, Alexis Duchet et Olivia Epoupa sont les quatre meneuses incluses dans la liste des 14 pré-sélectionnées pour la Coupe du Monde."
}, 
{"role": "user",     "content":"Un an après la découverte du Syndrome de Marfan, Jonathan Jeanne serait prêt à reprendre la compétition"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"D’après Sportando, qui a recueilli des informations auprès de son agent Charles Misuraca, le Guadeloupéen Jonathan Jeanne (2,15m, 20 ans) serait prêt à rejouer et explorerait des pistes à l’étranger.\\n\\nJonathan Jeanne, qui venait d’effectuer une saison entre Le Mans et Nancy à qui il avait été prêté, s’est vu diagnostiquer le Syndrome de Marfan par les médecins américains alors qu’il avait de très bonnes chances d’être inclus au premier tour de la draft 2017.\\n\\nSon contrat avec Le Mans Sarthe Basket avait été rompu après la découverte de sa maladie. Le joueur n’a jamais abandonné l’idée de reprendre la compétition même s’il existe un danger mortel.\\n\\nPhoto: FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Amara Sy (Monaco): «Chris Lofton est très difficile à défendre»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans cette finale de Jeep Elite contre Le Mans, Amara Sy (2,02m, 36 ans) est bien loin de ses standards puisqu’il tourne à 2,6 points (4/17 aux shoots) et 3 rebonds. Une crise de confiance qui pourrait avoir gagné la tête des Monégasques. La balance va-t-elle changer demain avec l’Episode 4? En tous les cas, à toutes les questions qui peuvent impliquer de près ou de loin l’arbitrage, c’est motus et bouche cousue.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nVous êtes des compétiteurs, aussi la finale pour vous n’est pas terminée même si vous êtes mené 2 manches à 1 ?\\n\\nJe pense que ni nous ni Le Mans pensons que c’est fini. Il y a encore quarante minutes minimum à jouer. Je pense que les deux équipes vont se donner à fond.\\n\\nDans quelle disposition d’esprit êtes-vous actuellement ? Vous êtes en manque de confiance dans les shoots (Monaco n’a pas rentré hier un seul de ses 12 shoots à trois-points). Ça peut se débloquer d’un coup ?\\n\\nL’adresse, ça vient, ça part. On sait comment ça se passe dans le basket. Il faut que l’on soit plus discipliné, plus concentré pour se donner le maximum de chances de rentrer ses tirs.\\n\\nOn a vu que lorsque vous avez fait zone, Youssoupha Fall a fait un grand chantier dessous. C’est un défi de trouver une solution pour arriver à le contenir ?\\n\\nCe n’est pas le seul. Sur les trois premiers matches, il y a un joueur qui est sorti du lot. Hier c’était Fall comme lors du match 2 avec (Mykal) Riley. C’est une bonne équipe aussi ils ont de fortes individualités. Je ne pense pas que ce soit le souci d’un seul joueur. On a un souci globale, il faut arriver à limiter l’équipe en général.\\n\\nPouvez-vous nous parler de l’atmosphère dans le vestiaire ? On a senti que c’était très tendu notamment le passage du coach en conférence de presse après le match ?\\n\\nJe ne peux pas en parler, ça reste entre nous. Il faut juste se concentrer sur le basket et essayer d’arracher ce match 5. Ça ne sert à rien d’en parler, de nous frustrer. Tout ce que l’on peut faire, c’est donner notre maximum sur le terrain et essayer de gagner ce match. Le reste, on ne peut pas contrôler donc ça sert à rien d’en parler et de rajouter de la frustration pour rien.\\n\\nPour revenir aux joueurs du Mans, comment arrêter Chris Lofton qui donne l’impression de ne pas aller vite mais qui joue sur une sorte de faux-rythme ? Il shoote évidemment excellemment à trois-points mais il parvient aussi à pénétrer. Il est difficile à défendre ?\\n\\nIl est très difficile à défendre. C’est vrai qu’il n’est pas rapide mais il est très intelligent dans le placement. Il a une patte incroyable. C’est compliqué. Il a aussi de l’expérience. On est obligé de le coller pour éviter qu’il allume à trois-points. Forcément, ça lui donne plus de facilités pour pénétrer. En plus, il a un très bon floater. Oui, c’est un joueur qui est très difficile à défendre. On fait ce que l’on peut sur lui mais pour l’instant, on n’a pas encore réussi à trouver la faille.\\n\\nHier, vous avez surtout ciblé Justin Cobbs ?\\n\\nNon. Comme je le disais, on ne peut pas cibler un joueur en particulier car ils ont de fortes individualités à tous les postes. C’est juste qu’hier il (Chris Lofton) était dans un grand soir et, encore plus que d’habitude, il était très difficile de l’arrêter.\\n\\nPour l’instant, personnellement, vous n’êtes pas au niveau de ce que vous aviez montré sur le reste des playoffs. Comment vous sentez-vous ? Avez-vous un problème avec votre poignet ?\\n\\nNon. J’ai juste un manque d’adresse. Physiquement, je me sens très bien. Il faut juste que j’arrive à me débloquer. Je pense que si je joue mieux de mon côté, ça va grandement aider mon équipe. J’en suis conscient. Il faut peut-être mettre moins de pression et que je montre la voie à mes coéquipiers, tout simplement.\\n\\nHier, vous commencez le match parfaitement. Comment se fait-il qu’il a tourné dans le deuxième quart-temps ?\\n\\nJe ne sais pas.\\n\\nA Limoges, vous aviez déjà parlé d’un écart de fautes et de lancers-francs...\\n\\nJe ne sais pas. Je ne sais pas.\\n\\nVous aviez un effectif à rallonge durant la saison et là ça s’est beaucoup resserré. Vous jouez véritablement à sept. Est-ce que ça pose un problème en terme de fatigue ?\\n\\nPour mon cas personnel, je dirais que non. Pour les autres, faudrait peut-être leur demander. Mais avec notre équipe ça peut changer avec chaque match. Hier, il n’y a pas eu beaucoup de rotation. Demain, il peut y en avoir énormément. Ce sont les décisions du coach. Nous, on est juste là pour essayer d’exécuter au mieux. Je ne peux pas vous dire comment demain ça va se passer. Il n’y a que le coach qui pourra répondre.\\n\\n[armelse]\\n\\nVous êtes des compétiteurs, aussi la finale pour vous n’est pas terminée même si vous êtes mené 2 manches à 1 ?\\n\\nJe pense que ni nous ni Le Mans pensons que c’est fini. Il y a encore quarante minutes minimum à jouer. Je pense que les deux équipes vont se donner à fond.\\n\\nDans quelle disposition d’esprit êtes-vous actuellement ? Vous êtes en manque de confiance dans les shoots (Monaco n’a pas rentré hier un seul de ses 12 shoots à trois-points). Ça peut se débloquer d’un coup ?\\n\\nL’adresse, ça vient, ça part. On sait comment ça se passe dans le basket. Il faut que l’on soit plus discipliné, plus concentré pour se donner le maximum de chances de rentrer ses tirs.\\n\\nOn a vu que lorsque vous avez fait zone, Youssoupha Fall a fait un grand chantier dessous. C’est un défi de trouver une solution pour arriver à le contenir ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"A peine promu en première division turque, Ankara va disputer l’Eurocup la saison prochaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vainqueur de la TBL – l’équivalent de la Pro B française -, le Turk Telekom Ankara va disputer l’Eurocup dès la saison prochaine, annonce la compétition.\\n\\nRelégué en deuxième division turque à l’issue de l’exercice 2015/16, le club de la capitale turque vient de remporter le championnat et retrouvera donc la TBL à la rentrée. A titre de comparaison, c’est comme si l’ADA Blois disputait la C2 dès la saison prochaine. Néanmoins, le Turk Telekom Ankara reste un club historique de l’élite turque. Division dans laquelle il évoluait depuis la saison 1991/92 avant de redescendre.\\n\\nAutre décision étrange de la part de l’Eurocup, l’Asseco Gdynia. Ce club polonais a terminé la saison à la dixième place du classement de première division (17v-15d) et évoluera en C2 à la rentrée."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans: A 40 minutes du drapeau à damiers"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Mans mène la finale deux manches à une après sa victoire hier soir sur Monaco, 84-72. Solidaire, jamais en panique, capable de faire ressortir différentes individualités à tour de rôle comme Chris Lofton (34 points) pour cette Episode 3, poussé par un public qui n’a jamais été aussi avide de sensations fortes, le MSB est à 40 minutes d’un cinquième titre national. Mais les Monégasques sont vexés, très vexés...\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nChris Lofton, l’assassin silencieux\\n\\nQu’il échoue ou qu’il marque, un peu, beaucoup ou comme hier soir énormément, Chris Lofton demeure impassible. Apparemment sans émotion. Ce qui est certain, c’est que ce n’est pas un fanfaron. Il a empilé 34 points avec une réussite frôlant l’insolence (11/16 aux tirs) au nez de la défense la plus agressive de la Jeep Elite, mais l’Américain conserve dans ses propos un certain détachement. On l’a quand même vu gratifier l’auditoire d’un sourire radieux.\\n\\n« Je suis quelqu’un de calme. C’est ma façon d’être. Je joue depuis neuf ans en Europe et c’est la façon dont je joue. Je ne m’extériorise pas plus que ça. »\\n\\nChris Lofton, 1,88m, 32 ans, Shooting guard, en insistant sur le S majuscule, a mis les huit premiers points du Mans. Il a fallu attendre la 10e minute pour qu’un autre Manceau, Youssoupha Fall inscrive un point, un lancer, et la 12e pour qu’un troisième, Antoine Eito, marque un panier. Dans le premier quart-temps, balloté par la défense de Monaco, privé un temps de son meneur Justin Cobbs, jusque-là insubmersible mais qui était obligé d’aller retrouver de l’oxygène sur banc, le MSB a évité la noyade grâce à son assassin silencieux.\\n\\n« Pour moi il n’y a pas de challenge personnel, gagner est la chose principale. Tant que l’on gagne, je suis heureux, que je marque 2 ou 34 points. C’est avant tout un travail d’équipe, c’est ça qui est important. C’est chacun son tour. A chaque match il y a quelqu’un qui se met en valeur. Mes coéquipiers ont su me trouver, ils m’ont donné le bon feeling. Ce soir c’était mon soir. »\\n\\nChris Lofton dit s’inspirer de Steph Curry, Ray Allen, Klay Thompson ou encore Reggie Miller, les plus grands shooteurs de l’histoire contemporaine de la NBA. Il ne se souvient pas instantanément du shoot le plus marquant qu’il a jamais marqué avant de se rappeler que c’était avec son université de Tennessee au tournoi final NCAA mais nous, on a surtout en tête son fabuleux exploit du 25 avril 2009 avec Mersin contre Ankara dans le championnat national turc : 61 points avec un surnaturel 17/22 à trois-points.\\n\\nLe MSB l’avait déjà fait venir dans la Sarthe il y a deux saisons et lui a demandé de remettre le maillot du club comme pigiste médical de Pape-Philippe Amagou. Après de brillants débuts, l’Américain a connu une longue traversée du désert à cause d’une entorse à la cheville qui tardait à guérir.\\n\\n« Il a eu une période où il était dans le doute par rapport à sa cheville. Ca a duré », confirme son coach Eric Bartecheky. « Depuis un bon moment, il a retrouvé la pleine possession de ses moyens et là il est au sommet de son art. Entre le match à Strasbourg et celui-là, c’est forcément une aide énorme pour l’équipe. »\\n\\nChris Lofton est peu athlétique, peu physique mais outre un bras exceptionnel, il possède un solide QI basket. C’est un faux-lent qui peut prendre en drive une défense à revers. Ce n’est pas non plus une passoire en défense et hier soir il a fait preuve d’endurance jouant près de 35 minutes.\\n\\n« Une performante parfaite. Excellent shooteur. Il a commencé et terminé le match avec des trois-points. Il a fait un super match, c’est un incroyable shooteur », a bougonné Zvzedan Mitrovic, le coach monégasque.\\n\\nChris Lofton a conclu le match par un dernier trois-points comme à l’échauffement. On aimerait le voir se mesurer à Heiko Schaffartzik au concours de trois-points du All-Star Game de la LNB.\\n\\nRomeo Travis et Georgi Joseph\\n\\nUne équipe, une vraie\\n\\n« On a très mal entamé le premier quart-temps en prenant 23 points. Je crois que l’on perd 7 ballons. On est à 8 à la mi-temps et donc on n’ en perd qu’un dans le deuxième quart-temps. Ces pertes de balle leur donnent beaucoup de jeu rapide. Des erreurs aussi en défense demi-terrain qui font que l’on a une difficulté à attaquer. On rectifie dans le deuxième quart-temps avec un 29 à 12 mais c’est vrai que Chris a été très important pour trouver des solutions », commente Eric Bartecheky.\\n\\nOn ne donnait pas cher de la peau des Manceaux après dix minutes tant ils suffoquaient face à la défense oppressante de la Roca Team. C’est un match où son joueur le plus régulier, le meneur Justin Cobbs a loupé ses cinq tentatives et marqué un seul point, où ses cadres Mykal Riley, MVP de l’Episode 2, et Youssoupha Fall son géant, n’étaient respectivement qu’à deux et un point à la mi-temps.\\n\\n« Ça a été Riley sur le match d’avant. Il y a eu Romeo (Travis) sur la série. On ne sait jamais qui va sortir. Ce qui est important, c’est que l’on garde un esprit défensif pour faire des efforts, être dans le sacrifice. J’ai envie de parler de Yannis Morin qui ne joue que 6’32 mais ce qu’il donne en terme d’investissement défensif, ses minutes sont aussi importantes pour l’équipe. On a besoin de tout le monde dans tous les domaines. Je dois m’attacher que défensivement on fasse tous des efforts, que l’on s’entraide, qu’il y ait du sacrifice. Il faut que l’on arrive à stopper cette équipe, ce qui n’est pas simple, elle est agressive, elle a beaucoup de talent. C’est très important de les stopper et après il faut aussi trouver des solutions en attaque, que ce soit en homme à homme ou contre la zone. »\\n\\nOn l’a deviné en saison régulière, on en a la confirmation depuis le deuxième match de quart-de-finale contre Villeurbanne, le MSB est une équipe, une vraie. Solidaire, complémentaire. Et depuis la belle contre cette même ASVEL, elle a droit à un public de supporters. Sinon peut-être quelque fois à la Rotonde dans les années soixante-dix, jamais les spectateurs manceaux souvent moqués pour leur passivité n’ont été aussi enthousiastes. Presque tous en tango, munis de clap-banners (c’est l’appellation contrôlée), ils ont fait un sacré boucan, réalisé une sorte de tifo géant, sifflé les Monégasques, répondu aux injonctions de l’animateur, crié « Allez Le Mans ! ». Les jeunes comme les vieux, les Félins comme les quidams. Personne est capable d’expliquer cette métamorphose mais ce qui est certain, c’est qu’on ne pourra plus dire que Antarès est une glacière.\\n\\nLe MSB serait-il revenu dans le deuxième quart-temps sans un tel appui ? Pas certain. L’ardoise a été rapidement effacée. Avec un Chris Lofton déjà à 21 points -sur les 39 de son équipe-, le MSB était devant après 20’ (39-35) et n’a plus lâché sa proie.\\n\\nKikanovic-Fall, duel au sommet\\n\\nElmedin Kikanovic n’est évidemment pas aussi spectaculaire que Chris Lofton mais il a réussi lui-aussi une prestation de haute volée qui mérite une mention.\\n\\nAprès un quart-temps, le pivot Bosnien, un attaquant racé de 2,11m, avait inscrit 13 points et conclue l’avance de treize points de son équipe sur un rebond offensif. Il avait enfilé sa panoplie de Superman et n’avait pas été inquiété par Youssoupha Fall à qui il rend dix bons centimètres. Plus encore que ses pénétrations, Kikanovic est impérial en tête de raquette, là où le Franco-Sénégalais ne va pas le chercher.\\n\\nDans le money time, et alors que Fall avait retrouvé de sa superbe, on a eu droit à un mano a mano. Les shoots au poste d’un côté, les paniers à bout portant de l’autre. Et si le Monégasque présente au final une évaluation qui est le double (24-12) de son rival manceau, il a manqué considérablement d’aide extérieure pour offrir la victoire à ses équipiers.\\n\\nAaron Craft\\n\\nLes Bad Boys de Monaco\\n\\nLes Monégasques sont devenus paranoïaques.\\n\\nLe très impulsif coach Mitrovic était vexé car lorsqu’il s’est présenté en conférence de presse, la place était déjà prise par Chris Lofton. Il a fait demi-tour avant de revenir. Le Monténégrin a fait remarquer que la procédure veut que ce soit les vaincus qui aient la parole en premier. Mais on attend toujours qu’un joueur de la Roca Team vienne fournir des commentaires aux médias. Ils ont eu ordre de se taire.\\n\\nEn conférence donc, Coach Z a eu deux remarques acides. La première dans son préambule où transpire le sarcasme.\\n\\n« Félicitations au Mans pour son titre. Ils ont très bien joué. On a mal joué, et ils méritent d’être champions. C’est tout. »\\n\\nLe Monténégrin nourrit du ressentiment vis-à-vis de l’arbitrage et son discours tourne en boucle. Hier soir, il a déclaré :\\n\\n« En 2004, Didier Deschamps a fait un parfait commentaire qui résume bien ce qui nous arrive. Il entraînait alors l’équipe de foot de Monaco et il disait que s’il était difficile de remporter le championnat français, le faire avec Monaco c’était encore beaucoup, beaucoup plus difficile. Je lui adresse mes meilleurs vœux pour la Coupe du Monde. Peut-être est-elle plus facile à gagner que de gagner le championnat de France avec Monaco. »\\n\\nLa défense de Monaco peut être asphyxiante. Si le MSB n’a mis que 5 points lors des six premières minutes, c’est qu’elle prive l’adversaire d’espace en contestant chaque geste. Si Justin Cobbs s’est retrouvé livide sur le banc, c’est que Aaron Craft, reconnu comme le meilleur défenseur de la Jeep Elite lui a mis une pression inimaginable.\\n\\nMonaco a été sifflé 29 fois et Le Mans 13 fois. Pour Zvezdan Mitrovic, c’est la preuve que son équipe est pris en grippe par les hommes -ou les femmes- en gris, qu’il y aurait donc une sorte de conjuration nationale pour empêcher le club de la Principauté d’être sacré champion de France. D’où la remarque qu’une paranoïa est venue s’installer dans la Roca Team. Car comment croire de telles sornettes ? Si les Monégasques sont sifflés autant, c’est simplement qu’ils puissent allègrement dans la boîte à gifles. Ils tamponnent, hachent, sortent les coudes et sont toujours à la limite de l’anti-jeu. Eric Bartecheky résume le sentiment général en déclarant :\\n\\n« Pour moi, il y a une grosse agressivité et aussi beaucoup de fautes qui ne sont pas toujours toute sifflées. Par rapport à ça, on se doit de rester agressif en permanence. Si on est sur le reculoir, c’est une équipe qui provoque des pertes de balle. Cette équipe fait beaucoup de fautes. En championnat, ils étaient à 26, c’est l’équipe qui fait le plus de fautes. C’est la consigne : de taper, d’être agressif. C’est important que les arbitres soient attentifs à ça car il y a défendre et faire des fautes. »\\n\\nLes Monégasques ne sont-ils pas en train de devenir les Bad Boys de la Jeep Elite ?\\n\\nWilfried Yeguete et Paul Lacombe\\n\\nQuand Monaco n’utilise pas davantage de joueurs que Le Mans\\n\\nQuestion : Le Mans va-t-il tenir la cadence jusqu’au bout ? Certains de ses cadres jouent énormément et certains ont été contraints de faire des arrêts au stand pour se refaire une santé. Romeo Travis s’est blessé à la cheville sur un rebond offensif et Justin Cobbs a été victime d’une béquille à la cuisse droite. Le premier est revenu en piste comme si de rien n’était, le second en grimaçant et n’a jamais retrouvé sa maîtrise.\\n\\n« Les efforts physiques, la fatigue, les petits bobos qui apparaissent avec l’enchaînement des matches », énumère Eric Bartecheky. « Les joueurs jouent et se donnent beaucoup et forcément c’est une donnée importante. Il y a des choses que l’on ne peut pas maîtriser mais sur le match 4 qui va arriver, il va falloir être capable de récupérer, de faire des soins et de passer au-dessus de tout ça. C’est là où le mental peut faire la différence. On a moins de banc que Monaco. »\\n\\nMoins de banc ? Sur le papier, oui. L’ASM avait couché douze noms sur la feuille de marque. Seulement Yakuba Ouattara n’est toujours pas en état de jouer, et plusieurs autres joueurs ont été utilisés avec parcimonie : Sergii Gladyr (3’50 et 4 fautes !), Ali Traore (2’32 et 3 fautes), Georgi Joseph (6’17), Bangaly Fofana (7’39). Coach Mitrovic n’a réellement utilisé que sept joueurs. Comme son homologue Bartecheky.\\n\\nLa fin de l’histoire de cette passionnante finale n’est pas écrite. Eric Bartecheky se souvient évidemment que son équipe menait 2-1 face à Strasbourg mais n’avait pas été capable de conclure lors du Match 4 à Antarès.\\n\\n« Je crois qu’il ne faut pas s’enflammer. Il y a eu une grosse détermination de notre part défensivement sur l’ensemble du match au niveau mental, mais on a été en difficulté par moment. Ils n’ont pas mis à trois-points, je ne sais pas si vous avez noté ? 0/12. Il faut vraiment relativiser tout ça. C’est bien de l’avoir pris mais rien n’est fait. Il faut que l’on fasse mieux, sur nos pertes de balle, sur nos erreurs défensive, sur l’attaque de zone. »\\n\\nChris Lofton possède la même analyse de la situation que son coach :\\n\\n« On sent que l’on est en train de faire quelque chose de très spécial. Mercredi, on aura à mieux démarrer, à être plus intense. On aura certainement un match dur mercredi, très dur. »\\n\\nC’est très probablement ce que les Monégasques dans le huis-clos de leur vestiaire ont dû ruminer.\\n\\n[armelse]\\n\\nChris Lofton, l’assassin silencieux\\n\\nQu’il échoue ou qu’il marque, un peu, beaucoup ou comme hier soir énormément, Chris Lofton demeure impassible. Apparemment sans émotion. Ce qui est certain, c’est que ce n’est pas un fanfaron. Il a empilé 34 points avec une réussite frôlant l’insolence (11/16 aux tirs) au nez de la défense la plus agressive de la Jeep Elite, mais l’Américain conserve dans ses propos un certain détachement. On l’a quand même vu gratifier l’auditoire d’un sourire radieux.\\n\\n« Je suis quelqu’un de calme. C’est ma façon d’être. Je joue depuis neuf ans en Europe et c’est la façon dont je joue. Je ne m’extériorise pas plus que ça. »\\n\\nChris Lofton, 1,88m, 32 ans, Shooting guard, en insistant sur le S majuscule, a mis les huit premiers points du Mans. Il a fallu attendre la 10e minute pour qu’un autre Manceau, Youssoupha Fall inscrive un point, un lancer, et la 12e pour qu’un troisième, Antoine Eito, marque un panier. Dans le premier quart-temps, balloté par la défense de Monaco, privé un temps de son meneur Justin Cobbs, jusque-là insubmersible mais qui était obligé d’aller retrouver de l’oxygène sur banc, le MSB a évité la noyade grâce à son assassin silencieux.\\n\\n« Pour moi il n’y a pas de challenge personnel, gagner est la chose principale. Tant que l’on gagne, je suis heureux, que je marque 2 ou 34 points. C’est avant tout un travail d’équipe, c’est ça qui est important. C’est chacun son tour. A chaque match il y a quelqu’un qui se met en valeur. Mes coéquipiers ont su me trouver, ils m’ont donné le bon feeling. Ce soir c’était mon soir. »\\n\\nChris Lofton dit s’inspirer de Steph Curry, Ray Allen, Klay Thompson ou encore Reggie Miller, les plus grands shooteurs de l’histoire contemporaine de la NBA. Il ne se souvient pas instantanément du shoot le plus marquant qu’il a jamais marqué avant de se rappeler que c’était avec son université de Tennessee au tournoi final NCAA mais nous, on a surtout en tête son fabuleux exploit du 25 avril 2009 avec Mersin contre Ankara dans le championnat national turc : 61 points avec un surnaturel 17/22 à trois-points.\\n\\nLe MSB l’avait déjà fait venir dans la Sarthe il y a deux saisons et lui a demandé de remettre le maillot du club comme pigiste médical de Pape-Philippe Amagou. Après de brillants débuts, l’Américain a connu une longue traversée du désert à cause d’une entorse à la cheville qui tardait à guérir.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Hervé Bellenger/LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Alex Abreu passe d’Orléans à Châlons-Reims"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Parmi les meilleurs joueurs de Pro B cette saison, Alex Abreu (1,80m, 27 ans) a fait forte impression pour sa première expérience en France. Ce qui lui a valu d’attirer l’attention des équipes du niveau au-dessus.\\n\\nSur Twitter, son agent Christian Santaella annonce que l’international portoricain s’est engagé avec le CCRB pour la saison prochaine. Passé par Porto Rico, la République Dominicaine ou encore le Mexique et le Venezuela, le natif de Bayamon va vivre sa première en Jeep Elite à la rentrée.\\n\\nCette saison, Alex Abreu compilait en moyenne 11,8 points, 1,6 rebond et 6,5 passes décisives pour une évaluation de 14,7.\\n\\nhttps://twitter.com/csantaellaSSA/status/1009050461540896770?ref_src=twsrc%5Etfw&ref_url=https%3A%2F%2Fsportando.basketball%2Fen%2Ffrance%2Fpro-a%2F277802%2Falex-abreu-inks-with-chalons-reims.html\\n\\nPhoto : Orléans Loiret Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Fenêtre de qualification : l’Allemagne avec Dennis Schroder contre l’Autriche et la Serbie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si la Grèce sera privée de bon nombre de ses stars, l’Allemagne pourra, elle, notamment compter sur la présence de Dennis Schroder.\\n\\nLe staff allemand a rendu public une sélection de quatorze joueurs pour les deux matchs de qualification pour la Coupe du Monde 2019 face à l’Autriche et la Serbie les 30 juin et 2 juillet. On y retrouve donc la star de cette équipe, le NBAer Dennis Schroder ou encore Johannes Voigtmann et Maik Zirbes, deux joueurs connus en Europe. A noter, l’absence du joueur des Boston Celtics Daniel Theis, toujours blessé au genou.\\n\\n * Ismet Akpinar (Ratiopharm Ulm)\\n * Danilo Barthel (Bayern Munich)\\n * Robin Benzing (s.Oliver Wursburg)\\n * Bastian Doreth (Bayreuth)\\n * Niels Giffey (ALBA Berlin)\\n * Maximilian Kleber (Dallas Mavericks)\\n * Maodo Lo (Bamberg)\\n * Andreas Obst (Obradoiro)\\n * Joshiko Saibou (ALBA Berlin)\\n * Dennis Schroder (Atlanta Hawks)\\n * Karsten Tadda (Oldenbourg)\\n * Johannes Thiemann (Ludwigsburg)\\n * Johannes Voigtmann (Vitoria)\\n * Maik Zirbes (Bayern Munich)\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Milan : Andrew Goudelock sur le départ"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est le joueur lui-même qui a annoncé être sur le point de quitter le club. Sur Instagram il a posté une photo de lui suivie d’un texte ressemblant à message d’au revoir.\\n\\n« Une saison pleine de hauts et de bas mais tout s’est très bien terminé... Merci à tous les fans qui nous ont supportés et qui ont continué à croire en nous. Je ne pense pas que je vais rester, mais je vais quitter cet endroit en étant une meilleure personne et un meilleur joueur de basket. Je veux remercier l’Olimpia Milano pour cette opportunité. »\\n\\nMVP des finales de Serie A, Andrew Goudelock compilait cette saison 15,3 points, 2,6 rebonds et 1,8 passe décisive pour une évaluation de 11,7 en championnat, et 12,3 points, 2,4 rebonds et 1,8 assist pour une évaluation de 9,9.\\n\\nSelon David Pick, l’ancien joueur des Los Angeles Lakers aurait reçu une offre de plus d’un million d’euros venant de Chine.\\n\\n\\n\\n\\nAndrew Goudelock, MVP of the Italian finals, acknowledges he won't be back with Olimpia Milano. Sources tell me he has a $1M+ offer looming in China.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) June 19, 2018\\n\\nPhoto : Olimpia Milano"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : les 34 points de Chris Lofton face à Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le match 3 des finales de Jeep Elite remporté par Le Mans face à Monaco, Chris Lofton a été tout bonnement incroyable.\\n\\nEn 33 minutes de jeu, l’arrière manceau a compilé 34 points (11/16 aux tirs dont 5/8 à trois points) et 3 rebonds pour une évaluation de 33. Voici le meilleur de sa prestation.\\n\\n\\n\\n\\nVÍDEO. ¿Te acuerdas de él? Exhibición del ex ACB Chris Lofton (@clofton606): 34 puntos en el tercer partido de las finales de la Liga de Francia para poner a un triunfo del título al Le Mans pic.twitter.com/1glYR7tZ8O\\n\\n\\n— Chema de Lucas (@chemadelucas) June 19, 2018\\n\\nPhoto : LNB/IS/BELLENGER"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde: Plusieurs absents de marque chez les Grecs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Grèce sera privée de plusieurs stars pour la fenêtre de qualification de juin-juillet pour la Coupe du Monde 2019. Ni Nick Calathes ni Kostas Sloukas et encore Giorgos Printezis sont dans la liste de 15 joueurs pour les matches contre Israël et l’Estonie. Il n’y a pas non plus de NBAers alors que la présence de Giannis Antetokounmpo (Milwaukee Bucks) est espérée en septembre.\\n\\nGiannis Athinaiou, Thanasis Antetokounmpo, Panagiotis Vasilopoulos, Charis Giannopoulos, Nikos Gkikas, Dimitris Katsivelis, Gianoulis Larentzakis, Vangelis Mantzaris, Vangelis Margaritis, Dinos Mitoglou, Giannis Bourousis, Lefteris Bochoridis, Ioannis Papapetrou, Christos Saloustros et Linos Chrisikopoulos.\\n\\nPhoto: Kostas Sloukas (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Axel Toupane et le Zalgiris Kaunas sacrés champions de Lituanie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est donc sur un titre que la magnifique saison 2017/18 du Zalgiris Kaunas se termine. Troisièmes d’Euroleague, les hommes de Sarunas Jasikevicus ont été sacrés champions de Lituanie lundi soir.\\n\\nPour la huitième saison consécutive, le Zalgiris Kaunas remporte la LKL. Cette année, les coéquipiers d’Axel Toupane ont gagné la série 4-1 face au Lietuvos Rytas. Irrésistible sur cette série, l’ancien Monégasque a été élu MVP des finales avec des moyennes de 20,6 points et 5,6 rebonds pour une évaluation de 27,2. Il a ainsi permis à Kaunas de soulever le 20e titre national de son histoire.\\n\\nSur le match 5, l’ancien joueur de la Roca Team a compilé 29 points, 8 rebonds et 3 passes pour une éval de 42.\\n\\nPhoto :FOTODIENA.LT/J.ELINSKAS"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Eric Girard et Jacky Périgois prolongent cinq ans au Portel"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion de France 2005 avec la SIG, Eric Girard est arrivé au chevet du Portel en 2012 alors que le club se rapprochait d’une descente en NM1.\\n\\nDepuis, le technicien de 53 ans fait les beaux jours du club de la Côte d’Opale qui est monté en Pro A en 2016, qui a connu les playoffs en 2017 et qui a joué une Coupe d’Europe, la FIBA Europe Cup, cette saison. A travers une vidéo Facebook, le président de l’ESSM, Yann Rivoal, a annoncé la prolongation de son entraîneur pour cinq saisons.\\n\\nToujours à ses côtés, son assistant Jacky Périgois a, lui aussi, prolongé pour cinq saisons avec l’ESSM.\\n\\n« Eric Girard et Jacky Périgois rempilent pour cinq ans, au nom de l’humain...\\n\\nC’était dans l’air du temps, c’est officiel : en ce jour de l’Appel du 18 juin, Yann Rivoal, le président de l’ESSM, a convié la presse pour officialiser une info qui lui tenait beaucoup à cœur et dont il est très fier au nom de son club pas comme les autres. Arrivé en mars 2012 pour sauver l’ESSM de la relégation, Eric Girard a donc prolongé son bail sur la Côte d’Opale de cinq ans, même chose pour son fidèle bras droit et ami, Jacky Périgois. Bien qu’appelé par d’autres sirènes, le mentor stelliste a joué la carte de la fidélité. Parce qu’à son âge et compte tenu de ce qu’il a vécu, l’humain vaut bien plus que l’argent. L’humain, donc, mais aussi cette passion intacte qu’il a chevillée au corps et qu’il sait si bien transmettre à ses joueurs. Coach Eric piaffe déjà d’impatience à l’idée de reprendre la saison, de façonner une nouvelle équipe, de mener de nouveaux hommes vers de nouveaux challenges. Avec toujours la même philosophie : imposer aux autres ce qu’il s’impose à lui-même en termes de rigueur, de travail, de recherche de l’excellence. Le tout, en parfaite symbiose avec toutes les composantes d’un club pas comme les autres. Pas aisé comme les autres. Mais bien plus humain... »\\n\\nhttps://www.facebook.com/ESSMBasketOfficiel/videos/2159566200941796/\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Scottie Wilbekin dans le viseur du Fenerbahce et de l’Anadolu Efes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il vient d’officiellement obtenir un passeport turc et de rejoindre la sélection, Scottie Wilbekin (1,88m, 25 ans) serait sur les tablettes de notamment l’Anadolou Efes et le Fenerhace.\\n\\nSelon Eurohoops, l’ancien pensionnaire de l’université de Florida pourrait quitter le Dacka Dogus cet été. Même s’il lui reste une année de contrat, les puissances turques que sont le Fener et l’Efes auraient fait de l’ancien Gator leur cible. Irrésistible en Eurocup cette saison, le natif de Gainesville a remporté la C2 avec le Darussafaka et il en a été élu MVP de la saison régulière ainsi que des finales. Passé par l’AEK Athènes en 2015, il a ensuite rejoint le Darussafaka où il vient de terminer sa troisième saison.\\n\\nCette saison, Scottie Wilbekin qui compilait en moyenne 17,8 points, 2,4 rebonds, 5 passes décisives et 1,2 interception par match entre le championnat et l’Eurocup cette saison.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Kendrick Ray s’engage avec le Maccabi Tel Aviv"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tout juste sorti de l’université de Kennesaw State, Kendrick Ray (1,88m, 24 ans) vivait son année de rookie au CEZ Nymburk. Après une grosse saison, il rejoint les rangs du Maccabi Tel Aviv.\\n\\nSur son site, la formation israélienne annonce l’arrivée du MVP du championnat tchèque qui s’est montré très heureux de rejoindre le champion d’Euroleague 2014.\\n\\n« Je suis excité de rejoindre le Maccabi. J’en ai tellement entendu à propos de la tradition de ce club et ses fans. Je sais que le club vient de gagner le championnat et je suis pressé de rejoindre cette équipe de champions. A bientôt ! »\\n\\nCette saison, Kendrick Ray compilait en moyenne 13,7 points, 3,8 rebonds, 1,5 interception et 2,7 passes décisives en championnat tchèque, et 15,2 points, 4,7 rebonds et 2,5 assists en Champions League.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Scottie Wilbekin obtient le passeport turc et représentera la Turquie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est désormais officiel, Scottie Wilbekin (1,88m, 25 ans) pourra porter les couleurs de la Turquie lors des prochaines échéances internationales.\\n\\nSur son site, la fédération turque a publié la liste des joueurs qui représenteront le pays pour la prochaine fenêtre internationale de juin/juillet et le meneur du Darussafaka est bien présent. Depuis plusieurs mois, l’ancien joueur l’AEK Athènes fait des appels du pied à la fédération pour obtenir un passeport. A plusieurs reprises, il a confié se sentir comme chez lui en Turquie et il a exprimé son souhait de vouloir défendre les couleurs de la Turquie.\\n\\nBobby Dixon approchant de la retraite, les dirigeants turcs étaient à la recherche d’un nouveau joueur à naturaliser et ils sont tombés sur le gros lot avec Scottie Wilbekin qui compilait en moyenne 17,8 points, 2,4 rebonds, 5 passes décisives et 1,2 interception par match entre le championnat et l’Eurocup cette saison.\\n\\nLe champion et MVP en titre de l’Eurocup pourra donc défendre son nouveau pays face à l’Ukraine et la Suède les 29 juin et 1er juillet.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Paul Lou Duwiquet nouvelle recrue de Caen"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison à Quimper, Paul Lou Duwiquet (1,95m, 23 ans) quitte la Bretagne pour rejoindre la Normandie et le Caen Basket Calvados, annonce le club.\\n\\nFormé au centre du BCM Gravelines-Dunkerque, le natif de Calais a lancé sa carrière professionnelle en Po B, à Lille. Après deux saisons passées au LMBC, il a décidé de quitter le Nord de la France pour s’engager avec l’UJAP. Sous les ordres de l’ancien international, Laurent Foirest, l’ancien Lillois a réalisé sa meilleure saison en carrière.\\n\\nCette saison en Pro B, Paul Lou Duwiquet compilait en moyenne 9,4 points, 3,5 rebonds et 2,9 passes décisives pour une évaluation de 10,5.\\n\\nPhoto : UJAP Quimper"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Fernando Raposo passe de Gravelines à Antibes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après deux saisons à Gravelines, Fernando Repose (2,06m, 28 ans) quitte Gravelines et le Nord de la France pour son opposé, la Côte d’Azur.\\n\\nSur leur site, les Sharks annoncent l’arrivée du champion de France Pro B 2010 pour une durée de deux ans. Né à Stuttgart, l’ancien pensionnaire du centre de formation de l’Elan Béanrais possède la double nationalité franco-allemande. En carrière, il est passé en Pro B par Boulogne-sur-Mer pendant trois ans, et en Pro A par Pau, Orléans, Nanterre et donc Gravelines-Dunkerque.\\n\\nCette saison, Fernando Raposo compilait en moyenne 3 points et 3 rebonds pour une évaluation de 4,6.\\n\\nPhoto : Julie Dumélié/BCM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Finale Jeep®ÉLITE : Le Mans à une manche du sacre !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir perdu l’Episode 1 et remporté l’Episode 2, Le Mans est de retour dans la Sarthe pour les deux épisodes suivants de la finale de Jeep Elite qui l’oppose à Monaco.\\n\\nDans un Antarès à guichets fermés, les joueurs d’Eric Bartecheky sont restés sur leur lancée et ont une nouvelle fois surpassé la Roca Team dans le match 3, 84-72. Chris Lofton a été irrésistible avec 34 points (6/8 à deux points et 5/8 à trois points) et 3 rebonds pour une évaluation de 33.\\n\\nLe MSB aura l’occasion de mettre fin à la série mercredi soir à domicile.\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/1008795396875923459\\n\\nPhoto :LNB/IS/BELLENGER"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Jeremy Leloup quitte Strasbourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après cinq ans de bons et loyaux services, Jeremy Leloup (2,02m, 31 ans) et la SIG ont décidé de mettre un terme à leur collaboration, annonce le club.\\n\\nAlors qu’il avait signé une prolongation de contrat de deux saisons l’été dernier, les deux partis ont décidé de rompre prématurément ce contrat qui les liait. Cette saison, Jeremy Leloup compilait en moyenne 5,2 points, 2 rebonds et 1,4 passe décisive pour une évaluation de 5,7 en Jeep Elite.\\n\\nL’ancien manceau a tenu à écrire une lettre à son club avant de le quitter.\\n\\n« Bonjour,\\nJe souhaite vous adresser un message à vous tous : la SIGArmy, le club, le staff sportif, le président Martial BELLON, mes coéquipiers, et toutes les personnes que j’ai pu côtoyer, dès mon arrivée à Strasbourg en juillet 2013.\\nDepuis cette date, j’ai vécu des instants magiques et engrangé de merveilleux souvenirs.\\nCes 5 années à la SIG ont été formidables, remplies de grands moments, de moins bons hélas, de beaux trophées remportés, et surtout de magnifiques moments de communion. Merci à vous tous, avec un merci particulier à Vincent, pour m’avoir fait confiance durant c’est 5 dernières années.\\nAvec ma famille, nous avons fait de belles rencontres, noué de précieuses amitiés. Une partie très importante de notre vie s’est construite ici, à Strasbourg.\\nNous sommes arrivés à 2, aujourd’hui nous sommes 4, tout un symbole.\\n\\nC’est pourquoi, ce n’est pas sans un gros pincement au cœur, que nous avons pris la décision de quitter la SIG, Strasbourg, l’Alsace...\\n\\nSIGARMY je compte sur vous pour continuer d’encourager, de supporter votre nouvelle équipe, comme vous savez si bien le faire.\\n\\nA bientôt. \\nWOLF FAMILY »\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Voir ou revoir le All Star Game de Nationale 1"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dimanche 17 juin à 16 heures a eu lieu le All Star Game de Nationale 1 à Boulogne-sur-Mer. L’événement était également disponible en direct et en intégralité sur le Facebook de Pro-Am Media.\\n\\nDans l’enceinte de la salle Damrémont du SOMB, 1 300 spectateurs ont répondu présents et ont assisté à ce match de gala opposant les meilleurs joueurs de la division sur l’exercice 201/18. Organisateur de l’événement, Michael Toti, s’est montré satisfait de cette première édition.\\n\\n« C’était l’objectif pour une première édition. Les French All Star étaient contents de voir que les médias suivent ce genre d’événement. Les Français n’ont pas beaucoup d’exposition et ont vraiment profité de cette journée pour faire valoir leurs qualités. »\\n\\nAujourd’hui, nous vous proposons de voir ou revoir en intégralité ce match dont Ludovic Negrobar a terminé meilleur joueur avec 19 points, 8 rebonds et 4 passes décisives pour une évaluation de 30.\\n\\nhttps://www.facebook.com/ProAmMedia/videos/489706648116706/"
}, 
{"role": "user",     "content":"JO 2024 : Tony Parker devient «Ambassadeur Education»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pendant deux jours, le Comité Internation Olympique est en visite à Paris pour la première Commission de Coordination.\\n\\nA cette occasion, le CIO et le Comité d’organisation de Paris 2024, présidé par Tony Estanguet, étaient ce lundi sous la Tour Eiffel où un terrain de basket a été improvisé. C’est donc en toute logique que Tony Parker était, lui aussi, présent. L’ancien international français a d’ailleurs été nommé « Ambassadeur Education » lors de cette rencontre.\\n\\nIl aura pour mission de « promouvoir les valeurs du sport et des Jeux auprès des jeunes ».\\n\\n\\n\\n\\nQuel meilleur ambassadeur pour mobiliser la Génération 2024 ? @tonyparker devient \\Ambassadeur Education\\ #Paris2024 pour promouvoir les valeurs du sport et des Jeux auprès des jeunes.\\nOfficial / Tony Parker joins #Paris2024 as #Education ambassador #Legacy pic.twitter.com/c608PNjX1q\\n\\n\\n— Paris 2024 (@Paris2024) June 18, 2018\\n\\nPhoto : TwitterParis 2024"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce : le Panathinaïkos aurait proposé une prolongation de 3 ans à Nick Calathes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il pense fortement à faire son retour en NBA, Nick Calathes (1,98m, 29 ans) aurait reçu une offre de prolongation de la part du Panathinaïkos.\\n\\nSelon Eurohoops, la formation grecque aurait proposé 6,5 millions d’euros sur trois ans à l’ancien joueur des Grizzlies pour le conserver. Si les négociations ont commencé depuis plusieurs jours, le camp du joueur n’a pas pris de décisions étant donné l’intérêt du Khimki Moscou et du Fenerbahce, en plus de la NBA.\\n\\nAprès avoir fait sa formation aux Etats-Unis, l’international grec a lancé sa carrière en Europe. Il est arrivé au Panathinaïkos en 2009 avant de rejoindre le Lokmotiv Kuban en 2012 pour une saison. En 2013, il décide de tenter sa chance en NBA et passe deux ans chez les Memphis Grizzlies. Après deux saisons timides Outre-Atlantique, le Floridien de naissance a fait son retour sur le Vieux Continent et donc au Pana. En sept ans en Europe, le natif de Casselberry a pratiquement tout gagné entre un titre d’Euroleague, un titre d’Eurocup ou encore trois championnats de Grèce.\\n\\nCette saison, Nick Calathes compilait en moyenne 10,3 points, 3,8 rebonds et 6,8 passes décisives en championnat, et 14,5 points, 3,8 rebonds et 8 assists pour une évaluation de 18,5 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Romeo Travis (Le Mans) : «Les supporters mettent beaucoup de pression sur nos adversaires»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A quelques heures de la manche 3 des finales de Jeep Elite, Romeo Travis a répondu à quelques questions sur la suite de la série face à Monaco.\\n\\nAvec quasiment 30 minutes de jeu par match cette saison, l’ancien joueur de la SIG fait partie du trio le plus utilisé par Eric Bartecheky avec Justin Cobbs et Mykal Riley.\\n\\n« A ce point de la saison, on ne peut pas parler de fatigue. On ne doit pas penser au nombre de minutes qu’on a joué. On doit seulement aller sur le terrain et jouer aussi dur que l’on peut aussi longtemps qu’on le peut. C’est pour ça que nous avons une bonne équipe, tout le monde peut jouer. Si je ne peux pas jouer, si Justin Cobbs ne peut pas jouer ou quelqu’un d’autre, il y aura toujours quelqu’un pour prendre le relais. C’est ce que nous avons fait toute l’année : jouer malgré les blessures et malgré la fatigue. »\\n\\nAprès avoir remporté le match 2 à Monaco, le MSB a récupéré l’avantage du terrain et peut remporter la série dès mercredi à Antarès. La salle mancelle sera d’ailleurs à guichets fermés pour les match 3 et 4.\\n\\n« Je pense que le match 3 est le plus important de cette série. Le plus souvent, il détermine l’équipe qui va remporter la série. C’est très important pour nous, nous ne voulons pas retourner à Monaco. Nous allons essayer de terminer la série ici. Les supporters mettent beaucoup de pression sur nos adversaires. Ça va être un vrai plus s’ils mettent la pression sur les arbitres et l’équipe adverse. Nous ressentons vraiment l’énergie du public. C’est incroyable pour un joueur quand ses supporters sont des vrais passionnés et qu’ils veulent le voir gagner. Je pense que nous avons une équipe particulièrement unique. Nous avons beaucoup de personnalités différentes, les mecs ont évolué dans plein d’endroits différents dans leur carrière et je pense que c’est ce qui rend notre équipe si spéciale. Nous avons des vétérans, nous avons des jeunes, nous avons un bon mélange. Nous avons beaucoup de mecs qui veulent simplement gagner et tout le monde fait son boulot. Nous voulons juste gagner et nous avons trouvé un moyen. Toute l’année, les gens disaient que nous n’étions pas si bons que ça, que nous allions perdre. Au final, on a prouvé le contraire et on dispute les finales. On a dû battre beaucoup de bonnes équipes pour arriver là. »\\n\\nEric Bartecheky, l’entraîneur manceau, a également donné sa vision de la suite de la série et surtout de ce qu’il attend pour le match 3.\\n\\n« Je suis en partie satisfait de ce qui a été fait sur l’Episode 2. On a mieux respecté ce qu’on avait prévu sur certaines situations mais on a donné encore beaucoup de paniers faciles à Monaco. Il faut encore essayer de limiter cette équipe. Mais c’était mieux ! Dans l’Episode 3, la clé du match sera notre capacité à s’adapter sur le coup parce qu’à un moment donné les équipes analysent le match en cours par rapport à ce qui a été effectué et elles proposent autre chose. Il faut être capable dans l’instant d’observer ce qui a évolué et puis être en mesure d’apporter des solutions. On peut imaginer que Monaco va arriver avec beaucoup de détermination et réagisse, comme nous avons réagi après le premier épisode. Il faut s’y préparer. Il y a une capacité de réaction chez certains joueurs de notre côté. Au premier match, Mykal avait été un peu plus en retrait et finalement il sort de sa boite dans le deuxième match et il nous aide énormément. Mais c’est plus la réaction globale de l’équipe qui est intéressante et c’est ce qui nous a un petit peu animé toute la saison. C’est toujours intéressant d’avoir une équipe qui réagit après une déconvenue. «\\n\\nComme son intérieur, l’ancien coach de l’Elan Béarnais sait qu’Antarès sera un atout majeur pour remporter la troisième manche de cette série.\\n\\n« Une salle pleine c’est aussi un élément qui peut aider l’équipe à se surpasser, à faire des efforts et à moins ressentir la fatigue même si elle est là. On sent cet engouement parce qu’on a vu les photos et les vidéos. Avec les 24h on le sent moins, mais je ne doute pas que lundi il y aura une salle colorée et qui va pousser avec beaucoup d’excitation. Ce sont des moments rares donc il faut en profiter, mais il faut surtout utiliser tout ça pour avoir énormément de détermination. »\\n\\nVous pouvez consulter les paris et les conseils de notre consultant Fred Weis pour le match 3 entre Le Mans et Monaco ici.\\n\\nPhoto :LNB/IS/BELLENGER"
}, 
{"role": "user",     "content":"Finale Jeep®ÉLITE : DJ Cooper apte à disputer le match 3"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Victime d’un coup involontaire de Youssoupha Fall à la tempe lors du match 2, DJ Cooper (1,83m, 27 ans) était sorti du terrain sonné.\\n\\nDans son édition du jour, L’Equipe annonce que le meneur de l’AS Monaco sera bien présent ce lundi pour le match 3 des finales de Jeep Elite. Incertain jusqu’à aujourd’hui, le MVP de Pro A 2016/17 a passé des examens et sera en tenue ce soir à indiqué le club par la voix de son Manager General, Oleksiy Yefimov.\\n\\n« On verra comment il réagit en match, à haute intensité. Il n’a ni vomi ni subi de perte de connaissance, il n’y a pas de restriction autour de son temps de jeu, mais on ne prendra pas de risque. »\\n\\nLors du premier match, DJ Cooper avait compilé 15 points, 3 rebonds et 8 passes décisives pour une évaluation de 17."
}, 
{"role": "user",     "content":"Finale Jeep® ÉLITE : les paris du jour avec Fred Weis et France Pari"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Notre chroniqueur Fred Weis est un fana de pronostics et de paris sportifs. Adepte du loto sportif auquel il s’adonne depuis plusieurs années dans son bar/tabac Le Marigny à Limoges, Fred se lance dans les paris en ligne en partenariat avec France-Pari.fr Profitez de votre inscription pour bénéficier de 100€ de bonus et de paris remboursés !\\n\\nVoici les paris avec l’analyse de Fred Weis pour le premier match de la finale de Jeep Elite entre Le Mans et Monaco :\\n\\n * Le Mans – Monaco : Le Mans (1,85)\\n\\nLe Mans est très en forme alors que Monaco, comme d’habitude, à du mal à gérer sa frustration. Je vois mal comment devant plus de 6 000 supporters chauffés à blanc Monaco pourrait s’imposer.\\n\\n * Le Mans gagne par au moins 2 points d’écart : 1,88\\n * Plus de 156,5 points sur le match : 1,73\\n * Le Mans gagne la première mi-temps : 1,78\\n * Plus de 79,5 points marqués pour Le Mans : 1,97\\n * Plus de 78,5 points marqués pour Monaco : 1,72"
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV: Le dénouement de la Jeep Elite"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette semaine est celle du dénouement en Jeep Elite avec les deux ou trois derniers matches de la finale entre Le Mans et Monaco.\\n\\nLundi 18 juin:\\n\\n20h45 – Le Mans/Monaco – Jeep Elite – SFR Sport 2\\n\\nMercredi 20 juin:\\n\\n20h45 – Le Mans/Monaco – Jeep Elite – SFR Sport 2\\n\\nDimanche 24 juin:\\n\\n18h30 – Monaco/Le Mans – Jeep Elite – SFR Sport 2, si nécessaire\\n\\nPhoto: Chris Lofton (Le Mans, LNB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Brose Bamberg préfère participer à la Champions League plutôt qu’à l’Eurocup"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bamberg jouera en Champions League pour les cinq prochaines années et un contrat a été signé entre le club et la ligue européenne.\\n\\n« C’est important pour nous d’avoir sécurisé des certitudes pour les années à venir », a dit le GM du club Rolf Beyer. “Et c’est ce qu’on a désormais avec un partenariat à long terme avec la compétition.”\\n\\nQuoi qu’il arrive, le club neuf fois champion d’Allemagne participera à la BCL les cinq prochaines saisons à condition d’obtenir sa qualification par rapport aux critères sportifs de la coupe d’Europe.\\n\\n“Nous sommes confiant dans le fait que la Champions League va continuer à prendre de l’importance dans les années à venir et va devenir la meilleure compétition européenne. Et d’autres grands clubs européens de basket suivront notre exemple.”\\n\\nDe son côté, Patrick Comninos, CEO de la Champions League a déclaré:\\n\\n“Nous sommes ravis d’accueillir Brose Bamberg dans la famille de la Champions League. Le meilleur club allemand des 15 dernières années et l’un des meilleurs en Europe a pris un engagement à long terme avec la Champions League et il s’agit pour nous d’une confirmation sérieuse que la BCL se transforme rapidement en compétition d’élite. Nous avons hâte de débuter cette grande collaboration avec le club et d’apprécier l’atmosphère unique des matches dans “Freak City” ! »\\n\\nBrose Bamberg est désormais également capable d’honorer son devoir de laisser ses joueurs disponibles pour les équipes nationales car la BCL respecte le calendrier international, ainsi que la ligue allemande easyCredit BBL a déclaré le club. Brose Bamberg veut participer activement au développement du basket allemand.\\n\\nLa question bonus\\n\\nMais pourquoi ECA a-t-elle donc précipité la communication d’une liste la semaine dernière pour les équipes engagées en EuroCup alors que Bamberg et peut être aussi Monaco et d’autres équipes à venir n’avaient pas donné leur accord mais seulement rempli les papiers “au cas où”?\\n\\nDu bluff ? Pour montrer sa puissance ? Parce que la BCL l’inquiète ?\\n\\nAu final, ça ne fait surtout pas très sérieux."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : nouveau record d’affluence sur un match de playoffs avec 15 512 personnes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion du match 3 des finales de Liga Endesa entre Vitoria et le Real Madrid la Fernando Buesa Arena était quasiment pleine à craquer.\\n\\nDimanche à 18h30, ils n’étaient pas moins de 15 512 spectateurs à Vitoria-Gasteiz pour voir la victoire du Real Madrid. Ce chiffre devient le nouveau record d’affluence dans l’histoire des playoffs d’ACB. Le précédent record datait du match 4 de la finale de 2003/04 qui opposait l’Estudiantes à Barcelone avec 15 350 spectateurs. sur la saison régulière, le record d’affluence est également détenu par la Fernando Bursa Arena qui avait accueilli 15 544 personnes en 2015/16. Une nouvelle fois face au Real Madrid.\\n\\nPour rappel, en configuration basket, l’enceinte du Baskonia peut accueillir un maximum de 15 716 personnes.\\n\\nPhoto : Real Madrid"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B – Pierre Pelos (Fos), MVP de la finale : « Je ne réalise pas »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le n°13 de Fos Provence Basket a bel et bien été le porte-bonheur du club provençal. Arrivé l’été dernier en provenance de Bourg-en-Bresse où il avait connu la montée directe avec une première place (juste devant les Fosséens), Pierre Pelos (2,05m, 25 ans) a survolé ses premiers Playoffs conclus par deux matchs prodigieux en finale qui l’ont désigné MVP à l’unanimité. Sur les deux face-à-face avec Roanne qui ont marqué à jamais l’histoire du club avec cette accession en Jeep Elite à la clé, l’intérieur formé à Auch et forgé à Pau-Lacq-Orthez a été bluffant : 18 points à 8/8 aux tirs, 3 rebonds et 21 d’évaluation à l’aller, 20 points à 9/11 aux tirs, 8 rebonds et 26 d’évaluation au retour, le tout en 16 et 23 minutes !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nSes passages ont souvent coïncidé avec les bonnes séquences de son équipe, et son récital au retour des vestiaires au match aller (11 points à 5/5 aux tirs dans les 5 premières minutes du 3e quart-temps) a sans doute donné un tout autre visage à la suite de la série alors que la Chorale a compté jusqu’à 13 points d’avance à ce moment là (53-40). Peu nombreux étaient les observateurs prêts à miser sur l’éclosion de Pierre Pelos avant ces phases finales. Mais son acharnement au travail a fini par payer à l’issue d’une saison parfois compliquée qu’il a accepter de retracer, une fois la célébration de cette montée historique bien digérée.\\n\\nPierre Pelos, quel est votre sentiment après cette victoire ?\\n\\nFranchement, c’est énorme ! On a eu une saison où on a été bons, mais on a aussi connu des hauts et des bas. On est redevenu fort au bon moment, en gagnant onze matchs de suite, et là ça fait douze victoires consécutives, on bat le record du club. La sensation, c’est vraiment énorme.\\n\\nLe match retour a également été très serré. Avez-vous eu peur de le perdre ?\\n\\nIls ont réussi à nous faire douter. On a eu un petit coup de pompe aussi après avoir attaqué fort. Mais on était tous déterminés dans l’ensemble. Et surtout, on n’avait pas envie de retourner là-bas. C’est ce que tout le monde se disait. On avait 40 minutes pour finir le travail, 40 minutes pour être champions. On a un peu douté à un moment donné, mais on s’est bien repris et on finit fort, c’est le plus important.\\n\\nQu’est ce qui a fait la différence cette saison ? La force d’un groupe ?\\n\\nJe pense oui. Un groupe qui a mis un peu de temps à se trouver au début, avec Tariq (Kirksay) qui a raté pas mal de matchs pour commencer la saison, Xavier (Gaillou) a été blessé pas mal de temps et s’est reblessé avant les Playoffs. Ensuite le collectif s’est mis en place, et on termine par un très gros passage avec douze victoires. On bat Roanne deux fois en deux matchs pour terminer alors qu’il faut se rappeler qu’en saison régulière on avait perdu deux fois contre eux, une fois ici et une défaite de 35 là-bas. Donc ce qu’on a fait, c’est quand même fort.\\n\\nQuel a été le moment le plus fort de cette soirée ?\\n\\nLe moment le plus fort ? Quand Tariq Kirksay (présent à côté de lui) rate deux lancer-francs à un moment important ! (Rires). Que dire... Quand on arrive dans les 10 dernières secondes, on est à +4 avec deux lancer-francs à suivre pour nous, qu’il met les deux, c’était indescriptible. Sur le banc, c’était fou. Franchement, je dis chapeau à mes coéquipiers qui ont fini le match. Parce qu’il fallait rester fort et les cinq qui ont terminé l’ont été, en mettant les lancers importants au bon moment. C’était une sensation assez énorme.\\n\\nLe résumé du match retour de la finale\\n\\nC’est aussi un soulagement pour le club après tant d’années d’échec ?\\n\\nIl faut plutôt le demander au coach, moi ce n’est que ma première année ici, mais je pense oui. Pour moi aussi personnellement c’est un soulagement, de finir fort comme ça. J’en suis à deux montées en deux saisons, c’est une sensation assez forte, et pour le club aussi.\\n\\nVous allez continuer avec Fos la saison prochaine ?\\n\\nPour le moment je vais d’abord penser à mes vacances, parce que j’ai aussi envie de souffler. Après, il faudra vite se préparer pour la saison prochaine. La marche sera plus élevée, ce sera très compliquée aussi, mais je fais confiance au coach et à tout le monde ici. On va repartir sur la piste au début du mois d’août et on sera prêt pour le début de cette nouvelle aventure.\\n\\nLe public fosséen a vibré comme rarement sur cette finale retour...\\n\\nJ’espère qu’il suivra encore plus maintenant après avoir vécu ce match. C’est vrai qu’il y a eu des matchs plus ou moins rempli, là sur ce match c’était plein. J’espère que ça en appellera d’autres.\\n\\nUn mot pour Rémi Giuitta, enfin récompensé ?\\n\\nFélicitations. De ne pas avoir lâché, d’avoir cherché toutes ces années à passer. Chaque saison, ça a dû être dur. De finir second deux fois de suite sur les deux saisons précédentes, d’avoir l’avantage du terrain même de perdre deux fois à la maison sur un match d’appui. L’été dernier, quand on est reparti, il avait composé un groupe pour aller au bout. Avec des joueurs soudés, des joueurs comme « TK » qui soudent une équipe. Ce qui a fait que tout le monde était là, que tout le monde a répondu présent aussi. C’est ce qui compte aussi en Playoffs, de pouvoir compter sur tout le monde, de pouvoir s’épauler, et on a été sûr de nous. Le coach a été le premier à avoir cru en nous, depuis le début. Il nous a choisi en début de saison, il nous a crié dessus, on en a chié à l’entraînement pour dire ça comme ça. Mais aujourd’hui on est tous content, et je suis heureux pour lui, parce que le travail a fini par payer. Comme quoi le travail paie toujours.\\n\\nCe trophée de MVP de la finale, c’est un bel accomplissement ?\\n\\nFranchement ouais ! Je ne vais pas mentir, quand je suis arrivé en début de saison, Rémi devait être fou de m’avoir signé avec l’état dans lequel j’étais. J’ai mis du temps à revenir, mais je suis revenu, et je suis présent au bon moment. Finir MVP, ce trophée... je ne réalise pas que je l’ai entre les mains. De toute façon, il n’est pas qu’à moi. Il est aussi pour l’équipe, le coach, les gars qui ne m’ont pas lâché depuis le début de la saison, qui ont cru en moi. Cette finale a été l’aboutissement de cette saison où j’ai eu des hauts mais aussi des très bas.\\n\\nPierre Pelos reçoit son trophée de MVP des mains d’Alain Béral\\n\\nRémi Giuitta : « Un état d’esprit exceptionnel »\\n\\nL’entraîneur fosséen peut se féliciter d’avoir fait signer Pierre Pelos pour deux ans la saison dernière. Arraché à Bourg-en-Bresse, l’intérieur a rendu la confiance placée en lui par son coach avec cette superbe campagne de Playoffs et ces deux matchs brillants en finale.\\n\\n« Pierre est un formidable joueur, très talentueux. Et comme il le dit, je ne lui ai pas fait de cadeau parce qu’on croyait en lui. Ça fait longtemps qu’on se le disait pour en avoir parlé avec Tariq, notre facteur X, c’est Pierre, on va avoir besoin de lui, à son meilleur niveau. Ça a été beaucoup de travail aussi de sa part. Il est arrivé un peu hors forme, et puis derrière il a ramé. Il avait moins de temps de jeu, et mentalement c’était plus difficile. Mais c’est un mec qui a un état d’esprit exceptionnel. Parce que dans la difficulté dans laquelle je l’ai parfois mis, il n’a jamais baissé la tête. Il venait les lendemains matins des matchs pour faire du travail physique seul avec le préparateur, le dimanche à la plage... Il n’a jamais rechigné et à un moment donné, ça a payé. Quand on le recrute, c’est ça qu’on voulait, et aujourd’hui, je suis content d’être allé le chercher à Bourg-en-Bresse. J’ai toujours cru en lui. Je savais qu’il était capable de faire des matchs comme ça, mais ce n’est pas le premier comme ça. Il a mis 18 points dans le premier match à 100% de réussite au tir au match précédent dans une victoire collective où c’est dur de sortir un joueur. Aujourd’hui, c’est Pierre qui est MVP et on est content pour lui parce qu’il a été dans le dur, mais on retient aussi ce qu’ont fait les autres qui a créé un bel équilibre ».\\n\\nLa réaction de Pierre Pelos par Maritima Infos\\n\\n[armelse]\\n\\nSes passages ont souvent coïncidé avec les bonnes séquences de son équipe, et son récital au retour des vestiaires au match aller (11 points à 5/5 aux tirs dans les 5 premières minutes du 3e quart-temps) a sans doute donné un tout autre visage à la suite de la série alors que la Chorale a compté jusqu’à 13 points d’avance à ce moment là (53-40). Peu nombreux étaient les observateurs prêts à miser sur l’éclosion de Pierre Pelos avant ces phases finales. Mais son acharnement au travail a fini par payer à l’issue d’une saison parfois compliquée qu’il a accepter de retracer, une fois la célébration de cette montée historique bien digérée.\\n\\nPierre Pelos, quel est votre sentiment après cette victoire ?\\n\\nFranchement, c’est énorme ! On a eu une saison où on a été bons, mais on a aussi connu des hauts et des bas. On est redevenu fort au bon moment, en gagnant onze matchs de suite, et là ça fait douze victoires consécutives, on bat le record du club. La sensation, c’est vraiment énorme.\\n\\nLe match retour a également été très serré. Avez-vous eu peur de le perdre ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Après dix ans d’absence, un club anglais devrait faire son retour en Coupe d’Europe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Triple champion en titre de la British Basketball League, les Leicester Riders ont annoncé qu’ils acceptent l’invitation de la FIBA pour disputer la Champions League la saison prochaine.\\n\\nDepuis 2007, aucun club anglais n’a pris part à une Coupe d’Europe. Les derniers à avoir été vus sur la scène européenne sont les Surrey Scorchers, appelés à l’époque le Guildford Heat. En ce qui concerne le club de Leicester, ça serait sa première apparition en Coupe d’Europe depuis la saison 1991/92 quand les Anglais ont chuté face à Saragosse en Coupe Korac.\\n\\nKevin Routledge, le président des Riders, s’est exprimé sur cette nouvelle.\\n\\n« Après avoir remporté le championnat BBL au cours des trois dernières saisons, la perspective de jouer contre les meilleurs clubs européens et les champions d’autres pays fait définitivement partie de notre vision pour les Riders. Ce sera un effort logistique important, et il y aura une forte demande pour le staff et les joueurs, car la compétition aura lieu en milieu de semaine, et les voyages pourraient être très longs. Ce serait en plus des compétitions BBL normales, donc les demandes sur le club seront immenses. Mais nous recevons beaucoup d’encouragement de la part de nos sponsors et partenaires, et nous avons l’ambition en tant que Club de passer à l’étape suivante. »\\n\\nC’est fin juin que la Champions League annoncera quels seront les 56 clubs qui disputeront la compétition à la rentrée."
}, 
{"role": "user",     "content":"Real Madrid : vers une prolongation de contrat pour Rudy Fernandez"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Au club depuis 2012/13, Rudy Fernandez (1,96m, 33 ans) devrait prolonger son aventure au Real Madrid.\\n\\nSelon Marca, le club et le joueur seraient tombés d’accord pour prolonger leur accord pour deux saisons, jusqu’en 2020. En échange, l’ailier espagnol recevrait deux millions d’euros brut par saison. Si le nouveau contrat n’est pas encore signé, il devrait l’être pendant la semaine. L’international espagnol dispute actuellement la finale de Liga Endesa avec le Real.\\n\\nCette saison, Rudy Fernandez compilait en moyenne 7,4 points, 2,5 rebonds et 2,6 passes décisives pour une évaluation de 9 en Euroleague, et il tourne à 8,8 points, 2,5 rebonds et 1,7 assist pour 10,4 d’éval en ACB."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Chris Singleton en partance pour le Fenerbahce"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Parmi les meilleurs intérieurs d’Europe, Chris Singleton (2,06m, 28 ans) pourrait quitter le Panathinaïkos et rejoindre le Fenerbahce.\\n\\nSportando aurait appris que l’ancien joueur du Lokomotiv Kuban serait sur le point de signer avec le champion d’Euroleague 2017. En Grèce depuis 2016, le natif de Canton avait lancé sa carrière en NBA en 2011 avant de rejoindre la Chine et puis l’Europe, en 2015.\\n\\nCette saison, Chris Singleton compilait en moyenne 9,4 points et 5 rebonds en championnat, et 10,3 points et 5,8 rebonds pour une évaluation de 12,5 en Euroleague. Il vient également d’être sacré champion de Grèce avec le Pana.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le résumé de l’Episode 2 de la finale Monaco-Le Mans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce soir, à 20h45, à Antarès, c’est l’Episode 3 de la finale de Jeep Elite entre Le Mans et Monaco. Voici en attendant le résumé de l’Episode 2.\\n\\nLes deux équipes sont à égalité, 1 manche partout.\\n\\n\\n\\n\\nPour vous faire patienter jusqu'à l'Episode 3 (ce soir à 20h45 sur @SFR_Sport 2) retrouvez en 📹 le film de l'Episode 2 des #FinalesJeepELITE entre l'@ASMonaco_Basket et le @MSB_Officiel ! pic.twitter.com/wi6DCGQHvV\\n\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) June 18, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Luka Doncic ira à la Draft si Madrid remporte le match 4 des finales d’ACB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Annoncé très haut à la Draft NBA, Luka Doncic est dans la même situation que Frank Ntilikina l’an dernier. Il dispute les finales de son championnat national au même moment où se déroule la grande messe annuelle du basket américain.\\n\\nHéros du match 3 des finales de Liga Endesa avec 20 points, 9 rebonds et 3 passes décisives pour une évaluation de 29, le meneur de jeu madrilène ne devait initialement pas faire le déplacement aux Etats-Unis le soir de la Draft. Finalement, l’insider américain Adrian Wojnarowski annonce que si le Real remporte le match 4, jeudi, l’international slovène ira à New-York pour voir à quelle position il sera sélectionné.\\n\\nLa club de la capitale espagnole mène actuellement 2-1 dans la série grâce à sa victoire dimanche, 83-78 face à Vitoria.\\n\\n\\n\\n\\nIf Real Madrid clinches championship in Game 4 on Tuesday, Luka Doncic will travel to New York to attend the NBA Draft. https://t.co/iKhtVWDcnx\\n\\n\\n— Adrian Wojnarowski (@wojespn) 17 juin 2018\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce: Le Panathinaikos champion après avoir fait tomber Olympiakos, 3 à 2"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Panathinaikos a remporté le titre de champion de la ligue grecque pour la deuxième saison consécutive après avoir battu son grand rival Olympiacos, 84-70 lors du cinquième match de la finale. Il gagné ainsi la série 3-2.\\n\\nC’est en seconde mi-temps que le Pana a fait la différence submergeant son ennemi intime avec un 53-35, lequel a commis 28 fautes personnelles conduisant fréquemment les joueurs en vert sur la ligne. Mike James (18 points) a été son meilleur marqueur et Chris Singleton (17 prises) son top rebondeur. Jamel McLean a été le meilleur marqueur des Rouges avec 16 points, alors que Giorgos Printezis en a inscrit 12.\\n\\nLes highlights du Match 4"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Reportage sur Iliana Rupert, la meilleure joueuse européenne de sa génération"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Reportage de Dorine Besson pour WeBasket sur Iliana Rupert (1,93m), qui n’est pas seulement la fille de l’ex-international Thierry Rupert, mais aussi la MVP du Championnat d’Europe U16 en 2017. Issu du club de Coulaines dans la banlieue du Mans comme Alexia Chartereau, elle va la rejoindre à Bourges à la rentrée. Iliana possède à l’évidence une maturité exceptionnelle pour son âge et pas que sur le terrain.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Patrick Baumann sera le secrétaire-général de la FIBA jusqu’en 2031"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le contrat du Suisse Patrick Baumann, 51 ans, comme secrétaire-général de la Fédération Internationale a été prolongé jusqu’en 2031. Il occupe cette fonction qui correspond à une sorte de Directeur Général depuis 2003 et en 2010 son contrat avait déjà été prolongé jusqu’en 2022.\\n\\nPatrick Baumann avait rejoint la FIBA en 1994 comme avocat et en 2007, il est entré comme membre du Comité International Olympique et il a été notamment le président du comité d’évaluation pour l’organisation des Jeux de 2024. Auparavant, il avait été impliqué dans le basket comme joueur, coach et arbitre en Suisse et en Italie.\\n\\nÉTUDES\\n\\nMaturité classique, Sanremo (Italie) (1987); licence en Droit, Université de Lausanne (Suisse) (1990); MEMOS, master en management des organisations sportives, CIO et Université de Lyon (France) (1996); MBA, Université de Chicago, «Graduate School of Business», États-Unis d’Amérique (2001)\\n\\nCARRIÈRE\\n\\nJuriste au bureau de la Police des étrangers, Lausanne (Suisse) (1990-1991); juriste et stagiaire à la Société de Banque Suisse à Lausanne, Bâle et Saint-Gall (Suisse) (1991-1993)\\n\\nSPORTS PRATIQUÉS\\n\\nBasketball, natation, tennis, football\\n\\nCARRIÈRE SPORTIVE\\n\\nBasketball (joueur, entraîneur, arbitre, instructeur d’arbitre); diplômes d’entraîneur de 1er et 2e niveaux de l’École suisse du sport, Macolin, Suisse\\n\\nCARRIÈRE SPORTIVE ADMINISTRATIVE\\n\\nJuriste (1994), secrétaire général adjoint (1995-2002) puis secrétaire général (2003-) de la Fédération Internationale de Basketball (FIBA); membre du conseil de l’Association des Fédérations Internationales des sports olympiques d’été (ASOIF) (2011-); membre du conseil du Conseil International de l’Arbitrage en matière de Sport (CIAS) (2011-); représentant du CIO au conseil de fondation de l’Agence Mondiale Antidopage (AMA) (2013-2017); président du comité d’organisation des Jeux Olympiques de la Jeunesse d’hiver de Lausanne 2020 (2015-)\\n\\nTITRES ET DÉCORATIONS\\n\\nPlusieurs distinctions de fédérations nationales et clubs de basket\\n\\nPARCOURS AU SEIN DU CIO\\n\\nÉlu en tant que secrétaire général de Fédération Internationale; membre (2016-2017) puis président (2017) de la commission d’évaluation pour les Jeux de la XXXIIIe Olympiade en 2024; vice-président de la commission de coordination des Jeux de la XXXIIIe Olympiade de Paris 2024 (2017-); membre des commissions suivantes: évaluation pour les Jeux de la XXIXe Olympiade en 2008 (en tant que représentant des FI) (2000-2001), coordination des Jeux de la XXXe Olympiade de Londres 2012 (2007-2012), relations internationales (2008-2014), sport et droit (2010-2014), évaluation pour les Jeux de la XXXIIe Olympiade en 2020 (2013), entourage (2014-2015), marketing (2014-), entourage des athlètes (2015-), affaire juridiques (2017-)\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie: A 77 ans, la légende américaine, Larry Brown, est le nouveau coach de Turin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A 77 ans, Larry Brown ne prend toujours pas sa retraite et il est avide de nouvelles aventures. Il vient de signer avec le club italien de Turin, 11e du championnat national.\\n\\nCe natif de Brooklyn est une sommité du basket américain. Champion olympique à Tokyo en 1964, il est ensuite devenu un coach à succès. Il a réussi à être champion en NBA avec les Detroit Pistons en 2004 et en NCAA avec l’université du Kansas en 1988. Un exploit unique. Larry Brown a entraîné dix franchises de ABA et NBA, plus UCLA, Kansas et Southern Methodist.\\n\\nIl a été élu Coach of the Year en ABA en 1973, 75 et 76, en NCAA en 88 et en NBA en 2001 et il est le seul entraîneur de l’histoire de la NBA à avoir mené huit équipes différentes en play-offs.\\n\\nLarry Brown, alors à la tête des Charlotte Bobcats, était devenu l’éphémère conseiller de l’équipe de France durant l’été 2009, une époque où Boris Diaw et Alexis Ajinça faisaient partie de la franchise.\\n\\n« Je connais très bien Sandro Gamba et Dan Peterson (NDLR : deux coaches de sa génération qui ont officié en Italie) et j’ai énormément de respect pour le basketball italien et européen. Ici nous jouons en équipe, nous passons la balle: c’est la grande différence par rapport à la NBA, où il y a tant d’importance donnée au spectacle. Je veux construire une équipe avec des joueurs athlétiques, disponibles, attentifs, prêts à se sacrifier en défense et au rebond, et je suis d’accord avec le club qu’elle devra avoir une forte âme italienne. C’est merveilleux pour moi d’affronter ce défi, » a t-il déclaré lors d’une conférence de presse."
}, 
{"role": "user",     "content":"La FFBB réagit suite à l’article paru dans le quotidien L’Equipe sur l’arbitrage du haut niveau"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à l’article paru dans le quotidien L’Equipe de ce dimanche, intitulé « Des polémiques en série autour de l’arbitrage », la FFBB a souhaité réagir à travers un communiqué:\\n\\n« En préambule, la FFBB tient à rappeler qu’en 2012, elle a mis en place une commission pour gérer en particulier l’arbitrage du Haut Niveau (HNO). Cette commission, assistée de deux cadres féminins dont Chantal Julien, ancienne arbitre internationale et formatrice FIBA, a la charge de la formation, du suivi et des désignations des arbitres de Haut Niveau (Jeep© Elite, Pro B, NM1 et Ligue Féminine). Le passage à trois arbitres, en Jeep© Elite puis en Pro B et en Ligue Féminine (cette saison) a été une étape délicate et parfaitement bien gérée.\\n\\nDans le même temps, la fédération a créé un groupe d’arbitres féminins dans la perspective de féminiser rapidement l’arbitrage de Haut Niveau, formé un nombre important d’arbitres internationaux au sein du programme « On the Road to FIBA ». D’ores et déjà, 13 arbitres tricolores possèdent une licence d’arbitre FIBA (contre 7 en 2010, certains sortant d’ailleurs majors de leur promotion) et d’autres l’obtiendront prochainement.\\n\\nConcernant les désignations, la FFBB tient à rappeler sa totale autonomie et impartialité dans ce domaine. Si le HNO reste à l’écoute des représentants des clubs, ceux-ci n’exercent aucune pression sur la répartition des arbitres sur les rencontres.\\n\\nLes arbitres désignés sur les play-offs en Jeep© Elite et en Pro B ont été retenus, comme chaque saison, suite à leur classement de la saison écoulée. Au fur et à mesure de l’avancement des play-offs le groupe d’arbitres se resserre jusqu’à la série des finales.\\n\\nConcernant les cas particuliers cités dans l’article, nous citerons le cas de Mehdi Diffalah, qui a été élu meilleur arbitre de Jeep© Elite cette saison, et qui a participé aux quarts et aux demi-finales, sera désigné lors de l’épisode 4 des finales : Le Mans / Monaco du mercredi 20/06. Joseph Bissang, arbitre officiant en Euroleague, a été régulièrement désigné sur la saison régulière, a officié en quart de finale, et n’a pas été maintenu dans le groupe play-offs ; Hugues Thepenier, jeune arbitre FIBA, n’a pas été retenu dans le groupe pour les finales Jeep© Elite.\\n\\nL’article de l’Equipe fait allusion à la conférence de presse sur le sujet « FFBB 2024 » ; le président fédéral a confirmé son avis favorable à une professionnalisation d’arbitres, comme le permet maintenant la loi de mars 2017.\\n\\nPour conclure, la FFBB souhaite réaffirmer sa confiance totale envers le corps arbitral qui officie lors des finales de Jeep© Elite. Elle appelle l’ensemble des acteurs à mesurer leurs propos et éviter de créer des polémiques qui n’apporteraient rien au jeu, et souhaite bonne chance aux deux équipes en course pour le titre de Champion de France de Jeep© Elite. »\\n\\nA lire l’interview récent de Chantal Julien, la responsable des arbitres du haut niveau."
}, 
{"role": "user",     "content":"«Affaire Mykal Riley»: Quand le Syndicat des Joueurs alertait sur des comportements racistes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Syndicat National des Basketteurs a réagi aux propos racistes à l’encontre du Manceau Mykal Riley par quelques énergumènes dans la salle de Monaco en rappelant que le 4 juin, il a alerté la Fédération sur ce sujet:\\n\\n« Face à l’augmentation croissante du nombre de comportements racistes dans certaines salles de basket en France vis à vis des pratiquants, le Syndicat National des Basketteurs a souhaité alerter la Fédération Française de Basketball. Cette problématique touche aussi bien les joueurs et joueuses que les arbitres, et il est indispensable de trouver des solutions, car de tels actes n’ont plus lieu d’être.\\n\\nDans cette optique qu’une délégation du SNB composée d’Aby Gaye, Diandra Tchatchouang et Quentin Jegou (Responsable Administratif du SNB) a rencontré ce Lundi 4 Juin le président de la FFBB, monsieur Jean-Pierre Siutat accompagné de messieurs Alain Contensoux (DTN), Jean-Philippe Gaudichau (Responsable Juridique) et Sébastien Diot (Responsable Territoire).\\n\\nLa FFBB a réaffirmé son engagement dans la lutte contre toute forme de discrimination en rappelant les dispositifs existants (Commission Démarche Citoyenne, Observatoire National, Campagnes Fédérales, Dispositifs Réglementaires), et manifesté sa volonté de poursuivre les actions de sensibilisation auprès de tous les acteurs concernés, en y associant les joueurs et joueuses. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Matt Janning bat le record de trois points marqués sur un match de finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans le match 2 des finales de Liga Endesa, Matt Janning a pris feu face au Real Madrid.\\n\\nEn 23 minutes de jeu, l’ancien joueur du Lokmotiv Kuban a inscrit un magnifique 6/6 à trois points sur ce match. C’est un record sur les finales de Liga Endesa et il dépasse ainsi Nacho Solozabal, Chicho Sibilio et Miroslav Beric qui s’étaient arrêtés à 4/4.\\n\\nCette saison, Matt Janning a compilé 10,4 points (45,5% à trois points), 2 rebonds et 1,5 passe décisive pour une évaluation de 9 en ACB, et 8,3 points (38,8% à trois points), 1,7 rebond et 1,5 assist pour une évaluation de 7 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Elvar Fridriksson, un meneur international islandais à Denain"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est un Islandais, Elvar Fridriksson (1,83m, 23 ans), qui va mener le jeu de l’AS Denain la saison prochaine.\\n\\n« Elvar est le deuxième meneur de l’équipe d’Islande. Il a été très tôt en équipe nationale et ça lui donne une grosse expérience internationale. Tu passes des caps, même avec un petit temps de jeu. C’était mon choix numéro 1, » a déclaré Rémi Valin dans Nord Eclair.\\n\\nElvar Fridriksson a été partiellement formé aux Etats-Unis à Brooklyn et Barry en NCAA 2.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Justin Cobbs (Le Mans): Et en plus, il défend !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si la finale de Jeep Elite s’arrêtait aujourd’hui, l’Américain du Mans Justin Cobbs (1,90m, 27 ans) serait très certainement élu MVP de la finale et même des playoffs. C’est peu dire que celui qui a été déjà considéré par ses pairs et les médias comme le meneur numéro 1 du championnat est prépondérant dans le parcours inattendu du MSB. Il tourne en playoffs à la moyenne de 16,2 points, 6,2 passes et 16,2 d’évaluation.\\n\\nDeux statistiques frappent aux yeux : ses 14 fautes provoquées lors de l’Episode 2 face à Monaco et sa sureté phénoménale aux lancers. Il en était à 135/155 en saison régulière, il est monté à 59/63 en playoffs même s’il en a raté trois vendredi. Justin Cobbs possède aussi un shoot à 3-5 mètres d’une extrême fiabilité. C’est au-delà qu’il flanche (9/27 à trois-points en playoffs). Le Californien est énormément mis à contribution puisqu’il joue près de 37 minutes par match !\\n\\n« Là où c’est fort, c’est de reproduire tous les deux jours ce qu’il fait, » a commenté son entraîneur Eric Bartecheky, des propos repris par Le Maine Libre.\\n\\nLe plus remarquable, c’est que Justin Cobbs -tout comme Chris Lofton- malgré autant de sollicitations en attaque défend correctement alors que ce n’est pas son point fort.\\n\\n« Il fait des efforts pour l’équipe c’est important. J’espère que ça va continuer comme ça... », lâche son coach.\\n\\nOn aura aussi remarqué durant ces playoffs qu’outre un tempérament de feu, Justin Cobbs possède une susceptibilité à fleur de peau et qu’il peut sortir à tout de moment de ses gonds. Il lui reste encore deux ou trois matches à contrôler son adrénaline.\\n\\nPhoto: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Propos racistes: La LNB ouvre une enquête"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Ligue Nationale de Basket a envoyé un communiqué suite à l’Episode 2 de la finale de Jeep Elite:\\n\\n« Suite aux déclarations de certains joueurs à l’issue de l’Episode 2 des Finales Jeep® ÉLITE 2018 opposant l’AS Monaco au Mans Sarthe Basket concernant des propos racistes proférés depuis les tribunes à l’encontre du joueur manceau Mykal Riley, la Ligue Nationale de Basket tient à rappeler qu’elle condamne le plus fermement tout acte de racisme dans les salles de basket. Les valeurs que défend la LNB sont à l’opposé de tels actes qui, s’ils étaient avérés, demanderaient une intransigeance totale de l’institution. A ce titre, une enquête sera ouverte afin de faire toute la lumière sur ce dossier bien regrettable. »\\n\\nSur Twitter, l’AS Monaco a affiché son soutien au joueur manceau.\\n\\n\\n\\n\\nPensées et soutien à @rilo_1016. Nous condamnons ces insultes qui nous affectent tous. #LNB @MSB_Officiel @ffbasketball @ASMonaco_Basket 🏀\\n\\n\\n— AS Monaco Basket (@ASMonaco_Basket) June 17, 2018\\n\\nPhoto: Romeo Travis (LNB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Finale Jeep Elite: Le MSB aurait pu remplir une salle de 10 000 places"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Puisque le MSB a égalisé à une manche partout, il est assuré de recevoir deux fois Monaco, lundi pour l’Episode 3 et mercredi pour l’Episode 4 de la finale de la Jeep Elite.\\n\\nAlors que la ville est actuellement sous l’emprise des 24 Heures, elle n’a jamais connu un tel engouement pour le basket depuis peut-être la venue de Limoges fraîchement vainqueur de la Coupe Korac en... 1982. Antarès va faire de nouveau le plein pour ces deux matches de la finale, ce seront les huitième et neuvième guichets fermés de la saison. Le club estime qu’il aurait pu remplir une salle de 10 000 places.\\n\\nPhoto: MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague: les 16 équipes pour 2018-19 sont désormais connues"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec la victoire du Bayern Munich en finale du championnat allemand, les 16 équipes qui participeront à l’Euroleague en 2018-19 sont désormais connues. A noter que l’Espagne (4 représentants) et Istanbul (3 représentants) sont toujours surreprésentées.\\n\\nAnadolu Efes Istanbul (Turquie)\\nFC Barcelone (Espagne)\\nBaskonia Vitoria (Espagne)\\nBayern Munich (Allemagne)\\nBuducnost Podgorica (Monténégro)\\nCSKA Moscou (Russie)\\nDarüşşafaka Istanbul (Turquie)\\nFenerbahçe Istanbul (Turquie)\\nGran Canaria (Espagne)\\nKhimki Moscou (Russie)\\nMaccabi Tel-Aviv (Israël)\\nOlimpia Milan (Italie)\\nOlympiacos Le Pirée (Grèce)\\nPanathinaikos Athènes (Grèce)\\nReal Madrid (Espagne)\\nZalgiris Kaunas (Lituanie)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : le top 5 de Luka Doncic en Euroleague cette saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avant de partir pour la NBA, Luka Doncic a marché sur l’Euroleague en raflant le titre de C1, celui de MVP de la saison, le titre de meilleur jeune et le titre de MVP du Final Four.\\n\\nL’Euroleague a mis en ligne une vidéo de ses cinq meilleures actions de la saison.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Finale ACB : Real Madrid revient dans la série"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Battu à domicile dans la première manche des finales de Liga Endesa, le Real Madrid a redressé la barre vendredi face au Baskonia et est revenu à 1-1 dans la série.\\n\\nPortés par les 14 points, 10 rebonds et 3 passes décisives (21 d’évaluation) de Gustavo Ayon, les joueurs de Pablo Laso l’ont emporté 98-91 face aux coéquipiers de Vincent Poirier (12 points, 6 rebonds). Du côté de Madrid, Trey Thompkins et Jaycee Carrol ont apporté leur pierre à l’édifice avec 16 points marqués chacun. Pour Baskonia, c’est Ilimane Diop qui signe la meilleure performance avec 16 points et 3 rebonds pour une évaluation de 19.\\n\\nLe match 3 aura lieu ce dimanche à 18h30.\\n\\nPhoto : Real Madrid"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie: MVP de la finale, Andrew Goudelock pourrait rester à Milan"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion d’Italie, Milan va conserver au minimum sept joueurs mais aura aussi cinq nouveaux visages en 2018-19. Le club lombard a déjà sous contrat Andrea Cinciarini, Curtis Jerrells, Vlado Micov, Mindaugas Kuzminskas, Kaleb Tarczewski, Arturas Gudaitis et Marco Cusin -qui semble prêt à rester malgré l’intérêt de Turin-, tandis que Amedeo Della Valle, Christian Burns et Nemanja Nedovic sont annoncés. Deux autres renforts sont attendus, Mike James et Jeff Brooks, bien que le départ de l’ailier de 29 ans de Malaga soit conditionné à l’obtention d’un passeport italien.\\n\\nLa position de l’ancien joueur des Houston Rockets Andrew Goudelock (1,91m, 29 ans) sort énormément renforcée par l’attribution du trophée de MVP de la finale. Sur le papier, les rangs arrières milanais sont déjà surpeuplés, mais il semble peu probable que l’arrière américain puisse être sacrifié.\\n\\nLes situations d’Awudu Abass, de Simone Fontecchio, de Bruno Cerella et de Davide Pascolo vont être examinées.\\n\\nPhoto: Andrew Goudelock (Euroleague)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Après six saisons au club, Grégory Lessort quitte Vichy-Clermont"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après six saisons et 206 matches au club, Grégory Lessort (1,98m, 33 ans) va quitter Vichy-Clermont indique le club. Le Martiniquais était arrivé dans l’Allier en 2012.\\n\\n\\nAprès trois saisons en NM1, Grégory Lessort avait retrouvé la Pro B en 2015-2016.\\n\\n« Cette année là, il devient capitaine de l’équipe suite à la blessure de Steeve Essart en deuxième partie de saison. Il occupera ce rôle au sein du groupe durant les deux saisons suivantes. Reconnu pour ses qualités humaines et d’abnégation et comme l’un des meilleurs remparts défensifs du club de ces dernières années, Greg Lessort a scoré 1229 points (6 pts/m) pris 873 rebonds (4.3 rbs/m) et a réalisé 191 passes (0.9 pd/m) lors des 6 dernières années, » indique le club sur son site Internet."
}, 
{"role": "user",     "content":"Allemagne: Le Bayern est champion et jouera l’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Bayern Munich est devenu champion d’Allemagne après avoir pris le meilleur en finale sur Alba Berlin, trois manches à deux.\\n\\nDans le match décisif, le Bayern n’a pas fait de détails s’imposant 106 à 85. Si du côté de l’Alba, l’ancien Nanterrien Spencer Butterfield a été le top scoreur du match avec 29 points dont 7 paniers sur 13 shoots à trois-points, neuf joueurs du Bayern ont réalisé une évaluation comprise entre 10 et 21.\\n\\nCe résultat est conforme à la logique puisque le Bayern avait terminé en tête de la saison régulière (31 victoires pour 3 défaites) devant Alba (29-5). Les Munichois joueront l’Euroleague la saison prochaine."
}, 
{"role": "user",     "content":"Lundi, Le Mans-Monaco sera à guichets fermés, le huitième de la saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Episode 3 de la finale de la Jeep Elite entre Le Mans et Monaco se jouera lundi à guichets fermés à Antarès annonce le club. Ce sera le huitième de la saison. La capacité de la salle est de 6 035 spectateurs.\\n\\nA lire l’interview de Christophe Le Bouille à propos de l’engouement exceptionnel autour du club pour ses playoffs. Réservé à nos abonnés.\\n\\nPhoto: MSB\\n\\n\\n\\n\\n🏟️👉 Ce sera le 8ème guichets fermés de la saison lundi prochain ! La totalité des 357 places non réservées par les partenaires et abonnés du MSB , ainsi que ceux de la LNB a été vendue en 2H. Le MSB remercie l'ensemble de ses supporters pour cet engouement incroyable 💪 pic.twitter.com/8B4ghaVB5Q\\n\\n\\n— MSB_Officiel 🦁 (@MSB_Officiel) June 15, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde: Une pluie de forfaits en Serbie dont Milos Teodosic"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Plusieurs NBAers et des joueurs d’Euroleague vont manquer à l’équipe Serbie lors de la fenêtre de juin/juillet comptant pour les qualifications à la Coupe du Monde.\\n\\nMilos Teodosic, Bogdan Bogdanovic, Nikola Kalinic, Miroslav Raduljica et Stefen Bircevic seront absents à cause de pépins physiques. Nikola Jokic et Nemanja Bjelica ne sont pas dispos à en raison des négociations sur leur prochain contrat. Quant à Boban Marjanovic... il est en plein tournage, et il ne sera présent qu’au second match, à Novi Sad.\\n\\n« Tout le monde arrive prêt. Il y aura beaucoup de nouveaux joueurs, de qui j’attends l’enthousiasme, le désir de prouver, de répondre à l’impératif de la victoire. Notre objectif est de transférer autant de points que possible dans la phase suivante », a commenté le coach Sacha Djordjevic qui se veut rassurant.\\n\\nLa Serbie affrontera la Géorgie le 29 juin puis l’Allemagne le 2 juillet.\\n\\nPhoto: Milos Teodosic (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tous les transferts de Jeep Élite et Pro B"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Afin de vous tenir informés de tous les mouvements dans les championnats de France, Basket Europe a dressé les tableaux des transferts de Jeep Élite et de Pro B qui sont mis à jour quotidiennement. Des pages à mettre en favoris pour les prochaines semaines !\\n\\nTableau des transferts de Jeep Élite ici.\\n\\nTableau des transferts de Pro B ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Serie A : Milan sacré champion d’Italie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En six matchs, les joueurs de l’Olimpia Milano sont venus à bout de Trento et ont été sacrés champions d’Italie après avoir été battus l’année dernière par Venise.\\n\\nSous l’impulsion de son MVP des finales Andrew Goudelock, le club milanais décroche le titre de Serie A pour la troisième fois en cinq et la 28e fois de son histoire. En playoffs, il a tourné à 15,9 points, 2,8 rebonds et 1,8 passe décisive pour une évaluation de 12,7.\\n\\nPhoto : Olimpia Milano"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Fred Loubaki en route pour Gries-Oberhoffen"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé fin mars à Lorient, Fred Loubaki (1,86m, 21 ans) quitte le CEP pour rejoindre Gries-Oberhoffen, champion de NM1, qui monte en Pro B.\\n\\nOuest France annonce que l’ancien espoir de Levallois va rejoindre les rangs de Grues-Oberhoffen pour vivre sa première expérience en deuxième division française.\\n\\nCette saison, Frederic Loubaki compilait en moyenne 13,9 points, 6 rebonds, 2,1 interceptions et 4,5 passes décisives dans le championnat Espoirs et 3,8 points, 2,2 rebonds et 3,5 passes décisives pour une évaluation de 5,5 en NM1.\\n\\nPhoto : CEP Lorient"
}, 
{"role": "user",     "content":"WNBA: Endy Miyem dans une équipe du Minnesota qui est en plein doute"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"8 minutes. C’est le temps de jeu moyen d’Endy Miyem depuis qu’elle a rejoint le Minnesota Lynx. Soit deux matches. Cela en fait la 9e joueuse de l’équipe.\\n\\nL’internationale française a tout de même joué 14 minutes contre Connecticut et elle a pu prendre 7 shoots pour en transformer 2 dont un à trois-points.\\n\\nLe Lynx est l’équipe championne en titre en WNBA, il a même gagné 4 titres sur les 7 dernières saisons, mais actuellement ça ne va pas très fort puisque la franchise du Minnesota est 9e au ranking sur 12 équipes avec 3 victoires et 6 défaites. Elle possède pourtant toujours des superstars avec Maya Moore, Sylvia Fowles, Simone Augustus et la meneuse Linday Whalen, qui depuis avril est devenue la coach de l’université de Minnesota et qui a 36 ans termine sa carrière de joueuse.\\n\\nCette nuit, le Lynx reçoit le New York Liberty et se retrouve dos au mur. Le groupe a promis de sortir le grand jeu.\\n\\n« Incroyablement crucial », a déclaré la coach Cheryl Reeve. « Il est maintenant temps de réagir. Et si nous n’obtenons pas de réponse à partir de samedi, alors je ne sais pas ce que nous allons faire. Alors peut-être que ce ne sont que des mots. Peut-être que la volonté, la volonté collective, n’est pas aussi forte. Je ne pense pas que ce soit le cas. Mais nous le saurons. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo rétro: Quand Frédéric Forte posait au côté de Michael Jordan à Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Monaco avait accueilli durant l’été 1992 la Dream Team de Michael Jordan, Magic Johnson et Larry Bird, qui disputa un match d’entraînement face à l’équipe de France avant de se rendre aux Jeux Olympiques de Barcelone.\\n\\nCe reportage avec les commentaires de George Eddy nous replonge dans l’atmosphère de l’époque lorsque les Dreamteamers étaient des Dieux vivants... y compris pour leurs adversaires. Il suffit de voir la tête de Frédéric Forte posant au côté de Michael Jordan; un gosse devant le Père Noël."
}, 
{"role": "user",     "content":"Zvezdan Mitrovic (Monaco): «Pourquoi n’avait-on pas ce soir les meilleurs arbitresdu championnat sur le parquet ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’AS Monaco a perdu l’avantage du terrain après son échec sur le Rocher face au Mans lors de l’Episode 2 de la finale (77-87). Le coach de l’ASM Zvezdan Mitrovic a lancé en conférence de presse une pique à l’arbitrage sous forme d’une question:\\n\\n« On a donné de la confiance au Mans avec ce début de match mal négocié et après ils ont pris le contrôle. Ils ont mérité ce résultat. Depuis le match 3 à Limoges, j’ai interdit à mes joueurs de dire un mot sur l’arbitrage. Je poserai simplement une question : nous avons les meilleures équipes, c’est la finale, pourquoi n’avait-on pas ce soir les meilleurs arbitres du championnat sur le parquet ? ».\\n\\nDe fait, ni Joseph Bissang, ni Mehdi Diffalah, ni Eddie Viator, le trio récompensé à la Soirée des Trophées de la LNB, était présent hier à la salle Gaston-Médecin.\\n\\nQuant à l’intérieur Elmedin Kikanovic, foudroyant en attaque (19 points à 9/12 aux tirs), il a regretté le manque d’investissement défensif de son équipe:\\n\\n« Ils ont fait un bon début de match. Pas nous. On les a mis dans la partie. On n’a pas été au niveau en défense. On s’est battus, on était à – 1 dans le quatrième quart-temps. La sortie d’Aaron Craft (disqualifié suite à deux antisportives, la deuxième paraissant très sévère) ne nous a pas aidés. On est revenu mais c’était trop tard. Tout reste à faire ».\\n\\nLe coach du Mans, Eric Bartecheky ne pouvait à l’inverse que se féliciter de la soirée:\\n\\n« Sur le dernier match on avait laissé beaucoup trop de choses faciles à Monaco, ce soir c’était moins le cas. C’était un match serré mais on a su trouver les solutions en attaque. On a perdu moins de ballons même si ce n’était pas parfait. Youssoupha (Fall) a beaucoup pesé, Mykal (Riley) sort un grand match. Il nous aide bien et ça me fait plaisir pour lui ».\\n\\nPhoto: Elmedin Kikanovic (Monaco)"
}, 
{"role": "user",     "content":"3×3: Les Français au 15e rang mondial, les Françaises au 9e"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Fédération Internationale classe les pays en 3×3 suivant les résultats obtenus lors de tournois agréés. Au combiné, la Franc est 7e mais c’est un peu flatteur puisqu’elle se situe à la 15e place chez les hommes et à la 9e chez les femmes. Le 3×3, discipline olympique à Tokyo’2020 est en pleine construction et les hiérarchies ne sont pas encore solidement établies. On remarque par exemple qu’Andorre, 85 000 habitants, est 14e chez les hommes soit devant la France et l’Espagne et juste derrière les Etats-Unis.\\n\\nSur le plan individuel, les Serbes squattent les premiers rangs (7 aux 10 premières places) avec les Slovènes (3/10). Le premier Français est Anthony Christophe, qui est 67e. Kevin Corre, 99e, est le seul autre Français à apparaître dans le top 100.\\n\\nChez les filles, trois Chinoises sont dans le top 5 alors que Alice Nayo occupe une bonne 6e place. Caroline Hériaud est 12e, Johanna Tayeau 45e et Marie-Eve Paget 46e.\\n\\nClassement combiné\\n\\n\\n\\n\\nPlace\\n\\nPays\\nZone\\nClassement zone\\nPoints\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\nRussia\\nEurope\\n1\\n7,596,943\\n\\n\\n2\\n\\nChina\\nAsia\\n1\\n7,139,553\\n\\n\\n3\\n\\nUkraine\\nEurope\\n2\\n6,617,131\\n\\n\\n4\\n\\nMongolia\\nAsia\\n2\\n6,572,710\\n\\n\\n5\\n\\nAndorra\\nEurope\\n3\\n6,347,516\\n\\n\\n6\\n\\nNetherlands\\nEurope\\n4\\n5,991,769\\n\\n\\n7\\n\\nFrance\\nEurope\\n5\\n5,069,658\\n\\n\\n8\\n\\nLatvia\\nEurope\\n6\\n4,917,454\\n\\n\\n9\\n\\nRomania\\nEurope\\n7\\n4,627,624\\n\\n\\n10\\n\\nSerbia\\nEurope\\n8\\n4,524,918\\n\\n\\n11\\n\\nVenezuela\\nAmerica\\n1\\n4,462,887\\n\\n\\n\\n\\nClassement hommes\\n\\n\\n\\n\\nPlace\\n\\nPays\\nZone\\nClassement zone\\nPoints\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\nSerbia\\nEurope\\n1\\n27,469,057\\n\\n\\n2\\n\\nSlovenia\\nEurope\\n2\\n19,691,915\\n\\n\\n3\\n\\nRussia\\nEurope\\n3\\n18,216,681\\n\\n\\n4\\n\\nLatvia\\nEurope\\n4\\n17,315,103\\n\\n\\n5\\n\\nMongolia\\nAsia\\n1\\n13,394,051\\n\\n\\n6\\n\\nPoland\\nEurope\\n5\\n13,376,905\\n\\n\\n7\\n\\nBrazil\\nAmerica\\n1\\n12,726,989\\n\\n\\n8\\n\\nNetherlands\\nEurope\\n6\\n12,606,776\\n\\n\\n9\\n\\nUkraine\\nEurope\\n7\\n12,192,938\\n\\n\\n10\\n\\nRomania\\nEurope\\n8\\n11,837,384\\n\\n\\n11\\n\\nChina\\nAsia\\n2\\n11,819,210\\n\\n\\n12\\n\\nEstonia\\nEurope\\n9\\n10,221,728\\n\\n\\n13\\n\\nUnited States\\nAmerica\\n2\\n10,168,640\\n\\n\\n14\\n\\nAndorra\\nEurope\\n10\\n9,815,030\\n\\n\\n15\\n\\nFrance\\nEurope\\n11\\n9,247,210\\n\\n\\n\\n\\nClassement femmes\\n\\n\\n\\n\\nPlace\\n\\nPays\\nZone\\nClassement zone\\nPoints\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\nChina\\nAsia\\n1\\n4,312,743\\n\\n\\n2\\n\\nAndorra\\nEurope\\n1\\n4,105,027\\n\\n\\n3\\n\\nUkraine\\nEurope\\n2\\n3,591,130\\n\\n\\n4\\n\\nMongolia\\nAsia\\n2\\n3,225,351\\n\\n\\n5\\n\\nRussia\\nEurope\\n3\\n3,168,170\\n\\n\\n6\\n\\nVenezuela\\nAmerica\\n1\\n3,075,285\\n\\n\\n7\\n\\nHungary\\nEurope\\n4\\n2,905,710\\n\\n\\n8\\n\\nNetherlands\\nEurope\\n5\\n2,847,778\\n\\n\\n9\\n\\nFrance\\nEurope\\n6\\n2,779,371\\n\\n\\n10\\n\\nJordan\\nAsia\\n3\\n2,177,203\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: Anthony Christophe (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tournoi d’Antibes avec les Etats-Unis: La billetterie est ouverte"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le tournoi qui se déroulera les 15, 16 et 17 septembre à l’Azur Arena d’Antibes est très alléchant puisqu’il va réunir la France, les États-Unis, le Canada et le Sénégal. La billetterie est ouverte.\\n\\nL’Équipe de France féminine affrontera tout d’abord le Sénégal (samedi 15 septembre à 19h00), vice-champion d’Afrique et qualifié pour la Coupe du Monde qui débutera quelques jours plus tard.\\n\\nLe lendemain, ce sera autour du Canada (dimanche 16 septembre à 19h00) et le lundi des Etats-Unis, invariablement champion olympique et champion du Monde (lundi 17 septembre à 20h30).\\n\\nAfin de promouvoir ce tournoi exceptionnel, la FFBB a mis en place une tarification attractive. Vous pouvez acheter vos places à partir de 15 €. Une offre spéciale réservée aux clubs et groupes a également été mise en place.\\n\\nRendez-vous sur http://www.sharks-antibes.com/\\n\\nPROGRAMME DU TOURNOI D’ANTIBES\\nSamedi 15 septembre :\\n16h30 : Etats-Unis – Canada / 19h00 : France-Sénégal\\n\\nDimanche 16 septembre :\\n16h30 : Sénégal – Etats-Unis / 19h00 : France – Canada\\n\\nLundi 17 septembre :\\n18h00 : Canada – Sénégal / 20h30 : France – États-Unis"
}, 
{"role": "user",     "content":"C’est le 2 juillet que l’on saura si Paris aura une équipe en Pro B"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Une équipe professionnelle à Paris de nouveau la saison prochaine? C’est possible, sinon probable.\\n\\nL’Equipe annonce que le Paris Basket Avenir drivé par l’Américain David Kahn et soutenu par deux autres investisseurs a effectivement récupéré les droits de Hyères-Toulon contre un chèque de 350 000 euros. De la N2, il pourrait ainsi accéder d’un bond à la Pro B. Une grande première dans le sport français.\\nC’est aujourd’hui que la DNCCG de la Ligue Nationale de basket a étudié le budget prévisionnel du Paris Basket Avenir qui devra également verser 600 000 euros sur sept ans pour solder les comptes du HTV. Ce qui valorise le droit de jouer en ProB racheter au HTV à 950 000€. La DNCCG a mis sa décision en délibéré jusqu’au 2 juillet.\\nL’équipe parisienne pourrait être coaché par Emmanuel Schmitt, qui était toujours sous contrat avec le HTV, et jouerait dans une Halle Carpentier rénovée dont la capacité est de 4 500 places."
}, 
{"role": "user",     "content":"Finale Jeep Elite: Le Mans fait déraper Monaco, 87-77, et égalise à une manche partout"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec beaucoup de cœur, une défense appliquée et du sang-froid, Le Mans a comme face à Villeurbanne et Strasbourg gagné le deuxième match de la série chez l’adversaire autour du trio Justin Cobbs (18 points, 6 passes et... 14 fautes provoquées), Mykal Riley (21 points, 4/7 à trois-points), Youssoupha Fall (16 points, 8/8 aux tirs, 12 rebonds). Les Manceaux ont complètement désorganisé le jeu monégasque et mené toute la rencontre au score.\\nLes deux équipes sont désormais à égalité, une manche partout. L’Episode 3 est programmé lundi au Mans.\\n\\nLe coach monégasque Zvezdan Mitrovic avait décidé d’introduire comme meneur Aaron Craft plutôt que DJ Cooper, histoire de durcir encore un peu plus sa défense. Pas de round d’observation. Justin Cobbs et Sergii Gladyr se chicanaient à terre. Elmedin Kikanovic faisait apprécier sa panoplie offensive et Youssoupha Fall (5 rebonds en 5 minutes) sa taille. 16-7 pour Le Mans avec un remarquable 8/10 aux shoots. Coach Z poussait ses cordes vocales sur un temps-mort pour réveiller ses troupes et son super défenseur Aaron Craft. Mais décidémment les Monégasques ne sortaient pas de leur torpeur et le MSB continuait de réciter son basket. 22-12. L’addition était toutefois un peu allégée après dix minutes : +7.\\nPaul Lacombe rendait une passe dans le dos à Will Yeguete. Monaco retrouvait du rythme et revenait un temps au score. Sinon l’ambiance toujours aussi tiède, on était bien dans une finale. Eric Bartecheky innovait en plaçant ensemble Youssoupha Fall et Will Yeguete dans la peinture. Et ça fonctionnait. Les Manceaux prenaient une belle avance, 37-26, même s’ils lâchaient des points aux lancers, y compris Justin Cobbs qui en loupait deux, lui le métronome. Deux trois-points de Antoine Eito portaient le MSB à 44-32 mais Kikanovic régalait en attaque au poste, en pénétration et même au dunk. Le public monégasque grondait enfin et en une minute l’ASM plus agressive revenait à 41-46 à la mi-temps.\\n\\nLe Mykal Riley de Nanterre et de Dijon\\n\\nLe Mans perdait balle sur balle mais défendait suffisamment bien pour garder ses distances. Il fallait du grand Elmedin Kikanovic (19 points à 9/11 aux shoots au total) pour que Monaco, qui avait de gros trous d’air, ne décramponne pas. Pour l’Episode 1, c’est Chris Lofton qui était en feu et là c’était Mykal Riley auteur de trois trois-points (presque) consécutifs, qui servait d’artificier. 61-52. C’était le Mykal Riley de Nanterre et de Dijon de la grande époque. Justin Cobbs, qui n’était pas sorti du match jusque-là, était sur les jantes et la zone monégasque perturbait le MSB mais sans le faire flancher. Aussi, le score faisait des vagues. 68-61 pour les Manceaux après 30’.\\nL’intensité montait encore d’un cran. Les Monégasques suivaient leurs adversaires à la culotte en défense. Chaque panier était accouché aux forceps. La Roca Team revenait à un point (70-71). Aaron Craft était exclu pour deux anti-sportives dont la deuxième bien sévère. Peu après Coach Z prenait sa petite technique mais Le Mans gâchait toujours aux lancers.\\nOn retrouvait le Youssoupha Fall dominateur à l’intérieur avec ses rebonds pris là-haut dans le ciel et ses claquettes. 79-70 pour le MSB à 5 minutes du gong. Monaco ratait ses shoots et Le Mans perdait des balles. DJ Cooper marquait un panier de huit mètres mais était mis involontairement KO par Youssoupha Fall sur l’action suivante. L’ASM se retrouvait ainsi sans meneur. Le tournant du match. L’axe Cobbs-Fall faisait des dégâts irrémédiables.\\nLa fin de match était pour le moins bizarre. Une technique était sifflée à Mykal Riley pour avoir fait un doigt d’honneur au public qui -de l’avis de Romeo Travis- l’avait traité de « nigger ». Mais Le Mans avait les deux mains sur le match et Monaco continuait de vendanger à trois-points (4/21).\\nCela sera très chaud lundi à Antarès !\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nLe résumé du match est ici.\\n\\nPhoto: Elmedin Kikanovic et Youssoupha Fall (LNB)\\n\\n\\n\\n\\nZvezdan Mitrovic : «On a donné confiance au @MSB_Officiel au début et les fautes sifflées l’ont augmentée, mais ils méritent de gagner.»@Kikan075 : «On n’a pas mis l’intensité défensive nécessaire. L’expulsion d’@ACraft4 et la blessure de @Djcoop5 nous ont fait très mal.» pic.twitter.com/jW3SPWB2vy\\n\\n\\n— Monaco Info (@monaco__info) June 15, 2018\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/1007706926405373954"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeremy Nzeulie quitte Chalon-sur-Saône pour Strasbourg !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Eliminé en demi-finale des playoffs de Jeep Elite par Le Mans, la SIG vient d’officialiser l’arrivée de l’un des JFL les plus dominants du championnat, Jeremy Nzeulie (1,89m, 27 ans), qui s’est engagé pour deux ans.\\n\\nChampion de France en 2013 avec Nanterre, l’international camerounais avait été le bourreau de Strasbourg en 2017 en finale des playoffs en offrant la victoire à l’Elan Chalon. Après deux ans passés en Bourgogne, l’ancien Nanterrien quitte la formation de Jean-Denys Choulet pour évoluer sous les ordres de Vincent Collet. Le sélectionneur de l’équipe de France a d’ailleurs donné son avis sur son nouveau joueur.\\n\\n« Jérémy est aujourd’hui un des JFL dominants de notre championnat. Après avoir été un joueur majeur de l’Elan Chalon et, auparavant, de Nanterre, il ambitionne de l’être avec nous et de continuer à progresser en même temps que le club. Il est reconnu pour ses qualités de percussion, bien aidé par ses jambes de feu. Il a progressé sur son tir et nous sommes bien placés pour savoir qu’il peut mettre les gros tirs. Il a également le profil d’un gros défenseur. L’autre aspect qui m’intéressait, c’est sa volonté de continuer à progresser et j’espère qu’il pourra s’affirmer comme l’un de nos leaders »\\n\\nCette saison, Jeremy Nzeulie compilait en moyenne 14 points, 4 rebonds et 3,1 passes décisives pour une évaluation de 13,5 en Jeep Elite et 11,8 points, 3,2 rebonds et 1,4 passe pour une évaluation de 9,2 en Champions League.\\n\\nPhoto: BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : MarQuez Haynes (ex Chalon) prolonge à Venise"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Rookie à l’Elan Chalon en 2010/11, MarQuez Haynes (1,88m, 31 ans) a pas mal bougé, notamment en Italie, avant de trouver l’endroit idéal à Venise.\\n\\nChampion d’Italie en 2017, le Texan est arrivé à Venise en 2016 et il vient de prolonger son contrat pour deux saisons supplémentaires, annonce le club. Passé par Gran Canaria, Quakenbruck ou encore le Maccabi Tel-Aviv, l’ancien pensionnaire de Boston College a évolué à Milan, Sienne et Sassari en Italie avant de rejoindre Venise.\\n\\nCette saison en Italie, MarQuez Haynes compilait en moyenne 10,2 points, 2,1 rebonds et 3,6 passes décisives sous le maillot vénitien entre le championnat Italien, la BCL et la FIBA Europe Cup. L’Umana Reyer a remporté la FIBA Europe Cup cette année.\\n\\nPhoto : Reyer Venezia"
}, 
{"role": "user",     "content":"Barcelone proposerait un contrat de trois millions d’euros à l’ancien Limougeaud Brad Wanamaker !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon le coach de Fenerbahçe Zeljko Obradovic, la signature de son meneur Bradley Wanamaker (1,93m, 28 ans) à Barcelone est juste une rumeur, mais le quotidien espagnol El Mundo Deportivo croit savoir que l’Américain a désormais une offre lucrative du club espagnol entre ses mains.\\n\\nPour être exact, Barcelone offre un contrat de deux ans avec un salaire net total de trois millions d’euros pour le joueur, qui ne l’a pas encore accepté. Selon le même article, Maccabi FOX Tel Aviv tente également d’attirer Wanamaker en Israël et le joueur attend également des offres de la NBA.\\n\\nQue de chemin parcouru depuis la saison 2012-13. Brad Wanamaker portait alors le maillot du Limoges CSP avec une moyenne de simplement 9,0 points (4/18 à trois-points !) et 10,7 d’évaluation."
}, 
{"role": "user",     "content":"Zalgiris Kaunas : L’ancien monégasque Brandon Davies marche sur les finales du championnat lituanien"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé l’été dernier en provenance de l’AS Monaco, Brandon Davies a réalisé un exercice 2017/18 très convainquant sous le maillot du Zalgiris Kaunas entre le championnat lituanien et l’Euroleague.\\n\\nDepuis le début des finales du championnat de Lituanie, le natif de Philadelphie a augmenté son niveau de jeu et est tout simplement irrésistible face au Lietuvos Rytas. Le Zalgiris Kaunas mène 2-1 et n’est plus qu’à deux victoires du titre national. Et sur les trois premiers matchs, l’ancien joueur de la Roca Team tourne à 21,6 points et 6,3 rebonds pour une évaluation de pour une évaluation de 28. Si le demi-finaliste d’Euroleague remporte la LKL, le MVP sera tout trouvé ! Une chance pour le Zalgiris que l’ancien joueur de l’Elan Chalon a prolongé son contrat début avril.\\n\\nCette saison en Lituanie, Brandon Davies compile en moyenne 10,9 points et 5,2 rebonds pour une évaluation de 14,9 en LKL, et 9,3 points et 3,5 rebonds pour une évaluation de 9,8 en Euroleague.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=WxaAUKITEZ0\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"William Howard reste à Limoges une saison supplémentaire"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après les signatures des Choletais Jerry Boutsiele et Jonathan Rousselle, ainsi que la prolongation de contrat de Mam Jaiteh, le Limoges CSP annonce que William Howard (2,01m, 24 ans) va demeurer sous le maillot vert lors de la saison 2018-19.\\n\\nL’ailier limougeaud sort d’une bonne saison en Jeep Elite avec 11,5 points, 4,2 rebonds et 1,6 passe pour une évaluation moyenne de 12,6 ; ce qui est la meilleure de l’équipe. En 16 matches d’Eurocup, il a assuré 7,7 points, 3,9 rebonds et 1,4 passe pour une évaluation moyenne de 9,1.\\n\\n“Je tiens à féliciter William pour sa saison. La transition n’était pas évidente pour lui de passer du HTV à Limoges avec la pression inhérente à Limoges. Il a été très bon et c’est naturellement que nous lui re-donnons notre confiance. C’est un JFL de grande qualité à ce poste. On est ravis de l’avoir à nos côtés », a commenté le Directeur Sportif Olivier Bourgain.\\n\\nQuant à Kyle Milling, qui fut également son coach à Hyères-Toulon, il a ajouté:\\n\\n“Avec William, ça va être notre quatrième année ensemble. J’aime ce joueur qui est très polyvalent, il peut faire plein de choses qui ne se voient pas forcément dans les statistiques. Sa première qualité est son shoot mais derrière, il a un QI basket de très haut niveau. Je suis très content que William continue avec nous, il le mérite réellement. Il a montré cette saison qu’il peut jouer au plus haut niveau. Je sais qu’il a encore une grande marge de progression, j’attends beaucoup plus de lui la saison prochaine.”\\n\\nPhoto: CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vers un retour de Joffrey Lauvergne en Europe ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette saison, Joffrey Lauvergne (2,11m, 26 ans) a été utilisé moins de dix minutes en moyenne sur 55 matches par Gregg Popovich aux San Antonio Spurs notamment à cause de bobos physiques.\\n\\nVa t-il poursuivre son aventure dans le Texas? Une « player option » à 1,7 million de dollars le lui permet mais d’après l’Express-News, le Français pourrait préférer revenir en Europe où certains clubs seraient prêts à lui proposer davantage. Il a déjà porté les maillots de Valence, du Partizan Belgrade et du Khimki Moscou avant de rejoindre la NBA en 2015.\\n\\nJoffrey Lauvergne n’a pas été retenu par le coach Vincent Collet pour la fenêtre internationale de juin/juillet.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Raphaël Desroses : « Je ne remercierai jamais assez David Cozette »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Retraité depuis la fin de la saison 2016-2017 après 20 ans au plus haut-niveau, Raphaël Desroses a commenté son dernier match de la saison à l’occasion du premier rendez-vous de la finale des Playoffs d’accession de Pro B lundi dernier entre Roanne et Fos Provence Basket (68-72), ses deux dernières équipes en Pro. L’occasion de dresser le bilan de cette reconversion déjà réussie au micro de SFR Sport, en parallèle avec le passage de ses diplômes d’entraîneur (il a été assistant du Pole Espoir île de France) et la poursuite de sa carrière au niveau inférieur au Stade de Vanves en Nationale 2.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nSuite de notre entretien avec l’ancien capitaine limougeaud, présent en spectateur hier lors de l’acte II de la finale à Fos-sur-Mer, qui a désormais troqué son maillot pour un saillant costume de commentateur, au plus près de l’action.\\n\\nRaphaël Desroses, ça ne vous a pas démangé d’assister à des matchs de haut-niveau au bord du parquet cette saison ?\\n\\nSi forcément, surtout que je n’ai pas mis ma carrière pro entre parenthèses parce que je ne pouvais plus jouer mais parce que j’ai privilégié ma reconversion. On m’a proposé de beaux projets, mais j’avais déjà enclenché le passage de mes diplômes d’entraîneur, il fallait que j’entraîne, etc, et je ne pouvais pas aménager un emploi du temps cohérent en restant en pro. Je suis parti en N2 parce que je voulais quand même continuer à jouer, et je savais que j’en avais encore sous la semelle. Quand on voit des matchs comme ça, on se dit forcément qu’on aimerait y être. Mais aujourd’hui je ne regrette pas mon choix parce que ça a payé, aussi bien au niveau du coaching puisque j’ai eu mon diplôme d’état qu’au niveau de la télé. Je voulais mettre un pied dans les médias et je l’ai fait cette année en commentant des matchs. Je suis content d’avoir réalisé ces objectifs à côté de ma carrière de joueur, ça ne me laisse aucun regret. Même si j’avais encore cette petite flamme en moi, il faut être raisonnable aussi, je ne voulais pas faire un an de plus pour faire un an de plus au détriment de trois ou quatre années de carrière à suivre sur une reconversion. C’est un choix cohérent, même si ça me démange toujours.\\n\\nVous allez continuer à jouer au Stade de Vanves la saison prochaine ?\\n\\nOn est en train de finaliser ça mais normalement je vais repartir avec Vanves pour une saison. Ça me permet aussi d’être disponible pour commenter des matchs, c’est un deal que j’avais avec eux. Comme ça tout le monde est content, et la N2, c’est le juste milieu pour moi. Quand on vient du monde pro, on peut encore prendre du plaisir en N2. En dessous ça aurait sans doute été trop faible. J’ai eu des propositions notamment dans le sud où c’était plus de la N3. Mais je ne me voyais pas y jouer, non pas par boulard, mais parce que le jeu y est trop différent. Là, en N2, j’ai la chance d’avoir un coach qui a son diplôme pour coacher en pro, qui essaie de mettre en place un basket collectif, qui ressemble un petit peu plus à ce qu’on connaît au haut-niveau. Il est super intelligent même dans le jeu et on peut prendre du plaisir, c’est important aussi.\\n\\nComment avez-vous atterri à SFR Sport en début de saison dernière ?\\n\\nQuand j’ai su que Vanves voulait que l’on travaille ensemble pour cette saison, ça a fait tilt dans ma tête. C’est quelque chose que j’avais en tête depuis des années, le monde des médias sportifs m’a toujours intéressé, et commenter des matchs, c’est quelque chose que j’avais en tête. Quand j’ai su que j’avais une chance d’avoir un pied-à-terre sur Paris, j’ai contacté David Cozette pour lui proposer mes services. Je lui ai dit que j’étais super intéressé, je l’avais su aussi par Fred Weis, qui est un ami et avec qui j’ai joué, que s’ils avaient les coupes d’Europe, il y aurait sûrement besoin de quelqu’un, d’un troisième homme, pour décharger un peu les deux collègues. Même si c’était un match par mois ça m’intéressait de mettre un premier pied dedans pour m’aguerrir un peu. Je voulais voir ce que je pouvais faire et prendre de l’expérience. Il m’a répondu très tôt dans l’été, fin juin, qu’à ce moment-là il ne pouvait pas encore vraiment se prononcer, mais qu’il y avait effectivement une possibilité en cas de Coupe d’Europe, et qu’il me ferait faire un essai pour voir si je pouvais faire l’affaire. Et c’est comme ça que ça s’est passé. Je suis venu faire un essai qui a priori à été assez concluant pour qu’il me donne ma chance. Et ça s’est bien goupillé. Le fait qu’au niveau du coaching, je sois sur le pôle espoir Ile de France et libre le week-end aussi. J’avais négocié mes lundis off avec Vanves à la base pour rentrer dans le sud à Montpellier, et du coup c’est un peu devenu ma case, Fred et Stephen étant sur l’émission buzzer tous les lundis, il fallait quelqu’un pour commenter les matchs. Ça s’est bien empilé et moi qui espérait faire quelques matchs même en cabine, je me suis retrouvé à faire des directs sur place. J’étais super content, je ne remercierai jamais assez David de m’avoir tendu la main et donné ma chance. J’espère lui avoir donné satisfaction pendant l’année.\\n\\n« J’ai su que je pouvais le faire après mes années à Limoges où je prenais souvent la parole en public en tant que capitaine »\\n\\nVous aviez déjà eu ce genre d’expérience aux commentaires par le passé ?\\n\\nJamais auparavant mais je savais que je voulais le faire. Je suis quelqu’un qui parle très vite en temps normal, il fallait vraiment que je prouve que je pouvais faire ça. J’ai su que je pouvais le faire après mes années à Limoges où je prenais souvent la parole en public en tant que capitaine. J’étais souvent interviewé avant le match, après le match, dès qu’il y avait un meeting avec les supporters ou une rencontre avec les sponsors il fallait prendre le micro, j’ai vu que j’étais assez à l’aise, sur des émissions radios aussi qu’on pouvait faire là-bas localement. Ça a ravivé un peu ce côté-là chez moi. Je voulais me prouver que je pouvais le faire, et après j’ai appris sur le tas. On peut croire à première vue que c’est facile mais ce n’est pas donné à tout le monde. Si on n’est pas fait pour ça ça peut être vite compliqué. J’ai tendance à dire que si on paraît normal, c’est qu’on est déjà pas mauvais (rires). Si vous mettez quelqu’un qui n’a jamais fait ça et qui ne sait pas le faire, on sent tout de suite qu’il y a un truc qui cloche.\\n\\nVous étiez très méticuleux à votre poste plus d’une heure avant le coup d’envoi à prendre des notes à Roanne. Lesquelles ? Vous qui connaissiez les deux équipes par cœur...\\n\\nMême si on connaît bien les deux équipes, on se renseigne toujours sur les dynamiques actuelles, les joueurs qui ont été performants en playoffs, le classement, les confrontations directes. Il faut aussi reconnaître qu’on suit moins le championnat. L’an dernier, d’ailleurs d’arriver de Pro B en Jeep ELITE m’a demandé un temps d’adaptation, pour me remettre à jour. Les premiers mois, je ne connaissais pas vraiment tous les joueurs. Là, c’est pareil il y avait quelques joueurs que je connaissais un peu moins, parce que je n’étais pas en Pro B cette année. Il y a toujours des stats à mettre, aller chercher la petite info, regarder ce qui s’est dit dans les journaux, noter deux trois points sur lesquels tu vas t’appuyer pour la prise d’antenne, quelques petits pense-bêtes parfois pour être prêt pour le match.\\n\\nQuel match vous a le plus marqué aux commentaires cette saison ?\\n\\nIl y en a eu plusieurs mais je dirais mon premier gros match. J’ai eu la chance de faire Nanterre-Strasbourg à l’aller à Nanterre. Ça s’était terminé après deux prolongations, serré tout le match, des coups d’éclat, de la folie... Ça m’a marqué dans le sens où c’était le premier match de folie que j’ai fait. Ensuite, j’ai eu la chance de faire pas mal de matchs qui sont partis en prolongation, un peu fous. Mais celui-là était spectaculaire et fou. C’est un peu la magie de Nanterre et ces histoires de folie. En face, il y avait quand même un gros Strasbourg. Nanterre avait fait une grosse perf en allant chercher ce match en double prolongation. Un match comme ça, c’est facile à commenter, quand tu es passionné. Tu n’as juste qu’à t’enflammer naturellement. Ce match là à été le premier du genre pour moi.\\n\\nQuels ont été vos premières impressions en tant que consultant pour SFR Sport ?\\nEn tant que sportif et basketteur je suis ça depuis tellement d’années. Je mange les médias américains à longueur de temps, je regarde beaucoup les émissions de basket. Et de pouvoir commenter un match avec David Cozette qui est un peu le Richard Dacoury du commentaire, ça fait toujours un petit quelque chose. De la même manière qu’un joueur va essayer de s’identifier à d’autres grands joueurs, quand tu as envie de commenter des matchs et de travailler dans ce métier-là, il y a des mecs sur qui tu ne peux pas passer à côté, un David Cozette, un George Eddy, Jacques Monclar, ce sont quand même des références dans ce métier-là. Et quand comme moi on suit le basket depuis une vingtaine d’années, ce sont des voix qui reviennent tout le temps. Et ça fait toujours quelque chose. Et au sujet d’Alex (Biggerstaff) avec qui j’ai commenté la plupart des matchs, j’ai eu la chance de tomber sur un bon acolyte. C’est ce qui m’a permis aussi d’avancer plus vite, être avec quelqu’un qui me met vachement à l’aise, qui est autant passionné que moi de basket, et du coup ça a tout de suite tiqué. Il n’y a pas de conflit générationnel ou quoi que ce soit, on a tout de suite été sur la même longueur d’ondes, ça a été un gros plus et je ne le remercierai jamais assez de m’avoir aidé. David (Cozette) m’a tendu la main et m’a donné ma chance, Fred (Weis) m’a donné l’info, et Alex (Biggerstaff) m’a aidé à me réaliser pleinement. Voilà les trois acteurs majeurs de mon début de reconversion dans ce milieu.\\n\\nAvec Alex Biggerstaff, le duo du lundi soir sur SFR Sport 2\\n\\nVous allez poursuivre la saison prochaine ?\\n\\nJ’espère continuer là-dedans, c’est pour ça que l’année prochaine je vais avoir plus de temps. Je me laisse un peu de temps et c’est pour ça que je ne vais pas coacher directement l’année prochaine. Je compte continuer à jouer parce que je suis encore en bonne santé et que je ne vais pas m’en priver, et dégager du temps disponible pour continuer à faire ça. Ça ne veut pas forcément dire qu’on aura besoin de moi j’attends des nouvelles de ce côté-là on verra bien, en tout cas je me laisse vraiment des dispos. Parce que cette année, j’ai parfois dû refuser, alors qu’on avait besoin de moi pour rendre service sur un match, parce que ce n’était pas le deal de départ vis-à-vis de mon club, j’étais très pris avec les entraînements au pôle espoir. Et je devais refuser à contrecœur. Là je veux vraiment me donner une année où je libère beaucoup de temps pour ça, et je ferai un bilan à la fin de la saison prochaine, pour voir si j’ai avancé là-dessus ou si je me dirige plus vers une carrière de coach. En parallèle, je vais quand même passer mes diplôme d’assistant vidéo, qui demande beaucoup moins d’investissement et de temps que le DE. Et puis ça correspond également au métier de consultant, puisque c’est aussi notre rôle de l’analyse vidéo en direct. Tout correspond plutôt. Bien voilà un peu le projet que j’ai pour la saison prochaine.\\n\\n[armelse]\\n\\nSuite de notre entretien avec l’ancien capitaine limougeaud, présent en spectateur hier lors de l’acte II de la finale à Fos-sur-Mer, qui a désormais troqué son maillot pour un saillant costume de commentateur, au plus près de l’action.\\n\\nRaphaël Desroses, ça ne vous a pas démangé d’assister à des matchs de haut-niveau au bord du parquet cette saison ?\\n\\nSi forcément, surtout que je n’ai pas mis ma carrière pro entre parenthèses parce que je ne pouvais plus jouer mais parce que j’ai privilégié ma reconversion. On m’a proposé de beaux projets, mais j’avais déjà enclenché le passage de mes diplômes d’entraîneur, il fallait que j’entraîne, etc, et je ne pouvais pas aménager un emploi du temps cohérent en restant en pro. Je suis parti en N2 parce que je voulais quand même continuer à jouer, et je savais que j’en avais encore sous la semelle. Quand on voit des matchs comme ça, on se dit forcément qu’on aimerait y être. Mais aujourd’hui je ne regrette pas mon choix parce que ça a payé, aussi bien au niveau du coaching puisque j’ai eu mon diplôme d’état qu’au niveau de la télé. Je voulais mettre un pied dans les médias et je l’ai fait cette année en commentant des matchs. Je suis content d’avoir réalisé ces objectifs à côté de ma carrière de joueur, ça ne me laisse aucun regret. Même si j’avais encore cette petite flamme en moi, il faut être raisonnable aussi, je ne voulais pas faire un an de plus pour faire un an de plus au détriment de trois ou quatre années de carrière à suivre sur une reconversion. C’est un choix cohérent, même si ça me démange toujours.\\n\\nVous allez continuer à jouer au Stade de Vanves la saison prochaine ?\\n\\nOn est en train de finaliser ça mais normalement je vais repartir avec Vanves pour une saison. Ça me permet aussi d’être disponible pour commenter des matchs, c’est un deal que j’avais avec eux. Comme ça tout le monde est content, et la N2, c’est le juste milieu pour moi. Quand on vient du monde pro, on peut encore prendre du plaisir en N2. En dessous ça aurait sans doute été trop faible. J’ai eu des propositions notamment dans le sud où c’était plus de la N3. Mais je ne me voyais pas y jouer, non pas par boulard, mais parce que le jeu y est trop différent. Là, en N2, j’ai la chance d’avoir un coach qui a son diplôme pour coacher en pro, qui essaie de mettre en place un basket collectif, qui ressemble un petit peu plus à ce qu’on connaît au haut-niveau. Il est super intelligent même dans le jeu et on peut prendre du plaisir, c’est important aussi.\\n\\nComment avez-vous atterri à SFR Sport en début de saison dernière ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Jeremiah Wilson prolonge à Nantes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé fin avril en tant que pigiste médical de Waverly Austin, Jeremiah Wilson (2,05m, 30 ans) a été l’un des grands artisans du maintien du Nantes Basket Hermine sur la fin de saison.\\n\\nPassé par l’Argentine, le Chili, l’Australie, la République Tchèque, la Grèce, Israël, le Portugal, la Pologne, le Mexique et l’Italie, le natif de Chicago sera toujours en France à la rentrée, annonce le club.\\n\\n« Je suis heureux de continuer l’aventure avec le NBH pour la saison à venir. J’ai vraiment apprécié le court moment avec l’équipe lors de cette fin de saison. Je suis impatient de revenir à Nantes et de donner le meilleur de moi-même pour réaliser la meilleure saison possible. »\\n\\nEn quatre matchs de Pro B, Jeremiah Wilson a fait l’unanimité du côté de Nantes avec 18,8 points, 7,8 rebonds et 1,8 passe décisive pour une évaluation de 18,8.\\n\\nPhoto : Nantes Basket Hermine"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Hervé Coudray rebondit au Havre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Remercié par le Caen Basket Calvados après cinq ans de bons et loyaux services, Hervé Coudray (52 ans) rebondit au Havre.\\n\\nLe nouveau président du STB, Edouard Morlot, a tenu ce matin une conférence presse pour présenter le nouvel entraîneur du club normand. Relégué en NM1, Le Havre fait donc appel à l’homme qui a fait monter le CBC de la NM2 à la Pro B entre 2013 et 2018.\\n\\nLe club indique qu’il s’est engagé pour trois saisons.\\n\\n\\n\\n\\nHervé Coudray est le nouvel entraîneur du STB Le Havre. Il a signé pour 3 saisons. pic.twitter.com/Dze4JmiKmY\\n\\n\\n— STB LE HAVRE 🏀🏀🏀 (@stblehavre) June 15, 2018\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Monaco ne devrait pas conserver Damjan Rudez"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé fin février à Monaco, Damjan Rudez (2,08m, 31 ans) ne devrait pas prolonger l’aventure avec Monaco à l’issue de la saison.\\n\\nSelon Sportando, l’ancien joueur du Cedevita Zagreb devrait quitter Le Rocher après les finales de Jeep Elite. International croate depuis 2008, il est notamment passé par Ostende, Saragosse et par Indiana, Minnesota et Orlando en NBA avant de faire une pige à Valence.\\n\\nCette saison en France, Damjan Rudez compilait en moyenne 7,2 points, 2,6 rebonds et 1,9 passe décisive pour une évaluation de 7,7 en saison régulière en 22 minutes de jeu. En playoffs, ses minutes ont été diminuées. Il ne tourne plus qu’à 3,3 points et 1,7 rebond pour une évaluation de 4,7 en 10 minutes de jeu.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Russie : Nikita Kurbanov prolonge au CSKA Moscou"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Enfant du club, Nikita Kurbanov (2,02m, 31 ans) a signé une prolongation de deux ans avec le CSKA Moscou, annonce la formation russe.\\n\\nProfessionnel à Moscou entre 2004 et 2012, le double champion d’Euroleague (2006 et 2016) a passé toute sa carrière en Russie. Prêté au Lokomotiv Rostov, à l’UNICS Kazan et au Spartak Rostov, l’international russe s’est engagé à Rostov pour la saison 2012/13. Il a ensuite signé une saison à Kazan avant passer une autre année au Lokomotiv Kuban. En 2015, il décide de revenir au bercail et signe en faveur du CSKA Moscou.\\n\\n« Je suis très fier de rester dans mon équipe de coeur. Je suis moscovite, je viens des équipes jeunes du CSKA, donc c’est toujours spécial pour moi de porter le maillot rouge et bleu. Je voudrais remercier la direction et le staff pour leur confiance. Je ferai tout mon possible pour aider l’équipe à gagner à nouveau. »\\n\\nCette saison, Nikita Kurbanov compilait en moyenne 7,1 points, 4,6 rebonds et 1,7 passe décisive pour une évaluation de 11,4 en VTB League et 6,7 points, 5 rebonds et 1,2 passe pour une évaluation de 10,2 en Euroleague. L’ancien joueur de l’UNICS fait partie des joueurs historiques du club. Il a porté à 436 reprises le maillot du CSKA et est seulement devancé par Victor Khryapa, Andrey Vorontsevich et JR Holden.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Israël: Un 52e titre pour le Maccabi Tel-Aviv"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Maccabi Tel Aviv est devenu champion d’Israël 2018 en battant hier soir Hapoël Holon, 95-75, notamment grâce à une nette domination à l’intérieur (56 points contre 34 et 48 rebonds à 30).\\n\\nLe pivot du Maccabi Alex Tyus (2,03m, 30 ans) a réussi un double double (10 points, 15 rebonds, 4 contres) et a été élu MVP. L’Américano-Hongrois DeAndre Kane (1,95m, 29 ans) a lui aussi réalisé un double double (10 points, 10 rebonds et 6 passes).\\n\\nIl s’agit depuis 1954 du 52e titre du Maccabi mais seulement du deuxième sur les six dernières saisons.\\n\\nPhoto: Alex Tyus (Maccabi)\\n\\n\\n\\n\\nChampions 2017/18 pic.twitter.com/8XA1H4iVZY\\n\\n\\n— Maccabi Tel Aviv BC (@MaccabitlvBC) June 14, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Blois rapatrie Thomas Cornely"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir connu tous les échelons inférieurs, Thomas Cornely (1,90m, 26 ans) va découvrir la Jeep Elite dans un club qu’il connait particulièrement bien pour y avoir évolué entre 2014 et 2016.\\n\\nSur son site, l’ADA Blois annonce l’arrivée de l’ancien joueur de Coulommiers (NM2) dans lequel il avait été sacré champion de NM1 en 2016. En progression nette depuis plusieurs années, le natif de Saint-Jean-de-Braye va pouvoir tenter de se faire une place en Jeep Elite après avoir prouvé que son talent dépasse la Pro B.\\n\\nCette saison en Pro B, Thomas Cornely compilait en moyenne 10,2 points, 3,9 rebonds et 6,3 passes décisives pour une évaluation de 13,9.\\n\\nPhoto : Caen Basket Calvados"
}, 
{"role": "user",     "content":"N1: Quand le coach de Chartres loue son meneur Olivier Romain"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le coach Sébastien Lambert, 44 ans, a la particularité d’avoir fait monter Chartres en Pro B six ans après avoir réussi le même challenge avec Saint-Quentin, ville dont il est originaire. C’est à ce titre que L’Aisne Nouvelle lui a demandé de tracer un parallèle entre les deux accessions.\\n\\n«Je n’ai pas fait cinquante clubs, j’en ai fait deux pour deux montées », explique t-il. « Je peux aller me coucher. Cette accession avec Chartres est totalement différente de celle avec Saint-Quentin. On n’a pas le même budget, ni la même équipe. Ici, c’est un club très familial. Ce ne sont pas les mêmes émotions. Mais les deux ont beaucoup de saveur. »\\n\\nLe quotidien lui demande d’évoquer la performance de son meneur Olivier Romain (1,80m, 29 ans) qui face à Lorient lors du match retour en Bretagne a cumulé 29 points, 7 rebonds et 9 passes décisives pour 37 d’évaluation.\\n\\n« Olivier a été énorme. Je n’irai pas jusqu’à dire qu’il a gagné le match à lui tout seul. Mais Olivier a été leader, scoreur, mis des tirs quand il le fallait, et solide. Il a joué quarante minutes, il n’est pas sorti. Mardi à Lorient, Olivier a clairement montré que c’est l’un des meilleurs meneurs français de N1 et de Pro B. Il a aussi rappelé que c’est le meilleur passeur de la division, mais aussi le meilleur meneur à l’évaluation. Peu de meneurs sont capables de faire 37 d’évaluation. »\\n\\nOlivier Romain a été formé au Centre Fédéral et il a joué en LNB, à Dijon, Boulazac, Boulogne, Monaco et aussi à Saint-Quentin.\\n\\nPhoto: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Monaco: Le Directeur exécutif confirme l’ambition du club de jouer l’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans une interview ce matin à L’Equipe, le directeur exécutif de l’AS Monaco, l’Ukrainien Olekseï Efimov confirme que le club a l’ambition à terme de disputer l’Euroleague même si la salle Gaston-Médecin ne fait que 3 000 places et qu’elle est très peu souvent remplie.\\n\\n« Je n’aime pas qu’on dise qu’on ne pourra jamais jouer l’Euroleague à cause de notre salle. La question du marché télé est importante aussi et, en France, il y a trois gros opérateurs télé. C’est peut-être plus important que la capacité de la salle. On peut aussi jouer à Antibes (5 200 places). »\\n\\nCette saison en Euroleague, la plus petite capacité de salle en Euroleague était celle de la salle Pionir de Belgrade (5 878 places) mais l’Etoile Rouge avait aussi la possibilité de jouer à la Stak Arena (18 386 places).\\n\\nOlekseï Efimov affirme par ailleurs que l’ASM n’a pas renoncé à faire resigner son coach Zvezdan Mitrovic que l’on annonce pourtant à l’ASVEL.\\n\\nPhoto: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Finale Jeep Elite, Episode 2: Leur préparateur physique est bluffé par la faculté de récupération des Manceaux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Mans Sarthe Basket a disputé jusqu’ici les 9 matches de playoffs possibles alors que l’AS Monaco en a fait que 7. Dans quel état sont les Manceaux à quelques heures de l’Episode 2 sur le Rocher alors qu’ils ont semblé parfois émoussé, parfois gaillards?\\n\\nOuest France a interrogé le préparateur physique du club, Alexandre Bertrand:\\n\\n« J’ai vraiment l’impression qu’ils récupèrent bien d’un match sur l’autre. La motivation est toujours la même. Le psychologique joue un rôle dans la récupération. Je les sens prêts à faire les efforts jusqu’au bout. Ils me surprennent. Quand je vois la saison qu’on fait. On était beaucoup dans le staff à penser que la saison allait se terminer à Villeurbanne alors qu’on venait de perdre le quart aller chez nous. On s’y attendait car on avait tiré sur les organismes. Et les voir réagir comme ça, enchaîner de gros matchs, franchement, c’est bluffant. »\\n\\nPhoto: Will Yeguete (LNB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : la Jeep ELITE pour Fos Provence Basket"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il n’y avait plus eu de club provençal parmi l’élite du basket français depuis 1962, c’est dire la portée de l’événement et de l’exploit réalisé par les Fosséens, vainqueurs en deux manches de la finale des Playoffs d’accession de Pro B face à Roanne après leur succès 76-70 à domicile. Au terme d’un match serré jusque dans les dernières minutes, les locaux ont su garder les reins solides en défense notamment pour forcer la décision. Comme lundi soir, c’est Pierre Pelos, nommé MVP de la finale, qui a sorti son épingle du jeu (20pts, 9/10 au tir, 8 rbds, 26 d’éval).\\n\\nPlus serré qu’il n’y paraît\\n\\nDans une atmosphère irrespirable et une fournaise de Parsemain garnie plus que de raisons, les Fosséens ont livré une entame similaire aux Roannais devant leurs supporters trois jours plus tôt, à savoir quasi-parfaite. Les hommes de Rémi Giuitta appuient à l’intérieur avec Pierre Pelos, Jaraun Burrows, Charles-Noé Abouo tous les auteurs des 23 premiers points des Provençaux. Abouo se retrouve au départ et à la conclusion d’un 9-0 avec un dunk en contre-attaque suivi d’un 2+1 pour faire passer la marque à 21-12.\\n\\nJason Williams stoppe l’hémorragie mais Louis Campbell, toujours à l’intérieur, déjoue l’attention de son adversaire direct pour redonner 9 longueurs d’avance aux siens. Il faut alors toute l’abnégation de Pierre Brun au rebond offensif pour maintenir les troupes de Laurent Pluvy dans le coup après 10 minutes (26-20).\\n\\nLes Roannais ont laissé passer l’orage et reviennent progressivement dans la partie et profitent des deux lancers de Ben Mbala pour ramener l’écart à une possession (31-29). Le jeune bondissant fosséen Sullivan Hernandez retarde l’échéance avec un contre suivi de deux paniers près du cercle. Mais la dynamique est bien roannaise comme en témoignent les deux paniers à 3 points de Mathis Keita qui finissent par remettre les deux formations à égalité (37-37). Les deux équipes restent dos à dos jusqu’à la pause, Edouard Choquet et Tariq Kirksay répondant à 3 points aux ultimes assauts adverses en fin de 2e quart (43-43).\\n\\nCampbell et Pelos tiennent la baraque\\n\\nLes débats sont toujours équilibrés au retour des vestiaires, mais c’est Roanne qui fait la course en tête. Lancé dans un duel sans merci avec Jordan Aboudou, Robert Nyakundi pour aller chercher la claquette avec la faute en prime avant de laisser Clément Cavallo, ancien de la maison fosséen, offrir six longueurs d’avance à la Chorale (49-55). Les Fosséens sont à deux doigts de craquer, il faut alors un drive miraculeux de Louis Campbell « and one » et toute la technique de Pierre Pelos pour les maintenir en vie.\\n\\nLe jour de Dia\\n\\nPierre Pelos lance le 4e quart avec un sublime fade-away pour égaliser à 61-61 et remettre la pression sur l’adversaire. La tension monte d’un cran mais Pelos, Abdou Mbaye depuis le corner puis Sullivan Hernandez à mi-distance ne tremblent pas afin de mettre Fos Provence Basket sur les bons rails (67-65)\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/1007357337634516992\\n\\nJaraun Burrows et Ben Mbala laissent filer des lancers en route jusqu’à 70-70, moment choisi par Mamadou Dia, capitaine de l’équipe, au club depuis 12 ans, pour provoquer un passage en force des plus précieux. Burrows, Abouo et Aboudou assurent la victoire au lancer, faisant exploser Parsemain.\\n\\nVainqueurs 76-70, les Provençaux ont ensuite reçu le trophée de champion ainsi que le ticket validant leur montée en Jeep Elite des mains du président de la LNB, Alain Béral.\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/1007363597096366082"
}, 
{"role": "user",     "content":"Monaco dément s’être engagé pour l’instant avec l’Eurocup"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La partie de poker menteur entre la FIBA et ECA bat son plein. Cet après-midi ECA a donné une liste des clubs qui doivent participer à l’Eurocup dont Monaco, Limoges et Villeurbanne. Or dans un communiqué l’ASM déclare ne pas avoir encore pris de décision à ce sujet.\\n\\n« L’AS Monaco a signé les documents de pré-inscription pour une éventuelle participation à l’Eurocup la saison prochaine. L’ASM Basket est aussi en discussion avec la Basketball Champions League. La décision finale pour l’une ou l’autre des compétitions sera prise seulement après les finales de play-offs Jeep Elite. »\\n\\nQuelle cacophonie !\\n\\nPhoto: Gerald Robinson (ASM)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Obi Emegano (Rouen) quitte la Pro B et rejoint Dijon en Jeep®ÉLITE"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était Limoges, Nanterre ou Dijon et Obi Emegano (1,90m, 25 ans) a finalement choisi la JDA pour faire ses premiers pas en Jeep Elite, annonce le club.\\n\\nEn deuxième division italienne la saison dernière, le natif de Lagos a su faire apprécier ses qualités de scoreur en Pro B sous les ordres d’Alexandre Menard. Egalement passé par le championnat polonais, l’international nigérian va connaitre sa première expérience dans un championnat majeur d’Europe. Il va également découvrir la coupe d’Europe avec la JDA.\\n\\nLaurent Legname, l’entraîneur dijonnais, s’est exprimé sur la signature de sa nouvelle recrue.\\n\\n« Suite à la très bonne saison réalisée par Obi qui a montré toutes ses qualités à l’étage inférieur, nous nous sommes positionnés sur lui et c’est avec grand plaisir qu’Obi – malgré diverses sollicitations – a répondu favorablement à notre offre. Le fait de jouer une Coupe d’Europe en plus du championnat, permettra à Obi d’essayer de réaliser les mêmes prestations à l’échelon supérieur. Son état d’esprit, sa capacité à travailler dur, couplé à ses qualités de joueur nous font croire que ce pari, on l’espère, s’avérera gagnant pour les deux parties. »\\n\\nCette saison en Pro B, Obi Emegano compilait en moyenne 17,5 points, 2 passes et 3 rebonds pour une évaluation de 13,9. En quart de finale aller des playoffs, il avait notamment inscrit 47 points sur le parquet d’Orléans en plus de 8 rebonds et 3 passes décisives (46 d’évaluation).\\n\\nLire son interview sur BasketEurope ici.\\n\\nPhoto : Ann-Dee Lamour"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe d’Europe : Limoges, Villeurbanne et Monaco choisissent l’Eurocup"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sans surprise, le Limoges CSP et l’ASVEL disputeront l’Eurocup la saison prochaine. En revanche, contrairement à ce que l’on aurait pu croire, l’AS Monaco rejoint aussi l’Eurocup.\\n\\nSur le point d’être invité en Euroleague la saison, l’ASVEL affiche le plus gros budget du championnat de France cette saison et ne cache pas ses ambitions sur la scène européenne. Qualifié pour le Top 16 cette saison, le Limoges CSP a réalisé une belle saison européenne et sera donc logiquement de retour en Eurocup à la rentrée.\\n\\nEn revanche c’est une petite surprise de voir que l’AS Monaco a choisi de disputer l’Eurocup la saison prochaine. Depuis deux ans, la Roca Team fait partie des toutes meilleures équipes de Champions League au point d’accéder au Final Four deux années de suite et même en finale cette saison. Il aurait pu paraitre logique que le club choisisse de continuer en coupe d’Europe FIBA pour tenter une nouvelle fois d’aller chercher ce titre qui lui est passé sous le nez lors des deux dernières éditions. Néanmoins, Oleksiy Yefimov, le Manager General de l’AS Monaco révélait que le club de la Principauté pourrait être intéressé par disputer l’Euroleague à l’avenir. C’est donc un premier rapprochement entre la compétition de Jordi Bertomeu et l’ASM en vue de pourquoi pas voir Monaco invité en Euroleague d’ici quelques années.\\n\\nVoici la liste, à ce jour, des équipes en Eurocup la saison prochaine. Une dernière équipe devra être choisie dans les prochains jours. Dix-neuf clubs de huit pays différents ont demandé à rejoindre l’Eurocup et sont donc toujours en ballottage.\\n\\n * Etoile Rouge de Belgrade\\n * Cedevita Zagreb\\n * Mornar Bar\\n * Partizan Belgrade\\n * AS Monaco\\n * Limoges CSP\\n * ASVEL\\n * Le finaliste du championnat d’Allemagne : Bayern Munich ou ALBA Berlin\\n * Bamberg\\n * Ulm\\n * Trento\\n * Brescia\\n * Turin\\n * Vilnius\\n * Asseco Gdynia\\n * Zenith Saint Petersbourg\\n * UNICS Kazan\\n * Lokomotiv Kuban\\n * Valence\\n * Andorre\\n * Malaga\\n * Tofas Bursa\\n * Galatasaray\\n\\n\\n\\n\\nPrenez les 16 finalistes des 8 plus grands championnats européens (Adriatique, Allemagne, Espagne, France, Grèce, Italie, Turquie, VTB).\\nEn 2018-19 :\\n10 vont jouer en Euroleague\\n5 vont jouer en EuroCup\\n1 va jouer en Basketball Champions League\\nEt c'est...\\n...\\nLe Mans !\\n\\n\\n— Antoine Lessard (@AntoineLessard) June 14, 2018\\n\\nPhoto : Sebastien Grasset"
}, 
{"role": "user",     "content":"Fenêtre internationale : Alexey Shved absent face à la France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Meilleur joueur de la Russie, Alexey Shved (1,98m, 29 ans) ne participera pas à la prochaine fenêtre internationale comptant pour les qualifications à la Coupe du Monde 2019, annonce la fédération russe.\\n\\nC’est donc un gros coup dur pour la sélection russe qui devra composer sans l’ailier du Khimki Moscou face à la Belgique et la France les 29 juin et 2 juillet. Le meilleur scoreur d’Euroleague a avoué être fatigué et avoir besoin de repos après une saison riche. L’ancien joueur des Minnesota Timberwolves a passé en moyenne 31 minutes sur le terrain en 24 matchs de VTB League et 32 minutes sur les 34 matchs d’Euroleague pour des totaux de 740 et 1095 minutes jouées en VTB League et en C1.\\n\\nSergei Bazarevich, le sélectionneur russe est déçu par cette décision mais a pour principe de ne convaincre personne.\\n\\n« Bien sûr, ce sont des nouvelles désagréables. Alexey est aujourd’hui le meilleur joueur de basket non seulement en Russie, mais aussi, probablement, en Europe. Rester sans un tel joueur pour les matchs de qualification importants est une grande perte pour l’équipe. Mais nous avons confiance en ceux qui viendront. De plus, nous pouvons maintenant compter sur des joueurs du CSKA et Timofey Mozgov. La composition sera proche de l’optimale. Nous avons parlé avec Alexey. Dans une certaine mesure, je comprends sa situation. Mais dès le début, dès qu’Andréï Kirilenko a pris la présidence de la Fédération et moi la sélection nationale, nous avons pris la position que nous ne persuaderons personne. Et même si c’est parfois difficile pour moi en tant qu’entraîneur, je suis d’accord qu’il n’est pas nécessaire de persuader qui que ce soit. »\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Bleues joueront les Etats-Unis à Antibes dans le cadre de la préparation à la Coupe du Monde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Coupe du Monde féminine 2018 se déroulera à Tenerife (Espagne) du 22 au 30 septembre et la préparation de l’équipe de France a été dévoilée ce matin.\\n\\nLes Bleues se prépareront essentiellement en France et aussi en Espagne et seront opposées à plusieurs équipes de haut calibre, Etats-Unis, Australie, Canada et peut-être Espagne.\\n\\nIl y aura deux points d’orgue: le Tournoi International de Paris commun avec l’Équipe de France masculine, pendant lequel les Bleues joueront contre la Lettonie et l’Australie (7 et 8 septembre) et un tournoi à l’Azur Arena d’Antibes (15 au 17 septembre) avec les Etats-Unis, la nation dominatrice du basket mondial.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDates\\nLieu\\nMatch\\n\\n\\nLundi 30 juillet au lundi 6 août\\nSaint-Girons\\nStage\\n\\n\\nVendredi 10 au dimanche 19 août\\nAnglet\\nStage\\n\\n\\nLundi 20 août à 19h00\\nAnglet\\nFrance-Italie\\n\\n\\nMardi 21 août à 19h00\\nAnglet\\nFrance-Italie\\n\\n\\nDimanche 26 au jeudi 30 août\\nLyon\\nStage\\n\\n\\nVendredi 31 août\\nValence (Esp)\\nFrance-Lettonie\\n\\n\\nSamedi 1erseptembre\\nValence\\nFrance-Esp. ou Belgique\\n\\n\\nDimanche 2 au mercredi 5 septembre\\nLyon\\nStage\\n\\n\\nVendredi 7 septembre à 18h00\\nParis (Coubertin)\\nFrance-Lettonie\\n\\n\\nSamedi 8 septembre à 20h30\\nParis (Coubertin)\\nFrance-Australie\\n\\n\\nJeudi 13 au vendredi 14 septembre\\nAntibes\\nStage\\n\\n\\nSamedi 15 septembre à 19h00\\nAntibes\\nFrance-Sénégal\\n\\n\\nDimanche 16 septembre à 19h00\\nAntibes\\nFrance-Canada\\n\\n\\nLundi 17 septembre à 20h30\\nAntibes\\nFrance-États-Unis\\n\\n\\nMardi 18 septembre\\nTransfert à Tenerife\\n\\n\\n\\nSamedi 22 au dimanche 30 septembre\\nTenerife\\nCoupe du Monde\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Finale Liga Endesa : Vitoria surprend le Real Madrid dans le match 1"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Finaliste la saison dernière en ACB et champion d’Euroleague depuis quelques semaines, le Real Madrid fait logiquement figure de grand favori pour remporter le championnat espagnol cette saison.\\n\\nA la surprise générale, les joueurs de Pablo Laso se sont fait surprendre par les coéquipiers de Rodrigue Beaubois dans le match 1 des finales de Liga Endesa. A domicile, les Madrilènes se sont inclinés 94-90. Les joueurs de Pedro Martinez – champion la saison dernière avec Valence – récupèrent donc l’avantage du terrain si important en playoffs.\\n\\nLes Basques ont notamment pu compter sur le duo Luca Vildoza-Vincent Poirier. Les deux hommes ont respectivement compilé 16 points pour 18 d’évaluation, et 13 points et 5 rebonds pour 17 d’évaluation. Roddy Beaubois a été aussi été précieux avec 11 points et 2 rebonds (10 d’éval). Côté madrilène, c’est Walter Tavares qui enregistre la meilleure évaluation (17) avec 12 points et 4 rebonds. Jaycee Carroll a ajouté 20 points à l’addition tandis que Luka Doncic a été en manque d’adresse (12 points à 4/8 à 2-pts mais 0/5 à 3-pts).\\n\\nSur son site, l’ACB révèle que, sur 31 finales se jouant au meilleur des cinq manches, c’est arrivé que dix fois que l’équipe visiteuse remporte le premier match. En plus de cela, dans 90% des cas, donc neuf fois sur dix, c’est cette même équipe visiteuse qui a terminé championne. La seule fois où la tendance a été inversée c’est en 1994/95. Battu lors du premier match à domicile par Malaga, le FC Barcelone est parvenu à finalement gagner la série 3-2.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=5_kGmPtgFZk\\n\\nPhoto : Baskonia"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges s’engage avec l’équipementier Big Sports de Frédéric Weis"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nous vous avons présenté récemment la société Big Sports fondée par Fred Weis, qui est spécialisée dans l’équipement sportif pour athlètes amateurs et professionnels. Le Limoges CSP a décidé de quitter Adidas et de donner naissance à une collaboration avec cette société basée à Limoges.\\n\\n« Nous sommes très contents de concrétiser cette nouvelle collaboration avec le Limoges CSP qui occupe une place toute particulière dans mon histoire de joueur. Frédéric Forte, sur un coup de poker, nous avait donné l’opportunité de faire les tenues de l’EuroCup 2017-2018. Une occasion de démontrer notre savoir faire et notre réactivité. Aujourd’hui c’est une grande fierté pour l’équipe Big Sports de devenir l’équipementier officiel du club », déclare Frédéric Weis.\\n\\nQuant à Olivier Bourgain, le Directeur Sportif du Limoges CSP, il ajoute:\\n\\n« Nous sommes très heureux de collaborer avec cette jeune société limougeaude dynamique. La proximité est un atout majeur dans notre nouvelle collaboration. Travailler avec Frédéric Weis, ancien joueur, et un plus non négligeable car il comprend la légitimité de nos demandes et l’importance qui doit être accordée aux détails. Combiné à la créativité des équipes du Limoges CSP, c’est un duo gagnant ! »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : les highlights de l’Episode 1 des finales de Jeep®ÉLITE"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un match disputé de bout en bout, Monaco est venu à bout du MSB dans l’Episode 1 des finales de Jeep Elite, 81-77.\\n\\nVoici les images du meilleur de ce premier match.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=gOXGGgFQAP8&feature=youtu.be"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B – Finale. Raphaël Desroses : « Des amis dans les deux camps »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette finale des Playoffs d’accession de Pro B entre Roanne et Fos Provence Basket a forcément une saveur particulière pour Raphaël Desroses, tout juste retraité d’une carrière de 20 ans au plus haut-niveau français. C’est en effet à la Chorale (de retour en 2014-2015 après une saison 2004-2005 en première division) puis en Provence (2015-2017) que l’ancien capitaine limougeaud a terminé son parcours. Et c’est désormais en tant que consultant qu’il excelle sur SFR Sport. La fameuse neutralité exigée par l’exercice l’oblige à ne pas prendre partie. C’est donc en toute objectivité que le double champion de Pro B (2012 avec Limoges, 2013 avec Antibes) s’est livré à l’analyse de cette série, alors que les Fosséens ont arraché la victoire à Roanne lundi soir au match aller (68-72) et que le match retour se joue ce soir à la Halle Parsemain (20h45).\\n\\nL’entretien est en deux parties.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nRaphaël Desroses, qu’avez-vous pensé de ce match aller de la finale des Playoffs de Pro B entre Roanne et Fos-sur-Mer ?\\n\\nComme prévu ça a été un match disputé. Quand on a vu la bonne entame de Roanne, on s’est dit que ça allait être compliqué pour les Fosséens. Mais ils ont réussi à rester soudés, dans le match, à ne jamais vraiment décrocher en restant toujours à l’affût, autour des 10 points d’écart. Et quand ils ont recollé, forcément la pression a changé de camp, et Roanne s’est retrouvé en difficulté dans sa salle. On voit encore que l’avantage du terrain, sur une série aussi courte, peut vite se retourner contre l’équipe qui reçoit en premier. J’ai trouvé Roanne un peu crispé à la fin. Ils ont raté des tirs ouverts, ils en ont eu pas mal et comme Fos avait fermé la raquette, c’est vite devenu assez compliqué pour eux. Et finalement l’outsider a pris le premier match.\\n\\nPeut-on parler de hold-up ? Fos-sur-Mer était mené de 13 points en début de 3e quart-temps...\\n\\nNon, un hold-up ça aurait été s’ils avaient eu 13 point de retard à l’entame du dernier quart-temps par exemple. Là, ils ont rapidement recollé en début de deuxième. Donc je ne dirais pas un hold-up mais en tout cas ils ont fait un beau coup, ça c’est sûr.\\n\\nUn mot sur Pierre Pelos, le facteur X de ce premier match (18pts à 8/8 au tir) ?\\n\\nIl a été bon dans les bons moments. Il a mis des points rapidement dans le match, puis le secteur intérieur de Fos s’est rapidement retrouvé pénalisé par les fautes, et il en faisait partie. Mais c’est vrai qu’en deuxième mi-temps, il a aidé à remettre Fos sur les bons rails, même si c’est Édouard Choquet qui a mis le couvercle à la fin. Mais lui et Mam Dia ont mis de l’impact sur ce poste 5. Je n’oublie pas la prestation de Mam Dia qui lui aussi a mis des paniers importants.\\n\\nMeilleur espoir de N1 avec Tarbes-Lourdes, une saison d’adaptation en Pro B à Saint-Chamond puis Champion de France avec Bourg l’an dernier et en grande forme sur cette fin de saison, son parcours est plutôt impressionnant...\\n\\nC’est vrai que c’est impressionnant. Lorsque j’ai vu son arrivée à Fos-sur-Mer, je n’ai pas vraiment été surpris. De par son profil, parce que c’est vraiment le « Mamadou Dia blanc » j’ai envie de dire. Un peu comme lui, il a cette capacité à être rentable sur de courtes séquences. Dès qu’il rentre, qu’il joue 10,15, ou 20 minutes, il peut vite marquer des paniers parce qu’il a de très bonnes mains un un bon toucher aussi à l’extérieur à trois points. Il fait partie de ces joueurs qui avec leurs physiques sont passés par des chemins un peu déviés. On se dit « Est-ce qu’ils sont assez rapides ? Est-ce qu’ils sont assez athlétiques ? Est-ce qu’ils ne sont pas un peu lents ? ». Et puis finalement, ils montrent qu’avec un beau bagage technique, ils peuvent s’en sortir au haut-niveau.\\n\\nQu’est ce que ça vous fait de retrouver Roanne et Fos-sur-Mer en finale, vos deux dernières équipes en pro ?\\n\\nFranchement ça a été un kiff. Après, c’est dur aussi de commenter quand on connaît autant de monde des deux côtés. On essaie d’être neutre avant tout, et forcément je le suis puisque j’ai des amis dans les deux camps. Je n’étais ni plus pour l’un que pour l’autre. C’est vrai qu’à Fos au niveau des joueurs c’était un peu plus frais, il y avait forcément plus d’anecdotes, des choses comme ça. Ça peut être aussi compliqué parfois parce que ça peut donner des réactions un peu incontrôlées. Alors que d’habitude sur la Jeep ELITE, j’ai un peu plus de recul. C’était quand même un kiff. Mon dernier club ça compte toujours, et à Roanne aussi lors de mon dernier passage, ça c’était très bien passé humainement, aussi bien sur le terrain qu’en coulisses. Il y avait beaucoup d’affect pour ces deux équipes. Je suis allé voir le dernier match de la saison à Fos contre Blois et dès le début des Playoffs j’avais un peu annoncé que je voyais bien Fos-Roanne en finale et que ça me ferait plaisir de la commenter. J’avais dit à David Cozette, qui met en place les dispositifs pour les commentateurs « Si un petit Roanne-Fos se présente et si tu as besoin de quelqu’un, n’hésite pas à me mettre dessus ! ». À la fin du match par contre, c’était compliqué parce que je croisais à la fois des supporters fosséens super heureux à côté d’un groupe de supporters roannais avec les larmes aux yeux. C’était compliqué, même si j’étais dans la meilleure position, parce que dans tous les cas je ne pouvais pas perdre sur ce match. C’est ça aussi qui est bien dans le rôle de consultant, on ne perd jamais. On est là pour commenter et pour que le meilleur gagne. On supporte souvent un peu plus l’équipe derrière au score parce qu’on veut voir des matchs serrés. Si on est pour quelque chose, c’est juste pour ça, du beau jeu et des scores serrés à la fin et ce sera déjà très bien\\n\\nQuels souvenirs gardez-vous de vos passages dans ces deux équipes ?\\n\\nMes souvenirs les plus marquants sont plus des déceptions en fait. À Fos, c’est vraiment la demi-finale contre Le Portel que je retiens (Playoffs 2016). Ça avait été un crève-cœur et avec le scénario, très dur à encaisser. Roanne, c’est pareil. On a fait une saison où on était premier à la base avant d’être attaqué par les blessures et de perdre trois titulaires pendant deux mois. Ça avait été vachement compliqué. Ce sont ces deux sentiments de déception qui m’ont le plus marqué. Sinon au niveau positif, c’était quand même deux belles années à Fos, les deux meilleures saisons du club historiquement, même s’ils ont surenchéri cette année. Quant à Roanne, c’était plus général, il n’y a pas un moment précis. Mais tous les membres de l’équipe étaient très proches, on avait un super groupe et l’aspect humain de cette saison, aussi bien avec les entraîneurs les dirigeants, et des joueurs sur le terrain m’a aussi marqué. Il reste quand même un goût d’inachevé pour ces deux clubs. Je suis un compétiteur et c’est vrai que j’aurais voulu finir sur une montée.\\n\\nAvec Roanne vous terminez votre saison dès le premier tour des Playoffs face à Boulazac alors menée par un certain David Jackson, meilleur marqueur de Roanne cette saison (14,5pts par match)...\\n\\nC’est lui qui avait mis le panier de la gagne au match aller. Il avait fait coast-to-coast, tout terrain. Son panier avait scellé le match. Quand je me suis mis à analyser les deux équipes et leur parcours avant la rencontre j’ai trouvé ça ressemblait un peu à ce qu’a fait Roanne contre Fos-sur-Mer. A savoir que nous, on avait battu Boulazac toute l’année, en pré-saison, même en Coupe de France je crois, et deux fois en championnat. Mais on perd le premier match de Playoffs à l’arrachée et on se fait sortir en deux matchs. Roanne, pour l’instant, c’est un peu ça. Ils avaient mis une raclée de 30 points à Fos-sur-Mer et ils avaient aussi gagné le match aller à Parsemain. Mais finalement, le match le plus important, ils perdent. Mais ça n’est jamais évident de jouer une équipe contre qui on n’a jamais perdu. On va voir comment ils vont rebondir sur ce deuxième match.\\n\\nA Fos-sur-Mer ensuite avec deux saisons consécutives terminées sur le dernier match des demi-finales, qu’est ce qu’il a manqué selon vous ?\\n\\nLa première année, on avait eu Luca Vébobe qui avait manqué les deux premiers matchs de Playoffs contre Lille en quarts de finale. Il revenait tout juste pour la série contre Le Portel. Et c’est vrai qu’on avait pas mal tiré sur les organismes sur les deux matchs précédents et en fin de saison. Il nous avait manqué un peu de fraîcheur sur la belle. Mam (Dia) s’était pris un coup et avait fini blessé, ça s’était joué sur des détails. Il y avait une très bonne équipe du Portel en face, c’était à 50-50. J’ai regretté 2-3 coups de sifflet des arbitres à la fin qui pour moi avaient fait pencher un peu le match, même si je ne dis pas qu’on l’aurait gagné. Après sur la deuxième année, on a tellement joué la première place qu’on est arrivé sur une mauvaise dynamique en Playoffs. On se fait surprendre par Nantes, qui était sur le papier peut-être moins fort que nous, et sans dire qu’on les a pris de haut, peut-être qu’il y avait des match-ups qui ne nous correspondaient pas. J’ai presque moins de regrets sur celle-là parce j’ai le sentiment qu’on avait vraiment perdu sur le terrain, qu’ils avaient été meilleurs que nous et puis c’est tout. C’était totalement différent. La deuxième année, on est sans doute arrivé un peu usé mentalement, il a fallu encaisser le fait d’avoir manqué la montée directe.\\n\\nAu vécu de l’effectif qui n’a pas trop bougé pendant vos deux années à Fos, est-ce que vous trouvez cette équipe fosséenne version 2017-2018 meilleure ?\\n\\nJe ne sais pas si l’équipe est meilleure... Il y a quand même de la profondeur de banc. Pour moi, c’est une très belle équipe de Pro B, qui faisait partie des candidats à la montée. Après, de là à dire qu’elle est meilleure, il faudrait demander à Rémi qui le vit plus de l’intérieur que moi. Je ne les ai vus que deux fois cette saison, le dernier du championnat face à Blois et le premier de la finale... Et puis mon orgueil me pousse à dire qu’ils ne sont pas meilleurs que nous ! (rires) Mais forcément s’ils montent, c’est qu’ils l’auront été. Sur le papier, ça me semble équivalent. Ils ont une belle profondeur de banc, et ils n’ont pas volé leur place en finale en tout cas. Il y avait de belles équipes dans le tableau final, ils sont quand même allés taper Nancy qu’ils ont sortis en deux manches, même si Nancy n’était pas très fort cette année. Et ce qu’ils ont fait à Roanne, il fallait le faire. Pour l’instant, ils nous prouvent qu’ils ont été meilleure que nous ! (rires). Même si j’aurais forcément du mal à le dire\\n\\nQuelle est la clé de ce deuxième match ce soir ?\\n\\nÀ mon sens, il ne faut pas que Fos refasse le même début de match qu’à Roanne. Là, ils ont réussi à faire douter Roanne, qui va arriver entre guillemets sans confiance... En manque de confiance en tout cas, car j’ai quand même vu des têtes basse des joueurs après le match aller. Mais il ne faut pas croire que tout va se faire tout seul et laisser Roanne entrer dans ce match. La défense va être la clé pour empêcher Roanne de prendre confiance. C’est aussi vrai pour Roanne que pour Fos. L’attaque suivra pour l’équipe qui arrivera à cadenasser sa défense.\\n\\nA suivre.\\n\\n[armelse]\\n\\nRaphaël Desroses, qu’avez-vous pensé de ce match aller de la finale des Playoffs de Pro B entre Roanne et Fos-sur-Mer ?\\n\\nComme prévu ça a été un match disputé. Quand on a vu la bonne entame de Roanne, on s’est dit que ça allait être compliqué pour les Fosséens. Mais ils ont réussi à rester soudés, dans le match, à ne jamais vraiment décrocher en restant toujours à l’affût, autour des 10 points d’écart. Et quand ils ont recollé, forcément la pression a changé de camp, et Roanne s’est retrouvé en difficulté dans sa salle. On voit encore que l’avantage du terrain, sur une série aussi courte, peut vite se retourner contre l’équipe qui reçoit en premier. J’ai trouvé Roanne un peu crispé à la fin. Ils ont raté des tirs ouverts, ils en ont eu pas mal et comme Fos avait fermé la raquette, c’est vite devenu assez compliqué pour eux. Et finalement l’outsider a pris le premier match.\\n\\nPeut-on parler de hold-up ? Fos-sur-Mer était mené de 13 points en début de 3e quart-temps...\\n\\nNon, un hold-up ça aurait été s’ils avaient eu 13 point de retard à l’entame du dernier quart-temps par exemple. Là, ils ont rapidement recollé en début de deuxième. Donc je ne dirais pas un hold-up mais en tout cas ils ont fait un beau coup, ça c’est sûr.\\n\\nUn mot sur Pierre Pelos, le facteur X de ce premier match (18pts à 8/8 au tir) ?\\n\\nIl a été bon dans les bons moments. Il a mis des points rapidement dans le match, puis le secteur intérieur de Fos s’est rapidement retrouvé pénalisé par les fautes, et il en faisait partie. Mais c’est vrai qu’en deuxième mi-temps, il a aidé à remettre Fos sur les bons rails, même si c’est Édouard Choquet qui a mis le couvercle à la fin. Mais lui et Mam Dia ont mis de l’impact sur ce poste 5. Je n’oublie pas la prestation de Mam Dia qui lui aussi a mis des paniers importants.\\n\\nMeilleur espoir de N1 avec Tarbes-Lourdes, une saison d’adaptation en Pro B à Saint-Chamond puis Champion de France avec Bourg l’an dernier et en grande forme sur cette fin de saison, son parcours est plutôt impressionnant...\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto Robert Visnelda"
}, 
{"role": "user",     "content":"Russie : Thomas Robison quitte le Khimki Moscou"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir passé une année au Khimki Moscou, Thomas Robinson (2,08m, 27 ans) va quitter le club moscovite.\\n\\nLe Khimki annonce sur son site que les deux partis ont décidé de ne pas renouveler le contrat qui les lie pour la saison prochaine. Arrivé en septembre 2017, le natif de Washington D.C. a vécu sa première expérience en Europe après être passé par Sacramento, Houston, Portland, Philadelphie, Brooklyn et Los Angeles en NBA.\\n\\nCette saison avec le Khimki Moscou, Thomas Robinson compilait en moyenne 9,3 points et 5,5 rebonds pour une évaluation de 10,4 en VTB League et 8,2 points et 5,8 rebonds pour une évaluation de 9,1 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Drake Reed de retour à Evreux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A Saint-Vallier cette saison, Drake Reed (1,94m, 31 ans) va faire son retour à Evreux à la rentrée.\\n\\nSur son site, l’ALM annonce l’arrivée de l’ancien joueur de Poitiers qui s’est engagé pour les deux prochaines saisons. Il va vivre sa cinquième saison à Evreux, après ses passages en 2010/11, 2011-13 et en 2015/16. A Saint-Vallier, le natif de Chesterfield était redescendu d’un échelon pour tenter de faire (re)monter le SVBD en Pro B, mais la mission a été un échec.\\n\\nCette saison en Nationale 1, Drake Reed compilait en moyenne 14,9 points, 5 rebonds et 2 passes décisives pour une évaluation de 14,2.\\n\\nPhoto : Sabine De Leest"
}, 
{"role": "user",     "content":"Christophe Le Bouille (Le Mans): «On va encore progresser, se développer»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Mans Sarthe Basket livre sa quatrième finale de Jeep Elite/Pro A en douze ans. Jusqu’à présent, les Manceaux en ont gagné une, en 2006. Un trophée qui s’ajoute aux trois du SC Moderne (1978, 79, 82). Son président nous parle de l’engouement spectaculaire du public pour son équipe cette saison et aussi de la place de son club dans le basket professionnel français.\\n\\nVoici la deuxième partie de l’interview. Retrouvez la première ici.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nPourquoi avez-vous choisi de faire la Champions League la saison prochaine plutôt que l’Eurocup ?\\n\\nOn en a parlé en interne avec tout le monde, le directeur sportif, le directeur administratif, le directeur commercial et le directeur marketing. Chacun a exposé le pour et le contre parce que pour les deux compétitions, il y a des arguments, des avantages et des inconvénients. Je pense sincèrement que sportivement ces deux compétitions se valent. Simplement le dernier carré Eurocup me paraît plus fort que le dernier carré BCL. En revanche, si on regarde les 16 ou les 8 derniers, je suis sûr que l’Eurocup n’est pas plus forte que la BCL. Je sais bien que dans l’esprit de certains joueurs, de certains agents, de certains journalistes, l’Eurocup est toujours la numéro 2 derrière la BCL. Je ne partage pas cet avis. Je l’ai dit, on ne va pas se mentir, le MSB n’a pas vocation à jouer l’Euroleague. On n’est pas formaté pour ça. Ce n’est pas un manque d’ambition, c’est juste de la lucidité. Donc à quoi bon aujourd’hui pencher pour l’Eurocup cette année sans forcément s’inscrire dans la durée avec eux puisque de toute façon, ils n’ont pas l’intention de nous emmener en Euroleague à terme ? A quoi bon pencher vers eux alors qu’ils ne respectent pas le calendrier international et qu’un jour je mets une journée sur les fenêtres, un coup je l’enlève et un coup je la remets ? Il y a quand même un souci par rapport à ça. Ce n’est pas la question d’être pour ou contre les fenêtres internationales, c’est comme ça, il faut faire avec. ECA n’a pas l’intention de les respecter comme elle ne respecte pas la trêve à Noël pour faire reposer les joueurs. Ça me pose un vrai problème. On est très content de l’organisation de la BCL, ça s’est très bien passé la première année. Les retours que j’ai eu cette année sont également bons. Economiquement, ça se tient. Les deux compétitions ont pour nous le même impact. Il n’y a pas d’écart significatif dans un sens ou dans un autre car l’Eurocup a dû s’aligner un peu sur ce que propose la BCL. Ça ne pouvait pas être un choix économique. Sur le plan sportif, tu balançais entre le fait de se dire qu’on allait peut-être intéresser plus de joueurs si l’on faisait l’Eurocup puisque dans leur esprit c’est peut-être encore la numéro 2, peut-être que l’on peut les avoir un peu moins cher, mais de l’autre côté, attention, les internationaux ont des trêves internationales. Comment je vais faire avec la logistique des calendriers avec la ligue où c’est compliqué ? Donc pour moi, l’Eurocup c’était un choix à très court terme, j’ai donc choisi, validé l’option BCL.\\n\\nAu niveau de la ligue avez-vous pris une décision quant à la compétition à laquelle il faut de préférence participer (NDLR : Christophe Le Bouille est par ailleurs vice-président de la LNB) ?\\n\\nNon, les clubs sont libres. Le président Béral l’a clairement dit. Chacun va pouvoir choisir en fonction de ses performances. J’entendais que l’Eurocup a contacté pas mal de clubs. Ils nous font aussi la cour, « venez ! venez ! venez ! » « Mais pourquoi nous plus que les autres ? » « Venez, vous, c’est sûr ! » « Vous tenez ce discours à combien de clubs ? » J’ai tout de même le sentiment qu’il y a des choses qui sont faites surtout pour embêter le concurrent et pas dans une optique politique. Chaque club va décider. Béral et Siutat (NDLR : président de la FFBB) ne m’ont mis aucune pression, ils ne sont pas intervenus. D’ailleurs, ils savent tous les deux que j’ai vraiment hésité. Bien sûr que j’avais en tête le fait que « la BCL, c’est la FIBA, c’est légaliste », etc, mais j’avais réservé ma réponse. La Ligue m’a relancé plusieurs fois pour la connaître. On était vraiment en réflexion et pour moi il n’y avait rien d’évident. J’ai pris une décision, je suis président, je suis là pour ça, mais après avoir pesé le pour et le contre pour les deux compétitions.\\n\\nIl y avait une deadline pour l’Eurocup ?\\n\\nOn avait reçu des documents d’inscription sans rien avoir demandé et ils nous pressaient pour qu’on les renvoie. C’est logique, il y a des réunions qui vont devoir se mettre en place, des groupes à déterminer, un tirage au sort comme la BCL va le faire. C’est là qu’il fallait se décider mais je n’avais pas de deadline précise.\\n\\nFaire la Champions League avec les bonus donnés par l’organisateur et aussi par la LNB et avoir battu des records d’affluence, c’est l’assurance d’avoir en 2018-19 un budget supérieur à celui de cette saison ?\\n\\nOui, le budget sera à la hausse. On avait cette année un budget prévisionnel qui était forcément inférieur à celui des années précédentes puisque pour la première fois depuis longtemps, on ne faisait pas de coupe d’Europe. La coupe d’Europe, au-delà des bonus qui peuvent être attribués par la Ligue et la BCL génère des recettes en termes de partenariat et de recettes de match. Même s’il y a des charges et la preuve c’est que cette année, notre masse salariale était quasiment la même que celle de l’année d’avant alors que le budget était inférieur. Oui, l’année prochaine, ça va repartir à la hausse. Mais je m’entends, les recettes de la LNB, ce n’est pas au titre de la participation à la coupe d’Europe mais au regard de nos performances cette année.\\n\\nCe ne sont plus des bonus liés à la participation aux coupes d’Europe ?\\n\\nLa Ligue ne va plus donner de bonus aux équipes participantes aux coupes d’Europe. Ça a été décidé par le Comité Directeur. La Ligue se concentre sur ses performances domestiques et donne des bonus à ses clubs en fonction de leurs résultats en Jeep Elite. Il y a un fixe et quelques variables en fonction des retransmissions TV, une prime à la notoriété on va dire. Et après, il y a des bonus en fonction du parcours en playoffs, quarts-de-finaliste, demi-finaliste, finaliste, vainqueur.\\n\\nCette saison, Chalon, champion de France, avait un budget supérieur, ce qui ne l’a pas empêché d’être dépouillé de ses trois meilleurs joueurs, John Roberson, Cameron Clark et Moustapha Fall et la conséquence a été un parcours pour le moins laborieux. Peut-on craindre pareil phénomène pour le MSB ?\\n\\nForcément. Tous les clubs français sont exposés à ça. Déjà, je ne suis pas encore champion, loin de là ! (Sourire) Bien sûr que l’on a des joueurs atypiques mais je ne suis pas sûr que notre équipe repose de la même manière que Chalon sur trois forts joueurs. J’ai l’impression que c’est un peu plus diffus chez moi. Bien sûr, j’ai des joueurs marquants. Justin Cobbs fait une grosse saison, il fait notamment des playoffs de feu. Youssoupha Fall a fait une saison extraordinaire, il est un peu plus en difficulté en playoffs sauf le dernier match (NDLR : le Match 5 contre Strasbourg). Les gens pensent à DJ (Stephens). Il est extraordinaire de par ses qualités athlétiques mais ce n’est pas un joueur qui a par exemple l’impact de Cameron Clark l’année dernière sur un plan statistique. Je ne pense pas que ce soit exactement la même problématique mais si on est champion -et même si on ne l’est pas- on sera sans doute plus sous les radars des autres clubs qu’avant et ils vont sans doute avoir plus de propositions. On verra ce qui va se passer avec nous. Ces gens-là ont-ils envie de partir ou de prolonger avec nous ? On verra. Je ne suis pas le seul concerné. Les meilleurs joueurs qui évoluent chaque année en Jeep Elite sont susceptibles de partir en Turquie, en Russie, en Espagne et je ne parle pas évidemment de la NBA. Ces trois destinations-là payent beaucoup pour plein de raisons. Peut-être que l’on ne développe pas suffisamment nos ressources. Il faut aussi se poser la question entre le coût d’un joueur entre la France et l’Allemagne.\\n\\n« Tout le monde parle de la fusion des caisses de retraite. A part Monaco, les clubs de basket vont être super impactés »\\n\\nAllez-vous être pénalisé par l’impôt à la source ?\\n\\nBien sûr. J’entends bien que tout le monde doit payer son impôt. Après, on sait que des joueurs au bout d’un an -je ne dis pas que c’est bien, au contraire- partaient peut-être... En tout cas, ils n’avaient pas la retenue sur leur fiche de paye -je parle des étrangers. Quand il va falloir leur retirer 20 ou 25% chaque mois avant de faire les réguls alors qu’ils ne seront peut-être plus en France six mois après quand tu vas faire ces réguls, ce n’est pas facile à expliquer à nos amis agents et joueurs étrangers. On sait qu’il y a d’autres pays où il n’y a pas ça. Tout le monde parle de la fusion des caisses de retraite. A part Monaco, les clubs de basket vont être super impactés. On sait combien coûte en France un joueur que l’on paye 100 000 et combien il coûte en Allemagne. Je veux bien que l’on soit des incapables mais il y a des données ce n’est pas nous qui les maîtrisons. Et je parle de l’Allemagne, pas de la Russie ou de la Turquie. Je parle de l’Allemagne qui est un pays frère, qui a à peu près le même développement économique, la même population. Parfois ils font mieux que nous, parfois c’est nous qui faisons mieux qu’eux. Mais là, il y a un écart qui est énorme et qui va encore s’accentuer au mois de janvier. Je pense surtout avec la fusion des caisses de retraite. Peut-être que le grand public ne va pas comprendre qu’au basket, ils n’arrivent pas à développer leur truc. Pour des joueurs majeurs étrangers, qui veulent récolter les fruits de leur bonne saison, qui ont une carrière courte, quand tu as la possibilité de gagner 30 ou 40 000 dollars de plus en Allemagne qu’en France, ils ont beau te trouver sympa, que tu t’occupes bien d’eux, que ton organisation est bonne, que ton système social est bon, que la qualité de vie en France est formidable, ils ont beau apprécier ton coach, à un moment donné, il y a une réalité qui te rattrape. Il ne faut pas se laisser abattre et chercher des solutions mais ces solutions c’est souvent de retenter des coups, d’aller chercher des joueurs. On a du mal à garder ces très forts joueurs à chaque fois. Il n’y a pas pour l’instant de clubs français qui disputent l’Euroleague et c’est un problème aussi. A part Strasbourg et Villeurbanne, qui ont des masses salariales supérieures et Monaco, qui n’a pas le même système que nous, je ne pense pas que Nanterre, Chalon, Le Mans, Limoges, Gravelines, Pau, pour parler des principales masses salariales, conservent d’une année sur l’autre leurs meilleurs joueurs étrangers.\\n\\nSans parler d’une équipe à Paris, pensez-vous que sur les cinq prochaines années, l’écart va s’agrandir entre d’un côté Strasbourg, Villeurbanne et Monaco, et les suivants dont Le Mans ?\\n\\nC’est possible car ils ont des modèles économiques à peu près uniques en France. Je ne parle pas de Monaco. Villeurbanne, c’est porté par Tony Parker dans une agglomération importante et aussi l’institution ASVEL. On connait tous l’aura de Tony. Avec Gaétan (NDLR : Muller, le Directeur Général), ils vont réussir à performer. Ça prendra peut-être du temps mais ils vont continuer à monter. Strasbourg, c’est un autre modèle, un très beau projet porté par Martial (Bellon) avec l’appui des collectivités locales et quelques entreprises dont les sièges nationaux ou régionaux sont à Strasbourg et on parle d’une capitale européenne. Ça a du sens. Chalon-sur-Saône, Le Mans, on n’est malheureusement pas des capitales régionales. Vous disiez tout à l’heure que Le Bouille aurait pu faire plus d’argent en augmentant le prix des billets pour les playoffs, forcément on aurait fait plus d’argent... Au niveau des partenaires, mon souci restera toujours d’attirer des entreprises nationales au Mans. Mais pourquoi des entreprises nationales dont le siège n’est pas ici viendraient communiquer avec le MSB alors que l’exposition TV que l’on a ne peut pas le justifier -je ne parle pas du contrat? On va dire certainement que je suis pessimiste et que je ne booste pas assez. Peut-être. Mais je pense que Limoges a la même problématique. Ils auront du mal à faire plus que ce qu’ils font aujourd’hui. Ils ont une ferveur populaire formidable, ils vont peut-être un peu augmenter le budget. Chalon c’est forcément limité. Nous, on va faire un peu mieux parce que la Ligue travaille dans ce sens pour donner plus de ressources aux clubs. On va encore progresser, se développer. Déjà le jour où j’aurai toutes les entreprises locales qui ont leur siège ici comme partenaires du MSB, pour l’instant ce n’est pas encore le cas. Donc, oui, l’écart risque d’augmenter encore un petit peu mais tant mieux s’il y a deux ou trois clubs qui poussent vraiment vers le haut, qui disputent l’Euroleague. Je suis convaincu que ça rejaillira sur tout le monde. Mais j’ai l’impression que l’on dit ça un petit peu chaque année, or chaque année il y a une densité incroyable. L’an dernier, c’est Chalon qui est champion. Cette année ça sera ou ça ne sera pas Le Mans mais on était la huitième masse salariale du championnat !\\n\\nLes écarts sont encore trop faibles entre les deux ou trois budgets principaux mais que le jour où il y aura des clubs à 12 ou 15M€, ils seront inabordables ?\\n\\nOui, même si on monte un peu, on aura du mal à aller chercher ces trophées-là. Ils les confisqueront. J’attends de voir ce qui va se passer. J’entends des choses en Turquie sur des clubs dont le modèle économique est plutôt fragile et certains sont en danger. Est-ce que c’est bien pour le championnat français s’il y a autant d’écarts entre deux ou trois locomotives et les autres ? Un écart oui, pour leur permettre d’être performants en coupes d’Europe mais s’il y en a trop, est-ce que ça sera pertinent pour tout le monde ? Je ne sais pas.\\n\\n[armelse]\\n\\nPourquoi avez-vous choisi de faire la Champions League la saison prochaine plutôt que l’Eurocup ?\\n\\nOn en a parlé en interne avec tout le monde, le directeur sportif, le directeur administratif, le directeur commercial et le directeur marketing. Chacun a exposé le pour et le contre parce que pour les deux compétitions, il y a des arguments, des avantages et des inconvénients. Je pense sincèrement que sportivement ces deux compétitions se valent. Simplement le dernier carré Eurocup me paraît plus fort que le dernier carré BCL. En revanche, si on regarde les 16 ou les 8 derniers, je suis sûr que l’Eurocup n’est pas plus forte que la BCL. Je sais bien que dans l’esprit de certains joueurs, de certains agents, de certains journalistes, l’Eurocup est toujours la numéro 2 derrière la BCL. Je ne partage pas cet avis. Je l’ai dit, on ne va pas se mentir, le MSB n’a pas vocation à jouer l’Euroleague. On n’est pas formaté pour ça. Ce n’est pas un manque d’ambition, c’est juste de la lucidité. Donc à quoi bon aujourd’hui pencher pour l’Eurocup cette année sans forcément s’inscrire dans la durée avec eux puisque de toute façon, ils n’ont pas l’intention de nous emmener en Euroleague à terme ? A quoi bon pencher vers eux alors qu’ils ne respectent pas le calendrier international et qu’un jour je mets une journée sur les fenêtres, un coup je l’enlève et un coup je la remets ? Il y a quand même un souci par rapport à ça. Ce n’est pas la question d’être pour ou contre les fenêtres internationales, c’est comme ça, il faut faire avec. ECA n’a pas l’intention de les respecter comme elle ne respecte pas la trêve à Noël pour faire reposer les joueurs. Ça me pose un vrai problème. On est très content de l’organisation de la BCL, ça s’est très bien passé la première année. Les retours que j’ai eu cette année sont également bons. Economiquement, ça se tient. Les deux compétitions ont pour nous le même impact. Il n’y a pas d’écart significatif dans un sens ou dans un autre car l’Eurocup a dû s’aligner un peu sur ce que propose la BCL. Ça ne pouvait pas être un choix économique. Sur le plan sportif, tu balançais entre le fait de se dire qu’on allait peut-être intéresser plus de joueurs si l’on faisait l’Eurocup puisque dans leur esprit c’est peut-être encore la numéro 2, peut-être que l’on peut les avoir un peu moins cher, mais de l’autre côté, attention, les internationaux ont des trêves internationales. Comment je vais faire avec la logistique des calendriers avec la ligue où c’est compliqué ? Donc pour moi, l’Eurocup c’était un choix à très court terme, j’ai donc choisi, validé l’option BCL.\\n\\nAu niveau de la ligue avez-vous pris une décision quant à la compétition à laquelle il faut de préférence participer (NDLR : Christophe Le Bouille est par ailleurs vice-président de la LNB) ?\\n\\nNon, les clubs sont libres. Le président Béral l’a clairement dit. Chacun va pouvoir choisir en fonction de ses performances. J’entendais que l’Eurocup a contacté pas mal de clubs. Ils nous font aussi la cour, « venez ! venez ! venez ! » « Mais pourquoi nous plus que les autres ? » « Venez, vous, c’est sûr ! » « Vous tenez ce discours à combien de clubs ? » J’ai tout de même le sentiment qu’il y a des choses qui sont faites surtout pour embêter le concurrent et pas dans une optique politique.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: DJ Stephens (MSB), Chris Lofton (LNB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"JD Jackson en formateur à la FAC du Basket-Ball de Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FAC du Basket-Ball est un organisme de formation et son rôle est donc de former les joueurs et les entraîneurs de basket qu’ils soient à la recherche d’un club ou non.\\n\\nCe vendredi 15 juin et ce samedi 16 juin, la FAC du basket-ball organise une formation pour les entraîneurs professionnels à la recherche de club qui veulent se perfectionner à l’anglais spécial basket. Cette formation se déroule sur deux jours à Limoges et la formation continuera à distance. Elle est totalement prise en charge par Uniformation et se déroulera principalement à Cheops 87. Les entraîneurs n’ont rien à payer et c’est une vraie chance pour eux de revoir ou de se perfectionner à la langue de Shakespeare et de LeBron James.Le Franco-Canadien JD Jackson, ex-coach du Mans et de Villeurbanne, animera la formation vendredi de 14h00 à 17h00 à l’Hôtel Aplonia Limoges Sud et samedi de 10h à 12h30 au gymnase de Cheops 87.Les autres cours seront pris en charge par Cédric Civade professeur d’anglais au lycée et dans l’enseignement supérieur. Il est également entraîneur de basket de jeune U17.Au programme, principalement de la compréhension et du parler sous forme de jeux de rôle, de mises en situations d’entraîneurs, de match, d’analyse vidéo...Cette formation se continuera pour les 8 stagiaires inscris jusqu’à fin août via de la formation à distance.C’est une première formation que la FAC du Basket-ball veut pérenniser tous les ans."
}, 
{"role": "user",     "content":"Belgique: Septième titre d’affilée pour Ostende"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le BC Ostende est définitivement le croquemitaine du championnat belge. Le club flamand a remporté hier soir son septième titre national d’affilée. Un record. Anvers a été dominé en trois manches: 75-67, 74-66 et 78-67.\\n\\nPour cette ultime round, le meilleur joueur du côté des vainqueurs a été le pivot nigérian Tonye Jekiri (2,13m, 24 ans) auteur d’un double double: 17 points et 11 rebonds. Il a été élu MVP de la finale.\\n\\nVictorieux de Mons-Hainaut en finale de la Coupe de Belgique, les Ostendais ont réalisé en outre un sixième doublé Coupe-Championnat de suite.\\n\\n« Cela démontre combien on travaille dur », a déclaré au Soir le coach Dario Gjergja dont c’est également le septième titre. « J’espère qu’on retiendra que j’ai été utile. » Plus encore cette saison tant il a fallu remplacer des joueurs importants. « Mais tous ont adhéré à notre éthique, se sont investis en défense, la clé, avec notre envie de partager le ballon et l’expérience, de mon capitaine Djordjevic en particulier. »\\n\\nOstende possède incontestablement un temps d’avance sur les autres clubs belges après avoir monté une structure professionnelle et un projet axé sur la stabilité et les jeunes Belges. Les Ostendais ont été champions de 1981 à 1986, en 1988, 1995, en 2001 et 2002, en 2006 et 2007, et donc de 2012 à 2018. Ils ont par ailleurs remporté 10 fois la Super-Coupe de Belgique.\\n\\nPhoto: Tonye Jekiri"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Fenerbahce sacré champion de Turquie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que Monaco vient de prendre l’avantage en l’emportant face au Mans lors de l’épisode 1 des finales de Jeep Elite, le Fenerbahce a été sacré champion de Turquie mercredi soir.\\n\\nFinaliste d’Euroleague, le Fener ne sortira pas bredouille de cette saison 2017/18. Vainqueur de 30 points face au Tofas Bursa (94-64), les joueurs de Zeljko Obradovic sont venus à bout de leurs adversaires en cinq manches (4-1). Le club de la capitale réalise le triplé en remportant le championnat pour la troisième fois d’affilée, pour la quatrième fois en cinq et pour la neuvième fois de son histoire.\\n\\nAvec 16,4 points et 4,2 passes décisives de moyenne sur la série, Brad Wanamaker a été élu MVP des finales. C’est la deuxième fois de sa carrière que l’ancien joueur du CSP est élu MVP des finales après avoir été raflé le titre en 2015 sous les couleurs de Bamberg. Une dernière récompense avant de rejoindre le FC Barcelone ?\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=bFeKzhvVha0"
}, 
{"role": "user",     "content":"Etats-Unis: Décès de l’ancienne championne olympique, Anne Donovan"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le basketball féminin a perdu une pionnière avec le décès de Anne Donovan, 56 ans, mercredi, d’une crise cardiaque.\\n\\nL’Américaine, 2,03m, forma avec Nancy Lieberman une paire de joueuses talentueuses à l’université de Old Dominion au début des années quatre-vingts. Elle fut également membre des équipes olympiques américaines qui ont remporté l’or en 1984 et 1988. Après l’université, elle a joué cinq saisons comme professionnelle au Japon et une en Italie\\n\\nDonovan a débuté comme coach adjointe à son alma mater, Old Dominion, pendant six saisons. Puis elle a passé trois ans comme entraîneur à East Carolina. Elle a emmené le Seattle Storm à un titre WNBA en 2004 et l’équipe olympique américaine à l’or en 2008. Donovan a été la première femme à remporter un titre WNBA, et à 42 ans, elle était la plus jeune.\\n\\n« Si elle est introvertie, elle a fait un excellent travail en sortant de sa coquille », a déclaré la meneuse internationale Sue Bird, qui a également joué cinq saisons pour Donovan à Seattle. « Elle sait quand nous avons besoin d’un jour de repos ou quand nous avons besoin d’aller dans le dur. «"
}, 
{"role": "user",     "content":"Paul Lacombe (Monaco): «On sait que Le Mans a du caractère, je pense que toute la série sera disputée»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Même s’ils ont gagné le premier Episode, 81-77, les Monégasques se méfient toujours autant de leurs adversaires manceaux si l’on en croit les commentaires en conférence de presse de Zvezdan Mitrovic et Paul Lacombe.\\n\\n« C’était un match dur, on a contrôlé, mais Le Mans a un gros caractère.. Ils reviennent toujours. On doit continuer de jouer à notre façon. Les deux trois-points de Lofton à la fin ont tout remis en cause. Mes gars ont réussi à avoir le dernier mot. Bravo à eux. Il faut continuer. Le public nous a bien poussés », a estimé le coach.\\n\\nPaul Lacombe a été l’auteur d’une partie plus discrète qu’à l’accoutumée avec 4 points et 3 d’évaluation en 12 minutes:\\n\\n« La victoire passera par la défense. L’essentiel est fait, on mène 1-0, c’est très important. On sait que Le Mans a du caractère, je pense que toute la série sera disputée. Personnellement ? Je n’ai pas réussi à rentrer dans ce match. Je ne me sentais pourtant pas trop tendu avant la rencontre. Peut-être pas assez. J’aurai à coeur de faire mieux ».\\n\\nLe pivot manceau Youssoupha Fall a regretté le gâchis des balles perdues:\\n\\n« On perd 22 ballons, on ne peut pas gagner comme ça. On a joué trop soft. On va rectifier. »\\n\\nMême constat chez son coach Eric Bartecheky:\\n\\n« 22 pertes de balle, c’est tout ce qu’on voulait éviter face à Monaco, qui exploite à merveille le jeu rapide. Malgré tout, on est dans le match, on a un ballon pour passer à +1 à la fin. On a des regrets, mais c’est le début de la série. On encaisse trop de points à l’intérieur. On va vite se tourner vers le prochain match ».\\n\\nPhoto: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep ÉLITE : Karvel Anderson (Boulazac) en route pour Gravelines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Notre consultant continue de lancer ses scoops sur Twitter et après avoir, par exemple, annoncé Christian Monschau à Nancy en avant-première, Fred Weis envoie cette fois Karvel Anderson (1,88m, 27 ans) au BCM Gravelines-Dunkerque.\\n\\nCette saison à Boulazac, l’arrière américain arrivait chez le promu qui cherchait à se maintenir en Jeep Elite pour arrêter de faire l’ascenseur entre l’élite et son antichambre. Malheureusement pour le club du Périgord, la mission a échoué et l’ancien pensionnaire de Nebraska aurait décidé de quitter la formation de Claude Bergeaud pour rejoindre le Nord de la France.\\n\\nCette saison en Jeep Elite, Karvel Anderson compilait en moyenne 15,2 points, 2,8 rebonds et 1,9 passe décisive pour une évaluation de 12.\\n\\n\\n\\n\\nKarvel Anderson ex @BoulazacBasketD rejoint son ami Taylor Smith a @BCMBasket\\n\\n\\n— Fred Weis (@Bigfredstyle) June 13, 2018\\n\\nPhoto : Boulazac Basket Dordogne"
}, 
{"role": "user",     "content":"Finale Jeep Elite, Episode 1: Monaco se sort du piège manceau, 81-77"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Même s’ils n’ont jamais mené au score, les Manceaux ont vaillamment résisté à la Roca Team. Trop de pertes de balle (22) leur ont coûté très cher. Chris Evans (18 points, 22 d’évaluation) et DJ Cooper (15 points, 8 passes) ont fait un sacré job.\\n\\nC’est dans une salle Gaston-Médecin à la capacité réduite* et pourtant même pas totalement pleine -les sièges jaunes, ça ne pardonne pas- que s’est tenu l’Episode 1 de cette finale. Il y avait presque autant de monde sur le banc de la Roca Team que dans toute la salle! Surtout, c’était aussi mou qu’un chamallow. Honteux pour Monaco, dramatique pour le basket.\\n\\nEn revanche, les hommes de Coach Z étaient eux dignes de l’évènement. 7-2 d’entrée avec leur pivot Eldemin Kikanovic qui voulait montrer tout de suite que la stature de Youssoupha Fall ne l’impressionnait pas. Le MSB prenait deux trois-points dans sa figure en transition. La Roca Team faisait valoir très vite la profondeur de son banc. Avec une interception et une contre-attaque de Chris Evans, les Monégasques menaient 22-16 après dix minutes bénéficiant d’un 8/12 aux shoots et de cinq balles perdues mancelles.\\n\\nLes Manceaux ne dévissaient pas véritablement, c’est plus à l’usure que l’ASM mettait la main sur le match. Un trois-points de Chris Evans et les Monégasques menaient 36-24 (15e) avec toujours un minimum de bavures (12/18 aux tirs) et 4 balles perdues contre 9 au Mans. D.J. Cooper (6 points, 5 rebonds) régalait.\\n\\nMalgré tout, et alors que beaucoup aurait flanché à cet instant, les Manceaux ne perdaient pas leur sang-froid. Leur défense était toujours solide et s’appuyant sur Romeo Travis (16 points, 8 rebonds), ils passaient un 10-0 à l’ASM et revenaient à trois points puis à quatre (35-39) à la mi-temps. Leur 10/11 aux lancers-francs était pour eux une aubaine.\\n\\nGerald Robinson ne flanche pas sur la ligne\\n\\nC’est la paire DJ Cooper (3 paniers bonifiés, 8 assists)/Eldemin Kikanovic (redoutable en tête de raquette) qui permettait à Monaco de maintenir son avance. Même si l’ambiance de colonie de vacances de la salle ne le reflétait pas, c’était très intense. Le MSB gâchait beaucoup de possibilités offensives avec une surabondance de balles perdues (14 après 27e). L’ASM était à +9 à ce moment-là et à +5 après 30 minutes (60-54). C’est sa maladresse aux lancers (5/13) qui empêchait alors la Roca Team de se détacher et aussi l’étonnante moisson de rebonds des Manceaux (31 à 19).\\n\\nLe score faisait l’accordéon avec un écart longtemps compris entre 4 et 10 points. Jusqu’ici cantonné dans un rôle de passeur, à quelques shoots intérieurs, Chris Lofton plantait deux trois-points de suite et une pénétration et Le Mans égalisait à 70-70 à la 36e. C’était de courte durée. L’ASM reprenait cinq unités d’avance avec un dunk fracassant de Chris Evans ponctué d’un lancer. De plus le MSB perdait Youssoupha Fall pour une cinquième faute. Les Monégasques sortaient la hache pour éviter les paniers « faciles ».\\n\\nLes Manceaux n’abandonnaient pas pour autant. DJ Stephens ratait la balle d’égalisation et Aaron Craft marquait sur l’assaut suivant. Le tournant du match? Pas encore: Chris Lofton (15 points, 6 passes et 5 rebonds) réussissait encore un trois-points, 75-77, à 32 secondes du buzzer. DJ Cooper ratait un trois-point mais sur le rebond une faute -curieuse- était sifflée à DJ Stephens. Gerald Robinson marquait quatre lancers décisifs et hop!, la victoire était dans la besace monégasque.\\n\\n* »Même si cette salle est sympathique, il faut que l’on réfléchisse à une salle plus grande », a déclaré le Prince Albert au micro de SFR Sport.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nLe résumé est ici.\\n\\nPhoto: AS Monaco (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Daniel Hackett ne serait pas contre quitter Bamberg pour une équipe d’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bamberg privé d’Euroleague la saison prochaine en raison de son parcours en playoffs – éliminé en demi-finale -, l’équipe pourrait bien changer radicalement. Daniel Hackett (1,99m, 30 ans), par exemple, ne dirait pas non à un départ dans une équipe d’Euroleague.\\n\\nL’ancien Milanais a annoncé au Corriere Adriatico qu’il est sous contrat l’année prochaine, mais qu’il possède également une clause départ pour une équipe d’Euroleague. Le club souhaite conserver son joueur, mais l’international italien a toujours été proche de l’Olympiakos. Le buy-out pour s’offrir Hackett est de 175 000€, ce qu’un club comme l’Oly peut, sans grandes difficultés, payer. Affaire à suivre...\\n\\nCette saison, Daniel Hackett compilait en moyenne 10,3 points, 4 rebonds et 4,4 passes décisives pour une évaluation de 13,6 en Bundesliga et 9,6 points, 2,7 rebonds et 3,4 passes décisives pour une évaluation de 11,8.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France : Alain Koffi remplace Louis Labeyrie pour la prochaine fenêtre internationale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Toujours sur le carreau, Louis Labeyrie ne pourra pas être présent pour l’Equipe de France pour les matchs face à la Bosnie-Herzégovine et la Russie des 29 juin et 2 juillet.\\n\\nL’intérieur de la SIG n’a pas obtenu le feu vert médical pour pouvoir rejoindre l’équipe de France dans deux semaines. C’est donc Alain Koffi qui viendra prêter main forte à Rudy Gobert, Boris Diaw, Moustapha Fall, Mathias Lessort et Vincent Poirier.\\n\\nLe groupe des quatorze joueurs retenus pour les matchs de juin :\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\nNom\\nNaissance\\nTaille\\nPoste\\nSél.\\nPoints\\nClub 2017/2018\\n\\n\\nAndrew\\nALBICY\\n21/03/1990\\n1,78\\nMeneur\\n38\\n81\\nMoraBanc Andorra (Espagne)\\n\\n\\nNicolas\\nBATUM\\n14/12/1988\\n2,03\\nAilier\\n125\\n1396\\nCharlotte Hornets (NBA)\\n\\n\\nFabien\\nCAUSEUR\\n16/06/1987\\n1,95\\nArrière\\n29\\n70\\nReal Madrid (Espagne)\\n\\n\\nNando\\nDE COLO\\n23/06/1987\\n1,96\\nArrière\\n159\\n1700\\nCSKA Moscou (Russie)\\n\\n\\nBoris\\nDIAW\\n16/04/1982\\n2,03\\nAilier fort\\n245\\n2081\\nLevallois Metropolitans\\n\\n\\nMoustapha\\nFALL\\n23/02/1992\\n2,18\\nPivot\\n4\\n38\\nSakaraya Buyuksehir (Turquie)\\n\\n\\nEvan\\nFOURNIER\\n29/10/1992\\n1,99\\nAilier\\n54\\n436\\nOrlando Magic (NBA)\\n\\n\\nRudy\\nGOBERT\\n26/06/1992\\n2,15\\nPivot\\n48\\n333\\nUtah Jazz (NBA)\\n\\n\\nThomas\\nHEURTEL\\n10/04/1989\\n1,88\\nMeneur\\n72\\n495\\nFC Barcelone (Espagne)\\n\\n\\nEdwin\\nJACKSON\\n18/09/1989\\n1,9\\nArrière\\n49\\n199\\nFC Barcelone (Espagne)\\n\\n\\nAlain\\nKOFFI\\n23/11/1983\\n2,07\\nAilier fort\\n40\\n194\\nPau-Lacq-Orthez\\n\\n\\nPaul\\nLACOMBE\\n12/06/1990\\n1,9\\nAilier\\n4\\n43\\nAS Monaco\\n\\n\\nMathias\\nLESSORT\\n29/09/1995\\n2,05\\nAilier fort\\n1\\n–\\nEtoile Rouge Belgrade (Serbie)\\n\\n\\nVincent\\nPOIRIER\\n17/10/1993\\n2,13\\nPivot\\n10\\n41\\nVitoria (Espagne)\\n\\n\\n\\n\\nLes trois joueurs réservistes pour les matchs de juin :\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\nNom\\nNaissance\\nTaille\\nPoste\\nSél.\\nPoints\\nClub 2017/2018\\n\\n\\nAxel\\nJULIEN\\n27/07/1992\\n1,85\\nMeneur\\n5\\n17\\nJDA Dijon\\n\\n\\nLahaou\\nKONATE\\n17/11/1991\\n1,97\\nAilier\\n4\\n2\\nNanterre 92\\n\\n\\nYakuba\\nOUATTARA\\n24/01/1992\\n1,91\\nArrière\\n6\\n13\\nAS Monaco\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Finale Jeep Elite : le pari du jour avec Fred Weis et France Pari"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Notre chroniqueur Fred Weis est un fana de pronostics et de paris sportifs. Adepte du loto sportif auquel il s’adonne depuis plusieurs années dans son bar/tabac Le Marigny à Limoges, Fred se lance dans les paris en ligne en partenariat avec France-Pari.fr Profitez de votre inscription pour bénéficier de 100€ de bonus et de paris remboursés !\\n\\nVoici le pari avec l’analyse de Fred Weis pour le premier match de la finale de Jeep Elite entre Monaco et Le Mans :\\n\\nMonaco – Le Mans, match 1 : Monaco (1,13)\\n\\nTrès dur d’imaginer Le Mans s’imposer contre l’AS Monaco ce soir. Surtout que les Monégasques ont gagné en sérénité lors de ces playoffs, notamment grâce au match 4 face au Limoges CSP."
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Edwin Jackson signe au Monténégro"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme annoncé par son agent il y a quelques heures, Edwin Jackson (1,90m, 28 ans) va bien rejoindre le Monténégro et passer la saison 2018/19 à Podgorica.\\n\\nSur son site, le club monténégrin annonce l’arrivée de l’international français pour une saison. L’ancien joueur de l’ASVEL a passé cette saison entre la Chine et l’Espagne. La saison prochaine il disputera l’Euroleague avec le Buducnost, qui a remporté la Ligue Adriatique lors de l’exercice 2017/18.\\n\\nCette saison, Edwin Jackson compilait en moyenne 15,8 points, 4,5 rebonds et 4,2 passes décisives en Chine, 6,7 points et 2,2 rebonds en ACB et 4,5 points, 1,9 rebond et 1,2 passe pour une évaluation de 5,3 en Euroleague.\\n\\nProfitez d’une promo sur le maillot d’Edwin Jackson au Barca sur notre boutique. 39€ au lieu de 75€.\\n\\nPhoto : Guillaume Poumarede"
}, 
{"role": "user",     "content":"Christophe Le Bouille (Président du Mans): «Depuis trois matches, ce qui se passe dans cette salle est extraordinaire»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Mans Sarthe Basket livre sa quatrième finale de Jeep Elite/Pro A en douze ans. Jusqu’à présent, les Manceaux en ont gagné une, en 2006. Un trophée qui s’ajoute aux trois du SC Moderne (1978, 79, 82). Son président Christophe Le Bouille nous parle de l’engouement spectaculaire du public pour son équipe cette saison et aussi de la place de son club dans le paysage du basket professionnel français.\\n\\nL’interview est en deux parties.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQue se serait-il passé si vous aviez reçu les deux premiers matches de la finale, aujourd’hui mercredi et vendredi, soit en pleine semaine des 24 Heure du Mans qui ont attiré 260 000 personnes l’année dernière sachant que Antarès est située à l’intérieur du circuit ?\\n\\nOn avait évidemment anticipé cette hypothèse que Limoges se qualifie contre Monaco. On avait envisagé de changer les jours de match. Pas possible pour la ligue. En plus, ça ne solutionnait pas grand-chose. On pouvait jouer le mardi sans soucis d’accès mais le jeudi c’était le même problème. On a envisagé d’aller jouer ailleurs, à Angers, à Blois. On avait pris des contacts et obtenu des accords de principe pour des mises à disposition de salles mais j’ai reculé car ça ne me paraissait pas raisonnable en 48h ou 72h de gérer tout le barnum des finales, la billetterie, le cahier des charges terrain, les supporters, etc.\\n\\nVous l’aviez déjà fait une fois ?\\n\\nTout à fait. Pour une demi-finale contre Villeurbanne à la salle Jean-Bouin d’Angers, que l’on avait gagné. On avait cette solution sous le coude. Après, la solution qui nous paraissait la plus pratique était d’inverser l’ordre des matches avec le club de Limoges donc de jouer 1 et 2 là-bas et 3, 4 et 5 si besoin au Mans. J’ai appelé Youri (NDLR : Verieras, le président du CSP), qui a bien compris la situation. Je lui ai expliqué que pour eux ça allait être compliqué d’accéder à la salle et je ne parle même pas de l’hébergement (NDLR : toutes les chambres en Sarthe sont réservées pour les 24 heures). On est dans l’enceinte du circuit et pour circuler c’est juste infernal. Des abords du Mans, il faut compter deux bonnes heures pour accéder à Antarès. Il en a parlé avec son staff sportif, je suppose, et il s’avère qu’ils n’ont pas voulu en entendre parler considérant que ça nous donnerait un avantage sportif de faire deux matches à Limoges puis trois chez nous. Je n’ai pas à juger de leur réponse mais en tout état de cause, ils ont dit non. Il y a eu discussion avec la Préfecture et malgré la complexité du dossier, on avait trouvé la possibilité d’ouvrir la salle. On aurait joué mercredi et vendredi soir à Antarès mais évidemment ça aurait été très, très compliqué pour tout le monde pour accéder à la salle. Il y a quand même le tramway qui circule et quelques parkings qui étaient disponibles pour les abonnés, les partenaires, ceux de la ligue, la presse. Donc on avait bien avancé, ça aurait entraîné beaucoup de contraintes logistiques, mais on aurait pu jouer. J’ai tenu la Préfecture au courant après chaque match jusqu’à ce que Monaco gagne à Limoges vendredi et mette un terme à cette hypothèse.\\n\\nCette année, avez-vous battu vos records d’affluences et de matches à guichets fermés de tous les temps ?\\n\\nOui depuis que j’ai des données, c’est-à-dire 1998. On a déjà fait sept guichets fermés. On va en faire un huitième s’il y a un seul match de finale. A l’heure où je parle, on en est à 5 371 spectateurs de moyenne. En vingt ans, on a fait trois fois plus de 5 000 spectateurs de moyenne sans aller jamais en-dessous de 4 100 et quelque. La plus forte c’était 5 050. 5 371, c’est juste énorme d’autant qu’il n’y a pas une politique d’invitations là-dedans. Ce n’est pas du remplissage de salle avec des gens que l’on ne maîtrise pas.\\n\\nPar comparaison, certaines années, il n’y avait pas un seul guichets fermés ?\\n\\nOui, plusieurs années. Rien que l’année dernière, on n’a fait que deux matches au-dessus de 5 000 spectateurs et pas question de guichets fermés, ni à Noël, ni contre Cholet. Là, c’est huit avec le match de lundi prochain sur 22 matches et avec seulement cinq matches en-dessous de 5 000 spectateurs dont le premier match des playoffs !\\n\\nY a-t-il un rapport de cause à effet avec le fait que vous n’avez pas fait de coupe d’Europe ?\\n\\nOn peut se gargariser, se dire que l’on est très fort mais comme souvent, il y a pour moi une multitude de facteurs. Il y a clairement la frustration de l’année dernière et même des années précédentes en terme de qualité de jeu. Dès le début de saison, il y a eu des victoires, du spectacle et les gens ont évacué leur frustration des années passées. Bien évidemment, le fait qu’il y ait moins de match, en terme de densité et je pense notamment au cœur de l’hiver, donc 17 matches à suivre au lieu de 24 avec la BCL, ça joue. Il y a des gens qui font l’effort et d’autres qui ne peuvent pas financièrement même si les places sont à des tarifs que je pense abordables. Là, il y avait suffisamment d’espaces entre les matches pour qu’il n’y ait pas de lassitude. Comme il n’y avait pas de coupe d’Europe, Arnaud (NDLR : Leproux, directeur administratif) a pu travailler sur des offres un peu plus poussées, précises, en travaillant mieux notre base de données et en se faisant accompagner par une société dont c’est le métier. Il y a aussi ce que l’on a fait sur les réseaux sociaux qui a participé à l’engouement. C’est plein de choses.\\n\\nCe matin (hier), votre site Internet a saturé face à la demande de places trop forte pour l’Episode 3 de la finale. Vous avez maintenu les mêmes tarifs que pour la saison régulière. Vous n’avez pas cherché à gagner de l’argent ?\\n\\nNon. Il y a deux choses. Des gens bien intentionnés m’ont reproché la baisse de fréquentation du match 1 de quart-de-finale contre l’ASVEL. Ce match a été d’une tristesse absolue tant sur le terrain que dans les tribunes, ce qui n’était pas pour moi juste au regard de ce que l’on avait montré cette année sur le terrain et dans les tribunes. J’étais vraiment touché ce soir-là. On ne méritait pas de finir là-dessus. C’est la seule fois de l’année où on fait moins de 4 000 spectateurs. On avait décidé avant le match retour que s’il y avait une belle, on ferait demi-tarif. Je voulais que ça soit plein. Je m’en foutais de l’argent, que l’on dise que Le Bouille brade un événement important comme les quarts alors que c’est un truc quali. On ne pouvait pas finir sur un visage comme ça. Evidemment on a rempli très vite. On a fait guichets fermés. On m’a dit « vous auriez dû laisser les mêmes tarifs. » J’ai répondu que j’avais zéro regret car on a eu une salle fantastique. On a peut-être fait venir des gens qui n’étaient pas venus de l’année et qui ont pris goût au truc car il y avait une ambiance formidable. Et après, pourquoi augmenter en finale alors que l’on va toucher des gens qui essentiellement nous suivent toute l’année ? Pour nos abonnés, nos partenaires, des gens qui nous ont soutenu l’année dernière, qui ont repris leurs abonnements et leurs partenariats cette année, il n’était pas question pour moi d’augmenter les tarifs. Pourquoi mettre 10 euros de plus ?\\n\\nVos tarifs sont plutôt faibles vis-à-vis de d’autres clubs de basket et a fortiori du football ?\\n\\nOui. Nous, on a bien conscience que nos tarifs ne sont pas élevés mais je ne suis pas sûr que les gens du Mans en aient conscience. Surtout pour les premiers tarifs car quand on demande 30 euros en province pour un match de basket, vous n’êtes pas dans la fourchette basse. Mais, oui, sur les premiers prix, on n’est vraiment pas cher. Mais d’une, ce n’était pas forcément l’année pour augmenter les tarifs après ce que l’on a montré l’année dernière et deux, j’insiste, pas le faire sur les gens qui vous ont suivi toute l’année, qui ont maintenu leur confiance. On aurait pu à la rigueur maintenir les mêmes tarifs pour les abonnés et faire plus cher pour ceux qui ne le sont pas. C’était envisageable et peut-être qu’on aurait dû le faire mais pour les abonnés et les partenaires, il ne fallait pas toucher à ça. Après, ça ne veut pas dire que l’on ne va pas augmenter les tarifs à l’avenir car effectivement, on est parmi les plus bas. Mais je ne veux pas, maintenant que l’on a fait une belle saison, du spectacle, que l’on se dise « maintenant, ils se gavent ! ». On a tellement apprécié au club d’avoir du monde cette année dans la salle, qu’elle vive à nouveau, attention à ne pas casser cette dynamique. Mais effectivement, on est là aussi pour générer des recettes afin de les réinvestir dans l’équipe.\\n\\nLe côté spectaculaire, ce n’est pas que le nombre. C’est aussi le fait que l’on soit passé du froid au chaud. Pour le Match 1 contre l’ASVEL, c’était morne plaine et depuis c’est une ambiance comme très rarement vue au Mans. Comment expliquer la métamorphose du public ?\\n\\nA un moment, c’est irrationnel. Pour le premier match contre Villeurbanne, les gens ne se sont pas mobilisés après une belle saison parce que le mardi à 19h après un week-end prolongé au mois de mai, les gens qui bossent se sont dit qu’ils n’allaient pas finir plus tôt. Le fait de perdre, de passer près de la catastrophe, que l’équipe réagisse formidablement à Villeurbanne, le fait aussi peut-être que l’on fasse des demi-tarifs et que ça tombe sur un dimanche, on fait vite le plein. Ce qui est incroyable et que je ne peux pas expliquer, c’est qu’une demi-heure avant la belle contre Villeurbanne, lorsque je rentre dans la salle, qui est loin d’être pleine à ce moment-là, j’ai ressenti une atmosphère oppressante, j’ai senti que quelque chose allait se passer. Les gens qui étaient là étaient déjà chauds. Et du fait que l’équipe a très bien commencé, ça a allumé. Et depuis ça ne retombe pas. Oui, il y a eu la distribution de T-shirts, le niveau de jeu, le fait que nos amis David et Stephens (NDLR : Cozette et Brun de SFR Sport) nous chambrent gentiment, ce qui a pu réveiller la susceptibilité de certains. Il y a plein de choses mais je ne peux pas expliquer de manière rationnelle pourquoi au match 1 on a été zéro, tous, l’équipe, le public, le club, tous, par contre pour la belle, tout le monde a été formidable. Depuis trois matches, ce qui se passe dans cette salle est extraordinaire.\\n\\n« Les joueurs ne peuvent pas se comporter de la même façon lorsqu’il y a un public comme ça. Les Limougeauds sauront de quoi je parle »\\n\\nÇa change votre image vu de l’extérieur qui est celle d’un club sérieux mais aussi un peu planplan et froid. Vous vous faites tailler sur les réseaux sociaux notamment par les supporters de Limoges qui parlaient d’Antarès comme d’une glacière. Et là, ce n’est plus le cas du tout.\\n\\nJe sais bien. Il s’est passé un truc. Tout le monde a mis les T-shirts, la salle a été bruyante dès le début. Un journaliste national que j’ai eu hier m’a dit que c’était génial, que quelque chose se passait dans cette salle, enfin ! Je sais que ça va durer le temps des playoffs cette année, je n’ose pas croire que l’ambiance va retomber maintenant. L’objectif ça va être de faire en sorte que ça se poursuive ensuite tout en étant lucide. On ne fera pas 6 035 spectateurs à chaque journée la saison prochaine avec une ambiance de fou. C’est aussi l’atmosphère des playoffs qui veut ça, d’être passé aussi près d’une élimination. Les observateurs ne sont pas habitués à suivre ça chez nous, nous n’ont plus. Quand vous voyez que dès la première minute de jeu, toute la salle se lève parce qu’il y a un coup de sifflet qui est limite ou parce qu’il y a une bonne défense ou parce qu’il y a un panier de ton équipe...\\n\\nAutant le public de Limoges a toujours été chaud, autant celui de Strasbourg s’est métamorphosé lui aussi en très peu de temps. Il a longtemps été très réservé. Il n’y a pas de cause perdue ?\\n\\nJe suis d’accord. Le Rhénus, c’était la cathédrale, quelque chose de très froid. Je crois que pour eux c’est en playoffs que ça s’est passé. On peut dire aussi que chez nous, notre animateur Vincent fait un super boulot avec le public. A nous de continuer à travailler là-dessus pour justement que cet effet ne retombe pas. Certaines choses vont se mettre en place, pas à la rentrée, mais celle d’après. Le noir salle sera un élément supplémentaire pour chauffer l’ambiance. Il faut une atmosphère de fête, que les gens soient contents d’être là, qu’ils le montrent. Il faut absolument que l’on surfe sur cette vague car ça change beaucoup de choses. Ça change l’image que les médias ont du club et aussi tout pour l’équipe. Les joueurs ne peuvent pas se comporter de la même façon lorsqu’il y a un public comme ça. Les Limougeauds sauront de quoi je parle. Tu ne peux pas être avare d’efforts, faire le fainéant, revenir en marchant, ne pas tout donner sur le terrain.\\n\\nLes échecs systématiques du club en coupes d’Europe depuis la moitié des années soixante-dix s’expliquent beaucoup par le fait que le public s’est jusqu’ici trop rarement mobilisé alors qu’ailleurs en coupe d’Europe ou en playoffs, ça prend une dimension supérieure ?\\n\\nJe suis d’accord.\\n\\nC’est plus motivant aussi d’avoir la finale à domicile alors qu’en 2006, 2010 et 2012, vous l’aviez disputé à Bercy ?\\n\\nOn a fini Bercy en 2012, c’était la dernière finale là-bas que l’on a perdu et depuis 2013 on n’avait pas goûté à la finale et à ce format de compétition. Forcément, c’est génial quand on explique aux gens que l’on va pouvoir jouer une finale chez nous. Tu te mets à rêver de soulever le trophée chez toi. Tu n’as pas à te préoccuper de savoir comment on fait pour retrouver les supporters après le match. On sait que l’on a été capable d’emmener des marées de supporters orange à Bercy, c’était génial et ça rendait vraiment bien, mais là on sait que l’on va être 6 000 comme ça. J’espère qu’il y aura deux matches chez moi, que l’on prolonge le plus longtemps possible cette aventure. Si je suis un peu cynique, je dirais qu’autant avant, on voulait avoir l’avantage du terrain surtout pour ne pas le donner à l’adversaire, autant maintenant l’avantage du terrain avec cette salle, ça veut vraiment dire quelque chose. C’est une difficulté supplémentaire pour nos adversaires et une force pour nous.\\n\\nA suivre.\\n\\n[armelse]\\n\\nQue se serait-il passé si vous aviez reçu les deux premiers matches de la finale, aujourd’hui mercredi et vendredi, soit en pleine semaine des 24 Heure du Mans qui ont attiré 260 000 personnes l’année dernière sachant que Antarès est située à l’intérieur du circuit ?\\n\\nOn avait évidemment anticipé cette hypothèse que Limoges se qualifie contre Monaco. On avait envisagé de changer les jours de match. Pas possible pour la ligue. En plus, ça ne solutionnait pas grand-chose. On pouvait jouer le mardi sans soucis d’accès mais le jeudi c’était le même problème. On a envisagé d’aller jouer ailleurs, à Angers, à Blois. On avait pris des contacts et obtenu des accords de principe pour des mises à disposition de salles mais j’ai reculé car ça ne me paraissait pas raisonnable en 48h ou 72h de gérer tout le barnum des finales, la billetterie, le cahier des charges terrain, les supporters, etc.\\n\\nVous l’aviez déjà fait une fois ?\\n\\nTout à fait. Pour une demi-finale contre Villeurbanne à la salle Jean-Bouin d’Angers, que l’on avait gagné. On avait cette solution sous le coude. Après, la solution qui nous paraissait la plus pratique était d’inverser l’ordre des matches avec le club de Limoges donc de jouer 1 et 2 là-bas et 3, 4 et 5 si besoin au Mans. J’ai appelé Youri (NDLR : Verieras, le président du CSP), qui a bien compris la situation. Je lui ai expliqué que pour eux ça allait être compliqué d’accéder à la salle et je ne parle même pas de l’hébergement (NDLR : toutes les chambres en Sarthe sont réservées pour les 24 heures). On est dans l’enceinte du circuit et pour circuler c’est juste infernal. Des abords du Mans, il faut compter deux bonnes heures pour accéder à Antarès. Il en a parlé avec son staff sportif, je suppose, et il s’avère qu’ils n’ont pas voulu en entendre parler considérant que ça nous donnerait un avantage sportif de faire deux matches à Limoges puis trois chez nous. Je n’ai pas à juger de leur réponse mais en tout état de cause, ils ont dit non. Il y a eu discussion avec la Préfecture et malgré la complexité du dossier, on avait trouvé la possibilité d’ouvrir la salle. On aurait joué mercredi et vendredi soir à Antarès mais évidemment ça aurait été très, très compliqué pour tout le monde pour accéder à la salle. Il y a quand même le tramway qui circule et quelques parkings qui étaient disponibles pour les abonnés, les partenaires, ceux de la ligue, la presse. Donc on avait bien avancé, ça aurait entraîné beaucoup de contraintes logistiques, mais on aurait pu jouer. J’ai tenu la Préfecture au courant après chaque match jusqu’à ce que Monaco gagne à Limoges vendredi et mette un terme à cette hypothèse.\\n\\nCette année, avez-vous battu vos records d’affluences et de matches à guichets fermés de tous les temps ?\\n\\nOui depuis que j’ai des données, c’est-à-dire 1998. On a déjà fait sept guichets fermés. On va en faire un huitième s’il y a un seul match de finale. A l’heure où je parle, on en est à 5 371 spectateurs de moyenne.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Dominique Breugnot/MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Alain Weisz (Levallois): «Je peux apporter à Freddy Fauthoux mon expérience de quatre décennies d’entraîneur»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ancien entraîneur des Bleus et de différents clubs de Pro A/Jeep Elite, Pro B et aussi de Ligue Féminine, Alain Weisz est désormais en charge du secteur sportif du club de Levallois. Il explique sur le site du club les raisons qui l’ont poussé à sortir de sa retraite sportive.\\n\\n« La première raison se situe dans une stratégie qui concerne le rapprochement entre Levallois et Boulogne qui se fait en toute harmonie. Deuxièmement, j’ai passé 20 ans dans les Hauts-de-Seine, au club de Sceaux, et je connais Levallois pour avoir été adversaire à plusieurs reprises et je connais également Jean Pierre Aubry depuis 35 ans. Ce qui me plaît également dans ce club, c’est sa solide politique de formation. On a pu le remarquer avec la façon dont Freddy Fauthoux a utilisé les jeunes joueurs l’année passée, on voit la présence des jeunes dans le roster de l’année qui vient et pour ceux qui me connaissent, ils savent très bien que cela correspond exactement à ma trajectoire d’entraîneur. Je suis un adepte de cette façon de faire. »\\n\\nAlain Weisz définit également son rôle au sein des Metropolitans:\\n\\n« La fonction que l’on me confie est celle d’être le plus proche possible de l’équipe professionnelle et de Freddy Fauthoux, avec lequel on a déjà travaillé sur le recrutement. Il est bien évident que dans un recrutement il y a une personne qui signe c’est le président, une personne qui choisit, c’est l’entraîneur, et en amont il y a beaucoup de discussions. Moi je peux apporter à Freddy mon expérience de quatre décennies d’entraineur et utiliser le réseau que j’avais construit notamment au niveau des pays étrangers, pour gagner des informations sur tel ou tel joueur qui aurait joué dans un pays étranger. Il est bien évident et je veux vraiment le souligner, que c’est Freddy qui décide en toute confiance des joueurs qu’il veut recruter et la façon dont il veut composer son équipe et de la faire jouer. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Edwin Jackson quitte Barcelone et se dirige vers le Montenegro"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En Chine en début de saison, Edwin Jackson n’était pas allé au bout de son expérience en CBA. Il a quitté le club prématurément et avait fait son retour au FC Barcelone.\\n\\nA travers un tweet énigmatique, son agent Misko Raznatovic vient d’annoncer que l’international français va prendre la direction de Podgorica, au Montenegro, pour évoluer au Buducnost. Après la Chine, c’est un nouveau championnat peu connu de la France que va rejoindre l’ancien joueur de l’ASVEL. Vainqueur de la Ligue Adriatique cette saison, le Buducnost a gagné sa place en Euroleague à la rentrée et a donc pu se permettre d’attirer l’ancien joueur de Malaga.\\n\\nCette saison, Edwin Jackson compilait en moyenne 15,8 points, 4,5 rebonds et 4,2 passes décisives en Chine, 5,4 points et 1,9 rebond en ACB et 4,5 points, 1,9 rebond et 1,2 passe en Euroleague.\\n\\n« Ce n’est pas Michael, pas Janet, mais sa musique a grandi jusqu’au coeur ! Il y a quelques minutes, la gusle est devenue son instrument préféré! «\\n\\n\\n\\n\\nNije Michael, nije ni Janet, ali muzika mu je prirasla srcu! Od pre par minuta, gusle su postale njegov omiljeni instrument! #BeoBasket\\n\\n\\n— Misko4Raznatovic (@MiskoRaznatovic) 13 juin 2018\\n\\nProfitez d’une promo sur le maillot d’Edwin Jackson au Barca sur notre boutique. 39€ au lieu de 75€."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Ryan Pearson prolonge à Dijon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Axel Julien et David Holston, c’est Ryan Pearson (1,98m, 28 ans) qui prolonge avec la JDA Dijon, annonce le club.\\n\\nArrivé en France la saison dernière pour jouer au MSB, le New-yorkais a lancé sa carrière en Ukraine avant de rejoindre Israël, la Belgique et enfin la France. Après un exercice satisfaisant d’un point de vue statistiques, mais parfois critiqué pour ses performances au Mans, l’ailier fort américain a rejoint la JDA Dijon où il a pleinement donné satisfaction aux dirigeants.\\n\\nCette saison en Jeep Elite, Ryan Pearson a compilé 13,7 points, 2,9 rebonds et 1,4 passe décisive pour une évaluation de 13,4.\\n\\nLaurent Legname, l’entraîneur dijonnais, s’est félicité de cette prolongation.\\n\\n« Suite à la saison écoulée et toujours dans cette volonté de garder l’ossature de cette équipe, Ryan était une des priorités de notre recrutement. C’est donc avec un grand plaisir qu’un accord entre lui et le club a été trouvé afin de continuer notre Histoire. Ryan a parfaitement répondu aux attentes placées en lui et j’espère que la saison prochaine il sera à même de reproduire ses prestations tant au niveau européen qu’au niveau national. »\\n\\nPhoto : FOXAEP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Amara Sy (Monaco): «On va jouer sur nos rotations»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Amara Sy va disputer à partir de ce soir la finale des playoffs de la Jeep Elite contre Le Mans. Une première pour l’AS Monaco depuis la création de la Ligue Nationale de Basket. Pas pour l’Amiral, bientôt 37 ans, qui a été champion de France avec l’ASVEL en 2002 et 2009. Particularité: le Monégasque a porté le maillot du Mans de 2002 à 2005 en compagnie de Pape-Philippe Amagou qui lui est revenu au MSB mais qui insuffisamment remis de sa blessure au dos n’est pas entré en jeu en playoffs.\\n\\nPour L’Amiral, interrogé par Ouest France, cette finale est un aboutissement logique au parcours de la Roca Team:\\n\\n« Depuis le tout premier entraînement de l’avant saison, on a bossé dur dans cette optique. On a cette chance. C’est mérité pour les joueurs, pour le staff. Cela fait trois ans qu’on montre une certaine régularité en championnat comme en Coupe d’Europe. Cette finale est la suite logique des choses. C’est bien mais on en veut tous plus. Si c’est pour perdre en finale, autant ne pas jouer ces playoffs. On veut tous la gagner. Il faudra être solide mentalement, rester le groupe qu’on a été tout au long de la saison. Il y aura du stress en plus. Il faudra faire bloc pour que ce soit Monaco contre le reste du monde. Le Mans n’est évidemment pas d’accord. Comme ils ont du talent et que ce sont des guerriers aussi, cela ne s’annonce pas de tout repos. Que le meilleur gagne ! »\\n\\nCe qui peut faire pencher la balance du côté du club de la principauté?\\n\\n« On a plus de matos, plus de profondeur de banc. C’est une philosophie, une façon de voir les choses. Certains joueurs du MSB ont l’habitude de jouer 30 minutes ou plus. Nous, on est plus nombreux mais le plus gros temps de jeu doit être de 24-25 minutes. Cela peut aider sur une longue série. On va jouer sur nos rotations. »\\n\\nActuellement, l’ASM se fait chambrer dans les coulisses à cause du peu d’entrain de son public. Le capitaine de l’ASM est confiant pour l’avenir:\\n\\n« Un engouement se crée autour du basket d’année en année ici à Monaco. On est encore loin de Limoges ou du Portel mais c’est déjà pas mal. En Pro B, fin des années 90, Monaco jouait devant 25 personnes. Le processus se met en place. Il faut éduquer les gens. D’ici une dizaine d’années, il y aura un vrai public à Monaco et je serai encore là pour m’en féliciter (éclat de rire). Les gens aiment le basket et sont contents de voir qu’une équipe fait parler de Monaco en bien. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications pour la Coupe du Monde 2019: Bismack Biyombo avec le Congo"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bismack Biyombo (2,07 m, 25 ans) a tenu vendredi une conférence de presse à Kinshasa pour annoncer ses débuts sous le maillot de la sélection de la République Démocratique du Congo à la fin du mois au Caire. Cette annonce est une nouvelle de première importance pour les Congolais qui sont pour l’instant à la dernière place du Groupe C (0-3) des qualifications pour la Coupe du monde de basket FIBA en 2019.\\n\\nDepuis plusieurs année, l’ailier-fort du Orlando Magic a exprimé son intention de jouer pour son pays, mais cela ne s’est jamais fait pour des raisons qu’il ne maitrisait pas. « Dans le passé, des problèmes d’assurance m’ont empêché de jouer. Mais la FIBA et la NBA ont trouvé une solution pour les qualifications, et ça me facilite vraiment les choses », a ainsi affirmé le joueur.\\n\\nMaintenant, l’équipe congolaise va affronter une série de matches couperets dans le groupe de la mort africain, face à l’Angola, leader du groupe, l’Egypte et le Maroc.\\n\\n« Comme d’autres, j’attends ce moment depuis un moment. L’année dernière, j’étais venu pour jouer, mais au final, cela a été impossible. Là, je suis presque prêt. J’aime mon pays et c’est un honneur de représenter la République Démocratique du Congo. Je n’avais jamais changé de nationalité alors qu’on m’a proposé de le faire, j’ai refusé. Je savais qu’un jour j’aurai l’opportunité de jouer pour mon pays. J’ai construit une carrière en NBA, j’ai eu du succès, mais ce n’est pas le plus important. Je n’arrive pas en équipe nationale comme un héros ou un sauveur. Je veux apporter ma contribution, ce que je sais faire et j’aimerai nous aider à accomplir quelque chose de grand ensemble. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Marina Maljkovic va entraîner en Chine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Redevenue par ailleurs coach de la sélection nationale serbe, Marina Maljkovic, 37 ans, va désormais entraîner une équipe chinoise, le Shangai Baoshan Dahua.\\n\\nFille de l’ancien coach du Limoges CSP, Bozidar Maljkovic, la Franco-Serbe coachait depuis deux saisons le club turc de Galatasaray après avoir eu en mains celui de Lyon de 2013 à 2016. Marina Maljkovic emmène avec elle en Chine la Monténégrine Jelena Dubljevic (1,91m, 31 ans).\\n\\nLe Shangai Baoshan Dahua a terminé 4e de la saison régulière chinoise (WCBA).\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\nMarina Maljkovic is the new head coach of Shangai Baoshan Dahua from China! #BeoBasket\\n\\n\\n— Misko4Raznatovic (@MiskoRaznatovic) June 13, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Terran Petteway (ex Nanterre) signe à Sassari"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A Nanterre en début de saison, Terran Petteway (1,98m, 25 ans) s’engage avec le Dinamo Sassari, en Italie.\\n\\nLe Texan a quitté prématurément la France au bout de quelques mois pour, notamment, des problèmes de comportement. Il a ensuite rejoint le PAOK, en Grèce, où il a terminé l’exercice 2017/18. Le Dinamo Sassari annonce aujourd’hui l’arrivée de l’ancien pensionnaire de Texas Tech pour une saison. Il y vivra sa deuxième expérience en Italie après être passé par Pistoia en 2016/17.\\n\\nCette saison, Terran Petteway compilait en moyenne 10,7 points, 3,5 rebonds et 2 passes décisives en Jeep Elite, 8 points, 2,6 rebonds et 1,3 passe en Champions League et 11,2 points, 3,1 rebonds et 1,2 passe décisive en Grèce.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Ibon Navarro est le nouvel entraîneur d’Andorre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette saison à Murcie, Ibon Navarro (42 ans) quitte l’UCAM pour s’engager avec le Morabanc Andorra. Il remplace Joan Peñarroya.\\n\\nSur son site, le club andorran indique que le technicien basque s’est engagé pour deux saisons avec la formation pyrénéenne.\\n\\nDouble champion d’Espagne en tant qu’assistant en 2008 et 2010, c’est en 2014 qu’il devient entraîneur principal d’une équipe professionnelle pour la première fois de sa carrière. C’était à Vitoria, le temps d’une saison. Ensuite, il est passé une saison par Manresa et Murcie avant donc de donner son accord à Andorre.\\n\\nCette saison avec l’UCAM, Ibon Navarro est parvenu à se hisser jusqu’au Final Four de Champions League."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Jerrold Brooks passe d’Evreux à Caen"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En début de saison à Blois le temps de douze matchs, Jerrold Brooks (1,83m, 26 ans) avait ensuite rejoint les rangs de l’ALM Evreux.\\n\\nPassé par la NM1 la saison dernière à Andrézieux, le natif de Rochester continue sa route en France en passant d’Evreux à Caen, toujours en Pro B, annonce le CBC. Champion d’Angleterre 2016, le meneur de jeu américain a fait sensation toute cette saison en deuxième division française.\\n\\nCette saison en Pro B, Jerrold Brooks compilait en moyenne 14,7 points, 2,9 rebonds et 5,2 passes décisives pour une évaluation de 16. Il a d’ailleurs été élu MVP de mois de décembre en 2017.\\n\\nPhoto : Sabine De Leest"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Julian Gamble première recrue de Nanterre 92"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Passé par l’ASVEL pour les playoffs, Julian Gamble (2,06m, 28 ans) va rester en France la saison prochaine. L’intérieur américain est la première recrue de Nanterre.\\n\\nSur son site, le club des Hauts-de-Seine annonce l’arrivée de l’ancien Villeurbannais dans le cinq majeur de Pascal Donandieu pour une saison. Passé par Bruxelles et Bonn, c’est à Saint-Vallier qu’il a lancé sa carrière professionnelle en 2013/14, en Pro B.\\n\\nCette saison, Julian Gamble compilait en moyenne avec Bonn 12,3 points, 6,3 rebonds et 1,7 contre en Bundesliga et 13,9 points, 5,9 rebonds et 1,3 contre en Champions League.\\n\\nL’entraîneur Nanterrien s’est exprimé sur son nouveau joueur.\\n\\n« C’était important, pour une première recrue, de prendre un joueur impactant dans le secteur intérieur. Notre priorité de recrutement était de densifier ce secteur de jeu et Julian correspond parfaitement à ce que nous recherchions de par ses deux saisons de qualité en Allemagne et ses statistiques en Champions League. Nous avons eu, à plusieurs reprises, l’occasion de l’affronter par le passé et il déjà pu montrer ses qualités au public de Nanterre ! Il saura, de par ses qualités de jeu dos au panier et sur le post-up, développer un jeu intéressant à l’intérieur. »\\n\\nPhoto : Dominique Breugnot"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Vafessa Fofana fait son retour à Nantes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir tenté sa chance en Jeep Elite à Hyères-Toulon cette saison, Vafessa Fofana (1,98m, 26 ans) a fait le choix de retourner en Pro B, à Nantes.\\n\\nEn s’engageant avec l’Hermine, le Parisien de naissance ne se jette pas dans l’inconnu puisqu’il a fait partie de l’effectif nantais en 2016/17. Sur son site, le club annonce que l’ancien joueur de Saint-Vallier s’est engagé pour deux saisons.\\n\\n« Je suis très heureux de revenir à Nantes. J’espère redonner à ce club une bonne image après cette saison compliquée et ainsi retrouver l’engouement et le haut de tableau. La nouvelle salle de la Trocardière est aussi un véritable atout qui nous permettra d’évoluer dans de bonnes conditions. »\\n\\nCette saison en Jeep Elite, Vafessa Fofana a réussi son pari et a été aussi performant dans l’élite française qu’il l’avait été la saison précédente en Pro B. Sous le maillot du HTV il tournait à 6,3 points, 3,5 rebonds et 1,4 passe décisive pour une évaluation de 7,8.\\n\\nPhoto : Nantes Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eric Bartecheky (Le Mans): «On ne se dit pas que maintenant c’est du bonus»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Demain, ce sera l’Episode 1 de la finale des playoffs de Jeep Elite entre l’AS Monaco et Le Mans SB. Le coach manceau Eric Bartecheky expose la situation après l’exploit de son équipe qui a réussi à éliminer Strasbourg lors d’une cinquième manche au Rhénus et qui a toujours faim.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQuelles sont les clés pour faire vaciller Monaco ?\\n\\nA chaque fois qu’on les a joués (NDLR : deux victoires en saison régulière, une défaite en finale de la Leaders Cup), ce n’était pas la même équipe que maintenant. Il n’y avait pas (Ali) Traore, (DJ) Cooper sur le match aller. Nous non plus. Ça a évolué sur quelques joueurs. J’ai regardé le match de la Leaders Cup hier et on n’avait pas été au meilleur de nos possibilités sur ce match-là. Sur la série de playoffs, ils sont à 88 points de moyenne à 55% de réussite. Il y a beaucoup de joueurs, du talent à l’image de Cooper qui sur 20 minutes est à 8 passes décisives. Donc il faut être capable de les stopper mais il faut aussi être capable d’attaquer leur défense agressive. Chaque perte de balle est sanctionnée immédiatement par du jeu rapide. Il y a des joueurs qui sont des spécialistes comme (Paul) Lacombe qui part très vite devant, attaque très fort. Je ne parle pas de (Gerald) Robinson, c’est une fusée. (Chris) Evans court très vite aussi sur la balle. (Aaron) Craft pousse la balle aussi. Ça va très vite. Par exemple, le dernier match de la série contre Limoges, sur les 92 points de marqués, il doit y en avoir 25 ou 30 sur du jeu rapide. Il faut donc déjà éviter de perdre la balle et être intelligent en attaque pour ne pas donner du jeu rapide et les obliger à travailler demi-terrain même si ça ne sera pas simple non plus. Ils peuvent être très intenses sur les premières entrées de système, les premières situations de pic. Il faut être capable de déjouer ça.\\n\\nMonaco, c’est encore un cran au-dessus de Strasbourg ?\\n\\nC’est différent. Bien sûr, Strasbourg est agressif mais ils ont une organisation collective un peu différente. Monaco, c’est vraiment de l’intensité dès le départ. Il faut faire face à cette pression. Et ce n’est pas simple.\\n\\nIls ont eu un coup de mou après leur échec en finale de la Basketball Champions League contre l’AEK Athènes et là, on a l’impression qu’ils sont redevenus la machine implacable qu’ils étaient auparavant, sans état d’âme contrairement à ce que Strasbourg a laissé un peu percevoir ?\\n\\nOn peut comprendre qu’après une défaite au Final Four, il faut un moment pour digérer. Ils se sont vite remis à l’endroit. Effectivement, maintenant ils sont très bien en place. C’est une équipe qui est surarmée pour le championnat. Ils sont treize joueurs avec (Yakuba) Ouattara et (Bangaly) Fofana, qui a un peu joué en demi-finale. Ils ont (Ali) Traore, (Elmedin) Kikanovic, (Georgi) Joseph... Les postes sont plus que doublés.\\n\\nPensez-vous que Justin Cobbs va être particulièrement ciblé sachant qu’en face, il y a le meilleur défenseur du championnat avec Aaron Craft ?\\n\\nMême si je ne sais pas ce qu’il (Zvezdan Mitrovic) a prévu, je pense qu’il est dans un schéma global. C’est à nous de trouver des solutions vis-à-vis de l’agressivité globale de Monaco. C’est difficile de savoir ce que l’adversaire va proposer en défense sur telle ou telle situation, tel ou tel joueur.\\n\\nAprès la défaite lors du Match 1 contre l’ASVEL, vous aviez dit qu’il était difficile de trouver un équilibre dans l’équipe. Est-ce davantage le cas aujourd’hui ? On va vu l’apport décisif de Chris Lofton lors du Match 5 contre Strasbourg ?\\n\\nOui. Surtout, le fait d’enchaîner les matches à haute intensité, à enjeu, nous permet de tirer progressivement des enseignements sur des choses que l’on savait déjà plus ou moins mais qui s’éclairent davantage. Pour essayer d’utiliser au maximum les qualités des joueurs. Ou au contraire, si un joueur à des difficultés dans tel domaine, essayer de s’ajuster. Au-delà des victoires et des qualifications, c’est un enseignement permanent d’avoir vécu plusieurs matches comme ça en peu de temps et de voir les joueurs évoluer.\\n\\nComment vivez-vous votre aventure personnelle. Après Le Havre et Pau, c’était une première demi-finale et maintenant une finale ?\\n\\nBien évidemment je suis satisfait et on était content après Strasbourg mais pas euphorique. On est concentré sur la suite. On se plonge dès le lendemain sur la préparation de la finale. On ne se dit pas « maintenant, c’est du bonus. » On se doit de la préparer au mieux, de la jouer à fond même s’il y a un adversaire de qualité. Il faut tout mettre en place pour être ambitieux. C’est légitime de dire que nous, par rapport à Monaco, on n’a rien à perdre. Mais si ! On a une finale à perdre ! Il y a une finale à jouer, il faut que l’on soit à 100%. Il faut que l’on soit engagé, concentré, déterminé et après on verra ce qui se passe.\\n\\n« Il va falloir garder ses nerfs car il y a des joueurs à Monaco qui utilisent parfois les contacts pour soit floper soit tenir et provoquer des fautes et ça créé de la frustration »\\n\\nIl risque d’y avoir du trash talking. On sait que certains de vos joueurs peuvent disjoncter. Il faut qu’ils conservent leur self-control ?\\n\\nTout à fait. Il y a deux joueurs qui sont spécialistes à Monaco pour faire ça. Il va falloir garder ses nerfs car il y a des joueurs qui utilisent parfois les contacts pour soit floper soit tenir et provoquer des fautes et ça créé de la frustration. On en a parlé. Il faut contourner ces pièges-là qui sont tendus par des joueurs expérimentés et malins. De façon générale, sur des matches comme ça, le mental est hyper important. Il y a un enjeu, chaque position est importante, il peut y avoir de la provocation d’adversaire, beaucoup de pression défensive. Il y a aussi des décisions arbitrales. Par rapport à tout ça, il faut garder ses nerfs pour ne pas donner des points faciles sur des fautes techniques ou se faire exclure. C’est non seulement du contrôle émotionnel mais c’est aussi de l’intelligence de jeu. Le mental est important et on l’a vu sur le dernier match à Strasbourg. Les joueurs ont été plutôt intelligents pour trouver le joueur qu’il fallait. A la fin, (Justin) Cobbs a été en difficulté sur deux, trois situations et il a eu l’intelligence de donner la balle à Chris (Lofton). Nous, on a essayé de trouver des solutions pour soulager l’équipe. On s’est bien organisé pour matcher les duels par rapport à Strasbourg sur les changements, etc.\\n\\nVos performances déclenchent un véritable engouement du public. Aviez-vous déjà vécu ça ?\\n\\nNon, pas comme ça. C’est une première aussi. C’est vrai que ça fait plaisir. On m’avait dit qu’il y aurait un petit accueil à la gare et je pensais que ça serait comme à l’aéroport où il y avait eu 10-15 personnes. Et quand on a vu tout ce monde à la gare qui chantait et qui était aussi heureux, c’est super de pouvoir provoquer ce genre d’élan. Je pense que le scénario des playoffs a provoqué des émotions chez tout le monde. On est mal parti, on a réussi à renverser la situation sur le premier quart-de-finale. En semi-finale, le fait que l’on ne valide pas au quatrième match, ça a créé des rebondissements au niveau émotionnel. Tout le monde s’est dit que ça allait être difficile, nous les premiers. Et on arrive quand même à le faire. Au-delà de la qualification pour la finale, qui est quelque chose de fort pour le club, même s’il en a déjà vécu, c’est aussi le déroulé qui a provoqué ça.\\n\\nY a-t-il un désavantage de jouer deux matches à Monaco pour commencer alors que vous avez gagné une fois à Villeurbanne et deux fois à Strasbourg ? On sait en plus que l’ambiance à Monaco est soft ?\\n\\nEn général dans le championnat, on se concentre sur le match qui arrive et on veut tout faire pour le gagner. C’est vrai que de par la formule des playoffs, on a tendance à se dire que si on revient avec au moins une victoire sur les deux matches, c’est déjà bien car on est sûr d’avoir au moins deux matches chez nous. Mais pour l’instant, on est juste concentré sur le match de mercredi. Ce qui est bien, c’est qu’à chaque fois on sa su réagir après une situation délicate où on avait perdu.\\n\\n« Sans le talent énorme, les shoots énormes que Chris Lofton met, je ne suis pas sûr que l’on passe »\\n\\nRomeo Travis a déjà fait des finales au préalable. Est-ce que ça joue d’avoir des joueurs qui ont déjà vécu ce type d’expérience ? Peut-il faire profiter le groupe de ça ?\\n\\nJe pense. On parle de Romeo mais on peut aussi parler de Pape (Amagou). Pape est avec le groupe (NDLR : il n’est pas entré en playoffs). Le fait qu’il soit présent dans les vestiaires, à l’hôtel, sur le banc, sa présence, son discours sont importants (NDLR : Pape Philippe Amagou a été champion de France avec Le Mans, Nancy et Limoges). Romeo, qui a vécu une finale l’année dernière, bien sûr. Je ne doute pas que ce soit des éléments importants pour le groupe. Ça amène des expérience des finales, des playoffs, un discours, et les joueurs sont attentifs à ça. Il y en a aussi de l’autre côté qui ont cette expérience-là ! (sourire)\\n\\nUn mot sur la performance de Chris Lotfton samedi à Strasbourg (25 points dont deux tirs à trois-points dans le money time) ?\\n\\nC’est énorme. Le groupe a fait preuve de sacrifices, d’abnégation défensivement sur l’ensemble de la série et notamment le match 5. Mais sans le talent énorme, les shoots énormes que Chris Lofton met, je ne suis pas sûr que l’on passe. C’est assez impressionnant de voir ça. Même nous du banc, quand il prend ses shoots-là, on se dit, « il en a mis un », bon, pas deux, faire ce qu’il a fait c’est forcément énorme. Quand on parle de sacrifices, il y a Yannis Morin qui n’a joué que deux minutes sur le match 5 mais les deux minutes qu’il a donné, elles étaient intenses et elles ont profité à l’équipe. Tous les joueurs doivent se tenir prêt à donner le maximum. Antoine (Eito) fait partie de ces joueurs-là qui jouent plus ou moins suivant les matches mais qui sont toujours dans l’engagement et dans l’idée d’aider l’équipe. Parfois c’est de l’investissement défensif, parfois c’est de la réussite sur des shoots. Tout le monde doit être comme ça, à être vigilant et à donner le maximum même si sur certains matches, certains jouent moins. Le match d’après ça sera peut-être un autre qui jouera plus. Au niveau offensif, le dernier match c’était Chris Lofton et les matches d’avant, il y a eu Cobbs, Travis. C’est ça aussi le charme des playoffs et l’importance dans l’équipe.\\n\\nComment sont-ils physiquement ? Vous avez fait deux matches de plus qu’eux en playoffs et les Monégasques ont eu plus de temps de récupération ?En plus, ils jouent chez eux pour commencer ?\\n\\nOn se pose la question. On a eu deux séances et on sent bien que les gars à ce moment-là de l’année avec tous les efforts qu’ils ont fait, on ne peut pas leur demander d’avoir des entraînements avec une intensité maximal. Ils sont concentrés, ils sont à l’écoute, ils sont sérieux mais par contre on sent qu’il y a eu des efforts de fourni. Maintenant, je me dis qu’il va y avoir l’adrénaline de la finale, que la ferveur tout autour va certainement aussi nous aider à ce que l’équipe retrouve de l’énergie. Et puis, il y a encore aujourd’hui et demain toute la journée pour récupérer. Je pense que les joueurs vont être capables de passer au-dessus, du moins j’espère.\\n\\n[armelse]\\n\\nQuelles sont les clés pour faire vaciller Monaco ?\\n\\nA chaque fois qu’on les a joués (NDLR : deux victoires en saison régulière, une défaite en finale de la Leaders Cup), ce n’était pas la même équipe que maintenant. Il n’y avait pas (Ali) Traore, (DJ) Cooper sur le match aller. Nous non plus. Ça a évolué sur quelques joueurs. J’ai regardé le match de la Leaders Cup hier et on n’avait pas été au meilleur de nos possibilités sur ce match-là. Sur la série de playoffs, ils sont à 88 points de moyenne à 55% de réussite. Il y a beaucoup de joueurs, du talent à l’image de Cooper qui sur 20 minutes est à 8 passes décisives. Donc il faut être capable de les stopper mais il faut aussi être capable d’attaquer leur défense agressive. Chaque perte de balle est sanctionnée immédiatement par du jeu rapide. Il y a des joueurs qui sont des spécialistes comme (Paul) Lacombe qui part très vite devant, attaque très fort. Je ne parle pas de (Gerald) Robinson, c’est une fusée. (Chris) Evans court très vite aussi sur la balle. (Aaron) Craft pousse la balle aussi. Ça va très vite. Par exemple, le dernier match de la série contre Limoges, sur les 92 points de marqués, il doit y en avoir 25 ou 30 sur du jeu rapide. Il faut donc déjà éviter de perdre la balle et être intelligent en attaque pour ne pas donner du jeu rapide et les obliger à travailler demi-terrain même si ça ne sera pas simple non plus. Ils peuvent être très intenses sur les premières entrées de système, les premières situations de pic. Il faut être capable de déjouer ça.\\n\\nMonaco, c’est encore un cran au-dessus de Strasbourg ?\\n\\nC’est différent. Bien sûr, Strasbourg est agressif mais ils ont une organisation collective un peu différente. Monaco, c’est vraiment de l’intensité dès le départ. Il faut faire face à cette pression. Et ce n’est pas simple.\\n\\nIls ont eu un coup de mou après leur échec en finale de la Basketball Champions League contre l’AEK Athènes et là, on a l’impression qu’ils sont redevenus la machine implacable qu’ils étaient auparavant, sans état d’âme contrairement à ce que Strasbourg a laissé un peu percevoir ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Chris Lofton, Eric Bartecheky, Antoine Mathieu et Dounia Issa, et Antoine Eito, MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pour venir à Limoges, Jonathan Rousselle a eu son premier contact avec Olivier Bourgain à 3 heures du matin!"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans Ouest France, Jonathan Rousselle (1,93m, 28 ans) raconte que son premier contact avec Olivier Bourgain, qu’il a déjà eu comme directeur sportif au SOM Boulogne ne date que de la nuit qui a suivi le dernier match de Cholet contre Le Mans. A 3 heures du matin! Son lien avec Olivier Bourgain a t-il facilité son transfert au Limoges CSP?\\n\\n« J’entends dire cela. Mais pas tant que cela. Ce n’est pas un cadeau qu’il me fait, dans le sens où avec ce genre de personne, il faut prouver deux fois plus, et le mériter deux fois plus. Oui, c’est vrai que l’on se connaît bien, mais il n’aurait jamais pris le risque de faire signer quelqu’un, même en le connaissant, en qui il n’aurait pas confiance. Limoges, c’est le genre de projet que je cherchais : un club avec une aura de dingue, un public extraordinaire, une ferveur... Pour un joueur qui connaît ses classiques, c’est le kiffe absolu ! »\\n\\nC’est donc avec son équipier choletais Jerry Boutsiele que le Choletais va rejoindre la Haute-Vienne. Ce sera ainsi plus facile pour l’intégration:\\n\\n« Surtout quand on parle de l’axe 1-5, si important dans le basket. C’est un petit truc supplémentaire qui peut nous aider. Enfin, qui va l’aider lui : je sentais qu’il serait un peu perdu, tout seul, dans un grand club comme Limoges (rire). »\\n\\nPhoto: CB"
}, 
{"role": "user",     "content":"N1: Grâce à un Olivier Romain de feu, Chartres a gagné le droit de monter en Pro B"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Union Basket Chartres Métropole, voici le nom du nouveau club de Pro B pour la saison 2018-19. Une grande première pour la préfecture de l’Eure-et-Loire de 150 000 habitants réputée mondialement pour sa cathédrale.\\n\\nLes Chartrains ont gagné le droit de rejoindre l’anti-chambre de l’élite en battant par deux fois le CEP Lorient. Mais que ce fut dur hier soir au palais des sports de Kervaric même si les Bretons étaient toujours privés de trois titulaires. A 16 secondes du buzzer, ceux-ci étaient revenus à deux points dans une salle incandescente. Les Chartrains ont dû mettre leurs lancers pour se sortir de l’ornière (91-86).\\nAvant de craquer dans le money time, le CEP s’est longtemps appuyé sur Ronald Rutkauskas (25 points, 11 rebonds), Domynikas Milka (22 points, 8 rebonds) et Vincent Pourchot (8 points, 15 rebonds). Il a même encore tenu bon lorsque Frédéric Loubaki a été exclu sur une faute technique (35e).\\n\\nLa victoire de Chartres doit beaucoup à son meneur Olivier Romain (1,80m, 30 ans). L’ancien champion d’Europe U16 et U18 a joué les 40 minutes disponibles pour 29 points (7/15 à trois-points !), 9 passes et 37 d’évaluation."
}, 
{"role": "user",     "content":"Laurent Pluvy (Roanne – Pro B) : « Perdre 20 ballons à la maison sur une finale, c’est se tirer une balle dans le pied »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le premier acte de la finale des Playoffs de Pro B s’est joué sur des détails, et il y en a qui a coûté cher aux Roannais face à Fos Provence Basket hier à Vacheresse : les 20 balles perdues par la Chorale. L’entraîneur Laurent Pluvy a relevé cet aspect qui a plombé ses protégés hier en conférence de presse dans un match qui a basculé en faveur des Provençaux dans les derniers instants (68-72).\\n\\n« On a redémarré trop confort, a-t-il notamment déclaré au sujet du 3e quart-temps perdu 25-12 alors que Roanne a compté jusqu’à 13 points (53-40) d’avance avant de sombrer. Même si on met 2-3 paniers, ils mettent des lay-ups, des trois points, des paniers sur transition, beaucoup de paniers sur contre-attaque sur nos balles perdues, des balles perdues qui étaient évitables. Pour nous, ça change rien, le plan de marche me paraît cohérent. Par contre il faut qu’on retrouve une agressivité et un contrôle de la balle qui nous permette de les faire jouer sur demi-terrain. (...) Il n’y a aucun abattement, c’est toujours embêtant de perdre à la maison, mais l’objectif est de revenir là dimanche soir. Il n’y a aucun intérêt à se mettre la tête à l’envers parce qu’on a perdu un match. Surtout qu’on ne perd pas parce qu’on est archi dominé basketement parlant. On est impacté physiquement certes dans le 3e quart-temps, il faudra ajuster ça. (...) Si on fait 20 balles perdues à Fos, on rentrera et ils seront champions ».\\n\\nA retrouver également les réactions de Pierre Pelos, grand artisan du retour fosséen en 3e quart-temps, du Roannais Ben Mbala et du coach provençal Rémi Giuitta."
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du Monde 3×3: La Serbie et l’Italie sacrées championnes du monde à Manille"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Serbie a conservé chez les hommes son titre de championne du Monde 3×3 à Manille, aux Philippines, alors que l’Italie l’a remporté chez les femmes.\\n\\nC’est la quatrième couronne de la Serbie et la troisième d’affilée. En finale, elle s’est imposée 16-13 aux Pays-Bas. Dusan Bulut a été nommée MVP de la compétition alors que le Slovène Gasper Ovnick a terminé meilleur marqueur avec 53 points.\\n\\nLes Italiennes ont battu les Russes en finale, 16-12 Rae Lin D’Alie a été élue MVP du tournoi.\\n\\nHommes\\n1. Serbie\\n2. Pays-Bas\\n3. Slovénie\\n4. Pologne\\n5. Lettonie\\n6. Canada\\n7. Ukraine\\n8. Mongolie\\n9. Estonie\\n10. Croatie\\n11. Philippines\\n12. Russie\\n13. Nouvelle-Zélande\\n14. Japon\\n15. Roumanie\\n16. Kirghizistan\\n17. Nigéria\\n18. Brésil\\n19. Jordanie\\n20. Indonesie\\n\\nFemmes\\n1. Italie\\n2. Russie\\n3. France\\n4. Chine\\n5. Etats-Unis\\n6. République Tchèque\\n7. Espagne\\n8. Hongrie\\n9. Pays-bas\\n10. Malaysie\\n11. Suisse\\n12. Turkmenistan\\n13. Ouganda\\n14. Iran\\n15. Allemagne\\n16. Argentine\\n17. Philippines\\n18. Kazakhstan\\n19. Indonesie\\n20. Andorre\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Gravelines : Taylor Smith bientôt prolongé, Bangaly Fofana pourrait arriver"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"De très loin meilleur contreur du championnat avec plus d’une réalisation d’avance sur Youssoupha Fall, Taylor Smith (1,98m, 26 ans) devrait prolonger l’aventure au BCM Gravelines-Dunkerque la saison prochaine.\\n\\nSelon Le Phare Dunkerquois, l’intérieur américain aurait décidé de rester au BCM après avoir murement réfléchi sa décision. Il a fait partie des très grosses satisfactions de la saison côté Gravelines et il enregistrait la deuxième meilleure évaluation de l’équipe, derrière Chris Johnson. En plus d’être efficace sur le terrain, le Texan est particulièrement apprécié par les supporters gravelinois.\\n\\nCette saison en Jeep Elite, Taylor Smith compilait en moyenne 9,1 points, 6,2 rebonds, 1,7 passe décisive et 2,09 contres pour une évaluation de 15,2.\\n\\nAutre information révélée par le quotidien nordiste, Bangaly Fofana (2,13m, 29 ans) pourrait quitter l’AS Monaco pour rejoindre le BCM. L’ancien pivot de la SIG a passé quasiment toute la saison sur le carreau à cause d’une opération du genou.\\n\\nPhoto : Julie Dumélié/BCM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Christian Monschau est le nouvel entraîneur du SLUC Nancy"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fred Weis révélait hier que Christian Monschau s’était engagé avec le SLUC Nancy et c’est désormais officiel. Le club vient d’annoncer sa signature.\\n\\nL’ancien coach du BCM Gravelines-Dunkerque est donc l’homme qui aura pour mission de faire remonter le club nancéien en Jeep Elite la saison prochaine. Le technicien de 59 ans a déclaré avoir eu besoin de faire une pause la saison dernière et qu’il est prêt à revenir prendre en main une équipe professionnelle.\\n\\n« Pourquoi Nancy ? Parce que Nancy tout simplement ! Il y a un parcours parallèle entre le SLUC et moi-même. Il y a toujours eu beaucoup de respect entre nous ! J’ai toujours dit que la Pro B en France, c’est la meilleure seconde division d’Europe. Pendant mon année sabbatique, je me suis intéressé à d’autres choses et j’ai une autre approche désormais. Cette année m’a redonné énormément d’appétit ! Mon break a été nécessaire. Je me suis entouré d’un staff et j’ai travaillé sur moi spécifiquement ! Jean-Luc a eu une histoire avec le SLUC c’est vrai. Nous allons désormais, avec le Président Durst, en avoir une autre. L’accueil est très positif. Nous devons travailler avec une masse salariale encadrée et un nombre de joueurs sous contrat élevé. Nous allons faire le point rapidement, dans les jours à venir, sur l’effectif en présence et sur les ajustements possibles. La Pro B est un championnat tellement dense, tellement difficile. Il y a plein de façons de monter. «\\n\\nLe président du SLUC, Philippe Durst s’est félicité de ce recrutement.\\n\\n« Je suis très heureux d’accueillir Christian Monschau aujourd’hui. Il devient entraineur du SLUC Nancy pour au moins la saison à venir. Le coach fera dans le budget stricte que nous avons, le meilleur choix dans la construction de l’effectif. Nous souhaitions élargir notre liste de candidats pour avoir la meilleur projection possible. Comme vous le savez un certains nombres d’entraineurs étaient sous contrats. Au niveau de l’éthique on voulait être clean vis à vis des clubs. »\\n\\nPhoto : SLUC Nancy"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Moses Ehambe prolonge au Portel"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé mi-avril en qualité de pigiste médical de Benoit Mangin, Moses Ehambe (1,98m, 32 ans) a prolongé son contrat avec Le Portel pour la saison 2018/19.\\n\\nAprès avoir été mis à l’essai pendant plusieurs jours par le staff portelois, le Texan avait convaincu les dirigeants de lui offrir une chance pour la fin de saison. Particulièrement adroit derrière l’arc (48% de réussite), le champion de D-League 2011 pourra encore faire apprécier son adresse au Chaudron à la rentrée.\\n\\nCette saison Moses Ehambe compilait en moyenne 11,7 points et 1,7 rebond pour une évaluation de 9.\\n\\n\\n\\n\\nEt Moses rempile! pic.twitter.com/4Kc6lCq1iQ\\n\\n\\n— ESSM Le Portel (@ESSMbasket) 12 juin 2018\\n\\nPhoto : ESSM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du Monde 3×3 : la France en bronze"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après s’être inclinées en demi-finale de seulement deux petits points face à la Russie (19-17), les Françaises ont parfaitement réagi en petite finale.\\n\\nChristelle Diallo, Alice Nayo, Marie-Eve Paget et Johanna Tayeau ont décroché la médaille de bronze de la Coupe du Monde de 3×3 2018 en s’imposant face à la Chine 21-14 avant la fin du temps réglementaire.\\n\\nFélicitations à elles qui repartent des Philippines avec la médaille de bronze autour du cou !"
}, 
{"role": "user",     "content":"Wilfried Yeguete (Le Mans): «C’est quand on a le dos contre le mur que l’on joue le mieux»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En fin d’après-midi, Le Mans Sarthe Basket va s’envoler pour la Côte d’Azur et prendre ses quartiers à Nice. Sur le Rocher de Monaco, l’attend les deux premiers épisodes de la finale des playoffs de Jeep Elite. En fin de matinée, Wilfried Yeguete (2,01m, 26 ans) a fait le point. Et si la Roca Team sera légitimement favorite de cette finale, le MSB tombeur de l’ASVEL et de Strasbourg se dit que faire la passe de trois n’est pas du domaine du fantasme...\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nCombien de temps vous a-t-il fallu pour vous focaliser sur la finale après la victoire à Strasbourg, le retour au Mans, l’accueil des supporters à la gare ?\\n\\nOn a joué samedi, dimanche on est revenu et lundi on était déjà focus sur Monaco. Les matches s’enchaînent rapidement aussi on n’a pas trop de temps pour rester sur le match d’avant. On en a quand même profité un peu samedi et dimanche.\\n\\nVous avez joué deux matches de plus que Monaco. La victoire aide-t-elle à oublier la fatigue ?\\n\\nA ce stade de la saison, c’est une petite excuse... On va tout faire pour être à fond. C’est vrai qu’ils ont eu une série qui était moins longue que la nôtre. On aurait pu finir à domicile, on ne l’a pas fait. On est juste content d’être en finale et on veut faire le maximum pour aller jusqu’au bout.\\n\\nQuelle leçons faut-il tirer des deux victoires que vous avez obtenu en saison régulière contre Monaco, qui avait une équipe un peu différente de celle d’aujourd’hui ?\\n\\nLe match chez eux était serré. On a gagné d’un point (67-66). Ici ils menaient de vingt points à la mi-temps et on a réussi à basculer après. Ce sont deux matches différents, qui nous ont beaucoup appris. Si là-bas on est mené, on a toujours une chance. On a déjà gagné chez eux donc on a une chance de le refaire.\\n\\nLeur défense est-elle encore plus oppressante que celle de Strasbourg ?\\n\\nElle est différente. Ils sont beaucoup plus dans l’agressivité que Strasbourg. Ils ont aussi beaucoup plus de joueurs, ils sont plus athlétiques. C’est une équipe qui joue vraiment sur la défense. Ils font beaucoup plus de passes. Ça va être un challenge pour nous de prendre soin du ballon, d’éviter qu’ils fassent des interceptions. Dès qu’ils ont le ballon, ils courent, ils ont des joueurs très rapides. Ça sera à nous d’avoir le moins de pertes de balle possible.\\n\\nOn voit entre vous beaucoup de solidarité. Il s’est passé quelque chose entre-vous durant ces playoffs ?\\n\\nIl y a eu un déclic contre l’ASVEL. On a perdu à domicile et on a prouvé que l’on pouvait aussi gagner à l’extérieur. J’en parlé avec Romeo (Travis) hier, c’est quand on a le dos contre le mur que l’on joue le mieux. On a réussi à le montrer. On a eu l’opportunité de finir à domicile contre Strasbourg, on ne l’a pas fait et on a quand même réussi à faire un coup là-bas. C’est une équipe qui est vraiment très solidaire. On a des atouts et on sait que sur un match, on peut gagner. Si on en perd un, on a toujours une chance, on l’a prouvé. On a eu de plus en plus confiance en nous au fur et à mesure des matches. On a eu un petit moment de doute lors du premier match contre l’ASVEL et ensuite on s’est remis dedans. On est en confiance, on sait que l’on a nos qualités et que l’on peut aller jusqu’au bout.\\n\\nOn a l’impression que pour vous ce n’est presque pas un handicap de jouer à l’extérieur ?\\n\\nOn peut dire ça. On arrive à avoir une concentration à l’extérieur qui est très bonne. On joue vraiment juste. Quand on joue comme ça défensivement, on peut faire mal. On a aussi gagné contre Strasbourg de vingt points. On a une constance défensive et aussi mental. On a deux matches là-bas et on va essayer d’en prendre un comme d’habitude et on verra ce qui se passe.\\n\\n« Monaco c’est aussi une équipe qui gagne à l’extérieur. Ils l’ont prouvé toute l’année et aussi en playoffs »\\n\\nL’intensité défensive, c’est la clé ?\\n\\nOui surtout à l’extérieur quand on n’a pas le soutien du public. Il faut surtout bien commencer, ne pas leur laisser des paniers faciles. C’est ça qui va être la clé. Avoir un bon état d’esprit dès le début, que ce soit difficile pour eux de marquer.\\n\\nY a-t-il un vrai avantage pour Monaco de jouer dans leur salle, si l’on compare à Limoges par exemple où il y a une grosse pression à Beaublanc ? A Monaco, l’ambiance est soft ?\\n\\nÇa reste leur salle, là où ils ont joué toute l’année où ils s’entraînent où ils ont leurs habitudes. C’est un plus pour eux. Après, Monaco c’est aussi une équipe qui gagne à l’extérieur. Ils l’ont prouvé toute l’année et aussi en playoffs. Nous aussi on a gagné à l’extérieur.\\n\\nPersonnellement, avez-vous déjà vécu des moments comme ça, notamment à la fac ? (NDLR : en 2014, Will a atteint le Final Four avec Florida après une série de 30 victoires et les Gators furent battus en demi-finale par Connecticut). Avez-vous déjà ressenti une émotion comparable ?\\n\\nA la fac, c’était différent car sur un match. Tu perds, tu es éliminé. Là, tu peux perdre des matches et tu es encore en vie. Tu peux perdre de 20 points aujourd’hui et gagner de 15 demain. Il y a des ajustements qui se font au fur et à mesure des playoffs, des séries. Je n’ai jamais été vraiment confronté à ça.\\n\\nQui est le favori de cette finale pour vous ?\\n\\n(Sourire) C’est à vous de nous le dire, je pense. Monaco, c’est une équipe qui est toujours en haut de tableau, qui a fini première ces trois dernières années. Ils ont gagné la Leaders Cup. On peut dire que c’est eux. Ça ne me gêne pas d’être outsider. On est arrivé ici avec nos qualités et on sait que l’on peut aller jusqu’au bout. Monaco, c’est une équipe qui a fait une grosse saison régulière, ils sont allés au Final Four de la BCL, c’est vraiment une équipe qui est costaude mais je pense que l’on a toutes nos chances. On ira là-bas comme on a fait tous les playoffs, on essaiera de faire un coup.\\n\\nAu poste 5, avec Youssoupha Fall et Yannis Morin, vous êtes trois désormais. Il n’y a pas de complexe à avoir vis-à-vis de Monaco dans le secteur intérieur ?\\n\\nNon du tout. Yous a fait un gros match contre Strasbourg, il nous a beaucoup apporté. Yanis a été là. On peut jouer un peu différemment avec Yous, Yanis et moi, ça donne beaucoup d’options au coach. C’est un plus surtout défensivement pour apporter de l’énergie, du combat. C’est important je crois d’avoir beaucoup de joueurs à ce poste-là.\\n\\n[armelse]\\n\\nCombien de temps vous a-t-il fallu pour vous focaliser sur la finale après la victoire à Strasbourg, le retour au Mans, l’accueil des supporters à la gare ?\\n\\nOn a joué samedi, dimanche on est revenu et lundi on était déjà focus sur Monaco. Les matches s’enchaînent rapidement aussi on n’a pas trop de temps pour rester sur le match d’avant. On en a quand même profité un peu samedi et dimanche.\\n\\nVous avez joué deux matches de plus que Monaco. La victoire aide-t-elle à oublier la fatigue ?\\n\\nA ce stade de la saison, c’est une petite excuse... On va tout faire pour être à fond. C’est vrai qu’ils ont eu une série qui était moins longue que la nôtre. On aurait pu finir à domicile, on ne l’a pas fait. On est juste content d’être en finale et on veut faire le maximum pour aller jusqu’au bout.\\n\\nQuelle leçons faut-il tirer des deux victoires que vous avez obtenu en saison régulière contre Monaco, qui avait une équipe un peu différente de celle d’aujourd’hui ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du Monde 3×3 : les Bleues battues en demi par la Russie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il s’en est fallu de peu pour les Françaises jouent la médaille d’or de cette Coupe du Monde 2018 de 3×3.\\n\\nAu bout du suspense, les Bleues se sont inclinées 19-17 face à la Russie qui se qualifie donc pour la grande finale de la compétition et qui affrontera l’Italie. Les Françaises rencontreront la Chine en petite finale et tenteront de quitter les Philippines avec la médaille de bronze autour du cou."
}, 
{"role": "user",     "content":"Levallois : Sylvain Francisco signe son premier contrat pro avec les Metropolitans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé l’été dernier et signataire d’un contrat pour jouer en Espoirs, Sylvain Francisco vient de parapher son premier contrat professionnel avec les Levallois Metropolitans.\\n\\nSur Twitter, le club des Hauts-de-Seine vient d’annoncer la signature de son micro meneur pour la saison prochaine. Né en région parisienne, l’ancien international français U20 est passé par la Liberty Christian Prep et évoluait la saison dernière au sein de la West Oaks Academy.\\n\\nCette saison en Jeep Elite, Sylvain Francisco compilait en moyenne 3,5 points, 1,1 rebond et 1,9 passe décisive pour une évaluation de 3 avec les pros.\\n\\n\\n\\n\\nOFFICIEL➡ @S_CISCO_2 signe son premier contrat pro chez les @LevalloisMetro ! #GoLM pic.twitter.com/Wn63yFcoI5\\n\\n\\n— Boulogne-Levallois Metropolitans 92 (@Metropolitans92) June 12, 2018\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview – Patrick Koller (Directeur de la Communication de la FIBA): «On a bon espoir d’avoir l’année prochaine les meilleurs clubs français»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Patrick Koller est le directeur de la communication de la Fédération internationale. On a profité de sa venue à Paris pour évoquer le sujet toujours aussi brûlant : le conflit entre la FIBA et l’Euroleague qui perturbe à la fois les coupes européennes et les qualifications des équipes nationales à la Coupe du Monde 2019.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComment est défini le nombre d’équipes par pays pour la Basketball Champions League ?\\n\\nIl y a un ranking qui est établi à partir des résultats en BCL des années précédentes pour définir le nombre de places attribué à la France, l’Allemagne, l’Italie, etc. C’est donc basé sur des résultats concrets et ça peut évoluer suivant que les pays ont des séries avec de bons résultats ou de moins bons. Par exemple, pour la France, on en est à trois équipes directement qualifiées en saison régulière et une équipe qui doit passer par les qualifications. Il s’agit du meilleur ranking possible. Actuellement, on n’a que deux années d’existence mais après ce sera un système qui sera basé sur les trois dernières années.\\n\\nCombien de pays ont trois équipes comme la France ?\\n\\nPour la saison qui vient de s’achever 2017-18, la Turquie et l’Italie avaient également trois places plus une quatrième pour les qualifications. C’est susceptible d’évoluer pour la saison prochaine.\\n\\nEnsuite, chaque ligue est maîtresse pour désigner ses équipes ?\\n\\nChaque ligue ne va pas avoir le choix des équipes mais c’est elle qui va déterminer les critères qui sont pris en compte pour la qualification. La première place est pour le champion. Elle peut décider si la seconde est pour le finaliste ou le vainqueur de la saison régulière, si une coupe est qualificative.\\n\\nEt si une équipe refuse de participer à la BCL préférant aller en Eurocup, ça supprime une place pour le pays concerné ?\\n\\nPour la France, il y a donc trois places + une pour la Champions League dans le top 5 national. Si une équipe ne veut pas jouer ou veut jouer une autre compétition européenne, c’est un choix du bureau de la BCL de savoir si on accorde tout de même une place à la sixième classée. Ce n’est donc pas définitif mais ça veut dire que cette place n’est pas assurée.\\n\\nAujourd’hui, il y a une lutte entre la BCL et l’Eurocup pour savoir qui est la deuxième compétition européenne derrière l’Euroleague. Financièrement, est-ce plus intéressant aujourd’hui pour un club de disputer la BCL ? Avez-vous à la FIBA tous les chiffres donnés en amont par l’Eurocup ?\\n\\nLe problème, c’est exactement ça. Nos chiffres sont publics. Chaque équipe sait exactement ce qu’elle va toucher au minimum. C’est 50 000 euros. Et ensuite suivant son parcours et sa qualification, elle peut toucher jusqu’à un million pour le vainqueur. C’est transparent comme le ranking pour le nombre d’équipes, etc. Le problème, c’est que pour l’Eurocup, on ne connaît pas les règles, ce n’est pas clair. Apparemment, il y a un pool marketing pour distribuer de l’argent en fonction des droits TV mais on ne sait pas qui, comment. On sait ce qui s’est passé pour la saison passée mais on a eu des informations d’une équipe qui ne sait pas encore combien elle va toucher de ses droits marketing par rapport à la TV.\\n\\nDonc aujourd’hui, un club ne peut pas choisir entre la BCL et l’Eurocup pour l’argent en toute connaissance de cause ?\\n\\nL’Eurocup propose probablement différentes choses à différents clubs. C’est un business privé et ils rencontrent des clubs indépendamment des critères sportifs. Et à mon avis ce qu’ils donnent change suivant le club et le pays.\\n\\n[table id=133 /]\\n\\nA la BCL, vous prenez en charge toute la production TV ?\\n\\nOui car on a centralisé pour avoir une uniformité dans les standards TV et pour aussi diminuer les frais pour les clubs.\\n\\nVous avez bon espoir d’avoir cette saison en BCL les trois meilleurs clubs français soit Monaco, Le Mans et Strasbourg ?\\n\\nC’est la troisième année qu’existe la BCL et on a pratiquement tous les clubs qui se sont qualifiés puisqu’il ne faut pas oublier qu’il faut se qualifier sportivement, qui sont revenus. Si je me souviens bien, le seul qui n’est pas revenu, c’est le Partizan (Belgrade).\\n\\nLe Partizan a eu des problèmes financiers ?\\n\\nOui, je crois que c’est lié à ça. Mais tous les autres clubs de tous les pays sont revenus jouer la BCL. Donc on a bon espoir d’avoir l’année prochaine les meilleurs clubs français comme on les a eu jusqu’à maintenant (NDLR:Le Mans a déjà donné son accord pour disputer la BCL. D’après le journaliste de L’Equipe, Arnaud Lecomte, Monaco hésite. Limoges et Villeurbanne préfèrent l’Eurocup.)\\n\\nPatrick Koller\\n\\n« Il y a eu une position assez claire contre les ligues fermées dans le contexte européen. C’est ce qui est véritablement ressorti des interventions de tous les ministres »\\n\\nDiscutez-vous avec la ligue française ou avec les clubs ?\\n\\nAvec la ligue, c’est clair puisque c’est elle qui détermine les places, comment elles sont attribuées, etc. Chaque club est ensuite libre de s’inscrire d’ici le 22 juin et le 27, il y a une séance du board qui va décider qui participe.\\n\\nVous n’appelez pas les clubs pour les inciter à venir chez vous ?\\n\\nIl est normal de discuter avec des partenaires avec qui on a travaillé, on a des contacts avec eux pour savoir quels sont leurs plans pour le futur. Mais ce que l’on offre est clair par rapport à l’environnement, des critères sportifs, de la ligue, des critères financiers, tout est transparent.\\n\\nEtes-vous satisfait du contrat TV avec Canal+, de la diffusion des matches et aussi du nombre de spectateurs dans les salles ?\\n\\nLa couverture de Canal sur la BCL est très positive. Ils retransmettent tous les matches des clubs français, ils font un studio qui est dédié à la BCL, on a des gens qui connaissent le basket, qui comprennent l’importance de cette compétition. On ne peut pas espérer mieux. Les clubs français ont fait de bons résultats, Monaco a été présent deux fois au Final Four. En ce qui concerne les spectateurs et considérant que c’est un produit très nouveau, dans un environnement pas facile à comprendre pour les fans puisqu’il y a plusieurs compétitions, je pense que l’on a réussi à fidéliser, à pousser cette marque, à la faire monter. Ça ne peut pas se faire en un coup de baguette magique, on a besoin d’un peu de temps, mais les chiffres que l’on a sont prometteurs. Au niveau français, le public répond présent. Bien entendu, plus la compétition avance et plus c’est le cas.\\n\\nIl semble qu’il y ait eu une petite avancée dans le conflit FIBA-Euroleague dans le sens que ECA fait débuter l’Eurocup plus tôt et cela va libérer une date dans le calendrier pour la fenêtre des équipes nationales en novembre. Est-ce un indice qui démontre que l’on va vers un arrangement où est-ce seulement un fait qui coïncide avec les intérêts des clubs d’Eurocup et ceux des équipes nationales ?\\n\\nC’est très difficile à évaluer. Je rêverais qu’il le fasse aussi pour l’Euroleague puisqu’on sait très bien que l’on ne parle que de deux semaines sur la durée d’un championnat entier. On rêve donc que ça soit le cas mais aujourd’hui rien n’indique que l’Euroleague va adapter ses dates pour les équipes nationales.\\n\\nPatrick Baumann, le secrétaire-général de la FIBA, est un membre important du CIO. C’est lui qui avait présidé le comité d’évaluation des sites pour la désignation des pays hôtes pour les Jeux de 2024 et 2028. Avait-il en amont consulté le CIO et les politiques en Europe afin d’être certain que la fédération internationale avait toute latitude pour organiser une compétition pour les équipes nationales qui superposerait le calendrier d’une ligue privée, en l’occurrence celui de l’Euroleague ?\\n\\nEn amont, on avait approché toutes les ligues en Europe y compris l’Euroleague dès les prémices des calendriers, en 2011. On les a tenus au courant de toutes les évolutions et on a publié les dates finales des calendriers en 2015. En novembre 2016, on a reçu une lettre de l’Euroleague qui confirmait qu’elle n’allait pas empêcher les fenêtres et les joueurs de rejoindre leurs équipes nationales. C’était un sous-entendu clair qu’ils allaient respecter ces fenêtres. Tous les indicateurs étaient au vert et c’est pour ça que l’on a été très étonné lors de l’été 2017 lorsqu’ils ont annoncé tout à coup qu’ils allaient jouer pendant les fenêtres. Au niveau préparatifs, discussions qui ont commencé en 2011, on a vraiment fait tout ce que l’on pouvait pour informer et laisser le temps aux ligues nationales et internationales de se préparer. Je le rappelle, c’est un championnat qui commence en octobre et qui se finit en mai et on ne parle que de déplacer deux journées. C’est un détail. Avec toutes les informations que l’on avait à ce moment-là, on était persuadé que l’Euroleague allait faire comme toutes les autres ligues qui sont dans l’écosystème FIBA, ne pas jouer pendant les fenêtres.\\n\\nOutre le fait que chaque partie a déposé plainte, l’une contre l’autre, il y a eu une réunion des ministres des sports des pays de l’Union Européenne. Au terme de celle-ci, il y a eu un communiqué commun qui démontre qu’ils ont envie de pérenniser le modèle européen du sport. La question de fond est là : peut-on en Europe constituer une ligue privée qui sorte complètement des schémas séculaires? Cette prise de position peut-elle avoir un poids ? Peut-on contraindre un organisme privé à se plier aux directives de la fédération internationale, en l’occurrence de libérer les joueurs pour les fenêtres ?\\n\\nIl y a eu effectivement un consensus assez fort de la part de tous les ministres pour dire deux choses importantes. La première, c’est que le système tel qu’il est, pyramidal, avec les clubs qui sont la base avec les championnats nationaux, les qualifications pour les coupes d’Europe, doit être respecté. Ce modèle doit être respecté en Europe avec des conditions cadres qui doivent être revues avec l’évolution du sport. Deuxièmement, il y a eu une position assez claire contre les ligues fermées dans le contexte européen. C’est ce qui est véritablement ressorti des interventions de tous les ministres. Cela prouve que c’est un sujet qui interpelle. La France et l’Allemagne étaient des leaders dans cette position-là. Le sentiment, c’est que l’Europe veut renforcer ce système, mettre en place un cadre qui puisse permettre de respecter ça. Il est difficile de savoir combien de temps il faut pour que ce cadre soit mis en place et dans quelle mesure. Il y a une possibilité pour que ces ministres mettent une certaine pression pour que le cas qui nous occupe soit résolu et oblige l’Euroleague a bougé ses pions et à libérer ses joueurs pendant ces fenêtres. Cela pose actuellement des problèmes quand on sait que Barcelone pour un match qui a concerné deux de ses joueurs, a décidé de laisser jouer le capitaine de la Bulgarie Sasha Vezenkov mais pas le capitaine de la Finlande Petteri Koponen. Cela pose des problèmes d’équité sportive. Il y a des possibilités par rapport à la plainte qui a été déposée qu’elle soit activée et que cela pousse l’Euroleague à libérer son calendrier et à permettre aux joueurs d’y participer.\\n\\nDarion Atkins\\n\\n« On a tellement d’exemples comme Galatasaray qui ont rencontré des problèmes financiers. Ils ont joué au-dessus de leurs moyens pendant une saison »\\n\\nCertains pays qui ont un club d’Euroleague, la Russie, Israël, la Turquie, n’appartiennent pas à l’Union Européenne. Celle-ci aurait quand même le pouvoir d’imposer ses vues ?\\n\\nJe ne suis pas un spécialiste du droit européen mais je ne pense pas que cela puisse se faire par rapport à l’Union Européenne en elle-même. C’est par rapport à la Commission Européenne et à la plainte qui a été déposée. C’est la Commission de la Concurrence qui doit statuer sur ce cas-là.\\n\\nLes ministres n’ont donc fait que montrer leur position vis-à-vis de ce dossier ?\\n\\nVoilà. Il y a deux choses. La mise en place de ce cadre légal va prendre du temps. Mais il y a des choses qui peuvent se faire plus rapidement car il y a des plaintes déposées par l’Euroleague et l’autre par la FIBA. Il n’y a eu aucune action, aucune enquête envers les deux organismes. Si on ouvrait une action contre l’Euroleague, ça pourrait faire bouger les pions.\\n\\nCe que vous voulez en définitive c’est que participer à la Basketball Champions League soit rentable pour vos clubs alors que participer à l’Euroleague coûte énormément d’argent et ne peut être réalisé que par des mécènes ou des clubs de football qui subventionnent la section basket comme le Real ou le Barça ?\\n\\nL’idée est d’avoir un modèle sain. On a besoin de créer un environnement de stabilité. Il faut que les ligues soient rentables, qu’il y ait du monde dans les salles, qui suit le championnat, etc. Comment faire ça ? En instaurant un système qui permet de rendre les matches plus attractifs. Vous avez que vous terminez quatrième, vous allez jouer une coupe d’Europe. Alors que si vous avez un contrat pour dix ans et que vous êtes huitième et que vous voyez que vous ne pouvez plus gagner, vous arrêtez de jouer. Les gens n’ont pas vraiment la possibilité d’avoir une motivation pour investir dans le sport. C’est un tout. C’est renforcer les ligues nationales et permettre la possibilité aux meilleurs clubs de jouer une coupe d’Europe avec un environnement stable. Vous savez que si vous terminez troisième du championnat de France, que vous faites la demi-finale, vous jouez la Basketball Champions League. Vous connaissez les règles en début de saison et si vous voulez atteindre ces objectifs, vous savez que vous pouvez investir. Si vous jouez la BCL, on ne va pas vous demander d’investir 10M€ de plus comme le Bayern qui va jouer l’Euroleague... On a tellement d’exemples comme Galatasaray qui ont rencontré des problèmes financiers. Ils ont joué au-dessus de leurs moyens pendant une saison. On veut de la stabilité sur du long terme. On ne demande pas un minimum de budget. Si vous vous qualifiez pour la BCL avec un budget qui est la moitié de celui des autres, c’est bon. Il y a effectivement un minimum de capacité de salle pour que le produit soit vendable, c’est normal. Le champion de Tchéquie peut jouer la BCL même si la Tchéquie n’est pas un pays de basket comme la Grèce. Il ne faut pas oublier que la BCL c’est 50% de la FIBA mais aussi 50% des ligues. C’est une compétition qui doit servir les ligues, à se développer, à générer plus d’argent, de visibilité, etc.\\n\\nPeut-on dire que les clubs d’Euroleague vivent au-dessus de leurs moyens ? Qu’il ne devrait pas y avoir de joueurs à un million de dollars et plus ?\\n\\nJe pense que c’est une réalité de dire que économiquement, ce n’est pas viable. Que tout ça est finalement dû à certaines personnes qui sont prêts à investir à perte dans un produit (NDLR : selon certaines sources, seul le Maccabi Tel-Aviv des 16 clubs d’Euroleague serait économiquement positif).\\n\\n[armelse]\\n\\nComment est défini le nombre d’équipes par pays pour la Basketball Champions League ?\\n\\nIl y a un ranking qui est établi à partir des résultats en BCL des années précédentes pour définir le nombre de places attribué à la France, l’Allemagne, l’Italie, etc. C’est donc basé sur des résultats concrets et ça peut évoluer suivant que les pays ont des séries avec de bons résultats ou de moins bons. Par exemple, pour la France, on en est à trois équipes directement qualifiées en saison régulière et une équipe qui doit passer par les qualifications. Il s’agit du meilleur ranking possible. Actuellement, on n’a que deux années d’existence mais après ce sera un système qui sera basé sur les trois dernières années.\\n\\nCombien de pays ont trois équipes comme la France ?\\n\\nPour la saison qui vient de s’achever 2017-18, la Turquie et l’Italie avaient également trois places plus une quatrième pour les qualifications. C’est susceptible d’évoluer pour la saison prochaine.\\n\\nEnsuite, chaque ligue est maîtresse pour désigner ses équipes ?\\n\\nChaque ligue ne va pas avoir le choix des équipes mais c’est elle qui va déterminer les critères qui sont pris en compte pour la qualification. La première place est pour le champion. Elle peut décider si la seconde est pour le finaliste ou le vainqueur de la saison régulière, si une coupe est qualificative.\\n\\nEt si une équipe refuse de participer à la BCL préférant aller en Eurocup, ça supprime une place pour le pays concerné ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto d’ouverture: Elmedin Kikanovic (Monaco – FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo du jour : Boris Diaw a reçu son béret de fusilier marin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme annoncé hier, Boris Diaw s’est engagé dans la Marine Nationale et il a reçu son béret de fusilier marin ce matin à l’occasion d’une cérémonie à la base de Toulon.\\n\\nTitulaire du permis côtier depuis l’année dernière, le capitaine de l’équipe de France va passer la semaine au cœur du groupement des fusiliers marins pour suivre un entraînement.\\n\\n\\n\\n\\n🇫🇷⚓🏀Le capitaine de Vaisseau Boris Diaw à l'oeuvre dans la Rade de #Toulon lors d'un exercice d'interception maritime.\\n\\n\\n📺 Reportage complet avec la remise de béret au capitaine de l'équipe de France de basket ce soir au journal. @theborisdiaw @MarineNationale @Premarmed pic.twitter.com/LVifwc3PWy\\n\\n\\n— BFM Toulon Var (@BFMVar) June 12, 2018\\n\\nPhoto : Var Azur"
}, 
{"role": "user",     "content":"Candidat au poste de coach de Nancy, Jean-Christophe Prat déçu par l’attitude du SLUC"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"D’abord dans la balance pour reprendre le flambeau à Cholet suite au départ de Philippe Hervé, Jean-Christophe Prat faisait également partie des candidats à la succession de Gregor Beugnot à Nancy.\\n\\nFinalement laissé de côté par Cholet Basket au profit de Régis Boissié, l’ancien assistant d’Erman Kunter ne devrait pas non plus prendre la tête du SLUC étant donné que Christian Monschau est très proche du club et en contact avancé avec le président Philippe Durst. L’entraîneur de Denain entre 2014 et 2017 a néanmoins été reçu par les dirigeants nancéiens qui semblaient intéressés.\\n\\nSur Twitter, Jean-Christophe Prat a notamment déclaré avoir passé trois heures à Nancy.\\n\\n« J’ai été reçu 3h à Nancy... ils m’ont expliqué qu’ils voulaient développer leurs jeunes joueurs pour gagner et monter en Jeep élite....j’aime mon métier je suis amoureux du basket mais je déteste les codes qui le régissent.#LaVieContinue«\\n\\nPhoto :Pascal Thurotte/ASCDVPH"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : la légende du coaching Larry Brown vers Turin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Au Hall Of Fame NBA depuis 2002, Larry Brown (77 ans) serait en partance pour l’Italie. Il aurait accepté la proposition du Fiat Torino.\\n\\nSelon Sportando, le champion NBA 2004 avec les Detroit Pistons serait sur le point de vivre sa première expérience loin des Etats-Unis. Cette légende du coaching américain est passé par le banc des Denver Nuggets, San Antonio Spurs, New Jersey Nets, Philadelphie Sixers, Detroit Pistons, Los Angeles Clippers, New York Knicks et Charlotte Bobcats en NBA et par UCLA, Kansas, North Carolina et SMU en NCAA.\\n\\nLe natif de Brooklyn possède l’impressionnant record de 1 275 victoires pour 965 défaites chez les professionnels. Il est également le premier et seul entraîneur à avoir remporté un titre NCAA (1988 avec Kansas) et un titre NBA (2004 avec les Pistons)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français qui retirent leur nom de la Draft NBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ils étaient une dizaine à présenter leur nom pour la Draft NBA, mais ils ne seront finalement que très peu nombreux à garder leur nom jusqu’au 22 juin, date de la fameuse cérémonie.\\n\\nLes jeunes prospects du monde entier avaient jusqu’à lundi 11 juin pour annoncer s’ils retiraient ou non leur nom de la liste. Si Elie Okobo est le plus grand espoir français cette saison à la Draft, ils sont plusieurs à avoir décidé de renoncer. Parmi eux, Adam Mokoka (Gravelines-Dunkerque), Amine Noua (ASVEL), Melvin Govindy (Cholet), Etienne Ca (Chalon-sur-Saône), Shekinah Munanga (Monaco), Stephane Gombauld (Lille), Melvyn Govindy (Cholet), Jean-Marc Pansa (Nanterre) et Darel Poirier (Charleville-Mézières). Le pensionnaire de l’université de Tulane, Renathan Ona Embo, a également décidé de retenter sa chance l’année prochaine.\\n\\nA noter que d’après la dernière projection d’ESPN, Elie Okobo était vu sélectionné à la 23e position par les Indiana Pacers. Rendez-vous dans dix jours. En attendant, le meneur de jeu palois continuent son tour des Etats-Unis pour faire des workouts avec les équipes NBA.\\n\\nIl ne reste donc plus aucun Français à la Draft.\\n\\nPhoto : Julie Dumélié/BCM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"NM2 : Alvin Nance réalise son rêve français en signant à Calais"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vous vous souvenez d’Alvin Nance ?\\n\\nIl y a deux ans, nous vous avions raconté son histoire sur Basket Europe. Celle d’un joueur américain parmi tant d’autres qui rêve de venir jouer en France. Et bien, Alvin vient aujourd’hui de réaliser son rêve puisqu’il jouera sous les couleurs de Calais Basket en Nationale 2 pour la saison 2018/19.\\n\\nSon nouveau club vient d’annoncer l’information. Après avoir affolé les statistiques en Amérique du Sud (40 points de moyenne au Pérou, 35 points de moyenne en Bolivie), l’arrière américain va découvrir les exigences de la quatrième division française dans le Pas-de-Calais.\\n\\nPour rappel voici l’interview que nous lui avions consacrée."
}, 
{"role": "user",     "content":"Boris Diaw rejoint la Marine !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Retraite ou pas retraite ? En tout cas Boris Diaw (2,03m, 36 ans) se lance dans une nouvelle carrière puisque Le Parisien indique qu’il s’est engagé dans la Marine.\\n\\nMardi matin, le capitaine de l’Equipe de France se rendra à Toulon où il va recevoir son béret de marin lors d’une cérémonie officielle organisée à la base navale de Toulon. L’année dernière, l’ancien joueur des San Antonio Spurs avait passé son permis côtier avec la Marine, à Toulon.\\n\\n« Il appartiendra à la réserve citoyenne, pas la réserve opérationnelle, il sera un lien entre l’armée et la nation à travers le monde « , a annoncé la Marine Nationale.\\n\\nPhoto : Karen Mandau"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Aurélien Salmon quitte Boulazac pour Caen"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après cinq saisons passées à Boulazac, Aurélien Salmon (2,02m, 31 ans) a décidé de quitter le Périgord pour rejoindre la Normandie et Caen, en Pro B.\\n\\nSur son site, le CBC annonce l’arrivée de l’ancien joueur du SLUC pour une saison. Après une saison en Jeep Elite, qu’il n’avait pas connue depuis 2010/11 avec le CSP, l’ancien joueur de Quimper va retrouver la deuxième division française.\\n\\nCette saison en Jeep Elite, Aurélien Salmon compilait en moyenne 6,4 points et 2,8 rebonds pour une évaluation de 6,1.\\n\\nA noter que le CBC a également annoncé les prolongations de contrat pour une année de BJ Monteiro, David Ramseyer et Bryson Pope.\\n\\nPhoto : Boulazac Basket Dordogne"
}, 
{"role": "user",     "content":"NM2 : Steed Tchicamboud est le nouvel entraîneur de Cergy-Pontoise"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après le départ de l’ancien international portugais Philippe Da Silva, c’est un ancien international français qui va prendre la relève puisque Steed Tchicamboud a accepté de rejoindre Cergy-Pontoise en qualité d’entraîneur principal.\\n\\nCoach à Trappes en NM3 cette saison, l’ancien joueur de l’Elan Chalon monte d’un échelon et entraînera en NM2 la saison prochaine, annonce le club du Val d’Oise. Notamment passé par Cholet, Nancy, Chalon, Limoges ou encore le Paris-Levallois en tant que joueur, le triple All Star LNB a été double vainqueur de la Coupe de France et de la semaine des As et il a été sacré une fois champion de France.\\n\\nSous le maillot bleu, il a également remporté une médaille d’argent à l’Eurobasket 2011. Il fera ses débuts au CPBB à la rentrée."
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du Monde 3×3 féminine: Les Bleues tombent l’Espagne et se qualifient pour les demi-finales"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce matin à Manille, l’équipe de France féminine a vaincu l’Espagne, 19-17, en quart-de-finale de la Coupe du Monde féminine et s’est qualifiée pour les demi-finales de la compétition.\\n\\nLes Bleues vont affronter plus tard dans la journée la Russie vainqueur de la République Tchèque, 21-14.\\n\\nL’équipe de France est composée de Christelle Diallo, Alice Nayo, Marie-Eve Paget et Johanna Tayeau."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau : Vitalis Chikoko prolonge deux saisons"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bonne nouvelle pour l’Elan Béarnais qui va conserver Vitalis Chikoko (2,08m, 27 ans) lors des deux prochaines saisons.\\n\\nArrivé en 2016, l’ancien joueur de Verone s’installe un peu plus dans le Béarn où il vivra sa troisième saison en 2018/19. Avant de débarquer en France, le natif du Zimbabwe est passé en grande partie par l’Allemagne et a vécu une saison une Italie.\\n\\nL’entraîneur béarnais, Laurent Vila s’est félicité de cette prolongation.\\n\\n« Nous sommes heureux de pouvoir compter sur lui et ainsi de travailler dans la continuité. Il se sent bien au club et se retrouve dans le jeu que l’on développe. C’est vrai que Vitalis a vu son début de saison contrarié par une blessure mais il a été en mesure de la finir très correctement dès lors qu’il a pu retrouver la plénitude de ses moyens physiques. Il va effectuer un camp d’été à Houston et suivre un programme individualisé afin qu’il arrive en pleine forme et que, physiquement et techniquement il soit encore un autre joueur à la rentrée. On est convaincu qu’il est en mesure de devenir un joueur à gros impact : c’est ce qu’on attend de lui mais c’est aussi ce qu’il a envie d’être. »\\n\\nCette saison en Jeep Elite, Vitalis Chikoko compilait en moyenne 10,6 points, 4,7 rebonds et 1,4 passe décisive pour une évaluation de 11,8.\\n\\nPhoto : Elan Béarnais"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Christian Monschau vers Nancy !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après s’être séparé de Greg Beugnot il y a quelques jours, le SLUC Nancy serait sur le point d’enrôler Christian Monschau (59 ans) pour son poste de coach.\\n\\nC’est l’information que vient d’envoyer notre consultant Fred Weis. L’ancien entraîneur du BCM Gravelines-Dunkerque serait donc le tacticien sur lequel les dirigeants nancéiens ont lancé leur dévolu pour faire remonter le SLUC en Jeep Elite. Le président du club, Philippe Durst, a confirmé être en contact avancé avec Christian Monschau mais que rien n’est encore signé, comme l’annonce La Semaine.\\n\\nSans club depuis 2017 après avoir quitté le BCM, le natif de Mulhouse est passé par Strasbourg, Châlons-en-Champagne, Golbay-Epinal, Le Havre et donc Gravelines-Dunkerque. Son frère ainé, Jean-Luc, était à la tête de Nancy entre 2004 et 2013.\\n\\n\\n\\n\\nUn nouveau Monschau à @SLUCbasketNancy , Christian devient le nouveau coach !\\n\\n\\n— Fred Weis (@Bigfredstyle) June 11, 2018\\n\\nPhoto : Ann-Dee Lamour"
}, 
{"role": "user",     "content":"Fabien Causeur : «Après sa saison incroyable, le Real mérite ce titre»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir brillé lors du Final Four Euroleague de Belgrade, Fabien Causeur s’apprête à jouer sa première finale en Liga ACB. Et pour réaliser un fantastique doublé, Causeur et sa bande devront battre Vitoria, l’ancien club du français.\\n\\nCette finale, qui commence ce mercredi à Madrid, aura forcément une saveur particulière pour le Brestois. Mais pas question de faire dans les sentiments.\\n\\n« Ce sera des matchs très spéciaux pour moi face à mon ancienne équipe en Espagne, mais j’ai encore plus envie de remporter ces finales avec le Real », avance Causeur sur le site de l’ACB. « J’ai passé quatre années incroyables avec le Baskonia, mais ça fait déjà deux ans et ce chapitre de ma vie est refermé. Maintenant, je cherche à engranger les titres avec le Real Madrid. »\\n\\n\\nFabulous Fab, facteur X des finales ?\\n\\nDominateur durant la saison régulière, avec un bilan de 30 victoires pour 4 défaites, le Real Madrid a également été autoritaire en playoffs avec deux coups de balai.\\n\\n« Le Real mérite ce titre de Liga », ajoute Causeur. « On a réussi une saison incroyable avec seulement quatre défaites. On mérite ce titre. Mais tout ça doit être remis aux oubliettes. «\\n\\nFace au Baskonia, le Real aura du fil à retordre avec un secteur intérieur (Shengelia, Poirier, Voigtmann) qui pourra rivaliser avec les madrilènes (Tavares, Randolph, Reyes, Ayon). Et puis, Causeur craint également les coups de pattes des extérieurs basques, dont Rodrigue Beaubois qu’il connaît bien.\\n\\n« On a encore un peu de temps avant le premier match et l’adrénaline va commencer à monter petit à petit. On se prépare en toute sérénité, on connait bien notre adversaire. On a déjà envie d’en découdre. Il faudra faire attention à leurs arrières et essayer de les ralentir. Mais, quand j’ai signé avec le Real, je me suis dit que je devais jouer chaque jour avec envie et enthousiasme. Car c’est pour moi la meilleure situation possible. »\\n\\nSacré champion d’Europe il y a quelques semaines, Fabien Causeur ne semble pas décidé à redescendre de son nuage de sitôt. Auteur de 8 points, 2 rebonds et 2 passes en moyenne en saison régulière, Causeur veut faire le coup double en soulevant un nouveau trophée avec le Real. Et il pourrait bien à nouveau sortir de sa boîte en attaque...\\n\\nSes highlights de la saison"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : De Colo et Westermann sacrés en Russie !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Bleus du basket ne se sont jamais aussi bien exportés ! Le contingent tricolore compte vingt cinq joueurs (huit de plus que l’an passé) pour neuf pays sur le Vieux Continent.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n\\nLe CSKA à nouveau champion\\n\\nLa VTB League avait décidé de faire peau neuve en mettant en place un nouveau format en mode Final Four (contre des séries en cinq par le passé). Mais au bout du bout, c’est encore le CSKA qui se défait du Khimki Moscou et empoche un 10e titre de suite ! Sergio Rodriguez (15 points, 8 passes) a été élu MVP du Final Four.\\n\\nElu MVP de la saison régulière (son 3e sur ses 4 dernières années), Nando De Colo a été tout aussi essentiel à son équipe dans la quête d’un nouveau titre en VTB League. Avec 13 points en demi-finale puis surtout 18 points et 7 passes en finale, l’international français n’a reculé devant rien ni personne. Pas même Malcolm Thomas qu’il ira invectiver après une vilaine faute.\\n\\nBlessé, Léo Westermann récolte néanmoins une nouvelle breloque et un quatrième titre dans un quatrième pays (après la Serbie, la France et la Lituanie).\\n\\n\\nVitoria rejoint le Real en finale\\n\\nÇa faisait huit ans que Vitoria attendait ça mais son équipe va enfin retrouver la finale ACB. Ça sera précisément la 8e participation du club basque à ce duel au sommet. Vincent Poirier, auteur d’un double double dans la seule défaite du Baskonia, aura été très solide pour contenir les assauts d’Ante Tomic. A 10 points de moyenne sur la série, Rodrigue Beaubois a lui apporté son punch en attaque.\\n\\nEn face, Adrien Moerman aura été exemplaire dans l’effort avec un match à 18 points et 7 rebonds de moyenne sur la série. A ses côtés, Edwin Jackson n’a malheureusement pas eu droit à beaucoup de temps de jeu, malgré une prestation intéressante au match 2. Thomas Heurtel aura lui livré une très belle partie lors de l’ultime levée avec 16 points... mais il a été maladroit tout au long de la série (9/26 à deux points et 4/14 à trois points).\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=2KRX2JXGfE8\\n\\nEt en finale, Vitoria retrouvera le Real en quête d’un doublé avec son tout dernier titre en Euroleague (la fameuse decima). Fabien Causeur a été plutôt discret, mais néanmoins précieux, dans une série face à Gran Canaria, logiquement emportée par les madrilènes qui ont été sérieux de bout en bout avec trois manches sèches. Causeur va donc retrouver son ancien club de Vitoria pour sa première finale...\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=-Om03BAMbFc\\n\\n\\nKaunas tenu en échec en finale\\n\\nLe Zalgiris Kaunas est pour l’instant tenu en respect par son rival du Lietuvos Rytas en finale de la LKL. Ces derniers ont en effet égalisé lors de la 2e manche des finales, malgré 7 points d’Axel Toupane. Lors de la première manche, Arturas Milaknis a fait son show avec un 6/7 dingo à trois points ! Le prochain match aura lieu le 14 juin sur le parquet de Kaunas.\\n\\nEnfin, on peut noter également que Mathias Lessort empoche également un titre cette saison avec l’Etoile Rouge de Belgrade qui remporte son 4e titre national d’affilée en Serbie. Lessort a vu son temps de jeu se réduire petit à petit en fin de saison, lui qu’on évoque déjà du côté de Barcelone la saison prochaine...\\n\\n\\nEspagne\\n\\nAdrien Moerman (Barcelone) :\\n\\n– 18 points (5/8 aux tirs), 5 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 1 balle perdue en 32 minutes (défaite 85-79 face à Vitoria)\\n– 6 points (3/7 aux tirs), 9 rebonds, 1 passe, 1 contre, 2 balles perdues en 27 minutes (victoire 67-65 face à Vitoria)\\n– 5 points (2/9 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 26 minutes (défaite 88-82 a.p face à Vitoria)\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) :\\n\\n– 8 points (3/11 aux tirs), 6 passes, 1 rebond, 2 balles perdues en 21 minutes (défaite 85-79 face à Vitoria)\\n– 8 points (1/7 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 2 interceptions en 24 minutes (victoire 67-65 face à Vitoria)\\n– 16 points (6/15 aux tirs), 5 passes, 2 interceptions, 1 rebond, 4 balles perdues en 32 minutes (défaite 88-82 a.p face à Vitoria)\\n\\nRodrigue Beaubois (Vitoria) :\\n\\n– 12 points (4/8 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 1 interception, 2 balles perdues en 19 minutes (victoire 85-79 face à Barcelone)\\n– 10 points (3/8 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 18 minutes (défaite 67-65 face à Barcelone)\\n– 8 points (3/5 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 3 balles perdues en 12 minutes (victoire 88-82 a.p face à Barcelone)\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) :\\n\\n– 7 points (1/2 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe, 1 contre en 28 minutes (victoire 85-79 face à Barcelone)\\n– 10 points (5/10 aux tirs), 12 rebonds, 1 passe, 1 contre, 2 balles perdues en 24 minutes (défaite 67-65 face à Barcelone)\\n– 2 points (1/3 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 12 minutes (victoire 88-82 a.p face à Barcelone)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) :\\n\\n– 6 points (2/4 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 balle perdue en 16 minutes (victoire 92-83 face à Gran Canaria)\\n– 4 points (2/2 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe en 14 minutes (victoire 99-92 face à Gran Canaria)\\n\\nEdwin Jackson (Barcelone) :\\n\\n– 7 points (3/5 aux tirs), 2 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 17 minutes (défaite 85-79 face à Vitoria)\\n– 0 point (0/2 aux tirs), 1 rebond, 1 balle perdue en 9 minutes (victoire 67-65 face à Vitoria)\\n– 0 point (0/2 aux tirs) en 5 minutes (défaite 88-82 a.p face à Vitoria)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : saison terminée\\n\\nLanding Sané (Andorre) : saison terminée\\n\\nNicolas De Jong (Saragosse) : saison terminée\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : saison terminée\\n\\nAntoine Diot (Valence) : saison terminée\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAngelo Tsagarakis (Kymis) : saison terminée\\n\\nKim Tillie (Olympiakos) : blessé pour la fin de saison\\n\\nBoris Dallo (Panionios) : saison terminée\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) :\\n\\n– 10 points (4/5 aux tirs), 4 rebonds, 3 passes, 1 interception, 1 contre, 1 balle perdue en 20 minutes (victoire 87-70 face à Hapoel Holon)\\n– 7 points (3/6 aux tirs), 2 interceptions, 1 passe en 29 minutes (défaite 82-71 face à Hapoel Holon)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Milan) : saison terminée\\n\\nNobel Boungou-colo (Turin) : saison terminée\\n\\nYakhouba Diawara (Pistoia) : saison terminée\\n\\n\\nLituanie\\n\\nAxel Toupane (Kaunas) :\\n\\n– 0 point (0/1 au tir), 1 rebond, 1 passe, 1 balle perdue en 13 minutes (victoire 96-83 face à Rytas)\\n– 7 points (2/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 balle perdue en 17 minutes (défaite 82-73 face à Rytas)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : saison terminée\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA) :\\n\\n– 13 points (6/11 aux tirs), 3 passes, 3 interceptions, 1 balle perdue en 16 minutes (victoire 84-67 face à St Pétersbourg)\\n– 18 points (3/8 aux tirs), 7 passes, 2 rebonds, 2 balles perdues en 25 minutes (victoire 95-84 face au Khimki)\\n\\nLeo Westermann (CSKA) : blessé\\n\\n\\nSerbie\\n\\nMathias Lessort (Etoile Rouge) : n’a pas joué (victoire 97-88 face à FMP)\\n\\nBandja Sy (Partizan) : saison terminée\\n\\n\\nTurquie\\n\\nMoustapha Fall (Sakarya) : saison terminée\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Vitoria corrige Barcelone"
}, 
{"role": "user",     "content":"Finale – Pro B. Fos prend la première manche à Roanne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ambiance est montée crescendo depuis le début des Playoffs à la Halle Vacheresse et les 5 000 supporters présents ont contribué à faire monter la température pour ce premier acte de la finale des Playoffs d’accession de Pro B. Dans une atmosphère digne des grands soirs face à Fos-sur-Mer, la Chorale avait réalisé une superbe entame avant d’encaisser un 16-1 qui a complètement changé la donne dans le 3e quart, impuissant face à un Pierre Pelos des grands soirs (18pts). Sur le fil, ce sont les Fosséens qui se sont imposés (68-72) et prennent une première option sur la montée en Jeep Elite avant de recevoir lors du prochain match, jeudi soir.\\n\\nL’entame rêvée\\n\\nComme un symbole, c’est Mathis Keita qui allume la première étincelle avec deux pénétrations qui vont au bout et un 3 points qui fait rugir l’assemblée de plaisir (14-7). Les Fosséens s’accrochent par Edouard Choquet de loin et Pierre Pelos qui ramène un peu le calme d’un dunk en transition (14-12). L’accalmie est de courte durée et Roanne repart en prenant deux rebonds offensifs signés Ben Mbala et Thomas Ville qui coûtent cher aux Provençaux, qui encaissent un nouveau panier du Camerounais à l’intérieur puis un 3 points de David Jackson (22-14). L’agressivité défensive des locaux est récompensée par un panier en transition de Clément Cavallo, et Jason Williams conclut ce premier quart de rêve par un 3-points au buzzer (29-16).\\n\\nLe plus dur commence pour les locaux alors que Louis Campbell et Abdou Mbaye signent leur entrée par un tir à mi-distance et un tir derrière l’arc (29-21). Mais Robert Nyakundi ne laisse pas le temps de douter à son équipe en rendant la pareille avec son second panier à 3 points de la soirée. Et lorsque Fos Provence Basket revient à -6 grâce à Edouard Choquet (38-32), c’est encore Mathis Keita qui relance la machine d’un tir de loin à 2 points avant de laisser Jason Williams et Ben Mbala redonner un avantage confortable à la Chorale avant la pause (44-32).\\n\\nFos renverse la vapeur\\n\\nLes Roannais affichent leurs intentions dès le retour des vestiaires alors qu’Alexis Tanghe et Mathis Keita alignent deux paniers depuis le corner. Keita enchaîne avec un nouveau panier derrière l’arc pour faire passer le score à 53-40. Mais les Fosséens répondent cette fois au degré d’agressivité des locaux et passent alors un 16-1 pour inverser complètement la tendance. Sur la série, Pierre Pelos montre toute l’étendue de son talent en scorant 11 points alors que la paire Campbell-Kirksay donne l’impulsion en défense (54-56). Le momentum a clairement changé de camp dans cette fin de troisième quart comme en témoigne une énième balle perdue, cette fois par Ben Mbala (56-57).\\n\\nL’expérience fait la différence\\n\\nLa tension est à son comble dès le début du 4e quart, ce qui n’empêche pas Jordan Aboudou et Ben Mbala de faire le spectacle (62-59). En réponse à l’ancien monégasque, Mbala claque deux dunks tonitruants qui remettent les locaux dans le droit chemin à l’approche du money-time (62-59).\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/1006269492131966976\\n\\nMais l’expérience des Fosséens vient peser de tout son poids dans la fin de match. Les deux vieux briscards Tariq Kirksay et Mamadou Dia s’en vont conclure une contre-attaque avant de se partager la marque sur les deux paniers suivants pour redonner l’avantage à Fos Provence Basket. Mamadou Dia trouve ensuite Edouard Choquet à l’opposé pour un 3 points avec la faute (65-68). Les hommes de Rémi Giuitta sont à deux doigts de faire le break mais Choquet et Kirksay laissent filer un lancer-franc chacun en route, ce qui permet à Robert Nyakundi de ramener la Chorale à -1 d’un missile derrière l’arc (68-69). Héros du match 3 de la demi-finale contre Lille, Jackson et Williams ne parviennent pas à marquer le panier décisif, et c’est Jaraun Burrows et Jordan Aboudou, le grand absent de la demi-final, qui offre la victoire à Fos Provence Basket.\\n\\nMatch retour jeudi soir à la Halle Parsemain de Fos-sur-Mer. L’ambiance devrait y être tout aussi chaude.\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/1006276980222955522"
}, 
{"role": "user",     "content":"Blois conserve le MVP de Pro B Tyren Johnson une saison de plus"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Elu MVP de Pro B cette saison, Tyren Johnson (2,02m, 29 ans) sera toujours en France la saison prochaine puisqu’il a décidé de prolonger avec Blois.\\n\\nTrès bonne nouvelle pour l’ADA Blois qui se permet le luxe de conserver son meilleur joueur et le meilleur joueur de la division lors de l’exercice 2017/18 de Pro B. Sur son site, le club blésois indique qu’avant même de savoir à quel niveau évoluera l’équipe, l’ailier fort américain a souhaité prolonger son contrat.\\n\\nCette saison, Tyren Johnson compilait en moyenne 15,4 points, 5,3 rebonds et 2,9 passes décisives pour une évaluation de 15,6.\\n\\nPhoto : Tuan Nguyen"
}, 
{"role": "user",     "content":"Finale Pro B : premier match à Roanne à guichets fermés"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Redescendue en Pro B en 2014, la Chorale de Roanne s’est qualifiée pour la finale des playoffs d’accession en Jeep Elite et ça commence ce soir à la Halle André Vacheresse.\\n\\nPour l’occasion, les supporters de la Chorale ont totalement répondu présent puisque le gymnase roannais sera à guichets fermés ce lundi soir. Ils ne seront pas moins de 5 000 à soutenir le champion de France 2007 qui est la meilleure équipe à domicile de la saison. Mais attention, Fos présente, elle, la formation la plus expérimentée avec des pointures telles que Tariq Kirksay, Mamadou Dia ou encore Louis Campbell et Edouard Choquet champion de France avec l’ASVEL en 2016.\\n\\nRencontre à suivre en direct sur SFR Sport 2 à 20h45.\\n\\nPhoto : Chorale de Roanne"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le dunk d’Adrien Moerman sur Vincent Poirier en vedettedu Top 7 des demis de Liga Endesa"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Malgré l’élimination de Barcelone face à Vitoria, Adrien Moerman a montré de quoi il est capable. La preuve en est avec ce dunk.\\n\\nPas habitué à jouer les acrobates, l’ancien Limougeaud est monté avec puissance ligne de fond pour aller dunker sur son compatriote Vincent Poirier. C’est la meilleure action des demi-finales de Liga Endesa.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV: Les finales de Jeep Elite et de Pro B"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est l’apothéose pour la Jeep Elite avec la finale des playoffs entre Monaco et Le Mans et aussi pour la Pro B avec Roanne/Fos-sur-mer, le tout sur SFR Sport 2, bien sûr.\\n\\nLundi 11 juin :\\n\\n20h45 – Pro B – Roanne/Fos – SFR Sport 2\\n\\nMercredi 13 juin :\\n\\n20h45 – Jeep Elite – Monaco/Le Mans – SFR Sport 2\\n\\nJeudi 14 juin :\\n\\n20h45 – Pro B – Fos/Roanne – SFR Sport 2\\n\\nVendredi 15 juin :\\n\\n20h45 – Jeep Elite – Monaco/Le Mans – SFR Sport 2\\n\\nDimanche 17 juin :\\n\\n17h30 – Pro B – Roanne/Fos – SFR Sport 2, si nécessaire\\n\\nLundi 18 juin :\\n\\n20h45 – Jeep Elite -Le Mans/Monaco – SFR Sport 2\\n\\nPhoto: DJ Cooper (Monaco, FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Finale Pro B – Clément Cavallo (Roanne) : « Il n’y a pas de favori »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Capitaine courage de la Chorale de Roanne où il évolue depuis deux saisons, l’ailier formé à Hyères-Toulon a réalisé l’une de ses meilleures saisons en carrière au niveau statistique (7,1 pts, 6,5r bds, 2, 5pds, 13 d’éval en moyenne en saison régulière). Sur le match 3 jeudi soir de la demi-finale des Playoffs contre Lille (71-55), il a montré l’exemple au milieu de trio Williams-Jackson-Nyakundi, en se jetant sur tous les ballons et en jouant chaque possession à 200%. Deuxième de la saison régulière après une rude bataille pour la première place perdue sur la longueur face à Blois, voilà la formation de Clément Cavallo (2,00m, 27 ans) en finale, avec l’occasion de retrouver la Jeep Elite sur une série au meilleur des trois matchs. En face se dresse Fos Provence Basket, le club qui l’a lancé dans le grand bain en 2011-2012.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nEn quête d’un second titre majeur en Pro B après son sacre de champion de France avec le HTV en 2016, le fils de Claude Cavallo revient sur cet exercice 2017-2018 et cette finale face à son ancienne équipe qui débute ce lundi soir à 20h45\\n\\nClément Cavallo, vous êtes sorti brièvement lors du 3e match contre Lille après un coup. Comment allez-vous aujourd’hui ?\\n\\nÇa va mieux... J’ai pris une bonne béquille sur le genou. Mais c’était plus sur l’os que sur le muscle. C’est plus de peur que de mal, mais c’est vrai que j’ai vraiment eu mal sur le coup. Je boitais bien. Mais après une fois sur le banc, j’ai glacé et puis après, j’ai pu revenir. Et là ça va.\\n\\nVous aviez perdu de 25 points à Lille (77-52) avant de vous imposer dans le match d’appui jeudi dernier (71-55). Ce revers sévère dans le match retour a-t-il été un mal pour un bien ?\\n\\nJe ne sais pas si c’était un mal pour un bien. Mais après, c’est aussi ça, les playoffs ! On sait que rien n’est jamais facile. On a beau gagner le premier match, certes avec un écart incroyable, ça ne nous donne aucune garantie pour le suivant. On va dire que c’était peut-être une petite piqûre de rappel, c’est les playoffs. C’est partout pareil, tous les ans. Je me demandais d’ailleurs comment ça se faisait qu’en NBA d’ailleurs les équipes pouvaient passer de +20 à -20 d’un match à l’autre. Maintenant, j’ai compris. On ne doit pas oublier que c’est les playoffs, que chaque équipe mérite sa place et s’est battue pour ça, et que les compteurs sont remis à zéro. Il ne faut jamais se relâcher même si ça peut arriver inconsciemment\\n\\nAu niveau de la dynamique de l’équipe lors de votre arrivée en playoffs, ça n’a pas été dur de se remobiliser après être passé si près d’une montée directe ?\\n\\nJe ne sais pas... C’est compliqué parce que c’est vrai que tu passes à quelques victoires du titre, une ou deux. Mais notre objectif premier c’était les playoffs et si on faisait plus c’était que du bonus. Du coup, le staff a fait en sorte qu’on puisse basculer rapidement sur les playoffs. C’est bien parce que c’est ce qu’on a réussi à faire. Il aurait pu y avoir ce petit contre-coup de la saison régulière. Mais dès les dernières journées du championnat, on a réussi à nous mettre dans un état d’esprit playoffs. Jusqu’à présent, ça a bien marché pour nous.\\n\\nLa question a dû être récurrente cette saison, mais comment la Chorale est passée des dernières places au rang de meilleure défense de Pro B (67,4 points encaissés par match) ?\\n\\nIl n’y a pas les mêmes joueurs déjà. C’est pas les mêmes qualité donc du coup, c’est toute une équipe différente par rapport à la saison passée. Ensuite, le coach a aussi recruté des joueurs qui avaient dans leur ADN cette capacité à afficher une grosse défense et qui l’avaient montré dans leurs équipes précédentes. Je pense à Boulazac pour Alexis (Tanghe) et David (Jackson), Vichy avec Jason (Williams), Robert (Nyakundi) qui était à Toulon avec moi, Mathis (Keita) qui était avec le coach à Evreux... Tout ça a pu nous aider à comprendre les situations. On a aussi compris que ça pouvait être sa marque de fabrique.\\n\\nC’était une volonté affichée du coach en début de saison, d’insister sur la défense ?\\n\\nOui, et de tout façon, on a bien vu que ces dernières années, les équipes qui défendaient finissaient avec de bonnes places dans le championnat. Du coup On était fixé. On a des gars d’expérience aussi. Ils se savent se poser et te dire ce qu’il faut faire pour gagner. En tant qu’équipe, on a réussi à imposer ça et en faire notre marque de fabrique.\\n\\nParmi les joueurs arrivés l’été dernier, il y a Robert Nyakundi, que vous avez vu pour sa première saison en France à Hyères-Toulon en 2015. C’est un intérieur assez atypique, il est notamment le meilleur shooteur à 3 points de l’équipe (41,8% d’adresse). Quel est son importance dans votre système ?\\n\\nTu l’as dit, rien qu’en terme d’adresse, c’est un atout incroyable pour nous. Il a joué aussi des coupes d’Europe avant d’aller à Toulon, en Belgique. Après tout le monde est important dans l’équipe mais c’est vrai que qur ce qu’apporte Robert c’est précieux. Et dans le championnat, c’est l’un des meilleurs dans ce qu’il fait. Tout le monde est important, et Robert, dans son rôle, il nous apporte beaucoup.\\n\\n« Statistiquement, on peut dire que c’est la meilleure saison de ma carrière »\\n\\nPersonnellement aussi, vous réalisez une de vos meilleures saisons. Vous estimez avoir franchi un cap cette saison ?\\n\\nOui, si on parle statistiquement, on peut dire que c’est la meilleure saison de ma carrière. Après, ça récompense aussi le travail de tout un groupe. Parce que ce sont aussi mes coéquipiers qui font en sorte que j’en sois là aujourd’hui. Dire que j’ai passé un cap, c’est compliqué à dire. Ce ne sont pas vraiment des choses qui m’importent. J’essaie de faire ce qu’il faut pour aider l’équipe... S’il faut que je marque des points alors je marque des points. Sinon, je fais mon taf habituel, tout ce qui est autour, de tout faire pour que l’équipe gagne, en fait. C’est ça qui m’importe. J’essaie d’être présent le plus possible des deux côtés du terrain et on va dire que cette année, j’ai peut-être un peu plus de passes parce que mes coéquipiers mettent un peu plus de tirs. C’est tout un travail d’équipe ! Des fois, ils bloquent leurs joueurs et c’est moi qui récupère les rebonds.Après comme je dis je suis davantage concentré sur le fait de faire gagner l’équipe de que de passer un cap. Ça peut paraître un peu bizarre mais c’est juste que je ne suis ni trop bavard ni à l’aise quand il s’agit de parler de moi.\\n\\nÇa tombe mal par rapport à la question suivante, sur l’un des faits marquants de la saison régulière et ce match perdu d’un point à Orléans en janvier dernier (65-64 sur trois lancers ratés à la dernière seconde). Comment vous êtes-vous relevé de ce final ?\\n\\nJ’ai mal vécu cette épisode là, très mal ! Je garde une image en tête, celle du coup de sifflet final. Les gars sont venus autour de moi directement sans même prêter attention aux adversaires. Ils m’ont entouré pour essayer de me réconforter. C’était dur au début, après on est allé dans les vestiaires, Laurent (Pluvy) m’a attrapé et il m’a parlé. Il m’a dit que c’était des choses qui arrivaient dans une carrière, que ce n’était pas toujours tout rose. C’est vrai que je n’avais jamais été dans une position comme celle-ci. Pas mal de coéquipiers aussi dans le vestiaire m’ont dit ça. J’ai décidé de prendre ça comme une épreuve pour me rendre meilleur. Ça a quand même pris quelques matchs. Je ne vais pas dire que le match d’après, c’était tout bon. Mais quelques matchs contre Charleville-Mézières, je me suis retrouvé dans une situation similaire, et j’ai mis mes lancers. C’est comme ça. C’était d’autant plus frustrant que dans ma carrière, pour l’instant j’ai toujours été plutôt adroit au lancer-franc, et sur ce coup, je fais trois gamelles. C’est comme ça, il ne fallait pas que je marque.\\n\\nÇa vous a libéré de vous retrouver dans la même situation et de mettre vos lancers ?\\n\\nC’est clair. Même Laurent m’a dit après ce match là ,« tu as eu ta revanche ». C’est tant mieux pour l’équipe parce qu’on a pu gagner et tant mieux pour moi. Avec le recul, je me dis que c’était une bonne chose. Plus tard, j’ai vu des grands joueurs américains et dans les grands championnats européens rater aussi des lancers sur des fins de match. Ça peut arriver à tout le monde. Tu peux te prendre la tête un week-end, mais après il faut prendre ça comme une épreuve pour avancer.\\n\\nQu’est ce que ça vous fait d’arriver en finale, en plus face à Fos Provence Basket chez qui vous avez passé un an (2011-2012) ?\\n\\nDéjà d’arriver en finale, c’est super ! Ce sont des bons moments à vivre parce que dans une carrière, ce n’est pas tous les ans qu’on joue une finale. Même si ça dépend de plein de choses. Pour Fos, c’est vrai que j’ai commencé ma première année pro là-bas. C’est toujours sympa de revoir le coach et mes anciens coéquipiers, Edouard (Choquet) et Mamadou (Dia). Mais au delà de ça, ça reste une affiche comme une autre. Je vais essayer de tout faire pour aider l’équipe continuer à enchaîner les bons résultats.\\n\\nQuels souvenirs gardez-vous de votre passage à Fos-sur-Mer ?\\n\\nJe garde plutôt un souvenir positif parce que j’ai beaucoup appris cette année-là. J’arrivais d’espoir et j’avais connu une bonne saison. J’arrivais dans une équipe pro avec des joueurs très très forts. C’était une équipe incroyable qu’il y avait cette année-là à Fos. Des joueurs d’expérience comme Sacha (Giffa), Mamadou (Dia) qui était déjà un joueur d’expérience aussi. J’ai beaucoup appris de cette année-là. Collectivement, on avait fait une énorme saison. On avait perdu le match 3 à Limoges dans une ambiance un peu houleuse et dans un contexte un peu compliqué. Mais sinon, individuellement, j’ai appris aussi. Je me donnais à fond quand le coach me donnait des minutes et voilà, ça fait partie de l’apprentissage. Chaque année, chaque coach m’a apporté et aujourd’hui, j’en suis là aujourd’hui. Donc, j’ai beaucoup appris et franchement, je garde de très bons souvenirs de mes années à Fos.\\n\\n« Et à partir de ce moment là, il y avait eu des jets d’objets sur le terrain, des trucs un peu fous. On avait perdu le match et on avait dû se faire escorter pour sortie de la salle parce que l’ambiance était plutôt hostile, donc c’est clair que ça, c’était une vraie ambiance de playoffs »\\n\\nVous aviez aussi disputé vos premières minutes en playoffs. Quel souvenir gardez-vous de cette campagne ? Ce match 3 à Limoges ?\\n\\nOui, sans hésiter, clairement. Parce que si je me souviens bien on perd le premier match, on gagne le second chez nous. Et dans les journées, je me rappelle qu’il y avait eu des propos bizarres. Du coup, on arrive à Limoges. Et dès la sortie des vestiaires, on s’est fait siffler tout le match. Tout l’échauffement, tout le match. Ensuite il y avait eu un fait de jeu entre deux joueurs (Raphaël Desroses et Richard Roby), les deux avaient été expulsés. Et à partir de ce moment là, il y avait eu des jets d’objets sur le terrain, des trucs un peu fous. On avait perdu le match et on avait dû se faire escorter pour sortie de la salle parce que l’ambiance était plutôt hostile, donc c’est clair que ça, c’était une vraie ambiance de playoffs. C’était assez spécial à vivre. En plus, on avait fait un grand match, on avait perdu de peu. C’était très frustrant.\\n\\nSur cette finale, vous l’abordez avec l’avantage du terrain et deux victoires en saison régulière contre Fos-sur-Mer. Ça fait de Roanne le favori ?\\n\\nNon. Non, parce que la saison et les playoffs, c’est différent. Fos est une grosse équipe, comme Lille. Ils ont l’habitude de faire les playoffs. Mais arrivé à ce stade, les compteurs sont remis à zéro. Ça va être une belle affiche mais il n’y a pas de favori. Ça va être surtout deux bonnes équipes qui vont se battre dans cette finale.\\n\\nQuel est le secteur de jeu qui vous impressionne le plus en face ?\\n\\nC’est un tout, c’est chaque poste. Ils ont de l’expérience à chaque poste, ils ont du gabarit, du physique. C’est aussi pour ça qu’ils sont là aujourd’hui. C’est une équipe complète qui mélange l’expérience avec beaucoup de physique aussi et des qualités athlétiques importantes. Ce combo fait que Fos est une grande équipe. Je ne pourrais pas citer un secteur en particulier parce que tous les secteurs sont vraiment vraiment intéressants chez eux.\\n\\nL’avantage du terrain, comme on l’a vu sur le match 3 face à Lille, c’est quand même un plus ?\\n\\nOui, c’est clair que c’est un plus de jouer à la maison. Comme l’ a dit le coach, on s’est battu toute l’année pour essayer de terminer à la meilleure place possible pour les playoffs. On a terminé deuxième, à nous d’ajouter ce bonus de l’avantage du terrain dans cette série.\\n\\n[armelse]\\n\\nEn quête d’un second titre majeur en Pro B après son sacre de champion de France avec le HTV en 2016, le fils de Claude Cavallo revient sur cet exercice 2017-2018 et cette finale face à son ancienne équipe qui débute ce lundi soir à 20h45\\n\\nClément Cavallo, vous êtes sorti brièvement lors du 3e match contre Lille après un coup. Comment allez-vous aujourd’hui ?\\n\\nÇa va mieux... J’ai pris une bonne béquille sur le genou. Mais c’était plus sur l’os que sur le muscle. C’est plus de peur que de mal, mais c’est vrai que j’ai vraiment eu mal sur le coup. Je boitais bien. Mais après une fois sur le banc, j’ai glacé et puis après, j’ai pu revenir. Et là ça va.\\n\\nVous aviez perdu de 25 points à Lille (77-52) avant de vous imposer dans le match d’appui jeudi dernier (71-55). Ce revers sévère dans le match retour a-t-il été un mal pour un bien ?\\n\\nJe ne sais pas si c’était un mal pour un bien. Mais après, c’est aussi ça, les playoffs ! On sait que rien n’est jamais facile. On a beau gagner le premier match, certes avec un écart incroyable, ça ne nous donne aucune garantie pour le suivant. On va dire que c’était peut-être une petite piqûre de rappel, c’est les Playoffs. C’est partout pareil, tous les ans. Je me demandais d’ailleurs comment ça se faisait qu’en NBA d’ailleurs les équipes pouvaient passer de +20 à -20 d’un match à l’autre. Maintenant, j’ai compris. On ne doit pas oublier que c’est les playoffs, que chaque équipe mérite sa place et s’est battue pour ça, et que les compteurs sont remis à zero. Il ne faut jamais se relâcher même si ça peut arriver inconsciemment\\n\\nAu niveau de la dynamique de l’équipe lors de votre arrivée en Playoffs, ça n’a pas été dur de se remobiliser après être passé si près d’une montée directe ?\\n\\nJe ne sais pas... C’est compliqué parce que c’est vrai que tu passes à quelques victoires du titre, une ou deux. Mais notre objectif premier c’était les playoffs et si on faisait plus c’était que du bonus. Du coup, le staff a fait en sorte qu’on puisse basculer rapidement sur les Playoffs. C’est bien parce que c’est ce qu’on a réussi à faire. Il aurait pu y avoir ce petit contre-coup de la saison régulière. Mais dès les dernières journées du championnat, on a réussi à nous mettre dans un état d’esprit Playoffs. Jusqu’à présent, ça a bien marché pour nous.\\n\\nLa question a dû être récurrente cette saison, mais comment la Chorale est passée des dernières places au rang de meilleure défense de Pro B (67,4pts encaissés par match) ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Txus Vidorreta fait son retour à Tenerife"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après un an passé à Valence, Txus Vidorreta (51 ans) va faire son retour dans les Îles Canaries, à Tenerife.\\n\\nA Tenerife entre 2015 et 2017, la natif de Bilbao avait quitté l’Iberostar l’été dernier, sur un titre européen, celui de la première édition de la Basketball Champions League. Après une saison moyenne à Valence marquée par une élimination prématurée en playoffs, dès le premier tour par Gran Canaria, l’ancien coach de l’Estudiantes n’a pas continué l’aventure sur le continent.\\n\\nSur son site, le club des Canaries annonce le retour de Txus Vidorreta qui a signé un contrat de trois ans.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Juan Carlos Navarro veut jouer une année de plus"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Battu par Vitoria dimanche soir, Juan Carlos Navarro vient de mettre un terme à sa vingtième saison en tant que basketteur professionnel.\\n\\n19 ans au FC Barcelone (1997-2007 et 2008-2018) et une année aux Memphis Grizzlies (2007/08). Voici le parcours de « La Bomba ». Avec un palmarès long comme le bras, l’arrière espagnol pourrait partir à la retraite avec les honneurs de tout le basket européen. Seulement, le double champion d’Euroleague prévoit de continuer une année de plus.\\n\\nAprès la défaite face au Baskonia, il a confirmé qu’il veut continuer.\\n\\n« Je veux jouer une saison de plus. Je ne veux pas quitter le basket avec une défaite. Et, d’autant plus qu’en Euroleague nous ne jouons pas à notre niveau depuis plusieurs années. Je voudrais jouer pour une équipe compétitive. Cette saison nous avons remporté la Copa del Rey qui est un trophée mais en Europe nous devons être plus compétitifs, nous ne pouvons pas jouer de la façon dont nous le faisons actuellement. »\\n\\nCette saison, Juan Carlos Navarro compilait en moyenne 5,6 points, 1,1 rebond et 1,6 passe décisive en ACB, et 6,9 points, 1 rebond et 1,8 passe en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Jaume Ponsarnau nouvel entraîneur de Valence"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après deux saisons en tant qu’assistant, Jaume Ponsarnau (47 ans) devient l’entraîneur principal du champion en titre de Liga Endesa, Valence.\\n\\nUn petit tour et puis s’en va. Arrivé l’été dernier avec de grandes ambitions tant en Espagne que sur la scène européenne, Txus Vidorreta n’a pas fait de vieux os à Valence. Le champion 2017 de Champions League avec Tenerife quitte le club après une saison.\\n\\nAssistant de Pedro Martinez la saison dernière et de Vidorreta cette saison, Jaume Ponsarnau reprend le flambeau, annonce le club. Avant d’arriver dans la troisième ville la plus peuplée d’Espagne cet entraîneur espagnol a connu plusieurs postes. Il a notamment été en charge du scouting à Manresa avant de passer assistant, il est ensuite devenu entraîneur principal de Manresa. Il est aussi passé par San Sebastien et par la sélection nationale avec laquelle il a remporté la médaille de bronze aux Jeux Olympiques de Rio aux côtés de Sergio Scariolo.\\n\\nCette saison, Valence a terminé quatrième d’ACB mais s’est fait éliminer des playoffs dès le premier tour par Gran Canaria. En Euroleague, les Valenciens ont terminé onzièmes et ne se sont donc pas qualifiés pour les phases finales."
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview croisée : le bilan d’Obi Emegano et Amin Stevens (Rouen, ProB)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’été dernier, l’arrière Obi Emegano (25 ans, 1,90m) et l’intérieur Amin Stevens (28 ans, 2,03m) sont arrivés en Pro B quasiment inconnus au bataillon, au Rouen Métropole Basket. Le premier sortait d’une première saison compliquée à Casale (D2 italienne) puis à Kutno (D1 polonaise) tandis que le second suivait la filière initiée la saison précédente par Haukur Palsson en arrivant d’Islande, avec un titre de MVP du championnat en poche.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nA l’issue de la saison régulière et après une campagne de Playoffs remarquable du RMB (battu 2-0 en demi-finale) les deux « stars » du club rouennais sont désormais connues de tous dans la division et même au delà. Obi Emegano a terminé la saison en tant que 2e meilleur scoreur de Pro B (17,5 pts par match) et possède désormais le record du plus gros carton en Playoffs dans l’histoire de la division avec 47 points lors du match aller à Orléans en quarts de finale. Amin Stevens a fait tout aussi fort puisqu’il a dominé la saison régulière, terminant meilleur marqueur (17,9 pts par match), meilleur rebondeur (8,9) et meilleure évaluation (21,4) du championnat, et ses deux paniers victorieux quasi identiques dans les victoires contre Orléans resteront, eux aussi, dans les mémoires.\\n\\nAlors qu’ils s’apprêtent à relever d’autres défis la saison prochaine, l’un peut-être en Jeep ELITE, et l’autre du côté de Bruxelles sous les ordres de Serge Crevecoeur, les deux futurs ex-coéquipiers ont accepté de dresser le bilan de cette belle saison sous les couleurs du RMB.\\n\\nObi, ça ne vous dérange pas si je vous appelle Kobi après votre match à 47 points en Playoffs à Orléans ? C’était peut-être un de vos joueurs préférés étant plus jeune ?\\n\\nAhahah, non ça ne me dérange pas, tu peux m’appeler Kobi. C’était clairement l’un de mes joueurs préférés quand j’étais plus jeune, avec LeBon James et Dwyane Wade aussi.\\n\\nAmin, je n’ai pas trouvé de surnom pour vous. Le seul joueur qui m’est venu en tête en regardant vos matchs à plus de 20 points et 15 rebonds cette saison, c’est Tim Duncan, mais est-ce que ça colle vraiment ?\\n\\nJe n’ai pas vraiment de surnom... Pour le coup, je vais te laisser choisir pour moi. Quand j’étais petit je regardais beaucoup Tracy McGrady et puis lorsque j’ai grandi j’ai commencé à beaucoup regarder Kevin Durant. C’est mon joueur préféré, et ça l’est encore aujourd’hui. Mais bon, rien de comparable !\\n\\nQuel était votre objectif en arrivant l’été dernier à Rouen ?\\n\\nObi Emegano : Contrairement à ce qu’on pouvait penser au vu du statut de l’équipe, mon objectif a toujours été d’essayer d’accrocher une place en Playoffs.\\n\\nAmin Stevens : Je ne sais pas trop ce que l’équipe attendait de moi en début de saison. Il y avait un petit doute sur mes capacités parce que je venais d’Islande, et même si j’avais été bon là-bas, ils ne savaient pas trop si j’allais pouvoir être aussi efficace ici. Le niveau en France et en Pro B est tellement différent. Donc ils ont un peu douté je crois. Ce qui est sûr, c’est que j’ai été meilleur que ce qu’ils avaient imaginé. Mais moi, je savais de quoi j’étais capable, je n’ai jamais douté. Et honnêtement, tout ce qui m’est arrivé cette année, ça ne m’a pas vraiment étonné. Je m’y attendais.\\n\\nObi, Avez-vous rencontré des difficultés lors de vos premières expériences en Europe sur votre première année en Italie et ensuite en Pologne ?\\n\\nObi Emegano : Oui, ma première expérience en Italie n’a pas été facile. Je me suis retrouvé dans la même situation que beaucoup de joueurs arrivants des USA. C’était la première fois que je débarquais en Europe, je découvrais aussi le basket Fiba. La façon de jouer reste différente comparé à ce qui se pratique aux Etats-Unis même si c’est le même sport. Ça m’a pris un peu de temps pour m’adapter. En dehors du terrain non plus, ça n’a pas été facile, car comme je l’ai dit, c’était ma première fois en Europe, et m’adapter à la façon de vivre ici a été un peu difficile. Ça va beaucoup mieux depuis de ce côté là. Je me suis adapté à la façon de vivre et après avoir passé une saison entière en France, je peux dire que maintenant, j’adore l’Europe.\\n\\nEn ce qui vous concerne Amin, vous avez plus connu de victoires que de défaites au cours de votre carrière, entre la Slovaquie, l’Autriche, l’Allemagne et enfin l’Islande. Où situez-vous cette saison avec Rouen ?\\n\\nAmin Stevens : C’est clairement l’un des meilleurs championnats dans lesquels j’ai joué jusqu’à présent en Europe. J’ai été MVP l’an dernier en Islande, mais le niveau n’était pas le même qu’ici. En Autriche lors de ma deuxième année aussi j’ai été MVP, en première division. J’avais passé une super année, on avait gagné le championnat. Plutôt que de dire que c’était ma meilleure année ici à Rouen, je dirais plutôt que c’était la plus intense en terme de compétition. Sur mes trois premières années, j’ai gagné deux titres, et ma troisième année en Autriche, on termine premier avant de se faire sortir en Playoffs. Donc oui, globalement j’ai eu beaucoup de bonnes expériences. La plus dure a peut-être été lorsque je suis allé en Allemagne, après l’Autriche. Je ne jouais pas vraiment à mon poste, ça a été dur de m’adapter au départ, je n’avais pas les minutes que j’estimais mériter. Cette année-là n’a pas été facile, mais ça a été la seule expérience compliquée même si j’ai fait de bons matchs. Toutes les autres on été plutôt positives.\\n\\nComment ça vous ne jouiez pas à votre poste ?\\n\\nAmin Stevens : Je jouais plutôt ailier-fort avant et j’ai débuté ma carrière en tant qu’ailier. En Allemagne, ils me faisaient jouer pivot. Ça a a été compliqué ensuite de jouer à un autre poste une fois que j’ai commencé à jouer au poste 5. Je n’avais jamais joué à ce poste avant d’arriver en Allemagne. C’était dur parce que j’étais plus petit que les autres. C’était dur d’être efficace pour l’équipe, même au final, ça m’a rendu meilleur et ça a contribué à faire de moi un joueur plus complet.\\n\\nY-a-t’il eu un moment au cours de la saison où vous avez pensé que vous aviez les moyens de faire quelque chose de grand cette année ?\\n\\nObi Emegano : Pas vraiment, on ne s’est jamais dit qu’on pouvait faire « quelque chose de grand ». On n’était pas focalisé là-dessus, mais plutôt sur la façon dont on pouvait être meilleur jour après jour, match après match. On a développé cette réputation d’équipe qui ne lâche rien au fil de la saison, principalement parce qu’il y avait des joueurs avec beaucoup de caractère dans l’équipe. Des gars qui ont cet esprit de compétition et qui a fait qu’on n’a jamais lâché jusqu’à la dernière seconde.\\n\\nAmin Stevens : Notre meneur Ovi (Ovidijus Varanauskas) a manqué plusieurs matchs en début de saison. Sans lui, on a commencé la saison par quatre défaites en cinq matchs. Et soudainement, lorsqu’il est revenu, on a enchaîné cinq victoires en six matchs. A la fin de la phase aller, on était à 10v-7d. Après son retour, on n’avait perdu que trois matchs sur la phase aller. À ce moment-là, j’ai su qu’on pouvait faire quelque chose de spécial. Ensuite, on est retombé dans nos travers en manquant de constance et dans notre approche mentale. Et on a attaqué la deuxième phase un peu trop doucement, par six défaites de suite.\\n\\nOn a renoué avec la victoire ensuite, mais on a aussi perdu sur des matchs serrés à l’extérieur, parfois d’un point comme à Lille (70-69) ou Saint-Chamond (81-80). De mon point de vue, c’était dû à un manque de concentration, de QI basket. J’ai eu l’impression que ça nous a coûté cher parfois. Et que dès nous avons corrigé cet aspect là en développant un mental très fort, en jouant plus intelligemment, de la façon dont on était capable, on est devenu une équipe très dure à battre. (...) On savait qu’on avait du talent, même si tout le monde doutait de nous. Mais on n’a pas laissé la pression nous perturber. On avait rien à perdre. Tout ce qu’on devait faire, c’était aller sur le parquet et jouer. Lorsqu’on jouait sans pression, plus relâché, tout pouvait arriver.\\n\\nPersonnellement, comment analysez-vous votre première saison en France ?\\n\\n\\nObi Emegano : Quand je regarde en arrière et que je retrace notre parcours sur l’ensemble de la saison, je réalise à quel point l’année a été longue. Ça a commencé tout doucement. A cause de pas mal de paramètres, et notamment moi, il fallait que je m’adapte à la façon de jouer, que j’ajuste mon jeu avec celui de mes coéquipiers. Mais lorsque je me suis senti à l’aise, j’ai été capable de jouer mon jeu et je suis devenu le joueur que je suis capable d’être.\\n\\n« On était la plus petite masse salariale de la division, personne n’attendait de nous que nous fassions les Playoffs... Pour nous, de gagner contre Orléans, le grand favori pour remporter ces Playoffs, c’était déjà exceptionnel »\\n\\nAmin, comment avez-vous gardé la même efficacité alors que les équipes ont appris à vous connaître au fil de la saison ?\\n\\nAmin Stevens : Je ne sais pas trop. Il y a eu beaucoup de matchs où je trouvais que je manquais de rythme. J’avais l’impression d’être incapable de mettre un jump shot, ou des choses de ce genre. Le plus important pour moi, c’est de pouvoir amener mon énergie. Et quand j’y arrive, ça change tout. L’énergie te fait prendre des rebonds, te permet d’avoir le bon timing pour aller chercher une claquette, arracher un rebond offensif. Ce sont des petites choses qui paraissent simples. L’énergie ça t’aide aussi en défense, dans plein de choses en fait. Même quand je n’étais pas en rythme, je donnais un maximum d’énergie pour aider l’équipe à gagner.\\n\\nVous avez quitté ces Playoffs sans regrets ?\\n\\nObi Emegano : Ces Playoffs, ça restera comme une expérience incroyable. Non, je n’ai aucun regret après notre défaite en demi-finale, car on a perdu contre une équipe qui était tout simplement meilleure que la nôtre. Ça arrive parfois, il faut savoir l’accepter. On a donné tout ce qu’on pouvait donner et je suis vraiment très fier de mon équipe pour ça, pour s’être battue de cette façon jusqu’au bout.\\nAmin Stevens : Clairement, je n’ai aucun regret. Comme je l’ai dit auparavant, on était la plus petite masse salariale de la division, personne n’attendait de nous que nous fassions les Playoffs... Pour nous, de gagner contre Orléans, le grand favori pour remporter ces Playoffs, c’était déjà exceptionnel. Je crois qu’on a accompli plus que ce qu’on attendait de nous et de loin en réalisant ça. Donc c’est impossible de ressentir quelconque regret, même si on perd 2-0 contre Fos-sur-Mer derrière.\\n\\nQuel souvenir garderez-vous de ces Playoffs ?\\n\\nAmin Stevens : Le meilleur souvenir pour moi, c’est ce tir de la victoire dans le match retour contre Orléans à la maison. On perdait de 15 points, et de revenir pour finalement de gagner comme ça, c’était vraiment beau. C’était un super sentiment, meilleur encore que de remporter la série après le match 3 là-bas. Après notre qualification pour la demi-finale, c’était fort, mais ce n’était pas la même émotion, du fait notamment qu’on ne jouait pas devant notre public. Il y a aussi ce dernier match à la maison (demi-finale retour contre Fos). Quand on pense à l’affluence de la salle au début de l’année et sur ce match, c’était complètement l’opposé. Je crois qu’on a établi un record ce soir là (4 472 spectateurs). Difficile d’avoir des regrets quand tu réalises ce genre de choses aussi spéciales.\\n\\nIl y a aussi cette dernière action dans le match 3 et le système qu’Alexandre Ménard a imaginé le matin du match, c’est ça ?\\n\\nAmin Stevens : Oui, c’était dingue parce qu’il nous a parlé de ce système après l’entraînement du matin. On a répété l’action... Je me suis dit « OK, c’est une bonne idée d’avoir un plan que personne n’avait encore vu pour la dernière seconde, en cas de besoin ». Et quand c’est arrivé, que la balle est sortie... Le coach nous a dit : « Vous savez quel système on va jouer ? ». J’ai répondu « Oui, celui qu’on a vu ce matin ». Et quand on est revenu sur le terrain, je me suis dit que ça allait marcher. Ovi m’avait prévenu, en disant que lorsqu’il allait me donner la balle, ce serait une passe à terre. Et ça a marché à merveille. Ovi ne m’a même pas regardé, il savait que j’allais être là. Il m’a fait une bonne passe, j’ai pu attraper la balle, et le reste fait désormais partie de l’histoire.\\n\\n\\n\\n\\nC'est encore Amin Stevens qui a marqué le panier de la victoire du @RouenMBasket contre Orléans (86-85), à 2,9 secondes de la fin. Le voici en image. #PROB pic.twitter.com/p1jLtJaNI9\\n\\n\\n— ParisNormandie Sport (@Sport_PN) May 30, 2018\\n\\n« Dans ma tête, Obi était déjà à 35 points, ce qui était déjà dingue. Et là je vois Desmond (Williams) venir vers moi et me dire : « Amin, Obi va mettre 50 points, il en est déjà à 43 ! »\\n\\nParlons du match à 47 points d’Obi à Orléans dans le premier match. Obi, vous avez marqué l’histoire de la Pro B ce soir là...\\n\\nObi Emegano : Oui, sur ce point aussi je ressens de la fierté. Mais le sentiment principal que je garderai de ce match, c’est mon dernier tir, celui que je manque et qui aurait pu nous aider à remporter ce premier match.\\n\\nAmin Stevens : C’était complètement fou. Il rentrait tous les tirs qu’il prenait ! Je me disais : « Waouh, ce mec ne rate rien! » Et j’ai su dès la fin de notre premier entraînement avec toute l’équipe en début de saison, qu’on tenait un joueur spécial. J’ai vu que c’était un bon scoreur, sans doute l’un des meilleurs scoreurs avec qui j’ai joué. Donc, ce n’était pas vraiment une surprise, parce que je l’avais déjà vu faire de belles choses toute l’année. Sur ce match, je me souviens être revenu quelques secondes sur le banc pendant le 4e quart-temps. Dans ma tête, Obi était déjà à 35 points, ce qui était déjà dingue. Et là je vois Desmond (Williams) venir vers moi et me dire : « Amin, Obi va mettre 50 points, il en est déjà à 43 ! » Wow, ça semblait fou, en plus venant d’un joueur comme lui, qui n’a que quelques années pros en Europe dans les jambes.\\n\\nA-t-on une chance de vous voir encore en France la saison prochaine ?\\n\\nObi Emegano : Oui, j’ai plusieurs offres venant de clubs français, on est encore en discussion avec mes agents sur la meilleure opportunité pour la saison prochaine. Le but c’est de continuer à progresser, à évoluer. Je crois qu’il y a de bonnes chances pour que je reste en France. Mais rien n’est encore fait. Je vous ferai savoir quand ça aura évolué !\\n\\nAmin, la Belgique est votre prochaine destination ?\\n\\nAmin Stevens : Oui, je vais jouer à Bruxelles l’année prochaine. J’ai été en contact avec le coach (Serge Crevecoeur) depuis les deux derniers mois de la saison environ. Que ce soit sur un plan business, tactique, ou championnat, je sentais que l’opportunité pouvait être intéressante pour moi. Plusieurs clubs de Jeep Elite ont manifesté leur intérêt. Mais je n’ai pas senti le même engagement, je n’avais pas les mêmes garanties sur l’équipe, la façon dont j’allais jouer. Avec le coach de Bruxelles, on a eu un très bon contact, une bonne relation. Tout a été mis sur la table, on a pu parler de tout, ça m’a facilité la tâche dans ma décision finale.\\n\\nVous savez à quel poste vous allez jouer ?\\n\\nAmin Stevens : Oui, je vais retrouver le poste 4.\\n\\n[armelse]\\n\\nA l’issue de la saison régulière et après une campagne de Playoffs remarquable du RMB (battu 2-0 en demi-finale) les deux « stars » du club rouennais sont désormais connues de tous dans la division et même au delà. Obi Emegano a terminé la saison en tant que 2e meilleur scoreur de Pro B (17,5 pts par match) et possède désormais le record du plus gros carton en Playoffs dans l’histoire de la division avec 47 points lors du match aller à Orléans en quarts de finale. Amin Stevens a fait tout aussi fort puisqu’il a dominé la saison régulière, terminant meilleur marqueur (17,9 pts par match), meilleur rebondeur (8,9) et meilleure évaluation (21,4) du championnat, et ses deux paniers victorieux quasi identiques dans les victoires contre Orléans resteront, eux aussi, dans les mémoires.\\n\\nAlors qu’ils s’apprêtent à relever d’autres défis la saison prochaine, l’un peut-être en Jeep ELITE, et l’autre du côté de Bruxelles sous les ordres de Serge Crevecoeur, les deux futurs ex-coéquipiers ont accepté de dresser le bilan de cette belle saison sous les couleurs du RMB.\\n\\nObi, ça ne vous dérange pas si je vous appelle Kobi après votre match à 47 points en Playoffs à Orléans ? C’était peut-être un de vos joueurs préférés étant plus jeune ?\\n\\nAhahah, non ça ne me dérange pas, tu peux m’appeler Kobi. C’était clairement l’un de mes joueurs préférés quand j’étais plus jeune, avec LeBon James et Dwyane Wade aussi.\\n\\nAmin, je n’ai pas trouvé de surnom pour vous. Le seul joueur qui m’est venu en tête en regardant vos matchs à plus de 20 points et 15 rebonds cette saison, c’est Tim Duncan, mais est-ce que ça colle vraiment ?\\n\\nJe n’ai pas vraiment de surnom... Pour le coup, je vais te laisser choisir pour moi. Quand j’étais petit je regardais beaucoup Tracy McGrady et puis lorsque j’ai grandi j’ai commencé à beaucoup regarder Kevin Durant. C’est mon joueur préféré, et ça l’est encore aujourd’hui. Mais bon, rien de comparable !\\n\\nQuel était votre objectif en arrivant l’été dernier à Rouen ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nCrédit Photos: Ann Dee LAMOUR / RMB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Fenêtre internationale : Alade Aminu (Nanterre) et Obi Emenago (Rouen) avec le Nigéria"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Entre le 29 juin et le 1 juillet aura lieu la troisième fenêtre internationale lors de laquelle se disputera le troisième tour des qualifications pour la Coupe du Monde 2019. Le Nigéria rencontrera l’Ouganda, le Mali et le Rwanda.\\n\\nPour le Nigéria, Alex Nwora a fait appel à 17 joueurs dont deux qui proviennent des championnats de France de Jeep Elite et Pro B. Il s’agit du poste 5 de Nanterre Alade Aminu et le serial scoreur de Rouen, Obi Emegano. Parmi eux figure également l’ancien nanterrien Talib Zanna.\\n\\nLa liste complète des joueurs convoqués pour cette troisième fenêtre internationale :\\n\\n * Jesse Adekoya (1,98m, ) Plymouth Raiders\\n * Ike Diogu (2,04m, 34 ans), Sichun Blue Whales (Chine)\\n * Olaseni Lawal (2,08m, 31 ans), Avellino (Italie)\\n * Jai Braxton Ogbueze (1,85m, 24 ans), Charlotte University (USA)\\n * Talib Zanna (2,06m, 27 ans), Ironi Nes Ziona\\n * Alade Aminu (2,10m, 30 ans), Nanterre\\n * Mike Efevberha (1,93m, 33 ans), Beyrouth (Liban)\\n * Bryant Mbamalu (1,88m, 26 ans), CD Vildivia (Chili)\\n * Augustine Okosun (2,11m, 31 ans), Sameji (République Dominicaine)\\n * Apochi Agada (1,91m, 23 ans), Prat (Espagne)\\n * Obi Emegano (1,90m, 25 ans), Rouen Metropole Basket\\n * Idowu Mehinti (2,05m, 24 ans), Lávrion (Grèce)\\n * Keith Omoerah (1,94m, 26 ans), Baerum Basket (Norvège)\\n * Abdul Aziz Attah (2m, 22 ans), JeanD Brebeau (Canada)\\n * Moses Kingsley (2,08m, 23 ans), Anvers (Belgique)\\n * Jordan Nwora (2,01m, 19 ans), University of Louisville (USA)\\n * Ben Uzoh (1,91m, 30 ans), CB Caballero De Culican (Mexico)\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Svetislav Pesic parti pour rester sur le banc du FC Barcelone ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que le FC Barcelone souhaitait faire venir Sarunas Jasikevicius sur son banc, c’est finalement Svetislav Pesic, l’actuel entraîneur du Barça, qui devrait prolonger son bail en Catalogne.\\n\\nSelon le journaliste espagnol Victor Lavagnini, le technicien serbe aurait reçu une proposition de prolongation de contrat de la part des dirigeants barcelonais. Arrivé en février après le départ de Sito Alonso, l’ancien coach du Bayern Munich a remporté la Copa Del Rey avec le Barça cette saison. Il avait également déjà connu une expérience sur le banc catalan entre 2002 et 2004. Période durant laquelle il avait fait le doublé en championnat en remportant deux fois de suite la Liga Endesa (2003 et 2004). En 2003 il avait même réalisé le triplé historique : championnat, coupe et Euroleague.\\n\\nD’après El Mundo Deportivo, Josep Bartomeu, le président du FC Barcelone serait le principal défenseur de Svetislav Pesic. L’ancien sélectionneur de l’Allemagne aurait d’ailleurs déjà prévenu ses joueurs avant le match 3 face à Vitoria.\\n\\n« Si Sarunas Jasikevicius vient au Barça, c’est pour être mon troisième assistant. »\\n\\n\\n\\n\\nSvetislav Pesic té una oferta de @FCBbasket des de fa dies. Reconstrucció i entesa màxima @esport3 @tv3\\n\\n\\n— Víctor Lavagnini (@victorlavagnini) 10 juin 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le point sur les finales des principaux championnats européens"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si en France, Monaco et Le Mans se sont qualifiés pour la finale des playoffs de Jeep Elite, tous les championnats européens n’en sont pas au même stade. Certains champions sont déjà sacrés tandis que d’autres se rendent coup pour coup en finale. Entre la Grèce, la Russie, l’Espagne ou encore la Turquie, voici le point sur l’avancée des principaux championnats européens.\\n\\nTurquie :\\n\\nEn BSL, la hierarchie a été respectée puisque ce sont le Fenerbahce et Bursa qui se sont retrouvés en finale. Les deux équipes ont terminé première et deuxième du championnat à l’issue de la saison régulière. En quart de finale, le Tofas Bursa s’est défait d’Eskishehir en deux manches avant d’avoir un peu plus de mal face à l’Anadolu Efes qui l’a poussé jusqu’au match 4. De son côté, le Fenerbahce a d’abord éliminé l’équipe de Moustapha Fall, Sakarya en deux matchs. Les joueurs de Zeljko Obradovic ont ensuite infligé un 3-0 net à Banvit pour se hisser en finale du championnat.\\n\\nCes deux équipes sont aujourd’hui opposées pour se disputer le titre national. Si le Fenerbahce a commencé par un 2-0, Bursa vient de remporter le match 3 pour revenir à 2-1. Le match 4 a lieu ce lundi à la Bursa Ataturk Sport Hall et le Fenerbahce peut mettre fin à la série.\\n\\nEspagne :\\n\\nTrois Français se disputeront le titre de Liga Endesa, l’un des si ce n’est le championnat le plus relevé d’Europe. Il s’agit de Fabien Causeur pour le Real Madrid, et Vincent Poirier et Rodrigue Beaubois pour Vitoria. Les Madrilènes et les Basques ont d’abord commencé par un 2-0 en quart de finale de playoffs face à Tenerife et Malaga. Les joueurs de Pablo Laso ont ensuite fait qu’une bouchée de Gran Canaria en demi-finale en l’emportant 3-0. Pour le Baskonia cela a été un poil plus difficile face au Barça. Les joueurs de Pedro Martinez ont laissé filer un match mais se sont imposés 3-1 dans la série et retrouveront le Real en finale.\\n\\nDébut de cette finale mercredi 13 juin à 21 heures au WiZink Center.\\n\\nItalie :\\n\\nEn Serie A aussi un Français est susceptible de soulever le trophée national dans très peu de temps. Amath M’Baye, qui a rejoint Milan l’été dernier, dispute actuellement la finale de LegA face à Trento. Les Milanais se sont d’abord imposés largement 3-0 face à Cantu, avant de se défaire de Brescia en demi-finale, 3-1. De son côté, Trento a remporté son quart de finale 3-1 face à Avellino et a ensuite éliminé le champion en titre, Venise, 3-1.\\n\\nAprès trois rencontres, l’Olimpia Milano mène 2-1 dans la série et le match 4 aura lieu ce lundi à 20h45. C’est d’ailleurs l’un des rares championnats à copier le modèle américain en jouant sa finale au meilleur des sept manches.\\n\\nAllemagne :\\n\\nPremier et deuxième du classement en saison régulière, le Bayern Munich et l’ALBA Berlin se sont retrouvé en finale des playoffs de Bundesliga. Les Bavarois ont d’abord éliminé Francfort en quart de finale et en cinq matchs (3-2). Ils se sont ensuite assez facilement défaits du triple tenant du titre, Bamberg en quatre matchs (3-1). Le parcours des Berlinois a également commencé par une série en cinq matchs face à Oldenbourg alors que la demi-finale a été bien plus tranquille. Les joueurs de Aito Garcia l’ont emporté trois manches à zéro face au récent demi-finaliste de Champions League, Ludwigsburg.\\n\\nAprès avoir perdu le premier match, le Bayern vient de remporter les deux matchs suivants et mène donc 2-1. Match 4 mercredi 13 juin à 20 heures.\\n\\nGrèce :\\n\\nComme en Turquie, en Allemagne et en Belgique, ce sont les deux premiers du classement qui se retrouvent en finale du championnat grec. Le Panathinaïkos et l’Olympiakos évidemment. Les Verts se sont défaits de Rhodes en quart de finale en deux manches, tout comme l’Olympiakos face à Kymis, l’équipe du Français Angelo Tsagarakis. Les deux pires ennemis de Grèce n’ont ensuite fait qu’une bouchée du PAOK et de Patras qui se sont inclinés 3-0.\\n\\nEn finale de l’Esake, le Panathinaïkos s’est imposé dimanche soir et mène maintenant 2-1 face à l’Oly. Le premier a trois victoires sera sacré champion de Grèce.\\n\\nRussie :\\n\\nLa VTB League est l’un des rares championnats où le champion a déjà soulevé le trophée alors que nous sommes que le 11 juin et il s’agit, sans grande surprise, du CSKA Moscou. C’est aussi l’un des rares championnats où le titre se joue sur un Final Four, comme en Euroleague ou en Champions League. Le club le plus riche d’Europe a remporté son quart de finale 3-0 face à Riga, il s’est ensuite imposé en un match sec face au Zenith Saint Petersbourg en demi-finale. Finaliste de VTB League, le Khimki Moscou a gagné 3-0 face au Lokomotiv Kuban et l’a remporté face à l’UNICS Kazan en demi.\\n\\nDimanche 10 juin en finale, le CSKA Moscou s’est imposé 95-84 face au Khimki.\\n\\nBelgique :\\n\\nChez nos voisins belges aussi les finales de championnat se déroulent actuellement. Elles opposent Oostende à Anvers. Oostende l’a d’abord emporté 2-0 face à Bruxelles avant d’également gagner 2-0, face à Aalst en demi-finale. En face, le Telenet Giants Antwerp a eu le même parcours qu’Oostende et a remporté ses deux tours 2-0. Premièrement face à Willebroek, puis contre le Spirou Charleroi.\\n\\nEn finale, c’est Oostende qui mène la danse pour l’instant. Les joueurs de Dario Gjergja ont remporté le premier match 75-67. Prochain match ce lundi 11 juin à 20h30."
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Jonathan Rousselle et Jerry Boutsiele signent à Limoges, Mam Jaiteh prolonge"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était dans les tuyaux depuis la fin de saison régulière et c’est maintenant officiel, les deux Choletais Jonathan Rousselle et Jerry Boutsiele quitte les Mauges pour rejoindre le Limoges CSP.\\n\\nSur son site, le club limougeaud annonce que c’est après plusieurs semaines de négociations que les deux anciens joueurs de Philippe Hervé arrivent à Beaublanc. A la vue de leur saison, les deux hommes faisaient partie des JFL les plus désirés du championnat et c’est donc le CSP qui a eu le dernier mot. Cette saison en Jeep Elite, Jonathan Rousselle et Jerry Boutsiele compilaient en moyenne 9,4 points, 3,6 rebonds et 3,9 passes décisives pour une évaluation de 12,1, et 9,8 points et 7,3 rebonds pour une évaluation de 12,2.\\n\\nQuant à Mam Jaiteh, il a prolongé son contrat à Limoges. Arrivé l’été dernier dans le Limousin, l’ancien Nanterrien évoluera une saison de plus sous les ordres de Kyle Milling. Cette saison, il tournait à 9,6 points, 6,3 rebonds et 1,2 passe décisive pour une évaluatoin de 11,8.\\n\\nLe Directeur Sportif du CSP, Olivier Bourgain et le coach Kyle Milling se sont exprimés sur ces nouvelles.\\n\\nOlivier Bourgain, Directeur Sportif : “Nous voulions un back up français, au poste de meneur de jeu. Aujourd’hui Jo ROUSSELLE fait partie des meilleurs joueurs français à ce poste : il a beaucoup de vitesse, un gros tir à 3 points et a une mentalité qui va beaucoup plaire à Beaublanc. Plus globalement, notre stratégie est de partir sur 5 joueurs français et avoir une parité JFL et étrangers. Nous voulions donc également avoir Jerry BOUTSIELE à nos côtés, car lui aussi fait partie des meilleurs intérieurs français. L’associer à Mam dans la raquette c’est une très belle signature. Au regard de la belle saison réalisée par Mam, c’est une reconnaissance pour lui et nous sommes ravis de nous engager avec lui au moins un an de plus. »\\n\\nKyle Milling, Coach : “Jerry BOUTSIELE est un jeune joueur qui a vraiment progressé pendant ses deux dernières années à Cholet. Je pense qu’il a encore une grande marge de progression. C’est un joueur très physique, qui met la pression sur le terrain, chose qui nous a un peu manquée cette saison. Il évolue au poste 5 mais il est également capable de jouer au poste 4 car il est très mobile. Il sera très complémentaire de Mam. Depuis quelques mois, Mam a vraiment passé un cap. Les gens oublient souvent que c’est encore un jeune joueur qui a fêté ses 23 ans cette année. J’attends encore plus de lui la saison prochaine. En ce qui concerne Jonathan, il est l’un des meilleurs shooteurs dans le championnat. Il n’a pas peur de prendre un shoot crucial et difficile. Ce joueur, avec du caractère, qui mouille le maillot, est parfait pour Beaublanc et la #CSPnation. Il vient à Limoges avec la détermination de gagner un maximum de matchs.”\\n\\n\\n\\n\\nLe @limogescsp annonce pour la saison 2018-2019 @mamjaiteh14 @JBoutsiele @JOrousselle\\n\\nPlus d’infos ➡️ https://t.co/Gh1tLEtKEo pic.twitter.com/uWRD7dV9Ld\\n\\n\\n— Limoges CSP (@limogescsp) June 11, 2018\\n\\nPhoto : LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"N1:  Près de 3 000 supporters lorientais attendus demain pour le retour contre Chartres"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Une soixantaine de supporters lorientais notamment les Doggys, leurs tambours et leurs drapeaux, se sont déplacés samedi à Chartres pour assister à la défaite du CEP lors de la première manche de la finale des playoffs d’accession à la Pro B (84-98). Demain, au palais des sports de Kervaric, ils seront près de trois milliers pour pousser derrière leur équipe.\\n\\nAvec les absences de Jason Bach, Jared Newson et Mathieu Bigote, les trois meilleurs joueurs offensifs selon le coach, Philippe Maucourant, pour des problèmes administratifs, les Bretons doivent véritablement lutter à six contre neuf. Le Lituanien Ronalds Rutkauskas a ainsi joué 39 minutes et 13 secondes lors du Match 1. La partie paraît inégale. A l’aller, les Morbihanais n’ont pas réussi à stopper l’inflation de paniers à trois-points des Chartrains: 17/36 dont 4 pour Harry Disy et Anthony Racine. Eux-mêmes n’en ont inscrits que 3/16.\\n\\n« Quand on prend autant de points dans un match, on ne peut pas gagner un match de basket », commente Vincent Pourchot (2,22m) dans Ouest France. Le pivot du CEP a été pour sa part efficace en attaque avec 17 points (7/9 aux tirs)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Trae Golden (Le Portel) signe à Avtodor en VTB League"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Trae Golden (1,89m, 26 ans) est récompensé de son excellente saison au Portel. L’arrière américain vient de décrocher un contrat à Avtodor, un club russe de VTB League.\\n\\nGolden sort d’une saison en Jeep Elite à 16,4 points (40,7% à trois-points), 4,9 passes, 3,6 rebonds en 30 minutes. En FIBA Eurocup, il a réalisé des statistiques comparables: 15,7 points, 4,3 passes, 3,2 rebonds en 26 minutes. Il avait été sélectionné pour le LNB All-Star Game en décembre.\\n\\nAuparavant, Trae Golden avait joué en Finlande, Chypre et A2 italienne. L’ESSM qui cherchait à le conserver va beaucoup le regretter.\\n\\n« Je suis très heureux de signer avec Avtodor ! », a déclaré le joueur. « J’ai entendu de bonnes choses sur l’organisation et je suis excité de jouer dans la ligue VTB et dans les compétitions européennes de club. Je suis déjà prêt à démarrer et à aider l’équipe à se qualifier pour les séries éliminatoires VTB pour la deuxième année consécutive. «"
}, 
{"role": "user",     "content":"Amical U17: La France se fait surprendre par la Turquie, 73-75"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Malgré les 18 points de Théo Maledon (et aussi 8 rebonds, 6 passes et 4 interceptions) et les 15 points de Malcolm Cazalon, les Bleuets se sont inclinés cet après-midi en amical à Castelnau-le-Lez face à la Turquie, 73-75.\\n\\nLe match a été serré de bout en bout et Théo Maledon a échoué dans une dernière tentative à trois-points. Les Français ont été peu adroits (21/60 aux tirs) à l’image de leur leader Killian Hayes (11 points à 2/11). Ils ont aussi perdu 23 ballons dont 4 pour Maledon et Hayes."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le CSKA Moscou de Nando De Colo remporte la VTB League"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était cousu de fil blanc: le CSKA Moscou a remporté la VTB League pour la septième fois d’affilée. Le club de l’Armée a battu en finale le Khimki Moscou, 95-84.\\n\\nSi Alexey Shved du Khimki a été le meilleur marqueur du match avec 21 points, il a consommé beaucoup de cartouches en vain à trois-points (3/10). Les joueurs du CSKA ont globalement obtenu une belle adresse derrière l’arc: 10/25. Cory Higgins avec 20 points a été le top-scoreur du côté des vainqueurs. L’Espagnol Sergio Rodriguez a ajouté 15 points et 8 passes et a été élu MVP du Final Four.\\n\\nNando De Colo a été fidèle à ses standards avec 18 points, 7 passes et 2 rebonds. Rappelons que le Français a été élu MVP du championnat."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les highlights de DJ Cooper (Monaco) en BCL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Finaliste de la Basketball Champions League et de la Jeep Elite, le meneur monégasque DJ Cooper est une machine à highlights à lui seul. La preuve par l’image:\\n\\n\\n\\n\\n🎼 @ASMonaco_Basket's maestro @DJCoop5 dishing dimes throughout the #BasketballCL season for a total of 122 assist (6.8APG)! pic.twitter.com/Wqw2I2nJJI\\n\\n\\n— Basketball Champions League (@BasketballCL) June 10, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les joueurs du Mans accueillis par des supporters à la gare"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les joueurs du MSB n’ont pas pu revenir en avion privé de Strasbourg. Les finalistes des playoffs ont dû recourir au TGV -un direct existe depuis la capitale alsacienne- et ils ont eu la surprise d’avoir un comité d’accueil de supporters à leur arrivée en gare du Mans. DJ Stephens se met de côté des souvenirs pour ses vieux jours.\\n\\nCette semaine, la ville est sous l’emprise de la course automobile d’endurance des « 24 heures » dont c’est aujourd’hui le « pesage » sur la Place de la République. Heureusement, le MSB recevra Monaco à Antarès pour le Match 3 lundi de la semaine prochaine, le lendemain de l’épreuve.\\n\\n\\n\\n\\nWhat a welcome home pic.twitter.com/NKFNhp4Van\\n\\n\\n— Romeo Travis (@RomeTrav) June 10, 2018\\n\\n\\n\\n\\n🔥🔥 pic.twitter.com/iITPDdy36W\\n\\n\\n— MSB_Officiel 🦁 (@MSB_Officiel) June 10, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans: Quand Eric Bartecheky remercie ses assistants d’avoir soutenu Youssoupha Fall"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"«Mes assistants ont fait un travail énorme d’accompagnement mental et technique pour l’aider à contrarier Miro Bilan sur les prises de position sans prendre de fautes. »\\n\\nCe compliment est l’oeuvre de Eric Bartecheky, le coach du Mans, et s’adresse à Dounia Issa et Antoine Mathieu. Il concerne le géant Youssoupha Fall qui a eu un rôle déterminant dans la victoire de leur équipe face à Strasbourg hier soir.\\n\\nAuparavant, le Franco-Sénégalais avait souffert lors de cette série face au Croate qu’il surpasse de 8 centimètres. Comparons leurs statistiques match par match.\\n\\nMatch 1\\n\\n3 points (1/7), 3 rebonds, -3 d’évaluation contre 19 points (8/11), 11 rebonds, 31 d’évaluation VICTOIRE STRASBOURG\\n\\nMatch 2\\n\\n0 point (pas de tir), 1 rebond, 0 d’évaluation contre 14 points (4/12), 5 rebonds, 13 d’évaluation VICTOIRE LE MANS\\n\\nMatch 3\\n\\n7 points (2/3), 5 rebonds, 10 d’évaluation contre 6 points (3/7), 4 rebonds, 6 d’évaluation VICTOIRE LE MANS\\n\\nMatch 4\\n\\n6 points (2/4), 4 rebonds, 6 d’évaluation contre 24 points (10/10), 6 rebonds, 29 d’évaluation VICTOIRE STRASBOURG\\n\\nMatch 5\\n\\n12 points (5/7), 11 rebonds, 22 d’évaluation contre 9 points (3/8), 8 rebonds, 10 d’évaluation VICTOIRE LE MANS\\n\\nPhoto: Antoine Eito, Youssoupha Fall et Romeo Travis"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du Monde 3×3 féminine: Les Bleues en quart-de-finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A la Coupe du Monde 3×3 à Manille, l’équipe de France féminine a vaincu coup sur coup le Kazakhstan (21-10) et la Suisse (21-16) et termine ainsi à la deuxième place de son groupe derrière la Chine, invaincue.\\n\\nChristelle Diallo, Marie-Eve Paget, Alice Nayo et Johanna Tayeau se sont ainsi qualifiées pour les quarts-de-finale qui auront lieu demain ainsi que les demi-finales et finales.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Amicale U17: La France torpille la République Tchèque, 81-58"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir étrillé l’Egypte 112-68 avec le Choletais Killian Hayes à 19 points (8/9 aux shoots) et 6 passes, l’équipe de France U17 a dominé la République Tchèque 81-58 lors d’un tournoi à Castelnau-le-lez.\\n\\nLes Français menaient déjà 30 à 16 après un quart-temps. Killian Hayes n’a pas pris part au match. C’est le trio Malcolm Cazalon (1,94m, 14 points), Théo Maledon (1,91m, 12) et Maxime Carene (2,08m, 12) qui s’est révélé le plus prolifique. Onze des douze Français ont scoré en jouant au minimum dix minutes.\\n\\nLes Bleuets vont affronter aujourd’hui la Turquie.\\n\\nPhoto: Théo Maledon (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nationale 1: Chartres est à 40 minutes de la Pro B"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’UB Chartres Métropole est à quarante minutes de la Pro B ! Hier soir les joueurs d’Eure-et-Loire, face à une équipe amputée de trois éléments majeurs, ont bien négocié sur leurs terres la finale aller des playoffs de Nationale 1, 98-84.\\n\\nPourtant ce sont les hommes de Philippe Maucourant qui ont pris de vitesse leurs adversaires dans le premier quart : 24-13. Seulement ils ont subi ensuite un gros orage : 35 points encaissés dans la seconde tranche de dix minutes.\\n\\nL’excellente prestation du Lituanien Ronalds Rutkauskas (18 points et 13 rebonds) n’a pas suffi. Le CEP n’a réellement joué qu’à six alors que neuf Chartrains se sont partagés le temps de jeu.\\n\\nLes Bretons sont certes revenus à huit points à trois minutes de la fin mais l’UBCM était dans l’état un trop gros morceau à avaler. William Felder (20 points à 8/10 aux tirs, 8 rebonds, 29 d’évaluation) a emmené son équipe vers un succès conséquent.\\n\\nLa deuxième manche est programmée mardi dans le Morbihan.\\n\\nPhoto: UBCM"
}, 
{"role": "user",     "content":"Antoine Eito (Le Mans): «On a entendu que Strasbourg avait déjà réservé le Marriott à Monaco !»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quel début ! Après ses réussites au Havre et à Pau, Eric Bartecheky a emmené Le Mans en finale de la Leaders Cup et donc en finale des playoffs en renversant Strasbourg dans le match ultime au Rhénus. Comment a t-il métamorphosé le MSB en quarante-huit heures alors qu’il avait été globalement dominé lors du Match 4 à Antarès?\\n\\n« Nous avons insisté sur l’intensité défensive, » a t-il déclaré en conférence de presse. « On avait vu sur le dernier match que tout en laissant des tirs ouverts, on n’était pas si loin. Du coup l’idée était de mettre plus de dureté, comme au match 2. L’équipe a répondu avec engagement, sacrifice et combativité laissant Strasbourg à 66 points au terme des 40 premières minutes. Sur le match 4, on avait bien démarré marquant 28 points, mais en en prenant 24. Là on en a encaissé 16. Globalement, nous avons fait preuve d’une meilleure intensité avec de la qualité en perdant peu de balles. C’est un match très abouti pour nous. Nous avions noté sur la saison que c’est un groupe qui réagissait : notre réaction ce soir a été énorme ».\\n\\nQuant à Antoine Eito, il a raconté qu’en amont il y a eu un petit incident qui a perturbé l’équipe mancelle et aussi que les Alsaciens comme les Monégasques ne croyaient pas trop dans l’équipe mancelle...\\n\\n« C’est un truc de fou. On est allé au bout du truc. On va savourer ! En fait, on a toujours cru en nous. On a rencontré quelques problèmes puisqu’après l’atterrissage, notre bus s’est trompé d’hôtel. On est arrivé dans nos chambres à 14h45 pour un match à 18h30 ! Moi qui ai souvent perdu contre Strasbourg, aujourd’hui je savoure. Intrinsèquement, nous avons une équipe moins forte que Strasbourg et Monaco. Mais le groupe a du caractère. On m’a pris pour en fou lorsque, l’autre jour, j’ai dit qu’il nous fallait encore quatre victoires. Ce soir, il n’en faut plus que trois (...) On a entendu que Strasbourg avait déjà réservé le Marriott à Monaco. Si tu peux passer le message... Par ailleurs, j’avais envoyé un texto à Amara (Sy) et à Paul (Lacombe) pour leur donner rendez-vous. Amara m’a répondu : « tu viens voir les matches de la finale ? «\\n\\nPhoto: MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet (Strasbourg): «Ce n’est pas l’équipe la plus talentueuse que j’ai coaché ici»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le coach Vincent Collet est revenu en conférence de presse sur l’instant-clé pour lui du Match 5 de la demi-finale Strasbourg-Le Mans qui a vu son équipe se faire éliminer, 82-89.\\n\\n« Je donne du crédit au Mans d’avoir terminé son match par des shoots énormes. A 73-72, il y avait soit faute de notre part, soit marcher de Fall, il n’y a pas eu de coup de sifflet et il y eut ce tir de Lofton, un véritable tournant pour moi. D’autant que nous jouons bêtement l’action d’après avec un tir précipité de Dee Bost au lieu d’attaquer le cercle. Rien à dire : au vu des dernières possessions, Le Mans a mérité sa victoire. C’est ce soir que nous avons perdu, pas au match 2 ou 3. Il fallait être meilleur. On voulait continuer le passing-game comme jeudi, on ne l’a pas fait : on a souvent manqué de contrôle, de lucidité, de maitrise. On n’a pas pesé, Fall, avec des aides à ses côtés, a gêné Bilan, mais on n’en a pas profité alors qu’il y avait des tirs ouverts. On termine à 9/29 aux trois points. Si j’enlève trois ou quatre tirs que seul Logan peut mettre, il en reste 6/26 ça ne fait pas beaucoup ! «\\n\\nLe coach alsacien estime que si son équipe possède d’évidentes individualités, ce n’est pas la meilleure qu’il a coaché à la SIG:\\n\\n« Nous avons le talent, bien-sûr. Mais le basket est un jeu collectif. Pour moi, le talent c’est faire des choses ensemble. C’est un peu l’air du temps : on juge les équipes sur la qualité de ses individualités. Mais s’il n’y a pas d’altruisme, d’abnégation, d’intelligence collective, tu ne tireras jamais la quintessence d’une équipe. C’est ce qui nous a manqué. Pour être clair, cette équipe n’est pas la plus talentueuse que j’ai eu à coacher ici. A mes yeux, comme je l’ai déjà dit, la plus forte reste celle de 2016 ».\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Un nouveau trophée pour Nando De Colo: MVP de la VTB League"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Un nouveau trophée dans la vitrine déjà bien rempli de Nando De Colo. L’arrière du CSKA Moscou a été élu MVP de la VTB United League comme en 2015 et 2016. Cette saison, l’international français a assuré 17,0 points, 4,1 passes, 1,2 interception et son adresse a été fantastique: 60, 6% dans les tirs à deux-points, 49,4% à trois-points et 93,5% aux lancers-francs. Le tout en seulement 23′ en moyenne.\\n\\nLe Grec du CSKA Dimitris Itoudis a été élu Coach of the Year. Le club de l’Armée à gagné 22 de ses 24 matches.\\n\\nL’ancien Limougeaud désormais à UNICS Kazan, Jamar Smith a été désigné comme le Meilleur Sixième Homme. Il a cumulé 14,2 points et 2,3 passes.\\n\\nC’est Dmitry Kulagin du Lokomotiv Kuban qui a empoché le trophée de Meilleur Défenseur et Isaiah Briscoe de Kalev celui de meilleur jeune."
}, 
{"role": "user",     "content":"Rétro: Quand Le Mans s’est offert ses trois premiers titres de champion de France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Jusque-là plusieurs fois nominé et jamais élu, le SC Moderne va s’imposer nationalement trois fois et confirmer Le Mans comme place forte du basket. C’était il y a exactement quarante ans.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nSamedi 18 mars 1978. Le SCM Le Mans fait match nul à Caen (99-99) dans une ambiance sulfureuse et, d’après les commentateurs, avec « un arbitrage totalement dépassé ». Suite à une faute de Didier Dobbels, l’Américain James Lister a exécuté les deux lancers-francs décisifs à onze secondes du buzzer. Avec neuf points d’avance, les Manceaux ne peuvent plus être dépassés au classement. Bernard Gasnal a écouté la retransmission radiophonique sur son transistor. «Quinze ans de Nationale, trente-quatre ans de club pour en arriver là. L’instant d’émotion passé, j’ai réalisé que nous étions champions de France. »\\n\\nBernard Gasnal est l’ancien président du club. Il était aussi le chef du personnel des Comptoirs Modernes, une société de distribution qui a fait bâtir en 1957 la salle Gouloumès, qui finance en large partie le SC Moderne, et qui longtemps a employé ses joueurs. Le SCM est une référence mais sinon une Coupe de France en 1964, il s’est contenté jusque-là d’accessits. « Après Poulidor, j’étais bien placé pour les secondes places. Et voilà le titre qui s’offre à moi. Je pourrai dire que j’étais du match décisif », commente ainsi Michel Audureau, revenu aux affaires à trente-sept ans, et lui-même employé aux Comptoirs.\\n\\nCulture basket\\n\\nLe milieu des années soixante-dix a marqué une rupture. Les joueurs ont soit une activité extérieure, comme Claude Peter qui tient une agence spécialisée dans l’intérim, soit sont devenus des professionnels, même si le métier de basketteur n’est pas encore reconnu. La Rotonde et ses 5 000 places ont succédé à Gouloumès et Le Mans a recruté quelques-uns des meilleurs joueurs français. Eric Beugnot (2,00m), fils de Jean-Paul, est le véritable franchise player du club. C’est un formidable battant doté d’une musculature qui serait encore jugée exceptionnelle au XXIe siècle. Transfuge de Denain, Hervé Dubuisson, 21 ans, est considéré comme un prodige. Dub est le meilleur marqueur de l’équipe avec 18,3 pts. Beugnot et Dubuisson ? Le feu et la glace. Jacky Lamothe, façonné par André Buffière, sous des allures de grand échalas, est un guerrier. Bill Cain, qui a stationné à Vichy avant d’être transféré au Mans, est un « naturalisé » athlétique, combatif et consciencieux. Tous les quatre sont internationaux.\\n\\nLes deux Américains sont également des perles. Arrivé quatre ans plutôt, le Blanc Lloyd King est un meneur-scoreur qui est déjà une légende vivante. Ses passes sont sèches et son geste du shoot est issu d’un précis technique. Le Noir James Lister est un pivot défensif, sobre, qui sait exactement ce qu’il faut faire et quand il faut le faire. Son départ –il n’avait pas payé ses impôts- coûtera très cher au SCM l’année suivante en Coupe des Champions. Les Modernistes, comme on les appelle, seront écartés de la poule finale à six à cause d’un point-average défavorable de... 20/1000e de point ! Le Mans et l’Europe, ça ne sera jamais une histoire d’amour.\\n\\nMais, Michel Audureau est formel, si le SCM a régné sur le championnat de France, c’est grâce à son collectif : « une équipe de copains soudés. Je n’avais jamais vu ça. Tout le monde était capable de se défoncer pour l’autre. Un état d’esprit exceptionnel. »\\n\\nLe SCM en est à 395 rencontres jouées depuis son entrée en première division, en octobre 1962, pour 239 victoires, 15 nuls et 141 défaites. Ce bail de quinze ans a permis en ville de créer une véritable culture basket, d’autant que les joueurs se sont fondus dans le paysage. Eric Beugnot possède un magasin de disques dans lequel va bientôt travailler un temps son frère Greg, et Hervé Dubuisson un magasin de prêt-à-porter féminin. « Pas exubérant le public manceau ? », s’interroge Ouest France au lendemain de la victoire sur Orthez et du sacre à domicile. « Sans doute est-ce l’un des plus sages. A moins qu’une colonie bruyante de voisins comme Caen ou Tours lors des derbys mémorables ne viennent exciter sa pondération. Ce qu’il apprécie d’abord, c’est le basket, le vrai. »\\n\\nLes lancers de Greg Beugnot\\n\\nSamedi 24 mars 1979. Le SC Moderne remporte un deuxième titre après une victoire sur Nice, 93-84. Curieusement, son coach n’est pas sur le banc. D’après la presse, Bill Sweek assiste au même moment à Los Angeles à un obscur rassemblement universitaire pour le compte de son nouvel employeur, Adidas. Claude Peter, qui est soir de sa carrière, l’a remplacé sur le banc. La situation est anachronique mais le club est très redevable à l’Américain. L’ancien équipier de Lew Alcindor, alias Kareem Abdul-Jabbar, à UCLA, finaliste de la Coupe des Champions féminine avec le Clermont UC, a apporté l’autorité nécessaire pour gérer un groupe de stars. Ce second titre consécutif est obtenu avec les mêmes joueurs français, mais avec un pivot américain, Randy Gentry, moins clairvoyant que James Lister et qui est souvent freiné par les fautes.\\n\\nSitôt le titre obtenu, Jacky Lamothe retourne à la clinique. Sa femme vient d’accoucher d’Olivier, qui sera lui-même plus tard un basketteur professionnel.\\n\\nSamedi 20 mars 1982. Deux jours auparavant, le Limoges CSP a gagné la Coupe Korac à Padoue. Au nom du basket français, les Manceaux les reçoivent à la Rotonde avec un bouquet de roses. Le Maine Libre annonce que 15 000 Sarthois auraient pu assister au choc si la salle avait été assez vaste. Les Limougeauds, qui ont très peu dormis dans la nuit du jeudi au vendredi, et qui ont été sollicités ensuite pour raconter leur épopée et être célébrés, sont sur les nerfs, mais parfaitement décontractés. Les Manceaux sont, eux, à la fois reposés et nerveux. La Rotonde est pleine à craquer, l’ambiance... digne de Beaublanc. Le Mans prend dix points d’avance, mais les perd très vite. Bref, on en est à 80 partout à trois secondes de la fin. Faute limougeaude. Bob Purkhiser, successeur de Bill Sweek, a l’option réglementaire de demander une remise en touche ou de faire tirer les lancers à Greg Beugnot. Monsieur est joueur et Greg se met sur la ligne. « Je n’ai pensé à rien. J’ai fait le trou complet. Si, j’ai pensé au geste technique juste avant de me retrouver sur la ligne. Je n’ai jamais douté de ma réussite. »2/2. Victoire mancelle.\\n\\nUne semaine plus tard, une « nuit des champions » réunit l’équipe et ses supporteurs à la salle Gouloumès. « Le plus dur commence », assure le président Jean Bigot. « Nous devons bâtir une véritable équipe à vocation européenne.» Le club ne sait pas qu’il est là à son apogée et que le prochain moment de gloire se vivra vingt-quatre ans plus tard, sous le nom de MSB.\\n\\nArticle paru dans Basket Hebdo en 2015.\\n\\nL’équipe championne en 1982.\\n\\nDe gauche à droite, en haut : Jean-Marc Conter (directeur sportif), Floyd Allen, Bill Cain, Eric Beugnot, Jacky Lamothe, Bob Wymbs, Bob Purkhiser (coach). En bas : Patrice Fresnais, Bruno Ruiz, Vincent Collet, Greg Beugnot, Daniel Owen\\n\\nBill Cain, un « naturalisé » qui servit de poutre au jeu intérieur manceau.\\n\\n[armelse]\\n\\nSamedi 18 mars 1978. Le SCM Le Mans fait match nul à Caen (99-99) dans une ambiance sulfureuse et, d’après les commentateurs, avec « un arbitrage totalement dépassé ». Suite à une faute de Didier Dobbels, l’Américain James Lister a exécuté les deux lancers-francs décisifs à onze secondes du buzzer. Avec neuf points d’avance, les Manceaux ne peuvent plus être dépassés au classement. Bernard Gasnal a écouté la retransmission radiophonique sur son transistor. «Quinze ans de Nationale, trente-quatre ans de club pour en arriver là. L’instant d’émotion passé, j’ai réalisé que nous étions champions de France. »\\n\\nBernard Gasnal est l’ancien président du club. Il était aussi le chef du personnel des Comptoirs Modernes, une société de distribution qui a fait bâtir en 1957 la salle Gouloumès, qui finance en large partie le SC Moderne, et qui longtemps a employé ses joueurs. Le SCM est une référence mais sinon une Coupe de France en 1964, il s’est contenté jusque-là d’accessits. « Après Poulidor, j’étais bien placé pour les secondes places. Et voilà le titre qui s’offre à moi. Je pourrai dire que j’étais du match décisif », commente ainsi Michel Audureau, revenu aux affaires à trente-sept ans, et lui-même employé aux Comptoirs.\\n\\nCulture basket\\n\\nLe milieu des années soixante-dix a marqué une rupture.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Demi-finale, match 5 : Le Mans pétrifie Strasbourg, 85-79, et ira défier Monaco en finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec coeur et sang-froid Le Mans a accompli un énorme exploit en remportant en prolongation le Match 5 au Rhénus et privé ainsi Strasbourg d’une sixième finale d’affilée. Ce sera la quatrième du MSB depuis 2006.\\n\\nLe tireur d’élite Chris Lofton, qui aura connu un long passage à vide après son entorse de la cheville au coeur de l’hiver, a été le héros manceau, plantant deux paniers primés décisifs dans le money time et totalisant 25 points (5/9 à trois-points). C’est en étant soudé et patient que le MSB a pu tomber la SIG qui était la favorite de la série mais qui aura été finalement détruite par la meilleure défense de Jeep Elite.\\n\\nCette série aura été celle des guichets fermés. 6 000 Alsaciens sont venus supporter en cette fin d’après-midi leurs Sigmen vers la finale. Alors que Vincent Collet donnait dans le classique, Eric Bartecheky avait changé ses plans en incluant dans le cinq de départ Wilfried Yeguete, à la fois moins grand mais plus tonique, au lieu de Yousoupha Fall pas à son aise dans cette série et la paire Antoine Eito/Chris Lofton plutôt que Mykal Riley, mais en comptant évidemment sur ces deux cadres en sortant du banc.\\n\\nLes deux équipes ont appuyé tout de suite sur le bouton « intensité » et le début de match donnait lieu à de multiples changements de leader. A Dee Bost et Zack Wright répondaient Justin Cobbs et Romeo Travis. Youssoupha Fall entrait et se faisait tout de suite déborder par Miro Bilan qui transformait son douzième tir sans faute de suite en cumulant les deux derniers matches. Le pointage après dix minutes démontrait une avance de trois points (19-16) pour les Manceaux avec un bon 7/12 aux tirs. Des deux côtés, la défense était évidemment une priorité et la SIG n’avait pas encore réalisé une passe décisive !\\n\\nLevi Randoph (8 points en première mi-temps) retrouvait sa fluidité offensive alors que Romeo Travis poursuivait un parcours exceptionnel dans cette série (9 points sur ses 11 premières minutes de jeu). On avait droit à quelques séquences spectaculaires notamment cette passe dans le dos de Zack Wright en pleine course. La défense du Mans était une véritable tortue romaine. Très compacte. Et Miro Bilan n’avait plus ses aises comme lors du Match 4.\\n\\nLes Manceaux menaient tout ce deuxième quart-temps et parvenaient à conserver trois unités (36-33) après 20 minutes. Peu de points mais les deux équipes cumulaient un 21/36 aux tirs (58,3%). Pas mal du tout vu le contexte.\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/1005496857731194881\\n\\nLe troisième quart-temps est une période très souvent favorable aux Strasbourgeois. Ca ne commençait pourtant pas sous les meilleurs auspices: troisième faute de Zack Wright et 47-38 (23e) pour le MSB sur un trois-points de Justin Cobbs; le premier écart sérieux de la rencontre. Un temps-mort de Vincent Collet et la SIG repartait à l’assaut. David Logan entrait un panier primé puis trois lancers. En quelque clins d’oeil, la SIG était revenue à 47-49. Et... sur des trois-points incroyables de Antoine Eito et Chris Lofton, Le Mans imposait une sorte de faux-rythme et reprenait ses distances, 58-49. Evidemment à cet instant d’un Match 5, c’était tendu.\\n\\nUn trois-points de Darion Atkins juste avant la fin de la période et un autre à 9 mètres de David Logan à la reprise permettaient à la SIG de reprendre du poil de la bête après avoir risqué l’affaissement. C’est au moment où le momentum paraissait alsacien que les Manceaux trouvaient les ressources mentales pour se remettre dans le droit chemin. Dee Bost et Justin Cobbs se lançaient dans un trash talking et écopaient chacun d’une technique. Le meneur de la SIG en perdait sa lucidité. A 4’32, Le Mans menait 64-57.\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/1005516233419173888\\n\\nC’est encore David Logan (20 points à 5/9 à trois-points) qui relançait la SIG sur un trois-points en transition après une interception de Jeremy Leloup. Puis un deuxième sur jeu placé. 64-63. Les Alsaciens défendaient de nouveau le plomb. Yous Fall loupait deux lancers mais bâchait deux fois Miro Bilan. Le Franco-Sénégalais (12 points et 11 rebonds) tenait sa revanche sur le Croate (9 points et 8 rebonds). Le score évoluait au goutte à goutte. Justin Cobbs (2/10 aux shoots ce soir) manquait une pénétration. A 50 secondes de la fin, la SIG égalisait à 64 sur un lancer de Dee Bost. A 31 secondes, Justin Cobbs mettait deux lancers mais Zack Wright marquait par dessus le bras immense de Yous Fall. Justin Cobbs avait la balle de la gagne mais bien défendu par Zack Wright, son tir était repoussé par l’arceau. 66-66. Prolongation.\\n\\nLa SIG était tout de suite privé de Miro Bilan sanctionné d’une cinquième faute. C’est le trublion Florent Pietrus qui prenait le relais. La SIG passait pour la première fois en tête depuis des lustres (68-67). Le score changeait plusieurs fois de leader.\\n\\nCe sont deux paniers à trois-points en fin de possession de ce tueur au sang glacé de Chris Lofton qui ont fait basculer le match. Ce même Lofton et Justin Cobbs ont ensuite assuré aux lancers pétrifiant la SIG et le Rhénus.\\n\\n« Ce fut un grand travail d’équipe. On a joué notre meilleur match de la saison pour s’imposer ici », a commenté Chris Lofton au micro de SFR Sport. « Monaco? Une équipe incroyable. Ils ne sont pas numéro un pour rien »\\n\\nLes Manceaux ont jusqu’à mercredi pour retrouver des forces car la série fut très éprouvante. Mais le talent, la tête et le coeur, ils l’ont déjà !\\n\\n\\n\\n\\n\\Cette équipe de @sigstrasbourg n'est pas la même sans Labeyrie. S'il y avait eu Bilan et Labeyrie ça aurait été autre chose. On a gagné chaque fois qu'on a sorti Bilan du match\\. @AntEito après @sigstrasbourg vs @MSB_Officiel #JeepELITE pic.twitter.com/gFrs5zRvzx\\n\\n\\n— Guylaine Gavroy (@GuylaineG) June 9, 2018\\n\\n\\n\\n\\nLe programme complet des #FinalesJeepELITE :\\n👉Episode 1 mercredi 13 à 20h45 à Monaco\\n👉Episode 2 vendredi 15 à 20h45 à Monaco\\n👉Episode 3 lundi 18 à 20h45 au Mans\\n👉Episode 4 mercredi 20 au Mans (si nécessaire)\\n👉Epilogue dimanche 24 à Monaco (si nécessaire)\\n📺 sur @SFR_Sport 2 pic.twitter.com/eS61ZcYtJO\\n\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) June 9, 2018\\n\\nPhoto: Antoine Eito (Dominique Breugnot, MSB)\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nLes highlights sont ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Le Real Madrid en finale, Vincent Poirier (Vitoria) réalise un double double"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec un Rudy Fernandez de feu (21 points et 5 rebonds), le Real Madrid a battu Gran Canaria sur son terrain (99-92) et s’est qualifié pour la finale des playoffs du championnat d’Espagne. L’Américano-azerbaïdjanais Jaycee Carroll a ajouté 17 points pour le Real. Fabien Causeur n’a joué que 13 minutes pour 4 points et 2 rebonds. Les Madrilènes ont donc balayé Gran Canaria trois manches à zéro.\\n\\nMené 2-0 dans l’autre demi-finale, le FC Barcelone a remporté de justesse sa première victoire à domicile sur Baskonia Vitoria, 67-65. Le pivot croate Ante Tomic a cumulé 15 points et 7 rebonds, le Hongrois Adam Hanga 10 points, 5 rebonds et 5 passes et Thomas Heurtel 8 points, 4 rebonds et 2 passes. Du côté de Vitoria le joueur le plus en vue a été Vincent Poirier qui a réalisé un double double (10 points, 12 rebonds) alors que Rodrigue Beaubois a assuré 10 points et 2 rebonds.\\n\\nPhoto: Vincent Poirier"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Quand le public de Limoges rend un vibrant hommage à son équipe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison 2017-18 du Limoges CSP s’est arrêtée hier soir avec la défaite face à Monaco lors du Match 4 de demi-finale des playoffs. Le public de Beaublanc a rendu un vibrant hommage à son équipe que restitue cette vidéo de France Bleu Limousin. Impressionnant.\\n\\nhttps://www.facebook.com/francebleulimousinofficiel/videos/1766279513409637/?hc_ref=ARSd0oVrjItTaU4NBCp33r5KlTgFuYb8yFW8IWR_Sy3FidwpuX_kF5oYaQT55xpvN3g&fref=nf"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Jean-Marc Dupraz va t-il rester à Lille ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir emmené le club en demi-finale des playoffs de Pro B, Jean-Marc Dupraz va t-il demeurer à Lille?\\n\\nLe champion de France Pro A avec Limoges en 2014 est sur la liste des postulants à la succession de Greg Beugnot au SLUC Nancy. D’autre part, le LMB doit subir une baisse des subventions et par conséquence de la masse salariale.\\n\\n« Je suis sous contrat et j’ai envie de rester mais dans un projet viable et ambitieux », a t-il commenté à La Voix du Nord. « Je suis venu pour que le club avance, c’était le deal dès le départ. »\\n\\nLe LMB souhaite évidemment conserver un coach qui avant la demi-finale de playoffs lui a permis de se positionner à la cinquième place de la Pro B.\\n\\nPhoto: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Villeneuve d’Ascq rapatrie Magali Mendy et Shante Evans d’Espagne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Christelle Diallo (1,93m, 25 ans), l’Américaine Angie Bjorklund (1,83m, 28 ans), toutes les deux de Tarbes, et l’Allemande Romy Bär (1,89m, 31 ans)) de Lattes-Montpellier, Villeneuve d’Ascq a recruté Magali Mendy (1,75m, 28 ans).\\n\\nCelle-ci a la particularité d’arriver du championnat espagnol. Elle a été à son affaire en Eurocup avec Gerone puisqu’elle a obtenu 11,3 points, 4,4 rebonds et 2,0 passes en 25 minutes/moyenne en Eurocup.\\n\\n« Joueuse poste 2, explosive et athlétique, qui peut amener à la fois de la création, de la percussion et du tir extérieur. Nous l’avions joué avec Chartres il y a 3 ans. Elle a démontré cette saison son potentiel avec Girona que ce soit en championnat ou en Eurocup. Elle va amener du punch et de la vitesse ainsi qu’une agressivité défensive intéressante. C’est une vraie guerrière, complémentaire de Romy et Angie dans le jeu, » a commenté le coach Frédéric Dussart sur les réseaux sociaux.\\n\\nLe club a confirmé dans la matinée que son équipière à Gerone, l’ailière Shante Evans (1,86m, 26 ans, 11,6 pts et 6,8 rbds en Eurocup) la suivait dans le Nord. L’Américaine a la particularité de posséder le passeport slovène. Lors de la saison 2014-15, elle a porté le maillot d’Aix-en-Provence en L2 pour 17,5 points et 11 rebonds.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Sénégal: Youssoupha Ndoye (Bourg), Maleye Ndoye (Rueil) et Gorgui Dieng (Minnesota Timberwolves) pré-sélectionnés pour les éliminatoires à la Coupe du Monde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le sélectionneur national, Abdou Ndiaye dit Adidas au Sénégal, a publié une liste de 24 joueurs pré-sélectionnés pour la troisième fenêtre FIBA prévue dans le cadre des éliminatoires à la Coupe du Monde.\\n\\nParmi ceux-ci, on y retrouve l’inusable Maleye Ndoye, 38 ans en août, qui a joué 367 matches en Pro A et qui a porté cette saison le maillot de Rueil en Nationale 2.\\n\\nSon équipier à Rueil, Lamine Sambe, Moise Diame de Brissac, Xane D’Almeida de Tarbes et le pivot de la JL Bourg, Youssoupha Ndoye sont dans la liste tout comme le NBAer Gorgui Dieng des Minnesota Timberwolves.\\n\\nLa liste des 24 joueurs:\\n\\nXane Christian D’Almeida (Tarbes), Thierno Ibrahima Niang (Duc), Ibrahima Sankharé (Gran Canyon, USA), Alkaly Mamdou Ndour (Douanes), El Hadji Omar Branco Badio (Saltigués), Adama Louis Adams (Douanes), Mamadou Lamine Sambe (Rueil), Serigne Bamba Guèye (Ugb), Djibril Thiam (Plano, USA), Mouhamet Faye (Prometheus, Grèce), Malèye Ndoye (Rueil), Makhtar Guèye University Of Alabama, USA), Maurice Ndour (Kazan, Russie), Mamadou Lamine Diop (Duc), Papa Moustapha Diop (Douanes), Birahim Gaye (Douanes), Pape Abdou Badji (Mossogno, Belgique), Ibrahima Thomas (Rades, Tunisie), Gorgui Sy Dieng (Minnesota Timberwolves, USA), Moise Diamé (Brissac), Youssoupha Ndoye (JL Bourg), Cheikh Tidiane MBodji (Torun, Pologne), Moussa Seck (Uso), Abdoulaye Coulibaly (Asfa).\\n\\nPhoto: Youssoupha Ndoye (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"VTB League: Le Russe Alexey Shved devient le recordman de points de tous les temps"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alexey Shved (1,95m, 29 ans) est un fantastique scoreur. C’est lui qui avec 24,3 points en moyenne avait terminé marqueur numéro 1 de l’EuroBasket 2017 devant l’Allemand Dennis Schroeder et le Letton Kristaps Porzingis. Le shooting guard du Khimki Moscou vient d’ajouter un nouveau trophée sur son étagère copieusement garnie: il est devenu avec 527 points le top-scoreur de tous les temps de la VTB League détrônant le Serbe Milos Teodosic.\\n\\nLe Russe a fêté ça en scorant un record de 36 points (plus 6 rebonds et 5 passes) lors de la victoire du Khimki contre UNICS Kazan qui les qualifie pour la finale qui va les opposer à leur rival de Moscou, le CSKA.\\n\\nLors de cette saison 2017-18 de VTB League, Shved a tourné à la moyenne de 23,1 points et 5,5 passes. Il sera la principale menace russe lors du match que l’équipe de France doit livrer le 2 juillet à Krasnodar pour le compte des éliminatoires à la Coupe du Monde.Photo: VTB League"
}, 
{"role": "user",     "content":"Kyle Milling (Limoges): «Comme les supporters, le club, moi aussi je veux plus»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’issue de la défaite face à Monaco dans le Match 4 de quart-de-finale de playoffs (83-94), synonyme d’élimination, le coach du Limoges CSP a répondu le visage très las aux questions de France Bleu Limousin. Voici un extrait:\\n\\n« On est déçu en cette fin de saison mais je pense que l’on a fait de très bonnes choses cette année. Je suis très fier du groupe et des choses que l’on est en train de construire ici. J’ai hâte d’être en vacances, j’ai besoin de vacances mais aussi d’être là le 12 août pour une nouvelle saison 2018-19. »\\n\\nA propos de la reprise en deuxième mi-temps:\\n\\n« Physiquement, ils (les Monégasques) ont montré un autre niveau. Dans le vestiaire, on a dit qu’ils allaient revenir très fort mais c’est facile de dire ça et d’être sur le terrain derrière. Monaco, c’est une équipe qui fait des séries depuis le début d’année et quand ils mettent la machine en route pour nous c’est très difficile de jouer contre eux. Depuis le début d’année, on a un peu de mal quand les équipes jouent très physique contre nous et en deuxième mi-temps, ils ont joué très physique et on a eu du mal. On a une équipe qui a besoin d’espaces. En première mi-temps, on a très bien joué au basket mais en deuxième mi-temps les espaces étaient réduits. »\\n\\nSur l’ensemble de la saison du CSP, très riche, avec aussi le décès du président Frédéric Forte:\\n\\n« Beaucoup d’émotions. Du très haut, du très bas, avec Fred, les victoires, les défaites. Mais on est resté serein, le groupe n’est jamais parti à droite, à gauche. On avait trois objectifs, de faire les playoffs, le top 16 (de l’Eurocup) et la Leaders Cup. On a fait les trois. Je suis très content, très fier. Comme les supporters, le club, moi aussi je veux plus. J’espère que l’année prochaine on pourra continuer à avancer... »\\n\\nPhoto: CSP\\n\\nhttps://www.facebook.com/francebleulimousinofficiel/videos/1766350700069185/"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Shayla Cooper rejoint Landerneau"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Asia Logan partante à Reims, et après Maggie Lucas, Landerneau Bretagne Basket a recruté une deuxième américaine en la personne de Shayla Cooper, un poste 3-4 de 1,88m et 23 ans.\\n\\nFormée à Ohio State, celle-ci a joué en Espagne, au CB Al-Qazeres Extremadura basketball, puis en Hongrie, à Ceglé."
}, 
{"role": "user",     "content":"Monaco repart de Beaublanc avec son ticket pour la finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Premiers de la saison régulières depuis trois saisons, les Monégasques couraient après leur première participation en finale de l’histoire du club. C’est désormais chose faite, après la victoire des hommes de Zvezdan Mitrovic 83-94 à Beaublanc qui leur permet de boucler la demi-finale en quatre manches. En bon capitaine, l’Amiral Amara Sy a mené les siens jusqu’à ce précieux succès en terminant la partie à 18 points (6/9 au tir), 2 rebonds, 4 passes décisives, 2 interceptions et un contre pour 23 d’évaluation. Gerald Robinson (15pts, 5pds) et Paul Lacombe (14pts, 3 rbds, 3pds) ont également tiré leur épingle du jeu.\\n\\nLes Limougeauds du duo Bouteille-Howard (13pts chacun), qui n’avaient plus participé aux Playoffs depuis deux saisons, quittent la compétition avec les honneurs, battus à la régulière et usés physiquement sur la fin face aux rotations et à la profondeur de banc adverse.\\n\\nMonaco a retenu la leçon\\n\\nBattue lors du dernier match après avoir compté 17 points d’avance en début de partie, la Roca Team n’a pas tendu l’autre joue pour sa seconde représentation de suite à Beaublanc. Cette fois, c’est Limoges qui a pris les commandes du match en première mi-temps, terminant la première mi-temps par un 13-0 (50-37) avant que Chris Evans ne claque un dunk sur Samardo Samuels au buzzer de la pause. Les Limougeauds avaient dominé les débats dans la raquette, profitant également des bonnes prestations d’Axel Bouteille et William Howard.\\n\\nAprès avoir fait le dos rond en tenant la distance notamment grâce à leur adresse extérieure et l’efficacité de leur capitaine Amara Sy, les Monégasques ont fait le coup de Limoges dans le match 3 avec un come-back tonitruant dans le 3e quart-temps entamé par un 12-2. Après une claquette dunk et un panier à l’intérieur en contre-attaque de Paul Lacombe, c’est DJ Cooper qui a fait repasser les siens devant (54-55). C’est ensuite grâce à Ali Traoré et Gerald Robinson, auteur de 7 points de suite dont un gros dunk en transition après un ballon perdu de Mam Jaiteh, que les Monégasques ont terminé leur 3e quart de rêve (33-13 en 10 minutes) par un 9-0 pour mener 63-72.\\n\\nLes honneurs pour Limoges\\n\\nLes locaux ont alors tenté le coup de la dernière chance en passant en zone match-up pour essayer d’enrayer la dynamique adverse. Une tactique qui a bien failli payer jusqu’à ce que DJ Cooper ne parvienne à scorer de très loin, d’un tir en fin de possession avec la planche (67-77).\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/1005182456104914944\\n\\nAmara Sy et Emeldin Kikanovic ont ensuite pu conclure la série (83-94), évitant ainsi à leurs coéquipiers une fin de match au couteau. Usés mentalement et physiquement, les hommes de Kyle Milling ont fini par rendre les armes, terminant la partie sous les ovations de Beaublanc, une belle image pour conclure la saison globalement réussie du CSP.\\n\\n« Le public nous a vraiment poussé, a réagi Axel Bouteille au micro de SFR Sport après la rencontre. On a fait une bonne première mi-temps, mais le 3e nous coûte cher. On n’a pas réussi à revenir dans le match. (...) C’était l’inverse du match 2. Il y avait la place pour le prendre, mais on a pris trop de retard pour parvenir à le rattraper à la fin. »\\n\\nLa réaction d’Amara Sy\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/1005189527655370757"
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg à 40 minutes d’une sixième finale de suite, mais..."
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vainqueur au Mans hier soir, 89-82, dans le Match 4, la SIG Strasbourg a de nouveau les cartes en main pour se qualifier à une sixième finale de Jeep Elite d’affilée. La sensation générale est que le MSB a laissé passé sa chance, mais la rationalité n’est pas le fil rouge des playoffs surtout quand chacun a gagné jusque là un match chez l’adversaire.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n1- Les Manceaux étaient-ils émoussés ?\\n\\nAprès huit saisons dans notre pays, Mykal Riley se débrouille en français et même s’il cherche parfois ses mots, il fait l’effort de répondre dans la langue de ses interlocuteurs en conférence de presse. C’est si rare pour un Américain que c’est à noter. Pour l’ailier manceau, qui sur un plan personnel a été impeccable (16 points, 19 d’évaluation), l’échec du MSB est à mettre sur le compte d’un mental insuffisant.\\n\\n« On n’a pas bien commencé le match. On a donné des paniers faciles. On n’était pas dans le match en première mi-temps. C’est pour ça que l’on a donné 47 points alors que le match d’avant on en a donné 60 pour tout le match. C’est ça la différence ce soir. Mentalement, on n’était pas prêt. »\\n\\nLe contexte de ce Match 4 était pourtant favorable au MSB. Après leur victoire deux jours auparavant, les Manceaux n’étaient plus qu’à quarante minutes de la finale. Antarès affichait son septième guichets fermés de la saison et les six mille spectateurs avaient rempli les gradins dix minutes avant l’entre-deux, ce qui n’est pas dans leurs habitudes. Dans la chaleur suffocante d’une soirée pas ordinaire, le public toujours en orange s’époumonait en criant « Le Mans... Le Mans... ». Tous les joueurs strasbourgeois étaient sifflés, pas Vincent Collet, considéré au Mans avec un immense respect même si le Normand a quitté le club il y a déjà dix ans.\\n\\nSeulement, imperceptiblement, quelque chose avait changé en 48 heures. Au bord de l’abîme, les Sigmen étaient remontés comme des coucous suisses. Quand le match a gagné en intensité, quand tout le monde était au fond du cratère, quand même le MSB est revenu à leur hauteur en fin de match, ils ont fait preuve d’une parfaite sérénité. Dans l’autre camp, les Manceaux sont apparus émoussés.\\n\\n« On n’a pas réussi défensivement à perturber les timings et le jeu de Strasbourg. C’est ce qui nous coûte. Même si en attaque on a un peu de réussite à la fin, on marque 82 points, pour moi c’est vraiment défensivement que le match s’est joué. Je pense que l’on a manqué de détermination, d’énergie sur les actions. Des petits retards. Il faut aussi donné du crédit à Strasbourg, ils ont été très bons dans ce qu’ils ont exécuté. Mais comme on n’avait pas assez d’énergie dû à l’enchaînement de matchs, à la fatigue, ça se traduit par des petits retards et on subit. Et en face quand les joueurs sont individuellement et collectivement à ce niveau-là, c’est très dur », avouait Eric Bartecheky, le coach manceau.\\n\\nD comme Défense. D comme Dureté. La SIG, qui s’était fait mener par le bout du nez le mardi est revenu transformé le jeudi. On a alors retrouvé cette équipe dauphine de Monaco, vainqueur de la Coupe de France, capable de « beau jeu à la Collet » et aussi d’affirmer son agressivité dans la défense de son panier.\\n\\n« On savait que ce serait difficile, Le Mans c’est une bonne équipe et ce sont les playoffs », a commenté le meneur Dee Bost. « On savait qu’il faut rentrer sur le terrain et se battre et c’est ce que l’on a fait ce soir. Hier soir, toute l’équipe s’est réunie et on s’est beaucoup parlé pour se remettre en ordre de match, et ce matin on a également parlé avec les coachs. On a joué plus dur que mardi, c’est ce qui a fait la différence, tout le monde s’est bien battu et on a arraché cette victoire. On a contrôlé l’essentiel du match, et même quand ils sont revenus tout près, on est restés calme. Et là, Jérémy a mis un gros shoot ! »\\n\\nOui, Vincent Collet était très satisfait de son équipe, sans doute rassuré au fond de lui-même car qui n’aurait pas douté de ses propres enfants après la bien pâle prestation du mardi.\\n\\n« On a eu plus qu’une réaction car ça aurait été très cruel qu’on ne s’impose pas. Sincèrement, ce match là on l’a plutôt bien maîtrisé. Effectivement il y a eu un mauvais passage qui a permis au Mans d’égaliser à 75 partout mais auparavant on était vraiment dans ce que l’on voulait faire. En premier lieu en première mi-temps où on avait commencé à creuser un écart malgré un déficit aux lancers-francs énorme, 23 pour une équipe contre 8 pour l’autre. Malgré tout on avait 7 points d’avance à la mi-temps. On fait 24/29 dans le jeu intérieur. Ca change complètement par rapport à ce que l’on a pu faire les deux derniers matchs où notre pourcentage était famélique même dans le jeu intérieur. On fait 22 passes. C’est dommage que l’on ait fait ces deux, trois petites erreurs qui ont permis au Mans de se rapprocher alors qu’on était plutôt en contrôle. Malgré tout on a réussi à faire le dernier rush avec en plus de bons tirs derrière. »\\n\\nLes raisons de l’échec, à chaud, Eric Bartechky les cherchait encore et attendait de visionner la vidéo du match pour avoir quelques certitudes. Il lançait tout de même quelques pistes :\\n\\n« Je ne sais pas. Est-ce le fait que l’on était à court d’énergie ? Le fait qu’avec une salle pleine, on était plus préoccupé par des prestations individuelles et moins le sacrifice collectif ? Je n’en sais rien. »\\n\\nPeut-être même le MSB a-t-il subit la fameuse pression, le syndrome de l’équipe qui voit la médaille d’or au bout de la ligne d’arrivée et qui n’avance plus aussi vite :\\n\\n« Le fait d’avoir gagné le troisième match fait que l’on est chez nous et que si on prend le match, on est en finale, ça doit générer une pression. C’est possible que ça ait un impact sur l’équipe, sur l’investissement défensif et sur les performances. On peut se poser la question. »\\n\\n2- Quand le match a-t-il basculé ?\\n\\nVous expliquez, vous dissertez, mais parfois, souvent, ça se joue à deux ou trois fois rien.\\n\\nOn était dans le money time. Les Manceaux rataient des paniers d’apparence tout fait, sauf qu’en playoffs, il n’y a pas de paniers tout fait. 70-64 pour la SIG à 6’32 de la fin. Le public pousse. Une anti-sportive à Levi Randolph rapporte deux lancers à Mykal Riley et un autre à Youssoupha Fall. Puis un panier primé dans l’angle de ce même Mykal Riley permet au MSB de recoller au score, 75-75. 3’50 au chrono.\\n\\n« Je ne parle pas que du grand (Fall). Stephens, Morin, Riley, Yeguete, c’est une équipe très athlétique. C’est sûr qu’ils nous ont impactés dans ce domaine-là. C’est aussi pour ça que l’on a souffert à la fin », note Vincent Collet. « On est à l’extérieur, la salle était en fusion. Derrière on marque deux ou trois fois de suite, on joue juste. Ce sont quand même des tirs à trois-points... On n’est pas obligé de les marquer. Bien sûr que l’on a craint que Le Mans puisse renverser la tendance. Même si ça avait été cruel, ça aurait été possible à ce moment-là. Oui, on a eu peur. »\\n\\nC’est alors donc que Le Mans a été pris à revers par l’un des siens, dans le sens que Jeremy Leloup est né en ville il y a trente-et-un an, qu’il a fait ses gammes avec les espoirs sur le parquet d’Antarès. Boum ! Un premier trois-points. Et puis après que Mykal Riley, encore lui, ait répondu. Boum ! Un deuxième. Jeremy Leloup en n’a mis que trois sur quatorze dans cette série, mais ces deux-là ont vraiment torpillé les espoirs du MSB.\\n\\n« Il a mis deux gros tirs à la fin mais même avant il avait un rôle déjà beaucoup plus important que son évaluation pouvait laisser penser. La menace, c’est quelque chose qui est très important surtout quand tu as à l’intérieur une arme qui fait le job. La situation était beaucoup plus claire pour Miro que sur les deux matchs précédents », a complimenté Vincent Collet.\\n\\nL’Américano-Polonais David Logan a très rapidement envoyé la troisième bombe et le retour du Mans a fait long feu.\\n\\n3- Le MSB peut-il stopper Miro Bilan ?\\n\\nOn a pu croire dans les premiers échanges que l’homme du match serait une nouvelle fois Romeo Travis encore tranchant. Pas du tout. C’est le big man d’en face qui a très vite crevé l’écran. Le Croate Miro Bilan est un sept pieds, ce qui signifie qu’il mesure 2,13m. Une denrée rarissime en Jeep Elite. On rétorquera que c’est huit centimètres de moins que Youssoupha Fall. Sauf que l’international croate qui a disputé les Jeux de Rio, s’il n’est pas athlétique, a des fondamentaux parfaits, il a des kilomètres au compteur alors que ces playoffs démontrent que le Franco-Sénégalais aux progrès remarquables et au potentiel immense est encore un apprenti.\\n\\nYoussoupha Fall, Will Yeguete et Yannis Morin se sont relayés tour à tour pour stopper Miro Bilan. Ils n’y sont pas parvenus et les chiffres en font foi avec une implacable dureté. Le Croate a réussi ses dix shoots. C’est Bilan qui a permis à la SIG de tenir bon lorsque le MSB a essayé en début de match de prendre le large et c’est lui qui a été à l’origine du décrochage manceau en fin de troisième quart-temps. Eric Bartecheky ne pouvait que constater les dégâts :\\n\\n« C’est ça qui est un peu frustrant, décevant. On n’a pas eu comme le match d’avant le sacrifice collectif, à donner des fautes, à faire plus d’efforts pour essayer de le perturber. Il a reçu la balle facilement en dessous. On l’a laissé sur sa main droite. Il fait 10/10 à l’intérieur. On avait trois postes 5 qui pouvaient donner des fautes, on en donne pas beaucoup. On est à sept fautes à la mi-temps alors qu’on est à 47 points. Il faut au moins les envoyer aux lancers-francs, ne pas donner de paniers faciles. Sur les deux matchs d’avant Miro Bilan n’a pas été à ce niveau-là, on a réussi à ne pas être exposé sur ce talent-là en bas, sur le post up, aussi il faut, le staff, que l’on réfléchisse mais ce n’est pas simple car si on se met à venir aider sur lui, c’est un joueur talentueux qui peut ressortir les ballons. Mais c’est vrai que c’est un peu dommage de ne pas avoir fait preuve de plus d’engagement et de sacrifice dans ce domaine-là à l’intérieur. »\\n\\nVincent Collet a retrouvé hier le pivot indispensable à la réussite de son équipe surtout en l’absence de Louis Labeyrie.\\n\\n« Il a été comme au premier match, il a survolé les débats avec aussi une traction arrière très forte. On a beaucoup amélioré la défense sur Cobbs. Même s’il finit à 15 points, il a eu beaucoup plus de mal que les deux matchs précédents à s’approcher. On a beaucoup mieux refermé, on a protégé. On ne prend que 14 paniers intérieurs. Il y a 20 points d’écart sur le jeu intérieur. C’est davantage mental que tactique. On a simplement mieux exécuté ce que l’on voulait déjà faire mardi. En attaque on a bougé quelques petites choses surtout sur les match up. Je pense que le fait d’avoir beaucoup associé Jeremy (Leloup) en 4 avec Miro (Bilan) a posé un problème important d’espace. Ils aidaient beaucoup avec notre poste 4 que ce soit avec Damien (Inglis) ou Darion (Atkins) et là, ils n’ont pas pu. »\\n\\n4- Dee Bost et Zack Wright constituent-ils la meilleure paire de meneurs de la Jeep Elite ?\\n\\nQuelle est la meilleure paire de meneurs Jeep Elite ? La nouvelle paire de l’AS Monaco composée du maître de la passe décisive DJ Cooper et du plus féroce défenseur de l’Hexagone Aaron Craft ou l’ancienne Dee Bost/Zack Wright passée à Strasbourg ?\\n\\nOn attendra la fin de la foire pour compter les bouses mais il y a match. Dee Bost a été royal dans cette quatrième manche avec 19 points (8/12 aux tirs), 11 passes, 3 interceptions pour 30 d’évaluation. On n’a pas senti qu’il était sur les rotules alors qu’il a passé 35 minutes sur le terrain. Quant à Zack Wright, on le connaît par cœur. C’est sa cinquième saison en France et il est notamment passé par Le Mans. A 33 ans, il a toujours cette énergie folle qui en fait un danger constant. Le voir prendre un rebond offensif -quatre au total- sur la tête des big men est un spectacle à lui seul.\\n\\n« Samedi Dee avait été déjà pas trop mal. Il n’y a que mardi où il était descendu. Ce soir, on a retrouvé un grand Dee Bost », savourait Vincent Collet. « Ça passait forcément par un grand match de nos cadres. Mardi ce sont des joueurs venus du banc qui nous avait un tout petit peu porté. Ce n’est pas possible. Ce soir, Dee Bost a été très fort, Logan aussi, Zack Wright a été du même acabit. Il faut se renseigner sur la marque de ses chaussures parce que c’est quand même quelque chose ! On parle de Stephens mais Zack Wright, c’est pas mal non plus ! »\\n\\n5- Est-ce important de jouer le match 5 à domicile ?\\n\\nDeux partout, balle au centre. Balle au centre ? Pas exactement puisque vainqueur du MSB à Antarès en saison régulière, la SIG a gagné le droit de disputer la belle demain au Rhénus.\\n\\n« Samedi, à domicile, nous devrons avoir la même approche du match, jouer dur, se battre et surtout ne pas arriver trop en confiance, et essayer de gagner. La saison ne pouvait pas se terminer ce soir, on veut aller plus loin ! », a réagit Dee Bost.\\n\\nEvidemment que les Manceaux ne vont pas se laisser faire. N’est-ce pas Mykal Riley ?\\n\\n« Bien sûr on peut gagner là-bas. On l’a fait une fois. C’est comme les deux matchs que l’on a gagné de suite, c’est la défense. C’est tout. Faire cinq matchs c’est toujours fatiguant mais on est là pour ça, pour gagner la finale. Il faut trouver des trucs pour gagner, c’est tout. »\\n\\nAlors que les Alsaciens sont rentrés chez eux hier soir via Colmar, les Manceaux prendront demain matin un avion privé pour Strasbourg après un décrassage et une séance vidéo cet après-midi. Mais, au fait, est-ce vraiment un avantage de jouer à la maison ? La parole à l’expert, Vincent Collet :\\n\\n« Ca dépend dans quelle circonstance. Normalement, oui quand même. Mais ce n’est pas le facteur numéro un. Le facteur numéro un, ça va être la maîtrise, la détermination. Aujourd’hui, on a associé les deux, on a eu beaucoup plus d’agressivité, de détermination que mardi et surtout on a beaucoup mieux maîtrisé ce que l’on souhaitait faire. Beaucoup plus de patiente dans les constructions, les faire travailler en défense. Ca n’a pas tout de suite payé car ils étaient incroyables au début. Ils ont mis un nombre de tirs difficiles en un contre-un alors qu’on changeait en fin de possession. Petit à petit, ils ont perdu un peu de cette adresse incroyable. Samedi ça sera encore un autre match où il faudra encore avoir cet ingrédient-là. Le fait d’être chez toi est quand même un petit avantage. Si Le Mans est revenu ce soir à 75 partout c’est grandement parce qu’ils étaient à la maison. Je pense que si on avait été chez nous quand on a eu 12 points d’avance, ça aurait basculé un peu comme ça a basculé pour Le Mans mardi. Samedi, on va jouer le 5e match en 9 jours. Ça pèse pour tout le monde, on voit bien qu’il y a de la fatigue. C’est pour ça que la gnac est encore plus importante que d’être à la maison mais malgré tout quand tu es porté c’est plus facile d’aller chercher ce type de match. Et je vous garanti que l’on sera porté. Il y avait une bonne ambiance à Antarès mardi et ce soir, il y en en aura une bonne mardi au Rhénus. Je m’y engage ! Certainement moins qu’à Limoges qui est hors concours mais il y en aura une bonne. Après, c’est un match 5. J’en ai gagné à la maison, j’en ai perdu à la maison. » Il détaille : « On a gagné Villeurbanne l’année dernière. Contre Nancy en 2014. Perdu contre Villeurbanne il y a deux ans en finale. Et j’ai perdu l’année dernière le match 5 à Chalon. »\\n\\nEric Bartecheky a sans doute davantage de recul ce matin. Hier soir, il en était encore au stade des interrogations.\\n\\n« Bien sûr que l’on peut perdre le match et être éliminé. Si c’est le cas, il n’y aura rien d’illogique. On les aura poussé en cinq matchs. Ce sont les favoris depuis le début. C’est juste la sensation de ne pas avoir pris le match ce soir qui est un peu frustrante mais il faut y aller sans trop se poser de questions. Faire mieux. Aura-t-on l’énergie pour perturber cette équipe là sur un cinquième match à Strasbourg ? Ça me parait compliqué mais pas impossible. Il faut jouer le coup à fond et on verra bien. »\\n\\nAu fait, dans la encore très courte histoire des Matches 5 des playoffs de la Jeep Elite, les équipes recevantes ont gagné 4 fois et perdu 1 fois. C’est juste un indice.\\n\\nPhotos: Zack Wright et Miro Bilan (FIBA), Romeo Travis (MSB/Dominique Breugnot)\\n\\n[armelse]\\n\\n– Les Manceaux étaient-ils émoussés ?\\n\\nAprès huit saisons dans notre pays, Mykal Riley se débrouille en français et même s’il cherche parfois ses mots, il fait l’effort de répondre dans la langue de ses interlocuteurs en conférence de presse. C’est si rare pour un Américain que c’est à noter. Pour l’ailier manceau, qui sur un plan personnel a été impeccable (16 points, 19 d’évaluation), l’échec du MSB est à mettre sur le compte d’un mental insuffisant.\\n\\n« On n’a pas bien commencé le match. On a donné des paniers faciles. On n’était pas dans le match en première mi-temps. C’est pour ça que l’on a donné 47 points alors que le match d’avant on en a donné 60 pour tout le match. C’est ça la différence ce soir. Mentalement, on n’était pas prêt. »\\n\\nLe contexte de ce Match 4 était pourtant favorable au MSB. Après leur victoire deux jours auparavant, les Manceaux n’étaient plus qu’à quarante minutes de la finale. Antarès affichait son septième guichets fermés de la saison et les six mille spectateurs avaient rempli les gradins dix minutes avant l’entre-deux, ce qui n’est pas dans leurs habitudes. Dans la chaleur suffocante d’une soirée pas ordinaire, le public toujours en orange s’époumonait en criant « Le Mans... Le Mans... ». Tous les joueurs strasbourgeois étaient sifflés, pas Vincent Collet, considéré au Mans avec un immense respect même si le Normand a quitté le club il y a déjà dix ans.\\n\\nSeulement, imperceptiblement, quelque chose avait changé en 48 heures. Au bord de l’abîme, les Sigmen étaient remontés comme des coucous suisses. Quand le match a gagné en intensité, quand tout le monde était au fond du cratère, quand même le MSB est revenu à leur hauteur en fin de match, ils ont fait preuve d’une parfaite sérénité. Dans l’autre camp, les Manceaux sont apparus émoussés.\\n\\n« On n’a pas réussi défensivement à perturber les timings et le jeu de Strasbourg. C’est ce qui nous coûte. Même si en attaque on a un peu de réussite à la fin, on marque 82 points, pour moi c’est vraiment défensivement que le match s’est joué. Je pense que l’on a manqué de détermination, d’énergie sur les actions. Des petits retards. Il faut aussi donné du crédit à Strasbourg, ils ont été très bons dans ce qu’ils ont exécuté. Mais comme on n’avait pas assez d’énergie dû à l’enchaînement de matchs, à la fatigue, ça se traduit par des petits retards et on subit. Et en face quand les joueurs sont individuellement et collectivement à ce niveau-là, c’est très dur », avouait Eric Bartecheky, le coach manceau.\\n\\nD comme Défense. D comme Dureté. La SIG, qui s’était fait mener par le bout du nez le mardi est revenu transformé le jeudi.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Lamonte Ulmer passe de Châlons-Reims à Bourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La JL Bourg annonce la signature de l’ailier Américain Lamonte Ulmer (1,98m, 32 ans) qui opérait cette saison à Chalons-Reims où il a tourné à 13,3 points, 3,8 rebonds, 1,1 passe et 13,1 d’évaluation.\\n\\n« Au-delà de ses statistiques intéressantes, Lamonte a surtout fait une deuxième partie de saison exceptionnelle en terminant 2e meilleur marqueur et 4e meilleure évaluation du championnat », précise le club sur son site Internet.\\n\\nLamonte Ulmer a opéré avant la France dans des ligues mineures, Luxembourg, la Finlande et la Roumanie mais aussi en Allemagne à Würzburg.\\n\\n« All Star sélectionné pour le concours de dunk dans l’ensemble des championnats dans lesquels il a joué (notamment en France cette saison), Lamonte Ulmer est un véritable athlète. Avec de la dynamite dans les mollets, Lamonte risque de faire lever la salle d’Ekinox de nombreuses fois la saison prochaine. Son explosivité lui permet de driver ses concurrents directs, mais il est aussi capable de shooter à longue distance. Au-delà de ses qualités offensives, Lamonte est un très bon défenseur qui peut monter au contre, » estime la JL.\\n\\nPhoto: JL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les highlights du Match 4 de Le Mans vs Strasbourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour ceux qui n’ont pas vu le match, voici les highlights de Le Mans-Monaco, hier à Antarès. Le Match 4 des demi-finales de playoffs de Jeep Elite."
}, 
{"role": "user",     "content":"Paul Lacombe (Monaco) condamné à un match de suspension avec sursis jouera ce soir contre Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Paul Lacombe pourra jouer ce soir le Match 4 de la demi-finale de Jeep Elite, Limoges-Monaco. Le club monégasque indique sur les réseaux sociaux que la Commission Juridique et de Discipline de la Ligue Nationale de Basket l’a condamné à un match de suspension avec sursis pour ses commentaires désobligeants au micro de SFR Sport 2 après le Match 3.\\n\\nDans des termes juridiques, la LNB a envoyé un communiqué expliquant que la Commission s’est réunie en urgence ce matin:\\n\\n« Affaire 60 – Monsieur Paul LACOMBE (Joueur de l’AS MONACO BASKET) Incidents survenus à l’issue de la rencontre de Jeep® ÉLITE CSP LIMOGES / AS MONACO BASKET du 6 juin 2018 : Manquements à la morale sportive et tous actes susceptibles de porter atteinte à l’image ou à la réputation du Basket-ball, de ses instances ou de ses membres (cf. article 10 section 2 des règles de discipline). Un match de suspension avec sursis »\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\nDécisiion Commission juridique et de discipline #LNB : un match de suspension avec sursis pour @PaulPopox. Paul Lacombe pourra jouer ce soir le match 4 des demi-finales play-offs #JeepELITE face au @limogescsp .🏀🔴⚪️ pic.twitter.com/14SeiKy4y1\\n\\n\\n— AS Monaco Basket 🇲🇨 (@ASMonaco_Basket) June 8, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Une salle de 6 000 places pour Montpellier... vers 2023"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que le BLMA a construit une équipe extrêmement compétitive pour la saison 2018-19, le club de l’Hérault peut se réjouir de l’annonce officielle de l’édification d’une salle modulable de 5 à 6 000 places et de 6 500m2 qui leur sera réservée pour les matches internationaux du moins sachant que les handballeurs du MBH récents champions d’Europe seront le club résident. C’est Philipe Saurel, maire de la ville et président de la métropole qui l’a confirmé lors d’une conférence de presse.\\n\\nLa salle d’un coût d’environ 50M€ sera proche du futur stade Louis Nicollin dans le quartier Cambacérès. Le parking pourra servir aux deux enceintes. Toutefois la mise à disposition de la salle n’est pas prévue avant 2013 et on sait que parfois l’humeur des hommes politique varie !\\n\\nLe maire a déclaré que « le gymnase de Lattes est plutôt rudimentaire », ce qui est un euphémisme.\\n\\nActuellement, la salle à la plus forte capacité en Ligue Féminine est le Prado de Bourges avec 5 000 places sauf quand l’ASVEL joue à l’Astroballe ou au Palais des Sports de Gerland."
}, 
{"role": "user",     "content":"Gagnez des cadeaux en parrainant de nouveaux abonnés !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chère abonnée, cher abonné,\\nBasketEurope vous offre la possibilité de gagner des cadeaux en parrainant de nouveaux abonnés !\\nC’est très simple : vous incitez UNE personne de votre connaissance à s’abonner à BasketEurope pour 99,90€, ce que l’on appelle « un filleul ». En retour vous recevrez un T-shirt. Et si vous parvenez à en convaincre TROIS, c’est le maillot de l’équipe de France qui sera à vous !\\nComment faire ? Vous nous adressez votre adresse mail via le formulaire ci-dessous et on vous attribuera un code promo que vous fournirez à votre ou vos filleuls. Ainsi, il pourra ou ils pourront nous envoyer à leur tour leurs règlements et leurs coordonnées pour qu’ils soient abonnés. N’hésitez pas !"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du Monde 3×3 féminine: Une victoire et une défaite pour les Bleues"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La France a battu l’Argentine (19-9) mais a échoué face à la Chine (14-16) lors de la première journée de la Coupe du Monde de 3X3 féminine qui se tient à Manille, Philippines.\\n\\nA priori supérieures aux Kazakhs, les Bleues devront batailler face aux Suissesses pour ne pas interrompre en poule leur aventure à ce Mondial.\\n\\nLa France est représentée par Christelle Diallo, Alice Nayo, Marie-Eve Paget et Johanna Tayeau.\\n\\nVendredi 8 juin : Argentine – France, 19-9\\nVendredi 8 juin : France – Chine, 16-14\\nDimanche 10 juin – 5h30 : France – Kazakhstan\\nDimanche 10 juin – 7h20 : Suisse – France\\nMardi 12 juin : Phases finales\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Audience des quarts-de-finale de Jeep Elite diffusés en clair sur des plate-formes digitales : «Nous avons dépassé le million», affirme Alain Béral, le président de la LNB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans une interview au site de la Ligue Nationale de Basket, son président Alain Béral passe en revue plusieurs sujets d’actualité notamment le très complexe dossier des coupes d’Europe. Après avoir affirmé que la LNB n’adaptera pas son calendrier à celui de l’Eurocup (Limoges et Villeurbanne ont annoncé leur souhait d’y participer), il précise:\\n\\n« La LNB a décidé que 7 clubs seront qualifiables au maximum : places de 1 à 7 déterminées par le résultat des playoffs et que les clubs pouvaient décider où ils voulaient jouer. Nous leur avons donc posé la question. Tous n’ont pas encore répondu. Nous savons déjà que Dijon, l’ASVEL et Nanterre sont classés 5e, 6e et 7e, les deux éliminés des demies seront départagés par leur classement en saison régulière. Mais même si on fait le plein, avec 3+1 en BCL et 2 en EuroCup, nous n’arrivons qu’à 6 places disponibles. Le septième poste est donc qualificatif pour la FIBA Europe Cup\\n\\nMais problèmes potentiels : le 6ème de Jeep Elite ne peut pas aller en BCL, quoi qu’il arrive et l’EuroCup n’a annoncé que 2 places pour des clubs français, (elle peut aussi qualifier des clubs sur invitation, ce que ne fait pas la BCL). S’il y a des clubs du Top 5 français qui partent en EuroCup, le quota en BCL peut baisser à 3 voire à 2 places ; et on se retrouvera avec seulement 5 futurs spots en Europe, plus éventuellement l’Euroleague. »\\n\\nAlain Béral évoque par ailleurs le contrat avec SFR Sport et les audiences obtenues lors des matches de quarts-de-finale de Jeep Elite qui ont été retransmis gratuitement sur différentes plate-formes:\\n\\n« Il faut savoir qu’on a fait un carton sur les quarts de finale de Jeep Elite qui ont été diffusés en clair sur plusieurs plateformes digitales. Nous avons donc largement dépassé le million sur les quarts, ce qui est une première. Pour les matchs sur SFR Sport aujourd’hui notre diffuseur n’est pas dans une logique d’audience mais d’abonnements. Dans ce contexte, nous avons, grâce à nos clubs, une vraie proximité avec des abonnés potentiels et notre travail prioritaire est donc d’accompagner la communication autour des offres via box, mobile ou OTT. De notre côté, nous sommes persuadés que notre public est captif sur du highlight, des extraits, des résumés, de top ten... bref le millenial consomme peu un match dans son intégralité. L’audience n’est donc pas un débat important à ce stade mais nous devons être attentifs à la mise à disposition d’images sur le net. »\\n\\nLa LNB a entrepris par ailleurs un vaste chantier cette saison pour organiser sa refonte. Alain Béral lève un voile:\\n\\n« Les groupes de travail ont débuté depuis octobre dernier, avec des gens du basket comme d’autres extérieurs à notre sport, des personnes du Ministère, des personnalités qualifiées. Parallèlement les clubs ont tous été interrogés, des auditions ont été menées individuellement et une étude a été faite auprès du public (fans et grand public). Il y a eu des heures et des heures de travail. Les équipes et les groupes ont travaillé sur les bases définies par le rapport de Didier Primault, rien de ce qui avait été écrit par lui n’a été oublié, mais d’autres points ont pu être ajoutés. Le 25 juin, le rapport final d’OLBIA sera voté en Assemblée générale. Il est questions de 23 propositions concrètes, aussi variées que les formules sportives, la gouvernance, l’identité, l’expérience spectateurs... Plus d’une centaine de personnes ont participé aux réflexions et je tiens d’ailleurs à les remercier pour leur mobilisation. Elles seront soumises aux 36 clubs pour débat à la mi-juin puis le comité directeur, seul souverain en la matière décidera de ce qui sera présenté au vote à l’AG. A partir de là, j’espère qu’il y aura des décisions majeures qui seront prises. Certaines décisions seront applicables dès septembre, d’autres pour la saison suivante, comme par exemple si on venait à décider de réduire le nombre de clubs dans une division ou une autre. »\\n\\nPhotos: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Brad Wanamaker (Fenerbahce) en partance pour le FC Barcelone"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après deux années très difficiles en Euroleague, le FC Barcelone a plus que jamais envie de redresser la barre. Après avoir trouvé un accord avec Kevin Pangos et vouloir recruter Sarunas Jasikevicius, le club catalan aurait obtenu la signature de Brad Wanamaker (1,93m, 28 ans).\\n\\nSelon le journaliste espagnol Chema de Lucas, le deal aurait été conclu entre le Barça et le meneur de jeu américain. Notamment passé par Bamberg et Darussafaka lors des deux dernières saisons, il a rejoint le Fenerbahce l’été dernier. L’ancien joueur de Bamberg est également connu pour avoir porté le maillot du Limoges CSP lors de la saison 2012/13 avec lequel il enregistrait 10,7 d’évaluation.\\n\\nCette saison avec le Fener, Brad Wanamaker compile en moyenne 11,1 points, 1,6 rebond et 3 passes décisives en championnat et il tournait à 11,3 points, 2,7 rebonds et 3,8 assists pour une évaluation de 12,9 en Euroleague.\\n\\n\\n\\n\\nEstá hecho\\n\\n\\n— Chema de Lucas (@chemadelucas) 8 juin 2018\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet attend toujours une réponse de Killian Hayes et de l’Islandais Haukur Palsson"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bien malin qui peut dire à quoi va ressembler l’effectif de Cholet Basket 2018-2019. Le nouveau coach Régis Boissié peut actuellement compter les départs et les incertitudes.\\n\\nAlors que l’ensemble des Américains ne sont plus sous contrat, David Michineau part à Levallois alors que ce n’est pas un mystère que Jonathan Rousselle et Jerry Boutsiélé sont attendus à Limoges. L’officialisation devrait intervenir à la fin du parcours du CSP en playoffs.\\n\\nA ce jour, seul Abdoulaye Ndoye est sous contrat. Le club attend toujours de savoir si Haukur Palsson (1,97m, 26 ans) est prêt à reporter le maillot rouge et blanc une saison de plus. L’Islandais a été l’auteur de 9,3 points et de la même évaluation en 2017-18.\\n\\nPlus attendue encore, la réponse du prodige Killian Hayes (1,97m, 17 ans en juillet) sollicité par des clubs d’Euroleague, qui conditionne beaucoup le « projet jeunes » de Cholet Basket. Sachant que le pivot Melvyn Govindy (2,10m, 21 ans) est inscrit à la prochaine draft.\\n\\nPhoto: Killian Hayes (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Landerneau recrute l’ancienne top scoreuse du championnat, Maggie Lucas"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Promu en Ligue Féminine, Landerneau Bretagne Basket s’offre la marqueuse numéro 1 du championnat français de la saison 2014-15, l’Américaine Maggie Lucas (1,78m, 26 ans).\\n\\nA l’époque, Maggie Lucas sortait de Penn State et portait le maillot d’Arras. Elle avait tourné à 18,2 points en moyenne. Depuis l’Américaine a fait une honnête carrière en WNBA, aux Indiana Fever prouvant qu’elle est une scoreuse tout terrain (5,7 points en 15 minutes de moyenne en 2016). Elle porte actuellement le jersey d’Atlanta avec un temps de jeu réduit à cinq minutes.\\n\\nMaggie Lucas est la troisième recrue de Landerneau après la Tchèque Kamila Stepanova et l’Ivoirienne Kariata Diaby."
}, 
{"role": "user",     "content":"Endy Miyem est devenue la 12e Française à jouer en WNBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Endy Miyem (1,88m, 30 ans) a joué ses deux premières minutes en WNBA à l’occasion du déplacement de son équipe, le Minnesota Lynx aux Washington Mystics. La ligne statistique de la Française est demeurée totalement vierge. Le Lynx s’est imposé 88-80.\\n\\nL’internationale est ainsi la 12e Française à avoir arpenté les parquets de la ligue américaine. La pionnière fut Isabelle Fijalkowski lors des deux premières années d’existence de la WNBA, en 1997 et 98."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Quand Céline Dumerc s’exerce au basket fauteuil"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lancée il y a 3 ans par Philippe Croizon, la web série Vis mon sport propose à des sportifs ou anciens sportifs de haut-niveau de partager la séance d’entrainement d’athlètes handisport et d’essayer leur sport dans la même situation de handicap qu’eux. Tout cela dans le but de faire évoluer les mentalités sur le handicap et de montrer que les athlètes handisport sont des athlètes de haut niveau à part entière.Après Jean-Philippe Gatien au tennis de table fauteuil, Fabrice Santoro au blind tennis, c’est au tour de Céline Dumerc de s’essayer au basket fauteuil pour l’occasion aux côtés de Grace Wembolua."
}, 
{"role": "user",     "content":"«Go To the War...» Le slogan que les Ultras Green ont affiché à l’entrée des joueurs de Limoges pour ce soir"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chaud le Match 4 de demi-finale de playoffs ce soir à Beaublanc entre Limoges et Monaco ? Si vous en n’êtes pas persuadé, voici ce que les Ultras Green, le groupe de supporters le plus déterminé de Limoges donc de France a écrit sur une banderole à l’entrée des joueurs au palais des sports de Beaublanc. « You’ll never walk alone » est le slogan de plusieurs clubs de foot dont Liverpool et les Celtics de Glasgow. Quant à « Go to the war », pas la peine de traduire.\\n\\n\\n\\n\\nLa nouvelle déco de l'entrée des joueurs de Beaublanc est terminée. @DamidotValerie vous validez ? #GoogleTrad #SectionEscabeau #BacOptionDessin pic.twitter.com/jQPRIpKmss\\n\\n\\n— Ultras Green Limoges (@ultras_green) June 8, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jean-Marc Dupraz (Lille) : « Je suis fier de mes gars »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"De la fierté, dans la défaite comme dans la victoire, c’est le premier sentiment qui est ressorti de la bouche des deux entraîneurs hier soir après le match d’appui remporté à domicile par Roanne contre Lille (71-55). Les Lillois de Jean-Marc Dupraz quittent les Playoffs d’accession 2018 avec les honneurs après avoir terminé à la 5e place en saison régulière et poussé la Chorale (2e) à une belle en demi-finale. Les Roannais de Laurent Pluvy se voient quant à eux propulsés en finale face à Fos Provence Basket. Voici l’essentiel de leurs interventions en conférence de presse d’après-match.\\n\\nLaurent Pluvy : « Tenir Lille à 55 points, c’était le plus important »\\n\\n« C’était une vraie bataille et je suis très fier des garçons. On a très bien démarré, on s’est tout de suite mis dans de bons comportements défensifs, c’était important déjà, de stopper les priorités adverses. On savait qu’ils ne feraient de toute façon pas le même match que la semaine dernière ici (victoire de Roanne 83-36), qu’il fallait être beaucoup plus lucide. Offensivement on a plutôt bien maîtrisé même si par moment, on s’est un peu enfoncé tête baissée dans leur défense. C’est aussi leur qualité, de bien défendre. C’est difficile d’être performant des deux côté du terrain. Globalement on laisse cette équipe à 55 points, c’était le plus important. On savait qu’à la maison, avec le soutien du public, on trouverait un peu de réussite par moment, et c’est ce qu’il s’est passé. On a toujours trouvé le joueur qu’il fallait au moment précis. On a eu Robert (Nyakundi) à un moment, David (Jackson) et Jason (Williams) à un autre. Nos trois étrangers nous ont porté dans le scoring et on avait besoin de ça »\\n\\nJean-Marc Dupraz : « On voulait bousculer la logique »\\n\\n« Au regard du premier match et du dernier, même si entre les deux on a fait un beau match chez nous, j’ai toujours dit que que le deuxième était favori face au 5e et la logique a été respectée. J’ai toujours dit aussi que nous, on voulait bousculer la logique, la refuser. C’est ce qu’on a essayé de faire et je suis fier de mes gars ce soir. Il aurait fallu qu’on rentre dans le match comme on l’avait fait chez nous, avec beaucoup plus de dureté. Là, les premières minutes, on est pas trop mal mais il n’y a pas ce surplus d’énergie ou de dureté qui peut faire que les choses s’équilibrent au niveau des fautes et de l’arbitrage. On n’a pas reculé mais on n’a pas autant avancé que Roanne. Ensuite avec l’ambiance dans une salle qui est difficile, eux se sont transcendés. À la mi-temps, j’ai demandé à mes joueurs d’arrêter de râler ou de se prendre la tête, car c’est de la dépense d’énergie pour rien. Ça a un peu fonctionné puisque les joueurs se sont quand même accrochés. On est revenu un peu dans le match, en retrouvant un peu d’adresse. Mais ils ont défendu très dur en face. Ils ont coupé notre meneur sur les remontées de balle régulièrement en première mi-temps. Ça nous a forcé à jouer des systèmes plus courts. Sur les pick and roll, ils n’ont pas donné grand-chose à Marcos (Suka Umu) et à Maurice (Acker). Notre plan de jeu, c’était d’amener un peu plus la balle dessous, on l’a trop oublié. Parce que même si on ne marquait pas à chaque fois, quand on emmenait la balle dessous, on les mettait en difficulté quand même. Soit sur des in-out, soit en provoquant des fautes. Et même si on ratait, on était mieux dans le repli et mieux organisé après. On a oublié un peu notre jeu par rapport à la surpression adverse ».\\n\\nLes réactions de Nicolas Taccoen et Clément Cavallo"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Kevin Mendy signe à Poitiers"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après deux saisons à Boulogne-sur-Mer, Kevin Mendy (2m, 26 ans) a continué son chemin en Pro B en rejoignant Aix-Maurienne l’été dernier. Aujourd’hui, il quitte la Savoie pour s’engager avec Poitiers.\\n\\nSur son site, le PB86 a annoncé l’arrivée du natif de Meulan pour la saison prochaine. Formé au Mans, il a passé quatre saisons en pro au MSB avant de descendre d’une division pour obtenir plus de temps de jeu et de responsabilités.\\n\\nCette saison en Pro B, Kevin Mendy compilait en moyenne 6,5 points, 3,6 rebonds et 1,4 passe décisive pour une évaluation de 7,4.\\n\\nPhoto : Aix-Maurienne/F.Pietrzak"
}, 
{"role": "user",     "content":"Israël : l’ancien NBAer Daequan Cook prolonge à Ness Ziona"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé l’été dernier, Daequan Cook (1,96m, 31 ans) vient de prolonger son contrat en Israël à l’Ironie Nes Ziona.\\n\\nPassé par Miami, Oklahoma City, Chicago et Houston en NBA, le natif de Dayton est également passé par Benfica, Téhéran ou encore Tübingen. L’ancien pensionnaire d’Ohio State a aussi évolué la France, à Rouen en 2014/15. En 2009, l’ancien joueur de Kiev a été sacré champion du concours à trois points de NBA.\\n\\nCette saison en Israël, Daequan Cook compilait en moyenne 16 points et 2,4 rebonds.\\n\\n\\n\\n\\nOFFICIAL: @ironinessziona extend @DC4Three for one more season pic.twitter.com/RxfMH1sOMF\\n\\n\\n— Winner League (@WinnerLeague) 7 juin 2018\\n\\nPhoto : FIBA Eurocup Cup"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ancien nancéien Thaddeus McFadden obtient le passeport georgien"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison dernière à Nancy le temps des quinze premiers matchs de championnat avant de partir pour la Grèce, Thaddeus McFadden (1,88m, 31 ans) vient d’obtenir le passeport géorgien.\\n\\nCette année à Skopje, en Macédoine, pour commencer la saison, l’ancien joueur du PAOK est ensuite retourné en Grèce. Il a passé la majeure partie de l’exercice 2017/18 à Kymi où il évoluait aux côtés du Français Angelo Tsagarakis. A l’image d’Anthony Randolph avec la Slovénie, le triple champion de Chypre n’a jamais évolué dans son nouveau pays avec lequel il pourra jouer lors les trois prochaines années.\\n\\nCette saison en Grèce, Thaddeus McFadden a compilé en moyenne 17,7 points, 2,9 rebonds et 4 passes décisives. Il a terminé meilleur marqueur du championnat grec.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Articles de la semaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BasketEurope vous propose chaque semaine l’essentiel de l’actualité du basket français et européen, voici une sélection des articles qui ont marqué cette semaine :\\n\\n 1.  Modification du calendrier d’Eurocup: Sous la pression, l’Euroleague fait une concession\\n 2.  Un tableau pour suivre chaque jour les transferts en Jeep Elite.\\n 3.  L’UTBM Tours invité en NM1 la saison prochaine\\n 4.  Pro B: Audrey Sauret est la nouvelle General Manager de Nantes\\n 5.  Montée en Jeep Elite : l’ADA Blois contre-attaque\\n 6.  Patrick Comninos (Directeur Général de la BCL) : « L’ensemble des équipes d’Euroleague perdent 200 millions d’euros par an. Contre 40 millions de revenus »\\n 7.  Killian Hayes, Theo Maledon et Malcolm Cazalon font sensation au NBA Global Camp de Trevise\\n 8.  Coup de gueule contre les arbitres : Paul Lacombe convoqué par la commission juridique et de discipline de la LNB\\n 9.  Limoges renverse le Rocher !\\n 10. Interview Yann Nouhaud (DG Big Sports) : « Limoges portait notre maillot en Eurocup »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Christian Burns et Jeff Brooks se rapprochent de Milan"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Milan est certainement l’équipe la plus active sur le marché des transferts jusqu’à maintenant alors que la saison n’est pas encore terminée dans les différents championnats.\\n\\nSelon Sportando, Christian Burns et Jeff Brooks seraient sur le point de rejoindre l’Olimpia Milano pour la saison prochaine. Le premier, naturalisé italien et cette saison à Cantu, aurait déjà trouvé un accord avec Milan. Il vivrait sa première expérience en Euroleague chez le champion d’Italie 2015/16. Le second a déjà fait le choix de quitter Malaga où il évolue depuis deux saisons et serait en discussion très avancée avec le club italien. Déjà passé par Cantu, Caserta et Sassari, il ne serait pas plongé dans l’inconnu en rejoignant la Lombardie.\\n\\nCette saison à Cantu, Christian Burns compilait en moyenne 14,1 points et 10 rebonds de moyenne. En Espagne, Jeff Brooks enregistrait, lui, 8,4 points et 4,2 rebonds en ACB et 8,8 points et 4,3 rebonds en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Felipe Reyes devient le joueur avec le plus de matchs disputés dans l’histoire de l’ACB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A 38 ans, Felipe Reyes vient d’écrire un peu plus sa légende dans l’histoire de la ligue espagnole. Il est devenu hier le joueur ayant disputé le plus de matchs dans l’histoire de l’ACB.\\n\\nA l’occasion du match 3 des demi-finales de championnat espagnol, l’intérieur du Real Madrid a dépassé Rafa Jofresa qui compte 756 matchs joués à son actif, Reyes en est maintenant à 757. Si l’ACB a été créée en 1982, le record absolu de matchs joués en Espagne appartient à Joan Creus avec 778 rencontres disputées entre la Ligue Nationale et l’ACB. Si tout se passe bien, le Madrilène pourra dépasser l’ancien joueur du FC Barcelone la saison prochaine.\\n\\nFelipe Reyes s’est exprimé sur son record.\\n\\n« Je suis très heureux. C’est un joueur très bon, 757 matchs et surpassée un grand comme Rafa Jofresa. Et maintenant continuer à augmenter ce chiffre parce que je regarde avec force et l’envie. Espérons que cette saison nous pourrons terminer avec un titre de champion pour mon record. Je me limite seulement à jouer, à toujours donner 100% à chaque partie et les records proviennent de la constance et du travail quotidien. Jofresa était heureux parce que j’étais celui qui allait le battre vaincre. »\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : la Chorale de Roanne rejoint Fos-sur-Mer en finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Chorale de Roanne a fait respecter l’avantage du terrain en s’imposant dans le match d’appui de sa demi-finale à la Halle André Vacherresse contre Lille 71-55. Portés par Jason Williams, MVP du match avec 18 points à 7/11 au tir, 4 rebonds et 2 passes décisives, David Jackson (19pts, 5rbds, 2pds) et Robert Nyakundi (16pts, 7rbds), les Choraliens n’ont presque pas tremblé, comptant jusqu’à 22 points d’avance en début de 4e quart-temps.\\n\\nComme lors des deux premiers matchs, c’est l’équipe qui a évolué à domicile qui a dominé les débats. Les hommes de Laurent Pluvy, emmenés par un Jason Williams en grande forme et un capitaine Clément Cavallo exemplaire (8pts, 3rbds, 3ints) ont pris le match par le bon bout. Avec l’appui d’un 6e homme omniprésent, et une agressivité au rendez-vous des deux côtés du terrain, les locaux sont ensuite rentrés aux vestiaires avec 11 points d’avance (34-23). Alors qu’on attendait la réaction lilloise après le repos, ce sont encore les Choraliens qui ont enfoncé le clou en fin de 3e quart-temps grâce à son trio Williams-Jackson-Nyakundi.\\n\\nL’écart est passé à +22 en début de 4e quart-temps un 3 points de David Jackson. Et les Roannais ont pu conclure sereinement, enregistrant même le retour brillant de leur capitaine Clément Cavallo, brièvement touché au genou en milieu de 3e acte. Alors que Marcos Suka Umu venait de ramener les siens à -15, c’est lui qui a relancé la machine d’un panier à l’intérieur (61-44) avant de laisser la paire Williams-Davis finir le travail.\\n\\nLa Chorale, de retour en Pro B depuis 2014, va jouer sa place en Jeep ELITE avec l’avantage du terrain face à Fos Provence Basket et peut se targuer d’avoir battu les Provençaux à deux reprises cette saison (71-76 et 99-64 en mars dernier). Premier match ce lundi soir à Vacheresse (20h45), retour jeudi prochain à la Halle Parsemain et belle éventuelle le dimanche 17 juin."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Elite : David Michineau (Cholet) en partance pour Levallois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Levallois continuent de monter leur équipe en vue de la saison prochaine. Cette fois, c’est David Michineau (1,93m, 24 ans) qui devrait s’engager.\\n\\nAprès les prolongations de Maxime Roos et Jaron Johnson, et le recrutement de Mouphtaou Yarou, les dirigeants levalloisiens auraient, selon L’Equipe, obtenu la signature de David Michineau pour une durée de deux saisons. Le Guadeloupéen arriverait en provenance de Cholet où il évolue depuis la dernière intersaison.\\n\\nLe club des Hauts-de-Seine, qui va se séparer de Remi Lesca et Louis Campbell, serait également sur le point de faire prolonger Sylvain Francisco pour deux ans, toujours d’après L’Equipe.\\n\\nCette saison en Jeep Elite, David Michineau compilait en moyenne 9,3 points, 1,9 rebond et 1,5 passe décisive pour une évaluation de 6,3 en 19 minutes de jeu sous les ordres de Philippe Hervé.\\n\\nPhoto : Jacques Cormarèche"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Arrivée du combo Antwan Scott à Evreux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nouvelle recrue pour l’ALM Evreux Basket avec l’arrivée du poste 1/2 américain, Antwan Scott (1,85m, 26 ans).\\n\\nFormé à l’Université de Colorado State (16.4pts, 4.3rbds, 2.2pds pour son année sénior), Scott a débuté sa carrière en Europe du côté de Den Bosch aux Pays-Bas (20.6pts, 5.5pd, 4.6rbds et 2.3int en 11 matchs) avant de rejoindre la Finlande et le KTP Basket (22pts, 4.5rbd, 2.9pds, 1.5int en 14 matchs) puis de terminer sa première saison en Grèce à l’Aris Salonique.\\n\\nLa saison dernière, il a d’abord rejoint la Lettonie et le VEF Riga où il a débuté la saison, avant de rallier Chypre et le club de Keravnos (8,0pts, 2,5 rbds, 2,3 pds en 10 matchs) avec lequel il a également disputé la FIBA Europe Cup (9,6 pts, 3,1 pds, 2,7 rbds en 7 matchs).\\n\\n« Scott est un poste 1 capable d’évoluer également sur le poste 2. C’est un scoreur avec une bonne adresse à trois points. Il dispose de deux saisons d’expérience en Europe où il a dominé en Hollande et en Finlande lors de son année Rookie. Antwan est très actif sur le terrain et joue avec beaucoup d’énergie’, a commenté le coach Fabrice Lefrançois."
}, 
{"role": "user",     "content":"Coup de gueule contre les arbitres : Paul Lacombe convoqué par la commission juridique et de discipline de la LNB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à la défaite de Monaco face à Limoges dans un Beaublanc surchauffé, Paul Lacombe a vivement critiqué la prestation des arbitres au micro de David Cozette.\\n\\nJournaliste à Limoges, Matthieu Marot nous apprend aujourd’hui que l’ancien joueur de Strasbourg sera auditionné par la commission juridique et de discipline de la LNB vendredi matin.\\n\\nL’arrière monégasque risque un avertissement ou même une suspension. Cependant, si suspension il y a, elle ne devrait pas amputer la Roca Team de son joueur lors de la série face à Limoges pour le match 4 ou un éventuel match 5. Comme cela avait été le cas pour Romeo Travis. L’intérieur manceau avait été suspendu par la Ligue le 17 mai, il avait pu jouer le premier match le 22 mai face à l’ASVEL après que le club ait fait appel. Il avait finalement manqué le deuxième match, le 25 mai.\\n\\nAffaire à suivre, mais l’absence de Paul Lacombe serait un gros coup dur pour Monaco. Il compile en moyenne 15,4 points, 4,4 rebonds et 2,4 passes décisives pour une évaluation de 16,8 depuis le début des playoffs.\\n\\n\\n\\n\\n📢💬L’énorme coup de gueule de @PaulPopox (12 points, 1 rebond, 1 assist) : «Ce soir, on n’a pas perdu contre le @limogescsp mais contre les arbitres !» 😲⚡#PlayoffsJeepELITE @LNBofficiel @ASMonaco_Basket pic.twitter.com/S9EuORxLLe\\n\\n\\n— SFR Sport (@SFR_Sport) 6 juin 2018\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Olivier Bourgain (Directeur Sportif Limoges CSP) : «Aujourd’hui, les supporters sont persuadés qu’on va aller en finale»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Voici la deuxième partie de l’interview du directeur sportif de Limoges, Olivier Bourgain. Il nous fait voyager au cœur du CSP, évoquant le cas du pivot Samardo Samuels, l’envie du club d’embaucher des jeunes talents français, la disparition de son ami Frédéric Forte, le staff technique et médical, la préférence de jouer l’Eurocup plutôt que la Champions League, et bien sûr la demi-finale de playoffs qui commence ce soir à Monaco.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nPour recruter Samado Samuels dont on savait que c’était un fort joueur mais qui avait aussi des casseroles, vous avez recoupé les sources ?\\n\\nPour Samardo Samuels, je n’ai pas regardé tant d’images que ça parce que son problème n’est pas le sportif. Est-ce que Samardo Samuels est un grand joueur de basket ? Même ses plus grands détracteurs vont dire « oui ». Sauf que le problème, c’est faut-il lui faire confiance après deux années de pagaille dans sa vie ? Personne dans mon entourage, mon réseau, m’a dit « prends le ! » C’est la première fois de ma vie que ça m’arrive et c’est ce que je lui ai dit quand je l’ai eu au téléphone : « Sam, tu me poses un vrai problème ». En général pour un recrutement, on passe beaucoup de temps au téléphone, on essaie de regrouper les infos, on appelle les anciens coachs, les anciens coéquipiers, toutes les personnes qui ont pu graviter autour du joueur. Donc parfois il y a forcément du 50/50 ou 60/40. Là, ça a été 100/0. « Ne prend pas Samardo Samuels. » Je l’ai appelé pendant quinze jours. Le coach l’a appelé. Et je n’ai pas trouvé un tueur en série en face de moi. J’ai trouvé un mec à l’écoute qui m’a dit dix fois « j’ai besoin d’une main tendue. » Après, il faut être courageux pour la tendre.\\n\\nEt visiblement ça se passe très bien ?\\n\\nC’est nickel. Parce qu’ici, il trouve un groupe, un club qui ne le jugent pas. C’est comme une personne qui vient avec un casier judiciaire assez lourd et du jour au lendemain, il devient vierge. Il n’a pas un traitement particulier. On a mis ça en place, il sait très bien qu’il est cadré mais pas plus que Dru Joyce. Il n’a pas de bracelet électronique ici ! C’est une personne comme les autres et c’est une personne charmante avec un cœur extraordinaire. Mais dans la vie, il a eu des problèmes mais qui n’en a pas eu, qui n’a jamais fait des conneries ? Qu’on me le montre, je n’en connais pas autour de moi. Je l’ai appelé tous les jours pendant quinze jours, je le faisais chier et il a jamais pété les plombs. J’ai eu pourtant des mots assez durs et il s’est toujours bien comporté. C’est un compétiteur, c’est un champion. Tu ne passes pas un an à Barcelone, deux ans à Milan, trois ans à Cleveland si tu en n’es pas un. C’est un joueur qui a gagné des millions de dollars. Aujourd’hui, il vient pour le SMIC, pour redorer son blason. C’est un mec qui est content d’être là, il est tranquille, souriant, il est dans son monde. Il m’a demandé quelle voiture il allait avoir. Ça ne lui allait pas, alors il m’a dit qu’il allait prendre sa voiture. Il est arrivé en Porsche. Ça ne pose pas de problème. Il faut juste dire aux joueurs que ce n’est pas le club qui paye (rires). J’aime ce mec, vraiment.\\n\\n« On a investi dans des bains froids dans le TNG qui est un appareil de kiné qui vaut 30 000 euros. Notre kiné, Xavier Dumélié, a une vision qui est avant-gardiste par rapport à son métier »\\n\\nVous avez préféré prendre des jeunes talents français, comme William Howard, Axel Bouteille ou même Mam Jaiteh, plutôt que des joueurs confirmés, ou c’est juste le marché qui a décidé ?\\n\\nC’est un choix et ça va continuer comme ça. Je l’ai dit quand je suis arrivé : « je veux faire de Limoges le plus beau terrain de jeu pour les meilleurs JFL de la Jeep Elite. » Quand je dis « les meilleurs » je m’entends, ce sont « les jeunes joueurs ». Et je considère que Mam Jaiteh c’est un très jeune joueur. William Howard, Axel Bouteille, ce sont de jeunes joueurs et l’année prochaine, il y aura encore de jeunes joueurs. Je veux des JFL forts. C’est une priorité. J’ai un coach, Kyle Milling, qui a une grande qualité, il est de culture franco-américaine. C’est un véritable plus, et en plus il adore la formation, les jeunes joueurs. Evidemment je voulais ce type de qualité dans l’entraîneur que j’allais choisir. Je n’allais pas imposer à un coach une méthodologie qui ne lui correspondait pas. Derrière, on a rajouté Franck Kuhn qui est le préparateur de l’équipe de France. François Perronet, qui a été head coach en Euroleague (NDLR : à Orléans). C’est un personnage sévère mais l’amalgame des trois est magique. Et l’année prochaine on va avoir Yacine (Aouadi) qui est un développeur individuel, sa spécialité c’est le travail individuel et il s’est déjà occupé de Jean-Baptiste Maille. Je prétends que l’on est en avance de cinq ans sur la plupart des équipes.\\n\\nC’est ce que vous avez mis en évidence pour séduire la perle Sekou Doumbouya ?\\n\\nOn n’a pas triché avec Sekou. On lui a montré nos vision du basket. Il y a un an, on ne parlait pas de Sekou Doumbouya à Limoges. Limoges n’a jamais été un club qui faisait de la formation. Ce n’était pas une priorité parce que Limoges avait les moyens d’acheter les meilleurs joueurs français. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Déjà à Boulogne, je faisais un terrain de jeu pour les jeunes joueurs français et on est monté, on a réussi comme ça. Au bout de dix ans, j’ai dit à Fred que j’étais d’accord pour venir mais avec ma méthodologie. Il m’a dit, « tu es directeur sportif, ta politique sportive est propre à toi. Tu fais ce que tu veux. » Et moi, je lui ai dit, « ce sont les jeunes joueurs, les JFL c’est important. »\\n\\nLimoges avait été en effet précurseur pour les centres de formation, au milieu des années 80, mais effectivement ensuite le club n’a fait qu’acheter des joueurs. Frédéric Forte voulait que vous ayez un centre de formation développé, vous deviez acheter un immeuble. Où ça en est ?\\n\\nOn veut avoir un terrain pour y construire un immeuble pour y mettre le centre de formation mais c’est quelque chose que je ne contrôle pas. C’est Youri Verieras (NDLR : le président du Directoire) avec Jean-Léonard Picot (NDLR : le président du Conseil de Surveillance), qui s’en occupent avec la mairie. Mais par contre la politique est déjà en place. L’année prochaine, c’est Franck Kuhn qui va reprendre l’équipe espoir. Il aura donc une double casquette avec celle de préparateur physique de l’équipe A. On a déjà récupéré l’été dernier Timothée Bazile et cette année, on va encore recruter deux ou trois jeunes de très bonne qualité. Ce ne sont pas des promesses de campagne, on est parti dans la formation à Limoges. On va structurer le club dès cet été pour accélérer le processus. Je voudrais dire aussi que l’on ne peut pas avoir autant de bons joueurs sans un staff médical archi compétent. On a un ostéo, trois kinés, un médecin du sport. On a investi dans des bains froids dans le TNG qui est un appareil de kiné qui vaut 30 000 euros. Notre kiné, Xavier Dumélié, a une vision qui est avant-gardiste par rapport à son métier. Il est plus dans la prévention que dans l’action. A chaque arrivée le joueur passe devant ses ordinateurs, fait ses tests médicaux très poussés. Le TMG, c’est un appareil de kiné, il y en a deux en France, un au Paris Saint-Germain et un à Limoges. Un exemple : au premier entraînement, JB Maille s’est fait les croisés. Sept mois après il était sur le terrain. Ça c’est un fait marquant. Qui a aujourd’hui en France, un kiné principal qui est salarié, deux kinés qui travaillent avec lui au quotidien ? Le jour des matchs à domicile, il y a trois kinés dans le vestiaire plus un ostéo pour tout ce qui est manipulation, récupération, prévention. Comment peut-on demander à un agent de récupérer des pépites françaises et ne pas lui donner le meilleur sur le plan médical ? C’est comme de conduire une Formule 1 et quand tu rentres au stand, la voiture n’est pas réparée. Ça sert à quoi ? En France, on met quasiment tout sur le sportif, sur les joueurs.\\n\\nDans la série, « le poids du passé à Limoges », vous n’avez pas apprécié les commentaires de Bozidar Maljkovic qui dans L’Equipe a jugé votre recrutement des étrangers calamiteux ?\\n\\nDéjà, il parlait de la saison précédente puisqu’il dit avoir parlé avec Fred (Forte) et pour parler avec Fred aujourd’hui, on sait où il faut être. Personnellement, je trouve ça tellement petit par rapport à ce grand personnage. C’est une personne qui a marqué l’histoire du club et je respecterai toujours ça. Mais quand Fred l’a appelé pour l’aider à construire l’équipe, je connais sa réponse puisque Fred m’en avait parlé. Dire ça aujourd’hui, je trouve ça gratuit et offensant pour les supporters, les joueurs et le nouveau staff. Ce sont des paroles graves, qui font de la peine aux gens en place aujourd’hui, aux passionnés. Je trouve que c’était maladroit.\\n\\nhttps://www.facebook.com/brutsportfr/videos/531679150549414/\\n\\n« Même des gens qui lui crachaient à la tronche sont venus pleurer sur son cercueil. Alors imaginez les gens qui l’aiment profondément. Pendant trois mois, j’étais incapable de travailler »\\n\\nC’est le décès de Frédéric Forte qui a affecté l’équipe au point de lui faire rater le début de l’année 2018 et qui explique cette incapacité de gagner à l’extérieur pendant très longtemps ?\\n\\nOn avait commencé l’année de manière très forte et on avait déjà un contre coup, on était moins bien. Et puis sa disparition a secoué le basket français. Alors quand vous êtes secoué à 800km, imaginez ce que ça a fait à Limoges. Après, c’est du cas par cas mais évidemment qu’il y a eu une incidence vis-à-vis de nos mauvais résultats. Comment ne pas être affecté ? Même des gens qui lui crachaient à la tronche sont venus pleurer sur son cercueil. Alors imaginez les gens qui l’aiment profondément. Pendant trois mois, j’étais incapable de travailler. J’étais là physiquement mais intellectuellement... (Il hésite) J’y suis encore. Aujourd’hui, on essaye de vivre normalement mais quand on perd son meilleur ami, son organe vital, c’est compliqué de vivre, tout simplement.\\n\\nVous vous êtes retrouvé en première ligne, du fait de vos fonctions mais aussi du fait d’être justement son ami. Ça n’a pas dû être facile à gérer tous les jours, notamment en répondant toujours aux mêmes questions ?\\n\\nJe l’ai fait pendant quinze jours après son décès uniquement parce que j’avais la prétention de croire que j’étais légitime à ça parce que j’étais son meilleur ami et j’étais la personne qui le connaissait le mieux. J’ai tellement vu de conneries dites sur lui que je me suis dit, autant que ce soit moi qui les dise car au moins je suis légitime. Post mortem, les gens adorent tout le monde mais il faut savoir que de son vivant, ici, il était attaqué de partout. J’ai ouvert ma gueule pour dire « stop ! Arrêtez de parler d’une personne que vous ne connaissez pas ». Et pour revenir à la question, oui, on a été ébranlé. Moi évidemment mais pas que. L’équipe a été ébranlée, les coachs ont été ébranlées, l’ensemble du Limoges CSP a été ébranlé. Et je peux dire qu’ aujourd’hui encore c’est une épreuve de pouvoir continuer et à performer. Je pense que la saison est inespérée. Notre objectif était uniquement de faire les playoffs la première année après deux ans de non-playoffs. On fait le top 16 de l’Eurocup, on finit quatrième et on est en demi-finale. Les objectifs sont véritablement réussis et plus que ça. Et la saison n’est pas finie !\\n\\n« Et si tout se passe bien peut-être qu’un jour on aura une équipe pour gagner l’Eurocup, mais aujourd’hui ce n’est pas le cas. On est en reconstruction »\\n\\nJusqu’au match à Dijon, l’équipe avait une vraie défaillance à l’extérieur. Par manque de caractère ? Ou à l’inverse l’équipe est sublimée à Beaublanc, ce qui explique qu’elle est devenue quasi-invincible ?\\n\\nEn un, il y a le niveau général de la Jeep Elite. A deux ou trois journées de la fin, il y avait encore beaucoup de prétendants pour les playoffs. Gagner à l’extérieur, c’est compliqué. Donc le niveau de forme de l’équipe a été un moment « down » par rapport à son début de saison. Et évidemment il y a l’apport de Beaublanc. C’est quinze points d’avance. Cette année, on n’a que deux défaites en Jeep Elite. C’est donc une saison à domicile qui est réussie. C’est vrai que les supporters notamment les Ultras Green mettent une pression pour tout le monde qu’évidemment c’est un avantage.\\n\\nJustement, comme on parle de supporters, vous savez comme moi qu’à Limoges, on ne va pas se contenter d’une demi-finale ?\\n\\nQuand vous parliez des traits marqués de Kyle Milling, c’est pour tous. Aujourd’hui, les supporters sont persuadés qu’on va aller en finale parce que c’est le club le plus titré de France. Ils parlent de 2018 mais aussi des années 90, de 1993. A jamais les premiers. Ils n’ont pas en tête la différence entre 1993 et 2018 à propos des moyens financiers des clubs européens par rapport à Limoges. Même si à l’époque Limoges était le petit poucet du Final Four, il n’y avait pas un tel écart. Entre Limoges qui a 6M€ de budget et le Barça, le Real ou Moscou, c’est multiplié par dix ! Ils ont 40-50M€ et on ne sait pas tout. On a joué Krashnodar en Eurocup, c’est entre 30 et 40M€. Ce sont des joueurs à un million de dollars alors qu’en France, il n’y a pas un joueur qui fait 400 000€. De ça, ils s’en fichent.\\n\\nEst-ce possible de leur faire comprendre que pour Limoges c’est aujourd’hui quasi impossible d’aller en Euroleague ?\\n\\nLimoges est allé il n’y a pas longtemps en Euroleague...\\n\\nEn 2018, c’est devenu quasi fermé...\\n\\nPeux-tu jouer en Euroleague aujourd’hui et y performer avec 8M€ ? la réponse est non. Et même avec 10, c’est compliqué. Et 10, c’est ce que l’ASVEL, Strasbourg et Monaco ont. Ces équipes-là peuvent-elles jouer en Euroleague ? Je ne pense pas. A moins de 20M€, tu restes chez toi.\\n\\nMaintenant que vous êtes qualifié pour une Coupe d’Europe, vous préférez l’Eurocup comme la saison dernière où vous avez eu une invitation ou la Champions League ? Avez-vous malgré tout l’espoir de faire un jour l’Euroleague ou non ? Est-ce possible d’en rêver encore quand on est un club français comme Limoges ?\\n\\nEst-ce que déjà un club français peut gagner l’Eurocup ?\\n\\nStrasbourg a été en finale en 2016, donc c’est possible.\\n\\nCette année, le vainqueur c’est Darussafaka. Vous voulez que l’on fasse l’effectif de Darussafaka ? En saison régulière, on peut battre Darussafaka mais c’est compliqué. Pour répondre à la question, on privilégiera l’Eurocup à la BCL. Youri Verieras et Manuel Diaz (NDLR : le président et un des trois membres du Directoire avec Stéphane Ostrowski) ont été reçus à Barcelone par l’Euroleague pour faire une réunion de travail et on leur a dit qu’on voulait clairement refaire l’Eurocup. Mais notre challenge avec Kyle (Milling) était de qualifier le CSP sportivement alors que l’année dernière, on était invité. En étant quatrième de la saison régulière et demi-finaliste des playoffs, on est légitime pour l’Eurocup et on irait leur dire non ?\\n\\nQu’est-ce qui vous plait en Eurocup vis-à-vis de la BCL ?\\n\\nL’organisation, le niveau de l’arbitrage sont parfaits et le niveau sportif est de très haut niveau. Ce n’est pas faire injure à la BCL que de dire que c’est supérieur.\\n\\nEt la possibilité de permettre à son vainqueur de rejoindre l’Euroleague la saison suivante, ça fait partie malgré tout de ses intérêts ?\\n\\nNon. Je ne dis pas que c’est impossible parce qu’il y a rien d’impossible dans le sport mais il faudra quelques années de travail, de structuration, pour étoffer un budget, essayer d’avoir des jeunes joueurs que tu vas former avant qu’ils partent en Euroleague et que tu peux utiliser à moindre coup pendant un an ou deux. Et si tout se passe bien peut-être qu’un jour on aura une équipe pour gagner l’Eurocup, mais aujourd’hui ce n’est pas le cas. On est en reconstruction.\\n\\nFin mars, vous avez battu Monaco, 82-74. On peut prendre cette victoire comme référence ?\\n\\nOn est convaincu d’avoir une équipe pour gagner des matchs contre Monaco ou Strasbourg. On l’a fait. Les playoffs et le championnat, ce sont deux compétitions complètement différentes. On voit que les quatre premiers de la Jeep Elite sont en demi-finales des playoffs et c’est la première fois depuis huit ans, mais il y aura encore des surprises. Evidemment que l’on respecte Monaco et sur le papier, ils sont largement favoris, mais en playoffs tout est possible. Je ne dis pas que notre saison est quasiment faite car on est des compétiteurs, des assoiffés de sang, mais on va aller tranquille à Monaco en espérant en gagner un sur deux. Et après il faudra jouer deux fois à Beaublanc. Mais le fait d’avoir battu Monaco à domicile ne donne en rien un excès de zèle ou de confiance car on sait que Monaco est une équipe très forte et chez elle, elle sera quasiment injouable mais on va jouer crânement notre chance.\\n\\n[armelse]\\n\\nPour recruter Samado Samuels dont on savait que c’était un fort joueur mais qui avait aussi des casseroles, vous avez recoupé les sources ?\\n\\nPour Samardo Samuels, je n’ai pas regardé tant d’images que ça parce que son problème n’est pas le sportif. Est-ce que Samardo Samuels est un grand joueur de basket ? Même ses plus grands détracteurs vont dire « oui ». Sauf que le problème, c’est faut-il lui faire confiance après deux années de pagaille dans sa vie ? Personne dans mon entourage, mon réseau m’a dit « prends le ! » C’est la première fois de ma vie que ça m’arrive et c’est ce que je lui ai dit quand je l’ai eu au téléphone : « Sam, tu me poses un vrai problème ». En général pour un recrutement, on passe beaucoup de temps au téléphone, on essaie de regrouper les infos, on appelle les anciens coachs, les anciens coéquipiers, toutes les personnes qui ont pu graviter autour du joueur. Donc parfois il y a forcément du 50/50 ou 60/40. Là, ça a été 100/0. « Ne prend pas Samardo Samuel. » Je l’ai appelé pendant quinze jours. Le coach l’a appelé. Et je n’ai pas trouvé un tueur en série en face de moi. J’ai trouvé un mec à l’écoute qui m’a dit dix fois « j’ai besoin d’une main tendue. » Après, il faut être courageux pour la tendre.\\n\\nEt visiblement ça se passe très bien ?\\n\\nC’est nickel. Parce qu’ici, il trouve un groupe, un club qui ne le jugent pas. C’est comme une personne qui vient avec un casier judiciaire assez lourd et du jour au lendemain, il devient vierge. Il n’a pas un traitement particulier. On a mis ça en place, il sait très bien qu’il est cadré mais pas plus que Dru Joyce. Il n’a pas de bracelet électronique ici ! C’est une personne comme les autres et c’est une personne charmante avec un cœur extraordinaire. Mais dans la vie il a eu des problèmes mais qui n’en a pas eu, qui n’a jamais fait des conneries ? Qu’on me le montre, je n’en connais pas autour de moi. Je l’ai appelé tous les jours pendant quinze jours, je le faisais chier et il a jamais pété les plombs. J’ai eu pourtant des mots assez durs et il s’est toujours bien comporté. C’est un compétiteur, c’est un champion. Tu ne passes pas un an à Barcelone, deux ans à Milan, trois ans à Cleveland si tu en n’es pas un. C’est un joueur qui a gagné des millions de dollars. Aujourd’hui, il vient pour le SMIC, pour redorer son blason. C’est un mec qui est content d’être là, il est tranquille, souriant, il est dans son monde. Il m’a demandé quelle voiture il allait avoir. Ça ne lui allait pas, alors il m’a dit qu’il allait prendre sa voiture. Il est arrivé en Porsche. Ça ne pose pas de problème. Il faut juste dire aux joueurs que ce n’est pas le club qui paye (rires). J’aime ce mec, vraiment.\\n\\n« On a investi dans des bains froids dans le TNG qui est un appareil de kiné qui vaut 30 000 euros. Notre kiné, Xavier Dumélié, a une vision qui est avant-gardiste par rapport à son métier »\\n\\nVous avez préféré prendre des jeunes talents français, comme William Howard, Axel Bouteille ou même Mam Jaiteh, plutôt que des joueurs confirmés, ou c’est juste le marché qui a décidé ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Kenny Hayes (Eurocup), William Howard (Sébastien Grasset) et Jean-Frédéric Morency (Eurocup)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Antwan Scott s’engage avec Evreux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la prolongation de Steeve Ho You Fat pour la saison prochaine, l’ALM Evreux vient d’annoncer l’arrivée d’Antwan Scott (1,85m, 26 ans).\\n\\nCe meneur/arrière américain a lancé sa carrière en 2016/17. Lors de sa saison rookie, il a connu pas moins de trois clubs. Il a d’abord commencé en Finlande avant de rejoindre les Pays-Bas et enfin terminer l’exercice en Grèce, à l’iris Salonique. Cette saison, le Texan a d’abord rejoint Riga, en Lituanie, le temps de six rencontres. Il s’est ensuite envolé pour Chypre où il a signé en faveur de Keravnos.\\n\\nCette saison, Antwan Scott compilait en moyenne 8,8 points, 2,7 rebonds et 3 passes décisives.\\n\\nFabrice Lefrançois, l’entraîneur ébroïcien a donné son avis sur sa nouvelle recrue.\\n\\n« Scott est un poste 1 capable d’évoluer également sur le poste 2. C’est un scoreur avec une bonne adresse à trois points. Il dispose de deux saisons d’expérience en Europe où il a dominé en Hollande et en Finlande lors de son année Rookie. Antwan est très actif sur le terrain et joue avec beaucoup d’énergie ».\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie : Fenerbahce s’apprête à proposer une prolongation à Zeljko Obradovic"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En place depuis 2013, Zeljko Obradovic (58 ans) ne semble pas prêt de quitter le Fenerbahce. Les dirigeants seraient sur le point de lui proposer une prolongation de contrat.\\n\\nDéjà sous contrat jusqu’en 2020, l’ancien entraîneur du Panathinaïkos devrait bientôt recevoir une proposition pour prolonger son contrat de deux ans supplémentaires, annonce Sportando. Zeljko Obradovic fait partie des légendes du basket européen et il est toujours le coach le plus titré en Euroleague avec neuf sacres avec quatre équipes différentes.\\n\\nChampion d’Euroleague avec le Fenerbahce en 2017, l’ancien sélectionneur de la Yougoslavie s’est incliné face au Real Madrid cette saison."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Steeve Ho You Fat prolonge à Evreux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"De retour à Evreux lors de la dernière intersaison, Steeve Ho You Fat (2,03m, 29 ans) vient de prolonger son contrat d’une année, annonce le club.\\n\\nPassé par l’ALM entre 2011 et 2013, le Guyanais a fait un détour Roanne, Orchies et Rouen avant de faire son retour dans l’Eure, là où il a réalisé sa meilleure saison en carrière (14 points, 6,6 rebonds, 16,3 d’évaluation en 2012/13). Il vivra donc sa quatrième saison à Evreux.\\n\\nCette saison en Pro B, Steeve Ho You Fat occupait la place de poste 4 titulaire de la formation coachée par Fabrice Lefrançois. Il compilait en moyenne 13,7 points, 5,3 rebonds et 1,3 passe décisive pour une évaluation de 13,4.\\n\\nPhoto : Sabine De Leest/ALM Evreux"
}, 
{"role": "user",     "content":"Eliminatoires Coupe du Monde: L’Italie avec Jeff Brooks et Niccolò Mannion"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’entraîneur italien Romeo Sacchetti a livré le nom des 24 joueurs qui font partie de la sélection italienne appelée à jouer deux matches de qualification pour la Coupe du Monde 2019 contre la Croatie et les Pays-Bas.\\n\\nOn y note l’absence des NBAers mais en revanche on trouve dans la liste Jeff Brooks, un Américain naturalisé de 2,03m et 29 ans qui porte actuellement le maillot de Malaga après avoir effectué une partie de sa carrière européenne en Italie.\\n\\nLe plus jeune du lot est Niccolò Mannion, 17 ans, fils de Pace Mannion, ancien joueur NBA et qui a longtemps fréquenté le championnat italien et d’une mère italienne. Nic Mannion possède les deux passeports et s’il poursuit actuellement son cursus aux Etats-Unis dans un lycée de Phoenix, il semble donc avoir choisi le côté italien pour l’équipe nationale. Considéré comme un prospect de très haut niveau, il avait tourné à l’Euro U16 de 2017 à 19,9 points et 5,7 rebonds de moyenne passant 42 points à la Russie.\\n\\nAwudu Abass (1993, 200, A, EA7 Emporio Armani Milano\\nPietro Aradori (1988, 196, A, Segafredo Virtus Bologna\\nPaul Biligha (1990, 200, C, Umana Reyer Venezia\\nJeffrey Brooks (1989, 203, A, Unicaja Malaga – Espagne\\nChristian Burns (1985, 203, A/C, Red October Cantù\\nFrancesco Candussi (1994, 211, C, Dinamica Generale Mantova\\nAmedeo Della Valle (1993, 194, G, Grissin Bon Reggio Emilia\\nAriel Filloy (1987, 190, P, Sidigas Avellino\\nDiego Flaccadori (1996, 193, G, Dolomiti Energia Trentino\\nSimone Fontecchio (1995, 203, A, Vanoli Cremona\\nRaphael Gaspardo (1993, 207, A, The Flexx Pistoia\\nDaniel Hackett (1987, 199, G, Brose Bamberg – Allemagne\\nNiccolò Mannion (2001, 188, G, Pinnacle High School – USA\\nAndrea Mezzanotte (1998, 207, C, Remer Treviglio\\nDavide Moretti (1998, 188, P/G, Texas Tech University – USA\\nMattia Palumbo (2000, 198, P/G, Remer Treviglio\\nDavide Pascolo (1990, 203, A, EA7 Emporio Armani Milano\\nAchille Polonara (1991, 205, A, Banco di Sardegna Sassari\\nGiampaolo Ricci (1991, 201, A, Vanoli Cremona\\nBrian Sacchetti (1986, 200, A, Germani Basket Brescia\\nAmedeo Tessitori (1994, 208, C, Eurotrend Biella\\nStefano Tonut (1993, 194, G, Umana Reyer Venezia\\nLuca Vitali (1986, 201, P, Germani Basket Brescia\\nMichele Vitali (1991, 196, G, Germani Basket Brescia\\n\\nPhoto: Niccolò Mannion (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Croatie: Jure Zdovc n’est plus l’entraîneur du Cedevita Zagreb"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le CK Cedevita Zagreb a annoncé que le contrat de l’entraîneur slovène Jure Zdovc est arrivé à échéance. Celui-ci aurait été automatiquement prolongé si l’équipe avait remporté la Ligue Adriatique ou l’EuroCup. Dans ces deux cas, Cedevita aurait également eu le droit de jouer en EuroLeague pour la saison à venir.\\n\\nL’objectif principal du club n’étant pas atteint, Cedevita aura un nouvel entraîneur la saison prochaine.\\n\\n« Jure Zdovc est un grand homme et un entraîneur qui se souviendra du CK Cedevita comme vainqueur du championnat croate, de la Kresimir Ćosić Cup et de l’ABA Superkupa, et nous le félicitons pour ses succès », a déclaré le directeur du club Davor Užbinec qui a également précisé qu’un nouvel entraîneur aura pour tâche d’emmener Cedevita en EuroLeague.\\n\\nJure Zdovc, 51 ans, a été champion d’Europe comme joueur en 1993 avec le Limoges CSP.\\n\\nPhoto: Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le meneur dominicain Edgar Sosa serait le nouveau meneur de Gravelines"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Voix du Nord croit savoir que le Dominicain Edgar Sosa (1,90m, 31 ans) sera le nouveau meneur du BCM Gravelines-Dunkerque.\\n\\nNé à New-York, Edgar Sosa possède évidemment également le passeport américain. Il a fréquenté la prestigieuse université de Louisville avant de faire carrière essentiellement à l’étranger effectuant un véritable tour du monde: Italie, Porto Rico, Allemagne, Iran, Israël, Liban et Nouvelle-Zélande.\\n\\nIl a été champion du Liban, d’Iran et surtout d’Italie en 2015 avec Sassari. Cette saison, il a été pour 16 matches le meneur de Umana Venise totalisant 5,1 points avec un pauvre 14/41 aux tirs, 1,8 passe en 14 minutes/moyenne. Une équipe qui a terminé première de la saison régulière et remporté sans lui la FIBA Europe Cup.\\n\\nPhoto: Euroleague\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=7tFzhYNBnco"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Gabriel Deck, un top-scoreur argentin au Real Madrid"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Argentine est un pourvoyeur privilégié en joueurs de talents pour les clubs espagnols. Le Real Madrid vient d’enrôler l’ailier international Gabriel Deck (1,99m, 23 ans) qui portait jusqu’ici le maillot de San Lorenzo de Almagra.\\n\\nCelui-ci était le deuxième scoreur du championnat argentin avec 20,0 points en moyenne plus 5,9 rebonds, 2,5 passe et 1,0 interception. Il a largement contribué à la victoire de son équipe dans la Supercup. Deck avait porté le maillot national aux JO de Rio avec un impact réduit (4 matches, 1,5 point et 1,1 rebond). Auparavant, Gabriel Deck avait été le meilleur marqueur du championnat du monde des moins de 17 ans en 2012."
}, 
{"role": "user",     "content":"Barcelone ferait le forcing pour recruter Sarunas Jasikevicius"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le championnat n’est pas encore terminé que Sarunas Jasikevicius fait déjà l’objet de beaucoup de convoitises.\\n\\nAuteur d’une saison extraordinaire avec le Zalgiris Kaunas, l’ancien international lituanien est passé coach en 2014. D’abord en tant qu’assistant puis en tant qu’entraîneur principal en 2016. Fin avril, il est allé chercher une inespérée médaille de bronze au Final Four d’Euroleague en surpassant le grand CSKA Moscou et après avoir éliminé l’Olympiakos en quart de finale.\\n\\nSelon Mundo Deportivo, l’ancien joueur du Panathinaïkos serait la cible numéro un du FC Barcelone pour le poste de coach la saison prochaine. Le quotidien espagnol indique que l’accord de principe trouvé entre Kevin Pangos et le club catalan pourrait se révéler être un détail important. Le meneur de jeu américain est cette saison à Kaunas, sous les ordres de Sarunas Jasikevicius. Cela permettrait à l’entraîneur d’arriver en Espagne en sachant déjà sur qui se reposera le jeu de son équipe.\\n\\nSeulement, le journal espagnol rapporte également que si le FC Barcelone est insistant, ce n’est pas la seule équipe intéressée. Le CSKA Moscou songerait également à enrôler « Saras » la saison prochaine. Suite à l’échec du CSKA Moscou au Final Four d’Euroleague, Dimitris Itoudis ne ferait plus l’unanimité du côté de la capitale russe et aurait tout intérêt à remporter le Final Four de VTB League pour espérer garder son poste.\\n\\nEnfin, ESPN déclarait aujourd’hui que Masai Ujiri, le Manager General des Toronto Raptors, aurait fait le déplacement jusqu’en Lituanie pour s’entretenir avec Sarunas Jasikevicius en vue de lui offrir le poste de head coach de la franchise canadienne.\\n\\nSi une décision n’est pas prise rapidement par l’entraîneur lituanien et son entourage, cette histoire pourrait rapidement devenir le feuilleton de l’été en Europe...\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Croatie : Sito Alonso vers Zagreb"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Remercié par le FC Barcelone début février, Sito Alonso était depuis sans club. Aujourd’hui il serait en partance pour la Croatie.\\n\\nSelon Sportando, l’ancien entraîneur de Vitoria aurait trouvé un accord avec le Cedevita Zagreb. D’après le site italien, un accord de principe aurait été passé mais le contrat n’aurait pas encore été signé. Il vivrait ainsi sa première expérience en dehors de l’Espagne.\\n\\nCette saison, le Cedevita a remporté le championnat pour la cinquième année consécutive.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Elite: Kevin Jones (Nanterre) élu Joueur du Mois de Mai"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que nous sommes en plein coeur des demi-finales des playoffs, l’élection du Joueur du Mois de mai de la Jeep Elite parait un peu décalé. C’est l’intérieur de Nanterre 92 Kevin Jones qui remporte le trophée.\\n\\nL’Américain (46% des voix), a été préféré au Palois Elie Okobo (34%) et au Choletais Jonathan Rousselle (20%).\\n\\nEn 14 matchs, Kevin Jones a tourné à 13,7 points (53,4% de réussite aux tirs) et 6,0 rebonds pour 14,9 d’évaluation en 27 minutes."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Maxime Roos prolonge à Levallois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après l’annonce de l’arrivée dans le directoire d’Alain Weisz et du recrutement de Mouphtaou Yarou, les Levallois Metropolitans viennent d’officialiser la prolongation de Maxime Roos (2,02m, 23 ans).\\n\\nLa saison dernière à Blois, en Pro B, le natif de Clamart est revenu dans les Hauts-de-Seine à l’intersaison pour y signer son premier contrat en Pro A. Après une première saison dans l’élite française encourageante, l’ailier fait partie des jeunes espoirs du basket hexagonal.\\n\\nCette saison en Jeep Elite, il compilait en moyenne 3,2 points et 1,6 rebond pour une évaluation de 3,9 en 12 minutes de jeu.\\n\\nPhoto : Karen Mandau"
}, 
{"role": "user",     "content":"Youssoupha Fall (Le Mans): «Je ne veux pas aller en NBA pour rester sur le banc»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après trois derniers matches de playoffs dans la plus totale discrétion, Youssoupha Fall, le supergéant du Mans (2,21m) a repris du poil de la bête lors du Match 3 de la demi-finale face à Strasbourg: 7 points, 5 rebonds, 3 contres et une présence dans la raquette qui a servi d’épouvantails à Alsaciens.\\n\\nPour Le Maine Libre, il revient sur son parcours et notamment son prêt la saison dernière à Poitiers, en Pro B:\\n\\n« Au début, sincèrement, je me suis dit, je peux jouer en Pro A, explique-t-il. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi je devais aller là-bas alors que je dominais en Espoirs. Mon agent m’a dit que Poitiers ça serait une bonne chose mais que je devais décider moi- même. Je pouvais rester au Mans mais c’était un peu fermé avec Erman Kunter. Finalement, j’ai suivi le conseil et je ne l’ai pas regretté. J’ai eu du temps de jeu, le coach m’a fait confiance, j’ai démarré tous les matches. C’était très bénéfique à l’arrivée J’ai compris que parfois, il faut reculer pour mieux sauter. Beaucoup de jeunes ne le comprennent pas. On veut tout, tout de suite, mais ça ne marche pas comme ça »\\n\\nMême si la NBA est devenue peu gourmande de pivots sur dimensionnés, le Franco-Sénégalais l’a toujours en tête :\\n\\n« Ça reste un objectif, évidemment. Il ne faut pas brûler les étapes car je ne veux pas aller là-bas pour rester sur le banc, ça ne servirait à rien. Il faut le bon timing, le bon spot. Le plus tôt sera le mieux quand même (rires) »\\n\\nPhoto: MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet (Strasbourg): «On a la corde au cou»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Aux journalistes qui lui faisaient remarquer que son équipe s’est déjà retrouvée en mauvaise posture en playoffs, tout comme cette fois (Strasbourg est mené 2-1 par Le Mans et le quatrième match est programmé ce soir à Antarès), avant de renverser la vapeur, Vincent Collet répond:\\n\\n« L’an dernier, on était mené 2-0 par Villeurbanne mais en perdant de quelques points seulement, » rapporte Ouest France. « On n’avait jamais montré de telles failles. À mes yeux, cette série ressemble beaucoup plus à notre série face à Nancy il y a quatre ans. On était menés 2-1 déjà avant de se qualifier. On a la corde au cou. Va-t-on faire en sorte que Le Mans ne puisse pas la serrer ? Ou, au contraire, tout de suite leur permettre de nous étrangler ? On s’attend au minimum à la même chose de la part du Mans. Pour avoir une chance, il faut qu’on change radicalement. »\\n\\nMardi, c’est une véritable démonstration collective que le MSB a réussit face à une SIG apathique. Pour le coach alsacien, le niveau des Manceaux dans cette demi-finale n’est pas une surprise:\\n\\n« Même si Le Mans a eu des trous dans l’année, ils ont toujours été sur le devant de la scène. Ils se sont un peu étiolés en fin de saison mais en février, ils étaient encore premiers. Le Mans fait partie des trois équipes un petit cran au-dessus (avec Monaco et Strasbourg). Ils ont battu Monaco deux fois, nous au match aller... Au classement des trois gros, Le Mans était premier. Ils ont bien intégré Yannis Morin, un vrai plus. Je le trouve vraiment intéressant avec de l’activité. Un soldat. On voit qu’ils ont plus de profondeur à l’intérieur. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Amara Sy (Monaco): «Je ne suis pas prétentieux mais on est largement meilleur qu’eux. Mais s’ils appellent des renforts...»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le match Limoges-Monaco a été électrique. A cause de l’enjeu, de l’ambiance, de la nervosité des acteurs et de l’arbitrage qui a fortement déplu aux Monégasques. Après le coup de gueule de Paul Lacombe en direct sur SFR Sport 2, les journalistes du Populaire ont recueilli les réactions des joueurs et des coaches en conférence de presse. Voici le best of de Matthieu Marot et Kevin Cao:\\n\\n\\n\\n\\nKyle Milling : “ça fait trois matches que Monaco se plaint de l’arbitrage... À mon avis, c’est pas les arbitres qui ont décidé du match. Quand on parle des arbitres, il y a des suspensions. On verra si la FFBB réagit vite...” #LivePopu\\n\\n\\n— Matthieu Marot (@MatthieuMarot7) June 6, 2018\\n\\n\\n\\n\\nAmara Sy : “Je ne suis pas prétentieux mais on est largement meilleur qu’eux. Mais s’ils appellent des renforts, ça devient compliqué. On va essayer de passer au-dessus de ça...” #LivePopu\\n\\n\\n— Matthieu Marot (@MatthieuMarot7) June 6, 2018\\n\\n\\n\\n\\nAmara Sy : “Limoges, ils sont plus forts que nous, ils font pas de faute. C’est peut-être la meilleure défense du monde. Nous, on ne sait pas défendre, on fait que des fautes.” #LivePopu\\n\\n\\n— Matthieu Marot (@MatthieuMarot7) June 6, 2018\\n\\n\\n\\n\\nKyle Milling : «En deuxième mi-temps, je n’entendais même pas Francois (Peronnet, coach assistant) me parler. Je pense qu’au prochain match j’aurais besoin de bouchons d’oreille tellement c’est impressionnant».\\n\\n\\n— Kevin Cao (@kevincao87) June 6, 2018\\n\\n\\n\\n\\nSinon, après avoir fait des sous-entendus sur l'arbitrage, Mitrovic a eu un mot pour Beaublanc... : \\C'était une ambiance de rêve. J'adore cette atmosphère\\.\\n\\n\\n— Kevin Cao (@kevincao87) June 6, 2018\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges renverse le Rocher !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ambiance a été au rendez-vous pour le retour des Limougeauds à Beaublanc en demi-finale de ces Playoffs. Mené 2-0 face à Monaco, le CSP a réussi un come-back exceptionnel en revenant d’un écart de 17 points en début de 2e quart-temps (32-49) pour l’emporter 76-71 au terme d’un match d’une extraordinaire intensité.\\n\\nEmmené par le duo Lacombe-Kikanovic, la Roca Team avait pourtant remarquablement débuté ce troisième acte (9-21). Samardo Samuelsà l’intérieur et Kenny Hayes à 3-points devaient s’employer pour contrer la vague rouge et blanche (22-31). Celle-ci a compté jusqu’à 17 points d’avance au moment où Gerald Robinson marquait son retour par un missile derrière l’arc (42-39). Mais là encore, Limoges s’est accroché en fin de période pour continuer à y croire malgré trois lancers manqués en toute fin de 2e quart-temps (39-49).\\n\\nLe shoot à 8 mètres de Gerald Robinson\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/1004444691142709248\\n\\nTendu jusqu’au bout\\n\\nIl fallait un éléctro-choc pour inverser la dynamique du match et c’est en défense que les Limougeauds ont trouvé leur salut. En 5 minutes, les hommes de Kyle Milling ont passé un 13-3 au retour du vestiaire conclu par un 3 points et deux lancers de Brian Conklin pour revenir à égalité (52-52). Monaco a un genou à terre. Et même si Ali Traoré et Amara Sy ont tenté de retarder l’échéance, le momentum avait changé de camp. La défense du CSP a de nouveau fait la différence dans un 4e quart temps. William Howard a fait rugir Beaublanc d’un 3-points en transition pour offrir l’avantage aux siens pour la première fois du match (63-61).\\n\\nLa défense de Samuels sur Craft\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/1004459199584260096\\n\\nDru Joyce, et Axel Bouteille ont cru créer un écart décisif, les Monégasques n’ayant pas réussi à marquer le moindre panier pendant plus de cinq minutes (68-61). Mais il fallu attendre les toutes dernières secondes pour voir Limoges arracher sa première victoire dans cette série. Après le panier d’Aaron Craft pour ramener la Roca Team à 72-71, il a fallu tout le sang froid de William Howard et Axel Bouteille depuis la ligne pour assurer ce précieux succès.\\n\\nLes Limougeauds profiteront encore de cette ambiance unique de Beaublanc pour tenter d’égaliser à 2-2 sur la série ce vendredi soir (20h45).\\n\\nLe coup de gueule de Paul Lacombe\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/1004468880197156866\\n\\nPhoto Sebastien Grasset"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Yann Nouhaud (DG Big Sports) : «Limoges portait notre maillot en Eurocup»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Entre les géants que sont Nike, Adidas ou encore Spalding, Big Sports est la nouvelle marque qui veut réconcilier le basket et le sport français avec un design au gout du jour. Portée par Fred Weis et Yann Nouhaud, cette entreprise s’est faite remarquer cette saison en équipant le Limoges CSP en Eurocup. Entretien avec le Directeur Général.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nL’année dernière vous aviez le Limoges CSP en Eurocup, verra-t-on Big Sports dans d’autres clubs à la rentrée ?\\n\\nNormalement on devrait avoir entre un et trois clubs en Jeep® ÉLITE.\\n\\nQuel est le concept de Big Sports ? Comment marche votre entreprise ?\\n\\nChez Big Sports, je suis associé à Fréderic Weis. On est une équipe de quatre. En plus de nous deux, il y a aussi Pascal Charbonnier qui est responsable des Fan Stores, et Kevin Bolotny qui est notre spécialiste Hand et volley. C’est notre commercial et il est responsable des clubs amateurs. Chez Big Sports, on est dans une démarche où on fournit des tenues pour les matchs mais aussi tout ce qui est autour. Des tenues de sortie, des boutiques de clubs... Jusque-là on était plutôt ouvert au sport amateur et sur un malentendu on a finalement fait le coup avec Limoges en Eurocup. Cela nous a permis de montrer notre sérieux aux autres clubs pros. Du coup, en parallèle des clubs amateurs, on essaye de travailler avec des clubs pros. Dans le basket, mais pas seulement. On est multisports.\\n\\nComment se passe la création des maillots ? Quels sont les délais de production ?\\n\\nTout ce qui est tenue de match, c’est fait en France. On a un partenariat avec Romuald Coustre de « What if ? » qui nous permet d’aller chercher du design un peu plus poussé. Le fait de faire fabriquer les maillots en France nous permet d’être très réactif lors, par exemple, de l’arrivée d’un nouveau joueur. On espère amener au moins un visuel un peu plus à l’ordre du jour en Jeep Elite l’année prochaine.\\n\\nComment s’est passé le rapprochement avec What if ? Quel est le but de cette association ?\\n\\n« What if ? » sort un maillot sur Limoges et il se trouve qu’on est deux à les contacter dans la demi-heure qui suit leur publication du maillot. Il s’agit de Fred Forte, ancien président de Limoges, et nous. Et pour la petite histoire, trois semaines plus tard on se rencontrait à Limoges à l’initiative de Fred Forte pour essayer d’avancer sur une création graphique de maillot. Pas une nouvelle identité mais une nouvelle perception du maillot de match. L’idée de Fred Forte c’était de décliner le maillot pour qu’il puisse être à manches ou en sweat-shirt pour que les gamins puissent le porter. Avec Big Sports on se voit un peu comme une start-up. C’est un challenge assez motivant de se dire qu’on se bat face à des montagnes, face à des grosses marques. Avec notre petite marque on essaye de changer un peu la donne. Ce que je veux demain c’est qu’un gamin de treize ou quatorze ans il hésite entre acheter un maillot de NBA et un maillot de Jeep Élite qu’on aura fait. C’est notre plus gros challenge. En faisant confiance à « What if ? » sur la partie design, on essaye d’amener un nouveau souffle.\\n\\nLe lien avec Limoges doit être d’autant plus fort depuis le départ de Fred Forte?\\n\\nOn espère qu’ils répondront positivement à notre démarche. On est très investis sur le Fan Store parce qu’on le maîtrise et qu’on a déjà un partenariat avec eux depuis juillet 2017. J’espère vraiment qu’ils nous feront confiance pour la saison prochaine parce que justement il y a aussi un côté affectif. Tout le travail que l’on a fait avec Fred Forte on a envie de le finir. La nouvelle équipe dirigeante veut aussi continuer dans la lignée de Fred Forte donc je ne vois pas pourquoi on n’y arriverait pas.\\n\\nÊtes-vous satisfait des premiers chiffres de Big Sports ?\\n\\nDepuis un an et demi on a une vraie montée en puissance avec une croissance très importante qui s’annonce pour la prochaine saison.\\n\\nComment se passent les négociations avec les clubs ? Qu’avez-vous en plus d’autres marques ?\\n\\nLa proximité. Nous, on se déplace dans les clubs pour faire le travail « de base » que les grosses marques font moins. Le fait de faire fabriquer en France nous permet d’avoir des délais vraiment très courts par rapport aux grosses marques. Pour nous, la marque c’est le club. Notre envie c’est de remettre le club et son nom en avant. Souvent, on voit d’abord le nom de la marque et seulement après le nom du club. Nous, on veut faire l’inverse.\\n\\nQuel est le concept du Fan Store ?\\n\\nL’idée c’est d’aider les clubs à se développer sur des concepts de boutiques que ce soit les soirs de match ou une boutique en dehors qui serait là tout le temps. Le but c’est d’accompagner les clubs sur leur boutique de club.\\n\\nComment se passe le travail avec Fred Weis ?\\n\\nFred c’est notre « emblème ». Il nous ouvre les portes. Je dis souvent que Fred c’est un accélérateur de particules parce que là où nous lambda passionné de basket on voudrait entrer dans certains clubs, il nous faudrait des mois pour avoir quelque chose alors que Fred il arrive à avoir facilement les contacts. Son passé d’ancien joueur et sa nouvelle carrière de consultant nous permet d’approcher les clubs très facilement. Fred ne veut pas trop en faire des caisses, mais il faut le citer. Je suis associé à lui, je suis Directeur Général, mais c’est bien Fred qui est à la tête de tout ça.\\n\\nQue pensez-vous de l’état du basket français au niveau des équipements ?\\n\\nIl n’y a pas tout à changer parce qu’il y a des clubs qui ont déjà commencé à vraiment travailler sur leurs visuels. Je pense notamment à Gravelines ou le Portel avec leur maillot pour le carnaval. Il y a plusieurs clubs qui commencent à faire les efforts, mais je pense aussi que les partenaires doivent jouer le jeu pour permettre au club qu’ils soutiennent de sortir un super maillot. Personnellement, je pense que si le maillot est beau, le partenaire en sortira grandi, et le club aussi. C’est vers ça que l’on essaye d’aller.\\n\\nDans certains clubs on ne peut même pas acheter de maillot ou les pigistes ont du mal à avoir leur nom à temps. Ce sont des choses que vous cherchez à améliorer à travers Big Sports ?\\n\\nNous sommes exactement dans cette dynamique-là. Il y a un mec qui arrive après tout le monde, on veut être capable, trois jours après, de lui donner son maillot rapidement, et le même que les autres, pas juste avec trois bouts de scotch collés dans le dos. On a d’ailleurs eu le cas à Limoges cette année. Je pense à Dru Joyce. Le maillot était prêt mais il a quand même dû jouer avec un maillot vide parce que l’équipe était en Russie et qu’on n’a pas pu lui donner. On est vraiment dans cette dynamique de service et puis après il y a aussi le côté passion parce qu’on adore tous le basket et le sport en général.\\n\\n[armelse]\\n\\nL’année dernière vous aviez le Limoges CSP en Eurocup, verra-t-on Big Sports dans d’autres clubs à la rentrée ?\\n\\nNormalement on devrait avoir entre un et trois clubs en Jeep® ÉLITE.\\n\\nQuel est le concept de Big Sports ? Comment marche votre entreprise ?\\n\\nChez Big Sports, je suis associé à Fréderic Weis. On est une équipe de quatre. En plus de nous deux, il y a aussi Pascal Charbonnier qui est responsable des Fan Stores, et Kevin Bolotny qui est notre spécialiste hand et volley. C’est notre commercial et il est responsable des clubs amateurs. Chez Big Sports, on est dans une démarche où on fournit des tenues pour les matchs mais aussi tout ce qui est autour. Des tenues de sortie, des boutiques de clubs... Jusque-là on était plutôt ouvert au sport amateur et sur un malentendu on a finalement fait le coup avec Limoges en Eurocup. Cela nous a permis de montrer notre sérieux aux autres clubs pros. Du coup, en parallèle des clubs amateurs, on essaye de travailler avec des clubs pros. Dans le basket, mais pas seulement. On est multisports.\\n\\nComment se passe la création des maillots ? Quels sont les délais de production ?\\n\\nTout ce qui est tenue de match, c’est fait en France. On a un partenariat avec Romuald Coustre de « What if ? » qui nous permet d’aller chercher du design un peu plus poussé. Le fait de faire fabriquer les maillots en France nous permet d’être très réactif lors, par exemple, de l’arrivée d’un nouveau joueur. On espère amener au moins un visuel un peu plus à l’ordre du jour en Jeep® ÉLITE l’année prochaine.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : vers une prolongation de Jaron Johson à Levallois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé en cours de saison en qualité de pigiste médical de Rod Odom, Jason Johnson (1,96m, 26 ans) pourrait bien prolonger son séjour à Levallois.\\n\\nSelon David Pick, les dirigeants levalloisiens seraient sur le point de faire resigner le Texan pour la saison prochaine. Malgré une arrivée tardive, l’ancien pensionnaire de Louisiana Tech a su apporter un vent de fraicheur et toute son agressivité aux coéquipiers de Boris Diaw qui étaient en pleine course pour les playoffs.\\n\\nEn dix matchs de Jeep Elite, Jason Johnson a compilé en moyenne 12,1 points, 4,4 rebonds et 1,6 passe décisive pour une évaluation de 13.\\n\\n\\n\\n\\nLate rumbles out the ProA: Sources tell me Levallois Metropolitans are resigning wingman Jaron Johnson, who brought a late-season spark to the Paris based club.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) 6 juin 2018\\n\\nPhoto : Karen Mandau"
}, 
{"role": "user",     "content":"La formule de la Coupe de France 2018-19"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FFBB a communiqué la formule de la Coupe de France masculine, Trophée Robert Busnel 2019.\\n\\nLa Commission Compétitions et Pratiques Sportives de la FFBB a profité de cette annonce pour dévoiler les 5 équipes du Trophée Coupe de France Seniors Masculins (saison 2017-2018) qui participeront à la Coupe de France masculine 2019. Les équipes retenues sont : IE – CTC LYON SO BASKET TERRITOIRE, PAYS DES OLONNES BASKET, ES PRISSE MACO, LE CANNET COTE D’AZUR BASKET, PAYS DE FOUGERES BASKET?\\n\\nLa formule de la Coupe de France 2019\\n\\n\\n\\n\\nTour\\nDate\\nEquipes concernées\\n\\n\\n\\n\\n64e de finale\\nMercredi 19 septembre 2018\\n18 équipes de Pro B\\n\\n\\n\\n\\n27 équipes de NM1 (hors CFBB)\\n\\n\\n5 équipes issues du Trophée 2017\\n\\n\\n\\n\\n32e de finale\\nMercredi 7 novembre 2018\\n11 équipes de Jeep Élite\\n\\n\\n\\n\\n25 équipes issues du tour précédent\\n\\n\\n\\n\\n16e de finale\\nMercredi 23 janvier 2019\\n18 équipes issues du tour précédent\\n\\n\\n8e de finale\\nMercredi 13 février 2019\\n7 équipes de Jeep Élite participant aux compétitions européennes\\n\\n\\n\\n\\n9 équipes issues du tour précédent\\n\\n\\n\\n\\nQuarts de finale – Top 8\\nSamedi 16 mars 2019\\n8 équipes issues du tour précédent\\n\\n\\nDemi-finales – Top 8\\nDimanche 17 mars 2019\\n4 équipes issues du tour précédent\\n\\n\\nFinale\\nSamedi 11 mai 2019\\n2 équipes issues du tour précédent\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"WNBA: Endy Miyem a... resigné avec le Minnesota Lynx"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Minnesota Lynx annonce aujourd’hui que Endy Miyem (1,88, 30 ans) a resigné avec la franchise. L’internationale avait paraphé un contrat le 7 février dernier mais celui-ci avait été annulé le 17 mai. Selon la formule consacrée, les termes de ce contrat n’ont pas été dévoilés mais on sait que le Lynx avait besoin d’attendre pour que le salaire de Endy Miyem entre dans le salary cap.\\n\\nEndy Miyem sort d’une deuxième saison à Famila Schio, en Italie, où elle a cumulé 11,9 points (53,3%) et 4,1 rebonds en Lega et 8,6 points (45,4%) et 2,9 rebonds en 15 matches d’Euroleague.\\n\\nChampion en titre, Minnesota en est cette saison à seulement 2 victoires et 5 défaites. Onze joueuse sont pour l’instant entrées en jeu. On devrait y voir prochainement à l’oeuvre la Française."
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg au bord du ravin, Le Mans pour une 4e finale en douze ans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cinq fois finaliste d’affilée depuis 2013, la SIG Strasbourg est au bord du ravin. Menée 1-2 par Le Mans dans cette demi-finale passionnante, elle a surtout reçu hier une véritable fessée (60-80) et personne n’a reconnu sa défense agressive et son jeu fluide qui sont sa marque de fabrique Il va lui falloir trouver la clé de la défense bétonnée du Mans menée par un Romeo Travis en mode conquistador.\\n\\nAvec DJ Stephens, Youssoupha Fall et encore Justin Cobbs, on savait que Le Mans possède l’équipe la plus excitante qu’elle n’a jamais eu en ce siècle et le MSB prouve aussi qu’il n’a pas son pareil pour démantibuler les attaques adverses.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nRomeo Travis n’est pas pour rien le pote d’enfance de LeBron James. C’est un guerrier extraordinaire. Sonné par sa suspension après des dérapages verbaux à Cholet envers le corps arbitral, il a retrouvé tous ses sens, son leadership que lui confère son tempérament et son immense expérience -il a trente-trois ans- et il vient de sortir face à son ancien club de la SIG deux matchs colossaux qui lui ont valu en cumulé 43 points (18/28 aux tirs), 16 rebonds et 55 d’évaluation. Et il y a plein de choses qui ne sont pas inscrites dans les chiffres que l’ancien étudiant à Akron University a réalisé à la perfection notamment dans le domaine défensif.\\n\\nSon coach Eric Bartecheky était admiratif :\\n\\n« Il est exceptionnel, il a un investissement, il est partout, il est dans les aides, il se bat au rebond. En attaque, il marque encore vingt points. Il est sur un niveau de jeu (il souffle d’admiration). C’est vraiment hyper important pour l’équipe, c’est impressionnant. »\\n\\nLes grands joueurs se révèlent en playoffs et Romeo Travis en fait partie.\\n\\n« Nous avons fait des erreurs. Nous avons commis beaucoup de balles perdues durant la première mi-temps, de rebonds offensifs concédés. Le basket-ball n’est jamais parfait. Mais l’équipe a continué de l’avant », a analysé l’Américain. « Durant la première mi-temps, le public a été vraiment enthousiaste. Nous avons besoin de son énergie et nous l’avons senti, nous apprécions cela. Nous avons une équipe solidaire, nous avons un très bon roster. Nous avons des gars qui peuvent jouer à différentes positions et ce soir nous avons montré notre polyvalence défensive. Nous avons fait une super défense sur des gars comme (David) Logan et Dee Bost. »\\n\\nC’est là qu’il faut reparler de l’absence de Louis Labeyrie, victime d’un virus et qui ne sera pas opérationnel pour cette série, sachant que l’international est considéré comme le meilleur numéro 4 de la Jeep Elite et qu’il avait empoisonné la vie des Manceaux lors du match retour de saison régulière à Antarès, notamment avec ses flèches à trois-points (4/5 pour 17 points), mais il faut tout autant rappeler que Terry Tarpey (genou), le « ciment » du MSB est sur la touche alors que Pape-Philippe Amagou, même s’il est en tenue, n’est pas opérationnel. D’ailleurs le coach Vincent Collet ne cherche pas à en faire une véritable excuse :\\n\\n« C’est normal qu’il nous manque mais malgré tout on a gagné le premier match jeudi sans qu’il soit là et le match retour à Nanterre sans lui non plus. Bien sûr ça serait mieux s’il était là mais il ne le sera pas davantage jeudi donc il faut que l’on soit capable de faire mieux sans lui. »\\n\\nhttps://twitter.com/benduj/status/1004142685630926853\\n\\n35,8% de réussite pour Strasbourg\\n\\nSur sa lancée du Match 2, Romeo Travis a donc mis le MSB sur la voie royale. Il en était à 7 points et 14 d’évaluation en 6 minutes. Tant de fois les Manceaux s’étaient laissés surprendre à l’allumage. Juste de mauvais souvenirs. Ils menaient 25 à 10 au bout de 9 minutes alors qu’après l’avoir regardé les yeux dans les yeux, Justin Cobbs venait de shooter sur la tête de Florent Pietrus. Trop vite pour l’ex-Ministre de la Défense des Bleus. Et encore Will Yeguete avait raté un dunk d’apparence tout cuit.\\n\\nLa SIG était terriblement gênée par la défense compacte du MSB. Elle a profité de l’entrée positive de Jeremy Leloup (7 points en 5 minutes grâce à un 5/5 sur la ligne) et d’un courant favorable venu de l’arbitrage pour réduire l’écart mais sur l’un de ses tirs intermédiaires dont il a le secret, l’inévitable Justin Cobbs redonnait de l’air au Mans à la mi-temps (40-28).\\n\\nLa SIG était donc à 28 points avec un épouvantable 9/32 aux shoots dont un 2/10 pour la paire Dee Bost/Zack Wright censée être la meilleure de France sinon celle de Monaco, DJ Cooper-Aaron Craft.\\n\\nLabellisé fidèle mais passif, le public manceau s’est métamorphosé depuis la belle face à l’ASVEL et outre qu’une distribution de maillots oranges -les exégètes diront tango- a rendu Antarès photogénique, ses murs ont tremblé toute la soirée. Dans la chaleur et le bruit, les Manceaux se sont vu pousser des ailes.\\n\\n« Ce qui est à noter c’est effectivement une très bonne entame avec une salle qui était fantastique, pleine, tout en orange, qui poussait, etc », se réjouissait Eric Bartecheky. « Il y a eu un très bon début et ce qui est à noter sur l’ensemble du match, c’est l’engagement de l’équipe défensivement. De chaque joueur, que ce soit le temps de jeu que chacun a pu avoir. Il y a eu un investissement important dans ce domaine-là qui se traduit par 60 points d’encaissés. La stratégie que l’on essaye de mettre en place par rapport à Strasbourg est pour l’instant bien respectée. (...) L’équipe a bien réagi après la première défaite contre l’ASVEL. Elle a été capable ensuite de confirmer. En réagissant aussi à Strasbourg, ça enclenche des choses, il y a des déclics qui s’opèrent. Les joueurs ne sont pas fous non plus. Ils voient qu’il y a des possibilités, qu’il y a du monde qui vient à la salle. Tout ça créé une situation et ça nous permet de nous surpasser. Il y avait un engagement total. C’est ce qui nous permet de faire une partie comme ce soir. »\\n\\nPlus que par sa capacité offensive (80 points tout de même sur les deux derniers matchs avec 61% de réussite à Strasbourg et près de 10% de mieux que la SIG au Mans hier soir), les performances actuelles du MSB s’expliquent grandement par sa rudesse offensive. On comprend mieux pourquoi c’est l’équipe a qui le moins encaissé de points (74,7) cette saison de toute la Jeep Elite. Et il faut observer que s’il y a dans cette équipe de sacrés lascars dans ce domaine, à commencer par Yousoupha Fall, Mykal Riley et Antoine Eito, d’autres sont loin d’être des spécialistes comme le peu athlétique Chris Lofton et encore Justin Cobbs qui doit gérer son énergie étant donné ses contributions en attaque.\\n\\n« Ça vient du groupe qui a compris qu’il fallait aller vers du sacrifice, que tout le monde mette de la dureté défensive... L’équipe a eu deux visages que ce soit en cours de saison et durant les playoffs et ils ont vu la différence. Le premier match à Strasbourg, à un moment donné on est trop permissif et on s’est incliné. Sur le deuxième, l’équipe a montré un autre visage. Il y a eu un investissement et ils ont vu que ça s’est soldé par une victoire. Là à domicile, la salle a poussé, c’est une vrai aide pour l’équipe. Il y a eu un engagement de tout le monde et c’est ce que l’on doit garder. »\\n\\nHier, Strasbourg a été tenu à 60 points avec un piteux 35,8 aux tirs.\\n\\n« Ils ont bien défendu et on n’a pas été assez patients sur nos systèmes. On a cherché les tirs rapidement. Ils ont fait un bon match. Je n’ai pas senti de crispation, ce sont des tirs qu’ils (ses équipiers) mettent en général. C’est juste pas rentré ce soir », constatait Damien Inglis.\\n\\nDeux chiffres complémentaires sautent aux yeux. Alors qu’ils ont récupéré un joli total de 15 rebonds offensifs, la SIG n’a inscrit que 10 points en deuxième chance. Quel gâchis !\\n\\n« Parfois, on remonte alors qu’il y a (Youssoupha) Fall qui est dessous. C’est totalement incroyable. Il y a une situation en première mi-temps où on a 14 secondes après le rebond offensif et on se précipite pour rejeter la balle et finalement on rate deux fois, trois fois et ils la reprenne, alors que l’on peut la ressortir, retravailler. C’est l’une des raisons. Il y en a plein d’autres mais c’est l’une des choses que l’on fait très mal », répond Vincent Collet.\\n\\nSinon le Match 2 face à Villeurbanne, le géant franco-sénégalais avait été complètement mis sous l’éteignoir durant ces playoffs (2, 3 et -3 d’évaluation !). Hier soir, par séquences, il a retrouvé son impact que seules les statistiques (7 points, 5 rebonds, 10 d’évaluation) ne reproduisent pas. Quand Zack Wright sur une pénétration est obligé d’imprimer à la balle une courbe exagérément haute, c’est qu’il a la frousse des 2,21m du pivot manceau.\\n\\n« Oui parce qu’on l’ai aidé. On a joué comme lors du deuxième match de la saison lorsqu’on a reçu Le Mans au Rhénus. Mais au mois de septembre, on peut le comprendre. On a très bien négocié les matchs précédents quand il était sur le terrain. Il suffit de faire la même chose. Là, on a joué en direct, on ne l’a jamais sorti de l’axe médian. C’est du suicide », estime Vincent Collet.\\n\\nLa résurrection de Youssoupha Fall est allé de pair avec le peu d’entrain de son rival Miro Bilan (6 points, 4 rebonds), lui qui avait été si dominateur lors du Match 1 (19 points, 11 rebonds et 31 d’éval).\\n\\nSinon, le tranchant Damien Inglis (18 points, 10 rebonds) et le décathlonien Zack Wright (6 points, 8 rebonds et 6 passes), les individualités alsaciennes n’ont pas brillé quand elles n’étaient pas complètement éteintes. Que dire du shooteur Levi Randolph tombé à 4,0 points à 3/20 sur les quatre dernières matchs ? Dans un match intense où les bonnes positions se raréfient l’Américano Polonais David Logan a accusé le poids de ses 35 ans. Même Dee Bost, une référence, a totalement failli dans la précision (3/11). La SIG est revenu à 48-58 à la fin du troisième quart-temps mais a replongé ensuite dans le brouillard. S’il y a un domaine où ils n’ont pas pu prendre les Manceaux en défaut, c’est bien en les envoyant sur la ligne (25/28), même Fall en a rentré plus que d’habitude (3/5)\\n\\nVincent Collet a fustigé l’incapacité de ses joueurs à faire œuvre commune :\\n\\n« Le niveau ne s’est pas élevé et je ne sais pas si on a la capacité à l’améliorer. On a pas mal de joueurs qui ne sont pas au niveau d’une demi-finale de playoffs et du coup notre équipe ne l’est pas globalement non plus. Et en plus ça fait deux matchs que l’on ne joue pas suffisamment ensemble. En début de match c’était très net. Après c’était un peu mieux, en particulier dans le troisième quart-temps. Mais c’était déjà trop tard. La machine était lancée et on n’avait plus beaucoup d’opportunités pour revenir. On n’a pas de maîtrise dans ce que l’on fait. On est toujours dans l’impatience comme si on avait le couteau sous la gorge. Ce n’est pas comme ça que l’on pourra y arriver. Il faut que l’on soit beaucoup plus maître de ce que l’on fait. Dans le troisième quart-temps, on a raté des tirs qui nous ont empêchés de revenir plus prêt alors que l’on avait un passage correct mais ça il faut le faire sur la durée. Mais par contre dans les deux premiers et le dernier, on joue complètement faux. On ne vit que d’expédients et donc ce n’est pas possible de battre comme ça une équipe comme Le Mans qui joue très bien en ce moment. Ça sera pareil jeudi si on ne change pas la façon de faire. Si on la change, ce n’est pas sûr qu’on y arrive car ils sont en confiance, ils ont la réussite. Mais malgré tout on pourrait les challenger davantage. Mais si on ne change pas la façon, c’est cuit. Ces actions individuelles, on va peut-être les réussir un peu plus mais il n’y aura pas suffisamment de gap pour changer le résultat. »\\n\\nVincent Collet attend une réaction de ses joueurs\\n\\nLa série est-elle jouée ? Evidemment non. L’histoire du basket pullule de renversements de situation totalement inattendus. Pourtant Vincent Collet mesure l’immensité de la tâche :\\n\\n« Déjà ce qui est certain, c’est que ça leur appartient (NDLR aux joueurs), la volonté d’en découdre, de se battre. On est bien placé pour savoir qu’à 2-1, ce n’est pas fini même quand tu es à l’extérieur. On était aussi à 2-1 l’an passé à la fin du troisième match. On avait perdu les deux premiers chez nous. C’était en apparence Villeurbanne qui avait la capacité de finir la série. Le plus important, c’est l’état d’esprit, de ne pas être trop abattu et au contraire être prêt à en découdre jeudi. Venir avec un autre état d’esprit. Est-ce qu’on en sera capable, c’est jeudi que l’on saura. On n’a pas montré grand-chose qui nous permettent de le penser. Mais on sait que parfois ça va très vite. Je l’espère mais je ne peux pas en dire plus. Sur certaines séquences de ce soir, c’est quand même préoccupant. »\\n\\nDamien Inglis se projetait aussi immédiatement sur ce Match 4 :\\n\\n« C’est une défaite. C’est dur mais il n’y a pas le temps de pleurer. Il faut relever la tête, il y a un match dans deux jours (jeudi) et faire les ajustement nécessaires pour ne pas terminer notre saison. On a déjà eu ce genre de match durant la saison en Champions League. Il va falloir montrer les tripes et du caractère car on n’a vraiment pas envie d’aller en vacances. On peut faire le plus beau jeu que l’on veut, si on ne montre pas de caractère, ça ne sert rien. »\\n\\nLe toujours très prudent Eric Bartecheky ne cachait pas à la fois sa joie de mener cette série 2 à 1 mais mesurait le travail qu’il reste à faire pour participer à la finale. La SIG, c’est tout de même la deuxième équipe de la saison régulière et le vainqueur de la Coupe de France. C’est aussi l’équipe qui a torpillé le MSB à Antarès lors de la saison régulière et qui l’a bien maîtrisé au Rhénus lors du Match 1.\\n\\n« Sans parler du résultat, sera-t-on capable de répéter ce type d’investissement dans deux jours ? J’espère qu’on aura la même salle et que l’on aura la capacité de se battre autant. Il y a des ajustements à faire sur des situations que l’on a rencontré où on a eu des problèmes. Ca sera un autre match. Demain on se voit à 17h, c’est juste la récupération. Deux ou trois ajustements, de la vidéo. On a aussi la séance de jeudi matin, du shooting, du réveil musculaire où là on peut parler d’une ou deux choses mais sans jouer. Pas d’entraînement. C’est la récupération, les soins et repartir pour tenter de refaire la même chose dans l’engagement mais on ne peut pas savoir si on y arrivera. Ils marquent 60 points, ils vont essayer de mettre des solutions pour nous embêter, c’est pareil de notre côté. »\\n\\nRomeo Travis faisait le même type d’analyse :\\n\\n« Ce ne sera pas facile. Ils ont une très bonne équipe avec un grand coach et de très bon joueurs et je ne suis pas confortable vis-à-vis du prochain match. Je vais probablement dormir cette nuit en pensant au prochain match. »\\n\\n[armelse]\\n\\nRomeo Travis n’est pas pour rien le pote d’enfance de LeBron James. C’est un guerrier extraordinaire. Sonné par sa suspension après des dérapages verbaux à Cholet envers le corps arbitral, il a retrouvé tous ses sens, son leadership que lui confère son tempérament et son immense expérience -il a trente-trois ans- et il vient de sortir face à son ancien club de la SIG deux matchs colossaux qui lui ont valu en cumulé 43 points (18/28 aux tirs), 16 rebonds et 55 d’évaluation. Et il y a plein de choses qui ne sont pas inscrites dans les chiffres que l’ancien étudiant à Akron University a réalisé à la perfection notamment dans le domaine défensif.\\n\\nSon coach Eric Bartecheky était admiratif :\\n\\n« Il est exceptionnel, il a un investissement, il est partout, il est dans les aides, il se bat au rebond. En attaque, il marque encore vingt points. Il est sur un niveau de jeu (il souffle d’admiration). C’est vraiment hyper important pour l’équipe, c’est impressionnant. »\\n\\nLes grands joueurs se révèlent en playoffs et Romeo Travis en fait partie.\\n\\n« Nous avons fait des erreurs. Nous avons commis beaucoup de balles perdues durant la première mi-temps, de rebonds offensifs concédés. Le basket-ball n’est jamais parfait. Mais l’équipe a continué de l’avant », a analysé l’Américain. « Durant la première mi-temps, le public a été vraiment enthousiaste. Nous avons besoin de son énergie et nous l’avons senti, nous apprécions cela. Nous avons une équipe solidaire, nous avons un très bon roster. Nous avons des gars qui peuvent jouer à différentes positions et ce soir nous avons montré notre polyvalence défensive. Nous avons fait une super défense sur des gars comme (David) Logan et Dee Bost. »\\n\\nC’est là qu’il faut reparler de l’absence de Louis Labeyrie, victime d’un virus et qui ne sera pas opérationnel pour cette série, sachant que l’international est considéré comme le meilleur numéro 4 de la Jeep Elite et qu’il avait empoisonné la vie des Manceaux lors du match retour de saison régulière à Antarès, notamment avec ses flèches à trois-points (4/5 pour 17 points)\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Zack Wright (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Revivez la soirée des 20 ans de la Ligue Féminine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Ligue Féminine a fêté ses 20 ans le 29 mai sur un bateau sur la Seine à Paris. Revivez cette soirée de gala qui a rassemblé les championnes 2018 de Bourges avec leurs glorieuses aînées.\\n\\nImage et montage de Lucie Cicconi."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans-Strasbourg: Vers un 7e guichets fermés cette saison à Antarès"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A 18h00, ce mercredi plus de 5 600 places avaient été vendues pour le Match 4 des demi-finales des Playoffs 2018 entre Le Mans Sarthe Basket et la SIG Strasbourg, qui se jouera demain à 20h45 à Antarès.\\n\\nLes 400 dernières places restantes devraient trouver preneurs très rapidement et le club s’oriente donc vers le septième guichets fermés de la saison. C’est un nouveau record pour le MSB et de toute l’histoire du basket au Mans.\\n\\nLors du Match 3 hier, l’ambiance à l’intérieur était un parfait mixte de ce qu’est le basket de l’an 2000 (salle, parquet, organisation générale, attractions) et de la passion qui habitait les fans dans les années soixante-dix.\\n\\nLe club appelle une fois de plus le public à venir habillé en orange.\\n\\nPhoto: MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Levallois recrute Mouphtaou Yarou pour deux saisons"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Meilleur joueur des Sharks d’Antibes cette saison après trois ans passés au Mans, Mouphtaou Yarou (2,04m, 27 ans) a attiré l’oeil des Levallois Metropolitans qui l’ont convaincu de rejoindre la capitale.\\n\\nPlutôt petit mais solide poste 5, le Béninois avait une prolongation de trois ans sur la table du côté d’Antibes, a indiqué le club azuréen. Finalement, il a préféré quitter le Sud de la France pour faire connaissance avec les Hauts-de-Seine. En attendant l’officialisation du club, Le Parisien révèle qu’il s’est engagé pour deux saisons avec les Metropolitans.\\n\\nCette saison en Jeep Elite, Mouphtaou Yarou compilait en moyenne 12,9 points, 9,2 rebonds et 1 passe décisive pour une évaluation de 18,4.\\n\\nUn recrutement en vue d’amortir le départ à la retraite de Boris Diaw ?\\n\\nPhoto : Antibes Sharks"
}, 
{"role": "user",     "content":"Alain Weisz intègre le Directoire des Metropolitans de Levallois et sera en charge du sportif"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ancien coach des Bleus Alain Weisz, 65 ans, intègre le directoire des Levallois Metropolitans. Cette nomination est à mettre en parallèle avec le rapprochement du club avec la mairie de Boulogne puisque le Marseillais est un ami de longue date du maire Pierre-Christophe Baguet.\\n\\n« Weisz sera en charge de tout le secteur sportif du club et travaille déjà depuis des semaines à la construction de la prochaine équipe avec le coach Fred Fauthoux et son assistant Sacha Giffa », précise Le Parisien. « Le processus de rapprochement s’accélérera à nouveau en juillet avec la nomination de deux représentants de Boulogne au conseil de surveillance du club lors de la prochaine assemblée générale du club en juillet. »\\n\\nAlain Weisz a coaché le PUC, Sceaux féminin, Poissy-Chatou, Sceaux, Montpellier, Le Mans, Strasbourg, Aix (LFB), Hyères-Toulon, Antibes et Nancy.\\n\\nLevallois a déjà recruté le pivot béninois Mouphtaou Yarou (2,04m, 27 ans). qui opérait cette saison à Antibes où il tournait à une moyenne de 12,9 points et 9,2 rebonds. Les meneurs Rémi Lesca et Louis Campbell ne sont pas conservés. L’intérieur Petr Cornélie retourne au Mans et Klemen Prepelic s’en va au Real Madrid. Maxime Roos a prolongé son contrat au club. L’avenir de Boris Diaw est toujours inconnu.\\n\\nPhoto: FFBB\\n\\n\\n\\n\\nNous avons le plaisir de vous annoncer qu'Alain Weisz intègre le directoire des @LevalloisMetro et sera en charge du sportif ! pic.twitter.com/IiNNGMFpcC\\n\\n\\n— Boulogne-Levallois Metropolitans 92 (@Metropolitans92) June 6, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : quand l’Américain Norris Cole chante l’hymne israélien avant le match du Maccabi"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est une belle preuve de motivation et de volonté d’intégration que vient de d’envoyer Norris Cole au Maccabi Tel-Aviv.\\n\\nAvant le match de son équipe, l’ancien joueur du Miami Heat a été pris en vidéo en train de chanter l’hymne israélien, en entier et par coeur !\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Babacar Niang rejoint Nantes après deux saisons blanches"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Nantes Hermine Basket a signé Babacar Niang, un ailier fort de 2,06m et 27 ans.\\n\\nC’est une forme de pari puisque le joueur formé au Mans sort de deux saisons sans jouer suite à une blessure à la jambe.Babacar Niang n’a connu que la Pro B (Hyères-Toulon et Evreux). Lors de sa dernière saison à l’ALM, 2015-16, sa meilleure jusque là, il avait cumulé 8,3 points et 6,5 rebonds pour 11,3 d’évaluation."
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Les Pré-Open du 5 au 7 octobre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour la deuxième année, la Ligue Féminine va organiser trois tournois Pré-Open qui se dérouleront du 5 au 7 octobre et lanceront la saison 2018-2019. Ils se tiendront dans l’Aube (Saint-Julien-les-Villas), l’Indre-et-Loire (Tours) et en Aquitaine (Boé).\\n\\nPré-Open de l’Aube – JustOneLife Procup\\n5 et 6 octobre\\nLieu : Gymnase Fernand Ganne – Saint-Julien-les-Villas\\nCharleville-Mézières, Villeneuve d’Ascq, Hainaut Basket et Mondeville\\n\\nPré-Open d’Indre-et-Loire\\n6 et 7 octobre\\nLieu : Halle Monconseil – Tours\\nBourges, Tarbes, Lyon et Landerneau*\\n\\nPré-Open d’Aquitaine\\n6 et 7 octobre 2018\\nLieu : Centre Omnisports Jacques Clouché – Boé\\nBasket Landes, Lattes Montpellier, Nantes Rezé et Roche Vendée\\n\\n*sous réserve de l’engagement officiel en LFB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Caen prolonge Marc-Eddy Norelia"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Rookie du Caen Basket Calvados cette saison, Marc-Eddy Norelia (2,03m, 25 ans) vient de trouver un accord avec le CBC pour prolonger son séjour en Normandie.\\n\\nMalgré une rupture du ligament croisé du genou gauche survenu mi-octobre, le natif de Port-en-Prince, qui avait montré des choses intéressantes lors de la phase de préparation et des quatre matchs de Leaders Cup Pro B qu’il a pu disputer, a convaincu les dirigeants de lui offrir une prolongation de contrat d’une année, indique le club. Le CBC met notamment en avant son potentiel, sa motivation et son comportement irréprochable.\\n\\nCette saison en Leaders Cup Pro B, Marc-Eddy Norelia compilait en moyenne 11,5 points et 3,5 rebonds pour une évaluation de 10,8."
}, 
{"role": "user",     "content":"Killian Hayes, Theo Maledon et Malcolm Cazalon font sensation au NBA Global Camp de Trevise"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ils étaient neuf Français à Trévise du 2 au 5 juin pour participer au NBA Global Camp qui réunit les meilleurs prospects NBA du monde entier.\\n\\nParmi eux et à part Adam Mokoka, trois jeunes ont montré toute l’étendue de leur talent. Il s’agit du choletais Killian Hayes et des Villeurbannais Theo Maledon et Malcolm Cazalon. Selon Jonathan Givony, qui travaille pour ESPN, les deux joueurs de l’ASVEL ont particulièrement impressionné lors de leur dernier match.\\n\\nIls ont respectivement compilé 9 points, 6 rebonds, 2 passes décisives et 2 interceptions en 15 minutes, et 9 points, 1 rebond et 2 passes en 27 minutes. Pour sa part, Killian Hayes a enregistré 6 points et 2 rebonds en 27 minutes sur cette même rencontre.\\n\\nPhoto :Jonathan Givony/Twitter"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Andrea Trinchieri refuse l’offre de Bologne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Remercié par Bamberg il y a plusieurs mois, Andrea Trinchieri est sur le marché et il avait reçu une offre de la Virtus Bologne il y a plusieurs semaines. Offre qu’il vient de refuser.\\n\\nComme le rapporte Sportando, l’ancien entraîneur de l’UNICS Kazan a décidé de décliner l’offre qui lui a fait le club italien. Le problème ne serait pas financier, le technicien de 49 ans aurait simplement de plus grandes ambitions et souhaiterait se laisser l’opportunité de recevoir un coup de fil d’un club d’Euroleague.\\n\\nEntraîneur principal depuis 2007, le natif de Milan possède un palmarès intéressant avec notamment deux titres de meilleur coach d’Italie, une coupe de Russie, trois championnats d’Allemagne ou encore un titre de meilleur entraîneur d’Eurocup.\\n\\nEn ce qui concerne Bologne, le club est à la recherche active d’un nouvel entraîneur et, d’après les journaux italiens, Luca Banchi, Maurizio Buscaglia et Sasha Djordjevic seraient pistés.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Malaga veut offrir son poste de coach à Luis Casimiro (Gran Canaria)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Déjà passé par Malaga lors de la saison 2011/12, Luis Casimiro pourrait faire son retour en Andalousie la saison prochaine.\\n\\nCoach très expérimenté, l’Espagnol a lancé sa carrière en 1990. Depuis, il est notamment passé par Manresa, Valence, Fuenlabrada, l’Estudiantes ou encore Séville. En 2016, il s’est engagé avec Gran Canaria. Après une première saison conclue par une septième place qualificative pour les playoffs, l’Unicaja s’est incliné en quart de finale face à Baskonia en trois manches.\\n\\nCette saison, la formation des Iles Canaries a fait mieux. Elle a terminé cinquième et s’est retrouvé face à Valence au premier tour des playoffs. Après avoir éliminé le champion d’Espagne en titre, les coéquipiers de de Gal Mekel se sont qualifiés pour la prochaine campagne d’Euroleague avant de se retrouver face au Real Madrid en demi-finale. Pour l’instant mené 2-0, Gran Canaria peut toujours réaliser l’exploit de se hisser en finale, même si cela sera compliqué.\\n\\nSelon La Opinion de Malaga, l’agent de Luis Casimiro a reçu une offre de Malaga. Toujours d’après le quotidien andalou, le champion d’ACB 1998 a décidé d’attendre la fin de sa saison pour se pencher sur cette offre.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Luka Doncic mène le Real Madrid à la victoire devant le propriétaire et le GM des Sacramento Kings"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après s’être défait de Tenerife sans grandes difficultés en deux matchs en quart, le Real Madrid se retrouve face au deuxième club des Iles Canaries en demi-finale, Gran Canaria.\\n\\nMardi soir à l’occasion du deuxième match de demi-finale, les Madrilènes se sont imposés 92-83 et mènent maintenant 2-0 dans la série. Ils ne sont plus qu’à une victoire de la grande finale de Liga Endesa. Une nouvelle fois, Luka Doncic est loin d’être étranger à ce succès.\\n\\nSous les yeux de Vivek Ranadive, propriétaire des Sacramento Kings, et de Vlade Divac, General Manager de la franchise, l’international slovène n’a pas tremblé. En 27 minutes de jeu, la pépite madrilène a compilé 14 points, 7 rebonds et 7 passes décisives pour une évaluation de 20. Seul point noir dans sa performance, ses 7 pertes de balle.\\n\\nPour rappel, les Sacramento Kings disposent du deuxième choix de Draft le 22 juin prochain.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=ySqlX91tRe8\\n\\nPhoto : Real Madrid"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le chiffre : 4 472 spectateurs en Pro B à Rouen"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Rouen Métropole Basket a bouclé sa saison par un record d’affluence avec 4 472 spectateurs venus assister à la demi-finale retour des Playoffs de Pro B face à Fos-sur-Mer lundi soir. Depuis la création de sa nouvelle enceinte, le Kindarena (4 500 places), le RMB a toujours eu des difficultés à remplir ses tribunes (environ 1500 spectateurs de moyenne sur la saison 2016-2017 selon le rapport d’activité de la LNB). En 2016-2017, l’affluence moyenne en Pro B était de 1958 spectateurs (en saison régulière).\\n\\nCette affluence vient récompenser le parcours sportif extraordinaire du club coaché par Alexandre Ménard, 8e de la saison régulière et sorti en demi-finale des Playoffs d’accession après avoir battu Orléans, 3e et parmi les grands favoris pour la (re)montée.\\n\\n« J’ai dit que l’équipe avait progressé. Mais je ne peux pas m’empêcher de dire que le public aussi. Et de voir les premières salles à 1 500 personnes et celle-ci, c’est fantastique, juste incroyable pour un lundi soir. Je ne sais pas si un club est né, ce n’est pas vrai, il était là bien avant que je n’arrive, mais en tout cas, il se passe quelque chose, il y a un engouement. Ce soir, ça n’a pas souri. Mais ça fait plaisir d’avoir une salle aussi chaude et ça aide beaucoup les joueurs. Il manquait un peu de gaz, un peu d’essence. Si la saison prochaine on commence à 4 000, j’espère qu’on finira à 6 000, ce serait bien (sourires) », a souligné Alexandre Ménard lors de la conférence de presse d’après-match.\\n\\n\\n\\n\\n😍 Nous étions 4472 hier au @LeKindarena pour ces 1/2 finale retour de Playoffs !\\n💙 Merci à tous, vous êtes incroyable ! 💙#GORMB #TousAvecLeRMB pic.twitter.com/UguUtm5dIn\\n\\n\\n— Rouen Métropole Basket (@RouenMBasket) June 5, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Philippe Sudre en renfort à l’ADA Blois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme annoncé lundi matin sur BasketEurope, l’ADA Blois a officialisé la venue de Philippe Sudre comme entraîneur de son centre de formation. Celui-ci sera opérationnel le 1er septembre d’après le président du club, Paul Seignolle.\\n\\nUne bonne nouvelle pour la crédibilité du projet du club champion de Pro B dont la montée en Jeep Elite reste menacée par l’obtention du fameux agrément de son centre de formation. Philippe (« Bob ») Sudre (ici aux côtés du manager général Julien Monclar et du président Seignolle) possède en effet un CV bien rempli : révélé dans le monde professionnel en tant qu’assistant d’Alain Weisz (à Sceaux, Montpellier puis au Mans jusqu’en 1998), il a poursuivi son parcours de « formateur » à la FFBB entre 1998 et 2002 (Equipe de France Jeunes et responsable vidéo pour l’équipe de France A), est ensuite passé par l’Elan Chalon où il a même coaché quelques matchs en tant qu’entraîneur principal avant de retrouver Alain Weisz à Strasbourg (2003-2004). Directeur sportif à la JDA Dijon (2007-2010), il a également occupé le poste d’assistant de Pierre Vincent à l’Asvel (2011-2013). Mais surtout, il a déjà été à l’origine de la création d’un centre de formation de toutes pièces, du côté de l’AS Monaco de 2015 à 2017.\\n\\nUne expérience qui a dû peser de tout son poids dans le choix final du staff dirigeant de l’ADA.\\n\\nPhoto : CP ADA Blois"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Pape Badji première recrue de Châlons-Reims"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Non qualifié pour les playoffs de Jeep® ÉLITE, Châlons-Reims s’active en coulisses et vient de signer sa première recrue pour la saison 2018/19 en la personne de Pape Badji (2,08m, 26 ans).\\n\\nLe CCRB vient d’annoncer la nouvelle. En Belgique à Willebroeck depuis deux ans, l’international sénégalais avait lancé sa carrière professionnelle en Suisse en 2010. Cette saison en première division belge, Pape Badji compilait en moyenne 14,6 points et 7 rebonds."
}, 
{"role": "user",     "content":"Léopold Cavalière prolonge deux ans avec l’Elan Béarnais"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Jeune espoir de l’Elan Béarnais, Léopold Cavalière (2,01m, 22 ans) vient d’être prolongé par son club de coeur.\\n\\nC’est sur Twitter que son agent, Pedja Materic, a annoncé que son joueur s’est engagé pour deux saisons supplémentaires avec Pau-Lacq-Orthez.\\n\\nCette saison en Jeep® ÉLITE, Léopold Cavalière a compilé en moyenne 4 points et 2,9 rebonds pour une évaluation de 6,2.\\n\\n\\n\\n\\nFelicitations @Leo4valiere – 2 more years 💥💥💥 2 ans de plus\\n\\n\\n— Pedja Materic (@PedjaMateric) 5 juin 2018\\n\\nPhoto : Eric Traversié / Pau-Lacq-Orthez"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Vitoria corrige Barcelone en demi-finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Bleus du basket ne se sont jamais aussi bien exportés ! Le contingent tricolore compte vingt cinq joueurs (huit de plus que l’an passé) pour neuf pays sur le Vieux Continent.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n\\nDemi finale explosive entre Barcelone et Vitoria !\\n\\nAprès la sortie de route de Valence au premier tour des playoffs, face à Gran Canaria, il y aura nécessairement un nouveau champion en Espagne. Et dans le dernier carré, on retrouve le Real Madrid qui affronte donc Gran Canaria, et puis Barcelone qui défie Vitoria. Et pour le moment, les favoris ont pris le dessus avec des succès à domicile pour le Real et Vitoria.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=990Ie3olkrM\\n\\nSi Fabien Causeur est resté assez discret pour Madrid, Rodrigue Beaubois (11 points) a été excellent dans la démonstration de force des Basques face aux Catalans. De même, Vincent Poirier (4 points, 8 rebonds) a été très actif avec un énorme contre pour relancer la contre-attaque et le trois points de Patricio Garino. Vitoria a fait la différence en 2e quart et ne s’est plus retourné...\\n\\n\\nKaunas au rendez-vous en finale\\n\\nEn Lituanie, le Zalgiris est également fidèle au poste. Malgré l’expulsion de Sarunas Jasikevicius excédé par une décision arbitrale en dernier quart, Kaunas est bel et bien là pour une nouvelle finale, la 24e de suite (depuis la création de la LKL en 1993 en fait !). Axel Toupane va ainsi pouvoir ajouter un nouveau trophée à son palmarès si le Zalgiris parvient à battre son rival éternel du Lietuvos Rytas.\\n\\n\\nL’Etoile Rouge sort le Partizan\\n\\nPrivé de Bandja Sy, le Partizan a dû baisser pavillon en Serbie. Face à leur rival historique de l’Etoile Rouge, le Partizan a dû quitter les playoffs au stade des demis. Pour Mathias Lessort, auteur de 4 points et 5 rebonds en 5 minutes, c’est une finale et un nouveau derby contre un autre club de la capitale, le FMP Belgrade. Espérons que son temps de jeu arrête sa chute libre actuelle...\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=sych8voJHsk\\n\\nEnfin, en Israël, Frédéric Bourdillon est aussi lancé dans une belle aventure de playoffs. Mais son équipe de l’Hapoel Eilat est au bord du gouffre face à l’Hapoel Holon (dont les anciens NBAers Jordan Hamilton et Joe Alexander, plus le fiston Blatt, Tamir). Plus le droit à l’erreur désormais pour Bourdillon et ses coéquipiers...\\n\\n\\nEspagne\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) :\\n\\n– 13 points (4/8 aux tirs), 5 passes, 1 interception, 5 balles perdues en 26 minutes (victoire 91-71 face à Andorre)\\n– 7 points (3/7 aux tirs), 6 passes, 1 rebond, 1 interception, 3 balles perdues en 22 minutes (défaite 86-61 face à Vitoria)\\n\\nRodrigue Beaubois (Vitoria) : 11 points (4/7 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 19 minutes (victoire 86-61 face à Barcelone)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 11 points (5/11 aux tirs), 5 passes, 4 rebonds, 1 balle perdue en 28 minutes (défaite 91-71 face à Barcelone)\\n\\nAdrien Moerman (Barcelone) :\\n\\n– 6 points (1/6 aux tirs), 12 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 24 minutes (victoire 91-71 face à Andorre)\\n– 8 points (2/10 aux tirs), 6 rebonds, 3 interceptions, 2 passes, 1 balle perdue en 23 minutes (défaite 86-61 face à Vitoria)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 5 points (2/3 aux tirs) en 11 minutes (victoire 88-70 face à Gran Canaria)\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 4 points (2/3 aux tirs), 8 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 contre en 16 minutes (victoire 86-61 face à Barcelone)\\n\\nEdwin Jackson (Barcelone) :\\n\\n– 0 point (0/3 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 3 balles perdues en 12 minutes (victoire 91-71 face à Andorre)\\n– 4 points (1/1 au tir), 1 rebond, 1 interception, 2 balles perdues en 11 minutes (défaite 86-61 face à Vitoria)\\n\\nLanding Sané (Andorre) : 3 points (1/6 aux tirs), 1 rebond en 13 minutes (défaite 91-71 face à Barcelone)\\n\\nNicolas De Jong (Saragosse) : saison terminée\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : saison terminée\\n\\nAntoine Diot (Valence) : saison terminée\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAngelo Tsagarakis (Kymis) : saison terminée\\n\\nKim Tillie (Olympiakos) : blessé pour la fin de saison\\n\\nBoris Dallo (Panionios) : saison terminée\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) :\\n\\n– 3 points (1/4 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 1 interception en 11 minutes (défaite 89-83 face à Hapoel Holon)\\n– 9 points (3/4 à trois points), 1 rebond, 1 passe, 1 balle perdue en 20 minutes (victoire 100-86 face à Hapoel Holon)\\n– 1 point (0/3 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 24 minutes (défaite 87-81 face à Hapoel Holon)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Milan) : saison terminée\\n\\nNobel Boungou-colo (Turin) : saison terminée\\n\\nYakhouba Diawara (Pistoia) : saison terminée\\n\\n\\nLituanie\\n\\nAxel Toupane (Kaunas) : 4 points (0/1 au tir), 4 rebonds en 8 minutes (victoire 84-63 face à Lietkabelis)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : saison terminée\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA) : début de la demi-finale face au Zénit St Pétersbourg le 8 juin à 18h\\n\\nLeo Westermann (CSKA) : blessé\\n\\n\\nSerbie\\n\\nMathias Lessort (Etoile Rouge) : 4 points (2/3 aux tirs), 5 rebonds, 2 balles perdues en 5 minutes (victoire 81-73 face au Partizan)\\n\\nBandja Sy (Partizan) : saison terminée\\n\\n\\nTurquie\\n\\nMoustapha Fall (Sakarya) : saison terminée\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Axel Toupane flambe en playoffs"
}, 
{"role": "user",     "content":"U16: 18 joueurs en stage pour préparer le Championnat d’Europe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Quinze joueurs participeront à partir du 10 juillet à la préparation pour le Championnat d’Europe U16 qui se déroulera du 10 au 18 août à Novi Sad, en Serbie. Trois joueurs supplémentaires seront ajoutés à cette liste de 15 joueurs à l’issue du rassemblement de l’OFAJ qui se tient la semaine prochaine à Vittel.\\n\\nCe sont donc 18 joueurs qui participeront au stage à Petit-Couronne (76) du 10 au 18 juillet avant que le groupe soit d’abord ramené à 14 pour le tournoi de la Pommeraye (49).\\n\\nEntraineur : Bernard Faure\\n\\nAssistants : Jean-Pascal Boisse et Fabien Perrigault\\n\\nOFAJ à Vittel du 16 au 23 juin\\n\\nStage à Petit-Couronne du 10 au 18 juillet\\n\\nTournoi de La Pommeraye du 20 au 22 juillet\\nVendredi 20 juillet à 20h30 : Lituanie – France\\nSamedi 21 juillet à 20h00 : Turquie – France\\nDimanche 22 juillet à 17h00 : France – Pays-Bas\\n\\nTournoi à Roseto Degli Abruzzi (Italie) du 27 au 29 juillet\\n\\nStage à Vernon du 30 juillet au 6 août\\n\\nChampionnat d’Europe à Novi Sad (Serbie) du 10 au 18 août\\nVendredi 10 août à 20h30 : France – Italie\\nSamedi 11 août à 18h15 : Géorgie – France\\nDimanche 12 août à 16h00 : France – Estonie\\nMardi 14 août : Huitièmes de finale\\nMercredi 15 août : Quarts de finale\\nVendredi 17 août : Demi-finales\\nSamedi 18 août : Finale\\n\\nPhoto: Daniel Batcho (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPrénom\\nNé le\\n\\n\\n\\nTaille\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\nBALFOURIER\\nNaoll\\n14/07/2003\\n212\\nCFBB (CEP Poitiers)\\n\\n\\nBATCHO\\nDaniel\\n10/01/2002\\n203\\nCFBB (SC Charenton SM)\\n\\n\\nBEAUFORT\\nLucas\\n24/05/2002\\n189\\nStrasbourg IG\\n\\n\\nBEGARIN\\nJuhann\\n07/08/2002\\n192\\nCFBB (ASVEL)\\n\\n\\nCOSSE\\nHugo\\n19/08/2002\\n192\\nCFBB (Rennes PA)\\n\\n\\nDEMAHIS BALLOU\\nRudy\\n26/02/2002\\n187\\nCFBB (SPO Rouen)\\n\\n\\nDIABATE\\nMoussa\\n01/11/2002\\n207\\nFlorida (Prep School)\\n\\n\\nFRISCH\\nClément\\n07/01/2002\\n188\\nStrasbourg IG\\n\\n\\nGALIN\\nMaxime\\n09/06/2002\\n201\\nElan Chalon\\n\\n\\nLESMOND\\nLouis\\n06/01/2002\\n190\\nCFBB (Hyères Toulon)\\n\\n\\nMAGASSA\\nIbrahim\\n09/05/2002\\n182\\nTorrelodones (Espagne)\\n\\n\\nMANERLAX\\nChristopher\\n09/01/2002\\n201\\nElan Chalon\\n\\n\\nOUEDRAOGO\\nYvan\\n22/03/2002\\n201\\nCFBB (JSA Bordeaux)\\n\\n\\nTCHICAMBOUD\\nJayson\\n28/01/2002\\n191\\nStrasbourg IG\\n\\n\\nTRAORE\\nYohan\\n15/02/2003\\n200\\nCFBB (Touraine BC)\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Montée en Jeep Elite : l’ADA Blois contre-attaque"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Abeille des Aydes s’apprête à piquer fort. Pour faire valoir son droit sportif, celui d’accéder à la Jeep ELITE la saison prochaine après avoir remporté le titre de champion de Pro B haut la main. La montée de l’équipe de Mickaël Hay (27 victoires, 7 défaites) reste menacée pour un motif administratif, le club ne disposant pas pour l’heure d’un centre de formation agréé. Cet agrément est délivré par avis conjointement rendu par une commission ministérielle du Ministère des Sports et la Fédération Française de Basket-Ball. La procédure, désormais engagée, prend un certain temps.\\n\\nSi le nouveau centre de formation du club sera en fonctionnement le 1er septembre comme l’a de nouveau indiqué le président Paul Seignolle, la LNB, elle, doit rendre son avis définitif à l’issue du comité directeur qui se tiendra à la fin du mois, comme l’avait expliqué Djilali Méziane, directeur des opérations sportives de la LNB dans un précédent dossier sur la question à retrouver sur BasketEurope. Et si la Ligue appliquait son règlement à l’issue du comité directeur, sans centre de formation agréé, Blois ne pourrait accéder à la Jeep Elite.\\n\\nSauf que...\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nSauf que l’équipe dirigeante (en place depuis 2013) et l’arrivée au pouvoir du président Paul Seignolle auteur d’un sans-faute jusque là, est bien décidée à se battre. Pour obtenir son dû, acquis durement sur le terrain, après 34 longues journées d’un championnat toujours plus compétitif. Dans leur manche, les Blésois disposent de plusieurs arguments, juridiques notamment (concernant un point précis du règlement qui pourrait avoir son importance) mais aussi éthiques, moraux, en plus de bénéficier d’un soutien sans faille des collectivités locales et d’un fort partenariat privé.\\n\\nRetrouvez dans ce second dossier un nouvel entretien avec Julien Monclar, le nom du futur entraîneur du centre de formation, un point sur les dynamiques qui se mettent en place du côté institutionnel, des partenaires privés du club, et en exclusivité, le courrier de soutien envoyé à l’attention de la Ministre des Sports Laura Flessel, co-signé par le maire de Blois, les présidents de la communauté d’Agglomération de Blois, du département et de la région.\\n\\n\\nJulien Monclar : « J’ai lu des choses qui ne m’ont pas plues »\\n\\nLa défense du club est résumée par son manager général, Julien Monclar, contacté dix jours après la fin du championnat. La conversation faisait suite à un premier entretien à retrouver dans le précédent dossier sur ce thème et alors que plusieurs noms prestigieux étaient revenus à nos oreilles pour occuper le poste d’entraîneur en chef du futur centre de formation, en collaboration avec David Pipereau qui en sera le directeur.\\n\\nSelon nos informations, Philippe Sudre va être officiellement intronisé dans les jours qui viennent. Une bonne nouvelle pour la crédibilité du projet du club au vu du parcours du technicien révélé dans le monde professionnel en tant qu’assistant d’Alain Weisz (à Sceaux, Montpellier puis au Mans jusqu’en 1998). Formateur à la FFBB entre 1998 et 2002 « Bob » Sudre est ensuite passé par l’Elan Chalon où il a même coaché quelques matchs en tant qu’entraîneur principal avant de retrouver Alain Weisz à Strasbourg (2003-2004). Directeur sportif à la JDA Dijon (2007-2010), il a ensuite occupé le poste d’assistant de Pierre Vincent à l’Asvel (2011-2013) et a déjà été à l’origine de la création d’un centre de formation de toutes pièces, du côté de l’AS Monaco de 2015 à 2017. Un élément sans doute déterminant dans le choix du staff dirigeant de l’ADA Blois.\\n\\nJulien Monclar, comment avance le centre de formation ? On nous a glissé que Bob Sudre était pressenti pour en être l’entraîneur et co-diriger la structure...\\n\\nBob Sudre fait effectivement partie des candidats. On a rencontré plusieurs personnes pour ce poste qui, comme M. Sudre, sont des gens compétents avec des parcours très intéressants. Le processus suit aussi son cours dans ce secteur. On a rencontré des gens intéressants. Notre décision finale sera connue très prochainement. En tout cas on voit que notre projet intéresse et ça fait plaisir.\\n\\nQu’en est-il du centre de formation ?\\n\\nOn bosse beaucoup dessus. On a eu la confirmation récente de notre engagement en U18 Elite. La question qui demeure, c’est de savoir si on sera dans le championnat Espoir ou en Nationale 3. On est entrain de travailler sur le recrutement de l’entraîneur, sur les joueurs on avance beaucoup aussi. On a la chance d’avoir un bon vivier sur la région Centre. Je pense qu’il y a de belles choses qui vont se monter. Alors évidemment, pour la question des structures il faut encore que ça progresse. Mais ça avance déjà beaucoup et ça va continuer à avancer dans les semaines à venir. On est aussi dans l’attente de savoir dans quelle division on va jouer. On connaît tous le problème... On a nos arguments, qu’ils soient juridiques ou éthiques. Pour le reste, ça n’est pas entre nos mains. Si on a l’agrément, la ligue devra suivre. Ce sera Jeep ELITE et championnat ELITE. Si on ne l’a pas, la ligue dérogera, ou pas. Et puis il restera à connaître notre position.\\n\\nC’est à dire ?\\n\\nQue si on n’a pas eu de centre de formation avant 2017, ce n’était pas à cause de notre manque volonté, c’était simplement une question de timing. Il faut savoir qu’on ne peut pas commencer une démarche de centre de formation avant d’être en Pro B. Ça fait partie des éléments du cahier des charges, d’être en Pro B. On connaît les autres éléments, comme avoir une équipe de Nationale 3. L’an dernier, on avait une CTC avec le club de Vineuil qui jouait en N3. Sauf qu’on n’a pas pu poursuivre ce partenariat comme on l’a expliqué il y a quelques semaines par communiqué. On nous a expliqué que cette équipe pouvait être notre équipe réserve, mais il fallait que les deux équipes fusionnent. Or, d’une courte voix, Vineuil n’a pas souhaité fusionner et il ne s’agit pas de leur jeter la pierre. Il y a des dirigeants, des bénévoles qui s’y sont investis pendant des années, qui ont décidé qu’ils ne voulaient pas que leur club se fasse aspirer par le gros club d’à côté. On a l’éthique avec nous. On veut faire de la formation. On en fait déjà, mais on va en faire dans le sens officiel du terme vis à vis du cahier des charges. Dès cet été, tout sera en phase.\\n\\nVous êtes confiant pour la suite ?\\n\\nOui, d’autant qu’on a vraiment des arguments. Et j’ai lu des choses ces derniers temps qui ne m’ont pas plues. Quand on dit qu’on ne s’y est pas pris assez tôt... La demande U18, on l’a faite il y a un an. On avait une belle équipe U18, avec un potentiel intéressant. Sauf qu’il n’y avait qu’une place accordée à la région Centre. Et cette place était dévolue à Orléans. On est une équipe de LNB qui a des résultats et qui lorsqu’elle veut monter une équipe U18, on lui dit non. Donc quand j’entends qu’on s’y est pris trop tard, je ne suis pas d’accord. On peut entendre plein de choses, on ne fait peut-être pas toujours tout parfaitement, mais pas sur ce point. Si le club a de bonnes performances, c’est aussi parce que la structure est solide et la ligue est la première à le reconnaître. On est privé de notre mérite sportif à cause de la formation ? Alors qu’on fait jouer des jeunes ? Qu’on a demandé à intégrer les U18 Elite et qu’on ne nous l’a pas accordé ? Alors qu’on avait une équipe N3 et qu’il a fallu revenir sur ce fonctionnement parce qu’on avait pas été informé auparavant de la nécessité d’une fusion ? Tous ces règlements sont tellement mouvants que c’est dur de s’y retrouver parfois. On a notre moral avec nous, après on ne sait pas où ça nous mènera.\\n\\nEffectivement ce n’est pas toujours simple de s’y retrouver dans le règlement. Quel détail de celui-ci vous permet de garder bon espoir ?\\n\\nIl est inscrit que pour évoluer en Jeep ELITE, un club doit bénéficier d’un centre de formation agréé l’année de son accession. Ça fait partie des points que l’on peut défendre, comme d’autres. Il y a aussi l’exemple de la saison 2011-2012 où les clubs ont eu un an pour se mettre en conformité. On peut aussi poser la question du cas de Monaco, même s’il est, en tous points, particulier. Et surtout on sait qu’on a voulu faire le taf. On serait en Pro B depuis huit ans sans avoir eu la moindre volonté d’établir un centre de formation, je ne pourrais pas vous tenir ce discours.\\n\\nA quels clubs faites-vous référence concernant l’exemple de la saison 2011-2012 ?\\n\\nQuand le règlement est passé en 2011-2012, tous les centres de formations des équipes de Pro A n’étaient pas agréés. Ça ne concernait pas une équipe, mais plusieurs.\\n\\nSi Denain ou Saint-Chamond, qui ne disposent pas non plus de centre de formation agréé, avaient remporté les Playoffs, pensez-vous que ça aurait aidé à mettre en lumière ce dysfonctionnement ?\\n\\nNon, ça ne nous regarde pas. On n’est pas là à espérer qu’untel ou untel gagne. On ne veut pas tomber dans les petits écueils. On sait qu’il y a plein de gens qui jouent ce jeu là, qui espéraient que Blois gagne le championnat pour sauver leur place. Nous, on n’est pas là-dedans. On fait du sport et on essaie de le faire du mieux possible sur le terrain et dans sa structuration en dehors. Je vais plutôt citer Roanne ou Orléans qui ont fait une superbe saison. On s’est tiré la bourre tout au long de l’année. S’ils rendent cette saison encore plus cohérente en réussissant à aller en Playoffs et que l’une des deux l’emporte, c’est tant mieux. Et puis si c’est une surprise, tant mieux pour la surprise. Je dirai bravo à celui qui l’emportera. A partir du moment où il n’y a pas de tricherie financière ou de déséquilibre structurel, ceux qui sont devant sportivement gagnent leurs dus et tant mieux pour eux. Personne ne vous dira l’inverse.\\n\\nSur la question financière, le directeur des opérations sportives de la LNB Djilali Méziane et plusieurs intervenants sur le dossier paru sur BasketEurope avaient pourtant mentionné cet aspect...\\n\\nVous suivez beaucoup le basket ? Aujourd’hui le centre de formation, c’est le premier argument pour permettre de percevoir des subventions. Personne ne vous dira le contraire. J’ai lu des courriers, notamment de Fos, qui pourraient argumenter que de ne pas bénéficier d’un centre de formation constituerait un avantage concurrentiel au niveau financier. Je vous invite à aller regarder le montant des subventions de Fos par rapport à celui de Blois.\\n\\nPour vous, le fonctionnement d’un centre de formation est entièrement couvert via les subventions ?\\n\\nPas nécessairement, mais alors si c’est une contrainte, d’avoir un centre de formation, pourquoi ils le font tous ? Si jamais ça leur coûte de l’argent et que ça sert à rien ? Un président de club, c’est un entrepreneur. Si jamais ça lui coûte de l’argent, pourquoi il le fait ? Je vais vous donner quelques arguments. Nous, ça fait deux saisons qu’on est en Pro B. On vient de N1, l’an dernier on jouait dans un gymnase de 1 000 places. Ça fait deux saisons qu’on a 11 pros à temps plein systématiquement. Parce que comme on n’a pas de centre de formation, on n’a pas le droit de faire jouer nos jeunes de l’équipe réserve pour faire le 10e homme etc etc... On n’a pas le droit de les mettre à l’entraînement parce que s’ils se blessent, il y aura une requalification en contrat pro et on peut être mis en difficulté sur le plan légal. Ça veut dire que si on n’aligne pas dix joueurs sur la feuille de match on prend des amendes. Tout ça pour dire que je paie 11 pros pleine balle. On peut prendre d’autres exemples pour comparer, même en Jeep ELITE. Un club comme Hyères-Toulon ou d’autres qui utilisent des joueurs du centre de formation pour compléter leur groupe pro, ils ne les paient pas au prix d’un joueur professionnel. Et je ne vous parle même pas de la partie recettes que ça peut générer. Si jamais le centre de formation c’est une contrainte économique, pourquoi tous les présidents ne se sont pas adressés à la Ligue pour expliquer qu’il fallait arrêter de faire ça et fonctionner autrement ? Ça, c’est juste une hypocrisie. Et même pour nous, si c’était négatif d’avoir un centre de formation pourquoi on s’embêterait à en faire un ? Nous on veut en faire un. Si on ne l’a pas c’est qu’on n’a pas eu le temps de le faire. Enfin si, on a le temps, pour maintenant, cet été, l’été 2018, tout est prêt. Donc tous ces arguments sont hautement fallacieux. Et je vous invite à aller voir les montants de subventions des différents clubs. Pour le coup, je ne veux pas accuser les autres, et ceux qui ont évoqué ça en faisant un courrier à la Ligue, c’est Fos-sur-Mer, ce qui n’empêche pas le fait que je m’entende très bien avec Rémi (Giuitta) par ailleurs.\\n\\nFos-sur-Mer a fait un courrier pour appuyer le fait que vous ne deviez pas monter ?\\n\\n... J’ai vu un courrier à la Ligue où le président du club s’interrogeait, pas vraiment en ces termes. Mais bon, moi je m’en fous, ça ne me pose pas de problèmes. On connaît la problématique, les gens ne réfléchissent pas vraiment dans l’intérêt général, et chacun prêche un peu pour sa paroisse, voilà. On n’est même pas en bataille contre Fos, on ne va pas tous les citer. Boulazac, on le sait bien, on sait tous ce qu’ils attendent... Que voulez-vous que je vous dise. Je ne vais pas vous dire que c’est la grande classe. Par contre, je ne vais pas vous dire non plus que je suis étonné.\\n\\nDans quel état d’esprit êtes-vous aujourd’hui ?\\n\\nOn a notre morale. La première année on avait une équipe N3 en CTC avec Vineuil en 2016-2017. Parce que le cas était particulier, on a mis un peu de temps à nous répondre à la question suivante, à savoir si la CTC Vineuil-Blois pouvait devenir notre équipe réserve. Après un certain temps, on nous répond finalement « oui, mais il faut fusionner entre les deux clubs ». On avait envisagé de fusionner. On a dit aux dirigeants de Vineuil qu’on allait être obligé de fusionner pour continuer à travailler ensemble. On leur laisse quand même trois mois de réflexion, ce qui s’entend. Il s’agit quand même du devenir, de l’identité d’un club, c’est normal. Trois mois passent, le président du club de Vineuil est OK, les dirigeants sont plus indécis. Ils font un vote dont les résultat est non à six contre cinq je crois. On dit OK, et on reprend à zéro pour faire une équipe réserve. On est monté cette année de R2 en pré-nat. Avant notre titre de champion, on a la fédération qui nous demande si ça nous intéresserait une wild-card en Nationale 3. Bien sûr que ça nous intéresse ! Est-ce qu’on ferait tout ça si jamais ça nous coûtait de l’argent de faire un centre de formation ? On le fait parce qu’on veut bien le faire, parce qu’on pense que ça a du sens. Les U18 Elite, ça fait deux ans qu’on les demande mais qu’on nous le refuse. Parce que la Ligue du Centre dans laquelle il y a Chartres, Nationale 1, Orléans, Pro A qui est descendu en Pro B, Blois, Pro B, Tours, terre de basket et gros club de N2, Bourges, plus gros club de basket féminin français, n’avait qu’un seul ticket U18 Elite la saison dernière. Forcément on n’en n’a pas, mais ça ne veut pas dire qu’on ne veut pas en faire ! Cette année, on a peut-être été plus offensif, plus agressif comparé à l’an dernier où on changeait de salle et où on faisait nos demandes comme un bon petit élève et sans faire trop de bruit. Cette année on a décidé de faire plus de bruit, parce que ça commence à bien faire. Qu’on ne nous raconte pas qu’on n’a pas fait les démarches à temps. En un an et demi on estime avoir fait le nécessaire. J’ai moi-même appelé la fédération pour mettre le club en mode centre de formation, je ne peux pas vous donner la date exacte mais c’était entre le 15 septembre et le 15 octobre 2017. Ils sont venus me rendre visite en décembre. A ce moment là, ils étaient pas beaucoup à BasketEurope à dire que Blois allait être champion de France*. Donc, on a la morale avec nous. Maintenant, ce n’est pas nous qui décidons. Par contre on sait ce qu’on a fait, qu’on a rien à se reprocher.\\n\\nVous avez pu discuter avec M. Méziane lors de la remise du trophée de champion de France de Pro B ?\\n\\nJe connais très bien Djilali, et tout ça ne date pas du jour où on a été champion de France. Il a sa posture, on connaît tous les deux les règlements. Je n’ai pas attendu le courrier du mois d’avril, on sait tout ça, et c’est pour ça que j’ai appelé la Fédération en septembre-octobre. Parce que je savais qu’on était susceptible d’être en Playoffs... Et on l’a écrit dès 2016 et le titre de champion de France de N1 dans notre projet club, cette volonté de formation. Concernant M. Méziane qui donne sa version et la Ligue, je comprends qu’ils soient embêtés ! Ils n’avaient pas prévu ce cas là. Le règlement, il n’est pas très bien écrit, et il n’est pas très logique. Mais ce n’est pas que de leur faute, c’est dur d’écrire un règlement de 500 pages qui prévoit tout. Et quand on est prisonnier de ce règlement, on prend ces postures. Avec Djilali, on parle souvent, on s’entend globalement bien. Pour le coup, il a dit 2-3 trucs où je suis pas d’accord avec lui. En gros sur la formation, Djilali peut dire ce qu’il veut, dès qu’on pose une question à la ligue sur la formation ce qu’on s’entend dire c’est : « la formation ce n’est pas nous, c’est la fédé ».\\n\\n* Le 11 octobre 2017, BasketEurope n’avait effectivement pas prévu le titre de champion de Pro B de l’ADA Blois mais avait souligné via l’inauguration du Jeu de Paume le signe « d’un club en bonne santé, qui se structure ». L’avenir nous dira si, sur ce point aussi, BasketEurope n’avait pas vu juste ! 😉\\n\\n\\nLettre au ministère des Sports, déblocage de 800 000 euros : les collectivités locales affichent leur soutien à l’ADA Blois\\n\\nLe président du club, Paul Seignolle\\n\\nUne semaine après la lettre envoyée au Ministère des Sports (à retrouver ci-dessous) et signée par les différents dirigeants des collectivités locales pour faire part de leur volonté d’accompagner le club dans cette nouvelle aventure (à savoir la montée), le Maire de Blois Marc Gricourt a organisé une réunion avec François Bonneau, Président de la Région Centre – Val de Loire, Nicolas Perruchot, Président du Conseil départemental de Loir-et-Cher, Christophe Degruelle, Président de la Communauté d’agglomération de Blois, Paul Seignolle, Président de l’ADA Blois basket 41 et Michel Pillefer, Président du Basket club entreprises. Son but, acter le soutien des différents acteurs institutionnels (aidés par les nombreux partenaires privés du club) en vue de la constitution du futur budget du club en vue de sa montée en Jeep ELITE.\\n\\nVoici ce qu’il fallait retenir des interventions du Maire Marc Gricourt et du président de l’ADA Blois Paul Seignolle lors de leurs interventions en conférence à l’issue de la réunion tenue à l’Hôtel de Ville de Blois vendredi dernier visant à débloquer la somme de 800 000 euros pour compléter le budget du club.\\n\\nMarc Gricourt , Maire de Blois :\\n\\n« Je dis que le club de basket de l’ADA Blois va monter en Jeep ELITE. Et donc il est important que nous puissions tous ensemble nous rassembler pour évoquer les perspectives, notamment en terme de budget, avec les collectivités locales et les partenaires. Le président nous a présenté son budget prévisionnel de façon un petit peu plus précise, et les besoins du club sur le plan financier. Nous avons acté un niveau d’engagement. Je n’ai pas de chiffres précis à vous communiquer sur les efforts de chacun. Ce que je peux dire c’est que le club a besoin de 800 000 € par rapport aux besoins supplémentaires que nécessitent la montée ».\\n\\n\\nPaul Seignolle, président de l’ADA Blois : la formation, « partie intégrante du projet sportif du club »\\n\\nSur le budget :\\n\\n« Le budget se situera autour des 3 millions d’euros, soit le plus petit de la Jeep ELITE, un budget de Petit Poucet. On pense pouvoir tenir notre modeste rang quand j’en discute avec Mickaël (Hay) et Julien (Monclar). Derrière ce qu’il s’est passé le 12 mai que je considère comme un conte de fées, je constate que l’ensemble des collectivités s’est engagé sur le fait qu’il était prêt à accompagner le club en fonction de ses moyens et je suis conscient que dans le contexte économique, on doit faire face à des baisses de subventions. C’est pour ça qu’en aucun cas, je ne ferai comme certains clubs qui sont subventionnés à hauteur de 60 % par les collectivités pour faire jouer ce qu’on appelle des mercenaires. Je rappelle que Blois et quand même un club français qui a formé un certain nombre de joueurs. Ceux qui étaient au match contre Saint-Chamond ont pu s’en apercevoir. A un moment il y avait 4 joueurs de moins de 23 ans sur le parquet. Il est passé à Blois des joueurs comme Kevin Dinal qui joue en pro à Bourg-en-Bresse, comme Jonathan Tornato qui joue aussi en Jeep ELITE. On n’a peut-être pas de centre de formation avec l’agrément ministériel mais on n’a pas attendu d’avoir ce centre de formation pour sortir des joueurs français qui demain feront peut-être les beaux jours de club français ou même partiront aux États-Unis. Quand vous voyez un joueur comme Assane Ndoye, c’est un garçon qui a un énorme potentiel, Thomas Hieu-Courtois fait aussi partie des jeunes qui ont énormément progressé en deux ans. L’ADN du club, c’est de continuer à former de jeunes joueurs français ».\\n\\nSur les subventions des autres clubs locaux sportivement en difficulté :\\n\\n« On fait tous la même chose dans nos entreprises et je pense que c’est pareil pour les collectivités. Il y a ce qu’on appelle une notion d’arbitrage. Force est de constater qu’Orléans va rester en Pro B, qu’une équipe phare qui s’appelle Tours, descend en foot... A un moment donné, je pense qu’il y a des arbitrages budgétaires qui pourraient être faits pour la capitale sportive aujourd’hui dans le Loir-et-Cher ! Si vous basculez une partie des subventions du foot sur le basket il n’y a plus de débats... C’est peut-être un peu schématique mais ce sont les chiffres et c’est une réalité. Ce n’est pas pour autant qu’il y aura moins de gamins dans les petits clubs. A un moment donné il faut que les clubs pro puissent accepter que lorsqu’ils sont un peu moins bons en termes de résultats, la manne financière soit un peu moins importante ».\\n\\nSur le centre de formation et l’identité de son entraîneur en chef :\\n\\n« Je le redis, c’est quelque chose sur lequel nous travaillons depuis un certain nombre d’années. Il verra le jour le 1er septembre. On va annoncer le nom de l’entraîneur qui va diriger le centre. C’est une des sommités du basket français qui aura formé de grands joueurs, à la fois à Monaco, à Villeurbanne, à Strasbourg, au Mans... Une fois de plus, on s’est donné les moyens de notre politique. Car pour moi la formation reste un élément essentiel. Demain je veux avoir dans mon équipe première des jeunes qui sortent du centre de formation. C’est aussi un des objectifs que j’ai fixé à cet entraîneur. Quand on voit Assane Ndoye qui sort du centre de formation de Chalon, pourquoi à Blois on ne pourrait pas faire pareil ? On n’est pas plus mauvais que les autres. On avait deux grosse pointures, il y en a une qui viendra, si tout se passe bien mardi, à Blois, pour commencer à travailler étroitement avec David Pipereau. Le budget de fonctionnement du centre de formation pour l’année prochaine, c’est 196 000 €. On ne fait pas petit bras, ni pour dire que c’est une obligation. Pour moi, ça fait partie intégrante du projet sportif du club ».\\n\\nLe courrier transmis au Ministère des Sports, à l’attention de Laura Flessel, Ministre des Sports\\n\\n[armelse]\\n\\nSauf que l’équipe dirigeante (en place depuis 2013) et l’arrivée au pouvoir du président Paul Seignolle auteur d’un sans-faute jusque là, est bien décidée à se battre. Pour obtenir son dû, acquis durement sur le terrain, après 34 longues journées d’un championnat toujours plus compétitif. Dans leur manche, les Blésois disposent de plusieurs arguments, juridiques notamment (concernant un point précis du règlement qui pourrait avoir son importance) mais aussi éthiques, moraux, en plus de bénéficier d’un soutien sans faille des collectivités locales et d’un fort partenariat privé.\\n\\nRetrouvez dans ce second dossier un nouvel entretien avec Julien Monclar, le nom du futur entraîneur du centre de formation, un point sur les dynamiques qui se mettent en place du côté institutionnel, des partenaires privés du club, et en exclusivité, le courrier de soutien envoyé à l’attention de la Ministre des Sports Laura Flessel, co-signé par le maire de Blois, les présidents de la communauté d’Agglomération de Blois, du département et de la région.\\n\\n\\nJulien Monclar : « J’ai lu des choses qui ne m’ont pas plues »\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos Nguyen Photographies"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : le Top 10 du mois de mai de Jeep®ÉLITE"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Entre le festival de shoots à trois points d’Elie Okobo face à Monaco, le gros alley-oop de DJ Stephens ou encore le tir de la gagne de Jonathan Rousselle, le spectacle était au rendez-vous en Jeep® ÉLITE au mois de mai.\\n\\nVoir ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Quimper prolonge son meneur titulaire Maxime Choplin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Monté en Pro B avec l’UJAP l’été dernier, Maxime Choplin (1,81m, 25 ans) va continuer l’aventure avec le club breton pour une année supplémentaire, indique le club.\\n\\nPromu en Pro B cette saison, Quimper devait s’attendre à une saison très compliquée et nombreux sont ceux qui voyaient les Bretons redescendre en NM1 après un an en deuxième division française. Les Quimpérois ont finalement déjoué les pronostics et se sont maintenus avec une victoire d’avance sur le premier relégable, Le Havre. Meneur titulaire de la formation de Laurent Foirest, le natif du Mans est au club depuis 2015/16 et a fait partie des joueurs les plus responsabilisés par l’assistant de Vincent Collet en Equipe de France.\\n\\nCette saison en Pro B, Maxime Choplin compilait en moyenne 7,9 points, 2,4 rebonds et 4,4 passes décisives pour une évaluation de 10,4.\\n\\nPhoto : UJAP Quimper"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: La conférence de presse de Rudy Gobert à Cholet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Rudy Gobert (2,16m, 26 ans le 26 de ce mois), pivot des Utah Jazz, a rendu visite en fin de semaine dernière à son club formateur, Cholet Basket. Vous pouvez voir l’ensemble de la conférence de presse sur TLC, Télévision Locale du Choletais.\\n\\nVoir ici.\\n\\nPhoto: CB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Kevin Harley repart pour une saison à Poitiers"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A Poitiers depuis 2011, Kevin Harley a fait son retour au PB86 cette saison après être passé par Denain en 2016/17. Aujourd’hui, le club indique que son contrat a été prolongé pour une saison de plus.\\n\\nEn 2018/19, le natif de Trappes va vivre sa huitième saison dans le même club, ce qui est particulièrement rare dans le basket français. Cette saison en Pro B, Kevin Harley compilait en moyenne 6,8 points, 2,7 rebonds et 1,5 passe décisive pour une évaluation de 7,7.\\n\\nPhoto : Frank Fetis / Poitiers Basket 86"
}, 
{"role": "user",     "content":"Patrick Comninos (Directeur Général de la BCL) : «L’ensemble des équipes d’Euroleague perdent 200 millions d’euros par an. Contre 40 millions de revenus»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Au moment du Final Four de la Basketball Champions League, Patrick Comninos, son Directeur Général, a donné une interview à quelques médias. Il nous apparaît intéressant de le reproduire car il expose bien les arguments de sa compétition et ce qu’il reproche à l’Euroleague.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nPropos d’ouverture\\n\\nA propos de l’organisation de ce Final Four, je tiens à rappeler que nous n’avons eu que trois semaines pour nous préparer alors qu’il faut normalement plusieurs mois pour mettre sur pied un événement de cette ampleur. Je tiens à remercier tous nos partenaires, le club de l’AEK, la ville, le gouvernement grec, tous ceux qui nous ont aidé à faire de ce Final Four une belle réussite. Pour nous à la BCL, c’est l’opportunité de montrer ce que nous savons faire. Une compétition de haut standing, une organisation de haut niveau. Tous ceux à qui j’ai parlé étaient plaisamment surpris par le travail fait sur l’Arena. On a apporté un vrai show et nous sommes contents que cela ait été apprécié.\\n\\nLes audiences télé, notamment en Grèce font des demi-finales déjà un des événements les plus vus de l’année. Le fait que cela passe sur une chaîne gratuite a évidemment énormément joué. Et tout le monde a pu voir que la salle était pleine, cela sera encore le cas demain dimanche, sans doute plus encore.\\n\\nQuel bilan tirer de cette deuxième saison de BCL ?\\n\\nIl s’agissait d’une saison importante. Nous profitons du Final Four pour opérer un retour et des ateliers de travail avec tous les clubs que nous avons invité ici. On travaille mais les retours sont vraiment excellents. Nous sommes encore un petit bébé et il est important d’être très prudent sur les premiers pas.\\n\\nPour la saison prochaine, on va garder exactement le même format de compétition. Dès le départ, nous avions fixé un calendrier avec un premier cycle de trois ans. On fera donc un premier bilan à la fin de la saison prochaine. Je crois fortement au fait de laisser un peu de temps à une compétition de s’installer, d’être testée, éprouvée. Mais nous avons notre modèle pour la saison prochaine, on poursuit notre route.\\n\\nY-aura-t-il de nouvelles équipes pour 2018-19 ?\\n\\nBien entendu. Chaque année, nous accueillons de nouvelles équipes. Nous ne sommes pas un club fermé. Pour nous, il s’agit d’une valeur fondamentale de la BCL, son ouverture. Quand les compétitions nationales seront terminées, nous connaîtrons les équipes en BCL. C’est comme ça que le sport grandit, par la compétition sur le terrain. Si on sait déjà qui va jouer dans une compétition européenne, alors, on réduit l’aspect sportif et on réduit également l’importance des compétitons nationales, des ligues domestiques. Cette saison, 56 équipes de 32 pays ont voulu participer à la BCL. Nous avons refusé 10 équipes. Mais nous mettons en place un environnement inclusif. Et puis, 60% de nos participants étaient soit champions de leur pays, soit finalistes, sur tout le continent européen. Notre intérêt est de travailler sur la quantité des ligues et des pays représentés mais aussi sur la quantité.\\n\\nNotre système de qualification est simple. Transparent. Direct. Il incite les clubs à être bons, à gagner dans leur championnat national. Les résultats de chaque club en BCL fait marquer des points à son pays. Au final, nous obtenons un ranking qui détermine le nombre de place dont dispose chaque championnat national. Nous avons une réunion le 24 juin où nous regarderons tous les résultats et les clubs intéressés pour nous rejoindre.\\n\\nPour nous le meilleur signe, c’est que tous les clubs qui ont gagné le droit de rejouer la BCL entre la saison 1 et cette saison sont revenus. A l’exception du Partizan Belgrade qui visait l’Euroleague. On reçoit quotidiennement des emails des clubs qui veulent discuter avec nous et qui attaquent les playoffs de leur ligue domestique avec la perspective de nous rejoindre la saison prochaine, c’est très important.\\n\\n« On n’imposera jamais de contrainte financière. La participation à une coupe d’Europe doit être un plaisir, pas une contrainte »\\n\\nImposerez-vous des critères extra-sportifs pour participer à la BCL ?\\n\\nIl n’y aura pas de limitation de budget. Il ne s’agit pas d’un bon critère. Tout ce qui compte pour nous, ce sont les résultats sur le terrain. Un club ne devrait pas être pénalisé parce qu’il a remporté son championnat, il devrait être récompensé. On demande un certain niveau d’infrastructure sur la salle, sur l’opérationnel, sur les hôtels, ce genre de chose. Mais on n’imposera jamais de contrainte financière. La participation à une coupe d’Europe doit être un plaisir, pas une contrainte. On rencontre des clubs qui ont parfois peur d’avoir à gonfler leur budget pour être compétitif une saison dans une compétition puis qui s’écroulent derrière.\\n\\nNotre intérêt, c’est celui des clubs, qui à travers leurs ligues nationales sont actionnaires de la BCL. Le quotidien et le cœur de marché d’un club, c’est sa ligue nationale. L’Europe doit être un plus. Quelque chose de positif, qui permet de grandir financièrement, au niveau de sa notoriété, de sa visibilité. Cela ne doit pas être un fardeau.\\n\\nNotre modèle financier répond à ça. Demain, le vainqueur de la BCL remporte un million d’euros. Ce genre de prime a un impact important sur un budget. On veut grandir mais dans un modèle raisonnable et durable sur la longueur.\\n\\nUn contre-exemple. Le Fenerbahce, la saison dernière, est champion de Turquie et remporte l’Euroleague. Saison de rêve. Ils perdent 18 millions d’euros sur la saison. Que se passe-t-il le jour où ils connaissent une mauvaise saison ? Cela va à l’encontre de nos valeurs centrales. Les clubs ne devraient pas être mis en danger, pénalisés ainsi.\\n\\nQuels sont les réussites et les domaines où doit encore progresser la BCL ?\\n\\nNous sommes engagés dans un marathon. Nous en sommes encore aux premiers kilomètres, mais on court, on regarde devant nous. Pour reprendre l’image de tout à l’heure, nous sommes un encore un bébé, mais nous ne pleurons plus, les dents poussent, et nous verrons bien ce que ce bébé peut mordre ou mâcher dans quelques années.\\n\\nQu’en est-il du Panathinaikos. Le club va-t-il rejoindre la BCL et à quel point cela aiderait la BCL à avancer d’avoir dans un rangs un club aussi prestigieux ?\\n\\nIci, nous sommes concentrés sur le Final Four mais je sais bien que cette question intéresse tout le monde. Ce que je peux vous dire, c’est que le Panathinaikos nous a demandé d’examiner une éventuelle participation en BCL pour la saison prochaine. C’est une initiative du club. On doit y répondre. On a eu la même demande avec Bologna et on les a rencontrés. Nous avons rencontré le propriétaire du Panathinaikos mardi soir avec Patrick Bauman, secrétaire général de la FIBA, c’était très intéressant. Nous sommes très contents d’envisager tout cela mais à la fin, il s’agit de leur décision. Ils connaissent notre offre, notre position, nos principes, notre vision. On ne fait pas de promesse, on a une structure, on s’y tient. Mais le désir d’y réfléchir est présent des deux côtés. La décision sera prise dans quelques semaines.\\n\\nPour répondre à la deuxième partie de la question, pour nous ce serait formidable. Une des plus grandes marques du basket européen, un grand club, des fans nombreux, une histoire, l’impact serait forcément très grand. Pour nous, le Panathinaikos et la famille qui le dirige depuis longtemps sont proches de la famille FIBA. Proches de nos valeurs. Ce serait une recrue de choix. Une étape très positive. Mais on discute avec beaucoup d’autres clubs en Europe.\\n\\n« Le Maccabi Tel Aviv serait le meilleur club en Israël ? Milan le meilleur en Italie ? Combien de titres nationaux ont-ils gagné ces trois dernières années. 0 pour Maccabi. 1 pour Milan »\\n\\nQue pensez-vous de la proposition de l’Euroleague d’accorder une place en Eurocup aux deux finalistes de la BCL ?\\n\\nJe vais essayer de répondre sérieusement (sourire). On a reçu cette proposition alors que nous n’avions rien demandé. Selon les données scientifiques et précises dont on dispose, l’Eurocup n’est pas une meilleure compétition que la BCL. Les clubs qui jouent la BCL, en moyenne, étaient mieux classés dans leur ligue nationale la saison dernière que ceux qui jouent en Eurocup. En moyenne classés 4e pour nous contre 5,5 pour l’Eurocup. Sans parler de la pénétration sur les réseaux sociaux ou la prime bien supérieure qu’on offre au vainqueur. Pourquoi demander un ticket dans une compétition qui est moins bonne ? D’ailleurs, Monaco et AEK, pour ne parler que d’eux, avaient le choix la saison dernière. Ils auraient pu jouer en Eurocup. Ils ont choisi la BCL. Et même sans atteindre la finale cette saison, ils seraient acceptés en Eurocup la saison prochaine s’ils choisissaient d’y aller. Donc...\\n\\nLes deux finalistes de la BCL correspondent aux deux marchés qui versent les droits télé les plus importants. Quelles conclusions en tirez-vous ? Et seconde partie de la question, quand est-ce que la BCL va générer des profits ?\\n\\nPour les droits télé, c’est vrai. Mais il faut voir aussi que la France et la Grèce sont deux pays qui envoient en BCL leurs meilleures équipes. Les quatre meilleures équipes françaises de la saison dernière étaient engagées en BCL. Pour la Grèce, si on laisse de côté le Panathinaikos et Olympiakos, les meilleures équipes derrière viennent chez nous. Donc, on a deux marchés importants en finale, évidemment, mais cela vient du fait selon moi que ces deux marchés envoient ce qu’il se fait de mieux chez eux sur le terrain.\\n\\nAprès pour la deuxième partie de la question, tous les indicateurs que nous avons sont à la hausse. Satisfaction des clubs. L’impact de la compétition grandit, on le mesure à la pénétration sur les réseaux sociaux. 1,5 million de fans sur Facebook, c’est presque le double de l’Euroleague. On est la plus présente des compétitions européennes sur les réseaux. Donc, nous n’en sommes encore qu’au début. On est dans une phase de start up. Dans cette phase, l’important c’est que le potentiel soit bon. Dans ce cas de figure les investisseurs suivent et on a un plan à long terme. La FIBA et les ligues donc les clubs qui partagent l’actionnariat sont engagées.\\n\\nMais je peux déjà vous dire que l’environnement autour du basket de club n’est pas facile à commercialiser. Il est saturé, l’offre est trop importante et trop incertaine. Il ne s’agit pas d’un contexte facile pour attirer des partenaires. Permettez-moi une comparaison. Les coupes d’Europe en football concernent 80 clubs et génèrent 4 milliards, pour la Champions League et l’Europa League.\\n\\nEn basket, le deuxième sport le plus important en Europe, les coupes concernent 104 clubs pour 40 millions de revenus seulement. Le constat est frappant. Le modèle actuel ne fonctionne pas. Notre objectif numéro, c’est de changer cela. Cela va prendre du temps mais c’est nécessaire. D’ailleurs si ça marchait, si l’argent coulait à flot, les clubs ne seraient pas mécontents, ils ne regarderaient pas ailleurs. On leur demande d’investir des millions. L’ensemble de équipes d’Euroleague perdent 200 millions d’euros par an. Contre 40 millions de revenus. Que se passent-ils quand les mécènes ou les clubs de foot qui injectent autant d’argent disparaissent ?\\n\\nCe n’est pas notre modèle. On veut que les clubs soient viables, investissent, trouvent des sponsors. Et pour ça, le sport, ce sont les résultats sur le terrain. Actuellement la perception est faussée, on vit dans une illusion. Le Maccabi Tel Aviv serait le meilleur club en Israël ? Milan le meilleur en Italie ? Combien de titres nationaux ont-ils gagné ces trois dernières années. 0 pour Maccabi. 1 pour Milan. La marque d’un club ne fait pas nécessairement sa valeur, ce ne sont pas nos valeurs. On veut que les clubs se battent en ligue nationale et nous, nous voulons leur donner une opportunité de grandir sainement.\\n\\nLe modèle actuel ne marche pas. On propose autre chose. Qui va investir dans le basket polonais ou sur le marché polonais si le champion n’aura jamais l’occasion de jouer contre les meilleurs ? Il faut ouvrir l’accès aux coupes européennes et respecter les ligues nationales.\\n\\n[armelse]\\n\\nPropos d’ouverture\\n\\nA propos de l’organisation de ce Final Four, je tiens à rappeler que nous n’avons eu que trois semaines pour nous préparer alors qu’il faut normalement plusieurs mois pour mettre sur pied un événement de cette ampleur. Je tiens à remercier tous nos partenaires, le club de l’AEK, la ville, le gouvernement grec, tous ceux qui nous ont aidé à faire de ce Final Four une belle réussite. Pour nous à la BCL, c’est l’opportunité de montrer ce que nous savons faire. Une compétition de haut standing, une organisation de haut niveau. Tous ceux à qui j’ai parlé étaient plaisamment surpris par le travail fait sur l’Arena. On a apporté un vrai show et nous sommes contents que cela ait été apprécié.\\n\\nLes audiences télé, notamment en Grèce font des demi-finales déjà un des événements les plus vus de l’année. Le fait que cela passe sur une chaîne gratuite a évidemment énormément joué. Et tout le monde a pu voir que la salle était pleine, cela sera encore le cas demain dimanche, sans doute plus encore.\\n\\nQuel bilan tirer de cette deuxième saison de BCL ?\\n\\nIl s’agissait d’une saison importante. Nous profitons du Final Four pour opérer un retour et des ateliers de travail avec tous les clubs que nous avons invité ici. On travaille mais les retours sont vraiment excellents. Nous sommes encore un petit bébé et il est important d’être très prudent sur les premiers pas.\\n\\nPour la saison prochaine, on va garder exactement le même format de compétition. Dès le départ, nous avions fixé un calendrier avec un premier cycle de trois ans. On fera donc un premier bilan à la fin de la saison prochaine. Je crois fortement au fait de laisser un peu de temps à une compétition de s’installer, d’être testée, éprouvée. Mais nous avons notre modèle pour la saison prochaine, on poursuit notre route.\\n\\nY-aura-t-il de nouvelles équipes pour 2018-19 ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Patrick Comninos (BCL), Zack Wright (Strasbourg, BCL), Pierre Jackson (Maccabi Tel Aviv, Euroleague)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Hervé Coudray prochain entraîneur du Havre ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Remercié par Caen au terme de la saison de Pro B et après y avoir passé cinq ans, Hervé Coudray pourrait retrouver du travail à seulement 120 kilomètres de là, au Havre.\\n\\nParis Normandie indique que David Gambier, le président du STB, serait en contact avancés avec le technicien de 52 ans. L’homme qui a fait monter Caen de la NM2 à la Pro B pourrait relever un nouveau défi en faisant remonter le STB Le Havre qui a terminé 17e de Pro B et qui est donc relégué en NM1.\\n\\nLe quotidien normand révèle que les deux hommes se sont déjà rencontrés plusieurs fois et que l’officialisation de la signature de l’ancien entraîneur de Mondeville ne devrait pas tarder.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Rouen sur le point de perdre ses deux meilleurs joueurs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Eliminé par Fos-sur-Mer en demi-finale des playoffs d’accession, le Rouen Métropole Basket peut maintenant se tourner vers la saison prochaine et va devoir faire quelques ajustements dans son effectif. Alexandre Menard serait sur le point de perdre l’ailier fort Amin Stevens et son poste 2 Obi Emegano.\\n\\nSelon Paris Normandie, Amin Stevens se serait déjà engagé avec Bruxelles en première division belge où il serait coach par l’ancien béarnais Serge Crevecoeur. De son côté, Obi Emegano aurait le choix entre plusieurs clubs de Jeep® ÉLITE dont Limoges, Nanterre et Dijon. Le quotidien normand rapporte également que Jean-Louis Borg, Manager General de la JDA, a même fait le déplacement jusqu’à Fos samedi dernier.\\n\\nCette saison en Pro B, Amin Stevens compilait en moyenne 17,9 points, 2,5 passes décisives et 8,9 rebonds pour une évaluation de 21,4. Obi Emegano tournait lui à 17,5 points, 2 passes et 3 rebonds pour une évaluation de 13,9.\\n\\nLa saison à peine terminée, le casse-tête va donc commencer pour Alexandre Menard. L’ancien entraîneur du MSB souhaite conserver Earvine Bassoumba et réfléchit encore pour Ovidijus Varanauskas et Desmond Williams. Ponsar, Monceau et Pouaveyoun sont encore sous contrat tandis que Rémi Dibo pourrait être écarté. Enfin, Felix Michel, 22 ans, va mettre sa carrière entre parenthèses pour se concentrer sur ses études.\\n\\nPhoto : Ann Dee Lamour"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Paris Basket Avenir déjà en Pro B la saison prochaine ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon Le Parisien, le Paris Basket Avenir, actuellement en N2, est en passe d’obtenir une wild card pour la saison prochaine afin de jouer en Pro B grâce aux droits sportifs du Hyères Toulon Basket qui descend lui-même dans cette division avec des dettes d’environ un million d’euros.\\n\\nLa FFBB a hier annoncé que le club de Tours, UTBM Tours (N2) avait obtenu cette wild card pour la N1 et précisé qu’aucune autre demande n’avait été formulée sauf que:\\n\\n« Le projet parisien, mené par l’Américain David Kahn et soutenu par la Mairie de Paris, la Ligue de basket et la Fédération, avait effectué cette même demande de « wild card » et était même en pole position pour l’obtenir. »\\n\\nLe club est voué à jouer à l’avenir dans l’aréna olympique de la Porte de la Chapelle et attendant doit investir la Halle-Carpentier (13e arrondissement), qui doit être rénovée cet été."
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Mike James (Panathinaïkos) se rapproche un peu plus de Milan"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Annoncé signataire d’un contrat de trois ans avec Milan il a plusieurs semaines, Mike James (1,85m, 27 ans) ne se serait pas encore engagé avec la formation italienne mais il en serait toujours plus proche.\\n\\nDu côté transalpin, Spicchi D’Arancia enverrait l’ancien joueur de Vitoria à l’Olimpia Milano avec un contrat de deux ans plus une année en option et 5,6 millions de dollars au total. Le Panathinaïkos aurait fait de sa priorité Nick Calathes qui songerait à retourner en NBA. Le club grec souhaiterait offrir un contrat de 8,5 millions d’euros sur trois ans à son meneur. Cet effort conséquent du Pana pousserait donc Mike James à quitter le club, ne pouvant pas obtenir le contrat qu’il souhaite dans la capitale grecque.\\n\\nCette saison avec le Panathinaïkos, Mike James compilait en moyenne 16,2 points, 2,8 rebonds, 4,1 passes décisives et 1,3 interception pour une évaluation de 15,7 en Euroleague et il tourne à 10,1 points et 4 passes en championnat.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Tyler Cain (ex CCRB) prolonge son contrat avec Varese"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En France 2014, Tyler Cain (2,03m, 29 ans) a rejoint l’Italie l’été dernier et s’était engagé avec Varese pour une saison.\\n\\nAprès avoir vécu sa deuxième expérience en Italie en carrière, après Forli en 2013/14, le natif de Rochester vient de rempiler pour deux saisons supplémentaires à Varese, indique le club. Passé en Pro A par l’Elan Béarnais, Dijon et le Châlons-Reims, l’ancien joueur de Riga est heureux de continuer l’aventure en Italie.\\n\\n« Je suis vraiment content de continuer à jouer pour le Pallacanestro Varese. Ce choix me rend vraiment fier. J’ai hâte de retourner à Varese, de donner mon meilleur pour l’équipe et pour les fans. À bientôt. »\\n\\nCette saison en Serie A, Tyler Cain compilait en moyenne 9,4 points, 1,5 passe décisive et 8,9 rebonds pour une évaluation de 16,9.\\n\\nPhoto : Pallacanestro Varese"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Kevin Pangos (Zalgiris Kaunas) aurait donné son accord au FC Barcelone"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Indiqué pisté par le FC Barcelone il y a quelques jours, Kevin Pangos (1,88m, 25 ans) aurait même donné son accord au club catalan pour s’engager en sa faveur.\\n\\nSelon Sportando, malgré l’intérêt de plusieurs franchises NBA, l’ancien joueur de Gran Canaria aurait donné son accord de principe au Barça pour les deux prochaines saisons.\\n\\nCette saison avec le Zalgiris Kaunas, Kevin Pangos compile en moyenne 8,1 points, 2,3 rebonds et 4,6 passes décisives pour une évaluation de 10,6 en championnat et il tournait à 12,7 points, 2,7 rebonds et 5,9 passes décisives pour une évaluation de 14,2.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Bulgarie : Dee Bost (Strasbourg) convoqué pour la troisième fenêtre internationale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Né en Caroline du Nord, Dee Bost (1,88m, 28 ans) a obtenu un passeport bulgare pendant l’été 2016 et est depuis régulièrement appelé pour représenter la sélection nationale.\\n\\nAujourd’hui meneur de la SIG, l’ancien joueur de Monaco dispute les demi-finales de Jeep® ÉLITE avec Strasbourg face au MSB et il vient une nouvelle fois d’être convoqué par Lubomir Minchev, le sélectionneur bulgare. Dans le cadre de la troisième fenêtre de qualification, Dee Bost prendra part aux rencontres face à l’Islande et la République Tchèque.\\n\\nLa Bulgarie est actuellement dernière du groupe F avec seulement une victoire pour trois défaites, mais peut encore se qualifier pour la suite des qualifications.\\n\\nVoici la liste des quatorze joueurs retenus pour ces deux matchs :\\n\\n * Bozhidar Avramov (Levski Lukoil)\\n * Dee Bost (Strasbourg)\\n * Stanimir Marinov (Levski Lukoil)\\n * Ventsislav Petkov (Balkan)\\n * Chavdar Kostov (Rabotnicki)\\n * Pavel Marinov (Steaua)\\n * Hristo Zahariev (Balkan)\\n * Zlatin Georgiev (Rilski sportist)\\n * Aleksandar Yanev (Beroe)\\n * Aleksandar Vezenkov (Barcelona)\\n * Dimitar Dimitrov (Academik Bultex 99)\\n * Stanislav Vaklinov (Academic Bultex 99)\\n * Nikolay Vangelov (Cuore Napoli)\\n * Tsvetomir Chernokojiev (Academik Sofia)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le beau mois de mai de Vincent Poirier"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Titulaire aux côtés du pivot allemand, Johannes Voigtmann, pour la première manche de la demi-finale face à Barcelone, Vincent Poirier a gagné ses galons à Vitoria. Dans la victoire record des Basques : +25 (86-61), Poirier termine à 4 points, 8 rebonds, 2 passes et 1 contre. Une énième preuve de sa magnifique éclosion au sein de la prestigieuse écurie espagnole.\\n\\nEt ce mois de mai 2018 a confirmé la progression constante du pivot tricolore. En Liga ACB, Poirier a réussi 4 matchs sur 6 en double figure au scoring. Il a tourné à 10 points et 5 rebonds de moyenne avec 6 victoires en 6 matchs pour le Baskonia.\\n\\n\\nSa grosse perf contre Bilbao\\n\\nQuatrième au classement, certes frivole mais néanmoins intéressant, des joueurs les plus spectaculaires de Liga, Poirier a fait gonfler sa cote tout au long d’une première saison convaincante en Espagne. L’ancien du Paris-Levallois, autrefois privé de matchs en LNB, touche désormais du doigt ce qui se fait de mieux sur le Vieux Continent.\\n\\n« Je suis en forme. Je me sens bien au match et à l’entraînement... Ça s’est vu face à Bilbao ! », déclarait Poirier à la mi-mai. « On doit continuer comme ça et approcher les playoffs sur cette dynamique. »\\n\\nFace à Bilbao, Poirier a effectivement fait fort avec 15 points, 9 rebonds et 2 contres. Avec autorité sur la finition au alley oop et aussi de la finesse dans la passe, Poirier démontre match après match qu’il n’est pas simplement un grand capable de défendre. Et ce fameux alley oop avec la faute a permis à Vitoria de repasser devant pour de bon. Poirier clutch !\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=lfR2EiuyWNA&t=1s\\n\\n\\nPlayoffs : 1er tour contre Malaga\\n\\nPour l’ouverture des playoffs face à Malaga, Poirier était encore titulaire. Mais cette fois associé à Tornike Shengelia, un choix rapidement payant avec le géorgien qui sert Poirier pour un énorme dunk puis un layup. A 11 points, 7 rebonds, plus 2 passes et 2 interceptions, Poirier a de nouveau fait valoir sa polyvalence.\\n\\nAvec une vision du jeu et davantage de patience et de maturité dans ses choix offensifs, Poirier alterne parfaitement entre la prise de responsabilité individuelle et la passe pour le copain. Il a ainsi parfaitement décalé Shengelia pour le dunk et Timma à trois points. Et quand ça ne rentre pas pour Huertas, il est là pour remettre le couvercle, très propre (87-70) !\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=_W4FuIe9UKE\\n\\n\\nIl en remet une couche au match 2\\n\\nDe nouveau très actif d’entrée de jeu, Vincent Poirier a encore pesé de tout son poids dans le match 2 pour plier l’affaire rapidement face à Malaga (80-64). Il termine à 12 points, 3 rebonds, avec un excellent pourcentage à 11/18 aux tirs sur la série. Habile de sa main gauche, Poirier peut terminer malgré le contact près du cercle.\\n\\nMalin, il se fait même sauter la balle pour lui-même, par-dessus son adversaire, pour libérer Voigtmann à trois points. Poirier est de plus en plus à l’aise au poste haut où il joue les tours de contrôle pour distiller des passes bien senties. Et puis, il est toujours aussi affûté pour aller finir les deux mains dans l’arceau !\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=8x_d9N2VA2E\\n\\nSon énorme alley oop, où il a littéralement écrasé Bilbao, termine au sommet de cette compilation des meilleures actions de Vitoria en mai. Sur une série de 8 victoires de rang, Vitoria doit désormais se préparer au réveil catalan pour la suite de cette demi-finale qui réunit cinq tricolores..."
}, 
{"role": "user",     "content":"La FFBB réagit aux propos tenus par le club de Lorient (NM1) et son président"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors du Comité Directeur des 1er et 2 juin 2018, la FFBB a tenu à réagir aux propos tenus par le club de CEP Lorient (NM1) et son président, suite à la décision, confirmée par la Chambre d’Appel, de ne pas prolonger l’autorisation à participer de joueurs de l’équipe de NM1.\\n\\n« Le Comité Directeur de la FFBB a procédé à la lecture du communiqué de presse publié sur le compte Facebook officiel du Club, dont certains extraits ont été jugés inadmissibles, et relayés par la suite sur des médias locaux.\\n\\nLa FFBB rappelle que, lors de la réunion des clubs de NM1 du 24 octobre 2017 (la feuille d’émargement confirmant la présence du Président de Lorient), les modifications réglementaires ont été clairement présentées dans un document envoyé par la suite à tous les clubs de NM1, en particulier l’article 8 du Règlement Sportif Particulier NM1 précisant que :\\n« Par dérogation aux dispositions de l’article 432 des Règlements Généraux FFBB, les joueurs pourront évoluer en championnat NM1 sous réserve de l’obtention de leur autorisation à participer avant la 12ème journée retour ».\\n\\nLorient Basket (NM1), tout comme SOM Boulogne, ont fait récemment une demande de prolongation d’autorisation à participer pour certains joueurs auprès de la Commission Haut Niveau des Clubs qui a rejeté la demande des deux clubs.\\n\\nLes deux clubs ont interjeté appel. La Chambre d’Appel, réunie le 30 mai 2018 et a décidé de confirmer les décisions de la CHNC. Les clubs en ont été informés le 31 mai.\\n\\nCompte tenu des propos inadmissibles tenus par le Club du CEP Lorient et son Président, le Comité Directeur Fédéral a décidé d’ouvrir un dossier disciplinaire à leur encontre. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Fos-sur-Mer en finale, Lille et Roanne dos à dos"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour sa 5e participation en 7 ans aux demi-finales des Playoffs de Pro B, Fos-sur-Mer accède à la finale pour la première fois de son histoire après l’avoir emporté sur le parquet de Rouen en demi-finale retour (70-92). Etrillé à Roanne deux jours plus tôt (83-36), Lille a pour sa part pris sa revanche avec la manière afin de s’offrir un match d’appui, prévu à Vacheresse ce jeudi soir.\\n\\nLes snipers fosséens étaient de sortie\\n\\nC’est la fin d’une histoire magnifique pour le Rouen Métropole Basket et le début d’une autre, tout aussi belle pour Fos Provence Basket. Dans un Kindarena plein à craquer, les Rouennais (8e de la saison régulière) ont tout tenté pour repousser la série à un 3e match. Fidèles à leur réputation depuis ce début de saison, les hommes d’Alexandre Ménard ont bien failli réaliser une énième « Rouenmontada ». Alors qu’Edouard Choquet à 3 points offrait 11 longueurs d’avance aux Provençaux en milieu de 2e quart, les Normands sont d’abord revenus à 41-47 à la pause grâce à leur inamovible tandem Emegano-Stevens (13 et 17pts à la mi-temps).\\n\\nPoussé par son public, Rouen est revenu à 61-62 sur un 3points d’Obi Emegano, prêt à réaliser un nouvel exploit. Il alors fallu toute l’expérience de Tariq Kirksay, Jaraun Burrows et Louis Campbell pour repousser les assauts adverses. En débutant le 4e quart par un 15-3, les Provençaux se sont alors mis à l’abri d’un énième retour afin de l’emporter solidement, Tariq Kirksay terminant le festival fosséen à 3 points (13/22) d’un ultime tir derrière l’arc.\\n\\nMaurice Acker a montré la voie\\n\\nOn ne donnait pas cher de la peau des Lillois après le match aller à Roanne, mais c’est oublier tout ce qui fait la beauté des Playoffs et la force de caractère de cette équipe de LMBC. Devant leur public, les troupes de Jean-Marc Dupraz ont agressé leurs hôtes (dans le bon sens du terme) pour faire la différence dès la première mi-temps (45-24). Incapable de stopper le meneur de poche adverse Maurice Acker (15pts à la pause à 5/5 au tir dont 3/3 à 3pts), Roanne a payé cher ses 9 ballons perdus, sa maladresse extérieure (1/7 à 3pts) et la perte rapide de Robert Nyakundi, sanctionné de 3 fautes après être resté moins de 9 minutes sur le parquet.\\n\\nDominée sous les panneaux (24 prises à 16 pour Lille après 20 minutes), la formation de Laurent Pluvy a bien tenté de relever la tête au retour des vestiaires en revenant brièvement à -13 en milieu de 3e quart (46-33) avant de replonger. Après Acker, c’est Marcos Suka Umu qui a terminé le travail avec 10 de ses 14 points inscrits dans le dernier acte.\\n\\nVainqueurs par 25 points d’écart, les Lillois ont retrouvé leur honneur et s’offrent une chance de jouer leur place en finale sur un match qui se jouera en terrain hostile jeudi soir."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Quai 54 fera son retour cette année les 7 et 8 juillet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est le rendez-vous annuel du streetball à Paris, le Quai 54 sera de retour en juillet.\\n\\n\\nLes 7 et 8 juillet, c’est sur le site de la Pelouse de Reuilly, où l’on peut aussi retrouver la Foire du Trône en mai, que Hammadoun Sidibé et sa bande organiseront la 14e édition du Quai 54. Les organisateurs ont d’ores et déjà annoncé que c’est le célèbre rappeur américain Young Thug qui performera lors du concert de clôture. D’autres invités seront annoncés au fur et à mesure.\\n\\nLes premières places pour l’événement sont déjà en vente ici.\\n\\nQuai 54 2018 • Video Teaser from Quai 54 on Vimeo.\\n\\nPhoto : Karen Mandau"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le pivot israélien Robert Rothbart (2,17m) a signé au Portel"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ESSM Le Portel a fait signer le pivot de grande taille Robert Rothbart (2,17m, 31 ans) apprend on de la part de son agence, Octagon.\\n\\nRobert Rothbart est un Bosnien qui a également la nationalité serbe et qui a obtenu celle d’Israël. Né à Sarajevo, il a passé sa jeunesse aux Etats-Unis. Il a joué deux ans au Paris Basket Racing de 2002 à 2004 avant de faire carrière principalement en Israël. Il a d’ailleurs porté le maillot national de 2010 à 2016.\\n\\nIl était cette saison au Maccabi Kyriat Gat en Israeli National League, l’équivalent de la Pro B. En 35 matches, il a assuré des statistiques impressionnantes: 18,9 points, 12,3 rebonds et 2,1 contres.\\n\\n\\n\\n\\nOFFICIAL: Israeli/Bosnian big man Robert Rothbart moves to France, as he signed 1+1 year contract with @ESSMbasket in @LNBofficiel #octagon pic.twitter.com/LnekUdUcNi\\n\\n\\n— Octagon Basketball Europe (@OctagonBballEU) June 4, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Florent Pietrus et Mickaël Gelabale vont fêter leur jubilé en Guadeloupe avec les Bleus"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Florent Piétrus (2,02m, 37 ans – SIG Strasbourg) et Mickaël Gélabale (2,02m, 34 ans – Elan Chalon) organisent leur jubilé avec la Fédération Française de BasketBall, le vendredi 6 juillet à 20h00 au Palais des Sports du Gosier en Guadeloupe. Les deux Antillais, natifs respectivement des Abymes et de Pointe-Noire, seront mis à l’honneur sur leur île guadeloupéenne natale en présence de leur famille et amis. Une soirée exceptionnelle au cours de laquelle les deux tricolores vont composer une équipe All Stars afin d’affronter dans un match de gala unique en son genre, le « Team France Basket » de Vincent Collet.\\n\\nLes Bleus effectueront un déplacement exceptionnel en Guadeloupe afin de prendre part à ce jubilé, juste après avoir participé aux deux rencontres de qualification à la Coupe du Monde 2019 en Bosnie-Herzégovine et en Russie. Les coéquipiers de Boris Diaw atterriront aux Antilles dès le 4 juillet, et participeront en amont du jubilé à plusieurs évènements de promotion et de développement du basket-ball en Guadeloupe. Le programme plus précis ainsi que la composition du Team France Basket seront communiqués ultérieurement.\\n\\nComposition du Team All Stars :\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\nNom\\nNaissance\\nTaille\\nClub\\n\\n\\nFlorent\\nPiétrus\\n19/01/1981\\n2,02m\\nSIG Strasbourg\\n\\n\\nMickaël\\nGélabale\\n22/05/1983\\n2,02m\\nELAN Chalon\\n\\n\\nRodrigue\\nBeaubois\\n24/02/1988\\n1,85m\\nVitoria (Espagne)\\n\\n\\nJessie\\nBegarin\\n05/07/1988\\n1,91m\\nESSM Le Portel\\n\\n\\nLesly\\nBengaber\\n12/12/1979\\n1,96m\\nASC Ban-E-Lot (Guadeloupe)\\n\\n\\nNobel\\nBoungou-Colo\\n26/04/1988\\n2,02m\\nFiat Torino (Italie)\\n\\n\\nOusmane\\nCamara\\n12/05/1989\\n2,05m\\nELAN Chalon\\n\\n\\nJoseph\\nGomis\\n02/07/1978\\n1,80m\\nASVEL Lyon-Villeurbanne\\n\\n\\nDamien\\nInglis\\n20/05/1995\\n2,04m\\nSIG Strasbourg\\n\\n\\nMarc\\nJudith\\n19/01/1987\\n1,93m\\nOrléans Loiret Basket\\n\\n\\nLahaou\\nKonate\\n17/11/1994\\n1,96m\\nNanterre 92\\n\\n\\nMouphtaou\\nYarou\\n26/06/1990\\n2,04m\\nSharks Antibes\\n\\n\\nGabriel\\nCayol\\n13/02/1986\\n1,96m\\nEtoile de l’Ouest Pointe Noire (Guadeloupe)\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe du Monde 3×3 féminine: Les quatre Bleues sont connues"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le coach national Richard Billant a rendu publique le nom des quatre joueuses de l’équipe nationale qui participeront à partir de vendredi à la Coupe du Monde 3×3 qui se déroulera à Manille (Philippines).\\n\\n\\n\\n\\nNom\\nPrénom\\nNaissance\\nClub\\n\\n\\n\\n\\nDIALLO\\nChristelle\\n12/03/1993\\nTarbes GESPE Bigorre (LFB)\\n\\n\\nNAYO\\nAlice\\n16/01/1993\\nAvenir Basket Chartres (LF2)\\n\\n\\nPAGET\\nMarie Eve\\n28/11/1994\\nFlammes Carolo Basket Ardennes (LFB)\\n\\n\\nTAYEAU\\nJohanna\\n07/01/1989\\nRoche Vendée BC (LFB)\\n\\n\\n\\n\\nEntraîneurs : Richard Billant, Karim Souchu et Anna Kotocova\\n\\nStage à Manille (Philippines) du 4 au 7 juin 2018\\n\\nCoupe du Monde à Manille (Philippines) du 8 au 12 juin 2018\\nVendredi 8 juin – 5h30 : Argentine – France\\nVendredi 8 juin – 7h20 : France – Chine\\nDimanche 10 juin – 5h30 : France – Kazakhstan\\nDimanche 10 juin – 7h20 : Suisse – France\\nMardi 12 juin : Phases finales\\n\\nPhoto: Alice Nayo, FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Florent Pietrus (Strasbourg) : «Je sens que j’ai encore une année dans les jambes»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A 37 ans, Florent Pietrus vit ses derniers moments de basketteur professionnel, mais il n’est pas encore tout à fait décidé à prendre sa retraite.\\n\\nInterrogé par Fred Weis après le match face au Mans, l’ancien international français a indiqué qu’il n’a pas encore décidé s’il continue ou non, mais il est encore prêt à faire une saison.\\n\\n« Je sens que j’ai encore une année dans les jambes. Je n’ai pas envie de faire l’année de trop donc je prendrai vraiment le temps nécessaire pour prendre la meilleure décision. Mais un jour ou l’autre on devra s’arrêter que ce soit Boris Diaw, moi ou même les autres joueurs de notre génération. »\\n\\nCette saison en Jeep® ÉLITE, Florent Pietrus compile en moyenne 2 points et 1,2 rebond pour une évaluation de 3 en 8 minutes de jeu.\\n\\nPhoto : SIG Strasbourg"
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg: Louis Labeyrie est sorti de l’hôpital"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La SIG Strasbourg annonce que suite à l’évolution favorable de sa pathologie virale, Louis Labeyrie a pu quitter aujourd’hui l’hôpital de Strasbourg où il était soigné et rejoindre son domicile.\\n\\nToutefois, le club précise que:\\n\\n« Au regard de la durée nécessaire à sa remise en forme, il est peu probable que Louis Labeyrie puisse participer aux futurs matches de Playoffs de la SIG Strasbourg. Mais il faudra attendre une dizaine de jours afin d’être plus précis sur l’évolution de son état. »\\n\\nLes Alsaciens joueront le Match 3 des demi-finales de playoffs de Jeep Elite demain au Mans. Les deux équipes sont pour l’instant à égalité, 1-1.Photo: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’UTBM Tours invité en NM1 la saison prochaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à la refonte de la Nationale Masculine 1, Tours a reçu une invitation de la FFBB pour évoluer dans la troisième division française dès la saison prochaine.\\n\\nLa FFBB annonce que lors du Comité Directeur du 1er et 2 juin, il a été décidé qu’une wildcard serait offerte à Tours pour lui donner la possibilité de monter d’un échelon. La Fédération indique que le club de l’Union Tours Basket Métropole a été le seul candidat, au titre de cet appel à candidatures, à présenter l’ensemble des garanties nécessaires à l’évolution en NM1 la saison prochaine.\\n\\nCette saison en Nationale 2, Tours a terminé troisième de la Poule C (20v-6d) et ne s’est pas qualifié pour les playoffs."
}, 
{"role": "user",     "content":"Yohan Choupas quitte l’INSEP pour l’Elan Béarnais"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Yohan Choupas (1,93m, 18 ans) ne fera plus partie de l’effectif NM1 du Centre Fédéral. Il a décidé, en accord avec l’INSEP, de s’engager en faveur de l’Elan Béarnais.\\n\\nComme son ancien coéquipier, Johan Randriamananjara qui évoluera à Bourg-en-Bresse l’année prochaine, l’arrière licencié au club de Charenton (Val-de-Marne) va traverser la France pour intégrer un club historique de Jeep® ÉLITE, annonce la FFBB.\\n\\nCette saison en NM1, Yohan Choupas compilait en moyenne 8,8 points, 3,8 rebonds, 1,2 interception et 2,1 passes décisives pour une évaluation de 3,9.\\n\\n« La venue de Yohan Choupas constitue une vraie opportunité car il fait partie des meilleurs joueurs de sa génération », a déclaré le coach Laurent Vila. « Il a été séduit par le projet de formation que nous lui avons proposé. Il y a eu un premier échange au Centre Fédéral puis il a eu l’occasion également de venir découvrir nos infrastructures et de voir par lui-même notre mode de fonctionnement. Déjà très mature, ce jeune joueur évolue en tant qu’ arrière mais doit se développer au poste de meneur de jeu. Doté de très bonnes dispositions mentales, il est prêt à beaucoup travailler et dispose d’une grosse marge de progression. Joueur d’équipe, il s’avère être également un très bon défenseur. C’est une réelle satisfaction que de pouvoir construire l’avenir avec lui. »\\n\\nDe son côté Yohan Choupas s’est dit très honoré de revêtir le maillot béarnais:\\n\\n« Je suis extrêmement fier de m’engager en faveur d’un club comme l’Elan Béarnais. J’avais une décision importante à prendre et je l’ai prise en concertation avec ma mère. Le choix n’a pas été si difficile que cela car j’ai eu un très bon feeling à la fois avec Julien Lalanne (Responsable du Centre de formation) et Dominique Loueilh (Directeur Sportif) lorsqu’ils sont venus me rencontrer. C’était très concret et j’ai tout de suite accroché. Ma première impression a été confirmée lors de ma visite au Palais des Sports lorsque j’ai découvert les installations et pu échanger avec Laurent Vila et Didier Gadou. Il est important à mes yeux de pouvoir être bien entouré dans mon cursus de formation et je sais que cela sera le cas à Pau. Je viens ici pour l’aspect sportif bien sûr, mais j’aspire aussi à grandir, devenir adulte et, je l’espère, quelqu’un de bien. Je compte évoluer le plus vite possible avec les pros et disposer d’un vrai rôle mais ce sera à moi de me le gagner et je sais bien que rien n’est acquis, ni donné d’avance. Il me reste beaucoup de travail à accomplir mais je viens pour cela. Je ne cache pas que j’ai la NBA dans un coin de ma tête, c’est un rêve et forcément le parcours d’Elie Okobo constitue une source de motivation supplémentaire. »\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Chris Otule (Gravelines-Dunkerque) en Chine pour la Summer League"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir commencé la saison à Strasbourg, Chris Otule (2,11m, 28 ans) a rejoint le BCM Gravelines-Dunkerque après cinq matchs. La saison de Jeep® ÉLITE terminée, le natif de Houston s’est engagé en Chine pour la Summer League.\\n\\nLa saison dernière à Antibes, l’ancien pensionnaire de Marquette a décidé de faire comme l’été dernier et de s’entretenir en participant à la ligue d’été de la NBL en Chine. Il a signé en faveur du Guizhou Senhang. En 2017, il s’était engagé avec le Henan Shedianlaojiu.\\n\\nCette saison en France, Chris Otule compilait en moyenne 5,1 points et 2 rebonds pour une évaluation de 5.\\n\\n\\n\\n\\n#China 🇨🇳 NBL team Guizhou Senhang Basketball Club announced the signing of Corey Webster and Chris Otule. Otule played with Henan Shedianlaojiu last summer, and it is the first time for Webster to play in NBL League. @Sportando @247_Basketball_ pic.twitter.com/bX19PrP5k0\\n\\n\\n— Chen Yang (@johncena622) 31 mai 2018\\n\\nPhoto : Julie Dumélié/BCM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Audrey Sauret est la nouvelle General Manager de Nantes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Nantes Basket Hermine (Pro B) a annoncé le recrutement d’Audrey Sauret, 41 ans, en tant que manager général.\\n\\nAncienne internationale (202 sélections), championne d’Europe en 2001, Audrey Sauret a été élue récemment dans le Cinq Majeur des Françaises des 20 ans de la Ligue Féminine. Elle a notamment porté les maillots de Valenciennes, Bourges et Ekaterinbourg.\\n\\nConsultante sur différentes chaînes de télévision, elle s’est distinguée en devenant GM d’un club professionnel masculin, l’Etoile de Charleville-Mézières (Pro B), ce qui en a fait l’une des pionnières avec Elsa Toffin (Evreux). A cause de restrictions budgétaires, le club ardennais qui descend en Pro B a mis fin à son contrat.\\n\\nPour le président Jean-Luc Cadio, cette venue constitue « un véritable atout pour la progression et la structuration du NBH« .\\n\\nPhoto: LFB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Abdoulaye Loum, un an de plus à la JDA Dijon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La JDA Dijon a prolongé pour une saison supplémentaire le contrat de l’ailier fort Abdoulaye Loum (2,09m, 27 ans).\\n\\nFormé au Havre, entre 2009 et 2011, avant de rejoindre le BCM Gravelines la saison suivante, il remporte en 2012 le trophée du futur et termine MVP de la finale. En fin d’année, il est prêté chez le voisin de Boulogne-sur-Mer, en Pro B. Il est ensuite passé par Orléans avant de terminer l’année à Chalon, remportant le titre de Champion de France 2017.\\n\\nAvec la JDA, il a assuré 4,5 points et 2,8 rebonds.\\n\\n« Toujours dans la volonté de garder l’ossature de cette saison et après la deuxième partie de saison cohérente qu’Abdoulaye a réalisé, on a décidé de le conserver dans l’effectif », a déclaré le coach Laurent Legname. « Il avait la même volonté de poursuivre l’aventure avec nous. D’une part parce qu’il a appris à apprécier la JDA Dijon et son fonctionnement et d’autre part parce qu’il a su trouver sa place durant la saison dans la hiérarchie de l’équipe. Cette volonté commune amène à cette nouvelle signature grâce à laquelle j’espère il va continuer de progresser et on aura besoin de lui avec 2 matchs par semaine, sur le poste 4 mais aussi par séquences sur le poste 5. »\\n\\nQuant à l’intéressé, il a ajouté:\\n\\n« Je suis très content de rester une saison de plus à la JDA et ainsi trouver une certaine stabilité à Dijon. Je connais déjà le coach et les systèmes de jeu de la saison dernière, c’est un avantage de ne pas repartir de zéro. Après une très belle saison, c’est aussi une satisfaction pour moi de pouvoir jouer une compétition Européenne. Ça nous offre davantage de matchs pour continuer à progresser. Enfin, je suis heureux de continuer l’aventure avec David et Axel à mes côtés. C’est aussi grâce à eux que j’ai pu améliorer mon niveau de jeu. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Nancy se sépare de Greg Beugnot"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon L’Est Républicain, le SLUC Nancy se sépare de son entraîneur Greg Beugnot, 61 ans, arrivé en Lorraine le 1er décembre 2016.\\n\\nL’ancien international reste sur deux échecs: ne pas avoir réussi à maintenir le SLUC en Pro A puis avoir été dans l’incapacité de l’y faire retourner. Les Nancéens ont terminé septièmes de la saison régulière en Pro B et ont été éliminés en deux manches en quarts de finale des play-offs par Fos/Mer.\\n\\nIl restait encore une saison de contrat au club à Greg Beugnot mais les deux parties sont actuellement en négociation pour provoquer un départ anticipé.\\n\\nD’après L’Est Républicain, Sylvain Lautié, Jean-Christophe Prat, Neno Asceric et Philippe Hervé sont sur les rangs pour succéder à Greg Beugnot."
}, 
{"role": "user",     "content":"Gravelines: Benjamin Sene prolonge jusqu’en 2020"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le BCM Gravelines-Dunkerque annonce que son meneur Benjamin Sene (1,86m, 24 ans) a prolongé son contrat avec le club jusqu’en 20120.\\n\\nL’ancien Nancéen a compilé 10,3 points 2,9 rebonds 4,9 passes décisives et 11,2 d’évaluation de moyenne cette saison mais une blessure aux adducteurs l’a contraint au repos à partir de début avril. Il avait participé en décembre au LNB All-Star Game dont il a gagné trois fois le concours des meneurs (2015, 16 et 17).\\n\\nPhoto: BCM"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: 91,2% des équipes qui ont gagné le Match 1 des demi-finales sont allées en finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec 17 points et 7 rebonds de son pivot du Cap Vert, Walter Tavares (2,20m, 26 ans) le Real Madrid a gagné la première manche de demi-finale des playoffs espagnols face à Grand Canaria, 88-70.A l’instar de la NBA, l’ACB aime remuer les chiffres dan tous les sens pour en ressortir des statistiques parfois très instructives. Ainsi il apparait qu’en 57 manches de demi-finales de l’histoire de la ligue, 52 fois l’équipe qui a gagné le match initial s’est qualifiée. C’est-à-dire dans 91,23% des cas.La dernière équipe qui a réussi à démentir les stats est le Bilbao Basket en 2011 face au Real. Après le 0-1 initial, les Basques avaient remporté les trois manches suivantes.Pas de quoi rassurer Grand Canaria !Photo: Walter Tavares (Real)\\n\\nACB.COM"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mam Jaiteh (Limoges): «On peut battre, abattre Monaco»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors de la conférence de presse d’après le match Monaco-Limoges, le pivot du CSP Mam Jaiteh (2,08m, 23 ans) a fait comme souvent lorsque l’on est mené 2-0 en playoffs, de la Méthode Couet pour persuader son auditoire et sans doute lui-même que tout est encore possible.\\n\\n« On a beaucoup de regrets, c’est un match qui était à notre portée... », rapporte Nice-Matin. « Monaco a de gros points forts mais aussi de vraies faiblesses que l’on doit exploiter, ça se joue à des détails, à rien. Ce n’est pas fini. On veut revenir ici pour le 5e match. C’était un combat, selon la marque de fabrique de Monaco. Il fallait répondre. Il aurait fallu rester plus froid dans la tête. Rester plus lucide. On est très motivés. On peut battre, abattre Monaco. Si on gagne deux fois à Limoges, ils sont fébriles. C’est celui qui fera le moins d’erreur qui sortira gagnant. »\\n\\nQuant au coach monégasque, Zvezdan Mitrovic, il a pris pour cible ses amis du corps arbitral:\\n\\n« Les arbitres ont donné 39 lancers-francs à Limoges contre 17 à Monaco avant la dernière minute. Que voulez-vous faire? »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Justin Cobbs (Le Mans), l’as des lancers-francs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Aux lancers-francs, Justin Cobbs (1,90m, 27 ans) est une assurance tous risques. 33/34 lors des cinq premiers matches du Mans en playoffs. Fondamental quand vous êtes un meneur de jeu et que vous avez beaucoup la balle dans le money time. Faire faute sur l’Américain, c’est la quasi certitude de se faire punir.\\n\\nJustin Cobbs a toujours été un as sur la ligne: 82,3% de réussite à l’université (Minnesota puis California).\\n\\nDepuis qu’il est arrivé en France, à Gravelines, son adresse sur les deux saisons régulières se situe à 87,6%. Surtout Justin Cobbs tire beaucoup de lancers: 155. Une preuve de son agressivité vers le cercle. L’Américain est sans doute le joueur du championnat le plus vif en pénétration. Seul le Slovéne de Levallois Klemen Prepelic a tenté davantage de lancers que lui, 168.\\n\\nJustin Cobbs n’a pas été le joueur le plus adroit aux lancers de la saison; il est cinquième. C’est son équipier Mykal Riley qui est le numéro 1 (91,7%) mais avec beaucoup poins de tentatives (72). A remarquer que le Dijonnais Valentin Bigote se situe à la troisième place (87,8%) et que le MSB vient de le recruter.\\n\\nMalgré tout, Le Mans n’est que la 12e équipe à l’adresse aux lancers (72,4%), très loin de l’ASVEL, maîtresse en la matière (77,8%). Il faut dire que le MSB a deux des trois joueurs les pires dans l’exercice de toute la Jeep Elite. Deux pivots. Will Yeguete avec 48,7% et le cancre de la classe, Youssoupha Fall, 39,4%. En plus le géant franco-sénégalais en tire beaucoup, 109.\\n\\nLes Strasbourgeois savent qui il faut viser dans le money time s’ils veulent envoyer les Manceaux sur la ligne. Et qui il ne faut pas.\\n\\nPhoto: MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Xavier Bidault (IMG Media) : «La France fait partie des marchés que l’Euroleague veut développer»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Partenaires depuis deux saisons, l’Euroleague et IMG Media travaillent en étroite collaboration pour faire progresser la compétition. Directeur commercial du basketball chez IMG, Xavier Bidault a donné une interview à Eurohoops sur l’évolution de l’Euroleague.\\n\\nIl lui a notamment été demandé si la France faisait bien partie des plans de l’Euroleague à court terme.\\n\\n« Je pense que l’Allemagne, la France et le Royaume-Uni sont pour le moment les marchés que nous souhaitons développer. L’équilibre que nous devons établir est la quantité par rapport à la qualité. Jordi Bertomeu en a parlé lors du Final Four. Nous voulons nous assurer que si quelqu’un rejoint l’Euroleague, il sera assez compétitif. C’est formidable pour nous et nous allons travailler avec eux aussi étroitement que possible pour continuer à promouvoir l’Euroleague sur ces marchés. »\\n\\nIl a également été questionné au sujet de la Champions League de foot qui est une référence dans le sport international.\\n\\n« C’est sûr que je pourrais être jaloux de beaucoup de choses qu’ils font, beaucoup de choses qu’ils ont, mais c’est une propriété différente, c’est un sport différent, ce ne sont pas des choses que nous pourrions comparer. Nous n’essayons pas de reproduire ce qu’ils font. Je veux dire qu’il y a beaucoup de choses qui sont spécifiques au basketball et à l’Euroleague. La structure de la ligue est différente. La fanbase et le comportement, dans certains cas, sont différents aussi, donc il y a beaucoup d’études de cas et de bons exemples que nous pouvons utiliser de l’UEFA Champions League et de la NBA, la Premier League, de nombreuses ligues, mais nous n’essayons pas de les reproduire. Il s’agit de prendre les meilleurs éléments de chacun d’entre eux et ensuite de créer une nouvelle entité parce que nous sommes uniques. »\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce: Le proprio du Panathinaikos menace d’infliger une amende d’un mois de salaire à ses joueurs s’ils perdent la finale !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Olympiacos Le Pirée a été surprendre le Panathinaikos Athènes dans son antre lors du Match 1 de la finale des playoffs grecs, 75-65. Olympiakos a contraint le Pana à ne scorer que 6 points dans le deuxième quart-temps. Les joueurs du Pirée ont dominé le rebond (31 à 18) et réussit 18 de leurs 20 lancers-francs.\\n\\nPour les vainqueurs, l’ailier international Kostas Papanikolaou (2,05m, 28 ans) a combiné 14 points et 4 passes et le meneur américain Brian Roberts (1,85m, 28 ans) a ajouté 12 points. C’est le point guard américain Mike James (1,85m, 28 ans) qui a été le plus productif offensivement pour le Panathinaikos avec 23 points et 5 rebonds alors que son compatriote Chris Singleton (2,06m, 29 ans) réalisait un double double, 18 points et 10 rebonds.\\n\\nCourroucé le tumultueux président du Pana, Dimitris Giannakopoulos, a menacé d’après le site Sport24 d’infliger une amende d’un mois de salaire à ses joueurs s’ils ne sont pas champions.\\n\\nPhoto: Kostas Papanikolaou"
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV: Une semaine de demi-finales de playoffs de Jeep Elite"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette semaine est consacrée aux demi-finales de playoffs de Jeep Elite avec chaque jour les chocs Le Mans/Strasbourg et Limoges/Monaco.\\n\\nMardi 5 juin:\\n\\n20h45 – Le Mans/Strasbourg – Jeep Elite – SFR Sport 2\\n\\nMercredi 6 juin:\\n\\n20h45 – Limoges/Monaco – Jeep Elite – SFR Sport 2\\n\\nJeudi 7 juin:\\n\\n20h45 – Le Mans/Strasbourg – Jeep Elite – SFR Sport 2\\n\\nVendredi 8 juin:\\n\\n20h45 – Limoges/Monaco – Jeep Elite – SFR Sport 2, si nécessaire\\n\\nSamedi 9 juin:\\n\\n18h30 – Le Mans/Strasbourg – Jeep Elite – SFR Sport 2, si nécessaire\\n\\nDimanche 10 juin:\\n\\n18h30 – Limoges/Monaco – Jeep Elite – SFR Sport 2, si nécessaire\\n\\nPhoto: Axel Bouteille (Limoges/Eurocup)"
}, 
{"role": "user",     "content":"N1 – Patrick Dupuis (Saint-Quentin): «C’est impensable, c’est impensable, c’est impensable!...»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« C’est impensable, c’est impensable, c’est impensable! Je ne comprends pas, je ne comprends pas, je ne comprends pas, je ne comprends pas... »\\n\\nVoici les mots du président de Saint-Quentin, Patrick Dupuis, rapportés par le Courrier Picard, après la défaite de son équipe face au CEP Lorient lors du match d’appui de demi-finale des playoffs, 74-78. Une défaite pour le moins troublante car trois joueurs majeurs faisaient défaut aux Bretons et que SQBB menait 61-47 à la fin du troisième quart-temps avec le soutien de 3 000 supporters. Un peu trop de confiance et le piège du faux-rythme expliquent sans doute ce revers qui fait mal. Les Picards n’ont inscris que 6 points dans les dix dernières minutes, ça ne leur été jamais arrivé cette saison.\\n\\n« J’avais dit aux joueurs: ‘faites attention, faites attention! C’est une bête blessée. Ils vont vouloir tout arracher, aller jusqu’au bout ». Une chape de plomb vient de me tomber sur la tête. Je suis mort, je ne suis pas bien. »\\n\\nIl va falloir panser les plaies à Saint-Quentin. Le coach Jérôme Navier a été reconduit pour une saison. Benoît Gillet, Desmond Quincy-Jones et Cheick Soumaoro sous les trois joueurs toujours sous contrat."
}, 
{"role": "user",     "content":"Lituanie: Dainius Adomaitis remplace Rimas Kourtinaitis à Vilnius"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Selon le journaliste Jonas Miklovas, Dainius Adomaitis, 44 ans, va devenir le coach de Lietuvoc rytas Vilnius. Actuellement coach de l’équipe nationale de Lituanie, Adomaitis est bien connu en France pour avoir porté cinq saisons (2002-07) le maillot du BCM Gravelines. Il va remplacer un autre ancien joueur de la LNB (Chalon, 96-97, et Angers, 97-98) et Ministre des Sports de la Lituanie, Rimas Kourtinaitis, 58 ans.\\n\\nPhoto: Dainius Adomaitis (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\nDainius Adomaitis will replace Rimas Kurtinaitis as head coach of Lietuvos rytas Vilnius, according to my sources. Worked in LR in 2012-2014, being head coach at the end of the season\\n\\n\\n— Jonas Miklovas (@jmiklovas) June 3, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France A’ féminine : Une deuxième défaite contre la Hongrie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une défaite (57-73) et une victoire (88-80), l’équipe de France A’ a clôturé sa série de matches amicaux face à la Hongrie par une deuxième défaite, 64-71.\\n\\nSur le plan individuel, c’est la Landaise Marie-Michelle Milapie (1,92m, 22 ans) qui a été la plus efficace en réalisant un double-double, 12 points et 10 rebonds. L’Amandinoise Marie-Bernadette Mbuyamba (1,85m, 25 ans) a également scoré 12 points.\\n\\nPhoto: Marie-Michelle Milapie (LFB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"La phrase – Kyle Milling (Limoges): «Mitrovic est vraiment fort...»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors de la conférence de presse qui a suivi Monaco-Limoges avec une victoire de l’ASM, 78-71, le coach limougeaud Kyle Milling a lancé à son collègue Zvezdan Mitrovic un compliment qui était lourd de sous-entendus, et qui a été rapporté par L’Equipe.\\n\\n« Je n’ai pas beaucoup d’expérience, Mitrovic, lui, il est vraiment fort pour avoir un impact dans le match, pour changer la façon dont le match est arbitré. Moi j’apprends. »\\n\\nLe coach du CSP a laissé également entendre que le contexte du Match 3 programmé à Beaublanc sera complètement différent:\\n\\n« Beaublanc est déjà à guichets fermés depuis quelques jours. Je m’attends à une ambiance extraordinaire mercredi »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Playoffs : Limoges rate une belle occasion, 2-0 pour Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vainqueurs 88-71 dans la première manche de la demi-finale deux jours plus tôt, les Monégasques ont cette fois eu toutes les peines du monde pour l’emporter à nouveau (78-71) contre Limoges et mener 2-0 dans la série. La fin de match sous tension laisse présager un gros duel à Beaublanc mercredi soir pour le 3e acte !\\n\\nLa sortie de DJ Cooper a changé la donne\\n\\n\\nAprès avoir maîtrisé les débats en première mi-temps grâce à un tandem Cooper-Kikanovic au dessus du lot (42-33), l’ASM a vu le CSP revenir dans la partie. Les Limougeauds, jamais loin avant la pause, ont profité de l’expulsion de DJ Cooper et de la brève sortie d’Elmedin Kikanovic, touché au nez après un contact avec Samardo Samuels, pour refaire surface. Les hommes de Kyle Milling ont alors passé un 11-0 pour revenir dans la partie et passer devant sur un 3-points de Kenny Hayes suivi de deux lancers d’Axel Bouteille (49-52).\\n\\nLa tension n’a cessé de monter à chaque seconde mais la Roca Team a fini par trouver les solutions, profitant du retour de Kikanovic, MVP du match (20pts, 9/13 au tir, 1 rebond, 16 d’évaluation) pour retrouver un brin de sérénité. Limoges a tenu bon jusqu’à l’entrée du money-time où Kikanovic puis Amara Sy se sont relayés pour offrir 7 points d’avance aux Monégasques (70-63). William Howard, Dru Joyce et Samardo Samuels ont de nouveau ramené le CSP à une possession (72-70). Mais dans le sprint final, c’est Monaco qui a arraché la victoire, Zvezdan Mitrovic mettant Bangaly Fofana sur le parquet pour la première fois du match avec succès puisque l’ancien strasbourgeois a réussi les stops défensifs nécessaires pour permettre aux siens de l’emporter (78-71).\\n\\n« Pour le spectacle, il fallait repasser. On a gagné, mais on s’est mis un peu en danger. C’est vrai que la sortie de DJ Cooper nous a déstabilisé, mais bon, comme j’ai dit aux gars, il est parti et il faut continuer à faire le taf. Malheureusement, on s’est enfoncé, on les a même laissé passer devant. Après il a fallu redoubler d’effort pour arracher ce match. Ce n’est pas facile, c’est les Playoffs. On ne s’attendait pas à moins que ça. On sait que ça va être encore plus dur à Beaublanc. On va préparer ça au mieux », a réagi Amara Sy au micro de SFR Sport.\\n\\nMonaco pourrait retrouver Yakuba Ouattara et Gerald Robinson pour le match III mercredi soir à Beaublanc.\\n\\nL’action du match : la passe laser de DJ Cooper pour Georgi Joseph\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/1003319938092883975\\n\\nPhoto Sébastien Grasset"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Gravelinois Adam Mokoka impressionne au NBA Global Camp de Trévise"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Actuellement se tient le NBA Global Camp de Trévise, en Italie, avec plusieurs jeunes Français. Si l’on en croit Jonathan Givony de DrafExpress, l’arrière gravelinois Adam Mokoka (1,96m, 20 ans) a impressionné l’assistance de par ses qualités athlétiques, sa défense tout terrain et son énergie. Il a par ailleurs scoré 16 points et pris 6 rebonds lors d’un match de Team 2 contre Team 3. Les autres Français ont été beaucoup plus discrets.\\n\\nPhoto: BCM\\n\\n\\n\\n\\nDay two, game one NBA Global Camp scrimmage boxscore. French guard Adam Mokoka (6'3 1/2 barefoot, 6'10 wingspan) impressed with his freakish athleticism, full-court defense and non-stop energy level. Some nice moments for Japanese wing Yuta Watanabe on both ends of the floor. pic.twitter.com/olIR9vIFi0\\n\\n\\n— Jonathan Givony (@DraftExpress) June 3, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: 36 points pour Lille à Roanne – Thomas Ceci-Diop: «On a eu peur»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"36 points. C’est tout ce que Lille a marqué à Roanne. En 40 minutes. Et en en prenant 83. Par quart-temps, cela fait 8, 10, 9 et 9 points. Donc ce fut une constance.\\n\\nLe pourcentage générale est de 27,1 avec 1 sur 16 à trois-points. Même aux lancers-francs, les Lillois ont été indigents: 9/18. L’évaluation est encore plus terrible: 104 à 13.\\n\\nSeul l’intérieur nigérian Cory Remekun n’a pas été englouti par la Chorale, marquant 16 points et prenant 5 rebonds pour 18 d’évaluation. Cinq joueurs lillois ont obtenu une évaluation négative. A l’inverse, sept Choraliens ont atteint entre 10 et 19.\\n\\nLors de la conférence de presse, le coach du LMBC, Jean-Marc Dupraz, a été très mesuré:\\n\\n« Le début de match est vraiment pénalisant, rédhibitoire pour nous. 18-4 et 25-8 sur le premier quart-temps. On les met en confiance dans leur salle. Ce n’est pas un problème physique ou quoi que ce soit. C’est peut-être un problème d’approche mental en rentrant sur le terrain. Ils nous ont infligés ce que nous on a infligé à Saint-Chamond. J’avais dit aux joueurs que si on voulait faire quelque chose sur ces demi-finales, il fallait qu’on soit deux tons au-dessus de ce que l’on a produit au cours de la saison et Dieu sait que l’on a fait une belle saison avec l’équipe que l’on a et les moyens que l’on a. Quand on est en demi comme ça, la logique veut que si tu ne montes pas de deux crans, tu ne passes pas. Et sur ce match-là, on a pris l’eau. »\\n\\nQuant à Thomas Ceci-Diop, il donne rendez-vous pour le Match 2 dans le Nord:\\n\\n« Aujourd’hui, je ne sais pas, on a eu peur. On n’a pas répondu présent. Dans deux jours, c’est un autre match. Ce match là, on l’oublie. On va tout donner chez nous pour montrer que l’on est une bonne équipe et bien finir la saison. Pourquoi pas le remporter et revenir ici pour montrer l’équipe que l’on est parce qu’on n’a pas laissé de bons souvenirs aux Roannais avec deux défaites de trente points. En tant que joueurs et en tant qu’équipe, je crois que l’on a tous mal et on veut montrer qui on est, au moins à la maison lundi. »\\n\\nPhoto: Thomas Ceci-Diop (LMBC)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Suspension de Jordan Aboudou (Fos-sur-Mer), le point de vue de Rémi Giuitta"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors du premier match de ces Playoffs de Pro B opposant les Fosséens au Sluc Nancy en quart de finale le 25 mai dernier, le petit frère de Lens Aboudou avait été expulsé pour avoir pris une première puis une seconde technique dans la foulée avant de s’emporter contre Gaëtan Clerc, obligeant le manager sportif du club, Momo Sy, à intervenir pour le sortir du terrain. Le commissaire de la LNB présent à Fos-sur-Mer le soir de l’incident avait semblé peu inquiet sur la suite des événements dans cette affaire, « aucun coup » n’ayant été porté, selon ses propres dires et ce même si un rapport avait été établi.\\n\\nLa LNB a pourtant choisi de sanctionner l’ancien monégasque en lui infligeant deux matchs de suspension. Rien de fou jusque là, si ce n’est que d’après l’entraîneur Rémi Giuitta, interrogé en conférence de presse, la demande d’appel n’a pas été reçu à temps, n’entraînant pas d’effet suspensif de la décision, contrairement au récent cas de Romeo Travis dont l’appel avait reporté la sanction du match aller au match retour en quart de finale des Playoffs de Jeep ELITE contre l’Asvel. En conséquence, Jordan Aboudou a pris place en tribune hier soir.\\n\\nA la question sur la présence ou non de Jordan Aboudou lundi pour le match retour à Rouen, voici la réponse livrée par son entraîneur, Rémi Giuitta :\\n\\n« Pour l’instant, il est suspendu. Je ne veux pas le défendre sur les faits que tout le monde a vus. Ceux qui n’ont pas vu les images se procureront la vidéo. Ce que je trouve aberrant dans la situation de Jordan, c’est qu’on le prive de ses droits. Je ne conteste pas les faits. Il y a une sanction qui est décidée, à savoir de le suspendre deux matchs, OK. Je crois qu’on est dans un état de droit, et toute personne, même à la ligue, a droit de faire appel, d’argumenter, de se défendre. Et là, on refuse que l’appel soit suspensif. On lui dit « tu passes en appel après avoir purgé ta peine ». Ça je ne l’avais encore jamais entendu de ma vie. Donc, il passera en appel quand il aura purgé sa peine. Sachant qu’en plus, il y a selon moi une double-privation de ses droits. Car d’une part, l’appel ne sert plus à rien, et deuxièmement, comme c’est la première sanction de sa carrière en sept ans en pro, il y a un autre article qui prévoit qu’un joueur, lorsqu’il s’agit de sa première sanction, peut demander de transformer la suspension par l’accomplissement de travaux d’intérêt généraux. Donc une fois qu’il aura purgé ses deux matchs, il demandera s’il peut aller faire des travaux d’intérêt généraux. Finalement, il n’a droit à rien, et encore une fois, je ne défends pas les faits. Mais après, il y a la loi et le juridique. Et d’un point de vue purement juridique, j’avoue que je n’arrive pas à comprendre. Je trouve ça dommage. Aujourd’hui, il se trouve que c’est Jordan Aboudou, mais ce serait la même chose s’il s’agissait d’un autre joueur. Un joueur a le droit de se défendre même quand il fait une connerie ».\\n\\nVainqueurs 79-75, les Fosséens se rendront à Rouen pour l’acte II lundi soir.\\n\\nPhoto Robert Visnelda"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie: Tofas Busa rejoint Fenerbahçe en finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les deux meilleures équipes de saison régulière, Fenerbahçe et Tofas Bursa vont se retrouver en finale de la BSL. Alors que le Fener a éliminé Banvit en demi-finale, Tofas a pris le meilleur sur Anadolu Efes en le battant sur son terrain, 76-70, lors du Match 4 remportant la série 3-1.\\n\\nTofas a contrôlé tout le match avec en figure de proue l’ailier américain Raymar Morgan (2,03m, 30 ans) auteur de 22 points et 9 rebonds et son compatriote le meneur Pierra Henry (1,93m, 25 ans) qui a réalisé un match très complet: 21 points, 5 rebonds, 5 interceptions et 4 passes.\\n\\nLa série de la finale commence mardi.\\n\\nPhoto: Raymar Morgan"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France A’ Féminine: Une victoire et une défaite face à la Hongrie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir été largement battue par la Hongrie lors d’un premier match amical (57-73), l’équipe de France A’ a pris sa revanche hier soir (88-80).\\n\\nLors du premier match, la marque avait été répartie entre 12 joueuses et Margaux Galliou-Loko (1,84m, 25 ans, Wasserbourg) avait été la seule a atteindre les 10 points. Lors du second, c’est Magali Mendy (1,75m, 28 ans, Girone, 19 points), qui a été la meilleure marqueuse devant Margaux Galliou-Loko (15) et Pauline Lithard (1,64m, 24 ans, Landerneau, 13).\\n\\nUn troisième test est prévu aujourd’hui qui sera retransmis sur YouTube:\\n\\nPhoto: Pauline Lithard"
}, 
{"role": "user",     "content":"D’après son Directeur Général, Oleksiy Yefimov, Monaco pourrait être intéressé à terme par l’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Directeur exécutif de l’AS Monaco, l’Ukrainien Oleksiy Yefimov a donné une interview à Eurohoops en évoquant le Final Four de la Champions League, le recrutement et l’avenir.\\n\\nAprès avoir assuré un record de 17 victoires en 19 matches, la Roca Team s’est donc inclinée en finale de la BCL face au club hôte, l’AEK Athènes (94-100) et ses 20 000 fans mais Oleksiy Yefimov ne veut retenir que le positif :\\n\\n« Si avant la saison quelqu’un nous avait dit que nous atteindrions le Final Four deux fois de suite, j’en aurais douté. Mais en saison régulière, nous avons montré un basket très solide et le billet pour Athènes était bien mérité. »\\n\\nCe parcours est évidemment d’autant plus remarquable que l’ASM est encore une novice en Pro A/Jeep Elite.\\n\\n« Si vous regardez le développement du projet Roca Team, c’est comme un conte de fées. Pour nous, c’est seulement la troisième saison en première division française. Nous avons terminé premier de la saison régulière à trois reprises et remporté trois trophées de la Leaders Cup. C’est aussi notre deuxième année où nous jouons dans une compétition internationale et la deuxième fois consécutive où nous sommes arrivés au Final Four. »\\n\\nAprès avoir contraint ses adversaires européens à se limiter à 68,4 points avant le Final Four, la Roca Team a été beaucoup trop permissive en finale puisque l’AEK lui a planté 100 points dans son cœur.\\n\\n« Nous sommes rentrés de Grèce avec des sentiments mitigés: Fiers d’avoir fait un pas de plus par rapport à la saison dernière (argent à Athènes après le bronze à Tenerife) mais en même temps triste car toute la saison nous étions la meilleure équipe défensive de BCL et dans le dernier match nous ne l’avons pas montré, laissant l’adversaire marquer 100 points. En tout cas, c’était une expérience unique et exceptionnelle de jouer devant 20 000 fans grecs. »\\n\\nEn ce qui concerne le recrutement Oleksiy Yefimov déclare que son club veut des joueurs désireux de «mettre leur corps dans le feu» en défense et des personnes susceptibles de créer une belle alchimie sur et en dehors du terrain.\\n\\n« Je n’ai pas mentionné que nous n’avons jamais eu le budget le plus important par rapport aux autres clubs de Jeep Elite. Bien sûr, nos capacités financières ne sont pas les meilleures vis-à-vis de certaines équipes de la BCL. C’est pourquoi, après chaque saison réussie, nous ne pouvons pas garder la plupart de nos joueurs clés car leur valeur marchande a beaucoup augmenté. «\\n\\nLes ambitions du club ?\\n\\n« Notre objectif est de créer un club aussi performant que possible pour être intéressé par toutes les compétitions internationales de tous niveaux, y compris l’Euroleague. N’oubliez pas que Monaco est probablement le seul endroit où des miracles se produisent encore ... «\\n\\nLa très faible capacité de la salle Gaston-Médecin peu remplie pour le Match 1 de la demi-finale de Jeep Elite démontre tout de même que l’ASM aura beaucoup, beaucoup de travail pour parvenir aux standards de l’Euroleague !\\n\\nPhoto: Sergii Gladyr (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"N1: Boulogne a fait de la résistance, Chartres a assuré sa qualification pour la finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Limité à 7 joueurs dont 2 espoirs après la décision fédéral d’interdir à trois autres de poursuivre leur saison après le 31 mai, le SOM Boulogne a vendu chèrement sa peau face à Chartres au cours d’un match d’appui héroïque pour le compte de la demi-finale de barrages pour l’accession en Pro B.\\n\\nLe match fut tendu au point que Patrick Clérence et Mehdi Cheriet écopèrent tous les deux d’une disqualifiante... Ce qui pénalisait encore plus Boulogne. Et pourtant, sur le parquet adverse, le SOMB a tenu, tenu. Timothe Vergiat, qui a joué 40 minutes, a cumulé 18 points et 10 passes. L’ancien Chalonnais Michel Jean Baptiste Adolphe, alias JBAM, a fait un match de mammouth (21 points à 7/10 aux tirs, 13 rebonds, 32 d’évaluation). Mais subitement les Boulonnais ont lâché prise. 62-86, 32e. Terminé? Pas du tout. Ils repartaient à la charge et infligeaient un 9-0 à Chartres. Un baroud d’honneur. Impossible de reprendre autant de terrain. Ils s’inclinaient finalement 92-80. Dans le camp chartrain, Olivier Romain a fait du très bon boulot avec 27 points à 9/12 aux tirs et 6 passes.\\n\\nLa finale d’accession opposera donc Chartres à Lorient."
}, 
{"role": "user",     "content":"Battus sur le fil à Fos-sur-Mer, les Rouennais sont rentrés... en jet privé !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Rouen est loin du plus gros budget de Pro B (environ 1,5 millions d’euros de moins que les Orléanais qu’ils ont battus au tour précédent en quart de finale des Playoffs) mais a la chance d’avoir un parrain-actionnaire comme Ian Mahinmi des plus généreux. Pour récompenser les joueurs du RMB de leur performance héroïque dans le match d’appui remporté à Orléans trois jours plus tôt, le pivot des Wizards avait fait affréter un avion privé pour le déplacement de ses protégés en Provence pour disputer le premier match des demi-finales contre Fos-sur-Mer.\\n\\n« Ian nous a donné ce coup de main là et nous a affrété un avion ce matin, a déclaré Alexandre Ménard après le match. Donc là on espère être chez nous avant deux heures du matin, sauf si la ligue continue de nous mettre des contrôles anti-dopages après le match quand on joue à l’autre bout de la France, a ajouté le coach rouennais. Pour revenir à Ian, il nous a offert ce grand luxe. C’est bien car ce soir on va pouvoir être chez nous, dans nos lits dès ce soir, faire de la cryo dès demain matin, une petite séance dimanche soir pour un peu se décrasser, même si là, vu tout ce qu’on a donné, on ne sera pas trop encrassé ! On va pouvoir faire des ajustements tactiques pour un match 2 où on attend beaucoup de monde. Et croyez moi qu’on sera prêt pour le combat, je n’ai aucun doute par rapport à ça. ».\\n\\nÉgalement interrogé sur la question, l’ailier Rémi Dibo a également vu ce retour express d’un bon œil.\\n\\n« Bien sûr que ça va nous aider. C’est la dernière ligne droite de la saison. C’est le cas pour tout le monde, tous les corps sont fatigués mais ça fait partie du métier. On a de la chance que le club ait pu mettre les moyens pour qu’on puisse rentrer dès ce soir afin d’accélérer le processus de récupération ».\\n\\nRevenus à une possession après avoir accusé jusqu’à 32 points de retard en fin de première mi-temps, les Rouennais sont restés fidèles à leur réputation, et ce petit coup de pouce sera peut-être décisif dans la récupération en vue du match retour où l’antre du RMB pourrait bien afficher guichets fermés.\\n\\n« Il y a déjà 3 500 tickets de vendus. On espère monter à 4 voire 5 000. J’espère déjà que ce sera une grande fête du basket. Je trouve que les deux équipes pratiquent un basket intéressant. J’aime bien ce que fait Fos, très sincèrement. Et puis j’ai envie de revenir ici, c’est quand même une très belle région. Il fait beau, il fait chaud... et nous on aime bien les matchs 3 »."
}, 
{"role": "user",     "content":"N1: Emmené par Vincent Pourchot, Lorient auteur d’un exploit monumental à Saint-Quentin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« La grande désillusion », titre ce matin à La Une le Courrier Picard. « SQBB fait flop » annonce le journal dans ses pages Sports avant que le titre de l’article consacré au match d’appui des playoffs d’accession en Pro B soit « Quel raté ! ». Contre toute attente, Saint-Quentin s’est incliné 78-74 face au CEP Lorient.\\n\\nContre toute attente car le CEP était privé de trois joueurs majeurs, Jason Bach, Mathieu Bigote et Jared Newson dont le contrat se terminait le 31 mai et s’est présenté à 6 pros. Contre toute attente car à la 27e minute, grâce notamment à son Canadien Maurice Walker (17 points et 11 rebonds), SQBB menait 54-41 et encore 61-47 à la fin de ce troisième quart-temps. Mais tout d’un coup les Picards s’effondraient. Ils ne scoraient que 6 points dans le dernier quart-temps contre 20 aux Bretons. Les 2 793 spectateurs n’en croyaient pas leurs yeux. Même si Vincent Pourchot et ses 2,22m (13 points, 11 rebonds, 4 passes, 1 contre, 23 d’évaluation) étaient sortis pour cinq fautes, c’est Lorient qui traçait sa route vers une incroyable victoire, 78-74."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B – Roanne marque son territoire !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Voilà ce qu’on appelle une démonstration, pour rester correct. Pour son premier match à domicile des demi-finales des Playoffs, la Chorale de Roanne n’a fait qu’une bouchée des Lillois en s’imposant 83-36 après avoir compté jusqu’à 49 points d’écart !\\n\\nPour faire simple, les hommes de Laurent Pluvy ont attaqué la rencontre pied au plancher (10-2) et n’ont jamais relâché la pression. Après un premier quart-temps maîtrisé des deux côtés du parquet (25-8), les Roannais alors emmenés par la paire Williams-Nyakundi (18 des 25pts inscrits) ont eu le mérité de ne jamais lâcher et de ne laisser aucune chance au LMBC, privé de l’impact physique de Charles Gombauld en sortie de banc (parti disputer le camp NBA de Trévise sans l’aval de son club).\\n\\nA 41-18 à la mi-temps, les Roannais ont laissé un sentiment impressionnant de facilité après le repos, comme si rien ne pouvait leur arriver ! A l’image du tir en tête de raquette de Zaki suivi du reverse lay-up d’Alexis Tanghe avec la faute en contre attaque pour porter la marque à 77-32.\\n\\nFidèle à sa réputation, Rouen revient de -30 à la pause à Fos\\n\\n\\nSi Roanne s’est imposé aisément, dans l’autre demi-finale, Fos Provence Basket a eu bien du mal à se défaire de Rouen. Malgré une première mi-temps rêvée, les Provençaux se sont pris les pieds dans le tapis et ont bien failli connaître le même sort qu’Orléans avant eux. Avec 30 points d’avance à la mi-temps (46-16), les Fosséens étaient sans doute loin de s’imaginer tel retournement de situation. Mais en affichant à leur tour une défense agressive et une adresse retrouvée, les Normands sont revenus à une possession dans la dernière minute grâce à deux lancers de Varanauskas (73-71). C’est le pivot bahaméen Jaraun Burrows qui a évité le pire aux Black&Yellow avec un panier après un rebond offensif puis en provoquant une anti-sportive qui a finir par mettre les locaux à l’abri (79-75)\\n\\nMatchs retours ce lundi à Lille et Rouen à partir de 20h."
}, 
{"role": "user",     "content":"Zack Wright (Strasbourg): «Travis et Lofton ont réussi des performances exceptionnelles»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Même si ce n’est pas forcément fondamental, la SIG Strasbourg a perdu l’avantage du terrain après son échec, 71-80, face au Mans SB lors du Match 2 des demi-finales des playoffs.\\n\\nLe coach Vincent Collet a reproché en conférence de presse à certains de ses joueurs d’avoir perdu leurs nerfs:\\n\\n« Le Mans a fait un match remarquable et il faut leur donner ce crédit. On a des choses à se reprocher mais il ne faut pas négliger le niveau de leur performance, à l’image de Travis ou de Lofton. On a bien démarré le match, hormis quelques excès de péché de gourmandise avec des prises à deux qui leur ont permis de mettre trois fois des paniers à l’ultime seconde. Et puis on a eu ce souci de comportement au premier temps mort du deuxième quart temps et ça été un tournant. On travaille sur l’état d’esprit depuis si longtemps pour ne pas accepter ce qui s’est passé. Les deux joueurs en cause ont pénalisé l’équipe. Pendant plusieurs minutes, on a perdu le fil du match. On est revenu avec de meilleures intentions mais chaque fois qu’on pouvait se rapprocher, ils ont mis un gros tir. Le retour de Stephens sur un lay up de Logan est significatif, au-delà de la performance physique, il fallait avoir la volonté de courir, et il l’a eu. Alors qu’en face, Inglis et Bilan ont laissé Cobbs filer au panier, Inglis récoltant sa 4efaute. On a été longtemps sans aucune réussite, même sur les tirs ouverts. Ça, c’est le basket. Eux, ils ont marqué 7 ou 8 paniers à l’ultime seconde. Mais il y avait d’autres manières de gagner. Mes joueurs ont rarement tiré près de 80 fois sauf les soirs de folie douce... On avait un projet commun et certains ne l’ont pas respecté ».\\n\\nLe meneur Zack Wright a reconnu également la qualité de la performance des Manceaux:\\n\\n« On a plutôt bien débuté, mais dans le deuxième quart temps on n’a plus marqué que 6 points, aucun pendant 8 minutes. On a été sérieux en défense mais ils ont fait l’écart sur les lancers-francs qu’on leur a donnés. Ça nous fait mal cette défaite, mais ils ont bien joué ce soir et c’est sans doute notre plus mauvais match offensif de la saison. On n’a pas trouvé les courses en transition pour avoir plus de passes décisives et on a raté trop de tirs ouverts. Ils nous ont forcé à jouer un contre un avec une équipe de petite taille. Travis et Lofton ont réussi des performances exceptionnelles, ils ont fait la différence. On savait qu’ils étaient capables de ça. Et Cobbs a encore joué tous les ballons ».\\n\\nPhoto: Zack Wright (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B Jordan Aboudou (Fos-sur-Mer) suspendu"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Impliqué dans une échauffourée avec Gaëtan Clerc (et de deux fautes techniques synonymes d’éjection) lors du match aller des quarts de finale des Playoffs d’accession contre le Sluc Nancy, Jordan Aboudou a été suspendu pour deux matchs par la commission de la LNB. Le club a fait appel mais celui-ci n’est pas suspensif et la requête n’avait pas été traitée hier. En conséquence, Jordan Aboudou ne figure pas sur la feuille de match de ce premier rendez-vous des demi-finales entre Fos-sur-Mer et Rouen. Roanne affronte dans le même temps Lille, les deux matchs sont à suivre gratuitement en vidéo sur lnb.fr"
}, 
{"role": "user",     "content":"Demi-finale, Match 2: Le Mans repart de Strasbourg avec le butin, 80-71"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Emmenés par leur capitaine Romeo Travis étincelant offensivement (23 points à 68% de réussite) et au prix d’une défense intelligente et ultra agressive, et malgré 22 balles perdues, les Manceaux ont réussi à renverser la SIG dans ce Match 2 et se retrouve ainsi à égalité avec deux matches à suivre à Antarès.\\n\\nPremier Strasbourgeois à se faire remarquer, le revenant Pape Sy et ses pénétrations. Et du côté manceau, un Romeo Travis saignant dont le coach Eric Bartecheky avait décidé de refaire un titulaire à l’intérieur après l’intérim de DJ Stephens, et Chris Lofton qui faisait mouche deux fois de suite de loin. Après une égalité à 12-12 au bout de 5 minutes, on revoyait à l’oeuvre Miro Bilan si performant lors du Match 1 à l’intérieur. Un premier écart pour la SIG (17-12) était très vite annulé même si les Strasbourgeois menaient 21-19 après un quart-temps en profitant des six balles perdues mancelles et des errements de Mykal Riley.\\n\\nLes défenses étaient évidemment au top des deux côtés. Beaucoup de trash talking. Quelques décisions arbitrales énervaient les Manceaux. Le coach du MSB cherchait les solutions idéales à l’intérieur y compris en mettant Youssoupha Fall -très peu à l’aise depuis le début de cette demi-finale- et Will Yeguete ensemble. C’est Romeo Travis exceptionnel à la finition (16 points à 8/10 aux tirs en première mi-temps alors que l’ensemble de l’équipe n’avait marqué que 10 paniers sur la période) qui permettait offensivement au MSB de tenir la route. On avait droit à une guirlande d’actions mal contrôlées entraînant quantité de balles perdues surtout du côté du Mans (11 à 8). Seulement la meilleure défense de Jeep Elite faisait tomber l’adresse des Alsaciens à 8/22 (2/8 pour Miro Bilan) qui étaient en panne sèche, si bien que Le Mans menait 36-27 à la pause après avoir compté un court instant 11 points d’avance. La SIG n’avait scoré que 6 points sur cette tranche de dix minutes ! La retrouver à 20 d’évaluation (45 pour le MSB) était une sacrée surprise.\\n\\n12/12 aux lancers pour Justin Cobbs\\n\\nStrasbourg retrouvait le chemin du filet dès l’entame du troisième quart-temps avec un Dee Bost percutant. La SIG est habituée à faire des troisièmes quart-temps de haut niveau en profitant de son large effectif. Les deux équipes mettaient un maximum d’énergie et le MSB tenait bon grâce à un fort pourcentage de réussite (18/28 aux tirs après 26′) et malgré un Youssoupha Fall invisible (0 point, 1 rebond en 10′ de jeu sur la totalité du match). Il mena plusieurs fois de douze points avant qu’un panier de Zack Wright réduisent l’écart à dix juste avant la fin du quart-temps (48-58).\\n\\nUn vrai match de playoffs avec un échange verbal peu aimable entre Justin Cobbs et Damien Inglis qui leur valait une technique chacun. On voyait aussi beaucoup Chris Lofton (5/6 à trois-points au final) et forcément l’architecte du jeu manceau, Justin Cobbs, et Le Mans menait 64-52 à huit minutes de la fin. Ce sont ses 17 balles perdues à cet instant qui empêchaient les Manceaux de prendre le large.\\n\\nChaque possession était terriblement intense. Miro Bilan (14 points mais à 4/12) était pris dans l’étau manceau, mais Dee Bost (21 points) et Zack Wright (12 points et 9 rebonds) étaient au rendez-vous. Un tournant quand DJ Stephens réalisait le contre de l’année -la détente de ce gars est irréel- sur David Logan et dans la foulée Chris Lofton enfilait un autre panier primé. Retour à douze points d’écart (73-61 à 2’53).\\n\\nDans des ultimes échanges fou-fou, les manceaux toujours aussi combattifs faisaient preuve de suffisamment de sang-froid et d’adresse aux lancers-francs (12/12 pour Justin Cobbs) pour repartir d’Alsace avec le butin. Complètement déréglée par l’intensité défensive mancelle, la SIG n’a pu transformer que 4 de ses 21 tentatives à trois-points.\\n\\nPhoto: MSB\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nLe résumé du match est ici.\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/1002956895085322241"
}, 
{"role": "user",     "content":"Elie Okobo (Pau) va être testé par les Denver Nuggets et les Portland Trailblazers"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Des nouvelles de Elie Okobo. Actuellement aux Etats-Unis, le Palois a été invité par les Denver Nuggets pour effectuer un workout informe le Mile High Sports. Or ceux-ci possèdent le 14e choix de la prochaine draft. Faut-il y voir un effet de ses 44 points scorés en playoffs contre Monaco? On apprenait un peu plus tard que les Portland Trailbazers sont aussi intéressés.\\n\\nElie Okobo est actuellement positionné en 21e position par ESPN, en 30e par nbadraft.net, et encore en 35e par Tankathon. Il y a 30 places au premier tour, un impératif pour avoir un contrat garanti et pour Pau afin de toucher les indemnités de la NBA.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Angers voudrait être le 13e club en Ligue Féminine la saison prochaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Angers ne lâche pas le morceau ! L’UFAB a été battue par Landerneau, 54-56, lors de belle de la série d’accession à la Ligue Féminine, mais le club a déposé une réclamation auprès de la FFBB car il estime -vidéo à l’appui- qu’il restait une seconde et deux dixièmes à jouer, balle dans les mains de ses joueuses et sous le panier des Bretonnes, et donc que tout était encore possible.\\n\\nLa fédération a débouté l’UFAB mais son avocat, Maître Olivier Géral, n’est pas du tout convaincu du bien fondé de sa décision comme il l’explique au Courrier de l’Ouest:\\n\\n« Ce rejet s’appuie sur un argument surprenant. Il nous a été dit que, dans la mesure où la vidéo n’est pas imposée en L2, notre réclamation, fondée sur la vidéo, n’est pas recevable ! Pas la peine de se mentir. La Fédération est bien embêtée par cette affaire et c’est le seul argument qu’elle avait pour botter en touche . »\\n\\nL’UFAB a fait appel hier avec un constat d’huissier sur la vidéo et les photos. Et les Angevins sont prêts à porter l’affaire devant le CNOSF. Il est évidemment impossible de rejouer les quelques dixièmes ou le match entier, alors Me Olivier Géral a une idée:\\n\\n« Il ne s’agit pas de sanctionner Landerneau. Le but est de faire en sorte que l’UFAB bénéficie clairement de ce à quoi elle avait droit. En se sens, on peut tout à fait imaginer une poule de Ligue Féminine impaire la saison prochaine. »\\n\\nBref, l’UFAB espère qu’il y aura 13 clubs à la douzaine la saison prochaine en LFB !"
}, 
{"role": "user",     "content":"Rudy Gobert de passage à Cholet: «Je suis motivé pour rejoindre chaque été l’équipe de France»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Rudy Gobert (2,16m, 26 ans le 26 de ce mois), pivot des Utah Jazz, était hier à Cholet pour rendre visite à son club formateur et donner une conférence de presse. Une évidence que La Meilleraie, alias « Le Hangar » est bien différent de la luxueuse Vinvit Smart Home Arena, qui abrite les Jazz à Salt Lake Ciyy.\\n\\n« Cholet, Utah, ces cinq dernières années... Tout cela me paraît proche et lointain à la fois. Mais revenir ici, où j’ai plein de bons souvenirs – comme quand je m’évadais du centre de formation (rires) – est toujours plaisant. Et puis, cela m’a permis de revoir les toilettes de La Meilleraie..., » s’est marré le pivot des Jazz. Des propos rapportés dans l’édition de ce matin du Courrier de l’Ouest.\\n\\nQue de chemin parcouru pour celui qui vient de recevoir le trophée de DPOY, c’est à dire qu’il a été élu défenseur de l’année par ses pairs, en attendant de savoir s’il recevra aussi celui plus officiel de la NBA.\\n\\nRudy Gobert soutient l’Académie Gautier, le centre de formation de Cholet Basket.\\n\\n«Je suis arrivé à Cholet à 15 ans et je connais David (Ndlr : Soulard, le Manager général des Meubles Gautier) depuis que j’ai 17 ans. Ici, c’est donc comme une famille pour moi. On a lancé le projet ensemble et j’en suis devenu le parrain il y a deux ans. Aujourd’hui, je fais de mon mieux pour l’accompagner et je suis très heureux de son évolution. »\\n\\nPar ailleurs, le pivot international a évoqué l’équipe de France et ses ambitions à ce propos. Rappelons qu’il fera partie de l’équipe qui effectuera les déplacements en Bosnie à la fin du mois puis en Russie mais devrait rater les rendez-vous de septembre.\\n\\n« Porter ce maillot est toujours un honneur et j’ai hâte de revenir », explique t-il. « Mais mon but est d’aller chercher la Coupe du Monde 2019 puis ensuite les JO. Les Jazz connaissent ma position. Je suis motivé pour rejoindre chaque été l’équipe de France. Après, je comprends que le club ne soit pas d’accord si je suis blessé ou pas à 100 %. »\\n\\nPhoto FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"N1: Arnaud Ricoux est le nouvel entraîneur de Saint-Vallier"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Saint-Vallier a obtenu l’accord en tant qu’entraîneur de Arnaud Ricoux, 49 ans, qui prend ainsi la succession de Jean-Sébastien Chardon qui est parti comme assistant à Boulazac.\\n\\nArnaud Ricoux possède un épais CV puisqu’il a entraîné Escaudoeuvres, Denain et Ardres, tout en étant cadre technique de la ligue Nord-Pas-de-Calais, Boulazac, Le Portel qu’il fit monter en Pro B, Saint-Quentin, Reims en LF2, Neuchâtel (Suisse) puis Berck et il était cette saison au Sparta Bertrange (Luxembourg)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Miralem Halilovic a resigné pour un an à Orléans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que l’équipe a été éliminée des playoffs de ProB par Rouen, Orléans Loiret Basket a reconduit le contrat du Bosnien Miralem Halilovic (2,05m, 26 ans), qui a réalisé une très bonne saison.\\n\\n« Miralem nous a impressionné par son investissement pour le club, sa mobilité et sa capacité à être complet sur le terrain. Son état d’esprit est excellent\\n\\n. C’est un profil de joueur rare et très précieux pour nous», a commenté le coach Germain Castano dans La Rep.\\n\\nL’intérieur bosniaque a compilé 13,4 points, 6,7 rebonds et 2,8 passes pour 17,3 d’évaluation. Sa blessure (muscle fessier) conjuguée à celle d’Alex Abreu (cheville) a fait très mal à l’OLB dans le sprint final.\\n\\nPhoto: OLB"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB : Endy Miyem, Helena Ciak, Diandra Tchatchouang, Marielle Amant... Lattes-Montpellier de retour au premier plan"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La conférence de presse du club lattois organisée ce matin à l’hôtel de la Métropole Montpellier Méditerranée a tenu toutes ses promesses. En plus d’afficher un nouveau logo, d’introniser « Gazou » la nouvelle mascotte du club, le président Franck Manna, accompagné d’Edwige Lawson-Wade (directrice sportive), Rachid Méziane (entraîneur) et de Philippe Saurel (Maire de Montpellier), a présenté le nouvel effectif du BLMA pour la saison 2018-2019. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le club héraultais a frappé très fort !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n« On a des joueuses emblématiques, des joueuses d’expérience, des joueuses qui ont la culture de la gagne, qui ont gagné, qui savent gagner, » a notamment déclaré le président Manna avant la présentation officielle des sept recrues qui viendront épauler Romane Berniès et Ornella Bankolé, seuls éléments de la saison 2017-2018 à poursuivre l’aventure.\\n\\nDiandra Tchatchouang et Héléna Ciak de retour\\n\\nPour épauler Berniès à la mène, le club héraultais a misé sur un autre gros potentiel de la Ligue Féminine en recrutant Alix Duchet (1,63m, 20 ans), ex-meneuse du Cavigal de Nice (relégué en LF2) qui continue de progresser au fil des saisons (8,8pts, 3,6pds, 9,2 d’éval en moyenne cette année).\\n\\n« C’est une jeune meneuse que j’ai eu la chance de coacher et d’entraîner à Nice avant d’arriver au BLMA », a déclaré l’entraîneur Rachid Méziane Une joueuse que je suivais depuis quelques années. C’est vraiment un plaisir de la retrouver au BLMA. Avec Romane Berniès, elle composera un tandem de meneuses de très haut niveau. Parce que le projet du BLMA, c’est bien sûr de gagner un maximum de choses, de retrouver la finale, mais c’est aussi de construire l’avenir et c’est aussi pour ça qu’on a misé sur de jeunes joueuses. Je parle de Romane, d’Ornella, mais aussi d’Alix ».\\n\\nSur les postes arrières-ailières, Ornella Bankolé (dont la progression a été stoppée dès novembre dernier par une rupture du ligament antérieur du genou) voit arriver des renforts de choix avec Sami Withcomb (1,78m, 29 ans, poste 2), Taylor Wurtz (1,83m, 27 ans, poste 3-2) et Diandra Tchatchouang (1,89m, 26 ans, poste 3-4), présente à la conférence de presse, tout juste sacrée championne de France avec Bourges et qui revient dans le club où elle a effectué ses débuts en pro .\\n\\nLe profil de Sami Whitcomb a été présenté par Edwige Lawson-Wade, à l’origine de ce recrutement XXL.\\n\\n« C’est une joueuse américaine avec un passeport australien, qui joue depuis quelques saisons en Australie. C’est une scoreuse, très forte shooteuse à 3 points et qui a également un état d’esprit irréprochable. J’ai parlé avec beaucoup de personnes qui m’en ont dit dit que du bien. Elle va nous faire des matchs à 30 points ».\\n\\nUn aperçu des qualités de shooteuse de Sami Whitcomb\\n\\nRachid Méziane s’est ensuite chargé de décrire le profil de l’Américaine Taylor Wurtz qui arrive de Telge (Suède).\\n\\n« C’est une joueuse qui évoluera sur un poste 3-2. Elle apportera beaucoup de dureté, de densité physique. C’est une joueuse qui est aussi cataloguée comme shooteuse. On va avoir besoin de sa polyvalence. Son profil vient bien compléter le reste de l’équipe à son poste ».\\n\\nhttps://vimeo.com/252409778\\n\\nEndy Miyem, encore une grosse prise\\n\\nEnfin, dans la raquette, c’est un trio d’internationales françaises qui vient renforcer le BLMA avec Endy Miyem (1,88m, 30 ans) sur le poste 4 (ex-Schio) accompagnée par Marielle Amant (1,90m, 28 ans, ex-Villeneuve d’Ascq) et Héléna Ciak (1,98m, 28 ans) sur le poste 5. Cette dernière est également de retour à Lattes-Montpellier avec qui elle avait gagné le titre en 2014 avant de passer deux ans à Bourges puis au Dynamo Koursk, l’un des plus grands clubs d’Europe (vainqueur de l’EuroLeague en 2017).\\n\\nEn faisant notamment revenir en LFB la capitaine de l’Equipe de France Endy Miyem, le BLMA a réalisé un gros coup :\\n\\n« Endy, c’est sûr que c’est une joueuse d’expérience, qui a beaucoup gagné, qui a été a Bourges pendant de nombreuses années, a rappelé Edwige Lawson-Wade. Elle vient de gagner le championnat italien après avoir été dans l’un des plus gros clubs russes (Koursk en 2015-2016). C’est une très forte joueuse et je peux vous dire qu’on a beaucoup de chance de l’avoir avec nous. En général, les capitaines de l’Équipe de France sont des joueuses emblématiques qui évoluent plutôt à l’étranger qu’en France. C’est une très grande fierté de l’avoir parmi nous parce que c’est une très grande joueuse mais aussi une personne extraordinaire ».\\n\\nFort d’un budget de plus de deux millions d’euros (20% d’augmentation par rapport à la saison dernière), le BLMA a prévu de réunir son effectif au complet le 3 septembre afin de préparer la saison qui débutera par l’Open LFB (13-14 octobre). Avec pour objectif d’atteindre la finale du championnat de France et les quarts de finale de l’Eurocoupe.\\n\\nL’effectif du BLMA pour la saison 2018-2019 : Romane Berniès, Alix Duchet, Sami Withcomb, Taylor Wurtz, Ornella Bankolé, Diandra Tchatchouang, Endy Miyem, Marielle Amant, Helena Ciak\\n\\nLe nouveau logo du club\\n\\n[armelse]\\n\\n« On a des joueuses emblématiques, des joueuses d’expérience, des joueuses qui ont la culture de la gagne, qui ont gagné, qui savent gagner, » a notamment déclaré le président Manna avant la présentation officielle des sept recrues qui viendront épauler Romane Berniès et Ornella Bankolé, seuls éléments de la saison 2017-2018 à poursuivre l’aventure.\\n\\nDiandra Tchatchouang et Héléna Ciak de retour\\n\\nPour épaule Berniès à la mène, le club héraultais a misé sur un autre gros potentiel de la Ligue Féminine en recrutant Alix Duchet (20 ans, 1,63m), ex-meneuse du Cavigal de Nice (relégué en LF2) qui continue de progresser au fil des saisons (8,8pts, 3,6pds, 9,2 d’éval en moyenne cette année).\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Bojan Bogdanovic et Dario Saric dans la pré-sélection pour la fenêtre de juin/juillet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Six joueurs de NBA apparaissent dans la pré-sélection croate pour la préparation aux éliminatoires de la Coupe du Monde en juin / juillet révélée par l’entraîneur Dražen Anzulović. L’ailier des Philadelphia Sixers Dario Šarić et l’arrière ailier des Indiana Pacers, Bojan Bogdanović en font ainsi partie.\\n\\nDes grandes nations du basket européen, la Croatie est celle qui occupe la place la plus précaire et est ainsi menacée de ne pas se qualifier pour la deuxième phase.\\n\\nLes Croates avaient fait deux sacrées contre-performances en étant défaits aux Pays-Bas (61-68) et à la maison face à la Roumanie (56-58). Ils avaient également pris une déculottée à domicile face Italie (64-80) avant de tout juste s’imposer aux Pays-Bas au retour (82-70).\\n\\nAlors que l’Italie est invaincue (4-0), la Roumanie est deuxième (2-2), et les Pays-Bas et la Croatie sont troisièmes avec 1 seule victoire sauf que le point-average particulier vis à vis des Néerlandais est négatif.\\n\\nC’est donc une opération de survie qui va être menée avec un match à Trieste, en Italie, le 27 juin et à Cluj, en Roumanie, le 1er juillet. Evidemment avec les NBAers, les Croates sont autrement plus compétitifs.\\n\\nLa pré-sélection:\\n\\nBojan Bogdanović (Indiana Pacers), Dario Šarić (Philadelphia 76ers), Ivica Zubac (LA Lakers), Ante Toni Žižić (Cleveland Cavaliers), Mario Hezonja, Dragan Bender (Phoenix Suns), Krunoslav Simon (Anadolu Efes), Hrvoje Perić (Umana Reyer Venezia), Rok Stipčević, Karlo Uljarević (Cibona), Mate Kalajžić (Split), Krešimir Radovčić, Luka Babić, Filip Krušlin (Cedevita), Jakov Mustapić, Domagoj Bošnjak (Cibona), Josip Bilinovac (Cibona), Roko Badžim (Petrol Olimpija), Ivan Ramljak (Cedevita), Darko Planinić, Josip Sobin (Anwil Wloclawek), Kristian Krajina (Zadar), Antonio Vranković (Duke), Željko Šakić (UBT Cluj Napoca), Karlo Žganec (Cedevita), Domagoj Vuković (Zadar), Marko Arapović (Cedevita) et Marin Marić.\\n\\nPhoto: Dario Šarić (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"N1: Christian Pasquier (Lorient): «Où est l’équité sportive?»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour la belle de demi-finales des playoffs de Nationale 1, ce soir, contre respectivement Saint-Quentin et Chartres, Lorient et Boulogne seront privés de trois joueurs ! Mathieu Bigote, Jason Bach et Jared Newson pour les uns, Hugo Dumortier, Ralph Temgoua et Namory Boundy pour les autres. Le président du CEP Lorient, Christian Pasquier, enrage.\\n\\n« Mathieu (Bigote), Jason (Bach) et Jared (Newson) avaient des contrats jusqu’au 31 mai », explique t-il dans Ouest France. « Nous avons demandé une dérogation, comme c’est autorisé, pour les prolonger jusqu’à la fin des playoffs, au 17 juin, au cas où nous passerions encore un tour. Nous avons présenté un dossier, envoyé vendredi de la semaine dernière. Ce dossier a été confirmé lundi par accusé de réception. Nous avons renvoyé tous les éléments que réclamait la Commission du Haut Niveau. La chambre d’appel se réunissait mercredi.\\n\\nJeudi, inquiet de ne pas avoir de nouvelles, j’ai envoyé un premier mail, puis un deuxième, dans l’après-midi, restés sans réponses. Hier matin, je n’avais toujours pas reçu le moindre message, j’ai donc renvoyé un nouveau mail, en expliquant à la Fédération que le car partait une heure plus tard et que j’avais besoin de savoir si mes joueurs étaient bien qualifiés, ou non. J’ai finalement reçu une réponse, à 10 h 50, mentionnant que les trois joueurs n’étaient pas qualifiés.\\n\\nIl a fallu en informer Philippe Maucourant, et les joueurs. On a retardé le départ du car. La Fédération a pris cette décision à notre encontre, et à celle de Boulogne-sur-Mer, qui sera également privé de trois joueurs pour sa demi-finale, et jouera à six (NDLR: en fait le SOMB n’aura que cinq pros). Que se serait-il donc passé, si nos deux équipes s’étaient qualifiées au match 2 ? L’autre question que je me pose aujourd’hui : où est l’équité sportive ? (...)\\n\\nLes trois joueurs non-qualifiés ont pris eux-aussi la route de Saint-Quentin mais c’est bien à sept que le CEP va affronter SQBB."
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague: Gran Canaria a gagné sa place, il n’y a plus que deux tickets en jeu"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En éliminant le champion en titre de la Ligue espagnole, Valence, et en se qualifiant pour les demi-finales de l’ACB, Gran Canaria s’est vu attribuer automatiquement une place dans l’Euroleague 2018-2019. Ce sera la première fois que l’équipe espagnole participera à la compétition européenne reine.\\n\\nSelon l’accord entre l’ACB et l’Euroleague, l’équipe qui est mieux classée que les clubs avec un contrat fermé (Barcelone, Vitoria, Real Madrid) obtient l’accès à l’EuroLeague pour la saison suivante. Comme le Real Madrid et Vitoria avaient déjà atteint les demi-finales et que Barcelone vient d’éliminer Andorre, le dernier ticket d’EuroLeague s’est joué entre Valence et Gran Canaria.\\n\\nGran Canaria a participé pour la première fois à une coupe continentale en 2000-2001, c’était à la Coupe Korac. Depuis lors, l’équipe a disputé onze fois la Coupe ULEB / EuroCup et une fois la FIBA EuroCup, en 2005-2006. Ils ont été en finale de l’EuroCup en 2015 battu par le Khimki Moscou.\\n\\nA ce stade, il ne reste plus que deux places vacantes en Euroleague.\\n\\nL’une ira au vainqueur de la VTB League ou au finaliste si c’est le CSKA Moscou. Khimki Moscou, le Zenit Saint-Pétersbourg et le vainqueur de l’Unics Kazan contre Nijni Novgorod sont en course.\\n\\nDans la BBL allemande, la lutte s’est circonscrite entre le Bayern Munich et l’ALBA Berlin.\\n\\nEuroLeague 2018-19\\n\\nEquipes avec 10 ans de contrat:\\n\\nReal Madrid\\nFC Barcelona Lassa\\nKIROLBET Baskonia Vitoria\\nCSKA Moscou\\nPanathinaikos Superfoods Athènes\\nOlympiacos Le Pirée\\nAX Armani Exchange Olimpia Milan\\nMaccabi FOX Tel-Aviv\\nFenerbahçe Istanbul\\nAnadolus Efes Istanbul\\nZalgiris Kaunas\\n\\nVainqueur EuroCup: Darussafaka Istanbul\\nChampion Ligue ABA : Buducnost\\n\\nChampion Espagne: Gran Canaria\\nChampion Allemagne: : Bayern Munich/ALBA Berlin\\nChampion VTB ou meilleure équipe : Khimki/Zenit St. Peterburg/Unics Kazan/Nizhny Novgorod\\n\\nPhoto: Pablo Aguilar (Gran Canaria/Eurocup)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le nouveau Premier Ministre espagnol, Pedro Sanchez, est un fan de basket"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Elu Premier ministre de l’Espagne en remplacement de Mariano Rajoy, Pedro Sanchez, 46 ans, est un vrai fan de basket.\\n\\nAprès avoir débuté au football, Pedro Sanchez qui mesure 1,90m est passé au basket dans les rangs des équipes de jeune d’Estudiantes Madrid.\\n\\n«Je voulais être un joueur de basket. J’ai joué à Estudiantes pendant de nombreuses années et c’est l’une de mes plus grandes passions. Heureusement pour le basket-ball, je suis parti quand j’avais 21 ans, » a t-il expliqué alors qu’il était le chef du Parti socialiste ouvrier espagnol.\\n\\nIl n’est pas rare de le voir lui et sa famille au Palacio de los Deportes de la Communauté de Madrid, maintenant appelé Barclaycard Arena. Surtout quand un derby contre le Real Madrid est programmé. Il voue par ailleurs une véritable admiration pour Pau Gasol déclarant qu’il aimait son leadership sur le terrain.\\n\\nEn quelque sorte Pedro Sanchez prend le relais de l’ancien président des Etats-Unis Barack Obama lui même amoureux de la balle orange."
}, 
{"role": "user",     "content":"Demi-finale des playoffs: Limoges englouti à Monaco, 71-88"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce n’était pas le match de l’année, mais Monaco l’a parfaitement négocié. Le leader de la saison régulière a mis des herses pour empêcher les Limougeauds d’accéder à son panier. Il faudra un CSP d’une autre dimension pour ramener dimanche une victoire du Rocher.\\n\\nA l’heure du Grand Prix de Monaco et du match France-Italie à Nice, la salle Gaston-Médecin était peu garnie pour ce Match 1. On voyait presque autant de sièges jaunes vides dans les tribunes que de spectateurs. Très triste. Le public a pu se rasseoir très vite car Amara Sy a scoré à trois-points après une poignée de secondes.\\n\\nLa Roca Team mettait d’ailleurs tout de suite le CSP au parfum de ses intentions avec une défense haute et agressive. Des enragés. Et boum, 9-2. Après cinq minutes, coach Zvezdan Mitrovic avait déjà pris sa traditionnelle faute technique alors que l’ASM était pourtant partie sur de très bonnes bases. Il faut dire que l’atmosphère était électrique. Le CSP tenait plus ou moins le coup grâce à son pivot Samardo Samuels qui marquait les cinq premiers paniers de l’équipe. 22-14 après 10 minutes pour Monaco. Et +11 (28-17) juste un peu après grâce à du jeu rapide.\\n\\nDans le dur, les Limougeauds faisaient le dos rond et ne laissaient pas les Monégasques s’échapper. A la mi-temps, le CSP était à huit points (36-44... et à 20 à l’évaluation, 36-56 !). C’est ce que l’on appelle un match de traînard, on endort l’adversaire et on essaye de le déborder dans la ligne droite. Point très dommageable, les trois fautes du meneur Dru Joyce.\\n\\nDans une ambiance soporifique indigne des playoffs, la reprise se faisait du côté de Monaco sur un rythme saccadé qui permettait au CSP de revenir à 45-48 (24e). Le niveau n’était pas folichon. Les deux Monégasques les plus en vue étaient Chris Evans et Paul Lacombe qui affichaient à eux d’eux 28 points et 7 rebonds après trois quart-temps. L’ASM frappait fort à l’intérieur avec un 20/29 aux tirs. Samardo Samuels avait disparu de la circulation. Limoges perdait le bénéfice d’un bonne huitaine de minutes sur des bêtises dans les derniers instants, 57-68.\\n\\nLes Monégasques prenaient peu à peu la mesure de leurs adversaires, usés par leur défense harassante. Quand vous avez Aaron Craft ou Paul Lacombe sur le dos, la vie n’est pas facile! Le CSP ne marquait plus. Le +20 était établi à la 24e minutes (79-59). Dans le garbage time, Axel Bouteille mettait ses points et les Limougeauds évitaient la correction. Allez, si on met deux étoiles sur cinq à ce match, c’est bien le diable.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Amara Sy (FIBA)\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/1002636984723140610"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie: Dogus, son principal sponsor, lâche Fenerbahçe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le président de Fenerbahçe, Aziz Yildirim, a confirmé que le groupe industriel turc, Dogus Group, ne sera plus le sponsor de son équipe au cours de la prochaine saison.\\n\\n« Les rumeurs sur le fait que le groupe Dogus cesse d’être notre sponsor sont vraies », a déclaré Yildirim lors d’un entretien avec la chaîne turque Bein Sports. « Ils ont leurs propres problèmes. Ils ont des problèmes d’emploi. Ils essaient de résoudre ces problèmes. Ils discutent avec les banques à ce sujet. Les conditions économiques en Turquie deviennent difficiles. S’ils peuvent les résoudre, nous pouvons continuer. «\\n\\nL’été dernier, Fenerbahce et Dogus Group ont signé un contrat de trois ans pour que ce dernier devienne le sponsor principal du département basket du club. Ce pendant l’accord incluait des clauses permettant à Dogut de se désengager.\\n\\nDogut est un géant turc qui gère plus de 300 entreprise et qui compte 35 000 salariés. Selon l’accord signé entre les deux parties, Fenerbahce devait recevoir 45 millions d’euros au cours de cette période de trois ans. C’était le plus gros montant jamais versé par un sponsor dans l’histoire du basket-ball européen.\\n\\nOn verra si le club du coach serbe Zeljko Obradovic vainqueur de l’Euroleague en 2017, finaliste en 2016 et 2018, pourra maintenir son fastueux train de vie.\\n\\nPhoto: Zeljko Obradovic"
}, 
{"role": "user",     "content":"Modification du calendrier d’Eurocup: Sous la pression, l’Euroleague fait une concession"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un communiqué daté du 1er juin 2018, l’Euroleague annonce une modification du calendrier de l’EuroCup pour la saison 2018-19 et libère de facto les joueurs pour leurs sélections nationales pour la fenêtre de qualification à la Coupe du Monde FIBA de fin novembre.\\n\\nL’Euroleague a décidé, en accord avec l’ULEB (Union des ligues européennes de basket), présidée par Tomas Van Den Spiegel, d’avancer d’une semaine le début de la saison régulière d’EuroCup, qui débutera donc le 3 octobre. La raison invoquée dans le communiqué est de ménager une semaine de repos dans la compétition entre la saison régulière et le début du Top 16, une disposition qui aurait été réclamée par les représentants des clubs.\\n\\nCette décision a donc pour effet mécanique que le 27 novembre ne se tiendra aucun match d’EuroCup. Ce qui libère donc des joueurs susceptibles d’être sélectionnés par leur équipes nationales de jouer lors de la fenêtre de qualifications pour la Coupe du Monde des 29 et 30 novembre 2018.\\n\\nDifficile dans le contexte actuel et de la mobilisation sans précédent des dernières semaines que cette concession n’ait aucun lien avec la vague de contestation qui agite l’ensemble du basket européen face à l’absence de volonté de l’Euroleague de trouver une solution aux problèmes de calendrier qui pénalise joueurs, sélections et les fans des équipes nationales qui tentent de se qualifier pour la Coupe du Monde 2019.\\n\\nLe 23 mai à Bruxelles, les ministres européens des sports ont fait une déclaration commune en faveur des équipes nationales et contre les ligues fermées. Le 27 mai à Nicosie, les 46 fédérations europénnes de basket ont produit une déclaration unanime très clair contre la politique de l’Euroleague. Depuis des mois, des présidents de fédération comme le Français Jean-Pierre Siutat, le Russe Andreï Kirilenko, l’Espagnol Jorge Garbajosa, le secrétaire général de la fédération de Serbie Dejan Tomasevic ont dénoncé l’attitude de Jordi Bertomeu et appelé l’Euroleague à revenir à la table des négociations.\\n\\nCe premier mouvement est donc une réponse évidente à cette mobilisation. Elle appelle maintenant d’autres questions. S’il est si facile pour l’Euroleague de modifier ainsi le calendrier de l’EuroCup, pourquoi ne pas faire de même avec celui de l’Euroleague ? Ce qui libérerait ainsi énormément de joueurs qui veulent rejoindre leurs sélections – les effectifs des équipes pour la fenêtre de juin montre bien cette envie. Si Jordi Bertomeu a le souci initial, comme l’indique le communiqué du 1er juin, de lier le calendrier de ses deux compétitions pour « minimiser l’impact sur les championnats nationaux », pourquoi alors ne pas faire d’une pierre deux coups en décalant aussi la journée d’Euroleague. L’impact sera alors limité sur les ligues nationales, sur les qualifications à la Coupe du Monde. Avec la présence des joueurs d’Euroleague, notamment pour un pays comme la France, cela change drastiquement le visage de la sélection.\\n\\nJordi Bertomeu a ainsi la possibilité de se réconcilier avec l’Europe du basket qui ne demande que ça."
}, 
{"role": "user",     "content":"Ligue Féminine : Bourges 2018-19, le pari de la jeunesse"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est désormais officiel: champion de France et vainqueur de la Coupe de France, le Tango Bourges Basket perd trois de ses cadres. C’était attendu pour la meneuse Espagnole Laia Palau, venue faire une pige médicale jusqu’à la fin de la saison en remplacement de sa compatriote Cristina Ouviña un temps blessé, et qui court allègrement vers la quarantaine. Il est évident que les départs des internationales Diandra Tchatchouang (Lattes-Montpellier), au club depuis cinq saisons, et de Valériane Ayayi (Prague) sont davantage préjudiciables.\\n\\nPour compenser, le club berruyer a opté pour la jeunesse avec deux gros prospects, Lisa Berkani, nouvellement internationale, et Iliana Rupert, considérée comme la meilleure joueuse européenne de sa génération. Il est évident que les deux ne donneront pas leur pleine puissance dès la saison prochaine. Mais en conservant une forte ossature, les Tango seront encore candidates au titre même si Lattes-Montpellier a monté une véritable armada. Le recrutement de la MVP de la saison de LFB, la Canadienne Nayo Raincock-Ekunwe va dans ce sens.\\n\\nMeneuses:\\n\\nKB Sharp (1,75m, 37 ans), Cristina Ouviña (1,68m, 28 ans), Lisa Berkani (1,76m, 21 ans)\\n\\nExtérieures:\\n\\nMarine Johannès (1,78m, 23 ans), Sarah Michel (1,80m, 29 ans), Nayo Raincock-Ekunwe (1,88m, 26 ans), Iliana Rupert (1,93m, 16 ans)\\n\\nIntérieures:\\n\\nKatherine Plouffe (1,90m, 26 ans), Elodie Godin (1,90m, 33 ans), Alexia Chartereau (1,89m, 20 ans)\\n\\nLe Berry précise que Olivier Lafargue, Alexia Chartereau, Lisa Berkani et Iliana Rupert sont sous contrat jusqu’en 2020. Toutes les autres sont engagées jusqu’en 2019. L’assistant Jérôme Authier est quant à lui engagé jusqu’en 2021.Photo: Alexia Chartereau (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Un tableau pour suivre chaque jour les transferts en Jeep Elite."
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BasketEurope vous propose de suivre durant toute l’inter-saison l’évolution des transferts en Jeep Elite. Le tableau sera mis à jour quotidiennement par nos journalistes mais nous avons besoin aussi de votre participation. Si vous êtes au courant d’un transfert CONFIRME qui nous a échappé, n’hésitez pas à nous contacter.\\n\\nLe tableau de Jeep Elite est accessible ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le retour de Aldo Curti, en N1, à Souffelweyersheim"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Aldo Curti arrive au Basket Club de Souffelweyersheim (NM1) annonce la journaliste des DNA, Guylaine Gavroy. Un rebond pour ce meneur de 1,80m et 30 ans, qui a connu neuf saisons de Pro A dont les meilleures ont été à Orléans (7,9 points et 3,5 passes en 2011) mais qui avait disparu des radars en 2016 après un passage à Orchies peu convaincant (2,2 points et 2,0 rebonds). Il avait préféré faire un break à cause « d’une usure physique et mentale ».\\n\\n« Durant sa période de convalescence, le joueur s’est ressourcé auprès de sa famille qui a joué un rôle majeur dans son rétablissement. « Mon frère et mon père m’ont bien aidé, on a beaucoup discuté », a-t-il déclaré. Sollicité par plusieurs clubs de Pro B, ce dernier déclinera les propositions, préférant se consacrer à sa situation personnelle. « J’ai eu un coup de barre », reconnaitra l’intéressé », a écris il y a peu webullitioninfo.\\n\\nAprès s’être entraîné seul, l’international camerounais a ensuite signé en Nationale 2, aux Canonniers de Sainte-Marie/Metz, en septembre dernier. C’est son club formateur. De la Lorraine, il passe donc en Alsace.\\n\\nPhoto: Canonniers de Sainte-Marie Metz"
}, 
{"role": "user",     "content":"Articles de la semaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BasketEurope vous propose chaque semaine l’essentiel de l’actualité du basket français et européen, voici une sélection des articles qui ont marqué cette semaine :\\n\\n 1.  Les Français de l’étranger : Axel Toupane flambe en playoffs !\\n 2.  François Gomez (Tarbes): « Moi qui suis champion de France en 2010, le téléphone ne sonne pas »\\n 3.  Ligue Féminine: Les 5 Majeurs des 20 ans dévoilés\\n 4.  LFB : Endy Miyem, Helena Ciak, Diandra Tchatchouang, Marielle Amant... Lattes-Montpellier de retour au premier plan\\n 5.  Pro B : les adieux de Kyle McAlarney (Orléans)\\n 6.  Olivier Bourgain (Limoges CSP) : « Après deux saisons sportivement ratées, on avait une chape de plomb au-dessus de la tête »\\n 7.  Olivier Bourgain (Directeur Sportif Limoges CSP): « Aujourd’hui, les supporters sont persuadés qu’on va aller en finale »\\n 8.  Antoine Eito (Le Mans): « Putain, j’aime ça, les playoffs, j’adore »\\n 9.  Papa de basketteur – Marc Westermann : « Entre 6 et 10 ans, Léo avait déjà des réflexions d’un niveau assez élevé »\\n 10. Grèce : Pourquoi l’AEK Athènes choisit la Basketball Champions League et pas l’Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Sergio Scariolo (Espagne) pour la fenêtre de juin-juillet: «Plusieurs de nos joueurs NBA ne sont plus sur la liste. La plupart ont dit non»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Espagne fait partie des six équipes à avoir remporté ses quatre matches éliminatoires à la Coupe du Monde 2019 avec l’Allemagne, la France, la Grèce, l’Italie et la Lituanie. Elle est donc d’ores et déjà qualifiée pour la seconde partie du processus qui démarrera en septembre.\\n\\nPour la fenêtre de juin-juillet, comme Vincent Collet avec les Bleus, le sélectionneur Sergio Scariolo pourra compter a priori sur le fort contingent de joueurs qui opèrent en NBA et en Euroleague. Mais tout n’est pas posé sur des roulettes et c’est le 12 juin qu’il livrera « la liste la plus compliquée de ma carrière. » Pourquoi?\\n\\n« Il y a encore beaucoup de zones grises. Certains joueurs ont des problèmes physiques, d’autres doivent signer des contrats, d’autres vont terminer leurs saisons en club très tard. Plusieurs de nos joueurs NBA ne sont plus sur la liste. La plupart ont dit non. C’est la liste la plus piègeuse de ma vie », a-t-il commenté à la presse espagnole.\\n\\nSera-ce la dernière apparition de l’Italien à la tête de la Selección? C’est la question qui agite toute l’Espagne du basket puisque l’on sait que Sergio Scariolo a des touches avec plusieurs clubs européens et surtout des franchises NBA pour en être l’assistant. Les Charlottes Hornets seraient la plus chaude. Il a déclaré devoir tout mettre sur la table et prendre la bonne décision.\\n\\nJorge Garbajosa, le président de la fédération, a voulu se montrer rassurant quant au futur de l’Italien:\\n\\n« Il est en contrat avec nous jusqu’en 2020. Son contrat est lié au mien parce qu’on croit l’un en l’autre. S’il y avait du nouveau, je serai le premier à le savoir. Je l’ai vu mercredi, on a parlé et il ne m’a rien dit (...) Il est aussi le coordinateur des catégories inférieures et il est totalement identifié à la philosophie et à la méthode de travail de la Fédération ».\\n\\nA suivre.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie: Milan et Trente se retrouvent en finale des playoffs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les playoffs en Italie en sont déjà au stade de la finale et Armani Milan et Dolomiti Energia Trento vont se retrouver pour le titre. Les deux équipes ont vaincu respectivement en demi-finales, Germani Basket Breschia et Umana Venise par le même score de 3 manches à 1.\\n\\nLes Milanais doivent beaucoup à leur ailier lituanien Mindaugas Kuzminskas (2,05m, 32 ans) qui a cumulé 24 points et 8 rebonds lors de la dernière manche gagnée 76-70 à l’extérieur. L’ailier serbe Vladimir Micov (2,01m, 33 ans) a ajouté 13 points, 6 rebonds et 4 passes.\\n\\nSi le résultat de cette demi-finale est conforme à la saison régulière, ce n’est pas le cas de l’autre série puisque Venise avait terminé première avec 23 victoires pour 7 défaites. Dolomiti Energia Trento avait obtenu seulement 18 victoires et la cinquième place. Dans le match décisif, à domicile, qu’ils ont remporté 84-76, les joueurs de Trente ont forcé leurs adversaires à commettre 19 pertes de balles et 27 fautes personnelles. Dustin Hogue (1,98m, 26 ans) a été royal avec 17 points et 12 rebonds. Le meneur argentin naturalisé Andres Forray (1,87m, 32 ans) a lui assuré 16 points et 6 passes.\\n\\nLa finale va en quelque sorte opposé le basket des villes puisque Milan compte 1 370 000 habitants au basket des champs dans la mesure ou Trento (Trente en français), situé dans les Alpes, au Nord-Est de la Péninsule, en compte exactement dix fois moins.\\n\\nPhoto Shavon Shields (Trento – Lega)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Elite: Jonathan Rousselle (Cholet), Kevin Jones (Nanterre) et Elie Okobo (Pau) en course pour le Trophée du Joueur du Mois de mai"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les trois joueurs qui concourent pour le Trophée de Jeep Elite du Joueur du Mois de mai ne sont plus en course en playoffs. Ce sont Jonathan Rousselle (Cholet), Kevin Jones (Nanterre) et Elie Okobo (Pau). Ce dernier a tout de même marqué ces playoffs avec ses 44 points inscrits lors du match 1 de quart-de-finale contre Monaco. De quoi faire pencher la balance en sa faveur ?"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : les adieux de Kyle McAlarney (Orléans)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le shooteur de l’OLB Kyle McAlarney (30 ans, 1,83m) avait annoncé la fin de sa carrière et avait été honoré à sa juste valeur lors du dernier match à domicile de la saison régulière. Après avoir offert la victoire à son équipe dans le premier match des quarts de finale des Playoffs de Pro B, l’arrière américain au club depuis cinq ans aurait espéré une meilleure issue mercredi soir, après la défaite d’Orléans à domicile dans le match d’appui pour une place en demi-finale face à Rouen, vainqueur 85-86.\\n\\n« Le résultat, c’est un échec »\\n\\nEn conférence de presse d’après-match, le tireur d’élite, qui a lancé sa carrière en France à Limoges en Pro B en 2011 (45,2% d’adresse à 3pts en carrière en Pro A, 48,4 en Pro B), a livré un constat brut en toute sincérité sur cette défaite prématurée en Playoffs.\\n\\n« (En français) La première chose, c’est félicitations à Rouen ils l’ont bien mérité. Et pour moi, je suis déçu c’est un échec. (En anglais ensuite) On peut mentir et dire que nous avons eu une bonne saison. Nous avons eu de bons moments, et j’aime ces gars, le coaching staff... mais le résultat, c’est un échec. Dans l’ensemble pour le club, je pense que tout est en place pour retourner en première division, avec la nouvelle Arena... Pour la ville je pense que c’est bien dans l’ensemble. Mais cette saison pour moi, c’est un échec. On ne peut pas mentir à propos de ça si le club veut progresser et être meilleur on peut pas mentir... Je me sens embarrassé, honteux, parce que j’ai joué ici pendant 5 ans et nous n’avons rien fait, c’est la vérité. Mais je veux dire merci aux fans, à la ville, au staff, à mes coéquipiers, et tout le monde pour avoir fait de cet endroit ma deuxième maison. J’aimerais pouvoir remonter le temps, mais ce n’est pas possible. J’aurais aimé que le résultat soit différent. Je n’ai pas vraiment d’émotions au sujet de ma retraite à présent car je suis tellement déçu par cette défaite. Mais comme j’ai dit, j’aime ce club et on ne peut pas se mentir, le résultat a été un échec. Le coach est correct,les joueurs qu’ils ont recruté, c’est correct, le management et le projet aussi, tout est bon, c’est même la meilleure année que j’ai passée depuis que je suis ici à Orléans. Tout ça c’est bon le futur et vraiment radieux pour Orléans. Mais cette saison, nous n’avons pas atteint notre objectif ».\\n\\nL’oeil du sniper : « Si le basket-ball n’était qu’une question de talent, je serais entraîneur depuis 10 ans »\\n\\nL’arrière de l’OLB a ensuite fustigé les trop nombreuses erreurs commises par son équipe des deux côtés du parquet malgré tout le talent qui a composé un groupe renforcé en fin de parcours par deux jokers médicaux.\\n\\n« Trop d’erreurs, trop d’erreurs sur le parquet, ça a été la même histoire avec nous toute la saison. Nous avons énormément de talent mais, on s’en fout ! Si le basket-ball n’était qu’une question de talent, je serais entraîneur depuis 10 ans. Ce n’est pas une question de talent, mais plutôt de jouer ensemble, intelligemment, et en défense bien sûr avec intensité, ça va sans dire, jouer dur... Pour gagner des matchs et en particulier en playoffs, on ne peut pas faire les mêmes erreurs qu’en saison régulière des deux côtés du terrain. Offensivement, vous l’avez vu, quand on a fait des erreurs, on l’a payé à chaque fois. À chaque fois. Je ne sais pas combien de points Rouen a marqué grâce à nos erreurs, j’ai l’impression qu’ils ont marqué tous leurs points grâce à nos erreurs. En défense aussi, nous avons fait des erreurs, trop d’erreurs. Comme j’ai dit avant, je crois que l’équipe était bonne pour remporter le titre de Pro B. Tous les joueurs qui sont venus cet été et même Key-Key Clark et Ferdinand Prénom, c’est correct. Tout a été mis en place pour gagner mais on a fait trop d’erreurs sur le terrain. Comme sur les deux dernières possessions des deux matchs où on donne presque les deux lay-ups. On ne peut pas gagner des matchs comme ça. Félicitations à Rouen, merci au staff, aux supporters, les fans, tous les gens de l’organisation, que puis-je dire d’autre... »\\n\\nKyle McAlarney va désormais occuper un poste important (entraîneur de l’équipe masculine et co-directeur sportif) à Moore Catholic une high school de Staten Island (New York), son lieu de naissance.\\n\\nRetrouvez également la réaction de Germain Castano sur OLBTV\\n\\n\\n\\n\\n🏀 Dernier panier de la carrière de @KyleMcAlarney 🔥\\nMerci pour ces 5 saisons passées au club ! 👏👏👏👏👏#GoOrléans pic.twitter.com/RvBkzNwwmx\\n\\n\\n— OrléansLoiretBasket (@OLB45) May 31, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Portel a fait signer le MVP des Pays-Bas, Brandyn Curry"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Brandyn Curry (1,85m, 27 ans) sera le meneur de l’ESSM Le Portel pour la saison prochaine a annoncé le club. Comme Jeffrey Crockett engagé récemment, l’Américain a joué cette saison contre les Stellistes en Eurocup. C’était avec les Néerlandais du Donar Groningen.\\n\\nSes statistiques européennes sont d’ailleurs excellentes: 15,7 points (38% à trois-points), 5,5 passes, 4,7 rebonds et 1,4 interception. Brandyn Curry a par ailleurs été élu MVP du championnat des Pays-Bas et de ses playoffs, comme en 2015.\\n\\nBrandyn Curry a fréquenté la prestigieuse université d’Harvard mais en 2012 il a été impliqué dans un scandale de tricherie qui a concerné environ 125 étudiants et athlètes et il a quitté la fac. Il a ensuite joué aux Pays-Bas (Den Bosch), en Allemagne (Bremehaven) et en Slovénie (Helios Suns) avant donc de retourner aux Pays-Bas.\\n\\nL’ESSM a par ailleurs toujours très envie de conserver Trae Golden, deuxième scoreur de la Jeep Elite avec 16,3 points.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=A9J7fBZhSTw"
}, 
{"role": "user",     "content":"Hyères-Toulon: Manu Schmitt dans l’attente du sort de son club"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’image de son club, l’avenir du coach Emmanuel Schmitt, 51 ans, est en suspens. Le Hyères Toulon Basket a terminé la saison sportivement à l’agonie avec 20 défaites de suite et un total final de 6 victoires en 34 matches avec une dernière place dans la Jeep Elite à la clé. Son coach est le seul de l’équipe a être encore en sous contrat pour deux saisons seulement le HTV est menacé de liquidation judiciaire. Ses droits sportifs pourraient cependant être rachetés par le Paris Basket Avenir.\\n\\n« Je suis dans l’attente. Toutes les hypothèses sont envisageables. Mon avenir personnel n’est pas le plus important », a t-il commenté à Var Matin.\\n\\nOn devrait en savoir très vite davantage sur le sort du HTV et donc de Manu Schmitt."
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB : du changement aussi à Villeneuve d’Ascq"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Entente Sportive Basket Villeneuve-d’Ascq Lille Métropole a annoncé hier la nomination de Christophe Vitoux au poste de manager général à partir du 1er juillet prochain. Personnage emblématique du basket nordiste, ce dernier a déjà connu une fonction similaire à Orchies et Denain. Il remplacera Valentin Cavelier en place depuis sept saisons chez les Villeneuvoises. Sept années marquées par une présence permanente dans le top 4 depuis cinq saisons et ponctuées par deux magnifiques succès : l’Eurocoupe en 2015, et le premier titre de champion de France du club en 2016-2017.\\n\\nAncien coach passé par Denain, Berck, Tourcoing (alors en N1 en 1997), Christophe Vitoux a connu ses plus belles années du côté de Strasbourg où il a franchi les échelons de 1998 à 2002 (élu meilleur entraîneur de Pro B en 99 puis de Pro A en 2000 laquelle), période durant laquelle il a ensuite été nommé au poste d’assistant coach d’Alain Weisz en Equipe de France.\\n\\nUne lourde tâche l’attend pour constituer une équipe compétitive sur les saisons à venir afin de continuer à exister en haut de tableau aux côtés de Bourges, Lattes-Montpellier de retour au premier plan depuis hier, l’Asvel et Charleville-Mézières en haut du tableau.\\n\\n\\n\\n\\n⚠️ DÉPART ⚠️\\n\\n\\n➡️ @VCAVELIER quitte ses fonctions de #Manager Général.\\nChristophe Vitoux sera son successeur dès le 1er juillet 2018.\\n\\n\\nNous souhaitons à Valentin une belle continuation et toute la réussite qu’il mérite 👍🏼\\nQuant à Christophe, bienvenue à l'ESBVA-LM 🙂👋🏼 pic.twitter.com/owdOqlsual\\n\\n\\n— ESBVA-LM (@ESBVALM) May 31, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Miro Bilan (Strasbourg): «J’avais peur en arrivant en France avec ce que les gens m’avaient dit, parce que je ne suis ni athlétique, ni rapide!»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le héros du jour s’appelle Miro Bilan (2,13m, 28 ans). Il a été extrêmement performant lors de la victoire de la SIG Strasbourg sur Le Mans SB compilant 19 points à 8/11 aux shoots, 11 rebonds et 5 passes pour un superbe 31 d’évaluation.\\n\\n« C’était très important de gagner ce premier match. Pour l’adversaire, c’est là qu’il a le plus de chances de vous surprendre. Ils ont essayé, ils ont été bons mais nous avons très bien défendu pendant 40 minutes en n’encaissant que 66 points. C’est le chemin pour gagner le championnat. Depuis plusieurs jours, nous nous étions préparés et le coach nous avait donné un plan strict pour savoir comment les attaquer. On l’a bien fait. Il faut tout de même qu’on apprenne de ce match pour éviter les quelques erreurs qu’on a faites et ce sera bon , a expliqué le Croate en conférence de presse.\\n\\nLe géant manceau Youssoupha Fall (3 points à 1/7, 3 rebonds et -3 d’évaluation) a été complètement mis sous l’éteignoir.\\n\\n« Pour être honnête, j’avais peur en arrivant en France avec ce que les gens m’avaient dit, parce que je ne suis ni athlétique, ni rapide ! Mais j’ai observé mes adversaires, j’ai travaillé pour préparer les matches et trouver comment aider mon équipe », a ajouté le Croate.\\n\\nEvidemment le coach Vincent Collet s’est félicité de la production de son pivot:\\n\\n« On a eu la chance de pouvoir s’appuyer sur un Bilan de gala, très dominateur. Qu’il l’ait été à ce point, c’est une bonne surprise. C’est un bon joueur, j’ai beaucoup confiance en lui bien sûr, comme toute l’équipe mais l’opposition du Mans était solide dans ce secteur. Il a eu un peu peur des tentacules de la pieuvre, mais il s’en est mieux accommodé par la suite et a fait valoir sa technique. Il a non seulement marqué des points mais aussi donné cinq passes décisives ».\\n\\nA l’inverse, son collègue du Mans Eric Bartecheky n’a pu que constater les dégâts:\\n\\n« Notre secteur intérieur a été dominé, à part Stephens au poste 4. On a été dominé par Bilan, Inglis. Ce n’est pas facile pour Fall de ‘’matcher’’ Bilan. Il y a de la dureté en défense et il n’aime pas trop ça. Mais globalement, on est venu sans pression, Strasbourg est favori. Ce que je regrette, ce sont les erreurs qu’on a commises et qui nous ont sorti du match. Peut-être que les retards sont venus de l’impact physique que Strasbourg nous a imposé ».\\n\\nYannis Morin, lui, a déjà le regard tourné vers samedi:\\n\\n\\n« On pense déjà au prochain match. A nous de nous ajuster défensivement et offensivement. Bilan nous a dominés mais il n’y a pas que ça. Strasbourg est très collectif et c’est partout qu’on a été dominés. C’est une équipe complète avec beaucoup de joueurs d’expérience. Techniquement est très technique et avec son poids et sa taille il arrive, lentement mais sûrement, à prendre l’avantage ».Photo: Miro Bilan (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : le panier à 100 000 dirhams de Rudy Gobert à TPMP"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Présenté par Cyril Hanouna comme l’un des meilleurs sportifs français (et le mieux payé), Rudy Gobert était l’invité du plateau de TPMP hier soir. Il a à ce titre réussi un défi pas si évident pour permettre à un spectateur de remporter 100 000 dirhams soit 10 000 euros : marquer d’au moins huit mètres sur un panier surélevé.\\n\\nAprès deux tentatives manquées, le pivot du Jazz a fini par trouver la ficelle d’un tir à une main !\\n\\n\\n\\n\\nUne personne du public remporte 100 000 dirhams, soit 10 000 euros ! 😁 #TPMP pic.twitter.com/UFxLwTtFPm\\n\\n\\n— TPMP (@TPMP) May 31, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Demi-finale, match 1 : Strasbourg marque son territoire face au Mans, 76-66"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Même sans Louis Labeyrie, la SIG Strasbourg a globalement effectué une belle démonstration dans ce match 1 des playoffs de Jeep Elite. Le pivot croate Miro Bilan (19 points à 8/11 aux tirs, 11 rebonds et 5 passes) a été somptueux.\\n\\nBien emmené par la vitesse de course de DJ Stephens, meilleur sixième homme de la Ligue et placé dans le cinq de départ depuis le match 2 de demi-finale, le MSB a fait un premier écart, 11-4. Sa défense agressive contrariait l’attaque alsacienne. Le temps de retrouver son rythme et la SIG revenait au score à 15 (8e). Le niveau était tout de suite digne d’une demi-finale. Avec un Justin Cobbs en parfait chef d’orchestre, les Manceaux repartaient à l’abordage et menaient 20 à 15 au bout d’un quart-temps. Vincent Collet avait tenté de placer le roublard Florent Pietrus sur Youssoupha Fall mais pas facile de contenir quelqu’un qui mesure vingt centimètres de plus que vous. C’est davantage un autre intérieur strasbourgeois qui se mettait en évidence surtout offensivement, le Croate Miro Bilan (8 points et 6 rebonds offensifs sur ses 15 premières minutes sur le terrain).\\n\\nAprès 13 minutes, la SIG avait eu pas mal de secondes chances avec pas moins de 8 rebonds offensifs mais l’adresse la fuyait. On voyait par contre beaucoup le tank Damien Inglis irrésistible en percussion. C’est sur un shoot à trois-points de Pape Sy -7 points en 7 minutes- que la SIG passait -enfin- en tête (30-29, 17e). C’était très intense, très organisé, très rapide. Un homme sortait de la mêlée, le maître du drive, le meneur manceau Justin Cobbs (14 points et 18 d’évaluation, soit la moitié du MSB!), mais c’est pourtant bien la SIG qui menait à la mi-temps, 38-34. C’est vraiment au rebond que les Manceaux souffraient, 15-24 avec la moitié d’offensifs pour la SIG. Enorme. Et pourtant Louis Labeyrie n’était pas là.\\n\\nMiro Bilan était rayonnant au début du troisième quart-temps et se permettait même un contre sur Youssoupha Fall qui s’emmêlait les pinceaux dans la peinture alsacienne. La SIG appuyait encore davantage sur le champignon et prenait vite treize points d’avance, 47-34. Le Mans était très dépendant de Justin Cobbs qui ramenait son équipe à 43-49 (26e). Vincent Collet avait incontestablement davantage d’options surtout que Youssoupha Fall avait la tête sous l’eau. Une nouvelle série avec Miro Bilan, forcément, et Damien Inglis emmenait la SIG vers un 22-12 dans le quart-temps et un break important après trente minutes, 60-46. Le public du Rhénus poussait, poussait.\\n\\nMalgré toute sa bonne volonté et les talents de soliste de Justin Cobbs (26 points, 28 d’évaluation), Le Mans était un temps débordé. Dans cet ultime quart-temps, les deux équipes marquaient au compte-goutte et entre précipitations, balles perdues, dunk raté, la SIG perdait peu à peu les pédales. Sur un trois-points de l’inévitable Justin Cobbs, le MSB revenait à 65-69. Danger. Un contre refusé à Yannis Morin alors que le ralenti de la TV montrait que la trajectoire de la balle montait toujours, freina l’ardeur des Manceaux. La SIG se reprenait en main dans les dernières secondes et assurait le gain de ce match 1.\\n\\nLe match 2 est programmé samedi.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: David Logan (FIBA)\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/1002268134898913280"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B- Alexandre Ménard (Rouen) : « La pression, on l’a dans les pneus ou dans le verre »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce n’est pas un mince exploit qu’a réalisé le Rouen Métropole Basket en sortant Orléans des quarts de finale des Playoffs d’accession hier soir après un match d’appui aussi épique que les deux matchs précédents (85-86). A la tête du plus jeune effectif de la division et d’un groupe porté par les deux meilleurs marqueurs de la saison régulière, (K)Obi Emegano et Amin Stevens, Alexandre Ménard a fait preuve d’une grande humilité en conférence de presse d’après-match. En ayant une pensée pour son club, ses joueurs, mais aussi pour l’adversaire.\\n\\n« Il y a beaucoup de sentiments qui se mêlent, a déclaré l’ancien coach du MSB. Il y a de la fierté par rapport aux garçons. On joue à 8 quand même. Je pense à Carl Ponsar qui n’est pas avec nous, à Desmond Williams qui s’est blessé au premier match, qui a fait le second comme il a pu et qui est devenu le X Factor sur ce 3e match. C’est ce qui fait un peu la particularité de cette équipe là. Autant on peut dire que ça a été Obi (Emegano) sur le premier match même si malheureusement on l’a perdu. Sur le deuxième match, on peut dire qu’Amin (Stevens) a été le facteur X. Et là c’est Desmond qui sort un match qui nous fait du bien. Sur leur passage en zone il claque deux tirs à trois points assez vite et c’est vrai que ça fait du bien de pouvoir se reposer sur d’autres personnes que sur nos deux soi-disant stars. C’est une fierté pour le club aussi parce que malgré la faible masse salariale, le fait de réussir ça, c’est quand même un exploit. Je ne peux pas m’empêcher d’avoir un mot pour le staff et toute l’équipe d’Orléans parce que ce sont des gens que j’adore très sincèrement. J’aime beaucoup ce qu’ils font, comment ils travaillent, ce sont de belles personnes. Je ne vais pas aller leur dire que je m’excuse, mais ça a été très serré ça aurait pu tomber d’un côté comme de l’autre. Sur les trois matchs, ça se joue à chaque fois a rien dans le money-time. Et on a bien vu qu’il n’aurait pas fallu qu’on parte en prolongation, parce que là je crois qu’on n’avait plus d’essence du tout. Ce que je veux dire aussi c’est que je crois qu’on les a pris au bon moment, sans vouloir dénigrer ni Ferdinand Prénom ni Keydren Clark. Je pense que si cette équipe là avait conservé Alex Abreu et Miralem Halilovic, ça aurait été encore plus dur parce terme de cohésion et d’organisation collective. Évidemment, ça a été un plus pour nous et on a su en tirer un avantage même si Ferdinand Prénom nous a fait beaucoup beaucoup de mal ».\\n\\nLe coach rouennais est ensuite revenu sur la fin de la saison régulière, la qualification du RMB en Playoffs en toute fin de parcours et de la façon dont l’équipe a abordé ces phases finales... sans pression ?\\n\\n« À chaque fois que vous allez me parler de pression, je vais vous répondre la même chose. La pression, on l’a dans les pneus ou dans le verre. La pression, on ne connaît pas nous. On a un petit mur avec des valeurs et un slogan qui dit « Donne ton maximum et on s’en fout du reste ». Et nous on ne fait que ça. Quelle autre pression on peut se mettre? On fait le maximum et après si on tombe contre plus fort tant pis. Et puis si on arrive à remporter le match c’est qu’on aura tout donné. Sur les dix derniers matchs, on a quand même été à plus de 100 d’évaluation collective, quasiment 22 passes de moyenne... On a perdu plusieurs matchs de peu. On restait quand même sur une bonne dynamique même si on a eu du mal à conclure à la fin. A Saint-Chamond et à Roanne ou on perd de peu. Donc cette équipe là, a vraiment cette spécificité là, de ne jamais rien lâcher. Et ça pour un coach, c’est vraiment super parce qu’on sait qu’il peut tout se passer, tout le temps. Et en début d’année, rappelez-vous combien de match on a gagné au buzzer, à Charleville, à Vichy, à Quimper... Tous ces match là où à cette époque on était dans l’optique de se maintenir. Maintenant je sens que les garçons ont progressé en tant que l’équipe, Parce que maintenant, il nétait plus question de se maintenir mais de se qualifier pour une demi-finale. Et aller en demi-finale dans une carrière pour un coach ou pour un joueur, en plus dans une équipe qui est très jeune, je leur tire mon chapeau ».\\n\\nAu sujet de la fin de match et du retour fulgurant d’Orléans après avoir accusé 19 points de retard pour finalement repasser devant dans le money-time.\\n\\n« On s’est dit, surtout pas de panique. Dans ce cas-là, un match c’est très très long. Dans le vestiaire, on voulait être la « scrappy team » pendant 40 minutes. C’est-à-dire que tout ce qui traîne, ça doit être pour nous. Orléans, c’est une belle équipe très bien organisée, très bien coachée. Et ce n’est pas facile de les contenir. Ce n’est pas la meilleure attaque du championnat pour rien non plus. Pour nous, la clé c’était vraiment la défense. Dans le 3e et 4e quart-temps, on a vraiment eu beaucoup de mal. Je crois que la différence s’est effectivement faite sur le deuxième quart-temps, où l’on part à la pause avec 13 points d’avance. Ça nous a rassuré dans ce qu’on voulait faire. Même si après, ça n’a pas été simple quand même. Franchement, ça aurait pu tomber de l’autre côté, exactement pareil ».\\n\\nSur la dernière action, sur une remise en jeu, dans un contexte quasi-simlaire à la fin du match précédent conclue par Amin Stevens, Alexandre Ménard a dû innover. Avec un système différent, mais le même résultat, un panier victorieux de son pivot américain à quelques secondes de la fin.\\n\\n« Je vais vous raconter une histoire. Je ne sais pas si ça vous va vous faire rire mais ce matin, j’ai dit aux gars à la fin du shooting, et je vous jure que c’est vrai : « Tiens, tous les matchs se sont joués sur des touches, fond ou côté ». Et à chaque fois, il a fallu qu’on en réinvite une parce que comme ils travaillent très bien et scoutent très bien, il fallait à chaque fois essayer de les surprendre. Ce matin, j’ai dit à mon adjoint : « Je pense à une touche, il faut qu’on fasse une touche, si jamais on en a besoin à la fin ». Je vous jure que c’est une vraie histoire. Je le dis aux gars, je le montre, si jamais on en a besoin on l’appellera 5 flash. Faut pas que je le dise pour Fos, maintenant ils le savent. Et c’est celle qu’on a utilisé en fait à la fin. Je ne sais pas si c’est du pif... Il y a aussi une préparation à ces moments là. Avant d’entamer cette série, on a revu toutes nos touches un peu spéciales : de fin de possession, de money time. Après je ne vais pas vous mentir, je ne suis pas un Brad Stevens non plus. A un moment donné ça marche, ça marche pas, ça prend, ça prend pas. Là ça a plutôt bien marché, tant mieux. »\\n\\nLe panier de la gagne signé Amin Stevens\\n\\n\\n\\n\\nC'est encore Amin Stevens qui a marqué le panier de la victoire du @RouenMBasket contre Orléans (86-85), à 2,9 secondes de la fin. Le voici en image. #PROB pic.twitter.com/p1jLtJaNI9\\n\\n\\n— ParisNormandie Sport (@Sport_PN) May 30, 2018\\n\\nProchaine étape pour Rouen, Fos-sur-Mer samedi soir pour le premier match des demi-finales."
}, 
{"role": "user",     "content":"U18 Féminines: 18 joueuses pré-sélectionnés pour la préparation à la Coupe du Monde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FFBB a communiqué la liste des 18 joueuses U18 pré-sélectionnées dans le cadre de la préparation à la Coupe du Monde qui se déroulera à Minsk (Biélorussie) du 21 au 29 juillet. On retrouve la génération de Iliana Rupert, championne d’Europe U16 la saison dernière.\\n\\nEntraîneur : Arnaud GUPPILLOTTE\\nAdjoints : Christophe PONTCHARRAUD, David MORABITO et Nicolas CROISY\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPrénom\\nDate de\\n\\nnaissance\\nClub\\n\\n\\nCHERY\\nKendra\\n16/07/2001\\nCFBB (Villeneuve D’Ascq ESB)\\n\\n\\nDJOUMOI\\nFayzat\\n27/04/2001\\nCFBB (Tarbes GESPE Bigorre)\\n\\n\\nENJOLVY\\nYvanna\\n27/10/2001\\nCercle Jean Macé Bourges B\\n\\n\\nEWODO\\nYohanna\\n21/02/2001\\nCFBB (Basket Lattes Montpellier)\\n\\n\\nFAUTHOUX\\nMarine\\n23/01/2001\\nCFBB (Elan Béarnais Pau Nord-Est)\\n\\n\\nGUENNOC\\nEwl\\n15/05/2001\\nUSO Mondeville Basket\\n\\n\\nHAMAOUI\\nJade\\n13/01/2001\\nCercle Jean Macé Bourges B\\n\\n\\nHILLOTTE\\nCamille\\n17/10/2001\\nCFBB (US Orthez Basket)\\n\\n\\nHOARD\\nAnaia\\n22/01/2001\\nWesleyan Christian Academy HS\\n\\n\\nMAHOUTOU\\nEve de Christophie\\n26/03/2001\\nFlammes Carolo Basket Ardennes\\n\\n\\nMONTABORD\\nStecy\\n11/05/2001\\nCFBB (E. Le Chesnay Versailles 78)\\n\\n\\nPARDON\\nMarie\\n05/01/2001\\nFC Lyon ASVEL Féminin\\n\\n\\nRUPERT\\nIliana\\n12/07/2001\\nCFBB (Coulaines J.S.)\\n\\n\\nSALAUN\\nJanelle\\n05/09/2001\\nCFBB (Reims Basket Féminin)\\n\\n\\nSOW\\nCoumba\\n26/08/2001\\nFC Lyon ASVEL Féminin\\n\\n\\nWADOUX\\nZoe\\n07/01/2001\\nCFBB (Villeneuve d’Ascq ESB)\\n\\n\\nWEMBANYAMA\\nEve\\n10/12/2001\\nFC Lyon ASVEL Féminin\\n\\n\\nYALE\\nLeck-olivia\\n10/05/2001\\nCercle Jean Macé Bourges\\n\\n\\n\\n\\nStage à Rezé du 18 au 20 juin 2018\\n\\nTournoi à Rezé du 21 au 24 juin 2018\\nJeudi 21 juin à 20h45 : France – Mozambique\\nVendredi 22 juin à 20h45 : Biélorussie – France\\nSamedi 23 juin à 18h30 : France – Chine\\n\\nStage à Fougères du 26 au 28 juin 2018\\n\\nTournoi à Fougères du 29 juin au 1er juillet 2018\\nVendredi 29 juin à 20h30 : France – Israël\\nSamedi 30 juin à 20h30 : France – Pays-Bas\\nDimanche 1er juillet à 17h00 : France – Argentine\\n\\nStage à Porto San Giorgio (Italie) du 7 au 12 juillet 2018\\n\\nTournoi à Porto San Giorgio (Italie) du 13 au 15 juillet 2018\\n\\nChampionnat du Monde à Minsk (Biélorussie) du 21 au 29 juillet 2018\\nSamedi 21 juillet à 15h30 : Japon – France\\nDimanche 22 juillet à 18h00 : France – Colombie\\nMardi 24 juillet à 18h30 : Biélorussie – France\\nMercredi 25 juillet : Huitièmes de finale\\nVendredi 27 juillet : Quarts de finale\\nSamedi 28 juillet : Demi-finales\\nDimanche 29 juillet : Finale\\n\\nPhoto: Iliana Rupert et Marie Fauthoux (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Sergio Scariolo pourrait abandonner son poste de coach de l’équipe d’Espagne pour devenir assistant en NBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Italien Sergio Scariolo, 57 ans, pourrait abandonner son poste de coach de l’équipe nationale d’Espagne après la fenêtre de juin-juillet des éliminatoires de la Coupe du monde, malgré le fait que son contrat avec la Fédération se termine en 2020.\\n\\nPour Marca, Sergio Scariolo veut revenir à des activités quotidiennes de coaching avec un club. L’entraîneur italien a reçu plusieurs offres d’équipes européennes, dont FIAT Turin et Virtus Bologne et d’après le quotidien Le Progrès, l’ASVEL. Mais sa priorité demeure de rejoindre une équipe NBA en tant qu’assistant.\\n\\n« J’ai toujours eu des propositions pour aller en NBA en tant qu’assistant, mais jamais comme celles que j’ai eu cette saison », a déclaré Scariolo à Marca.\\n\\nLa fédération espagnole considèrerait le coach de Valence Txus Vidorreta comme un candidat sérieux pour succéder à Scariolo."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les finales de NM3 et NF3 dans le Val d’Oise"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Fédération Française de BasketBall, en partenariat avec la Ligue Ile de France de Basket, organise les finales nationales des championnats NM3 et NF3, les vendredi 1er, samedi 2 et dimanche 3 juin à Eaubonne et Saint-Gratien dans le Val d’Oise en présence des clubs d’Outre-Mer et de Métropole.\\n\\nCes finales se joueront dans deux salles du Val d’Oise, sur les sites du SIVOM à Saint Gratien pour les rencontres féminines et du CDFAS d’Eaubonne pour les rencontres masculines. L’entrée sera gratuite.\\n\\n« Nous avons souhaité réaliser une grande fête du basket lors de ces finales nationales, sur un seul site, en région parisienne », a commenté Jean-Pierre Siutat, président de la FFBB. « Ce rassemblement des clubs de la Métropole et Ultramarins, finalistes dans leur catégorie, est une première et je tiens à remercier sincèrement la Ligue d’Ile de France pour son implication dans l’organisation de ce rendez-vous exceptionnel. La FFBB souhaite ainsi renforcer ses liens forts avec l’ensemble de ses territoires et porter un éclairage particulier sur le travail important réalisé en outre-mer dans la formation et la promotion du basket. Je vous donne rendez-vous les 1er , 2 et 3 juin sur les deux sites du Val d’Oise afin de venir encourager et supporter les équipes qualifiées. »\\n\\nVendredi 1er juin\\n\\nQuart de finale 1 féminine\\n\\n16h00 : AL Caluire et Cuire (69) / La Gauloise (Martinique); 18h30 : Gravelines Basket Féminin (59) / La Tamponnaise Basketball (Réunion); 21h00 : Toulouse Métropole Basket 2 (31) / AS Aorai (Tahiti)\\n\\nQuart de finale 1 masculine\\n\\n16h00 : Liévin (62) / BC M’Tsapere (Mayotte); 18h30 : BC Aix Venelles (13) / Golden Lion BC (Martinique); 21h00 : Villeneuve sur Lot BC (47) / AS Excelsior (Tahiti)\\n\\nSamedi 2 juin\\n\\n15h00 Demi-finale 1 féminine; 17h30 Demi-finale 1 masculin; 17h30 Demi-finale 2 féminine; 20h00 Demi-finale 2 masculin ;\\n\\nDimanche 3 juin\\n\\n13h15 Finale féminine; 15h30 Finale masculine."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans: La salle Antarès va avoir droit à un lifting"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vieille de vingt-trois ans, la salle Antarès au Mans demeure parmi ce qui se fait de mieux en France. De par son emplacement -au cœur du circuit automobile et avec quantité de parkings-, son architecture, sa capacité pour le basket (6 030) et un parfait entretien. Il n’empêche que les avancées technologiques qui ont eu lieu depuis sa construction la rendent obsolète sur certains aspects.\\n\\nLe conseil municipal doit désigner demain un nouvel exploitant pour dix ans et procéder à d’importants travaux.\\n\\n« Le remplacement de l’éclairage de la grande salle, qui n’est plus au niveau des techniques dans les salles de nouvelle génération. Le MSB réclame notamment le « noir salle », l’extinction de toutes les lumières de la salle et la possibilité de brancher des poursuites lumière sur les joueurs entrant ou sortant. Le basket de haut niveau doit aussi être un show. La totalité de l’éclairage étant à revoir, la facture est estimée à 330 000 €. La Ville prévoit ce nouveau dispositif pour la saison 2019-2020, » écrit Ouest France.\\n\\nLe parquet va être changé avec de nouveaux panneaux, les vestiaires vont être agrandis avec un espace kiné dans la salle de musculation, les équipements scéniques vont être renouvelés, les portes de l’entrée principale changées ainsi que la toiture et un accès à internet libre et efficace pour l’ensemble du public sera mis en place. Tout ceci sera à la charge des collectivités et de l’exploitant.\\n\\nDe son côté, le club a déjà réaménagé et amélioré ses espaces VIP, le principal étant situé dans la salle d’entraînement. Des travaux sont également entrepris au siège du club qui est situé un peu à l’extérieur de l’enceinte afin d’en doubler quasiment la surface. C’est le MSB qui les finance et ils seront achevés en août.\\n\\n« Il nous faut davantage d’espaces puisque nous embauchons un community manager et un commercial junior et qu’il faut donner plus d’espaces au sportif. Nous aurons aussi une salle de réunion pour des séminaires, ce qui sera une autre source de revenus », nous explique Eric Magnetto, le Directeur du marketing et de la communication du MSB. « On va aussi agrandir l’entrée afin d’avoir un espace pour la billetterie et la boutique dont le chiffre d’affaire n’a jamais été aussi élevé que cette année. Il y aura aussi un petit musée avec les trophées du club, des maillots, des ballons. »\\n\\nBref, le structurel se met au diapason de l’équipe qui a gagné sa place en demi-finale de playoffs de Jeep Elite et aussi en BasketBall Champions League ou Eurocup après un an de pénitence.\\n\\nPhoto: Antarès"
}, 
{"role": "user",     "content":"Olivier Bourgain (Limoges CSP) : «Après deux saisons sportivement ratées, on avait une chape de plomb au-dessus de la tête »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avant même la demi-finale face à Monaco, on peut écrire que la saison du Limoges CSP est réussie. Après deux ans de disette, le club a retrouvé les playoffs en finissant quatrième de la saison régulière, avec de nouveaux joueurs, un nouveau coach et en encaissant tant bien que mal le choc du décès de son président Frédéric Forte.\\n\\nLe Nordiste Olivier Bourgain était aussi un novice dans la place la plus chaude du basket français et comme directeur sportif en charge du recrutement, il jouait gros. Là aussi le pari est gagnant. Dans cette interview en deux parties, il nous emmène au cœur du CSP et aussi faire un retour sur sa carrière de joueur à Gravelines, à l’étranger, et puis comme coach et dirigeant il a été avec le SOM Boulogne le grand rival de l’ESSM Le Portel. L’homme n’use pas de la langue de bois.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nCommençons en revenant sur deux faits importants vous concernant. Vous êtes devenu célèbre à une époque où les matchs de Pro A étaient diffusés sur Antenne 2 suite à un duel avec Antoine Rigaudeau qui jouait à Cholet alors que vous, vous portiez le maillot de Gravelines. Il avait marqué 47 points et vous 35. C’était en janvier 1993. Le match avait donné lieu à deux prolongations... et la diffusion du match avait été interrompue avant la fin. Un scandale. Vous en avez certainement conservé quelques souvenirs* ?\\n\\nComme j’étais scoreur, j’avais fait quelques cartons, 20, 30 points. C’était un match de fou mais s’il n’est pas télévisé, il n’y a pas autant d’ampleur. C’était sur le service public et il y a beaucoup de gens qui ont vu ça de leurs yeux. En plus, c’est un match de grande qualité avec un finish extraordinaire. C’est le premier élément déclencheur à ma carrière. Derrière, les gens m’ont regardé différemment, ça a contribué à faire de moi un autre joueur. Pour la petite anecdote, il y avait dans les tribunes Albert Denvers qui était le président du BCM et le maire de Gravelines. Et il y avait son fils Alain, qui était le directeur de l’information (NDLR : de A2 et FR3). J’ai regardé la K7 VHF pour voir la totalité du match, et ce qui a été coupé pour mettre Les Simpson à l’antenne. Les journalistes, Patrick Chêne et Bernard Père, je crois, disent « les gars, ils ont coupé le match ! ». Et Chêne dit : « vite appelez Alain Denvers ! ». Et on voit Alain Denvers quitter son siège pour faire le tour et constater que le match a été coupé. Et en voyant ça, il est mort ! (sourire).\\n\\nIl faut savoir aussi que vous avez été un des pionniers en jouant à l’étranger, en A2 italienne, en Allemagne, à une époque où ça ne se faisait pas, juste après l’arrêt Bosman, et que vous avez failli être le premier Français à jouer en CBA, qui était l’équivalent de la G-League d’aujourd’hui ?\\n\\nJ’ai été pris pour faire l’équipe des Yakima Sun Kings. C’était la première fois qu’un Français faisait ça et d’ailleurs j’ai fait la Une de L’Equipe. Ce qui s’est passé c’est que je sortais d’une très grosse saison en France, j’étais en équipe de France et je me suis retrouvé au chômage parce qu’on demandait beaucoup d’argent par rapport à ma saison et mon nouveau statut et au mois d’août, je n’avais pas signé. J’avais Paco Belasen comme agent qui habitait Phoenix. Il m’a dit « c’est un scandale, tu n’as qu’à venir aux États-Unis. » Avec l’aide de Ernie Signars (ex-joueur et coach de Pro A), il m’a trouvé un camp avec une centaine de personnes et ils en prenaient quatre pour faire le veteran camp des Yakima Sun Kings. J’ai été plutôt bon puisque j’ai fait le veteran camp. Je fais ensuite l’équipe. Paco Belasen voulait que je fasse les entraînements avec les Phoenix Suns. Je suis resté un mois là-bas, j’ai fait quelques matchs mais pas la saison complète. Je suis rentré en France car j’avais un contrat. Ensuite j’ai fait l’Italie à Rosetto et puis l’Allemagne avec Ulm. Ce sont des expériences enrichissantes car là-bas tu es vraiment considéré comme un étranger. J’étais Bosman, j’ai perdu mon statut de JFL pendant quelques années (sourire). Forcément, ils attendent beaucoup plus de toi. Dans l’équipe de Ulm, je crois qu’il n’y avait qu’un Allemand. Le reste c’était Américains, Espagnol, Italien, Français, des Serbes, un Danois aussi. C’était vraiment multiculturel. C’était la première année des Bosman. Je voulais voir ce qu’était l’étranger, être le premier ça m’intéressait, et puis voir mon niveau de jeu par rapport à des championnats qui étaient compétitifs. Ce n’était pas dans les mœurs, j’étais un peu le précurseur de tout ça. En Allemagne, je n’avais signé qu’un an pour voir comment ça allait se passer et j’ai été élu MVP Bosman. Ils m’ont fait re-signer deux ans de plus. Je n’ai fait qu’un an car la deuxième année, ils ont déposé le bilan. C’était un club avec le foot, le basket et le volley féminin en première division et le foot a laissé pas mal de casseroles et c’est le club tout entier qui en a pâti. Je suis rentré en France et c’est l’année où Hervé Beddeleem est promu président du BCM et il m’a demandé de venir pour être un peu son homme de confiance. J’ai fait ma dernière année à Gravelines là où j’ai commencé.\\n\\nCes expériences à l’étranger vous ont-elles été profitables en tant que coach et aujourd’hui en tant que directeur sportif ?\\n\\nÇa l’a été sur plusieurs points. Déjà à mon égard parce que on est beaucoup plus exigeant avec un étranger qu’un autochtone. Il faut gagner sa place. C’était nouveau à l’époque et on arrive sur la pointe des pieds et surtout il faut être bon car sinon, on est comme un Américain, notre statut peut être changé en quelques mois. En France, les Français de par leur statut sont protégés et c’est quand même plus facile de couper un Américain qu’un Français. C’est pareil à l’étranger envers les Bosman. On n’a plus cette sécurité de l’emploi quasiment assurée. C’était aussi important que ma famille notamment mes enfants voient une autre culture. Lorsqu’on est reparti d’Allemagne, j’étais un peu le bonnet d’âne de la famille car je ne parlais pas allemand ou si peu alors que mes gosses qui allaient à l’école allemande et ma femme parlaient allemand couramment. Ce sont de très belles expériences. J’ai gardé des contacts en Italie et en Allemagne et si je recrute des joueurs en Allemagne, c’est que je travaille avec des personnes de confiance qui me donnent des infos intéressantes.\\n\\n« Je suis sûr que si à Boulogne je me fais arrêter par un policier portelois, il va me dégonfler les pneus ! Alors que le sympathisant boulonnais va me dire « alors, M. Bourgain, comment ça va ? Il va falloir gagner samedi ! »\\n\\nVous avez fini votre carrière de joueur au SOM Boulogne et vous avez pris ensuite l’équipe de la N3 à la N1. C’est votre club de presque toujours ou votre père était dirigeant ?\\n\\nCe n’est pas mon club de toujours puisque de poussin à junior, j’ai joué au PLB, le Patronage Laïque Boulonnais. Mais mon père est encore dirigeant au SOMB et mon fils y est kiné.\\n\\nA l’époque du SOMB, vous pouviez vous promener tranquille dans les rues du Portel ?\\n\\nJ’ai joué au Portel !\\n\\nAlors pouviez-vous aussi vous promener tranquillement dans les rues de Boulogne quand vous étiez au Portel ?\\n\\nOui. La ferveur du basket est vraiment porteloise. A Boulogne, c’est quand même la grande ville alors qu’au Portel, c’est 10 000 habitants. Le basket a une importance pour les Portelois qui n’est pas vraie à Boulogne. Même si en passant de la Pré Nat à la Pro A en huit ans -la Ligue de Basket nous avait dit que même Nanterre avait mis deux ans de plus-, on a eu une ascension vertigineuse avec le SOMB. Donc on a eu une ferveur suite à cette montée et les titres de champion de France mais il faut reconnaître qu’au Portel, c’est une petite ville, c’est enclavé, et la pression y est plus présente. Pour répondre à la question : aujourd’hui, je peux encore me balader au Portel mais il faut que ce soit pendant le Carnaval du Portel et que je sois déguisé ! (Rires).\\n\\nCette forte rivalité entre Boulogne et Le Portel est du même niveau que celle qui existe entre Limoges et Pau ?\\n\\nCe n’est pas pareil parce qu’il y a plus de 400 km d’écart entre Limoges et Pau alors que Le Portel et Boulogne se touchent. Donc c’est encore plus palpable. Dans les cafés notamment à Boulogne, ce sont des repères de sympathisants de l’ESSM où nous on allait aussi. Dans le même café, il y a 50% de Boulonnais et 50% de Portelois. On croise dans les rues de Boulogne des Portelois alors qu’on ne croise pas de Palois dans les rues de Limoges ni des Limougeauds à Pau ou uniquement le jour du match.\\n\\nIls se chambrent entre Portelois et Boulonnais ?\\n\\nCa va même plus loin. Même au commissariat de Boulogne, il y a des pros Boulonnais et des pros Portelois. Il y a une vraie rivalité, on la sent ! Je suis sûr que si à Boulogne je me fais arrêter par un policier portelois, il va me dégonfler les pneus ! Alors que le sympathisant boulonnais va me dire « alors, M. Bourgain, comment ça va ? Il va falloir gagner samedi ! » Au niveau des partenaires, c’est pareil. Il y a très peu d’industries au Portel. Je lance un chiffre comme ça : 80% des partenaires au Portel sont boulonnais. A Boulogne, il y a des gens qui préfèrent aller au Portel et d’autres à Boulogne.\\n\\n« Oui, Kyle Milling est marqué après les matchs parce qu’il sait qu’ici, gagner ou perdre, ce n’est pas pareil »\\n\\nFort de cette rivalité que vous connaissiez entre Boulogne et Le Portel et même si vous étiez au courant notamment par Frédéric Forte, avez-vous été surpris par la pression populaire et médiatique qui existe à Limoges et qui ressemble à l’environnement d’un club de foot comme celui de Saint-Etienne ?\\n\\nSurpris, oui, bien évidemment. Beaublanc, c’est une salle de basket paranormale. Il n’y a pas deux Beaublanc en France. Il y a des fantômes ici qui dédient leur vie au basket. Quand on va à l’entraînement au mois d’août ouvert au public et qu’il y a 2 500 personnes et qu’on est obligé de mettre de la sécurité, les joueurs et moi-même, on a vite compris là où on a mis les pieds. Et ce que l’on a pensé au mois d’août, c’était réel mais multiplié par dix. Ce sont des gens qui vivent pour leur club et pour leur histoire qu’ils te racontent. Ça fait partie du patrimoine de Limoges au même titre que la gare et la porcelaine. Le maire est un abonné du club. Il y a quatre clubs de supporters, il y a quasiment 6 000 personnes à chaque match, on a fait des sold out à tours de bras. Alors en plus quand la saison va du bon côté et que tu te rends chez le boucher après une victoire et que tu veux juste quatre steack hachés, tu repars en plus avec des côtes de bœuf et des ris de veau gratuitement ! Par contre, quand tu perds, tu repars avec trois steaks hachés alors que tu en as payé quatre. Le basket à Limoges a une incidence sur le point de vue économique de la ville et sur les humeurs des gens. Ce sont des passionnés, des ultras, des gens pour qui gagner ou perdre ça a une incidence dans leur quotidien.\\n\\nEt pour votre travail, cela a une incidence cette pression, ces rumeurs qui n’existent à ce point qu’à Limoges ? Les gens en ville sont très friands de petites informations qui filtrent du club. C’est difficile à vivre ?\\n\\nJ’ai joué à Limoges et je sais combien la passion peut être importante et parfois destructrice mais c’est à nous dans le recrutement de faire attention d’y mettre des gens qui sont supposés dealer avec cette pression et qu’elle ne devienne pas un handicap mais plutôt une aide. Mam Jaiteh, je trouve qu’au fil de la saison, il s’est endurci et qu’il fait face à cet environnement. La plupart des gens savent qu’ici au premier match amical, ils peuvent être sifflés. Et ça c’est unique en France. Mais par contre, ce que les gens à Limoges veulent c’est que les joueurs juste se mettent les genoux à terre sur les ballons et s’arrachent les coudes. Ils veulent des joueurs de talent, ce sont des connaisseurs, mais avant tout des joueurs qui respectent leur maillot, l’histoire du club.\\n\\nEt les joueurs étrangers, vous les briefez en leur distant qu’ici ce n’est pas tout à fait comme ailleurs ?\\n\\nTu es obligé de leur faire prendre conscience de ça. Quand tu leur parles, ils sont en général aux Etats-Unis et ça ne leur parle pas mais ils se renseignent vite. Par exemple, Kenny Hayes est très proche de Jamar Smith et avant de signer ici, il l’a appelé en lui demandant de raconter Limoges. Je pense que les mots de Jamar Smith ont été plus importants que les miens ou ceux du coach ou de l’agent car c’est un compatriote qui a vécu une saison ici. Il lui a expliqué à quel point le public est fou d’excitation et d’amour.\\n\\nKyle Milling est extrêmement marqué à la fin des matchs. C’est sa personnalité ou c’est le fait d’être coach de Limoges qui renforce ça ?\\n\\nJe trouve déjà que Kyle Milling a énormément progressé depuis le début de saison. On ne passe pas du HTV -avec tout le respect que je dois à ce club- où il y a 1 000 personnes dont 800 invités, à une salle de 6 000. C’était un pari pour lui d’accepter Limoges, pour moi de l’avoir choisi. Et je trouve que le pari a été largement gagnant. Oui, Kyle Milling est marqué après les matchs parce qu’il sait qu’ici, gagner ou perdre, ce n’est pas pareil. Il y a une pression qu’il n’y a pas ailleurs. Après deux saisons sportivement ratées, on avait une chape de plomb au-dessus de la tête. En plus, on avait dix nouveaux joueurs, trois nouveaux coachs, un nouveau manager, aussi on avait vraiment la pression. Je n’ai jamais vécu de match aussi fort en intensité que depuis que je suis à Limoges. Je suis directeur sportif donc responsable du recrutement et quand la saison est mauvaise, c’est de ma responsabilité. Kyle est mon coach donc on la partage tous les deux et quand on est dirigeants à Limoges, on vieillit plus vite, c’est une certitude.\\n\\nComment s’est déroulé le recrutement durant l’été 2017. Déjà qui a choisi Kyle Milling ? Vous ? Frédéric Forte ? Tous les deux ?\\n\\nAvec Frédéric, on échangeait sur beaucoup de choses et à un moment donné, il m’a demandé de me fixer officiellement sur mon coach et j’ai dit « Kyle Milling ». Il m’a dit, « je te suis. » Ce n’était pas facile quand on voit les coaches qui ont débarqué à Limoges, c’était en général de grands noms du basket français ou européens. Kyle n’avait pas encore un nom, aujourd’hui il en a un car pour sa première année, il est déjà top 4 de la saison régulière et demi-finaliste des playoffs. Son pari lui aussi a été gagné. Mais pour revenir à la question initiale, évidemment qu’il est marqué après les matchs, comme tout le monde. C’est une personne humaine, qui ressent aussi la pression et qui a envie de bien faire. Il connaît l’importance de l’enjeu.\\n\\nCela fait longtemps que vous vous occupez de recrutement. Celui de Zachery Peacock à Boulogne, c’est celui dont vous êtes le plus fier ?\\n\\nOh non ! Si on prend par le début, après Gravelines, j’accepte de prendre le challenge de Jean-Pierre Desgardin qui est le président du SOMB. Il rêvait d’avoir une équipe de Pro B alors qu’il était en Pré-Nationale. Et ensemble en huit ans, on est parvenu à la Pro A. J’étais coach au démarrage et après j’ai laissé la main à Germain Castano, qui a pris l’équipe en NM1 et l’a montée en Pro A. Ca j’en suis fier. Après, il y a eu tellement de grands joueurs à Boulogne. Zachery Peacock, c’est la figure de proue mais il y a eu Ken Horton, qui est aujourd’hui à Pau et qui a fait son année rookie à Boulogne, Landon Milbourne, qui est pris en Italie et Israël, Chris McCray. Et en Français, Valentin Bigote, Jo Rousselle, Nando Raposo, Mam Jaiteh, Abdoulaye Loum. Sans parler de ceux de N2 et de N3. Il y a eu des battants. Pierre-Joseph, qui était la figure de proue du Portel qui passait à Boulogne. Fayçal Sarhaoui qui a été mon bras armé pendant des années et qui est aujourd’hui à La Rochelle. Merveilleux joueur, merveilleuse mentalité.\\n\\nZachery Peacock est quand même MVP de la Jeep Elite de la saison et on sait qu’il est passé par Boulogne ?\\n\\nOui. C’était sa première année en France et évidemment qu’on en est fier mais je n’ai pas envie de dire Zach et pas les autres. Ça serait injuste.\\n\\nLe métier de directeur sportif est un métier relativement récent en France et qui maintenant est généralisé en Jeep Elite. En quoi consiste-t-il au CSP ?\\n\\nJe pense qu’il y en a un par club en Jeep Elite mais il y a dix-huit métiers différents. Chaque président décide de ce qu’il veut que son directeur sportif fasse. 90% de mon temps est consacré au scouting, au recrutement et à la gestion au quotidien de l’équipe pro. Les conflits, les problèmes, les déplacements.\\n\\nA suivre.\\n\\n*Olivier Bourgain avait scoré 35 points à 7/10 à 3-points, 12/14 aux lancers-francs, 2 rebonds et 3 passes en 32’. Le BCM avait gagné le match 114-104.\\n\\n[armelse]\\n\\nCommençons en revenant sur deux faits importants vous concernant. Vous êtes devenu célèbre à une époque où les matchs de Pro A étaient diffusés sur Antenne 2 suite à un duel avec Antoine Rigaudeau qui jouait à Cholet alors que vous, vous portiez le maillot de Gravelines. Il avait marqué 47 points et vous 35. C’était en janvier 1993. Le match avait donné lieu à deux prolongations... et la diffusion du match avait été interrompue avant la fin. Un scandale. Vous en avez certainement conservé quelques souvenirs* ?\\n\\nComme j’étais scoreur, j’avais fait quelques cartons, 20, 30 points. C’était un match de fous mais s’il n’est pas télévisé, il n’y a pas autant d’ampleur. C’était sur le service public et il y a beaucoup de gens qui ont vu ça de leurs yeux. En plus, c’est un match de grande qualité avec un finish extraordinaire. C’est le premier élément déclencheur à ma carrière. Derrière, les gens m’ont regardé différemment, ça a contribué à faire de moi un autre joueur. Pour la petite anecdote, il y avait dans les tribunes Albert Denvers qui était le président du BCM et le maire de Gravelines. Et il y avait son fils Alain, qui était le directeur de l’information (NDLR : de A2 et FR3). J’ai regardé la K7 VHF pour voir la totalité du match, et ce qui a été coupé pour mettre Les Simpson à l’antenne. Les journalistes, Patrick Chêne et Bernard Père, je crois, disent « les gars, ils ont coupé le match ! ». Et Chêne dit : « vite appelez Alain Denvers ! ». Et on voit Alain Denvers quitter son siège pour faire le tour et constater que le match a été coupé. Et en voyant ça, il est mort ! (sourire).\\n\\nIl faut savoir aussi que vous avez été un des pionniers en jouant à l’étranger, en A2 italienne, en Allemagne, à une époque où ça ne se faisait pas, juste après l’arrête Bosman, et que vous avez failli être le premier Français à jouer en CBA, qui était l’équivalent de la G-League d’aujourd’hui ?\\n\\nJ’ai été pris pour faire l’équipe des Yakima Sun Kings. C’était la première fois qu’un Français faisait ça et d’ailleurs j’ai fait la Une de L’Equipe. Ce qui s’est passé c’est que je sortais d’une très grosse saison en France, j’étais en équipe de France et je me suis retrouvé au chômage parce qu’on demandait beaucoup d’argent par rapport à ma saison et mon nouveau statut et au mois d’août, je n’avais pas signé. J’avais Paco Belasen comme agent qui habitait Phoenix. Il m’a dit « c’est un scandale, tu n’as qu’à venir aux Etats-Unis. » Avec l’aide de Ernie Signars (ex-joueur et coach de Pro A), il m’a trouvé un camp avec une centaine de personnes et ils en prenaient quatre pour faire le veteran camp des Yakima Sun Kings. J’ai été plutôt bon puisque j’ai fait le veteran camp. Je fais ensuite l’équipe. Paco Belasen voulait que je fasse les entraînements avec les Phoenix Suns. Je suis resté un mois là-bas, j’ai fait quelques matchs mais pas la saison complète. Je suis entré en France car j’avais un contrat. Ensuite j’ai fait l’Italie à Rosetto et puis l’Allemagne avec Ulm. Ce sont des expériences enrichissantes car là-bas tu es vraiment considéré comme un étranger. J’étais Bosman, j’ai perdu mon statut de JFL pendant quelques années (sourire). Forcément, ils attendent beaucoup plus de toi. Dans l’équipe de Ulm, je crois qu’il n’y avait qu’un Allemand. Le reste c’était Américains, Espagnol, Italien, Français, des Serbes, un Danois aussi. C’était vraiment multiculturel. C’était la première année des Bosman. Je voulais voir ce qu’était l’étranger, être le premier ça m’intéressait, et puis voir mon niveau de jeu par rapport à des championnats qui étaient compétitifs. Ce n’était pas dans les mœurs, j’étais un peu le précurseur de tout ça. En Allemagne, je n’avais signé qu’un an pour voir comment ça allait se passer et j’ai été élu MVP Bosman. Ils m’ont fait re-signer deux ans de plus. Je n’ai fait qu’un an car la deuxième année, ils ont déposé le bilan. C’était un club avec le foot, le basket et le volley féminin en première division et le foot a laissé pas mal de casseroles et c’est le club tout entier qui en a pâti. Je suis rentré en France et c’est l’année où Hervé Beddeleem est promu président du BCM et il m’a demandé de venir pour être un peu son homme de confiance. J’ai fait ma dernière année à Gravelines là où j’ai commencé.\\n\\nCes expériences à l’étranger vous ont-elles été très profitables en tant que coach et aujourd’hui en tant que directeur sportif ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Olivier Bourgain et Kyle Milling (Olivier Grasset); SOM Boulogne"
}, 
{"role": "user",     "content":"Dejan Tomasevic (SG de la Fédération Serbe): «La situation avec l’Euroleague est alarmante»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le week-end dernier à la clôture de l’Assemblée Générale de FIBA Europe à Nicosie, et à l’initiative de Jean-Pierre Siutat, président de la FFBB, les fédérations nationales ont fait une déclaration commune et unanime pour défendre le système pyramidal de compétitions en Europe et pour protéger les équipes nationales*.\\n\\nDejan Tomasevic, l’ancien pivot international serbe, 45 ans, est aujourd’hui secrétaire général de la fédération serbe de basket. Il était présent à cette AG et dans une interview, il revient sur les problèmes que pose l’Euroleague et la réaction des fédérations.\\n\\nQuel est le problème ?\\n\\nAucune des propositions de l’Euroleague n’étaient acceptables pour la FIBA. Les fédérations les plus importantes ont tiré la conclusion suivante : la situation est alarmante et à chaque fois que recule une solution possible, les conséquences peuvent empirer. Ce qui est positif, c’est que comme en Serbie, ce sont d’anciens joueurs qui mènent aujourd’hui les fédérations, comme en Turquie, en Russie, en Lituanie, en Espagne, en Croatie, en Slovénie. Et en France, Jean-Pierre Siutat est également un homme du basket.\\n\\nEst-ce que vous voyez une solution s’esquisser ?\\n\\nIl faudrait que tout le monde accepte de s’asseoir et de négocier. Et personne ne quitte la table tant qu’on ne s’est pas mis d’accord sur une solution qui soit bonne pour le basket.\\n\\n*Voici la déclaration des 46 fédérations :\\n\\n * Souligner la capacité unique des équipes nationales à rassembler les fans, à élever la popularité du basket à un niveau supérieur et à faire émerger de nouveaux talents.\\n * Souligner le rôle fondamental des championnats nationaux dans le système pyramidal du sport européen.\\n * Mettre en lumière le besoin d’une relation harmonieuse entre les compétitions de clubs et les compétitions impliquant les équipes nationales, construite autour du calendrier mondial établi par la FIBA, l’organe dirigeant du basket.\\n * Condamner la décision de ECA de programmer des matches d’Euroleague aux mêmes dates que les qualifications pour la FIBA Basketball World Cup, plaçant ainsi les joueurs dans une situation injuste et devant un dilemme éthique.\\n * Rejeter les actions des clubs d’Euroleague, qui n’ont pas rempli leur devoir de laisser les joueurs rejoindre leurs équipes nationales et qui ont donc influencé de manière déplacée les résultats sportifs.\\n * Mettre l’accent sur l’intérêt d’un système de montées/descentes dans les compétitions de clubs, qui procure à chaque club une chance d’atteindre le meilleur niveau de compétition internationale, à partir des résultats sportifs acquis dans chaque ligue nationale, à l’opposé du système de ligue fermée de l’Euroleague actuelle.\\n * Approuve les critères d’accès à la Basketball Champions League, fondés sur les résultats sportifs et des procédures transparentes.\\n * Refuse la « proposition » inacceptable de ECA datée du 1er mars 2018.\\n * Confirme que les fédérations sont prêtes à utiliser tous les remèdes disponibles pour protéger leurs équipes nationales, les ligues nationales et l’intégrité de ces compétitions respectives.\\n * Se réjouie des prises de position des ministres des sports de l’union européenne lors du conseil du 23 mai et recommandent avec insistance aux gouvernements européens et aux institutions de l’Union Européenne compétentes de tenir ECA pour responsable de ses actions contre les équipes nationales et le modèle européen du sport et qui a aussi un impact négatif sur le sport européen dans son ensemble.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Romain L’Hermitte (Mondevile): «Lisa (Berkani), c’est un chien fou. Elle est exactement la même sur le terrain et dans la vie»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A la force du poignet, l’USO Mondeville a conservé sa place en Ligue Féminine, elle qui après Bourges possède le plus de saisons consécutives au sein de l’élite nationale.\\n\\nDans une interview à Actu.fr, son coach Romain L’Hermitte revient sur la saison de la néo-internationale Lisa Berkani (1,76m, 21 ans), qui prend la direction de Bourges.\\n\\n« Cette année, je comptais sur une grosse saison de Loreen Kerboeuf, or elle n’a pas pu jouer. Lisa Berkani a fait une saison en-deçà des espérances, et l’absence de Loreen en a fait pour beaucoup. Loreen était notre équilibre, mais elle pouvait aussi être celle de Lisa. Elle se met énormément de pression, et le fait d’être seule meneuse l’a complètement bouffée. Loreen aurait pu être sa KB (NDLR: KB Sharp était auparavant la meneuse titulaire de l’USOM). »\\n\\nLisa Berkani a scoré cette saison 11,6 points en moyenne mais son pauvre pourcentage de réussite à trois-points (26/121 soit 21,4%) atteste que ses choix n’étaient pas toujours les bons. Il y a pour le coach comme un goût d’inachevé:\\n\\n« On a eu trop de problèmes dans notre équipe pour pouvoir gérer correctement Lisa. Elle a besoin d’évoluer avec des joueuses d’expérience autour d’elle qui lui montrent le chemin. Je pense qu’elle était dans un bon contexte à Mondeville mais que tout est devenu difficile. Quand c’est devenu difficile, elle n’a pas montré son meilleur visage. Elle en a conscience. Plus ça va mal et plus il faut mettre le bleu de chauffe. Elle a encore du travail pour que tout ça se mette en place. Lisa a 20 ans. Elle est mature dans son jeu, mais il faut qu’elle arrive à se cadrer. Ça viendra avec l’âge. Lisa, c’est un chien fou. Elle est exactement la même sur le terrain et dans la vie. C’est compliqué pour ses partenaires et pour ses coachs, mais elle arrive dans le bon club pour évoluer. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce : Pourquoi l’AEK Athènes choisit la Basketball Champions League et pas l’Eurocup"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Transparence dans le processus de qualification à partir de critères sportifs, équipes de qualité, et une récompense financière supérieure. Voici pourquoi, dit-elle, l’AEK Athènes, vainqueur de l’édition 2018 de la BCL, contre Monaco en finale, a refusé l’invitation de l’Euroleague de jouer en Eurocup et défendra son titre en 2019.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nL’AEK a refusé l’invitation de l’Eurocup, compétition également gérée par l’Euroleague, pour la saison prochaine. Le club grec vainqueur en Basketball Champions League est déjà qualifié pour la prochaine édition de la BCL en raison de son titre. Mais Makis Aggelopoulos* est allé plus loin la semaine dernière, assurant qu’il refuserait également une licence A en Euroleague (contrat de 10 ans de participation assurée) si on lui offrait, critiquant au passage le système opaque de désignation de ces licences. « La participation européenne doit être une récompense en bout de course, pas un privilège. » Il pousse sa critique plus loin, assurant que « l’objectif de l’Euroleague est de faire disparaitre les compétitions nationales pour récupérer le créneau juteux des droits télévisés du week-end. » Un point de vue partagé la semaine dernière par les ministres des sports de l’Union Européenne qui ont critiqué le danger que fait peser les ligues fermées sur l’organisation du sport européen, ainsi que les fédérations nationales européennes de basket lors de l’assemblée générale annuelle.\\n\\nLe président de l’AEK, avec des mots plus courtois que ceux de son homologue président du Panathinaikos, toujours en guerre ouverte avec Jordi Bertomeu, PDG de ECA, est finalement sur une position assez comparable au bouillant Giannis Giannakopoulos, qui derrière les insultes, attaque l’Euroleague sur des revenus générés pour les clubs trop faibles en rapport à des coûts globaux de participation très élevés. En France, Martial Bellon*, président de la SIG qui aimerait être candidat à l’Euroleague à l’avenir, estime d’ailleurs que vu son budget actuel de 9 millions, « jouer l’Euroleague est une hérésie [...] Ce n’est juste pas possible sur le plan économique. » Un positionnement qui pourrait faire réfléchir l’Asvel et son modèle de développement économique dans une ligue qui, en l’état ne fait pas beaucoup d’heureux à ce niveau-là. « L’ensemble des équipes d’Euroleague perdent 200 millions d’euros par an », déclarait Patrick Comninos, ancien président des opérations à l’UEFA et COE de la BCL depuis 2016. « Contre 40 millions de revenus seulement. »\\n\\nL’AEK recevra début juin des mains de la FIBA à la « House of Basketball » à Mies en suisse un chèque d’un million d’euros, soit le même montant que le vainqueur en Euroleague, en tant que vainqueur de la BCL. Pour rappel, le vainqueur de l’Eurocup a touché moins de la moitié, 450 000 euros. L’UCAM Murcia en Espagne, troisième de la dernière BCL, a déclaré de son côté sa volonté de jouer la BCL la saison prochaine, à condition bien entendu de se qualifier sur le terrain. Quel que soit le parcours d’un club, les revenus sont plus importants en BCL qu’en Eurocup.\\n\\nJordi Bertomeu a affirmé en conférence de presse à Belgrade lors du Final 4 de l’Euroleague que le revenu moyen d’une équipe d’Eurocup était de 125 000 euros, contre 162 000 pour les 32 équipes de la Ligue des Champions. Au final, la BCL distribue 5,2 millions (3,5 directement au clubs, 1,3 pour la prise en charge de l’arbitrage et 400 000 en publicité. Quand on ajoute à cela la visibilité numérique de la BCL qui compte 1 265 541 fans sur Facebook, contre 689 188 pour l’Euroleague et 51 462 pour l’Eurocup, le choix du président de l’AEK peut apparaître finalement assez rationnel.\\n\\n[armelse]\\n\\nL’AEK a refusé l’invitation de l’Eurocup, compétition également gérée par l’Euroleague, pour la saison prochaine. Le club grec vainqueur en Basketball Champions League est déjà qualifié pour la prochaine édition de la BCL en raison de son titre. Mais Makis Aggelopoulos* est allé plus loin la semaine dernière, assurant qu’il refuserait également une licence A en Euroleague (contrat de 10 ans de participation assurée) si on lui offrait, critiquant au passage le système opaque de désignation de ces licences.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo du jour: Quand Jean-Claude Lefèbvre et ses 2,18m faisaient une tête de plus que les autres"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette photo de l’équipe de France prise au début des années soixante et qui circule actuellement sur les réseaux sociaux entre « anciens » est spectaculaire car on y découvre le géant Jean-Claude Lefèbvre, 2,18m, qui possède une bonne tête de plus que ses équipiers. Il faut dire que le numéro 12, Michel Audureau, qui fait partie des grands puisqu’il se tient debout mesure trente centimètres de moins.\\n\\nRappelons que Jean-Claude Lefèbvre fut à la fois le premier Français à jouer en NCAA, à Gonzaga, et le premier à être drafté par une franchise NBA, les Los Angeles Lakers en 1960\\n\\nDebout : Antoine Bruyas, Michel Audureau, Jean-Marie Oury, Jean-Claude Lefèbvre, Roger Barges. Accroupis : Alain Gilles, Michel Le Ray, Jean-Pierre Goisbault, Charles Tassin."
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Alysha Clark, une pointure à l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ailière israélo-Américaine Alysha Clark (1,80m, 30 ans) vient de signer au Lyon Asvel basket est c’est une pointure puisqu’elle sort d’une saison d’Euroleague avec Polkowice (Pologne), à 15,3 points, 6,9 rebonds et 3,0 passes pour 17,8 d’évaluation.\\n\\nAuparavant, la native de Denver avait effectué quatre saisons en Israël récompensées par une titres de MVP de la Ligue. Parallèlement à sa carrière européenne, elle porte actuellement pour la septième saison consécutive le maillot des Seattle Storms, l’équipe des internationales américaines Breanna Stewart et Sue Bird et aussi de la Flamme Carolo Kaleena Mosqueda-Lewis, et tourne en 5 matches à 7,0 points (50,0% à trois-points) et 3,0 rebonds.\\n\\nElle a par ailleurs porté brièvement les couleurs de l’équipe nationale d’Israël pour les qualifications à l’Euro 2017 et cartonné à 20,2 points et 9,0 rebonds.\\n\\nALYSHA CLARK\\n\\n * Poste 3\\n * 1,80m\\n * Née le 7/07/1987 (30 ans)\\n * Israélo-américaine\\n\\nPARCOURS\\n\\n2005 à 2007 : Belmont University (NCAA)\\n\\n2008 à 2010 : Middle Tennessee (NCAA)\\n\\n2010-2011 : Hapoël Rishon Le Zion (Israël)\\n\\n2011-2012 : Ramat Hasharon (Israël)\\n\\n2012-2013 : Seattle (WNBA) et Ramat Hasharon (Israël)\\n\\n2013-2014 : Seattle (WNBA)\\n\\n2014 à 2016 : Seattle (WNBA) et Maccabi Ashdod (Israël)\\n\\n2016-2017 : Seattle (WNBA), Adana (Turquie) et Polkowice (Pologne)\\n\\n2017-2018 : Seattle (WNBA), Polkowice (Pologne)\\n\\nPALMARÈS\\n\\nJoueuse de l’année de la conférence Sun Belt (NCAA) en 2009 et 2010\\n\\nChampionne d’Israël 2015 et 2016\\n\\nMVP du championnat d’Israël en 2015 et 2016\\n\\nChampionne de Pologne en 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"ESSM Le Portel : Frank Hassell ne restera pas, Trae Golden réfléchit"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’entraîneur de l’ESSM Le Portel Eric Girard a fait un point complet sur la situation de du club stelliste pour La Voix du Nord en vue de cette intersaison. Parmi les joueurs étrangers, on apprend que le pivot gaucher Frank Hassell, auteur d’une grosse saison, Tweety Carter, Dinma Odiakosa, Mohamed Hachad n’allaient pas prolonger pour diverses raisons. Le Portel essaie en revanche de faire le nécessaire pour conserver Trae Golden, Jakim Donaldson et Moses Ehambe.\\n\\nConcernant les principaux éléments français du club, « on ne virera personne, les contrats seront honorés, mais si ce n’est pas au détriment de l’ESSM, on peut accepter d’ouvrir la porte », a déclaré Eric Girard. Benoît Mangin (opéré aujourd’hui du pied avec succès), Jessie Begarin, Gary Chathuant et Jean-Victor Traoré devraient encore défendre les couleurs du club portelois, sauf en cas de proposition pour jouer un rôle plus important ailleurs.\\n\\nLe cas Dorsey en exemple\\n\\nAu sujet de Frank Hassell en revanche, le Chaudron a déjà fait le deuil de son pivot (15,7pts, 9rbds pour 18,9 d’évaluation par match en Jeep ELITE) qui a donc disputé son dernier match en vert et blanc le 12 mai dernier à Chalon-sur-Saône après deux belles saisons au club. Le Portel ne lui a rien proposé, son agent ayant indiqué qu’il recherchait un contrat plus juteux hors de France. « Je comprends qu’il veuille une équipe plus huppée avec un salaire supérieur. Attention quand même à ne pas finir comme Dorsey », a commenté Eric Girard, faisant référence à son ancien meneur de jeu, brillant à l’ESSM en 2016-2017 (14,5pts, 4,4pds, 14,5 d’éval par match) et catastrophique cette saison à l’Elan Chalon (5,2pts, 2,8pds, 5,2 d’éval).\\n\\nPour Trae Golden en revanche, coach Girard ne perd pas l’espoir de conserver son arrière, deuxième meilleur marqueur de Jeep Elite (16,4pts, 3,5rbds et 4,9pds pour 15,7 d’évaluation. « On lui a fait une proposition exceptionnelle pour nous. On ne pouvait pas faire mieux. Pour l’instant, son agent n’a pas répondu » a poursuivi l’ex entraîneur du Sluc Nancy il y a maintenant cinq jours.\\n\\nJakim Donaldson, dossier complexe\\n\\nLa même incertitude demeure au sujet de Jakim Donaldson (34 ans, 2,04m), capitaine courage et pion essentiel du club depuis 2014 malgré un exercice 2017-2018 perturbé par les blessures : « C’est un joueur important, au salaire important, et vu ses pépins physiques, on ne peut pas forcément assumer ses prétentions financières. On prend du temps pour voir ce qu’il veut faire, continuer ou pas sa carrière et dans quelles conditions ».\\n\\nEric Girard précise au passage que si l’aventure entre Jakim Donaldson et Le Portel s’arrêtait là, le joueur serait invité, honoré à juste titre et son maillot serait accroché au plafond du Chaudron. Ce qui est aussi beaucoup revenu au cours de l’entretien accordé à La Voix du Nord, c’est l’état d’esprit et le côté humain que le groupe a développé au fil de la saison. Indéniablement une des clés de la bonne tenue du club depuis deux saisons en Jeep ELITE mais aussi en Fiba Europe Cup cette année."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Rouen renversant !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Trois matchs dans cette série, trois scénarios de fou ! Dans la belle du dernier quart de finale des Playoffs entre Orléans et Rouen, c’est finalement le RMB qui l’a emporté, encore grâce à un panier d’Amin Stevens à trois secondes de la fin (85-86). Les Rouennais réalisent l’exploit de ces quarts en sortant l’un des favoris pour la montée et affronteront Fos Provence Basket en demi-finale, encore une fois sans l’avantage du terrain.\\n\\nImpossible n’est pas Rouennais\\n\\nComme indiqué dans la preview des Playoffs de Pro B, les joueurs d’Alexandre Ménard ont étonné toute la saison par leur capacité à ne rien lâcher, ne jamais renoncer. Menés de 15 points dans le milieu du 3e quart après avoir perdu un match aller héroïque en prolongation (112-110), les Normands étaient allés au bout d’eux-mêmes lors du match lundi soir pour arracher une belle à la toute dernière seconde grâce à Amin Stevens, meilleur marqueur, rebondeur et meilleure évaluation de la saison régulière (77-76).\\n\\nCe mercredi soir pour le match décisif, les Rouennais sont encore passés par toutes les émotions. Euphoriques en première mi-temps, ces derniers ont compté jusqu’à 19 points d’écart après un 3 points d’Emmanuel Monceau en début de 3e quart-temps ! Mais à 43-62 au score, Orléans a donné toutes ses dernières forces dans la bataille pour revenir. Le duo McAlarney-Mbida puis Sommerville-Prénom s’est alors employé pour ramener l’OLB dans la course. Repassés devant grâce au duo Sommerville-Prénom, Orléans a tout de même vu Ferdinand Prénom, joker médical de Miralem Halilovic, manquer deux lancers cruciaux à 81-81 à deux minutes de la fin.\\n\\nAmin Stevens refait le coup\\n\\nSuffisant pour relancer Rouen et son tandem de feu Emegano-Stevens. Le premier n’a pas tremblé au moment de remettre son équipe devant au score, et le second a encore fait preuve d’un sang-froid incroyable pour scorer les deux derniers points de son équipe à trois secondes de la fin devant Marcellus Sommerville (85-86). Comme tout le monde l’attendait, c’est Kyle McAlarney qui a hérité du dernier tir, mais l’arrière américain, bien pris à deux, n’a même pas pu déclencher son tir.\\n\\nL’histoire est aussi belle pour les Rouennais que cruelle pour les Orléanais, grands favoris de la saison régulière avant de connaître plusieurs coups durs comme la défaite en double-prolongation en finale de la Leader’s Cup contre Denain en février ou les deux blessures d’Alex Abreu et Miralem Halilovic à deux journées de la fin contre... Fos-sur-Mer, prochain adversaire de Rouen en demi-finale à partir de samedi.\\n\\nProgramme des demi-finales\\n\\nsamedi 2 juin à 20h\\n\\nRoanne – Lille & Fos-sur-Mer – Rouen\\n\\nlundi 4 juin à 20h\\n\\nLille – Roanne & Rouen – Fos-sur-Mer\\n\\nBelles éventuelles à Roanne et Fos-sur-Mer le 7 juin à 20h\\n\\n\\n\\n\\nA l'issue d'une série plus qu'indécise et serrée (+2 comme plus gros écart sur les 3 matchs), c'est le @RouenMBasket qui se qualifie pour les 1/2 finales des #PlayoffsPROB sur le parquet de l'@OLB45. Rouen se déplacera à @FosProvenceBB dès samedi. pic.twitter.com/GVqPTpbGc5\\n\\n\\n— LNB (@LNBofficiel) May 30, 2018\\n\\nPhoto RMB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Papa de basketteur – Marc Westermann :  « Entre 6 et 10 ans, Léo avait déjà des réflexions d’un niveau assez élevé »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme Marc Westermann a suivi son basketteur de père à chacun de ses exploits, le petit Léo a emprunté le même chemin que papa, auteur d’une carrière de joueur bien remplie terminée à la SIG en 1991, avant d’embrasser une autre passion, celle d’entraîneur qu’il occupe encore aujourd’hui au CJS Geispolsheim (deuxième ex-æquo de la poule B de Nationale 1 féminine).\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComme son père, Léo évolue au poste de meneur-arrière. Mais si Marc Westermann a brillé à l’échelon régional puis national, la relève a brillamment surpassé le parcours du paternel, Léo étant aujourd’hui aux commandes du CSKA Moscou aux côtés de Nando De Colo à seulement 25 ans. Une trajectoire ascendante sur laquelle BasketEurope a naturellement choisi de se pencher avec Marc Westermann dans le cadre de la série d’entretiens consacrés aux «papas de basketteurs . »\\n\\nMarc Westermann, Pouvez-vous rappeler dans quel contexte est né votre fils Léo ?\\n\\nJ’étais encore joueur à la Sig. Je terminais ma carrière de joueur, et je débutais une autre carrière, celle d’entraîneur à Gries Oberhoffen. J’ai arrêté de jouer pour la Sig en 91 et je préparais la transition pour 92. C’est à ce moment que Léo est né (24 juillet 1992). Je garde de très beaux souvenirs de ces moments. J’ai passé 7 ans à la Sig, on avait réussi quelques beaux accomplissements après avoir notamment stabilisé le club en Pro B avant que celui-ci ne se donne de plus amples ambitions. C’était donc une super expérience en tant que joueur, et ça m’a beaucoup aidé à préparer la suite, à savoir devenir entraîneur.\\n\\nA quel moment avez-vous commencé à jouer au basket avec lui ?\\n\\nTrès tôt ! Déjà dans la cour de notre habitation, on avait un panier. Léo avait une grande sœur, Emy, de trois ans et demi de plus que lui, qui touchaient déjà au basket, et avec un papa basketteur, tout cela a fait que dans la cour, entre midi et deux et après les cours à 16h, c’était basket tout le temps. Il y avait aussi un voisin, Antoine, qui nous rejoignait souvent. Ce qui fait qu’il avait tout le temps le ballon en main et que dans la cour, ça n’arrêtait pas de jouer. Forcément, je participais un peu.\\n\\nVenait-il souvent aux entraînements avec vous ?\\n\\nTout le temps. Quand j’allais m’entraîner ou disputer un match, il était tout le temps présent. Au-delà des temps morts ou de la pause de la mi-temps où il jouait comme tous les enfants, le reste du temps, il était déjà vraiment attentif au jeu. Il me posait des questions, déjà précise, du genre « Papa, pourquoi tu as fait tel geste ? » et il était très intéressé par le jeu et la lecture de jeu. Il m’étonnait même parfois car entre 6 et 10 ans, il avait déjà des questionnements et des réflexions d’un niveau assez élevé sur le jeu.\\n\\nQuel impact a pu avoir votre parcours sur sa progression et sa carrière ?\\n\\nIl y a plusieurs parallèles. Comme lui, j’ai passé énormément de temps sur des terrains extérieurs. A mon époque, il n’y avait pas trop de salles et leurs accès étaient assez restreints. Moi aussi quand j’étais petit, j’ai suivi mon père et lui m’a suivi partout. Enfin, là où on se retrouve aussi, c’est que j’étais meneur-deuxième arrière, et lui également. On a beaucoup échangé et travaillé là-dessus, ce qui lui a servi pour la suite même si sur le terrain il était seul et que c’était à lui de prendre les décisions. Il y a pas mal de ressemblances sur notre parcours, mais aussi dans le style de jeu. Comme moi, il ne lâche pas, c’est un gros travailleur, qui sait faire des sacrifices même si les problématiques sont différentes. A mon époque, je travaillais à côté de mon activité de basketteur. Mais dans le travail qu’il a accompli d’un point de vue global, il y a beaucoup de ressemblance.\\n\\nA partir de quel âge avez-vous pensé que votre fils pourrait faire une carrière pro ?\\n\\nÇa s’est fait naturellement, nous n’avons jamais raisonné comme ça. Léo a commencé très tôt. A 5 ans, il était déjà à l’école de basket. Il jouait toujours dans des catégories supérieures, parfois jusqu’à deux-trois ans de différence. C’était déjà un premier indice. Forcément, il devait se forger un caractère, ça lui a fait du bien. Je ne l’ai jamais entraîné en jeune, c’était toujours des personnes issues des clubs par où il est passé petit. On travaillait pas mal à la maison, et aussi pendant les vacances. Mais il n’y a pas vraiment eu de déclic. Il a franchi les étapes naturellement.\\n\\nUne fois au Pole Espoir, c’est le Sluc Nancy qui a mis le grappin dessus lorsqu’il avait 13 ans, pour le faire venir au centre de formation avec un an d’avance. C’était le plus jeune stagiaire, un minime qui jouait avec les cadets France. A ce moment il a très vite franchi un cap.\\n\\nDans quelle mesure l’avez-vous aidé ensuite ?\\n\\nOn ne l’a ni bloqué ni forcé à prendre sa décision même si ce n’était pas facile pour sa maman notamment, de le voir quitter la maison à cet âge. Ce que je faisais en revanche, c’est que je dressais une aide à la décision. Avec les points positifs et négatifs pour chaque situation. On a fonctionné comme ça jusqu’à son passage à l’Asvel. Mais c’est lui a fait ses choix. Il devait être acteur de sa décision pour être motivé. La seule chose que nous avons demandé avec sa mère, c’est qu’il décroche le bac, qu’il a eu à l’Insep. On ne sait jamais à quoi tient la carrière d’un basketteur. C’était notre seule demande. Lorsqu’il est arrivé à Villeurbanne ensuite, avec l’Eurocup et le championnat, c’est devenu plus compliqué pour suivre les études. On aurait aimé qu’il valide quelques aptitudes en langues étrangères, mais ça ne s’est pas fait.\\n\\nQue faîtes-vous au quotidien ou pendant l’intersaison pour l’accompagner ?\\n\\nC’est un processus qui ne se termine jamais. Parfois, un regard suffit. En général, on ne se prend pas la tête par rapport au basket, mais voilà comment on fonctionne. Au cours de l’année on discute des choix, stratégiques, tactiques. Mais quand il vient à la maison pendant l’été par exemple, on travaille. On va à la salle, on fait du physique mais aussi un peu de ludique. Il y a un panel de joueurs qui l’accompagnent. Il apprécie beaucoup et est demandeur. Il prend le temps de voir les amis, la famille, mais on trouve toujours 2h-2h30 par jour pour bosser, réviser des choses, échanger. Il en a besoin et ça lui fait du bien. On n’échappe jamais à ce rituel dès qu’il rentre.\\n\\nEst-ce qu’il y a eu des événements avec une équipe ou un coach qui ont marqué sa jeune carrière ?\\n\\nNon, en tout cas pas dans les échanges que j’ai pu avoir avec lui. Léo est quelqu’un d’assez discret par rapport à ses relations avec ses coachs ou à leur fonctionnement. Il y avait parfois des choses qui le faisaient ruminer, surtout lorsqu’il ressentait quelque chose d’injuste. Léo n’aime pas les injustices, il est droit dans ses bottes, il aime quand c’est réglo. Il y a peut-être eu quelques événements mais qui ne l’ont pas vraiment impacté pour la suite. Je lui disais qu’il pourrait parfois tomber sur un coach exceptionnel qui allait énormément lui apporter, et d’autres fois où ça allait être plus difficile à vivre. Mais que dans les deux cas, il faudrait faire avec car cette situation pourrait se reproduire au cours d’une carrière. Tu trouveras forcément des coachs avec qui tu attends autre chose, une autre relation qui ne vient jamais, mais il ne faut pas se braquer pour autant, continuer à travailler pour aller de l’avant. Dans ces moments, on se focalisait sur son évolution, ce qu’il devait faire en plus pour continuer à progresser.\\n\\nQuel genre de papa étiez-vous au bord du terrain ?\\n\\nJe n’étais pas démonstratif, mais plutôt discret, dans la retenue. Et aujourd’hui je me retrouve à être plutôt craintif quand il joue, avec l’âge et entre ses deux opérations des ligaments croisés du genou, je préférerais qu’il reste en bonne santé. J’ai toujours un petit nœud quand il joue. C’est son métier, on est là pour l’épauler, mais ça fait toujours quelque chose. Pas au sujet de son évolution, plutôt des blessures.\\n\\nA partir de quand l’aura de votre fils a dépassé la vôtre ?\\n\\nPremièrement, c’est quelque chose qui ne m’a jamais dérangé, j’ai toujours voulu qu’il atteigne un niveau plus élevé que le mien. Quand on se chambre, il me dit que je lui mettais la pâtée jusqu’à ses 14 ans, mais qu’après il a pris le dessus. J’ai été joueur à une autre époque, où il fallait travailler à côté et je suis toujours entraîneur aujourd’hui. J’ai plutôt eu une aura régionale, on peut dire que Léo m’a largement détrôné et ça ne me gêne pas du tout, bien au contraire. Ce qui m’importait, comme tout parent, c’était qu’il réussisse et qu’il soit une bonne personne. Ceux qui connaissent Léo savent qu’il a gardé les pieds sur terre.\\n\\nEst-ce que vous pensiez que votre fils pouvait atteindre son niveau actuel ?\\n\\nJe dirais que Léo est un gros travailleur. Il se fixe énormément d’objectifs qu’il souhaite atteindre. Dans son profil et son parcours de carrière, pour l’instant, il a fait de bons choix. Il a peut-être eu un choix à faire par défaut lorsqu’il est revenu du Partizan après sa blessure en signant à Limoges pour deux ans. Ensuite, tout le monde est d’accord pour dire que son année à Kaunas a été exceptionnelle. Elle a été super importante car ça lui a permis de renouer avec l’Euroligue, avec le très haut-niveau européen avec un coach qui l’a beaucoup fait bosser. Aujourd’hui il est dans ce que je considère comme l’un des quatre plus gros clubs d’Europe. Il n’y a peut-être pas le même engouement qu’à Belgrade mais c’est un environnement très professionnel, ça travaille très dur. Et puis il a toujours cette envie de gagner des titres. Il en a gagné en France, en Serbie, en Lituanie, partout où il est passé. C’est ce qui restera à la fin de sa carrière. Le seul bémol, c’est peut-être l’équipe de France, où il n’arrive pas encore à s’imposer comme il le souhaiterait. Mais ce n’est que partie remise, il lui reste encore du temps pour évoluer en Bleu.\\n\\nQuelle est la teneur de vos discussions quand il s’agit de prendre des décisions sur des choix de carrière, Est ce qu’il vous consulte ?\\n\\nJe l’ai accompagné dans toutes ses décisions lorsqu’il s’agissait d’aller au Pole Espoir, au centre de formation de Nancy, à l’Insep et jusqu’à l’Asvel. A l’époque, j’étais le papa, le confident, mais aussi le référent par rapport aux clubs ou aux institutions du basket français. On a vu le choix du Partizan également ensemble, mais ensuite il a volé de ses propres ailes et c’est ce que je voulais. De toute façon, il a toujours assumé et la décision finale lui revenait toujours. Une fois, je n’ai pas été tout à fait d’accord avec son choix, mais il m’a dit : « Papa, je suis responsable, j’y crois, on y va ». Le fait d’être acteur et responsable de la décision le force à assumer. Quand tu te retrouves titulaire à 20 ans, forcément, ça responsabilise. Il faut être costaud pour arriver comme « l’étranger » dans un club serbe, lituanien... Tout ça fait que sa maturité a été précoce. Ce n’est pas toujours facile pour les parents, mais il faut l’intégrer aussi. On a toujours été là pour l’épauler, dans ses choix, dans les bons moments mais aussi les moments plus difficiles, ça fait partie du métier.\\n\\n[armelse]\\n\\nMarc Westermann, Pouvez-vous rappeler dans quel contexte est né votre fils Léo ?\\n\\nJ’étais encore joueur à la Sig. Je terminais ma carrière de joueur, et je débutais une autre carrière, celle d’entraîneur à Gries Oberhoffen. J’ai arrêté de jouer pour la Sig en 91 et je préparais la transition pour 92. C’est à ce moment que Léo est né (24 juillet 1992). Je garde de très beaux souvenirs de ces moments. J’ai passé 7 ans à la Sig, on avait réussi quelques beaux accomplissements après avoir notamment stabilisé le club en Pro B avant que celui-ci ne se donne de plus amples ambitions. C’était donc une super expérience en tant que joueur, et ça m’a beaucoup aidé à préparer la suite, à savoir devenir entraîneur.\\n\\nA quel moment avez-vous commencé à jouer au basket avec lui ?\\n\\nTrès tôt ! Déjà dans la cour de notre habitation, on avait un panier. Léo avait une grande sœur, Emy, de trois ans et demi de plus que lui, qui touchaient déjà au basket, et avec un papa basketteur, tout cela a fait que dans la cour, entre midi et deux et après les cours à 16h, c’était basket tout le temps. Il y avait aussi un voisin, Antoine, qui nous rejoignait souvent. Ce qui fait qu’il avait tout le temps le ballon en main et que dans la cour, ça n’arrêtait pas de jouer. Forcément, je participais un peu.\\n\\nVenait-il souvent aux entraînements avec vous ?\\n\\nTout le temps. Quand j’allais m’entraîner ou disputer un match, il était tout le temps présent. Au-delà des temps morts ou de la pause de la mi-temps où il jouait comme tous les enfants, le reste du temps, il était déjà vraiment attentif au jeu. Il me posait des questions, déjà précise, du genre « Papa, pourquoi tu as fait tel geste ? » et il était très intéressé par le jeu et la lecture de jeu. Il m’étonnait même parfois car entre 6 et 10 ans, il avait déjà des questionnements et des réflexions d’un niveau assez élevé sur le jeu.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : FIBA/Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg-Le Mans: La mission des Alsaciens sera de compenser l’absence de Louis Labeyrie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que Strasbourg était légitimement favori de la série de demi-finale qui doit l’opposer au Mans, l’absence pour au moins les deux premiers matches de son intérieur Louis Labeyrie (2,06m, 26 ans), hospitalisé pour une infection virale, rabat-elle les cartes? Possiblement.\\n\\n« Aucune équipe peut penser que ce n’est pas un coup dur lorsqu’il s’agit d’un joueur majeur qui est absent. Le Mans n’aura pas (Terry) Tarpey qui est aussi un joueur majeur. C’est comme ça. Le match du Mans, début mai, c’est là que tout a commencé. Peut-être aurait-il mieux valu qu’il ne joue pas. Clairement, c’est un vrai coup dur. Louis (Labeyrie) était dans le meilleur cinq de la Jeep Élite et de la BCL. Ce n’est pas nous qui le disons. Voilà comment il était perçu. A nous de trouver le moyen de compenser en gardant nos objectifs », a déclaré le coach Vincent Collet lors d’un point presse d’avant-match.\\n\\nLouis Labeyrie, c’est 13.0 points et 7,4 rebonds en Jeep Elite. Face à une équipe jugée faiblarde à l’intérieur, son absence ne s’est pas fait trop ressentir en quarts-de-finale face à Nanterre.\\n\\n« Au premier match, Atkins était très bon. Dans le deuxième, les autres joueurs ont compensé. Et cette fois encore, les seconds rôles devront prendre le premier. Il faudra encore un effort collectif pour compenser son absence ».\\n\\nLes autres 4 de la SIG sont Damien Inglis, Florent Pietrus et Jeremy Leloup; elle n’est donc pas à sec. Le MSB possède Romeo Travis, DJ Stephens au même poste et aussi Yousoupha Fall, Will Yeguete et Yannis Morin en 5. C’est ce qui s’appelle avoir du répondant.\\n\\n« Il faut rester dans les standards du match retour. Si on encaisse 70 points ou moins, on a des chances d’être dans tous les matches, même sans Labeyrie, » estime le coach.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"ASVEL: Tony Parker déclare que rien n’est signé pour le coach et que Sekou Doumbouya ne viendra pas"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sekou Doumbouya (2,05m, 17 ans) est fortement souhaité à Limoges et aussi dans d’autres clubs mais pas à l’ASVEL qui s’est mis hors du jeu si l’on en croit l’information délivrée par le président Tony Parker au Progrès:\\n\\n« Avec Nico (Batum), on entend et on lit beaucoup de choses sur les sites Internet, et cela nous fait bien rire ! Pour le coach, rien n’est signé. Nous négocions. Pour les joueurs, il y a eu Nzeulie et maintenant Doumbouya. J’ai appris qu’il devait visiter l’Asvel. Mais nous avons déjà Kahudi et Lighty au poste 3. Il ne va pas venir chez nous. Il faudrait peut-être arrêter de mettre le nom de l’Asvel face à ceux de tous les joueurs intéressants ! » s’exclame le président de l’Asvel.\\n\\nPhoto: PB86"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans: Yannis Morin prolonge jusqu’au 30 juin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était attendu puisque Le Mans Sarthe Basket est qualifié pour les demi-finales de playoffs: Yannis Morin (2,08 m, 24 ans) a prolongé son contrat jusqu’au 30 juin 2018.\\n\\n« Arrivé le 12 avril pour pallier l’absence sur blessure de Wilfried Yeguete (aponévrose plantaire), le pivot martiniquais a ensuite remplacé médicalement Terry Tarpey (genou). Convaincant lors de sa pige de dix matches (5,1pts-2,6rbds-7,2 d’évaluation en 13 min/m) et parfaitement intégré au groupe managé par Eric Bartecheky, Yannis a largement participé à la 3e place finale comme à la qualification du MSB en demi-finales de la Jeep ÉLITE. Qualifié par la LNB, Yannis participera aux deux matches programmés à Strasbourg ces jeudi et samedi, avant de prendre part au Match N°3 de ces Demi-Finales, qui aura lieu à Antarès le mardi 5 juin à 20h45, » écrit le MSB dans un communiqué.\\n\\nPhoto: MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Axel Julien et David Holston restent à Dijon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La JDA Dijon a trouvé de quoi redonner le sourire à ses supporters quatre jours après l’élimination du club bourguignon en deux manches en quart de finale des Playoffs face à Limoges en officialisant les prolongations de ses meneurs Axel Julien et David Holston.\\n\\nL’ancien toulonnais Axel Julien (25 ans, 1,85m), membre du Team France Basket, a réalisé sa meilleure saison statistique sous le maillot dijonnais depuis trois ans (7pts, 2,5rbds, 4,9pds par match pour 9,5 d’évaluation en moyenne en 25 minutes). Quant à David Holston (32 ans, 1,73m), de retour au bercail après une expérience non concluante en Turquie (Samsunspor, D2 turque), son arrivée en cours de saison (le 26 janvier) a coïncidé avec une certaine montée en puissance de l’équipe du président à laquelle le meneur américain a justement contribué (9,9pts, 1,8rbds, 5,6pds par match pour 12,9 d’évaluation en moyenne en 23 minutes.\\n\\nDe quoi bâtir une équipe solide en vue de l’exercice 2018-2019 après une saison pour le moins enthousiasmante terminée à la 5e place de Jeep ELITE. Dans les réactions des deux joueurs, la perspective de disputer la Coupe d’Europe a également joué dans la balance.\\n\\nRéaction de Laurent Legname\\n\\n« Je suis très heureux de pouvoir continuer avec ces deux joueurs là. On sait très bien l’importance du poste de meneur de jeu dans la construction d’une équipe. Depuis maintenant 3 ans, ce duo fonctionne à merveille au sein de la JDA, la preuve en est : lors des 6 derniers mois, ils ont retrouvé leur complémentarité et l’équipe a de ce fait évolué positivement. Dans le souhait de conserver un maximum l’ossature de cette année, c’est un réel plaisir de pouvoir compter sur eux, en championnat et en Coupe d’Europe. On connait leurs qualités et de quoi ils sont capables. Ça ne sert à rien d’aller chercher ailleurs quand les joueurs correspondent aux attentes. À eux de continuer à progresser maintenant. »\\n\\nRéaction d’Axel Julien\\n\\n« Je suis très content de pouvoir rester à Dijon. C’est un club que j’apprécie énormément et je suis heureux de pouvoir continuer à travailler ici. Après cette belle saison, les playoffs et la qualification en Coupe d’Europe pour l’année prochaine, ma décision a été plus simple à prendre. J’avais peut-être l’intention de partir, mais j’ai finalement souhaité rester pour vivre cette nouvelle saison avec la JDA Dijon Basket. Pour finir, je suis très content d’être encore associé à David. J’aime notre complémentarité et jouer avec lui sur des courtes séquences. »\\n\\nLa réaction de David Holston a retrouver sur le site officiel du club\\n\\nPhoto JDA Dijon"
}, 
{"role": "user",     "content":"Selon Le Progrès, l’ASVEL est aussi sur Sergio Scariolo et Sasha Djordjevic"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Remplaçant à la mi-janvier de JD Jackson, TJ Parker ne sera plus le coach de l’ASVEL à la rentrée prochaine mais va redevenir assistant. Son bilan est de 56,3% de victoires, ce qui est loin d’être flamboyant, mais surtout les Villeurbannais ont été éliminés par Le Mans en demi-finales des playoffs alors que la masse salariale du club est la plus importante de la Jeep Elite. Visiblement pour lui succéder son frère Tony, le président du club, vise du gros gibier.\\n\\nSelon le quotidien Le Progrès, trois coaches sont sur la short list:\\n\\nIl y a Zvezdan Mitrovic, 48 ans, le Monténégrin de l’AS Monaco, dont le nom circule depuis plusieurs jours mais aussi deux autres pointures européennes: le sélectionneur de l’équipe d’Espagne, l’Italien Sergio Scariolo, 57 ans, qui a gagné trois EuroBasket et deux médailles d’argent aux Jeux Olympiques et aussi deux titres de champion d’Espagne et un d’Italie. Et aussi le Serbe Sasha Djordjevic, 50 ans, sélectionneur de la Serbie, vice-championne olympique et du monde, qui a été licencié par le Bayern Munich en mars.\\n\\nAttention toutefois: Scariolo et Djordjevic sont dans la ligne de mire de plusieurs clubs européens de renom dont le Virtus Bologne.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Choletais Jonathan Rousselle et Jerry Boutsiele vers Limoges?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BeBasket a annoncé que le Limoges CSP est sur la piste du meneur de Cholet Basket Jonathan Rousselle et Le Populaire ajoute que le club est également en pourparlers avec un autre joueur choletais, l’intérieur Jerry Boutsiele.\\n\\nLes deux joueurs sortent d’une très bonne saison en Jeep Elite. Jonathan Rousselle (1,88m, 28 ans) a cumulé 9,4 points (36,2% à trois-points), 3,9 passes et 3,6 rebonds pour 12,1 d’évaluation. Jerry Boutsiele (2,07m, 26 ans) a tourné à 9,8 points et 7,3 rebonds pour 12,2 d’évaluation.\\n\\nPhoto: Jerry Boutsiele (CB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"C’est le 3 juillet que SFR Sport va devenir RMC Sport"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le 3 juillet SFR Sport va devenir RMC Sport avec le lancement de son bouquet qui va proposer sur cinq chaînes différentes la Ligue des Champions et la Ligue Europa de foot, du rugby, de la boxe, de l’athlétisme, de l’équitation et bien sûr du basket avec principalement la Jeep Elite, l’Euroleague et l’Eurocup.\\n\\nC’est RMC Sport 2 qui sera dédié au basket. L’émission Buzzer reviendra comme actuellement sur les grands moments de basket du week-end en Jeep Elite et présentera les semaines d’Euroleague et d’Eurocup, tous les lundis à 22h30 avec David Cozette, Stephen Brun et Frédéric Weis.\\n\\nRMC Sport proposera bientôt une nouvelle version de son application mobile gratuite afin de suivre toute l’actualité sportive, les éditos de sa « Dream Team, » de journalistes et consultants, les meilleurs extraits vidéos des plus grands événements et les shows.\\n\\nLes abonnés RMC Sport auront également accès à une plateforme multi-écrans enrichie afin de vivre une expérience innovante. Elle proposera toutes les chaînes RMC Sport en HD et UHD en live, tous les matches de Ligue des champions et de Ligue Europa en direct, des contenus additionnels, des services d’enrichissement du live et tous les replays RMC Sport."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Tous en blanc à Orléans, le mot d’ordre du jour"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Jour de match décisif entre Orléans et Rouen qui disputent la belle de leur quart de finale des Playoffs d’accession ce soir à 20h30 au Palais des Sports d’Orléans. Vainqueurs difficilement du match aller (112-110) les joueurs de Germain Castano ont sombré lundi soir au Kindarena en s’inclinant 77-76 après avoir compté jusqu’à 15 points d’avance en milieu de 3e quart-temps. A domicile ce soir, la pression sera donc sur l’OLB qui avait pour objectif initial la remontée directe en Jeep ELITE tandis que les Rouennais visaient le maintien en début d’exercice.\\n\\nLe club a publié un teaser en vue du match du soir avec un appel aux supporters à venir tout de blanc vêtus pour encourager leur équipe\\n\\nLe résumé du match retour proposé par OLBTV"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Ruddy Nelhomme maintenu à Poitiers"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Malgré une saison difficile, sans doute la plus compliquée du PB 86 depuis son retour en Pro B, le conseil d’administration du club poitevin a décidé de maintenir son entraîneur en chef, Ruddy Nelhomme, toujours sous contrat, pour la saison 2018-2019. L’objectif fixé sera de retrouver les Playoffs d’accession après un exercice 2017-2018 où Poitiers s’est sauvé à la toute dernière journée.\\n\\nRuddy Nelhomme, également assistant-coach de Vincent Collet en Equipe de France depuis 2010 est à Poitiers depuis 2007 après avoir effectué ses premiers pas d’entraîneur en pro à Cholet Basket (2002-2006).\\n\\n« Le Conseil d’Administration de la SAOS PB86 affirme sa confiance dans le staff actuel pour atteindre l’objectif des play-offs au terme de la future saison. Le Conseil d’Administration de la SAOS PB86 indique qu’il ne pourra pas se satisfaire de résultats identiques à ceux de la saison 2017/2018. », peut-on également lire sur le bref communiqué paru sur le site officiel du club."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans: Pour Romeo Travis, rencontrer Strasbourg c’est forcément spécial"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’intérieur manceau Romeo Travis (1,98m, 33 ans) connait bien la SIG Strasbourg. Et pour cause, il y a joué 6 matches de Jeep Elite en 2015 avant de signer au Mans puis une saison complète lors de l’exercice suivant avant donc de revenir au MSB une autre fois.\\n\\nL’ancien équipier en high school de LeBron James a donc connu une finale perdue de playoffs, celle de 2017 face à Chalon. Ouest France lui demande ce matin une explication :\\n\\n« Vous savez en basket-ball vous ne devez pas simplement être une bonne équipe, vous devez aussi être prêts physiquement et chanceux. En finale, nous n’avons été ni chanceux, ni au top physiquement. Eric Murphy s’est blessé à la cheville dans le premier match tandis que Jeremy Nzeulie (Chalon-sur-Saône) a été très bon au « step-back » dans le troisième match. Comme je l’ai dit, en playoffs il faut la performance, la santé et la chance. Nous n’avions qu’un des trois éléments... Et c’est pour cela que nous avons perdu. »\\n\\nSi le MSB a tombé Villeurbanne dans le Match 3 de demi-finale dans une ambiance de liesse à Antarès (79-78), Romeo Travis a été peu à son affaire avec 3 rebonds et 3 passes mais 1/8 aux shoots. Il a été à l’évidence pénalisé par sa suspension pour le Match 2 qui lui a coupé son rythme.\\n\\n« Pas seulement la suspension. Il y a évidemment d’autres facteurs. J’étais malade avant le premier match et je m’entraînais beaucoup, tout en ne sachant pas si j’allais jouer ou non. Ça a un peu impacté ma décontraction à l’entraînement. Maintenant je veux retrouver l’état d’esprit dans lequel j’étais avant de tomber malade. J’essaye simplement de retrouver le rythme, réussir et enchaîner les shoots à l’entraînement. Ce genre de choses qui te permet de te sentir bien sur le parquet. Réussir mes tirs, c’est le meilleur moyen de retrouver ma motivation. Je veux gagner, et bien jouer évidemment. Mais si on gagne sans forcément bien jouer, ça serait bien aussi. »\\n\\nDu fait de ses passages à la SIG, l’Américain peut jouer un rôle d’espion en faveur du MSB. Il connaît les systèmes, la façon de coacher de Vincent Collet et ne va pas se faire prier pour donner des tuyaux à ses équipiers, mais...\\n\\n» Mais c’est un bon entraîneur donc tout ce que je connais de l’équipe, il peut les changer à tout moment. »\\n\\nPhoto: MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Allemagne: Une finale Alba Berlin vs Bayern Munich"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La finale du championnat d’Allemagne qui va démarrer le 3 juin marque un tournant. Elle va opposer les clubs des deux villes principales du pays, l’Alba Berlin et le Bayern Munich.\\n\\nLe Bayern est allé s’imposer hier à Bamberg, 83-79. Forcément un évènement car le club qui représentait la Bundesliga en Euroleague avait raflé 7 des 8 derniers trophées et ne pourra donc pas défendre son titre.\\n\\nL’ailier Danilo Barthel (2,08m, 26 ans) a été remarqué avec ses 19 points et 7 rebonds.\\n\\nDominateur de 1997 à 2003 (7 titres d’affilée), Alba Berlin est depuis quelque peu rentré dans le rang avec un seul titre en 2008. Il n’a pas laissé une manche à Ludwigsbourg en demi-finale, 3-0.\\n\\nEn saison régulière, le Bayern (31-3) a devancé Alba (29-5).\\n\\nPhoto: Jared Cunningham (Bayern)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce: Une finale Olympiakos-Panathinaikos pour la 13e fois de suite !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est sûr: Le championnat grec, ce n’est pas aussi varié que la Jeep Elite. Pour la 13e fois d’affilée Olympiakos Le Pirée et Panathinaikos Athènes vont se retrouver en finale ! Le Pana a déjà engrangé 35 titres nationaux et Olympiakos 12. Depuis 1992 et la fin de l’ère Salonique (Aris et PAOK), seule l’AEK a réussi l’exploit de contrarier les deux mastodontes de la capitale, c’était en 2002.\\n\\nLes deux équipes n’ont pas fait de quartiers en playoffs. Elles ont gagné leurs cinq matches. Hier, lors du Match 3 de demi-finales, le Panathinaikos a fait chuter le PAOK à Salonique, 88-62 avec un Nick Calathes (1,98m, 29 ans) de feu. Le meneur international a perforé la défense du PAOK avec 27 points, 9 passes et 5 rebonds. James Gist (2,06m, 32 ans) a lui conclue le match par un double double (11 points et 12 rebonds).\\n\\nDe son côté, Olympiakos n’a pas été tendre avec Promitheas qui a été forcé de commettre 19 pertes de balle, 89-56. L’ailier canadien Kyle Wiltjer (2,08m, 26 ans) a réussi 14 points et 9 rebonds.\\n\\nOn peut comprendre que les deux clubs aient besoin de l’Euroleague pour se divertir un peu."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le basket à Mulhouse, de liquidation en liquidation"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’histoire du basket-ball à Mulhouse a longtemps été belle mais tumultueuse. Un temps acteur majeur de première division (après le FA et le CA qui ont été neuf fois champion de France avant la deuxième guerre mondiale, il fut le vainqueur du Tournoi des As en 1989, demi-finaliste de la Coupe Korac deux ans plus tard), le MBC fut relégué pour raisons financières et disparu pour devenir le FCM Basket qui fut à son tour englouti pour cause de déficit en 1994 avant de gravir à nouveau tous les échelons et... de déposer le bilan en 2007.\\n\\nRevenu en Nationale 2, le FCM Basket Elite a été à son tour liquidé hier par le TGI de la ville. Cette décision vient de clore une saison qui avait vu l’équipe reprendre la compétition à la fin mars après presque trois mois d’arrêt ! Elle a terminé dernière de la poule D avec 22 défaites en 26 matches.\\n\\n« Aujourd’hui, seul le FCM Basket Amateurs existe encore. Il regroupe quelque 150 membres, essentiellement des jeunes, soit huit équipes. Celle des seniors, dernière de Régionale masculine 2, tombe en Division 1 départementale », précise les DNA.\\n\\nLe basket mulhousien est-il mort pour autant? L’ASSM Pfastatt pourrait céder les droits sportifs de son équipe fanion, qui a obtenu son maintien en Nationale 2 au FCM Basket Élite, qui changerait de nom, ce qui lui permettait de continuer à ce niveau\\n\\n« Nous continuons à plancher sur le sujet, mais c’est compliqué, »a déclaré Daniel Contessi aux DNA. « Des discussions sont en cours. Nous devons encore vérifier un certain nombre de choses. Je ne sais pas ce que cela va donner. Nous devrions bientôt savoir si nous avons travaillé pour rien, ou pas, ces derniers mois. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Demi-finales Nationale 1: Boulogne et Saint-Quentin s’offrent une belle"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Boulogne et Saint-Quentin ont obtenu le droit de disputer une belle de demi-finale de playoffs de NM1 après leurs victoires, l’un à domicile sur Chartres (85-83) et l’autre à Lorient (72-69).\\n\\nA cause d’une adresse en berne (13 sur 23), notamment du fait de la bonne défense de la paire lorientaise Ronalds Rutkauskas-Vincent Pourchot à l’intérieur, Saint-Quentin avait un débours de 8 points (32-40) à la mi-temps. C’est son Américain Daviin Davis (18 points à 7/8 aux shoots, 24 d’évaluation) qui a permis à SQBB de s’imposer dans le money time puisqu’il parvenait à remporter le dernier quart-temps 20-13. Un exploit car le CEP était soutenu par trois bons milliers de fans.\\n\\nLa cote des deux équipes s’inverse puisque la belle se tiendra dans l’Aisne.\\n\\nBoulogne a dû batailler pour éviter que le retour de Chartres dans le dernier quart-temps (23-16) lui soit fatal. Dwight Burke (22) a été son meilleur marqueur et le mythique Michel Jean Baptiste Adolphe (9) sont meilleur rebondeur.\\n\\nLes belles sont programmées samedi."
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview : Jean-Pierre Siutat (président de la FFBB) et le sport féminin : «Tout est centralisé autour du foot»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que la Ligue Féminine fête ce soir officiellement ses 20 ans, nous avons demandé à Jean-Pierre Siutat, qui en fut son président de 2001 à 2009 avant de devenir celui de la FFFB, ce qu’il pense de l’évolution des mœurs quant au sport féminin et en particulier le basket au XXIe siècle.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n« A l’époque, c’était très difficile. A Tarbes, on a fusionné un club masculin et un club féminin et il n’y en n’avait que pour les garçons. On était en Nationale IV -c’était mon niveau- et les filles en Pré-Nationale. Lorsque je me suis sorti du basket masculin car j’ai eu l’opportunité d’entraîner les filles, je me suis aperçu que tout était fait pour les garçons. Il a fallu que je me bagarre seul ! J’ai prouvé parce que j’ai eu des résultats et que j’avais déjà localement une image positive qui m’a permis d’être crédible. J’ai vite compris le combat par rapport au rugby, au foot, au basket local, qu’il fallait mener rien que pour exister. On a réussi à être réellement reconnu quand on est monté en deuxième division, la LFB2 de l’époque.\\n\\nQuand je me suis retrouvé à m’occuper du basket féminin, je me suis retrouvé seul à vouloir me sortir du sous-produit basket féminin. C’était très compliqué à l’époque pour trouver des financements et même des gens qui acceptent de nous recevoir pour discuter. La télé, je n’en parle même pas. C’est pour ça que j’ai voulu faire des stats, les premières live, LFBTV. Les premières caméras, c’est moi qui les ai achetées. A l’époque, il fallait être sur le champ de l’innovation, sur les niches. Qui a-t-il eu depuis ? Un, quand Bourges a fait son travail (NDLR : Les États Généraux du sport féminin en 2013), qui a amené 60 propositions, je les avais aidés. J’avais dit que si on voulait s’en sortir, il faut compenser les difficultés que l’on a. Il y a certaines collectivités territoriales qui, à juste titre, compensent le fait que c’est difficile pour un club de trouver des partenaires privés. Ils se disent que s’ils donnent 10 pour un club masculin, à niveau égal, ils vont donner 10 + 10% pour un club féminin. Je trouvais ce phénomène de compensation intéressant. J’ai dit qu’il faut faire la même chose sur les dépenses, les coups de production. Il faut que l’on aide à amorcer la pompe sur les images de télévision. J’avais proposé que l’on créé un fond afin de pouvoir payer une partie des coûts de production télévisuelle. Le CNDS a voté un million d’euros pour pouvoir produire des images sur le handicap et le sport féminin.\\n\\n« En deux ans, on est passé de 7 à 15% de couverture télévisuelle de sport féminin »\\n\\nAprès, il y a eu une vague de féminisme qui fait que la société évolue vers plus de mixité et, à partir du moment où on le dit partout, des gens se sont accaparés ce phénomène au niveau du sport. Je prends l’exemple de Christine Kelly et des 24 Heures du sport féminin. Je suis très amie avec elle, je l’ai aidée à monter ça. En deux ans, on est passé de 7 à 15% de couverture télévisuelle de sport féminin. C’est quand même important même si on est encore loin de la mixité. Ça veut dire qu’il y a une prise de conscience car les télévisions ont été globalement obligées d’y passer à travers le CSA et ils se sont pris au jeu.\\n\\nLà où je condamne quelque chose, même si je n’ai rien contre le foot, c’est que les médias, les pouvoirs publics pour aider le sport féminin font des focus sur le foot féminin. Quand on aide le foot féminin, on a l’impression d’avoir fait le boulot. Mais nous, on existe depuis toujours. On a une légitimité alors pourquoi faire un focus énorme sur le foot féminin ? Quand il y a eu la Coupe du monde de foot féminin ont été nommés des ambassadeurs pour s’occuper du foot féminin. Sport féminin, ça été foot féminin. La fédération de foot, la FFF, va organiser la Coupe du monde foot et va toucher des financements pour ça mais va aussi en toucher pour travailler sur la médiatisation et le développement du sport féminin. Mais en fait, pas du sport féminin mais du foot féminin. Tout est centralisé autour du foot et tout le monde s’y met : l’Etat, les collectivités territoriales, les médias, etc. Ce n’est pas un phénomène de jalousie mais ça fait tellement de temps que je suis au combat sur le basket féminin sans être vraiment aidé. Ce que l’on a fait avec l’Open, c’est méritant même si c’est devenu banal mais c’était des combats pour faire démarrer ça. Tout est plus facile maintenant. Il reste des tas de choses à faire. Les réseaux sociaux ont par exemple permis une égalité puisqu’il y autant de femmes que d’hommes qui sont dessus. »\\n\\n[armelse]\\n« A l’époque, c’était très difficile. A Tarbes, on a fusionné un club masculin et un club féminin et il n’y en n’avait que pour les garçons. On était en Nationale IV -c’était mon niveau- et les filles en Pré-Nationale. Lorsque je me suis sorti du basket masculin car j’ai eu l’opportunité d’entraîner les filles, je me suis aperçu que tout était fait pour les garçons. Il a fallu que je me bagarre seul ! J’ai prouvé parce que j’ai eu des résultats et que j’avais déjà localement une image positive qui m’a permis d’être crédible. J’ai vite compris le combat par rapport au rugby, au foot, au basket local, qu’il fallait mener rien que pour exister. On a réussi à être réellement reconnu quand on est monté en deuxième division, la LFB2 de l’époque.\\n\\nQuand je me suis retrouvé à m’occuper du basket féminin, je me suis retrouvé seul à vouloir me sortir du sous-produit basket féminin.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Jean-Pierre Siutat avec la Ministre des Sports, Laura Flessel (FFBB/Hervé Bellenger)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ligue Féminine: Les 5 Majeurs des 20 ans dévoilés"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Ligue Féminine de Basket a dévoilé hier, à l’occasion d’une soirée célébrant ses 20 ans, la composition des deux « 5 majeur » de la période 1998-2018.\\n\\nEn présence de Laura Flessel, Ministre des Sports, la Ligue Féminine a soufflé ses vingt bougies devant les personnalités qui ont fait son histoire. Joueuses de légende, entraîneurs et dirigeants emblématiques étaient là pour assister à la conclusion d’une saison 2017-2018 spéciale. Un mélange générationnel symbolisant le dynamisme d’une ligue tournée vers le futur mais qui n’oublie pas son Histoire.\\n\\nLa soirée de gala a débuté par la mise à l’honneur du Tango Bourges Basket, vingtième champion de l’histoire de la Ligue Féminine. Les onze joueuses et le staff, sacrés samedi soir (3-1 en finale contre Tarbes), ont reçu l’ovation des convives.\\n\\nPoint d’orgue de la soirée, la LFB a dévoilé les deux équipes de rêve des 20 ans. Un jury de neuf personnes, présidé par Boris Diaw, capitaine de l’Équipe de France (245 sélections), s’était réuni le 12 février dernier afin de composer les « 5 majeurs ». Céline Dumerc et Ann Wauters ayant remporté le suffrage du public, elles étaient assurées de figurer dans chaque sélection.\\n\\nLe « 5 majeur » des joueuses françaises\\n\\nCéline Dumerc – 16 saisons LFB / 455 matches joués – Élue par le public\\n\\nDébutée à Tarbes, sa carrière prend une autre dimension au sein du Bourges Basket. Après 2 saisons en Russie, elle revient dans le Cher et garnit un peu plus son palmarès. Elle retrouve son Sud-Ouest natal en 2016.\\n\\nAudrey Sauret – 9 saisons LFB / 218 matches joués\\n\\nPassée de Bourges à Valenciennes en 2000, la native de Charleville-Mézières a tout connu avec l’USVO. Pilier du club nordiste, elle part quelques années à l’étranger avant de terminer sa carrière en Ligue Féminine, à Lyon.\\n\\nCathy Melain – 9 saisons LFB / 253 matches joués\\n\\nJoueuse emblématique du club Tango, Cathy Melain n’a connu que Bourges en LFB. Triple MVP du championnat, elle passe deux saisons en Italie avant de retrouver le Berry où elle y finit sa carrière sur un dernier titre national.\\n\\nEndy Miyem – 9 saisons LFB / 251 matches joués\\n\\nAprès le Centre Fédéral, Endy Miyem rejoint Bourges. C’est dans ce club qu’elle va grandir en remportant de nombreux titres. Après 9 saisons sous le maillot Tango, elle part Russie pour donner un nouvel élan à sa carrière.\\n\\nIsabelle Yacoubou – 5 saisons LFB / 137 matches joués\\n\\nArrivée à Tarbes en provenance du Bénin, la solide intérieure a porté le TGB pendant 5 ans jusqu’au titre en 2010. 2 fois meilleure joueuse de LFB, elle quitte la Bigorre et évolue dans d’ambitieuses équipes européennes.\\n\\nEntraîneur : Valéry Demory – 13 saisons LFB / 388 matches\\n\\nAncien joueur, il débute à Mourenx puis passe 10 années à Lattes Montpellier où il emmène le BLMA au plus haut niveau. Valéry Demory est l’entraîneur ayant coaché le plus de match en LFB.\\n\\nLe « 5 majeur » des joueuses étrangères\\n\\nKristi Harrower (Australie) – 5 saisons LFB / 126 matches joués\\n\\nAprès 3 saisons à Aix-en-Provence, elle rejoint l’emblématique club de Valencinennes. Meneuse de caractère, elle remporte en parallèle de nombreuses médailles avec la sélection australienne.\\n\\nIlona Korstine (Russie) – 5 saisons LFB / 130 matches joués\\n\\nFormée à Bourges, la Franco-Russe a récemment intégré le « Hall of Fame » du club beruyer. Retraitée des parquets, elle dirige maintenant la VTB League, championnat réunissant les meilleures équipes d’Europe de l’Est.\\n\\nAllison Feaster (États-Unis) – 6 saisons LFB / 151 matches joués\\n\\nComme Harrower, Allison Feaster arrive en Ligue Féminine à Aix puis rejoint le Nord et Valenciennes. A l’USVO, elle gagne un titre par saison et marque le championnat de son empreinte avec trois trophées de MVP.\\n\\nAnn Wauters (Belgique) – 7 saisons LFB / 191 matches joués – Élue par le public\\n\\nA 18 ans, elle passe la frontière et débarque à l’USVO pour en repartir en légende. Après avoir fait le tour des plus grands clubs européens, elle revient dans le Nord, à Villeneuve d’Ascq, avec qui elle gagne l’EuroCoupe.\\n\\nPoline Tzekova (Bulgarie) – 10 saisons LFB / 248 matches joués\\n\\nInternationale bulgare, elle passe toute sa carrière française dans le Sud-Ouest où elle vit toujours. Icône de Tarbes, elle arrête sa carrière une saison avant le sacre national du TGB.\\n\\nEntraîneur : Laurent Buffard – 12 saisons LFB / 357 matches\\n\\nPassé de la PRO A à la LFB en 1999, il amène Valenciennes au sommet, que ce soit en France ou en Europe. Laurent Buffard est l’entraîneur le plus titré en LFB."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Axel Toupane flambe en playoffs !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Bleus du basket ne se sont jamais aussi bien exportés ! Le contingent tricolore compte vingt cinq joueurs (huit de plus que l’an passé) pour neuf pays sur le Vieux Continent.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n\\n22, vlà Axel Toupane !\\n\\nAprès sa magnifique troisième place au dernier Final Four Euroleague, le Zalgiris continue de tracer sa route en championnat. Kaunas vient de passer le premier tour (contre Kedainiai) et a déjà remporté la 1ère manche de son deuxième tour de playoffs, face à Lietkabelis.\\n\\nEt Axel Toupane s’est mis en valeur dès la première rencontre en signant son meilleur match en Lituanie : 22 points à 7/9 aux tirs avec un parfait 5/5 à deux points ! Avec 26 d’évaluation en 25 minutes, Toupane a été étincelant de bout en bout... probablement encore dans le jus du Final Four !\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=WV4lSE5X_iA\\n\\n\\nAndorre renverse Barcelone malgré Adrien Moerman\\n\\nEn Espagne, les playoffs ont également commencé sur les chapeaux de roue avec la victoire surprise, et d’entrée de jeu, d’Andorre face au Barça mieux classé durant la saison régulière. Sur le parquet des catalans, Andrew Albicy (4 points, 6 passes) et Landing Sanè (9 points) ont mené la révolte et ont surtout imposé leur rythme du début à la fin du match.\\n\\nMalgré un double double d’Adrien Moerman (12 points, 11 rebonds), plus 10 points et 4 passes de Thomas Heurtel, Barcelone va devoir redresser la barre dès la deuxième levée ce mercredi. Tout va bien pour Vitoria et le Real Madrid, vainqueurs faciles de leur première manche, respectivement contre Malaga et Tenerife.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=EETZ8u4RIlk\\n\\n\\nLe CSKA Moscou dominateur\\n\\nCe n’est pas une nouveauté mais, d’autant plus après son échec au Final Four Euroleague, le CSKA Moscou est sacrément dominateur pour son retour sur la scène nationale. Opposés à Riga, Nando De Colo et ses coéquipiers ont écrasé la concurrence en trois manches sèches, avec un écart moyen de 25 points !\\n\\nDe Colo a tourné à 15 points, 4 passes, 3 rebonds de moyenne sur ce premier tour de playoffs. Le CSKA accède ainsi au Final Four de la VTB League et va affronter le Zénit St Pétersbourg en demi-finale.\\n\\n\\nMoustapha Fall éliminé par le Fener\\n\\nAvec Sakarya, Moustapha Fall faisait face à une montagne en playoffs : le Fenerbahçe. Détrôné en Euroleague, le Fener n’a pas fait de détail au premier tour des playoffs. Deux défaites nettes et sans bavure plus tard, Fall a vu sa première saison à l’étranger se terminer de manière abrupte !\\n\\nAvec 9 points, 6 rebonds, 2 contres, 2 passes de moyenne, en 24 minutes et à 69% de réussite aux tirs, Moustapha Fall termine meilleur rebondeur et meilleur contreur de son équipe cette saison. Une saison terminée donc en playoffs pour un club jeune promu... Prometteur !\\n\\n\\nEspagne\\n\\nAdrien Moerman (Barcelone) : 12 points (5/11 aux tirs), 11 rebonds, 2 passes, 2 balles perdues en 26 minutes (défaite 76-94 face à Andorre)\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 11 points (5/9 aux tirs), 7 rebonds, 2 passes, 2 interceptions en 27 minutes (victoire 87-70 face à Malaga)\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 10 points (3/9 aux tirs), 4 passes, 2 balles perdues en 28 minutes (défaite 76-94 face à Andorre)\\n\\nRodrigue Beaubois (Vitoria) : 9 points (3/6 aux tirs), 2 rebonds, 1 balle perdue en 11 minutes (victoire 87-70 face à Malaga)\\n\\nLanding Sané (Andorre) : 9 points (3/8 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 contre en 19 minutes (victoire 76-94 face à Barcelone)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 4 points (1/4 aux tirs), 6 passes, 2 rebonds, 1 interception, 2 balles perdues, en 20 minutes (victoire 76-94 face à Barcelone)\\n\\nEdwin Jackson (Barcelone) : 3 points (1/5 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 2 balles perdues en 15 minutes (défaite 76-94 face à Andorre)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : n’a pas joué (victoire 83-73 face à Tenerife)\\n\\nNicolas De Jong (Saragosse) : saison terminée\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : saison terminée\\n\\nAntoine Diot (Valence) : saison terminée\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAngelo Tsagarakis (Kymis) : saison terminée\\n\\nKim Tillie (Olympiakos) : blessé pour la fin de saison\\n\\nBoris Dallo (Panionios) : saison terminée\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : 5 points (2/5 aux tirs), 2 rebonds, 1 passe en 25 minutes (défaite 77-69 face à Galil Gilboa)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Milan) : saison terminée\\n\\nNobel Boungou-colo (Turin) : saison terminée\\n\\nYakhouba Diawara (Pistoia) : saison terminée\\n\\n\\nLituanie\\n\\nAxel Toupane (Kaunas) :\\n\\n– 22 points (7/9 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 25 minutes (victoire 96-75 face à Kėdainiai)\\n– 5 points (2/2 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe en 15 minutes (victoire 84-69 face à Kėdainiai)\\n\\n– 5 points (1/3 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 2 balles perdues en 21 minutes (victoire 93-69 face à Lietkabelis)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : saison terminée\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA) :\\n\\n– 15 points (5/8 aux tirs), 7 passes, 4 rebonds, 2 balles perdues en 21 minutes (victoire 112-83 face à Riga)\\n– 20 points (6/11 aux tirs), 4 passes, 3 rebonds, 2 interceptions, 2 balles perdues en 24 minutes (victoire 100-80 face à Riga)\\n– 9 points (3/8 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 19 minutes (victoire 99-73 face à Riga)\\n\\nLeo Westermann (CSKA) : blessé\\n\\n\\nSerbie\\n\\nMathias Lessort (Etoile Rouge) : 0 point (0/1 au tir), 3 rebonds, 1 interception, 1 balle perdue en 7 minutes (victoire 87-62 face au Partizan)\\n\\nBandja Sy (Partizan) : n’a pas joué (défaite 87-62 face à Etoile Rouge)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nMoustapha Fall (Sakarya) :\\n\\n– 6 points (3/4 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 1 contre, 2 balles perdues en 21 minutes (défaite 81-66 face au Fenerbahçe)\\n– 7 points (1/3 aux tirs), 7 rebonds, 3 passes, 2 contres, 1 interception, 1 balle perdue en 24 minutes (défaite 77-54 face au Fenerbahçe)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Rodrigue Beaubois en grande forme"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : basket et cuisine avec Mike Gélabale et CodJordan23"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Membre de la Team d’influenceurs du 5 majeur LNB, le Youtubeur Yann-CodJordan23 est allé à la rencontre de l’ailier international de l’Elan Chalon Mike Gélabale pour un concept inédit appelé « Basket et Cuisine ». Au menu, l’ancien joueur des Sonics nous fait visiter le Colisée, livre quelques conseils sur quelques trick-shots. Et après le traditionnel panier du milieu du terrain, direction la cuisine où Mike Gélabale concocte un petit plat en compagnie de son hôte.\\n\\nLa suite ? C’est ici..."
}, 
{"role": "user",     "content":"Officiel : Vincent Sanford à l’Elan Chalon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’arrière américain Vincent Sanford (28 ans, 1,91m), parmi les bons coups de la saison sous les couleurs des Sharks d’Antibes cette saison, s’est engagé avec l’Elan Chalon. Le club du président Dominique Juillot a officialisé la nouvelle aujourd’hui par le biais d’un communiqué. Passé par Georgetown et Dayton à l’université puis par les championnats islandais et colombiens, Vincent Sanford a explosé en 2016 en Allemagne.\\n\\nRecruté pour évoluer avec la réserve de Wurzburg, il a finalement réalisé une très belle saison avec l’équipe première (11,2 pts, 3,5 rbds, 3pds). Sous le maillot antibois cette saison, Vincent Sanford a fait l’étalage de toute sa polyvalence (10e meilleur marqueur de Jeep ELITE avec 14,3pts de moyenne, 3rbds, 2,3pds, 12,6 d’évaluation en 26 minutes en moyenne). Suffisamment pour taper dans l’œil de Jean-Denys Choulet qui s’est exprimé sur sa nouvelle recrue.\\n\\n« Vincent est un joueur que je voulais, il a un comportement humain extra, un très gros travailleur. C’est un joueur qui a fait une belle saison, dans une équipe avec des pépins. C’est un arrière qui sera aussi amener à se décaler sur le poste de meneur comme première rotation. Cela donnera du temps de jeu à Bastien qui le mérite, et laissera de l’espace à Vincent à la mène. Pour l’anecdote, ce joueur est venu sur les conseils d’AJ Slaughter ».\\n\\nAJ Slaughter, qui avait réalisé sa meilleure saison statistique en France sous les ordres de Jean-Denys Choulet en 2013-2014 à Chalon-sur-Saône (17,6pts, 4,6pds, 15,8 d’évaluation)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Sekou Doumbouya évoque sa short list pour la saison prochaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est l’un des feuilletons de l’été à venir et un enjeu déterminant pour la suite de la carrière de l’intéressé : quel club de Jeep ELITE Sekou Doumbouya va-t-il rejoindre la saison prochaine ? Dans un entretien de fin de saison réalisé par 7àPoitiers, le joyau du PB86 confie être intéressé par quatre clubs et donne des indices sur les critères les plus importants à ses yeux.\\n\\n« Je ne sais pas, répond d’abord le joueur de 17 ans. Là je suis parti visiter Limoges voir un peu les infrastructures, voir le coach le staff tout ça. Après j’irai visiter les autres clubs aussi voir comment ça se passe et après je prendrai ma décision. On a dressé une shorte liste déjà il y a Limoges, après je pense que j’irai voir Bourg-en-Bresse, l’Asvel... On a fait une short-list comme ça. (...). Le club qui me proposera un bon projet, j’irai là-bas, comme Poitiers en fait. Il faut un club qui ressemble un peu à Poitiers. Quand j’aurai fini de visiter les clubs et que j’en aurais bien parlé avec mes agents, ma famille, pour voir aussi ce qui lui correspond le mieux. Ça fait plein de paramètres, il faut bien réfléchir parce que c’est un choix très important pour moi. »\\n\\nSekou Doumbouya s’exprime également sur son objectif de rejoindre la NBA en 2019 ou sa marge de progression.\\n\\n\\n\\nhttps://www.facebook.com/7aPoitiers/videos/10155339406667797/"
}, 
{"role": "user",     "content":"Chris Evans (Monaco): «Je peux défendre sur le meneur comme sur l’ailier fort»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Chris Evans (2,03m, 27 ans), c’est cette saison (13,9 points, 4,2 rebonds en 25 mn/match) sous le maillot de l’AS Monaco. Une trouvaille du staff de la Rocat Team puisque cet ailier aérien issu de Kent State avait jusqu’ici joué dans des clubs ou des ligues mineurs en plus de la G-League: Trikala en Grèce, A2 italienne, Israël où il a porté le maillot de l’Hapoël Tel-Aviv seulement deux mois et Argentine). Interrogé par le site du club à trois joueurs du Match 1 de quarts-de-finale de playoffs de Jeep Elite, il insiste sur le fait qu’il est efficace des deux côté du terrain:\\n\\n\\n« Certains matches, je peux scorer 20 points, mais vraiment, je sais aussi que je peux défendre très fort. Je peux défendre sur le meneur comme sur l’ailier fort, et je peux aider l’équipe de cette façon. Nous sommes une équipe avec beaucoup de joueurs capable de marquer, mais pour aller loin, il faut en priorité stopper l’adversaire. La défense reste pour nous la clé (...) Oui. Je suis un compétiteur. Marquer des points ou défendre sur le fort gars d’en face, pour moi, peu importe, tout ce qui compte, c’est rapporter le trophée de champion à Monaco. On a remporté la Leaders Cup, mais on a perdu la finale de la Champions League. On a encore un gros appétit. »\\n\\nL’AS Monaco se méfie d’une équipe limougeaude qui est sur une série de six victoires: Levallois, Villeurbanne, Antibes, Nanterre et Dijon par deux fois:\\n\\n« C’est vrai que Limoges a changé. Ce n’est pas la même équipe que celle du début de saison. Ils ont pris Samuels dans la peinture, (Larry) Drew, et Kenny Hayes est monté en régime... Ils forment aujourd’hui un ensemble cohérent et complet. Il faudra les contrarier sur leur plan de jeu, ne pas les laisser manoeuvrer comme ils le souhaitent »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Alessandro Gentile absent deux mois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est un coup dur pour l’arrière-ailier de la Virtus Bologne. Alessandro Gentile va en effet devoir passer sur le billard pour se faire opérer de la main. Plus précisément, il s’agira de réparer une fracture d’un de ses doigts de la main droite. L’international italien devra ainsi observer soixante jours de repos et manquera deux rendez-vous des plus importants cet été comme l’a confirmé Sportando.\\n\\nDrafté par les Wolves de Minnesota en 2014 (53e position) le fils de Ferdinando Gentile, dont les droits avaient ensuite été transférés à Houston, devait (enfin) participer à la Summer League avec les Rockets. Ce ne sera finalement pas pour cette fois. Alessandro Gentile, qui tournait cette saison à 16,8 points, 6,3 rebonds et 3,4 passes décisives par match en 29,8 minutes en moyenne avec Bologne doit également faire une croix sur les deux derniers matchs de la première phase de groupes qualificative pour la Coupe du Monde 2019 fin juin contre la Croatie et les Pay-Bas. Les Italiens sont toutefois d’ores et déjà qualifiés pour la seconde phase avec quatre victoires pour zéro défaites au compteur."
}, 
{"role": "user",     "content":"Sarunas Jasikevicius fait citoyen d’honneur de la ville de Kaunas"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Magnifique 3e de l’EuroLeague après sa victoire contre le CSKA Moscou (79-77) dans la petite finale il y a dix jours à Belgrade, le Zalgiris Kaunas nous apprend que son entraîneur, la légende du basket européen Sarunas Jasikevicius, a été fait citoyen d’honneur de la ville de Kaunas (Lituanie). Né à Kaunas le 5 mars 1976, « Saras » a terminé sa carrière de joueur au Zalgiris en 2013-2014 avant d’intégrer le staff avec le même succès.\\n\\nJarunas Jasikevicius a part ailleurs été nommé citoyen d’honneur à l’unanimité par le conseil de la ville. Le club de Kaunas, qui reste sur 7 titres consécutifs de champion de Lituanie, débute aujourd’hui la demi-finale des Playoffs de LKL face à Lietkabelis.\\n\\n\\n\\n\\n#Zalgiris head coach Sarunas #Jasikevicius was announced as the Honorary Citizen of Kaunas city today. The city council of #Kaunas granted the title unanimously! Congratulations, #Saras!!! pic.twitter.com/kA3TNlCmNF\\n\\n\\n— BC Zalgiris Kaunas (@bczalgiris) May 29, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau-Lacq-Orthez (Jeep® ELITE) et Tarbes (LFB) continuent de s’activer en coulisses"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les entraîneurs Laurent Vila (Pau-Lacq-Orthez) et François Gomez (Tarbes Gespe Bigorre) ont été les invités de « Stade Bleu Béarn » pour évoquer leurs belles saisons respectives (quart de finaliste contre l’AS Monaco pour l’Elan Béarnais, finaliste des Playoffs LFB pour le TGB).\\n\\nLaurent Vila a été accompagné par son président, Didier Rey qui a également fait part de sa satisfaction à l’issue de cette saison. Ce dernier a notamment souligné le fait que son club n’a pratiquement pas changé son effectif au cours de la saison et que l’arrière palois Elie Okobo pourrait bien être le 8e joueur de l’Elan à être draté par une franchise NBA, pas un mince exploit.\\n\\nPau mise sur le ticket Vila-Vérove\\n\\nAu sujet de la saison prochaine, le président a notamment souligné sa volonté de s’associer à son coach Laurent Vila et son assistant, Jimmy Vérove sur les deux prochaines années.\\n\\n« Je l’ai dit et redit sur toutes les antennes, on a la volonté de conserver Laurent avec son adjoint Jimmy Verove. Puisque ça s’est quand même très bien passé en fin de saison. Je crois savoir que Laurent est dans le même état d’esprit et a aussi envie de rester à l’Elan Béarnais, et Jimmy qui vient d’arriver aussi. Tout se passera bien. On l’a toujours dit aussi, on essaie aussi d’avoir cette continuité dans l’effectif et ça passe aussi par la continuité au niveau du coaching. J’espère que pour deux ans on est tranquille. On va construire, on va travailler parce que je sais que Laurent et Jimmy sont de gros travailleurs et nous aussi on a cette volonté de faire tout ce qui nous concerne pour améliorer quotidien du club. Travailler peut-être sur un nouveau projet économique, une amélioration du marketing... J’espère bien qu’en conjuguant nos efforts, un jour ou l’autre on ira pour une quatrième fois en playoffs et peut-être que là on passera ».\\n\\nAu niveau des transferts, si Vitalis Chikoko et Taqwa Pinero sont toujours sous contrat et que les autres joueurs US (Chris Dowe, Kyan Anderson et Ken Horton) ne seront pas conservés, le club travaille actuellement pour conserver Alain Koffi, Yannick Bokolo et Léo Cavalière.\\n\\n« On a la volonté de garder ce trio, a poursuivi le président. Les dossiers sont un petit peu moins avancés bien que certains le sont. Vous comprendrez qu’on ne s’étende pas davantage mais la volonté est là il y a la volonté aussi des joueurs de poursuivre l’aventure avec l’Elan Béarnais, donc dans les jours qui viennent, on trouvera bien la même ligne de conduite ».\\n\\nUn « gros coup » à venir à Tarbes\\n\\nOn s’active également côté transferts à Tarbes où on espère annoncer un gros coup très prochainement pour compléter les arrivées de Jodie Cornélie-Sigmundova, l’ailière américaine Alexis Prince et de l’internationale suédoise Nathalie Fontaine qui retrouvera donc son sélectionneur au TGB la saison prochaine.\\n\\n« On travaille sur un dernier élément, on espère faire un gros coup sportif et médiatique. On est entrain d’y travailler. J’aimerais bien le dire, je devrais avoir des nouvelles en plus, ça m’aurait fait plaisir de vous annoncer un truc, mais on y travaille. L’idée c’est de construire une équipe qui sera encore compétitive », a glissé François Gomez.\\n\\nPour rappel, au rayon départs, Michelle Plouffe s’est engagé pour Lyon Asvel Féminin, Angie Bjorklund et Christelle Diallo ont pris la direction de Villneuve d’Ascq et Ana Suarez s’est envolée pour Nantes-Rezé (« sur un malentendu », a souligné François Gomez). Quatre joueuses à très gros potentiel restent au club : Tima Pouye, Aby Gaye, Adja Konteh et Naomi Mbandu. Avec la Coupe d’Europe la saison prochaine, le TGB pourrait voir sa rotation évoluer à 9-10 joueuses professionnelles.\\n\\nPhoto : Elan Béarnais"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : 15 ans de basket normand avec Hervé Coudray"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé à Mondeville en 2002 en Ligue Féminine et passé chez les garçons du Caen Basket Calvados en 2013, Hervé Coudray a refermé une belle page de son histoire avec le basket normand. L’idylle s’est brutalement terminée alors que le CBC avait réussi sa première année en Pro B, assurant son maintien lors de la 32e journée malgré une avalanche ininterrompue de blessures qui ont rythmé cet exercice 2017-2018.\\n\\nPour France 3 Normandie, l’ancien coach caennais, qui sera remplacé sur le banc par Antoine Michon la saison prochaine, a accepté de revenir sur les souvenirs les plus marquants de cette belle épopée, des aventures parfois rocambolesques de l’USO Mondeville en Coupe d’Europe à l’ascension du club de Caen, passé de la N2 à la Pro B, non sans heurts ni grandes émotions.\\n\\nA la fin du reportage, Hervé Coudray a assuré vouloir continuer à coacher. « Je ne me vois pas vivre sans basket. J’ai toujours la passion et la motivation pour continuer là-dessus », a-t-il déclaré en guise de conclusion.\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le rebond du Mans, le fiasco de l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En renversant la table lors des Matchs 2 et 3 de quarts de finale, le MSB s’est qualifié pour le dernier carré des playoffs où il affrontera Strasbourg. C’est une saison réussie. A l’inverse, c’est un total fiasco sur le terrain pour l’ASVEL, future invitée en Euroleague. Et ce n’est pas la première fois.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n1) Antarès, un jeyser d’eau bouillante\\n\\nC’était hier soir le 134e duel entre le SCM/MSB et l’ASVEL. Très probablement un record du genre en Jeep Elite même si souvent ignoré*. Pas très nombreux pour le Match 1 -4 000 tout de même- et surtout étrangement passifs, les fans du Mans, de la Sarthe et des alentours ont voulu montrer qu’ils aiment leur équipe et qu’ils sont dignes des playoffs qu’ils ont pu apprécier vingt fois de suite avant la fin de série la saison dernière. Boosté par une tarification avantageuse, Antarès a fait guichets fermés, soit 6 035 spectateurs, alors que le club n’avait eu que 48 heures pour alerter la population. Majoritairement en T.shirt tango, le public sarthois est passé de l’inertie à la surexcitation. La glacière s’est transformé en jeyser d’eau bouillante. Il a même sifflé l’adversaire quand il avait le ballon en main, une coutume oubliée depuis l’époque de Gouloumès et de la Rotonde. Il n’a cessé de crier son amour à son équipe, de gesticuler et la fin du match, il l’a suivi debout. Antarès et ses épais murs en béton ont résonné comme Beaublanc et ses poutres en bois. Curieux phénomène de métamorphose dont nous laisserons l’explication aux sociologues compétents.\\n\\n« Félicitation à la salle ! » a glissé le coach Eric Bartecheky. « Ça fait plaisir de rentrer dans Antarès et de voir une salle colorée, qui pousse dès le début du match. C’est différent de mardi. C’est une grosse satisfaction. »\\n\\n2) Autre ambiance, autre attitude\\n\\nPlusieurs fois cette saison le MSB est resté scotché dans les starters notamment lors des deux précédentes confrontations face à l’ASVEL cette saison à Antarès, ce qui lui avait coûté au final la victoire. L’équipe se met au diapason du public et dans cette atmosphère électrique, elle a démarré au quart de tour... en défense. Car pour ce qui est de l’attaque, elle est demeurée trois longues minutes sans actif avant qu’un trois-points de Mykal Riley déflore le score. L’ASVEL n’était pas allé plus loin à ce moment-là.\\n\\nOn a donc tout de suite compris que les Manceaux montraient un autre visage, celui de guerriers, l’attitude indispensable si l’on veut voyager loin en playoffs.\\n\\n« Après le premier match j’avais le sentiment, et je m’inclue dedans, que l’on n’avait pas marqué la différence entre la fin de la saison régulière avec le match à Cholet et le début des playoffs. Même durant la semaine d’entraînement avant ce premier match contre l’ASVEL, on avait senti l’équipe bizarre. Ca s’est traduit par la défaite. Et après la défaite, quand on est revenu sur le match, on a senti une équipe réceptive, concentrée, qui s’est bien entraînée pendant deux séances. Ca s’est traduit par un bon match là-bas à l’AVEL, remporté. C’est quand même assez fort en terme de caractère, de performance après avoir été mal embarqué avec une défaite à domicile, d’aller s’imposer à l’ASVEL, de revenir ici et de valider la qualification en demi-finale. Vraiment, chapeau l’équipe ! », se régalait Eric Batercheky.\\n\\nD’autant plus inattendu qu’en plus de Terry Tarpey, le MSB s’était aligné à l’Astroballe sans son capitaine Romeo Travis suspendu pour des propos injurieux envers le corps arbitral à Cholet. Un coup du sort qui a eu l’effet de resserrer le groupe. Et de placer DJ Stephens en titulaire et le voltigeur aérien a parfaitement assumé sa promotion. Il ne faut pas oublier non plus que l’ASVEL a dû faire sans son intérieur Amine Noua au cours de cette série et ce n’est pas le moindre des handicaps.\\n\\n3) Justin Harper l’antidote à Youssoupha Fall\\n\\nSon goût immodéré pour les shoots à trois-points, son incapacité à y mettre un frein (1/11 !) avait coûté cher à l’Astroballe. Mais Justin Harper, un poste 4 de 2,10m qui peut jouer 5, aime Antarès. En saison régulière, il avait déjà pilonné la défense mancelle : 18 points à 4/10 à trois-points. Lors du Match 1 de ce quart-de-finale, il avait remis le couvert avec une nappe blanche : 17 points à 8/11 aux tirs du champ.\\n\\nCette fois, Justin Harper a inscris 10 points en première mi-temps compensant le peu d’efficacité de Julian Gamble un peu perdu (-3 d’évaluation à cause d’un 0/4 aux shoots). Justin Harper s’avère en fait le parfait antidote au poison Youssoupha Fall et ses 2,21m.\\n\\n« La grande problématique dans cette série, c’est de se retrouver avec Harper qui est un poste 4 à la base et qu’ils mettaient en poste 5, qui shoote à trois points et quand il y a Yous sur le terrain, c’est très compliqué à gérer car il s’écarte », a analysé Eric Bartecheky. « Dans le deuxième quart-temps, je crois que l’on pend huit points car on n’est pas bien calé sur ces écrans-là. C’était une grosse problématique pour nous sur le banc car on avait envie d’avoir Yous en attaque mais c’était quand même un gros problème en défense. On a ajusté avec des rentrées efficaces de Will (Yeguete) et même Yannis (Morin) que l’on a mis très tard à eu un bon passage. Même sur des temps de jeu réduits, tout le monde a apporté à l’équipe ce soir. »\\n\\nRésultat : comme lors du match 1, le Franco-Sénégalais bien pris en étau dans la peinture n’a scoré que 2 petits points. Mais Will Yeguete a réalisé à sa place une première mi-temps du Tonnerre de Brest (8 points, 3 rebonds, 12 d’évaluation) étant plus à l’aise dans le combat que Youssoupha Fall encore tendre. Et Justin Harper a été limité à trois-points en deuxième mi-temps.\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/1000793587574075392\\n\\n4) L’adresse, c’est fluctuant\\n\\nL’évolution de l’adresse entre les deux équipes s’est avérée fluctuante, fonction de la défense de chacun, de l’adrénaline, et aussi de l’inévitable part de réussite.\\n\\nAinsi, les Villeurbannais ont commencé le match avec beaucoup de sang-froid et avaient l’adresse que ne possédait pas les Manceaux qui rataient des shoots rendus difficiles par la défense villeurbannaise mais aussi parfois des plus simples. Lorsque fut constaté un avantage maximal de neuf points pour l’ASVEL (29-20 après 15’15), le MSB n’avait conclu que 6 de ses 20 shoots.\\n\\nC’est grâce à Justin Cobbs et en érigeant une sorte de Mur de l’Atlantique que les Manceaux ont infligé un 11-0 à leurs hôtes et se sont retrouvés en tête à la mi-temps : 32-31. Même si leur adresse était remontée, elle était encore bien en-deca de celle de l’ASVEL : 11/30 contre 12/25.\\n\\nAprès 40 minutes, on put constater que les tireurs d’élite villeurbannais, John Roberson et AJ Slaugheter (3/9 chacun) et encore David Lighty (2/6) avait failli alors que Chris Lofton et Antoine Eito avaient converti à eux d’eux 10 de leurs 16 shoots. Et l’adresse du Mans était revenue à égalité avec celle de Villeurbanne à 43%.\\n\\n5) D comme Défense et troisième quart-temps\\n\\nL’essentiel du match comme souvent en playoffs s’est joué en défense. Tout spécialement dans le troisième quart-temps que les Manceaux ont abordé le couteau entre les dents. Un premier gros écart a été constaté à la 28e minute (55-44) sur un trois-points de Antoine Eito, qui n’est jamais aussi bon que lorsque la température s’élève puis un pic un peu après le démarrage du quatrième quart-temps, toujours sur un trois points du combo manceau (61-46).\\n\\n« On a eu beaucoup de détermination défensivement. Rien à voir avec le premier match », se félicitait Eric Bartecheky. « A la mi-temps on est seulement à +1 mais on a un moment d’euphorie dans le troisième quart-temps avec 26 points, un coup de chaud d’Antoine sur les tirs à trois-points. Chris aussi. Ca nous permet d’avoir une petite avance. Ce n’était pas si simple à garder car ça revenait fort notamment à la fin. On était à la limite des pertes de balle, on en a eu d’ailleurs. »\\n\\nQuant à Charles Kahudi, il faisait acte de contrition :\\n\\n« On savait à quoi s’attendre, on l’avait vécu chez nous. Le problème, c’est souvent nous-mêmes. C’est ce que j’ai toujours pensé et dit et on l’a encore montré ce soir. Des errements défensifs surtout dans le troisième que l’on paye cash. »\\n\\nL’international a insisté sur le mal qui a rongé l’équipe du Rhône durant toute la saison : les troisièmes quart-temps abordés avec trop de mansuétude pour l’adversaire.\\n\\n« C’est le troisième quart-temps qui est souvent déterminant dans un match et les trois premières minutes, on rentre mollement. Un problème de rythme. On savait que ça serait difficile chez eux. On aurait dû tuer le match chez nous. La frustration est vraiment là-dessus. On avait de quoi faire et on ne l’a pas fait. Le problème du troisième quart-temps, c’est nous-même. On les laisse prendre confiance, des shoots ouverts, des paniers faciles, des secondes chances. Il y a 11 points d’écart au troisième, 11 à l’arrivée. Avec une équipe à la maison et un public plus présent qu’à l’habitude, c’est sûr que ça galvanise mais encore une fois la frustration est sur nous-mêmes. On a été attentistes. On a eu les mêmes travers toute l’année. Quand tu encaisses 26 points dans un quart-temps de match de playoffs, c’est très compliqué après de rivaliser surtout quand tu n’es pas spécialement très adroit contre une équipe qui a pris de la confiance, qui est chez elle, qui domine le rebond. »\\n\\nLa défense ? L’ASVEL a souffert notamment du peu d’appétence de son duo d’artistes John Roberson et AJ Slaughter.\\n\\n6) L’ASVEL? Pas une équipe\\n\\nPour TJ Parker et Charles Kahudi c’est moins hier à Antarès que vendredi à l’Astroballe que l’ASVEL a laissé glisser des mains sa qualification.\\n\\n« C’est nous qui avons perdu cette série au deuxième match. On n’aurait jamais dû revenir ici. On aurait dû finaliser à domicile. Pour moi ce n’est pas ce match-là qui m’embête le plus », a estimé le coach. Et de répéter un peu plus tard dans sa courte démonstration sous forme de lamentation: « dommage que le match 2 ne soit pas passé sinon on serait en demi contre Strasbourg. »\\n\\nMais les maux de l’ASVEL ne sont pas montés à la surface pour cette série de quarts-de-finale. Ils ont pris corps toute la saison. Alors, oui, c’est la faute à la défense mais en filigrane, c’est le manque de solidarité entre les joueurs les mieux payés de Jeep Elite qui a éclaté au grand jour :.\\n\\n« On aurait dû être plus rigoureux défensivement, » regrette TJ Parker. « Je crois que quand on l’était les équipes contre nous ont eu du mal, on a quand même du talent en attaque. On aurait dû être plus dur à tous les matches. Quand on fait un recrutement à l’ASVEL de dix joueurs, c’est pour jouer sur les deux tableaux. Jouer à fond pendant 3-4 minutes, ce n’est pas grave. Un mec aussi fort est derrière. Ca, on ne l’a pas trop vu. Etre une équipe, faire confiance à son coéquipier. Et tout donner sur le terrain. Quand on est bien, on gagne, tout le monde est ensemble mais les moments où tu perds, ce n’est pas la même chose. C’est ça le basket, donner des sacrifices même si ce n’est pas ton soir car ça sera peut-être le soir de quelqu’un d’autre. »\\n\\nL’ASVEL est demeurée une somme d’individualités mais pas une équipe, une vraie, qui permet de gagner des matches sur la longueur.\\n\\n« C’est vrai », a reconnu Charles Kahudi. « Pour aller à la guerre, il faut que tout le monde aille dans la même direction et malheureusement on a beaucoup de talents mais défensivement on a été rarement présents. 79 points, c’est malheureusement, je crois, notre moyenne de l’année (NDLR : 78,7). C’est beaucoup, beaucoup trop. Pour exister que ce soit sur la scène européenne ou le championnat, c’est compliqué. Chaque match où on a défendu, on a été victorieux car du talent on en avait de l’autre côté... Quand tu joues l’ASVEL, tu as envie d’être fort, de les dézinguer, de t’imposer »\\n\\nL’ASVEL 2018 n’a pas été digne de son statut, de sa masse salariale, de l’invitation pour deux ans que vient de lui octroyer l’Euroleague pour 2019-21, de l’aura de son président Tony Parker, de ses ambitions. Il y a quand même un gros sentiment de malaise car ce n’est pas la première fois que Villeurbanne est dans ces années 2000 bien en-dessous de la ligne de flottaison.\\n\\n« Je sais que la saison en général pour l’ASVEL, c’est un échec. Il faut bien le dire », a lâché TJ Parker. « On a été compétitifs dans aucune compétition. Ca ne remet pas en cause le projet global du club. On sait que des décisions vont être prises cet été, au mois de juin. Le club va toujours aller de l’avant et le projet qu’ils ont au niveau national et européen ne va pas changer. C’est une saison vraiment décevante mais après il faut partir de l’avant. »\\n\\nCeci laisse présager un coup de balai du côté des joueurs et aussi un changement de coach. TJ Parker (11 victoires, 9 défaites) n’a pas fait mieux que JD Jackson (9-8) coupé à la mi-janvier. Il va être très probablement remplacé par le Monégasque Zvezdan Mitrovic. Et puis, il faudra aussi penser à changer les animations. Mettre sur écran géant Michel Sardou chantant Les lacs du Connemara n’a pas coûté le gain du match 2 mais n’a pas augmenté le crédit européen de l’ASVEL à faire de l’entertainment.\\n\\n7) Justin Cobbs, le métronome\\n\\nJustin Cobbs a été considéré cette saison par ses pairs et les médias comme le meneur numéro 1 de la Jeep Elite. Grandement mérité. Son évaluation générale en saison régulière s’est élevée à 15,3 et il n’a failli véritablement qu’une fois, à Pau (3). On n’a pas reconnu le Justin Cobbs au jeu monolithique de Gravelines où il fonçait vers le cercle parfois sans discernement. Il peut scorer, beaucoup -14,1 points en moyenne, -playoffs et Leaders Cup compris- mais aussi créer, patienter, et défendre correctement.\\n\\n« Même si Justin a des côtés où il se relâche, des choses pas forcément évidentes, sur l’ensemble, c’est positif », analyse Eric Bartecheky. « On avait vraiment besoin de lui toute la saison. Ce soir, il marque 19 points et il fait 10/10 aux lancers-francs. On sait que c’est un joueur qui ne tremble pas sur la ligne, c’était déjà le cas à Gravelines l’année dernière. Peut-être l’année dernière s’était-il trouvé dans un scénario différent avec beaucoup de blessures, à un moment donné pour eux les playoffs se sont échappés. Peut-être lui avait-on demandé d’être agressif vers le cercle. J’en ai discuté avec le coach (NDLR : Christian Monschau) que je connais bien. Il m’avait dit qu’il le poussait à aller tout le temps vers le cercle parce qu’il n’avait pas toujours l’équilibre qu’il fallait sur les joueurs à côté. Ca pouvait effectivement donner l’impression que le joueur était soliste et il n’est pas comme ça. Cette année avec des joueurs à côté qui sont plus performants, qui peuvent créer aussi, qui peuvent être dangereux, l’équilibre se fait un peu mieux. »\\n\\nOutre, un Antoine Eito toujours aguiché par l’odeur du sang en playoffs, le MSB a pu compter sur le retour à son meilleur niveau du sniper Chris Lofton. Depuis son entorse à la cheville dont il ne parvenait pas à guérir, il avait sombré. Sinon contre Boulazac, l’un des deux derniers de la classe, il ne scorait plus donc il ne servait plus à rien. Et subitement, il passé 20 points à Villeurbanne à l’Astroballe et 11 à Antarès avec davantage de panier à l’intérieur de la ligne à 6,75m, ce qui est pour lui une nouveauté.\\n\\n« C’est un coup lancé à l’ASVEL où on a décidé de le mettre dans la Cinq et de faire venir Antoine du banc. D’ouvrir le terrain avec DJ Stephens en 4 même si on n’avait pas le choix. On a gardé la même ligne ce soir. Même si avec la richesse de joueurs, il a pu commencer avec Kahudi en 3. Donc quand on a Chris et Mykal (Riley) dans les ailes, on peut se dire que l’on peut se faire impacter au poste 3. Après on a du constamment s’ajuster au Cinq qui était présenté en face », précisait Eric Bartecheky.\\n\\n8) Le MSB de retour parmi les Grands\\n\\nLa saison du Mans est déjà réussie : finaliste de la Leaders Cup, troisième de la saison régulière, demi-finaliste des playoffs -une grande première pour son coach qui a confirmé dans un troisième club ses aptitudes à avoir des équipes très différentes-, le MSB est certain de jouer une coupe d’Europe, Champions League ou Eurocup. La pénitence n’aura duré qu’une saison. Et donc, selon la formule consacrée, c’est en outsider qu’il va se présenter face à Strasbourg, qui lui a piqué l’avantage du terrain grâce à une forte domination (80-70) à Antarès, le 12 mai.\\n\\n« Sacré morceau d’autant qu’eux ont eu le mérite de gagner ce quart en deux manches. Ce qui fait un sacré écart en terme de repos et de préparation de match. On a donné repos aux joueurs demain (ce lundi) et on n’aura que trois séances d’entraînement. On part mercredi pour un match jeudi. Pour nous ça arrive vite. Après il y a la qualité de l’effectif de Strasbourg. J’espère que l’on saura tirer les renseignements du match qu’il y a eu ici où comme contre l’ASVEL, on n’avait pas été du tout déterminé en début de rencontre. Ca sera une autre approche car il y aura au moins trois matches avec deux matches là-bas pour commencer en restant quatre jours. »\\n\\nOn verra si l’équipe mancelle et son public continueront à être en mode survitaminé. En 2015 et 2016, les Sarthois étaient déjà tombés sur la SIG en demi-finale et n’avaient gagné aucun match de la série.\\n\\n[armelse]\\n\\n1) Antarès, un jeyser d’eau bouillante\\n\\nC’était hier soir le 134e duel entre le SCM/MSB et l’ASVEL. Très probablement un record du genre en Jeep Elite même si souvent ignoré*. Pas très nombreux pour le Match 1 -4 000 tout de même- et surtout étrangement passifs, les fans du Mans, de la Sarthe et des alentours ont voulu montrer qu’ils aiment leur équipe et qu’ils sont dignes des playoffs qu’ils ont pu apprécier vingt fois de suite avant la fin de série la saison dernière. Boosté par une tarification avantageuse, Antarès a fait guichets fermés, soit 6 035 spectateurs, alors que le club n’avait eu que 48 heures pour alerter la population. Majoritairement en T.shirt tango, le public sarthois est passé de l’inertie à la surexcitation. La glacière s’est transformé en jeyser d’eau bouillante. Il a même sifflé l’adversaire quand il avait le ballon en main, une coutume oubliée depuis l’époque de Gouloumès et de la Rotonde. Il n’a cessé de crier son amour à son équipe, de gesticuler et la fin du match, il l’a suivi debout. Antarès et ses épais murs en béton ont résonné comme Beaublanc et ses poutres en bois. Curieux phénomène de métamorphose dont nous laisserons l’explication aux sociologues compétents.\\n\\n« Félicitation à la salle ! » a glissé le coach Eric Bartecheky. « Ça fait plaisir de rentrer dans Antarès et de voir une salle colorée, qui pousse dès le début du match. C’est différent de mardi. C’est une grosse satisfaction. »\\n\\n2) Autre ambiance, autre attitude\\n\\nPlusieurs fois cette saison le MSB est resté scotché dans les starters notamment lors des deux précédentes confrontations face à l’ASVEL cette saison à Antarès, ce qui lui avait coûté au final la victoire. L’équipe se met au diapason du public et dans cette atmosphère électrique, elle a démarré au quart de tour... en défense. Car pour ce qui est de l’attaque, elle est demeurée trois longues minutes sans actif avant qu’un trois-points de Mykal Riley déflore le score. L’ASVEL n’était pas allé plus loin à ce moment-là.\\n\\nOn a donc tout de suite compris que les Manceaux montraient un autre visage, celui de guerriers, l’attitude indispensable si l’on veut voyager loin en playoffs.\\n\\n« Après le premier match j’avais le sentiment, et je m’inclue dedans, que l’on n’avait pas marqué la différence entre la fin de la saison régulière avec le match à Cholet et le début des playoffs. Même durant la semaine d’entraînement avant ce premier match contre l’ASVEL, on avait senti l’équipe bizarre. Ca s’est traduit par la défaite. Et après la défaite, quand on est revenu sur le match, on a senti une équipe réceptive, concentrée, qui s’est bien entraînée pendant deux séances. Ca s’est traduit par un bon match là-bas à l’AVEL, remporté. C’est quand même assez fort en terme de caractère, de performance après avoir été mal embarqué avec une défaite à domicile, d’aller s’imposer à l’ASVEL, de revenir ici et de valider la qualification en demi-finale. Vraiment, chapeau l’équipe ! », se régalait Eric Batercheky.\\n\\nD’autant plus inattendu qu’en plus de Terry Tarpey, le MSB s’était aligné à l’Astroballe sans son capitaine Romeo Travis suspendu pour des propos injurieux envers le corps arbitral à Cholet. Un coup du sort qui a eu l’effet de resserrer le groupe. Et de placer DJ Stephens en titulaire et le voltigeur aérien a parfaitement assumé sa promotion. Il ne faut pas oublier non plus que l’ASVEL a dû faire sans son intérieur Amine Noua au cours de cette série et ce n’est pas le moindre des handicaps.\\n\\nJustin Harper l’antidote à Youssoupha Fall\\n\\nSon goût immodéré pour les shoots à trois-points, son incapacité à y mettre un frein (1/11 !) avait coûté cher à l’Astroballe. Mais Justin Harper, un poste 4 de 2,10m qui peut jouer 5, aime Antarès. En saison régulière, il avait déjà pilonné la défense mancelle : 18 points à 4/10 à trois-points. Lors du Match 1 de ce quart-de-finale, il avait remis le couvert avec une nappe blanche : 17 points à 8/11 aux tirs du champ.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: David Lighty (ASVEL/Eurocup)\\n\\n*Lire à ce sujet le dossier réalisé par le site OBuzzer qui tient à jour tous les chiffres de l’ASVEL."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Germain Castano (Orléans) « La belle armada, elle est où ? »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que les trois autres « favoris » ont passé le cap des quarts de finale sans encombre en l’emportant 2-0, Orléans, battu sur le fil à Rouen hier (77-76), devra jouer une belle à la maison demain soir à domicile pour se défaire d’une équipe rouennaise pour le moins coriace.\\n\\nFélix Michel (Rouen) : « Une équipe qui ne lâche rien depuis le début »\\n\\nCoachs et joueurs sont venus s’exprimer en conférence de presse après l’égalisation du RMB sur la série grâce à un tir à la dernière seconde d’Amin Stevens (24pts, 12 rbds, 33 d’éval). Parmi eux, le meneur Félix Michel, formé au club, qui profite de chaque seconde alors qu’il va arrêter sa carrière à l’issue de la saison pour se consacrer pleinement à ses études supérieures.\\n\\n« On revient vraiment de loin, on revient vraiment de l’enfer après avoir été à -15 à un moment donné, a déclaré Félix Michel. De toute façon c’est l’état d’esprit de l’équipe depuis le début, c’est une équipe qui ne lâche rien. Même à-15 personne n’y croyait dans le public, sauf nous. On réalise un bel exploit, mais sur sur les deux matchs on mérite au moins d’en prendre un. C’est un exploit de revenir de -15, mais pas un exploit de gagner ce match. Notre retour, ça vient de la défense, de notre agressivité qui nous permet de faire des stop d’avoir du jeu rapide, c’est notre marque de fabrique. Quand on est à -15 c’est plus facile de de baisser la tête que de garder la tête haute. Donc le coach a pris un temps mort, il nous a remis les idées en place et puis on est revenu sur le terrain comme des guerriers. On ne voulait pas finir notre saison là-dessus en se prenant un -20 à domicile alors que ce n’est pas du tout l’image de cette équipe ».\\n\\nAlexandre Menard peut également être satisfait de la tournure des événements, lui qui coache le plus jeune effectif de la division et parvient à faire douter Orléans pour sa première saison à la tête du club rouennais.\\n\\n« Il faut féliciter les joueurs, nous on essaie de mettre tout ça en musique, a poursuivi l’entraîneur du RMB. On les a surtout remonté pas mal en deuxième mi-temps par rapport au nombre de points encaissés. On a pris 45 points à la mi-temps ce qui était beaucoup trop. On s’était fixé comme limite d’encaisser 18 points par quart-temps maximum. Et comme par hasard les deux quarts suivants on encaisse 15 et 16 points, ce qui est la clé. Je crois qu’on a eu affaire à deux matchs diamétralement opposés. Le match 1 où j’ai le sentiment qu’on avait plutôt dominé les débats mais surtout sur des valeurs offensives tandis que là on a été dominé et on a tourné ça sur un terrain défensif. Ça nous a souri aujourd’hui, et on peut se dire que si on avait eu peut-être un peu plus de réussite, ce serait peut-être déjà terminé puisque je rappelle qu’on aurait pu gagner là-bas. (...) Ce que les gars font, c’est fantastique. Mais parce que c’est une équipe, c’est une cohésion. Nous n’avons changé aucun joueur de toute l’année et ça aussi c’est une leçon à retenir. Quand un groupe tourne bien ça ne sert à rien de changer quoi que ce soit et une équipe qui joue et se bagarre ensemble c’est forcément plus fort qu’une équipe avec des mercenaires, ce qui n’est pas le cas de l’équipe d’Orléans du tout, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit. Orléans est une très belle équipe elle nous a posé beaucoup de problèmes. On a eu du mal aller tenir. Et c’est vrai qu’à – 15 on on se dit que ça va être très compliqué mais comme vous l’avez dit le garçon l’ont fait ».\\n\\nCôté Orléanais, les visages étaient bien plus tendus et pour cause, l’OLB menait 52-37 avant de se faire rattraper en fin de 3e quart et de s’incliner à la toute dernière seconde. Un 3e acte que Germain Castano, l’entraîneur orléanais, regrette profondément.\\n\\n« Encore une fois je vais commencer par féliciter l’adversaire. Je l’avais félicité la dernière fois mais on avait gagné, ils ont eu le mérite de s’accrocher... On ne peut pas faire un troisième quart-temps comme ça, arrête tes conneries ! Et puis j’ai mis les leaders sur le terrain quand ça part à veau-l’eau. Tu prends un 27 à 16, avec 7 ballons perdus parce qu’ils montent couper les lignes de passe et 4 rebonds offensif. Tu donnes 11 cadeaux à l’adversaire. Quand tu es à +12 à la mi-temps, et que tu vois des attitudes comme ça, tu penses que c’est terminé. Je vous le dis à vous. A un moment donné il faut savoir ce qu’on veut, jouer des matchs? On n’en a pas joué encore assez ? Il faut en jouer encore? Par contre il faut qu’ils soient prêts à jouer le match mercredi parce que si tu perds chez toi c’est fini. Le couperet, il est là, et ça ça fait partie de de leur métier, de notre métier et moi je suis prêt ne vous inquiétez pas. Là il va y avoir un peu de pression, j’espère qu’il va y en avoir d’ailleurs. Par contre je veux vous voir mercredi. Je veux voir des soldats, voir qui on est. Puisque tout le monde a dit Orléans Orléans, la belle armada. Pas de problème... Ouais c’est une belle armada, mais l’armada, elle est où ce soir? En première mi-temps elle est là, on fait exactement ce qu’on voulait faire. Après on a perdu des duels et des ballons... Voilà, tu le laisses revenir, tu prends l’orage sur le troisième quart-temps... Après ce qu’on fait sur la fin ce n’est pas dramatique mais tu dois entamer le 3e quart-temps à + 15 pas à -1 ».\\n\\nLa conférence de presse en vidéo\\n\\n🎥 Retrouvez les réactions d’après match de Germain Castano, Marc Judith, Félix Michel et Alexandre Ménard après la victoire en playoffs du RMB !\\n\\nPubliée par ROUEN MÉTROPOLE BASKET – Officiel sur lundi 28 mai 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Belgique: Ann Wauters, 37 ans, toujours à la tête de la sélection nationale en Chine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Médaillée de Bronze à l’Euro 2017, l’équipe féminine de Belgique s’envole aujourd’hui pour la Chine avec 15 joueuses qui forment la présélection pour le Championnat du Monde, qui aura lieu en septembre en Espagne. A 37 ans, et bien que blessée au genou, l’ex-star du basket européen, Ann Wauters (1,93m, ex-Valenciennes et Villeneuve) fait toujours partie des Belgian Cats. On retrouve également Julie Allemand (Lyon), Marjorie Carpréaux (ex-Mondeville, Villeneuve et Bourges), Emma Meesseman (ex-Villeneuve), Kim Mestdagh (ex-Charleville) et Julie Vanloo (ex-Mondeville et Lyon). La seule absente de marque est Hind Ben Abdelkader (ex-Nice), qui dispute actuellement sa première saison WNBA avec le Indiana Fever.\\n\\nLes Belges ont trois matches de préparation qui les attendent, le 1er juin à Zhang jiagang, le 3 juin à Yangzhong et le 5 juin à Pékin.\\n\\nla Sélection des Belgian Cats pour la Chine: Julie Allemand, Marjorie Carpréaux, Antonia Delaere, Lore Devos, Serena-Lynn Geldof, Kyara Linskens, Jaleesa Maes, Emma Meesseman, Hanne Mestdagh, Kim Mestdagh, Heleen Nauwelaers, Jana Raman Laure Resimont, Julie Vanloo, Ann Wauters.\\n\\nPhoto: Ann Wauters (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV: Les demi-finales de Jeep Elite"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette semaine, place au carré d’as de la Jeep Elite pour le rythme soutenu des demi-finales de playoffs.\\n\\nJeudi 31 mai\\n\\n20h45 – Strasbourg/Le Mans – Jeep Elite – SFR Sport 2\\n\\nVendredi 1er juin\\n\\n20h45 – Monaco/Limoges – Jeep Elite – SFR Sport 2\\n\\nSamedi 2 juin\\n\\n18h30 – Strasbourg/Le Mans – Jeep Elite – SFR Sport 2\\n\\nDimanche 3 juin\\n\\n18h30 – Monaco/Limoges – Jeep Elite – SFR Sport 2\\n\\nMardi 5 juin\\n\\n20h45 – Le Mans/Strasbourg – Jeep Elite – SFR Sport 2\\n\\nMercredi 6 juin\\n\\n20h45 – Limoges/Monaco – Jeep Elite – SFR Sport 2\\n\\nPhoto: Dee Bost (SIG/FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Rouen arrache la belle à la dernière seconde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le match aller des quarts de finale des Playoffs d’accession entre Orléans et Rouen avait été fou (victoire de l’OLB 112-110 après prolongation), le retour joué hier soir au Kindarena l’a été tout autant ! Menés de 15 points en début de 3e quart-temps (37-52), les Rouennais ont enchaîné un 21-3 dans la foulée pour repasser devant et arracher l’égalisation à la toute dernière seconde grâce à un panier d’Amin Stevens (77-76). Les hommes d’Alexandre Ménard ont réussi un retour héroïque alors qu’ils comptaient encore 8 longueurs de retard à moins de 5 minutes de la fin (66-74). Mais les dunks de Rémi Dibo et Obi Emegano combinés aux deux paniers plein de sang-froid d’Ovidjus Varanauskas.\\n\\nAlors que son coéquipier Obi Emegano avait défrayé la chronique deux jours plus tôt en scorant 47 points, le pivot du RMB Amin Stevens a sauvé son équipe après une tentative d’Emegano contrée par Marcellus Sommerville. Meilleur marqueur et rebondeur du championnat, le poste 5 rouennais termine la partie avec 24 points, 12 rebonds, 2 passes décisives pour 33 d’évaluation. Le joker médical d’Alex Abreu Keydren Clark (9pts à 4/13 au tir) a manqué l’ultime tentative pour Orléans. Il y aura donc une belle entre les deux équipes, ce mercredi 30 mai à 20h30 au Palais des Sports d’Orléans.\\n\\nLe vainqueur rencontrera Fos Provence Basket en demi-finale des Playoffs d’accession."
}, 
{"role": "user",     "content":"Serbie: Retour de Milos Teodosic, Nemanja Bjelica et Boban Marjanovic en équipe nationale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La troisième fenêtre FIBA de qualification pour la Coupe du Monde 2019 va rassembler un nombre conséquent de NBAers. C’est au tour de la Serbie de rameuter ses troupes avec le retour de Milos Teodosic (LA Clippers), Nemanja Bjelica (Minnesota Timberwolves) et Boban Marjanovic (LA Clippers). Ils font partie d’une sélection de 25 joueurs qui a été dévoilée aujourd’hui.\\n\\nTeodosic est un fidèle de l’équipe nationale serbe depuis 2009 avant de manquer l’EuroBasket 2017 à cause d’une blessure. Il a tourné à 9,5 points, 4,6 passes et 2,8 rebonds pour sa première saison en NBA.\\n\\nLa Serbie (3 victoires pour une défaite) est seconde de son groupe derrière l’Allemagne (4-0) et est déjà assurée de participer au deuxième tour. Elle jouera la Georgie (1-3) le 29 juin puis l’Allemagne à Novi Sad le 2 juillet.\\n\\nNemanja Bjelica (Minnesota Timberwolves), Milos Teodosic et Boban Marjanovic (LA Clippers), Nemanja Nedovic et Dragan Milosavljevic (Unicaja Malaga), Marko Guduric et Nikola Kalinic (Fenerbahce), Stefan Jovic et Vladimir Lucic (Bayern), Luka Mitrovic et Dejan Musli (Bamberg), Marko Simonovic (Zenit St. Petersbourg), Miroslav Raduljica (Jiangsu Dragons), Nikola Milutinov (Olympiakos Le Pirée), Vasilije Micic (Zalgiris Kaunas), Stefan Peno (Alba), Aleksa Avramovic (Varese), Dejan Todorovic (Bilbao), Stevan Jelovac (Niznhy Novgorod), Ilija Djokovic (Borac Cacak), Ognjen Dobric, Aleksa Radanov et Dejan Davidovac (Etoile Rouge de Blegrade), Djordje Gagic (Partizan Belgrade), Nikola Miskovic (Mega Bemaks).\\n\\nPhoto: Milos Teodosic (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce : Angelo Tsagarakis à l’Ionikos Le Pirée"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ancien sniper de Bourg-en-Bresse et de Boulogne-sur-Mer Angelo Tsagarakis (34 ans, 1,90m, huit saisons en Pro B, une en première disivion) va connaître un troisième club en trois ans dans le championnat grec avec l’Ionikos Le Pirée, promu dans l’élite la saison prochaine. Arrivé à Trikalla en 2016-2017 (10,1 points, 2,8 rebonds et 2,2 passes décisives), l’arrière franco-grec jouait cette saison pour le BC Kymis, éliminé 2-0 en quarts de finale des Playoffs par l’Olympiakos. Angelo Tsagarakis s’est ainsi engagé pour deux saisons avec l’Ionikos Le Pirée.\\n\\n\\n\\n\\nC’est avec un grand plaisir que je vous annonce ma signature pour deux ans avec le club historique de Ionikos Nikaias BC / Ιωνικός Nικαίας BC !\\nJe tiens à remercier le président Tsapas Vangelis pour la grande confiance placée en moi pour mener à bien le projet de tout (1/2)\\n\\n\\n— Angelo Tsagarakis (@actsagarakis) May 28, 2018\\n\\nTrès adroit de loin (jusqu’à 45% d’adresse à 3pts sur la saison 2012-2013 avec Châlons-Reims en Pro B), le natif de Mantes-la-Jolie va à présent se concentrer sur la campagne estivale de 3×3. En tant que membre fidèle de l’équipe de France de la discipline, Angelo Tsagarakis fait partie des joueurs appelés par Richard Billant pour préparer les qualifications à la Coupe d’Europe les 29 et 30 juin prochains à Poitiers."
}, 
{"role": "user",     "content":"Dijon : Laurent Legname fier de ses joueurs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La fin de saison est rude pour la JDA Dijon, privée de son poste 5 Jacques Alingue juste avant les Playoffs et sévèrement battue à la maison en quarts de finale retour des Playoffs face à Limoges samedi soir (64-81). Un revers synonyme d’élimination qui met fin à un exercice épatant de la part des Dijonnais, cinquièmes de la saison régulière.\\n\\nLe club bourguignon a diffusé le résumé des interventions de l’intérieur Abdoulaye Loum et de son coach Laurent Legname en conférence de presse d’après match. Si le premier retient avant tout l’extraordinaire saison de son équipe, le second reconnaît également la supériorité du CSP sur ce deuxième match.\\n\\n« Je pense que Limoges a fait un match comme il n’avait pas fait depuis longtemps à l’extérieur, a déclaré l’entraîneur de la JDA. Ils ont fait un excellent match, avec tous leurs joueurs à leur meilleur niveau. À tous les postes, que ce soit Dru Joyce, Gibson en rotation, les quatre ailiers, les postes 4 pour leur travail sur Pearson, les postes 5... Déjà ça c’est une chose et nous on a eu du mal à se mettre à ce niveau d’intensité, d’agressivité. Ça se traduit par des rebonds offensifs pour Limoges. Forcément quand on n’a pas la balle, on ne peut pas mettre notre jeu rapide en place. Limoges avait deux-trois possessions à chaque fois, ils doivent être à 12 rebonds offensifs à la mi-temps et finissent à 18. C’est impossible de gagner un match comme ça, en laissant shooter avec beaucoup de deuxième chance. Et ensuite, quand on était en place ils ont mis des gros tirs. Comme au premier match. Ils terminent à 40 % à 3 points, sur un gros volume. Et sur le deux points extérieur, pareil. Que ce soit Kenny Hayes, Howard, ou Gibson. Ça devient très difficile de gagner. On n’a pas eu ce rythme en attaque pour amener notre jeu de transition. Malgré ça, on s’est rapproché plusieurs fois. Il y a un moment où on revient 51-57. Je pense qu’on peut faire la bascule mais on ne la fait pas. Et Limoges repart avec deux paniers et le score passe à 54-64(...). C’est dommage pour nous de finir comme ça mais sur le match de ce soir limoges nous a été supérieur », a poursuivi Laurent Legname avant de confier qu’il aurait naturellement « aimé jouer cette série avec Jacques (Alingué) », son poste 5 victime d’une rupture du tendon d’Achille lors de l’avant dernière journée de la saison régulière. « J’aurais simplement aimé jouer cette série avec Jacques. Après non, je n’ai pas de regrets. Ce n’est pas le soir pour faire le bilan, mais je n’ai pas de regrets à avoir. Les joueurs ont tout donné, tout ce qu’ils avaient dans le ventre. Je n’ai rien à leur reprocher. Même dans la défaite, même ce soir, où ils ne méritent pas de finir comme ça, j’ai été fier d’eux. Parce qu’on s’est accroché, face à une équipe qui a fait un match de très haut niveau. On n’avait pas toutes nos armes, on n’a pas été très bon individuellement et collectivement, mais malgré ça je suis fier parce qu’on a rien lâché. Dans la vie et sur le terrain, il ne faut rien lâché et on n’a rien lâché, les joueurs ont tout donné. C’est comme ça ».\\n\\nPhoto : FOXAEP.com"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Laurent Pluvy (Roanne) loue la défense de la Chorale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"ProLes Roannais ont justifié leur titre de meilleure défense du championnat sur cette première double confrontation face à Denain-Voltaire en quarts de finale des Playoffs de Pro B. Passée de l’avant-dernière place en 2016-2017 (80,1pts encaissés en moyenne par match) au premier rang cette saison (67,4), la muraille roannaise érigée par Laurent Pluvy, plutôt reconnu pour sa philosophie offensive jusqu’à présent, a tenu bon face aux Denaisiens, limités à 54 points hier (54-74) après avoir perdu le match aller 68-60 à Vacheresse.\\n\\n« L’équipe qui gagnera les Playoffs les gagnera d’abord défensivement »\\n\\nEn conférence de presse, le coach de la Chorale s’est félicité de la bonne tenue de son équipe, en particulier de ce côté du parquet, laissant une marge de progression énorme à son groupe en vue des demi-finales face à Lille.\\n\\n« Je suis très satisfait défensivement parce qu’on était encore dans le plan de marche qu’on s’était fixé, comme à l’aller en les laissant en dessous de 60 points. Et surtout en ne voulant pas leur donner d’euphorie sur le tir à 3 points, a déclaré l’ancien coach de l’ALM Evreux. (...) On a donné 9 points sur le match, pour le reste on a fait ce qu’il fallait dans le plan qu’on s’était fixé, à savoir éventuellement prendre quelques paniers à l’intérieur par Cazenobe parce qu’on avait décidé de ne pas doubler et de rester très au large sur les shooteurs. Globalement, on a été en place sur les deux matchs défensivement. Offensivement, c’était moins ça, on l’a encore vu sur ce match avec 9 balles perdues à la mi-temps, 14 à la fin du du 3e quart. On doit trouver plus de choses, plus de mouvement. À l’inverse des trois premiers, je suis très content du quatrième quart-temps où il y a eu beaucoup de maîtrise. Même si on contrôle le match mais uniquement défensivement. On pense que l’équipe qui gagnera les Playoffs les gagnera d’abord défensivement, et puis parce qu’elle fera preuve de maîtrise aussi de l’autre côté du terrain. Il faut avoir la bonne balance. Rentrer dans ces Playoffs, ce n’est pas simple, ça ne l’est pour personne. On a eu face à nous une équipe de Denain qui n’avait rien à perdre, qui a eu des hauts et des bas cette saison et qui a vraiment beaucoup de qualité. C’est bien de venir s’imposer ici avec autorité, notamment sur la fin de match qui est intéressante ».\\n\\nLa réaction de Clément Cavallo est également à retrouver sur le site officiel du club."
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France U20: 16 joueurs en stage pour préparer le championnat d’Europe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Championnat d’Europe U20 se tiendra du 14 au 22 juillet à Chemnitz en Allemagne. Un groupe de 16 joueurs a été constitué par Jean-Aimé Toupane et son staff, qui comprend le coach de Pau, Laurent Vila et l’assistant du Mans, Dounia Issa.\\n\\nStage au Temple-sur-Lot du 24 au 28 juinTournoi de Barakaldo (Espagne) du 29 juin au 1er juilletTournoi à Istanbul (Turquie) du 3 au 7 juilletStage à Chemnitz (Allemagne) du 11 au 13 juilletChampionnat d’Europe à Chemnitz (Allemagne) du 14 au 22 juillet\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPrénom\\nDate de naissance\\n\\n\\n\\nTaille\\n\\n\\n\\n\\nPoste\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\nBAZILLE\\nTimothée\\n\\n\\n\\n15/05/1999\\n\\n\\n\\n\\n205\\n\\n\\n\\n\\n4 – 5\\n\\n\\n\\nLIMOGES CSP\\n\\n\\nBEYHURST\\nLudovic\\n\\n\\n\\n05/01/1999\\n\\n\\n\\n\\n172\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\nSIG STRASBOURG\\n\\n\\nBLANC\\nYanik\\n\\n\\n\\n11/06/1999\\n\\n\\n\\n\\n189\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\nPOITIERS BASKET 86 (Pro B)\\n\\n\\nBRIKI\\nSofiane\\n\\n\\n\\n15/04/1999\\n\\n\\n\\n\\n193\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\nASVEL LYON VILLEURBANNE\\n\\n\\nDIAWARA\\nElhadji-Digué\\n\\n\\n\\n03/10/1998\\n\\n\\n\\n\\n204\\n\\n\\n\\n\\n3 – 4\\n\\n\\n\\nHYERES TOULON VB\\n\\n\\nDOUMBOUYA\\nSékou\\n\\n\\n\\n23/12/2000\\n\\n\\n\\n\\n205\\n\\n\\n\\n\\n3\\n\\n\\n\\nPOITIERS BASKET 86 (Pro B)\\n\\n\\nFEVRIER\\nIvan\\n\\n\\n\\n08/02/1999\\n\\n\\n\\n\\n204\\n\\n\\n\\n\\n4\\n\\n\\n\\nLEVALLOIS METROPOLITANS\\n\\n\\nFLOSSE\\nMatthias\\n06/12/1998\\n209\\n5\\nBCM GRAVELINES\\n\\n\\nGOUDOU-SINHA\\nEnzo\\n\\n\\n\\n26/11/1998\\n\\n\\n\\n\\n182\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\nSLUC NANCY BASKET (Pro B)\\n\\n\\nGOULMY\\nQuentin\\n15/01/1998\\n207\\n4\\nSIG STRASBOURG\\n\\n\\nLORNG\\nChristian\\n14/09/1998\\n203\\n4\\nWake Forrest (NCAA)\\n\\n\\nMOKOKA\\nAdam\\n\\n\\n\\n18/07/1998\\n\\n\\n\\n\\n192\\n\\n\\n\\n\\n2 – 1\\n\\n\\n\\nBCM GRAVELINES DUNKERQUE\\n\\n\\nNDOYE\\nAbdoulaye\\n\\n\\n\\n09/03/1998\\n\\n\\n\\n\\n199\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\nCHOLET BASKET\\n\\n\\nRAMBAUT\\nJules\\n\\n\\n\\n06/04/1998\\n\\n\\n\\n\\n200\\n\\n\\n\\n\\n4 – 5\\n\\n\\n\\nCHALONS-REIMS BASKET\\n\\n\\nTCHOUAFFE\\nBathiste\\n\\n\\n\\n19/05/1998\\n\\n\\n\\n\\n196\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\nNANTERRE 92\\n\\n\\nVAUTIER\\nBastien\\n\\n\\n\\n15/11/1998\\n\\n\\n\\n\\n210\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\nCAEN BC (Pro B)\\n\\n\\n\\n\\nPhoto: Sékou Doumbouya (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Antoine Eito (Le Mans) : «Putain, j’aime ça, les playoffs, j’adore»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Non seulement Antoine Eito (1,86m, 30 ans) a scoré 14 points avec un 3/6 à trois-points mais il a mis comme d’habitude beaucoup de pression sur les extérieurs villeurbannais et apporté un large écot à la victoire ce soir du Mans sur Villeurbanne lors de la belle des quarts-de-finale de Jeep Elite (79-68). Meneur de jeu ou deuxième arrière, titulaire ou en sortant du banc, Antoine Eito n’est jamais aussi bon que lors des matchs qui requiert beaucoup d’adrénaline.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nOn a vu une équipe du MSB transfigurée entre le premier match et les deux suivants. Qu’est-ce qui s’est passé?\\n\\nLe truc le plus important pour nous sur la série, ça été la prise de conscience qu’il fallait être à 400% en intensité, dans l’effort, la solidarité. Sur les deux derniers matchs, il n’y pas photo, c’est ça qui fait la différence. Après, si ce n’était que ça, le basket, ça serait facile, tu ne prendrais que des gros costauds. Sauf que, on n’a rien dit pendant la série mais il y a deux choses qui ont beaucoup joué. La première, c’est Youss, qui le premier match a vraiment très mal (au genou). La preuve, il joue deux minutes, il n’est pas bien. Youssoupha Fall, on en a eu besoin toute l’année. Au-delà de ses performances personnelles, c’est quelqu’un qui attire la défense, qui l’écarte. Les gens vont venir sur lui, si tu restes en un-contre-un, tu es mort. Derrière, pour nous, ça ouvre des shoots, des passes. Il a fait un match énorme le deuxième match et là, défensivement il a fait des efforts. Il faut savoir que pour une personne de cette taille (2,21m), de ce gabarit, deux matchs en trois jours, c’est difficile. Et quand il était moins bien, Will (Yeguete) et Yannis (Morin) ont pris le relais. La deuxième chose -je suis content d’avoir gagné cette série car maintenant on peut en parler- c’est qu’on a vu un capitaine (Romeo Travis) qui était hors rythme. Ce n’est pas parce qu’il a perdu son basket, c’est un putain de joueur, mais parce que « je joue, je joue pas, je suis suspendu, je ne suis pas suspendu ». Là, il revient, DJ (Stephens) est dans le Cinq, il a plus de responsabilités. C’est compliqué. Je pense que ça a beaucoup joué. Le fait que l’on ait gagné n’atténue pas cette suspension qui pour moi n’était pas normale. On a le droit de dire les choses. Il y a eu des choses bien pires durant toute la saison par rapport à d’autres joueurs, d’autres équipes ou de notre équipe. Ce n’est pas justifié, ce n’est pas cool. Ce qui fait qu’il a été en manque de rythme, il n’a pas pu s’entraîner car on enchaîne les matchs. Je suis content car je sais que l’on va avoir un Romeo de fou durant les demies contre Strasbourg. Et il n’a pas lâché. A Villeurbanne, il nous a beaucoup aidé à la mi-temps, il nous a rameutés. Lui et Pape (Amagou), ils nous aidés de fous alors que c’était le match le plus important. Et ce soir, malgré le fait qu’il était un peu moins bien (NDLR: 4 points à 1/8 aux tirs, 3 rebonds, 3 passes), il a été un capitaine exemplaire.\\n\\nOn avait vu le changement de caractère de l’équipe entre le premier et le deuxième match? Même en première mi-temps où vous avez eu neuf points de retard, vous avez tenu?\\n\\nOn était un peu vexé, piqué. Mardi j’étais choqué et je ne pointe pas du doigt nos fans. Mais un match à 19h le mardi, c’est vrai que c’est compliqué. Il n’y a qu’à Limoges où c’est plein. Là, merci, et il faut qu’ils prennent conscience qu’à domicile avoir un public comme ça dès le début, pfou... C’est cliché mais pour nous c’est énorme. Ça nous fait aussi avancer surtout avec la fatigue des matchs dans les canes.\\n\\nIl y a eu justement des moqueries qui ont fusé dans la semaine à propos de la léthargie du public lors du premier match?\\n\\nEt il y a eu aussi une réponse au micro après le match, voilà! J’ai fait ce qu’il fallait gentiment, mais c’est normal, c’est de bonne guerre.\\n\\n« Tu as deux matchs là-bas, le but c’est d’en prendre un »\\n\\nA titre personnel, tu aimes les matchs où il y a l’odeur du sang, et le fait d’avoir plus de responsabilités depuis la blessure de Terry Tarpey, c’est plus motivant, c’est plus facile?\\n\\nC’est sûr. En fait, cette année j’ai vraiment essayé d’être bon sur les sollicitations que l’on faisait de moi, de me mettre au service de l’équipe. J’ai tout fait, j’ai été dans le Cinq, j’ai joué 10 minutes, 20, 30, sortie de banc, première rotation, deuxième. En 1, en 2. Je suis content car je suis la même personne qu’il y a quatre ou cinq ans mais j’aurai peut-être été négatif vis à vis d’une situation comme ça. Mais ça te fait avancer, surtout tu arrives à t’adapter. Quoiqu’il arrive, on a un groupe qui est bon. On a un coach (NDLR: Eric Bartecheky), qui fait franchement de très bonnes choses. Je veux insister là-dessus, lui et moi, on n’est pas pareil mais en tous les cas, c’est quelqu’un d’honnête et qui bosse. C’est quelqu’un de vrai, d’entier. Parfois, j’ai envie de dire au coach: « ça me fait chier, j’ai envie de jouer! » Tous les joueurs ont envie de ça... Mais quand tu as ça, c’est sain et ça avance, que ce soit dans le bons moments ou dans les moments. C’est important pour un club comme Le Mans. Et je pense qu’être utilisé comme ça, tu engranges de l’expérience durant l’année et que putain, j’aime ça, les playoffs, j’adore. Ça rentre pas mais à un moment, il va y en avoir un, deux, et là on y va. C’est ce que je disais à David Cozette (NDLR: journaliste à SFR Sport): que je sois critiqué, que je sois mauvais, que je sois bon, il y a un truc que je ferai toujours jusqu’à tant que je jouerai au basket, j’essaierai de me donner à 300% et rien lâcher. Il y a des jours où tu as moins de canes, mais toujours donner ce que tu as chaque jour au maximum. Si je suis un peu moins bien, je suis moins bien, si je suis au taquet, je suis au taquet, au moins faire ça. Et maintenant avec l’expérience, essayez de faire jouer.\\n\\nLe fait d’avoir réussi à vous maintenir au niveau de l’ASVEL en première mi-temps, ça vous a donné confiance pour la suite du match?\\n\\nC’est une bonne question car à 29-20, on n’a pas craqué. On est passé devant à la mi-temps, ça nous a fait du bien. On a bien commencé le troisième quart-temps. Donc c’est sûr on a quand même été solides, on a fait ce qu’il fallait. Justin (Cobbs) a très bien tenu la balle, Chris (Lofton) a mis deux, trois shoots qui étaient encore importants. Je ne dis pas que les rôles sont redistribués en playoffs mais à un moment donné, quand tu rentres, il y a une chose que tu n’as pas le droit de faire, c’est être en-dessous en terme d’intensité et d’investissement. Tu peux louper un shoot, perdre une balle mais tu as un palier sous lequel tu ne dois pas descendre et on l’a tous compris, pas au premier match mais sur les deux suivants. Et contre Strasbourg, ça va être pareil. C’est aussi une grosse équipe.\\n\\nMaintenant que vous avez eu l’avertissement du premier match contre Villeurbanne, on ne vous imagine pas rentrer dans cette demi-finale aussi mollement?\\n\\nIl se passera ce qui se passera mais on se dira « les gars, let’s go! ». C’est marrant parce que la dernière fois, on a gagné l’ASVEL 2-1 et on joue Strasbourg derrière et on s’est pris 3-0. J’aimerais bien en gagner un ou deux ou trois. L’idée, c’est d’en gagner trois (rires). Mais prenons les un par un. On n’était pas loin il y a trois ans. Tu as deux matches là-bas, le but c’est d’en prendre un.\\n\\n[armelse]\\n\\nOn a vu une équipe du MSB transfigurée entre le premier match et les deux suivants. Qu’est-ce qui s’est passé?\\n\\nLe truc le plus important pour nous sur la série, ça été la prise de conscience qu’il fallait être à 400% en intensité, dans l’effort, la solidarité. Sur les deux derniers matchs, il n’y pas photo, c’est ça qui fait la différence. Après, si ce n’était que ça, le basket, ça serait facile, tu ne prends que des gros costauds. Sauf que, on n’a rien dit pendant la série mais il y a deux choses qui ont beaucoup joué. La première, c’est Youss, qui le premier match a vraiment très mal (au genou). La preuve, il joue deux minutes, il n’est pas bien. Youssoupha Fall, on en a eu besoin toute l’année. Au-delà de ses performances personnelles, c’est quelqu’un qui attire la défense, qui l’écarte. Les gens vont venir sur lui, si tu restes en un-contre-un, tu es mort. Derrière, pour nous, ça ouvre des shoots, des passes. Il a fait un match énorme le deuxième match et là, défensivement il a fait des efforts. Il faut savoir que pour une personne de cette taille (2,21m), de ce gabarit, deux matchs en trois jours, c’est difficile. Et quand il était moins bien, Will (Yeguete) et Yannis (Morin) ont pris le relais. La deuxième chose -je suis content d’avoir gagné cette série car maintenant on peut en parler- c’est qu’on a vu un capitaine (Romeo Travis) qui était hors rythme. Ce n’est pas parce qu’il a perdu son basket, c’est un putain de joueur, mais parce que « je joue, je joue pas, je suis suspendu, je ne suis pas suspendu ». Là, il revient, DJ (Stephens) est dans le Cinq, il a plus de responsabilités. C’est compliqué. Je pense que ça a beaucoup joué. Le fait que l’on ait gagné n’atténue pas cette suspension qui pour moi n’était pas normale. On a le droit de dire les choses.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Playoffs: C’est confirmé, Louis Labeyrie sera absent pour les deux premiers matches contre Le Mans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il y a quinze jours, Strasbourg avait gagné à Antarès et fait forte impression (70-80), ce qui lui avait permis de prendre la deuxième place de la saison régulière et ainsi de disposer de l’avantage du terrain pour cette demi-finale de playoffs à venir contre Le Mns.\\n\\n« Il faut oublier ce match-là. Louis Labeyrie (2,08m, 26 ans) avait été brillantissime (17 points, 3 rebonds, 19 d’évaluation, ndlr) , or, il ne va certainement pas jouer les premiers matches de la série. On ne sait pas ce qu’il a pour l’instant, on a de quoi être inquiet. Mais ce qui est sûr, c’est qu’il ne va pas bien. Ses problèmes perdurent (l’intérieur strasbourgeois doit se soumettre à une nouvelle prise de sang aujourd’hui) et, pour l’heure, on pense déjà à lui avant de penser à notre situation », révèle le coach Vincent Collet aux DNA.\\n\\nDans l’après-midi, la SIG a confirmé les problèmes médicaux de l’intérieur international:\\n\\n« Louis Labeyrie a été hospitalisé pour un bilan médical concernant la récidive d’un syndrome d’allure infectieuse lors du déplacement à Nanterre.\\n\\nLouis Labeyrie est en cours de bilan à l’Hôpital Civil de Strasbourg. Il est d’ores et déjà acquis qu’il ne pourra pas participer aux deux prochains matchs de Playoffs contre Le Mans. »\\n\\nLe coach alsacien connait évidemment très bien un club où il a longtemps joué et coaché:\\n\\n« Il faut s’attendre à des combats. Le Mans, c’est la meilleure défense du championnat (74,7 points encaissés en moyenne). On l’a encore vu contre l’Asvel. Quand ils sont menés en première mi-temps, ils reviennent grâce à leur défense. Elle était prégnante. Je les ai trouvés très intenses, très conquérants, en mode play-offs. À cela, ils ont ajouté des exploits individuels avec Eito, Stephens, Cobbs, Riley aussi. Ils ont des joueurs qui peuvent sortir de leur boîte et cela contribue à en faire un client très sérieux. Mais ça ne change pas notre état d’esprit par rapport à ce que l’on veut faire. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : Boris Diaw de dos, du milieu de terrain ? Facile"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Notre Boris national avait déjà montré ses prédispositions en matière de paniers insolites en saison régulière avec un incroyable tir au buzzer depuis sa moitié de terrain à Bourg-en-Bresse. Invité à montrer ses talents en la matière par le handballeur international Luc Abalo en le mentionnant pour le challenge #whosthegod, l’ancien joueur des Spurs a corsé le défi en marquant depuis le milieu de terrain, dos au panier et à une main. A son tour, Boris Diaw a mentionné le nageur double champion olympique Yannick Agnel.\\n\\n\\n\\n\\nHey @lucabalo sympa ton petit effet mais je crois pas que tu sois capable de faire ça avec tes mains... 🤔 Et toi @YannickAgnel tu es capable de quelque chose au moins ? #WhosTheGod pic.twitter.com/BS91AgFYDr\\n\\n\\n— Boris Diaw (@theborisdiaw) May 27, 2018\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Fabien Causeur, 11e Français à gagner l’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Euroleague a fourni quelques faits et chiffres à propos du Real Madrid qui est devenu hier soir champion d’Europe :\\n\\n... Le Real Madrid a remporté sa 10ème EuroLeague, un record. Madrid a remporté l’épreuve en 1964, 1965, 1967, 1968, 1974, 1978, 1980, 1995, 2015 et 2018.\\n\\n... Le Real a gagné son 16ème trophée continental, ce qui est aussi un record de tous les temps. En plus de ses 10 EuroLeague, le club de la capitale espagnole a remporté quatre Coupes Saporta, une Coupe Korac et une Coupe ULEB.\\n\\n... Le coach Pablo Laso a remporté sa deuxième EuroLeague. Il est le troisième entraîneur espagnol à remporter plusieurs EuroLeague, après Pedro Ferrandiz (1965, 1967, 1968, 1974) et Lolo Sainz (1978, 1980). Tous avec le Real.\\n\\n... Six joueurs madrilènes – Felipe Reyes, Gustavo Ayon, Facundo Campazzo, Sergio Llull, Rudy Fernandez et Jaycee Carroll – ont remporté leur deuxième EuroLeague. Reyes et Fernandez appartiennent à un club très fermé des vainqueurs de l’EuroLeague, de l’EuroCup, de la Coupe du Monde et de l’EuroBasket. Seul Dejan Tomasevic a réussi à remporter également tous ces titres.\\n\\n... Walter Tavares est le premier joueur du Cap-Vert à remporter l’EuroLeague.\\n\\n... Jeffery Taylor est le premier joueur suédois à remporter l’EuroLeague.\\n\\n... Luka Doncic est le premier joueur slovène à remporter le titre de l’EuroLeague depuis qu’Erazem Lorbek et Jaka Lakovic ont remporté le trophée avec le FC Barcelone en 2010.\\n\\n... Doncic a rejoint le cercle des joueurs qui ont remporté le trophée de MVP de la saison et celui de MVP du Final Four. Anthony Parker, Vassilis Spanoulis, Juan Carlos Navarro, Dimitris Diamantidis, Theo Papaloukas et Nando De Colo avaient déjà remporté les deux prix au cours de leur carrière.\\n\\n... Ajoutons que Fabien Causeur est le 11e Français a remporter l’Euroleague après Jim Bilba, Franck Butter, Richard Dacoury, Jean-Marc Dupraz, Frédéric Forte, Marc Mbahia, Willie Redden et Jimmy Verove (avec Limoges en 1993), Antoine Rigaudeau (avec la Virtus Bologne en 1998 et 2001) et Nando De Colo (avec le CSKA Moscou en 2016).\\n\\nPhoto: Fabien Causeur (Euroleague)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Katherine et Michelle Plouffe (Bourges et Tarbes): «Il y a de la tension entre nous car nous sommes toutes les deux des compétitrices»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Match 1: Victoire de Bourges sur Tarbes, 86-66. Et dans le mano a mano qui oppose les deux jumelles canadiennes Plouffe, la suprématie est revenue également à la Berruyère Katherine (14 points et 4 rebonds) face à la Tarbaise Michelle (5 points et 7 rebonds).\\n\\n« Au prochain match (ce soir de nouveau à Bourges), notre équipe va montrer un autre niveau. De mon côté, je suis prête », promet Michelle à La Dépêche.\\n\\nC’est la première fois que les deux jumelles se retrouvent à un niveau de compétition aussi élevé. C’est aussi pour elles l’occasion d’être ensemble plusieurs jours.\\n\\n« En général, on ne parle quasiment pas de basket toutes les deux », confie Michelle. « Là, on n’a pas parlé du match que ce soit avant ou après. Il y a de la tension entre nous car nous sommes toutes les deux des compétitrices. C’est pour ça qu’on ne parle pas trop de ce sujet quand on joue l’une contre l’autre. Et puis, on a plein de choses à se dire... »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Un GM à Nantes et la Jeep Elite sous trois ans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison très laborieuse qui l’a amené à la 13e place (12 victoires pour 22 défaites), Nantes Basket Hermine va aborder la prochaine rentrée avec un budget stable (entre 2 et 2,2 millions d’euros) mais avec un manager général qui fera office de directeur du club.\\n\\n« On ne peut pas continuer avec autant de monde dans le comité directeur (12 personnes). Ce n’est pas gérable avec beaucoup trop d’avis différents et de dissensions. Quand le club va bien, il n’y a pas de problèmes, quand il est en difficulté, tout le monde tire sur l’autre. Donc, il y aura un comité restreint autour de moi, cinq personnes plus le trésorier. C’est suffisant », a déclaré le président Jean-Luc Cadio à Ouest France.\\n\\nLe président souhaite conserver deux ou trois joueurs de l’effectif actuel, intégrer des jeunes et accéder à la Jeep Elite dans les trois ans.\\n\\nPhoto: Hermine"
}, 
{"role": "user",     "content":"N1: Benoit Gillet (Saint-Quentin): «Il faut rester concentrer et ne pas penser qu’on est favori»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec sa victoire lors de la belle face à Challans (85-76), Saint-Quentin BB s’est qualifié pour les demi-finales des playoffs de Nationale 1.\\n\\nLe Malien Cheik Soumaoro a été le joueur de SQBB le plus performant avec 17 points et 9 rebonds.\\n\\nSaint-Quentin récupère l’avantage du terrain pour affronter Lorient en demi-finale.\\n\\n« C’est un plus, on a toujours plus d’enthousiasme avec nos supporters qui poussent », s’est félicité Benoit Gillet dans Le Courrier Picard. « En playoffs, il n’y a pas de favori. On l’a vu en quarts de finale... Qui voyait Saint-Vallier être sorti en deux matches? Lorient qui va gagner deux fois à Rueil. Il faut rester concentrer et ne pas penser qu’on est favori. »\\n\\nLe Vendéen Dominique Gentil est toutefois prêt à mettre une pièce sur SQBB:\\n\\n« Saint-Quentin a été solide tout au long de l’année mais aussi dans la série contre nous. C’est une salle dure à jouer. »\\n\\nLes résultats\\n\\nLorient (8e*) b. Rueil (3e): 2-1 (82-70, 78-81, 84-79)\\n\\nChartres (5e) b. Brissac (6e): 2-1 (87-79, 50-94, 103-94)\\n\\nBoulogne (9e) b. Saint-Vallier (2e): 2-0 (96-91, 90-87)\\n\\nSaint-Quentin (4e) b. Challans (7e): 1-1 (76-60, 71-76, 85-76)\\n\\nDemi-finales:\\n\\nBoulogne-Chartres et Saint-Quentin-Lorient\\n\\n*classement de la saison régulière\\n\\nCalendrier des playoffs\\n\\nQuarts de finale : Aller : 12 mai 2018, Retour : 15 mai 2018, Belle éventuelle : 19-20 mai 2018\\nDemi-finales : Aller : 26 mai 2018, Retour : 29 mai 2018, Belle éventuelle : 2 juin 2018\\nFinale : Aller : 9 juin 2018, Retour : 12 juin 2018, Belle éventuelle : 16 juin 2018\\n\\nhttps://www.facebook.com/14617190177/videos/10155302591705178/?hc_ref=ARQaVxgOJzhqRR02rJbk1Y4hxnbK3G_WobmnLzMwqfIdEXTgMdK6NVFHhaN84hsv22w&fref=nf"
}, 
{"role": "user",     "content":"Final Four Euroleague : le Real s’offre son 10e titre continental !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si c’était son dernier match avant de décoller pour la NBA, Luka Doncic pourra partir sur un bon souvenir ! Elu MVP de la saison la veille, Doncic a signé un match à 15 points, 4 passes et 3 rebonds pour rafler le titre de MVP du Final Four et offrir au Real Madrid sa fameuse Decima, le 10e titre continental de son immense palmarès (85-80).\\n\\nL’international français Fabien Causeur (17 points) a également été exceptionnel tout au long de la finale, et des deux côtés du terrain avec une énorme défense sur Kostas Sloukas notamment. Pour le Fener, Nicolo Melli (28 points, 6 rebonds) et Brad Wanamaker (14 points, 5 rebonds, 5 passes) auront été bien trop esseulés pour contenir les assauts répétés du Real. Pas de doublé pour Zeljko Obradovic avec Fenerbahçe qui avait remporté le trophée en 2017.\\n\\n\\n\\nNikolo Melli remet le Fener sur les bons rails\\n\\nContre le tout récemment élu MVP, Luka Doncic, Zeljko Obradovic a prévu un plan d’entrée de jeu. Il faut l’attaquer ! Et son adversaire direct, Nikola Kalinic s’y emploie d’emblée avec 5 points rapides qui propulsent le Fener sur un 9-4 initial. En face, Doncic répond avec les 6 premiers points de son équipe. Ahmet Duvieroglu est également à la fête avec 8 points, meilleur marqueur en 1er quart. La tête dans le seau, le Real s’en sort encore avec Fabien Causeur à la relance. Rudy Fernandez et Sergio Llull lui emboîtent le pas derrière l’arc et Madrid reprend les commandes. Ça donne 21-17 après un ultime tir primé d’Anthony Randolph.\\n\\nDans les cordes après un 14-2 à cheval sur les deux quarts temps, le Fenerbahçe a pris une première averse mais il se remonte les manches et repart au combat. Avec Nicolo Melli, l’armada turque retrouve des couleurs. L’intérieur italien est imperturbable avec 7 points d’affilée et 11 en 2e quart. Il remet le Fener devant au score et la défense turque commence elle aussi à retrouver ses repères. Jaycee Carroll et Trey Thompkins y vont bien de leurs tirs de loin mais Kostas Sloukas réplique sur la possession suivant avec le poing serré ! Grâce à une grosse réussite à deux points (13/21), les Stambouliotes gardent la main à la pause (40-38). En face, le Real est adroit à trois points (5/9) mais doit serrer sa défense dans la peinture...\\n\\n\\nFabien Causeur, MVP de la finale\\n\\nFabien Causeur reprend l’action là où il l’avait laissée. Il enfile deux lancers et un trois points pour relancer le Real. Quand l’arrière tricolore envoie une seconde bombe dans le coin, il donne 5 points d’avance à son club, en plus de défendre le plomb. En face, Nicolo Melli est toujours sublime et si juste. Brad Wanamaker rejoint également la danse avec le panier plus la faute. Mais Madrid ne doute pas de son jeu : Luka Doncic déclenche à trois points, en première intention en contre attaque et ça fait mouche ! Avec Reyes qui met son grain de sel dans la peinture, et malgré un dunk rageur de Nikola Kalinic, Madrid tient son avance avant le dernier quart (63-55).\\n\\nLes champions en titre n’arrivent pas à trouver la faille. L’écart se maintient en faveur des madrilènes malgré les efforts de Melli. Pire, Vesely écope d’une faute antisportive qui permet au Real de passer le cap des 10 longueurs, avec Doncic qui sanctionne avant que Carroll ne rentre à trois points. Ali Muhammed vient filer un petit coup de main à Melli. Le Fener s’accroche tant bien que mal et Doncic doit quitter ses partenaires pour 5 fautes avec 15 points, 4 passes, 3 rebonds. Carroll lâche un lancer et Ali Muhammed rentre à trois points à 22 secondes. Au petit jeu des lancers, Causeur se fait peur avec un 0/2 mais Thompkins est là pour la claquette. Et le français finit avec un 2/2 qui envoie le Real sur le toit de l’Europe, pour la fameuse Decima, le 10e titre européen (85-80).\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nCrédits photo : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Fabien Causeur, vainqueur de l’Euroleague : «L’objectif était de jouer en Pro B...»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fabien Causeur (1,95m, 30 ans) a gagné ce soir l’Euroleague et a été élu meilleur joueur de la finale à défaut d’avoir reçu le trophée de MVP du Final Four qui est revenu au Slovène Luka Doncic. Il a épaté par son sang-froid, ses points (17) et l’ensemble de son jeu qui lui a permis d’avoir la meilleure évaluation du Real (21).\\n\\nLe Breton formé au Havre a passé trois saisons à Cholet Basket (2009 à 2011) et le site internet du club a mis en exergue une interview de Bebasket que son ancien joueur avait donné il y a quelques semaines.\\n\\n« C’est sûr qu’il y a très peu de monde qui aurait parié sur une telle carrière il y a quinze ans. Moi le premier..., » peut-on y lire. « Je n’étais pas spécialement dans l’optique d’arriver un jour dans un club comme le Real Madrid. Mais chaque saison, je me suis fixé des objectifs, un plan de carrière. Cette année, j’ai encore des objectifs, comme chaque année, mais c’est vrai que c’est un autre niveau.\\n\\nVous vous étiez fixé un horizon bien inférieur au Real Madrid ?\\n\\nBien évidemment ! Quand j’ai commencé au centre de formation, mon but était d’être professionnel, et même pas spécialement la Pro A. L’objectif était de jouer en Pro B, de faire ma petite carrière avec un travail que j’aime, jouer au basket. Maintenant, c’est sûr que les choses ont tourné dans le bon sens. »\\n\\n\\n\\n\\nChampions d’Europe!!! 🏆🤷🏼\u200d♂️ #Halamadrid #decima pic.twitter.com/YAlYrwixPX\\n\\n\\n— Fabien Causeur (@FCauseur1) May 20, 2018\\n\\nPhoto: Real Madrid"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview – Valériane Ayayi (Bourges): «On travaille beaucoup mais on rigole aussi beaucoup. C’est vraiment le top»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Aujourd’hui s’ouvre la finale des playoffs de Ligue Féminine entre Bourges et Tarbes. En cinq manches. Avec plusieurs individualités de top niveau et un banc à rallonge, les Berruyères sont archi-favorites pour gagner un 14e titre et passer ainsi devant le mythique Clermont University Club.\\n\\nElue dans le Cinq Majeur de la saison en compagnie de sa coéquipière Marine Johannès, Valériane Ayayi (1,83m, 24 ans) nous parle de cette finale, de son club, de l’équipe de France et de la WNBA.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQue pensez-vous du fait que pour la première fois il y a un trophée de MVP unifié en Ligue Féminine et donc pas un trophée pour les Françaises et un autre pour les étrangères ?\\n\\nJe trouve ça plutôt bien. On n’a pas besoin d’avoir quinze meilleures joueuses du championnat. Beaucoup de filles ont fait une belle saison et il y en a certainement une qui mérite plus sa récompense (NDLR : l’interview a été fait juste avant que la Canadienne de Nantes Nayo Raincock-Ekunwe soit élue MVP). Oui, c’est bien qu’il n’y ait plus de distinction Française ou pas Française.\\n\\nEtre dans les nominées, dans le Cinq idéal de la saison, c’est pour vous une récompense, quelque chose qui vous flatte ?\\n\\nBien sûr. Ça flatte toujours, ce sont des choses personnelles. Je trouve ça cool et en plus je suis avec plusieurs filles que je connais. Ça démontre aussi que l’équipe a fait une belle saison. Quand ce n’est pas le cas, les joueurs ont beau faire de belles saisons, ils ne sont pas forcément récompensés. Ce n’est pas tout grâce à moi, c’est beaucoup grâce à mes coéquipières. Je ne peux que les en remercier.\\n\\nIl y a un peu de stress à quelques minutes de la cérémonie de savoir si c’est vous ou pas qui est MVP ?\\n\\nNon, non. Je suis pratiquement sûre que ce n’est pas moi. Je pense qu’il y a des filles qui ont fait de très grosse saison et qu’elles le méritent amplement.\\n\\nQui est votre favorite ?\\n\\nJe dirais Michelle Plouffe (NDLR : Perdu !).\\n\\nEt que pensez-vous de cette soirée, une grande première pour la Ligue Féminine qui de plus s’est associée avec la Ligue Masculine ?\\n\\nEnfin ! Comme les hommes on fait de belles saisons, du beau jeu. Donc je ne vois pas pourquoi les garçons avaient leur cérémonie et pas les filles. Et c’est encore mieux qu’on soit tous réunis pour le basket français. C’est vraiment bien.\\n\\nVous avez mérité ça par vos résultats ?\\n\\nJe pense que oui. Du fait aussi qu’avec l’équipe nationale on a des résultats tous les ans. Ça permet de donner de l’importance au basket féminin.\\n\\nVous en connaissez des garçons présents à cette cérémonie ?\\n\\nQuelques-uns. Déjà parce que je suis un peu la Jeep Elite et aussi parce que j’en ai côtoyé certains. Ça permet aussi de découvrir d’autres personnes, des coaches. Je trouve ça intéressant.\\n\\n« Dans les moments difficiles, on va venir se voir, sortir la petite blague qui va faire que la personne qui n’est pas bien va retrouver le sourire »\\n\\nN’est-ce pas un peu long entre la demi-finale et le premier match des finales ?\\n\\nOui et non. Oui parce qu’il y a eu à peu près douze jours. C’est long, il faut s’entraîner. On avait pris un rythme de matches très rapprochés alors que là il n’y a que des entraînements. D’un autre côté, ça permet aussi de récupérer, de soigner les petits bobos. Deux jours avant la demi-finale aller, je me suis pétée la cheville et j’ai tenu mon rang durant les deux matches plus ou moins bien. Là, ça m’a permis de me soigner, de prendre du repos pour être prête pour la finale.\\n\\nJe suppose que le coach vous a dit de ne pas sous-estimer Tarbes ?\\n\\nPeu importe qui ça aurait été, on n’aurait pas sous-estimé l’adversaire. On en parlait avec Amel Bouderra (NDLR : meneuse de Charleville). C’est vrai que l’on a eu cette force-là cette saison, de ne jamais sous-estimer l’adversaire. Quand il fallait leur en mettre 60, on leur en mettait 60. Quand on gagnait ric-rac, on gagnait ric-rac. Et quand on perdait, on avait tout donné, on avait respecté le plan de jeu et l’adversaire. Donc peu importe l’adversaire en finale, on aurait respecté.\\n\\nKatherine Plouffe vous a-t-elle parlé du fait qu’elle va rencontrer sa jumelle, Michelle ? Est-ce un match spécial pour elle ?\\n\\nForcément. Elle nous a racontées qu’à l’université, elles ont joué une fois l’une contre l’autre et qu’elles avaient fait des maillots pour leurs parents séparés en deux, une partie pour l’une et une partie pour l’autre. Ce ne sont pas que des sœurs, ce sont des jumelles très fusionnelles donc, oui, ça va être une finale spéciale mais je sais qu’elle est très contente de partager ce moment avec sa sœur.\\n\\nElles ne vont pas se retrouver vraiment face à face ?\\n\\nIl y en a une qui est plus 4 et l’autre plus 5 mais ça ne veut rien dire, elles peuvent se retrouver face à face. Déjà en saison c’était spécial mais ça ne les empêche pas de montrer leur talent et qu’elles ne sont pas submergées par l’émotion.\\n\\nVous dites que vous êtes une bande de copines à Bourges et que vous êtes à la fois studieuses et que vous rigolez bien ?\\n\\nC’est ça. On travaille beaucoup mais on rigole aussi beaucoup. C’est vraiment le top, l’une de mes plus belles années. A l’extérieur, dans le vestiaire, sur le terrain. Dans les moments difficiles, on va venir se voir, sortir la petite blague qui va faire que la personne qui n’est pas bien va retrouver le sourire. On arrive vraiment à sortir le plus fort de chacune et je trouve ça vraiment super.\\n\\nÇa évoque quoi pour vous d’apporter un 14e titre à Bourges, de battre le record du Clermont UC ?\\n\\nJe n’ai pas connu le CUC mais on sait très bien que si on veut écrire l’histoire, c’est notre équipe qui peut le faire avec ce 14e titre. C’est à nous de faire en sorte que les choses soient faites.\\n\\n« J’aime beaucoup la mentalité américaine qui est tout à fait différente de la française. Le jeu aussi. C’est plus vite, plus haut, plus fort, il y a plus de possessions »\\n\\nAllez-vous en WNBA cet été ?\\n\\nToujours pas sûre.\\n\\nEn avez-vous parlé avec la coach de l’équipe de France, Valérie Garnier ?\\n\\nOui. Elle m’a donnée son accord et elle attend juste que je lui confirme ou pas si j’y vais. Quand je le saurai, je l’appellerai.\\n\\nÇa dépend de vous ?\\n\\nD’eux et de mon état physique après la finale. D’eux dans le sens de savoir s’ils vont trouver un spot pour moi.\\n\\nComment se sont passés les rapports avec la franchise ?\\n\\nIls m’ont demandée si ça me branchait d’y aller. Au départ, j’ai dit non et puis j’ai dit oui. On a commencé les démarches, on a signé le contrat, le visa, voilà. J’ai signé à San Antonio il y a trois ans (NDLR : 16 matches à 2,3 points en moyenne en 2013) et c’est la même franchise qui a été délocalisée à Las Vegas et ils m’ont rappelé pour me demander si j’étais de nouveau intéressée.\\n\\nC’est par James Wade, le mari d’Edwige Lawson, que vous aviez eu le premier contact ?\\n\\nIl était assistant, il est pro européennes mais je pense que la franchise me voulait un minimum s’ils m’ont appelée. Mais James a été un facteur évident de mon arrivée et heureusement qu’il était là.\\n\\nVous connaissez Las Vegas ? C’est aux antipodes de Bourges ?\\n\\n(Sourire) Ca n’a rien à voir ! Je pense que c’est une expérience à faire. J’aime beaucoup la mentalité américaine qui est tout à fait différente de la française. Le jeu aussi. C’est plus vite, plus haut, plus fort, il y a plus de possessions.\\n\\nVous avez aussi l’objectif de disputer la Coupe du Monde en Espagne ?\\n\\nBien sûr. Comme chaque été mon objectif est d’atteindre l’équipe de France, j’espère que ça sera possible cette année. Si je vais en WNBA, ça s’adaptera puisque les Américaines doivent aussi préparer le championnat du monde. Elles auront un temps de préparation ce qui libérera les européennes pour aller avec leurs fédérations respectives ?\\n\\nA la rentrée, vous partez à Prague ?\\n\\nOn verra... Ce n’est pas mon actualité. Quand j’aurai fini ma saison, j’annoncerai ce que je fais après (sourire). Pour l’instant tout ce que je veux, c’est gagner un titre avec Bourges.\\n\\nQuels sont les secteurs où vous pensez devoir encore progresser ?\\n\\nOn peut tout améliorer. Mon tir, mon jeu de passe, ma présence au rebond. Tactiquement, j’ai encore beaucoup de choses à apprendre. Techniquement aussi. J’aimerais m’améliorer dans la totalité de mon jeu.\\n\\n[armelse]\\n\\nQue pensez-vous du fait que pour la première fois il y a un trophée de MVP unifié en Ligue Féminine et donc pas un trophée pour les Françaises et un autre pour les étrangères ?\\n\\nJe trouve ça plutôt bien. On n’a pas besoin d’avoir quinze meilleures joueuses du championnat. Beaucoup de filles ont fait une belle saison et il y en a certainement une qui mérite plus sa récompense (NDLR : l’interview a été fait juste avant que la Canadienne de Nantes Nayo Raincock-Ekunwe soit élue MVP). Oui, c’est bien qu’il n’y ait plus de distinction Française ou pas Française.\\n\\nEtre dans les nominées, dans le Cinq idéal de la saison, c’est pour vous une récompense, quelque chose qui vous flatte ?\\n\\nBien sûr. Ça flatte toujours, ce sont des choses personnelles. Je trouve ça cool et en plus je suis avec plusieurs filles que je connais. Ça démontre aussi que l’équipe a fait une belle saison. Quand ce n’est pas le cas, les joueurs ont beau faire de belles saisons, ils ne sont pas forcément récompensés. Ce n’est pas tout grâce à moi, c’est beaucoup grâce à mes coéquipières. Je ne peux que les en remercier.\\n\\nIl y a un peu de stress à quelques minutes de la cérémonie de savoir si c’est vous ou pas qui est MVP ?\\n\\nNon, non. Je suis pratiquement sûre que ce n’est pas moi.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Les adieux d’Alex Mumbru (Bilbao)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"RETABet Bilbao va quitter la Ligue ACB et, plombé par environ six millions de dettes, le club basque va peut-être même disparaître. Cela ne l’a pas empêché cet après-midi de fêter Alex Mumbru (2,02m) qui quitte la scène à 38 ans. A la quinzième minutes du match perdu face à Murcie, plus de 8 000 personne se sont levées pour l’applaudir.Après une carrière à Badalone et au Real Madrid, Alex Mumbru était sous le maillot de Bilbao depuis 2009. Il a été 113 fois membre de l’équipe d’Espagne vice-championne olympique à Pékin en 2008 et championne du monde à Tokyo deux ans auparavant.\\n\\n\\n\\n\\nUna txapela para un histórico del club y de la ciudad: @Alexmumbru15.#LigaEndesa @CDBILBAOBASKET\\n🎥 @MovistarPlus pic.twitter.com/tBJm8z4xJ0\\n\\n\\n— Liga Endesa (@ACBCOM) May 20, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Fenêtres internationales : Les équipes nationales privées de leurs joueurs d’Eurocup en novembre et février?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En plus de ceux de NBA et d’Euroleague, les équipes nationales seront-elles privées en novembre et février de leurs joueurs d’Eurocup? C’est ce que laisse entendre Jean-Pierre Siutat, le président de la FFBB, dans une interview au Télégramme.\\n\\n« (...) Mais avec l’Eurocup (la deuxième Coupe d’Europe elle aussi géré par l’ECA, Euroligue Commercial Assets) qui va se caler exprès sur ces fenêtres internationales, on va être privé potentiellement de 35 joueurs au lieu de 24 cette saison. C’est scandaleux. Attention, je fais cependant la différence entre le prestataire ECA et l’Euroleague en elle-même qui est une très belle épreuve. Sous certaines conditions, je souhaite que nos clubs français y aillent. »\\n\\nBref, il semble que le conflit entre l’Euroleague et la FIBA franchisse encore un degré supplémentaire dans l’escalade..."
}, 
{"role": "user",     "content":"Une demi-douzaine de Français sous l’oeil des scouts NBA au camp de Trévise"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Etienne Ca (Chalon), Cyrille Eliezer-Vanerot (Levallois), Stéphane Gombauld (Lille), Melvin Govindy (Cholet), Jean-Marc Pansa (Nanterre) et Darel Poirier (Charleville) font partie des invités au traditionnel NBA Global Camp de Trévise qui aura lieu du 2 au 5 juin au Centre Sportif de La Ghirada.\\n\\nLe programme comprendra des entrevues, des matchs à cinq contre cinq, des exercices de tir et des tests de force et d’agilité devant des représentants des 30 équipes de la NBA, tous sous la direction du personnel de la NBA.\\n\\nPhoto: Melvin Govindy, CB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Livio Jean-Charles n’a pas été conservé par Malaga"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Unijaca Malaga n’a pas fait jouer son option pour conserver Livio Jean-Charles (2,04 m, 24 ans) jusqu’à la fin de saison, Giorgi Shermadini étant revenu de blessure.\\n\\nEn Liga Endesa, l’ancien Villeurbannais s’est fendu de 4,6 points à 46,9% de réussite aux tirs et 3,2 rebonds en 13 minutes de moyenne.\\n\\nPhoto: Unicaja"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nationale 1: Après Boulogne, Lorient et Chartres se sont qualifiés pour les demi-finales"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Boulogne/Mer et en attendant le choc Saint-Quentin vs. Challans cet après-midi, Lorient et Chartres se sont qualifiés hiers soir pour les demi-finales d’accession en Pro B.\\n\\nLorient (8e*) b. Rueil (3e): 2-1 (82-70, 78-81, 84-79)\\n\\nChartres (5e) b. Brissac (6e): 2-1 (87-79, 50-94, 103-94)\\n\\nBoulogne (9e) b. Saint-Vallier (2e): 2-0 (96-91, 90-87)\\n\\nSaint-Quentin (4e) et Challans (7e): 1-1 (76-60, 71-76)\\n\\nDemi-finales:\\n\\nBoulogne-Chartres\\n\\nLorient-Saint-Quentin ou Challans\\n\\n*classement de la saison régulière\\n\\nCalendrier des playoffs\\n\\nQuarts de finale : Aller : 12 mai 2018, Retour : 15 mai 2018, Belle éventuelle : 19-20 mai 2018\\nDemi-finales : Aller : 26 mai 2018, Retour : 29 mai 2018, Belle éventuelle : 2 juin 2018\\nFinale : Aller : 9 juin 2018, Retour : 12 juin 2018, Belle éventuelle : 16 juin 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le Youtubeur Ivan Bédé et Boris Diaw dans «Quand tes parents viennent te voir jouer»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Youtubeur Ivan Bédé met en scène des parents envahissants qui viennent voir jouer leurs rejetons. La vidéo a été tournée dans la salle de Levallois et Boris Diaw et sa maman Elisabeth Riffiod y font une apparition. C’est la deuxième collaboration de la Commission Démarche Citoyenne de la FFBB et Ivan Bédé dans le cadre de la campagne « Un supporter ou Insupportable »."
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB – François Gomez (Tarbes): «On n’est pas descendu du bus»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Une quarantaine de supporters tarbais ont fait les 6h30 de voyage pour rallier le Berry et arriver tout juste une heure avant le Match 1 de la finale de Ligue Féminine. Seuls face à 4 000 Berrichons. Ils n’ont pas été récompensés de leurs efforts puisque le TGB en a pris une bonne face à l’ogre tango (66-86) même si les Violettes ont fait une bien meilleure deuxième mi-temps que la première.\\n\\n« On n’est pas descendu du bus », a regretté le coach François Gomez en conférence de presse, des propos relayés par La Dépêche. » Je pense que les filles n’ont pas mesuré ce que c’était de jouer une finale, de jouer contre Bourges et de jouer au Prado. On n’a pas fait la première période qu’on a voulue. On a été mauvais dans le contrôle du ballon et dans le secteur des lancers-francs. Malgré tout cette équipe a de la fierté. Il faudra que le prochain match, on fasse quatre quart-temps comme les deux derniers qu’on a fait. On reviendra lundi avec de l’ambition et on va se battre jusqu’au bout. »\\n\\nPhoto: FFBB Bellenger/Lecoq"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Villeneuve d’Ascq empoche l’honorifique cinquième place"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir gagné le premier match dans le Nord, 79-72, Villeneuve d’Ascq a très largement remporté le second à Basket Landes, 82-61, et termine ainsi à la 5e place de la Ligue Féminine. Une distinction honorifique.\\n\\nLes Nordistes menaient déjà 31-14 après le premier quart-temps.\\n\\nL’Anglaise Jo Leedham a été particulièrement performante avec 17 points, 8 rebonds, 7 passes et 3 interceptions et reçu un bon support de Laetitia Kamba, 14 points, 8 rebonds et 5 passes.\\n\\nDans le camp adverse, c’est l’Espagnole Queralt Casas qui a soigné son départ du club -elle va à Charleville- avec 21 points, 7 rebonds et 6 passes.\\n\\nPhoto: Jo Leedham"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B – Hervé Coudray sur son départ de Caen: «Pourquoi leur en voudrais-je?»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est une figure de Caen qui quitte la ville et probablement la Normandie. Hervé Coudray, 52 ans, n’est plus l’entraîneur du CBC qu’il a maintenu en Pro B après l’avoir eu en main en N2 en 2013, alors qu’il avait été auparavant coach de Mondeville à partir de 2002 avec juste une infidélité d’un an à Valenciennes.\\n\\nIl a reçu une énorme ovation du palais des sports de Caen vendredi soir à l’occasion de la clôture de la saison et part en bons termes avec les dirigeants caennais qui pourtant n’ont pas prolongé son contrat:\\n\\n« Pourquoi leur en voudrais-je\u2009? Ils viennent de me faire vivre cinq superbes années. Je ne peux pas leur en vouloir. On sait que les cycles d’un entraîneur, c’est cinq ans. Moi, ça fait seize ans que j’habite en Normandie. Des entraîneurs qui ont fait 16 ans dans la même ville, il n’y en a pas beaucoup. Je n’ai pas imposé les déménagements à ma famille tous les deux ans, c’est déjà une belle victoire, » a t-il commenté à Ouest France.\\n\\nLe voici sur le marché du travail avec le stress inhérent:\\n\\n« Je regarde mon téléphone toutes les 15 secondes, mais pour l’instant il ne bouge pas. Pour trouver un job, il en faut un de disponible et, aujourd’hui, il n’y a pas énormément de rotations. »\\n\\nPhoto: CBC"
}, 
{"role": "user",     "content":"Finale LFB, Match 1: Une déferlante tango submerge Tarbes, 86-66"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pas de surprise dans ce match 1 de la finale de la Ligue Féminine: Bourges a profité d’une première mi-temps au plus que parfait pour s’imposer au final, 86 à 66.\\n\\nBourges a voulu tout de suite mettre la main sur le match et menait 11-4 au bout de 4 minutes. Olivier Lafargue profitait tout de suite de son effectif d’excellence. Une fois la première vague orange passée, les Tarbaises montraient qu’elles n’étaient pas impressionnées par le contexte. L’écart était tout de même de neuf points après dix minutes (26-17), les Berruyères faisant preuve d’une belle adresse dans les tirs à deux-points (8/11) avec une Katherine Plouffe redoutablement efficace et provoquant cinq pertes de balle tarbaises.\\n\\nLe démarrage du deuxième quart-temps était poussif côté tarbais et les Tango gonflaient leur avance: 37-17 après moins de trois minutes. Aie! Les Violettes buttaient inexorablement sur le bloc défensif berruyer et en sus Michelle Plouffe prenait sa troisième faute. Même largement en tête, les équipières de Laia Palau ne sont pas du genre à ralentir. Le cap de la cinquantaine était atteint dès la 17e minutes alors que le TGB en était à 22. La domination tango était absolue, leur 7/10 à trois-points faisait mal et le score à la mi-temps piquait les yeux: 57-29 malgré un trois-points de Tima Pouye au buzzer. Pourtant au micro de SFR Sport, Diandra Tchatchouang déclarait, « on peut mieux faire! ».\\n\\nFrançois Gomez savait que la deuxième mi-temps servait essentiellement à préparer le deuxième match. La défense du TGB était incontestablement plus élevé. Les Berruyères connaissaient une traversé du désert en attaque de quatre minutes si bien que Tarbes remportait le troisième quart-temps, 14-12. Tarbes a eu le mérite de jouer les yeux dans les yeux avec un adversaire forcément un peu moins concentré. De quoi lui donner de l’espoir pour la suite de la série.\\n\\nPreuve de l’homogénéité des Tango, sept joueuses sont entre 12 et 18 à l’évaluation.\\n\\nLe match 2 est programmé lundi de nouveau à Bourges.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Cristina Ouvina (Bourges), FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Luka Doncic (Real Madrid) élu MVP de l’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Slovène du Real Madrid Luka Doncic (1,98m, 19 ans) a été élu MVP de l’Euroleague 2017-18 et par ailleurs meilleur jeune (Rising Star) de la compétition.\\n\\nLe Real jouera demain la finale de l’Euroleague face au Fenerbahçe et Luka Doncic est annoncé comme le numéro 1 ou le numéro 2 de la prochaine draft NBA.\\n\\nLe palmarès:\\n\\n\\n\\n\\nSaison\\nJoueur\\nPos.\\nNationalité\\nClub\\n.\\n\\n\\n\\n\\n2004–05\\nAnthony Parker\\nSF\\nUSA\\nMaccabi Tel Aviv\\n\\n\\n\\n2005–06\\nAnthony Parker\\nSF\\nUSA\\nMaccabi Tel Aviv\\n\\n\\n\\n2006–07\\nTheo Papaloukas\\nPG\\nGrèce\\nCSKA Moscou\\n\\n\\n\\n2007–08\\nRamūnas Šiškauskas\\nSF\\nLituanie\\nCSKA Moscou\\n\\n\\n\\n2008–09\\nJuan Carlos Navarro\\nSG\\nEspagne\\nFC Barcelone\\n\\n\\n\\n2009–10\\nMiloš Teodosić\\nPG\\nSerbie\\nOlympiacos\\n\\n\\n\\n2010–11\\nDimitris Diamantidis\\nPG\\nGrèce\\nPanathinaikos\\n\\n\\n\\n2011–12\\nAndrei Kirilenko\\nSF\\nRussie\\nCSKA Moscou\\n\\n\\n\\n2012–13\\nVassilis Spanoulis\\nG\\nGrèce\\nOlympiacos\\n\\n\\n\\n2013–14\\nSergio Rodríguez\\nPG\\nEspagne\\nReal Madrid\\n\\n\\n\\n2014–15\\nNemanja Bjelica\\nPF\\nSerbie\\nFenerbahçe Ülker\\n\\n\\n\\n2015–16\\nNando de Colo\\nSG\\nFrance\\nCSKA Moscou\\n\\n\\n\\n2016–17\\nSergio Llul\\nPG\\nEspagne\\nReal Madrid\\n\\n\\n\\n2017–18\\nLuka Dončić\\nSG\\nSlovénie\\nReal Madrid\\n\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet: «Les retours de Nicolas Batum et de Rudy Gobert vont aussi consolider notre secteur défensif»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Voici le verbatim de la conférence téléphonique donnée cet après-midi par Vincent Collet, coach de l’équipe de France et son directeur Patrick Beesley après l’annonce d’une sélection de 14 joueurs pour les deux matches contre la Bosnie et la Russie dans le cadre des qualifications pour la Coupe du Monde 2019.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe point sur la situation après 4 matches de ces qualifications pour la Coupe du Monde 2019:\\n\\nPatrick Beesley : Je voudrais rappeler que dans un contexte très particulier, l’équipe de France a engrangé quatre victoires en quatre matches, ce qui la place dans une position idéale. A ce sujet, je tiens à nouveau à féliciter et à remercier l’ensemble des joueurs qui ont été appelés durant ces quatre matches et qui ont rempli la mission sans état d’âme et dans l’esprit du Team France Basket que l’on attendait. Il reste deux matches chez l’adversaire, compliqués, mais qu’il faut tenter de remporter afin de se placer au mieux dans le classement puisque tous les résultats du premier tour de qualification, je le rappelle, sont conservés pour le deuxième tour.\\n\\nL’objectif face à la Bosnie et à la Russie :\\n\\nVincent Collet : On sait que si nous avons une équipe qui va être sur le papier plus forte que celles sur les deux précédentes fenêtres, ça va être également le cas de la Russie, qui va bénéficier des mêmes choses que nous, du retour des joueurs NBA/Euroleague. On sait que ça va être deux matches compliqués. Ce que j’attends d’eux c’est de créer un écart par rapport à ces deux équipes. Notre objectif c’est de les gagner, ce qui nous mettrait en situation très favorable pour la qualification puisqu’on aurait déjà trois matches d’avance sur la Bosnie et la Russie. L’objectif est haut placé mais c’est important même si dans la deuxième poule on ambitionnera aussi de gagner les matches. On aimerait se mettre à l’abri le plus vite possible. Le fait de gagner ces deux dernières rencontres du premier tour serait le meilleur moyen de le faire.\\n\\nLe retour des joueurs NBA et Euroleague :\\n\\nVC : C’est quelque chose qui était prévu. On a l’avantage en juin d’avoir pratiquement tous les joueurs disponibles. On en profite bien entendu. On avait aussi dit que l’on comptait conserver une partie du groupe précédent qui était dans les deux premières fenêtres. Normalement ça devrait nous renforcer mais malgré tout on va jouer a priori les deux matches les plus compliqués de ce premier tour à l’extérieur. On peut considérer que l’apport de nos joueurs NBA et Euroleague arrive au bon moment. Les matches à l’extérieur contre la Bosnie et la Russie sont a priori les plus difficiles à gagner.\\n\\nLes absences dues à la NBA comme Frank Ntilikina des New York Knicks ou à des blessures :\\n\\nVC : Il y en a quelques autres mais au-delà de ça, c’est le contexte d’une fenêtre. On n’est pas dans la préparation d’un championnat d’Europe ou, je l’espère l’an prochain, de la Coupe du monde. C’est une fenêtre qui, comme les précédentes, se déroule sur une bonne semaine avec une préparation très réduite. Donc on a voulu construire une équipe qui soit compétitive avec des joueurs toujours enthousiastes pour y venir et conserver en même temps un lien avec l’équipe qui a gagné les quatre premiers matches et qui sera certainement encore responsabilisée pour gagner ceux du deuxième tour. C’est ça l’objectif. Bien sûr, on a eu à faire à quelques blessures ou quelques problèmes comme avec Ntilikina qui n’est pas disponible à cause de la Summer League que vont jouer les Knicks et la préparation de celle-ci. Mais globalement, j’ai les joueurs que je souhaitais et je suis satisfait du groupe que l’on a pu réunir.\\n\\n« Là, il s’agit d’une petite dizaine de jours et forcément c’est moins compliqué pour avoir l’accord des franchises »\\n\\nL’enthousiasme des joueurs, les négociations avec les franchises :\\n\\nVC : Patrick est allé à la rencontre des joueurs et ce qui l’a marqué, c’est effectivement cet enthousiasme. En ce qui concerne les franchises, il faut comprendre que le cadre de la fenêtre les préoccupe beaucoup moins que lorsqu’il s’agit d’une préparation longue lors d’un championnat d’Europe où les joueurs peuvent être mobilisés durant six semaines. Là, il s’agit d’une petite dizaine de jours et forcément c’est moins compliqué pour avoir l’accord des franchises.\\n\\nLes absents, Axel Toupane, Adrien Moerman, Joffrey Lauvergne, Charles Kahudi...:\\n\\nVC : En ce qui concerne Axel, c’est un choix. Là, le groupe est réduit, il n’y a pas vraiment de sélection. Le fait de réintégrer Evan Fournier, Nicolas Batum, Nando De Colo, place la barre très haut. En ce qui concerne Jackson et Lacombe, j’ai déjà répondu dans le fait de vouloir garder des joueurs des deux premières fenêtres. Tout cela nous a amenés à faire des choix. C’est la même chose pour Joffrey Lauvergne sachant que je voulais conserver Labeyrie et Fall en plus de Boris (Diaw) bien entendu de nos deux premières fenêtres. Je souhaitais voir Lessort à l’œuvre car il n’est pas encore venu avec le groupe France et mesurer également les progrès de Vincent Poirier. Le retour de Rudy Gobert étant à mon sens indiscutable. Adrien a eu une saison un peu difficile et c’est en accord avec lui que je ne l’ai pas sollicité. Pour Charles Kahudi, c’est dans la même catégorie qu’Axel Toupane. Avec 14 le nombre d’extérieurs sélectionnés est limité et c’est par rapport à ça que Charles n’est pas dans la liste. Bien sûr ces joueurs-là font partie intégralement de notre groupe et si on a le bonheur d’aller à la Coupe du Monde, qui est notre objectif pour lequel on est bien placé pour l’instant, les cartes seront redistribuées et les joueurs en question font partie des candidats potentiels. Là, on est sur le cadre d’une fenêtre très courte qui est calée entre les deux de la saison passée et les prochaines de la saison suivante et tout ça nous a obligés à une certaine réflexion, à savoir l’importance de conserver des joueurs des deux premières fenêtres car c’est à eux que l’on va devoir faire appel pour gagner les matches de l’année prochaine. Bien sûr je comprends qu’ils se posent des questions mais c’est la réflexion que nous, nous avons eu.\\n\\nL’avenir de Boris Diaw en bleu :\\n\\nVC : Je ne vais pas répondre pour Boris. Je lui fais confiance pour le faire lui-même. C’est un choix qui lui appartient. Je pense que vous saurez lui poser la question. On a la chance qu’il soit en équipe de France pour ces deux rencontres qui se profilent. Ce qui va se passer après, c’est lui qui décidera. J’ai bien compris qu’il avait parlé d’arrêter en club donc bien sûr vous saurez lui poser la question.\\n\\nLe choix d’écarter des joueurs des deux premières fenêtres :\\n\\nVC : De toutes façons, c’est difficile systématiquement. Quand on fait des préparations, souvent les 17-18 joueurs qui sont convoqués en début de stage donnent le maximum et malgré tout il faut en écarter et parfois c’est la mort dans l’âme. C’est le travail du sélectionneur. A ce titre, avant de commencer les fenêtres, on avait bien précisé et les joueurs le savaient qu’il y aurait des changements. Ils ne sont pas dupes, ils connaissent aussi la situation des joueurs NBA et d’Euroleague, qui plus est non pas choisie, de ne pas pouvoir venir durant les fenêtres de la saison. C’est une situation un peur dure mais qui est logique. Je crois qu’il faut prendre le côté positif. Le retour des joueurs NBA et d’Euroleague pour cette fenêtre est une bonne chose. Il va permettre aussi de créer des liens avec les nouveaux joueurs. Comme je l’avais dit à l’issue de la fenêtre de février, il y en a qui ont marqué des points. L’état d’esprit, on la reconstruit et on veut le conserver. C’est quelque chose d’important et il va falloir qu’on affiche le même, même avec des joueurs au statut plus élevé.\\n\\n« Ce sont les contraintes de la NBA qui une fois de plus passent avant tout le reste »\\n\\nLa défense chantier prioritaire :\\n\\nVC : Totalement même si ce n’est pas le temps dont on disposera pour nous préparer qui va nous permettre d’améliorer les choses. L’état d’esprit, c’est la sensibilisation... C’est pour ça que l’on a conservé par exemple Andrew Albicy vu ce qu’il a démontré sur les aspects défensifs lors des quatre matches déjà joués. C’est vrai aussi pour quelques autres. La présence de Lacombe a aussi à voir avec sa générosité et son investissement. On veut justement voir ce brassage. La sélection de Lessort répond aussi à ça. C’est quelqu’un qui a beaucoup de dynamisme, d’activité. On veut mesurer ce qu’il peut apporter à cette équipe. Il est évident que les retours de Nicolas Batum et de Rudy Gobert vont aussi consolider notre secteur défensif.\\n\\nL’emploi du temps de Rudy Gobert sélectionné pour le NBA Award le lundi 25 juin :\\n\\nPB : On avait abordé le problème avec lui quand on l’avait rencontré aux Etats-Unis puisque c’était d’actualité. Bien sûr, il ne peut pas éviter d’être présent à Los Angeles et dès qu’il aura reçu son trophée s’il est récompensé, il regagnera Paris. On envisage son arrivée à Paris le 27 sachant que l’on partira le 28. Ce n’est pas l’idéal pour la préparation de Vincent mais on n’a pas le choix. Ce sont les contraintes de la NBA qui une fois de plus passent avant tout le reste.\\n\\nLa disponiblité des joueurs pour la fenêtre de septembre :\\n\\nVC : On va déjà se concentrer sur la priorité : essayer de gagner les deux derniers matches du premier tour. Après on travaillera pour construire un effectif le plus compétitif possible mais il faut dire honnêtement que pour l’instant il y a des éléments que l’on maîtrise et d’autres que l’on ne maitrise pas totalement. Le conflit Euroleague/FIBA étant toujours existant, le calendrier NBA n’est pas encore tout à fait défini. On va aussi profiter de la fenêtre de juin pour en parler de façon très franche avec les joueurs qui seront là en espérant que certains d’entre-eux puissent encore être avec nous au mois de septembre. Pour l’instant nous n’avons pas encore toutes les réponses.\\n\\nLe partage du ballon et des responsabilités offensives entre Thomas Heurtel, Nando De Colo et Evan Fournier. L’influence du retour de Nicolas Batum à ce niveau-là :\\n\\nVC: C’est effectivement un élément possible mais au-delà de ça, je pense que l’on a à faire à de grands garçons. Le fait que l’on ne soit pas totalement parvenu à l’équilibre dans ce domaine-là l’année passée ne nous empêche pas de le faire cette année. On a des éléments sur lesquels on peut partir. On sait que l’on n’a pas fait suffisamment d’efforts l’année passée pour que ça fonctionne. C’est aussi profiter de cette fenêtre pour mesurer un certain nombre de choses, voir si on avance sur ce chantier-là par exemple comme sur la défense. C’est aussi dans ce domaine-là que j’attends des réponses. C’est une période très courte, une dizaine de jours à passer ensemble mais malgré tout j’attends certaines améliorations par rapport à l’an passé. Je ne me dis pas que l’on pourra simplement appuyer sur un bouton l’an prochain si on est à la Coupe du Monde comme je l’espère. Il faut déjà que l’on mesure un certain nombre de progrès sur ces fenêtres-là. Peut-être avec une modification de Cinq ou pas. Ça ne me paraît pas essentiel, on verra en fonction des premiers entraînements.\\n\\n[armelse]\\nLe point sur la situation après 4 matches :\\n\\nPatrick Beesley : Je voudrais rappeler que dans un contexte très particulier, l’équipe de France a engrangé quatre victoires en quatre matches, ce qui la place dans une position idéale. A ce sujet, je tiens à nouveau à féliciter et à remercier l’ensemble des joueurs qui ont été appelés durant ces quatre matches et qui ont rempli la mission sans état d’âme et dans l’esprit du Team France Basket que l’on attendait. Il reste deux matches chez l’adversaire, compliqués, mais qu’il faut tenter de remporter afin de se placer au mieux dans le classement puisque tous les résultats du premier tour de qualification, je le rappelle, sont conservés pour le deuxième tour.\\n\\nL’objectif face à la Bosnie et à la Russie :\\n\\nVincent Collet : On sait que si nous avons une équipe qui va être sur le papier plus forte que celles sur les deux précédentes fenêtres, ça va être également le cas de la Russie, qui va bénéficier des mêmes choses que nous, du retour des joueurs NBA/Euroleague. On sait que ça va être deux matches compliqués. Ce que j’attends d’eux c’est de créer un écart par rapport à ces deux équipes. Notre objectif c’est de les gagner, ce qui nous mettrait en situation très favorable pour la qualification puisqu’on aurait déjà trois matches d’avance sur la Bosnie et la Russie. L’objectif est haut placé mais c’est important même si dans la deuxième poule on ambitionnera aussi de gagner les matches. On aimerait se mettre à l’abri le plus vite possible. Le fait de gagner ces deux dernières rencontres du premier tour serait le meilleur moyen de le faire.\\n\\nLe retour des joueurs NBA et Euroleague :\\n\\nVC : C’est quelque chose qui était prévu. On a l’avantage en juin d’avoir pratiquement tous les joueurs disponibles. On en profite bien entendu. On avait aussi dit que l’on comptait conserver une partie du groupe précédent qui était dans les deux premières fenêtres. Normalement ça devrait nous renforcer mais malgré tout on va jouer a priori les deux matches les plus compliqués de ce premier tour à l’extérieur. On peut considérer que l’apport de nos joueurs NBA et Euroleague arrive au bon moment. Les matches à l’extérieur contre la Bosnie et la Russie sont a priori les plus difficiles à gagner.\\n\\nLes absences dues à la NBA comme Frank Ntilikina des New York Knicks ou à des blessures :\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Rudy Gobert (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet (Strasbourg) à propos de Nanterre: «C’est une équipe qui prend beaucoup de risques»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans une interview au site du club, le coach de la SIG Strasbourg, Vincent Collet, évoque son adversaire des quarts-de-finale, Nanterre 92 et c’est la méfiance qui transparait dans son analyse:\\n\\n« C’est une équipe qui est capable d’élever son niveau de jeu et qui prend beaucoup de risques dans sa façon de jouer. Cela veut dire que sa marge de performance est souvent plus importante que d’autres qui en prendraient moins. Ça les rend vraiment dangereux car, lorsque la réussite est au rendez-vous, ils peuvent élever leur niveau de façon très importante et dans ce cas-là on a tout à craindre d’eux. Ils ont connu des problèmes d’effectifs mais malgré tout ils se sont accrochés. A un moment donné ils avaient peur de ne pas faire les Playoffs et finalement ils ont fini fort. Lorsqu’on les pensait en danger, ils sont allés gagner plusieurs matchs à l’extérieur, ce qui a été déterminant pour rallier les Playoffs. Les deux derniers matches contre eux ont été difficiles. Même en faisant un très bon match chez nous on avait mis longtemps avant de les décrocher et en Coupe de France encore plus. Je considère qu’on avait vraiment fait un très bon match et malgré tout c’était resté serré jusqu’au bout ».\\n\\nNanterre est l’équipe qui prend le plus de tirs à trois-points de la Jeep Elite après Chalon, 27 par match. Le tout avec le 5e pourcentage: 36,9. A titre individuel, c’est l’Allemand Heiko Schaffartzik qui est le plus gourmand (217) mais avec un très bon taux de réussite (40,0%).\\n\\nPhoto: Heiko Schaffartzik (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Champion de France Pro B avec Blois, Assane Ndoye retourne à Chalon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Elan Chalon fait revenir à la maison et pour trois saisons Assane Ndoye (2,02m, 22 ans) lequel fut le top-scoreur de l’équipe Espoirs en 2015 et 2016, plusieurs fois sélectionné en Equipe de France U20.\\n\\nPrêté à Blois en janvier 2017, il est devenu champion de France Pro B apportant 8,0 points et 8,6 d’évaluation cette saison.\\n\\n« Je suis très content du retour d’Assane au bercail. Depuis deux ans, il a bien travaillé son shoot, il y a une vraie progression. Il sera capable de faire des missions en Jeep® ELITE. J’espère qu’il prendra de plus en plus d’importance et à l’avenir devenir un titulaire en puissance. Je suis content quand des jeunes du centre reviennent. Ce sont des valeurs que l’on veut retrouver, » a commenté le coach Jean-Denys Choulet sur le site de l’Elan.\\n\\nPhoto: Tuan Nguyen"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nanterre : Philippe Da Silva devient l’assistant de Pascal Donnadieu à partir de la saison prochaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A trois jours du premier match de playoffs face à Strasbourg, Nanterre commence son recrutement en vue de la saison prochaine. La première recrue est l’ancien entraîneur de Cergy-Pontoise Philippe Da Silva (38 ans), il arrive en tant que second assistant de Pascal Donnadieu.\\n\\nSur son site, le club des Hauts-de-Seine indique que l’ancien international portugais s’est engagé en pour une dure initiale de deux ans. A Nanterre, il aura notamment en charge le renforcement des jeunes joueurs professionnels du club.\\n\\nA la retraite depuis 2016, il est arrivé dans la foulée sur le banc de Cergy en Nationale 2. En février 2017, il a intégré le staff de l’Equipe de France U19 masculin en tant qu’assistant vidéo. Début mars, il a été remercié par les dirigeants du CPBB et était sans club depuis."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jordi Bertomeu veut conserver le Panathinaikos en Euroleague et estime que «les clubs français ne sont pas prêts»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors d’une conférence de presse en marge du Final Four, Jordi Bertomeu a rappelé une vérité essentielle à propos des équipes françaises (ASVEL, Strasbourg, les projets parisiens) susceptibles de rejoindre pour de bon le championnat le plus huppé d’Europe. Rappelons que comme le Bayern Munich, Villeurbanne a obtenu une wild card pour les saisons 2019-20 et 2020-21.\\n\\n« Nous voulons faire nos changements lentement, garder chaque modèle pendant au moins trois ans afin de ne pas dérouter les fans et que ceux-ci puissent comprendre ces changements. Le Bayern serait prêt à entrer en Euroleague la saison prochaine, mais les équipes françaises ne sont pas prêtes et cette période de transition jusqu’en 2019-20 permettra aux nouvelles équipes de s’intégrer à l’Euroleague et à l’Euroleague de préparer cette entrée. »\\n\\nRappelons que le budget prévisionnel de l’ASVEL cette saison est de 8,2M€, ce qui est largement insuffisant dans la compétition reine et que l’Astroballe ne comporte que 5 556 places alors que l’affluence moyenne en Euroleague est de 8 393 !\\n\\nPar ailleurs, Jordi Bertomeu a évoqué le conflit qui oppose son organisation avec le Panathinaikos et son président Dimitris Giannakopoulos et notamment qu’une clause prévoit une amende de 10 millions d’euros pour un club qui quitte l’Euroleague:\\n\\n« Ce n’est pas une question contractuelle. Il y a un deal de 10 ans pas avec moi, IMG ou l’Euroleague mais entre les 11 clubs. Il y a un accord interne et si quelqu’un veut partir, il doit payer ce montant. S’il ne paie pas ce montant, nous finirons au tribunal et le club ne pourra pas jouer ailleurs. Pourtant, c’est un scénario théorique, car je répète que nous n’avons aucune indication que le Panathinaikos ne participera pas à l’Euroleague. Nous parlons des événements et nous avons aucun problème avec l’équipe, Panathinaikos. Seulement avec le propriétaire, qui a fait ces déclarations au sujet de quitter l’Euroleague « .\\n\\nJordi Bertomeu affirme que l’Euroleague ne veut pas le départ du Panathinaikos :\\n\\n« Dimitris Giannakopoulos a été puni pour son comportement, mais le président de l’équipe Manos Papadopoulos est ici à Belgrade avec son fils et il regarde le Final Four. Thanasis Giannakopoulos (NDLR: l’oncle de Dimitris) a fait une déclaration différente par rapport à ce que le propriétaire de l’équipe a dit précédemment. Le Panathinaikos est une équipe 100% Euroleague. Cependant, les équipes sont libres de décider. Cette liberté caractérise également notre relation avec les équipes concernant la FIBA. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Quand Poitiers se maintient en Pro B"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était un match à la vie, à la mort et Saint-Eloi était en feu pour que son Poitiers Basket 86 ne chute pas en Nationale 1. Mission remplie. Mais ce fut dans la souffrance car Denain ne s’est pas laissé mener par le bout du nez. Victoire 91-81. Merci à Ibrahima Fall et à Anthony Goods pour leurs 15 points, 10 rebonds pour le premier et 25 points à 8/11 aux tirs pour le second.\\n\\nPhoto: Jordan Bonneau/PB 86"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : nouveau contrat de 900 000€ pour Austin Daye à Venise"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion d’Italie en titre, Venise a décidé de mettre le paquet sur Austin Daye (2,11m, 29 ans) pour les deux saisons à venir.\\n\\nArrivé en cours de saison après avoir commencé l’exercice 2017/18 à l’Hapoel Jerusalem, le Californien aurait trouvé un accord pour prolonger son bail dans le club vénitien. Selon David Pick, les deux partis se seraient mis d’accord sur une extension de 900 000€ jusqu’en juin 2020. Ce nouveau contrat comprendrait également une clause permettant à l’ancien joueur de Galatasaray de rejoindre n’importe quelle équipe d’Euroleague. Avec Venise, il vient juste d’être sacré champion 2018 de FIBA Europe Cup.\\n\\nCette saison en Italie, Austin Daye compile en moyenne 12,4 points, 1,2 passe décisive et 6,3 rebonds en championnat et 11,4 points, 1,6 passe décisive et 4,8 rebonds pour une évaluation de 12,9.\\n\\n\\n\\n\\nSource: Austin Daye and Reyer Venezia, FIBA EuroCup winners, agreed on extention deal in $900,000 range through 2020 with flexibale outs to the Euroleague.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) 18 mai 2018\\n\\nPhoto : Umana Reyer Venezia"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB – Avant la finale, François Gomez (Tarbes): «On n’est pas sur une rencontre entre le PSG et Les Herbiers»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Favori de la finale des playoffs de Ligue Féminine qui démarre ce soir: Bourges. Outsider: Tarbes. Le coach tarbais François Gomez, sacré meilleur entraîneur de LFB, en est parfaitement conscient mais ça ne veut pas dire que le TGB part battu d’avance.\\n\\n« On n’est pas sur une rencontre entre le PSG et Les Herbiers », déclare t-il à La Dépêche. « La différence entre les deux équipes n’st pas si importante que cela. On a l’ambition de faire un truc... Après, on reste lucides, c’est Bourges. Quand elles commencent la saison au mois d’août, elles savent pourquoi elles sont là, c’est pour gagner le titre. Nous ce n’est pas le cas. On a affaire à une armada, un coach, à la culture de la gagne. Le favori bien sûr que c’est Bourges, mais on n’y va pas en victime, on sait ce qu’on peut faire et je pense que notre adversaire le sait aussi. »\\n\\nPour François Gomez, tenir la distance jusqu’au cinquième match serait extrêmement difficile quand on connaît les bancs des deux équipes. Aussi la clé d’une victoire finale passe sans doute par un succès lors de l’un des deux premiers matches au Prado.\\n\\nPhoto: LFB"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: La meneuse Joyce Cousseins-Smith à Landerneau"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nouveau promu en Ligue Féminine, Landerneau tient sa première recrue avec la meneuse Joyce Cousseins-Smith (1,68m, 30 ans).\\n\\nNative de Sète, celle-ci a déjà fait le tour de France: Montpellier, Lyon, Aix-en-Provence, Calais, Nantes-Rezé, Arras, Tarbes, Saint-Amand... Elle a commencé l’actuelle saison à Nice pour la finir à Villeneuve d’Ascq comme joker médical.\\n\\nSa production moyenne avec l’ESBVA a été de 2,7 points, 3,5 rebonds et 1,9 passe.\\n\\nPhoto: LFB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie: Bologne a proposé un contrat 2+1 à Sasha Djordjevic"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Virtus Bologne a rencontré Sasha Djordjevic, 50 ans, pour discuter de la possibilité de lui confier le coaching de l’équipe et lui a proposé un contrat de deux saisons plus une autre en option. L’actuel sélectionneur de la Serbie, passé par Milan (2006-07) et Trévise (2011-12), n’est pas totalement libre de ses mouvements car son contrat avec le Bayern Munich prévoit un renouvellement automatique en cas de victoire en Bundesliga cette saison... Même si Djordjevic a été démis de ses responsabilités. Les deux parties ne sont pas parvenues à un accord à l’amiable. Le Serbe serait intéressé par la proposition de la Virtus et ses perspectives de croissance avec comme point de départ une participation à la Champions League la saison prochaine.\\n\\nDans les prochains jours, le club rencontrera également Sergio Scariolo, 57 ans, le sélectionneur de l’Espagne, un autre candidat au banc de la Virtus. Scariolo est déjà passé par la Fortitudo Bologne (1993-96) et a exprimé son intérêt à coacher de nouveau un club (dernière saison à Vitoria en 2013-14).\\n\\nCe n’est que si aucune de ces deux pistes ne mène à une issue positive que le club du président Bucci cherchera des alternatives sur le marché italien.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Nancy avec Alexandre Chassang et Bastien Vautier pour les playoffs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est un phénomène qui prend de l’ampleur. Les clubs de Pro B récupèrent in-extremis des joueurs pour être mieux armés pour les playoffs. Ainsi le SLUC Nancy qui vient de terminer septième de la saison régulière et qui affrontera Fos/Mer en quart-de-finale -lequel s’est renforcé avec le meneur américain de Levallois, Louis Campbell- a pris la décision d’enrôler Alexandre Chassang (2,04m, 24 ans) qui remplace numériquement Valentin Chéry et de faire revenir au bercail Bastien Vautier (2,10m, 19 ans).\\n\\nFormé au Centre Fédéral, passé par l’ASVEL, Alexandre Chassang sort de deux saisons à Hyères-Toulon et a cumulé 6,4 points, 3,8 rebonds et 1,6 passe pour 8,1 d’évaluation sur le dernier exercice. Bastien Vautier est lui un produit du centre de formation du SLUC et il a été prêté cette saison à Caen où il a fait une saison remarquée étant donné son jeune âge: 7,9 points (58,0% de réussite aux tirs), 5,6 rebonds pour 10,6 d’évaluation.\\n\\nPhoto: FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Final Four Euroleague : le Real Madrid rejoint le Fenerbahçe en finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il avait été submergé par l’enjeu l’an passé, avec un 0 pointé dans les tirs de champ sur les deux matchs du Final Four 2017. Mais cette année, Luka Doncic était paré pour le défi continental. Face au CSKA Moscou, la superstar slovène a encore crevé l’écran avec 16 points et 7 rebonds, bien aidé par Sergio Llull également à 16 points, plus 5 passes.\\n\\nPris de court en 1er quart, le Real Madrid a par la suite mis le CSKA Moscou à l’amende avec plusieurs tirs de barrage à trois points. Malgré 20 points de Nando De Colo, le CSKA doit s’incliner devant la supériorité madrilène (92-83).\\n\\nLe Real affrontera donc le tenant du titre, Fenerbahçe. Luka Doncic pourra-t-il empêcher le premier doublé de sa carrière (avec le même club) en Euroleague pour Zeljko Obradovic ? Un sacré duel des générations en tout cas !\\n\\n\\n\\nLuka Doncic et Nando De Colo se tirent la bourre\\n\\nLe match commence sur les chapeaux de roue pour le CSKA. Cory Higgins ouvre le bal d’un trois points et il s’impose ensuite face à Jeffery Taylor pour le panier plus la faute. Il conclut son passage d’un énorme dunk par dessus Gustavo Ayon. Il inscrit tout simplement 10 des 13 premiers points de son équipe. Avec Sergio Rodriguez également au diapason, Moscou fait la course en tête. Le Real réagit cependant avec Rudy Fernandez mais aussi Luka Doncic. Edy Tavares apporte également près du cercle. Mais le CSKA finit fort avec De Colo aux lancers et Will Clyburn qui rentre à trois points sur le gong (30-20).\\n\\nCet écart de 10 points est rapidement effacé par le Real qui démarre le 2e quart d’un cinglant 8-0. Fabien Causeur et Jaycee Carroll allument de loin. Ils sont bientôt imités par Trey Thompkins et Sergio Llull et voilà le Real qui reprend le contrôle au score (34-32). De Colo et Hines combinent parfaitement pour maintenir le CSKA au niveau. Luka Doncic file lui au layup et se montre plus agressif. Les deux équipes se disputent le lead mais après des bombes échangées par Llull et De Colo, c’est Thompkins qui rentre un panier juste avant le buzzer (47-46). Le Real remporte assez nettement ce 2e quart (27-16).\\n\\n\\nLe Real était un ton au-dessus\\n\\nMais rien n’est encore fait. La preuve en est donnée en début de 3e quart avec Othello Hunter qui écrase un gros dunk. Will Clyburn continue lui de défier ses pourcentages de loin et le Real doit se secouer. C’est bientôt chose faite avec Taylor qui s’approche du cercle et Reyes qui est superbement servi par Fabien Causeur. L’arrière français sonne la révolte d’un trois points, et Doncic double la mise pour un 13-0 sanglant des madrilènes ! Malgré 10 lancers ratés, le Real fait la course en tête. Kyle Hines est bien esseulé pour le CSKA. Il fait tout, avec le coast to coast jusqu’au layup. Mais, sans Vorontsevich touché à l’épaule, Moscou aura besoin de davantage d’options offensives pour venir faire douter le Real (63-56).\\n\\nSi Nikita Kurbanov pique la gonfle et file au dunk, le CSKA se prend les pieds dans le tapis... Sergio Llull envoie derrière l’arc et Thompkins enfonce encore le clou. Tavares passe logiquement au-dessus de De Colo, pris sur le changement défensif. Mais le pivot doit sortir pour 5 fautes, tout comme Kurbanov. Sergio Rodriguez se voit même sanctionné d’une faute antisportive qui creuse encore plus la tombe moscovite (75-66).\\n\\nClyburn va bien essayer de relancer la machine mais ça ne prend pas. Doncic et Llull veillent aux grains, et Ayon termine son match beaucoup mieux qu’il ne l’avait commencé. Malgré deux dernières banderilles de Nando à trois points, Moscou ne reviendra pas (92-83). Doncic (16 points, 7 rebonds) peut aller discuter tranquillement avec Bogdan Bogdanovic. Après la désillusion de l’an passé, le prodige slovène va enfin connaître l’ivresse de la grande finale continentale !"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Poitiers et Quimper se sauvent, Le Havre en NM1"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La dernière journée de saison régulière a condamné le STB Le Havre à la Nationale 1 suite sa défaite à domicile face à Quimper, 71-77, qui lui assure son maintien tout comme Poitiers vainqueur de Denain, 91-81.\\n\\nLe classement final de la saison régulière.\\n\\n\\n\\n\\nPos\\nÉquipe\\n% Victoire\\nRésultats\\n\\n\\n\\n\\n1\\nBlois\\n80\\n27v–7d\\n\\n\\n2\\nRoanne\\n77\\n26v–8d\\n\\n\\n3\\nOrléans\\n74\\n25v–9d\\n\\n\\n4\\nFos-sur-Mer\\n71\\n24v–10d\\n\\n\\n5\\nLille\\n68\\n23v–11d\\n\\n\\n6\\nSaint-Chamond\\n65\\n22v–12d\\n\\n\\n7\\nNancy\\n56\\n19v–15d\\n\\n\\n8\\nRouen\\n50\\n17v–17d\\n\\n\\n9\\nEvreux\\n48\\n16v–18d\\n\\n\\n10\\nDenain\\n48\\n16v–18d\\n\\n\\n11\\nAix-Maurienne\\n45\\n15v–19d\\n\\n\\n12\\nVichy-Clermont\\n42\\n14v–20d\\n\\n\\n13\\nNantes\\n36\\n12v–22d\\n\\n\\n14\\nCaen\\n36\\n12v–22d\\n\\n\\n15\\nQuimper\\n33\\n11v–23d\\n\\n\\n16\\nPoitiers\\n33\\n11v–23d\\n\\n\\n17\\nLeHavre\\n30\\n10v–24d\\n\\n\\n18\\nCharleville-Mézières\\n18\\n6v–28d\\n\\n\\n\\n\\nLes quarts de finale des playoffs d’accession :\\n\\n * Roanne (2e) – Denain (vainqueur de la Leaders Cup, 10e)\\n * Orléans (3e) – Rouen (8e)\\n * Fos/Mer (4e) – Nancy (7e)\\n * Lille (5e) -Saint-Chamond (7e)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Final Four Euroleague : le Fenerbahçe met fin à la saison de rêve de Kaunas"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était un sacré défi et, avec sa combativité légendaire, le Zalgiris Kaunas a encore fièrement défendu ses couleurs. Mais pris à la gorge par la défense turque et coupables de 19 balles perdues, les hommes de Sarunas Jasikevicius ont dû s’incliner (logiquement somme toute) face à l’armada du Fenerbahçe (76-67).\\n\\nAli Muhammad (19 points en 12 minutes) a été le bourreau des Baltes, tout comme Luigi Datome (16 points, 3 contres) qui s’est même transformé en protecteur du temple. Kostas Sloukas ajoute 14 points dans la victoire du Fener qui défendra donc son titre dans une 3e finale de suite pour le club stambouliote !\\n\\nEn face, Kevin Pangos (16 points, 5 rebonds, 4 passes, 5 balles perdues) et Brandon Davies (12 points, 11 rebonds) ont été les meilleurs performers pour Kaunas. Axel Toupane termine à 6 points pour sa 1ère apparition en Final Four.\\n\\n\\n\\nUn clinic défensif du Fener\\n\\nComme prévu, le début de match est marqué par la pression défensive permanente du Fenerbahçe. Brad Wannamaker est le premier en action avec deux pénétrations qui brise la défense balte. Le Zalgiris a lui beaucoup de mal en attaque avec 1 point marqué seulement (par Axel Toupane) sur les 5 premières minutes de jeu ! Avec un 0/5 aux tirs, Kaunas est déjà dans le dur... Si Kevin Pangos brise bientôt la glace avec le premier panier lituanien, le Fener appuie encore là où ça fait mal avec Ali Muhammed qui rentre de loin et Luigi Datome qui rentre près. Après le 1er quart, les Turcs mènent de 6 longueurs (19-13).\\n\\nLes champions en titre placent une nouvelle accélération en début de 2e quart. Datome enchaîne 5 points rapides et il met Kaunas dans les cordes, à -9. L’international transalpin y va aussi de 2 grosses bâches pour relancer le jeu rapide. Vesely décolle quant à lui pour écrabouiller Brandon Davies d’un dunk de mammouth, à l’image de la domination totale du Fener qui compte +10. Kaunas réagit néanmoins en fin de 1ère mi-temps avec Davies qui enchaîne 5 points et Aaron White qui place un dunk juste sur le buzzer de la mi-temps (39-33). Avec 12 balles perdues et aucun tir à trois points (malgré 42% en saison régulière), la troupe de Jasikevicius peut s’estimer heureuse de n’être qu’à 6 longueurs... Idéalement en embuscade !\\n\\n\\nEt Ali Muhammad prit feu...\\n\\nEt on sent le Zalgiris prendre ses aises et même piquer des rebonds offensifs au Fener au retour des vestiaires. Mais c’est bien le Fener qui reprend le large avec Kostas Sloukas et Melli qui part au dunk. Nikola Kalinic donne même 13 points d’avance mais Kaunas s’accroche encore et toujours. Ulanovas et Toupane lancent un 11-0 conclu par un tir à trois points de Pangos et la troupe balte est à nouveau aux basques des champions. Il faut un ultime baroud d’Ali Muhammad qui rentre un dernier panier avec la planche juste avant le buzzer pour que le Fener garde l’avantage avant le dernier quart (54-50).\\n\\nBrandon Davies lance parfaitement le dernier quart mais Datome, et surtout Muhammad, ne laissent pas le Zalgiris espérer plus longtemps. Muhammad rentre un premier tir de loin, puis un autre et sur un dernier qui fait gamelle, il rejoint le banc... non sans avoir apporté 10 points déjà ! Et l’écart est fait avec 10 longueurs d’avance pour le Fener. Davies place un immense dunk renversé et Kaunas repart dans un nouveau comeback. Edgaras Ulanovas se la joue Olajuwon au poste bas mais plusieurs lancers ratés, et des balles perdues sur les dernières possessions vont sceller le sort du match. Malgré un immense combat, Kaunas doit s’avouer vaincu alors que Sloukas rentre le trois points qui cloue le cercueil (76-67).\\n\\nCrédits photo : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nicolas Batum: « Les gars ont vraiment fait du très bon travail sur les deux premières fenêtres »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nicolas Batum fait partie de la liste des 14 joueurs donnée aujourd’hui par le sélectionneur Vincent Collet. Il revient pour FIBA.com sur les précédentes fenêtres et sur celles à venir. Il ne cache pas son enthousiasme.\\n\\n« Les matches qui arrivent sont très importants parce que nous devons absolument gagner les deux prochains pour aborder le second tour en n’ayant que des victoires à notre bilan. Avec le nouveau système de qualifications, il est impératif de remporter autant de matches que possible au premier tour pour attaquer le second tour avec le meilleur classement possible. Au terme de la fenêtre de juin-juillet, l’objectif, c’est d’avoir six victoires (et aucune défaite) et on peut le faire. »\\n\\nSur les précédentes fenêtres :\\n\\n« Beaucoup de joueurs n’avait pas d’expérience internationale ou d’expérience avec l’équipe nationale avant le début des qualifications pour la Coupe du Monde et ils montré leur talent tout en aidant l’équipe à remporter des victoires. L’équipe nationale a désormais de nombreuses options. C’est super pour le futur. »\\n\\n« C’est super de voir que nous sommes en tête de notre groupe et, plus important encore, nous n’avons pas perdu un seul match jusqu’à maintenant. Les gars ont vraiment fait du très bon sur les deux premières fenêtres. Ils ont montré de quoi ils étaient capables.\\n\\nSur les matches à venir :\\n\\n« On va devoir faire face à des salles et des fans qui vont encourager leur équipe, qui nous seront hostiles et qui vont pousser fort derrière leurs équipes. On connait la passion des fans dans ces deux pays. Ils aiment le basket et on s’attend à avoir des peuples contre nous (sourire). Mais c’est normal, ça fait partir du jeu, c’est une des beautés du jeu. C’est magnifique de jouer à domicile, devant ses fans, sa famille, ses amis. Mais jouer à l’extérieur est également une super expérience. On découvre et on vit une atmosphère différente. Il faut jouer et se battre contre tout le monde pour gagner. Ces deux matches vont être vraiment intense, il faudra que nous soyons à notre meilleur niveau pour gagner ces deux matches et boucler le premier tour sans défaite. »\\n\\nSur le fait de jouer aux côtés de Boris Diaw :\\n\\n« Boris est un modèle pour nous tous, un exemple de ce qu’est un compétiteur. Il est toujours partant pour jouer pour l’équipe nationale et a toujours un impact décisif sur et en dehors du terrain. On a toujours besoin d’un gars comme lui dans une équipe. Il est un leader, un cadre. Boris a tellement d’expérience, on l’a vu au cours de cette campagne sur les matches à l’extérieur. Son impact en défense et en attaque est toujours important. Son amour pour l’équipe nationale est quelque chose de magnifique et fascinant. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le cliché du jour: Quand Rachida Dati rencontre Boris Diaw"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vous la reconnaissez certainement. L’ancienne Garde des Sceaux Rachida Dati s’est essayée au basket avec l’équipe des Levallois Metropolitans à l’occasion d’une visite au collège Jules Romains dans le 17e arrondissement de Paris. L’occasion de faire quelques clichés avec son professeur du jour, le capitaine des Bleus, Boris Diaw.\\n\\n\\n\\n\\nDernier petit déjeuner @Elior_France de la saison ce matin au collège Jules Romains, Paris 7ème. Merci à FFauthoux, @theborisdiaw, @Lesca_Remi, @Petr_Cornelie et merci à @datirachida, d'avoir partagé ce moment avec les élèves ! #Elior #LMFormation #SportEtNutrition pic.twitter.com/pDhemtKbvI\\n\\n\\n— Boulogne-Levallois Metropolitans 92 (@Metropolitans92) May 18, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France: Avec Rudy Gobert, Nicolas Batum et Evan Fournier en juin/juillet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le coach Vincent Collet a dévoilé ce jour la liste des 14 joueurs appelés à constituer l’équipe de France pour les deux matches de qualification à la Coupe du Monde 2019. Le premier contre la Bosnie-Herzégovine, le vendredi 29 juin à Tuzla, et le deuxième contre la Russie, le lundi 2 juillet à Krasnodar. Et la France alignera à ces deux occasions une équipe de première catégorie. Dommage donc que ces deux rencontres soient programmées en dehors du territoire national !\\n\\nComme annoncé, le coach a fait un mixte de NBAers et de joueurs d’Euroleague -lesquels sont disponibles à ces dates- avec quelques uns de ceux qui ont fait les deux campagnes hivernales.\\n\\nC’est ainsi que Nicolas Batum (Charlotte) et Rudy Gobert (Utah) sont de retour après avoir fait une croix sur l’Euro de 2017, alors que Evan Fournier (Orlando) est également dans la liste, ce qui n’est pas le cas de Joffrey Lauvergne (San Antonio).\\n\\nFabien Causeur, Nando De Colo, Thomas Heurtel, Edwin Jackson, Mathias Lessort, et Vincent Poirier font également partie des sélectionnés.\\n\\nAndrew Albicy, Boris Diaw, Moustapha Fall, Louis Labeyrie et Paul Lacombe étaient les cinq à avoir joué en novembre et février. Les quatre remplaçants (Axel Julien, Alain Koffi, Lahou Konate et Yakuba Ouattara) sont dans le même cas.\\n\\nLes Bleus seront réunis en stage à Nanterre à partir du lundi 25 juin, et s’envoleront pour la Bosnie le jeudi 28 juin. Après avoir affronté les Bosniens le vendredi 29 juin (20h30) à Tuzla, ils décolleront pour Krasnodar où ils affronteront la Russie le lundi 2 juillet (19h00). De retour à Paris le 3 juillet, le Team France Basket prendra ensuite la direction de la Guadeloupe le 4 juillet pour participer au jubilé de Florent Pietrus et Mickaël Gélabale qui aura lieu le vendredi 6 juillet.\\n\\nLa France est déjà assurée de participer au deuxième tour des fenêtres qualificatives au cours duquel les trois premiers du Groupe E croiseront avec les trois premiers du Groupe F (Bulgarie, Finlande, Islande et République Tchèque). Les résultats obtenus lors du premier tour sont seront alors comptabilisés.\\n\\nPhoto: Nicolas Batum (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\nNom\\nNaissance\\nTaille\\nPoste\\nSél.\\nPoints\\nClub 2017/2018\\n\\n\\nAndrew\\nALBICY\\n21/03/1990\\n1,78\\nMeneur\\n38\\n81\\nMoraBanc Andorra (Espagne)\\n\\n\\nNicolas\\nBATUM\\n14/12/1988\\n2,03\\nAilier\\n125\\n1396\\nCharlotte Hornets (NBA)\\n\\n\\nFabien\\nCAUSEUR\\n16/06/1987\\n1,95\\nArrière\\n29\\n70\\nReal Madrid (Espagne)\\n\\n\\nNando\\nDE COLO\\n23/06/1987\\n1,96\\nArrière\\n159\\n1700\\nCSKA Moscou (Russie)\\n\\n\\nBoris\\nDIAW\\n16/04/1982\\n2,03\\nAilier fort\\n245\\n2081\\nLevallois Metropolitans\\n\\n\\nMoustapha\\nFALL\\n23/02/1992\\n2,18\\nPivot\\n4\\n38\\nSakaraya Buyuksehir (Turquie)\\n\\n\\nEvan\\nFOURNIER\\n29/10/1002\\n1,99\\nAilier\\n54\\n436\\nOrlando Magic (NBA)\\n\\n\\nRudy\\nGOBERT\\n26/06/1992\\n2,15\\nPivot\\n48\\n333\\nUtah Jazz (NBA)\\n\\n\\nThomas\\nHEURTEL\\n10/04/1989\\n1,88\\nMeneur\\n72\\n495\\nFC Barcelone (Espagne)\\n\\n\\nEdwin\\nJACKSON\\n18/09/1989\\n1,90\\nArrière\\n49\\n199\\nFC Barcelone (Espagne)\\n\\n\\nLouis\\nLABEYRIE\\n11/02/1992\\n2,09\\nAilier fort\\n16\\n100\\nStrasbourg IG\\n\\n\\nPaul\\nLACOMBE\\n12/06/1990\\n1,90\\nAilier\\n4\\n43\\nAS Monaco\\n\\n\\nMathias\\nLESSORT\\n29/09/1995\\n2,05\\nAilier fort\\n1\\n–\\nEtoile Rouge Belgrade (Serbie)\\n\\n\\nVincent\\nPOIRIER\\n17/10/1993\\n2,13\\nPivot\\n10\\n41\\nVitoria (Espagne)\\n\\n\\n\\n\\nLes 4 joueurs réservistes\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\nNom\\nNaissance\\nTaille\\nPoste\\nSél.\\nPoints\\nClub 2017/2018\\n\\n\\nAxel\\nJULIEN\\n27/07/1992\\n1,85\\nMeneur\\n5\\n17\\nJDA Dijon\\n\\n\\nLahaou\\nKONATE\\n17/11/1991\\n1,97\\nAilier\\n4\\n2\\nNanterre 92\\n\\n\\nAlain\\nKOFFI\\n23/11/1983\\n2,07\\nAilier fort\\n40\\n194\\nPau-Lacq-Orthez\\n\\n\\nYakuba\\nOUATTARA\\n24/01/1992\\n1,91\\nArrière\\n6\\n13\\nAS Monaco\\n\\n\\n\\n\\n\\nGroupe E\\n\\n\\n\\n\\n\\nMATCHES\\n\\n\\nPOINTS\\n\\n\\n#\\nEquipe\\nP\\nV\\nD\\n%\\n\\nPour\\nContre\\n+/-\\nFA\\nAA\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\nFrance\\n4\\n4\\n0\\n100\\n\\n\\n\\n\\n\\n293\\n247\\n46\\n73.2\\n61.8\\n 8\\n\\n\\n2\\nRussie\\n4\\n2\\n2\\n50.0\\n\\n\\n\\n\\n\\n296\\n278\\n18\\n74\\n69.5\\n 6\\n\\n\\n3\\nBosnie-Herzégovine\\n4\\n2\\n2\\n50.0\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n271\\n300\\n-29\\n67.8\\n75\\n 6\\n\\n\\n4\\nBelgique\\n4\\n0\\n4\\n0\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n247\\n282\\n-35\\n61.8\\n70.5\\n 4\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Nigel Williams-Goss (Partizan Belgrade) dans le viseur de Valence et Vitoria"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Drafté par les Utah Jazz la saison dernière, Nigel Williams-Goss (1,91m, 23 ans) n’a pas tenté de gratter une place en NBA cette saison. Il a d’abord choisi de se former en Europe et il s’est engagé avec le Partizan Belgrade.\\n\\nReconnu pour être particulièrement performant pour mettre en confiance des jeunes joueurs, le club serbe a parfaitement intégré l’ancien pensionnaire de Gonzaga. Selon Sportando, le natif de Happy Valley a attiré l’attention de notamment Valence et Vitoria en Espagne. Il possède encore une année de contrat avec le Partizan donc l’équipe qui souhaitera s’attacher ses services devra payer un buy-out au club serbe.\\n\\nCette saison sous le maillot du Partizan, Nigel Williams-Goss a compilé en moyenne 17,4 points (50% à 2-pts et 48% à 3-pts), 3,5 rebonds et 7,1 passes décisives entre le championnat, la Ligue Adriatique, l’Eurocup et la Coupe.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=KGBjEVbpWUQ\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : quand les joueurs du Real Madrid parlent de Luka Doncic"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Présents à Belgrade pour le Final Four d’Euroelague, les joueurs du Real Madrid ont répondu aux questions des journalistes après l’entraînement. Eurohoops a notamment demandé à plusieurs joueurs leur avis sur la pépite Luka Doncic.\\n\\nWalter Tavares, Trey Tompkins et Anthony Randolph sont tous du même avis : le meneur madrilène est tout bonnement incroyable.\\n\\n« Je n’ai jamais vu un joueur pareil à cet âge. J’ai joué avec LeBron James et c’est un peu la même chose. Il peut jouer le un contre un, il peut scorer, prendre des rebonds, faire des passes... Je pense qu’il a un très grand futur devant lui. S’il part, bien sûr qu’il va nous manquer ! C’est un mec marrant, il est toujours content et de bonne humeur. Il va beaucoup nous manquer... et sur le terrain aussi, » a déclaré Walter Tavares.\\n\\nSon coéquipier en équipe nationale, Anthony Randolph est également sans appel.\\n\\n« Jamais. Jamais je n’ai vu cela. S’il part il va me manquer, c’est sûr. J’ai passé beaucoup de temps avec Luka. J’ai pu le voir évoluer et se développer en tant que joueur et en tant que personne. Mais c’est quelque chose qu’il doit faire pour passer un nouveau cap dans sa carrière. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : quand Sarunas Jasikevicius rechausse ses baskets avant l’entraînement du Zalgiris"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est toujours un plaisir de revoir des anciennes gloires du basket remettre leurs baskets pour enfiler quelques shoots. C’est ce que c’est amusé à faire Sarunas Jasikevicius juste avant l’entraînement du Zalgiris Kaunas en vue du Final Four d’Euroleague.\\n\\nSi « Saras » est en train de devenir un coach d’exception, il était avant cela un joueur exceptionnel.\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans : Romeo Travis suspendu un match ferme"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Commission Juridique et de Discipline de la LNB s’est réunie le 17 mai concernant plusieurs affaires et on retient notamment la suspension de Romeo Travis (Le Mans).\\n\\nSuite à des « actes, gestes ou paroles contraires à la discipline du jeu et/ou relevant d’un comportement antisportif perpétrés sur et/ou autour de l’aire de jeu, avant, pendant ou après une rencontre officielle ou toute activité organisée par la LNB » intervenus lors du match face à Cholet du 14 mai, l’intérieur du MSB a été sanctionné d’un match de suspension ferme.\\n\\nLe club a indiqué avoir décidé de faire appel de cette sanction.\\n\\nL’ancien Strasbourgeois manquera donc le premier match de playoffs face à l’ASVEL, mardi. Cette saison avec Le Mans, Romeo Travis compile en moyenne 11,3 points, 4,5 rebonds et 2,3 passes décisives pour une évaluation de 11,6.\\n\\n\\n\\n\\nOFFICIEL\\nSuite à la notification de la suspension d'un match ferme à l'encontre de Romeo Travis, le MSB a fait appel. Par la voix de son Président Christophe Le Bouille, le club se dit «choqué par la sévérité de la sanction». pic.twitter.com/vlPhGboKlZ\\n\\n\\n— MSB_Officiel 🦁 (@MSB_Officiel) May 18, 2018\\n\\nPhoto : Le Mans Sarthe Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Luka Doncic ne sait pas s’il ira en NBA dès la saison prochaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Potentiel numéro un de la prochaine Draft NBA, Luka Doncic (1,98m, 19 ans) ne sait pas pour autant s’il s’envolera pour les Etats-Unis dès cet été.\\n\\nDéjà qu’il pourrait manquer la grande cérémonie de la Draft en juin en raison des finales du championnat d’Espagne, si qualification du Real Madrid il y a, le champion d’Europe en titre avec la Slovénie n’a pas tiré un trait sur le fait de rester un an de plus en Europe.\\n\\n« Je ne suis pas sûr que ce soit mes deux derniers matchs en Euroleague. Nous n’avons pas encore pris la décision. Peut-être après la saison. »\\n\\nAvant de penser à la NBA, Luka Doncic doit disputer le Final Four d’Euroleague et la demi-finale aura lieu ce vendredi soir face au CSKA Moscou à 21h."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Comment Sergio Scariolo veut construire la liste pour la Roja"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec les fenêtres de qualification de juin puis de septembre, les matches cruciaux vont débuter pour les équipes nationales. Ces rencontres vont également demander aux sélectionneurs d’ajuster les premiers effectifs avec l’arrivée des renforts, notamment les joueurs de NBA. Comment Sergio Scariolo compte-t-il s’y prendre ?\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nJavier Beiran ? Rodrigo San Miguel ? Nacho Lovet ? Vous connaissez ? Si oui, vous êtes un expert en basket espagnol. Et vous savez que ces trois joueurs-là ont participé aux matches de qualification à la Coupe du Monde 2019 avec la Selección.\\n\\nLe sélectionneur Sergio Scariolo s’est retrouvé dans la même situation que son confrère Vincent Collet en France, c’est-à-dire dans l’impossibilité de faire appel à des NBAers -il y en avait neuf cette saison- et des joueurs d’Euroleague -il y avait cinq clubs, Barcelone, Malaga, le Real Madrid, Valencia et Vitoria.\\n\\nDonc, il a puisé dans le vivier de l’ACB -seul Quino Colom opère à l’étranger, à Kazan-, récupérant par exemple Fran Vazquez, un intérieur talentueux, vainqueur de l’Euroleague en 2010, mais qui barré par plus fort que lui en équipe nationale de 5×5 s’est consacré au 3×3 l’été. Et puis Vazquez, 35 ans, est en bout de piste. Même s’il est tout de même deux ans plus jeune que Sergi Vidal et quatre que Albert Oliver Campos Campos. Il suffit d’observer les statistiques pour s’apercevoir que les vétérans Vazquez et Vidal ont rendu de sacrés services.\\n\\nA Marca, Sergio Scariolo a déclaré qu’il a été satisfait du comportement de ces doublures :\\n\\n“Les gars jouent mieux. Ce n’est pas qu’ils sont devenus de meilleurs joueurs en une semaine mais ils ont gagné en confiance et en motivation. Dans notre équipe, ils ont probablement eu un rôle plus important que celui qui est le leur en ACB en raison de la présence des joueurs étrangers. Et au final, ils ont été compétitifs au plus haut niveau. Pour ces joueurs, la sélection est une récompense, eux qui n’avaient pas encore eu l’opportunité de jouer sous ce maillot parce qu’ils étaient derrière des superstars mondiales. »\\n\\nIl n’empêche que si comme la France est invaincue en quatre matches, elle a souffert surtout en Biolorussie (84-82) qu’elle aurait très probablement mangé toute crue dans d’autres circonstances. Merci donc à Fran Vazquez (14 points et 6 rebonds) d’avoir assuré à l’intérieur.\\n\\nAussi le coach national veut évidemment se renforcer en juin avec des joueurs de NBA et d’Euroleague libres pour l’équipe nationale.\\n\\n“Nous avons une bonne base de travail », a t-il estimé dans une interview à Gigantes. « Dès le premier jour, nous avons annoncé à ces joueurs que nous leur offrions une semaine de travail dur et sérieux et la possibilité de porter un des maillots les plus admirés et qui suscite le plus d’envie dans le monde du basket. Voilà notre engagement. On n’a rien promis d’autre. Mais bien entendu, on a apprécié ce qu’ils ont fait et on va voir si on peut trouver un équilibre entre eux et le fait de donner une chance au reste de la famille, c’est à dire les gars qui n’ont pas pu prendre part aux premiers matches, contre leur gré. »\\n\\nSergio Scariolo sait que la qualification est un parcours de longue haleine et qu’aux échéances hivernales il sera de nouveau dépourvu de ses NBAers et probablement de ceux d’Euroleague à moins d’un accord -enfin- avec la FIBA.\\n\\n“Nous n’avons rien promis, » répète t-il à As. « On verra, ces gars sont ceux qui vont nous qualifier pour la Coupe du Monde, ce sont ceux qui joueront à nouveau au cours des fenêtres de novembre et de février, je pense qu’on peut leur faire de la place sur la liste. »\\n\\nOn connaîtra en début d’après-midi la liste des Bleus retenus par Vincent Collet pour les matches en Bosnie et en Russie. A priori, il va employer la même stratégie que Sergio Scariolo en panachant joueurs de NBA et d’Euroleague tout en conservant les sans-grade qui ont assuré quatre résultats positifs en novembre et février.\\n\\n[table id=128 /]\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\nJavier Beiran ? Rodrigo San Miguel ? Nacho Lovet ? Vous connaissez ? Si oui, vous êtes un expert en basket espagnol. Et vous savez que ces trois joueurs-là ont participé aux matches de qualification à la Coupe du Monde 2019 avec la Selección.\\n\\nLe sélectionneur Sergio Scariolo s’est retrouvé dans la même situation que son confrère Vincent Collet en France, c’est-à-dire dans l’impossibilité de faire appel à des NBAers -il y en avait neuf cette saison- et des joueurs d’Euroleague -il y avait cinq clubs, Barcelone, Malaga, le Real Madrid, Valencia et Vitoria.\\n\\nDonc, il a puisé dans le vivier de l’ACB -seul Quino Colom opère à l’étranger, à Kazan-, récupérant par exemple Fran Vazquez, un intérieur talentueux, vainqueur de l’Euroleague en 2010, mais qui barré par plus fort que lui s’est consacré au 3×3 l’été. Et puis Vazquez, 35 ans, est en bout de piste.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Nacho Llovet et Fran Vazquez (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Adidas Next Generation Tournament : nouvelle défaite pour le CFBB face à Mega Bemax"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après s’être lourdement incliné face au Real Madrid jeudi, le CFBB avait rendez-vous avec Mega Bemax Belgrade ce vendredi. Malheureusement, les jeunes pousses du basket français ont une nouvelle fois perdu (75-60).\\n\\nQualifiés pour les phases finales du Adidas Next Generation Tournament, les joueurs de Jean-Aimé Toupane n’ont pas pu résister à Mateja Jovanovic est ses 22 points, 9 rebonds et 2 passes (32 d’évaluation) même si le Français Essome Miyem a signé une belle prestation avec 17 points, 9 rebonds et 2 passes pour une évaluation de 19.\\n\\nProchain match pour le CFBB, samedi à 9 heures face au Lietuvos Rytas.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"U16: 14 joueurs retenus en équipe de France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"14 joueurs dont 8 du Centre Fédéral ont été retenus en équipe de France U16 afin de participer à un stage du 16 au 23 juin à Vittel en compagnie de l’équipe d’Allemagne, ce dans le cadre de l’Office Franco-Allemand pour la Jeunesse (OFAJ).\\n\\nEntraineur : Bernard Faure\\n\\nAssistants : Jean-Pascal Boisse et Fabien Perrigault\\n\\nOFAJ à Vittel du 16 au 23 juin\\n\\nStage à Petit-Couronne du 9 au 18 juillet\\n\\nTournoi à Roseto Degli Abruzzi (Italie) du 27 au 29 juillet\\n\\nStage à Vernon du 30 juillet au 6 août\\n\\nChampionnat d’Europe à Novi Sad (Serbie) du 10 au 18 août\\n\\nPhoto: Daniel Batcho (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPrénom\\nNé le\\n\\n\\n\\nTaille\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\nBALFOURIER\\nNaoll\\n14/07/2003\\n212\\nCFBB (CEP Poitiers)\\n\\n\\nBATCHO\\nDaniel\\n10/01/2002\\n203\\nCFBB (SC Charenton SM)\\n\\n\\nBEAUFORT\\nLucas\\n24/05/2002\\n189\\nStrasbourg IG\\n\\n\\nBEGARIN\\nJuhann\\n07/08/2002\\n192\\nCFBB (ASVEL)\\n\\n\\nCOSSE\\nHugo\\n19/08/2002\\n192\\nCFBB (Rennes PA)\\n\\n\\nDEMAHIS BALLOU\\nRudy\\n26/02/2002\\n187\\nCFBB (SPO Rouen)\\n\\n\\nGOUSSET\\nKyliann\\n21/06/2002\\n204\\nCFBB (JSF Nanterre)\\n\\n\\nILVOVSKIY\\nMaxim\\n28/03/2002\\n195\\nJL Bourg\\n\\n\\nLESMOND\\nLouis\\n06/01/2002\\n189\\nCFBB (Hyères Toulon)\\n\\n\\nMAGASSA\\nIbrahim\\n09/05/2002\\n182\\nTorrelodones (Espagne)\\n\\n\\nMANERLAX\\nChristopher\\n09/01/2002\\n201\\nElan Chalon\\n\\n\\nTCHIKOU\\nAlex\\n30/03/2002\\n200\\nCFBB (Levallois SC)\\n\\n\\nTOURE\\nSeydou\\n04/03/2003\\n196\\nCFBB (JSF Nanterre)\\n\\n\\nTRAORE\\nYohan\\n15/02/2003\\n200\\nCFBB (Touraine BC)\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Brandon Davies (Zalgiris Kaunas) sur le Final Four d’Euroleague : «Ça motive d’être les outsiders»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour la première fois depuis 1999 le Zalgiris Kaunas fait partie du dernier carré d’Euroleague. C’est également la première fois que Brandon Davies dispute cette compétition et donc se retrouve à ce niveau.\\n\\nPetit Poucet de l’Euroleague avec un budget dérisoire en comparaison des trois ogres que sont le Fenerbahce, le Real Madrid ou encore le CSKA Moscou – plus riche club d’Europe -, le Zalgiris Kaunas a clairement le statut d’outsider. L’ancien Monégasque n’apprécie pas tellement d’avoir ce statut étant donné qu’il considère que son équipe s’est battue comme les autres pour arriver là. Néanmoins, les Lituaniens utiliseront ça comme une motivation en plus, annonce l’ancien joueur de l’Elan Chalon.\\n\\n« C’est un peu difficile à entendre, mais nous avons gagné notre place ici. Nous nous battons tout aussi durement, le fait que nous soyons ici est quelque chose de formidable en soi. Nous sommes très chanceux et heureux, mais en même temps, nous utilisons cela comme une motivation. Pour moi, c’est une chance de me prouver. Ce n’est pas exactement de la pression, mais un peu plus de motivation »\\n\\nCette saison en Euroleague, Brandon Davies compile en moyenne 9,4 points et 3,3 rebonds pour une évaluation de 9,9. En quart de finale face à l’Olympiakos il a considérablement élevé son niveau de jeu avec 17 points (66% de réussite), 4 rebonds, 1 passe décisive et 1,3 interception pour une évaluation de 19,8.\\n\\nLe Zalgiris Kaunas continuera sa saison exceptionnelle et se qualifiera-t-il pour la grande finale de l’Euroleague ? Réponse ce soir. Coup d’envoi de la demi-finale face au Fenerbahce à 18 heures.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges réagit vertement aux propos de son ancien coach, Bozidar Maljkovic: «les petits propos d’un pourtant si grand coach !»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un billet qui est paru ce matin sur le site internet du club, le président du Limoges CSP Youri Verieras a réagi vertement aux propos acerbes de Bozidar Maljkovic, qui fut le coach de l’équipe championne d’Europe en 1993, parus hier dans une interview accordée à L’Equipe.\\n\\nLe coach serbe déclarait notamment:\\n\\n« Limoges dort et doit se réveiller. Je ne suis pas à l’intérieur du club, mais il y a quelque chose qui ne va pas, dans l’organisation, le recrutement. Il y a certaines signatures de joueurs qui m’ont fait presque pleurer (...) Je ne connais pas les gens actuellement à la tête du club mais ils ne savent pas travailler. »\\n\\nDans l’interview, Maljkovic préconise de faire appel à deux figures emblématiques du club, Richard Dacoury et Yann Bonato !\\n\\nLe billet de Youri Verieras est intitulé: « Bozidar Maljkovic : les petits propos d’un pourtant si grand coach ! »\\n\\n« C’est avec beaucoup de tristesse que j’ai pris connaissance des propos de Bozidar Maljkovic dans les colonnes du journal l’Equipe du 17 mai 2018.\\n\\nJe parle de tristesse car le Limoges CSP a toujours eu, et aura toujours (ce qui ne semble pas réciproque), un grand respect pour ce que Monsieur Maljkovic a fait avec le Limoges CSP. Qu’il le veuille ou décide visiblement de le renier, une partie de son histoire est liée à Limoges et le sera toujours. C’est parce que nous respectons profondément ce fait que j’ai décidé de sortir de ma réserve et de réagir à des propos que j’estime totalement injustes et sans fondement à l’égard du Limoges CSP, ses équipes dirigeantes et la #CSPNation toute entière.\\n\\nDes larmes (de crocodile) pour nos choix de joueurs ? Monsieur Maljkovic vous dites “pleurer” face aux recrutements faits par le Limoges CSP. Vous n’êtes pourtant pas connu pour vos excès d’émotivité lacrymale.\\n\\nOlivier Bourgain, directeur sportif du Limoges CSP, fait un travail de fond remarquable depuis qu’il est arrivé. Je ne laisserai personne dire le contraire. Il a d’ailleurs atteint l’ensemble des objectifs que le club s’était fixé en début de saison en amenant l’équipe en Top 16 européen, la qualifiant pour la Leaders Cup à la mi saison, et la qualifiant pour les Playoffs du Championnat de France qui plus est à la quatrième place. Le tout en partant d’une feuille blanche où tout était à reconstruire sur les cendres des années fastes dont vous avez profitées allègrement Monsieur Maljkovic.\\n\\nDes années qui ont d’ailleurs coûté très cher au Limoges CSP qui a bien failli ne pas s’en remettre si Frédéric Forte, lui, n’avait pas eu l’affection et l’engagement que vous n’avez pas su témoigner pour tout reconstruire à une époque où le club ne semblait intéresser ni vous, ni Richard Dacoury ou Yann Bonato qui vous accompagnent dans vos élans romanesques.\\n\\nOliver a répondu présent quand Frédéric Forte a cherché à recruter un directeur sportif. Il n’a pas compté les zéros du chèque avant de s’intéresser au projet du Limoges CSP. Et pour avoir été témoin de cette époque, vous savez comme moi cher Bozidar que vous n’étiez ni intéressé ni disposé à faire parler vos talents de recruteur que vous êtes si prompt à exprimer ouvertement aujourd’hui.\\n\\nRichard Dacoury et Yann Bonato repreneurs du club ? Vous semblez bien mal renseigné Monsieur Maljkovic. Moi qui ai pourtant assisté à l’ensemble des discussions que vous semblez vouloir évoquer et auxquelles je n’ai pas eu le plaisir de vous voir, j’ai une toute autre perception des faits.\\n\\nYann Bonato n’a déposé aucun dossier de reprise du club à ma connaissance mais peut être vous l’a-t-il envoyé directement ?\\n\\nQuant à Richard Dacoury, il est vrai qu’il a provoqué une réunion pour évoquer une éventuelle reprise. Tout cela était d’ailleurs très hypothétique. Ce projet reposait sur l’entremise d’un conseiller de Monsieur Alain Béral et des financiers de l’industrie textile qui n’ont démontré aucune expérience et très peu d’intérêt tant pour le Basket que pour Limoges. Le même Alain Béral qui a refusé de remettre la médaille de Champion de France à notre président Frédéric Forte.\\n\\nJ’espère que vous comprendrez que malgré toute l’affection et le respect que nous portons à Monsieur Dacoury, l’entourage de ce dossier nous a paru ressembler plus à une opération de mainmise sur ce club si particulier qu’est le Limoges CSP que tant aimeraient faire taire.\\n\\nS’il y a un seul point sur lequel nous sommes parfaitement d’accord cher Bozidar Maljkovic c’est lorsque vous dites, je cite, “je ne connais pas les gens actuellement à la tête du club”. Vous ne connaissez en effet ni les gens ni les valeurs qu’ils défendent pour le club et tout le peuple vert de la #CSPNation.\\n\\nPermettez moi néanmoins de vous témoigner une nouvelle fois du respect dû à l’histoire qui nous lie et de vous souhaiter beaucoup de courage dans vos fonctions de Président du Comité Olympique Serbe et la diplomatie que cela requiert.\\n\\nYouri Verieras, Président du directoire du Limoges CSP. »\\n\\nPhoto: Catherine Steenkeste (LNB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Boulazac: Thomas Andrieux coach, Claude Bergeaud passe directeur sportif"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme nous l’avions annoncé il y a quelques jours, le Boulazac Basket Dordogne, qui est rétrogradé en Pro B, a décidé de faire de Claude Bergeaud son directeur sportif et de Thomas Andrieux son coach.\\n\\nFormé à l’ASVEL -il avait participé au Final Four en 1997- et ayant opéré dans différents clubs de Pro A et Pro B, Thomas Andrieux, 41 ans, connaît bien le BBD puisqu’il y a été joueur puis coach de l’équipe Espoirs/N3 avant d’être l’assistant de Claude Bergeaud.\\n\\nPhoto: BBD\\n\\n\\n\\n\\nLe BBD nomme Thomas Andrieux comme Coach, Claude Bergeaud prend le rôle de Directeur Sportif.#Dordogne #GoBBD #LNB\\n\\n\\n— BoulazacBasketD (@BoulazacBasketD) May 18, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Articles de la semaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BasketEurope vous propose chaque semaine l’essentiel de l’actualité du basket français et européen, voici une sélection des articles qui ont marqué cette semaine :\\n\\n 1.  JL Bourg – Le retour du club en Jeep Elite, le scouting, Zachery Peacock : l’avis du directeur du développement sportif, Frédéric Sarre\\n 2.  Orléans perd Alex Abreu et Miralem Halilovic pour le reste de la saison\\n 3.  Dossier : Pourquoi Blois, champion de Pro B, ne montera pas en Jeep ELITE\\n 4.  Dijon: Rupture du tendon d’Achille pour Jacques Alingue\\n 5.  Boulazac: Claude Bergeaud directeur sportif ?\\n 6.  Jeep Elite : Le tableau des playoffs, Le Mans-Villeurbanne en tête d’afficheZachery Peacock (Bourg), Tyren\\n 7.  Johnson (Blois) et Nayo Raincock-Ekunwe (Nantes-Rezé) ont été élus MVP de la saison 2017-18\\n 8.  Axel Toupane, de basketteur à étudiant à HEC Paris\\n 9.  La phrase: Bozidar Maljkovic: « Bravo à vous pour être avant-gardiste »\\n 10. Le chiffre: 500 000 euros, le montant du naming pour la future aréna de Strasbourg"
}, 
{"role": "user",     "content":"Brian Conklin (Limoges) aurait déjà signé en Australie pour la saison prochaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que le GM des Illawarra Hawks annonçait être intéressé par Brian Conklin (1,98m, 28 ans) sans pour autant avoir obtenu d’accord ni sa signature, Fox Sports Australia annonce que le deal est déjà bouclé pour la saison prochaine.\\n\\nArrivé il y a deux ans en France à Nanterre, le capitaine du Limoges CSP devrait donc faire son retour en Australie à la rentrée prochaine. C’est dans le championnat australien que le natif de l’Oregon a lancé sa carrière. Il avait même été élu MVP de la saison de NBL en 2015, un an avant de rejoindre l’effectif de Pascal Donnadieu. Mais avant de penser à la saison prochaine, l’ancien Nanterrien a un quart de finale de playoffs de Jeep® ÉLITE à jouer face à Dijon avec le CSP.\\n\\nCette saison, Brian Conklin compile en moyenne 8,6 points, 4,7 rebonds et 1,3 passe décisive par match en Jeep® ÉLITE et il tournait à 8 points et 4,5 rebonds en Eurocup.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Keydren Clark nouvelle recrue d’Orléans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après avoir appelé en renfort Ferdinand Prénom pour assurer l’intérim en l’absence de Miralem Halilovic et après avoir prolongé Malela Mutuale pour le reste de la saison, l’Orléans Loiret Basket a mis la main sur Keydren Clark (1,80m, 33 ans).\\n\\nLe meneur américano-bulgare s’est engagé avec l’OLB en tant que pigiste médical d’Alex Abreu, forfait pour la saison, annonce le club. L’ancien pensionnaire de Saint Peter’s arrive en provenance de Peristeri avec qui il vient tout juste d’être sacré champion de Grèce de deuxième division. L’ancien joueur de Venise ne sera pas totalement dans l’inconnu en France puisqu’il a déjà effectué deux piges en Pro A, à Nanterre puis à Nancy lors de la saison 2014/15, même s’il n’a jamais évolué en Pro B.\\n\\nL’entraîneur orléanais, Germain Castano s’est exprimé sur sa nouvelle recrue.\\n\\n« C’est un meneur de jeu avec beaucoup d’expérience, il connait le championnat de France (Nanterre et Nancy). Il quitte un club qui vient de monter de 2ème à 1ère division grecque. C’est un gros scoreur à 3 points, il est capable de se créer son shoot. Il est excellent sur écran porteur. C’est un garçon qui souhaite des responsabilités et qui adore les prendre lors des matchs chauds. »\\n\\nCette saison , Keydren Clark compilait en moyenne 17,7 points, 2,5 rebonds et 3,9 passes décisives en deuxième division grecque.\\n\\nPhoto : Vincent Janiaud"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ligue Féminine: La finale Bourges-Tarbes par les faits et les chiffres"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Demain, c’est le début de la finale de Ligue Féminine entre le Tango Bourges Basket et le Tarbes Bigorre Basket. En cinq manches. La LFB a réalisé à cette occasion un dossier de presse dont voici les points importants:\\n\\nLE PROGRAMME\\n\\nMatch 1 – Samedi 19 mars, 20h45\\n\\nBourges – Tarbes\\n\\nArbitres : Freddy VANSTEENE, Thomas KERISIT et Marion ORTIS\\n\\nPalais des Sports du Prado (5 027 places)\\n\\nMatch 2 – Lundi 21 mai, 20h45\\n\\nBourges – Tarbes\\n\\nArbitres : Mehdi DIFFALAH, Paul ANTIPHON et Audrey SECCI\\n\\nPalais des Sports du Prado (5 027 places)\\n\\nMatch 3 – Jeudi 24 mai, 20h45\\n\\nTarbes – Bourges\\n\\nArbitres : Nicolas MAESTRE, Philippe CRETON et José-Manuel SOARES\\n\\nPalais des Sports du Quai de l’Adour (1 600 places)\\n\\nPuis si nécessaire...\\n\\nMatch 4 – Samedi 26 mai, 16h30\\n\\nTarbes – Bourges\\n\\nPalais des Sports du Quai de l’Adour (1 600 places)\\n\\nMatch 5 – Lundi 28 mai, horaire à déterminer\\n\\nBourges – Tarbes\\n\\nPalais des Sports du Prado (5 027 places)\\n\\nTous les matches sont diffusés sur SFR Sport 2.\\n\\nLE RESULTAT DES PLAYOFFS\\n\\nQuarts de finale\\n\\nBourges bat Nantes Rezé 2-0 (88-60 ; 63-54), Tarbes bat Villeneuve d’Ascq 2-0 (59-56 ; 63-62), Charleville-Mézières bat Lattes Montpellier 2-0 (84-64 ; 63-57), Lyon bat Basket Landes 2-1 (63-60 ; 65-76 ; 75-71)\\n\\nDemi-finales\\n\\nBourges bat Lyon 2-0 (73-67 ; 71-52), Tarbes bat Charleville-Mézières 2-0 (75-62 ; 71-60)\\n\\nLES EQUIPES\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nTANGO BOURGES BASKET\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nN°\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPRÉNOM\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nTAILLE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPOSTE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDATE ET LIEU DE NAISSANCE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNAT\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nOUVINA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nCristina\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1.77\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n18/09/90 à Saragosse (Espagne)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nESP\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n8\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJOHANNES\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nMarine\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1.74\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n21/01/95 à Lisieux (14)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFRA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n9\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPALAU\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLaia\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1.79\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n10/09/79 à Barcelone (Espagne)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nESP\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n10\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nMICHEL\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSarah\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1.80\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n10/01/89 à Ris Orangis (91)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFRA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n11\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAYAYI\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nValériane\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1.84\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n29/04/94 à Bordeaux (33)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFRA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n12\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nCHARTEREAU\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAlexia\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1.90\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n4\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n05/09/98 au Mans (72)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFRA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n21\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPLOUFFE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nKatherine\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1.91\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n15/09/92 à Edmonton (Canada)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nCAN\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n26\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nGODIN\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nElodie\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1.90\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n05/07/85 à Cherbourg (50)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFRA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n31\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nMONPIERRE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nOcéane\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1.70\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n31/12/00 aux Abymes (Guadeloupe)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFRA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n32\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSHARP\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nKristen\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1.76\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1-2\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n18/04/81 à Columbus (USA)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nUSA-FRA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n93\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nTCHATCHOUANG\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDiandra\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1.89\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n14/06/91 à Villepinte (93)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFRA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDate et lieu de naissance\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNAT\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nEntraineur\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLAFARGUE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nOlivier\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n08/08/76 à Aire-sur-Adour (40)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFRA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nEntraineur assistant\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAUTHIER\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJérôme\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n13/02/78 à Clermont-Ferrand (63)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFRA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPalmarès\\n\\nVainqueur de l’Euroligue en 1997, 1998 et 2001\\nVainqueur de l’EuroCoupe en 2016\\nVainqueur de la Coupe Ronchetti en 1995\\nChampion de France LFB en 1999, 2000, 2006, 2008, 2009, 2011, 2012, 2013 et 2015; Vainqueur du Match des Champions LFB en 2014, 2015 et 2017\\n\\nVainqueur de la Coupe de France en 1990, 1991, 2005, 2006, 2008, 2009, 2010, 2014, 2017 et 2018 ; Champion de France NF1A en 1995, 1996, 1997 et 1998\\nVainqueur du Tournoi de la Fédération 1996, 1999, 2000, 2001, 2006, 2007 et 2008\\nChampion de France NF1B en 1991\\n\\nLes infos en +\\nEn cas de victoire finale, Bourges deviendra le club le plus titré dans l’Histoire de la première division féminine avec 14 titres. Pour l’instant, l’équipe berruyère est à égalité avec Clermont UC (13 titres).\\n\\nChampionne en 2016 avec Lattes Montpellier puis en 2017 avec Villeneuve d’Ascq, l’internationale Valériane Ayayi peut remporter un troisième titre LFB consécutif avec trois clubs différents.\\n\\nL’Espagnole Laia Palau pourrait garnir un peu plus un palmarès déjà bien fourni : 10 médailles avec l’Espagne, 2 Euroligue, 11 titres nationaux et 10 Coupes nationales.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nTARBES BIGORRE BASKET\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nN°\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPRÉNOM\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nTAILLE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPOSTE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDATE ET LIEU DE NAISSANCE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNAT\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nGAYE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAby\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1.95\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n03/02/95 à Vitry-sur-Seine (94)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFRA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n4\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDECONINCK\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLéa\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1.60\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n26/12/98 à Sedan (08)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFRA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSUAREZ\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAna\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1.70\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n10/10/87 à Valence (Espagne)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nESP\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n7\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDIALLO\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nChristelle\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1.93\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n4-5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n12/03/93 à Issy-les-Moulineaux (92)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFRA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n9\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nSAHUN\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nClarisse\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1.70\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n20/04/00\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFRA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n11\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nKONTEH\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAdja\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1.78\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n05/06/92 à Nantes (44)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFRA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n12\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nBEAUBRUN\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nShauna\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1.78\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n07/05/98 à Limoges (87)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFRA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n13\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nBJORKLUND\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nAngela\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1.83\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n3\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n14/07/89 à Spokane (USA)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nUSA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n15\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPLOUFFE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nMichelle\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1.93\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n4\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n15/09/92 à Edmonton (Canada)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nCAN\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n32\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPOUYE\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nTima\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1.74\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n07/04/99 à Tulle (19)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFRA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n99\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nMBANDU\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNaomie\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n1.86\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n4-5\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n19/01/99 à Amiens (80)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFRA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDate et lieu de naissance\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNAT\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nEntraineur\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nGOMEZ\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFrançois\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n07/12/60 à Somain (59)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFRA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nEntraineur assistant\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nOUSTRY\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nLionel\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n22/02/71 à Tarbes (65)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nFRA\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nPalmarès\\n\\nVainqueur de la Coupe Ronchetti en 1996\\nChampion de France LFB en 2010\\nVainqueur du Challenge Round LFB en 2008, 2013 et 2015 Vainqueur de la Coupe de France en 1996, 1997 et 1998 Champion de France LF2 en 2016\\nVainqueur du Tournoi de la Fédération en 1995\\nChampion de France NF1B en 1992\\nChampion de France NF2 en 1991\\nChampion de France NF3 en 2005\\n\\nLes infos en +\\nSur le banc de Tarbes entre 2008 et 2010, avec un titre de champion LFB en 2010, François Gomez a fait son retour au TGB en 2015 lors de la relégation en Ligue Féminine 2.\\n\\nEvoluant sous le maillot tarbais depuis 2015, Adja Konteh a connu le titre de LF2 en 2016. Elle est l’un des piliers du club bigourdan et un élément clé dans l’effectif de Tarbes.\\n\\nLES CONFRONTATIONS DIRECTES CETTE SAISON\\n\\nBourges et Tarbes se sont affrontés à deux reprises cette saison. Le match aller (2ème journée) a eu lieu en Bigorre et fut le théâtre du premier exploit tarbais de la saison. Balayées à l’Open par Lyon (-29) quelques jours plus tôt, les Tarbaises ont battu les Tango à la surprise générale (71-61).\\n\\nLe match retour (journée 13), au Prado, a permis aux Berruyères de prendre leur revanche sur le TGB (71-58) juste après avoir validé leur place en quart de finale de l’Euroligue. Au cœur de l’hiver, les partenaires de Valériane Ayayi avaient stoppé une série de 5 victoires des Tarbaises.\\n\\nLE PALMARES\\n\\nDepuis 1999 – LIGUE FÉMININE DE BASKET\\n\\n * 2017 ESB VILLENEUVE D’ASCQ-LM\\n * 2016 LATTES MONTPELLIER\\n * 2015 TANGO BOURGES BASKET\\n * 2014 LATTES MONTPELLIER\\n * 2013 BOURGES BASKET\\n * 2012 BOURGES BASKET\\n * 2011 BOURGES BASKET\\n * 2010 TARBES GESPE BIGORRE\\n * 2009 BOURGES BASKET\\n * 2008 BOURGES BASKET\\n * 2007 US VALENCIENNES OLYMPIC\\n * 2006 BOURGES BASKET\\n * 2005 US VALENCIENNES OLYMPIC\\n * 2004 US VALENCIENNES OLYMPIC\\n * 2003 US VALENCIENNES OLYMPIC\\n * 2002 US VALENCIENNES OLYMPIC\\n * 2001 US VALENCIENNES OLYMPIC\\n * 2000 C.J.M. BOURGES\\n * 1999 C.J.M. BOURGES\\n\\n1951-1998 – NATIONALE FÉMININE 1A\\n\\n * 1998 C.J.M. BOURGES\\n * 1997 C.J.M. BOURGES\\n * 1996 C.J.M. BOURGES\\n * 1995 C.J.M. BOURGES\\n * 1994 U.S. VALENCIENNES-ORCHIES\\n * 1993 CHALLES-LES-EAUX BASKET\\n * 1992 CHALLES-LES-EAUX BASKET\\n * 1991 CHALLES-LES-EAUX BASKET\\n * 1990 B.A.C. MIRANDE\\n * 1989 B.A.C. MIRANDE\\n * 1988 B.A.C. MIRANDE\\n * 1987 STADE FRANCAIS-VERSAILLES\\n * 1986 STADE FRANCAIS-VERSAILLES\\n * 1985 STADE FRANCAIS\\n * 1984 STADE FRANCAIS\\n * 1983 STADE FRANCAIS\\n * 1982 ASNIERES SPORTS\\n * 1981 CLERMONT U.C.\\n * 1980 STADE FRANCAIS\\n * 1979 CLERMONT U.C.\\n * 1978 CLERMONT U.C.\\n * 1977 CLERMONT U.C.\\n * 1976 CLERMONT U.C.\\n * 1975 CLERMONT U.C.\\n * 1974 CLERMONT U.C.\\n * 1973 CLERMONT U.C.\\n * 1972 CLERMONT U.C.\\n * 1971 CLERMONT U.C.\\n * 1970 CLERMONT U.C.\\n * 1969 CLERMONT U.C.\\n * 1968 CLERMONT U.C.\\n * 1967 Gerbe MONTCEAU LES MINES\\n * 1966 Gerbe MONTCEAU LES MINES\\n * 1965 PARIS U.C.\\n * 1964 PARIS U.C.\\n * 1963 PARIS U.C.\\n * 1962 A.S. MONTFERRAND\\n * 1961 PARIS U.C.\\n * 1960 PARIS U.C.\\n * 1959 A.S. MONTFERRAND\\n * 1958 A.S. MONTFERRAND\\n * 1957 PARIS U.C.\\n * 1956 U.S. IVRY\\n * 1955 S.E. PAVILLON\\n * 1954 PARIS U.C.\\n * 1953 F.S. MONTPELLIER\\n * 1952 C.S. CHATEAU THIERRY\\n * 1951 C.S. CHATEAU THIERRY\\n\\n1937-1950 – EXCELLENCE\\n\\n * 1950 C.S. CHATEAU THIERRY\\n * 1949 GRENOBLE O.U.\\n * 1948 A.S. STRASBOURG\\n * 1947 U.S. METRO\\n * 1946 F.S. PARIS\\n * 1945 St MARSEILLE U.C.\\n * 1944 Linnets SAINT MAUR\\n * 1943 NICE SPORTS\\n * 1942 C.O. PERIGUEUX OUEST\\n * 1940-41\\n * 1939 NICE SPORTS\\n * 1938 Linnets SAINT MAUR\\n * 1937 C.A. MULHOUSE"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Fatimatou Sacko et Lidija Turcinovic renforcent l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fatimatou Sacko et Lidija Turcinovic rejoignent le Lyon ASVEL Féminin pour la saison 2018-19.\\n\\nValéry Demory connait très bien Fatimatou Sacko (1,83m, 33 ans) pour l’avoir coaché à Lattes-Montpellier de 2010 à 2014 puis en 2016-17. Cette saison, elle tournait à 9,2 points et 5,5 rebonds en Ligue Féminine et 8,1 points et 5,1 rebonds en EuroLeague.\\n\\nPARCOURS\\n\\n1999-2000 : Courcouronnes\\n2000-2004 : Centre Fédéral\\n2004-2009 : Villeneuve d’Ascq\\n2009-2010 : Tarbes\\n2010-2014 : Lattes Montpellier\\n2014-2016 : Villeneuve d’Ascq\\n2016-2018 : Lattes Montpellier\\n\\nPALMARÈS\\n\\nChampionne d’Europe Espoirs en 2005\\nMédaillée d’argent à l’Euro Espoirs en 2004\\nMédaillée d’argent à l’Euro Juniors en 2002\\nChampionne d’Europe U16 en 2001\\nVainqueur de l’Eurocoupe en 2015\\nChampionne de France LFB en 2010 et 2014\\nVainqueur de la Coupe de France en 2011 et 2013\\nVainqueur du Match des Champions LFB en 2016\\n\\nLidija Turcinovic (1,76m, 23 ans) sort d’une excellente saison avec Nantes-Rezé: 12,7 points, 5,3 rebonds et 3,3 passes décisives en LFB ; 17,2 points, 5,7 rebonds et 2,5 passes décisives en EuroCup.\\n\\nPARCOURS\\n\\n2003-2009 : Lattes Montpellier\\n\\n2009-2012 : Centre Fédéral\\n\\n2012-2014 : Lattes Montpellier\\n\\n2014-2015 : Arras\\n\\n2015-2016 : Toulouse\\n\\n2016-2017 : Charleville-Mézières\\n\\n2017-2018 : Nantes Rezé\\n\\nPALMARÈS\\n\\nVainqueur des Jeux de la Francophonie en 2017\\n\\nChampionne d’Europe U20 en 2014\\n\\nMédaillée d’argent au Mondial U19 en 2013\\n\\nChampionne d’Europe Juniors en 2012\\n\\nMédaillée de bronze à l’Euro Cadettes en 2010\\n\\nChampionne de France LFB en 2014\\n\\nPhoto: Fatimatou Sacko (ASVEL)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Blois: Un budget de 2 850 000 euros en Jeep Elite... si le centre de formation est agréé"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion de France Pro B, l’ADA Blois a gagné sur le terrain le droit de jouer en Jeep Elite la saison prochaine. Son président, Paul Seignolle doit maintenant obtenir l’agrément ministériel pour l’ouverture du centre de formation du club afin d’avoir le feu vert de la LNB.\\n\\nDans une interview à La Nouvelle République, qui lui demande son plan d’action, il répond :\\n\\n« Avoir l’agrément le plus rapidement possible ; la deadline est le 20 juin. Démarcher les partenaires et les collectivités. On a été audité le vendredi 4 mai par la commission d’agrément qui a envoyé deux personnes, une de la FFBB et une personne de la DRJSCS. Elles vont faire un rapport et un dossier passera en commission au ministère avant fin mai pour valider cet agrément du centre de formation. »\\n\\nPour son arrivée en Jeep Elite, l’ADA Blois mise sur un budget de 2 850 000 euros alors qu’il était de 1,3M€ en 2016 et 1,9M€ cette saison.\\n\\n« Il faut savoir qu’en Pro B, on a ce qu’on appelle des droits marketing de 42.000 euros de la part de la LNB. En Jeep élite, ça devient aux environs de 150.000 euros. C’est-à-dire que si on est en Jeep élite la saison prochaine, on va toucher une partie du partenariat avec Amazon et une partie du partenariat avec le constructeur Jeep. Après, j’espère que les collectivités locales vont continuer à nous accompagner comme elles le font depuis des années. Les partenaires privés aussi. Cette année, j’avais prévu 220.000 euros de billetterie. C’est exactement ce qu’on a fait. Il va y avoir une légère augmentation la saison prochaine, mais c’est un peu normal. On va zoner les tribunes parce qu’on s’est aperçu en regardant et en analysant ce que font les autres équipes, qu’on avait un problème de zonage. »\\n\\nPhoto: Tuan Nguyen"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: La meneuse espagnole de Tarbes Ana Suarez rejoint Nantes-Rezé"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après Katherine Plouffe en 2017, Nantes-Rezé perd sa deuxième MVP canadienne, Nayo Raincock, qui part également pour Bourges. Mais si le NRB fera également sans Lidija Turcinovic qui file à l’ASVEL, le club de Loire-Atlantique pourra compter en échange sur l’actuelle meneuse de Tarbes, finaliste des playoffs, l’Espagnole Ana Suarez (1,70m, 30 ans).\\n\\n« Très tôt, nous avions convenu avec Shona Thorburn qu’elle ne serait pas renouvelée et, quelques jours après, Suarez signait. C’est une joueuse qui insuffle énormément de dynamisme, avec un vécu qui va nous apporter et aider, je pense, Camille Lenglet également à faire mieux. Et puis, vous savez à quel point c’est essentiel pour moi : je ne prends aucun risque humainement avec elle, dont la personnalité est hyper positive, » a indiqué le coach Emmanuel Coeuret en conférence de presse, des propos repris par Ouest France.\\n\\nSi Maggie Skuballa, Ambrosia Anderson, Katia Clanet, Déborah André et Pauline Desbois sont également sur le départ, le NRB pourra compter sur trois ex-Angevines, qui n’ont pu accéder en Ligue Féminine avec leur club, Elodie Bertal-Christmann (1,90m, 24 ans), vue également à l’ASVEL, Clarince Djaldi-Tabdi (1,84m, 22 ans) et l’Américaine Shaqwedia Wallace (1,75m, 28 ans). L’arrière tchèque Michaela Stejskalova-Zrustova (1,86m, 31 ans) complètera l’effectif.\\n\\nPhoto: Ana Suarez (FFBB, Hervé Bellenger)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Fabien Causeur : «Je vais apprécier ce Final Four encore plus, je suis comme un gamin !»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fabien Causeur et le Real Madrid ont débarqué à Belgrade pour le Final Four 2018. L’arrière tricolore va vivre son deuxième Final Four en carrière, après celui de 2016 avec Vitoria.\\n\\nMais cette fois, Causeur va pouvoir défendre sa place à 100% ! Forcément une excellente nouvelle...\\n\\n« Ça va être mon deuxième Final Four Euroleague ! J’ai hâte d’y être parce que je n’avais pas vraiment pu profiter du premier comme je l’aurais voulu, avec Baskonia il y a deux ans », justifie Causeur sur le site de l’Euroleague. « J’étais très content pour l’équipe mais je revenais de blessure et j’étais limité. Je suis sûr que je vais apprécier celui-ci encore plus, je suis comme un gamin ! »\\n\\nOpposé au CSKA Moscou, Causeur va retrouver son pote Nando De Colo, à défaut de pouvoir croiser Léo Westermann, malheureusement opéré au pire moment...\\n\\n« J’affronte Nando depuis qu’on joue en cadet, donc c’est assez spécial pour nous de nous retrouver au Final Four. On se connaît très bien. On s’est envoyé des messages quand nos équipes se sont qualifiées pour le Final Four. Mais comme il était blessé, je ne voulais pas l’interroger sur son état de forme. Car je sais combien c’est difficile de ne pas être capable de jouer un Final Four. »\\n\\n\\n« C’est la base au Final Four, il faut défendre très fort ! »\\n\\nRevenu en forme après sa blessure à l’adducteur, De Colo sera, comme Kyle Hines, sur le pont pour essayer de reconquérir leur trophée perdu l’an passé. Mais Causeur et le Real auront d’autres plans !\\n\\n« On aura bien sûr besoin d’un bon match défensif pour battre le CSKA. On avait réussi à le faire quand on les avait battus en début de saison. Je m’en souviens très bien. On avait été très fort en défense, surtout en 2e mi-temps. C’est la base au Final Four, il faut défendre très fort ! Tout le monde veut gagner le titre mais c’est en général l’équipe qui défend le mieux qui l’emporte. »\\n\\nA ce petit jeu, le Fenerbahçe fait figure de grand favori, parmi les spécialistes comme les joueurs d’Euroleague questionnés pour l’occasion, mais le Real de Causeur aura aussi son mot à dire. Les Madrilènes peuvent aussi se relever les manches et défendre le plomb !\\n\\n« Il sera très important aussi de se débarrasser de la nervosité rapidement pour trouver des bons tirs. Le CSKA joue très bien et ils ont un effectif prêt à jouer dur. Ils ont beaucoup de talent mais aussi de qualités physiques et athlétiques. Ça leur permet de changer beaucoup en défense, sur quasiment chaque écran. Mais on a nos propres armes aussi ! On a aussi des gars qui peuvent jouer dur. Je suis sûr que ça va être un match serré. Comme face au Pana, ça va être un vrai combat ! »\\n\\nEt le combat commence demain à 21h pour ce choc des titans à Belgrade !"
}, 
{"role": "user",     "content":"Axel Toupane, de basketteur à étudiant à HEC Paris"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il s’apprête à disputer l’un des matchs les plus importants de sa carrière vendredi avec le Zalgiris Kaunas face au Fenerbahce en demi-finale de l’Euroleague, Axel Toupane (2,01m, 25 ans) n’est pas seulement basketteur. En juillet, l’ailier de Kaunas se lancera dans une formation à la Haute Ecole de Commerce de Paris.\\n\\nPassé par la NBA, l’ancien Strasbourgeois raconte sur le site Maddyness comment il s’est retrouvé dans le monde de l’entrepreneuriat sans s’y attendre alors qu’il pensait plutôt vivre sa retraite sportive en douceur.\\n\\n« Avril 2016, ma saison chez les Denver Nuggets se termine. Je viens de réaliser mon rêve de gosse : intégrer la meilleur ligue du monde, la NBA. Apaisement, satisfaction, bonheur, et fierté étaient les sentiments qui m’habitaient. Je venais de concrétiser le travail et la persévérance d’une petite dizaine d’années et, en continuant de la sorte je serai en position de gagner assez d’argent pour vivre une retraite on ne peut plus paisible sans vraiment avoir besoin de me remettre à travailler un jour. Cependant cette vision de mon après carrière a été totalement bouleversée lors d’un déjeuner avec mon meilleur ami Bruno sur la terrasse du restaurant les Deux Magots à Paris. Je jouais simplement au Bbasket lorsqu’il me proposa d’investir dans sa startup... Ce fut un véritable choc pour moi qui ne faisait que du basket depuis l’obtention de mon Baccalauréat en 2011. La routine du joueur professionnel est souvent peu compatible avec les études supérieures, surtout lorsqu’on est jeune et que l’on doit gagner sa place. J’étais en quelque sorte « un expert » dans mon domaine mais à l’inverse un total novice dans le milieu du business. A ce moment, des milliers de questions fusaient dans ma tête : comment fait-on pour investir ? Combien faut-il investir ? Si le projet n’aboutit pas va t-on devoir partager les dettes ? Comment déterminer combien mon investissement va me rapporter ? Je ressentais alors clairement un manque de connaissance que je devais combler. »\\n\\nC’est lorsqu’il a accompagné son meilleur ami au Festival de Cannes que l’ancien joueur des Pelicans a eu le déclic.\\n\\n« Après avoir approfondi nos discussions et trouvé des réponses à mes questions, j’ai eu la chance de l’accompagner au Festival de Cannes, un véritable déclic. Sa société Greenlux Car est une startup née en 2013 qui propose une application de service de chauffeur privé avec des voitures plus respectueuses de l’environnement, c’est à dire des voitures électriques ou des voitures hybrides. A l’occasion de ce Festival du Film, il avait signé un partenariat avec BMW pour la promotion de leur Nouvelle série 7 et de la BMW i8. Nous vivions tous ensemble pendant une quinzaine de jours, Bruno le CEO de la boite, Malik le CTO, ainsi que Freddy et Rui qui étaient responsables des opérations et des chauffeurs. C’est aussi ça l’esprit startup, bonne ambiance, solidarité, rigolade, et entraide. Pour moi le but était vraiment d’apprendre, comprendre, me familiariser avec le monde du business et de l’entrepreneuriat, et je n’ai pas été déçu. Entre négociations de contrats, gestion des employés, « business meetings » et nouvelles rencontres, ce fut très intense et très enrichissant, et cela m’a permis d’aiguiser mes connaissances. Et justement, l’une des choses que j’ai appris là-bas, c’est que peu importe le projet, le plus important c’est l’homme qui se cache derrière car c’est un bon moyen d’essayer de mesurer le potentiel succès du projet. Je suis alors rentré à Paris avec de toutes nouvelles connaissances et beaucoup de motivation. Moi qui ne voulais pas ou peu travailler après ma carrière, j’y ai vu une belle opportunité de rester actif et d’ajouter des revenus supplémentaires avec le sentiment de m’impliquer dans un secteur où les gains pouvaient être encore plus important. »\\n\\nLa prochaine étape pour pouvoir se consacrer réellement à cette nouvelle activité est d’obtenir des bases et des compétences. C’est pourquoi « Toups » a déposé une candidature à l’école des Hautes Études Commerciales de Paris. Candidature qui a été acceptée !\\n\\n« Selon moi, nous, les sportif de haut niveau, avons un potentiel énorme de par les valeurs que nous acquérons dès notre jeune âge tel le partage, l’esprit d’équipe, la discipline, gérer l’adversité mais aussi nos émotions et le stress, savoir parler aux médias, avoir une éthique de travail, développer un esprit de compétition à toute épreuve; toutes ces valeurs sont de l’or et on les retrouvent dans l’univers des startups. Ajoutez à ces valeurs notre plateforme, notre notoriété, et vous avez là des potentiels businessmen avec beaucoup d’atouts. Pour y arriver je devais continuer d’apprendre, de m’informer, de m’éduquer, et lors d’une discussion avec Bruno qui lui est passé par l’ESSEC Business School, il a évoqué l’idée d’intégrer un programme d’été dans une Business School. J’ai alors postulé à HEC Paris et après avoir mis toutes les chances de mon coté, mon dossier a été accepté. J’ai donc hâte de rejoindre en juillet prochain l’une des meilleurs Business School du monde pour suivre des cours de Luxury Management. Une chose que j’ai appris et qui me semble indispensable c’est qu’il faut se donner les moyens et mettre toutes les chances de son côté pour réussir dans le monde du business d’où pour moi la décision de rejoindre HEC, qui additionné à mon travail quotidien de recherche et de compréhension me permet d’avoir une meilleure vision. »\\n\\nPhoto : Zalgiris Kaunas"
}, 
{"role": "user",     "content":"Australie : Brian Conklin (Limoges) intéresse les Illawarra Hawks"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Signataire d’un contrat de deux ans l’été dernier avec le Limoges CSP, Brian Conklin (1,98m, 28 ans) aurait attiré l’oeil d’un club australien pour la saison prochaine, les Illawarra Hawks.\\n\\nArrivé en France il y a deux ans à Nanterre, l’ancien pensionnaire de l’université de Saint-Louis a lancé sa carrière dans le championnat australien et avait même été élu MVP de la saison en NBL en 2015, un an avant de rejoindre l’effectif de Pascal Donnadieu. Selon le Illawarra Mercury, l’ancien Nanterrien serait l’une des cibles privilégiées par le club australien.\\n\\nLe General Manager du club, Mat Campbell pourrait se rapprocher du joueur de Kyle Milling pour le récupérer la saison prochaine.\\n\\n« Nous avons discuté avec plusieurs agents afin de trouver les bons joueurs pour notre club que ce soit sur ou en dehors du terrain. Brian Conklin pourrait être un bon ajustement, mais les rumeurs qui annoncent qu’il a signé avec les Hawks ne sont pas vraies. Le club a actuellement un certain nombre d’options dont Brian fait définitivement partie. Nous voulons continuer à sortir des sentiers battus pour trouver la bonne solution pour notre club. »\\n\\nCette saison, Brian Conklin compile en moyenne 8,6 points, 4,7 rebonds et 1,3 passe décisive par match en Jeep® ÉLITE et il tournait à 8 points et 4,5 rebonds en Eurocup.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Allemagne : John Bryant (ex Monaco) prolonge à Giessen"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Annoncé en proche du Ratiopharm Ulm, John Bryant (2,11m, 30 ans) a finalement prolongé avec son équipe des Giessen 46ers.\\n\\nSur son site, le club allemand a annoncé que son capitaine a signé une prolongation de contrat de deux saisons. Elu dans le cinq majeur de la saison en Bundesliga, le Californien se dit heureux à Giessen et est content d’avoir prolongé l’aventure ici.\\n\\n« Je me sens très à l’aise au club et à Giessen. C’est pourquoi je suis heureux de continuer à faire partie des 46ers. Nous avons fait une bonne saison, mais je pense que nous pouvons nous améliorer. Nous allons revenir encore plus fort et pour continuer à remplir de fierté la ville de basket qu’est Giessen. C’est l’endroit idéal pour moi avec ce soutien des fans et le développement constant ici. »\\n\\nCette saison en Bundesliga, John Bryant compilait en moyenne 18,2 points, 10,6 rebonds et 3,7 passes décisives.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Soirée des Trophées LNB/LFB: Les neuf photos marquantes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La soirée des trophées du Basket a récompensé hier soir à la salle Gaveau, à Paris, les meilleurs joueurs et joueuses de Jeep Elite, Pro B et Ligue Féminine. Voici les photos marquantes:\\n\\nEn haut: L’ensemble des récipiendaires.\\n\\nLes jumelles canadiennes Plouffe, Katherine (Bourges) et Michelle (Tarbes). L’une a été élue MVP étrangère de LFB en 2017, l’autre dans le 5 Majeur de 2018. Les deux se rencontreront en finale des playoffs.\\n\\nBoris Diaw (Levallois) en noeuf pap’. Le capitaine des Bleus a remis des prix et aussi reçu le sien en tant que membre du Cinq Majeur de la Jeep Elite.\\n\\nSekou Doumbouya (Poitiers), Meilleur Jeune de Pro B à 17 ans n’a pas répondu à la question brûlante: quelle destination la saison prochaine?\\n\\nElu Meilleur Arbitre de Jeep Elite, Mehdi Difallah est prof d’anglais dans le civil, ce qui explique qu’il parle parfaitement la langue de LeBron James sur le terrain mais c’est en français qu’il a remercié le jury pour son élection.\\n\\nA peine de retour en France, le pivot des Utah Jazz Rudy Gobert, ancien de Cholet Basket, est venu honorer de sa présence la soirée des trophées. Un pont entre la LNB et la NBA.\\n\\nElu une deuxième fois Coach de l’Année de la Jeep Elite, Zvezdan Mitrovic (Monaco) s’est vu remettre son trophée par Bozidar Maljkovic, entraîneur du Limoges CSP champion d’Europe 1993 et sa fille Marina, ex-coach de Lyon et de nouveau coach de l’équipe de Serbie féminine. Ils ont pu discuter ensemble en serbo-croate.\\n\\nLes Cinq étoiles de la Ligue féminine interviewées par la maîtresse de cérémonie Gaëlle Millon: Michelle Plouffe (Tarbes), Valériane Ayayi (Bourges), Nayo Raincock-Ekunwe (Nantes-Rezé), élue MVP, Marine Johannès (Bourges) et Amel Bouderra (Charleville).\\n\\nLe MVP de la Jeep Elite, Zachery Peacock (Bourg), ému de recevoir un deuxième trophée consécutif puisqu’il avait été élu MVP de Pro B en 2017.\\n\\nPhoto: Catherine Stenkeeste"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espoirs : on connaît les affiches du Trophée du Futur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Du 25 au 27 mai se déroulera le Trophée du Futur à l’Azurarena d’Antibes. Se retrouveront là-bas le Top 7 du classement à l’issue de la 34e journée de championnat ainsi que les Sharks, derniers du classement mais organisateurs du tournoi.\\n\\nCe jeudi a eu lieu le tirage au sort des affiches des quarts de finale du Trophée du Futur. Nous aurons notamment le droit à un Cholet-ASVEL d’entrée. Match lors duquel s’affronteront les deux grands espoirs français Killian Hayes pour Cholet et Théo Maledon pour l’ASVEL. On peut également rajouter les noms du Villeurbannais Sofiane Briki qui a régulièrement eu le droit à quelques minutes avec les pros et Melvin Govindy pour CB qui marche sur le championnat espoirs dans le secteur intérieur.\\n\\nProgramme des quarts de finale le vendredi 25 mai :\\n\\n * Chalon-sur-Saône – Nanterre : 13h\\n * Gravelines – Monaco : 15h30\\n * Strasbourg – Antibes : 18h\\n * Cholet – ASVEL : 20h30\\n\\nQui succèdera à Nancy, vainqueur de l’édition 2017 ?\\n\\nPhoto : ASVEL Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ça bouge dans l’encadrement sportif du Limoges CSP"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Désireux de faire progresser sa formation pour se reposer sur ses futurs talents, le Limoges CSP vient d’annoncer plusieurs changements au sein de l’encadrement de l’encadrement sportif du club.\\n\\nVia un communiqué, les dirigeants limougeauds déclarent qu’avec le départ de Mehdy Mary, c’est Frank Kuhn qui va prendre les rênes de l’équipe Espoirs. En place depuis 2016, Mehdy Mary voit grand et souhaite s’ouvrir au monde professionnel. C’est pourquoi le club limousin a fait le choix d’engager Frank Kuhn à sa place.\\n\\nCe dernier était cette saison l’assistant de Kyle Milling chez les pros. Il était en charge de la préparation physique ainsi que du travail vidéo et du travail individuel. En rejoignant le banc des Espoirs, il retrouvera un poste qu’il a occupé de 2005 à 2011 à Strasbourg.\\n\\nJusqu’à présent à la tête de l’équipe NF1 de Feytiat, Benjamin Villeger rejoint le CSP pour prendre l’équipe U18 et assister Frank Kuhn sur les Espoirs.\\n\\nDirecteur Sportif du club, Olivier Bourgain est très satisfait de cette décision.\\n\\n« Je suis particulièrement heureux de l’arrivée de Frank au centre de formation pour plusieurs raisons. D’abord parce que c’est l’illustration de la poursuite de notre stratégie de développement du club avec l’équipe de direction : nous souhaitons faire de la formation le bras armé de notre développement professionnel. Ensuite parce que Frank comme entraîneur du centre de formation est un atout majeur : en plus de ses qualités de technicien, Frank est un préparateur physique de renom. Ainsi, nous mettons en place notre stratégie de développement particulièrement innovante et inédite en France à ma connaissance qui combine un formateur, un préparateur physique qui développe et un préparateur individuel et mental pour le sur-mesure. »\\n\\nDu côté des pros, la nouvelle recrue est Yacine Aouadi. Le coach personnel de Luc Mbah a Moute arrive dans le staff de Kyle Milling comme « personal trainer ». Il a déjà été au contact du Limoges CSP puisque c’est lui qui s’est occupé de la convalescence de Jean-Baptiste Maille cet hiver.\\n\\nUne nouvelle fois, Olivier Bourgain est très content de cette signature.\\n\\n« C’est un changement de cap total et une innovation majeur par rapport à ce qui se fait en France. Yacine est un coach de basket spécialisé dans le développement individuel. Nous avons la volonté d’engager Yacine pour montrer à tout le monde que nous sommes le meilleur club et le plus équipé de talents d’encadrement dans le développement des meilleurs jeunes français. Kyle MILLING était déjà la base de cette stratégie là avec François PERONNET. Au delà des entraînements collectifs, nous croyons, à Limoges, au développement individuel du joueur. Yacine est la concrétisation de cette pensée basket, toute nouvelle en France. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Reggio Emilia remercie son coach Max Menetti"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après huit ans de bons et loyaux services à Reggio Emilia, Massimiliano Menetti (45 ans) va quitter le club cet été. Liés jusqu’en 2019, les deux partis ont finalement décidé de se séparer prématurément, annonce le club.\\n\\nEntraîneur principal de Reggio Emilia depuis 2011, il a remporté l’Eurochallenge en 2013, deux saisons après avoir obtenu la montée en Serie A et été sacré champion d’Italie de Legadue. Cette saison, le natif de Palmanova a amené son équipe jusqu’en demi-finale de l’Eurocup, perdue face au Lokomotiv Kuban. Après le départ son entraîneur et d’amedeo Della Valle, c’est une page qui se tourne à Reggio Emilia.\\n\\nMax Menetti n’a pas été avare de remerciements avant de quitter le club.\\n\\n« Trouver les mots qui peuvent donner un sens à l’affection et à la gratitude que je ressens est vraiment dur, mais le mot « merci », je pense est le plus approprié. Merci à Stefano Landi et Licia Ferrarini pour tout ce qu’ils m’ont donné durant ces années en matière de relations humaines et professionnelles, des liens qui seront toujours spéciaux et qui l’ont été même au moment de la séparation. Merci au grand ‘Pat’ (Ivan Paterlini) et bien sûr à Alessandro Dalla Salda, qui a partagé avec moi des émotions très fortes et avec qui j’ai déjà exprimé tout ce que je ressens. Merci au grand Alessandro Frosini et Filippo Barozzi pour leur soutien passionné et constant. Merci à tout notre personnel incroyable pour le soutien, le professionnalisme et l’amitié qui m’ont toujours montré. Merci à tous les gens de Biancorosso pour toujours encourager « mon » Pallacanestro Reggiana. »\\n\\nPhoto : Pallacanestro Reggiana"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Milan et Brescia sont les premiers demi-finalistes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison régulière étant terminée depuis le 9 mai, les huit meilleures équipes de Serie A ont pu lancer leurs playoffs trois jours plus tard. Après trois matchs, deux équipes sont déjà qualifiées, il s’agit de Milan et Brescia.\\n\\nLes deux équipes se sont rapidement défaites de leur adversaire en remportant toutes les deux les quarts de finale 3-0 face à Cantu pour Milan et Varese pour Brescia. Dans le match 3 face à Cantu, les Milanais ont largement pu compter sur le meneur américain Andrew Goudelock. L’ancien joueur des Los Angeles Lakers a compilé 24 points (6/9 à 3-pts), 4 rebonds et 3 passes décisives pour 24 d’évaluation.\\n\\nDans l’autre match de la soirée, Brescia a pu se reposer sur son trio Moore Lee, Bryce Cotton et Michele Vitali à respectivement 17, 15 et 14 points, pour remporter la troisième manche (69-64) synonyme de qualification pour le prochain tour.\\n\\nMilan et Brescia se retrouveront en demi-finale des playoffs de Serie A qui commencera le 24 mai.\\n\\nCe jeudi, Venise peut également se qualifier pour le tour suivant. Le champion d’Italie en titre mène 2-0 face à Cremona et pourrait donc mettre fin à la série après le match trois. En revanche c’est plus compliqué pour Avellino et Trento qui sont à égalité avec une manche remportée chacun. Ces deux équipes devront donc au moins aller jusqu’au match 4.\\n\\nPhoto : Olimpia Milano"
}, 
{"role": "user",     "content":"Grèce : le GM de Koroivos annule les billets d’avions de deux de ses joueurs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La fin de saison ne se passe pas très bien à Koroivos. En plus d’être relégué en deuxième division grecque, le club fait parler de lui, et pas de la bonne manière.\\n\\nAlors qu’ils s’apprêtaient à prendre leur avion retour pour les Etats-Unis, Jahii Carson et Marcus Posley ont reçu un SMS pour leur annoncer que le club ne payera pas leurs billets retour et qu’ils doivent l’acheter eux-mêmes. Voici le SMS qu’on reçu les deux joueurs au moment d’aller prendre leur vol.\\n\\n« Le GM m’a donné des ordres stricts pour vous dire que... il a annulé vos billets. Il vous dit au revoir et vous souhaite, à vous deux, que votre vie vous rapporte tout ce que vous avez fait à Koroivos. »\\n\\nSelon Sportando, les deux joueurs n’ont pas non plus été payés depuis trois mois...\\n\\nPhoto : Jahii Carson/Koroivos Basketball"
}, 
{"role": "user",     "content":"Adidas Next Generation Tournament : le Real Madrid surclasse le CFBB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce jeudi à 9 heures, les U18 de l’INSEP avait rendez-vous avec les joueurs du Real Madrid U18 pour leur premier match des phases finales du Adidas Next Generation Tournament.\\n\\nDans l’enceinte de la Hala Aleksandar Nikolic qui accueillera également le Final Four d’Euroleague du 18 au 20 mai, les joueurs de Jean-Aimé Toupane n’ont pas eu leur mot à dire dans cette rencontre tant les Madrilènes étaient au-dessus. Au bout des 40 minutes de jeu, les Espagnols l’ont emporté 82-47.\\n\\nMeilleurs joueurs de la partie côté français avec 9 d’évaluation, Lorenzo Thirouard et Mathis Dossou-Yovo ont respectivement compilé 11 points, 2 rebonds, 2 passes et 1 interception, et 9 points et 13 rebonds. MVP du match, Golden Dike a enregistré 10 points, 7 rebonds et 3 passes décisives pour une évaluation de 19.\\n\\nVoici le programme des matchs du CFBB :\\n\\n * Vendredi 18 mai à 11 heures contre Mega Bemax Belgrade\\n * Samedi 19 mai à 9 heures contre le Lietuvos Rytas\\n\\nSuite à ces matchs, la meilleure équipe du Groupe A et la meilleure équipe du Groupe B s’affronteront en finale dimanche 20 mai à 10 heures.\\n\\nGroupe A : CFBB, Lietuvos Rytas, Real Madrid, Mega Bemax Belgrade\\nGroupe B : Bayern Munich, Etoile Rouge de Belgrade, Badalone, Rome\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"La phrase: Bozidar Maljkovic: «Bravo à vous pour être avant-gardiste»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bozidar Maljkovic est serbe mais possède aussi le passeport français. Lui qui a coaché Limoges (1992-95) et Paris (1997-98) est un fin connaisseur du basket français et ses expériences dans différents clubs de l’ex-Yougoslavie, en Espagne (Barça, Malaga, Vitoria, Real Madrid), en Grèce (Panathinaikos) et en Russie (Krasnodar), ses quatre Euroleague et ses multiple trophées en font un expert européen.\\n\\nSa parole est d’or. Son intervention lors de la Soirée des Trophées du Basket où il a été invité en compagnie de sa fille Marina, a pu flatter légitimement les organisateurs, LNB, LFB et aussi FFBB qui se sont associés pour cette première.\\n\\n« Quand ma fille m’a dit on va à une cérémonie de la ligue et la fédération, j’ai dit tu es sur? ‘Cest pas possible. Dans les autres pays que je connais il y a une grande animosité entre les ligues et les fédés. En Slovénie, en Croatie, en Grèce, en Espagne, chez nous en Serbie... pff impossible !... Le meilleur exemple est la guerre entre l’Euroleague et la FIBA. Bravo à vous pour être avant gardiste. C’est très bien. »\\n\\nFormer coach of Limoges (1992-95) and Paris (1997/98), Bozidar Maljkovic was one of the special guests yesterday for the awards night of French basketball, which reunited LNB (French league), LFB (women French league) and also the FFBB (federation).\\n\\nHe went on the stage to give the coach of the year award to Zvezdan Mitrovic (Monaco) but he also took the microphone to congrat French basketball.\\n\\n« When my daughter told me we were going to a ceremony of the league and the federation, I said ‘are you sure? It is not possible’. In the other countries I know, there is a strong animosity between leagues and federations. In Slovenia, Croatia, Greece, Spain even in Serbia... Oof, impossible ! The best example is the war between Euroleague and FIBA. Congratulations for being pioneers. It is very good. »\\n\\nPhoto: Catherine Steenkeste"
}, 
{"role": "user",     "content":"Magazines : Vente Flash !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il vous manque des magazines, dépêchez-vous ! Commandez avant 14 h pour les recevoir ce week-end !\\n\\nProfitez du code Promo : VENTEFLASH\\n\\nLe magazine n°3 « spécial salaires Pro A »\\n\\nLe magazine n°4 « spécial Fred Forte »\\n\\nLe magazine n°7 « Spécial salaire Pro B »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet Basket veut conserver Killian Hayes mais... ne maîtrise pas tout !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cholet et toute la région des Mauges transpirent le basket et les rumeurs à propos du successeur de Philippe Hervé comme coach de CB vont bon train. La dernière est le retour au club du Franco-Turc Erman Kunter, 61 ans, coach ici même de 2006 à 2012 et qui a gagné le titre national en 2010. Sachant que Jean-Christophe Prat et l’assistant de Philippe Hervé Régis Boissié ont le bon profil.\\n\\nInterrogé par Ouest France, le président Didier Barré s’est contenté de répondre que le club a reçu une bonne vingtaine de CV* et que pour décrocher le gros lot le candidat doit bien s’intégrer à la vie choletaise et au projet jeune. D’où la question: quid de la pépite Killian Hayes (1,94m, 17 ans en juillet), qui a déjà incontestablement un très bon niveau Jeep Elite mais qui scrute d’autres horizons.\\n\\n« Killian devrait faire partie du projet l’an prochain, même si on ne maîtrise pas tout (rire). On fait tout pour le garder, en lui présentant quelque chose où il sera partie prenante, » répond Didier Barré.\\n\\nPour Le Courrier de l’Ouest, Christophe Denis, de Nedeljko Asceric, Nikola Antic, et Jean-Luc Monschau font également partie des candidats.\\n\\nKillian Hayes (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Bojan Bogdanovic sera avec la Croatie pour la troisième fenêtre de qualification"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec les Indiana Pacers cette saison en NBA, Bojan Bogdanovic (2m, 29 ans) n’a pas pu être disponible pour la Croatie pour les deux premières fenêtres de qualification pour la Coupe du Monde. Il compte bien se rattraper.\\n\\nSur le site de la FIBA, l’ancien joueur des Brooklyn Nets a fait part de son envie de faire son retour en sélection pour envoyer son équipe à la Coupe du Monde.\\n\\n« J’aime jouer ce genre de tournoi. Et je me battre pour aider mon équipe à se qualifier pour la Coupe du Monde 2019 en Chine. Je veux jouer au niveau international une nouvelle fois dans ma carrière. C’est toujours un honneur pour moi de jouer pour mon pays et je le ferai toujours si je suis en bonne santé. »\\n\\nCependant, la Croatie est actuellement en mauvaise posture. Les Croates sont derniers du groupe D (1v-3d), mais cela ne va pas démotiver l’ancien joueur du Fenerbahce.\\n\\n« Nous sommes à la dernière position du groupe et un peu contre vents et marées, mais c’est encore possible et nous n’abandonnerons jamais Nous ne sommes pas le genre de gars qui vont abandonner. Alors, se battre et croire en nos chances est la seule solution. Nous sommes en mission maintenant, nous devons donc mettre tous nos joueurs et notre énergie ensemble pour essayer de se qualifier pour le tour suivant. Personne ne veut rater les prochaines compétitions internationales, nous devons donc tout mettre ensemble pour nous qualifier pour le prochain tour et essayer de nous qualifier pour la Coupe du Monde. »\\n\\nCette saison en NBA, Bojan Bogdanovic compilait en moyenne 12,4 points (37,8% à 3-pts), 3,4 rebonds et 1,9 passe décisive."
}, 
{"role": "user",     "content":"Le chiffre: 500 000 euros, le montant du naming pour la future aréna de Strasbourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"D’après Virgile Caillet, délégué général de Union Sport & Cycle, spécialiste du sport business, et qui fournit un chiffre par jour dans ce domaine, le montant estimé de la future aréna de Strasbourg qui s’appellera Crédit Mutuel Forum est de 500 000 euros pour un contrat de 15 ans.\\n\\n« Beaucoup plus long que les deals habituels. Premier naming pour une salle de basket et premier naming pour une aréna qui n’est pas encore construite », précise t-il dans son tweet.\\n\\n\\n\\n\\n#1CPJ: 500K€ c le montant estimé du Naming de la future arena ou jouera @sigstrasbourg en2020: «Crédit Mutuel FORUM». Contrat de 15ans :bcp+long que deal habituels! 1er naming pr 1salle de #basket / 1er naming pr 1arena pas encore construite @LNBofficiel #JeepElite @G_Millon1982 pic.twitter.com/or8EDIaa1M\\n\\n\\n— Virgile CAILLET (@VirgileCaillet) May 17, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Rétro – 1988 : Le premier Final Four européen consacre l’ex-super star de la NBA, Bob McAdoo"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il y a trente ans, à Gand, se tirant le premier final Four européen de l’ère moderne. Paradoxe, son héros fut une ancienne superstar de la NBA, Bob McAdoo.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nC’est un ancien monde qui s’éteint. Sur le parquet du Flanders Expo du Gand, les All-Stars du basket européen des années 60 et 70, dont certaines ont pris de la brioche, s’amusent comme des petits fous. Il y a là Serge Belov, Clifford Luyk, Wayne Brabender, Tal Brody, mais pas les Anversois Geerts et Steveniers ; ils ont refusé de jouer ensemble !\\n\\nC’est un nouveau monde qui prend forme. Une édition d’un Final Four avec unité de lieu, Madrid, s’était de fait tenue en 1967, mais la formule avait été aussitôt abandonnée. Trop compliquée, trop chère. Alors que cette fois, en cette fin des années quatre-vingt, le basket en Europe a du vent dans les voiles. 5.800 spectateurs ont assisté en moyenne aux matches de la poule finale de la Coupe des Champions qui comprend désormais huit équipes, 42 des 52 matches ont été télévisés. Léon Wandel, l’un des membres éminents de la FIBA, a sauté sur l’occasion d’organiser en Belgique – pour un budget supérieur à 1 250 000 euros – la première édition d’un Final Four qui va réunir en deux jours, sur des tribunes démontables, 20 000 spectateurs et 400 journalistes. Et, en hôte de marque, un certain David Stern, Commissioner de la NBA, a pris place dans la tribune présidentielle. Une première passerelle a été tendue entre la ligue américaine et la fédération internationale, en octobre, à Milwaukee, à l’occasion de l’Open MacDonald’s qui a réuni les Bucks, l’URSS et le Tracer Milan. Stern emploie une formule choc pour s’en féliciter : « C’est un plaisir de travailler avec la FIBA. Nous voulons faire du basket le plus grand sport du monde ».\\n\\n\\nLa NBA découvre les fans grecs\\n\\nLa Belgique vit pleinement dans le souvenir du drame du Heysel où des supporters de la Juventus de Turin ont été écrasés contre les grillages des tribunes. Wandel est formel : « sur le plan de la sécurité, nous avons fait le maximum. Les billets ont été vendus par lot de dix, et sur présentation de la carte d’identité de l’acheteur ». Pourtant, Stern découvre un peu effaré à quoi ressemblent des supporters grecs excités. Ils sont environ quatre milliers à brayer, insulter et à jeter quelques drachmes sur les joueurs milanais lorsque ceux-ci pénétrèrent sur le terrain... pour la finale contre le Maccabi. « Ils sont phénoménaux / Mais différents de nos fans. Plus indisciplinés. Et c’est la fibre nationaliste qui les motive,» juge Brian McIntyre, le responsable média à la NBA.\\n\\nDepuis cinq ans, l’Aris est présidé par le jeune milliardaire, Christos Michailidis, qui, pour constituer sa ligne arrière, a associé deux héros nationaux qui sont complémentaires. Professeur de sport d’1,92 m pour 92 kg. Panayotis Yannakis possède des poumons puissants comme le soufflet d’un forgeron. Il défend pour deux.\\n\\nD’origine grecque, mais de nationalité américaine contrairement à ce que la fédération hellène a fait gober à la FIBA, Nick Galis est un pointivore comme l’Europe n’en a jamais connu. Un an plus tôt, ces deux-là ont propulsé la Grèce sur la plus haute marche du podium de l’Euro athénien. Seulement, Galis n’est pas dans sa meilleure forme. Il score beaucoup (67 points durant les 80 minutes disponibles), mais avec une imprécision peu coutumière (4 sur 11 en 2e mi-temps contre Milan). L’Aris ressortira de ce Final Four avec le bonnet d’âne.\\n\\nOn a appris à connaître son nom l’été précédent lorsqu’il est devenu champion du monde junior avec la Yougoslavie, à Bormio, en Italie. C’est là qu’a pris source la formidable génération yougo qui comprend aussi Toni Kukoc et Dino Radja, plus Sasha Djordjevic et Miroslav Pecarski qui sont, par ailleurs, ses équipiers au Partizan Belgrade. Vlade Divac est un jeune Serbe de 20 ans, aux origines tziganes, qui possèdent des qualités athlétiques exceptionnelles au point d’être considéré comme un « Black » dans son pays.\\n\\nC’est un pivot de 2,12 m, solide rebondeur, qui voit le jeu aussi bien qu’un meneur, bon shooteur d’un peu partout, qui adore jouer le un-contre-un la bouche grande ouverte. Il cumule 21 points, 11 rebonds et 4 passes contre Tel-Aviv. Puis le surlendemain 31 points, 14 rebonds, 5 passes et 6 interceptions face à Salonique.\\n\\nEn demi-finales, les jeunes Yougos foncent droit devant et se retrouvent avec neuf points d’avance sur le Maccabi Tel-Aviv. Seulement – à part Divac –, les jeunes partisans n’ont pas encore le contrôle de leurs émotions. Djordjevic est même enclin à la panique, Zarko Paspalj hésite à shooter de loin et le plus expérimenté Goran Grbovic dévisse sous la pression défensive israélienne (6 tirs à trois points de suite à côté de la cible).\\n\\nBob McAdoo et Dino Meneghin.\\n\\n\\nUn contrat royal de 400 000 $\\n\\nL’expérience, c’est le propre des deux finalistes. Maccabi peut compter sur l’ossature de l’équipe nationale avec le vieux Micky Berkowitz qui passe le relais du leadership à un superbe shooteur à longue portée, Doron Jamchi. Willie Smith est le naturalisé de service, alors que le jeu intérieur est confié à Kevin Magee et Ken Barlow. Magee, un noir sculptural qui porte un diamant à l’oreille, s’est vu offrir un très bon contrat longue durée qui doit lui rapporter jusqu’à 260 000 dollars en 1991. L’Américain plane comme un aigle face au Partizan (34 points) et sa sortie prématurée en finale pour cinq fautes déséquilibre son équipe.\\n\\nEn finale, les Israéliens se font battre par encore plus roublards qu’eux. Dino Meneghin (38 ans). Mike D’Antoni (37) et Bob McAdoo (35) sont peut-être des vieillards, mais certainement pas grabataires. D’Antoni n’a plus ses jaillissements d’antan, mais sa science du jeu et son pouvoir de nuisance à trois-points sont intacts. Un an plutôt, à Lausanne, Dino a eu recours à des prises de judo et au full-contact pour s’imposer in the paint, alors que cette fois son jeu est propre et son influence mentale sur l’équipe lombarde plus forte que jamais. Rickey Brown est un parfait complément, lui qui se concentre sur le rebond (20 prises en 2 matches), la défense, tout en ne shootant qu’à coups sûrs.\\n\\nTracer Milan est un club modèle, ancestral, qui a le soutien de Gabetti, un puissant groupe immobilier, et qui tourne depuis cinq saisons à plus de 5 000 spectateurs en moyenne dans le championnat italien. Le Spaghetti Circuit est le championnat le plus relevé en Europe et quelques phénomènes de la NBA n’ont pas hésité à s’y mettre en préretraite. C’est ainsi que Tracer se paye pour 400 000 dollars, plus les primes, Bob McAdoo, 2 fois champion NBA et 1 fois élu MVP (en 75). Un type qui a établi ses stats à 22,1 points et 9,4 rebonds en 13 ans dans la ligue. « Je shoote quand je suis libre, et j’ai toujours eu la réputation de me libérer assez facilement », déclare-t-il. Son tir à quatre mètres, la balle placée au bout de bras, est imparable. Lorsque Bob fait des siennes, les tifosis s’égosillent « Dou, dou, MacAdoo... ». Et justement, Bob McAdoo fait voler en éclats la défense de l’Aris (39 points) avant de donner le vertige à celle du Maccabi (25 points). Et 26 rebonds en deux matches. Mike D’Antoni gère à la perfection les derniers échanges et Tracer Milan s’impose 86 à 81.\\n\\nBob McAdoo et Dino Meneghin tombent dans les bras l’un de l’autre, puis font un tour d’honneur les poings levés. Heureux comme des gosses, une breloque de plus pour Bob. Le 7e titre de champion d’Europe pour Super Dino.\\n\\nPhoto: Mike D’Antoni, le coach Dan Peterson et Bob McAdoo\\n\\n[armelse]\\nC’est un ancien monde qui s’éteint. Sur le parquet du Flanders Expo du Gand, les All-Stars du basket européen des années 60 et 70, dont certaines ont pris de la brioche, s’amusent comme des petits fous. Il y a là Serge Belov, Clifford Luyk, Wayne Brabender, Tal Brody, mais pas les Anversois Geerts et Steveniers ; ils ont refusé de jouer ensemble !\\n\\nC’est un nouveau monde qui prend forme. Une édition d’un Final Four avec unité de lieu, Madrid, s’était de fait tenue en 1967, mais la formule avait été aussitôt abandonnée. Trop compliquée, trop chère. Alors que cette fois, en cette fin des années quatre-vingt, le basket en Europe a du vent dans les voiles. 5.800 spectateurs ont assisté en moyenne aux matches de la poule finale de la Coupe des Champions qui comprend désormais huit équipes, 42 des 52 matches ont été télévisés. Léon Wandel, l’un des membres éminents de la FIBA, a sauté sur l’occasion d’organiser en Belgique – pour un budget supérieur à 1 250 000 euros – la première édition d’un Final Four qui va réunir en deux jours, sur des tribunes démontables, 20 000 spectateurs et 400 journalistes. Et, en hôte de marque, un certain David Stern, Commissioner de la NBA, a pris place dans la tribune présidentielle. Une première passerelle a été tendue entre la ligue américaine et la fédération internationale, en octobre, à Milwaukee, à l’occasion de l’Open MacDonald’s qui a réuni les Bucks, l’URSS et le Tracer Milan. Stern emploie une formule choc pour s’en féliciter : « C’est un plaisir de travailler avec la FIBA. Nous voulons faire du basket le plus grand sport du monde ».\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Final Four Euroleague : la preview de CSKA Moscou – Real Madrid"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si la première demi-finale laisse se dégager un favori avec le Fenerbahçe qui est un ton au-dessus (a priori) de son adversaire de Kaunas, la seconde demie entre le Real Madrid et le CSKA Moscou est particulièrement indécise. On a là deux des clubs les plus prestigieux et les plus puissants du continent qui se retrouvent logiquement aux sommets de la compétition pour ce qui s’annonce comme un match de poids-lourds !\\n\\nA la Stark Arena de Belgrade, le CSKA sera très heureux de pouvoir compter sur les retours cumulés de Nando De Colo et Kyles Hines. Malheureusement, Léo Westermann ne sera pas de la partie mais l’armada moscovite aura un léger avantage sur le Real au vu de sa saison régulière maîtrisée de bout en bout. Mais les madrilènes pourront aussi compter sur une belle dynamique et le retour de Sergio Llull aux côtés de leur pépite Luka Doncic.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe CSKA Moscou en reconquête\\n\\nAvec neuf joueurs qui ont déjà remporté le titre suprême il y a deux ans en battant le Fenerbahçe, le CSKA Moscou revient au Final Four pour la 7e année consécutive, un exploit en tant que tel. Mais rien de transcendant pour le CSKA qui arrive surtout à Belgrade avec l’esprit de reconquête. Nando De Colo et sa clique veulent effectivement récupérer leur bien des mains du Fener.\\n\\nPour ce faire, les hommes de Coach Itoudis baseront encore leur jeu sur une défense nettement renforcée par le retour de leur soutier en chef, Kyle Hines. Et avec la traction franco-espagnole, De Colo – Rodriguez, Moscou va encore chercher à être le plus efficace possible sur ses possessions offensives. Détenteur du meilleur True Shooting Percentage cette saison, à 53% (juste devant Kaunas), le CSKA Moscou n’est pas du genre à envoyer des tirs sans réfléchir. Tout est fait au sein du système de jeu.\\n\\nEt au sein de ce dernier, notamment dans les rencontres face au Real, Will Clyburn (17 d’évaluation en cumulé sur les deux matchs) a été particulièrement productif. Pour sa première saison au CSKA en provenance du Darussafaka, Clyburn s’est parfaitement adapté au jeu prôné par Itoudis, et il a fait sien ce rôle de couteau suisse, capable en l’occurrence d’un double double lors du succès de son équipe contre le Real. Le banc russe, a priori moins long que celui du Real, aura besoin d’un coup de boost...\\n\\n\\nLe Real Madrid, l’équipe la plus complète du Final Four\\n\\nMeilleure équipe du Final Four aux rebonds et aux contres, le Real Madrid aura un avantage de taille dans la peinture. Face au meilleur défenseur de la ligue, Kyle Hines, les madrilènes proposeront un sacré casse-tête avec la taille de Walter Tavares (2m20), la longueur d’Anthony Randolph (2m16) et l’expérience de Felipe Reyes. Capables de tenir le CSKA à 69 points lors de leur premier affrontement de la saison à Madrid, les joueurs de Pablo Laso devront reproduire cet exploit et boucler les talents offensifs russes.\\n\\nLe Real Madrid a également une ligne arrière de grand talent, et le retour de Sergio Llull doit même faire sauter les derniers verrous cette saison. Lancé dans une rééducation express afin de pouvoir revenir au jeu à temps, Llull a pu disputer deux rencontres d’Euroleague (9 points, 5 passes), en playoffs, pour se mettre en jambes. Il va présenter une autre menace offensive aux côtés de Luka Doncic qui devrait vivre son dernier grand moment européen avant de filer en NBA.\\n\\nAprès une saison à 22 d’évaluation à seulement 19 ans, Doncic a été plus discret en playoffs, avec « seulement » 16 d’éval’ contre le Pana. La jeune pépite slovène avait disparu au même stade de la compétition l’an passé, avec 6 points en 2 matchs, le tout à 0/9 aux tirs ! Cette fois-ci, Doncic aura à coeur de laisser une trace durable et à la hauteur de son immense talent.\\n\\n\\nLe duel à suivre\\n\\nSergio Rodriguez face à Sergio Llull\\nEn l’occurrence, on aurait pu évoquer un double duel avec Sergio Rodriguez et Nando De Colo d’un côté et Sergio Llull et Luka Doncic de l’autre. Mais ce match dans le match entre De Colo, de retour de blessure aussi, et Doncic n’est pas véritablement un duel direct car le français et le slovène ne devraient pas défendre l’un sur l’autre. A l’inverse, les deux Sergio seront probablement collés l’un à l’autre. Et les deux hommes se connaissent particulièrement bien puisqu’ils ont tous deux évolué ensemble, sous la tunique du Real entre 2010 et 2016. Tous deux internationaux avec l’Espagne, leur duel de meneurs sera un must see avec l’expérience et le panache du Chacho face à la vitesse et la grinta de Llull. Rodriguez semble partir avec une longueur d’avance cette saison mais Llull voudra prouver qu’il est bien le même phénomène après sa blessure.\\n\\n\\nLe facteur X\\n\\nKyle Hines\\nA nouveau élu meilleur défenseur de la saison en Euroleague, pour la deuxième fois sur ces trois dernières années, Kyle Hines revient également d’une longue blessure. Touché au mollet droit, Hines a dû patienter pendant un mois mais le revoilà juste à temps pour le grand rendez-vous du Final Four. Avec son petit 1m98, Hines est (comme Bilba pour nous français) ce type d’intérieur défenseur qui peut largement compenser son déficit de taille par son timing et son savoir-faire défensif. Son impact est incommensurable au CSKA : de 120 points encaissés sur 100 possessions sans lui, Moscou passe à 94 points avec lui ! Une différence monumentale de 27 points !\\n\\n\\nEn saison régulière\\n\\n2e journée : Real Madrid – CSKA Moscou (82-69)\\n21e journée : CSKA Moscou – Real Madrid (93-87)\\n\\n\\nVerdict\\n\\nCette demi-finale entre deux monstres sacrés va se jouer à peu de choses, sur quelques détails. Le Real et le CSKA font en l’occurrence partie des meilleures équipes de l’Euroleague pour ce qui est de provoquer des fautes. De Colo et Doncic sont des experts en la matière, tout comme Hines et Reyes dans un tout autre style... Restées dos à dos en saison régulière, avec une victoire à domicile de chaque côté, ces deux équipes vont se livrer un duel dantesque avec du talent à tous les postes mais on mise sur la constance développée par le CSKA sur la longueur de la saison. Plus solide mentalement, Moscou devrait s’imposer d’une courte tête... à moins qu’un madrilène (Jaycee Carroll, Fabien Causeur) ne sorte de sa boîte pour perturber l’ordre des choses !\\n\\n\\nCalendrier\\n\\nVendredi 18 mai à 21h\\n\\n\\nLes meilleures actions de leur saison\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe CSKA Moscou en reconquête\\n\\nAvec neuf joueurs qui ont déjà remporté le titre suprême il y a deux ans en battant le Fenerbahçe, le CSKA Moscou revient au Final Four pour la 7e année consécutive, un exploit en tant que tel. Mais rien de transcendant pour le CSKA qui arrive surtout à Belgrade avec l’esprit de reconquête. Nando De Colo et sa clique veulent effectivement récupérer leur bien des mains du Fener.\\n\\nPour ce faire, les hommes de Coach Itoudis baseront encore leur jeu sur une défense nettement renforcée par le retour de leur soutier en chef, Kyle Hines. Et avec la traction franco-espagnole, De Colo – Rodriguez, Moscou va encore chercher à être le plus efficace possible sur ses possessions offensives. Détenteur du meilleur True Shooting Percentage cette saison, à 53% (juste devant Kaunas), le CSKA Moscou n’est pas du genre à envoyer des tirs sans réfléchir. Tout est fait au sein du système de jeu.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Louis Campbell en renfort à Fos Provence Basket"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le club fosséen était à la recherche d’un joker médical depuis la confirmation de la fin de saison prématurée de Xavier Gaillou, victime d’une entorse à la cheville avec arrachement osseux à l’issue du dernier match des Provençaux face à Aix-Maurienne au Palais des Sports de Marseille (87-74). Le staff fosséen a ainsi mis la main sur un meneur d’expérience pour épauler Edouard Choquet au poste 1 en la personne de Louis Campbell (1,91m, 39 ans), libéré par Levallois après le dernier match de la saison régulière perdu mardi soir contre Antibes (78-86).\\n\\nAprès quatre belles années à Strasbourg (2012-2016), Louis Campbell est un élément précieux de la formation francilienne depuis deux saisons (8,1pts, 3,8pds, 9,2 d’évaluation en 26 minutes en moyenne par match en 2017-2018).\\n\\nA noter que Louis Campbell a notamment joué avec Louis Labeyrie, formé à Fos-sur-Mer, la saison dernière, et que Sacha Giffa assistant-coach à Levallois depuis deux saisons, a également évolué sous les ordres de Rémi Giuitta entre 2011 et 2013.\\n\\nLa déclaration du coach, Rémi Giuitta, publiée sur le site officiel du club :\\n\\n« On est satisfait d’accueillir un joueur qui a toujours la flamme et qui a accepté de relever un nouveau challenge, à savoir aider une équipe à gagner les Playoffs. C’est un joueur qui dispose d’une très grosse expérience du haut-niveau et notamment du championnat de France. Avec Strasbourg mais aussi avec Levallois ensuite. Il connaît les matchs à haute tension et sera d’un apport non négligeable sur bien des points. On ne peut que se satisfaire de se renforcer par un joueur de ce calibre. On cherchait un élément capable d’améliorer l’équipe sans trop perturber l’alchimie collective qu’on avait réussi à mettre en place sur ces derniers matchs. C’était l’enjeu au moment de choisir notre joker médical et ça colle parfaitement au profil de Louis Campbell. Il a une connaissance du jeu et suffisamment de vécu pour être efficace et rendre l’équipe efficace le plus rapidement possible car ce n’est jamais d’incorporer un nouveau joueur en peu de temps. J’en profite aussi pour remercier le club de Levallois qui a accepté de libérer son meneur pour cette fin de saison afin de nous aider à relever ce challenge. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Final Four Euroleague : la preview de Fenerbahçe – Kaunas"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est le choc des extrêmes : le champion en titre contre la surprise du chef ! Le Fener part clairement favori dans la première demi-finale mais avec Sarunas Jasikevicius et sa bande de guerriers baltes, tout est possible sur un match... Et pour le coup, les deux équipes se sont imposées en terrain hostile durant la saison régulière !\\n\\nOutre le combat des cerveaux sur les bancs, la différence se fera à l’intérieur avec un avantage physique pour Jan Vesely, Jason Thompson et Nicolo Melli. Comme lors de leur succès inespéré à Istanbul en décembre dernier, le Zalgiris devra être proche de la perfection pour espérer créer l’exploit et renverser le Fener à la Stark Arena de Belgrade. Mais pourquoi pas ? Les Baltes ont surpris tout le monde toute la saison durant !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nLe Fener et sa défense de fer\\n\\nLe Fener, c’est d’abord une défense de fer. Une citadelle quasiment imprenable avec Nikola Kalinic en peste inépuisable et Jan Vesely en contrôleur aérien. Sur la saison, la défense stambouliote n’a laissé que 75 points à son adversaire en moyenne, la meilleure en Europe. Et plus encore, le Fener aura pour objectif d’enfoncer le clou à l’intérieur, comme ils l’avaient fait lors de leur épopée l’an passé en dominant aux rebonds.\\n\\nAvec Nicolo Melli en complément de Jan Vesely, plus Luigi Datome, Coach Obradovic a l’embarras du choix pour varier sa rotation intérieure et étirer la défense avec du tir extérieur. A l’arrière, c’est plutôt solide également avec Kostas Sloukas et Brad Wanamaker qui font parfaitement tourner la machine et peuvent artiller. Sloukas peut même facilement prendre feu dans le tir de loin, tout comme Marko Guduric qui arrive en pleine confiance après avoir fini très fort en playoffs (22 points en 24 minutes).\\n\\nA Belgrade, pour son 17e Final Four d’un point de vue personnel (!), Zeljko Obradovic aura l’occasion de faire le doublé avec la même équipe pour la première fois de sa carrière, et atteindre par la même occasion le cap insensé de 10 titres continentaux ! Dans son pays natal en sus ! Ce serait une apothéose pour le sorcier serbe...\\n\\n\\nKaunas et son adresse diabolique à trois points\\n\\nA Kaunas, la force de l’équipe, c’est précisément l’équipe ! Fort d’un jeu collectif travaillé et retravaillé, avec un bon spacing et le cuir qui va et vient d’un côté à l’autre du terrain, le Zalgiris va garder sa ligne de conduite de la saison. L’axe meneur – pivot composé de Kevin Pangos et Brandon Davies pourra initier l’attaque avec un pick & roll d’école mais après, ça doit bouger de partout.\\n\\nIl va s’agir de faire courir la défense turque et la déplacer le plus possible pour trouver des failles, comme l’avait très bien fait Axel Toupane lors de la victoire à Istanbul en saison régulière. Et puis, Kaunas pourra toujours compter sur sa formidable adresse à trois points. A 42,4% de réussite, les snipers du Zalgiris ont fait très fort cette saison, avec le 4e meilleur pourcentage à trois points du siècle ! Kevin Pangos (47%) et Arturas Milaknis (45%) sont les deux shooteurs à surveiller de près derrière l’arc...\\n\\nEnfin, comment ne pas évoquer la grinta de Sarunas Jasikevicius en bord de terrain ! S’il n’est plus autorisé sur les planches, le coach lituanien continue de dicter ses ordres quasiment sur chaque action. Il est encore un général en chef pour son équipe, il a simplement changé de costume ! Face à son maître, Obradovic, Jasikevicius voudra certainement frapper un grand coup...\\n\\n\\nLe duel à suivre\\n\\nKevin Pangos face à Kostas Sloukas\\nAu sein du collectif lituanien, il est toujours délicat de mettre en exergue une individualité en particulier mais pour le coup, le Zalgiris va avoir besoin d’un immense Kevin Pangos. Le meneur canadien a énormément progressé entre sa 1ère et sa 2e saison et il aura fort à faire face à l’expérimenté Kostas Sloukas. Avec trois titres déjà (dont un doublé avec l’Olympiakos en 2012 puis 2013), le vétéran du Fener a également une papatte gauche qui peut faire énormément de dégâts. S’il parvient à prendre le dessus sur Pangos dans leur duel direct, Fenerbahçe aura déjà fait un grand pas vers la finale.\\n\\n\\nLe facteur X\\n\\nLa bataille intérieure\\nCela englobe aussi bien le combat aux rebonds que le nombre de points marqués près du cercle. Le Fener semble partir avec un avantage net et sans bavure dans le domaine mais, lors des deux rencontres de saison régulière entre les deux escouades, le Zalgiris a toujours su tenir la dragée haute au Fener sur les rebonds. Il faudra un grand match du légendaire Paulius Jankunas, ainsi que des prestations solides pour les intérieurs Brandon Davies, Antanas Kavaliauskas ou encore Aaron White pour résister au rouleau compresseur turc dans la peinture...\\n\\n\\nEn saison régulière\\n\\n12e journée : Fenerbahçe – Zalgiris Kaunas (79-80)\\n25e journée : Zalgiris Kaunas – Fenerbahçe (78-85)\\n\\n\\nVerdict\\n\\nFenerbahçe part favori et devrait logiquement s’imposer malgré le fonds de jeu lituanien. Avec son avantage de taille et de puissance à l’intérieur, plus son expérience des moments chauds, la troupe d’Obradovic devrait à nouveau rallier la finale continentale pour défendre son titre jusqu’au bout. De plus, le club turc semble disposer de davantage d’armes sur son banc avec 6 joueurs entre 13 et 8 points sur la saison. Sans faire insulte à Kaunas, le Fener dispose d’un effectif au talent supérieur... tout simplement !\\n\\n\\nCalendrier\\n\\nVendredi 18 mai à 18h\\n\\n\\nLes meilleures actions de leur saison\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nLe Fener et sa défense de fer\\n\\nLe Fener, c’est d’abord une défense de fer. Une citadelle quasiment imprenable avec Nikola Kalinic en peste inépuisable et Jan Vesely en contrôleur aérien. Sur la saison, la défense stambouliote n’a laissé que 75 points à son adversaire en moyenne, la meilleure en Europe. Et plus encore, le Fener aura pour objectif d’enfoncer le clou à l’intérieur, comme ils l’avaient fait lors de leur épopée l’an passé en dominant aux rebonds.\\n\\nAvec Nicolo Melli en complément de Jan Vesely, plus Luigi Datome, Coach Obradovic a l’embarras du choix pour varier sa rotation intérieure et étirer la défense avec du tir extérieur.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Zachery Peacock (Bourg), Tyren Johnson (Blois) et Nayo Raincock-Ekunwe (Nantes-Rezé) ont été élus MVP de la saison 2017-18"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est à la salle Gaveau, dans le 8e arrondissement de Paris, qu’ont été remis ce soir les trophées à la fois de la Ligue Nationale de Basket (LNB) et de la Ligue Féminine de Basket (LFB).\\n\\n« Le basket professionnel doit communiquer ensemble et ce soir c’est une façon de le montrer, » a commenté Alain Béral, le président de la LNB. « Il y a de plus en plus de destins croisés. Je pense à Becky Hammon à San Antonio et de l’assistante de Strasbourg (Lauriane Dolt). C’est bien, » a complété Boris Diaw.\\n\\nAutre preuve de la mixité, Bozidar Maljkovic -entraîneur de Limoges champion d’Europe en 1993 et sa fille Marina -ex-Lyon et entraîneur de la Serbie- ont remis les trophées aux coaches.\\n\\nDéjà lauréat la saison dernière en Pro B, Zachery Peacock a doublé la mise en Jeep Elite cette fois. Il termine meilleur marqueur (19,1 pts) et meilleur à l’évaluation (20,3) du championnat malgré un pneumotorax qui a perturbé sa fin de saison.\\n\\nC’est la Canadienne du Nantes-Rezé Nayo Raincock-Ekunwe qui a tourné en double double cette (16points, 11 rebonds), qui a été élue MVP de la Ligue Féminine.\\n\\nHOMMES\\n\\nMVP Jeep® ÉLITE\\n\\nJustin Cobbs (Le Mans)\\n\\nZachery Peacock (Bourg-en-Bresse) MVP\\n\\nLouis Labeyrie (Strasbourg)\\n\\nGerald Robinson (Monaco)\\n\\nBoris Diaw (Levallois)\\n\\nMeilleur Jeune Jeep® ÉLITE\\n\\nAdam Mokoka (Gravelines-Dunkerque)\\n\\nMeilleur Entraîneur Jeep® ÉLITE\\n\\nZvezdan Mitrovic (Monaco)\\n\\nMVP Pro B – 5 Majeur\\n\\nKyle McAlarney (Orléans)\\n\\nMarcellus Sommerville\\n\\nTyren Johnson (Blois) MVP\\n\\nJonathan Hoyaux (Saint-Chamond)\\n\\nAmin Stevens (Rouen)\\n\\nMeilleur Jeune Pro B\\n\\nSekou Doumbouya (Poitiers)\\n\\nMeilleur Entraîneur Pro B\\n\\nMickaël Hay (Blois)\\n\\nMeilleur DLSIxième Homme\\n\\nD.J. Stephens (Le Mans)\\n\\nMeilleur Arbitre\\n\\nMehdi Difallah\\n\\nFEMMES\\n\\nMVP LFB – Cinq Majeur\\n\\nValériane Ayayi (Bourges)\\n\\nAmel Bouderra (Charleville)\\n\\nMarine Johannes (Bourges)\\n\\nMichelle Plouffe (Tarbes)\\n\\nNayo Raincock-Ekunwe (Nantes-Rezé) MVP\\n\\nMeilleure Jeune LFB\\n\\nAlexia Chartereau (Bourges)\\n\\nMeilleur Entraîneur LFB\\n\\nFrançois Gomez (Tarbes)\\n\\nPhoto: Cinq Majeur Elite (Catherine Steenkeste), Zdzvedan Mitrovic (FIBA), Mickael Hay (Tuan Nguyen), Nayo Raincock-Ekunwe (LFB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"JL Bourg : le président Julien Desbottes fera tout pour garder Peacock"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il est en course pour remporter le titre de MVP de la saison ce soir, l’intérieur de la JL Bourg depuis trois saisons Zachery Peacock est fort logiquement convoité à l’approche de l’intersaison. Meilleur marqueur et meilleure évaluation de Jeep ELITE (19,3pts, 6,1rbds, 20,3 d’évaluation par match), le poste 5 lancé en France par Germain Castano à Boulogne-sur-Mer en Pro B en 2013-2014 a réalisé sa meilleure saison parmi l’élite, quatre ans après un épisode mouvementé du côté de Cholet en 2014-2015.\\n\\nLe président de la JLB Julien Desbottes s’est exprimé à son sujet à l’issue de cette saison conclue aux portes des Playoffs (9e) au micro de Radio Scoop, indiquant qu’il fera tout son possible pour que Zack Peacock, toujours sous contrat pour la saison prochaine au même titre que Garrett Sim et Youssou Ndoye, soit encore burgien la saison prochaine.\\n\\n« On a 5 joueurs sous contrats dont 2 joueurs JFL de talent. On a des étrangers qui sont là eux-mêmes depuis deux ou trois ans. C’est une vraie volonté du club que les gens puissent s’identifier à eux. Il est un peu tôt pour se positionner, mais croyez-moi nous suivons cela avec beaucoup d’ambition, un certain recul avec une première saison de Jeep Elite. (...) Évidemment Zach est très sollicité, mais nous avons expliqué clairement au monde du basket qu’il était une priorité pour nous. Nous l’avons signé il y a 3 ans de cela, on lui a offert des conditions de travail qui étaient exceptionnelles à l’époque et qu’il a mérité. Il a gagné le respect de tous. (...) C’était aux autres clubs de le signer avant nous et il sera très très compliqué de venir nous le chercher. On va en parler rapidement avec lui pour pas qu’il n’y ait de mauvaise surprise sur le reste de l’année. C’est un fort enjeu parce qu’on parle d’une saison exceptionnelle. Je n’ai pas souvenir qu’à la JL Bourg on est eu le meilleur joueur à l’évaluation et le meilleur marqueur de Jeep Elite Je suis vraiment content qu’on ait un joueur sous contrat, on fera tout pour le conserver»."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Cliff Alexander s’en va, Julian Gamble arrive en renfort à l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Depuis 2016 à Bonn, Julian Gamble (2,08m, 28 ans) est la nouvelle recrue de l’ASVEL, annonce le club, qui a décidé de ne pas renouveler le contrat de Cliff Alexander arrivé fin mars en tant que pigiste médical de Darryl Watkins.\\n\\nFormé à l’université de Miami, Gamble a lancé sa carrière en France. Il a débarqué en 2013 à Saint-Vallier, alors en Pro B. Il a ensuite rejoint la Bruxelles et s’est engagé avec le Basic Fit Brussels où il a passé deux saisons. A l’intersaison 2016, il a donc découvert un nouveau pays en signant en faveur du Telekom Baskets Bonn, en Allemagne. En débarquant à l’ASVEL, il va donc vivre sa deuxième expérience en France mais sa première en Jeep® ÉLITE.\\n\\nCette saison, Julian Gamble compilait en moyenne 12,3 points et 6,3 rebonds en Bundesliga et 13,9 points et 5,5 rebonds pour une évaluation de 13,1 en Champions League.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"36,5 millions d’euros, c’est le budget du CSKA Moscou cette saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le chiffre semble hallucinant quand l’on connaît les budgets des équipes de Jeep® ÉLITE dont le plus élevé appartient à l’ASVEL avec un peu plus de 8 millions d’euros la saison pour l’exercice 2017/18.\\n\\nLa VTB League a dévoilé aujourd’hui les budgets de ses différentes équipes et c’est toujours le CSKA Moscou qui culmine au sommet de la hiérarchie russe avec 36,49 millions d’euros de budget. Le CSKA est également le club le plus riche d’Europe.\\n\\nEn deuxième position, le Khimki Moscou pointe à 22,7 millions d’euros tandis que l’Avtodor Saratov possède le plus petit budget du championnat avec 2,3 millions d’euros.\\n\\nLe classement complet :\\n\\n * CSKA Moscow : 36,49 millions d’euros\\n * Khimki Moscow : 22,7 millions d’euros\\n * Lokomotiv Kuban : 15,3 millions d’euros\\n * Unics Kazan : 12,19 millions d’euros\\n * Zenit St. Petersburg : 11,6 millions d’euros\\n * Nizhny Novgorod : 5,7 millions d’euros\\n * Enisey Krasnoyarsk : 3,6 millions d’euros\\n * Parma : 2,9 millions d’euros\\n * Avtodor Saratov : 2,3 millions d’euros\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Malela Mutuale prolonge avec Orléans pour toute la saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé en pigiste médical de Loïc Akono mi-février, Malela Mutuale (1,90m, 26 ans) va prolonger l’aventure à Orléans jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nSur son site, l’OLB annonce que le club est satisfait du travail de l’ancien joueur du Paris-Levallois et qu’il a donc décidé de le prolonger jusqu’à la fin de la saison même avec le retour de blessure de Kadri Moendadze. Pour rappel, le club du Loiret souffre en cette fin de saison avec les forfaits de Miralem Halilovic (remplacé par Ferdinand Prenom) et Alex Abreu.\\n\\nAvec Orléans, Malela Mutuale compile en moyenne 4,9 points, 2 rebonds, 1,9 passe décisive et 1,4 interception pour une évaluation de 5,9.\\n\\nPhoto : Orléans Loiret Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Leo Westermann (CSKA Moscou) forfait pour le Final Four"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mauvaise nouvelle pour le CSKA Moscou et pour Leo Westermann (1,97m, 25 ans). L’ancien limougeaud ne sera pas présent à Belgrade pour le Final Four d’Euroleague.\\n\\nDéjà handicapé par les blessures cette saison, le natif de Haguenau va se faire opérer du disque intervertébral en Allemagne, comme l’indique le CSKA Moscou. Les modalités exactes du rétablissement seront évaluées en fonction des résultats de l’opération et de la période de réadaptation postopératoire.\\n\\nCette saison, Leo Westermann compile en moyenne 6 points, 1,3 rebond et 2,7 passes décisives en VTB League et 4,6 points, 1,2 rebond et 1,9 passe pour une évaluation de 4 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France 3×3: 10 joueurs pré-sélectionnés pour le tournoi de Voiron."
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dix joueurs ont été présélectionnés en Equipe de France 3×3 par le coach Richard Billant et huit d’entre eux participeront à un stage et à un tournoi à Voiron.\\n\\nRetenus par leur club respectif, les médaillés de Bronze du dernier Mondial, Angelo Tsagarakis et Charles Henri Bronchard ne participeront pas à ce rassemblement et ils rejoindront le groupe un peu plus tard.\\n\\nStaff technique : Richard Billant, Karim Souchu, Yann Julien, Alexandra Arena et Thibaut Pinson\\n\\nStage à Voiron le 29 et 30 mai\\n\\nTournoi Big 12 à Voiron du 1er au 3 juin\\n\\nTournoi (lieu à déterminer) du 9 au 10 juin\\n\\nTournoi à Limassol (Chypre) du 15 au 17 juin\\n\\nTournoi à Lipik du 22 au 25 juin\\n\\nStage à Poitiers du 26 au 28 juin\\n\\nQualifications Coupe d’Europe à Poitiers du 29 au 30 juin\\n\\nCoupe d’Europe à Bucarest (Roumanie) du 14 au 16 septembre\\n\\nPhoto: Dominique Gentil (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNom\\n\\n\\n\\n\\nPrénom\\n\\n\\n\\n\\nDate de naissance\\n\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nBRONCHARD\\n\\n\\n\\n\\nCharles Henri\\n\\n\\n\\n\\n15/11/1982\\n\\n\\n\\n\\nJA Vichy Clermont\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nCHASSANG\\n\\n\\n\\n\\nAlexandre\\n\\n\\n\\n\\n22/11/1994\\n\\n\\n\\n\\nHyères Toulon VB\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nCHRISTOPHE\\n\\n\\n\\n\\nAnthony\\n\\n\\n\\n\\n04/03/1983\\n\\n\\n\\n\\nLe Cannet Côte d’Azur Basket\\n\\n\\n\\n\\n\\nCORNELY\\nThomas\\n29/06/1991\\nCaen Basket Calvados\\n\\n\\n\\n\\n\\nCORRE\\n\\n\\n\\n\\nKévin\\n\\n\\n\\n\\n24/03/1985\\n\\n\\n\\n\\nAix Maurienne SB\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nDUSSOULIER\\n\\n\\n\\n\\nLucas\\n\\n\\n\\n\\n27/07/1996\\n\\n\\n\\n\\nEtoile Charleville Mézières\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nGENTIL\\n\\n\\n\\n\\nDominique\\n\\n\\n\\n\\n18/05/1988\\n\\n\\n\\n\\nVendée Challans Basket\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nHARLEY\\n\\n\\n\\n\\nKévin\\n\\n\\n\\n\\n20/04/1994\\n\\n\\n\\n\\nPoitiers Basket 86\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nJOSEPH\\n\\n\\n\\n\\nMike\\n\\n\\n\\n\\n13/04/1994\\n\\n\\n\\n\\nPoitiers Basket 86\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nTSAGARAKIS\\n\\n\\n\\n\\nAngelo\\n\\n\\n\\n\\n03/06/1984\\n\\n\\n\\n\\nKymis BC (Grèce)\\n\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Laurent Vila (Elan Béarnais) : «Notre mission aujourd’hui c’est d’aller battre Monaco»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la dernière journée de championnat mardi soir, l’Elan Béarnais s’est incliné sur le parquet de Châlons-Reims (102-94) et se retrouve la huitième place du classement pour entamer les playoffs.\\n\\nMalgré les 24 points et 5 rebonds de Ken Horton et le match très complet d’Elie Okobo (14 points, 8 rebonds et 7 passes), l’entraineur béarnais, Laurent Vila n’a pas pu cacher sa déception après la rencontre.\\n\\n« Très déçu. Non seulement par rapport au match mais aussi par rapport à l’enjeu qu’il y avait pour nous. Il y a une physionomie du match où ça part sur de bonnes bases offensives bien entendu et Châlons-Reims a su faire face et a augmenté son niveau. Défensivement on aurait dû faire preuve de beaucoup plus de consistance. On a essayé en faisant beaucoup de fautes et malgré la dureté, ils ont toujours gardé cette avance-là de huit points déjà pris en première mi-temps. Même si Châlons-Reims joue très bien, 54 points encaissés en première mi-temps c’est beaucoup, c’est trop permissif. »\\n\\nUne nouvelle fois en Jeep® ÉLITE, le travail des arbitres a été remis en cause, jugé trop sévères hier soir.\\n\\n« On a quand même essayé d’avoir des attitudes défensives mais beaucoup trop, à mon sens, de coups de sifflet qui leur donnent à chaque fois l’occasion de marquer aux lancers. Je n’ai pas envie de pleurer, mais je sais déjà que le prochain match ça sera complètement différent, avec une autre intensité permise alors que là rien était permis. C’est comme ça, mais si on avait gardé l’avance du début de match on sourirait maintenant, mais ce n’est pas le cas. »\\n\\nEnfin, l’ancien assistant de Serge Crevecoeur a souligné le fait que l’EBPLO s’est éloigné d’une possible place en coupe d’Europe et devra donc passer le gros obstacle Monaco pour atteindre son objectif.\\n\\n« C’est vraiment dommage de gâcher sur cette demi journée une possible qualification pour une coupe d’Europe l’année prochaine. C’était notre enjeu. C’est dommage de passer à côté parce que c’est quelque chose d’important. La seule façon de rattraper cette erreur là c’est d’aller gagner le quart de finale contre Monaco. C’est la mission qui est la notre aujourd’hui. »\\n\\nPhoto : Elan Béarnais"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les highlights de Châlons-Reims vs Pau"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Victoire de prestige (102-94) de Châlons-Reims face à Pau mais pas sans conséquence puisque les Palois se retrouvent ainsi huitièmes de la saison régulière de la Jeep Elite et seront confrontés à Monaco en quarts de finale de playoffs.\\n\\nVoici les highlights du match."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Valentin Bigote (Dijon) élu joueur du mois d’avril"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Excellent l’année dernière à Nantes, Valentin Bigote a parfaitement transité vers la Pro A en s’engageant à Dijon. Aujourd’hui, il est même élu joueur du mois de Jeep® ÉLITE.\\n\\nAvec 46% des votes, l’arrière dijonnais a surclassé Trey Lewis (Bourg-en-Bresse) et Gerald Robinson (Monaco) qui ont respectivement récolté 29% et 25% des voix des internautes. Déjà reconnu en Pro B pour son talent, l’ancien Nancéien conclu parfaitement sa saison régulière et se dirige vers les playoffs avec un vrai rôle dans un effectif dijonnais maintenant amputé de l’absence de Jacques Alingue.\\n\\nCette saison en championnat, Valentin Bigote compile en moyenne 10 points, 3 rebonds et 1,4 passe décisive pour une évaluation de 9,9. A Levallois le 22 avril, il a réalisé son meilleur match en cette année avec 24 points, 4 rebonds et 5 passes pour une évaluation de 28 dans la victoire de la JDA face aux Metropolitans.\\n\\nPhoto : FOXAEP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espoirs : l’énorme match de Melvyn Govindy (Cholet) face au MSB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Melvyn Govindy (2,12m, 20 ans) n’a pas fait dans la dentelle face au Mans pour le dernier match de la saison du championnat Espoirs.\\n\\nDans la victoire de Cholet Basket face au MSB (111-81), l’ancien espoir du SLUC Nancy a compilé pas moins de 31 points (13/20 aux shoots), 16 rebonds et 3 passes décisives pour une évaluation de 45. Sur la saison, Melvyn Govindy tourne en moyenne à 16,3 points et 8,7 rebonds. Dans son sillage et celui de l’inévitable Killian Hayes, les Espoirs de Cholet ont été sacré champion de France six journées avant la fin du championnat.\\n\\nPour rappel, le natif de Pau a présenté son nom à la Draft NBA 2018.\\n\\nVoici les highlights de son match face à Limoges il y a quelques semaines (17 points, 16 rebonds, 3 contres, 28 d’évaluation).\\n\\nPhoto : Cholet Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mam Jaiteh (Limoges): «C’est un match de folie, l’un des plus incroyables que j’ai pu jouer jusqu’à présent»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour avoir un beau match, il faut être deux et Limoges et Nanterre ont fait le maximum pour régaler Beaublanc, les téléspectateurs de SFR Sport 2 et les internautes sur les réseaux sociaux.\\n\\nKevin Jones (23 points et 10 rebonds) et Heiko Schaffartzik (19 points, 6/10 à trois-points) se sont battus comme des lions mais à la fin de l’histoire c’est le CSP qui a obtenu gain de cause, 82-80. Trois joueurs de Nanterre ont obtenu une évaluation d’au moins 10, le double à Limoges, ce qui atteste que l’équipe est plus complète.\\n\\nAuteur de 8 points et 4 rebonds, Mam Jaiteh était aux anges au micro de France Bleu Limousin:\\n\\n« C’est un match de folie, l’un des plus incroyables que j’ai pu jouer jusqu’à présent. C’était impossible de deviner qui allait gagner. J’espère que le plus de monde possible à vu ce match car ça fait rêver surtout quand on gagne à la fin. Nanterre n’a pas démérité, a joué avec ses forces mais nous a on résisté, que ce soit nous sur le terrain mais aussi les supporters, jusqu’au bout ils nous ont poussé et je pense que c’est ça qui a fait que l’on n’a pas craqué. Honnêtement, gagner comme ça juste avant les playoffs, il n’y a pas mieux. »\\n\\nPhoto: CSP\\n\\nhttps://www.facebook.com/francebleulimousinofficiel/videos/1739509022753353/"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jean-Denys Choulet (Chalon): «Le maintien... C’est déjà énorme»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Elan Chalon a bouclé hier soir sa saison dans la discrétion par une défaite à Boulazac, 86-96. La 15e. La 12e place est un trompe l’oeil quand on sait que les Bourguignons se sont retrouvés longtemps dans la zone rouge. Une série de 8 victoires en 9 matches a sauvé l’essentiel. Un moment les playoffs étaient même en vue et puis... Plouf. Le coach Jean-Denys Choulet a couché quelques mots de conclusion dans lesquelles transpire la frustration hier sur son compte facebook.\\n\\n« Bon c’est fini ...le maintien et c’est tout mais compte tenu de notre brillant départ et de certains comportements...c’est déjà énorme ..de grands clubs sont passés par un retour pro b ...nous serons en pro A la saison prochaine et nous construirons une équipe avec des talents, des jeunes du centre mais surtout avec des valeurs humaines !!!\\nLa remontada était superbe certains ont trouvé que c’était assez ....tant pis ...\\nBon vent à tous mais quelle saison épuisante et que d’individus suspects...\\nMerci à tout le public du Colisée aux sponsors aux élus et surtout à ceux qui sont restés dans le bateau quand ça bougeait fort ...\\nNous n’avons tenu bon jusqu’à la délivrance après pour aller plus loin il faut d’autres valeurs et des comportements de professionnels...merci à ceux qui ont joué le jeu et aux autres changer ou changer de métier .\\nMerci encore à ceux et ils sont nombreux de ne pas avoir craché dans la soupe .... »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jonathan Rousselle s’offre un panier victorieux au buzzer pour son dernier match avec Cholet"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était un secret de polichinelle, le président de Cholet Basket Didier Barré l’a confirmé hier: après deux ans de service, Philippe Hervé, 55 ans, ne sera plus le coach de l’équipe du Maine-et-Loire la saison prochaine.\\n\\nLe président choletais a ajouté que rien n’est encore décidé quant à son successeur, même s’il semble que le dossier de candidature de l’ex-entraîneur de Denain Jean-Christophe Prat soit en haut de la pile. Le choix du club doit intervenir au plus tard début juin.\\n\\n« J’ai pris la décision de quitter le club. Mais je ne veux pas m’exprimer à chaud sur cela. Il y a un très bon bilan à l’extérieur (CB 5e à l’extérieur), mais on a un mauvais bilan à domicile. On a eu beaucoup de joueurs blessés, notamment lors des matches importants. Il ne nous manquait peut-être pas grand chose pour être en play-offs. Je n’ai pas de regrets personnels, » a assuré le coach en conférence de presse.\\n\\nPhilippe Hervé et Cholet Basket se sont offerts hier soir une victoire de prestige face au voisin manceau, 81-80. C’était aussi la dernière sortie de Jonathan Rousselle sous les couleurs choletaises et celui-ci ne va laisser que des regrets à La Meilleraie. Il a cartonné: 23 points (4/5 à trois-points) avec 5 passes et 4 rebonds et le shoot de la victoire au buzzer. Cholet a fait un match de traînard avant de passer devant sur le fil.\\n\\n« J’ai fait un gros match, rentré le shoot de la gagne. C’est le scénario parfait pour partir. Je suis très chanceux. Je le prend très relâché. J’en ai rentré trois cette saison. J’ai vu tout le monde me sauter dessus, c’est une belle fin pour moi ici, » a déclaré Jonathan Rousselle.\\n\\nKillian Hayes a totalisé pour sa part 12 points et 6 rebonds, ses deux records en carrière.\\n\\nLa paire Mykal Riley (14 points, 8 rebonds, 4 passes) – Justin Cobbs (20 points, 6 passes) a été performante mais le MSB s’est montré très nerveux avec l’arbitrage au moment de conclure l’affaire.\\n\\nPhoto: Jonathan Rousselle (CB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet (Strasbourg): «Nanterre est toujours un adversaire difficile à manœuvrer d’autant plus que c’est une série en trois matches»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« Nanterre est toujours un adversaire difficile à manœuvrer d’autant plus que c’est une série en trois matches. Le premier se fera sous pression, chez nous. Il faudra bien le négocier. On sait où on veut aller et on respecte énormément Nanterre. Mais on est prêt, » a déclaré le coach de la SIG, Vincent Collet, quand il a eu connaissance du nom de l’adversaire de son équipe en quart de finale.\\n\\nHier soir, la différence entre Strasbourg et Dijon s’est faite en deuxième mi-temps (50 à 38), ce qui a amené une victoire de seize points (93-77) pour les Alsaciens. Dee Bost a réalisé un somptueux double double (19 points et 10 passes) pour 33 d’évaluation. Darion Atkins a également été à son affaire en attaque avec 24 points (10/14 aux shoots)... Ce qui n’a pas été le cas de David Logan (2/10).\\n\\n« Contrairement à nous, Dijon avait un enjeu important, garder sa 4eplace. Ça s’est joué à très peu de choses. Malgré un début difficile, Dijon est revenu petit à petit dans le match avec beaucoup d’adresse. Nous, on a eu des hauts et des bas dans l’intensité déployée. On a très bien démarré, on a très bien fini, mais entre les deux... Offensivement, on a bien joué, on perd peu de balles sauf dans les dernières secondes et on fait 30 passes. Dans l’agressivité, on peut toujours faire mieux. On a aussi remis des gens en route et c’est important. Le passage de Pape Sy est intéressant, ça va lui donner confiance et on récupère un joueur supplémentaire. L’absence de Louis (Labeyrie) a été compensée par un Darion (Atkins) très inspiré. Depuis un certain temps, il progresse, pas seulement par les points marqués mais aussi en défense. Et ce soir, Dee Bost a éclaboussé le match de sa classe, il a été « high level » pour ne pas dire plus. Il n’a pas raté grand chose... Ça fait plusieurs matches qu’on se passe la balle, il ne faut surtout pas que ça s’arrête ».\\n\\nPhoto: Vincent Collet (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ligue Féminine: Meilleures Joueuses de la saison, que de chemin parcouru!"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il n’est pas forcément évident de se donner un rôle majeur dans une genèse mais c’est pourtant la réalité : c’est l’auteur de ses lignes qui est à l’origine de la création d’un référendum qui détermine chaque saison les meilleures joueuses du championnat de France.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nPour les garçons, tout a commencé dans les années soixante avec une association entre l’USJSF (L’Union Syndicale des Journalistes Sportifs Français) et la marque de... vermouth aromatisé, Dubonnet. Il ne reste malheureusement que des traces éparses du palmarès. C’est lors de la saison 1982-83 que le mensuel Maxi-Basket, qui était sorti des rotatives en septembre, repris ce référendum à son compte.\\n\\nCe type de référendum a l’immense mérite de donner une hiérarchie individuelle dans le championnat national et nous avions décidé de faire voter les joueurs et les coaches. C’est ce principe qui fut repris un an plus tard pour la Nationale 1 féminine (l’ancien nom de la Ligue Féminine). Dans la discrétion. Pas de trophées et a fortiori pas de remise. Juste une double page dans le numéro 19 de mai 1984 de Maxi. Traiter du basket féminin était à l’époque une sorte de sacerdoce. Il était en France au creux de la vague aussi bien au niveau de l’équipe nationale que des clubs. Les joueuses n’étaient pas pros. Une des meilleures internationales nous avait confié être payée pour moitié en dessous-de-table. Et pas cher. Il n’y avait pas de stats, pas de ligue et il faut le dire peu de considération générale. Ce référendum, c’était tout de même une grande première !\\n\\nLe même règlement fut appliquée que pour les garçons. Joueuses et coaches devaient établir un top 10 décroissant et sans avoir le droit de voter pour une joueuse de leur club. Une liste des joueuses éligibles étaient constituée pour faciliter les réponses. Les bulletins et documents étaient évidemment envoyés par La Poste. Des relances étaient effectuées auprès des coaches par téléphone qui étaient tous fixes. Ce n’était pas une sinécure de les joindre ! Les premières années, le taux de retour chez les filles était largement supérieur à celui des garçons. A la fin des années quatre-vingt-dix, curieusement c’est le phénomène inverse qui fut observé.\\n\\nPour la première année, seul un classement pour les Françaises fut établi. Le trio de tête concernait trois générations différentes : Irène Guidotti, née en 1950 de Versailles, Cathy Malfois née en 1955 de Montferrand et Paoline Ekambi née en 1962 du Stade Français. Irène Guidotti avait été longtemps l’alter ego de Jacky Chazalon au Clermont Université Club et à la fin de la saison suivante, elle préféra se retirer afin de ne pas « devenir la grand-mère du basket français ». 41 joueuses avaient reçu des voix.\\n\\nC’est en 1986 qu’apparu un référendum pour les étrangères -avec la championne olympique Denise Curry comme lauréate- et en 1990 un autre pour les espoirs. Il est bon de rappeler qu’Odile Santaniello remporta sous le maillot de Aix-en-Provence un record de 9 titres dont 8 consécutifs et que la dernière année, elle partagea la première place avec sa coéquipière à Bourges Yannick Souvré. Le règlement ne prévoyait pas une manière de les départager. Un partenariat fut noué avec la Ligue Féminine en 2001. Après la fin de parution de Maxi-Basket, Basket Hebdo pris le relais durant trois saisons. La LFB est depuis 2016 seule maîtresse à bord.\\n\\nUne soirée commune LNB-LFB\\n\\nCes dernières années, seuls les capitaines, les coaches et un panel de médias étaient sollicités. L’an dernier, il y avait eu 30 votes exprimés sur un potentiel de 40 votants. Un bon chiffre. Cette année, toutes les joueuses avaient de nouveau le droit au vote en plus des coaches et des journalistes sachant que les joueuses votent pour les joueuses et les espoirs, les coaches pour les coaches, et les médias pour les trois catégories. Les nouvelles technologies sont venues à la rescousse des organisateurs. Fini le temps du papier, des enveloppes et des timbres. Avec Google Forms, il n’y a plus d’intermédiaires. Surtout le Syndicat des Basketteurs (SNB), qui a pris en main le sort des basketteuses, a offert ses services et possède un relais dans chaque club qui peut facilement relancer celles et ceux qui n’ont pas encore effectuer leur devoir. Bilan : près de 90% de suffrages recueillis.\\n\\nAutre grande nouveauté. Jusque-là, les filles n’avaient pas leur soirée dédiée avec petits fours, champagne et remise des trophées. La Ligue Nationale de Basket a accepté d’associer la Ligue Féminine de Basket à la sienne. La soirée aura lieu ce soir salle Gaveau, un lieu parisien prestigieux. Afin d’uniformiser les règles, la LFB a mis fin à une tradition et ne différencie plus les Françaises et les Etrangères. Il y a désormais cinq nominées dans chaque catégorie comme chez les garçons.\\n\\nC’est donc en direct que nous serons qui de Valériane Ayayi (Bourges), Amel Bouderra (Charleville), Marine Johannès (Bourges), Michelle Plouffe (Tarbes) et Nayo Raincock-Ekunwe (Nantes-Rezé) va décrocher le pompon.\\n\\nC’est une formidable avancée, un symbole de la parité. Que de chemin parcouru en trente-quatre ans. A l’image de ce qu’ont fait les joueuses sur le terrain où leurs résultats que ce soit en équipe nationale et en club sont depuis un quart-de-siècle supérieurs à ceux des garçons. Elles sont désormais toutes professionnelles et les salaires sont corrects. En tous les cas, en moyenne, plus élevés que dans le foot, rugby, hand et volley. Ne nous méprenons pas néanmoins, il y a encore du chemin à faire. Des sondages auprès des lecteurs de Maxi-Basket sur différentes décennies avaient démontré que si un quart des sondés estimaient qu’il n’y avait pas assez d’articles consacrés aux filles -soit environ 20% du magazine-, la moitié répondait que c’était la bonne mesure et un dernier quart n’était absolument pas intéressé par tout ce qui concerne les filles et la balle orange. Il faut aussi préciser que dans les lecteurs se disant fans de basket féminin, il y avait beaucoup d’hommes. Le corolaire, c’est que le pourcentage de lectrices, que ce soit des magazines ou des sites spécialisés en sport en général et en basket en particulier, est encore bien faible. Ce qui explique que pour des raisons purement commerciales -ce ne sont pas des services publics mais des entreprises privées contraintes à la rentabilité économique- et donc d’appétence de leurs lecteurs, ceux-ci hésitent à mettre les exploits des joueuses en avant notamment en couverture.\\n\\nAllez, on en reparlera dans trente-quatre ans.\\n\\nPS : Vous pouvez consulter ici le palmarès du référendum LFB.\\n\\n[armelse]\\n\\nPour les garçons, tout a commencé dans les années soixante avec une association entre l’USJSF (L’Union Syndicale des Journalistes Sportifs Français) et la marque de... vermouth aromatisé, Dubonnet. Il ne reste malheureusement que des traces éparses du palmarès. C’est lors de la saison 1982-83 que le mensuel Maxi-Basket, qui était sorti des rotatives en septembre, repris ce référendum à son compte.\\n\\nCe type de référendum a l’immense mérite de donner une hiérarchie individuelle dans le championnat national et nous avions décidé de faire voter les joueurs et les coaches. C’est ce principe qui fut repris un an plus tard pour la Nationale 1 féminine. Dans la discrétion. Pas de trophées et a fortiori pas de remise. Juste une double page dans le numéro 19 de mai 1984 de Maxi. Traiter du basket féminin était à l’époque une sorte de sacerdoce. Il était en France au creux de la vague aussi bien au niveau de l’équipe nationale que des clubs. Les joueuses n’étaient pas pros. Une des meilleures internationales nous avaient confié être payée pour moitié en dessous-de-table. Et pas cher. Il n’y avait pas de stats, pas de ligue et il faut le dire peu de considération générale. C’était tout de même une grande première !\\n\\nLe même règlement fut appliquée que pour les garçons. Joueuses et coaches devaient établir un top 10 décroissant et sans avoir le droit de voter pour une joueuse de leur club.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Amel Bouderra, MVP Française en 2016 et 2017 (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Elite : Le tableau des playoffs, Le Mans-Villeurbanne en tête d’affiche"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison régulière de Jeep Elite a rendu son verdict. Voici le programme des playoffs. Même avec l’avantage du terrain, Le Mans, qui a perdu ses deux matches de saison régulière face à Villeurbanne, n’aura certainement pas la partie facile.\\n\\nMonaco (1) – Pau (8)\\n\\nStrasbourg (2) – Nanterre (7)\\n\\nLe Mans (3) – Villeurbanne (6)\\n\\nLimoges (4) – Dijon (5)\\n\\n\\n\\n\\nPos\\nÉquipe\\n% Victoire\\nMatches\\nPts\\nMoyenne\\n\\n\\nMJ\\nV\\nD\\n+\\n–\\nGA\\nPR\\nCTR\\n\\n\\n\\n\\n1\\nMonaco\\n74\\n34\\n25\\n9\\n2925\\n2647\\n1.1050\\n86.0\\n77.9\\n\\n\\n2\\nStrasbourg\\n71\\n34\\n24\\n10\\n2849\\n2605\\n1.0937\\n83.8\\n76.6\\n\\n\\n3\\nLeMans\\n62\\n34\\n21\\n13\\n2733\\n2541\\n1.0756\\n80.4\\n74.7\\n\\n\\n4\\nLimoges\\n59\\n34\\n20\\n14\\n2657\\n2630\\n1.0103\\n78.1\\n77.4\\n\\n\\n5\\nDijon\\n59\\n34\\n20\\n14\\n2788\\n2679\\n1.0407\\n82.0\\n78.8\\n\\n\\n6\\nLyon-Villeurbanne\\n56\\n34\\n19\\n15\\n2745\\n2677\\n1.0254\\n80.7\\n78.7\\n\\n\\n7\\nNanterre\\n56\\n34\\n19\\n15\\n2763\\n2748\\n1.0055\\n81.3\\n80.8\\n\\n\\n8\\nPau-Lacq-Orthez\\n53\\n34\\n18\\n16\\n2733\\n2710\\n1.0085\\n80.4\\n79.7\\n\\n\\n9\\nBourg-en-Bresse\\n50\\n34\\n17\\n17\\n2793\\n2739\\n1.0197\\n82.1\\n80.6\\n\\n\\n10\\nLevallois\\n48\\n34\\n16\\n18\\n2694\\n2745\\n0.9814\\n79.2\\n80.7\\n\\n\\n11\\nLePortel\\n48\\n34\\n16\\n18\\n2527\\n2553\\n0.9898\\n74.3\\n75.1\\n\\n\\n12\\nChalon/Saône\\n45\\n34\\n15\\n19\\n2795\\n2793\\n1.0007\\n82.2\\n82.1\\n\\n\\n13\\nGravelines-Dunkerque\\n45\\n34\\n15\\n19\\n2595\\n2611\\n0.9939\\n76.3\\n76.8\\n\\n\\n14\\nChâlons-Reims\\n45\\n34\\n15\\n19\\n2754\\n2850\\n0.9663\\n81.0\\n83.8\\n\\n\\n15\\nCholet\\n42\\n34\\n14\\n20\\n2447\\n2572\\n0.9514\\n72.0\\n75.6\\n\\n\\n16\\nAntibes\\n39\\n34\\n13\\n21\\n2653\\n2782\\n0.9536\\n78.0\\n81.8\\n\\n\\n17\\nBoulazac\\n36\\n34\\n12\\n22\\n2639\\n2887\\n0.9141\\n77.6\\n84.9\\n\\n\\n18\\nHyères-Toulon\\n18\\n34\\n6\\n28\\n2523\\n2844\\n0.8871\\n74.2\\n83.6\\n\\n\\n\\n\\nLes huit premiers qualifiés pour les Playoffs – Les deux derniers descendent en PROB\\nRetrait d’une victoire au club de Hyères-Toulon (décision Chambre d’Appel FFBB du 09/01/2018)"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB : Charleville-Mézières officialise trois recrues"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sorties en deux manches par les surprenantes tarbaises de François Gomez en demi-finale des Playoffs, les Flammes Carolo ont déjà bien avancé leur recrutement pour la saison 2018-2019. Après avoir réussi un joli coup en ayant récupéré la lyonnaise Haley Peters, Charleville-Mézières a officialisé trois arrivées.\\n\\nHier, c’est la jeune intérieure Katia Mosengo Masa (22 ans, 1,92m), en quête de confirmation après cinq saisons passées à Mondeville (4,8pts, 3,2rbds, 5 d’évaluation en sortie de banc cette saison), qui s’est engagée avec le club ardennais, où elle tentera de suivre un parcours similaire à celui de Kadidia Minté, arrivée de l’USOM en 2013 pour s’aguerrir sous les ordres de Romuald Yernaux.\\n\\nLa « grinta » de Casas\\n\\nAujourd’hui, le club du président Yannick Yernaux a passé la vitesse supérieure en confirmant la signature de l’arrière internationale espagnole Queralt Casas (25 ans, 1,78m) en provenance de Basket Landes. Pour sa troisième saison en France, la championne d’Europe 2013 avec la Roja a réalisé son meilleur exercice à l’évaluation (12,8pts, 6,3 rbds, 15,85 d’évaluation en moyenne par match) et apportera sa rage de vaincre au groupe carolo.\\n\\n« C’est clairement une compétitrice, a déclaré Romuald Yernaux dans le communiqué officiel du club. Elle a cette grinta qui nous a parfois manqué par le passé. Nous avions besoin de ce profil avec beaucoup de créativité, de jeu rapide et d’intensité défensive. Queralt à ce trait de caractère qui peut enflammer un match et en plus elle dispose, malgré son jeune âge, de l’expérience du plus haut niveau ».\\n\\nUn état d’esprit compétiteur que l’on retrouve bien dans ce court clip sur l’Espagnole.\\n\\nZofia Hruscakova, l’autre beau coup de la journée\\n\\nEn fin de journée, les Flammes Carolo ont annoncé un nouveau renfort via leurs réseaux sociaux. Une recrue de taille puisqu’il s’agit de l’intérieure slovaque Zofia Hruscakova (23 ans, 1,90m), qui arrive de Schio (Italie) où elle vient de décrocher le titre de championne d’Italie aux côtés d’Isabelle Yacoubou, Endy Miyem, et coachée par Pierre Vincent. En EuroLeague, Zofia Hruscakova tournait à 4,7 points, 3,5 rebonds, 6 d’évaluation en 19,6 minutes en moyenne (8,5,pts 5,6rbds en moyenne en LegaBasket, première division transalpine).\\n\\n« On dit que c’est la meilleure joueuse slovaque... Elle va évoluer sur le poste 4-5, toujours dans une idée de « fight », mais aussi de mouvement. C’est une joueuse que je trouve technique, à l’aise balle en main, capable de courir, de conclure dans la mobilité, de jouer avec des contraintes diverses et variées comme recevoir le ballon en mouvement et se ré-orienter très facilement vers le cercle très facilement (...). C’est jeune joueuse mais qui a déjà un bon nombre de matchs EuroLeague derrière elle. Elle arrive en France et je pense que ça peut être une bonne surprise. Elle sera un peu dans le registre de Valeriya Berezhynska », a expliqué Romuald Yernaux sur le plateau de la web-émission.\\n\\nPour la saison prochaine Charleville-Mézières pourra encore compter sur Kaleena Mosqueda-Lewis, Amel Bouderra, Hhadydia Minte, Marie-Eve Paget, Sara Chevaugeon et Ana-Maria Filip restent. Ninda Meite, Valeriya Berezhynska, Kalis Loyd, Clarissa Dos Santos partent en revanche vers d’autres cieux."
}, 
{"role": "user",     "content":"On connait les huit qualifiés pour le Trophée du Futur 2018"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tout comme en Jeep® ÉLITE, certains Espoirs ont dû se battre jusqu’à la dernière journée du championnat pour connaitre leur classement et savoir qui ira jouer le titre à Antibes au Trophée du Futur. Qui succèdera à Nancy, vainqueur à Limoges l’année dernière ?\\n\\nSi les Sharks étaient déjà sûrs d’être qualifiés, même s’ils sont derniers du classement (3v-31d), grâce à l’organisation de l’événement, pour les deux dernières places tout était beaucoup plus flou jusqu’à ce mardi 15 mai. Nanterre et l’ASVEL l’ont respectivement emporté face à Limoges et au Portel pour composter leur billet pour la Côte d’Azur tandis que Bourg-en-Bresse et Limoges, justement, échouent aux portes de la qualification malgré une victoire face à Monaco pour les Burgiens.\\n\\nVoici les huit participants au Trophée du Futur 2018 qui se déroulera les 25, 26 et 27 mai à l’Azurarena d’Antibes :\\n\\n * Cholet\\n * Chalon-sur-Saône\\n * Strasbourg\\n * Gravelines-Dunkerque\\n * Monaco\\n * Nanterre\\n * Lyon-Villeurbanne\\n * Antibes\\n\\nPhoto : Cholet Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : Jonathan Fairell champion de France Pro B avec Blois arrive en renfort à Dijon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tout juste sacré champion de France de Pro B avec Blois, Jonathan Fairell (2,01m, 24 ans) passe au niveau au-dessus et va rejoindre la JDA Dijon pour les playoffs de Jeep® ÉLITE.\\n\\nSuite à la rupture du tendon d’Achille de Jacques Alingue, le club bourguignon se devait de réagir vite et c’est fait. Laurent Legname et son staff ont engagé l’intérieur américano-bahaméen en qualité de pigiste médical. Le fait qu’il possède le passeport bahaméen lui donne le statut de Cotonou et lui a donc donné la possibilité de signer à Dijon qui ne pouvait pas signer de joueur non formé localement et uniquement un JFL ou Cotonou/Bosman. Plutôt petit pour un intérieur, l’ancien joueur de Rouen présente le même profil que Jacques Alingue : un joueur d’équipe et besogneux.\\n\\nL’ADA Blois indique néanmoins que cet engagement ne concerne que les playoffs.\\n\\n« Jonathan nous a fait part de son souhait de relever ce défi et de découvrir les Playoffs en Jeep Elite. Compte tenu de l’investissement de Jonathan au sein de l’équipe tout au long de la saison et des moments exceptionnels vécus ensemble, l’ADA Basket a décidé d’accéder à sa demande. Il est à noter que cette sollicitation se limite à la campagne de Playoffs 2018 et ne concerne en rien la saison 2018-2019. »\\n\\nCette saison en Pro B, Jonathan Fairell compilait en moyenne 11,8 points, 6,7 rebonds et 1,2 passe décisive pour une évaluation de 14,5.\\n\\nContrairement à Ferdinand Prénom qui est descendu de Jeep® ÉLITE pour donner un coup de main à Orléans suite au forfait pour la saison de Miralem Halillovic, Jonathan Fairell fait lui le chemin inverse et monte d’un étage.\\n\\nPhoto : Tuan Nguyen"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : le documentaire de l’Euroleague sur Belgrade, «le berceau du basketball»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après différents joueurs et coachs comme Nando De Colo, Zeljko Obradovic, Luigi Datome ou encore Luka Doncic et Dimitris Diamantidis, l’Euroleague a décidé de consacrer un de ses fameux documentaires à la ville de Belgrade.\\n\\n« Le berceau du basketball ». Voici le titre de ce documentaire qui met la capitale serbe au centre du basket européen. Et même si l’Etoile Rouge ou le Partizan ne sont qualifiés pour le Final Four ou même ne dispute l’Euroleague pour le Partizan, c’est bien dans l’enceinte de la Stark Arena de Belgrade que le Fenerbahce, Kaunas, le Real Madrid et le CSKA Moscou vont se disputer le titre suprême ce week-end."
}, 
{"role": "user",     "content":"Où suivre la dernière journée de Jeep® ÉLITE pour les non-abonnés à SFR Sport ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion de la dernière journée de championnat, SFR Sport et la LNB vont diffuser les neuf derniers matchs de saison régulière de l’exercice 2017/18 de Jeep® ÉLITE en direct et en clair ce mardi 15 mai. Mais alors quand on n’est pas abonné à SFR Sport, où peut-on suivre ces rencontres ?\\n\\nEn plus de l’habituelle diffusion sur SFR Sport 2, tous les fans de basket en France pourront suivre cette exceptionnelle soirée sur plusieurs plateformes digitales :\\n\\n * Les Facebook Live de SFR Sport, de RMC Sport et de la LNB\\n * La chaîne Youtube SFR Sport\\n * Les sites rmcsport.fr et sport.sfr.fr et lnb.fr\\n * Le site Yahoo Sports\\n\\nAprès cette 34e journée, les quarts de finale des playoffs seront également à suivre en direct et en clair sur ces mêmes plateformes.\\n\\nVoici le programme de cette dernière soirée de Jeep® ÉLITE en saison régulière :\\n\\n\\n\\n\\nLevallois\\n20:45\\nAntibes\\n\\n\\n\\n\\n\\nLimoges\\n20:45\\nNanterre\\n\\n\\n\\n\\n\\nLe Portel\\n20:45\\nLyon-Villeurbanne\\n\\n\\n\\n\\n\\nGravelines-Dunkerque\\n20:45\\nHyères-Toulon\\n\\n\\n\\n\\n\\nCholet\\n20:45\\nLe Mans\\n\\n\\n\\n\\n\\nChâlons-Reims\\n20:45\\nPau-Lacq-Orthez\\n\\n\\n\\n\\n\\nBoulazac\\n20:45\\nChalon/Saône\\n\\n\\n\\n\\n\\nMonaco\\n20:45\\nBourg-en-Bresse\\n\\n\\n\\n\\n\\nStrasbourg\\n20:45\\nDijon\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: 80 ans de SCM/MSB au Mans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le SC Moderne, qui s’est transformé ensuite pour sa section professionnelle en Le Mans Sarthe Basket, a été créé en 1938 avec comme point de départ le Goulou Club Sportif fondé par Bernard Gasnal, Gaston Dauney et Fulbert Masson. Le club était l’émanation des Comptoirs Modernes, une société de distribution fondée par Leopold Gouloumes. Il accéda en première division en 1962.\\n\\nQuatre titres de champion de France, quatre coupe de France et trois Semaine des As/Leaders Cup plus tard, il est l’un des doyens de la Jeep Elite et a cumulé 20 participations de suite aux playoffs.\\n\\nFrance 3 Pays-de-Loire a réalisé ce reportage à base d’images de l’INA pour nous replonger dans son histoire, y compris à la finale de la Coupe de France de 1964 à Tours contre le Roanne d’Alain Gilles et dans le magasin de disque de Eric Beugnot situé dans le Vieux-Mans où son frère Greg lui donna un temps un coup de main.\\n\\n#RETRO @MSB_Officiel fête ses 80 ans 🏀🎂\\n\\n80 ans de pratique de haut niveau, ponctuée de titres, qui a su perdurer depuis le SCM jusqu’au MSB 1 réussite étroitement liée à une grande enseigne alimentaire de l’époque, Les Comptoirs Modernes...\\n►https://t.co/6iIFc88iZ1 pic.twitter.com/ygwW0CFthr\\n\\n— France 3 Pays de la Loire (@F3PaysdelaLoire) 15 mai 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Vitoria accueillera le Final Four 2019"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que le Final Four 2018 se déroulera cette saison à Belgrade du 18 au 20 mai, l’Euroleague vient de révéler que l’édition 2019 aura lieu à Vitoria.\\n\\nC’est la première fois de son histoire que la Fernando Buesa Arena de Vitoria-Gasteiz aura en charge l’organisation du dernier rendez-vous de la saison d’Euroleague. La salle où réside le Baskonia peut accueillir 15 504 personnes en configuration basket. Le président du Baskonia, Josean Querejeta est fier que son club ait été choisi pour organiser cet événement.\\n\\n« C’est un rêve que nous poursuivons depuis de nombreuses années. Le Final Four de 2019 placera Vitoria-Gasteiz, Alava et le Pays Basque sur la carte du monde. L’événement le plus important du basketball européen est la reconnaissance d’un club qui aura 60 ans en 2019, d’une ville et d’un territoire qui respire le basket-ball tous ses pores. »\\n\\nLes billets pour l’événement seront mis en vente au dernier trimestre 2018.\\n\\nA l’inserve de la Champions League de la FIBA, le Final Four de l’Euroleague ne se déroule pas forcément chez l’une des quatre équipes qualifiées pour l’événement. Sauf si qualification de l’hôte au terme des playoffs d’Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France U18 féminines: 18 joueuses en stage au Temple-sur-Lot"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le coach Julien Egloff et son staff ont dressé la liste des dix-huit U18 féminine qui seront en stage du 4 au 9 juin au Temple-sur-Lot. Il se fera en commun avec l’équipe de France U17.\\n\\nEntraîneur : Julien EGLOFF\\n\\nAdjoints : David GAUTIER et Thomas GIORGUITTI\\nStage au Temple-sur-Lot du 4 au 9 juin\\n\\nStage à Voiron du 3 au 12 juillet\\n\\nTournoi à Voiron du 13 au 15 juillet\\nEquipes participantes : France, Russie, Allemagne et Belgique\\n\\nTournoi en Espagne du 20 au 22 juillet\\n\\nStage à Heidelberg (Allemagne) du 23 au 29 juillet\\n\\nStage en Croatie du 30 juillet au 1er août\\n\\nStage à Udine du 2 au 3 août\\n\\nChampionnat d’Europe à Udine (Italie) du 4 au 12 août 2018\\n\\nPhoto: Océanne Monpierre (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPrénom\\nNé le\\nClub\\n\\n\\nBOUCHER\\nSarah\\n26/03/2000\\nUSO Mondeville Basket\\n\\n\\nDE FREITAS\\nMargot\\n02/04/2000\\nToulouse Métropole Basket\\n\\n\\nFOFANA\\nNabala\\n20/01/2000\\nCFBB (Paris Basket 18)\\n\\n\\nGERMOND\\nCaroline\\n16/05/2000\\nAngers – Union Féminine Basket 49\\n\\n\\nHIRIGOYEN\\nCamille\\n13/12/2000\\nUSO Mondeville Basket\\n\\n\\nJAKOVLJEVIC\\nHelene\\n05/10/2000\\nVilleneuve D’Ascq ESB\\n\\n\\nJEANNEAUX\\nRomane\\n16/05/2000\\nCFBB (Al Meyzieu)\\n\\n\\nMACQUET\\nSixtine\\n05/12/2000\\nCFBB (FC Lyon ASVEL Féminin)\\n\\n\\nMANALA\\nSerena\\n31/10/2000\\nNantes Rezé Basket\\n\\n\\nMEHADJI\\nSirine\\n11/08/2000\\nBasket Landes\\n\\n\\nMIPOKA\\nAnne-Lise\\n15/08/2000\\nCercle Jean Mace Bourges B\\n\\n\\nMONPIERRE\\nOceane\\n31/10/2000\\nCercle Jean Mace Bourges B\\n\\n\\nNIANG\\nHaby\\n26/04/2000\\nFC Lyon ASVEL Féminin\\n\\n\\nPEYREGNE\\nMathilde\\n04/05/2000\\nCercle Jean Mace Bourges B\\n\\n\\nPEYTOUR\\nEmma\\n11/08/2000\\nS.I. Graffenstaden\\n\\n\\nSAHUN\\nClarisse\\n20/04/2000\\nTarbes Gespe Bigorre\\n\\n\\nSALGUES\\nKenza\\n18/05/2000\\nCFBB (Basket Lattes Montpellier)\\n\\n\\nWOUTS\\nPaloma\\n08/02/2000\\nCFBB (Bac Vincennes)\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Jalen Reynolds en renfort à Barcelone"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Update :\\n\\nc’est officiel. Jalen Reynolds s’est engagé avec le FC Barcelone pour le reste de la saison.\\n\\nSa saison terminée en Italie avec Reggio Emilia qui a terminé douzième du classement, Jalen Reynolds (2,08m, 25 ans) aurait déjà trouvé un nouveau point de chute au FC Barcelone.\\n\\nDavid Pick révèle sur Twitter que le natif de Detroit aurait pris un vol hier pour se rendre en Catalogne et y passer la visite médicale en vue de s’engager avec le Barça pour les playoffs de Liga Endesa. Diplômé de l’université de Xavier en 2016, cet intérieur américain a rejoint l’Italie à sa sortie de fac. Après un an passé en deuxième division à Recanati, il s’est engagé une saison avec Reggio Emilia où il a notamment côtoyé le Français Landing Sané une partie de l’année avant que celui-ci ne parte à Andorre.\\n\\nCette saison, Jalen Reynolds a compilé en moyenne 10,9 points et 6,8 rebonds pour une évaluation de 13,5 en championnat et 10,5 points et 7,5 rebonds pour une évaluation de 14,6 en Eurocup. Lors de la deuxième journée de compétition, il a d’ailleurs signé son meilleur match de la saison avec 23 points (11/15 aux tirs) et 14 rebonds, dont 7 rebonds offensifs, pour une évaluation de 31 face au Galatasaray.\\n\\nSa signature devrait être officialisée ce mardi par le club espagnol.\\n\\n\\n\\n\\nSource: Jalen Reynolds is on a flight to Barcelona for medical evaluations to then sign under Svetislav Pesic. His deal, for the ACB playoffs, will become official tomorrow.\\n\\n\\n— David Pick (@IAmDPick) 14 mai 2018\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"ASVEL : John Roberson veut rester à Villeurbanne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion de France en titre avec Chalon-sur-Saône, John Roberson (1,80m, 29 ans) s’est engagé pour deux ans avec l’ASVEL à l’intersaison.\\n\\nMis a pied début mars et absent pour le match face à Nanterre à la U Arena, le natif de Kansas City vit une saison en dents de scie, capable de réaliser une performance à -8 d’évaluation et d’enchainer sur 19 puis 26 d’évaluation. Mais dans Le Progrès, l’ancien Chalonnais signe. Il veut honorer sa deuxième année de contrat et rester à Villeurbanne.\\n\\n« Je veux rester ! Mon premier rêve est de jouer en NBA et, ensuite, en Euroleague. C’est la raison pour laquelle je suis venu ici. Tony a tout de suite affiché ses ambitions quand il m’a recruté, j’ai confiance en moi et je sens que Tony a confiance en moi. »\\n\\nCette saison avec l’ASVEL, John Roberson compile en moyenne 10,9 points, 2,2 rebonds et 4,9 passes décisives pour une évaluation de 12,2 en Jeep® ÉLITE. Il tournait à 15,8 points et 4,1 assists pour une évaluation de 15,9 en Eurocup.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Quand Lassana Diarra et les joueurs du PSG s’essaient au basket"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si Lassana Diarra était un joueur de basket, il serait sans doute un mix de Patrick Beverley pour son côté pot-de-colle et agressif sur le porteur adverse et de Jamal Crawford pour ses qualités techniques hors du commun. « Lass » a choisi le foot, avec succès, ce qui ne l’empêche pas d’apprécier le basket, au même titre que bon nombre de ses coéquipiers du PSG.\\n\\nHier, en compagnie de joueurs parisiens, (Timothy Weah, Kyllian Mbappé, Layvin Kurzawa, Thomas Meunier, Presnel Kimpembe, Julian Draxler), mais aussi de son ancien coéquipier à Arsenal et à Marseille Abou Diaby, ou encore du rappeur du 113 Mokobé, le milieu défensif parisien est venu à la Hoops Factory Paris-Villette (Aubervilliers) pour officialiser un partenariat entre « Heroic Sport », sa marque de boisson énergétique, et la NBA.\\n\\nL’occasion de tâter de la balle orange pour tout ce beau monde avec plus ou moins de réussite. L’opportunité aussi pour « Lass » de témoigner tout son amour pour le basket, comme il l’a confié dans les colonnes du Parisien, déclarant qu’il aimait cette discipline « grâce à des gens comme Michael Jordan, un immense champion. Peu importe la discipline qu’on pratique c’est quelqu’un qui a marqué tout le monde. J’ai par ailleurs beaucoup d’amis basketteurs qui eux aussi aiment le foot ». L’ancienne sentinelle du Real Madrid s’est également dit être fan de NBA depuis toujours, ce qui ne l’empêche pas de regarder des matchs de Nanterre en Jeep ELITE ou d’être attentif aux évolutions du basket français comme l’arrivée de Tony Parker à l’Asvel.\\n\\nAu sujet de son entreprise et du partenariat signé avec la NBA :\\n\\n« J’ai imaginé ce projet il y a un peu plus d’un an. Il a fallu ensuite trouver une structure, une usine, une formule pour la boisson. Il a fallu comme tout chef d’entreprise, enchaîner les rendez-vous, les testing. J’ai fait une boisson aux arômes naturels ce qui a beaucoup plu à la NBA. C’est ce qui fait la différence avec les autres boissons de ce type (...). J’en suis déjà très fier, étant fan de NBA depuis toujours. La NBA est reconnue mondialement et l’exposition est parfaite. Je suis partenaire officiel en France et j’en suis très content. Voir ma boisson avec l’étiquette de la NBA collée dessus me rend très fier et heureux ».\\n\\nA noter que le pistolero uruguayen Edinson Cavani, n’était pas de la partie.\\n\\nCrédit photos Syra Sylla"
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg : Louis Labeyrie mis au repos quelques jours"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Souffrant, Louis Labeyrie (2,08m, 26 ans) a été laissé au repos par la SIG et ne disputera pas le dernier match de saison régulière face à Dijon ce mardi soir au Rhénus.\\n\\nSur son site, le club strasbourgeois indique que son intérieur français est affaibli. En rentrant du Mans dimanche, il a même fait un malaise vagal en montant dans l’avion à Nantes. Amené à l’hôpital par les secours, il est resté sous observation 24 heures et a pu faire son retour en Alsace. Cependant, il est laissé au repos pour la 34e journée de Jeep® ÉLITE et on espère le revoir pour le début de playoffs.\\n\\nCette saison en Jeep® ÉLITE, Louis Labeyrie compile en moyenne 13 points et 7,4 rebonds pour une évaluation de 18. Il est en course pour le titre de MVP de la saison. Fred Weis en a même fait son favori.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pour la saison prochaine, Gravelines veut faire dans la continuité"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Treizième du classement de Jeep® ÉLITE à une journée de la fin du championnat, le BCM Gravelines-Dunkerque n’est pas qualifié pour les playoffs et se tourne vers la saison prochaine.\\n\\nAvec déjà le coach Julien Mahé, et Benjamin Sene, Adam Mokoka et Jean-Michel Mipoka sous contrat à la rentrée, le Directeur Exécutif du club, Herve Beddeleem a indiqué à Nord-Éclair vouloir prolonger avant tout trois joueurs. Il s’agit de Quentin Serron, Taylor Smith et Chris Johnson.\\n\\nSi les deux premiers devraient pouvoir rentrer dans les plans financiers de la formation nordiste, Chris Johnson devrait être très courtisé après avoir signé un exercice 2017/18 de haut standing (15,5 points, 5,2 rebonds, 1,9 passe, 16,6 d’évaluation). Même si le budget devrait légèrement augmenter, pas sûr que le BCM soit en mesure d’offrir le contrat que pourrait signer l’ancien joueur des Utah Jazz.\\n\\nPhoto : Chris Johnson – Julie Dumélié/BCM Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB : du mouvement à l’Asvel"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La finale des Playoffs de LFB n’a pas encore débuté mais tous les clubs s’activent déjà depuis de longues semaines dans la course à l’armement en vue de la saison 2018-2019. A l’Asvel notamment, où la 5e place suivie d’une élimination en demi-finale des Playoffs face à Bourges et la qualification en Eurocoupe ont ouvert l’appétit de Tony Parker pour sa deuxième saison en tant que dirigeant de la formation féminine aux côtés de Marie-Sophie Obama (présidente déléguée).\\n\\nCôté arrivées, l’intérieure brésilienne Clarissa Dos Santos (Charleville-Mézières) et l’arrière Lidija Turcinovic (Nantes-Rezé) devraient les première recrues officialisées par le club rhodanien qui aurait également misé Fatimatou Sacko (Lattes-Montpellier) ainsi que sur l’ailière Alysha Clark (1,80m, 30 ans), joueuse WNBA récente championne de Pologne avec le CCC Polkowice, pour remplacer Haley Peters, partie à Charleville-Mézières.\\n\\nAux côtés de l’Américaine Peters (13,8 d’évaluation pour sa première saison en France), quatre autres joueuses sont sur le départ d’après Le Progrès : Mélanie Plust, arrivée à Lyon en 2012, l’arrière australienne Rebecca Allen, ainsi que les intérieures Djéné Diawara et Géraldine Robert, arrivée de Nice en cours de saison et qui disposait encore d’un an de contrat. A ce quintet viennent s’ajouter les jeunes éléments Evita Herminjard et Prescillia Lezin, également non conservées.\\n\\n« Mélanie a incarné l’image du club pendant 6 saisons. Elle a posé une empreinte sur Lyon et aidé à développer un état d’esprit qu’on souhaite perdurer. Djéné est aussi l’un des éléments clé du maintien de la saison dernière. Elle symbolise aussi, comme Haley et Rebecca – pour leur première saison en France – cet investissement sans limite et un état d’esprit qui a rendu possible notre qualification en demi-finale des Playoffs LFB. Gégé a été l’accélérateur qu’il nous fallait à partir du mois de février. Sa combattivité et son esprit collectif nous a permis de grandir plus vite. Enfin, les jeunes Prescillia et Evita ont eu un rôle important puisqu’elles ont été responsabilisées. Je suis contente qu’elles partent sur de beaux projets pour devenir de belles joueuses (respectivement à Charnay et Montbrison en LF2). Purs produits lyonnais, elles font partie de l’âme du club. Un grand merci à toutes ces joueuses, l’équipe dirigeante de Lyon ASVEL Féminin leur souhaite une bonne continuation dans leur carrière respective », a déclaré Marie-Sophie Obama sur le site officiel du club."
}, 
{"role": "user",     "content":"A 37 ans, Bostjan Nachbar raccroche ses baskets"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après 20 ans de basket professionnel dans les jambes, Bostjan Nachbar (2,06m, 37 ans) a décidé de tirer sa révérence lundi 14 mai.\\n\\nSur Twitter, l’ancien joueur du FC Barcelone a posté une vidéo de lui alors âgé de 7 ans pour expliquer que son « voyage » dans le monde professionnel est terminé. Bostjan Nachbar est un joueur reconnu en Europe et il est notamment passé par Trevise, l’Anadolu Efes, Bamberg ou encore Kazan et Barcelone en Euroleague. Drafté en NBA par les Houston Rockets à la 15e place en 2002, il a disputé pas moins de 317 matchs dans la Grande Ligue pour des moyennes de 7,1 points et 2,6 rebonds en 17 minutes de jeu en moyenne entre Houston, New Orleans et les New Jersey Nets.\\n\\nSon palmarès est également bien fourni. Même s’il n’a jamais remporté un titre NBA ou l’Euroleague, l’ancien barcelonais a notamment remporté une fois le championnat slovène, le championnat allemand, le championnat espagnol, une super-coupe d’Italie, deux super-coupes de Turquie et une super-coupe d’Allemagne.\\n\\nEn sélection nationale, l’ancien joueur du Dynamo Moscou a souvent été sélectionné. Il a participé à deux Eurobasket et deux Coupes du Monde avec la Slovénie mais n’a jamais été médaillé en seniors. En 2000 il a par contre remporté la médaille d’or lors du championnat d’Europe U20 avec la Macédoine.\\n\\n\\n\\n\\nA boy with the ball, 30 years ago. My first basketball steps. Today, this journey is over. Sincere THANK YOU to those of you, who have helped me reach my dreams. pic.twitter.com/SyJszIAwx3\\n\\n\\n— Boštjan Nachbar (@BokiNachbar) 14 mai 2018\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Philippe Hervé (Cholet): «Jonathan Rousselle doit apprendre à gérer ses frustrations»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce soir, à l’occasion du derby des Pays-de-Loire Cholet-Le Mans, qui va compter pour du beurre, Jonathan Rousselle (1,88m, 28 ans) va sans doute porter pour la dernière fois le maillot rouge et blanc. Ouest France en a profité pour demander à plusieurs joueurs et coaches qui l’ont côtoyé de donner leur avis sur le meneur de CB. Notamment à son entraîneur actuel, Philippe Hervé:\\n\\n« En deux ans, il a su exploiter son point fort, qui est la vitesse, son atout premier. D’ailleurs, sur le premier entretien que l’on a eu, je lui ai demandé quel est son point fort. Il était incapable de me répondre. En parallèle, il a évolué. Il a pris des shoots importants, qu’il a mis. Il a progressé sur son autonomie de travail. Il doit apprendre à gérer ses frustrations. Il ne peut pas attendre que tout le monde soit sur le même canal d’envie que lui (rire). Son autre problématique, c’est sa densité physique. La sienne n’est pas celle d’un arrière de très haut niveau. Chez nous, il a été beaucoup sollicité. C’est ce qui a fait qu’il a pu tirer la langue. Parfois, je l’ai vu me demander de le sortir, parce qu’il ne pouvait plus. À son âge, il ne pourra pas non plus prendre 10 kilos de muscle. Mais il saura compenser par sa vitesse et sa compréhension du jeu. Est-ce que j’ai pensé à la manière de saluer sa sortie ? Non. Tant que rien n’est officiel (sourire)... »\\n\\nCette saison, Jonathan Rousselle s’est fendu de 9,0 points, 3,9 passes et 3,6 rebonds. Il s’est offert sa première cape en équipe de France, en février contre la Belgique, pour le compte des qualifications à la Coupe du Monde.\\n\\nPhoto: CB"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Markeisha Gatling, une pivot de 1,95m et 115 kg à Basket Landes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Américaine Cierra Bravard quittant le club après deux ans de présence, Basket Landes a fait appel pour la prochaine saison à sa compatriote Markeisha Gatling, une centre puissante de 1,96m et 115 kgs âgée de 25 ans.\\n\\nMarkeisha Gatling a joué 81 matches en WNBA en trois saisons en se contentant du banc (3,8 points et 2,6 rebonds).\\n\\nPar ailleurs, la meneuse Hortense Limouzin est prêtée au Hainaut-Basket.\\n\\nLe club précise qu’il est possible qu’il ajoute une joueuse supplémentaire à son effectif qui sera composé de Celine Dumerc, Alexia Plagnard, Migna Touré, Romana Hejdova, Mailis Pokk, Miranda Ayim, Marie-Michele Milapie et Markeisha Gatling."
}, 
{"role": "user",     "content":"Ligue 2 féminine: Angers a posé réclamation pour rejouer le match à Landerneau"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La montée du Landerneau Basket Bretagne en Ligue Féminine peut-elle être remise en question? Les Finistériennes ont remporté la belle de la finale contre Angers 56-54. Seulement l’UFAB a posé réclamation estimant que le chrono avait été déclenché tardivement sur une sortie de balle en touche lors de la dernière possession en sa faveur. Il considère qu’il leur restait ainsi quelques dixièmes de secondes à jouer avec donc la possibilité d’inverser le score.\\n\\n« L’UFAB49 a porté réclamation sur la fin du match et, après visionnage vidéo (voir sur notre page Facebook), confirme cette réclamation auprès de la FFBB. Sur la dernière possession, la balle a été sorti par une joueuse de Landerneau, il reste selon la vidéo 1,2 seconde à jouer, malheureusement le chronomètre n’a pas été arrêté et les arbitres ont sifflé la fin de match, » écrit le club sur sa page Facebook.\\n\\nOn imagine si la FFBB donnait le match à rejouer alors que les Bretonnes ont fêté leur accession en LFB et que tout le monde est démobilisé."
}, 
{"role": "user",     "content":"Dennis Schroder (Atlanta Hawks) heureux de retrouver l’équipe d’Allemagne et son club de Braunschweig"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dennis Schroder (1,85m, 24 ans) n’a pas joué à Braunschweig -une ville du nord de l’Allemagne de 250 000 habitants- depuis cinq ans et le meneur de jeu allemand des Atlanta Hawks est heureux de pouvoir le faire le mois prochain à l’occasion des éliminatoires de la Coupe du monde 2019.\\n\\nDennis Schroeder est né d’un père allemand et d’une mère gambienne à Brunswick et c’est l’entraîneur du Phantoms Braunschweig qui l’a repéré alors qu’il faisait principalement du skate-board comme activité sportive.\\n\\nEn 2013, il avait remporté les titres de Meilleur Jeune (moins de 24 ans) et de Joueur ayant le plus Progressé de la ligue allemande mais son équipe fut rétrogradée en division inférieure.\\n\\nDennis Schroder est devenu un joueur qui compte en NBA. Chaque saison, il a amélioré sa moyenne de points pour passer à 19,4 points plus 6,2 passes et 3,1 rebonds. Lors de la victoire contre la France en huitièmes de finale de l’Euro 2017, il avait été l’auteur de 21 points et 8 passes.\\n\\nLa fédération allemande a eu la bonne idée d’ouvrir la troisième fenêtre de qualification par un match contre les voisins autrichiens à la Volkswagen Halle de Braunschweig, le 29 juin, et Schroder est impatient de jouer devant sa famille et ses amis.\\n\\n« J’ai vraiment hâte de pouvoir jouer ici à Braunschweig. Je n’ai pas joué ici depuis cinq ans. Ce sera un honneur pour moi « , a t-il déclaré lors d’une conférence de presse de la Fédération allemande (DBB) hier à Braunschweig. « Je pense que c’est important de jouer devant les amis avec qui nous avons grandis. Ls fans et tous mes amis en Allemagne sont heureux de me voir rejouer dans ma ville natale, nous ne pouvons pas attendre. «\\n\\nLe deuxième match de l’Allemagne dans la fenêtre de juin-juillet sera ensuite en Serbie le 2 juillet.\\n\\n« La Serbie est parmi les trois meilleures équipes au monde et bien sûr, vous êtes excité à l’idée de jouer à Belgrade devant leurs fans, c’est formidable, et vous avez hâte d’y être », a déclaré Schroder. « Ce sera un bon match, tout le monde sera là pour eux et pareil pour nous, ils ont beaucoup de talents et peuvent faire beaucoup, donc je suis excité à ce sujet. »\\n\\nL’Allemagne en est à 4 victoires en 4 matches dans le groupe G alors que la Serbie en a gagné 3, la Géorgie 1 et l’Autriche aucun.\\n\\n« En tant qu’équipe, nous voulons naturellement atteindre la Coupe du Monde, puis le Tournoi Olympique 2020. Ce qui devrait être l’objectif de tous les joueurs de l’équipe nationale et de l’organisation (DBB), c’est gagner une médaille si tout le monde est là. Moi, le mien, c’est d’en gagner une. C’est pour cela que je sacrifie mon temps durant l’été. Cela devrait être l’objectif de tous les joueurs, et si ce n’est pas le cas, ils ne devraient pas jouer! Je ne peux pas vous donner un échéancier – deux ou trois ans, cinq ans, qui sait, mais avec l’équipe que nous avons, nous avons le niveau pour y parvenir. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE et Euroleague : les trophées de l’année de Fred Weis"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tout au long de la saison, notre consultant Frédéric Weis a passé en revue l’actualité du basket français et européen à travers sa chronique « Big Fred Style ». L’exercice 2017/18 se termine, l’ancien international a délivré ses trophées de fin de saison de Jeep® ÉLITE et d’Euroleague, les deux compétitions qu’il commente sur les antennes de SFR Sport.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAu menu, cinq majeur de la saison, MVP, meilleur défenseur, meilleur jeune, meilleure progression et meilleur entraîneur.\\n\\nCinq majeur de Jeep® ÉLITE :\\n\\nZack Wright (Strasbourg) : il sait tout faire. Il peut marquer, passer, prendre des rebonds et aussi mettre une grosse pression défensive. Et tout ça dans la deuxième meilleure équipe du championnat.\\n\\nGérald Robinson (Monaco) : le meilleur et le plus régulier joueur de la meilleure équipe. Deuxième marqueur du championnat avec 16,3 points de moyenne, ce qui, dans un effectif avec pléthore de talents offensifs, est une vraie performance.\\n\\nBoris Diaw (Levallois) : Boris sera toujours Boris. Il éclaire le jeu, sait tout faire. La preuve, c’est la huitième évaluation de Jeep® ÉLITE, le onzième rebondeur et le septième passeur. Et tout ça sans tirer la couverture à lui.\\n\\nZachery Peacock (Bourg-en-Bresse) : largement le meilleur marqueur du championnat avec 3,4 points de moyenne de plus que le deuxième (Robinson) et meilleur évaluation du championnat : 20,6 par match. Un métronome. Pas une seule fois il a marqué moins de dix points dans un match de Jeep® ÉLITE !\\n\\nLouis Labeyrie (Strasbourg) : quatrième évaluation du championnat (presque 18 par match) troisième rebondeur (7,64 par match). Sans lui, la deuxième meilleure équipe du championnat souffre. Mon MVP de la saison.\\n\\n5 Euroleague :\\n\\nLuka Doncic (Real Madrid) : la jeune merveille, le futur numéro 1 de la draft, meilleure évaluation de la compétition (presque 22 par match), quatrième scoreur (16 points par match), bon passeur, bon rebondeur et il n’a que 19 ans !\\n\\nAlexey Shved (Khimki Moscou) : largement meilleur marqueur de la compétition avec presque 22 points de moyenne devant un de Nando Colo à « seulement » moins de 17 ! Plusieurs records sont tombés avec lui cette saison et il a fini en marquant 36 points contre le CSKA à 8 sur 12 à 3-points, un monstre au scoring.\\n\\nNando De Colo (CSKA Moscou) : deuxième marqueur de l’Euroleague, troisième évaluation mais surtout élu joueur le plus décisif de la saison. Rien que ce titre est suffisant pour montrer son impact dans la meilleure équipe de la saison. Mon MVP de la saison.\\n\\nTornike Shengelia (Vitoria) : cinquième évaluation, douzième scoreur, troisième rebondeur présent dans tous les secteurs de jeu, principal artisan de la bonne saison (malgré des débuts difficiles) de Vitoria.\\n\\nJan Vesely (Fenerbahce) : sixème évaluation, mais un joueur ayant un impact bien plus important que seulement les stats dans la deuxième meilleure équipe d’Euroleague, de l’énergie à revendre.\\n\\nJeep® ÉLITE :\\n\\nMeilleur Jeune :\\n\\nPeut on élire quelqu’un d’autre que Elie Okobo (Paul-Lacq-Orthez) ? Meneur titulaire et décisif d’une équipe de playoffs. On l’oublie souvent, il n’a que 20 ans – 21 en octobre – et c’est 12,9 points, 2,6 rebonds et 4,7 assists de moyenne. C’est au top quand même.\\n\\nMeilleure Progression :\\n\\nYoussoupha Fall (Le Mans). En pro B l’année dernière, il a souvent été l’arme absolue du Mans. Il termine à : 11,3 points et 7 rebonds pour 14,2 éval. Et ce n’est que le début !\\n\\nMeilleur entraineur :\\n\\nLaurent Legname (Dijon). Malgré un petit budget, le treizième de Jeep® ÉLITE, son équipe, la JDA est, à une journée de la fin du championnat, quatrième devant des cadors comme l’ASVEL, Limoges ou Pau.\\n\\nMeilleur défenseur :\\n\\nLa défense, ce n’est pas que des stats. C’est aussi la volonté et l’abnégation, clairement le profil de Aaron Craft (Monaco). Quand on est défendu par Craft, difficile de s’en défaire.\\n\\nEuroleague :\\n\\nMeilleur Jeune :\\n\\nLe meilleur jeune c’est Luka Doncic. Énorme joueur, futur premier de la draft, un culot monstre. J’ai même presque honte de le considérer comme un jeune !\\n\\nMeilleure progression :\\n\\nVincent Poirier (Vitoria). Il est monstrueux, il apprend chaque jour. Début de saison difficile avec Pablo Prigioni. Nouveau coach, nouvelles opportunités et Vincent les a saisies ! Pour l’illustrer, on peut dire qu’il a raté son premier match de playoffs, par contre il a été excellent sur les deux suivants. Je vous le dis, il progresse sans cesse. Bientôt la NBA. Dès l’année prochaine ?\\n\\nMeilleur entraîneur :\\n\\nSarunas Jacikevicius (Zalgiris Kaunas), forcément. L’entraineur de l’équipe de Kaunas, invité surprise du Final Four, avec un budget rikiki en comparaison des trois mastodontes que sont le Real, le Fener et le CSKA, a fait des miracles toute la saison, ne quittant jamais le top 8. Très courtisé, où sera-t-il l’année prochaine, au Barça ? C’est une des nombreuses possibilités.\\n\\nMeilleur défenseur :\\n\\nKyle Hines (CSKA Moscou). Pour moi, il colmate toutes les brèches du CSKA. Nando est le chef de l’attaque, lui de la défense. Un Jim Bilba 3.0.\\n\\nPhoto : Karen Mandau/Euroleague/BCL\\n\\n[armelse]\\n\\nAu menu, cinq majeur de la saison, MVP, meilleur défenseur, meilleur jeune, meilleure progression et meilleur entraîneur.\\n\\nCinq majeur de Jeep® ÉLITE :\\n\\nZack Wright (Strasbourg) : il sait tout faire. Il peut marquer, passer, prendre des rebonds et aussi mettre une grosse pression défensive. Et tout ça dans la deuxième meilleure équipe du championnat.\\n\\nGérald Robinson (Monaco) : le meilleur et le plus régulier joueur de la meilleure équipe. Deuxième marqueur du championnat avec 16,3 points de moyenne, ce qui, dans un effectif avec pléthore de talents offensifs, est une vraie performance.\\n\\nBoris Diaw (Levallois) : Boris sera toujours Boris. Il éclaire le jeu, sait tout faire. La preuve, c’est la huitième évaluation de Jeep® ÉLITE, le onzième rebondeur et le septième passeur. Et tout ça sans tirer la couverture à lui.[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto : Karen Mandau/Euroleague/BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Elite & Pro B: Le rappel du règlement pour départager les équipes à égalité pour les playoffs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce soir, c’est le baisser de rideau de la Jeep Elite. Ce week-end, ce sera autour de la Pro B. La LNB fait un rappel du règlement (Article 343 et 344 des Règlement Généraux de la LNB) permettant de procéder au classement des équipes à égalité de points afin de définir les places pour les Playoffs.\\n\\nArticle 343\\n\\nLe classement est établi en tenant compte :\\n\\n– du pourcentage de victoire sur le nombre de rencontre ;\\n\\n– du goal-average (différence entre les points marqués et points encaissés)\\n\\nIl est attribué :\\n\\n– Une victoire pour une rencontre gagnée ;\\n\\n– Une défaite pour une rencontre perdue ;\\n\\n– Une victoire en moins pour une rencontre perdue par forfait ou pénalité.\\n\\nArticle 344\\n\\nSi deux ou plusieurs équipes possèdent le même rapport victoires/défaites enregistré sur l’ensemble des rencontres du groupe (la Jeep Elite ou la PROB), la (ou les) rencontre(s) jouées entre ces deux ou plusieurs équipes décideront du classement. (mini-championnat entre les équipes à égalité).\\n\\nSi deux ou plusieurs équipes possèdent le même rapport victoires/défaites enregistré sur l’ensemble des rencontres entre elles, les critères suivants seront appliqués dans l’ordre qui suit.\\n\\n– Plus grande différence de points sur les rencontres jouées entre elles ;\\n\\n– Plus grand nombre de points marqués sur les rencontres jouées entre elles ;\\n\\n– Plus grande différence de points sur l’ensemble des rencontres du groupe (Jeep Elite ou PROB);\\n\\n-Plus grand nombre de points marqués sur l’ensemble des rencontres du groupe (Jeep Elite ou PROB).\\n\\nSi ces critères ne sont toujours pas suffisants, un tirage au sort décidera du classement.\\n\\nSi à n’importe quelle étape de l’application de ces critères une ou plusieurs équipes peuvent être classées, la procédure ci-dessus devra être répétée depuis le début pour classer les équipes restant à classer."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Vincent Poirier propulse Vitoria à la 2e place de la Liga"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Bleus du basket ne se sont jamais aussi bien exportés ! Le contingent tricolore compte vingt six joueurs (neuf de plus que l’an passé) pour neuf pays sur le Vieux Continent.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n\\nVitoria et Barcelone se disputent la 2e place\\n\\nAvec quelques balles perdues en moins, Vincent Poirier aurait peut-être bien pu réaliser son meilleur match (établi à 24 d’éval’) en carrière en Liga ACB, mais avec 15 points, 9 rebonds et 2 contres (et donc 4 turnovers), le pivot tricolore termine à 22 d’évaluation, soit son 2e meilleur total de la saison.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=lfR2EiuyWNA\\n\\nMoins heureux que Poirier victorieux, Thomas Heurtel a néanmoins réalisé un bon match pour Barcelone face à Tenerife. Le meneur français cumule de fait 16 points et 4 passes pour une 3e rencontre de suite en double figure au scoring. Mais Tenerife voulait absolument s’imposer pour rester dans la course aux playoffs et le Barça s’est fait surprendre !\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=4IQZchcvBfw\\n\\nAvec leur belle victoire face à Bilbao, les joueurs de Vitoria (23 victoires pour 9 défaites) s’emparent de la 2e place de la Liga, derrière le Real Madrid. Et en dépossédant donc le Barça (22 victoires pour 10 défaites) qui reste néanmoins en embuscade...\\n\\n\\nLe retour du Tsar\\n\\nNando De Colo a annoncé qu’il serait bien au Final Four de l’Euroleague et c’est évidemment une excellent nouvelle pour son club, comme pour le spectacle. L’arrière tricolore est revenu au jeu en VTB League ce weekend et il a encore fait feu de tout bois avec une prestation complète à 17 points, 5 passes et 3 interceptions. S’il a perdu 4 ballons, De Colo a surtout assuré la large victoire du CSKA.\\n\\nL’armada moscovite se présentera ainsi en tête de série pour les playoffs qui débuteront le 24 mai. Le CSKA sera opposé au premier tour à Riga. Le club de la capitale lettone s’est qualifié in extrémis et part largement outsider dans ce duel entre le 1er et le 8e...\\n\\n\\nBoris Dallo sort son meilleur match\\n\\nOn vous parlait déjà la semaine passée de Boris Dallo et sa belle saison en Grèce. Et bien, le meneur enchaîne encore et il vient tout simplement de réaliser son meilleur match en Ezake avec 23 d’évaluation (il avait déjà atteint 21 et 22). Il a cumulé 14 points, 7 rebonds et 5 passes. Dès qu’il a de l’adresse, Dallo devient extrêmement redoutable !\\n\\n\\nDe belles perfs’ à l’Est\\n\\nPour finir, nous ne pouvons pas ne pas mentionner les belles prestations de trois joueurs français exilés dans l’Est du continent. D’abord, en Serbie, on a Bandja Sy qui a signé une belle copie dans la facile victoire de son club. Sy cumule 9 points à 4/5 aux tirs, plus 4 interceptions, 3 passes, 2 rebonds et 2 contres !\\n\\nMoustapha Fall a également bien noirci la feuille de stats avec 6 points, 8 rebonds, 7 passes et 2 contres en Turquie. Malheureusement son club a dû s’incliner. Enfin, en Israël, Frédéric Bourdillon a réussi un bon match avec 7 points et 4 interceptions pour l’Hapoel Eilat défait contre un autre Hapoel, celui de Jérusalem.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=ZHoZh_RBIGw\\n\\n\\nEspagne\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 16 points (5/11 aux tirs), 4 passes, 2 rebonds en 25 minutes (défaite 86-81 face à Tenerife)\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 15 points (5/6 aux tirs), 9 rebonds, 2 passes, 2 contres, 4 balles perdues en 25 minutes (victoire 78-74 face à Bilbao)\\n\\nAdrien Moerman (Barcelone) : 10 points (4/8 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 1 interception, 1 contre et 1 balle perdue en 20 minutes (défaite 86-81 face à Tenerife)\\n\\nRodrigue Beaubois (Vitoria) : 8 points (2/6 aux tirs), 8 rebonds, 4 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 25 minutes (victoire 78-74 face à Bilbao)\\n\\nNicolas De Jong (Saragosse) : 8 points (2/6 aux tirs), 2 rebonds, 2 contres, 1 passe en 22 minutes (victoire 83-82 face à Malaga)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 6 points (1/1 au tir), 3 passes, 3 interceptions, 2 rebonds, 3 balles perdues en 23 minutes (victoire 94-81 face à San Sebastian)\\n\\nEdwin Jackson (Barcelone) : 2 points (1/3 aux tirs), 1 rebond, 1 passe, 1 balle perdue en 12 minutes (défaite 86-81 face à Tenerife)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 2 points (1/2 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 1 balle perdue en 16 minutes (victoire 63-61 face à Murcia)\\n\\nLanding Sané (Andorre) : 0 point (0/4 aux tirs), 1 rebond en 10 minutes (victoire 94-81 face à San Sebastian)\\n\\nLivio Jean-Charles (Malaga) : n’a pas joué (défaite 83-82 face à Saragosse)\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : n’a pas joué – blessé\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué – blessé\\n\\n\\nGrèce\\n\\nBoris Dallo (Panionios) : 14 points (4/5 aux tirs), 7 rebonds, 5 passes, 1 interception, 3 balles perdues en 30 minutes (défaite 90-78 face à Rethymno)\\n\\nAngelo Tsagarakis (Kymis) : 5 points (2/3 aux tirs), 2 interceptions, 1 rebond, 1 contre, 1 balle perdue en 13 minutes (défaite 82-76 face à l’AEK)\\n\\nKim Tillie (Olympiakos) : blessé pour la fin de saison\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : 7 points (3/8 aux tirs), 4 interceptions, 1 passe en 18 minutes (défaite 92-73 face à l’Hapoel Jérusalem)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Milan) : n’a pas joué (victoire 105-73 face à Cantu)\\n\\nNobel Boungou-colo (Turin) : non qualifié en playoffs\\n\\nYakhouba Diawara (Pistoia) : non qualifié en playoffs\\n\\n\\nLituanie\\n\\nAxel Toupane (Kaunas) : 9 points (4/5 aux tirs), 2 rebonds, 2 interceptions, 1 passe, 2 balles perdues en 21 minutes (victoire 95-70 face à Kėdainiai)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) :\\n\\n– 4 points (1/5 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes en 28 minutes (défaite 82-76 face à Ostrów Wielkopolski)\\n– 2 points (1/3 aux tirs), 8 rebonds, 1 passe, 1 contre, 2 balles perdues en 25 minutes (défaite 82-81 face à Ostrów Wielkopolski)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA) : 17 points (6/8 aux tirs), 5 passes, 3 interceptions, 2 rebonds, 4 balles perdues en 19 minutes (victoire 111-76 face à Perm)\\n\\nLeo Westermann (CSKA) : n’a pas joué (victoire 111-76 face à Perm)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 9 points (4/5 aux tirs), 4 interceptions, 3 passes, 2 rebonds, 2 contres en 18 minutes (victoire 108-59 face à Vrsac)\\n\\nMathias Lessort (Etoile Rouge) : 2 points (2/4 aux lancers), 5 rebonds, 1 balle perdue en 9 minutes (victoire 89-75 face à Zlatibor)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nMoustapha Fall (Sakarya) : 6 points (2/4 aux tirs), 8 rebonds, 7 passes, 2 contres, 1 balle perdue en 28 minutes (défaite 102-96 face à Eskisehir)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : le Barça tape facilement Andorre"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : Tibor Pleiss (Valence) forfait pour le reste de la saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Coup dur pour Valence qui devra faire sans son géant Tibor Pleiss (2,18m, 28 ans) pour le reste de la saison et donc les playoffs de Liga Endesa.\\n\\nLe club indique que samedi à l’entraînement l’international allemand a ressenti une soudaine douleur dans la plante du pied gauche avant de quitter le terrain. Les examens passés ultérieurement ont révélé que l’ancien joueur du Galatasaray souffre d’une déchirure de l’aponévrose plantaire.\\n\\nCette saison en ACB, Tibor Pleiss compilait en moyenne 9,8 points et 6,2 rebonds pour une évaluation de 12,5.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Olivier Bourgain (Limoges): » On savait très bien où on allait et on va essayer de le prouver en terminant quatrième pour faire taire les langues de p...»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Olivier Bourgain, le directeur sportif du Limoges CSP, n’a pas la langue dans sa poche et il le prouve de nouveau dans une interview donnée ce jour au Populaire:\\n\\n« On a jamais baissé pavillon et on ne s’est jamais démobilisé. Même si on a souvent perdu à l’extérieur, cette équipe a une force mentale importante. Quand il a fallu se relever, on l’a fait. Pourtant, on avait mille et une excuses pour ne pas le faire. Une saison est longue et on a forcément des hauts et des bas. Mais on ne voit pas la qualité d’une équipe quand elle est en haut mais quand elle est en bas. Quand les gens critiquent et qu’on devient subitement des merdes. Durant cette période, l’équipe est restée soudée. Il n’y a pas eu de fuite en avant des uns et des autres. Les coaches et le management ont toujours contrôlé les choses. On savait très bien où on allait et on va essayer de le prouver en terminant quatrième pour faire taire les langues de p... »\\n\\nL’objectif, c’est le top 4 et pour cela, il faut battre demain Nanterre à Beaublanc.\\n\\n« Il le faut. En plus, il y a eu des comportements à la Leaders Cup qui m’ont un peu énervé (NDLR: Nanterre avait éliminé Limoges en quarts de finale, 84-74). On va essayer de rendre la monnaie de la pièce parce que là, on doit rendre la monnaie à quelqu’un. C’est Nanterre. Je n’ai aucune animosité contre eux. Au contraire, je respecte ce bon club de Jeep Elite mais on sait très bien que si on les bat et que Strasbourg fait le travail contre Dijon, on terminera 4e. Cela changerait beaucoup de choses puisqu’on recevrait éventuellement une belle en quart de finale. Quand on connaît l’impact de Beaublanc, ce n’est pas anodin. Donc on va tout faire pour gagner ce match. »\\n\\nPhoto: Sébastien Grasset"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Ferdinand Prénom en renfort de luxe à Orléans pour les playoffs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Privé de Miralem Halilovic pour le reste de la saison, l’OLB n’a pas chômé pour trouver son remplaçant et ont signé un joueur reconnu en France, Ferdinand Prenom (2,01m, 27 ans).\\n\\nSur son site, Orléans indique que l’ancien joueur de Boulogen-sur-Mer arrive en qualité d pigiste médical de l’international bosnien. Depuis le début de la saison en Jeep® ÉLITE sous les couleurs de Hyères-Toulon, le natif de Paris vient donc à la rescousse de son ancien entraîneur au SOMB. Celui qui lui a remis le pied à l’étrier suite à sa rupture des ligaments croisés du genou gauche en 2015/16.\\n\\nEntraîneur de l’OLB, Germain Castano se félicite de ce recrutement.\\n\\n« C’est un vrai poste 5 au gabarit imposant, Ferdinand possède de très bonnes mains. Le vrai point positif, c’est qu’il sera un vrai ancrage prêt du panier, il va ouvrir des possibilités pour les autres joueurs de s’exprimer. C’est un garçon qui humainement possède un état d’esprit irréprochable et un excellent QI Basket. Pour l’avoir déjà coaché une saison, je connais parfaitement la nature du joueur que je vais trouver. »\\n\\nDepuis le début de la saison, Ferdinand Prénom compilait en moyenne 9,5 points, 4,2 rebonds et 1 passe décisive pour une évaluation de 10,5.\\n\\nLe staff orléanais doit encore trouver le remplaçant d’Alex Abreu, lui aussi forfait pour le reste de la saison.\\n\\nPhoto : Ann-Dee Lamour"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet : sans prévenir, Isaiah Cousins a quitté le club et est rentré aux Etats-Unis"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A une journée de la fin de la saison de Jeep® ÉLITE, Isaiah Cousins (1,93m, 24 ans) a quitté Cholet sans prévenir le club.\\n\\nArrivé mi-avril, le New-Yorkais n’a pas fait long feu à Cholet. Ouest-France révèle aujourd’hui que l’ancien joueur des Reno Bighorns a pris l’avion ce week-end direction les Etats-Unis, sans prévenir personne. Heureusement pour CB, le maintien en Jeep® ÉLITE a été décroché lors du dernier match et n’aura pas de pression mardi soir pour la réception du MSB.\\n\\nL’entraîneur Philippe Hervé n’a pas compris le départ de son joueur, même s’il avait remarqué que son intégration était difficile.\\n\\n« Je ne m’y attendais pas. On avait bien identifié qu’il avait beaucoup de mal à se fondre dans un collectif, mais il bossait, et nous avait apporté des choses. Il a même menti à l’un de ses partenaires, histoire que celui-ci l’emmène à l’aéroport. »\\n\\nEn moyenne avec Cholet, Isaiah Cousins a compilé 13,2 points, 3,3 rebonds et 3,2 passes décisives pour une évaluation de 11,8 en huit matchs.\\n\\nPhoto : Cholet Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nando De Colo (CSKA Moscou) : «Je serai prêt pour le Final Four»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Blessé à l’adducteur contre le Khimki Moscou en quart de finale de l’Euroleague, Nando De Colo (1,95m, 30 ans) était incertain pour le Final Four, mais le meneur du CSKA Moscou a rassuré tout le monde, sauf peut-être le Real Madrid.\\n\\nComme le rapporte Eurohoops, l’international français a fait son retour samedi face à Parme en VTB League. En 19 minutes de jeu, il a compilé 17 points, 2 rebonds, 5 passes et 3 interceptions pour une évaluation de 20. Mais il a annoncé ne pas encore être à 100%...\\n\\n« Je suis heureux d’être de retour et d’avoir pu disputer un match officiel avant le Final Four. Je ne suis pas encore à 100%, mais je le serai après une semaine entière d’entraînement. »\\n\\nCette saison en Euroleague, Nando De Colo compile en moyenne 16,9 points, 2,3 rebonds et 3,9 passes décisives pour une évaluation de 19,8, et il est en course pour le titre de MVP de la saison.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pourquoi les matches de quarts-de-finale de Jeep Elite seront en clair ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La LNB et SFR Sport vont diffuser en clair la dernière journée de saison régulière de Jeep Elite ainsi que les quarts de finale des playoffs afin d’augmenter la visibilité et développer le nombre d’abonnés.\\n\\nAu site spécialisé sportbuzzbusiness.fr, Isabelle Colette, Directrice Adjointe de la LNB, précise la démarche:\\n\\n« Il n’est pas nouveau d’avoir des matchs en clair puisque c’est convenu chaque saison avec notre diffuseur SFR Sport (NDLR: sur L’Equipe 21 puis Numéro 23). Cette saison, nous avons la volonté d’axer sur le digital en cohérence avec la stratégie de SFR Sport et celle de la LNB. Il est légitime qu’un détenteur de droits qui paye cher l’achat de ses droits garde une forme d’exclusivité mais la mise en clair est vertueuse pour tous : elle permet de valoriser le produit et donc de donner envie d’avoir accès à l’intégralité de ce dernier en devenant client de la chaîne. Les partenaires sont également sensibles à la démarche, la visibilité du basket étant un enjeu pour eux également pour augmenter le « reach ». »\\n\\nQuant à François Pesenti, le Directeur Général de RMC Sport, il confirme que le basket est l’un des piliers du développement de SFR Sport qui va devenir RMC Sport:\\n\\n« Nous disposons de l’offre basket la plus exhaustive qui soit. Le basket pro est présent sur les antennes quasi quotidiennement, encadré par le magazine Buzzer et soutenu par RMC. Cela fidélise les fans qui nous suivent aussi beaucoup via leur mobile ou leur tablette. Les abonnés nous remercient de l’exhaustivité de cette couverture de tous les baskets d’Europe, et ils seront de plus en plus nombreux à en bénéficier la saison prochaine. Notre offre Basket sera exposée sur un bouquet que vont rejoindre beaucoup de nouveaux abonnés grâce à la Champions League et à l’Europa League. »\\n\\nPhoto: François Pesenti (RMC Sport)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges veut continuer en Eurocup la saison prochaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Interrogé sur le site de la LNB, le Directeur Sportif du CSP Limoges, Olivier Bourgain a fait un bilan de la saison et s’est également projeté avec précaution sur la saison à venir.\\n\\nL’ancien entraîneur de Boulogne-sur-Mer a notamment confirmé la rumeur qui indiquait l’intérêt du club limougeaud pour Jérémy Nzeulie.\\n\\n« C’est la vérité. Jérémy est un joueur que j’aime profondément. Je voulais déjà le faire venir en son temps au SOM Boulogne. Economiquement, on ne peut pas s’aligner contre Strasbourg, ni l’ASVEL. »\\n\\nLe moment venu d’évoquer les Coupes d’Europe, Olivier Bourgain n’a pas hésité. Il souhaite, si choix possible, continuer en Eurocup la saison prochaine et il a expliqué pourquoi.\\n\\n« Déjà parce qu’historiquement, Limoges a toujours été proche de l’Euroleague. Et l’Euroleague nous a tendu la main cet été alors qu’elle n’avait pas forcément de raisons sportives de le faire*. Elle l’a fait eu égard à nos excellentes relations avec Jordi Bertomeu et l’Euroleague, et avec le passé de Limoges. Quand l’Euroleague vient te chercher et te donne une wild-card, il ne faut pas l’oublier. Si on nous propose de repartir en EuroCup, je ne vois pas comment c’est possible de le refuser. Et puis je prétends que le niveau de l’EuroCup est supérieur à celui de la BCL, tout simplement. Il y a des équipes très proches du niveau Euroleague, comme Krasnodar, Kazan, le Bayern... C’est une compétition bien organisée. La BCL reste une compétition importante, quand on voit la finale entre Monaco et l’AEK, c’est aussi d’un bon niveau. Mais à choisir, on prendra l’EuroCup, sans aucun doute. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV: Multiplex de la dernière journée et quarts-de-finale de Jeep Elite en accès gratuit"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La LNB et SFR proposent en accès gratuit le multiplex pour suivre l’intégralité de la dernière journée de la saison régulière et tous les quarts de finale de la Jeep Elite via les plateformes suivantes:\\n\\n-Les Facebook Live de SFR Sport et RMC Sport\\n\\n-La chaîne Youtube SFR Sport.\\n\\n-Les sites rmcsport.fr et sport.sfr.fr\\n\\n-Le site Yahoo sport\\n\\nPar ailleurs, ce week-end est celui du Final Four de l’Euroleague et du début de la finale de Ligue Féminine.\\n\\nMardi 15 mai:\\n\\n20h45 – Multiplex – Jeep Elite – SFR Sport 2\\n\\nVendredi 18 mai:\\n\\n18h00 – Moscou/Madrid – Euroleague – SFR Sport 2\\n\\n21h00 – Fenerbahçe/Zalgiris – Euroleague – SFR Sport 2\\n\\nSamedi 19 mai:\\n\\n20h45 – Bourges/Tarbes – Ligue Féminine – SFR Sport 2\\n\\nDimanche 20 mai:\\n\\n17h00 – Finale 3e place – Euroleague – SFR Sport 2\\n\\n20h00 – Finale – Euroleague – SFR Sport 2\\n\\nLundi 21 mai:\\n\\n20h45 – Tarbes-Bourges – Ligue Féminine – SFR Sport 2"
}, 
{"role": "user",     "content":"Privé de Jacques Alingue, Dijon cherche un renfort pour les playoffs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Victime d’une rupture du tendon d’Achille lors du dernier match, défaite face à Gravelines, Jacques Alingue est indisponible pour plusieurs mois. Le club s’est donc mis à la recherche d’un remplaçant.\\n\\nJournaliste au Bien Public, Aurélien Meazza indique que la JDA est à la recherche d’un pigiste médical pour la durée des playoffs. Cependant, il rappelle que ça ne peut pas être n’importe quel joueur. Celui qui arrivera en Bourgogne pour pallier l’absence de l’ancien intérieur du HTV devra obligatoirement avoir le statut de JFL ou Bosman/Cotonou et ne devra pas avoir joué en Jeep® ÉLITE cette saison. La perle rare devra même être trouvée par Dijon avant mardi minuit. Une mission compliquée...\\n\\nAvant sa blessure, Jacques Alingue réalisait la meilleure saison de sa carrière avec 9,4 points, 69,4% de réussite aux shoots, et 5,6 rebonds pour 15,6 d’évaluation. Il avait même été élu joueur du mois de mars. Sur twitter, le consultant de SFR Sport 2 Stephen Brun annonce qu’il devait s’engager pour la SIG Strasbourg la saison prochaine.\\n\\n\\n\\n\\n#basket #Dijon Après la grave blessure de Jacques Alingué, la JDA étudie la possibilité d’engager un pigiste médical (statut JFL ou Bosman/Cotonou, et ne pouvant évoluer en Elite – conformément au règlement LNB après le 1er mars) avant mardi minuit.\\n\\n\\n— Aurélien Meazza (@ameazza) 13 mai 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Landerneau se dit prêt à affronter la Ligue Féminine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’accession en Ligue Féminine du Landerneau Basket Bretagne, c’est un évènement pour la ville, le Finistère et la Bretagne.\\n\\nOuest France a demandé à son président Erwan Croguennec si cette montée arrive un peu tôt pour ce club issu de Pleyber-Christ devenu en 2011 Léon Trégor Basket puis le LBB en 2015.\\n\\n« Non ! Le train passe à Landerneau, il faut monter dedans. Mais c’est un travail de longue haleine. Depuis Pleyber-Christ, tout est construit sur des bases solides. On l’entretient avec de nouvelles personnes, des idées constructives. Nous avons une structure professionnelle adossée à un club amateur, et non l’inverse : 80 bénévoles, un seul salarié. Quand on voit ce qu’on génère économiquement et socialement sur le territoire, et à l’échelle de la Bretagne... C’est le retour d’un club breton au plus haut niveau depuis vingt ans ! »\\n\\nLe budget du club a beau avoir été multiplié par trois en trois ans et être passé à 740 000 euros, il demeure très léger et le président estime qu’il faut l’accroître d’au moins 250 000 euros.\\n\\n« Je suis confiant, car le territoire est riche d’un tissu de très belles entreprises qui se reconnaissent dans nos valeurs. On a des ressources très saines. En moyenne, en Ligue, 62 % sont d’origines publiques. Nous en sommes à 25 %. Donc si ça évolue ce sera dans le bon sens. Mais il n’y a pas que les subventions. Les politiques sont bien présents, ils nous fournissent une belle salle et l’aide du personnel municipal compétent. »\\n\\nPhoto: LBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Boulazac: Claude Bergeaud directeur sportif ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Boulazac Basket Dordogne a réalisé un audit dont les résultats devraient être dévoilés vendredi lors d’une conférence de presse. Sud Ouest annonce que Claude Bergeaud pourrait devenir directeur sportif du club alors que le poste de coach serait pris par son adjoint Thomas Andrieux, 41 ans, par ailleurs ancien joueur de Pro A et de Pro B.\\n\\nDe son côté, France Bleu ajoute:\\n\\n« A la tête du club, Jacques Auzou serait sur le point de passer la main. On voit mal le président lâcher son bébé. Laurent Serres, chef d’entreprise et membre du conseil d’administration est annoncé au plus haut sommet du club. Président ou co-président ? »\\n\\nA la question de savoir si le BBD peut envisager de remonter dès la saison prochaine en Jeep Elite, Claude Bergeaud répond dans Sud Ouest:\\n\\n« Oui pourquoi pas. Boulazac est un club solide et l’organisation va encore grandir et passer une étape supplémentaire. C’est un club qui mériterait d’être en Pro A, mais cette année sur le sportif, on ne le méritait pas. »\\n\\nIl reste éventuellement une issue de secours pour le club du Périgord: que l’ADA Blois, champion de France Pro B, ne puisse pas règlementairement accéder à la l’élite.\\n\\nPhoto: Hervé Bellenger/FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Endy Miyem, Isabelle Yacoubou et Pierre Vincent champions d’Italie"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Familia Schio coaché par Pierre Vincent est devenu champion d’Italie en battant 62-54 Passalacqua Trasporti Ragusa dans le Match 5 de la finale des playoffs.\\n\\nL’Américaine Jolene Anderson (1,75m, 32 ans) a joué un rôle décisif dans ce match décisif avec 11 points, 8 rebonds et 4 passes mais les deux Françaises de l’équipe aussi. Isabelle Yacoubou (1,90m, 32 ans) a assuré 15 points et 7 rebonds et Endy Miyem (1,88m, 29 ans) 11 points et 1 rebond.\\n\\nC’est le septième titre en neuf ans de Schio qui avait été battu la saison dernière en finale par Gesam Gas Lucca."
}, 
{"role": "user",     "content":"La FFBB passe le cap des 680 000 licenciés"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le nombre de licenciés à la Fédération Française de Basket-Ball est toujours en augmentation puisque le cap des 680 000 licenciés vient d’être atteint.\\n\\nC’est la neuvième hausse d’affilée. Le total était de 661 025 en fin de saison dernière.\\n\\nSi l’on ne prend en compte que les licences compétitions, le nombre est toutefois en baisse: 524 412 contre 537 865. 65,3% sont des hommes et donc 34,7% des femmes.\\n\\nPar comparaison, la fédération de handball, principale concurrente depuis quelques années, annonçait un total de 549 295 en 2017."
}, 
{"role": "user",     "content":"Louis Labeyrie (Strasbourg) : «J’ai retrouvé ma femme, elle était partie deux semaines à l’Ile Maurice, je suis content...»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec quatre paniers à trois-points en cinq tentatives pour 17 points, Louis Labeyrie (2,08m, 26 ans) a troublé le jeu défensif manceau pourtant habituellement performant et largement contribué à la victoire de la SIG, 80-70.\\n\\nAvec l’intérieur strasbourgeois les interviewes sont toujours atypiques !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLa victoire de ce soir revêt quelle importance à vos yeux sachant qu’elle vous permet de terminer à la deuxième place de la saison régulière ?\\n\\nUne importance numérique comme vous venez de le citer dans votre question. C’était l’objectif. Il n’y avait aucun plaisir à venir au Mans... à part pour la deuxième place.\\n\\nL’équipe est-elle passée en mode playoffs ?\\n\\nNon. L’équipe sera en mode playoffs au moment des playoffs. Quand tu as la trique. Avant tu ne meurs pas donc tu n’es pas en playoffs.\\n\\nEtes-vous sur le bon chemin ?\\n\\nBaskettement parlant, au niveau du cardio, on est pas mal. Ça laisse présager de bonnes choses.\\n\\nVous avez bien réussi à détruire le jeu intérieur du Mans notamment Youssoupha Fall dont l’impact a été réduit. C’était un objectif ?\\n\\nC’est vrai que Fall a fait une bonne saison, je suis content pour lui. Il faut vraiment l’éloigner du cercle. Il est beaucoup plus limité lorsqu’il sort de sa zone de confort. Il n’a pas encore cette capacité à jouer à plus de trois mètres du cercle.\\n\\n(Silence dans la salle de conférence de presse)\\n\\nC’est tout ?!\\n\\nA aucun moment ce soir vous avez eu peur, vous vous sentiez supérieur ?\\n\\nLe Mans est une équipe que l’on ne voyait pas vraiment à la deuxième place. On les voyait dans le top 8. Le top 4 c’était peut-être un peu haut pour eux de l’avis de certains. On s’est dit que s’ils étaient là, ce n’était pas par la chance. Si on est derrière eux au point-average c’est qu’ils jouent un très beau basket. Au début, on avait une petite appréhension. Quand ils ont élevé leur agressivité, on n’a pas su répondre, ça leur a permis de revenir.\\n\\nÇa ne vous déplairait pas de les retrouver en demi-finale ? Il ne faut pas fauter en quarts-de-finale...\\n\\nC’est clair. Il faut juste éviter Monaco avant ça et pour nous c’est bon. Le Mans, bon, si on pouvait choisir ses adversaires ça serait sympa !\\n\\nIl y a encore un gros méli-mélo dans la deuxième partie du top 8. Qui est l’adversaire à éviter en quart-de-finale ? Villeurbanne ?\\n\\nNon, Monaco.\\n\\nMais pour vous en quart ?\\n\\nOui, je pense qu’il ne faut pas tomber sur eux. L’ASVEL c’est une équipe toujours un peu chiante, atypique. Prendre l’ASVEL en quart, ça serait je pense le moins bon choix.\\n\\nVous vous battez durant toute la saison régulière pour avoir l’avantage du terrain. Vous avez l’expérience des playoffs, pensez-vous que c’est un vrai avantage ? On voit tous les ans des surprises avec le huitième qui sort le premier.\\n\\nPour certains, oui, ils ont besoin d’avoir leurs fans. Moi, je suis tout seul. Ça va. Des cris, des applaudissement, des huées, pour moi, pttt... J’entends pas vraiment. Sauf si ce sont des huées du Rhénus. Voilà ! Votre collègue des DNA peut être témoin. A part ça, non.\\n\\nSi vous en parlez encore aujourd’hui, c’est que cette histoire vous a marqué ?\\n\\nNon, c’est passé maintenant. J’ai retrouvé ma femme, elle était partie à l’Ile Maurice pendant deux semaines, je suis content, j’ai oublié.\\n\\n[armelse]\\nLa victoire de ce soir revêt quelle importance à vos yeux sachant qu’elle vous permet de terminer à la deuxième place de la saison régulière ?\\n\\nUne importance numérique comme vous venez de le citer dans votre question. C’était l’objectif. Il n’y avait aucun plaisir à venir au Mans... à part pour la deuxième place.\\n\\nL’équipe est-elle passée en mode playoffs ?\\n\\nNon. L’équipe sera en mode playoffs au moment des playoffs. Quand tu as la trique. Avant tu ne meurs pas donc tu n’es pas en playoffs.\\n\\nEtes-vous sur le bon chemin ?\\n\\nBaskettement parlant, au niveau du cardio, on est pas mal. Ça laisse présager de bonnes choses.\\n\\nVous avez bien réussi à détruire le jeu intérieur du Mans notamment Youssoupha Fall dont l’impact a été réduit. C’était un objectif ?\\n\\nC’est vrai que Fall a fait une bonne saison, je suis content pour lui.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg montre qui c’est Raoul!"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Louis Labeyrie.\\n\\nIl y a moins d’un mois, la cause paraissait entendue. Strasbourg venait de se faire fesser au Rhénus par Monaco (71-90). La Roca Team de granit s’apprêtait à jouer le final four de la Champions League dont elle était la favorite. Coach Zvezdan Mitrovic était reconnu comme un stratège sans nul autre pareil. Cette fois, c’était sûr, elle n’allait pas se contenter des préliminaires, la saison régulière de laquelle elle terminait pour la troisième fois de suite première et d’un triplé à la Leaders Cup, elle allait conclure, parachever son chef d’oeuvre en playoffs. Personne en France ne pouvait lui résister !\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nQui peut avoir de telles certitudes en ce lundi ? Le ciel d’Athènes est tombé depuis sur la tête des Monégasques qui sont toujours groggy. Surpris par Pau sur le Rocher, ils ont pris samedi dans la foulée un gadin monumental à l’Astroballe, qui pourrait laisser croire à ceux qui n’ont pas vu le match à une fake news : -28. C’est ce qui s’appelle avoir le mental dans les chaussettes. Coach Z a été une fois de plus expulsé, et ce manque de self contrôle n’est pas un bon indicateur de la sérénité de l’équipe de la principauté une fois venu le temps du money time. Gerald Robinson, MVP des quarts de finale de la Basketball Champions League et candidat au trophée de meilleur joueur de la saison de Pro A, s’est blessé au genou et son coach a déclaré être très inquiet à son sujet.\\n\\nEt puis, à l’inverse, samedi, lors d’un tour de chauffe avant les playoffs à vitesse réelle à l’intérieur du circuit du Mans avec une deuxième place de saison régulière à la clé, la SIG Strasbourg a fait forte impression aux 5 950 spectateurs d’Antarès, à l’équipe du MSB et à son coach Eric Bartecheky.\\n\\n« Forcément, à chaud, il y a la déception de perdre la deuxième place, ce qui est un peu atténué du fait que nous on n’a pas mis les ingrédients nécessaires et de plus Strasbourg a fait une démonstration de force, c’est incontestable, ils ont été très bons, supérieurs à nous », a concédé celui-ci. « On a Monaco et Strasbourg devant qui sont deux grosses armadas de la Pro A. C’est plutôt positif d’être troisième. Des équipes avec des moyens supérieurs auraient bien aimé être à notre place. Maintenant il faut que l’on s’inspire de ce que Strasbourg propose. On ne pourra pas sur tous les points être identique. On n’a pas les mêmes joueurs, on n’a pas les mêmes schémas mais ça doit nous inspirer à tendre vers le haut. »\\n\\nDee Bost.\\n\\nQuand la SIG fait rendre à Youssoupha Fall un bilan négatif\\n\\nQu’elle paraissait loin la victoire du Mans au Rhénus (78-76). C’était le 7 octobre soit deux semaines après que le MSB se soit déjà imposé à Monaco. Chris Otule et Michael Dixon étaient encore alsaciens, Dee Bost, Miro Bilan, Levi Randolph, Damien Inglis et Florent Pietrus n’avaient pas encore pris leurs quartiers dans le Bas-Rhin. Depuis, la SIG s’est ainsi métamorphosée, musclée se mettant en configuration pour gagner LE titre de champion de France après cinq finales foirées. A l’inverse, le MSB a perdu entre-temps sur blessure Terry Tarpey -on ne le verra pas en quart-de-finale, pas sûr que ce soit le cas ensuite-, alors que Pape-Philippe Amagou et Will Yeguete viennent tout juste de faire leur retour.\\n\\nDans cette avant-première de match de playoffs, les Strasbourgeois ont transformé leur défense en carapace et réglé chaque action aux millimètres. Ce fut visible dès les premiers échanges. Leur force était collective avec sept joueurs qui avaient déjà marqué au moins un point après dix minutes contre seulement quatre au Mans qui devait beaucoup à Mychal Riley (8 points) de surnager. La SIG avait réalisé un magnifique 10/15 aux shoots et fait preuve d’une razzia au rebond, 11 à 3.\\n\\nYoussoupha Fall concéda une deuxième faute après seulement huit minutes. Le Franco-Sénégalais et ses 2,21m sont un point d’ancrage tout à fait exceptionnel en Jeep Elite et font du MSB une équipe atypique. Samedi, face à un Miro Bilan roublard, il a fait preuve de beaucoup de naïveté et démontré que si son potentiel est immense, une deuxième saison à ce niveau ne serait pas superflue avant de lorgner vers un championnat à dimension supérieure.\\n\\nLe géant n’est-il pas tout simplement encore en manque de vécu basket ?\\n\\n« Ce sont les aspects offensifs, je n’en parlerai pas, il vaut mieux demander à Eric (Bartecheky) qui le connait mieux que moi », a commenté Vincent Collet, le coach de la SIG. « Par contre, je pense que nous, on l’a bien utilisé en attaque. Au match aller, il nous avait considérablement gêné car on était allé dans l’entonnoir, en ligne droite. Là où il est terriblement gênant, il fait 2,20m, il a de grands bras, il protège très bien son panier. Là, on l’a obligé à défendre la latéralité et c’est beaucoup plus difficile pour lui pour l’instant. »\\n\\nAlors que le MSB est lourdement handicapé avec l’absence du couteau-suisse Terry Tarpey, même si l’abattage défensif de Antoine Eito dont les responsabilités se sont accrues de par le principe des vases communicants, le secteur intérieur s’est meublé avec la venue de Yanis Morin et le come-back de Will Yeguete. Eric Bartecheky doit gérer cette nouvelle abondance de biens.\\n\\n« Yous a pris deux fautes rapidement. Il est sorti, il n’a pas joué pendant un moment. On a une configuration d’équipe qui est nouvelle depuis cette semaine. On a retrouvé dix joueurs et on a voulu faire participer Pape (Amagou) même s’il n’a pas joué beaucoup et Will qui revient après un mois d’absence. On a quatre intérieurs avec Yous et Yanis (Morin) positionnés sur le poste 5. Will qui peut toujours dépanner sur ce poste-là. Romeo et Will en poste 4 et à part à la fin, DJ est resté en poste 3. Et pour lui face à une telle organisation, une telle agressivité, ça été compliqué de tirer son épingle du jeu. C’est tout ça qu’il va falloir que l’on appréhende pour s’ajuster au mieux et au plus vite par rapport à une nouvelle situation d’équilibre d’équipe. »\\n\\nA l’aller, Yous Fall avait assuré 16 points (7/9 aux tirs), 6 rebonds et 2 contres pour la meilleure évaluation du match, 21. Cette fois, il est revenu quasi bredouille : 4 points, pas de rebond (ça ne lui était jamais arrivé), 5 fautes et -2 d’éval (là aussi, une grande première). Et en plus, la SIG a converti 19 de ses 22 shoots à l’intérieur !\\n\\n« Au match aller, ils nous avaient mis en difficulté », se souvient Vincent Collet. « Là on a un nombre de tirs inférieur à ce que l’on a l’habitude de prendre mais avec un fort pourcentage. Il y a eu aussi les balles volées qui nous ont octroyé des paniers faciles. On a eu plusieurs ballons interceptés en particulier dans le troisième quart-temps. Globalement, on a fait preuve d’une patience en attaque, ce qui n’est pas toujours le cas chez nous. Il faut que l’on garde ça. »\\n\\nDe fait, si d’un côté, il y a eu plusieurs défaillances individuelles, Youssoupha Fall donc et aussi DJ Stephens (1/8 aux shoots) et Chris Lofton, qui souffre athlétiquement lorsque les défenses sont rudes, la SIG a pu compter sur plusieurs individualités de premier ordre. La paire d’intérieurs Miro Bilan-Louis Labeyrie est la meilleure de France quand elle est à pleine puissance. Labeyrie a enfilé avec aisance quatre paniers à trois-points sur cinq tentatives. David Logan a profité de chaque espace pour frapper (3/5 à trois-points) et il s’est aussi lancé dans quelques contre-attaques assassines. Et le maître du jeu, ce fut Zack Wright, pas si loin d’un triple double (9 points, 8 points, 7 passes) et comme toujours avec une défense acharnée dont Justin Cobbs fit parfois les frais .\\n\\n« Il a 33 ans. Je le trouve très différent du joueur qui a joué ici il y a huit ans, qui avait quand même porté les Manceaux en finale du championnat, il ne faut pas l’oublier avec la blessure d’Antoine Diot. C’est un joueur qui a progressé. C’est quelqu’un d’intelligent qui est à la base handicapé par un tir extérieur très moyen. Par contre, c’est quelqu’un qui comprend de mieux en mieux le jeu et qui utilise à merveille ses capacités et ses forces. Et au-delà de ce qu’il produit sur le terrain, c’est notre leader de vestiaires incontesté et incontestable », a précisé Vincent Collet.\\n\\nZack Wright\\n\\nLa SIG, un exemple\\n\\nPar vagues, les Manceaux sont sortis des tranchées poussés par la foule qui grondait suite à des décisions arbitrales qu’elle estimait injustes. Justin Cobbs a alors prouvé qu’il n’est pas considéré comme le meilleur meneur de jeu de Jeep Elite pour rien.\\n\\n« Quelque part en première mi-temps, on a été perturbé par l’équipe small ball du Mans. C’est là où ils sont montés en agressivité. Offensivement, on s’est arrêté. Nos cinq dernières minutes de la première mi-temps sont très mauvaises en attaque. On marque deux points en cinq minutes. On remet Le Mans dans le match alors qu’on s’était octroyé un pécule. Mais par contre on est bien reparti et notre troisième quart-temps est meilleur et en particulier sur les aspects défensifs, » analysait le coach de la SIG.\\n\\nDonc la SIG est reparti et a compté jusqu’à 17 points d’avance (52-69, 35e). Mychal Riley s’était tu. Perturbé par la défense des Sigmen, le MSB s’est contenté dans le troisième quart-temps d’un pauvre 5/14 aux shoots tout en concédant cinq pertes de balle. Les Manceaux ont redonné ensuite un coup de collier pour éviter une déroute qui aurait fait tâche mais ont tout de même concédé une défaite de dix points (70-80).\\n\\n« On a eu une attitude, un état d’esprit qui ressemblent à ce que ça doit être en playoffs », a commenté Vincent Collet. « On a défendu fort avec beaucoup de séquences défensives vraiment intéressantes. On a partagé la balle. Le seul point négatif, ce sont les pertes de balle. Même si bien sûr certaines sont dues à l’agressivité défensive des Manceaux qui s’est considérablement élevée après le premier quart-temps. Mais ça n’explique tout de même pas les dix-sept, il y en a quand même trois ou quatre de trop. Jusqu’à treize on peut comprendre, au-delà ce n’est pas possible. Il faut que l’on soit encore plus attentif, plus sérieux pour diminuer ça encore. Et garder le reste. On a shooté avec un bon pourcentage, beaucoup de passes, c’est très bien. »\\n\\nEvidemment, par expérience, le coach de la SIG sait qu’en Jeep Elite, la vérité d’un jour n’est pas forcément celle du lendemain.\\n\\n« On n’a pas de signal à envoyer. On a juste à se préparer pour les playoffs. Si les autres veulent voir un signal, ils le verront. Mais nous ce que l’on veut, c’est se préparer pour le premier tour. C’est cette montée en puissance qu’il faut poursuivre et il nous reste une bonne dizaine de jours avant le premier match des playoffs. Tous les entraînements et le dernier match contre Dijon doivent nous servir à continuer dans le même état d’esprit. Ce n’est pas que du basket, c’est aussi du comportement qu’on doit régler. Ce n’est pas facile. On a une équipe qui est complète. C’était le premier match de Pape (Sy) et à un moment donné il aura la capacité à jouer plus. On a beaucoup de joueurs qui peuvent faire des choses. Donc c’est aussi l’acceptation des uns et des autres de voir leur rôle parfois un peu moindre par rapport à ce qu’ils espèrent mais c’est l’équipe qui doit primer. On travaille beaucoup là-dessus. C’est facile à dire, pas à faire. On sait qu’ils ont tous envie de jouer. C’est en comprenant ça que l’équipe va devenir plus forte. »\\n\\nSon collègue du MSB n’a pas été avare en compliments. Il est vrai qu’il ne faisait qu’être le rapporteur du sentiment général.\\n\\n« Strasbourg a été très bon. Beaucoup plus fort que nous. Même si Strasbourg a été très fort, ce que l’on peut se reprocher, on n’était pas du tout en terme d’intensité au niveau d’un match à enjeu comme ça pour la deuxième place et surtout dans la projection des playoffs. On doit s’inspirer de ce que Strasbourg propose en terme d’intensité, de rigueur pour nous élever notre niveau de jeu parce que ce n’est pas acceptable. On est dominé sur des un-contre-un trop facilement. Oui les joueurs sont forts en face, les situations sont difficiles à défendre mais c’est quand même trop léger de notre part dans la concentration, l’engagement, la rigueur. On aura peu de temps, je ne sais pas si on arrivera à monter, à se rapprocher d’un niveau de jeu comme ça. Le point positif, c’est que ce match-là va nous servir pour tenter de faire prendre conscience à l’équipe qu’il faut beaucoup plus. »\\n\\n* « Qui c’est Raoul ». Célèbre réplique de Bernard Blier dans Les Tontons Flingueurs, qui veut dire « montrer qui est le patron » ou « ce dont on est capable. »\\n\\n[armelse]\\nQui peut avoir de telles certitudes en ce lundi de Pentecôte ? Le ciel d’Athènes est tombé depuis sur la tête des Monégasques qui sont toujours groggy. Surpris par Pau sur le Rocher, ils ont pris samedi dans la foulée un gadin monumental à l’Astroballe, qui pourrait laisser croire à ceux qui n’ont pas vu le match à une fake news : -28. C’est ce qui s’appelle avoir le mental dans les chaussettes. Coach Z a été une fois de plus expulsé, et ce manque de self contrôle n’est pas un bon indicateur de la sérénité de l’équipe de la principauté une fois venu le temps du money time. Gerald Robinson, MVP des quarts de finale de la Basketball Champions League et candidat au trophée de meilleur joueur de la saison de Pro A, s’est blessé au genou et son coach a déclaré être très inquiet à son sujet.\\n\\nEt puis, à l’inverse, samedi, lors d’un tour de chauffe à vitesse réelle à l’intérieur du circuit du Mans avec une deuxième place de saison régulière à la clé, la SIG Strasbourg a fait forte impression aux 5 950 spectateurs d’Antarès, aux téléspectateurs de SFR Sport 2, à l’équipe du MSB et à son coach Eric Bartecheky.\\n\\n« Forcément, à chaud, il y a la déception de perdre la deuxième place, ce qui est un peu atténué du fait que nous on n’a pas mis les ingrédients nécessaires et de plus Strasbourg a fait une démonstration de force, c’est incontestable, ils ont été très bons, supérieurs à nous », a concédé celui-ci. « On a Monaco et Strasbourg devant qui sont deux grosses armadas de la Pro A. C’est plutôt positif d’être troisième. Des équipes avec des moyens supérieurs auraient bien aimé être à notre place. Maintenant il faut que l’on s’inspire de ce que Strasbourg propose. On ne pourra pas sur tous les points être identique. On n’a pas les mêmes joueurs, on n’a pas les mêmes schémas mais ça doit nous inspirer à tendre vers le haut. »\\n\\nDee Bost.\\n\\nQuand la SIG fait rendre à Youssoupha Fall un bilan négatif\\n\\nQu’elle paraissait loin la victoire du Mans au Rhénus (78-76). C’était le 7 octobre soit deux semaines après que le MSB se soit déjà imposé à Monaco. Chris Otule et Michael Dixon étaient encore alsaciens, Dee Bost, Miro Bilan, Levi Randolph, Damien Inglis et Florent Pietrus n’avaient pas encore pris leurs quartiers dans le Bas-Rhin. Depuis, la SIG s’est ainsi métamorphosée, musclée se mettant en configuration pour gagner LE titre de champion de France après cinq finales foirées.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Bernard King roi de Quimper, au détriment du Havre ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« C’est la fin. Seize ans en professionnel c’est déjà très bien. Je garde de très bons souvenirs. Je veux finir en beauté et aider l’UJAP Quimper à se maintenir. » Voilà ce que déclarait Bernard King (ici sous le maillot du Havre, en 2012-2013), 36 ans, lors de son arrivée à Quimper fin janvier alors que l’UJAP pointait à la dernière place du classement. Quatre mois plus tard, le swingman à la carrière bien remplie est en passe de réussir son dernier défi avant de raccrocher.\\n\\n14 points dans le money-time\\n\\nHier dans un match ultra-important pour le maintien face à Poitiers, ses 22 points et son panier décisif en contre-attaque à 8 secondes de la fin ont permis aux Bretons, menés 14-32 après 10 minutes, de l’emporter sur le fil, 77-75. Surtout au vu du méga-money-time puisque sa patte gauche a pris feu et King s’est fendu de 14 points, à 3/3 à 3 points dans les quatre dernières minutes du match.\\n\\n« \u2009Je ne sais pas si c’est un final héroïque, mais c’est enfin une fin de match qui tourne en notre faveur, a souligné l’entraîneur quimpérois Laurent Foirest après ce »hold-up à la maison ». Cette année, ce n’est pas souvent arrivé donc on va apprécier. Les mecs se sont battus comme des lions. Quand ils sont entrés en jeu, les jeunes ont pu combler l’écart », a ajouté l’ancien international français qui est resté fidèle à ses principes jusqu’au bout. Dans le jeu comme dans sa confiance qu’il a accordée aux plus jeunes qui ont encore brillé hier soir à l’image des 18 points, 7 rebonds et 5 passes décisives de Paul-Lou Duwiquet, qui a dignement fêté ses 23 ans hier avec son meilleur match de la saison (24 d’évaluation).\\n\\nLe dernier match de sa carrière face... au Havre\\n\\nVendredi prochain, Quimper, Poitiers et Le Havre (15, 16 et 17e, 10v-23d) joueront leur survie à l’occasion de la dernière journée. Pendant que Poitiers recevra Denain, en course pour un spot en Playoffs, l’Ujap devra se rendre au Havre, terre des plus beaux exploits de Bernard King qui a porté le maillot du STB à plus de cent reprises (2009-2011, une saison 2012-2013 à 16,8pts par match en Jeep ELITE, et 2016-2017 en Pro B). Si Bernard King, qui tourne à 23 points en moyenne sur les trois derniers matchs (12,7 sur la 2e partie de saison) venait à nouveau à être le héros du dernier match de sa carrière, il enverrait alors Le Havre, un de ses clubs de cœurs, en N1. Un scénario catastrophe pour Le Havre qui évoluait encore en première division en 2015-2016.\\n\\nClip du STB Havre lors de son retour à l’été 2016"
}, 
{"role": "user",     "content":"Andrei Kirilenko (président de la fédération russe): « L’Euroleague se tire une balle dans le pied »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Andreï Kirilenko, ancien All-Star NBA devenu aujourd’hui président de la fédération russe de basketball a publié sur le site sports.ru une note de blog où il s’adresse directement à l’Euroleague. Il s’inquiète des conséquences de l’intransigeance de l’institution privée dirigée par Jordi Bertomeu, notamment sur les questions de calendriers qui impactent à la fois les fenêtres de qualification des équipes nationales mais aussi les ligues nationales dont les calendriers, notamment la possibilité de jouer les week-ends, est aujourd’hui attaqué par la politique de l’Euroleague.\\n\\nVoici des extraits de cette note de blog.\\n\\n« Ma position est claire. Le basket en Europe doit être uni. C’est une nécessité absolue de trouver un compromis entre les calendriers FIBA et Euroleague.\\n\\nL’Euroleague est une entreprise privée, elle a pour moteur le commerce et en théorie, ils peuvent faire ce qu’ils veulent. Mais en même temps, cette entité devrait comprendre les effets de sa politique sur les autres ligues et les clubs.\\n\\nC’est à l’Euroleague de s’adapter. Elle peut le faire plus facilement. La FIBA gère six continents et chaque continent joue le même schéma, selon un calendrier unique de compétition. Le basket européen a toujours été fort et reconnu pour son unité. Et cette unité le rendait compétitif dans le monde entier, y compris face à la NBA.\\n\\nMaintenant, aujourd’hui en Europe, tout a changé. Les clubs sont divisés, les équipes nationales en pâtissent. Comment se fait-il que les équipes nationales ne peuvent pas jouer les qualifications à la Coupe du Monde sans leurs meilleurs joueurs évoluant en Europe ? L’Euroleague, en agissant ainsi, se tire une balle dans le pied. Quand des supporters auront regardé les matches des équipes nationales, ils vont naturellement s’intéresser à ce que ces joueurs font en club, donc pour certains en Euroleague. « Où joue Nando De Colo ? Au CSKA ! » Et les Français commenceront à suivre le club russe.\\n\\nEvidemment, tous les meilleurs devraient pouvoir jouer en équipe nationale. Mais je peux comprendre la NBA – des milliards de chiffres d’affaire, un business et un marketing qui évoluent à un niveau cosmique. La NBA peut et a le droit de dicter ses règles. Mais en même temps, elle est en bons termes avec la FIBA, elles se rencontrent et essaient tant que possible de trouver des compromis.\\n\\nL’Euroleague ne peut pas se comparer à la NBA, même dans le meilleur scénario possible de son développement. La comparaison ne tiendra jamais.\\n\\nL’Euroleague, parce qu’elle n’a pas un statut aussi élevé, devrait s’asseoir à la table des négociations. Mais elle ne le veut pas. Et tout ce qui se passe aujourd’hui n’est que l’écho de la politique de cette organisation.\\n\\nEn Europe, cette scission accouche d’un problème aujourd’hui très profond. Huit ou neuf grands clubs voient la situation uniquement de leur point de vue et soutiennent l’Euroleague. Mais l’Europe ne se limite pas à huit ou neuf clubs. Il faut prendre en compte tous les points de vue et trouver la bonne solution. Mais l’Euroleague n’a aucun intérêt à cela.\\n\\nEt au final, même si les meilleurs joueurs n’étaient pas là pour ces fenêtres de qualification des équipes nationales, les salles étaient pleines et les audiences élevées. Cela prouve, que malgré l’absence des meilleurs joueurs, l’intérêt sera toujours maximum pour les sélections. Et donc nous avons notre réponse à la question : les équipes nationales doivent-elles jouer pendant la saison des clubs ? Oui, évidemment. Une fois par an l’été, ce n’est pas suffisant pour les fans de l’équipe nationale. Laissez jouer les sélections quelques matches dans l’année. Les gens veulent la voir aussi souvent que possible.\\n\\nJe suis convaincu de cela. Et les meilleurs joueurs devraient jouer, sauf pour ceux qui jouent en NBA. Peut-être que si j’étais le président de la fédération française de basket et que mes douze meilleurs joueurs évoluaient en NBA, je penserai différemment. Mais les Français s’en sortent bien dans ces qualifications. Ils ont la possibilité de tester en conditions réelles la prochaine génération de joueurs, d’éprouver leur réservoir dans lequel ils pourraient bien piocher à l’avenir et certains de ces joueurs pourraient devenir ensuite des éléments majeurs de la sélection.\\n\\nIl n’y a qu’une conclusion : pour aller de l’avant, les clubs et les équipes nationales doivent marcher main dans la main. Et le conflit actuel entre l’Euroleague et la FIBA doit être résolu en premier. Sinon, de nouveaux scandales et de nouveaux conflits ne manqueront pas d’éclater. »\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Huitième coupe d’Europe consécutive pour Basket Landes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme la Ligue Féminine devrait obtenir sept places en Coupe d’Europe la prochaine saison, Basket Landes -tout comme Lattes-Montpellier- va disputer sa huitième saison consécutive en Eurocup. Une belle réussite sur la durée mais il a fallu que les Landaises bataillent face aux Déferlantes de Nantes-Rezé. C’est lors de la belle de ce barrage qu’elles ont fini par obtenir gain de cause, 80-65.\\n\\nLes filles d’Emmanuel Coeuret se présentaient handicapées par l’absence de Medenou et Turcinovic, ce qui ne les a pas empêchées de mener un temps 48-43.\\n\\nCéline Dumerc (6 points, 8 rebonds, 11 passes) a payé de sa personne tout comme la Canadienne Miranda Ayim (20 points) et l’Américaine Cierra Bravard (16 points, 5 rebonds). Auteure d’une partie une fois de plus époustouflante, Folane Nayo Raincock (26 points, 10 rebonds) n’a pu empêcher son équipe de lâcher prise dans le dernier quart-temps, 22-8.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Le Cavigal Nice change de président"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Cavigal Nice est relégué en Ligue 2 et va changer une nouvelle fois de président. Après une saison à la tête du club, l’avocat Xavier Le Cerf-Galle a annoncé son souhait de prendre du recul.\\n\\n« Le Comité Directeur du Cavigal a enregistré sans surprise et en toute sérénité ma volonté de refermer ma parenthèse présidentielle et ce, pour de nombreuses raisons, autant personnelles que structurelles et sportives. Un nouveau Président a été désigné en la personne de Monsieur Franck Faraut, qui était déjà Trésorier lorsque j’ai repris la présidence du Club en avril 2017 et est devenu vice-President en juin 2017 spécialement délégué à l’animation et à la gestion de la section amateur ainsi que responsable administratif du centre de formation. Franck connaît ainsi parfaitement le Club et y a ses relais et appuis. Je lui souhaite une pleine et entière réussite dans ses nouvelles fonctions élargies, sachant l’ampleur de la tâche que cela représente. Bien qu’encore fragile financièrement, le Club est sorti de la zone de turbulences. Cette nouvelle présidence devrait être, je l’espère et le lui souhaite, plus sereine et moins stressante que ne le fût la mienne dans une phase de transition pour le moins compliquée. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Lorsque les joueurs d’Antibes célèbrent leur maintien en Jeep Elite"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Filmé par Marsal Prod, ce moment dans les vestiaires où les Sharks d’Antibes célèbrent leur maintien en Jeep Elite. Let get it Crazy!\\n\\nhttps://www.facebook.com/MarsalProd/videos/1990629911011398/?hc_ref=ARTXWU-5Ze8uvR_ur8UFVvTens2GrdNs14OOzjzUVQr6Y95mRUtRFfEqhQLfnBxCOoU"
}, 
{"role": "user",     "content":"Philippe Amagou (Le Mans) : «Je suis content d’être sur le terrain et frustré de la défaite»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pape-Philippe Amagou (1,85m, 33 ans) n’avait pas joué depuis le 28 octobre à Chalon en raison d’une hernie discale. Le combo du MSB a passé cinq minutes sur le terrain hier face à Strasbourg (défaite 70-80). Il s’est lancé dans une course contre-la-montre afin d’arriver en forme pour les playoffs.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nCe soir, la différence de niveau entre les deux équipes était très importante pour espérer bousculer la grosse armada strasbourgeoise ?\\n\\nExactement. Ils ont gagné sans vraiment être très bons. On a vu que c’était un cran au-dessus ce soir, tout simplement. Ils ont de très bons joueurs, qui connaissent bien leur métier, qui ont de l’expérience, ils sont fournis à tous les postes. Ils ont gagné plus sur nos erreurs qu’en forçant leur talent. Ce soir, la marche était trop haute. Il faut les féliciter, ils ont fait juste un bon match mais ils se sont servis de nos erreurs pour nous mettre la tête sous l’eau. Voilà, ce soir ils étaient plus forts.\\n\\nVous n’avez pas pu répondre dans l’intensité ?\\n\\nCollectivement. Ils ont bien scouté nos plays et nous on n’a pas réussi à les empêcher de développer notre jeu. Ce soir, on est dominé dans tous les compartiments. A chaque fois que l’on perd le ballon, ils nous sanctionnent tout de suite. Oui, ils ont apporté une intensité tout au long du match. Ils nous ont beaucoup gênés sur nos montées de balle. C’est à ce à quoi on s’attendait et malgré ça ils ont réussi à verrouiller leur plan de jeu.\\n\\nQu’est-ce qui vous a manqué ?\\n\\nDe l’expérience, de l’intensité, de l’intelligence par moment. On a beaucoup trop fait d’erreurs et à ce niveau-là, ça sanctionne. Si la logique est respectée, si on a la chance de passer le premier tour, on sera sans doute amené à les rejouer. Il faut que l’on se serve de ce match-là, de cette défaite-là pour faire beaucoup mieux. C’est une équipe vraiment bien en place, bien coachée avec des postes doublés, ils ont tout ce qu’il faut. Ça sera vraiment un gros challenge si on est amené à les rencontrer. Il y a encore des choses à améliorer, on n’a vraiment pas fait un bon match. On a été très brouillon sur des séquences, c’est là où on prend des éclats. Il faut les pousser à faire un bon match car là ils ont fait juste un match correct. Ils ont gagné assez facilement même si on revient un peu sur la fin, ce soir ils nous ont nettement dominés.\\n\\nPrès du cercle notamment. Ils terminent à près de 90% de réussite (19/22 dans les tirs intérieurs) ?\\n\\nC’est ce qu’ils craignaient chez nous. On est une équipe qui protège bien sa raquette, ils savaient que c’était un de nos points forts et ce soir ils ont dominé dans ce secteur qui est normalement une force chez nous tout au long de la saison. (Miro) Bilan a fait un gros match, il a embêté Yous (Fall). C’est un joueur de métier. Yous c’est aussi quelqu’un qui apprend vite et la prochaine fois il fera bien mieux. A nous d’être présent la prochaine fois et de faire mieux que ça. On en a la capacité.\\n\\nTroisième, c’est votre place cette saison ?\\n\\nOui, on est à notre place. En début d’année on nous aurait dit troisième, on aurait été content. Il y a des équipes qui ont été formatées pour gagner le championnat. Strasbourg en fait partie. Monaco, Limoges, l’ASVEL, ce sont des équipes qui ont été vraiment formés pour ça. Strasbourg court après ça depuis de nombreuses années. Même s’ils ont gagné la Coupe de France, on sait que leur vrai objectif est de gagner ce championnat. En tant que compétiteurs, on aurait aimé faire mieux que ça. Toute l’année on s’est battu pour être dans le top 4, on aurait aimé prendre cette deuxième place devant notre public, malheureusement on n’a pas réussi. On a encore un match de saison (NDLR : à Cholet) pour monter en puissance pour ces playoffs. On va se servir de ce dernier match.\\n\\nComment te sens-tu et comment imagines-tu les matchs à venir individuellement ?\\n\\nJ’étais déjà content d’être avec l’équipe. Je n’étais pas sûr que le coach me donne dix minutes vu mon état de forme. Il m’a donné quelques minutes (NDLR: 5), malheureusement mes passages n’ont pas été bons du tout. A chaque fois que j’étais sur le terrain, on prenait des valises de 8-0, on perdait deux ou trois ballons. C’est plus anecdotique, je me concentre très peu sur mon sort personnel. Ce que je voulais avant tout c’est gagné collectivement ce match-là. Il faut que je continue à travailler mon physique. Il y a encore de la douleur mais je travaille bien avec le staff médical pour que je sois en meilleure forme pour les playoffs car ça va arriver vite maintenant. Je suis content d’être sur le terrain et frustré de la défaite.\\n\\n[armelse]\\n\\nCe soir, la différence de niveau entre les deux équipes était très importante pour espérer bousculer la grosse armada strasbourgeoise ?\\n\\nExactement. Ils ont gagné sans vraiment être très bons. On a vu que c’était un cran au-dessus ce soir, tout simplement. Ils ont de très bons joueurs, qui connaissent bien leur métier, qui ont de l’expérience, ils sont fournis à tous les postes. Ils ont gagné plus sur nos erreurs qu’en forçant leur talent. Ce soir, la marche était trop haute. Il faut les féliciter, ils ont fait juste un bon match mais ils se sont servis de nos erreurs pour nous mettre la tête sous l’eau. Voilà, ce soir ils étaient plus forts.\\n\\nVous n’avez pas pu répondre dans l’intensité ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tony Parker dément que Zvezdan Mitrovic a déjà signé à l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’AS Monaco ne s’est toujours pas remise de son échec en finale de la Basketball Champions League face à l’AEK Athènes. Après avoir été piégé en Principauté par Pau, les Monégasques ont pris une lourde valise hier soir à l’Astroballe (80-108) suite à un effondrement en deuxième mi-temps (-26). L’ASVEL a ainsi assuré sa place en playoffs\\n\\nAvec l’expulsion de son coach Zvezdan Mitrovic et surtout la blessure à la jambe, qui est semble t-il grave, de Gerald Robinson, la Roca Team a bu le calice jusqu’à la lie. L’absence de Paul Lacombe conjuguée à celle de Yakuba Ouattara ne peut tout expliquer. Seule bonne nouvelle côté ASM, Bangaly Fofana faisait (enfin) son retour après son opération au genou (5′ de jeu).\\n\\nL’ASVEL a pu compter sur Superman Charles Kahudi (24 points à 8/10 aux shoots, 25 d’évaluation) et aussi sur un John Roberson en mode Chalon (17 points, 3/5 à trois-points, 8 passes). Les Villeurbannais ont enfilé 16 paniers à trois-points.\\n\\nEn conférence de presse, le président Tony Parker a annoncé qu’il ne sait pas encore si le contrat de l’intérieur Cliff Alexander, qui n’a pas joué hier soir et dont le contrat s’achève le 19 mai, allait être prolongé jusqu’à la fin de la saison. Il a par ailleurs indiqué qu’aucun engagement a été pris pour l’instant avec un coach pour la saison prochaine -donc le Monégasque Zvezdan Mitrovic- et qu’ainsi son frère TJ conserve toutes ses chances de garder son poste.\\n\\nPhoto: Tony Parker – ASVEL\\n\\n\\n\\n\\nTony Parker: «Rien n’est fait pour le coach. On parle avec beaucoup de coachs, mais on a signé personne. Je me laisse le temps avec Nico Batum de décider en juin. Ce sera difficile de ne pas prolonger TJ s’il est champion»\\n\\n\\n— OBUZZER (@O_buzzer) May 12, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Bretonnes de Landerneau accèdent à la Ligue Féminine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Bretonnes de Landerneau accèdent à la Ligue Féminine après une belle contre Angers qui comme les deux manches précédentes a été âprement disputée (56-54). C’est la première fois qu’une équipe du Finistère va jouer au plus haut niveau et la dernière équipe bretonne à y figurer fut l’Avenir de Rennes lors de la saison 1998-99.\\n\\n« C’est grand ce qu’ont fait les filles », a commenté le coach Stéphane Leite a Ouest France. « Il y a quatre ans, les dirigeants ont décidé de faire confiance à un jeune entraîneur. J’ai vraiment du mal à y croire... »\\n\\nA trois minutes de la fin du match, l’UFAB était toujours en tête, 54-51, portée par la paire Lorraine Lokoka (13 points et 6 rebonds)-Soana Lucet (10 points et 10 rebonds). Quelques mauvaises décisions et Landerneau passait en tête. C’est Anaëlle Le Bruchec (12 points, 2/3 à trois-points) qui a été la top-scoreuse de la soirée. Les Bretonnes ont surtout obligé les Angevines a concédé une quantité astronomique de balles perdues: 25 ! Dont deux dans le money time alors que les Angevines loupaient en plus bêtement deux layups craquant mentalement dans une ambiance électrique."
}, 
{"role": "user",     "content":"Dijon: Rupture du tendon d’Achille pour Jacques Alingue"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Terrible coup du sort ! Jacques Alingue (2,01m, 29 ans) a réalisé une saison magnifique, la plus belle de sa carrière avec 9,4 points, 69,4% de réussite aux shoots, et 5,6 rebonds pour 15,6 d’évaluation. Une constance dans les performances qui en fait l’un des tout meilleurs joueurs français de la saison et qui explique pour beaucoup la quatrième place actuelle de la JDA Dijon.\\n\\nHier soir, pour l’avant-dernière journée de Jeep Elite, la JDA a vaincu Gravelines-Dunkerque, 97-82, avec 21 points des Américains Rasheed Sulaimon et Ryan Pearson. Jacques Alingue n’a joué que 8 minutes et pour cause, il a été victime d’une rupture du tendon d’Achille. Une blessure qui va le laisser sur le le carreau plusieurs mois et qui plombe les chances de réussite de la JDA en playoffs.\\n\\nPhoto: JDA\\n\\n\\n\\n\\nJacques Alingué s'est lourdement blessé ce samedi soir : forte probabilité que ce soit une rupture du tendon d'Achille. Des examens seront réalisés lundi.\\n\\n\\nFigure du club depuis 2015, l'ensemble de la @jdadijonbasket soutient Jacques dans cette terrible épreuve. #JDAfamily pic.twitter.com/3343pAleYj\\n\\n\\n— JDA Dijon Basket (@jdadijonbasket) May 13, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Elite: Bourg et Levallois ne feront pas les playoffs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Contrairement à ce que l’on prévoyait, l’ultime journée de saison régulière ne sera pas décisive. Les places de playoffs ont été distribuées. Limoges, Lyon-Villeurbanne, Nanterre et Pau sont passés au vert. Bourg et Levallois sont recalés.\\n\\n\\n\\n\\n1\\nMonaco\\n73\\n24v–9d\\n\\n\\n2\\nStrasbourg\\n70\\n23v–10d\\n\\n\\n3\\nLeMans\\n64\\n21v–12d\\n\\n\\n4\\nDijon\\n61\\n20v–13d\\n\\n\\n5\\nLimoges\\n58\\n19v–14d\\n\\n\\n6\\nLyon-Villeurbanne\\n58\\n19v–14d\\n\\n\\n7\\nNanterre\\n58\\n19v–14d\\n\\n\\n8\\nPau-Lacq-Orthez\\n55\\n18v–15d\\n\\n\\n9\\nBourg-en-Bresse\\n52\\n17v–16d\\n\\n\\n10\\nLevallois\\n49\\n16v–17d\\n\\n\\n11\\nChalon/Saône\\n46\\n15v–18d\\n\\n\\n12\\nLePortel\\n46\\n15v–18d\\n\\n\\n13\\nGravelines-Dunkerque\\n43\\n14v–19d\\n\\n\\n14\\nChâlons-Reims\\n43\\n14v–19d\\n\\n\\n15\\nCholet\\n40\\n13v–20d\\n\\n\\n16\\nAntibes\\n37\\n12v–21d\\n\\n\\n17\\nBoulazac\\n34\\n11v–22d\\n\\n\\n18\\nHyères-Toulon\\n19\\n6v–27d\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau en playoffs, Boulazac en Pro B, sauf si..."
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cette fois, c’est fait mathématiquement: le Boulazac Basket Dordogne descend sportivement en Pro B... Sauf si Blois, qui n’a pas de centre de formation agréé, n’a pas l’aval de la Ligue National de Basket.\\n\\nCes dernières semaines, les Boulazacois ont lutté vaillamment pour retourner une situation fort compromise mais ce soir à Pau, ils ont tout de suite lâché prise face à l’Elan Béarnais. Il y avait déjà vingt points d’écart (39-19) après un quart-temps et celui-ci s’est ensuite stabilisé à une quinzaine de points pour finir à 101-77.\\n\\nDéjà privé de Brandon Ubel, le BBD n’a pu compter que durant 4 minutes sur leur pivot Shawn James, blessé. Ce n’est pas une coincidence si les deux intérieurs palois, Vitalis Chikoko (15 points et 11 rebonds) et Alain Koffi (14 points et 6 rebonds) se sont régalés. Au rebond les Boulazacois ont été laminés: 43 à 24!\\n\\nIl reste donc une (bonne) chance pour le BBD d’être sauvé sur tapis vert. Quant à l’Elan Béarnais, il savoure d’être en playoffs."
}, 
{"role": "user",     "content":"Elie Okobo (Pau): «Je rêve de NBA depuis tout petit»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans une interview à BasketUSA, Elie Okobo (1,88m, 20 ans), le meneur de Pau-Lacq-Orthez se livre notamment sur sa personnalité.\\n\\nA la question de savoir ce qu’il pense des gens qui disent qu’il est prétentieux, le Palois répond:\\n\\n« C’est comme ça, j’ai déjà eu ses retours. Notamment quand je célèbre certains paniers. Mais je suis comme ça, j’ai besoin de ça. Je célèbre aussi mes coéquipiers quand ils font des actions de classe c’est le basket, c’est le show. C’est ma vie, je vis pour le basket, je donne tout ce que j’ai au quotidien pour vivre de ma passion. Je prends du plaisir à célébrer et j’ai surtout besoin de continuer à croire en moi. On ne peut pas plaire à tout le monde, c’est une certitude. Mais je suis pas prétentieux ni hautain, j’aime juste mon sport et j’aime les moments que je suis en train de vivre. Regardez LeBron James, c’est le meilleur joueur du monde, l’un des tous meilleurs de l’histoire et il y a des gens qui le critiquent. Attention, je ne me compare pas à LeBron et je ne ferai jamais sans doute tout ce qu’il a fait dans le basket, mais c’est pour montrer que l’on ne peut pas plaire à tout le monde, c’est impossible. Même les plus grands sont critiqués, Il y aura toujours des gens pour te critiquer. A moi, de rester concentré et surtout de rester qui je suis. C’est ça le plus important. «\\n\\nLe 21 juin sera le jour de la draft quand le destin d’un joueur peut complètement basculer. DraftExpress l’annonce par exemple en 31e position.\\n\\n« Je rêve de NBA depuis tout petit. Tout va être plus grand, je le sais mais je ne m’en rends pas compte. Si mon objectif se réalise alors je serais le plus heureux. J’aurais une pensée pour tous les gens qui auront cru en moi, tous les gens qui m’auront aidé être un joueur NBA. Mais il faut toujours savoir d’où tu viens et moi je sais d’où je viens. Après c’est sûr qu’être un joueur NBA est un statut à part, mais ma famille et mes proches sauront me rappeler à l’ordre si je vrille. Garder la tête sur les épaules est un gage de réussite, et cela restera toujours l’une de mes principales convictions là où je serai. «\\n\\nCette saison, Elie Okobo tourne à 12,9 points (38,8% à trois-points), 4,6 passes et 2,6 rebonds en Jeep Elite.\\n\\nPhoto: FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mark Tatum, le numéro 2 de la NBA, approuve le système de qualification pour la Coupe du Monde 2019"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le nouveau format du système de qualification pour la Coupe du Monde mis en place depuis fin 2017 pour la première fois, a fait beaucoup parler. Qu’en penses la NBA ?\\n\\nEn France, le nouveau format des fenêtres de qualification pour la Coupe du Monde de basket, qui aura lieu l’an prochain en Chine, a été accueilli au premier abord avec beaucoup de réserves. Il a été jugé presqu’exclusivement à la lumière des noms et des pedigrees alignés sous le maillot national, en comparaison notamment aux équipes prestigieuses alignées par ailleurs par le passé lors des étés pour les grands tournois FIBA. Un constat légitime mais un peu réducteur.\\n\\nCe système qui a pour objectif de promouvoir le développement du basket partout dans le monde en proposant le meilleur vecteur possible d’identification et de mobilisation du grand public sportif, et donc pas seulement l’habituel public basket : faire jouer les équipes nationales à domicile toute l’année, pour des matches à enjeux.\\n\\n« Le nouveau système de qualification pour la Coupe du Monde est positif pour le développement du basket dans le monde », estime Mark Tatum, numéro 2 de la NBA au journal philippin Philstar.com. « La plupart des pays, avant ce système, n’avaient jamais l’opportunité de voir jouer leur équipe nationale à domicile. Ils jouaient des matches amicaux, des matches de préparation, mais pas de matches à enjeu réel à domicile. Le nouveau système de qualification permet aux fans de voir jouer leur équipe nationale dans des matches à enjeux, à domicile dans leur pays. Et même si certains joueurs NBA ne sont pas disponibles en raison de conflits d’agenda, cela permet et cela oblige les équipes nationales à investir dans le développement d’un réservoir plus important de joueurs de qualité. On voit que les équipes qui ont investi dans le développement d’un réservoir important de qualité obtiennent de bons résultats dans ce nouveau format. »\\n\\nQui est Mark Tatum ?\\n\\nA 48 ans, fils de d’un père jamaïcain et d’une mère vietnamienne, diplômé d’Harvard, est le\\nnuméro 2 de la NBA. Son poste officiel est Deputy Commissionner et COO (Chief Operating Officer) de la puissante ligue américaine. Il a remplacé à ces deux postes Adam Silver, le patron actuel de la NBA quand ce dernier a lui-même remplacé David Stern en février 2014. Tatum siège également au bureau central de la FIBA."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Un jour de match avec le Manceau Antoine Eito"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le blogeur Hoopsidia nous emmène dans les coulisses du meneur de jeu du Mans Sarthe Basket, Antoine Eito. Des vestiaires à son domicile en passant par le golf, son passe-temps privilégié.\\n\\nPhoto: MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ancien Monégasque John Bryant proche du Ratiopharm Ulm"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En pige à l’AS Monaco la saison dernière, John Bryant est retourné en Allemagne cette saison et pourrait bien y rester la saison prochaine.\\n\\nAuteur d’une excellente saison avec les Giessen 46ers, le Californien a été élu dans le cinq majeur du championnat et a attiré l’oeil du Ratiopharm Ulm par lequel il est déjà passé entre 2010 et 2013. Il ferait ainsi son retour dans le club où il a réalisé ses meilleures saisons en carrière.\\n\\nCette saison en Bundesliga, John Bryant compilait en moyenne 18,2 points, 10,6 rebonds et 3,7 passes décisives.\\n\\n\\n\\n\\nTransfer-Hammer von @ratiopharmulm! Nach BIG-Informationen steht der Tabellenzehnte unmittelbar vor der Verpflichtung von John Bryant. Der US-Amerikaner spielte von 2010 bis 2013 in Ulm und wurde 2012 zum MVP gewählt. pic.twitter.com/DGbbtD8qLa\\n\\n\\n— BIG Basketball (@BIG_Deutschland) 11 mai 2018\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Australie: Thon Maker et Matthew Dellavedova (Milwaukee Bucks) pourraient rejoindre l’équipe nationale pour la fenêtre FIBA de juin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il n’y a pas qu’en France où des NBAers sont prêts à rejoindre leur équipe nationale à l’occasion de la fenêtre de juin/juillet. C’est le cas des Australiens des Milwaukee Bucks, Thon Maker et Matthew Dellavedova.\\n\\nThon Maker, un ailier/pivot de 21 ans et 2,16m est originaire du Soudan du Sud et il a trouvé ensuite refuge en Australie à Perth et Sydney.\\n\\nDans une interview à FIBA.com, il a déclaré qu’il est prêt à porter pour la première fois le maillot des Boomers face au Japon et aux Philippines.\\n\\n« Nous en avons beaucoup parlé avec Mattew Dellavedova et je suis excité à l’idée de jouer avec l’équipe nationale pour la prochaine fenêtre de qualification. »\\n\\nThon Maker a conclu sa deuxième saison avec les Bucks en engrangeant 4,8 points et 3,0 rebonds par match.\\n\\nSon équipier aux Bucks, l’arrière Matthew Dellavedova (1,93m, 27 ans) pourrait donc lui aussi se joindre à l’équipe nationale pour cette campagne estivale. Il a assuré 4,3 points et 3,8 passes cette saison, des statistiques en retrait vis à vis de l’exercice précédent.\\n\\nLes Boomers ont jusqu’ici remporté leurs quatre matches de qualification pour la Coupe du Monde.\\n\\nPhoto: Thon Maker."
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie: La Virtus Bologne hésite toujours entre Andrea Trinchieri et Sasha Djordjevic"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Virtus Bologne attend la confirmation des nominations d’Alessandro Dalla Salda en tant que Directeur Général et de Marco Martelli en tant que directeur sportif pour planifier les stratégies futures à commencer par le choix du nouvel entraîneur.\\n\\nLe rêve du club est de convaincre Andrea Trinchieri, 50 ans, de retourner en Italie après quatre saisons à l’étranger. Le staff est prêt à lui offrir un contrat pluriannuel et pour convaincre l’ancien coach de Kazan et Bamberg de le rejoindre, il mettra en avant son objectif de rivaliser d’ici trois ans avec Milan dans le championnat italien et au sommet en Europe en accédant peut-être à l’Euroleague en remportant l’Eurocup. Si Trinchieri acceptait la mission, Bologne pourrait s’attacher les services de Daniel Hackett qui pore le maillot de Brose Bamberg et de Manuchar Markoishvili actuellement à Reggio Emilia et qui précédemment était avec Trinchieri à Cantù.\\n\\nLe plan B conduit à Sasha Djordjevic, qui est cependant dans une situation contractuelle compliquée avec le Bayern avec qui il est en procès et le Serbe pourrait aussi attendre des alternatives avec plus de visibilité internationale que la wild card de la Champions League que la FIBA a promis d’accorder à la Virtus. La Virtus sait par ailleurs que son arrière Alessandro Gentile jouera très probablement la carte NBA en disputant cet été la Summer League avec les Houston Rockets et de plus le club ne semble pas chaud pour le conserver.\\n\\nPhoto: Andrea Trincheri (Eurocup Basketball)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ben Mbala (Roanne) : « Une phase difficile »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le coach de la Chorale de Roanne, Laurent Pluvy disait apprécier le jeu des Rouennais d’Alexandre Ménard et pour cause, le RMB a réalisé un exercice époustouflant avec le plus jeune effectif de la division. Hier à la Halle Vacheresse, les Normands (8e de Pro B) ont même failli assurer leur place en Playoffs en passant à deux doigts d’un très gros coup (défaite 74-70 après être revenu à 71-70 dans les dernières secondes). Un résultat dû à une équipe rouennaise toujours étonnante par sa capacité à ne rien lâcher, mais aussi à une formation de Roanne toujours en convalescence après sa désillusion à Vichy-Clermont mardi soir qui a quasiment hypothéqué les chances de première place à l’issue de la 34e journée.\\n\\nUn revers en Auvergne qui a laissé des traces comme l’a rappelé Ben Mbala après le match hier au micro d’Activ Radio. Le Camerounais, rayonnant ces derniers mois à l’image de son équipe, a été plus en difficulté hier (16pts à 5/8 au tir, 5/16 au lancer-franc, 7 rbds, 10 d’éval)\\n\\n« En ce moment on a des petites difficultés. On a eu des matchs difficiles, des défaites et des victoires compliquées. Je dirais aussi en terme de niveau que les équipes sont également devenues meilleures sur la 2e partie de saison. Il y a le scouting report et les équipes qui font des ajustements. Ce n’est plus la phase aller où tout le monde se découvre, le scouting est plus approfondi. Mais je ne mets pas la faute que sur le scouting. Nous aussi, on pourrait faire mieux. Je pense qu’on peut mieux jouer mais on est dans une phase difficile. On trouvera le moyen de retourner la chose. (...) Je dirais qu’on est dans une période de doute. On ne prend pas les tirs ouverts qu’on a et on prend les tirs difficiles. On ne partage pas vraiment la balle et on a beaucoup de pertes de balle. C’est un peu lourd sur les résultats de chaque match. Pour l’instant, ce sur quoi on va se concentrer, c’est s’améliorer et essayer de ne pas penser aux conséquences des victoires ou des défaites lors du prochain match qui sera le dernier de la saison régulière. Après on verra ce qui se passera ».\\n\\nLaurent Pluvy : « Peu de temps »\\n\\nLe coach de la Chorale Laurent Pluvy s’attendait pour sa part à un match et un money-time sous tension, ce qui a été le cas même si Roanne a arraché la victoire, mettant la pression sur Blois qui devra s’imposer ce soir à domicile contre Saint-Chamond afin de fêter son titre de champion de Pro B avant la dernière journée (où les Blésois se déplaceront à Fos-sur-Mer).\\n\\n« Je m’attendais à ça. Je vois bien comment on est depuis quelques jours, quelques semaines. Je savais qu’on serait pas flamboyant ce soir, on ne l’a pas été. Après, on a toujours cette grande qualité de vouloir haïr la défaite et de s’arracher. C’est ce que j’ai dit aux garçons. On doit l’entretenir et c’est grâce à ça qu’on en est là aujourd’hui, si on est aussi bien classé. Maintenant ça ne suffira pas sur les Playoffs, c’est une évidence. Il faut qu’on se recentre un peu, qu’on se calme un peu, qu’on prenne le temps entre nous de refixer les choses, tranquillement, pour qu’on retrouve, la bienveillance qu’on a. On a construit notre équipe et notre saison sur ça, être bienveillant les uns les autres, sur le terrain et en dehors. On l’est beaucoup moins en ce moment. (...) On a peu de temps. Il y a une semaine très importante qui arrive. On va être très attendu à Evreux, ça c’est une évidence. Ça va être un match incroyable et ce sera une très belle préparation en vue des Playoffs ».\\n\\nEvreux, son ancien club avant d’arriver à Roanne, jouera en effet sa place dans le top 9 sur ce dernier match avec Denain et... Rouen."
}, 
{"role": "user",     "content":"Ligue 2 féminine – Les 2 000 places pour Landerneau-Angers écoulées en six minutes !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’aventure des filles du Landerneau Basket Bretagne, qui vont disputer ce soir contre Angers la belle de la finale des playoffs de Ligue 2 synonyme de montée en Ligue Féminine pour le vainqueur chamboule toute la ville et sa région.\\n\\nLe Télégramme indique que les quelque 2 000 billets disponibles se sont vendus jeudi en six minutes ! Le club fait salle comble depuis mi-décembre et son président, Erwan Croguennec, estime qu’une jauge de 5 000 places n’aurait pas suffit.\\n\\nIl faut se souvenir que lors du match retour à Angers, 400 supporters bretons étaient venus pousser leur équipe vers la victoire dans une Arena Loire de Trélazé. Cette fois, ils seront une cinquantaine de supporters angevins à faire le déplacement dans l’autre sens.\\n\\nAfin de contenter les fans qui n’ont pas pu acquérir un précieux sésame, la mairie de Landerneau et l’Office municipal des Sports ont décidé que le match sera retransmis dans l’Espace Saint-Ernel qui peut recevoir environ deux milliers de personnes. L’entrée sera gratuite. Le match est par ailleurs diffusé sur la chaîne YouTube LBB_HN.\\n\\nOn imagine la fiesta si les filles du LBB sortent vainqueurs d’une joute qui s’annonce acharnée.\\n\\nPhoto: Landerneau Basket Bretagne"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau-Boulazac – Claude Bergeaud : «J’aurais préféré que ce soit un match qui compte pour du beurre»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce soir, le palais des sports de Pau va accueillir plus de 6 500 spectateurs. Il faut dire que l’affiche est belle. Plus qu’un derby du sud-ouest, ce Pau-Boulazac est vital pour les deux équipes.\\n\\nL’Elan Béarnais cherche une place en playoffs. Après ses défaites à Cholet et Strasbourg, son succès imprévu à Monaco l’a complètement relancé. Bonne nouvelle par ailleurs: Alain Koffi qui s’était luxé l’épaule droite à l’entraînement est de retour.\\n\\nPour s’introduire tranquillement dans le top 8 final, les Palois doivent battre Boulazac puis Châlons-Reims, qui vient d’apprendre qu’il se maintenait en Jeep Elite grâce à la défaite d’Antibes hier soir. Ou alors remporter une victoire et que Bourg, Nanterre, Limoges et Villeurbanne ne remporte qu’un match. S’ils perdent deux fois, ils existent encore des solutions de rattrapage mais c’est forcément plus complexe. Et l’Elan peut viser la 5 ou 6e place et ainsi éviter de se confronter une nouvelle fois au monstre monégasque en playoffs qui sera sur ses gardes.\\n\\nBoulazac croit toujours en son étoile même si sa survie dépend aussi du dernier match d’Antibes à Levallois. Le BBD a remporté 4 de ses 6 derniers matches et pour éviter de retourner en Pro B, il lui faut absolument faire coup double: battre Pau puis Chalon, qui est dépenaillé (Ousmane Camara est forfait jusqu’à la fin de saison, James Farr et Darrin Dorsey ont quitté le club).\\n\\nEléments négatifs pour le BBD: Brandon Ubel est out et Shawn James ne s’est pas entraîné de la semaine à cause d’un genou qui gonfle. Son secteur intérieur est ainsi devenu très fragile.\\n\\n« Tout au long de la saison, on a toujours pensé qu’il allait se passer quelque chose en fin de championnat », confie le coach du BBD, Claude Bergeaud, à Sud Ouest. « Aller gagner à Pau, qui joue sa place pour les playoffs, c’est un challenge fantastique. Mais très sincèrement, j’aurais préféré que ce soit un match de gala, qui compte pour du beurre... »\\n\\nPhoto: Claude Bergeaud (Hervé Bellenger/FFBB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Spécial salaire Pro B – De la viande à nourrir dans la raquette à Vichy-Clermont"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Note : seuls les abonnés Premium accèdent au tableau complet des salaires de chaque joueur. Abonnez-vous ici à partir de 5,99€/mois.\\n\\nC’est l’un des avantages de la fusion, les budgets de la regrettée Jeanne d’Arc Vichy et du non moins historique Stade Clermontois (respectivement fondés en 1933 et 1938) ont pu partiellement mutualiser leurs économies. Ce qui est censé offrir une marge de manœuvre confortable pour élever son ambition. Mais tout n’a pas été si simple pour Vichy-Clermont qui, malgré des moyens intéressants, n’a pas pu faire mieux que 10e puis 14e la saison dernière avec un maintien à la dernière seconde de la dernière journée. Cette glorieuse incertitude du sport, malheureusement plus incertaine que glorieuse ces dernières années en terre auvergnate.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nL’axe 1-5 renforcé, l’expérience récompensée\\n\\nPour permettre à l’équipe de participer aux Playoffs, c’est Guillaume Vizade, l’enfant du pays, qui a été nommé comme entraîneur. Ce dernier avait confié à Basket Europe avant la saison vouloir renforcer son axe 1-5 en recrutant le meneur Kwamain Mitchell, auteur d’un bon exercice 2016-2017 à Nantes (9,3pts, 5,2pds par match), finaliste des Playoffs d’accession et Mohamed Kone, pivot référencé de la division chipé à Charleville-Mézières où il a réalisé la meilleure saison statistique de sa carrière (13,4pts, 9rbds par match). Une volonté qui se retranscrit dans les chiffres, surtout si l’on ajoute les deux autres joueurs d’expérience qui composent l’effectif de la JAVCM, l’arrière David Denave, et l’intérieur Charles-Henri Bronchard, ce dernier formant avec Mohamed Koné une raquette à 140 000 euros.\\n\\nAvec une masse salariale dans la partie haute du championnat par rapport à ses petits camarades, Vichy-Clermont espérait sans doute mieux que de se retrouver à batailler pour dernier spot en Playoffs à l’heure du sprint final. A leur décharge, les coéquipiers de Gregory Lessort ont connu une incroyable poisse en milieu de saison avec cinq matchs perdus dans les toutes dernières secondes qui auraient pu donner un tout autre visage à l’exercice 2017-2018 des Sang et Or.\\n\\n[table id=123 /]\\n\\nPhoto : JAVCM Basket\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nL’axe 1-5 renforcé, l’expérience récompensée\\n\\nPour permettre à l’équipe de participer aux Playoffs, c’est Guillaume Vizade, l’enfant du pays, qui a été nommé comme entraîneur. Ce dernier avait confié à Basket Europe avant la saison vouloir renforcer son axe 1-5 en recrutant le meneur Kwamain Mitchell, auteur d’un bon exercice 2016-2017 à Nantes (9,3pts, 5,2pds par match), finaliste des Playoffs d’accession et Mohamed Kone, pivot référencé de la division chipé à Charleville-Mézières où il a réalisé la meilleure saison statistique de sa carrière (13,4pts, 9rbds par match). Une volonté qui se retranscrit dans les chiffres, surtout si l’on ajoute les deux autres joueurs d’expérience qui composent l’effectif de la JAVCM, l’arrière David Denave, et l’intérieur Charles-Henri Bronchard, ce dernier formant avec Mohamed Koné une raquette à 140 000 euros.\\n\\nAvec une masse salariale dans la partie haute du championnat par rapport à ses petits camarades, Vichy-Clermont espérait sans doute mieux que de se retrouver à batailler pour dernier spot en Playoffs à l’heure du sprint final. A leur décharge, les coéquipiers de Gregory Lessort ont connu une incroyable poisse en milieu de saison avec cinq matchs perdus dans les toutes dernières secondes qui auraient pu donner un tout autre visage à l’exercice 2017-2018 des Sang et Or.\\n\\nPhoto : JAVCM Basket\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Défait par Limoges, Antibes n’a pas encore assuré sa place en Jeep Elite"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A plus de 36 ans, le petit meneur de jeu antibois Jerel Blassingame (1,75m) a ce que l’on appelle de « beaux restes ». Hier soir, il a réalisé un véritable festival (24 points avec un 6/8 à trois points et 7 passes) et c’est lui qui a empêché Limoges de passer une soirée tranquille.\\n\\nC’est grâce ainsi à un tir au buzzer de Blassingame que les Sharks n’étaient menés que de trois points (23-26) à l’issue d’un premier quart-temps offensif. Au début de la deuxième mi-temps, le CSP fit un écart (53-43). Insuffisant car Antibes recollait presque à son adversaire limougeaud (70-72, 75-77) et ce n’est que dans le money time que celui-ci fit la différence, 86-78.\\n\\nLe CSP doit beaucoup au trio Kenny Hayes (20 points), William Howard (17) et Samardo Samuels (16). Il est quasiment assuré mathématiquement de participer aux playoffs. Pour se maintenir en Jeep Elite, les Sharks devront s’imposer à Levallois lors de l’ultime journée ou que Boulazac perde ses deux derniers matches.\\n\\nhttps://twitter.com/BOURGAINO/status/995212436251860997\\n\\nPhoto: Jerel Blassingame (Sharks)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet se maintient en Jeep Elite"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En infligeant à Hyères-Toulon sa 20e défaite de rang, Cholet Basket a assuré son maintien en Jeep Elite. Il s’est pourtant fait des frayeurs inutiles dans le Var.\\n\\nLes Choletais menaient 31-17 après dix minutes, 54-31 après vingt et encore 72-52 après trente. Il faut dire que les Varois sont depuis longtemps démobilisés. Ils pouvaient s’appuyer sur leur shooteur US Toddrick Gotcher (21 points avec un 4/6 à trois-points) et leur meneur Jonathan Rousselle qui ne gâchait rien (13 points, 6/6 aux tirs et 7 passes). Mais quel dernier quart-temps !\\n\\nAlors que Robert Arnold enfilait 29 points dans le match, Ferdinand montrait sa puissance et CB ronronnait. A deux minutes de la fin, le HTV était revenu à 74-83 et pouvait entrevoir le hold up du siècle. Ce ne fut pas le cas mais l’étroitesse du score final (86-80) prouve que les hommes de Philippe Hervé ne sont pas sereins et qu’il est temps de clôturer l’exercice 2017-18."
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview Frédéric Sarre (Bourg) : «Ça nous intéresse de ne pas sélectionner des joueurs qu’à travers leurs tailles»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour avoir coaché notamment Limoges et Pau, Frédéric Sarre, 57 ans, est une figure du basket français. Après trois saisons comme entraîneur à la JL Bourg, il en est devenu le directeur du développement sportif. Une fonction charnière qui l’a amené dans la première partie de l’interview à nous parler du retour de son équipe en Jeep Elite, du recrutement, des problèmes de santé de celui qui pourrait être sacré MVP de la saison, l’Américain Zachery Peacock. Nous abordons maintenant la formation de la JL avec son école de meneurs.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLes U17 ont gagné la Coupe de France. C’est un signe que le travail du centre de formation porte ses fruits ?\\n\\nDepuis que l’on bénéficie d’un nouvel outil qui est Ekinox, on a un fonctionnement au niveau du centre de formation beaucoup plus performant pour entraîner collectivement, suivre individuellement. Il y a donc à Ekinox la salle qui est fabuleuse pour les soirs de match mais aussi notre salle d’entraînement, on est chez nous. Ça permet de mettre en place pas mal de travail et on a également des préparateurs physiques que ce soit pour les U18 et les U21 qui nous permettent de bien développer les gamins au niveau physique, athlétique, motricité, etc. Oui, on souhaite continuer à développer notre centre de formation, à avoir des performances. Aujourd’hui celles-ci sont davantage liées au travail collectif que font les coachs, que ce soit Jean-Luc Tissot pour les U21 et Pierrot Murtin pour les U18 et les U17. Ce que l’on souhaite à terme c’est d’avoir non seulement la capacité de développer du collectif mais aussi des joueurs à titre individuel. Bien évidemment, il y a Thibault Desseignet qui est sorti de cette filière Ecole des Meneurs/U21. On a le petit Hugo Benitez (1,85m) qui est devenu MVP des U17, qui est aussi un meneur de jeu. On a aussi Théo Rey (1,91m) qui est en équipe de France U18. On commence à bénéficier de tout le travail que l’on a mis en place et on espère que l’on va pouvoir de plus en plus recruter des joueurs avec une forte potentialité.\\n\\nQuelles sont les spécificités de votre école des meneurs ?\\n\\nElle va chez nous des U9 au U21. Au sein du club associatif, la JL Amateur, il y a une partie du travail au sein de l’école des meneurs. Evidemment pour les U9 et les U11, ils sont tous meneurs car on ne connaît pas leurs tailles futures. Et petit à petit on fait des sélections pour amener à développer des joueurs dans la motricité, la mobilité, la reconnaissance, le jeu. On ne sait pas s’ils feront 2,00m ou 2,10m mais on est sûr qu’ils développent d’autres qualités. Notre volonté c’est de former des joueurs qui dégagent d’autres valeurs que le physique. Donc les valeurs de leadership, de connaissances de basket, de gestion. Ça nous intéresse de ne pas sélectionner des joueurs qu’à travers leurs tailles.\\n\\nRecrutez-vous des joueurs pour cette école de meneurs ?\\n\\nOui. On commence à être sollicité par des joueurs parce qu’ils veulent participer à notre centre de formation quand ils sortent de U15, qu’ils sont meneurs de jeu et qu’ils veulent participer à notre école de meneurs.\\n\\n« On fait venir des gens de l’extérieur comme Laurent Sciarra et Antoine Rigaudeau qui sont venus participer à des stages »\\n\\nComment se fait la sélection par catégories ?\\n\\nC’est en fait une école de meneurs/arrières. En U9, ce sont tous les gamins. On a une petite sélection qui se fait au niveau du club amateur et en U15, on en a plus que cinq ou six et en U21, on a le même nombre. On fait donc des séances spécifiques pour les développer et on fait venir des gens de l’extérieur comme Laurent Sciarra et Antoine Rigaudeau qui sont venus participer à des stages. En fin de compte, c’est comme s’il y avait une option dans une formation, il y a une école de meneurs en plus pour eux. Chaque semaine il y a au moins un entraînement qui est dédié uniquement au développement des postes meneurs/arrières.\\n\\nIl y a un bon exemple d’un géant qui a débuté comme meneur de jeu, c’est Arvidas Sabonis (2,20m), qui a pu ainsi développer en jeune des qualités extraordinaires de mobilité, de dextérité, de lecture du jeu, de tir à trois-points ?\\n\\nJe pense que le plus jeune possible on peut développer de la motricité, de l’habilité, quitte après à donner des spécialisations à cause de la morphologie, la croissance des gens les amènent à jouer à d’autres postes. Si demain on a un gamin qui fait deux mètres et qui peut jouer meneur car il a toutes les qualités techniques, mentales, de leadership, c’est un avantage. Mais on ne veut pas non plus empêcher un gamin de se développer sous prétexte qu’il ne fait que 1,75m. Il faut leur donner leur chance d’être des joueurs de haut niveau. Certains Américains qui viennent en France pour jouer meneur ne font pas 1,90m.\\n\\nQuand on voit Lucas Bourhis de Gravelines, on se dit qu’il a un profil de M. Tout-le-Monde et pourtant quand il est entré en jeu face à Nanterre, il s’est très bien débrouillé ?\\n\\nBien sûr. C’est un très bon joueur et il faut que l’on continue de donner leur chance à ces gens-là d’atteindre le meilleur niveau possible et ne pas ne pas les sélectionner au départ parce qu’ils font 1,90m. Ce qui compte c’est le leadership, la connaissance, la capacité à gérer les rythmes ou à être scoreur. Il n’y a pas qu’un seul style de meneur de jeu, il y en a plein.\\n\\n« Si le potentiel de Thibault Desseignet est d’être meneur de jeu de Pro B, on en sera complètement satisfait »\\n\\nThibault Desseignet est le symbole de la formation de la JL, mais son temps de jeu reste faible ?\\n\\nIl est venu chez nous de Roanne parce qu’on avait l’école des meneurs. Tout dépend du profil du joueur. Je pense que Thibault Desseignet a un style de meneur de jeu qui a besoin d’avoir du temps de jeu pour s’exprimer. C’est un garçon qui a la possibilité de conduire une équipe, de maîtriser les rythmes, d’être un relais du coach sur le terrain et d’avoir une capacité de scorer. Ce n’est pas un joueur dont les qualités essentielles sont l’explosivité, la dureté défensive et les qualités athlétiques qui lui auraient peut-être permis d’être plus vite dans une équipe de Pro A ou de Pro B où va mettre un Ricain devant et que le remplaçant qui est JFL, on ne lui demande pas de scorer mais de mettre de la pression, de changer de rythme, de permettre au joueur américain de souffler deux minutes, d’éviter la troisième faute en première mi-temps. Si le potentiel de Thibault Desseignet est d’être meneur de jeu de Pro B, on en sera complètement satisfait. Si à terme, il est encore jeune, il peut être deuxième meneur de Pro A, on en sera complètement satisfait de notre école. Et si c’est chez nous ça sera parfait.\\n\\nLe plus célèbre meneur bressan c’est Antoine Diot. Il allie taille (1,93m), technique et leadership. C’est possible d’en former d’autres comme lui, il faut beaucoup d’ingrédients ?\\n\\nBien sûr. La taille n’est pas une qualité essentielle. Antoine est grand mais ce n’est pas non plus un géant mais il a plein de qualités qui lui permettent d’évoluer à ce niveau-là. Il a grandi à Bourg-en-Bresse mais il est parti très vite d’ici pour intégrer l’INSEP puis Le Mans, Paris, Strasbourg et puis maintenant Valence. On espère dans notre école de meneur trouver à un moment ou à un autre un joueur de ce niveau-là et de l’amener directement dans notre équipe ou en tous les cas de grossir les rangs d’une équipe professionnelle. Et c’est pour cela que l’on propose chaque année un contrat à Antoine...\\n\\n...\\n\\n(Rires). Il répond à toutes les caractéristiques dont on a besoin ! A l’usure, on l’aura. Je plaisante. Quand on fait le scouting chez les jeunes et que l’on voit des meneurs de jeu qui nous intéressent, on cherche surtout à les accueillir en U18 pour le centre de formation. On est très vite en concurrence avec les grosses équipes et aussi avec l’INSEP. Si on ne peut pas recruter ces joueurs-là, on cherche à avoir des jeunes qui n’ont peut-être pas tous les éléments immédiats pour être repérés par l’INSEP ou les gros clubs. Sauf qu’on ne veut pas non plus en prendre dix parce qu’on n’aurait pas les moyens de les développer. Donc on en prend un ou deux chaque saison pour mettre en place un emploi du temps et des minutes de jeu qui leur permettent de vraiment s’exprimer. Car plus tu vas mettre de personnes en concurrence et moins tu vas développer les gens. Parfois il vaut mieux en avoir que un ou deux et mettre tout en place pour qu’ils puissent se développer. Par exemple, cette année on va chercher un gamin qui fait 1,62m qui sort des 15 et qui vient de Toulouges et qui démontre d’ores et déjà des qualités qui nous paraissent très intéressantes pour être un meneur de jeu.\\n\\n« Peut-être que si on avait un jeu plus proche de l’Espagne, on aurait une expression plus facile de la part de meneurs-arrières français »\\n\\nLes Espagnols, qui sont d’une moyenne de taille à peu près égale aux Français*, arrivent depuis de nombreuses générations à sortir des meneurs de jeu de très haut niveau ?\\n\\nOn a des arrières de très bon niveau mais le problème c’est qu’en Espagne, il les gardent. Nous, ils s’expatrient en NBA, en Euroleague ou dans des équipes très rémunératrices. Il y a un paquet de meneurs-arrières qui remonteraient le niveau s’ils étaient dans notre championnat : De Colo, Causeur, Beaubois, Westermann, Ntilikina, Albicy, Antoine, Parker... Sans parler de Fournier qui est un arrière-shooteur car je ne parle pas que des meneurs. Aujourd’hui, dans le basket, il n’y a pratiquement plus de purs meneurs comme il y a vingt ou vingt-cinq ans où il y avait un meneur, un arrière-ailier, un ailier, un poste 4 qui ne sortait pas à trois-points et un gros cinq. Le basket a évolué avec des arrières, un ailier extérieur, un ailier-fort qui est un intérieur qui peut tirer à trois-points et un pivot. Et donc nous, ce qui nous intéresse c’est de développer des joueurs susceptibles de jouer arrières-meneurs. Les joueurs dont j’ai parlé seraient à Strasbourg, Villeurbanne ou Le Mans, dans les gros clubs, ça changerait le décor de la LNB. Mais on est incapable de rivaliser sur les contrats proposés. Comme actuellement on ne peut pas avoir les meilleurs, il faut que l’on monte ce niveau-là pour qu’il y en ait de plus en plus. Et il n’y a pas de raisons qu’on ne le fasse pas puisqu’en Espagne, ils ne sont pas plus grands que nous et que l’on a une masse de joueurs importante avec des tailles moyennes ou moyennes + et qui sont aptes à jouer arrières-meneurs. Si on va un peu plus loin dans la réflexion, on peut s’interroger sur le style de jeu développé dans les différents championnats espagnols et français. Les caractéristiques de jeu sont complètement différentes et peut-être que si on avait un jeu plus proche de l’Espagne, on aurait une expression plus facile de la part de meneurs-arrières français. Leur développement du jeu en Espagne est un peu moins flashy, explosif, dense dans les qualités athlétiques. Il faut le reconnaître, on a un championnat depuis quelques années dont les caractéristiques sont essentiellement liées à l’explosivité et à la vitesse.\\n\\nIl y a une vraie continuité dans le style de jeu espagnol de génération en génération, en équipe A comme dans les équipes de jeunes ?\\n\\nOn commence juste dans le championnat de France à avoir des joueurs français ou étrangers qui font 2,10m, ce qui n’était pas le cas il y a quelques saisons. Ce ne sont pas forcément des joueurs explosifs mais ils sont grands et longs. Alors qu’en Espagne on a ce profil-là depuis des années. En Allemagne, ils ont plein de gros binbins, qui ne sont pas explosifs mais avec un basket un peu différent. Quand on regarde les profils des équipes qui vont loin dans les coupes d’Europe, elles sont assez proches dans leur constitution alors qu’en LNB, on n’a pas du tout ces profils-là. On commence tout juste.\\n\\nOn n’en a pas pour des raisons philosophiques ou à cause du coût ?\\n\\nDéjà parce que ce profil de joueur coûte très cher sur le marché européen et aussi une équipe a tenté ça il y a quelques saisons en faisant venir Curtis Borchardt (NDLR : 2,13m, saison 2009-10) à 500 ou 600 000 dollars. Il avait eu des performances de top niveau que ce soit dans le championnat espagnol qu’en coupe d’Europe et en France, il ne pouvait pas jouer parce qu’il avait à faire à un mec de 2,03m qui allait comme une bombe et donc il n’a pas pu s’exprimer. Les seuls matchs où il a pu le faire avec Villeurbanne au niveau auquel tout le monde l’attendait, c’est en coupe d’Europe.\\n\\nMate Skelin (ex-Pau et Le Mans) était dans le même registre, peu à l’aise en Pro A et rentable en Euroleague ?\\n\\nBien sûr. Et j’en reviens à ce que je disais précédemment : pour gagner le championnat de France, les équipes sont aujourd’hui organisées avec des joueurs vifs, explosifs, physiques, et ça leur permet aussi d’aller chercher une place en coupe d’Europe. Il faudrait donc avoir un budget qui permette d’avoir une équipe profilée pour jouer la Jeep Elite et d’autre part l’Eurocup ou la Champions League ou éventuellement l’Euroleague.\\n\\n*Les Espagnols nés entre 1976 et 1980 affichent une moyenne de 1,75m sous la toise. La taille des Français nés à la fin des années 70 est de 1,76-77m.\\n\\n[armelse]\\nLes U17 ont gagné la Coupe de France. C’est un signe que le travail du centre de formation porte ses fruits ?\\n\\nDepuis que l’on bénéficie d’un nouvel outil qui est Ekinox, on a un fonctionnement au niveau du centre de formation beaucoup plus performant pour entraîner collectivement, suivre individuellement. Il y a donc à Ekinox la salle qui est fabuleuse pour les soirs de match mais aussi notre salle d’entraînement, on est chez nous. Ça permet de mettre en place pas mal de travail et on a également des préparateurs physiques que ce soit pour les U18 et les U21 qui nous permettent de bien développer les gamins au niveau physique, athlétique, motricité, etc. Oui, on souhaite continuer à développer notre centre de formation, à avoir des performances. Aujourd’hui celles-ci sont davantage liées au travail collectif que font les coachs, que ce soit Jean-Luc Tissot pour les U21 et Pierrot Murtin pour les U18 et les U17. Ce que l’on souhaite à terme c’est d’avoir non seulement la capacité de développer du collectif mais aussi des joueurs à titre individuel. Bien évidemment, il y a Thibault Desseignet qui est sorti de cette filière Ecole des Meneurs/U21. On a le petit Hugo Benitez (1,85m) qui est devenu MVP des U17, qui est aussi un meneur de jeu. On a aussi Théo Rey (1,91m) qui est en équipe de France U18. On commence à bénéficier de tout le travail que l’on a mis en place et on espère que l’on va pouvoir de plus en plus recruter des joueurs avec une forte potentialité.\\n\\nQuelles sont les spécificités de votre école des meneurs ?\\n\\nElle va chez nous des U9 au U21. Au sein du club associatif, la JL Amateur, il y a une partie du travail au sein de l’école des meneurs. Evidemment pour les U9 et les U11, ils sont tous meneurs car on ne connaît pas leurs tailles futures.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: JL Bourg"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jonah Bolden va-t-il rejoindre les Sixers cet été ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Choisi en 36e position de la draft NBA en 2017, Jonah Bolden (2,08m, 22 ans) a fait ses débuts avec les Sixers en ligue d’été. Mais l’intérieur australien passé par UCLA mais aussi par Belgrade, était cette saison un joueur important dans la rotation du Maccabi Tel Aviv.\\n\\nAuteur de 7 points et 5 rebonds de moyenne en Euroleague, Bolden a également fait le métier en ligue israélienne avec 8 points et 7 rebonds de moyenne. Le « draft and stash » pourrait bien franchir le pas et traverser l’Atlantique pour rejoindre le Process à la rentrée prochaine.\\n\\n« Le joueur qui va le plus probablement rejoindre l’équipe, s’il y en a un, c’est Jonah Bolden », a laissé entendre Bryan Colangelo sur NBC. « On en discute actuellement. Il a une option dans son contrat si ça marche pour lui et pour nous. Et le Maccabi garde ses droits s’il ne prend pas son option. »\\n\\nSigné pour trois ans au Maccabi, Bolden aura donc toujours la possibilité de rempiler en Israël si ça ne marchait pas en NBA. Il sera certainement testé en coulisses à Philly ainsi que pendant la ligue d’été de Las Vegas.\\n\\n« Bolden est un intérieur moderne qui peut jouer sur plusieurs postes et défendre sur plusieurs postes. Il peut aussi s’écarter et shooter de loin. Ses stats d’adresse aux tirs ont un peu baissé en cours de saison, mais on sait ce qu’il peut faire. Il peut prendre le rebond et relancer à l’instinct, il prend de bonnes décisions. C’est un bon joueur d’équipe qui fait vivre le ballon. »\\n\\nAvec un corps aux mensurations NBA, et un shoot qui semble s’être stabilisé, Bolden va également arrivé endurci après une saison de joutes européennes. Il a tourné à 9 points et 6 rebonds l’an passé pour ses débuts en summer league."
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview : Quand Yvan Mainini évoquait la nouvelle formule de la Coupe du Monde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il y a quatre ans, Yvan Mainini dont nous avons appris le décès ce matin, nous accordait pour Basket Hebdo une interview au siège de la Fédération Internationale dont il était le président.\\n\\nLa voici dans son intégralité.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nCombien de pays avez-vous visité depuis que vous êtes arbitre ?\\n\\nJe n’en sais rien, ça doit tourner autour de 70-80, sur les 213 adhérents à la fédération internationale. Ce qui est dommage, c’est que lorsque j’étais arbitre, je n’ai eu l’occasion d’arbitrer que les pays phare, et pas trop ceux en voie de développement. Je pense que la personne ici qui va visiter le plus de pays, c’est Lubomir Kotleba, un ancien arbitre également, qui est le directeur des sports de la FIBA. Depuis que je suis président, j’ai visité des pays que je connaissais déjà car ils sont très actifs sur le plan du basket. Je reviens par exemple de Porto-Rico (quelques heures plus tard, Yvan Mainini s’envolait pour Moscou), et c’est un pays que je connais depuis longtemps. Un jeune journaliste m’a interviewé et sa première question était : « est-ce la première fois que vous venez à Porto-Rico ? » Je lui ai répondu : « non et je crois que la première fois, vous n’étiez pas né ! »\\n\\nQu’est-ce qui vous a poussé à vous doter d’un nouveau siège ?\\n\\nC’est une décision prise par la fédération internationale en 1968 lors de la réunion du congrès à Mexico. Une somme avait été fixée mais il a fallu attendre quarante-cinq ans pour construire ce siège. Auparavant, nous louions des bureaux. On voulait faire un musée qui soit à un endroit différent du siège mais nous ne sommes pas une fédération avec d’énormes moyens et on a décidé de tout mettre ensemble. On a consacré la totalité du rez-de-chaussée, 800 m2, au hall of fame, les archives, la bibliothèque. C’est une bonne image pour la fédération internationale.\\n\\nEn termes de spectateurs, d’exposition, la Coupe du Monde en Espagne marquera-t-elle un bond en avant pour le basket comme ce fut le cas en 1986 ?\\n\\nJ’y ai arbitré... On pense que ça va être un nouveau départ pour nous permettre de nous inscrire dans la dynamique que l’on veut mettre en place avec le nouveau système de qualification en 2017. La Coupe du Monde de 2019 sera avec 32 équipes et avec encore davantage de relief que celle-ci. J’ai confiance, les Espagnols sont de bons organisateurs, l’équipe d’Espagne est forte, on va attirer du monde. Je sais qu’à Bilbao, c’est impossible de trouver des billets car il y a les Américains, pareil à Grenade avec la présence des Espagnols. Tout le monde s’est étonné que l’on ait donné une wild card à la Finlande, mais il y a 5 000 Finlandais qui vont venir. Il y a un engouement incroyable en Finlande pour la coupe du monde.\\n\\nComment la France parvient-elle à réunir ses meilleurs joueurs en équipe nationale, ce qui n’est pas le cas de tous les pays ?\\n\\nIl existe un état d’esprit cocardier, donné par les joueurs eux-mêmes, notamment par Boris Diaw, qui m’a dit à plusieurs reprises qu’il espère battre le record de sélections de sa mère. Il va falloir qu’il joue encore pas mal d’années ! (rires). Sous des dehors un peu indolent, c’est un garçon qui fédère une équipe. Tony est très dynamique dans le système mais c’est plus dans le jeu que dans la capacité à réunir les gens. Globalement, ce qui a changé, c’est ce qui a été imprégné par la formation donnée aux joueurs. Ils se sentent indirectement un peu redevables au pays qui les a formés. C’est bien. Auparavant, on avait cinq joueurs pour former une équipe et on cherchait d’autres joueurs à mettre autour. Aujourd’hui, il y a le choix pour constituer une équipe de bonne qualité avec des joueurs formés soit dans les clubs, soit à l’Insep. Il n’y a pas de générations spontanées, ce sont des gens que l’on a indirectement aidés et qui, à leur tour, veulent aider le basket national.\\n\\nJusqu’en 1992, la France n’avait gagné que deux médailles en jeunes, l’une chez les garçons, l’autre chez les filles, aujourd’hui, on ne les compte plus...\\n\\nIl y a plusieurs raisons. La première, qui est arithmétique, c’est que les compétitions se sont multipliées. Deuxièmement, notre formation a été reconnue, même s’il faudra, je pense, changer les projets à l’avenir. Sans l’Insep, il n’y aurait même pas de ligue féminine aujourd’hui. Toutes les joueuses ou presque sont issues de ce creuset. Ce sont des joueuses qui peuvent rivaliser au niveau mondial, contrairement à la Russie où le système est totalement désorganisé aujourd’hui. La formation en France est assurée, comme en Espagne, en Australie, et bien sûr aux Etats-Unis, qui restent les maîtres et où cette formation est intégrée à l’école, à l’université. Pour moi, les Américaines sont plus fortes que les Américains comparativement aux autres nations. Je vois ça dans les championnats du monde de jeunes, les Américaines sont toujours exceptionnelles avec un jeu très préparé, léché. Comme il y a moins de qualités physiques que chez les hommes, il y a moins de pick and roll, de un-contre-un, et davantage de recherches collectives, une grande qualité de passes.\\n\\nQuelles vont être les modifications structurelles lors de cette Coupe du Monde en Espagne ?\\n\\nAuparavant, on fonctionnait à partir d’un cahier des charges que l’on donnait à remplir aux organisateurs, alors que là avec les Espagnols on a fait un « joint venture », on travaille ensemble, on partage les plus valus ou les moins valus. Deuxièmement, pour cette coupe du monde, il y a deux championnats de douze pays parallèles, l’un avec les Espagnols et l’autre avec les Américains. Ce afin d’avoir des assurances de remplissage et pour voir les meilleures équipes émerger. Ça ne se reproduira plus. Avec trente-deux équipes, on reviendra à des systèmes plus traditionnels.\\n\\nLa Coupe du Monde suivante se tiendra donc en 2019 et réunira 32 équipes au lieu de 24 dont 12 européennes, mais avec des qualifications en novembre, février, juin et septembre, afin de faire jouer les équipes nationales devant leur public, ce qui fera pour certains pays comme la France qui ont beaucoup de joueurs NBA, une équipe nationale à deux vitesses. Il n’y avait pas moyen de trouver des fenêtres de compétition qui puissent satisfaire tout le monde ?\\n\\nDepuis la deuxième guerre mondiale, seulement trente-huit pays ont obtenu des médailles aux Jeux Olympiques, championnats du monde et continentaux. Cela veut dire qu’il n’y a pas suffisamment de fédérations compétitives. Là, on voit l’émergence des Philippines en Asie et du Mexique en Amérique, c’est très bien pour l’universalité de notre sport. On veut qu’un maximum de pays puisse participer à la qualification pour la coupe du monde. Le corollaire, c’est de pouvoir jouer devant son public en compétition, ce qui n’est pas possible aujourd’hui sauf à en être l’organisateur. De l’avis de tout le monde, la médiatisation du basket n’est pas suffisante. Durant les dix-huit mois de qualification, cela devrait créer un buzz énorme sur l’ensemble de la planète puisqu’on va jouer 1600 matches dont on espère qu’ils seront tous télévisés. Il va y avoir ainsi de l’engouement automatique qui va se faire derrière les équipes nationales\\n\\nMais donc ceci se fera sans les joueurs NBA...\\n\\nC’est le constat pour aujourd’hui. Il y a un élément à ajouter, personne ne sera qualifié automatiquement à part l’organisateur. Le champion du monde et le champion olympique devront jouer pour se qualifier. Y compris les Américains. Ce qui veut dire qu’à terme, peut-être dans dix ans, ils devront peut-être faire une pause afin de pouvoir envoyer les meilleurs.\\n\\nPour l’organisation d’un tel calendrier, y a-t-il des discussions avec la NBA ?\\n\\nBien sûr, avec David Stern et Adam Silver, depuis longtemps. Ils sont complètement sur la même ligne que nous.\\n\\nIl leur faut faire aussi en fonction de leurs propres franchises ?\\n\\nOui, ce n’est pas le même système que nous. Au bout du compte, ce sont les propriétaires qui décident. Et pour eux, aujourd’hui, le basket international, dans leur tête, c’est rien. Ce qui compte, c’est leur calendrier et puisque ce sont nos joueurs, ils se disent qu’ils n’ont qu’à organiser eux-mêmes un truc durant l’été, etc.\\n\\nC’est l’idée de Mark Cuban...\\n\\nCe n’est pas le pire... Dans leur logique, ce qu’il dit n’est pas complètement faux, même si ça ne nous va pas forcément. C’est un travail de longue haleine. On a prévu notamment de faire venir un maximum de propriétaires à la Coupe du monde en Espagne pour qu’ils voient ce que c’est... Je pense qu’ils ne savent pas qu’il y a de l’intérêt à y participer.\\n\\nJordi Bertomeu, le directeur de l’Euroleague, a eu des commentaires dans le même sens, menaçant de boycotter ces éliminatoires si elles se déroulaient à des dates qui se superposent à ses compétitions...\\n\\nJ’aime bien Jordi, c’est un gentil garçon, mais il peut dire ce qu’il veut, le jour où les joueurs ne viendront pas et qu’il faudra qu’il en rende compte devant l’opinion publique en Espagne ou ailleurs, il sera vraiment dans la difficulté. Il se trompe de débat. Si, comme on l’envisage, ces éliminatoires donnent du volume au basket, les premiers à en cueillir les fruits, ce seront les clubs. D’ailleurs, on l’a vu six ou sept fois à ce sujet et la deuxième fois où on l’a rencontré à Barcelone, il a déclaré à un journaliste qui était là, « je suis d’accord à 95% avec le système de la Fiba, c’est très bien comme projet. » On ne lui avait rien demandé ! Quoiqu’il arrive, les fenêtres ne sont pas fixées de manière définitive en termes de date. Si c’est mieux de jouer début décembre que le 15 novembre, on jouera début décembre... Il faudra juste que ces fenêtres soient identiques sur l’ensemble de la planète, ce par exemple afin de permettre aux joueurs africains d’Euroleague de pouvoir jouer dans leur pays comme les autres.\\n\\nUne fenêtre en juin ou début septembre permettrait aux joueurs NBA d’y participer ?\\n\\nÇa sera probablement fin juillet, début juillet, et en septembre. Bien sûr que les joueurs NBA pourront y participer. Ce qui changera, c’est la mentalité d’une équipe. Pour l’instant, c’est douze joueurs mais là on fera un club de vingt-quatre joueurs et on ne jouera pas forcément toujours avec les mêmes.\\n\\nAvec douze places pour l’Europe, les meilleurs pays dont la France, même sans forcément leurs joueurs majeurs, ne devraient pas être trop en péril pour se qualifier ?\\n\\nJe suis persuadé qu’un pays comme la France, même sans ses joueurs NBA, doit pouvoir passer le cap. Je me rappelle des qualifications pour le championnat d’Europe 97 en Espagne, où nous avions gagné les dix matchs. Demain, c’est encore jouable surtout que l’on travaille bien sur la formation. Et on doit pouvoir la privilégier au niveau de notre ligue nationale, même si dans cette période de mondialisation aigue, l’Europe avec ses couteaux est toujours derrière prête à dire que ce n’est pas assez ouvert. Il faut que nos jeunes trouvent des débouchés et ça serait bien que ça soit dans la ligue française.\\n\\nOn a l’impression que la FIBA veut reprendre le leadership à sa propre créature, la FIBA Europe ?\\n\\nCe n’est pas tout à fait ça. Contrairement à ce que pensent les gens, la fédération internationale a un vrai plan stratégique. Sur ces quatre dernières années, le budget a pratiquement doublé et on arrivera, je pense, à le doubler encore dans les années à venir. Nous avons quatre piliers importants : 1- La construction du siège. 2- On travaille très dur sur le développement du 3×3, et c’est une carte extraordinaire car ça permet à davantage de pays, et même les petits, d’être présent sur l’échiquier international (le Qatar a obtenu son premier titre international dans un sport collectif en remportant l’or au Mondial de Moscou). 3- On a modifié le calendrier de fond en comble, en supprimant notamment un championnat d’Europe tous les quatre ans. Non pas pour tuer l’Europe mais parce qu’il est impossible de caler un deuxième championnat d’Europe dans le nouveau calendrier, comme c’est le cas au football. 4- La modification de la gouvernance adoptée à l’unanimité moins une abstention, avec 198 pays présents sur les 213, ce qui est exceptionnel, lors du Congrès d’Istanbul qui a eu lieu en mars dernier. Dans la nouvelle organisation, tout le monde va désormais être obligé de suivre le même plan stratégique qui sera déterminé par le bureau central de la Fiba, et décliné dans les continents. Et non plus chacun dans son coin... Cela portera ses fruits dans les 5, 7 ans à venir. Je ne dirai pas que c’est une reprise en mains, mais si l’on regarde ce qui se fait dans les autres grandes fédérations internationales, ce n’était pas normal que ce ne soit pas la Fiba qui fixe les grandes orientations du calendrier. Il est désormais préétabli pour dix ans.\\n\\nOn avait l’impression que c’était une lutte d’influence entre la Fiba, la Fiba Europe, l’Euroleague, sans parler de la NBA ?\\n\\nC’est fini... Pour la NBA, il faut appeler un chat un chat. C’est un business qui pèse cinq milliards et demi de dollars et il ne faut pas être une grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf. Notre but ultime est d’avoir des fédérations mieux organisées qui produisent plus de joueurs de qualité, de développer la pratique sur l’ensemble de la planète. Notre but n’est pas de faire du business pour du business. Quel intérêt d’avoir plusieurs millions d’euros en banque ? Ce n’est pas notre objet.\\n\\nLa FIBA souhaitait que le tournoi olympique masculin passe de 12 à 16 équipes et que le 3×3 soit introduit aux Jeux de Rio ? Le CIO a refusé. Vous referez candidature dans quatre ans ?\\n\\nPour le 3×3, on s’y est peut-être pris un peu tard et en plus, à Rio, il y a tellement de difficultés que c’est impossible d’ajouter quelque chose. Ce n’est pas un nouveau sport, c’est une discipline et il y a de bonnes chances que ce soit intégré à Tokyo (en 2020). J’ai bon espoir aussi que Planète 3×3 que nous avons mis en place devienne le facebook du basket où les gens se rencontrent, se fixent rendez-vous pour jouer ensemble, etc. Par ailleurs, notre demande de passer à seize équipes est toujours inscrite. Le problème, c’est que les Jeux Olympiques sont devenus gigantesques. J’ai discuté avec un membre du CIO qui m’a dit : « il ne faut pas se tromper. Certains disent que le basket sans la NBA serait une catastrophe. Moi je dis : « les Jeux Olympiques sans les joueurs de la NBA, c’est une catastrophe. »\\n\\nEn France, le handball se positionne en adversaire directe au basket. Qu’en est-il au niveau mondial ?\\n\\nLe handball reste un sport presque uniquement européen et du Maghreb. En Amérique, de manière globale, le hand, c’est rien. En Asie, il y en a un peu en Corée, c’est tout... Le basket, lui, n’arrive pas trop à percer en Angleterre, mais à mon sens, je ne suis pas leur porte-parole, la NBA a derrière la tête d’installer une première franchise en Europe à Londres. Ce n’est pas une chimère. On passe dans une phase un peu plus active. Le problème de la NBA en Europe, c’est celui de la France, l’absence de salles de qualité. Je pense d’ailleurs que la catastrophe de Limoges dans le passé est venue de l’incapacité d’augmenter les recettes faute d’avoir une salle d’une capacité suffisante.\\n\\nMais Londres à une salle ?\\n\\nOui, la NBA y a déjà organisé pas mal de choses, des matchs de saison régulière, etc. A terme, on peut imaginer cinq ou six franchises NBA en Europe. Ça tirerait le basket vers le haut.\\n\\nÇa coute quand même très cher une franchise NBA... Les Européens auraient-ils les moyens d’un tel investissement ?\\n\\nOui, c’est cher, la franchise des Clippers vaut deux milliards. Je ne sais pas si ce sont les Européens qui les monteraient. Peut-être y aurait-il des investisseurs Américains, Chinois... Il y a aussi un projet qui traîne depuis pas mal d’années, c’est de faire une ligue Pacifique avec des Chinois, des Australiens, etc. La Chine a beaucoup de très belles salles de basket. A Pékin, à Shanghai, à Canton, il y a une salle extraordinaire de 18-19 000 places, à Wuhan. Chaque province veut avoir sa salle, il y a une lutte entre elles. Je suis allé l’été dernier au championnat d’Asie, à Manille, aux Philippines, où il y a une salle de 17 000 places aux standards NBA. Quarts, demis et finale, c’était surbooké. Ils avaient supprimé les loges et mis les gens debout et il y avait quasiment 20 000 spectateurs.\\n\\nOn est habitué en Europe à être le centre du monde, cela est-il en train de changer ?\\n\\nC’est ça qui a posé problème. Je suis pour une compétition de clubs de haut niveau en Europe, mais de là à faire la guerre sans raisons... On se prend vraiment pour le centre du monde qu’on n’est plus. En Asie, au niveau du basket masculin, c’est un peu compliqué, mais du côté féminin, les Japonaises ont une équipe avec un programme intéressant, et elle est à mon avis dans les cinq ou six meilleures mondiales. Quand on regarde l’Afrique, sa potentialité est extraordinaire. Au Nigeria, par exemple, il y a aussi Serge Ibaka qui est sorti du Congo. Je ne dis pas qu’il y en a à tous les coins de rues, mais il y en a beaucoup.\\n\\nIl y a Astou Ndour, promise à dominer le basket européen... avec l’Espagne ?\\n\\nOui, c’est une Sénégalaise, mais les Sénégalais ont menti en disant qu’elle n’a jamais été répertoriée chez eux. Leur système est tellement flou et c’est pour ça qu’ils ont été suspendus. Leurs joueurs n’étaient pas enregistrés, ils pouvaient aller où ils veulent, et ils sont en train de se mettre en conformité. Serge Ibaka et Astou Ndour, ce sont des catastrophes pour les pays en question. Ibaka avec un meneur pas trop mauvais et un shooteur permettrait au Congo d’avoir une équipe tout à fait acceptable et de jouer un rôle intéressant en Afrique. Qu’ils aillent jouer dans des clubs étrangers, pas de soucis, mais qu’ils prennent la nationalité d’un autre pays, c’est une catastrophe.\\n\\nIl y a aussi le cas des joueurs qui ont porté le maillot de l’équipe de France et qui ensuite change d’équipe nationale, comme Pape-Philippe Amagou qui joue pour la Côte d’Ivoire ?\\n\\nLa France est un cas particulier, c’est le produit de la colonisation. Il y a forcément des flux de population entre ces pays-là et la métropole. Ça commence à s’estomper car les accords avec les pays qui ont obtenu leur indépendance au début des années soixante sont en train de s’éteindre. Dans le temps, si ton père avait été français, tu te faisais réintégrer. On a laissé jouer Amagou avec la Côte d’Ivoire afin de permettre la promotion du basket en Afrique. Le premier cas, ça été (Hakeem) Olajuwon qui a joué avec les Américains après avoir déjà joué en Afrique (Nigeria). C’est aussi l’intérêt de la FIBA de voir le basket se développer en Afrique. Bien sûr que c’est sous contrôle ! Le bureau de Benjamin Cohen qui est à trois encablures de là ne fait quasiment que ça. Il y a évidemment des arnaques à la nationalité, au passeport, à l’âge, ce n’est pas nouveau...\\n\\nOn se souvient des équipes de jeunes turques...\\n\\nOui, Turgay Demirel, le nouveau président de la FIBA Europe, président sortant de la fédération turque, qui avait disputé un championnat d’Europe cadets au Touquet, m’avait dit très honnêtement qu’il était alors le seul de l’âge normal. Il y en a qui avait cinq ans de plus ! (rires). Les Turcs ont été champions d’Europe cadets, il y a sept ou huit ans, avec un Serbe dans leur équipe ! Turkoglu, il n’est pas Turc, pareil pour Ylyasova, etc. Dans le système de gouvernance, toutes ces chose- là ont été rapatriés pour être gérés par le système central. De façon à ce que le secrétaire en Asie, qui est copain avec machin ne fasse pas un passe-droit... Ça ne sera plus possible.\\n\\nOn voit que le nombre de licenciés en France est en forte croissance. Ça nous situe à quel niveau dans le monde ?\\n\\nC’est difficile à dire car tout le monde ne compte pas les pratiquants de la même manière. La France est un pays très organisé à ce niveau. Je pense que la France est la première nation au monde au nombre de licenciés. Plus que la Russie... En Chine, il y a des millions de pratiquants, mais la plupart des joueurs ne sont pas enregistrés, et il y a cinq ou six ans, ils avaient quasiment le même nombre de licenciés que nous. Aux Etats-Unis, les joueurs ne sont pas répertoriés comme chez nous. Après l’université, il n’y a pas de clubs, t’arrêtes ! Notre nombre important de clubs permet d’avoir une assise large dans un pays encore en partie rural.\\n\\nLa France s’est portée candidate à l’organisation du championnat du monde féminin de 2018 et a envoyé une lettre d’intérêt pour la coupe du monde masculine de 2019. Au bout du compte, si la France n’avait pas été retenue en 2010, c’était dû à l’absence totale d’arénas ?\\n\\nExact. On avait été obligé dans le dossier de fabriquer une salle provisoire de 12 000 places à Lyon dans le grand hall de la foire. Ça coûtait à l’époque deux millions d’euros pour l’installer. J’espère que les nouvelles salles vont changer la donne. Après, il faut réunir les budgets dans une période qui n’est pas simple. Mais j’espère que la France organisera quelque chose comme ça.\\n\\n[armelse]\\nCombien de pays avez-vous visité depuis que vous êtes arbitre ?\\n\\nJe n’en sais rien, ça doit tourner autour de 70-80, sur les 213 adhérents à la fédération internationale. Ce qui est dommage, c’est que lorsque j’étais arbitre, je n’ai eu l’occasion d’arbitrer que les pays phare, et pas trop ceux en voie de développement. Je pense que la personne ici qui va visiter le plus de pays, c’est Lubomir Kotleba, un ancien arbitre également, qui est le directeur des sports de la FIBA. Depuis que je suis président, j’ai visité des pays que je connaissais déjà car ils sont très actifs sur le plan du basket. Je reviens par exemple de Porto-Rico (quelques heures plus tard, Yvan Mainini s’envolait pour Moscou), et c’est un pays que je connais depuis longtemps. Un jeune journaliste m’a interviewé et sa première question était : « est-ce la première fois que vous venez à Porto-Rico ? » Je lui ai répondu : « non et je crois que la première fois, vous n’étiez pas né ! »\\n\\nQu’est-ce qui vous a poussé à vous doter d’un nouveau siège ?\\n\\nC’est une décision prise par la fédération internationale en 1968 lors de la réunion du congrès à Mexico. Une somme avait été fixée mais il a fallu attendre quarante-cinq ans pour construire ce siège. Auparavant, nous louions des bureaux. On voulait faire un musée qui soit à un endroit différent du siège mais nous ne sommes pas une fédération avec d’énormes moyens et on a décidé de tout mettre ensemble. On a consacré la totalité du rez-de-chaussée, 800 m2, au hall of fame, les archives, la bibliothèque. C’est une bonne image pour la fédération internationale.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ASVEL fortement diminuée pour accueillir Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Samedi soir, l’ASVEL reçoit le leader du championnat, Monaco, à l’Astroballe, mais malheureusement pour eux les Villeurbannais ne seront pas en pleine possession de leurs moyens.\\n\\nEn plus d’Alpha Kaba (tendon rotulien), Darryl Watkins (genou) et Adrian Uter (genou mais absent depuis le début de la saison), TJ Parker devra composer sans sa dernière recrue en date, Cliff Alexander touché à la cheville.\\n\\n« Ce qui est le plus embêtant, c’est que cela touche toujours le même poste... Mais bon, les blessures font partie du sport, on doit faire avec et trouver des solutions pour aller chercher ces Playoffs », a indiqué le frère de Tony Parker.\\n\\nCependant, l’AS Monaco est assurée de terminer à la première place du classement, Paul Lacombe souffre de la cheville et la Roca Team reste sur deux défaites de suite, face à l’AEK Athènes en Champions League et contre Pau en championnat. L’ASVEL pourra peut-être réussir un coup samedi devant son public, elle qui lutte toujours pour sécuriser son spot dans le Top 8.\\n\\nRencontre à suivre en direct sur SFR Sport 2 à 20h45.\\n\\nPhoto : Infinity Nine Media / Alexia LEDUC"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France A’ féminine: 16 joueuses convoquées du 28 mai au 4 juin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’entraîneur Jérôme Fournier a constitué une liste de 16 joueuses qui participeront à un stage d’évaluation à Landerneau et à deux matches de préparation face à la Hongrie du 28 mai au 4 juin. Cinq d’entre-elles opèrent à l’étranger dont trois en NCAA. Alexia Plagnard et Magali Mendi, 28 ans, sont les plus âgées alors que Tima Pouye et Emannuelle Tahane sont les plus jeunes.\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPrénom\\nDate Nais.\\nTaille\\nPoste\\nClub\\n\\n\\nDJALDI TABDI\\nClarince\\n06/12/1995\\n184\\nAilière\\nUF Angers Basket 49\\n\\n\\nDJALDI TABDI\\nMaëva\\n03/12/1998\\n175\\nAilière\\nSyracuse University\\n\\n\\nDJEKOUNDADE\\nMyriam\\n02/01/1998\\n185\\nAilière\\nUSO Mondeville\\n\\n\\nFOPPOSSI\\nMarie Paule\\n28/01/1998\\n186\\nAilière\\nSyracuse University\\n\\n\\nGALLIOU-LOKO\\nMargaux\\n12/04/1993\\n184\\nAilière\\nTSV 1880 Wasserburg\\n\\n\\nLENGLET\\nCamille\\n04/02/1998\\n169\\nMeneuse\\nNantes Rezé Basket\\n\\n\\nMBUYAMBA\\nMarie-Bernadette\\n05/01/1993\\n185\\nIntérieure\\nSaint-Amand Hainaut Basket\\n\\n\\nMENDY\\nMagali\\n06/02/1990\\n176\\nArrière\\nUni Gijona\\n\\n\\nMILAPIE\\nMarie Michelle\\n06/02/1996\\n192\\nAilière\\nBasket Landes\\n\\n\\nNAIGRE\\nElodie\\n07/06/1995\\n181\\nAilière\\nLanderneau Bretagne Basket\\n\\n\\nPLAGNARD\\nAlexia\\n02/01/1990\\n172\\nMeneuse\\nBasket Landes\\n\\n\\nPOUYE\\nTima\\n07/04/1999\\n174\\nMeneuse\\nTarbes Gespe Bigorre\\n\\n\\nSTIEVENARD\\nClaire\\n20/05/1997\\n183\\nArrière\\nArras Pays d’Artois\\n\\n\\nTADIC\\nAna\\n21/09/1998\\n198\\nIntérieure\\nUSO Mondeville\\n\\n\\nTAHANE\\nEmmanuelle\\n13/05/1999\\n180\\nAilière\\nMissouri University\\n\\n\\nTURMEL\\nAngélina\\n21/11/1996\\n198\\nIntérieure\\nCOB Calais\\n\\n\\n\\n\\nEntraîneur :  Jérôme FOURNIER\\nAssistants : Isabelle FIJALKOWSKI, Damien LEROUX, John DELAY\\n\\nPhoto: Tima Pouye (LFB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B. La dernière chance pour Roanne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le dénouement est proche dans l’antichambre de la Jeep ELITE à deux journées de la fin. En haut de tableau notamment, où Blois (26v-6d) a réussi le tour de force de distancer Orléans et Roanne, respectivement battus contre Fos-sur-Mer (68-78) et à Vichy-Clermont (75-68) mardi soir. Du coup, l’ADA (qui ne joue que demain) va suivre de près le Roanne-Rouen de ce soir car en cas de défaite de la Chorale, les Blésois seraient sacrés champions de Pro B, synonyme de montée directe en première division (sous réserve de remplir les conditions requises).\\n\\nAprès Vichy-Clermont, l’heure est à la remobilisation\\n\\nFace au Rouen Métropole Basket ce soir à la Halle Vacheresse, il sera avant tout question de digérer la défaite concédée à Vichy-Clermont trois jours plus tôt pour des Roannais qui restaient sur 12 succès sur leurs 13 derniers matchs dont trois victoires de références face à Blois (61-76 à l’extérieur, seul club à avoir battu l’ADA deux fois en saison régulière), Fos-sur-Mer (99-64) et récemment Orléans (74-72).\\n\\n« Bien sûr qu’on est encore tous déçu depuis deux jours et heureusement ! On subit cette désillusion car si ce n’était pas un objectif, cette première place était possible. Cela n’enlève rien à notre très belle saison. Blois en réalise une remarquable, nous une très grande », a confié Laurent Pluvy au Progrès avant la réception de Rouen. « Quand tu tombes de cheval, il faut remonter très vite. On est impacté par la défaite à Vichy. Il ne faut pas s’attendre à des miracles, il faut rejouer, oublier, se remettre dedans. On verra le fond, le basket après pour Évreux et les play-offs ».\\n\\nEn cas de victoire ce soir, Roanne garderait un infime espoir, sachant que Blois accueillera donc Saint-Chamond demain, une formation redoutable et toujours 5e de Pro B à égalité avec Lille (8 victoires en 15 matchs à l’extérieur cette saison) avant de se rendre à Fos-sur-Mer le 18 mai prochain lors de la dernière journée.\\n\\nProgramme de la 33e journée (à partir de 20h)\\n\\nCe soir\\n\\nDenain – Vichy-Clermont\\n\\nEvreux – Caen\\n\\nLille – Nancy\\n\\nNantes – Charleville-Mézières\\n\\nRoanne – Rouen\\n\\nDemain soir\\n\\nBlois – Saint-Chamond\\n\\nLe Havre – Orléans\\n\\nFos-sur-Mer – Aix-Maurienne\\n\\nQuimper – Poitiers"
}, 
{"role": "user",     "content":"JL Bourg – Le retour du club en Jeep Elite, le scouting, Zachery Peacock : l’avis du directeur du développement sportif, Frédéric Sarre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour avoir coaché notamment Limoges et Pau, Frédéric Sarre, 57 ans, est une figure du basket français. Après trois saisons comme entraîneur à la JL Bourg, il en est devenu le directeur du développement sportif. Une fonction charnière qui l’amène à nous parler du retour de son équipe en Jeep Elite, du recrutement, des problèmes de santé de celui qui pourrait être sacré MVP de la saison, l’Américain Zachery Peacock et encore de l’école de meneurs de la JL.\\n\\nL’interview est en deux parties.\\n\\nDe ne pas coacher vous manque-t-il ?\\n\\nIl y a des moments bien évidemment, ça manque. Je ne pense pas que l’on puisse oublier trente-deux ans d’une vie d’un seul coup. Mais même si parfois ça manque, les tâches, les missions, l’engagement, le boulot que tu as à faire permet de vite zapper. C’est comme lorsque tu arrêtes de fumer, tu as envie d’une clope mais ça passe vite, tu ne refumes pas, tu passes à autre chose (rires).\\n\\nCoachez vous encore des jeunes ?\\n\\nJ’entraîne des gamins mais je ne gère plus d’équipes. Je m’occupe de temps en temps de l’école des meneurs, des 11, 13, 15 ans et parfois les 18, 21. Je fais du développement individuel.\\n\\nVotre titre officiel, c’est directeur du développement sportif. En quelques années le poste de Directeur Sportif est devenu quasi obligatoire en Jeep Elite ?\\n\\nChaque structure de club donne des missions très différentes et l’appellation peut être aussi différente. Néanmoins, je crois que c’est maintenant nécessaire dans le développement du sport de haut niveau et notamment des clubs de Jeep Elite où il y a des gens en charge de la gestion des opérations sportives, développement basket, directeur sportif.\\n\\nVous êtes donc notamment responsable du scouting. C’est le moment de rappeler que vous avez fait ça il y a trente ans à Limoges. A l’époque, vous étiez un pionnier ?\\n\\nPierre Dao était le coach et Fabien Texier était l’assistant et le premier entraîneur des équipes du centre de formation qui se créaient à Limoges. Dao souhaitait avoir quelqu’un de plus et j’ai été pendant deux ans l’assistant qui a commencé à faire de la vidéo, regarder les joueurs, etc. C’est la Gomme (Michel Gomez) qui m’a donné réellement la chance d’être professionnel et je me suis chargé effectivement de regarder quelques gars, les vidéos mais ce n’est pas moi qui recrutais vraiment. La décision était prise par le coach.\\n\\nAujourd’hui, vous déplacez-vous sur le terrain, à l’étranger, pour superviser des joueurs, prendre contact avec les agents ?\\n\\nIl y a un peu de tout d’autant que la mission de scouting est bien évidemment sur le secteur pro mais aussi sur les jeunes. Je vois pas mal de U15. Nous sommes allés à Bourges, au Temple. Pour les professionnels, on est à l’écoute de tous les joueurs pour répondre aux besoins de l’évolution de notre équipe. Aujourd’hui, plutôt que de regarder plein de matchs et se dire « celui-là, il est pas mal », on définit plutôt ce qui nous paraît être nécessaire comme style de joueur et on part à leur recherche en suivant les matchs de différents championnats, Espagne, Allemagne, etc, les coupes d’Europe. On suit des jeunes Américains qui sont susceptibles de venir en Europe. On peut voir pas mal de matchs via des abonnements. Il y a Synergie avec qui on travaille beaucoup, Scouting for You et aussi une boîte InStat Scout qui permet d’avoir pas mal de matchs. Ils sont arrivés par le foot, ils découpent les matchs les uns après les autres, que ce soit pour les résultats de l’équipe et aussi pour les individus. Ils ont fait la NBA, quelques autres pays et là ils attaquent le marché français.\\n\\nComment s’est fait par exemple le recrutement en cours de saison de Trey Lewis ?\\n\\nOn lui avait fait cet été une proposition pour qu’il vienne chez nous. On avait regardé des matchs de championnat, quelques stats. On lui a fait des propositions mais plein d’équipes étaient aussi sur lui. Il a fait le choix de rester en Allemagne dans un club (Ulm) qui lui permettait d’avoir une coupe d’Europe, ce qui était pour lui une progression. Il se trouve que ça n’a pas répondu à ce qu’il attendait et le club n’était peut-être pas non plus tout à fait satisfait de ce qu’il faisait. Quand il y a eu la possibilité de le récupérer pour la fin de la saison, on s’est représenté auprès de lui et de son agent pour lui dire qu’on avait la possibilité de l’accueillir.\\n\\nLe championnat allemand est devenu l’un des principaux fournisseurs du basket français. Peut-être du fait que la Bundesliga est d’un niveau à peu près équivalent à la Jeep Elite?\\n\\nIls sont en train de se développer fortement, les salles sont pleines, il y a une vraie philosophie de jeu et il y a des joueurs capables de transposer leurs performances du championnat allemand au championnat français sans qu’il y ait trop de différences d’une saison à l’autre. Et au niveau salaires, ça nous convient. Le championnat espagnol est trop riche. La Turquie, c’est difficile. Le championnat italien reste encore un peu lourd économiquement. La deuxième division italienne était un moment très intéressante mais le fait qu’ils fassent deux poules a fait vraiment fait baisser le niveau. Avant quand les joueurs venaient en Pro A, ils étaient performants, aujourd’hui, c’est un peu moins vrai. Après, il y a des coups à faire sur des championnats islandais, finlandais, israélien...\\n\\nA une époque, il suffisait de s’intéresser à la CBA et à l’Italie. Aujourd’hui, les sources se sont démultipliées ?\\n\\nExactement. Aujourd’hui, le recrutement est mondial. On peut tomber sur des mecs qui sont au Japon, en Corée. Certains championnats proposent des contrats vraiment élevés comme en Corée du Sud. Je prends comme exemple le cas de (Vincent) Sanford qui a un parcours particulier (NDLR : Islande, Colombie, Allemagne). Il fait de la deuxième division allemande dans un club où il y en a un autre de Division I, il passe à celui-là puis il vient à Antibes où il fait des perfs intéressantes. On peut trouver des mecs partout, partout. C’est incroyable !\\n\\nUne particularité de la JL, c’est que vous cherchez à conserver vos étrangers plusieurs années ? Vous avez fait re-signer Garrett Sim dès le mois de mars. L’avantage c’est que vous connaissez le joueur et l’homme mais il y a eu aussi pas mal de cas de joueurs américains qui une fois resignés se sont avérés moins performants ?\\n\\nPas plus que des joueurs français... Quand on a un joueur qui est capable de basculer de la Pro B à la Pro A en étant relativement performant sur l’ensemble du championnat, que le coach trouve que ce joueur-là répond à ce dont il a besoin, on maîtrise bien ses forces et ses points d’amélioration, on se dit que l’on peut prendre quelqu’un qui a peut-être moins de points à améliorer, sauf que lorsqu’on a quelqu’un qui donne satisfaction au coach sur le plan technique, au comportement, au club, aux valeurs, vis-à-vis des partenaires, plein de choses, et que l’on espère qu’il continue à progresser, on pense que c’est mieux de voir ces côtés positifs plutôt que les points faibles. Dans la construction de l’équipe pour la saison d’après, c’est aussi une manière de gagner du temps. Le joueur sait comment le coach et le club fonctionnent, ils ont déjà des repères avec d’autres joueurs. Comme ça, on s’installe rapidement dans le début de saison. Il y a plus de risques à aller chercher un joueur peut-être potentiellement meilleur au niveau basket mais qui ne correspond pas à ce que l’on veut sur d’autres aspects.\\n\\n« Le problème avec le pneumothorax, c’est qu’il peut y avoir récidive sans qu’il y ait un choc. Et malheureusement il peut en avoir d’autres »\\n\\nVotre totale réussite, c’est Zachery Peacock, qui est passé du plus haut niveau Pro B au plus haut niveau Jeep Elite ?\\n\\nOui et on souhaite continuer à avoir cette façon de construire. On veut que les gens qui viennent chez nous se sentent réellement concernés par notre club, sous la forme d’une sorte d’engagement. L’objectif c’est presque de travailler avec eux en terme de partenaires et non pas en tant que contrat pur.\\n\\nQue s’est-il exactement passé avec lui sur le plan médical ?\\n\\nIl a eu un pneumothorax (NDLR : une affection de la plèvre mettant en communication l’espace pleural et l’atmosphère. Le poumon s’affaisse avec des conséquences respiratoires et hémodynamiques et urgentes pouvant aller jusqu’à la mort.) Son problème est survenu la première fois à Cholet suite à un choc. Pour guérir, il faut de temps en temps des poses de drain pour que ça se recolle et sinon quand c’est très important, il faut une opération. Ca s’est recollé suite à des drains, des examens ont été faits, bien entendu quelques médicaments empêchent la douleur. C’est guéri, il n’y a pas eu d’autres soucis que ça. Le problème avec le pneumothorax, c’est qu’il peut y avoir récidive sans qu’il y ait un choc. Et malheureusement il peut en avoir d’autres.\\n\\nLa JL a perdu 8 de ses 13 derniers matchs. Faut-il mettre ce mauvais passage sur le compte de son absence et de sa convalescence ou y a-t-il d’autres facteurs ?\\n\\nCe n’est pas dû qu’à l’absence de Zach. On a gagné un match sans lui. C’est évident que c’est difficile de reprendre après un arrêt de plus de quinze jours. Il était en pleine bourre, il a été hospitalisé, il a eu des drains, il faut qu’il retrouve une certaine forme, un peu de rythme physique, des sensations basket, plein de choses. C’est bien évidemment handicapant mais je crois qu’aujourd’hui ce n’est pas là le problème. On a très bien commencé notre championnat avec beaucoup d’équilibres dans notre équipe. L’absence de (Gylvidas) Biruta, à terme, ça nous coûte (NDLR : l’intérieur lituanien a été victime en décembre d’une rupture des ligaments croisés du genou). Il venait des championnats grecs et de deuxième division italienne et il était plutôt décisif dans l’organisation de notre équipe, dans la complémentarité du jeu intérieur avec Zachery et Youssou Ndoye. Alors qu’il était en train de continuer progresser chez nous, sa blessure a été un handicap assez important. Le deuxième point, c’est que l’on a été un petite surprise du championnat au début avec des performances incroyables. On est resté dans le top 6 pas mal de temps, on y était il y a encore 4-5 journées. Il faut savoir que lorsqu’arrive février, généralement le championnat de Jeep Elite change. Des équipes sortent de coupes d’Europe et l’objectif pour ces équipes-là, c’est de se positionner pour le championnat national qui permet de construire la saison d’après. Alors qu’avant elles jouent deux matchs par semaine, elles travaillent un petit peu moins, il y a beaucoup de fatigue.\\n\\nCertaines équipes du haut du classement se recomposent complètement en cours de saison, comme Monaco et Strasbourg ?\\n\\nOui. Juste avant février, tout le monde se reconstruit, fait des adaptations dans son équipe pour le championnat national puisque c’est celui-ci qui attribue des coupes d’Europe pour la saison d’après. Le championnat devient un peu plus dur et peut-être que dans la première partie de la saison on a joué des équipes à des moments où elles étaient sur les deux tableaux et ça a facilité pour nous certaines performances. On est ensuite entré dans une partie du championnat un peu plus dure pour laquelle on n’a peut-être pas la préparation nécessaire pour conserver le même niveau de performance.\\n\\nOutre Zachery Peacock, un autre joueur qui était déjà avec vous en Pro B, le Sénégalais Youssou Ndoye (2,12m), fait une bonne saison. N’est-ce pas un problème pour la JL d’avoir de trop bons joueurs pour les conserver ensuite ?\\n\\nYoussou a eu un peu de mal au début à s’adapter à la Pro A et petit à petit, il comprend le niveau et il continue à progresser. En Pro B, il avait une domination continue alors qu’en Jeep Elite c’est plus irrégulier. C’est bien pour ça que la saison dernière, on l’a verrouillé pour deux saisons. Il fait partie des gars dont on pense qu’il est important pour la constitution de notre équipe et qu’il va continuer à progresser. C’est un jeune joueur (26 ans), qui est sorti de l’université pour faire de la D-League et il est arrivé après en France. Une année de Pro B, une année de Pro A... Il a encore des choses à apprendre. Il lui reste une année à faire chez nous, c’est dans le même registre que Garrett Sim et Zachery Peacock, des gens qui vont continuer à s’améliorer et à avoir un jeu qui correspond exactement à ce que le coach désire.\\n\\nIl faut aussi les re-signer dans le bon timing car si vous attendez trop longtemps, ils risquent de devenir trop cher ?\\n\\nLe scouting permet de construire des équipes et quand on le fait, notre première réflexion de recrutement ce sont les joueurs qui sont déjà avec nous. Les joueurs dont je parlais répondent non seulement aux souhaits du coach pour développer son basket, techniquement, psychologiquement, mais aussi du point de vue comportemental, ils sont proches des valeurs que le club veut développer. On a donc proposé à Zach, Youssou, Garrett et aussi Maxime Courby la saison dernière de rester avec nous.\\n\\n« Outre le fait d’avoir la possibilité, au moment où je parle, de faire les playoffs et une coupe d’Europe, c’est que l’on est dans un club qui est en permanence en développement, qui continue à avancer »\\n\\nMaxime Courby, c’est une belle trouvaille et justement sur le marché des joueurs français, la JL était un acteur dominant en Pro B mais en Jeep Elite, il faut trouver les bonnes occasions ? Y a-t-il un timing dans la saison. Est-ce d’abord les gros qui se servent ?\\n\\nIl est évident que le statut de JFL donne aux joueurs une valeur financière très élevée puisque sur dix joueurs on doit règlementairement en avoir au minimum quatre. Généralement les clubs s’appuient sur deux JFL de très haut niveau afin de construire des équipes avec un niveau de jeu conséquent. Bien sûr que l’on aimerait avoir la capacité de recruter parmi les meilleurs joueurs JFL mais ceux-ci veulent être dans de gros clubs avec de gros salaires du fait de leur statut. Il y a toujours un décalage entre leur statut et leur valeur pur et dur. On a vu que Jeremy Nzeulie de Chalon a la possibilité d’aller à Villeurbanne ou Strasbourg. Nous, on aura jamais la capacité de proposer un contrat égal à ce joueur. On va chercher et on aura des joueurs JFL de qualité mais ce seront certainement des joueurs qui ont encore des choses à prouver. Ça sera très difficile d’avoir des joueurs matures, majeures et performants. Parfois le type de mission que l’on peut donner au sein du club fait la différence. Un joueur peut préférer avoir moins d’argent mais un rôle plus important dans un club. Ça dépend de ce que le garçon attend pour continuer à se développer.\\n\\nLe fait d’avoir fait une bonne saison, de faire éventuellement les playoffs, est-ce un atout dans le recrutement vis-à-vis de l’année dernière où vous montiez de Pro B ?\\n\\nJe pense. Quand dans une négociation, on peut proposer à un joueur de jouer aussi une coupe d’Europe, à se confronter à du basket étranger, c’est toujours décisif. Des joueurs, qu’ils soient français ou étrangers, sont capables d’accepter moins d’argent s’il y a une coupe d’Europe. Outre le fait d’avoir la possibilité, au moment où je parle, de faire les playoffs et une coupe d’Europe, c’est que l’on est dans un club qui est en permanence en développement, qui continue à avancer.\\n\\nL’école des meneurs, les animations à Ekinox durant les matchs et les résultats sportifs cette année ont transformé l’image de la JL ?\\n\\nOui, la structuration du club qui est pas trop mal faite permet de faire des choses nouvelles que ce soit au niveau commercial, marketing, communication, environnement du match ou dans le domaine sportif que l’on essaye de toujours améliorer pour être performant. Une chose qui peut paraître anodine : on fait manger les joueurs dans notre lieu de vie à côté des vestiaires, juste après les matchs quand on joue à domicile pour qu’ils n’aient pas à attendre le VIP pour grignoter. On pense qu’avoir un repas conséquent, équilibré, diététique, qui permet la récupération, c’est important.\\n\\nVous n’avez jamais fait de coupe d’Europe ?\\n\\nJamais. Il y a eu sept ans de Pro A mais sans jamais obtenir de qualification européenne. Bien évidemment se qualifier dans les huit premiers pour les playoffs, ça serait une évolution, et à terme se qualifier pour une coupe d’Europe, ça en serait une autre.\\n\\nLa meilleure performance du club jusqu’à présent c’est d’avoir été finaliste de la Semaine des As en 2006 ?\\n\\nC’est ça. La JL a pu se qualifier deux fois en playoffs mais parce que ces années-là les quatre premiers étaient exemptés du premier tour qui concernaient les équipes classées de 5 à 12. Ce sont deux années où j’étais coach. La première fois on avait joué Pau et la deuxième année Le Mans.\\n\\nA suivre."
}, 
{"role": "user",     "content":"Orléans perd Alex Abreu et Miralem Halilovic pour le reste de la saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est un énorme coup dur pour l’OLB qui perd deux de ses meilleurs joueurs, Alex Abreu (1,80m, 26 ans) et Miralem Halilovic (2,08m, 26 ans), pour le reste de la saison et donc pour les playoffs.\\n\\nLongtemps premier, prétendant à la montée en Jeep® ÉLITE et aujourd’hui troisième du classement de Pro B, l’OLB va vivre une fin de saison compliquée. Alors qu’il ne reste plus que deux journées de championnat et que les playoffs approchent à grands pas, le club orléanais indique que Germain Castano va devoir composer sans ses deux étrangers Alex Abreu et Miralem Halilovic. Le premier est touché à la cheville gauche et est forfait pour tout le reste de la saison. L’international bosnien est lui blessé au muscle fessier et est annoncé absent quatre semaines. Les deux joueurs se sont blessés lors du dernier match face à Fos.\\n\\nCette saison Alex Abreu tournait à 11,8 points, 1,6 rebond et 6,5 passes décisives pour une évaluation de 14,7. Miralem Halilovic compilait, lui, 13,4 points, 6,7 rebonds et 2,8 assists pour une évaluation de 17,3.\\n\\nEvidemment, le club s’est mis à la recherche de deux pigistes médicaux qui devront être qualifiés au plus tard jeudi 17 mai, dans six jours."
}, 
{"role": "user",     "content":"Les paris de la semaine avec France Pari et Fred Weis"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Notre chroniqueur Fred Weis est un fana de pronostics et de paris sportifs. Adepte du loto sportif auquel il s’adonne depuis plusieurs années dans son bar/tabac Le Marigny à Limoges, Fred se lance dans les paris en ligne en partenariat avec France-Pari.fr Profitez de votre inscription pour bénéficier de 100€ de bonus et de paris remboursés !\\n\\nVoici les paris de la semaine avec les analyses et les conseils de Fred Weis :\\n\\nLe Mans – Strasbourg : Strasbourg (2,12)\\n\\nBelle cote pour la SIG en déplacement au Mans ! Logique car Le Mans n’a perdu que trois matchs à la maison pour l’instant. Pourtant, la SIG est très en forme et reste sur trois victoires de suite, avec un écart moyen de 24 points !!!\\n\\nNanterre – Levallois : Levallois (3,15)\\n\\nDeux équipes très proches, seulement deux victoires d’écart ! Petit pari pour grosse cote ! Je mise sur Boris Diaw ! Personne ne peut défendre sur lui à Nanterre !!!"
}, 
{"role": "user",     "content":"Tony Parker (Président ASVEL) : «J’adorerais donner un job à Boris Diaw»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Invité de l’émission Le Vestiaire sur SFR Sport jeudi soir, Tony Parker a passé en revue toute son actualité, il est revenu sur son passé, il a parlé de son futur, mais il a aussi évoqué son statut de Président de l’ASVEL masculin et féminin.\\n\\nAux côtés de Roland Courbis, Frank Leboeuf et Emmanuel Petit, le meneur des jeu des San Antonio Spurs s’est notamment exprimé sur le fait d’employer son frère, TJ, en tant que coach principal de l’équipe masculine.\\n\\n« Quand j’ai décidé de changer de coach, j’ai eu une grosse discussion avec TJ. Je lui ai demandé s’il était prêt à prendre le relais et assurer l’intérim. Il sait comment je suis, je n’aurai pas d’état d’âme. Je ferai ce qui est bien pour le club. Il fait du très, très bon boulot et il est passionné. Il veut vraiment être coach et il veut faire carrière. J’espère qu’il fera une bonne route avec nous et après on verra. Le but c’était de lui donner sa chance. Il a été assistant pendant cinq ans, il a gagné un titre donc je ne vois pas pourquoi je ne peux pas lui donner sa chance. Il a été basketteur pro, il a été champion de France en tant que joueur, champion en tant qu’assistant. Ce n’est pas parce que c’est mon frère que je ne vais pas lui donner sa chance. »\\n\\nMais ce n’est pas tout, son autre frère, Pierre, est l’entraîneur des U18.\\n\\n« Il a été en finale dès sa première année. Evidemment en début de saison ça a parlé parce que c’est mon frère, mais moi je ne donne pas un job pour donner un job. Je ne donne pas des jobs pour faire plaisir. Si je les engage c’est parce que je sais qu’ils sont compétents et qu’ils ont travaillé dur. »\\n\\nIl a également été demandé à l’ancien joueur du PBR s’il allait signer Boris Diaw la saison prochaine à l’ASVEL. Le capitaine de l’Equipe de France est revenu en France cette saison, mais n’a signé qu’une saison avec les Levallois Metropolitans et sera donc libre une fois la saison terminée.\\n\\n« J’adorerais donner un job à Boris Diaw ! Mais je ne pense pas qu’il va continuer. Je pense que c’est sa dernière saison, mais il n’y a que lui qui sait vraiment si c’est sa dernière saison. S’il veut venir à l’ASVEL, je dis oui tous les jours... En tout cas, je pense qu’il va rester en France. Il a passé toute l’année à Levallois donc il va rester en France. Après, est-ce qu’il va jouer au basket ? Ça je ne sais pas. »\\n\\nLes meilleurs moments de l’émission sont à retrouver ici.\\n\\nPhoto : Basket USA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Articles de la semaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":" 1.  LNB et LFB: Voici la liste de tous les nominé(e)s pour l’élection des meilleur(e)s joueurs et joueuses de la saison\\n 2.  Boris Diaw avec les Bleus en juin, pas Frank Ntilikina\\n 3.  Champions League : L’AEK Athènes triomphe à la maison, Monaco en argent\\n 4.  Spécial salaires Pro B – Nancy, beaucoup d’argent mais plusieurs erreurs\\n 5.  2,08m en U15 : Victor Wembanyama (JSF Nanterre) au dessus du lot\\n 6.  Spécial salaires Pro B – Orléans, la Pro A en Pro B\\n 7.  L’Asvel et Strasbourg pour Jérémy Nzeulie ?\\n 8.  Mickaël Piétrus à Marseille, « pas un poisson d’avril »\\n 9.  Vidéo : le triple-double de Luka Doncic en seulement 22 minutes !\\n 10. Décès de Yvan Mainini, ancien président de la FFBB et de la FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"8 864 spectateurs en moyenne cette saison en Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Plus de 2 250 000 spectateurs ont assisté à l’ensemble des matches d’Euroleague de cette saison, soit une moyenne de 8 864 spectateurs. Ce chiffre représente une augmentation de 4,3% par rapport à la moyenne de la saison dernière.\\n\\nZalgiris Kaunas a été le club qui a accueilli le plus de spectateurs avec une moyenne de 13 567 dans la Zalgirio Arena. Ce chiffre représente un bond de 18,82% en ventes de billets. Le Panathinaikos Athènes (15,1%) et le champion en titre Fenerbahce Dogus Istanbul (3,1%) restent des références en termes de fréquentation.\\n\\nPhoto: Zalgiris Kaunas (Euroleague)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Zvezdan Mitrovic (Monaco) a t-il déjà signé à l’ASVEL pour la prochaine saison ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"D’après une information de notre consultant Frédéric Weis sur les réseaux sociaux, le coach monténégrin de l’AS Monaco Zvezdan Mitrovic aurait signé à l’ASVEL pour la prochaine saison.\\n\\nZvezdan Mitrovic, 58 ans, est arrivé à Monaco en 2014 alors que le club était en Pro B. Il l’a emmené à trois premières places de saison régulière de Jeep Elite, trois victoires à la Leaders Cup et deux participations au Final Four de la Champions League.\\n\\nL’ASVEL est coachée par TJ Parker depuis la mise à l’écart de JD Jackson en janvier dernier.\\n\\nLe club villeurbannais va jouer une partie décisive dimanche dans sa course aux playoffs en recevant... Monaco.\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\n\\n\\n\\nZvezdan Mitrovic aurait signé avec @ASVEL_Basket\\n\\n\\n— Fred Weis_ OLY (@Bigfredstyle) May 11, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep®ÉLITE : l’Elan Béarnais veut prolonger son coach Laurent Vila"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Promu coach principal de l’Elan Béarnais début février suite au départ de Serge Crevecoeur, Laurent Vila pourrait bien s’installer à ce poste plus longtemps que jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nSur France Bleu Béarn, le président de l’EBPLO Didier Rey a annoncé vouloir prolonger son entraîneur. Une proposition de deux ans a même déjà été faite.\\n\\n« On veut garder le coach et son assistant la saison prochaine. Il n’y a pas de raison que ça se passe mal. »\\n\\nDepuis qu’il a pris les rênes de l’équipe, Laurent Vila peut se vanter d’avoir remporté dix matchs sur quatorze. Les Béarnais sont même allés chercher une victoire face à Monaco le week-end dernier. Victoire qui les a relancés dans la course aux playoffs.\\n\\nPhoto : Elan Béarnais"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Ekpe Udoh et Donovan Mitchell en invités spéciaux au Final Four"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"MVP du Final Four 2017, Ekpe Udoh sera présent du 18 au 20 mai prochain à Belgrade pour assister au Final Four d’Euroleague pour lequel son ancienne équipe du Fenerbahce s’est qualifiée.\\n\\nSous contrat avec le Utah Jazz, l’ancien pivot du Fener ne fera pas le déplacement seul. Selon Ben Dowsett, l’ancien joueur des Milwaukee Bucks sera en bonne compagnie puisqu’il devrait faire le déplacement avec Donovan Mitchell.\\n\\nDans la course pour le titre de meilleur rookie de l’année en NBA, Mitchell est l’un des joueurs qui a le plus fait sensations de l’autre côté de l’Atlantique cette saison.\\n\\n\\n\\n\\nMitchell says he’s going to go to the Euroleague Final Four with Ekpe Udoh, but then will be doing tons of training – both with Jazz players and assistant coach Johnnie Bryant, as well as other NBA greats who want to train.\\n\\n\\n— Ben Dowsett (@Ben_Dowsett) 9 mai 2018\\n\\nPhoto : Donovan Mitchell"
}, 
{"role": "user",     "content":"Décès de Yvan Mainini, ancien président de la FFBB et de la FIBA"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FFBB annonce ce matin le décès de Yvan Mainini à l’âge de 73 ans.Le Normand fut l’une des figures marquantes du basket français de ces quatre dernières décennies. Il fut l’un des meilleurs arbitres mondiaux de sa génération, reconnu comme tel par l’Euroleague -il fut élu parmi les 50 meilleurs contributeurs de l’Euroleague en 2008-, avec 300 matches internationaux arbitrés entre 1973 et 1988 avec trois Jeux Olympiques à son actif. Il fut également directeur des sports, de la culture et de la communication de la ville de Mondeville -il fut coach de l’USOM pendant 17 saisons-, consultant sur Antenne 2 et un temps directeur général de l’ASVEL.Yvan Mainini fut ensuite président de la FFBB de 1992 à 2000, de la FIBA Europe de 1998 à 2001 puis le 11e de la FIBA de 2010 à 2014.Durant son magistère à la FFBB celle-ci s’est considérablement modernisée même si elle n’a pas pu atteindre le chiffre de 800 000 licenciés qu’il avait fixé le jour de son élection en 1992.Un premier hommage lui sera rendu par tous les acteurs du basket français lors de la soirée des trophées réunissant la FFBB, la LNB et la LFB le mercredi 16 mai à Paris.Photo: FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jonas Valanciunas a prévu d’être avec la Lituanie pour la troisième fenêtre internationale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que Rudy Gobert ne sait pas encore s’il sera présent pour l’Equipe de France lors de la troisième fenêtre internationale, Jonas Valanciunas a annoncé qu’il a bien l’intention de représenter la Lituanie dans quelques semaines.\\n\\nInterrogé par la FIBA, l’intérieur des Toronto Raptors a annoncé qu’il a prévu d’être là pour sa sélection.\\n\\n« Jouer pour la sélection, ça fait partie de mes plans pour cet été. Nous avons parlé avec le coach Dainius Adomaitis et le staff à propos des plans pour la sélection et de mes intentions pour la prochaine fenêtre. »\\n\\nLe big man lituanien vient d’être éliminé des playoffs NBA en demi-finale et est donc en vacances depuis peu. Comme Rudy Gobert...\\n\\nPhoto : FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Bologne sur le point d’offrir son poste de coach à Andrea Trinchieri ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Remercié par Bamberg en cours de saison, Andrea Trinchieri est depuis sans club mais devrait faire son retour sur le banc d’une équipe dès la rentrée prochaine.\\n\\nAlors que le poste d’entraîneur du Virtus Bologne semblait promis à Sasha Djordjevic, Sportando révèle que ce serait finalement le technicien italien qui tiendrait la corde pour rejoindre l’Émilie-Romagne cet été. Le club transalpin serait sur le point de proposer un contrat de deux ans plus un an en option à l’ancien sélectionneur de la Grèce.\\n\\nNatif de Milan, Trinchieri a naturellement lancé sa carrière en Italie, où il a remporté deux fois le trophée de meilleur coach de la saison en première division. Meilleur coach de la saison d’Eurocup en 2014, il compte aussi notamment trois championnats d’Allemagne à son palmarès.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : les détails de l’arrivée de Nemanja Nedovic à Milan"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si rien n’est officiellement annoncé par l’Olimpia Milano, le président du club a annoncé dans une interview pour la Gazetta dello Sport que les Milanais sont bien intéressés par Nemanja Nedovic et Amadeo Della Valle.\\n\\nAnnoncé toujours plus proche de l’Italie, Nemanja Nedovic devrait donc, sauf cataclysme, bien rejoindre Milan une fois la saison terminée. Selon Eurohoops, les dirigeants transalpins ont trouvé un accord avec Malaga pour payer un « petit » buyout. En venant à Milan, l’international serbe devrait, lui, signer un joli contrat de 1,8 million d’euros sur deux ans.\\n\\nSi cette arrivée aurait pu provoquer le départ d’Andrew Goudelock, Eurohoops indique que tout sera réévalué cet été mais que l’ancien NBAer, qui est toujours sous contrat, pourrait rester en Lombardie. En revanche, les rumeurs d’arrivée de Mike James seraient erronées. En tout cas, le Panathinaïkos et l’Olimpia Milano ne seraient pas entrés en contact.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Un film sur un basketteur professionnel en ouverture du Festival de Cannes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« A 25 ans, Jean-Christophe Markovic est au sommet de sa carrière de basketteur professionnel. Alors qu’il est courtisé par les plus prestigieux clubs Européens, Jean-Christophe va faire le choix étonnant de retourner dans son club formateur fraichement promu au plus haut niveau... Son ambition? L’équipe de France. »\\n\\nAinsi est le Synopsis du fim « La Légende » du réalisateur Florian Hessique, qui est diffusé en ouverture de « Cannes écrans juniors », avec Florian Hessique dans le rôle principal, Géraldine Lapalus et Patrick Préjean. La sortie est prévue en salle pour le 6 juin."
}, 
{"role": "user",     "content":"Coupe des Landes: Troisième succès d’affilée pour Dax-Gamarde"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sous les ordres du coach Denis Mettay, Dax-Gamarde (N2) a décroché aux arènes couvertes de Gamarde devant 3 200 spectateurs armés de confettis et de sirènes, sa troisième Coupe des Landes d’affilée en battant Monsoué-Montgaillard-Sarraziet (N3) en finale, 78-52. En 71 ans seuls Gaujacq, Hagetmau-Doazit (6 fois chacun) et le Stade Montois (4 fois) ont fait mieux.\\n\\nParmi les héros du jour, Jérôme Mansanné, qui a décroché son septième trophée (!) et l’ancien pro Gauthier Darrigand (1,85m, 36 ans), auteur de 12 points, élu MVP, qui est par ailleurs son pote d’enfance.\\n\\n« C’est génial, quelle ambiance de dingue, c’est pour des moments comme ça, de communion avec le public qu’on joue au basket, »a lancé Gauthier Darrigand à Sud Ouest.\\n\\nChez les filles, l’Elan Chalossais s’imposent 61 à 59 face au Stade Montois.\\n\\nDans les Landes, gagner la Coupe des Landes, c’est comme gagner la Coupe du Monde.\\n\\nA lire le reportage sur la Coupe des Landes dans Le Monde.\\n\\nhttps://www.facebook.com/cd40basket/videos/1861409767280658/?hc_ref=ARTFgumC_3pVP4gWZwkfnJn5DgHww7pIdtWbiTPcmTioP_Q9ETtyx35tEjwXJbtVVn4"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans, Pape-Philippe Amagou et Will Yeguete d’aplomb"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ouest France donne ce matin de bonnes nouvelles des anciens invalides du MSB. Même s’il est toujours en proie à des douleurs au dos, Pape-Philippe Amagou (1,85m, 33 ans) s’entraîne normalement tout comme Will Yeguete (2,01m, 26 ans) qui n’est plus gêné par son pied (aponévrose).\\n\\nBlessé au genou, Terry Tarpey (1,96m, 24 ans) est donc le dernier joueur indisponible mais il n’a plus de béquilles et poursuit sa rééducation.\\n\\nLe Mans reçoit samedi à 18h30 Strasbourg à Antarès pour un match décisif quant à l’attribution de la deuxième place de la saison régulière.\\n\\nPhoto: Pape-Philippe Amagou (Le Mans)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B – Hervé Coudray (Caen): «Je suis ouvert à tout y compris à l’étranger»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour France Bleu, Hervé Coudray, 52 ans, est revenu sur la fin de son aventure avec le Caen BC qu’il a emmené de la Nationale 2 jusqu’à un maintien en Pro B. Il confirme qu’il n’avait pas eu connaissance de la décision de ses dirigeants avant le match gagné contre Rouen, 99-93.\\n\\n« Non, on me l’a annoncé après le match, mercredi matin, sauf que je ne suis pas né de la dernière pluie. J’ai un petit peu d’expérience. Je m’étais préparé à cette éventualité. Vous savez, quand vous renouvelez un contrat d’une seule année, vous savez que c’est une éventualité et je m’étais préparé à cette possibilité depuis quelques temps. »\\n\\nAurait-il aimé poursuivre sa route avec le CBC?\\n\\n« J’ai fait cinq ans. Bien sûr que j’aurais souhaité continuer parce que quand on voit la ferveur lors des matchs, lorsqu’on voit les résultats qui sont quand même relativement satisfaisants il me semble, oui j’aurais bien aimé continuer. Mais peu importe, je veux surtout remercier les dirigeants qui m’ont fait confiance, il y a cinq ans, pour partir de ce projet en National 2 et de m’avoir donné les moyens pour travailler pendant cinq ans. »\\n\\nOriginaire de Fougères dans l’Ile-et-Vilaine, ancien coach de Mondeville en Ligue Féminine, Hervé Coudray est prêt à changer de territoire:\\n\\n« Nos limites, No Limit ». Je sais aussi que dans ce métier-là, il ne faut pas se fixer de limites par rapport à la distance. Je suis ouvert à tout y compris à l’étranger. Je verrai ce qui peut s’ouvrir comme opportunité.\\n\\nPhoto: CBC"
}, 
{"role": "user",     "content":"Spécial salaires Pro B – Le compte est bon à Saint-Chamond"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Note :\\n\\nseuls les abonnés Premium accèdent au tableau complet des salaires de chaque joueur. Abonnez-vous ici à partir de 5,99€/mois.\\n\\nEn Pro B depuis 2015, le club chamonais s’est bâti la réputation d’un club sérieux, qui ne fait pas de folie avec ses finances. L’âme de l’équipe de Saint-Chamond est guidée par son gourou, Alain Thinet, formateur et dénicheur de talents depuis des décennies, qui a su trouver la bonne recette et les mots justes l’été dernier pour faire de son groupe la surprise de la saison. Après une année passée à côtoyer le podium, le SCBVG tient toujours la route au moment du sprint final, à égalité avec deux armadas, le Lille Métropole Basket Club et le Fos Provence Basket, à la 4e place du championnat.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nCohérence à tous les étages\\n\\nUn parcours que l’entraîneur doit à un collectif d’une grande qualité où l’homogénéité règne également en maître en matière salariale. Trois joueurs se détachent toutefois, et à juste titre tant leur impact est non-négligeable sur le parquet : Mathieu Guichard, le capitaine à bord, à la régularité impressionnante depuis bientôt dix ans, Jonathan Hoyaux, le sniper, meilleur marqueur français de Pro B (15,4pts par match), et l’intérieur cubain Grismay Paumier, point de fixation des plus fiables dans la peinture et auteur jusque-là d’une très belle saison (13pts, 7rbds, 17,5 d’évaluation par match).\\n\\nMême s’il fait partie des plus petits budgets du championnat Saint-Chamond a d’ores et déjà assuré sa place dans le top 9 et s’apprête donc à participer aux Playoffs d’accession pour la première fois de son histoire. Un pas immense de franchi, sans faire de folies, pour une belle revanche du sport sur les radis.\\n\\n[table id=122 /]\\n\\nPhoto : Saint-Chamond\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nCohérence à tous les étages\\n\\nUn parcours que l’entraîneur doit à un collectif d’une grande qualité où l’homogénéité règne également en maître en matière salariale. Trois joueurs se détachent toutefois, et à juste titre tant leur impact est non-négligeable sur le parquet : Mathieu Guichard, le capitaine à bord, à la régularité impressionnante depuis bientôt dix ans, Jonathan Hoyaux, le sniper, meilleur marqueur français de Pro B (15,4pts par match), et l’intérieur cubain Grismay Paumier, point de fixation des plus fiables dans la peinture et auteur jusque-là d’une très belle saison (13pts, 7rbds, 17,5 d’évaluation par match).\\n\\nMême s’il fait partie des plus petits budgets du championnat Saint-Chamond a d’ores et déjà assuré sa place dans le top 9 et s’apprête donc à participer aux Playoffs d’accession pour la première fois de son histoire. Un pas immense de franchi, sans faire de folies, pour une belle revanche du sport sur les radis.\\n\\nPhoto : Saint-Chamond\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’Elan Chalon postule à une wild card en Champions League"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Au Journal de Saône et Loire, Rémy Delpon, directeur du club, informe que l’Elan Chalon postule à l’une des deux wild cards (invitations) que la Fédération Internationale va offrir pour un accès direct à la Champions League 2018-19. Deux autres devant être offertes pour le tour préliminaire.\\n\\nAprès avoir été longtemps menacés de descente en Pro B, les Bourguignons ont obtenu leur maintien en Jeep Elite mais sans parvenir jusqu’aux playoffs. Engagés en BCL cette saison, ils ont obtenu 6 victoires en 14 matchs.\\n\\nPhoto: Ousmane Camara (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Edgaras Ulanovas incarne un Zalgiris ambitieux pour le prochain Final Four"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Enfant de Kaunas, Edgaras Ulanovas (1m98, 26 ans) est actuellement dans sa 4e saison dans son club de coeur du Zalgiris. Et au terme de sa meilleure campagne, Ulanovas (7 points, 4 rebonds, 2 passes) va également découvrir le Final Four pour la première fois de sa jeune carrière.\\n\\nAuteur d’un tir, ainsi que d’un contre, pour la gagne cette saison, en plus d’un titre de MVP du match 4 de sa série de playoffs face à l’Olympiakos avec 20 points et 9 rebonds, Ulanovas est bien conscient que son club ne part pas favori à Belgrade. Mais à ce stade de la compétition, le statut importe peu, seul le résultat compte !\\n\\n\\n« On ne va pas être spectateur, ça c’est sûr ! »\\n\\n« On peut être les outsiders, c’est normal car on n’a pas d’expérience, c’est notre premier Final Four », reconnaît Ulanovas sur le site de l’Euroleague. « Mais on n’est pas le genre d’équipe qui va être spectatrice. On va essayer de jouer notre meilleur basket. On va se battre. On ne va pas être spectateur, ça c’est sûr. »\\n\\nOn sent que le discours de Sarunas Jasikevicius a déjà été répété à l’envi en coulisses. Plutôt discret en playoffs à 6 points et 4 rebonds en moyenne seulement, Ulanovas espère rebondir au Final Four. Mais c’est le champion en titre qui se dresse sur le chemin des Baltes.\\n\\n« C’est une équipe incroyable, la plus grosse écurie en Europe. Ils ont un immense coach, des grands joueurs et un roster très complet. Ils ont aussi beaucoup de taille et ils sont très bons en défense. Les détails vont être super importants, et au Final Four, tout est dans l’effort ! Il s’agit encore plus de ta volonté à te battre, plus que la tactique ou les systèmes de jeu. »\\n\\n\\n« Il faut toujours pousser car une série peut vite arriver »\\n\\nDe toutes manières, entre Obradovic et son élève Jasikevicius, on devrait être plutôt fixé du point de vue des cerveaux ! Et quoiqu’il advienne pour Kaunas et Ulanovas, la saison 2017-18 aura tout de même été une réussite. Une réussite préparée en amont par l’ailier gaucher.\\n\\n« J’ai essayé de faire un peu de tout, surtout l’été passé. Je suis allé aux Etats-Unis, c’était une excellente expérience. J’ai rencontré quelques joueurs et coachs NBA et j’ai pu découvrir les coulisses, c’était super sympa. J’ai aussi fait mes débuts en sélection. C’est ma quatrième année ici et ma voix commence à peser dans le vestiaire, ça m’a aidé aussi. On peut avoir des coups de moins bien mais il faut toujours pousser car une série peut vite arriver et tout relancer. »\\n\\nC’est pour ainsi dire la devise du Zalgiris cette saison. Toujours accrocheurs et près du texte dans leur exécution des systèmes, les joueurs de Kaunas auront fort à faire face au Fener de Brad Wannamaker et Jan Vesely. Mais comme on dit souvent, sur un match..."
}, 
{"role": "user",     "content":"LaMelo Ball en Pologne la saison prochaine ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après une saison particulièrement médiatisée et à vrai dire décevante en Lituanie, LaMelo Ball (1m96, 16 ans) est rentré au pays pour disputer la JBA League qui va faire une tournée dans huit villes américaines cet été. Mais quant à son futur professionnel, le dernier de la fratrie Ball est encore dans le vague.\\n\\nEligible pour la draft 2019, le jeune Ball a encore le temps de voir venir mais si l’on se fie aux dires du paternel, LaVar Ball dans le dernier épisode de leur série télé, LaMelo pourrait bien poursuivre sa carrière en Europe, du côté de Gdynia en Pologne.\\n\\n« Pour moi, cette équipe polonaise pourrait bien être la bonne pour Melo. Ça pourrait bien être la prochaine étape. Leur centre d’entraînement est magnifique, il y a de grands bureaux, les salles de musculation, les salles de nutrition, ça respire encore plus le professionnalisme. »\\n\\nL’Asseco Gdynia est effectivement un club historique en Pologne, avec 9 titres de suite entre 2004 et 2012. C’est une dimension bien supérieure au BC Vytautas en termes d’infrastructures.\\n\\nJamais réellement impliqué dans le projet collectif en Lituanie, et même qualifié de fainéant, le jeune Ball n’aura pas le choix à Gdynia. Un sacré défi à relever !"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : le triple-double de Luka Doncic en seulement 22 minutes !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"42 d’évaluation ! Voilà le bilan de la performance de Luka Doncic face à Séville mercredi. Si le Real Madrid foot s’est incliné, également face à Séville, le meneur de jeu slovène a venger ses collègues footeux sur le parquet du WiZink Center.\\n\\nLe natif de Ljubljana n’a pas fait dans la dentelle hier soir. En seulement 22 minutes de jeu, il a compilé 17 points, 10 rebonds et 10 passes décisives pour une évaluation de 42, donc. Tout ça sans raté le moindre tir à 4/4 aux shoots et 6/6 aux lancers. Le Real s’est imposé 104-89.\\n\\nUne journée normale au bureau pour Luka Doncic...\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Laia Palau (Bourges) a signé pour deux ans avec le club de Gérone"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La meneuse espagnole de Bourges, Laia Palau (1,78m), va rejoindre Gérone pour deux saisons annonce la presse espagnole. Gérone a terminé deuxième de la saison régulière du championnat espagnol derrière Salamanque.\\n\\nA bientôt 39 ans, la Barcelonaise est une sommité du basket européen. Elle a gagné de multiple médailles avec l’équipe nationale notamment l’argent aux JO de Rio et elle a porté 262 son maillot, un record.\\n\\nCette saison, après un passage en Australie, elle a accepté de revenir à Bourges avec qui elle va disputer la finale du championnat de France.\\n\\nLaia Palau a annoncé être disponible pour participer à la Coupe du Monde qui se tiendra cet été en Espagne."
}, 
{"role": "user",     "content":"Une équipe française affiliée à l’Olimpia Milano ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans une interview accordée à la Gazetta dello Sport, le président de l’Olimpia Milano a annoncé vouloir développer un lien avec une équipe étrangère, une « équipe satellite ».\\n\\nLe président italien, Livio Proli a indiqué qu’il pense à trois championnats pour trouver son appui et la France en fait partie. Le but serait de développer des joueurs dans le club qui sera rattaché à la formation milanaise.\\n\\n« C’est une grande nouvelle que la ligue et la fédération étudient, mais nous devrons nous orienter sur une solution différente qui nous garantira un contexte LNP plus compétitif pour faire mûrir nos joueurs. L’idée est de se connecter, en été nous verrons comment, dans un club étranger de première division. Trois hypothèses: la France, l’Allemagne ou la ligue Adriatique. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Alex Renfroe à Avellino"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A Galatasaray depuis le début de la saison, Alex Renfroe (1,91m, 31 ans) va rejoindre Avellino pour disputer les playoffs de Serie A.\\n\\nD’après Sportando, l’ancien joueur de Bamberg a obtenu un visa et s’est engagé avec la formation italienne pour la fin de la saison. Joueur référencé en Europe, l’ancien pensionnaire de Belmont University est passé par Brindisi, Bamberg, Vitoria, ALBA Berlin, Munich et Barcelone.\\n\\nCette saison, Alex Renfroe compilait en moyenne 9,3 points, 3 rebonds et 4,6 passes décisives en Turquie entre le championnat et l’Eurocup.\\n\\nPhoot : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Le président du Cavigal Nice remercie Alix Duchet pour sa saison très prometteuse"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est donc acté, le Cavigal Nice rejoint la Ligue 2. Le club a déjà perdu en cours de route son coach, Jimmy Verove, et deux joueuses majeures, Joyce Cousseins-Smith puis Géraldine Robert. Les playdowns servent également de baisser de rideau à la meneuse Alix Duchet (1,63m, 20 ans) qui a fait une saison remarquable (8,9 points, 3,6 passes) qui l’a amené à revêtir pour la première fois le maillot bleu contre la Finlande à la mi-février. Elle va rejoindre Lattes-Montpellier qui va avoir une grosse cylindrée à la rentrée.\\n\\nSon président Xavier Le Cerf-Galle a voulu lui rendre un hommage public:\\n\\n« J’ai pour toi Alix, en outre, de l’admiration et de la gratitude. Tu as honoré Nice de ta présence et illuminé avec tes 20 printemps Leyrit d’un talent si frais et si grand, déjà. Je n’oublie pas qu’en octobre tu étais supposée ne nous donner que quelques minutes dans le cadre de ta rééducation et qu’en février tu menais l’Equipe de France contre la Finlande. Je suivrai de très près ton épanouissement au BLMA, magnifique challenge aux commandes d’une équipe à ta mesure. Good luck championne. »\\n\\nLe président du Cavigal a remercié d’autres personnes dont Wani Muganguzi, 27 ans, qui accomplissait sa première saison d’assistant au Cavigal après un passage à Villeneuve d’Ascq et au Limoges CSP, et qui a du revêtir le costume de head coach à l’improviste:\\n\\n« Enfin un grand merci à coach Wani Muganguzi qui a su, avec maestria, prendre le relai de Jimmy Verove. Le challenge était immense avec une équipe très affaiblie contre des adversaires toutes renforcées. Tu as formidablement relevé le défi. Je suis très fier et heureux d’avoir contribué à ton éclosion au plus haut niveau. »\\n\\nPhoto: Alix Duchet (LFB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mickaël Piétrus à Marseille, « pas un poisson d’avril »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tel qu’on le connaît depuis toujours, Mickaël Piétrus est arrivé souriant, décontracté et disponible au siège du Stade Marseillais Université Club dans le 8e arrondissement de Marseille hier matin à l’occasion de la conférence de presse de présentation de son nouveau projet avec le club phocéen (NM2, NF2, 26 équipes pour plus de 500 licenciés).\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nComme si c’était hier, deux ans après sa dernière pige à Nancy en 2015-2016, « Air France » (36 ans), a finalement atterri à Marseille où le projet de formation sur le long terme l’a convaincu. Accompagné du président du Smuc Jean-Louis Moro, du président de la section Smuc Basket Carlos Cardoso, d’élus locaux et de ses collaborateurs de longue date, Nassim Baziz et Raoul Ramdine, l’ancien arrière aux 626 matchs NBA qui a œuvré depuis 2005 pour le développement du basket guadeloupéen, a présenté les contours de ce projet qui a pour objectif de remettre Marseille sur la carte du basket français.\\n\\nRetrouvez l’introduction de Carlos Cardoso, Mickaël Piétrus et Raoul Ramdine suivi du questions-réponses avec ces principaux intervenants lors de cette conférence de presse.\\n\\nCarlos Cardoso, président du Smuc Basket :\\n\\n« Merci d’être là, au nom de toute la section basket que je représente. Je voudrais remercier les bénévoles qui ont préparé la salle pour cette conférence ainsi que les clubs marseillais présents comme l’US Saint Marcel et l’UMBB puisque ce projet là va au-delà du SMUC. C’est Marseille dans sa globalité, pour ce projet de formation avec Nassim, Raoul et Mickaël. Nous sommes reconnus aujourd’hui au niveau français comme un club formateur avec pour preuve Marko Coudreau qui est à l’Insep aujourd’hui et qui est, à l’heure où je vous parle, sur le point de s’engager pour une Fac américaine afin de jouer en NCAA la saison prochaine. Il y a aussi Maxime Galin, qui est parti à Chalon l’année dernière et qui est en Equipe de France U16 cette année, Romain Poinas qui est à Monaco et Hugo Blanc qui est à Pau-Orthez. Ça fait beaucoup de gros potentiels marseillais qui aujourd’hui ne sont pas chez nous. C’est pour ça que c’est important à travers ce double-projet de pouvoir conserver ces garçons en leur proposant de jouer au niveau auquel ils aimeraient jouer dans leur ville natale et en proposant à Marseille du basket de haut-niveau. Bien sûr, ça ne se fera pas en une année. Mais l’idée, avec l’apport de Mike, Nassim et Raoul et de nos partenaires, c’est de continuer à bâtir ce projet de formation pour avoir une équipe, espérons-le un jour, professionnelle. C’est le vœu de la section basket, qui est je pense aujourd’hui en terme de structures au plus haut niveau de ce qu’elle peut faire, la Nationale 2. On peut rester comme ça quelques années, mais forcément pour les jeunes notamment, lorsqu’ils arrivent à un certain niveau de formation où il y a des entraîneurs qui sont là et qui font un énorme travail tout au long de la saison pour qu’on soit au plus haut niveau. Des titres, on en gagne, mais ça ne suffit pas. J’espère que notre future collaboration sera fructueuse et nous permettra de franchir ce cap ».\\n\\n« Notre but c’est d’avoir la même fierté du maillot que vous pouvez avoir ici dans le foot »\\n\\nMickaël Piétrus :\\n\\n« Bonjour à tous, moi c’est Mike Piétrus, ancien joueur NBA. Merci de m’avoir reçu dans l’une des plus grandes villes d’Europe et de France qui est Marseille. Je trouve cette ville formidable et aujourd’hui je suis très honoré de faire partie du Smuc. Je remercie tous les élus, la ville de Marseille et tous les sponsors qui accompagnent le Smuc depuis des années. Honnêtement, le projet qu’on m’a présenté, avec Nassim Baziz et Raoul Ramdine avec qui je travaille depuis 15 ans, est un projet qui me plaît, le développement des jeunes et se faire respecter aussi au niveau du Smuc. Il y a beaucoup de joueurs que vous avez cités qui sont partis en NCAA ou à Chalon. On retient Chalon mais on ne retient pas le mot Smuc. Aujourd’hui il faut que ça change et notre but c’est d’avoir la même fierté du maillot que vous pouvez avoir ici dans le foot. On va essayer de monter un projet formidable pour les jeunes et puis de rendre cette ville fière au niveau du basket ».\\n\\nRaoul Ramdine :\\n\\n« Le projet vient effectivement du fait que la France est le pays qui fournit le plus grand nombre de joueurs à la NBA en dehors des Américains. Et souvent on se rend compte que les jeunes Français n’ont pas souvent l’opportunité de jouer. Quand on regarde le basket en Pro A, même en Pro B. Et ici à Marseille, on a la 2e plus grande ville de France avec un centre de formation performant et un bassin de population qui produit énormément de joueurs, au delà du Smuc et c’est pour ça que la présence de certains présidents de clubs marseillais aujourd’hui est très importante. L’idée c’est de pouvoir créer de réelles passerelles, des collaborations avec le Smuc et les autres clubs marseillais pour permettre à ces jeunes de franchir des paliers ici au Smuc. Et l’étape suivante c’est de pouvoir garder ces joueurs. Il y a des villes comme Roanne, Cholet ou Pau qui sont quand même beaucoup plus petites que Marseille et qui réussissent à faire vire du basket de haut-niveau. Il n’y a pas de raison pour que ça n’existe pas ici. Il y a un vrai engouement pour le sport, des gens compétents au club, énormément d’ingrédients qui sont présents. On ne vient pas ici pour faire la révolution, mais travailler avec les gens qui sont là et qui sont compétents, mettre tout ça en musique et amener notre réseau, notre expertise afin d’ajouter la pièce manquante à l’édifice. Il y a bien sûr d’autres acteurs sur lesquelles on compte, les élus, les collectivités, les partenaires privés. Et en créant une bonne cohésion, avec un objectif commun et la jeunesse pour mot d’ordre, on espère donner l’opportunité à nos jeunes de porter haut les couleurs du Smuc ».\\n\\nSylvain Di Giovanni, adjoint au Maire des 6ème & 8ème arrondissements délégué au sport, Carlos Cardoso, président du Smuc Basket, Mickaël Piétrus, Richard Miron, adjoint au maire délégué au sport, Raoul Ramdine et Jean-Louis Moro, président du Smuc.\\n\\n« Je ne veux pas être président, ça ne m’intéresse pas, ce que je veux, c’est voir le club réussir »\\n\\nMike Piétrus, lorsqu’on appris votre venue, on a regardé le calendrier pour s’assurer que ce n’était pas un poisson d’avril. Mike Piétrus, champion de France, international, dix saisons en NBA, qui arrive au Smuc, pas possible ? Vous avez vécu des moments extraordinaires en tant que joueur au cours de votre carrière, quelle est pour vous la motivation d’être ici ?\\n\\nAlors déjà non, ce n’est pas un poisson d’avril ni un poisson qu’on va utiliser dans la bouillabaisse ! (rires). Honnêtement, je suis très honoré d’être ici, et je ne suis pas là pour prêter mon nom. Je respecte les gens, les bénévoles qui participent à l’évolution du Smuc. Aujourd’hui on est dans un nouveau projet, de refaire remonter le Smuc. On n’est pas là pour gagner la Pro A demain. On est là dans la durée. On veut démarrer maintenant afin de refaire de cette ville une ville de basket, une ville joyeuse. Je me suis toujours demandé pourquoi Marseille n’avait pas de grosse équipe de basket. Pour être honnête avec vous, la plupart des grands joueurs qui ont joué en NBA sont plutôt sur Paris. Aujourd’hui je suis très honoré de représenter le basket phocéen. C’est un plaisir d’être là, de vous rencontrer tous et de démarrer ce projet.\\n\\nOn avait perdu votre trace depuis votre pige à Nancy en 2015-2016. Qu’avez-vous fait depuis ?\\n\\nC’est vrai qu’il y a une culture où on doit annoncer sa retraite... Moi ce n’est pas ma culture. Je n’ai pas annoncé que j’allais démarrer le basket, donc je ne vais pas annoncer que j’arrête. Du coup, ça fait deux-trois ans que j’ai arrêté, même si je le suis encore de près. Et quand on a fait appel à moi pour ce projet... vous savez ma philosophie, ça a toujours été d’aider les jeunes à devenir le prochain Mickaël Piétrus ou d’autres joueurs qui sont passés en NBA. Je suis là pour partager mon vécu et mon expérience (...). Le but du Smuc est aussi de s’associer aux autres entraîneurs et clubs de basket de Marseille. De travailler ensemble et de d’apporter de la joie à cette ville avec le basket comme l’OM peut le faire dans le foot. C’est le plus important pour moi\\n\\nOn vous attendait peut-être plus aux côtés d’une structure professionnelle, pourquoi avoir choisi Marseille et le Smuc, un club de Nationale 2 ?\\n\\nPourquoi avoir choisi le Smuc plutôt qu’un club de Pro A ? Moi je considère le Smuc comme mon enfant. Mon but, c’est de le voir grandir, plutôt que d’aller dans un club où tout est déjà acquis. Pour moi, il n’y a pas vraiment de plaisir. Les clubs de Pro A, c’est bien, mais ils ne donnent pas suffisamment l’opportunité aux jeunes de se développer. Au Smuc, on leur donnera cette opportunité en les accompagnant depuis le centre de formation. C’est pour ça que j’ai fait ce choix et c’est un réel plaisir d’être à Marseille.\\n\\nQuel sera votre rôle, concrètement ?\\n\\n... De donner le sourire aux jeunes ! (rires) Aujourd’hui on n’a pas encore défini de rôles. On a un projet ensemble, et mon but c’est qu’on travaille ensemble. Je ne veux pas être président, ça ne m’intéresse pas, ce que je veux, c’est voir le club réussir.\\n\\nDu coup, on va souvent vous voir à Marseille ?\\n\\nYes !\\n\\nLe communiqué de presse a évoqué la possibilité de former des passerelles avec la Guadeloupe qui a produit un nombre incalculable de grands joueurs. Que pouvez-vous nous dire de ce partenariat ?\\n\\nC’est vrai qu’il y a beaucoup de joueurs qui sont sortis de la Guadeloupe et qui ont fait des centres de formations en France. Je trouve ça bien. Mais souvent, il y a une année ou deux de transition où ils ne jouent pas. Nous, l’opportunité qu’on veut leur donner au Smuc, c’est de jouer tout de suite et de se développer tout de suite. De passer cette transition de deux ans que je trouve un peu lente. On pourra compter notamment sur Monsieur Ramdine qui est souvent basé en Guadeloupe, il pourra plus vous en diriger sur ce qu’on veut entreprendre là-bas.\\n\\nRaoul Ramdine : Mickaël a parrainé des camps de basket en Guadeloupe depuis 2005 qui ont permis l’émergence de joueurs que vous connaissez certainement, comme Rodrigue Beaubois, David Michineau, Mathias Lessort ou Stéphane Gombauld. C’est sûr que vous les connaissez, mais il y en a d’autres qui étaient tout aussi bons, mais ce n’est pas toujours évident lorsqu’on vient de Guadeloupe. Et il y en a beaucoup qui échouent pour des raisons qui n’ont rien à voir avec le basket mais plutôt la transition, l’adaptation. Si on peut effectivement créer un cadre leur permettant d’arriver dans de bonnes conditions afin qu’ils puissent s’adapter et continuer leur progression, leur développement, c’est une opportunité qui peut être intéressante. Il y a des gens ici au club qui travaillent avec les jeunes et qui connaissent le haut niveau dont Mo Kanté et Charles Michée. C’est une opportunité évidente... On ne sait pas pourquoi, mais on a de bons basketteurs en Guadeloupe !\\n\\nVous allez encore organiser des camps en Guadeloupe ?\\n\\nRaoul Ramdine : On organise régulièrement des opérations là-bas. On sait déjà quels sont les prochains jeunes très bons. On va lancer un camp ici aussi à Marseille (le Baz’n Camp, du 8 au 14 juillet) et il y aura d’ailleurs de jeunes Marseillais mais aussi des joueurs qui viendront de Guadeloupe spécialement pour ça. Le basket, c’est un sport mais c’est aussi des échanges, et ces jeunes auront l’occasion de découvrir Marseille, une autre ville... Mais c’est vrai qu’au conseil régional de Guadeloupe, des personnes compétentes ont été très attentives à l’évolution de nos relations avec le Smuc. Il faut savoir qu’avec Carlos Cardoso, ça fait un an qu’on échange qu’on travaille. Et on a reçu un courrier officiel du conseil régional de Guadeloupe qui soutient, voit d’un très bon œil ce projet et aidera les jeunes de Guadeloupe si nécessaire. Ça pourrait aussi rapprocher la région à d’autres titres que du basket. On est relativement dans des choses déjà concrètes.\\n\\n« Je m’entends très bien même avec Rémi Giuitta avec qui j’ai discuté il n’y a encore pas très longtemps. Mais le problème c’est le déménagement de clubs professionnels comme ça, de Fos à Marseille... »\\n\\nQu’allez vous proposer aux jeunes au Baz’n Camp ?\\n\\nRaoul Ramdine : On a une expertise dans l’organisation de camps de basket qui ont comme je l’ai dit permis de révéler un certain nombre de joueurs de basket qui ont eu un parcours intéressant. Mickaël et moi on vient de Guadeloupe, on est ici au Smuc, on a le cœur en Guadeloupe, un pied aux Etats-Unis. On va faire venir des coachs des Etats-Unis et beaucoup de Floride où on a une bonne base du fait que Mickaël a connu ses plus belles années à Orlando. On a tout un réseau de coachs NBA, universitaires, de High School. On va faire venir certaines de ces personnes dont un coach universitaire qui est quelqu’un qui a joué contre Steph Curry, un autre coach qui est l’entraîneur personnel de plusieurs joueurs NBA. Le but, c’est de mettre à disposition à nos jeunes campeurs l’expertise du haut niveau. Les mettre face à des gens qui sont réellement dans le quotidien du très haut niveau pour leur permettre d’ouvrir les yeux sur le niveau de performance et le travail que ça nécessite. Les journées vont être dures. On ne va pas mentir aux jeunes, la vérité c’est dur, ce ne sera pas des vacances.\\n\\nCarlos Cardoso : On est aussi dans ce partenariat important au même titre qu’avec les clubs marseillais. Ce projet se décline aussi en local en partenariat avec les clubs locaux et ça c’est très important. L’objectif c’est que cette équipe s’appelle Marseille même si elle aura toujours le Smuc en point de départ. Vous avez des clubs universitaires comme le Pauc ou le Sluc Nancy qui aujourd’hui s’appelle Nancy purement. Donc ce lien est important, mais c’est vrai qu’il y a aussi un réel partenariat privilégié avec des clubs de Guadeloupe qui va être mis en place. Et comme l’a dit Mickaël, que les gamins puissent jouer plus tôt, c’est l’objectif.\\n\\nPrésident, vous avez parlé de Romain Poinas et d’autres joueurs qui sont amenés à évoluer en professionnel. Il y a deux clubs professionnels à 45 minutes d’ici, Fos Provence Basket (Pro B) et le Hyères-Toulon Var Basket (Jeep ELITE à ce jour). Quel est l’état de vos relations avec ces deux clubs et leur implication dans ce projet ?\\n\\nCarlos Cardoso : Il y a eu des contacts puisque qu’un projet avec Fos a été mis en place et même avec Toulon, il y a eu des rapprochements. Le problème, c’est que vous êtes sur des communes différentes. On a cherché a prendre appui sur d’autres communes alors qu’en local on a quand même beaucoup de force. Il y a des gens qui sont là et qui représentent le basket marseillais. Ce projet là est unique parce qu’il part des Marseillais et pas des villes d’à côté. Là on a décidé de s’unir et de profiter de l’expertise de Mickaël, Raoul et Nassim pour nous accompagner dans notre projet. Et le projet, il se veut marseillais. On n’a rien contre les autres, je m’entends très bien même avec Rémi Giuitta avec qui j’ai discuté il n’y a encore pas très longtemps. Mais le problème c’est le déménagement de clubs professionnels comme ça, de Fos à Marseille... On a essayé, on a été en partenariat pendant près de dix ans, mais c’est difficile. Aujourd’hui on a une structure en place. Le président du Smuc Jean-Louis Moro parlait de l’université mais on a aussi de partenariat qui ont été signés avec le lycée Jean Perrin et le collège des Bartavelles. Donc on délocalise le Smuc vers le secteur de Saint-Marcel. Et là on est en train de proposer à des garçons de pouvoir s’entraîner tous les jours, de 13 ans jusqu’à l’âge de 20 ans. Et ça c’est quelque chose qui était primordial, qu’un garçon de Marseille puisse rester chez lui tout en jouant au plus haut niveau puisqu’on a les U15 France et les U18 France qui jouent contre les meilleurs clubs français comme Cholet ou Pau dans des championnats fermés. La problématique reste, quid après ? Aujourd’hui ils sont obligés de partir. Ils ont le choix d’aller à Fos, mais souvent ils connaissent la région et savent que les perspectives pour eux, c’est d’aller ailleurs. A nous de leur offrir des perspectives en local.\\n\\n[armelse]\\n\\nComme si c’était hier, deux ans après sa dernière pige à Nancy en 2015-2016, « Air France » (36 ans), a finalement atterri à Marseille où le projet de formation sur le long terme l’a convaincu. Accompagné du président du Smuc Jean-Louis Moro, du président de la section Smuc Basket Carlos Cardoso, d’élus locaux et de ses collaborateurs de longue date, Nassim Baziz et Raoul Ramdine, l’ancien arrière aux 626 matchs NBA qui a œuvré depuis 2005 pour le développement du basket guadeloupéen, a présenté les contours de ce projet qui a pour objectif de remettre Marseille sur la carte du basket français.\\n\\nRetrouvez l’introduction de Carlos Cardoso, Mickaël Piétrus et Raoul Ramdine suivi du questions-réponses avec ces principaux intervenants lors de cette conférence de presse.\\n\\nCarlos Cardoso, président du Smuc Basket :\\n\\n« Merci d’être là, au nom de toute la section basket que je représente. Je voudrais remercier les bénévoles qui ont préparé la salle pour cette conférence ainsi que les clubs marseillais présents comme l’US Saint Marcel et l’UMBB puisque ce projet là va au-delà du SMUC. C’est Marseille dans sa globalité, pour ce projet de formation avec Nassim, Raoul et Mickaël. Nous sommes reconnus aujourd’hui au niveau français comme un club formateur avec pour preuve Marko Coudreau qui est à l’Insep aujourd’hui et qui est, à l’heure où je vous parle, sur le point de s’engager pour une Fac américaine afin de jouer en NCAA la saison prochaine. Il y a aussi Maxime Galin, qui est parti à Chalon l’année dernière et qui est en Equipe de France U16 cette année, Romain Poinas qui est à Monaco et Hugo Blanc qui est à Pau-Orthez. Ça fait beaucoup de gros potentiels marseillais qui aujourd’hui ne sont pas chez nous. C’est pour ça que c’est important à travers ce double-projet de pouvoir conserver ces garçons en leur proposant de jouer au niveau auquel ils aimeraient jouer dans leur ville natale et en proposant à Marseille du basket de haut-niveau. Bien sûr, ça ne se fera pas en une année. Mais l’idée, avec l’apport de Mike, Nassim et Raoul et de nos partenaires, c’est de continuer à bâtir ce projet de formation pour avoir une équipe, espérons-le un jour, professionnelle. C’est le vœu de la section basket, qui est je pense aujourd’hui en terme de structures au plus haut niveau de ce qu’elle peut faire, la Nationale 2. On peut rester comme ça quelques années, mais forcément pour les jeunes notamment, lorsqu’ils arrivent à un certain niveau de formation où il y a des entraîneurs qui sont là et qui font un énorme travail tout au long de la saison pour qu’on soit au plus haut niveau. Des titres, on en gagne, mais ça ne suffit pas. J’espère que notre future collaboration sera fructueuse et nous permettra de franchir ce cap ».\\n\\n« Notre but c’est d’avoir la même fierté du maillot que vous pouvez avoir ici dans le foot »\\n\\nMickaël Piétrus :\\n\\n« Bonjour à tous, moi c’est Mike Piétrus, ancien joueur NBA. Merci de m’avoir reçu dans l’une des plus grandes villes d’Europe et de France qui est Marseille. Je trouve cette ville formidable et aujourd’hui je suis très honoré de faire partie du Smuc.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos Julie Ranslant"
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France: La liste des joueurs pour la fenêtre de juin-juillet sera dévoilée le 18 mai"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est le vendredi 18 mai, en fin de matinée, que Vincent Collet -entraîneur de l’Equipe de France masculine- et Patrick Beesley -Général Manager du Team France Basket- dévoileront, via un Communiqué de presse, la liste des joueurs retenus pour participer aux matchs de qualifications à la Coupe du Monde 2019, qui se joueront en juin/juillet prochain en Bosnie-Herzégovine et en Russie.\\n\\nAprès cette communication, Vincent Collet et Patrick Beesley tiendront une conférence de presse téléphonique pour répondre aux questions des journalistes.\\n\\nPar ailleurs, le lundi 11 juin, au matin, le président de la FFBB, Jean-Pierre Siutat, tiendra à Paris une conférence de presse afin d’évoquer le projet FFBB 2024 et le club 3.0, devant les médias."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Kris Joseph en renfort au Havre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Toujours à la lutte pour son maintien en Pro B, Le Havre vient de faire appel à Kris Joseph (2,01m, 29 ans). Le club normand est actuellement 17e (9v-23d) et premier relégable à une victoire du maintien.\\n\\nSur son site, le STB a annoncé l’arrivée de l’ancien Chalonnais pour les deux derniers matchs de championnat en tant que pigiste médical de Gauthier Denis, touché au mollet et arrêté 30 jours. L’ancien pensionnaire de Syracuse avait commencé la saison à l’Elan Chalon, mais son expérience en Bourgogne n’avait pas duré. Ce n’était pas sa première expérience en France puisque le natif de Montréal était déjà passé par Chalon lors de la saison 2013/14, il avait ensuite fait un an à Dijon puis une autre année à Orléans.\\n\\nAprès avoir quitté l’effectif de Jean-Denys Choulet, il est rentré dans son Canada natal et évoluait au sein des Niagara River Lions ou il compilait 15,5 points, 4,7 rebonds et 2,7 passes décisives. Avec Chalon, il tournait en moyenne à 5,7 points et 1,7 rebond pour une évaluation de 4 en Jeep® ÉLITE.\\n\\nPhoto : Charlotte Geoffray"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nando De Colo élu dans le 5 Majeur de l’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Une fois de plus, Nando De Colo (1,95m, 31 ans en juin), l’arrière international français, figure dans le 5 idéal de l’Euroleague pour la saison 2017-18.\\n\\nA ses côtés, on trouve le Grec Nick Calathes (Panathinaikos Athènes), le Slovène Luka Doncic (Real Madrid), le Géorgien Tornike Shengelia (Vitoria) et le Tchèque Jan Vesely (Fenerbahçe Istanbul).\\n\\nNando De Colo a aidé le CSKA a atteindre le Final Four pour la 15e fois en 16 ans. Il est le premier joueur a marquer plus de 500 points ou plus dans la compétition pour la troisième saison. Il figure à la troisième place à l’évaluation (19,8), à la deuxième au scoring (16,9), à la quatrième à la réussite aux lancers-francs (94,6%) comme à la réussite à trois-points (51,5%), et à la troisième aux interceptions (1,3).\\n\\n\\n\\n\\nThe best EuroLeague players from 2017-18 season.\\n\\n\\nSay 👋 to All-EuroLeague First Team 🔥@Nick_Calathes15 @NandoDeColo @luka7doncic @TokoShengelia23@JanVesely24 pic.twitter.com/6KAgcd9XDM\\n\\n\\n— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) May 10, 2018\\n\\nPhoto: Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : quand Lahaou Konaté et Johan Passave-Ducteil se défient à NBA2K"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Amis en dehors des parquets, Lahaou Konaté et Johan Passave-Ducteil se sont retrouvés chez l’ancien joueur du MSB pour voir qui des deux est le meilleur au basket sur console.\\n\\nHabitués à se chambrer sans arrêt, les deux Nanterriens ne changent pas leurs habitudes devant la télé."
}, 
{"role": "user",     "content":"Spécial salaires Pro B –  A Rouen, la piste islandaise porte encore ses fruits"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Note : seuls les abonnés Premium accèdent au tableau complet des salaires de chaque joueur. Abonnez-vous ici à partir de 5,99€/mois.\\n\\nAvec Alexandre Menard aux commandes, ancien assistant-coach au Mans depuis 2008 et intronisé entraîneur en chef du MSB sur la fin de saison 2016-2017, le RMB a fait le pari de la jeunesse (le plus jeune effectif de la division), ce qui a l’avantage de laisser de la marge pour attirer de gros NJFL. Et quand non seulement les jeunes sont bons, mais que les joueurs étrangers répondent présents, on obtient une formation rouennaise qui visait le maintien à la base et qui s’est retrouvée à se battre pour un spot en Playoffs jusqu’à la fin de la saison régulière.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nUn an après avoir vu juste en recrutant l’international islandais Haukur Palsson, Rouen a réactivé la piste islandaise avec succès l’été dernier en allant chercher Amin Stevens, intérieur américain expérimenté passé par la première division allemande, tout droit sorti d’une saison fracassante dans le championnat islandais avec Keflavik (28,6 pts, 16 rbds par match).\\n\\n\\nLe plus beau coup de la saison\\n\\nAprès sa très bonne première expérience en Pro B sous les ordres de Rémy Vallin en 2016-2017 (12,3pts, 4,7rbds, 4pds par match), Haukur Palsson (70 000 euros la saison à Cholet cette année) est sorti de la grille de salaires du club rouennais où aucun joueur ne dépasse les 50 000 euros par saison. Mais qu’il soit rassuré, Amin Stevens, qui rentrait dans cette catégorie, a magnifiquement repris le flambeau. L’intérieur du RMB se voit même décerner le prix du plus beau coup de la saison puisqu’il est tout simplement le meilleur marqueur et meilleur rebondeur du championnat (17,7pts et 8,4rbds en moyenne par match).\\n\\nDifficile de faire mieux, un constat qui vaut autant pour Amin Stevens que pour la saison globalement satisfaisante du club normand.\\n\\n[table id=121 /]\\n\\nPhoto :Ann-Dee Lamour/CDP Media\\n\\n[armelse]\\n\\nUn an après avoir vu juste en recrutant l’international islandais Haukur Palsson, Rouen a réactivé la piste islandaise avec succès l’été dernier en allant chercher Amin Stevens, intérieur américain expérimenté passé par la première division allemande, tout droit sorti d’une saison fracassante dans le championnat islandais avec Keflavik (28,6 pts, 16 rbds par match).\\n\\n\\nLe plus beau coup de la saison\\n\\nAprès sa très bonne première expérience en Pro B sous les ordres de Rémy Vallin en 2016-2017 (12,3pts, 4,7rbds, 4pds par match), Haukur Palsson (70 000 euros la saison à Cholet cette année) est sorti de la grille de salaires du club rouennais où aucun joueur ne dépasse les 50 000 euros par saison. Mais qu’il soit rassuré, Amin Stevens, qui rentrait dans cette catégorie, a magnifiquement repris le flambeau. L’intérieur du RMB se voit même décerner le prix du plus beau coup de la saison puisqu’il est tout simplement le meilleur marqueur et meilleur rebondeur du championnat (17,7pts et 8,4rbds en moyenne par match).\\n\\nDifficile de faire mieux, un constat qui vaut autant pour Amin Stevens que pour la saison globalement satisfaisante du club normand.\\n\\nPhoto :Ann-Dee Lamour/CDP Media\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Participera t-il aux matches des Bleus en juin? Rudy Gobert réserve sa réponse"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si Frank Ntilikina (New York Knicks) ne sera pas disponible, Nicolas Batum (Charlotte Hornets) et Evan Fournier (Orlando Magic) ont déjà annoncé qu’ils souhaitent participer à la fenêtre internationale de juin avec deux matches de l’équipe de France en Bosnie et en Russie pour le compte des qualifications à la Coupe du Monde 2019. Quid de Rudy Gobert (2,16m, 25 ans), le pivot des Utah Jazz? L’Equipe lui a posé la question:\\n\\n« Je n’ai pas encore eu le temps de me pencher sur la question », a t-il répondu. « J’étais dans mes playoffs. Cela dépendra de différentes choses mais si je peux, bien sûr. »\\n\\nLes Jazz ont été éliminés 1-4 par les Houston Rockets. En playoffs, le Français a assuré 13,2 points (65,5% de réussite aux tirs), 10,7 rebonds et 2,3 contres.\\n\\nPhoto: Chris Elise/basket USA"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Cendrillon des playoffs, Tarbes se retrouve en finale contre Bourges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le cendrillon a encore frappé. Après le champion de France, Villeneuve d’Ascq, le Tarbes Gespe Bigore a éliminé Charleville en demi-finale des playoffs. Les Violettes ont même copieusement dominé collectivement les Flammes lors de la manche retour, 71-60.\\n\\nHuit ans après le titre de champion de France avec Isabelle Yacoubou comme pivot, François Gomez a récidivé prouvant une fois de plus qu’il est un coach de grande valeur. Si le TGB doit beaucoup à ses cadres comme la Canadienne Michelle Plouffe (13 points et 9 rebonds), Angela Bjorklund (15 points), que le coach avait déjà eu à Perpignan et qu’il a fait sortir de se retraite, et encore Adja Konteh (16 points et 6 passes), il a aussi pu compter sur l’audace de sa jeune meneuse (1,74m, 19 ans) Tima Pouye (7 points) qui a joué un rôle décisif à un moment clé du match.\\n\\nUn temps groggy, les Flammes ont relancé la machine dans le deuxième quart-temps (21-9) avant de perdre pieds. La faute notamment à une avalanche de balles perdues (20) certaines très bêtement.\\n\\n« C’est incroyable de vivre ça. Je n’ai jamais connu un tel bonheur dans ma carrière professionnelle et universitaire. Le public a été fabuleux. On a vraiment fait quelque chose de grand », a déclaré Angie Bjorklund à La Dépêche, alors qu’elle a pourtant été championne NCAA en 2008 avec Tennessee.\\n\\nQuant à François Gomez, il appréciait tout spécialement le moment, lui qui n’avait pas été conservé par le club tarbais après le titre de 2010 et qui en trois saisons l’a fait passer une deuxième fois de l’ombre à la lumière.\\n\\n« C’est beaucoup de bonheur. Avec le temps, j’arrive à apprécier plus les choses qu’avant. C’est une chance de jouer une finale. Certains ont couru après toute leur carrière. J’ai la chance de vivre ce genre de moments. On a fait un truc exceptionnel avec un public et une ambiance magnifique. Malgré tout, j’ai aussi appris à ne pas tomber dans l’euphorie. »\\n\\nLe TGB va défier Bourges en finale. Très dur même si les Tango sont tombés sur le Quai de l’Adour en saison régulière. Dans une série qui peut se jouer jusqu’en cinq matches, l’effectif à rallonge des Berruyères devraient lourdement peser.\\n\\nCette finale sera également l’occasion unique de voir deux jumelles face à face, les Canadiennes Katherine (Bourges) et Michelle (Tarbes) Plouffe.\\n\\nLe programme de la finale\\n\\nMatch 1 – Samedi 19 mai (20h45 – SFR Sport 2)\\nMatch 2 – Lundi 21 mai (20h45 – SFR Sport 2)\\nMatch 3 – Jeudi 24 mai (20h45 – SFR Sport 2)\\nMatch 4 (si nécessaire) – Samedi 26 mai (16h30 – SFR Sport 2)\\nMatch 5 (si nécessaire) – Lundi 28 mai 2018 (horaire à déterminer – SFR Sport 2/3)\\n\\nPhotos: Les soeurs Plouffe"
}, 
{"role": "user",     "content":"Paul Lacombe (Monaco) blessé à la cheville"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Element important de la rotation de Zvezdan Mitrovic, Paul Lacombe (1,95m, 27 ans) s’est blessé hier soir lors de la 32e journée de Jeep® Élite.\\n\\nDans la très courte défaite de Monaco face à Pau, l’international français s’est rapidement blessé, seulement quatre minutes après avoir foulé le parquet pour la première fois de la soirée. Sur Twitter, le club a indiqué que l’ancien Villeurbannais souffre d’une entorse de la cheville mais que les nouvelles sont rassurantes et qu’il n’est pas question que sa saison se termine aujourd’hui.\\n\\nCette saison, Paul Lacombe tourne en moyenne à 9,7 points, 4 rebonds et 2,8 passes décisives pour une évaluation de 12,1.\\n\\n\\n\\n\\nEntorse de la cheville pour @PaulPopox qui ne reprendra pas le match. Nouvelles rassurantes du staff médical de la #RocaTeam. La fin de saison de l’arrière international n’est pas compromise. #Daghe !!!🔴⚪️🏀👍\\n\\n\\n— AS Monaco Basket (@ASMonaco_Basket) 9 mai 2018\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Big Twelve International 3×3 Basket Tournament de Voiron, un évènement devenu incontournable"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec 32 équipes, représentant pas moins de 14 pays, pour sa deuxième édition, le Big Twelve International 3×3 Basket Tournament devient un événement incontournable de la planète 3×3.\\n\\nDu 1er au 3 juin, à Voiron (Isère), le site Tremplin Sport Formation (TSF), avec ses playgrounds uniques en France, sera le théâtre de ce tournoi de préparation à la Coupe du Monde de Manille. Parmi les 14 pays représentés, 13 seront présents à cette Coupe du Monde 2018.\\nLe Big Twelve, tournoi dédié aux meilleures sélections nationales (féminines et masculines) de basket 3 contre 3 accueille notamment cette année le podium de la dernière Coupe du Monde (Russie, Hongrie, Ukraine) et les USA doubles vainqueurs, chez les femmes.\\nChez les hommes, les têtes d’affiches sont l’Ukraine et la France respectivement médaillés de bronze à la Coupe d’Europe 2017 et troisième de la Coupe du Monde 2017.\\nAu total ce sont plus de 120 sportifs et 1500 spectateurs qui seront présents pour l’occasion. L’entrée sera gratuite.\\n\\nTSF entend faire du BIG Twelve une étape majeure de préparation aux Jeux Olympiques afin de devenir base arrière de préparation pour les JO de Tokyo (2020) et Paris (2024), et ainsi s’inscrire dans la devise de la FIBA «from the street to the Olympics»."
}, 
{"role": "user",     "content":"Exploit de Pau à Monaco qui se relance dans la course aux playoffs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En réalisant l’exploit de s’imposer chez le leader monégasque, 86 à 85, Pau-Lacq-Orthez s’est relancé spectaculairement dans la lutte pour décrocher une place en playoffs.\\n\\nC’est dans le troisième quart-temps (+6) que les Palois ont fait la différence mais trois trois-points des Monégasques (DJ Cooper, Aaron Craft et Amara Sy) en quinze secondes (!) ont failli renverser la situation au finish.\\n\\nLa victoire des Palois s’est articulée autour du quatuor Elie Okobo (16 points, 8 passes), Chris Dowe (10 points, 5 passes), Ken Horton (13 points, 7 rebonds) et Vitalis Chikoko (19 points à 9/13 aux shoots).\\n\\nBlessé à la cheville, Paul Lacombe n’a joué que quatre minutes."
}, 
{"role": "user",     "content":"Equipe de France U16 Féminine: 20 joueuses en stage au Temple-sur-Lot"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La FFBB annonce la convocation de 20 joueuses U16 pour un stage au Temple-sur-Lot du 10-16 juin. En ligne de mire, le Championnat d’Europe du 17-25 août en Lituanie. La France est tenante du titre.\\n\\nComposition de l’Equipe de France U16 Féminines :\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPRÉNOM\\nDATE\\n\\nDE NAISSANCE\\nCLUB\\n\\n\\n\\n\\nASTIER\\nPAULINE\\n15/02/2002\\nCERCLE JEAN MACE BOURGES B\\n\\n\\nBENIE\\nANNE-MARIE\\n29/08/2002\\nREZÉ BASKET 44\\n\\n\\nBUSSIERE\\nLOUISE\\n07/08/2002\\nUSO MONDEVILLE BASKET\\n\\n\\nCARDENAL\\nCÉLIA\\n23/05/2002\\nBASKET LANDES\\n\\n\\nDARAMY\\nMARIAMA\\n11/08/2002\\nCFBB (ANGERS UNION FÉMININE BASKET 49)\\n\\n\\nDETCHART\\nADÈLE\\n14/02/2002\\nUSO MONDEVILLE BASKET\\n\\n\\nDJOKO\\nClara\\n28/07/2003\\nSI GRAFFENSTADEN\\n\\n\\nFARCY\\nINDIA\\n31/07/2002\\nCFBB (AVENIR SPORTIF D’ORLY BASKET)\\n\\n\\nHIRSCH\\nMAIA\\n13/11/2003\\nROANNAIS BASKET FEMININ\\n\\n\\nKESSLER\\nSERENA\\n25/10/2002\\nCFBB (FC LYON ASVEL FÉMININ)\\n\\n\\nMBU\\nPALMIRE\\n12/05/2003\\nCFBB (VILLENEUVE D’ASCQ ESB)\\n\\n\\nMIKOREK FUENTES\\nAXELLE\\n13/12/2002\\nPAYS VOIRONNAIS BC\\n\\n\\nMOCTAR\\nBINTOU\\n25/07/2002\\nCFBB (MARNE-LA-VALLÉE BASKET VAL MAUBUÉE)\\n\\n\\nNIARE\\nNAHAN\\n15/02/2002\\nUSO MONDEVILLE BASKET\\n\\n\\nPIPER\\nINES\\n24/05/2002\\nFC LYON ASVEL FEMININ\\n\\n\\nRAYNAUD\\nEMILIE\\n26/07/2002\\nCFBB (LIMOGES ABC EN LIMOUSIN)\\n\\n\\nRICHMOND\\nHEREATA\\n20/05/2002\\nCFBB (CAVIGAL NICE BASKET 06)\\n\\n\\nROUMY\\nSarah\\n07/11/2003\\nBASKET LANDES\\n\\n\\nSIDA ABEGA\\nSEEHIA\\n09/08/2002\\nCFBB (JL BOURG)\\n\\n\\nVERGIAT\\nCLARISSE\\n27/09/2002\\nFC LYON ASVEL FEMININ\\n\\n\\n\\n\\nEntraîneur : Vincent BOURDEAU\\nAdjoints : Alan BRUN et Vincent JOLY\\nPréparateur Physique : Johann ZIOLKOWSKI\\n\\nStage au Temple sur Lot du 10 au 16 juin 2018\\n\\nStage à Mulhouse du 9 au 19 juillet 2018\\n\\nTournoi à Mulhouse du 20 au 22 juillet 2018\\n\\nChampionnat d’Europe à Kaunas (Lituanie) du 17 au 25 août 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Herve Coudray quittera Caen cet été"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En poste depuis cinq ans, Hervé Coudray va quitter le banc du Caen Basket Calvados cet été après avoir obtenu un maintien mérité en Pro B.\\n\\nChampion de France de N2 et de N1 avec le CBC, le technicien de 52 ans a appris le lendemain de la victoire face à Rouen que l’aventure avec Caen allait s’arrêter le 1er juillet prochain, comme le rapporte Ouest France. Ancien sélectionneur du Mali féminin, Hervé Coudray n’a pas été surpris de cette annonce malgré une bonne saison de promu ponctuée par un maintien en Pro B.\\n\\n«Cela fait partie des règles du jeu du monde professionnel, a souligné Hervé Coudray. Je sais que les aventures qui dépassent cinq ans sont rares. Je suis content et fier d’avoir participé à l’évolution du club. Et je remercie les dirigeants d’avoir annoncé cette nouvelle suffisamment tôt. J’ai moi aussi besoin de faire savoir que je serai sans club le 1er juillet, et donc sur le marché.»\\n\\nDe son côté, Franck Danet, le président du club a tenu à remercier son entraîneur pour son travail des cinq dernières années.\\n\\n«Hervé est chez nous depuis 5 ans. Il a pris le club en N2 pour le mener en Pro B. Avec lui à sa tête, le Caen BC a décroché deux titres de champion de France (N2, puis N1), on ne retient que du positif de cette aventure. Mais on a le sentiment qu’on arrivait à la fin d’un cycle, qu’on avait besoin de régénérer le fonctionnement. On remercie Hervé pour son engagement sans retenue et sans faille durant cinq ans.»\\n\\nPhoto : Caen Basket Calvados"
}, 
{"role": "user",     "content":"16 joueurs convoqués en équipe de France U17"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le coach Lamine Kebé a convoqué 16 joueurs U17 pour participer au stage de Castelnau-le-Lez du 29 mai au 7 juin. A l’issue de ce stage, 14 joueurs seront retenus pour disputer un tournoi les 8, 9 et 10 juin face à la Belgique, la République Tchèque et la Turquie. Se profile à l’horizon le championnat du Monde en Argentine du 30 juin au 8 juillet.\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\nPrénom\\nDate de naissance\\n\\n\\n\\nTaille)\\n\\n\\n\\n\\nPoste\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\nBARBITCH\\nMilan\\n\\n\\n\\n12/10/2001\\n\\n\\n\\n\\n1.91\\n\\n\\n\\n\\n1 – 2\\n\\n\\n\\nCFBB (NANTERRE 92)\\n\\n\\nBILLON\\nLéo\\n05/01/2001\\n  1.97\\n2-3\\nCFBB (CHOLET BASKET)\\n\\n\\nCARENE\\nMaxime\\n\\n\\n\\n07/06/2001\\n\\n\\n\\n\\n2.08\\n\\n\\n\\n\\n4 – 5\\n\\n\\n\\nCFBB (SC LAMENTOIS)\\n\\n\\nCAZALON\\nMalcolm\\n\\n\\n\\n27/08/2001\\n\\n\\n\\n\\n1.94\\n\\n\\n\\n\\n2\\n\\n\\n\\nASVEL BASKET\\n\\n\\nCRUSOL\\nTimothé\\n05/04/2001\\n  1.90\\n1-2\\nCFBB (CJF LES AUBRAIS)\\n\\n\\nDEFAUX\\nBaptiste\\n12/02/2001\\n  2.01\\n4\\nSLUC NANCY BASKET ASSOCIATION\\n\\n\\nDIALLO\\nVictor\\n\\n\\n\\n09/02/2001\\n\\n\\n\\n\\n1.98\\n\\n\\n\\n\\n2 – 3\\n\\n\\n\\nCFBB (ASVEL)\\n\\n\\nDIGBEU\\nTom\\n\\n\\n\\n24/09/2001\\n\\n\\n\\n\\n1.94\\n\\n\\n\\n\\n2-3\\n\\n\\n\\nFC BARCELONE (ESPAGNE)\\n\\n\\nEBONKOLI\\nMelvyn\\n\\n\\n\\n11/04/2001\\n\\n\\n\\n\\n1.97\\n\\n\\n\\n\\n4\\n\\n\\n\\nLE MANS SARTHE BASKET\\n\\n\\nEL ARF\\nZackarie\\n    26/04/2001\\n 1.95\\n3\\nEB PAU LACQ ORTHEZ\\n\\n\\nEYANGO DINGO\\nSamuel\\n\\n\\n\\n16/05/2001\\n\\n\\n\\n\\n2.05\\n\\n\\n\\n\\n5\\n\\n\\n\\nNANTERRE 92\\n\\n\\nGAUZIN\\nMatthieu\\n\\n\\n\\n27/02/2001\\n\\n\\n\\n\\n1.85\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\nLE MANS SARTHE BASKET\\n\\n\\nHAYES\\nKillian\\n\\n\\n\\n27/07/2001\\n\\n\\n\\n\\n1.92\\n\\n\\n\\n\\n1 – 2\\n\\n\\n\\nCHOLET BASKET\\n\\n\\nMALEDON\\nThéo\\n\\n\\n\\n12/06/2001\\n\\n\\n\\n\\n1.91\\n\\n\\n\\n\\n1\\n\\n\\n\\nASVEL BASKET\\n\\n\\nMIYEM\\nEssomé\\n\\n\\n\\n15/07/2001\\n\\n\\n\\n\\n2.08\\n\\n\\n\\n\\n4 – 5\\n\\n\\n\\nCFBB (REIMS CB)\\n\\n\\nTHIROUARD-SAMSON\\nLorenzo\\n\\n\\n\\n19/02/2001\\n\\n\\n\\n\\n1.97\\n\\n\\n\\n\\n1 – 2\\n\\n\\n\\nCFBB (AVENIR RENNES)\\n\\n\\n\\n\\nEntraineur : Lamine Kebe\\nAssistants : Nicolas Absalon, Nicolas Corbe\\nPréparateur physique : Benjamin Berkani\\n\\nStage à Castelnau-le-Lez du 29 mai au 7 juin 2018\\n\\nTournoi à Castelnau-le-Lez du 8 au 10 juin 2018\\nVendredi 8 juin : France – Belgique\\nSamedi 9 juin : France – République Tchèque\\nDimanche 10 juin : France – Turquie\\n\\nStage à Voiron du 15 au 21 juin 2018\\nMardi 19 juin : France-Croatie\\nMercredi 20 juin : France-Croatie\\n\\nStage à Santa Fe (Argentine) du 23 au 24 juin 2018\\n\\nTournoi à Santa Fe (Argentine) du 25 au 27 juin 2018\\n\\nChampionnat du Monde à Rosario et Santa Fe (Argentine) du 30 juin au 8 juillet 2018\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : l’énorme tir de Kwamain Mitchell qui donne la victoire à Vichy-Clermont"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mardi soir au Palais des Sports Pierre Coulon de Vichy, Kwamain Mitchell (1,78m, 28 ans) a été très précieux pour Vichy-Clermont face à Roanne (victoire 75-68).\\n\\nDans sa deuxième saison en France en Pro B, l’ancien joueur de Ventspils fait partie des leaders de la JAVCM qui lutte encore pour la place en playoffs alors qu’elle n’a qu’une seule victoire de retard sur Evreux, neuvième du classement. Face à la Chorale, l’ancien Nantais a enregistré 20 points, 5 rebonds et 5 rebonds (19 d’évaluation), mais il a également réalisé l’action du match pour sceller le sort de Roannais.\\n\\nCette saison en Pro B, Kwamain Mitchell compile en moyenne 12 points, 2,6 rebonds et 6,5 passes décisives pour une évaluation de 14,3.\\n\\nPhoto : Vichy-Clermont"
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie : Jason Rich (ex Paris-Levallois) MVP de la saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé l’été dernier à Avellino pour vivre sa quatrième expérience en Italie, Jason Rich (1,91m, 32 ans) réalise une saison de haut niveau et vient d’en être récompensé par le titre de MVP de la saison.\\n\\nLa saison dernière en France au Paris-Levallois, le Floridien avait terminé la saison 2016/17 deuxième meilleur marqueur de Pro A, derrière Cameron Clark (Elan Chalon). Leader offensif d’Avellino cette saison, l’ancien joueur de Cantu est élu MVP pour la première fois de sa carrière en plus d’être meilleur marqueur du championnat italien. Avec 19 victoires et 10 défaites (4e au classement) Avellino va disputer les playoffs de Serie A.\\n\\nCette saison en Serie A, Jason Rich compile en moyenne 19,4 points, 2,7 rebonds et 2,8 passes décisives pour une évaluation de 17.\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Spécial salaire Pro B – Roanne, la part belle aux JFL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Note :\\n\\nseuls les abonnés Premium accèdent au tableau complet des salaires de chaque joueur. Abonnez-vous ici à partir de 5,99€/mois.\\n\\nPlus proche de la relégation que de la course aux playoffs la saison dernière (15e du classement), la Chorale de Roanne a remis les pendules à l’heure cette saison. Suite aux départs d’Arthur Rozenfeld et Joe Burton notamment, les deux têtes d’affiche du club la saison dernière, Laurent Pluvy a dû remanier son effectif l’été dernier.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAvec un budget intéressant pour la division (2 318 000€), la Chorale ne s’est pas trompée dans le recrutement de ses Américains avec David Jackson et Jason Williams qui assurent quasiment 15 points par match chacun cette saison. Même si les dirigeants roannais ont remercié deux joueurs (Nikola Jeftic et Nick Kellogg attendus comme des joueurs majeurs avec plus de 45 000€ chacun la saison), Roanne fait très bonne figure cette saison en Pro B avec une troisième place méritée (21v-7d), juste derrière Orléans.\\n\\nSi les Américains ont un gros rôle dans cette équipe –et le salaire qui va avec-, les JFL ont aussi leur mot à dire à l’image notamment de Clément Cavallo ou Alexis Tanghe. Au club depuis la saison dernière, Cavallo répond présent avec pratiquement 13 d’évaluation par match (7,1 points, 6,2 rebonds, 2,5 passes) et un contrat justifié à un peu plus de 50 000€. Alexis Tanghe a également négocié un joli chèque en signant à Roanne l’été dernier. Même si son rendement (9,2 points, 3,6 rebonds, 1,5 passes, 8,7 d’éval), surtout au rebond pour sa taille, est peut-être légèrement en-dessous des attentes par rapport à son contrat, ses 2,07m sont précieux pour l’effectif choralien.\\n\\n[table id=120 /]\\n\\nPhoto : Chorale Roanne\\n\\n[armelse]\\n\\nAvec un budget intéressant pour la division (2 318 000€), la Chorale ne s’est pas trompée dans le recrutement de ses Américains avec David Jackson et Jason Williams qui assurent quasiment 15 points par match chacun cette saison. Même si les dirigeants roannais ont remercié deux joueurs (Nikola Jeftic et Nick Kellogg attendus comme des joueurs majeurs avec plus de 45 000€ chacun la saison), Roanne fait très bonne figure cette saison en Pro B avec une troisième place méritée (21v-7d), juste derrière Orléans.\\n\\nSi les Américains ont un gros rôle dans cette équipe –et le salaire qui va avec-, les JFL ont aussi leur mot à dire à l’image notamment de Clément Cavallo ou Alexis Tanghe. Au club depuis la saison dernière, Cavallo répond présent avec pratiquement 13 d’évaluation par match (7,1 points, 6,2 rebonds, 2,5 passes) et un contrat justifié à un peu plus de 50 000€. Alexis Tanghe a également négocié un joli chèque en signant à Roanne l’été dernier. Même si son rendement (9,2 points, 3,6 rebonds, 1,5 passes, 8,7 d’éval), surtout au rebond pour sa taille, est peut-être légèrement en-dessous des attentes par rapport à son contrat, ses 2,07m sont précieux pour l’effectif choralien.\\n\\nPhoto : Chorale Roanne\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Kyle Hines élu meilleur défenseur de la saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Intérieur de petite taille, Kyle Hines (1,98m, 31 ans) n’en demeure pas moins un défenseur redoutable dans la peinture. Il vient d’être nommé meilleur défenseur de l’année en Euroleague.\\n\\nAprès le trophée de meilleur marquer et celui de meilleur espoir, c’est celui de meilleur défenseur qui a été donné. Pour la deuxième fois en trois ans, l’intérieur du CSKA Moscou a imposé sa physique défense à ses adversaires en Coupe d’Europe. Il succède à Adam Hanga qui lui a piqué le trophée la saison dernière.\\n\\nCette saison face à Kyle Hines, les intérieurs adverses n’inscrivaient que 6,4 points par match en moyenne tandis que l’ancien joueur de l’Olympiakos compilait en moyenne 8,2 points, 4,2 rebonds, 0,8 contre et 1,1 interception pour une évaluation de 11,8.\\n\\nAvec Hines sur le terrain, le CSKA est une toute autre équipe. Sans lui, les Russes accordent 89,8 points par match avec des pourcentages de 56,9% à deux points et 41,2% à trois points. Avec lui, ces chiffres tombent à 78,8 points par match à 51,3% à deux points et 36,9% à trois points.\\n\\nIl est, avec Dimitris Diamantidis et Bryant Dunstin, le seul joueur à avoir remporté plusieurs fois ce trophée.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Highlights: Les 47 points de Obi Emegano (Rouen) contre Orléans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans un match d’attaque à outrance avec une prolongation qui s’est terminée avec un score fleuve en faveur d’Orléans (112-110), l’arrière nigérian de Rouen Obi Emegano (1,90m, 24 ans) a réalisé un méga carton avec 47 points (17/26 aux tirs du champ, 10/11 aux lancers), plus 8 rebonds, 3 passes et 2 contres, ce qui lui a donné une évaluation de 46. Le tout en 42 minutes.\\n\\nVoici ses highlights."
}, 
{"role": "user",     "content":"Alain Koffi a envie de rester à Pau"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Autour du coach Laurent Vila en passe de re-signer, l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez devrait conserver un noyau dur de joueurs. Si Kyan Anderson, Ken Horton et Chris Dowe sont sur le départ, Vitalis Chikoko, qui est sous contrat jusqu’en 2020, et Taqwa Pinero qui l’est jusqu’en 2019 feront toujours partie de l’effectif la prochaine saison.\\n\\nAu rayon des Français, le départ de Elie Okobo, qui va chercher à travers des workouts à s’immiscer au premier tour de la prochaine draft NBA, est acté. Le club est en pourparlers pour conserver Alain Koffi, Yannick Bokolo et Leo Cavalière, lequel sort de son centre de formation.\\n\\n« On est en discussion, il n’y a pas de raisons pour que cela ne se fasse pas. De mon côté, j’ai envie », a déclaré Alain Koffi au quotidien Sud Ouest.\\n\\nAlain Koffi (2,04m, 33 ans) n’a connu que quatre clubs durant sa déjà longue carrière: Le Mans (2002-09 puis 2010-14), Badalone (2009-10), Rouen (2014-17) et donc Pau depuis.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: La mini-movie du Match 4 de la finale de la Ligue Féminine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Toujours proposée par LFBTV et réalisée par Julien Bacot, la mini-movie du Match 4 de la finale de la Ligue Féminine entre Bourges et Tarbes. Superbe."
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Le dunk de fou de DJ Stephens contre l’ASVEL"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Lors de la belle de quart-de-finale de playoffs, Le Mans-Villeurbanne, l’Américain du MSB, DJ Stephens a réalisé une fois de plus un dunk hors de qualificatif sur une passe de Romeo Travis. Wouf!\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/1000805334125105152"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B. Direction les demies pour Lille, Fos-sur-Mer et Roanne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Trois quarts de finale ont livré leur verdict dès le match retour dans ces Playoffs d’accession 2018. La hiérarchie a été respectée et les équipes mieux classées l’ont emporté à l’extérieur en cette fin d’après-midi. Trois larges victoires pour Lille vainqueur de 34 points à Saint-Chamond (56-80), Roanne de +20 à Denain (54-74) et Fos-sur-Mer à Nancy par 13 points d’écart (60-73). Roanne (2e de la saison régulière) et Lille (5e) se retrouveront en demi-finale tandis que Fos Provence Basket devra attendre le dénouement de la série entre Orléans et Rouen dont le match retour se jouera demain soir.\\n\\nC’est la rencontre entre Saint-Chamond et Lille qui a ouvert le bal à 17h. Sur la lancée de leur premier match remporté 81-65 à la maison vendredi soir, les Lillois ont repris leur train d’enfer en menant déjà de 12 points à la pause (28-40). Le duel des arrières entre Staten-Hoyaux (1/16 au tir, -9 et 5 d’éval) côté SCVGB et Acker-Suka Umu (15pts chacun, 16 et 18 d’éval) côté LMBC a tourné en faveur des Nordistes qui ont déroulé après le repos pour s’éviter toute mauvaise surprise en fin de match. Vainqueurs 56-80, ils affronteront donc les Roannais eux aussi vainqueurs en deux manches après leur démonstration à Denain.\\n\\nSymbole du collectif développé par la Chorale depuis le début de saison, c’est Mathis Keita qui a été élu MVP de ce second succès en deux jours grâce à un match plein (7pts, 9rbds, 5pds, 2ints, 19 d’éval en 25 minutes). Comme Lille, Roanne est monté en puissance au fil de la rencontre. A +7 au début du 4e quart, les hommes de Laurent Pluvy ont enchaîné un 15-2 orchestré par David Jackson et Alexis Tanghe, auteur de deux paniers à 3 points consécutifs qui ont définitivement scellé le sort de la partie (54-74).\\n\\nA Nancy, le Sluc espérait une réaction devant son public après avoir été malmené à Fos-sur-Mer vendredi soir (77-62). Mais les Fosséens ont eux aussi maîtrisé les débats, menant au score la quasi-totalité de la rencontre et vainqueurs 60-73. Nancy n’a rien pu faire face à la prestation d’Edouard Choquet (16pts à 4/6 à 3pts, 3rbds, 4pds) et la maestria de son ancien chouchou Tariq Kirskay (10pts, 7rbds, 8pds, 2 ints, 21 d’éval), MVP du match. Et Fos Provence Basket a fini par faire la différence avec 3 paniers à 3 points signés Abdou Mbaye en toute fin de 3e quart-temps, puis Tariq Kirksay et Mamadou Dia.\\n\\nLes trois premiers demi-finalistes sont désormais connus, il ne reste plus qu’à savoir qui d’Orléans où de Rouen rejoindra tout ce beau monde dans le dernier carré. Après un match aller épique remporté en prolongation (112-110), l’OLB est attendu demain soir au Kindarena (20h) pour l’acte II.\\n\\nCrédit Photo Christophe Delrue"
}, 
{"role": "user",     "content":"Trophée du Futur: Cholet sacré, Killian Hayes MVP"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Gravelines-Dunkerque a tenu une mi-temps (30-26) avant de s’écrouler face au grand favori Cholet Basket, vainqueur 85-64 en finale du Trophée du Futur à Antibes. Autour du tandem Hayes-Govindy, c’est encore une fois toute la qualité de l’effectif choletais qui s’est exprimé sur ce dernier match. Les Espoirs de CB ont dominé le week-end en remportant leurs trois matchs (face à l’Asvel, Antibes et Gravelines-Dunkerque) par 36 points d’écart en moyenne et Killian Hayes a logiquement remporté le titre de MVP de la compétition.\\n\\nA 16 ans à peine, le fils de DeRon Hayes, déjà MVP Espoir de la saison régulière, continue de garnir son armoire à trophées à un rythme incroyable. Auteur de 14 points, 5 rebonds, 3 passes décisives et 3 interceptions (mais aussi 6 balles perdues) en 24 minutes en finale aux côtés d’un Melvyn Govindy à 17 points, 7 rebonds, 3 passes décisives pour 22 d’évaluation, le n°7 de Cholet Basket termine la compétition avec 15,6 points, 5,6 rebonds 6 passes décisives et 3 interceptions pour 20,6 d’évaluation en moyenne.\\n\\nA voir ou à revoir pour le plaisir, les meilleures actions de Killian Hayes sur le début de saison 2017-2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeremy Leloup (Strasbourg): «Tu es en playoffs, pas en train de faire de la danse»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"24 minutes. Jeremy Leloup n’avait pas joué autant depuis une victoire à Hyères-Toulon le 26 janvier. L’ailier de la SIG a assuré 7 points (3/4 aux tirs) et 3 rebonds lors du match 2 de quarts-de-finale de playoffs face à Nanterre. Il avait aussi été plutôt à son affaire lors de la première rencontre au Rhénus.\\n\\n« C’est déjà mieux que tout le reste de la saison », a t-il convenu aux DNA, celle ayant été « longue et compliquée ». « D’abord, je ne me suis pas retrouvé dans la mise en place du jeu, comme cela avait été le cas les saisons précédentes, puis je me suis blessé et j’ai mis du temps à revenir. »\\n\\nIl faut savoir que des anti-inflammatoires lui sont nécessaires pour jouer à cause d’une douleur tenace à la cheville. C’est un shooteur longue distance mais il y a de multiples autres options dans le jeu alsacien et il n’est pas la priorité de Vincent Collet.\\n\\n« Je n’ai pas forcément énormément de shoots ouverts pendant un match pour m’exprimer, j’essaie donc de trouver d’autres solutions pour être productif : bouger la balle en attaque, essayer d’en piquer, défendre dur... et mettre deux-trois coups (sourire). C’est le jeu. Tu es en playoffs, pas en train de faire de la danse. »\\n\\nStrasbourg attend de connaître son adversaire en demi-finale. Il lui sera révélé en début de soirée. ASVEL ou MSB, Jeremy Leloup s’en fiche sportivement mais lui le Manceau de naissance, formé à Coulaines et au MSB, il a tout de même une préférence:\\n\\n« Le Mans, c’est chez moi, ça m’arrange, ça me permet de voir ma famille en même temps. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Elodie Godin: «Ce 14e titre tenait à coeur au président pour entrer dans l’histoire en battant le CUC»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En conférence de presse, Elodie Godin et le coach Olivier Lafargue ont montré toute leur joie d’avoir remporté un 14e titre national pour le Tango Bourges Basket après avoir vaincu en finale Tarbes, 3 manches à 1.\\n\\n« L’objectif c’était ce 14e titre, bien sûr la Coupe de France aussi. Ce 14e titre tenait à coeur au président (NDLR: Pierre Fosset) pour entrer dans l’histoire en battant le CUC, » a rappelé Elodie Godin. « On l’a fait ce soir contre une équipe de Tarbes qui nous a fait un peu souffrir mais il y a beaucoup de joie ce soir (...) A +20, on pense que c’est fini, que c’est gagné sauf que plusieurs fois elles sont revenues comme ça. Contre Charleville, petit à petit elles reviennent et puis elles gagnent. On savait que ça serait difficile et je tiens à féliciter cette équipe qui a produit un très beau basket ici. »\\n\\nLe coach Olivier Lafargue a souligné pour sa part que son équipe a tout raflé sur le plan national:\\n\\n« On est très fiers. Quand on vous colle une étiquette de favori toute l’année, que derrière vous ne pouvez faire qu’une chose, c’est gagner, ce n’est pas simple. On a pris le partie de l’accepter, de l’assumer. Toute l’année on est tombé sur des équipes qui ont tenté de se surpasser, qui avaient peu de risques, entre guillemets, de jouer contre nous. Quand on voit cette équipe de Tarbes qui a eu encore un coeur énorme aujourd’hui pour revenir car elle ne voulait pas mourir devant son public. Elles sont revenues dans le match encore. Pour battre cette équipe de Tarbes héroïque, il fallait que l’on soit très fort. Je pense que offensivement on a fait du très bon travail sur ce match-là et je pense que Tarbes a fait un très bon boulot aussi (...) On a été bon toute l’année. On termine premier de la saison régulière en perdant trois matches, le premier et le dernier et un au milieu. On gagne la Coupe de France, le titre, le Trophée des Champions en début d’année. Il fallait que tout le monde accepte les rôles et c’est là où je suis très fier des filles. »\\n\\nPhotos: FIBA\\n\\nhttps://www.facebook.com/TgbBasketOfficiel/videos/1465691360203706/"
}, 
{"role": "user",     "content":"Boulazac: Jean-Sébastien Chardon (ex-Saint-Vallier) devient assistant de Thomas Andrieux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Après la mutation de Claude Bergeaud au poste de directeur sportif et celui de Thomas Andrieux à celui de coach principal, le Boulazac Basket Dordogne a mis une dernière main à la refonte de son staff technique en embauchant Jean-Sébastien Chardon, 39 ans, au poste de coach assistant de l’équipe professionnelle.\\n\\nCelui-ci vient de passer 12 saisons à Saint-Vallier. Tout d’abord comme assistant puis responsable du Centre de Formation et du coaching de l’équipe réserve, il succéda en mars 2013 à Laurent Pluvy à la tête de l’équipe première en Pro B. Il restera à la tête de l’équipe durant 4 saisons en NM1 emmenant l’équipe trois fois en playoffs, dont à deux Final Four. Cette saison, en plus des playoffs, Jean-Sébastien Chardon a mené le SVBD jusqu’en quarts de finale de Coupe de France en éliminant trois équipes de Pro B.\\n\\nPhoto: SVBD"
}, 
{"role": "user",     "content":"Kyle Milling (Limoges): «Les joueurs sont de plus en plus en confiance»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cela a pris parfois des chemins tortueux, cela fut souvent agité, mais au bout du compte le Limoges CSP est en demi-finale de la Jeep Elite après avoir terminé quatrième de la saison régulière et fait le top 16 de l’Eurocup. Ce sera donc une saison à marquer d’une pierre blanche après deux précédentes sans playoffs (deux fois 10e).\\n\\nHier soir, les Limougeauds ont en outre chassé de vieux démons, eux qui ne s’étaient imposés qu’une seule fois à l’extérieur (à Antibes) en 2018. Ils ont parfaitement maîtrisé leurs émotions et leurs adversaires dijonnais pour s’imposer largement, 81-64. Les voici donc en demi-finale pour défier le numéro 1 du championnat, l’AS Monaco.\\n\\n« Je suis très fier du groupe », a souligné le coach Kyle Milling en conférence de presse, des propos rapportés par Le Bien Public. « On a beaucoup de mal à l’extérieur depuis le début d’année, mais on savait qu’on pouvait gagner. Aujourd’hui, on est en demi-finale, c’est le plus important. Tout le monde était impliqué, on l’a vu sur le banc, avec le même objectif. J’espère qu’on va continuer de monter en puissance, les joueurs sont de plus en plus en confiance. On va déjà aller à Monaco pour ressayer de prendre un match, minimum. Ce soir, Dru (Joyce) avait le maillot de Limoges et non de la JDA. On a fait un très bon match ce soir, on était partout défensivement, cela a gêné Dijon, cela a coupé le rythme. »\\n\\nKyle Milling fait allusion aux 6 balles perdues et aux 5 petits points de son meneur Dru Joyce lors du Match 1 à Beaublanc à comparer avec ses 13 points, 5 passes et seulement 2 balles perdues hier soir.\\n\\nLe regain d’activité du CSP s’explique notamment par le renfort depuis la 21e journée du pivot massif aux mains en or, le Jamaïcain Samardo Samuels (2,06m, 29 ans) qui s’est fendu face à la JDA d’un double double, 15 points (à 7/9) et 10 rebonds. Très bonne pioche.\\n\\nPhoto: Kyle Milling (CSP)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Aby Gaye (Tarbes): «Je ne pense pas qu’il y avait beaucoup de personnes qui nous voyaient arriver jusque-là»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec 10,7 points, 17/29 aux tirs et 5,7 rebonds en 4 matches, le pivot de Tarbes, Aby Gaye, 1,95m, 23 ans, a réussi une bonne finale de la LFB. Sa puissance et son jeu dos au panier ont été remarqués. Le coach berruyer Olivier Lafargue a demandé à ses joueuses de se mettre à deux en défense pour réduire l’impact de la Tarbaise. Plusieurs fois pré-sélectionnée en équipe de France mais toujours coupée avant les compétitions, Aby Gaye devrait bientôt s’imposer au poste 5 national.\\n\\n« Ca n’a pas suffi pour aller au cinquième match », a t-elle commenté à La Dépêche après le Match 4 perdu au Quai de l’Adour, 80-87. « Cela se joue sur des détails, des rebonds, des paniers faciles ratés. C’est comme cela, il faut un gagnant et un perdant en finale. Après, je retiens de cette équipe que l’on s’est vraiment battu jusqu’au bout. Je ne pense pas qu’il y avait beaucoup de personnes qui nous voyaient arriver jusque-là. Je crois qu’on a fait une très belle saison même si on peut avoir des regrets aujourd’hui, on aurait pu aller chercher ce cinquième match mais ça n’efface pas cette saison que l’on a faite. »\\n\\nPhoto: LFB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet-Gravelines en finale du Trophée du Futur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est par la plus petite marge que le BCM Gravelines-Dunkerque s’est qualifié pour la finale du Trophée du Futur face à l’Elan Chalon, 72-71, et aura ainsi cet après-midi le droit d’affronter l’ogre choletais en finale à Antibes.\\n\\nMelven Le Douarin a transformé ses deux lancers avec 5,1 secondes encore à jouer et la remise en jeu raté de Chalon dilapida ses espoirs de revenir au score. Lucas Bourhis mis un de ses deux lancers avant que le Chalonnais Babacar Niasse marque un dernier panier du milieu du terrain pour donner le score final.\\n\\nC’est le meneur Lucas Bourhis, déjà vu à son avantage avec les pros qui a été le top-scoreur du match avec 20 points et 4 passes bien secondé par Rayan Hamdi, 14 points et 7 rebonds.\\n\\nDéjà battus 117-80 et 110-61 en saison régulière, les Sharks d’Antibes sont tombés une troisième fois lourdement face à Cholet Basket (97-50) malgré les efforts de Thomas Durand (19 points en première mi-temps). Une fois de plus Killian Haye est ressorti meilleur marqueur avec 16 points en... 17 minutes. Warren Whogiren a fait lui une razzia au rebond: 17 prises.\\n\\nPhoto: Lucas Bourhis (BCM)\\n\\n."
}, 
{"role": "user",     "content":"A Dijon, Limoges gagne le droit de défier Monaco en demi-finale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La JDA Dijon avait gagné 14 de ses 17 matches de saison régulière à domicile et Limoges obtenu un seul succès hors de ses bases en 2018. Le CSP a fait foin de ses statistiques et s’est imposé en Bourgogne, 84-61, obtenant son ticket pour une demi-finale face à Monaco.\\n\\nComme à l’aller, le Game 2 de ce quart a donné lieu à un beau duel franco-français entre William Howard (15 points à 4/8 à trois-points) et Valentin Bigote (19 points, 4/5 à trois-points).\\n\\nAlors que le CSP menait 19-17 après 10′, trois trois-points d’affilée de Kenny Hayes et une large domination au rebond offensif (10 à 3) lui ont permis de prendre le large, 30-19. La JDA démontrait qu’elle était orpheline de Jacques Alingue (rupture du tendon d’Achille). Le pivot limougeaud Samardo Samuel (6 points, 5 rebonds) avait fait un beau gchantier.\\n\\nUn coup de gueule de Laurent Legname et la JDA repartait sur de meilleures bases au niveau de l’intensité mais les coups de patte du meneur Dru Joyce (13 points) permettait aux Limougeauds d’avoir un petit pécule à la mi-temps (41-32). L’écart à l’évaluation était encore plus épais, 54-34. C’est sur le plan de l’adresse que la JDA pêchait principalement: 10/30. Une preuve que les Limougeauds défendaient comme il le faut.\\n\\nLes Limougeauds restaient trois minutes sans marquer, mais les Dijonnais demeuraient longtemps scotchés à trois points dans ce troisième quart-temps. Bref, priorité à la défense. On ne dira pas non plus que c’était un match de niveau cinq étoiles. Puis, le CSP faisait le taf en attaque – seul Valentin Bigote trouvait régulièrement la cible côté Dijon-, et virait largement en tête à la 30e minute, 57-45, étant donné la physionomie du match.\\n\\nMais à l’énergie, la Jeanne tentait de refaire le même type de dernier quart-temps qu’à Beaublanc. Avec un 9-0, la voilà à 54-59... avant qu’un panier dans la raquette de Kenny Hayes, un trois-points plein de sang-froid de William Howard et un And One de Samardo Samuels remettent Limoges bien devant (67-54). Et Ryan Pearson écopait de sa cinquième faute. La JDA craquait sur la fin.\\n\\nLa JDA Dijon aura tout de même réussi une bien belle saison pour un club aux moyens financiers limités. Et après avoir été touché au coeur après le décès de son président Frédéric Forte et deux années sans playoffs, quoi qu’il en soit, le Limoges CSP aussi.\\n\\nIl n’y aura qu’une seule belle pour ces quarts-de-finale, Le Mans-Villeurbanne, demain à Antarès.\\n\\nPhoto: Kenny Hayes (CSP)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Valentin Bigote passe de Dijon au Mans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"SFR Sport a annoncé ce soir lors du match Dijon-Limoges, que l’arrière-ailier shooteur de la JDA Dijon, Valentin Bigote (1,96m, 26 ans) allait rejoindre Le Mans la saison prochaine.\\n\\nFormé à Gravelines et après s’être fait les dents en Pro B notamment à Nantes, Valentin Bigote a réalisé une saison pleine de promesses en Bourgogne. Son sens du panier lui a permis d’aligner 10,0 points (30,6% de réussite à trois-points) et 9,9 d’évaluation.\\n\\nPhoto: JDA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Playoffs Jeep Elite: Dominateur à Pau, 98-73, Monaco se qualifie pour le carré d’as"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Eliminée contre toute attente la saison dernière en quart-de-finale par Villeurbanne en playoffs, l’AS Monaco a cette fois franchi l’obstacle. Malmenés en Principauté par l’Elan Béarnais (99-97) et un Elie Okobo en feu (44 points), les Monégasques ont parfaitement négocié ce deuxième acte en mettant de nouveau en valeur leur collectif des deux côtés du terrain. Ils sont ainsi la deuxième équipe à se qualifier pour le carré d’as après Strasbourg hier soir.\\n\\nLa Roca Team ne s’est pas faite surprendre par l’ambiance du palais des sports palois et sa défense en béton lui a tout de suite permis de mener 8-0. Elle ensuite constamment eu les commandes et le tableau de marque indiquait 49-38 à la mi-temps puis 75-58 après trois quart-temps.\\n\\nBien tenu par la défense monégasque, Elie Okobo n’avait inscris que deux points en 24 minutes. Dans la deuxième moitié du troisième quart-temps, le prodige palois a eu un coup de chaud, établissant une série de 11 points en deux minutes qui a pu faire croire au palais que tout était encore possible. Il n’y a pas eu ensuite les « stops » nécessaires et Okobo est rentré dans le rang (14 points, 3 passes et aussi 5 balles perdues) pour probablement son dernier match avec son club formateur.\\n\\nSon ancien mentor à Pau DJ Cooper a réalisé un match complet (14 points et 9 passes). Le MVP du match a été l’éclectique Paul Lacombe avec 18 points, 8/10 aux shoots, 5 rebonds offensifs pour 21 d’évaluation. Outre la performance offensive de Eldemir Kicanovic (17 points), à noter l’abattage du col bleu Georgi Joseph\\n\\nAutre point positif pour les hommes de Coach Zvezdan Mitrovic, leur arrière Gerald Robinson devrait être de retour de blessure pour la demi-finale contre Limoges ou Dijon.\\n\\nhttps://twitter.com/SFR_Sport/status/1000434428462751746\\n\\nPhoto: Elmedin Kikanovic (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"François Gomez (Tarbes): «Moi qui suis champion de France en 2010, le téléphone ne sonne pas»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"François Gomez, 58 ans a été élu Entraîneur de l’Année. Il est le coach de Tarbes, finaliste des playoffs et aussi de la sélection nationale de Suède. Un coach à multiple succès. Pourtant sa carrière lui a réservé quelques déboires sportifs et humains.\\n\\nIl s’agit de la deuxième partie de l’interview. Voir ici la première.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nEn 2009, vous aviez déjà été élu entraîneur de l’année de Ligue Féminine. Vous l’êtes de nouveau neuf ans plus tard. Il s’est passé beaucoup de choses entre-temps. Déjà pourquoi n’étiez-vous pas resté à Tarbes alors que le club avez été champion de France en 2010 ?\\n\\nDes gens me disent que je prends ma revanche, etc, vis-à-vis de ce qui s’est passé à l’époque. Tout à fait honnêtement, je fais abstraction de ce qui s’est passé. Je ne suis pas revenu à Tarbes pour prendre une revanche sur qui que ce soit. J’ai fait à l’époque trois saisons magnifiques : un challenge round, deux finales de championnat dont une gagnée, deux finales de coupe perdues. J’étais au top avec Tarbes, je me suis fait plaisir. Je me suis attaché fortement à l’histoire de ces trois années, au club, à cette salle, au public, aux gens d’ici. A titre personnel, m’a vie a changé, je vis avec une Tarbaise qui m’a donné deux enfants qui sont nés à Tarbes. Ça compte aussi. Entre mon départ et mon retour, je suis toujours resté un peu tarbais. Qu’est-ce qui s’est passé à l’époque ? Ce sont des petites choses qui se sont ajoutées les unes aux autres. J’ai eu à faire à un président (NDLR : Michel Uriarte) avec lequel j’étais vraiment aux antipodes sur les idées, le fonctionnement, la relation humaine. J’avais à faire à quelqu’un qui a fini ne plus pouvoir me supporter et moi non plus. Sachant que lui, son obsession était de gagner sans y mettre les moyens et quand tu perdais, tu étais convoqué ou il ne te parlait plus. J’ai eu des relations humaines avec un homme que moi je trouvais très irrespectueux de l’institution, c’est-à-dire son club, de son entraîneur et aussi de ses joueuses. On sait aujourd’hui où c’est allé puisqu’il a été le responsable du retour en Ligue 2 de cette équipe puisqu’il était président quand on a découvert qu’il y avait des cadavres dans les placards. L’histoire me donne raison. A l’époque, il était omnipotent et il avait pris la décision, sans d’ailleurs jamais me l’annoncer, qu’il ne me garderait pas. On avait perdu Fenerbahçe à la maison et il ne l’avait pas supporté et on n’avait pas parlé pendant quinze jours. On avait perdu le dernier match de la saison régulière contre Mondeville en étant sûr d’être premier et il avait fait un sketch et j’avais été obligé de le mettre hors du vestiaire. C’est un homme aujourd’hui qui ne m’intéresse pas et qui a été la cause de ma non reconduction. Et à l’époque je n’ai pas été soutenu par beaucoup de monde, il faut aussi le dire. En fait, c’était lui ou moi et comme il était hors de question qu’il parte, il était hors de question que l’on reparte sur un truc comme ça. Là j’en parle mais je crois que je n’ai fait aucun commentaire sur ce qui s’est passé parce que à l’époque c’était sa parole contre la mienne et je peux dire que ma parole ne valait pas grand-chose après toutes les saloperies qu’il a déversé sur moi, à droite, à gauche. Heureusement, à mon retour les gens découvrent la personne et l’entraîneur que je suis et qu’évidemment le regard qui a été porté sur moi à cette époque a complètement changé. J’ai gagné le respect des Bigourdans.\\n\\n« C’est une grosse déception car je m’étais beaucoup investi et aussi une grosse déception humaine car les gens qui étaient mes amis m’ont trahi »\\n\\nEntre ces deux trophées d’Entraîneur de l’Année, il y a eu des galères puisqu’il y a eu cette fin en queue de poisson à Tarbes puis une liquidation à Perpignan ?\\n\\nJe suis parti cinq ans de Tarbes et j’ai eu deux titres et une demi-finale. C’est un métier... Je n’encourage pas les jeunes à se lancer là-dedans, c’est compliqué. Moi qui suis champion de France en 2010, le téléphone ne sonne pas. J’ai pourtant un bon agent, j’ai Jeremy Medjana (NDLR : associé à Bouna Ndiaye à Comsport). Pendant un an, je gamberge et pour combler le vide, je me mets au golf. Normalement ce sont les retraités qui se mettent au golf! Puis j’ai une proposition d’un club qui s’appelle Perpignan dont je sais alors que ce n’est pas toujours très net. C’était Francis Jordane qui était là avant moi, pas n’importe qui (NDLR : entraîneur de l’équipe de France masculine de 1989 à 1993). Je me suis retrouvé en Ligue 2 et ce projet m’a permis de rebondir. On est champion, on accède à la Ligue 1, on est quatrième de la saison régulière, on en demi-finale et on perd contre Montpellier. Très naïvement, je ne me rendais pas compte du tsunami qui allait tomber sur le club (NDLR: après divers rebondissements, le club a été liquidé en novembre 2014). Je fais une troisième année à Perpignan, relégué en Ligue 2, on est de nouveau champion de France. Sportivement à Perpignan, j’ai fait deux finales de Ligue 2 que j’ai gagné et une demi-finale du championnat de France. C’était bien même si on en parlait pas car c’était de la deuxième division et on n’est pas remonté. J’avais des joueuses comme (Diandra) Tchatchouang, (Helena) Ciak et des jeunes comme (Angie) Bjorklund qui avait 23 ans et (Aby) Bishop qui en avait 22. On a fait émerger des talents français et étrangers et c’est un très bon souvenir pour moi. La galère, c’est après, la fin de l’histoire à Perpignan. Je ne préfère pas en parler, je crois que j’ai tout dit à l’époque sur ce club en train de mourir dans une ville qui avait probablement les moyens de s’offrir une équipe de basket féminin. Je vois que l’USAP (NDLR : l’équipe de rugby) remonte dans le Top 14. C’est une grosse déception car je m’étais beaucoup investi et aussi une grosse déception humaine car les gens qui étaient mes amis m’ont trahi. Ça m’a fait beaucoup de mal au-delà de mon boulot.\\n\\nVous vous êtes retrouvé dans le même type de situation qu’après votre départ de Tarbes. On aurait pu croire que vous aurez des propositions y compris de clubs masculins. Or, vous vous retrouvez à La Tronche-Meylan en N1 Féminine ?\\n\\nLe président (NDLR : Servais Tomavo) ne va pas me contredire, j’étais à deux doigts de signer en Pro B à Lille. Je suis originaire du Nord et ça me plaisait de remonter là-haut et le projet lillois semblait intéressant, ça se confirme aujourd’hui. A la dernière minute, ils ont fait un autre choix. J’en ai eu d’autres en Pro B qui ne m’ont pas plu car je trouvais que ce n’était pas une division pour moi. J’aurais préféré avoir des propositions de N1 qui est un peu plus française. Pour la voir jouer ici à Tarbes, je trouve que c’est une division hyper intéressante. Si un projet intéressant c’était proposé, je crois que j’aurais basculé chez les garçons. Ce n’est pas un problème pour moi, même si je ne connais pas l’environnement du basket masculin. La Pro A, évidemment pas possible. A part Pierre Vincent, je ne crois pas qu’il y ait d’autres expériences. Laurent Buffard venait des garçons et il est reparti ensuite chez les garçons. Des gens comme (Fabrice) Courcier ont également fait des aller-retours. Aujourd’hui si on me le proposait, je crois que je suis un coach de basket féminin et qu’est-ce que j’irai m’emmerder avec des équipes de mecs composées pour plus de la moitié de joueurs étrangers ? En Pro B du moins, pas en Pro A... Je discute souvent avec (Laurent) Vila de Pau qui m’explique que c’est intéressant car les étrangers sont de véritables professionnels. Mon agent m’avait proposé deux clubs à l’étranger qui n’étaient pas des grosses cylindrées. Les grosses propositions ne sont pas venues. Pourquoi ? Je n’en sais rien. Mais je suis très content de ce qui m’arrive aujourd’hui.\\n\\n« J’ai fait un entretien d’embauche à Stockholm qui a duré trois heures. C’était énorme »\\n\\nVous êtes parallèlement coach de l’équipe féminine de Suède. C’est par le biais des sœurs Eldebrink que vous avez eu un contact ?\\n\\nEn partie. J’avais longtemps travaillé à la fédé avec les équipes de France jeune. J’avais proposé au DTN de l’époque, Jean-Pierre De Vincenzi, d’intégrer le staff. Alain Jardel, avec qui j’ai d’excellentes relations, était intéressé pour m’avoir. Ça ne s’était pas fait et c’est l’une des raisons pour lesquelles j’avais quitté la Direction Technique où entre le poste de Conseiller Technique et d’entraîneur national, j’avais passé une dizaine d’années. J’avais envie d’aller vers le haut niveau, entraîner des cadettes toute ma vie, ce n’était pas mon projet. Je l’ai fait, j’ai eu la chance d’entraîner les (Endy) Miyem, les (Sandrine) Gruda, plein de gens qui ont joué en équipe de France mais cette page-là était tournée, j’avais envie de voir autre chose. Je me suis un peu grillé car je suis parti fâché avec le DTN de l’époque. La filière équipe de France était close et puis il y avait Pierre Vincent puis Valérie Garnier. Valérie est en train de prouver en Turquie après la France que c’est une grande coach. Il y a eu des choix qui ont été faits qui à mes yeux ont été très pertinents. Alors cette possibilité d’entraîner une équipe nationale, d’aller à un championnat d’Europe et pourquoi pas à des Jeux Olympiques, elle m’a été proposé par la Suède effectivement tout d’abord par le biais de Frida Edelbrink que j’ai eu deux ans ici et qui m’a fait savoir qu’ils changeaient de coach. Elle m’a demandé si ça pouvait m’intéresser, oui ça pouvait m’intéresser. Avec Frida ça s’est arrêté là. Pour dire que ça s’est fait avec les gens de la fédération. J’ai fait un entretien d’embauche à Stockholm qui a duré trois heures. C’était énorme. Ils ont fait le choix de me faire venir par rapport à mon palmarès, à l’image du basket français. On parle souvent des coaches serbes qui ont coaché les plus grandes équipes européennes, les coaches qu’il faut avoir dans son club. Il y a d’autres pays qui nous voient comme étant des références.\\n\\nC’est un point effectivement important. Les coaches de Jeep Elite ne parviennent pas à s’exporter. Les réussites de Pierre Vincent champion en Italie et de Valérie Garnier championne en Turquie, comme celle de Laurent Buffard un temps à Eketarinbourg et votre position de coach de l’équipe de Suède laissent à penser qu’il y a de bons coaches dans le basket féminin français et que ceux-ci sont à l’inverse des garçons considérés en Europe ?\\n\\nBien sûr. Quand on regarde, il y a des résultats des équipes de France depuis longtemps puisque avant que Alain Jardel gagne le titre au Mans (NDLR en 2001), Paul Besson avait fait une médaille au championnat d’Europe (NDLR : en argent en 1993). Après on a enchaîné vers un tas de victoires et de podiums, aux JO et aux Championnats d’Europe. C’est vrai que les coaches français n’ont pas l’occasion d’exister en France avec des clubs, on est sur une problématique économique. Le Final Four est réservé aux Turques et aux Russes, de temps en temps aux Tchèques et cette année aux Hongroises. Ils ont la possibilité d’avoir des effectifs énormes. A Koursk et à Ekaterinbourg, ce sont des coaches espagnols qui ont commencé à s’exporter. Je pense que les coaches français n’ont pas à avoir de complexes. Je ne parle pas du basket masculin mais j’imagine que l’on a aussi de très bons coaches. Mais dans le basket féminin, je pense que l’on peut initier une nouvelle ère où les coaches français qui réussissent peuvent intéresser les gros championnats étrangers. On est effectivement trois dont deux en club et un en sélection, qui gagnent. C’est bien pour nous et on est en quelque sorte des ambassadeurs pour dire « venez chez nous, il y a de bons coaches, on fait du bon travail. Il suffit de regarder les résultats de notre équipe nationale, de nos équipes nationales jeunes.» Si on pouvait avoir la même dynamique qu’a eu le basket yougoslave. Je trouve qu’il y a de nouvelles générations qui sont intéressantes, des entraîneurs qui bénéficient de ces vingt ans de culture. J’ai eu une discussion avec Alain Jardel qui quelque part m’envie de vivre cette expérience mais si je peux la vivre c’est qu’il y a eu en amont des gens qui font que le basket français est reconnu au niveau mondial.\\n\\nIl y a eu Marc Silvert qui été entraîneur de la Roumanie...\\n\\nEt Laurent Buffard en Belgique. Je me souviens de l’avoir vu en préparation se taper les Françaises et il avait esquissé un petit sourire bien sympathique.\\n\\nVous en êtes à trois victoires en quatre matches ; c’est bien parti pour participer au prochain Euro ?\\n\\nOn est premier ex-aequo avec l’Italie, qui a perdu en Croatie alors que nous on l’a battu deux fois. Mais elles sont venues nous battre chez nous, on a fait un non-match, on a pris une volée (47-69). Aujourd’hui, il nous reste deux matches à faire : l’un en Macédoine que l’on a battu mais dans la difficulté, il a fallu attendre le dernier quart-temps et ils ont naturalisé une Américaine, et puis alors il y aura cette finale en Italie en novembre. Cela va j’espère déterminer le premier de la poule. Le premier se qualifie ainsi que les six meilleurs seconds sur les huit poules. Je ne suis pas encore rentré dans ces calculs. Le but c’est d’amener cette équipe-là qui est formée de deux générations, celle des sœurs Eldebrink et une avec quelques jeunes qui avaient fait des résultats au niveau européen avec Amanda Zahui (1,96m) qui joue en WNBA. C’est un pays qui essaye de développer son basket et ce n’est pas simple : 12 millions d’habitants derrière le hockey, le foot féminin et le handball féminin. Mais on a aujourd’hui l’opportunité de mettre les deux sélections en lumière. On espère aller au championnat d’Europe qui se jouera en Lettonie et en Serbie à l’été 2019. Et puis peut-être aller chercher l’une des places octroyées aux équipes européennes pour les Jeux Olympiques de 2020 au Japon, ce qui serait une première pour la Suède. Il y a de l’ambition dans ce pays avec quelques moyens pour le faire. Par exemple au mois d’août, on fait un stage, on va jouer des matches en Ukraine. Evidemment ce ne sont pas les moyens que l’on trouve dans les gros pays de basket mais assez pour essayer d’accéder à ce niveau.\\n\\nSon parcours :\\n\\n1983-1995 : Éducateur sportif au service des sports de Maubeuge\\n\\n1995-1998 : CTR Auvergne\\n\\n1998 : Assistant de l’équipe de France Juniors Féminins au Championnat d’Europe.\\n\\n1998-2000 : CTR Pays-de-Loire\\n\\n1998-1999 : Angers (NF2)\\n\\n1999-2000 : Rezé (NF2)\\n\\n2000-fin 2007 : Centre Fédéral (Juniors Féminines)\\n\\n2002-2007 : Entraineur de l’équipe de France Juniors Féminines\\n\\nJanvier 2008-Mai 2010 : Tarbes (LFB\\n\\n2011-2014 : Perpignan (Ligue 2 et LFB)\\n\\n2014-2015 : La Tronche-Meylan (NF1)\\n\\n2015- : Tarbes (Ligue 2 et LFB)\\n\\n2017- : Equipe de Suède féminine\\n\\n[armelse]\\n\\nEn 2009, vous aviez déjà été élu entraîneur de l’année de Ligue Féminine. Vous l’êtes de nouveau neuf ans plus tard. Il s’est passé beaucoup de choses entre-temps. Déjà pourquoi n’étiez-vous pas resté à Tarbes alors que le club avez été champion de France en 2010 ?\\n\\nDes gens me disent que je prends ma revanche, etc, vis-à-vis de ce qui s’est passé à l’époque. Tout à fait honnêtement, je fais abstraction de ce qui s’est passé. Je ne suis pas revenu à Tarbes pour prendre une revanche sur qui que ce soit. J’ai fait à l’époque trois saisons magnifiques : un challenge round, deux finales de championnat dont une gagnée, deux finales de coupe perdues. J’étais au top avec Tarbes, je me suis fait plaisir. Je me suis attaché fortement à l’histoire de ces trois années, au club, à cette salle, au public, aux gens d’ici. A titre personnel, m’a vie a changé, je vis avec une Tarbaise qui m’a donné deux enfants qui sont nés à Tarbes. Ça compte aussi. Entre mon départ et mon retour, je suis toujours resté un peu tarbais. Qu’est-ce qui s’est passé à l’époque ? Ce sont des petites choses qui se sont ajoutées les unes aux autres. J’ai eu à faire à un président (NDLR : Michel Uriarte) avec lequel j’étais vraiment aux antipodes sur les idées, le fonctionnement, la relation humaine. J’avais à faire à quelqu’un qui a fini ne plus pouvoir me supporter et moi non plus. Sachant que lui, son obsession était de gagner sans y mettre les moyens et quand tu perdais, tu étais convoqué ou il ne te parlait plus. J’ai eu des relations humaines avec un homme que moi je trouvais très irrespectueux de l’institution, c’est-à-dire son club, de son entraîneur et aussi de ses joueuses. On sait aujourd’hui où c’est allé puisqu’il a été le responsable du retour en Ligue 2 de cette équipe puisqu’il était président quand on a découvert qu’il y avait des cadavres dans les placards. L’histoire me donne raison. A l’époque, il était omnipotent et il avait pris la décision, sans d’ailleurs jamais me l’annoncer, qu’il ne me garderait pas. On avait perdu Fenerbahçe à la maison et il ne l’avait pas supporté et on n’avait pas parlé pendant quinze jours. On avait perdu le dernier match de la saison régulière contre Mondeville en étant sûr d’être premier et il avait fait un sketch et j’avais été obligé de le mettre hors du vestiaire. C’est un homme aujourd’hui qui ne m’intéresse pas et qui a été la cause de ma non reconduction. Et à l’époque je n’ai pas été soutenu par beaucoup de monde, il faut aussi le dire. En fait, c’était lui ou moi et comme il était hors de question qu’il parte, il était hors de question que l’on reparte sur un truc comme ça. Là j’en parle mais je crois que je n’ai fait aucun commentaire sur ce qui s’est passé à l’époque parce que à l’époque c’était sa parole contre la mienne et je peux dire que ma parole ne valait pas grand-chose après toutes les saloperies qu’il a déversé sur moi, à droite, à gauche. Heureusement, à mon retour les gens découvrent la personne et l’entraîneur que je suis et qu’évidemment le regard qui a été porté sur moi à cette époque a complètement changé. J’ai gagné le respect des Bigourdans.\\n\\n« C’est une grosse déception car je m’étais beaucoup investi et aussi une grosse déception humaine car les gens qui étaient mes amis m’ont trahi »\\n\\nEntre ces deux trophées d’Entraîneur de l’Année, il y a eu des galères puisqu’il y a eu cette fin en queue de poisson à Tarbes puis une liquidation à Perpignan ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: FIBA et Catherine Steenkeste/LN/LFB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Playoffs LFB, Match 4 : Vainqueur de Tarbes, 87-80, Bourges s’offre un 14e titre de champion de France"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En dominant cet après-midi le Tarbes Gespe Bigorre, le Tango Bouges Basket a remporté un 14e titre de champion de France de Ligue Féminine, effaçant ainsi des tablettes le record du légendaire Clermont Université Club. C’est aussi le premier sacre des Berruyères depuis trois ans puisqu’elles avaient laissé leur sceptre à Lattes-Montpellier puis à Villeneuve d’Ascq. C’est tout autant le 14e de Pierre Fosset qui a été le président du club de bout en bout. Une collection de trophées unique dans l’histoire du sport français.\\n\\nLes ailières Marine Johannès, Sarah Michel et Valériane Ayayi ont marqué à trois 44 des 87 points berruyers de ce Match 4.\\n\\nLe parcours du cendrillon Tarbes a également marqué les esprits.\\n\\nLes spectateurs étaient en rangs serrés dans le Palais des Sports du Quai de l’Adour de Tarbes prêts à faire un boucan du diable pour pousser leurs Violettes vers un deuxième exploit de suite aux dépends d’une équipe berruyère qui n’avait jamais chuté deux fois de suite face à une équipe de la Ligue. Pas question pour les filles de François Gomez de faire un départ poussif et en trouvant trois fois de suite Aby Gaye, ce sont elles qui menaient 10-7. Un avantage vite renversé par Bourges qui prenait les commandes 18-10 peu de temps après. La défense tango est un poison souvent mortel. Après un quart-temps, le matelas berruyer était déjà épais, 25-14, et François Gomez remontait les bretelles de ses joueuses trop passives défensivement.\\n\\nSeulement le rythme imposé par le bloc berruyer mettait les Violettes dans le rouge. 37-23. Marine Johannès faisait apprécier ses gestes gracieux mais aussi sa vitesse de course. De plus Aby Gaye était pénalisée d’une troisième faute. Il y avait un mano a mano espagnol à la mène avec d’un côté Ana Suarez pas impressionnée du tout et à Bourges Laia Palau relayée par Cristina Ouvina. Christelle Diallo suppléait très correctement Aby Gaye et Tarbes avait grignoté un peu de son retard à la mi-temps (37-46). Dans le duel des jumelles Plouffe, net avantage à la Tarbaise Michelle (7 points et 4 rebonds) alors que Katherine était étrangement absente (0 point et 0 rebond).\\n\\nQuelle profondeur de banc !\\n\\nAu prix d’une belle adresse et autour de l’axe Ana Suarez-Christelle Diallo, laquelle avait marqué 15 points en 16 minutes, le TGB revenait encore plus près de son adversaire à l’entame du troisième quart-temps (47-52). Beaucoup de gnac ces Tarbaises ! Mais leur rapproché était de courte durée. Un trois-points de Marine Johannès, une faute technique à François Gomez et le premier panier de Katherine Plouffe plus tard, le score était de 60-47. La profondeur du banc berruyer faisait des dégâts, les Tarbaises étaient exténuées. La dixième joueuse KB Sharp fêtait son entrée par un missile. La différence de niveau s’inscrivait sur le tableau d’affichage avec un pic à 69-50 (29e).\\n\\n27 points dans le troisième quart-temps pour Bourges qui planait à 61% de réussite aux tirs dont un très bon 9/14 à trois-points. Il ne restait plus aux Tango qu’à gérer. Après un abcès à 55-75, dans un magnifique sursaut le TGB parvenait à revenir à 66-75 grâce à un 11-0. La pétulante Ana Suarez (17 points, 5 passes, 20 d’évaluation) y était pour beaucoup. Bourges sortait le bouclier pour s’éviter toute mauvaise surprise. Les dernières minutes étaient forcément longues, tendues, mais la victoire ne changeait pas de camp.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nhttps://www.facebook.com/BourgesBasket/videos/1792753497470030/UzpfSTE0MDk1NDE0NjU6MTAyMTYwNDc2NDYyODk4Mzg/\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde: La Grèce avec Giannis Antetokounmpo en septembre ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’ailier des Milwaukee Bucks, Giannis Antetokounmpo (2,11m, 23 ans) ne rejoindra pas l’équipe nationale grecque pour les matches de qualification à la Coupe du Monde de juin-juillet, mais il devrait être présent lors de ceux du deuxième tour qui auront lieu en septembre.\\n\\nVoici ce que l’entraîneur de l’équipe nationale grecque, Thanasis Skourtopoulos, a déclaré à la radio grecque Sport-FM.\\n\\n« Nous sommes en contact avec les représentants de Giannis. Mais ce n’est pas le bon moment pour son retour. Nous regardons ça pour septembre. Il n’y a pas de problème avec Giannis et nous l’attendons en septembre. Il devrait se reposer pour apaiser sa jambe. Ce fut une saison très fatigante pour lui. Il se prépare et sera en bonne santé pour septembre. Giannis a envie de venir. »\\n\\nLa Grèce a gagné ses quatre premiers matches de son groupe.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mouphtaou Yarou à Levallois, Axel Julien toujours à Dijon ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le pivot béninois Mouphtaou Yarou (2,04m, 28 ans) est sur le point de s’engager pour deux saisons avec les Levallois Metropolitans alors que le meneur de jeu de la JDA Dijon, Axel Julien (1,85m, 25 ans), contacté par Nanterre 92, resterait finalement à la JDA Dijon. Ce sont les informations données ce matin sur les réseaux sociaux par le consultant de SFR Sport 2, Stephen Brun.\\n\\nAprès trois saisons au Mans perturbées par des blessures, Mouph Yarou sort d’une saison convaincante avec les Sharks d’Antibes qui l’a amené à assurer 12,9 points à 62,2% de réussite aux tirs et 9,2 rebonds.\\n\\nPhoto: Mouph Yarou (Sharks)\\n\\n\\n\\n\\n⚠️ Brown Bomb Alert ⚠️\\n\\n\\n–@julienaxel5 qui avait donné son accord à @Nanterre92 restera finalement à @jdadijonbasket la saison prochaine.\\n\\n\\n– Mouph Yarou devrait s'engager pour 2 saison du côté des @LevalloisMetro\\n\\n\\n— Stephen Brun (@StephBrun41) May 26, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie: Besiktas ne paye plus ses joueurs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Que ce soit chez les hommes comme chez les femmes, le basket turc des clubs porte beau mais en coulisses, ce n’est pas toujours joli, joli. Les clubs ont parfois du mal à assumer les gros salaires qu’ils offrent aux joueurs et aux joueuses. C’est ainsi que le Yakin Dogu de Sandrine Gruda a annoncé qu’il cesse ses activités dans le basket. Du côté des hommes, c’est Besiktas Sompo Japan Istanbul qui rencontre de graves problèmes financiers.\\n\\nSelon le site turc Trendbasket, le club n’aurait pas payé trois mois de salaire aux joueurs et en dépit du fait qu’il leur avait promis de régler le problème avant le début des playoffs, la situation n’a pas changé. Plusieurs joueurs se sont plaints de la situation avant les quarts-de-finale contre Banvit que Besiktas a perdu 2-0.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pascal Donnadieu (Nanterre): «Je passe pour le couillon de service. Il y a de la colère»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pascal Donnadieu n’a pas apprécié l’arbitrage du match qui a opposé hier soir son équipe de Nanterre à Strasbourg et il l’a fait savoir en conférence de presse:\\n\\n« On dit toujours nous les coachs qu’il faut être hyper-concentré dans les money-times, mais il faut que ça soit le cas pour tout le monde », rapporte BasketActu. « A partir du moment où il y a deux fautes d’arbitrage manifestes... Derrière il n y a aucune pédagogie, et ils mettent des techniques, c’est tellement facile. Vous savez, j’ai compris. Ce n’est pas par rapport à Vincent Collet, qui se tient admirablement, mais il y a des coachs qui aboient toute l’année, qui gueulent après les arbitres, la ramènent en conférence de presse... ces coachs-là, ils ont raison. Ils mettent tellement de pression sur les arbitres, que les gars sont attentifs. Nous on est les gentils Nanterre. A force de ne jamais le faire, je passe pour le couillon de service. Il y a de la colère. »\\n\\nCette saison de Jeep Elite 2017-18 aura été marquée par de nombreux commentaires de coachs mécontents du corps arbitral.\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"La photo du jour : Quand Boris Diaw fait de la plongée en tongs aux Iles Caïmans"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On ne sait toujours pas ce que Boris Diaw va faire au-delà des deux matches de l’équipe de France, fin juin, début juillet, contre la Bosnie et la Russie dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du Monde 2019. Retraite sportive ou pas? Tour du monde à la voile ou autres aventures ?\\n\\nDu moins apprend-on par le biais de son compte Instagram qu’il fait actuellement de la plongée à Grand Cayman, l’une des trois îles des Iles Caiman dans la Mer des Caraïbes.\\n\\nIl n’échappe à personne l’originalité d’une partie de son équipement:\\n\\n« Quand tu chausses du 51 et que tes palmes sont des tongs, » a légendé le capitaine des Bleus sous la photo."
}, 
{"role": "user",     "content":"Laurent Vila sur le point de prolonger son bail à Pau"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Laurent Vila, 42 ans, devrait prochainement parapher un nouveau contrat avec l’Elan Béarnais. C’est l’information donnée ce matin par Sud Ouest.\\n\\n« Tout se passe bien, nous sommes en train de finaliser avec son agent », explique le Directeur Exécutif Didier Gadou alors que Pau va livrer ce soir le Match 2 de quarts-de-finale de playoffs de Jeep Elite contre Monaco.\\n\\nAprès avoir déjà coaché l’équipe béarnaise 12 matches lors de la saison 2011-12, le Catalan a pris début février la succession du Belge Serge Crevecoeur. Son palmarès fait état de 11 victoires et 5 défaites.\\n\\nSon assistant, l’ancien champion d’Europe, Jimmy Verove devrait lui aussi demeurer au club.\\n\\nPhoto: Elan Béarnais"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Augmentation du budget, travaux dans la salle et création d’un centre de formation à Quimper"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’Union Jeanne-d’Arc Phalange Quimper qui s’est maintenue en Pro B ne va pas demeurer les bras ballants durant l’été. Ouest France informe que le club va augmenter son budget, procéder à des travaux salle Michel-Gloagen et créer un centre de formation.\\n\\nLe budget va progresser de 200 000 €, ce qui fait dire au président Bernard Kervarec :\\n\\n« Nous allons tenter de porter notre budget à 1,8 million d’euros. La moyenne du championnat est de 2 millions d’euros. Enfin cela ne fait pas tout : cette saison, Blois, plus petit budget, a terminé premier. Quand Nantes, l’un des plus important, termine 13e... »\\n\\nEn attendant la grande salle multifonctions communautaire attendue pour 2022, l’UJAP va procéder à 30 000 euros de travaux dans sa salle actuelle et mettre en place un centre de formation.\\n\\n« Nous devrons nommer un directeur et un entraîneur. Cela nécessitera un gros travail d’intendance et de logistique. Sans centre de formation, on est obligé de compter au moins quatre joueurs de moins de 23 ans dans notre effectif, sous peine d’amende. Avec ce centre, nous serons plus à l’aise. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Killian Hayes élu MVP du championnat espoir, Cholet pulvérise l’ASVEL au Trophée du Futur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Choletais Killian Hayes (1,95m, 16 ans) a été comme attendu élu MVP espoirs de la saison. Le meneur de Bourg, Thibault Desseignet, l’ailier Quentin Goulmy de Strasbourg, l’intérieur Etienne Ca de Chalon et le pivot Melvyn Govindy de Cholet complètent le Cinq idéal.\\n\\nHier à Antibes, Cholet Basket, champion de France espoirs, a prouvé sa supériorité manifeste dans la catégorie en pulvérisant l’ASVEL de 40 points lors des quarts de finale du Trophée du Futur. Killian Hayes a scoré 17 points. La surprise est venu du club hôte, les Sharks, qui a fait tomber la SIG.\\n\\nQuarts de finale\\n\\nVendredi 25 mai\\n\\n * 13h00 : Elan Chalon vs Nanterre 92 (63-61)\\n * 15h30 : BCM Gravelines-Dunkerque vs AS Monaco (71-57)\\n * 18h00 : Cholet Basket vs ASVEL Lyon-Villeurbanne (103-63)\\n * 20h30 : SIG Strasbourg vs Antibes Sharks (76-74)\\n\\nDemi-finales\\n\\nSamedi 26 mai\\n\\n * 18h00 : Elan Chalon vs BCM Gravelines-Dunkerque\\n * 20h30 : Cholet Basket / Antibes Sharks.\\n\\nFinale\\n\\nDimanche 27 mai\\n\\n * 15h00\\n\\nPhoto: LNB\\n\\n\\n\\n\\nSur un tir à 0,3 seconde du buzzer final de Giuliano Neri, les @SharksAntibes décrochent leur ticket pour les demi-finales du #TrophéeDuFutur ! pic.twitter.com/HWti9DguIK\\n\\n\\n— Antibes Sharks (@AntibesSharks) May 25, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans a pu récupérer son pivot Youssoupha Fall et décrète la mobilisation générale"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le MSB est bien différent avec ou sans son géant Youssoupha Fall (2,21m). Parfois totalement à la rue lors du match aller à Antarès face à Villeurbanne, il a bien maîtrisé le retour à l’Astroballe même si le score a fait l’accordéon avec plusieurs séries de points significatives pour se figer à 67-72.\\n\\nAvec sa vigie dans la peinture, Le Mans a pu mettre en place une défense qui a rappelé qu’il a été le numéro 1 dans ce domaine en saison régulière.\\n\\n« Je me sentais mieux, après avoir subi une infiltration mercredi. Avec l’adrénaline, la douleur passe également », a commenté le Franco-Sénégalais en conférence de presse, des propos repris par Ouest France. « On a su bien commencer le match. Dimanche, on va essayer de jouer de la même manière. Contrairement au match aller, où je ne pouvais pas bouger le genou, j’ai pu jouer. Ça a fait la différence. Mais c’est une performance d’équipe. Même Romeo (Travis) nous a apporté beaucoup. »\\n\\nSuspendu pour ce match, Romeo Travis a joué d’après les acteurs manceaux un rôle de catalyseur d’énergie toute la journée avant de prendre place en civil derrière le banc du MSB. Il sera bien entendu de retour dimanche (à 18h30) pour la belle. Pour ce match 3, le club a décrété la mobilisation générale en proposant des tarifs à moitié prix. Etant donné le sel de l’enjeu, c’est à espérer que le public sarthois se déplace plus nombreux que pour la manche aller (4 000 personnes) et aussi qu’il soit davantage enclin à supporter son équipe !\\n\\nPhoto: Youssoupha Fall (MSB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vincent Collet (Strasbourg): «On a bien entamé les playoffs, mais on était un vrai ton en dessous par rapport à mardi»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Nanterre a tout donné mais Strasbourg était plus fort. C’est aussi simple que ça. Poussés par leurs supporters de Maurice-Thorez, les hommes de Pascal Donnadieu ont longtemps fait de la résistance avant de céder dans le money time (70-77). Une erreur d’arbitrage (Lahou Konate avait récupéré la balle mais la balle fut redonnée à la SIG et David Logan scora à trois-points dans la foulée) leur a donné un coup de massue.\\n\\nMême si le meneur Dee Bost a été parfois époustouflant (16 points, 6 rebonds, 5 passes), tout n’a donc pas été parfait du côté des Strasbourgeois comme le notait Vincent Collet en conférence de presse:\\n\\n« C’est la conséquence du manque de Louis (Labyerie), qui n’est pas bien et encore fiévreux aujourd’hui. On fait en sorte qu’il récupère mais ça prend du temps. On a décidé de le laisser se reposer. Son malaise était dû à une forte gastro, les médecins vont s’en occuper, mais pour l’instant il n’est pas d’attaque. On a bien entamé les playoffs, mais on était un vrai ton en dessous par rapport à mardi. C’est le contraire pour Nanterre qui aurait largement pu gagner ce soir. La réaction de Nanterre a été de montrer du cœur, on savait qu’ils n’allaient pas abandonner. Nous étions persuadés qu’aujourd’hui, avec leur public, ils allaient se donner à fond. Je savais qu’on allait avoir du mal à gagner ce soir. »\\n\\nMalgré l’élimination, Pascal Donnadieu était satisfait du comportement des siens:\\n\\n« Ce soir, j’ai trouvé qu’on a été admirables, dans la manière de jouer, dans l’engagement. Et là-bas on avait fait une mi-temps qui était très bonne, on en a ratée une sur quatre. C’est un adversaire qui est beaucoup plus fort que nous, mais j’ai la fierté de croire qu’on les a poussés dans leurs derniers retranchements. Jean Marc (NDLR: Pansa, 20 ans, 10 points et 4 rebonds)? C’est très intéressant ce qu’il a proposé. C’est très bien pour lui, pour l’avenir. On a dû gérer les fautes dans le secteur intérieur. Il a fait un match héroïque, de haut niveau qui demande confirmation l’année prochaine. C’est l’avenir du club, on ne peut qu’être satisfait de sa performance, il a signé un contrat de 3 bonnes années. »\\n\\nLa SIG sera opposée au Mans ou à Villeurbanne en demi-finale avec l’avantage du terrain.\\n\\nPhoto: Dee Bost (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Dossier Pro B – Preview Playoffs d’accession : huit candidats, un seul vainqueur"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Qui succédera à Boulazac, vainqueur des Playoffs d’accession en 2017 ? Cette saison encore, les phases finales de Pro B promettent un combat acharné et un suspense qui ne ménagera pas les cœurs des supporters des huit clubs en lice après une longue et éprouvante saison régulière. Trois favoris se détachent sur le papier : Roanne, Orléans et Fos-sur-Mer. Mais comme on l’entend à chaque fin de saison régulière, c’est une nouvelle compétition qui débute et tous les compteurs seront remis à zéro. L’an dernier par exemple, les Playoffs avaient livré leur lot du surprises puisque les finalistes, Boulazac et Nantes, n’occupaient respectivement « que » la 4e et 6e place à l’issue de la saison régulière. Dernier élément et pas le moins important, les séries se jouent au meilleur des trois manches jusqu’en finale et ne donnent finalement qu’un petit avantage aux équipes qui disposent de l’avantage du terrain. Tant mieux pour le suspense, c’est parti pour trois semaines de folie !\\n\\nRetrouvez les présentations des quatre séries de Playoffs avec des chiffres clés, des duels et l’analyse de Fabien Romeyer, coach d’Aix-Maurienne qui a réussi une remarquable saison terminée à une très belle 11e place pour un club qui jouait le maintien en début de saison (15v-19d).\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nRoanne (2e) – Denain (vainqueur de la Leader’s Cup)\\n\\nJay Threatt, meneur de Denain-Voltaire en finale de la Leader’s Cup\\n\\nPas gâtés les Roannais ! Après avoir longtemps cru à une accession directe et titillé Blois solidement accrochés à la première place, la Chorale, qui avait jusque là développé un basket de haut-niveau des deux côtés du parquet, est tombée de haut à trois journées de la fin en s’inclinant à Vichy-Clermont (75-68), laissant les Blésois fêter le titre trois jours plus tard. Un coup dur dont il a été difficile de se relever de l’aveu même du coach, Laurent Pluvy, alors que se profile l’ASC Denain-Voltaire pour le premier rendez-vous des Playoffs en quart de finale. Malmenés sur cette fin de championnat, les coéquipiers de Clément Cavallo ne demeurent pas moins grands favoris de ces Playoffs, à condition de retrouver le jeu déployé durant la majeure partie de la saison.\\n\\nDixièmes du championnat, les Denaisiens, qui auraient assurément terminé plus haut dans la hiérarchie sans les blessures de plusieurs de leurs joueurs cadres, ont arraché leur qualification en remportant la Leader’s Cup en février dernier (98-87 contre Orléans après deux prolongations). Malgré l’absence du poste 4 US Lance Goulbourne (rupture du tendon d’Achille) qui a changé la donne depuis la fin du mois mars, Rémy Valin aura à sa disposition un effectif de grande qualité avec une rotation de 10 joueurs dans laquelle tout le monde a un rôle à jouer. A l’image des deux confrontations en saison régulière, ce duel entre Roanne et Denain pourrait bien se jouer à peu de choses.\\n\\nLes chiffres\\n\\nRoanne : 67,4\\n\\nLe nombre de points encaissés par match, soit la meilleure défense du championnat pour Roanne. C’est le détail qui change tout pour la Chorale et accessoirement pour les équipes coachées par Laurent Pluvy. Souvent loué pour son style de jeu offensif et rythmé, l’ancien meneur de l’Asvel dans les années 90 a réussi un ajustement majeur qui a fait toute la différence cette saison en passant de la dernière (80,1 points encaissés en moyenne en 2016-2017) à la première place du classement en terme de défense (équipe provoquant également le plus de pertes de balle adverses avec 16,6 par match). Le tout sans négliger un apport offensif toujours de grande qualité, notamment dans la diversité des forces en présence au sein d’un effectif complété par les arrivées de Ben Mbala et Roger Zaki durant la deuxième partie de saison.\\n\\nDenain : 9\\n\\nDerrière Orléans, Denain est la formation qui score le plus à 3-points de la division avec 9 paniers extérieurs marqués par match sur 25,4 tentatives, soit 35% de réussite, le meilleur taux du championnat, toujours après Orléans (39%). Une adresse derrière l’arc due à la présence d’artilleurs chevronnés comme Pierric Poupet (40%), Yunio Barrueta (42%), Jay Threatt (34%) mais pas uniquement. Au poste 4, Lance Goulbourne amenait cette menace extérieure qui a fait la force de l’ASC Denain jusqu’à sa blessure, ce qu’on retrouve moins depuis l’arrivée de son remplaçant Kyle Austin. Face aux Roannais en saison régulière, les hommes de Rémy Valin se sont habitués à dégainer (25/60 en deux matchs), et ça devrait encore être cas sur cette série.\\n\\nL’analyse de Fabien Romeyer :\\n\\n« Roanne, c’est avant tout beaucoup d’expérience, dans l’âge des joueurs, leur connaissance de la division et aussi de la montée pour Clément Cavallo, Robert Nyakundi, Alexis Tanghe. Ils sont nombreux à être rompus aux joutes des Playoffs. Il y a aussi l’aspect de l’avantage du terrain, et forcément de la salle, à prendre en compte. Vacherresse présentera sans doute l’une des plus chaudes atmosphères de ces Playoffs. Enfin, Roanne a montré sa capacité à gagner des matchs défensivement, ce qui n’était pas forcément le cas la saison dernière. Même si la dimension physique ne joue pas encore vraiment en quarts, Roanne est capable, à l’image de Fos-sur-Mer, d’imposer un impact physique, athlétique, et sera en mesure de le répéter match après match. C’est une vraie qualité en Playoffs. Pour Denain-Voltaire, je ne sais pas si la qualification en Playoffs grâce à la victoire en Leader’s Cup a fait du bien au groupe pour la suite. Ce n’est pas du tout évident de maintenir la pression jusqu’à la fin, surtout quand on perd l’un de ses leaders comme pouvait l’être Lance Goulbourne. Sinon c’est une des meilleures équipes du championnat au tir extérieur avec des menaces quasiment à tous les postes. Hormis les postes 5, tout le monde peut tirer. Ils sont très au large et capables de faire des cartons quand ils étaient en mesure d’être prolifiques sur le tir à 3-points. Leur jeu ne se résume pas qu’à ça. Je trouve qu’ils ont réussi avec le temps à faire en sorte que les jeunes joueurs du banc aient des responsabilités et un certain impact. comme ils ont très bien su le faire sur la Leader’s Cup, sans se reposer uniquement sur leurs cadres. Ça peut aussi être l’une des clés du match ».\\n\\nLe duel à suivre : Yunio Barrueta vs David Jackson\\n\\nLe premier vit seulement sa deuxième saison en Europe (sa première en France) tandis que le second a traîné ses baskets sur tout le Vieux Continent depuis bientôt dix ans. Les deux arrières sont en revanche leaders de leurs équipes respectives au scoring. Le Roannais David Jackson est davantage un joueur « all around », capable de tout faire sur un terrain (14,5pts, 3,7rbds, 3,2pds, 1,4 int, 15,3 d’évaluation par match) tandis que le Denaisien Yunio Barrueta (poste 2/3 à 12,8pts, 3rbds par match) excelle davantage par ses qualités d’agressivité et de finition, de loin notamment (42,5% d’adresse à 3pts en saison régulière, 46% sur les 9 matchs de Leader’s Cup). L’expérience de Jackson, jeune trentenaire, face à la fougue de Barrueta, jeune sniper, un des nombreux duels qui devraient faire des étincelles sur cette série.\\n\\nEn saison régulière 1-1\\n\\nComme pour trois des quatre séries de Playoffs, les deux équipes l’ont emporté loin de leurs bases. Au complexe sportif Jean Degros dès la 2e journée, les Roannais avaient arraché la victoire après prolongation, 88-90. Alors qu’ils menaient de 10 points à l’entrée du money-time (79-69) les locaux avaient encaissé un 13-3, poussant les deux équipes à jouer 5 minutes de plus. 5 minutes dominées par la Chorale et David Jackson (5 de ses 24 pts en prolongation) même si Jay Threatt avait eu l’occasion de donner la victoire aux siens d’un 3-points dans les ultimes secondes.\\n\\nDenain-Voltaire avait réussi à prendre sa revanche quelques mois plus tard, le 6 février 2018 en allant s’imposant 64-69 à la Halle André Vacherresse. Meilleur marqueur de l’équipe, Yunio Barrueta était resté muet (0pt à 0/6) mais tout le reste de l’équipe avait haussé son niveau de jeu pour tenir tête aux coéquipiers de Ben Mbala (21pts). Aux côtés de Thomas Bropleh et Jérôme Cazenobe (14pts chacun), Pierric Poupet avait fait très mal avec 11 points à 3/6 à 3 points (dont un décisif en fin de partie) et 9 passes décisives pour zéro balle perdue en 31 minutes.\\n\\nCalendrier\\n\\nRoanne – Denain vendredi 25 mai à 20h\\n\\nDenain – Roanne dimanche 27 mai à 17h\\n\\nBelle éventuelle à Roanne mercredi 30 mai\\n\\nVidéo : entretien d’avant série avec Alexis Tanghe\\n\\n\\nOrléans (3e) – Rouen (8e)\\n\\n\\nKyle McAlarney, le sniper de l’OLB\\n\\nL’opposition paraît déséquilibrée sur le papier entre Orléans, le grand favori et principal prétendant à la montée directe d’un côté et Rouen, l’autre équipe surprise de ces Playoffs avec Saint-Chamond et qui a terminé à une 8e place plus qu’honorable (17v-17d). De retour en Pro B l’été dernier, l’OLB a survolé la première partie de championnat en occupant la première place jusqu’en janvier avant d’être malmené par ses poursuivants, de perdre en finale de la Leader’s Cup contre Denain, et enfin de subir les blessures de son meneur Alex Abreu et son intérieur Miralem Halilovic à deux journées de la fin (compensées par les arrivées de Keydren Clark et Ferdinand Prenom). Le coup a dû être dur à encaisser pour une formation programmée pour monter directement. Place aux Playoffs désormais et à un premier duel loin d’être inintéressant face à des Rouennais qui n’ont cessé de surprendre et qui ont fini par décrocher leur place dans le top 9 à l’issue de la dernière journée contre Nantes. Le plus jeune effectif de Pro B a été remarquablement dirigé par Alexandre Ménard pour sa première saison à la tête du RMB. Derrière Obi Emegano et Amin Stevens (les deux meilleurs marqueurs de la division) c’est tout un effectif qui s’est développé\\n\\nLes chiffres\\n\\nOrléans : 2916\\n\\nC’est le nombre de points marqués par Orléans cette saison, soit 85,8pts par match, une des meilleures moyennes de la division sur les dix dernières années. Pas une surprise, tant cet aspect est profondément ancré dans la philosophie de jeu de son coach, Germain Castano, qui détient avec Boulogne-sur-Mer en 2012-2013, le record de l’équipe la plus prolifique de Pro B avec une moyenne ahurissante de 89,2 points par match. L’OLB est également l’équipe la plus adroite de loin (38% sur la saison) et là encore, quoi de plus surprenant quand on voit les snipers qui composent l’équipe emmenée par le maître en la matière, Kyle McAlarney dont la qualité de tir dépasse l’entendement (45,9% cette saison). Avec six matchs à plus de 100 points cette saison, une autre marque de la puissance de l’équipe en attaque, c’est peu dire qu’Orléans misera sur sa qualité offensive pour aller au bout.\\n\\nRouen : 23\\n\\nLa moyenne d’âge de l’équipe dirigée par Alexandre Ménard. Sans doute du jamais vu puisqu’aucun joueur de l’effectif ne dépasse les 27 ans (sans compter le pigiste médical Maurice Carter, 34 ans, resté seulement un mois pour 5 matchs disputés). Du haut de ses 27 printemps, 6 mois et 29 jours, c’est Amin Stevens, meilleur poste 5 de la division, qui fait office de vieux sage ! Ce qui rend la performance des Rouennais d’autant plus remarquable.\\n\\nL’analyse de Fabien Romeyer :\\n\\n« On connaît tous la force de frappe offensive d’Orléans, où ça joue très très bien au basket. Tous les joueurs ont des responsabilités et beaucoup ont une grosse expérience. Je pense notamment à Kyle McAlarney qui a été le déclencheur de la dernière victoire à Vichy-Clermont. En revanche, Orléans était programmé pour monter tout de suite. Même s’ils ont compris assez tôt que ce serait compliquée, ça a pu leur mettre un coup au moral. Mais le fait d’avoir deux nouveaux joueurs peut également apporter une nouvelle dynamique. Ils étaient favoris en début d’année, il a fallu se reconcentrer sur un nouvel objectif. Je crois que d’avoir perdu la Leader’s Cup, qui leur a pompé beaucoup d’énergie, a aussi joué dans le mauvais sens. Et forcément, la saison étant longue, ils ont eu plus de difficultés sur la fin. Ils devront aussi montrer leur capacité à bien défendre face à Rouen qui est une belle attaque. Mais ils en sont capables d’amener cet impact défensif requis en Playoffs. Enfin, il faudra intégrer un nouvel axe 1-5, ce qui n’est jamais facile. Clark et Prénom sont deux très bons joueurs. Germain a voulu prendre des joueurs qu’il connaissait, avec Prénom qu’il a déjà eu sous ses ordres et Clark qui est un très bon joueur. On a connu pire comme renfort ! Il faut des joueurs qui soient rentables tout de suite et qui s’intègrent rapidement. A suivre... Je tiens quand même à souligner la très belle saison d’Orléans, il ne faut pas l’oublier. Ils auraient pu monter avec seulement 9 défaites, mais les autres ont vraiment mené un train d’enfer. Quant à Rouen, c’est l’une des équipes surprises de cette saison au vu du budget avec Saint-Chamond et Aix-Maurienne. C’est une équipe qui a vraiment progressé au fil de la saison. Ce serait réducteur de résumer leur succès aux performances d’Emegano et Stevens, même s’ils ont été très bons. Il y a des joueurs comme Desmond Williams qui ont eu le mérite de ne pas tirer la couverture sur eux, de ne pas forcer... Je vois un vrai bon collectif, une équipe qui sait s’adapter à l’adversaire et lui poser des problèmes de par ses choix défensifs, mais aussi une très belle attaque. La saison est clairement réussie du côté de Rouen et Alexandre Ménard a fait du très bon travail. C’est une équipe qui ne lâche jamais et qui n’a presque pas changé de joueur (un seul pigiste médical, Maurice Carter du 19 octobre au 19 novembre). Le mérite leur en revient. Même s’ils feront tout pour passer, d’arriver en Playoffs est déjà un bel accomplissement ».\\n\\nLe duel : Amin Stevens vs Ferdinand Prenom\\n\\nLe poste 5 rouennais est un pivot fait pour la Pro B. Rapide, mobile pour un grand, il ne ménage pas ses efforts et a été récompensé à la juste valeur du travail accompli (18pts, 9rbds, 21,4 d’évaluation par match). La principale menace offensive du RMB sera forcément ciblée par Orléans qui a frappé fort en recrutant Ferdinand Prenom pour palier la blessure de Miralem Halilovic, un joueur qui pouvait correspondre au profil de Stevens. L’ancien intérieur du HTV (9,5pts, 4,2rbds en 17 minutes en moyenne dans le Var cette saison) évolue pour sa part dans un autre registre, plus massif et précieux sur demi-terrain. Nul doute qu’il fera tout pour user Stevens et que l’OLB s’appuiera sur sa profondeur d’effectif pour maintenir la pression sur lui, avec Junior Mbida, Jimmy Djimrabaye et même Marcellus Sommerville si nécessaire.\\n\\nEn saison régulière : 2-0 pour Orléans\\n\\nL’OLB n’a pas perdu de temps en chemin notamment en début de saison et il se trouve que Rouen s’est trouvé en travers de la route des Orléanais à deux reprises avant la mi-février. Lors du premier duel entre les deux équipes le 20 octobre dernier au Kindarena, la Pro B découvrait encore Amin Stevens (16pts, 10rbds, 20 d’éval) mais le basket des hommes de Germain Castano était déjà bien huilé. Ironie du sort, après un 2e quart-temps renversant (13-31), Orléans l’avait emporté 70-79 avec Alex Abreu (19pts, 6pds) et Miralem Halilovic (25pts, 9rbds) pour fers de lance, tous deux blessés pour ces Playoffs.\\n\\nAu retour, 6 février, Rouen avait failli jouer un vilain tour aux Orléanais dans leur salle. Même mené 32-22 après 10 minutes, le RMB avait réussi à revenir à 69-67 à l’entrée du 4e quart avec un Rémi Dibo impérial (17pts à 3/5 à 3pts), parfait lieutenant de Stevens (23pts, 7rbds) sur ce match. Mais après avoir égalisé à 69-69 en tout début de 4e quart, Rouen s’était effondré, encaissant un retentissant 17-0 en 5 minutes, révélateur de la force de frappe de l’OLB, pour s’incliner 94-77.\\n\\nCalendrier\\n\\nOrléans – Rouen vendredi 25 mai à 20h\\n\\nRouen – Orléans dimanche 27 mai à 17h\\n\\nBelle éventuelle à Orléans mercredi 30 mai\\n\\nVidéo : le premier tour des Playoffs face à Rouen vu par Germain Castano et Kadri Moendadze\\n\\n\\nhttps://www.dailymotion.com/video/x6k853w\\n\\n\\nFos-sur-Mer (4e) – Sluc Nancy (7e)\\n\\n\\nJordan Aboudou, arrivé en cours de saison à Fos-sur-Mer\\n\\nOn attendait les Nancéiens un poil plus haut dans la hiérarchie. Mais « rien ne sert de courir, il faut partir à point » et le Sluc sait peut-être mieux que quiconque que la saison régulière (et l’avantage du terrain dans une série en trois manches) n’a plus vraiment d’importance lorsque vient le moment de passer en mode guerrier pour les Playoffs. Les Fosséens, qui ont terminé deux fois de suite 2e de Pro B sans parvenir à l’emporter lors des Playoffs d’accession, le savent aussi et ont construit un effectif dans ce sens, capable de tenir sur la longueur et avec un groupe dans lequel l’expérience sera le maître-mot, d’autant plus après l’arrivée de Louis Campbell en joker médical de Xavier Gaillou. Le Sluc a lui aussi opéré un ajustement majeur en récupérant Bastien Vautier (retour de prêt) et en enregistrant la venue d’Alexandre Chassang en remplacement de Valentin Chery. Deux renforts qui vont muscler la raquette de Greg Beugnot.\\n\\nLes chiffres\\n\\n728\\n\\nFidèle à la philosophie du coach Rémi Giuitta, le jeu de passe fosséen est l’un des plus léchés de Pro B et ça s’en ressent dans les stats avec 728 passes décisives sur la saison soit 21,4 par match. Une donnée importante alors que personne ne dépasse les 20 passes par match en Pro B, hormis Orléans (22). Autre caractéristique non négligeable qui résume assez bien la «diversité» du jeu provençal : Fos-sur-Mer possède la troisième meilleure évaluation collective de Pro B (90,4) encore derrière Orléans, maître incontesté en la matière (101,7) et Saint-Chamond (91,7)\\n\\n11,4\\n\\nAvec les lancers, les pertes de balles et tout un tas d’autres détails qui feront la différence, la bataille au rebond aura une place importante lorsque viendra le moment de décider du sort d’un match, d’une série, de toute une équipe. En la matière, le Sluc Nancy a surclassé ses adversaires. Deuxième meilleure équipe de la division au rebond (36,9 par match), le Sluc a frappé fort sur le rebond offensif avec 11,4 prises en moyenne pour autant de deuxième chance pour les hommes de Greg Beugnot et dont Mickaël Var s’est fait le spécialiste (2,1 rebonds off par match). Avec les arrivées d’Alexandre Chassang et de Bastien Vautier, la raquette du Sluc n’en sera que plus musclée !\\n\\nL’analyse de Fabien Romeyer :\\n\\n« C’est une série où on note l’arrivée de nouveaux joueurs des deux côtés. A l’image d’Orléans, Fos-sur-Mer est très fort dans le jeu de transition. C’est aussi une volonté des coachs. A Fos, il y a aussi une dimension physique très importante, avec cette volonté de faire déjouer l’adversaire sur l’impact physique, de voler beaucoup de ballons et de se projeter très vite en transition. On intercepte, on prend un rebond, on court, et ça, l’équipe de Rémi Giuitta le fait très bien. Ils arrivent sur une bonne dynamique sportive avec six victoires consécutives. Et contrairement à d’autres au-dessus au classement, eux, visaient les Playoffs. Très tôt, ils ont su qu’ils ne pourraient pas être premiers et c’est l’équipe qui s’est le plus concentrée sur les Playoffs et la volonté d’avoir l’avantage du terrain au premier tour. Ils étaient dans cette logique là. Ils vont être prêts à ça, sachant qu’il y a aussi pas mal d’expérience dans le groupe entre Tariq Kirksay, Edouard Choquet, Jordan Aboudou... des joueurs passés par la Pro A, on pourrait presque tous les citer. Même Campbell, qui vient d’arriver mais qui est un garçon intelligent et devrait vite se fondre dans le moule. C’est un super choix. Attention quand même, car Nancy est capable de répondre, dans le domaine physique notamment et ils l’ont déjà fait cette année. Les deux arrivées enregistrés dans la raquette ne feront que les renforcer dans cet aspect là. Ce qui a marqué la saison du Sluc, c’est l’inconstance, capable du meilleur comme du pire. Je les ai vus vraiment excellents, mais ils n’ont jamais gagné plus de trois matchs de suite. Avec de très bonnes prestations comme d’aller gagner à Marseille, à Orléans, il faut quand même le faire, et derrière de perdre à la maison contre Quimper. C’est surprenant Je ne saurais pas l’expliquer... A l’inverse de Fos-sur-Mer, ils n’arrivent pas dans une très bonne dynamique sportive, mais Greg Beugnot va sans doute s’en servir aussi pour les piquer. L’arrivée de Bastien Vautier et Alexandre Chassang peut créer une petite émulation sur la fin de saison aussi. Leur intégration constituera une des clés de cette série. Ce n’est jamais simple d’intégrer deux joueurs sur le même secteur, même s’il y aura encore Ivan Aska ou Gary Florimont ».\\n\\nLe duel : Philippe Braud vs Tariq Kirksay\\n\\nParole à l’expérience entre ces deux joueurs très précieux en sortie de banc dans le dispositif de Greg Beugnot et Rémi Giuitta. Philippe Braud (32 ans, 1,93m), c’est le guide, celui qui a vécu deux montées sur les quatre dernières années avec Bourg-en-Bresse et qui est arrivé en Lorraine pour aider le Sluc à en faire de même. Son adresse extérieure et la rapidité de sa mécanique de tir font de lui un joueur sur lequel il faut garder un œil en permanence (39,8% d’adresse à 3-pts en 5 saisons en Pro B). En face, un autre mastodonte du championnat avec Tariq Kirksay (1,98m, 38 ans). Après une immense carrière en France et surtout à Nancy avec trois finales de Pro A à la clé (2004-2007), en Europe et pas seulement, l’international français qui soulevait la Ligue des Champions il y a un peine un an de cela prouve chaque semaine qu’il en a encore sous la semelle. Avec 7,3 points, 5,1 rebonds, 3,5 passes décisives, 2,1 interceptions et 13,2 d’évaluation, Tariq fait du Tariq en se montrant performant dans tous les secteurs de jeu. Pour preuve, il n’est pas passé loin d’un triple-double à plusieurs reprises cette saison, comme lors de la 33e journée contre Aix-Maurienne (10pts, 8rbds, 10pds). En fonction des différentes options que vont utiliser les deux coachs dans cette partie d’échecs, il n’est pas impossible que les deux protagonistes se retrouvent face à face.\\n\\nEn saison régulière : 1-1\\n\\nNancy avait réussi un gros coup en venant s’imposer à Marseille en début de saison et pouvait encore prétendre au top 5 à cette époque. Le match aller, disputé le 4 novembre, avait été marqué par la confirmation DeWayne Russell, pigiste médical rookie du très expérimenté DaShaun Wood. Auteur de 17 points, 4 rebonds, 6 passes décisives pour 19 d’évaluation, le meneur de jeu du Sluc avait permis aux siens de résister au retour des Provençaux en fin de match (de 21-34 en milieu de 2e quart à 63-65 à moins de 3 minutes de la fin) pour l’emporter, 67-75. Comme c’est de rigueur dans ce premier tour des Playoffs, Fos Provence Basket était allé prendre sa revanche au match retour, s’imposant 63-66. Un match que les hommes de Rémi Giuitta avaient bien géré après un départ encourageant (9-17). Comme un symbole, c’est l’ancien nancéien Tariq Kirksay qui avait inscrit les deux derniers lancers fosséens synonymes de victoire.\\n\\nCalendrier\\n\\nFos-sur-Mer – Nancy vendredi 25 mai à 20h\\n\\nNancy – Fos-sur-Mer dimanche 27 mai à 17h\\n\\nBelle éventuelle à Fos-sur-Mer mercredi 30 mai\\n\\nVidéo : le top 13 de la deuxième partie de saison de Fos Provence Basket\\n\\nLille (5e) – Saint Chamond (6e)\\n\\n\\nJonathan Hoyaux (Saint-Chamond) défend sur Marcos Suka-Umu (Lille)\\n\\nUn affrontement entre deux équipes au profil similaire... et en même temps si différentes ! Avec d’un côté le LMBC, club évoluant dans une des dix plus grandes villes de France qui s’est reposé sur une grosse défense et une vraie force collective. Avec à sa tête un coach relativement jeune, Jean-Marc Dupraz (45 ans), qui a déjà connu la reconnaissance au plus haut-niveau français. Et de l’autre, Saint-Chamond, LA surprise de la saison, une ville à taille plus humaine mais qui respire le basket comme pouvait l’être Saint-Vallier et ses « irréductibles drômois » il n’y a encore pas si longtemps. Comme pour Lille, le SCVGB a bâti sa réussite sur un collectif très bien huilé et un coach, Alain Thinet de presque 20 ans l’aîné de Dupraz (64 ans), dénicheur de talent devant l’éternel et affectueusement surnommé « le fossile de la Pro B » par Fabien Romeyer qui lui avait succédé à Saint-Etienne en 2008. Là encore, la série pourrait se jouer sur quelques détails et la défense aura son mot à dire à l’image des deux confrontations en saison régulière entre les deux équipes qui arrivent lancées pour cette phase finale (six victoires sur les sept derniers matchs pour Lille, 6/8 pour Saint-Chamond).\\n\\nLes chiffres\\n\\nLille : 37,4\\n\\nComme il l’avait confié à BasketEurope mi-mars, la patte Jean-Marc Dupraz se reconnaît à deux facteurs : la capacité à impliquer tout le monde et donc une menace diluée dans le collectif (personne au delà des 14 points par match, une stat à peine mise à mal par la très bonne fin de saison de Rakeem Buckles) et une défense de fer à l’image des 70,6 points encaissés par match, ce qui fait du LMBC la 4e meilleure défense du championnat cette saison. Un autre facteur vient s’ajouter à ce profil : Lille est la meilleure équipe de la saison au rebond avec 37,4 prises par match, juste devant...Saint Chamond (36,9)\\n\\n105\\n\\nEn terme de défense, Saint-Chamond aura du répondant en s’appuyant notamment sur la force de dissuasion de Grismay Paumier au poste 5 et du marsupial Jean-Stéphane Rinna, intérieur historique du club (depuis 2008) en sortie de banc. A eux deux, ils ont fait de Saint-Chamond l’équipe la plus prolifique en terme de contres cette saison avec 105 blocks, soit plus de trois par match. Egalement auteur d’une bonne fin de saison, Rinna a survolé la catégorie avec 49 contres au compteur et son apport sera encore très précieux dans ce domaine, à savoir la protection de la peinture. Les Lillois sont prévenus !\\n\\nL’analyse de Fabien Romeyer :\\n\\n« C’est pour moi le quart de finale le plus indécis. Déjà parce qu’ils sont 5 et 6e et que leurs deux confrontations ont été assez serrées. Ce sont deux équipes, deux collectifs dans lesquels il est difficile de ressortir des individualités. Lille s’est davantage appuyé sur son impact défensif, et en Playoffs, c’est important de pouvoir défendre dur pendant 40 minutes. Et là, l’apport du banc est important aussi. Un de leurs points forts, c’est leur traction arrière composée de Maurice Acker Marcos Suka-Umu qui est un peu dépositaire de leur jeu. Et c’est une vraie équipe dans le sens où chacun est dans son rôle, ce qui est d’autant plus important quand on est 11 ou 12 joueurs. C’est aussi une force, surtout en Playoffs. Saint-Chamond s’appuie pour sa part sur sur une base de joueurs qui se connaissent bien et qui jouent ensemble depuis longtemps et qui avait donc ce liant collectif dès le départ. Cette base JFL a été très importante, et pas seulement Jonathan Hoyaux même s’il fait une grosse saison. Mathieu Guichard fait aussi une bonne saison, Jean-Stéphane Rinna aussi... et même les petits jeunes. Je pense à Lucas Hergott, Matteo Legat aussi qui ont été très précieux lorsqu’Alain Thinet a eu besoin d’eux après les blessures de Tanner McGrew et Juwan Staten. Il y a aussi un facteur très important, c’est Grismay Paumier. Il est très précieux et n’est pas étranger à la bonne saison de ses petits copains. Il n’a pas participé aux derniers matchs, ça reste un point d’interrogation pour les Playoffs. Mais ce qui a fait la force de Saint-Chamond cette saison c’est que le groupe a toujours su compenser une absence ou une blessure à assurer le relais sur le terrain. Et ça c’est important. Ils ont toujours continué à gagner. Et puis c’est une équipe qui joue bien au basket ».\\n\\nLe duel : Jonathan Hoyaux vs Marco Suka-Umu\\n\\nComme dans les quatre séries, pas facile de tirer un duel en particulier dans cette confrontation. La bataille devrait notamment être rude entre les deux tractions arrières Staten-Hoyaux côté Saint-Chamond et Acker-Suka Umu côté lillois. A côté des deux meneurs américains, le combat entre Jonathan Hoyaux, meilleur marqueur français de la division (15,4pts, 4,6rbds, 1,7pds, 15 d’éval... tout simplement sa meilleure saison en pro) et l’Espagnol Marcos Suka-Umu à l’expérience inestimable vaudra certainement le détour. Réduire la qualité de Jonathan Hoyaux à son adresse à 3-points (aussi exceptionnelle soit-elle, à près de 42% cette saison) serait un peu injuste. Ce qui caractérise en revanche clairement le profil de son adversaire direct ibérique, c’est la polyvalence. Marcos Suka-Umu (11,6pts, 4,1rbds, 5pds par match) est le « deuxième meneur de jeu » du cinq majeur. Il est d’autant plus précieux qu’il a à ses côtés un meneur-scoreur en la personne de Maurice Acker. Les deux joueurs ont aussi montré leur force mentale avec cette capacité à être clutch en fin de match. Ça promet !\\n\\nEn saison régulière : 1-1\\n\\nLille pensait sans doute avoir réalisé un joli coup en s’imposant Halle André-Boulloche fin octobre en l’emportant 69-71, d’autant plus au vu du scénario de la rencontre et alors que les deux équipes étaient déjà au coude à coude en haut de tableau. Menés 49-39 en milieu de 3e quart, les Lillois étaient revenus dans la course grâce à un bon passage de Corey Remekun et deux paniers à 3-points coup sur coup de Maurice Acker. Le match avait fini par basculer en faveur du LMBC après un bon début de 4e quart de Charles Galliou et suite à un ultime 3-points signé Acker, Juwan Staten (20pts, 5rbds, 4pds) manquant ses deux dernières tentatives, à 2 points pour égaliser, puis à 3 pour la victoire.\\n\\nAu retour, Saint-Chamond ne s’est pas privé pour rendre la pareille au club nordiste et s’imposer 58-61, même si le scénario n’a pas été le même. Les hommes d’Alain Thinet avaient fait la course en tête durant toute la partie, comptant 14 points d’avance à la pause (25-39) et encore 13 longueurs en début de 4e quart (39-52). Mais cette fois, ils avaient résisté au retour tonitruant du trio Acker-Suka Umu-Buckles. Le meneur lillois Maurice Acker avait toutefois eu l’occasion d’arracher l’égalisation, mais son tir à 3-points n’avait, cette fois, pas trouvé la cible.\\n\\nCalendrier\\n\\nLille – Saint-Chamond vendredi 25 mai à 20h\\n\\nSaint-Chamond – Lille dimanche 27 mai à 17h\\n\\nBelle éventuelle à Lille mercredi 30 mai\\n\\nVidéo : Jonathan Hoyaux, pas qu’un scoreur\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nRoanne (2e) – Denain (vainqueur de la Leader’s Cup)\\n\\nJay Threatt, meneur de Denain-Voltaire en finale de la Leader’s Cup\\n\\nPas gâtés les Roannais ! Après avoir longtemps cru à une accession directe et titillé Blois solidement accrochés à la première place, la Chorale, qui avait jusque là développé un basket de haut-niveau des deux côtés du parquet, est tombée de haut à trois journées de la fin en s’inclinant à Vichy-Clermont (75-68), laissant les Blésois fêter le titre trois jours plus tard. Un coup dur dont il a été difficile de se relever de l’aveu même du coach, Laurent Pluvy, alors que se profile l’ASC Denain-Voltaire pour le premier rendez-vous des Playoffs en quart de finale. Malmenés sur cette fin de championnat, les coéquipiers de Clément Cavallo ne demeurent pas moins grands favoris de ces Playoffs, à condition de retrouver le jeu déployé durant la majeure partie de la saison.\\n\\nDixièmes du championnat, les Denaisiens, qui auraient assurément terminé plus haut dans la hiérarchie sans les blessures de plusieurs de leurs joueurs cadres, ont arraché leur qualification en remportant la Leader’s Cup en février dernier (98-87 contre Orléans après deux prolongations). Malgré l’absence du poste 4 US Lance Goulbourne (rupture du tendon d’Achille) qui a changé la donne depuis la fin du mois mars, Rémy Valin aura à sa disposition un effectif de grande qualité avec une rotation de 10 joueurs dans laquelle tout le monde a un rôle à jouer. A l’image des deux confrontations en saison régulière, ce duel entre Roanne et Denain pourrait bien se jouer à peu de choses.\\n\\nLes chiffres\\n\\nRoanne : 67,4\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nCrédits photos : Christophe Delrue (Lille), Migue Mariotti (Fos), LNB (Denain), F. Pietrzak (Fabien Romeyer)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde: Déjà 9 000 billets vendus pour Finlande-Islande"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ce qui se passe dans le Groupe F intéresse tout spécialement la France car c’est avec les trois première équipes qu’elle croisera une fois achevée la première phase de ces éliminatoires pour la Coupe du Monde 2019.\\n\\nLa République Tchèque (3 victoires), l’Islande (2), la Finlande (2) et la Bulgarie (1) s’y affrontent et le match qui va opposer Finlandais et Islandais s’annoncent très chaud. Plus de 9 000 billets ont déjà été vendus. La location est donc partie sur les bases du record établi lors de l’EuroBasket 2017 lorsque 12 037 fans avaient pris place dans la Hartwall Arena d’Helsinki.\\n\\n« La prévente est un exemple concret qui démontre que l’engouement suscité par basketball finlandais n’est pas un phénomène éphémère. Nous avons su toucher le cœur des Finlandais et construire quelque chose qui s’inscrit dans la durée, » déclare Ari Olavi Tammivaara, secrétaire général de la fédération finlandaise de basketball, à FIBA.basketball.\\n\\nVainqueurs en février à Reykjavik (76-81), les Islandais peuvent s’attendre à souffrir dans les tribunes et surtout sur le terrain car l’intérieur des Chicago Bulls, Lauri Markkanen (2,13m, 21 ans), Petteri Koponen (Barcelone) et Sasu Salin (Malaga), le trio de leaders de l’été dernier à l’EuroBasket, devrait faire sa première apparition dans les Éliminatoires au cours de cette troisième fenêtre. Les Finlandais se rendront dans un premier temps en République tchèque le 29 juin. Le Nanterrien Jamar Wilson devrait aussi faire partie du roster.\\n\\nPhoto: Lauri Markkanen (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: La mini-movie du Match 3 de la finale Tarbes-Bourges qui donne envie de regarder le match 4"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cet après-midi à 16h30, c’est le Match 4 de la finale des playoffs de Ligue Féminine entre Tarbes et Bourges. Les Tango mènent 2-1. La Ligue Féminine a commandé cette mini-movie réalisée par Julien Bacot sur le Match 3 qui donne envie de regarder le suivant.\\n\\nhttps://www.facebook.com/liguefemininedebasket/videos/10155832301714620/UzpfSTg1NTM1MDg5NjE5OlZLOjEwMTU1ODMyMzAxNzE0NjIw/"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B. Orléans s’impose au bout du suspense !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La première soirée des Playoffs d’accession de Pro B a été riche en émotions avec des scénarios renversants sur tous les parquets, une expulsion et une victoire en prolongation à la dernière seconde du côté d’Orléans qui s’impose sur le fil grâce à deux paniers de Kyle McAlarney pour venir à bout d’une équipe de Rouen toujours aussi surprenante (112-110) et emmenée par un Obi Emegano auteur de 47 points !\\n\\nA l’image de leur saison, les Rouennais, menés 27-20 après 10 minutes ont réussi à revenir dans le match en passant 27 points à l’OLB dans le 2e quart dans le sillage d’un Obi Emegano déjà chaud (15pts à 6/8). Mais la suite allait être encore plus folle. Dominateurs au rebond malgré la bonne prestation du duo Sommerville-Prénom (25 prises à 16 à la mi-temps), les hommes d’Alexandre Ménard n’ont pas baissé le pied, s’appuyant par séquence sur leur arrière nigérian en fusion. Devant au score une grande partie du match, Rouen a pourtant bien failli se faire sanctionner dans les dernières secondes après un ultime rush mené par Kyle McAlarney, Malela Mutuale et Marcellus Sommerville. Mais ce dernier, au moment de porter le coup fatal, a raté un lancer qui a ensuite permis à Emmanuel Monceau d’envoyer les deux équipes en prolongation (94-94). Dans une ambiance insoutenable, les deux équipes ont enchaîné les actions décisives. Mais entre McAlarney et Emegano, c’est l’arrière américain qui a eu le plus de sang-froid en allant conclure deux lay-ups au milieu des grands, tandis qu’Emegano a manqué son un contre un face à Sommerville avant de servir Rémi Dibo dans une situation compliquée en fin de possession, sans succès. Obi Emegano a bien eu une chance de se racheter d’un 3 points à la dernière seconde, mais c’est bien Orléans qui s’est imposé, 112-110 à l’issue d’un match complètement fou.\\n\\nLe panier de la victoire pour Orléans\\n\\nPiqués au vif, Roanne, Lille et Fos-sur-Mer en réaction\\n\\nSur les autres parquets, Roanne a dû s’employer pour s’imposer 68-60 face à Denain-Voltaire. Alors que les Dragons denaisiens avaient bien entamé la partie, les Roannais ont pu s’appuyer sur David Jackson (14pts de ses 20pts à la mi-temps, à 5/6 au tir) pour revenir, laissant ensuite Pierre Brun remettre son équipe devant au score (21-20). Derrière, Jackson a poursuivi son festival avec deux paniers à 3 points avant de laisser conclure Mathis Keita, également de loin, offrir 6 longueurs d’avance aux siens à la pause. Au retour des vestiaires, le duo Jackson-Brun a continué de faire des misères à Denain afin de rester en tête à 10 minutes de la fin (50-45). Solides jusqu’au bout, les locaux ont gardé la maîtrise du match, notamment grâce à Thomas Ville et à un Ben Mbala impérial.\\n\\nLille aussi a été malmené sur son parquet en encaissant un 14-1 retentissant en 2e quart-temps alors qu’ils avaient bien attaqué le match (20-11). Jonathan Hoyaux, Andreja Milutinovic et Mohamed Queta s’en sont donné à coeur-joie de loin pour inverser la tendance et faire passer les hommes d’Alain Thinet devant (21-29), un avantage qu’ils ont su conserver jusqu’à la pause même si Rakeem Buckles, Thomas Ceci-Diop et Maurice Acker avaient ramené l’écart avant la pause (33-35).\\n\\nCe contre-temps a eu le mérite d’énerver les Lillois qui sont passés à la vitesse supérieure dès le retour des vestiaires en alignant un 28-8 dans le 3e quart afin de mettre définitivement Saint-Chamond dans les cordes. Cette fois, c’est Marcos Suka Umu qui a sonné la révolte avec trois paniers derrière l’arc qui ont contribué à saler l’addition (61-43 après trois quart-temps) et à laisser le SCVGB à 16 longueurs à la fin du match (81-65).\\n\\nLe panier du match signé Charles Galliou-Loko, derrière la planche !\\n\\nA Fos-sur-Mer aussi, il y a eu de la tension, un poil trop même puisque les débats ont failli dégénérer entre le Fosséen Jordan Aboudou et les Nancéiens Gaëtan Clerc et DeWayne Russell. Alors qu’il venait de postériser coup sur coup Bastien Vautier puis Alexandre Chassang pour faire repasser les siens devant après une entame difficile (29-28), l’ancien monégasque s’est ensuite illustré en recevant deux techniques coup sur coup au retour des vestiaires. Une première pour avoir protesté sur une décision arbitrale après avoir reçu un coup involontaire au visage de la part de Gaëtan Clerc, et la seconde dans la foulée suite à une double-technique à destination des deux protagonistes, synonyme d’éjection pour Aboudou. Ce dernier, lancé en pro par Greg Beugnot à Chalon il y a presque 10 ans, est alors entré dans une colère noire et il a fallu toute la technique de travail au corps du manager sportif du club et ancien pivot Mohamed Sy (2,03) pour obliger Aboudou à rejoindre le vestiaire.\\n\\nCe fait de jeu n’a pas empêché Fos-sur-Mer de poursuivre sur sa dynamique. En s’appuyant sur leur défense (18 balles perdues provoquées) et leur jeu de contre-attaque, les coéquipiers d’un Pierre Pelos en grande forme pour son premier match de Playoffs en Pro B (19pts, 7rbds) ont maintenu une grosse pression pour l’emporter 77-62.\\n\\nMatchs retour\\n\\nDimanche 27 mai\\n\\nSaint-Chamond – Lille à 17h\\n\\nDenain – Roanne à 18h\\n\\nNancy – Fos-sur-Mer à 18h\\n\\nLundi 28 mai\\n\\nRouen – Orléans à 20h"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans tombe Villeurbanne à l’Astroballe, 72-67, et s’offre une belle"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il y aura une belle dimanche à Antarès. Sans Romeo Travis suspendu mais avec un Youssoupha Fall en pleine possession de ses moyens (16 points à 8/11, 8 rebonds) et un Chris Lofton qui a retrouvé son adresse légendaire après une longue traversée du désert suite à une entorse à la cheville (20 points à 6/11 à trois-points), Le Mans a remporté, 72 à 67, le Match 2 à l’Astroballe. Les Villeurbannais ont trop systématiquement cherché les shoots à trois-points et largement failli (8/30) surtout Justin Harper (1/11!).\\n\\nEn mode commando, le MSB est rentré tambour battant dans ce Match 2 contrairement au premier: 13-2 puis 20-11 à la fin du premier quart-temps avec 8 points et 3 rebonds d’un Youssoupha Fall visiblement pas ou peu enquiquiné par ses genoux. De quoi chatouiller l’orgueil des Villeurbannais qui avec une défense barbelés infligèrent alors un 12-0 aux Manceaux pour égaliser à 23 (13e). Ce sera un match de séries. Le sort du secteur intérieur sarthois ne s’arrangeait pas avec la sortie sur blessures légères de Will Yeguete puis de Yous Fall mais elles n’étaient que temporaires.\\n\\nL’ASVEL usait et abusait des tirs à trois-points, une majorité ouverts, pour en transformer seulement 3/15 en 20′. C’est son activité au rebond offensif (9 en 20′) qui lui permettait de compenser un peu. Malgré tout, sur une nouvelle poussée le MSB reprenait le large, 37-27. Justin Cobbs faisait apprécier la justesse de ses passes (6) et DJ Stephens ses bonds de Marsupilami (6 rebonds).\\n\\nL’intensité était enfin égale dans les deux camps pour la première fois de ce quart-de-finale. Le Mans tenait bon grâce à la maîtrise de Justin Cobbs jusqu’en fin de troisième quart-temps où l’ASVEL passait en tête sur une série de 11-0 et un dunk de mammouth de Charles Kahudi (48-46, 28e). Les Manceaux, une fois de plus, s’énervaient contre les arbitres... Mais Chris Lofton de trois paniers longue distance leur donnait cinq points d’avance après 32′ (58-50). En plus, c’était la 4e faute de DeMarcus Nelson, qui avait jusqu’alors la meilleure évaluation de l’ASVEL (20). ll y avait beaucoup de va-et-vient infructueux.\\n\\nLe Mans avait encore une bonne petite avance à 5 minutes du buzzer (64-57) grâce à un Chris Lofton toujours en feu. Mais AJ Slaughter/John Roberson à trois-points et une contre-attaque conclue par David Lighty redonnaient l’avantage à l’ASVEL en un clin d’oeil (65-64).\\n\\nTout s’est joué au finish et c’est Le Mans qui a su sprinter avec un trois points de DJ Stephens dans l’axe, un dunk de Youssoupha servi parfaitement par Justin Cobbs et un lancer de ce même Cobbs.\\n\\nVoir le match ici.\\n\\n\\n\\n\\nBartecheky: «on a réalisé une bonne prestation collective. Mais le plus dur reste à faire. On n’a jamais paniqué à chaque fois que l’Asvel est revenue. Et la présence de Fall change tout» #ASVELMSB\\n\\n\\n— OBUZZER (@O_buzzer) May 25, 2018\\n\\nPhoto: MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jo Passave-Ducteil (Nanterre): «Strasbourg ne m’a pas impressionné»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A quelques heures du Match 2 de quart-de-finale de playoffs de Jeep Elite entre Nanterre et Strasbourg, le pivot des Hauts-de-Seine Jo Passave Ducteil montre qu’il n’a pas peur de la SIG dans les colonnes du Parisien.\\n\\n« Perdre de 1 point ou de 30, ça ne change rien, poursuit l’intéressé. On doit gagner deux matchs pour aller en demie, c’est toujours le cas. Psychologiquement, on en a pris une bonne (sic). On est une équipe de gentils gars mais, à un moment donné, il faut se réveiller, réagir. On doit répondre au défi physique, ce qu’on n’a pas su faire à l’aller. Gagner, on peut le faire. Chez nous, on peut battre n’importe qui. Ce sont des matchs excitants à jouer. Strasbourg ne m’a pas impressionné. Si on parvient à tenir quatre quarts-temps au lieu de deux, il y a des démons qui peuvent remonter à la surface chez eux. On n’a rien à perdre. Si, en 2013, on avait pensé qu’on allait perdre, on ne serait jamais devenus champions de France. »\\n\\nRappelons que Strasbourg s’est tout de même imposé 83-56 lors du Match 1 après avoir mis le feu au Rhénus en deuxième mi-temps.\\n\\nPhoto: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans: Romeo Travis ne jouera pas ce soir contre Villeurbanne"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour avoir proféré des propos injurieux aux arbitres lors du match de saison régulière à Cholet, Romeo Travis (2,01m, 33 ans) avait été suspendu un match ferme. Le MSB avait fait appel et obtenu que son intérieur américain puisse jouer le Match 1 de quarts-de-finale de playoffs contre l’ASVEL mais la sanction a été confirmée et c’est pour le Match 2 à l’Astroballe que Travis sera absent. Un préjudice d’autant plus important que le pivot Youssoupha Fall souffre d’un genou et n’a joué que deux minutes lors de la défaite du MSB à Antarès, 68-81.\\n\\nPhoto: MSB\\n\\n\\n\\n\\nSUSPENSION CONFIRMÉE POUR ROMEO 📝\\nLe @MSB_Officiel a été informé ce vendredi 27 mai à 12h00 de la confirmation par la Chambre d’appel de la @ffbasketball de la sanction prononcée à l’encontre de Roméo TRAVIS : 1 match de suspension ferme qui s'applique ce soir. pic.twitter.com/7rSmBHhWbS\\n\\n\\n— MSB_Officiel 🦁 (@MSB_Officiel) May 25, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Nemanja Bjelica impatient de retrouver la sélection serbe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Absent des Jeux de Rio 2016 et de l’EuroBasket 2017 pour cause de blessures, Nemanja Bjelica (2,08m, 30 ans) compte les jours depuis la fin de saison NBA, terminée au premier tour des Playoffs pour son équipe des Wolves de Minnesota (défaite 4-1 contre les Rockets de Houston). Le poste 3-4 trentenaire se prépare à une échéance qu’il attend avec impatience, retrouver la sélection serbe à l’occasion de la 3e fenêtre internationale pour disputer les deux derniers matchs de la première phase qualificative à la Coupe du Monde 2019.\\n\\nL’Allemagne dans le viseur, un bon souvenir\\n\\nDans la lignée de nombreux témoignages de ses coéquipiers dont Milos Teodosic, Nemanja Bjelica voue un amour sans faille pour la sélection.\\n\\n« Jouer avec l’équipe nationale est très important et j’aime vraiment y être. Alors oui, j’aimerais aider mes coéquipiers à avoir plus de victoires cet été et à participer au deuxième tour (des éliminatoires de la Coupe du monde) dans la meilleure dynamique », a-t-il déclaré. Nous avons un match difficile en Géorgie (29 juin), une équipe qui est difficile à battre sur son sol et une dernière à domicile contre l’Allemagne (2 juillet). C’est un match qui peut changer la donne, car c’est une sorte de une finale pour la première place du groupe. »\\n\\nAprès avoir remporté ses deux premiers qualificatifs contre l’Autriche et la Géorgie en novembre, la Serbie a vécu un épisode plus difficile en février dernier (défaite 79-74 en Allemagne avant de s’imposer de justesse en Autriche, 81-82). Le prochain rendez-vous face aux Allemands aura donc une grande importance, et pas seulement d’un point de vue sportif. Ce qui motive Nemanja Bjelica, c’est de retrouver la chaude ambiance des matchs de l’équipe nationale à domicile\\n\\n« Nous savons tous comment les Serbes aiment leur équipe nationale et le basketball, donc chaque match à la maison est une expérience unique.J’aime jouer à la maison et je suis impatient de le faire à nouveau, car être soutenu par des milliers de fans est la meilleure des expériences. Cette unité autour de l’équipe nationale nous donne beaucoup d’énergie supplémentaire ».\\n\\nPour ce grand rendez-vous, le joueur formé au Partizan pourra s’inspirer de son dernier match face à l’Allemagne. C’était lors de l’EuroBasket 2015 en phase de groupes, et Bjelica avait marqué le panier de la victoire à la dernière seconde (68-66).\\n\\nGagner un titre majeur, l’ambition de toute une génération\\n\\nL’idée, avec cette sélection à la génération si talentueuse mais encore privée de titre majeur, c’est aussi de se projeter avec ambition sur la suite des événements.\\n\\n« C’est bien d’avoir gagné quelques médailles ces dernières années (trois médailles d’argent à la Coupe du Monde 2014, aux JO de 2016 et à l’EuroBasket 2017) et d’avoir montré au monde que la Serbie est de retour parmi les meilleures équipes du monde. Mais nous avons encore beaucoup de progrès à faire et nous en voulons toujours plus. Nous devons nous qualifier pour la Chine en 2019. Notre objectif est de continuer à gagner et d’être compétitifs, nous avons du talent et nous sommes ambitieux, nous voulons atteindre le plus haut niveau possible et nous battre pour les médailles et les titres. On a de belles années devant nous, j’ai hâte d’y être »."
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Une moyenne de 6 294 spectateurs en ACB, un record depuis six saisons"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La ligue espagnole ACB, a frôlé cette saison le cap des deux millions de spectateurs. Ce sont exactement 1 926 104 spectateurs qui ont assisté aux matches, soit 215 947 de plus que la saison dernière (1 710 157), où la ligue ne comptait que 17 équipes au lieu de 18. La moyenne est donc de 6 294 pour les 306 matches, ce qui constitue le record de fréquentation depuis six saisons.\\n\\nPar ailleurs, les 306 matches de saison régulière ont généré 50 051 points, une borne qui n’avait pas été atteinte depuis 22 ans. Les 100 points ont été dépassés 43 fois, ce qui n’était pas arrivé depuis la saison 1995-1996.\\n\\nLe championnat 2017-18 a surpassé le record de paniers à trois-points marqués dans une saison, avec 5 461 pour 5 265 il y a deux saisons."
}, 
{"role": "user",     "content":"Israël : accord trouvé, le championnat repart"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Winner League (première division du championnat israëlien) va reprendre ses droits et ce au lendemain de la grève annoncée par les joueurs après cinq jours de négociations houleuses avec les dirigeants de la ligue. Le conseil d’administration de la ligue a approuvé ce matin le protocole d’entente conclu avec l’organisation des joueurs durant la nuit.\\n\\nLe conflit portait sur plusieurs points : la présence d’un certain nombre de joueurs israéliens dans l’effectif (deux de moins de 22 ans et un de 25 ans) ainsi que l’obligation d’avoir toujours deux joueurs israéliens sur le parquet pendant les matchs. La question du nombre de joueurs étrangers, de plus en plus nombreux et donc au détriment de la formation de joueurs locaux, avait également été soulevée.\\n\\nDevant le fait accompli et alors que la fin de saison s’était brutalement achevé, les dirigeants de la ligue et du Ministère de la Culture et des Sports ont fait le nécessaire pour débloquer la situation. C’est Shmuel Frenkel, le président de la Winner League, qui a annoncé la bonne nouvelle ce matin, à savoir la reprise du championnat.\\n\\n« Je vous ai dit hier que j’avais vécu les pires jours de mon existence, aujourd’hui c’est l’un des jours les plus heureux de ma vie », a-t-il déclaré visiblement soulagé de voir le conflit prendre fin alors que l’accord sera signé par toutes les parties prenantes en début d’après-midi. « Je voudrais remercier la ministre de la Culture et des Sports, Miri Regev, et le directeur général du ministère, Yossi Sharabi. Nous avons conclu un accord avec l’organisation, a-t-il ajouté. Je voudrais féliciter l’organisation des joueurs et les joueurs eux-mêmes pour avoir mis fin à la grève et trouvé la solution hier à 4h45 du matin. Je voudrais également remercier le président de la Histadrout (premier syndicat des travailleurs du pays), Avi Nissenkorn. Je pense que sans lui, nous n’aurions pas réussi ».\\n\\nLa règle (appelé « Russian rule »), mise en place il y a cinq ans selon laquelle chaque équipe devait obligatoirement avoir deux joueurs israéliens en permanence sur le parquet ne serait plus menacée. L’accord porterait davantage sur le nombre de joueurs étrangers et la mise en place d’une compensation financière pour les équipes qui en limitent l’usage.\\n\\nConcrètement, l’accord qui sera mis en place la saison prochaine est le suivant : chaque équipe aura le droit d’enregistrer jusqu’à six étrangers. L’équipe qui n’en inscrira que quatre recevra une subvention de 250 000 Shekels (environ 60 000euros), tandis que ceux qui en utiliseront six seront tenus de verser une compensation financière dont le montant reste inconnu et qui profitera aux équipes qui jouent le jeu de la formation.\\n\\n« Tout ce que nous avons fait était pour les fans, a ajouté Shmuel Frenkel. Nous voulions améliorer le joueur israélien et agir en sa faveur, il est le centre du jeu. Nous sommes venus apporter aux supporters un niveau de jeu plus élevé (...) . Je suis sûr que les fans reviendront »\\n\\nLe Maccabi Tel Aviv, engagé en EuroLeague (photo), sera l’un des clubs les plus impactés par cette décision. Le président de la Ligue a par ailleurs confié que des « divergences d’opinion » demeuraient sur la question au sein du club six fois champion d’Europe et champion d’Israël à 51 reprises. Shmuel Frenkel a également cité en exemple des équipes comme le Maccabi Ashdod ou l’Hapoel Jerusalem qui évoluent régulièrement avec trois voire quatre joueurs israéliens avec succès.\\n\\nLa 33e journée du championnat se déroulera ce dimanche à 20h45. L’Hapoel Holon et le Maccabi Tel Aviv sont toujours en tête (22v-10d). Les Playoffs et donc les quarts de finale (au meilleur des cinq manches) débuteront mardi prochain. Le Final Four débutera, comme prévu initialement, le 11 juin prochain.\\n\\n\\n\\n\\nצפו בשידור: המנהלת במסע»ת לסיום השביתה\\n\\nצפו: 📷 https://t.co/qcULBVAjAZ pic.twitter.com/fRPZX1jW5V\\n\\n\\n— Sport5 (@sport5il) 25 mai 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Trophée du Futur en intégralité sur DailyMotion"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Trophée du Futur réuni les 8 meilleures équipes Espoirs de Jeep Elite (U21) à l’Azurarena d’Antibes du 25 au 27 mai, avec une formule à élimination directe.\\n\\nLa LNB propose de suivre l’intégralité de la compétition en live.\\n\\nQuarts de finale\\n\\nVendredi 25 mai\\n\\n * 13h00 : Chalon-sur-Saône vs Nanterre 92\\n * 15h30 : Gravelines-Dunkerque vs Monaco\\n * 18h00 : Cholet vs Lyon-Villeurbanne\\n * 20h30 : Strasbourg vs Antibes\\n\\nDemi-finales\\n\\nSamedi 26 mai\\n\\n * 18h00 : Vainqueur Chalon-sur-Saône / Nanterre 92 vs Vainqueur Gravelines-Dunkerque / Monaco\\n * 20h30 : Vainqueur Cholet / Lyon-Villeurbanne vs Vainqueur Strasbourg / Antibes\\n\\nFinale\\n\\nDimanche 29 mai"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview : François Gomez (Tarbes) : «On n’a jamais annoncé que l’on sera champion de France mais on défendra chèrement notre peau»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Tarbes Gespe Bigorre est en finale des playoffs face au Tango Bourges Basket. Ce soir les Violettes tenteront de gagner un match au Quai de l’Adour pour éviter un coup de balai, 0-3. Quoiqu’il en soit, leur saison est admirable. Personne ne les imaginait aller si loin dans la compétition en infligeant à Villeneuve d’Ascq et Charleville deux manches sèches à zéro.\\n\\nA l’origine de cette success story, le coach François Gomez, 58 ans, qui a été élu Entraîneur de l’Année neuf ans après son premier trophée.\\n\\nAujourd’hui, il nous parle de la finale et de l’avenir de son équipe. Demain, il évoquera sa carrière avec une premier chapitre au TGB et aussi son expérience en tant que sélectionneur de l’équipe de Suède.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nSur les deux premiers matchs, Bourges a donné l’impression d’un bloc indestructible, fort en défense et avec plein de solutions en attaque. C’est aussi l’impression vue du banc ?\\n\\nJ’essaye d’être pragmatique. On doit jouer cette finale avec l’espoir de gagner. Ceci étant, force est de constater que l’adversaire est d’un niveau supérieur. Le niveau de jeu global de Bourges offensif et défensif est celui d’une équipe d’Euroleague. Toutes les joueuses qui la composent ont fait ou font du très haut niveau. Elles sont dans des équipes nationales et généralement sur les podiums. Bourges a repris le leadership du basket féminin et puis il y a les autres. Je constate que lors de la demi-finale à Lyon, elles ont aussi gagné de vingt points. Elles ont beaucoup de ressources offensives, des joueuses cadres qui sont à leur meilleur niveau. Je pense à Marine Johannès et Valériane Ayayi mais aussi à Diandra Tchatchouang qui dans toute sa discrétion est magnifique dans ce qu’elle fait. Elles sont au sommet de leur art, c’est tant mieux pour le basket français et c’est de bon augure pour le mois de septembre (NDLR : Coupe du Monde en Espagne). Je pense aussi à la maitrise en marchant de Laia Palau et je rappelle que c’est encore une des meneuses de l’équipe espagnole qui est sur tous les podiums mondiaux, même si elle a décidé de passer la main. Même si le secteur intérieur paraît moins bien, on connaît le palmarès d’Elodie Godin, la qualité de l’internationale Katherine Plouffe, Alexia Chartereau est un futur poste 4 de très haut niveau. Au basket contrairement au foot, on ne peut pas défendre à onze derrière, attendre qu’il y ait une opportunité pour jouer une contre-attaque et marquer le seul but de la partie. Au basket, généralement c’est le meilleur qui gagne. On n’a jamais annoncé que l’on sera champion de France mais on défendra chèrement notre peau. Bourges n’a jamais été aussi près d’un nouveau titre de champion de France. Mais là on joue à la maison pour peut-être pas la gagner mais réussir cette finale. On ne l’a pas trop fait sur les deux premiers matchs à Bourges. On a réussi des parties de match comme notre entame lors du deuxième match mais où on a craqué malheureusement à une minute de la pause. Ça peut rassurer des gens qui se demandent ce qu’on fait là. Cette fois, on joue à la maison, on a fait une superbe saison et on a toujours envie de créer des problèmes. Mais à côté de ça, on est loin de ce que propose aujourd’hui une équipe comme Bourges.\\n\\nVous espérez que le fait de jouer à domicile va galvaniser votre équipe, lui faire oublier la fatigue, le fait qu’il y a des rotations moins fortes ?\\n\\nQuelqu’un m’a dit, toi tu joues avec une équipe et elles, elles ont en deux. Peut-être, c’est comme ça. Elles ont la possibilité d’avoir dix ou onze joueuses d’un niveau équivalent. Et ce ne sont pas que les rotations, on peut aussi comparer les Cinq Majeurs. Nous on a de très bonnes joueuses sur le territoire, on a fait une bonne saison, mais Bourges a une très bonne équipe d’Euroleague.\\n\\nEt elles sont toutes en bonne santé, il n’y a pas de blessées, au point qu’elles ont deux meneuses espagnoles au lieu d’une en début de saison ?\\n\\nOui, la pigiste c’est Laia Palau et on la garde ! Et derrière il y a KB Sharp, moi je la prends tout de suite, KB Sharp ! Je ne veux pas comparer ce qui n’est pas comparable. On ne compare pas l’effectif des Herbiers ou même celle de Lille avec celui du PSG. On verra demain soir (NDLR : ce soir) mais on doit pouvoir réussir ce troisième match et si on le réussit vraiment bien, pourquoi ne pas envisager de faire une deuxième partie chez nous, ce qui serait magnifique ? Il y a le public mais je ne crois pas que ça va galvaniser les filles. A quel moment peut-on reprocher aux Tarbaises de ne pas avoir tout donné lors des deux premiers matchs ? C’est pour ça qu’il y a de la frustration, de la déception, que l’on est un peu groggy, c’est que l’on est dans une situation sans solution. Ce qui s’est passé n’est quand même pas bon pour le moral (sourire). Mais je pense que l’on peut faire mieux demain. Des filles sont passées beaucoup à côté lors des deux premiers matchs, certaines découvrent le truc et se disent qu’il faut qu’elles en fassent un peu plus. La prise de conscience est faite. Je suis convaincu que demain mes joueuses vont montrer un autre visage.\\n\\n« Aby Gaye est au centre du projet tarbais »\\n\\nPrenons un cas particulier, celui de l’Américaine Angie Bjorklund, qui est passée à travers les deux premiers matchs puisqu’elle en est à 3,5 points à 3/11 en deux matchs, mais surtout l’aviez eu à Perpignan, elle était entrée ensuite dans le staff de l’université de Gonzaga, et elle a accepté trois ans plus tard de rejouer pour vous à Tarbes ?\\n\\nEn fait, elle sortait d’université avec un titre NCAA avec Tennessee, elle est venue jouer en Israël, et à 23 ans, elle était à Perpignan. Elle fait une saison et en fait son projet post-basket c’est l’accompagnement psychologique, le coaching auprès de jeunes basketteuses et basketteurs et elle a commencé ce boulot-là. Elle n’a pas joué au basket pendant trois saisons. Et puis, la saison dernière, quand j’ai fait venir Aby Bishop qui avait joué avec elle à Perpignan -elles étaient très copines-, c’est elle qui m’a recontacté en me disant : « je vois bien que tu es en difficulté, si tu veux, je reviens, ce n’est pas un problème d’argent ». Quand j’ai entendu ça, j’ai tout de suite sauté dessus, l’année dernière on en n’avait pas. Je lui ai proposé de faire une année en plus et elle a relancé sa carrière puisqu’on sait aujourd’hui qu’elle a signé à Villeneuve d’Ascq qui est un des gros clubs français. Elle est repartie pour quelques saisons de basketteuse alors que sa reconversion est déjà entamée.\\n\\nIl y a deux joueuses qui ont fait d’importants progrès. La première c’est Aby Gaye qui est annoncée depuis quelques saisons comme la future Isabelle Yacoubou mais qui est à chaque fois recalée en équipe de France ?\\n\\nQuand elle arrive ici elle n’a que 22 ans et je sais que pour les joueuses de grande taille, pour avoir eu Helena Ciak et Isabelle Yacoubou, elles émergent bien après. Quand on est champion, Isa a 24 ans. Tout ce qu’elle fait au niveau international c’est après. Helena Ciak émerge beaucoup plus tard. Aby Gaye est un prospect énorme mais elle est arrivée comme jeune joueuse à Toulouse, elle n’a pas joué, à Villeneuve d’Ascq, elle a peu joué, elle était dans les rotations. Là, elle est au centre du projet tarbais avec un deal, « tu viens, tu t’entraînes et tu joues et en contre-partie, tu progresses et tu fais gagner l’équipe. » Ce n’est pas la seule mais sans elle, on n’en serait pas là. C’est un pivot incontournable avec encore de gros apprentissages à effectuer. Elle y travaille sur les aspects techniques, physiques et mentaux. Elle a fait de très gros progrès de janvier jusqu’à maintenant et là, elle se retrouve dans une situation compliquée. Pourquoi ? En face, Elodie Godin est une joueuse d’expérience qui lui fait des misères. Quand elle a le ballon, il y a deux ou trois filles sur elle. Cela prouve tout le respect que Olivier Lafargue lui apporte. Il ne la laisse pas dans des situations de un-contre-un. A elle de gérer ces situations pour ne pas être frustrée. Elle a fait notamment deux fautes de frustration, elle a mis un moment un coup de coude dans la tronche de (Valériane) Ayayi. Pareil de l’autre côté avec Elodie Godin. Mais à mes yeux, elle est dans les années à venir le futur pivot de l’équipe de France si son évolution reste sur la même courbe ascendante. C’est quelqu’un d’intelligent, brillant, qui a de la personnalité, qui travaille.\\n\\nLa deuxième, c’est Adja Konteh, qui a obtenu sa première sélection en février contre la Slovénie et qui montre dans ces playoffs qu’elle a beaucoup de culot ?\\n\\nJe la connais depuis qu’elle a 11-12 ans, c’est sa troisième année chez nous, elle a re-signé. J’ai un lien affectif avec elle et c’est pour ça que l’on s’engueule souvent. On a du tempérament, de la personnalité. Il y a trois ans, elle revenait d’une grave blessure et personne ne voulait d’elle, c’est pour ça qu’elle s’est retrouvée en Ligue 2. Je crois qu’elle avait besoin de confiance et je lui ai toujours assuré qu’elle avait quelque chose qui l’amènerait vers le plus haut niveau, c’est-à-dire l’équipe nationale. Elle m’a cru. Elle a du culot et surtout des choses que l’on ne voit pas beaucoup chez les filles : ce tir en suspension à trois-quatre mètres, cette agressivité, cette vitesse, ce mental de compétitrice. C’est pour ça qu’elle est ma capitaine et qu’elle fait très bien le travail. Elle a un discours toujours conquérant, quelque fois elle est capable de remuer dans les brancards avec les copines. Elle est devenue une joueuse mature sur et en dehors du terrain. Elle est belle à voir jouer, c’est une belle athlète et en plus elle fait des choses de grande esthétique et d’une grande efficacité qui lui a valu une sélection en équipe de France. Je vois Marine Johannès qui est de l’ordre de l’exception et Adja est juste derrière elle. C’est une joueuse qui est faite pour le haut niveau avec des jump shoots, de l’agressivité, de la capacité à défendre, un mental. On a la chance d’avoir une vraie internationale au TGB.\\n\\n« On est dans la moyenne basse des budgets et quand on propose à Michelle Plouffe après la saison qu’elle vient de faire un salaire plus intéressant, évidemment ça l’attire »\\n\\nVous conservez Aby Gueye et Adja Konteh mais Michelle Plouffe sera la saison prochaine à l’ASVEL, Angie Bjorklund à Villeneuve d’Ascq, Ana Suarez à Nantes. Quand on est finaliste du championnat, on pourrait croire que l’on peut conserver ses meilleures joueuses mais en fait vous n’avez pas les ressources financières qui vous le permettent ?\\n\\nC’est la rançon du succès. Si l’équipe gagne, c’est que l’on a de bonnes joueuses et celles-ci à un moment intéressent d’autres équipes. Christelle Diallo va aussi à Villeneuve, qui est champion de France en titre et qui va peut-être jouer l’Euroleague. C’est un club qui a des ressources économiques que nous n’avons pas et un club qui ces dernières années a gagné. Alors que nous, ces dernières années, on n’a pas trop gagné et cette année on a juste gagné le droit d’être en finale. On est dans la moyenne basse des budgets et quand on propose à Michelle Plouffe après la saison qu’elle vient de faire un salaire plus intéressant, évidemment ça l’attire. En plus cette année, ça été très particulier. Tout le monde s’est mis à la chasse, au recrutement dès janvier. Et nous on n’était pas du tout prêt à cette période-là, on ne savait pas si on allait jouer les playdowns, les playoffs, être européen l’année d’après et donc on ne savait pas quel budget on allait avoir. Aussi on n’a pas pu négocier avec les joueuses au moment où il y a eu appel d’offres.\\n\\nLa période de recrutement a commencé encore plus tôt que d’habitude ?\\n\\nOui, en janvier. Quand je discute avec mes collègues masculins, ça n’a presque pas encore commencé. L’Espagnole ça s’est fait très tôt. Nous, on savait qui on voulait garder mais on ne pouvait pas l’affirmer à 100% et surtout pas parler argent. On était sur le budget de la saison précédente qui était petit et on ne pouvait pas se projeter sur un budget plus important alors qu’il est évident qu’avec les résultats que l’on a eu depuis, une salle pleine, plus de partenaires, c’est différent. En plus le contexte local nous est favorable avec un rugby en souffrance, un football inexistant, et les garçons de N1 qui ont fait une saison très moyenne. Le TGB a repris le leadership. On aura donc plus d’argent. Si on pouvait négocier aujourd’hui, on pourrait peut-être garder ces joueuses-là ou du moins leur faire des propositions que l’on ne pouvait pas leur faire à l’époque. Il y a aussi Naomie Mbandu qui part aux Etats-Unis. On garde trois joueuses : Tima Pouye, Aby Gaye et Adja Konteh.\\n\\nQuelle coupe d’Europe ferez-vous l’année prochaine ?\\n\\nL’Eurocup. C’était l’objectif pour la saison prochaine et puis l’opportunité s’est présentée. On a fait les comptes et on a dit ‘on y va !’ car c’est bien pour une ville comme Tarbes de la faire.\\n\\nVous n’êtes donc pas qualifié pour l’Euroleague en tant que finaliste des playoffs ?\\n\\nIl y a deux places qui sont octroyées pour l’Euroleague, sûres. Une au champion de France et l’autre au vainqueur de la Coupe de France. Et le premier de la saison régulière s’il y a une troisième place. Si c’est Bourges dans les trois cas, c’est Charleville en tant que deuxième de la saison régulière. Et s’il y a une troisième place, ils iront cherché Villeneuve d’Ascq, le troisième de saison régulière. Etre finaliste n’apporte rien du tout.\\n\\nA suivre\\n\\n[armelse]\\n\\nSur les deux premiers matchs, Bourges a donné l’impression d’un bloc indestructible, fort en défense et avec plein de solutions en attaque. C’est aussi l’impression vue du banc ?\\n\\nJ’essaye d’être pragmatique. On doit jouer cette finale avec l’espoir de gagner. Ceci étant, force est de constater que l’adversaire est d’un niveau supérieur. Le niveau de jeu global de Bourges offensif et défensif est celui d’une équipe d’Euroleague. Toutes les joueuses qui la composent ont fait ou font du très haut niveau. Elles sont dans des équipes nationales et généralement sur les podiums. Bourges a repris le leadership du basket féminin et puis il y a les autres. Je constate que lors de la demi-finale à Lyon, elles ont aussi gagné de vingt points. Elles ont beaucoup de ressources offensives, des joueuses cadres qui sont à leur meilleur niveau. Je pense à Marine Johannès et Valériane Ayayi mais aussi à Diandra Tchatchouang qui dans toute sa discrétion est magnifique dans ce qu’elle fait. Elles sont au sommet de leur art, c’est tant mieux pour le basket français et c’est de bon augure pour le mois de septembre (NDLR: Coupe du Monde en Espagne). Je pense aussi à la maitrise en marchant de Paulau et je rappelle que c’est encore une des meneuses de l’équipe espagnole qui est sur tous les podiums mondiaux, même si elle a décidé de passer la main. Même si le secteur intérieur paraît moins bien, on connaît le palmarès d’Elodie Godin, la qualité de l’internationale Katherine Plouffe, Alexia Chartereau est un futur poste 4 de très haut niveau. Au basket contrairement au foot, on ne peut pas défendre à onze derrière, attendre qu’il y ait une opportunité pour jouer une contre-attaque et marquer le seul but de la partie. Au basket, généralement c’est le meilleur qui gagne. On n’a jamais annoncé que l’on sera champion de France mais on défendra chèrement notre peau. Bourges n’a jamais été aussi près d’un nouveau titre de champion de France. Mais là on joue à la maison pour peut-être pas la gagner mais réussir cette finale. On ne l’a pas trop fait sur les deux premiers matchs à Bourges. On a réussi des parties de match comme notre entame lors du deuxième match mais où on a craqué malheureusement à une minute de la pause. Ça peut rassurer des gens qui se demandent ce qu’on fait là. Cette fois, on joue à la maison, on a fait une superbe saison et on a toujours envie de créer des problèmes. Mais à côté de ça, on est loin de ce que propose aujourd’hui une équipe comme Bourges.\\n\\nVous espérez que le fait de jouer à domicile va galvaniser votre équipe, lui faire oublier la fatigue, le fait qu’il y a des rotations moins fortes ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: François Gomez (FIBA), Aby Gaye et Tima Pouye (Bellenger/FFBB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Articles de la semaine"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"BasketEurope vous propose chaque semaine l’essentiel de l’actualité du basket français et européen, voici une sélection des articles qui ont marqué cette semaine :\\n\\n 1.  Les chiffres, les faits, les duels à suivre, l’avis de Claude Bergeaud: Les quarts-de-finale de Jeep Elite au microscope\\n 2.  Dossier Pro B – Preview Playoffs d’accession : huit candidats, un seul vainqueur\\n 3.  Interview : François Gomez (Tarbes) : « On n’a jamais annoncé que l’on sera champion de France mais on défendra chèrement notre peau »\\n 4.  Interview – Valériane Ayayi (Bourges) : « On travaille beaucoup mais on rigole aussi beaucoup. C’est vraiment le top »\\n 5.  Interview : Louis Campbell (de Levallois à Fos-sur-Mer) : « Je pourrai dire que j’ai aidé\\n 6.  Playoffs : L’ASVEL tient Le Mans dans ses crocs\\n 7.  Vincent Collet: « Les retours de Nicolas Batum et de Rudy Gobert vont aussi consolider notre secteur défensif »\\n 8.  Les ministres européens des sports vont se pencher sur le modèle sportif européen. Une étape décisive vers la résolution du conflit FIBA-Euroleague ?\\n 9.  Le jour où LeBron James a consolé Juwan Staten, meneur de Saint-Chamond\\n 10. Le Palois Elie Okobo, 44 points, fait le match du siècle mais Paul Lacombe sauve Monaco"
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep Elite: Trenton Meacham devrait quitter Boulazac"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Boulazac Basket Dordogne ne saura que fin juin s’il est bien relégué en Pro B. Il est suspendu à l’obtention ou non de l’ADA Blois, champion de Pro B, d’un centre de formation agréé.\\n\\nQuoiqu’il en soit, le BBD devrait perdre son meneur américain Trenton Meacham (1,90m, 32 ans) dont la femme attend un troisième enfant et le meneur américain va mettre probablement fin à sa carrière de joueur... du moins provisoirement comme il l’a déjà fait.\\n\\n« Le club n’a pas activé les clauses de départ d’Arnaud Kerckhof, Jérôme Sanchez et Giovan Oniangué, qui ont une année supplémentaire en option. Mais si les deux premiers sont plutôt partis pour rester, l’ancien joueur de Levallois pourrait rechercher un club ayant l’assurance de jouer dans l’élite », informe la Dordogne Libre.\\n\\nLe club du Périgord est aussi sur la piste d’un assistant à l’ancien assistant Thomas Andrieux promu coach à la place de Claude Bergeaud.\\n\\nPhoto: BBD"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Luka Doncic élu meilleur joueur de l’ACB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Déjà MVP de la saison régulière et du Final Four de l’Euroleague, Luka Doncic (1,98m) devient le plus jeune MVP de la Ligue ACB à 19 ans, 2 mois et 36 jours. Le record était détenu jusqu’ici par Nikola Mirotic à 22 ans, 3 mois et 11 jours.\\n\\nL’arrière du Real Madrid a reçu 75 points sur les 100 possibles, récoltant le score maximum par les entraîneurs et les médias, le deuxième le plus élevé par les joueurs et le troisième dans le vote populaire, réalisé à travers les réseaux sociaux. On remarque ainsi que le meneur argentin de Murcie Facu Campazzo (1,79m, 27 ans) est le joueur numéro 1 pour le public et le Géorgien de Vitoria Tornike Shengelia (2,06m, 26 ans) celui des joueurs.\\n\\nLe Slovène a assuré cette saison en ACB une moyenne de 12,8 points, 5 passes et 5,7 rebonds pour une évaluation de 19,3.\\n\\nC’est la neuvième fois qu’un joueur du Real Madrid obtient le trophée de MVP après ceux obtenus par Arvidas Sabonis (1993-94 et 1994-95), Dejan Bodiroga (1997-1998), Tanoka Beard (1998-1999), Felipe Reyes ( 2008-09 et 2014-15), Nikola Mirotic (2012-13) et Sergio Llull (2016-17).\\n\\n\\n\\n\\nJoueur\\nTotal\\nPublic\\nPresse\\nJoueurs\\nEntrâineurs\\n\\n\\nLuka Doncic\\n75\\n10\\n25\\n15\\n25\\n\\n\\nTornike Shengelia\\n70\\n15\\n15\\n25\\n15\\n\\n\\nGary Neal\\n35\\n5\\n10\\n10\\n10\\n\\n\\nFacu Campazzo\\n25\\n25\\n\\n\\n\\n\\n\\nSylven Landesberg\\n15\\n\\n5\\n\\n10\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Le public d’Orléans va t-il répondre présent pour les playoffs ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les playoffs, c’est le summum de la saison. C’est là où tout se décide, où les tensions sont exacerbées où le niveau de jeu monte. Pourtant, sinon à Limoges, les Matches 1 des quarts de finale de la Jeep Elite ont donné lieu à des salles pas spécialement bien remplies et à des ambiances tièdes spécialement au Mans et à Monaco. Le même phénomène est à craindre à Orléans si on en croit un billet de Alban Gourgousse dans La Rep.\\n\\n« Pour le premier match de play-offs de l’OLB depuis six ans, il y a de grandes chances que le palais des sports ne soit pas plein vendredi soir face à Rouen. Ce jeudi, moins de 50% de la salle était déjà remplie. Vous avez dit inquiétant. On le sait : Orléans ne sera jamais Limoges, Dijon ou Gravelines en terme de ferveur autour du basket. C’est un fait. Mais, quand même... Côté Orléans Loiret Basket, on craint que le taux de remplissage du palais des sports ne soit pas vraiment phénoménal pour le quart de finale aller des play-offs ProB, face à Rouen, vendredi soir (à 20 h 30). Ce jeudi, ce taux n’était qu’à 48%. Les Orléanais vont-ils se réveiller lors des dernières heures ? Sûrement. Mais, on n’atteindra pas des sommets. »\\n\\nSurprenant car l’OLB a fait une belle saison de Pro B (3e avec 25 victoires pour 9 défaites) même s’il a loupé l’accession directe et il n’a qu’une envie: remonter en Jeep Elite. Son match de ce soir face à Rouen est donc crucial et l’avantage du terrain ne joue que si le public se met au diapason de l’évènement.\\n\\n« Certes, le prix d’une place (jusqu’à 25 euros) est plus cher qu’à l’US Orléans foot, au Saran Loiret Handball ou au Fleury Loiret Handball mais ce n’est pas nouveau. Donc ce n’est pas un argument qui tient pour les play-offs. »\\n\\n\\n\\n\\n📽️ OLB TV\\n\\n\\n🔥Retrouvez @kad976 avant le 1/4 de finale Playoffs ce soir...@OLB45 ⚡️@RouenMBasket\\n\\n\\n➡️ LIEN VERS LA BILLETTERIE : https://t.co/16FOcNcMgb#GoOrléans #PO2018 #PROB #tousenblanc pic.twitter.com/HSYvqJSyt1\\n\\n\\n— OrléansLoiretBasket (@OLB45) May 25, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Elie Okobo (Pau): «Il va falloir que j’essaye d’être encore meilleur en jouant peut-être différemment»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sud Ouest a demandé à Elie Okobo s’il s’est senti inarrêtable mercredi à Monaco où il a marqué 44 points.\\n\\n« Pas vraiment, » a répondu le meneur palois. « J’ai connu un troisième quart-temps difficile. Et puis je perds cinq ballons. De mon équipe c’est moi qui perds le plus de balle. C’est frustrant. »\\n\\n44 points quand même: c’est exceptionnel, relance le journaliste.\\n\\n« Oui, c’est bien mais on perd. Et je perds la balle qui leur permet de passer devant à la fin. Donc les 44 points, je n’y pense pas vraiment. Ce n’est pas fini, il y a la revanche samedi à Pau et il va falloir que j’essaye d’être encore meilleur en jouant peut-être différemment, comme ça les gens verront que je peux faire autre chose que scorer. »\\n\\nSi avec 44 points Elie Okobo a obtenu la meilleure performance en playoffs en Jeep Elite/Pro A des années 2000, il est à une unité du record absolu de Ron Davis (Mulhouse), qui le 15 avril 1989 en avait marqué 45 contre Montpellier. Sud Ouest fait par ailleurs remarqué que le jeune meneur n’a pas plus la propriété du record de points sous le maillot de l’Elan qui demeure la possession de Paul Henderson (en 1981) et Freddy Hufnagel (en 1987) avec 51 points. Mais c’était en saison régulière.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=MG53ZbJH-nA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Portel recrute Jeffey Crockett qui l’avait épaté en FIBA Europe Cup"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Information livrée par Nord Eclair, Jeffrey « Jaye » Crockett (2,00m, 27 ans) est la première recrue de l’ESSM Le Portel. Celui-ci a tapé dans l’oeil du coach Eric Girard à l’occasion du quart-de-finale de FIBA Europe Cup que l’équipe danoise des Bakken Bears a joué face à lui.\\n\\nIl ne faut pas être étonné que le staff et tout le Chaudron avait été épatés par l’ailier américain, après avoir assuré 21 points et 9 rebonds au Danemark, il avait été princier au retour dans la peinture: 16 points et... 17 rebonds.\\n\\nSur l’ensemble de la compétition il a compilé 15,4 points à 57,8% de réussite aux tirs dont un superbe 46,7% à trois-points et 7,6 rebonds dont 3,2 offensifs pour une évaluation à 19,4. Son équipe est allée en demi-finale de cette Europe Cup avant d’être championne du Danemark (4-0 en finale). Jeffrey Crockett a assuré 20 points et 5 rebonds lors du Match 4.\\n\\nJeffrey Crockett était passé précédemment par le Japon, la Suisse et l’Italie (Forli et Trapani).\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Justin Cobbs (Le Mans): «Ça serait vraiment difficile de terminer ainsi»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il ignorait encore si son compatriote Romeo Travis pourrait participer ce soir à Villeurbanne au Match 2 de quart-de-finale de playoffs, le meneur manceau Justin Cobbs (1,90m, 27 ans) s’est livré à Ouest France. Après son échec à Antarès (68-81), une épée de Damoclès est suspendue sur la tête de l’équipe du MSB alors qu’elle a terminé troisième de la saison régulière:\\n\\n« Ça serait vraiment difficile de terminer ainsi. Tu penses aux neuf mois durant lesquels toute l’équipe a travaillé dur. On ne veut pas sortir. Il y a la déception de ne pas avoir bien joué, nous étions frustrés. Ce n’est pas comme ça que nous voulions finir la saison. Nous sommes une bien meilleure équipe et c’est ce que nous voulons montrer. Après le match, j’ai écrit aux autres sur notre groupe commun, pour parler de certaines choses. Nous avons aussi discuté pendant les deux entraînements pour comprendre ce qui avait marché, ou pas et ce qui doit être fait pour être meilleurs (...) C’est difficile de ne pas avoir notre équipe au complet. Nous avons besoin de Terry (Tarpey), de Youss (Fall) et de tout le monde. Mais je pense qu’en playoffs, tout le monde doit hausser le rythme, réaliser des gros matchs et essayer d’aider l’équipe de n’importe quelle manière. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ligue Féminine: Tarbes arrache un quatrième match en prolongation avec le coeur et les tripes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Tango Bourges Basket devra attendre pour fêter éventuellement un 14e titre. Les Berruyères sont tombées sur des Tarbaises remontées comme des coucous et la Canadienne Michelle Plouffe a réussi un double double décisif (16 points et 12 rebonds). Victoire 64-63. Le coach François Gomez l’avait promis: le TGB va vendre chèrement sa peau !\\n\\nDans un palais des sports du Quai de l’Adour bondé, les Berruyères ont voulu montrer qu’elles n’étaient pas venues dans les Hautes-Pyrénées pour faire de sentiment: 6-0 en moins d’une minute. Michelle Plouffe, la Tarbaise, paraissait vouloir se racheter de ses deux premières sorties assez ternes, mais sa jumelle Katherine, la Berruyère, avait elle l’intention de régler l’affaire au plus vite. Des pertes de balles tarbaises permettaient à Marine Johannès de partir comme une fusée. A l’intérieur, Aby Gaye se retrouvait avec deux et parfois trois défenseurs sur le râble. On en était à 20-10 pour Bourges au bout d’un peu plus de sept minutes. Un écart ramené à six points (20-16) à la fin du quart-temps initial.\\n\\nLes Tango étaient depuis quelque temps moins précises dans leurs gestes. C’est leur défense oppressante qui leur permettait de se maintenir à distance. Laia Palau était une parfaite chef d’orchestre (meilleur évaluation du match à la mi-temps, 11) et Olivier Lafargue avait déjà puisé dans la totalité de son banc sinon la jeune Océane Monpierre. Avoir KB Sharp comme dixième joueuse, quel luxe! Un peu avant la mi-temps, le coach berruyer était pourtant contraint de commander un temps-mort car les Tarbaises faisaient preuve de mordant, Aby Gaye (1,95m) faisait valoir sa puissance dès qu’elle se retrouvait en un-contre-un (10 points en 15′ de jeu). Les Violettes teigneuses à souhait infligeaient un 9-2 à leurs hôtes et se retrouvaient à juste quatre points (27-31) à la mi-temps.\\n\\nTout s’est joué en prolongation\\n\\nLe coach François Gomez voulait surtout éviter la même coupure de courant que lors du Match 2. Ce n’était pas le cas. Les Violettes se battaient toujours avec coeur. Les défenses prenaient le pas sur les attaques. Ainsi Valériane Ayayi avait loupé ses cinq tentatives et son évaluation était négative (-4) après 25 minutes. C’est à l’intérieur, par Aby Gaye puis Christelle Diallo que le TGB trouvait la faille. C’est sur un panier de l’Américaine Angie Bjorklund que Tarbes réussissait la jonction (40-40) à trois minutes de la fin du troisième quart-temps. Et sur un beau mouvement de Adja Konteh, Tarbes passait en tête juste à l’entame du dernier quart-temps, 45-44. Un événement salué par le bouillant public de Bigorre.\\n\\nDu haut de ses 19 ans (deux fois moins que sa rivale d’en face Laia Palau!), Tima Pouye n’avait pas froid aux yeux alors que les frangines Plouffe se livraient un sacré duel à distance. On en était toujours à égalité (54-54) à cinq minutes du coup de trompette final. Non, Bourges ne rayonnait pas à cause de l’enjeu et surtout de la hargne des Tarbaises. Quelle tension!\\n\\nSans respect pour son aînée, Tima Pouye piquait une balle à Laia Palau et sur l’action suivante, la meneuse du TGB Ana Suarez égalisait à 58. Palau souffrait dans ce money time. Il fallait bâcher à deux Tima Pouye puis que Marine Johannès fasse faute pour l’empêcher de conclure. Aby Gaye ratait un coup de massue, Valériane Ayayi s’emmêlait les pinceaux et Adja Konteh manquait le buzzer beater. Prolongation.\\n\\nLe sort du match se jouait au goutte à goutte. Dans ce contexte, un panier de Angie Bjorklund valait son pesant de cacahuètes. Marine Johannès s’agaçait. Deux lancers de Elodie Godin et Bourges égalisait. Tout le monde était visiblement très las. Valériane Ayayi mettait le premier de ses neuf shoots. Aby Gaye manquait deux lancers mais Michelle Plouffe récupérait le rebond et mettait les deux.\\n\\nUn lancer sur deux de sa frangine Katherine suite à une superbe passe de Elodie Godin. Puis faute de cette même Katherine Plouffe sur Naomie Mbandu sur un shoot à trois-points. Déterminant. A 20 secondes du buzzer, la Tarbaise en mettait deux et faisait passer son équipe en tête, 64-63. Temps-mort. Passe de Laia Palau à Elodie Godin à quatre mètre dans l’aile. Raté. 12e rebond de Michelle Plouffe et victoire du TGB. Quel match!\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\n\\n\\n\\n🎙 @Plouffey_15 : « On voulait jouer un autre match ensemble. On joue bien ensemble, avec un bel esprit. On n'a jamais douté car c'est chez nous. Le public a été magnifique. » pic.twitter.com/WVKZ6BdUyA\\n\\n\\n— LFB (@basketlfb) May 24, 2018\\n\\nPhoto: Michelle Plouffe (LFB)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Top 10 du Final Four d’EuroLeague : le poster de Jan Vesely sur Brandon Davies"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Tout doucement, l’Europe du basket se remet de ses émotions et de ce Final Four qui a tenu toutes ses promesses le week-end dernier à Belgrade. Pour se remémorer les moments forts de cette édition 2018, voici le dernier Top 10 de la saison avec les plus belles actions des quatre derniers matchs qui ont vu le Real Madrid rafler un 10e titre continental.\\n\\nUn classement dominé par deux posters dunks de mammouth, un de Cory Higgins (CSKA Moscou) sur le géant mexicain du Real Gustavo Ayon et en numéro 1, l’incontournable pivot tchèque Jan Vesely (Fenerbahçe) sur le pauvre Brandon Davies."
}, 
{"role": "user",     "content":"Qualifications Coupe du Monde: La billetterie pour le match à Montpellier du 16 septembre est ouverte"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Assurée de disputer le deuxième tour des qualifications à la Coupe du Monde 2019, l’équipe de France masculine jouera son prochain match à domicile à la Sud de France Arena de Montpellier, le dimanche 16 septembre 2018 à 17h00.\\n\\nLes places pour venir soutenir les Bleus sont désormais disponibles à la vente. Après leurs deux derniers succès contre la Russie à Strasbourg (75-74) et la Belgique Nancy (64-49) en février dernier, ceux-ci ont validé leur qualification pour le deuxième tour des qualifications à la Coupe du Monde 2019.\\n\\nL’adversaire des Bleus à Montpellier n’est pas encore connu puisqu’il dépend du classement final du Groupe F, avec lequel croisera l’équipe de France pour le deuxième tour. Comme pour le groupe tricolore, il reste deux rencontres à disputer dans le Groupe F, qui est composé de la Bulgarie, la Finlande, l’Islande et la République Tchèque.\\n\\nÀ l’occasion de cette rencontre, la FFBB a mis en place une tarification attractive. Ainsi, les fans et les supporters tricolores peuvent acheter leurs places à partir de 10€.\\n\\nToutes les offres sont sur : https://billetterie.ffbb.com"
}, 
{"role": "user",     "content":"Israël: En raison de la grève des joueurs, le championnat est interrompu avant les playoffs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En raison d’une grève des joueurs et alors que la saison régulière n’est même pas encore terminée, la Winner League -la ligue professionnelle israélienne- a décidé l’interruption de la compétition.\\n\\nAprès cinq jours durant lesquels les dirigeants de la Winner League et le syndicat des joueurs israéliens ont échangé des menaces, ils s’étaient rencontrées mardi soir au bureau du ministre de la Culture et des Sport, Miri Regev. La ministre croyait qu’elle serait en mesure d’amener les parties à s’entendre sur un compromis qui permettrait au moins à la saison 2017-2018 de se terminer comme prévu. Cela n’a pas été le cas.\\n\\nIl y a cinq ans, les joueurs israéliens s’étaient déjà mis en grève et leur syndicat et la ligue avaient fini par conclure un accord stipulant que chaque équipe était autorisée à enregistrer un maximum de cinq étrangers, mais devait avoir en permanence deux joueurs israéliens sur le terrain. En vertu de cet accord, les équipes étaient également obligées d’avoir au moins deux joueurs israéliens de moins de 22 ans et un autre de moins de 25 ans dans leurs rosters. La principale pierre d’achoppement entre les parties cette fois-ci est la demande des clubs d’éliminer l’exigence d’avoir deux Israéliens sur le terrain à tout moment, ce que les joueurs ne veulent pas accepter.\\n\\nLa Winner League ne mérite pas vraiment son nom!"
}, 
{"role": "user",     "content":"Conflit FIBA-Euroleague: Les ministres des sports européens unis en faveur des équipes nationales et dans la critique des ligues fermées"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les ministres européens des sports réunis à Bruxelles mercredi 23 mai ont été clairs sur leur unité face à l’apparition des ligues fermées et dans la défense du modèle sportif européen. Ce dernier, une structure pyramidale qui intègre à la fois le sport amateur ouvert à tous ainsi que les clubs de haut niveau, confère une importance vitale aux équipes nationales et entend également protéger la compétitivité des ligues nationales contre les déséquilibres créés par l’accaparement des richesses au profit de quelques clubs les plus nantis.\\n\\nLes 27 ministres présents ont pris la parole, ainsi que le président de l’UEFA Aleksandr Ceferin.\\n\\nSelon eux, les problèmes soulevés sont particulièrement criants aujourd’hui en basket où l’Euroleague, une compétition pan-européenne, opère avec une majorité de clubs sous licence pour dix ans. Ces entités touchent des revenus générés par l’Euroleague sans avoir à se qualifier chaque année par leur résultat dans leurs championnats nationaux respectifs, ce qui créée des déséquilibres importants à de nombreux niveaux.\\n\\nDe plus ECA, l’entreprise privée qui gère l’Euroleague mais aussi l’Eurocup, a également sciemment établi des calendriers de ses compétitions aux mêmes dates que les fenêtres de qualification des équipes nationales pour la coupe du monde FIBA de 2019. Les joueurs, formés par l’argent public sous la coupe des fédérations et des clubs formateurs, sont donc tenus de choisir entre le club qui les paye tout l’année ou l’opportunité de jouer pour leurs pays.\\n\\nLes acteurs au niveau politique, mais également l’UEFA, se sont dit prêts à agir.\\n\\n« Il est dès lors difficile d’admettre que seuls quelques clubs se partagent les titres et les revenus de ces compétitions. Il faut donc casser ce plafond de verre »\\n\\nLaura Flessel, ministre française des sports:\\n\\n« La commercialisation du sport professionnel est effectivement un phénomène de plus en plus prégnant au niveau européen et mondial. La hausse du sponsoring et du marketing tout comme l’émergence croissante d’acteurs privés tendent à affaiblir l’incertitude du sport et du résultat sportif.\\n\\nDès lors, si le secteur sportif est et doit être considéré comme un secteur économique censé répondre aux principes fondamentaux de l’UE et à l’évolution de son marché intérieur, il n’en demeure pas moins qu’il reste un secteur spécifique dont les enjeux dépassent le simple cadre économique. Le sport est un bien collectif et un élément important de la cohésion sociale.\\n\\nIl est dès lors difficile d’admettre que seuls quelques clubs se partagent les titres et les revenus de ces compétitions. Il faut donc casser ce plafond de verre. Dès lors, il est essentiel de maintenir le sens du modèle sportif européen, qui n’existe que par un équilibre vertueux entre le sport professionnel et le sport amateur, lequel répond à plusieurs objectifs : comme promouvoir le sport pour tous ou encore former des athlètes performants.\\n\\nCe modèle peut par exemple être mis en danger par la multiplication des compétitions fermées, ce qui entraîne la non mise à disposition des joueurs professionnels sous contrat avec des clubs privés auprès des équipes nationales. Ce mécanisme affecte nos systèmes de formation et la qualité des compétitions internationales mais aussi les retombées économiques générées par le spectacle sportif de telles compétitions.\\n\\nSi la constitution des ligues fermées ne saurait être empêchée au regard des principes de l’union, je souhaite néanmoins proposer plusieurs pistes de réflexion visant à réduire ces difficultés. Sur le plan national, j’estime qu’il revient aux pouvoirs publics des états membres de rechercher un consensus pour respecter la tenue des calendriers des sélections nationales afin de faire perdurer le système de compétitions sportives entre nations. Au regard de la diplomatie sportive, il serait également utile de garantir la participation des joueurs en équipe nationale en enrichissant les contrats signés avec les clubs privés de dispositions particulières.\\n\\nEnfin, je tiens à souligner que ce sujet m’interpelle au plus haut point puisque j’ai récemment diligenté, avec plusieurs de nos partenaires comme le comité olympique et sportif, l’association des ligues de sport professionnels et la fédération de sports professionnels, une étude relative à la commercialisation du sport professionnel intitulée : Les ligues fermées en Europe. L’impact économique et sociale de l’érosion de l’organisation pyramidale du sport en Europe, et de l’application des lois de l’UE. Je serai heureuse d’associer des pays volontaires à cette démarche et de partager, avec vous tous, tous les résultats de cette étude afin de réfléchir ensemble à la manière de préserver le modèle sportif européen dont l’essence demeure bien de garantir l’accès pour tous partout et tout au long de notre vie. »\\n\\nAleksander Ceferin, président de l’UEFA:\\n\\n« Dans un environnement où la commercialisation est omniprésente, le football a besoin de comportement stable et sur lequel on peut s’appuyer. On sert les intérêts de personne. On veut travailler à promouvoir le football dans son ensemble. Proposer des règlements et des politiques qui soient utiles à l’intérêt commun. Nous sommes engagés à faire respecter les principes d’unité et de solidarité.\\n\\nLa redistribution économique est le premier niveau de notre philosophie.\\n\\nNous redistribuons 85% de nos revenus dans 55 pays. Nous nous assurons que tous les échelons, même ceux à la base de notre pratique bénéficie des richesses créées par les matches professionnels.\\n\\nComme un état qui finance ses structures publiques, l’UEFA finance elle-aussi ses propres structures et ses actions. Il est de notre devoir de préserver le modèle sportif européen. Il n’y aura pas de recherches égoïstes ou pour des appétits particuliers déplacés. Je ne peux pas accepter que certains de mes collègues soient aveuglés à ce point et qu’ils pensent à se vendre à des fonds privés. Le football n’est pas à vendre. Nous ne sommes pas propriétaires du football, nous n’avons aucun droit de le vendre. Je ne laisserai personne offrir les structures du football en sacrifice sur l’autel de la commercialisation sans merci.\\n\\nNous sommes engagés pour l’unité et la solidarité parce que la concentration de la richesse dans les mains de quelques-uns perturbe l’équilibre qui est essentiel pour que nous soyons toujours un pôle d’attraction pour le football.\\n\\nNous devons agis avant qu’il ne soit trop tard. Nous avons regardé ce que nous pouvons faire et nous sommes désormais prêt à intervenir. »\\n\\n« Il n’y aurait pas de Luka Doncic ni de Goran Dragic, des athlètes qui font notre fierté, sans un système national, un système éducatif qui offre une structure pour le sport au niveau local »\\n\\nMaja Makovec Brencic, ministre slovène des sports:\\n\\n« Il faut investir avant tout dans les sports au niveau local. Il n’y aurait pas de Luka Doncic ni de Goran Dragic, des athlètes qui font notre fierté, sans un système national, un système éducatif qui offre une structure pour le sport au niveau local. Et ainsi, quand les athlètes issus de ce système deviennent des modèles à suivre, ils rendent beaucoup à notre jeunesse.\\n\\nVoilà aussi pourquoi nous devons coopérer entre pays, encourager le développement des petits clubs et des équipes nationales. L’UEFA va sans doute réglementer la possibilité d’établir des ligues fermés et élitistes ne regroupant que les plus riches clubs d’Europe, qui échapperont alors à la structure et l’organisation du sport sur le continent.\\n\\nOui, notre structure est pyramidale. Oui, nous avons différentes sortes de clubs, mais nous croyons toujours à la valeur commune d’égalité. »\\n\\nGiorgos Vasiliadis, ministre grec des sports:\\n\\n« Enfin, je voudrais parler de ce qui oppose la FIBA et l’Euroleague et qui va impacter l’ensemble du sport européen. Nous devons prendre position et agir. Evidemment, nous ne pouvons pas légiférer, ce qui ne veut pas dire que nous ne pouvons rien faire. On peut intervenir. Nous devons initier un dialogue direct pour résoudre le problème. Nous devons prendre l’initiative, pas forcément pour résoudre le problème, mais pour amener les deux parties à se parler, dans l’intérêt général du modèle sportif européen et de ses structures.\\n\\nPhoto: Laura Flessel"
}, 
{"role": "user",     "content":"Interview : Louis Campbell (de Levallois à Fos-sur-Mer) : « Je pourrai dire que j’ai aidé »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’aube des Playoffs, plusieurs joueurs ont eu l’occasion de donner un peu de piment à leur fin de saison. Certains, comme Jonathan Fairell, arrivé en renfort à Dijon en provenance de Blois pour remplacer Jacques Alingué, sont passés de la Pro B à la Jeep Elite. Et puis d’autres ont fait le chemin inverse, n’hésitant pas à redescendre d’un étage pour aider une formation dans le besoin. C’est notamment le cas de Ferdinand Prenom, passé du HTV à Orléans pour palier la blessure de Miralem Halilovic, poste 5 de l’OLB, mais aussi de Louis Campbell (1,91m, 39 ans), nouveau joueur de Fos-sur-Mer en compensation de l’absence de Xavier Gaillou (entorse de la cheville avec arrachement osseux). Depuis deux saisons, le meneur de jeu américain fait le bonheur de Levallois après quatre années passées à buter sur la dernière marche, en finale des Playoffs avec le maillot de Strasbourg entre 2013 et 2016.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nAprès son premier match disputé sous ses nouvelles couleurs face à Blois (70-63), fraîchement sacré champion de Pro B, BasketEurope est allé à sa rencontre. Pour débriefer l’exercice 2017-2018 avec Levallois et aborder ce nouveau challenge.\\n\\nQuel est votre sentiment sur cette fin de saison avec Levallois ?\\n\\nJ’étais déçu. J’ai été extrêmement déçu. Juste par le simple fait qu’on a eu plusieurs chances de nous mettre en bonne position au cours de la saison, et à l’arrivée on échoue de peu. Et notre dernier match contre Nanterre fait très mal parce qu’on avait encore une chance de le faire. Mais tout simplement, on n’a pas été à la hauteur. Le bilan est extrêmement décevant.\\n\\nQuels ont été les tournants de cette saison qui vous ont fait basculer hors du top 8 ? Votre blessure en Coupe de France à Trélazé ?\\n\\nPeut-être, c’était en tout cas à un moment crucial dans la saison, un moment où on aurait dû commencer à monter en régime et jouer notre meilleur basket. Mais je pense qu’on a eu beaucoup de blessures qui ne nous ont pas aidé au fil de la saison. Et aussi, des jeunes joueurs qui n’ont pas pu répondre dans le combat et face aux responsabilités qu’on a pu leur confier, d’être un professionnel. Parfois, ça arrive avec les jeunes joueurs... On a quand même progressé globalement en tant qu’équipe, mais on a échoué de peu.\\n\\nVous avez été trop bien habitué la saison précédente avec Louis Labeyrie et Vincent Poirier...\\n\\nOui, c’était des gamins très talentueux. Mais ils sont entrés dans le processus, ça ne s’est pas fait tout seul. Ils sont passés par des étapes que nos jeunes de cette année n’avaient pas encore franchi. Avant d’être là où ils sont, Louis et Vince ont du s’asseoir sur le banc et regarder jouer des gars qui étaient meilleurs qu’eux et plus productifs qu’eux à cette époque. Ils ont dû s’asseoir derrière eux. Tandis que cette année, les jeunes ont été exposés tout de suite. Ils n’avaient personne devant eux, ils ont été propulsés dans le feu de l’action. C’est ce qui fait la grande différence de mon point de vue entre les deux saisons. Ils n’avaient pas le bon esprit pour bien grandir.\\n\\nAprès votre longue carrière, qu’est ce que ça fait de jouer avec un joueur comme Boris Diaw ?\\n\\nAvec le recul, ça a vraiment été beaucoup de fun. Je crois qu’il y a beaucoup de gens qui ont vu en l’arrivée de Boris la venue d’un sauveur ou celle d’un joueur à la dimension NBA. Mais pour moi, c’était surtout du fun. D’avoir un autre joueur à « l’esprit basket », un gars avec un très gros QI Basket sur le parquet. Mais j’insiste sur le fun, parce que je suis quelqu’un qui prend le basket très au sérieux. Et d’avoir à côté un gars comme Boris qui est juste cool, quelqu’un de calme, réfléchi, au cœur léger, ça m’a aidé un peu à apprécier un peu plus le basket même après tant d’années.\\n\\nAvez-vous déjà croisé quelqu’un comme lui dans le monde du basket ?\\n\\nPas vraiment, c’est quelqu’un d’assez unique. Il a aussi un grand penchant artistique. Il a une sensibilité pour la photographie, pour le vin... Il est ouvert d’esprit à la base, mais ça va même plus loin, il est assez cultivé dans pas mal de domaines\\n\\nÇa a dû être une grande déception de ne pas lui permettre de faire les Playoffs pour son retour en France...\\n\\nBien sûr mais aussi pour moi-même. Je n’ai pas souvent manqué les Playoffs durant ma carrière, ça a dû arriver deux fois, pas plus. Ça a été une déception pour tout le monde. Et j’espère que les plus jeunes retiendront la leçon de cette mésaventure pour la suite de leurs carrières. Et si un jeune, ou même n’importe quel joueur, a la possibilité de faire les Playoffs, qu’il se rappelle qu’il doit faire tout ce qu’il a son pouvoir pour atteindre cet objectif. J’ai été déçu que certains n’aient pas saisi cette opportunité.\\n\\nAu sujet de votre venue à Fos-sur-Mer, comment ça s’est déroulé ? Qui vous a convaincu ?\\n\\nIl n’a pas été vraiment question de me convaincre, c’était juste un nouveau défi à relever. J’ai juste cet amour pour le basket et cette opportunité s’est présentée. J’ai reçu un coup de fil du coach, Sacha (Giffa) m’a aussi parlé de son expérience là-bas. Et ma femme m’a dit « Louis, tu vas traîner ta peine comme un lion en cage pendant ces Playoffs, tu vas en être malade ». En plus, le temps n’est pas vraiment au rendez-vous en ce moment à Paris, et moi qui aime golfer, ça n’aurait sans doute pas été possible. J’aurais clairement été misérable à traîner à la maison. Et quand je lui en ai parlé, elle a compris que c’était un nouveau challenge pour moi, alors pourquoi ne pas le relever ? Lorsque les filles sont rentrées de l’école et qu’elle a donné son accord, j’ai fait le nécessaire pour me projeter rapidement dans cette nouvelle aventure et faire de mon mieux pour aider l’équipe à monter de Pro B en Jeep Elite. Ce serait un super accomplissement pour le club, et quelque chose pour laquelle je pourrais dire que j’ai aidé.\\n\\nQue vous a dit Sacha Giffa ?\\n\\nIl m’a expliqué son passage à Fos-sur-Mer, qu’il avait lui aussi essayer d’emmener l’équipe en première division il y a quelques années. Il m’a parlé un peu de la ville, du club. Je lui ai posé quelques questions, il m’a donné pas mal de points positifs avec le soleil aussi, ce qui est plutôt sympa. Il m’a aussi dit que le coach était cool. Tout est allé assez vite ensuite, et après avoir reçu cette proposition et lui avoir parlé, tout a suivi le lendemain et je suis arrivé dans la foulée.\\n\\nAvez-vous discuté avec votre ancien coéquipier Louis Labeyrie qui a débuté ici ?\\n\\nJe savais qu’il a commencé sa carrière en pro ici oui, mais je n’ai pas eu le temps de lui parler. Je sais qu’il est concentré sur les Playoffs et qu’il se prépare afin d’être à 100% le jour J. On en discutera en temps voulu et on partagera chacun nos expériences au sujet de nos « ex » clubs.\\n\\nPensiez-vous que Louis jouerait à ce niveau cette saison et serait la meilleure évaluation parmi les joueurs français de Jeep Elite ?\\n\\nBien sûr ! Pour lui, jouer dans la structure de Vincent Collet ne peut que le rendre meilleur. Tout y est plus grand, plus précis, plus cadré... C’était la meilleur option pour lui, pour sa carrière, son développement et on l’a bien vu cette année.\\n\\nQuel a été le discours du coach, Rémi Giuitta, au sujet de ses attentes à votre arrivée ?\\n\\nIl attend de moi que je joue mon jeu, que je sois un leader sur le terrain. D’être en normal en fait, de jouer comme je sais le faire et de ne pas trop me reposer sur les autres. Parfois, quand un nouveau joueur arrive, il essaie de ne pas faire de vagues, de s’insérer dans le collectif en place en laissant les autres gérer, ce qui peut le rendre invisible... Il m’a dit que ce n’est pas ce qu’il voulait. Ce qu’il veut, c’est me voir jouer normalement, comme j’en ai l’habitude et c’est ce que je vais essayer de faire. Ce premier match pour terminer la saison régulière était important pour moi. C’était un bon entraînement grandeur-nature afin de répéter mes gammes avec ma nouvelle équipe et de nouveaux systèmes à mettre en place. Le feeling a été plutôt bon. Bien sûr, beaucoup de choses changent, ce n’est pas la même division, les caractéristiques sont différentes entre la Pro B et la Jeep Elite. Je dois comprendre le style de jeu développé ici, le mettre en place et décrypter les spécificités des autres équipes. Ce match a été un bon test, mais je dois continuer à apprendre les systèmes, les situations de jeu...\\n\\nAvec votre expérience, quelle est la recette pour atteindre les finales en Playoffs ?\\n\\nPour être honnête avec vous, je dirais bien sur la défense. C’est toujours la défense qui fait gagner des titres comme on dit. Bien sûr qu’il faudra être présent en attaque et mettre des paniers, mais dans cette ligue, tout le monde est opportuniste. Rares sont les équipes qui vont systématiquement aller jusqu’au bout de leurs systèmes pour créer un décalage ou trouver une bonne position. S’il y a une possibilité de marquer, ils vont la saisir et tenter de scorer par eux-mêmes. Ce sera d’autant plus le cas en Pro B. Si on propose une grosse défense sur l’homme, en un contre un mais aussi en équipe, ça générera de la frustration sur l’adversaire et nous facilitera la tâche pour la partie offensive. C’est pour ça que la clé de la réussite en Playoffs, c’est la défense.\\n\\nPour vous, ce sera aussi un joli clin d’oeil du destin de jouer contre Nancy en quart de finale des Playoffs, votre ancien ennemi favori ?\\n\\nC’est clair, c’est l’équipe à battre quand tu portes le maillot de Strasbourg. C’est une bonne chose pour moi de jouer à nouveau cette équipe. J’imagine que le groupe a un peu changé maintenant qu’il évolue en Pro B. Mais ça n’enlève rien à la qualité du coach, Greg Beugnot, et je sais qu’il doit coacher cette équipe en Pro B comme il le ferait en Jeep Elite ou comme il l’a fait avec Chalon ou Paris-Levallois par le passé. La salle sera en revanche la même et les fans aussi... Il nous faudra prendre un match à la fois. Prendre soin et honorer notre avantage du terrain sur le match 1, et aller là-bas ensuite en se concentrant davantage sur les détails et sur notre défense. On ne gagnera pas cette série uniquement grâce à l’attaque.\\n\\n[armelse]\\nAprès son premier match disputé sous ses nouvelles couleurs face à Blois (70-63), fraîchement sacré champion de Pro B, BasketEurope est allé à sa rencontre. Pour débriefer l’exercice 2017-2018 avec Levallois et aborder ce nouveau challenge.\\n\\nQuel est votre sentiment sur cette fin de saison avec Levallois ?\\n\\nJ’étais déçu. J’ai été extrêmement déçu. Juste par le simple fait qu’on a eu plusieurs chances de nous mettre en bonne position au cours de la saison, et à l’arrivée on échoue de peu. Et notre dernier match contre Nanterre fait très mal parce qu’on avait encore une chance de le faire. Mais tout simplement, on n’a pas été à la hauteur. Le bilan est extrêmement décevant.\\n\\nQuels ont été les tournants de cette saison qui vous ont fait basculer hors du top 8 ? Votre blessure en Coupe de France à Trélazé ?\\n\\nPeut-être, c’était en tout cas à un moment crucial dans la saison, un moment où on aurait dû commencer à monter en régime et jouer notre meilleur basket. Mais je pense qu’on a eu beaucoup de blessures qui ne nous ont pas aidé au fil de la saison. Et aussi, des jeunes joueurs qui n’ont pas pu répondre dans le combat et face aux responsabilités qu’on a pu leur confier, d’être un professionnel. Parfois, ça arrive avec les jeunes joueurs... On a quand même progressé globalement en tant qu’équipe, mais on a échoué de peu.\\n\\nVous avez été trop bien habitué la saison précédente avec Louis Labeyrie et Vincent Poirier...\\n\\nOui, c’était des gamins très talentueux. Mais ils sont entrés dans le processus, ça ne s’est pas fait tout seul. Ils sont passés par des étapes que nos jeunes de cette année n’avaient pas encore franchi. Avant d’être là où ils sont, Louis et Vince ont du s’asseoir sur le banc et regarder jouer des gars qui étaient meilleurs qu’eux et plus productifs qu’eux à cette époque. Ils ont dû s’asseoir derrière eux. Tandis que cette année, les jeunes ont été exposés tout de suite. Ils n’avaient personne devant eux, ils ont été propulsés dans le feu de l’action. C’est ce qui fait la grande différence de mon point de vue entre les deux saisons. Ils n’avaient pas le bon esprit pour bien grandir.\\n\\nAprès votre longue carrière, qu’est ce que ça fait de jouer avec un joueur comme Boris Diaw ?\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Fos et Metropolitans"
}, 
{"role": "user",     "content":"Parrainé par Jacques Alingue, le Camp LNB se tiendra du 8 au 10 juin"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Ligue Nationale de Basket organisera du 8 au 10 juin la cinquième édition du Camp LNB. Celui-ci sera parrainé par l’intérieur de la JDA Dijon Jacques Alingue, qui interviendra auprès des joueurs pour partager son expérience.\\n\\nCe camp de 40 joueurs est un évènement dédié aux basketteurs arrivant au terme de leur cursus dans les Centres de Formation des clubs professionnels de Jeep Elite et Pro B (nés principalement en 1997) qui s’exposent devant un parterre d’entraîneurs et de scouts de clubs de différents niveaux.\\n\\nQuatre coaches expérimentés et spécialistes de la formation, Fabien Romeyer, Vincent Lavandier, Jean- Christophe Prat et Guillaume Vizade encadreront les stagiaires durant ces trois jours.\\n\\nPhoto: LNB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Amara Sy (Monaco): «Okobo a été époustouflant. Il a sa place en NBA, bien sûr»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les deux milles spectateurs de Gaston-Médecin, les téléspectateurs de SFR Sport 2 et ceux qui ont vu en clair le match Monaco-Pau sur les différentes plateformes se souviendront à vie du show de Elie Okobo (1,88m, 20 ans) qui a battu le record de points en playoffs des années 2 000 avec 44 unités grâce notamment à un fabuleux 8/11 à trois-points.\\n\\nLe génial meneur palois était évidemment partagé entre le sentiment d’avoir réussi une production individuelle exceptionnelle et aussi un coup d’épée dans l’eau puisque c’est Monaco qui a eu finalement gain de cause, 99-97.\\n\\n« Je me sentais très bien. Mais je pense surtout à la défaite, très frustrante. Je perds la balle qui les fait passer devant. Je m’en veux. Il y aura la revanche samedi, » a t-il déclaré en conférence de presse.\\n\\nLe capitaine de la Roca Team Amara Sy a naturellement fait un commentaire élogieux sur la performance du Palois :\\n\\n« Ekobo a été époustouflant. Il a sa place en NBA, bien sûr. Ce soir il nous a massacrés. Il a failli gagner le match à lui tout seul. J’espère que c’est un avertissement sans frais. On a été très mauvais en défense. Si on veut aller loin dans les play-offs, il faudra élever le niveau. Heureusement, on a réussi à garder la tête froide sur la fin ».\\n\\nQuant au coach de l’ASM, Zvezdan Mitrovic, il apprécie de s’en être tiré à si bon compte:\\n\\n« On mène 1-0, c’est la satisfaction. Notre défense sur les pick and rolls a été désastreuse. Pau a été proche de nous battre. Nous ne sommes pas dans notre meilleure forme, avec des joueurs blessés, d’autres qui reviennent à peine. Mais on a de l’expérience, et les joueurs n’ont rien lâché jusqu’au bout, je les en félicite. Elie Okobo a réussi une performance exceptionnelle mais je veux aussi insister sur l’attitude de Chris Evans. Il était là pour nous aider. Le doc ne voulait pas qu’il joue (déchirure à l’oblique). C’est lui qui a insisté, sur sa responsabilité, en grand monsieur. Il faut lui rendre hommage ».\\n\\n\\n\\n\\nFace à Aaron Craft, l’enfer lui était promis. Mais @ElieOkobo_0 n’a peur de rien. 44 points à 8/11 à 3 pts, dont 25 dans le dernier QT. @EBPLO s’est incliné, mais Okobo devient le meilleur marqueur de l’histoire de la Jeep Elite A 29 jours de la Draft NBA #NBADraft2018 #prospect pic.twitter.com/gY30fJylpb\\n\\n\\n— OttouAnthony (@OttouAnthony) May 23, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges-Dijon: Deux Français top-scoreurs, Valentin Bigote (23 points) et William Howard (18)"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La JDA Dijon a fait un match héroïque dans le volcan de Beaublanc. Menée durant la majorité du match, parfois largement, elle s’est rapprochée de son adversaire dans le money time pour s’incliner finalement de quatre points (75-79). Le petit meneur David Holston ratant le tir de l’égalisation.\\n\\n« Il y a de la fierté. Je suis vraiment fier de mes joueurs. A -15, beaucoup, beaucoup d’équipes auraient craqué face à cette armada, mais on a trouvé les ressources pour revenir et échouer d’un rien. Ca montre encore le cœur de cette équipe. Le premier sentiment, c’est la fierté, c’est ce que j’aime. Il y a aussi beaucoup de déception. Mis à part le problème qu’on a eu sur le repli défensif, sur la défense demi-terrain, on était en place, ils ont mis de gros shoots. Chaque match à son histoire : si on veut revenir lundi, il faut gagner samedi, » a déclaré en conférence de presse le coach Laurent Legname, des propos repris par le Bien Public.\\n\\nFait notable: deux Français ont été les meilleurs marqueurs du match. Valentin Bigote a prouvé ses énormes progrès constatés depuis plusieurs semaines en scorant 23 points à 8/11 aux tirs pour 25 d’évaluation. De son côté, William Howard en a totalisé 18 pour 20 d’éval.\\n\\n« Il y a la satisfaction d’avoir gagné ce premier match, c’était important sinon après, on aurait été en difficultés », a commenté William Howard. « Maintenant, on est déjà concentré sur samedi. On a mal démarré le 4e quart, sur un faux rythme. Eux ont commencé à être agressifs et à avoir de la réussite. Sur les premiers, on est bien mais après, on fait des erreurs, on perd des ballons, on laisse des rebonds offensifs, ce qui leur laisse des paniers faciles. On se met nous même en difficulté. On aurait pu faire un écart plus large. »\\n\\nSi le pivot dijonnais Markus Kennedy (2,06m, 26 ans) n’a joué que 19 minutes c’est à cause d’une entorse à la cheville alors que le meneur Axel Julien souffre d’un genou. Seront-ils d’aplomb pour le Match 2 de samedi?\\n\\nPhoto: William Howard CSP"
}, 
{"role": "user",     "content":"Turquie: Le Yakin Dogu de Sandrine Gruda met la clé sous la porte !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sandrine Gruda va devoir se chercher un nouveau club. Le Yakin Dogu Universitesi, autrement dit l’Université du Proche Orient qui jouait à Istanbul mais qui était issue de la partie turque de l’Ile de Chypre a décidé de cesser son activité dans le basket féminin.\\n\\nLe club turc s’était fait connaître en 2017 en remportant l’Eurocup, le championnat et la Coupe de Turquie. Sandrine Gruda l’avait rejoint en décembre après un bref passage à l’ASVEL. Il avait éliminé Bourges en quarts de finale de l’Euroleague et avait terminé quatrième du Final Four. En finale du championnat national, il s’était incliné face au Fenerbahçe de Valérie Garnier.\\n\\nCette annonce rappelle celle de Ros Caseres Valence en 2012, qui après avoir gagné le titre européen sans regarder à la dépense ferma boutique.\\n\\nCela en dit long sur l’aspect artificiel du basket féminin turc !\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le jour où LeBron James a consolé Juwan Staten, meneur de Saint-Chamond"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors que LeBron James n’en finit plus de repousser les limites du commun avec une nouvelle campagne de Playoffs où il frôle le triple-double de moyenne (33,7pts, 8,7rbds, 9pds par match), ESPN a voulu retracer la carrière du King avec 13 anecdotes plus ou moins connues qui permettent d’en savoir davantage sur l’homme. LBJ raconte notamment sa discussion avec le regretté hall of famer Moses Malone quelques heures avant son premier match NBA en carrière, disputé à Sacramento le 29 octobre 2003, ses visites improvisées à la maison blanche lorsque Barack Obama était président des Etats-Unis ou encore sa première rencontre avec Klay Thompson en juillet 2010.\\n\\nPlus inédit, ESPN revient également sur un épisode supposé démontrer le comportement profondément humain de LeBron James et mettant en scène... le meneur de Saint-Chamond Juwan Staten.\\n\\nL’histoire se déroule un jour de mars 2009, le 28 mars en fin d’après-midi pour être précis. LeBron James est « off » et décide de se rendre à Columbus, capitale de l’Ohio, à plus de deux heures de route de Cleveland pour assister à un match de lycée opposant l’équipe de ses débuts, St. Vincent–St. Mary High School, basé à Akron, à Thurgood Marshall dont le lycée est situé à Dayton.\\n\\nL’enjeu du match (finale d’état) mêlé à la présence de LeBron James ne font que rajouter à l’électricité ambiante au sein du Schottenstein Center. Au bout du suspense et à l’issue d’une rencontre serrée jusqu’à la fin, c’est l’ancien lycée de LBJ qui finit par l’emporter par six petits points d’écart, 59-53. Auteur de 28 points et 4 passes décisives en 32 minutes, le jeune Juwan Staten, natif de Dayton et meneur de Thurgood Marshall, l’équipe « ennemie » de LeBron, s’effondre littéralement dès le buzzer final après avoir manqué une ultime tentative à 3 points à 5 secondes du terme.\\n\\nLeBron James : « J’avais été à sa place »\\n\\nVoyant la scène et ce gamin en pleurs, le franchise player des Cavs va alors se précipiter sur lui pour le réconforter. La suite, c’est Juwan Staten lui même qui la raconte :\\n\\n« Il m’a pris dans ses bras. Il m’a dit qu’il avait lui aussi perdu une finale d’état dans son année junior. Il m’a dit que j’étais un joueur spécial et m’a demandé de garder la tête haute. Il m’a aussi dit de me rappeler de ce moment pour le reste de ma vie. De faire en sorte que ça me booste pour le reste de ma vie, afin que je ne ressente plus jamais ça à nouveau. C’était des mots sages et j’ai essayé de m’en imprégner pour vivre avec ».\\n\\nImmortalisé par les médias locaux, la scène restera gravée dans le cœur des deux protagonistes.\\n\\n« C’est juste comme ça que je suis, je suppose, a confié LeBron James au sujet de cette anecdote. Ce n’est pas comme si c’était prévu. Évidemment, j’ai juste reconnu que le gamin avait beaucoup de talent. Il a joué avec tout son cœur contre notre lycée, et il voulait tellement gagner ce match. Et il pleurait, comme si c’était un véritable désastre tu vois ? J’avais été à sa place, lorsque j’ai perdu la finale dans mon année junior. Je voulais juste essayer de le réconforter, de trouver les bons mots pour l’encourager, de quelque façon que ce soit ».\\n\\n\\n\\n\\nLa petite anecdote de LeBron James sur notre meneur https://t.co/Z3KaDGIgSj pic.twitter.com/NEynkWyeDL\\n\\n\\n— SCBVG (@SCBVG) 23 mai 2018\\n\\n3e campagne de Playoffs en trois ans en Europe\\n\\nPassé par Dayton puis West Virginia lors de son cursus universitaire, Juwan Staten a flirté avec la NBA après la draft 2015 de laquelle il est rentré bredouille. Entre sa summer league chez les Kings de Sacramento le même été, suivi d’un bref épisode de trois semaines aux Warriors de Golden State (du 25 septembre au 16 octobre 2015) avant la D-League, le passage obligé pour continuer de croire en son rêve (Santa Cruz Warriors puis Delaware 87ers).\\n\\nEn avril 2016, Juwen Staten fait finalement le grand saut pour l’Europe en signant à Mons-Hainaut en première division belge. Sa première saison pleine sur le Vieux Continent suivra dans la foulée en 2016-2017, du côté des Vikings de Vilpas (1ère division finlandaise) et sera un franc succès pour le meneur à la patte gauche de plus en plus redoutable (13,3pts, 4,3pds, finaliste du championnat et élu MVP étranger).\\n\\nAujourd’hui à Saint-Chamond, à l’aube de disputer une troisième campagne de Playoffs en trois ans en Europe, Juwan Staten (11,2pts, 3,6pds par match) sera assurément l’un des atouts d’Alain Thinet dans cette série face à Lille. BasketEurope souhaite bonne chance au SCBVG à l’aube de cette campagne de Playoffs historique pour le club ligérien. Mais que les habitués de la Halle André Boulloche ne s’attendent pas à voir débarquer le n°23 des Cavs en cas de défaite prématurée pour consoler leur meneur !\\n\\nLes stats de la finale d’Etat (2e division) de 2009 entre St Vincent – St Mary et Thurgood Marshall\\n\\nLes meilleures actions de Juwan Staten sous le maillot de Saint-Chamond cette saison"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Palois Elie Okobo, 44 points, fait le match du siècle mais Paul Lacombe sauve Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Alors qu’il espère être drafté fin juin par une franchise NBA au premier tour, Elie Okobo a réalisé un match d’anthologie ce soir face à Monaco.\\n\\nDéfendu essentiellement par le numéro 1 de la spécialité, Aaron Craft, le meneur de Pau a battu à 20 ans le record de points de la saison en Jeep Elite dans un match à la vie à la mort : 44 avec une réussite exceptionnelle à trois-points : 8-11. Et ce n’est pas un attaquant unidimentionnel. Ses dribbles ont semé la zizanie dans la défense monégasque et lui ont permis de provoquer huit fautes. Avec sa main gauche magique, il a aussi réalisé 5 passes. En fait, il a porté l’Elan Béarnais sur ses jeunes mais solides épaules.\\n\\nA 5’30 de la fin, c’est lui qui d’un tir primé a permis à l’Elan Béarnais de passer en tête. C’est toujours lui, un peu plus tard, qui a pris son propre rebond offensif pour aller tranquillement enfiler un autre panier primé.\\n\\nHargneux, concentré, Elie Okobo, qui a scoré 25 points dans le dernier quart-temps, allait-il offrir à l’Elan Béarnais un succès prestigieux sur le Rocher ? Non. Un autre Français l’en a empêché : Paul Lacombe.\\n\\nA 40 secondes du buzzer, le Monégasque a pris la balle des mains du Palois qui s’était lancé dans un jeu de dribbles excessif et il a filé en contre-attaque pour permettre à la Roca Team de passer en tête, 94-93. C’est encore Paul Lacombe qui a nettoyé au-dessus du cercle un ballon qui allait passer à l’intérieur. Elie Okobo a ensuite fait faute et Lacombe a mis les deux lancers.\\n\\nUn dernier assaut des Palois aurait pu renverser le match in-extremis mais la tentative à longue distance de Chris Dowe fut renvoyé par le cercle.\\n\\nL’Elan Béarnais s’est incliné 99-97 dans un match brûlant et passionnant mais mérite des lauriers et son meneur de jeu prodige qui va bientôt le quitter a réalisé ce que l’on peut appeler le match du siècle en Jeep Elite. 44 points à 20 ans, en playoffs. Du jamais vu en France.\\n\\nNB: D’après ProBallers, il s’agit du record de points en playoffs depuis l’an 2000.\\n\\nPhoto: Elan Béarnais"
}, 
{"role": "user",     "content":"Playoffs Jeep Elite: Voir ici en clair et gratuitement Limoges-Dijon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Rappelons que l’ensemble des quarts-de-finale de playoffs de la Jeep Elite est visible GRATUITEMENT sur différents supports. C’est le cas ainsi sur YouTube à 20h50 de Limoges-Dijon, qui suivra Monaco-Pau.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=h-qb4Dsrnh4"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le chiffre: 1 million d’euros. La contribution des partenaires à l’AS Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’occasion du premier match des 1/4 de finale des playoffs de la Jeep Élite, l’Association monégasque « AS Monaco Basket-Ball Partenaires » a remis un chèque de 1 million d’euros au président de l’AS Monaco Basket S.A., Sergei Dyadechko, comme première contribution significative.\\n\\nCréée en début de saison sous l’impulsion du Gouvernement Princier dans le cadre notamment de la Convention de Gouvernance et de Communication qui le lie à l’AS Monaco Basket S.A. depuis deux ans, cette Association a pour objet de rassembler les donateurs et investisseurs qui souhaitent soutenir le projet de la Roca Team. Elle est placée sous la Présidence du Docteur Ilhami Aygun, qui occupera prochainement un siège au Conseil d’Administration de l’équipe professionnelle.\\n\\nUn million d’euros, de quoi mettre du beurre dans les épinards de la Roca Team sachant que sa place de finaliste de la Champions League lui a rapporté une prime de 400 000 euros.\\n\\nPhoto: ASM"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Trophée du Futur va réunir les 8 meilleures équipes espoirs à Antibes du 25 au 27 mai"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cholet Basket a remporté le titre de Champion de France Espoirs 2017-18, le sixième titre pour le club des Mauges, rejoignant l’EB Pau-Lacq-Orthez au nombre de titres gagnés.\\n\\nDepuis septembre, les 18 équipes Espoirs de Centres de Formation se sont rencontrées par matches aller-retour. Organisé en lever de rideau des rencontres de Jeep Elite, il offre du temps de jeu aux meilleurs jeunes prospects nés entre 1997 et 2002.\\n\\nLes Antibes Sharks recevront les sept autres équipes du Top 8 du championnat dans une formule coupe à élimination directe, compétition de référence où les meilleures équipes Espoirs peuvent être vues sur un seul site.\\n\\nTimothé Luwawo-Cabarrot, formé au Sharks, et évoluant actuellement aux Philadelphia Sixers, sera présent le dimanche lors de la finale et en donnera le coup d’envoi.\\n\\nLe Tirage au Sort a été effectué dans les nouveaux locaux de la Ligue Nationale de Basket le jeudi 17 mai à Paris, par l’ancien international Mamoutou Diarra et Alain Béral, président de la LNB.\\n\\nPour le tirage au sort des quarts de finale, deux chapeaux ont été constitués avec les équipes classées 1 à 4 lors de la saison régulière et un second chapeau avec les équipes classées 5 à 7 ainsi qu’Antibes, le club organisateur.\\n\\nQuarts de finale (25 mai):\\n\\nChalon-Nanterre, Gravelines-Monaco, Cholet-ASVEL, Strasbourg-Antibes.\\n\\n\\n\\n\\n Classement général, Saison 2017/2018\\n\\n\\nPos\\nÉquipe\\n% Victoire\\nMatches\\nPts\\n\\n\\n\\nMJ\\nV\\nD\\n+\\n–\\n\\n\\n\\n\\n\\n1\\nEspoirs Cholet\\n91\\n34\\n31\\n3\\n3026\\n2397\\n\\n\\n\\n\\n\\n2\\nEspoirs Chalon/Saone\\n74\\n34\\n25\\n9\\n2545\\n2292\\n\\n\\n\\n\\n\\n3\\nEspoirs Strasbourg\\n68\\n34\\n23\\n11\\n2430\\n2285\\n\\n\\n\\n\\n\\n4\\nEspoirs Gravelines-Dunkerque\\n68\\n34\\n23\\n11\\n2515\\n2409\\n\\n\\n\\n\\n\\n5\\nEspoirs Monaco\\n62\\n34\\n21\\n13\\n2558\\n2462\\n\\n\\n\\n\\n\\n6\\nEspoirs Nanterre\\n59\\n34\\n20\\n14\\n2378\\n2267\\n\\n\\n\\n\\n\\n7\\nEspoirs Lyon-Villeurbanne\\n56\\n34\\n19\\n15\\n2500\\n2385\\n\\n\\n\\n\\n\\n8\\nEspoirs Limoges\\n53\\n34\\n18\\n16\\n2348\\n2274\\n\\n\\n\\n\\n\\n9\\nEspoirs Dijon\\n53\\n34\\n18\\n16\\n2363\\n2312\\n\\n\\n\\n\\n\\n10\\nEspoirs Bourg-en-Bresse\\n53\\n34\\n18\\n16\\n2490\\n2421\\n\\n\\n\\n\\n\\n11\\nEspoirs Chalons-Reims\\n50\\n34\\n17\\n17\\n2433\\n2326\\n\\n\\n\\n\\n\\n12\\nEspoirs Hyeres-Toulon\\n47\\n34\\n16\\n18\\n2423\\n2541\\n\\n\\n\\n\\n\\n13\\nEspoirs Levallois\\n44\\n34\\n15\\n19\\n2434\\n2514\\n\\n\\n\\n\\n\\n14\\nEspoirs Le Portel\\n41\\n34\\n14\\n20\\n2234\\n2237\\n\\n\\n\\n\\n\\n15\\nEspoirs Le Mans\\n26\\n34\\n9\\n25\\n2353\\n2618\\n\\n\\n\\n\\n\\n16\\nEspoirs Boulazac\\n26\\n34\\n9\\n25\\n2498\\n2706\\n\\n\\n\\n\\n\\n17\\nEspoirs Pau-Lacq-Orthez\\n21\\n34\\n7\\n27\\n2221\\n2591\\n\\n\\n\\n\\n\\n18\\nEspoirs Antibes\\n9\\n34\\n3\\n31\\n2303\\n3015\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Bangaly Fofana (Monaco) : « Un trophée à aller chercher »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Si l’AS Monaco devra évoluer sans son arrière scoreur Gerald Robinson (adducteurs) ce soir (19h) pour le premier rendez-vous des quarts de finale entre les Monégasques et Pau-Lacq-Orthez, l’intérieur Bangaly Fofana (28ans, 2,13m) sera en revanche bien de la partie. Opéré du genou gauche en octobre dernier, « Bang » sera l’un des précieux dans la manche de son coach Zvezdan Mitrovic qui a remis le 21 dans le bain lors des deux dernières journées de la saison régulière (5 minutes sur le parquet de l’Asvel puis 20 contre Bourg-en-Bresse pour 7 points, 10 rebonds et un contre.\\n\\nLa dynamique des protégés du Prince Albert II n’a peut-être pas été exceptionnelle sur la fin de l’exercice 2017-2018. Une chose est sûre en tout cas, Bangaly Fofana apportera sa fougue et son dynamisme, lui qui mord dans le ballon à chaque seconde passée sur le parquet après de longs mois de rééducation loin des terrains.\\n\\n« J’ai un peu accéléré la rééducation ! J’ai pu me tester sur les 2 derniers matches de la saison régulière. J’avais à coeur de revenir dans la Roca Team pour ces play-offs. Je sais que je ne serai pas à 100% cette saison mais je veux donner le maximum pour aider l’équipe. Les gars ont réussi une très grande saison sans moi. L’effectif fonctionne très bien comme ça, il y a une hiérarchie.Je veux juste aider l’équipe le mieux possible avec mes qualités durant les minutes où je serai sur le parquet. Je veux essayer d’être complémentaire. On a un but final à atteindre », avait-il confié après le dernier match de la saison face à la JLB. « C’était ma première grosse blessure depuis cinq ans, je n’avais pas raté un seul match Je n’ai donc pas le coeur à me plaindre. J’ai travaillé dur, je voulais revenir, en voyant l’équipe à ce niveau-là, ça m’a motivé encore plus, j’avais envie d’apporter ma pierre à l’édifice. C’est ce que je veux faire durant ces play-offs » a poursuivi l’ancien strasbourgeois, ajoutant que son état d’esprit combatif n’avait pas bougé d’un poil. « Ça, ça ne changera pas. Je suis heureux de retrouver le groupe en compétition. Les play-offs sont une bataille, on a un trophée à aller chercher ».\\n\\nDéfaite en Playoffs depuis deux ans après avoir dominé le championnat et terminé à la première place de la saison régulière, l’AS Monaco est plus motivée que jamais, même si Pau-Lacq-Orthez a tout du poil à gratter sur ces quarts de finale.\\n\\n« Pau est une formation qui est montée en puissance tout au long de la saison, a pour sa part prévenu Zvezdan Mitrovic. Il faudra avant tout défendre chaque ballon, chaque position. Je sais la motivation de mes hommes. A nous de transformer cela en grande énergie sur le parquet. Il faut viser le haut niveau »."
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB : Clarissa Dos Santos de Charleville-Mézières à l’Asvel"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était dans les tuyaux depuis quelques semaines, c’est désormais officiel. Après la jeune Kendra Chery (16 ans) sortie de l’Insep, Fati Sacko (Lattes-Montpellier) et Lidija Turcinovic (Nantes-Rezé), l’Asvel Féminin a officialisé l’arrivée de la poste 5 brésilienne Clarissa Dos Santos en provenance de Charleville-Mézières. Après une saison prometteuse sous le maillot de Bourges en 2016-2017 (12,2pts, 7rbds), l’intérieure d’1,88m (30 ans), internationale brésilienne, s’est montrée à son aise cette année sous le maillot des Flammes Carolo : 14,1 points (54%), 10 rebonds, pour 20 d’évaluation par match en LFB (4e meilleure moyenne de la saison) et 13,7 points, 11,4 rebonds pour 20,9 d’évaluation en Eurocup (meilleure éval de l’équipe).\\n\\nA l’image d’Isabelle Yacoubou, grande championne de lancer de poids avant d’embrasser une carrière toute aussi fructueuse dans le basket, Clarissa Dos Santos a pratiqué le lancer de disque jusqu’à son adolescence. Par chance pour le basket brésilien, les paniers ne se trouvaient pas loin de la piste d’athlétisme et de son centre d’entraînement ! A noter que la future intérieure de l’Asvel Féminin a aussi connu deux expériences en WNBA, au Chicago Sky (2015-2016) puis... aux Stars de San Antonio la saison dernière (blessée, elle n’a pas pu disputer un match). Troublante coïncidence alors que son nouveau président, Tony Parker, a également plusieurs faits d’armes à son actif dans cette région du Texas...\\n\\nPhoto: Flammes Carolo"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau: En cas de qualification, Elie Okobo devrait manquer les demi-finales"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On en est encore loin et il faut pour Pau d’ici là éliminer Monaco, le premier de la saison régulière, en quart de finale, mais si par bonheur l’Elan Béarnais devait se qualifier pour les demi-finales, il devra probablement faire sans son meneur Elie Okobo (1,88m, 20 ans).\\n\\nOn sait que le Bordelais a choisi de s’inscrire à la prochaine draft qui est prévue le 22 juin et pour plaire aux franchises intéressées, il a programmé quatorze workouts (entraînements privés) en douze jours. C’est ce que révèle ce matin La République des Pyrénées.\\n\\n« Si Okobo est choisi au premier tour, l’Elan recevra une compensation de l’ordre de 500 000 euros, soit largement de quoi éponger le déficit de fin de saison tout en préparant sereinement le prochain exercice. En cas de second tour, la somme serait divisée par dix. Alors, entre intérêt sportif et intérêt financier, l’Elan pourrait être confronté à un sacré dilemme. A condition, d’abord, d’éliminer Monaco !, » écrit le journaliste Jean Fauret.\\n\\nUne fois de plus la Jeep Elite est victime de son succès vis à vis de la NBA qui bien sûr en a que faire des autres compétitions et de leurs impératifs."
}, 
{"role": "user",     "content":"Kevin Pangos (Zalgiris Kaunas) pisté par le Barça"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est le revers de la médaille, le club de Sarunas Jasikevicius a réalisé une grosse saison sur la scène européenne et forcément, ses meilleurs éléments ont attiré l’attention des grandes écuries européennes. C’est notamment le cas pour le meneur canadien Kevin Pangos (12,7pts à 47,5% à 3pts, 2,7rbds 6pds en moyenne sur ses 36 matchs disputés en Euroleague), nommé dans la AllEuroleague Second Team et pressenti sur le départ après deux saisons à Kaunas.\\n\\nD’après le journaliste lituanien Donatas Urbonas, Kevin Pangos serait assez courtisé, que ce soit en Europe ou en NBA où il serait sur les tablettes de plusieurs franchises américaines. Reste à savoir quel est la volonté du joueur qui devrait également recevoir une proposition de contrat assez conséquente de la part du FC Barcelone. Un deal de 3 millions d’euros sur deux ans (soit 125 000 euros par mois) est évoqué. Kevin Pangos rejoindra-t-il Thomas Heurtel et Petteri Koponen à la mène du club catalan ?\\n\\nLes meilleures actions de Kevin Pangos en demi-finale de l’Euroleague face à Fenerbahçe\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=ylW_G2brT04"
}, 
{"role": "user",     "content":"Belgique : Le triomphe de Jean Salumu, MVP de la saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On vous en parlait hier, de sa possibilité d’être sacré MVP du championnat belge et de son désir de partir à l’étranger. Pour la première partie, c’est fait. Jean Salumu (1,93m, 27 ans) est le premier Belge a être maître sur son territoire, une performance remarquable évidemment face aux divers Américains.\\n\\nCela s’est joué d’une demi poitrine. L’ailier international du BC Ostende a obtenu 195 points devançant ainsi l’ailier de Mons Garlon Green d’un point ! Le pivot du Spirou Charleroi Seth Tuttle se classe troisième avec avec 62 points. Le procédé de désignation est différent de celui qui est en vigueur en Jeep Elite puisque c’est une combinaison de votes d’un jury et d’un sondage effectué par le journal Het Nieuwsblad.\\n\\nJean Salumu a forcément obtenu en sus le trophée du Joueur belge de la saison, une première pour lui, plus une place dans l’équipe type défensive et dans l’équipe type offensive. Bref, il est présent partout.\\n\\n« Au delà de cette saison, il s’agit aussi en quelque sorte de la récompense individuelle de toute une carrière. Souvent éclipsé par son coéquipier Dusan Djordjevic, Jean Salumu possède un palmarès belge stratosphérique : sept Coupes de Belgique et cinq championnats avec le BC Ostende. Avant peut-être un sixième à la fin de la saison ?, » explique La Dernière Heure.\\n\\nLe lauréat espère avoir maintenant des propositions alléchantes de l’étranger.\\n\\nLa soirée des trophées a également récompensé pour la troisième fois Dario Djergia, 42 ans, l’entraîneur d’Ostende, par ailleurs assistant en équipe nationale de Croatie."
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet : Régis Boissié officiellement intronisé"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La nouvelle a été officialisée ce matin par le biais d’une conférence de presse : Philippe Hervé sera remplacé la saison prochaine par son assistant et ancien coach des Espoirs Régis Boissié (39 ans). Egalement sur la piste de Jean-Christophe Prat, le club des Mauges a privilégié la carte interne avec pour objectif principal de promouvoir la formation choletaise.\\n\\nPriorité aux jeunes formés au club\\n\\nPremière du championnat Espoir (31v-3), la relève de Cholet Basket regorge de jeunes joueurs prometteurs dont Killian Hayes et Melvyn Govindy sont les têtes d’affiche.\\n\\n« Avec Régis, nous voulons donner du temps de jeu à nos jeunes » a notamment déclaré le président du club, Didier Barré en introduction de la conférence de presse de présentation du nouvel entraîneur. « J’ai une grande passion pour ce club avec lequel j’espère réussir. (...) Nous voulons que les jeunes représentent la moitié de l’effectif professionnel », a poursuivi Régis Boissié. Formé à Cholet dès le plus jeune âge, Régis Boissié est revenu dans son club de cœur à l’issue de sa carrière professionnelle en 2012-2013 en tant qu’assistant-coach avant de prendre en main l’équipe espoir la saison suivante.\\n\\nSes deux assistants seront Gaëtan Charbonnier et Sylvain Delorme.\\n\\nPhoto CB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le beau cadeau de Luka Doncic au musée de Drazen Petrovic"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A 19 ans à peine, le prodige slovène du Real Madrid Luka Doncic a déjà tout gagné sur le Vieux Continent, en club avec comme en sélection (double champion d’Espagne, vainqueur de l’Euroleague avec le Real, Champion d’Europe en septembre dernier avec la Slovénie). Sacré MVP de l’Euroleague ce week-end après la victoire des Madrilènes sur Fenerbahçe (85-80) et présent dans le cinq majeur de la compétition, le numéro 7 du Real désormais promis à un grand avenir outre-atlantique vient de faire un beau cadeau au « Drazen Petrovic Museum – Memorial Center » de Zagreb (Croatie) en offrant son maillot dédicacé de la finale de l’Euroleague.\\n\\nVia les réseaux sociaux, le musée en mémoire du Mozart du basket lui a adressé un message pour le remercier.\\n\\n« Nos félicitations en chemin pour le Real Madrid, vainqueur de l’Euroligue et Luka Doncic, MVP de la saison régulière et du Final Four à Belgrade. Nous remercions également le jeune slovène qui nous a envoyé son maillot signé et qui sera désormais exposé dans notre musée avec les maillots des autres géants du basket mondial »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Playoffs : L’ASVEL tient Le Mans dans ses crocs"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Ancestralement, les Sarthois n’aiment pas venir à Antares en semaine, surtout à 19h. Ça bouscule leur routine. Si bien que pour un match de playoffs, ils n’étaient que quatre petits milliers alors que la saison a été marquée par un net regain populaire dû à une équipe spectaculaire et d’excellents résultats. Pourtant les playoffs, ils connaissent la formule puisque c’est la 21e participation de leur équipe en 22 ans. En plus, ceux qui se sont déplacés sont longtemps restés d’une passivité qui attire régulièrement les moqueries des Limougeauds qui eux enflamment Beaublanc en toutes circosntances.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n« Effectivement ça fait un peu drôle, » ne pouvait que constater le coach Eric Bartecheky. « C’est la première chose que j’ai dit à Antoine et Dounia (NDLR : Mathieu et Issa, ses adjoints). Quand on est rentré, il y avait une salle beaucoup plus vide par rapport à d’habitude. Après j’ai un peu moins vu car on est pris par les actions. C’est sûr que ça n’aide pas non plus l’équipe mais que le public soit là ou pas pour nous pousser, on doit se dynamiser pour ne pas faire ce type de début de match. D’ailleurs, il y a eu des salles qui étaient pleines cette année et on a eu des entames catastrophiques. C’est plus dans l’ADN de l’équipe, dans sa nature d’être à réaction. Ce n’est pas la première fois qu’on n’arrive pas à entrer avec intensité. Il faut prendre une gifle pour réagir mais après c’est difficile. »\\n\\nComble de l’absurde, quelques sifflets sont même tombés des gradins lorsque le MSB était au creux de la vague.\\n\\n« C’est un peu dur par rapport à la saison que l’équipe fait et dans la situation dans laquelle on se retrouve mais il y a eu vraiment des manquement des joueurs et de l’équipe et de nous tous et c’est sûr que c’est difficile à vivre pour la salle. On a une part de responsabilités. »\\n\\nL’apport de Justin Gamble, l’absence de Youssoupha Fall\\n\\nTout ça pour dire que le contexte n’était pas favorable aux Manceaux et que le fameux « avantage du terrain » n’a pas été perçu hier soir au Mans. Ce n’est pas la seule explication au démarrage catastrophique du MSB mais c’est quand même un facteur à prendre en considération. Car le premier quart-temps du MSB fut indigne de son statut, de sa saison, d’un match à quitte ou double ou presque. Pour être précis, cela a donné comme temps de passage : 2-9 en 2’11, 5-14 en 3’10, 7-20 en 4’45, 12-27 en 8’37 et 15-27 après 10’. Et encore 15-32 en 11’20 et un pic monumental mais si éphémère à 15-34 en 12’25. Là, on s’est dit : et si on passait directement au Match 2 pour nous éviter un spectacle aussi pitoyable ?\\n\\n« C’est ça qui est le plus décevant, encore une fois. Il faut que je trouve un moyen de faire comprendre à l’équipe qu’il faut commencer les matchs différemment. 27 points à la fin du premier quart-temps, c’est impossible ! C’est incompréhensible ! (...) Il y a un manque d’engagement, de concentration, de respect des consignes. C’est vraiment dommage de donner autant de confort et de points à l’adversaire. »\\n\\nRomeo Travis ne pouvait faire que le même constat que son coach:\\n\\n« On a été trop soft. Le coach nous a pourtant bien préparés. C’est nous qui n’avons pas obéi aux consignes. On connaît les playoffs mais c’est une question de maturité, de manque d’auto-discipline. »\\n\\nD’un côté les balles roulaient ou buttaient sur le cercle, s’égaraient où il ne fallait pas. Pas de ressorts donc pas de réussite. Très vilain. De l’autre, les Villeurbannais étaient très agressifs, avec une bonne circulation de balle et une finition parfaite. 11/15 aux shoots. On observait déjà à la manœuvre la paire Justin Harper-Julian Gamble, qui a totalisé 31 points et 14 rebonds sur l’ensemble du match faisant d’eux les principaux bourreaux avec l’arrière américano-polonais AJ Slaughter (18 points à 7/10 aux tirs).\\n\\nL’hyper tatoué Julian Gamble (2,06m, 28 ans) débarqué dans le Rhône sitôt sa saison achevée avec les Allemands de Bonn, quatre entraînements au compteur, s’est fondu dans le collectif villeurbannais comme s’il était là depuis août dernier.\\n\\n« C’est un peu ça qui nous manquait dans notre jeu. Avoir un grand qui puisse poster. Dès qu’on a eu l’opportunité pour l’avoir, un joueur comme ça, ça ne se refuse pas. Surtout qu’en poste 5, on a Alpha (Kaba), ce n’est pas le même style, ce n’est pas un joueur post up. Il a vraiment une présence, une force qui nous aide. Un joueur intelligent, il prend les informations, il imprime vite, ça aide beaucoup », apprécie le coach TJ Parker.\\n\\nQuant à Justin Harper, sa capacité à s’éloigner de la peinture est un vrai casse-tête pour les Manceaux qui en avaient déjà bavé ici même lors du match retour de saison régulière où ils avaient été mené un moment de dix-huit points. Harper avait scoré 18 points et obtenu 17 d’évaluation.\\n\\nIl faut dire qu’un événement majeur est survenu après seulement 2’13 de jeu qui a grandement facilité la tâche de Gamble et Harper. Eric Bartecheky a retiré du terrain les 2,21m Youssoupha Fall qui est resté sur le banc jusqu’au bout du match. Motif : douleurs au genou. Or, le Franco-Sénégalais, c’est 11,2 points et 6,9 rebonds par match et une force de dissuasion unique.\\n\\n« C’est vrai que toute l’année, il les a beaucoup porté, c’était un point d’ancrage. Au bout de deux minutes, il est sorti. A partir de là, ils ont dû s’ajuster. Sur les pick and roll, il avait du mal à se déplacer, on a insisté là-dessus. On a pris du rythme comme ça », a commenté Charles Kahudi.\\n\\nAutre élément très perturbateur pour les Manceaux, jusqu’à quelques heures du match, ils ne savaient pas si leur Américain Romeo Travis pourrait être aligné ou pas. Le pote de lycée de LeBron James a écopé d’un match de suspension pour propos injurieux envers le corps arbitral et le club avait fait appel. Travis a finalement obtenu une sorte de sursis mais la préparation ne s’est pas déroulée en amont dans la sérénité la plus parfaite. D’ailleurs, depuis quelque temps le MSB est un peu à côté de ses pompes et il a des circonstances atténuantes à présenter :\\n\\n« Bien sûr que l’on est déçu notamment par rapport à l’entame mais on est quand même dans une situation qui est difficile pour l’équipe », explique Eric Bartecheky. « Il faut mettre en avant les mérites d’une équipe qui se bat, qui ne lâche pas mais qui est vraiment en difficulté dans son équilibre. La perte de Terry (Tarpey) dans la ligne arrière est énorme. On est quand même obligé de commencer les matchs avec deux meneurs de jeu, Antoine (Eito) et Justin (Cobbs). Ce n’est pas tout à fait l’équilibre que l’on a eu sur l’ensemble de la saison qui nous a permis de gagner des matchs. Et je ne vous parle pas de l’absence de Youssoupha Fall. Ce ne sont pas forcément les deux meilleurs joueurs mais ils avaient un impact énorme dans notre équilibre et notre réussite pendant la saison. Alors qu’à l’inverse, c’est une équipe qui apporte du sang neuf avec Gamble alors qu’elle a déjà une quantité et une qualité de joueurs impressionnantes. »\\n\\nTJ Parker félicite Alpha Kaba\\n\\nAlors qu’il était au fond du trou, le MSB a quand même eu une forte réaction. Piqués dans leur orgueil, les coéquipiers d’Antoine Eito ont monté leur intensité défensive, le public s’est mis enfin à les soutenir correctement, les Villeurbannais sont devenus moins précis dans leurs gestes et l’écart s’est dégonflé. Il n’était plus que de dix points (33-43) à la mi-temps et l’ASVEL s’est retrouvée dans l’orage à la reprise avec les trois fautes coup sur coup de John Roberson et Charles Kahudi. Sur un and one de Will Yeguete -plein de jus mais d’une maladresse pathologique aux lancers-, Le Mans est revenu une première fois à trois points (40-43) puis une deuxième (53-56).\\n\\nSeulement l’ASVEL, qui n’a pu compter de son côté sur David Lighty que sept minutes, sûre de sa force, ne s’est jamais affolée. Et elle est repartie de l’avant. Un trois-points de AJ Slaughter l’a définitivement mis à l’abri à quatre minutes du buzzer (74-59). Les Manceaux ne mettaient plus leurs shoots à cause peut-être de l’énergie dépensée pour revenir précédemment au score.\\n\\n« 68 points contre Le Mans, c’est ça qui me plait le plus car c’est une équipe qui a beaucoup de talent offensif. On a été vraiment présent en défense et surtout avec l’entrée de Alpha Kaba. On ne le voit pas sur les stats, il a -1 d’éval, mais il défend parfaitement sur les picks and roll. C’est là où on a décollé dans le quatrième quart-temps. C’est son premier match depuis deux mois, je trouve que défensivement il a été excellent. C’est un super passeur, il ne pense pas qu’à lui. Voilà le personnage », s’est félicité TJ Parker.\\n\\nDans ses commentaires, Charles Kahudi est allé dans le même sens que son coach :\\n\\n« On avait un socle défensif quand même présent, à part au troisième quart-temps où ils mettent beaucoup de points. Ils reviennent avec beaucoup plus d’envie. C’est un peu notre péché mignon, le troisième quart-temps, quand on est un peu en dedans. On était quand même solide mentalement et on a compensé sur nos principes pour ne pas s’affoler. »\\n\\nLe MSB atteint dans son orgueil... mais aussi dans sa chair\\n\\nEt maintenant ? Les quarts de finale sont en Jeep Elite de faux playoffs dans le sens qu’il n’y a pas cinq manches possibles mais seulement trois. Et quand on perd le Match 1 à domicile, il n’y a pas trente-six façons de sauver sa peau. Il faut gagner les deux matchs suivants. Bien sûr, TJ Parker et Charles Kahudi n’allaient pas dire que c’était « in the pocket ». Ils ont insisté sur le fait que le billet pour la demi-finale n’était pas encore composté. C’est ce que l’on fait toujours dans ce genre de circonstances.\\n\\n« Il n’y a pas de recette, on savait qu’il fallait faire un match costaud ici. Mais le plus dur reste à faire. Gagner le premier match et puis perdre à domicile, ça ne reste à rien. Le prochain match va être important. On a battu une équipe du Mans qui a fait une super saison et on sait que ça peut changer à domicile si on n’est pas prêt », a ainsi déclaré le coach.\\n\\nMême le fait d’avoir gagné les trois rencontres face au MSB cette saison n’est pas suffisant, selon Charles Kahudi, pour crier victoire. Il se méfie d’ailleurs autant de l’adversaire que des mauvaises manières de son équipe.\\n\\n« Ça ne veut rien dire du tout. Ce sont les playoffs et tous ces joueurs ont connu les playoffs avant. Ils ont beaucoup d’orgueil, ils ont envie de rebondir et montrer autre chose chez nous. Et nous on est parfois imprévisibles. C’est plus dur parfois de confirmer. Ça peut aller tellement vite en playoffs, il suffit d’un momentum un peu différent. Il faut être prêt vendredi car ils le seront certainement et revanchards. »\\n\\nEric Bartecheky estime pour sa part que ses joueurs sont des compétiteurs et qu’ils vont -selon la formule consacrée- tout donner vendredi. Mais il ajoute aussitôt quand la question lui est posée des conséquences d’une possible suspension confirmée de Romeo Travis dont le dossier doit passer en chambre d’appel aujourd’hui :\\n\\n« S’il n’est pas là et que Yous ne peut pas jouer, ça va devenir très compliqué. »\\n\\nLa belle saison du Mans pourrait alors faire pschitt tout d’un coup. C’est ça les playoffs. On peut tout y gagner ou tout y perdre en quelques jours.\\n\\n[armelse]\\n\\n« Effectivement ça fait un peu drôle, » ne pouvait que constater le coach Eric Bartecheky. « C’est la première chose que j’ai dit à Antoine et Dounia (NDLR : Mathieu et Issa, ses adjoints). Quand on est rentré, il y avait une salle beaucoup plus vide par rapport à d’habitude. Après j’ai un peu moins vu car on est pris par les actions. C’est sûr que ça n’aide pas non plus l’équipe mais que le public soit là ou pas pour nous pousser, on doit se dynamiser pour ne pas faire ce type de début de match. D’ailleurs, il y a eu des salles qui étaient pleines cette année et on a eu des entames catastrophiques. C’est plus dans l’ADN de l’équipe, dans sa nature d’être à réaction. Ce n’est pas la première fois qu’on n’arrive pas à entrer avec intensité. Il faut prendre une gifle pour réagir mais après c’est difficile. »\\n\\nComble de l’absurde, quelques sifflets sont même tombés des gradins lorsque le MSB était au creux de la vague.\\n\\n« C’est un peu dur par rapport à la saison que l’équipe fait et dans la situation dans laquelle on se retrouve mais il y a eu vraiment des manquement des joueurs et de l’équipe et de nous tous et c’est sûr que c’est difficile à vivre pour la salle. On a une part de responsabilités. »\\n\\nL’apport de Justin Gamble, l’absence de Youssoupha Fall\\n\\nTout ça pour dire que le contexte n’était pas favorable aux Manceaux et que le fameux « avantage du terrain » n’a pas été perçu hier soir au Mans. Ce n’est pas la seule explication au démarrage catastrophique du MSB mais c’est quand même un facteur à prendre en considération.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Justin Harper (ASVEL/Eurocup)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Laurent Legname (Dijon) au sujet de Kyle Milling (Limoges) : «  Pendant le match, on ne sera pas amis »"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec Kyle Milling et Laurent Legname sur les bancs de Limoges et Dijon, ce quart de finale des Playoffs dont la première manche aura lieu ce soir à Beaublanc (20h50) promet d’être animé ! Les deux coachs se connaissent par cœur pour avoir longtemps œuvré ensemble à Hyères-Toulon, en tant que coéquipiers d’abord pendant six ans (de 2002 à 2008) avant de cohabiter durant deux saisons sur le banc du club varois en Pro B, avec Laurent Legname en « head coach » et Kyle Milling en assistant (2013 à 2015). Le départ de Laurent Legname du HTV pour Dijon permettra alors à son ancien bras droit de connaître une première expérience réussie en tant qu’entraîneur en chef.\\n\\nDe cette période de collaboration au sein du même staff, Laurent Legname interrogé par le Populaire du Centre, ne garde que de bons souvenirs\\n\\n« On en a plein et surtout en dehors du basket. Avec le HTV, on n’avait pas d’argent mais on a réussi à faire les playoffs deux fois. On a passé plein de bons moments à refaire le monde ensemble ».\\n\\nDe quoi nourrir une belle amitié entre les deux hommes, qui sera toutefois mise entre parenthèses le temps d’une série.\\n\\n« Pendant le match, on ne sera pas amis. J’aurais affronté un autre coach, j’aurais la même envie de gagner ! Je ne vais pas me dire : « c’est Kyle, je dois absolument le battre ». Et je n’oublie pas que nous ne jouons pas. Nous préparons seulement nos armes ».\\n\\nEn attendant de voir qui de Limoges ou Dijon l’emportera sur le parquet, d’autres duels, autrement plus endiablés entre les deux protagonistes, sont d’ores et déjà prévus durant l’intersaison...\\n\\n« Au tennis, c’est moi qui suis le meilleur des deux ! Et ça ne lui plaît pas de perdre (rire). On est deux compétiteurs. Mais au golf, je dois avouer que c’est lui le plus fort »."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pascal Donnadieu (Nanterre): «Si on doit sortir, on sortira la tête haute»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Vincent Collet est évidemment très satisfait de la large victoire de la SIG sur Nanterre (83-56) pour ce Match 1 de quarts-de-finale de playoffs.\\n\\n« La première partie du contrat est rempli, mais on a surtout produit un 3equart temps exceptionnel. », a t-il déclaré en conférence de presse. « C’est là que tout se joue. On les met KO avec ce 16-0. On a bénéficié du travail de sape. Tout n’était pas négatif en première mi-temps, mais on a manqué un peu de justesse offensive pour renverser la balle. On n’avait pris que 31 points, mais Nanterre jouait juste, avait du peps, trouvait des solutions. Il n’y avait pas le feu, il fallait continuer en étant un peu plus juste en attaque. Dès qu’on a changé le rythme du match, ils ont été submergés ».\\n\\nCe match a permis à Pape Sy de bénéficier de 13 minutes et de marquer quatre points lui qui se remet peu à peu d’une hernie discale:\\n\\n« Si on m’avait dit au mois de février que je serais là, en playoffs, dans le cinq... On a fait du travail très sérieux avec le staff et de pouvoir rejouer un peu au Mans puis contre Dijon, c’était déjà une victoire. Je goûte mon plaisir. De ne plus avoir de douleurs, de me sentir bien physiquement, ça me libère aussi mentalement. Je suis content d’être sur le terrain, de pouvoir aider l’équipe. J’apprécie beaucoup plus les détails et le fait d’être là et ça me donne encore plus d’envie... »\\n\\nQuant au coach de Nanterre, Pascal Donnadieu, il estime que les deux équipes n’ont pas le même poids dans la balance:\\n\\n« On a eu le mérite de faire 20 bonnes premières minutes et bien sûr je ne m’en contente pas. Mais aujourd’hui, c’est la réalité des deux équipes. Il y a une grosse différence. On aurait pu ne jamais exister, mais on a existé pendant une mi-temps avec un plan de jeu bien établi. Sauf que la qualité des joueurs d’en face et les multiples « cinqs » qu’ils peuvent mettre en place ont fini par nous pénaliser. La logique est respectée, il n’y a rien à dire. Sportivement, je ne peux même pas être déçu. Après, j’ai trouvé qu’on a vite lâché et qu’on s’est précipité en attaque (...) Je sais ce que vous allez me dire, me parler de 2013... Mon objectif aujourd’hui, ce n’est pas d’endormir Strasbourg. Ils ont une telle densité, alors que nous on est court en rotations. Mais il nous reste un match à Nanterre et ne serait-ce que pour notre public, on va montrer le maximum de grinta. Si on doit sortir, on sortira la tête haute ».\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pour le président du club, Axel Bouteille va rester à Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A cette période et pour de longues semaines encore, les rumeurs vont planer sur le basket français et international. Sur twitter, Youri Verieras, le président du Limoges CSP, a voulu faire taire celle qui disait que l’ailier Axel Bouteille (2,01m, 23 ans) allait quitter le club à la fin de sa première saison au club.\\n\\nhttps://twitter.com/YVerieras/status/998990618876628993"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les ministres européens des sportsvont se pencher sur le modèle sportif européen. Une étape décisive vers la résolution du conflit FIBA-Euroleague ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le mercredi 23 mai sera organisé à Bruxelles un déjeuner de travail avec les différents ministres des sports de l’Union Européenne dont Laura Flessel et le président de l’UEFA, Aleksander Ceferin. Le thème ? « Le futur des compétitions de clubs et des équipes nationales. » Une conférence de presse suivra ce déjeuner.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]Selon nos informations, le conseil des ministres adoptera alors des conclusions sur la façon de promouvoir les valeurs de l’Union Européenne via le sport et va discuter d’une législation commune sur la commercialisation du sport d’élite et la préservation du modèle européen du sport.\\n\\nOn comprend que l’enjeu est majeur pour le basket, avec notamment les problèmes que pose aujourd’hui la politique de ECA (Euroleague Commercial Assets) qui gère notamment l’Euroleague et aussi l’Eurocup, pour laquelle il est en train de préparer un calendrier qui se superposerait également avec celui des équipes nationales pour les fenêtres de qualification à la Coupe du Monde 2019. La FIBA et les fédérations nationales reprochent à une entreprise privée de vouloir couper sa compétition du système pyramidal traditionnel européen, mais aussi des équipes nationales, pourtant le vecteur populaire le plus puissant de la discipline.\\n\\nLa situation du basket européen est à ce titre emblématique et servira de cas d’école pour un ensemble de questions pertinentes pour tout le modèle sportif du continent.\\n\\nProtéger la formation et les équipes nationales\\n\\nLe modèle sportif européen tel qu’il est défini implique des montées et des relégations. Les ligues fermées qui ont leur origines aux Etats-Unis, ne font pas partie de ce modèle sportif. La FIBA estime que l’on ne peut pas intéresser l’ensemble du territoire européen à comment développer la discipline quand l’élite du basket se referme principalement sur quatre pays dont deux n’appartiennent pas à l’Union Européenne (Espagne, Grèce, Turquie, Russie) et avec pour une immense majorité de pays aucune chance d’y participer.\\n\\nSelon la FIBA, le développement d’une discipline passe par une fédération et des clubs qui investissent dans la formation. Il faut donc les protéger d’une façon ou d’une autre par un système de transferts régulés par une fédération et un système de compensation mécanique et solidaire. On observera que la NBA bénéficie aux Etats-Unis du système culturellement très implanté des high schools et de la NCAA -bien que ce modèle commence à poser problème. Et aussi de la formation dans les pays du monde entier, l’Europe en premier lieu. Mais en Europe, ce sont les fédérations et les clubs formateurs qui font émerger les jeunes joueurs.\\n\\nLe développement récent en Europe des académies privées, des entreprises mises en mouvement par le profit, pose la question des droits des mineurs dans ces circuits d’argent, ainsi que la nécessaire compensation pour le temps, la passion et l’effort des bénévoles dans les premiers échelons des clubs.\\n\\n... Et aussi les Ligues nationales\\n\\nLes ligues nationales occupent une place fondamentale dans la pyramide européenne du sport. Le basket français connait bien cette situation avec des bastions régionaux très forts ou les petits ou moyens clubs de l’élite française (Jeep Elite et Pro B) ne sont pas bankables pour des grosses marques nationales ou européennes mais représentent localement des institutions, positives pour la discipline et déterminante pour l’économie locale. Il est également très important que tout le territoire soit couvert, la problématique s’est posée en France il y a quelques années quand la LNB peinait à installer des clubs dans le sud de la France. Que se passera t-il pour ces écosystèmes si les meilleures équipes du continent, comme a commencé à le faire le Maccabi Tel Aviv par exemple, déserte leur championnat nationaux ou envoie une équipe B dans la ligue nationale ?\\n\\nPour la FIBA, le calendrier sportif international doit être établi par des organisations à but non-lucratif, les fédérations, et ne devrait pas se soumettre à de purs intérêts commerciaux. La coordination est essentielle pour ne pas frustrer les fans et les joueurs écartelés par des choix impossibles tels que le basket en vit actuellement par du surbooking de matches à des dates similaires. Et pour ne pas soumettre non plus les joueurs à des cadences infernales et impossibles. Par exemple, le nouveau système de qualification pour la coupe du monde de la FIBA a été choisi pour alléger les étés des joueurs avec seulement un EuroBasket tous les quatre ans, au lieu de deux et des fenêtres plus courtes. La NBA approuve d’ailleurs ce nouveau format. Les franchises NBA, aussi comme l’a récemment rappelé Vincent Collet, plus enclines à libérer leurs joueurs.\\n\\nLes clubs qui font partie de la pyramide européenne des sports doivent toujours libérer leurs joueurs pour les équipes nationales. Cela fait partie de la mission de solidarité des clubs envers la discipline et le développement de la discipline. L’équipe nationale à domicile pour des matches à enjeux constitue le meilleur vecteur de popularisation d’un sport auprès du large public sportif. Et donc, comme l’a récemment rappelé Andrei Kirilenko, président de la fédération russe, c’est également dans l’intérêt des clubs européens de laisser leurs joueurs participer aux compétitions de l’équipe nationale car l’intérêt suscité par leurs performances en sélection retombera ensuite sur les clubs.\\n\\nDernier point : pour le match Bulgarie-Finlande de qualification à la coupe du monde, le FC Barcelone avait décidé de laisser le capitaine de la Bulgarie Sasha Vezenkov à la disposition de son équipe nationale, mais pas le capitaine de la Finlande Petteri Koponen. On voit là l’énorme problème d’éthique et d’équité sportive que peut générer la décision des clubs de libérer untel et non untel.\\n\\nQue ressortira-t-il de cette réunion à Bruxelles ? En tous les cas l’enjeu est capital pour le basket européen et donc français. C’est tout le futur des compétitions continentales et par extension nationales qui se joue actuellement.\\n\\nLe programme officiel est à lire ici.\\n\\n[armelse]\\n\\nSelon nos informations, le conseil des ministres adoptera alors des conclusions sur la façon de promouvoir les valeurs de l’Union Européenne via le sport et va discuter d’une législation commune sur la commercialisation du sport d’élite et la sauvegarde et la préservation du modèle européen du sport.\\n\\nOn comprend que l’enjeu est majeur pour le basket, avec notamment les problèmes que pose aujourd’hui la politique de ECA (Euroleague Commercial Assets) qui gère notamment l’Euroleague et aussi l’Eurocup, pour laquelle il est en train de préparer un calendrier qui se superposerait également avec celui des équipes nationales pour les fenêtres de qualification à la Coupe du Monde 2019. La FIBA et les fédérations nationales reprochent à une entreprise privée de vouloir couper sa compétition du système pyramidal traditionnel européen, mais aussi des équipes nationales, pourtant le vecteur populaire le plus puissant de la discipline.\\n\\nLa situation du basket européen est à ce titre emblématique et servira de cas d’école pour un ensemble de questions pertinentes pour tout le modèle sportif du continent.\\n\\nProtéger la formation et les équipes nationales\\n\\nLe modèle sportif européen tel qu’il est défini implique des montées et des relégations. Les ligues fermées qui ont leur origines aux Etats-Unis, ne font pas partie de ce modèle sportif. La FIBA estime que l’on ne peut pas intéresser l’ensemble du territoire européen à comment développer la discipline quand l’élite du basket se referme principalement sur quatre pays dont deux n’appartiennent pas à l’Union Européenne (Espagne, Grèce, Turquie, Russie) et avec pour une immense majorité de pays aucune chance d’y participer.\\n\\nSelon la FIBA,\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Hervé Bellenger/FFBB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg s’impose en « bonhomme » contre Nanterre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On a cru a un premier rendez-vous équilibré entre la Sig et Nanterre 92 hier soir après une première mi-temps disputée et durant laquelle les Franciliens ont fait déjouer les pronostics (31-31). Mais les Strasbourgeois, à domicile, ont fait respecter la hiérarchie après le repos, explosant littéralement leur adversaire du soir pour s’imposer 83-56 dans ce premier acte entre les deux équipes.\\n\\nLes Nanterriens avaient pourtant remarquablement attaqué le match des deux côtés, en répondant présent des deux côtés du parquet. Une entame magnifiée par la claquette dunk de Justin Edwards qui a porté la marque à 18-24 en début de 2e quart. Il a encore fallu deux missiles à 3-points signés David Logan pour remettre les locaux en scelle et rester dans le coup, tandis que Lahaou Konaté clôturait le 2e quart prometteur des hommes de Pascal Donnadieu par un dunk ligne de fond. La première mi-temps laissait alors augurer un combat de tous les instants après le repos entre les deux équipes (31-31).\\n\\nMais l’opposition n’a finalement pas eu lieu, la Sig ayant survolé les débats en remportant le 3e quart par 20 points d’écart (30-10). La période a notamment été marquée par un impressionnant 24-2 qui a rapidement mis un terme au suspense. Rassurés par cette démonstration de force, les hommes de Vincent Collet ont pu terminer avec le plein de confiance. A noter que l’adresse extérieure de Nanterre 92 a été louée avant cette série de Playoffs et à juste titre, mais sur ce premier match, c’est la Sig qui a mené les débats dans ce secteur (40% d’adresse à 10/25 contre 21% pour Nanterre à 4/19)\\n\\nNanterre 92 avait de quoi être déçu par la tournure des événements après la mi-temps, ce qui a eu le mérite d’irriter le capitaine Lahaou Konaté, interrogé sur SFR Sport après la rencontre.\\n\\n« Tout simplement, en première mi-temps on a joué comme des bonhommes, mais en deuxième mi-temps, on n’a pas joué comme des bonhommes. Strasbourg est monté en intensité, ils ont bien défendu et on n’a pas su répondre, défendre, se passer les ballons, donc la victoire de Strasbourg est méritée. (...) Ce n’est pas une question de fatigue. Dans les matchs comme ça, les moments comme ça, c’est juste une histoire de « cojones ». Tu es un bonhomme, tu joues le match, même si tu es fatigué, tu joues 40 minutes. Ce soir ils ont joué comme des bonhommes, avec un effectif plus large que le nôtre, mais nous, on n’a pas joué comme des bonhommes en 2e mi-temps, et ça explique la grand différence ce soir ».\\n\\nProchain rendez-vous vendredi à 20h50 pour l’acte II au Palais des Sports Maurice Thorez"
}, 
{"role": "user",     "content":"Limoges rêve de signer Sekou Doumbouya"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sekou Doumbouya (2,05m, 17 ans), celui qui est un véritable phénomène de précocité va quitter Poitiers et la Pro B pour la Jeep Elite. Mais pour quel club? Le Limoges CSP rêve de l’enrôler et dans son opération séduction l’a fait venir sur place. Le surdoué, élu évidemment meilleur Jeune de la Pro B 2018, assistera demain au quart-de-finale du CSP face à Dijon.\\n\\nLe Populaire indique en outre que son agent Bouna Ndiaye est passé récemment par Limoges.\\n\\n« Le représentant de la plupart des joueurs français de NBA aurait été séduit par l’argumentaire limougeaud et notamment celui de Kyle Milling avec lequel il aurait longuement échangé. Il aurait même fait de Limoges sa destination privilégiée. Les efforts du club limougeaud en matière de staff technique serait un atout important pour le Limoges CSP. »\\n\\nSekou Doumbouya ne devrait pas de toutes façons séjourner très longtemps en France. Il est annoncé en quatrième position de la draft NBA 2019 par nbadraft.net.Photo: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Christian Giannini (président Hyères-Toulon): «Le HTV doit rester ici !»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’information date de samedi mais mérite d’être révélée même avec un délai de trois jours : le président du Hyères-Toulon Var Basket Christian Giannini dément la possibilité que les droits de son club aille dans le projet parisien de l’Américain David Khan, quoi que...\\n\\nC’est le quotidien Var Matin qui a réussi à joindre Christian Giannini après trois mois de « silence radio ». Il a confirmé que son club, reléguée sportivement en Pro B, qui avait pourtant de très loin le plus petit budget de la Jeep Elite, a une dette de 1,1M€ et qu’il est ainsi menacé de disparition.\\n\\n« Il ne faut pas oublier que j’ai pris un club déjà en faillite. Je l’ai fait vivre trois ans de plus. Si on a démarré en 2015-16, c’est que j’ai fait un chèque de 70 000 euros, » répond le président.\\n\\nAlors qu’en est-il du transfert des droits du HTV au Paris Basket Avenir ?\\n\\n« Le HTV doit rester ici! Je serai surpris que le club parte à Paris car nous n’en avons jamais parlé. L’investisseur (NDLR: Christian Giannini ne donne pas son nom) a même demandé à Philippe Legname de s’assurer qu’on ait les mêmes subventions l’an prochain. Il était prêt à injecter 1,3M€ pour remonter directement en Pro A. Ou alors il y a eu des discussions dans mon dos... »\\n\\nChristian Giannini se plaint par ailleurs que le maire de Toulon, Hubert Falco, ne l’ait pas reçu depuis trois... ans."
}, 
{"role": "user",     "content":"Tournoi de Paris en septembre: Les places à l’unité sont en vente"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les deux Équipes de France, masculine et féminine, seront réunies pour la première fois de leur histoire pour un tournoi de préparation commun du vendredi 7 au dimanche 9 septembre à Paris, au Stade Pierre de Coubertin. Après la mise en vente des pass « 2 jours » et « 3 jours » au début du mois, les places à l’unité pour venir encourager les Bleus et les Bleues sont désormais disponibles.\\n\\nLes fans peuvent acheter des places à la journée à partir de 15€ alors qu’il est encore possible de se procurer des « pass 3 jours », en vente à partir de 50 €, afin d’assister à l’ensemble des rencontres.\\n\\nToutes les offres sont sur :\\n\\nhttps://billetterie.ffbb.com\\n\\nLe programme du Tournoi* :\\n\\nVendredi 7 septembre 2018 :\\n\\n18h00 : Match féminin – France / Lettonie\\n\\n20h30 : Match masculin – France / Monténégro\\n\\nSamedi 8 septembre 2018 :\\n\\n18h00 : Match masculin – Monténégro / Grèce\\n\\n20h30 : Match féminin – France / Australie\\n\\nDimanche 9 septembre 2018 :\\n\\n16h00 : Match féminin – Australie / Lettonie\\n\\n18h30 : Match masculin – France / Grèce\\n\\n*Ces horaires peuvent être modifiés en raison des contraintes du télédiffuseur"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne: Thomas Heurtel dans le deuxième Cinq Majeur de l’ACB"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La Ligue espagnole ACB a annoncé les deux Cinq de la saison 2017-18 et le meneur international français du FC Barcelone Thomas Heurtel est inclus dans le deuxième.\\n\\nPremier cinq:\\n\\nLuka Doncic (Real Madrid), Gary Neal (Tecnyconta Saragosse), Sylven Landesberg (Movistar Estudiantes), Tornike Shengelia (KIROLBET Baskonia Vitoria) et Henk Norel (Delteco GBC).\\n\\nDeuxième cinq:\\n\\nFacundo Campazzo (Real Madrid), Thomas Heurtel (FC Barcelona Lassa), Mateusz Ponitka (Iberostar Tenerife), Bojan Dubljevic (Valencia Basket) et Ante Tomic (FC Barcelona Lassa)."
}, 
{"role": "user",     "content":"Didier Rey, président de Pau, et la situation financière du club: «Cette année on est un peu dans la difficulté bien que tout pourrait changer»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans une interview à La République des Pyrénées, le président de l’Elan Béarnais Pau-Lacq-Orthez Didier Rey indique que des discussions sont en cours afin de conserver dans l’effectif Alain Koffi et Léo Cavalière et de continuer avec un noyau de joueurs comprenant Yannick Bokolo et Taqwa Pinero autour du duo de coaches Laurent Vila-Jimmy Verove.\\n\\nLe club attend de savoir si son joyau, Elie Okobo, sera drafté au premier tour de la draft NBA, ce qui lui permettrait de bénéficier d’une indemnité de 500 000 euros.\\n\\n« Tout le monde a remarqué qu’on essaye d’avoir la gestion la plus saine possible pour pouvoir durer. Il ne sera pas question d’investir toute cette somme dans la prochaine masse salariale, ce serait une erreur. On doit d’abord se stabiliser économiquement, pas de façon durable toutefois, avant de construire une équipe plus attrayante que ce qu’on fera si on n’a pas cette somme, » précise Didier Rey.\\n\\nQuant à la situation financière générale du club à la fin de la saison, le président palois est encore vague:\\n\\n« C’est très difficile de la savoir aujourd’hui, ne sachant pas les rentrées qu’on aura. On aura a priori une saison un peu négative, surtout due aux manques de rentrées marketing, un peu la billetterie et à un contrôle Urssaf qui est venu s’ajouter. Je tiens quand même à dire que le club est géré de façon très saine. Les chiffres que j’ai pu lire dans la presse il y a quelques semaines sont des interprétations qui ne sont pas justes. Les subventions baissent chaque année, que ce soit celles de Pau, de l’agglo ou de la communauté des communes de Lacq. On a gagné de l’argent il y a deux ans, perdu l’année dernière, ce qui fait donc un équilibre entre les deux saisons. Cette année on est un peu dans la difficulté bien que tout pourrait changer. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"En raison d’une grève, les Palois rejoignent Monaco en bus"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A cause d’un mouvement de grève, les Palois n’ont pas pu rejoindre Lyon puis Nice en avion comme prévu. C’est donc en bus qu’ils sont partis à Monaco où les attend demain un match aller de quart-de-finale de playoffs. Dix heures de route, 780 km, et une arrivée tardive au programme. Comme à la grand époque, sauf qu’à l’heure du professionnalisme ce n’est pas l’idéal pour être à son meilleur niveau.\\n\\n\\n\\n\\nPour cause de grève, l’avion au départ de Pau à destination de Lyon a été annulé ce matin au tout dernier moment. C’est en bus que les Palois vont devoir rejoindre Monaco. Arrivée prévue en toute fin de journée....#ASMEBPLO #playoffs #JeepELITE #ELANation pic.twitter.com/zvQaUb9lcr\\n\\n\\n— EBPLO (@EBPLO) May 22, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mickaël Gelabale signe deux ans de plus à Chalon"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mickaël Gelabale (2,02m, 35 ans) fête son anniversaire ce jour même et l’Elan Chalon lui offre en cadeau deux saisons supplémentaires de contrat indique L’Equipe.\\n\\nArrivé en Bourgogne en octobre, le Guadeloupéen a réalisé une bonne saison, statistiquement la meilleure depuis son retour en France en 2014 (9,0 points et 12,4 d’évaluation) et avec lui l’Elan a remonté la pente et s’est sorti de la zone de relégation.\\n\\nSigner un joueur de 35 ans induit forcément le risque qu’il décline mais Chalon mise sur l’expérience et le professionnalisme de celui qui a joué dans quelques uns des plus grands clubs d’Europe comme le Real Madrid, 145 matches en NBA, et aussi Chalon, Villeurbanne, Strasbourg, Limoges et Le Mans, et qui fut longtemps un pilier de l’équipe de France avec qui il fut champion d’Europe en 2013."
}, 
{"role": "user",     "content":"Belgique: Possible double MVP du championnat, Jean Salamu envisage de jouer à l’étranger"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A l’instar de la LNB, le championnat belge dénommé Euromillions League possède sa soirée des trophées au nom totalement américanisé: les Belgium Basketball Awards. La cérémonie se tiendra ce soir à Lint.\\n\\nQui sera élu MVP sans distinction de nationalité ? Il y a trois nominés, deux Américains Seth Tuttle (2,03m, 25 ans) de Charleroi et Garlon Green (2,01m, 27 ans) de Mons-Hainaut et l’international belge d’Ostende, Jean Salamu (1,93m, 27 ans). Celui-ci est également en course évidemment pour le trophée de MVP belge et peut ainsi envisager le doublé.\\n\\n« Si cela arrivait, ce serait vraiment incroyable », a t-il déclaré à La Dernière Heure. « Si j’ai été choisi pour figurer parmi les trois derniers candidats au titre de MVP, il semble logique que je fasse aussi partie des nominés pour celui de joueur belge de l’année. Mais il y a de gros concurrents en face de moi. C’est en tout cas un honneur de voir mon nom cité à leurs côtés.”\\n\\nJean Salamu possède la meilleure évaluation (15,8) de l’équipe numéro 1 de Belgique et il en est aussi le meilleur marqueur (14,8 points). Un trophée de MVP serait un sérieux atouts dans les négociations au moment d’un transfert vers l’étranger à la fin de la saison:\\n\\n“Même après avoir signé mon contrat de 5 ans en faveur du BCO l’année passée, l’idée était de réussir une belle saison pour éventuellement décrocher un contrat à l’étranger. Jusqu’ici je pense avoir réalisé une bonne saison. Je n’ai jamais eu autant de responsabilités sur les épaules et j’ai pu répondre présent. J’en garde donc un sentiment positif tout comme j’en tire beaucoup de confiance personnelle. C’est pourquoi il pourrait être intéressant pour moi de faire face à un plus gros challenge ailleurs pour la suite de ma carrière. Mais avant cela, je veux d’abord gagner un dernier titre avec le BCO...”\\n\\nPhoto: Jean Salamu (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"10 joueurs et joueuses ont participé à un camp pour les Très Grands Gabarits"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dix joueurs et joueuses nés en 2003, 2004 et 2005 ont participé au camp des Très Grands Gabarits (TGG) du 17 au 21 mai au CREPS de Vichy indique la FFBB.\\n\\nLe staff connait bien la question puisqu’il était composé de Christophe Allardi, Jean Philippe Fedi, Isabelle Fijalkowski et Magali Lacroix.\\n\\nLes participants au camp TGG 2018\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\n\\nNOM\\n\\n\\n\\n\\nPRENOM\\n\\n\\n\\n\\nANNEE NAISSANCE\\n\\n\\n\\n\\nTAILLE\\n\\n\\n\\n\\nLigue\\n\\n\\n\\n\\nClub\\n\\n\\n\\n\\n\\nZODIA\\nJess Mine\\n\\n\\n\\n2004\\n\\n\\n\\n\\n187\\n\\n\\n\\nILE DE France\\nSENART\\n\\n\\nSYLLA\\nYaya Daba\\n\\n\\n\\n2003\\n\\n\\n\\n\\n191\\n\\n\\n\\nLIMOUSIN\\nFEYTIAT BASKET\\n\\n\\nLARCHEVEQUE\\nCélia\\n\\n\\n\\n2005\\n\\n\\n\\n\\n190\\n\\n\\n\\nALPES\\nGILLY SAVOIE BASKET\\n\\n\\nLE SEYEC\\nRosanne\\n\\n\\n\\n2004\\n\\n\\n\\n\\n193\\n\\n\\n\\nBRETAGNE\\nSAINT AVE\\n\\n\\nPUIJALON\\nAmelia\\n\\n\\n\\n2004\\n\\n\\n\\n\\n187\\n\\n\\n\\nALPES\\nPAYS VOIRONNAIS BASKET CLUB\\n\\n\\nDESSERT\\nBrice\\n\\n\\n\\n2003\\n\\n\\n\\n\\n204\\n\\n\\n\\nILE DE France\\nUS RIS ORANGIS\\n\\n\\nKAMANDA\\nRollings\\n\\n\\n\\n2003\\n\\n\\n\\n\\n205\\n\\n\\n\\nILE DE FRANCE\\nMARNE LA VALLEE\\n\\n\\nLAUMEN-COLLET\\nYann\\n\\n\\n\\n2004\\n\\n\\n\\n\\n195\\n\\n\\n\\nCHAMPAGNE ARDENNES\\nCCRB\\n\\n\\nLOUART\\nFlorian\\n\\n\\n\\n2003\\n\\n\\n\\n\\n207\\n\\n\\n\\nHAUT DE France\\nBCM GRAVELINES\\n\\n\\nPOULAIN\\nNoa\\n\\n\\n\\n2004\\n\\n\\n\\n\\n196\\n\\n\\n\\nCOTE D’AZUR\\nANTIBES\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les chiffres, les faits, les duels à suivre, l’avis de Claude Bergeaud: Les quarts-de-finale de Jeep Elite au microscope"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les playoffs de Jeep Elite démarrent ce mardi. BasketEurope vous offre une présentation complète des quarts de finale avec l’oeil d’un expert, Claude Bergeaud, coach de Boulazac.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nPreview Playoffs Jeep ELITE : Monaco (1) – Pau (8)\\n\\nPour la troisième année consécutive, l’AS Monaco a raflé la première place de la saison régulière en survolant le championnat. Véritable ovni propulsé jusqu’au sommet du basket français alors qu’il évoluait encore en Nationale 1 en 2014, le club monégasque a toutefois vécu deux épisodes difficiles en Playoffs, tous les deux perdus face à l’Asvel (3-1 en demi-finale en 2016, 2-1 en quart en 2017). A l’aube de cette troisième croisade pour le graal, la formation de Zvezdan Mitrovic n’est paradoxalement pas au mieux, entre les blessures et le contre-coup de plusieurs défaites dont la finale de la Champion’s League (100-94 face à l’AEK Athènes) au moment de retrouver les Palois de Laurent Vila, à la tête d’une escouade capable de tous les exploits.\\n\\nLa dynamique :\\n\\nLe culot pour Pau, la maîtrise à Monaco\\n\\nIls n’ont pas été nombreux, ceux qui ont résisté à la domination de l’AS Monaco cette saison. Incontestables premiers de Jeep Elite (25-9d) et vainqueurs au passage d’une troisième Leaders Cup consécutive, les Monégasques ont encore marqué les esprits malgré une fin de parcours un poil chaotique. Un final qui pourrait laisser des traces, ponctué par un revers en finale de la Champion’s League face à l’AEK Athènes, deux défaites malvenues en championnat contre l’Asvel et Pau-Lacq-Orthez et des pépins physiques qui n’arrangent rien. Car si Bangaly Fofana revient en force sur cette fin d’exercice, plusieurs sont restés à l’infirmerie lors de la dernière sortie en date de l’ASM, contre Bourg-en-Bresse (Paul Lacombe touché à la cheville, Gerald Robinson aux adducteurs et Yakuba Ouattara au mollet tandis qu’Elmedin Kikanovic et Chris Evans étaient ménagés). Même si la Roca Team apparaît suréquipée à tous les postes, il faudra malgré tout faire attention à cette formation de Pau-Lacq-Orthez qui arrive pour sa part dans une dynamique complètement différente et qui n’aura rien à perdre sur cette première confrontation.\\n\\nDepuis la prise de pouvoir de Laurent Vila sur le banc palois, l’EBPLO a retrouvé des couleurs. Le parcours est remarquable sur la deuxième partie de saison (11 victoires, 5 défaites dont un ultime revers au CCRB), et Pau aura pour référence son récent match remporté sur le fil à Monaco (85-86) avec un Elie Okobo à nouveau décisif en fin de match. A l’image de son jeune prodige, l’Elan espère pouvoir titiller l’armada rouge et blanche au culot. Sur une série au meilleur des trois manches, tout reste possible, Monaco l’a d’ailleurs appris à ses dépends dans un passé récent.\\n\\nLe duel à suivre:\\n\\nDavid Logan (Strabourg) vs Heiko Schaffartzik (Nanterre)\\n\\nCe sont deux tireurs d’élite au style différent. L’Allemand de Nanterre est flamboyant, shoote à la vitesse de la lumière parfois dans des positions acrobatiques. Il a gagné trois fois de suite le concours de tirs à trois-points du All-Star Game. Cela en dit long sur son sang-froid. D’ailleurs il le dit lui-même, il a de « grosse couilles ». L’autre, un Américain au passeport polonais, est davantage du genre assassin silencieux. Il a parcouru l’Europe et fréquenté le Panathinaikos et le Maccabi Tel-Aviv. Les deux ne lésinent pas sur les cartouches pour shooter à trois-points : 126/303 pour le Nanterrien, 99/258 pour le Strasbourgeois. Dans la réussite, léger avantage à Schaffartzik : 41,5 contre 38,3%.\\n\\nL’analyse de Claude Bergeaud :\\n\\n« Monaco est certes une armada, sauf que l’armada a perdu récemment contre Pau et a enchaîné trois défaites avec la Champions League. La question qu’on peut se poser, c’est dans quelle dynamique Monaco va attaquer ses playoffs ? Ils ont bien géré pour terminer premiers et je ne pense pas que ce soit une stratégie volontaire de la part de Mitrovic d’avoir levé le pied. Mais aujourd’hui, ils sont en stress parce qu’après ce match ils ont aussi perdu à Villeurbanne, assez lourdement. Et enchaîner plusieurs défaites comme ça, ce qu’ils n’avaient pas connu depuis un long moment, ce n’est jamais bon avant une grosse échéance. Ça peut se rattraper mais au départ ce n’est pas très positif. Ce qui peut jouer en leur faveur en revanche, c’est qu’avec leur défaite contre Pau il y a deux semaines, là ils vont les attendre de pied ferme... Quand on regarde les matchs de Monaco des fois on se dit « waouh qu’est-ce qu’ils ont dominé au tir à trois-points ». Et puis sur d’autres match : « qu’est ce qu’ils ont massacré l’adversaire avec seulement 4 tirs à trois-points »... Monaco c’est ça. Ils ont cette capacité à travers leurs plans de jeu à s’adapter à l’adversaire. À mon avis, ils vont chercher à impacter Vitalis Chikoko. Ce qu’ils ont essayé de faire au précédent match, sauf qu’ils ont manqué d’adresse à l’intérieur. Sinon, Monaco est au-dessus globalement à tous les postes. Pau a beau être solide à l’intérieur avec Chikoko et Koffi, mais sur le dernier match ils prennent quand même plus de 100 points. Vraiment pas la meilleure façon d’aborder les playoffs... Si Pau à un match à prendre c’est le premier, c’est évident ».\\n\\nEn saison régulière : 1-1\\n\\nLes Monégasques n’avaient pas eu de mal à dicter leur loi à l’aller le 18 novembre dernier sur le parquet d’une formation de l’Elan Béarnais encore en quête de repères (68-90). Si DJ Cooper s’était montré discret pour son retour sur les terres de ses récents exploits, Elmedin Kikinovic (18pts, 6rbds, 4pds) et Gerald Robinson (19pts) avaient dominé les débats. Il y a sans doute plus d’enseignements à tirer de la deuxième confrontation entre les deux équipes, bien plus récente puisqu’elle remonte au 9 mai dernier. Encore sonné par sa défaite en finale de la Ligue des Champions, Monaco a vu ce soir là Pau-Lacq-Orthez passer la deuxième couche avec une victoire autoritaire 85-86. Avec 16 unités (6/9 au tir) dont un trois-points et un lancer-franc décisif en fin de match, Elie Okobo, parfait relais de Ken Horton (13pts, 7rbds) et Vitalis Chikoko (19pts) avait été élu MVP du match.\\n\\nCalendrier :\\n\\nMonaco – Pau-Lacq-Orthez mercredi 23 mai à 19h\\n\\nPau-Lacq-Orhez – Monaco vendredi 25 mai à 18h30\\n\\nBelle éventuelle à Monaco mardi 29 mai\\n\\n\\nPreview Playoffs Jeep ELITE : Strasbourg (2) – Nanterre (7)\\n\\nAprès avoir combiné maîtrise et constance tout au long de l’exercice 2017-2018, la Sig va retrouver Nanterre 92 en quart de finale des Playoffs 2018, pour ce qui ressemble à une belle opposition de styles entre deux formations à la philosophie bien opposée. Marqués au fer rouge par un destin tragique depuis cinq saisons maintenant (cinq revers consécutifs en finale des Playoffs), les hommes de Vincent Collet attaquent la série avec une étiquette de grand favori et le couteau bien aiguisé entre les dents. Face à la force d’un collectif strasbourgeois équipé à tous les postes, se présentera une formation francilienne dont les forces (tir extérieur) comme les faiblesses (la peinture) sont clairement identifiées.\\n\\nLa dynamique\\n\\nStrasbourg maîtrise son sujet\\n\\nDifficile d’arriver en meilleure forme pour les Playoffs du côté de Strasbourg qui a multiplié les matchs-référence sur cette fin de saison avec cinq victoires de rang pour terminer la saison régulière marquées par quelques démonstrations de force contre Limoges (100-70), à Pau (76-103) ou plus récemment au Mans au terme d’un match d’une grande maîtrise (79-80). Maîtrise, c’est le mot qui revient le plus lorsqu’il s’agit de la Sig. Avec un secteur intérieur efficace dont Louis Labeyrie (meilleure évaluation française à 17,9 en moyenne, la 4e de toute la Jeep Elite) est une bien belle tête de gondole et une traction arrière déroutante avec la paire Wright-Bost, la formation alsacienne a pris une nouvelle dimension cet hiver à l’arrivée de Damien Inglis pour renforcer les postes 3-4. Même s’il n’a pas forcément explosé en terme statistique (6pts, 2,6rbds en 17′ par match), Strasbourg n’a perdu que quatre matchs sur 18 sur la phase retour depuis qu’il est là.\\n\\nSi la Sig a tenu tête à Monaco jusqu’au bout pour terminer à la 2e place de Jeep ELITE, c’est aussi grâce à sa défense de fer. Les cinq derniers matchs disputés par la formation de Vincent Collet en sont le plus bel exemple (74 pts encaissés en moyenne). Un atout de plus dans la manche de Vincent Collet qui pourrait avoir toute son importance face à des Nanterriens imprévisibles et nourris depuis toujours par des exploits sur des matchs décisifs.\\n\\nLes Nanterriens ne lâcheront rien\\n\\nMalgré un épisode 2017-2018 marqué par de nombreux changements au sein de l’effectif et ponctué récemment par l’éviction du groupe de son poste 5 titulaire Alade Aminu, Nanterre a fait mieux que sauver les meubles en décrochant cette 7e place. Capables du meilleur comme du pire tout au long de la saison, les hommes de Pascal Donnadieu ont enchaîné cinq victoires en six matchs dont un succès précieux dans le derby contre Levallois (85-79) avant d’échouer à Limoges dans les ultimes secondes à l’occasion de la dernière journée (82-80). Sur ce revers à Beaublanc, les qualités et les défauts de Nanterre 92 sont encore apparus au grand jour : un tir extérieur toujours aussi fiable à l’image d’un Heiko Schaffartzik dément en 2e mi-temps (6/10 à 3pts), et un manque de dissuasion dans la raquette. Aux côtés de snipers toujours prêts à dégainer (Nanterre marque 9,9 paniers à 3pts par match, le plus haut taux de réussite de Jeep Elite), l’ascension du capitaine Lahaou Konaté, qui semble avoir franchi un cap sur la deuxième partie de saison (de 7,3 à 11,3pts par match sur la phase retour) sera par ailleurs, intéressante à observer sur cette première confrontation\\n\\nToujours dans l’aspect physique en revanche, les Franciliens pourraient souffrir de leur manque de profondeur de banc face à la Sig qui aligne régulièrement 12 noms sur la feuille de match. Gare toutefois aux Nanterriens qui ont habitué leurs fans aux exploits les plus improbables depuis leur arrivée dans l’élite.. On n’enterre pas Nanterre si facilement.\\n\\nLe duel à suivre :\\n\\nDJ Cooper (Monaco) vs Elie Okobo (Pau)\\n\\nL’an dernier, ils étaient ensemble à l’Elan Béarnais. DJ Cooper y avait réussi une saison de MVP. Son sens de la passe est exceptionnelle (avec 7,15 assists, il n’a été devancé cette année dans la catégorie que par son compatriote Jerel Blassingame d’Antibes, 7,18) et son shoot très longue distance redouté. Mal dans sa peau à Gravelines, il est reparti à Monaco où il a retrouvé toutes ses vertus. Il y bénéficie d’un backup d’excellence avec le maître de la défense, Aaron Craft. Elie Okobo, comme lui gaucher, a énormément appris à ses côtés. Le Bordelais possède un culot immense. A 20 ans, il est le moteur de l’Elan, son top scoreur (12,9 points) et son top-passeur (4,8) et son objectif est d’accrocher une place au premier tour de la prochaine draft NBA.\\n\\nL’analyse de Claude Bergeaud :\\n\\n« Strasbourg avait compris après le match de Coupe de France contre nous à Trélazé que son salut passerait par la défense. Et depuis ce match, ils atomisent tout le monde sur l’engagement défensif. Pau a d’ailleurs dérouillé à la maison en deuxième mi-temps, ou ils n’ont plus existé. Si Nanterre n’arrive pas à mettre ses missiles, Nanterre ne passera pas. Comme Monaco, la Sig a cette capacité à s’adapter et à casser le jeu de l’adversaire. Et avec sa dimension défensive face aux shooteurs de Nanterre, Strasbourg part favori même si une incertitude demeure sur la présence de Louis Labeyrie. A l’intérieur, c’est quand même du costaud, avec Miro Bilan, Darion Atkins, Flo Piétrus... Mais c’est peut-être aussi parce que Strasbourg est largement favori que Nanterre va réussir à tirer son épingle du jeu, ce que club a déjà fait par le passé, dans une finale mémorable en remportant le titre de champion de France en 2013... contre Strasbourg. Nanterre vit et meurt par le tir extérieur. Si, face à cette grosse pression qui les attend, les Nanterriens n’arrivent pas à mettre leurs missiles, ils ne pourront tout simplement pas exister ».\\n\\nEn saison régulière : 1-1\\n\\nA l’image de Nanterre 92, c’est un match complètement fou qu’avaient remporté les hommes de Pascal Donnadieu lors du premier rendez-vous de la saison entre les deux équipes, le 30 octobre dernier. Un duel étincelant remporté 102-100 après deux prolongations et après avoir vu Louis Labeyrie (21pts, 8rbds, 3pds, 29 d’éval) échouer à deux reprises au moment de tuer le match. C’est finalement Heiko Schaffartzik, d’un tir en extension en se retournant, qui avait délivré le peuple vert et blanc, David Logan échouant lors de la toute dernière tentative strasbourgeoise au bout du suspense.\\n\\nCelui-ci avait été beaucoup moins haletant au match retour, la Sig ayant fait respecter la hiérarchie avec autorité (93-78). Au lendemain de la Saint Patrick, les Nanterriens avaient de quoi être verts : les gâchettes Heiko Schaffartzik et Lahaou Konaté n’avaient pas pesé bien lourd dans la balance face à la domination des Strasbourgeois à l’intérieur entre Darion Atkins (14pts, 5rbds), Miro Bilan (16pts à 6/7, 5rbds), Louis Labeyrie (10pts, 9rbds) ou encore Damien Inglis (12pts à 6/7 au tir).\\n\\nA noter que les deux équipes s’étaient retrouvées quelques jours plus tard en demi-finale de Coupe de France et Strasbourg s’était de nouveau imposé, 79-71 avec l’appui d’un Louis Labeyrie toujours aussi productif (18pts, 7rbds).\\n\\nCalendrier\\n\\nStrasbourg – Nanterre mardi 22 mai à 20h50\\n\\nNanterre – Strasbourg vendredi 25 mai à 20h50\\n\\nBelle éventuelle à Strasbourg le dimanche 27 mai\\n\\n\\nPreview Playoffs Jeep ELITE : Le Mans (3) – Villeurbanne (6)\\n\\nC’est peut-être le duel le plus indécis de ce premier round des phases finales 2018. Entre des Manceaux qui terminent à la 3e place du podium après avoir chatouillé Strasbourg et Monaco tout au long de la saison, et des Villeurbannais tout heureux de finir au 6e rang à l’issue d’un exercice qui n’aura pas été de tout repos cette année encore. Décimés à l’intérieur par les blessures de Darryl Watkins, d’Alpha Kaba et maintenant de Amine Noua (luxation de l’auriculaire de la main droite), qui va manque au minimum deux semaines de playoffs, les troupes du président Parker ont depuis enregistré l’arrivée de Julian Gamble, un beau bébé de 2,06m à la présence imposante dans la peinture. Pour le Match 1, le MSB déjà privé de Terry Tarpey, fera sans Romeo Travis, suspendu un match pour avoir injurié les arbitres lors de la dernière journée, un triste soir de défaite à Cholet, quasi au buzzer.\\n\\nLa dynamique\\n\\nLe MSB sous pression\\n\\nComment ne pas être déçu par l’issue des événements au soir de la 34e et dernière journée du côté d’Antarès. Les Manceaux ont aussi bien commencé la saison (6 victoires consécutives) qu’ils ne l’ont mal terminée (six défaites sur les neuf derniers matchs, trois revers face au Portel, Strasbourg et Cholet pour finir). Comment une aussi belle mécanique qui a déjoué les pronostics jusqu’à la fin de l’hiver s’est si soudainement enrayée ? La faute à des blessures déjà, qui ont trop souvent rythmé le quotidien du MSB sur la deuxième partie de saison (Sephens, Tarpey, Yeguete) et à des adversaires qui ont mieux réussi à maîtriser les forces du collectif d’Eric Bartécheky à l’image du « rookie » Youssoupha Fall, moins productif et mieux défendu sur cette fin de saison (un seul double-double sur les 13 derniers matchs, 6 au total cette saison).\\n\\nN’ayons pas peur des mots, les Manceaux abordent cette première série face à l’Asvel en plein doute alors que Romeo Travis devrait manquer le premier match, un rendez-vous crucial sur une si petite série au meilleur des trois manches.\\n\\nL’Asvel, ou le profil du parfait outsider\\n\\nDe leur côté, les Villeurbannais se tiennent prêts à exploiter la moindre erreur de l’adversaire pour créer « l’upset » de ce premier tour. Les hommes de TJ Parker avaient de quoi être confiants : en plus d’avoir récupéré un robuste poste 5, ils peuvent se targuer d’avoir épinglé Le Mans, Strasbourg et Monaco sur cette fin de saison, avec une dernière démonstration face aux Monégasques lors de la 33e journée qui a marqué les esprits (108-80). L’Asvel dispose de nombreux atouts pour contrarier la hiérarchie entre le capitaine Charles Kahudi qui sera fidèle au poste, un quatuor d’extérieurs (Roberson-Slaughter-Nelson-Lighty) parmi les plus menaçants de la division mais le forfait de Amine Noua (2e marqueur, 1er rebondeur et 2e à l’évaluation de l’équipe) qui prenait de plus en plus de place dans la raquette rhodanienne est un vrai coup dur.\\n\\nPlus ambitieux que jamais, les Villeurbannais, qui restent sur sept victoires lors de leurs dix derniers matchs, sont habitués à malmener les pronostics, eux qui comptent quatre « upsets » sur leurs cinq dernières séries de Playoffs (champions en 2016, stoppés en demi-finale par Strasbourg la saison passée). De quoi attendre une série... disputée.\\n\\nLe duel à suivre :\\n\\nJustin Cobbs (Le Mans) vs John Roberson (Villeurbanne)\\n\\nJohn Roberson était la saison dernière considéré comme le meilleur meneur du championnat. Un shooteur capable de cartons monumentaux : 42 points avec un record de 11/16 à trois-points lors d’un match d’EuroChallenge contre Gran Canaria. Justin Cobbs est un probablement le numéro 1 du un-contre-un en Jeep Elite. Il en abusait à Gravelines, il a épuré son jeu au Mans, ce qui l’a rendu encore plus rentable et lui a valu de prendre place dans le 5 Majeur de la saison de Jeep Elite, alors que son compatriote américain rentrait dans le rang et a commis des écarts de conduite qui lui a valu une suspension de la part de son club. Net avantage à Cobbs lors du dernier affrontement : 19 points et 7 passes contre 6 points et 6 passes à Roberson.\\n\\nL’analyse de Claude Bergeaud :\\n\\n« Au-delà de l’impact encore difficile à juger que pourrait apporter le renfort de l’Asvel, Julian Gamble, à l’intérieur, je note d’abord que Le Mans n’est pas bien depuis pas mal de temps. Et comme par hasard ça coïncide avec la blessure de Terry Tarpey (le 14 avril à Pau), avec quelques semaines avant, celle de Wilfried Yeguete fin mars. Ce sont deux énormes joueurs même si Yeguete ne venait qu’en rotation à l’intérieur, de Youssoupha Fall notamment. Lorsqu’il entrait sur le terrain, le niveau général de l’équipe ne baissait jamais, il avait même tendance à augmenter. Quant à Tarpey, qui est un dynamiteur, un joueur qui fait tout sur un terrain, il manque aussi cruellement.\\n\\nVu que je ne sais pas si les deux pourront revenir et s’ils seront à 100% de leurs moyens, ça me laisse à penser que Le Mans est en danger. Youssoupha Fall, qui est dominateur, devra être un leader. Car avec un Asvel qui prend des risques, on peut très bien les voir aller en chercher un au Mans ».\\n\\nEn saison régulière : 2-0 pour l’Asvel\\n\\nDes quatre séries, les Villeurbannais sont les seuls à l’avoir emporté à deux reprises face à leur adversaire direct en saison régulière. A domicile le 3 décembre dernier, l’équipe alors coachée par JD Jackson avait réussi à se déjouer du piège manceau grâce à un gros 4e quart-temps (23-11). De retour de blessure pour ce match, Charles Kahudi (18pts, 7rbds, 2pds), avait conclu ce combat intense par un gros dunk en contre-attaque afin de sceller la victoire, 79-71. L’Asvel avait remis le couvert quatre mois plus tard, sur le parquet du Mans cette fois en s’imposant 90-92 à l’issue d’une prestation de haut rang. Après avoir compté jusqu’à 18 points d’avance en 3e quart-temps (42-60), les coéquipiers d’AJ Slaughter (21pts à 6/8 à 3pts) avaient réussi à contrôler le retour des locaux afin de l’emporter à nouveau sans trembler.\\n\\nCalendrier\\n\\nLe Mans – Asvel mardi 22 mai à 19h\\n\\nAsvel – Le Mans vendredi 25 mai à 19h\\n\\nBelle éventuelle au Mans le dimanche 27 mai\\n\\n\\nPreview Playoffs Jeep ELITE : Limoges (4) – Dijon (5)\\n\\nCe quart de finale entre Limoges et Dijon sera emprunté du parfum du midi au moins sur les bancs des deux équipes où officient Kyle Milling d’un côté et Laurent Legname, tous deux coéquipiers de 2002 à 2009 sous le maillot du HTV et co-entraîneurs de l’équipe de 2013 à 2015. A deux doigts d’arracher l’avantage du terrain au premier tour, la JDA a réalisé un exercice 2017-2018 bluffant, mais voit tous ses efforts mis à mal par la blessure de son pivot Jacques Alingué lors de l’avant dernière journée. Une absence que les coéquipiers de Valentin Bigote, élu MVP du mois d’avril, auront sans doute du mal à compenser malgré l’arrivée en renfort de Jonathan Fairell en provenance de Blois (Pro B). En face, Limoges arrive avec les dents aiguisés au terme d’une saison éprouvante marquée par le décès de Fred Forté. Le club limougeaud, rassuré par une fin d’exercice en boulet de canon, part avec l’avantage du terrain et l’appui indéniable d’une antre de Beaublanc déjà chauffée... à blanc.\\n\\nLa dynamique\\n\\nLa vie sans Jacques Alingué\\n\\nLe coup va être dur à encaisser pour Dijon. Jusqu’à la dernière journée, la JDA s’est battue pour l’avantage du terrain au premier tour des phases finales, déjà un exploit pour un club qui annonçait jouer le maintien il y a encore deux mois. Toute l’année, les hommes de Laurent Legname ont créé la surprise, avec un groupe de qualité, bonifié par le retour en milieu de saison du meneur David Holston (12 victoires sur les 17 derniers matchs). Au sein de cet effectif complet et homogène, l’apport de Jacques Alingué (9,4pts, 5,6rbds, 2,1pds par match, sa meilleur saison statistique en carrière) a été indéniable... jusqu’à cette avant-dernière journée de Jeep ELITE et ce match contre Gravelines dans lequel l’ancien Souffelweyersheimois s’est rompu le tendon d’achille, synonyme de fin de saison brutale.\\n\\nAvec l’absence de son précieux intérieur, 3e meilleur joueur français de la division à l’évaluation (15,64, derrière Boris Diaw et Louis Labeyrie), Dijon perd gros : « C’est une âme de l’équipe que l’on perd, un de nos meilleurs joueurs, notre âme défensive, notre ADN », avait confié son entraîneur Laurent Legname au Bien Public.\\n\\nMême si Jonathan Augustin-Fairell, fraîchement sacré avec Blois en Pro B, est arrivé en renfort pour disputer les Playoffs, les Dijonnais, battus à Strasbourg lors de la dernière journée (93-77) vont devoir gérer ce double coup dur : la perte de l’avantage du terrain et du guerrier Alingué. Sans oublier qu’en face, il faudra se coltiner le Limoges CSP et son antre de Beaublanc où il faudra venir s’imposer pour déjouer, une fois encore, les pronostics. Pas la plus simple des missions...\\n\\nLimoges sur sa lancée\\n\\nLe CSP est vraiment un club à part dans le paysage du basket français et la saison rocambolesque vécue par le club limougeaud en est un nouvel exemple. Après deux saisons terminées hors du top 8, Limoges est reparti avec un nouveau coach (Kyle Milling) et un projet de jeu où les jeunes français à fort potentiel ont toujours leur place (Mam Jaiteh, Jean-Frédéric Morency, William Howard, Axel Bouteille, Jean-Baptiste Maille). Malgré une entame pas évidente conjuguée à la perte brutale de leur président, Fred Forté, qui a plombé le moral des troupes début 2018, les Limougeauds ont su relever la tête.\\n\\nL’apport de l’imposant poste 5 Samardo Samuels, arrivé début mars, n’y est pas étranger, mais n’est pas l’unique raison du renouveau limougeaud. Depuis quatre matchs, l’équipe est clairement passée en mode Playoffs. Résultat, quatre victoires dont un duel de référence face à l’Asvel (remporté 78-52) et un précieux succès lors de la dernière journée après un match intense en émotions face à Nanterre. Un match remporté 82-80 grâce à un 3 points Lebron-esque de Dru Joyce, l’ancien coéquipier du King à Saint Vincent-Saint Mary High School (Ohio), qui permet surtout à Limoges d’arracher la 4e place et d’envisager les phases finales plus sereinement.\\n\\nAvec l’avantage du terrain sur ce premier tour, la saison est d’ores et déjà réussie pour Olivier Bourgain, directeur sportif du club. Fort de l’appui de son public déjà très chaud à l’idée de retrouver les Playoffs et avec un groupe qui va oeuvrer sans pression et l’envie de frapper fort, Limoges arrive sur la lancée de sa bonne fin de saison. Ce serait même un pléonasme que de dire que la dynamique est du côté du CSP à l’occasion de ce premier rendez-vous face à la JDA.\\n\\nLe duel à suivre:\\n\\nWilliam Howard (Limoges) vs Valentin Bigote (Dijon)\\n\\nDeux shooteurs français qui n’ont pas froid aux yeux. William Howard est sous les radars depuis son époque d’espoir à Gravelines et il avait confirmé les espérances à Hyères-Toulon. C’est un scoreur (le 3e du CSP avec 11,4 points) mais pas que... Il fait plein de petites choses importantes sur le terrain. La preuve : il a la meilleure évaluation de l’équipe (12,3). Valentin Bigote l’a précédé au BCM et comme le Limougeaud un passage en Pro B (Boulogne, Denain et Nantes) lui a permis de se faire les dents. Sa montée en puissance avec la JDA en fin de saison a été spectaculaire et il est monté à 10,0pts et 9,9 d’évaluation.\\n\\nL’analyse de Claude Bergeaud :\\n\\n« Limoges et Dijon ont pour qualité de présenter de très grosses défenses avec une forte pression sur le porteur, une volonté de ne pas vouloir violer la raquette, donc énormément de travail défensif sur les pivots, énormément de combat à l’intérieur. On aurait dû pardon assister à ce niveau là à quelque chose de vraiment très équilibré, mais je me demande si la blessure de Jacques Alingué ne va pas déséquilibrer les débats. Alingué, c’est la pièce maîtresse du système défensif mais aussi du système offensif sur pick and roll. Il est très précieux dans le combat intérieur, pour passer devant, amener de la dissuasion, sur les doubles rideaux, les traps... Est-ce que Fairell va compenser tout ça ? C’est toute la clé de ce quart de finale où il y aura de gros clients à l’intérieur côté limougeaud. Si Fairell ne tient pas la route, c’est l’édifice tout entier qui est fragilisé. Au basket, on est que 5. Là c’est 20 % de l’équipe qui va manquer, et au moins autant d’efficacité. Fairell est un guerrier, un combattant, un mec qui va au rebond, qui est intense... Par contre, il a moins de verticalité et il ne court pas aussi vite d’un panier à l’autre. Avec Alingué, ils se sont habitués à porter le danger grâce à lui en dégageant complètement leurs shooteurs car il obligeait l’adversaire à couvrir le couloir central sur jeu rapide, secteur dans lequel Dijon est très prolifique à 3 points. Là aussi, parviendront-ils à développer le même jeu offensif ? »\\n\\nEn saison régulière : 1-1\\n\\nSymbole de la réussite de Dijon cette saison, c’est la force du collectif qui avait fait la différence lors du match aller entre les deux équipes, le 22 décembre dernier. A la maison, la JDA avait réussi à gommer sa mauvaise entame pour l’emporter 79-70 à l’issue d’un 4e quart-temps à sens unique (20-12). Si Valentin Bigote s’était distingué avec 8 de ses 14 points lors des dix dernières minutes, Laurent Legname avait pu compter sur de nombreuses armes (6 joueurs à 9 d’évaluation et +)\\n\\nAu retour le 7 avril, c’est peu dire que Limoges avait pris sa revanche. Dans sa configuration actuelle, le CSP l’avait emporté 82-60, porté par un quatuor Hayes-Bouteille-Carter-Jaiteh en pleine forme. Le dernier cité (12pts, 11rbds, 18 d’éval.) avait réussi à prendre le meilleur son duel avec Jacques Alingué (11pts, 8rbds, 17 d’éval) avec l’aide de Samardo Samuels (9pts, 5rbds). Les Dijonnais avaient également été plombés par leur maladresse extérieure (3/26 à 3pts). Ce sera compliqué de faire pire en la matière à l’occasion de l’acte I ce soir.\\n\\nCalendrier\\n\\nLimoges – Dijon mercredi 23 mai à 20h50\\n\\nDijon – Limoges samedi 26 mai à 20h50\\n\\nBelle éventuelle à Limoges le mardi 29 mai\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nPreview Playoffs Jeep ELITE : Monaco (1) – Pau (8)\\n\\nPour la troisième année consécutive, l’AS Monaco a raflé la première place de la saison régulière en survolant le championnat. Véritable ovni propulsé jusqu’au sommet du basket français alors qu’il évoluait encore en Nationale 1 en 2014, le club monégasque a toutefois vécu deux épisodes difficiles en Playoffs, tous les deux perdus face à l’Asvel (3-1 en demi-finale en 2016, 2-1 en quart en 2017). A l’aube de cette troisième croisade pour le graal, la formation de Zvezdan Mitrovic n’est paradoxalement pas au mieux, entre les blessures et le contre-coup de plusieurs défaites dont la finale de la Champion’s League (100-94 face à l’AEK Athènes) au moment de retrouver les Palois de Laurent Vila, à la tête d’une escouade capable de tous les exploits.\\n\\nLa dynamique :\\n\\nLe culot pour Pau, la maîtrise à Monaco\\n\\nIls n’ont pas été nombreux, ceux qui ont résisté à la domination de l’AS Monaco cette saison. Incontestables premiers de Jeep Elite (25-9d) et vainqueurs au passage d’une troisième Leaders Cup consécutive, les Monégasques ont encore marqué les esprits malgré une fin de parcours un poil chaotique. Un final qui pourrait laisser des traces, ponctué par un revers en finale de la Champion’s League face à l’AEK Athènes, deux défaites malvenues en championnat contre l’Asvel et Pau-Lacq-Orthez et des pépins physiques qui n’arrangent rien. Car si Bangaly Fofana revient en force sur cette fin d’exercice, plusieurs sont restés à l’infirmerie lors de la dernière sortie en date de l’ASM, contre Bourg-en-Bresse (Paul Lacombe touché à la cheville, Gerald Robinson aux adducteurs et Yakuba Ouattara au mollet tandis qu’Elmedin Kikanovic et Chris Evans étaient ménagés). Même si la Roca Team apparaît suréquipée à tous les postes, il faudra malgré tout faire attention à cette formation de Pau-Lacq-Orthez qui arrive pour sa part dans une dynamique complètement différente et qui n’aura rien à perdre sur cette première confrontation.\\n\\nDepuis la prise de pouvoir de Laurent Vila sur le banc palois, l’EBPLO a retrouvé des couleurs. Le parcours est remarquable sur la deuxième partie de saison (11 victoires, 5 défaites dont un ultime revers au CCRB), et Pau aura pour référence son récent match remporté sur le fil à Monaco (85-86) avec un Elie Okobo à nouveau décisif en fin de match. A l’image de son jeune prodige, l’Elan espère pouvoir titiller l’armada rouge et blanche au culot. Sur une série au meilleur des trois manches, tout reste possible, Monaco l’a d’ailleurs appris à ses dépends dans un passé récent.\\n\\nLe duel à suivre:\\n\\nDavid Logan (Strabourg) vs Heiko Schaffartzik (Nanterre)\\n\\nCe sont deux tireurs d’élite au style différent. L’Allemand de Nanterre est flamboyant, shoote à la vitesse de la lumière parfois dans des positions acrobatiques. Il a gagné trois fois de suite le concours de tirs à trois-points du All-Star Game. Cela en dit long sur son sang-froid. D’ailleurs il le dit lui-même, il a de « grosse couilles ». L’autre, un Américain au passeport polonais, est davantage du genre assassin silencieux. Il a parcouru l’Europe et fréquenté le Panathinaikos et le Maccabi Tel-Aviv. Les deux ne lésinent pas sur les cartouches pour shooter à trois-points : 126/303 pour le Nanterrien, 99/258 pour le Strasbourgeois. Dans la réussite, léger avantage à Schaffartzik : 41,5 contre 38,3%.\\n\\nL’analyse de Claude Bergeaud :\\n\\n« Monaco est certes une armada, sauf que l’armada a perdu récemment contre Pau et a enchaîné trois défaites avec la Champions League.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhotos: Aaron Craft (Monaco), Sébastien Grasset; David Logan (Strasbourg), FIBA; AJ Slaughter (Villeurbanne), Eurocup; Kenny Hayes (Limoges), Sébastien Grasset."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B: Antoine Michon nouveau coach à Caen"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le Caen Basket Calvados a pris la décision de remplacer comme coach Hervé Coudray par Antoine Michon, 52 ans, qui a signé un contrat de deux saisons.\\n\\nLe Vendéen a à son actif onze saisons et 397 matchs de saison régulière de Pro B avec 51,9% de victoires. Il est passé par Nantes (2005-2011), Aix-Maurienne (2011-2014) et et Boulazac (2014-2017). Il avait été remercié du BBD en décembre 2016 et était sans club depuis.\\n\\nPhoto: BBD"
}, 
{"role": "user",     "content":"Elodie Godin (Bourges): «Quand on a monté l’intensité en défense, on était un peu injouable»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les principaux acteurs de la finale de Ligue Féminine se sont exprimés face à la presse à l’issue de la victoire de Bourges sur Tarbes dans le Match 2, qui met les Tango en position très favorable pour soulever le trophée.\\n\\nAdja Konteh (Tarbes):\\n\\n« On fait une bonne entame de match. Ce qui est dommage c’est qu’il y a eu un manque de concentration à la fin du deuxième quart-temps. On s’est pris huit points direct. C’est là que joue l’expérience, que l’on voit que l’on est un peu plus jeunes. C’est dommage ! Mais ce n’est pas fini ! On est toujours là, on va se battre. Il y a un troisième match, on sera là. Ca ne sera pas pareil, ça sera à la maison, on sera présentes. J’ai confiance en mon équipe. »\\n\\nFrançois Gomez (Tarbes):\\n\\n« Je crois que l’on a décroché à une minute trente de la pause, c’est terrible. On est là, on est dedans, un coup devant, un coup derrière. Et puis là on fait trois erreurs, pftt, un moment de relâchement. On le savait, les erreurs contre une équipe comme Bourges au niveau où elle est aujourd’hui, on est puni tout de suite. On part aux vestiaires... Ca nous a vraiment mis un coup sur la calebasse. A la mi-temps, on n’est pas bien alors qu’on avait l’impression d’être dedans. Au retour des vestiaires, on est sur la même lignée. On n’arrive pas à oublier ce moment compliqué et ça c’est le trait des grands, d’oublier ce qui s’est passé. On ne peut pas revenir en arrière. On est resté un peu focalisé là-dessus. On repart à trente. On revient. On fait un peu accordéon avec les enfants (sic). Le match était fini, on a remercié et elles l’ont bien fait, les plus jeunes qui ont moins joué durant l’année. Au moment où je me dis que l’on va peut-être lâché le match, on revient à quinze. On remet les joueuses cadres qui sont de nouveau dans l’incapacité de reprendre le match en mains. On est aujourd’hui après deux rencontres.... vraiment moins forts. »\\n\\nValériane Ayayi (Bourges):\\n\\n« On n’a encore rien fait. C’est important de rester concentrées parce qu’on a deux matches à Tarbes. Ca serait bien de finir en trois matches. Maintenant, on sait comment est l’atmosphère dans le sud-ouest. On peut en témoigner, on a perdu un match là-bas. Il faudra être concentrées. Ca va être différent, c’est une finale, on est à 2-0, elles sont orgueilleuses, elles ont leur fierté, elles vont jouer à domicile devant leur public. Elles avaient gagné 2-0 en quart et en demi et elles vont avoir à coeur de gagner. François Gomez le disait, elles ne vont pas se résigner. Il ne faut pas croire que ça y est, c’est fait, au contraire. C’est à nous maintenant d’aller chercher ce que l’on a envie d’aller chercher. »\\n\\nElodie Godin (Bourges):\\n\\n« Il va falloir aller jouer un match de quarante minutes à Tarbes. Le premier match, on a fait une super première mi-temps. Aujourd’hui, on fait une super deuxième. Et pour aller gagner à Tarbes, il va falloir faire quarante minutes comme ça. Quand on a monté l’intensité en défense, on était un peu injouable. On a vraiment une défense très compacte, de bonnes rotations et je pense que notre défense, c’est la clé de cette finale. J’ai l’expérience, je sais ce que sont les finales, quand les séries sont longues, on n’a encore rien gagné. On est à 2-0, on est dans une bonne position mais on n’est pas encore championnes de France. C’est le discours que j’aurai auprès de mon équipe au prochain match. »\\n\\nOlivier Lafargue (Bourges):\\n\\n« Toutes ces joueuses qui ont de l’expérience de ces finales plus que moi savent très bien quelle est la vérité. La vérité, c’est que tu es à 2-0 donc plutôt en bonne place mais tant que le prési ne t’a pas donné le trophée dans les mains, ce n’est pas gagné. Tu sais aussi contre qui tu joues. Tu sais le caractère de ces joueuses, du coach, du public, et derrière si tu veux soulever ce trophée, il faut le mériter. On va chercher à le mériter là-bas. »\\n\\nPhoto: Elodie Godin (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Alain Koffi (Pau) mise sur son équipier Vitalis Chikoko pour dominer les intérieurs de Monaco"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le mercredi 9 mai, l’Elan Béarnais faisait sensation en allant battre Monaco sur le Rocher (86-85) avec un Elie Okobo (16 points, 8 passes) épatant. Un exploit qui lui permettait d’assurer sa place dans le top 8. Peut-il récidiver deux fois en playoffs ? A lire Alain Koffi dans le quotidien Sud Ouest, on se dit que les Palois croient dans leur étoile:\\n\\n« Monaco va être sur ses gardes parce que notre victoire est récente et elle doit encore être dans leurs têtes. Mais ça l’est tout autant dans les nôtres. On sait comment on a fait pour les battre, on avait beaucoup joué sur Vitalis (Chikoko) qui était dominant. Ce soir-là, les intérieurs monégasques n’ont pas pu l’arrêter. On va s’appuyer sur ça car je pense qu’ils n’ont pas la solution pour stopper Vitalis. A moins qu’ils ne fassent des prises à deux, mais on peut s’adapter. Si on part avec cette stratégie, je pense qu’on a toutes nos chances. »\\n\\nToujours blessé aux adducteurs, l’arrière américain de la Roca Team, Gerald Robinson (1,85m, 28 ans), devrait manquer entièrement ses quarts-de-finale et ne serait rétabli qu’en cas de qualification pour les demi-finales. Robinson a été élu dans le Cinq Majeur de la saison de Jeep Elite et il est le meilleur marqueur monégasque avec 15,9 points."
}, 
{"role": "user",     "content":"Italie: Larry Brown en assistant coach à Turin ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Turin attend la décision de Larry Brown pour savoir s’il accepte sa proposition de devenir assistant spécial aux côtés du coach Paolo Galbiati.\\n\\nAgé de 78 ans, Larry Brown est une sommité du basket américain. Il a remporté 1 098 matches en NBA et ABA et il est le seul coach de l’histoire de la NBA à avoir conduit huit équipes différentes en playoffs. Il a été champion NBA avec les Pistons en 2004, il a été élu trois fois entraîneur de l’année. Il a aussi gagné deux titres NCAA avec Kansas et comme joueur il a été champion olympique à Tokyo en 1964 et de l’ABA en 1969. Larry Brown avait eu un rôle de conseiller auprès de l’équipe de France en 2009. Selon des sources italiennes, il aurait conclu un accord avec le club piémontais préférant la destination européenne à une offre venue du Mexique. A Turin, il devra trouver sa place entre le coach Paolo Galbiati et l’assistant Stefano Comazzi."
}, 
{"role": "user",     "content":"Romeo Travis (Le Mans): «J’ai été surpris que la ligue n’appelle pas»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Romeo Travis ne participera pas au Match 1 de quarts de finale de playoffs qui va opposer à Antarès, en fin d’après-midi, Le Mans à Villeurbanne. Il a été suspendu pour avoir proféré des propos injurieux aux arbitres lors du dernier match de saison régulière à Cholet.\\n\\n« Cette suspension est très difficile pour l’équipe car je n’ai manqué aucun match cette saison », déclare t-il ce matin dans Ouest France. « Cela a été compliqué d’accepter cette décision, j’étais surpris que la Ligue n’appelle pas. L’annonce s’est faite vers 15h30, nous étions à l’entraînement et vers 17h, quand nous avons terminé, je l’ai appris de mes équipiers qui l’avaient vu sur Twitter. Je n’ai pas apprécié cette décision mais nous devons vivre et continuer de jouer avec. Pour le jeu, ça ne change rien. Nous avons des gars blessés tous les ans, ce n’est pas inhabituel pour nous. Le prochain match, quelqu’un devra peut-être donner plus pour en remplacer un autre, et c’est comme ça que nous avons toujours fait. Nous avons préparé ce match comme tous les autres. Nous avons regardé des vidéos, et peut-être prêté un peu plus attention à certain détails car nous allons jouer cette équipe plusieurs fois. L’Asvel a toujours de bons shooteurs qui peuvent tirer depuis n’importe quelle position. Il savent occuper l’espace et sont difficile à défendre. Ça va être compliqué. On ne sait jamais ce qui peut se passer. »\\n\\nPhoto: MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Photos: A Madrid, on a fêté les héros de l’Euroleague. A Kaunas aussi..."
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A Madrid, on a fait la fête aux champions de l’Euroleague du Real. Et à Kaunas tout autant aux joueurs du Zalgiris. Des moments inoubliables pour Fabien Causeur et Axel Toupane.\\n\\n\\n\\n\\nBest fans in Europe #manokomanda pic.twitter.com/oFZU014rkX\\n\\n\\n— Axel Toupane (@toups_33) May 21, 2018\\n\\nPhotos: Euroleague.net et Krepsinis.net"
}, 
{"role": "user",     "content":"Ligue Féminine: Bourges concasse Tarbes et n’est plus qu’à une victoire du titre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Bourges mène désormais 2-0 après sa victoire au Prado, 80-56. Le trio Valériane Ayayi (18 points), Marine Johannès (15 points et 4 passes), Laia Palau (6 points, 6 passes et 2 interceptions) a été rayonnant. Gagner les trois matches suivants même si deux sont programmés à Tarbes n’est pas loin de la mission impossible pour les filles de François Gomez. Les Tango filent vers un record de 14 titres de champion de France.\\n\\nTarbes avait à coeur de ne pas commettre le même départ tout mou que lors du Match 1 et c’était le cas grâce à son arrière Adja Konteh (1,76m, 26 ans) qui inscrivait les onze premiers points de son équipe et enrayait ainsi les trois trois-points sans bavure de Valériane Ayayi. Avec une bonne défense, le TGB passait en tête après six minutes, 14-13. Les Violettes avaient visiblement mis à profit les quarante-huit heures de repos pour préparer un vrai plan de bataille et se métamorphoser en guerrières. Dommage que Michelle Plouffe soit maladroite à l’extérieur (1/6 dans le premier quart-temps). Malgré tout, le TGB avait deux points d’avance (19-17) à ce moment-là.\\n\\nEntre balles perdues et shoots ratés dûs à des défenses sérieuses, les deux équipes faisaient offensivement du surplace. C’est Bourges qui sortait le premier de l’ornière pour s’offrir un 7-0 et l’écart le plus important (24-19). Aussitôt écrit, aussitôt annulé puisque Tarbes repassait devant (25-24) avec une Michelle Plouffe (7 points et surtout 9 rebonds) très présente mais qui écopait d’une troisième faute un peu avant la mi-temps. C’est sur quelques éclairs lumineux de Marine Johannès et un trois-points au buzzer de Valériane Ayayi que les Tango s’étaient constituées un matelas de huit points (37-29) à la moitié du chemin. Les Tarbaises étaient pénalisées par leur pauvre adresse derrière l’arc, 2/12, contre 6/11 en face.\\n\\nQuelques arabesques de Marine Johannès plus loin et Bourges avait poussé son avantage à 44-29. Les Berruyères avaient chaussé leurs dents de requin en défense. Et de quatre fautes pour Michelle Plouffe ! Les Violettes était inexorablement sur la pente glissante. Le cap des vingt points d’écart (53-32) était atteint par Alexia Chartereau sur un service au cordeau de la légende espagnole Laia Palau. Autant dire que les carottes -et les jambes- tarbaises étaient cuites, carbonisées même. 64-37 à la 30e après un 27-8 dans le quart-temps. En début de match, Adja Konteh était irrésistible. Là, elle faisait un vilain sous-marin. La feuille de stats faisait déjà état de 15 balles perdues. Une gabegie.\\n\\nSans suspense, un match manque forcément de sel. Ce fut le deuxième de suite de cette finale dans ce registre. Un 7-0 et un 15-4 global permettaient aux Tarbaises de réduire momentanément un peu l’addition (52-68). Mais le rush final était de couleur tango et l’écart final de 24 points en dit long sur la supériorité des filles d’Olivier Lafargue.\\n\\nLe troisième match aura lieu à Tarbes jeudi.\\n\\nLa boxscore est ici.\\n\\nPhoto: Bourges (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : Rodrigue Beaubois en grande forme !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Bleus du basket ne se sont jamais aussi bien exportés ! Le contingent tricolore compte vingt cinq joueurs (huit de plus que l’an passé) pour neuf pays sur le Vieux Continent.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n\\nRoddy Beaubois tape le 30 d’évaluation !\\n\\nPendant que le Real Madrid atteignait le sommet de l’Europe, pour une 10e coupe européenne, Baskonia a tranquillement battu Burgos avec deux grosses prestations de ses Français. Rodrigue Beaubois a ainsi fini la partie avec un sublime 30 d’évaluation grâce à 20 points, 5 rebonds et 5 passes, avec un très propre 7/9 aux tirs. A ses côtés, Vincent Poirier a lui aussi fait du très bon boulot avec 14 points et 3 rebonds.\\n\\nFace à Malaga qui s’est séparé de Livio Jean-Charles avec le retour de blessure de Giorgi Shermadini, Andorre a dû s’incliner sur la petite marge de différence (87-86), et ce malgré 15 points et 7 passes d’Andrew Albicy. De même, Barcelone s’est imposé tout juste (71-70) face à Valence avec 15 points de Thomas Heurtel et 10 d’Edwin Jackson.\\n\\n\\nSaisons terminées en Grèce et Pologne\\n\\nAvec les playoffs qui ont commencé un peu partout en Europe, on a déjà plusieurs de nos « exilés » qui en ont fini avec leur saison. En Grèce, Angelo Tsagarakis n’a rien pu faire face à l’armada de l’Olympiakos et son club de Kymis s’est fait sèchement sortir dès le 1er tour.\\n\\nDe même, en Pologne, Aaron Cel n’atteindra pas la finale avec son club de Torun. Malgré ses 14 points au match 3 notamment, Cel n’empêchera pas la sortie de route de son équipe au 2e tour face à Ostrów Wielkopolski.\\n\\n\\nEt aussi playoffs à venir !\\n\\nEn attendant le retour des héros d’Euroleague, les playoffs se préparent en Turquie, en VTB League ou encore en Espagne et en Serbie. On gardera ainsi un oeil attentif sur la confrontation « maousse costaud » qui attend Moustapha Fall et Sakarya en Turquie. Fall défiera de fait Jan Vesely et le grand Fener, à peine échaudé d’avoir perdu son trophée européen ce weekend...\\n\\nDe même, en Espagne, les playoffs s’annoncent comme toujours brûlants avec un paquet de joueurs français impliqués (Real, Vitoria, Barcelone, Andorre dans l’ordre). En Lituanie pour Toupane, ainsi qu’en VTB League pour De Colo, on s’attend forcément à une aventure au long cours.\\n\\n\\nEspagne\\n\\nRodrigue Beaubois (Vitoria) : 20 points (7/9 aux tirs), 5 rebonds, 5 passes en 25 minutes (victoire 102-82 face à Burgos)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 15 points (4/7 aux tirs), 7 passes, 3 interceptions, 1 rebond, 2 balles perdues en 29 minutes (défaite 87-86 face à Malaga)\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 15 points (4/7 aux tirs), 3 passes, 2 rebonds, 2 interceptions, 1 balle perdue en 24 minutes (victoire 71-70 face à Valence)\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 14 points (5/6 aux tirs), 3 rebonds, 1 contre en 18 minutes (victoire 102-82 face à Burgos)\\n\\nEdwin Jackson (Barcelone) : 10 points (5/8 aux tirs), 2 rebonds, 2 passes, 1 interception, 1 contre, 1 balle perdue en 24 minutes (victoire 71-70 face à Valence)\\n\\nNicolas De Jong (Saragosse) : 9 points (4/8 aux tirs), 5 rebonds, 3 contres, 2 balles perdues en 11 minutes (défaite 108-102 face à Fuenlabrada)\\n\\nAdrien Moerman (Barcelone) : 4 points (1/8 aux tirs), 8 rebonds, 3 passes, 2 balles perdues en 24 minutes (victoire 71-70 face à Valence)\\n\\nLanding Sané (Andorre) : 2 points (1/3 aux tirs), 1 rebond, 1 balle perdue en 12 minutes (défaite 87-86 face à Malaga)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : Final Four Euroleague\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : n’a pas joué – blessé\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué – blessé\\n\\n\\nGrèce\\n\\nAngelo Tsagarakis (Kymis) :\\n\\n– 3 points (1/4 aux tirs), 3 rebonds, 1 interception, 3 balles perdues en 13 minutes (défaite 78-75 face à Olympiakos)\\n– 0 point (0/1 au tir), 1 rebond, 1 interception, 2 balles perdues en 7 minutes (défaite 88-67 face à Olympiakos)\\n\\nKim Tillie (Olympiakos) : blessé pour la fin de saison\\n\\nBoris Dallo (Panionios) : pas de playoffs\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : 2 points (1/4 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 2 interceptions en 25 minutes (défaite 81-76 face à Hapoel Tel Aviv)\\n\\n\\nItalie\\n\\nAmath M’Baye (Milan) : n’a pas joué – ne figure pas dans la rotation de Milan pour les playoffs\\n\\nNobel Boungou-colo (Turin) : non qualifié en playoffs\\n\\nYakhouba Diawara (Pistoia) : non qualifié en playoffs\\n\\n\\nLituanie\\n\\nAxel Toupane (Kaunas) : Final Four Euroleague\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) :\\n\\n– 14 points (5/10 aux tirs), 5 rebonds, 2 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 23 minutes (victoire 84-78 face à Ostrów Wielkopolski)\\n– 9 points (3/7 aux tirs), 4 rebonds en 23 minutes (défaite 92-78 face à Ostrów Wielkopolski)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA) : Final Four Euroleague\\n\\nLeo Westermann (CSKA) : blessé\\n\\n\\nSerbie\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 9 points (4/9 aux tirs), 2 rebonds, 1 interception, 3 balles perdues en 21 minutes (victoire\\n\\nMathias Lessort (Etoile Rouge) : 4 points (1/1 au tir), 4 rebonds, 1 passe, 1 interception, 3 balles perdues en 11 minutes (victoire 89-50 face à Vrsac)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nMoustapha Fall (Sakarya) : prochain match contre Fenerbahçe le 23 mai (Playoffs)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Vincent Poirier propulse Vitoria à la 2e place"
}, 
{"role": "user",     "content":"Féminines: Valérie Garnier championne de Turquie avec Fenerbahçe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fenerbahçe Istanbul a obtenu son 13ème titre national en battant en finale du championnat turc Yakin Dogu, 3 manches à 1. Le Fener a remporté la manche décisive, 62-53, avec 14 points de Giorgia Sottana (1,77m, 29 ans) qui avait commencé la saison à Lattes-Montpellier.\\n\\nLe nouveau champion de Turquie est coaché par la sélectionneur des Bleues, Valérie Garnier, qui est arrivée au club à la fin mars alors qu’il était troisième du championnat derrière Yakin Dogu et Hatay et avait été éliminé en quarts de finale de l’Euroleague par Sopron. La Choletaise a été précédemment trois fois championne de France comme joueuse avec Mirande (1988, 89 et 90) et trois fois comme coach avec Bourges (2012, 13 et 15).\\n\\nLors de ce quatrième match, Sandrine Gruda s’est contentée de 8 points et 3 rebonds elle qui portait la saison dernière le maillot de Fenerbahçe qui avait été battue en finale par Yakin Dogu !\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"La Russie avec toutes ses stars contre la France dont Alexey Shved"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Krasnodar est une ville au sud de la Russie et ses 850 000 habitants ont une chance extraordinaire comparés aux fans français de basket : ils vont pouvoir voir à l’œuvre les Bleus en chair et en os, le 2 juillet, avec Rudy Gobert, Nicolas Batum et Evan Fournier en fers de lance. Et en face, il y aura une Russie, demi-finaliste du dernier EuroBasket, qui s’annonce également au complet.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nContrairement à la France, la Russie n’est pas encore tout à fait certaine de participer au deuxième tour de qualification puisque si elle a vaincu la Belgique (+7) et la Bosnie (+17) à la maison, elle s’est retrouvée en échec en Bosnie (-5) et à Nancy contre la France (-1).\\n\\nLe sélectionneur Sergei Bazarevich a fait appel à 16 joueurs dont un seul opère à l’étranger, le pivot Timofey Mozgov, role player aux Brooklyn Nets (4,2 points et 3,2 rebonds en 31 matchs). Cinq joueurs sont du CSKA, quatre du Lokomotiv-Kuban Krasnodar.\\n\\nOn ne change pas une équipe qui gagne et la liste comprend les 12 joueurs ayant participé au Championnat d’Europe 2017. Faut-il rappeler qu’à cette occasion, les Russes avaient accroché à leur tableau de chasse, dans l’ordre chronologique, la Turquie, la Serbie, la Belgique, la Grande-Bretagne, la Croatie et la Grèce. Ils avaient curieusement échoué face à la Lettonie en poule puis face à la Serbie en demi-finale et face à l’Espagne lors du match pour la médaille de bronze.\\n\\nLa pièce essentielle au puzzle russe, c’est le shooting guard Alexey Shved, qui avait flambé à l’EuroBasket et qui en était ressorti top-marqueur (24,3 points), 6e passeur (5,9) et avec une sélection dans le Cinq All-Stars. La Russie avec l’étoile du Khimki, ce n’est évidemment pas la même limonade.\\n\\nLa seule inconnue à ce jour concerne l’état de santé de Andrei Vorontsevich, blessé à l’épaule droite lors du Final Four de l’Euroleague. « Nous verrons. J’espère toujours qu’il va récupérer, et assez rapidement. Mais il faut tenir compte de ce facteur, et peut-être que cette sélection devra être changée, » indique Serge Bazarevitch, qui poursuit : « Nous donnons une chance à certains joueurs qui se sont montrés dans les deux premières fenêtres. » Le coach national parle en priorité de Vitali Frizdon (16,7 points, 5,3 rebonds), Sergei Karasev (13,7 points, 3,7 rebonds), Dimitri Kulagin (10,3 points, 5,8 passes et 4,3 rebonds) et Andrei Zubkov (11,5 points, 5,3 rebonds).\\n\\nContrairement aux Français, les Russes effectueront un match de préparation en amont de leur déplacement en Belgique.\\n\\nLes sélectionnés :\\n\\nEvgeni Baburine (1,89m, 30 ans, Lokomotiv-Kuban Krasnodar), Dimitri Kulagin (1,97m, 25 ans, Lokomotiv-Kuban Krasnodar), Mikhail Kulagin (1,93m, 23 ans, CSKA Moscou), Ivan Ukhov (1,93m, 22 ans, Parma Perm), Vitali Fridzon (1,95m, 32 ans, CSKA Moscou), Dimitri Khvostov (1,90m, 28 ans, Lokomotiv Kuban Krasnodar), Alexey Shved (1,98m, 29 ans, Khimki Moscou), Semen Antonov (2,02m, 28 ans, CSKA Moscou), Andreï Vorontsevitch (2,07m, 30 ans, CSKA Moscou), Peter Gubanov (2,07m, 31 ans, Nijni Novgorod), Andrei Zoubkov (2,05m, 26 ans, Khimki Moscou), Sergei Karasev (2,01m, 24 ans, Zenith Saint-Pétersbourg), Nikita Kurbanov (2,02m, 31 ans, CSKA Moscou), Vladimir Ivlev (2,07m, 28 ans, Lokomotiv-Kuban Krasnodar), Artem Klimenko (2,14m, 24 ans, Avtodor Saratov) et Timofey Mozgov (2,16m, 31 ans, Brooklyn Nets).\\n\\nQuatre autres joueurs sont inclus dans une liste de réservistes et peuvent également être appelés au rassemblement : Vyacheslav Zaitsev (1,90m, 28 ans, Khimki Moscou), Nikita Balashov ( 2,07m, 26 ans, Peno Zhvaygzhdes, Lituanie), Evgeni Valiev (2,08m, 25 ans, Zenith Saint-Petersbourg) et Stanislav Ilnitsky (2,00m, 24 ans, Lokomotiv-Kuban, Krasnodar).\\n\\nLe programme\\n\\n19-24 juin : rassemblement à Novogorsk.\\n\\n25 juin : match amical Lettonie – Russie (Riga).\\n\\n26-27 juin : entraînement à Novogorsk.\\n\\n28 juin : vol vers la Belgique.\\n\\n29 juin : match de qualification à la Coupe du Monde-2019, Belgique-Russie (Anvers).\\n\\n30 juin : vol vers Krasnodar.\\n\\n2 juillet : match de qualification à la la Coupe du Monde-2019, Russie – France (Krasnodar).\\n\\n[armelse]\\nContrairement à la France, la Russie n’est pas encore certaine de participer au deuxième tour de qualification puisque si elle a vaincu la Belgique (+7) et la Bosnie (+17) à la maison, elle s’est retrouvée en échec en Bosnie (-5) et à Nancy contre la France (-1).\\n\\nLe sélectionneur Sergei Bazarevich a fait appel à 16 joueurs dont un seul opère à l’étranger, le pivot Timofey Mozgov, rôle player aux Brooklyn Nets (4,2 points et 3,2 rebonds en 31 matchs). Cinq joueurs sont du CSKA, quatre du Lokomotiv-Kuban Krasnodar.\\n\\nOn ne change pas une équipe qui gagne et la liste comprend les 12 joueurs ayant participé au Championnat d’Europe 2017. Faut-il rappeler qu’à cette occasion, les Russes avaient accroché à leur tableau de chasse, dans l’ordre chronologique, la Turquie, la Serbie, la Belgique, la Grande-Bretagne, la Croatie et la Grèce. Ils avaient curieusement échoué face à la Lettonie en poule puis face à la Serbie en demi-finale et à l’Espagne lors du match pour la médaille de bronze.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: Aleksei Shved (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les 17 points de Fabien Causeur en finale de l’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"« Bien que Luka Doncic fut le MVP du Final Four, Fabien Causeur a également fait un super match contre Fenerbahçe Dogus Istanbul et aurait pu être le co-MVP. »\\n\\nCe n’est pas un média français qui écrit cela mais le site spécialisé eurohoops.net. Pour vous convaincre de la pertinence des propos, si vous n’avez pas vu le match, voici assemblés les 17 points inscrits par le Français du Real Madrid et ses autres actions décisives.\\n\\nPhoto: Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’ambition de Châlons-Reims: sortir de la zone de la 12e-14e place"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En 2017 le Champagne Châlons Reims Basket avait dû subir un redressement fiscal et un contrôle Urssaf et un tour de vis avait été effectué au niveau des finances.\\n\\n« Il a fallu composer avec cela, c’est vrai. Nous avons rectifié le tir. Nous avons rééquilibré nos fonds propres, » explique le président Michel Gobillot dans les colonnes de l’Union. « Désormais, on va pouvoir commencer le recrutement en commençant par les JFL. On espère y parvenir le plus vite possible mais sans s’affoler. On ne fait pas partie des clubs riches capables de payer plein pot. »\\n\\nLe CCRB veut conserver ses meilleurs joueurs et n’a pas encore fait une croix sur son meneur Martin Hermannsson (1,90m, 23 ans) même si l’Islandais est demandé ici et là. Son ambition est de sortir par le haut de la zone de la 12e-14e place qui sera marécageuse lorsque la Jeep Elite -c’est dans l’air du temps- passera à 16 voire 14 équipes. Sortir aussi médiatiquement de l’obscurité car l’absence de vraies performances, de coupes d’Europe, de références françaises sinon Romain Duport, et le fait de jouer un coup à Châlons, un coup à Reims font que le CCRB est le club le plus anonyme de l’élite.\\n\\nPhoto: Martin Hermannsson (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le triomphe européen du Real à la Une de la presse de Madrid"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La victoire en finale de l’Euroleague du Real Madrid à faire la Une de la presse de Madrid. Voici quelques exemples:"
}, 
{"role": "user",     "content":"Le Mans-Villeurbanne: Romeo Travis suspendu, Amine Noua blessé"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Romeo Travis (1,98m, 32 ans) a été suspendu un match ferme pour avoir tenu des propos injurieux envers les arbitres. Le président du Mans, Christophe Le Bouille, s’est dit « choqué par la sévérité de la sanction ». C’est surtout qu’elle tombe très mal et a pour effet de fausser quelque peu le Match 1 de ce quart-de-finale de playoffs MSB-ASVEL. Le club manceau a fait appel et peut espérer que le président de la chambre d’appel qui peut « apprécier le caractère suspensif ou non de l’appel » soit clément. C’est un pouvoir discrétionnaire qui nous parait quelque peu excessif. Le même verdict pour chaque cas serait assurément plus juste.\\n\\nMais l’ASVEL aussi enregistre un forfait puisque OBuzzer révèle que Amine Noua (2,02m, 21 ans) s’est luxé l’auriculaire de la main droite à l’entraînement.\\n\\nRomeo Travis, c’est 11,3 points, 4,6 rebonds et 11,6 d’évaluation.\\n\\nAmine Noua, c’est 11,0 points, 4,7 rebonds et 12,2 d’évaluation.\\n\\nComme les deux joueurs opèrent au même poste, en ailier-fort, on peut en conclure que les deux équipes sont dos à dos dans leur malheur. Sauf que Le Mans doit toujours faire sans son homme à tout faire, Terry Tarpey, blessé au genou et depuis son absence on se rend compte encore plus combien l’équipe mancelle a besoin de lui. Oui, mais, l’absence de Amine Noua est d’au moins deux semaines et va donc l’empêcher de jouer toute la série. Et même davantage si Villeurbanne passe le tour. Et puis, même si l’effectif des Verts est plus complet à l’origine, n’oublions pas que Alpha Kaba est out jusqu’à la fin de la saison.\\n\\nPhoto: Amine Noua (ASVEL)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV: Les quarts-de-finale de Jeep Elite en clair"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La LNB et SFR proposent en accès gratuit tous les quarts de finale de la Jeep Elite via les plateformes suivantes:\\n\\n-Les Facebook Live de SFR Sport et RMC Sport\\n\\n-La chaîne Youtube SFR Sport.\\n\\n-Les sites rmcsport.fr et sport.sfr.fr\\n\\n-Le site Yahoo sport\\n\\nLes retransmissions sont bien entendu également assurées sur SFR Sport 2. Cette semaine est par ailleurs celle de la finale de la Ligue Féminine.\\n\\nLundi 21 mai:\\n\\n20h45 – Bourges/Tarbes – Ligue Féminine – SFR Sport 2\\n\\n23h00 – Buzzer – SFR Sport 2\\n\\nMardi 22 mai:\\n\\n18h50 – Le Mans/Villeurbanne – Jeep Elite – SFR Sport 2\\n\\n20h45 – Strasbourg/Nanterre – Jeep Elite – SFR Sport 2\\n\\n22h45 – Documentaire: Parker président\\n\\nMercredi 23 mai:\\n\\n19h00 – Monaco/Pau – Jeep Elite – SFR Sport 2\\n\\n20h45 – Limoges/Dijon – Jeep Elite -SFR Sport 2\\n\\nJeudi 24 mai:\\n\\n20h45 – Tarbes/Bourges – Ligue Féminine – SFR Sport 2\\n\\nVendredi 25 mai:\\n\\n19h00 – Villeurbanne/Le Mans – Jeep Elite – SFR Sport 2\\n\\n20h45 – Nanterre/Strasbourg – Jeep Elite – SFR Sport 2\\n\\nSamedi 26 mai:\\n\\n16h30 – Tarbes/Bourges – Ligue Féminine – SFR Sport, si nécessaire\\n\\n18h30 – Pau/Monaco – Jeep Elite – SFR Sport 2\\n\\n20h30 – Dijon/Limoges – Jeep Elite – SFR Sport 2\\n\\nDimanche 27 mai:\\n\\n18h30 – Le Mans/Villeurbanne -Jeep Elite – SFR Sport 2, si nécessaire\\n\\n20h30 – Strasbourg/Nanterre – Jeep Elite – SFR Sport 2, si nécessaire\\n\\nPhoto: DJ Cooper (Monaco), Sébastien Grasset"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: la finale de l’Euroleague Real Madrid-Fenerbahçe en entier"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Revivez la finale de l’Euroleague en entier avec la victoire du Real Madrid sur Fenerbahçe, 85-80.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=Ls-DzpMpkBg"
}, 
{"role": "user",     "content":"Huit joueuses sélectionnées pour préparer la Coupe du Monde 3×3"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Huit joueuses ont été convoquées en Equipe de France 3×3 féminine pour participer le 27 mai prochain à Voiron au premier stage de préparation à la Coupe du Monde 3×3 qui se déroulera du 8 au 12 juin à Manille (Philippines). Sinon Alice Nayo (Ligue 2) toutes ces joueuses évoluent en Ligue Féminine et Ana Maria Filip a déjà porté le maillot de l’équipe de France 5×5.\\n\\nCes huit joueuses prendront par ensuite au BIG 12, tournoi international de 3×3, afin d’évaluer leur niveau face aux meilleures nations mondiales. C’est à l’issue de ce tournoi que Richard Billant et son staff dévoileront les noms des 4 joueuses retenues pour représenter la France à la Coupe du Monde 3×3 aux Philippines.\\n\\nStage à Voiron du 27 au 31 mai\\n\\nTournoi du BIG 12 à Voiron du 1er au 3 juin\\n\\nStage à Manille (Philippines) du 4 au 7 juin\\n\\nCoupe du Monde à Manille (Philippines) du 8 au 12 juin\\n\\nEntraîneurs : Richard Billant, Karim Souchu et Anna Kotocova\\n\\nPhoto: Ana-Maria Filip (FIBA)\\n\\n\\n\\n\\nNom\\nPrénom\\nNaissance\\nClub\\n\\n\\n\\n\\nCORNELIE SIGMUNDOVA\\nJodie\\n20/04/1993\\nCavigal Nice Basket 06\\n\\n\\nDIALLO\\nChristelle\\n12/03/1993\\nTarbes GESPE Bigorre\\n\\n\\nFILIP\\nAna Maria\\n20/06/1989\\nFlammes Carolo Basket Ardennes\\n\\n\\nNAYO\\nAlice\\n16/01/1993\\nAvenir Basket Chartres\\n\\n\\nPAGET\\nMarie Eve\\n28/11/1994\\nFlammes Carolo Basket Ardennes\\n\\n\\nTAYEAU\\nJohanna\\n07/01/1989\\nRoche Vendée BC\\n\\n\\nTOURE\\nMamignan\\n19/12/1994\\nCavigal Nice Basket 06\\n\\n\\nTURCINOVIC\\nLidija\\n27/08/1994\\nNantes Rezé Basket\\n\\n\\n"
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg : Martial Bellon et Vincent Collet ont rencontré le président de l’Euroleague"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Il y a une semaine à Barcelone, le président de Strasbourg, Martial Bellon et Vincent Collet ont rencontré Jordi Bertomeu, le président de l’Euroleague.\\n\\nSur son site, la SIG indique avoir engagé des discussions avec l’Euroleague pour présenter l’avancement du Projet ARENA de Strasbourg qui verra le Rhenus augmenter sa capacité de 6 150 à 8 007 places, en plus d’une future extension qui permettra ainsi d’accueillir jusqu’à 10 100 personnes.\\n\\nLe club strasbourgeois indique que les trois hommes ont échangé sur la situation des compétitions européennes et que Jordi Bertomeu a apprécié le « modèle novateur imaginé par le club pour porter cette transformation du Rhenus Sport ». Néanmoins, la SIG déclare qu’aucun engagement n’a été pris mais que les deux présidents continueront leur dialogue plus tard.\\n\\nEn 2016, Vincent Collet avait amené Strasbourg en finale de l’Eurocup, perdue face à Galatasaray.\\n\\nPhoto : Strasbourg"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Luka Doncic (Real Madrid) élu meilleur espoir de l’année"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Pour la deuxième année consécutive et sans surprise, Luka Doncic (1,98m, 19 ans) vient d’être élu meilleur espoir d’Euroleague à l’unanimité.\\n\\nAvec le Real Madrid cette saison, le natif de Ljubljana a eu la lourde tâche de faire oublier Sergio Llull, blessé au genou, à la mène de l’une des plus prestigieuses équipes d’Europe. Mission réussie pour la pépite madrilène qui a bien souvent porté la formation espagnole dans les matchs importants et qui a envoyé le Real au Final Four de C1. A quelques semaines de son envol pour la NBA, l’international slovène pourrait également être élu MVP de la saison en Euroleague.\\n\\nCette saison, Luka Doncic compile en moyenne 13 points, 5,7 rebonds et 4,8 passes décisives pour une évaluation de 18,9 en ACB et 16,1 points, 4,8 rebonds et 4,4 assists pour une évaluation de 21,8 en Euroleague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Gaëlle Skrela : «Si vous arrêtez le basket, il faut continuer une activité sinon ça va se dégrader rapidement»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Une figure manque à ces playoffs de Ligue Féminine 2018, celle de Gaëlle Skrela, la Montpelliéraine de presque toujours. Après une médaille d’argent à l’Euro 2017, Gaëlle a pris à 35 ans sa retraite sportive. Nous lui avons demandé de ses nouvelles.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDepuis votre arrêt de la compétition, vous travaillez comme kiné dans votre cabinet ?\\n\\nJ’ai commencé à travailler au mois de janvier. Avant j’ai fait un break, je profitais un peu de ma maison, de ma famille.\\n\\nC’est un rythme complètement différent ?\\n\\nOui. Après, j’ai de la chance, je travaille trois jours et demi par semaine. Quand je travaille ce sont de grandes journées mais j’ai quand même le temps de profiter de la vie autour. Je fais beaucoup moins de déplacements. C’est une nouvelle vie, un nouveau challenge et c’est excitant aussi. Ça se passe bien.\\n\\nAllez-vous encore aux matchs du BLMA ?\\n\\nJ’y suis allée un peu. On ne peut pas dire que je sois la supportrice la plus assidue de cette saison. J’y suis allée quand je connaissais les adversaires, j’y suis allée deux fois pour l’Euroleague. Quand vous arrêtez, vous n’avez pas envie de vous retrouver tous les samedis à la salle. Vous avez envie de faire juste autre chose que du basket. Mais je connais les résultats de Montpellier, de la Ligue Féminine, je sais quand même ce qui se passe mais j’y vais beaucoup moins que ce que je pensais y aller.\\n\\nJouez-vous encore un peu ?\\n\\nPas du tout (rires) ! Même pour jouer à bas niveau, il faudrait que je sois sérieuse dans mon investissement. Je me suis arrêtée parce que ça commençait à devenir pesant. Voilà, plus de basket !\\n\\nRessentez-vous un manque ?\\n\\nC’est la question que beaucoup de gens me posent, y compris certains de mes patients, et bizarrement, non. Peut-être que si vous me reposez la question l’année prochaine, je ne répondrais pas la même chose. Ceci dit, j’ai regardé le Final Four de l’Euroleague filles, je regarde aussi les garçons, j’aime toujours le basket, le regarder, mais je crois que c’était le moment de tourner la page.\\n\\nUne question qui concerne la joueuse et aussi la kiné : dans quel état est votre corps après toutes ces années ?\\n\\nÇa lui a fait du bien d’arrêter. Je sais très bien que si je veux continuer à aller bien, il faut que je fasse un minimum, que j’aille courir, que je fasse de la muscu parce que mes genoux sont abimés et qu’il n’y a que la muscu qui pourra leur permettre de vivre tranquillement encore plusieurs années. Mais quand vous arrêtez et que vous vous levez le matin sans avoir mal nulle part, c’est quand même un soulagement. Un conseil pour tout le monde : si vous arrêtez le basket, il faut continuer une activité sinon ça va se dégrader rapidement. Et ce conseil est valable pour moi aussi !\\n\\n[armelse]\\nDepuis votre arrêt de la compétition, vous travaillez comme kiné dans votre cabinet ?\\n\\nJ’ai commencé à travailler au mois de janvier. Avant j’ai fait un break, je profitais un peu de ma maison, de ma famille.\\n\\nC’est un rythme complètement différent ?\\n\\nOui. Après, j’ai de la chance, je travaille trois jours et demi par semaine. Quand je travaille ce sont de grandes journées mais j’ai quand même le temps de profiter de la vie autour.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: FIBA"
}, 
{"role": "user",     "content":"Espagne : le FC Barcelone intéressé par Kevin Pangos (Kaunas) ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En fin de contrat cet été à Kaunas, Kevin Pangos (1,88m, 25 ans) devrait avoir l’embarras du choix dans les mois à venir au moment de choisir sa nouvelle destination.\\n\\nSelon Mundo Deportivo, le FC Barcelone serait très intéressé pour récupérer le meneur de jeu du Zalgiris afin de donner un nouvel élan à son équipe qui n’a pas disputé les playoffs d’Euroleague depuis deux ans malgré l’arrivée, entre autres, de Thomas Heurtel ou Adam Hanga l’été dernier.\\n\\nDe son côté, l’ancien pensionnaire de Gonzaga, qui se prépare pour le Final Four de l’Euroleague avec Kaunas, songerait plutôt à rejoindre la NBA dans un futur proche, lui qui a passé un nouveau cap cette année et qui pourrait intéresser quelques franchises. Toujours selon le quotidien espagnol d’autres grands clubs européens auraient aussi un oeil sur l’ancien joueur de Gran Canaria.\\n\\nCette saison sous les ordres de Sarunas Jasikevicius, Kevin Pangos compile en moyenne 8,5 points, 2,4 rebonds et 4,4 passes décisives en championnat et 12,7 points, 2,7 rebonds et 6 passes décisives pour une évaluation de 14,1 en Euroelague.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Savo Vucevic (Bourg): «On n’a pas de patron»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En échouant à Boulazac (62-71), la JL Bourg a fait un pas en arrière dans la lutte pour une place en playoffs. Pour un joueur ordinaire, le rendu statistique de Zach Peacock est tout à fait convenable (11 points à 4/12, 7 rebonds et 5 passes pour 14 d’évaluation), mais c’est offensivement largement en-dessous de ses standards lui qui tourne en moyenne à 19,6 points à 57% de réussite pour 20,7 d’éval.\\n\\nAprès le match, le coach Savo Vucevic a déploré l’absence d’un boss dans son équipe.\\n\\n« En jouant comme ça, on ne mérite pas d’être en playoffs. On commence très mal, on joue à l’envers. On ne joue pas notre basket. Le deuxième quart-temps remet les choses au point. On les a fait déjouer mais après le troisième quart-temps jusqu’à la fin du match, les shoots forcés, rapides, on ne fait pas bouger la balle, ce qui est notre point fort. Il n’y avait pas de patron sur le terrain. Et quand on n’a pas de patron, après il y a rien. On était sur le terrain mais comme une voiture sans volant. L’équipe (de Boulazac) a mis plus d’énergie même dans les moments où ça n’allait pas, ils en voulaient, ils sont revenus avec détermination et ils méritent cette victoire. Malheureusement depuis quelques matches, qui coincicent avec l’absence de Peacock, on n’arrive pas à trouver le rythme que l’on avait avant. C’est extrêmement difficile maintenant. Il faut montrer un esprit beaucoup plus fort sur le terrain, beaucoup plus d’énergie. Je ne suis pas fâché mais cette équipe a ses limites. On n’a pas de patron. Toute la saison ça a tourné autour de Zach (Peacock). C’est une défaite logique. »\\n\\nPhoto: MSB"
}, 
{"role": "user",     "content":"L’Euroleague a conclu un accord avec FloSports pour la diffusion de ses matches en Amérique du Nord"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"FloSports a conclu un accord pluriannuel avec Euroleague Basketball pour devenir le partenaire de distribution officiel de Turkish Airlines EuroLeague et 7DAYS EuroCup en Amérique du Nord. Cet accord concerne la saison régulière et les playoffs pour les saisons 2018-19 et 2019-20.\\n\\nFloSports estime que le public américain est intéressé par L’EuroLeague qui a servi de couveuse à de nombreux joueurs vus ensuite en NBA comme les frères Gasol, Manu Ginobili, Ricky Rubio, et encore Bojan Bogdanovic et Goran Dragic en attendant Luka Doncic, le prodige slovène du Real Madrid.\\n\\n« Notre objectif est de fournir la couverture de basket la plus complète aux fans à tous les niveaux du jeu, et le partenariat avec EuroLeague est une autre étape positive pour FloHoops », a déclaré Mark Floreani, COO et co-fondateur de FloSports. « Il n’y a pas de niveau de jeu plus élevé en dehors de la NBA que l’EuroLeague, leader du basketball professionnel international depuis près de 20 ans. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pau est sur le fil du rasoir et ne peut toujours pas compter sur Alain Koffi"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A chaque journée ou presque son match de Jeep Elite. Ce soir, c’est Monaco-Pau, ce qui va permettre de mettre enfin tout le monde à jour.\\n\\nL’Elan Béarnais est en chasse pour un spot en playoffs. Pour l’instant, il n’est pas dans le top 8 ayant une victoire de retard sur Bourg -la défaite de la JL à Boulazac l’a bien arrangé- et deux sur Limoges, l’ASVEL et Nanterre, tout en étant à égalité avec Levallois.\\n\\n« On suit les résultats de nos concurrents de près. Levallois peut encore nous reprendre et c’est la configuration la plus défavorable puisque c’est la seule équipe en course sur laquelle on n’a pas le point-average. Mais on a les cartes en mains, » analyse le coach Laurent Vila dans Sud Ouest. « On a grillé deux cartouches déjà. A nous de faire le job. Ce ne sera pas facile car derrière Monaco on enchaîne rapidement les deux derniers matches et si Alain (Koffi) est là, il sera malgré tout diminué. »\\n\\nEn raison d’une luxation de l’épaule droite à l’entraînement avant la venue de Strasbourg, Alain Koffi est en effet forfait pour ce match à Monaco. Un lourd handicap car l’international, c’est 10,5 points et 5,5 rebonds par match. L’Elan n’a plus que le seul Vitalis Chikoko comme pivot et Laurent Vila doit faire appel en roue de secours à Léo Cavalière dont ce n’est pas le poste. Or la Roca Team est sur-armée dans ce secteur. Question importante toutefois : les Monégasques ont-ils récupéré de leur échec en finale de la Champions League?\\n\\nSi les Palois échouent à Monaco, il leur faudra remporter leurs derniers matches et compter sur deux défaillances de l’un de leurs adversaires directs ou une seule de la JL Bourg.\\n\\nPhoto: Léo Cavalière (Elan Béarnais)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Accession en LFB: 400 supporters bretons ont poussé Landerneau à une belle contre Angers"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Plus de 400 supporters bretons munis de dizaines de drapeaux s’étaient installés hier soir dans l’Arena Loire de Trélazé -370km séparent les deux villes- pleine de 4 500 spectateurs et ont poussé Landerneau Bretagne Basket vers une victoire synonyme de belle en Bretagne.\\n\\nTout avait pourtant mal commencé pour les Bretonnes auteures en première mi-temps d’un pauvre 24 % d’adresse avec un 1/6 à trois-points. Les Angevines avaient ainsi 10 points d’avance à la 23e minute mais Landerneau a complètement renversé la vapeur. C’est Marie Butard (11 points au total) qui a donné sur un panier primé l’avantage décisif à son équipe, 51-50, alors que Elodie Niaigre a réalisé un double double (10 points et 11 rebonds) au cours de cette soirée. Isis Arrondo (9 points, 6 rebonds, 5 passes et 4 interceptions) a été la plus complète côté angevin.\\n\\nLa belle se tiendra à Landerneau samedi.\\n\\nPhoto: Landerneau Bretagne Basket.\\n\\nhttps://www.facebook.com/LBB.HN/videos/1926294020745222/"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Mondeville sauve sa peau, Nice relégué en Ligue 2"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’USO Mondeville prendra part à sa 21e saison consécutive en Ligue Féminine à la prochaine rentrée. Les Normandes ont assuré leur maintien hier soir à Nice... en prolongation (75-69).\\n\\nLes filles de Romain L’Hermitte menaient de neuf points à cinq minutes de la fin mais les Niçoises ont eu le sursaut du désespoir. C’est la Canadienne Kim Gaucher qui a sauvé son équipe en inscrivant un total de 23 points (plus 7 rebonds) dont les 8 premiers de l’USOM dans le temps additionnel. L’Américaine Kristen Mann, qui était fanny à la pause, s’est réveillée par la suite pour scorer 12 points. Myriam Djekoundade a activement participé à la lutte au rebond avec 10 prises alors que Lisa Berkani a fait du Lisa Berkani: 18 points avec 1/7 à trois-points, 4 rebonds, 4 passes, 2 interceptions et 4 balles perdues.\\n\\n« C’est une machine de guerre », a déclaré Romain Lhermitte à actu.fr à propos de Kim Gaucher. « Elle a joué ce match comme un quart de finale de Jeux Olympiques. Elle est dans une autre dimension. Et encore, elle aurait mis quinze points de plus avec un meilleur collectif. Mais on a échoué cette saison sur le collectif... »\\n\\nLes efforts de Alix Duchet (23 points et 5 rebonds) et Mamignan Tourée (20 points) n’ont donc servi à rien. Privé en cours de saison de son coach Jimmy Verove et de sa meilleure joueuse Geraldine Robert pour des raisons financières, le Cavigal Nice replonge en Ligue 2. Mission remplie pour Mondeville et aussi pour le promu La Roche Vendée qui ne fera donc pas l’aller-retour.\\n\\nPhoto: USOM"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Bourges élimine l’ASVEL, Marine Johannès diabolique"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Emmené par une Marine Johannès diabolique (21 points à 7/9 aux tirs, 5 passes, 4 rebonds, 3 interceptions, 29 d’évaluation et... 10/10 de note artistique), le Tango Bourges Basket s’est qualifié pour la finale des playoffs de Ligue Féminine en battant une deuxième fois Lyon ASVEL féminin, 71-52\\n\\nLe Tango Bourges Basket a tout de suite voulu montrer aux Lionnes de quel bois il se chauffe. Suite à quelques arabesques de Marine Johannès, il se dégageait immédiatement au score: 11-4. L’étoile berruyère enchaînait les tirs longue distance plus spectaculaires les uns que les autres (step-backs, catch and shoots à une vitesse folle) pour inscrire 11 points à 4/4 aux tirs dans le premier quart-temps permettant à Bourges de mener 20 à 11. Autre tuile pour l’ASVEL, la troisième faute de Géraldine Robert après huit minutes.\\n\\nLes Lyonnaises avaient le grand mérite de ne pas craquer, de produire une vraie défense de playoffs et elles profitaient des errements des Berruyères dans la finition pour manger une partie de leur retard (18-21). A la mi-temps, Bourges affichait un piteux 29,6 % de réussite dans les tirs du champ mais menait quand même 30 à 24.\\n\\nUn 5-0 permettait en plus à l’ASVEL d’annuler son retard sitôt la deuxième mi-temps entamée. Les Berruyères disposaient d’un banc beaucoup plus riche mais face à la légende Laia Palau, Valéry Demory, privé de sa meneuse belge Julie Allemand sortie en raison d’une blessure à la bouche, n’hésitait pas par exemple à lancer la petite meneuse (1,65m) Coline Franchelin, 18 ans, qui ne manquait pas de toupet. La paire Haley Peters (13 points et 7 rebonds)-Rebecca Allen (11 points et 8 rebonds) faisait une fois de plus le job malgré une pression défensive intense sur elles. Marine Johannès multipliait les coups d’éclat, pourtant l’ASVEL était toujours sur les talons des Berruyères avant de lâcher du lest juste avant la fin du troisième quart-temps (43-52).\\n\\nDans le dernier quart-temps, la défense de Bourges donnait un tour de vis supplémentaire (19 balles perdues côté ASVEL !). L’attaque lyonnaise était mise au pain sec et à l’eau et les filles de Valéry Demory visiblement fatiguées perdaient Géraldine Robert pour 5 fautes à sept minutes de la fin. L’écart gonflait dans les dernières minutes pour afficher un score final qui ne reflète pas la résistance de l’ASVEL qui a été digne de figurer dans le carré d’as national après avoir été à deux doigts de tomber en Ligue 2 il y a tout juste un an.\\n\\n\\n\\n\\n💬 Olivier Lafargue : \\@ASVEL_Feminin est une équipe très agressive qui est venue nous chercher dans nos retranchements. On a réussi à rester dans le match et je suis très fier du job des filles ce soir.\\ #ASVELTBB pic.twitter.com/OfvpCL34wp\\n\\n\\n— LDLC ASVEL Féminin (@ASVEL_Feminin) May 8, 2018\\n\\nPhoto: Marine Johannès (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cyril Julian honoré comme le meilleur joueur des 50 ans du SLUC Nancy"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Cyril Julian, 44 ans, a reçu ce soir à l’occasion du match contre Blois le trophée de Meilleur Joueur des 50 ans du SLUC Nancy.\\n\\nArrivé en Lorraine en provenance de Tarbes à l’âge de vingt ans, Cyril Julian a porté le maillot du SLUC de 1994 à 1998, de 2000 à 2002 puis de 2005 à 2009. Il a gagné la Coupe Korac en 2002 et un titre de champion de France six ans plus tard.\\n\\nSon côté battant lui a valu le surnom de « Warrior ».\\n\\nPhoto: LNB\\n\\n\\n\\n\\nCyril Julian vient de recevoir de la part du Président du SLUC, de l'Est Républicain et du Club Affaires le trophée du meilleur joueurs des 50 ans du SLUC Nancy Basket !\\nFélicitations à Cyril Julian !!!! #GoSLUC #SLUCADA\\n\\n\\n— SLUC Nancy Basket (@SLUCbasketNancy) May 8, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Boulazac toujours en sursis après sa victoire sur Bourg"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec sa victoire en cette fin d’après-midi sur Bourg (71-62), la troisième en cinq matches, Boulazac conserve encore une petite chance de se maintenir en Jeep Elite.\\n\\nDrôle de match où chacun a eu son quart-temps. Le premier et le troisième pour le BBD (21-12 et 20-10) et le deuxième pour la JL (26-8). Tout s’est joué dans le dernier au cours duquel les Boulazacois ont fini par s’imposer, 22-14. Un panier à trois-points du meneur US Trenton Meacham à 41 secondes du buzzer faisant véritablement basculer le match avant que Karvel Anderson en plante un autre un peu plus tard.\\n\\nTrenton Meacham est d’ailleurs le meilleur marqueur du BBD avec 19 points plus 5 rebonds et 5 passes. Mais le MVP du match a été Shawn James avec 18 points, 12 rebonds e 6 contres pour une évaluation à 29.\\n\\nPour se maintenir, Boulazac doit encore gagner à Pau et face à Chalon au Palio mais aussi que Antibes (qui joue Limoges et à Levallois) ou Cholet (qui joue à Hyères-Toulon et qui reçoit Le Mans) avec qui il a un point-average particulier négatif ou encore Châlons-Reims (qui va à Bourg et qui reçoit Pau) avec qui il a un point-average positif perdent leurs deux derniers matches.\\n\\nQuant aux Bressans, ils ont perdu une belle occasion de renforcer leur position dans le top 8.\\n\\nPhoto: Trenton Meacham (BBD)"
}, 
{"role": "user",     "content":"2,3 millions d’euros, ce qu’a généré la Jeep Elite en paris au premier trimestre 2018"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’autorité de régulation des jeux en ligne (ARJEL) vient de rendre publique son analyse trimestrielle du marché des jeux en ligne en France. Dans l’activité des paris sportifs, les mises générées au cours du premier trimestre 2018 s’élèvent à 847 millions d’euros. Une augmentation de 34% en un an et c’est davantage que sur l’ensemble de l’année civile 2013 et plus que les années antérieures. 462 500 comptes joueurs ont été actifs chaque semaine contre 341 000 au premier trimestre 2017.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLe football (464,9M€) représente 55% des mises du secteur des paris sportifs et précède le tennis (163,0M€) et le basket (124,9M€), qui est loin devant le hockey-sur-glace (31,9M€) boosté par les JO d’hiver et le rugby (25,2M€). C’est évidemment la NBA qui permet un tel score. Les mises ont bondi en un an de 47,3M€ à 80,6M€ !\\n\\n« Le basketball est le troisième sport à enregistrer le plus de mises ce trimestre, les parieurs ayant engagé un peu moins de 125 millions d’euros sur la discipline. La NBA est d’ailleurs la seconde compétition sportive à générer le plus de mises sur le trimestre tous sports confondus. En effet, les parieurs ont engagé plus de 81 millions d’euros sur les matches de saison régulière de NBA ce trimestre, soit un montant proche de celui engagé sur les matchs de Ligue 1. Au final, les mises enregistrées en football, tennis et basketball représentent 89% des enjeux du trimestre, » note le rapport.\\n\\n[table id=125 /]\\n\\nIl est intéressant de comparer les différents championnats français. La Ligue 1 de foot est évidemment en tête de liste devant... la Ligue 2.\\n\\nLa Jeep Elite est à une autre échelle mais elle n’est finalement pas écrasée par le Top 14 de rugby qui bénéficie pourtant d’une médiatisation bien supérieure ou encore par le Tournoi des 6 Nations (5,8M€). Elle génère par ailleurs plus de deux fois plus de paris que la D1 de hand.\\n\\nOn notera qu’en France le football américain (1,4M€) est à la traîne comme... le cyclisme (0,2M€) et encore le sport automobile (0,1M€).\\n\\n[table id=127 /]\\n\\n[armelse]\\nLe football (464,9M€) représente 55% des mises du secteur des paris sportifs et précède le tennis (163,0M€) et le basket (124,9M€), qui est loin devant le hockey-sur-glace (31,9M€) boosté par les JO d’hiver et le rugby (25,2M€). C’est évidemment la NBA qui permet un tel score. Les mises ont bondi en un an de 47,3M€ à 80,6M€ !\\n\\n« Le basketball est le troisième sport à enregistrer le plus de mises ce trimestre, les parieurs ayant engagé un peu moins de 125 millions d’euros sur la discipline.\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]\\n\\nPhoto: William Howard (Sébastien Grasset)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Playoffs LFB : Face à Bourges ce soir, l’Asvel Féminin n’a rien à perdre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La première manche de la demi-finale entre Berruyères et Lyonnaises a basculé dans les ultimes secondes samedi soir au Prado, lorsque Valériane Ayayi a inscrit le panier libérateur depuis le corner (73-67). La hiérarchie a ainsi été respectée sur le parquet du leader de la saison régulière, ce qui n’empêche pas l’Asvel Féminin d’aborder la deuxième manche, ce soir à 20h45 à Mado Bonnet (en direct sur SFR Sport 2), avec un état d’esprit conquérant, rassurée sur ses capacités après avoir lourdement chuté à deux reprises en saison régulière contre Bourges (69-53 puis 41-63).\\n\\nTony Parker : « Revenir ici, c’est le but »\\n\\nPrésent au Prado, le président du club, Tony Parker a livré son sentiment lors de la conférence de presse d’après-match. Si le meneur des Spurs a reconnu la supériorité du club tango, locomotive du basket féminin français depuis plus de 20 ans, l’Asvel ne s’avoue pas vaincue pour autant.\\n\\n« Bourges est au-dessus, mais on s’est bien battu, a confié TP après la rencontre. Ça se joue à des petits détails à la fin du match mais on voit qu’ils ont plus d’expérience et qu’ils ont mis les tirs qu’il fallait pour gagner. C’est ce que font les grandes équipes. A nous d’essayer de trouver les ressources pour essayer de refaire le même match et mettre les tirs qu’il faut pour revenir ici. C’est le but, revenir ici (...). On a quand même un bel effectif et le coach fait confiance aux dix joueuses et lance même les jeunes comme « Prissou » (Prescillia Lézin) et Evita (Herminjard). Ça tourne, et les joueuses avaient du gaz encore, même à la fin du match ».\\n\\nSon homologue, Pierre Fosset, s’est par ailleurs montré méfiant après ce premier acte face à l’Asvel qui avait également perdu le match 1 sur le parquet de Basket-Landes au tour précédent (sans l’avantage du terrain) avant de remporter les deux suivants.\\n\\n« Lyon n’est pas là par hasard. Ils ont terminé 5e et se retrouvent contre nous en demi-finale. Il y a une raison, ils l’ont mérité et ils sont là. On sait que ce sera difficile, à Lyon notamment. Je sais comment ça se passe depuis longtemps. Et en plus, Tony a faim...(rires) ».\\n\\nPaoline Salagnac : « C’est le basket, tout peut arriver »\\n\\nLa capitaine berruyère Elodie Godin (6pts, 4rbds, 2cts, 4 pds, 15 d’éval), triple championne de France (Avec Bourges en 2006, Valenciennes en 2007 et Lattes-Montpellier en 2016, sous les ordres de Valéry Demory) s’attendait également à une rude opposition.\\n\\n« On savait que le match allait être difficile. J’ai regardé leur série contre Basket-Landes. Ce qu’elles ont fait, c’est fort. Parce qu’aller gagner à Basket Landes, on l’a bien vu cette saison, c’est très difficile et il a fallu mettre pas mal d’énergie pour aller chercher cette victoire et elle est là, donc par rapport à ça, je suis satisfaite. On gagne avec pas mal d’erreurs, donc on va pouvoir corriger ça (...). La pression sera sur l’Asvel » a-t-elle souligné en conférence d’après-match, espérant boucler la série en deux manches dès ce soir pour bénéficier d’un temps de récupération supplémentaire.\\n\\nPour l’ancienne berruyère Paoline Salagnac, capitaine de l’Asvel Féminin depuis son arrivée dans la capitale des Gaules l’été dernier et initiatrice du retour de son équipe en deuxième mi-temps samedi soir (11pts, 4rbds, 4pds, 16 d’éval), tout reste jouable, à condition de ne pas avoir peur, de prendre du plaisir et de jouer jusqu’au bout.\\n\\n« C’est un peu la cerise sur le gâteau pour récompenser une belle saison. Jouer devant son public une demi-finale face à Bourges, c’est pas donné à tout le monde. Il faut savourer ce moment et se donner pendant 40 minutes pour ne pas avoir de regret. C’est le basket, tout peut arriver. Sur les Playoffs, c’est les détails qui font la différence. On a tout à gagner, il faut jouer libéré, et profiter de cette salle en feu qui va nous pousser jusqu’au bout. »\\n\\nA noter qu’Ingrid Tanqueray, toujours blessée, manquera à nouveau à l’appel ce soir.\\n\\nPhoto: Paoline Salagnac, Lyon ASVEL féminin/Christophe Dury"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : Sekou Doumbouya, même Brisco ne lui résiste pas !"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Champion d’Europe (2012&2013) et du monde (2013) de basket freestyle, Brice Coyere alias Brisco est un homme de défis, à l’image des challenges (plus ou moins fous) qu’il propose à différents acteurs du basket français et international, ainsi qu’aux Youtubeurs les plus férus de la discipline depuis plusieurs mois sur sa chaîne Youtube.\\n\\nLa Jeep ELITE dans le viseur\\n\\nAprès avoir récemment défié le trio nanterrien Heiko Schaffartzik-Jo Passave-Ducteil-Lahaou Konaté, Stephen Brun ou encore George Eddy au cours d’un double HORSE déjà mythique, « Brisco » s’est rendu dans la Vienne pour défier la pépite du Poitiers Basket 86, Sekou Doumbouya. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le jeune champion d’Europe U18, un brin malmené au défi freestyle, n’a pas fait de cadeau à son adversaire du jour en dominant le 1 contre 1 et le HORSE.\\n\\nA l’issue de cette opposition sous le signe de la bonne humeur, Sekou Doumbouya, blessé jusqu’à la fin de saison suite à une grosse entorse contractée il y a deux semaines à l’entraînement, a livré quelques indices sur la suite de son parcours.\\n\\n« Je pense me diriger vers la Pro A. C’est la suite logique pour moi je pense. J’ai fait deux ans ici et pour ma dernière année en France, il faut que j’aille en Pro A avant de me présenter à la Draft (en 2019)».\\n\\nSelon les premières rumeurs, Le Mans et l’Asvel seraient en pole position pour le récupérer la saison prochaine.\\n\\nLa « PB connexion » établie avec Evan Fournier\\n\\nInterrogé par Brisco sur l’équipe NBA qu’il aimerait rejoindre, Sekou Doumbouya vote pour les Bulls. « Pas par rapport à leur saison, mais quand j’ai commencé le basket, c’était l’époque de Derrick Rose, lorsqu’il a été MVP. Du coup je kiffais. Après, Michael Jordan aussi... »\\n\\nEn attendant de croiser le chemin d’Adam Silver, le natif de Conakry pourra compter sur les conseils d’Evan Fournier, lui aussi formé à Poitiers, avec qui il converse souvent comme l’a confirmé l’arrière du Magic à Fred Weis hier lors de l’émission Buzzer.\\n\\n« Je lui parle souvent. Sekou et moi, on s’est connu lorsqu’il était encore qu’en minimes. Et donc ça fait un moment qu’on se connaît... Il fait une bonne saison. C’est vrai qu’on lui reproche d’être très inconstant, mais le gamin, il a 16 ans. C’est quand même normal qu’à 16 piges quand tu joues en Pro B, tu sois inconstant. Il faut lui laisser le temps de se développer, il a un potentiel qui est unique, et je suis confiant sur le fait qu’il va devenir un très bon joueur », a déclaré Evan Fournier.\\n\\nSekou Doumbouya a en fait 17 ans depuis décembre."
}, 
{"role": "user",     "content":"A 30 ans, l’ex-Braqueuse Anaël Lardy prend sa retraite sportive"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Dans les colonnes du Midi Libre, qui lui consacre un long article sous forme d’hommage, l’ex-meneuse internationale Anaël Lardy de Lattes-Montpellier indique qu’elle prend sa retraite sportive alors qu’elle n’est âgée que de 30 ans.\\n\\n« Un choix personnel. Je suis fatiguée. Le basket m’a tellement apportée mais en même temps, ça peut être autodestructeur car on est sous pression tout le temps, on nous demande d’être au top tout le temps et au jour d’aujourd’hui, mon corps ne peut plus. »\\n\\nD’une famille de basket savoyard bien connu, les Falcoz, Anaël ne fut jamais un général mais un bon petit soldat, consciencieux, discipliné, et en backup elle a fait une riche carrière internationale qui l’a amenée en faisant partie des fameuses Braqueuses, au titre de championne d’Europe en 2009, à deux médailles d’argent en 2013 et 2015, et aussi à des titres de championne de France et des coupes de France aussi bien avec le BLMA qu’avec Bourges.\\n\\nEn début de saison, elle nous avait informé d’un projet de reconversion. Celui-ci a évolué au fil des mois et diplôme de coach sportif décroché avec son compagnon Alejandro, rugbyman argentin, elle a pour objectif d’ouvrir une salle de sport près d’Annecy.\\n\\n« Je suis fière de la joueuse que je suis devenue et je pars la tête haute. »\\n\\nElle peut."
}, 
{"role": "user",     "content":"L’Asvel et Strasbourg pour Jérémy Nzeulie ?"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Capitaine à bord irréprochable d’un bateau chalonnais qui a plus que tangué au cours de la saison, Jérémy Nzeulie (1,88m, 27 ans) ne devrait pas rester à Chalon-sur-Saône. L’ancien joueur de Nanterre, auteur de sa meilleure saison statistique en carrière en 2017-2018 (14,1 pts, 4 rbds, 3 pds en moyenne pour 13,4 d’évaluation à deux journées de la fin) serait courtisé par deux grosses cylindrées du basket français, comme l’a révélé Stephen Brun hier soir sur le plateau de Buzzer (SFR Sport).\\n\\n« Soit Strasbourg, soit Villeurbanne. Limoges était dessus, mais je crois que les enchères sont montées un peu trop haut. Comme sur Ebay pour une belle paire de chaussures, finalement vous arrêtez au bout d’un moment quand ça devient un peu trop cher. Il ne reste plus que l’Asvel et Strasbourg pour Jérémy Nzeulie qui fait fructifier sa belle saison, lui le meilleur marqueur français de la saison », a glissé Stephen Brun au sujet de son ancien coéquipier à Nanterre en 2012-2013, la première de la JSF parmi l’élite (conclue par un titre de champion de France).\\n\\nComme attendu, Jérémy Nzeulie ne devrait pas être le seul à quitter Chalon-sur-Saône après cet exercice 2017-2018 très compliqué. « Coach Brown » a par ailleurs ajouté que Darrin Dorsey et James Farr ne devraient plus porter les couleurs de l’Elan Chalon jusqu’à la fin de la saison et que Pierre-Antoine Gillet, pourtant sous contrat pour la saison prochaine aurait « des velléités de départ »."
}, 
{"role": "user",     "content":"Jeep ELITE : Valentin Bigote en lice pour le titre de joueur du mois"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La JDA Dijon n’en finit plus de grimper dans la hiérarchie. La récente victoire des hommes de Laurent Legname vendredi à Châlons-Reims (79-92), synonyme de qualification en Playoffs pour le club bourguignon, a été accompagnée d’une autre bonne nouvelle puisque Valentin Bigote a été désigné aux côtés de Gerald Robinson (AS Monaco) et Trey Lewis (Bourg-en-Bresse) pour le titre de joueur du mois d’avril.\\n\\nArrivé de Pro B (Nantes) au terme d’une grosse saison (15,4pts par match, 17,1 en Playoffs), le petit frère de Mathieu Bigote a gagné en régularité depuis la large victoire dijonnaise contre Pau-Lacq-Orthez (102-81) le 30 mars dernier et tourne à 17 points, 4 rebonds, 2,5 passes, pour 19,3 d’évaluation sur le mois d’avril. Laurent Legname a même intronisé l’ancien nancéien dans son cinq majeur depuis trois matchs et le résultat est plutôt satisfaisant : 24, 15 et 19 points avec de bons pourcentages pour 28, 23 et 19 d’évaluation pour trois victoires contre Levallois, Le Portel et le CCRB.\\n\\n« La confiance du coach, c’est important. C’est vrai que j’ai aussi plus d’adresse extérieure, ce qui me manquait en début de saison. 20% à 3-points, ce n’était vraiment pas terrible. Je suis agressif, ça se passe bien depuis quelques matchs, j’espère que ça va bien se passer, et je vais essayer d’aider au maximum l’équipe » avait déclaré Valentin Bigote à l’issue de son meilleur match en carrière en Jeep ELITE à Levallois (24pts).\\n\\nLe reportage de buzzer après le match de Valentin Bigote à Levallois\\n\\nMeilleur marqueur de la meilleure équipe de Jeep ELITE, Gerald Robinson a tourné à 19 points, 2,2 rebonds, 3,6 passes, 22,2 d’évaluation en avril (avec deux matchs à 27 d’évaluation), mois au cours duquel les Monégasques n’ont pas perdu un seul match.\\n\\nL’arrière burgien Trey Lewis complète ce trio. Arrivé en Jeep ELITE en février dernier, le natif de Cleveland s’est remarquablement adapté au championnat français avec deux pointes à 37 d’évaluation en avril (dont 37 points contre l’Elan Chalon à 8/11 à 3pts) pour une ligne de stats plutôt fournie : 22 points, 3,8 rebonds, 3,4 passes, 22,5 d’évaluation.\\n\\nFin des votes dimanche à 23h59\\n\\n\\n\\n\\n🏀🏆 Découvrez les 3 nommés pour le joueur du mois d’avril @LNBofficiel.\\n\\nPour voter, mentionnez votre joueur avec #JDMLNB 👌 pic.twitter.com/mkOVIVZ2z2\\n\\n\\n— SFR Sport (@SFR_Sport) 7 mai 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Katia Clanet (Nantes) va rejoindre Atlanta"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Fille de l’ancienne superstar du basket soviétique et russe, Elena Koudashova et de l’ex-président de Challes, Jean-Claude Clanet, Katia Clanet (1,90m) va quitter le Nantes-Rezé Basket et ce soir ce sera peut-être son ultime match puisque les Nantaises affrontent Basket Landes en match retour de classement de Ligue Féminine; à l’aller dans les Landes, elles ont pris une trempe, 46-83.\\n\\nA 22 ans, la Franco-Russe qui est étudiante en deuxième année de LEA (Langues étrangères appliquées), va poursuivre ses études à Atlanta et ne sait pas si le basket sera au programme de ses prochaines années. Son frère effectue déjà un cursus scolaire dans une high school en Floride.\\n\\n« C’est assez particulier. J’ai un peu réalisé à la fin du dernier match, j’étais encore plus dégoûtée de finir comme ça. J’ai très à cœur de finir sur une bonne note, » a t-elle déclaré hier en conférence de presse.\\n\\nAvec 5,0 points et 2,6 rebonds en 20′ de temps de jeu moyen, Katia Clanet aura été plutôt discrète sous les couleurs du NRB mais elle ne regrette pas son séjour nantais:\\n\\n« Ces quatre années m’ont formé en tant que joueuse mais aussi en tant que jeune femme et Nantes est ma ville adoptive. »\\n\\nOutre Katia Clanet, Lidija Turcinovic, Nayo Raincock-Ekunwe, Ambrosia Anderson et Margret Skuballa doivent également changer d’horizon à la fin de cette saison.\\n\\nPhoto LFB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Spécial salaires Pro B – Quimper exploite bien sa jeunesse"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Note :\\n\\nseuls les abonnés Premium accèdent au tableau complet des salaires de chaque joueur. Abonnez-vous ici à partir de 5,99€/mois.\\n\\nC’est la ceinture serrée et avec tous les doigts croisés que le promu quimpérois s’est lancé dans ce nouveau championnat l’été dernier. Avec la 3e plus petite masse salariale de la division tout juste devant Aix Maurienne et Rouen, l’UJAP a eu le malheur de faire deux mauvais choix sur deux NJFL, l’intérieur DeMarco Cox et l’ailier James Ellisor, remplacés en cours de saison.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nDeux erreurs de casting traînés comme des boulets par un club à la marge de manœuvre sportive et financière limitées. Or, comme pour Charleville-Mézières, les ajustements effectués par la suite ne se sont pas réalisés sans un effort financier supplémentaire à l’image de l’arrivée de Bernard King, un ailier à l’expérience inestimable qui manquait en plus à cette équipe.\\n\\nDans sa mission pour le maintien, l’entraîneur Laurent Foirest a également pu compter sur ses jeunes éléments, rétribués à moindre coût et pourtant de plus en plus responsabilisés, Paul-Lou Duwiquet et Maxime Choplin en tête, valeureux lieutenants de la paire intérieure Uwadiae-Odigie-Mondésir.\\n\\n[table id=119 /]\\n\\nPhoto : UJAP Quimper\\n\\n[armelse]\\n\\nDeux erreurs de casting traînés comme des boulets par un club à la marge de manœuvre sportive et financière limitées. Or, comme pour Charleville-Mézières, les ajustements effectués par la suite ne se sont pas réalisés sans un effort financier supplémentaire à l’image de l’arrivée de Bernard King, un ailier à l’expérience inestimable qui manquait en plus à cette équipe.\\n\\nDans sa mission pour le maintien, l’entraîneur Laurent Foirest a également pu compter sur ses jeunes éléments, rétribués à moindre coût et pourtant de plus en plus responsabilisés, Paul-Lou Duwiquet et Maxime Choplin en tête, valeureux lieutenants de la paire intérieure Uwadiae-Odigie-Mondésir.\\n\\nPhoto : UJAP Quimper\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Romain L’Hermitte (Mondeville): «Si on raye Mondeville de la carte, la formation française en prendra un coup»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"L’USO Mondeville va jouer sa survie en Ligue Féminine ce soir à Nice. Une situation dans ces playdowns due à une défaite d’un point au Hainaut, de trois à La Roche/Vendée et aussi au match perdu sur tapis vert en saison régulière face à ce même Cavigal Nice pour avoir couché sur la feuille de marque le nom d’un assistant qui n’était pas qualifié.\\n\\nUn club historique de la Ligue Féminine connu pour sa formation et duquel est Marine Johannès est en danger et cela fait réagir le coach Romain L’Hermitte dans Ouest France.\\n\\n« Je sais qu’en cas de défaite, on aurait neuf orteils en Ligue 2. Ai-je pensé à cette éventualité ? Bien sûr. J’ai énormément réfléchi aux conséquences d’une descente. Et je me pose une question : où est la place de Mondeville ? Sur le plan sportif, elle est en Ligue féminine. On l’a encore prouvé sur le terrain cette saison. Mais sur le plan économique, notre place est en Ligue 2. Dans l’agglomération, je n’ai pas vu une équipe performer cette saison. On ne vit pas dans une région riche. Parfois, on peut briller sur une saison, comme on l’a fait l’an passé, mais sur la durée c’est compliqué. Pour vivre une saison plus tranquille en Ligue féminine, il faudrait diviser par deux le budget du centre de formation et celui du secteur amateur. Ce n’est pas le souhait des dirigeants, pas le mien non plus. On est là pour former des joueuses mais financièrement, ça ne nous rapporte rien. Si on raye Mondeville de la carte, la formation française en prendra un coup. »\\n\\nPhoto: LFB"
}, 
{"role": "user",     "content":"Gravelines: Lucas Bourhis, au nom du frère"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Le dimanche 1er novembre 2009, alors qu’il revenait d’un déplacement victorieux à Hyères-Toulon, le meneur de jeu de la JDA Dijon et international des moins de 20 ans, Jonathan Bourhis, 19 ans, se tuait dans un accident de la route près de Pouilly-en-Auxois (Côte-d’Or). Sa voiture avait quitté la route départementale et était tombée dans le canal de Bourgogne. Son coach en espoir était alors Julien Mahé.\\n\\nSon petit frère Lucas, 1,77m, 18 ans, honore son aîné en portant comme numéro sur son maillot du BCM Gravelines-Dunkerque son année de naissance, 90, et en inscrivant sur ses chaussures sa date de naissance complète, 10-10-1990.\\n\\nHier soir, le BCM se présentait une nouvelle fois sans ses deux meneurs titulaires, Benjamin Sene et JR Reynolds. Lucas est entré une première fois en jeu au cœur du match. Puis le Belge Quentin Serron, qui fait office de roue de secours à la mène, est sorti pour cinq fautes, aussi Julien Mahé l’a relancé dans le money time.\\n\\nNanterre a voulu profiter de son manque de taille et d’expérience mais après avoir concédé deux fautes coup sur coup, Lucas Bourhis a fait preuve de beaucoup de sang-froid. En sept minutes, il a marqué 6 points, fait 2 passes et provoqué 2 fautes. Il était sur le terrain lorsque le BCM, mené un temps de dix-huit points, a tenté une remontanda qui l’a fait échouer de peu, 81-85.\\n\\nLucas Bourhis, qui précédemment n’avait joué qu’une minute contre Le Portel, a même été l’auteur de l’action du match quand il a réalisé un coast to coast, effaçant deux adversaires d’un dribble dans le dos suivi d’un layup.\\n\\nAu nom du frère.\\n\\nPhoto: BCM"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mickaël Piétrus et le Stade Marseillais (N2) posent les bases d’un partenariat ambitieux"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"On avait perdu la trace de Mike Pietrus depuis son passage compliqué au Sluc Nancy en 2015-2016 sous les ordres d’Alain Weisz et son début de saison 2016-2017 où il avait été aperçu à l’entraînement de la N2 du GAB (Garonne ASPTT Basket), fusion des clubs de Meilhan-sur-Garonne, Cocumont, Montpouillan et Marmande (N2), situé à moins de deux heures de route de Pau, où l’aventure a commencé pour lui et son frère Florent, arrivés de Guadeloupe en 1997 pour intégrer le centre de formation palois.\\n\\nA cette époque, Mike Pietrus avait réfuté l’idée d’une retraite, mais presque deux ans plus tard, à (seulement) 36 ans, l’ancien back-up de Vince Carter au Magic d’Orlando semble avoir tourné la page quant à un éventuel retour en pro puisque « Air France » et son staff vont intégrer l’équipe du Smuc (pour Stade Marseillais Université Club), structure omnisports emblématique de la cité phocéenne dont l’équipe masculine fanion évolue en Nationale 2. La section basket (26 équipes, plus de 500 licenciés), toujours soucieuse d’obtenir de meilleurs résultats en terme de formation et d’accompagnement de futurs talents, a récemment officialisé ce partenariat via un communiqué.\\n\\nUne envie de s’investir pour les jeunes au sein d’une « grande métropole »\\n\\n« Fort de ses expériences fructueuses dans l’organisation de camp de basket aux Antilles depuis 2005, Mickaël Piétrus concrétise sa volonté de s’impliquer dans un projet en faveur des jeunes dans une grande métropole », précise celui-ci, ajoutant que « cette convergence d’idées concernant notamment la formation des jeunes a débouché sur la signature d’un accord. Sur la base du projet sportif et éducatif de la section basket du Smuc, présidée par Carlos Cardoso, Monsieur Piétrus et son représentant Monsieur Ramdine, soucieux de l’avenir des jeunes issus de la formation, accompagneront le Smuc dans la gestion de l’équipe senior qui évolue actuellement en Nationale 2. Cela permettra aux jeunes de parfaire leur formation et de jouer au plus haut niveau en restant dans la métropole marseillaise »\\n\\nDes « passerelles d’échanges » entre la cité phocéenne et la Guadeloupe, via le réseau de Mickaël Piétrus et le Conseil Régional de Guadeloupe sont également mentionnées, l’île natale de l’arrière aux 626 matchs NBA étant une véritable pépinière de talents du basket français et ce depuis des décennies.\\n\\nLe Baz’n Camp, la première pierre de l’édifice\\n\\nA l’image de ses camps organisés en Guadeloupe qui ont permis de révéler de nombreux talents dont Rodrigue Beaubois, un premier camp va être organisé à Marseille cet été (du 8 au 14 juillet) et Mickaël Piétrus en sera le parrain. Le Baz’n Camp disposera d’un formidable outil avec le TechnoSport de Luminy, lieu unique dédié au sport et sa pratique au haut niveau, la recherche et l’industrie, le tout sur un site de 18 400 m2 basé au sud de Marseille.\\n\\nLe Baz’n Camp promet également à ses pensionnaires une semaine 100% US avec deux coachs de renom avec Brandon Giles, ancien arrière adepte des fondamentaux et aujourd’hui coach à Polk State (NCAA II) et Steven Garcia, assistant coach à Johnson University (College), en équipe nationale de Porto-Rico et qui travaille régulièrement avec des joueurs NBA durant l’intersaison. Des entraîneurs français vont également s’ajouter au staff du camp dont toutes les informations sont à retrouver ici\\n\\nUne après-midi « pré-camp » est prévue ce jeudi au TechnoSport de Luminy où tous les futurs campeurs sont invités à participer à une séance d’entraînement de deux heures aux côtés de Mickaël Piétrus. La première pierre d’un projet ambitieux au sein d’une région où le basket peine à retrouver sa place sur le champ médiatique et où le football (pour ne pas dire l’OM) règne toujours en maître."
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Rémi Giuitta (Fos) prend Le Portel en exemple"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Comme Orléans qui sort d’une défaite frustrante à Roanne (74-72), Fos-sur-Mer enchaîne les chocs en cette fin de saison. Après avoir disposé de Saint-Chamond dans le duel pour la 4e place entre les deux équipes (83-77), les Provençaux ont rendez-vous dans le Loiret ce mardi soir (20h30) pour un duel de haut de tableau sur le parquet de l’OLB et devront recevoir l’ADA Blois lors de la dernière journée le 18 mai prochain. Avant de retrouver Orléans et son ancien meneur Loïc Akono, passé de Fos à Orléans cet été, l’entraîneur emblématique de Fos-sur-Mer, Rémi Giuitta, s’est livré à un entretien « long format » sur le site de la LNB.\\n\\nParmi les sujets évoqués, les péripéties de cet exercice 2017-2018 qui a progressivement vu la formation fosséenne descendre du podium, la perspective de cette fin de saison avec des Playoffs d’accession qui s’annoncent, cette année encore, explosifs, ou encore la composition d’un groupe qu’il a voulu le plus homogène possible.\\n\\n« Nous avons de très bons joueurs, mais pas un Cellus Sommerville ou un Tyren Johnson qui peuvent te sauver une rencontre à tout moment. Mais j’assume ça ! Notre équipe n’a pas été construite dans ce sens, mais plutôt avec un vrai partage de responsabilité offensive comme défensive, et qui nécessite que tous soient – on va dire -, à leur rendement habituel ou prévisible pour gagner. Des deux côtés du terrain », a déclaré Rémi Giuitta sur lnb.fr, prenant également exemple sur l’ESSM Le Portel, 6e de la saison régulière en 2015-2016 et vainqueur des Playoffs d’accession après avoir notamment sorti Fos-sur-Mer en trois manches en demi-finale, sans l’avantage du terrain. « C’est aussi ce qui peut nous permettre de faire un parcours façon Le Portel il y a deux ans. Ils n’avaient pas le plus de talent parmi les équipes en playoffs. À chaque match, ils étaient portés par un joueur différent. Nous avons ce profil. Et dès que nous sommes moins dans le combat et l’engagement, on souffre... Le Portel, ça leur a permis de battre Bourg, Évreux ou nous et de monter dans l’élite ».\\n\\nLe coach fosséen se livre également au jeu des pronostics, pour le vainqueur final entre Blois, Roanne et Orléans mais aussi pour les Playoffs d’accession où il pourrait rapidement retrouver l’une des deux équipes de ce top 3 : « Quoi qu’il arrive, il y aura deux grosses équipes. Sans compter un Nancy, par exemple, pas forcément assez constant sur la saison régulière, mais capable de se sublimer au moment des playoffs. Personne n’aurait prédit que Nantes allait aller en finale l’an dernier... »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Les Français de l’étranger : le Barça tape facilement Andorre"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Bleus du basket ne se sont jamais aussi bien exportés ! Le contingent tricolore compte vingt six joueurs (neuf de plus que l’an passé) pour neuf pays sur le Vieux Continent.\\n\\nDe la Lituanie à l’Espagne, de la Serbie à la Grèce en passant par la Russie, Basket Europe vous propose chaque semaine un tour d’horizon complet des performances de nos Français de l’étranger.\\n\\n\\nAdrien Moerman en double double\\n\\nIl y avait rencontre entre Barcelone et Andorre, avec pas moins de cinq français sur les planches. Mais le Barça a tué tout suspense dans une victoire en cavalier seul. Thomas Heurtel et Adrien Moerman ont tous deux fini à 15 points, avec Moerman qui y ajoute 11 rebonds pour un double double de costaud. Derrière, Edwin Jackson (9 points, 4 rebonds, 3 interceptions) a également été très productif dans la victoire de son équipe (94-70).\\n\\n\\nBoris Dallo toujours aussi rebondeur en Grèce\\n\\nAlors que la saison de Kim Tillie est malheureusement déjà terminée du côté de l’Olympiakos, la colonie française de Grèce continue de faire parler d’elle malgré tout. En effet, Boris Dallo (9 points, 11 rebonds, 3 passes) n’en finit plus de gober des rebonds malgré son poste de meneur. A 7 points, 7 rebonds et 3 passes, Dallo réalise tout simplement sa meilleure saison en carrière sous le soleil hellène.\\n\\n\\nAaron Cel au 2e tour des playoffs\\n\\nAprès un ultime match complet à 15 points, 4 passes et 3 rebonds, Aaron Cel et son club de Torun se sont qualifiés pour le 2e tour des playoffs en Pologne. Ils y affronteront le club de Slam Stal d’Ostrow, qui a fini la saison à la 2e place... juste devant Torun au point average ! Ça devrait être plus serré que ce 1er tour avec trois coups de balai en 3-0 et une seule série terminée en 4 manches...\\n\\nEnfin, après sa pige en Croatie, Rémy Barry est revenu au pays et il a signé un nouveau contrat court avec Poitiers. Dans le dur pour assurer son maintien en Pro B, le PB86 espère que l’ailier pourra lui apporter du scoring en l’absence de Sekou Doumbouya blessé.\\n\\n\\nEspagne\\n\\nAdrien Moerman (Barcelone) : 15 points (7/11 aux tirs), 11 rebonds, 1 interception, 3 balles perdues en 21 minutes (victoire 94-70 face à Andorre)\\n\\nThomas Heurtel (Barcelone) : 15 points (6/13 aux tirs), 3 passes, 2 interceptions, 1 rebond, 1 balle perdue en 22 minutes (victoire 94-70 face à Andorre)\\n\\nRodrigue Beaubois (Vitoria) : 9 points (3/4 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 3 balles perdues en 16 minutes (victoire 106-62 face à Séville)\\n\\nEdwin Jackson (Barcelone) : 9 points (3/5 aux tirs), 4 rebonds, 3 interceptions, 1 balle perdue en 20 minutes (victoire 94-70 face à Andorre)\\n\\nNicolas De Jong (Saragosse) : 9 points (4/6 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe en 14 minutes (défaite 96-88 face à Burgos)\\n\\nVincent Poirier (Vitoria) : 6 points (3/4 aux tirs), 7 rebonds, 1 passe, 5 balles perdues en 19 minutes (victoire 106-62 face à Séville)\\n\\nLanding Sané (Andorre) : 5 points (2/10 aux tirs), 4 rebonds, 3 interceptions, 1 passe, 2 balles perdues en 21 minutes (défaite 94-70 face à Barcelone)\\n\\nAndrew Albicy (Andorre) : 5 points (2/6 aux tirs), 4 passes, 1 rebond, 6 balles perdues en 21 minutes (défaite 94-70 face à Barcelone)\\n\\nLivio Jean-Charles (Malaga) : 4 points (2/3 aux tirs), 4 rebonds en 15 minutes (défaite 76-55 face Gran Canaria)\\n\\nFabien Causeur (Real Madrid) : 2 points (1/3 aux tirs), 4 rebonds, 1 passe, 2 balles perdues en 21 minutes (victoire 87-75 face à San Sebastian)\\n\\nKevin Séraphin (Barcelone) : n’a pas joué – blessé\\n\\nAntoine Diot (Valence) : n’a pas joué – blessé\\n\\n\\nGrèce\\n\\nBoris Dallo (Panionios) : 9 points (4/8 aux tirs), 11 rebonds, 3 passes, 1 interception, 3 balles perdues en 31 minutes (défaite 60-48 face a l’Aris Salonique)\\n\\nAngelo Tsagarakis (Kymis) : 3 points (1/3 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 1 interception, 2 balles perdues en 16 minutes (victoire 81-68 face à Rhodes)\\n\\nKim Tillie (Olympiakos) : blessé pour la fin de saison\\n\\n\\nIsraël\\n\\nFrédéric Bourdillon (Hapoel Eilat) : 2 points (1/3 aux tirs), 2 passes, 1 rebond en 24 minutes (défaite 81-75 face à Hapoel Olon)\\n\\n\\nItalie\\n\\nNobel Boungou-colo (Turin) : 5 points (1/3 aux tirs), 3 rebonds, 1 passe, 1 balle perdue en 20 minutes (défaite 98-95 face à Brescia)\\n\\nAmath M’Baye (Milan) : n’a pas joué (victoire 101-74 face à Pistoia)\\n\\nYakhouba Diawara (Pistoia) : n’a pas joué (défaite 101-74 face à Milan)\\n\\n\\nLituanie\\n\\nAxel Toupane (Kaunas) : 7 points (2/3 aux tirs), 3 rebonds, 2 passes, 3 balles perdues en 17 minutes (victoire 81-74 face à Lietkabelis)\\n\\n\\nPologne\\n\\nAaron Cel (Torun) : 15 points (6/11 aux tirs), 4 passes, 3 rebonds, 2 interceptions, 1 balle perdue en 27 minutes (victoire 84-69 face à Dabrowa Gomicza)\\n\\n\\nRussie\\n\\nNando De Colo (CSKA) : n’a pas joué (victoire 100-84 face au Zénit)\\n\\nLeo Westermann (CSKA) : n’a pas joué (victoire 100-84 face au Zénit)\\n\\n\\nSerbie\\n\\nBandja Sy (Partizan) : 6 points (3/4 aux tirs), 4 rebonds, 2 passes, 3 balles perdues en 23 minutes (victoire 88-62 face à Vojvodina)\\n\\nMathias Lessort (Etoile Rouge) : 2 points (1/1 au tir), 3 interceptions, 2 rebonds, 1 contre, 4 balles perdues en 20 minute (défaite 76-74 face à Mega)\\n\\n\\nTurquie\\n\\nMoustapha Fall (Sakarya) : n’a pas joué (défaite 88-80 face à Pinar Karsiyaka)\\n\\nLA SEMAINE PASSEE : Fabien Causeur au top avec le Real"
}, 
{"role": "user",     "content":"Spécial salaires Pro B – A Poitiers, la formation à double-tranchant"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Note :\\n\\nseuls les abonnés Premium accèdent au tableau complet des salaires de chaque joueur. Abonnez-vous ici à partir de 5,99€/mois.\\n\\nLa Vienne a été le théâtre du scénario catastrophe que tous les clubs de la division redoutent. Ancré dans la formation avec un modèle économique florissant et des résultats plus qu’intéressants ces dernières saisons en Pro B, le club poitevin se retrouve cette année en grande difficulté, à devoir jouer le maintien, sans doute jusqu’à la fin.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\nLa faute d’abord à une doublette américaine en début de saison (Ricky Tarrant en meneur, Devon Collier à l’intérieur) qui n’a pas convaincu et qu’il a fallu remplacer, ce qui n’a pas été simple. Si Anthony Goods a parfaitement compensé numériquement le départ de l’exemplaire Jeff Greer à l’aile, Collier a fini par être remplacé par Ron Anderson Jr (arrivé mi-janvier). A la mène, il a fallu attendre début mars pour voir débarquer Morris Sharaud Curry à la place de Tarrant.\\n\\nA côté de cela, il y a le principal impondérable et le lot de blessures qui a compliqué la tâche de Ruddy Nelhomme. Son joker habituel en sortie de banc, Arnauld Thinon, a été rapidement touché au poignet et après une saison très encourageante, l’ailier Christophe Leonard n’a pas pu confirmer, touché au genou depuis cet été. Le Martiniquais a été remplacé en cours de saison par Kevin Harley, formé au club mais avec un profil bien différent de Léonard. Ce qui a aussi changé les plans du coach.\\n\\n\\nPas de renfort pour autant\\n\\nDans ce contexte de pression grandissante au fil des semaines, les jeunes pépites du PB86, Yanik Blanc, Sekou Doumbouya et Ibrahima Fall Faye n’ont pas pu s’épanouir comme attendu, en étant davantage responsabilisés que prévu, pour un résultat souvent négatif. Les belles performances de Doumbouya sont le plus flagrant indicateur de cet aspect de la formation parfois à double-tranchant, sur ses six matchs où il a dépassé les 13 points inscrits en saison régulière, Poitiers n’a remporté la victoire qu’une seule fois.\\n\\nFidèle à sa philosophie, Poitiers n’est pas allé piocher dans sa trésorerie pour autant afin d’essayer de corriger le tir au vu d’une situation plus qu’alarmante, contrairement à d’autres concurrents englués dans une saison galère, comme Nantes l’a par exemple fait avec Lamine Kante, pourtant bien connu dans la Vienne (plus de cinq saisons passées au club). Reste à espérer que la fin de calendrier très compliquée (Nancy, Poitiers et ... Nantes à venir) ne fasse regretter ce choix honorable et respectable du staff dirigeant.\\n\\n[table id=118 /]\\n\\nPhoto : Poitiers Basket 86\\n\\n[armelse]\\n\\nLa faute d’abord à une doublette américaine en début de saison (Ricky Tarrant en meneur, Devon Collier à l’intérieur) qui n’a pas convaincu et qu’il a fallu remplacer, ce qui n’a pas été simple. Si Anthony Goods a parfaitement compensé numériquement le départ de l’exemplaire Jeff Greer à l’aile, Collier a fini par être remplacé par Ron Anderson Jr (arrivé mi-janvier). A la mène, il a fallu attendre début mars pour voir débarquer Morris Sharaud Curry à la place de Tarrant.\\n\\nA côté de cela, il y a le principal impondérable et le lot de blessures qui a compliqué la tâche de Ruddy Nelhomme. Son joker habituel en sortie de banc, Arnauld Thinon, a été rapidement touché au poignet et après une saison très encourageante, l’ailier Christophe Leonard n’a pas pu confirmer, touché au genou depuis cet été. Le Martiniquais a été remplacé en cours de saison par Kevin Harley, formé au club mais avec un profil bien différent de Léonard. Ce qui a aussi changé les plans du coach.\\n\\n\\nPas de renfort pour autant\\n\\nDans ce contexte de pression grandissante au fil des semaines, les jeunes pépites du PB86, Yanik Blanc, Sekou Doumbouya et Ibrahima Fall Faye n’ont pas pu s’épanouir comme attendu, en étant davantage responsabilisés que prévu, pour un résultat souvent négatif. Les belles performances de Doumbouya sont le plus flagrant indicateur de cet aspect de la formation parfois à double-tranchant, sur ses six matchs où il a dépassé les 13 points inscrits en saison régulière, Poitiers n’a remporté la victoire qu’une seule fois.\\n\\nFidèle à sa philosophie, Poitiers n’est pas allé piocher dans sa trésorerie pour autant afin d’essayer de corriger le tir au vu d’une situation plus qu’alarmante, contrairement à d’autres concurrents englués dans une saison galère, comme Nantes l’a par exemple fait avec Lamine Kante, pourtant bien connu dans la Vienne (plus de cinq saisons passées au club). Reste à espérer que la fin de calendrier très compliquée (Nancy, Poitiers et ... Nantes à venir) ne fasse regretter ce choix honorable et respectable du staff dirigeant.\\n\\nPhoto : Poitiers Basket 86\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »2′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Le président du Cavigal Nice fait appel à la solidarité populaire"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Sur les réseaux sociaux, Xavier Le Cerf-Galle, président du Cavigal Nice fait appel à la solidarité populaire afin de soutenir son équipe qui tente de se maintenir en Ligue Féminine.\\n\\n« Chers amis du basket azuréen,\\nCette saison 2017/2018 a été extrêmement difficile pour le Cavigal Nice, pour ses joueuses, ses dirigeants et ses bénévoles.\\nElle a aussi été difficile pour les passionnés de basket azuréens, qu’ils soient proche ou non du Cavigal, je le sais.\\nEn résumé, lorsque j’ai pris la présidence mi-avril 2017 de ce Club, ses finances étaient en apparence saines. Nous avons ainsi fait un recrutement estival cohérent, économe et très raisonnable (-30% sur lamasse salariale précédente) afin de bâtir un projet sain et pérenne. Au fur-et-à mesure de la saison, la réalité de la situation et de ses « à-peu-près » comptables des trois saisons précédentes, nous a rattrapé. Nous avons dû nous résigner à laisser partir 3 joueuses majeures, outre notre entraîneur et à ne pas remplacer les joueuses blessées. Cela pour purger une grande partie des arriérés. Nos ambitions ont nécessairement été revues à la baisse : le maintien.\\nLa survie du Club s’est faite au prix de réels sacrifices, sur tous les postes de dépense du club. Pendant ce temps là toutes les autres équipes se sont renforcées, y compris avec nos propres joueuses libérées ...\\nGrâce à ces sacrifices, le Club a évité la disparition qui lui était promise et qui aurait été un immense gâchis. Le Cavigal est ainsi économiquement sauvé, mais il est sportivement en grande difficulté.\\nLa Ville de Nice, les Alpes-Maritimes, la Côte d’Azur ainsi que le basket français ont besoin d’un Club de basket féminin de Haut Niveau dans le Sud-Est. Le Cavigal a plus que jamais besoin de tous les passionnés azuréens de basket, de La Seyne-sur-Mer à Menton. Il a besoin de tous les niçois.\\nAussi je vous demande amicalement à chacune et à chacun d’entre vous de venir nous soutenir pour les deux derniers matchs à domicile des 8 mai et 12 mai prochains salle Leyrit à 20:00 et de mobiliser autour de vous.\\nAider le Cavigal à se maintenir en LFB, c’est œuvrer pour le basket niçois et pour tout le basket azuréen.\\nNous devons impérativement battre à domicile Mondeville le 8 mai et Roche-Vendée le 12 mai (de +18 points) pour maintenir l’équipe au plus haut niveau.\\nCela ne sera possible qu’avec un fort soutien du public, qu’avec une salle Leyrit brûlante aux couleurs du basket azuréen et de sa capitale. Si nos azuréennes se sentent portées par le public, par vous tous, elles sauront battre les normandes et les vendéennes.\\nJe compte vraiment sur vous. Les Cavigal NissAngels comptent sur vous.\\nA demain mardi 8 et à samedi 12.\\nJe sais que vous saurez être au rendez-vous et vous en remercie par avance.\\nAmicalement.\\nXavier\\nXavier Le Cerf Galle\\nPresident\\nCAVIGAL NICE BASKET 06′′"
}, 
{"role": "user",     "content":"Mavroeidis Angelopoulos (Propriétaire AEK Athènes) : «L’Euroleague n’est pas la meilleure compétition»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Suite à la victoire de son équipe face à Monaco en finale de la Basketball Champions League, Mavroeidis Angelopoulos, le propriétaire de l’AEK Athènes, s’est exprimé face à la presse.\\n\\nComme le rapporte Eurohoops, le dirigeant grec a déclaré qu’il ne pense pas que l’Euroleague soit la meilleure compétition européenne.\\n\\n« Je ne suis pas d’accord sur le fait que l’Euroleague est la meilleure compétition européenne. A ce jour, il n’y a aucune raison de discuter avec l’Euroleague, étant donné qu’il n’y a pas de contrat de 10 ans sur la table pour nous. Il n’est pas question d’y participer dans les années à venir. L’Euroleague ne se joue pas sur les critères athlétiques que nous présentons. Je pense que la participation à une Coupe d’Europe devrait se jouer en championnat national. »\\n\\nPhoto : AEK"
}, 
{"role": "user",     "content":"Confirmé: Brandon Ubel (Boulazac) est victime d’une rupture des ligaments croisés du genou"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’était attendu, c’est malheureusement confirmé: l’intérieur américain de Boulazac Brandon Ubel (2,08m, 26 ans) est victime d’une rupture des ligaments croisés du genou. Il s’est blessé lors du match de ce week-end contre Hyères-Toulon.\\n\\nBrandon Ubel tournait à 9,8 points et 5,1 rebonds en moyenne par match.\\n\\n\\n\\n\\nSaison terminée pour Brandon Ubel suite à une rupture des ligaments croisés.#GoBBD #JeepELITE @LesGouyats @LRequins @BbdZac pic.twitter.com/KNeTxc63Jf\\n\\n\\n— BoulazacBasketD (@BoulazacBasketD) May 7, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"2,08m en U15 : Victor Wembanyama (JSF Nanterre) au dessus du lot"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"14 ans et déjà tout d’un grand ! A l’image de son géant Victor Wembanyama (2,08m), la JSF Nanterre a dominé le Final Four Elite U15 qui s’est déroulé ce week-end à Tain l’Hermitage : +28 contre la Chorale de Roanne en demi-finale (82-54) et +27 en finale (87-60) contre Charenton.\\n\\nLa JSF Nanterre Association a été récompensée de son travail de formation en ayant qualifié ses équipes U15 et U18 pour leurs final four respectifs. Si les grands ont buté en demi-finale contre l’Asvel, futur vainqueur, les « petits » ont raflé la mise en marchant sur la concurrence. La formation coachée par Bryan George et Amine El Hajraoui fait désormais office de référence alors que les U15 franciliens ont rallié le top 4 pour la troisième année consécutive. Avec du talent à tous les postes et un groupe magnifié par la présence d’une vraie pépite, Victor Wembanyama. Avec ses 2,08m, l’intérieur de la JSF a encore marqué les esprits avec une présence défensive essentielle et un jeu d’attaque des plus efficaces.\\n\\n\\n\\n\\n#U15Elite – @Nanterre92 et @MLV_Basket champions de France U15 2018 https://t.co/sobaZmCaLF pic.twitter.com/5xvNu6iyJU\\n\\n\\n— FFBB (@ffbasketball) 7 mai 2018\\n\\nCapable de dunker depuis plusieurs années déjà (mesuré à 1,91m à 10 ans), le frère d’Eve Wembanyama (formée à l’Asvel féminin, Championne U16 à l’Euro 2017 avec la France), détonne aussi par sa polyvalence, sa capacité à pouvoir tout faire sur un parquet. En février dernier, le n°14, arrivé au club à l’âge de 10 ans en provenance l’Entente Le Chesnay-Versailles et courtisé de toutes parts, a fait le choix de poursuivre sa formation à Nanterre qui nourrit de grands espoirs en lui.\\n\\nLes meilleures actions de la demi-finale contre Roanne (82-54) ici.\\n\\nInterrogé par Le Parisien, Nicolas Mathieu, scout spécialisé chez les très jeunes talents français et africains, estime que Victor Wembanyama a tout d’un (très) grand.\\n\\n« C’est un joueur qui marquera sa génération. En principe, en U13, personne ne dunke, mais c’était avant lui. Ce n’est pas nécessaire d’être un connaisseur pour voir que c’est un phénomène. On n’a jamais vu ça en France. Il n’a pas que la taille, il a une dextérité, un shoot fiable à 3 points et bouge bien pour un joueur de sa taille. Il peut jouer sur plusieurs postes. C’est un vrai talent. »\\n\\nFils d’un papa athlète adepte du saut au longueur et d’une maman basketteuse, Victor Wembanyama va intégrer le centre de formation du club la saison prochaine pour continuer à apprendre tout en poursuivant sa croissance, lui qui n’est plus qu’à 8 centimètres de Rudy Gobert, modèle de réussite en la matière.\\n\\nLes highlights de la finale contre Charenton ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Strasbourg : Pape Sy de retour dans le groupe"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Absent depuis le 12 janvier dernier et opéré le 9 février à cause d’une récidive lombaire, Pape Sy va pouvoir faire son retour sur les parquets.\\n\\nAprès trois gros mois loin des parquets, la SIG indique que son ailier vient de réintégrer le groupe après de nombreuses semaines de soins et de réathlétisation. Selon le club, il devrait être aligné sur la feuille de match pour le déplacement au Mans, samedi 12 mai.\\n\\nCette saison, Pape Sy compile en moyenne 4,4 points et 1,6 rebond pour une évaluation de 4,6.\\n\\nPhoto : SIG"
}, 
{"role": "user",     "content":"Pro B : Rémi Barry à la rescousse à Poitiers"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"En pleine mission pour le maintien, le PB86 n’est toujours pas sauvé à trois journées de la fin après sa courte défaite à Nancy samedi soir (69-65), pointant à la 14e place avec une petite victoire de plus sur Quimper et Le Havre et un bilan équivalent à celui de Nantes, 15e, son futur adversaire demain soir (10v-21d).\\n\\nPour se tirer d’affaire dans ce sprint final où il faudra aller défier Quimper vendredi avant de recevoir Denain lors de la 34e journée, la formation de Ruddy Nelhomme va pouvoir compter sur le renfort de Rémi Barry (26 ans, 2,02m). Poste 3-4 JFL, Barry est sorti de New Mexico State en NCAA (2011-2015) avant de rentrer en France pour disputer la saison 2015-2016 au Havre, alors en Pro A (3,5pts, 1,8rbds en 13 minutes par match). Il a également été aperçu à Vichy-Clermont en tant que pigiste médical en 2016-2017.\\n\\nRémi Barry, qui arrive de Croatie (KK Jazine-arbanasi Zadar), remplacera Sekou Doumbouya sur cette fin de saison, victime d’une entorse de la cheville et indisponible depuis deux matchs.\\n\\nLes highlights de sa saison en Macédoine puis en Croatie lors de laquelle il a compilé en moyenne 22,1 points et 7,7 rebonds.\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=KMQU7U56H_U\\n\\nPhoto PB86"
}, 
{"role": "user",     "content":"Spécial salaires Pro B – Orléans, la Pro A en Pro B"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Note :\\n\\nseuls les abonnés Premium accèdent au tableau complet des salaires de chaque joueur. Abonnez-vous ici à partir de 5,99€/mois.\\n\\nSans surprise, c’est dans le Loiret que l’on trouve les gros poissons puisque l’OLB affiche le plus gros budget et la plus grosse masse salariale de la division avec 3 653 000€ et 1 059 000€. Orléans est même la seule équipe du championnat à avoir pu proposer deux contrats à plus de 100 000€ la saison à Kyle McAlarney et Marcellus Sommerville, évidemment.\\n\\n[arm_restrict_content plan= »registered, » type= »show »]\\n\\n\\nUn recrutement étranger maîtrisé\\n\\nDerrière les deux têtes d’affiches américaines, on retrouve des joueurs habitués de l’étage du dessus et souhaitant se relancer comme Marc Judith, champion de France avec Nanterre en 2013 et qui sort d’une saison moyenne à Dijon, Junior Mbida, aussi à Dijon l’an dernier mais écarté en cours de saison et qui a rebondit à Lille, ou encore Jimmy Djimrabaye qui arrive de Gravelines à moindre coût (25 000€). Là où Orléans a particulièrement été performant c’est dans son recrutement étranger avec les (très) bonnes pioches que sont Miralem Halilovic et Alex Abreu. Inconnus en France, les deux hommes au salaire quasiment identiques ont montré qu’ils sont à la hauteur des ambitions orléanaises avec respectivement 17,1 et 15,4 d’évaluation. Pour compléter le tout, Loic Akono, Gaylor Curier et Kadri Moendadze, JFL et référencés dans la division, sont bien présents en seconde lame pour suppléer le quatuor de feu étranger cité plus haut.\\n\\nDescendu de Pro A cette saison, Orléans ne compte pas faire de la figuration et a pour objectif très clair de remonté en Jeep® ÉLITE dès la saison prochaine. En tout cas, à la vue de ses finances, l’OLB n’a pas grand-chose à faire en Pro B...\\n\\n[table id=117 /]\\n\\n[armelse]\\n\\n\\nUn recrutement étranger maîtrisé\\n\\nDerrière les deux têtes d’affiches américaines, on retrouve des joueurs habitués de l’étage du dessus et souhaitant se relancer comme Marc Judith, champion de France avec Nanterre en 2013 et qui sort d’une saison moyenne à Dijon, Junior Mbida, aussi à Dijon l’an dernier mais écarté en cours de saison et qui a rebondit à Lille, ou encore Jimmy Djimrabaye qui arrive de Gravelines à moindre coût (25 000€). Là où Orléans a particulièrement été performant c’est dans son recrutement étranger avec les (très) bonnes pioches que sont Miralem Halilovic et Alex Abreu. Inconnus en France, les deux hommes au salaire quasiment identiques ont montré qu’ils sont à la hauteur des ambitions orléanaises avec respectivement 17,1 et 15,4 d’évaluation. Pour compléter le tout, Loic Akono, Gaylor Curier et Kadri Moendadze, JFL et référencés dans la division, sont bien présents en seconde lame pour suppléer le quatuor de feu étranger cité plus haut.\\n\\nDescendu de Pro A cette saison, Orléans ne compte pas faire de la figuration et a pour objectif très clair de remonté en Jeep® ÉLITE dès la saison prochaine. En tout cas, à la vue de ses finances, l’OLB n’a pas grand-chose à faire en Pro B...\\n\\n[/arm_restrict_content]\\n\\n[arm_restrict_content plan= »unregistered, » type= »show »][arm_setup id= »7′′ hide_title= »true »][/arm_restrict_content]"
}, 
{"role": "user",     "content":"Euroleague : Alexey Shved remporte le trophée de meilleur scoreur de la saison"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"La saison régulière et les playoffs terminés, l’Euroleague commence à distribuer les récompenses de fin de saison en attendant le Final Four qui se déroulera du 18 au 20 mai prochain, à Belgrade.\\n\\nCe n’est une surprise pour personne, Alexey Shved (1,98m, 29 ans) remporte le trophée de meilleur marqueur de la saison, le Alonso Ford Top Scorer award. Avec 21,7 unités inscrites par rencontre, l’international russe devance Nando De Colo au classement (16,9 points) et succède à Keith Langford qui a remporté le trophée la saison dernière avec également 21,7 points par match.\\n\\nHuitième et dernier qualifié pour les playoffs, le Khimki Moscou de Shved s’est fait éliminer aux portes du dernier carré par son voisin moscovite, le CSKA.\\n\\nPhoto : Euroleague"
}, 
{"role": "user",     "content":"Dmitry Kulagin prolonge avec le Lokomotiv Kuban jusqu’en 2022"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Arrivé à l’intersaison 2017, Dmitry Kulagin (1,95m, 25 ans) a trouvé chaussure à son pied au Lokomotiv Kuban.\\n\\nSur son site, le club russe annonce avoir trouvé un accord avec son joueur pour prolonger son contrat jusqu’en 2022. Pièce importante de la sélection russe, le natif de Moscou a remporté l’Euroleague en 2016 avec le CSKA et s’était initialement engagé pour deux ans avec Kuban.\\n\\nLe principal intéressé a déclaré être reconnaissant que le club croît en lui.\\n\\n« Je suis heureux d’annonce que le Loko et moi avons signé un nouveau contrat et que je peux continuer à contribuer aux accomplissements du club. Je suis reconnaissant que le club et le coach m’aient fait confiance en début de saison et m’aient mis dans de bonnes conditions pour que je me fonde dans ce nouvel environnement. Je tiens à souligner que nos fans m’ont accueilli chaleureusement à Krasnodar. Je ferai de mon mieux pour être digne de votre confiance. Nous avons réalisé beaucoup de choses ensemble. Nous avons gagné la Coupe de Russie et nous sommes allés jusqu’en finale de l’Eurocup. Et la Lokofamily nous a beaucoup soutenu. Pour le moment, toutes mes pensées sont sur les prochains matchs de playoffs de la VTB United League. La saison continue et nous avons encore beaucoup de travail pour arriver au Final Four. Je suis sûr que nous pouvons le faire ensemble. Rendez-vous au gymnase! Nous sommes nés pour gagner. »\\n\\nCette saison, Dmitry Kulagin tourne en moyenne à 10,2 points, 2,5 rebonds et 3,4 passes décisives pour une évaluation de 10,1 en VTB League et compilait 11,2 points, 3,6 rebonds et 3,8 assists pour une évaluation de 14,3 en Eurocup.\\n\\nPhoto : Eurocup"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo : dans les coulisses de Monaco pendant le Final Four de Champions League"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Meilleure équipe de la saison régulière au scoring, à la passe et aux interceptions, Monaco arrivait à Athènes avec un statut de favori pour remporter le trophée de la Basketball Champions League. Au final, les hommes de Zvezdan Mitrovic se sont inclinés en finale face aux locaux de l’AEK.\\n\\nUne caméra de Canal + a suivi la Roca Team lors de ce week-end de Final Four. Du dernier entraînement à Monaco à la chambre athénienne de Paul Lacombe et Georgi Joseph en passant par la demi-finale face à Ludwigsburg, plongez dans l’intimité de l’ASM.\\n\\nVous pouvez regarder ce reportage en cliquant ici."
}, 
{"role": "user",     "content":"Ancienne figure emblématique de Châlons-Reims, Mark Payne est devenu conseiller financier à Sacramento"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Mark Payne a laissé un souvenir mitigé à Limoges mais très bon à Châlons-Reims dont il a porté le maillot lors des saisons 2014-15 et 2016-17. Il fut même la figure emblématique du CCRB davantage que les joueurs français, ce qui est peu fréquent. A moins de trente ans, il a choisi de remiser ses baskets et d’embrasser la carrière de conseiller financier et de gestionnaire de patrimoine près de Sacramento en Californie.\\n\\nL’Union a pris de ses nouvelles:\\n\\n« C’est une grande transition mais je suis très heureux. J’aime chaque minute de cette nouvelle vie surtout que je suis toujours dans le sport de part mes clients. J’assiste à de nombreux matches de NBA et de MLB (ligue pro de baseball) pour les rencontrer et en contacter d’autres potentiels. »\\n\\nMais la plus grande réussite de M. et Mme Payne, c’est leur fille Brooklyn, née très prématurément à 25 semaines, à qui la faculté n’accordait que 25% de chances de survie... et qui est aujourd’hui en pleine forme. « Un miracle », se réjouit le papa.\\n\\nPhoto: CCRB"
}, 
{"role": "user",     "content":"«De génération en génération»: la banderole des Ultras Green de Limoges"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Les Ultras Green ont fait une fois de plus sensation en déployant à Beaublanc, à l’occasion de la venue de Villeurbanne, une banderole géante où était inscrit « de génération en génération » afin de bien montrer que la passion pour le CSP se transmet de père en fils et de mère en fille à Limoges. Alors comme les joueurs ont torpillé l’ASVEL, on a eu droit à une ambiance XXL.\\n\\n\\n\\n\\nIl y a des Lyonnais explosés aux 4 coins de Beaublanc ce soir!!! Quelle folie furieuse ce club du @limogescsp. Quelle passion, quelle ferveur, quelle émotion quand la team et Beaublanc sont en mode Play off.Immense bravo à la brigada del tifo. Next Antibes.#CSPnation #PassionTifo pic.twitter.com/Y2UK4PB2Nl\\n\\n\\n— Ultras Green Limoges (@ultras_green) May 6, 2018"
}, 
{"role": "user",     "content":"Champions League : Mike Green (ex Paris-Levallois) élu MVP du Final Four"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Victorieux avec l’AEK Athènes en finale de la deuxième édition de la Basketball Champions League, Mike Green (1,85m, 32 ans) a été élu MVP de ce dernier rendez-vous de la saison.\\n\\nDiscret en demi-finale contre Murcie (7 points, 3 rebonds, 3 passes, 3 pertes de balle, 6 d’évaluation), l’ancien meneur de jeu du Paris-Levallois a remis le nez à la fenêtre au meilleur des moments, en finale contre Monaco. Face à DJ Cooper et Aaron Craft, le meilleur passeur de Pro A en 2015 a enregistré 19 points, dont 13 en première mi-temps, 5 rebonds et 3 passes décisives pour une évaluation de 15. Ce qui lui a valu d’être élu MVP de ce Final Four organisé à Athènes.\\n\\nSur la saison, Mike Green a tourné en moyenne à 11,5 points, 2,8 rebonds et 5 passes pour une évaluation de 12,6.\\n\\n\\n\\n\\n.@MrMikeGreen10 🏆 MVP ! MVP ! MVP !#BasketballCL #FinalFour #MONAEK @AEKbcgr pic.twitter.com/cwCZM2JQt6\\n\\n\\n— Basketball Champions League (@BasketballCL) 6 mai 2018\\n\\nPhoto : BCL"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cyril Julian, le basketteur devenu Ironman"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Qui va participer à l’International de Cannes, avec ses 2 000 mètres de natation, 110 km à vélo et 16 km de course à pied ? Puis à l’Ironman de Vichy, avec 3 800 mètres de natation, 180 km à vélo et 42 km de course à pied ? Cet athlète fait tout cela uniquement par plaisir et il s’entraîne 12 heures par semaine pour y parvenir, ce alors qu’il tient parallèlement l’institut « En Formes », un centre sportif de l’obésité à Maxéville en Meurthe-et-Moselle.\\n\\nIndice: il mesure 2,05m, fait 110kg sur la bascule, fut longtemps la figure emblématique du SLUC Nancy et vice-champion Olympique à Sydney en 2000, il a 44 ans et a pris sa retraite de basketteur pro en 2009.\\n\\nC’est Cyril Julian.\\n\\n« Mon défi est avant tout de passer la ligne d’arrivée. Je ne lutte pas contre un chrono, c’est simplement un plaisir à l’état brut, j’ai tellement été confronté à une certaine rigidité quand j’étais joueur, qu’aujourd’hui, il n’y a que ce sentiment qui m’importe, »confie t-il à 100% Nancy. « Il est vrai que lorsque j’arrive sur la ligne de départ avec mes mensurations, j’ai l’impression d’être quelque part un ovni. Mais le gros avantage dans ces sports extrêmes est qu’il existe un vrai respect et que personne ne te juge. L’estime des participants est d’autant plus importante quand ils apprennent mon passé de sportif de haut niveau et les raisons pour lesquelles je me suis lancé ces nouveaux défis. »"
}, 
{"role": "user",     "content":"Programme TV: Le Mans-Strasbourg pour la 2e place de Jeep Elite"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec la fin de la saison régulière de Jeep Elite et les playoffs de Ligue Féminine, la semaine est encore dense sur SFR Sport 2 avec en apothéose le match Le Mans-Strasbourg pour l’attribution de la deuxième place du championnat national.\\n\\nLundi 7 mai:\\n\\n20h45 – Gravelines/Nanterre – Jeep Elite – SFR Sport 2\\n\\n22h30 – Buzzer – SFR Sport 2\\n\\nMardi 8 mai:\\n\\n20h45 – Lyon/Bourges – LFB – SFR Sport 2\\n\\nMercredi 9 mai:\\n\\n20h45 – Tarbes/Charleville – LFB – SFR Sport 2\\n\\nSamedi 12 mai:\\n\\n16h30 – Belle demi-finale 1 éventuelle – LFB – SFR Sport 2\\n\\n18h30 – Le Mans/Strasbourg – Jeep Elite -SFR Sport 2\\n\\n20h45 – Villeurbanne/Monaco – Jeep Elite – SFR Sport 2\\n\\nDimanche 13 mai:\\n\\n15h00 – Belle demi-finale 2 éventuelle – LFB – SFR Sport 2"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Voir la finale AS Monaco vs AEK Athènes dans son intégralité"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Voir ou revoir dans son intégralité la finale de la Basketball Champions League 2018 qui a vu la victoire, 100-94, de l’AEK Athènes sur l’AS Monaco, hier soir dans la capitale grecque. Avec les commentaires grecs !\\n\\nPhoto: FIBA\\n\\nhttps://www.youtube.com/watch?v=zAWyNQdv1x0"
}, 
{"role": "user",     "content":"LFB: Marie-Eve Paget (Charleville): «On est dos au mur, on n’a plus le choix»"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"C’est une bassine d’eau froide qui est tombée sur la tête des Flammes Carolos de Charleville battus à domicile par Tarbes lors du match aller de demi-finale des playoffs et lourdement: 62-75.\\n\\n« Défensivement, on n’a pas forcément respecté ce que l’on avait prévu de faire au départ et en attaque, on n’a pas su jouer ensemble pour trouver les bonnes solutions. Elles ont bien défendu mais... une équipe comme Montpellier, c’était vraiment très intense. Contre Tarbes, ça l’était moins mais elles nous ont clairement posé des problèmes », a analysé Marie-Eve Paget en conférence de presse.\\n\\nPlein de choses sont forcément à corriger pour mieux aborder le retour en Bigore.\\n\\n« Notre entame de match, notre discipline au niveau des systèmes. Maintenant que l’on est dos au mur, on n’a plus le choix. Il faut vraiment que l’on donne tout pour gagner. Sur le tour d’avant on est passé en deux matchs mais durant la saison, on a connu des périodes très difficiles. Il y a eu plusieurs matches où on était à -15, -20 et on a su faire la différence pour arracher le match à la fin. On sait gérer ces situations et il faut juste qu’on le fasse, c’est tout. »\\n\\nQuant au coach Romuald Yernaux, il cherchait à faire le bon diagnostic:\\n\\n« Il y a plusieurs éléments. Le premier, c’est l’aspect psychologique. Ensuite il y a l’aspect tactique. Pour appliquer ce qui est demandé, il faut des gens un peu plus ouverts. Ca fait deux matchs avec la Coupe de France où c’est pareil. Chacune se renferme sur elle-même, il y a un sentiment de stress et on n’évolue pas dans le même rayonnement. Il faut jouer avec notre personnalité; il doit se dégager autre chose en tous les cas de certaines joueuses, qui fait qu’au bout du compte, elles passent complètement à côté de leur match, que ce soit au niveau de leur prestation individuelle... Et quand elles ne sont pas bien, elles se renferment encore un peu plus et ça se constate défensivement (...) J’espère aussi qu’on ne l’a pas gagné avant de l’avoir joué car ça ressemble un peu à ça. »\\n\\nLes Flammes ont été troublées par la prestation de leur double MVP française Amel Bouderra loin de ses standards habituels (9 passes mais 0/10 aux shoots, pas de lancers).\\n\\n« Elle a eu une semaine compliquée, elle s’est donnée une petite entorse. Elle n’était pas dedans, pas prête à jouer. Physiquement, elle a prouvé qu’elle pouvait mais elle n’avait pas les bonnes sensations. Elle n’a pas joué avec sa personnalité. Elle aurait très bien pu dire qu’elle ne jouait pas, se protéger. Elle a fait le travail mais le problème, c’est qu’à haut niveau, sur des matches comme ça, il faut être à 120% et elle ne l’était pas ce soir. J’espère que ça ira mieux mercredi car c’est notre fer de lance. On se rend compte que lorsqu’elle joue avec un peu moins de personnalité, d’assurance, derrière il y a peu de gens pour prendre le relai. »\\n\\nPhoto: Marie-Eve Paget (FIBA)"
}, 
{"role": "user",     "content":"Cholet Basket champion de France U18"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"Avec 21 points du Guyanais Karlton Dimanche (1,94m) et 16 de Killian Hayes (1,95m), Cholet Basket a pulvérisé l’Asvel, 90-60, en finale du Final Four U18 qui s’est tenu à Lons-le-Saunier dans le Jura. C’est le 11e titre dans la catégorie et le troisième en quatre saisons du club des Mauges connu pour sa formation. A la mi-temps, la messe était déjà dite, 51-31.\\n\\nKillain Hayes a ainsi gagné son duel avec Théo Maledon (1,92m), la perle de Villeurbanne, qui s’est contenté de 9 points.\\n\\n« Au final, on l’emporte, parce qu’on a dix joueurs capables d’apporter, ce qui n’est pas le cas de l’Asvel. C’est ce qui fait notre force, que d’user l’adversaire. Au final, Maledon n’a pas pu vraiment défendre sur Killian, au risque de prendre des fautes et de s’épuiser, » explique le coach François Fiévet dans Ouest France.\\n\\nFinal Four U18 masculin\\nSamedi 5 mai : Demi-finales\\nElan Chalon – Cholet Basket : 56-67\\nNanterre 92 – ASVEL Lyon Villeurbanne : 68-81\\n\\nDimanche 6 mai : Finales\\nElan Chalon – Nanterre 92 : 58-61\\nCholet Basket – ASVEL Lyon Villeurbanne : 90-60\\n\\nPhoto: Cholet Basket"
}, 
{"role": "user",     "content":"Vidéo: Les highlights de Monaco vs AEK Athènes"
}, 
{"role": "assistant",     "content":"A voir, les meilleurs moments de la finale de la Champions League qui a opposé ce soir à Athènes l’AEK à l’AS Monaco avec la victoires des Grecs, 100-94.\\n\\nPhoto: Sergii Gladyr (FIBA)"
} ]